/ 193
1 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ussi de la névrose hystérique qui pourrait bien être là présente, à l' état d'isolement ou d'assooiation. IV. Pouvons-nou
uelques cas rares, révolution est rapide, fébrile et se termine par l' état comateux, il en est d'autres plus communs où la m
n à la région paracentrale, et se rapprochant de façon à déterminer l' état de mal. Par ce fait, le malade est en danger de m
utre part, les signes de phthisie pulmonaire ne sont pas très nets, l' état général est relativement bon; peut-être avons-nou
'asystolie menaçait, l'œdème apparaissait aux membres inférieurs et l' état général ne tardait pas à devenir désespéré, faisa
l aux questions que nous lui adressons, paraissant se trouver dans un état bizarre de demi-conscience et l'air préoccupé. Pr
s dans son imagination. A ce moment précis où elle se trouve dans cet état bizarre, les impressions sensorielles restent san
tures qui persistaient. La malade revient alors progressivement à son état habituel et la mémoire de tout ce qu'ellp a vu pr
ons beaucoup plus complexes et plus variées. Nous n'avons pu ni à l' état de veille, ni pendant la période somnambulique ob
, mais, dépitée, s'arrête. Nous avons appris, en le lui demandant à l' état de veille, qu'elle ne connaissait pas cette derni
re rouge. Le placement des divers verres devant lesyeux du malade à l' état normal ne produit pas l'attaque et ne provoque au
l'éther, le chloroforme, le verre bleu, l'eau de Cologne. Si ces deux états sont comparables à ce point de vue, ce qui n'est
alade réagit surtout suivant ses souvenirs, qui ne varient point d'un état à l'autre, puisqu'ils forment une partie de subst
somnambulisme est un mot vague sous lequel sont confondus une masse d' états distincts : le somnambulisme qui survient spontan
pirerons ici, de tenter la classification nosographique de ces divers états . Si les somnambulismes méritent d'être étudiés
), dit ce dernier auteur, lorsque les fonctions qui appartiennent à l' état de veille s'exécutent pendant un sommeil d'ailleu
n sommeil d'ailleurs normal. » Nos connaissances relativement à cet état sont très peu précises, car les observations ne p
ité neuropathique. (1) Gilles de la Tourette. — L'Hypnotisme et les états analogues, p. 171, Paris, 1887. C'est ordinaire
expression motrice d'un rêvo, qui, en raison de son intensité ou do l' état spécial du sujet, passerait de l'idée à l'acte.
es incertitudes qui régnent encore sur bien des particularités de cet état , il est relativement facile de le reconnaître et
e de le reconnaître et de le diagnostiquer, si l'on tient compte de l' état tout à fait normal du sujet dans l'intervalle des
senté antérieurement des accès de somnambulisme, pense que ce dernier état se rapproche à ce point de l'hystérie qu'il est a
6 jours. Dans la plus longue de ces fugues, le sujet, livreur de son état , se rappelle avoir fait la troisième de ses cours
xplications, et le trouvant porteur d'une somme importante, le met en état d'arrestation. Ce n'est qu'après avoir passé quel
que elle-même, de l'autre le somnambulisme hypnotique. Entre ces deux états prennent place tous les intermédiaires. Ce n'es
p-toïde) et la deuxième (convulsive) de l'attaque peuvent exister à l' état d'isolement, il arrive aussi que la troisième pér
héra peutique, 1889, p. 768. des attitudes passionnelles isolée à l' état de simplicité, et anormalement prolongée. » Exa
, pour ainsi dire, d'une double vie, passant alternativement par deux états que M. Azam a désignés sous les noms de « conditi
les noms de « condition première » et « condition seconde ». Dans son état normal ou condition première, la malade est grave
et, revenue à elle, on la trouve en condition seconde. Dans ce nouvel état , son caractère a changé : elle est devenue gaie e
isive. Elle se souvient de tout ce qui s'est passé pendant les autres états semblables qui ont précédé et pendant sa vie norm
torpeur la reprend, et elle revient à sa condition première. Dans cet état elle a oublié tout ce qui s'est passé dans sa con
atégorie est non moins intéressante; elle est dotée, elle aussi, d'un état n° 1 et d'un état n° 2. Tout ce qui se passe dans
oins intéressante; elle est dotée, elle aussi, d'un état n° 1 et d'un état n° 2. Tout ce qui se passe dans l'état n° 2, elle
aussi, d'un état n° 1 et d'un état n° 2. Tout ce qui se passe dans l' état n° 2, elle ne le sait que dans un nouvel état sem
ce qui se passe dans l'état n° 2, elle ne le sait que dans un nouvel état semblable, et il en est de même pour l'état n° 1.
e sait que dans un nouvel état semblable, et il en est de même pour l' état n° 1. Elle renferme donc, en réalité, deux pers
en réalité, deux personnalités qui s'ignorent l'une l'autre. Dans son état n° 2, elle offre les signes somatiques de la cont
somatiques de la contracture somnam-bulique qui n'existent pas dans l' état 1 ; de même l'hémi-anesthésie et le rétrécissemen
esthésie et le rétrécissement double du champ visuel, observés dans l' état 2, sont très exagérés dans l'état 1 : on note enf
le du champ visuel, observés dans l'état 2, sont très exagérés dans l' état 1 : on note enfin chez elle, dans l'état 1, une v
2, sont très exagérés dans l'état 1 : on note enfin chez elle, dans l' état 1, une véritable abasie, qu'on ne retrouve pas da
le, dans l'état 1, une véritable abasie, qu'on ne retrouve pas dans l' état n° 2. Du côté psychique, elle se conduit comme
tat n° 2. Du côté psychique, elle se conduit comme tout le monde en état 2, mais elle y est éminemment sugges-tibie, dispo
est éminemment sugges-tibie, disposition qu'on ne constate pas dans l' état normal. Enfin, lorsqu'elle passe de l'un à l'autr
qui est également hystéro-épileptique, se trouve depuis 3 ans dans un état second tout à fait semblable; c'est-à-dire qu'ell
clef qui permet de se rendre compte de la place nosographique de ces états . M. Charcot fait remarquer, avec raison, qu'il ex
it remarquer, avec raison, qu'il existe une sorte de gradation de ces états , gradation qui va de l'attaque passionnelle norma
ut s'en rendre compte parla constatation des signes somatiques de cet état . Il existe une hyperexcitabilité musculaire qu'on
me ordre, exercées sur leurs antagonistes. On remarque aussi dans cet état une exaltation notable de la puissance musculaire
u'il plaît à l'expérimentateur de lui ordonner. De même que clans les états précédents, il oublie au réveil tout ce qui s'est
s contradictoires, à savoir qu'il existe des rapports étroits entre l' état hypnotique et l'état hystérique. Somme toute, s
savoir qu'il existe des rapports étroits entre l'état hypnotique et l' état hystérique. Somme toute, si l'on fait abstracti
ncore insuffisante aujourd'hui pour permettre de les classer (1), les états somnambuliques se réduiraient aux suivants : somn
ant aller, si les attaques deviennent subintrantes, jusqu'à simuler l' état de mal épileptique (état de mal hystérique épilep
s deviennent subintrantes, jusqu'à simuler l'état de mal épileptique ( état de mal hystérique épileptiforme de Charcot) (3).
. totypes. M. Mesnet, initiateur dans la matière, caractérisait cet état délirant qu'il avait observé avec les plus grands
urt avec agilité et saute sur les bancs, alors qu'il lui fallait, à l' état de veille, un bras pour la soutenir pendant la ma
intermédiaire d'aucun élément convulsif, aussi bien que le retour à l' état normal qui marquait la fin de la crise. C'est dan
sser à côté de lui pendant une de ses crises sans se douter dans quel état il était, sauf qu'il avait alors une propension à
le délire peut être accompagné des autres phénomènes de l'attaque à l' état d'intégrité ou de simple ébauche, ou, dans d'autr
xamen médico-légal de M. Garnier. Laissant de côté ces trois derniers états qui ne nous occupent point ici, nous voyons que,
n particulier, sont remarquables par une sorte de ressemblance avec l' état de veille, et l'exécution d'actes coordonnés. Ent
délire. Il s'adressait à son père, effaré de voir son enfant dans cet état , et lui disait : « Allez-vous-en, Monsieur. Vous
êvait de gros chiens qui l'attaquaient. Les choses restèrent dans cet état pendant cinq mois. Un beau soir, au moment de se
en comptant rapidement : « Un, deux, trois, quatre. » Il sort de cet état soit sans transition bien accusée, soit par l'int
sme qui se prolongeait quelquefois jusqu'au lendemain matin. Dans cet état il mangeait, buvait, sortait dans la rue, se fais
i me raconta que quelques jours auparavant elle avait été frappée à l' état de veille par la physionomie d'un aveugle dont le
vant elle pour jouer avec, comme un chât qu'elle était, tandis qu'à l' état de veille elle n'y aurait même pas fait attention
anquille et ne donne pas au patient des allures bien différentes de l' état de veille. Il sera très facile à un observateur n
Eh bien, il n'en est rien. On n'a nullement chez ce malade produit l' état hypnotique, mais simplement développé une attaque
qui est tout à fait identique à l'écriture habituelle de l'enfant à l' état de veille. taient un pou plus tard, voilà tout,
anda sévèrement, le menaçant de la punition divine (il était dans son état normal à ce moment). Il rentra chez son patron to
is présente quelques poils naissants, en moins grande quantité qu'à l' état ordinaire à cet âge, La verge est assez volumineu
on, sinon la voix du malade, change pendant la période délirante. A l' état normal, il parle posément, doucement, avec une pa
rendre un développement beaucoup plus considérable et s'installer à l' état continu pendant des jours entiers, sans laisser p
des jours entiers, sans laisser place un seul instant au retour de l' état normal. Ce fait s'est produit à plusieurs reprise
e de mouvements choréiques analogues à ceux qu'elle présente dans son état normal, mais ces mouvements choréiques durent peu
régions spas-mogènes et spasmo-frénatrices qu'elle présente dans son état habituel restent insensibles dans son état de dél
qu'elle présente dans son état habituel restent insensibles dans son état de délire ; ainsi la pression du sommet de la têt
son état de délire ; ainsi la pression du sommet de la tête, qui, à l' état normal, provoque une attaque de chorée rhythmée,
e même pour la compression de la région ovarienne droite, qui, dans l' état ordinaire, arrête ses attaques d'hystéro-épilepsi
ans qu'elle est à la Salpêtrière. nous remettons la malade dans son état normal en lui comprimant la région ovarienne et e
on sensorielle sont très souvent identiques dans l'un et dans l'autre état . Signalons seulement le verre jaune donnant l'hal
est pas sans intérêt cependant de rapprocher l'un de l'autre ces deux états analogues d'activité mentale inférieure, qui, à u
sang. On lui mit un vésicatoire sous l'aisselle. Il était dans cet état , alité constamment, lorsque, le quatrième jour ap
l fit à la Salpêtrière un premier séjour (20 août au 30 octobre). Son état était alors exactement ce qu'il est maintenant.
aient ces bêtes qu'il écrasait ainsi. Nous lui avons demandé dans son état normal s'il ne rêvait jamais d'animaux quelconque
mpressionnabilité à la parole, le malade est cependant encore dans un état de concentration bien profonde. Il suffit, pour s
e d'apparence si singulière ? Il nous semble avoir sa solution dans l' état hallucinatoire qui crée l'idée-image et donne à l
la phase épileptoïde, on peut voir celle-ci, dans ce qu'on appelle l' état de mal hystérique épileptiforme, s'individualiser
grande crise complète, pas plus que des anomalies rares, telles que l' état de mal hystérique épileptiforme ou les attaques d
e la pression sur les globes oculaires. On verra plus loin quel est l' état dans lequel on met en réalité le malade à l'aide
avec une épingle le côté droit de la face, qui était anesthésique à l' état de veille; aussitôt le malade manifeste que la se
é gauche, au contraire, il y a une anesthésie, qui n'existait pas à l' état de veille. En même temps, il s'écrie : « Oh! les
propres du délire que présentait ensuite le malade, de distinguer cet état de somnambulisme hystérique de la véritable hypno
er des suggestions de ce genre, soit dans l'hypnotisme, soit dans les états ne relevant pas véritablement de l'hypnose, mais
endant à cette époque, apportait à l'écriture, nous l'avons prié, à l' état de veille, de nous tracer une page d'écriture, un
nons plus loin le fac-similé (Voyez planche II, Fig. 1). Etant dans l' état de veille, il a mis sept minutes à écrire avec di
fin du dernier vers du tercet précédent. Dans la pièce écrite dans l' état somnambulique, il n'a eu garde de laisser passer
s placées à dessein en regard de celles qu'il avait écrites pendant l' état de veille. L'écriture est toute différente, com
arbres, à l'avant-dernier, sein au Lieu de fond. Enfin, tandis qu'à l' état de veille il avait mis sept minutes à écrire ces
sogne. A ce moment nous lui mettons sous les yeux le manuscrit de l' état de veille et il commence aie relire, corrigeant t
rections et l'arrètons-nous avant qu'il en soit arrivé là. Revenu à l' état normal, il ne se rappelle pas avoir rien écrit, n
issons dans le nombre, parce qu'elle donne une idée assez exacte de l' état moral habituel de notre malade, plus riche d'espr
t qu'il « dormait », car il n'avait encore rien composé là-dessus à l' état de veille, et, d'autre part, dans cet état de vei
rien composé là-dessus à l'état de veille, et, d'autre part, dans cet état de veille, il lui eût fallu deux bonnes heures po
yperacuité de la mémoire bien remarquable. Il est peu probable qu'à l' état de veille il se fût ainsi souvenu, après vingt jo
tait du reste à peu près ainsi pour tous les faits accomplis dans son état somnambulique, du moins autant que nous pouvions
énomène montre qu'il existe évidemment une sorte de liaison entre les états somnambuliques successifs chez cet homme. Cela ne
ls se souviennent en général de tous les faits de la veille pendant l' état somnambulique, ainsi qu'il est toujours facile de
mpte. Leur personnalité n'est donc pas véritablement changée dans cet état . Le dédoublement de leur moi se manifeste seuleme
elles. L'élément convulsif y est toujours représenté, quelquefois à l' état d'ébauche, quelquefois dans son complet développe
jeune fille au grand délire hystérique de huit jours de durée, esta l' état normal une jeune personne un peu timide, légèreme
une simple réminiscence des pensées qui ont occupé les malades hors l' état d'attaque (1). » Une pareille affirmation, sous c
onduites au gré de l'expérimentateur. Il existe, en effet, dans cet état , une sorte de mono-idéisme très particulier, expl
pport avec son délire. » Et plus loin il définit en quelques mots cet état de monoidéisme en disant que « la véritable carac
nent ou renversent suivant leurs besoins. On rencontre un semblable état de monoidéisme dans la période cataleptique du gr
la catalepsie. Loin de nous l'idée de vouloir identifier en tout deux états aussi dissemblables dans leurs manifestations ext
s délirantes qui n'est pas un des côtés les moins remarquables de cet état . Mais si l'on suggère une idée au cataleptique,
ans le somnambulisme hystérique. De plus, dans l'un et dans l'autre état , c'est par les mêmes procédés que l'on peut arriv
cinations : c'est-a-di¡re par des excitations des organes des sens. L' état cataleptique correspond à cet égard au degré le p
d'entre elles étaient absolument identiques dans l'un et dans l'autre état . La seule différence essentielle a été que, dans
hystérique, toutes deux caractérisées au point de vue psychique par l' état de monoidéisme, aussi nettement appréciable dans
normal, ne conserve aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant l' état somnambulique, de ce qu'a pensé, exécuté la perso
ée de souvenir implique une comparaison latente et la conscience d'un état actuel dans lequel on évoque un fait antérieur. E
nos somnambules hystériques, il ne semble pas y avoir de notion de l' état présent, ou plutôt, c'est l'hallucination du mome
'hallucination du moment qui en réalité constitue à elle seule tout l' état présent. C'est ce que M. Gilles de la Tourette en
le que le malade corail) Gilles de la Tourette. — L'hypnotisme et les états analogues au point de vue médico- légal, lre édit
fait une preuve indéniable que la personne délirante peut exister à l' état d'unité, et persister toujours la même dans les d
ongtemps, été appliquée à ces sujets qui accomplissent, dans certains états seconds, des actes dont ils n'ont plus conscience
seconds, des actes dont ils n'ont plus conscience ni souvenir dans l' état normal. On ne saurait donc mieux faire, il nous s
le entité morbide. Nous connaissons le somnambulisme hypnotique. En l' état actuel de la science et jusqu'à plus ample inform
n connaissons des exemples, à la catégorie des épileptiqueset sont en état d'automatisme ambulatoire comitial. D'autres, au
vaincre, en l'observant à ce moment, qu'elle était tout simplement en état de somnambulisme hystérique, que ce somnambulisme
r en touchant un point hystérogène et en ramenant aussi la malade à l' état de veille, au milieu de quelques convulsions repr
senté antérieurement des accès de noctambulisme, pense que ce dernier état se rapproche à ce point de l'hystérie, qu'il est
i-là est actif, il parle de lui-même, va, vient, exécute, suivant son état de délire, des actes plus ou moins naturels ou bi
haise, sur laquelle nous l'avons placée pour la faire passer dans cet état . La seule manifestation d'activité qu'elle donne,
ns sensorielles simples donnant chez elles les mêmes résultats qu'à l' état de veille et ne produisant aucune hallucination.
et ne produisant aucune hallucination. Enfin elle est passée dans cet état d'hypnose sans la moindre convulsion. On pourra
re convulsion. On pourra même, dans certains cas, comparer ces deux états chez le même sujet et voir encore mieux, par là,
u somnambulisme hypnotique. Il paraîtra difficile de confondre deux états aussi dissemblables. Non pas sans doute qu'ils so
Salpêtriere depuis dix ans déjà ; il y a cinq ans, elle tomba dans un état très particulier, qu'à cette époque j'avais, sino
t psychiques que somatiques de l'hypnotisme peuvent se rencontrer à l' état de veille, sans qu'il soit nécessaire de faire in
e de faire intervenir les pratiques d'hypnotisa-tion. Il semble que l' état d'hypnotisme qui, pour d'autres, est un état arti
sa-tion. Il semble que l'état d'hypnotisme qui, pour d'autres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures l
autres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures l' état ordinaire, l'état normal, si tant est qu'en parei
t artificiel, soit pour ces singulières créatures l'état ordinaire, l' état normal, si tant est qu'en pareille circonstance i
al, si tant est qu'en pareille circonstance il puisse être question d' état normal. Ces gens-là, passez-moi le mot,dorment,al
lambulùme » a été proposé par MM. Eggeret Lereboullet pour désigner l' état second dans le cas de Felida observé par M. le pr
'on n'ait employé aucune manœuvre d'hypnotisation, par conséquent à l' état de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la c
es et psychiques du grand hypnotisme existaient chez cette malade à l' état de veille d'une façon permanente. Or, ce n'est pa
que les choses se passent, et, en réalité, cette malade présente deux états ; c'est là, en somme, un exemple de ce que l'on co
quée qui concerne les différentes modalités du sommeil morbide ou des états analogues, le mieux est de prendre chaque fait, e
ervice où elle est restée depuis. En 1884, après une longue période d' état de mal hystérique, — cet état de mal, que vous co
is. En 1884, après une longue période d'état de mal hystérique, — cet état de mal, que vous connaissez, est comparable à l'é
ystérique, — cet état de mal, que vous connaissez, est comparable à l' état de mal épileptique, avec cette différence qu'il n
ine jamais, autant qu'on sache, par la mort — elle est tombée dans un état particulier, que nous appellerons son état second
— elle est tombée dans un état particulier, que nous appellerons son état second ou son état B, lequel a persisté depuis, p
dans un état particulier, que nous appellerons son état second ou son état B, lequel a persisté depuis, presque sans discont
tantôt spontanés, tantôt provoqués, en tout cas de peu de durée, de l' état antérieur, état prime, état A. Il suit de là qu
, tantôt provoqués, en tout cas de peu de durée, de l'état antérieur, état prime, état A. Il suit de là que, dans l'état n
voqués, en tout cas de peu de durée, de l'état antérieur, état prime, état A. Il suit de là que, dans l'état n° 1, Hab...
de l'état antérieur, état prime, état A. Il suit de là que, dans l' état n° 1, Hab... connaît tous les événements de sa vi
et ignore ce qui lui est arrivé de 1885 à 1890, — tandis que, dans l' état n° 2, elle se souvient seulement des divers incid
vers incidents datant de cette dernière période. Cependant ces deux états , si nettement séparés l'un de l'autre, sont encor
tre, sont encore rattachés l'un à l'autre par un fonds commun. Dans l' état B, en effet, il reste de l'ancienne personnalité
tre personnalité de la malade. Dans sa seconde personnalité, dans l' état B, Hab... est anesthésique totale. La perte de la
t rares. Elles sont régulièrement conformes au grand type. Mais son état psychique est surtout particulier ; elle n'est re
larité bien intéressante, elle sait lire, écrire et calculer dans cet état B ; c'est qu'une malade du service (la nommée L..
ntaires. Je vous fais remarquer, en dernier lieu, que, dans ce même état B, Hab... présente tous les caractères du grand h
aty sont mélangés, au lieu d'y être groupés de façon à constituer des états distincts. Nous allons, à présent, examiner com
s. Nous allons, à présent, examiner comparativement Hab... dans son état A. L'injonction simple suffit, pour peu qu'elle s
s l'ordre, mais désormais nous allons reconnaître les caractères de l' état prime, état A. Dans cet état, où vous la voyez
ais désormais nous allons reconnaître les caractères de l'état prime, état A. Dans cet état, où vous la voyez maintenant,
allons reconnaître les caractères de l'état prime, état A. Dans cet état , où vous la voyez maintenant, la malade est très
est, en effet, entrée dans le service une quinzaine de jours avant l' état de mal qui a changé la personnalité d'Hab... : «
tracture, suggestibilité) qui se montraient à un si haut degré dans l' état B. Ces périodes d'état A sont, en général, asse
qui se montraient à un si haut degré dans l'état B. Ces périodes d' état A sont, en général, assez courtes. Elles ne duren
ttaque, moins accentués cependant, qui président à la transition de l' état A dans l'état B. Cette transition se fait soit sp
accentués cependant, qui président à la transition de l'état A dans l' état B. Cette transition se fait soit spontanément, so
opinion est qu'il s'agit là d'une attaque d'hystérie transformée. Ces états de vigilambulisme me paraissent tout à fait analo
développement prépondérant, ainsi que cela se voit par exemple dans l' état de mal hystérique épileptiforme, où la phase épil
ntes. La plupart des psychologues admettent qu'il existe en nous, à l' état normal, 180 - altérations de la personnalité,
rsonnalité complète. Cette division du moi est moins marquée dans l' état normal que dans l'état pathologique et, par consé
Cette division du moi est moins marquée dans l'état normal que dans l' état pathologique et, par conséquent, plus facile à ob
sonnalité, « le sentiment général du corps est complètement changé. L' état nouveau sert de base à une nou- (1) Griesinger.
roche beaucoup plus en ce sens de la deuxième personne étudiée dans l' état normal et l'état pathologique par quelques auteur
us en ce sens de la deuxième personne étudiée dans l'état normal et l' état pathologique par quelques auteurs et en particuli
art, j'ai montré l'analogie frappante qui existe au point de vue de l' état psychique et de la nature de la suggestibilité en
ent de la personnalité. C'est qu'en effet cette ressemblance avec l' état normal est singulièrementaccentuéechez les malade
ffet, au point de vue psychique, le phénomène le plus saillant de cet état de dédoublement. Ainsi que le dit M. Gilles de la
d., juillet 1874). (2) Gilles de la Tourette. — L'hypnotisme et les états analogues au point de vue médico-légal.— lre édit
t place à l'autre, ou plus proprement lorsque pour la première fois l' état second (condition seconde, état B) se substitue à
ement lorsque pour la première fois l'état second (condition seconde, état B) se substitue à l'état prime (état normal, cond
mière fois l'état second (condition seconde, état B) se substitue à l' état prime (état normal, condition première, état A),
'état second (condition seconde, état B) se substitue à l'état prime ( état normal, condition première, état A), le sujet gar
état B) se substitue à l'état prime (état normal, condition première, état A), le sujet garde toujours quelques notions d'un
D'autres notions aussi subsistent la plupart du temps dans le second état . Mais je reviendrai plus loin sur ces particulari
oncer autres parollcs, que, Père Jean, et belle Marie... » Dans cet état elle se rendit à la chapelle pour y entendre la m
vec langue espesse, et fort difficilement, à la guise d'enfant. » Cet état dura du 10 au 19 novembre de l'année 1584 et disp
peu à peu elle arriva à se familiariser avec eux. Elle était dans cet état depuis plusieurs mois, lorsqu'un beau jour elle f
hénomènes. Cette deuxième crise de sommeil fut suivie du retour à l' état normal ; mais elle n'avait conservé aucun souveni
pendant l'intervalle. « En un mot, dans Vétat ancien, elle ignorait l' état nouveau. C'est ainsi qu'elle nommait ses deux vie
uisent ainsi pendant quatre ans, à peu près périodiquement. « Dans un état ou (1) Mac Nish. — Philosophy of sleep, 183!, d
en ont de leurs natures respectives; par exemple, dans les périodes d' état ancien, elle possède toutes les connaissances qu'
ssances qu'elle a acquises dans son enfance et sa jeunesse ; dans son état nouveau, ellene saitquece qu'elle a appris depuis
son premier sommeil. Si une personne lui est présentée dans un de ses états , elle est obligée de l'étudier et de la connaître
ître dans les deux pour en avoir la notion complète... ... Dans son état ancien, elle a une très belle écriture, celle qu'
rès belle écriture, celle qu'elle a toujours eue, tandis que dans son état nouveau son écriture est mauvaise, gauche, comme
ni les moyens de la perfectionner. » Ces phénomènes d'amnésie d'un état dans l'autre, d'oubli dans Yétat nouveau, de conn
leurs chez la religieuse Jeanne Féry, qui était aussi entrée dans son état second à la faveur d'une attaque hystérique non p
que nécessitait habituellement une myopie assez prononcée. Dans cet état nouveau, elle paraît beaucoup plus active et ses
d je ne suis pas en somnambulisme. » C'est qu'en effet, pendant son état second, la malade a conservé la notion très exact
é la notion très exacte des faits accomplis non seulement pendant cet état de crise, mais aussi pendant l'état normal, c'est
complis non seulement pendant cet état de crise, mais aussi pendant l' état normal, c'est-à-dire pendant toute sa vie antérie
t l'état normal, c'est-à-dire pendant toute sa vie antérieure. Dans l' état normal, au contraire, elle a perdu tout souvenir
somnambulisme. Elle est donc forcément gauche, empruntée, pendant cet état normal, où il lui manque des morceaux tout entier
lui manque des morceaux tout entiers de sa vie. Elle a notion de cet état de gêne de la condition normale lorsqu'elle se tr
re en disant : « Quand moi est bête. » Elle est plus communicative en état second et elle connaît si bien son état prime qu'
lle est plus communicative en état second et elle connaît si bien son état prime qu'elle prie les personnes à qui elle vient
i nous permet sans contredit d'assimiler véritablement les périodes d' état second à des attaques vulgaires d'hystérie. M. Du
quelconque à l'intérieur, provoque le réveil subit, ou le retour à l' état normal, avec sensation douloureuse, aggravée pa
avec sensation douloureuse, aggravée par le dépit d'être ramenée à l' état bête », accompagnée d'un violent «ébranlement ner
auprès de qui un individu non prévenu passerait sans se douter de son état , toutes les transitions possibles. Eh bien, nous
onnalité, avec persistance du souvenir de la première personne dans l' état second ; possibilité de faire cesser les accès en
avons point si l'auteur a constaté de visu ce passage insensible d'un état à l'autre. Les mots «sommeil agité » permettraien
les accès précédents et en outre de tout ce qui s'est passé pendant l' état de veille... Il a donc une double mémoire, l'une
tre qui s'étend à toutes les périodes du somnambulisme... Mais dans l' état de veille il necon-serve aucun souvenir de l'état
isme... Mais dans l'état de veille il necon-serve aucun souvenir de l' état somnambulique.La durée de cette phase est, si l'o
ouvrant les paupières et en lui soufflant sur les yeux. » Pendant cet état , il est éminemment suggestible. Il y a là un dé
e qu'on ne lui connaissait pas. C'était la première constatation de l' état second, du dédoublement de la personnalité. A que
tinguaient chacune des deux personnalités de sa malade. « Pendant l' état second, Mlle X... change complètement de caractèr
. change complètement de caractère. Douce, aimable et un peu molleà l' état normal, elle devient impatiente, méchante, impétu
. Elle mange avec un meilleur appétit et digère beaucoup mieux qu'à l' état normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle cha
ier tout de suite, pour que je puisse te faire marcher. » Revenue à l' état normal, elle ne se rappelle absolument rien de ce
ne se rappelle absolument rien de ce qu'elle a dit ou fait pendant l' état second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s
me nous venons de le (1) Voir la note, p. 190. rapporter... Dès l' état second elle résiste vigoureusement lorsqu'on essa
déploie alors une grande force musculaire... Quand elle est dans son état normal, elle perd toujours au jeu de dames, mais
rmal, elle perd toujours au jeu de dames, mais lorsqu'elle est dans l' état second elle gagne, au contraire, toujours. » II
cun autre stigmate d'hystérie. Bien que cette jeune fille, dans son état second, se souvînt des faits de sa vie normale, i
faits de sa vie normale, il lui arrivait cependant souvent, « dans l' état second, de ne pas reconnaître les personnes de sa
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa connaissance dans l' état prime. » Elle parle à M. Ladame, qu'elle connaît
tat prime. » Elle parle à M. Ladame, qu'elle connaît fort bien dans l' état normal, comme si elle s'adressait à quelqu'un d'é
qu'il essayait de la réveiller, c'est-à-dire de la faire revenir à l' état prime, elle lui répondit : « Je dirai à M. Ladame
le fiancé de MUe X..., qui pouvait l'hypnotiser lorsqu'elle était à l' état de veille, n'avait aucun pouvoir sur elle quand e
tat de veille, n'avait aucun pouvoir sur elle quand elle était dans l' état second. M. Ladame fut plus heureux dans la suite.
fut plus heureux dans la suite. Il put parvenir à l'hypnotiser dans l' état second et par la suggestion faire disparaître les
ortée. C'est donc surtout une différence de caractère qui distingue l' état second. En ce qui concerne le souvenir, il est bi
r, il est bizarre de voir que la malade, bien que se souvenant dans l' état II de tous les faits de l'état I, oublie cependan
a malade, bien que se souvenant dans l'état II de tous les faits de l' état I, oublie cependant certaines figures. Elle con
on (1). Chez sa malade les facultés paraissaient plus affinées dans l' état second que dans l'état normal. C'est une jeune
les facultés paraissaient plus affinées dans l'état second que dans l' état normal. C'est une jeune fille de 22 ans chez qu
s mois consécutifs avec des retours d'une ou deux heures par jour à l' état normal, interrompue, comme l'état normal lui-même
s d'une ou deux heures par jour à l'état normal, interrompue, comme l' état normal lui-même, par des attaques convulsives ou
our calmer ses diverses douleurs, de chloral pour pouvoir dormir. L' état second peut se produire à la suite d'une attaque
arque le début, la malade, par une inspiration profonde, entre dans l' état second. « Elle jette alors autour d'elle un regar
plus vive ; elle cause et rit avec plus d'animation. Très docile à l' état normal, elle devient, en état second, volontaire
avec plus d'animation. Très docile à l'état normal, elle devient, en état second, volontaire et capricieuse. Elle s'occupe
ond, volontaire et capricieuse. Elle s'occupe de préférence, dans cet état , à des ouvrages de broderie ou de couture minutie
nière faculté est surtout manifeste. Le souvenir de faits oubliés à l' état normal se réveille et se présente à son esprit av
nfance et dont elle ne sait plus le premier mot, une fois revenue à l' état normal. « Pendant l'attaque de somnambulisme, l
e, la malade a gardé le souvenir de tout ce qui s'est passé pendant l' état normal et les attaques de somnambulisme précédent
s. « Quelquefois cependant la malade paraît avoir oublié, pendant l' état second, les faits qui ont immédiatement précédé l
'état second, les faits qui ont immédiatement précédé le début de cet état . C'est ainsi, qu'étant entrée un jour en somnambu
souvenant plus qu'on avait auparavant servi le dîner. « Revenue à l' état normal, la malade a complètement oublié tout ce q
ériode de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubliés pendant l' état normal. « Comme nous l'avons dit plus haut, la
somnambulisme chaque soir entre six et sept heures et reste dans cet état toute la soirée. C'est en état second qu'elle se
e six et sept heures et reste dans cet état toute la soirée. C'est en état second qu'elle se couche et s'endort... Dans cet
oirée. C'est en état second qu'elle se couche et s'endort... Dans cet état indéterminé qui sépare la veille du sommeil, elle
nature hystérique. Les phénomènes qui marquent le début des crises d' état second sont trop franchement hystériques (attaque
ne attaque vulgaire d'hystérie. Remarquons déjà que, dans ce cas, l' état second né d'une attaque de sommeil se prolonge au
fois, pendant trois mois consécutifs avec de courtes interruptions d' état normal de une ou deux heures par jour. Comme da
ou deux heures par jour. Comme dans les cas de Dufay, de Ladame, l' état II est relativement plus agréable à la malade que
Ladame, l'état II est relativement plus agréable à la malade que son état normal après les premières crises. Dans l'état se
le à la malade que son état normal après les premières crises. Dans l' état second, en effet, elle est plus vive, plus adroit
s troublée par la présence de ces lacunes de mémoire qui existent à l' état normal, et portent alors sur toutes les périodes
existent à l'état normal, et portent alors sur toutes les périodes d' état second. Si cette malade entre dans son vigilamb
nts qui se produisent pendant la nuit, alors qu'elle s'est couchée en état second, pourraient bien n'êire aussi que des phén
s phénomènes convulsifs par l'intermédiaire desquels elle revient à l' état normal. Avant d'arriver à l'histoire deb deux m
opie hystérique. Tous les soirs à une certaine heure, elle entrait en état second. Ordinairement triste, renfermée, dans l'é
elle entrait en état second. Ordinairement triste, renfermée, dans l' état normal, elle devenait subitement alors vive, gaie
itement alors vive, gaie, expansive.Un soir, pendant qu'elle était en état second son frère arriva à la maison. Elle manifes
1890, t. 16, f. III, p. 146). fête. Le lendemain matin, revenue à l' état normal, elle fut fort étonnée de le trouver là et
èrement intéressant en ce sens que sa malade présentait dans les deux états des phénomènes morbides différents, en même temps
mènes morbides différents, en même temps qu'une amnésie complète d'un état dans l'autre et réciproquement, et qu'on pouvait
que continuellement dans son existence seconde ; mais comme, dans cet état , il lui est impossible de boire, le médecin est o
e désaltérer, puis elle s'assoupit et se réveille de nouveau dans son état second. « ..... M. Verriest peut facilement pro
état second. « ..... M. Verriest peut facilement provoquer les deux états . Il la place dans l'existence première par l'hy
, quelles sont les personnes qui l'entourent, et profite de ce nouvel état pour boire avidement plusieurs verres d'eau. Pour
uffit de l'hypnotiser et de la réveiller comme précédemment. Dans cet état la malade est gaie, sa figure est souriante, elle
nous avons vu dans la plupart des observations précédentes, les deux états sont complètement séparés et dans aucun d'entre e
estations morbides qui n'existent point dans l'autre : mutisme dans l' état I, impossibilité d'avaler les liquides dans l'éta
e : mutisme dans l'état I, impossibilité d'avaler les liquides dans l' état II. Nous retrouverons un phénomène analogue dans
Là, on lui apprend le métier de tailleur, qui était compatible avec l' état de paralysie de ses membres inférieurs et, au bou
e de ses membres inférieurs et, au bout de quelques mois, il était en état de coudre convenablement. Un beau jour, il est pr
our, il est pris d'une violente crise hystérique d'où il sort dans un état tout à fait singulier. A son réveil, la paraplé
ingulier. A son réveil, la paraplégie a complètement disparu et son état psychique est totalement modifié. Il ne reconnaît
lui en parle, il demande si « on se moque de lui. » De plus, dans cet état , il est méchant, querelleur et voleur. Au bout de
a suite d'une attaque, la contracture a disparu et il se croit dans l' état antérieur au 26 janvier ; il n'a aucune notion de
il pendant vingt-quatre heures. Mais, le lendemain, il retombe dans l' état primitif, à la faveur d'une autre crise qui remet
se modifie et devient plus doux, bien qu'encore irritable. Dans cet état , il ne connaît que la deuxième partie de son séjo
n élevé. Il n'a aucune paralysie, ni anesthé-sie. On voit combien cet état contraste avec l'état de Roche-fort, caractérisé
paralysie, ni anesthé-sie. On voit combien cet état contraste avec l' état de Roche-fort, caractérisé physiquement par l'hém
re que, entre chaque expérience rappelant artificiellement tel ou tel état de personnalité, il retombait spontanément dans l
s la situation où il se trouvait en entrant à l'hôpital de Rochefort ( état de Rochefort, avril 1885). Après cette expérience
érience il revint, par l'intermédiaire d'une crise convulsive, de cet état de Saint-Urbain avant la vipère, à l'état de Roch
ne crise convulsive, de cet état de Saint-Urbain avant la vipère, à l' état de Rochefort. En plaçant un aimant au niveau de
rine, en garnison à Rochefort, avant son entrée à l'hôpital. Dans cet état , que l'on pourrait à la rigueur considérer comme
tal. Dans cet état, que l'on pourrait à la rigueur considérer comme l' état le plus rappro- ché de l'état normal, dont la v
rrait à la rigueur considérer comme l'état le plus rappro- ché de l' état normal, dont la véritable notion se perd au milie
nt la véritable notion se perd au milieu de la succession de tous ces états variés de personnalité, le malade se souvient de
plégique. Nous n'irons pas plus loin dans la description des divers états de personnalité de Louis V... Qu'il nous suffise
pnotisable), MM. Bourru et Burotont pu produire l'apparition d'autres états . C'est même en partie par ce moyen qu'ils sont ar
soins de M. Mabille (1), il présenta des attaques de déroulement des états successifs de personnalité. Dans ces crises, on l
de phénomènes pathologiques ayant caractérisé l'un quelconque de ses états (suggestion de la paraplégie de Bonneval, par exe
e véritables crises de somnambulisme hystérique relatives tantôt à un état , tantôt à un autre. En résumé, nous retrouvons
un autre. En résumé, nous retrouvons chez ce jeune homme plusieurs états bien distincts de personnalité : En premier lie
plusieurs états bien distincts de personnalité : En premier lieu, l' état dans lequel il se trouvait dans (1) Mabille et
Saint-Urbain, âgé de dix ans, doux et docile de caractère ; puis l' état dans lequel il était pendant la seconde partie du
é de 17 ans, paraplégique, arrogant, méchant et voleur ; les divers états de Bicêtre (1er séjour, 1883 à 1885) ; l'état d
oleur ; les divers états de Bicêtre (1er séjour, 1883 à 1885) ; l' état de Rochefort, avant d'entrer à l'hôpital, où i es
e, et le début de son séjour à Bonneval, quand il était tailleur. Cet état peut être jusqu'à un certain point considéré, si
t peut être jusqu'à un certain point considéré, si l'on veut, comme l' état normal ; l'état à son entrée à l'hôpital de Roc
à un certain point considéré, si l'on veut, comme l'état normal ; l' état à son entrée à l'hôpital de Rochefort, avec hémip
miplégie droite sensitivo-sensorielle et motrice, l'oubli de tous les états de sa vie autres que la deuxième partie de son sé
val (non paralysé) et son premier séjour à Bicêtre (1884). Tous ces états , et j'en passe, et non des moins intéressants, te
ne fois de plus sur la manière dont le malade entrait dans ses divers états de personnalité ou en sortait, c'est-à-dire par l
pas le cas de M. Tissié (1) pour cette raison que le malade, dans son état second, était sous le coup d'une impulsion morbid
. Il n'agissait donc pas, à proprement parler, comme une personne à l' état de veille, dans ses fugues dont les unes étaient
e qu'elle appelle « sa crise ». En fait, elle entre dans son deuxième état . Voici comment : elle est assise, un ouvrage de c
e, et elle ne souffre pas des nombreuses douleurs névralgiques de son état ordinaire. Dans cet état, que M. Azam a nommé sa
des nombreuses douleurs névralgiques de son état ordinaire. Dans cet état , que M. Azam a nommé sa condition seconde, Félida
vie, se souvenant non seulement de son existence ordinaire, mais des états semblables à celui dans lequel elle se trouve. El
celui dans lequel elle se trouve. Elle a conservé également, dans cet état , toutes les notions acquises dans l'état I et dev
conservé également, dans cet état, toutes les notions acquises dans l' état I et devenues plus ou moins automatiques, lire, é
it marqué l'entrée en condition seconde) et Félida s'éveille dans son état ordinaire. Mais elle est sombre, morose, et elle
nnée à un jeune homme qui devait être son mari, et, un jour, dans son état normal, elle m'a consulté sur les phénomènes sing
on seconde se sont accrues et elles ont égalé en durée les périodes d' état normal. Alors Félida présentait ce phénomène sing
ulier que pendant une semaine, par exemple, bien qu'elle fût dans son état normal, elle ignorait absolument tout ce qu'elle
rmale, il s'est trouvé que, pendant nombre d'années, les périodes d' état normal ne duraient que trois à quatre jours, souv
que grosse bêtise causée par le manque de souvenir. De plus, dans cet état , ses manifestations hystériques s'aggravaient et
qu'elle fit plusieurs tentatives de suicide. En même temps que les états de condition seconde empiétaient de plus en plus
kyste de l'ovaire. Voici, au point de vue intellectuel, quel est son état . « Depuis environ neuf à dix ans, les périodes
ue cela aurait lieu, c'est-à-clire par l'installation définitive de l' état second. Car, bien qu'aujourd'hui l'alternative de
urd'hui l'alternative des deux personnalités n'existe plus guère, cet état normal qui l'a remplacée doit être creusé de lacu
ère crise dure vingt jours. Puis tout cesse et l'enfant revient à son état antérieur. Quelques jours après, retour des acc
s jours après, retour des accidents convulsifs et, à leur suite, de l' état d'amnésie, comme précédemment. Cette fois cet éta
à leur suite, de l'état d'amnésie, comme précédemment. Cette fois cet état se prolonge pendant deux mois, puis guérit. Après
et état se prolonge pendant deux mois, puis guérit. Après huit mois d' état normal, les phénomènes convulsifs reparaissent, b
es phénomènes convulsifs reparaissent, bientôt suivis d'une période d' état second qui dure un peu plus d'un mois. Enfin une
bulisme se jugeait par une attaque et tout rentrait dans l'ordre. Cet état bizarre finit, au bout de quelque temps, par se p
entouraient et s'absorbait dans des lectures interminables. Quand cet état cessait, interrompu par quelque attaque convulsiv
z vu pour acquérir la certitude que cette jeune fille présentait deux états bien distincts : l'un, état A, état prime, état n
de que cette jeune fille présentait deux états bien distincts : l'un, état A, état prime, état normal, état de veille pendan
ette jeune fille présentait deux états bien distincts : l'un, état A, état prime, état normal, état de veille pendant lequel
ille présentait deux états bien distincts : l'un, état A, état prime, état normal, état de veille pendant lequel elle ne pou
it deux états bien distincts : l'un, état A, état prime, état normal, état de veille pendant lequel elle ne pouvait marcher
onservait le souvenir des faits de toute sa vie antérieure ; l'autre, état B, état second, coiidition seconde, état anormal,
t le souvenir des faits de toute sa vie antérieure ; l'autre, état B, état second, coiidition seconde, état anormal, état de
sa vie antérieure ; l'autre, état B, état second, coiidition seconde, état anormal, état de vigilambulisme, dans lequel elle
ure ; l'autre, état B, état second, coiidition seconde, état anormal, état de vigilambulisme, dans lequel elle avait le libr
d'emblée les principaux phénomènes qui caractérisent chacun des deux états . On comprend quelle importance ce fait doit acqué
udia plus minutieusement les phénomènes caractérisant chacun des deux états , et l'on arriva aux résultats suivants : 1° Eta
ux résultats suivants : 1° Etat B (État anormal, condition seconde, état de vigilambulisme). Je commence par décrire cet
ition seconde, état de vigilambulisme). Je commence par décrire cet état parce que c'est celui dans lequel la malade se tr
lade se trouve le plus ordinairement. En réalité, bien que ce soit un état anormal, c'est son état habituel. Elle y entre à
rdinairement. En réalité, bien que ce soit un état anormal, c'est son état habituel. Elle y entre à son lever et n'en sort q
ns la plus absolue obscurité. Parmi les notions conservées dans cet état B, et qui ne contribuent pas pour peu de chose à
et écrire et elle ne fait pas plus de fautes d'orthographe, dans cet état , qu'elle n'en ferait dans l'état normal. Elle con
us de fautes d'orthographe, dans cet état, qu'elle n'en ferait dans l' état normal. Elle continue à coudre, à faire du croche
eux tout d'abord et, je le répète encore, cette jeune fille; dans cet état , présente, pour tout observateur non prévenu, méd
appliquer régulièrement l'épithète de somnambule et caractériser son état par la dénomination de somnambulisme. Le mot « vi
vigilambulisme » proposé par MM. Egger et Lereboullet pour désigner l' état second de Félida (la malade de M. Azam dont l'obs
lus que le rouge. Fig. 4 — Champ visuel de Marguerite Dia... dans l' état vigilambulique. En ce qui concerne la motilité,
veille, d'en donner le sens. Si elle a presque tout perdu dans cet état B, en revanche elle a fait quelques acquisitions
de temps en temps avec sa famille, est emmenée par elle (toujours en état B, puisque cela se passait pendant le jour) à une
orter ici, que les notions nouvelles acquises accidentellement dans l' état B, sont peu profondes et n'ont par suite que peu
ans l'hypnotisme et qui en caractérisent ordinairement les différents états . J'ai déjà parlé de la diathèse de contracture qu
nes léthargiques. Mais en pressant sur un muscle on le fait entrer en état de contracture permanente, que l'on peut faire ce
que ses membres présentent la flexibilité, la mollesse spéciales à l' état cataleptique. On les meut sans rencontrer de rési
é. Jusqu'ici nous ne sommes pas encore, malgré tout, bien loin de l' état normal, ces phénomènes pouvant être à la rigueur
s en éloigne considérablement. La jeune Marguerite présente, dans cet état apparent de veille, quelques-uns des phénomènes s
ques, si l'on peut employer ici ce terme, et être transportées dans l' état A. Alors la malade, pendant une période d'état no
re transportées dans l'état A. Alors la malade, pendant une période d' état normal provoquée, voit et retrouve encore la phot
coiffé d'un casque à panache ou d'un bonnet de coton. Cette période d' état A passée, elle voit encore l'hallucination suggér
t A passée, elle voit encore l'hallucination suggérée dans la phase d' état B consécutive, ce qui prouve nettement la continu
cutive, ce qui prouve nettement la continuité des diverses périodes d' état second, même interrompues par des périodes interc
es d'état second, même interrompues par des périodes intercurrentes d' état normal. Disons tout de suite ici, bien que ce s
ien que ce soit empiéter sur la Charcot, t. ir. 15 description de l' état A, que la malade dans celui-ci ne prend pas de la
allucination grotesque de l'élève coiffé d'un casque à plumes. Dans l' état B, elle rit comme une folle ; dans l'état A, elle
'un casque à plumes. Dans l'état B, elle rit comme une folle ; dans l' état A, elle s'indigne, et s'adressant à moi, par exem
nte à noter et qui monlro bien cette indifférence de la malade dans l' état B, à laquelle je faisais allusion plus haut. Te
is allusion plus haut. Tels sont les phénomènes qui caractérisent l' état de vigilambulisme chez celte jeune fille. Voyons
ulisme chez celte jeune fille. Voyons maintenant quels sont ceux de l' état A ou état normal. 2° Etat A (état normal, état
z celte jeune fille. Voyons maintenant quels sont ceux de l'état A ou état normal. 2° Etat A (état normal, état prime, éta
s maintenant quels sont ceux de l'état A ou état normal. 2° Etat A ( état normal, état prime, état de veille). Dans les c
quels sont ceux de l'état A ou état normal. 2° Etat A (état normal, état prime, état de veille). Dans les conditions ord
eux de l'état A ou état normal. 2° Etat A (état normal, état prime, état de veille). Dans les conditions ordinaires, l'é
mal, état prime, état de veille). Dans les conditions ordinaires, l' état A, l'état normal, l'état de veille, n'apparaît po
prime, état de veille). Dans les conditions ordinaires, l'état A, l' état normal, l'état de veille, n'apparaît point sponta
veille). Dans les conditions ordinaires, l'état A, l'état normal, l' état de veille, n'apparaît point spontanément aux yeux
e matin au moment du réveil, pour faire place au retour spontané de l' état B. Il dure donc seulement oendant la nuit, de sor
vie normale. Mais après quelques investigations, on s'aperçut que cet état de veille pouvait revenir accidentellement de tem
nous reviendrons plus loin. En tous cas, les périodes accidentelles d' état A, tant spontanées que provoquées, sont toujours
oyenne elles sont à peu près de dix minutes. J'ai étudié moi-même l' état A, non seulement dans ses manifestations accident
fférence entre les diverses périodes et qu'il s'agissait bien là d'un état unique, toujours comparable à lui-même dans toute
apparitions. Le phénomène le plus caractéristique qui distingue cet état et empêche dès l'abord toute confusion avec l'aut
ce trouble de la marche qui la gêne grandement, Marguerite a, dans l' état A, un air soucieux, ennuyé, q'ui fait un frappant
out à l'heure. Elle ne paraît d'ailleurs pas bien à son aise dans cet état . Elle se sent « toute drôle (1). » Elle est aga
ent alors à rechercher chez elle les phénomènes morbides notés dans l' état B, on constate un changement complet. En ce qui c
qui cite également (p. 108) quelques cas de malades paraplégiques à l' état de veille et parfaitement agiJes dans le somnambu
e cette dissociation de3 troubles de la motilité dans l'un et l'autre état . ne lui en avons jamais vu dans cet état, sauf
ilité dans l'un et l'autre état. ne lui en avons jamais vu dans cet état , sauf celles qui en marquent la fin, et à l'aide
e vigilambulisme. Pendant la nuit, où elle est, même éveillée, dans l' état A, on n'a jamais constaté d'attaques. Quant aux
urs (v. Fig. 5). Fig. S. — Champ visuel de Marguerite Din... dans l' état normal (on voit que le rétrécissement est moins p
e D...; ce qu'elle était incapable de faire, on s'en souvient, dans l' état B. De plus, elle donne sur sa famille et ses anté
absolument tous les faits accomplis et les événements survenus dans l' état B, c'est-à-dire depuis environ le mois d'octobre
chez ses parents, partageant avec elle son argent, ses repas. Dans l' état A, elle ne la connaît plus. Elle ne l'a jamais vu
e a vu, en effet, Marguerite F... pendant la nuit, lorsqu'elle est en état A, couchée dans le lit voisin du sien. Nous fîmes
ut se reporter, en ce qui concerne la description des phénomènes de l' état A chez cette malade, à la description ci-dessus d
omènes de l'état A chez cette malade, à la description ci-dessus de l' état B. J'ai suivi à dessein exactement le même plan d
upeur qu'elle ne peut plus marcher (elle était tombée spontanément en état A en plein jour). Elle s'approche d'elle pour lui
u grand étonnement de l'autre. Cette période accidentelle spontanée d' état A fut la plus longue qui ait été constatée ; elle
emps, Marguerite, à la faveur d'une nouvelle attaque, rentre dans son état habituel (état B), peut de nouveau marcher et red
e, à la faveur d'une nouvelle attaque, rentre dans son état habituel ( état B), peut de nouveau marcher et redevient affectue
rais citer mille exemples analogues de cet oubli total des faits d'un état dans l'autre. Un dimanche matin (16 février 189
te. On provoque alors artificiellement (voir plus loin) le retour à l' état A. Voilà Marguerite devenue incapable de faire un
» Autre exemple ; Le lendemain du jour où elle avait assisté (en état B) à une matinée du théâtre de la Porte-Saint-Mar
ses impressions 'V. plus haut). Nous provoquons alors le retour de l' état A et elle ignore absolument qu'il existe une pièc
est d'ailleurs pas allée au théâtre la veille. Mais tandis que dans l' état B, bien que connaissant la pièce, elle ignorait à
e ignorait à peu près ce qu'étaient Clèopâtre et Marc-Antoine, dans l' état A, n'ayant aucune notion du drame, elle sait parf
romain et celle-là une reine d'Egypte. Au bout de quelques minutes, l' état B étant revenu spontanément, elle a perdu de nouv
ant la comparaison entre les phénomènes caractérisant chacun des deux états , nous constatons que, dans l'état A, la malade a
ènes caractérisant chacun des deux états, nous constatons que, dans l' état A, la malade a absolument perdu toutes les manife
musculaire, à peine un léger degré de diathèse de contracture. Plus d' état cataleptique : on peut frapper de grands coups su
rt gong, la malade manifeste de l'agacement, mais elle reste dans son état normal et il est impossible de produire ainsi la
ambulisme hypnotique qui étaient développés à un si haut degré dans l' état vigilambulique. Plus de contracture des muscles p
e? » J'ai parlé plus haut de la suggestion transportée par ordre de l' état B dans l'état A. C'est là, si l'on peut ainsi par
é plus haut de la suggestion transportée par ordre de l'état B dans l' état A. C'est là, si l'on peut ainsi parler, une sorte
orte de suggestion post-hypnotique et nullement une suggestion dans l' état A. Tels sont les phénomènes qui caractérisent l
gestion dans l'état A. Tels sont les phénomènes qui caractérisent l' état A, état de veille, état normal. Il nous reste mai
dans l'état A. Tels sont les phénomènes qui caractérisent l'état A, état de veille, état normal. Il nous reste maintenant
Tels sont les phénomènes qui caractérisent l'état A, état de veille, état normal. Il nous reste maintenant à étudier commen
l. Il nous reste maintenant à étudier comment se fait le passage d'un état dans l'autre. 3° Passage d'un état dans l'autre
comment se fait le passage d'un état dans l'autre. 3° Passage d'un état dans l'autre. D'une façon générale, d'après ce
on verra plus loin l'importance de ce phénomène, que le passage d'un état dans l'autre se fait toujours par l'intermédiaire
rs circonstances à considérer : tout d'abord comment, dès le début, l' état B a remplacé l'état normal et ensuite comment, de
onsidérer : tout d'abord comment, dès le début, l'état B a remplacé l' état normal et ensuite comment, depuis l'établissement
at normal et ensuite comment, depuis l'établissement définitif de cet état second pendant la journée, le passage se fait de
ier avec celui de Félida, que ce passage n'a pas été brusque et que l' état B ne s'est pas installé définitivement en une foi
ne fois. Les attaques, fréquentes à cette époque, ramenaient tantôt l' état B, tantôt l'état A, suivant qu'elles avaient lieu
ques, fréquentes à cette époque, ramenaient tantôt l'état B, tantôt l' état A, suivant qu'elles avaient lieu dans l'un ou dan
un ou dans l'autre. Peu à peu, ces attaques diminuant de fréquence, l' état second a empiété de plus en plus pendant le jour
quence, l'état second a empiété de plus en plus pendant le jour sur l' état normal et a fini par se régler ainsi qu'on l'a vu
II y a donc eu au début des oscillations irrégulières entre les deux états , marquées par des attaques convulsives successive
anant des parents qui avaient au début noté l'enchevêtrement des deux états . Grâce à la présence de l'astasie-abasie dans l'é
rement des deux états. Grâce à la présence de l'astasie-abasie dans l' état A, ils avaient très bien remarqué que dans le cou
ement capable de marcher. Pour ce qui est du passage quotidien de l' état B à l'état A, le soir, et de l'état A à l'état B,
le de marcher. Pour ce qui est du passage quotidien de l'état B à l' état A, le soir, et de l'état A à l'état B, le matin a
qui est du passage quotidien de l'état B à l'état A, le soir, et de l' état A à l'état B, le matin au réveil, j'ai assisté
passage quotidien de l'état B à l'état A, le soir, et de l'état A à l' état B, le matin au réveil, j'ai assisté plusieurs f
s lors des passages accidentels diurnes, spontanés ou provoqués, d'un état dans l'autre. Il est donc vraisemblable qu'il e
ue. A la suite d'une contrariété, d'une émotion par exemple, étant en état B, Marguerite est prise d'une attaque hystérique
nts, arcs de cercle, etc.. Quand les convulsions cessent, elle est en état A, paraplégique, et ne connaissant plus ses compa
verse en arrière, ébauchant un arc de cercle. Puis elle rentre dans l' état B, d'où elle ne sortira plus que le soir spontané
ien est de même lorsque Ton provoque artificiellement le passage d'un état dans l'autre. La malade étant habituellement pend
t dans l'autre. La malade étant habituellement pendant le jour dans l' état second, c'est le plus souvent le retour à l'état
ndant le jour dans l'état second, c'est le plus souvent le retour à l' état normal que l'on provoque. Il suffit pour cela de
ela dure quelques secondes et, quand c'est fini, la malade est dans l' état A, astasique-abasique, non suggestible, en posses
érieure. Il est rare que l'on ait besoin de provoquer le retour à l' état B. L'état A provoqué est généralement très court
Il est rare que l'on ait besoin de provoquer le retour à l'état B. L' état A provoqué est généralement très court et ne dure
s le vigilambulisme, le prolonger au delà de ce délai. Le passage à l' état B se fait de lui-même, à la faveur d'une petite a
(1), car aussitôt les mêmes phénomènes convulsifs se produisent et l' état B est rétabli. Au mois d'avril 1891, la malade
mois d'avril 1891, la malade quitta le service toujours dans le même état , étant ainsi restée soumise à notre observation p
nous communiqua. Cette lettre nous montre qu'elle est toujours dans l' état B, du moins pendant le jour, et que l'état A se m
u'elle est toujours dans l'état B, du moins pendant le jour, et que l' état A se montre de plus en plus rarement. Elle fait t
at A se montre de plus en plus rarement. Elle fait tous les jours, en état second, des acquisitions de plus en plus considér
uérison se fera ainsi : elle s'instruira d'elle-même peu à peu dans l' état B, qui finira par prendre complètement la place d
peu dans l'état B, qui finira par prendre complètement la place de l' état normal. Quoi qu'il en soit, voici les passages
j'aime autant rester somnambule. D'abord, si je revenais dans l'autre état , tune serais plus ma sœur, et puis bien d'autres
savais pas que Louis (un de ses parents mort pendant qu'elle était en état D) était mort et que je ne connaissais pas le pet
roirait entendre parler Félida en lisant cette lettre, mais Félida en état prime, puisque sa mémoire était entière (1) La
es, dans ce qu'elle dit ; mais ses parents ont raison aussi. dans l' état second. En tous cas, c'est là un document bien in
à autre, soit spontanément, soit artificiellement, et interrompant l' état B par de courtes incursions (a, b, c, d) dans sa
e 1889, interrompu de temps en temps par des retours accidentels de l' état prime (a, b, c.) et par les retours nocturnes pér
l'état prime (a, b, c.) et par les retours nocturnes périodiques de l' état prime qui n'ont pu être figurés sur ce schéma.
transition, composée, ainsi que je l'ai dit plus haut, de périodes d' états A et B enchevêtrées les unes dans les autres. Enf
es apparitions accidentelles (a, b, c, d) et régulières (nocturnes) d' état A est la seule habituellement apparente. La perso
allure épileptiforme qui se reproduisent plusieurs fois sous forme d' états de mal pendant cette période. (1) Voir plus hau
arcot. — Du vigilam-bulisme hystérique. Je passe rapidement sur ces états de mal successifs dont a souffert Marie H... à ce
et nettement hystérique. De plus, à l'inverse de ce qui arrive dans l' état de mal comitial vrai, il n'y a point d'élévation
t, c'est-à-dire sans retour à la connaissance. Guérie de ces grands états de mal, Marie H... reste dans le service. A cette
expérimentation chez Marie H.., et on s'aperçut qu'elle était dans un état anormal que M. Charcot caractérisait en ces terme
'on n'ait employé aucune manœuvre d'hypnotisation, par conséquent à l' état de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la c
is, au point de vue psychique, ce sont évidemment les caractères de l' état somnambulique qui dominent. Eh bien, si, opérant
remarqué chez elle les phénomènes somatiques qui caractérisaient son état et nous l'avaient fait ainsi dénommer, les troubl
ous connaissions depuis quelques mois, M. Charcot examina avec soin l' état mental de Marie H... et acquit bientôt la convict
eux personnalités distinctes l'une de l'autre : 1° la personnalité B ( état B, état second, état de vigilambulisme), postérie
onnalités distinctes l'une de l'autre : 1° la personnalité B (état B, état second, état de vigilambulisme), postérieure à 18
tinctes l'une de l'autre : 1° la personnalité B (état B, état second, état de vigilambulisme), postérieure à 1884-1885 et in
mps par des retours brefs de la personnalité A; 2° la personnalité A ( état prime, état de veille, état normal), antérieure à
retours brefs de la personnalité A; 2° la personnalité A (état prime, état de veille, état normal), antérieure à 1884-1885.
la personnalité A; 2° la personnalité A (état prime, état de veille, état normal), antérieure à 1884-1885. Suivant le pla
t le plan adopté pour notre première malade, commençons par étudier l' état B. 1° Etat B (état anormal, condition seconde,
notre première malade, commençons par étudier l'état B. 1° Etat B ( état anormal, condition seconde, état de vigilambulism
s par étudier l'état B. 1° Etat B (état anormal, condition seconde, état de vigilambulisme). C'est l'état dans lequel, d
(état anormal, condition seconde, état de vigilambulisme). C'est l' état dans lequel, depuis 1884-1885, la malade vit habi
r de très courtes apparitions, soit spontanées, soit provoquées, de l' état A. Il est tenace à ce point que la maladie même n
ez grave, avec élévation considérable de la température, sans que son état fût le moins du monde modifié. Tous les jours à p
danse, parle comme tout le monde. Depuis six ans qu'elle est dans cet état , elle a pu acquérir un grand nombre de notions no
es qui, ajoutées à celles qui ont persisté dès le premier jour dans l' état second, lui permettent de passer dans la vie, san
ts et plus compliqués. On verra plus loin que l'interrogatoire dans l' état A nous réserve une singulière surprise à ce sujet
l'état A nous réserve une singulière surprise à ce sujet. Dans cet état second, elle est sujette à des attaques d'hystéri
en particulier au milieu de 1890, atteinte d'une nou» velle période d' état de mal hystérique épileptiforme, identique aux pé
ion ovarienne droite. Fig. 7. — Champ visuel de Marie Hab... dans l' état vigilambulique. Si l'on s'adresse à la mémoire,
ix ans, mais cela tient à la présence des oscillations entre les deux états qui ont probablement rempli la période mal délimi
st que celle-ci est venue souvent la voir depuis qu'elle est dans son état second. Elle ignore de même où elle a été élevé
ue conforme par les révélations obtenues d'elle ultérieurement dans l' état A, nous permettait de lui faire des questions abs
hénomènes. Il suffît on outre du moindre bruit pour la plonger dans l' état cataleptique avec respiration superficielle, rale
ce pour les faire servir à des expériences. 2° État A [État normal, état prime, état de veille). Lorsque, à l'aide d'un
faire servir à des expériences. 2° État A [État normal, état prime, état de veille). Lorsque, à l'aide d'un des procédés
s loin, on provoque artificiellement chez Marie II... un retour à cet état , ou lorsqu'il reparaît spontanément à la suite d'
on a vu que Marguerite D... préférait, comme toutes ces dernières, l' état second à l'état prime. Dans cette condition pre
guerite D... préférait, comme toutes ces dernières, l'état second à l' état prime. Dans cette condition première, elle ne s
e semblable en train. Elle est encore nettement hystérique dans cet état , mais les stigmates de la névrose sont beaucoup m
fermer les yeux. Le rétrécissement du champ visuel, qui était dans l' état B de 25° à gauche et de 30° à droite, n'est plus
'existe, d'autre part, aucun trouble de la motilité qui distingue cet état du précédent. Fig. 8. — Champ visuel de Marie H
et état du précédent. Fig. 8. — Champ visuel de Marie Hab... dans l' état normal (on voit que le rétrécissement est moins p
ans le travail déjà cité de MM. Marie et Souza-Leite, à propos de son état de mal hystéro-épileptique de 1884. Elle est né
on à laquelle assistait M. le Pr Proust. Marie II..., interrogée en état B sur les personnes qu'elle connaissait autour d'
igné M. Charcot, moi et les élèves du service. On la place ensuite en état A et on lui fait la même question, pensant qu'ell
nous lui citons les noms. (Voir plus haut les mêmes questions dans l' état B). On lui présente la jeune L..., celle qui lu
., celle qui lui a appris à lire, à écrire, à faire du crochet dans l' état B. « C'est une petite nouvelle, dit-elle, je ne l
lpêtrière au commencement de 1885. Elle la connaît donc dans ses deux états . Mais quelle différence entre l'un et l'autre !
nt caractérisée par ce trouble de la mémoire, porte également, dans l' état A, sur les phénomènes hypnotiques que la malade p
, même assez intense, produit auprès d'elle, ne la plonge plus dans l' état cataleptique. Enfin l'absence de suggestibilité e
re d'une façon générale, considérant et l'établissement primitif de l' état second, le début de la maladie, et les passages
s d'aussi longs détails. Il paraît certain que l'établissement de l' état second s'est fait à l'occasion des états de mal s
tain que l'établissement de l'état second s'est fait à l'occasion des états de mal successifs auxquels la malade a été en pro
eu là une période traversée par des oscillations irrégulières entre l' état A et l'état B, ce qui explique les divergences ex
riode traversée par des oscillations irrégulières entre l'état A et l' état B, ce qui explique les divergences existant dans
emière, dit tantôt être en 1884 et tantôt en 1885. Puis, peu à peu, l' état B a de plus en plus empiété sur l'état normal et
ôt en 1885. Puis, peu à peu, l'état B a de plus en plus empiété sur l' état normal et a fini par le remplacer complètement. C
guerite D..., laquelle avait toujours conservé une période nocturne d' état normal, l'état B existe d'une façon permanente. L
aquelle avait toujours conservé une période nocturne d'état normal, l' état B existe d'une façon permanente. Le retour de l'é
d'état normal, l'état B existe d'une façon permanente. Le retour de l' état A est toujours accidentel, soit qu'il survienne s
on le provoque artificiellement. Dans ces deux cas, le passage de l' état B à l'état A est toujours marqué par une attaque
que artificiellement. Dans ces deux cas, le passage de l'état B à l' état A est toujours marqué par une attaque convulsive
s que le passage accidentel, à la suite d'une attaque survenue dans l' état B, pour une contrariété ou tout autre motif, prés
, je le veux, il le faut, » provoquer artificiellement le retour de l' état A. Mais, entre la suggestion et le retour se plac
s à autre soit spontanément, soit artificiellement, et interrompant l' état B par de courtes incursions (a, b, c, d) dans sa
. B. Etat second, interrompu de temps en temps par des retours de l' état prime (a, b, c.) ; habituel depuis 1885. X. Pha
; habituel depuis 1885. X. Phase de transition, période des grands états de mal hystériques de 1884-85. Quant au passage
s grands états de mal hystériques de 1884-85. Quant au passage de l' état A à l'état B, on n'a jamais besoin de le provoque
ats de mal hystériques de 1884-85. Quant au passage de l'état A à l' état B, on n'a jamais besoin de le provoquer. Il se pr
uvoir tenir une conversation quelque peu suivie avec la malade dans l' état A. Même par les suggestions les plus énergiques,
ques, nous n'avons jamais pu faire durer plus longtemps le retour à l' état A. Il se fait toujours de même avec une parfaite
e monde. En 1884-85 se place une phase de transition, marquée par les états de mal hystériques épileptiformes, à la faveur de
alité B, interrompue par des apparitions accidentelles (a, b, c, d) d' état A, est la seule habituellement apparente. La pers
nce de la première ou non. M. Pitres (de Bordeaux), qui considère l' état second comme une manifestation d'hypnose spontané
que le souvenir des actes accomplis ou des faits survenus pendant cet état , est absolument perdu au réveil, tandis que, au c
tat, est absolument perdu au réveil, tandis que, au contraire, dans l' état de somnambulisme, le malade conserve non seulemen
sa personnalité mais encore la mémoire de tout ce qui s'est passé à l' état de veille. Telle est la règle habituelle. Mais on
e somnambule ne conserve point le souvenir des faits accomplis dans l' état normal. « Quelquefois, dit M. Pitres (2), les cho
souvenir du passé aux impressions du présent est rompu ; le moi de l' état de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de
; le moi de l'état de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de l' état de veille ; la notion de l'identité morale est al
s malades comme dédoublés en deux personnes, c'est que, dans les deux états , il existe des modifications plus ou moins profon
is distinctes dans l'un et dans l'autre. D'une façon générale, dans l' état second le malade conserve la notion de son être,
cette conscience intime de son être, le malade conserve encore dans l' état second un certain nombre de notions acquises et d
une garçon avait tout oublié, lecture, écriture, calcul, etc., dans l' état second. Mais il continuait à monter à cheval et à
, avaient totalement disparu. En présence de la persistance, dans l' état second, de certaines notions acquises dans l'état
persistance, dans l'état second, de certaines notions acquises dans l' état prime, il n'est pas sans intérêt de faire remarqu
acquisitions faites dans le vigilambulisme ne se reportent pas dans l' état de veille. On a vu plus haut que Marie H... avait
avait appris à lire, à écrire, à compter et à faire du crochet dans l' état second. Elle ignorait tout cela, comme par devant
dans l'état second. Elle ignorait tout cela, comme par devant, dans l' état normal. Cela tient-il à ce que les notions acquis
ans l'état normal. Cela tient-il à ce que les notions acquises dans l' état second sont moins profondément implantées, ainsi
da entre autres, soit fort obtuse comme chez Marie H..., d'un autre état ? On ne saurait, ce me semble, trancher définitive
née par qui que ce soit (1) ». Ceux-là sont toujours conservés dans l' état de vigilambulisme et l'on peut même y voir quelqu
Marguerite D..., la physionomie plus vive, plus expressive que dans l' état normal. Mais ce n'est pas tout : d'autres modif
'est pas tout : d'autres modifications peuvent encore survenir dans l' état second, qui le différencient nettement de l'état
core survenir dans l'état second, qui le différencient nettement de l' état normal. Ces modifications portent sur le caractèr
normal. Ces modifications portent sur le caractère, les habitudes, l' état physique du sujet, le fonctionnement de ses organ
es, l'état physique du sujet, le fonctionnement de ses organes et son état de santé, enfin sur sa condition psychique. Menti
ps sans nous apercevoir de l'amnésie qui achevait de caractériser son état second. Il est donc possible que, parmi les cas d
est donc possible que, parmi les cas de suggestibilité prononcée à l' état de veille, on trouve des exemples de vigilambulis
de même dans quelques cas connus de suggestibilité très accentuée à l' état de veille et désignés par M. Beaunis sous le nom
t possible. M. Liégeois, qui a étudié ces faits de suggestibilité à l' état de veille, les compare au cas de Félida de M. Aza
d'hui, examinons les autres modifications qui peuvent survenir dans l' état second et servir à les distinguer de l'état norma
i peuvent survenir dans l'état second et servir à les distinguer de l' état normal. Tout d'abord nous trouvons souvent un c
as le plus typique, à ce point de vue, est celui de Ca-muset. Dans un état donné son malade était méchant, emporté, voleur;
et ces modifications se reproduisaient, à coup sûr, chaque fois que l' état correspondant revenait, soit spontanément, soit a
artificiellement. La malade de Dufay était communicative, gaie dans l' état second et jouissait également dans cet état d'une
ommunicative, gaie dans l'état second et jouissait également dans cet état d'une hyperacuité sensorielle considérable, tandi
et état d'une hyperacuité sensorielle considérable, tandis que dans l' état normal elle était plus triste, plus renfermée. Ce
conde; celle de Ladame, au contraire, était mal élevée et donnait, en état second, des gifles à son fiancé, ce qu'elle n'eût
tat second, des gifles à son fiancé, ce qu'elle n'eût jamais fait à l' état normal. Chez les sujets de Verriest et d'Azam, on
alade est, si l'on peut ainsi parler, en meilleure situation dans son état second ; il s'y sent plus à l'aise et éprouve un
us à l'aise et éprouve un sentiment de bien-être qu'il n'a pas dans l' état normal. Cela peut provenir de deux causes qui n'e
Tout d'abord, dans les cas comme celui de Félida, où la mémoire de l' état prime persiste dans l'état second, le fait est tr
comme celui de Félida, où la mémoire de l'état prime persiste dans l' état second, le fait est très compréhensible. Dans la
on seconde, il n'y a point de lacunes de mémoire. Dans les périodes d' état normal, au contraire, il y a des lacunes plus ou
s, correspondant aux périodes de vigilambulisme antécédentes. D'où un état de malaise facile à imaginer et qui n'existe poin
état de malaise facile à imaginer et qui n'existe point dans l'autre état . Les quelques exemples empruntés à l'histoire de
ne peut être accentué. Cette malheureuse, se retrouvant subitement en état 1 dans une voiture de deuil et ne sachant point l
es et des rubans, doit évidemment se sentir bien plus à l'aise dans l' état vigilambulique, dans lequel elle n'a point à crai
en effet, que, chez la plupart d'entre elles, on constate, pendant l' état second, un certain apaisement des phénomènes de l
tue le fond de leur maladie. Le sujet de Verriest était aphone dans l' état normal provoqué. Félida, vigilambule, ne souffrai
us des douleurs diverses qui la tourmentaient considérablement dans l' état normal. Il en est de même chez nos deux malades q
dérer les phénomènes d'ordre pathologique qui peuvent exister dans un état et être absents dans l'autre. Comme on a pu le vo
encore ici le plus caractéristique, libre de ses mouvements dans tel état , paraplégique clans tel autre, hémiplégique dans
.. Je ne reviens pas sur le sujet de Verriest qui était aphone dans l' état prime et avait un spasme de l'oesophage dans l'ét
ait aphone dans l'état prime et avait un spasme de l'oesophage dans l' état second. Notre deuxième malade, Marguerite D..., é
cations profondes de la sensibilité, différentes dans l'un et l'autre état . Ces modifications portaient, comme nous l'avons
. L'anesthésie cutanée, distribuée sous forme d'hémianesthésie dans l' état normal, était totale et s'étendait sur toute la s
rmal, était totale et s'étendait sur toute la surface du corps dans l' état vigilambulique. Le champ visuel, fortement rétréc
l'était beaucoup moins ou ne l'était plus que d'un seul côté dans l' état prime. Il en était de même en ce qui concerne la
ans le vigilambulisme, ils présentaient une plus grande acuité dans l' état normal. Ce sont là des phénomènes importants à
excessive rareté. Avant d'en linir avec cette comparaison des deux états entre eux, je crois utile de faire ressortir un f
de nos malades. Je veux parler de ce retour spontané périodique de l' état prime pendant la nuit, que nous avons constamment
e nous avons constamment observé chez Marguerite D... Ce passage de l' état B à l'état A pendant le sommeil naturel avait déj
s constamment observé chez Marguerite D... Ce passage de l'état B à l' état A pendant le sommeil naturel avait déjà été obser
élida, ainsi que par M. Dufay chez sa malade. Celle-ci se couchait en état de vigilambulisme et passait «insensiblement du s
heure réglementaire.» Mais la différence est toute dans ce fait que l' état second s'étaitprocluit accidentellement dans la s
a soirée, la malade étant restée pendant la journée précédente dans l' état normal, avant l'arrivée de la crise. Notons en pa
. Notons en passant que cette régularité dans le retour nocturne de l' état A chez Marguerite D... est encore un caractère pe
vrose. * M. le Pr Charcot, dans ses leçons, a émis l'idée que cet état vigilambulique chez des sujets hystériques n'est
ce sont de véritables accès de somnambulisme hystérique prolongé... L' état anormal dans lequel l'individu va être plongé sur
paisent, et, sans que le somnambulisme hystérique perde ses droits, l' état second se trouvera constitué (1). » C'était un pr
nt vers l'idée actuellement soutenue par notre maître, à savoir que l' état second n'est qu'une forme particulière de l'attaq
aragraphe spécial, sur les phénomènes qui marquent la transition d'un état dans l'autre. Chez Marguerite D..., le passage
attaque convulsive parfaitement caractérisée, le retour inopiné de l' état normal. Donc passage à l'état second, retour à l'
nt caractérisée, le retour inopiné de l'état normal. Donc passage à l' état second, retour à l'état prime se font par l'inter
ur inopiné de l'état normal. Donc passage à l'état second, retour à l' état prime se font par l'intermédiaire de convulsions
r des convulsions, (1) Gilles de la Tourette. — L'hypnotisme et les états analogues au point de vue médico-légal. lre éditi
vient que j'ai observé chez elle pour la première fois le retour de l' état normal à la suite d'une attaque convulsive violen
attaques à forme épileptoïde marquent la fin et le commencement de l' état vigilambulique, en d'autres ternies le passage à
encement de l'état vigilambulique, en d'autres ternies le passage à l' état normal transitoire et le retour à l'état second d
utres ternies le passage à l'état normal transitoire et le retour à l' état second de durée plus prolongée. Le vigilambulisme
ésence d'une attaque de sommeil. Le malade de Bonamaison entre dans l' état B par une crise convulsive ou une attaque de somm
B par une crise convulsive ou une attaque de sommeil ; son retour à l' état normal est marqué par des aboiements qui ne sont
que de véritables convulsions. Le sujet de M. Vizioli tombe dans l' état vigilambulique à la faveur d'une grande attaque c
e de M. Ladame, c'est une attaque de sommeil qui marque le début de l' état second. Ce n'est pas moins caractéristique dans
de M. Ver-riest. Au début une attaque franche marquait le passage à l' état B et le retour à l'état A. Plus tard l'élément co
t une attaque franche marquait le passage à l'état B et le retour à l' état A. Plus tard l'élément convulsif s'efface peu à p
au point de vue qui nous occupe ici. Le premier entre dans ses divers états par des attaques plus ou moins franches et on en
côté, M. Azam note avec soin les phénomènes marquant le passage d'un état dans l'autre, et au début de l'état second il nou
énomènes marquant le passage d'un état dans l'autre, et au début de l' état second il nous décrit bien nettement l'aura cépha
un intérêt tout particulier. En effet, tout d'abord elle tombe dans l' état second par l'intermédiaire d'une petite perte de
tant à constater, parce que nous le trouvons seulement dans ce cas, l' état vigilambulique peut cesser à la volonté de l'obse
s (côtés du cou, pharynx) pour provoquer instantanément le retour à l' état normal. Ce sont là, en réalité, de vérilables zon
, une pareille hypothèse est bien difficile à accepter pour ceux où l' état second dure depuis des mois et des années, interr
nées, interrompu seulement de temps à autre par do courtes périodes d' état normal, A cette objection la réponse me paraît fa
elles. Mais au début de la maladie il s'était produit une période d' état second de trois mois de durée. Ce dgilambulisme d
omplet et presque permanent de la personnalité et la courte attaque d' état second. Les observations que j'ai relatées au cou
e aussi cette conséquence, à savoir que le vigilambulisme, ramené à l' état normal, souffre beaucoup plus que le somnambulism
ans mon précédent travail). Le vigilambulisme, au contraire, dans son état second, exécute des actes de la vie ordinaire, ve
chapeaux s'il est chapelier, du sucre s'il est épicier, comme dans l' état normal. Revenu à l'état normal, il trouve un chap
lier, du sucre s'il est épicier, comme dans l'état normal. Revenu à l' état normal, il trouve un chapeau, du sucre en moins d
les jours des vigilambules à oscillations plus ou moins périodiques d' états A et B, trouble qui n'existe point du fait des pé
nt laisser-aller, ce flegme, dont font preuve les vigilambules dont l' état second se prolonge très longtemps. La malade de M
de M. Dufay, par exemple, était concentrée lorsqu'elle se trouvait en état B, n'entendait pas ou ne paraissait pas entendre
l'existence des hallucinations caractéristiques du somnambulisme, cet état ressemble beaucoup à celui des somnambules les mo
dont nous parlions tout à l'heure. Y aurait-il donc entre ces deux états hystériques, le somnambulisme, d'une part, et le
le somnambulisme, d'une part, et le vigilambulisme, d'autre part, des états de transition participant à la fois des caractère
ypnotisme : Elle rêve tout haut de faits dont elle n'a pas notion à l' état de veille, et dans l'hypnotisme elle se souvient
orsque, quelques minutes après, on ramena le mari, elle tomba dans un état nerveux, marqué surtout par un délire dont j'aura
la rigueur du terme. Eh bien, Messieurs, voilà quatre mois que cet état dure sans modification d'aucune espèce. Il y a do
e, je n'ai pas dit amnésie progressive, car les choses restent dans l' état originel. Elles sont antérogrades par rapport au
sont trop absolus. En réalité, les faits qu'elle oublie si vite, à l' état de veille, et qu'elle ne peut plus faire apparaît
son sommeil des souvenirs qu'elle est incapable de faire revivre à l' état de veille. Mais la preuve en est surtout dans le
stion post-hypnotique comme méthode curatrice : la malade gardera à l' état de veille la trace des suggestions de l'hypnose;
ns la période rétrograde, rien d'anormal : aucune modification dans l' état de santé, aucun changement dans le caractère, auc
funèbres. Puis, à ce délire avec hallucinations visuelles, succède un état léthargique profond qui dure une journée et dont
ortir de cette attaque d'hystérie délirante, MmeD... se trouva dans l' état où vous la voyez aujourd'hui. Je viens de dire
t de ses enfants. Ces crises n'ont apporté aucune modification dans l' état de la malade (22 janvier 1892). tendues peu aup
e, à ce sujet, en mon absence. En réalité, elle ne connaît dans son état amnésique actuel que mon nom et mon portrait, acq
ste aujourd'hui parfaitement conscience — et les inconvénients de cet état . Elle eut alors l'idée de recourir à l'usage d'un
dépôt inconscient, dans sa mémoire, des événements qu'elle ignore à l' état de veille. Plus tard, des tentatives d'hypnotisme
Son sommeil hypnotique est réellement peuplé de faits enregistrés à l' état de veille. Le contraste est éclatant et mes rétic
nt été obtenus. Grâce à la suggestion hypnotique, la malade sait, à l' état de veille, le nom de la salle oU elle se trouve,
t oublier aujfur et à mesure de leur production. Ce n'est plus dans l' état de sommeil naturel, dans les rêves, ni dans l'hyp
Cette reproduction des souvenirs d'une manière subconsciente, dans l' état de veille, s'effectuait par l'intermédiaire, soit
ues de nerfs, des frayeurs maniaques, etc.. Niepce signale de même un état morbide nerveux chez le fils d'un diabétique. Zim
traitement approprié produit une amélioration portant à la fois sur l' état physique et sur l'état mental, il faut, pense-, t
oduit une amélioration portant à la fois sur l'état physique et sur l' état mental, il faut, pense-, t-il , admettre une rela
me frappée d'aliénation mentale quelques (1) Legrand du Saulle. — L' état mental de certains diabétiques (Gaz. des Hôp., 18
ingt-quatre heures (40 gr. 94 par litre). Homme obèse. Dents en bon état ; pas de gingivite. Pas d'éruptions cutanées. La p
u accusée, le malade voit assez nettement, joue aux cartes, etc.. L' état général est satisfaisant. Lem... est obèse, plutô
s urinaires déjà signalés. Rien au foie ni dans les divers organes. L' état général est très satisfaisant, le caractère gai e
le pouls bat régulièrement à 80°. Les divers viscères sont normaux. L' état général est bon. L'intelligence remarquablement l
éral est bon. L'intelligence remarquablement lucide. Il n'a rien de l' état mental des diabétiques. L'examen des urines n'a
besoin pour interpréter la succession, chez un même individu, de deux états morbides, de ressusciter la théorie oubliée de Lo
scendants d'individus qui souvent n'ont offert à nos recherches que l' état rudimentaire, pour ainsi dire, d'une perturbation
e coexister. Ou, du moins, si elles coexistent, l'une d'elles est à l' état latent n'attendant peut-être qu'une occasion pour
En juin 1885, à la suite d'un traumatisme (chute dans l'escalier) l' état s'aggrave. Furonculose à Wiesbaden. Etat actuel
sucre égale ou supérieure à celle que le foie forme journellement à l' état normal, soit 200 grammes approximativement, d'apr
tous cas, on peut affirmer qu'il n'y avait point de tachycardie. L' état général est bon ; l'appétit conservé. Le sommeil
malade avait une certaine tendance à tenir la tête déviée à gauche. L' état des yeux était le suivant \ le droit externe de l
ière depuis l'année 1890. Toutes les modifications survenues dans son état depuis le travail de MM. Le Noir et Bezançon jses
s à l'observation de MM. Le Noir et Bezançon, il se présentait dans l' état suivant qui ne s'est guère modifié aujourd'hui, s
bras est beaucoup plus volumineux. MM. Le Noir et Bezançon ont noté l' état normal du deltoïde. Il n'en est plus de même aujo
la cuisse droite qui est proportionnellement à peu près dans le même état qu'en 1889. Quant aux jambes, on serait fort te
orges Guinon et Raïchline. (Inédit.) l'aura, se trouve déjà dans un état d'ahurissement tel que cela lui est devenu imposs
ormer, ne nous paraissait pas assez digne de confiance, étant donné l' état de débilité intellectuelle où ils se trouvent pou
eure avant l'accès. Délire post-épileptique à chaque accès. Récemment état de mal d'une nuit et un jour; 73 accès pendant la
ère difficile et violent. Début, à l'âge de 11 ans, par une sorte d' état de mal vertigineux qui dura près d'un an et la ma
rt on sait que le rétrécissement concentrique ne s'observe jamais à l' état permanent dans l'épilepsie pure. Il peut, il est
anent dans l'épilepsie pure. Il peut, il est vrai, s'y rencontrer à l' état de phénomène transitoire, dans la période plus ou
d'une violente émotion (mauvais traitements infligés par son père en état d'ivresse) suivie immédiatement du premier accès.
à dix-huit mois, par séries donnant lieu à de véritables périodes d' état de mal d'une durée de douze à quinze heures. La
st impossible de les provoquer et même simplement de les produire à l' état naissant par la pression sur les régions ovarienn
isuel du scotome scintillant que nous avions déjà rencontré, mais à l' état d'isolement (Obs. XV). Chez celle-ci, il est asso
de faire ce relevé. C'est l'aura hystéroïde. Elle existe 10 fois à l' état d'isolement et, nous l'avons indiqué chemin faisa
c., etc., en souvenir des bruits correspondants qui se produisent à l' état physiologique chez les chiens, chats, porcs, bœuf
tres termes, une tendance marquée aT* subsister chez l'hystérique à l' état d'isolement, sans accompagnement d'autre stigmate
ment endormie, présente les phénomènes du grand hypnotisme avec trois états classiques. Elle vient d'être placée dans l'état
pnotisme avec trois états classiques. Elle vient d'être placée dans l' état som-nambulique, je la fais asseoir face à face de
nommée Bill..., qui pousse son cri rhythmé comme de plus belle : à l' état de veille, remarquez-le bien, Gr...ard a entendu
in au soir, sans en être particulièrement impressionnée ; mais dans l' état somnambulique cela sera, vous allez le constater,
est obnubilée. Or justement ce cas se présente à un haut degré dans l' état somnambulique hypnotique où le jugement est affai
récit d'un événement propre à frapper fortement de jeunes esprits, un état psychique analogue à celui qui s'observe, sous un
a près d'une demi-heure immobile, comme endormi, et, au sortir de cet état , il eut la jambe gauche parésiée. A partir de c
é à avoir des convulsions, il y a de cela 18 mois, vit encore, et son état général est satisfaisant. D'autre part, quoiqu'
e eut cessé, tout rentra dans l'ordre et le malade se trouva dans l' état où il était un instant auparavant et où il se tro
hypnotisme: Elle rêve tout haut de faits dont elle n'a pas notion à l' état de veille et, dans l'hypnotisme, elle se souvient
222, 227, 246,258 ; Sugges-tibilité dans le —, 223, 244; Passage d'un état à l'autre dans le —, 232, 248 ; Durée du —, 262.
2 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
rs, de l'hémorrha-gie et du ramollissement du cerveau ; enfin, avec l' état sclé-reux et les anévrysmes siégeant sur les peti
loppe les vaisseaux de ces deux variétés, peut présenter seulement un état strié, ondu-leux, rappelant l'aspect d'un faiscea
de la troisième variété de M. Robin, l'adventice peut présenter deux états différents. C'est tantôt un simple épais-sissemen
s directions et ne sont plus régulièrement longitudinaux comme dans l' état normal. Telle est cettepériartéritescléreusequi
un quart de millimètre. La couleur de ces anévrysmes varie suivant l' état du sang qu'ils contiennent, et suivant l'état de
vrysmes varie suivant l'état du sang qu'ils contiennent, et suivant l' état de la paroi. Quand la paroi est mince, l'anévrysm
ui ont pu provoquer répanchement. Quand on a isolé un anévrysme à l' état d'intégrité et qu'on l'étudié à un plus fort gros
t. L'artère sylvienne gauche est également dilatée à son origine. — L' état des viscères n'a pas été noté. Obs. II. Salpètr
pée d'apoplexie le 17 février 1857, et est apportée à l'Hôtel-Dieu en état de coma avec une hémiplégie droite. Elle meurt le
ques instants après son déjeuner. Elle reste pendant une heure dans l' état apoplectique, puis reprend connaissance ; on cons
es jaunâtres. Les deux reins pèsent ensemble 205 gr. et présentent un état assez notable d'atrophie de la substance cortical
pondérante, n'occupe plus le premier rang dans notre statistique. L' état des artères de la base a été noté 69 fois. Sur ce
rdel (1) qui avait réuni 32 observations d'hémorrhagie cérébrale où l' état des artères de la base était indiqué, a trouvé qu
isart, Bricheteau, Bouillaud, Ménière, Rokitansky, Leubuscher, etc. L' état du cœur se trouve noté 53 fois dans nos observati
d'hypertrophie secondaire du cœur. Dans nos observations, on trouve l' état des reins noté 49 fois; or 16 fois seulement ou 3
gauche incomplète avec contracture. Début le 20 décembre 1800; sans état apoplectique. Le sixième jour, ecchymose avec sou
uche ; sans oblitération artérielle. — Début le 30 octobre 1857, avec état apoplectique. Hémiplégie -droite avec flaccidité.
e Sylvienne, sans athérome. — Pneumonie lobaire. Début brusque avec état apoplectique le 31 octobre 1807. — Hémiplégie dro
mollissement blanc, centre ovale droit. Début le 22 mars 1867, sans état apoplectique. — Hémiplégie gauche avec flaccidité
ateuse avec hypertrophie anémique de l'hémisphère droit. Début de l' état apoplectique le 7 mars 1807. — Hémiplégie flasque
pondant. Début le 21 mars 1800. —? Hémiplégie droite peu prononcée, état apoplectique. Le deuxième jour, rougeur, taches
ple, ou l'hémiplégie, incomplète à l'origine, n'est pas accompagnée d' état apoplectique et ne se constitue que graduellement
au-dessous du taux normal. Ainsi, au lieu de 37°, 5 qui représente l' état physiologique, on a trouvé en pareil cas à peine
esse du côté paralysé (V. p. 73). Ainsi, d'après M. Charcot, dans l' état apoplectique grave lié à l'hémorragie cérébrale,
fait allusion ; mais l'on peut affirmer qu'ils ne répondent pas à un état fébrile proprement dit, puisqu'ils apparaissent a
sur un brancard et admise salle Sainte-Marthe, où on la trouve dans l' état suivant : Somnolence profonde dont on tire diffic
respiration haute, suspirieuse, mais pas de ronflement. Le 7, même état que la veille ; la somnolence, toutefois, semble
mais bornées aux muscles du cou et à ceux de la face. Du 7 au 10, l' état ne varie point ; il n'y a pas eu de nouvelles con
au est moins chaude que ces jours passés, le pouls moins fréquent ; l' état général, en somme, est plus satisfaisant. Néanmoi
se du crâne était également, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, à l' état normal; toutefois, les pertuis vascu-laires forma
même, soit à droite, soit à gauche de la grande faux, paraît dans l' état normal; seulement, elle semble plus vasculaire qu
paralysie avec contracture des membres du côté gauche. C'est dans cet état que la malade est observée le jour de son admissi
des accès, on ne constate aucune modification bien marquée, soit de l' état des fonctions cérébrales, soit de la paralysie av
ours avant la mort. Si l'on rapproche ces diverses circonstances de l' état dans lequel on a trouvé le sang épanché dans la c
ir le siège de mouvements fluxionnaires, ce qui s'explique tant par l' état phlegmasique des parties voisines que par la rich
nnaire devient plus violent, et la néo-membrane passant elle-même à l' état inflammatoire peut devenir, à son tour, le point
» Incontestablement, ce peu de mots contient la théorie, au moins à l' état rudimentaire ; mais, isolée et pour ainsi dire pe
néanmoins la structure pour ainsi dire rudimentaire qui distingue à l' état normal les plus petites artérioles ou veinules ;
ue si elle est très légère, ou bien si elle se produit au milieu d'un état grave par lui-même, principalement lorsqu'il s'ag
uin, jour où on t'examine pour la première l'ois, on le trouve dans l' état suivant : Il est d'une constitution assez faible,
ibilité est tout à fait intacte. Les fonctions digestives sont en bon état . Il n'y a aucun trouble apparent dans les fonctio
s jour par jour la maladie. Il n'y a aucun changement apparent dans l' état du malade jusqu'au II juin. Ce jour là, le malade
le de croton. Le surlendemain, 11, on trouve le malade dans le même état (On lui fait appliquer 15 sangsues à la région an
les oreilles, mais on n'obtient aucune modification favorable dans l' état du malade. Dans la nuit du 17 au 18, nouvelle a
es qu i nous venons de décrire ne cessent point, et il meurt dans cet état le même jour à quatre heures du soir. On lui avai
sie, on reconnaît dans toute la surface interne du crâne un singulier état de maladie. La table interne semble manquer dans
pérale se prononcent de plus en plus; la malade tombe bientôt dans un état adynamique et meurt le troisième jour. A Yautop
lissement par des parties de substance nerveuse qui parurent être à l' état sain. La pièce anatomique a été mise sous les yeu
vé de l'usage de la parole, ait présenté les lobes antérieurs dans un état d'intégrité complet en les examinant par circonvo
e nerveuse de la troisième circonvolution suffisent pour expliquer un état d'aphémie très prononcé, tel qu'il existait chez
pût rendre compte de l'incident. Les choses restèrent dans le même état pendant plus d'un mois, après quoi, le gonflement
on gastrique dont il souffre depuis longtemps et que caractérisent un état dyspeptique habituel avec gonflement de l'épigast
mouvements imprimés aux membres. Les choses restèrent dans le même état pendant environ un mois ; après quoi il se produi
ves préoccupations relatives à sa profession. 11 est résulté do là un état d'exaltation nerveuse qui s'est fait sentir, d'un
pollutions nocturnes, souvent répétées, qui occasionnèrent bientôt un état nerveux, accompagné d'idées tristes et parfois si
un état nerveux, accompagné d'idées tristes et parfois singulières. L' état nerveux devint bientôt assez grave pour que M. B.
ésordres gastriques notables; la santé générale est, en somme, en bon état . Si je ne craignais pas de donner sans profit,
auchaude ; pouls 66, température rectale 37°,8. 3 et 4 août. — Mémo état , seulement la température centrale s'élève progre
ne certaine étendue, plus molle et d'une coloration plus rosée qu'à l' état normal. — Le calibre de l'artère sylvienne droite
raissent avoir conservé le poli, la consistance et la coloration de l' état normal. Les jointures correspondantes des membres
t injectés. Le nerf médian gauche offre, au contraire, la pâleur de l' état normal et on observe à sa surface aucune apparenc
vement très pâles et présentent d'ailleurs foutes les apparences de l' état normal. L'analyse anatomique n'a pas été poussé
u'elle fut dirigée vers l'infirmerie (7 mars), où on la trouva dans l' état suivant. Coma profond avec respiration stertore
Le soir, la malade est retombée dans un coma profond. T. B. 38, 2. L' état des membres paralysés ne s'est en rien modifié.
pris sur la l'esse la place de la tache ecchymotique. 13 mars. — L' état ne s'est pas modifié d'une manière notable. Le me
oré et plus volumineux que celui du côté opposé. 19 mars,matin. — L' état s'est aggravé. Râle lavyngo-trachéal ; pouls pres
présenter des noyaux de la névroglie en plus grand nombre que dans l' état normal. Au bulbe rachidien,la pyramide antérieu
n rosée et une injection vive du névrilème qu'on n'observe pas dans l' état normal. D'ailleurs, aucune altération histologiqu
croscope. A droite, les noyaux de tissu conjonctif sont, comme dans l' état normal peu nombreux et très-distants les uns des
l'autre ; à droite, les surfaces articulaires sont pâles comme dans l' état normal; à gauche, on observe les altérations syno
faces articulaires et la synoviale offrent toutes les apparences de l' état sain. Le début de l'hémiplégie remontait dans c
ale, au milieu de circonstances qui méritent d'être relevées. Ainsi l' état général était devenu des plus graves lorsque ces
ndants et plus rapprochés les uns des autres qu'ils ne le sont dans l' état nor- 1. Charcot. — Note sur la formation rapide
de difficulté. Elle n'a pas quitté le lit depuis cette époque, et son état ne s'est en rien modifié. Il y a quelques jours
lumineux que ceux du côté droit, ont un contour arrondi, comme dans l' état normal. Les noyaux clu sarcolemme paraissent dans
lement altérée ; la synoviale en particulier, présente la pâleur de l' état normal. Les articulations de l'épaule, du coude
èrement adhérentes, constituées, en grande partie, par la fibrine à l' état fibrillaire et contenant en assez grand nombre de
cé à paraître, dans ce cas encore, à l'époque môme où se déclarait un état fébrile accompagné de symptômes graves. L'état fé
ôme où se déclarait un état fébrile accompagné de symptômes graves. L' état fébrile était lié cette fois aune pneumonie. D'ap
é cette fois aune pneumonie. D'après cela, il est vraisemblable qu'un état grave de l'organisme, survenant brusquement, est
iformes, ni céphalalgie. Les choses restent à peu près dans le même état jusqu'au 10 avril. À cette époque, on note que l'
ès dans le même état jusqu'au 10 avril. À cette époque, on note que l' état général s'est progressivement aggravé depuis plus
s marques de souffrance. Température rectale, 37°, à. 11 avril. — L' état s'est aggravé. Délire bruyant, langue sèche, poul
a/alysé sont toujours beaucoup plus chauds que ceux du côté opposé. L' état est d'ailleurs le même qu'hier. 13 et 11 avril.
opposé. L'état est d'ailleurs le même qu'hier. 13 et 11 avril. — L' état ne s'est pas modifié. T. R. 38°, 5. — Il s'est
er absolument latentes, ainsi que je l'ai observé plusieurs fois. L' état hypérémique que présentaient, dans ce cas, les ga
ou encore d'une modification plus ou moins profonde, survenue dans l' état général du sujet (2). Au contraire, dans le cas d
ulté de distinguer une ou plusieurs couleurs. « On sait que, dans l' état normal, les différentes parties du champ visuel r
ation de la séance précédente. « Cette jeune femme, mercière de son état , est hystérique depuis longtemps : elle a eu de
e Thouret et d'An-dry, relatifs à l'action du magnétisme sur certains états pathologiques. Ces travaux sont très intéressants
une période de réaction pendant laquelle les phénomènes de retour à l' état normal cessent. Eh bien ! il en est de même avec
le détail et qui, en conséquence, uTvâhTM. Burq, est approprié à son état . Ainsi la métalloscopie n'est autre chose que la
que tous les faits dont je parle ne peuvent pas s'interpréter par cet état que les physiologistes anglais désignent quelquef
. Enfui, il disparaît à son four et l'œil se trouve de nouveau dans l' état où il était, lorsque la malade nous a été présent
son bras. Vous voyez que la sensibilité, qui était tout à l'heure à l' état normal, est présentement complètement abolie. I
taque hystérique. Lorsque le sujet est, en effet, sous le coup de cet état diathésique, il semble, vous disais-je, que l'éth
qui, autrefois, la mettaient, d'une manière très prononcée, dans cet état tout particulier de l'anesthésie métallique. Je
ions extérieures du cuivre qui, autrefois, mettaient la malade dans l' état particulier dont je vous ai parlé, sont aujourd'h
ues sont susceptibles, sous des influences diverses, d'entrer dans un état de somnambulisme ou de catalepsie provoqués, qui
érie « hysteria major. » Une connaissance plus approfondie des divers états désignés sous les noms de catalepsie et somnambul
d'expériences multipliées, que la production artificielle des divers états dont nous allons essayer de donner la description
s à plusieurs minutes) et parfois d'une façon instantanée, survient Y état cataleptique. La malade est comme fascinée, immob
le n'est point contracturée et tous ses membres ont la souplesse de l' état normal ou à peu près (quelquefois ils sont le siè
s qu'elle aurait même peine à prendre quand elle n'est point dans cet état . Toute communication de la malade avec le monde e
e langage de Braid, on appelle le phénomène de la suggestion (2). Cet état de catalepsie dure aussi longtemps que l'agent qu
nnaire de médecine et de chirurgie pratiques, par M. Mathias Duval. état qui en diffère essentiellement et qui répond à ce
st peut être assez improprement employé ici, car nous verrons que cet état spécial diffère par bien des caractères du vérita
on, on obtient à \rolonté une contraction ou une contracture. A cet état des muscles, se joignent pour caractériser la lét
ctes, les yeux fermés, à peu près avec autant de précision que dans l' état de veille. Le sens musculaire, suivant la remarqu
fort variable. Charcot. Œuv. comp. t. ix, Hypnotisme. 17 dans son état normal ; il semble que l'intelligence soil plus e
rémissement des paupières, etc). Pour faire sortir la malade de cet état , comme de l'état cataleptique, il suffit de lui s
aupières, etc). Pour faire sortir la malade de cet état, comme de l' état cataleptique, il suffit de lui souffler sur le vi
res, témoignant ainsi de la connexité qui existe entre ces différents états et l'attaque convulsivc vraie. Dans aucun cas, no
s'est passé pendant ce sommeil (1). En résumé, on voit que les deux états que nous venons d'étudier sont ainsi caractérises
ce sous ce rapport entre la léthargie et la catalepsie. Dans ces deux états , le pouls est régulier; il bat de 80 à 100 pulsat
ères de la malade léthargique pour faire revenir tous les signes de l' état cataleptique. Dans cette expérience, la catalepsi
être varice de la façon suivante: Supposons la malade plongée dans l' état cataleptique sous l'influence d'une vi\re lumière
cuper l'un ou l'autre côté du corps. Les contractures variées que l' état de léthargie permet de donner à la malade se réso
atement si on vient à la faire passer directement de la léthargie à l' état normal par les divers procédés : souffler sur le
complètement de la contracture, qu'en la plongeant de nouveau dans l' état de sommation (1). L'hystérique ainsi affectée d
les, par le procédé que nous venons d'indiquer, est sous le coup d'un état spécial du système musculaire, que l'on pourrait
bien connue, qui consiste à faire tomber un coq ou une poule dans un état assez analogue à la catalepsie de l'homme, en lui
n plaçant un coq devant une lumière de Drummond ; survient bientôt un état qui ressemble à 1. Le mot sommation est emprunt
s résidait dans Vimagination de l'ammcd. Récemment, en Allemagne, cet état cataleptiforme a été reproduit par divers procédé
as le seul agent qui paisse plonger les hystéro-épileptiques dans les états de catalepsie et de léthargie ; les mêmes expérie
pruntée à un ouvrage publié sans nom d'auteur, par un Français. Sur l' état cataleptique chez les animaux voir, en outre, des
lumière, il suffisait de leur fermer les yeux pour les plonger dans l' état léthargique. Dans le cas présent, la même manœuvr
rgie possède tous les caractères décrits précédemment. Au milieu de l' état léthargique, de nouvelles vibrations du diapason
petite promenade au grand air, aient tout fait disparaître, — dans un état de prédisposition tout spéciale qui fait qu'elle
s à endormir par ce moyen, la léthargie semble précédée d'une sorte d' état cataleptique. Tout ceci s'obtient sans manœuvres
récautions expérimentales dans sa manière de procéder. C'est dans cet état que nous avons repris la question. Nous avons ess
ivement. Après une triple oscillation les choses sont revenues à leur état primitif. Nous venons d'assister au curieux phéno
u, la malade recouvrait la sensibilité du côté droit, et arrivait à l' état où vous la voyez aujourd'hui. La main droite n'es
e série de préparations qui nous a servi à la mettre primitivement en état de contracture hystérique artificielle. Les phé
ue) suivent la contracture. Dès que notre malade sera délivrée de l' état diathésique spécial de contracture dans lequel no
s Briquet ; j'ai démontré qu'ils peuvent exister dans certains autres états morbides, et être la conséquence de lésions parti
he l'achromatopsie qui existait auparavant dans l'œil droit. Mais cet état , provoqué par nous, ne persistera pas. Après une
Après une dizaine d'oscillations consécutives, tout reviendra dans l' état primitif. Et, à la fin de l'expérience, la malade
emps qu'elle voyait les couleurs de l'œil droit, passe de nouveau à l' état d'hémianesthésie droite, au moment même où, à dro
i fait cette expérience, c'est pour vous faire sentir par vous-même l' état dans lequel se trouve l'hystérique (le plus souve
Il suffit de regarder fixement une hystérique pour la mettre dans cet état spécial de léthargie provoquée, dans cet état inc
pour la mettre dans cet état spécial de léthargie provoquée, dans cet état inconscient de résolution des membres, d'insensib
en lui disant de me regarder : elle tombe comme foudroyée dans cet état spécial, n'entendant plus rien, ne voyant plus ri
elle ne saura pas ce qui s'est passé. Pendant qu'elle est dans cet état particulier, nous constatons qu'il existe chez el
t dans cette sorte d'hypnotisme, nous pouvons la faire passer dans un état de catalepsie artificielle ; il suffit de lui ouv
resthésie musculaire a dès lors disparu. La catalep sie est donc un état confinant à l'état hypnotique du début de l'expér
e a dès lors disparu. La catalep sie est donc un état confinant à l' état hypnotique du début de l'expérience ; nous pouvon
e la contracture, il faut de nouveau faire tomber notre malade dans l' état de léthargie provoquée: je la regarde fixement en
me regarder en face, et, immédiatement, elle tombe dans ce singulier état . L'hyperesthésie musculaire existe : je fais un
he. Ce réveil n'est, en effet, pas un réveil physiologique ; c'est un état pathologique, c'est la sortie d'une crise, de mêm
'est un état pathologique, c'est la sortie d'une crise, de même que l' état dans lequel nous la plongeons artificiellement n'
erveux ; je ne sais trop ce que cela signifie : appelons-le plutôt un état de sujétion, de subjection ; peu m'importent les
Nous pouvons faire passer directement notre jeune hystérique dans l' état cataleptique. Disons-lui de regarder un ins tan
evient tragique à son tour. Nous pouvons maintenant transformer cet état cataleptique en état de léthargie par l'effet de
tour. Nous pouvons maintenant transformer cet état cataleptique en état de léthargie par l'effet de la cessation de la lu
, quittant son attitude cataleptique, elle tombe sur la chaise dans l' état que nous venons d'étudier. Alors la surexcitabili
itations de toute sorte n'a d'ailleurs pas d'influence fâcheuse sur l' état ultérieur de la malade. Après une sorte d'engourd
eure, lorsqu'elle aura pris le grand air, elle se retrouvera dans son état normal. Je n'insiste pas d'avantage aujourd'hui
électrique. Dès qu'on cesse l'éclairage électrique, elle tombe dans l' état d'hypnotisme, pendant lequel nous avons constaté
répète avec une autre de nos hystériques. Pendant qu'elle est dans l' état de somnambulisme, je puis, en la sollicitant, lui
st maintenant insensible sur toute la surface du corps, tandis qu'à l' état ordinaire elle ne l'est que du côté droit. Nous
minez l'attitude de celle-ci ; c'est la chute d'une hystérique dans l' état hypnotique ou de somnambulisme. Voyez la résoluti
ues, les caractères physiologiques facilement appréciables des divers états des phénomènes nerveux produits ; de se renfermer
d'ailleurs sur les sujets de cette catégorie surtout que les diverses états nerveux produits artificiellement semblent attein
al dessinées. 1. — Essai d'une distinction nosographique des divers états nerveux compris sous le nom d'hypnotisme. Les p
servent chez les sujets hypnotisés ne répondent pas à un seul et même état nerveux. En réalité, l'hypnotisme représente clin
e représente clinique-ment un groupe naturel, comprenant Line série d' états nerveux, différents les uns des autres, chacun d'
tacher à bien définir d'après leurs caractères génériques, ces divers états nerveux, avant d'entrer dans l'étude plus approfo
elèvent de chacun deux. C'est faute d'avoir spécifié, au préalable, l' état particulier chez lequel ils ont relevé une observ
ontredire les uns les autres sans motifs suffisants. Ces différents états , dont l'ensemble représente toute la symptomatolo
menés, suivant M. Charcot, à trois types fondamentaux, à savoir: 1° l' état cataleptique; 2M'étaHéthargique et 3° l'état de
amentaux, à savoir: 1° l'état cataleptique; 2M'étaHéthargique et 3° l' état de somnambulisme provoqué ; chacun de ces états
aHéthargique et 3° l'état de somnambulisme provoqué ; chacun de ces états , comprenant d'ailleurs un certain nombre de forme
rs un certain nombre de formes secondaires et laissant place pour les états mixtes, peut se présenter d'emblée, primitivement
mise en œuvre de certaines pratiques. Dans ce dernier cas, les divers états signalés plus haut représentent en quelque sorte
e processus. Laissant de côté les variétés, les formes frustes, les états mixtes, on devra se borner, dans cet exposé, à in
quer, d'une façon sommaire, les traits les plus généraux de ces trois états fondamentaux qui dominent en quelque sorte la sym
ngée des yeux sur un objet quelconque, etc.; — b) consécutivement à l' état léthargique, lorsque les yeux, clos jusque-là, so
ons provoquées. Abandonné à lui-même, le sujet retombe bientôt dans l' état où il était placé au moment où on l'a impressionn
rd sur un objet placé à une certaine distance; b) consécutivement à*l' état cataleptique, par la simple occlusion des paupièr
lieu parfaitement obscur. Fréquemment, au moment où il tombe dans l' état léthargique, le sujet fait entendre un bruit lary
ire, les contractions sont passagères, elles ne s'établissent pas à l' état de contracture durable. Les contractures se produ
l'excitation des muscles antagonistes. Chez le sujet plongé dans l' état léthargique, on peut, ainsi qu'on l'a dit plus ha
, on peut, ainsi qu'on l'a dit plus haut, développer instantanément l' état cataleptique, lorsque, dans un lieu éclairé, on m
les paupières supérieures. 3° Etat de somnambulisme provogué. — Cet état peut être déterminé directement, chez certains su
le produit a volonté chez Jes sujets plongés an préalable soit dans l' état léthargique, soit dans l'état cataleptique, en ex
sujets plongés an préalable soit dans l'état léthargique, soit dans l' état cataleptique, en exerçant sur le vertex une simpl
xerçant sur le vertex une simple pression ou une friction légère. Cet état paraît correspondre plus particulièrement à ce qu
tout à déterminer, autant que possible, les caractères qui séparent l' état de somnambulisme des états léthargique et catalep
que possible, les caractères qui séparent l'état de somnambulisme des états léthargique et cataleptique, et à mettre en évide
ue, et à mettre en évidence la relation qui existe entre ce troisième état et les deux autres. Les yeux sont clos ou demi-
ution des membres n'est pas aussi prononcée que lorsqu'il s'agit de l' état léthargique. L'hyperexcitabilité neuro-musculaire
ment dite, l'on propose de désigner cette rigidité particulière à l' état somnambulique sous le nom de rigidité cataleptoïd
mbulisme artificiel proprement dit. Lorsque chez un sujet amené à l' état somnambulique, on exerce à l'aide des doigts appl
ués sur les paupières, une légère compression des globes oculaires, l' état léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculai
léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculaire peut remplacer l' état somnambulique ; si, au contraire, relevant les pa
es paupières, on maintient, dans un lieu éclairé, les yeux ouverts, l' état cataleptique ne se produit pas. IL — Etude part
ude particulière d'un certain nombre des phénomènes observés dans l' ÉTAT hypnotique. A. — Influence d'un certain nombre
t d'un temps très court, en général, apparaissent les phénomènes de l' état cataleptique décrits plus haut. Il suffit d'étein
sé en abaissant avec le doigt les paupières supérieures,pour amener l' état léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculai
ion. Au bout de peu d'instants il devient immobile, le regard fixe; l' état cataleptique s'est produit, si alors les vibratio
yngé se fait entendre, les membres tombent en résolution, en un mot l' état léthargique a remplacé l'état cataleptique. Si, a
bres tombent en résolution, en un mot l'état léthargique a remplacé l' état cataleptique. Si, au lieu de s'arrêter brusquemen
s'arrêter brusquement, les vibrations s'éteignent progressivement, l' état cataleptique primitivement produit persiste, au c
iques, un saisissement qui, fréquemment, est immédiatement suivi de l' état cataleptiqne. B. — Du phénomène de V hyper exci
I et III) (1). Il est, on l'a vu, un des caractères fondamentaux de l' état léthargique. Il consiste sommairement en une apti
gique : elle résiste aux efforts les plus vigoureux; mais, tant que l' état léthargique persiste, il est un moyen fort simple
ènes de suggestion par l'intermédiaire du sens musculaire. — Durant l' état cataleptique, la physionomie, d'abord impassible,
TT eufcôté du corps ; hémiléthargie, hénùcata lepsie. — Au cours de l' état cataleptique, il suffit de clore un des yeux du s
côté, dont l'œil est demeuré ouvert, conserve fous les attributs de l' état cataleptique. Inversement, durant l'état léthargi
erve fous les attributs de l'état cataleptique. Inversement, durant l' état léthargique, ii suffira de soulever une des paupi
môme temps que le développement, de ce même côté, les caractères de l' état cataleptique. Cependant, le côté du corps où l'œi
du corps, pendant que l'autre côté présente les caractères soit de. l' état léthargique, soit de l'état cataleptique. E. —
e côté présente les caractères soit de. l'état léthargique, soit de l' état cataleptique. E. — Persistance pendant la veill
rsistance pendant la veille de quelques phénomènes produits pendant l' état hypnotique. — Les contractures produites par exci
contractures produites par excitation mécanique des muscles pendant l' état léthargique, persistent souvent après le réveil,
veil, lorsqu'on n'a pas eu soin de les faire disparaître, pendant l' état léthargique, par l'excitation des antagonistes. P
llement produites, il suffit, le sujet étant de nouveau plongé dans l' état léthargique, de mettre à profit la réapparition d
tractures artificielles ; alors môme que le sujet a été plongé dans l' état léthargique, elles résistent néanmoins, le plus s
i de la localisation de Broca. — Lorsque le sujet étant plongé dans l' état cataleptique, on lui suggère l'idée de compter à
iques ; du phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire (1). L' état hypnotique que l'on obtient assez facilement chez
ne puisse se rencontrer, à des degrés variables, il est vrai, dans l' état de santé ou dans l'état de maladie. Et, d'après c
, à des degrés variables, il est vrai, dans l'état de santé ou dans l' état de maladie. Et, d'après cette loi aujourd'hui bie
hysiologique et que la maladie nous révèle souvent . les secrets de l' état normal. Entre le fonctionnement régulier de l'o
e, l'hypnotisme devient comme une voie ouverte à l'expérimentation. L' état hypnotique, n'est autre chose qu'un état nerveux
verte à l'expérimentation. L'état hypnotique, n'est autre chose qu'un état nerveux artificiel ou ex érimenta dont les manife
res : l'influence d'un certain nombre d'agents sur la production de l' état hypnotique : lumière vive (lampe Bourbouze, lumiè
ue provoquée ; — le mode de succession chez un même sujet de ces deux états nerveux : léthargie provoquée et catalepsie provo
s détails sur un des phénomènes somatiques les plus intéressants de l' état de sommation chez les hystériques, sur ce phénomè
d'un ordre plus élevé. Pour la production du réflexe tendineux de l' état normal, plusieurs conditions sont nécessaires. El
emier lieu, le muscle sur lequel on veut agir doit être placé dans un état de tension modérée. En second lieu, l'excitation
excitation électrique ou mécanique autre que la percussion. Dans l' état hypnotique, les circonstances qui favorisent la p
usse quelquefois directe, mais toujours vive et très courte. Dans l' état de santé, la contraction réflexe du triceps crura
lien. Cette contraction, d'intensité moyenne, s'exagère dans certains états morbides caractérisés par un accroissement de l'a
en certains cas, elle se montre là où elle n'existe que rarement à l' état normal, comme au bras par la percussion des tendo
réflexes tendineux, l'ataxie locomotrice par exemple. Les différents états nerveux auxquels les pratiques de l'hypnotisme do
émamianesthésique à gauche. Les réflexes tendineux sont exagérés, à l' état de veille, surtout dans tout le côté gauche. Un
sur le biceps brachial et traduit les modifications survenues dans l' état de contraction de ce muscle. La ligne inférieure
e la main et des doigts. Le tracé I (Fig. 2) a été obtenu pendant l' état de veille. La secousse musculaire réflexe n'est p
rticipent pas à la contracture. Les recherches faites au sujet de l' état des réflexes tendineux pendant la léthargie hysté
ées. C'est ainsi qu'après nos expériences les réflexes tendineux de l' état de veille sont toujours un peu plus exaltés qu'au
scle sur le tendon duquel on opère n'a pas besoin d'être placé dans l' état de demi-tension exigé pour la production du réfle
at de demi-tension exigé pour la production du réflexe tendineux de l' état normal. Pour les tendons superficiels etfacilem
a main sous l'influence de l'excitation mécanique du médian pendant l' état d'hyper-excitabilité neuro-musculaire et que nous
sque ce même muscle est contracture par l'excitation mécanique dans l' état de l'hy-perexcitabililé neuro-musculaire. L'omopl
s muscles de l'avant-bras d'une hystérique hynoptisée et présentant l' état nerveux spécial favorable à ce genre de recherche
ce qui est des muscles de la face, l'excitation mécanique, pendant l' état d'hyperexcitabilité, ne donne lieu qu'aune contra
e partie seulement d'un muscle large et fascicule, tandis que, dans l' état d'hyperexcitabilité, la contraction totale de ce
seul de ces faisceaux; c) De la propagation de l'excitation. Dans l' état d'hyperexcitabilité, le mouvement d'un muscle s'a
laquelle nous avons insisté en commençant et qui n'existe que dans l' état d'hyperexcitabilité. 11 résulte de tout cela qu
de tout cela que la localisation est plus difficile à obtenir, dans l' état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, par l'excit
sumé, il existe pour la localisation de l'excitation mécanique dans l' état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire et pour la f
s voisines (1 et 2 de la môme planche), sur lesquelles le nez est à l' état de repos. L'oRBicuLAiRE des lèvres répond aussi
muscles des membres obtenue par les mômes procédés persiste pendant l' état cataleptique (1). Pour compléter nos recherches
mergence de la parotide, s'offrent d'eux-mêmes à l'excitation. Dans l' état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, la contract
appent, dans le plus grand nombre des cas, à l'action volontaire. A l' état de veille, notre malade est totalement incapable
al. II. DE QUELQUES CARACTÈRES DE LA CONTRACTURE PROVOQUÉE DANS L' ÉTAT DTIYPEREXCITABILITË NEURO-MUSCULAIRE. La contra
xcitation des antagonistes.— La contracture ainsi provoquée pendant l' état hypnotique, cède très facilement par la friction
ie, elle est impuissante contre la contracture qui persiste pendant l' état cataleptique ou après le réveil. La figure 26 r
persiste tant que dure le sommeil, elle persiste également pendant l' état cataleptique, mais, aussitôt qu'on provoque le ré
e réveil, elle s'évanouit ; 2° Si la malade est réveillée pendant l' état léthargique, la contracture disparaît aussitôt. M
n a soin de la rendre cataleptique, la contracture persiste pendant l' état de veille, avec la même forme et le même degré d'
e dernière précaution n'est pas nécessaire. Réveillée, même pendant l' état léthargique, la malade garde sa contracture. Le
ces contractures, il faut endormir de nouveau le sujet, et, pendant l' état léthargique, procéder à l'excitation des muscles
t. MM. Brissaud et Ch. Richet ont observé, sur le membre anémié et en état de contracture latente, les mêmes phénomènes que
.. est endormie par la fixation du regard. Elle tombe aussitôt dans l' état de léthargie avec hyperexcitabilité neuromusculai
lors de l'application de la bande d'Es-march. Nous savons que, dans l' état d'hyperexcitabilité, il suffit du plus léger atto
r que nous avons évitée en appliquant•-" la bande d'Esmarch pendant l' état cataleptique. Une fois la bande de caoutchouc a
avec les mêmes précautions que tout à l'heure, c'est-à-dire pendant l' état cataleptique. La malade est replongée dans l'ét
-à-dire pendant l'état cataleptique. La malade est replongée dans l' état léthargique et l'excitation mécanique portée au n
bital du membre anémié, à la région du coude. Nulle modification de l' état des muscles. L'aimant est appliqué près de l'av
s les phénomènes que nous venons de décrire comme se rattachant à cet état nerveux spécial désigné sous le nom d'hyperexcita
re, ce qui n'a pas lieu pour le côté droit. La matade est toujours en état de veille et cette expérience est faite presqu'à
par l'action d'une lumière très intense. Elle entre d'abord dans l' état cataleptique qui persiste indéfiniment, et alors
e, nous avons vu plusieurs fois dans le cours de nos expériences, cet état musculaire spécial disparaître tout d'un coup pou
t musculaire spécial disparaître tout d'un coup pour faire place à un état paralytique localisé à un seul côté du corps et q
mais sans manifester le mécontentement qu'un réveil dans un semblable état semblerait devoir lui causer. Elle fait quelque
pendant sans difficulté par la pression des globes oculaires. Le même état hémiparalytique persiste. Au bout de quelques ins
s du fait qui précède, l'expérience suivante dans laquelle, pendant l' état somnambulique, alors que, suivant la règle,, l'hy
de la tête dans le sommeil sans hyperexcitabilité neuro-musculaire ou état somnambulique. L'excitation mécanique directe ou
ux.L'étatdela motilité estle mêmepartoutlecorps. Nous recherchons l' état de la contractilité électrique que nous trouvons
lexes tendineux aux deux bras sont manifes tement exagérés. Le même état persiste un quart d'heure environ avec quelques f
erminée. Mais aussitôt les yeux se ferment et la malade tombe dans un état de résolution tel que nous n'en n'avons jamais ob
'un côté sur l'autre suivant qu'on cherche à la redresser. Dans cet état , les réflexes tendineux sont fort exagérés. Le ch
pières se ferment d'elles-mêmes. Pendant que les yeux sont ouverts, l' état musculaire ne change pas ; pas de catalepsie poss
s, l'état musculaire ne change pas ; pas de catalepsie possible, même état des réflexes, même résolution. Bientôt la malad
les yeux sont fermés, et lorsqu'ils sont ouverts, aucune tendance à l' état cataleptique. Enfin la résolution musculaire s'es
localisation précise soit possible. Ce n'est en somme qu'une sorte d' état rudimentaire de l'hyperexcitabilité neuro-muscula
rte d'état rudimentaire de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, et l' état cataleptique qui suit l'ouverture des yeux ne peu
ous montrent le sommeil hypnotique à un degré fort incomplet, sorte d' état rudimen-taire. Les phénomènes psychiques sont nul
t, sorte d'état rudimen-taire. Les phénomènes psychiques sont nuls, l' état cataleptique n'existe pas, pas plus que l'aptitud
e à la contracture, est le lien qui rattache ces faits incomplets à l' état de léthargie hypnotique entièrement développé don
e raison nous avons proposé de désigner sous le nom d'hypnotisme. L' état cataleptique survient d'emblée à la suite de l'im
ique pour la rendre immédiatement cataleptique, Les caractères de cet état cataleptique sont les suivants : 1° Les yeux so
sie a envahi, le plus souvent, la conjonctive et jusqu'à la cornée. L' état de la pupille varie ; 3° Les membres gardent le
ou la friction des masses musculaires ne les modifient pas. Enfin cet état cataleptique est uniformément développé sur tous
pas à insister ici : automatisme, hallucinations provoquées (1). L' état cataleptique dont nous venons d'indiquer les prin
utres moins parfaits dans lesquels le sommeil hyp- 1. En résumé cet état cataleptique, à cause de la fixité du regard, de
ue n'est plus susceptible d'être divisé en deux périodes distinctes : état léthargique avec hyperexcifabilifé neuro-musculai
inctes : état léthargique avec hyperexcifabilifé neuro-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui pa
xcifabilifé neuro-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d' état mixte qui paraît tenir des deux à la fois, et qui
me est caractérisé par un délire spontané ou provoqué. Il s'y joint l' état musculaire spécial sur lequel nous insistons ici.
e pas à être interrompu par une nouvelle crise de spasme laryngien. L' état de sommation ainsi produit se compose de deux pha
oquer chez elle des hallucinations variées. Pendant tout ce temps l' état musculaire est intéressant à noter c'est sur lui
e des membres à conserver les attitudes communiquées. Il semble que l' état cataleptique et l'état d'hyperexcitabilité neuro-
er les attitudes communiquées. Il semble que l'état cataleptique et l' état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire soient ici c
cependant il est facile de se convaincre qu'il ne s'agit pas ici de l' état cataleptique véritable ; mais d'une sorte d'état
s'agit pas ici de l'état cataleptique véritable ; mais d'une sorte d' état cataleptique déjà Charcot. Œuvr. com.pl. t. ix,
evant les paupières de la malade et en maintenant ses yeux ouverts, l' état cataleptique véritable ne saurait être obtenu. Le
les exemples. 11 ressort des faits que nous avons pu étudier que cet état , qui paraît tenir à la fois et de la léthargie et
prédisposés, ce n'est que dans les premières expériences, avant que l' état hypnotique, par la répétition des séances, se soi
sentent généralement ni l'hyperexcitabilité neuro-musculaire dans son état complet de développement, tel que nous l'avons dé
son état complet de développement, tel que nous l'avons décrit, ni l' état cataleptique parfait, dont nous avons rappelé les
re provoquée fut pour cela diminuée. En résumé, les caractères de l' état cataleptiforme sont les suivants : 1° Les yeux
tendineux sont exaltés. 4° Que les yeux soient ouverts ou fermés, l' état musculaire reste le même, présentant toujours ce
ême, présentant toujours ce double caractère d'hyperexcitabilité et d' état cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir
cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir de quelle manière l' état cataleptiforme se rattache au phénomène de l'hype
ion suivante qui met bien en relief et les différences qui séparent l' état cataleptiforme de l'état cataleptique véritable e
en relief et les différences qui séparent l'état cataleptiforme de l' état cataleptique véritable et les liens qui rattachen
orme de l'état cataleptique véritable et les liens qui rattachent cet état cataleptiforme au phénomène de l'hyperexcitabilit
ilement par la pression sur les globes oculaires et su? les tempes. L' état de sommation ainsi produit se caractérise par l'e
érale. Elle n'existe pas à la face (1). Nous essayons de produire l' état cataleptique par l'ouverture 1. L'hyperexcitabi
, mais les globes oculaires sont convulsés en haut et à droite. — L' état cataleptique que nous obtenons ainsi est imparfai
et les réflexes tendineux persistent. Il est aisé de reconnaître là l' état cataleptiforme. — En effet, en insistant sur l'
re. Ce qui précède montre bien les différences qui existent entre l' état cataleptique vrai et l'état cataleptiforme. Dans
bien les différences qui existent entre l'état cataleptique vrai et l' état cataleptiforme. Dans le cours de la même séance n
xpérience destinée à mettre en lumière les connexions qui relient cet état cataleptiforme au phénomène de l'hyperexcitabilit
re. Cette expérience consiste à produire sur un segment de membre l' état cataleptiforme pendant la phase de léthargie. I
peintre dont parlent les auteurs. Il semble alors que cette sorte d' état cataleptique est bien due à un léger degré d'hype
re pour faire cesser toute roideur et en même temps toute apparence d' état cataleptique, E. — L'hyperexcitabilité neuro-mu
euro-musculaire pouvait être observée chez nos malades en dehors de l' état hypnotique, pendant la veille. Ce n'est ordinai
dans ces conditions n'égalent jamais ceux qui sont observés pendant l' état de somniafion. Nous ajouterons que ces phénomènes
à la contracture musculaire, peut n'en présenter pas moins, pendant l' état de somniafion, les signes les plus complets de l'
bilité électrique du muscle n'est pas sensiblement modifiée pendant l' état d'hyperexcitabilité neuromusculaire ou en dehors
ndant la veille, soit pendant la léthargie hypnotique, soit pendant l' état cataleptique, soit même alors qu'il est en état d
tique, soit pendant l'état cataleptique, soit même alors qu'il est en état de contracture. Ce qui nous paraît indiquer que c
centre nerveux lui-même, modification dynamique qui, dans le cas de l' état léthargique, se traduirait par une exagération de
par une exagération de fonction, une excitabilité plus grande qu'à l' état normal. La plupart des raisons que nous avons inv
onc soumis aux inhalations de chloroforme une malade hypnotisée et en état de léthargie avec hyperexcitabilité neuro-muscula
vec les caractères que nous avons décrits. La malade étant dans cet état , nous lui faisons respirer du chloroforme. — Nous
de la face une grimace beaucoup plus vive et plus accusée que dans l' état léthargique ordinaire. Les muscles du front, du n
u'aux membres, demeure sans effet. Nous laissons la malade dans cet état , la compresse de chloroforme est enlevée, et nous
es-mêmes. Après avoir repris connaissance la malade demeure dans un état d'ébriété dû à l'action chloroformique. Elle tuto
qui est en rapport avec ces mêmes muscles. M. Vulpian résume ainsi l' état de la question : « Il est probable, dit-il, que l
ques mots des modifications neuro-musculaires que l'on observe dans l' état somnambulique. En dehors de l'état léthargique do
usculaires que l'on observe dans l'état somnambulique. En dehors de l' état léthargique dont nous avons parlé, il est possibl
les que nous venons d'étudier. Lorsque la malade est plongée dans l' état somnambulique, les propriétés d'excitabilité neur
vez beau presser ou malaxer le membre qui, tout à l'heure — pendant l' état léthargique — se contracturait avec force sous l'
plus grossier et plus facilement appréciable, caractéristique de l' état de léthargie et qui a fait l'objet du présent mém
a fait l'objet du présent mémoire. Ces faits de contracture pendant l' état somnambulique ont été cependant signalés en passa
ous paraissent devoir rentrer dans la catégorie des contractures de l' état somnambulique; il les obtient par l'excitation cu
ctifs sont les suivants : Pour la production de la contracture de l' état léthargique, les excitations cutanées seules deme
ntéresse les parties sous-cutanées. Au contraire, la contracture de l' état somnambulique ne survient crue sous l'influence d
de quelle localisation précise était susceptible la contracture de l' état léthargique. Pendant l'état somnambulique, la con
ise était susceptible la contracture de l'état léthargique. Pendant l' état somnambulique, la contracture est plus diffuse, e
st plus diffuse, elle envahit habituellement tout un membre. Dans l' état léthargique, les réflexes tendineux sont exaltés,
és, et le choc sur les tendons produit bientôt la contracture. Dans l' état somnambulique, les réflexes tendineux sont éga-
ne donnent jamais lieu à la contracture. Enfin la contracture de l' état léthargique ne se résout que par un seul procédé,
ication à la surface du membre contracture. Nous rappellerons que l' état léthargique est provoqué d'emblée par l'emploi de
tions d'un grand diapason brusquement suspendues. Qu'elle succède à l' état cataleptique par l'occlusion des paupières, ou qu
uit laryngé spécial et par la montée d'un peu d'écume aux lèvres. L' état somnambulique, au contraire, est provoqué d'emblé
règle est d'éviter toute secousse, toute action brusque. De plus, l' état léthargique ne présente que des phénomènes psychi
e que des phénomènes psychiques nuls ou très incomplets, tandis que l' état somnambulique, en outre des faits de contracture
nom de léthargie hypnotique provoquée — a pour principal caractère un état spécial d'hyperexcitabilité de tout le système mo
us l'influence de l'excitation mécanique qui produit alors, pendant l' état léthargique, des effets semblables à ceux qui sui
1882, p. 20). De récentes études m'ont permis de constater que cet état d'hyperexcitabilité n'appartient pas exclusivemen
ues, mais de l'action du courant galvanique sur l'encéphale pendant l' état de léthargie hypnotique. Dans cet état, le cour
ue sur l'encéphale pendant l'état de léthargie hypnotique. Dans cet état , le courant galvanique, appliqué sur un des côtés
tissus au passage du courant galvanique, chez les hystériques dans l' état hypnotique et à l'état de la veille. Il m'a sembl
ourant galvanique, chez les hystériques dans l'état hypnotique et à l' état de la veille. Il m'a semblé assez intéressant pou
observations faites à ce sujet : La malade une fois plongée dans l' état de léthargie, par les procédés habituels, la fixa
ésence de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire caractéristique de cet état étant reconnue, un des tampons (le tampon négatif
des tampons sur le crâne. Ces faits une fois bien constatés dans l' état léthargique, il s'agissait de savoir s'ils étaien
, il s'agissait de savoir s'ils étaient bien une particularité de cet état nerveux spécial ou s'ils se rencontraient indiffé
cet état nerveux spécial ou s'ils se rencontraient indifféremment à l' état de veille. Chaque expérience a donc été répétée
euses nous engage à conclure, jusqu'à plus ample informé, que, dans l' état de léthargie hypnotique, il existe une excitabili
é au courant galvanique, des régions encéphaliques motrices pendant l' état de léthargie hypnotique. Ce fait nous paraît d'
la façon que j'ai précédemment indiquée, a toujours provoqué, dans F état léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculai
alement à la fermeture du courant. La même expérience, répétée dans l' état de veille, chez ces quatre sujets, a toujours don
, j'avais été amené à conclure, provisoirement toutefois, que, dans l' état de léthargie hypnotique avec hyperexcitabilité ne
des hystériques hypnotisables plongées, comme les précédentes, dans l' état de léthargie avec hyperexcitabilité neuro-muscula
ue, sur les quatre sujets de ce groupe, trois ont présenté, pendant l' état de veille, sous l'influence de la galvanisation c
bles à celles qui avaient été observées par le même procédé pendant l' état de léthargie. Ainsi, chez une seule de ces malade
provoquées par l'excitation galvanique du crâne ont paru propres à l' état hypnotique. Pour ce qui est de notre troisième
otisées. C'est qu'en réalité l'hypnotisme comprend une longue série d' états nerveux très divers, différents les uns des autre
n délimiter et à bien définir. Pour ne citer que quelques exemples, l' état léthargique, ainsi que je l'ai fait remarquer dès
rquer dès l'origine de nos études, en 1878, diffère foncièrement de l' état cataleptique, et ce dernier diffère à son tour de
èrement de l'état cataleptique, et ce dernier diffère à son tour de l' état dit somnambulique, etc., etc. Ces formes si diver
Il est, on le voit, fort important, de spécifier les caractères de l' état où se trouve le sujet chez lequel on relève une o
es auxquelles se rapporte ma dernière communication étaient toutes en état de léthargie avec hyperexcitabilité. De plus, les
est nécessaire d'exposer sommairement les principaux caractères de l' état cataleptique dont il s'agit et de donner quelques
hypnotisme. C'est chez les malades de cette catégorie que les divers états nerveux artificiellement produits par l'hypnotism
ie, ou autrement dit, que le grand hypnotisme ne consistait pas en un état nerveux artificiellement provoqué, toujours ident
t semblable à lui-même, mais bien qu'il représentait tout un groupe d' états nerveux divers, différents les uns des autres, ch
d'états nerveux divers, différents les uns des autres, chacun de ces états saccusant par une symptomatologie qui lui apparti
par une symptomatologie qui lui appartient en propre. Ces différents états nerveux dont l'ensemble comprend toute la symptom
pnotisme, doivent être ramenés à trois types fondamentaux qui sont: l' état cataleptique, l'état léthargique, l'état somnambu
e ramenés à trois types fondamentaux qui sont: l'état cataleptique, l' état léthargique, l'état somnambulique. L'état catal
pes fondamentaux qui sont: l'état cataleptique, l'état léthargique, l' état somnambulique. L'état cataleptique, dont il s'a
t: l'état cataleptique, l'état léthargique, l'état somnambulique. L' état cataleptique, dont il s'agit spécialement ici (1)
eut i. Nous avons donné ailleurs la description détaillée des trois états nerveux. Voy. Charcot : Note lue à l'Académie des
des yeux sur un objet quelconque. Il se développe consécutivement à l' état léthargique lorsque les yeux clos, jusque-là, son
uvert par l'élévation des paupières. Le trait le plus saillant de l' état cataleptique c'est, on peut le dire, l'immobilité
rand nombre d'auteurs, la « flexibilitas cerea » n'appartient pas à l' état cataleptique des hypnotiques. Les réflexes tend
il ne reste aucun doute dans l'esprit du lecteur, sur la réalité de l' état cataleptique qui sert pour ainsi dire de support
II). Fia. 28, — Tracés obtenus chez une hystéro-épileptique clans l' état cataleptique de l'hypnotisme. — I, tracés du pneu
'expression de la physionomie. Pendant que le sujet est plongé dans l' état cataleptique, les yeux restent ouverts, et la fac
e ainsi sur la face d'un sujet hypnotisé ne modifie en aucune façon l' état nerveux dans lequel il se trouve. L'état catalept
ne modifie en aucune façon l'état nerveux dans lequel il se trouve. L' état cataleptique n'est nullement interrompu par l'app
s sur ce sujet. La Figure 1 de la Planche X représente la malade en état cataleptique. C'est dans cette attitude droite et
me nerveux, et leur principal mérite est de mettre en relief, par l' état d'isolement où ils se trouvent, des faits dont il
vent, des faits dont il n'est pas difficile de retrouver la trace à l' état normal. Les expériences d'hypnotisme, dont il s'a
re latente (Brissaud) (3), excitabilité musculaire (Ch. Ri-chet) (4), état d'opportunité de contracture (Ballet et Delanef)
llet et Delanef) (5), Brunet (6), hyperexcitabilité musculaire hors l' état d'hypnotisme, contractures passagères, etc., etc.
s-rendus des séances de la Société de Biologie, 1882, p 21. 5. De l' état d'opportunité de contracture. ( Gaz. Méd., 23 jui
. Méd., 23 juillet 1882). 6. Etude clinique et physiolologiqUe de l' état d'opportunité de contracture, Thèse de Paris, 188
à mieux définir. Nous rappellerons que, pendant deux des phases ou états nerveux de l'hypnotisme (état léthargique et état
lerons que, pendant deux des phases ou états nerveux de l'hypnotisme ( état léthargique et état somnambulique) la contracture
deux des phases ou états nerveux de l'hypnotisme (état léthargique et état somnambulique) la contracture musculaire peut êtr
nue, mais par des procédés différents et propres à chacun de ces deux états . Ainsi, pendant la léthargie, la contracture succ
tonique musculaire et ramenassent les traits de la physionomie à leur état naturel. La môme malade nous a raconté alors qu'i
s avons énumérés. En somme, la diathèse de contracture représente à l' état de veille, le phénomène de l'hyperexcitabilité ne
itabilité neuro-musculaire de l'hypnotisme, mais atténué et comme à l' état d'ébauche. Toutefois, nous ajouterons que, dans c
a veille et celles que nous avons données comme caractéristiques de l' état léthargique de l'hypnotisme. Il convient donc d
itement analogue à celui que nous offre une hystérique plongée dans l' état somnambulique de l'hypnotisme. Au point de vue ne
nt de vue neuro-musculaire, on peut dire qu'elle était somnambule à l' état de veille. Nous ajouterons, pour compléter la r
us ou moins étroites. Les parties anesthésiées sont seules parfois en état de diathèse de contracture. D'autres fois, il e
ysie. C'est là un exemple des affinités secrètes qui relient ces deux états musculaires si opposés en apparence la contractur
et qui peut se formuler ainsi : un muscle est susceptible d'entrer en état de contraction permanente par le seul fait du rap
é dans une communication récente à la Société de Biologie (2), sur un état musculaire spécial qui se rencontre chez les hyst
rovoquée pendant l'hypnotisme, suivant que le sujet est plongé dans l' état léthargique ou dans l'état somnambulique. Nous
me, suivant que le sujet est plongé dans l'état léthargique ou dans l' état somnambulique. Nous ne saurions entrer ici dans
— Contraction paradoxale obtenue chez Cad..., hystéro-épileptique en état de diathèse de contracture, par redressement brus
ntractures artificielles. désarmés, car en outre du traitement de l' état général, qui a Lien son mérite, nous avons plusie
ore avoir recours au massage prolongé, etc., etc. La suggestion à l' état de veille sous forme de persuasion ou d'injonctio
apide peut aussi amener un résultat favorable. Mais la suggestion à l' état d'hypnotisme aura, si l'hypnotisme est praticable
es hypnoti-sables, s'il s'agit du grand hypnotisme, provoquer, dans l' état léthargique, l'apparition de contractures, avec l
ts successifs de la contracture, ou encore par i'hypnotisation dans l' état léthargique ou par la suggestion. Une certaine ac
art. La situation peut être représentée par le schéma suivant : à l' état normal, la mise en jeu de l'arc diastaltique est
'excitation permanente venant des muscles ou de la peau. Si, dans cet état , l'excitabilité des cellules motrices est représe
ntracture. Eh bien ! on peut admettre que, dans l'hystérie, il y a un état purement dynamique des filets du faisceau pyramid
s jamais persister, par la simple raison qu'elles sont combattues à l' état naissant, aussitôt qu'elles apparaissent. Nous
d-bot, et on la maintenait quelquefois plus d'une demi-heure dans cet état . C'est le petit hypnotisme qui se produit chez el
qué inconsidérément. Evidemment c'est l'hypnotisme qui l'a mis dans l' état où il est aujourd'hui. Il est vrai que l'hypnotis
naître au sein de votre Conseil sanitaire.il ne faut pas l'oublier,l' état hypnotique confine de très près à la névrose hyst
'électrisation statique et sur son action thérapeutique dans certains états morbides. Avant d'entrer dans les détails, je cro
ovoque la contraction du muscle et môme plus énergïquement que dans l' état normal, alors qu'il est impossible d'obtenir cett
olant, est mis en communication avec ce conducteur, dont il partage l' état électrique. Quant à l'électricité négative des co
voir dans quelques minutes se produire une modification complète de l' état de leur sensibilité. On va suivre les changements
Elles font partie en d'autres termes du conducteur, dont elles ont l' état électrique ; elles représentent en somme un simpl
use qui disparaît en quelques heures. Voyons, maintenant, dans quel état , après vingt minutes environ d'électrisation stat
qu'il était possible de produire chez certains sujets prédisposés, un état nerveux spécial caractérisé par des contractures,
tractures, des paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état nerveux, décrit avec soin par un médecin anglais,
s pouvaient affecter dans certains cas un groupement spécial en trois états distincts. Nous ne pouvons mieux faire que de rep
propriétés de la catalepsie. L'hypnotisme caractérisé par les trois états que nous venons de décrire, constitue ce que M. C
sa description, a laissé de côté, à dessein, les formes frustes, les états mixtes, pensant qu'il était préférable de s'arrêt
études sur ce sujet. Le grand hypnotisme peut se présenter dans son état de complet développement dès la première tentativ
jets se perfectionnent avec l'exercice. Dans d'autres cas, le grand état ne se constitue dans ses trois états qu'après un
ce. Dans d'autres cas, le grand état ne se constitue dans ses trois états qu'après un certain nombre d'expériences. Le mode
n ne trouve pas la division en trois périodes. — Un ou deux des trois états peuvent manquer, d'où plusieurs variétés possible
pres. — M. Pitres a décrit une déviation dans laquelle il a observé l' état cataleptoïcle, les yeux fermés (1). Toutes ces
malade s'endort en léthargie, et présente tous les caractères de cet état . On cherche alors, en lui ouvrant les yeux à la f
somnambulisme, et on constate toutes les propriétés inhérentes à cet état . La malade reste ainsi dix-huit mois à la Salpêtr
uquel elle ne pouvait s'attendre, détermina immédiatement chez elle l' état cataleptique. Depuis cette époque, l'état catalep
a immédiatement chez elle l'état cataleptique. Depuis cette époque, l' état cataleptique a pris définitivement piace dans la
el, ou encore du sommeil simulé. L'aspect sous lequel se présente l' état hypnotique est donc variable, et il y a lieu de r
onc variable, et il y a lieu de reconnaître l'existence d'une série d' états Intermédiaires entre la forme type et la forme la
re que l'hypnotisme est considéré à la Salpêtrière comme un véritable état pathologique, comme une névrose artificielle, qu'
omènes hypnotiques peuvent affecter un groupe ment spécial en trois états distincts. C'est là la forme la plus parfaite de
tisme doit être considéré dans ses formes les plus parfaites comme un état pathologique. Nous devons maintenant exposer la
cet égard. Si nous prenons, par exemple, un sujet qui présente cet état de torpeur qui caractérise le premier degré de M.
question cle preuve reste la question capitale. Si la réalité de l' état hypnotique est devenue aujourd'hui une vérité inc
au point de vue médico-légal de l'immunité que peut lui conférer cet état . Or, comment peut-on démontrer à des juges la réa
u d'en faire bénéficier les malades qui ne peuvent être amenés à un état d'hypnotisa-tion plus parfait. Mais ces sujets ne
nsistent ces phénomènes : Si par exemple on présente à un malade en état de suggestion une feuille de papier divisée en de
sensation du vert complémentaire (Parhiaud). — On dit à une malade en état de somnambulisme de regarder fixement un carré de
a deuxième proposition. Le grand hypnotisme caractérisé par les trois états , léthargie, catalepsie et somnambulisme, n'est pa
it par éliminer tous les sujets présentant, à un degré quelconque à l' état de veille, de l'hyperexcitabilité neuro-musculair
emples vulgaires, la sécrétion des larmes est provoquée tantôt par un état normal déprimant, un chagrin, tantôt par un corps
de supposer qu'il existait un grand hypnotisme caractérisé par trois états distincts? S'il a constaté les trois états, ce n'
isme caractérisé par trois états distincts? S'il a constaté les trois états , ce n'est donc pas en vertu d'une idée préconçue,
'est donc pas en vertu d'une idée préconçue, mais parce que ces trois états se sont présentés naturellement à son observation
r au début de ce travail que, chez les grandes hypnotiques, les trois états pouvaient se développer dès la première tentative
re tentative d'hypnotisation, on a pu constater l'existence des trois états avec toutes les particularités qui les caractéris
érisent, mais au début, les phénomènes somatiques n'existaient qu'à l' état d'ébauche. Nous devons faire remarquer que chez c
hypnotiques et ne présentant pendant toute cette époque que les deux états , léthargie et somnambulisme, qu'on avait constaté
t soumise à aucune expérience d'hypnotisme, qu'elle était occupée à l' état de veille à un travail manuel, un violent bruit p
aractéristique de la catalepsie. Ces auteurs reproduisaient les trois états de la grande hypnose sur une hystéro-épileptique
de son frère et du professeur Bianchi, tous les phénomènes des trois états admis par l'École de la Salpêtrière. Je n'ai pas
t très facilement provoquer des contractures chez mon sujet, soit à l' état de veille, soit pendant son sommeil hypnotique, i
qui ont été indiqués par M. Charcot comme caractéristiques des trois états du grand hypnotisme. 11 ne pouvait être question
l'attention sur la fin du passage qui a trait à l'existence des trois états , à la production de la griffe cubitale, de l'hémi
J'arrive maintenant à la quatrième proposition. L'hypnotisme est un état pathotogique et non physiologique. C'est une mani
nt se rencontrer en dehors de l'hystérie ; la coexistence de ces deux états n'est donc qu'une coïncidence. » Nous repousser
tiques, elle est beaucoup plus accentuée que chez les hystériques à l' état de veille. 2° Nous avons fait remarquer au comm
que hystérique et qu'il y avait une véritable analogie entre ces deux états . 3° Il existe entre l'hypnotisme et les manifes
stériques..... 297 Essai d'une distinction nosographique des divers états nerveux compris sous le nom d'hypnotisme.......
des particulières d'un certain nombre de phénomènes observés cans l' état hypnotique.......................................
355 § 2. De quelques caractères de la contracture provoquée dans l' état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire...........
— vraie, p. 435; — simulée, p. 438. Gataleptiporme(Etat), p. 393; — état musculaire pendant 1'—, p. 401; — caractères de V
e pendant 1'—, p. 401; — caractères de V—,p. 403;—-distinction avec l' état cataleptique vrai, p. 404. Cataleptique (Extase
de la face, p. 359: —? caractères de la contracture provoquée dans l' état d'—, p. 375, 407, 409; — différents degrés de 1
p. 2S1. Hypnotisme, p. 278; —chez les hystériques, p. 297; — trois états principaux dans 1'—, p. 299,520; — production de
3 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
être « un malade ». En un mot, elle affirmait que l'hypnotisme est un état pathologique. Ce principe est absolument inexact
uggestionné. Or, le sommeil provoqué par suggestion n'est pas plus un état pathologique que le sommeil provoqué par la fatig
eux sièges, j'invite ces enfants à les regarder, et je leur fais, à l' état de veille, la suggestion d'aller s'y asseoir ; je
ntéressante à constater qu'une extrême suggestibiiité. Elle dénote un état mental particulier, et souvent même un esprit sys
du sommeil provoqué. Dans beaucoup de cas la suggestion verbale, à l' état de veille, visant avec précision un symptôme nett
sa légitime autorité. Dans sa plupart des cas, la psychothérapie à l' état de veille ne donnerait que des résultats incertai
sion de l'enfant, il faut neutraliser ses résistances, substituer à l' état d'activité un état de passivité. Il est assez fac
l faut neutraliser ses résistances, substituer à l'état d'activité un état de passivité. Il est assez facile d'obtenir, chez
d'obtenir, chez presque tous les enfants, ce qu'on pourrait appeler l' état d'influence hypnotique. Cet état est caractérisé
enfants, ce qu'on pourrait appeler l'état d'influence hypnotique. Cet état est caractérisé par une tendance à la somnolence,
disposé à s'incliner passivement devant les affirmations. C'est là un état excellent pour l'application de la thérapeutique
indications impératives. Néanmoins, que la suggestion soit faite à l' état de veille, à l'état de somnolence, ou à l'état de
ives. Néanmoins, que la suggestion soit faite à l'état de veille, à l' état de somnolence, ou à l'état de sommeil, il est bon
gestion soit faite à l'état de veille, à l'état de somnolence, ou à l' état de sommeil, il est bon que la suggestion soit app
tions expérimentales, pour se limiter aux suggestions indiquées par l' état du malade, surtout lorsqu'on ne néglige pas de pr
ce qui fait que l'hypnotisé est sensible à la suggestion constitue un état fondamentalement physiologique, que je me représe
bsolument dans le vrai, comme une pléthore nerveuse du cerveau. Cet état d'impressionnabilité à la suggestion, vous l'avez
Cet état d'impressionnabilité à la suggestion, vous l'avez nommé l' état de « charme »; à mes débuts, et dans mon Elec-tro
débuts, et dans mon Elec-tro dynamisme Vital (1855), je l'ai appelé l' état « passif » ; enfin, 1. en 1860, dans mes co
ou Hypnotisme nerveux, j'ai adopté une nouvelle appellation, celle d' état « hypotaxique » ou d'« hypotaxie. » Vous me perme
sse qu'à l'entendement sous sa forme d'affirmation ou d'injonction, l' état préparatoire qui doit se trouver préalablement ré
pondérant et décisif dans les délibérations ordinaires de l'homme à l' état de veille normale, il en est différemment dans l'
de l'homme à l'état de veille normale, il en est différemment dans l' état hypotaxique, cela pour deux raisons : premièremen
tat hypotaxique, cela pour deux raisons : premièrement, parce que cet état factice a d'abord pour effet de troubler et de re
la fois le sens moral et le sens logique, agissant en cela comme à l' état de rêve; secondement, parce que, à la faveur de c
comme un poltron révolté. » Mais n'anticipons pas. Je répète que l' état physiologique d'hypotaxie pleinement établi chez
à la suivante : Chacun est-il susceptible d'être mis dans le plein état d'hypotaxie, c'est-à-dire d'être complètement sen
'ai vu, la généralité des hommes et des femmes se montrerait apte à l' état hypotaxique, bien qu'à des degrés divers, et moye
airement voulu, et cette même puissance morale, toute puissante sur l' état physique de l'individu, serait sans action sur so
issante sur l'état physique de l'individu, serait sans action sur son état moral ! Je trouve cette suppositon incompréhensib
c'est que, dans l'expérience en question, le sujet était tombé dans l' état d'hébétude hypnotique qui, sur le point particuli
bœuf fût invité à faire un rapprochement bien « suggestif » entre cet état de torpeur et d'hébétude morales dont certains as
expériences hypnotiques font preuve, avant comme après le coup, et un état mental entièrement semblable que l'on constate ch
que (1), prouve suffisamment que telle ne peut être ma pensée. Mais l' état hypotaxique a plusieurs degrés auxquels correspon
nt entièrement dupes de l'illusion qui les berce. Les mêmes nuances d' état mental se dessinent chez les hypnotisés. ***
enir, si l'expérience réussit il est bien évident que c'est grâce à l' état de contraction continue et à une sorte de contrac
al. Dix-huit mois passés sous les drapeaux ne purent triompher de cet état , et il fut obligé de quitter l'armée (Gazette des
sur les habitants de Surinam (Guyanne). Là vivent, dans les bois, à l' état demi-sauvage, des nègres descendants des anciens
ugnances sont si généralisées et si intenses, qu'elles constituent un état pathologique et méritent d'entrer dans le domaine
rès complète de la connaissance, la chute à terre comme une masse, en état de raideur complète et générale, avec tresmus, pâ
elle a la même douleur et autant d'attaques. L'idée me vient que son état maladif étant la catalepsie et que son état hypno
. L'idée me vient que son état maladif étant la catalepsie et que son état hypnotique s'accompagnant de raideur cataleptique
La suggestion et l'imitation dans l'art. Paul Joire (de Lille) : Les états médianiques de l'hypnotisme. Max Nordau : Une fam
eint pâle, de complexion assez délicate, ce garçon, cordonnier de son état , accuse une douleur abdominale et une douleur tho
que l'enfant était déjà suggestionné, hypnotisé, c'est-à-dire dans un état de conscience autre. Il l'aurait, en continuant à
cience autre. Il l'aurait, en continuant à l'interroger, ramené à son état de conscience normal, il aurait passé à côté de l
de l'hypnose, sans s'en douter. Levant les bras de l'enfant, dans cet état , je constatai qu'ils restaient immobiles, en cata
au réveil leur ont échappé. Après deux ou trois séances en général, l' état d'hypnose ou de suggestibiiité devient continu. V
dits hypnotiques. La provocation de ces phénomènes implique-t-elle un état anormal? L'idée des lombrics a déterminé chez lui
'idée des lombrics a déterminé chez lui des douleurs abdominales, à l' état de veille et de conscience parfaite ! Je lui ai s
enons d'obtenir dans le sommeil provoqué, nous allons les obtenir à l' état de veille parfaite. Tenez ! je prends le bras de
voyez donc que toutes lès suggestions sont accomplies par lui à l' état de veille, et j'aurai pu d'emblée, sans sommeil p
sychique qui fait sa suggestibiiité ; je n'ai pas produit chez lui un état anormal ; j'ai démontré simplement devant vous sa
tiser le malade ; en dépit de sa résistance, nous avons pu, pendant l' état de sommeil provoqué, à la faveur de l'état de con
, nous avons pu, pendant l'état de sommeil provoqué, à la faveur de l' état de conscience nouveau ainsi créé, neutraliser la
ence nouveau ainsi créé, neutraliser la douleur, tant qu'existait cet état . Mais aussitôt le sujet revenu à sa conscience no
estion au traitement du rhumatisme (1) Liébeault, Le sommeil et les états analogues, 1866, p. 352. aigu ou chronique, l
r : hallucinations, crises fréquentes et terribles, suivies d'un long état de torpeur et de prostration : tels sont les phén
effrayé des progrès du calvinisme, sut admirablement tirer parti de l' état de Nicole. Le haut clergé et le peuple criant
au moment où la cuillère lui touchait la bouche, elle retombe dans l' état d'engourdissement dont on venait de la tirer. C
dont on venait de la tirer. Ce qui ajoutait au merveilleux, dans l' état de Nicole, c'est qu'elle n'absorbait jamais de no
plusieurs mois, faisant à peine quelques pas dans sa chambre, dans un état stationnaire ; elle commença à devenir triste, dé
ce. Cette action complémentaire ne se manifeste pas seulement sur l' état mental et l'état général. Son action propre se ré
n complémentaire ne se manifeste pas seulement sur l'état mental et l' état général. Son action propre se révèle : 1° En ro
l'on trouve l'observation d'un hystérique bien connu, D...., qui à l' état de somnambulisme a fait des fugues multipliées da
ar Proust, Raymond, etc. Dans ces derniers les malades sont dans leur état second et ne se souviennent de rien après la fugu
es malades se fixent un but. peuvent résister, mais s'ils passent à l' état second, immédiatement ils partent. c) Viennent
résoudre. Les cas publiés jusqu'ici prétent le flanc à la critique. L' état de conscience de ces malades en état de fugue n'a
rétent le flanc à la critique. L'état de conscience de ces malades en état de fugue n'a jamais été observé. Il est très diff
ins de la vie. Cela cadre-t-il avec l'idée que nous nous faisons de l' état mental des epileptiques ? Peut-être porte-t-on le
n'eût constaté que son cœur battait encore faiblement. Ce merveilleux état dura jusqu'au samedi suivant, à la même heure. Al
; désespérée des médecins, elle était réduite par la phtisie à un tel état de faiblesse et de maigreur qu'elle n'avait plus
eds la malade qui lut dit avec une grande foi : « Père, voyez en que, état je suis : donnez-moi votre bénédiction et priez D
ns la terre six semaines, et l'autre dix jours. Pour l'observateur, l' état où se trouve le fakir, et qu'il provoque artifici
peut constituer une des phases de l'hypnotisme. Pour arriver à cet état , les fakirs, qui sont évidemment des hystériques
e prendre une des poses prescrites par le livre sacré pour tomber à l' état d'hypnose en regardant fixement le bout de son ne
ues ne sont sans doute pas pour rien pour engendrer chez les fakirs l' état d'hypnose. NOUVELLES Enseignement de l'hypnot
et qu'il dut rentrer à l'hôpital le 25 avril. Il était alors dans un état plus pénible que jamais. Ses douleurs rachidienne
s le traiter à cause de la photographie que je voulais prendre et son état ne se modifia pas ; toujours même douleurs. Ce n'
Sayre et qu'il était sorti marchant avec des béquilles. Peu à peu son état s'était amélioré et il avait pu remplacer ses béq
pas. Les paroles et les gestes n'ont aucune influence sur eux ; leur état AU??-SGGESTION ET CONTRE-SUGGESTION cérébra
il ; ils peuvent être hallucinables. On pourrait croire que, dans cet état , la suggestion thérapeutique doive toujours réuss
ux variantes de résistance : les uns, tant qu'ils sont dans le nouvel état de conscience qu'on appelle hypnose, sont influen
ouleur qu'ils accusent. Mais lorsqu'ils sont réveillés et revenus à l' état de conscience normal, l'effet obtenu ne persiste
rent ; il ne se souvient de rien. Il est certainement suggestible à l' état de veille. Je lève son bras ; il ne peut plus le
e lève son bras ; il ne peut plus le baisser. Voici la catalepsie à l' état de veille. Il essaye en vain d'abaisser son bras.
épigastrique, « comme si cela ne pouvait pas digérer. » Tel est son état aujourd'hui, 16 décembre. Vous voyez que je l'end
se la laisse pas déraciner. Est-ce l'effet de la maladie qui crée cet état psychique particulier qui le rend indocile, qui l
x de tête sont toujours intenses. Je con- tinue la suggestion à l' état de veille, sans en avoir l'air, affirmant que tou
à la guérison, mais qu'on ne peut pas forcer la chose. Le 20, même état . Il me raconte qu'il y a deux ans un mal de tête
me celles de la tête et du ventre, qui ont à peu près disparu. Même état les jours suivants. Le 26, il dit que depuis av
ins malades, à la faveur aussi d'une thérapeutique mal appropriée à l' état psychique, que je ne puis m'empêchèr d'appeler vo
tention sur ce suiet. Voilà un garçon hypnotisable et qui, malgré l' état hypnotique, reste rebelle à la suggestion directe
r. La suggestion est répétée plusieurs fois, sans résultat notable. L' état reste stationnaire. Cependant, le 12 décembre,
e mode de suggesti-bilité; ces deux hypnotisables n'acceptent pas, en état hypnotique, la suggestion thérapeutique; lesdeuxe
plusieurs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l' état mental d'un individu. Il est aussi absolument u
iellement par ces deux phénomènes qui se combinent : l'anorexie et un état mental spécial. Ce qui fait l'intérêt de cette fo
t que l'appétit n'est pas revenu, même si les malades s'alimentent. L' état mental est caractérisé par de l'apathie intellect
evoir, dans les asiles, des aliénés transférés de la prison et dont l' état mental avait été méconnu au moment de leur condam
s flagrants délits. Ces condamnations ne seraient pas prononcées si l' état mental dc l'aliéné était reconnu à temps, et le m
s soient prises pour annuler toutes les condamnations dues à ce que l' état du malade était méconnu. Ce serait peut-être actu
émet le vœu que la flétrissure imméritée subie par les aliénés dont l' état mental a été méconnu au moment dc la condamnation
e l'Asile des aveugles d'Edimbourg annonce aujourd'hui qu'elle est en état de procurer des masseuses parfaitement au courant
pital de quinze jours; il en est sorti il y a quinze jours. Voici l' état que nous avons constaté à son entrée: Constitutio
sentir l'odeur du brûlé sans être oppressée. Elle dut renoncer à son état et se maria. L'oppression a augmenté progressivem
doit l'opérer lorsqu'elle sera débarrassée de sa toux. Tel était l' état de la malade qui était traitée par l'iodure de po
tentir sur celle-ci. Chez notre malade, il y a peu de bronchite à l' état normal, la toux existe sans grande expectoration;
ale du poumon. Cette impressionnabilité d'ailleurs est variable à l' état physiologique chez les différents sujets. Tel ave
atouillements et même des douleurs qui peuvent engendrer un véritable état hypochondriaque. Notre malade est née trés-impr
umontpallier, Max Nordau, Auguste Voisin, Bérillon et Valentin. Les états médianiques de l'hypnose. Par m. le dr Paul Jôi
de Lille. On a coutume de décrire dans le sommeil hypnotique trois états diffé-rents les uns des autres, chacun de ces éta
hypnotique trois états diffé-rents les uns des autres, chacun de ces états s'accusant par une sympto-matologie qui lui appar
ant par une sympto-matologie qui lui appartient en propre. Ces divers états sont encore considérés comme les différentes phas
res génériques, qui ont été magistralement décrits par Charcot. Ces états sont l'état léthargique, l'état cataleptique, l'é
s, qui ont été magistralement décrits par Charcot. Ces états sont l' état léthargique, l'état cataleptique, l'état somnambu
tralement décrits par Charcot. Ces états sont l'état léthargique, l' état cataleptique, l'état somnambu-Iique. Rappelons
Charcot. Ces états sont l'état léthargique, l'état cataleptique, l' état somnambu-Iique. Rappelons rapidement les traits
Rappelons rapidement les traits caractéristiques de ces différents états , qui nous permettront de les différencier de ceux
ettront de les différencier de ceux que nous allons décrire. Dans l' état léthargique, les yeux sont clos ou demi-clos ; le
traction se transforme facilement en contracture permanente. Dans l' état léthargique, l'anesthésie^est variable, plus ou m
estions restent sans effet. Si l'on ouvre les paupières du sujet en état de léthargie, de façon qu'une vive lumière vienne
n qu'une vive lumière vienne frapper ses yeux, il passe dans un autre état qui est l'état cataleptique. Le caractère propr
umière vienne frapper ses yeux, il passe dans un autre état qui est l' état cataleptique. Le caractère propre de l'état cat
un autre état qui est l'état cataleptique. Le caractère propre de l' état cataleptique c'est l'immobilité. Le sujet reste c
terne reste insensible aux excitations les plus vives. Le troisième état hypnotique classique est l'état somnambulique qui
ations les plus vives. Le troisième état hypnotique classique est l' état somnambulique qui présente aussi des caractèr
présente aussi des caractères propres qui le séparent nettement des états léthargiques et cataleptiques. Le sujet placé d
ment des états léthargiques et cataleptiques. Le sujet placé dans l' état somnambulique a les yeux clos ou demi-clos; il pe
i-clos; il peut les ouvrir au bout de peu de temps sans sortir de cet état . Les paupières se montrent souvent, mais non touj
et la résolution des membres n'est jamais aussi accentuée que dans l' état léthargique. L'hyperexcitabilité neuro-musculaire
u d'un souffle léger dirigé sur la peau, développer dans ce membre un état de rigidité qui diffère de la contracture due à l
Remarquons d'abord que ce serait une erreur de croire que ces trois états forment une gradation régulière et constituent de
ère et constituent des phases progressives du sommeil hypnotique. L' état léthargique est le premier qui s'obtient d'ordina
aupières et en dirigeant sur ses yeux un rayon de lumière vive. Cet état cataleptique représente un sommeil excessivement
ente un sommeil excessivement profond et peut être considéré comme un état hypnotique très avancé ; nous en avons la preuve
t cet isolement est s; complet que celui même qui l'a plongé dans cet état ne peut plus rien sur lui, à moins de retourner e
en sur lui, à moins de retourner en arrière et de ramener le sujet en état léthargique. Le sujet en état de léthargie peut
en arrière et de ramener le sujet en état léthargique. Le sujet en état de léthargie peut encore passer dans l'état somna
éthargique. Le sujet en état de léthargie peut encore passer dans l' état somnambulique, mais une fois en cet état il ne pa
ie peut encore passer dans l'état somnambulique, mais une fois en cet état il ne passera plus en catalepsie sans retourner a
cet état il ne passera plus en catalepsie sans retourner ainsi dans l' état primitif de léthargie. Au cours d'un grand nomb
servai des phénomènes qui ne pouvaient se rapporter à aucun des trois états hypnotiques dont nous venons de parler. Pouvaient
dont nous venons de parler. Pouvaient-ils davantage se rapporter aux états mixtes, intermédiaires aux trois états classiques
ils davantage se rapporter aux états mixtes, intermédiaires aux trois états classiques et qui ont été longtemps mal définis e
nus ; nous savons qu'ils se rapportent: les uns à la combinaison de l' état léthargique avec l'état cataleptique ; les autres
se rapportent: les uns à la combinaison de l'état léthargique avec l' état cataleptique ; les autres au mélange de l'état lé
tat léthargique avec l'état cataleptique ; les autres au mélange de l' état léthargique avec l'état somnambulique. Jamais on
tat cataleptique ; les autres au mélange de l'état léthargique avec l' état somnambulique. Jamais on n'observe la combinaison
ue avec l'état somnambulique. Jamais on n'observe la combinaison de l' état cataleptique avec l'état somnambulique, ce qui pr
que. Jamais on n'observe la combinaison de l'état cataleptique avec l' état somnambulique, ce qui prouve une fois de plus, co
st une sorte d'impasse d'où l'on ne peut sortir que par le moyen de l' état léthargique et qui n'a aucune relation direct
i n'a aucune relation directe avec le somnambulisme* J'ajoute que ces états mixtes sont multiples dans chacune des deux catég
ries; dans la première, suivant le plus ou moins de prédominance de l' état léthargique ou de l'état cataleptique ; dans la s
uivant le plus ou moins de prédominance de l'état léthargique ou de l' état cataleptique ; dans la seconde, suivant la prédom
ance de la léthargie ou du somnambulisme. Dans tous les cas, tous ces états mixtes présentent une symptomatologie spéciale da
uelle on retrouve des caractères plus ou moins accusés des différents états qui entrent dans leur combinaison. L'étude atte
nts états qui entrent dans leur combinaison. L'étude attentive de l' état des sujets que j'avais en observation me permit d
is en observation me permit de constater d'une façon certaine que cet état n'était ni l'un des trois états classiques, ni au
constater d'une façon certaine que cet état n'était ni l'un des trois états classiques, ni aucun des états mixtes qui peuvent
que cet état n'était ni l'un des trois états classiques, ni aucun des états mixtes qui peuvent former leur combinaison. Cette
, je m'appliquai à reproduire expérimentalement et à bien étudier ces états hypnotiques et je suis arrivé ainsi à découvrir e
tats hypnotiques et je suis arrivé ainsi à découvrir et à isoler deux états hypnotiques nouveaux que j'ai désignés sous le no
soler deux états hypnotiques nouveaux que j'ai désignés sous le nom d' états médianiques : l'un, l'état médianique passif ou i
nouveaux que j'ai désignés sous le nom d'états médianiques : l'un, l' état médianique passif ou induit; l'autre, l'état médi
ts médianiques : l'un, l'état médianique passif ou induit; l'autre, l' état médianique actif ou inducteur. Pour produire l'
uit; l'autre, l'état médianique actif ou inducteur. Pour produire l' état médianique passif ou induit, voici les procédés q
légères oscillations de tout son corps ; il se tenait debout dans un état de rutitude volontaire : il semble maintenant qu'
s, la respiration est lente et profonde. Les membres ne sont pas en état de résolution comme dans l'état de léthargie,
rofonde. Les membres ne sont pas en état de résolution comme dans l' état de léthargie, ils retombent pourtant mollemen
ause qui a modifié sa position et si cette cause persiste. Dans cet état , le sujet n'est pas suggestionnable par la parole
fs et paraissent de peu d'intérêt, par contre nous observons dans cet état toute une catégorie de phénomènes nouveaux et des
es mouvements, provoquer des actes assez compliqués. C'est dans cet état médianique passif que l'on observe les phénomènes
ous avons fait remarquer plus haut, dans les caractères généraux de l' état médianique passif, qu'un membre quelconque du suj
oulevé avec la main retombe immédiatement dans sa position normale. L' état du membre, mis en mouvement par les passesJaites
nces que j'ai faites dans ce sens. Après avoir placé mon sujet dans l' état médianique passif, par les procédés que j'ai indi
, présentant les sinuosités les plus imprévues, je place mon sujet en état médianique passif à l'extrémité de la ligne et je
tation du sujet se montrait à chaque intersection. Je fais cesser l' état médianique passif et je rends au sujet son état n
n. Je fais cesser l'état médianique passif et je rends au sujet son état normal en passant plusieurs fois les mains en tra
a accomplis et de tout ce qui s'est passé pendant qu'il était dans l' état médianique passif. Il était intéressant de conn
l était intéressant de connaître les impressions du sujet pendant cet état , et de savoir pourquoi et comment il obéit aux mo
itions extérieures dans lesquelles j'ai opéré, et j'ai constaté que l' état de la température et les variations atmosphérique
iques par une chaleur artificielle portée à un degré assez élevé. L' état médianique actif ou inducteur est beaucoup plus d
ent les observations en sont beaucoup plus rares. C'est, du reste, un état très complexe et qui présente une difficulté part
té particulière pour l'étude, en raison des différents degrés que cet état peut présenter. Il importe donc de diviser méthod
acilement l'observer, les procédés par lesquels on peut provoquer cet état , les différents symptômes de la crise elle-même,
observé le médianisme actif ne sont jamais, jusqu'ici, des sujets à l' état sain. Le plus souvent, ce sont des sujets du sexe
des hystériques, affection souvent bien caractérisée par un léger état de parésie affectant certains membres, et par des
moments des crises de somnambulisme spontané. Ce sont des sujets d'un état névropathique poussé au plus haut degré, qui poss
que poussé au plus haut degré, qui possèdent en un mot l'hystérie à l' état latent ; en tout cas, toujours et sans exception,
ujet, de quelle manière et par quels procédés se détermine chez lui l' état médianique actif ou inducteur. Chez certains su
dinairement par les mêmes procédés que ceux par lesquels on produit l' état médianique passif, et, dans ces cas, l'état média
par lesquels on produit l'état médianique passif, et, dans ces cas, l' état médianique passif se développe le premier, et ens
passif se développe le premier, et ensuite, après un certain temps, l' état médianique actif lui succède. Dans certains cas
Dans certains cas, Tordre de succession est différent. On provoque l' état léthargique par les procédés habituels d'hypnotis
procédés habituels d'hypnotisation, puis on fait passer le sujet de l' état léthargique en état somnambulique, et l'état médi
'hypnotisation, puis on fait passer le sujet de l'état léthargique en état somnambulique, et l'état médianique actif succède
ait passer le sujet de l'état léthargique en état somnambulique, et l' état médianique actif succède à l'état somnambulique.
argique en état somnambulique, et l'état médianique actif succède à l' état somnambulique. Je n'oserais, dans ces cas, affirm
mbulique. Je n'oserais, dans ces cas, affirmer si le sujet passe de l' état somnambulique dans l'état médianique passif et de
ns ces cas, affirmer si le sujet passe de l'état somnambulique dans l' état médianique passif et de là en état médianique act
sse de l'état somnambulique dans l'état médianique passif et de là en état médianique actif, ou si l'état médianique actif s
s l'état médianique passif et de là en état médianique actif, ou si l' état médianique actif succède sans transition au somna
vive ou apparaissant brusquement produit des troubles profonds dans l' état du sujet, accélération de la respiration et palpi
ans l'état du sujet, accélération de la respiration et palpita-lions, état de souffrance visible, tremblement des membres et
s intéressants. De même que nous avons vu que la caractéristique de l' état médianique passif était de subir les influences v
e subir les influences venues de l'extérieur, la caractéristique de l' état médianique actif est, pour le sujet, d'exercer un
arquer que ces derniers phénomènes en particulier s'accompagnent d'un état de raideur et de forte tension des membres du suj
lieu à des phénomènes beaucoup plus complexes. Après la crise, l' état du sujet change complètement, l'excitation est re
oucher ; souvent un sommeil plus ou moins long précède son retour à l' état normal. En général, le sujet a perdu tout souveni
ner par une remarque de la plus grande importance pour l'étude de ces états médianiques de l'hypnose. J'ai vu, dans certain
nose. J'ai vu, dans certains cas, se produire la superposition de l' état médianique passif avec l'état médianique actif ;
cas, se produire la superposition de l'état médianique passif avec l' état médianique actif ; et voici de quelle façon peut
voici de quelle façon peut s'observer cette combinaison. Un sujet en état médianique actif influence un autre sujet qu'il p
n autre sujet qu'il place, d'une façon consciente ou inconsciente, en état médianique passif. Les phénomènes que ces deux su
il était parfaitement insensible, et, le lendemain, je le mis dans un état de sommeil encore plus profond. C'était un homm
tif, la question des asiles de traitement des buveurs en Suisse, et l' état actuel de la lutte contre l'alcoolisme dans ce de
ces animaux n'auraient pas résisté s'ils n'avaient été placés dans un état voisin de l'hibernation. La toison dont le mouton
t est alors réduit à sa substance, sans aucune altération. 11 est à l' état de simple spectateur, et c'est la forme qui est v
éna 1895, inr8e, VII, 113 p. avec fig. SgrûSSO. — La suggestion à l' état de veille dans certaines affections oculaires. Bo
l'envahissement des centres psychiques. Le jeune malade compare cet état à celui d'un engourdissement ou d'un sommeil d'où
ivait de passer cette épreuve. Elles sont extrêmement courtes, mais l' état d'accès est si profondément établi qu'il fond les
la moindre résistance, cette moindre résislance étant établie par un état d'adynamie des cellules nerveuses présidant à la
re d'une idée thérapeutique mise en présence de l'idée pathogène. Cet état de résistance doit provenir, selon toute probabil
centres psychiques voisins. Il serait intéressant de savoir si cet état est analogue à celui du sommeil somnamblulique av
u sommeil somnamblulique avec amnésie au réveil. D'autre part, dans l' état hypnagogique, les centres psychiques étant décour
ommeil lui-même. En effet, si par elle il peut supprimer la crise à l' état de veille, il en est incapable pendant le sommeil
nté est atténuée. Ce que l'on sait aujourd'hui sur les rêves et sur l' état hypnagogique permet d'admettre qu'en faisant lui-
pendant qu'il dort, il pourrait peut-être éviter les crises comme à l' état de veille ou du moins les espacer. Mais tout dépe
le D' Bérillon, que d'une façon générale lesonychophages sont dans un état d'infériorité très appréciable soit au point de v
que la prophylaxie jusqu'ici est restée nulle ou illusoire contre ces états morbides, puisque la pratique a démontré l'insuff
faire ce qui est mal; je répète, en quelque sorte, mes suggestion à l' état de veille et, pour l'encourager, je lui donne que
nes gens ; malgré tout, elle semble avoir conscience de son misérable état ; elle dit que « c'est plus fort qu'elle de faire
ouce béatitude. Alors je continue à lui parler, la suggestionnant à l' état de veille, pour ? élargir le champ de sa conscien
lade qui en est affecté, nous ayions affaire non pas directementà cet état lui-même, mais à la conscience, à la perception d
mentà cet état lui-même, mais à la conscience, à la perception de cet état . Il semble quelque peu oiseux et naïf d'établir u
distinction entre un trouble et la conscience de ce trouble, entre un état nerveux et la perception de cet état nerveux ; et
nscience de ce trouble, entre un état nerveux et la perception de cet état nerveux ; et cependant cette distinction est rend
rs auteurs une définition du vertige, j'ai constamment vu confondre l' état vertigineux et la sensation vertigineuse ; et j'a
des troubles fonctionnels, pour la faim, la soif, etc., qui sont des états nerveux non localisés, tandis que d'autres sensat
s d'ordre psychique. Si le siège de la perception consciente de ces états nerveux localisables ou non, est, selon toute évi
vidence, cortical, il est non moins vraisemblable que le siège de ces états fonctionnels, de ces troubles, de ces besoins, es
possible d'assigner à leur siège une localisation bulbaire. Ainsi l' état vertigineux, l'état de nausée, d'oppression, de c
à leur siège une localisation bulbaire. Ainsi l'état vertigineux, l' état de nausée, d'oppression, de colère, de faim, de s
de nausée, d'oppression, de colère, de faim, de soif, etc., sont des états bulbaires, tandis que la sensation de vertige, de
n de vertige, de nausée, etc., sont des perceptions cérébrales de ces états nucléaires inférieurs. Il y a, si nous pouvons em
internes, que le reflet conscient de l'autre. Cette perception de l' état bulbaire par cette vaste rétine que forme l'écorc
cun besoin n'avait fait désirer ni même prévoir ? D'autre part, ces états , ces troubles, ces besoins peuvent au contraire s
tion intime de nos fonctions organiques. Enfin certains d'entre ces états nerveux subjectifs peuvent non seulement s'impose
ns du sucre, etc. ? Et la peur ? Il est évident que c'est un de ces états nerveux non localisables que nous connaissons sur
le s'accompagne parfois ; comment ne pas la rapprocher de ce groupe d' états bulbaires qu'une aura éveille l'un après l'autre
ssivement vibrer les cordes d'une harpe ; et plus spécialement de ces états nucléaires particuliers que l'on commence à é
Ce sont des troubles nucléaires, la plupart pneumogastriques, et des états d'exaspérations centrales que nous caractérisons
s, troubles secrétaires, moteurs, vasculaires, sensoriels, etc. Cet état bulbaire à ses répondants dans la corticalité, et
craint véritablement de guérir et ne peut supporter même l'image d'un état autre que le sien. Ajoutons que ce malade est un
est un homme extrêmement intelligent, qui analyse très nettement son état , et dont aucune autre faculté n'est altérée. C'
s une angoisse le prenait,sans aucun vertige, et il ne sortait de cet état qu'en secouant vivement la tète. La claustropho
e ; nous avons fait de cette dernière un trouble bulbaire ; est-ce un état isolé, ou bien n'est-ce pas plutôt le trouble d'u
e ; est-ce un état isolé, ou bien n'est-ce pas plutôt le trouble d'un état physiologique ? Nous n'hésitons pas à considérer
tation subjective, de même la peur est pour nous la perturbation d'un état fonctionnel que nous ne savons comment nommer.
onc leur fera-t-on place dans nos traités de physiologie ? Tous ces états fonctionnels ne contribuent-ils pas à former cett
st en réalité une jouissance très active, quand on sait jouir, est un état qui résulte de la communion d'une foule d'états f
on sait jouir, est un état qui résulte de la communion d'une foule d' états fonctionnels en pleine activité ; et nous sommes
sécurité physique dont la perte momentanée constitue la peur, est un état fonctionnel assuré par la bonne, la naturelle, La
bonne, la naturelle, La légitime entente de la majeure partie de ces états fonctionnels dont les noyaux bulbaires sont le si
. Mais si la peur est un trouble fonctionnel, si la sécurité est un état fonctionnel, quel nom donner à la fonction qui ma
ressions nettement contradictoires pour développer dans les foules un état cérébral particulier impliquant une obéissance fa
ou. Divers troubles d'origine psychique guéris par suggestion à l' état de veille. Par M. le Dr Gobodichze. Parmi les
relativement très rare. Il n'est pas resté chez ma petite malade à l' état isolé. D'autres troubles du même ordre sont venus
loyés par M. Paul Blocq. Arch. de Neurologie, nos 43 et 44, 1888. état , couchée presque sans mouvement, faible, pâle, un
ac et un autre confrère tient à la tuberculose pulmonaire. Le mauvais état général de la malade lui suggère même, à l'auscul
rétrécissement du champ visuel. J'ai eu recours à la suggestion à l' état de veille. En quelques jours Marie V... a recouvr
is) partagent avec les suggestions hypnotiques le tort de changer les états d'âmes par des moyens qui ne sont pas ceux du pur
oit peut-être — et je crois pouvoir ajouter : doit probablement — son état à une suggestion spontanée, à une auto-suggestion
mation du jugement, de la volonté, etc., elle peut mettre le sujet en état hypnagogique. L'état de fatigue s'établit plus
la volonté, etc., elle peut mettre le sujet en état hypnagogique. L' état de fatigue s'établit plus ou moins rapidement, se
on l'expression vulgaire. L'influence des rêves sur sa production à l' état de veille est connue, si bien qu'on peut se deman
e ressentie pendant le rêve et oublié au réveil peut réapparaître à l' état de veille par association de mouvement, c'est-à-d
'il est pathogène, on peut l'utiliser thérapeutiquement dans certains états psychiques ou comme adjuvant à la gymnastique méd
astique médicale. L'influence des rêves sur les actes accomplis à l' état de veille est manifeste. Voici un cas. M. X...,
ne pas avoir de monde. Il se recouche. Se rendort et rêve, dans un état hypnagogique, qu'il n'y a pas de course ; il rest
art. Il les voit et Lire le coup de pistolet toujours en doutant. Cet état a duré pendant toutes les épreuves, X... donnait
eille peut être reprise et renforcée par le rêve ; elle crée alors un état pathologique. Telle est l'observation suivante qu
roit où le Christ lui est apparu et elle en détourne les regards. Cet état persiste pendant les quatre mois qu'elle demeure
le et jaune. Elle ressent des troubles gastriques qui provoquent un état d'hypocondrie mal défini. Quelques phobies appara
vient très suggestible et, un grand surmenage professionnel aidant, l' état de phobie s'accentue. Elle a des hallucinations,
lui porter secours. Elle éprouve un chagrin de famille et aussitôt l' état empire. La peur de mourir la pousse à se précipit
ainsi la tournure de son esprit et je modifiais la suggestion scion l' état psychique. Après un certain entraînement, je lu
orté, la suggestion directe ne peut lutter, de prime abord, contre un état d'auto-suggestion profondément établi; il a fallu
un biais pour ceux qui ne pouvait accepter la suggestion directe à l' état de veille ou à l'état de sommeil, car la peur inh
i ne pouvait accepter la suggestion directe à l'état de veille ou à l' état de sommeil, car la peur inhibait la suggestion. J
ections graduelles de psychothérapie atténuées ou renforcées, selon l' état de réceptivité de chaque sujet. C'est ainsi qu'ay
traitement est fort délicat à appliquer, car, outre la suggestion à l' état de veille qu'il faut savoir doser selon le moment
éré tonifie, un exercice violent fatigue. Or, la fatigue provoque des états psychiques pathologiques. Rien n'est mobile comme
nt gymnastique bien réglé ; il pavait être d'autant moins élevé que l' état d'automatisme est plus prononcé. Ce coefficient
me est plus prononcé. Ce coefficient dépend de l'âge, du sexe, de l' état physiologique et psychique de chaque sujet en mêm
tat physiologique et psychique de chaque sujet en même temps que de l' état climatérique du milieu. Il est quotidien et il
2° Les rêves jouent un rôle important dans la production de certains états psycho-pathologiques en renforçant une impression
tats psycho-pathologiques en renforçant une impression reçue soit à l' état de veille, soit à l'état de sommeil. On peut co
en renforçant une impression reçue soit à l'état de veille, soit à l' état de sommeil. On peut combattre leur action patho
nsité et la difficulté des exercices doivent être calculées d'après l' état du sujet au moment où il agit. La marche doit ent
t abondante inondant tout le corps. Ces accidents étaient suivis d'un état général de courbature et de souffrance qui durait
: 1° Expérimenter toujours et exclusivement avec des personnes à l' état de veille. — Sans doute, la plupart des sujets av
usement de rien faire qui puisse endormir les sujets ou modifier leur état normal. 2° Mettre les sujets, dès le début et p
turellement par l'extrémité des doigts, mais elle se dégage aussi à l' état diffus de toutes les parties du corps. Du moins i
que je complète en indiquant le procédé que j'emploie pour vérifier l' état de la sensibilité du sujet au cours de ces expéri
rier. L'hypnotisme pratiqué avec succès sur un sujet peut prouver l' état hystérique de ce sujet, mais sa non réussite ne p
ne soit pas hystérique, si, d'ailleurs, le sujet est suggestionné à l' état de veille, non pas même par le commandement, mais
que qui revient par l'hypnotisme, revient aussi par la suggestion à l' état de veille. Ce point de pratique a une grande impo
employé modèle, très sobre et très honnête. Quoiqu'il en soit, son état émotif avait augmenté, il s'évanouissait de temps
t là, en dormant, comme un dédoublement de la personnalité-Jamais à l' état de veille il ne se souvenait de ce qu'il avait di
le faire la suggestion la mieux ordonnée, car s'il était guéri de son état somnambulique, il n'avait point encore repris son
t guéri de son état somnambulique, il n'avait point encore repris son état premier. II faut savoir qu'il avait été accusé
premier. II faut savoir qu'il avait été accusé d'un crime contre l' état social, crime qu'il n'avait pas commis, mais qui
s qui pour lui était une idée fixe ayant une grande influence sur son état psychique. Or, un jour de sortie, il rencontra
urés. Les médecins ont diagnostiqué dès l'abord un sycosis. Depuis, l' état s'aggrava peu à peu malgré un traitement énergiqu
en grand nombre, surtout de cocci. Par la culture on a pu isoler à l' état pur un coccus qui rappelait beaucoup le staphyloc
e son éruption en plein. Les boutons de la barbe étaient, les uns à l' état de suppuration, les autres recouverts de croûtes.
Les observations démontrent que son influence n'est pas moindre sur l' état et le fonctionnement des follicules pileux. Si so
ase, la symétrie des lésions. Les médecins qui ont au début négligé l' état du système nerveux ont à la dernière consultation
attention des médecins sur la nécessité de prendre en considération l' état nerveux des malades atteints de sycosis. La commu
s actions psychiques, qu'on les appelle suggestion, psychothérapie ou états hypnotiques. Ce sera la gloire de la Société d'av
environ, l'avoir en observation. — Nous constatâmes qu'elle était en état permanent de somnolence, qu'elle était complèteme
e courte, mais elle ne parlait jamais spontanément ; elle sentait son état , elle s'en plaignait et disait tristement qu'elle
(\) Voir Luys : « Recherches sur le système nerveux », 1865. — « De l' état de sommeil de l'axe spinal », p. 416 et suivantes
s. J.-B. Baillière ; — et « Traité de Pathologie mentale., » ; « De l' état de sommeil des appareils cérébelleux et spinaux »
rente; son épaisseur, en différentes régions, me parut moindre qu'à l' état normal, pas de capillaires apparents. La substa
psychique, d'un groupe d'expérimentateurs, d'autres pour produire à l' état de veille des illusions semblables à celles du so
ve, est très restreint ; ainsi on n'est pas capable de percevoir ni l' état des muscles ni le contact du corps entier, par le
réalité, c'est-à-dire : on rêve d'un étal statique correspondant à l' état statique réel du membre ; les autres parties du c
autres parties du corps se règlent dans l'esprit du rêveur selon cet état particulier, de sorte qu'il trouve son corps enti
n cet état particulier, de sorte qu'il trouve son corps entier dans l' état (statique), correspondant à un état (statique) de
il trouve son corps entier dans l'état (statique), correspondant à un état (statique) de la veille. Par exemple, celui qui d
du corps se présentent à l'esprit de celui qui dort conformément à l' état perçu du membre ; mais voici la différence : dans
e ; mais voici la différence : dans notre cas (2°) la perception de l' état du membre est plus indistincte, de sorte que la d
ires par des images d'autres personnes qui se trouvent dans les mêmes états musculaires que nous-mêmes. 40 On rêve quelquef
t naissance à différentes illusions. Celui qui dort a conscience de l' état musculaire causé par le fait qu'il a gardé pendan
quoi tient la différence entre les rêves où le membre se présente à l' état statique et ceux où il se meut ? Lorsque le membr
ntéressés sont un peu plus fatiguées que dans le cas où Ton rêve d'un état statique du membre ; voilà pourquoi, dans le prem
ire chez l'autre, étant à peu près les mêmes, on conçoit que ces deux états présentent à peu près les mêmes caractères. Il
ite d'un réve où elle croyait jouer du piano, une autre continuer à l' état de veille des mouvements coordonnés, mouvements n
ve. C'est qu'en effet, pour que l'influence du réve se continue à l' état de veille, il faut que les conditions qui favoris
t sa production et son développement soient conservées dans ce nouvel état . Or, dès le réveil, notre attention devient vigil
plus ou moins vite la fiction, laissant à peine subsister parfois un état hypnagogique rapidement disparu. Chez l'hystéri
firmer cette manière de voir. Une malade arrive à l'hôpital dans un état d'affaiblissement extrême, car, depuis six semain
quelque chose m'empêche de manger. » Or, en mettant cette malade en état d'hypnotisme, on apprend que sa mère qui est mort
La conséquence thérapeutique de ces faits, c'est que pour modifier l' état pathologique créé par un rêve, il faut suggérer à
rino et du sommeil hypnotique pendant lequel la pupille revient à son état normal. Il existe do plus, du même côté, de l'ane
auche pour les mouvements volontaires. Le fond de l'œil est normal. L' état général de la malade est très bon. Tous ces tro
ler dans un petit livre destiné aux enfants. Aujourd'hui, il est en état de pouvoir épeler ; cependant certains mots f
rde civique (séance du 5 avril 1867). « A partir de cette époque, l' état du malade ne fit qu'empirer ; aussi, réduit à l'é
cette époque, l'état du malade ne fit qu'empirer ; aussi, réduit à l' état squelettique et en proie à un profond décourageme
t mépris unanimement dans le même sens. Concluons clone qu'un certain état mental du malade l'a débarrassé presque brusqueme
vers son père — je lui avais fait ouvrir les yeux sans le tirer de l' état d'hypnose — comme pour lui demander protection et
t à grand'peine faire quelques pas dans l'église, était maintenant en état de se rendre à pied de chez lui à la station de F
L'ATTITUDE CATALEPTIFORME dans la fièvre typhoïde et dans certains états psychiques. Par m. le professeur Bernheim (de N
la fièvre typhoïde; ils existent chez maints sujets dans d'autres états morbides, ou à l'état de santé parfaite, à lafave
existent chez maints sujets dans d'autres états morbides, ou à l' état de santé parfaite, à lafaveur d'un certain état p
tats morbides, ou à l'état de santé parfaite, à lafaveur d'un certain état psychique. Quel est cet état psychique? Dans la
anté parfaite, à lafaveur d'un certain état psychique. Quel est cet état psychique? Dans la fièvre typhoïde, ce n'est pas,
, pour comprendre, pour fixer son attention ; mais il faut un certain état psychique caractérisé par la diminution de l'init
'initiative intellectuelle, par une faible spontanéité cérébrale. Cet état peut être normal chez beaucoup d'individus; chez
luence de maladies diverses, ou psychologiquement, sous l'influence d' états moraux spéciaux. Alors, le sujet garde l'attitude
La diathèse de contracture, qui existe à un degré variable dans cet état » s'explique aussi par l'absence d'initiative céré
spontanée et l'auto-hypnose dans la lièvre typhoïde et dans certains états psychiques. Ces faits si intéressants, si fréquen
sie et clu sommeil provoqué dit hypnotique. Ils montrent bien que ces états ne sont pas des phénomènes extraordinaires liés à
ogène; ce ne sont au fond que des phénomènes physiologiques liés à un état psychique particulier qui est l'état normal chez
nomènes physiologiques liés à un état psychique particulier qui est l' état normal chez quelques-uns, qui peut être produit,
peut être produit, chez d'autres, par certaines émotions ou certains états morbides diminuant la spontanéité cérébrale.
ans un grand nombre de cas, des suggestions appropriées faites dans l' état d'hypnose suffisent pour développer, en même temp
erçu d'un procédé qui m'a toujours réussi. L'enfant étant mis dans un état de suggestibilité suffisant, je le fais approcher
trémités et de la langue, parésie qui fait des progrès constants. Son état mental tend rapidement vers la démence finale.
, les cellules cérébrales sont vite épuisées et remises sans cesse en état vibratoire, ne jouissant ni d'un repos nécessaire
il réussit à se préserver; ses cellules volîtives dominent, dans leur état de tension extrême, les cellules pathogènes prête
r pendant ces huit jours et de ne plus avoir d'attaques;la malade, en état de somnambulisme, mangeait, buvait et se promenai
mployé chez un marchand de vin, il a été effrayé par un « client » en état d'ébriété. L'enfant est tombé immédiatement dans
s étendus de la langue sont impossibles. Séance de suggestion à l' état de sommeil hypnotique, dans lequel on le plonge a
nier à 43 ans. L'auteur ne peut donner de renseignements précis sur l' état psychique et somatique des deux premiers. Cependa
nie, nous devons d'abord étudier ce qu'est son opposé, c'est-à-dire l' état de sommeil. Le sommeil présente de nombreuses v
s : on peut cependant distinguer 3 formes ou plutôt 3 degrés dans cet état : l'hypnose simple, la narcose, la léthargie. L'
l'hypnose simple, la narcose, la léthargie. L'hypnose simple est un état dans lequel les phénomènes psychiques disparaisse
s, ou essentiels à l'entretien de la vie ; l'individu plongé dans cet état est incapable de mouvements même automatiques. Or
entendu, pas recours à des doses capables de produire la léthargie, l' état de mort apparente : le sommeil, a dit Homère, est
doivent souvent être déclarés irresponsables. C'est dans les divers états hypnotiques que l'on peut bien se rendre compte d
royait autrefois l'apanage des hystériques ; mais, en somme, tous ces états dérivent d'une même modification hislologique dan
té momentanément rompu. L'hypnotisation, en définitive, et les divers états seconds spontanés (somnambulisme naturel, absence
reste, la doctrine du Dr Liébeault, car, pour lui, le sommeil et les états analogues, tels que l'état hypnotique, sont dus à
ébeault, car, pour lui, le sommeil et les états analogues, tels que l' état hypnotique, sont dus à un arrêt de la pensée. C'e
rencontre chez l'homme et il existe normalement chez les animaux des états de sommeil relatif où la conscience est moins dév
rielles des hystériques, et les phénomènes que l'on constate daus les états hypnotiques et le somnambulisme naturel, les abse
. Dumoxtpaluer. Sur le traitement par la médication hypnotique de l' état mental, des obsessions et des idées fixes des hys
peu connue. Et pourtant aucune autre médication ne peut agir sur cet état mental, d'une façon aussi rapide et aussi assurée
t mental, d'une façon aussi rapide et aussi assurée pour l'examen à l' état normal et lui procurer une guéri-son définit: ?.·
r, par le moyen du traitement hypnotique, quelque amélioration dans l' état de sa cliente. Voici son histoire: Mme B. est u
savoir à quels sujets nous avions affaire, c'est-à-dire quel était l' état pathologique de Mmu B. et accessivement de M. X.
il était évident qu'il avait exercé une influence considérable sur l' état mental de M°"B. ; quelle était la naturede celte
J'arrivai ensuite à des suggestions appropriées à la guérison de l' état mental de ma cliente. Je lui suggérai dans ce but
s de la même façon à chaque séance, et au bout de quatre séances, son état mental était totalement changé, elle n'avait plus
e l'influence salutaire que peut avoir le traitement hypnotique sur l' état mental de ces sujets et vous montre qu'il ne faut
rer chez l'homme seul, on l'étudié dans l'ensemble du règne animal. L' état léthargique, en effet, qu'on peut provoquer chez
, diminution des sécrétions et de la respiration. Elle reste dans cet état de sommeil apparent avec occlusion des paupières
rifier leurs Dieux, ils arrivent par une longue pratique à obtenir un état léthargique prolongé. Kurh (*), notamment, a obse
terre, prend une des poses prescrites par le livre sacré et tombe à l' état d'hypnose à force de regarder fixement le boutde
endorment. Ce n'est pas l'hiver, comme on l'a cru, qui provoque cet état : car tanrec, échidné, pétrel, albatros des tropi
turel aux hibernants. Quelques espèces qui ne sont pas sujettes à cet état peuvent -le prendre en certaines occasions. AI.
bruyères, dans un étroit espace ; ils s'étaient donc trouvés dans un état voisin de l'hibernation. FOLKLORE Etres fanta
orier, 1, place Jussieu. Guérison des verrues par la suggestion à l' état de veille. « Lausanne, le 3 mars Î896. ? Mons
rience qu'il est possible dc guérir des verrues par la suggestion à l' état de veille. « Une vieille femme de ma parenté av
, était alité depuis fort longtemps. Dans la journée du 3 mars, son état de santé s'aggrava, et, dans la soirée, le médeci
ment anatomique pendant le phénomène étudié. Les muscles, pendant l' état de contraction, sont le siège d'une circulation p
ils consomment plus d'oxygène, exhalent plus d'acide carbonique, leur état électrique est modifié. Mais tout cela ne nous ex
sombres et claires, ni ce qui se passe dans ces parties lorsque, de l' état de repos, la fibre passe à l'état de contraction.
asse dans ces parties lorsque, de l'état de repos, la fibre passe à l' état de contraction. Lorsque, au contraire, les histol
tions qui se complètent sans s'exclure. De même pour le sommeil : l' état de la circulation cérébrale, l'intensité des comb
érébrale, l'intensité des combustions, de la production de chaleur, l' état électrique des masses cérébrales sont des conditi
encore la recherche his- tologique peut trouver place. Quel est l' état de ces cellules, quelles sont les modifications d
s modifications de forme, d'aspect, qu'elles peuvent présenter dans l' état de sommeil comparativement à l'état de veille'? L
qu'elles peuvent présenter dans l'état de sommeil comparativement à l' état de veille'? Les suppositions qu'on pourra émettre
ns des prolongements de protoplasma d'un autre neurone ; puisque, à l' état de veille, la transmission du premier neurone au
ue la comiyuiié est devenue moins intime. 3e En quoi consiste cet état moins intime de contiguïté ? Puisque ces articula
sensitifs centraux et nous disons hardiment: il est probable que, à l' état de veille, ces ramifications oscillent au contact
iphériques pour recueillir les impressions apportées par ceux-ci; à l' état de sommeil, ces ramifications protoplasmiques se
n des conditions variables, selon tel ou tel organe des sens, selon l' état du sujet. C'est pourquoi telles excitations sont
s cellules cérébrales ne sont pas toutes largement ouvertes comme à l' état de veille. Non seulement les neurones qui établis
n'est pas à croire que toutes les communications persistent comme à l' état de veille. Si certains réflexes persistent et son
ciles, d'autres au contraire paraissent abolis. La moelle a aussi son état de sommeil. Pour prendre un exemple extrême, pens
ral, la pensée continue parfois à être ce qu'elle était à la fin de l' état de veille; on rêve souvent des choses auxquelles
voulus, au moment de s'endormir. Nous pouvons donc dire que, dans l' état de veille, les prolongements protoplasmiques des
-t-il pas de rétraction des prolongements de protopiasma; peut-être l' état de veille ou d'activité de la cellule nerveuse co
axe, il ne recueillera plus rien; la désarticulation succéderait à un état d'articulation incessamment mobile et contingent.
e, parmi les neurones, quelques-uns seulement d'abord sortent de leur état d'immobilité ou de rétraction ; ils étirent en ce
s plus nombreux; les neurones ont peine à sortir spontanément de leur état de rétraction. Nous pouvons donc dire qu'il n'y
s aujourd'hui pour tous les éléments cellulaires de l'organisme. Tout état de fonction ou de repos de ces éléments se tradui
us lisons par exemple dans un ouvrage récent (') : « Le sommeil est l' état de repos de notre conscience. » En effet, le somm
de repos de notre conscience. » En effet, le sommeil peut devenir un état absolument inconscient, si tous les neurones se s
nnalité ? Est-ce que nous ne nous y souvenons pas et de notre moi à l' état de veille et de même de notre moi tel qu'il a été
suivre la théorie histologique du sommeil normal jusque dans tous les états pathologiques. Nous avons bientôt reconnu que cet
es et les neurones sensitifs centraux. — Le sommeil, c'est-à-dire l' état d'isolement, par rétraction des prolongements, de
x, témoin les rêves. ¦ — Le sommeil des neurones est comparable à l' état des leucocytes en asphyxie ; l'arrivée dc l'oxygè
re de la théorie Iombrosienne : ß Les maladies de l'âme naissent de l' état du corps ». Platon admet le méchant par ignorance
énal aux termes duquel il n'y a crime ni délit quand l'agent était en état de démence au moment de l'action, il s'en fallait
limater et se fortifier, qu'elle rencontre dans le système nerveux un état de réceptivité, caractérisé par une crédivité et
clomus multiplex, guéri par la suggestion employée successivement à l' état d'hypnose et à l'état de veille. Celte descriptio
i par la suggestion employée successivement à l'état d'hypnose et à l' état de veille. Celte description jette une vive lumiè
la céphalée et pour du délire qui surviennent après les attaques. Cet état a débuté, il y a trois ans, par des ctourdissemen
n'a pas eu de convulsions pendant son enfance. L'aggravation de cet état morbide semble avoir été causée par la mort de sa
e. Dès son début, je fais à la malade des suggestions relatives à son état et en particulier à son hypéres-thésie et à ses a
lle indique une action subie, passive, sous l'influence, en un mot, d' états maladifs variés. Le sommeil ne commande pas, il e
me moyen d'investigation clinique et comme agent thérapeutique. — Les états analogues à l'hypnose. — Le somnambulisme et les
eutique. — Les états analogues à l'hypnose. — Le somnambulisme et les états passifs. Samedi V5 Avril. — Les théories modern
et agents physiques. — Les lois de la suggestion. — La suggestion à l' état de veille.— L'auto-hypnotisation. Samedi 2 Mai.
l'onychophagie et des habitudes automatiques. Samedi 23 Mai. — Les états hypnotiques et le somnambulisme envisagés au poin
osition des mains, a pu être plongé, dès la troisième séance, dans un état de sommeil hypnotique suffisant pour permettre de
d'autres suggestions similaires. On s'assure qu'il est réellement en état d'hypnose en provoquant chez lui diverses contrac
tres fois, au contraire, c'est la dégénérescence qui apparaît comme l' état primordial, l'hystérie, plus ou moins fruste, éta
s sur les actes morbides de notre sujet. (I) H. Colin : Essai sur l' état mental des hystériques, th. de Paris, 1890. (?) B
la nuit précédente. Si les rêves peuvent avoir cette influence à l' état normal, ils en ont une plus grande encore dans le
que renforcer une idée, une tendance déjà préexistantes, au moins à l' état latent, et les rendre irrésistiblement réalisable
. Voici un procédé recommandé par l'auteur : L'enfant étant rais en état de suggestibilité, il le fait approcher d'une tab
mie des "pupilles, et encore cette hyperémie est-elle peut-être l' état habituel du fond de l'œil. La cornée est sensib
au dire du malade, persiste au même degré, même cécité absolue, même état nerveux, pleurs spontanés dès qu'on l'interroge,
ers jours de décembre. Aucune modification ne se produisit dans son état . Pourquoi continuait-il à simuler? Parce qu'il y
crépi tants. Cette maladie a duré trois semaines. Amélioration de l' état mental pendant la fièvre, mais la maladie a laiss
sente une des formes d'aphasie désignées plus haut. Puis on la met en état de somnambulisme et on lui fait relire le même pa
état de somnambulisme et on lui fait relire le même passage. Dans cet état elle lit sans hésitation et comprend tous les mot
encore lus, et après six séances on lui fait lire successivement à l' état de veille, puis en état de somnambulisme provoqué
x séances on lui fait lire successivement à l'état de veille, puis en état de somnambulisme provoqué, puis en état de réveil
t à l'état de veille, puis en état de somnambulisme provoqué, puis en état de réveil, trois passages de 35 lignes chacun. El
eptembre.— Depuis plus d'un mois, la malade parait avoir retrouvé son état normal. La mémoire est revenue. L'aphasie et la c
tués à l'idée de considérer cette perversion du sens génital comme un état pathologique et sont d'avis que l'inversion sexue
ve à la fois de l'influence des rêves sur les actes accomplis à l' état de veille. Le hasard de la clinique me conduisit,
l rôle. Je créai la classe des cap (très. Mon sujet, impressionné à l' état de veille par le récit d'un voyage ou par la vue
te et il partait le lendemain en continuant son rêve, c'est-à-dire en état second. Cet état ne s'établissait cependant qu'à
le lendemain en continuant son rêve, c'est-à-dire en état second. Cet état ne s'établissait cependant qu'à la suite d'un cho
émotion, contrariété, ennui, etc. Albert X... préparait ses fugues en état second, car il ne partait jamais sans argent, eng
ter à la Société. L'influence des rêves sur les actes accomplis à l' état de veille a été longtemps contestée; elle existe
vés qui accomplissent leurs fugues, leurs vols ou tout autre acte à l' état second, c'est-à-dire dans un rêve éveillé. Ces su
e. Or, ce rêve est provoqué par une impression sensorielle perçue à l' état de veille et qui, renforcée dans le sommeil physi
M. Régis agît de même après une impression sensorielle ressentie à l' état de veille : vue de l'argent, d'objets divers, bij
éactions. Ils ne sont responsables vis-à-vis de la Société que dans l' état de personnalité qui correspond à celui du milieu
celui du milieu dans lequel ils se trouvent placés, c'est-à-dire à l' état prime. Mais si jamais la société passait à l'état
s, c'est-à-dire à l'état prime. Mais si jamais la société passait à l' état second, c'est par l'élat second qu'ils seraient r
'état second, c'est par l'élat second qu'ils seraient responsables, l' état prime deviendrait alors pathologique. Dans tout a
J'ai fait quelques expériences sur Albert X..., que j'avais placé en état second. J'ai recherché, il y a huit ans, l'influe
omme de 22 ans, M. V..., qui, depuis trois jours, se trouvait dans un état de léthargie profonde. Sa mère me raconta que son
s le renvoyèrent en Belgique, où il reprit son métier d'horloger. Cet état de somnambulisme qui persistait toujours avec inc
e somnambulisme qui persistait toujours avec incapacité de travail et état mélancolique, fut, après quelques semaines, compl
quelques jours; lorsqu'un jour, à Braine-le-Comte, V... tomba dans un état de léthargie profonde. Transporté à l'hôpital de
catalepsie, et, bientôt, le bras gauche resta à son tour dans le même état . L'acheminement vers le réveil se manifestait déj
chaque fois que ses yeux rencontraient sa mère, il retombait dans son état primitif. Je fis sortir cette dernière, et, imméd
tait obtenu, c'est-à-dire la communication entre moi et le malade à l' état de sommeil. Dès lors, les suggestions devenaient
our le soigner, quand déjà depuis une semaine il se trouvait dans cet état . Cette fois, en une demi-heure il était debout et
appelait l'hypnotisme la mettait en crise. EJle souffrait déjà de cet état malheureux depuis dix ans, lorsque j'eus l'occasi
il paraissait déjà très influencé, et, peu à peu, il tombait dans un état de résolution musculaire, indiquant l'existence d
eil assez profond. La première suggestion fut celle de rentrer dans l' état de calme et de renoncer à ses projets homicides.
était beaucoup plus calme et accusait une amélioration notable de son état général. Il avait mangé et dormi. Dans la secon
'anesthésie à la piqûre et l'amnésie au réveil. Deux jours après, son état mental était très favorablement modifié. 11 décla
ment d'avoir cédé à ses défauts. Quelques suggestions faites dans l' état d'hypnose avaient suffi pour ramener le calme dan
ns un étal profond de l'hypnose ; 2" par la rapidité avec laquelle un état mental grave a été modifié favorablement par la s
pendant un mois, au milieu de sa famille. Le malade a bénéficié d'un état de suggestibilité normalement chez lui . très dév
er par les événements les plus regrettables. Un accouchement dans l' état d'hypnotisme Par M. le Docteur Auguste Voisin,
e voir le 22 juillet 1895, m'apportant son enfant qui est en très bon état . Quant à elle, elle se porte bien. En résumé, c
lus vive frayeur, un air de stupidité répandu sur tout son corps. Cet état dura près d'une demi-heure; à mes prières, le chi
cinq semaines, lorsqu'il quitta notre hôpital, il était dans le même état qu'à son entrée. L'élève qui le surveillait, et s
ar les émotions de toute sorte qu'il avait éprouvées. J'ajoutai :.a L' état de ce chien s'améliorera sans doute avec le temps
e. Il est resté apafhique, indifférent à tout, sauf à sa gamelle. Son état ne s'est pas sensiblement amélioré. [Rec. de néd.
ne idée fixe dont on ne pouvait éclaircir la nature, elle arriva à un état d'aboulie complète, affaissée physiquement et mor
une dépression morale, une psychaslhénie intense. A la faveur dc cet état s'implante, dans l'esprit de celte femme, une idé
ir le sentiment de l'injuste mort de l'enfant. Et, en effet, dans des états psychasthéniques comme celui dont vous avez ici u
avez ici un exemple, sans délire bien systématisé, tout en relevant l' état général par une médication tonique et fortifiante
iante, vous devrez chercher à substituer, par la suggestion, soit à l' état de veille, soit dans le sommeil hypnotique, une n
Paris, 1896. TABLE ANALYTIQUE DES MATIERES Accouchement dans l' état d'hypnotisme (un), par A. Voisin, 360. Accident
2. Attitude cataleptiforme dans la fièvre typhoïde et dans certains états psychiques, par Bernheim, 233. Autohypnose (néc
r la), par Varinard, 80. Guérison des verrues par la suggestion à l' état de veille, 285. Hamiet au point de vue médico-l
de) 109. Massage (une école de) 31. Médianiques de l'hypnose des états ), par P. Joire. 109. Médecins en Allemagne (les
109. Médecins en Allemagne (les), 94. Médication hypnotique de l' état mental, des obsessions et des idées fixes des hys
e muet, 316. Troubles d'origine psychique guéris par suggestion à l' état de veille, par Go-rodichze, 152. Troubles ocula
4 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
signes diagnostiques physiques et facilement appréciables des di-vers états nerveux produits, en nous renfermant d'abord dans
elief l'influence d'un certain nombre d'agents sur la production de l' état hypnotique : lumière vive (lampe Bourbouze, lumiè
tères, ainsi que le mode de succession chez un même sujet de ces deux états nerveux : léthargie pro-voquée et catalepsie prov
la grande attaque hystérique ou attaque hystéro-épileptique, dans son état d'entière régularité et de complet développement.
rveilleux. On trou-vera au fond de chacun d'eux l'existence d'un même état morbide (la grande hystérie) susceptible de revêt
prévue et presque inévitable lorsque le matin on les trouve dans cet état . Et ce n'est pas là leur moindre argument en fave
e du diaphragme, de l'estomac et de l'œsophage; d'où peut résulter un état nauséeux qui se prolonge et devient très pénible.
s d'animaux, l'engastrimy-thisrne qui s'observent le plus souvent à l' état épidémique, se ren-contrent plus fréquemment en d
ains un froid désagréable, leur température qui était de 33°,4 C. à l' état normal, descendait à 30°,6 C. ; le pouls baissait
on pouvait être certain que l'attaque durerait encore longtemps. Cet état ayant persisté environ trois mois, sur-vint tout
, ou un tremblement analogue à la trépidation. Le membre est dans cet état particulier qui permet l'exagération du mouvement
miques de l'attaque pendant environ cinq jours. Et d'abord c'est un état psychique spécial accompagné d'hal-lucinations de
la ré-veille par la compression ovarienne, elle est fort étonnée de l' état dans lequel elle se trouve et ne se souvient de r
e trouve appliqué le tambour explorateur sont alternativement dans un état de contraction et de relâchement relatif. Enfin
quable. Des moyennes prises sur diverses malades et pendant plusieurs états de mal, alors que les attaques se répètent un gra
nte. Les bras s'élèvent un peu et se contour-nent en reproduisant à l' état d'ébauche les mouvements de circumduction que nou
frayant et qui mé-ritent bien le nom d'attaques démoniaques. § 3. — ÉTAT MENTAL PENDANT LA DEUXIÈME PÉRIODE, La perte de
n bruit quelque peu violent, comme un coup de gong, la plonge dans un état cataleptique que nous aurons occasion d'étudier p
ut en prenant son su-jet parmi les personnes qu'elle a vues pendant l' état de veille, la malade crée une scène toute de fant
i en quelques propositions, les prin-cipaux signes distinctifs de cet état nerveux particulier qui carac-térise la troisième
es mieux cachés. En outre de ces caractères différents de délire, l' état de l'in-telligence et des divers sens permet enco
levier enregis-treur, que le muscle demeure peu de temps dans Te même état de contraction. Tantôt la contracture s'exagère s
des courants électriques sont sans effet sur ces contractures. Cet état de contraction musculaire sfénéralisée donne à la
'y a pas d'hal-lucination, la malade a parfaitement conscience de son état ; elle Fig. 86. Quatrième période. Contractures
me; elle varie sinon dans son en-semble, au moins partiellement, vu l' état de contraction instable du muscle; nous sommes en
culaire, et le sensorium com-mune n'est point atteint. d) Enfin cet état peut se prolonger et la respiration n'est habi-tu
cl.'psyc, sept. 1843. CHAPITRE VI MARCHE. — DURÉE DES ATTAQUES. — ÉTAT DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche des attaqu
ce qu'on appelle des séries d'attaques, parfois fort longues. C'est l' état de mal hystéro-épileptique. Dans les séries, le
repos, pendant lesquelles la malade prend quelque nourriture. Et cet état peut durer quinze jours, un mois, et même davanta
ies du système nerveux, sé-pare Vétat de mal hystéro-épileptique de l' état de mal épilep-tique : « Si, dans l'état de mal ép
mal hystéro-épileptique de l'état de mal épilep-tique : « Si, dans l' état de mal épileptique à grandes séries, la tem-pérat
temps que la situation devient des plus graves, au contraire, dans l' état de mal hystéro-épileptique à longue série, la tem
, la température ne dé-passe guère le chiffre normal, et d'ailleurs l' état général conco-mitant n'est pas de nature à inspir
te; une des périodes fait entièrement défaut ou ne se présente qu'à l' état d'ébauche. Bientôt les trois principales périodes
i trêve ni repos. C'est en quelque sorte le fastigium ou la période d' état de la série; la durée en est plus ou moins longue
n. Elles se succèdent sans interruption pour constituer une série, ou état de mal hystéro-épileptique. Jusqu'à 10 heures 20,
acture généralisée. Délire. Enfin, l'attaque se trouve réduite à un état de contracture généralisée avec retour de la conn
llement. On abaisse ses paupières avec la main, et survient un nouvel état nerveux, la sommation1. Mais bientôt recommence s
e la règle en ce qu'elles présentent quelques-uns des caractères de l' état cataleptique. Dans les séries d'attaques que no
série d'at-taques à la suite de laquelle elle demeure plongée dans un état cataleptique qui dure encore lorsque nous l'obser
munique. Le phénomène de la suggestion, qui est un des attributs de l' état cataleptique, et que nous étudierons plus loin, n
nt ceci d'irrégulier, qu'elles revêtent plusieurs des caractères de l' état cataleptique. Nous reviendrons sur ce dernier poi
sont fermés, mais se laissent facilement ouvrir et demeurent dans cet état . Les pupilles sont dilatées. — L'attouchement de
hydrothérapique, elle essaye quelques mouvements de gymnastique. L' état général est complètement transformé. Les nuits so
u'elle voyait le diable ou d'autres objets effrayants. C'est dans cet état de crise qu'elle se trouvait lorsque M. Charcot f
t alors que le docteur Brongniart se décida pour l'hydrothérapie. L' état de la malade se compliquait de crises hystéro-épi
aménorrhée, chloro-anémie, alternatives de dyspepsie et de boulimie, état nerveux caractérisé par une nosomanie et une nécr
e. » J'entre, et je vois un enfant qui venait en effet de tomber en état de crise. Pour l'instant il était en attitude d'a
venons les deux religieuses placées au-près d'elle par sa mère, que l' état de crise se prolongeant pendant huit heures, il f
par un envahissement brusque, la malade tombait comme fou-droyée. Cet état durait une ou deux minutes, puis la phase hystéro
ure parut à madame X... la solution la plus rapide pour sortir de cet état intolérable : aussi pendant quinze jours elle ne
r à l'institut hydrothérapique de Passy. A son entrée (mai 1873), l' état de la malade peut se résumer ainsi : ap-pétit nul
sous la douche, nous recourons à l'électricité pour la sortir de cet état . L'application est heureuse; tout d'abord, par le
elle-même. On put alors faire une friction générale qui mit fin à cet état . Cette fois la malade était en proie à des accès
isation pratiquée trois semaines après la première, mettait fin à cet état de souffrances et d'angoisses dans lequel madame
jour à Vichy, au mois de juin 1879, nécessité par la santé du père, l' état , de notre malade est satisfaisant ; un seul accid
ouvelle attaque. J'ai reçu de ses nouvelles de Rio le 15 octobre; son état de santé continuait à être assez bon. A cette n
re même, mais rarement. Les larmes presque toujours mettent fin à cet état . Est-elle dans l'imminence d'une grande attaque
nce, la ma-lade se renverse et la période épileptoïde commence. — Cet état a duré de quelques heures à une demi-journée. — L
né-ralisée avec contracture des quatre membres. La langue est dans un état de protrusion et de déviation forcée à droite com
solution prochaine. Si je cesse de comprimer les ovaires, bientôt cet état léthargique est interrompu par des secousses du m
ai été appelé auprès de ma cliente je l'ai toujours trouvée dans un état de contracture et de tétanisation géné-rales, la
s. Elles se succèdent et se renouvellent parfois de façon à amener un état de mal hys-térique. Dans ce cas, elles laissent a
ient complètement, la malade reparle les trois langues et reprend son état habi-tuel. DIX-SEPTIÈME OBSERVATION. Hystérie
ans la tête, puis perte de connaissance. 1° La période qui suit cet état est caractérisée par de la raideur du corps, de l
blable à la première et bientôt suivie d'une autre. Elle est alors en état de mal hystéro-épileptique. VINGTIÈME OBSERVATI
des émotions fréquentes, ressenties pendant le temps de la Terreur, l' état de virginité, la vue d'une de ses amies attaquée
les ou physiques, auxquelles la malade auroit été peu sensible dans l' état de santé. Trois ou quatre fois les premières donn
ès fréquents, relatifs cependant pour la fréquence et l'intensité à l' état des règles. Dans les premiers mois de sa rentrée,
à la bouche; le pouls est insensible. Après quelques minutes de cet état , la contraction tétanique cesse, l'agi-tation dev
e. La respiration n'était plus sen-sible et le pouls avait cessé. Cet état dura une heure, après laquelle toutes les fonctio
son, et souvent son corps se courbait en arrière, et restait dans cet état tétanique pendant cinq à six minutes; elle faisai
convulsifs acquièrent une force prodigieuse;la malade est dans un tel état d'hypersthénie, qu'elle résiste avec avantage aux
ître les symptômes de compression cérébrale. Les auteurs parlent d'un état de syncope ou de coma qui aurait simulé la mort p
estmoins rare de voir la malade entrer, sur la fin de Vaccès, dans un état voisin de V extase et du magnétisme, ou dans un d
rs limitées par le genou, un peu plus rouge et plus volumineux qu'à l' état normal. » La jambe est froide; le ventre ballon
ouvert, les anges dans leur gloire, et restait quelque temps dans un état de véritable illumination 2. » NEUVIÈME OBSERVA
sant un petit gémissement qui consistait en hou hou répétés. Dans cet état , elle était pelotonnée sur elle-même ; ses yeux f
ments les plus rapides et les plus variés. Quand elle sor-tait de cet état , ce qui arrivait brusquement, elle souriait, pren
ois à quatre heures avec des alternatives de rechute et de retour à l' état normal. Dans l'intervalle de ces crises, elle res
visite de M. Cerise, mademoiselle C... se trouvait également dans son état normal. Bientôt après, elle eut ses petites extas
u côté gauche les membres sont, après quelques-unes des atta-ques, en état de contracture et agités de secousses rythmiques
l'une, de l'épilepsie précédée d'angine de poitrine; une seconde, un état de mal épileptique (obs. L); une troisième, une a
de force. Hier elle a eu trois accès convulsifs. Décembre 1861. — L' état de cette malade a peu changé. Les phénomènes morb
endant tout ce temps, elle est étrangère à tout ce qui l'entoure. Cet état cesse et tous les membres sont pris d'un trem-ble
ur, morte depuis quinze ans, qui vient, dit-elle, l'ennuyer. Dans cet état , elle a bien conscience de ce que vous lui dites;
cher, etc. ; elle a recouvré l'esprit sans avoir repris ses sens. Cet état dure plus ou moins longtemps, puis des larmes abo
étonnement et la crainte. Elle ne garde aucun sou-venir de ces divers états , qui durent quelquefois trois heures et plus. Une
fois excité l'hilarité de cette jeune fille en lui racontant, dans l' état qui précède le réveil complet, la fable de l'âne
ment et forte-ment projeté en avant. Un hoquet accompagne souvent cet état tétanique. La respiration semble abolie, la malad
t se débarrasser semble lui étreindre le larynx. La face, pendant cet état qui dure de soixante à quatre-vingts secondes, es
lité à la région ovarique ; nous y reviendrons dans un instant. Cet état , avec une alternative de coma et de contractions
ait àses lèvres, et elle l'expulsait par des efforts d'expuition. Cet état , qui se prolongea pendant dix minutes environ, fu
uant. Outre ces attaques, il lui arrivait souvent de marcher dans cet état de sommeil, avec les yeux ouverts. Une fois, elle
la secouant, en la piquant, en lui faisant flairer du tabac. Dans cet état , ou forme somnambulique, elle voyait l'infirmière
ait l'infirmière qui la soignait, mais ne la reconnaissait pas. Cet état somnambulique pouvait être produit artificielleme
nnonce brusque de la mort subite de son père; la malade tomba dans un état de dépression bientôt suivi d'excitation, et se c
rrégularité de la menstruation. Quelques jours après son entrée son état s'était beaucoup amélioré. La dé-pression et l'in
elle qui suivit, les règles firent presque complètement défaut et son état empira; elle avait quotidiennement plusieurs atta
ade agitée et tomba dans une sorte d'extase ou de mort apparente. Cet état cataleptique avec abolition de la conscience, dur
e doit être considérée que comme une atténuation, ou, si l'on veut, l' état rudimentaire de l'hystéro-épilepsie ou hysteria m
et la troisième pé-riode, nous allons les retrouver, sinon dans leur état de complet développement, au moins en germe, dans
in-cipe, perte ordinairement incomplète des sens et de l'entendement; état de syncope plus ou moins prolongé, mais rarement
es hystériques sont, au milieu de leurs accidents convulsifs, dans un état fort remarquable; elles ne voient ni entendent, e
ues ou dans l'intervalle des pa-roxysmes, les malades tombent dans un état de rêvasserie ou de somnam-bulisme. » La distin
en tranchée, est relative à l'in-tensité des attaques et se tire de l' état des fonctions de l'entendement. Tantôt, en effet,
n et d'extension qui dénotent une suractivité musculaire plutôt qu'un état morbide variable. » Mais chez les malades qui p
térieures, la malade offre pendant les rémissions de ses attaques, un état singulier d'extase ou de somnambulisme. » Monne
e peu de temps avant l'attaque. Quelquefois ses facultés sont dans un état d'exaltation surprenante : le langage prend une d
oïde, qu'il ne faut pas confondre avec ce que nous avons déjà Sippelé état de mal hystéro-épileptigve. Celle dernière dénomi
que épileptoïde avec contracture généralisée et perma-nente. § 1. — ÉTAT DE MAL ÉPILEPTOÏnE Il n'est pas rare de voir l'
i est le début d'un nouvel accès. On se trouve alors en présence d'un état de mal parfaitement semblable, du moins en appare
e d'un état de mal parfaitement semblable, du moins en apparence, à l' état de mal épileptique, et que nous avons désigné déj
état de mal épileptique, et que nous avons désigné déjà sous le nom d' état de mal épileptoïde. Les accès se suivent sans int
ans un instant, ne révé-laient leur nature éminemment hystérique. L' état de mal épileptoïde peut se prolonger pendant fort
Sans avoir rencontré un cas aussi accentué, nous avons vu souvent l' état de mal épileptoïde se prolonger 4 ou 5 heures, et
senté de fréquents exemples. L'innocuité de la persistance d'un tel état est, pour qui con-naît la gravité habituelle de l
tance d'un tel état est, pour qui con-naît la gravité habituelle de l' état de mal épileptique, un des contrastes les plus h-
nelle et transitoire. Je dois ajouter que jamais, pendant ce temps, l' état général ne nous a inspiré la moindre inquiétude,
varienne et l'excitation des zones hystérogènes conservent, pendant l' état de mal épileptoïde, les propriétés d'arrêt dont n
les arrêter, et la connaissance revient tout d'un coup au milieu d'un état dont la gravité paraissait au-dessus de toutes le
rces de l'art. Malheureusement rien de semblable ne se produit dans l' état de mal véritablement épileptique. Sans avoir re
tude de succès ^ Mais le signe diagnostic le plus important entre l' état de mal épileptoïde et l'état de mal épileptique,
gne diagnostic le plus important entre l'état de mal épileptoïde et l' état de mal épileptique, réside dans la marche de la t
marche de la température. Nous en avons déjà dit un mot au sujet de l' état de mal hystéro-épileptique. Il résulte des recher
empérature ne tarde pas à s'élever à 40° et plus, en même temps que l' état général s'aggrave, tandis que si c'est l'hystéro-
mes qui dominent la scène. Les attaques dont la réunion constitue l' état de mal épileptoïde, I. Au contraire, dans d'aul
..., Iiystcro-épileptique du service de M. Delasiauvc, au milieu d'un état de mal épilep-toïde. Les aUaques se succèdent san
s Maladies du système nerveux^, ont également trait à la variété de l' état de mal épileptoïde par prédominance du tétanisme.
me viscéral et son retour fréquent peu-vent donner lieu à une sorte d' état de mal épileptoïde, fort grave en apparence, comm
t. La pupille, moyennement dilatée, est sen-sible à la lumière. Cet état se prolonge, aucune excitation ne peut la faire s
Mais la compression de l'ovaire droit nous montre de suite que cet état alarmant n'a d'épileptique que le dehors, et qu'i
naissance ne tarde pas à reparaître entièrement. B... accuse alors un état nauséeux extrêmement pénible. Malgré la compressi
NTRACTURE GÉNÉRALISÉE ET PERMANENTE. A. — Il n'est pas rare, sur un état de conti\acture permanente et généralisée, de voi
re, même pendant la phase de résolution, ne se rencontre guère dans l' état de mal de l'épilepsie vraie. Dans l'observation
mais très faiblement. Ce qui semblerait permettre de rattacher cet état à la période épileptoïde, c'est, outre le tétanis
as complète. Quelques malades ont môme pleinement con-science de leur état , cl, au sortir de l'accès, affirment n'avoir pu,
ssus; les muscles des membres et du tronc sont raidis, tantôt dans un état tétanique, tantôt dans un état clownique, se trad
t du tronc sont raidis, tantôt dans un état tétanique, tantôt dans un état clownique, se traduisant par des coups de pied, d
tion des règles sans changement notable. Après un an passé dans cet état de stupeur, le deuxième dimanche de mai 1839 voit
estèrent tous les mois pen-dant huit jours. En 1843 (27 juillet), l' état s'aggravant de plus en plus, elle entre à l'hos-p
Elle ne peut souffrir les religieuses de l'hospice. Elle est dans un état de faiblesse extrême. On constate les signes d'un
le est dans un état de faiblesse extrême. On constate les signes d'un état chlorotique très accusé. Mais, sous rinducrice
'hal-lucination et ramène la connaissance, laissant la malade dans un état d'ébriété qui persiste, comme effet direct de l'a
entrer exactement dans le môme cadre. L'extase est le plus souvent un état complexe, fréquemment associé à des phé-nomènes m
ui depuis longtemps était sujette à des attaques de nerfs, et que son état de grossesse rendait encore plus impressionnable,
lendemain de son entrée, cette jeune fille se présente à nous dans l' état suivant : La figure est altérée, le regard inqu
affreux que son imagination lui représente. Pendant deux jours, cet état d'agitation extatique se reproduisit d'une ma-niè
quelques minutes. La malade perdait connaissance et se livrait en cet état , à des mouvements désordonnés, qu'à peine plusieu
soir; je devais me bâter, me dit-on, si je voulais voir la malade à l' état de veille, parce que ses accès arrivaient à quatr
che était un peu infléctiie et le bassin légèrement incliné. En cet état , elle offrait très exactement l'altitude d'une im
1 b. 8 min. La malade laisse tomber sa tête sur l'épaule gauche; même état . )) 1 h. 9 min. Elle se soulève assez maladroil
oint la sensibilité spéciale à l'organe qui était enjeu, mais bien un état d'byperesthésie analogue à l'hy-peresthésie ovari
ues et psychiques. Il ressemblait en tout aux hystériques femmes en état de mal : délire in-terrompu par des crises. La re
e, revenu à la raison, mais tou-jours sujet à des crises. Depuis, l' état mental est resté bon; les crises continuent avec
est en voie de guérison. Nous Lavons encore revu en décembre; même état ; les crises se pré-sentent une ou deux fois par j
, mariée. Entrée à la Salpétrière, le 5 juin 1865. Elle est dans un état voisin de la stupeur. Son regard est égaré, ses r
une de ses sœurs, dix jours après un accouchement, est tombée dans un état maniaque qui a nécessité son envoi à la Salpétriè
ersée en arrière, la bouche toute grande ouverte, immobile et dans un état de stupeur apparente. Daw6' une autre, elle eut d
arder aucun aliment solide ou li-quide, la plongèrent bientôt dans un état de faiblesse alarmant. Du reste, pas le plus lége
, fond en larmes; puis au bout de quelques heures, elle revient à son état habituel ^ Obs. V. Attaques convulsives, avec i
de plus cher? » Puis elle revint à elle-même. Le 31 janvier, le même état se reproduisit avec les mêmes symptômes. Mais peu
it été annoncé à la malade comme un jour de délivrance, mit fin à cet état mi-sérable, et, comme la première fois, ce fut en
de. Assez mal réglée depuis l'âge de quinze ans, elle a passé par des états de maigreur et d'embonpoint extrêmes. Au mois de
, s'arrachant les cheveux, ayant les idées les plus incohérentes; cet état dura deux heures. Enfin pendant la journée et les
entre-mêlé de rémissions, pendant lesquelles la malade était dans son état ordi-naire et n'avait aucun souvenir de ce qu'ell
re la camisole de force. Nous eûmes l'idée de l'hypnotiser dans cet état . Quelle ne fut pas notre surprise en la voyant au
rise en la voyant au bout de peu de temps s'assoupir, puis passer à l' état hypnotique! A partir de ce moment elle fut comme
r les yeux, mais sans parvenir à l'endormir. Le lendemain matin, même état . Il avait duré toute la nuit, mais moins violent
onnée à elle-même, M.... ne paraissait avoir aucune conscience de son état ; cependant, si on l'interrogeait en y mettant bea
s, mais empreintes d'une profonde mélancolie. Deux jours après, cet état mental se dissipa brusquement, faisant place à fi
ue, cris, pleurs, rires alternatifs... La malade resta dans le même état , alternativement atteinte de délire et de trouble
, le regard atone, sans raideur dans les extrémités, sans fièvre. Cet état d'où, quoi qu'on fasse, il est impossible de la t
que franche, parfois assez vive, éclatant brusquement à la suite d'un état de mélancolie consciente ou demi-consciente, sans
enir en arrêt leur imagination vagabonde, de retomber aussitôt dans l' état d'où vous les avez tirées. » J'ai signalé avec in
ns l'état d'où vous les avez tirées. » J'ai signalé avec insistance l' état de demi-connais-sance qui accompagne le plus souv
l'on voit les accès de délire hystérique revêtir quelques traits de l' état som-nambulique, comme l'insensibilité à tous les
signalé par tous les auteurs, se rapproche de ce qui se passe dans l' état de somnambulisme pendant lequel la malade accompl
accomplit des actes avec une adresse qu'elle ne saurait retrouver à l' état de veille, ce Quel-quefois, dit Briquet, la vital
te pour le médecin légiste de connaître cet ordre de faits, puisque l' état céré-bral spécial où se trouve l'hystérique l'aba
s. » « Le talent de ces malades, « ditNiemeyer, » pour inventer des états par lesquels elles se promettent de faire sensati
en effet susceptibles, sous des influences diverses, d'entrer dans un état de somnambu-lisme ou de catalepsie, dont l'étude
l'ombre. Une connaissance plus nette et plus approfondie des divers états désignés sous le nom de catalepsie et de somnambu
s résultats. qui lui permette d'embrasser l'ensemble des différents états ner-veux provoqués dont je vais donner la descrip
signes diagnostiques physiques et facilement appréciables des divers états nerveux produits, en nous renfermant d'abord dans
es pliysiques ou somatiques qui pouvaient caractériser les différents états nerveux que nous avions produits. Ce n'est que pl
d'esquisser, d'après leur mode de groupement naturel, les différents états ner-veux qu'ils servent à caractériser. PREMIÈR
à plusieurs minutes) et parfois d'une façon ins-tantanée, survient l' état cataleptique. La malade est comme fas-cinée, immo
e n'est point contracturée, et tous ses membres ont la souplesse de l' état normal ou à peu près (quelquefois ils sont le siè
s qu'elle aurait même peine à prendre quand elle n'est point dans cet état . Toute communication de la malade avec le monde e
s le langage de Braid, on appelle le phénomène de la suggestion ^ Cet état de catalepsie dure aussi longtemps que l'agent qu
pières supérieures avec la main, la catalepsie fait place à un nouvel état qui en diffère essentiellement et qui répond à ce
t peut-être assez im-proprement employé ici, car nous verrons que cet état , spécial diffère par bien des caractères du vérit
ctes, les yeux fermés, à peu près avec autant de précision que dans l' état de veille. Le sens musculaire, suivantla remarque
lui pose avec plus de précision qu'elle ne le saurait faire dans son état normal; il semble que l'intelligence soit plus ex
émissement des paupières, etc.). Pour faire sortir la malade de cet état , comme de l'état catalep-tique, il suffit de lui
upières, etc.). Pour faire sortir la malade de cet état, comme de l' état catalep-tique, il suffit de lui souffler sur le v
res, témoignant ainsi de la connexité qui existe entre ces différents états et l'attaque convulsive vraie. Dans aucun cas nou
i s'est passé pendant ce sommeil -. En résumé, on voit que les deux états que nous venons d'étudier sont ainsi caractérisés
ce sous ce rapport entre la léthargie et la catalepsie. Dans ces deux états le pouls est régulier, il bat de 80 à 100 pulsati
mmet/(première phase), som-nambulisme (deuxième phase.) Pendant cet état de léthargie hypnotique, l'action des zones hys-t
l'arrêt de l'attaque, sans que la malade sorte, pour ainsi dire, de l' état hypnotique. La malade n'a absolument conscience d
rmine point en même temps le réveil, et laisse la malade dans le même état de sommeil que celui dans lequel elle se trouvait
l'expression de M. Gharcot, les preuves analomiques de la réalité des états nerveux ainsi provoqués et écarte d'une façon pér
tenus par l'électrisation faradique de ces points moteurs, pen-dant l' état normal, se trouvent reproduits d'une façon identi
identique par l'excita-tation mécanique de ces mêmes points pendant l' état de léthargie provoquée^ avec cette différence tou
u'aux membres la contracture remplace la contraction. Dans ce dernier état , les muscles et les nerfs sont également sensible
été répétées un grand nombre de fois. Eufm il paraîtrait que dans cet état nerveux certains muscles font exception à la règl
icheu. 24. cherchant avec l'extrémité mousse d'un crayon, pendant l' état léthargique, nous les avons facilement trouvés ch
ongtemps à cause de la douleur qui l'accompagne, chez l'hystérique en état de léthargie, l'excitation mécanique des mêmes ne
end une attitude caractéristique que l'excitation faradique faite à l' état normal n'a-vait qu'à peine indiquée. La main se t
ères de la malade léthargique pour faire revenir tous les signes de l' état cataleptique. Dans ce cas la catalepsie et la lét
être variée de la façon suivante. Supposons la malade plongée dans l' état cataleptique sous l'influence d'une vive lumière.
CONTRACTURE PERMANENTE ARTIFICIELLE. Les contractures variées que l' état de léthargie permet de don-ner à la malade se rés
tement, si on vient à la faire passer directement de la léthargie à l' état normal par les divers procédés: souffle sur le vi
s, par les procédés que nous venons d'indiquer, est sous le coup d'un état spécial du système musculaire, que l'on pourrait
bien connue, qui consiste à faire tomber un coq ou une poule dans un état assez analogue à la catalepsie de l'homme, en lui
en plaçant un coq devant une lumière de Drummond; survient bientôt un état qui ressemble à la catalepsie, mais qui n'est jam
s résidait dans rimaginalion de ranimai. Récemment, en Allemagne, cet état cataleptiforme a été reproduit par divers procédé
as le seul agent qui puisse plonger les hystéro-épileptiques dans les états de catalepsie et de léthargie ; les mêmes 1. Le
runtée à un ou-vrage publié sans nom d'auteur, par un Français. Sur l' état cataleptique chez les animaux, voy., en outre des
gie possède tous les caractères dé-crits précédemment. Au milieu de l' état léthargique, de nouvelles vibrations du diapason
etite prome-nade au grand air, aient tout fait disparaître, — dans un état de prédisposition tout spécial qui fait qu'elle e
lumière, il suffisait de leur fermer les yeux pour les plonger dans l' état léthar-gique. Dans le cas présent, la même manœuv
esthésiques, et devenant anesthésique totale. Elle demeure dans cet état mental jusqu'au 3 décembre. Le 1" et le 2 décen
le calme ; mais, les attaques terminées, elle se trouve dans le même état mental qu'au-paravant. Enfin, le 3 décembre, à
roi, les yeux sont ouverts. Si on lui ferme les paupières, survient l' état léthargique et tout le cortège des phéno-mènes dé
ous rendions près d'elles^ nous pouvions à volonté les plonger dans l' état léthargique en leur fermant les yeux et repro-dui
s à endormir par ce moyen, la léthargie semble précédée d'une sorte d' état catalep-tique. Tout ceci s'obtient sans passe auc
Dans cette expérience, la malade paraît être plongée d'emblée dans l' état léthargique, sans passer par l'état cataleptique,
raît être plongée d'emblée dans l'état léthargique, sans passer par l' état cataleptique, comme dans les expériences précéden
le-ment, il pourra parvenir à fixer cette phase qui n'est autre que l' état cataleptique; en effet, la malade, abandonnée à e
rs, quelquefois dans un seul. Ils sont le siège d'une certaine 1. L' état cataleptique ainsi obtenu présente, en outre des
es d'ordre psychique dont nous parlerons plus loin. raideur. Mais l' état cataleptique est bien imparfait, car le membre so
ataleptique et faire cesser l'hyperexcita-bilité musculaire. Les deux états , léthargie et catalepsie, n'en sont pas moins net
avons déjà lon-guement décrite. Le soulèvement des paupières amène l' état cata-leptique, de la même façon que dans les obse
les deux épaules. B... est endormie par le regard. Elle est dans l' état que nous avons appelé léthargie avec hyperexcitab
mais les choses en restent là, et la malade se trouve dans un nouvel état de som-meil avec rigidité souvent générale. Cet
bilité mus-culaire n'existe plus. En apparence, rien n'est changé à l' état de léthargie hystérique dans lequel la malade se
ieures et le somnambulisme paraît plus parfait. Pendant ce deuxième état de sommeil, si l'on vient à exercer une pression
adique, quelque forte qu'elle soit, n'a jamais pu mettre le muscle en état de contracture per-manente et n'a jamais produit
on du vertex est plus ou moins forte. 2" La production de ce nouvel état de sommeil est d'autant plus facile qu'il a été p
hallucination est suivie soit du réveil spontané, soit du retour de l' état cataleptique. 6" Ce nouvel état nerveux s'accom
éveil spontané, soit du retour de l'état cataleptique. 6" Ce nouvel état nerveux s'accompagne parfois de phénomènes psychi
hénomènes psychiques particuliers (hallucinations provoquées) et d'un état d'hyperesthésie spéciale qui permettent de le rap
attention sur les phénomènes psychi-ques qui accompagnent les divers états nerveux dont jusque-là nous avions étudié surtout
rtout les phénomènes somatiques. Nous 1. J'attire l'attention sur l' état nerveux spécial dont il est question ici et qui e
re secousse, sans le plus petit signe épileptoïde. On examine alors l' état de la contractililé musculaire, les muscles ne ré
ctes de somnambulisme. Nos malades nous ont paru alors dans le même état que celui que nous pou-vions provoquer par la pre
-rique et de quelques-unes de ses variétés. PREMUiRE OBSERVATION. — ÉTAT DES SENS PENDANT la CATALEPSIE HYSTÉRIQUE PROVOQU
rayons visuels en strabisme interne et supérieur. Elle tombe dans cet état connu sous le nom de léthargie avec hyperexcitabi
opriété de conserver les attitudes communiquées, la malade est dans l' état cataleptique. Je résumerai les caractères déjà
l'état cataleptique. Je résumerai les caractères déjà connus de cet état . Insensibilité générale à la piqûre. Fixité du
tion terrible. Sous l'influence de l'hallucination ainsi provoquée, l' état cataleptique peut cesser complètement, la malade
regards de la malade, l'œil reprend aussitôt sa fixité première et l' état cata-leptique général revient avec tous les carac
n des différents sens. A. La malade cataleptique, dont l'œil est en état de percevoir les mouvements de l'expérimentateur
Aussitôt que la malade n'est plus en mouvement, elle retombe dans l' état cataleptique qui persiste jusqu'à ce qu'une nouve
la maintenir quel-ques instants pour que, l'impression s'effaçant, l' état cataleptique général reparaisse. Si l'on place
t l'usage estconnud'elle, on la voit, presque aussitôt, sortir de son état cataleptique pour se livrer, en quelque sorte fa-
s et ne diffèrent en aucune façon de ceux pour lesquels la malade à l' état de veille déploie toute son intelligence. Ils sem
léthargique. On met entre les mains delà malade, toujours pendant l' état cataleptique, du tabac et du papier à cigarette.
l'extré-mité qui flambe et elle ne les retire pas. Elle est dans cet état complètement anesthésique. Enfin nous lui mettons
ère des gens qui ne savent pas. Cette expérience montre que, dans cet état d'automa-tisme, la malade vit bien sur son propre
correspondante s'arrête, le bras re-tombe inerte, les muscles sont en état d'hyperexcitabililé musculaire, mais l'autre main
par l'extrémité et la roule minutieusement, la remettant ainsi dans l' état où elle était lorsque nous la lui avons donnée. C
indiqué et n,e s'arrête qu'à la fin de la page. Pendant la lecture, l' état cataleptique a cessé, car si l'on cherche à soule
qu'elle est amblyo-pique et achromatopsique de l'œil droit et que cet état persiste pendant la catalepsie comme nous en four
mène de la poursuite fatale et inconsciente d'une action, pendant cet état d'automatisme, peut être constaté ici et s'est pr
ais rien de ce que nous attendions n'arrive. Bar... n'est pas plus en état de retourner le livre, qu'elle peut écarter une f
hallucinations provoquées pendant l'État cataleptique. Pendant l' état cataleptique, la persistance de l'ouïe permet à l
épendance de l'observateur qui la dirige à son gré. Une fois dans cet état hallucinatoire, le sujet ne répond aux questions
aître toute hallucination. Du moment oû se produit l'hallucination, l' état ca-taleptique cesse et la malade peut exécuter to
ît, soit spontanément, soit chassée par la parole de l'observateur, l' état cataleptique revient immobilisant le sujet dans l
moment oû l'image a disparu de son esprit. Pendant que B..., est en état cataleptique, on attire son regard et, le dirigea
e, on lui dit qu'elle est dans un jardin rempli de fleurs. Aussitôt l' état cataleptique cesse, elle fait un geste de surpris
l'hallucination avec l'attitude ou le mouvement qui la traduit, et l' état cataleptique avec absence complète d'impression p
et que nous avons nous-même rencontrée sous une certaine forme dans l' état de somnambulisme sans hyperexcitabilité musculair
r par degrés et disparaît spontanément laissant toujours la malade en état cataleptique. Pendant que la malade dominée par
possibles que pour l'oeil qui n'est pas achromatopsique. Bar..., à l' état de veille est achromatopsique de l'oeil droit.
ique de l'oeil droit. Au point de vue du réveil provoqué, pendant l' état cataleptique, et pendant cet autre état nerveux q
du réveil provoqué, pendant l'état cataleptique, et pendant cet autre état nerveux que l'on peut appeler l'état hal-lucinato
taleptique, et pendant cet autre état nerveux que l'on peut appeler l' état hal-lucinatoire, une différence existe. Dans l'ét
on peut appeler l'état hal-lucinatoire, une différence existe. Dans l' état cataleptique simple, un souffle léger sur le visa
ir que l'observateur possède sur l'ori^^anisation du sujet mis en cet état nerveux spécial peut aller encore plus loin et dé
Il arrive même parfois que les sens qui sont complètement abolis à l' état normal, ne sont pas, dans l'état cataleptique sus
ens qui sont complètement abolis à l'état normal, ne sont pas, dans l' état cataleptique susceptibles d'hallucinations. Ainsi
gotit et du tact du môme côté, conserve pendant la catalepsie ce même état des sens, et voici ce que nous avons pu constater
aler une particularité curieuse que nous avons ren-contrée, pendant l' état cataleptique, chez deux de nos malades. l'hallu
er encore l'expérience plus loin, nous avons déjà vu que, pendant cet état cataleptique, il suffit de placer les bras de la
s fois a toujours donné les mêmes résultats. Cette malade pendant l' état de veille ne peut par sa seule volonté provo-quer
ation provoquée que je viens de décrire n'accompagnent pas toujours l' état cata-leptique. Il est des malades chez lesquelles
s toujours l'état cata-leptique. Il est des malades chez lesquelles l' état cataleptique se borne aux phénomènes indiqués dan
vives appel-lations, la malade ne bouge pas plus qu'une statue, et l' état cata-leptique persiste toujours au même degré. Wi
psychique alterne avec le trouble musculaire, l'hallucination avec l' état cataleptique. Certains faits d'automatisme qui pr
plet développement l'automatisme et les halluci-nations provoquées, l' état cataleptique n'est pas toujours apte à la product
its d'automatisme et d'hallucination provoquée soient possibles que l' état cataleptique succède à la léthargie ^. 1. Lorsq
nces d'automatisme rapportées plus haut ont été reproduites pendant l' état cataleptique succédant à l'état léthargique occa-
us haut ont été reproduites pendant l'état cataleptique succédant à l' état léthargique occa-sionné par la convergence des ax
e) amène, au bout de peu d'instants, la catalepsie générale. Dans l' état cataleptique ainsi produit sur Bar..., la suggest
cinations provoquées pendant l'État de léthargie ou de somnambulisme, état des sens Des hallucinations peuvent être égalem
sens Des hallucinations peuvent être également provoquées pendant l' état de somnambulisme. Elles diffèrent de celles dont
uci-nations de la vue ne sont pas possibles (les malades ont dans cet état les yeux fermés) pendant que tous les autres sens
ndant que tous les autres sens peuvent subir fhallucination. Dans cet état l'automatisme si saisissant de l'état cataleptiqu
subir fhallucination. Dans cet état l'automatisme si saisissant de l' état cataleptique n'existe pas, ou il existe dans des
ste pas. En voici deux exemples qui serviront également à montrer l' état des sens pendant fétat de somnambulisme. Suzann
fermées) et du goût, sont conservés du côté non hémianesthésique à l' état de veille. L'anesthésie à la piqûre est complèt
ne donnent lieu à aucune sensation. 11 n'est pas possible dans cet état de provoquer ni illusions ni hallucina-tions d'au
bien que ses yeux soient fermés. semblables, est survenu un nouvel état nerveux qui par ses caractères diffère beaucoup d
la douleur persiste. La parole est conservée, et, de même que dans l' état précédent, la malade peut communiquer ses impress
a malade peut communiquer ses impressions. Les sens sont dans le même état que dans la léthargie avec hyperexcitabilité. La
nt ou disparaissent au gré de l'observateur, sans changer en rien l' état de la sensibilité ou de la motilité. Pendant to
tait absolument impossible de susciter, mais Suzanne est alors dans l' état de suggestion dont nous avons parlé dans les expé
s, car, l'hallucination une fois pariie, elle retombe aussitôt dans l' état catalopticjue, et les phénomènes d'automatisme do
e dont il a été question se développent facilement. Gl... pendant l' état de léthargie provoquée parla fixité du regard pré
à la piqûre est abolie aussi bien à la peau qu'aux muqueuses. Mais l' état des sens reste à peu près le même qu'à l'état de
u'aux muqueuses. Mais l'état des sens reste à peu près le même qu'à l' état de veille. (Gl. est hémianesthé-sique droite). El
ête on fait disparaître lliyperexcita-bilité musculaire, et le nouvel état nerveux ainsi produit se révèle par de nouveaux s
nouvel état nerveux ainsi produit se révèle par de nouveaux signes. L' état des sens demeure le même que précédemment et la m
nt toujours fermés au moins en apparence. (Nous avons vu que dans cet état , chez Suz,.., les hallucinations de la vue n'étai
comme un rêve qu'un trop brusque réveil aurait effacé. Pendant cet état hallucinatoire, si l'on soulève les paupières de
à ce qui se passe chez Suz.., au lieu d'être remplacée bientôt par l' état cataleptique, l'hallucination au bout de peu d'in
ontané. Je dois ajouter que Gl... contrairement à Suzanne présente un état cataleptique absolument rebelle à toute hallucina
t les hallucinations provoquées, ou simplement sug-gérées pendant cet état de somnambulisme, persistent quelquefois pendan
e la malade, se rappro-chant en cela de la contracture qui survit à l' état léthargique pen-dant lequel elle a été provoquée.
i survit à l'état léthargique pen-dant lequel elle a été provoquée. L' état dans lequel se trouvent alors les malades se rapp
CARACTÈRES DU SOMNAMBULISME SANS IIYPEREXCITABILITÉ MUSCULAIRE Cet état de somnambuhsme provoqué offre les plus grandes a
inaires qui permettent d'entrevoir les ressources que peut offrir cet état ner-veux spécial, au point de vue du merveilleux,
dente ne sont pas toujours pos- sibles et notre malade B..., dont l' état cataleptique est si riche en troubles psychiques
tions qu'on lui pose, l'intelligence paraît même plus éveillée qu'à l' état nor-mal. Nous ne lui avons cependant jamais vu dé
her les objets dont on lui indique la place. Enfin je signalerai un état spécial d'attraction de la malade pour certaines
montré dans nos expériences avec beaucoup de netteté. Bar... dans l' état de somnambulisme sans hyperexcitabilité musculair
pressant avec le doigt sur le sommet de sa tête, l'a plongée dans cet état . S'il s'éloigne, elle devient inquiète, se met à
e point a été fait par l'intermédiaire d'un objet quelconque, le même état nerveux de somnambulisme sans hyperexcitabilité n
omnambulisme sans hyperexcitabilité ne s'en produit pas moins, mais l' état spécial d'attraction, dont je parle, n'existe pas
se celles de chacun des observateurs et ne veut pas les abandonner. L' état spécial d'attraction existe à la fois pour les de
fait d'observation régulièrement observé DESCRIPTION DES DIFFÉRENTS ÉTATS NERVEUX PROVOQUÉS. Après avoir rapporté les rés
é à la solution de ces difficiles problèmes. Je distinguerai quatre états nerveux particuliers dont je résu-merai le mode d
ion élective se produit au sujet de la contracture provoquée dans cet état . L'observateur dont le contact est supporté par l
ulaire ; 4" État de léthargie sans hyperexcitabilité musculaire, ou état de somnambulisme. § 1. — CATALEPSIE HYSTÉRIQUE
Toutes les pratiques usitées dans f hypnotisme peuvent faire naître l' état cata-leptique; nous voyons en effet la catalepsie
roduise. » Enfin, dans le cours de nos expériences, nous avons vu l' état cataleptique remplacer immédiatement fétat léthar
ert (Obs. II, p. 371). Dans ce cas, nous avons lieu de penser que l' état cataleptique produit est sous la dépendance d'une
urité complète, la catalepsie par soulèvement des paupières pendant l' état léthargique, n'est plus possible. Lorsqu'on soulè
ez Wit..., nous avons vu parfois les inhalations d'éther provoquer un état cataleptique parfait, qui se transformait immédia
agère, toujours d'a-près la remarque de Spring, survient, même dans l' état de santé, à la suite d'une émotion profonde. On v
ent, jusqu'à ce que l'intensité de la lumière augmentant peu à peu, l' état cataleptique des membres s'accuse par degrés et s
ait d'autres expériences avec la lumière colorée. Lorsque pendant l' état cataleptique ainsi obtenu, la lumière est supprim
elation de Cardan, je n'étais pas très convaincu de l'analogie de cet état de rigidité des moissonneurs avec la catalepsie,
a messe à Montmorillon (Vienne); on le rap-porta à sa demeure dans un état de catalepsie complète^, et il ne recouvra connai
réelle : mais, dans un certain nombre de cas, il y a persistance de l' état normal des sens. » [loc. cit.) Cerise rapporte
ues, à celle que donne la flexibi-lité de la cire. L'intensité de l' état cataleptique semble en rapport avec la rai-deur d
ième névrose ayant quelque analogie avec le somnambulisme, et que cet état étant donné, des rapports peuvent s'établir avec
ne de la suggestion (Obs. 1,1'" série). Tels sont les signes de cet état qui nous paraît présenter les ca-ractères de la c
il mérite seul d'en conserver le nom. Nous le distinguerons du second état que l'on pourrait di^^eier cataleptiforme, qui ac
avec le premier. Nous donnerons les signes différentiels de ces deux états , qui, tout en présentant une certaine analogie pa
roduction de la léthargie avec hyperexci-tabilité musculaire \ 1. L' état cataleptique est signalé par Azam comme un des ph
est signalé par Azam comme un des phénomènes les plus constants de l' état hypnotique. « Il peut exister, dit-il, avec l'ane
ntrer avant môme l'anesthésie. » Enfin nouveau rapprochement avec l' état cataleptique que nous avons décrit : « J'ai recon
ndante du corps... » § 2. — AUTOMATISME. HALLUCINATIONS PROVOQUÉES. ÉTAT DE SUGGESTION Je rapproche de la catalepsie cet
NS PROVOQUÉES. ÉTAT DE SUGGESTION Je rapproche de la catalepsie cet état singulier dans lequel la malade sous l'empire d'h
ation spéciale des sens accomplit automatiquement certains actes. Cet état que pour plus de concision je désignerai sous le
ctes. Cet état que pour plus de concision je désignerai sous le nom d' état de suggestion, — parce que la malade ne s'apparti
angère — offre ceci de remarquable qu'il peut être provoqué pendant l' état cataleptique et qu'il alterne avec lui. Il se pro
oduit là une sorte de balancement qui fait que la malade, sortie de l' état cataleptique pour entrer en état de suggestion, r
qui fait que la malade, sortie de l'état cataleptique pour entrer en état de suggestion, retombe na-turellement et fataleme
t de suggestion, retombe na-turellement et fatalement dans le premier état , aussitôt que l'in-fluence qui a fait naître le s
paru, soit spontanément, soit sous l'action de l'expérimentateur. L' état cataleptique et l'état de suggestion qui se rempl
, soit sous l'action de l'expérimentateur. L'état cataleptique et l' état de suggestion qui se remplacent réciproquement ch
correspondant ^ 1. Les connexions si étroites qui existent entre l' état cataleptique et l'état hallu-cinatoire sont encor
es connexions si étroites qui existent entre l'état cataleptique et l' état hallu-cinatoire sont encore révélées par le fait
toire sont encore révélées par le fait suivant : Dub..., présente l' état cataleptique simple, celui qui répond à l'obs. I,
sont pas possibles. Et cependant on retrouve les liens qui unissent l' état cataleptique à l'hallucination pi'Ovoquée dans l'
sans hyperexcitabilité, les oulèvement des paupières ne ramène plus l' état cataleptique comme cela a lieu pour le sommeil av
mps, elle s'évanouit bientôt spontanément et laisse la malade dans un état cataleptique pro-fond, indifférent à toute tentat
ute tentative d'hallucination provoquée. En résumé, nous voyons ici l' état cataleptique avoir besoin pour se produire de la
eau l'hallucination provoquée de la vue. A. Mode de production. — L' état de suggestion succède à l'état de catalepsie remp
e la vue. A. Mode de production. — L'état de suggestion succède à l' état de catalepsie remplissant certaines conditions pa
particulières (per-sistance au moins partielle des sens). Lorsque l' état cataleptique est apte au développement de ces phé
a catalepsie et peut aussi faci-lement y mettre fm par le retour de l' état cataleptique. B. Caractères. — Je ne rapportera
t des muqueuses. T L'œil est ouvert, le regard a perdu sa fixité. L' état catalep-tique n'existe pas et la malade conserve
e la suggestion. Par suggestion, Braid entend ceci : un sujet, dans l' état cataleptique, est placé dans une position donnée
deaux) dans l«s Arch. gén. de méd., janv. 1860.) ce qu'ils sont à l' état normal et permet à l'observateur d'impres-sionner
ait modifier. Nous avons vu quelquefois une scène provoquée pendant l' état de suggestion dont il est question ici, se reprod
a malade conserve parfois des hahucinations provoquées. T Pendant l' état de suggestion le réveil n'est pas aussi facile-me
suggestion le réveil n'est pas aussi facile-ment obtenu que pendant l' état cataleptique. Le simple souffle sur le visage ne
es) sous l'influence duquel s'est produite la catalepsie. Pendant l' état cataleptique, quel qu'ait été son mode de produc-
nt au môme résultat, mais par-fois en faisant passer la malade par un état cataleptique de peu de durée, quoique fort appréc
aient résisté à l'opium se sont vues enrayées, suspendues pendant cet état particulier de leur système nerveux (l'hypnotisme
un certain degré (le plus sou-vent ceux du côté hémianesthétique à l' état de veille demeurent complètement abolis) et perme
ncomplète et partielle (Obs. VII, 1'' série), qui cède à la friction ( état cataleptiforme). T Toujours hyperexcitabilité m
isté à l'emploi de la morphine, étaient calmés par la production d'un état léîhargi({ac provoqué par l'approche d'un aimant
dans l'ensemble des phénomène.s qui caracté-risent chacun de ces deux états nerveux. On verra au paragraphe suivant que si ce
es deux états nerveux. On verra au paragraphe suivant que si ces deux états de somniation ont des signes communs, ils diltère
le à établir et saisis-sante chez les malades qui présentent les deux états . L'expérience suivante vient à l'appui de cette m
é (voy. obs. p. 381). La pression sur les deux yeux peut modifier son état et faire reparaître l'hyperexcitabilité. La press
perexcitabilité n'existe en aucune façon. Mais la différence des doux états nerveux qui se partagent alors la malade ne consi
lement, comme on peut le voir par ce qui suit. Nous savons que dans l' état léthargique avec hyperexcitabilité, ou premier so
xpérience qui a été faite : Pendant que Rar... est plongée dans cet état que j'appelle pour plus de concision le deuxième
venu au premier tommeil. En elfet, si ce cliangemenl survenu dans son état dynamomètre, par exemple ; si alors on malaxe l
niers cas rangés par les auteurs parmi les attaques catalepti-ques, l' état du muscle ne peut-il être rapproché de cette vari
parfois la léthargie et que nous proposons de désigner sous le nom d' état cataleptiforme. Cet état cataleptiforme, qu'il
e nous proposons de désigner sous le nom d'état cataleptiforme. Cet état cataleptiforme, qu'il n'est pas rare de voir acco
friction, font cesser la catalepsie sur un membre, sur un doigt; cet état revient en replaçant doucement le membre à sa pla
la force développée est au moins d'un tiers plus considérable qu'à l' état ordinaire. » (p. 5). Nous avons vu comment les
ureu-sement contractures; depuis déjà 20 minutes, elle était dans cet état si souvent pré-curseur d'une attaque. Nous la con
loureuses comme nous le savions ; bientôt ses mairs revin-rent à leur état ordinaire et la malade, à son réveil, fut fort ét
e un peu brusque-ment le membre d'une malade dont les muscles sont en état d'hy-perexcitabilité, ou bien, qu'après avoir sou
e la véritable catalepsie décrite plus haut, et de f autre, ceux de f état cataleptiforme, il nous est facile de les consign
e ne mo-difient en aucune façon la position com-muniquée au membre. ÉTAT CATALEPTJFOUME ue la léthargie — Yeux fermés.
IIVSTÉ-,KIQUE. A. Mode de production. — Nous avons pu provoquer cet état d'une façon sûre et constante chez la plupart de
des par la friction ou simplement la pression sur le vertex pendant l' état de léthargie avec hyperexcitabilité musculaire.
tion, et l'on voit cet effort devenir en ({uelque sorte constant et l' état cataleptique du membre élevé se produire. C'est d
'ai pris l'in-dication de cette expérience... Il arrive souvent que l' état cataleptiiiue ne peut être produit que dans les m
h l'autre et la remplaçait spontanément, comme par les progrès de l' état pathologique spécial que l'on avait provoqué. L
'anœuvres habituelles des magnétiseurs ont pour effet de produire cet état de somnambulisme hystérique immédiatement sans fa
stérique immédiatement sans faire passer la malade par les différents états nerveux dont nous avons parlé. Les caractères d
onstaté une tiyperesthésie particulière du tact qui se traduit par un état d'attraction spécial pour les personnes, se produ
te un ordre de contractures d'une autre na-ture qui se rattachent à l' état d'hyperesthésie spéciale dont j'ai parlé, qui ne
llect et la vivacité 1. Souvent alors la voix est plus faible qua l' état naturel et comme voilée. Cette remarque avait été
ifférence qui existe, sous ce rapport, entre ce que nous avons appelé état de suggestion et l'état de somnambulisme dont il
us ce rapport, entre ce que nous avons appelé état de suggestion et l' état de somnambulisme dont il s'agit ici, apparaît d'u
e chez les malades sus-ceptibles de présenter successivement les deux états . Quelques exemples feront bien comprendre. Pend
e redevient aussitôt cataleptique, ainsi que je l'ai dit. Pendant l' état de somnambuhsme, Bar..., accomplit sur l'ordre, c
de tous ses caractères. Cette longue digression, sur les différents états nerveux qu'il est possible de provoquer chez les
suivants à utiliser les notions acquises. 1. La différence entre l' état de suggestion et l'état de somnambulisme se fait
notions acquises. 1. La différence entre l'état de suggestion et l' état de somnambulisme se fait encore bien sentir dans
ple suivant. En plaçant les mains de Par..., pendant qu'elle est en état de somnambulisme, dans l'attitude de la prière, c
mé, la malade par le simple soulèvement des paupières est passée de l' état de somnambulisme dans l'état de suggestion dont n
oulèvement des paupières est passée de l'état de somnambulisme dans l' état de suggestion dont nous avons parlé, et la même a
n dont nous avons parlé, et la même action continuée pendant les deux états , emprunte à chacun d'eux des carac-tères particul
coma, décrite par Briquet, nous paraît rentrer dans ce cadre. h. De l' état cataleptiforme. Î5 I. — ATTAQUE DE LÉTHARGIE SI
d avec anesthésie générale et résolution musculaire. Voyant durer cet état qui ressemblait (n'était l'anesthésie absolue) à
taient pas écoulées que la malade retomba de la même manière, dans un état de sommeil com- plet avec anesthésie générale.
élèves de la clinique, toujours le sommeil avec anesthésie, véritable état léthargique, se produisit dans les mêmes conditio
r la sensation de contact de l'aimant ; dans ces conditions, jamais l' état léthargique n'est survenu et, toujours, il a suff
le réveil était précédé des mêmes mouvements convulsifs. Pendant l' état léthargique la résolution musculaire était com-
Je ne m'étendrai pas longuement sur les attaques de léthargie avec état de mort apparente. Ces faits ont de tout temps fi
chée de ce que nous avons observé chez nos hystériques qui, pendant l' état de léthargie Drpvoquée, conservent, au milieu d
manière étonnante : cinq ou six hommes ne pouvaient la retenir. Cet état dura trois semaines, après lesquelles la chorée s
a malade, dont le système nerveux était débarrassé entièrement de son état morbide, parut aussi fraîche et aussi bien portan
parut aussi fraîche et aussi bien portante qu'auparavant. Pendant son état léthargique, où toutes les fonctions paraissaient
ations dans lesquelles, aux principaux phénomènes qui caractérisent l' état léthargique avec hyperexcitabilité musculaire^ te
s manifestes de congestion céré-brale, qui sont rendus évidents par l' état des yeux, par la coloi^ation de la face, par la g
ien. C'est le phénomène 1. On se souvient que les contractures de l' état léthargique provoqué se ré-solvent par le massage
ilà l'image exacte de la situation. De prime abord, je croyais à un état cataleptique; mais si l'on prend un des deux bras
ux dirigés du côté de la lumière, pour voir si je n'obtiendrais pas l' état cataleptique; mais la contracture tétanique resta
é d'une petite baguette de bois. Pendant que la malade est dans cet état , j'essaye, mais sans résultat aucun, de provoquer
uvent dorsal. A cela se bornent quelquefois tous les symptômes. Cet état ressemble alors à un véritable sommeil; et si pen
s de signaler, on peut reproduire ces mouvements cataleptiques. Cet état de sommeil n'est pas le seul qu'elle présente dan
e à la Salpôtrière, d'où elle sort pour retourner à Orléans. Là son état s'améliore. Au bout de quelque temps, les phénomè
e mercure), et elle ne les eut pas plutôt pris, qu'elle tomba dans un état de catalepsie qui dura douze heures. Je fus la vo
out de quelques heures, tous les muscles du corps se trouvent dans un état complet de raideur, et la violence des douleurs s
Le son le plus léger faisait éprouver à la malade plongée dans cet état une sorte de secousse électrique; ses muscles se
Puel fut amené fortuitement à découvrir un moyen de faire cesser cet état de contracture et de catalepsie. La friction su
phénomènes de catalepsie étaient évidemment sous la dépen-dance d'un état d'hyperexcitabihté musculaire. Les analogies avec
étanique des muscles de la poitrine. c( Les muscles une fois mis en état d'activité par le contact de la main, continuaien
On se trouve ainsi en présence d'un symptôme et non d'une maladie. L' état cataleptique se produit, en effet, dans des condi
PASSIONNELLES Les affinités qui existent entre l'hallucination et l' état catalep-tique des muscles ont été mises en lumièr
s faite de la catalepsie hystérique provoquée. Nous avons vu ces deux états nerveux si différents s'équivaloir en quel-que so
onnelles, les membres de la malade présenter tous les caractères de l' état cataleptique. Math... dont nous avons déjà parl
convulsives depuis le matin. Au moment de la visite, elle est dans un état cataleptique qui dure depuis une heure environ. N
épaules en signe de doute. L'oc-clusion des yeux ne modifie en rien l' état cataleptique. Nous la laissons quelques instant
s diversement placés, assise sur son lit ou couchée. Elle est dans un état cataleptique semblable à celui décrit au début. O
rrive parfois, elle dit très bien qu'elle ne voit rien. C'est alors l' état cataleptique sans hallucination. L'on voit comb
es d'hallucinations provoquées que nous avons rapportées plus haut. L' état de la malade est certainement le même, et la seul
x soient ouverts ou fermés les signes ne changent pas. 11 existe un état cataleptique de tous les muscles que la friction
friction. Frémissement continu des paupières. Les caractères de l' état cataleptique qui accompagne les attitudes pas-sio
s , des observations précédentes, nous n'avons aucunement modifié cet état en abaissant les paupières et en maintenant, quel
violent accès hystérique la première fois qu'elle vit sa fille en cet état . Outre ces accidents communs aux catalep-tiques,
éder de violentes convulsions, et un délire bien plus spirituel que l' état sain. Il arrivait aussi, de temps en temps, qu'el
rs par tomber en faiblesse, quelquefois en syncope ; lorsque dans cet état , on s'avisait de la piquer pour la faire revenir
part des caractères de l'attitude passionnelle, et les attributs de l' état cataleptique. L'attitude est expressive et il e
les ont été les témoins ^. » De plus les membres sont le siège d'un état cataleptique dont l'intensité varie. Au premier d
qu'il est rationnel de considérer comme le degré le plus intense de l' état cataleptique, la raideur est telle que le déplace
s qu'elle assistait à la messe et lors de l'élévation du calice, d'un état d'extase cata-leptiforme ^. Obs. III. Dans des
a des-cription de l'attaque hystérique, la convulsion fait place à un état d'extase, ou à une syncope, qui se prolonge assez
table erreur (Vésale); il n'est pas rare que l'extase coïncide avec l' état cataleptique du système mus-culaire ; j'ai observ
convulsive: mais deux ou trois fois la semaine, elle tombait dans un état d'extase avec catalepsie qui se prolongeait au mo
Delasiauve a déjà tenté de rattacher à un même trouble céré-bral deux états nerveux si opposés en apparence Pour le mo-ment,
ogique que soulève cette union des hallucinations de l'extase et de l' état 1. Cette malade a été observée par M. Privat en
s nous avons vu^ sous l'influence de pratiques hypnotiques variées, l' état catalep-tique et les hallucinations alterner chez
alées. Chez une de nos malades, B...,j'ai observé plusieurs fois un état cataleptique manifeste inaugurer la grande attaqu
ête et Vextrémité des^orteils, madame X... retomba sur son Ht dans un état de résolution complète; le pouls était calme, bat
es muscles du visage se contractât et accusât la moindre douleur. Cet état dura un quart d'heure environ ; il cessa comme il
te. » Si on lui ployait un doigt ou plusieurs, ils restaient dans l' état où on les mettait; si on les tendait, c'était la
leptiformes, souvent entre-coupées de hoquets, et se terminant par un état cataleptique ( avec flexi-bilité cireuse très mar
it exécuter les mouvements qu'elle désirait, que lorsqu'elle était en état de diriger ses yeux vers ses membres. A la suite
e devait être jugée, elle tomba vers les cinq heures du soir, dans un état que Ton prit pour une apoplexie, et l'on alla en
faible de ce côté. ... En janvier 1875, en outre de l'anesthésie, l' état hystérique de Marie Lecomte se traduisait par une
re et silencieuse, les membres dans la résolution complète, tel est l' état dans lequel on la trouve à la visite du matin. Un
'abdomen, dans tous ses points, est d'une sou-plesse remarquable. Cet état de loquacité et de demi-catalepsie, rappelant le
cinq heures du matin, tout s'apaise, et on retrouve la malade dans un état de catalepsie absolue comme la veille. Cet état p
uve la malade dans un état de catalepsie absolue comme la veille. Cet état persiste pendant tout le jour. La malade est soum
vient pas sur elle-même, et les muscles de la région, participant à l' état cataleptique, gardent l'empreinte de la main, — I
sihésie n'a pas cessé un seul instant d'être absolue. La raideur et l' état cataleptique des muscles, bien que fortement dimi
uriné deux fois sous elle. Le 13. La nuit s'est passée dans le même état . Au matin hallucinations, demi-connaissance. A
s le début de son attaque. Le 24. La malade est presque revenue à l' état normal. Le 1" mai. La malade ne se ressent plus
e suite, au moins pour le côté gauche, la résolution des muscles et l' état physiologique des parties; les résultats sont les
ns le membre opposé, les parties frictionnées retournaient seules à l' état physiologique, les autres restaient cataleptiques
rovoqué. Quant aux rapports qui relient ensemble les frictions et l' état catalep-tique du muscle, les résultats ont varié
e sur lequel nous sommes revenus si souvent... (pag. 47). Pendant l' état cataleptique provoqué. Bar... nous a présenté des
es avec f hyperexcitabilité musculaire. Les membres, même dans leur état morbide (l'état cataleptique) obéis-saient encore
xcitabilité musculaire. Les membres, même dans leur état morbide (l' état cataleptique) obéis-saient encore à quelques exci
des limites physiologiques. Le somnambulisme appartient toujours à un état pathologique et se rattache aux né-vroses par ses
direction spéciale; Poubli le plus complet accompagne le réveil. L' état décrit par Frank, sous le nom de sommation sponta
ls insensibles. Le pouls est souvent sain, ou il est plus lent qu'à l' état normal, et la chaleur du corps est naturelle; la
me X... revient à elle ; on essaye de la calmer en lui parlant de son état , lui disant qu'elle a besoin de soins; elle nous
r déshabiller la malade et la mettre au lit; nous avions constaté son état cataleptique en la mettant en équilibre sur les i
c sa fille aînée, faisant à la fois les demandes et les réponses. Cet état durait de trois à cinq heures, et répon-dait exac
la malade devient somnambule sans transition. Il semble qne le second état dérive naturelle-ment du premier. L'hallucination
qui dirige l'autre, prennent naissance à la même source. C'est e même état psychique transformé suivant la nature de la mani
qu'elle a pour eux, qui dirige tous ses actes. La maladie reproduit l' état mental de la ma-lade dans l'intervalle de ses cri
passionnelle et le somnambulisme de la malade de M. Mesnet, les deux états n'en conservaient pas moins leurs attributs diffé
et je la ramenai ainsi sur son lit que j'avais fait mettre à terre. L' état cataleptique existait dans toute sa force, je lui
qu'à qua-tre heures du matin. A deux heures je me trouvai dans un tel état de fatigue ou d'épuisement nerveux que je me re
ions du bassin avec plaintes prolongées, Inrmes, puis apparition de l' état cataleptique et d'un sommeil que j'appellerai pat
se reproduire indéfiniment, ou du moins tant que la malade est dans l' état somnambulique actuel. Dans ce sommeil, le touch
ctuel. Dans ce sommeil, le toucher, le goût et l'odorat, qui dans l' état de veille sont tout à fait absents, paraissent in
h. 35 minutes. — Les yeux s'ouvrent. Somnambulisme avec monologue et état cataleptique. Interrogée sur l'objet de ses hal
e me répond qu'elle voit sa mère morte depuis quelques années, dans l' état où elle est en ce moment; elle se voit saisir par
'à la dernière. 10 h. 40 minutes. — Somnambulisme avec monologue et état cataleptique. 11 h. 25 minutes. — Hallucination
lle, la malade dit avoir eu peur et être tombée immédiatement dans un état d'hystéricisme, et le lendemain dans sa première
ue. 28 février. — La malade a passé ces sept derniers jours dans un état de délire léger entrecoupé de temps en temps par
lade qu'une très légère sensation de chatouillement. Il mai. — Même état ; la peau est froide, d'un blanc mat, complètemen
et dans une inertie désespérantes. Le soir une attaque met fin à cet état , et au réveil il ne reste aucun souvenir sur les
rié. Toute la journée elle paraît épuisée et de-meure plongée dans un état extatique. Le soir survient une attaque d'hys-tér
ssance; elle dit seulement après quelques-uns d'entre eux, et dans un état de demi-lucidité : « Allons tra-vailler, je veux
eures du soir, il a até pris de convulsions avec rires et pleurs. Cet état était accompagné d'une hyperesthésie extraordinai
iné par une détente générale, et le malade a ouvert les yeux dans son état habituel, sans fatigue aucune. 11 paraît qu'il a
marche, s'agite, parle. l\ n'y a pas de chute au début de l'accès. L' état peut durer plusieurs heures, une journée entière,
sieurs heures, une journée entière, quelquefois on la couche daus cet état . La nuit, elle se relève souvent dans le même é
couche daus cet état. La nuit, elle se relève souvent dans le même état , se promène dans l'ap-partement. Toujours en pare
le des hôpitaux de Paris. Deuxième fascicule, p. 223. le retour à l' état normal spontané ou provoqué était toujours si-gna
uvent immobile, sans mot dire, les yeux fixes, et puis sortait de cet état d'extase pour pleurer. Le plus souvent elle demeu
t toujours plus ou moins uni à celui de son grand-père. Le retour à l' état normal, spontané ou provoqué, était toujours sign
à coup, elle était tombée sur le carreau sans connaissance et dans un état de rigidité inflexible, les membres supérieurs et
Enfin je désire rapprocher les hallucinations provoquées pendant l' état de somnambulisme, chez la malade de M. Ghambard,
z nos hystériques de la Salpêtrière et décrit plus haut sous le nom d' état de suggestion. Les accès de condition seconde p
quelconque des moyens que nous énumérerons plus loin, le passage de l' état normal à l'état de somniation se fait avec une gr
oyens que nous énumérerons plus loin, le passage de l'état normal à l' état de somniation se fait avec une grande rapidité, e
ition seconde, dont elle ne doit conserver aucun souvenir. Dans cet état , Armandine II... semble dormir, mais elle entend
ion. Ses réponses sont seulement plus lentes, plus traî-nantes qu'à l' état de veille, et elle a si peu la notion de l'état d
us traî-nantes qu'à l'état de veille, et elle a si peu la notion de l' état dans lequel elle se trouve qu'elle repousse alo
égeait de son mieux ses yeux contre nos tentatives. D'autre part, à l' état de veille, elle se laissait hypnotiser sans aucun
s déterminer de plaintes ni de mouvements de défense. Le retour à l' état normal se fait soit spontanément au bout d'un tem
ement et aussi prompte-ment qu'il avait été possible de l'endormir. L' état de condition seconde cesse aussi brusquement et d
u la gaieté, elle riait ou versait des larmes et traduisait ainsi des états psychiques divers qui pouvaient se manifester spo
és plus haut sous la dénomination d'hallucination provoquée pendant l' état de somnambulisme. J'ai insisté sur ce fait que la
'estomac. Elle nous raconte enfin dans les mêmes termes que pendant l' état normal les sensations qui, chez elle, précèdent l
vers la fenêtre et se jetterait en bas, si on ne l'arrêtait. y Cet état dure depuis novembre dernier, et ne s'est pas sen
nvulsives. Depuis sa seconde entrée à la Pitié, il s'est ajouté à l' état ordinaire des at-taques de catalepsie qui la surp
'hui, 15 juillet 1875, Emilie J. est toujours à peu près dans le même état . L'attaque cataleptique n'a reparu qu'une fois de
avec une vivacité et un esprit qu'on ne lui voyait ja-mais tiors cel état ; elle changeait quelquefois de propos, et semblai
a journée, ne sachant d'ailleurs rien de ce qu'elle avait fait en cet état . ».....Jusqu'au 10 février je la perdis de vue,
affections, comme la défiance ou le retour des sentiments passés à l' état de souvenir. T Impulsions irrésistibles. 8° E
t je m'approchai de lui; je l'embrassai comme si j'eusse été dans mon état naturel. Craignant quelque crise, on m'éloignade
t enfm le violet. ^ Dans l'amblyopie hystérique ces caractères de l' état normal se modifient dans ce sens, que les divers
nt le degré de la maladie, mais conformément à la loi reconnue pour l' état normal. S'il s'agit d'une malade chez laquelle le
t normal. S'il s'agit d'une malade chez laquelle le rouge est, dans l' état normal, la couleur dont le champ offre le plus d'
thésie de retour, de Burq), après quoi la malade se retrouve dans son état primitif. La durée totale de l'expérience, compre
couvrer sa sensibilité, et rétablissant en somme les chosesdanslemême état qu'avant l'expérience. Mais il arrive souvent que
à une diminution de la sensibilité de l'autre côté, et le retour à l' état normal s'ef-fectuait toujours par l'intermédiaire
ions faites sur les hystéro-épileptiques, l'on pouvait prévoir qu'à l' état physiologique il devait exister quelque chose d'a
inées, la malade de-meure, au point de vue de la sensibilité, dans un état de stabilité relative qui peut durer plusieurs he
re pour quelque temps la sensibilité totale ; 2" la malade demeure en état de transfert, c'est-à-dire que si elle était hémi
nstants hé-mianesthésique droite ; peut-être ne doit-on voir dans cet état qu'une oscillation qui se prolonge et dont la fin
n n'a pas été ob-servée; 3° enfin, la malade se retrouve dans le même état qu'avant l'expérience. VIII. — Le transfert et
ent sain. La malade est revenue au point de départ, elle est dans l' état où elle se trouvait au début de l'expérience, mai
llations, le résultat final varie. La malade se retrouve dans le même état qu'avant l'expé-rience, ou bien pendant plusieurs
du jaune. La notion du rouge persiste. Voici la malade revenue à l' état premier ; mais les choses n'en restent pas là, et
généralisée. Elle n'est plus ni anesthésique ni achromatopsique. Cet état durait encore 45 minutes après la fm de cette exp
lerons dans un instant. Le métal neutre immobilise en quelque sorte l' état de l'innervation qui existait dans la partie au m
mais chez laquelle la diathèse hystérique existe en quelque sorte à l' état latent, l'anesthésie provoquée peut être obtenue
a force musculaire des membres anesthésiés (amyosthénie de Burq). Cet état peut être considéré comme le premier degré de la
ls je me propose d'insister. Ils relient la paralysie hystérique à un état musculaire tout opposé dont ils sont en quelque s
racture permanente des hémiplégiques. Thèse de Paris, 1880. riser l' état de contracture, et parmi lesquels il convient dér
n l'ensemble, au moins certains des signes les plus caractérisés de l' état de contrac-ture; et parmi ces signes les plus pré
n autre côté, « le phénomène du genou » existe à un certain degré à l' état normal, c'est un fait d'ordre physiologique, et s
e, et son exagération seule ou sa disparition complète, relèvent d'un état pathologique. Il est donc d'une appréciation plus
en certitude diagnostique, puisque ce dernier ne s'observe jamais à l' état sain. L'hémiplégie hystérique rentre dans cette
ineux et la trépidation spontanée soient symptoma- tiques d'un même état morbide, celle-ci révèle un degré assez avancé d'
onstater que, du côté sain, celle-ci n'a pas tous les caractères de l' état normal. La percussion du tendon rotulien déterm
cture permanente hystérique s'accompagne toujours d'un trouble dans l' état de la sensibilité. Le plus souvent, le membre con
orales vives ou sans cause appréciable — laissant le membre dans un état d'intégrité fonctionnelle parfait, quelle qu'ait
s et peuvent y être l'objet d'une étude plus facile. Dans l'espèce, l' état de contrac-ture latente révélé par l'exagération
e bras par exemple, peuvent, dans certains cas, l'immobiliser dans un état de con-tracture permanente en extension forcée. L
vu la contracture se déve-lopper à la suite d'un traumatisme ; et cet état de contracture latente, dont il vient d'être ques
pendant longtemps l'unique symptôme, en ce sens qu'ils subsistent à l' état d'isolement, sans adjonction d'autres phéno-mènes
ppliqué sur l'avant-bras gauche qui présente tous les caractères de l' état normal. On voit au bout de dix mi-nutes à un quar
t le tonus musculaire. Les muscles môme au repos sont dans un certain état d'activité que l'on a désigné sous ce nom. Les ex
saires à la production et au maintien de la contracture réside dans l' état d'intégrité organique des cellules motrices de la
ondition nécessaire des contractures de ce genre, dit Brissaud, est l' état d'opportunité spasmodique engendré par l'hy- pe
PNOTISME Je ne reviendrai pas ici sur la description des différents états nerveux provoqués dont j'ai longuement parlé plus
vue, acquérir une importance capitale chez les malades qui sont, à l' état normal, anesthésiques partielles (hémianesthésiqu
c) \Jattitude cataleptique ne saurait être gardée par un homme à l' état normal au-delà d'une durée facilement appré-ciabl
talepsie qui, par la simple occlusion des paupières, se transforme en état léthargique avec hyperexcitabilité musculaire, l'
argie d'un côté du corps et de Y hémicatalepsie de l'autre, suivant l' état d'ouverture ou d'occlu-sion des yeux (voy. p. 371
s inattendus qu'une malade ne saurait imaginer. é) L'influence de l' état cataleptique, provoqué à droite par l'ac-tion de
onnues et toujours les mêmes; la façon, dont chacun de ces différents états nerveux est susceptible de se limiter à une moiti
érence de degré, l'hystérie vulgaire ou petite hystérie n'étant que l' état rudimentaire de l'hystéro-épilepsie ou grande hys
e nom lui-même indique que les auteurs ont entendu désigner par là un état mixte tenant à la fois des deux névroses, une sor
vons rien vu qui s'en rapproche. b) Marche de la température dans l' état de mal épileptique et dans l'état de mal hystéro-
b) Marche de la température dans l'état de mal épileptique et dans l' état de mal hystéro-épileptique. — Ce point, d'une imp
eler ici que les températures élevées (40° et plus) appartiennent à l' état de mal épileptique seul, et que, dans l'état de m
plus) appartiennent à l'état de mal épileptique seul, et que, dans l' état de mal hystéro-épileptique, quelles que soient la
gues séries elles-mêmes ne laissent le plus souvent après elles qu'un état de lassitude insignifiant, nulle-ment en rapport
malades sont au dernier jour comme au premier. Il en est de môme de l' état mental qui demeure toujours le même, et, à part l
ne pourrait en citer que bien peu d'exemples » Au point de vue de l' état mental, Reynolds admet quatre classes d'épileptiq
uatre classes d'épileptiques : i" Il n'existe aucune déviation de l' état mental. 2° On remarque un peu d'affaiblissement
sitif en pathologie du système ner-veux, à propos des phénomènes de l' état auesthésique et hyperestliésique, de l'extase, de
s, erotiques. L'hypochondrie a aussi été invoquée, ainsi que tous les états névropathiques en rapport avec l'a-nesthésie, l'h
tch..., comme chez Ler..., malgré la longue jlurée de l'af-fection, l' état intellectuel n'a pas varié. CHAPITRE II trait
ilepsie, il en modifie les accès et devient un palliatif utile dans l' état de mal hystéro-épileptique. Mais voici une mani
sance ne revient pas, et la malade passe directement dans une sorte d' état comateux, où elle demeure jusqu'à ce que survienn
: a si la compression prolongée continuerait d'être efficace; h si l' état de mal hystéro-épileptique céderait devant cette
plusieurs heures, a suffi pour produire la cessation momentanée de l' état de mal, sans qu'on ait été obligé de recourir à u
r celle malade, pendant 12, 24 el même 48 heures, pour interrompre un état de mal. Jamais les attaques ne se sont présentées
re qui succède chez elle à l'attaque et on peut graduer le retour à l' état de raison en établissant gra-duellement la compre
la presque certitude en administrant ce métal à l'intérieur, soit à l' état de poudre (comme le fer réduit), soit à l'état d'
l'intérieur, soit à l'état de poudre (comme le fer réduit), soit à l' état d'oxyde ou de sel, d'ob-tenir des effets curatifs
t alors l'idée de s'adresser à l'é-lectricité elle-même, non plus à l' état de courant, comme on a cou-tume de l'employer hab
e courant, comme on a cou-tume de l'employer habituellement, mais à l' état de tension. Les résultats confirmèrent ses prévis
les différents effets d'une action aesthésiogénique locale, suivant l' état de la sensibiHté. 1° Simple diathèse hystérique
nsmise ayant, de môme que l'action ocale, pour résultat de produire l' état inverse de celui qui existait dans la partie. L
convulsives et la grande hystérie que nous observons de nos jours à l' état sporadique, se fondent sur la contagion ner-veuse
ossédés faisaient des discours et pro-féraient des menaces. « Dans un état qui tenait du sommeil magnétique », ils déclaraie
vulsifs terribles qu'ils présentaient, les dan-seurs jouissaient d'un état mental dont le trait saillant était la bizarrerie
us montre une analogie singulière entre ces maladies convulsives et l' état des animaux furieux, mais qui, chez ces frénétiqu
faits de ce que nous avons vu se produire chez nos malades, dans cet état d'automatisme hypno-tique dont nous avons parlé p
ans les flots, comme des danseurs de Saint-Guy dans les torrents. Cet état ... se traduisait chez d'autres malades par la jou
r d'autres phénomènes qui, par leur infinie variété, révèlent tous un état d'excita-tion nerveuse contre nature. » (Ibid. lo
marquable de la sensibihté; d'autres, au contraire, tombaient dans un état de torpeur. La plupart étaient fatigués par des n
que temps, d'autres avoir des élourdissements, ou bien tomber dans un état complet de folie accompagnée d'insomnie opiniâtre
tout son corps, comme si, de bref, elle eût dû retomber en ce premier état . » (Gou-lard, loc. cit.) L'heureuse influence d
: J'enrage ! » Le mardi saint au matin, le diable Carreau, qui fait état d'endurcir les cœurs, empêcha Magdaleine de se vo
père, lui dit cette pauvre fille, que venez vous faire ici ? En quel état étes-vous ? 1. Pilet de la Ménardière, La démon
spectre répond, ne vous mettez point en peine de moi, je suis en tel état que désormais je n'ai pas besoin d'assistance de
oncevait pas quel avantage il aurait pu en recevoir, surtout dans son état présent, il se contenta de lui demander pourquoi
ête, avec une corde au cou, et un cierge à la main, et demeura en cet état l'espace de deux heures, au mdieu de la cour, où
fréquemment les victimes, la conviction de la réalité de leur affreux état , on comprend l'impression que devaient faire la s
ostie, a tiré la langue sur laquelle elle était, 1. C'est bien là l' état d'une hystérique dans cette période d'excitation
Ursulines où étant à la grille, et s'informant à elles-mêmes de leur état , la sœur » Agnès parut un peu troublée, fit quelq
gueur, épaisseur et 2 grosseur tout à fait extraordinaire : qu'en cet état elle alla se roulant et serpentant » jusques aux
ie lancée contre lui par une des possédées. Il fut réduit dans un tel état , « que depuis on ne l'a jamais vu rétabli dans so
étruire, ce qui était proprement diviser son royaume, et le mettre en état de ne plus subsister, selon que parle l'Évangile,
e pauvre fdle en de terribles et affreuses figures, comme quoi en cet état il se tenait toute la nuit dans sa cellule, immob
ne voix lamentable disait : « Haye, baye, baye. » On le laissa en cet état pour aller faire l'exorcisme, où je n'entrai pas
our prendre une plus exacte connaissance de leur constitution et de l' état présent de leur santé et trouvèrent à toutes la f
lusieurs fois des quarts et des demi-heures; voire et se jeter en cet état de toute sa hauteur et tout d'un coup. Une fois p
out ce corps demeura ainsi plié... quelque espace de temps, et en cet état le démon vomit force blasphèmes par la bouche de
er aucune douleur et sans qu'il paraisse ni sang, ni contusion. » L' état du corps dans une posture extrêmement violente, s
enoux et les bras croisés sur l'estomac, quelquefois, et dans le même état , la tête renversée tournant à l'entour du corps,
ste demeurait en l'air tenu comme une table. EUes marchaient dans cet état sans le secours des mains, n {Manuscrit anonyme d
a plante des pieds, tout le reste du corps en l'air et marcher en cet état , que toutes ou presque toutes demeu-rant à genoux
riette ; je le conjurai de dépêcher promptement, parce que je faisais état de partir ce jour-là; il commença en cette sorte
s un autre exorcisme rapporté par le même auteur, on retrouve le même état décrit avec les mêmes expressions. «... Elle (l
ine, et n'en pouvait-on tirer aucun mot. Le diable la retenait en cet état pour empêcher sa confession » Enfin l'attitude
heures après elle tombe comme morte; on la rapporte chez elle et cet état dure plusieurs heures. Elle éprouva quelques jo
c elle, cefle-ci tomba de son mal ordinaire. Marie tomba dans le même état . On les trouva étendues par terre serrées l'une c
ises ne débutèrent plus, comme chez les deux premiers enfants, par un état extatique; mais, comme eWes,plusieurs eurent des
les malades qui, le plus souvent, se cachaient ou dissimulaient leur état , m'exprimaient leurs regrets de me voir inutileme
la grande hystérie d'aujourd'hui, l'épidémie de Morzines est comme un état intermédiaire qui facilite les rap-prochements.
uleur gas-tralgique, de simples borborygmes déterminent tour à tour l' état convulsiL l. Voici, au sujet de la vertu qu'ont
dont l'aspect avait d'abord paru exprimer la frayeur entrent dans un état de fureur qui va toujours croissant, comme si l'i
la tenais plus. » {Ibid., p. 56.) Chez les possédées de Morzines l' état de la sensibilité était à peu près nor-mal dans l
es hystériques en général. » Le goiàt et l'odorat m'ont paru à leur état normal; deux ou trois malades seu-lement font exc
circonstances analogues â la pré-cédente, â la suite de laquelle son état s'aggrave. Vers Pâques 1730, un médecin qui ent
sang clair tirant sur le violet, et extrêmement écumeux. » IjC même état se prolonge. "En 1731, apparaissent « des attaq
it assise dans sonlit depuis plus de quatre ans, et elle se trouva en état découcher dans son lit comme une autre personne.
demoiselle Fourcroy est l'entrée subitement dans le repos et dans son état naturel. Environ un demi quart heure après, elle
sens dessus dessous : en avait gonflé et contourné les os : et en cet état les avait soudés à ceux de la jambe, ce qui renda
énérales qui marquent le début des accidents, et par la longueur de l' état de mal, qui ne dura pas moins de quatre jours.
euve Thévenet présenta tous les signes de l'extase; pendant ce nouvel état , elle récite les propositions du livre de Quesnel
hanoine Mariette, son frère, lui ayant fait des représentations sur l' état affreux dans lequel elle était depuis plusieurs j
s tressaillements de son corps. Après être resté longtemps dans cet état , la pâleur de la mort couvre entière-ment son vis
figurés ; ils paraissent tout autres. Ceux mêmes qui en dehors de cet état ont quelque chose en eux de bas et de rebutant, c
'édide, rien qui n'inspire de la piété, rien qui ne porte à Dieu. Cet état sur-naturel représente vivement, dans la personne
. « En convulsion, leur âme est bien plus dégagée des sens que dans l' état naturel... Il est de notoriété publique que les c
tration et d'intelligence lorsqu'ils sont en convulsion que dans leur état ordinaire. On voit jusqu'à des filles extrêmement
e de Montgeroa, loc. cit., Paris, 17-il, t. II, deux. part. Idée de l' état des con-vulsionnaires, p. 48. 2. Carré de Montg
roles annoncent 'K » Ce délire revêtait parfois les caractères de l' état d'enfance que les Appe-lants considéraient comme
s pieds seulement, la tête de la croix posant sur le plancher. En cet état , on lit la passion de l'évangile saint Jean au li
tre le mur à peu près de quatre pieds ou quatre pieds et demi. En cet état , elle présente sa poitrine à douze épées nues; on
'épuisement survient, les patients s'évanouissent et res-tent dans un état de torpeur et d'immobilité jusqu'à la fin de l'ac
ee, les sujets paraissaient s'évanouir, et après être restés dans cet état quinze à vingt minutes,étaient pris de convulsion
ns plus ou moins longues et plus ou moins violentes; au sortir de cet état , elle éprouve une prostration phy-sique très marq
re divine n'est pas complète et prieraient pour retomber dans le môme état . » Ces visions sont naturellement toutes de même
ur son nom à elle gravé. Quelques-unes tombent en e.xtase et dans cet état indiquent Je moment de leur retour à l'état nor
en e.xtase et dans cet état indiquent Je moment de leur retour à l' état normal. On rapporte un cas de clair-voyance. l\ e
à haute voix que les pécheurs cherchent la délivrance d'un semblable état . D'ordinaire l'angoisse morale et la prostration
sont mouil-lés. Il en est qui passent plusieurs fois par cet affreux état , d'autres ne l'éprouvent qu'une fois. L'appétit e
uissent avoir les yeux clos. Lorsqu'ils sont en partie revenus à leur état normal, ils ne peuvent prendre qu'une quantité de
nte et de là vient, je présume, pour un certain nombre d'entre eux, l' état de faiblesse et d'impuissance qui les met dans un
sans y avoir été prédisposées par les terreurs religieuses ou par cet état mental obligé qui prend sa source dans le sentime
uvoir déclarer positivement que lesdits paroxysmes appardennent à cet état . Les discours ou sermons roulaient toujours sur d
ysmes les plus intenses. Le degré le plus élevé, dit Sonden, serait l' état oii se trouvent les malades après une attaque de
s'ils avaient le mal caduc, et restent plus ou moins de temps dans un état d'assoupissement ou d'absence des sens; et pendan
s en la loi de N. S. ; ils vivaient justement et saintement dans leur état , et loyalement gar-daient et remplissaient les ma
oute sain-teté, et par exemples de vérité resplendirent et allumèrent état de saintfe pénitence. La seconde lumière non moin
mplation qu'ede était ravie par l'espace d'un jour, et sentant en cet état surhumains senti-ments, elle ne connaissait ni ne
terre pour servir Dieu à l'exemple de la sainte mère, et être de son état ; et elle affirmait par vérité qu'elle avait mes
elle était restée dans cette position. 11 entreprit de remédier à cet état qui pouvait devenir habituel. Il fit intervenir,
éclara que la maladie de Marie ne cons-tituait point par elle-même un état de sainteté, mais aussi que la piété bien reconnu
pour la rappeler aussitôt à la vie réelle, sans qu'elle passe par un état intermédiaire. II ne lui faut qu'un instant pour
le peut, une fois revenue à elle-même, rester plus longtemps dans cet état ; mais on sent qu'il lui faut faire de grands effo
ucinations dont l'extatique conserve après l'accès un vif souvenir. L' état de la motilité varie suivant les dilTérentes phas
xtase. L'extase est donc établie. Tâchons de décrire exactement cet état . Pendant la plus grande partie du ravissement, Lo
glacées, le pouls est absolument imperceptible, elle râle. .....Cet état dure de dix â quinze minutes, puis la vie se réve
les saintes femmes et les Juifs. Nous avons maintenant à exposer l' état des différents organes et de leurs fonctions pend
at des différents organes et de leurs fonctions pendant l'extase. Cet état n'est pas tout à fait le même dans les diffé-rent
res du matin à deux heures après-midi, Louise Lateau est assise, et l' état organique et fonctionnel varie peu : la peau est
ntion pour en suivre les mouvements; la circulation se fait comme à l' état de veille : le pouls est régulier, souple, sans a
emment des impressions de fàme. Il importait d'étudier avec soin, l' état de l'innervation, et spécialement la moti-lité et
une personne de sa chaise comme pour la mettre debout, on constate un état général de relâchement musculaire, et elle re-tom
de déterminer la moindre manifestation de la sensibihté. Tel est l' état des fonctions organiques, pendant la première par
... 385 Deuxième observation. — Iladucinations provoquées pendant l' état ca-taleptique....................................
........... 394 Troisième observation. — Des différents degrés de l' état catafeptique.. 401 Quatrième observation. — Des
01 Quatrième observation. — Des hallucinations provoquées pendant l' état de léthargie ou de somnambulisme. — État des sens
ystérogènes............... 583 b) . Marche de la température dans l' état de mal épileptique et dans l'état de mal hystéro-
) . Marche de la température dans l'état de mal épileptique et dans l' état de mal hystéro-épileptique.......................
5 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
ve ; 3° de la puissance qu'il confère aux suggestions faites dans cet état ; 4° du fait qu'il constitue par lui-même, la pre
n ne prévaudra jamais contre cette vieille vérité. Comme isolant, cet état est l'adjuvant le plus précieux de la suggestion
rtifice de suggestion, dans une foule de cas. ne remplacera jamais un état physiologique où l'on se replonge tous les jours
onner. » Le dernier article du Dr Liébeault parut sous le titre : L' état de veille et l'état d'hypnose. Il y résume très n
r article du Dr Liébeault parut sous le titre : L'état de veille et l' état d'hypnose. Il y résume très nettement son opinion
« On a beaucoup parlé, dans ces derniers temps, de la suggestion a l' état de veille, et les quelques disciples du professeu
l, rayer de notre vocabulaire le mot hypnotisme, puisqu'il exprime un état physique qui favorise la suggestion en aug- (1)
état physique qui favorise la suggestion en aug- (1) Liébeault : L' état de veille et l'état d'hypnotisme. (Rerue de l'Hyp
avorise la suggestion en aug- (1) Liébeault : L'état de veille et l' état d'hypnotisme. (Rerue de l'Hypnotisme, 12- année,
l'Hypnotisme, 12- année, niai 1898. (2) l iébeault : a travers les états passifs : le sommeil el les rêves (Revue de l'Hyp
aleur thérapeutique. « Quelque théorie que l'on veuille donuer de l' état du cerveau dans l'hypnotisme, quelque doctrine qu
isme dans la pratique de certains cas déterminés où la suggestion à l' état de veille se trouve insuffisante. » Et il conclua
ve insuffisante. » Et il concluait par ces mots : » La suggestion à l' état de veille a une action thérapeutique indéniable :
elle. De mes recherches comparatives sur la tension artérielle dans l' état de veille et dans l'état de sommeil provoqué, il
omparatives sur la tension artérielle dans l'état de veille et dans l' état de sommeil provoqué, il résulte nettement que l'h
conditions qui le rapprochent le plus possible du sommeil normal. Cet état ne peut-être obtenu qu'en s'abstenant rigoureusem
Que l'hypnotisme confère aux effets des suggestions faits dans cet état une intensité plus marquée, cela n'a été discuté
capables d'aboutir à la rééducation de l'attention. Substituer à l' état d'activité mentale, comme cela se passe dans la p
té mentale, comme cela se passe dans la production de l'hypnotisme, l' état diamétralement opposé de la passivité et dn repos
mporte l'administration de doses variables selon les symptômes et les états dans le traitement desquels il est indiqué. Selon
etard ; elle logera à l'hotel et ira vous voir autant de fois que son état l'exigera ». Devant quitter Paris pour plusieurs
t d'autant plus accessible à la suggestion qu'il a été plongé dans un état plus accentué d'hypotaxie, et le sommeil hypnotiq
état plus accentué d'hypotaxie, et le sommeil hypnotique constitue l' état d'hypotaxie le plus favorable a la pleine réussit
uleux : l'homme, en proie à son paroxysme, rentre subitement dans son état normal, comme si rien ne s'était passé. SOCIÉTÉ
la dernière main à son ouvrage si intéressant sur le • Sommeil et les états analogues » et Bernheim se livrait dans sa cliniq
ine est pour ainsi dire sans limites. Par la condition seconde et les états analogues, par la suggestion à l'état de veille,
ar la condition seconde et les états analogues, par la suggestion à l' état de veille, par le somnambulisme naturel, Liégeois
rimes et délits imputés à des somnambules, la responsabilité dans les états hypnotiques sont analysés minutieusement par lui
i leur sont faites et de leurs effets, cela provoque déjà chez eux un état de réceptivité qui favorise les suggestions. Je
ment. Je lui fais alors les suggestions d'usage pour le remettre en état normal, et je l'éveille. Il s'éveille avec les
sommeil, car le souvenir lni revient, peu à peu. d'une partie de son état d'hypnose. Il se souvient très bien avoir vu dé
arriver à cette recherche plus difficile, il a dû être placé dans un état de somnambulisme plus profond, état qui. comme je
icile, il a dû être placé dans un état de somnambulisme plus profond, état qui. comme je l'ai démontré ailleurs, exclut tout
pour le fait du travail cérébral qu'il est possible d'obtenir dans un état profond d'hypnose, que pour le procédé de rétro-g
mmeil calme et reposant, aussi reposant que l'opérateur le désire, un état de veille dans lequel on obtient l'insensibilité,
e douleur, une dent extrêmement sensible chez une malade suggérée à l' état de veille. Ces observations sont des observatio
on hypnotique convient donc parfaitement lorsque l'on veut désigner l' état d'hypnotisme ou un des états analogues. Il y aura
parfaitement lorsque l'on veut désigner l'état d'hypnotisme ou un des états analogues. Il y aurait donc intérêt a y recourir
avant le début de l'expérience. L'inhibition hypnotique est donc un état expérimental essentiellement physiologique. Cet é
ique est donc un état expérimental essentiellement physiologique. Cet état ne saurait devenir pathologique que par le fait d
me, devenu indifférent au milieu extérieur, tombe de lui-même dans un état passif, il suffit qu'il laisse orienter sa pensée
un que de rencontrer des gens dont l'esprit demeure dans un perpétuel état de fascination. Cet état psychologique devient ha
gens dont l'esprit demeure dans un perpétuel état de fascination. Cet état psychologique devient habituel : seuls varient, e
matiques, les habitudes sociales qui aboutissent nécessairement a de? états de conscience analogues a l'état d'hypnose. Dès q
ui aboutissent nécessairement a de? états de conscience analogues a l' état d'hypnose. Dès qu'un certain nombre de personnes,
mbre de personnes, par suite de circons. tances fréquentes dans notre état social se trouvent réunies en troupeau, on consta
t exacte de la réalisation spontanée d'un hypnotisme collectif. Ces états de conscience ne nous intéressent ici que parce q
rvenant fortuitement, à son insu ou malgré lui. que le clinicien fait état , A tout instant de son intervention, le médecin d
s. Il arrive fréquemment qu'ils commettent là une erreur manifeste, l' état hypnotique ayant été réalisé dans une certaine me
arition du sommeil et certains qui peuvent faire de la suggestion à l' état de veille, le font quand le malade est dans un ét
la suggestion à l'état de veille, le font quand le malade est dans un état hypnoïde ou dans un des premiers degrés de l'hypn
notisme. Je considère comme inexacte l'expression de suggestion à l' état de veille : dans un grand nombre de cas on devrai
e veille : dans un grand nombre de cas on devrait dire suggestion à l' état de veille apparente. En effet, le prestige du méd
l'hypnotisme (1). Le malade se trouve placé spontanément dans un état d'inhibition hypnotique. La personne à laquelle o
hypnotique. La personne à laquelle on croit faire une suggestion à l' état de veille est déjà monoïdeisée. Son pouvoir de co
sa suggestibilité s'en est exaltée. Elle est tombée dans un véritable état d'hypnose fortuit. C'est ce que j'ai exposé en 19
mé qu'ils avaient obtenu un résultat thérapeutique par suggestion à l' état de veille, on démontrerait d'une façon évidente q
presque certitude d'être curable. C'est donc dans la réalisation de l' état d'hypnotisme, poursuivie avec patience, que résid
posait presque uniquement sur l'utilisation des agents physiques. Les états profonds n'apparaissent (1) Bérillon : Psyeholo
tué chez les personnes soumises aux tentatives d'hypnotisation. Les états profonds de l'hypnose correspondent a certaines i
ermettent seuls d'exercer une action assez profonde pour modifier des états de conscience anormaux, en particulier pour effac
e puisse établir des règles fixes et immuables pour le traitement des états neurasthéniques. Et d'abord, est-on bien fixé s
iture, la dyslexie et la dgsgraphîe, sont des indices de gravité de l' état maladif et la persistance des aptitudes à ces exe
posée une heure ou deux •chaque jour, même des formules adaptées à l' état mental du sujet, pour voir disparaître les troubl
gestive. Est-ce à dire que la psychothérapie soit le spécifique des états neurasthéniques ? Non certes, et le médecin ne de
« café, de tabac, le système nerveux se trouve tellement excité que l' état « sédatif indispensable â la production de l'hypn
— Mlle X... âgée de 18 ans. entre le 5 novembre 1908. On constate un état de maigreur extrême, avec cyanose des extrémités,
son vase de nuit. Ces larcins, commis depuis deux ans, passèrent à l' état d'habitude, puis a l'état de manie, à tel point q
cins, commis depuis deux ans, passèrent à l'état d'habitude, puis a l' état de manie, à tel point que même pendant son traite
lade et il sait par expérience, puisqu'il l'a traitée, quel était son état psychique et les mobiles qui la faisaient agir.
e paraissant pas d'ailleurs en être autrement altérée. C'est dans cet état qu'elle me fut confiée. Après quelques mois de so
ette abstinence presque complète d'aliments. L'idée fixe qui domine l' état mental des anorexiques est surtout constituée par
s réputé pour son économie quelque peu sordide ou pour son avarice. L' état mental de ces anorexiques n'est que la résultante
anorexie des adolescents est. pour moi. la manifestation précoce de l' état mental qui aboutit a l'avarice. Le traitement d
au lavage à la sonde et à l'alimentation forcée que dans le cas où l' état d'inanition l'imposerait. Cette intervention a so
nce ou d'éducation et d'entraînement abritèrent, de ces principes, un état démentiel admiré de leurs contemporains et propos
s en exemple. A qui fera-t-on croire quelles ne dérivaient pas d'un état mental pathologique très net les pratiques d'un S
Thérèse nous a donné, avec une précision absolue, la description de l' état mental qui nous intéresse lorsqu'elle écrivait :
s nn compte-rendu historique rapide, II expose la nature des nombreux états hypnotiques, variés, qui se présentent dans la pr
e et les méthodes de rééducation : Le sophisme de la « suggestion à l' état de veille » (1) par M. le D* Bérillos, professe
rétendus effets physiologiques ou thérapeutiques de ln suggestion à l' état de veille ne correspondent à aucune réalité effec
ur de l'hypnotisme., avait très bien reconnu que la production de cet état a pour effet de rendre les sujets p!us accessible
s admis, à aucun moment de son existence, qu'une suggestion faite ? l' état de veille eut la moindre valeur, thérapeutique ou
à un sujet préalablement hypnotisé ou. tout au moins, plongé dans un état analogue à l'hypnotisme qu'il désigne sons le nom
ongé dans un état analogue à l'hypnotisme qu'il désigne sons le nom d' état passif Tel était également l'opinion formelle d
l'opération mcsmérique ou braidique. qui doit créer dans l'individu l' état préalable de suggestion-nabilité. Dans le langage
à substituer la conception, absolument erronée, que la suggestion à l' état de veille, c'est-à-dire une parole exprimée à un
enons de mettre en lumière, nous permettraient de tenir désormais cet état mental comme suffisamment distinct et établi, et
importe : que le témoignage qu'ils en donnent so t l'expression d'un état fréquent ou seulement une confidence toute person
et provoquée! » Cette joie dans la douleur, a paru tellement liée à l' état de sainteté, que Benoit XIV fait de sa présence c
ofonde sans brisement de cœur... » Amori et Dolori sacrum (préf.| L' état psychique qui nous intéresse est encore plus sens
ovoquons dans la conscience, une inhibition plus ou moins notable, un état de suspension, de sommeil plus ou moins profond,
Xotre organisme, comme notre sensibilité, ne se peuvent concevoir en état de repos, d'inergie, d'indifférence ; ils sont, a
e pendant le sommeil le plus profond, alors que l'organisme parait en état de recueillement, d'atonie, les circonstances de
otion » de la sensibilité, aboutissent au plaisir et à la douleur: un état moyen d'indifférence, d'ataraxie. n'étant qu'une
e plaisir, soit comme douleur. Combien ne devons-nous pas entrevoir d' états de plaisir ou de douleur si nous acce, tons la th
i-lité-plaisir. Cette rééducation sera l'œuvre de la suggestion, en état de veille, ou en état de sommeil provoqué. A. l'A
e rééducation sera l'œuvre de la suggestion, en état de veille, ou en état de sommeil provoqué. A. l'Algomanie constituée, l
Quand le malade n'est accessible à aucune suggestion, même faite « en état d'hypnose, il devient nécessaire d'inhiber son ps
ans le fonctionnement cérébral de l'homme par l'hypnotisme et par les états analogues. Avant Liébeault. d'autres avaient re
ité de réaliser artificiellement chez l'être humain l'apparition d'un état de sommeil provoqué analogue a celui dans lequel
ans aucun inconvénient pour leur santé, de réaliser l'apparition de l' état d'hypnotisme chez un grand nombre de personnes.
'influence de certains procédés, en un être absolument passif. Dans l' état d'hypnotisme, la personnalité devient parfois si
euvent être les déductions d'un pareil fait. Par lui, la médecine des états nerveux devient capable de modifier les états név
ar lui, la médecine des états nerveux devient capable de modifier les états névropatbiques les plus divers. Le clinicien peut
— oh ! le nom vénéré — publia son livre célèbre : « Le sommeil et les états analogues ». Cette publication sonna le réveil
pie et les méthodes de rééducation Le sophisme de la a suggestion à l' état de veille » (1), par M. le Dr Béroxos, professe
t le droit de baptiser. Grâce a lui, nous possédons la suggestion à l' état de reille. Par les effets de cette grande décou
t, et ne mettent pas au premier plan la tendance unitaire qui, dans l' état d'incohérence de nos méthodes, apparaît seule cap
ables précurseurs ; et la belle conception de Lamarck se retrouve à l' état rudimentaire chez Heraclite, qui disait que tout
émettrait la prétention de consulter le thermomètre pour connaître l' état hygrométrique, la-montre pour la pression atmosph
sa conscience, en y concentrant tonte son attention, en en faisant un état fort, prépondérant, exclusif ? Réaliser cet état
on, en en faisant un état fort, prépondérant, exclusif ? Réaliser cet état fort serait alors faire choix entre l'un des deux
, mais aussi la plus rapide pour le traitement des aboulies et de ces états d'impuissance motrice contre lesquels, livrés à l
pie et les méthodes de rééducation Le sophisme de la « suggestion à l' état de veille » (1). par M. le Dr Bérillon. profess
le Sommeil (6) consacre le point capital, que si l'homme dispose, à l' état de veille, d'un pouvoir de contrôle qui lui perme
vention psychologique exercée sur l'homme hypnotisé, ou placé dans un état passif, le nom de suggestion. Pour lui, la thér
l et des étals analogues. Paris, 1800. (7) Charcot : Sur les divers états nerveux provoqués chez les hystériques. (Académie
t l'étude expérimentale de l'hypnotisme. Plaçant les sujets clans des états d'hypnose beaucoup plus profonds que ceux qui ava
s extrêmes la réalisation des phénomènes quel'on peut observer dans l' état d'hypnotisme. Il en résulta la démonstration que,
ogie creuse qu'on a prétendu prouver qu'il y a dans la suggestion à l' état de veille, c'est-à-dire ex abrupto et sans prépar
mes contenus dans la définition qui considère « la suggestion comme l' état par lequel nue idée est introduite dans le cercea
nécessaire d'en faire à nouveau la démonstration, c'est que tous nos états de conscience influeut sur l'organisme et tendent
e moral. A une époque plus rapprochée de nous, Ribot a écrit : « Tout état intellectuel est accompagné de manifestations phy
estations physiques déterminées. La pensée est une parole ou acte à l' état naissant, c'est-à-dire un commencement d'activité
oit, pour vérifier l'action réelle que peut exercer la suggestion à l' état de ceille sur l'esprit d'un malade, j'ai pu const
panacées anciennes. Le soi-disant utilisation de la suggestion à l' état de veille ne correspond à rien de réel. Ce serait
ur les effets physiologiques ou thérapeutiques de la « suggestion a l' état de veille. » (A suivre) A propos du libre arb
à nos contemporains un héroïsme sans bornes. Je sais bien que. dans l' état social actuel, dans cet état de transition où se
me sans bornes. Je sais bien que. dans l'état social actuel, dans cet état de transition où se heurtent deux classes, deux m
hamp de sa conscience, telle représentation, de manière à en faire un état fort et. pat-conséquent, un motif ou un mobile dé
lame d'eux que le minimum de travail, d'où la rapide amélioration des états dyspeptiques. Etant pen toxique et pauvre en pois
famille, d'altruisme, d'utilité, d'égoïsme que comportent le cas et l' état psychologique du sujet, ne pas se contenter de do
sive, provoquer le désir de s'amender, faire naître le bon vouloir, l' état d'attente, même une sorte de prosélytisme qui réa
ux que si l'on a eu soin de plonger, au préalable, le patient dans un état plus ou moins profond d'hypotaxie. IV* Le patie
rouges et d'hypnotisme j'ai ressenti une grande amélioration dans mon état de santé. Aujourd'hui les bourdonnements, les peu
comme « un organisme psycho-physiologique et non comme un agrégé des états élémentaires ». Nous avons résumé les principal
qui participent en même temps que le noyau coudé à la production des états de conscience effectifs et par suite de l'Emotion
i participent, en même temps que le noyau eau dé. à la production des états de conscience affectifs ; c'est dans le sommeil p
Le cas suivant est un exemple a l'appui de mon travail critique sur l' état de veille apparente comparé à l'état de veille ré
ui de mon travail critique sur l'état de veille apparente comparé à l' état de veille réelle. J'ai soigné par la suggestion
ie et les méthodes de rééducation. Le sophisme de la « suggestion à l' état de veille » par M. le Br Bérlllox, professeur à
ologiques ou thérapeutiques chez un sujet préalablement plongé dans l' état d'hypnotisme. Mais j'affirme que cette même sugge
ue cette même suggestion, quand elle s'adresse a un sujet adulte, à l' état de veille, doué de son pouvoir habituel de contrô
ou de simples améliorations par le seul emploi de « la suggestion à l' état de veille ». En réalité, les illusions de ces aut
tendus effets Physiologiques et thérapeutiques de « la suggestion a l' état de veille > ne sont que le résultat d'observat
suivantes : Io La méconnaissance de l'hgpnotisme fortuit ; 2° Les états hypnoïdes fréquents chez les hystériques des deux
nt ne pas avoir été hypnotisés ont, au contraire, été plongés dans un état d'automatisme très marqué. Dans ces conditions, s
vateur superficiel ne manquera pas de l'attribuer a la suggestion a l' état de veille. (1) Le Menant des Chesnais : * Du so
ecteur et ses compresses constamment renouvelées. Pour faire cesser l' état d'hypnose le Dr Desplats n'eut qu'à souffler sur
enu des effets thérapeutiques par le seul emploi de la suggestion à l' état de veille, il n'est pas difficile de reconnaître
s'étaient adressés, avaient été préalablement plongés par eux dans J' état d'hypnose. Dans un grand nombre de ces observatio
sa à la Revue de l'Hypnotisme et qui y fut publié sous le titre : « L' état de veille et l'état d'hypnose. » (2) « On a bea
ypnotisme et qui y fut publié sous le titre : « L'état de veille et l' état d'hypnose. » (2) « On a beaucoup parlé, écrivai
coup parlé, écrivait-il dans ces derniers temps, de la suggestion à l' état de veille, et les quelques disciples du professeu
'Hypnotisme. Vi' année.X*ï. Juillet 1897, P. 5). (*2) Liêheaclt : L" état de veille et l'étui d'hypnose (Hevue de l'Hypnoti
démontrent jusqu'à l'évidence, que des guérisons par « suggestion à l' état de veille » avaient, au contraire, été réalisées
tion à l'état de veille » avaient, au contraire, été réalisées dans l' état hypnotique » j'y énonçais des considérations qu'i
dividu sans qu'il y ait chez autrui aucune intention de provoquer cet état . En un mot, un homme peut s'auto-hypnotiser invol
sprit que l'on a désigné sous le nom d'expec-tant attention, certains états affectifs ou émotifs, la fatigue, peuvent favoris
otisation chez des individus prédisposés ou simplement ignorants. Les états psychiques que l'on désigne sous le nom de timidi
l'on désigne sous le nom de timidité ne sont le plus souvent que des états d'auto-hypnotisation incomplète . Les états hypno
t le plus souvent que des états d'auto-hypnotisation incomplète . Les états hypnoïdes spontanés sont fréquemment le résultat
es du milieu jouent aussi nn rOle considérable dans la production des états hypnoïdes. De plus, la suggestibilité des individ
parait plus singulier, c'est qu'elles puissent être provoquées dans l' état de veille apparente aussi bien chez des sujets qu
er d'hypnotisme. Or, il est inadmissible de considérer comme étant en état de veille complète un être qui, tout à coup ne pe
ence si merveilleuse, de ce que l'on appelle a tort la suggestion à l' état de veille. En réalité, la puissance de la suggest
mé qu'ils avaient obtenu un résultat thérapeutique par suggestion à l' état de veille on démontrerait d'une façon évidente qu
laquelle il prétendait avoir obtenu une guérison par « suggestion a l' état de veille », alors qu'en réalité ses procédés l'a
bien de faits de prétendue influence thérapeutique par suggestion à l' état de veille pourraient résister à une analyse quelq
7, le Dr Paloque ne va-t-il pas jusqu'à considérer comme étant dans l' état de veille, les nombreux sujets chez lesquels le D
'est après avoir employé une série de manœuvres propres à provoquer l' état d'hypnose que le docteur Paloque déclare qu'il a
pnose que le docteur Paloque déclare qu'il a fait ses suggestions à l' état de veille. Enfin, comprenant qu'il va peut-être u
e un peu loin il se décide, non sans quelque hésitation, à donner à l' état qu'il a obtenu par tous ces procédés le nom contr
e que la plupart de ceux qui ont (1) Paloque : De la suggestion à l' état de veille. Thèse, Lyon 1897. décrit des obser
des observations d'action thérapeutique réalisés par suggestion à. l' état de veille, aient obéi à des motifs peu recommanda
noncer. Tout en leur affirmant n'avoir recours qu'à la suggestion à l' état de veille, je mets en œuvre tous les procédés cap
ar l'hypnotisme sans qu'ils sans doutent. » Je n'insisterai ras sur l' état d inconscience que révèle une telle manière d agi
a l'illusion de l'influence attribuée à une prétendue suggestion à l' état de veille, c'est qu'il est arrivé a. un certain n
ement d'une simple lassitude de l'attention. Ils ignorent aussi qu un état d hypnotisme fortuit peut survenir au cours d'un
illeurs c'est une grave erreur de vouloir plonger les malades dans un état de sommeil profond. Il suffit souvent de les hypn
eil profond. Il suffit souvent de les hypnotiser an minimum. Dans cet état les raisonnements porteront qni, tout à l'heure,
m. Dans cet état les raisonnements porteront qni, tout à l'heure, à l' état de veille, étaient impuissants. Car, j'insiste su
a maladie. Dans ce cas, vous le voyez, on a fait de la persuasion à l' état d'hypnotisme. « La considération qui trouve cho
l'Hypnotisme, janvier 1906 et brochure in-8°). psychothérapie à l' état de veille et cela sans résultat. Ils viennent nou
u moins complètement la personnalité de l'individu et de le mettre en état passager d'automatisme, dès l'instant que la guér
si marquée qu'ils en ressentent une véritable souffrance morale. Cet état se reproduit dans un grand nombre de circonstance
e de personnes qui les intimident. La reproduction fréquente de cet état de malaise les incite à rechercher les moyens de
ique. (Congrès des aliènistes et neurologistes, Nancy, 1896). les états d'anxiété que ressentait un jeune soldat, doué d'
es, affronter des scènes, qu'un trac indescriptible la mettait hors d' état d'aborder. TJn seul verre de cognac a. pendant qu
ents « par le mépris » : et, actuellement, mes mâchoires sont dans un état lamentable. J'ai eu de nombreux abcès ; des carie
rès versé dans les questions de psychothérapie, l'a suggestionné, à l' état de veille comme on dit. sans aucun résultat bien
rdre d'aller chez son dentiste, il avait besoin d'être plongé dans un état profond d'hypotaxie. Son sommeil nocturne a excel
il normal constitue, pour la réceptivité aux suggestions directes, un état d'hypotaxie aussi favorable que le sommeil hypnot
a beaucoup recommandé, à titre auto-suggestif, l'entraînement à 1' * état de veille passif », quand on va s'endormir ou que
amène une sédation marquée. Les maximes ou pensées en rapport avec l' état du malade, écrites à main posée, surnagent, pour
bulle par brûlure Imaginaire, déterminée par la suggestion verbale en état de sommeil provoqué. Travaux de la Société des na
ne table, plusieurs chaises. On se proposait d'abord de laisserB en l' état d'hypnose. Dans les deux expériences précédente
s lequel les suggestions contraires sont abolies, parait constituer l' état le plus favorable pour obtenir les phénomènes en
(suggestionnables). ces phénomènes peuvent être obtenus aussi à l' état de veille, réel ou apparent. 5° La vésicule par
uire qne si le sujet a déjà eu une brûlure réelle de ce genre. 6° L' état de sommeil paraît accélérer la « maturation » des
n de l'objet, et tout le processus, en tant qu'il s'était déroulé à l' état de veille, avait subi un retard manifeste, avait
une impulsion a produire la brûlure par un moyen quelconque pendant l' état post-hypnotique, de telle sorte que B., comme nou
ire à son action, mais parce qu'il a été momentanément jeté hors de l' état de docilité, d'obéissance acquis par le dressage,
ilité, d'obéissance acquis par le dressage, et il a été jeté dans cet état par la mise en jeu d'un réflexe violent qui a dom
l'articulation atloïdo-occipilale ; la tête se trouve, alors, dans un état de naturelle souplesse et cette souplesse a toujo
de bonheur. TRAVAUX ORIGINAUX Le sophisme de la « suggestion à l' état de veille » par M. le Dr Bérillox, professeur à
isme fortuit, est que habituellement l'on constate chez les sujets un état d'inhibition plus accentuée que lorsque le so
ns lesquelles les sujets se sont trouvés soudainement plongés dans un état profond d'hypnotisme, après avoir fait-quelques i
les réflexes, à part le réflexe pharyngien qui est très diminué. Son état psychique parait aussi absolument normal, à part
ient été soumis au procédé par lequel il est possible de réaliser les états les plus profonds de l'hypnose. En effet, que dem
l'associe aux autres procédés d'hypnotisation j'obtiens également des états d'hypnose plus accentués. La conclusion de ce c
de de l'esprit, sur la pente du sommeil et réalise spontanément l' état d'hypnose fortuite. C'est à une influence indir
t point l'influence que l'imitation peut jouer dans la production des états hypnotiques. Il est probable que le médecin du th
tent spontanément une telle suggestibilité que la comparaison de leur état psychologique collectif avec celui d'un sujet hyp
ses manifestations, exactement comme le ferait un sujet plongé dans l' état d'hypnose. C'est qu'en réalité l'hypnose de la
groupées en troupeau, n'en est-on pas autorisé k admettre que le même état ; pourra se reproduire chez ces mêmes sujets, pour
ables à son développement se trouvent réalisées. L'existence de ces états d'hypnotisme fortuit n'avait été reconnue ni par
rler k tout propos de l'influence thérapeutique «de la suggestion à l' état de veille » ils auraient été amenés à se demander
été amenés à se demander s'ils n'opéraient pas sur des sujets dans un état d'hypnotisme, qui pour être fortuit, était cepend
at de procédés mis en œuvre par un expérimentateur exercé. H. — Les états hypxoïdes Alors que Y hypnotisme fortuit résult
e et indépendantes de l'intervention volontaire d'un hypnotiseur, les états hypiioïdes sont au contraire constitués par des d
l est le cas de sujets, plus nombreux qu'on ne croit, chez lesquels l' état de veille complet ne se trouve réalisé que dans d
tances exceptionnelles. L'existence de ces individus se passe dans un état de somnolence, d'apathie intellectuelle qui n'est
urs desquelles les individus parlent, causent, mais sont incapables d' état intellectuel. Leurs facultés psychiques semblent
culière ». (1) Cette différence lient an monde de production de ces états . Tandis que les premiers résultent des émises de
que présentent les nègres des pays tropicaux à être plongés dans des états d'hypnose ou d'auto-hypnose. M. le Dr Matignon
miner a sortir de la somnolence dans laquelle ils se complaisent. L' état de far-nîenle dans lequel se délectent certaines
esque toujours on a cette réponse: «Arien. * — llya donc un véritable état d'inertie ou plutôt de repos intellectuel, ce qui
eur a pas été fait de suggestions. » H n'est pas douteux qu'entre l' état de veille active et consciente, et l'état de somm
'est pas douteux qu'entre l'état de veille active et consciente, et l' état de sommeil complet, il y ait de nombreux états in
ive et consciente, et l'état de sommeil complet, il y ait de nombreux états intermédiaires. Quand ces états sont plus manifes
sommeil complet, il y ait de nombreux états intermédiaires. Quand ces états sont plus manifestement rapprochés du sommeil que
ectuelle, c'est alors qu'ils méritent le nom d'étals hypnoides. Ces états apparaissent chez certaines populations sous la f
reproduire : « Dans les districts frappés de mauvaises récoltes à l' état chronique, la population a élaboré un moyen de s'
ns « hivernants » ont une température et les fonctions cérébrales à l' état normal, ou si, comme chez les animaux ayant les m
chez les animaux ayant les mêmes habitudes, ils sont dans un certain état de torpeur avec température abaissée, dans de cer
des excitants. Une des conditions indispensables à la production de l' état d'hypnotisme et par suite à l'utilisation de la s
tiels de la doctrine que je professe en matière d'hypnotisme (1). L' état d'abstinence prolongé, joint à l'immobilité dans
n en diminuant l'activité intellectuelle, de rapprocher le sujet de l' état hypnoïde et d'augmenter sa suggestibilité. C'est
médecins les amènent d'une façon détournée, mais absolument sure, aux états d'hypnose les plus favorables aux succès de leurs
ux succès de leurs suggestions. C'est ce que, dans leur ignorance des états hypnoïdes. ils désignent, selon les cas, sons le
om de psychothérapie par « la persuasion » ou par la « suggestion à l' état de veille. » (A suivre.) Observations sur le
roduites par l'aimant sur la motilité : et ils vérifièrent que dans l' état hypnotique, l'application de l'aimant sur un musc
accentuent l'excitabilité neuro-musculaire et qu'on obtient « dans l' état d'hypnose avec l'aimant, se réalisent également e
riences étant toujours poursuivies sur des hystériques plongés dans l' état d'hypnotisme, cette conclusion exclurait l'idée q
Si l'opérateur laisse le sujet livré à lui-même, il restera dans son état léthargique sans qu'aucun phénomène ne se réalise
lèvres interrompit la contracture spasmodique et replaça le sujet à l' état normal. Dans cette expérience, ce qui est frapp
ait déjà essayé et obtenu M. le professeur Tamburini sur un sujet à l' état hypnotique : je pris comme sujet le même M. Gugli
eïdo-mastoïdien. Toici quel fut le résultat : 1° Le sujet étant à l' état de veille, présente une sensibilité cutanée norma
le premier cas, où il s'agit d'un sujet hystérique qui, pendant l' état de veille, présentait du coté droit une hypersens
é (où une suggestion faite sur un bras paralysé à une personne dans l' état de somnambulisme, entraîne à l'état de veille une
as paralysé à une personne dans l'état de somnambulisme, entraîne à l' état de veille une aphasie); Cbarcot et d'autres auteu
mblables. Ces auteurs ont donc démontré le phénomène intime entre l' état d'hypnose et l'hystérie (faits expliqués d'ailleu
res fonctions ou d'autres régions. Il donne donc une explication de l' état d'hypofonction des centres de l'écorce et de Thyp
olument muet et n'attire en rien l'attention ; il y a même souvent un état de bien-être, comme en éprouvent les personnes en
e sommeil est troublé accidentellement. L'esprit, aussi lucide qu'à l' état de veille, entre en activité, reprend le fil de l
faisant apparaître au point faible les sensations pathologiques de l' état de veille. Discussion M. Paul Parez. — Une au
s'explique chez les jeunes enfants par l'extrême variabilitéde leurs états affectifs, aussi l'éparpillement mental est-il l'
bilitéde leurs états affectifs, aussi l'éparpillement mental est-il l' état normal de la première enfance. On ne peut lui att
. L'éparpillement mental ne doit pas être confondu avec deux autres états mentaux chez lesquels on observe également de la
udividusdestinésàdemeurer, au point de vue de l'adaptation sociale en état permanent d'infériorité. En effet, toujours por
projets, ces sujets n'arrivent à en réaliser pratiquement aucun. Leur état mental se rap- proche des primitifs, des noma
À ce point de vne, l'hypnotisme par lequel se trouvent réalisés les états de conscience diamétralement opposés à l'éparpill
ance respective permettra aux nouveaux députés ou aux jeunes hommes d' état de prévoir et par conséquent de gouverner, et aid
et que les variations dt leur fonctionnement se traduisent par divers états d'âme. « Ces connaissances modifient nos idées
ogie des organes et les troubles mentaux qui peuvent résulter de leur état pathologique. « Si le psychologue doit connaîtr
p de sang et s'évanouit. La maîtresse de la maison la trouva dans cet état et fil conduire la martyre hystérique a l'hôpital
t ces êtres singuliers dominant par la puissance de la suggestion a l' état de veille ou pendant le sommeil, la volonté d'aut
ra de ces épreuves avec une réputation endommagée. En le mettant en état d'arrestation préventive, le juge d'instruction a
cultés, le moyen pour le condamné de faire réviser son procès. En l' état actuel les lois de 1895 et 1899 autorisent la rév
est pas curable, il est nécessaire de le mettre définitivement hors d' état de nuire. Pour la solution de ce problème, l'admi
initiatives. TRAVAUX ORIGINAUX Le sophisme de la « suggestion à l' état de veille » par M. le Dr Bérillox. professeur à
par M. le Dr Bérillox. professeur à l'Ecole de psychologie II. — Les états hypnoïdes (1) (Suite) Les états hypnoïdes se ra
à l'Ecole de psychologie II. — Les états hypnoïdes (1) (Suite) Les états hypnoïdes se rangent naturellement en deux groupe
pnoïdes se rangent naturellement en deux groupes distincts : 1° Les états hypnoïdes dans lesquels on ne retrouve aucun cara
1) V. les de Juillet, août. septembre, octobre et Janvier. 2e Les états hypnoïdes qui sont manifestement, au contraire, s
es ou psycliopathiques, 1° États hypnoïdes non pathologiques. — Ces états résultent de dispositions habituelles de l'esprit
ans l'inaction. C'est dans ce premier groupe que se rencontrent ces états si divers, mais analogues par le trait commun d'ê
tomatique par lequel s'effectuent les opérations de l'esprit dans ces états hypnoïdes : « Dans la rêverie, écrit-il, on n'est
e sommet/, sans le concours de la volonté » Ce sont également à ces états hypnoïdes que correspondent, dans d'autres langue
rès les glossaires il s'applique à l'assoupissement, c'est-à-dire à l' état où l'on est à moitié éveillé et à moitié endormi.
ait rien d'étonnant. Nos ancêtres connaissaient aussi fort bien les états de somnolence dans laquelle l'audition de mélodie
renciers en vogue et de prédicateurs admirés. La prédisposition aux états hypnoïdes se rencontre aussi fréquemment chez les
pensée des soucis qui s'alimentent de préoccupations personnelles. L' état hypnoïde de la rêverie ne saurait comporter d'eff
our'que je tente de les suivre sur ce terrain. Il est certain que les états intermédiaires entre la veille et le sommeil s'ac
e qu'il avait reconnu l'utilité, et peut-être aussi l'agrément de ces états de conscience dans lesquels la sensation du somme
n but, comme il le déclare, était « de se sentir dormir. » Dans les états hypnoïdes non pathologiques, stades de stationnem
tain nombre de personnes, à la longue, la rêverie, la rêvasserie, les états d'extase et de contemplation deviennent,.par l'ha
claraient impuissantes à s'arracher, de leur propre initiative, à ces états de conscience qui n'ont rien de désagréable, mais
l avait la sensation de vivre comme dans un rêve et ne sortait de cet état que lorsqu'il était dans l'obligation d'accomplir
ait eu l'idée de recourir au traitement psychothérapique. Quand les états hypnoïdes atteignent cette intensité ils se rappr
pnoïdes atteignent cette intensité ils se rapprochent évidemment de l' état pathologique ; tant il est vrai qu'il n'est pas d
tendrait à prouver que la rêverie habituelle, de même que les autres états hypnoïdes analogues, ne doit pas être rangée dans
lier à l'intervention de quelques séances de suggestion faites dans l' état d'hypnotisme. ii. — Etats hypnoïdes pathologiqu
d'hypnotisme. ii. — Etats hypnoïdes pathologiques. En dehors des états de rêverie, de rêvasserie, de somnolence prolongé
ls l'intervention de sa complaisance n'a pins aucune part Ce sont les états hypnoïdes pathologiques. Quelle que soit la cau
l que soit le degré de confusion auquel arrivent les perceptions, ces états se rattachent à l'hypnotisme par un caractère com
Il est donc facile de reconnaître si on se trouve en présence d'un état hypnoïde, par la seule constatation de la docilit
l'hgpersuggeslibililê fait défaut, il ne saurait plus être question d' état ligpnoïde. Les états hypnoïdes pathologiques so
fait défaut, il ne saurait plus être question d'état ligpnoïde. Les états hypnoïdes pathologiques sont d'une extrême fréque
onstater les analogies étroites qui permettent de rapprocher certains états nerveux et mentaux dans les diverses modalités qu
il normal et dans le sommeil provoqué. Le caractère fondamental des états hypnoïdes étant Thypersuggesti-bilité. c'est dans
'on pourra trouver les éléments d'une classification naturelle de ces états . C'est par ce moyen que j'ai été conduit à cons
ces états. C'est par ce moyen que j'ai été conduit à considérer les états hypnoïdes pathologiques dans leurs rapports avec
tigmates, accidents mentaux, accès de sommeil hystérique). 2. — Les états seconds, les somnambulismes et les noctambulismes
s et les noctambulismes. 3. — Les névroses traumatiques. 4. — Les états de médiumnité. 5. — Les hallucinations hypnagog
ippaales, folies post-opératoires, délires oniriques, etc. 7. — Les états mentaux spéciaux (état mental des mourants, des p
ératoires, délires oniriques, etc. 7. — Les états mentaux spéciaux ( état mental des mourants, des paludéens, de l'inanitio
etc.) Il n'est pas douteux que dans la grande majorité des cas. les états hypnoïdes pathologiques relèvent de l'hystérie. A
giques relèvent de l'hystérie. A mon avis, Y hystérie ne serait qu'un état hypnoTde caractérisé par une inégalité fonctionne
ter des confirmations. L'hystérique étant constamment placé dans un état d'hypnotisme partiel, on comprend dès lors que l'
l'hypersuggestibilité soit la manifestation la plus apparente de son état psychologique. On conçoit également, puisqu'il es
evoir et à réaliser des suggestions. C'est la méconnaissance de cet état d'hypnotisme permanent qui a donné, chez certains
à l'illusion qu'ils avaient obtenu des résultats par « suggestion à l' état de veille », alors qu'ils s'adressaient, en réali
qui ait bien observé ces dispositions des hystériques à vivre dans un état permanent d'auto-hypnotisation spontanée. U l'a e
nt psychiques que somatiques de Fhgpnotisme peuvent se rencontrer à l' état de veille, sans qu'il soit nécessaire de faire in
re de faire intervenir tes pratiques d'hypnotisafion. Il semble que l' état d'hypnotisme qui, pour d'autres, est un état arti
isafion. Il semble que l'état d'hypnotisme qui, pour d'autres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures l
autres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures l' état ordinaire, l'état normal, si tant est qu'en parei
t artificiel, soit pour ces singulières créatures l'état ordinaire, l' état normal, si tant est qu'en pareille circonstance,
l, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse être question d' état normal. Ces gens-là, passez-moi le mot, dorment,
'on n'ait employé aucune manœuvre d'hypnotisation, par conséquent à l' état de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la c
insisté sur ce fait, que les accès d'hystérie se continuaient par des états analogues à l'hypnotisme qu'il désigne sous le no
le de reproduire les considérations par lesquelles il établit que ces états relèvent bien de l'hypnotisme (1). « Le fait ca
l,est de savoir si pendant la durée de cette période la malade est en état de sommeil hypnotique. Or, je crois qu'il ne saur
ons à réalisation immédiate que ce/tes à échéance lointaine. Mais cet état hypnotique diffère notablement de celui qu'on pro
n'y a rarement de grandes crises, il y a toujours la disposition à l' état hypnoïde et l'hypersuggestibilité. Aussi, est-ce
ibilité. Aussi, est-ce le plus fréquemment par la méconnaissance de l' état hypnoïde des hystériques que certains observateur
prétendent exercer sur ces malades une influence par « suggestion k l' état de veille ». [A suivre). SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE E
l défini, qu'ils ne peuvent caractériser et qui consiste plutôt en un état d'irritation gastrique. Et, en admettant même q
sième plan les modifications chimiques, pour mettre au premier rang l' état de sensitivité gastrique ; c'est cette sensitivit
natomiquement semblable deux jours de suite. Les observations sur l' état de leurs sens sont aussi curieuses et intéressant
n discours les lignes suivantes dans lesquelles il analyse les divers états d'Ame des chirurgiens : « On a beaucoup écrit s
D'accord avec Meige et Felndel il montre que tous les liqueurs ont un état mental inf«utile, et que chez eux c'est surtout d
re d'immobilisation et cure de mouvement ; alors, fait remarquable, l' état mental s'améliore en même temps que le tic : la d
de prison due a sa conduite antérieure : le tle réapparaît bleniot, l' état mental redevient ce qu'il était avant le traiteme
souffrances de l'aine, et dans sa seule préoccupation à ne faire état que des souffrances physiques. Mais depuis la fai
ne peut tarder à pratiquer cette méthode générale sans se placer a l' état de schisme vis-à-vis des sciences naturelles et d
s les périodes d'un devenir indivisible. Aussi ne la mettrons nous en état de remplir sa tache éducative qu'en tenant compte
1). c'est bien un caractère acquis d'être « manchot >. Inscrit à l' état permanent dans le patrimoine héréditaire de certa
rencontre que des fous. Tout à côté d'elle il convient de placer un état morbide constitué par les diverses perturbations
moraliste impeccable doublé d'un cli- nicien consommé désigne cet état morbide par le mot de demi-psychose . Les malad
ernières semblent liées à des rêves nocturnes qui se renouvellent à l' état de veille; on leur donne le surnom d'oniriques. Q
urement nerveuse, la mélancolie de nature bénigne et enfin ces divers états nerveux mal définis, caractérisés par des stigmat
e vais tout d'abord vous signaler ce qu'on appelle le nervosisme. Cet état nerveux a des caractères imprécis qui, dans cette
, dans leurs transcriptions, des traits particuliers qui révèlent son état d'ftme au moment même où il les a écrites et expr
s de défaillances. (A suivre.) Le sophisme de la « suggestion à l' état de veille » par M. le Dr Bêrillox, professeur k
ar M. le Dr Bêrillox, professeur k l'Ecole de psychologie II. — Les états hypxoïdes pathologiques {Suite) Dans tous les
ologiques {Suite) Dans tous les temps on a observé, sous le nom d' états seconds, d'altérations de la personnalité, des ca
t spontanément, et au plus haut degré des dispositions à réaliser des états hypnoïdes très nettement caractérisés. Je n'ent
e ici l'histoire des somnam -bulismes et des noctambulismes. Dans ces états , de même que dans les états seconds, le somme
ismes et des noctambulismes. Dans ces états, de même que dans les états seconds, le sommeil partiel d'une partie des acti
t bien que les somnambulismes naturels et les noctambulismes sont des états hypnoïdes. car l'hypersuggestibilité en reste, av
mentales supérieures qu'il en est résulté l'apparition d'un véritable état hypnoïde. Devenu de ce fait hypersuggestible. le
nstitue un dommage comportant réparation » est bien l'expression d'un état mental fréquent chez les traumatisés. Il est cert
accident, des sujets prédisposés pouvaient se trouver placés dans un état hynoïde les livrant sans contrôle à l'influence d
ais esprits qui le soumettent aux vexations les plus pénibles. Dans l' état de subjugation l'influence pernicieuse des mauvai
é recueillis par 31. Gilbert-Ballet : La médiumnité se rattache à l' état pathologique par de nombreux caractères et il est
encontrer qui dans le cours des séances tombent spontanément dans des états de sommeil provoqué. Dans son livre sur VOccultis
ond. Le médium était devenu Napoléon, c'est-à-dire était passé de son état de médium à un de ces états de somnambulisme avec
Napoléon, c'est-à-dire était passé de son état de médium à un de ces états de somnambulisme avec transformation de la person
relle, sur la pente de l'hypnose. Tandis que les uns arriveront à des états d'automatisme et d'inconscience très accentués, l
sme et d'inconscience très accentués, les autres ne franchiront pas l' état intermédiaire entre la veille et le sommeil qui c
as l'état intermédiaire entre la veille et le sommeil qui constitue l' état hypnoïde. Par ce fait, ils présenteront tous, bie
Dans la pratique, ces séances de spiritisme au cours desquelles les états d'hypnose apparaissent fortuitement, ne présenter
la pratique du spiritisme seraient moins exposés à demeurer dans des états hypnoïdes dont la persistance ne peut qu'exercer
me, est de l'automatisme ambulatoire. » Cela revient à dire que les états de médiumnité offrent la plus grande analogie ave
que les états de médiumnité offrent la plus grande analogie avec les états d'hypnotisme, avec la différence essentielle que.
dera comprendre le mécanisme par lequel se trouvent réalisés certains états hypnoïdes. « L'hallucination hypnagogique est u
et se place dans un demi-état de torpeur. Or, le commencement de cet état est précisément celui qui est nécessaire pour l'a
tarde pas à s'emparer de nous. ».....•.................- « Bans cet état de non-attention, les sens ne sont point encore a
ransmettre la sensation n'est plus aussi vive, aussi nette que dans l' état de veille. Quant à l'esprit, il cesse d'avoir une
science reprend ses droits. On peut donc dire avec raison que, dans l' état intermédiaire entre la veille et le sommeil, l'es
puisse parfaitement se souvenir de ce qu'il a éprouvé, qu'il soit en état de le décrire. » De la description même qu'Alfr
ition à demeurer plus longtemps que cela n'arrive d'ordinaire, dans l' état intermédiaire entre la veille et le sommeil. Celu
de l'ensemble des moyens employés dépend entièrement, selon moi. de l' état mental du malade, ce qui à son tour dépend de l'a
tance d'une qnantité moindre d'albumine, il était revenu à un parfait état de santé. Après une visite en Angleterre il est r
nt de la force motrice qui est presque toujours dominé ou créé par un état mental auquel se rattachent des défaillances psyc
engendrées par les pseudo-psychoses, à vous dire quelques mots de ces états pathologiques mal définis qui représentent ce
impression de vague tristesse, d'inquiétude, de demi-angoisse. Et cet état ne s'amendait qu'aux approches du repas du soir.
nes, soit de l'inconscience somnique, soit même de la conscience de l' état de veille, et y reproduire, surtout à la seconde
que, que l'on me concédera, je t'espère du moins, comme relevant de l' état normal, et qui, pour être recueilli, réclamait qu
es sensations de piqûres et de tiraillements dans tout le corps et un état de trouble général que je ne savais à quoi ra
é quelquefois accompagnées de rêves pénibles, etc. » Plus pies de l' état pathologique est cette autre observation, déjà me
ant d'arriver, il tombait à terre, se débattait convulsivement et son état nécessitait son transport au lit. A 8 heures et d
ique d'effroi avec gestes de défense contre un ennemi imaginaire. Cet état d'agitation convulsive persista toute la nuit. Le
ation convulsive persista toute la nuit. Le lendemain, 24 avril, même état d'inconscience et mêmes crises séparées par des i
t des rythmes périodiques. Prennd. scrutant la pathogénie de maints états névrosiques et plus spécialement des obsessions e
on — ; puis, aux jours d'échéance périodique, les faisant émerger à l' état de phénomènes capables de s'imposer à la conscien
itifs, et plus ott moins obsédants, en temps de veille : et aussi ces états de conscience insolites, dont nos (1) Improprem
calme arrivent plus commodément à constater une périodicité dans leur état de santé (2i ». Et ailleurs : « A tout moment de
é. Mais jusqu'à quel point en a-t-il conscience *? Cela dépend de son état présent. Le présent et le passé sont continuellem
mblait soustraite à l'action des centres supérieurs qui constituent l' état de conscience, plus elle se manifestait snivant d
signaler que l'inertie fonctionnelle de ces mêmes centres supérieurs état somnique. hypnotique, rêverie, distraction, etc.)
tions plus ou moins nettes et régulières dans le psychisme inférieur ( états inconscients, subconscients, rêves, etc.), plus o
u passé sur le présent. 3° Grâce à l'automatisme qui y préside, les états de sommeil et d'inconscience sont les plus aptes
s communes est la réminiscence en cours de rêve. 4° Par contre, les états de conscience et de veille tendent à s'opposer à.
pports avec les circonstances du moment, soit d'étranges tendances, d' états plus ou moins obsédants, de dispositions ou d'apt
ecin réussisse, soit par hasard, soit par méthode, à bien connaître l' état d'Ame de son malade, il voit que toutes ces m
utérine. L'hérédité nulle. L'examen objectif, eu dehors d'un certain état de dé-Ci) Pevnizky. Troubles obsédants traités pa
e dans le traitement de ces phobies. Mais on peut rendre inoffensif l' état moral d'un pareil malade, on peut régulariser sa
u par des souvenirs subconscients qui entretiennent le malade dans un état émo • tionnel. Un artifice assez ingénieux consis
émo • tionnel. Un artifice assez ingénieux consiste à évoquer dans l' état hypnotique les souvenirs qui. à l;état de veille,
ieux consiste à évoquer dans l'état hypnotique les souvenirs qui. à l; état de veille, demeurent dans le domaine du subconsci
er ainsi toute cause capable d'entretenir la cellule nerveuse dans un état anormal d'Irritabilité. II est surpre- nani a
t le faire sortir de chez lui : il restait constamment plongé dans un état de tristesse invincible aussi déprimé physiquemen
puis lors, chaque année vers le mois de février, il fut repris de cet état de dépression qui s'établissait peu à peu pour ar
ments quatre et cinq fois par jour. Dans l'intervalle des crises, l' état général laissait beaucoup à désirer, et. si l
fus appelé à donner mes soins à M. X... à la fin de l'été dernier, l' état de crise persistait depuis près d'un an malgré le
'hypnose : je me préoccupais avant tont de réaliser chez mon malade l' état sédatif. Les premières séances faites avec les
ète marquée par l'abolition du réflexe cornien. A partir de ce jour l' état de M. X.. changea du tout au tout comme par encha
e considéraient comme fou sont frappés du changement survenu dans son état . Ce n'est plus cette fois une atténuation de symp
ministration et les avantages. Le fait de plonger les malades dans un état d'inhibition qui les rend plus accessibles aux su
a prié près d'un malade, une telle amélioration se manifeste dans son état que le peuple s'imagine qu'il émane de lui une so
sommeil et sans repos. La description que l'auteur nons donne de son état en fait une malade atteinte de grande hystérie.
térique raisonneuse, au fonctionnement nerveux déséquilibré et dont l' état mental a été compliqué par le doute et le raisonn
sons harmonieux ou agréables, des personnes tomber dans un véritable état d'extase. Le même phénomène s'observe chez les oi
qu'un dérangement inopportun vient troubler lorsqu'ils sont dans cet état . Les bruits de la nature s'imposent à notre att
notre intelligence s'engourdit dans cette contemplation oisive. Notre état de conscience se réduit à une suite de sensations
as le seul agent qui puisse plonger les hy6téro-épileptïques dans les états de catalepsie et de léthargie ; les mêmes expérie
rgie possède tons les caractères décrits précédemment. Au milieu de l' état léthargique, de nouvelles vibrations du diapason
it par le fait seul de sa prolongation, trois formes différentes de l' état hypnotique. Dans la première, qu'on appelle l'éta
s différentes de l'état hypnotique. Dans la première, qu'on appelle l' état cataleptoïde les geux ouverts, la malade ressembl
une personne endormie ; dans la troisième qu'on désigne sous le nom d' état léthargique, elle estdevenue inerte comme un cada
tance de l'oreille ou appliqué sur le crâne, il provoque rapidement l' état cataleptoïde les yeux ouverts, puis l'état catale
, il provoque rapidement l'état cataleptoïde les yeux ouverts, puis l' état cataleptoïde les yeux fermés, puis l'état I éthar
de les yeux ouverts, puis l'état cataleptoïde les yeux fermés, puis l' état I éthargoïde. « Dans le cas, ajoute-t-iL où le
vre la sonorité décroissante de l'instrument ne tarde pas à amener un état de fatigue favorable a la réalisation de l'hypnos
'est d'ailleurs par l'association des divers agents physiques que les états profonds de l'hypnose indispensables au traitemen
aves, peuvent être obtenus. C'est également par la réalisation de ces états que les études sur l'hypnotisme retrouveront l'in
oser brièvement une seule observation, qui montre combien souvent des états très connus, pouvant être rapportés tantôt à la n
8 ans il avait été plusieurs fois pris, la nuit, par sa grand'mère en état d'ivresse, celle-ci lui faisait avoir avec elle d
e est également applicable au traitement de l'hystérie ; mais comme l' état d'Ame de l'hystérique est très compliqué, cette m
ivatif (Aussprachefcur, talking cure) ; les voua enfin soulagés ! Les états psychiques, tels que ceux que je viens de décrire
s centres nerveux supérieurs, dans une sorte de se mi-hypnotisme ou d' état hypnoïde dont l'interrogatoire ne se rend pas ass
'ils étaient véritablement hypnotisés. Les agents provocateurs de ces états hypnoïdes sont le plus souvent : la monotonie d'u
motion n'est pas assez précise pour systématiser et individualiser un état niorbrde. Dr BEHLLLoy. — En effet l'émotion peu
elle est inhibitrice ou productrice de trouble psychonévrotique et d' état hypnoïde, suivant qu'elle agit sur des gens fragi
e même le mieux conduit ; c'est que cette cause est oubliée pendant l' état de veille. (1) D' Salser (Munchen) 'Ceber Erwar
le subconcient et, pour l'en tirer, il faut plonger le malade dans un état hypnotique profond, grâce auquel les souvenirs so
et neurologistes. Marseille, IS99). Dr Raffegeau. — Les sujets à l' état hypnoïde doivent pouvoir être mis facilement dans
que plus profond. Dr Bêbillos. — Cela est tout à fait exact. Dans l' état hypnoïde, ils sont en quelque sorte à moitié chem
aboutir. Ce qui les intéresse les psychothérapeutes c'est que. dans l' état hypnoïde, les sujets se conduisent exactement com
liganbulisme. C'est également ce qu'en décrit Liébeault sous le nom d' état de charme et le professeur Beaunis sous celui de
tous, au printemps, font la saillie ; ils vivent donc plus près de l' état normal. Mais, même dans ces conditions, le cheval
on roulerait ainsi indéfiniment. La direction a si bien compris cet état de quasi-hypnotisme par mono-tomie du geste qu'el
fait un devoir, à intervalles répétés, de tirer son cliont de cet état d'engourdissement par la mise en branle de sonner
ces moments que surviennent les ohntes, par brusque cessation de cet état d'apathie favorable à un bon équilibre. Il est
tation d'abord puis une période de résolution, un certain abandon, un état de béatitude et d'hébétement. C'est du reste la
r. Discussion : Dr Bérillon. — L'abus du patinage sportif crée un état mental particulier, comme dans la plupart des spo
s évolutions tournoyantes et le brait monotone provoquent une sorte d' état hypnoïde, avec abandon, béatitude, suspension des
la façon dont nous avons procédé. 1° Nous avons laissé le sujet à l' état de veille, en repos sur sa chaise, (1) Bérillox
pour l'habituer à la température de la chambre. 2° Sur le sujet à l' état de veille, nous avons observé et consigné tous le
rès quoi nous avons procédé de nouveau, aux mêmes observations qu'à l' état de veille. Enfin nous avons suggéré, une émotio
ces. éléments sont soumis à des influences multiples et variées de l' état psychique. 2° Que le sommeil hypnotique débarra
sion artérielle est venue confirmer-cette opinion. Chez les sujets en état d'hypotension, s'hypnotisme relève la tension art
nay (SeineJ Dans la classe des appréhensions morbides parvenues à l' état d'obsessions pathologiques, il en est une, assez
lle ou telle affection dont 1 idée fixe finit par créer chez elles un état particulièrement angoissant, et même, chez quelqu
un état particulièrement angoissant, et même, chez quelques unes, un état de délire permanent, systématisé, qui ne laisse c
xaminé à plusieurs reprises ; il pourra donner son appréciation sur l' état mental de ce malade, sur l'esprit duquel, par un
à des confrères envoyés par la famille pour rendre compte de son état , il se départ de son mutisme : il manifeste le mô
fois l'accès terminé, l'obsession disparait, le calme revient avec l' état normal, jusqu'au prochain accès. Dans le cas prés
faire dormir, l'hypnotiser, c'est déjà considérablement atténuer son état . Dr Bérillon. — Et pour obtenir le sommeil si l
umoff se trouvait, par le fait de son amour pour la comtesse, dans un état de suggestibilité maladive qui l'a placé sous la
du Code atténuant sa responsabilité, parce qu'elle se trouve dans un état mental qui diminue beaucoup sa force de caractère
lter le peuple ou ses délégués 'T l'équilibre se maintient tant que l' état , petit ou grand, demeure une simple amplification
ai relief, il s'est, contenté de dire qu'il plaçait l'hypnose entre l' état de veille ot le sommeil. « Tout en rendant un j
provient de ce que le sujet qu'on cherche A Influencer est laissé en état de veille. SI on le place dans cet état relativem
he A Influencer est laissé en état de veille. SI on le place dans cet état relativement passif que provoque l'hypnose, on es
le snjet dans un sommeil profond, il suffit de l'engourdir. Dans cet état presque inconscient, il perd 6a résistance et se
it faible et étroit. Que présente maintenant, avec ces tendances, l' état physiologique de notre sujet. C'est hélas, un hom
t en tirer des déductions relatives aux changements survenus dans son état mental, mais on ne saurait y trouver de sérieuses
pouvions donc compter que sur des suggestions renouvelées, faites à l' état de veille, ou tout au plus de somnolence un peu a
la suggestion porterait sur un instant favorable, c'est-à-dire sur un état pas assez léger pour arriver à la fin sans sommei
tre principal desideratum qui était de créer, chez un réfractaire, un état « de rapport » indéniable pour une suggestion, qu
et jouissant pleinement de sa volonté directrice — à un sujet mis en état de détente, de résolution, de quiétude, d'indiffé
hypnotique et maladie de Basedow, par Preda, p. 150. Suggestion à l' état de veille (Le sophisme de la), par Bérillon,
6 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
rection inefficace de la partie rationnelle. Il se peut donc que leur état , en hypnose, soit un sommeil vrai, quoique incomp
nose, soit un sommeil vrai, quoique incomplet : en tout cas, c'est un état fort semblable au sommeil. Cela supposé, nous p
Cela supposé, nous pouvons dire que l'hypnose est un sommeil ou un état analogue au sommeil, dans lequel l'activité psych
lade dans l'exercice de sa profession qui est le point de départ de l' état d'angoisse caractéristique de cette affection.
e et d'anxiété : il balbutiait sans pouvoir articuler une parole. Cet état durait depuis quelques mois, il en fit part à ses
i conseille de recourir au traitement- Il sel laissa plonger dans l' état d'hypnotisme avec la plus grande facilité. Pendan
pres un certain nombre de ces représentations mentales, faites dans l' état d'hypnose, il sentit qu'il éprouvait un changemen
hypnose, il sentit qu'il éprouvait un changement appréciable dans son état d'émotivité. La guérison s'est maintenue. Dans
es extrêmes limites : tels étaient les traits les plus saillants de l' état mental de la malade. Mais ce qui dominait tout, c
septembre, en cinq séances prolongées de psychothérapie intensive à l' état de veille, j'obtins la disparition successive des
in. — Manie intermittente catanémiale suspendue par la suggestion à l' état de veille. 5. M. P. Hartenberg. — Un cas de neu
de suggestion mentale. 10. M. Bourdon (de Méru). — Suggestion à l' état de veille. 11. M. Bernard Leroy. — Extériorisat
utes les suggestions. De plus, les mêmes sujets peuvent être mis en état d'hypnose à distance, c'est-à-dire que, par une l
loureux, pesait encore un peu à droite quand elle y pensait, mais son état n'était plus comparable à ce qu'elle n'avait cess
ire h la malade: Dormez, dormez, pour qu'elle entrât immédiatement on état d'hypnose, sans qu'il fût besoin d'avoir recours
aque jour visite ù Mme X..., et toutes choses se maintenaient dans un état entièrement satisfaisant: digestions faciles, pro
it l'habitude, sur ma recommandation, de se reposer et rie dormir .en état d'hypnose, quelques minutes, sur sa chaise longue
. J'ai revu Mme X... le 18 juillet, et toutes choses restent dans l' état susmentionné : très bon état général, signes rati
juillet, et toutes choses restent dans l'état susmentionné : très bon état général, signes rationnels et objectifs d'une gro
née dernière, de pratiquer une laparotomie dans le but de constater l' état des ovaires et des trompes utérines. Un des chiru
s d'elle. Comme je l'ai déjà dit, un examen attentif, minutieux, de l' état général et de l'état local, me permit d'affirmer,
ai déjà dit, un examen attentif, minutieux, de l'état général et de l' état local, me permit d'affirmer, dès ma première visi
changement à vue ; et les jours suivants, les semaines suivantes, cet état de santé parfaite se maintint et ne fut momentané
me jour d'une conception possible. Vous savez, d'après mon récit, l' état dans lequel se trouve aujourd'hui cette jeune fem
vous communiquant ce que sera devenu cette grossesse inespérée, et l' état nerveux de mon intéressante malade. Je termine en
jour, ont soutenu l'opinion contraire. Or, la question de savoir si l' état de sommeil provoqué est doué, per se, d'une actio
modifications qui surviennent, sous l'influence de l'hypnose, dans l' état physiologique des sujets. Déjà des examens sphy
mparant, chez un grand nombre de sujets, la tension artérielle dans l' état de veille et dans l'état de sommeil provoqué. Pou
mbre de sujets, la tension artérielle dans l'état de veille et dans l' état de sommeil provoqué. Pour ces examens nous nous s
s condions qui le rapprochent le plus possible du sommeil normal. Cet état ne peut être obtenu qu'en s'abstenant rigoureusem
ué et prolongé nous a donné les résultats les plus frappants sont les états pathologiques-caractérisés par des sensations d'é
e des lésions locales, en même temps qu'une amélioration marquée de l' état général. Chez les neurasthéniques, les séances
théniques, les séances de sommeil provoqué amènent la disparition des états d'anxiété, le relèvement des forces, la suppressi
force utilisée pour leur fonctionnement. C'est ce qui se passe dans l' état de sommeil provoque pendant lequel, à l'inhibitio
er, de la circulation générale. L'examen comparatif des sujets dans l' état de veille et dans l'état d'hypnose nous fournit d
érale. L'examen comparatif des sujets dans l'état de veille et dans l' état d'hypnose nous fournit donc une interprétation ra
ovoqué. ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ Tic facial guéri par suggestion à l' état de veille. Par m. te Dr Henry Aimé, de Nancy.
pératif, dura une demi-heure. Pareil entrainement psychique actif à l' état de veille fut continué pendant douze jours. L
édecin. RECUEIL DE FAITS Astasie-abasie guérie par suggestion à l' état de veille.1 M. Ginestous. J'ai l'honneur de pré
iété d'Anato-mie un cas d'astasie-abasie guérie par la suggestion à l' état de veille. V... (Jeanne), domestique, dix-sept
ot ordonne de l'endormir après la visite et de lui suggestionner, à l' état de sommeil, qu'elle peut marcher. Maïs ses voisin
usqu'au 8 février. On décide de traiter la malade par suggestion, à l' état de veille, au moyen du bleu de méthylène; mais, à
ur. Je l'endormis avec la plus grande facilité, et je profitai de son état pour calmer ses douleurs de tête et obtenir de lu
e de s'endormir et do se réveiller fortuitement, soit toujours dans l' état que je viens de dire, en accuse les malaises et e
toujours parfaitement docile et ne mérita jamais de reproches. Son état général s'étant beaucoup amélioré, il n'avait plu
te aucune lésion, sauf un certain degré de dilatation d'estomac et un état général défectueux. L'eau de Vichy, les reconstit
symptômes douloureux dont elles manifestent l'existcnce. Dans leur état de conscience, où de prime abord parait régner ex
t à ce principe que l'attitude physique détermine par association des états psychiques correspondants, je commandais à mon su
t, je prescrivis contre la dyspepsie un régime sévère et je relevai l' état général par une hygiène appropriée. Au bout de
autres procédés de suggestion, et qu'on doit avoir recours à d'autres états psychologiques, de ceux que Liébeault appellerait
ervation m'en parait un exemple significatif. La photographie des états hyper vibratoires de la vitalité humaine Méthode
dans une zone périphérique au corps humain, lorsque nous sommes en un état lujpervibratoire de contraction do resserrement,
l'oiseau. (Sans électricité.) B) Ether en tourbillon, lorsque notre état d'àmc est angoissé, très impressionné (n° 1). C
, des différentes ,aura de la force courbe qui sont produites par dos états d'âme différents, angoissés compatissants, élevée
ations vitales extériorisés du corps humain lorsque nous sommes en un état hypervihratoire d'expansion ou de décondensalion
eil photographique. Il faut nécessairement que cette personne soit en état vibratoire, volontaire ou émotif. Ce procédé de
urbillons de l'Ether de la force Cosmique. Les clichés prouvent ces états hypcrvibratoires, qu'ils soient pris à la tète ch
la physionomie qu'elles revêtent, les phobies décèlent toutes le même état mental sous-jacent, c'est-à-dire émotivité excess
cadre de la neurasthénie les laits dans lesquels les phobies sont à l' état rudimen-taire ». Ces phobies, de nature neurasthé
nviction que « l'obsession n'est, en quelque sorte, que la phobie à l' état chronique » ; et il affirme à nouveau que, « suiv
être beaucoup moins préoccupé de la théorie que de la pratique. « Ces états , écrit-il, sont caractérisés par un ensemble de s
ment distinguée. Ainsi comprises, les phobies se présentent comme des états physiologiques en réalité très complexes, où se m
ffectif, l'autre au typû intellectuel — il y a place pour une foule d' états intermédiaires, non pas indemnisables, comme on l
e aura /occasion de faire valoir celte connaissance particulière de l' état mental JURISPRUDENCE MÉDICALE 57 des psyc
onnel, est justiciable de la suggestion. L'entraînement psychique à l' état de veille, doublé d'une plaidoirie appropriée à l
uestion de savoir si l'on peut, après avoir placé une personne dans l' état d'hypnose, lui impeser sa volonté de telle sorte
stion de savoir si l'on peut, après avoir placé « une personne dans l' état d'hypnose, lui imposer sa volonté de telle • so
ou « les effets du magnétisme n'existent pas ; o Attendu, qu'en cet état , le Tribunal ne saurait, sans une certaine « inqu
colère ni aucune action impure ne s'est spontanément produite dans l' état hypnotique, » Mes propres observations sur cett
ion de quelques opérations dentaires, que j'exécutai en 1890 durant l' état d'anesthésic hypnotique, j'attirais l'attention s
2° Toute idée acceptée est une suggestion. L'hypnotisme n'est pas un état particulier, c'est !a mise en activité de la sugg
minelles. 8° Un acte dôlicucux ou criminel peut être commis dans un état de condition seconde ou vie somnambulique, d'orig
Pitres et Régis ont consacré plusieurs pages à la psychothérapie à l' état de veille et dans l'état d'hypnose. Dans son rapp
acré plusieurs pages à la psychothérapie à l'état de veille et dans l' état d'hypnose. Dans son rapport sur le traitement du
eil analogue à celui de la nuit. Ils lui vantent les avantages de cet état de repos, de passivité. Lorsqu'ils jugent que le
e repos, de passivité. Lorsqu'ils jugent que le sujet est arrivé à un état de somnolence appréciable, ils s'appliquent par d
le sommeil provoqué le même langage que d'autres lui adressaient à l' état de veille. La suggestion faite, ils ne négligent
ands hystériques les expériences les plus capables de déséquilibrer l' état mental. Ceux qui soulèvent également cette object
tique qui repose uniquement sur la persuasion employée pour créer des états de conscience conformes au besoin manifeste du ma
vorisé par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l' état mental se modifie, mais les troubles spasmodiques
érimentales pour se limiter aux suggestions nettement indiquées par l' état du malade, surtout lorsqu'on ne néglige pas de pr
at-doceot à l'Université de Moscou. 1) Le sommeil hypnotique est un état physiologique spécial qui se caractérise par l'ab
nication faite au Congres de Moscou. 2) Dans beaucoup de cas, cet état est accompagné de la plus grande suggestibilité.
cet état est accompagné de la plus grande suggestibilité. 3) Mais l' état hypnotique et la suggestibilité ne dépandent pas
mmeil hypnotique et vice versa. 4) Au point de vue thérapeutique, l' état hypnotique a autant de valeur que la suggestion.
tique, l'état hypnotique a autant de valeur que la suggestion. 5) L' état hypnotique ne peut produire que l'abaissement de
e courte durée. 8) Par conséquent, au point de vue thérapeutique, l' état hypnotique et les suggestions négatives ayant car
me à la thérapeutique donne les meilleurs résultats au traitement des états d'excitation générale du système nerveux, quelle
xcitations du système nerveux chez les neurasthéniques, dans tous les états affectifs, dans tous les cas d'irritabilité exagé
die mentale se manifeste que sous la condition de l'amélioration de l' état général du système nerveux. Par exemple : la disp
gnée par la disparition de l'excitation générale, de l'insomnie, de l' état affectif, inappétence, etc. 18) A l'application
ons probables, parce que la plupart des suggestions indirectes et à l' état de veille rentrent dans le domaine de l'influence
par uue crainte excessive do rougir, déterminant des troubles dans l' état général et des idées de suicide. (1) Communicat
tuelle. Rapprochant ces deux faits, nous croyons qu'il s'agit là d'un état mental particulier dont la place se trouve nettem
e connivence avec celui ou ceux qui avaient commis cet acte. Mais son état ne tardait pas à empirer. Entrait-il dans la mais
e cet homme est mon amant, et lui-même, cet homme, va conclure de mon état que si je me trouble ainsi à sa vue, c'est que je
rs temps, le mari et les enfants avaient prêt é peu d'attention à cet état , lorsqu'il y a environ 2 mois, la plus jeune des
ation I, nous voyons que tout a été employé sans succès pour calmer l' état gastrique de cette femme ; seule la suggestion hy
t sa grossesse et elle s'était montrée difficilement hypnotisablc. En état de grossesse, il a suffi de quelques secondes pou
me qu'Esdailc, reconnaissait une analogie entre l'hypnose et certains états produits par le Cannabis Indica. La référence à c
ue quelconque qui se propose à notre observation est, dans le présent état de la médecine, une pure absurdité et une simple
s actuels, le second voyait son classique ouvrage : Du sommeil et des états analogues, demeurer sans aucun succès (six exempl
nologie et de psychologie, dont il avait suivi les séances tant que l' état de sa santé le lui avait permis, etc. Chevaiier d
e 1897. LA QUESTION DES SUGGESTIONS CRIMINELLES ses origines, son état actuel (1). Par M. Liégeois, professeur à l'Unive
produire, par suggestion verbale, un véritable automatisme. Dans cet état , le patient, soumis à l'expérimentateur, aussi bi
dans laquelle il avait produit, chez une jeune fille, Mlle E. P.-, un état de somnambulisme si profond, d'automatisme si com
— Qu'elle a été mal organisée, et qu'ainsi elle ne prouve rien. Que l' état de J... n'était pas le degré profond de somnambul
e écartée définitivement. § 2. La femme violée sans le savoir. En état de somnambulisme, soit spontané, soit provoqué, d
voir se procurer des observations personnelles exactes, faites dans l' état hypnotique. La difficulté venait de ce que le som
t masquer le phénomène principal ; enfin, en plaçant le sujet dans un état qui, s'il n'est pas l'état de veille normal, n'es
cipal ; enfin, en plaçant le sujet dans un état qui, s'il n'est pas l' état de veille normal, n'est pas non plus un état prof
at qui, s'il n'est pas l'état de veille normal, n'est pas non plus un état profond d'hypnose, tout au moins dans lequel il c
isse tomber les bras en disant qu'il ne sent plus rien et reprend son état normal. Je m'approche de lui et je lui fais de
lui et je lui fais de nouveau quelques passes pour le remettre en état de suggestionabilité. Après avoir repris ma place
du plus grand intérêt, dans ces expériences, de rechercher dans quel état se trouvent les sujets au moment où ils reçoivent
exécutent les suggestions mentales. En apparence, les sujets sont en état de veille, et de fait, si vous les interrogez apr
ont pas dans un sommeil profond, mais ils ne sont pas non plus dans l' état de veille normale. Pour le prouver, il suffira de
début des expériences. Us constatent qu'ils éprouvent un changement d' état , quelque chose qui les isole de tout ce qui les e
indiquent des fourmillements. Le sujet se trouve placé là dans cet état que j'ai décrit sous le nom d'état médianique pas
sujet se trouve placé là dans cet état que j'ai décrit sous le nom d' état médianique passif. Son attention pour tout ce qui
xaltée à un point qu'elle ne pourrait pas atteindre s'il était dans l' état normal, s'il ne se trouvait pas, comme il le dit,
ation du sujet qui permet d'établir entre lui et le suggestionneur un état de communication ou de rapport, grâce auquel il p
er un fait anormal ni même spécial à cet élat d'hypnose. Mais, dans l' état médianique, qui est un veritablo état d'hypnose,
et élat d'hypnose. Mais, dans l'état médianique, qui est un veritablo état d'hypnose, il y a une orientation particulière de
les périodes menstruelles. — Arrêt de ces accès par la suggestion à l' état de veille. Par M. le Dr Auguste Voisin, médecin
elle est maniaque et que je dois noter qu'elle est maniaque. Dans cet état d'excitation, elle dérobe à ses camarades différe
satisfaire ses besûins et pour faire sa toilette. La sortie de cet état a été obtenue par le toucher du menton suivant la
Le résultat a été aussi satisfaisant qu'en mars, avril et juin, et l' état mental de la malade est absolument normal dans l'
qui ont pu à plusieurs reprises être arrêtées par une suggestion à l' état de veille. Criminels aliénés. par ie Dr Henry
yme d'aliéné. Quoi qu'il en soit, dire qu'il y a des aliénés dont l' état mental est méconnu par la justice et que chaque j
e * chargé à nouveau ». Or, au bout de ce temps, il est revenu dans l' état où nous l'avions trouvé quinze jours plus têt, av
nifestes des phénomènes psycho-sensoriels qui resteraient latents à l' état de veille. Les hallucinations auditives ont bes
ne lésion de l'oreille si commune à l'âge avancé. La suggestion à l' état de veille permet souvent de faire renaître ou d'a
nce bienfaisante de la suggestion; elle a amélioré considérablement l' état de la malade, ot je suis d'avis qu'on peut commen
un homme de bonne éducation qui souffrait d'une fistule urinaire. Un état mental était survenu, qui rendait la guérison à p
cutifs, j'en comptais 22 réfractaires ; et 29 seulement passèrent à l' état de somnambulisme. La difficulté d'hypnotiser et
e traitement. A l'heure qu'il est (Juillet 1897), elle est en parfait état . Je n'ai jamais vu le moindre inconvient résulter
meil ; et il énuméra les nombreuses différences qui séparent ces deux états , différences que ne reconnaît pas l'école de Nanc
t pas l'école de Nancy. Selon Braid, la condition hypnotique est un état de concen: tration, de monoidéisme, tous les phén
tion essentielle dans l'hypnose n'est pas la méthode employée, mais l' état spécial qui permet aux phénomènes de se manifeste
e personne déterminée ; il est possible de créer par la suggestion un état artificiel dans lequel le sujet n'est en rapport
facultés diverses et nouvelles qu'on ne retrouve pas en dehors de cet état , mais il n'a pas perdu sa volonté et son sens mor
qu'ils appellent automatisme mérite cette désignation, considérons l' état voiilionnel et moral du sujet. Au commencement,
t, et je les ai tous trouvés en possession d'une connaissance de leur état mental et du monde extérieur, aussi claire qu'à l
ssance de leur état mental et du monde extérieur, aussi claire qu'à l' état de veille. Je suggérai à une hypnotisée de soustr
distinction aussi subtile n'aurait pas été possible au sujet dans son état normal. Il est à espérer que dans l'avenir on p
at normal. Il est à espérer que dans l'avenir on parlera moins de l' état mental * automatique », et que les crimes du soi-
ypnotisme. Peu, depuis Draid, ont eu une conception aussi claire de l' état mental et moral du sujet et ont plus fait pour dé
; souvent il donne signe de vie; il peut faire des réflexions sur son état , etc. (1). » a Les somnambules pendant leur som
uide magnétique, aucune force mystérieuse émanant de l'hypnotiseur. L' état hypnotique et les phénomènes qu'il comporte ont l
e sans influence extérieure, par sa propre tension d'esprit. Dans cet état , son imagination devient si vive que toute idée d
membres étendus pendant cinq minutes serait beaucoup plus grande à l' état d'hypnotisme que pendant le même effort normaleme
t le même effort normalement. Si l'on fait reprendre aux muscles leur état flaccide pendant que le sujet est encore en hypno
ar fixation du regard; quelques sujets, rendus analgésiques, dans cet état , peuvent subir, comme dans l'anesthésie chlorofor
89 et suivantes. ques; l'hypnose continua à être étudiée comme un état anormal» pathologique, comme une névrose provoqué
is le jour où parut ma première publication : De la suggestion dans l' état hypnotique et dans l'état de veille; et surtout d
mière publication : De la suggestion dans l'état hypnotique et dans l' état de veille; et surtout depuis l'année 1886, où je
e dans les considérations théoriques de son livre : Du sommeil et des états analogues considérés surtout aupointdevue de l'ac
ous les sujets, on peut, par simple affirmation, sans les remettre en état d'hypnose, réveiller les souvenirs momentanément
es à un point de vue un peu différent. J'ai cherché à démontrer que l' état dit hypnotique avec suggestibilité, hallucinabili
hypnotique avec suggestibilité, hallucinabilité, etc..., n'est pas un état spécial, anormal, artificiellement provoqué par l
ènes dits hypnotiques ou des effets thérapeutiques ; ils existent à l' état do veille chez certains sujets, ce que Braid avai
réalisent aussi par affirmation simple ou entraînement suggestif à l' état de veille ; j'ai établi, d'autre part, que la sug
logique du cerveau, la sug-gestibilité- Il n'y a pas, je le répète, d' état spécial méritant le nom d'hypnotisme ; il n'y a q
vent être suggérés des idées, des actes, des hallucinations. Certains états d'âme susceptibles de se produire spontanément ou
inabilité, l'analgésie, les vertus thérapeutiques, etc., il crut à un état nouveau de l'organisme, créé par ses manipulation
t nouveau de l'organisme, créé par ses manipulations, et qu'il appela état magnétique. Braid remplaça l'ancien magnétisme
montré que les phénomènes dits hypnotiques ne sont pas fonction d'un état particulier de l'organisme artificiellement créé,
ajouterait tout simplement que certains sujets peu suggestibles à l' état de veille le deviennent davantage quand on peut l
t; je remercie notre confrère anglais de lui avoir rendu justice. L' ÉTAT PHYSIQUE DES ALIÉNÉS. - LE SOMMEIL. Par le Dr P
t des viscères des aliénés, n'est pas moins utile que de déterminer l' état de leur activité mentale ; car, non seulement cet
il en est d'autres cependant où, manifestement, le malade est dans un état de somniation, de rêvasserie persistante; exemple
êves comme s'ils avaient pensé ou agi les choses dont ils parlent à l' état de veille; ils passent, en définitive, de longues
mmeil est en général bon signe, mais à la condition que le reste de l' état mental s'améliore parallèlement. Sinon le pronost
énonomène psychologique objet de cette note est probablement rare à l' état complet, car nous n'en avons trouvé la descriptio
allucinations anto-hétérotopiques », ne paraissent pas très rares à l' état isolé, c'est-à-dire sans aucune impression de déd
le d'urine est un phénomène d'origine psychique ; c'est le signe d'un état mental incorrect. Je vais plus loin et je pose en
llicitude intempestive ne fait que confirmer le jeune malade dans son état . 3° Au point de vue du diagnostic, la nature hy
nce infantile d'urine. Son succès dépend de la gravité du cas et de l' état mental du sujet. Je crois donc pouvoir conclure
ci fort rares. Là question est cependant si importante, étant donné l' état actuel de nos connaissances, qu'il est tout natur
muscles entrepris. Aucun changement favorable ne se produisant dans l' état du malade, on procéda le 2 i juin à l'élongation
Un an après, nos expériences nous ayant appris qu'on pouvait, dans l' état d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant; tra
de faire le diagnostic de la suggesiibilitè. Pour cela, il faut, à l' état de veille, leur faire la suggestion d'exécuter, m
enfant létal d'hypnose ou tout au moim un ètalpatsif, c'est-à-dire un état physiologique caractérisé par la suppression et l
tion del'au!.jmatisme. Le troisième principe, le sujet étant dans l' état d hypnose ou dans l'état passif, est d'associer à
Le troisième principe, le sujet étant dans l'état d hypnose ou dans l' état passif, est d'associer à il suggestion teibalcune
dans le cerveau du sujet. — Dans les cas où il s'agira de modifier un état d'inertie mentale, on arrivera par l'image du mou
de vue médico-légal, dans deux conditions absolument différentes: à l' état passif, comme victime d'un attentat ; à l'état ac
ument différentes: à l'état passif, comme victime d'un attentat ; à l' état actif, comme auteur d'une action coupable. (1)
un attentat commis sur sa personne ou sur ses biens, à la faveur de l' état d'inconscience et d'impuissance dans lequel il s'
nant d'une action coupable. 3° La possibilité d'obtenir du sujet en état d'hypnose des révélations ou des renseignements q
d'hypnose des révélations ou des renseignements qu'il refuserait à l' état de veille ou de lui arracher des secrets de toute
t le sommeil hypnotique. 3° Crimes ou actes délictueux suggérés à l' état de veille. 4° Crimes ou actes délictueux suggér
rimes ou actes délictueux suggérés pendant le sommeil et exécutés à l' état de veille, à une époque plus ou moins éloignée ;
nement hypnotique suffisant, ou qui se trouvait préalablement dans un état pathologique, subit un asservissement qui peut s'
ui peut s'étendre non seulement au sommeil hypnotique, mais aussi à l' état de veille; il peut exister non seulement pour les
entourant de toutes les précautions nécessaires pour étudier à fond l' état mental du sujet qui lui est soumis, ne manque pas
, ne manque pas de données certaines pour éclairer la justice sur son état de responsabilité, L'ÉTAT PHYSIQUE DES ALIÉNÉS
ertaines pour éclairer la justice sur son état de responsabilité, L' ÉTAT PHYSIQUE DES ALIÉNÉS - LA SENSIBILITÉ Par le Dr
utes, sauf à tenir compte, quant à l'appréciation seméiologique, de l' état mental du patient. Dans les limites du cadre
l'action des agents extérieurs aux centres nerveux, déterminent, à l' état normal, la sensibilité cutanée, douloureuse, ther
s de la sensibilité générale de la peau que nous avons relevée dans l' état mental des aliénés. En revanche, on constatera
'). Ces expériences de sensations fantastiques nous font pressentir l' état mental de ces aliénés dont la sensibilité spécial
les sur l'activité fonctionnelle des organes, sur leurs besoins, leur état de santé, leur état de maladie. Il est probable q
onctionnelle des organes, sur leurs besoins, leur état de santé, leur état de maladie. Il est probable que c'est par cette v
d'allumettes; tels les disent changés en bois, en métal ; de là leur état de stupeur, leur délire intense, simultanément en
s névropathes. A ce titre l'aliéniste doit les chercher et en noter l' état pour formuler un diagnostic complet, mais nous ne
l'éducation et soumise à l'influence du milieu, elle peut rester à l' état rudiraentaire ou acquérir une puissance extrême.
erveuses, elle en partage toutes les vicissitudes. Très active dans l' état de santé, la fonction d'inhibition volontaire s'a
fonction d'inhibition volontaire s'abolit ou s'éteint dans les divers états pathologiques qui intéressent le cerveau. L'aboli
que lumière sur le mécanisme intime de l'émotion. SuggestibLUtè à l' état de veille et dans l'hypnose. Faits cliniques. P
à réaliser toute idée acceptée par lui. L'hypnotisme n'est pas un état particulier, c'est la mise en activité de la sugg
I. — Affection rhumatismale ancienne, guérie par la suggestion k l' état de veille. Jules C. est un Breton de 34 ans, fo
. Mais i) ne voulait pas être endormi. Je songeai à la suggestion à l' état de veille, et prenant gravement un pinceau que je
II. — Hystéro-neurasthénie ancienne, guérie par la suggestion à l' état de veille. Mme D., âgée de 37 ans, mariée à 18
e nous savons que la suggesti-bilité est singulièrement exallée par l' état hypnotique, pour avoir un effet plus complet, j'e
it jamais été malade. Ce résultat est plutôt dû à la suggestion à l' état de veille, qu'à la suggestion hypnotique, tout en
insignifiant. III. — Tumeurs diverses guéries par la suggestion à l' état de veille. Il y a quelques années, à l'aide des
sédante, guérison par la suggestion dans le sommeil hypnotique et à l' état de veille. Madame B., 42 ans, mariée en seconde
pour la première fois, il y a cinq ou six mois environ, dans un grand état d'agitation, les cheveux quelque peu en désordre,
vec la confiance qui augmentait, avec la suggestion qui s'opérait à l' état de veille. Mais si Ton s'avisait de l'interroger
res et Régis (de Bordeaux), l'obsession peut être considérée comme un état ou syndrome morbide intermédiaire entre la névrop
les détails de son histoire, il faut éviter de lui en parler à l' état de veille, sans quoi, elle ne tarde pas à s'anime
endait ici la tâche plus difficile et insuffisante, la suggestion à l' état de veille, c'est l'auto-suggestion pour ainsi dir
s, il faut conclure au rôle puissant de la suggestion en général, à l' état de veille comme dans l'hypnose, suggestion s'exer
uefois même à notre insu? Mais ce que ne fait pas la suggestion à l' état de veille, la suggestion dans le sommeil hypnotiq
uys fit de nombreuses et retentissantes expériences sur des sujets en état d'hypnose. Quelques-unes de ses recherches et d
s accusés. « Dans ces conditions, le phénomène se produit, même à l' état de veille somnambulique, chez un certain nombre d
norait, c'est que cette sensibilité s'extériorise; il se forme, dès l' état de rapport, autour de son corps une couche sensib
ci, que, en même temps que l'anesthésie se produit par suite de l' état hypnotique, la sensibilité, qui a disparu de la s
ssions étaient directement parties au contact de son propre corps à l' état normal. Le sujet qui a bien voulu se prêter à s
ypnotisable. La première fois que je l'hypnotise j'obtiens d'emblée l' état léthargique, puis, par les procédés habituels, il
Mon sujet arrive très rapidement au somnambulisme du troisième degré, état dans lequel il est insensible à toutes les excita
ètement disparu ; enfin il sera amnésique à son réveil. Tel étant l' état du sujet, je constate d'abord son insensibilité a
dire. Dans une expérience, après avoir placé le sujet dans le même état de somnambulisme et lui avoir d'abord, comme préc
j'ai recouverte de velours. Le sujet étant mis comme précédemment en état de somnambulisme et anesthêsié, la plaque préparé
ètement anesthésiée, je fais placer devant lui une autre personne à l' état de veille tout à fait normale et celle-ci prend d
. Je pique alors avec une épingle la jambe droite de la personne en état de veille, le sujet me dit aussitôt : Vous me piq
rs cette remarque, que, sous l'influence de la piqûre, la personne en état de veille fait un mouvement involontaire ; le suj
qu'on aurait pu tirer des mouvements inconscients de la personne à l' état de veille, communiqués au sujet endormi, c'était
riences suivantes. Après avoir fait passer la sensibilité du sujet en état de somnambulisme au sujet à l'état de veille, je
passer la sensibilité du sujet en état de somnambulisme au sujet à l' état de veille, je fis lâcher les mains du sujet endor
ience qui a été aussi bien intéressante. Après avoir mis mon sujet en état de somnambulisme, je le conduisis devant un mur e
re est un phénomène assez rare, soit qu'il ne se témoigne que dans un état d'hypnose auquel peu de sujets sont succeptibles
êchant de tomber dans le mono'idéisme, essentiel à la production d'un état favorable aux suggestions d'actes — viciaient, pa
nitiateur des études hypnotiques, compare, avec beaucoup de raison, l' état mental dans lequel nous avons pu mettre M"' E.. P
pu mettre M"' E.. P.. transformée expérimentalement en parricide, à l' état que la nature a malheureusement produit d'elle-mê
t si peu de compte des conditions essentielles, et bien connues, de l' état de somnambulisme profond. Th... était à ce point
mnambulisme profond. Th... était à ce point suggestible que, môme à l' état de veille, je lui faisais voir, entendre, dire et
s, un sommeil artificiel ; il ne veut pas nier davantage que dans cet état de sommeil provoqué, on puisse faire exécuter par
onnel et unique en son genre, et que ce sommeil lui-même n'est pas un état extraordinaire antiphysiologique, pathologique mô
oujours vrai et un sujet n'est pas nécessairement plus suggestible en état de sommeil qu'en état de veille. Je vois en ce
et n'est pas nécessairement plus suggestible en état de sommeil qu'en état de veille. Je vois en ce moment nne malade, sui
ré le plus profond, la malade est infiniment moins suggestible qu'à l' état de veille. De sorte que c'est à son réveil seulem
n'ayant pas recours au sommeil, on aurait utilisé sans doute d'autres états qui possèdent aussi la propriété d'exalter la sug
ommeil, en effet, n'est pas le seul à jouir de ce privilège. Tous les états que Liébeault a appelés des « états analogues au
à jouir de ce privilège. Tous les états que Liébeault a appelés des « états analogues au sommeil, en sont également pourvus :
existe encore beaucoup d'autres. Dans tous « ces étals analogues », états physiologiques, qui appartiennent à la vie psycho
en d'exaltation de la suggestibilité, parce que le sommeil est un des états les plus faciles à produire, qu'il est familier à
te, toujours bien comprise, et enfin, parce que le sommeil esL un des états qui exaltent le mieux la suggestibilité. Mais i
des états qui exaltent le mieux la suggestibilité. Mais il est un a état analogue a qui a fait et pourrait encore actuelle
c'est-à-dire, qu'au lieu de faire leurs suggestions à la faveur de l' état de fascination, ils ne profitaient de celui-ci qu
, etc. Ils faisaient ainsi passer l'esprit du sujet par une série d' états , dont la réalisation de chacun était facilitée pa
e pour prodairo les hallucinations et les autres phénomènes. Tous ces états ne sont, en somme, que des états équivalents, au
s et les autres phénomènes. Tous ces états ne sont, en somme, que des états équivalents, au point de vue théorique au moins,
qui est la condition de la suggestibilité. Le sommeil provoqué est un état de monoidéisme. Dans le sommeil naturel profond
u monde extérieur. Le sommeil naturel profond pourrait être appelé un état d'anidéisme (1). II Mais si la thèse du profe
es crimes, autrement nombreux et dangereux, commis par suggestion à l' état de veille ; tels ceux des anarchistes qui sont po
pas d'ailleurs le premier qui ait mis en valeur les propriétés des « états analogues au sommeil » ? M. Bernheim est très é
est très éclectique dans ses opinions: il traite certains malades à l' état de veille, lorsqu'il pense que leur suggestibilit
l'affection dont ils sont atteints lui permettent de les traiter à l' état de veille. Mais, s'il juge nécessaire de les endo
tation pratique, si M. Bernheim préfère l'emploi de la suggestion à l' état de veille, tandis que M. Liôbeaul préfère celui d
de veille, tandis que M. Liôbeaul préfère celui de la suggestion à l' état de sommeil, tous deux pensent absolument de même
rs de sa communication à la Société de Biologie sur la Suggestion à l' état de veille. S'il n'en était pas (1) Voyer. Littr
parole, pour que nous fussions tous suggérés. Non, la suggestion à l' état de veille n'est pas douée de cette puissance. C
il soit si facile d'obtenir la réalisation des suggestions faites à l' état de veille, qui nous répondra que notre collègue n
en que moi qu'il est des sujets, hommes, femmes ou enfants qui dans l' état de sommeil provoqué sont plus suggeslibtes qu'à l
nts qui dans l'état de sommeil provoqué sont plus suggeslibtes qu'à l' état de veille. Donc, au point de vue pratique, thérap
as rayer de notre vocabulaire le mot hypnotisme, puisqu'il exprime un état physique qui favorise la suggestion en augmentant
achez les réveiller ». Quelque théorie que l'on veuille donner de l' état du cerveau dans l'hypnotisme, quelque doctrine qu
isme dans la pratique de certains cas déterminés où la suggestion à l' état de veille est souvent insuffisante. Certes, je
ade n'avait retiré qu'une amélioration passagère de la suggestion a l' état de veille, mais rapidement la suggestion dans l'é
a suggestion a l'état de veille, mais rapidement la suggestion dans l' état d'hypnose lui permit de marcher, de se servir de
re observation, j'ai été malhabile dans l'emploi de la suggestion à l' état de veille, et que lors de l'usage de l'hypnose, j
ui nous en seront reconnaissants. Et je conclus : la suggestion à l' état de veille a une action thérapeutique indéniable;
rester des doutes quand ils eurent pu se convaincre que le sujet, en état de somnambulisme provoqué, était, lorsqu'il l'ava
nce, elle persiste souvent plusieurs jours; la rapidité du retour à l' état primitif dépend de l'énergie de l'action productr
, je suppose que chaque grain est entouré par une gaine d'éther ; à l' état normal, pour une épaisseur convenable du milieu i
mes les plus épouvantables, et que l'on n'exécute que dans certains « états de folie (1). » V Le moment est venu maintena
vait que de choses qu'il eût été plus ou moins disposé à exécuter à l' état de veille! Toutetois, je ne m'en suis pas tenu
prison, pour le soutenir de mes conseils, et me rendre compte de son état , au point de vue de sa liberté morale et de sa re
t des raisons suffisantes d'admettre l'innocence de N.., à cause de l' état de somnambulisme si facile à produire en lui — un
mettre de nouveau dans le sommeil provoqué, et l'interroger, dans cet état , sur les circonstances qui avaient amené cette ma
oint parler mal ; nous ne dirons pas l'encombrement qu'on y trouve, l' état défectueux des dortoirs et des cellules, l'organi
s au lit ou dans « la chambre delà paille. II les traitera selon leur état d'agitation et de " calme. « Il ne se séparera
de l'anesthésie chlorofor-mique ; mais on ne peut le faire passer à l' état de catalepsie, et pour le réveiller cela coûte qu
première intention, et nous permîmes que le malade se levât, car son état général était bon. Deux jours après avoir été o
itre suivant: La méthode expérimentale psychologique directe dans les états hypnotiques conscients. Ces cinq derniers trava
nts : i° L'hypnotisme rend impossible l'observation subjective de l' état de conscience présent, car le sujet est un automa
ont ; 2e L'hypnotisme rend impossible l'observation subjective de l' état de conscience passé, car l'amnésie existe toujour
rce. Non seulement îl est possible que l'hypnotisé conserve pendant l' état de veille le souvenir des suggestions à lui faite
croître du môme coup l'intensité de cette dernière ; il crée certains états hypnotiques conscients parmi lesquels il dislingu
certains états hypnotiques conscients parmi lesquels il dislingue les états de dissociation systématique partielle et les éta
il dislingue les états de dissociation systématique partielle et les états de veille systématique partielle ; puis, interrog
ne finesse et une acuité qu'elle ne saurait guère atteindre pendant l' état de veille. En ce qui me concerne, j'estime que M.
il sera presque sans défense et n'essayera guère de résister. Or cet état favorable existe, il est physiologique, il est no
diverses représentations qui se rapportent à nos séries successives d' états de conscience ne possèdent pas un égal degré de c
e l'énergie psychique, à se constituer enfin comme exclusives- Chaque état de conscience se ramène donc à une sorte de cbmpl
usciter et maintenir les unes, éloigner et repousser les autres ? l' état normal, nbus possédons ce pouvoir que les Grecs d
ait. Qu'un individu soit fortement attentif ou qu'il soit obsédé, l' état psychologique est le même dans les deux cas. Dans
s'attaquer aux symptômes morbides : chez l'obsédé on suscitera des « états forts », des images vivaces, intenses, exclusives
sensations réelles, d'autre part qu'elles n'apparaissent que dans un état anormal ou pathologique. II LE RAISONNEMENT ET
Richet(*) ont montré que beaucoup de sujets étaient suggestibles à l' état de veille. Les analgésies, les hallucinations et
vent d'une transformation brusque, sous des influences diverses, de l' état général et particulièrement de l'état nerveux d'u
s des influences diverses, de l'état général et particulièrement de l' état nerveux d'un sujet, transformation au cours de la
idée, à laquelle nous arrivons, comme le dit Ribot, en ajoutant o des états de conscience les uns aux autres ». Infini, étern
ts suivent deux gammes. « L'une, dans le ton de la peur, se compose d' états pénibles, dépressifs : la terreur, l'effroi, la c
le respect... L'autre, dans le ton de l'émotion tendre, se compose d' états agréables etexpansifs: admiration, confiance, amo
tarxtxr, professeur à l'Université de Nancy. (suite) VII Divers états hypnotiques sont de nature à favoriser certains a
ave, parles les terribles conséquences qu'ils peuvent entraîner. En état de somnambulisme provoqué ou spontané, ou de cond
le sen'-ir, sans en garder le moindre souvenir une fois revenues à l' état normal. En dehors de ces crimes, plus odieux enco
lisme, des aveux et « des déclarations, qu'elle ne faisait pas dans l' état de veille parce « qu'elle était honnête, se vit,
occulte. Cette pauvre femme, qui s'était livrée à son médecin dans un état psychologique — l'un de ceux que je m'efforce de
douleur inexprimables, se prononcer, chaque jour de plus en plus, un état de grossesse dont elle ignorait la cause!!! En l'
son esprit, la rupture de la mémoire, entre la condition seconde et l' état normal ! Ah ! nous ne sommes plus ici en présence
, sur le danger que peuvent présenter certaines manœuvres ou certains états hypnotiques, pour les femmes ou les jeunes filles
'aimer, ni de l'épouser. Elle n'est jamais, selon lui, tombée dans un état hypnotique tel qu'il ait pu annuler sa volonté et
— Rép * Tout était très clair ¦ pour moi, même quand j'étais dans un état voisin du sommeil. A « Luga, Czynski me traita au
de contracture. — Guérison d'une contracture par le transfert dans l' état d'hypnotisme. Par M. le D' Bérrillon. Charcot
iellement ces contractures chez les sujets hystériques plongés dans l' état d'hypnotisme. Dans certains cas la suggestion peu
est que les contractures provoquées chez les hystériques, soit dans l' état d'hypnose, soit à l'état de veille, ne disparaiss
provoquées chez les hystériques, soit dans l'état d'hypnose, soit à l' état de veille, ne disparaissent pas toujours sous l'i
nt à des séances répétées d'hypnotisation profonde. La suggestion à l' état de veille s'était montrée complètement impuissant
e fut plongée facilement dans le sommeil hypnotique profond. Dans cet état , nous lui fîmes sans succès la suggestion de la d
s l'avions eu sous les yeux. Sous l'influence de la suggestion dans l' état d'hypnose, nous pûmes constater que, à mesure que
e serait réveillée au moment précis où les deux pieds seraient dans l' état de parallélisme. C'est ce qui fut fait. Après le
té de l'intervention chirurgicale et principalement sur la part que l état nerveux de la malade pouvait avoir dans la persis
diagnostic fut que les douleurs éprouvées étaient la conséquence de l' état nerveux ; que l'habitude do l'idée de la douleur
cations du diable par les sujets de la clinique. La suggestion dans l' état d'hypnose en fait tous les frais. Le cercle magiq
Programme des cours de Vannée Í898. 1re Partie : Physiologie des états hypnotiques. Causes et formes de l'hypnotisme. Su
Somnambulisme provoqué. Suggestion. Suggcstionabilité. Suggestion à l' état de veille. Suggestion à l'état de sommeil. Sugges
ion. Suggcstionabilité. Suggestion à l'état de veille. Suggestion à l' état de sommeil. Suggestion post-hypnotique. EiTct de
Avril. — Introduction à l'étude de l'hypnotisme. — Le sommeil et les états analogues.— Le somnambulisme et les états passifs
otisme. — Le sommeil et les états analogues.— Le somnambulisme et les états passifs. — L'hypnose et le sommeil provoqué, — L'
ose et le sommeil provoqué, — L'inhibition et la dynamogénie dans les états hypnotiques. Samedi 23 Avril. — L'œuvre psychol
e et les agents physiques. — Action spécilique de la musique dans les états hypnotiques. Samedi 30 Avril. — Etude physiol
que de l'hypnotisme. — Les lois de la suggestion. — Les degrés et les états profonds de l'hypnotisme. — La circulation et la
it. En 1806, il publia son merveilleux traité sur le « Sommeil et les états analogues considérés surtout au point de vue de l
talepsie et de lithargie, de fascination et de somnambulisme Dans cet état hypnotique, la volonté du( sujet disparaissait, o
tion qui règle les sociétés animales et humaines. Il expliquait par l' état hypnotique les tables tournantes, la baguette div
itement contre lequel, d'ordinaire, il se sera déjà insurgé pendant l' état de veille. Admettons cependant que nous avons p
ussi faudra-t-il s'en rendre maitre avant même de songer à agir sur l' état mental lui-même. Donc, nous devrons, au préalab
s encore de créer en lui, en éloignant les images du rêve, un certain état de docilité et de réceptivité, sorte de terrain f
tenue et régulièrement accrue ; la sensation persiste donc comme un « état fort » et, de plus en plus vivace, elle ne tarde
s à devenir prépondérante ; elle « réduit » donc peu à peu les aulres états qui auparavant occupaient toute « l'aire de la co
ditive causée par le dor—mes....., d>r—mes.....; tous les autres états antagonistes ont disparu devant ce seul état ré
....; tous les autres états antagonistes ont disparu devant ce seul état réducteur des précédents. Ce n'est pas tout. On
ychique est, pour ainsi dire, vide de tout contenu ; elle réalise cet état de réceptivité et de malléabilité dont nous avons
nt circonscrit. . Mais est-on jamais sûr d'avoir obtenu un pareil état ? A quel caractère peut-on le reconnaître ? Afin d
, au préalable, la psychologie du malade ; on analysera avec soin son état mental ; et alors seulement on fera les suggestio
agir, afin de le modifier utilement. Notre sujet se trouvant dans l' état décrit plus haut, n'est distrait par aucune repré
ais fort de ne pas réussir et, pendant tous ces essais infructueux, l' état mental eût menacé de s'aggraver. Or, désireux de
pendant une nouvelle période de quinze jours. Au bout de ce temps, l' état de la malade était devenu tel que son entourage l
je n'avais pas, comme bien on pense, entrepris de modifier d'emblée l' état mental de ma malade, car des suggestions trop nom
ur effeclus. La mère de notre malade, interrogée à cette époque sur l' état de sa fille, se montre enchantée et fait cette
mmuniquent leur émotion par les voies ignorées de la transmission des états d'âme, où la foule, enfin, s'individualise, et n'
, une hallucination ou une impulsion (jj... Il est possible, dans « l' état de somnambulisme provoqué, de suggérer des idées
-même, il s'agissait d'une personne fort honnête, qui eût été, dans l' état normal, incapable de se livrer à une démonstratio
(4 ou 5 pour 100). soit dans le somnambulisme provoqué, soit dans des états hypnotiques spontanés, des suggestions pouvant am
eux anciens soldats, que M. Déjerine a trouvés suggeslibles, même â l' état de veille, la première fois qu il Us a vus ! C'
e la même chose ei obtenir le même résultat, pour les suggestions à l' état ae veille. Et voilà comment j'aurais pu — si j'
ambulisme par un homme honnête et compétent. Si l'on arrive alors à l' état de somnambulisme profond, il eut abiulumeni India
t complètement dépourvue. Après quelques séances de suggestion dans l' état d'hypnotisme, ce résultat était obtenu. Parallèle
vorisé par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l' état mental se modifie, mais les troubles spasmodiques
EXPÉRIMENTAL DE THÉRAPEUTIQUE -- 12e annEe. — N° 11 Mai 1898 L' ÉTAT DE VEILLE ET LES ÉTATS D'HYPNOSE Par M. le Dr L
PEUTIQUE -- 12e annEe. — N° 11 Mai 1898 L'ÉTAT DE VEILLE ET LES ÉTATS D'HYPNOSE Par M. le Dr Liébkault, do Nancy. L
omplètement. Le sommeil naturel est l'expression la plus parfaite des états passifs qui dépendent de cette dernière manière d
motifs : joie, colère, tristesse, crainte, amour, etc. ; et parmi les états passifs les plus généraux, on remarque les sommei
it pendant la veille, et des signes de sa grande activité pendant les états passifs, la cause en est due certainement à ce qu
le, et dont l'autre, d'augmentation des signes du sommeil. Dans les états passifs, l'attention, plus ou moins ralentie, et
ve de l'esprit, au moyen d'un procédé psychique particulier. Dans ces états , il devient possible, grâce à l'accumulation de l
lation de l'attention (1) Lo sommeil artificiel ou provoque est uii état passif expérimentai. Le nom d'hypnotisme sert à d
uii état passif expérimentai. Le nom d'hypnotisme sert à désigner ces états passifs expérimentaux et à les distinguer des éta
rt à désigner ces états passifs expérimentaux et à les distinguer des états pa i ' spontanés. amenée par ce ralentissemen
n actionne autrui, et autosuggestion quand on s'actionne soi-même. Un état de sommeil artificiel bien établi est la conditio
On a beaucoup parlé, dans ces derniers temps, de la suggestion à l' état de veille, et les quelques disciples du professeu
opposé et tout différent. L'esprit ne peut rien créer ainsi. Dans cet état l'esprit reste inerte, sans initiative; mais pour
aveugle. C'est ainsi que se trouve réalisé, grâce à la production des états passifs, et en particulier de l'état d'hypnotisme
lisé, grâce à la production des états passifs, et en particulier de l' état d'hypnotisme, le mécanisme de la suggestion.
cours à la suggestion directe ou à la suggestion indirecte, pendant l' état de veille ou pendant le sommeil provoqué) rencont
aits de perversion du jugement sont des conséquences nécessaires de l' état pathologique proprement dit. Cependant, sur le pr
ute: « Les études anatomiques, his-tologiques ou même chimiques sur l' état des centres corticaux, dit M. Pierre Janet, ne so
quand il s'agit de dissocier minutieusement puis de réédifier tout un état mental? Pour paraphraser le similia similibus cur
essais de redressement psychique que l'on tente d'ordinaire pendant l' état de veille, au prix de quelle abnégation et de que
période qui comprend, en somme, le tiers de notre vie psychique ; des états de conscience pourront être (1) Pour ce qui con
devoir les livres qu'on jugeait qui leur avait servi à parvenir à cet état . Ce fut donc alors qu'ils commencèrent tous à pre
ueline, l'un vraimenl malade, l'autre maladive, tous les deux dans un état mental particulièrement favorable à la réceptivit
'anatomie les talents d'un mime consommé. D'après l'exposition de l' état du malade, il se dispose à jouer une farce, dont
ra être non seulement indirecte, mais surtout directe ; en effet, les états de dissociation et de veille partielles systémati
ux éléments du couple psycho-physiologique, l'analyse élémentaire des états de conscience (*). L'insomnie par idée fixe sub
endormie, un rêve, toujours le même, qu'elle ne se rappelle plus à l' état de veille, s'empare do son esprit ; elle assiste
oinl de vue pratique, elle permet de prédire l'imminence d'un certain état émotif ou la fin prochaine d'un autre, comme auss
ont formulée M. Lang, M. Ribot et M. Dumas lui-même. D'après eux, les états organiques précédent les états mentaux, le phénom
et M. Dumas lui-même. D'après eux, les états organiques précédent les états mentaux, le phénomène de l'émotion est donné objo
otrice y est primitive et antérieure à la variation psychique; donc l' état émotionnel est l'expression directo et immédiate
luctable une variation vaso-motrice antérieure à toute variation de l' état mental ? MM. P. Parr et Marcel Drouin répondent r
causer les désordres do la pensée; sans doute encore, en modifiant l' état organique, on modifie par contre-coup l'état émot
e encore, en modifiant l'état organique, on modifie par contre-coup l' état émotionnel, mais l'inverse est vrai aussi. Les ca
qu'il y a concomitance constante de certaines émotions eL de certains états circulatoires; convenons même que l'émotion, plei
et temporairement dans les cas do névrose, ne se renconlie jamais à l' état permanent chez un individu en pleine santé comme
urs mœurs, leurs sentiments religieux, leur manifestation d'art, leur état psychique. Mais ce qu'on n'a peut-être pas suffis
des suggestions indirectes, lesquelles n'avaient de valeur que par F état psychique produit, lesquelles aussi étaient facil
est vrai que par la suggestion on peut toujours, dans n'importe quel état d'hypnose, exciter l'activité mentale et, en agis
ppelée, il décrit dans son ouvrage {Suggestive Thérapeulics, p. 8) un état que je n'ai jamais observé, et dont ¡1 nie mainte
qu'on pouvait postuler comme un premier principe, qu'un sujet dans l' état de sommeil magnétique est à la merci de l'opé
l n'a pas le droit de dire qu'il n'a jamais décrit l'hypnose comme un état d'automatisme. Par exemple, dans Suggestive Tkera
des changements physiques extraordinaires, sans affecter à la suite l' état moral ? » Existe-t-il cependant une relation néce
in ? Ne serait-il pas également justifié de supposer, qu'un sujet à l' état normal, qui à votre demande ferait de la musique
et hypnotisé a donné un consentement qu'il aurait également donné à l' état normal. Le défaut radical de tous les crimes de
défaut radical de tous les crimes de laboratoire consiste en ce que l' état mental du sujet n'a pas été étudié par des questi
cette notion. Il esta espérer qu'à l'avenir on parlera moins de cet état soi-disant automatique et que les crimes qualifié
'après M. Bernheim, la suggestion est tout, et il n'y a au fond aucun état spécial qui mérite le nom d'hypnose. Tl considère
contribué. Et pourtant des suggestions pressantes sont repoussées à l' état de veille, alors qu'elles sont immédiatement acce
ant l'hypnose; dans d'autres cas, la guérison n'est obtenue quo si un état hypnotique prolongé a été obtenu. Je ne connais
647. Pascal s'y révélait fanatique. Peu de temps après, au reste, l' état général de Pascal devint des plus mauvais. La neu
écutés pour la justice, et dont plusieurs points s'appliquaient à son état présent, la remua encore Plus que jamais détermin
ade sur laquelle il a étudié l'action spécifique de la musique dans l' état d'hypnotisme. La Société se forme en comité sec
cret. La séance est levée à 6 h. 1/2. La prise du regard dans l' état de fascination. Par le Dr Bérillon. Un des ph
ains sujets, on constate une disposition particulière à tomber dans l' état de fascination sous l'influence de l'action du re
action analogue à ce qui se passe chez certains animaux placés dans l' état de fascination. Tel est le cas de la malade que j
uverts. Les pupilles se dilatent, et les yeux présentent un singulier état de fixité. On dirait qu'il n'y a plus dans le cer
s confirme dans l'opinion que les sujets susceptibles d'entrer dans l' état de fascination et de présenter le phénomène de la
a celle des hypnotisés ordinaires; cela s'obtient, grâce au jeu des * états forts » et des états faibles n et conformément au
s ordinaires; cela s'obtient, grâce au jeu des * états forts » et des états faibles n et conformément aux lois delà n dégrada
tout à fait réfrac-taires au sommeil provoqué ou à la suggestion à l' état de veille ; — 2* chez ceux .qui, par pusillanimit
miques excités d'une manière continuelle ne tardent pas à présenter l' état de tétanisation que l'on constate, par exemple, d
ion du cerveau, laquelle se traduit par de la tétanisation. Pendant l' état de veille, la suggestion est rendue plus confuse,
ccomplira avec exactitude parce que les prolongements neuroniques, en état de contracture, seront très fortement influencés.
s, à Nancy, â Zurich et à Vienne ; l'auteur y expose en particulier l' état actuel de la thérapeutique psychique d'après des
s du cœur, etc., nous renseignent autant que les tremblements sur les états psychiques. Us sont donc, à ce titre, eux aussi d
stion (le traitement des), 94. Aliénés criminels, 114. Aliénés (l' état physique des), par le Dr Keraval. 145, 170. Ane
que des aliénés, par le Dr Kéraval. 145, 170. Etat de veille et les états d'hynose (l'), par le Dr Liébeauit, 321. Expé
e suggestive (les), par le Dr Bérillon, 161. Prise du regard dans l' état de fascina-nation (la), par le Dr Bérillon, 369.
pendant le) par le Dr Parez, 257, 292, 324. 370. Suggestibilité a l' état de veille ot dans l'hypnose, par le Dr Bourdon, 1
le Dr Bourdon, 182. Tumeurs diverses guéries par la suggestion à l' état de veille, par le Dr Bourdon, 181. Valeur théra
et de la suggestion, par lo Dr Milne Braimwell, 129. Veille et les états d'bypnoso (l'état de) par le Dr Liébeault, 321.
n, par lo Dr Milne Braimwell, 129. Veille et les états d'bypnoso (l' état de) par le Dr Liébeault, 321. Vogt (rapport sur
7 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
autre part, il est pourtant certain que le médium est parfaitement en état , en opérant habilement, de mettre ses mains dans
é que son client désire bien réellement guérir, il le rassure sur son état , lui démontre que les expériences auxquelles il v
suivant les circonstances. Voici le fumeur endormi, plongé dans un état d'hypnose plus ou moins profonde. Sa volonté est
stérie et de la diathèse de contracture. Plongée facilement dans un état profond d'hypnose, elle restait quelque temps tra
me variable de lettres. Ainsi le cerveau n'est pas toujours dans un état normal et peut être dans un état d'irritation par
e cerveau n'est pas toujours dans un état normal et peut être dans un état d'irritation particulier, suivant les natures ; c
ture pour lui donner la variété ; mais il est tout naturel qu'un môme état du cerveau, de l'activité musculaire, devra produ
liquide, employé surtout par les pauvres, et celui que l'on fume à l' état de poudre dans une espèce de nargbilch ou, comme
tes les sécrétions, précipite ou diminue la circulation sanguine. Ces états se rencontrent souvent chez le môme individu, suc
gination, l'homme, ou le sujet, est-il endormi ? Est-il même dans cet état inconscient qui est la frontière qui sépare la ve
ofond ! Nullement. Le sujet est bien éveillé, complètement dans l' état de veille. Non seulement il ne dort pas, mais i
lement il ne dort pas, mais il n'a pas le désir de dormir. Dans cet état il n'y a, messieurs et chers collègues, ni temps,
Une sensation peut sembler durer des siècles ou une seconde. C'est l' état présent qui est tout. C'est la sensation vive, ar
us dire de plus? Quand les crises cessèrent, quand jo revins dans mon état normal, je savais, à n'en pas douter, tout ce qu'
t intéressant de savoir : 1° A quelles formules correspondaient les états de crédulité et de suggestion facilement obtenus;
élargies,les cordes. faute de l'élasticité ne revenaient plus a leur état primitif, quand les jambes et le* bru reprenaient
spéciale sur cette donnée capitale qui peut se résumer ainsi : A l' état de rapport dit « magnétique », il n'y a pas seule
ggérée de prendre du calme et de la force. Menée au biomètre dans cet état , sa formule est complètement changée 0/0 + Rep 5.
de crédulité Att 33/ Att 10, et est resté sous l'influence du nouvel état psychique : poli, obéissant, il tient les premier
. DE L'ÉLECTRICITÉ APPLIQUÉE SIMULTaNEMENT avec la suggestion A l' état de veille Le sommeil hypnotique répugne à bien
passionnelles, à tourner la difficulté en associaut la suggestion à l' état de veille, au courant galvane'-cérébral descendan
psychopathies. la galvanisation cérébrale jointe 1 la suggestion à l' état de veille rend de grands services, sans avoir à e
t aux centres cérébraux sous-jacents, et cela durant l'hypnose ou à l' état de veille (1885). Au Congrès de l'Association d
les membres du côté opposé chez le sujet hystérique en léthargie. A l' état de veille, le même courant ne provoquait aucune c
une hystéro-épileptique au plus haut point hypnotisable, mais dans l' état de veille, — et après avoir sillonné la tête d'éc
ous avez fait de vos malades autant de miroirs fidèles de vos propres états d'auto-suggestion ; ils n'ont pu que refléter l'é
de vos propres états d'auto-suggestion ; ils n'ont pu que refléter l' état de vos connaissances anatomiques et physiologique
ie. Ainsi Rainaldi aurait constaté une fois de plus, après Charcot, l' état d'hyperexci-tabilité spécial du cerveau pendant l
xcitabilité réflexe est naturellement exagérée, sont suggealibles à l' état de veille I Pour ceux-là, « il n'y a pas d'hypnot
n a pas davantage pour les autres, et. par ce mot,. on n'entend qu'un état physiologique d'hyperexcitabilité réflexe du syst
siologique d'hyperexcitabilité réflexe du système nerveux, parlant un état de suggestibilité mentale plus ou moins intense,
tion d'images est provoquée ou évoquée dans l'écorce cérébrale. A l' état de veille, dans le sommeil provoqué ou dans le so
est pas un étal pathologique, une névrose experimentale. c'est un des états les plus communs de l'intelligence dans toute la
adition religieuse ou morale d'une société, les préjugés de castes, d' états ou de nation», l'esthétique d'un peup!e ou d'une
elopper chez lui une hallucination et la provoquer par suggestion à l' état de veille chez un autre sujet facilement impressi
e» aberrations de la vie sexuelle, en se servant de la suggestion à l' état de veille, mais surtout à l'état de sommeil provo
, en se servant de la suggestion à l'état de veille, mais surtout à l' état de sommeil provoqué. Pour l'auteur comme pour l
'etiologie. la symptomatologie, le diagnostic et le prognostic de ce» états , puis il fait passer la revue aux méthodes de gaé
anesthésie sexuelles. Après* l'étude sommaire de la pathologie de ces états , l'auteur décrit le rôle de la psychothérapie dan
prépondérante de l'hérédité et de l'éducation dans l'étiologie de ces états pathologiques, puis il traite du diagnostic et du
it se contenter que ces images palissent et te trouvent réduites à un état rudimentaire inoffensif et que le malade a abstie
te sans critique les idées suggérées, soit que le sujet se trouve à l' état de veille, soit qu'il dorme ou bien qu'il soit na
à réaliser les suggérions, c'est-à-dire l'entrée en hypnose ; 3° L' état d'hypnose se greffant sur la narcose médicamenteu
it éprise follement de M. Z..., et celle passion, toujours restée a l' état platonique, avait pris une telle acuité que Mme X
onique, avait pris une telle acuité que Mme X... en était arrivée à l' état décrit ci-dessus. Je proposai séance tenante, l
e son intérieur. Elle affirme qu'elle se trouve actuellement dans son état normal antérieur, comme le prouve la petite noto
enue indifférente aux distractions de toute nature, je tombai dans un état de prostration physique et morale absolue. « Je
nerveux d'ordre moteur ou sensitif, qui sont sous la dépendance de l' état hystérique, que le sommeil hypnotique et la sugge
s, certaines aptitudes hypnotiques qu'ils possèdent plus ou moins à l' état latent. C'est ce problème que M. Luys a résolu
st agite de tremblements marqués, presque rythmés, qui persistent à l' état de repos et qui s'accentuent quand le malade veut
La malade, endormie au moyen du miroir rotatif, tombe rapidement en état de grand hypnotisme. Pendant le sommeil, on lui
r. Ce fait nous fut raconté plus tard par la malade qui, oubliant à l' état de veille les suggestions qui lui avaient été fai
suggestion qui, aussitôt commencée, serait facilement développée. A l' état de veille, nous communiquions avec ce malade par
je me trouvais ci posé, en lui ouvrant les yeux, à le faire passer en état de catalepsie, étal dans lequel la suggestion eût
'appétit, selles rares (tous les huit jours). Elle était arrivée à un état de faiblesse extrême, d'impressionnabilité excess
lle, de tous les organes (poumons, tête, cœur, foie, vessie, etc.) ». état causé sans doute par les troubles gastriques rete
elque temps après ; le profond chagrin que j'en ressentis aggrava mon état . On consulta un autre médecin, qui ne fit pas plu
aitement ad'abord été celui de la dilatation, de la constipation de l' état de l'utérus, de la neurasthénie : cachets antisep
professeur Th. Ribot. Le but de cette enquête a été de rechercher l' état immédiat de l'esprit au moment où un concept est
t de l'esprit au moment où un concept est pensé, de déterminer si cet état diffère suivant les individus et d'essayer une cl
venir de mon dessein) des termes abstraits ou généraux et en notant l' état de conscience immédiat que ces termes ont évoqué.
dans l'esprit. » Il y a donc quelques concepts auxquels correspond un état inconscient. Espérant pénétrer dans la nature d
elques hystériques de la Salpêtrière. Il les a interrogées d'abord en état d'hypnotisme, puis en état de Teille, ce qui perm
lpêtrière. Il les a interrogées d'abord en état d'hypnotisme, puis en état de Teille, ce qui permet de comparer leurs répons
puis en état de Teille, ce qui permet de comparer leurs réponses. A l' état de somnambulisme, elles sont plus nettes, plus ab
isme, elles sont plus nettes, plus abondantes, plus explicites qu'à l' état de veille. J'ai recommercé le même interrogatoi
ats pour chaque individu. L'auteur se propose d'étudier, non plus l' état momentané qui répond à la présence du concept, ma
non plus l'état momentané qui répond à la présence du concept, mal* l' état permanent, les habitudes d'esprit (et leurs varié
heures. Au réveil de cette crise terrible. Mme D... se trouva dans un état intellectuel fort singulier caractérisé surtout p
arrivée, et d'ailleurs pendant tout l'hiver, elle resta dans le même état , racontait sa vie en grands détails jusqu'au 14 j
elles où pourra être reconnue et constatée l'influence des différents états hypnotiques et de la suggestion, soit dans le som
de la suggestion, soit dans le somnambulisme provoqué, soit même à l' état de veille. Il a semblé à l'auteur que cette que
le rouge et le vert; la teinte de cette substance doit être verte à l' état isolé; mais il est facile de comprendre qu'on ne
stème nerveux, sur la moelle épinière en particulier, sans modifier l' état dynamique du système nerveux soit dans le sens de
isées. On sait que les émotions et les impressions psychiques sont en état de produire des modifications très étendues et co
effets se produisent chez des personnes parfaitement normales et à l' état de veille. Seulement, pour la grande minorité des
ection aussi propre que possible a renseigner sur les caractères de l' état mental et physiqne des aliénés et des criminels,
ré. 4° Sous la dénomination « hypnotisme » je comprends un nombre d' états anormaux, d'ordre spontané, c'est-à-dire patholog
Il est connu de tout le monde qu'on peut produire par suggestion les états les plus anormaux. Mais je soutiens que la sugges
l. Je sous-entends que la suggestion visera dans chaque cas spécial l' état normal. Cela est-il possible? Voilà la question
alysent par compression du nerf. Cela ne pourrait pas se produire à l' état de veille sans exciter de la douleur. De même,
la voix de son médecin sans s'éveiller se trouve par ce fait dans un état anormal. Cependant, il est difficile de poser i
ouvrir les yeux pendant son sommeil, je conviens qu'on ait produit un état anormal. Et j'ajoute que, en thérapie, il faut ce
N'est-il pas évident qu'en agissant de la sorte, on puisse produire l' état pathologique de somnambulisme nocturne ? Cepend
e des mouvements, ceux qui souffrent des yeux exerceront leur vue à l' état de sommeil. Car les suggestions produisent leur m
ximum d'énergie et l'effet thérapeutique obtenu est le plus grand à l' état de sommeil. On peut cependant quand même respec
de sommeil. On peut cependant quand même respecter les limites de l' état normal et se restreindre, de sorte qu'on évite de
ire le somnambulisme complet. Il faut, afin d'éviter la création d'un état vraiment anormal, s'appliquer à rendre le rapport
e le rapport du dormeur avec le dehors aussi minime que possible. L' état anormal, le somnambulisme est créé du moment que
sprit désagrégé par le sommeil s'associe de nouveau et forme un autre état de conscience. Ceci relève de la pathologie ou
ant souvent les suggestions, cette ataxie peut aussi se présenter à l' état de veille. Et personne ne contredira que voilà un
qn'on les voit dans le service de M. Bernheim, réalisant d'emblée à l' état de veille chaque suggestion, sont des personnes n
venue permanente. Je ne me sens pas avoir le droit de produire un tel état chez mon prochain. Il en est de même quant au d
ne soit aucunement nuisible pour la personne. Cependant, cela crée un état anormal qu'on n'est pas autorisé à produire sans
s pendant son sommeil hypnotique, sans qu'elle s'en rendit compte à l' état de veille. Un beau jour, je réveillai les souve
ion, vous leur montrez qu'il est possible de dominer et de guérir des états pathologiques par des fonctions psychiques, par d
ous comprendrez que le siège du gouvernement doit se trouver dans les états psychiques conscients et que la direction executi
ut servir de principe capital dans le traitement de quantité d'antres états morbides, dans la plupart des névroses et même da
pulmonaire (f) par des agents psychiques, amélioration portant sur l' état général. Quand on admet l'existence et le pouvo
ont : Si vous endormez vos malades et si vous les traitez pendant cet état de sommeil, comment pouvez-vous parler alors d'un
dans beaucoup de cas je m'efforce à ne produire chez le malade qu'un état somnolent, qui n'est pour ainsi dire qu'un état d
chez le malade qu'un état somnolent, qui n'est pour ainsi dire qu'un état de passivité dans lequel se tient la personne cou
t psychique. — Dans d'autres cas, dans la mélancolie, l'insomnie, les états d'anxiété et d'angoisse, nous nous efforçons au c
e l'effort de volonté conscient fait avant le sommeil agira pendant l' état de repos. Il va sans dire qu'on doit s'attendre
ante; même la doctrine de la suggestion, l'idéoplastie et l'étude des états somnambuliques me paraissent absolument incompréh
orel. On entend par la le pouvoir inhérent aux idées d'Influencer des états phytiques. Par exemple, la production de stigmate
sible après chaque séance. Le résultat favorable s'est conservé, el l' état du malade reste stationnaire. Que peut-on désir
ir des actes utiles i sa guérison. On peut faire do ta suggestion à l' état de veille, tans sommeil, car la suggestion thérap
pour exalter la suggestibilité; il ne modifie rien : ce n'est pas on état pathologique, comme on l'a dit, c'est un phénomèn
ttre que nous n'avons rien produit chez lui et qu'il est dans le même état psychique que précédemment. II y a un moment où
ésapprouver qu'on ait ainsi posé la question : L'hypnotisme est il un état de sommeil normal physiologique ou un état anorma
n : L'hypnotisme est il un état de sommeil normal physiologique ou un état anormal, pathologique? M. Bernheim prétend que c'
ue ou un état anormal, pathologique? M. Bernheim prétend que c'est un état normal ; d'antres affirment le contraire. De quel
la vérité 1 Nous ne connaissons même pas le sommeil naturel dans ses états profonds et dans ses modifications individuelles;
érapeutique qui ne serait pas basée sur l'observation rigoureuse de l' état mental du malade, sera vouée a l'impuissance. C
e, sera vouée a l'impuissance. Ce qui caractérise essentiellement l' état psychique du morphinomane, c'est l'engourdissemen
ntent les personnes atteintes de luxation congénitale de la hanche. L' état général était des plus défectueux et la faiblesse
fut de courte durée, au mois de septembre de la même année, étant en état de grossesse, son médecin lui exprime la crainte
rt avec les troubles mentaux que présentent les malades, ni avec leur état de faiblesse au moment du début du traitement. El
les mouvements imprimés à la tête pendant le sommeil de suggestion, l' état anormal disparut au bout de dix minutes et la gué
e que je n'avais pu faire, la religieuse de celle section le fit. a l' état de veille, en s'y prenant avec plus de douceur et
existe pas dans le second et se trouve ici remplacée uniquement par l' état de crise hystérique bien déterminé. Ces conditi
es suggestions, elle peut rester un certain temps dans le cerveau a l' état latent, pour ne se développer que plus tard, sous
, consistant surtout en certaines zones d'hyperes-thésie cutanée. A l' état de repos, il a fréquemment les muscles supérieurs
s hystériques DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE L'amaurose hystérique et l' état hypnotique. Un récent article de M. Pierre Jaue
i faits pour reproduire les résultats de l'expérience sur l'homme à l' état de veille. Dominé pendant longtemps par l'idée qu
alisée des centres percepteurs qui en prennent connaissance, soit à l' état d'isolement, soit a l'état de combinaison ou de f
urs qui en prennent connaissance, soit à l'état d'isolement, soit a l' état de combinaison ou de fusion, suivant la diversité
enter moi-même dans une prochaine note. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L' ÉTAT MENTAL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DÉNONCIATION DE CRI
oiture qui pourrait receler un cadavre. Mettre les trois personnes en état d'arrestation. Après avoir envoyé cette dépêche
armerie où il me fit demander, à onze heures du soir, pour examiner l' état mental de la fillette. Angélina interrogée par
t la demande de notre rapport, et étant donné que l'appréciation de l' état mental exige souvent des examens répétés et une l
cutanée ou des organes des sens, nous n'hésiterions pas à ranger cet état mental dans celui qui caractérise l'hystérie, mai
iques, pour les raisons que nous avons données, présente cependant un état psychique en rapport avec celui de ces dernières.
t menteuse. CONCLUSIONS Nous nous trouvions donc en présence d'un état mental tout particulier et de manifestations inte
rer sur elle l'attention publique? M. le Dr Huchard (I) a fait de l' état mental des hystériques une étude très complète, e
ns troubles physiques et confirmée par les seules manifestations de l' état mental. Assurément, ce genre d'hystérie est à sui
er et de quinquina n'ont modifié que tres peu et très passagèrement l' état de la malade, et, depuis une année, la mère de l'
in penchant. RECUEIL DE FAITS Chorée guérie par la suggestion A l' état de veille. M. Gibert (du Havre) a publié, dans
enfant de douze ans. guérie d'une chorée grave par la suggestion à, l' état de veille. Voici comment s'exprime notre distingu
visage est agité par des grimaces incessantes. Le regard est atone. L' état mental en tel que les parents croient que leur fi
tout au moins une hypnose passagère? Cela n'est il pas indiqué par l' état d'immobilité dans laquelle elle est plongée et au
et peut être profondément hypnotisé, tout en gardant l'apparence de l' état de veille? ' De la suggestion dans le sommeil c
ntrée par la clinique et par les expériences faites sur des sujets en état d'hypnotisme. Rappelons le malade du professeur C
J.-B. Charcot. Deux jeunes hystériques furent placées par lui dans l' état de somnambulisme. On leur suggéra que, tout en po
vaille, va et vient, tout en délirant; mai» comme le délire, dan» cet état , est très cohérent, sans hallucinations, sans idé
stinct. (Progrès medécal, n° 25, 1892.) minutes le 18 septembre, eu état de condition, seconde, ayant des attaques eon-vul
e, le temps écoulé depuis celte époque étant comme non avenu pour son état conscient habituel. Nous n'entreront pas dans l
er l'usage de ses sens. demeurant aveugle, sourde et muette. Dans cet état , non seulement elle est aphasique, mais encore l'
ue convnlsive qui interrompt l'entretien. La crise passée, sans que l' état antérieur ail été modifié, la malade fait signe q
, ce qui n'a rien de contradictoire; pourtant, elle l'est moins qu'en état hypnotique, ou si ce mot ne parait pas suffisamme
i ce mot ne parait pas suffisamment justifié, lorsqu'elle est dans un état artificiel qui se produit quand nous lui commando
'effet. Que se passe-t-il ? La malade entre-t-elle réellement dans un état hypnotique au sens propre du mot ? Elle change to
n état hypnotique au sens propre du mot ? Elle change tout au moins d' état somnambulique, car pendant cette période de cinq
r les yeux et après vous pourrez voir ». pour que ces suggestions à l' état simple fussent suivies d'un plein effet. Quoi q
is a pu recevoir les suggestions appropriées a son mal et sortir d'un état dont on a peine a se figurer les tortures morales
a mort, si on ne savait que les hystéro-épileptiques ont des grâces d' état pour supporter les misères de leur lamentable exi
stifier cette manière de voir, notamment celle sur l'Analogie entre l' état hypnotique et l'état normal (avril 1888), et réce
de voir, notamment celle sur l'Analogie entre l'état hypnotique et l' état normal (avril 1888), et récemment (novembre 1891)
e la puissance de l'esprit sur le corps. Certes, nous savions que des états psychiques sont provoqués par des états corporels
Certes, nous savions que des états psychiques sont provoqués par des états corporels, que nous voyons par les yeux, que nous
u siècle dernier, nous avons ignoré que l'idée pouvait faire surgir l' état corporel correspondant, que nous pouvions voir ce
ouver un tel et un tel. Ils n'ont réussi qu'à me mettre dans tous mes états et à me donner grand mal de tète. Mon médecin, qu
en aviez pas sur vous-même. Je viens de vous prouver que vous êtes en état , non pas seulement de surmonter la douleur, mais
été. Son cerveau, qui avait été ai ébranlé, est maintenant en parfait état ; elle est allée dernièrement voir sa sœur à B...
nt m'a dit que c'était de la dépression. Cette syncope, ou plutôt cet état (car il n'y avait pas évanouissement) lui était e
lution. Ainsi donc, cette personne, — dirons-nous qu'elle était à l' état d'hypnose? — subissait un ascendant normal, l'asc
de la réalisation de mes prédictions optimistes. Tout en soignant son état mental, je régularisai ses fonctions menstruelles
rde-robes, et par là ses digestions; en un mot, l'amélioration de son état physique vint corroborer l'amélioration de son ét
élioration de son état physique vint corroborer l'amélioration de son état psychique, c'est ce qui résulte du reste do la le
droit qui n'avait pas cessé depuis lors. Il faut dire aussi que cet état morbide avait été précédé d'uu allaitement qui av
ide par submersion dan» te canal Saint-Martin. Voici quel était son état fin juin 1888 : Physionomie triste, souffrante.
horéiforme lorsque je l'ai vue pour la première fois, en 1888, et cet état s'était récemment compliqué de troubles mentaux g
ui prévaut aujourd'hui. Les attaques convulsives, les émotions, les états morbides sont des causes ordinaires des contractu
intint quelques heures durant, mais, les douches et la suggestion a l' état de veille par de continuelles recommandations : «
malade en sommeil profond ou eu somnam-bulisme, c'est-à-dire dans un état allant de pair avec l'anaigésie complète et dans
ur de la Faculté constate en effet une affection organique du cœur en état de compensation. Aussi dut-on répondre par l'affi
dre? C'était une fausse émeute ! Ces gens sont du reste dans un tel état de surexcitation nerveuse que le moindre bruit le
u prodige. Cet empressement gestion inconsciente, de suggestion à l' état de veille! Le problème, comme on le volt, se comp
it livre où M. Cullerre a essayé d'exposer, d'une façon impartiale, l' état de la thérapeutiqne suggestive. Après avoir étu
s l'homme, réduit à ses propres forces, ne vivrait pas ou vivrait à l' état sauvage ; il formule les règles, les principes, l
une collection d'instruments, photographies, cartes, livres, etc., l' état actuel de la psychologie expérimentale. » On es
Steenske bogtrykkeri, 1892) Longbois. — Contribution à l'étude de l' état mental des hysteriques. (Une brochure in-8° de 25
res entières à guetter un trou de souris, etc. (4). L'existence à l' état physiologique de l'imitation chez des animaux de
lle se montra triste, distraite, éprouvant le matin, à son réveil, un état d'enervement difficile à dissiper. Au commencem
-épilepsie ; l'écume lui vint à la bouche. Cet accès fut suivi d'un état de délire qui dura quatorze jours. Pendant son dé
entendu réciter l'alphabet jusqu'à la lettre P. Dans cette séance, l' état de somnambulisme est obtenu. La suggestion faîte
écrivons : » Je ne puis vous donner que de bonnes nouvelles, car mon état de santé est excellent ». 28 décembre 1892. — L
emps-la elle s'est sentie toute transformée, tandis qu'auparavant son état s'aggravait malgré l'emploi de tous les médicamen
a certitude de sa suggestibilité motrice, je lui suggère ensuite, à l' état de veille, que ses jambes vont fléchir et qu'il v
ourrait l'endormir. Il fut cependant assez influencé et plongé dans l' état de somnolence. Comme le précédent sujet, il se mo
ce qui concernait la motilîté. Sur une simple suggestion, faite à l' état de veille, ce malade, qui ne tombait que dans un
je remontai auprès de la jeune V... el cherchai à m'éclaîrer sur son état . Je coustatai en premier lieu une auesthésie a
La Lueue. L'enfant avala ainsi une bonne lasse de lait. Tel était l' état de la jeune V... en arrivant au Vésînet. Le soir,
a soumettre chaque jour au massage des membres cl à la douche, mais l' état général était resté stationnai re. Vers la fin
nomme post-hypnotique. Quand on suggère quelque chose à un sujet, à l' état de veille, avant la production de l'hypnosc, et q
ction de l'hypnosc, et que l'idée suggérée doit se réaliser pendant l' état d'hypnose subséquent, on doit se réaliser sous l'
hyp-notaxie ; troisième degré, profond sommeil (somnambulisme). A l' état de somnolence, la personne peut facilement repous
térise, doit au moins supporter une réduction, car une suggestion à l' état de veille peut être plus efficace qu'une hypnotiq
dans un sommeil assez profond, il ne se manifesta cependant dans son état normal aucun changement appréciable. C'est pourqu
vec l'aide du chloral. Les suggestions qui lui furent faites dans cet état hypnotique restèrent sans sucess parce que. comme
omme le malade le dit lui-même, il était convaincu que seulement en l' état de complète hypnose, avec amnésie, une suggestion
eux chutes de cheval successives, et il en était résulté chez elle un état pathologique grave. Une première période avait ét
entée de E... Cette note contribuera à fixer ses antécédents et son état pathologi-qoe avant l'événement possible qui reje
sur la personne de son enfant, envoyé à l'hôpital pour examen de son état mental, a eu hier une crise épileptiforme dans te
cclusion des paupières aussitôt pratiquée change en somnambulisme cet état de fascination, et l'insufflation sur les yeux am
alors sentir plus vivement la triste situation où il se trouve. A l' état de veille. E... accepte toutes les suggestions: o
: elle lui en donne. (Nous avons omis de dire que, couturière de son état , elle travaillait beaucoup, suffisamment pour avo
elque* instants dans la chambrée avant d'être mené en prison. Or, à l' état de veille, il prétendait avoir perdu connaissance
nt ouverts. Il y a donc eu là une manifestation nette, d'un véritable état second sur l'importance duquel nous aurons à reve
ales ont été faites de la façon suivante : d'abord le malade étant en état d'hypnose, puis le malade étant éveillé. Ces deux
ensité possible, et de permettre à l'observateur de suivre la série d' états de conscience du sujet à l'eut de veille, le suje
s sont typiques, les papiers qu'il écrivait chaque jour, pour noter l' état de son âme. Il craint jusqn'à l'acquittement, de
ade est la droite), sans gonflement. La contracture n'existe pas; l' état des poumons est excellent. Nous nous demandons
ma ade est mise en observation. Le 5 mai, l'enfant est eu très bon état . L'examen de la région, pratiqué plusieurs fois
déformation de la fesse peut être causée par certaines attitudes. L' état général du malade doit être aussi examiné. La neu
ctère. Il est permis de se demander s'il n'existe pas, chez elle, cet état mental particulier que Dufestel a signalé chez le
doit accepter ce genre de témoignage qu'après s'être bien enquis de l' état psychique de son auteur, et aussi après avoir su
i puissent faire songer à ce que l'on pourrait appeler l'hystérie à l' état naissant. (1) Motet : Ann. d'hyg. pub. et med.
pire. Elle était dans une période menstruelle et il en est résulté un état hémorrhagique qui a duré plusieurs mois. Depuis,
bilité et de la contractilité musculaire (courants induits) pendant l' état de sommeil. — Insensibilité de la moitié droite d
se coucher d'elle-même. A dix heures et demie, nous la trouvons en état cataleptique; elle est étendue sur son lit toute
endance a l'arc de cercle. La pression des ovaires ne modifie pas cet état A ce moment le thermomètre donne 36. 3 sous l'ais
ées |«ar des tribus de toute la presqu'île arabique (l), existait à l' état de coutume générale. L'histoire de la circoncisio
. Je l'ai déjà reçu une dizaine de fois. J'ai assez bien adouci son état par suggestion. Il va mieux et se guérira, j'en a
étudier plus facilement ces symptômes si complexes; il a établi trois états hypnotiques fondamentaux : l'état léthargique, l'
es si complexes; il a établi trois états hypnotiques fondamentaux : l' état léthargique, l'état cataleptique et l'état somnam
a établi trois états hypnotiques fondamentaux : l'état léthargique, l' état cataleptique et l'état somnam-bulique. L'état l
pnotiques fondamentaux : l'état léthargique, l'état cataleptique et l' état somnam-bulique. L'état léthargique est caractér
l'état léthargique, l'état cataleptique et l'état somnam-bulique. L' état léthargique est caractérisé par la résolution mus
une pression modérée sur un muscle, il se contracte et reste dans cet état tant que dure l'excitation. L'état cataleptique
l se contracte et reste dans cet état tant que dure l'excitation. L' état cataleptique se reconnaît à la fixité du regard,
ns croisées, pour que «on visage prenne une expression extatique. L' état somnambulique se caractérise par l'analgésie cuta
lité de certains sens et la suggestibilité des sujets : l'individu en état de somnambulisme parait endormi, il répond aux qu
et exécute aveuglément les ordres qu'on lui suggère. Chacun de ces états peut être primitivement ou secondairement, suivan
rocédés hypnogènes ou qu'il provienne de la transformation d'un autre état . Voilà, en résumé, la doctrine de Charcot, qui
ni exagération des réflexes tendineux. Est-ce la léthargie? dans cet état comme dans tous les états hypnotiques, et j'insis
xes tendineux. Est-ce la léthargie? dans cet état comme dans tous les états hypnotiques, et j'insiste sur ce fait, l'hypnotis
si on insiste et si on lui dit qu'il peut parler... Le sujet dans cet état est apte a manifester les phénomènes de catalepsi
pnotique suggestive. » Se basant sur ces idées, Bernheim divise les états hypnotiques en neuf degrés : Dans le premier degr
tiques et post-hypnotiques. Fig. I. — Schéma représentant les trois états du sommeil hypnotique-. (D'apres Luys.) Résumon
les Écoles hypnotiques de Paris et de Nancy. Pour la première, trois états caractéristiques se produisent : le somnambulisme
ces idées premières. Ainsi, tandis que cet auteur considère les trois états hypnotiques comme pouvant se développer primitive
e : somnambulisme, catalepsie, léthargie; la léthargie serait ainsi l' état le plus profond de l'hypnotisme. Certains sujets
l'état le plus profond de l'hypnotisme. Certains sujets « brûlent les états somnambuliques et cataleptiques », comme dit Luys
mme dit Luys, c'est-à-dire qu'ils tombent tellement rapidement dans l' état léthargique, qu'on ne peut pour ainsi dire pas ap
argique, qu'on ne peut pour ainsi dire pas apercevoir les deux autres états par lesquels ils ont passé. Nous avons entendu
té : il y montrait deux beaux sujets qui tombaient au commandement en état léthargique; on pouvait facilement les faire reve
ment en état léthargique; on pouvait facilement les faire revenir aux états précédents par certaines manœuvres. Voir ci-dessu
uys a fait faire à ce sujet. Richet (2) a appelé l'attention sur un état qu'il appelle cataleptoïde et qu'il ne faut pas c
que n'est plus susceptible d'être divisé en deux périodes distinctes: état léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculai
stinctes: état léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculaire et état cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui pa
excitabilité neuro-musculaire et état cataleptique. C'est une sorte d' état mixte qui paraît tenir des deux à la fois, et qui
ations les symptômes cataleptoïdes dont il est question ». Dans cet état cataleptoïde, il n'y a généralement pas hyperexci
croquis hypnologique dressé par Charcot : il étudie un grand nombre d' états hypnotiques mixtes et frustes, tels qu'on les ren
isme. tranchés qui se trouvent rarement réalisés dans la nature à l' état de pureté parfaite. « On les rencontre de loin
. - « En revanche, on observe très souvent, chez les hystériques, des états hypnotiques mixtes et frustes ressemblant par que
mixtes et frustes ressemblant par quelques-uns de leurs symptômes aux états typiques décrits par Charcot, mais en différant p
les variétés sont indiquées dans le tableau ci-après : Variétés des états hystéro-hypnotiques. ÉTATS TYPIQUES 1o État l
ans le tableau ci-après : Variétés des états hystéro-hypnotiques. ÉTATS TYPIQUES 1o État léthargique... 2° Étal catal
° Étal cataleptique... 3° État somnambulique. 4° États frustes. ÉTATS MIXTES OU FRUSTES ?. État léthargoïdo les yeux
que. d. État onéirique. e. État de veille somnambulique. Dans l' état léthargoïde, il n'y a pas. comme dans la grande l
ès le réveil, il l'exécute, la surdité n'était donc qu'apparente; cet état léthargolde peut exister les yeux fermés et les y
r les yeux fermés et les yeux ouverts, d'où deux formes distinctes. L' état lélhargoïde lucide est caractérisé par une stupeu
érale avec conservation de la conscience et souvenir au réveil. Les états cataleptoïdes diffèrent de la catalepsie véritabl
on leur donne; malgré cela, les membres conservent les attitudes. Cet état catalepiolde peut se produire les yeux ouverts où
e des contractions, la pression des nerfs ne produisant rien. Enfin l' état d'extase, que l'auteur considère encore comme app
, se produit facilement en faisant de la musique devant les sujets en état cataleptique. Les états hypnotiques dérivés du
n faisant de la musique devant les sujets en état cataleptique. Les états hypnotiques dérivés du somnambulisme sont plus no
bulisme sont plus nombreux encore que ceux qui appartiennent aux deux états précédents. Dans l'état de fascination, le sujet
x encore que ceux qui appartiennent aux deux états précédents. Dans l' état de fascination, le sujet imite servilement et aut
te servilement et automatiquement tous les gestes de l'hypnotiseur; l' état paraphrenique est caractérisé par une sorte de dé
es, de paroles en rapport avec les corruptions délirantes du sujet; l' état onéirique diffère du précédent parce que le délir
ue le délire est purement et simplement un délire de paroles; enfin l' état de veille somnambulique est celui dans lequel les
ssant éveillés, accomplissent les suggestions qu'on leur donne. Les états frustes de l'hypnotisme diffèrent A peine de l'ét
eur donne. Les états frustes de l'hypnotisme diffèrent A peine de l' état normal, le sujet est engourdi, somnolant mais non
vent servir de point de repère, mais on ne peut, avec son tableau des états hypnotiques, caractériser tous les états qui peuv
e peut, avec son tableau des états hypnotiques, caractériser tous les états qui peuvent se présenter: c'est qu'en effet, tous
er de toutes les manières imaginables, et créer ainsi une multitude d' états hypnotiques nouveaux. Que devons-nous penser en
les nombreux étals transitoires qui existent entre cette névrose et l' état normal. Observation 1. — Jeanne U... possède en
inrent, au bout de trois à quatre minutes, à mettre la malade dans un état d'engourdissement manifeste : les yeux étaient ou
eilla bientôt. Sa migraine avait disparu, elle avait donc bien été en état do soggestibitité sans pour cela avoir présenté d
motilité et le sens musculaire sont intacts. Fig. 1 - Jean S... à l' état de veille. Fig. 5. — Jean S... en état somnanbu
ts. Fig. 1 - Jean S... à l'état de veille. Fig. 5. — Jean S... en état somnanbuloïde, 2e degré- Par la fixation d'un o
s. On ne peot obtenir le somnambulisme les yeox ouverts ; aucun autre état ne se manifeste, même en répétant fréquemment l'h
ses, Célesttne ferme les yeux au bout de quelques secondes : dans cet état , elle entend et obéit, sa sensibilité est normale
d'un objet brillant, l'hypnotisation est complétée par des passes ; l' état dans lequel elle se trouve se rapproche du somnam
voisines. En soulevant. les paupières d'Eudoxie, on transforme son état somnambuloïde les veux fermés, en état somnambulo
s d'Eudoxie, on transforme son état somnambuloïde les veux fermés, en état somnambulolde les yeux ouverts ; elle a les appar
s jeux se ferment et ses muscles son: en résolution; elle présente un état absolument semblable A celui de la malade précéde
ésente un état absolument semblable A celui de la malade précédente : état somnambuloide avec conserva-tion de la sensibilit
s efforts sans y parvenir. En soulevant les paupières, on détermine l' état somnambulolde les yeux ouverts que nous a présent
senté la malade de l'observation VI. Il a été impossible d'obtenir un état de sommeil plus profond. Observation VIII. — Mm
au somnambulisme véritable. L'élévation des paupières transformait l' état somnam-bulique les yeux fermés en état somnambuli
n des paupières transformait l'état somnam-bulique les yeux fermés en état somnambulique les yeux ouverts, tous les autres p
n. le calme revint bientôt. Jamais nous n'avons pu déterminer d'autre état que ces deux variétés de somnambulisme. Observa
ques, caractères qui tous appartiennent au somnambulisme véritable. L' état somnambulique les yeux fermés peut se transformer
éritable. L'état somnambulique les yeux fermés peut se transformer en état analogue les yeux ouverts. L'hynotisa-tion répété
ouverts. L'hynotisa-tion répétée ne parvint pas i provoquer un autre état hypnotique. Fig. 13. — Champs visuels de Louise
erts. En répétant l'hypnotisation, nous n'avons pn amener aucun autre état . Observation XI. — Adrienne C....agée de vingt
d'ouvrir les yeux, elle se réveille. Au bout de quelques séances, cet état somnambuloïde est remplacé par le somnambulisme v
i, et cela en continuant les pa»ses alors que la ma!ade était déjà en état somnambulolde. La sensibilité disparut et le somn
s onze observations que nous venons de rapporter, on voit combien les états hypnotiques dérivant du somnambulisme sont variab
bservation II. et Mme M ... de l'observation III. se trouvent dans un état un peu plus profond, leurs yeux sont fermés, mais
ervation IV, et Célestine B.... de l"observation V. sont dans le même état que les malades précédents, mais elles ne peuvent
rvation VI. et Julie M..., de l'observation VII. présentent encore un état somnambuloïde avec conservation de la sensibilité
vrir spontanément les yeux; mais, si on soulève leurs paupières, leur état somnambuloïde les yeux fermés se transforme en ét
s paupières, leur état somnambuloïde les yeux fermés se transforme en état somnambuloïde les yeux ouverts. Enfin Mme B...,de
les mêmes phénomènes; d'après cela, nous pouvons admettre, parmi les états se rapportant au somnambulisme, deux variétés fon
ats se rapportant au somnambulisme, deux variétés fondamentales : tes états somnambu-loides et tes états somnambuliques propr
lisme, deux variétés fondamentales : tes états somnambu-loides et tes états somnambuliques proprement dits. Les états somna
ts somnambu-loides et tes états somnambuliques proprement dits. Les états somnambuloïdes sont ceux que nous ont présentés l
risés par la conservation de la conscience et de la sensibilité : les états somnambuliques nous ont été offerts par les quatr
conscience, d'automatisme et de perte de la sensibilité. Parmi les états somnambuloïdes, nous devons admettre quatre varié
es : 1° Engourdissement sans perte de conscience ni de sensibilité, état cessant aussitôt que les moyens hypnogènes sont s
les yeux, il fait de vains efforts. Si on soulève les paupières, cet état somnambuloïde les yeux fermés, se transforme en é
s paupières, cet état somnambuloïde les yeux fermés, se transforme en état analogue les yeux ouverts (observations VI et VII
t analogue les yeux ouverts (observations VI et VII). Dans tous ces états somnambuloïdes la conscience et la sensibilité pe
, mais il n'exécute pas les ordres contraires à son sens moral. Les états somnambuliques véritables se caractérisent par la
ent par la perte de la conscience et rie la sensibilité : le sujet en état somnambuloïde n'exécutait pas l'ordre qui lui rép
en état somnambuloïde n'exécutait pas l'ordre qui lui répugnait ; en état somnambulique il agit automatiquement, sans contr
voit dans les observations VIII, IX. X. et XI. il y a deux variétés d' états somnambuliques : ° État somnambulique les yeux
formes se rapportant au somnambulisme peuvent trouver place dans ces états types. Voici, en regard l'un de l'autre le tablea
n regard l'un de l'autre le tableau donné par Pitres pour classer ces états , et le nôtre : TABLEAU DE PITRES État somnamb
EUR a. Engourdissement, sans perte de conscience ni de sensibilité, état cessant aussitôt que les moyens hypnogènes sont s
es paupières, cet étal somnambuloïde les yeux fermée se transforme en état analogue les yeux ouverts. perte de la conscien
ôpital de Molenbeck, elle avait journellement plusieurs crises. Son état général était boa, elle se plaignait de douleurs
touillement, le pincement, la piqûre, Fig. 16. — Josephine D... » l' état de veille. Fig. 17, — Joséphine D... en somnamb
L'œil droit est plus clairvoyant que le gauche, ce qui correspond à l' état des champs visuels L'ouïe, l'odorat, le goût, s
e période épileptoïde pendant laquelle Fig. 18. — Joséphine D... en état cataleptoïde les yeux fermés. Fig. 19. — Joseph
en état cataleptoïde les yeux fermés. Fig. 19. — Josephine D... en état cataleptoïde les yeux ouverts. la malade se rai
riode cloniqne accompagnée de cris ; après racées, elle tombe dans un état de sommeil comateux pendant plus ou moins longtem
anée, suggestibilité, etc.; en relevant les paupières, on provoque un état somnambulique les yeux ouverts, la sensibilité re
la troisième séanee nous avons obtenu, en prolongeant le sommeil, un état cataleploïde spécial, non pas la catalepsie vérit
, mais ses membres conservaient les attitudes qu'on leur donnait. Cet état catalep-toïde les yeux fermés pouvait être transf
Cet état catalep-toïde les yeux fermés pouvait être transformé en un état analogue les yeux ouverts, en relevant les paupiè
t l'expression de la prière. Nous n'avons jamais pu obtenir d'autre état que celui que nous venons de décrire. Observati
Par la fixation du regard, la malade s'endort bientôt et passe a l' état de somnambulisme avec perte de sensibilité et sug
ond aux questions et l'on peut, en lui ouvrant les yeux, provoquer un état somnambulique les yeux ouverts. A la seconde sé
ns continué les passes lorsque la malade était en somnambulisme et un état cataleptique s'est déchue : les yeux étaient ferm
e monde extérieur ; en maintenant les yeux ouverts quelque temps, est état cataleptique les yeux fermés se changeait en un
que temps, est état cataleptique les yeux fermés se changeait en un état cataleptique les yeux ouverts, correspondant au v
en un état cataleptique les yeux ouverts, correspondant au véritable état cataleptique de Charcot. Nous avons pu depuis r
ais jamais la léthargie ne s'est montrée. Fig 21. Collette H... à l' état de veille. Fig, 22 — Collette H... en somnambul
g, 22 — Collette H... en somnambulime- Fig. 23. — Collette- H... en état cataleptique les yeux fermés. Fig- 24. — Expres
t, au bout de quelques minutes, à produire le sommeil hypnotique. L' état qui se présente alors ne ressemble plus à ceux qu
, jusqu'ici, le somnambulisme se produisait toujours avant tout autre état , chez Alice, l'état léthargique se montre d'emblé
ambulisme se produisait toujours avant tout autre état, chez Alice, l' état léthargique se montre d'emblée. Immédiatement il
voque une contracture très manifeste, enfin les muscules sont dans un état de relâchement complet et les yeux sont dirigés f
ntient les yeux de ta malade quelques instants ouverts, on produit un état léthargique les yeux ouverts, absolument analogue
produit un état léthargique les yeux ouverts, absolument analogue à l' état léthargique les yeux fermés : alors le regard se
25. — Alice V... en Fig. 26, — Alice V... en Fig. 27. — Alice V... à état léthargique les état lethargique les l'état de ve
Fig. 26, — Alice V... en Fig. 27. — Alice V... à état léthargique les état lethargique les l'état de veille, yeux ouverts.
n Fig. 27. — Alice V... à état léthargique les état lethargique les l' état de veille, yeux ouverts. yeux fermes. Pour ré
faut souffler éner-giquement à différentes reprises sur les yeux. Ces états léthargiques se sont manifestés dès la première s
En résumé donc, dans l'observation XII, nous avons obtena d'abord l' état somnambulique véritable, les yeux fermés et les y
n rendant l'hypnose plus profonde, nous avons va se produire les deux états cataleptoïdes décrits par Pitres, avec conservati
. Collette H..., de l'observation XIII, présente également les deux états somnambuliques véritables que nous avons décrits
its précédemment; en poursuivant l'hypnose, cette malade tombe dans l' état cataleptique les yeux fermés, caractérisé par la
ence d'audition et de suggestibilité; en soulevant les paupières, cet état se tranformait en catalepsie les yeux ouverts : l
ques très caractérisées, dont les crises nombreuses sont suivies d'un état de sommeil comateux rappelant un peu les états ca
euses sont suivies d'un état de sommeil comateux rappelant un peu les états cataleptiques et léthargiques; nous n'avons pu ob
phases chez des sujets ordinaires, ce qui semblerait prouver que ces états cataleptiques et léthargiques ne sont que des som
us ou moins profond. D'après ces observations, on voit qu'outre les états bien définis de catalepsie et de léthargie décrit
catalepsie et de léthargie décrits par Charcot, il faut admettre des états incomplets sur lesquels Pitres a attiré l'attenti
s sur lesquels Pitres a attiré l'attention. Nous avons observé quatre états différents se rattachant à la catalepsie : 1° É
ur. b. Les yeux ouverts. Pour la léthargie, nous avons observé deux états , mais en prenant en considération les cas observé
s yeux ouverts. Pour terminer ce qui concerne la classification des états hypnotiques, nous devons mettre en regard l'un de
'un de l'autre le tableau donné par Pitres et le notre. variété Des ÉTATS HYSTÉRO-HYPNOTIQUES D' a près PITRES 1° État lé
d. État onéirique. c. État de veille somnambulique. TABLEAU DES ÉTATS HYPNOTIQUES D'APRÈS L'AUTEUR Etats se rattachan
nt influencés par ces pratiques. Les premiers ne présentèrent que des états incomplets du somnambulisme, les autres montrèren
ésenté ni la catalepsie, ni la léthargie. Il semble donc que depuis l' état de veille jusqu'au véritable somnambulisme, il y
mnambulisme, il y ait une série de transitions parmi lesquelles les états cataleptiques et léthargiques ne trouvent pas pla
s avons observé la catalepsie, nom avons vu passer successivement les états somnambuliques puis cataleptiques : les malades d
, la malade qui nous l'a présentée ne permettait pas d'apercevoir les états somnambuliques et cataleptiques intermédiaires, c
mmunément : les personnes peu sensibles à l'hypnotisme présentent des états somnambuliques plus ou moins atténués, celles qui
thargiques ; ces derniers sujets passent, en général, d'abord par les états somnambuliques, puis par les états cataleptiques,
ssent, en général, d'abord par les états somnambuliques, puis par les états cataleptiques, enfin par les états léthargiques.
états somnambuliques, puis par les états cataleptiques, enfin par les états léthargiques. C'est pourquoi nous nous rangeons
à l'opinion de Luys, nous croyons que le somnambulisme est le premier état , la catalepsie le second et la léthargie le trois
ement. Un cas de contracture psychique guérie par la suggestion à l' état de veille, Par le Dr GOROMCHZE. Le 27 décembr
es contracturée. « Après lui avoir expliqué la différence de ces deux états et affirmé, en partant, que le lendemain elle pou
l. C'est surtout à partir de ce moment-là que l'amélioration de son état général était sensible. Impressionnable à l'excès
de Nice, MM. les Drs Fighiera, Moriez et Planai, avaient rédigé sur l' état mental de Valroff un rapport qui trahissait assez
n de médecins qui ne sont qu'occasionnellement appelés a anaty«er l' état psychique d'un aceusé. C'est pour cela quo la déf
cins compétents avaient formulé, à la demande de ion défenseur, sur l' état pathologique de l'accusé Valroff. « L'émotion d
son, il est permis à on médecin de se faire une opinion précise sur l' état mental d'au accusé lorsqu'il a sous les yeux le r
observé que la pression du vertex était susceptible de transformer l' état léthargique en état somnambulique ; Dumontpallier
sion du vertex était susceptible de transformer l'état léthargique en état somnambulique ; Dumontpallier a vu que cette pres
ier les phases du sommeil artificiel, soit de ramener brusquement à l' état de veille, les sujets préa-lablement hypnotisés »
méro précédent. 1° Les zones hypnogènes simples qui, comprimées à l' état de veille, déterminent invariablement une phase c
pnogènes a effets incomplet», dont la compression ne produit rien à l' état de veille, mais peut modifier les phases du somme
il le sache et sans qu'il le veuille. III. — De la mémoire dans les états hypnotiques. L'étude de la mémoire chez les suj
ant leur sommeil et qu'elles s'en rappellent lorsqu'on les replace en état de sommeil hypnotique. Plus récemment, Richet, Be
ions suivantes : 1° Les personnes hypnotisées se rappellent, dans l' état de sommeil, tout ce qu'elles ont appris antérieur
, tout ce qu'elles ont appris antérieurement lorsqu'elles étaient à l' état de veille. 2° Les personnes qui ont été hypnoti
ouvenir de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en état
qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en état de somnambulisme spontané ou provoqué se souvienn
u provoqué se souviennent de tout ce qu'elles ont appris, soit dans l' état de veille normale, soit dans les états hypnotique
u'elles ont appris, soit dans l'état de veille normale, soit dans les états hypnotiques antérieurs. Ces propositions repose
on. Il est évident que la mémoire ne peut être étudiée que dans les états hypnotiques dans lesquels le sujet entend, c'est-
les états hypnotiques dans lesquels le sujet entend, c'est-à-dire les état somnam-buloïdes, somnambuliques et certains états
nd, c'est-à-dire les état somnam-buloïdes, somnambuliques et certains états cataleptoïdes et léthargoïdes. Dans les cas que n
il se rappelait toujours de ce qu'il avait appris antérieurement, à l' état de veille ; cela aussi bien pour les deux états d
is antérieurement, à l'état de veille ; cela aussi bien pour les deux états dérivés du somnambulisme que pour les états catal
aussi bien pour les deux états dérivés du somnambulisme que pour les états cataleptoldes. Joséphine, en état cataleptoïde se
ivés du somnambulisme que pour les états cataleptoldes. Joséphine, en état cataleptoïde se rappelle tout ce qu'elle connaît
séphine, en état cataleptoïde se rappelle tout ce qu'elle connaît à l' état de veille. Une seule condition paraît nécessair
ons; ceci nous conduit à penser que la mémoire des choses connues à l' état de veille est conservée dans tous les états hypno
ire des choses connues à l'état de veille est conservée dans tous les états hypnotiques, mais que nous ne pouvons nous en con
gée. Comme nous l'avons établi, le somnambulisme comprend une foule d' états intermédiaires le reliant à l'état de veille; pou
omnambulisme comprend une foule d'états intermédiaires le reliant à l' état de veille; pour tous ces états, le sujet ne se ra
e d'états intermédiaires le reliant à l'état de veille; pour tous ces états , le sujet ne se rappelle-t-il pas au réveil de ce
vations précèdent. Jeanne U..., qui a présenté le premier degré des états somnambuloï-des, se rappelait parfaitement au rév
sommeil. Au contraire, tous les autres sujets, qui ont manifesté des états somnambuliques véritables, avec perte de conscien
de tout ce qui avait eu lieu pendant leur sommeil. Notre division en états somnambuloïdes et somnambuliques trouve ici encor
mmeil, un phénomène capital qui sépare complètement ces deux ordres d' états . Nous concluons donc, pour la seconde propositi
éveil, des faits écoules pendant le sommeil, se produit dans certains états hypnotiques que nous appelons somnambuloïdes. dan
utres auteurs : ici encore nous devons faire la distinction entre les états somnambuloïdes et les états somnambuliques : pour
ous devons faire la distinction entre les états somnambuloïdes et les états somnambuliques : pour les premiers, puisqu'il n'y
t passé pendant son sommeil précédent, comme il s'en rappellerait à l' état de veille. Dans les états somnambuliques véritabl
il précédent, comme il s'en rappellerait à l'état de veille. Dans les états somnambuliques véritables, ainsi que dans les éta
veille. Dans les états somnambuliques véritables, ainsi que dans les états plus profonds, nos sujets n'ont généralement pas
la troisième proposition émise- à propos de la mémoire des sujets en état de sommeil hypnotique : d'après nos recherches, l
en état de sommeil hypnotique : d'après nos recherches, les sujets en états somnambuloïdes sont les seuls qui se soient const
faits écoulés pendant une hypnotisât. :; antérieure: les personnes en états somnambuliques et cataleptoldes ne nous ont génér
orait, c'est que cette sensibilité s'extériorise : il se forme, dès l' état de rapport, autour de (l) De Rochas : Les états
: il se forme, dès l'état de rapport, autour de (l) De Rochas : Les états profonds de l'hypnose. Paris. 1892, p. 57. son
é, ainsi que nous l'avons dit, trois étals distincts : somnambulisme, état cataleptique les yeux fermés et état cataleptique
étals distincts : somnambulisme, état cataleptique les yeux fermés et état cataleptique les yeux ouverts. Dam l'état somnamb
leptique les yeux fermés et état cataleptique les yeux ouverts. Dam l' état somnambolique. Collette présentait, dès la premiè
e l'extériorisation de !a sensibilité est la règle chez les sujets en état somnambulique. Quant à la possibilité de charger
à la précédente. Joséphine D.... de l'observation XII, présente trois états distincts : état somnambulique, état cataleptoïde
oséphine D.... de l'observation XII, présente trois états distincts : état somnambulique, état cataleptoïde les yeux fermés
observation XII, présente trois états distincts : état somnambulique, état cataleptoïde les yeux fermés et état cataleptoïde
distincts : état somnambulique, état cataleptoïde les yeux fermés et état cataleptoïde les yeux ouverts : dans ces trois ét
es yeux fermés et état cataleptoïde les yeux ouverts : dans ces trois états , la malade reste en communication avec le monde e
tées pour véritables, sont certainement les plus fréquentes, soit à l' état de production purement fantaisiste et artificiell
à l'état de production purement fantaisiste et artificielle, soit à l' état d'exagération notable d'un symptôme vrai mais for
térique simule pour cette raison qu'elle est hystérique. C'est dans l' état mental, qui résulte de sa maladie et qui eu est u
ement transparent. Lui ayant montré la feuille pendant qu'elle est eu état d'hypnotisme, je lui dis qu'elle y verra encore s
ons aucune réaction; la main retombe inerte ou reste maintenue dans l' état où nous l'avons placée, mais les nerfs et les ten
rt du sujet et duperie pour l'observateur. L'existence de plusieurs états hypnotiques différents, les règles auxquels sont
ypnotiques différents, les règles auxquels sont soumis ces différents états et leur symptomalologie spéciale, peuvent donner
urnées entières, telle quelle, après le réveil. Mais, tant que dure l' état léthargique, on la (ait céder presque instantaném
imple contraction qui s'efface dès que l'excitation a cessé. Daus l' état somnambulique, au contraire, Fhyperexcilabilité n
de d'un souffle léger dirigé sur la peu, développer daus ce membre un état de rigidité qui diffère de la contracture liée à
u me renseigner. J'ai appliqué les deux formes de la suggestion a l' état de veille et a l'état de sommeil hypnotique j'ai
i appliqué les deux formes de la suggestion a l'état de veille et a l' état de sommeil hypnotique j'ai taché de stimuler un p
nature psychique de l'). par Bernheim. 84. Amaurose hystérique et l' état hypnotique (1). par Bernheim. l36. Amaurose hys
l'état hypnotique (1). par Bernheim. l36. Amaurose hystérique et l' état hypno-tiqne (l'). par Pierre Janet. 157. Amblyo
estive, par Dumontpallier, 173. Choree guérie par la suggestion a l' état de veille. 178. Circoncission envisagée comme u
e, necrologie, 352. Médecine et confession. 185. Mémoire dans les états hypnotiques (de la), 358. Minimum perceptible d
Soury, 46. Veille (opération sous l'influence de la suggestion à l' état de;, 215. Vision des couleurs (théorie de la),
ES CONTENUES DANS LE VOLUME Fig. 1. — Schéma représentant les trois états du sommeil hypnotique, 324. Fig. 2, 3, 6. 7, 8. 9
8, 19. 21. 22, 23. 24. 23, 26, 27. — Sujets plongés dans les divers états hypnotiques, 329 et suiv. Fig. 28, 29, 30. 31. —
8 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
ort impressionnée, dit-elle, d'en voir quelques-unes placées dans « l' état de catalepsie ». Elle éprouva néanmoins le vif
s elle est tombée à la renverse. On la tirait assez facilement de cet état en lui soufflant sur les yeux. Bien qu'elle n'eût
'autres 0: suggestions » que celles qui peuvent être communiquées a l' état de veille, elle est retournée chez ce même magnét
Plusieurs fois le magnétiseur ayant eu grand'peine à la tirer de l' état où il l'avait plongée, elle l'a entendu prononcer
s lors, en effet. les attaques continuent à paraître fréquemment et l' état mental est resté a peu de chose près ce qu'il éta
de catalepsie, voir également Richer,l oc. cit., chap. Catalepsie et états cataleptoïdes. ils sont presque devenus chose b
on de ce fait que j ai bien des fois répété : Rien ne se casse dans l' état hypnotique qui n'ait son analogue dans l'état de
Rien ne se casse dans l'état hypnotique qui n'ait son analogue dans l' état de veille. L'hypnose démontre des phénomènes ps
elle. Toutes les perturbations nerveuses qui modifient profondément l' état de conscience peuvent, dans certaines circonstanc
endant des moments où il se restreint au point de nous mettre dans un état analogue à celui de l'individu suggestible et hal
son esprit est réduit. Un léger bruit, une lueur, un pli du drap, un état du corps: provoquent la suggestion ; la dispositi
xpérimentale, j'ai diné chez le chancelier, je me suis trouvé dans un état de trouble, d'embarras, de surdité momentanée...
u ou chez l'hys-térique qui a reçu une suggestion ? Chez eux aussi un état dr faiblesse momentanée de la conscience a permis
la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les états hypnotiques. Rapporteur : M. le Professeur Liégeo
Dr Bérillon ;de Paris). — Les attentats à la personne morale dans l' état d'hypnotisme. 8. MM. les Dr Hubert et Bérillon (d
n des images. — III. L'attention est-elle toujours déterminée par des états affectifs ? — IV. Etude statistique des hallucina
une opération qu'il se proposait de faire sur un sujet plongé dans l' état de somnambulisme. H s'agissait d'une jeune femm
ussi une histoire connue de tous les psychologues. Une étude de son état psychologique et physiologique fut écrite, il y a
t des actes humains ont pour point de départ une suggestion reçue à l' état de veille, il est possible après tout que le roi
ollineau, en colligeant et condensant ces précieux documents, livre l' état exact et complet de la science sur la matière.
ée de fumer. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Le sommeil provoqué et les états analogues, par le Dr A. Liébeault. — Paris. Octav
ation de symptômes, ne pourra amener une transformation complète de l' état général du système nerveux. Cependant plusieurs
. Une troisième occupe de délicates fonctions administratives que son état de santé antérieur ne semblait jamais devoir lui
nifestations convulsives ; mais, en attendant, elles bénéficient de l' état d'excellente santé relative dans lequel elles se
convulsive. Est-ce à dire que nous nous abstiendrons de modifier l' état général des hystériques par un traitement hygiéni
un grand service à l'hystérique et à son entourage s'il obtient qu'un état d'équilibre de l'esprit succède à ces perversions
pris d'un hoquet et rend, sans effort, quelques gorgées de sang. Cet état dure deux minutes et les grandes convulsions se p
ente à la fin de chacune de ses attaques, revient identique pendant l' état de somnambulisme. Il revoit l'homme armé d'un cou
stionnable pendant son sommeil, mais la suggestion peut persister à l' état de veille. J'ai fait les expériences qu'on répète
homme était dans ma main et que j'étais absolument maître de lui a l' état de sommeil comme a l'état de veille. Or L... av
et que j'étais absolument maître de lui a l'état de sommeil comme a l' état de veille. Or L... avait subi plusieurs condamn
la main sur un brasier. Mois la vérité? Impossible de la démêler. L' état de nos connaissances actuelles ne nous permet pas
gouroux, Hanot. Landolt, Constantin Paul. Debove, établissent en tout état de cause la relation qui existe entre l'empoisonn
t à interrompre son travail. Admis A l'hôpital Laennec. il présente l' état suivant : Tremblement à grandes oscillations, fac
s-thésie sous l'influence des courants électriques. Ajoutons a cela l' état moral d;s sujets, leur caractère bizarre qui cadr
e réapparaître ce hoquet et avec l'intensité qu'on désirait. Dans l' état de somniation, il suffisait de placer une main su
la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les états hypnotiques. Rapporteur .- M. le Professeur Liége
Dr Bérillon (de Paris-. — Les attentats à la personne morale dans l' état d'hypnotisme. 3. M. le Dr Burot (de Rochefort).
estion à l'école. 6. M. Émile Yung (de Genève). — La suggestion à l' état de veille. 7. M. le Dr Paul Magnin (de Paris).
a loi française est restée muette sur la question d'excuse tirée de l' état d'ivresse de l'auteur d'un crime ou d'un délit; e
jours la capacité de contracter ont été annulées par les tribunaux. L' état d'ivresse a été, dans ces conditions, assimilé à
tribunaux. L'état d'ivresse a été, dans ces conditions, assimilé à l' état de démence. Il y a donc une lacune dans nos loi
e comblée. Pour y arriver, il y a lieu de considérer que les divers états sous lesquels se présentent les alcoolisés répond
end toutes les formes de l'ivresse pathologique, d'une part, tous les états de trouble mental subaigus, aigus ou chroniques d
s le traitement suggestif. dans ses accès de somnambulisme, ni dans l' état second de sa double personnalité. Son mariage qui
agit tout au plus comme cause occasionnelle. L'hystérie existait A l' état latent chez tous les intoxiqués, soit qu'ils y fu
erveux en particulier? L'hypothèse est plausible, c'est celle en tout état de cause, qu'émet et détend Guinon. Ces considé
hystériques lut découverte par le docteur Burq : Une jeune femme en état de somnambulisme provoqué, venait de poser sa mai
phénomène constaté? Le lendemain l'expérience est recommencée, mais l' état cataleptique ne se manifeste pas ; on avait eu so
». On ne saurait nier l'action des agents physiques pour produire les états somnambulique, calaleptique et léthargique et la
à des récidives, il laut en accuser non pas la thérapie mais plutôt l' état morbide même. Comme contre-indications principa
ujet en traitement, certaines formes d'aliénation mentale et ausssi l' état de que'ques hystériques chez lesquelles il peut a
e, en souhaitant la bienvenue aux délégués étrangers et en exposant l' état de la psychologie physiologique en 1889. M. Cha
étiques produisent le sommeil magnétique. Le sommeil magnétique est 1 état de somnambulisme provoqué : le sommeil hypnotique
état de somnambulisme provoqué : le sommeil hypnotique serait le même état provoqué par une cause un peu différente, c'est-à
istance de quelques phénomènes de la vie de relation. Il diffère de l' état de la veille normale par une modification de la p
. Il prétend ne s'adresser qu'aux gens sains, mais qui sera juge de l' état de santé parfait des individus questionnés? J '
els vous envoyez vos questionnaires, eussent été a même d'apprécier l' état de la sensibilité et le rétrécissement du champ d
s en la matière ; et 2° que l'on soit plus large au point de vue de l' état de santé des sujets, tout en notant en regard de
elle ne cherche pas à s'en débarrasser d'un coup de patte, comme à l' état de veille. Ce n'est qu'au moment où l'asphyxie co
les deux hémisphères cérébraux, on obtient l'hypnose, c'est-à-dire l' état cataleptoïde, la perte du mouvement volontaire, m
es jours de plus en plus. Autrefois, l'absence de conscience de son état de maladie était considérée comme le critérium ab
idérée comme le critérium absolu permettant de distinguer nettement l' état de raison, et figurait même comme caractère essen
listes, depuis le commencement de ce siècle, que la conscience de son état excluait nécessairement l'idée de maladie mentale
signées dans les auteurs mentionnaient quelquefois la conscience de l' état de maladie comme symptôme de certaines variétés d
ecine mentale. _ (2) Delasiauve a même fait de la conscience de son état un caractère essentiel de la pseudomanie; conte
ique et irrésistible. Les malades ont parfaitement conscience de leur état ; ils reconnaissent la nature maladive des phénomè
nies instinctives, homicides, du vol. de l'incendie, etc.. etc. Ces états pathologiques variés doivent-ils être décrits sép
ment. Le premier degré de l'obsession intellectuelle est presque un état physiologique. Chacun de nous, dans certains mome
entalement un mot, de coprolalie, d'écholalie, etc., etc. Ouand ces états psychiques, évidemment anormaux et pathologiques,
r son existence tout entiere, on peut les considérer comme de simples états nerveux et non comme l'expression d'une véritable
n'est pas d'entreprendre ici la description, même sommaire, de ces états psychiques variés. Elle nous entraînerait beaucou
mer ainsi : 1° Elles sont toutes accompagnées de la conscience de l' état de maladie; 2° Elles sont ordinairement hérédit
ntermittentes ; 4° Elles ne restent pas isolées, dans l'esprit, à l' état monomaniaque, mais elles se propagent à une sphèr
urs. Nous étudierons successivement: 1° L'action de la pensée à l' état de veille sur les vaso-moteurs en général. 2° L
eille sur les vaso-moteurs en général. 2° L'action de la pensée à l' état de veille sur les vaso-moteurs utéro-ovariens.
es vaso-moteurs utéro-ovariens. 3° L'action de lu suggestion dans l' état hypnotique sur les vaso-moteurs en général. 4°
ur les vaso-moteurs en général. 4° L'action de la suggestion dans l' état hypnotique sur les vaso-moteurs utéro-ovariens.
-ovariens. On ne saurait nier l'influence exercée par la pensée à l' état de veille sur les vaso-moteurs en général. Le sen
anique. L'action de cette force psychique qui s'appelle la pensée à l' état de veille sur la circulation ovarique, est multip
ée. J'arrive maintenant aux métrorrhagies psychiques en dehors de l' état puerpéral. On trouve çà et là dans les différents
age aux influences psychiques. Si donc l'influence de la pensée à l' état de veille sur les vaso-moteurs, en général est si
t de cherche à utiliser l'action vaso-motrice de la suggestion dans l' état hypnotique sur les vaso-moteurs utérine et de l'a
tement : des troubles menstruels après avoir préalablement provoqué l' état psychique le plus favorable. Dans le livre de B
la vaso-constriction de la catalepsie, la suggestion- verbale dans l' état somnambulique de l'hypnotisme faisant tous les fr
tion, hypnotique. M. Liébeault, dans son Traité sur le sommeil et les états analogues. cite trois observations de gué-risons
alors à l'hôpital Saint-Antoine, elle: est facilement plongée dans un état de somnambulisme profond. Cette malade étant en m
tre départ. Nous allons lavoir et nous, la trouvons dans un excellent état . Elle est restée ensuite une longue période de te
e signes de grossesse ni de tumeur. Sachant qu'il n'y avait ni dans l' état local ni dans l'état général de cette malade aucu
ni de tumeur. Sachant qu'il n'y avait ni dans l'état local ni dans l' état général de cette malade aucune lésion pouvant exp
es fois, me donne carte blanche. Je la plonge assez facilement dans l' état somnambulique Je lui suggère alors de dormir tout
en particulier, à l'étal de veille, de même que la suggestion dans l' état hypnotique, une influence manifeste. Mais il ne f
de l'hystérie confirmée et dont les accidents utérins relèvent de cet état pathologique. Chez ces dernières, on pourra sans
suggestion. Quant au procédé d'élection, si la léthargie vraie est l' état qui doit être recherché pour l'analgésie obstétri
es menstruels par l'hypnothérapie, la période de somnambulisme sera l' état le plus favorables aux suggestions post-hypnotiqu
mon appréciation. Avant tout, il importe de définir le mot hypnose ou état hypnotique. Sommeil provoqué est une définition t
t les diverses étapes de suggesubilité et finissent, après un premier état douteux, par devenir de vrais somnambules, montra
teux, par devenir de vrais somnambules, montrant ainsi que,ces divers états correspondent à un mécanisme psychique unique, qu
ofondément par l'encéphale sur les fonctions organiques diverses. L' état hypnotique est cet état psychique particulier, su
le sur les fonctions organiques diverses. L'état hypnotique est cet état psychique particulier, susceptible d'être pro-voq
suggestibilité profonde, mais il n'est pas nécessaire pour obtenir l' état de suggestion, l'état hypnotique.Il y a hypnose,
de, mais il n'est pas nécessaire pour obtenir l'état de suggestion, l' état hypnotique.Il y a hypnose, sans sommeil. pour l
s il ne peut se soustraire. Toutes ces suggestions sont réalisées à l' état de veille parfaite ; le sujet en conserve le souv
efois, cela ne réussit que chez les très suggestibles et qui sont à l' état de veille. Beaucoup ne deviennent très suggestibl
i cherche-l-on en général dans l'hypnose à provoquer le sommeil ou un état aussi voisin que possible du sommeil, pour rendre
utiques fréquents que d'attendre le sommeil profond pour suggérer des états salutaires. Ceb pose, quelle est la valeur rela
merait en catalepsie, et l'attouchement du vertex en somnambulisme. L' état cataleptique peut aussi être provoque d'emblée, p
douteux qui ne les satisfait pas. J'arrive parfois à transformer cet état en sommeil profond, en disant ausujet : « Je vous
as entendre! Ils n'ont pas d'initiative pour sortir spontanément de l' état hypnotique. J'accentue, je dis : c Vos yeux s'ouv
ugges-tibilité et de mettre le système nerveux cérébro-spinal dans un état tel que la suggestion l'incite à accomplir des ac
it physiologique qu'est basée la psycho-thérapeutique suggestive. L' état hypnotique créé lui-même par la suggestion, en su
le seul efficace de la suggestion thérapeutique. La suggestion a l' état de veille, par la parole, ou par des pratiques ma
I, 11, p.322. Leipiz 1889. LIÉBEAULT : Le sommeil provoqué et les états analogues. Paris, 1889. In-12, 310 p. lopez alons
les qu'il n'a jamais dépensées qu'en rêve, il a toujours vécu dans un état voisin de la misère. Cette histoire de faux bille
itants du milieu. Il ne s'agit pas bien entendu, d'une suggestion à l' état de sommeil ou de simple engourdissement ; il s'ag
sommeil ou de simple engourdissement ; il s'agit d'une suggestion à l' état de veille, d'une suggestion à froid, si vous voul
permettre cette expression. Sans doute son action est moindre qu'à l' état de somnombulisme, mais qui oserait cependant nier
el de la madone. N'est-ce point là une suggestion, une suggestion à l' état de veille ? Le prêtre qui lui a donné la foi, ne
es suggestions faites pendant le sommeil conservaient leur action a l' état de veille. Supposez qu'un autre détenu l'ait secr
si personne n'en doute, pourquoi ne cherche-t-on pas à remédier à cet état de chose ? Et c'est pourquoi j'ai tenu. Messieurs
mais seulement quelques fourmillements. Sommeil conservé; appétit; état moral et intellectuel satisfaisant. Je donne de
s parler d'hypnotisme. Première séance. — A ce moment (35e jour), l' état étant peu différent de celui que Je viens d'indiq
uvais pavés, sans souffir ni de la Jambe, ni de la région lombaire. L' état général s'améliore aussi beaucoup. Cinq ou six sé
té par une invasion aiguë et qui persiste aujourd'hui sous forme d'un état chronique. Quand je la vis pour la première foi
oite, avec sensation d'un nuage central se plaçant devant la vue. Cet état est assez récent, mais D... a éprouvé il y a dix
s de quelques reliquats de paralysie, peuvent être réellement dans un état de guérison anatomique, sans avoir guéri tout à t
s après, de juger par comparaison de l'influence de la suggestion à l' état de veille. Le fait est trop précis pour le passer
uscles conservent toutes les positions qu'on leur donne, comme dans l' état cataleptique. Il ne voit rien, il ae sent rien, i
int de vue hypnotique elle était un sujet remarquable; mais aussi à l' état de veille, il était très facile de lui faire tout
en Russie, j'ai rencontré cette hypéracuité sensorielle suggérée à l' état de veille, à un degré plus ou moins développé.
uments. J'ai entendu parler de suggestion tous toutes les formes, t l' état de veille, pendant le sommeil physiologique et je
ouver. Il se contente d'une affirmation de leur part. Il suffit que l' état qu'il détermine chez eux se caractérise par une e
t le sommeil hypnotique lequel ne serait pas une névrose mais bien on état physiologique ; les contractures, les anesthésies
ault, que je me suis aperçu que j'avais pratiqué la suggestion dans l' état de veille. L'n des précédents orateurs a déclar
ois à les guérir par le massage, l'hydrothérapie et la suggestion a l' état de veille. M. Guermonprez (de Lille). — Quand u
e Biologie, en 1883, de son remarquable mémoire sur la suggestion à l' état de veille. Mais qu'il me soit permis de dire à
suggestion hypnotique dans le traitement des maladies mentales et dés états connexes. Rapport de M. le docteur Auguste VOIS
ont je me sers. j'ai étendu successivement ce traitement à tous les états connexes, à l'aliénation mentale, aux troubles mo
les suggestions données en trop grand nombre à la fois déterminent un état de malaise évident qui se traduit par des crispat
ts de syphilis celébrale, qui ne sont nullement hystériques et dont l' état a été déjà sensiblement amélioré par la suggestio
ces manifestions mentales qui sont sous la dépendance d'un véritable état pathologique, le plus souvent héréditaire, et, en
et progressivement, nous amenons l'enfant à sentir la gravite de son état et la nécessité d'y porter remède. Nous martelons
choc local, suivi d'une esquisse de paralysie. Puis, i la faveur de l' état d'asthénie nerveuse créé par un surmenage récent,
ant déjà que sa jambe gauche était affaiblie, il a pu, dans un pareil état d esprit compléter par auto-suggestion sa paralys
en arrière sur son siège, et finalement fut emporté chei lui dans un état de torpeur. Il n'avait bu aucun liquide spiritueu
hors de propos ; et finalement, il fallut la porter à son lit dans un état de torpeur. Les yeux de la malade ressemblaient a
çut la nouvelle, il vint me faire part de celte bonne chance, dans un état de joie extrême. Après avoir parlé pendant quelqu
fus appelé en hit* auprès de lui. je le trouvai inconscient, dans un état de torpeur, et je ne pus obtenir aucune réponse d
ne manière presque identique, j'ai constaté les faits suivants : Un état d'abattement, de dépression mentale, plus ou moin
es incohérentes, peut devenir tout à fait inconscient, et sort de cet état tremblant et nerveux, ne sachant rien de ce qui s
considération parce qu'elle est propre i favoriser le diagnostic. L' état d'un homme qui. pouvant rendre un compte exacte d
êmes expressions, devient subitement comme un mort pour lui-même, cet état , dis-je, dénote une condition de l'économie encor
e l'esprit, sous l'influence desquels le patient paraît être dans son état normal, seulement un peu nerveux. Le troisième
t. La question qui se présente est celle-ci : le passage subit d'un état de l'esprit a un état différent peut-il produire
e présente est celle-ci : le passage subit d'un état de l'esprit a un état différent peut-il produire un tel enchaînement de
perte de la sensibilité pour le froid et le chaud, suggérée dans l' état hypnotique. Compt. rend. Soc. de but., Ser. IX,
rosnier et Babé, in-8°, 178 pages, 1888. La sommeil provoqué et les états analogues, par le Dr. A. Liébeault. — Paris, Doui
s de rêves, et on conserve dans certains cas une demi conscience de l' état où l'on se trouve. Je citerai, comme exemple pa
t voulais diriger mon réve. II. AUTO-SUGGESTION. L'hypnose est un état qui se rattache au sommeil. Le rêve est un état h
N. L'hypnose est un état qui se rattache au sommeil. Le rêve est un état hypnotique spontané, naturel, non provoqué Si on
rêve, on fera de l'auto-hypnotisme parfait, et on pourra utiliser cet état pour le même but que celui de l'hypnose provoquée
on. Moments favorables à l'auto-suggestion. On peut provoquer des états plus ou moins profonds de l'hypnose pour donner d
st de même dans la pratique de l'autosuggestion. On peut utiliser des états de somnolence ou de sommeil plus ou moins profond
gestion d'avoir chaud aux pieds. Je reste à cheval, je me mets dans l' état le meilleur possible pour favoriser l'auto-sugges
ion, car le lendemain, dans la matinée, j'ai eu des hallucinations. L' état dans lequel je me suis trouvé est difficile à déf
ations sociales un tableau que je ne m'étais pas fait auparavant. Cet état , que je n'ai pas voulu faire disparaître pour l'o
on d'avoir les hallucinations. Le lendemain, dans la matinée, le même état hallucinatoire se présente, mais plus accentué. J
e sont pas des hallucinations proprement dites que j'ai eues, mais un état particulier qui n'est pas l'état normal, que je n
prement dites que j'ai eues, mais un état particulier qui n'est pas l' état normal, que je n'ai eu que ces deux jours, qui ne
vant et que je n'ai pas cherché à reproduire dans la suite. (c) Cet état hallucinatoire, provoqué par l'auto-suggestion, é
ment au bout de deux minutes, et je n'ai pas cherché à reproduire cet état hallucinatoire mal défini, mais qui est très péni
tater, c'est que l'auto-suggestion a suffi pour faire disparaître cet état crée par l'auto-suggestion. 6° Excitation génés
cet état crée par l'auto-suggestion. 6° Excitation génésique. Cet état nerveux a été supprimé très facilement en quelque
ts. Il faut ajouter que je recherche le rêve comme critérium d'un bon état pour l'auto-suggestion. Il est certain que c'est
e ou un fait, y pense également dans le recueillement de la nuit. Cet état , par lequel tout le monde est passé, et qui consi
une nuit blanche sous l'influence d'une émotion, joie ou chagrin, cet état est très favorable à l'auto-suggestion. L'insom
spec-tateurs de tel drame; cl la scène, le souvenir suggéré, soit à l' état de veille, soit à l'état de sommeil, se présente
; cl la scène, le souvenir suggéré, soit à l'état de veille, soit à l' état de sommeil, se présente dans leur esprit comme si
inis quelquclois d'une façon humoristique que le sommeil : « C'est un état dans lequel on croit que c'est arrivé ». Et j'ajo
gles avaient même eu lieu sans douleurs, mais il s'était développé un état d' énervement général et de légères crises convul
es maladies deson enfance, R... n'a pas eu de maladies sérieuses. Son état physique et nerveux est satisfaisant. Jusqu'à c
ndément malheureux. La vie lui devint un tardeau. Il était dans cet état de dépression psychique lorsqu'il vint me trouver
sans exception avec une grande précision, que le malade ait été en état de somnambulisme ou de somnolence. Le traitemen
dis de s'endormir ; en moins d'une minute, elle était plongée dans un état d'hypnose assez profond, avec catalepsie suggesti
de cette excitation très lorte et unique, ou faible main répétée, un état anatomique particulier, quelque chose comme une m
e matérielle, qui lait que toute excitation nouvelle les remet dans l' état même où elles se sont trouvées lors de la grande
is. A quinze ans, il quitta le cirque et se mit polisseur sur métaux, état qui lui rapportait de cinq à six francs par jour.
la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les états hypnotiques (1). Par M. Liégeois, professeur I
hez certains sujets, on peut produire, par des moyens très variés, un état de somnambulisme protond ; que, dans cet état, on
moyens très variés, un état de somnambulisme protond ; que, dans cet état , on peut suggérer a la personne endormie, non-seu
eur Gilles de la Tourette sous le titre suivant : L'hypnotisme et les états analogues au point de vue medico-légal (2). La te
ent. —on l'a parfois trop oublie. — qu'à ceux qui peuvent être mis en état de somnambulisme profond. Four ceux-là. l'automat
rectionnels, un certain nombre d'affaires, djns lesquelles les divers états hypnotiques ont présenté une importance et joué u
en appel ; 4° Affaire Ulysse X...., Elève dentiste à Paris; X...., en état , somnambulisme ou de « condition seconde ». avait
naturel (qu'on peut guérir au moyen du somnambulisme provoqué) ; L' état intermédiaire entre la veille et le sommeil ; Les
édecine légale, comment un expert pourra-t-il établir la réalité de l' état sugge-tible chez l'accusé? C'est là qu'intervie
est là qu'intervient la question des stigmates physiques et des trois états . Elt-il nécessaire de retrouver les signes du gra
nécessaire de retrouver les signes du grand hypnotisme pour établir l' état de suggestiblité ? Je ne le crois pas et on peut
ment aux frictions de la brosse, il sortit de l' affaire en si piteux état qu'il fut obligé de garder le lit pendant plusieu
ns le même article, M. Block montre aussi fort justement que certains états hystériques, et le somnamoulisme hypnotique en pa
point de se confondre avec la disposition psychique qui caractérise l' état de médium. Ces sujets sont rares ce qui prouve
vent résister, par tous les moyens imaginables, a être placés dans un état dans lequel le mensonge est impossible. Malgré
resthésie. Dès qu'on lui parlait de dormir il tombait d'emblée dans l' état de somnambulisme. Il présenta plus tard des phé
ontrariété, je pensai alors d lui dire qu'il allait se trouver dans l' état où il était quelques jours auparavant et après un
ans des conditions semblables et qu'il faut toujours te demander si l' état nerveux n'a pas varié. La seconde remarque, est
1889 dans le service de M. Auguste Voisin, à la Salpètrière, dans on état de mélancolie anxieuse. , Antécédents héréditai
digestions étaient mauvaises. Depuis le commencement de l'hiver, son état de mélancolie anxieuse avec gémissements s'accent
té de son haleine indiquant un commencement d'inanition et le mauvais état de la muqueuse des premières voies digestives et
5 26 m Morphine 0,007 Atropine 0.0006 bis bis bis 28 » Même état . Pas de sommeil. Mon interne essaie d deux repris
Morphine 0,02 Atropine 0,001 bis bis bis bis bis bis L' état de mélancolie anxieuse, les gémissements sont les
ussi. 1er Mai. La malade a engraissé et a bonne mine Le 15 Mai. son état est si satisfaisant que je lui ai accordé la perm
blanc des yeux. La femme obéit, et elle ne tarda pas a tomber dans un état d'invincible somnolence ; elle en sortit cependan
tion, agités entre eux, et soient au moins, en quelque façon, dans un état différent que lorsqu'elle est mise en action par
pe. Si on ne rétablit par un prompt repos ces filets dans leur ancien état , ils causent l'affaiblissement des sens internes
vant, publié dans l'Eclair, et qui nous parait résumer parfaitement l' état de la question : — « Qui sollicite l'interdicti
nt l'opinion publique, on n'avait pas été sans remarquer le singulier état mental présenté par une des personnes les plus gr
a raconté qu'un jour qu'il voulait obtenir d'elle l'explication d'un état de tristesse qui l'intriguait, il l'avait hypnoti
intéressantes sur la suggestion. Le caractère psychologique de cet état , d'après le professeur de la Salpétrière, est la
ière. Voici un exemple entre mille : « Je présente a une femme en état d'hypnotisme dit M. Charcot, une feuille de papie
norable Dr Liébeault, de Nancy, dans son livre sur Le sommeil, et les états analogues. Quand un sujet, sur une injonction,
la pensée suggérée peut laisser sur le cerveau ; puisque de même à l' état normal, dans la vie ordinaire, cette impression p
cole de Paris et celle de Nancy, à l'égard des sujets plongés dans un état réel d'hypnotisme, cette différence d'opinions qu
Dieu, également consulté par un rédacteur du Gaulois a répondu que l' état mental de Gabrielle Bompard lui semblait le résul
ourrait, a mon avis, en être considérablement diminuée ; d'ailleurs l' état de nos connaissances actuelles ne nous permet pas
, le suggestionneur ne se démasque pas, et le suggestionné ignore son état . Mais on retrouverait la suggestion dans la plupa
plexe qu'on peut désigner sous le nom de neurasthénie hystérique. Son état ordinaire était caractérisé par de la torpeur et
'autres part, remarquons ce qui se passe en nous quand nous Sommes en état de suggestion, ce qui est assez fréquent. Il arri
souvent un mouvement vibratoire d'un ordre spécial, en rapport avec l' état du (1) Voy. Comptes rendus du Premier Congrès i
tres par seconde et qui se produit chaque fois qu'une force modifie l' état du nerf, et par conséquent met en jeu son activit
e produit ; c'est la vibration musculaire. Les nerveux sont dans un état vibratoire anormal, leur potentiel nerveux est ch
'hypnotisme et la suggestion doit se modifier. L'hypnotisme serait un état nerveux spécial, analogue au sommeil, dans lequel
tous à la grande névrose. La reproduction par l'hypnose de certains états que les hystériques peuvent réaliser spontanément
ter cependant, pour permettre de comprendre l'étrange complexité de l' état de notre malade, qu'ucune des provocations, aucun
n somnanm-bulisme. Pendant trois mois consécutifs elle reste dans cet état avec des retours très-courts à l'état normal, (1
consécutifs elle reste dans cet état avec des retours très-courts à l' état normal, (1 à 2 h. par jour). Les attaques de so
aques de sommeil et les attaques convulsives se produisent dans cet état , comme à l'état normal. A partir du mois d'avri
il et les attaques convulsives se produisent dans cet état, comme à l' état normal. A partir du mois d'avril, les périodes
at, comme à l'état normal. A partir du mois d'avril, les périodes d' état normal deviennent de plus en plus longues et le s
ammes); elle fait usage de la morphine. La belladone est employée à l' état d'extrait pur en applications sur le col pour cal
se présentent chez cette malade avec deux types bien distincts : les états périodiques, quotidiens et les étais intermittent
r d'elle. Les sens de l'ouïe et de l'odorat acquièrent même, dans cet état , une accuité excessive; les moindres bruits sont
s sa chambre pendant l'attaque. Elle est souvent incommodée, dans cet état , par des odeurs qu'elle ne percevait pas à l'état
ncommodée, dans cet état, par des odeurs qu'elle ne percevait pas à l' état normal. Du mois de Novembre 1885 jusqu'au mois
écrire. Elles doivent cependant prendre place dans la description des états quotidiens, en ce sens que, presque toujours, une
ail commencés et reste immobile dans la position qu'elle occupe ; cet état dure de quelques secondes â deux minutes environ,
se inaperçue et que la malade parait être passée sans transition de l' état normal à l'état second (1). Dans ce cas, les pe
que la malade parait être passée sans transition de l'état normal à l' état second (1). Dans ce cas, les personnes qui sont
plus vive ; elle cause et rit avec plus d'animation. Très docile à l' état normal, elle devient, en état second, volontaire
avec plus d'animation. Très docile à l'état normal, elle devient, en état second, volontaire et capricieuse. Elle s'occupe
ond, volontaire et capricieuse. Elle s'occupe de préférence, dans cet état , à des ouvrages de broderie ou de couture minutie
nière faculté est surtout manifeste. Le souvenir de faits oubliés à l' état normal se réveille et se présente à son esprit av
enfance et dont elle ne sait plus le premier mot une fois revenue â l' état normal. Pendant l'attaque de somnambulisme, la
a description, nous désignerons, comme l'ont fait certains Auteurs, l' état de somnambulisme sous le nom d'état second, par o
me l'ont fait certains Auteurs, l'état de somnambulisme sous le nom d' état second, par opposition à l'état prime ou normal.
l'état de somnambulisme sous le nom d'état second, par opposition à l' état prime ou normal. venir de tout ce qui s'est pas
l'état prime ou normal. venir de tout ce qui s'est passé pendant l' état normal et les attaques de somnambulisme précédent
tes. Quelquefois cependant la malade paraît avoir oublié, pendant l' état second, les faits qui ont immédiatement précédé l
'état second, les faits qui ont immédiatement précédé le début de cet état . C'est ainsi, qu'étant entrée un jour en somnambu
e souvenant plus qu'on avait auparavant servi le dîner. Revenue à l' état normal, la malade a complètement oublié tout ce q
ériode de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubliés pendant l' état normal. Comme nous l'avons dit plus haut, la ma
somnambulisme chaque soir entre six et sept heures et reste dans cet état toute la soirée. C'est en état second qu'elle se
e six et sept heures et reste dans cet état toute la soirée. C'est en état second qu'elle se couche et s'endort, non sans av
sommeil. En effet, au moment où la malade va s'endormir et dans cette état indéterminé qui sépare la veille du sommeil, elle
r trouver un peu de repos. Notre malade se réveille le lendemain en état normal pour recommencer au bout d'un moment, par
place pour d'autres manifestations. Il n'en est rien cependant et les états périodiques, ne dispensent point la malade d'autr
de, isolément ou par séries, sans périodicité bien marquée, pendant l' état normal ou l'état second. Presque toujours, quand
par séries, sans périodicité bien marquée, pendant l'état normal ou l' état second. Presque toujours, quand l'attaque convuls
nd. Presque toujours, quand l'attaque convulsive se produit pendant l' état normal, la malade ne tarde pas à entrer en état s
se produit pendant l'état normal, la malade ne tarde pas à entrer en état second et ce dernier se prolonge parfois fort lon
de délire qui suit, la malade voit des chats, (qui sont pour elle à l' état ordinaire l'objet d'une répugnance invincible), s
tous les phénomènes de l'asphyxie. Si elle n'est pas retirée de cette état , l'asphyxie complète parait imminente. Une excita
son entourage n'avaient rien trouvé de mieux, pour la retirer de cet état , que de lui appliquer un fer rouge sur la peau. A
sous l'influence des excitations, autant que peut le lui permettre l' état de son système musculaire. C'est donc la contract
prime abord, faire croire à l'existence de l'anesthésie. Quant à l' état des sens spéciaux, nous avons vu aussi, dans la d
'avons jamais pu cependant constater d'une façon bien nette, dans cet état , l'existence de l'hyperexcitabilité neuro-muscula
us, observé jusqu'ici Notre malade, comme celle d'Azam, présente un état second qui se distingue de l'état normal par des
de, comme celle d'Azam, présente un état second qui se distingue de l' état normal par des modifications de la personnalité a
a mémoire ; qui s'en distingue surtout par l'oubli complet, pendant l' état normal, de tout ce qui s'est passé pendant cet ét
omplet, pendant l'état normal, de tout ce qui s'est passé pendant cet état second. On peut dire que, par suite du retour p
état second. On peut dire que, par suite du retour périodique de l' état second, notre malade vit de deux vies distinctes
ée en deux individualités différentes. On pourrait même ajouter que l' état second est en somme, de ces deux vies, la plus ag
la plus agréable pour la malade et la plus complète, puisque dans cet état elle a conservé le souvenir de son existence tout
onservé le souvenir de son existence toute entière, tandis que dans l' état normal, toutes les périodes d'état second en sont
e toute entière, tandis que dans l'état normal, toutes les périodes d' état second en sont complètement effacées. Nous ne f
édico-légal, de pareilles Situations pathologiques. Il y a, entre cet état spontané et le somnambulisme provoqué par l'hypno
tiques. Notre malade réalise donc spontanément les trois principaux états du grand hypnotisme, décrits par l'école de la Sa
t dans sa chambre les yeux ouverts ; elle cause et s'occupe comme à l' état normal, mais elle ne voit ni n'entend les personn
in reconquis sur la névrose. En somme et malgré la persistance de l' état local, la situation de cette malade est au point
le, si un traitement approprié, rendu aujourd'hui possible par le bon état général, vient modifier heureusement la situation
les troubles digestifs qui se sont déclarés deux, trois ans après cet état psychique qui persistait depuis en tonnant comme
cune affection. Depuis ce mariage cl surtout depuis sa grossesse, son état mental s'est singulièrement aggravé. Actuelleme
inspirée analogue à celle qu'on trouve chez certaines hystériques en état d'extase. Ses yeux excavés expriment une profonde
sthésie. Troubles digestifs consécutifs très probablement dus à son état lypé-maniaque et à la grossesse. Les poumons ci l
e monde » La seconde lettre qu'elle a écrite sous l'impression de l' état maladif de son pére qui soutire d'une affection c
e la façon la plus normale. OPÉRATION CHIRURGICALE PRATIQUÉE DANS L' ÉTAT D'HYPNOTISME Par le Dr Edward WOOD (de Minnéapo
nt se faire avec une grande facilite, parce que le patient, encore en état cataleptique, pouvait se tourner, se lever, s'ass
de subir. Cependant le malade resta complètement insensible, dans, l' état d'hypnotisation pendant toute la durée de l'opéra
le réserver pour des sujets » compromis par l'hystérie, la folie, l' état vicieux ou dégénéré. » Nous sommes avec ces hom
ré-hypnotisant le sujet et en lui faisant divulguer le secret dans l' état de somnambulisme. Toutefois un critique, dans l
r son spectacle. un dompteur a eu l'idée de placer une jeune fille en état de sommeil hypnotique dans la cage où évoluaient
ggestions qui leur sont agréables. Une femme ne se laissera violer en état de somnambulisme que si elle veut bien ne pas rés
oi! » Je crois que la suggestion peut réaliser sur certains sujets un état psychique semblable, une impulsion instinctive av
ue l'hypnose existe sans sommeil, que la suggestion peut se faire à l' état de veille, que certaines personnes sont normaleme
perdu la conscience, et que, pendant toute Il durée de cette sorte d' état de condition seconde, — qui peut se prolonger pen
ence des périodes de condition seconde. Ainsi, Emile X..., dans son état normal, ignore ce qu'il a fait pendant les périod
ation, mais n'émet aucun son. Pas d'anesthésie. _. » Elle passe à l' état de catalepsie par l'ouverture des paupières. Le r
ucune conversation n'est possible et n'a jamais été possible dans cet état . Réveil en souillant sur les paupières. » 20 se
mnambulisme par pression sur le vertex. .» 35 septembre. — Hypnose en état de somnambulisme, par pression des globes oculair
eut conscience, cette enfant dont la conception avait eu lieu dans l' état d'inconscience. Nos dispositions furent prises
ur cet enfant que le colporteur avait réussi à faire concevoir dans l' état d'inconscience. Une surprise, puisque cet enfan
e, porte à l'exagération et à la simulation. Elle entraine souvent un état mental particulier, qui porte la malade à faire o
le de mon histoire. RECUEIL DE FAITS Réveil d'une mélancolique en état léthargique. La femme Drouilhou... habitant un
onnaissant la nature hystérique de sa malade. Le 3 décembre 1889. l' état s'aggravant de plus en plus, M. Boutiron conseill
des sur l'hypnotisme. Celte femme aurait pu rester longtemps dans son état léthargique et peut être ne pusse réveiller. Dr
e l'étal post-hypnotique. Il a réussi à obtenir que la malade vint en état post-hypnotique dans une société médicale pour y
post-hypnotique dans une société médicale pour y être présentée. Son état avait beaucoup d'analogie avec le somnambulisme n
rafft-Ebing explique ce lait intéres-sant pazu auto-hypnose. Dans cet état , ta volonté la spontanéité et la perception clair
nt le rêve. Quelque fois même la malade tombait spontanément dans l' état de l'auto-hypnose; cela se produisait par la vue
avail. M. Krafft-Ebing admet l'existence chez cette malade de trois états mentaux distincts. (« Bewusslscinzusände ») 1 l'é
malade de trois états mentaux distincts. (« Bewusslscinzusände ») 1 l' état normal 2° l'état produit par l'hypnose expériment
tats mentaux distincts. (« Bewusslscinzusände ») 1 l'état normal 2° l' état produit par l'hypnose expérimentale 3° l'état pro
») 1 l'état normal 2° l'état produit par l'hypnose expérimentale 3° l' état produit par l'autohypnose. La malade a un étal me
produit par l'autohypnose. La malade a un étal mental triple, chaque état reposant sur un mécanisme particulier des système
nt sur un mécanisme particulier des systèmes nerveux. Ces cercles des états mentaux ne se superposent jamais, chaque état men
rveux. Ces cercles des états mentaux ne se superposent jamais, chaque état mental ayant sa mémoire particulière. - K. E. a
tal ayant sa mémoire particulière. - K. E. a réussi de tranformer l' état 1 en état il par la vue des objets brillants, par
sa mémoire particulière. - K. E. a réussi de tranformer l'état 1 en état il par la vue des objets brillants, par la compre
des objets brillants, par la compression des globes oculaires etc. L' état III était produit par la suggestion dans l'étal :
r l'auto-hypnose. Par les mêmes moyens qui reussisent à transformer l' état 1 en 11, on peut transformer l'étal 111 en 11.
alade regarde dans un livre et en tricotant il se produit chez elle l' état de l'auto-hypnose. Elle ne réagit pas par les d
aires sans que la malade les en empêche. M. Kralfl-Ebing transforme l' état 11 en état 1. La malade est tout à fait étonnée,
que la malade les en empêche. M. Kralfl-Ebing transforme l'état 11 en état 1. La malade est tout à fait étonnée, elle ne sai
malade à fixer une montre brillante. Immédiatement elle passe dans l' état 11 et alors il observe desphénomènes caractéristi
ors il observe desphénomènes caractéristiques de la continuation de l' état mental 111 dans lequel elle était la veille. El
court. M, Krafft-Ebing la réveille. D'après M. Kralfl-Ebing, dans l' état 1, les fonctions psychiques sont normales, le suj
rmales, le sujet n'est malade à aucun point de vue. Elle est dans cet état une personne très honorable. Dans l'élat 11 les
perleclîon admirable. La personnalité 11 ressemble tout-à-fait à l' état du somnambulisme et est provoquée par des idées d
u somnambulisme et est provoquée par des idées de rêve, pendant que l' état 11 est produit par l'hypnose expérimentale. La
l'hypnose expérimentale. La spontanéité manque complètement dans l' état II, la malade est devenue un automate : « l'homme
'inhibition des actes psychiques est beaucoup moins développée dans l' état ni. Il y a la une variété spéciale : l'auto-hypno
e. L'aspect extérieur du malade ne révêlait aucune anomalie quand à l' état soma-tique. Il était très légèrement atteint de n
utre âge. Le penchant au suicide s'observe le plus souvent dans les états de dépression mentale qui sont fréquents chez le
çoit d'autant mieux que l'homme avancé en âge réagit moins contre les états de douleur mentale. Son moi est plus faible et la
avec l'aie- ¦ 1', le dégénéré avec ses irois grands caractères : son état mental, ses impulsions, sa propension A délirer p
outume d'observer chez les buveurs non tarés. Après avoir analyse l' état mental dus buveurs, des buveurs conscients et inc
sition, mais elle met surtout en relief les caractères habituels de l' état mental, qui n'est, en somme, psychologiquement pa
int. un chapitre est consacre aux raprorts de l'alcoolisme avec les états con-vulsifs. Pour l'auteur, l'épilepsie alcooliqu
Nils Posse. Co.. New York. GIGEOT (P.) : Le sommeil provoqué et les états analogues, (Revue gén, de clin.et de thérap, 16
orme convulsive avec aptitude à l'hypnotisme et aux suggestions à l' état de veille. Arch. de méd. et pharm. mil,, I. XI, p
ile et conséquemment pratique. Je veux parler de la suggestion dans l' état hypnotique, et c'est à cette méthode de traitemen
r, vous penserez à ce qui a été fait ce malin. » Les hystériques en état d'hypnotisme, ont une conscience du temps que je
'esprit. —Je la sais très suggestible, hypnotisable, hallucinable à l' état de veille. Je vais faire sur elle une expérience
s que cette folie amoureuse suggestive n'existait qu'à la faveur d'un état de conscience nouveau que son ascendant provoquai
vivre à son déshonneur, c'est le sens moral survivant dans son nouvel état de conscience comme une suggestion ancienne, héré
le indestructible qui pouvait être dominée, mais non éteinte dans son état somnambulique. Mais la suggestion possède son êtr
lle facilité chez certains sujets se constitue spontanément ce second état , qui n'est autre chose qu'un état de somnambulism
se constitue spontanément ce second état, qui n'est autre chose qu'un état de somnambulisme ou de vie somnambulique. Ce qui
une veille somnambulique : la conscience existe : mais c'est un autre état de conscience dans lequel les facultés de raison
z la somnambule Hélida, si bien étudiée par le docteur Azam. Dans son état normal, le caractère est sérieux, triste. Félida
normal, le caractère est sérieux, triste. Félida se préoccupe de son état maladif : la parole est rare, les sentiments affe
ui n'est pas en rapport avec le mal dont elle souffre. Dans le second état , le caractère est vif, gai, enjoué : la physionom
ts affectifs sont surexcités : la volonté est moins arrêtée. Dans cet état Félida se laisse séduire par un homme qui l'a épo
et sans tristesse, tandis que quelque temps après, se trouvant dans l' état de condition première, elle éprouve, quand on lui
teur X. devint l'amant de madame de B. pendant, bien entendu, le seul état somnambulique. Dans son état normal, elle n'ava
e de B. pendant, bien entendu, le seul état somnambulique. Dans son état normal, elle n'avait souvenir de rien. Devenue en
alogues. joue. Puis quand subitement, par une sorte de changement d' état , il revient à sa condition première, il ignore ab
targuant d'une qualité imaginaire. Tous ces souvenirs, effacés dans l' état normal, redevenaient conscients dans l'état de so
souvenirs, effacés dans l'état normal, redevenaient conscients dans l' état de somnambulisme provoqué. Ces états variables
redevenaient conscients dans l'état de somnambulisme provoqué. Ces états variables de conscience sont peut-être plus fréqu
commet des actes repréhensibles. Cela dure un certain temps : puis l' état normal reparait. C'est un vicieux par intermitten
toutes les maladies mentales à répétition ne sont en réalité que des états de conscience modifiée. Les degrés extrêmes seule
attribuons à l'humeur capricieuse des sujets ce qui peut être dû à un état maladif de la conscience. Vous avez vu avec que
'est étrangère, a compris ce sujet avec sa sagacité habi-tuelle : « L' état spontané d'automatisme et de dédoublement de la c
s trois ans deux sujets, un jeune homme et une femme, chez lesquels l' état de conscience varie avec une rapidité vraiment in
sit, le regarde avec complaisance, etc. On le ramène dans son premier état , en lui touchant le front. Il voit le ver et s'en
qu'avec un peu d'entraînement. je suis parvenu à la taire passer d'un état dans l'autre successivement un nombre indéterminé
nnalité conserve nettement son indépendance et malgré le changement d' état ne perd pas le fil de la conversation : tout se s
criminelles peuvent-elles naître ou être provoquées a la faveur de l' état de conscience modifiée ? Cela ne me parait pas do
un phénomène physiologique, et si elle peut exister en dehors de tout état de nervosisme, préparant le terrain, n'a pas enco
ininterrompue de phénomènes reliés entre eux par un lien commun : l' état de dégénérescence des sujets. Cette thèse trouve
, aussi bien de la suggestion posthypnotique que de la suggestion à l' état de veille. Nul doute que les sujets les plus sugg
les simples névropathes. Mais, en ce qui concerne les suggestions à l' état de veille, l'école de Nancy reprend toute son aut
s, en un mot tous les prédisposés du système nerveux, les dégénérés à état mental faible sont plus aptes que tous autres à s
ujet observé, émotivité qui est un des caractères fondamentaux de son état mental. Ainsi donc, émotivité du sujet trouvant s
et qui le font rentrer mieux encore dans le cadre des dégénérés. Ces états de souffrance, parfaitement conscients, ont surto
il s'acharnerait après lui et qu'il lui ferait toujours du mal. Cet état dura quelques mois; l'anxiété devînt peu a peu mo
mélancolique, L... était tour a tour conscient et inconscient de son état , parfois franchement mélancolique, d'autrefois pe
d'autrefois persécuté, affectant l'attitude en rapport avee ces deux états bien différents. Son délire fut surtout remarqu
sé. Au mois d'octobre 1888 peu à peu. en quelques jours, on vit son état se modifier sans cause intercurrente notable. T
'ailleurs, qui se mani-festat mieux alors au dehors grâce à ce nouvel état d'érethisne cérébro-spinal n'était en réalité que
'érethisne cérébro-spinal n'était en réalité que l'exagération de son état habituel, une poussée aiguë succédant d'un état s
l'exagération de son état habituel, une poussée aiguë succédant d'un état subaigu. L... assiste maintenant pendant le jou
a que je voulais te faire, c'est cela que je voulais te dire. * Cet état se prolonge pen tant une huitaine de jours avec l
.. n'est plus angoissé. ni hallucine. mais, encore inconscient de son état , il ne croit pas avoir été l'objet d'hallucinatio
s'accentue de jour en jour. L... redevient peu à peu conscient de son état , travaille d'une façon suivie, et apprécie a leur
considérer comme guéri de son accès mélancolique, mus il a repris son état émotif d'autrefos; son équilibre mental est toujo
ouche, il le dénature et le marque au coin de son étal mental. Dans l' état émotif de notre malade réside ici la seule cause
le mise au service d'une émotivité qui est la base immanquable de son état mental. Notre malade réagit à la façon d'un mél
la disparition non moins rapide, reliées entre elles par une série d' états de conscience qui ne diffèrent que bien peu de l'
ar une série d'états de conscience qui ne diffèrent que bien peu de l' état habituel du malade. Notons encore les particula
tre, le plus souvent, plutôt une série d'illusions, de cauchemars à l' état de veille, qu'une véritable hallucination ; elle
11 est figé dans cette sorte de réprésentation mentale qui reste à l' état de représentation mentale. Comme la conscience es
ces représentations s'incorporent à son délire, au lieu de rester à l' état de conceptions imaginaires, et c'est ainsi que le
ainsi : 1° Jeune âge du sujet; 2° Cause première résidant dans l' état mental du sujet, témoin de la tare héréditaire do
e qui le fera reconnaître, et dont on trouvera l'explication dans son état mental originel. ENCORE L'INTERDICTION DES REPR
e, el on la fait en-« core servir à la démonstration des fameux trois états . » A la page 66 (et non pas 99, comme l'imprime
u point de vue psychologique et clinique. III. De la suggestion a l' état de veille et dans l'état d'hypnose.—De l'auto-
que et clinique. III. De la suggestion a l'état de veille et dans l' état d'hypnose.—De l'auto- suggestion et de l'automa
s fabriques, que la presque totalité des ouvrières semblaient dans un état perpétuel d'ébriété. On lessur-veilla et l'on fut
tua ; un autre passant fut également tué : une dame qui était dans un état intérressant a eu la jambe cassée d'un coup de fu
a plu à l'expérimentateur de tracer de sa main. Indépendant de tout état organique appréciable, étranger à la diathèse art
ctime. S'il voit l'infortuné plongé dans la misère. Gémir sur ton état avec douleur amère, S'il l'aperçoit épris d'un
, lombaires, et de vomissements à répétition fréquente. Tel était l' état de cette malade au moment où nous constatâmes pou
es des facultés intellectuelles et affections qui appartiennent à cet état , et réalisait l'hypnotisme dans toute son intensi
présente à nous, le bras droit allongé le long du corps, non pas à l' état de paralysie flasque, mais avec une certaine rigi
(excepté de l'ouïe qui le laisse en rapport exclusivement avec moi), état cataleptoïde des membres. La démonstration était
était d'autant plus grande que la concentration de mon malade dans l' état hypnotique devenait de plus en plus exclusive sur
adie dans la nécessité de quitter le service. M. F..., commandant d' état major, âgé de 40 ans. marié, pére de trois enfant
légers troubles dyspepsiques. Jusqu'à ce qu'il eut été attaché à l' état major d'un corps d'armée, il se livrait à un cert
mois de mai 1889, il présente les manifestations les plus graves de l' état névropathique. Sa nutrition est profondément alté
r. En un mot il présente au plus haut degré les maniféstations de l' état nerveux chronique que presque tous les neuropatho
'hui pour désigner sous le nom de neutrasthénie. Ce qui donne à son état un certain caractère de gravité, c'est que le mal
En moins de deux minutes, il tombe dans un sommeil profond. Dans cet état , il présente les phénomènes habituels d'automatis
t aussi par disparaître complètement. En moins de trois semaines, l' état général de M. F... était complètement modifié. So
ait déjà augmenté d'une façon très appréciable. L'amélioration de l' état mental avait marché parallèlement avec celle de l
lioration de l'état mental avait marché parallèlement avec celle de l' état physique. Les dernières suggestions furent cons
mates permanents, présentent la série des accidents variés: attaques, état de mal, etc. constituant la pathologie de l'hysté
lus, l'élude de la courbe des excréta urinaires, pendant la durée des états de mal. montre qu'au début il y a chute des éléme
ires. puis plateau, et relèvement quelques jours avant la sortie de l' état du mal. Ce sont là des phénomènes dus a l'hystéri
'étude de 1a courbe des excréta permet donc de prédire le retour de l' état normal. Quelque soit l'état de mal observé, le
a permet donc de prédire le retour de l'état normal. Quelque soit l' état de mal observé, le poids des sujets diminue journ
ilepsie vraie et d'epilepsie partielle symptomatique. de même que les états de mal correspondants, se jugent par une élévatio
le des principes constitutifs de l'urine. L'attaque d'hystérie et les états de mal, quelque forme qu'ils revêtent. se jugent
s avons pu, chez deux sujets, établir chimiquement la cœxistence, à l' état isolé, de l'attaque d'hystérie et de l'accès d'ép
iences que nous avons entreprises sur des hystériques plongées dans l' état hypnotique que. pendant les périodes de léthargie
squ'à se confondre avec ceux que nous avons notés dans l'attaque et l' état de mal hystériques, de même d'ailleurs que, clini
se des suggestions, de la volonté des sujets. Nous ajouterons que l' état dit second observé chez deux malades ne donne, au
ion peut développer et développe souvent une hystérie jusqu'alors a l' état latent. « Or, l'hystérie — que nous savons reco
is nous montre l'influence toute puissante de la suggestion, même à l' état de veille; il nous rappelle ses observations et c
nt constatés par les médecins de Nancy. La condition seconde et les états analogues sont également magistralement étudiés.
s suggestions d'actes et distingue en outre la condition seconde de l' état hypnotique ordinaire. Les suggestions à l'état
ndition seconde de l'état hypnotique ordinaire. Les suggestions à l' état de veille constituent également un important chap
u sommeil hypnotique quelque chose d'analogue au sommeil naturel. Les états de rêves analogues ne sont pas pour nous des preu
somnambulisme provoqué sont consciencieusement étudiés. de même que l' état intermédiaire entre la veille et le sommeil ordin
t le sommeil ordinaire et les crimes qui peuvent être commis dans cet état intermédiaire Tout le monde connait d'ailleurs l'
des crimes ont été commis par les somnambules ou par des personnes en état de condition seconde; ce qui l'amène à étudier la
ondition seconde; ce qui l'amène à étudier la responsabilité dans les états hypnotiques. II rappelle a ce sujet les divergenc
comme la pierre qui tombe. Pour lui, les somnambules et les sujets en état de condition seconde ou de somnambulisme provoqué
e lui refuseront pas leur concours, puisqu'ils se seront ainsi mis en état de le lui prêter utilement, qu'ils seront aptes à
onné communication à la société de médecine légale d'un rapport sur l' état mental d'un employé d'une cran de administration
ré par le séjour de l'asile, reviendrait probablement assez vite à un état cérébral normal m isp^tute. Dès lors, a-t-ildlt.
t qu'on a pu, après cette longue immersion, la rappeler à la vie. Son état n'inspire aucune nquiétude. Interdiction de l'h
rsuade être un parfum délicieux? Cette suggestion s'exerce même à l' état de veille. J'ai soigné pendant quelque temps un
es psychologiques. » Et lui même raconte comment, par le seul jeu des états de conscience, il a pu faire disparaître des cris
lus simples. C'est une psychologie complète de l'hypnose, et même des états analogues. Elle ne laisse en dehors de ses recher
m par MM. Despine, Charcot. Binet, etc. se rencontrent aussi dans des états qui n'ont rien de commun avec celui-là. C'est don
de réveil soit impropre) et la renaissance du souvenir quand le même état pathologique se reproduit. Le somnambule possède
et la base de toutes les complications ultérieures présentées par les états hypnotiques plus complexes. — Le phénomène en lui
nt aussi bien les images que les perceptions correspondantes (2). A l' état normal, le sujet serait donc incapable de faire n
ment; a qu'elle depend de la persistance et de la liaison de certains états de conscience ; 3° qu'ele est une ap-plication de
ons reçues par un certain centre se présentent à nous sous la forme d' états de conscience qualitativement différents les uns
pulsions instinctives, en tendances inexplicables par le seul jeu des états qui sont conscients pour celle-ci. D'où vient c
ui-même; c'est une seconde personnalité formée par l'organisation des états de conscience que son premier moi n'avait pas la
pas un rôle prépondérant dans sa formation? Peut-être en principe les états de conscience désagrégés restent-ils isolés et ne
rmission (1). Les médiums sont intéressants à ce point de vue : leurs états de conscience désagrégés, ne vont point reformer
à unifier son moi d'une manière très normale en disant, pour rendre l' état particulier qu'il éprouvait : « Je réponds, mais
tout l'air de se moquer. — El enfin, dans un moi normal le nombre des états de conscience perdus est toujours considérable pa
éorie classique, qu'il y a malgré l'apparente antinomie des mots, des états de conscience inconscients: c'est-à-dire une infi
le physiologique: il n'y a rien là d'obscur ni de mystérieux : - un état inconscient est seulement un processus cérébral a
n realité ne rien expliquer, que de ramener au mécanisme cérébral les états inconscients : cela est d'un autre ordre. Mais l'
cients : cela est d'un autre ordre. Mais l'erreur vient des mots. Ces états sont inconscients pour celui qui parle et s'analy
pas moins une conscience qu'ils peuvent manifester: ce sont bien des états psychiques. Il n'y a pas de phénomène cérébral pu
t que le résultat d'un consensus et d'une organisation entre tous les états de conscience élémentaires dont il se compose, et
é d'un moi parfaitement centralise ; l'autre analyse au contraire les états pathologiques les plus complexes de l'esprit huma
nse pouvoir resteindre mon rôle à vous offrir un résumé succinct de l' état présent de la question en appuyant sur les points
régnante en science hypnologique à une cause première. Notamment les états divers auxquels on accorde le nom d'hypnose sont
tout ce qui s'est pissé. Cependant cette personne aura été dûment en état d'hypnose. Elle s'est trouvée dans un état de con
ersonne aura été dûment en état d'hypnose. Elle s'est trouvée dans un état de conscience autre, duquel on a pu la faire sort
on a pu la faire sortir par suggestion. La différence entre les deux états , n'est presque pas appréciable pour un tiers non
uggestion. Comparez a celle-ci une malade de la Salpêtrière, dans l' état de léthargie et voyez la différence énorme : supp
n ne puisse tomber d'accord du moment qu'on accorde le même nom â ces états si différents et qu'on parle de l'origine et des
rès Meynert. dans la dernière édition de son manuel. C'est dans cet état dliystéro hypnose qu'on peut observer et produire
ant une valeur réelle pour la science psycho-physiologique. Les trois états de Charcot, l'hyperexcitabilité névro-musculaire,
Janét (3) qu'on peut à loisir feire entrer dans deux, même dans trois états de conscience différents — qui possèdent ainsi un
ble de l'hypnose en général. Puisqu'cntin dans la grande majorité des états d'hypnose, ils ne se présentant pas. Aussi la pro
e qu'on ait plutôt le droit à qualifier d'hypnose vraie et normale un état qu'on puisse susciter chez 80 0/0 des individus e
'hypnose sans qu'il y ait sommeil ou une modification quelconque de l' état de conscience du moment que la suggestibilité est
nose—pour ce qui est de la valeur de l'application thérapeutique de l' état hypnotique — doit être différent de celui d'une a
on de l'hypnose —qu'on ne peut provoquer qu'exceptionnellement : d'un état qui produit des perturbations psychiques si grave
n Suède: Wetterstrand etc..etc. Comme un signe caractéristique de l' état présent de d'histoire de l'hypnotisme, nous tenon
ve de Charcot, médecin de la Salpètriere, quoique admettant les trois états classiques de Charcot. préconise la suggestion 'h
ins profond avec ou sans amnésie complète ou partielle au réveil — un état qui ne se distingue du sommeil normal qu'en tant
l'hypnotismee.Paris. 1890. (3) Gilles de Tourette L'hypnotisme et les états analogues 1887. (4)P. Regnard. Les maladies épi
n plus à accepter les images imposées; bientôt on peut se passer de l' état de sommeil et le sujet est devenu plus sug-gestib
mmeil et le sujet est devenu plus sug-gestible qu'auparavant même à l' état de veille. Cet état de choses doit paraître un
Il me semble cependant peu avantageux de transférer de la sorte a l' état de veille, une imperfection du dynamisme psychiqu
'état de veille, une imperfection du dynamisme psychique existant à l' état normal pendant le sommeil seulement. On crée ains
s reprouvable en effet de provoquer ou de favoriser chez celles-ci un état permanent dans lequel leur dynamisme psychique es
ez elle, je la trouvai en proie à un de ses accès de furie — dans cet état elle vociférait, promulgant des injures pendant d
l'hypnotisme. Nous réussîmes au contraire, parfaitement à guérir l' état de lypémanie, d'hyperalgie psychique consécutif o
ons intellectuelles, émotives et impulsives de Falret, les différents états anxieux : la claustro-l'agoraphobic, l'onomatoman
eux : la claustro-l'agoraphobic, l'onomatomanie, la coprolalie et les états correspondants comme favorables a être traités pa
ouvent ces malades, mêmes quand on ne réussit qu'à les mettre dans un état de somnolence, bénéficient la suggestion. La peur
nom de spirites, simulent le sommeil hypnotique et donnent, dans cet état , des consultations médicales. L'an dernier déjà
s par Charcot : ni hyperexcitabilité neuro-musculaire, m passage d'un état dans un autre ; pas d'automatisme ; au réveil il
, de la relation avec le monde extérieur, de la transition aux divers états , comme sans valeur aucune. Mais, comme l'ont fait
hypnotisme (les) 188. Cabrielle Bompart (opinion des médecins sur l' état mental de) 227, 266. Genèse des idées délirante
stion dans le développement Opération chirurgicale pratiquée dans l' état d'hypnotisme, par E. Wood 246. Paralysie organi
e, 23 Réglementation de l'hypnotisme, 82. Responsabilité dans les états hypnotiques, par Liégeois, 184 Réveil d'une mél
s états hypnotiques, par Liégeois, 184 Réveil d'une mélancolique en état léthargique, par P. B , 277. Rôle de la suggest
9 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
RAPEUTIQUE LES LOIS DE L'IMITATION(l) Le Somnambulisme Social L' état social, comme l'état hypnotique, n'est qu'une for
DE L'IMITATION(l) Le Somnambulisme Social L'état social, comme l' état hypnotique, n'est qu'une forme du rêve, un rêve d
uple en catalepsie! La torpeur, on le sait, n'est qu'apparente dans l' état somnambulique : elle masque une surexcitation ext
ais un rural débarqué à Paris, sont frappés de stupeur comparable à l' état cataleptique. Leur attention, à force de s'attach
enue toute paralysée, dépourvue de toute spontanéité propre. Dans cet état singulier d'attention exclusive et forte, d'imagi
lus en plus, son esprit, je le répète, se fait somnambule. C'est là l' état mental propre à beaucoup de citadins. Le mouvemen
r reconquérir son impulsion propre. On m accor-dera peut-être que cet état singulier, par lequel nous avons tous plus oui mo
ous avons tous plus oui moins passé à un certain âge. présente avec l' état somnambulique les plus grands rapports. Mais, qua
récède le sommeil profond où le somnambule parle et se meut. C'est un état social naissant, qui se produit toutes les fois q
de Nancy. J'ai maintes fois dit et écrit : Rien ne se passe dans l' état hypnotique qui ne se passe à l'état de veille. La
t écrit : Rien ne se passe dans l'état hypnotique qui ne se passe à l' état de veille. La suggestion sans hypnotisme peut se
r les deux dans la même catégorie : deux femmes très-suggestibles à l' état de veille et n'ayant pas le ses moral nécessaire
er ainsi des faux témoins de bonne foi. (1) De la suggestion dans l' état hypnotique et dans l'état de veille, Paris 1884 R
de bonne foi. (1) De la suggestion dans l'état hypnotique et dans l' état de veille, Paris 1884 Revue Médicale de l'Est 188
l'obligea â s'arrêter. Après quelques heures de ????? elle reprit son état habituel, mais à partir de ce moment, elle accuse
e durée plus longue qui va jusqu'à 5 heures. A partir de ce moment, l' état général périclite:. la fièvre est permanente, la
ce extrême et la régularité de cette res-piration hachée indiquait un état spasmodique, nerveux. J'essayai d'arrêter la cr
'associait à ce silence solennel. L'intelligence restait normale. Cet état de cécité et de surdité, avec respiration précipi
t ce qui suit : « Je crois pouvoir me tenir pour guéri, puisque mon état est resté essentiellement le même depuis que j'ai
que j'ai quitté votre traitement. Bienque les souvenirs de mon ancien état me reviennent de temps à autre, ce ne sont que de
nt physique dans ce mariage. Ma conviction n'a pas changé pendant mon état de fiancé, qui dure depuis huit mois. J'ai le des
chose. Les images de fantaisie à sujets sexuels qui m'obsédaient à l' état de veille aussi bien que dans mes rêves, sont ext
ouhait parviendront à faire absolument disparaître les résidus de mon état antérieur, qui. du reste, ne me gênent plus guère
yage de noces, je me permets de vous envoyer un court rapport sur mon état actuel. La semaine qui précédait mes noces, je me
hute me paraît tout-à-fait impossible; ce qui distingue peut-être mon état actuel, c'est qu'en effet j'ai rêvé la nuit derni
iques purement intellectuels » et « le traitement moral du malade à l' état de veille - ne servent à rien. Mais le résultat t
et se réveillaient â la moindre émotion; elles se terminaient par un état syncopal qui n'allait pas jusqu'à la perte de con
la perte de connaissance. Pleurs et rires sans motif et sans que l' état émotif put être régularisé par la volonté. Ces
nviron, ces crises gastriques disparaissent et sont remplacées par un état nauséeux et angoissant qui se termine par des vom
gastriques, sont, depuis leur disparition, redevenues normales. Cet état se prolonge jusqu'au mois de janvier 1889 avec ex
nté de la malade lui paraît assez rétablie pour qu'elle se marie. L' état satisfaisant se maintint pendant deux mois après
fut obtenu rapidement par la fixation du regard, mais aucun des trois états décrits par l'école de la Salpétrière ne fut atte
au réveil, la malade reste en communication avec le monde extérieur: état intermédiaire entre le premier et le second degré
x ou trois questions; après quoi elle se rendormait. A part cela, son état ne présentait rien d anormal. Vers la fin de la s
doptées par le Congrès dans son assemblée générale du 19 juin: !• L' état d'ivresse considéré èn lui-même ne saurait consti
vidus manifestement Ivres; 4° En cas d'infraction pénale commise en état d'ivresse: A. L'état d'ivresse non complète ne
es; 4° En cas d'infraction pénale commise en état d'ivresse: A. L' état d'ivresse non complète ne peut en aucun cas exclu
té; comme circonstance ayant influence sur la mesure de la peine, cet état ne peut être défini par le législateur, ni comme
n influence sur celte mesure dépend de chaque cas particulier; B. L' état d'ivresse non complète exclut la responsabilité e
cas des actions libeœ in causa, quand l'auteur s'enivre sachant qu'en état d'ébriété. ii doit ou peut commettre une infracti
ofondément notre droit actuel, les buts suivants : a) Mettre hors d' état de nuire, et cela préventivement, les natures cri
toujours, selon lui, être arrêtées par la simplesuggestion. Pendant l' état d'inconscience apparente de la crise, la conscien
é, j'arrive en général, sans les endormir, par simple suggestion, à l' état de veille, en concentrant leur attention pendant
vement médical, et en déduire quelques considérationsd'ensemble sur l' état mental des régicides, pouvant intéressera la fois
era fournie par une expérience d'hypnotisme. Mettez un sujet dans l' état de somnambulisme, les yeux ouverts, présentez-lui
Oui, je le répète et le maintiens, l'amour morbide est un véritable état (1) Extrait du livre qui va paraître prochainem
une volonté inégale, et l'on voit ces individus mobiles arriver â cet état contradictoire : mobilité et idées fixes. Ce sont
arition l'emporte sur tout le reste de l'activité cérébrale. Dans cet état , l'idée fixe se répète sous forme d'obse sion. qu
e angoisse concomitante si pénible, de cette conscience complète de l' état , et enfin ds cette satisfaction consécutive à l'a
belles espérances. Mais c'est un héréditaire, et il a déjà révélé son état mental par quel- ques excentricités qui n'ont été
uelques excès de travail pour passer des examens ou des concours, son état de déséquilibration a rapidement augmenté. Le voi
lupart des auteurs qui ont écrit sur la dipsomanie ne voient dans cet état qu'une des nombreuses manifestations de la folie
n à boire le phénomène est analogue. Il a son point de départ dans un état de dégénérescence mentale et il consiste essentie
ge avec succès une industrie importante. Jusqu'à ces derniers temps l' état de sa santé avait toujours été satisiaisant. Il
re, personne ne veut être en reste de politesse avec ses voisins. L' état physique et mental de M. X----s'est tellement mod
Huit mois après sa guérison. il se croyait autorisé par son excellent état de santé à atténuer un peu la rigueur du régime d
conscience légale, on le séquestre, on le place dans un asile. Là son état s'améliore. il semble guéri, mais c'est un malade
de la désharmonie et de l'instabilité morale qui forment la base des états de dégénérescence héréditaire. Le délire ambitieu
base des états de dégénérescence héréditaire. Le délire ambitieux, l' état hypochondriaque lui fournissent une serie de fait
-jiques et des signes somatiques qui. dit-on. caractérisent ces trois états . Il a dit que l'hypnose n'était pas spéciale
ent aveugle et automatique entre les mains de celui qui la mis dans l' état hypnotique. Il a ainsi ouvert au coté médico-léga
DAnS L'ÉTAT HYPNOTIQUE (1) Par le docteur L. STEMBO, de Wilna. L' état d'excitabilité des nerfs et des muscles sert, com
s muscles sert, comme on le sait, a h distinction somatique des trois états du grand hypnotisme décrits par Charcot. D'aprè
onnaire au moins en présence des excitations mécaniques, enfin dans l' état somnambulique elle est exaltée dans des proportio
de Charcot et de l'école de la Sapètrière tient-elle réellement à un état spécial des nerfs et des mus-cles ou n'est-elle q
és ne m'ont pas donné entre l'excitabilité j pendant l'hypnose et à l' état de veille une différence plus grande que celle qu
constater plus loin comment se comporte l'excitabilité-électrique à l' état normal et pendant les périodes de léthirgie, de c
s sensiblement plus excitables pendant le « grand hypnotisme » qu'à l' état de veille. par le Dr Journée. LE DÉVELOPPEMEN
s ; cependant le Danemark et la Suède seuls ont dressé, à propos de l' état de santé des enfants, des écoles, des statistique
tébrale. Il est à remarquer que, pour les jeunes filles suédoises, l' état de santé, qui s'aggrave avant la puberté et au co
les trois premières classes des écoles secondaires, n'étaient pas en état d'en suivre les cours. les-quels sont cependant a
En effet, quelques jours après, M. M.... était déjà rentré dans son état normal. Au bout de dix jours de traitement par la
tement par la suggestion. Dés la première séance, elle est plongée en état de somnambulisme et ne se souvient de rien au rév
sieurs reprises â la clinique. Sons l'influence des suggestions son état nerveux et son état mental se sont promptement am
clinique. Sons l'influence des suggestions son état nerveux et son état mental se sont promptement améliorés. Elle a eu
enrayer le développement de l'accès. 15 juin 1890. — Actullement l' état de la malade est aussi satifaisant que possible.
y a en réalité que des manifestations variées et très nombreuses d'un état névropa thique spécial, parfaitement déterminé, q
évropa thique spécial, parfaitement déterminé, qu'on pourrait appeler état épileptique. Les récentes découvertes de M. Cha
ire, mises en jeu par des causes diverses, mais relevant' toutes d'un état névropathique particulier, habituellement hérédit
ment, le milieu dans lequel il se produit : il peut se manifester à l' état aigu, ou chronique, être partiel c'est à dire lim
formes et qui en font une seule et même manifestation épisodique de l' état somatique et névropathique particulier qui produi
odique de l'état somatique et névropathique particulier qui produit l' état épileptique. H y a toujours en effet à la base
s que le syndrome épileptique] surgit ; la cause des causes, c'est un état névropathique transmis par l'hérédité. Pour êtr
ie n'est pas rare, contrairement à l'opinion de quelques auteurs. L' état névropathique sans lequel il n'y a pas d'état épi
e quelques auteurs. L'état névropathique sans lequel il n'y a pas d' état épileptique possible peut d'ailleurs être acquis
tigation de tous les carac-téres qui peuvent déceler l'imminence de l' état épileptique. C'est ainsi qu'il a constaté chez la
qu'avec peine, faire encore quelques pas, puis s'affaisse et tombe en état de paraplégie complète. Pendant qu'il exécute u
nt, céphalalgie, syn-cope, que viennent dès le lendemain renforcer un état saburral avec fiévré et tout le cortège des sympt
chie qui les tient croisés sur la poitrine. Soudain, disparition de l' état de contracture, plus lentement toutefois du côte
ésordres qui accompagnent la dite sclérose ne s'est produit), ni à un état tétanique, puisqu'on n'a relevé ni opisthotonos,
xamen. Les développements auxquels elle se prête ne sauraient en tout état de cause trouve; place ici. Bornons-nous à dire q
ions (certainement très superficielles), qu'un trouble cérèbral et un état psychique anormal. L'hypnotisme est-il un procé
répétitions peuvent causer des troubles nerveux; 3° L'hypnose est un état morbide ; 4° Cest une véritable névrose comprenan
se est un état morbide ; 4° Cest une véritable névrose comprenant les états léthargique, cataleptique et somnambulique. et s'
onise chez un certain nombre de malades l'emploi de la suggestion à l' état de veille. Chez un patient doué d'une certaine do
e de traitement doit être appliqué lorsqu'un peut espérer modifier un état anormal. Le Dr J.-E. Eddisom constate que depui
e délire chronique. Facile à distinguer du délire hypocondriaque, des états mélancoliques et ces délires hallucinatoires aigu
dort peu, est enclin à la tristesse et se plaint de palpitations. Cet état dure de un mois et demi à trois mois. 2° Premie
issaud). Dans certains cas, l'astasie-abasie ne se présente pas i l' état de pureté, et les malades peuvent offrir divers s
ire différencié. Sur l'excitabililé des nerfs et des muscles dans l' état hypnotique, par le docteur Stemho (de Wilna). — (
la puberté ;7° les démences des maladies aiguèes, fièvre typhoïde et états puerpé raux auxquels il joint la misère, le surme
ès mal de tête, quoique caissière. Les auteurs font ressortir que l' état puerpéral n'a été que l'occasion de développement
se suicider pour échapper à cette idée fixe. M, Boucher rapproche cet état particulier des différentes tares observées cher
rophobie, la dipsomanie, la kleptomanie, la bèlénophobie, etc., etc., états bien mis en relief par M. Magnan. (A suivre).
qui n'ont pas reçu d'autre traitement que la suggestion faite dans l' état d'hypnotisme. Ces malades peuvent être divisés
et qu'elle soit incapable d'amener une transformation com-plète de l' état général du système nerveux, dans la majorité des
rsqu'elle fut hypnotisée. Dés la première séance, elle fut plongée en état de somnambulisme, avec amnésie au réveil. Dans ce
ut plongée en état de somnambulisme, avec amnésie au réveil. Dans cet état , par des suggestions répétées on la stimula à par
imprimer aux jambes des mouvements de flexion et d'extension, dans l' état d'hypno-tisme. A la quatrième séance, nous la fai
es suffirent pour le rétablir complètement. Et. en même temps que son état physique, ses aptitudes intellectuelles, un insta
pal effet d'abréger la durée de la maladie, d'empêcher le passage à l' état chronique, de diminuer les chances de récidive et
inuer les chances de récidive et de modifier dans un sens favorable l' état du choréique. Paralysie agitante. — (Maladie de
paru pendant une année à la suite du traitement par lasuggestion. Son état mental et son aspect physique se sont aussi très
séances ont amené dispari-tion complète des attaques et le retour à l' état intellectuel antérieur.I Dans celle dernière ob
d'urine. Nous avons noté aussi l'amélioration de la mémoire, et de l' état mental. Enfin. chez dix autres, les résultats ont
alades traités par la sug- gestion, environ cinq ou six autres dont l' état nous a paru trop grave pour que l'emploi de la su
é ave beaucoup de persévérance, améliorer dans une certaine mesure, l' état général et l'état mental du malade. Asphyxie lo
persévérance, améliorer dans une certaine mesure, l'état général et l' état mental du malade. Asphyxie locale. — Plusieurs
d'affections chroniques du système nerveux peuvent être déjà dans un état de guérison anatomique sans être guéris physiolog
s contractures hystériques et désespérée de se voir, par suite de son état maladif, incapable de subvenir à ses besons, a ét
omissant à tous les carrefours. Des paysans la rencontrèrent dans cet état et, après lui avoir donné quelques soins, la rame
, elle avala un flacon de 30 gr. de laudanum. Elle est tombée dans un état de prostration qui a inquiété sa propriétaire. Tr
stion, il est bien certain que la fascination décrite par Luys est un état de sommeil artificiel d'ordre suggestif obtenu pa
harité : tout comme l'hyperexcitabilité neuro-musculaire et les trois états hypnotiques furent pendant quelque temps une spéc
emble autant que possible au sommeil normal, qu'il évite de créer des états psycho pat niques étrangers et qu'il ait soin de
à la sensation du bien-être procuré par l'ivresse et a prétendu que l' état du malade est aggravé par le traitement. Les soi-
ce congrès sur la valeur thérapeutique de la suggestion faite dans l' état d'hypnotisme. Contrairement à l'opinion de M. le
hystéro-épilep-tiques que j'si hypnotisés lorsqu'ils n'étaient pas en état d'excitation avant l'hypnose et surtout lorsqu'il
constaté l'arrêt des tremblements de la paralysie agitante pendant l' état de sommeil hypnotique- _ Je regrette que E. Bér
de huit à vingt jours, la nutrition s'effectuait mieux que pendant l' état de veille. Cette conclusion est absolument contra
urette et Cathelineau, l'hypnotisme ne saurait êre considéré comme un état pathologique. On peut conclure en disant : 1°
as troublée dans le sommeil hvpnotique ; 2° L'hypnotisme n'es: pas un état pathologique : 3° L'hypnotisme est un moyen thé
e, à l'entrée. un examen plus complet rigoureux et plus détaillé de l' état mental de chaque détenu, prolonger pour les doute
es quérir, et qu'il ait par cela mis les médecins de tous les pays en état d'en tirer avantage et d'en acquérir de la renomm
e psycholigique et légal. Annales méd-psych. 1853 T, IV p.363, 5 De l' état de facultés dans les délires partiels ou monomani
ta, en Mars 1868. a la Société médico-psychologique de Berlin sur Iun état psychopathique peu connu ", démontrent clairement
obsession, selon Westphal, c'est qu'elle n'est jamais produite par un état émotif ou passionnel. C'est un trouble originel
n apparaît pour la première fois chez un malade, il peut être dans un état de tranquilité parfaite, d'indifférence. sans tra
la mélancolie, l'hypocondrie, l'épilepsie. S'il existe d'emblée un état émotif avec l'obsession, cet état n'estjH en rapp
pilepsie. S'il existe d'emblée un état émotif avec l'obsession, cet état n'estjH en rapport intime avec elle, c'est simple
e. Il considère la folie du doute et ses congénères comme une sorte d' état intermédiaire entre les névroses et les psychoses
hvsiq'ues, décrit par Morel. Ils représentent les aspects variés de l' état mental des héréditaires et de la dégénérescence.
e crises mentales dont le malade donne la description suivante. - Cet état mental consiste en mauvaises pensées dont je suis
pendant deux mois en 1886, mais malgré cela elle était dans un triste état . Pendant l'automne de 1887, les vomissements aque
s en temps aussi de douleurs nerveuses. A la fin de février 1888. son état s'améliora un peu. elle Se passa de morphine pend
aitement jusqu'au bout et il v eut récidive. Je trouvai M. B. dans un état complet d'abattement, poids plat et mince, le fac
i. L'espoir de guérison des morphinomanes est en raison directe de l' état de faiblesse dans lequel le malade se trouve au c
raux, de là une hyper-hémie assagère, a bquello il faut attribuer cet état moral d'anesthesie et d'excitation qui caractéris
::; et .a figure animée. Elle est allée se faire une piqûre. 'Voilà l' état psvch ¡que des morphinomanes: c'est un état physi
aire une piqûre. 'Voilà l'état psvch ¡que des morphinomanes: c'est un état physiologique du à l'hyper hernie du cerveau. Un
impuissance absolue. Mab» lorsqu'il se réveille, il se trouve dans un état d'érection incomplète, d'érection molle, qui peut
nse son argent, on n'en saurait trop prendre pour son argent, a Ccl état , qui dure indéfiniment, sans être jamais complet,
ut plus la réveiller. Dans le sexe opposé, la morphine détermine un état analogue, une semi-anesthésie voluptueuse qui fai
qui s'est passe pendant le sommeil, si Ion peut déjà désigner ainsi l' état vague dans lequel elle est demeurée pendant 4 ou
mpliquée que le 31 décembre. Le 4 janvier 90 pendant qu'elle est en état suggestif, elle est absolument insensibilisée : à
ent, la patiente couchée en position horizontale, inconsciente de son état , prend à chaque contraction la plus commode et la
était point encore délivrée, elle ne se rend réellement compte de son état que lorsqu'on l'invite a se palper le ventre. Alo
ettons que les hystériques seules peuvent l'être de façon â tomber en état hypnotique, il est incontestable que la femme enc
hypnotique, il est incontestable que la femme enceinte étant dans un état hystérique passager, ce qui est "démontré par les
oux. Jamais je n'ai vu à la première séance un sujet être d'emblée en état complet d'insensib lité. Ce n'est que progressi
: 1.1 catalepsie n'est complète qu'après un entraînement prolongé ; l' état somnambulique lui même n'atteint toute son accuit
rès avoir indique l'action constante du eboréoptisme sur la femme à l' état de gestation et son innocuité, je veux m'applique
même, que des symptômes inquiétants se manitestent, la suggestion à l' état de veille suffira bien souvent pour les dissiper.
instantanément, d'autres fois dans l'espace de huit a dix minutes, un état de sommeil spécial et progressif qui diffère du s
ujets tombent en catalepsie avec anesthésie du tégument cutané. Cet état de sommeil engendré par l'excitatiou lumineuse es
la tète que Moïse et Aaron changeaient les serpents en bâtons. A l' état pathologique, l'aitaque de catalepsie a été obser
que c'est un Français dont on ignore le nom qui, le premier, étudia l' état d'extraordinaire immobilité obtenue chez les poul
trait de craie. Ce trait n'est donc pas nécessaire- Pour obtenir l' état hypnotique et le maintien de l'animal dans une po
ais il diffère de Czermack dans ieu- inierpretition. Pour Crermack, l' état hvpnotique csi voisin et proche pare;*. Ju sommei
s grenouilles, les pigeons, les poules. etc.. ont fait admettre que l' état hypnotique est un phénomène physiologique entière
cataplexie n est donc ni du somm-ii dans le sens propre du mot, m un état hypnotique. Dans un dernier chapitre, M. Jo'.y
i n'ont rien de commun avec le magnétisme, comme étant "seulement des états particuliers du système nerveux. CHRONIQUE ET C
mente dé volume. Il s'agissait donc d'une laussc grossesse^ d'un état ncne-ix spéciale hystérique, où la suggestion du
mesure, grâce à la crédivité inhé- rente à l'esprit humain. Mais à l' état normal, celle-ci est limitée, la cré- divité qui
le plus efficace est l'hypnotisme. Nous avons défini l'hypnose : un état psychique particulier, susceptible d'être provoqu
t-à-dire l'aptitude à être influencé par une idée et à la réaliser. L' état hypnotique n'est autre chose qu'un état de sugges
une idée et à la réaliser. L'état hypnotique n'est autre chose qu'un état de suggestibilité exaltée; nous avons vu que cet
tre chose qu'un état de suggestibilité exaltée; nous avons vu que cet état peut être produit avec ou sans sommeil. Nous av
mployés pour obtenir artificiellement cette suggestibilité exaltée ou état hypnotique et nous avons conclu que tous se rédui
us avons établi une classification schématique des divers degrés le l' état hypnotique, depuis l'engourdissement simple jusqu
is automate : la conscience est toujours présente, les souvenirs de l' état hypnotique peuvent toujours être réveillés: c'est
acultés d'imagination sur les facultés de raison engourdies, c'est un état physiologique tel qu'il existe normalement, sous
sprit humain, qu'elle n'est pas "dévolue aux névropathes seuls, que l' état hypnotique n'est pas un •Symptôme de l'hystérie.
ors de la perpétration de cet acte, privé de connaissance ou clans un état mental qui excluait le libre exercice de la volon
ulgue en 1878 : «Un acte n'est pas imputable à celui qui le commet en état d'inconscience ou dont les facultés intellectuell
s aient agi sous l'influence d'une suggestion étrangère, faite dans l' état d'hypnotisme, ces derniers déclarent que ces sugg
iminel. Dans le dernier chapitre de son livre Sur le sommeil et les états analogues, paru en :û66. il écrivait les lignes s
ences que je tentai sur une jeune fille très intelligente, cl qui, en état de sommeil profond, était la plus revéche et la p
utile d'en bien connaître: les frontières; A ce litre, l'etude des états voisins du sommeil morbide. qui peuvent objective
n, dont il est ici question est. au premier chef, la conséquence d'un état morbide. J'arrive immédiatement au fait. Le sam
ts faits dans ce sens étant restes sans résultat, on avait redouté un état grave et Ton s'était décidé â transporter le mala
rvice hospitalier. Lors du premier examen, nous trouvions G... dans l' état suivant : il était étendu au lit. le corps reposa
Il en était de même des membres. Il n'y avait donc ni contracture, ni état cataleptique des muscles. Toutefois. les masséter
t ensemble symptomatique ne permettait pas de s'arrêter à l'idée d'un état comateux consécutif à une lésion cérébrale (embol
les lambeaux de phrases que je viens de rapporter, peignent mieux son état mental que n'eût pu le faire une simple descripti
pèce, qu'un intérêt secondaire. Je tenais toutcfois à bien préciser l' état mental de G... Or. on peut caractériser cet état
is à bien préciser l'état mental de G... Or. on peut caractériser cet état de la façon suivante : G... est un débile intelle
ntrairement à ce qu'on eût pu supposer, à un examen superficiel, ni d' état comateux, ni d'état somnambulique, mais simplemen
on eût pu supposer, à un examen superficiel, ni d'état comateux, ni d' état somnambulique, mais simplement d'un sommeil simul
irations s'élevait de 24 à "S, et le pouls descendait de 72 à 58. Cet état persista peudant plusieurs mois, et i! durait enc
. Il s'agissait d'un jeune malade entré h Charenton, en 1868, dans un état de mélancolie profonde et qui, par l'aggravation
ces divers cas. c'est que. chez certains aliénés, on peut observer un état fort analogue au sommeil, mais qui n'a du sommeil
analogue au sommeil, mais qui n'a du sommeil que les apparences. Cel état , de durée fort variable, comme on l'a vu, peut pe
es d sommeil hystérique. LES VARIATIONS DE LA PERSONNALITÉ DANS LES ÉTATS HYPNOTIQUES Par le professeur A. Pitres, doye
se méprennent pas sur leur identité physique ct morale ; le moi de l' état de sommeil reconnaît pour sien le moi de l'état d
morale ; le moi de l'état de sommeil reconnaît pour sien le moi de l' état de veille : la personnalité n'est pas changée.
souvenir du passé aux impressions du présent est rompu ; le moi de l' état de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de
; le moi de l'état de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de l' état de veille; la notion de l'identité morale est alt
rsonnalité qui se produisent dans le sommeil hypnotique. .,u dans les états analogues, peuvent être rangés sous trois types s
rite, et quand on lui fait de la peine, cela m'attriste. » Dans cet état , elle reconnaissait toutes les personnes avec les
ennes : mais elle ne leur parlait pas avec la même familiarité qu'à l' état de veille. Elle ne tutoyait plus ses parents. Son
somme, elle conservait ses idées, ses penchants, ses sentiments de l' état de veille; sa personnalité seule était aliénée. U
onséquence. —Un pauvre apprenti se croyait, aussitôt qu'il tombait en état de sommeil, père de famille, riche, sénateur, et
u un general ne se contente pas, ainsi que le ferait une personne à l' état normal, ce concevoir idéalement le type dont on l
alement une physionomie spéciale,particulière à chacun des nouveaux états de conscience. En un mot, le geste du scripteur s
mois pendant lequel, de temps en temps, j'employai la suggestion à l' état de veille pour éloigner les symptômes qui alarmai
uand le malade croit avoir trompé le médecin et obtenu du fait de son état une atténuation de sa peine; ils se prolongent as
complicité. Ayant été plusieurs fois commis a l'effet d'examiner l' état mental de sujets avant survécu a un double suicid
l'on ne se trouve pas en présence d'un désarroi moral, d'un véritable état de mélancolie. J'en prendrai pour preuves deux ob
elles j'ai conclu à une irresponsabilité complète, en me basant sur l' état mental qui a accompagné la tentative de suicide.
ait antérieurement éprouvé de grands chagrins a la suite desquels son état moral s'était profondément troublé. Avant l'acte
ant lesquels elle éprouvait un entraînement invincible à boire. Cet état !a préparait à réagir plus vivement que d'autres
de réagir contre les duretés du sort, elle a versé peu à peu dans un état de mélancolie qui a fini par vicier son iugement.
des dégénérées et qu'elles sont victimes des lois de l'hérédité. Leur état est la conséquence ocs excès alcooliques, de la s
... l 1 0 36 Total de la 1re liste...... 634 francs Un vol dans l' état d'hypnotisme. Ou lit dans le Hirlap, de Pesth,
odifications très appréciables et caractérisant parfaitement les deux états quotidiens de veille et de sommeil. Si ces modula
hésiterait pas à révéler à un malade impressionnable la gravité de un état Société d'antropoligie.. — Le comité central de
p-ed. UV.-vr n* 5. 1S90. EOLARD : Aphonie guéri- p.' *ii2-e*t:oa J l' état lie veile. GiT/Ut -it h'-;.¦.'.::* ; U juillet
n de défense. Le rapport des experts, malgré leurs constatations de l' état d'hystérie, se termine par les conclusions suivan
et que cinquante, au moins, sont susceptibles d'être plongées dans l' état de somnambulisme. Pour elle, le fait d'être très
Pour Paris, l'hypnotisme est un eut pathologique; pour Nancy c'est un état psvchologique. Or, les experts concluent comme Na
quc, cette personne se rappellera toute son existence; mais, durant l' état de veille normal, clic ne se souviendra absolumen
nt alternativement. A la longue, il en résultera qu'elle aura, dans l' état de sommeil, des souvenirs, des idées, des sentime
des souvenirs, des idées, des sentiments qu'elle ne connaîtra pas à l' état de veille. Sa manière d'être sera différente dans
veille. Sa manière d'être sera différente dans l'un ou l'autre de ces états ; sa personnalité ne sera plus la même. La suppo
r; elle n'avait aucune idée délirante, aucune hallucination; mais son état intellectuel était modifié. Au lieu d'être sombre
gaie, souriante, causeuse, aimable, turbulente. Elle restait dans cet état pendant trois ou quatre heures, puis, tout à coup
rée. Dans la crise, au contraire, ou, comme l'appelle M. Azam, dans l' état de condition seconde, elle se souvenait de toute
es plus longues et plus fréquentes. Elles ont peu à peu empiété sur l' état normal, au point de l'envahir presque complètemen
es, elle-assista à ses funérailles et prit le deuil; mais revenue à l' état normal, il fallut qu'on lui expliquât pourquoi el
de : elle le soigna, l'éleva, s'attacha à lui. Quand elle repassa à l' état de condition première, et qu'elle aperçut l'anima
comble de prévenances et de bonnes paroles la femme que, dans Pautre état , elle accuse d'être la complice de son mari. En
me spontané. 11 est probable que sa condition première correspond à l' état normal, et que sa condition seconde est une forme
forme particulière de l'hypnose spontanée. Ce n'est pas assurément l' état hypnotique vulgaire. Ce serait plutôt un état ana
n'est pas assurément l'état hypnotique vulgaire. Ce serait plutôt un état analogue à celui dans lequel les sujets éveillés
s sujets éveillés accomplissent les suggestions qu'on leur a données, état que M. Liégeois, qui en a le premier étudié les s
ambulique (2). Il est caractérisé par les apparences extérieures de l' état de veille et par la perte du souvenir des actes a
es actes accomplis pendant sa durée. Il se rapproche certainement des états hypnotiques francs; mais il ne saurait être légit
es meilleures preuves qu'on en puisse donner, c'est que les sujets en état de veille somnambulique peuvent passer à l'état d
est que les sujets en état de veille somnambulique peuvent passer à l' état de sommeil hypnotique vulgaire quand on les soume
essant de savoir ce que donnerait lTiypnotisation pratiquée, dans les états de condition première et de condition seconde, su
leurs intervalles, et qu'une fois endormie, elle était dans un autre état que dans si condition première et dans sa conditi
le sommeil provoqué, elle présentait d'antres symptômes que dans les états alternants qui se succédaient chez elle par le se
é, dans laquelle le sommeil somnambulique vulgaire est remplacé par l' état de veille somnambulique. Des deux états qui se su
ue vulgaire est remplacé par l'état de veille somnambulique. Des deux états qui se succèdent alternativement chez ces malades
alternativement chez ces malades, l'un, la condition première, est l' état de veille normal; l'autre, la condition seconde,
re, est l'état de veille normal; l'autre, la condition seconde, est l' état de veille somnambulique. Cette interprétation n
de tout ce qui s'était passé pendant l'intervalle; en un mot. dans l' état atteint, elle ignorait l'état nouveau. Cest ainsi
pendant l'intervalle; en un mot. dans l'état atteint, elle ignorait l' état nouveau. Cest ainsi qu'elle nommait ses deux vies
e dame a présenté a peu prés périodiquement ces phénomènes. Dans un état ou dans l'autre, elle n'a pas plus souvenance de
n'en ont de leurs natures respectives; par exemple, dans là période d' état ancien, elle possède toutes les connaissances qu'
aissances qu'elle a acquises dans son enùncc et sa jeunesse; dans son état nota-eau, elle ne sait que ce qu'elle a appris de
son premier sommeil. Si une personne lui est présentée dans un de ces états , elle est obligée de l'étudier et de la connaître
n avoir 1a notion complète. Il en es: de même de toute chose. Dans un état ancien, elle a une très belle écriture, celle qu'
n'avait pas, comme la malade de M. Azam. une mémoire commune aut deux états et une mémoire propre a l'un deux. Les deux mémoi
eux mémoires étaient limitées chacune aux événements accomplis dans l' état correspondant; elles s'ignoraient réciproquement
rattachée à sa manière d'être ancienne par une série ininterrompue d' états intermédiaires qui se relient entre eux de façon
encontrent assez fréquemment chez les hypnotisés. Quelques sujets, en état de somnambulisme spontané ou provoqué, perdent co
ique par trois procédés différents : 1° En affirmant à la malade en état de sommeil hypnotique, qu'après son réveil elle a
qu'elles démontrent, dans une certaine mesure, la liaison intime d'un état physique déterminé avec un état mental concomitan
rtaine mesure, la liaison intime d'un état physique déterminé avec un état mental concomitant. Je vous ai déjà dit que, chez
choses. expliquer pourquoi le même individu n'est point toujours en état de suggestibilité; du reste, si la suggestion suf
meil somnambulique, elle est généralement impuissante pour amener les états profonds fi). La conception d'un agent physique s
ant sa pensée sur ce qu'il désin- et en se mettant, en même temps, en état de crédulité par l'un quelconque des procédés pro
at de crédulité par l'un quelconque des procédés propres a amener cet état , qui sont a sa disposition. — Inversement, il peu
et ù échéances diverses. Quelques sujets, sur rio're ordre, pendant l' état hypnotique, se sont tiré des coups de revolver, s
n avait été intimé. II est très intéressant, dans ce cas, d'étudier l' état de l'esprit dans lequel se trouve le sujet lorsqu
ant elle. L'action est ponctuellement exécutée par 1..... revenue à l' état do veille, et nous feignons d'emporter iisi cad
t faire commettre de faux témoignages, même par simple suggestion à l' état de veille, par des sujets très sensibles. Si no
\ent être provoquées, mais aussi naître spontanément à la faveur de l' état de conscience modifiée. Nous nous trouvons donc
ité avec laquelle un grand nombre de sujets se trouvaient mis dans un état d'automatisme absolu, nous n'avions pas été tenté
outes les contractures spéciales à ses différentes phases. - « Dans l' état de somnambulisme, il provoqua aussi, chez ce suje
quences qui en découlent au point de vue de la caractéristique d- son état névropathique. « Il résulte pour nous des faits
el la question de la suggestion criminelle est posée et l'examen de l' état mental de Gabriette Bompard magistralement traité
idus hypnotisés. Pour M. Charcot et ses élèves, l'hypnotisme est un état pathologique, ne se rencontrant pas en dehors de
erture des yeux chez l'individu endormi. On fait passer le sujet de l' état précédent dans l'état de léthargie par la simple
'individu endormi. On fait passer le sujet de l'état précédent dans l' état de léthargie par la simple occlusion des yeux. Da
de ce genre. Pour l'École de Nancy, enfin, l'hypnotisme n'est pas un état pathologique, mais s'observe aussi bien chez les
e à celte question. Ce n'est certainement pas à une différence dans l' état psychologique des sujets sur lesquels on opère, c
a parole ou les gestes de l'expérimentateur, agissant sur un sujet en état de somnambulisme, c'est-à-dire dans un état où le
agissant sur un sujet en état de somnambulisme, c'est-à-dire dans un état où les fonctions psychiques et sensorielles acqui
ans un état où les fonctions psychiques et sensorielles acquièrent un état d'hype recuite extraordinaire? Ce qui vient à l'a
caractères des trois périodes regardées comme caractéristiques de cet état ne sont guère nets en général dès le début, qu'on
portance, — actuellement surtout où l'on étudie la suggestibilité à l' état de veille, — que j'ai observé deux sujets n'ayant
sujets n'ayant jamais été hypnotisés, qui étaient suggestibles à l' état de veille à un degré aussi prononcé que peut le r
'autres termes, j'obtins chez eux le premier jour, par suggestion à l' état de veille, les mêmes résultats que j'obtins le le
négative. Pour moi, l'hypnotisme n'est pas une névrose spéciale ou un état ne se rencontrant que chez des hystériques ou des
. Enfin, elle ne croit pas que l'on puisse violer une femme pendant l' état somnambulique. si celle-ci n'est pas consentante.
de personnalité, de volonté et de liberté, les réduire en un mot à l' état d'automates, obéissant aveuglément et fatalement
est vrai, on peut obtenir les mêmes résultats, par la suggestion à l' état de veille. La démonstration du crime par sugges
ation de ce fait principalement à l'Ecole de Nancy. La suggestion à l' état de veille suffit dans bien des cas. et il est plu
ant un nervosisme à un autre et que le malade retombe bientôt dans un état pire que le précédent. Je publie ces nouvelles ob
séances qu'elle atteignit le second degré du sommeil hypnotique. Son état commença à s'améliorer presque immédiatement, et,
rès hypnotisable, à la troisième séance, il se trouva dans un profond état de somnambulisme. Je l'hypnotisai tous les jours
sement, après avoir été soumise à l'hypnotisation. Il me semble que l' état de sujets hvpno-tisés au moins deux fois par jour
il de fer de 8 toises de Ion- guenr et 3 lignes d'épaisseur, dans l' état où le livrent les fabricants. On le plaça sur le
es proportions, on ne comprenait guère comment il avait pu passer à l' état • d'événement sensationnel ¦. Eyraud, sorle d'a
vu Gabrielle Bompard venir d'elle-même se constituer prisonnière. Son état mental devait dés les premiers interogatoires, pa
laquelle MSI. Brouardel, Motel et Ballet étaient chargés d'examiner l' état mental de l'inculpée. Les savants experts se mi
e; c'est un étal physiologique et le sommeil provoqué ne diffère de l' état normal qu'en ce qu'il rend le sujet plus apte à r
i, en frappant un coup de gong à l'improviste : suggestion; pendant l' état léthargique, vous faites contracter les muscles d
nde satisfaction que de guérir par suggestion plusieurs sujets dout l' état est resté stationnai» (3) Fontan et Segard (Tou
ue M. Liégeois établit sans cesse pour soutenir ses théories avec les états spontanés (états seconds ou accès spontanés do so
ablit sans cesse pour soutenir ses théories avec les états spontanés ( états seconds ou accès spontanés do somnambulisme hytér
t absolument rien A. faire avec l'hypnotisme et la suggestion, et'les états provoqués, les seuls dout il devrait légitimement
« el je suis, dit-il, je crois le premier (4) qui s'en soit aperçu, l' état spécial dans lequel des crimes ont pu être commis
e M. Liégeois, dans gestion hypnotique, soit dans la suggestion à l' état de veille (1). » Gabrielle Bompard a été mise en
suggestion à l'état de veille (1). » Gabrielle Bompard a été mise en état second par Eyraud, c'est pourquoi elle ne se souv
i lui est si particulière, mais, puisque vous avez si bien étudié cet état , vous ne devez pas ignorer que c'est un véritable
colorés, s'échapper de la plupart des corps lorsqu'il est mis dans un état déterminé de l'hypnose qui a été désigné sous le
s dans un état déterminé de l'hypnose qui a été désigné sous le nom d' état de rapport (1). M. de Hochas rappelle que ces l
vue de l'Ecole de Nancy, le sujet ne présentait aucun caractère de l' état hypnotique. M. Delbœuf soutenait le contraire.
nérale. — De la catalepsie. — Théorie physiologique de l'épilepsie et état mental des épileptiques. — Troubles du langage et
atria e di medicina legale, t. VII, fasc. 3. 1890.) ?ender. — Sur l' état actuel de la question de rhypnotisme. (Med. Corr.
. Paris, 1890. BouarDEL, Mottet et Ballet (D"). — L'Affaire Gouffé, état mental de Gabrielle Bompard (Annales d'hygiène pu
196-206.) Osgood (H.). — Valeur thérapeutique de la suggestion à l' état hypnotique. (Med. suro. j. Boston, 1890, CXXII,
les conclusions sont : 1° Que l'hypnotisme est incontestablement un état pathologique provoqué; 2° Qu'aux points de vue
. Les résultats sont consignés dans les tableaux ci-joints. Pendant l' état de veille, nous n'avons pu nous procurer les urin
ingt-quatre heures. L'alimentation, qui n'a pas varié dans les deux états , se composait en moyenne de : bouillon. 25 centil
grammes. L'urine de la malade, aussi bien pendant le sommeil qu'à l' état de veille, était limpide, d'odeur nulle, d'une co
mais, néanmoins, loin de présenter une diminution sur la moyenne de l' état de veille de la malade, ils accusent, au contrair
ide phosphorique total. La seule différence à noter, c'est que, à l' état de veille, les phosphates terreux (chaux, magnési
cette malade, à savoir que la nutrition s'est mieux opérée pendant l' état de léthargie hypnotique qu'à l'état de veille, c'
tion s'est mieux opérée pendant l'état de léthargie hypnotique qu'à l' état de veille, c'est-à-dire à l'état normal. M h u
'état de léthargie hypnotique qu'à l'état de veille, c'est-à-dire à l' état normal. M h u -w a 3 ¦u S MM»! PHOSPHORIQUE S 8
es périodes menstruelles. En dehors de ces accès, elle recouvre son état physique normal et, chaque mois, elle va passer q
niaques, du sommeil hypnotique. Je fais durer le sommeil trois jours ( état léthargique). Les accès passés, la malade repre
pnotisée, elle était atteinte d'embarras gastrique, déterminé par son état de manie qui durait depuis trois jours. Aussi,
est. comme dans les deux autres analyses, en quantité supérieure à l' état de veille: Eut de veille. Sommeil. Volume....
de ces chiffres, c'est que la nutrition s'est mieux opérée pendant l' état de léthargie hypnotique que pendant l'état de vei
est mieux opérée pendant l'état de léthargie hypnotique que pendant l' état de veille; cette conclusion est absolument contra
heure ou huit heures. Si le sommeil hypnotique avait dû produire un état pathologique, c'eût été assurément bien autrement
pas troublée dans le sommeil hypnotique; 2* L'hypnotisme n'est pas un état pathologique; 3* L'hypnotisme est un moyen thérap
vaient qu'il est facile de faire commettre un vol par un sujet mis en état de somnambulisme, M. Mesnet acceptait donc la pos
ion du Dr Li^beaalt, qui considère que, chez l'individu plongé dans l' état de somnambulisme, la conscience, ce flambeau divi
s suggestions criminelles (1) : c D est possible, disait-il, dans l' état de somnambulisme provoqué, de suggérer des idées
un certain degré de similitude sociale entre les deux personnes. Si l' état ordinaire d'un homme n'est en rien semblable à l'
personnes. Si l'état ordinaire d'un homme n'est en rien semblable à l' état ordinaire de la moyenne de ses coassociés, il y a
rlier a soumis à mon examen. Il est, à mon avis, tres suggestible à l' état de veille et hypnotisable ; il ne simule pas ; il
tat de veille et hypnotisable ; il ne simule pas ; il se comporte, en état hypnotique, comme presque tous nos sujetse. « D
rte, en état hypnotique, comme presque tous nos sujetse. « Dans cet état , qui n'est qu'un état de seconde conscience, il m
e, comme presque tous nos sujetse. « Dans cet état, qui n'est qu'un état de seconde conscience, il m'a paru présenter une
efois par de l'anxiété qui le fait demander à être réveillé. Dans cet état , il se croit le pouvoir de diagnostiquer et de tr
de diagnostiquer et de traiter les maladies. Quand je lui ai dit, en état hypnotique, de renoncer a ses consultations et de
prend un a«pect comme extatique: Il s'exalte dans sa foi 1 C'est, à l' état hypnotique, un visionnaire, un fou (de bonne foi)
l' auto-suggestion d'une imagination délirante. 11 m'a dit, dans cet état , que son frère, je crois, l'a endormi pour la pre
estive, son mécanisme; Propriétés diverses du sommeil provoqué et des états analogues : in-8°, 308 pages. — Octave Doin. édit
quelques mois auparavant, de ??? Intention de Ut faire accoucher a l' état d'hypnotisme. Je crois bien qu'elle y comptait. M
t d'appui, et elle poussait quand la matrice entrait en action. Cet état persista jusque neuf heures moins le quart. La
nalé. Dans les quelques faits qui onl été rapportés d'accouchement en état hypnotique, on s'est borné à constater quelle éta
e prolonge pas trop, l'accoucheur ne s'en inquiète guère. Mais si cet état de repos continue, il excite directement la fibre
ployés dans les accouchements naturels. — Paris, 18». écrasa dans l' état hypnotique, en même temps que je lui annonçais qu
tes. La malade, ayant recules soins antiseptiques que nécessitait son état , je l'éveillai à onze heures en lui soufflant sur
forceps cl j'aurais pu ainsi déchirer le périnée. Tandis que, dans l' état d'hypnotisme, la malade resta parfaitement tranqu
sa respiration, sortait de son bec une Lohée visible. Plongée dans l' état de somnambulisme, Mrae Rueff voyait s'accroître b
érie normale — les excréta urinaires rapportées au poids étaient, à l' état de veille, indentiques a ce que l'on observe chez
tes avec inversion de la formule de ces derniers. La catalepsie est l' état où ces phénomènes sont le plus accentués. Ces rés
ons donc fondés à admettre comme conclusion : que l'hvpnotisme est un état pathologique, lorsque MM. A. Voisin et Harani, da
troublée dans le sommeil hypnotique; 2" que l'hypnotisme n'est pas un état pathologique». Désireux de vérifier nos investiga
, dans un service consacré au traitement de l'aliénation mentale. L' état , dit normal par M. A. Voisin, n'était donc — nous
al par M. A. Voisin, n'était donc — nous le saurons désormais — qu'un état mental fort troublé, et les recherches de'ilaircl
ta urinaircs sont loin d'être normaux dans ces conditions. Dans cet état dit normal, jamais tes urines ne purent être recu
que, dans les conditions où ont été faites les premières expériences ( état normal] de MM. Voisin et Harant. ce rapport des p
excrétée dans les vingt-quatre heures. Reste le fait que, pendant l' état somnambulîque, le résidu fixe, l'urée et les phos
u fixe, l'urée et les phosphates semblaient augmentés par rapport à l' état sain. Nous répondrons que, les urines n'ayant pu
ir qu'aux caractères tirés des excrétions urinaires, esl un véritable état pathologique. Depuis cet article, MM. A. Voisin
ables entre eux chez des sujets qui, comme les n" 2 et 3, donnent à l' état de veille les chiffres pathologiques de 10 gr. 30
, dont il n'y axait pas moyen de la faire sortir pour l'amener dans l' état aomnambulique, seule période, disaient-ils, dans
olsky. Suite et fin (1) VI. — accouchement isdolore. SUOOBSTfOX a l' état de veille C. R., 21 ans, Genevoise, première gr
me gémissait, criaii. L'enfant est né virant, la mère est en très bon état . Le lendemain, elle m'a dit que depuis mon arrivé
es auquel l'auteur a consacré un chapitre à part, par analogie avec l' état mental des hystériques. Ces phénomènes capitaux
Quant aux sigtuis objectifs, il faut avouer qu'ils sont encore à l' état embryonnaire ; mais c'est déjà un progrès qu'on d
s oreilles comme des termes équivalents. L'hypnose est une névrose; l' état hypnotique est une maladie artificielle. On suppr
gestive n'est, au fond, que de la persuasion facilitée par un certain état psychique qui existe naturellement chez quelques-
tive qu'on n'a pas su maintenir, parce que le sujet, suivant dans cet état de conscience nouveau l'hésitation de l'opérateur
tendent, en vertu de notre organisation, à reconstituer sans cesse l' état physiologique, quand rien ne s'y oppose. En conna
nifestations de la vie génitale peut de même être lèse par suite de l' état d'éréthisme de tel ou tel centre et dans l'espèce
nt dans ce groupe. . 3° Les spinaux cérébraux antérieurs. Comme à l' état normal, c'est une influence psychique, idée, sent
a établi l'existence de centres préposés aux fonctions sexuelles. A l' état normal, ces centres de l'érection et de l'éjacula
pant. éclatent les crises génitales en question qui sont suivies d'un état de dépression mélancolique et de troubles neurast
t amène une surexcitation très vive des organes génitaux, ainsi qu'un état d'énervement. La crise se montre souvent quand M™
ois au lit, n'ayant pas l'énergie suffisante pour s'habiller, dans un état de malaise qui dure tout le jour. Notons qu'elle
ique, qui, pour tous les auteurs, semble être la caractéristique de l' état hypnotique. Les conclusions de l'éminent profes
s énergique, suivant la nature de l'acte suggéré et surtout suivant l' état même du somnambule. Quand le sujet a été souvent
bservé un fait analogue sur MBÏ H. A... Il lui avait été suggéré (à l' état de veille) qu'elle irait prendre le porte-monnaie
sistance tout différent : Lorsque je lui faisais une suggestion à l' état de veille, il lui arriva plusieurs fois, soit que
antes au point de vue de la question obscure du somnambulisme et de l' état mental qu'on appelle la double personnalité. Pour
qu'on appelle la double personnalité. Pour bien faire comprendre cet état singulier, il est nécessaire d'entrer dans des dé
utieux. Voici une jeune fille qui se présente avec l'apparence d'un état absolument naturel, travaillant, parlant, réponda
ependant, il y a en elle deux personnalités séparées; elle est dans l' état qu'on a appelé condition seconde, état que pour l
ités séparées; elle est dans l'état qu'on a appelé condition seconde, état que pour la facilité de l'étude on peut appeler l
ition seconde, état que pour la facilité de l'étude on peut appeler l' état B pour l'opposer à l'état A qui est l'état nature
ur la facilité de l'étude on peut appeler l'état B pour l'opposer à l' état A qui est l'état naturel et qu'on peut faire repa
l'étude on peut appeler l'état B pour l'opposer à l'état A qui est l' état naturel et qu'on peut faire reparaître par certai
tificiels, ainsi qu'on le verra un peu plus tard. Cette malade dans l' état où elle est (état B) marche très bien, sans boite
u'on le verra un peu plus tard. Cette malade dans l'état où elle est ( état B) marche très bien, sans boiter; elle est hystér
elle a oublié son âge et ne sait plus où elle a été élevée. Dans cet état , elle est un peu engourdie; et bien qu'elle trava
riées qu'elle conserve indéfiniment. On la fait ensuite sortir de cet état cataleptique en lui soufflant sur les yeux. Elle
l de reproduire celte contracture. Les caractères psychiques de cet état B sont aussi exactement ceux que tl) Journal de
saisir dans le papier les moindres défauts qui lui échapperaient à l' état normal et qui font alors corps, en quelque sorte,
que se passera-t-il chez celte malade si on peut la faire passer à l' état A, c'est-à-dire à l'état normal, à l'état de cond
celte malade si on peut la faire passer à l'état A, c'est-à-dire à l' état normal, à l'état de condition première? Ce passag
on peut la faire passer à l'état A, c'est-à-dire à l'état normal, à l' état de condition première? Ce passage, qui dans quelq
attentivement. Le tableau est alors changé du tout au tout. Dans l' état A, la malade, qui tout à l'heure marchait parfait
ue. En revanche, elle a complètement oublié ce qui s'est passé dans l' état B. Lorsqu'on lui montre la personne à qui elle fa
e tout à l'heure, on ne fait que l'irriter. Cependant, chez elle, cet état A ne dure pas longtemps et, au bout d'un quart d'
ure à vingt minutes, elle a une tendance invincible à retomber dans l' état B qui parait lui être plus agréable et dont on ne
dont on ne la tire pas sans qu'elle proteste. Une fois revenue à cet état B, tous les phénomènes précédents se déroulent de
u, en même temps qu'elle oublie entièrement ce qui s'est passé dans l' état A. Telle est la double condition dans laquelle
ille généralement le matin dans l'étal A, mais, bientôt, passe dans l' état B, où elle reste toute la journée; lorque vient l
où elle reste toute la journée; lorque vient le soir elle repasse à l' état A avant de s'endormir. On voit qu'il s'en faut de
posée, car elle n'a nullement l'aspect d'une personne endormie. Les états de ce genre, si bizarres qu'ils soient, ne sont p
qu'on n'avait pas trouvé de procédé pour laire passer la malade de l' état B à l'état A; ce passage ne se faisait que sponta
ait pas trouvé de procédé pour laire passer la malade de l'état B à l' état A; ce passage ne se faisait que spontanément et à
à la Salpêtrière il y a dix ans et qui vit presque constamment dans l' état B depuis 1885. Dans cet état, elle présente une a
ns et qui vit presque constamment dans l'état B depuis 1885. Dans cet état , elle présente une anesthésie générale absolue, e
moins fortes et moins fréquentes qu'autrefois. Cette malade dans l' état B, son état maintenant habituel, ne sait son nom
s et moins fréquentes qu'autrefois. Cette malade dans l'état B, son état maintenant habituel, ne sait son nom que parce qu
passé depuis 1885. Elle a appris à lire, écrire et calculer dans son état B et c'est une jeune malade qui lui a servi d'ins
nne lui a appris, non sans difficulté, à faire du crochet. Dans cet état qui, comme chez la précédente malade, a tous les
Tels sont les principaux caractères présentés par celte malade dans l' état B. On arrive maintenant à la faire passer dans l'
e malade dans l'état B. On arrive maintenant à la faire passer dans l' état A par une sorte d'objurgation, et la transition s
tence; sa vie s'est arrêtée en 1885, moment où elle est passée dans l' état B. et elle donne alors tous les détails sur le li
pris dans l'étal B a disparu de son cerveau et elle est revenue à son état normal d'autrefois, l'état A, dans lequel elle ne
u de son cerveau et elle est revenue à son état normal d'autrefois, l' état A, dans lequel elle ne savait ni lire ni écrire.
Enfin, on ne peut pins produire ni catalepsie ni suggestion. Dans cet état À, cependant, il est bien remarquable que certain
u service un casque surmonté d'une plume rouge; or, aussi bien dans l' état A, que lorsqu'elle est revenue à l'étal B, celte
t si ridiculement accoutrée. Tout cela s'est fait instantanément. L' état A, d'ailleurs, ne dure pas longtemps chez elle et
chez elle et au bout d'un quart d'heure environ, elle repasse dan» l' état B à la suite d'une petite attaque d'une durée de
écédente malade, celle-ci résiste lorsqu'on veut la faire passer de l' état B à l'étal A ; elle parait se complaire dans la p
A ; elle parait se complaire dans la première de ces conditions. Cet état exceptionnel est devenu en quelque sorte normal c
à la suite d'une série d'attaques violentes qu'elle est passée dans l' état de condition seconde en 1885. Ce sont des cas ext
nnaissant la part de l'idée dans l'étiologie et la guérison de divers états morbides. Cabanis et beaucoup d'autres médecins a
de tout temps on avait reconnu la pari do l'âme, de l'esprit avec les états physiologique et pathologique du corps. Mais c'es
du professeur Bernheim sur la suggestion à l'eut de veille et dans l' état d'hypnose, oit, pour mieux dite, dans l'clat somn
a fait souffrir ses bienfaiteurs, nous nous sentons heureux d'être en état de réparer l'injustice dont un de ces bienfaiteur
puis qu'elle avait quitté l'établissement elle n'était plus tombée en état de somnambulisme. Ceci était certainement très pr
ue son dernier accouchement s'était accompli pendant qu'elle était en état de somnambulisme et qu'elle ne s'était pas du tou
était au monde. La femme Fay est complètement anesthésiée, tant en état de somnambulisme spontané qu'en état de somnabuli
omplètement anesthésiée, tant en état de somnambulisme spontané qu'en état de somnabulisme provoqué. Enfin, pendant sa pré
ommeil et le réveil eurent lieu comme auparavant. La femme Fay, à l' état de veille, ne s'est pas décidée à me demander de
l'état de veille, ne s'est pas décidée à me demander de la mettre en état de sommeil somnambuliquc; cela doit provenir de l
que vous m'avez posées par votre honorée du 10 courant, relatives à l' état mental de la femme Madeleine Fay, de Badenweuler
llement, de neuf heures à trois heures, en sommeil somnambulique; cet état remonte & sa quinzième année, mais dès son en
Une seule fois son mari la vit debout près de lui. A la suite de cet état particulier, elle fut souvent examinée et questio
visible,. u. 2^ Interrogée dans son sommeil sur la nature de son état , elle répond qu'elle est somnambule, qu'elle est
emment. Une fois, un pasteur de Bâle a essayé de la délivrer de son état de sommeil; ce fut en vain, il la surexcita au co
e cinq ou six malades fussent assis dans la salle) et était tombée en état de sommeil somnambulique. Les bras étaient en é
était tombée en état de sommeil somnambulique. Les bras étaient en état de contractions, les globes oculaires convulsés p
goriquement à la femme Fay (endormie), comme je l'avais déjà fait à l' état de veille, qu'il fallait que son sommeil m'appart
qu'on lui reproche ne compense pas pour elle le tort que lui fait son état nerveux. Elle se montre inquiète, et l'injuste ac
cide d'esprit et tout à lait bien portante; ce sommeil nerveux est un état de maladie et n'a jamais fait qu'être nuisible à
ables faits ne se produisent que lorsqu'elle se trouve dans le second état de lucidité. Le pasteur von Brum, à Bâle, s'est
t que les gens sont guéris par son traitement somuambulique, et qu'en état de sommeil soranambnlique elle voit à travers des
ne périodicité prolongée et par suite de l'amnésie totale qui, dans l' état de veille, domine l'état de somnambulisme, se son
et par suite de l'amnésie totale qui, dans l'état de veille, domine l' état de somnambulisme, se sont condensées en nn moi qu
a timidité, la modestie et la simplicité de la femme Fay examinée à l' état de veille. Que cette seconde personnalité, désign
pants, que toute personne, tant soit peu au courant de ces différents états , peut avec sûreté exclure toute idée de simulatio
e somnambule, et il est souvent guéri par l'action suggestive, ou son état en est amélioré subjectivement, si toutefois son
té avec laquelle je réussis, avec le consentement de la femme Fay à l' état de veille, à amener sa seconde personnalité sous
répondu à diverses questions qui lui ont été posées sans pouvoir, à l' état de veille, se rappeler les demandes et les répons
gestion. Ses facultés intellectuelles ne sont nullement troublées à l' état de veille. 3" Par contre, dans l'état de somnam
sont nullement troublées à l'état de veille. 3" Par contre, dans l' état de somnambulisme, les facultés intellectuelles de
, contenue dans le paragraphe 44 du code pénal zurichois, relatif à l' état de sommeil somnambulique, est absolument logique.
est absolument logique. En général, selon mon opinion, le véritable état somnambulique n'est pas susceptible d'une respons
is mois au lit, mais ne peut donner des renseignements précis sur son état d'alors. État actuel. — Constitution affaiblie.
ur quotidien de pareils accès la plonge dans le désespoir et amène un état neurasthénique : elle mange à peine, elle est inc
les et nerveuses, 254. Excitabilité de- nerfs et des muscles dans l' état hypnotique, par Stembo, 67. Femmes diplômées en
rceptions olfactives, par Henry Charles, 315. Personnalité dans les états hypnotiques (les variations de la), par A- Pitres
n de l') par A. Voisin. 257. Variations de la personnalité dans les états hypnotiques, par Pitres, 175. Vol dans létal d'
10 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
illes hallucinations puissent être déposées dans le cerveau pendant l' état hypnotique et persister à I état de veille, ceci,
e déposées dans le cerveau pendant l'état hypnotique et persister à I état de veille, ceci, aujourd'hui, est accepté par tou
gestibles peuvent, sans être hypnotisés, par simple affirmation, à l' état de veille, subir des hallucinations rétroactives.
connais qu'il est très hypnotisable, hallucinable, et suggestible à l' état de veille. En une séance, il est guéri par sugges
somnambulisme spontané. Il est très suggestible et hallucinable à l' état de veille et de sommeil. II est intelligent, sait
sez intelligent, il lit et écrit correctement. II est suggestible à l' état de veille et de sommeil. « Tu étais là, lui dis
ur V... et je trouvai en lui un excellent somnambule, suggestible à l' état de veille et de sommeil. Quelque temps après, l
une insuffisance mitrale, sans trouble nerveux, très suggestible à l' état de veille et de sommeil. Je l'interpelle à distan
te). On dirait que l'hallucination rétroactive créée est latente, à l' état normal, et ne se réveille que lorsque je l'évoque
ne véritable suggestion qui provoque l'hallucination en développant l' état de conscience spécial dans lequel le sujet la per
expériences sont hypnotisables (par notre procédé),; suggestibles à l' état de sommeil et de veille ; chez la plupart on peut
idées plus saines: elle refuse tout aliment et tombe bientôt dans un état de faiblesse extrême ; la fièvre s'allume, l'inso
cin de la famille, j'offris d'essayer d'endormir la malade et, dans l' état hypnotique, d'agir par suggestion sur ce cerveau
irecte, affirmant aux parents qui assistaient à la visite que, dans l' état où se trouvait la malade, elle était absolument i
re d'idées. On sait qu'elles étaient restées infructueuses. Grâce à l' état de sommeil dans lequel était plongée la malade, c
n jaune d'œuf. Ce léger repas terminé, je laissai Mme B... dans son état de sommeil et continuai à agir par suggestion
damnation éternelle ne reparurent plus, les scrupules religieux sur l' état de mariage disparurent complètement : la santé mo
erveuse d'origine alcoolique paraissant prédisposer a l'hypnotisme, l' état particulier du malade semblait devoir motiver un
ppelé et aux parents présents, j'annonçai une analgésie complète et l' état cataleptoïde du système musculaire. Une piqûre au
était la le moment critique, car il était impossible de méconnaître l' état de plus en plus précaire de la situation industri
La convalescence s'affermit donc et j'ai pu revoir M. D... en plein état de santé reprendre sa vie habituelle et la direct
loin ; ils supposent que la suggestibilité des sujets n'est point un état permanent et qui leur soit spécial; ils affirment
int un état permanent et qui leur soit spécial; ils affirment que cet état peut se développer chez un grand nombre de person
, il est vrai, aussi bien applicable aux uns qu'aux autres et, dans l' état rudimentaire de nos connaissances sur ce sujet dé
bservation tout à fait accidentelle. J'avais mis une jeune fille en état de somnambulisme, et, pendant que je réfléchissai
nt qui défait est le même que celui qui fait. Le sujet, étant dans un état détermine, juge inconsciemment qu'il doit en chan
pe dont la fable nous a laissé le modèle sous le nom do Ganyméde. Cet état anatomique est définitif. On a invoqué, pour
entré à l'hôpital, une amélioration sensible s'est produite dans son état . Cet exemple regrettable démontre les dangers d
déjouer les supercheries des morphinomanes, il eut l'idée d'étudier l' état du coeur et du pouls au moyen du sphygmographe. C
s, est relative aux diverses phases d'un accouchement pratiqué dans l' état de somnambulisme provoqué, chez une primipare.
tant de Karl Braun. à Vienne, chez une femme accouchée par lui dans l' état léthargique, le 7 novembre 1885 ; L'autre de Du
et des organes génitaux fait par le toucher et par le spéculum dans l' état d'hypnose, sans que la malade en ait jamais eu co
'état d'hypnose, sans que la malade en ait jamais eu connaissance à l' état de veille. Sortie de mon service en avril 1885,
telle chose, elle s'endormira... En quelques secondes, Alice est en état de somnambulisme : les paupières closes, les glob
les membres inertes en repos sur son lit, ou relevés et fixes dans 1 état cataleptoïde si bien décrit par Lasègue : elle se
ent momentanément toute communication de la malade avec le dehors ; l' état somnambulique étant le seul qu'il nous importe de
res closes, les globes oculaires convulsés en bas, les membres dans l' état cataleptoïde conservant les positions qu'on leur
partir de ce moment, souffrir autant que toute autre parturiente à l' état de veille, si nous mesurons l'intensité de la dou
t — fait important à noter— la malade n'est pas sortie un moment de l' état somnambulique dans lequel nous l'avions placée; l
une convulsion ne s'est montrée, aucune menace de transformation de l' état somnambulique en l'état léthargique n'est apparue
montrée, aucune menace de transformation de l'état somnambulique en l' état léthargique n'est apparue. A 4 heures, la tète
Immédiatement après l'accouchement, !a malade étant toujours dans l' état de somnambulisme, demande quel est le sexe de son
onvaincant peut-on trouver de la scission de la mémoire dans les deux états de veille et de sommeil ! ! La contre-épreuve f
troubles dynamiques, fonctionnels ou organiques qui caractérisent son état pathologique; tel est le but que je me suis propo
, avec les exagérations propres à sa constitution nerveuse. Mise en état de somnambulisme, et suggestionnée, elle cesse im
tions, mais qu'elle ne souffre pas... qu'elle se trouve bien dans cet état .' A partir de la dernière heure, pendant la pér
gestes. ses impatiences, aussi violentes que chez une parturiente à l' état de veille, bien que le sommeil n'ait point été in
re, tant de fois constatée chez elle, dans la comparaison de ses deux états de veille et de sommeil, de même que sa revivisce
e fille, et réciproquement, etc. DÉROULEMENT SPONTANÉ OU PROVOQUÉ D' ÉTATS SUCCESSIFS DE PERSONNALITÉ CHEZ UN HYSTÉRO-ÉPILEP
, soit par des agents mécaniques, soit par suggestion, à produire des états de personnalité divers et à démontrer qu'il exist
l existe « des relations précises, constantes et nécessaires, entre l' état somatique et l'état psychique, ou plus simplement
ions précises, constantes et nécessaires, entre l'état somatique et l' état psychique, ou plus simplement entre l'état physiq
ntre l'état somatique et l'état psychique, ou plus simplement entre l' état physique et l'étal mental, telles qu'il est impos
t dans la relation de MM. Bour-ru et Burot de la production d'un seul état de personnalité qu'on peut] faire varier à volont
oujours de lui-même à sa personnalité vraie, sans passer par d'autres états intermédiaires. Nous voudrions à notre tour déc
roduit soit spontanément, soit artificiellement chez notre malade des états de personnalité successifs de durée et de nombre
qué a la personnalité vraie. 1° Déroulements spontanés de plusieurs états de personnalité. Ces déroulements ont toujours
épilepsie. soit pendant la crise elle-même. C'est en effet dans cet état que nous observâmes pour la première fois chez V.
taque, mais encore pardes changements successifs de personnalité avec état somatique correspondant à la personnalité. Cest
ndant à la personnalité. Cest d'ailleurs en observant avec soin les états de paralysie ou de contracture des divers membres
du malade que nous avons pu découvrir, pendant cette même crise, les états de personnalité décrits par les auteurs précités
hypnotique. Pour éviter les répétitions, nous décrirons seulement l' état de V... dans une de ses grandes attaques, et cela
égique, sans contracture». V... reste cinq minutes dans une sorte d' état hallucinatoire, puis s'écrie qu'il ne veut pas al
val ; il apprend le métier de tailleur ; il est paraplégique (1er état de Bonneval). De nouveaux spasmes se succèdent
il a eu une paralysie de la jambe gauche; il parle de M. Camuset (2e état de Bonneval). Sa paralysie disparaît tout i cou
oup; il vient de s'évader; on le rattrape, il est très malheureux ,3e état de Bonneval.. Enfin, il va sortir de Bonneval. Il
a mère, la voit. Il est alors pris de crises nouvelles, revient a l' état de Luysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet
s, revient a l'état de Luysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet état , il se plaint de sa mère. Il ira à Mâcon: il mont
ntre le médecin, M. Lacuire ; il a mal à la jambe droite, qui est à l' état de paralysie flasque (1er état de l'asile de Bour
l a mal à la jambe droite, qui est à l'état de paralysie flasque (1er état de l'asile de Bourg). Quelques minutes après, d
ns le service de M. Lacuire avec lequel il a de vives discussions (2e état de Bourg). La paralysie gauche disparaît peu à
ontre M. Besançon, interne du service de M. Voisin (il est à Bicêtre, état de Bicêtre). Un transfert s'effectue et V..., q
V..., qui est toujours à Bicêtre, devient paralysé du côté droit (2e état de Bicêtre). Cette paralysie s'évanouit, mais a
Lafond, après une grande crise, V... reste pendant un jour et demi en état d'hémiplégie droite. Il est à Rochefort. Une autr
s tendons, provoque telle contracture systématique correspondant à un état déterminé. Ainsi, pressant les tendons des jambes
lle a duré; en un mot, tout est semblable à ce qui a été décrit au 4° état : paraplégie, état de Bonneval. » Par un procéd
ot, tout est semblable à ce qui a été décrit au 4° état : paraplégie, état de Bonneval. » Par un procédé analogue, M. Mabi
tendons rotuliens. produit la contrac-ture des deux jambes et amené l' état dit de Bonneval. nous nous attendions, comme d'ha
al. nous nous attendions, comme d'habitude, à voir V... revenir à son état de conscience; normal, quand nous observâmes ce q
isparut, et V... se réveilla paralysé de la jambe. Il est à Bourg (2e état de Bourg). Il nous donne les renseignements corre
état de Bourg). Il nous donne les renseignements correspondants à cet état de personnalité, état décrit trop souvent pour qu
s donne les renseignements correspondants à cet état de personnalité, état décrit trop souvent pour que nous en donnions une
ie droite. V... se trouve à Bicêtre, dans le service de M. Voisin (2e état de Bicêtre). Au lieu de revenir, à son réveil, a
ralysie ni anesthésie; il est à Saint-Urbain. Après avoir passé par l' état de Rochefort (hémiplégie et hémi-anesthesie droit
de la vipère. Mais cette zone n'existe que dans un certain nombre d' états de personnalité du malade, comme aussi il n'est p
distinctes de sa vie. Or, il est toujours facile, V... étant en ,l' état de grande crise, après avoir comprimé la zone hys
on du testicule. Immédiatement alors, on peut faire passer V... i l' état de somnambulisme par la pression des yeux, l'ouve
que lorsque V... se déroute, telle paralysie motrice correspond à tel état de personnalité avec ou sans conservation de la z
ables. L'attaque est, chez notre sujet, comme la manifestation d'un état morbide pendant lequel, par suite d'une révivisce
anie est une sorte de monomanie d'ivresse et qu'il est des cas où cet état est l'effet du trouble accidentel de la sensibili
amène de la dépression morale. Le dipsomane arrive fatalement à un état de débilité mentale qui frise la démence, à m
ndent. L'imposition des mains, qui provoquait chez certains sujets un état où ils étaient susceptibles de re- (1) Les Forc
has s'occupe spécialement des phases intermédiaires et surtout de cet état qu'on a peine à dénommer et que les auteurs appel
out de cet état qu'on a peine à dénommer et que les auteurs appellent état intermédiaire, fascination, charme, mais qu'il ap
appellent état intermédiaire, fascination, charme, mais qu'il appelle état de crédulité. Les procédés pour produire l'hypnos
hypnotisé par ce seul fait qu'il a consenti à se trouver placé dans l' état d'inconscience Í Graves questions dont l'ensemb
endant l'hypnose. Si l'acte n'est pas en conformité parfaite avec l' état moral qui est habituel au sujet, sa sanction péna
ns possibles auront été mis en œuvre pour reconnaître la réalité de l' état hypnotique, et les manifestations évidentes de la
otisé, quelle doit-elle être chez l'enfant, déjà très suggestible à l' état de veille ? Le récit de nombreux exemples d'hab
séance, suffisamment édifiés. Il suffira de nous rappeler que, dans l' état hypnotique, le sujet obéit à la suggestion verbal
habitude de vivre ensemble ; l'hyperesthésie qui caractérise certains états hypnotiques ; l'idéoplastie, qui est une action n
e peu et savoir que la suggestion mentale n'est pas possible dans les états divers du magnétisme et de l'hypnotisme. Au point
de l'hypnotisme. Au point de vue de l'activité psychique, ces divers états peuvent être divisés en trois grandes sections re
e. Le vrai moment de la suggestion mentale, c'est la limite entre l' état aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet
limite entre l'état aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet état , le sujet a le cerveau assez réveillé pour n'être
e .qu'est le sympathisme organique : transmission des sensations, des états émotifs, transmission nerveuse physique des malad
lus avoir de » céphalalgie. » Le 3 août, je reviens voir Mme X... L' état est satisfaisant; elle n'a plus rien bu en dehors
heur ; vous m'avez guérie; c'est-à-dire que vous m'avez remite dans l' état normal où j'aurais dû me trouver, si je n'avais e
de cette excitation très forte et unique, ou faible mais répétée, un état anatomi que particulier, quelque chose comme une
e matérielle, qui fait que toute excitation nouvelle les remet dans l' état même où elles se sont trouvées lors de la grande
es conditions de notre éducation, conditions qui ont créé en nous cet état anatomique dont parle le Dr Bordier, cette mémoir
me éveillé, disposant de toutes ses facultés, libre, en un mot, et en état de se défendre. L'objection n'a qu'une valeur a
ssons au point de vue intellectuel et moral. Notre corps, parvenu à l' état adulte, se trouve composé, dans toutes ses partie
SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES SUJETS EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J, LUYS mem
et la possibilité de solliciter expérimentalement, chez des sujets en état d'hypnotisme, des émotions variées, de joie, de t
e, il est un groupe tout spécial de phénomènes nerveux, qui joue, à l' état de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêv
pécial de phénomènes nerveux, qui joue, à l'état de veille, comme à l' état de sommeil dans nos rêves, un rôle de premier ord
-rium, en présence d'une impression extérieure qui met ses réseaux en état d'ébranlement. Et je ne vous apprendrai rien en
rveau se trouvent, grâce à elle, éclairés d'un rayon de lumière ! A l' état normal, en effet,ce sont ces mêmes régions émotiv
par des troubles respiratoires anxieux, par des larmes discrètes, les états d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l'
discrètes, les états d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l' état pathologique, dans ce domaine spécial de la patho
écial de la pathologie mentale qui touche aux lypémanies anxieuses, l' état d exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions é
exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions émotives est porté à un état d'hyperexcitabilité tel. qu'elles arrivent à domi
is en œuvre chez lui tous les signes somatiques qui carectérisent cet état , tels que rhyperexcitabilité neuro-musculaire, l'
hénomènes dont nous poursuivons en ce moment l'étude, un changement d' état bien notable dans la manière d'être de son systèm
ion expérimentale des émotions. On sait, en effet, combien dans cet état spécial les sujets sont aptes à conserver les att
icitation réelle d'émotions provoquées d'une façon centripète par les états divers de la sensibilité périphérique. Il est c
par suggestion verbale, soit par la préhension des mains. Dans cet état , il n'entend, no voit et ne sent que moi et les r
jusqu'à ce jour avec lesquelles L.., endormi, ne s'est pas trouvé en état de rapport, scion l'expression de M. le commandan
échéance, durant le sommeil ou plus ou moins longtemps après, dans l' état de veille qui va suivre. Si je lui ordonne de s
l les voie. les entende et les sente comme s'il était réveillé. Cet état de rapport peut être obtenu de diverse? manières:
toutes les fois que je cesse de la viser ainsi, L... cesse d'être en état de rapport avec elle. Si, dans ces diverses exp
..., qui ne les voit pas, ne les entend pas et ne les sent pas dans l' état de sommeil, sera en état de rapport complet avec
ne les entend pas et ne les sent pas dans l'état de sommeil, sera en état de rapport complet avec eux toutes les fois que j
ils peuvent être le siège, peut être mis, par les mêmes procédés, en état de rapport avec eux. Placé derrière L... endorm
ferais moi-même directement; mais seulement pendant le temps que cet état de rapport est maintenu par moi. Elle peut, dans
s 398 et 568 de mon ouvrage déjà cité. Nous y voyons cette force, à l' état de circulation (force neurique circulante), passe
.. le souffle a en plus une propriété très remarquable, qu'il soit en état de sommeil ou qu'il soit en état de veille. Ainsi
iété très remarquable, qu'il soit en état de sommeil ou qu'il soit en état de veille. Ainsi, toute personne ou tout objet, t
re à l'abri de tout phénomène de suggestion possible, j'ai, pendant l' état de veille, soufflé sur divers corps ou portions d
lque sorte de toute part. Voila le vrai surmenage, voilà le véritable état pathologique avec lequel il faut sérieusement com
ur la transmission de la pensée. (Id. May 1887.) Edmund Gurney: Les états de la mémoire dans l'hypnotisme. (Id. May 1887.)
SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES SUJETS EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS membr
le de médecine de Rochefort, ont donc constaté que chez les sujets en état d'hypnotisme, il se développe un tel état d'hyper
taté que chez les sujets en état d'hypnotisme, il se développe un tel état d'hyperesthésic qu'ils deviennent impressionnable
ènes réactionnels évoluent en silence. Le sujet étant maintenu dans l' état léthargique, tous les phénomènes se développent e
réactions coordonnées il donne les illusions de la vie réelle et d'un état de conscience très nettement accusé. C'est ains
t unilatérales, et la même substance qui. du côté droit, détermine un état de souffrance et de malaise, appliquée du côté ga
môme croisés, qui se révèlent. Dans d'autres circonstances, c'est un état de résolution générale des forces musculaires qui
xiété dans les muscles inspirateurs supérieurs, puis il tombe dans un état d'abattement profond quasi-comateux, la bouche bé
quelque sorte la photographie du sujet en expérience, qui est dans un état d'année complet. fortement secoué dans tout s
iode de détente qui se manifeste. La photographie exprime en effet un état d'abandon et de sérénité parfait. Le sujet repose
regard est vague et langoureux, et sa physionomie reposée exprime cet état de béatitude spéciale éprouvé par toutes les pers
d'abord, et, sur la face, une expression de gaieté allant jusqu'à un état de jubilation extrême. Le sulfate d'atropine pa
sur la figure photographique, reste affaissé sur le fauteuil, dans un état d'accablement extrême. 11 est anhélant, les trait
de son visage sont tirés ; son regard vague, fixe, éteint, exprime un état d'épuisement et d'atonie générale qui plane sur t
ous l'action d'une dose modérée de cognac de 10 grammes, a passé de l' état normal représenté dans la figure ci-jointe, à l'é
es, a passé de l'état normal représenté dans la figure ci-jointe, à l' état d'ébriété la plus complète avec agitation, physio
sens, expurger l'excitation alcoolique, et sortir de lui-même de cet état quasi-comateux dans lequel il a été plongé, pour
ues, il entre en conflit avec les assistants et expose avec netteté l' état spécial d'émotivité dans lequel il se trouve inci
mulateur: un changement subit et profond s'opère incontinent dans son état général. Vous le voyez alors, s'il marche, s'ar
race de contrariété, d'émotion ou de souffrance. Lorsque, suivant l' état des forces du sujet et suivant l'intensité des ré
ésence de ces faits étranges et de bien d'autres inexplicables dans l' état de nos connaissances, un courant s'établit dans l
ournent pas assez longtemps et retombent tôt ou tard dans leur triste état . M. le docteur Ladame (de Genève) rapporte quel
eulan. On commençait à désespérer de sa vie. et le duc, averti de son état , demanda aussitôt à se confesser. Lorsqu'il eut a
élevées et le galvanisme (Id.) Petrazzani :. k : La suggestion a l' état de veille et d'hypnotisme. (Rivista sperimentale
eurologie, juillet 1887.) PSYCHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L' état mental des épileptiques. (L'Homme, août 1887.)
de manière d'être: ils devinrent calmes et sérieux; un seul, malgré l' état somnambulique favorable aux suggestions, résista
ds complètement le respect de moi-même, je me montre en public dans l' état le plus abject, je vends mes vêtements pour boire
de me réveiller, il a fallu que je fasse un effort pour sortir de cet état . J'étais comme quelqu'un tiré d'un profond sommei
souvient de tout ce qu'on lui a dit après son réveil. Il est dans un état léthargique complet, avec résolution musculaire,
que vous me donnez vos soins, je m'aperçois d'un mieux réel dans mon état . Je ne suis plus constamment en fièvre comme par
entes crises épileptiformes. La menstruation ne modifie nullement son état pathologique. A l'hôpital, on constate que tout l
lents accès convulsifs. On a recours a l'hypnose. La malade, dans l' état de décubitus dorsal, regarde fixement un objet br
ait de vingt jours, n'avait fait qu'augmenter, jusqu'au moment où son état alarmant avait nécessité son entrée a l'hôpital.
urraient risque de contracter lu paralysie du cœur. De même, dans cet état , il peut s'éveiller des émotions vives susceptibl
xpérimenté qui l'emploie comme moyen thérapeutique à l'égard d'autres états nerveux beaucoup plus graves; mais, d'autre part,
ent de crampes vives, sont précédées pendant deux et trois jours d'un état d'énervement avec mauvaise humeur, antipathie pou
uggestions, prendre quelque nourriture. Elle était enfin en aussi bon état que possible et pouvait même — elle presque moura
En même temps il me fut possible, par le même procédé, de modifier l' état psychique et empêcher le retour de semblables acc
x fois par semaine pendant un mois, je parvins à la remettre dans son état normal. Ce qui frappe assurément le plus les pe
ter sur les phénomènes d'inhibition qui peuvent être provoqués dans l' état d'hypnotisme. M. Certes (de Paris). — Vous pouv
vous agissez par des médicaments placés a distance et vous créez des états pathologiques fictifs ; ne pouvez-vous, par exemp
'existe plus, les réflexes sont augmentés et il peut se produire, à l' état ordinaire, comme une suggestion pathologique de t
ent existait, puisqu'elle était séparée de sa famille, et cependant l' état ne s'est pas amélioré. Il m'a semblé que le tra
i m'a permis de combattre une à une toutes ses mauvaises habitudes. L' état s'est beaucoup amélioré; il existe bien encore un
r les sensitifs, mais à des degrés variables, les mêmes changements d' état dynamique que déter-minent les pôles de la pile,
leur sommet et négatifs par le côté de leur racine. Les minéraux a l' état amorphe n'ont qu'une polarité, mais les métaux so
se de celui du sujet : 2° qu'il est résolutif des contractures et des états de même nature en direction ascendante sur le côt
ntes augmentent d'abord la contraction musculaire, puis déterminent l' état tétanique des fibres lisses des artères et ainsi
sang, tandis que les actions décontracturantes rétablissent d'abord l' état physiologique quand elles sont appliquées a la su
seront employées dans les manifestations morbides caractérisées pnr l' état spasmodique à tous les degrés, la contracture, l'
anémie cérébrale sans lésion organique. L'analogie qui existe entre l' état d'individus réalisant une suggestion et celui de
ts. Ce qui le prouve, c'est que des personnes mises par des passes en état somnambulique et imparfaitement réveillées ensuit
-dire les plus communes de ces affections, et comme modificateur de l' état général. Ils repoussent, pour ces cas, d'accord e
a supprimé la vision, arrêté la conversation et rendu le sujet à son état normal. Observations d'onanisme guéries par la
, ne nous ont révélé aucune anomalie. Les organes génitaux sont à l' état normal. Rien du côté des grands appareils splanch
Deuxième séance d'hypnotisme : le résultat obtenu a toujours été un état mixte léthargo-somnambulique avec souvenir au rév
il de ce qui lui a été recommandé; il lui est impossible, pendant cet état , de soulever les paupières,dc remuer les membres
le se souvenait au réveil de ce qui lui avait été suggéré pendant cet état mixte. II faut, en effet, pour que la réussite
tte nouvelle preuve de l'influence de la suggestion hypnotique sur un état aussi désespérant que l'onanisme. SECTION D'H
st pas encore tranchée. Pour certains auteurs, toute personne mise en état de somnambulisme devient, entre les mains de l'ex
ofondie de cette science. Le viol, presque impossible à accomplir à l' état normal, comme l'a maintes fois démontré M. le pro
is démontré M. le professeur Brouardel, le devient tout à fait dans l' état d'hypnotisme. On sait. en effet, combien il est f
te que l'on pouvait aussi très facilement suggérer, aussi bien dans l' état d'hypnotisme que dans l'état de veille, l'idée d'
s facilement suggérer, aussi bien dans l'état d'hypnotisme que dans l' état de veille, l'idée d'un taux témoignage. Le jour
s, parce que tous ces phénomènes peuvent se produire, dans un certain état , sous l'action du cerveau du sujet aussi bien que
le premier degré observable de l'hypnose ; j'ai montré que, dans cet état , les nerfs moteurs et sensitifs peuvent vibrer in
le frein de la volonté était déclanché. Ainsi, je mets un sujet en état de crédulité par une action quelconque qui. d'apr
ation polaire en hétéronomie sur le cerveau, le sujet reviendra à son état normal. Il résulte de là que si une contracture
motivité spéciale que présentent au plus haut degré les sujets mis en état d'hypnotisme. — Les leçons cliniques de M. le d
Bordeaux, 1885, 1886. 1887.) Luys : Les émotions chez les sujets en état d'hypnotisme. Etudes de psychologie expérimentale
aire au buveur. En l'hypnotisant, on place seulement celui-ci dans un état cérébral qui favorise l'efficacité de ses vœux.
laquelle nous avons constamment recours pour mettre les sujets dans l' état d'hypnotisme est celle que les leçons de MM. les
soins. Bien que les procédés par lesquels on arrive à déterminer l' état d'hypnotisme chez les jeunes sujets soient d'une
Si on lui soulève les bras, souvent on les voit rester en l'air, en état de catalepsie suggestive. Parfois, pour obtenir c
'une simulation rare, mais possible, et pour plonger l'enfant dans un état d'hypnotisme dont la constatation ne laisse aucun
la régularité et toutes les apparences du sommeil naturel. C'est l' état que nous jugeons le plus favorable pour faire les
itement; la classer parmi les bonnes élèves de la classe. Cependant l' état moral de cette enfant était tellement perverti qu
ie complètement qu'après deux mois de traitement. Chez toutes deux, l' état général, très défectueux avant le traitement, s'e
re exécuter au malade des mouvements gymnastiques réguliers pendant l' état d'hypnolisme, les accidents choréiques peuvent di
ues séances pour le rétablir complètement, mais en même temps que son état physique s'améliorait, ses aptitudes intellectuel
résumé, d'après les observations qui précèdent, la suggestion, dans l' état d'hypnotisme, trouve son application surtout lors
Au contraire, l'enfant, qui constate l'amélioration survenue dans son état , n est pas le dernier k l'apprécier. Il est très
ns le sommeil provoqué ne difiere pas en réalité de la suggestion a l' état de veille : seulement elle est plus efficace, par
n. Si les- admonestations qu'on fait à l'enfant pendant qu'il est a l' état de veille ne sont pas acceptées, qu'on les fasse
ice, voilà ce que nous demandons. Il n'y a ni fluides magnétiques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un ét
ons. Il n'y a ni fluides magnétiques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un état de conscience particulier
s magnétiques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un état de conscience particulier qui se produit spontané
ment ou qu'on peut produire artificiellement ; et, à la faveur de cet état de conscience, des guérisons physiques et morales
Beaucoup d'esprits se refuseront a croire que la suggestion faite à l' état de veille, ou même pendant le sommeil hypnotique,
à en tirer tout le parti possible. Puisque la suggestion faite dans l' état de sommeil peut modifier la direction imprimée au
longuement un corps animé ou inanimé, il survient assez rapidement un état analogue au sommeil. A cet état il donna le nom d
nimé, il survient assez rapidement un état analogue au sommeil. A cet état il donna le nom d'hypno- tisme. Cet état prés
alogue au sommeil. A cet état il donna le nom d'hypno- tisme. Cet état présente sans aucun doute une grande analogie, si
ne le nom de suggestion aux actes que l'on peut commander au sujet en état d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer a un su
loses. Le sujet a l'apparence d'une personne qui dort. Pour obtenir l' état léthargique, on peut employer divers procédés; il
s paupières closes. 2° La phase cataleptique est caractérisée par l' état indiqué par ce nom. Les muscles ont perdu leur hy
de l'hypnotisme, on les trouve non seulement dans les névralgies, les états émotifs, les diverses céphalées, l'insomnie. On a
e, le sujet éternue ou produit un bruit analogue à l'éternuement ; un état analogue à l'ivresse apparaît quand on fait naîtr
t qu'en fait d'hypnotisme et de magnétisme, tout le monde se croit en état d'avoir une opinion. Etrange mirage! S'il s'agiss
truction avait suffisamment établi, disait-on, que rien ne prouvait l' état d'insanité d'esprit de l'accusé. Quelques semai
it en novembre 1886. M. Max-Simon, dans sa déposition, fit voir qu'un état mental profondément perturbé pouvait être soupçon
er degré et perversion des instincts. 2° C'est sous l'empire de cet état mental morbide que l'accusé a commis les actes qu
doit pas être laissé en liberté. En septembre dernier, à cause de l' état de maladie d'un des experts, l'affaire fut renvoy
, à notre tour, si, dans une situation mentale semblable, si, avec un état de maladie cérébrale reconnu par tous, un aliéné
avec un état de maladie cérébrale reconnu par tous, un aliéné est en état de se défendre. Les débats, nous n'avons pas be
rent lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de savoir l' état mental du docteur Lamotte, mais quel était cet ét
t pas de savoir l'état mental du docteur Lamotte, mais quel était cet état au moment où certains actes incriminés avaient eu
tout âge, de tout sexe, de tout tempérament. Ils s'imaginaient que l' état hypnotique est l'apanage exclusif de quelques rar
ien plus considérable, et nous arrivons quelquefois à mettre dans cet état la moitié, si ce n'est plus encore, de nos client
Non! le sommeil hypnotique n'est pas un sommeil pathologique ! Non! l' état hypnotique n'est pas une névrose analogue à l'hys
sychique et non une influence physique ou fluidique qui détermine cet état . Chose singulière, ce sont des psychologues comme
ion médicamenteuse à distance. Certains sujets hypnotisés ou même à l' état de veille auraient une aptitude singulière à être
passible, entend tout, se rend compte de tout. Quelques-uns, dans cet état de concentration d'esprit spécial, ont une acuité
et son application à la thérapeutique. La suggestibilité existe à l' état de veille, mais elle est alors neutralisée ou ref
nsations, mouvements, images. La modalité psychique ainsi modifiée, l' état de conscience nouveau qui se constitue rend le ce
de l'ancienne ; elle contient une nouvelle classification des divers états en degrés de l'hypnose, classification qui est en
A première vue, le docteur déclare qu'il n'y a rien de grave dans l' état de Mme Chassinet qu'elle dort tout simplement d'u
t été prise à 9 heures 45 de douleurs de tête et était restée dans un état de somnolence et de torpeur jusqu'à 1 heure 3o, h
u'ils faisaient agir les médicaments à distance, leur sujet était à l' état de veille, tandis que le mien était en léthargie
andis que le mien était en léthargie ou en somnambulisme. » Or, cet état de veille, quel est-il ? Ils font remarquer que l
le, quel est-il ? Ils font remarquer que leur sujet se trouve dans un état où toute suggestion est impossible. Parfois on se
carter toute idée de suggestion. On voit que le sujet n'est plus en état de veille, au contraire, quand on fait les expéri
de coma. Mais il est bien rare qu'une femme se trouve seule dans cet état . Or la question médico-légale se pose ordinaireme
d'intéressantes observations d'accouchements ayant eu lieu pendant l' état d'hypnotisme ont été recueillies par MM. Mes-net,
ce phénomène? A mon sens il s'agît simplement d'un eut pathologique, état très compliqué, très obscur, il est vrai, et qui
e de l'hysterie, pour tous ceux qui ont en l'occasion d'approfondir l' état mental des hystériques, l'événement de Granges se
nes les plus invraisemblables. En un mot, elles sont atteintes d'un état mental particulier et le livre de Legrand du Saul
c (il fumait jusqu'à 60 cigarettes par jour), était tombé dans un tel état de cachexie, que l'on pouvait éprouver des craint
qu'au bout de deux séances. Le malade ne put pas être plongé dans un état qui dépassât la demi-léthargie, il ne pouvait ouv
En tête des circonstances propres à déterminer le passage du mal de l' état latent à l'état ostensible, il faut inscrire la p
onstances propres à déterminer le passage du mal de l'état latent à l' état ostensible, il faut inscrire la peur, l'imitation
e. (Progr. Méd., 15oct.) Luys (J.): Les émotions chez les sujets en état d'hypnotisme. In-8°. 98 p. avec fig. Baillière et
chiatria, t- VIII-, n° 4, 1887.) Reymond : Halluc inations dans l' état de crédulité. (Id.) G. Marinescu : Action médic
ondu. » Cette première expérience était donc un insuccès, puisque l' état somnam-bulique n'avait pas été obtenu ; mais c'ét
essailli quand il s'est approché d'elle. Elle lui a répondu comme à l' état normal, mais elle paraissait tout à fait hébétée
je ne vais chez M. X... qu'à 5 h. 10. Je trouve Mme B... endormie, en état de somnambulisme, et voici ce qu'elle me raconte
out étonné quand, vers 1 h. 35, on la voit descendre dans le salon en état som-nambulique. Elle prétend que c'est moi qui l'
sidérée comme un succès incomplet. Elle aurait été irréprochable si l' état somnambulique avait été obtenu d'emblée à 9 h. 20
monstration du sommeil a distance et la production chez Mme B... de l' état somnambulique. Ce qui donne, en outre, une réel
et, en effet, à 6 h. 55, j'arrive près de Mme B... et je la trouve en état de somnambulisme. Elle me dit : « Pourquoi n'avez
0 a 6 h. 52, et, quand elle l'a vue à 6 h. 52, Mme B... était déjà en état de somnambulisme. Elle n parlé une fois à C..., m
dans la petite pièce attenant à la salle ù manger, où Mme B... est en état de somnambulisme. Elle peut cependant répondre, m
u'elle ait prononcée ; mais elle l'a dite les yeux fermés et étant en état de somnambulisme. A 2 h. 20, je sors du cabinet
je sors du cabinet où j'étais caché, je lui parle et je la trouve en état de somnambulisme. Elle me dit que c'est moi qui l
amais à 2 heures ; de plus, que Mme X..., en allant voir quel était l' état de Mme B.... la trouvée endormie. Cette expérie
peu artificielle — du moment où l'action a commencé. Enfin, quoique l' état de somnambulisme ait été bien caractérisé par l'a
ir Mme B.... j'arrive chez Mme X... a 3 heures. Je trouve Mme B... en état de somnambulisme. Mais cet état était tout à fait
... a 3 heures. Je trouve Mme B... en état de somnambulisme. Mais cet état était tout à fait spécial. Elle ne me répondait p
ent échoué ; mais un fait négatif ne prouve rien, d'autant plus que l' état de réveil récent est peut-être une condition défa
vons chez elle à 4 heures précises. A ce moment, elle est endormie en état de somnambulisme et elle dit à M. Janet : « Vous
s expériences d'un tout autre genre, j'avais, au préalable, examiné l' état de sa sensibilité. La malade était, à l'état de v
au préalable, examiné l'état de sa sensibilité. La malade était, à l' état de veille, hémianesthésique gauche. La sensibilit
e. N'a pas eu ses idées et ses sensations depuis le mois d'avril. L' état général est bien meilleur aussi. La malade a engr
ande et, malgré ce régime, éprouve des défaillances continuelles. Cet état dure un mois, pendant lequel le poids du corps s'
e en apparence, nouvelles crises qui éclatent après chaque repas. Cet état dure trois jours. La boulimie reparait alors et
le est guérie. Au réveil (si l'on peut appeler ainsi la sortie d'un état aussi léger d'hypnose), au réveil, je dis à la ma
e tient difficilement sur la chaise, elle oscille constamment dans un état d'équilibre instable. Elle n'est ni paralytique,
lésion médullaire: on ne trouve qu'un seul élément saillant, c'est l' état d'hyperesthésie et d'hyper-excitabilité de l'orga
cessives et prendre les moulages de ces 17 couches superposées. A l' état de ramollissement, la substance cérébrale est en
deuils telle ou telle région difficile à examiner ou même à voir à l' état normal. En durcissant, la région ainsi préparée c
is cessé ; ils se renouvelaient même assez fréquemment. Elle apprit l' état de couturière et se plaça à Vienne, en Autriche,
ent. Bientôt on s'aperçut que la malade se réveillait parfois dans un état bien différent de son état normal et avec un cara
ue la malade se réveillait parfois dans un état bien différent de son état normal et avec un caractère qu'on ne lui connaiss
t avec un caractère qu'on ne lui connaissait pas. C'était une sorte d' état second, pour nous servir de l'expression du docte
inze jours. En général, les attaques de sommeil et le réveil dans « l' état second » se répétaient coup sur coup pendant quel
t, se renouvelaient comme nous venons de le dire. On comprend qu'un état pathologique semblable était intolérable pour la
s. Mlle X... était dans sa crise, mais réveillée (c'est-à-dire dans l' état second). Au bout de quelques instants, elle se ré
orsque Mlle X... s'endort d'elle-même et qu'elle se réveille dans son état second, son fiancé n'a aucun pouvoir sur elle ; c
d'une discussion avec son fiancé, et resta une journée entière dans l' état second. Je la vis alors pour la première fois dan
re dans l'état second. Je la vis alors pour la première fois dans cet état . Ce fut seulement le matin après la deuxième nuit
eulement le matin après la deuxième nuit qu'elle se réveilla dans son état normal. Pendant l'état second, Mlle X... change
a deuxième nuit qu'elle se réveilla dans son état normal. Pendant l' état second, Mlle X... change complètement de caractèr
change complètement de caractère.) Douce, aimable et un peu molle à l' état normal, elle devient impatiente, méchante, impétu
. Elle mange avec un meilleur appétit et digère beaucoup mieux qu'à l' état normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle cha
s marier de suite, pour que je puisse te faire marcher. » Revenue à l' état normal, elle ne se rappelle absolument rien de ce
ne se rappelle absolument rien de ce Qu'elle a dit ou fait pendant l' état second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s
à la main, parce qu'il voulait l'empêcher de sortir. En effet, dans l' état second, elle résiste vigoureusement lorsqu'on ess
le venait à commettre un délit ou un crime pendant qu'elle est dans l' état second, devrait-on lui en faire porter la respons
cé de Mlle X... ne la considère pas comme absolument imputable dans l' état second, bien qu'il la trouve fort désagréable. En
Elle vint donc chez moi le matin du 3 novembre. Elle était dans son état normal, mais pâle et défaite, le regard éteint, s
e 7, elle arrive chez moi avec son fiancé. Elle est de nouveau dans l' état second depuis une attaque de sommeil qui l'avait
as et veut s'en aller. La journée du 7 tout entière se passe dans l' état second. Elle joue aux dames, touche du piano, cha
e avec grand appétit et travaille activement. Quand elle est dans son état normal, elle perd toujours au jeu de dames, mais
rmal, elle perd toujours au jeu de dames, mais lorsqu'elle est dans l' état second, elle gagne au contraire toujours, me disa
n fiancé. Le lendemain, je lui rends visite. Elle est encore dans l' état second. Elle ne me reconnaît pas, et me demande c
fre rien de particulier, et, si je ne savais pas qu'elle est dans son état second, je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est
on état second, je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est pas dans son état normal. Sa mémoire est entière pour tout ce qui l
oire est entière pour tout ce qui lui est arrivé auparavant, dans les états seconds antérieurs comme dans l'état normal. Maïs
est arrivé auparavant, dans les états seconds antérieurs comme dans l' état normal. Maïs il lui arrive souvent, dans l'état s
térieurs comme dans l'état normal. Maïs il lui arrive souvent, dans l' état second, de ne pas reconnaître les personnes de sa
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa connaissance dans l' état prime. Elle me parle du Dr Ladame comme si elle s
roteste vivement. Le 9 novembre, elle se réveille au matin dans son état normal! après une .nuit plus calme. Elle ne peut
t qu'elle se sent « drôle ». Elle retombe en effet, peu après, dans l' état second. Dès lors, jusqu'au 18, elle a plusieurs c
evient chez moi, avec son fiancé, le 18 au matin. Elle est dans l' état second depuis quelques heures. Je la fais asseoir
fet. Il m'est alors facile de la réveiller et de la ramener ainsi à l' état normal. Elle consent enfin à tenter l'hypnotisme,
le 21. Elle arrive le 21, à l'heure convenue, avec son fiancé. Son état est toujours le même ; ses nuits très mauvaises.
ir, ne font que l'exaspérer. Sous l'influence d'un froid intense, l' état de contraction du système vasculaire périphérique
ar les latitudes élevées; irrégularités qui elles-mêmes engendrent un état congestif passif des plus dangereux. Tous ces d
n douloureuse, l'impression prolongée du froid humide fait passer à l' état chronique la phlogose des extrémités et avec l'ép
l de l'autre. Loin de se limiter. la gangrène envahit la jambe. L' état général ne tarda pas à s'aggraver, et le malade à
re que ce soit, dans ces régions inhospitalières, est. par suite de l' état congestif permanent des centres nerveux et de la
troubles de l'intelligence, dans les régions polaires, consiste en un état de nervosisme aigu, d'irritabilité excessive. P
IQUE Un livre italien. Le Magnétisme animal la fascination et les états hypnotiques, tel est le titre d'un livre publié p
jà été hypnotisés, l'hypnose ne suit plus cette marche graduelle. L' état magnétique pendant la veille, état dont la limite
t plus cette marche graduelle. L'état magnétique pendant la veille, état dont la limite est si difficile à établir, soulèv
elles obtenues sur des sujets hypnotisés, c'est-à-dire soustraits à l' état normal ? Tous les sophismes ne pourront jamais ri
s'est endormie et elle est pour ainsi dire condamnée à rester dans l' état où vous la voyez jusqu'au moment où elle se révei
ra pas, — quelques-unes de ses voisines, alors qu'elle était dans son état de sommeil, l'ont vue se lever, tendre les mains
t dans ceux qui frappent le plus l'imagination, est très analogue a l' état hypnotique. C'est, si l'on veut, un état sub-hypn
ation, est très analogue a l'état hypnotique. C'est, si l'on veut, un état sub-hypnotique, et la plupart des paralysies prod
équence d'une action personnelle de l'opérateur sur l'opéré, et que l' état dans lequel se trouvaient les prétendus magnétisé
l'état dans lequel se trouvaient les prétendus magnétisés n'est qu'un état subjectif, indépendant de tout fluide magnétique
raitement des maladies. Dans ce volume, il définit l'hypnotisme: « un état nerveux déterminé par des manœuvres artificielles
n caractère physique spécial. Un vol de billets de banque pendant l' état d'hypnotisme. Nous trouvons dans un des dernier
y », où il trouva dans la salle d'attente un gentleman plongé dans un état complet d'inconscience. Le docteur Hamett fut app
L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DE L'ANALOGIE ENTRE L' ÉTAT HYPNOTIQUE ET L'ÉTAT NORMAL Par M. J. DELBŒUF
IMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DE L'ANALOGIE ENTRE L'ÉTAT HYPNOTIQUE ET L' ÉTAT NORMAL Par M. J. DELBŒUF PROFESSEUR A L'UNIVE
Il est impossible de ne pas les prendre pour des personnes dans leur état normal. Ils resteront des heures entières hypnoti
aisant: « M'avez-vous oublié ? » Du reste, ils ne peuvent définir cet état , si ce n'est par des termes vagues, par exemple,
uvoir d'abolir le souvenir, et j'en use parfois. En résumé, entre l' état de veille hypnotique et l'état de veille naturell
j'en use parfois. En résumé, entre l'état de veille hypnotique et l' état de veille naturelle, il va tous les degrés imagin
naturelle, il va tous les degrés imaginables ; on peut restreindre l' état hypnotique à une trace imperceptible, par exemple
sonne ne pourra apercevoir en lui rien d'anormal. J'étends donc à l' état de veille et, dans la même mesure, l'identificati
la même mesure, l'identification que l'Ecole de Nancy établit, pour l' état de sommeil, entre l'hypnotisme et la condition no
d'un mois. Cette dame nous a raconté que Jeanne est arrivée dans un état de surexcitation extrême, en poussant des cris, s
raisonnement: pas de lamentations ni de récriminations exagérées. Cet état persistant, M. Briand juge possible de la rendre
é. Depuis l'âge de 22 ans, les attaques ont complètement disparu. L' état puerpéral pourrait expliquer à lui seul les accid
use à effet entre la séance d"hypnotisme et le délire consécutif. L' état puerpéral, joint au chagrin causé par l'enlèvemen
al réveillés ou réveilles sous une impression pénible restent dans un état de demi-conscience qui dure plus ou moins longtem
érapeutique, et c'est à elle qu'on doit la description classique de l' état hypnotique divisé en trois périodes bien connues
cole de Paris, ne sont donc pas exclusives ni caractéristiques de cet état particulier, mais on les voit dans toute autre es
procédé quelconque à l'endormir plus profondément, on transforme cet état en léthargie, et voilà com-ment : on presse avec
il y en a 50 hyp-notisables. 15 somnambules, 4 ou 5 suggestibles à l' état de veille. Cette proportion doit être, d'après le
je n'ai pas pu hypnotiser par les procédés usuels, est tombé dans un état tout à (ait semblable à l'hypnotisme, à la suite
jambe sans le réveiller, nous nous apercevons que ses muscles sont en état de contraction. 3. Dans le.sommeil nerveux, rie
dination volontaire. Or il est évident que la cause qui amène cet état particulier du cerveau est complètement indiffére
ines conditions particulières on peut faire de la suggestion môme à l' état de veille. Je suis même convaincu que l'accès d
mbulique de son attaque, m'ayant entendu dire à son entourage que cet état pouvait durer jusqu'à 40 jours, s'est laissé sugg
issé suggestionner par mes paroles, et est restée pendant 40 jours en état de somnambulisme; mais un seul fait ne suffit pas
coordination volontaire. 2. Quelle que soit la cause qui amène cet état particulier du cerveau, on peut voir se dérouler
endant l'accouchement, mais d'habitude avec plus de difficulté qu'à l' état normal. » 2° Pendant le travail, l'hypnotisme p
tement acceptée, ou à ce que la douleur utérine fait passer soit de l' état léthargique ou de l'état somnambulique â l'état d
que la douleur utérine fait passer soit de l'état léthargique ou de l' état somnambulique â l'état de veille. En d'autres ter
fait passer soit de l'état léthargique ou de l'état somnambulique â l' état de veille. En d'autres termes, la contraction uté
d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant en souffrant dans l' état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans
ffrant dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l' état premier : on peut conclure à tort de cette absenc
on, on laissera l'hypnotisme de côté et la parturiente, ramenée a son état normal, sera soumise, s'il y a lieu, aux anesthés
e. » 10° A côté de l'hypnotisme véritable, il y a la suggestion à l' état de veille, l'emploi du pseudo-chloroforme ou autr
sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les sujets en état d'hypnotisme. M. Dujardin-Beaumetz donne lectur
ver de différence. Six autres tubes renfermaient des substances à l' état de poudre; ils étaient enveloppés de papier blanc
accentué que celui-ci des Européens. Les Aïssaouas, qui se mettent en état de somnambulisme en secouant la tête d'avant en a
ctivité mentale et d'excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un état de prostration nerveuse qui faisait craindre l'an
font défaut. Il est d'abord certains malades qui se trouvent dans l' état de veille jour et .nuit; il leur est parfaitement
omettre leur sommeil de nuit. Inutile précaution : la nuit suivante l' état de ehoses est précisément le même, et ces malades
Symptôme commun à tous ces malades : si vous vous informez de leur état de santé antérieur, tous ont été affectés sans ex
e Dr Chazarain, de l'élude des agents physiques sur les sujets mis en état d'hypnotisme. 11 avait publié plusieurs mémoires
pparente; le sujet entend et a conscience pendant toute la durée de l' état hypnotique. Les trois prétendues phases de l'état
toute la durée de l'état hypnotique. Les trois prétendues phases de l' état hypnotique sont suggérées. 2° Chez les grandes
caprices de son individualité suggestive, qui l'obscurcissent. 4° L' état hypnotique n'est pas une névrose : les phénomènes
être obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel. 5 L' état hypnotique n'est pas particulier aux névropathes,
ie au réveil. Ce n'est pas un assoupissement douteux, ce n'est pas un état hypnotique fruste que j'obtiens chez eux, mais un
de résistance plus ou moins complète, etc. » Et. plus loin : t Dans l' état de sommeil comme dans l'état de veille, l'individ
omplète, etc. » Et. plus loin : t Dans l'état de sommeil comme dans l' état de veille, l'individualité morale de chaque sujet
ure : le sujet pense, raisonne, discute, accepte plus aisément qu'à l' état de veille, mais n'accepte pas toujours, etc. »
les phénomènes hypnotiques. Pour avoir une conception bien nette de l' état hypnotique, il ne suffit pas d'avoir assisté à qu
, c'est parce que nous savons manier la suggestion et reconnaître les états hypnotiques par leurs caractères psychiques, alor
: bromure de potassium, 2 grammes, et bains de Barèges. Le 11 mars, l' état antérieur restait le même, mais il s'est compliqu
u.., 55 ans, est entrée dans mon service, le 15 janvier 1888. dans un état de lypémanie avec hallucinations et agitation par
Traitement. — Bains, injections de morphine. 28 février 1888. — L' état étant resté le même, j'essaie de l'hypnotiser par
âgée de 31 ans, est entrée le 3 janvier 1888 dans mon service pour un état de dipsomanie remontant a plusieurs années. Pas
menstruelle, en raison de l'agitation maniaque, des violences et de l' état exotique qu'elles présentaient à ce moment. Le su
.., âgée de 20 ans, est entrée dans mon service il y a un an, dans un état d'agitation indescriptible. Elle était d'une viol
on cataméniale par une habitude de calme qui me parait influencer son état pendant le reste du mois, si j'en juge par la dif
t qu'elle irait au bout du monde pour ne pas retomber dans son ancien état . Depuis que le mieux s'est bien dessiné, elle est
. On m'a dit aussi que dans sa famille, elle reviendrait a son ancien état et que les vieilles habitudes reparaîtraient. Or,
on de bruits ou de mots ou l'exécution d'actes de circonstance. A l' état normal le cerveau travaille tout entier : c'est u
e produit des décharges d'un groupe cellulaire a un autre groupe. A l' état morbide, quelques éléments nerveux sont seuls act
ici quatre fois). Il suffoque bientôt, ses tempes se gonflent, son état fait mal. Enfin il roule à terre en catalepsie, e
quée et saccadée. Les tours qu'exécutent les Aïssaoua arrivés a cet état névropathique aigu ont été trop souvent décrits p
au moment où j'ai parlé de la jeune malade qui en était atteinte, son état était déjà beaucoup amélioré, mais elle n'était p
de, je m'étais borné i lui faire très fréquemment des suggestions à l' état de veille. Ce traitement avait surtout consisté d
n trois séances ; 4° Une dipsomanie datant de plus de dix ans, avec état mélancolique, guérie par la même méthode. M. Gr
ion du sommeil: Souvent, du reste, on peut agir par la suggestion à l' état de veille; M. Burot nous en a fourni un exemple h
irritables. Il n'y a aucun inconvénient à les laisser plongés dans l' état d'hypnotisme pendant plusieurs heures consécutive
en le vit, il reconnut immédiatement, quoique le malade ne fût pas en état de faire le moindre mouvement avec ses membres, q
se soucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l' état mental de leurs sujets. Quelques-uns faisaient pr
âte, un court extrait du chapitre que je consacre aux suggestions à l' état de veille; encore n'en serez-vous sans doute guèr
ai été amené peu à peu à m'occuper des suggestions d'actes faites à l' état de veille. Je n'avais jamais vu faire ces sortes
vais en elle moins de résistance quand je réitérais la suggestion à l' état de veille. Même, plusieurs suggestions faites exc
lle. Même, plusieurs suggestions faites exclusivement dans ce dernier état furent exactement réalisées, tandis que Mme T...
s éveillée sur ce point, je fis de nombreuses suggestions d'actes à l' état de veille et il me semble de plus en plus que. co
sistance chez le sujet mis en expérience, quand je le laissais en cet état , que quand je l'avais mis préalablement en somnam
ommunication avec tous les assistants, sans que rien révèle en lui un état psychique particulier. C'est encore à l'état de
rien révèle en lui un état psychique particulier. C'est encore à l' état de veille que. à la fin de 1883, (et, ce me sembl
rin, prima donna du théâtre de Nancy, etc.. etc. C'est dans le même état encore que je persuadai, un jour, à M. Th..., jeu
blé déjà, à la fin de 1883, que pour faire réussir une suggestion à l' état dit de veille, il y avait un certain changement d
e fixation du regard très énergique. Chez Mme D..., le changement d' état eût pu, si je l'avais voulu et si elle y eût cons
llement. Lorsque nous étions ainsi convaincu que notre sujet était en état de suggestibilité hypnotique, nous lui avons sugg
histoire ». de ne se jamais coucher sur le ventre et de rester dans l' état où nous l'avons mis jusqu'à ce qu'on lui touchât
logique. Déjà nos expériences nous ont appris qu'on pouvait, dans l' état d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant ; tr
re varier l'intensité et la modalité de ses perceptions; créer divers états d'inconscience, etc... Il est certain qu'il ne
ar une véritable gymnastique psychique qu'il devient possible, dans l' état d'hypnotisme, d'imprimer en peu de temps à l'espr
nstante terreur. A peine est-il sorti des lisières: à peine est-il en état de balbutier quelques mots, d'aligner quelques ph
y trompe pas. les terreurs dites spirituelles mènent tout droit à cet état spasmodique propre à la seconde enfance, et qu'on
ue (guérison par l'hypnotisme d'un), par Brémaud, 19. Déroulement d' états successifs de personnalité, par Mabille et Ramadi
ique en gynécologie, 223. Emotifs (phénomènes) chex les sujets en état d'hypnotisme par Luys. 75, 99. Enfants vicieux (t
ique. par Baréty, 22. Magnétisme animal (le), la fascination et les états hypnotiques, par Morselli.268. Maladies épidémiqu
Ollivier, 211. Pelade (la) et l'école, par Hardy, 213. Personnalité ( états successifs de), par Mabille et Ramadier. 42. Pe
Sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les sujets en état d'hypnotisme, par Luys. 75, 99, ?06. Sommeil à
11 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
illes hallucinations puissent être déposées dans le cerveau pendant l' état hypnotique et persister à I état de veille, ceci,
e déposées dans le cerveau pendant l'état hypnotique et persister à I état de veille, ceci, aujourd'hui, est accepté par tou
gestibles peuvent, sans être hypnotisés, par simple affirmation, à l' état de veille, subir des hallucinations rétroactives.
connais qu'il est très hypnotisable, hallucinable, et suggestible à l' état de veille. En une séance, il est guéri par sugges
somnambulisme spontané. Il est très suggestible et hallucinable à l' état de veille et de sommeil. II est intelligent, sait
sez intelligent, il lit et écrit correctement. II est suggestible à l' état de veille et de sommeil. « Tu étais là, lui dis
ur V... et je trouvai en lui un excellent somnambule, suggestible à l' état de veille et de sommeil. Quelque temps après, l
une insuffisance mitrale, sans trouble nerveux, très suggestible à l' état de veille et de sommeil. Je l'interpelle à distan
te). On dirait que l'hallucination rétroactive créée est latente, à l' état normal, et ne se réveille que lorsque je l'évoque
ne véritable suggestion qui provoque l'hallucination en développant l' état de conscience spécial dans lequel le sujet la per
expériences sont hypnotisables (par notre procédé),; suggestibles à l' état de sommeil et de veille ; chez la plupart on peut
idées plus saines: elle refuse tout aliment et tombe bientôt dans un état de faiblesse extrême ; la fièvre s'allume, l'inso
cin de la famille, j'offris d'essayer d'endormir la malade et, dans l' état hypnotique, d'agir par suggestion sur ce cerveau
irecte, affirmant aux parents qui assistaient à la visite que, dans l' état où se trouvait la malade, elle était absolument i
re d'idées. On sait qu'elles étaient restées infructueuses. Grâce à l' état de sommeil dans lequel était plongée la malade, c
n jaune d'œuf. Ce léger repas terminé, je laissai Mme B... dans son état de sommeil et continuai à agir par suggestion
damnation éternelle ne reparurent plus, les scrupules religieux sur l' état de mariage disparurent complètement : la santé mo
erveuse d'origine alcoolique paraissant prédisposer a l'hypnotisme, l' état particulier du malade semblait devoir motiver un
ppelé et aux parents présents, j'annonçai une analgésie complète et l' état cataleptoïde du système musculaire. Une piqûre au
était la le moment critique, car il était impossible de méconnaître l' état de plus en plus précaire de la situation industri
La convalescence s'affermit donc et j'ai pu revoir M. D... en plein état de santé reprendre sa vie habituelle et la direct
loin ; ils supposent que la suggestibilité des sujets n'est point un état permanent et qui leur soit spécial; ils affirment
int un état permanent et qui leur soit spécial; ils affirment que cet état peut se développer chez un grand nombre de person
, il est vrai, aussi bien applicable aux uns qu'aux autres et, dans l' état rudimentaire de nos connaissances sur ce sujet dé
bservation tout à fait accidentelle. J'avais mis une jeune fille en état de somnambulisme, et, pendant que je réfléchissai
nt qui défait est le même que celui qui fait. Le sujet, étant dans un état détermine, juge inconsciemment qu'il doit en chan
pe dont la fable nous a laissé le modèle sous le nom do Ganyméde. Cet état anatomique est définitif. On a invoqué, pour
entré à l'hôpital, une amélioration sensible s'est produite dans son état . Cet exemple regrettable démontre les dangers d
déjouer les supercheries des morphinomanes, il eut l'idée d'étudier l' état du coeur et du pouls au moyen du sphygmographe. C
s, est relative aux diverses phases d'un accouchement pratiqué dans l' état de somnambulisme provoqué, chez une primipare.
tant de Karl Braun. à Vienne, chez une femme accouchée par lui dans l' état léthargique, le 7 novembre 1885 ; L'autre de Du
et des organes génitaux fait par le toucher et par le spéculum dans l' état d'hypnose, sans que la malade en ait jamais eu co
'état d'hypnose, sans que la malade en ait jamais eu connaissance à l' état de veille. Sortie de mon service en avril 1885,
telle chose, elle s'endormira... En quelques secondes, Alice est en état de somnambulisme : les paupières closes, les glob
les membres inertes en repos sur son lit, ou relevés et fixes dans 1 état cataleptoïde si bien décrit par Lasègue : elle se
ent momentanément toute communication de la malade avec le dehors ; l' état somnambulique étant le seul qu'il nous importe de
res closes, les globes oculaires convulsés en bas, les membres dans l' état cataleptoïde conservant les positions qu'on leur
partir de ce moment, souffrir autant que toute autre parturiente à l' état de veille, si nous mesurons l'intensité de la dou
t — fait important à noter— la malade n'est pas sortie un moment de l' état somnambulique dans lequel nous l'avions placée; l
une convulsion ne s'est montrée, aucune menace de transformation de l' état somnambulique en l'état léthargique n'est apparue
montrée, aucune menace de transformation de l'état somnambulique en l' état léthargique n'est apparue. A 4 heures, la tète
Immédiatement après l'accouchement, !a malade étant toujours dans l' état de somnambulisme, demande quel est le sexe de son
onvaincant peut-on trouver de la scission de la mémoire dans les deux états de veille et de sommeil ! ! La contre-épreuve f
troubles dynamiques, fonctionnels ou organiques qui caractérisent son état pathologique; tel est le but que je me suis propo
, avec les exagérations propres à sa constitution nerveuse. Mise en état de somnambulisme, et suggestionnée, elle cesse im
tions, mais qu'elle ne souffre pas... qu'elle se trouve bien dans cet état .' A partir de la dernière heure, pendant la pér
gestes. ses impatiences, aussi violentes que chez une parturiente à l' état de veille, bien que le sommeil n'ait point été in
re, tant de fois constatée chez elle, dans la comparaison de ses deux états de veille et de sommeil, de même que sa revivisce
e fille, et réciproquement, etc. DÉROULEMENT SPONTANÉ OU PROVOQUÉ D' ÉTATS SUCCESSIFS DE PERSONNALITÉ CHEZ UN HYSTÉRO-ÉPILEP
, soit par des agents mécaniques, soit par suggestion, à produire des états de personnalité divers et à démontrer qu'il exist
l existe « des relations précises, constantes et nécessaires, entre l' état somatique et l'état psychique, ou plus simplement
ions précises, constantes et nécessaires, entre l'état somatique et l' état psychique, ou plus simplement entre l'état physiq
ntre l'état somatique et l'état psychique, ou plus simplement entre l' état physique et l'étal mental, telles qu'il est impos
t dans la relation de MM. Bour-ru et Burot de la production d'un seul état de personnalité qu'on peut] faire varier à volont
oujours de lui-même à sa personnalité vraie, sans passer par d'autres états intermédiaires. Nous voudrions à notre tour déc
roduit soit spontanément, soit artificiellement chez notre malade des états de personnalité successifs de durée et de nombre
qué a la personnalité vraie. 1° Déroulements spontanés de plusieurs états de personnalité. Ces déroulements ont toujours
épilepsie. soit pendant la crise elle-même. C'est en effet dans cet état que nous observâmes pour la première fois chez V.
taque, mais encore pardes changements successifs de personnalité avec état somatique correspondant à la personnalité. Cest
ndant à la personnalité. Cest d'ailleurs en observant avec soin les états de paralysie ou de contracture des divers membres
du malade que nous avons pu découvrir, pendant cette même crise, les états de personnalité décrits par les auteurs précités
hypnotique. Pour éviter les répétitions, nous décrirons seulement l' état de V... dans une de ses grandes attaques, et cela
égique, sans contracture». V... reste cinq minutes dans une sorte d' état hallucinatoire, puis s'écrie qu'il ne veut pas al
val ; il apprend le métier de tailleur ; il est paraplégique (1er état de Bonneval). De nouveaux spasmes se succèdent
il a eu une paralysie de la jambe gauche; il parle de M. Camuset (2e état de Bonneval). Sa paralysie disparaît tout i cou
oup; il vient de s'évader; on le rattrape, il est très malheureux ,3e état de Bonneval.. Enfin, il va sortir de Bonneval. Il
a mère, la voit. Il est alors pris de crises nouvelles, revient a l' état de Luysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet
s, revient a l'état de Luysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet état , il se plaint de sa mère. Il ira à Mâcon: il mont
ntre le médecin, M. Lacuire ; il a mal à la jambe droite, qui est à l' état de paralysie flasque (1er état de l'asile de Bour
l a mal à la jambe droite, qui est à l'état de paralysie flasque (1er état de l'asile de Bourg). Quelques minutes après, d
ns le service de M. Lacuire avec lequel il a de vives discussions (2e état de Bourg). La paralysie gauche disparaît peu à
ontre M. Besançon, interne du service de M. Voisin (il est à Bicêtre, état de Bicêtre). Un transfert s'effectue et V..., q
V..., qui est toujours à Bicêtre, devient paralysé du côté droit (2e état de Bicêtre). Cette paralysie s'évanouit, mais a
Lafond, après une grande crise, V... reste pendant un jour et demi en état d'hémiplégie droite. Il est à Rochefort. Une autr
s tendons, provoque telle contracture systématique correspondant à un état déterminé. Ainsi, pressant les tendons des jambes
lle a duré; en un mot, tout est semblable à ce qui a été décrit au 4° état : paraplégie, état de Bonneval. » Par un procéd
ot, tout est semblable à ce qui a été décrit au 4° état : paraplégie, état de Bonneval. » Par un procédé analogue, M. Mabi
tendons rotuliens. produit la contrac-ture des deux jambes et amené l' état dit de Bonneval. nous nous attendions, comme d'ha
al. nous nous attendions, comme d'habitude, à voir V... revenir à son état de conscience; normal, quand nous observâmes ce q
isparut, et V... se réveilla paralysé de la jambe. Il est à Bourg (2e état de Bourg). Il nous donne les renseignements corre
état de Bourg). Il nous donne les renseignements correspondants à cet état de personnalité, état décrit trop souvent pour qu
s donne les renseignements correspondants à cet état de personnalité, état décrit trop souvent pour que nous en donnions une
ie droite. V... se trouve à Bicêtre, dans le service de M. Voisin (2e état de Bicêtre). Au lieu de revenir, à son réveil, a
ralysie ni anesthésie; il est à Saint-Urbain. Après avoir passé par l' état de Rochefort (hémiplégie et hémi-anesthesie droit
de la vipère. Mais cette zone n'existe que dans un certain nombre d' états de personnalité du malade, comme aussi il n'est p
distinctes de sa vie. Or, il est toujours facile, V... étant en ,l' état de grande crise, après avoir comprimé la zone hys
on du testicule. Immédiatement alors, on peut faire passer V... i l' état de somnambulisme par la pression des yeux, l'ouve
que lorsque V... se déroute, telle paralysie motrice correspond à tel état de personnalité avec ou sans conservation de la z
ables. L'attaque est, chez notre sujet, comme la manifestation d'un état morbide pendant lequel, par suite d'une révivisce
anie est une sorte de monomanie d'ivresse et qu'il est des cas où cet état est l'effet du trouble accidentel de la sensibili
amène de la dépression morale. Le dipsomane arrive fatalement à un état de débilité mentale qui frise la démence, à m
ndent. L'imposition des mains, qui provoquait chez certains sujets un état où ils étaient susceptibles de re- (1) Les Forc
has s'occupe spécialement des phases intermédiaires et surtout de cet état qu'on a peine à dénommer et que les auteurs appel
out de cet état qu'on a peine à dénommer et que les auteurs appellent état intermédiaire, fascination, charme, mais qu'il ap
appellent état intermédiaire, fascination, charme, mais qu'il appelle état de crédulité. Les procédés pour produire l'hypnos
hypnotisé par ce seul fait qu'il a consenti à se trouver placé dans l' état d'inconscience Í Graves questions dont l'ensemb
endant l'hypnose. Si l'acte n'est pas en conformité parfaite avec l' état moral qui est habituel au sujet, sa sanction péna
ns possibles auront été mis en œuvre pour reconnaître la réalité de l' état hypnotique, et les manifestations évidentes de la
otisé, quelle doit-elle être chez l'enfant, déjà très suggestible à l' état de veille ? Le récit de nombreux exemples d'hab
séance, suffisamment édifiés. Il suffira de nous rappeler que, dans l' état hypnotique, le sujet obéit à la suggestion verbal
habitude de vivre ensemble ; l'hyperesthésie qui caractérise certains états hypnotiques ; l'idéoplastie, qui est une action n
e peu et savoir que la suggestion mentale n'est pas possible dans les états divers du magnétisme et de l'hypnotisme. Au point
de l'hypnotisme. Au point de vue de l'activité psychique, ces divers états peuvent être divisés en trois grandes sections re
e. Le vrai moment de la suggestion mentale, c'est la limite entre l' état aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet
limite entre l'état aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet état , le sujet a le cerveau assez réveillé pour n'être
e .qu'est le sympathisme organique : transmission des sensations, des états émotifs, transmission nerveuse physique des malad
lus avoir de » céphalalgie. » Le 3 août, je reviens voir Mme X... L' état est satisfaisant; elle n'a plus rien bu en dehors
heur ; vous m'avez guérie; c'est-à-dire que vous m'avez remite dans l' état normal où j'aurais dû me trouver, si je n'avais e
de cette excitation très forte et unique, ou faible mais répétée, un état anatomi que particulier, quelque chose comme une
e matérielle, qui fait que toute excitation nouvelle les remet dans l' état même où elles se sont trouvées lors de la grande
es conditions de notre éducation, conditions qui ont créé en nous cet état anatomique dont parle le Dr Bordier, cette mémoir
me éveillé, disposant de toutes ses facultés, libre, en un mot, et en état de se défendre. L'objection n'a qu'une valeur a
ssons au point de vue intellectuel et moral. Notre corps, parvenu à l' état adulte, se trouve composé, dans toutes ses partie
SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES SUJETS EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J, LUYS mem
et la possibilité de solliciter expérimentalement, chez des sujets en état d'hypnotisme, des émotions variées, de joie, de t
e, il est un groupe tout spécial de phénomènes nerveux, qui joue, à l' état de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêv
pécial de phénomènes nerveux, qui joue, à l'état de veille, comme à l' état de sommeil dans nos rêves, un rôle de premier ord
-rium, en présence d'une impression extérieure qui met ses réseaux en état d'ébranlement. Et je ne vous apprendrai rien en
rveau se trouvent, grâce à elle, éclairés d'un rayon de lumière ! A l' état normal, en effet,ce sont ces mêmes régions émotiv
par des troubles respiratoires anxieux, par des larmes discrètes, les états d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l'
discrètes, les états d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l' état pathologique, dans ce domaine spécial de la patho
écial de la pathologie mentale qui touche aux lypémanies anxieuses, l' état d exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions é
exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions émotives est porté à un état d'hyperexcitabilité tel. qu'elles arrivent à domi
is en œuvre chez lui tous les signes somatiques qui carectérisent cet état , tels que rhyperexcitabilité neuro-musculaire, l'
hénomènes dont nous poursuivons en ce moment l'étude, un changement d' état bien notable dans la manière d'être de son systèm
ion expérimentale des émotions. On sait, en effet, combien dans cet état spécial les sujets sont aptes à conserver les att
icitation réelle d'émotions provoquées d'une façon centripète par les états divers de la sensibilité périphérique. Il est c
par suggestion verbale, soit par la préhension des mains. Dans cet état , il n'entend, no voit et ne sent que moi et les r
jusqu'à ce jour avec lesquelles L.., endormi, ne s'est pas trouvé en état de rapport, scion l'expression de M. le commandan
échéance, durant le sommeil ou plus ou moins longtemps après, dans l' état de veille qui va suivre. Si je lui ordonne de s
l les voie. les entende et les sente comme s'il était réveillé. Cet état de rapport peut être obtenu de diverse? manières:
toutes les fois que je cesse de la viser ainsi, L... cesse d'être en état de rapport avec elle. Si, dans ces diverses exp
..., qui ne les voit pas, ne les entend pas et ne les sent pas dans l' état de sommeil, sera en état de rapport complet avec
ne les entend pas et ne les sent pas dans l'état de sommeil, sera en état de rapport complet avec eux toutes les fois que j
ils peuvent être le siège, peut être mis, par les mêmes procédés, en état de rapport avec eux. Placé derrière L... endorm
ferais moi-même directement; mais seulement pendant le temps que cet état de rapport est maintenu par moi. Elle peut, dans
s 398 et 568 de mon ouvrage déjà cité. Nous y voyons cette force, à l' état de circulation (force neurique circulante), passe
.. le souffle a en plus une propriété très remarquable, qu'il soit en état de sommeil ou qu'il soit en état de veille. Ainsi
iété très remarquable, qu'il soit en état de sommeil ou qu'il soit en état de veille. Ainsi, toute personne ou tout objet, t
re à l'abri de tout phénomène de suggestion possible, j'ai, pendant l' état de veille, soufflé sur divers corps ou portions d
lque sorte de toute part. Voila le vrai surmenage, voilà le véritable état pathologique avec lequel il faut sérieusement com
ur la transmission de la pensée. (Id. May 1887.) Edmund Gurney: Les états de la mémoire dans l'hypnotisme. (Id. May 1887.)
SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES SUJETS EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS membr
le de médecine de Rochefort, ont donc constaté que chez les sujets en état d'hypnotisme, il se développe un tel état d'hyper
taté que chez les sujets en état d'hypnotisme, il se développe un tel état d'hyperesthésic qu'ils deviennent impressionnable
ènes réactionnels évoluent en silence. Le sujet étant maintenu dans l' état léthargique, tous les phénomènes se développent e
réactions coordonnées il donne les illusions de la vie réelle et d'un état de conscience très nettement accusé. C'est ains
t unilatérales, et la même substance qui. du côté droit, détermine un état de souffrance et de malaise, appliquée du côté ga
môme croisés, qui se révèlent. Dans d'autres circonstances, c'est un état de résolution générale des forces musculaires qui
xiété dans les muscles inspirateurs supérieurs, puis il tombe dans un état d'abattement profond quasi-comateux, la bouche bé
quelque sorte la photographie du sujet en expérience, qui est dans un état d'année complet. fortement secoué dans tout s
iode de détente qui se manifeste. La photographie exprime en effet un état d'abandon et de sérénité parfait. Le sujet repose
regard est vague et langoureux, et sa physionomie reposée exprime cet état de béatitude spéciale éprouvé par toutes les pers
d'abord, et, sur la face, une expression de gaieté allant jusqu'à un état de jubilation extrême. Le sulfate d'atropine pa
sur la figure photographique, reste affaissé sur le fauteuil, dans un état d'accablement extrême. 11 est anhélant, les trait
de son visage sont tirés ; son regard vague, fixe, éteint, exprime un état d'épuisement et d'atonie générale qui plane sur t
ous l'action d'une dose modérée de cognac de 10 grammes, a passé de l' état normal représenté dans la figure ci-jointe, à l'é
es, a passé de l'état normal représenté dans la figure ci-jointe, à l' état d'ébriété la plus complète avec agitation, physio
sens, expurger l'excitation alcoolique, et sortir de lui-même de cet état quasi-comateux dans lequel il a été plongé, pour
ues, il entre en conflit avec les assistants et expose avec netteté l' état spécial d'émotivité dans lequel il se trouve inci
mulateur: un changement subit et profond s'opère incontinent dans son état général. Vous le voyez alors, s'il marche, s'ar
race de contrariété, d'émotion ou de souffrance. Lorsque, suivant l' état des forces du sujet et suivant l'intensité des ré
ésence de ces faits étranges et de bien d'autres inexplicables dans l' état de nos connaissances, un courant s'établit dans l
ournent pas assez longtemps et retombent tôt ou tard dans leur triste état . M. le docteur Ladame (de Genève) rapporte quel
eulan. On commençait à désespérer de sa vie. et le duc, averti de son état , demanda aussitôt à se confesser. Lorsqu'il eut a
élevées et le galvanisme (Id.) Petrazzani :. k : La suggestion a l' état de veille et d'hypnotisme. (Rivista sperimentale
eurologie, juillet 1887.) PSYCHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L' état mental des épileptiques. (L'Homme, août 1887.)
de manière d'être: ils devinrent calmes et sérieux; un seul, malgré l' état somnambulique favorable aux suggestions, résista
ds complètement le respect de moi-même, je me montre en public dans l' état le plus abject, je vends mes vêtements pour boire
de me réveiller, il a fallu que je fasse un effort pour sortir de cet état . J'étais comme quelqu'un tiré d'un profond sommei
souvient de tout ce qu'on lui a dit après son réveil. Il est dans un état léthargique complet, avec résolution musculaire,
que vous me donnez vos soins, je m'aperçois d'un mieux réel dans mon état . Je ne suis plus constamment en fièvre comme par
entes crises épileptiformes. La menstruation ne modifie nullement son état pathologique. A l'hôpital, on constate que tout l
lents accès convulsifs. On a recours a l'hypnose. La malade, dans l' état de décubitus dorsal, regarde fixement un objet br
ait de vingt jours, n'avait fait qu'augmenter, jusqu'au moment où son état alarmant avait nécessité son entrée a l'hôpital.
urraient risque de contracter lu paralysie du cœur. De même, dans cet état , il peut s'éveiller des émotions vives susceptibl
xpérimenté qui l'emploie comme moyen thérapeutique à l'égard d'autres états nerveux beaucoup plus graves; mais, d'autre part,
ent de crampes vives, sont précédées pendant deux et trois jours d'un état d'énervement avec mauvaise humeur, antipathie pou
uggestions, prendre quelque nourriture. Elle était enfin en aussi bon état que possible et pouvait même — elle presque moura
En même temps il me fut possible, par le même procédé, de modifier l' état psychique et empêcher le retour de semblables acc
x fois par semaine pendant un mois, je parvins à la remettre dans son état normal. Ce qui frappe assurément le plus les pe
ter sur les phénomènes d'inhibition qui peuvent être provoqués dans l' état d'hypnotisme. M. Certes (de Paris). — Vous pouv
vous agissez par des médicaments placés a distance et vous créez des états pathologiques fictifs ; ne pouvez-vous, par exemp
'existe plus, les réflexes sont augmentés et il peut se produire, à l' état ordinaire, comme une suggestion pathologique de t
ent existait, puisqu'elle était séparée de sa famille, et cependant l' état ne s'est pas amélioré. Il m'a semblé que le tra
i m'a permis de combattre une à une toutes ses mauvaises habitudes. L' état s'est beaucoup amélioré; il existe bien encore un
r les sensitifs, mais à des degrés variables, les mêmes changements d' état dynamique que déter-minent les pôles de la pile,
leur sommet et négatifs par le côté de leur racine. Les minéraux a l' état amorphe n'ont qu'une polarité, mais les métaux so
se de celui du sujet : 2° qu'il est résolutif des contractures et des états de même nature en direction ascendante sur le côt
ntes augmentent d'abord la contraction musculaire, puis déterminent l' état tétanique des fibres lisses des artères et ainsi
sang, tandis que les actions décontracturantes rétablissent d'abord l' état physiologique quand elles sont appliquées a la su
seront employées dans les manifestations morbides caractérisées pnr l' état spasmodique à tous les degrés, la contracture, l'
anémie cérébrale sans lésion organique. L'analogie qui existe entre l' état d'individus réalisant une suggestion et celui de
ts. Ce qui le prouve, c'est que des personnes mises par des passes en état somnambulique et imparfaitement réveillées ensuit
-dire les plus communes de ces affections, et comme modificateur de l' état général. Ils repoussent, pour ces cas, d'accord e
a supprimé la vision, arrêté la conversation et rendu le sujet à son état normal. Observations d'onanisme guéries par la
, ne nous ont révélé aucune anomalie. Les organes génitaux sont à l' état normal. Rien du côté des grands appareils splanch
Deuxième séance d'hypnotisme : le résultat obtenu a toujours été un état mixte léthargo-somnambulique avec souvenir au rév
il de ce qui lui a été recommandé; il lui est impossible, pendant cet état , de soulever les paupières,dc remuer les membres
le se souvenait au réveil de ce qui lui avait été suggéré pendant cet état mixte. II faut, en effet, pour que la réussite
tte nouvelle preuve de l'influence de la suggestion hypnotique sur un état aussi désespérant que l'onanisme. SECTION D'H
st pas encore tranchée. Pour certains auteurs, toute personne mise en état de somnambulisme devient, entre les mains de l'ex
ofondie de cette science. Le viol, presque impossible à accomplir à l' état normal, comme l'a maintes fois démontré M. le pro
is démontré M. le professeur Brouardel, le devient tout à fait dans l' état d'hypnotisme. On sait. en effet, combien il est f
te que l'on pouvait aussi très facilement suggérer, aussi bien dans l' état d'hypnotisme que dans l'état de veille, l'idée d'
s facilement suggérer, aussi bien dans l'état d'hypnotisme que dans l' état de veille, l'idée d'un taux témoignage. Le jour
s, parce que tous ces phénomènes peuvent se produire, dans un certain état , sous l'action du cerveau du sujet aussi bien que
le premier degré observable de l'hypnose ; j'ai montré que, dans cet état , les nerfs moteurs et sensitifs peuvent vibrer in
le frein de la volonté était déclanché. Ainsi, je mets un sujet en état de crédulité par une action quelconque qui. d'apr
ation polaire en hétéronomie sur le cerveau, le sujet reviendra à son état normal. Il résulte de là que si une contracture
motivité spéciale que présentent au plus haut degré les sujets mis en état d'hypnotisme. — Les leçons cliniques de M. le d
Bordeaux, 1885, 1886. 1887.) Luys : Les émotions chez les sujets en état d'hypnotisme. Etudes de psychologie expérimentale
aire au buveur. En l'hypnotisant, on place seulement celui-ci dans un état cérébral qui favorise l'efficacité de ses vœux.
laquelle nous avons constamment recours pour mettre les sujets dans l' état d'hypnotisme est celle que les leçons de MM. les
soins. Bien que les procédés par lesquels on arrive à déterminer l' état d'hypnotisme chez les jeunes sujets soient d'une
Si on lui soulève les bras, souvent on les voit rester en l'air, en état de catalepsie suggestive. Parfois, pour obtenir c
'une simulation rare, mais possible, et pour plonger l'enfant dans un état d'hypnotisme dont la constatation ne laisse aucun
la régularité et toutes les apparences du sommeil naturel. C'est l' état que nous jugeons le plus favorable pour faire les
itement; la classer parmi les bonnes élèves de la classe. Cependant l' état moral de cette enfant était tellement perverti qu
ie complètement qu'après deux mois de traitement. Chez toutes deux, l' état général, très défectueux avant le traitement, s'e
re exécuter au malade des mouvements gymnastiques réguliers pendant l' état d'hypnolisme, les accidents choréiques peuvent di
ues séances pour le rétablir complètement, mais en même temps que son état physique s'améliorait, ses aptitudes intellectuel
résumé, d'après les observations qui précèdent, la suggestion, dans l' état d'hypnotisme, trouve son application surtout lors
Au contraire, l'enfant, qui constate l'amélioration survenue dans son état , n est pas le dernier k l'apprécier. Il est très
ns le sommeil provoqué ne difiere pas en réalité de la suggestion a l' état de veille : seulement elle est plus efficace, par
n. Si les- admonestations qu'on fait à l'enfant pendant qu'il est a l' état de veille ne sont pas acceptées, qu'on les fasse
ice, voilà ce que nous demandons. Il n'y a ni fluides magnétiques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un ét
ons. Il n'y a ni fluides magnétiques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un état de conscience particulier
s magnétiques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un état de conscience particulier qui se produit spontané
ment ou qu'on peut produire artificiellement ; et, à la faveur de cet état de conscience, des guérisons physiques et morales
Beaucoup d'esprits se refuseront a croire que la suggestion faite à l' état de veille, ou même pendant le sommeil hypnotique,
à en tirer tout le parti possible. Puisque la suggestion faite dans l' état de sommeil peut modifier la direction imprimée au
longuement un corps animé ou inanimé, il survient assez rapidement un état analogue au sommeil. A cet état il donna le nom d
nimé, il survient assez rapidement un état analogue au sommeil. A cet état il donna le nom d'hypno- tisme. Cet état prés
alogue au sommeil. A cet état il donna le nom d'hypno- tisme. Cet état présente sans aucun doute une grande analogie, si
ne le nom de suggestion aux actes que l'on peut commander au sujet en état d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer a un su
loses. Le sujet a l'apparence d'une personne qui dort. Pour obtenir l' état léthargique, on peut employer divers procédés; il
s paupières closes. 2° La phase cataleptique est caractérisée par l' état indiqué par ce nom. Les muscles ont perdu leur hy
de l'hypnotisme, on les trouve non seulement dans les névralgies, les états émotifs, les diverses céphalées, l'insomnie. On a
e, le sujet éternue ou produit un bruit analogue à l'éternuement ; un état analogue à l'ivresse apparaît quand on fait naîtr
t qu'en fait d'hypnotisme et de magnétisme, tout le monde se croit en état d'avoir une opinion. Etrange mirage! S'il s'agiss
truction avait suffisamment établi, disait-on, que rien ne prouvait l' état d'insanité d'esprit de l'accusé. Quelques semai
it en novembre 1886. M. Max-Simon, dans sa déposition, fit voir qu'un état mental profondément perturbé pouvait être soupçon
er degré et perversion des instincts. 2° C'est sous l'empire de cet état mental morbide que l'accusé a commis les actes qu
doit pas être laissé en liberté. En septembre dernier, à cause de l' état de maladie d'un des experts, l'affaire fut renvoy
, à notre tour, si, dans une situation mentale semblable, si, avec un état de maladie cérébrale reconnu par tous, un aliéné
avec un état de maladie cérébrale reconnu par tous, un aliéné est en état de se défendre. Les débats, nous n'avons pas be
rent lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de savoir l' état mental du docteur Lamotte, mais quel était cet ét
t pas de savoir l'état mental du docteur Lamotte, mais quel était cet état au moment où certains actes incriminés avaient eu
tout âge, de tout sexe, de tout tempérament. Ils s'imaginaient que l' état hypnotique est l'apanage exclusif de quelques rar
ien plus considérable, et nous arrivons quelquefois à mettre dans cet état la moitié, si ce n'est plus encore, de nos client
Non! le sommeil hypnotique n'est pas un sommeil pathologique ! Non! l' état hypnotique n'est pas une névrose analogue à l'hys
sychique et non une influence physique ou fluidique qui détermine cet état . Chose singulière, ce sont des psychologues comme
ion médicamenteuse à distance. Certains sujets hypnotisés ou même à l' état de veille auraient une aptitude singulière à être
passible, entend tout, se rend compte de tout. Quelques-uns, dans cet état de concentration d'esprit spécial, ont une acuité
et son application à la thérapeutique. La suggestibilité existe à l' état de veille, mais elle est alors neutralisée ou ref
nsations, mouvements, images. La modalité psychique ainsi modifiée, l' état de conscience nouveau qui se constitue rend le ce
de l'ancienne ; elle contient une nouvelle classification des divers états en degrés de l'hypnose, classification qui est en
A première vue, le docteur déclare qu'il n'y a rien de grave dans l' état de Mme Chassinet qu'elle dort tout simplement d'u
t été prise à 9 heures 45 de douleurs de tête et était restée dans un état de somnolence et de torpeur jusqu'à 1 heure 3o, h
u'ils faisaient agir les médicaments à distance, leur sujet était à l' état de veille, tandis que le mien était en léthargie
andis que le mien était en léthargie ou en somnambulisme. » Or, cet état de veille, quel est-il ? Ils font remarquer que l
le, quel est-il ? Ils font remarquer que leur sujet se trouve dans un état où toute suggestion est impossible. Parfois on se
carter toute idée de suggestion. On voit que le sujet n'est plus en état de veille, au contraire, quand on fait les expéri
de coma. Mais il est bien rare qu'une femme se trouve seule dans cet état . Or la question médico-légale se pose ordinaireme
d'intéressantes observations d'accouchements ayant eu lieu pendant l' état d'hypnotisme ont été recueillies par MM. Mes-net,
ce phénomène? A mon sens il s'agît simplement d'un eut pathologique, état très compliqué, très obscur, il est vrai, et qui
e de l'hysterie, pour tous ceux qui ont en l'occasion d'approfondir l' état mental des hystériques, l'événement de Granges se
nes les plus invraisemblables. En un mot, elles sont atteintes d'un état mental particulier et le livre de Legrand du Saul
c (il fumait jusqu'à 60 cigarettes par jour), était tombé dans un tel état de cachexie, que l'on pouvait éprouver des craint
qu'au bout de deux séances. Le malade ne put pas être plongé dans un état qui dépassât la demi-léthargie, il ne pouvait ouv
En tête des circonstances propres à déterminer le passage du mal de l' état latent à l'état ostensible, il faut inscrire la p
onstances propres à déterminer le passage du mal de l'état latent à l' état ostensible, il faut inscrire la peur, l'imitation
e. (Progr. Méd., 15oct.) Luys (J.): Les émotions chez les sujets en état d'hypnotisme. In-8°. 98 p. avec fig. Baillière et
chiatria, t- VIII-, n° 4, 1887.) Reymond : Halluc inations dans l' état de crédulité. (Id.) G. Marinescu : Action médic
ondu. » Cette première expérience était donc un insuccès, puisque l' état somnam-bulique n'avait pas été obtenu ; mais c'ét
essailli quand il s'est approché d'elle. Elle lui a répondu comme à l' état normal, mais elle paraissait tout à fait hébétée
je ne vais chez M. X... qu'à 5 h. 10. Je trouve Mme B... endormie, en état de somnambulisme, et voici ce qu'elle me raconte
out étonné quand, vers 1 h. 35, on la voit descendre dans le salon en état som-nambulique. Elle prétend que c'est moi qui l'
sidérée comme un succès incomplet. Elle aurait été irréprochable si l' état somnambulique avait été obtenu d'emblée à 9 h. 20
monstration du sommeil a distance et la production chez Mme B... de l' état somnambulique. Ce qui donne, en outre, une réel
et, en effet, à 6 h. 55, j'arrive près de Mme B... et je la trouve en état de somnambulisme. Elle me dit : « Pourquoi n'avez
0 a 6 h. 52, et, quand elle l'a vue à 6 h. 52, Mme B... était déjà en état de somnambulisme. Elle n parlé une fois à C..., m
dans la petite pièce attenant à la salle ù manger, où Mme B... est en état de somnambulisme. Elle peut cependant répondre, m
u'elle ait prononcée ; mais elle l'a dite les yeux fermés et étant en état de somnambulisme. A 2 h. 20, je sors du cabinet
je sors du cabinet où j'étais caché, je lui parle et je la trouve en état de somnambulisme. Elle me dit que c'est moi qui l
amais à 2 heures ; de plus, que Mme X..., en allant voir quel était l' état de Mme B.... la trouvée endormie. Cette expérie
peu artificielle — du moment où l'action a commencé. Enfin, quoique l' état de somnambulisme ait été bien caractérisé par l'a
ir Mme B.... j'arrive chez Mme X... a 3 heures. Je trouve Mme B... en état de somnambulisme. Mais cet état était tout à fait
... a 3 heures. Je trouve Mme B... en état de somnambulisme. Mais cet état était tout à fait spécial. Elle ne me répondait p
ent échoué ; mais un fait négatif ne prouve rien, d'autant plus que l' état de réveil récent est peut-être une condition défa
vons chez elle à 4 heures précises. A ce moment, elle est endormie en état de somnambulisme et elle dit à M. Janet : « Vous
s expériences d'un tout autre genre, j'avais, au préalable, examiné l' état de sa sensibilité. La malade était, à l'état de v
au préalable, examiné l'état de sa sensibilité. La malade était, à l' état de veille, hémianesthésique gauche. La sensibilit
e. N'a pas eu ses idées et ses sensations depuis le mois d'avril. L' état général est bien meilleur aussi. La malade a engr
ande et, malgré ce régime, éprouve des défaillances continuelles. Cet état dure un mois, pendant lequel le poids du corps s'
e en apparence, nouvelles crises qui éclatent après chaque repas. Cet état dure trois jours. La boulimie reparait alors et
le est guérie. Au réveil (si l'on peut appeler ainsi la sortie d'un état aussi léger d'hypnose), au réveil, je dis à la ma
e tient difficilement sur la chaise, elle oscille constamment dans un état d'équilibre instable. Elle n'est ni paralytique,
lésion médullaire: on ne trouve qu'un seul élément saillant, c'est l' état d'hyperesthésie et d'hyper-excitabilité de l'orga
cessives et prendre les moulages de ces 17 couches superposées. A l' état de ramollissement, la substance cérébrale est en
deuils telle ou telle région difficile à examiner ou même à voir à l' état normal. En durcissant, la région ainsi préparée c
is cessé ; ils se renouvelaient même assez fréquemment. Elle apprit l' état de couturière et se plaça à Vienne, en Autriche,
ent. Bientôt on s'aperçut que la malade se réveillait parfois dans un état bien différent de son état normal et avec un cara
ue la malade se réveillait parfois dans un état bien différent de son état normal et avec un caractère qu'on ne lui connaiss
t avec un caractère qu'on ne lui connaissait pas. C'était une sorte d' état second, pour nous servir de l'expression du docte
inze jours. En général, les attaques de sommeil et le réveil dans « l' état second » se répétaient coup sur coup pendant quel
t, se renouvelaient comme nous venons de le dire. On comprend qu'un état pathologique semblable était intolérable pour la
s. Mlle X... était dans sa crise, mais réveillée (c'est-à-dire dans l' état second). Au bout de quelques instants, elle se ré
orsque Mlle X... s'endort d'elle-même et qu'elle se réveille dans son état second, son fiancé n'a aucun pouvoir sur elle ; c
d'une discussion avec son fiancé, et resta une journée entière dans l' état second. Je la vis alors pour la première fois dan
re dans l'état second. Je la vis alors pour la première fois dans cet état . Ce fut seulement le matin après la deuxième nuit
eulement le matin après la deuxième nuit qu'elle se réveilla dans son état normal. Pendant l'état second, Mlle X... change
a deuxième nuit qu'elle se réveilla dans son état normal. Pendant l' état second, Mlle X... change complètement de caractèr
change complètement de caractère.) Douce, aimable et un peu molle à l' état normal, elle devient impatiente, méchante, impétu
. Elle mange avec un meilleur appétit et digère beaucoup mieux qu'à l' état normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle cha
s marier de suite, pour que je puisse te faire marcher. » Revenue à l' état normal, elle ne se rappelle absolument rien de ce
ne se rappelle absolument rien de ce Qu'elle a dit ou fait pendant l' état second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s
à la main, parce qu'il voulait l'empêcher de sortir. En effet, dans l' état second, elle résiste vigoureusement lorsqu'on ess
le venait à commettre un délit ou un crime pendant qu'elle est dans l' état second, devrait-on lui en faire porter la respons
cé de Mlle X... ne la considère pas comme absolument imputable dans l' état second, bien qu'il la trouve fort désagréable. En
Elle vint donc chez moi le matin du 3 novembre. Elle était dans son état normal, mais pâle et défaite, le regard éteint, s
e 7, elle arrive chez moi avec son fiancé. Elle est de nouveau dans l' état second depuis une attaque de sommeil qui l'avait
as et veut s'en aller. La journée du 7 tout entière se passe dans l' état second. Elle joue aux dames, touche du piano, cha
e avec grand appétit et travaille activement. Quand elle est dans son état normal, elle perd toujours au jeu de dames, mais
rmal, elle perd toujours au jeu de dames, mais lorsqu'elle est dans l' état second, elle gagne au contraire toujours, me disa
n fiancé. Le lendemain, je lui rends visite. Elle est encore dans l' état second. Elle ne me reconnaît pas, et me demande c
fre rien de particulier, et, si je ne savais pas qu'elle est dans son état second, je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est
on état second, je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est pas dans son état normal. Sa mémoire est entière pour tout ce qui l
oire est entière pour tout ce qui lui est arrivé auparavant, dans les états seconds antérieurs comme dans l'état normal. Maïs
est arrivé auparavant, dans les états seconds antérieurs comme dans l' état normal. Maïs il lui arrive souvent, dans l'état s
térieurs comme dans l'état normal. Maïs il lui arrive souvent, dans l' état second, de ne pas reconnaître les personnes de sa
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa connaissance dans l' état prime. Elle me parle du Dr Ladame comme si elle s
roteste vivement. Le 9 novembre, elle se réveille au matin dans son état normal! après une .nuit plus calme. Elle ne peut
t qu'elle se sent « drôle ». Elle retombe en effet, peu après, dans l' état second. Dès lors, jusqu'au 18, elle a plusieurs c
evient chez moi, avec son fiancé, le 18 au matin. Elle est dans l' état second depuis quelques heures. Je la fais asseoir
fet. Il m'est alors facile de la réveiller et de la ramener ainsi à l' état normal. Elle consent enfin à tenter l'hypnotisme,
le 21. Elle arrive le 21, à l'heure convenue, avec son fiancé. Son état est toujours le même ; ses nuits très mauvaises.
ir, ne font que l'exaspérer. Sous l'influence d'un froid intense, l' état de contraction du système vasculaire périphérique
ar les latitudes élevées; irrégularités qui elles-mêmes engendrent un état congestif passif des plus dangereux. Tous ces d
n douloureuse, l'impression prolongée du froid humide fait passer à l' état chronique la phlogose des extrémités et avec l'ép
l de l'autre. Loin de se limiter. la gangrène envahit la jambe. L' état général ne tarda pas à s'aggraver, et le malade à
re que ce soit, dans ces régions inhospitalières, est. par suite de l' état congestif permanent des centres nerveux et de la
troubles de l'intelligence, dans les régions polaires, consiste en un état de nervosisme aigu, d'irritabilité excessive. P
IQUE Un livre italien. Le Magnétisme animal la fascination et les états hypnotiques, tel est le titre d'un livre publié p
jà été hypnotisés, l'hypnose ne suit plus cette marche graduelle. L' état magnétique pendant la veille, état dont la limite
t plus cette marche graduelle. L'état magnétique pendant la veille, état dont la limite est si difficile à établir, soulèv
elles obtenues sur des sujets hypnotisés, c'est-à-dire soustraits à l' état normal ? Tous les sophismes ne pourront jamais ri
s'est endormie et elle est pour ainsi dire condamnée à rester dans l' état où vous la voyez jusqu'au moment où elle se révei
ra pas, — quelques-unes de ses voisines, alors qu'elle était dans son état de sommeil, l'ont vue se lever, tendre les mains
t dans ceux qui frappent le plus l'imagination, est très analogue a l' état hypnotique. C'est, si l'on veut, un état sub-hypn
ation, est très analogue a l'état hypnotique. C'est, si l'on veut, un état sub-hypnotique, et la plupart des paralysies prod
équence d'une action personnelle de l'opérateur sur l'opéré, et que l' état dans lequel se trouvaient les prétendus magnétisé
l'état dans lequel se trouvaient les prétendus magnétisés n'est qu'un état subjectif, indépendant de tout fluide magnétique
raitement des maladies. Dans ce volume, il définit l'hypnotisme: « un état nerveux déterminé par des manœuvres artificielles
n caractère physique spécial. Un vol de billets de banque pendant l' état d'hypnotisme. Nous trouvons dans un des dernier
y », où il trouva dans la salle d'attente un gentleman plongé dans un état complet d'inconscience. Le docteur Hamett fut app
L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DE L'ANALOGIE ENTRE L' ÉTAT HYPNOTIQUE ET L'ÉTAT NORMAL Par M. J. DELBŒUF
IMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DE L'ANALOGIE ENTRE L'ÉTAT HYPNOTIQUE ET L' ÉTAT NORMAL Par M. J. DELBŒUF PROFESSEUR A L'UNIVE
Il est impossible de ne pas les prendre pour des personnes dans leur état normal. Ils resteront des heures entières hypnoti
aisant: « M'avez-vous oublié ? » Du reste, ils ne peuvent définir cet état , si ce n'est par des termes vagues, par exemple,
uvoir d'abolir le souvenir, et j'en use parfois. En résumé, entre l' état de veille hypnotique et l'état de veille naturell
j'en use parfois. En résumé, entre l'état de veille hypnotique et l' état de veille naturelle, il va tous les degrés imagin
naturelle, il va tous les degrés imaginables ; on peut restreindre l' état hypnotique à une trace imperceptible, par exemple
sonne ne pourra apercevoir en lui rien d'anormal. J'étends donc à l' état de veille et, dans la même mesure, l'identificati
la même mesure, l'identification que l'Ecole de Nancy établit, pour l' état de sommeil, entre l'hypnotisme et la condition no
d'un mois. Cette dame nous a raconté que Jeanne est arrivée dans un état de surexcitation extrême, en poussant des cris, s
raisonnement: pas de lamentations ni de récriminations exagérées. Cet état persistant, M. Briand juge possible de la rendre
é. Depuis l'âge de 22 ans, les attaques ont complètement disparu. L' état puerpéral pourrait expliquer à lui seul les accid
use à effet entre la séance d"hypnotisme et le délire consécutif. L' état puerpéral, joint au chagrin causé par l'enlèvemen
al réveillés ou réveilles sous une impression pénible restent dans un état de demi-conscience qui dure plus ou moins longtem
érapeutique, et c'est à elle qu'on doit la description classique de l' état hypnotique divisé en trois périodes bien connues
cole de Paris, ne sont donc pas exclusives ni caractéristiques de cet état particulier, mais on les voit dans toute autre es
procédé quelconque à l'endormir plus profondément, on transforme cet état en léthargie, et voilà com-ment : on presse avec
il y en a 50 hyp-notisables. 15 somnambules, 4 ou 5 suggestibles à l' état de veille. Cette proportion doit être, d'après le
je n'ai pas pu hypnotiser par les procédés usuels, est tombé dans un état tout à (ait semblable à l'hypnotisme, à la suite
jambe sans le réveiller, nous nous apercevons que ses muscles sont en état de contraction. 3. Dans le.sommeil nerveux, rie
dination volontaire. Or il est évident que la cause qui amène cet état particulier du cerveau est complètement indiffére
ines conditions particulières on peut faire de la suggestion môme à l' état de veille. Je suis même convaincu que l'accès d
mbulique de son attaque, m'ayant entendu dire à son entourage que cet état pouvait durer jusqu'à 40 jours, s'est laissé sugg
issé suggestionner par mes paroles, et est restée pendant 40 jours en état de somnambulisme; mais un seul fait ne suffit pas
coordination volontaire. 2. Quelle que soit la cause qui amène cet état particulier du cerveau, on peut voir se dérouler
endant l'accouchement, mais d'habitude avec plus de difficulté qu'à l' état normal. » 2° Pendant le travail, l'hypnotisme p
tement acceptée, ou à ce que la douleur utérine fait passer soit de l' état léthargique ou de l'état somnambulique â l'état d
que la douleur utérine fait passer soit de l'état léthargique ou de l' état somnambulique â l'état de veille. En d'autres ter
fait passer soit de l'état léthargique ou de l'état somnambulique â l' état de veille. En d'autres termes, la contraction uté
d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant en souffrant dans l' état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans
ffrant dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l' état premier : on peut conclure à tort de cette absenc
on, on laissera l'hypnotisme de côté et la parturiente, ramenée a son état normal, sera soumise, s'il y a lieu, aux anesthés
e. » 10° A côté de l'hypnotisme véritable, il y a la suggestion à l' état de veille, l'emploi du pseudo-chloroforme ou autr
sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les sujets en état d'hypnotisme. M. Dujardin-Beaumetz donne lectur
ver de différence. Six autres tubes renfermaient des substances à l' état de poudre; ils étaient enveloppés de papier blanc
accentué que celui-ci des Européens. Les Aïssaouas, qui se mettent en état de somnambulisme en secouant la tête d'avant en a
ctivité mentale et d'excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un état de prostration nerveuse qui faisait craindre l'an
font défaut. Il est d'abord certains malades qui se trouvent dans l' état de veille jour et .nuit; il leur est parfaitement
omettre leur sommeil de nuit. Inutile précaution : la nuit suivante l' état de ehoses est précisément le même, et ces malades
Symptôme commun à tous ces malades : si vous vous informez de leur état de santé antérieur, tous ont été affectés sans ex
e Dr Chazarain, de l'élude des agents physiques sur les sujets mis en état d'hypnotisme. 11 avait publié plusieurs mémoires
pparente; le sujet entend et a conscience pendant toute la durée de l' état hypnotique. Les trois prétendues phases de l'état
toute la durée de l'état hypnotique. Les trois prétendues phases de l' état hypnotique sont suggérées. 2° Chez les grandes
caprices de son individualité suggestive, qui l'obscurcissent. 4° L' état hypnotique n'est pas une névrose : les phénomènes
être obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel. 5 L' état hypnotique n'est pas particulier aux névropathes,
ie au réveil. Ce n'est pas un assoupissement douteux, ce n'est pas un état hypnotique fruste que j'obtiens chez eux, mais un
de résistance plus ou moins complète, etc. » Et. plus loin : t Dans l' état de sommeil comme dans l'état de veille, l'individ
omplète, etc. » Et. plus loin : t Dans l'état de sommeil comme dans l' état de veille, l'individualité morale de chaque sujet
ure : le sujet pense, raisonne, discute, accepte plus aisément qu'à l' état de veille, mais n'accepte pas toujours, etc. »
les phénomènes hypnotiques. Pour avoir une conception bien nette de l' état hypnotique, il ne suffit pas d'avoir assisté à qu
, c'est parce que nous savons manier la suggestion et reconnaître les états hypnotiques par leurs caractères psychiques, alor
: bromure de potassium, 2 grammes, et bains de Barèges. Le 11 mars, l' état antérieur restait le même, mais il s'est compliqu
u.., 55 ans, est entrée dans mon service, le 15 janvier 1888. dans un état de lypémanie avec hallucinations et agitation par
Traitement. — Bains, injections de morphine. 28 février 1888. — L' état étant resté le même, j'essaie de l'hypnotiser par
âgée de 31 ans, est entrée le 3 janvier 1888 dans mon service pour un état de dipsomanie remontant a plusieurs années. Pas
menstruelle, en raison de l'agitation maniaque, des violences et de l' état exotique qu'elles présentaient à ce moment. Le su
.., âgée de 20 ans, est entrée dans mon service il y a un an, dans un état d'agitation indescriptible. Elle était d'une viol
on cataméniale par une habitude de calme qui me parait influencer son état pendant le reste du mois, si j'en juge par la dif
t qu'elle irait au bout du monde pour ne pas retomber dans son ancien état . Depuis que le mieux s'est bien dessiné, elle est
. On m'a dit aussi que dans sa famille, elle reviendrait a son ancien état et que les vieilles habitudes reparaîtraient. Or,
on de bruits ou de mots ou l'exécution d'actes de circonstance. A l' état normal le cerveau travaille tout entier : c'est u
e produit des décharges d'un groupe cellulaire a un autre groupe. A l' état morbide, quelques éléments nerveux sont seuls act
ici quatre fois). Il suffoque bientôt, ses tempes se gonflent, son état fait mal. Enfin il roule à terre en catalepsie, e
quée et saccadée. Les tours qu'exécutent les Aïssaoua arrivés a cet état névropathique aigu ont été trop souvent décrits p
au moment où j'ai parlé de la jeune malade qui en était atteinte, son état était déjà beaucoup amélioré, mais elle n'était p
de, je m'étais borné i lui faire très fréquemment des suggestions à l' état de veille. Ce traitement avait surtout consisté d
n trois séances ; 4° Une dipsomanie datant de plus de dix ans, avec état mélancolique, guérie par la même méthode. M. Gr
ion du sommeil: Souvent, du reste, on peut agir par la suggestion à l' état de veille; M. Burot nous en a fourni un exemple h
irritables. Il n'y a aucun inconvénient à les laisser plongés dans l' état d'hypnotisme pendant plusieurs heures consécutive
en le vit, il reconnut immédiatement, quoique le malade ne fût pas en état de faire le moindre mouvement avec ses membres, q
se soucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l' état mental de leurs sujets. Quelques-uns faisaient pr
âte, un court extrait du chapitre que je consacre aux suggestions à l' état de veille; encore n'en serez-vous sans doute guèr
ai été amené peu à peu à m'occuper des suggestions d'actes faites à l' état de veille. Je n'avais jamais vu faire ces sortes
vais en elle moins de résistance quand je réitérais la suggestion à l' état de veille. Même, plusieurs suggestions faites exc
lle. Même, plusieurs suggestions faites exclusivement dans ce dernier état furent exactement réalisées, tandis que Mme T...
s éveillée sur ce point, je fis de nombreuses suggestions d'actes à l' état de veille et il me semble de plus en plus que. co
sistance chez le sujet mis en expérience, quand je le laissais en cet état , que quand je l'avais mis préalablement en somnam
ommunication avec tous les assistants, sans que rien révèle en lui un état psychique particulier. C'est encore à l'état de
rien révèle en lui un état psychique particulier. C'est encore à l' état de veille que. à la fin de 1883, (et, ce me sembl
rin, prima donna du théâtre de Nancy, etc.. etc. C'est dans le même état encore que je persuadai, un jour, à M. Th..., jeu
blé déjà, à la fin de 1883, que pour faire réussir une suggestion à l' état dit de veille, il y avait un certain changement d
e fixation du regard très énergique. Chez Mme D..., le changement d' état eût pu, si je l'avais voulu et si elle y eût cons
llement. Lorsque nous étions ainsi convaincu que notre sujet était en état de suggestibilité hypnotique, nous lui avons sugg
histoire ». de ne se jamais coucher sur le ventre et de rester dans l' état où nous l'avons mis jusqu'à ce qu'on lui touchât
logique. Déjà nos expériences nous ont appris qu'on pouvait, dans l' état d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant ; tr
re varier l'intensité et la modalité de ses perceptions; créer divers états d'inconscience, etc... Il est certain qu'il ne
ar une véritable gymnastique psychique qu'il devient possible, dans l' état d'hypnotisme, d'imprimer en peu de temps à l'espr
nstante terreur. A peine est-il sorti des lisières: à peine est-il en état de balbutier quelques mots, d'aligner quelques ph
y trompe pas. les terreurs dites spirituelles mènent tout droit à cet état spasmodique propre à la seconde enfance, et qu'on
ue (guérison par l'hypnotisme d'un), par Brémaud, 19. Déroulement d' états successifs de personnalité, par Mabille et Ramadi
ique en gynécologie, 223. Emotifs (phénomènes) chex les sujets en état d'hypnotisme par Luys. 75, 99. Enfants vicieux (t
ique. par Baréty, 22. Magnétisme animal (le), la fascination et les états hypnotiques, par Morselli.268. Maladies épidémiqu
Ollivier, 211. Pelade (la) et l'école, par Hardy, 213. Personnalité ( états successifs de), par Mabille et Ramadier. 42. Pe
Sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les sujets en état d'hypnotisme, par Luys. 75, 99, ?06. Sommeil à
12 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
re en doute l'existence des phénomènes fondamentaux qui constituent l' état d'hypnotisme. Tous ont été d'accord pour accept
rticulier par la suggestion, de provoquer chez les sujets une série d' états nerveux spéciaux, essentiellement différents de l
s une série d'états nerveux spéciaux, essentiellement différents de l' état de veille normal, et qu'il convient de ranger ces
le des actes délictueux et criminels qu'il accomplira, soit pendant l' état d'hypnotisme, soit après son réveil, â une époque
on a pu dire — je l'ai dit moi-même — que, en remettant le prévenu en état de somnambulisme, on renouera en lui la chaîne du
mnambulisme, on renouera en lui la chaîne du souvenir, interrompu à l' état normal, et qu'on lui demandera de donner tous les
'il ne s'agit point de suggestion, etc., etc. Réveillée et dans cet état que je crois pouvoir assimilera la condition seco
: « C'est fini, tout est » bien ! » Alors Mme M... reviendra à son état normal et n'éprouvera aucun malaise. Tout se pa
ouille les narines avec un corps dur, elle ne sent rien. Rendue à son état normal, elle a tout oublié. M. le professeur Be
ation négative ; Enfin, elle est anesthésique, parce qu'elle est en état de condition seconde, pendant la réalisation des
l'hypnotisme, et il a condamné le magnétiseur qui avait provoqué cet état par ses manœuvres. La certitude du fait est donc
t plus que les augmenter. Il fut forcé d'abandonner sa fille dans cet état et elle passa la nuit suivante dans des convulsio
et elle passa la nuit suivante dans des convulsions continuelles. Cet état se prolongea pendant huit jours. Ce fait n'est pa
ans ce cas particulier; mais combien d'autres se sont trouvés dans un état de subordination plus complète et n'avaient même
seil, pour chercher une garantie contre les déplorables effets de cet état de subordination ! Voici un autre fait relaté p
ses spontanées ; elle n'en » put venir à bout et l'abandonna. » Cet état dura plus de six mois, pendant lesquels la jeune
tées de somnambulisme. Elle n'aurait jamais osé pareille chose dans l' état de veille... ; un jour, cette femme s'est trouvée
le dessus. Ce qui caractérise la simulation, chez lui, c'est, en tout état de cause, la fixité du mobile, et surtout son ext
REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE UN NOUVEL ÉTAT PSYCHOLOGIQUE(1) Par M. Jules LIÉGEOIS PROFES
té coupable. Au cours de cette expérience, j'ai été amené à étudier l' état du sujet pendant que je réalise pour lui l'halluc
re ne fait aucune attention à mes paroles. D'abord je m'assure de l' état de la sensibilité : chose curieuse, celle-ci exis
à peu près toute la série des suggestions qui peuvent être faites à l' état de veille. Je les résume, ainsi qu'il suit, d'apr
à développer le thème que je lui ai donné. Elle paraît être dans un état absolument normal et tient tête à tous les assist
la suggestion opère ; Camille passe, sans transition apparente, de l' état d'hallucination négative dans lequel l'avait plon
'hallucination négative dans lequel l'avait plongée M. Liébeault. à l' état normal qui, pour elle, naturellement, s'accompagn
euvent être déduites. D'abord, on se trouve en présence d'un nouvel état hypnotique, et l'on constate que les phénomènes d
e véritable importance au fait de la suggestibilité des hypnotisés en état d'hallucination négative, c'est la considération
érapeutiques produisant tout l'effet qu'on en obtient dans les autres états hypnotiques ? Si le délire lui-même donnait au mé
ient y gagner : je ne vois pas ce qu'elles y pourraient perdre. LES ÉTATS PROFONDS DE L'HYPNOSE Par le Comt A. de ROCHAS
TATS PROFONDS DE L'HYPNOSE Par le Comt A. de ROCHAS I Les trois états de l'hypnose décrits par M. Charcot sont devenus
er des phénomènes qu'elle n'avait point découverts la première. Ces états sont : la léthargie, la catalepsie et le somnambu
médecins de la Salpêtrière semblent ne pas être allés plus loin que l' état somnambulique, puisqu'ils n'ont jamais signalé d'
qu'ils n'ont jamais signalé d'autres phases de l'hypnose que certains états secondaires reliant les étapes principales que no
arriver d'emblée à une phase ou à une autre de ce que l'on appelle l' état hypnotique, et cela en quelques secondes. Les m
Je suis parvenu à constater ainsi que le sujet passait par tous les états que j'ai décrits dans mon livre sur Les forces no
tes, mais il me fut impossible de constater de nouveaux changements d' états , parce que j'ignorais alors les phénomènes qu'il
rches (1) J'accepte le terme consacré de léthargie pour designer un état dans lequel le sujet présente une apparence de pr
e prostration beaucoup plus accentuée que dans les étais voisins. Cet état ou ces états (car on verra qu'il y en a toute une
n beaucoup plus accentuée que dans les étais voisins. Cet état ou ces états (car on verra qu'il y en a toute une série) sont
s figures 1 et 6 représentent Benoist dans la léthargie qui précède l' état de rapport et dans celle qui la suit; la figure 2
celle qui la suit; la figure 2 le montre au moment où il entre dans l' état de rapport. (1) Il y a des sujets facilement hy
imposant la main droite sur le front, je détermine en premier lieu l' état de crédulité, puis l'état léthargique caractérisé
ur le front, je détermine en premier lieu l'état de crédulité, puis l' état léthargique caractérisé par la con-tractibiliié m
l'état léthargique caractérisé par la con-tractibiliié musculaire, l' état cataleptique avec ses deux phases de rigidité et
c ses deux phases de rigidité et d'imitation automatique, un deuxième état léthargique sans contractibilité musculaire, et e
ans la période non encore étudiée scientifiquement, avec un troisième état de léthargie. Cette léthargie (fig. 1) n'est autr
'hypnose par l'application de la main gauche sur la tète, je ramène l' état somnambulique; si au contraire j'emploie la main
mnambulique; si au contraire j'emploie la main droite, je détermine l' état suivant que j'appelle l'état de rapport. Dans cet
j'emploie la main droite, je détermine l'état suivant que j'appelle l' état de rapport. Dans cette phase léthargique, la cont
ctibilité neuro-musculaire existe à peu près au même degré que dans l' état normal. ÉTAT DE RAPPORT. Le sujet n'est en ra
-musculaire existe à peu près au même degré que dans l'état normal. ÉTAT DE RAPPORT. Le sujet n'est en rapport qu'avec l
et n'est en rapport qu'avec le magnétiseur, quel qu'il soit (2) ; cet état , comme la catalepsie, présente deux phases. Dan
raiterai de l'effet des actions électriques, et je montrerai que si l' état de rapport est déterminé par un courant galvaniqu
plupart des sujets voient le fluide de l'opérateur quand ils sont à l' état de rapport ; je reviendrai également sur ce phéno
u'elle ne soit trop forte. Un caractère commun aux deux phases de l' état de rapport est un sentiment de béatitude extrêmem
te toujours si on veut le réveiller ou l'endormir davantage. Dans l' état de rapport, les phénomènes psychiques provoqués p
r suite du renversement de la tête en arrière; ils sont eux-mêmes à l' état de rapport, c'est-à-dire qu'ils ne voient que le
e est suspendue et où le pouls est sensiblement ralenti: puis vient l' état de sympathie. état de sympathie au contact. L
le pouls est sensiblement ralenti: puis vient l'état de sympathie. état de sympathie au contact. Le sujet continue a n'
ur et les personnes que touche celui-ci ; mais ce qui différencie cet état du pré- (i) Le Dr Baréty à fait, sur cet établi
on fait éprouver à ce tiers, et qui sont trop légères pour modifier l' état de son organisme, mais il ressent les symptômes d
mment il m'a répondu qu'il n'éprouvait rien de particulier. Après l' état de sympathie vient encore une période de léthargi
sympathie vient encore une période de léthargie dont le sujet sort en état de lucidité. état de lucidité. Le sujet voit
re une période de léthargie dont le sujet sort en état de lucidité. état de lucidité. Le sujet voit alors en plus les or
en rapport ; il les décrit avec les termes qui lui sont familiers a l' état de veille, surtout quand ces organes sont malades
ien il indique des remèdes provenant évidemment de ses souvenirs de l' état de veille: ainsi, dans une seconde expérience rel
it fausse et a recommandé des boissons rafraîchissantes. Dans cet état , le sujet acquiert une faculté nouvelle, c'est de
le plus simple par la concentration de la pensée, aussi bien dans cet état que dans les autres. Benoist n'arrive pas toujo
ans cet état que dans les autres. Benoist n'arrive pas toujours à l' état de lucidité; quelquefois je ne parviens pas à le
je ne parviens pas à le faire sortir de la léthargie qui précède cet état ; dans ces cas-la, il ne tient pas l'hypnose pour
les seuls. A mesure qu'on avance dans l'hypnose, les souvenirs de l' état de veille, surtout ceux qui ont trait aux individ
s, ni aucun détail sur eux. L'aptitude a la suggestion commence à l' état de crédulité ; elle parait atteindre son maximum
ambulisme, pour disparaître presque complètement dans les débuts de l' état de rapport. (1) Depuis que cet article a été éc
(1) Depuis que cet article a été écrit, pu déterminer chez Benoist l' état suivant que j'appelle Etat de sympathie à distanc
rmez-vous davantage. Au réveil vous ferez telle chose. REPONSES ÉTAT DE RAPPORT Oh oui! (Avec quelque hé-Benoist .
sais bien comme cela. (La suggestion ne s'exécute qu'en partie.) ÉTAT DE SYMPATHIE ÉTAT DE LUCIDITÉ Un peu lourd. (
ela. (La suggestion ne s'exécute qu'en partie.) ÉTAT DE SYMPATHIE ÉTAT DE LUCIDITÉ Un peu lourd. (Avec beaucoup d'hé
extrêmement sensible à la polarité, passe régulièrement par tous les états décrits plus haut (1) et va au delà. J'ai détermi
s, trois ou quatre séries de léthargies et de réveil apparent après l' état de lucidité; mais, ignorant les phénomènes qui le
ercher la suggestion mentale et je lai obtenue une fois a l'un de ces états extrêmes. J'ai pensé: « Leyez le bras droit. » il
gine à tel point les sentir lui-même, qu'il se lamente sur son triste état , lui, si jeune!— Il indique volontiers les remède
ans, forgeron, ancien chasseur à pied, a passé nettement par tous les états , jusqu'à la sympathie, et n'a pas été poussé au d
ent par deux personnes différentes, a donné les mêmes résultats ; à l' état de sympathie, il ressent les piqûres faites sur l
des inhalations qui marquent nettement chez Benoist les changements d' état . Mme X. ., 35 ans; Louise et Maria, 19 ans, lin
pour reconnaître les phases, aussi bien de l'aller que du retour. A l' état de somnambulisme, Mme X... a les yeux ouverts et
les et elle se continue avec une certaine intensité, jusque pendant l' état de rapport. Mme X..., R... et Maria ne se lèvent
lus que très difficilement de leur chaise après le réveil, quand, à l' état de rapport, ils en ont reçu l'ordre de ne pas pou
le commandement, jusqu'au somnambulisme, et, par exception, jusqu'à l' état de rapport, mais que lorsqu'on veut aller plus lo
faut employer des agents physiques. L'action de ces agents, dans les états profonds, montre bien que, dans les états inférie
ion de ces agents, dans les états profonds, montre bien que, dans les états inférieurs, ils agissent aussi, et que la théorie
i arrive. (1)Mme X... peut être poussée très loin et, dans tous les états autres que les états léthargiques, elle a les yeu
.. peut être poussée très loin et, dans tous les états autres que les états léthargiques, elle a les yeux ouverts, mais ne vo
c lesquels celui-ci la met en rapport. Les caractères spécifiques des états n'ont été détermines avec précision que jusqu'à l
écifiques des états n'ont été détermines avec précision que jusqu'à l' état de Sympathie à distance. Mme X... peut être rév
r cessé d'exister, comme force directrice. Déformé, pétri, réduit a l' état de pâte molle, il subit toutes les compressions,
al. Voyez comme on pourrait lui retourner tout ce qu'il écrit sur l' état de conviction des hypnotisés : « Il importe de
suggestion.» L'application qu'on pourrait faire de ces paroles à l' état psychologique de celui qui les a écrites n'est-el
t un certain temps. — Mais dès lors elle est retombée dans son ancien état . 5° Femme âgée de 28 ans. Cas de manie puerpé
aturel revient dans une certaine mesure. — Elle nous a quitte dans un état de santé très satisfaisant. SOCIÉTÉS SAVANTES
epsie franche, les membres gardant leurs attitudes, et tantôt dans un état de sommeil, naturel en apparence, et profond. A
onsidérer. Tout à l'heure, dans le deuxième groupe, nous démêlions un état mental particulier, un état mental qui, plaçant l
ans le deuxième groupe, nous démêlions un état mental particulier, un état mental qui, plaçant le sujet sur les limites de l
itre, désigné sous le nom d'exfra-phj-siologique. A présent, c'est un état mental décidément morbide que force est bien d'ad
cas, regardés comme autant de candidats à l'hystérie; si, encore à l' état latent, la névrose convulsive n'attend que l'occa
e que, au bout de peu de temps, ces suggestions artificielles sont en état de vaincre des causes organiques très puissantes.
DE BELOIQUE Bien que l'hallucination soit parfois compatible avec l' état de raison, elle n'en est pas moins l'expression d
ible avec l'état de raison, elle n'en est pas moins l'expression d'un état anormal de l'activité cérébrale^ bien qu'elle ne
péculatif qui. suivant une heureuse expression, est le critérium de l' état de raison. Chez l'aliéné, pourquoi Thallucination
s, comme il le dit fort justement, souvent dues à une inertie ou a un état spastique, inconnu dans sa nature, de certaines r
t spastique, inconnu dans sa nature, de certaines régions cérébrales, état qui aurait la plus grande analogie avec les modif
ble pour le but que nous poursuivons, par une suggestion faite dans l' état hypnotique. Ces paralysies, dit le docteur Lobe
tant psychiques que somatiques de l'hypnotisme peuvent s'obtenir à l' état de veille er sans qu'il soit nécessaire de faire
reux qu'on ne le pense, dit Charcot ; ¡1 semble, ajoute-t-il, « que l' état hypnotique qui, pour d'autres, est un état artifi
mble, ajoute-t-il, « que l'état hypnotique qui, pour d'autres, est un état artificiel, soit, pour ces singulières créatures,
tres, est un état artificiel, soit, pour ces singulières créatures, l' état ordinaire, si tant est qu'en pareille circonstanc
e, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse cire question d' état normal. Ces gens-là dorment, 3lors même qu'ils se
ble a la production des phénomènes hypnotiques, constitue seulement l' état favorable à l'établissement d'une aptitude qui do
u. 2* C'est en forçant encore l'analogie qu'on arrive à assimiler l' état mental dans l'hypnose avec un rêve ordinaire. Dan
es prémisses, si ce n'est celle-ci : que ce qui ressemble le plus à l' état mental de l'hypnotisé suggcstiblc, c'est l'état m
ressemble le plus à l'état mental de l'hypnotisé suggcstiblc, c'est l' état mental de l'halluciné morbide, et qu'en conséquen
on, comparer l'hvpnosc a une psvcbose, différant seulement des autres états de même espèce par la cause occasionnelle qui lut
nclure que les second* sont devenus hystériques ou l'étaient déjà a l' état latent. Cette conclusion est forcée, assurément,
e une déduction beaucoup plus simple et surtout plus logique, te même état mental che\ les uns et che^ les autres a suffi à
l'hypnose, ce qui par conséquent la caractérise nett.-ment, c'est un état mental particulier qui, sous le rapport psvcholog
eul, donne la clef de tous les phénomènes et domine la situation. Cet état mental particulier, c'est la suggestibilité, c'es
urs; je me suis borné à les constater de nouveau et à les classer par états en indiquant d'autres traits spécifiques; c'est c
nification absolue du mot extase (de statu dejicio, renversement de l' état ordinaire) semble légitimer cette manière de voir
ondre. Le bruit l'incommode et il désire le plus profond silence. Cet état est souvent suivi immédiatement de la crise compl
êve ce qu'il peut avoir entendu pendant le temps qu'il était dans cet état . Le bruit le réveille et l'incommode. $• degré.
que provoque un sommeil doux et léger; le magnétisé se trouve dans un état de bien-être qu'il ressent encore quelqu.- temps
quelqu.- temps après le réveil, 7* degré. Le magnétisé est dans un état apparent de sommeil ; ses paupières et tout son c
les suivants : Le magnétisé ne peut ouvrir les yeux ; ¡1 est dans an état apparent de sommeil; il est entièrement isolé et,
Le magnétisé roif. de plus, de* choses éloignées et étrangères à son état . Il prévoit des événements qui n'ont aucun rappor
a demi-crise. La sensation de bien-être si caractéristique de notre état de rapport semble cependant signalée dans le sixi
nc particularité que j'ai remarquée dans mon petit traitement, est un état de plaisir extrême que ressentent certains hommes
plaisir extrême que ressentent certains hommes, c'est une extase, un état extatique de plaisir qui surpasse tout autre conn
vu dans cet ciat-la. Je ne sais. Monsieur, si vous en avez vu dans l' état que je vous décris : // ne m'a jamais fallu p
il n'y remarque ordinairement que les parties qui ne sont pas dans l' état naturel et qui troublent l'harmonie. » c Sî une
rapportait et je voulus éprouver 1s somnsmbule sur une malade dont l' état me fût connu d'avance. Je la mis en conséquence e
e : ce fut M. Marc. Mlle Céline fut priée d'examiner avec attention l' état de la santé de notre collègue ; elle appliqua la
riences faites par ce dernier comité, que le sujet n'est pas dans son état normal, mais se trouve plongé dans le svmm meil m
hyperesthésie du sens du toucher que j'ai signalée pour Benoit dans l' état de lucidité, mais j'ai été, pour ainsi dire, témo
précède, on doit conclure que certains sujets peuvent, dans certains états de l'hypnose, éprouver les symptômes de la maladi
. Par conséquent, cette Symptomatologie serait plutôt artribuable à l' état de maladie provoquée du sujet en expérience, qu'à
u'on avait dû envoyer à l'hôpital de Rochefort. On prétendait qu'en état de somnambulisme, ce jeune homme répondait avec j
uction. Voici un autre fait plus fort que les précédents : étant en état de somnambulisme, le soldat révélateur déclara qu
grande facilité, mais aussi de réaliser chez lui des suggestions à l' état de veille. Après l'avoir mis dans l'état de som
ez lui des suggestions à l'état de veille. Après l'avoir mis dans l' état de somnambulisme, il ne restait plus cju'à vérifi
s dans l'état de somnambulisme, il ne restait plus cju'à vérifier son état de lucidité. Diverses expériences nous ont permis
auteur émet l'avis que la svmptomatologie est plutôt attribuable à l' état de maladie provoquée du sujet en expérience qu"à
respiration profonde, pénible et deux fois plus fréquente qu'à l* état normal : palpitations, pouls accéléré ; températu
'une même excitation d'un nerf donne des résultats opposés, suivant l' état où cette excitation surprend le centre. Le savant
de ces actes instinctifs, c'est leur prédominance qui constitue l' état magnétique ou hypnotique. A cette manière de vo
able. Mais il est non moins certain qu'on peut jeter quelqu'un dans l' état hypnotique, absolument sans son intervention, san
sme de la production du somnambulisme ? Nous savons qu'en dehors de l' état d'hypnotisation, le système nerveux est susceptib
sations viscérales: ces sensations agissent sur certains individus en état de sommeil, de façon à meure leur système nerveux
ux et mettant en jeu son activité, donnent naissance aux rêves dans l' état ordinaire, et aux phénomènes du somnambulisme nat
st pas autre chose qu'un acte réflexe dons lequel très probablement l' état vaso-moteur du cerveau, c'est-à-dire son état vas
uel très probablement l'état vaso-moteur du cerveau, c'est-à-dire son état vasculairc, est modifié de façon à le rendre anal
dans le sommeil spontané. .Mais pendant que l'individu est ainsi en état de somnolence, de sommeil, que son intelligence e
st l'hypnotisme convulsif, pouvant présenter toutes les variétés de l' état convulsif ; ainsi, il peut être tonique, catalept
le somnambulisme, c'est commettre une grave erreur; le sommeil est un état passif, un état d'inertie; le somnambulisme est,
, c'est commettre une grave erreur; le sommeil est un état passif, un état d'inertie; le somnambulisme est, au contraire, un
tat passif, un état d'inertie; le somnambulisme est, au contraire, un état éminemment actif, pendant lequel le sujet sent bi
questions qu'on lui pose, et il peut vivre pendant longtemps dans cet état . On a vu des individus agir avec suite dans cet
temps dans cet état. On a vu des individus agir avec suite dans cet état , se rappelant parfaitement ce qu'ils faisaient, d
état, se rappelant parfaitement ce qu'ils faisaient, de façon que cet état chez eux ne différait presque pas de leur état no
ient, de façon que cet état chez eux ne différait presque pas de leur état normal; et cela peut se prolonger pendant des sem
étouffant en quelque sorte tout le reste; et les actes posés dans cet état échappaient à la conscience, a la mémoire et auss
Il y a la forme suggestive, lasuggesùqn, non pas la suggestion dans l' état somnambulique, où l'individu qui est en cet état
la suggestion dans l'état somnambulique, où l'individu qui est en cet état devient en quelque sorte la chose de celui qui l'
tisme, cela nous suffit. Nous savons aussi que l'on produit les trois états de léthargie, de catalepsie et de somnambulisme a
at, une sorte d'élancement. Ces élancements ne se produisent qu'a l' état de veille, jamais pendant le sommeil, ei ne r
C'est alors que le malade vit le Df Tillaux qui, en piésence de son état nerveux, l'adressa au Dr Mesnet. L'n examen min
par suggestion. Un engourdissement notable est déterminé. — Quoique l' état d'hypnotisme obtenu soit peu profond, on lui sugg
Les 11 et 18 mars, on renouvelle les mêmes suggestions, dans le même état . Le 18, le malade accuse du mieux. Les élancement
rvice de l'Hôtel-Dieu. On constate sur lui les divers phénomènes de l' état d'hypnotisme. Depuis lors, nous avons souvent r
des qu'il les faut traiter. Quant aux nerveux proprement dits, leur état purement et simplement extra-physiologique se rec
r des images visuelles ou auditives anciennement perçues par lui. a l' état de veille, il possède au plus haut degré l'hyperm
nous cherchons a rappeler. Nous possédons une série de souvenirs a l' état latent que nous n'avons pas eu l'occasion d'évoqu
gaces réapparaissent. Comme le fait justement observer M. Ballet, l' état de ce malade trouve son analogue dans un et a: qu
ngés dans un des degrés de l'hypnotisme, tandis que cet homme es: u l' état de veille. A ce sujet, M. Ballet a rappelé un fai
it qu'a eux. Un jour, pendant qu'on montrait une femme plongée dans l' état de somnambulisme a une réunion de médeoins, l'un
de médeoins, l'un d'eux dit qu il serait curieux de savoir si. en cet état , il serait possible de faire deviner j la femme e
. ordinaire, elle n'avait pas gardé son souvenir, et il avait fallu l' état spécial-pathologique du somnambulisme pour ravive
r.c lucidité spé-: cïole, tandis quil s'agissait tout simplement d'un état dnypermric'sie qui sel manifeste dans un certain
t d'un état dnypermric'sie qui sel manifeste dans un certain nombre d' états nerveux et, en particulier, dans le somnambulisme
l'extraction qui lui était faite, il fallait qu'il fût plongé dans un état de sommeil exceptionnel. L'hypnotisme pourrait se
Med. Obosr., t. XXX. p. 433. Moskwa. 1888. de lagrave : Hypnotisme, états intermédiaires entre le sommeil et la veille. Par
générale de Droit, mai- juin 1888.) lombroso: L'hypnotisme et les états voisins. (Archiv, di psichiatria, 1888.) Luys : D
tion d'hrstérie avec aptitude à l'hypnotisme et aux suggestions à l' état de veille- (Arch. de médecine militaire, juin 188
ite d'attirer sérieusement notre attention, à nous, médecins, c'est l' état morbide qui lui est particulier et encore peu étu
ais il est facile d'en provoquer et môme de les faire durer pendant l' état de veille. Une paralysie dn bras et de la jambe g
à plus complète et rhvperexcitabilité musculaire exagérée. C'était un état de léthargie que je venais de créer à mon insu. C
e le somnambulisme comme la oata- I lepsîc et la léthargie sont des états particuliers du système nerveux qui peuvent se dé
directement et spontanément, par une cause subite, dans un des trois états , l'idée n'a été pour rien: c'est la rupture de l'
re nerveux dans un certain sens qui les a placés dans l'un ou l'autre état , la léthargie étant un eut d'engourdissement céré
ns être fatigué, comme s'il venait de se promener dans la cour. A l' état de somnambulisme, F... a la mémoire complète: il
out ce qui s'est passé dans les périodes analogues, mais encore à son état normal: c'est ainsi qu'il a pu fournir des rensei
i qu'il a pu fournir des renseignements qu'il ignorait absolument à 1 état dé] veille. A ce point de vue. il n'a pas été p
t, que l'on tienne compte de cette loi physiologique, et l'on sera en état de peser ce que vaut l'intrusion du surnaturel da
e céphalo-rachidien n'ont pas pour effet bientôt, soit d'engendrer un état congestif des méninges avec son lugubre cortège d
l'irritabilité maladive qu'entraîne, comme conséquence, un semblable état nerveux, que Ton veuille bien ne pas perdre de vu
nstatation, le professeur Kwald ne pourra se refuser à accepter que l' état névropathique de la population de la Lorraine se
ée avec tant de satisfaction par M. Nussbaum, tombe d'elle-même. Ni l' état nerveux spécial, ni la différence du sexe ne sont
surpasse même en quelque, points, au moins dans l'exposé complet de l' état actuel de 1 hypnotisme en Belgique, en Hollande,
éfia la population de Paimbœuf par ses expériences • d'hypnotisme ù l' état de veille (?) «. dans lesquelles il semblait obte
Je suis convaincu que le viol pourrait être commis sur elle dans cet état , sans qu'elle oppose la moindre résistance. Cel
l'esprit, effaçait, a pu être reconstitué. Rien ne se passe dans l' état hypnotique qui ne puisse se pro-: duire à l'état
n ne se passe dans l'état hypnotique qui ne puisse se pro-: duire à l' état de veille ! Ne sommes-nous pas sujets, dans une c
vue médico-légal. Certaines femmes, j'en ai ;u conviction,! dans cet état d'hallucination négative, se laisseraient violer
personnes, et ce qui l'a le plus impressionnée, c'est de les voir en état de catalepsie. Aussi n'osa-r>ellc pas se faire
et elle est même tombée une fois a la renverse. 0:i la tirait de cet état en lui soufflant sur les yeux. Elle est retournée
tiseur a cru qu'elle dormait, et même, comme elle ne sortait pas de l' état où l'avaient plongée les tentatives d'hypno-
lle dormait. On lui appuyait sur la tetc et elle tombait dans le même état que chez le magnétiseur: on lui faisait des sugge
sait seulement qu'elle était très impressionnée. Elle ne sort de cet état que pour tomber dans des sortes de crises, que pr
ères restent fermées et sont agitées d'un clignotement continuel. Cet état de raideur dure environ une à deux minute*, pour
lade reste toujours, cependant, immobile et les yeux termes. Dans cet état , on peut, en insistant, obtenir d'elle quelques r
ssi a plusijurs reprises et voyant que la malade était suggcstibleà l' état de veille, je lui 6s plusieurs suggestions, lui d
de défaillance, mais sans raideurs. L'amélioration survenue dans l' état mental se maintint, mais au bout de ces huit jour
uggestion, un caractère spécial, leur donnant l'apparence de certains états hypnotiques. Nous croyons, d'ailleurs, avoir suff
t d'autant plus possible que la malade est très suggesiible. même à l' état de veille ; d'un autre côté, si l'emploi de la su
l'état de veille ; d'un autre côté, si l'emploi de la suggestion à l' état de veille peut avoir ici quelque action curative,
vait plus digérer ses aliments sans les assaisonner de fi% naigre. Un état d'à languisse ment ne tarda pas à se manifester a
desquelles In malade aurait atrocement souffert, si elle eût été à l' état de veille. Avec l'hypnotisme, plus de surveillanc
montre une fois de plus que l'hystérie peut exister chez l'homme à l' état virtuel et ne se manifester que par des stigmates
ts, après quelques mois d'expériences consécutives, tombaient dans un état de cachexie profonde. Je suis donc d'avis qu'il e
parfois a cette malade de s'endormir subitement et de rester dans cet état pendant plusieurs heures et même plusieurs jours,
stituer la théorie. Il est bien vrai que l'idée que l'on se fait de l' état hypnotique doit avoir une certaine influence sur
notiques puisse être considérée comme définitive; mais, même dans cet état provisoire de la science et quelle que soit l'exp
survenant dans !e cours du* sommeil ordinaire. Si, par le fait de cet état anormal, de ce trouble nerveux passager, des acci
persistante, d'une somnolence invincible. Il. se déclara chez lui un état d'affaiblissement et de torpeur intellectuels qui
eprésentations théâtrales peuvent développer immédiatement différents états morbides, dont quelques-uns du moins ont un carac
se soucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l' état mental des sujets. Quelques-uns faisaient preuve
le nombre des individus facilement hypnotisables, et je considère cet état comme une véritable infirmité, comme une complica
tudes, à leur expérience, réussiront mieux que d'au-, à .cvcloppiri l' état hypnotique. On pourra donc les utiliser, et l'on
que l'écriture dans l'hypnose se distingue aisément de l'écriture à l' état de veille. Le saccadé, si caractéristique, des mo
uguré son service par une conférence publique sur l'hypnotisme et les états analogues. C'était la première fois que l'hypnoti
initiative prise par M. le professeur Preyer. m. d. Vols dans l' état de somnambulisme. Nous trouvons dans un journal
a à son dégradant métier sur l'injonction qui lui en fut faite dans l' état de sommeil artificiel. En même temps j'apportais
le d'un jeune idiot dont j'avais, par le même procédé et dans le même état , excité le peu d'intelligence qu'il possédait pui
léger que de sommeil profond, n'ont amené aucune amélioration dans l' état de cette per- ; sonne, sans doute parce que les s
apprendre. — Malgré de nombreuses séances de suggestion, pendant les états de sommeils léger et profond, je ne suis arrivé à
fruits: mais dès qu il a cessé d'être hypnotisé, il est revenu à son état intellectuel ordinaire. 13. — 8 décembre. — P..
telligence de cette jeune fille est médiocre. — 7 suggestions dans, l' état de somnolence ont abouti à un résultat nul. 19.
. Il n'y a pas une action d'Elise B... qu'elle n'eût pu accomplir ù l' état de veille. Tout ce qu'elle fait ou se laisse fair
nicnl "•Pressant Jc M. lier^ion, sur La Simulation inconsciente dans " état dTtypnotisme, fcptrtage absolument l'aride M. B«r
tion qui remplira le cône de vide. C'est ainsi que nous-mêmes, dans l' état de veille, savons voir, à travers la cloison qui
pour autre chose qu'une faculté merveilleuse de notre être. C'est un état particulier du système nerveux, susceptible, comm
t un état particulier du système nerveux, susceptible, comme tous les états psychiques, d'une minutieuse et rigoureuse analys
e rappeler des noms, des figures, mille incidents de sa vie dont, à l' état de veille, elle ne garde nul souvenir? N'est-il p
parut cette description si précise, si nettement objective des trois états hypnotiques, la léthargie, la catalepsie et le so
e* attitudes varices qu'on leur imprime; enfin, le somnambulisme. Cet état s'obtient, on le sait, en exerçant un léger frôle
ègue, M. le professeur Charcot, eut tracé la description de ces trots états , on put dire que l'hypnotisme avait conquis son d
es doutes au récit des particularités qu'on observe dans le troisième état ou état de somnambulisme. Les manifestations de c
s au récit des particularités qu'on observe dans le troisième état ou état de somnambulisme. Les manifestations de cet état
le troisième état ou état de somnambulisme. Les manifestations de cet état sont celles, en erTci, qui ont longtemps défrayé
l. Mlle X... est endormie ci, tandis qu'elle est au plus profond de l' état hypnotique, on lui suggère l'ordre d'aller, deux
souvenir de l'ordre suggéré. Mais cet ordre est dans son cerveau â l' état de souvenir latent, et, à l'heure dite, poussée p
prudent pour eux d'opérer directement et sans intermédiaire. Mais l' état hypnotique n'est pas la condition obligée de la s
l'ai dit, la condition indispensable. D'ailleurs, la suggestion à l' état de veille ne jouc-t-e)Ie pas un rôle considérable
ée du mardi 5 avril 1887, 1j malade nous est apportée à l'hôpital, en état complet d'ivresse et en pleine attaque d'hystérie
ystériques de la grande espèce, et qu'il n'y a rien de grave dans son état . Cette femme, en effet, a des attaques d: somme
e une paraplégie dont elle ne guérira évidemment pas. On a appelé l' état dans lequel est cette femme crise de sommeil : le
e ce que nous appelons une salutation incomplète. Eh bien ! c'est cet état de tension et d'agitation si différent de ce que
assique. Mais, nous dira-t-on, pourquoi ne s'agirait-îl pas la de l' état de mal cpileptique où l'on vibre aussi, où l'on n
se ; les symptômes que je viens d'indiquer manquent absolument dans l' état de mal. l.'état de mal est un état très grave, qu
ndiquer manquent absolument dans l'état de mal. l.'état de mal est un état très grave, qui souvent se termine par la mort; i
es.trahissant par la l'intime union, ou mieux l'intime parenté de ces états connexes, l'hystérie, les attaques de sommeil et
ien un peu d'amaigrissement dû ù l'autophagic, mais sans gravité. L' état de sommeil hystérique ne peut être confondu en au
sir lm nomenclature, déjà si chargée, des phénomènes hystériques. L' état de raideur de notre malade rappelle aussi l'attaq
uels la névrose fût peut-être toujours restée en germe, passaient à l' état d'hystériques eomulsifs ou hallucinés, incapables
français ou éirangers, dans notre publication sur rHyp-noiisme et les états analogues au point de tue médico-légal. Parfois
ofession, mais autrefois magnétiseur, n'avait pas hésité à violer, en état d'hypnotisme, une malheureuse jeune fille qui éta
ve le malade et, le i" novembre 1886. le revoit toujours dans le même état . Il est typique avec son bas de corps inerte, son
aisés; la force reviendra dans vos membres inférieurs, qui seront en état de vous supporter; la sensibilité va renaître aux
tous les degrés d'un étage, pour aller se promener dans la cour. L' état des réflexes rotuliens ne s'est pas néanmoins mod
nulle à droite et très affaiblie à gauche, atteint rapidement 1/10. L' état général, au moral et au physique, s'améliore de j
pas de suivre à partir de la fin de février 1887, reste dans le même état jusqu'à la lin de mai, conservant tout le bénéfic
aigri. Très fatigué depuis deux semaines, il a dû s'aliter... Son état >'aggrave rapidement pendant le peu de temps q
lendemain, et l'examen microscopique soigneusement fait a confirmé l' état de sclérose en Îlots dissémines dans presque tout
fût de l'appareil nerveux optique, ni plaques de sclérose, ni même un état d'atrophie partielle do nerf qui avait été réputé
ines malades, ¦boique aucun symptôme n'ait, pendant la vie, trahi cet état . En résume, les principales paralysies notées p
méronnuc ouvertement. L'aigreur déborde. %tt hostilités s'ouvrent, L' état de guerre devient permanent. S'agit-il par occurr
et les immenses services qu'on attend d'eux. La morosité chagrine, l' état d'irritation sourde, l'aigreur qui parfois percen
n'est dans les écoles de la Faculté de théologie. Ils sont rivaux par état de la puissance séculière, et la morale de ces ri
pathiques.au cou. dorment comme si la circulation cérébrale était à l' état normal, c'est-à-dire lorsqu'elle peut cesser par
rébrale par contraction vasculairc. mais encore peut exister malgré l' état inverse, c'est-à-dire une hyperhémie même notable
irritation quelque part et peut-être en plusieurs points, pendant cet état périodique de cessation de l'activité intellectue
cette conclusion, que Ha* mental dt ce» malade» peut dire compare à 1 état mental de 1 h? pno us*. M. le Dr Lober avait su
es successives de sa maladie hypnotique, rapprochées de l'examen de l' état actuel comme terme de comparaison. Dès 188;. el
ait été •acile. pendant toute la durée du travail, de la maintenir en état somnambuiique continu, et. par ce moyen, de lui f
yperesthésic neuro-musculaire étaient très manifestes sur les bras en état cataleptique. — la plus légère pression, le moind
es d'impression médullaire, qui ne se manifestent chez eUe que dans l' état cataleptique. L'exercice des organes des sens,
sur les questions qu'on lui adresse, la rapprochent à tel point de l' état normal, qu'on pourrait mettre en doute la réalité
statation des faits physiques persistants et patho-gnomoniques de son état mental, de même qu'à la perte complète de la mémo
venir au réveil, et de le lui représenter pour la troisième fois, à l' état de veille, comme un objet nouveau qu'elle n'avait
la scission qui s'opère dans l'exercice de la mémoire, d'une part à l' état de veille, d'autre part à l'état de sommeil hypno
ercice de la mémoire, d'une part à l'état de veille, d'autre part à l' état de sommeil hypnotique, soit aujourd'hui vérité dé
ant de rechercher si le temps écoulé avait modifié en quelque chose l' état de ma malade et de constater, de visu, si je la r
de distance. A ce moment. Alix était immobile, silencieuse, dans l' état de calme et de quiétude que donne le somnambulism
vir que très incomplètement de sa main gauche, qui est à ce moment en état de parésie et presque sans mouvemenl. R. — Ce s
ublié. — elle n'a rien vu, ne sait rien. Je lui présente alors, à l' état de veille, ces mêmes étrennes qu'elle ne connaît
le souvenir au réveil, et le lui présenter pour !a troisième fois à l' état de veille, comme un objet nouveau, qu'elle n'avai
pêcher de choir de sa chaise; die était, du somnambulisme, passée à l' état léthargique. Revenue quelques minutes après au
avec le monde extérieur, réalise son maximum de développement dans l' état de fascination. Le malade fasciné, devenu instrum
rvation, qui n'a jamais été publiée, les quelques pages relatives à l' état spécial des organes des sens, et je vous les prés
crie fort, qu'on la secoue violemment, rien n'y fait, elle reste à l' état de corps inerte. — Entendez-vous ces messieurs
d et qui peut être considéré comme constant chez les fascinés, dont l' état représente le summum de puissance de la concentra
degré d'obtusion de ces mêmes facultés quand la malade, toujours à l' état d'hypnotisme, abandonnée à elle-même, restait sur
étermine dans l'ensemble des facultés mentales, chez ces malades, à l' état de somnambulisme complet, ou de fascination, tels
e choc de l'acte hvpnotique. Vous l'avez devant vous immobile dans un état d'abandon personnel qui le laisse sous la dépenda
itée. Il en est de même, quoique à un moindre degré, chez i'homme à l' état de veille. Je considère les hallucinations produi
de rappeler quelques faits bien connus. Les perceptions dans certains états mentaux, dus à une surexcitation des centres perc
4. pour la réussite des expériences dont il va être question. Ces états d'esprit sont provoqués par l'opérateur. Ce derni
s auditeurs à admettre tout ce qu'ils leur racontent et. dans cet état de crédivité. à sentir tout ce qu'ils leur suggèr
s méthodiques. Continuons donc l'expérience. Toutes choses étant en état , je prie mon sujet émerveillé, et encore quelque
oint, je ne parle ici que d'expériences tentées sur des personnes à f état de veille et que je n'avais, personnellement, jam
lucidité d'esprit. Chaque lois qu'il m'est arrivé de tomber dans l' état que je viens de décrire, j'ai pu ouvrir les yeux
ataleptique, envoyer chercher le médecin, car je ne me sentais pas en état de lui faire sentir son erreur. De là, en parti
omie du système nerveux de Thomme, par Zernoff. i8S5. Rapport sur l' état des asiles d'aliénés de VEmpire russe, par Archan
in-8a, 92 pages, 1888. Gilles de la Tourette. — L'Hypnotisme et les états analogues, au point de vue médico-légal, 2« éditi
ME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DES HALLUCINATIONS SUGGÉRÉES A L' ÉTAT DE VEILLE Par Chili YUNG Résultats. — Voici l
llucination par suggestion ne me parait pas être le résultat d'un état pathologique (1), je la considère comme un fait n
'ailleurs, ai l'hallucination provoquée est en correspondance avec un état mental particulier, il faut convenir que nous pou
mental particulier, il faut convenir que nous pouvons considérer cet état comme normal, puisqu'il se rencontre cher la gran
xiste un langage écrit, parlé, mimé et d attouchement, qui réagit à l' état de veille sur notre âme et modifie son état consc
ouchement, qui réagit à l'état de veille sur notre âme et modifie son état conscient et inconscient). (i) Nous conserveron
ble conscient et inconscient, soient, au moins momentanément, dans un état d'activité moins concentrée que ceux de A, dans u
ment, dans un état d'activité moins concentrée que ceux de A, dans un état plus ou moins dissocié relativement à eux. Dès qu
suivant la manière dont on les suggère. L'amnésie, la suggestion à l' état de veille, le sommeil hypnotique, ne sont que des
érer à mes hypnotisés que mes suggestions produiraient leur effet à l' état de veille comme pendant le sommeil, tous mes hypn
pendant le sommeil, tous mes hypnotisés sont devenus suggestibles à l' état de veille. L'action de souffler sur le visage n
général, avec un peu de patience et d adresse. Ce sont en général des états affectifs, des émotions, la perte de la confiance
if et du côté objectif un des faits intellectuels que nous appelons « états de conscience » (une pensée abstraite, une percep
er l'éclairage objectif et sommaire que nous appelons conscience. Les états de conscience successifs sont donc simplement le
de conscience successifs sont donc simplement le miroir subjectil des états successifs de notre attention, c'est-à-dire des c
endantes, mais soit leur intensité, soit leur qualité diffère. Dans l' état de sommeil, dans le rêve, les représentations ont
entations ont la qualité subjective (consciente) des perceptions de l' état de veille, c'est-à-dire celle d'hallucinations, p
irritation sensorielle périphérique correspondante. La perception à l' état de veille n'en est pas moins, comme on le sait, u
ons d'abord ce qui se passe lors d'une de ces suggestions simples à l' état de veille que tout le monde a éprouvées; je prei:
e). Il y a là deux faits : une dissociation dans l'enchaînement des états de conscience et un phénomène de dynamogénie céré
dépendra aussi du degré de sommeil ou de veille. On sait que tous les états intermédiaires se produisent et que la veille som
r hypnotiser par le docteur Von Speyr et par moi. Il rend compte de l' état éprouvé par lui d'une façon qui confirme entièrem
compli conformément àia suggestion. La malade, très satisfaite de son état , a quitté la ville. REVUE DE LA PRESSE fLes p
le récipient arec les mains. Il est intéressant de constater qu'un état morbide ancien et réputé incurable a été rapideme
traitées le plus {rapidement possible. En même temps qu'on agît sur l' état général par les reconstituants, il faut aussi agi
sir, il est nécessaire de commencer ce traitement de bonne heure. L' état mental des mourants M. Féré a dernièrement comm
nièrement communiqué à la Société de biologie une note curieuse sur l' état mental des mourants. Il n'est personne qui n'ait
es Hypnotismus. 2e éd.. Stuttgart, 1889. In-8. 9s p. luys : Sur l' état de fascination déterminé chez l'homme a l'aide de
e petit hypnotisme c'est l'hypnotisme de Nancy), comprend une série d' états encore mal définis et mal classés : on pourrait m
es à ce paragraphe : « Nous n'irons pas plus loin dans l'étude de ces états si mal définis et si mal classés, vu l'absence de
note intitulée : a Essai d'une distinction noso-graphique des divers états nerveux compris sous le nom d'hypnotisme », M. Ch
servent chez les sujets hypnotisés ne répondent pas à un seul et même état nerveux. En réalité, l'hypnotisme représente clin
sme représente cliniquement un groupe naturel, comprenant une série d' états nerveux différents les uns des autres, chacun d'e
acher à bien définir, d'après leurs caractères génériques, ces divers états nerveux avant d'entrer dans l'étude approfondie d
le du moins. Une analyse littérale semblerait indiquer que les divers états nerveux dont il s'agit ne font pas partie d'une m
ne font pas partie d'une même unité morbide ; qu'ils constituent des états morbides noso-graphiquement différents. Il n'en e
variétés de l'hypnose sont des formes morbides distinctes et non des états noso-graphiquement différents ; au fond, il n'y a
e l'hystérie et l'épilepsie, pour prendre un exemple opposé, sont des états morbides bien distincts. Les divers modes de l'hy
tiques. On doit donc interprêter les termes de Charcot dans le sens d' états nerveux svmptomatologiquement différents. Le gr
différents. Le grand hypnotisme peut se traduire par l'un des trois états suivants: la catalepsie, la léthargie, le somnamb
ts suivants: la catalepsie, la léthargie, le somnambulisme. Ces trois états , qui peuvent se succéder dans le cours d'une même
ens procédés du braidisme. On peut aussi faire passer un sujet de l' état de léthargie à l'état de catalepsie, en lui ouvra
sme. On peut aussi faire passer un sujet de l'état de léthargie à l' état de catalepsie, en lui ouvrant les yeux devant un
— Ceci prouve bien, comme je le disais plus haut, que ces divers états nerveux ne sont pas des maladies distinctes et pe
r des termes de passage les uns par rapport aux autres. Un sujet en état de catalepsie est immobile, fasciné, les yeux ouv
oquer des hallucinations et déterminer des impulsions. C'est dans l' état de rigidité cataleptique que l'on peut maintenir
ans possibilité pour lui de s'en détacher, malgré ses cfForts. 2° L' état de léthargie est développé par la fixation d'un o
une certaine distance. — On peut aussi le déterminer chez un sujet en état de catalepsie par l'occlusion des paupières ou le
gé, ou bien il monte aux lèvres un peu d'écume. Les caractères de l' état léthargique sont les suivants : le sujet a l'air
in degré d'activité sensorielle. On a cru quelque temps que, dans cet état , toute suggestion était impossible ; mais cette o
lexes tendineux sont exagérés. Tels sont les signes principaux de l' état de léthargie : mais le phénomène capital, essenti
cien magnétisme. On l'obtient aussi en exerçant, chez un sujet en état de catalepsie ou de léthargie, une friction légèr
appréciation d'un élément suggestif. C'est là, en effet, le véritable état de suggestibilité, le vrai sommeil magnétique ; o
ins. Nous venons de voir, en passant rapidement en revue les divers états hypnotiques, qu'il est possible de faire passer s
ed absolu des théories de la Salpêtrière: on n'est plus en présence d' états nerveux distincts, mais bien d'un même état nerve
n'est plus en présence d'états nerveux distincts, mais bien d'un même état nerveux offrant des degrés variables. La léthargi
ables. La léthargie, la catalepsie. le somnambulisme ne sont plus des états nettement séparés et différenciés, ce ne sont plu
térise l'hypnotisme de Nancy, ce n est plus la production de certains états nerveux symptomatologique-ment différents; c'est,
états nerveux symptomatologique-ment différents; c'est, d'un mot, un état de suçgestibilité à des degrés divers. Les troubl
ises, par des suggestions réitérées, soit pendant l'hypnose, soit à l' état de veille, d'obtenir un sommeil sans contractures
i8Si, elle lut atteinte de suette miliaire, affection qui régnait à l' état d'épidémie dans sa localité. Sa convalescence fut
elle se calma, devint très concentrée, parlant peu, et tomba dans un état voisin de l'idiotisme. Après quatre mois de séjou
s époques. Apres un mois et demi de traitement par 1a suggestion, l' état s'était amélioré. L'appétit était revenu; le somm
evint paralytique, et son émaciation devint extrême. C'est dans cet état qu'elle entra à la Pitié dans le service de M. le
d, car elle en gardait une petite quantité après chaque gavage. Son état s'aggravait tous les jours et l'on pouvait se dem
ans le cas présent nous n'avons pu nous en défendre. C'est dans cet état misérable que je la vis pour la première fois le
veillée, il lui était impossible d'avaler une gorgée d'eau ; dsns cet état clic n'avait fait aucun progrès. J'eus l'idée d
ssivement pendant ses repas et de la faire manger chaque jour dans un état de plus en plus voisin de la veille. Ce traitem
se sondant toujours, mais mangeant bien, et, somme toute, dans un bon état . Jusqu'au mois de mai 1888, tout alla bien, mai
tte époque la dysphagic reparut, et la malade retomba bientôt dans un état aussi grave que celui qui avait nécessité son ent
un de ses repas, je pris le parti de la laisser indéfiniment dans son état somnambulique. Je ne pus obtenir ce résultat que
Mais cette fois je n'étais pas arrivé à la guérir de la dvsphagie à l' état de veille, et, une fois réveillée, il lui était i
e du reste fort bien et ne songe pas à s'en plaindre, vu que dans cet état elle mange bien. Le seul inconvénient de ce mod
supplier elle-même de la rendormir, d'autant plus que, dans ce nouvel état , la dvsphagie avait reparu aussi violente qu'autr
ssions, oppose celles-ci aux émotions; les émotions, dit-il, sont des états normaux et réguliers qui résultent de l'exercice
insensés de ma femme et qu'ii me délivrât un certificat constatant l' état de son esprit, et au moyen duquel il *"C serait p
donc fort important de reconnaître qu'il v a un nombre considérable d' états mentaux constituant une région intermédiaire entr
s maladies mentales véritables, en d'autres termes qu'il y a, entre l' état sain et l'insanité, une sorte de terrain neutre,
idus anormalement déprimés. * portés à la mélancolie ou atteints d'un état habituel de surexcitation ! » Que de pessimistes,
dront pas fous, mais tous y tendent de plusieurs manières, soit que l' état normal de leur intelligence s'exagère jusqu'au dé
ofession, mais autrefois magnétiseur, n'avait pas hésité à abuser, en état d'hypnotisme, d'une malheureuse jeune 611e qui ét
es observations. Il est important pour le lecteur de connaître leur état après plusieurs années ; le résultat est encourag
mme il suit (page 266) l'opinion de son école : « L'hypnotisme est un état pathologique et non physiologique : c'est une man
. Les sujets hypnotisables sont toujours des nerveux, des névrosés en état ou en puissance, ils font partie de la famille né
ceux de la Salpêtrière. D'abord, on n'observe pas chez elle les trois états successifs qui caractérisent le grand hypnotisme
lus, les caractères de son sommeil ne sont pas ceux de l'un des trois états de la Salpêtrière pris isolément; ce n'est ni de
c. cit., p. 3iû. les caractères Jes phases intermédiaires, de ces états intermédiaires si bien étudiés par Dumontpallier
trent plus ou moins dans la catégorie de l'un ou de l'autre des trois états types (léthargie, catalepsie, somnambulisme) que
iaires, en qualifiant toutefois qu'ils relient les uns aux autres les états types, par suite du mélange des signes qu'ils peu
alpêtrière, et s'il n'offre le tableau bien net de l'un des trois états qui caractérisent ce dernier, il doit tout au moi
y a qu'une hystérie. Nous n'admettons pas, je vous l'ai déjà dit, des états foncièrement distincts dans l'hypnotisme; il faut
des états foncièrement distincts dans l'hypnotisme; il faut y voir un état nerveux unique, particulier, caractérisé par un g
ypnotisme ne correspond donc à l'atténuation d'aucun des trois grands états pris à part et isolément. Pour les mômes raisons,
re formé par l'association de divers signes empruntés à chacun de ces états . Le petit hypnotisme ne possède, en effet, les si
es autres. Serait-il légitime d'admettre que, pour l'atténuation d'un état dont la caractéristique est de présenter des cara
omatiques fixes, supérieurs à toute suggestion, on aboutit à un autre état dont la caractéristique est de ne pas présenter c
omènes somatiques et de tout subordonner à la suggestion : Non ; deux états à caractéristique opposée ne peuvent jamais être
e le grand n'est la réduction du petit. Donc, l'hypnotisme étant un état nerveux un. ce que l'on appelle le grand et le pe
d et le petit hypnotisme ne sont que des formes symplomàtiques de cet état nerveux, formes symptomatiques distinctes, qu'il
uver un fond commun aux deux hypnotismes. ce terrain d'entente sera l' état de suggestibilité. Or, l'état do suggestibilité,
ypnotismes. ce terrain d'entente sera l'état de suggestibilité. Or, l' état do suggestibilité, que l'on rencontre à titre sec
nombreux. Donc, la condition de l'hypnotisme thérapeutique, c'est l' état de suggestibilité ou petit hypnotisme. Celui-ci p
s résultats satisfaisants, même à son degré le plus atténué, même à l' état de veîlle et sans qu'il soit nécessaire ae cherch
à endormir le sujet : il suffit que le malade soit suggestible en cet état . Ce fait indéniable vous explique pourquoi les
onférences dans les propositions suivantes : 1» L'hypnotisme est un état nerveux un à manifestations variées; le'grand hyp
if ou un dérivé du grand hypnotisme pris comme prototype universel. L' état de suggestibilité qui caractérise l'hypnotisme de
lus on avance dans l'étude de l'hypnotisme, plus on reconnaît que les états décrits sous ce nom ne sont que les premiers degr
essent un soufHe frais lorsqu'elle s'approche de l'extrémité qui, à l' état naturel, est tournée vers le haut. Pour les aim
tentés lorsqu'on peut prévoir une décharge, et en particulier dans l' état de mal. Les rapports qui existent entre les par
de n'a pas été déchargé par un accès récent. Ce caractère, commun à l' état émotionnel et au paroxysme épileptiquc. justifie
e un infirmier: elle était de 1000 grammes, au lieu de 85o, comme à l' état normal. L'exploration ayant eu une action hyposth
vision est donc toujours monoculaire pendant cette circonstance. A l' état ordinaire, sa vision est binoculaire et parfaite.
lumière possible; on lui administra un régime tonique approprié à son état , et, six semaines après, il ne restait plus qu'un
Je distingue trois degrés d'hypnotisme. Le premier comprend tous les états qui précèJent l'occlusion complète des paupière
puisse y entrer, et que l'obtention d'un emploi confère des grâces d' état pour l'occuper dignement. Félix Hkmbnt. Lea c
nse à M. Delbœuf, par Bernheim, 225. Hallucinations suggerées a l' état de veille (des), par Yung, 271, 290. Homœopathi
ermnésie dans la veille (l') et le somnambulisme. 125. Hypnose (les états profonds de l'), par de Rochas. 41, 76. Hypnoti
ule séance de suggestion, 173. Morphinomanie (la), 156. Mourants ( état mental des, 317. Myélite chronique diffuse, trait
tisme. par Mesnet et Roux, 112. Veille hallucinations suggérées à l' état de). 371, 290. Vision (troubles guéris par la s
uéris par la suggestion hypnotique), par Chiltoff. 309. Vols dans l' état de somnambulisme, 195. TABLE DES AUTEURS ET D
13 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- CTT11 : IP VISUEL. A. Champs constamment RETRÉCIS. 1 DCtl2S les états délirants. x. Systématisa avec hallucinations de
tion 'qui accompagne toujours comme nous le verrons plus loin, les états dépressifs. ; . D'interprétation avec hallucina
ent pour les 2 yeux. Le 11. Nouvel abaissement du champ visuel avec état dé- pressif. Elévation le lendemain. Le 19. Aba
La figure 7 est rétrécie en haut, comme il arrive toujours dans les états dépressifs. 2 Dans les étais s' accompagnant de
Etats mé- lancoliques anxieux. . Pour n'importe quel malade tout état de dépression est annoncé par un rétrécissement
sement du champ visuel cons- tant en haut (1). Il est parallèle à l' état même du sujet, et cesse d'exister avec le troub
t, et cesse d'exister avec le trouble. On le trouve dans tous les états - mélancoliques ; mais il b'y rencontre rarement
906 (fig. 8 et 9). Ce tracé présente en haut le rétrécissement de l' état dépressif, ainsi qu'un léger rétrécissement en
idées), travaille. 2 nov. Continue à être bien, etc.. 3° Dans les états démentiels congénitaux, z. Imbécillité simple ;
ion des sujets était telle que nous n'avons pas cru devoir en tenir état , malgré l'in- sistance apportée et les précauti
OEIL CHEZ LES ALIENES. 17 B. Champs constamment élargis. - Dans les états s'accompagnant de troubles de l'activité généra
e à 60 et s'y maintient. C. Champs visuels A oscillations. Dans les états dits maniaques dépressifs d'après Iiroepelin (f
Elle est un peu déprimée. Le 15 novembre. Même champ vi- suel, même état , commence à travailler. 2° Etat maniaque interm
* 2. Dépression. 2S septembre 1900. Le champ n° 1 correspondant a l' état d'excitation, est sensiblement normal. On trouv
es observations complètes que nous pos- sédons actuellement sur ces états est trop restreint pour que nous puissions en t
e. On ne peut pas prendre le champ visuel du malade qui est dans un état d'agitation in- quiète ; le lendemain iL, novem
us a pas paru être fonction de la névrose elle-même, mais bien de l' état surajouté. Quant à la perception des couleurs,
ivisé l'é- tude du système oculaire en deux parties : d'un côté l' état des pupilles, de l'autre l'état du fond de l'oeil
laire en deux parties : d'un côté l'état des pupilles, de l'autre l' état du fond de l'oeil. La réfraction a fait l'objet
eux des aliénés, sans connaître ni le genre de leur maladie, ni l' état de leur champ visuel. Ainsi nous croyons-nous êtr
is plus ou moins étroit, que chez ceux dont la pupille se trouve en état de mydriase ou de dilatation moyenne. Nous avon
que dans la paralysie générale. Les pupilles sont très rarement en état de myosis, plus sou- vent en mydriase, générale
ment en état de myosis, plus sou- vent en mydriase, généralement en état de dilatation moyenne. Nous les avons très rare
avec démence et hallucinations r, qui représente assez exactement l' état que nous décrivons ici. Bouchut explique cet as
s n'avons constaté de myosis ; les pupilles étaient généralement en état de dilatation moyenne. Dans aucun cas nous n'av
il nous avec un caractère de fréquence très remarquable, c'est l' état de flexuosité des vaisseaux du fond de l'oeil (50
du trouble hallucinatoire ou de l'activité géné- rale. 4° Dans l' état hallucinatoire la variation du champ vi- suel e
t constant en haut) très fréquent en haut et en dehors. 5° Dans l' état de dépression la variation de l'étendue du cham
t constamment en haut quelquefois en haut et en dehors. 6° Dans l' état d'excitation, la variation du champ visuel se t
igne clinique ne laissait entrevoir une modification prochaine de l' état 'mental, il nous a été facile de prévoir à l'ai
s de l'activité générale qui précèdent, accompagnent et suivent les états d'excita- tion et de dépression. La répétition
e, 1876. Briciie, RAVIAIiT et CAUDRON. Contribution il l'étude de l' état du fond de l'oeil dans la paralysie générale (Rés
raly- tiques généraux. Arch. neur., 1904.-K>;nnvnr, etRAviART. L' état du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
n médical Presse, 1887, N° 3. KORNFELD et BIKELES. Recherches sur l' état des pupilles chez les paralytiques généraux. Ja
ervenheilk. N. F. 1er oct. 1890. 1 PAILLAS. Dépression kératique et états encéphalopathiques graves. Arch. de neurol., 19
de Bombay, sans savoir comment il y était venu, avaiL évidemmenL,en état second, voulu gagner les Indes et vécu sur le p
s deviennent de plus en plus in- signifiantes et il en résulte « un état habituel de fugues morbides », autrement dit de
iques ou hystériques. L'alcool, en effet, développe fréquemment des états de conscience tout à fait sembla- bles à ceux d
agité, violent, parle avec abondance sur un ton déclamatoire. Cet état maniaque cède au bout de quelques jours. 11 prése
ial. On est forcé de conclure à une fugue accomplie en un véritable état second développé sous l'influence de l'alcool.
alcooliques en LES FUGUES DANS LES PSYCHOSES ET LES DÉMENCES. 45 état d'ivresse et complètement oubliés dans l'état nor
S ET LES DÉMENCES. 45 état d'ivresse et complètement oubliés dans l' état nor- mal. On trouvera dans une communication de
des premières périodes de l'ivresse et celles qui sont exécutées en état second ap- pellent deux remarques intéressantes
ade peut passer successivement de l'agitation à l'abattement ou à l' état normal. Il part pour Bordeaux, par exemple. et
« fugues d'instabilité » du début de l'ivresse, et les fugues de l' état second alcoo- lique. Plutôt que sur les constat
songera, pour élablir le diagnostic différentiel des premières, aux états maniaques des circulaires, frustes ou non, aux
ce, janvier 1905.) Voici les déductions de l'auteur : 1° dans les états de dépression l'excrétion de l'indoxyl est en e
par l'auteur, la guérison mentale a été précédée par le retour à l' état normal du taux de l'indoxyl. Il n'est pas doute
mestibles. Ces sensations gus- tatives restent presque toujours à l' état de simple représentation mentale, quelquefois c
. Le véronal donne ici un sommeil semblable au sommeil naturel. l' état de langueur qui peut lui succéder est de la vraie
eurs : ceux qui tout en donnant le sommeil modifient sensiblement l' état des vaisseaux sanguins s'accompa- gnent de mala
ns tous partiel- lement- ignorante de sa propre vie dans les autres états . Avant t sa maladie de Pâques 1895 elle était s
apparence saine de corps et d'esprit. 3° Dans quelques-uns de ces états elle perdait complètement les notions acquises
es notions acquises et facilement mises en pratique dans les autres états (dessin, écriture, nomenclature). 4° Dans d'aut
s autres états (dessin, écriture, nomenclature). 4° Dans d'autres états son sens de la différenciation était con- sidér
du toucher dans ses rapports avec la copie de dessins ou de mots en état de cécité. 5° Dans ces différents états, quelqu
pie de dessins ou de mots en état de cécité. 5° Dans ces différents états , quelques-unes de ses facultés ou gaz REVUE DE
on estime que la faculté qu'elle a récemment acquise de dessiner en état de cécité, particulièrement avec l'aide du touc
e à droite. a 7° Ses dispositions, son caractère, présentaient d'un état à un autre des différences considérables. Dan
ient d'un état à un autre des différences considérables. Dans son état actuel, qui est anormal, elle est bienveillante e
excellents principes, et il en est de même dans un ou deux au- tres états . Au contraire, dans certains autres états, elle
ans un ou deux au- tres états. Au contraire, dans certains autres états , elle ressemble à une enfant très méchante et t
ile. 8° Son écriture est nettement modifiée dans quelques-uns des états par où elle passe, et l'on peut y distinguer troi
toutes les circonstances et sur toutes les périodes afférentes à un état donné. Quand elle est dans tel ou tel de ses ét
s afférentes à un état donné. Quand elle est dans tel ou tel de ses états , elle se souvient de tout ce qui s'est passé da
de ses états, elle se souvient de tout ce qui s'est passé dans cet état soit actuellement soit dans tous les états semb
qui s'est passé dans cet état soit actuellement soit dans tous les états semblables passés. Mais le vide de la mémoire e
. Mais le vide de la mémoire est absolu dès qu'il s'agit des autres états . Au bout de sept mois elle demande à finir le r
bout de sept mois elle demande à finir le repas qu'un changement d' état a interrompu. 10° Au point de vue sensoriel on
sie, il y avait de l'hypersthésie. A noter aussi que dans un de ses états elle était très sujette aux maux de dents et que
ses états elle était très sujette aux maux de dents et que dans l' état suivant elle n'avait ni souvenir ni conscience de
e de la douleur. 11° Sa santé générale variait selon les différents états : on l'a vue passer en quelques minutes d'un ét
n les différents états : on l'a vue passer en quelques minutes d'un état de collapsus en appa- rence inquiétant à un éta
lques minutes d'un état de collapsus en appa- rence inquiétant à un état de réelle vigueur et de surprenante ac- tivité.
commission pour désigner les diverses phases : elle a appelé A l' état normal et B, B2, B'1, etc. la série des états ano
es : elle a appelé A l'état normal et B, B2, B'1, etc. la série des états anormaux, tout en reconnaissant qu'il y a entre
re eux d'assez étroites relations : 130 Jamais, dans aucun de ses états , la malade n'a été mal- propre. 14 Bien qu'au
ses états, la malade n'a été mal- propre. 14 Bien qu'aucun de ces états ne puisse être considéré comme appartenant au «
lles elle ne s'est mordu la langue. 150 La durée maxima d'un même état a été de dix semaines; d'autres ont duré de qua
de deux à trois minutes : on l'a vue une fois changer trois fois d' état en cinq minutes. Elle passait d'un état anormal à
e fois changer trois fois d'état en cinq minutes. Elle passait d'un état anormal à l'état normal, puis de l'état normal
s fois d'état en cinq minutes. Elle passait d'un état anormal à l' état normal, puis de l'état normal à un autre état ano
minutes. Elle passait d'un état anormal à l'état normal, puis de l' état normal à un autre état anormal. L'apparition d'
d'un état anormal à l'état normal, puis de l'état normal à un autre état anormal. L'apparition d'une période intercalair
anormal. L'apparition d'une période intercalaire normale entre deux états anormaux a été notée plus d'une fois. 16° La
rmaux a été notée plus d'une fois. 16° La succession des différents états n'obéissait à aucune règle; cependant on les a
dans l'ordre de leur progression initiale. 17° Cette succession d' états différents dura environ trois ans, au bout desq
la malade se fixa dans l'un d'eux, où elle est demeurée, sans que l' état normal ait paru jamais reprendre sa place. En
r à l'histoire de la manière dont les maladies aiguës affectent l' état mental ; par LEwis BRUCE. (The Journal of Mental
u début primitivement intellec- tuel) ou même peuvent succéder à un état de délire ou de confu- sion mentale. 5° Sauf
tale. 5° Sauf cette exception, la folie confusionnelle aiguë et les états délirants aigus doivent être considérés étiolog
proposé par Mercier, de « délusions fixes » doit être appliquée aux états consécutifs à des formes aiguës de folie dans l
font quelques au- teurs, que la démence ne survient jamais dans cet état , et l'auteur considère comme discutable l'opini
octobre avait eu 282 attaques épi- leptiformes : elle était dans un état fort grave : des injections de morphine calmère
la pie-mère et l'arachnoïde sont plus adhérentes à l'écorce qu'à l' état normal, mais les érosions lors de leur enlève-
d'aspirations sexuelles, mais elles sont vagues et imprécises. Cet état d'indétermination sexuelle persiste le plus sou
par des idées se rapportant à cette sensation. L'explication de ces états mentaux se trouve dans la suggesti- bilité souv
On peut aussi admettre que les actes commis l'avaient été dans un état d'attente affective réalisant un véritable état
avaient été dans un état d'attente affective réalisant un véritable état d'hypnose, de monodéisme ou tout au moins d'exp
ÉS SAVANTES. une mauvaise initiation à la vie sexuelle, que dans un état de dégénérescence. 11 y a à ce sujet un exemp
M. Forel est divisé en trois parties : 1° âme cerveau et nerfs à l' état normal ; 2° pathologie nerveuse ; 3° hy- giène.
s rapports de nos acti- vités psychologiques intropectives avec les états d'irritation de notrecerveau. Il établit, à l'a
localisations, et les divers sens. Enfin, l'élude du cer- veau à l' état normal est complétée par quelques notions sur la
s noyaux libres du tissu ner- veux sont uniquement névrogtiques à l' état normal ; et, à l'état pathologique, quelques-un
su ner- veux sont uniquement névrogtiques à l'état normal ; et, à l' état pathologique, quelques-uns sont des lymphocytes
réïques », « nature du processus morbide de l'hys- térie », et «les états psychopathiques typiques », est tracée par l'au-
des d'exploration des contacts entre les neuromes aussi bien dans l' état phy- siologique que dans l'état pathologique. L
ntre les neuromes aussi bien dans l'état phy- siologique que dans l' état pathologique. La manière dont se pro- duisent l
ace à faire la lumière sur ce sujet. La 4''leçon est consacrée aux' états psychopathiques typique ? , c'est-à-dire aux sy
dire des maladies mentales ; l'auteur est d'avis que l'étude de ces états typiques, est non moins indispensable pour la p
pour la pathologie interne. La classification psychologique de ces états qui est don- née par l'auteur et qui diffère en
res. est comme suit : Au premier groupe, c'est-à-dire au groupe des états psychopathiques dépendant de l'affection primai
primaire de tout l'or- gane phychique in-toto, se rapportent : 1° l' état maniaque ; 2° l'état mélancolique ; 3° l'état a
gane phychique in-toto, se rapportent : 1° l'état maniaque ; 2° l' état mélancolique ; 3° l'état amentif, dans ses formes
se rapportent : 1° l'état maniaque ; 2° l'état mélancolique ; 3° l' état amentif, dans ses formes variées ; a) simple ét
lancolique ; 3° l'état amentif, dans ses formes variées ; a) simple état amentif (conclusion' mentale], b état amentif hal
es formes variées ; a) simple état amentif (conclusion' mentale], b état amentif hal- lucinatoire et délirant ; c) état
clusion' mentale], b état amentif hal- lucinatoire et délirant ; c) état amentif de défense primitif et de stupeur; dl é
if de défense primitif et de stupeur; dl élit amentif maniaque ; e) état amentif mélancoli- que ; f) état amentif d'abas
eur; dl élit amentif maniaque ; e) état amentif mélancoli- que ; f) état amentif d'abasourdissement) ; 4° l'état de démenc
amentif mélancoli- que ; f) état amentif d'abasourdissement) ; 4° l' état de démence atrophique ; 5° l'état de dégénéresc
mentif d'abasourdissement) ; 4° l'état de démence atrophique ; 5° l' état de dégénérescence psychique ; tic l'état d'auto
démence atrophique ; 5° l'état de dégénérescence psychique ; tic l' état d'automatisme. Au second groupe caractérisé par
concernant la sphère d'émotion, se rapporte seulement une espèce d' état psychopathique ; 7° l'état d'affectivité patholog
tion, se rapporte seulement une espèce d'état psychopathique ; 7° l' état d'affectivité pathologi- que. Au troisième grou
ortent les altérations primaires de la sphère intellectuelle ; 8° l' état paranoique ; 9° l'état de raisonnement patholog
primaires de la sphère intellectuelle ; 8° l'état paranoique ; 9° l' état de raisonnement pathologique ou l'état d'exclus
8° l'état paranoique ; 9° l'état de raisonnement pathologique ou l' état d'exclusivisme pathologi- que. Enfin, au quat
maire de la sphère motrice de la vie psychique se rapporte ; 1 Go l' état impulsif. La description de chaque état psychop
chique se rapporte ; 1 Go l'état impulsif. La description de chaque état psychopathique est faite avec une concision, un
nt un cas jHdiciaire-ps¡¡- chiatrique (tentative de meurtre dans un état d'affectivité patho- logique) s'arrête sur les
cas de psi/chose mixte dégénératif, ayant pour élément principal l' état d'exclusivisme pathologi- que. La leçon sert d'
e évident de l'utilité de la connais- 90 BIBLIOGRAPHIE. sance des états psychopathiques typiques pour s'orienter parmi le
ssez malades pour être enfermés, mais que leurs proches, mieux en état de constater leurs méfaits, cherchent à faire a
concéder, au con- traire, le maximum de liberté compatible avec son état . Nos asiles modernes ne sont plus des « renferm
it au traitement et aux soins dans un établissement approprié à son état mor- bide. » Puisqu'on tient tant, et avec ra
r plus ou moins prolongé à l'asile, où le médecin apprécierait leur état avant de les confier soit à .leur propre famill
t les temps, car une séparation des aigus et des chroniques, dans l' état ac- tuel de nos asiles, est impossible. Avec
s. Les aigus, en effet, sont sous le coup d'accidents somatiques, d' états confusion- nels qui masquent le délire futur qu
dé que la séquestration est justifiée, qu'il laisse.les choses en l' état , comme cela se pratique actuellement ; un jugem
es auto-placements. Les, malades de cette catégorie devront être en état de payer directe- ment leur pension. L'art. 1
streignant le médecin à consigner les changements survenus dans l' état du malade. Une modification temporaire dans la
es nerveuses », n'a-t-il pas reçu le traitement qui convenait à son état ? A moins que l'on ne veuille ad- mettre qu'il
e incohérent. 11 se calme rapidement, a nettement conscience de son état mental, présente à nouveau un accès maniaque, s
(mars 1905). Il est, dès son entrée, déprimé, avec quelques raptus, état qui persiste jusqu'en juillet 190u, où le ma- l
odes d'excitation sui- vent sans transition, durent de à à 4 mois : état maniaque avec langage caractéristique, actes dé
rrive la nuit, monte sur un bateau en partance pour Newhawen où son état d'excitation le fait remarquer et remettre à terr
fugues, ses explications sont différentes selon qu'il est dans son état normal de débilité intellectuelle ou dans la phas
. Lorsque les paralytique généraux font des fugues à la période d' état de leur maladie,ces fugues frappées au coin dém
ugues des accès maniaques frustes des circulaires. 2° Fugues de l' état second alcoolique. L'état de la conscience n'es
frustes des circulaires. 2° Fugues de l'état second alcoolique. L' état de la conscience n'est pas connu, mais bien que
ittente (maniaque dépressive, circu- laire, psychique). Fugues de l' état maniaque ; conscien- tes, mnésiques, bien condu
ons dit, est généralement secondaire : les convulsions et parfois l' état comateux ouvrent la scène. Ils sont accompagnée
ve à 42° le matin et 44° le soir, les convulsions continuent mais l' état général reste bon'; après une discussion très'lon
out d'une année, elles sont totalement effacées, et font place à un état qui est même pire que l'état antérieur : on a été
otalement effacées, et font place à un état qui est même pire que l' état antérieur : on a été bru- talement et douloureu
é psychologique apparaîtra encore plus nettement si l'on observe un état transitionnel entre l'idéation et l'hallu- crna
sation de l'idée obsédante, elle se manifeste chez le sujet avec un état toujours conscient ; elle ne lui apparaît pas com
'2" Les hallucinations obsédantes qui se rencontrent dans certains états pathologiques. (Hystérie, état épileplique. Ce so
es qui se rencontrent dans certains états pathologiques. (Hystérie, état épileplique. Ce sont des hallucinations vraies,
nettes, détail- lées. Elles ne son ! pas sous la dépendance d'un état itléo-obsessif. Elles sont primitives, et n'app
rapport avc les associations obsédantes de contrarie dans certains états mélancoliques aiyuî. Ces sortes d'hallucina- ti
gmen- tation de poids très accentuée accompagne l'amélioration de l' état mental; 6° l'extrait de capsules surrénales don
ulière aussi bien que le mode respiratoire, souvent influencé par l' état des amydales ou par la présence de végétations
sultats obtenus que beau- coup de ces malades peu veut arriver à un état suffisam- ment normal pour subvenir à leurs pro
dant la première et la seconde enfance, des soins appropriés à leur état . R. de IUSGRAVIr CLAY. XLVIII. Sur la nécessité
ésentée. M. Thivet ne nie pas la coexistence de la sclérose avec un état manifestement démentiel, mais il ne voit dans c
cusée, qui n'a pas cessé de progresser. M. VIGOUROUX expose que l' état démentiel doit être en rapport avec le nombre e
le de paranoïa qui a, en français, son équivalent dans l'expression état men- tal des dégénérés. M. ARNAUD ne croit pa
volontiers le terme paranoïa, qui convient pour désigner certains états congénitaux caractérisés par des anomalies de la
tres. « Non, répond-il, cela n'est pas plus exact que de dire que l' état de santé ne diffère pas de l'état de maladie pa
pas plus exact que de dire que l'état de santé ne diffère pas de l' état de maladie parce qu'il y a des degrés de maladi
ophique, mais physiopathologique : le système nerveux est ou non en état d'intégrité, et l'individu peut ou non peser le
ques, et que le rôle de l'expert consiste uniquement à déterminer l' état et le fonctionnement des neurones psychiques (o
ones psychiques (on avouera que c'est là une ingrate besogne dans l' état de la science). Il adopte, en l'adaptant aux de
malheu- reux qui a besoin d'implorer son appui, se trouvant dans un état de suspicion, d'isolement, de séquestration for
eur. Mais les propos qu'elle tint ne laissèrent aucun doute sur son état mental. Comment avait-elle déterré les trois mo
ur, âgée de trente-cinq ans, ancienne institu- trice en Savoie. Son état ne paraissait pas dangereux et il avait été lai
e inférieur droit et le membre inférieur gauche. « De même pour les états cataleptique et somnambulique.... La malade étant
et celles qui s'y rattachent (attribution de chaque personnalité ou état de conscience à l'un des hémisphères, etc.) ont
rtains moments, un hémisphère fournirait certains des éléments d'un état de cons- cience,'et l'autre certains autres, ch
aux leurs, ou enfin s'ajoute simple- ment,avec ou sans soudure des états de conscience : les hy- pothèses ne manquent pa
e psychique et lui donne le caractère de l'unité de conscience- à l' état normal -, a naturellement des attri- buts supér
la » (Carlf.t, 1896, p. 127) c'est-à- dire à peu près sphérique à l' état adulte, quoique lasymétrie bi- latérale prédomi
e aucun organe propre. Enfin lorsqu'elle est en souffrance dans les états pathologiques où se démasque la bi-individualit
bue chaque moitié et qui entretiennent entre celles-ci un continuel état de guerre. Nous n'avons pas à répondre pour lui
n faire une idée exacte puisqu'elles ne se manifestent jamais à l' état normal : chez l'adulte, en effet, gouverné par le
ns compara- bles aux alternances que l'on observe chez l'adulte à l' état pathologique, et où l'Auteur voit une manifesta
té des tendances ? Non, car il y aurait alors un 208 PSYCHOLOGIE. état prime et un état second analogues à ceux de l'hyp
? Non, car il y aurait alors un 208 PSYCHOLOGIE. état prime et un état second analogues à ceux de l'hyp- nose, et c'es
la préface (p. XII), tout en notant que cette faculté, latente à l' état normal, ne peut guère être prise pour indice d'
and ils veulent ? Alors', encore une fois, que devient ce continuel état de guerre auquel l'Auteur fait si sou- vent all
s tiède par la main engourdie par le froid. La teinte affective des états neutres en eux-mêmes, due au réveil d'un souven
édominance alternative se traduit par l'apparition de deux séries d' états de conscience. Il est évident, d'autre part, qu
Il est évident, d'autre part, que la synthèse de sensa- tions ou d' états 'de conscience qui implique les formes de temps e
ticipe aux sensations et actes de l'autre, niais encore connaît ses états de conscience primitivement et à mesure qu'ils
PSYCHOLOGIE.' très, ne sont accessibles à notre observation qu'à l' état centralisé, c'est-à-dire unies à d'autres fonct
ent : est-il juste de n'en pas tenir compte au condamné lorsque son état mor- bide a été découvert ? J'estime que tout c
moins que la Cour ne prétende "serez- dre compte par elle-même de l' état mental du prévenu : dès lors, à quoi aura servi
sujet, de même que sur l'art. 49. Pour ce dernier, qui exige qu'un état de la fortune do l'aliéné soit remis annuelleme
vendre le mobilier de l'aliéné après avis du médecin traitant sur l' état du malade. Cet avis est toujours très délicat à
iences ont porté sur la dose. Conclusions : la réaction propre de l' état actuel se distingue, à égalité de doses, de la
actuel se distingue, à égalité de doses, de la réaction propre de l' état ancien par une plus longue durée du temps d'att
cellulaire : la capacité d'adaptation varie grandement sui- vant l' état de l'individu et suivant l'action spéciale biolog
ment de la réaction, les caractères des réactions déterminées par l' état et l'adaptation. Enfin, l'auteur termine par qu
t les différentes altérations cellulaires que l'on observe dans les états pathologiques de 250 REVUE D ? \.1«ATOMIE ET DE
chromatiques volumineuses représentent probablement des éléments en état de modification progressive, tandis que les cel
ntroduire dans l'organisme ani- mal, elle peut, tout en restant à l' état de spore, élaborer et mettre en liberté sa subs
l'évanouissement ne comporte pas, tout d'abord, la cons- cience à l' état pur, la conscience inhabitée pourrait-on dire, la
ée pourrait-on dire, la simple conscience de soi, en dehors de tout état affectif ou intel- lectuel et de toute tendance
'il n'a encore été fait jusqu'à présent sa puissance persuasive à l' état de veille. Psychothérapie graphique : importanc
boulies. M. Les aboulies sont constituées par une associa- tion d' états de conscience parmi lesquels les plus apparents s
e les meilleurs résultats. L'attention pourra Cire rééduquée il l' état de veille et avanta- geusement aussi à l'état d
a Cire rééduquée il l'état de veille et avanta- geusement aussi à l' état d'hypnose qnand faire se pourra ; mais il faut
ue ce sont surtout les degrés du som- meil les plus rapprochés de l' état de veille qu'il faudra chercher à provoquer, le
pprochés de l'état de veille qu'il faudra chercher à provoquer, les états d'inhibition légers dans lesquels la résis- tan
838, mais nous y avons recours toutes les l'ois que s'y prê- tent l' état de l'interné en voie d'amélioration el le milieu
boisson habituelle qui paraît la plus directement responsable de l' état du malade ; on indiquera, en particulier, si l'
il y a des maladies mentales dont le début est caractérisé par un état spécial de suractivité organique et d'exalta- t
pa- ralysie générale. Il n'y a chez les déments précoces au- cun état d'optimisme ni d'exaltation des facultés avant
s. 3° sério, 1007, l I. 18 '274 clinique mentale. En étudiant ces états dépressifs prodromiques, j'ai pu isoler une for
al de la démence précoce toutes les variétés psychosiques connues : états mélancoliques; états maniaques ; états mixtes (
oce toutes les variétés psychosiques connues : états mélancoliques; états maniaques ; états mixtes (mélanco- lico-maniaqu
iétés psychosiques connues : états mélancoliques; états maniaques ; états mixtes (mélanco- lico-maniaques) : états conjll
oliques; états maniaques ; états mixtes (mélanco- lico-maniaques) : états conjllsiomzels : délires pseudo- systématisés,
d'augment), de 29 malades. . , 10 cas : mélancolies. 8 cas : états délirants et hallucinatoires. < 7 cas : mani
) a bien .voulu nous envoyer la statistique suivante : - Il cas : états dépressifs, 4 cas : états confusionnels. ' 2
la statistique suivante : - Il cas : états dépressifs, 4 cas : états confusionnels. ' 2 cas : états mixtes 111a111aC
Il cas : états dépressifs, 4 cas : états confusionnels. ' 2 cas : états mixtes 111a111aC0-(ll)l'PSSIf. 1 cas : stupeur.
her- ches portant sur 20 malades. li cas : mélancolies. 6 cas : états maniaques. 5 cas ! confusion mentale. 2 cas !
r ainsi : 7 cas : mélancolies, n cas : étals maniaques. 4 cas : états mixtes (mélancolie et agitation). (1) Trepsat.
r 10 catatoniques nous trouvons : 7 cas : mélancolies . (icas : états maniaques. 5 cas : états mixtes. 1 cas : conf
ouvons : 7 cas : mélancolies . (icas : états maniaques. 5 cas : états mixtes. 1 cas : confusion mentale. Notre étud
cons- tater les faits suivants : Période prodromique. 65 cas : états dépressifs (neurasthénies 1 et mélancolies). '
as : états dépressifs (neurasthénies 1 et mélancolies). ' ' , cas états neurasthénico-hystérifOl'me". 4 cas : états psy
lancolies). ' ' , cas états neurasthénico-hystérifOl'me". 4 cas : états psychasthéniques (neurasthénies avec obsessions
s et phobies.) Période initiale. 35 cas : mélancolies. 21 cas : états mixtes (maniaco-dépressifs ou états de stupeur
5 cas : mélancolies. 21 cas : états mixtes (maniaco-dépressifs ou états de stupeur suivis d'agitation). 13 cas : états
iaco-dépressifs ou états de stupeur suivis d'agitation). 13 cas : états maniaques. 4 cas : états confusionnels. 2 cas
de stupeur suivis d'agitation). 13 cas : états maniaques. 4 cas : états confusionnels. 2 cas : délires pseudo-systémati
d'interprétation délirante. Tous ces faits nous démontrent que les états dépres- sifs prédominent non seulement à la pér
mélancolique succède souvent une période d'agitation maniaque. Ces états mixtes se trouvent à la période initiale de tou
t pas spéciaux à la catatonie, comme l'avait établi Kahlbaum. Les états mélancoliques symptomatiques de la démence préc
de ces malades pour expliquer les modifications survenues dans leur état mental. Griesinger écrit : La loi de causalité
nement moins bien marqué. Le ma- lade sent les modifications de son état psychique, mais il ne les explique pas avec la'
cime tendance à l'adaptation rationnelle. M. Masselon (4) décrit l' état d'anxiété des déments pré- coces mélancoliques,
coce. N. Tanzi, professeur il Florence, insiste sur ce fait que l' état mental des déments p-,»-coces se manifeste mieux
ofonde est interrompue par des réac- tions morbides non adéquates l' état de tristesse et d'abattement. Parmi ces réactio
ion générale est plus compromise que -dans la neurasthénie, d'où un état cénesthésique plus pénible et un délire hypocon
ntes du degré de la dépression morale, on les trouve même, dans les états neurasthéniques légers. Une malade de Ville-Evr
a douleur morale comme dans la mélancolie. Des idées étrangères aux états dépressifs s'insinuent parmi les idées tristes
grandeur des déments précoces : elles ne s'accompagnent pas de cet état de cé- nesthésie agréable, d'euphorie béate, de
ciès passif, indifférent (souvent pâle), dépourvu d'émo- tion et un état de cénesthésie pénible. Les idées de persécutio
ion. Dans la démence précoce, l'humilité et la résignation sont des états transitoires et le malade passe facilement de l
tes et toutes les réactions de ces malades portent l'empreinte de l' état mental démentiel. Les tentatives de su : cide m
ique du nerf facial,ce symptôme nous a paru assez fréquent dans les états toxiques aigus (agitation, stupeur etc). Quan
t comparative d'un cata- tonique et d'un mélancolique, tous deux en état de stu- peur. L'auteur met en évidence avec bea
it des journées entières enfermée. Malgré ses idées morbides, son état général se maintenait. Elle mangeait bien. Pas
scaliers. Elle consulte un médecin qui la traite pour l'anémie. Son état ne s'améliore pas. Elle en xoif un autre, qui lui
vvoiï. Ce qui frappe tout d'abord à l'examen de la malade c'est son état d'anxiété profonde. Elle se plaint de ne pas av
ÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 287 lilli», A cclà s'a,juule un état d'asthénie complète. Elle ne peut plus se tenir
ve une attitude triste penchée ; elle aies mains sur son estomac. L' état général reste bon. La malade ne maigrit pas. El
este 288 CLINIQUE MENTALE. comme obnubilée el inconsciente de son état . Elle répond par monosyllabes. Son intelligence
onceptions délirantes mélan- coliques. Il est très conscient de son état et demande lui-même à èlre soigné dans un asile
aison de santé de Ville-Evrard, en 159fi, il se trouve dans le même état de mélancolie. Il demande à aller en cellule ca
ou quatre fois de suile. Les manifestations caractéristiques de son état mental résident dans les phrases suivantes :
l sera mort. l'en- dant son séjour à la clinique, il l'l"te dans un état de dépression prolonde-avec aoecÙs d'angoisses
déprimé et triste ; il pleure souvent. 11 est très conscient de son état « .le suis perdu. Õe vais mourir, je sens que j
poison pim ils Négativisme. Février 1900. Stupeur. Catatonie, Cet état alterne depuis G an a avec des phases de demi-s
- idjoiiil à l'asile de BI'3qllevilk II. VALEUR PSYCHOLOGIQUE A l' état normal « la coordination entre les deux activi-
ns psy- chologiques des troubles de synthèse mentale observés à l' état normal ou pathologique, par exemple chez certains
persistance du fond ceenes. thésique, ou, en d'autres termes, de l' état affectif, des sensations internes : et de l'éta
utres termes, de l'état affectif, des sensations internes : et de l' état des organes sensitive -sensoriels : si la coene
définiment indépendante de la première : le lien de chaque série ou état de conscience est représenté par le sentiment q
brusque des principales conditions organiques et psychiques de l' état rappelé : modification de la coenesthésie,de la s
solidement et exclusi- vement associée dans l'esprit du sujet à un état de conscience donné. On dit avec raison que d
sciences, voire même des personnalités successives : quoique chaque état comprenne nécessairement beaucoup d'éléments co
oup d'éléments communs à tous, il ignore le plus souvent ces autres états ; lorsqu'il les connaît, c'est ordinairement in
t affective, riche en associa- tions de toutes sortes, survivre à l' état de conscience au cours du- quel elle a été reçu
onscience au cours du- quel elle a été reçue et se prolonger dans l' état suivant, dans la veille : elle est alors active
représentent se mêlent ou s'adjoignent à la plupart de celles de l' état de veille, et,sans que le sujet s'en rende comp
ne cause étrangère. Celle-ci est le plus souvent la création de « l' état fort » au cours duquel les sensations en questi
çu, à peine senti au cours d'une pré- occupation, crée cependant un état sous-jacent qui survit au pre- 290 PSYCHOLOGIE
impulsion à peine consciente ou inconsciente survenue au cours d'un état d'atten- tion profonde, un acte est commencé ou
que les manifestations motrices puissent coïncider, avec ceux de l' état conscient. Ce cas conduit au groupe très impo
t. Ce cas conduit au groupe très important des associations entre états ou syndromes organiques et états de conscience. D
s important des associations entre états ou syndromes organiques et états de conscience. Dans tous les cas de synthèse me
ble de ces groupements soit entre eux, soit avec une série donnée d' états de conscience, c'est-à-dire une personnalité. Ain
souvent et pour des causes multiples, avec une série synthétique d' états de conscience suc- cessifs, c'est-à-dire une pe
avec persistance de quelques idées et souvenirs communs à plusieurs états . Plusieurs conjonctures sont alors possibles :
emps. L'exemple est aussi bien connu du rappel d'une série donnée d' états de conscience par la suggestion de l'in- capaci
ion quelquefois très difficile. L'alliance entre certaines séries d' états de conscience etcertams troubles organiques dép
rnes, que le change- ment s'accompagne ou non de modifications de l' état mental. La thèse de Lebar (Paris 1906) (d'après
peut avoir son « caractère » et régir à lui seul une longue série d' états de conscience. Le lien est évident; nul besoin
(le droit),en même temps que la persistance et la réapparition d'un état de conscience donné, des trou- bles (aphasiques
ganisme, il faudrait avant tout démontrer que les im- pressions et états de conscience anciens, dont le réveil- constitu
thèse : « Dans beaucoup d'étals pathologiques et peut-être même à l' état normal dans les processus psychiques com- pliqu
actes commencés et facilement exécutés par la main gauche seule à l' état normal.Les actes commencés « sous.la direction
ient être menés à bonne fin malgré l'intervention de la gauche. « L' état de conscience correspondant (die aktuelle Psyché)
e l'Itémis- phère gauche) n'aurait (halle) aucune influence sur les états de conscience dont lesubslratum est dans l'hémi
dont dérive tardivement l'indépendance fonctionnelle, complète il l' état sain, des deux membres de chaque ceinture. Les
Il n'y a rien dans son allure qui ressemble à la suc- cession d'un état second il un état prime : ses pensées se sui- v
s son allure qui ressemble à la suc- cession d'un état second il un état prime : ses pensées se sui- vent sans la moindr
co-êtres se modifient, il y a trouble moral en nous» (p. 47). Or l' état - ou les états - dans lesquels il n'y avait pas
odifient, il y a trouble moral en nous» (p. 47). Or l'état - ou les états - dans lesquels il n'y avait pas de trouble mor
des hémisphères cérébraux ? i Du reste, avant de passcspar les«six états » sur lesquels 30S PSYCHOLOGIE. \ se porte l'
moment en effet de la paraplégie. Cette paraplégie reparaît dans un état observé ultérieurement, le sixième. A ce moment
autre et à lui démontrer, non seulement que la coexistence de tel état mental avec un trouble donné de la senso-mo- ti
rtains détails (parole, opposition ici par la malade elle-même de l' état affectif créé par un récit à l'état affectif cr
par la malade elle-même de l'état affectif créé par un récit à l' état affectif créé par l'autre), on peut conclure que
ssociation mimique, montrent d'ailleurs une fois de plus que chaque état affectif, avec sa cause (récit provo- quant une
ce de la conscience, ou au moins de certains souvenirs récents de l' état de veille,* indéniable dans certaines ex- périe
thalamiques, soit par l'inhibition créée par l'hypnose ou certains états émotifs intenses. Dans tous les cas où la natur
s manifestations extérieures ; inversement, la mani- festation d'un état de conscience peut persister alors que la consc
ent la synergie des deux hémisphères dans chaque 312 PSYCHOLOGIE. état affectif : elle n'a pas été notée après des excit
ir qu'à une seule de nos deux individua- lités... »;il y aurait à l' état normal deux consciences co- existantes pouvant
eux interlocuteurs, deux correspondants ne représentent-ils pas cet état ? Il est même probable que c'est à cela que l'A
ît d'affir- mer que chez lui, comme chez certains hypnotisés, les états de conscience s'intégrassent en deux sériesparall
son n'a jamais non plus rien observé qui rappelât l'alternance d'un état pri- me et d'un état'second. La communication d
conscience. Or, ce cas n'existe pas : une intégration, un système d' états de conscience peut se manifester seul, avons-no
alité habituelle, et telles aussi qué leur réintégration avec les états de conscience antérieurs soit à jamais impossible
que dans tout ce passage il s'agisse réellement des coêtres et de l' état normal. Il en est pourtant ainsi. Laconsrience
contrôle par les souvenirs complexes qui guident l'entendement à l' état de veille. Si dans le rêve « les co- êtres sont
ontrent particulièrement combien la conscience ne peut comprendre d' états divers : le dormeur,en effet, constate l'opposi-
e ces trois consciences ? Le problème n'est même pas posé. Dans les états pathologiques où le Moi ne se manifeste, pas ce
e normal de la loi. On constate dans une famille un changement de l' état mental d'une per- sonne, on s'inquiète autour d
ISLATION. où il relate les constatations qu'il vient de faire sur l' état du malade (art. 8). Dans les trois jours de l
qu'il désignera. L'Inspecteur rédige un rapport où il constate l' état du malade et conclut à son maintien ou à sa sor
donc trois médecins au moins qui examinent le malade, jugent son état , et doivent conclure d'une manière identique au
0 du Code civil ; 2° Un rapport au procureur de la République sur l' état mental de la personne à placer.signé d'un docte
nés. ART. 15. Toute personne majeure qui, ayant conscience de son état d'aliénation mentale, demande à être placée dans
d'origine de tout étranger résidant ou de passage en France, dont l' état d'aliénation aurait exigé le place- ment, confo
la personne désignée dans ce bulletin, à l'effet de cuiibtatei- son état mental et d'en faire un rapport sur-le-champ à
t tenu de consigner sur ce registre les changements survenus dans l' état mental de chaque malade, au moins chaque semain
édecin constate également sur ce registre la date de la sortie et l' état mental au moment où elle a lieu, la date et les
nde d'admission. Néanmoins, si le médecin traitant est d'avis que l' état mental du malade pourrait compromettre la sécur
re le nom, la résidence des personnes qui ont retiré le malade, son état mental au moment de la sortie et, autant que po
s convulsives (formes morales et impulsives de folie) et quel- ques états délirants systématisés sont les premiers fruits d
V. Observations et considérations sur un homicide commis dans un état second d'Azam » ; par M. BIANCONE et 1\IARAN. (
ables habitudes d'alcoolisme. On' les voyait alors rentrer dans des états que je ne veux pas décrire J'ai facilement obte
conduit à tantes et interné dans un asile d'aliénés. Ajoutons que l' état de la fillette est désespéré. Liberté du 8 avri
t nature de l'hystérie (1), et qui est basée sur l'association de l' état hystérique à un état d'engourdissement, d'inhib
(1), et qui est basée sur l'association de l'état hystérique à un état d'engourdissement, d'inhibition du cerveau, à une
; il est donc lui-même fonction de ce centre ? Dans ce cas, c'Est l' état de ce centre qui importe, et non pas le phénomè
but secondaire dépendant,comme le trouble somatique lui-même, d'un état des centres fonctionnels, dont la na- ture est
lobes frontaux le nom de cerveau psychique. Que se passe-t-il à l' état normal ? Toutes les impres- sions venues du deh
utissent aux centres du cerveau organique. Elles y déterminent un état moléculaire particulier, correspondant à chaque
que impression. C'est là le phénomène de la perception brute. Cet état moléculaire réagit à son tour sur le cerveau psy-
t à son tour sur le cerveau psy- chique et y détermine également un état moléculaire particulier. C'est alors seulement
ation. Chaque fois que le centre psychique se trouvera dans le même état moléculaire, il déterminera dans le centre orga
e état moléculaire, il déterminera dans le centre organique un même état molé- culaire. Celui-ci ayant été déterminé ant
ion et de l'évocation de ces mêmes images, ou pour mieux dire des états qui leur correspondent. Sous quelle forme se co
les excitations parties de la périphérie n'y déter- mineront qu'un état insuffisant pour provoquer le mou- vement et la
j'ai étudiées ailleurs (1). Il reste en quelque sorte figé dans cet état momentané; fatalement la représentation qui lui
nge pas. Nous avons alors l'idée fixe qui varie et disparaît avec l' état soma- tique, lié lui-même à l'état moléculaire
xe qui varie et disparaît avec l'état soma- tique, lié lui-même à l' état moléculaire du'centre inhibé. Mais,en même temp
il n'est que secondaire ; ce qui est primitif, fondamental, c'est l' état physiologique, disons même physique du centre m
sous diverses influences, ils présentent des varia- tions dans leur état , nous comprendrons facilement les aspects si mu
ré plus que personne, la merveilleuse analyse qu'il a su faire de l' état mental des hystériques. Où j'ai toujours différ
roubles psychiques de l'hystérie sont conséquence et non cause do l' état hys- térique, dont il s'agit maintenant de défi
ssement, d'inhibition du cerveau. Déjà l'aspect des malades, leur état de somnolence, de rêverie qui aboutit si souvent
t pas du sommeil naturel, c'est qu'el- les étaient plongées dans un état d'engourdissement, de sommeil pathologique. Pou
paraissent éveillées, dorment en réalité et sont plon- gées dans un état de vigilambulisme.Et,pour le prouver, il en pre
e, entre autres particularités nombreuses de la modification de son état . Quoiqu'il se servît do cet exemple de réveil p
omparables au délire de la grande attaque. Et il ne voyait dans cet état de vigilambulismo qu'une sorte d'attaque d'hyst
que à laquelle allait se produire le réveil que jo provoquais. En état d'hypnose, j'appris en interrogeant les mala- d
motion le plus souvent ou une maladie intercurrente, ciui a amené l' état hystéri- que, que d'autres incidents n'ont fait
sont substituées les unes aux autres, liées qu'elles étaient à des états cérébraux nouveaux provoqués par ces causes. On
nes idées fixes. En réalité, ces idées disparaissent par ce que l' état cérébral qui amenait ces troubles les entrete-
a vraiment alors le sentiment de se trouver en présence d'un autre état , d'un autre individu. Il a lui-même l'impressio
t que par leur intensité et leur durée, de celles qu'on observe à l' état normal quand'on a un arrêt de fonctionnement d'
ré est atteint le centre de l'or- gane intéressé, ou,étant donné un état somatique déter- miné,de prévoir quelles sont l
ment, s'il est partiel, on voit souvent à leur suite reparaître des états anciens du sujet, s'il est complet, la guérison
forme des manifestations hystériques, ce sont les varia- tions de l' état d'engourdissement des centres cérébraux atteint
s sans voir qu'elle contredit son système : « La Conscience est l' état de.l'Homme qui se sent en jouissance de ses fa-
pas une interprétation ac- ceptable des données du duplicisme ; les états psychiques dans lesquels interviendrait la cons
drait la conscience supérieure ne se soudent pas entre eux comme un état premier se soude à un état premier antérieur :
e ne se soudent pas entre eux comme un état premier se soude à un état premier antérieur : ils continuent simplement l
à un état premier antérieur : ils continuent simplement le dernier état de conscience, quel qu'en aît été le con- tenu
: ils appartiennent donc à la même conscience. Bien plus, tous les états de conscience ne diffèrent pas essen- 37li PSYC
onnées du duplicisme : supposons que la syn- thèse mentale qui, à l' état normal, forme la personnalité, soit tou- jours
tes, sauf au moment précis de la volition : à ce moment, les deux « états seconds», second et tierce, si l'on permet, se
tats seconds», second et tierce, si l'on permet, se souderaient à l' état premier, puis la volition achevée, la synthèse
nu de plusieurs consciences. Si je supposais, au contraire, que les états supérieurs, ceux de la série appelée plus haut l'
ire, que les états supérieurs, ceux de la série appelée plus haut l' état pre- mier, se soudent seulement entre eux et ré
ut l'état pre- mier, se soudent seulement entre eux et récusent les états infé- rieurs, je laisse la porte ouverte au dup
tions formées,peuvent prendre naissance, soit un mouvement, soit un état de conscience, soit les deux à la fois, et commen
ions complexes : les composants coenes- thésiques et affectifs de l' état de conscience,au moment de la déli- bération, p
nt tout comme les éléments de pure connais- sance à l'évocation des états de conscience antérieurs qui ont con- tenu les
part, se répartissent pres- que toujours et naturellement entre des états de conscience de teinte affective opposée. De
délibération, les uns vont donc avoir le même signe affectif que l' état évocateur, les autres un si- gne contraire : ce
ois causé, ou rempli, par une sensation intercurrente ou tout autre état de conscience complètement étranger à l'objet de
celles qui sont pro- pres à la théorie ? C'est la simultanéité des états affectifs (conscients ! ) différents créés par
plus, le moi doit né- cessairement connaîtra et connaît en fait ces états affec- tifs divers, ce qu'il ne peut faire qu'e
ne peut les éprouver que successivement. Si maintenant, au lieu des états af- fectifs, on envisage spécialement les motif
tie aux impulsions des coêtres. Je sais bien que dans nom- bre d' états pathologiques, « l'Etre complet » ,la «Raison »,
araît ou du moins est subordonnée à un coêtre ou aux deux. Mais ces états dont il fit sa seule preuve directe, le duplici
longue descrip- tion de l'évolution psychique, de la naissance à l' état adulte,où l'Auteur mêle à des conseils aux jeun
de surveillance qui leur convient, à l'hygiène ré- clamée par leur état . » « L'immortel Pinel, considérait un hospice d
rsonne dont le maintien en liberté compromettrait, en raison de son état d'aliénation, dû- ment constaté par un certific
airement ou sur la demande des particuliers, et dans le cas où leur état mental pourrait compromettre la sécurité, la dé
leptiques ou aliénés pendant qu'ils subissent leur peine, et dont l' état d'épilepsie ou d'aliénation a été constaté par un
. ART. 36. - Tout inculpé, prévenu ou accusé qui, à raison de son état d'aliénation mentale au moment de l'action, a été
ssement d'aliénés, soit dans un asile ou quartier de sûieté, si son état est de nature à compromettre la sécurité, la dé-
laration en ces termes : « A la majorité, l'accusé, à raison de son état d'aliénation mentale au moment de l'action, est i
ivent communiquer à l'ad- ministrateur ,au moins une fois par an un état sur la situation fi- nancière de l'entreprise.
au curateur, qui le communique au procureur de la République, un état de la situation de la fortune de l'aliéné, une pr
la même autorisation, précédée de l'avis du mé- cin traitant sur l' état de l'aliéné, l'administrateur peut vendre propo
nouvelés qu'après que ledit administrateur a fourni au curateur les états de,situation prescrits par la présente loi. 1
o-épileptique de l'un ou de l'autre sexe, et avec connaissance de l' état de cette personne, est puni de la réclusion. AR
s non encore internés ou pour les ex- pertises médico-légales sur l' état mental des inculpés ; 5° Les con- ditions dans
par KLIPPEL. (L'Encéphale, 1906, n° 3.) Des modifications dans l' état du sang peuvent accompagner des états Yesanique
3.) Des modifications dans l'état du sang peuvent accompagner des états Yesaniques simples. L'observation rapportée conce
normale à la fin de l'accès. 11 est vraisemblable que dans de tels états , qui sont la marque d'une constitution psychi-
Observation dont l'intérêt clinique réside dans l'association d'un état onirique très prolongé avec cet optimisme aveugle
continus qui caractérisent l'euphorie délirante des phtisiques. Cet état mental semble manifestement en rap- port avec l
l'intoxica- tion thyroïdienne ; c'est à elle qu'il faut rapporter l' état mental des haserlowiens, les troubles psychique
ncéphalopathio addisonnienne (flip p pcl), du délire (Addison), des états neurasthéniques (Dufour et Dogues de Fursac). L
somme d'une série de phénomènes psychiques, et qu'elle comprend un état physique, une série de conditions physiques don
doctrine de Jackson sur la con- comitance ou le parallélisme : Les états de conscience sont abso- lument différents des
llélisme : Les états de conscience sont abso- lument différents des états nerveux, mais se rencontrent concur- remment av
ts nerveux, mais se rencontrent concur- remment avec eux. Pour tout état mental il y a un état nerveux corrélatif mais s
ncontrent concur- remment avec eux. Pour tout état mental il y a un état nerveux corrélatif mais sans interférence connu
tisans de cette doctrine ne peuvent évidemment pas admettre que les états psy- chiques soient l'effet des états physiques
idemment pas admettre que les états psy- chiques soient l'effet des états physiques corrélatifs, mais ils peu- vent conce
états physiques corrélatifs, mais ils peu- vent concevoir entre ces états une coïncidence nécessaire. Les phénomènes phys
olie se rencontrent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 423 0 dans les états ou dans les rapports de celles des cellules céréb
cellules cérébrales dont les activités normales sont accompagnées d' états de cons- cience qui, dans la folie, sont ou abs
° les phénomènes psychiques : mais nous ne pouvons pas observer les états de conscience chez les autres ; nous ne pouvons c
comme l'expression physique des élé- ments nerveux concomitants des états conscients ; 2° les phéno- mènes physiques esse
cel- lules dont les effets sont en corrélation avec le désordre des états de conscience, et en faisant la supposition, qu
osition, qui n'est après tout ni démontrée, ni démontrable, que les états de conscience qui, pour nous-mêmes, sont en cor
conscience qui, pour nous-mêmes, sont en corrélation avec certains états nerveux, ayant une expression physiologique déf
, ayant une expression physiologique définie, sont identiques aux états de conscience qui chez les autres,sont en corréla
tats de conscience qui chez les autres,sont en corrélation avec des états nerveux ayant en fin de compte une expression ide
ne d'as- pect réniforme». Mais il faut se rappeler que la somme des états de conscience qui, chez un individu sain d'espr
vrables par la mémoire. Et il se peut que l'on puisse concevoir ces états psychiques comme accompagnant des états fonctio
l'on puisse concevoir ces états psychiques comme accompagnant des états fonctionnels et dynamiques de tous les centres ne
els et dynamiques de tous les centres nerveux, ou tout au moins ces états de conscience qui accompagnent des états nerveu
veux, ou tout au moins ces états de conscience qui accompagnent des états nerveux inférieurs dans des conditions qui ne s
ne grande mesure, l'étude de l'ordre qui persiste dans la somme des états psychiques qui constituent pour chacun de nous
is il fait remarquer que, dans la folie progressive, les totaux des états de conscience parais- sent se succéder dans un
ordre qui n'est pas seulement aussi net et aussi inexorable qu'à l' état sain, mais qui est effectivement le même. Clo
t pas en contradiction avec l'ordre ci-dessus énoncé de l'ordre des états de conscience, mats qu'elle en est au contraire
nce, mats qu'elle en est au contraire la conséquence, ainsi que des états qui le déterminent, et qu'elle trouve -des anal
ations est déter- miné par l'extension et la régularité (ou par les états inverses) du processus de dissolution. Il est
ndispensable de considérer non seulement les différentes sor- tes d' états conscients, mais l'ordre suivant lequel ils appar
es moyens physiques, sachant par expérience que la restauration des états physiques (nerveux) s'accompagne nécessairement
siques (nerveux) s'accompagne nécessairement de la restauration des états psychiques. R. DE MUSGRAVE CLAY. LlIL- Note s
n sur l'écholalie signalée par Lichtheim comme pathognomonique de l' état dont il s'agit. Il faut rappeler ici que l'écho
me un symptôme aphasique : elle se rencontre en effet dans d'autres états mentaux où l'aphasie n'est pas signalée. L'échola
consécutive aux crises d'épilepsie ; on la trou- ve aussi dans les états confusionnels épileptiques, sans que ceux-ci pu
e l'alcool-; 4° variations dans la marche de la maladie suivant les états mentaux concomitants; 3° renseignements fournis
vincible (car il s'agit bien ici d'un sommeil véritable et non d'un état comateux). Comme autres symptômes importants il y
s siègent du côté droit : or chez cet homme ce côté du corps est en état d'infériorité mani- feste au point de vue dynam
nostic et de pronostic des plus regrettables. D'après 11. Crocq les états neurasthéniques comprennent trois choses bien d
ns, les chagrins prolongés, les traumatis- mes, etc. <, 2° Les états neuraslhéniformes constitutionnels indélébiles et
t relatifs d'abord à l'examen du malade et à la constatation de son état bacillaire à son entrée, et ensuite aux mesures
vrir et les interpréter. L'amaigrissement et les modifications de l' état mental sont des si- gnes d'une grande importanc
d'une malade de 17 ans frappée soudainement, après quelques jours d' état fé- brile, de paralysie totale avec douleurs vi
parties de l'encéphale, cause de la mort, sexe, race, pro- fession, état mental etc.). La méthode employée fut celle de \V
es. Les hystériques con- firmés ne sont que des vigilambules dont l' état de sommeil est plus ou moins profond, plus ou m
es cas plus légers il n'y a pas de vigilambulisme, il n'y a que des états d'inhibition, de sommeil, par- tiels, atteignan
en effet, un centre cérébral quelconque et supposons-le frappé d'un état d'inactivité présentant toute une gamme de degr
aque centre fonctionnel individuellement dans l'ap- préciation de l' état hystérique général qui n'est que la sommation,
stérie on comprend que l'on peut voir certains centres présenter un état permanent et certains autres présenter des vari
e : que l'hystérie, dans son ensemble, n'est qu'une agglomération d' états hystériques locaux. Faute de cette notion, on e
d'au- tres présentent de très gros troubles psychiques. Si donc l' état hystérique consiste dans un trouble loca- lisé
ue la plus grande hystérie ne soit jamais que la généralisation d' états locaux, si, comme je le soutiens, ce trouble hys-
si, comme je le soutiens, ce trouble hys- térique consiste dans un état d'engourdissement, d'in- hibition, de sommeil e
i tant est qu'il y ait jamais une hystérie moriosymptomatique et un état de vigilambùlisme complet avec toutes les manif
ble hysté- rique est toujours la même naturellement. Je dis que l' état hystérique est une sorte de sommeil des centres
eint par une émotion morale, avec une idée fixe concomitante de son état somatique fixe,pourra se réveiller sous l'influ
e fixe née au même titre que la con- tracture ou la paralysie. Si l' état est plus ancien, si l'hys- térie est plus génér
ou tel point d'autant qu'il faut tenir compte non seulement de l' état actuel, mais de l'évolution anté- rieure de s'a
nt : mais les phénomènes psychologiques étant la conséquence de l' état cérébral et non sa cause,et n'étant pas constants
vigilambules. Je ne sais comment appe- ler autrement que sommeil, l' état où se trouve plongé un individu présentant une
lorsqu'en enjoignant à cet individu de se réveiller, \\ sort de cet état et cesse de présenter ces trou- bles,- je ne sa
u- bles,- je ne sais pas comment appeler autrement que sommeil, l' état dans lequel cet individu était plongé quand, ap
a, en effet, là qu'une question de différence dans la durée de son état , entre un dormeur qui serait resté endormi pend
thésiques et psychiques. Je dis qu'un individu qui,plongé dans un état anormal, redevient normal quand on lui ordonne
du qui dort. Et comme, en étudiant toutes les dégradations de cet état , toutes ses variétés, on constate que l'on passe
ions de ma part, en conti- nuant toujours à croire que j'assimile l' état de sommeil des centres neryeux dans l'hystérie
e sur le cerveau et détermine des pertes de connaissance, amène des états d'inertie du cerveau, une inhibition des foncti
nertie. C'est ce qui se produit si souvent chez des hystériques à l' état latent, quand on immobilise un de leurs membres
ral. Ces arrêts peuvent persister, et l'écart entre la normale et l' état d'arrêt se traduit à un moment donné par des ma
'épuisement ainsi produit ne se fasse pas, le cerveau reste dans un état d'activité diminuée et par conséquent sa percep
s en étudiant les émotions localisées (1). A ce moment je dis que l' état hystérique est constitué, non pas parce qu'il y
ouble, mais parce que ces troubles sont le témoignage objectif de l' état d'engourdissement du cer- veau, soit dans son e
ET SOMMEIL. 461 soutenu depuis longtemps que ce qui caractérisait l' état hystérique c'était la tendance qu'avaient les c
tait la tendance qu'avaient les centres céré- braux à rester dans l' état où ils étaient mis quand leur activité était di
Il me semble que dire, comme M. Claparède,que l'hys- térie est un état de sommeil parce que c'est un état de distracti
laparède,que l'hys- térie est un état de sommeil parce que c'est un état de distraction, et que le sommeil est psycholog
n état de distraction, et que le sommeil est psychologiquement un état de désintérêt, de distraction totale de la situat
rie, et que, au point de vue clinique, l'assimila- tion de ces deux états de sommeil est un peu hasardée, après m'avoir r
le moi du sujet ne peut avoir aucune prise. Com- ment dès lors cet état d'engourdissement cérébral tout (1) Ce réveil a
ribue à une diminution de l'irrita- bilité cérébrale, produisant un état de vie latente qui se traduit par des altératio
ression de leur personnalité et une transformation complète de leur état ,leur réveil cérébral et leur guérison de ce fai
surprise pour moi de voir des sujets à qui je disais simplement en état d'hypnose « réveillez-vous » ou « sentez-vous »
istance, se mettent, quelque temps après la séance, à rêver dans un état de demi-conscience à tous les événements d'une
nsiste essentielle- ment en ceci : l'hystérie est constituée par un état d'activité moindre - depuis la légère diminutio
n'est donc que l'exagéra- tion de ce qui se produit constamment à l' état nor- mal, avec cette différence seulement que l
définiment. Qu'on appelle engourdissement, sommeil,irihibition, cet état de l'écorce, peu importe (1). L'essentiel est d
trospection de lui-même sans que rien l'autorisât à conclure de son état de cons- cience à l'état de conscience d'autrui
ans que rien l'autorisât à conclure de son état de cons- cience à l' état de conscience d'autrui » (p. 155). De ce que la c
conque ? Les motifs ont-ils une va- leur appréciable en dehors de l' état social, et tous les hommes qui partagent cet ét
le en dehors de l'état social, et tous les hommes qui partagent cet état n'ont-ils pas le droit d'apprécier les motifs et
e valeur évidemment toute relative qui assurent la sta- bilité de l' état social ? Le duplicisme veut asseoir le droit à
inné,mais antérieur ou tout au moins étranger dans son origine à l' état .social, fondé sur la seule organi- sation de l'
entiment de non responsabilité dans les cas ou les causes internes ( états affectifs, états morbides etc.) auront agi. Che
esponsabilité dans les cas ou les causes internes (états affectifs, états morbides etc.) auront agi. Chez tous, d'ailleurs,
le de fibres nerveuses terminées par des massues de croissance, à l' état pathologique et à l'état normal ; lésions tabét
rminées par des massues de croissance, à l'état pathologique et à l' état normal ; lésions tabétiques des racines médulla
ode embryonnaire. Ces fibres à massues ne sont point l'apanage de l' état pathologique, elles existent à l'état normal :
ne sont point l'apanage de l'état pathologique, elles existent à l' état normal : Cajal en a décrit dans les ganglions r
prouve qu'en gé- néral les actes ne suffisent pas pour apprécier un état mental, qu'un diagnostic ne peut être posé qu'à
nce favorable du traitement thyroï- dien sur l'obésité, nulle sur l' état des organes génitaux et sur les fonctions sexue
es organes génitaux et sur les fonctions sexuelles, ainsi que sur l' état mental. F. T. XXX.- La spondylose rhizomélique
aru être plus foncée au mo- ment de l'entrée, c'est-à-dire dans les états plus ou moins aigus ; mais il faut se souvenir
s états plus ou moins aigus ; mais il faut se souvenir que même à l' état sain la coloration de l'urine est extrêmement v
LAY. YXXV.-Une réaction du sérum appparaissant chez des sujets en état d'infection ; par M. Lewis C. BRUCE. (The Journal
éresse. 512 bibliographie. Le D' Régis donne ensuite brièvement l' état des organisations scolaires à l'étranger et fai
s ; celle de Royat s'en rappro- che ; c'est d'ailleurs l'étude de l' état général, de la nature des symp- tômes et des co
sures du docteur ne paraissent pas devoir être mortelles ; mais l' état général de l'infortuné praticien est très sérieux
Observations et considé- rations sur un homicide com- mis dans un état second d'- par Piancone et Maran, p. 343. Bac
le de ner- veuses terminées par des mas- sues de croissance, iL J' état pa- thologique et à l'état normal ; lésions t
par des mas- sues de croissance, iL J'état pa- thologique et à l' état normal ; lésions tabétiques des racines médul
à l'his- toire de la manière dont les maladies aiguës affectent l' état mental ; par Lewis Bruce, p.6 1. 4. Marche. V
. 351. Sérum. Une réaction du ap- paraissant chez des sujets en état d'infection ; par Lewis et Bruce, p. 492. -. V.
14 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
'utiliser les certitudes acquises en les appliquant au traitement des états morbides de ta volonté, de la conscience, de l'in
n améliorer le fonctionnement. La réalisation, chez un individu, de l' état d'hypnotisme et des modifications nerveuses ou me
costale et diaphragmatique des sujets plongés successivement dans des états différents du grand hypnotisme. Enûn. MM. Beaun
ont permis d'obtenir un grossissement considérable des phénomènes à l' état normal, les modifications qui surviennent dans la
peuvent qu'être très limitées ; il n'en est pas de même dans certains états pathologiques qui offrent à l'influence de la sug
nctionne d'une façon normale. Elle est très hypnoti-sable, et, dans l' état d'hypnotisme, présente de l'automatisme et réalis
automatisme et réalise des hallucinations suggérées. Nous jugeons son état favorable à des recherches expérimentales. Pour
reil ait quitté le pouls. Expérience. — Le pouls du sujet, pris à l' état de veille, marque 78 pulsations à la minute. Le d
r secondairement des modifications dans la tension artérielle, dans l' état des vaso-moteurs et ainsi exercer une influence s
ns. La malade, après quelques difficultés, fut hypnotisée. Dans cet état , on lui suggéra le calme, le repos, le ralentisse
mographe employé fut le sphygmographe de Dudjeon. Expérience. — A l' état de veille, le pouls marque 132 pulsations par min
hypnotique sont très peu marquées. Conclusions. — L'existence d'un état pathologique, une tachycardie très accentuée, nou
explications et à des lois vitales qui comprennent tes rapports de l' état pathologique avec l'état normal ou physto logique
is vitales qui comprennent tes rapports de l'état pathologique avec l' état normal ou physto logique. De l'utilité des Ra
à un étroit conduit. La jeune fille grandit, se marie, reste dans cet état jusqu'au moment d'accoucher. Alors, on tranche la
e a fait pendant la journée, et, le matin, au réveil, elle est dans l' état d'une personne qui n'a pas dormi. Elle ne se rapp
ants Malades. seurs ne s'en inquiétèrent pas trop, en raison de l' état général excellent, mais l'affection persistant, o
Le larynx non plus n'est pas atteint, la voix est claire. Quant à l' état général il est aussi satisfaisant que possible :
nt l'intégrité absolue du larynx, des fonctions respiratoires et de l' état général, vient confirmer cette impression premièr
demain, en une seule séance, une guérison complète. La suggestion à l' état de veille n'ayant rien donné, on le plaça parles
plaça parles moyens habituels (pression des globes oculaires) dans un état de demi-sommeil particulièrement favorable pour l
Rapporteur: M. Noguès (de Toulouse) ; 2° Pathologie mentale: Des états anxieux dans les maladies mentales. — Rapporteur
ci même à ce sujet un détail tout à fait actuel qui peint très bien l' état de nos mœurs à cet égard. « Les religieuses se
l'afflux de sang au système nerveux central, lequel entrerait dans un état plus ou moins anémique. Les narcotiques, par exem
e la peau uniformes (2). Ainsi. l'attention passive qu'excitent à l' état de veille les impressions reçues par l'intermédia
nos rêves ne soit point essentiellement empruntée aux choses qui, à l' état de veille, nous intéressent ou nous occupent le p
produites en lui si ces circonstances se fussent présentées dans son état de veille. Les souvenirs aussi, d'où découle la m
e la matière d'un rêve, sont tout autres que ceux qui prédominent à l' état de veille. Une foule de souvenirs, tellement enfo
redeviennent conscients. On connaît le cas de cette servante qui, en état de narcose, se mit tout à coup à réciter en hébre
t d'énergie. Nous mentionnerons un autre trait caractéristique de l' état de rêve, qui consiste en ce que nous y avons un s
après, cette même jambe se paralyse. Ainsi, le rêve peut prédire un état pathologique plus ou moins prochain. 11 le prédit
leur souvenir reste vivace ou latent, ces rêves s'imposent aussi à l' état de suggestions: il commandent à l'organisme ; il
; il en modifient les diverses fonctions. Ce n'estpas ici parce que l' état pathologique va se produire qu'on le voit en rêve
ement. Le rêve est la cause déterminante, la cause génératrice de cet état ; le rêve crée l'accident morbide; il est propreme
tes ne conservent point la forme subjective qu'ils revêtent pendant l' état de veille. Ils ont pour porte-parole des personna
é. Mais l'oubli n'est que relatif : une certaine mémoire subsiste à l' état latent dans la sphère subconsciente. D'autre pa
notre insu, s'emmagasinent et s'amoncellent avec la somme énorme des états de conscience en apparence oubliés. Ce sont ces s
? Du reste, les exemples ne sont pas rares de forces qui existent à l' état de fonction de la matière, sans la modifier quant
anomalies de la motricité ou de la force. Dans le premier groupe, l' état normal existe lorsque les facultés psychiques sup
e nous trouverons bien des degrés d'exagération ou de diminution de l' état normal, et nous allons voir que ces modifications
excitation plus violente ou plus prolongée. Nous pouvons appeler cet état hypoesthésie pour le mettre en regard de l'hypere
tion de la sensibilité nous conduit à l'autre point extrême. C'est un état tel qu'une excitation quelle qu'elle soit, ne pro
livrait difficilement au travail, était constamment essoufflé, et son état empirait tous les jours. Mardi soir, après un bai
lise Flamant s'est levée, a pu marcher. Les douleurs ont disparu. Son état s'est beaucoup amélioré. Mme Jeanne Turban, de
ient qu'elle a de diminuer la volonté. En revanche, la suggestion à l' état de veille peut produire d'excellents résultats. »
fidèle est la rééducation de la volonté, faite par suggestion dans l' état d'hypnotisme. L'hypnotisme a également été l'ob
t de la suggestion. Chez les animaux aussi se manifestent parfois des états analogues, dont quelques-uns étaient déjà connus
ux poison africain, entre périodiquement avec la saison sèche dans un état de léthargie, dans lequel il se dessèche avec le
ux manières de voir et parlait de kataplexie ou paralysie de terreur, état dans lequel certains centres d'enraiement seraien
avorables à la catalepsie. La suggestibilité est caractéristique de l' état hypnotique et est absente dans l'état cataleptiqu
bilité est caractéristique de l'état hypnotique et est absente dans l' état cataleptique. Malgré ces nombreuses objections,
de la suggestion, parce que nous ne savons pour ainsi dire rien de l' état de conscience de l'animal et que nous connaissons
connaissons moins encore la nature des modifications subtiles que cet état subit. Un médecin vitaliste et psychologue : J.
chrétienne par le stoïcisme ; mais incapable de vouloir — au fond cet état pathologique est de l'aboulie — il a sa première
es visites et remarque avec regret l'insuffisance, l'incertitude et l' état conjectural de la médecine. « Je savais, dit-il,
prendre et de se réveiller le lendemain matin, l'estomac dans le même état que la veille. Une odeur désagréable — par exem
ra d'apprécier plus loin. Pour le moment, revenons à l'homme, à son état nerveux, à ses crises, à ses hallucinations qu'il
à dédaigner. D'ailleurs, je me propose de noter par la photographie l' état de la verrue à chacune de nos séances de suggesti
lle contracte la rougeole. Il semble que celle-ci améliore un peu son état , car Mlle E. 0... peut, au commencement d'avril,
re. Vers le milieu de mai, les mains et les jambes sont en meilleur état ; la malade peut monter et descendre un escalier,
keniki. Là on la traite par les bains, le massage et l'électricité. L' état de la malade s'améliore à vue d'œïl. Les articula
ée. Lorsque je la vois pour la première fois, le 28 février 1897, l' état de la malade est le suivant: Mlle E. O... est g
e bien plus grande importance. La vue du tabes du père a influé sur l' état psychique de la malade. (1) Sammlung Klin. Vort
. Deux ou trois fois, j'essaie, sans résultat, de la plonger dans l' état hypnotique. Alors j'ai recours à la suggestion pe
dans l'état hypnotique. Alors j'ai recours à la suggestion pendant l' état de veille. Je dis à la malade qu'elle va être tou
on estime que l'hypnotisme n'a pas été obtenu. C'est là une erreur. L' état hypnotique a été réalisé dans une certaine mesure
l'apparition du sommeil et lorsqu'on croit faire de la suggestion à l' état de veille on la fait dans un état hypnoide ou dan
on croit faire de la suggestion à l'état de veille on la fait dans un état hypnoide ou dans un des premiers degrés de l'hypn
ott, est une petite fille de cinq ans. Elle claudique encore mais son état général parait meilleur. M11e G. Precz est enco
n du T.-S. Sacrement, elle court, se meut, mange sans difficulté. Son état s'est bien amélioré. Plus loin, on trouve deux
-Marc (Pas-de-Calais), est arrivée à Lourdes Vannée dernière, dans un état de prostration alarmant. Atteinte de neurasthénie
ie Morel ne conservait plus la moindre trace de cette maladie, mais l' état neurasthénique n'avait subi qu'une amélioration p
suite d'un abcès situé au pli de l'aine. Dès l'arrivée à Lourdes, l' état général s'est amélioré sensiblement : l'appétit e
ifs. Mais la place du Rosaire garde tous ses pèlerins insoucieux de l' état du ciel et de nouveau clamant à la Vierge, de tou
roit de faire sortir ces faits de ce que je me permettrai d'appeler l' état anecdotique. Aussi n'en ai-je jamais tenu compte
nts sur cet acte important, qui joue un si grand rôle dans la vie à l' état normal et à l'état pathologique. Etudiant ensui
portant, qui joue un si grand rôle dans la vie à l'état normal et à l' état pathologique. Etudiant ensuite la formation des
and on suspend l'usage de la boisson en mangeant, ou encore pendant l' état fébrile ; enfin il pèse l'urine d'une jeune fille
e produite par un ferment acide ; la synovie qui est transparente à l' état normal devenant acide par te fait de la goutte, s
asion de rattacher à une cause psychique l'aggravation passagère de l' état général aussi bien que de la toux ou de l'aphonie
ce corps superbe que l'artiste fit chastement nu, fut adoré dans cet état par la foule des hommes. Alors chacun pouvait adm
à exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état d'hallucination. un squelette l'accompagnant
Parlons des hallucinations de l'ouïe qui jouent un grand rôle dans l' état de Marie Alacoque. Le plus souvent ces hallucin
ce sont des cris, des injures, des vociférations ; enfin produisant l' état de manie aiguë, c'est le bruit d'une foule hurlan
le malade, l'intensité des hallucinations décroît en même temps que l' état aigu fait place à l'état chronique ; si la guéri-
s hallucinations décroît en même temps que l'état aigu fait place à l' état chronique ; si la guéri-son survient, les voix de
lucinations terrifiantes du diable et des feux éternels produisant un état de manie aiguë, qu'elle nous décrira dans son mém
le lui a dit, on s'est trompé. Récemment, elle présente un mauvais état général et digère mal. Elle va à l'hôpital. Au bo
écisent assez pour permettre d'amener les personnages d'autrefois à l' état de sujets de clinique ». En fait, rien n'est pl
e que grâce aux patientes recherches de l'auteur nous connaissons des états de cette femme que les révélations posthumes sont
des pratiques de sorcellerie dont le récit donne une idée exacte de l' état d'inhibition dans lequel devaient se mettre les m
la suggestion hypnotique. Dr Bérillon : La suggestibilité dans les états délirants d'origine infectieuse. Dr Paul Magnin
r admettre que : « La suggestion est l'opération par laquelle, dans l' état d'hypnotisme, et même dans certains états de veil
ération par laquelle, dans l'état d'hypnotisme, et même dans certains états de veille apparente (états hypnoïdes), on peut, à
l'état d'hypnotisme, et même dans certains états de veille apparente ( états hypnoïdes), on peut, à l'aide de certaines sensat
on récente à la Société d'hypnologie et de psychologie (1), révèle un état d'aboulie nettement caractérisé. Ce syndrome abou
ractérisé. Ce syndrome aboulie est ordinairement caractéristique de l' état psychologique individuel du sujet. Il est un des
se manifeste essentiellement par l'apparition ou l'accentuation de l' état d'aboulie. L'individu semble, depuis ses ennuis o
rofessionnelle connue sous le nom de trac des acteurs. En résumé, l' état mental du malade est essentiellement caractérisé
n ne seront utilement faites que lorsque les malades ne seront pas en état d'ivresse, même légère. Dans l'état d'excitation
sque les malades ne seront pas en état d'ivresse, même légère. Dans l' état d'excitation alcoolique, les sujets les plus sugg
1), à l'arc protecteur d'Apollon. Sa crise apaisée, Oreste, dans un état de vague et de confusion où cependant il se rend
mi Hector et se tue en se jetant dessus. Il y a donc dans Ajax deux états psychopathiques qui se succèdent, plus ou moins l
ucinatoire nocturne, un accès de dépression mélancolique. De ces deux états , le grand tragédien a tracé un tableau aussi exac
ure, c'est que Hercule sort de sa crise absolument comme on sort d'un état de somnambulisme ou, ce qui revient au même, d'un
omme appartenant exclusivement à l'épilepsie. Il indique seulement un état cérébral d'intoxication. Telle est la pièce d'H
jours identiques a été souvent considéré comme l'indice habituel d'un état morbide. Mais, comme le dit fort bien M. Dubuisso
, le dédoublement de la personnalité sont les causes principales de l' état mental des hystériques. Au contraire, dans ces
extension, accolés l'un contre l'autre. Je demande depuis quand cet état dure et comment il a débuté. Voici les renseignem
a pendant toute sa vie et elles contribueront à la maintenir dans cet état de chloro-anémie si favorable à la production des
, « je tombai malade, dit-elle, dune « maladie qui me réduisit à un état si pitoyable que je fus quatre ans « environ sa
elle, quelques-uns des principaux bien caractérisés, par exemple, les états d'extase, les attaques petites et grandes de conv
un quart d'heure après quoi elle se réveille et sort lentement de son état ; elle déclare dans un endroit du récit, que penda
aient rien d'extraordi- « naire et que, si je ne me retirais de cet état , on ne me recevrait pas à « la profession ». Ma
e jour ni la nuit. Marie Alacoque arrive à ce moment à un véritable état d'érotomanie et elle attribue à Jésus un véritabl
un véritable état d'érotomanie et elle attribue à Jésus un véritable état de priapisme : on lui fait garder une ânesse et s
é-« trèrent si fort, qu'il me semblait que je brûlais avec elle ; son état « pitoyable dans le purgatoire me fit verser des
uction juridique spéciale. De la sorte, le criminel sera mis hors d' état de nuire et s'il est possible, amendé. On ne verr
nnée 1902-1903 Première partie 19 Novembre. - - L'Hypnotisme et les états qui s'y rattachent. Sommeil. Rêves. 26 Novembre
26 Novembre. — Etats hypnotiques superficiels. Suggestion dite à l' état de veille. Auto-suggestion. 3 Décembre. — Etats
à la pratique de la psychothérapie, de rencontrer des malades dont l' état mental est carac-térisé par une prédisposition à
ons simplement vous montrer un sujet qui réalise au plus haut degré l' état d'hyper-hypnotisme. Chez lui, dès qu'il est hypno
st aussi suggestible que parce qu'il est facilement hypnotisable. A l' état de veille, M. D... est capable d'exercer ses facu
decin le désarme, l'hypnotise en un mot et réalise secondairement cet état d'hyper-suggestibilité que vous constatez. D'au
vous constatez. D'autres influences réalisent également chez lui un état hypnoïde, absolument analogue à l'état d'hypnose.
éalisent également chez lui un état hypnoïde, absolument analogue à l' état d'hypnose. L'émotion, la peur exercent une action
sa variabilité et sa curabilité, être plutôt sous la dépendance d'un état d'irritabilité passagère du système nerveux. La
tat d'irritabilité passagère du système nerveux. La disposition aux états vertigineux s'est manifestée de bonne heure. Leje
it tombé s'il n'avait été soutenu par un camarade. Actuellement ses états d'anxiété ont abouti à une véritable agoraphobie
circuler. Il doit être atteint d'hèméralopie, car il note que ses états d'anxiété augmentent à la chute du jour, au momen
e à laquelle il a été soumis a exercé son influence salutaire sur son état mental. Nous avons, par un entraînement progressi
. Nous avons, par un entraînement progressif, traité son aboulie, ses états d'émotivité morbide, ses phobies. Nous complétero
mique et d'un rythme particulièrement monotone et apte à produire cet état psychique que nous appelons « l'ataraxie ». Ils
udra faire entendre au sujet une tonalité mélancolique adéquate à son état mental et je partage absolument là-dessus l'opini
emps de durée nécessaire pour chaque tonalité. b). Le sujet est à l' état de veille. C'est à ce cas que nous aurons le plus
renversant la proposition, commencer par faire entendre au sujet, à l' état de veille, puisque l'état d'hypnose sera le plus
commencer par faire entendre au sujet, à l'état de veille, puisque l' état d'hypnose sera le plus souvent irréalisable, des
lades qui présentent des dissociations de la personnalité et dont les états de conscience se rapprochent par là de ceux des C
mais, loin d'y trouver le soulagement attendu, le malade, voyant son état s'aggraver davantage, fut obligé de tout abandonn
us souvent la convulsion était finie et je trouvais la malade dans un état de catalepsie, étendue sur son lit, sans connaiss
it jours. En moins d'une demi-heure, cette fille passa de cet étrange état à une santé parfaite ; elle se leva seule, s'habi
ggestion. Plus loin, comme si elle voulait mieux prouver encore son état hystérique et le rôle de la suggestion dans la gu
ièrement. Sa santé générale n'a pas été atteinte; mais elle a gardé l' état psychique particulier des traumatisés; elle est t
ncentrée, vit à l'écart, dort très mal et rêve perpétuellement de son état . Aujourd'hui encore, tout lui paraît trouble, e
complète à droite, moins étendue à gauche, lanes-thésie faciale et l' état mental, tout cela nous montre qu'il s'agit non pa
t de cette femme, un rapport médico-légal. J'exposerai l'évolution, l' état actuel et mon diagnostic sera : perte de la visio
BIBLIOGRAPHIE Influence de l'estomac et du régime alimentaire sur l' état mental et les fonctions psychiques, par M. le Dr
ges et je te dirai qui tu es » (Cabanis). En effet, le caractère et l' état psychique des divers peuples et des individus var
i, sous le nom de Polyzoisme, fut exposée, il y a un demi-siècle, à l' état non pas d'ébauche ou de rudiment, mais de synthès
sphérique, élaboraient 50 à 60 % de matières vivantes en moins qu'à l' état normal. Mais aussi un certain nombre d'expérime
es graines vivaces sont des graines endormies. Leur vie latente, leur état de « vitalité dormante », comme disent les Anglai
adif, notre remarque restera exacte, car on peut appliquer à tous les états pathologiques l'aphorisme « Krank-heit schafft ni
eau). Partant de là, Bernheim a pu dire : « Rien ne se passe dans l' état hypnotique qui ne se passe à l'état de veille »;
dire : « Rien ne se passe dans l'état hypnotique qui ne se passe à l' état de veille »; et, de leur côté, Moll et Leh-mann o
. Même si nous découvrons maint point de comparaison entre elle et un état normal de l'esprit, cela ne signifie pas qu'elle
normal de l'esprit, cela ne signifie pas qu'elle ne constitue pas un état très particulier et spécial. Par exemple la catal
ie n'est pas un simple phénomène physiologique ; mais elle suppose un état très anormal de la conscience et des agents moteu
elle devait se trouver, sans que cela le gênât en écrivant ; c'est un état que l'on pourrait appeler la dysgraphie. L'effet
entrée sur un objet unique le met dans ce que l'on pourrait appeler l' état de monoïdéisrne, de même que l'on pourrait peut-ê
que l'on pourrait peut-être considérer le sommeil ordinaire comme un état à'anidéisme, du moins pour ce qui concerne le som
t a signalé la chose (1) D'après lui l'hypnose débute toujours par un état d'inconscience complète, par l'absence de toute r
ète, par l'absence de toute représentation quelle qu'elle soit. A cet état d'anidéisme succède celui de monoïdéisme; dans le
fait, mais parce que nous l'avions prévu ; en revanche nous sommes en état de réprimer cette inclination en évoquant une pen
terme d'hypnotisme pour les procédés mis en usage afin de provoquer l' état d'hypnose et pour la science qui s'en occupe. (
ffrance. Par rapport aux actes suggérés, mais accomplis après que l' état d'hypnotisme s'est dissipé, il faut signaler le r
ne hypnose antérieure, quoique elle ne s'en souvienne pas du tout à l' état de veille. C'est comme si son cerveau était organ
rganise-en vue d'une double mémoire, une pour l'hypnose et une pour l' état de veille. On voit que la suggestion qui a été fa
ence de la cause vraie de son action, mais que, ramenée plus tard à l' état d'hypnose et ainsi à ce que l'on pourrait appeler
ions faites à quelqu'un pendant l'hypnose sont conservées par lui à l' état de souvenir latent, capable de se transformer plu
caniques fortes ou faibles, rapides ou lentes sur les hystériques à l' état de veille et d'hypnotisme. Or j'ai montré le pr
ieurs, secousses qui se propageaient ensuite à tout le corps. Cet état durait depuis plusieurs mois; et le malade ne pou
it en voulant prendre un tramway électrique de l'Est Parisien que cet état se développa. La secousse fut si vive que cet hom
pas, fait des imprudences. Il n'y a aucun danger à l'avertir de son état ; l'avertissement sauf de rares exceptions, ne le
s avancée, ils sont extrêmement égoistes. Un malade me traduisait son état mental par ces mots : « Je suis anarchiste de la
ctés et épuisés. J'estime qu'il ne faut pas cacher au tuberculeux son état , mais, au contraire, le lui révéler; en lui prome
os jours se préoccupent de l'opportunité d'éclairer le malade sur son état . En révélant la vérité au tuberculeux, en lui app
, je suis également d'avis qu'un tuberculeux doit être prévenu de son état ; mais je pense qu'il y faut des formes et des mén
'ils ont d'ordinaire très bon appétit. sinon, on les gave. Quant .à l' état mental de ces malades, il faut distinguer ceux qu
ession. C'est sous l'empire de ces fausses sensations, soit pendant l' état de veille, soit pendant la période d'extase ou so
n, M1le X... se fâche, élève la voix et ne rerient que lentement à un état de calme. Bien loin de cacher sa faute, elle la p
déformées, déprimées et qui, dans la plupart des cas, seraient hors d' état d'affronter la vie sauvage et libre avec tous ses
chaque cas particulier, il convient d'avoir plongé son malade dans un état plus ou moins accentué d'hypotaxie. Le sommeil
s tournantes, liseurs de pensées, médiums... 1. Pour comprendre l' état de suggestibilité et par suite pour analyser, au
lors il parle avec son seul polygone sans intervention de 0. 2. A l' état normal et physiologique, tous ces centres intervi
e qui est aux ordres du psychisme supérieur. Il faut donc trouver des états physiologiques dans lesquels il y ait une certain
ent réalisées dans la distraction et le sommeil, qui sont de bons états psychologiques pour étudier l'activité automatiqu
rai l'entraîne-ment grégaire, dont certains font de la suggestion à l' état de veille. Nous en reparlerons dans notre dernier
donc la première preuve de l'existence de l'automatisme supérieur à l' état physiologique et en même temps c'est le premier e
aux plaies intérieures; que pendant la veille, mais elles sont à l' état de tension dans un cas, de relâchement dans l'aut
qui leur pèsent sur la poitrine. Les rêves peuvent ainsi révéler un état somatique particulier. De là, dérivaient, pour le
t même une source capitale de renseignements, non seulement sur notre état psychologique, mais même sur notre état physiolog
ents, non seulement sur notre état psychologique, mais même sur notre état physiologique le plus intime, qui se réfléchit en
un bateau, naviguant vers Ténériffe : c'était un vertigineux avec un état nauséeux. Les sensations sont vraies dans leurs
i de cette thèse. Un côté curieux de la psychologie sommeil est l' état de la "mémoire. -I1 y a des rêves qu'on se rapp
us curieux de sujet retrouvant dans le rêve des souvenirs déposés à l' état de veille dans le polygone, inconsciemment, à l'i
ons inconsciemment reçues et emmagasinées. Ceci établit bien qu'à l' état physiologique l'activité de 0 inhibe, en quelque
es actes reprehensibles, dont 0 n'aurait pas autorisé l'exécution à l' état de veille. « J'ai mes défauts et mes penchants
veille. « J'ai mes défauts et mes penchants vicieux, dit Maury; à l' état de veille, je tâche de lutter contre eux, et il m
eux et agissant sur l'articulation de deux neurones sensitifs selon l' état d'attention commandé par le cerveau. Pupin (6)
que la distraction et le sommeil permettent déjà de bien analyser à l' état physiologique, chez des sujets bien portants, app
lades, ont leur centre 0 plus faible, plus facile à désagréger qu'à l' état normal. Ainsi le rêve peut, chez certains sujet
ions de l'activité polygonale, chez des sujets qui, sans être dans un état absolument normal, ne sont pas encore des malades
'ontpas seulement de la désagrégation suspolygonale, ils ont aussi un état spécial de leur polygone qu'il est indispensable
aître bien plus nettement dans l'étude de ' l'activité polygonale à l' état pathologique. (à suivre) Le sommeil chez les êt
'ailleurs, dans tous les cas, il est probable que la température et l' état hygrométrique de l'air agissent concurremment ave
olution. II. — Mouvements chimiques. — Il existe pour les fleurs un état hygrométrique optimum de veille. La fleur de So
On sait combien les enfants sont faciles à suggestionner, même à l' état de veille, et, comme un grand nombre de médecins,
un jeune garçon qui ne mangeait presque plus depuis un mois et dont l' état de faiblesse et d'amaigrissement avait alarmé sa
le renvoya au collège, et malgré une grande tendance aux phobies, son état reste assez satisfaisant. L'observation suivant
se trouva bien sans doute dé l'hydrothérapie, mais la. suggestion à l' état de veille, d'après la méthode Liébeault lui a été
i était consulté pour les enfants paresseux ou névrosés et dont l' état n'a jamais été amendé par les retenues et les pen
suggestion n à l'étal de veille »; on devrait dire : suggestion « à l' état de veille apparente ». En effet, le prestige du m
t une sorte d'intimidation c'est-à-dire qu'ils produisent chez lui un état d'inhibition, un état passif analogue à l'état d'
tion c'est-à-dire qu'ils produisent chez lui un état d'inhibition, un état passif analogue à l'état d'hypnose. Tel sujet qui
produisent chez lui un état d'inhibition, un état passif analogue à l' état d'hypnose. Tel sujet qui n'est pas suggestionnabl
ination d'un autre. L'enfant auquel on croit faire une suggestion à l' état de veille n'est plus à l'état de veille propremen
uquel on croit faire une suggestion à l'état de veille n'est plus à l' état de veille proprement dite; il est déjà monoidéisé
mise en jeu de l' « expectant attention », il tombe dans un véritable état d'hypnotisme fortuit. C'est à la faveur d'un « ét
traitement psychothérapique, il vaut mieux provoquer délibérément un état passif. Grâce à l'hypnotisme, la suggestion gagne
tteint de vices, de troubles nerveux, si après plusieurs tentatives l' état d'hypnotisme n'est pas obtenu, c'est que l'attent
chimiquement provoquée, nous sommes réduits à la suggestion pendant l' état de veille. Or celle-ci est, d'ordinaire, fort peu
des et fabriquent des toxines; leur nutrition générale est en mauvais état . Pour les guérir il suffit de rétablir chez eux c
les suggestions religieuses. Plus cette fraction est petite, plus l' état mental du groupe familial se rapproche de la norm
éo. » Les victimes de. l'hérédité. On a pu produire à New-York, l' état social, de la descendance d'une certaine Mme A.,
Dans la terminologie médicale, le mot hypnotisme sert à désigner l' état psychologique qui résulte d'une influence exercée
ement par un individu sur le système nerveux d'un autre individu. Cet état psychologique est caractérisé par l'apparition de
classiques. Nous nous bornerons à dire que les manifestations de l' état d'hypnose peuvent varier de la simple diminution
l se souvienne cependant lorsqu'il est de nouveau plongé dans le même état . Cette opinion de Braid a exercé au point de vu
urs l'oubli au réveil a été considéré comme le signe fondamental de l' état d'hypnotisme. La définition de Braid avait cepe
nomème qui marque d'une façon plus précise la limite qui sépare l' état normal de l'état hypnotique, c'est celui qui a ét
d'une façon plus précise la limite qui sépare l'état normal de l' état hypnotique, c'est celui qui a été désigné sous le
e que Durand de Gros s'assurait que ses sujets étaient plongés dans l' état d'hypnose. Il les considérait commehypnotisés, lo
s et cette inhibition constitue essentiellement le premier degré de l' état d'hypnotisme. La production de la paralysie psy
ysie psychique constitue donc une limite beaucoup plus naturelle de l' état d'hypnotisme que l'oubli au réveil. Or l'appari
ue n'est pas toujours le résultat d'une intervention expérimentale. L' état d'hypnotisme, qui consisté primitivement dans l'i
dividu sans qu'il y ail chez autrui aucune intention de provoquer cet état . En un mot, un homme peut s'auto-hj'pnotiser invo
esprit que l'on a désigné sous le nom d'expectant attention, certains états affectifs ou émotifs, la fatigue, peuvent favoris
otisation chez des individus prédisposés ou simplement ignorants. Les états psychiques que l'on désigne sous le nom de timidi
l'on désigne sous le nom de timidité ne sont le plus souvent que des états d'auto-hypnotisation incomplète. Les états hypnoï
nt le plus souvent que des états d'auto-hypnotisation incomplète. Les états hypnoïdes spontanés sont fréquemment le résultat
es du milieu jouent aussi un rôle considérable dans la production des états hypnoïdes. De plus la suggestibilité des individu
parait plus singulier, c'est qu'elles puissent être provoquées dans l' état de veille apparente aussi bien chez des sujets qu
er d'hypnotisme. Or, il est inadmissible de considérer comme étant en état de veille complète un être qui, tout à coup ne pe
rence si merveilleuse, de ce que Ton appelle à tort la suggestion à l' état de veille. En réalité, la puissance de la suggest
mé qu'ils avaient obtenu un résultat thérapeutique par suggestion à l' état de veille on démontrerait d'une façon évidente qu
uatre ans, je soutenais à mon ami, M. P. Janet, que la suggestion à l' état de veille était capable de faire disparaître même
peuvent plus être fléchis, et qu'en réalité l'enfant est réduit à un état d'infirmité complet. « Je réunis au dispensaire
ru, sauf deux ou trois qui semblaient être restées comme témoins de l' état intérieur. Je pris le bonhomme comme la première
e forte intimidation, et il prétend qu'il a fait de la suggestion à l' état de veille. En réalité, cet enfant se trouvant e
t ont complété l'influence et il s'est trouvé placé dans un véritable état d'hypnose fortuite. Cela a été réalisé d'autant p
enfant l'inhibition du pouvoir de contrôle, c'est-à-dire un véritable état d'hypnotisme, il n'aurait obtenu aucun résultat t
rs résultats thérapeutiques à la seule influence de la suggestion à l' état de veille. Lorsqu'on parle d'hypnotisme, il imp
bservations de résultats thérapeutiques obtenus par la suggestion à l' état de veille, la démonstration que les suggestions o
par des manœuvres capables de provoquer l'hypnotisme fortuit- cet état sous deux aspects : 1° l'hypnotisme expérimental
isme fortuit est d'une observation difficile. Régi par le hasard, cet état nerveux laisse celui qui le présente à la merci d
n améliorer le fonctionnement. La réalisation, chez un individu, de l' état d'hypnotisme et des modifications nerveuses ou me
et. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (1) (suite) II L'hypnose ou état de suggestibilité Par M. le Dr Grasset professe
ne peuvent pas servir à la carac- tériser; seule caractéristique : état de suggestibilité. 2. Il ne faut pas confondre
cte ou d'image et toute persuasion. 3. Analyse psychologique de l' état de suggestibilité : éléments consti- tuants, ca
actéristiques et distinctifs. 4. Objections à cette conception de l' état de suggestibilité : exposé et discussion. 5.
t conclusions. I. Nous allons appliquer à l'analyse de l'hypnose ou état de suggestibilité les quelques données de physiol
e un sujet, bien disposé, en hypnose complète. En quoi consiste cet état , qu'est-ce qui le caractérise essentiellement?
ssentiellement? Nous ne trouverons pas cette caractéristique dans l' état de la motilité du sujet endormi. (1) Voir le n°
l'hypnose on peut indifféremment observer, suivant les cas, tous les états de la motilité, du relâchement, de l'atonie et de
t aujourd'hui comme en 1889 et tout le monde admet actuellement que l' état de la motilité ne peut pas donner la caractéristi
donner la caractéristique de l'hypnose (3). Il en est de même de l' état de la sensibilité. Beaucoup de sujets sont insens
ptômes psychiques de l'hypnose, il est facile de voir encore que ni l' état de la mémoire, ni (1) Paul Richer et Gilles de
Leçons de clin. médic.,t.I,p.261. la profondeur du sommeil, ni l' état de la conscience ne nous fourniront la caractéris
, mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est plongé dans le même état . Et, de fait, l'oubli au réveil a été considéré p
été considéré par beaucoup d'auteurs comme le signe fondamental de l' état hypnotique (1)». Il n'en est rien. Car, s'il y a
squ'à la fascination et à un sommeil si léger qu'on le confond avec l' état de veille. Et si la plupart des sujets n'ont pas
sion que le seul caractère constant, spécifique de l'hypnose, c'est l' état de suggestibilitè : un sujet en hypnose est, par
pose maintenant ainsi : qu'est-ce qu'une suggestion? qu'est-ce que l' état de suggestibilite? 2. Synthétiquement, dans l'é
qu'est-ce que l'état de suggestibilite? 2. Synthétiquement, dans l' état de suggestibilite et dans la suggestion, il y a b
e, il y a des analogies, mais il n'en reste pas moins, entre les deux états , cette différence capitale, que la distraction es
tinguer la maladie mentale, qui est pourtant une triste réalité, de l' état psychologique normal ». La distinction est si r
conséquence pratique, la grande distinction classique reparait : à l' état physiologique, nous avons la liberté et la respon
est que tout le monde n'est pas hypnotisable, ne peut pas être mis en état de suggestibi-lité. Je dois insister un peu sur
isme... Pour beaucoup de médecins, le sommeil hypnotique constitue un état anormal, antiphysiologique, si ce n'est pathologi
erveau, la suggestibilité. Il n'y a pas d'hypnotisme ; il n'y a pas d' état spécial méritant ce nom... » Et ailleurs, parla
inonde n'est pas hypnotisable, tout le monde ne peut pas être mis en état de suggestibilité ; donc, l'hypnose et la suggest
e paragraphe un peu long mais capital) en disant que l'hypnose est un état particulier, extraphysiolo- (1) Bernheim consid
aspère le système nerveux. Peu importe que cette souffrance dénote un état grave ou non. Qui ne connaît l'égoisme du phtisiq
e de gestes cl de phrases qui laissent de la lassitude après eux. Cet état de dépression habituel s'accompagnant de sentimen
d'ouvrages qui traitent de leur mal. Non qu'ils ne s'occupent de leur état morbide ; seulement, ils s'attachent encore à aut
goutteux. Seulement cette mollesse de volonté se double chez eux d'un état anxieux liéaux premiers accidents de l'hypertensi
sychothérapie préventive consisterait, après les avoir placés dans un état psychique particulier, dans un état de passivité
t, après les avoir placés dans un état psychique particulier, dans un état de passivité mentale, à leur énumérer toutes les
ilà ce qu'elle réclame. La nuit, elle ne dort pas et présente le même état que pendant la journée. Au bout de quelques jours
met à manger, reprend ses occupations et ne tarde pas à revenir à son état normal. C'est, du moins, ainsi que les choses se
cence coutumière ; depuis plus de six mois, notre malade souffre d'un état pathologique qui parait s'être installé d'une man
ant. Sombre, taciturne, amaigrie, décharnée, elle se présente dans un état de prostration profonde. Disons quelques mois d
tions achèvent de la désemparer et accroissent le déséquilibre de son état mental. Impressionnable, exagérée, enthousiaste
ourrait l'exprimer par des images visuelles ou motrices. C'est d'un état délirant qu'il s'agit : ce que les esprits lui di
s de persécution il n'y avait qu'un pas; il a cherché la cause de son état et il l'a trouvée dans l'intervention de la tireu
és, à délivrer le malade de ses obsessions, n'a que peu de valeur à l' état de veille, étant donné que le cerveau de ce derni
donné que le cerveau de ce dernier, non seulement ne se trouve pas en état de réceptivité, mais en état de défense. Nous ne
rnier, non seulement ne se trouve pas en état de réceptivité, mais en état de défense. Nous ne voulons pas dire que l'on doi
lui attribuer qu'une très faible valeur curative... La suggestion à l' état de sommeil provoqué peut rendre et a rendu des se
'aliéné n'est pas accessible à l'hypnose. II faudrait donc trouver un état tel « que la suggestion ait prise sur l'aliéné, q
il sera presque sans défense et n'essayera guère de résister. Or, cet état favorable existe, il est physiologique, il est no
osition des aliénés tous les moyens de distraction compatibles avec l' état d'internement. _ H. L. Essai sur les causes m
nos soins les plus assidus, si nous voulons que le corps soit en bon état . » h. l. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Sociét
lui-même finit par y croire. Par la suite, Mahomet tombait dans un état extatique toutes les fois qu'il récitait des vers
éloquents, leur geste, leur voix, leur mode de parler diffèrent de l' état normal; après l'excitation, ils tombent dans le s
ent dans le sommeil et au réveil ne se rappellent plus de rien. Cet état se retrouve chez les prophètes, et prouve pour le
'ailleurs la (1) On donne aussi le nom de prophète à celui qui, a l' état d'extase, révèle l'avenir. S'il s'agit de révélat
ns. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (l) (suite) II L'hypnose ou état de suggestibilité Par M. le Dr Grasset profes
upérieur on voit que deux éléments sont nécessaires pour constituer l' état de suggestibilité. C'est d'abord la désagrégati
e moi », c'est-à-dire 0. Mais ce n'est pas tout. Dans bien d'autres états il y a ainsi désagrégation suspolygonale et il pe
il y a ainsi désagrégation suspolygonale et il peut ne pas y avoir d' état suggestible : ainsi chez beaucoup de cataleptique
l'action de leur 0. Il faut donc un second élément constitutif de l' état de sug-gestibilité. Ce second élément nécessair
if de l'état de sug-gestibilité. Ce second élément nécessaire est l' état de malléabilité du polygone ; c'est l'obéissance
e dans ses parties normalement « réservées ». Preuve nouvelle que l' état de suggestibilité et de suggestion n'est pas un é
e nouvelle que l'état de suggestibilité et de suggestion n'est pas un état normal. Le polygone garde d'ailleurs son activi
spolygonales centrifuges sont seules nécessairement supprimées dans l' état de suggestibilité : le centre 0 n'a plus aucune i
te très obscur], mais la conception psychologique la plus simple de l' état de suggestibilité C'est un polygone émancipé de s
critique. » Oui, c'est dans 0 que réside l'esprit critique et dans l' état de suggestibilité 0 est réduit à l'impuissance; c
systématisation totale des énergies du moi ». C'est très juste. A l' état normal, 0 et le polygone collaborent et leurs act
collaborent et leurs activités sont inextricablement unies. Dans les états anormaux (l'état de suggestibilité notamment;, il
urs activités sont inextricablement unies. Dans les états anormaux (l' état de suggestibilité notamment;, il y a au contraire
entale suspolygonale, qui est pour nous la base de la conception de l' état de suggestibilité. Cependant, immédiatement après
et de psychol., 1900, p. 11 et 12. est réduite temporairement à l' état d'automate, c'est en outre une personne qui subit
une sorte de psychose, d'un genre particulier, ou mieux, une sorte d' état pathologique spécial, plus fréquent chez les indi
le sommeil trop profond et l'absence de rêve constituent également un état morbide. Or, cela nous amènerait à étudier le rôv
classification : a) Tantôt le rêve musical peut avoir pour cause un état physiologique "particulier qui donne naissance à
Tantôt le rêve musical" est la suite de préoccupations éprouvées à l' état de veille (tel est l'exemple de Tartini) L'espr
veille (tel est l'exemple de Tartini) L'esprit fortement tendu à l' état de veille est occupé d'idées-sons ou d'images mus
rence du rêve. d) Il y a. enfin, les rêves suggérés à des sujets en état d'hypnose, mais nous n'en étudierons pas aujourd'
s à considérer les origines du rêve musical chez un individu sain à l' état de sommeil ordinaire et laisserons aussi de côté
rdinaire et laisserons aussi de côté l'étude de l'extase musicale à l' état de veille et des rêves chez les sujets malades.
lle de l'idée créatrice, d'une représentation purement psychique. A l' état normal, on ne peut pas confondre entre eux ces di
s toutes différentes; mais chez l'individu dont la mentalité offre un état pathologique même peu accentué ou seulement dont
psycho-physiologie, on pourrait attribuer les rêves musicaux dus à un état physiologique à différentes causes. Suivant Schrœ
ques au point de vue des causes du rêve musical : Le sujet qui, à l' état de veille, n'aura pas cessé de vouloir réaliser c
n de cette harmonie pour « nourrir » leur esprit ; ce même sujet, à l' état de rêve, pourra sentir cette appétition subsister
les de chacune des autres fonctions cérébrales qui paraissent être en état de repos, n'ont fait, en réalité, que se combiner
e Dr Rouby écrit : « Marie Alacoque arrive à ce moment à un véritable état d'érotomanie, et elle attribue à à Jésus un vérit
véritable état d'érotomanie, et elle attribue à à Jésus un véritable état de priapisme : on lui fait garder une ânesse et s
n'offre rien de particulier ; tous les organes phonateurs sont en bon état . Quant à la parésie du facial inférieur, c'est un
t point l'influence que l'imitation peut jouer dans la production des états hypnotiques. Il est probable que le médecin du th
11 mai. — Introduction à l'étude de l'hypnotisme. — Le sommeil et les états analogues. — L'hypnose et le sommeil provoqué. —
ose et le sommeil provoqué. — L'inhibition et la dynamogénie dans les états hypnotiques. — La théorie du neurone. — L'hypotax
e du neurone. — L'hypotaxie et l'idéoplastie de Durand de Gros. — Les états hypnoïdes. Vendredi 15 mai. — La technique de l
edi 5 juin.—Applications de la psychothérapie à la psychiatrie. — Les états hypocondriaques. — Les obsessions. — Les idées fi
ises, sur le caractère essentiellement professionnel que revêtent les états d'anxiété, les peurs morbides, désignés sous le n
eur profession que les malades voient apparaître les angoisses et les états d'anxiété dont l'intensité est telle qu'elle se t
. Sur les instances de sa famille, nous arrivâmes à la plonger dans l' état d'hypnotisme, et ce fut réellement sous l'influen
ner la carrière théâtrale. Quatre séances de suggestion faites dans l' état d'hypnotisme profond, l'ont complètement guéri de
plus grande peur de l'hypnotisme. Trois séances de suggestion dans un état d'hypnose très légère, ont amené la disparition d
e répétition. La veille de la répétition générale, elle était dans un état de dépression des plus accentués et avait pris la
odi- (1) Médecine moderne et Revue médicale. Mai 1897. fier son état . Une seule suggestion lui fut faite, clans l'hypn
lus reproduit dans cet opéra. Elle a conservé, lorsqu'elle chante, un état d'émotivité qui ne l'abandonne jamais, mais qu'el
vité qui ne l'abandonne jamais, mais qu'elle distingue nettement de l' état du trac, qui paralyse ses moyens. Ce qui l'avai
Observation IV Trac des chanteurs. — Guérison par la suggestion à l' état d'hypnose légère. Mlle X..., élève du Conservat
lève du Conservatoire, à la veille du concours d'opéra, éprouvait des états d'anxiété qui s'accompagnaient de tics nerveux de
tics nerveux de la tête et du cou. Quelques séances de suggestion à l' état de veille lui permirent d'affronter les difficult
s très satisfaisantes. Elle put même conquérir une récompense que son état névropathique ne lui eût pas permis d'espérer.
otisable, il a vu à la suite de quelques séances de suggestion dans l' état d'hypnose s'amender tous les troubles vaso-moteur
ypnose s'amender tous les troubles vaso-moteurs qui compliquaient ses états d'anxiété et les lui rendaient intolérables. No
méthode rigoureuse dont voici les temps principaux : 1° Provoquer l' état d'hypnotisme, c'est-à-dire un état physiologique
emps principaux : 1° Provoquer l'état d'hypnotisme, c'est-à-dire un état physiologique caractérisé par la diminution des d
e trac. 4° Lorsque ces suggestions ont reproduit artificiellement l' état anxieux, neutraliser les images mentales génératr
océdés psychologiques, en y associant les médications indiquées par l' état général du sujet, amène des guérisons remarquable
ée. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (1) (suite) II L'hypnose ou état de suggestibilité Par M. le Dr Grasset profes
on des facultés subliminales. » De même, pour Magnin (2), « c'est l' état d'automatisme qui est caractéristique de l'hypnos
la suggestibilité, dans cette conception, n'est plus tout à fait de l' état normal, puisqu'il y a ici « inertie des centres m
des centres modérateurs et du contrôle intellectuel », tandis qu'à l' état normal « l'étage supérieur du cerveau » c'est-à-d
conscience » qui, dit-il, « a été appliquée d:abord par H. Taine aux états hypnotiques et approfondie plus tard par Pierre J
Il me parait ressortir de cette discussion que notre conception de l' état de suggestibilité et de la suggestion ne m'est en
Je résume, une dernière fois, cette théorie d'un seul mot : dans l' état de suggestibilité, le polygone est séparé de son
ntrer en quoi la suggestion se rapproche d'un certain nombre d'autres états , plus ou moins similaires, et ensuite en quoi ell
moins similaires, et ensuite en quoi elle se différencie de ces mêmes états ; en d'autres termes, je vais essayer de préciser
mêmes états ; en d'autres termes, je vais essayer de préciser, pour l' état de sug-gestibilité, les caractères de la famille
enir un savant réputé dans son art, le travail n'est pas terminé. L' état psychique du stomacal. par M. le Dr de Bourgade
us grand charrieur de germes de notre économie. La description de l' état psychologique du stomacal reviendrait donc à fair
ue la faculté la plus atteinte est la motilité. Le malade est dans un état de semi-hémiplégie. Voilà un fait très instruct
'épouvante. Nous pouvons maintenant nous expliquer la raison de cet état : Ses centres moteurs sont Atteints. Avec ses c
à-dire qu'ils n'ont plus de volonté. Ce sont des abouliques. Et cet état se déduit le plus naturellement du monde de celui
fait un reproche d'avoir souligné les phrases où est mis en relief l' état mental de Marie Alacoque ; nous sommes coupable d
son par la suggestion hypnotique. Dr Paul MaGnin : Interprétation d' états hypnotiques survenus spontanément chez des hystér
de : Influence des fermentations digestives sur le caractère et les états mentaux. D-Prosper van Velsen (de Bruxelles) : 1°
in : Présentation d'un appareil pour l'hypnotisa-tion. D" Doyen : L' état mental des opérés. Dr Demonchy : Paralysie vési
Bourgade La Dardye, p. 367. Estomac et du régime alimentaire sur l' état mental et les fonctions psychiques (Influence de
00. Somnoforme et suggestion, par Paul Farez, p. 254. Stomacal (L' état psychique du), par de Bourgade La Dardye, p. 36
15 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
vant. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (1) (fin) II L'hypnose ou état de suggestibility Par M. le Dr Grasset profes
ntpellier 5. La famille de l'hypnotisme est constituée par tous les états dans lesquels il y a désagrégation suspolygonale
us ou moins complète. Dans cette famille, nous trouvons d'abord des états physiologiques comme l'état de distraction et l'é
cette famille, nous trouvons d'abord des états physiologiques comme l' état de distraction et l'état de sommeil avec rêve.
ons d'abord des états physiologiques comme l'état de distraction et l' état de sommeil avec rêve. « Les rêves, dit Macario
alogie avec les distractions, qui sont, pour ainsi dire, le rêve de l' état de veille. Les uns et les autres découlent d'une
est précisément basée sur ces analogies de la suggestion avec divers états physiologiques : nous en avons combattu la généra
s. Grandes encore sont les analogies de la suggestion avec certains états extraphysiologiques, dont j'ai déjà parlé, le cum
dresse directement au polygone du sujet qui obéit. Enfin il y a des états nettement pathologiques dans lequels on observe é
ale, de l'émancipation polygonale. Ce n'est pas à dire que tous ces états soient identiques et doivent être confondus. A cô
haque espèce. Ces caractères, particuliers à l'espèce, se tirent de l' état du polygone et de son activité propre. Ainsi da
l'état du polygone et de son activité propre. Ainsi dans aucun des états physiologiques dont je viens de parler, le polygo
mpuissance. Dans le spiritisme, comme dans l'hystérie et les autres états pathologiques (catalepsie, somnambulisme...) il y
tats pathologiques (catalepsie, somnambulisme...) il y a très souvent état de suggestibilité : dans ces cas nous n'avons nat
nt pas de caractères différentiels à rechercher. Mais dans ces divers états morbides il y a d'autres caractères distinctifs q
pas malléable du tout. Dans la catalepsie, le polygone est dans un état tout spécial d'inertie, qu'on ne peut pas confond
s assez spéciaux pour empêcher de confondre l'hypnose avec les autres états faisant partie de la même famille physiopathologi
ces idées, mon distingué collègue Vires (2) dit : « il existe donc un état du système nerveux qui ne se distingue nullement
système nerveux qui ne se distingue nullement du sommeil naturel. Cet état , c'est l'hypnotisme... » Et cependant Vires ajo
pour n'avoir pas besoin d'insister davantage: pour moi, l'hypnose ou état de suggestibilité n'est pas un phénomène physiolo
. cit., p. 93 et 91. certains cas, la suggestion est possible à l' état de veille, c'est-à-dire que l'état de suggestibil
as, la suggestion est possible à l'état de veille, c'est-à-dire que l' état de suggestibilité ou une certaine forme d'hypnose
ommeil naturel, le sujet présentant au contraire tous les signes de l' état de veille. Donc l'hypnose ne peut pas être confon
tre la léthargie, la catalepsie et le somnambulisme hypnotique et les états de même nom appartenant à l'hystérie, il n'existe
Gilles de la Tourette que cette différence, à savoir que les premiers états sont provoqués, les autres spontanés (2)... Une s
z les sujets hypnotisés peuvent se rencontrer sur des hystériques à l' état de veille et font éventuellement partie du cortèg
acun d'eux peut exister isolément chez des hystériques en dehors de l' état d'hypnose provoquée, n'est-on pas en droit de les
grand argument de Gilles de la Tourette et de Pitres est que ces deux états nerveux (hystérie et hypnose) sont faits des même
. Rien de plus juste; mais cela ne prouve en rien l'identité des deux états . Charcot a, depuis longtemps, rappelé, à propos
autre, montré que l'hystérie ne doit pas être confondue avec tous les états morbides qu'elle peut simuler. Certes, les hyst
e ferai seulement remarquer que si l'hypnotisme ne peut simuler aucun état organique du système nerveux et ne peut reproduir
hypothèse de certains neurasthéniques hypnotisables (p. 197). Donc, l' état de suggestibilité et l'hystériene doivent pas êtr
sitions suivantes : La caractéristique de l'hypnose n'est ni dans l' état de la motilité, ni dans l'état de la sensibilité,
éristique de l'hypnose n'est ni dans l'état de la motilité, ni dans l' état de la sensibilité, ni dans le degré de profondeur
la sensibilité, ni dans le degré de profondeur du sommeil, ni dans l' état de la mémoire ou de la conscience — mais uniqueme
ans l'état de la mémoire ou de la conscience — mais uniquement dans l' état de suggestibilité. (1) « J'ai déjà développé ce
e à ses divers degrés et qui ne s'observe pas chez tout le monde. L' état de suggestibilité est caractérisé par la désagrég
ale et la sujétion complète du polygone au centre 0 de l'hypnotiseur ( état de malléabilité du polygone) : c'est un polygone
entre ? étranger. Il faut rapprocher, mais distinguer, l'hypnose ou état de suggestibilité des états suivants : distractio
rapprocher, mais distinguer, l'hypnose ou état de suggestibilité des états suivants : distraction, sommeil naturel, cumberla
Une première tentative d'hypnotisation fut suivie de succès. Dans cet état , je lui fis la suggestion de se lever le lendemai
tique ainsi que d'une gymnastique appropriée et graduée, faite dans l' état d'hypnotisme, la guerison fut promptement obtenue
sse ! La première et la plus claire manifestation extérieure de cet état psychologique, qui ressemble fort à une petite fo
aque cas particulier; c'est de plonger tout d'abord le malade dans un état rie réceptivité telle que cette suggestion curati
ue l'on n'est point parvenu à hypnotiser peuvent être plongés dans un état de passivité plus ou moins accentué; toutes leurs
bjection suivante : « Les sujets que vous somnofor-misez sont dans un état analogue à celui que produit le chloroforme. (1
ement. Il est faux que les chloroformisés présentent nécessairement l' état qu'on vient de décrire. Même sous le chloroforme
apparitions qui surviennent chez un grand nombre d'individus, à l' état tout à fait normal ; elles constituent une sorte
affirmations il a présenté un certain degré de vie psychique. • L' état psychologique au moment du réveil est souvent for
cette hilarité. Le souvenir, en tant que représentation, a disparu; l' état émotionnel subsiste alors même que sa cause a dis
nifiera le malade, on le raisonnera, on lui fera de la suggestion à l' état de veille ou pendant l'hypnose, si c'est nécessai
othérapie conjointement avec la suggestion a notablement amélioré son état avant qu'elle fui devenue enceinte. Dès les pre
nt, la face rutilante, le verbe haut. Jamais personne ne les a vus en état d'ivresse Pourtant ils boivent: oh! ce sont des a
gais, brillants, pleins d'entrain et sortent de chez eus dans un état d'excitation qui n'est au fond que le premier deg
ue n'était point absolument suspendue. Quoi qu'il en soit, dans cet état d'hypernarcose, le sujet est peu impressionnable,
directe, bien entendu. A l'extrême opposé, nous pouvons obtenir un état d'hypoxarcose, si je puis ainsi dire Contrairemen
de même qu'on dit conscience subliminale); et notre sujet sera dans l' état que je vais décrire. Au point de vue musculaire
* ¦ * En résumé, l'on peut, avec le somnoforme, produire trois états psychologiques nettement tranchés: 1° L'hyperna
conscience et quelques caractères qui permettent de la rapprocher des états seconds ou des états d'automatisme ; 3° L'hvpon
s caractères qui permettent de la rapprocher des états seconds ou des états d'automatisme ; 3° L'hvponarcose ou narcose sub
de la suggestionnabilité. Au point de vue psychologique, ces trois états sont qualitativement distincts ; il n'en saurait
que, par contre, ils ne comportent que des différences de degré ; des états intermédiaires surviennent qui servent, pour ains
iaires surviennent qui servent, pour ainsi dire, de passage entre les états nettement définis que nous sommes obligés de sché
on avant que la narcose ait pu s'installer, le sujet ne dépasse pas l' état d'hyponarcose aussi longtemps que dure la suggest
éveil, la narcose ne survient pas et le sujet reste dans un continuel état d'hyponarcose. Il y a plus. Etant donné que, ch
vera que, en dépit d'une dose double, cet individu ne dépassera pas l' état d'hyponarcose, si la suggestion est faite, sans a
fidèlement les termes mêmes par lesquels mes sujets traduisaient leur état . Loin de tromper l'espérance que j'avais fondée l
ont. Ce qui en tout cas est certain, c'est qu'il existe de nombreux états intermédiaires entre la conscience et l'inconscie
ats intermédiaires entre la conscience et l'inconscience ; il y a des états demi et sous-conscients^ et souvent la vie psychi
oulues, il n'y a pas une conscience existant en soi, mais une série d' états conscients. Nous ne connaissons pas la conscience
e représente pas non plus une force spéciale, puisqu'elle n'est qu'un état fie mouvement ne se transforme pas en conscience,
un sentiment d'identité qu'éprouve l'individu à l'égard d'une série d' états conscients, qui ont laissé chez lui des traces de
is on sait combien il est difficile au médecin de se renseigner sur l' état de son malade et même sur les manifestations de l
s manifestations de la maladie. D'abord il est bien peu de malades en état de décrire avec quelque exactitude, même les sens
linguistiques suivants: a Le frein de la langue, lorsqu'il est à l' état normal ou un peu prolongé de manière à embarrasse
ici venir la mode d'absorber de l'eau camphrée ou même dû camphre à l' état solide. La camphoromanio est spéciale aux élégant
née. L'examen de cet homme ayant révélé, dans son passé et dans son état actuel, des stigmates manifestes d'hystérie, l'au
degré des hommes qui s'arrogent le droit d'apprécier et de définir l' état mental des autres, se désintéressent de tout ce q
que l'esprit de routine est surtout la caractéristique de leur propre état psychologique. En réalité, le dédain qu'ils profe
à jeter une vive lumière sur le mécanisme intime delà production des états de l'hypnotisme et nous nous ferons un devoir de
roît sa réceptivité; on suspend ses résistances; on le plonge dans un état de passivité, d'inertie, de torpeur, de somnolenc
talle dans la conscience ou dans la subconscience suivant les cas, un état de monoîdéisme, lequel développe efficacement ses
cho-sensorielles, je réalise tantôt l'un, tantôt l'autre de ces trois états psychologiques : narcose proprement dite, hyper-n
euil mais ne le franchit pas; c'est une narcose subliminale. Dans cet état , la conscience est restreinte, mais exaltée; elle
rendre certaines idées-fixes ignorées (lu malade lui-même pendant son état de veille. II y a là, on le voit, une nouvelle fo
L'hyponarcose, surtout si elle est très légère, met le malade dans un état qui rappelle la lucidité de certaines somnambules
rnarcose peut suffire à le mater et à le rendre, à l'avenir, même à l' état de veille, très docile à la direction du praticie
se laisser suggestionner par les moyens ordinaires. Quand, pendant l' état de veille, on veut modifier leurs conceptions dél
leur cas. C'est donc, pour ainsi dire, malgré eux, qu'on modifie leur état mental, en agissant sur leur subconscient. Pend
mposée soit par un particulier, soit par une collectivité. Dans cet état de narcose doivent être également suggestionnés c
à l'hypnotisme. D'autre part, toute suggestion faite chez eux dans un état insuffisant d'hypotaxie glisse ou s'émousse. Plon
i imposent en quelque sorte une sourdine; ils se maintiennent dans un état moral très satisfaisant et, dès lors, la vie leur
endorment pas du tout, mais ils sont très faciles à suggestionner à l' état de veille. Les malades se réveillent eux-mêmes
, il présentait celle qui convient au crime. En effet, il abandonna l' état ecclésiastique et se mit à la tête d'une troupe d
e suggestibilité comme il y a anesthésie et hyperesthésie. . Dans l' état normal la faculté de suggestibilité présente des
t-il trop peu de suggestibilité, on arrive à l'entêtement, qui est un état anormal. Y a-t-il trop de suggestibilité, on ar
anormal. Y a-t-il trop de suggestibilité, on arrive de nouveau à un état anormal comparable à l'hyperesthésie. En d'autr
at anormal comparable à l'hyperesthésie. En d'autres termes : A l' état normal : le cerveau accepte avec jugement. A l'ét
es termes : A l'état normal : le cerveau accepte avec jugement. A l' état d'entêtement : le cerveau n'accepte pas. A l'état
avec jugement. A l'état d'entêtement : le cerveau n'accepte pas. A l' état d'hypersugestibilité, de nature hystérique, ou au
n'ait pu intervenir. Pour cela il faut ramener la suggestibilité à 1 état normal, et ceci exige souvent beaucoup de diploma
étantcelle de voyageur de commerce, il est bientôt réduit presque à l' état de misère. Je lui donne la suggestion de ne plus
ulement j'ai pu maintenir ce malade pendant près de trois ans dans un état de calme d'esprit étonnant, vu que le patient se
x volumineux à la levre inférieure. Par suggestion, elle tombe dans l' état de sommeil profond avec anesthésie complète. Un c
is trois semaines 24 hoquets par minute. Elle arrive chez moi dans un état très inquiétant. Je lui dis de fermer les yeux et
t il m'est arrivé il y a 6 ans de tenir une grande hystérique, dans l' état somnambulique, pendant cinq mois sans la réveille
de songer à l'internement, il est naturel que l'on fasse constater l' état mental du malade par un eminent spécialiste et si
France, les cardiaques deviennent aisément émotifs : déjà vibrant à l' état normal, le système nerveux du Français se trouve
ire, elle a entraîné tout aussitôt une amélioration considérable d'un état sanitaire, depuis cette époque, en progression co
n, hypnotisme et suggestion, tout celà constitue pour eux ou bien des états identiques, que l'on doit cacher, ou bien des pra
ldats et des marins reconnus comme susceptibles de suggestibilité à l' état de veille. Or, tous les suggestibles ne sont pas
surveillance constante, l'action du* pouvoir qui les mettra à hors d' état de se nuire à eux-mêmes. Vous citerai-je encore
l n'est pas de médecin militaire qui n'ait eu à connaître de certains états ou symptômes absolument inexplicables en dehors d
? Nous ne le pensons guère. On ne peut pas soutenir qu'un individu d' état psychique normal soit capable de tromper à ce poi
giques, neurasthéniques ou hystériques sont souvent des hommes dont l' état n'est pas absolument incompatible, avec le servic
st pas absolument incompatible, avec le service armé. Ils ont tous un état psychique fâcheux, mais tous ne sont pas au même
ent très difficilement suggestionner. Tout d'abord, ils présentent un état subjectif, qui n'a rien de commun avec l'état des
bord, ils présentent un état subjectif, qui n'a rien de commun avec l' état des hystériques. Nous les voyons au point de vue
autres aussi — se présentent à nous comme des auto-hypnotisé s ; leur état psychique est semblable par certains côtés à l'ét
ypnotisé s ; leur état psychique est semblable par certains côtés à l' état psychique des hypnotisés et les phénomènes que l'
hystérie légère, à un degré relatif, nous avons facilement constaté l' état mental particulier —, l'hystérie étant, d'une faç
ale du soldat. Ceux qui en sont atteints, et par l'effet même de leur état psychique essentiellement constitué par la faible
j'ai cru pouvoir imputer à l'amour-propre excessif, poussé jusqu'à l' état morbide, la création de cette phobie. En effet, l
terpréter par la jeune femme et à rattacher à sa véritable cause. Cet état s'accentuant chaque jour peut devenir la cause de
caractère et son attitude, et craint des conséquences somatiques d'un état qui n'est que psychopathique, mais dont la persis
ne présente aucune affection ; tous ses appareils sont en parfait état , et les fonctions en sont régulières. Peut-être u
rison de symptômes hystériques spasmodiques graves par suggestion à l' état de veille Par M. le Dr Stadelmann (de Wurtzbour
alla se cacher derrière un buisson où il resta des heures. Dans cet état d'émotion, l'insignifiante sensation de heurt, d'
la thérapeutique suggestive. En un jour et demi, la suggestion à l' état de veille guérit complètement notre malade de son
e, de coudre et de se livrer à aucune occupation de cette nature. Cet état subsistait déjà depuis cinq mois. Il avait pour c
e nombreux ouvrages fins à l'aiguille. Par une seule suggestion à l' état de veille, ce symptôme disparut. Après ce cou
Une petite cause provoqua pendant une émotion ou après une fatigue l' état de spasme. Quoique la suggestion ne puisse anéa
'un pareil symptôme, on peut regarder le succès par la suggestion à l' état de veille comme une guérison complète. Les deux
l'impression que son cuir chevelu se détache. Tout cela exerce sur l' état général une répercussion qui se traduit par de la
travailler; celle-ci en est devenue incapable; elle se trouve dans un état très marqué d'amoindrissement physique et intelle
bsédante et c'est cette rougeur qu'elle accuse d'être la cause de son état . La seconde a un père brutal qui la reçoit très
ecin de la Salpètrière. Communications inscrites : Dr Doyen : L' état mental des opérés. Dr Pau de Saint-Martin: Prés
, la patiente éprouvait de grandes douleurs et se trouvait en fâcheux état . On lui avait annoncé que sa vie ne pouvait êtr
craignait le chloroforme, et il était évident, pour moi, que, dans l' état de la malade, il n'y fallait pas songer. La dam
E, Ancien chef de clinique médicale à ia Faculté de Lille Parmi les états pathologiques d'observation courante, il en est p
chorée la sedation des mouvements, nous croyons en outre que dans les états nerveux spasmodiques, et, en général dans toute m
moins gros et moins congestionné, il restait peu à faire pour avoir l' état normal. Il y avait donc un mieux notable réel, in
gie suggestive, d'orthopédie morale obtenue par suggestion dite « à l' état de veille ». Jules D-, 12 ans, est. avec des ap
est-à-dire d'essayer de faire ce qu'on appelle de la « suggestion à t' état de veille », comme il m arrive souvent de le fair
, soutient que, dans ce qu'on a l'habitude d'appeler « suggestion à l' état de veille », il y a autre chose que la simple sug
uggestion hypnotique, ces sujets se trouvent placés dans un véritable état d'hypnose fortuite et « la possibilité de cette h
parence si merveilleuse, de ce qu'on appelle à tort la suggestion à l' état de veille. En réalité la puissance de la suggesti
e, comme le dit le Dr Bérillon, « dans ces cas de suggestion dite à l' état de veille, la production préalable de l'influence
ez lui l'inhibition du pouvoir de contrôle, c'est-à-dire un véritable état d'hypnotisme. Toujours est-il que notre jeune s
illeurs à considérer le sommeil hibernal de certains animaux comme un état hypnotique causé par le milieu et la situation sp
e d'animaux, surtout en présence du danger, ne serait pas toujours un état volontaire, mais dans un grand nombre de cas, l'é
pas toujours un état volontaire, mais dans un grand nombre de cas, l' état cataleptique produit par la frayeur. En somme, il
intelligente, et qui en arrivait assez facilement à erre mise dans un état d'hypnose peu avancé, mais qui n'en existe pas mo
alices. Dans d'autres cas, au contraire, elle tombe dans un véritable état d'abrutissement et de coma quand elle a une fraye
très peureuse sous des dehors braves et décidés. Les cas de mise en état d'hypnose chez les animaux sont certainement plus
l que soit son caractère, pour que cet animal soit rapidement dans un état tel que l'on peut, tout à loisir, le prendre, le
à de petites opérations douloureuses. Il parait bien évident que cet état passif est déjà un degré de l'hypnose. J'ai remar
exes. En somme, si l'on veut bien tenir compte que l'homme n'entre en état d'hypnotisme parfait qu'autant qu'il a confiance
onfiance dans l'hypnotiseur et qu'il veut bien se prêter à sa mise en état passif, on comprendra que les animaux, et surtout
eront lentement et peu profondément, et ne seront jamais mis dans cet état par le premier venu. Il ne faut pas oublier non p
ier venu. Il ne faut pas oublier non plus que pour mettre un sujet en état d'hypnose, il n'est pas toujours besoin de lui fi
chez le cheval, donner confiance d'abord et le mettre ensuite dans un état de calme favorable à la réception de nos suggesti
plus de la même façon. Il semble en effet dans sa critique faire des états différents de l'hypnotisme et de la fascination;
notisme et de la fascination; il semble penser que l'on n'obtient ces états que par la fixation d'un point brillant ou par l'
ard. La fascination est une forme de l'hypnose et, encore une fois, l' état hypnotique, quel que soit son degré, peut être ob
nette, il s'est servi de la musique pour mettre le cheval dans un état d'hypnose, dans un état passif qu'il appelle à ce
la musique pour mettre le cheval dans un état d'hypnose, dans un état passif qu'il appelle à ce moment le charme. Chez
oment le charme. Chez l'homme aussi on a appelé, pendant longtemps, l' état particulier dans lequel le met la musique, un éta
ndant longtemps, l'état particulier dans lequel le met la musique, un état de charme et de plaisir, qui cependant n'en a pas
ependant n'en a pas moins été considéré par les psychologues comme un état d'hypnose, qu'ils se sont empressés d'utiliser po
nous voulons nous persuader que les animaux peuvent être mis dans un état d'hypnose ; si nous nous mettons d'accord sur les
nose ; si nous nous mettons d'accord sur les termes qui désignent ces états , et si, surtout, nous ne cherchons pas à interpré
ssage. Certainement, comme je l'ai dit plus haut, l'hypnotisme ou ses états analogues, sont déjà venus à l'aide des dresseurs
Elle montrerait qu'il existe actuellement, dans la série animale, des états psychiques gradués, suffisamment caractérisés et
dués, suffisamment caractérisés et qu'ils doivent être semblables aux états transitoires par lesquels les facultés psychiques
ychologie de l'entraînement dans la course en flexion. Dr Doyen : L' état mental des opérés. M. Edouard Crûs : Rapport en
e peut plus ouvrir la bouche du tout; l'orbiculaire des lèvres est en état de contracture, ainsi d'ailleurs que les masséter
laboratoires les gi*enouilles d'été et les grenouilles d'hiver. Leur état physiologique est différent dans chacune de ces d
ue l'animal fournit une somme d'énergie différente, en rapport avec l' état de ses muscles, qui s'épuisent petit à petit en h
it depuis longtemps que les animaux peuvent tomber subitement dans un état de torpeur dès qu'on les place dans une position
ologiste Czermak (') reprend ces expériences et s'attache â étudier l' état physiologique pendant la torpeur provoquée chez l
s cette position pendant une minute environ pour qu'elle entre dans l' état d'immobilité. Dès lors, on peut la laisser libre,
époques, présentent une disposition inégale pour être plongés dans l' état de torpeur, et que le phénomène lui-même peut êtr
peut être plus ou moins intense et durable suivant les cas. Parfois l' état d'immobilité est très fugitif, dit-il, à peine ap
allumette, qu'on collait à la racine de leur bec. Chez les poules, l' état d'immobilité était également facilité par l'objet
chait de leurs yeux. La découverte de cette circonstance favorisant l' état de torpeur chez les oiseaux était une véritable r
igmati-ques phénomènes que nous observons ne sont que « de véritables états hypnotiques chez les animaux_». L'auteur, aya
n opinion. Il admet donc une analogie entre l'hypnose de l'homme et l' état de torpeur provoqué chez les animaux. Bientôt a
te impression visuelle. Preyer cherche donc à expliquer autrement cet état d'immobilité. Pour lui, la peur serait la cause v
vent les animaux, Preyer croit, par analogie, pouvoir admettre dans l' état en question une action inhibitrice, dont la cause
est pas peu curieux de considérer que cette suggestion d'un sujet à l' état de veille peut être pratiquée par une « somnambul
oites qui existaient entre les troubles psychiques qui résultent de l' état d'intimidation et les troubles.de ('elocution.
es.de ('elocution. Dans cette conférence, nous montrions que dans l' état d'intimidation les centres nerveux se trouvent da
e dans l'état d'intimidation les centres nerveux se trouvent dans des états d'inhibition analogues à ceux que produit l'hypno
l'hypnotisme. Pour nous, l'intimidation n'était pas autre chose qu'un état d'hypnose fortuite. Depuis lors, celte opinion
primée, que l'intimidation est une véritable manifestation d'un léger état d'hypnose provoquée fortuitement. Les nombreux bè
té et qu'ils étaient extrêmement faciles à intimider. L'examen de l' état mental des bègues revêt aussi d'intéressantes par
. En un mot, on peut dire que les deux manifestations dominantes de l' état mental des bègues sont l'émotivité excessive et l
t l'aboulie. On peut dire de beaucoup d'entre eux qu'ils présentent l' état d'infériorité mentale désigné sous le nom de puér
ge et dans l'émission des sons. Les vers fameux de Boileau passés à l' état de proverbe, expriment une vérité indéniable :
es et par conséquent très suggestibles. 2e Suggestions concernant l' état psychologique. — Pendant l'état hypnotique, le su
tibles. 2e Suggestions concernant l'état psychologique. — Pendant l' état hypnotique, le sujet reçoit les suggestions desti
cices variés et, en particulier, par des suggestions réalisées dans l' état post-hypnotique, à exécuter des actes avec décisi
les sujets et que nous nous sommes bornés à faire des suggestion à l' état de veille, nous D'avons obtenu que des résultats
nous D'avons obtenu que des résultats incomplets. La production de l' état hypnotique offre le double avantage de diminuer n
as, bien que pendant ces crises l'appétit fit constamment défaut. Cet état durait déjà depuis 2 ans et s'améliorait puis emp
consulter pour un ptosis complet de la paupière supérieure gauche. L' état durait déjà depuis une dizaine de jours. En l'abs
sa mère. Le 30 avril seulement, la mère amena le petit malade. Son état s'était beaucoup amélioré et il ne subsistait qu'
tôt l'air apathique etsonhabihis est la contradiction totale avec son état réel. En avril 1898, l'enfant s'était réveillé
omplètement guéri. Le 28 mai, c'est-à-dire quatre semaines après, l' état du petit malade est le suivant : VOD = 0,6. Le
urs amaurotique. A partir de ce jour, je commence la suggestion à l' état de veille sur l'œil droit (sain) de façon à amene
4. L'œil gauche, dont je ne m'occupe pas, est toujours dans le même état stationnaire, VOG = 0. Le 14 juin, le champ vis
ans la suite. En outre, il faut remarquer l'association à ce double état de l'amblyo-pie partielle de l'œil droit. Enfin
double état de l'amblyo-pie partielle de l'œil droit. Enfin dans l' état même de ces troubles, on constate l'immobilité re
uée d'amblyopie de l'autre œil. Dans de tels cas, la suggestion à l' état de veille doit être, à notre avis, le procédé de
normales VOD = 0, VOG = 1, champ visuel OG normal. La suggestion à l' état de veille aidée de l'instillation de quelques gou
ion, quelques gouttes de cocaine associées à une forte suggestion à l' état de veille ramenèrent en une demi-heure V égale à
apitre très intéressant sur les écrits des aliénés), l'automatisme, l' état hypnotique, le somnambulisme, l'assoupissement, l
ur chaque cas particulier, l'auteur s'attache à démontrer comment cet état normal, se dévie comment il arrive progressivemen
mment cet état normal, se dévie comment il arrive progressivement à l' état pathologique et quelles modifications subit penda
ssivement il passe en revue les névroses et psychoses traumatiqucs, l' état puerpéral, la gestation, la parturition, les suit
à laquelle sont soumises les fonctions organiques, et, l'Opposant à l' état d'anarchie qui caractérise l'état de maladie, il
ions organiques, et, l'Opposant à l'état d'anarchie qui caractérise l' état de maladie, il appelait névrarchie l'ordre et l'é
de laisser paraître sur nos traits les craintes que nous inspire son état ; appliquons-nous au contraire à le rassurer. Evi
périr. » Les faits qui précèdent jettent une certaine lumière sur l' état de suggestibilité que manifestent un grand nombre
absolue pendant une à six heures. Heubel observe que la durée de cet état est certainement très différente chez les différe
la grenouille. Les phénomènes caractéristiques qui accompagnent cet état sont les suivants : les hémisphères cérébraux et
ortement pâlie. Heubel a observé aussi chez de telles grenouilles les états cataleptiques, toujours au commencement de l'expé
fférente de celle que lui donnèrent ses prédécesseurs. Selon lui, cet état d'immobilité n'est autre chose que le sommeil ord
re, en effet, que l'immobilité provoquée chez les animaux est un vrai état hypnotique, car on peut produire le sommeil par l
nferme donc la description des faits principaux qui caractérisent cet état d'immobilité chez la grenouille. Ces données géné
l à ce phénomène, car des expériences nombreuses m'ont démontré que l' état général de la nutrition de l'animal joue ici le r
essemblance éloignée. B. Danilewsky a également beaucoup étudié cet état de torpeur chez les grenouilles. De même que Czer
e torpeur chez les grenouilles. De même que Czermak, il considère cet état comme comparable à l'hypnose chez l'homme ; les a
psychologie physiologique. Paris, 1890.) saisi et vaincu, et cet état de peur provoque chez lui l'inhibition des réflex
ontraire, après l'ablation des hémisphères, la peau se trouve dans un état d'hyperex-citabilité réflexe, même pendant l'hypn
ficielle. Il y a donc une double réaction entre l'agent physique et l' état physiologique. Quant à l'atropine, son action irr
anilewsky, que pendant l'hypnose la moelle épinière se trouve dans un état de dépression ou d'excitabilité amoindrie. L'hypn
notique. Au contraire, le cerveau se trouve pondant l'hypnose dans un état d'excitabilité augmentée ; l'irritation chimique
t plutôt admettre que le cerveau dans l'hypnose se trouve non dans un état de surexcitation, mais qu'il est inactif ou, tout
'il est nécessaire de stimuler son activité. L'âge de l'animal et l' état de santé ont aussi une grande influence sur l'app
ition que prend le corps de l'animal pendant l'hypnose, et 2° Sur l' état des muscles pendant l'immobilité de l'animal. Per
cette étude, qui jette une lumière nouvelle sur la physiologie de cet état . (à suivre) Ces chiffres permettent de se f
n cabinet de consultation), elle n'a eu non plus aucune angoisse et l' état moral est bon. Je revois ma malade le 21 septem
. Elle ne se réveille pas pendant la séance et j'obtiens facilement l' état de catalepsie suggestive. La séance dure 20 minut
t j'y vois plutôt le résultat d'une suggestion directe subie dans' un état posthypnotique de suggestionnabilité exagérée.
ents. I" partie. Charkow, 1887. (Texte russe} . Transmission de l' état maternel Une femme devenue folle par suite d'ab
elèrent « l'enfant du jubilé ». (Lucas. IL, 504.) Transmission de l' état patebnel Un auteur anonyme rapporte dans Cornhi
le cours de toute leur vie certains symptômes caractéristiques de cet état , la torpeur des sentiments et une absence à peu p
ojeté, pour un avenir plus ou moins lointain, existant uniquement à l' état potentiel ou latent doit avoir son équivalent dan
ychique celui qui se montre le plus efficace. Nous avons vu que les états psychiques sont transmis par la mère aussi bien q
st tout particulièrement vrai en ce qui concerne la transmission de l' état psychique du père à l'enfant (par l'intermédiaire
sion ne se transmet que rarement et d'une manière très restreinte à l' état de veille. Pour qu'elle se manifeste, il faut qu'
asé comme le miroir rotatif de Luys, le cube de Bérillon, etc., sur l' état d'hypotaxie ou d'inhibition cérébrale que produit
La thérapeutique de l'émotivité morbide : la timidité, la peur et les états d'anxiété. Les lundis à cinq heures, à partir du
ection morale, mais aussi les traitements les mieux appropriés à leur état . La suggestion hypnotique, destinée à assurer la
élévation de température. Puis, la maladie s'installe à la période d' état . Le malheureux nègre atteint du « sino comme on d
inaire, on fait de ces cas des récits fantaisistes ; on insiste sur l' état cadavérique, squelettique de ces malades ; on les
amen bien superficiel, une ignorance bien coupable pour confondre cet état avec -la mort réelle et permettre une inhumation
le met, et cela jusqu'à ce que la fatigue physiologique le ramène à l' état de repos. Les muscles présentent une disposition
aines, sans accomplir aucune des évacuations qu'exige l'organisme à l' état normal. L'hystérie est, avant tout, une ouvrièr
ercée. Tous les signes positifs de la vie ont disparu, S'agit-il d'un état de mort apparente ou de mort réelle ? Le vérita
métropolite grec orthodoxe de Méthymne, âgé de 84 ans, s'alite ; son état s'aggrave et bientôt le médecin constate la mort.
action générale, le métropolite se lève ! Il était donc simplement en état de mort apparente. S'il eut été un simple laïc, o
t le bonheur de se réveiller, ils ne conservent aucun souvenir de-cet état . Ce sont des hystériques qui, gravissant un degré
eil syncopal. D'autres, au point de vue psychologique, sont dans un état analogue au sommeil naturel; ils peuvent avoir de
ui se passe autour d'eux, ils ont donc des rêves en rapport avec leur état de mort apparente. Et, suivant leurs croyances re
lement pour avoir ressuscité des morts : ils réveillaient des gens en état de mort apparente. L'apôtre Paul n'a-t-il pas dit
à haute voix, près de son lit, que ses forces sont épuisées, que son état ne laisse aucun espoir, qu'elle n'a plus que quel
ller en disant : « Je suis trop jeune pour mourir ». « Ces divers états d'immobilité, d'insensibilité, d'inconscience et
, il lutte et résiste, au point que cela peut provoquer le retour à l' état de veille normale. Cet individu n'est pas, à prop
ses dernières recommandations, reçoit les sacrements et tombe dans un état analogue à celui d'Eudoxie ou de Marguerite B....
l'on sait, son enseignement et ses recherches sur l'hypnotisme et les états analogues. Là encore, Oreste et Pylade, je veux d
que très respectable, en raison de son antiquité, ne répond plus à l' état actuel de nos connaissances. Au temps où la str
es de leurs membres et du corps, et cette contraction persiste dans l' état d'immobilité qui est survenu subitement. De là ce
dé, à l'aide de la méthode graphique, que quand l'animal entre dans l' état d'immobilité, l'arrêt dans la position de correct
ont point diminués, ou plutôt que la diminution des réflexes dans cet état provient uniquement de l'effet de la fatigue. De
lus, Verworn conclut que les organes des sens sont éveillés pendant l' état d'immobilité et qu'on ne peut même constater aucu
immobilité et qu'on ne peut même constater aucune modification dans l' état de leur excitabilité. Je ne puis souscrire à cett
opinion, car de très minutieuses expériences m'ont montré que, dans l' état de torpeur profonde, les réflexes sont toujours t
dit ne s'est pas encore établi, tandis que dans l'hypnose profonde, l' état physiologique de l'animal est complètement changé
rn diffère aussi dans l'interprétation de ce phénomène. Pour lui, cet état d'immobilité chez les animaux ne peut être compar
ent non seulement inactives, suivant cet auteur, mais de plus dans un état d'inhibition plus ou moins prononcé. Il résulte
lement chez la grenouille. Or nous avons des preuves nombreuses que l' état physiologique général de cet animal varie énormém
enouille. D'autres expérimentateurs ne donnent point de détails sur l' état physiologique des grenouilles qu'ils ont utilisée
ci une parenthèse pour s'entendre sur le sens que j'accorde aux mots: état hypnotique chez la grenouille. Nous trouvons souv
ensuite dans sa position habituelle. Or, selon mes observations, cet état d'immobilité momentanée ne constitue pas encore «
ale, ou quelque peu abaissée, mais cela peut provenir simplement de l' état de fatigue de l'animal, occasionné par les mouvem
es se trouvent alors dans les meilleures conditions physiologiques, l' état de liberté et la nutrition abondante ayant pour e
a sixième injection. II était temps car le malade était tombé dans un état comateux, et la température s'était abaissée à 35
tions dans un volume remarquable ayant pour titre : Du sommeil et des états analogues considérés surtout au point de vue de f
on les soumettait aux expériences hypnotiques, afin de comparer leur état avec celui des grenouilles qui avaient séjourné p
ètement perdu la voix. Il va sans dire que les grenouilles dans cet état extrême d'épuisement ne présentent plus aucun int
ypnose chez les grenouilles en inanition. Caractères : Respiration; état des pupilles : état des organes des sens; analgés
ouilles en inanition. Caractères : Respiration; état des pupilles : état des organes des sens; analgésie cutanée; sens kin
nts de déglutition. C'est le signe que le sommeil arrive. En effet, l' état d'hypnose profonde est toujours caractérisé par u
ires sont très forts, on a la certitude que l'animal ne dort pas. L' état des pupilles.— L'état des pupilles est un second
on a la certitude que l'animal ne dort pas. L'état des pupilles.— L' état des pupilles est un second signe extérieur qui ca
réveille, ses pupilles s'élargissent instantanément et reviennent à l' état normal. J'insiste sur ce changement de pupille,
garde alors sa forme arrondie, seule l'ouverture en est diminuée. L' état des organes des sens pendant la grande hypnose. —
un bout de papier sans provoquer une réaction. La grenouille dans cet état ne réagit pas non plus aux bruits les plus forts
ésie cutanée à la douleur. — L'analgésie est surtout prononcée dans l' état hypnotique. On peut pincer et piquer les parties
iqûre, qui est très douloureuse pour nous. De même une grenouille à l' état de réveil réagit énergiquement à la plus légère p
acte. Sens kinesthésique. — Le sens kinesthésique est absent dans l' état de sommeil provoqué, l'animal n'a aucune notion d
s plus bizarres et les moins équilibrées : il ne se réveille pas. Cet état d'inertie complète, on dirait de mort apparente,
e, jusqu'à une heure dans les conditions favorables. Profitant de cet état léthargique, j'ai pu prendre plusieurs clichés ph
uillement, sans changement des positions, les muscles se trouvant à l' état de relâchement complet. Pareil relâchement des mu
cataleptiques. Ainsi l'hypnose chez la grenouille se compose de deux états qui (1) Loc. cit. alternent entre eux penda
rouve aucune résistance à fléchir les membres et à les étendre ; 2° l' état de catalepsie, pendant lequel le sujet est immobi
attitudes même les plus difficiles à maintenir ; les muscles sont en état de contraction partielle. V. — Effets de la per
n partielle. V. — Effets de la perte d'eau sur les grenouilles. L' état de léthargie profonde, si facile à provoquer chez
llée et faisant des bonds dans la cage autant que le lui permettait l' état de ses membres émaciés par soustraction d'eau. Or
meil des grenouilles desséchées se distingue encore par ce fait que l' état cataleptique manque : les muscles se trouvent dan
fait que l'état cataleptique manque : les muscles se trouvent dans un état de résolution (I) Ce fait, que j'ai communiqu
1901.) constante et tout le corps est flasque, comme il l'était à l' état de veille. De ces expériences, on est autorisé
echercher l'influence des excitants thermiques sur les grenouilles en état d'hypnose. Les grenouilles hypnotisées réagissent
l'amène, il y a un an, nous n'eûmes pas de peine à reconnaître que l' état mental devait être rattaché à l'existence de la m
ents convulsifs et l'émission des cris ont diminué progressivement. L' état mental s'est transformé et la malade est devenue
lère. Bien qu'elle fut de faible complexion, lorsqu'elle était dans l' état de colère plusieurs personnes robustes n'étaient
té obtenue par l'application des moyens pédagogiques. Bien entendu, l' état mental de cet enfant présente toujours une grande
i aussi, je le confesse. Finalement, nous cessons de nous voir; son état mental n'est guère modifié. Un an se passe; je su
l'hyponarcose, surviennent les caractéristiques psychologiques de cet état : à savoir : persistance de la conscience, hyperac
ême où la suggestion vient de lui être formulée, il se trouve dans un état d'euphorie toute spéciale : très certainement, il
toute la ligne ! » La suggestion n'a pas seulement mis cet homme en état de contracter le mariage qu'il désirait ; elle
ents qui le concernent. On lui fait alors une première suggestion à l' état de veille, ainsi que l'indique le Dr Bérillon dan
on alcoolisme est bien défini il reçoit un régime en rapport avec son état individuel. Tout les matins le malade se friction
nt graphique et son traitement psychothérapique. 12. En dehors de l' état d'ivresse, comment sont le sommeil, l'appétit et
aux études, qui devaient l'illustrer, sur le sommeil provoqué et les états analogues, sur l'anesthésie par suggestion, sur l
ptaient que partiellement. Le docteur Liébeault assurait que certains états du sommeil provoqué, permettent au cerveau d'agir
éminent professeur de la Salpétrière, estimait que l'hypnose était un état possible chez tous les sujets. Nous estimions, au
possible chez tous les sujets. Nous estimions, au contraire, que cet état n'était propre qu'à certains individus et témoign
à réveiller la sensibilité. Il s'agit donc d'hystériques qui ont un état particulier des centres nerveux tel que ces centr
s suivantes : « La malade est une hystéro-épileptique plongée dans un état léthargique dont les caractères se rapprochent su
ie. ? II est possible qu'elle vive encore un certain temps dans cet état , étant donné qu'elle absorbe quelques aliment
révélée par la diathèse de contracture, peut laisser espérer que son état s'améliore un jour, soit spontanément, soit sous
pérature paraît même avoir une action favorable sur l'apparition de l' état hypnotique. Pareille conclusion se dégage des exp
s place dans la position dorsale. Aussitôt les grenouilles tombent en état d'hypnose profonde, précédée d'une phase de catal
ommeil hypnotique, car le réveil srin-terpose toujours entre les deux états . Cela parait d'autant plus frappant que ces deux
ues. Cependant nous voyons qu'il existe un antagonisme entre ces deux états . Cet antagonisme trouve son explication dans ce f
nc démontrer que le cerveau dans l'hypnose ne se trouve point dans un état de surexcitation, comme certains auteurs l'ont av
teurs l'ont avancé; bien au contraire, le cerveau semble être dans un état d'assoupissement; il est inactif. Mais dès qu'une
it comme un excitant général énergique, réveille les grenouilles de l' état d'hypnose profonde, tandis que le froid n'interro
urné pendant quelques minutes dans les vapeurs d'éther conservent cet état de dépression consécutive assez longtemps à l'éta
her conservent cet état de dépression consécutive assez longtemps à l' état de veille. Or, chez de telles grenouilles étourdi
lité exagérée, il persiste encore quelque chose dans l'organisme de l' état précédent; le système nerveux parait ne pas encor
Il existe encore une autre preuve qui démontre la persistance d'un état particulier après l'hypnose. Très souvent, ainsi
puis vient à Nancy ou 11 se livre à ses études si passionnantes sur l' état organo-psychique déterminé par le sommeil et les
ionnantes sur l'état organo-psychique déterminé par le sommeil et les états analogues, études intéressant aussi bien le philo
nes du Dr Liébeault. Disons simplement qu'il avait pensé que certains états du sommeil provoqué permettent au cerveau d'agir
des nombreuses études du regretté défunt : Du sommeil provoqué et des états analogues » (136G). — « Ebauche de psychologie t
op... En 1866, il publia son lumineux traité, sur le Sommeil et les états analogues, qui fait aujourd'hui autorité. C'éta
nerveux, grand maître de nos muscles et de notre physiologie. Par l' état hypnotique, Liébault expliquait aussi les tables
gestion. En 1866, il publia son premier livre : « Du sommeil et des états analogues considérés surtout au point de vue de l
théories, exposées des 1s66 dans son livre: Du sommeil et de quelques états analogues, antérieures aux travaux de Charcot sur
même, mais sans passer par la cure de repos, de ceux qui sont dans un état moins grave.' Pour tous, il importe que l'exerc
urir sans s'essouffler des asthmatiques ou des emphysémateux qui, à l' état habituel, ne peuvent même pas marcher. b) En su
ux questions qu'on leur adresse sur leur âge, leurs occupations, leur état social ; et tout le temps que dure le procès, ils
mutisme uésa-nique. Le mutisme serait le symptôme fondamental de son état mental qui comporte également d'autres manifestat
er. On les renvoie de l'atelier dès les premières manifestations d'un état mental anormal et ils n'ont pas d'autres ressourc
n sur ce point, que dans l'ignorance du passé de mon malade et de son état nerveux spécial qu'on m'avait caché, chose très c
éhensible de la part d'un jeune marié, je suis arrivé à connaître son état en trouvant chez lui des régions d'insensibilité
e en avait huit, dix, et môme jusqu'à quinze par jour ; elle était en état de crises subintrantes et présentait un véritable
ssait pas seulement là d'une manifestation de la peur, mais bien d'un état d'inhibition nerveuse, provoqué par un choc physi
ls restèrent quelque temps comme hébétés, engourdis dans un véritable état de stupeur. L'explorateur nous déclara- que pour
véritable état de stupeur. L'explorateur nous déclara- que pour lui l' état dans lequel avaient été plongés ces nègres était
l'état dans lequel avaient été plongés ces nègres était un véritable état d'hypnotisme, car ils étaient comme cataleptisés,
es-uns du bout de sa botte, sans les réveiller. Il s'agissait là d'un état d'hypnotisme provoqué par un bruit soudain, par u
contact avec des mouvements intérieurs que lui-même ne serait pas en état d'exprimer, de sorte que, quoique ils lui soient
sentiment que l'artiste a voulu provoquer, même s'ils ne sont pas en état de l'exprimer clairement au moyen de mots. Le d
'il faut satisfaire. Si l'on décrit par le menu les situations et les états d'âme, si l'on analyse les sentiments et les sens
nous étreindront seront si affreux que nous serons absolument hors d' état de jouir. La jouissance esthétique ne peut non
ette hyponarcose, ainsi que je l'ai montré ailleurs i1), constitue un état psychologique extrêmement favorable à la suggesti
à la suggestion. En effet, par la seule suggestion faite pendant cet état , j'obtiens que cette femme redevienne calme, qu'e
première fois et en plein travail, une femme qui, de plus, présente l' état d'exaspération dont j'ai parlé plus haut, c'est c
ifestât aucun signe de douleur. Au réveil, elle était dans un parfait état de bien-être au physique et au moral. Tout indi
oles qu'on prononce auprès de lui ; au réveil, il présente parfois un état de malaise, de prostration, de souffrance morale
ement prolongé. Les malades qui ont pleinement connaissance de leur état se jettent, à corps perdu, vers ce qui leur parai
uer la moindre douleur. La malade est plongée assez rapidement dans l' état d'hypotaxie, mais plusieurs séances sont nécessai
exécutée exactement et la malade accepte facilement la suggestion ù l' état de veille. Le traitement continue comme auparavan
l'hypnotisme, on n'aurait jamais pu obtenir un tel changement dans l' état général de la malade, vu l'obligation où elle se
cas. C'est une demoiselle de 26 ans. II y a deux ans, à la suite d'un état fébrile, elle tombe malade d'une meningo-encéphal
parce que ceux-ci y ajoutent foi, c'est-à-dire, sont suggestibles à l' état de veille. Pourquoi donc borner notre traitement
er notre traitement à une méthode si imparfaite que la suggestion à l' état de veille? Pourquoi recourir à la suggestion armé
estion hypnotique. Dr Paul Magnin : L'hypnotisme et la suggestion à l' état de veille. Dr Bêrillon : L'onanisme mental et son
, par Lux, p. 112. Hystériques spasmodiques graves par suggestion à l' état de veille (Guérison de symptômes), par Stadelmann
16 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
ulis subjecta fidelibus. (IIor.Ax.) lre livraison. d géant vers l' état de perfection où nous la voyons aujourd'hui. En a
s à un petit nombre de types fondamentaux ; les étudier non dans leur état parfait, mais dans leur évolution, dans leur état
udier non dans leur état parfait, mais dans leur évolution, dans leur état embryonnaire d'abord, puis dans leur état fœtal;
s leur évolution, dans leur état embryonnaire d'abord, puis dans leur état fœtal; déterminer l'élément organique primitiveme
s à la confection d'un ouvrage que réclamait si impérieusement (37) l' état actuel de la science, que j'ai formé le projet de
ne peuvent pas réussir sans rupture. Il paraîtrait même que dans l' état normal il existe, à une certaine époque de la ges
ement le soir, précédé ou non de frisson; un dépérissement rapide, un état assez analogue à la fièvre dite de résorption; j'
i de ce ganglion, est néanmoins beaucoup plus considérable que dans l' état naturel. i°. De son extrémité supérieure partent
rocher, dans l'épaisseur duquel je n'ai pu les suivre, vu le mauvais état de la pièce. 20. C'est par son bord externe que
x Gobelins, entre à la Maison royale de santé, le 9 juin 1828, dans l' état suivant : Emaciation sans teinte jaune de la peau
le rectum jusqu'à la moitié droite de l'arc du colon qui était dans l' état naturel. Réflexions. — Voilà une des formes com
le demande sa sortie. On la rapporte quatre à cinq jours après dans l' état comateux le plus profond. Elle succombe. Je trouv
ppé. Pour tous commémoratifs, je recueille que la malade est dans cet état depuis quatorze jours; qu'elle a été émétisée une
, et néanmoins la face, bien loin d'exprimer le bien-être, peint un état de malaise, d'angoisse extraordinaire. La malade,
la face pâle et décolorée exprimant une douleur sourde et profonde, l' état d'angoisse, la prostration extrême dénotent manif
plis de mucosités teintes en jaune; les gros intestins étaient dans l' état le plus naturel, sauf encore du pointillé rouge.
partie du volume de l'autre rein, qui d'ailleurs ne dépassait guère l' état naturel. La capsule surrénale droite était consid
ômes suivans : vomissemens bilieux continuels, que n'explique point l' état de l'estomac; douleur concentrée dans la région d
epuis un an de vomissemens continuels, souvent noirs, succomba dans l' état d'adynamie le plus complet, après avoir rendu des
la pression, dont on présuma q«© le siège est dans le rein gauche. L' état de ce malade paraiaaoïns d^cpere, on se contente
les à une époque assez éloignée. Le 3i mai, il succombe dans un grand état de faiblesse. A l'ouverture du cadavre, on trouve
tement vide ; mais, dans ce cas, le volume du rein ne dépassait pas l' état naturel. D'ailleurs le rein représenté fig. i et
MATION. Planche I. VICES DE CONFORMATION. Artère pulmonaire a l' état de vestige. — Plusieurs artères se rendent de l'a
ne grande quantité de méconium; néanmoins l'enfant reste dans le même état , froid, décoloré, immobile, rendant par le nez le
i et 2. Le cœur C (fig. i ), examiné à l'extérieur, paraissait dans l' état normal. L'artère aorte A A présente sa crosse à d
BC la remplace à gauche. L'artère pulmonaire AP existe seulement à l' état de vestige. Son volume ne dépasse pas celui d'une
plume de corbeau; du reste • elle se comporte absolument comme dans l' état naturel (fig. 2), c'est-à-dire qu'elle se divise
ion. Les reins R et les capsules surrénales CS, fig. 1, sont dans l' état naturel. Peut-être les capsules surrénales sont e
, qui nous fait trouver dans les vices de conformation d'une espèce l' état normal d'une espèce inférieure , nous serons arrê
nous voyons expliqué d'une manière aussi satisfaisante que possible l' état de l'enfant pendant les neuf jours de sa vie végé
anique en elle-même : or nous ne pouvons nullement l'expliquer par un état morbide éprouvé par le fœtus dans le sein de sa m
iie livraison. £ l'une de l'autre. Le bassin était dans le même état que s'il avait été soumis à une double force qui
Les figures que contient la planche 3 sont destinées à représenter l' état des parties molles et dures de la jambe et du pie
s les jours un assez long trajet à pied. Je voulus connaître à fond l' état des parties molles. Une injection assez ténue fut
e par son côté externe. Tous les muscles sont passés complètement à l' état graisseux; le jambier antérieur (1), l'extenseur
face postérieure et son côté interne : 5 jumeau ex terne passé à l' état graisseux, à l'exception de quelques libres rouge
plantaire ayant moins d'épaisseur et un aspect moins nacré que dans l' état naturel. J'ai voulu voir si cette aponévrose étai
le et à peu près leur volume : aucun de ces muscles n'avait passé à l' état graisseux, si ce n'est l'accessoire du long fléch
s autres os du tarse sont parfaitement distincts et m'ont paru dans l' état naturel. Ce cas prouve manifestement que la défor
pas postérieure à la naissance, et que les os du pied-bot encore à l' état de cartilage sont configurés d'une manière récipr
reste, il est facile de se rendre compte de cette disposition. Dans l' état ordinaire, la tête de l'astragale est reçue dans
seux \ac sépare a quatre fois au moins la longueur qu'il offre dans l' état naturel. Enfin on conçoit qu'une conformation s
tion que cette usure. La tête de l'astragale, si volumineuse dans l' état naturel, est réduite aux deux tiers, à la moitié
frottantes. Ainsi la nature se rapproche-t-elle invariablement dans l' état morbide des lois qui régissent l'état sain. J'ai
he-t-elle invariablement dans l'état morbide des lois qui régissent l' état sain. J'ai expliqué tout à l'heure l'atrophie de
jumeau externe et du jumeau interne, le premier ayant seul passé à l' état graisseux. Les nerfs musculaires, les nerfs sciat
férence entre le pied-bot de l'enfant et celui de l'adulte gît dans l' état cartilagineux de l'astragale qui, chez le premier
manière qu'elles ne s'opposent pas à la contraction musculaire. De l' état graisseux qu'ils acquièrent constamment par le dé
ent constamment par le défaut d'exercice, ils repasseront bientôt à l' état de fibre musculaire, car la charpente, le parench
à mon avis, un caractère d'incurabilité bien plus insurmontable que l' état des os, des ligamens et des cartilages. Je pens
rapide, qu'en trois mois les pieds étaient à peu près revenus à leur état naturel, et au bout de neuf mois il ne restait pa
que, parce qu'en effet les tendons nous ont paru dans le plus parfait état d'intégrité. Nous ne concevons pas qu'on puisse f
Maison royale de Santé par M. le docteur Jacquemin; elle était dans l' état suivant : Face très-colorée; langue rouge, lisse,
orte qu'à la visite du matin la malade était à peu près revenue à son état habituel. J'explore vainement de nouveau et ave
s symptômes. Sulfate de quinine en lavement et pour pansement. Même état jusqu'au 19. Les nausées et les vomissemens persi
résumer. A l'ouverture, j'examinai d'abord le foie qui était dans l' état le plus parfait d'intégrité. Aussitôt mes recherc
'en est pas la cause matérielle) les accès fébriles, ne passe pas à l' état inflammatoire. cependant l'analogie qui existe en
is localisée, vous aurez le temps d'agir ; la nature, rentrée dans un état voisin de l'ordre, pourra opérer la résorption de
par plaques, ou bien dans la totalité des membranes d'enveloppe. Cet état constitue bien plutôt une hypertrophie qu'une inf
e qui ne l'empêche pas de sortir, me fait appeler le 12 et présente l' état suivant : Violente céphalalgie ; mal au cœur sa
; pouls vif, fréquent; langue rouge; soif; vives inquiétudes sur son état . L'abdomen exploré avec la plus grande attention
n état. L'abdomen exploré avec la plus grande attention parait dans l' état naturel. La malade dit que son mal est au niveau
a malade, pour me rendre compte de ce qu'elle éprouve, me dit que son état ressemble à celui d'une personne qui a mangé quel
ons rudes sur les membres supérieurs , faute de quoi elle est dans un état lypothimique permanent : le moindre mouvement, l'
ement, l'action de parler amènent des défaillances. Le contraste de l' état actuel à celui de la veille, l'invasion brusque d
is; agitation, force musculaire qui contraste singulièrement avec son état antérieur. Hoquet. Mort à neuf heures du soir.
e son mal était là, et que je devais y trouver quelque chose. Enfin l' état lipothymique presque continuel, la décoloration d
suis appelé en consultation auprès de madame A., que je trouve dans l' état suivant : coma profond; immobilité; insensibilité
aient jeté la malade dans une syncope qu'avait immédiatement suivie l' état comateux. De nouvelles questions me donnèrent la
ongé jusqu'au moment de l'invasion de l'accès, d'où les syncopes et l' état grave où nous la trouvions. Déjà des vésicatoir
pris par la voix publique qu'elle était sortie comme par miracle d'un état aussi fâcheux. Quinze jours après, je fus appelé
n ordinaire; voici ce qui s'était passé depuis ma première visite : l' état comateux où nous avions laissé la malade avait ai
aiapu*u 0„K;tfsment au je vnlgt_ quatre heures pour faire place â un état d'apyrexie presque complète ; mais, à la suite d'
t sans pouls; la respiration courte et fréquente; les membres dans un état de résolution complète. Ces symptômes firent prés
it dans le cerveau : l'embonpoint de la malade dénotait d'ailleurs un état aigu. Elle mourut deux heures après son entrée.
Le chiasma était très-allongé; le nerf optique droit NO était dans l' état naturel; le nerf optique gauche NO' étaitcomme ép
onsidérable, surtout à droite. Les corps striés CS, CS sont dans leur état d'intégrité. Du reste, même aspect qu'à la face i
ainsi, il n'y a point de matière grasse dans la bile, au moins dans l' état ordinaire, et cependant quoi de plus fréquent que
réglée, entre à la Maison royale de Santé, le 3i octobre 1828, dans l' état suivant : face violacée; crachement de sang pur,
apoplexie pulmonaire circonscrite. La malade ne se croit pas dans un état grave. Elle nous paraît à toute extrémité. Trai
même pas le mot commencé : elle n'a d'ailleurs aucun sentiment de son état et de ses besoins. On dirait un animal dont le ce
n noir de jais, leur densité, leur frangibilité, contrastaient avec l' état parfaitement sain des couches pulmonaires adjacen
tés du sang doivent aussi souvent contribuer à ces hémorrhagies que l' état des parois vasculaires ; les hémorrhagies spontan
comme dans l'observation que j'ai rapportée. Une violente dyspnée, un état de somnolence, de demi-asphyxie, la petitesse ext
urs une contre-indication. Il faudra donc toujours faire la part de l' état de spasme ou, mieux, du trouble général occasioné
poumon rendue inutile assez considérable pour expliquer la mort. Cet état de spasme surmonté, la maladie pourra s'organiser
ffeur, entre à la Maison royale de Santé, le 21 décembre 1828, dans l' état suivant : oppression; toux; expectoration purulen
s cinq à six mois, et qui le laissent pendant plusieurs jours dans un état d'hébétude et d'engourdissement; que, depuis dix
sonore.Persuadé qu'il y a gangrène du poumon, mais circonscrite, vu l' état général et surtout l'état du pouls, je prescris d
gangrène du poumon, mais circonscrite, vu l'état général et surtout l' état du pouls, je prescris des pilules de chlorure de
r au moins un litre par jour: sans cela, disait-il, il serait dans un état de défaillance continuelle. Les 25, 26, la faible
cutive à la pneumonie, évidemment cette assertion est combattue par l' état du poumon autour des foyers récens. Il n'y a là q
s. Il n'y a là que l'œdème de la gangrène. La gangrène constitue un état , un élément morbide qui peut se manifester primit
iénés de Limoges, la gangrène du poumon chez un autre épilep-tique. L' état de torpeur où laisse 1 epilepsie pendant plusieur
de rien, jouit de toute sa raison, n'a nullement la conscience de son état : la gêne continue de la respiration, la petitess
la gangrène du poumon la saignée est formellement contre-indiquée. L' état du pouls, l'état des forces doivent être pour ain
oumon la saignée est formellement contre-indiquée. L'état du pouls, l' état des forces doivent être pour ainsi dire combinés
pouls, l'état des forces doivent être pour ainsi dire combinés avec l' état local pour diriger dans l'application des moyens
at local pour diriger dans l'application des moyens thérapeutiques. L' état antérieur du malade ne sera pas non plus négligé.
vint à plusieurs reprises passer quelques mois à la Maison royale. L' état général était excellent : point d'oppression ; et
rophie avec ou sans dilatation du ventricule gauche du cœur. Dans l' état naturel, il y a équilibre parfait entre la force
pèce. Comment se fait-il que dans le cas actuel le cœur soit dans son état naturel? Je ne connais pas de dilatation artériel
ue, le cœur n'a plus de résistance à surmonter; il doit revenir à son état naturel ; on conçoit même qu'il pourrait s'atroph
ient la perforation, et c'est à ces concrétions sanguines qu'est du l' état stationnaire d'un grand nombre d'anévrysmes ; mai
pigastre sont fréquemment appliquées, mais sans résultat. Du reste, l' état général est excellent. Cette indisposition l'inqu
. La pression sur cette région n'augmente pas la douleur; du reste, l' état général est aussi satisfaisant que possible : emb
ieures et la tuméfaction de l'abdomen font des progrès au milieu d'un état général aussi satisfaisant que possible. Je renon
cesse des scarifications : d'ailleurs le malade est gai, satisfait. L' état général est excellent. Tremblement toute la nui
e. Je crains une péritonite. Douze sangsues sur l'abdomen. Le 3i, état d'immobilité, de stupeur analogue au narcotisme.
eux sur moi, semble vouloir me répondre, et retombe de suite dans son état de stupeur. Le Ier novembre, râle, hoquet; poul
à volume égal, la moitié des grains glanduleux qu'il présente dans l' état naturel. Le cerveau et ses enveloppes, les orga
thétérisme. Le malade se plaignait d'un peu de céphalalgie. Tel est l' état où le trouva M. Corsin, médecin à la Villette, au
llette, aux soins duquel il fut d'abord confié ; tel était encore son état le jour de son entrée à la Maison royale de Santé
n dut être abandonné, et l'on s'en tint à la médecine expectante. L' état de M. Mansard demeura à peu près stationnaire jus
siblement, sans cependant concevoir la plus légère inquiétude sur son état ; d'énormes escharres détachées du sacrum avaient
r, morcelé, décomposé, au-dessous duquel on trouve les parois dans un état complet d'intégrité, soit pour la couleur, soit p
une expérience bien convaincante à ce sujet : je mis un chien dans l' état comateux, par l'injection d'un peu d'alcool dans
ongeait le long des cuisses, des jambes et des pieds. Il attribua cet état à la fatigue du voyage , attendu qu'il avait été
te était pesante, mais sans douleur; point d'étourdissement. Dans cet état , le malade se plaignait d'un sentiment général de
« sang. » « Thorax. Tous les organes de cette cavité étaient dans l' état naturel. « Abdomen. Les intestins étaient très-
que par la tête et les extrémités supérieures. Voici quel était son état au moment de son entrée : paralysie aussi complèt
r ne tarda pas à disparaître. Du reste, tranquillité parfaite sur son état , qui nous rappelle en tous points celui du malheu
, qui nous rappelle en tous points celui du malheureux Mansard. Cet état fut le même jusqu'à la mort : des moxas appliqués
quatre-vingt-trois ans est apporté à la Maison royale de Santé dans l' état suivant : nulle douleur; il n'en accuse aucune so
graduellement, mais sans garder le lit, au point qu'on regardait son état plutôt comme une suite nécessaire de l'âge avancé
ractères que l'eschare de l'estomac. Jusque-là nous ne voyons qu'un état gangreneux, et, sans un cercle de tissu grisâtre,
itué, entre à la Maison royale de Santé, le 28 septembre 1828, dans l' état suivant : prostration; découragement; air de souf
gi^os intestin sont donc le siège de la maladie. — Le ifr octobre , l' état du malade s'est aggravé d'une manière extraordina
e plus en plus et s'aggrave. Y a-t-il inflammation proprement dite? L' état inflammatoire aurait-il passé à l'état de gangrèn
nflammation proprement dite? L'état inflammatoire aurait-il passé à l' état de gangrène? La petitesse du pouls et l'état géné
oire aurait-il passé à l'état de gangrène? La petitesse du pouls et l' état général contre-indiquent les évacuations sanguine
sensible à la pression. Le malade n'a nullement la conscience de son état et se croit guéri ; il demande à manger. Soif trè
angreneux. Contre toute prévision, le malade se soutient dans le même état jusqu'au 12. La face est moins altérée. Sentiment
ires de la main droite et de la main gauche étaient la plupart dans l' état naturel ; quelques-uns très-légèrement encroûtés.
24; Flouris entre à la Charité (service de M. Fouquier) le i4, dans l' état suivant : dévoiement; soif; fièvre*, grande maigr
des doigts. Articulations coxofémorales. Têtes des fémurs dans leur état naturel. Dans la cavité cotyloïde gauche, matière
mulante ; le goutteux reconnait l'invasion prochaine d'un accès à son état de bien-être, au retour de son embonpoint. Il sem
rus. Fig. i et i' Utérus bifide dans son corps, col et vagin dans l' état normal. — Ces figures offrent un utérus bifide da
s deux moitiés aboutissaient à un col et à un vagin communs et dans l' état normal. Le sujet de cette observation est une fem
ig. 5. Utérus cloisonné dans son corps seulement, col et vagin dans l' état normal. — Cet utérus a été successivement figuré
e une série de transformations successives, dont chacune représente l' état permanent des espèces inférieures. Un de ces état
hacune représente l'état permanent des espèces inférieures. Un de ces états est la séparation complète des deux moitiés du co
oint de se faire; l'autre, que l'orifice de l'utérus est dans le même état où il se trouve chez une vierge. Un nouvel examen
jusqu'au 12 février, que la malade fut apportée à l'Hôtel-Dieu dans l' état suivant : Décoloration générale de l'habitude d
etira immédiatement. (Injections vaginales avec l'oxicrat froid.) L' état adynamique va toujours croissant jusqu'au 16. Il
le foie, la rate, les reins, tous les viscères abdominaux sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. L'utérus, développé
e tumeur fibreuse de l'utérus, ou, mieux, au tissu de l'utérus dans l' état de vacuité, qu'un testicule ( représenté figure 3
eaux. Son poids est énorme eu égard à son volume, qui est double de l' état naturel. La tunique albuginée n'adhère nullement
l'air. La glotte, la partie sous-glottique du larynx , étaient dans l' état le plus naturel. La muqueuse incisée m'a permis d
voir en partie, par une exploration convenable, et qui révèle par son état de rougeur, de pâleur ou d'infiltration, la rouge
tre renseignement sur ce malade, si ce n'est qu'il était mort dans un état de suffocation analogue au croup. Enfin, je vie
x mois pour une fièvre putride, se présenta à l'hôpital Cochin dans l' état suivant : enrouement très-considérable, que le ma
a suffocation devient imminente au moindre effort. Le lendemain, même état : à dix heures du soir, agitation qui oblige le m
qui paraît en effet inévitable. Son pouls est presque insensible. Cet état effrayant se calme un peu pendant la nuit. Le jou
d'une autre part, elle était maintenue par ses constricteurs dans un état d'occlusion plus ou moins complet. L'individu se
soixante-neuf ans, entre à l'Hôtel-L)ieu, le 6 lévrier 1829, clans l' état suivant : abdomen très-volumineux, tout-à-fait in
une grande épaisseur de parties : membres abdominaux très-infiltrés ; état général peu satisfaisant ; pouls petit ; émaciati
ssement tel que la malade ne peut donner aucuns renseignemens sur son état et qu'on est obligé d'aller aux informations aupr
ifs que l'hydropisie enkystée de l'ovaire se concilie souvent avec un état général excellent, tandis que l'ascite est presqu
squirol entre l'imbécillité et l'idiotie. Les imbéciles, réduits à un état d'ilotisme, travaillaient comme des bêtes de somm
la seconde et donnant celui de démence à la première. Certes ces deux états ne sauraient être confondus ; mais, analogues sou
encontre dans l'idiotie, lésions qui rendent parfaitement compte de l' état de dégradation intellectuelle et morale où se tro
ssise, reste constamment couchée sur le dos ou sur les côtés, dans un état d'immobilité absolue. Elle ne parle pas et pousse
l'hémisphère gauche HGN ( planche iv, fig. 1) est tout-à-fait dans l' état naturel; l'hémisphère droit HDA, au (*) Observa
nutrition, rétrogradation de la presque totalité d'un hémisphère à l' état celluleux, atrophie en un mot portée à son dernie
nt au chiasma, mais entrecroisement partiel. Il est à regretter que l' état précis des organes des sens, de la vue en particu
e l'état précis des organes des sens, de la vue en particulier, que l' état précis des membres n'aient pu être notés. Il est
Ouverture du cadavre.— Crâne sensiblement moins volumineux que dans l' état naturel, déprimé en avant; plus de traces de font
ble par sa consistance, qui est beaucoup plus considérable que dans l' état naturel. Le cervelet est un peu moins développé
turel. Le cervelet est un peu moins développé qu'il ne l'est dans l' état normal. Protubérance annulaire en rapport avec le
et le crâne, bien qu'il soit sensiblement moins volumineux que dans l' état naturel, est loin de traduire à l'extérieur le vo
t coïncide avec celui du cervelet, qui est à peu de chose près dans l' état naturel. Ce n'est pas la première fois que j'obse
sposition des lamelles cérébelleuses diffère d'ailleurs beaucoup de l' état sain. 6°. Le cerveau ouvert, nous avons vu, dans
e 7 avril 1829 : c'était au moment de ma visite. Voici quel était son état : paralysie complète du sentiment et du mouvement
en manière de bottine : saignée du pied le soir. — Le lendemain, même état de stupeur, d'immobilité; toujours émission invol
catoires aux jambes.—Le troisième et le quatrième jour, toujours même état *, les yeux sont ouverts, fixes; les muscles sourc
n, la respiration était un peu accélérée, le pouls un peu fréquent; l' état général paraissait d'ailleurs le même. Je pronost
uelque temps après sans agitation, sans mouvemens convulsifs, dans un état d'immobilité. Ouverture du cadavre. — Un foyer
droite CO, les tubercules quadrijumeaux TQ, le cervelet C sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. La figure 2' repré
est apportée à la Maison royale de Santé, le i3 octobre 1828, dans un état d'hémiplégie incomplet du côté gauche. Huit jours
té naturelle ; les facultés intellectuelles sont à peu près dans leur état d'intégrité ; léger délire gai; la malade répond
tent d'un consensus local entre la peau et les muscles. Tel était son état lorsqu'il fut transporté à la Maison royale de Sa
mes aux pieds qu'on renouvellera dans la journée.)—Le lendemain, même état . (Vingt sangsues aux jugulaires; tartre stibié en
nte-cinq ans, peintre, est apporté à la Maison royale de Santé dans l' état suivant : hémiplégie complète du mouvement ; sens
roite ; le septum lucidum deux à trois fois plus développé que dans l' état naturel ; les deux ouvertures de communication de
fort, large et fréquent. (Saignée abondante.) — Les jours suivans, l' état du malade ne présente rien de particulier; seulem
u malade ne présente rien de particulier; seulement il paraît dans un état de torpeur qu'on attribue à la pléthore et à la p
e manière spéciale; et, bien qu'on ne les regarde pas encore comme un état pathologique, on prescrit une saignée de quatre p
é. Les viscères contenus dans le thorax et dans l'abdomen sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. Le crâne ouvert, la
llet arachnoïdien qui revêt la dure-mère ne participe nullement à cet état . Réflexions. — Un état de torpeur, sans altérat
êt la dure-mère ne participe nullement à cet état. Réflexions. — Un état de torpeur, sans altération aucune des fonctions,
la manière de petits flocons. Sur ce sujet, j'ai voulu m'assurer de l' état des circonvolutions. La figure i représente l'asp
uestion. (Vésicatoire à la nuque. ) Il meurt le cinquième jour dans l' état comateux et adynamique le plus prononcé. A l'ou
rieure est infiltrée de sérosité. Tous les autres organes sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. Observation IV. —M
rniers jours; mais elle n'a dû se manifester par aucun symptôme, vu l' état du cerveau. Sans doute la sérosité aura été résor
Pendant six semaines, depuis le ier janvier jusqu'au i5 février, même état . L'enfant est taciturne ; elle ne se plaint pas ;
uérie; mais la céphalalgie ne tarde pas à reparaître. Le 18 mars, son état empire d'une manière effrayante. Face alternative
fant, âgé de six ans, est apporté à la Maison royale de Santé, dans l' état suivant : face tout-à-fait naturelle, peau fraîch
je porte un pronostic fort grave. Trois jours se passent dans le même état . (Lavemens purgatifs; sangsues aux jugulaires; gl
pouls est toujours lent et la peau naturelle. — Le sixième jour, même état des yeux; un peu de chaleur à la peau et de fréqu
gé de vingt-neuf ans, est apporté à la Maison royale de Santé dans un état de stupeur. La face est étonnée. Le malade ne rép
piration devient haute, suspirieuse, inégale. Le quatrième jour, même état . Le cinquième jour, la respiration est courte, ha
Le crâne ayant été ouvert, la convexité du cerveau nous a paru dans l' état le plus parfait d'intégrité, seulement les circon
moins épaisses, creusées elles-mêmes de petites cavités ou kystes à l' état rudimentaire. Bien que la substance du rein sembl
pement d'un enfant de deux mois et demi à trois mois : il est dans un état de dessiccation qu1 annonce une mort déjà ancienn
t sur le même intestin. Quelquefois on rencontre ces lésions à divers états qui attestent qu'elles ne sont point contemporain
nt dans l'histoire anatomique de l'entérite folliculeuse, ce sont les états divers des vaisseaux de la muqueuse et du péritoi
tour de la granulation, de la pustule, ou au limbe de l'ulcération. L' état du péritoine n'est pas moins digne d'intérêt. Lor
nnaît-il, à l'inspection de la surface externe de l'intestin grêle, l' état de la surface interne; de même qu'à l'inspection
la surface interne; de même qu'à l'inspection du mésentère on juge l' état des ganglions contenus dans son épaisseur. Dans d
es de l'ensemble de l'organisation : les premières, dans lesquelles l' état local domine manifestement l'état général, ont ét
: les premières, dans lesquelles l'état local domine manifestement l' état général, ont été appelées symptomatiques ; ou plu
mmées d'après la lésion locale; quant aux secondes, dans lesquelles l' état général paraît au contraire dominer l'état local,
econdes, dans lesquelles l'état général paraît au contraire dominer l' état local, on leur a réservé le nom de fièvres, comme
visite ; observé par l'interne (M. Sestié), à dix heures du soir, son état lui parut à peu près le même qu'à la visite du ma
nt moins prononcés que les symptômes cérébraux sont plus intenses : l' état ataxique est porté au plus haut degré, la périton
ni diminution, pendant vingt-un, vingt-huit, quarante jours ; c'est l' état de prodrome des maladies aiguës à l'état permanen
it, quarante jours ; c'est l'état de prodrome des maladies aiguës à l' état permanent, d'où le nom de fièvre lente nerveuse,
estion, je reste convaincu que, dans l'entérite folliculeuse aiguë, l' état général, que l'on comprend sous le nom collectif
e folliculeuse aiguë, comme d'ailleurs dans toutes les phlegmasies; l' état local et l'état général: or dans les phlegmasies
iguë, comme d'ailleurs dans toutes les phlegmasies; l'état local et l' état général: or dans les phlegmasies avec douleur, c'
ocal et l'état général: or dans les phlegmasies avec douleur, c'est l' état local qui est la source ou plutôt le régulateur d
apeutiques; dans les phlegmasies sans douleur, c'est principalement l' état général, ou plus exactement l'état du système ner
ns douleur, c'est principalement l'état général, ou plus exactement l' état du système nerveux cérébro-rachidien. XXVI. Cep
ment l'état du système nerveux cérébro-rachidien. XXVI. Cependant l' état local, bien que consécutif (mais consécutif à la
and nombre des cas, ne doit pas être dédaigné : s'il n'explique pas l' état général, si dans le principe il ne peut être cons
diverses, les degrés, la marche et les phases de la maladie. Alors l' état de l'intestin rendra un compte aussi satisfaisant
t de l'intestin rendra un compte aussi satisfaisant que possible de l' état général. Le système nerveux ganglionnaire, qui se
erveux central au désordre par la torpeur, la stupeur et le délire. L' état du cœur, que je regarde en général comme le therm
. L'état du cœur, que je regarde en général comme le thermomètre de l' état du système nerveux ganglionnaire, de même que l'é
thermomètre de l'état du système nerveux ganglionnaire, de même que l' état des muscles de la vie de relation est le thermomè
que l'état des muscles de la vie de relation est le thermomètre de l' état du système cérébro-spinal, donne en général assez
t; quel quefois cependant un pouls presque naturel coïncide avec un état excessivement grave. Lorsque l'inflammation désor
r le péritoine, soit sur la muqueuse, qui sont si souvent funestes. L' état général, l'énergie de la réaction et surtout la d
ive bien souvent qu'elle est essentiellement contre-indiquée et par l' état des forces, et par l'état du pouls, et par l'exas
st essentiellement contre-indiquée et par l'état des forces, et par l' état du pouls, et par l'exaspération de tous les sympt
itement antiphlogistique. XLIII. Ce problème me parait résolu par l' état général du sujet; je m'explique : l'entérite foll
a vie; ne craignez point d'irriter ; votre malade ne périra pas par l' état local, il périra par l'état général. C'est alors
rriter ; votre malade ne périra pas par l'état local, il périra par l' état général. C'est alors que réussit quelquefois comm
quelque sorte conciliatrice, qui diminue d'une part les ravages de l' état local et qui, d'une autre part, soutient la force
as décidée, car le premier malade nous arriva au plus haut degré de l' état d'ataxie; céphalalgie, soubresauts dans les tendo
. L'entérite folliculeuse aiguë plongeant souvent les malades dans un état assez analogue à celui de l'ivresse, il e. Livr
'énormes ulcérations; car, ainsi que je ne saurais trop le répéter, l' état local persiste long-temps après la chute des phén
l'ouverture du cadavre nous trouvons tous les organes centraux en bon état , mais seulement, dans un petit point de l'économi
est apporté à la Maison royale de Santé, le 27 septembre 1828, dans l' état suivant : délire tranquille et incomplet; réponse
ous trouvons i° celles de Peyer qui, bien qu'il ait cru représenter l' état naturel, a figuré l'entérite folliculeuse sous fo
décoction de tamarins qui provoque des selles copieuses.—Le 3o, même état ; la région iliaque droite paraît douloureuse. Di
ques. La figure première représente les plaques agminées de Peyer à l' état naturel, et ces auteurs la regardent comme le pre
domestique, âgé de vingt-un ans, est apporté le 26 avril i83o, dans l' état suivant : État typhoïde; enduit fuligineux très-é
de place dans son lit, et tombe en faisant effort pour se lever. Même état le 4 et le 5. Il meurt pendant la nuit du 5 au 6
nt de son pied à l'hôpital, le 12 avril. Observé le i3, il présente l' état suivant : face naturelle ; les yeux vifs ; léger
raît mieux. —Le 20, il est apporté à la Maison royale de Santé dans l' état suivant : légère divagation dans les idées ; répo
Entérite folliculeuse suraiguë sous une forme extrêmement grave.—21, état ataxique porté au plus haut degré ; tremblement d
domestique, âgé de vingt-quatre ans, est porté à l'Hôtel-Dieu dans l' état suivant : prostration musculaire; stupeur; langue
fréquent; respiration fréquente : point de comméniui atifs exacts. L' état du malade ne permet d'avoir aucune confiance en s
ndent gommé; lavemens , cataplasmes émolliens ; diète.) — Le 20, même état . — Le 21, menace de délire ; grincement de dents.
est faible et peu fréquent. Les facultés intellectuelles sont dans un état parfait d'intégrité. Diagnostic. Entérite follicu
ntinuelles du malade. Je ne conservais plus aucune inquiétude sur son état ; le pouls était naturel. Le malade employait à la
atrice. Les ganglions mésentériques étaient à peu près revenus à leur état sain ; quelques-uns contenaient une matière sembl
urs dans la pleurésie, la pneumonie, dans toutes les inflammations, l' état local persiste à peu près au même degré d'intensi
er, est apporté le 9 octobre 1828 à la Maison royale de Santé dans un état de délire violent avec fièvre. Point de renseigne
e délire violent avec fièvre. Point de renseignemens positifs sur son état ; seulement on nous dit qu'il était malade depuis
forcé, de convuisif; du reste, langue naturelle; aucune douleur. Cet état se maintient presque identiquement le même jusqu'
ar des questions répétées, et lui avoir affirmé itérativement que son état n'est pas grave, que je puis obtenir quelque répo
partir. ( Sinapismes aux pieds, vésicatoires aux jambes.) Le 19, même état . Le 20, la langue est sèche; l'abdomen météorisé,
urs de sa maladie. Ouverture du cadavre. Cerveau et méninges dans l' état naturel; thorax sain; dans l'abdomen, un très-gra
été curieux de pouvoir faire l'histoire médicale d'un sujet d'après l' état de ses organes. Ici l'altération portait au moi
rmal de l'ongle abandonné à lui-même, mais il me paraît constituer un état morbide qui est la conséquence moins du défaut de
ible à la fois et de la faire rentrer et de la faire sortir, et sur l' état du péricrâne qui se continue par sa face interne
t à l'occasion d'un seulfait, a tracé de la manièrela plus complète l' état actuel de nos connaissances sur cette matière. Il
celle de tous les tissus fibreux, que cette fluxion tend à passer à l' état chronique; et de la fluxion chronique d'une membr
augmentèrent, et le malade mourut le 16 août 1829. » « autopsie. L' état général du corps offrait des signes de putréfacti
et en dehors de la précédente. C'était une tumeur carcinomateuse a l' état naissant. La figure 2' représente la coupe vertic
aisait tomber de sa chaise. Le 28 septembre, je voulus m'assurer de l' état de la myotilité. Je la fis lever et soutenir par
augmentèrent, et le malade mourut le 16 août 182g. » « Autopsie. L' état général du corps offrait des signes de putréfacti
et en dehors de la précédente. C'était une tumeur carcinomateuse à l' état naissant. La figure 1' représente la coupe vertic
ansportée à la Maison royale de Santé le 27 juillet, elle présente un état général excellent; seulement hémiplégie gauche co
par M. Ribes dans un cas particulier (*), fidèlement représentée à l' état de suppuration par Hooper (**), cette inflammatio
est apportée à l'hôpital des enfans malades, le 17 mars 183o, dans l' état suivant : pupilles dilatées ; plaintes, gémisseme
levé une fois pour s'en aller. La sensibilité de la peau est dans son état d'intégrité. Le malade n'accuse aucune douleur, b
nq ans, est apporté à la Maison royale de Santé le a3 mai i83o dans l' état suivant : Assoupissement ; les yeux sont à demi o
allé à Bercy. Sa maladie a débuté pendant la nuit du 21 au 22 par un état fort singulier : il semblait avoir perdu la mémoi
un cas existait-il de la fureur, de la loquacité, et dans l'autre un état d'hébétude ? Est-ce parce que, dans le premier ca
œur, qui a un volume trois à quatre fois plus considérable que dans l' état normal. Il enfonce sa convexité dans le ventricul
che amincies, aplaties, plus consistantes et plus blanches que dans l' état naturel, laissent entre elles des anfractuosités
lle a eu lieu après la naissance, ne peut donc pas être résolue par l' état des os du crâne. Il n'y a pas eu arrêt de dévelop
évoiement chronique. Voici les détails qui ont été recueillis sur son état pendant les deux dernières années de sa vie : L
ubérance annulaire AP et ses prolongemens, le cervelet C, sont dans l' état naturel. Il en est de même des lobes moyen et pos
térieure est la grosse extrémité des corps striés CS, CS, qui, dans l' état naturel, se trouve recouverte par les circonvolut
ns son développement; le diploë « est la limite, non-seulement dans l' état sain, mais encore dans l'état morbide. Ce fait an
ë « est la limite, non-seulement dans l'état sain, mais encore dans l' état morbide. Ce fait ana-« tomique si simple sappe da
urs manquaient, et cependant la région frontale du crâne était dans l' état naturel. Dira-t-on que l'existence de cette régio
leur et de la dureté. Chez tous deux, extirpation. Voici quel était l' état du testicule. Celui représenté figure i a été div
elques petits tuoercules grisâtres, deini-tra nspar en s qui sont à l' état , appelé de crudité. Le canal déférent est dans l'
s qui sont à l'état, appelé de crudité. Le canal déférent est dans l' état normal. Le testicule représenté fig. 2 a été divi
sion. L'épididyme et le cordon des vaisseaux spermatiques sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. Dans des cas sembl
roit depuis dix-huit mois environ. L'organe avait doublé de volume, l' état général était excellent. Plusieurs praticiens con
complète. Cependant le testicule conserve plus de volume que dans l' état naturel. Au bout d'un mois et demi à deux mois, p
ule est urgente : le malade s'y décide avec peine. Voici quel était l' état de l'organe : son volume est double de celui qu'i
temps qu'il semblait atrophié. J'ai estimé sa longueur au double de l' état naturel. La cicatrice déprimée de la peau adhér
fois un aspect fongueux et tuberculeux. Je ne puis mieux comparer cet état qu'à celui des synoviales et des ligamens articul
. Enfin, les surfaces articulaires, de contiguës qu'elles sont dans l' état naturel, peuvent devenir continues ; ixe livraiso
athologique devra comprendre : i° les rapports des parties dures et l' état des parties molles, ligamens, tendons, muscles, t
médiatement après la luxation; i° les rapports des parties dures et l' état des parties molles, huit, quinze jours, un mois,
jours, un mois, deux mois, trois mois après la luxation; 3° enfin, l' état des parties molles et des os lorsqu'une articulat
longueur; aussi le corps du radius est-il plus volumineux que dans l' état naturel, ses lignes d'insertion et ses apophyses
on bien remarquable, surtout dans la rangée antibrachiale qui est à l' état de vestige. S est le vestige du scaphoïde ; SL, l
ascension de cet os : la tubérosité bicipitale, qui n'est plus qu'à l' état de vestige, et par conséquent l'insertion du bice
cause. Un des « effets très-probables de cette luxation doit être un état de pronation forcée de l'avant-« bras. » Je ne
te tête de l'humérus, la même situation relative qu'il affecte dans 1 état naturel. Luxation ancienne du coude non réduite
mmobilité absolue de la mâchoire inférieure, peut se concilier avec l' état de santé le plus florissant, Anne Faure, âgée d
ins usée que celle de la clavicule droite, et l'acromion était dans l' état naturel. Les articulations coxo-fémorales du mê
du travail digestif, et d'étudier l'influence que le genre de mort, l' état de plénitude ou de vacuité de l'estomac exerçaien
e la formation d'une plus grande quantité d'acide acétique que dans l' état naturel: or, cette formation, il l'attribue à un
iguës, suite de ramollissement. Cette espèce de rétrogradation vers l' état gélatineux, muqueux, est une maladie de la premiè
qui se manifeste dès les premiers momens de la maladie cérébrale, à l' état de la face, des pupilles, au grincement de dents,
nt et destruction de la muqueuse gastrique, et qu'il regarde comme un état pathologique qui n'avait pas encore été signalé (
faut huit jours au moins pour qu'elle soit aussi complète que dans l' état de maladie. XIX. De là je conclus que le ramoll
dus morts pendant le travail de la digestion, l'estomac étant dans un état de réplétion, j'ai rencontré ce ramollissement, e
ier juillet i83o, treize jours avant sa mort, la malade était dans un état voisin du marasme, sa face était jaunâtre ; elle
, discute volontiers des affaires; il n'a aucune inquiétude sur son état , n'éprouve aucune douleur, accuse seulement un se
ir; il me demanda dans son langage arithmétique s'il y avait dans son état un centième de mieux que la veille. Il imagina un
us commodément le bassin sous lui ; mais l'oppression considérable, l' état misérable du pouls m'annonçaient une fin prochain
he 4) a appartenu à une vieille femme morte à la Salpêtrière, dans un état de marasme dont la cause fut impossible à découvr
tait telle, que, lorsqu'on s'approchait d'elle pour s'informer de son état , elle priait de la laisser tranquille. Si on insi
ment indispensable pour l'accomplissement des phénomènes digestifs. L' état de morosité, de mauvaise humeur continuelle, s'ex
ément affecté, tous les autres points de l'organe se trouvant dans un état parfait d'intégrité? Voilà ce qui paraît bien dif
s. — Je regarde ce cas comme un exemple d'ulcère aigu de l'estomac. L' état aigu me paraît démontré : i° par le caractère de
bdomen. Dès-lors le teint devint pâle et les digestions pénibles. Cet état durait depuis six mois, lorsqu'après un dîner for
iacode ; diète.) Le soir, hématémèse assez considérable. Le 2, même état , point de selle. (Vingt sangsues à l'anus, sinapi
liens, la diète lactée améliorèrent notablement tous les symptômes. L' état aigu disparaît, et M. G. ne tarde pas à reprendre
, de sinapismes et de frictions sur les membres. Les jours suivans, l' état du malade est moins désespéré; mais les boissons
igastre, et souvent des douleurs aiguës. A la constipation, qui est l' état habituel, succède quelquefois un dévoiement abond
le encore confirmer ce diagnostic. Trois semaines se passent dans cet état ; enfin, le ig janvier 182g, survient une hématémè
ment des solutions de continuité, les chirurgiens modernes étudient l' état général aussi-bien que l'état local, et ne voient
té, les chirurgiens modernes étudient l'état général aussi-bien que l' état local, et ne voient dans les diverses qualités du
s sa quantité, dans la coloration des chairs, que le thermomètre de l' état des viscères. IL Ce fait une fois bien établi,
on avait appris qu'un grand nombre de lésions organiques existent à l' état latent ; en outre, les abcès viscéraux par leur m
goureux, les symptômes les plus formidables succédant tout-à-coup à l' état général le plus satisfaisant, elle nous dévoile l
us ou moins graves, qui ne trouvent nullement leur explication dans l' état de la plaie. i° L'absence de symptômes locaux du
einules, le tissu musculaire était rouge, fragile, en un mot dans cet état d'induration rouge qui précède la suppuration. To
ppressé et succomber en douze, dix-huit, vingt-quatre heures, dans un état assez analogue à l'asthme ou au catarrhe suffoqua
on, le foie, et autres viscères, prouve que si on n'a point examiné l' état du canal médullaire ou du tissu spongieux des os
ongs chez les nombreux amputés qui succombaient à l'Hôtel-Dieu dans l' état typhoïde, et qui présentaient des abcès dans les
sson intense, et bientôt suivis de la mort. Souvent on trouve dans un état désespéré le malade qu'on avait laissé très-bien
veaux phénomènes; oppression, toux, expectoration difficile; anxiété, état nerveux, fréquence extrême du pouls; l'hypogastre
icatoire sur le côté; infusion pectorale ; look.) Les 4 et 5 , même état ; face altérée, oppression , toux, angoisse , pou
monie diffuse), le tissu de l'organe était infiltré de pus, et dans l' état connu sous le nom d'induration grise. Les foyers
cuisse. Tout se passe à merveille pendant les douze premiers jours; l' état général est excellent; à peine léger mouvement fé
rs; l'état général est excellent; à peine léger mouvement fébrile : l' état local ne laisse rien désirer. Déjà on permettait
s devint lent et irrégulier, et le malade succombe le 28 août dans un état de maigreur très-considérable, un mois après la b
e cerveau, le cervelet et les tubercules quadrijumeaux sont dans leur état d'intégrité. Réflexions. I. Du fait précédent i
s pendant la grossesse , pendant et après l'accouchement. i° Dans l' état de grossesse, la présence de ces tumeurs peut don
. De U expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de V utérus hors V état de grossesse. L'expulsion spontanée des tumeurs
at de grossesse. L'expulsion spontanée des tumeurs fibreuses hors l' état de grossesse n'est pas fort rare, je viens de don
décris. Le tissu du foie est également beaucoup plus dense que dans l' état naturel. La surface du foie n'est pas lisse, ma
fibro-celluleux, lequel occupe une place qui lui est étrangère dans l' état naturel. Si on examine au microscope la coupe d'u
à la moelle du jonc. Considérations générales sur la cyrrhose. I. L' état granuleux du foie peut être partiel ou général. S
presque toujours avec une ascite; aussia-t-on émis l'opinion que cet état du foie devait être considéré comme une des cause
de la Société médicale d'Émulation (tom. ix, pag. 170), considère cet état du foie « comme une » dissociation des deux éléme
r naissance aux granulations, la substance rouge peut rester dans son état naturel, et qu'alors le foie est augmenté de volu
issu cellulaire ou cellulo-fibreux; d'où la diminution de volume et l' état de ratatinement du Sole. VI. Il est positif que
foie malade, ne sont pas contemporaines ; mais que les unes sont à l' état embryonnaire, d'autres à la période d'accroisseme
tat embryonnaire, d'autres à la période d'accroissement, d'autres à l' état de développement complet, d'autres, enfin, à leur
ême pour les abcès du foie et du poumon, suite de phlébite. IX. Les états divers sous lesquels se présentent les cancers du
liquide couleur lie de vin. XIV. Les différences qui résultent des états divers sous lesquels le tissu du foie peut se pré
sion, n'excluait pas son siège dans le tissu du foie lui-même; i° à l' état naissant, la tumeur cancéreuse du foie représente
malades et pleines de matière cancéreuse; les artères étant dans leur état d'intégrité, ont dû être perméables à l'injection
et, pendant deux mois, on le* traita uniquement pour Cette maladie. L' état de tristesse et de morosité fut attribué à une
cinq semaines, vint me consulter le 15 octobre 1820. Il présentait l' état suivant : La peau de la face et de toute la sur
e exercice, et qui cessent après un instant de repos. La cause de cet état morbide est inconnue : l'exploration de l'abdomen
l'emploi d'un vomitif que le malade sollicitait avec instance. Cet état résiste. Le 15 novembre, aux amers je substitue l
au milieu du jour. Le malade continue à se livrer aux travaux de son état ; il se trouve bien du lait; je l'engage à continu
trouve bien du lait; je l'engage à continuer. La persistance de cet état morbide commence à m'inquiéter. Jusqu'au 10 avr
lésion, ni sensibilité'. Ne pouvant me rendre un compte exact de son état , persuadé que nous avions affaire à une maladie "
e le voyage de Paris (j'habitais alors Limoges). Voici quel était son état au moment du départ : point de douleur ; mouvemen
rate, le cœur, les poumons et tous les autres organes étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. 12e. Livraison. Pl
incipes, sinon étrangers à la bile, au moins plus abondans que dans l' état normal, lesquels principes étant peu solubles, se
calculs à facettes, et avaient une capacité triple ou quadruple de l' état naturel. Les parois de ces canaux avaient acquis
prenait une grande quantité d'alimens. L'amaigrissement fut porté à l' état squélettique; soif, douleur d'estomac. Elle s'éte
l'on considère: i° les changemens organiques et vitaux qu'entraîne l' état de grossesse dans l'économie de la femme; i° ceux
gnation ; hypertrophie physiologique, il est vrai, mais qui confine l' état morbide; sur le dédoublement des ligaments larges
tat morbide; sur le dédoublement des ligaments larges employés dans l' état de grossesse à recouvrir l'utérus , et sur l'attr
aies, sont par leur qualité et par leur quantité, le thermomètre de l' état général. VIL Si l'on examine la surface interne
s de cet organe jouissent d'une notable fragilité. IX. Voilà pour l' état régulier; mais combien d'accidents ne viennent-il
us rariidement funeste que la péritonite dite puerpérale. Funeste à l' état sporadique, elle acquiert à l'état épidémique une
onite dite puerpérale. Funeste à l'état sporadique, elle acquiert à l' état épidémique une gravité telle, qu'elle semble atta
nant du sang noir, ce sont les veines, V V, lesquelles étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Je ferai remarquer
ol. La même figure 1 représente les trompes et les ovaires, dans un état particulier. Les trompes, TT, sont volumineuses
ture puisse être une cause de péritonite. La figure 4 représente un état de l'ovaire dans lequel le volume de cet organe e
ut de cet ordre de vaisseaux, et nous avons vu d'ailleurs que, dans l' état de grossesse, les vaisseaux lymphatiques ont part
l'évacuation du pus qu'ils contiennent est moins complète que dans l' état naturel. i° J'ai eu occasion d'ouvrir le corps d'
J'ai eu occasion d'ouvrir le corps d'un individu qui succomba dans l' état typhoïde, à un phlegmon érysipèlateux de la jambe
-concret. Or, n'est-il pas évident que cette altération présuppose un état pathologique, et qu'un liquide pathologique physi
1831, époque où régnait le typhus puerpéral dans toute son intensité: état satisfaisant les trois jours suivants. On me fait
oides ; lèvres violettes ; point de pouls; point de conscience de son état . L'abdomen était volumineux, mais la malade ne ma
, les yeux sont largement ouverts ; elle n'a pas la conscience de son état et sourit en me regardant; je vais aux renseignem
out hypogastriques. Je vis la malade à huit heures; elle était dans l' état suivant : Pouls extrêmement fréquent à 180, et
rhée ; soif vive; respiration bonne ; facultés intellectuelles dans l' état le plus parfait d'intégrité ; les lochies sanguin
isseaux lymphatiques superficiels. Les veines utérines étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Un des ovaires éta
général la même transparence, la même absence d'injection que dans l' état naturel. Ce sont sans doute des vaisseaux lymph
ovembre 1851, de son second enfant; la montée du lait s'effectue. Son état ne paraît avoir aucune gravité; le 9 seulement, l
ains de siège. Cataplasmes émollients. Le 11, la malade est dans un état désespéré. Face altérée; narines pulvérulentes; r
rès un travail de neuf heures (l'épidémie avait complètement cessé) ; état très satisfaisant le 5 et le 4, matin : le soir d
les entre les diverses couches de l'utérus. Les veines étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. La face interne de
tous les organes de l'abdomen du thorax et le cerveau, étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. L'observation qu'o
, auprès d'un malade logé rue de la Jussienne , que je trouvai dans l' état de choléra bleu, sans pouls, algide, et qui succo
ières. X. Le dévoiement cholérique a été funeste, i° en passant à l' état chronique et en dégénérant en entérite, i° en se
n se transformant en choléra. XL Le dévoiement cholérique passé à l' état chronique ou dégénéré en entérite , doit être com
e femme avait été portée à l'ambulance, dix jours auparavant, dans un état de syncope qui l'avait surprise dans la rue. Cett
ers jours, puis en bouillon avec fécules. Guérison complète. XVI. L' état typhoïde succède quelquefois au dévoiement cholér
qui furent portées à l'ambulance du trésor. Dévoiement cholérique; état typhoïde. Guérison. Gabrielle Valère, âgée de 8
rfaitement guérie. Dévoiement cholérique ; crampes ; vomissements ; état thyphoïde porté au plus haut degré. Guérison.
vant jamais de vin, est portée à l'ambulance le 27 avril 1832, dans l' état suivant: Faciès naturel langue sèche et rouge à
u glacée avec addition de x gouttes de laudanum de Sydenham. Le 30, état typhoïde aussi prononcé que possible; selles invo
diascordium 1/2 gros. Du 1er au 9 mai, la malade me paraît dans un état désespéré : face très altérée, typhoïde : langue
uquel s'ajoutèrent quelques vomissements et des crampes légères : cet état persévéra jusqu'au 12 avril, jour où il entra à l
t dans les orbites et se cernent. Le malade succombe, le 18, dans cet état adynamique, poussant des plaintes continuelles, e
aient à la fois le siège d'une inflammation. Dévoiement cholérique; état adynamique ; gastro-entérite. Mort. Veuve Bâton
e de soixante ans, entra à l'ambulance du Trésor, le 14 avril, dans l' état suivant : Face peu altérée ; soif vive dirigée
emblables à une bouillie sanguinolente, nullement fétide. Cependant l' état général s'améliorait, la fièvre était tombée, lor
par de nouvelles évacuations alvines qui emportent la malade dans un état de marasme aigu difficile à décrire. Il est extrê
te beaucoup, dans l'appréciation des symptômes, de faire la part de l' état spasmodique, qui joue presque toujours un si gran
tat des mouvements désordonnés, des soupirs, une indifférence sur son état , le sentiment et souvent le désir d'une fin proch
pe ou un vomissement, pour se relever au bout de quelques instants. L' état du cœur est le thermomètre le plus sûr de ces for
ien décrites par Lacaze et Bordeu, forces qui attestent elles-mêmes l' état des viscères. C'est par le pouls que commence à s
a échappé qu'à une partie des dangers de sa position. XX. Souvent l' état adynamique ou typhoïde remplace l'état cholérique
e sa position. XX. Souvent l'état adynamique ou typhoïde remplace l' état cholérique. Les malades peuvent encore résister à
on équivoques d'inflammation dans la muqueuse gastro-intestinale. Cet état adynamique ou typhoïde qui a enlevé un si grand n
a autant de sérum que de coagulum ). Le 24, à la visite du matin, l' état de la malade est de beaucoup plus grave. La face
s depuis six mois, est apporté à l'ambulance le 17 avril 1832, dans l' état suivant : Face cholérique, mais non violette; n
mités. Bain que le malade ne peut supporter. A la visite de midi, l' état du malade s'est aggravé. Vomissements répétés de
es cuisses. Appelé à sept heures du soir, je trouvai la malade dans l' état suivant : Face profondément altérée, cholérique
inaires. ) Eau de poulet pour boisson. Les 21, 22,23, 24, 25 et 26, état à peu près le même. Toujours la face est anxieuse
usieurs chirurgiens, n'a pas été suivie d'hémorrhagie. VL Lorsque l' état cholérique est à son summum, le malade parait réd
rsque l'état cholérique est à son summum, le malade parait réduit à l' état de cadavre; les yeux, en partie découverts, s'aff
son lit avec une vigueur qui étonne tous les assistants. VIII. Cet état de mort apparente peut se prolonger plusieurs heu
ne sorte de résurrection, après un jour, et même plusieurs jours d'un état désespéré. IX. Chez un grand nombre, la réactio
re, la réaction commence, mais elle s'éteint presqu'immédiate-ment; l' état asphyxique reprend le dessus. Chez d'autres, la r
la réaction a lieu , elle est complète , salutaire ; puis succède un état typhoïde ou comateux auquel le malade succombe. E
ent. X. Je n'ai jamais vu la convalescence succéder rapidement à un état cholérique très prononcé : tous les malades que j
le malade n'a pas encore pu être réchauffé. Ignorance complète de son état : il dit se trouver assez bien et espère sortir l
noires apparaissent sur la sclérotique au-dessous de la cornée. Cet état résiste aux soins empressés que lui prodiguent le
grossesse , est apportée à la Maternité, le 6 avril, à midi , dans l' état suivant * xive livraison. 6 Cyanose; froid dé
sueur froide aux extrémités; sueur chaude sur le tronc ; apparence d' état comateux , interrompu par des gémissements que pr
e, mais réponses difficiles à arracher; indifférence complète sur son état : crampes et coliques , voilà toutes les douleurs
ud. Frictions ; briques chaudes ; synapismes. A trois heures , même état ; deux moxas ci la nuque, qui retirent ci peine la
me état; deux moxas ci la nuque, qui retirent ci peine la malade de l' état de stupeur dans lequel elle est plongée. Décoctio
de mucosités jaunâtres ; les follicules isolés et agminés sont dans l' état naturel : les gros intestins distendus par une én
. II, pl. 2. Pûen de particulier dans les autres organes. XVII. L' état de grossesse ne préserve pas du choléra : il est
n; par cela même qu'une cholérique éprouve des douleurs utérines, son état n'est pas désespéré; joignez à cela l'apparence d
cie avec effusion des soins qui lui sont prodigués. Je crains que cet état ne soit du narcotisme. 6 heures. La réaction n'
fiel distendue par une bile épaisse: les autres appareils sont dans l' état où on les trouve chez tous les cholériques. XIX
altation d'idées qui allait jusqu'à l'enthousiasme, se trouva dans un état de bien être extraordinaire, qui fit croire aux a
t pas pressante, et il prenait avec délices des boissons chaudes. Cet état de bien être était interrompu de temps à autre pa
nes intérieures ne sont donc pas un phénomène constant du choléra : l' état violacé ou la cyanose n'a donc pas nécessairement
ai vu entre autres une cholérique qui était restée cinq jours dans un état d'agonie, et dont les intestins ne m'ont offert a
ssement des extrémités. Porté à l'ambulance à minuit, il présente l' état suivant : Faciès cholérique; cyanose; sueur froid
, sont remplis d'un sang noir. Les autres appareils sont dans le même état que chez tous les cholériques. XX. Certes, aucu
rares. Porté à l'ambulance, à deux heures après midi, il présente l' état suivant : Froid algide; cyanose; langue violett
elques calculs de choleslérine. Tous les autres organes sont dans l' état commun aux cholériques. Le plexus solaire et tous
tes, occupent toute la longueur de ce viscère; la muqueuse est dans l' état naturel, excepté le long du bord libre de deux ou
qui appartient cependant à un autre sujet, représente parfaitement l' état de cet intestin; les follicules n'étaient pas not
rononcé que chez le nommé Wendel qui fut apporté à l'ambulance dans l' état asphyxique. Ce malheureux, qui n'accusait d'autre
it pour se mettre sur la chaise percée. Il resta trois jours dans cet état de cadavérisation, qui se conciliait avec un cour
é en croissant toute la nuit. A son entrée, la malade nous présente l' état suivant : Faciès cholérique porté au plus haut
s par monosyllabes : la malade parait n'avoir pas connaissance de son état . Altération profonde des traits; face colorée; le
te, intelligence parfaite ; la malade rend parfaitement compte de son état . Un besoin pressant d'aller à la selle se fait se
Quart lav. à 36'! avec six gouttes laud. de Rousseau. Le soir, même état ; plusieurs selles. Je reviens aux lavements glac
e besoin de sommeil ; elle me répond que cela lui est impossible. Cet état m'alarme et me rappelle des cas analogues dans le
rappelle des cas analogues dans lesquels la mort a suivi de près cet état comateux. Saignée au bras, de huit onces. Compres
nces. Compresses froides sur la tête. Sinapismes aux pieds. Le 22 , état à peu près le même ; expectation ; la malade ne v
omènes de chorée. Convalescence assez rapide. XXVII. C'est dans l' état comateux ou typhoïde qu'ont succombé le plus gran
s oublier qu'insensible aux médications les plus énergiques, dans cet état de mort apparente, l'économie, au moment du révei
eau, doit nous rendre circonspect sur la médication à apporter dans l' état comateux : gardons-nous d'une funeste précipitati
s phénomènes choréiques succédant, dans l'observation précédente, à l' état comateux, attestent les lésions profondes portées
gastre. Bains. Lavements avec amidon et laudanum. Du 16 au 22, même état . Plusieurs applications de sangsues. Plusieurs ba
tant et peu cohérent a la manière de la gelée de pommes. Le soir, l' état du malade s'est beaucoup aggravé. Pouls extrêmeme
gastre de temps à autre. Vésicatoire le long du rachis. Le 4 matin, état à peu près le même. Sangsues avec ventouses sur l
ude a donné lieu à de déplorables erreurs. Les muscles sont dans un état de rigidité, telle, que je l'ai comparée à celle
ement affectée que la muqueuse intestinale; souvent elle était dans l' état le plus naturel. Dans d'autres cas, les follicule
e bile très épaisse et comme poisseuse. Les reins m'ont paru dans l' état naturel; la vessie est aussi contractée que possi
é un peu de sérosité dans le péricarde. Le cœur est absolument dans l' état où se trouve cet organe chez les individus asphyx
a gelée de groseille trop cuite, et par conséquent moindre que dans l' état naturel, ont été signalées avec beaucoup de vérit
ultats purement négatifs. Les organes de la respiration sont dans l' état le plus parfait d'intégrité : les poumons, secs,
out entier m'a paru, dans les cas nombreux où je l'ai examiné, dans l' état le plus parfait d'intégrité. Et je ne puis concev
ont succombé dans la période asphyxique. 4° Que le sang présente un état particulier à peu près constant dans le choléra a
ctions fondamentales, l'innervation et la circulation; en sorte que l' état syncopal algide, asphyxique, surviendrait en même
épare les cas où la maladie est purement locale et se concilie avec l' état d'équilibre de toutes les fonctions, de ceux où l
ment supprimées, au moins notablement modifiées et en harmonie avec l' état actuel des lumières et de la civilisation. La m
règles hygiéniques propres à maintenir le système nerveux dans un bon état de réaction. (1) Les cas de dysenterie observés
, est contre-indiqué dans le choléra asphyxique, par la somnolence, l' état comateux au moins apparent dans lequel sont plong
n, il a paru s'opposer à la réaction , ou plonger les malades dans un état comateux dans lequel ils ont succombé. Néanmoins
vomitu curatur. D'autres, plus méthodiques en apparence, consultent l' état de la langue, et restreignent l'emploi du vomitif
, bien loin de produire la syncope, la saignée améliore constamment l' état du pouls, et amène presque toujours la cessation
e le pouls se relève, les joues se colorent, que la face recouvre son état naturel, et que le malade se croit complètement g
ptômes. On aurait guéri par cette méthode trois malades sur cinq. L' état désespéré du malade me paraît seul justifier de p
trois, quatre heures en chemin, et ne sont arrivés à l'hôpital qu'à l' état de cadavre. Bien pénétré de cette vérité, je soll
vers points des inflammations qui peuvent amener la mort, soit dans l' état aigu, soit dans l'état chronique; d'où la nécessi
ations qui peuvent amener la mort, soit dans l'état aigu, soit dans l' état chronique; d'où la nécessité de n'user qu'avec un
s et des vomitifs. D'autres fois le malade meurt dans la stupeur et l' état typhoïde, et plus d'un praticien s'est repenti d'
i peuvent se présenter : le traitement doit être le même que dans les états morbides du même ordre développés sous toute autr
tinués. Plusieurs vivent 24, 4°* heures, trois, quatre jours, dans un état de faiblesse, de torpeur, d'immobilité, de refroi
ent au tissu de la rate. La coupe faite au poumon droit, PD, montre l' état de l'organe dans son épaisseur. Fig. 5. Indurat
mevariable, très denses, disséminées dans l'épaisseur du poumon : cet état semble tenir le milieu entre la pneumonie et les
ient immobile et froid le quatrième jour*, on me le présente dans cet état ; je crois qu'il est né faible, et je lui prescris
ions qu'on vient de lire. Dans le dernier cas, la femme était dans un état de cachexie, suite, à la fois, et de la syphilis
curiel. Dans le premier cas, la malade était depuis longtemps dans un état valétudinaire. Le peu de volume du foie? dans les
me jour de la naissance. Un enfant naît à huit mois et demi dans un état de faiblesse excessive; la respiration ne s'établ
ré; l'artère pulmonaire et ses divisions étaient d'ailleurs dans leur état d'intégrité. La fosse ovale était très considér
dans leur presque totalité. Cet enfant né faible, resta dans le même état de faiblesse pendant vingt-quatre heures ; il s'é
nnent pas la plus petite bulle d'air; leur tissu est induré et dans l' état qu'on désigne sous le nom de pneumonie des enfant
s autres organes étaient sains. La mort ne peut être attribuée qu'a l' état des poumons. La couleur vert-olive du sérum est u
lation. Le poids des poumons était de trois onces , tandis que dans l' état naturel, les poumons d'un enfant qui a respiré, n
t relatives i° à la quantité de liquide et au volume du crâne, i° à l' état du cerveau. Sous le premier point de vue , le c
, le crâne peut présenter, i° un volume plus considérable que dans l' état naturel, i° un volume égal, 3° un volume moindre.
cation du forceps, ne puisse amener la sortie de la tête intacte. L' état du cerveau dans l'hydrocéphalie n'est pas moins v
is voilés (4 sangsues sur les parties latérales du col) ; le 15, même état ; mort le 16\ Ouverture du cadavre, vingt-quatre
corps calleux, CC; les tubercules quadrijumeaux, TQ, qui sont dans l' état naturel; la face postérieure du bulbe raehidien,
que des détails plus circonstanciés n'aient pas été recueillis sur l' état antérieur de cette enfant. L'affaiblissement des
orrélation qui existe entre l'altération observée dans le placenta, l' état du fœtus et les symptômes éprouvés à une époque p
ent du placenta, qu'il compare à l'hépatisation des poumons ; i° à un état qu'il appelle avec la plupart des observateurs, é
oumons ; i° à un état qu'il appelle avec la plupart des observateurs, état squirrheux, et qu'il regarde comme une suite de l
alogue à celle qu'on observe si souvent dans le cordon ombilical. Cet état coïncidait avec une infiltration pseudo-membraneu
En un mot le placenta se trouve réduit à sa trame fibreuse. C'est cet état du placenta qu'on trouve décrit dans les auteurs,
ation chirurgicale, le frisson qui survient plusieurs jours après , l' état adynamique ou typhoïde porté au plus haut degré,
et de l'ensemble des moyens dirigés contre l'infection miasmatique. L' état local, les lésions d'organes ne sont évidemment q
Mais le jour même, la face s'altère, le pouls devient petit, inégal; état de prostration; peau froide; vomissements, hoquet
ration; peau froide; vomissements, hoquets; ignorance complète de son état , stupeur; aucune douleur. Les jours suivants les
-cuanha : hoquets; le troisième jour, deuxième saignée; le quatrième, état typhoïde, prostration; langue sèche, pouls peu fr
lequel il me fait appeler, le 18 décembre 1818. Je le trouvai dans l' état suivant : teint pâle, face amaigrie, dégoût génér
de, purgatif léger qui console son moral sans influer en rien sur son état . Petite toux sèche qui cède à une potion calmante
était cependant levé suivant sa coutume et se croyait mieux. Le soir, état très grave. Supination; face décomposée; langue n
il ne répond plus; les yeux sont agités de mouvements convulsifs. Cet état se prolonge pendant quatre jours, au bout desquel
pect granitique de la coupe. Les veines hépatiques sont saines. Cet état du foie est identiquement le même que celui que j
ai vu deux cas de spina bifida, dans lesquels le cerveau présentait l' état le plus normal. Dans l'observation que j'ai pub
Un médecin consulté lui ayant dit de ne rien faire, mais de changer d' état , il entra dans une maison de roulage où il fut em
eines iliaques et pelviennes, la veine cave ascendante étaient dans l' état naturel : les veines des extrémités inférieures n
ain; la rate presque aussi volumineuse que le foie, avait éprouvé cet état d'hypertrophie avec induration qui est ordinairem
-mêmes, qu'elles acquièrent une longueur quadruple, décuple même de l' état naturel, et deviennent méconnaissables. Ce phéno
s veines sous-cutanées abdominales, veines extrêmement petites dans l' état ordinaire, qui commencent dans le tissu cellulair
du sang ; aussi n'est-il pas rare de voir ces veines acquérir, dans l' état de grossesse, un développement considérable. M.
des rameaux déliés , je me suis demandé s'il n'existerait pas dans l' état normal entre les veines sous-cutanées et la veine
e pour avoir fixé l'attention. Or^ l'étude de ces veines, soit dans l' état normal, soit dans le cas de dilatation rapporté p
et à l'autre mâchoires. On n'a pu se procurer aucuns détails sur son état antérieur. Voici les symptômes qu'il a présenté
ersement du tronc et delà tète en arrière. Rien de particulier dans l' état des muscles de la face (1) Observation et pièce
esse brusquement à l'articulation des pariétaux. L'enfant est dans un état complet d'idiotisme : rien de ce qui se passe aut
isme : rien de ce qui se passe autour de lui ne paraît l'occuper. Cet état contraste singulièrement avec celui des autres en
rte à admettre que cette altération est un des nombreux effets de cet état si complexe, qu'on est convenu d'appeler inflamma
depuis le noyau central médullaire jusqu'à la surface du cerveau. L' état d'idiotie complète auquel était réduit cet enfant
causalité entre l'articulation des sons et les lobes antérieurs. L' état de flexion forcée des membres thoraciques et abdo
tre autre chose que cette végétation commençante et par conséquent un état anormal; et je m'étonne qu'après une argumentatio
brement qu'avant la rétention d'urine. Six mois se passèrent dans l' état le plus satisfaisant. Les forces et l'embonpoint
s l'espérance qu'un peu d'exercice influerait avantageusement sur son état général : le lendemain , à la visite, ce malheure
Apopi.exif.. xviie livraison. 1 ration du rhumatisme puerpéral. L' état puerpéral imprime à toutes les maladies un caract
miasmatique vient s'ajouter à toutes les influences qui naissent de l' état puerpéral lui-même. La suppuration est déjà formé
vive , pouls à 120; point d'oppression ; point d'envie de vomir. Cet état m'alarme, parce qu'il me fait redouter des accide
férieur du même côté ; l'abdomen est toujours ballonné, indolent. Cet état semble meilleur, mais je ne me fais pas illusion,
uestions, et se croit en voie de guérison; narines pulvérulentes. Cet état me paraît excessivement grave. Sinapismes ; potio
la coloration et l'expression¦ délire vague; aucune conscience de son état . La malade demande à manger. Vomissements; douleu
épigastre. Potion avec 12 gr. de camphre ; lavement camphré. Le 13, état ataxique , oppression , pouls plus fréquent; abdo
ses, qui m'a toujours paru plus rebelle que celui qui survient hors l' état de grossesse, mais beaucoup moins grave que celui
blait repousser toute idée d'inflammation des synoviales. Au reste, l' état général annonce une maladie fort grave. La face e
; frictions avec axonge une once, onguent napolitain un gros. Même état jusqu'au 20 mars. L'oedème commence à diminuer; l
plus particulièrement la jambe. La respiration est plus libre, mais l' état de la face et la fréquence du pouls, qui est parf
ontinué à la dose d'un gros depuis le commencement de la maladie. L' état général est toujours très grave et toujours le mê
xiété; envies de vomir; vomissements; pouls grêle, intermittent. Même état le 31. Mort, dans la nuit du 31 mars au 1er avril
xcessivement nerveuse, je prescris une potion calmante. Le 22, même état ; un peu de désordre dans les idées ; les mamelles
uelles; agitation. L'abdomen est un peu moins ballonné. Le 26, même état : 20 sangsues autour du poignet. Onction avec axo
'avant-bras dans une infusion de fleur de sureau. Les 27, 28, 29, l' état de l'abdomen va s'améliorant, l'état du poignet v
r de sureau. Les 27, 28, 29, l'état de l'abdomen va s'améliorant, l' état du poignet va s'aggravant; 20 sangsues sont appli
e y ressent des élancements douloureux ; l'abdomen paraît en très bon état , et cependant le mouvement fébrile persiste. L'ap
muscles de la région postérieure de l'avant-bras. D'une autre part, l' état général est bien peu satisfaisant: sueurs; mouvem
st infiltrée de pus, PI, jusqu'à sa partie inférieure, qui est dans l' état naturel, indiquent les degrés divers auxquels les
coliques très vives mais passagères, est portée à l'infirmerie dans l' état suivant : froid algide; cyanose; absence du pouls
ses d'intestin grêle IG, le gros intestin G O (fig 2), étaient dans l' état naturel; les autres offraient une couleur lie de
ce correspondante au collet du sac ; partout ailleurs il était dans l' état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Cette
Bonin (Nie. Charles), 49 ans, se présente, le 13 mars 1833, dans l' état suivant : altération et pâleur des traits, infilt
ême matière. L'artère rénale et ses divisions étaient vides et dans l' état naturel. L'uretère était sain, de même que la ves
époque que datent les renseignements qui manquent totalement sur son état antérieur. Pendant les deux années de réclusion
ids et infiltrés. Le 21 décembre, l'enfant entra à l'hôpital dans l' état suivant : maigreur générale ; pâleur de la face e
res droits ; déviation plus grande de la bouche; intelligence nette ; état très variable des pupilles. Céphalalgie occipital
vier. Ouverture du cadavre. Le cerveau et ses membranes sont dans l' état le plus parfait d'intégrité, sérosité gélatinifor
ir le retour apparent à une santé complète, succéder brusquement à un état qui donnait les plus vives inquiétudes; de même q
voit l'enfant passer subitement de la santé la plus florissante à un état désespéré. Dans presque tous les cas, les tubercu
. On conçoit combien il importe dans le traitement, d'avoir égard à l' état des autres organes et en particulier à cette diat
êts, d'ailleurs à s'alarmer, n'eurent pas l'idée de consulter sur son état . Quinze jours avant l'apparition de l'hémiplégi
us fréquente que l'alongement de ce col, généralement indiqué comme l' état normal : le petit pertuis O M T que présente le m
parois. Comment expliquer la formation des kystes pileux ? Dans l' état sain , les poils sont une production épidermique
matrice ainsi que l'ovaire et la trompe du côté gauche étaient dans l' état naturel, ce qui explique la possibilité des deux
se dissipèrent. L'abdomen diminua de volume, mais sans revenir à son état naturel. Son mari étant mort, elle se remaria, et
la mère, et notamment la matrice, » étaient très saines et dans leur état naturel. » Je crois qu'indépendamment des faits
rents volumes, qu'on pourrait considérer comme des acéphalocystes à l' état naissant. Cette membrane était régulièrement pl
une structure fibreuse. Leur surface interne se présentait sous deux états bien différents. xixe livraison. 1 Généralement
1 et 2, pl. 3. Les mouvements de flexion de la main étaient libres. L' état générai était excellent. Les commémoratifs appr
se. Le doigt ne put pas être introduit dans le vagin, pour explorer l' état de ce conduit et celui du col utérin. Les ganglio
igmentum forme le plus souvent une boue noire; quelquefois il est à l' état liquide; d'autres fois enfin , il se présente sou
agment de rate soumis à la même opération. Lorsque le pigmentum à l' état liquide est sécrété en quantité très considérable
peut être primitive dans d'autres cas. Lorsque le pigmentum est à l' état concret, les mailles fibreuses qui le traversent
llissement admises dans la mélanose, doivent être remplacées par deux états , celui de mélanose avec pigmentum liquide , et ce
liquide , et celui de mélanose avec pigmentum solide : on voit que l' état de mélanose avec pigmentum solide ne suit pas néc
celui de mélanose avec pigmentum liquide; que l'un et l'autre de ces états peuvent exister primitivement ; que dans le cas o
rimitivement ; que dans le cas où l'un vient à succéder à l'autre , l' état de pigmentum liquide qui répond à la période de r
nd à la période de ramollissement de quelques auteurs peut précéder l' état de pigmentum solide qui répond à la période de cr
uvé, au moins pour un certain nombre de cas, que le tubercule dit à l' état de ramollissement pouvait précéder le tubercule d
dit à l'état de ramollissement pouvait précéder le tubercule dit à l' état de crudité. B. Des colorations mélaniques.— i°
on, et la coloration des ganglions bronchiques qui se concilie avec l' état d'intégrité de ces organes. Les vaisseaux lymphat
bronchiques noirs : car leur tissu est presque toujours alors dans l' état d'intégrité. Seulement ils sont pénétrés d'une qu
présenter une couleur d'un noir de jais ou ardoisée très foncée. Cet état , que j'ai si souvent occasion devoir chez les vie
ion devoir chez les vieilles femmes de la Salpêtrière, n'estliéàaucun état morbide des organes digestifs, et se concilie ave
du tissu cancéreux mélanique, c'est d'être presque toujours lié à un état d'infection générale, soit qu'il y ait simple coe
s ganglions lombaires, le canal déférent du côté opéré étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Le cancer, par mas
e Ier octobre i833, pour un cancer volumineux de la mamelle gauche. L' état général de la malade, qui présentait tous les att
hôpital et couchée salle Saint-Jean, n° 19 : elle était dans un grand état de prostration, et donna pour motif de son entrée
t les parties molles environnantes étaient identiquement dans le même état du côté droit et du côté gauche ; une assez grand
e ramollissement complet. Le tissu du foie intermédiaire était dans l' état le plus parfait d'intégrité. Des tumeurs de mêm
ur offraient l'image assez exacte de l'intérieur d'une orange dans un état de putré-cc faction commençant : les lamines qui
-Marcel (Louise), âgée de soixante-six ans, entre le 3 avril, dans un état de maigreur porté jusqu'au dépérissement. Depuis
anté pour une amaurose complète. Elle rend parfaitement compte de son état , n'accuse aucune espèce de douleur et meurt imméd
s parois des différentes cavités du cœur était un peu au-dessous de l' état normal. Le tissu de cet organe était fragile, mai
lieu dans l'épaisseur de l'organe au voisinage de la rupture; mais l' état graisseux, admis par quelques-unes des personnes
nes qui virent la pièce, ne me parut nullement constaté; d'ailleurs l' état graisseux du cœur ne favorise pas la rupture de c
é droit. Les jours suivans, morosité, indifférence complète sur son état et sur tous les objets extérieurs. Douleur à l'ép
t; les cuisses fléchies sous le ventre; tous les muscles sont dans un état de contraction tonique. Si l'on essaie de faire a
x sangsues le long des jugulaires, sinapismes aux jambes.) 11 mai : état comateux. Cris plaintifs continuels; respiration
baissées ; pupilles dilatées; les membres du côté gauche sont dans un état de rigidité permanente, mais ils ne sont point ag
l'hémisphère droit. (Vessie remplie de glace sur la tête.) 12 mai : état toujours comateux. La malade essaie, sans le pouv
e temps la bouche paraît déviée à gauche; le bras droit est dans un état de rigidité, et n'exécute aucun mouvement, tandis
soulagea beaucoup la malade. Appétit, mais point de changement dans l' état des membres. Pesanteur de tête; céphalalgie. Se
dans la commissure des lèvres. Le membre supérieur droit est dans un état complet de résolution : soulevé, il retombe comme
lentement. Les membres inférieurs étaient respectivement dans le même état que les supérieures : de temps en temps, quelques
elques cuillerées de petit lait. Le 25^ à la visite, je constatai l' état suivant : perte complète de connaissance, râle, i
un pareil désordre, les deux côtés du corps auraient présenté le même état de flaccidité. Des nuances insensibles dans les
la malade peut marcher à l'aide d'une béquille; mais elle est dans l' état d'hébétude le plus complet : les urines et les ma
ransférée dans la division dite des gâteuses. Elle est restée dans un état d'idiotisme. Elle est rapporté à l'infirmerie d
ce. Portée à l'infirmerie, salle Saint-Antoine, n° 4, elle présenta l' état suivant : paralysie du membre supérieur droit; so
le porte la langue hors delà bouche. Je la vis le 17 janvier dans l' état suivant : abolition complète de l'intelligence; p
e. Le pouls est presque naturel pour la fréquence. Au milieu de cet état , je reconnais quelque chose d'hémiplégique. Je di
u lobule de la scissure de Sylvius. Ce ramollissement présente deux états bien distincts : il est exclusivement limité à la
pour la précipiter ensuite: de là ces alternatives d'amélioration, d' état stationnaire et d'exacerbation. En outre, le foye
les figures annexées qui représentent aussi fidèlement que possible l' état des organes, sont pleinement confirmatives des fa
omac était le point de départ des symptômes tout-à-fait étrangers à l' état du cerveau et je mis la malade au régime le plus
qui se renouvelle plusieurs jours de suite et le jette dans un grand état de faiblesse : en même temps, selles sanglantes a
-un ans, demoiselle, est restée pendant un an dans mes salles, dans l' état suivant : douleurs épigastriques extrêmement viol
et réflexions...... --Vices de conformation. Artère pulmonaire à l' état de vestige; plusieurs artères sí rendent de l'a
17 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
rsonne ne touchait, s'éleva et retomba. Eusapia se trouvait alors à l' état d'hypnose. Elle ne se souvenait point le lendemai
ais Eusapia s'assombrit, a déjà le hoquet et est sans aucun doute à l' état de trance. Je me mets contrôleur de gauche, Swien
éance Eusapia, fortement irritée par le manque de table, tomba dans l' état de trance plus profond et parlait au nom de John;
saisons à Néris n'ont pu amener de modifications importantes dans son état nerveux. Depuis 10 mois elle vomit tous ses repas
oërcibles qu'aucun traitement antérieur n'avait pu arrêter. De plus l' état général a été aussi très favorablement modifié, a
ts même les plus faciles à digérer tels que le lait, le bouillon. Cet état gastrique a résisté aux traitements employés et e
l'hydrothérapie et a disparu, il y a un an, pour être remplacé par un état plus grave. En effet, à cette époque cette jeun
gnements manquent dans 10 cas (fait qui s'explique suffisamment par l' état de démence de certains de nos malades et par le f
atouages professionnels sans importance : mais il est tatoueur de son état et comme tel a tatoué autrefois alors qu'il avait
es sensations subjectives ont disparu et constituer à elles seules, l' état de besoin. Ce qui le prouve, c'est que le sujet p
e Traitement comprend quatre indications principales : 1o combattre l' état névropathique; 2° combattre la cause présumée; 3°
ignés par Beard sous le nom de phobies, et par Bouveret sous le nom d' états d'anxiété neurasthénique. Ces états sont caractér
es, et par Bouveret sous le nom d'états d'anxiété neurasthénique. Ces états sont caractérisés par un ensemble de sensations é
difficultés de l'examen clinique résultent de l'instabilité môme de l' état mental des sujets. Alors qu'ils s'étendent avec c
leurs troubles cérébraux. C'est également chez eux qu'on retrouve cet état d'indécision qui les empêche de prendre la déterm
miliation à faire l'aveu de leur faiblesse morale, et racontent leurs états d'anxiété à tout le monde. Mais ce sont de rares
se rassure peu à peu, se met à sourire et revient insensiblement à l' état normal. Sous l'influence de suggestions faites da
lement à l'état normal. Sous l'influence de suggestions faites dans l' état hypnotique, son état s'est promptement amélioré e
l. Sous l'influence de suggestions faites dans l'état hypnotique, son état s'est promptement amélioré et les phobies ont dim
ouvait une angoisse extrême à la vue de quelques gouttes de sang. Son état fut promptement modifié à la suite de quelques sé
ongtemps attribuées à une timidité exagérée, ne sont en réalité qu'un état d'anxiété neurasthénique, car il n'est pas timide
us. Sous l'influence d'un traitement hydrothérapique et suggestif son état s'est progressivement amélioré et il est rentré d
estif son état s'est progressivement amélioré et il est rentré dans l' état normal. Nous pourrions multiplier les exemples.
asthénie : lorsque la névrose n'est point passée depuis longtemps à l' état chronique, un traitement rationnel aboutit généra
position » (M. Loth). M. Al. Rajchman ajoute que « lorsque Eusapia en état de catalepsie s'appuya sur son épaule, il sentit
n l'air au milieu de la chambre, sans aucun appui. Il était alors à l' état de trance, et s'élevait graduellement, lentement
de l'éclat et le nombre de points lumineux, semblaient dépendre de l' état psychique du médium » (Matuszewski). — « J'ai obs
ne façon normale, 82 membres ont déjà acquitté leurs cotisations. L' état de la société est actuellement des plus prospères
uai que cette jeune fille pouvait être très facilement plongée dans l' état hypnotique. Je l'endormis en quelques secondes, à
ent indurés, ce qui me prouvait que la malade n'était pas infectée. L' état général du reste était bon, et comme hérédité il
ate les surprises occasionnées de temps à autre par les sujets mis en état hypnotique, je me méfiai cependant, et avec raiso
ue lorsqu'on se sera parfaitement assuré à plusieurs reprises du réel état de cette anesthésie. On sait que tout le monde
suffit pour me convaincre que l'opération pourrait avoir lieu dans l' état d'insensibilité le plus complet. Le 28 novembre
malade un lavage au sublimé au 6/1000e La patiente, entièrement en état de somnambulisme, se mit aussitôt à dire : « c'es
anées. Il y aurait eu également de l'hyperesthésie de la jambe. Cet état resta stationnaire jusqu'au mois d'août ; lorsque
st-à-dire que, par l'application d'un aimant puissant, je modifiais l' état nerveux qui, il faut bien le remarquer, est plus
la reviviscence de la sensibilité du membre amputé chez un sujet en état hypnotique. M. J. Luys. — Je vous présente un s
nce des impressions sensitives dans un membre amputé chez un sujet en état d'hypnotisation. Cet homme, âgé de vingt-huit ans
'il était très aisément hypnolisable et que, au moment où il était en état hypnotique, la région correspondant au moignon du
rce cérébrale de notre sujet, sous l'influence des perturbations de l' état hypnotique, se dégage comme un courant centripète
, et il se montrait plein d'égards pour eux et de déférence pour leur état ; si l'expression de sa physionomie était grave, e
aturée des os du crâne, chez les microcéphales, sur l'importance de l' état intermédiaire à la veille et au sommeil, sur la p
ctes dangereux; le nom de mélancolie avec stupeur qu'il donnait à cet état , dans ses leçons, lui est resté. Les leçons de
ommeil hypnotique est-il toujours dû à la suggestion ? 3° Les trois états de Charcot existent-ils ? 4° Quel procédé d'hyp
es ? 6° Quelle est la cause du sommeil hypnotique ? 7° Quel est l' état de la sensibilité et des fonctions intellectuelle
es hallucinations suggérées entrainent-elles des modifications dans l' état physique de l'organe des sens ? (Féré). 18° Inv
es. Avec Foville, nous comprendrons, sous la dénomination de folie, l' état de toutes les personnes qui ne jouissent pas de l
qui l'occasionne. Il semble que, contrairement à ce qui se passe à l' état normal, où les réactions individuelles s'adaptent
aux exagérations, aux doléances excessives. A noter encore certains états de confusion mentale. Après cette rapide revue
yants, lors de la première séance. IX. Le Dr Higier, en examinant l' état pathologique du médium, nommé par les spirites l'
en examinant l'état pathologique du médium, nommé par les spirites l' état de transe, écrit entre autres (4) : « Chaque fois
uves curieuses, quoique pas décisives, de la réalité de la transe. En état de veille, et en général à l'état normal du médiu
ves, de la réalité de la transe. En état de veille, et en général à l' état normal du médium, je n'ai jamais constaté ce phén
a suggestion, la question des modifications de la conscience dans les états hypnotiques et somnambu-liques (divison de la per
e à l'hôpital. Amnésie complète après son réveil. D'après l'auteur, l' état second persiste dans le somnambulisme hystérique
idée ou un certain genre d'idées. Dans le deuxième groupe de cas, l' état de délire hallucinatoire est encore nettement mar
ent dans les cas, du troisième groupe. L'attitude du malade pendant l' état de somnambulisme ne présente rien de particulier
é ou qui ne connaît pas l'individualité mentale des malades. Dans son état pathologique (second) le malade ne fait rien qu'i
e (second) le malade ne fait rien qu'il n'ait pu faire aussi dans son état normal (premier). Comme le fait remarquer Gilles
pourrait être embarrassée pour décider si ce n'est peut-être pas l' état morbide qui est l'état de santé, et inversement.
sée pour décider si ce n'est peut-être pas l'état morbide qui est l' état de santé, et inversement. » Ces états pathologi
e pas l'état morbide qui est l'état de santé, et inversement. » Ces états pathologiques peuvent se montrer d'une façon tout
chez des personnes qui sont atteintes d'accès hystériques. Le second état peut cependant aussi avoir une durée et une impor
'autre. On trouve décrits dans la littérature des cas dans lesquels l' état second a duré des semaines et des mois, sans inte
cultés mentales et des souvenirs de leur vie normale. Dans le premier état il y a amnésie complète pour ce qui s'est passé e
ns le premier état il y a amnésie complète pour ce qui s'est passé en état second. Parfois, dans l'état second, il se produi
ésie complète pour ce qui s'est passé en état second. Parfois, dans l' état second, il se produit des actes sans but et irrég
tique reviennent à la mémoire. Il y a une parenté étroite entre les états de conscience double et les expériences pour repr
émonstration clinique. II suggère aussi avec succès à une patiente, l' état d'un enfant de 7 ans, mais il ne peut se prononce
stifiés et fondés, si l'on pouvait reconnaître comme « typiques » les états d'excitation produits sous forme d'hypnose. Cer
hypnose. Certainement, comme le rapporte Ziemssen, il a provoqué un état anormal du cerveau, certainement on peut appeler
tre l'hypnose et le sommeil ! A son avis, on n'a jamais observé à l' état normal l'analgésie et la catalepsie, et cependant
rtant avec soin les irritations des sens excitantes ou fatiguantes. L' état de repos passif qui se produit d'abord n'arrive q
uggestion inconsciente, on arrive parfois aussi par la suggestion à l' état de veille ou même, à l'aide de la méthode que nou
ès de sommeil, des spasmes, du délire. Ces symptômes caractérisent un état pathologique et sont la contre-partie directe de
sions à l'action, qui forment l'idée. La précision ainsi obtenue et l' état complet de l'idée, amènent à de véritables actes
éfaut d'imitation ainsi que par l'impossibilité de se délivrer de cet état . Beaucoup de cas de la forme aboulique du délire
e Lowenfeld, sur le dédoublement de la conscience. Le délire de cet état a lecaractère du monoxdèisme;\\ semeutdans un cer
rièveté dont il faut lui savoir gré, présente une vue d'ensemble de l' état de la science. Nous pouvons indiquer seulement,
à 13 ans furent atteintes, pendant l'année 1891, d'accidents nerveux, états de sommeil, vertiges, maux de têtes, convulsions.
es symptômes se produisirent, sans exception, par imitation. Dans les états de sommeil existait la faculté de réagir aux sugg
vendent tous leurs biens, ne travaillent plus, et se trouvent dans un état anormal de caractère, éprouvent un bien-être part
temps des processus psychiques chez les personnes qui se trouvent à l' état d'hypnose. » Ces recherches ont été faites sur tr
4. — Résultats : 1° Ceux qui ont été obtenus chez les personnes à l' état de veille et avec une sensation de bien-être, pou
notablement plus grandes que chez les gens bien portants. 2° Dans l' état hypnotique, le temps de réaction simple d'apercep
us ou moins notable chez toutes les personnes, par comparaison avec l' état de veille. Dans la plupart des cas le temps du ca
i de l'association des idées ont été plus courts dans Vhypnose qu'à l' état de veille. 3° La durée de tous ces processus ps
ur suggérai; de les accomplir plus rapidement, qu'elle ne l'était à l' état hypnotique sans cette suggestion. 4° Le temps d
déduction faite du temps de simple réaction aux paroles) était dans l' état hypnotique avec suggestion d'accomplir ces actes
idement, beaucoup plus court dans tous les cas, que les processus à l' état de vcîUe.Tandis que le temps de réaction simple e
toujours plus courts par comparaison avec les mêmes processus dans l' état de veille avant l'hypnose. .5° Toujours, et san
(à suivre) Effets physiologiques de la musique sur des sujets en état d'hypnotisme. Un médecin américain, le Dr Alfre
agner à Munich et à Vienne, que les auditeurs étaient plongés dans un état fort analogue, sinon identique, à l'état hypnotiq
eurs étaient plongés dans un état fort analogue, sinon identique, à l' état hypnotique, il a pensé que, pour apprécier avec p
ogiques du corps, il était préférable de mettre d'abord les sujets en état d'hypnotisme afin de mieux les abstraire de toute
de la musique, mais sans posséder un sens médical bien développé. A l' état normal, la musique ne produisait pas grande émoti
piano, étaient endormis par les procédés ordinaires, et, une fois en état d'hypnotisme, M. Warthin leur inspirait les sugge
te de sueurs profuses. Il est à noter que le même morceau, joué à l' état de veille, n'a produit aucun effet comparable aux
, n'a produit aucun effet comparable aux résultats observés pendant l' état hypnotique et n'a déterminé aucune modification p
a pu être décrite. M. Warthin a observé encore que, pour produire l' état hypnotique, la musique est bien supérieure à tout
mais par eux-mêmes les sons musicaux sont incapables de provoquer un état d'éréthisme génital. La psychologie de l'anarch
SOffireiL - HYPNOTISME Par le D- Lié beau lt, de Nancy. Veille ou état psychique actif. — Sommeil ou état psychique pass
Lié beau lt, de Nancy. Veille ou état psychique actif. — Sommeil ou état psychique passif. — Etats passifs physiologiques
pnotisme, il n'y a que de la suggestion. » I On appelle veille, l' état actif de l'esprit dans lequel l'homme sain se tro
emps, de ses sens et de ses muscles fatigués ; il entre dans un autre état , celui de repos, pendant lequel l'ordre renaîtra
ment chez les extatiques religieux, sont des indices que si, dans des états psychiques, certaines personnes peuvent, sur un p
cela même le plus souvent inconsciente. Par ce côté d'inactivité, cet état est donc le contraire de la veille : il est, sans
e qu'il se développe après une affirmation acceptée d'entrer dans cet état , au moins dans quelques cas, démontre que, dans s
ême dormeur de pouvoir et de vouloir. La preuve encore que ces deux états obtenus par une semblable concentration d'esprit
aussi les procédés en apparence différents pour obtenir chacun de ces états , —c'est qu'ils permettent tous deux aux forces de
r cas. La preuve enfin de leur similitude, c'est ensuite que ces deux états sont convertibles l'un dans l'autre. Ainsi, un do
rasser de cette idée, et alors cette idée maintient et fait durer ces états . S'il n'y avait pas dans l'esprit des dormeurs, d
e la même façon, à la distribution des forces nerveuses dans tous les états passifs dont le sommeil est le type. Et cette d
ion de l'action pensante se retrouve très distinctement dans certains états analogues au sommeil, et particulièrement chez le
i que l'esprit des dormeurs a perdu, tout le temps de la durée de cet état , la propriété d'avoir à sa disposition assez d'at
e leur reste, à leur service, pour diriger encore la pensée comme à l' état de veille, qu'une attention réfléchie, diminuée,
mal ou est supprimé. Du reste, beaucoup de faits se passant dans des états ana-logues(au sommeil confirment cette notion.
ir,-est avec la propriété passive que, de l'autre côté, on a dans cet état de ramener, dans la distribution des forces, l'ha
fflue et se concentre dans le cerveau au siège de l'idée qui fixe cet état , et cela pour un certain temps et par un mouvemen
les faits incontestables de réveil à heure convenue, ce retour à l' état de veille montre que le som meil suit le même che
e sommeil, que l'on s'éveille à l'heure fixée d'avarice. Tant que cet état dure, on ne peut, pour cela, faire par soi-même a
t n'a jamais vu d'effets consécutifs fâcheux. Il poussait seulement l' état hypnotique, jusqu'au point où les sujets savaient
Robertson53,54 a employé l'hypnose, comme moyen de sédation, dans des états d'excitation de cause épileptique et hystérique.
vaux de Brunschwig 67 et de Gibert 68 s'occupent de la suggestion à l' état de veille, tandis que Tonoli 58, lWilliam Lee 60,
érapie suggestive. C'est un disciple de Bernheim et il a pu mettre en état hypnotique 83 0/0 de ses patients. Les résultats
Stadelmann 63 (comme Bebnheim et beaucoup d'autres auteurs) regarde l' état hypno- tique comme une modification de l'état d
es auteurs) regarde l'état hypno- tique comme une modification de l' état de la conscience ; une pluralité de conscience da
que Krapelin regarde comme indispensable le traitement psychique à l' état de veille (d'après les règles de Griesinger), il
cédé de traitement. Franke 71 dans ses recherches sur l'étendue des états d'irritation dans le corps humain, a pris aussi u
que par leur plus grande régularité dans leur marche, de celles de l' état normal du corps à l'état de veille et de repos, m
régularité dans leur marche, de celles de l'état normal du corps à l' état de veille et de repos, mais que par leur nature o
rps (abstraction faite des symptômes de mouvement du corps, hors de l' état de repos et de ce qu'on appelle les activités men
ires du cerveau) se comportent dans l'hypnose de la même façon qu'a l' état normal de la veille, et sont seulement plus régul
ans rêves, les manifestations vitales observées sont les mêmes qu'à l' état de veille,seulement plus régulières dans leur for
gnostik der Geisteshrankheiten, fait un court exposé de la nature des états hypnotiques et de leur importance pour le traitem
la suggeslibilité exige trois conditions; elles résident : 1° Dans l' état des processus psychiques, qui est désigné sous le
tre des idées. » La séparation d'une partie de notre conscience à l' état de veille et la dissolution des complexus des idé
suite de la tendance aux manifestations. motrices, qui caractérise l' état hypnotique, se produit dans le cas spécial la tra
s un but curatif que si le traitement mécanique et la suggestion, à l' état de veille, sont restés infructueux. « On doit rej
vaisseaux sanguins en général, sécrétions, innervation des intestins, états spasmodiques, etc.), des circonvolutions cérébral
urs avoir sous les yeux l'importance de l'influence psychique et de l' état psychique de son malade. Nous arrivons, mainten
ai vainement essayé, pendant quinze séances successives, de mettre en état d'hypnose ; il n'est doué d'aucune émoti-vité ; c
thérapeutique. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Un cas de mort dans l' état d'hypnotisme. L'opinion publique en Autriche-Ho
tout est dit. Mais si cette mort se produit sur une bicyclette ou à l' état de sommeil hypnotique, voilà une grosse affaire,
sseur Bernheim : « Je ne crois pas à la mort résultant du fait de l' état d'hypnotisme. « Tout ce qu'on peut dire, c'est
er la mort. « Que cette émotion se produise, le sujet étant soit en état d'hypnotisme, soit en état de veille, le résultat
motion se produise, le sujet étant soit en état d'hypnotisme, soit en état de veille, le résultat sera identique, mais l'hyp
responsable que de s'être livré à des expériences dangereuses dans l' état où se trouvait la patiente. Un rédacteur de la
e 11 ans est récemment demeurée pendant cinquante-quatre jours dans l' état de léthargie. Comme on avait failli l'enterrer to
; trou béant dans son existence, dont elle n'a aucune notion, ni à l' état de veille ni à l'état d'hypnose provoquée, qu'ell
existence, dont elle n'a aucune notion, ni à l'état de veille ni à l' état d'hypnose provoquée, qu'elle ne soupçonne que par
, elle entre salle VII. Nous l'examinons alors, et nous constatons un état actuel que je vais vous tracer en quelques mots.
d. En quelques secondes ses paupières se ferment et elle se trouve en état somnambulcide, sans hyperexcitabilité cuta-no-mus
at somnambulcide, sans hyperexcitabilité cuta-no-musculaire. Dans cet état , elle répond parfaitement aux questions qu'on lui
st mort... il est mort! » Puis, le délire cessant, elle revient à son état normal, ne se souvient ni de son attaque, ni de s
rfaitement exact. Mais il est à remarquer, dans le cas actuel, qu'à l' état de veille aussi bien qu'à l'état d'hypnose provoq
emarquer, dans le cas actuel, qu'à l'état de veille aussi bien qu'à l' état d'hypnose provoqué, la malade sait très bien qu
Par le D' Liébeault, de Nancy. III Il est des individus qui, à l' état de veille, pour peu que l'on dirige leur esprit s
tion de la pensée la plus simple, celle dans laquelle tous les autres états de dissociation sont en germe, qu'ils soient natu
aire élection de domicile : une scission se fait entre la pensée de l' état de veille qui continue ses mouvements et la pensé
le qui continue ses mouvements et la pensée actuelle qui se fixe : un état passif se forme. Il est aisé de trouver des fai
forme. Il est aisé de trouver des faits à, l'appui de cette sorte d' état passif physiologique dont je parle. Autrefois, lo
de force. Dans ces faits appartenant à une forme peu compliquée des états passifs, on remarque que les individus fascinés c
e qui avait abouti à l'idée fixe qui les dominait. Il est un mode d' état passif très rapproché du précédent et qui s'y rel
a été révélé par les expériences dont Braid a été le promoteur. « Cet état , ai-je dit dans mon livre du Sommeil (»), n'est p
lles n'ont pas plus qu'elles de caractères pathologiques. Ce sont des états franchement revêtus de l'élément émotif, élément
: passions essentiellement répulsives. Ces manifestations de divers états passionnels de l'esprit humain en idée fixe, que
plus élevées, les rapproche de leur type physiologique : le sommeil, état dans lequel on peut facilement les reproduire tou
ont mis, car le chemin en reste toujours ouvert. Tant que, dans les états passifs analogues au sommeil, cette disposition d
on dure peu, on dit que les personnes qui la partagent sont encore en état physiologique de santé. Mais, s'il arrive que la
e solitairement entourées de l'auréole de l'émotivité, on dit que les états qu'elles suscitent, la volonté étant continuellem
uellement diminuée ou absente, sont anormaux ou morbides. Parmi les états passifs qui restent, en général, contradictoires
ifs qui restent, en général, contradictoires à ce qui se passe dans l' état normal de santé, veille ou sommeil, il en est peu
olent, leur peu de fermeté pour se décider à agir disparait, et, de l' état physiologique où elles étaient inassurées, elles
at physiologique où elles étaient inassurées, elles descendent vers l' état pathologique et s'y laissent glisser jusqu'au bou
e rarement à ces premiers degrés sur la route des formes morbides des états passifs. Dès que les sujets sont sous le coup d'u
bles de s'arrêter sur la pente où ils sont disposés à glisser. Et ces états pathologiques passifs, plus haut nommés, découlen
lus haut nommés, découlent eux-mêmes, ce que nous avons constaté, des états passifs physiologiques qui en sont des formes tou
eut renfermer, dans ses manifestations, la plupart des phénomènes des états passifs, naturels et morbides. Par son caractère
ductible, l'accomplissement ou l'anéantissement de la volonté que ces états présentent tous, le sommeil se les relie, et par
De même, dans ce qui précède, on constate aussi que le sommeil et les états passifs, à leur tour, sont des effets du ralentis
la par la présentation à l'esprit des idées qui sont à la base de ces états et les forment; on constate que cette présentatio
du moral sur le physique, non seulement le sommeil et quelques autres états passifs, mais encore un moyen, pendantle cours de
res états passifs, mais encore un moyen, pendantle cours de ces mêmes états , pour produire, par une semblable réaction de l'e
ainsi qu'il arrive à tous ceux qui tombent d'eux-mêmes dans certains états passifs naturels ou morbides, on la nomme auto-su
ortent rien de nouveau sous le soleil de la science : le sommeil, les états passifs se sont toujours formés par les mêmes pro
de la suggestion, il est aussi raisonnable dédire, àproposdes autres états idéaux passifs, qu'il n'y a, en ce qu'ils sont, q
isonnable, à propos de la veille, d'affirmer encore qu'il n'y a pas d' état de veille, chez les gens éveillés, mais uniquemen
tique, auto-suggestion dans la production du sommeil ordinaire et des états passifs, eclosión auto-suggestive de la pensée pe
s ordinaires et provoqués, et à la base des phénomènes psychiques des états passifs autres et de l'état de veille. Et les mot
à la base des phénomènes psychiques des états passifs autres et de l' état de veille. Et les mots : hypnotiser, faire l'affi
her. En généralisant, on peut dire qu'à chaque pensée A corresdond un état A de l'éther; à cette corrélation M. Ochorowicz d
tion exceptionnelle, nécessaire pour la réalisation de Tidée, c'est l' état pathologique d'une personne, nommée « médium », l
Tidée, c'est l'état pathologique d'une personne, nommée « médium », l' état , connu dans le spiritisme sous le nom de la trans
connu dans le spiritisme sous le nom de la transe, et qui n'est qu'un état particulier de l'hypnose, se distinguant par les
troitement liés avec la conscience de l'homme, et le fait que, dans l' état mondidêique chez un hypnotisé — l'idée perdant se
dée, à cause de l'insensibilité passagère du corps, qui caractérise l' état de transe, perd même ses associations organiques,
s : la forme charnelle et la forme éthérique, coïncident, mais qu'à l' état de trance la deuxième peut se détacher de la prem
se livre à une danse particulière. Elle ne tarde pas à entrer dans un état d'exaltation difficile à décrire, prononce des pa
bac qui amène des vomissements sanguinolents. Alors il est arrivé à l' état de convulsionnaire et mérite la confiance. Souven
ument l'opium et le haschich, et cette pratique les maintient dans un état extatique. Nos ancêtres les Aryas avaient déifi
oivent être désinfectés, secoués à l'air, et entretenus dans un grand état de propreté. La chemise de nuit est obligatoire;
écifique, consistant dans une variation plus ou moins permanente de l' état affectif et mental d'un sujet, à l'occasion de la
se contenter d'une amélioration plus ou moins considérable dans leur état ; que nés avec une constitution nerveuse, cette di
tions identiques et pûmes nous assurer que la malade se souvenait à l' état hypnotique des rêves qu'elle avait faits la nuit
s qu'elle avait faits la nuit et dont elle n'avait aucun souvenir à l' état de veille. Il en faut conclure que certains rêv
lure que certains rêves ne laissent aucune trace dans la mémoire de l' état de veille, bien que leur souvenir soit très préci
e de l'état de veille, bien que leur souvenir soit très précis dans l' état d'hypnose. Ces rêves ont-ils lieu dans le sommeil
icatrice disgracieuse que vous avez au cou. « Le lendemain matin, à l' état d'hypnose, elle nous raconta avec force détails q
elle à au cou ; elle avait résisté, mais elle avait eu très peur. A l' état de veille, elle n'avait aucun souvenir d'avoir rê
plus. Il me fait peur. » Ainsi, Messieurs, voilà un rêve ignoré à l' état de veille, et qui a eu pour effet de modifier tel
ne douleur dans le genou gauche, nous lui suggérâmes, toujours dans l' état hypnotique, que M. Escande, externe du service, l
u bien, il lui ferait au contraire beaucoup de mal. Le lendemain, à l' état de veille, ignorant complètement son rêve, elle e
ions essayé de l'en débarrasser par la suggestion directe, soit à l' état de veille, soit à l'état hypnotique, et, jamais,
rasser par la suggestion directe, soit à l'état de veille, soit à l' état hypnotique, et, jamais, la suggestion directe n'a
événement antérieur et amenant la reviviscence de toute la série des états émotifs qui se sont succédé au moment de sa produ
ifs qui se sont succédé au moment de sa production, — bien que dans l' état de veille et dans l'état d'hypnose provoqué la ma
u moment de sa production, — bien que dans l'état de veille et dans l' état d'hypnose provoqué la malade sache parfaitement q
t dans l'état d'hypnose provoqué la malade sache parfaitement que ces états émotifs sont injustifiés — constitue déjà un fait
rs étudié quelques faits de ce genre dans ces belles recherches sur l' état mental des hystériques. Beaucoup plus intéressa
ences des modifications dans les sentiments conscients des sujets à l' état de veille. Cette particularité fournit probableme
entre le membre et l'objet, et je passerai à d'autres rapports sur l' état physiologique du médium pendant les expériences e
es et sur la tromperie inconsciente de sa part, qui est liée avec cet état . Je puise les données sur l'état psycho-physiolog
te de sa part, qui est liée avec cet état. Je puise les données sur l' état psycho-physiologique d'Eusapia Palladino dans l
u'Eusapia subit dès sa huitième année une hallucination obsédante à l' état de veille : on ne sait quels yeux expressifs, la
Eusapia Palladino est âgée de 38 ans, et n'a pas l'air plus vieux à l' état normal ; elle a la constitution régulière. Les mu
matisme) à celle du cerveau (sphère de conscience). Ajoutons un léger état paré-tique de la moitié droite du corps, qui expl
rs indiens se servent d'un moyen analogue pour entrer dans un certain état de l'hypnose (l'auto-hypnose). II faut noter pour
aveu, les craintes et sensations des acteurs. Le plus curieux est son état pendant la durée des phénomènes médianiques; ces
nts et donner à chacun un côté des phénomènes à observer. Lorsque cet état physiologique spécial commence, Eusapia soupire t
e sueur. Les jambes et les bras sont, pendant les phénomènes, dans un état de forte tension, presque de raideur, ou bien épr
, erotique ; cette extase sensuelle se manifeste non seulement dans l' état des yeux brillants, mouillés et largement ouverts
alors son attention en est trop occupée. La séance terminée, tout l' état change complètement : l'excitation est remplacée
cause du milieu défavorable au spiritisme. » Cette description de l' état psycho-physiologique d'Eusapia est confirmée, ave
Higier et Watraszewski ( « Compte-rendu », pages 8 et 12). Quant à l' état intellectuel d'Eusapia, le Dr Harusewicz ajoute :
ir un bon sujet de recherches scientifiques. » La connaissance de l' état psycho-physiologique d'Eusapia, surtout pendant l
un assistant. D'autre part, la caractéristique citée ci-dessus de son état intellectuel fait comprendre quelle ait parfois,
rés souvent comme conditions sine qua non, à l'aide de persuasion à l' état de veille ou de suggestion pendant le sommeil hyp
i ne peut être obtenue que par l'emploi de la suggestion faite dans l' état hypnotique. La suggestion à l'état de veille ne d
ploi de la suggestion faite dans l'état hypnotique. La suggestion à l' état de veille ne donne que des résultats isolés. L'
nd hypnotisme décrit par Charcot avec ses trois phases, m'a semblé un état artificiel, ou tout au moins le produit de l'hyst
naissance de cause. Après un chapitre ayant trait au transfert, à l' état normal, de goûts, de douleurs, de sons et d'image
ré aux cas des personnes qui ont éprouvé les mêmes phénomènes dans un état d'hypnose. L'auteur aborde ensuite certains faits
nfin Charcot, saisissant les rapports de l'hysté- rie avec certains états ou phénomènes qui relèvent de l'hypnotismci entre
et Cie, 20, rue Gambetta. Besançon, 1889. « Dr Georges Dumas. — Les états intellectuels dans la mélancolie. Un volume in-86
janvier et février 1880. Elle part pour Lourdes le 17 août 1881. Son état empire tellement pendant le trajet qu'à Poitiers
istinctes -dans tout phénomène de dynamique : les lois générales et l' état initial. En faisant varier celui-ci, on obtient a
générales qui sont fidèlement suivies ; il a disposé en même temps un état initial des atomes en vue des . phénomènes inte
ite des temps. Or, ce qui a déterminé le choix providentiel entre les états initiaux, c'est la prévision des actes libres. Le
iller général de Sézanne. A propos d'un prétendu cas de mort dans l' état hypnotique A propos de la mort de Mlle Elsa Sal
e: » En 1866, le Dr Liébeault, dans son livre sur le Sommeil et les états analogues, dont, à cette époque, il ne fut pas ve
ne mise en somnambulisme est à la merci de celui qui l'a amenée à cet état ... Ce que j'avance résulte, pour moi, d expérienc
ences que je tentai sur une jeune fille très intelligente, et qui, en état de sommeil profond, était la plus revêche et la p
pêtrière prit naissance. Elle crut découvrir dans le somnambulisme un état pathologique. En même temps faisait son apparitio
t saine jeune fille dont je reparlerai plus loin. C'est elle qui, à l' état de veille, se laissait percer la langue avec une
resse, leur mémoire dépassent les bornes où elles sont renfermées à l' état normal. Ne parle-t-on pas d'écoliers qui, dans de
tat. Dans l'entourage on parle déjà d'une tuberculose. C'est dans cet état que la malade me revient. M™ G... est, en effet
Dr A. Voisin. M. X... âgé de 45 ans, est venu me consulter pour un état hypocondriaque et une diminution notable de la mé
ce morale. M. X... a des tendances manifestement hypocondriaques. Cet état maladif ne l'empêche pas cependant de s'occuper d
qu'au bout de deux séances. Le malade ne peut pas être plongé dans un état dépassant la demi-léthargie ; il ne peut ouvrir l
r l'œil. Mais il était, après cette semaine d'insomnie, dans un tel état d'excitation qu'on a pu craindre qu'il ne devint
es prétendent ne pas dormir du tout, mais ils sont en réalité dans un état de demi-assoupissement où il y a repos, bien que
diffère du sommeil ordinaire que par sa durée plus prolongée, avec un état d'hypnose et d'hypothermie beaucoup plus profond.
d'oxygène contenu dans le sang artériel est à peu près la même dans l' état de veille et dans l'état de torpeur; son chiffre
sang artériel est à peu près la même dans l'état de veille et dans l' état de torpeur; son chiffre est toujours élevé : on e
adémie des Sciences, le 25 février 1895. moyenne, de 0 ce 87 dans l' état de sommeil et de 0 ce 60 dans l'état de veille. L
95. moyenne, de 0 ce 87 dans l'état de sommeil et de 0 ce 60 dans l' état de veille. L'écart de ces chiffres est dû à l'aci
s de l'acétone, et l'acétonémie est notablement plus accentuée dans l' état de torpeur profonde que dans le réveil. Cela n'a
le réveil. Cela n'a rien de surprenant, puisqu'il s'agit d'animaux en état déjeune absolu et d'autopha-gie prolongée, consom
ctes qu'il lui arriverait d'exécuter en rêve. Si l'on me mettait en état de somnambulisme, on pourrait sans doute me faire
ser en morceaux par des promeneurs maladroits, se refuse dans le même état d'hypnose à s'emparer d'un porte-monnaie sans maî
n garde contre l'abus de la morphine. Je lui fis un tableau noir de l' état où elle pourrait tomber en s'entraînant de la sor
laises qui vous indiquent d'ordinaire une crise, vous tomberez dans l' état hypnotique, et vous vous ferez, à vous-même, la d
Depuis, je suis retourné la voir et je retrouvai la malade en parfait état de santé. La crise, non seulement est enrayée dès
ial du système nerveux comme la suggestion, une action directe sur un état pathologique aussi caractérisé que les coliques h
cédées. Ces leçons n'étaient pas seulement des exposés fidèles de l' état des malades mêlés à des vues géniales, .elles éta
sances suffisantes, .ce n'est pas seulement pour qu'ils soient hors d' état de tuer, c'est surtout pour qu'ils puissent guéri
t superficielle, et une suture put être pratiquée séance tenante. L' état de notre confrère est actuellement aussi satisfai
os) de démontrer la similitude qui existait : entre la formation de l' état de folie de Blanco, qui, par l'affirmation qu'il
aient ses sujets d'expérimentation, lesquels croyaient, quoique en un état encore physiologique, être transformés en tout ce
prit presque encore intact et réagissant avec rage. II Si, dans l' état de fascination, cette forme amoindrie du sommeil
au moins par gradation descendante à ses formes inférieures et à ses états analogues, il est bon de faire bien connaître qu'
reposer. Si, en principe, les phénomènes caractéristiques de ces deux états s'excluent l'un l'autre, en réalité ils se pénètr
écanique qui s'arrête et voire même du temps écoulé, etc. Entre ces états tout opposés, veille et sommeil, on constate donc
crimes les plus épouvantables et que l'on n'exécute que dans certains états de folie. Quant à ne parler que du sommeil ordi
ives de ce genre de crimes conçus et effectués sur autrui pendant cet état , il y en eut 2 sans résultats; 2 suivis de blessu
la nuit mis des gants très épais à fin de l'empêcher de se gratter. L' état de l'enfant était pitoyable, et la nécessité de s
fréquemment la nuit avait beaucoup fatigué la mère. La cause de cet état était un eczéma apparu pour la première fois lors
lassification de Bernheim). Je ne le retins que cinq minutes dans cet état , et aux séances suivantes, je ne prolongeai pas l
evelu l'empêchait, non seulement de dormir, mais travaillait même son état mental. L'eczéma du cuir chevelu était dû au gr
ait venue me trouver, désespérée. Elle ne dépassa jamais le premier état de somnolence, mais dès la première suggestion, l
isite. Je la traitais trois fois par semaine. Après quatre séances, l' état des mains s'était tellement amélioré que je crus
nt qu'elle cessât ses visites, tout signe d'eczéma avait disparu et l' état général de la malade semblait normal. Avant de
'assura que pendant un grand nombre d'années il n'avait pas joui d'un état aussi bon que celui dont il jouissait dans l'inte
it croire, en présence d'une habitude automatique si invétérée, que l' état mental de celui qui en est atteint doit présenter
d'être hypnotisé, je lui proposai de le traiter par la suggestion à l' état de veille, ce qu'il accepta avec empressement.
j'ai appliqué la même action mécanique, renforçant la suggestion à l' état de veille, avec un égal succès dans quatre cas d'
tions habituelles et un volume de M. G. Dumas, ayant pour titre : Les états psychiques dans la mélancolie. _ Le pouvoir d'a
s lesquelles il n'y a pas de bon psycho-thérapeute. Quel est donc l' état psychique du sujet dans les conditions spéciales
pouvoir dynamique de ses réflexes.Et cependant il a conscience de son état puisqu'il sait, et quand l'idée vient, il a consc
e. Ce n'est pas tout à fait cela, car le patient n'était pas dans l' état d'aboulie. — Cette expérience mérite, on le voit,
tion. — 11 en résulte des différences d'impressions perçues : c'est l' état conscient. Etat fugace le plus souvent, car il co
ation qui n'a quelquefois pas de durée appréciable; mais, ce sont ces états de conscience fugaces qui forment le fond de notr
forment le fond de notre personnalité psychique sur lequel s'édifie l' état de conscience intensif et prépondérant qui accomp
t prépondérant qui accompagne tout acte volontaire. Tous ces petits états de conscience font mieux comprendre encore la néc
it entrevoir. L'acte volontaire serait de plus une concordance de l' état de conscience intensif et prépondérant avec tout
stitue notre personnalité psychique. C'est ainsi qu'on peut appeler l' état de conscience intensif et prépondérant volonté né
sens le cas de notre sujet. Nous savons qu'il avait conscience de son état , il y avait donc dans le processus psychique qui
sus psychique qui le constituait, un arrêt ou une comparaison avec un état autre. — Il n'était pas soumis au pouvoir dynamiq
is au pouvoir dynamique de ses réflexes; car alors l'idée première, l' état conscient primitif — il savait que c'était mal —
l'idée première subissait un nouvel arrêt qui constituait chez lui un état conscient plus intense, une conscience prépondéra
l'accomplissement de l'acte, et il l'accomplissait. Il y avait deux états conscients successifs : le premier qui constatait
ment, par une démonstration physique tangible, déterminé un arrêt, un état de conscience intensif et prépondérant, une volon
personnalité psychique du sujet, qui s'est substitué à un arrêt, à un état de conscience intensif et prépondérant, à une vol
mais qu'elle n'est qu'une prise de possession par la conscience d'un état ou d'une succession d'états d'un mouvement en mar
prise de possession par la conscience d'un état ou d'une succession d' états d'un mouvement en marche vers une solution nécess
t conforme à la fin présumée et alors, par une action en retour sur l' état conscient, se produit l'illusion d'une volonté li
e par la marche ou lorsqu'on touche les membres affectés. Voici son état au moment de son admission à l'hôpital. Système a
1894, les bords de la pupille optique sont égaux et la rétine en bon état . 11 y a encore de l'analgésie du pied gauche et l
. Il faut aussi prendre en considération le sexe, l'âge du sujet et l' état de ses appareils cardio-pulmonaire et rénal. Chez
na ; et ce mot, dont l'origine est Henjana (raide, tendu), rappelle l' état extérieur du malade aux heures de souffrance, où
près de trois jeunes filles atteintes de crises, il les trouva dans l' état suivant : « Les trois enfants étaient couchées à
chés ne permettaient pas de croire a un repos réparateur ; c'était un état de prostration profonde, qui les rendait insensib
le jettent dans une sorte d'ivresse, il perd toute conscience de son état . Ahuri du tumulte et des scènes étranges qu'il vo
quatre ou cinq fois sur cent des sujets que l'on hypnotise, ces deux états étant caractérisés par ce signe commun : l'absenc
r le remettre, au moins une fois, dans le sommeil, pour que, dans cet état , il puisse nous éclairer sur ce qui nous avait pa
apable d'en avaler une goutte. Les trois jours suivants j'obtins un état d'hypnose un peu plus profond (4me degré d'après
s curatifs qui ne se produisent pas à la suggestion directe, soit à l' état de veille, soit pendant l'hypnose. Mon cas confir
us facilement acceptée par la malade que ma suggestion, faite dans un état d'hypnose plutôt superficiel, alors que le contrô
l'ordre de ne jamais boire de spiritueux. Cette unique suggestion à l' état de veille suffît: depuis quatre ans il est incapa
d'un coté le plus souvent ; les globes oculaires portes e.i haut. Cet état convulsif produit, s'il se prolonge, une asphyxie
epsie que l'on trouve du reste sur les poumons des individus morts en état de grand mal. L'hystérique a bien des convulsions
qu'auparavant. Surdi-mutité hystérique guérie par la suggestion à l' état de veille Xavier Francotte : Communication à la
pitations, de la syncope, qui peuvent tout aussi bien se produire à l' état de veille. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Sociét
ue, tel qu'il est pratiqué habituellement, une étude approfondie de l' état mental et des ressources psychologiques du malade
tion. — Somnambulisme provoqué. — Suggestions pendant le sommeil, à l' état de veille, post-hypnotiques. — Effets des suggest
itement par l'isolement et les influences morales qui modifient non l' état physique, mais l'état mental pathologique de l'hy
t et les influences morales qui modifient non l'état physique, mais l' état mental pathologique de l'hystérique. Peu à peu, a
n dehors de la volonté du malade (1). Mme A..,, tout en déplorant son état , savait très bien qu'elle pensait tout le temps a
culier qui, à mon avis, a permis le développement de l'idée fixe. Cet état , qui se caractérisait surtout par la suggestibili
mblait analogue à une attaque extatique. Très souvent, au milieu de l' état le plus normal, elle s'arrêtait en fixant un obje
dont nous avons déjà constaté les vertiges et les peurs, présente un état somnambulique très facile à provoquer, c'est une
tion de ces somnambulismes naturels autrefois si importants. Dans cet état elle se souvient des attaques, des somnambulismes
certaines rêveries qu'elle fait à tout moment de la journée, dans un état de demi-sommeil, et dont elle semble pendant la v
dont elle semble pendant la veille avoir perdu le souvenir. Dans cet état , elle nous raconte très bien ce qui l'obsède depu
bsession déterminant chaque fois le vertige consécutif Dans le même état somnambulique, elle nous raconte aussi que ses pe
mprendrons encore mieux si nous interrogeons la malade dans un de ces états si faciles à reproduire chez elle. Pendant le som
sujet. Elles ne se manifestaient plus que dans des rêves ou dans des états somnambuliques et restaient au-dessous du seuil d
res, le D' Laurent (de Bordeaux), dans une thèse intéressante sur les états seconds, 1893, confirmer mon interprétation et do
erlandistes. Chez ces derniers on se trouve toujours en présence d'un état plus ou moins anormal. Dans le cas le plus rudime
former le terme de cette série avec les phénomènes télépathiques, les états pathologiques de sensibilité à distance, le mé-di
est réduit de supposer, sont toutes imperceptibles pour un homme à l' état normal de conscience. Pour qu'il puisse les appré
des limites de la conscience ; ce qui le guide c'est, il est vrai, l' état de l'attention du sujet, mais cet état il ne l'ap
le guide c'est, il est vrai, l'état de l'attention du sujet, mais cet état il ne l'apprend qu'indirectement par l'intermédia
nué. De nouvelles suggestions furent faites. Et à partir de ce jour l' état de la peau est devenu normal, et tout traitement
orsure d'un chien. Guérison en une seule séance par la suggestion à l' état de veille. Par M. le Dr David, de Narbonne. *
Morphinomanie (le traitement de la), par Bérillon. 28. Mort dans l' état d'hypnotisme (un cas de). 121. Mort dans l'état
. 28. Mort dans l'état d'hypnotisme (un cas de). 121. Mort dans l' état d'hypnotisme (à propos d'un cas de), 220. Musiq
d'hypnotisme (à propos d'un cas de), 220. Musique sur les sujets en état d'hypnotisme (effets physiologiques de la), Warth
18 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
'insiste, et finalement, je parviens à la décider. Je la mets dans un état de résolution, puis je lui suggère de ne plus pen
stions semblèrent avoir plus de prise et nous la vimes tomber dans un état de sommeil assez manifeste. Par ce sommeil, il no
ypnotisables. Tant qu’ils n’étaient traités que par la suggestion à l’ état de veille, aucune amélioration ne se manifestait
n à l’état de veille, aucune amélioration ne se manifestait dans leur état . La suggestibilité chez les neurasthéniques n’est
des tics convulsifs de la face et des habitudes d’ony-chophagie; cet état général défectueux et ces désordres nerveux se so
sais, l’expression de la physionomie était calme, plus reposée qu'à l' état de veille et saijs les tics habituels. Satisfai
e. Après avoir répété et comme renforcé les suggestions données à l' état de sommeil, je lui affirme nettement ma croyance
océdés hypnotiques, je me proposais d’étudier plus minutieusement son état physique et mental pour retrouver, si possible, l
e cœnesthésique soit de cette sensibilité viscérale en rapport avec l’ état anatomique des organes et l’exercice des diverses
itabilité excessive ou une disposition à l’émotion, en résumé, par un état de malaise psychique. * En raison de ces vues t
semblé disparaître du champ de la conscience, il existait encore à l' état subconscient, et modifié, rapproché inconsciemmen
s du traitement devenaient de plus en plus manifestes: suggestion à l' état de veille et à l’état de sommeil, entrainement ps
ient de plus en plus manifestes: suggestion à l'état de veille et à l’ état de sommeil, entrainement psychique et rééducation
rès une sorte d’assouplissement préalable, le malade était amené à un état de torpeur et même de sommeil pendant lequel il p
l se souvienne cependant lorsqu'il est de nouveau plongé dans le même état . Cette opinion de Braid a exercé au point de vu
li au réveil a été toujours considéré comme le signe fondamental de l’ état d’hypnotisme. La définition de Braid avait cepe
mène qui marque d’une façon plus pré- cise la limite qui sépare l’ état normal de l’état hypnotique, c’est celui qui a ét
’une façon plus pré- cise la limite qui sépare l’état normal de l’ état hypnotique, c’est celui qui a été désigné sous le
parait plus singulier, c'est qu'elles puissent être provoquées dans l’ état da veille apparente aussi bien chez des sujets qu
s et cette inhibition constitue essentiellement le premier degré de l’ état d'hypnotisme. La production de la paralysie psy
ysie psychique constitue donc une limite beaucoup plus naturelle de l’ état d’hypnotisme que l’oubli au réveil. Les états hyp
coup plus naturelle de l’état d’hypnotisme que l’oubli au réveil. Les états hypnotiques peuvent être conscients ou inconscien
ainte produit une surexcitation mentale qui jette l’organisme dans un état fiévreux. » « Les gens à préjugés, qui ne voien
e fièvre. Ces divers symptômes : immobilisation, douleur, gonflement, état fébrile font penser au rhumatisme. Or, dans le ca
e fléchie et devient le siège d'une douleur hors de proportion avec l’ état local ; cette douleur ne tarde pas à gagner la ha
u médecin, lui dit tout bas à l’oreille : « I! ne se doute pas de son état . Mais dès que je l’ai vu avec son visage pâle, se
l’hystérie et de la neurasthénie par l'isolement et la suggestion a l’ état de veille, par M. le Dr Font (de Barcelone),Heu.
ez le bègue que l'on a hypnotisé. Tous ces exercices, faits pendant l’ état de veille, exigent un temps considérable et ne ri
Bellemanière (Paris) : Recherches sur la tension artérielle dans les états hypnotiques. — Applications de la méthode graphiq
T Bianchi : Applications de la phonendoscopie cérébrale à l’étude des états hypnotiques. Bianchi (de Parme) : La phonendosc
s délires oniriques toxi-infectieux, analogie de ces délires avec les états somnam-buliques. Tambüiuni (Reggio Emilia) : Ra
). III. — Dans certains cas, on influence aussi expérimentalement l’ état général de la conscience du sujet. Ad. I. — Con
éhensible ; 7. Garder ou retrouver pendant les expériences, le même état général de sa conscience afin que les analyses so
méthode expérimentale sera parfaite. Ad. III. — On peut modifier l’ état général de la conscience du sujet afin d’étudier
ins phénomènes psychologiques. Plus on pourra modifier exactement cet état général de la conscience, plus les résultats donn
le et sa valeur. L’hypnose partielle que nous avons en vue est un a état de veille partiel systématisé », dans lequel, d’u
t, tous les éléments psychiques, nécessaires à l’analyse, restent à l’ état de veille. Si l’on réussit à bien produire ce
, restent à l’état de veille. Si l’on réussit à bien produire cet état , on constate chez le sujet les faits suivants :
anie; 8. Est plus suggestible pour des suggestions spéciales. Cet état d’hypnose est donc, pour certaines classes d’anal
t d’hypnose est donc, pour certaines classes d’analyse, supérieur à l’ état de veille. 6° Différentes sortes d’effets spéci
roduction des phénomènes à analyser ; III. — A la modification de l’ état général delà conscience, qui sertde base à l'expé
ntrospection. Ad. III. — Il y a un grand nombre de changements de l’ état général de la conscience que l’on ne peut produir
et divers procédés de Yhypotaxie, le sujet est d’abord plongé dans un état de torpeur, d’inertie, de passivité ; son activit
offre des nuances qui ne pourraient être saisies ni observées dans l’ état de veille. Or, le sujet lui-méme peut prendre p
s phénomènes étonnants produits par expérimentation directe. Dans l’ état de veille normale, le moi principal, le moi en ch
il dirige et se subordonne les moi secondaires, les sous-moi. Dans l' état d’hypotaxie, le pouvoir directeur du moi principa
us en soyons aperçus. 2° Il éclaire le mécanisme intime de certains états expérimentaux en apparence inexplicables, tels qu
formique, médicamenteux. 4" Il reconstitue la trame des fugues, des états seconds, des somnambulismes naturels. i»" Il dé
ces idées fixes qui, à l’insu des malades, sont si souvent la cause d' états pathologiques. Dans cette œuvre si féconde en d
rrêt. On augmente la suggestibilité de l'individu en le mettant à l’ état d'hypnose: cet état peut être plus ou moins inten
la suggestibilité de l'individu en le mettant à l’état d'hypnose: cet état peut être plus ou moins intense depuis la sommati
isme, mais il n'est pas le seul. L'hypnotisme détermine une série d’ états cérébraux très particuliers, dont l’étude n’est d
, dont l’étude n’est d'ailleurs pas encore complètement terminée. L' état cataleptique est caractérisé par ce fait que l’at
tion et les contractions qu’elle détermine restent inconscientes. L’ état cataleptique peut exister chez certains sujets en
rgie spontanée de certains sujets, notamment des fakirs de l'Inde : l’ état , ainsi provoqué, parait semblable à celui des ani
nt des jours, accomplissent des séries d’actes, puis, revenant à leur état naturel, ne se rappellent plus de rien. Nous po
t de nouvelles données sur la conscience : Panesthèsie étant due à un état d'inconscience du sujet. Les modifications et l
sent que la production de l’hypnose n’est pas chose indifférente. Cet état s’accompagne chez le sujet de phénomènes réaction
ires et circulatoires qui résultent de l'hypnose ? La production de l’ état hypnotique comporte une véritable posologie, chaq
rce, mise en œuvre par un homme et capable de modifier profondément l’ état physiologique d'un autre individu. On peut d'abor
d'un autre individu. On peut d'abord par l’hynoti-sation provoquer un état de sommeil qui s’accompagne d’insensibilité, d'an
sibilité, d'anesthésie absolue. On peut, en second lieu, provoquer un état dans lequel le sujet perd, à des degrés divers, s
s, sa volonté, son libre arbitre, sa conscience, sa mémoire. Dans cet état , qui est le somnambulisme, l’hypnotiseur peut sub
tentat commis contre sa personne ou contre ses biens à la faveur de l’ état d'inconscience et d’inertie où il s’est trouvé pa
il provoqué. Ces faits se rapporteront surtout à des sujets placés en état de léthargie ou de catalepsie, plus rarement en s
peut agir sans le savoir et sans le vouloir par supposition, dans cet état superficiel d’hypnose que l’on appelle la veille
délictueux en eux-mêmes, mais qu’il n’accomplirait pas s’il était à l' état normal. On pourrait lui faire signer des engageme
opriété naturelle appelée suggeslibilitc est une caractéristique de l’ état normal. Pour que le sérum réussisse, ajoute-t-on,
le, sommeil et hypnotisme, les suggestions criminelles hypnotiques, l' état de veille et les étals d'hypnose, etc. Enthousi
stion faite à la faveur du sommeil provoqué ou, tout au moins, d'un « état passif. » • Duiund (de Gros) L’exposé des m
qu'a le malade d'être guéri ; 2° de la nature de son milieu ; 3° de l’ état de sa santé ; 4°de sa sensibilité à l'hypnotisme.
as, la satisfaction irrésistible de l’impulsion alcoolique a amené un état mental voisin de la folie, ctde fait, deux ou tro
ombera de nouveau tôt ou tard. Les mêmes remarques s’appliquent à son état de santé, s’il est neurasthénique ou s’il souffre
t qui autrement seraient aliénés. Dans ces cas je garde le malade à l' état d’hypnose pendant plusieurs heures de suite, et c
tisfaisant de sa physionomie. Il y a 18 mois, elle est tombée dans un état de mélancolie caractérisée par les symptômes suiv
e recommande, cette malade est aujourd’hui complètement guérie el son état mental n’a jamais été aussi satisfaisant. DISCU
ander, car elle préjuge une solution touchant l’erreur que comporte l’ état aeluel de notre ignorance {') D. J’acquiesce à
araissent, en réalité, prodigieuses, qu’à ceux qui se trouvent hors d' état de les partager. Un enfant, un primitif, un ani
i datent de ly 10, la fameuse division du sommeil hypnotique en trois états ou phases. Despine disait déjà : catalepsie-, som
e la présidence du congrès a, dans un intéressant discours, indiqué l’ état des recherches qui ont pour objet l'étude des phé
e, c'est ici qu'il la faut. Il est nécessaire de mettre le patient en état de recevoir la bonne parole, celle qui doit dével
e de la profondeur de son sommeil, soit qu’elle accomplisse l’acte en état de somnolence. Un cas curieux de ce genre est r
istence de ces prétendus phénomènes extraordinaires. Un symptôme de l’ état d esprit du public est la façon dont la découvert
de l’existence des choses occultes ! Il est certain qu’en ce moment l’ état des esprits, on général, n’est pas bon. La diffus
'ayant pas obtenu de résultats satisfaisants, me pria de le mettre en état d’étudier ma méthode d’endormir et de suggérer et
plication rationnelle, causale de la suggestion hypnotique l’a mis en état de faire disparaître dans des cas d’hystérie grav
ans de nombreux cas de neurasthénie, réfractaires à la suggestion à l’ état de veille et à l’influence psychique ordinaire du
s nerveuses. Ils ajoutent qu'ils appliquent surtout la suggestion à l’ état de veille. Je dois arrêter ici mes citations de
Brouwer, reconnaissent l'utilité de la suggestion (hypnotique et à l’ état de veille) dans le traitement des aliénés. Auss
t. De plus, dans certains cas, on influence aussi expérimentalement l’ état général de la conscience du sujet. Ainsi donc, da
oduits méthodiquement et expérimentalement dans sa conscience, dont l’ état général est aussi déterminé. Pour remplir ces c
hensible ; 8. Garder ou retrouver, pendant les expériences, le même état général de sa conscience afin que les phénomènes
s la méthode expérimentale sera parfaite. Enfin, on peut modifier l’ état général de la conscience du sujet, afin d’étudier
ins phénomènes psychologiques. Plus on pourra modifier exactement cet état général de la conscience, plus les résultats donn
ns, sans avoir à constater en même temps le moindre changement dans l’ état général de la conscience. Mais, c’est surtout mon
d’un seul mot ou d’un seul système d’idées; et tout cela, sans que l’ état général de la conscience soit changé, et par cons
’idées est possible, ne pourrait-on pas produire par la suggestion un état de veille partielle systématisée dans lequel, d’u
tous les éléments psychiques nécessaires à l’analyse, resteraient à l’ état de veille ? L’expérience m’a montré qu’il est pos
eille ? L’expérience m’a montré qu’il est possible de produire un tel état . Si l'on réussit à le bien produire, on constate
de refouler et supprimer les autres, est beaucoup plus grande dans l’ état d’hypnose partielle systématisée dont je parle.
ans l’état d’hypnose partielle systématisée dont je parle. Dans cet état , le sujet peut, par exemple, supprimer complèteme
it sous rinlluence d’une suggestion dont il ne se rend pas compte à l' état de veille; mais, dans cet état d’hypnose partiell
tion dont il ne se rend pas compte à l'état de veille; mais, dans cet état d’hypnose partielle, il réussit à rendre couscien
onstate en lui un sentiment qu'il ne peut pas du tout s’expliquer à l’ état de veille; c’est dans l’hypnose partielle qu'il r
t d’établir, comme loi générale, qu’on est toujours capable, dans cet état de veille partielle systématisée, de reconnaître
° De cette augmentation de concentration de l'attention, propre à cet état d’hypnose partielle, résulte de plus une hypermné
mes sujets, des expériences sur les associations. Le sujet étant à l’ état de veille, je lui dis un mot et il doit me répond
poids o, et le sujet me répondit a mesure. » Après avoir réfléchi à l’ état de veille, le sujet m’expliqua son association ai
u simple rappel des mots : « Vérificateur des poids et mesures. » À l' état hypnotique, l’explication devint beaucoup plus dé
pparence, entrent librement dans la conscience, après une analyse à l’ état hypnotique. Ce sont de simples associations dont
dont les intermédiaires échappent à notre analyse rétrospective, à l’ état de veille. Nous dirons enfin, que de telles analy
e, à l’état de veille. Nous dirons enfin, que de telles analyses, à l’ état hypnotique, éclairent, d’un jour inattendu, la ge
ciale que le sujet pouvait dire, dans un laps de temps déterminé, à l’ état de veille et à l'état d’hypnose partielle. J’ai t
vait dire, dans un laps de temps déterminé, à l’état de veille et à l' état d’hypnose partielle. J’ai trouvé toujours dans ce
même façon la capacité d'additionner et l’a trouvée augmentée dans l' état de veille partielle systématisée. Cette augmentat
se manifeste encore d’une autre façon : 5° Le sujet plongé dans cet état d’hypnose partielle n'a pas seulement la faculté
a faculté de se souvenir des faits pour lesquels il est amnésique à l’ état de veille, mais ces souvenirs eux-mêmes, sont plu
e constellation psycho-physique plus constante ; 9° Enfin, dans cet état d’hypnose partielle, le sujet est plus sugges-tib
ggestions spéciales. Tels sont les faits qui me font croire que cet état de veille partielle systématisée est supérieur à
roire que cet état de veille partielle systématisée est supérieur à l' état normal pour certaines classes d'analyses psycholo
scopique sur l'examen à l'œil nu. Après avoir réussi à produire cet état , je l’ai montré à quelques psychologues. Ceux-ci
pour l’introspection, elles peuvent arriver aux mêmes résultats, à l' état de veille, après un entrainement suffisamment lon
Naturellement, je ne sais pas à quels résultats peuvent arriver, à l’ état de veille, des sujets que je n'ai pas examinés. T
ontré une facilité et une capacité d’introspection augmentées, dans l’ état d’hypnose partielle systématisée. Une autre obj
ces, fut celle-ci : certainement. m'a-t-on dit, ce que vous appelez l' état de veille partielle systématisée est bien fait po
bien fait pour l’introspection ; mais ce n'est pas autre chose que l’ état de concentration volontaire de l'attention. Rien
un tel acte volontaire a manqué. Certainement, pour produire en eux l' état d'hypnose partielle, mes sujets aident par leur v
isamment exercés, ils peuvent par leur simple volonté, reproduire cet état j mais l'idée efficace qui produit celui-ci reste
celui-ci reste toujours une vraie suggestion laquelle est celle-ci: l’ état d'hypnose partielle viendra spontanément comme le
l'introspection. On la tire des phénomènes objectifs caractérisant l' état d'hypnose partielle. Cet état, pris à un moment o
es phénomènes objectifs caractérisant l'état d'hypnose partielle. Cet état , pris à un moment où le sujet n’a pas à faire d’a
ris à un moment où le sujet n’a pas à faire d’analyses et comparé à l’ état de veille correspondant, est caractérisé par une
u réflexe palellaire. Il s’agit donc bien d'un vrai changement de l' état général de la conscience. Enfin, on m'a dit : c
ngement de l'état général de la conscience. Enfin, on m'a dit : cet état est bien un état spécial, mais ce n’est pas une h
général de la conscience. Enfin, on m'a dit : cet état est bien un état spécial, mais ce n’est pas une hypnose, étant don
nières d’employer les suggestions spéciales, le sujet étant, soit à l’ état de veille, soit à l'état d’hypnose partielle. i
gestions spéciales, le sujet étant, soit à l’état de veille, soit à l' état d’hypnose partielle. i°Xouspouvons nous en serv
nfin, nous pouvons employer des suggestions spéciales pour modifier l’ état général «le la conscience, qui sert de base à l’e
de base à l’expérience. 11 y a un grand nombre de changements de cel état général que l’on ne peut produire exactement que
de de suggestions, j’ai très bien réussi à produire toute une série d' états intermédiaires, entre une grande gaîté et une gra
tations périphériques déterminées, sous l’influence de ces différents états de gaité ou de tristesse. De plus, j’ai pu prod
. De plus, j’ai pu produire, par la suggestion, un certain nombre d’ états de sommeil de profondeur diiïérente et j’ai pu ét
le est endormie, se réveille au moment où elle commence à passer de l’ état de sommeil naturel dans le sommeil chloroformique
défendre. Tardieu se rangea à l'avis de Devergie (2) Tel était l' état de la question, lorsque je fus commis pour une af
tais-je en droit de conclure ? Il m'était impossible d’affirmer que l’ état de sommeil provoqué, pendant lequel l’attentat su
crouler la plaque sous elle. Pour achever de vous faire connaître l’ état mental de notre malade, il me suffira de vous rap
elle a ajouté a il a raison d’en rire ». Elle est consciente de son état , mais ne parvient pas à le modifier, si ridicule
. L’instinct admet également des degrés; parfois il n'existe qu'à l' état de tendance et une éducation préalable est nécess
ent absolument aux suggestions orales ou écrites. D’ailleurs, qu’un état maladif survienne qui diminue la réflexion et la
qui entraînaient, au Moyen-Age, des populations entières. Même à l’ état normal, la volonté est parfois forcée de céder à
roles. Le moindre mot de doute sur leur maladie, et iis croiront leur état extrêmement grave ; ils discourront sans fin sur
le était religieuse, elle se rendit à Lourdes (1) Du sommeil et des états analogues, Félix Alean, 1S66. (2) Il faut disti
ain (*). v 4 » Nous avons expliqué par l’hypnotisme produit à l’ état de veille ou par l’intermédiaire du sommeil suggé
nsation musculaire ; car si on soulève le bras il retombe inerte. Cet état psychique s'accompagne de certains phénomènes phy
la léthargie expérimentalement obtenue par les Fakirs de l’Inde. Cet état est semblable à la léthargie spontanée que subiss
n excitation et amène la permanence de la contraction musculaire. L’ état cataleptique existe chez certains sujets en dehor
ire. L’état cataleptique existe chez certains sujets en dehors de l' état hypnotique : tel est l’état décrit sous la forme
xiste chez certains sujets en dehors de l'état hypnotique : tel est l’ état décrit sous la forme de catatonie ou catalepsie p
e catatonie ou catalepsie partielle. J'ai pu avec Azoulay obtenir cet état chez bon nombre de paralytiques généraux au début
ant des jours, accomplissent des séries d'actes, puis revenant à leur état naturel ne se rappellent plus rien. (I) D'« Azo
de nouvelles données sur la conscience : l’anesthésie étant due à un état d’inconscience du sujet. Les modifications et l
sujets, les manifestations de l’automatisme le plus intense. Dans ces états d’hypnose profonde, les réactions sont différente
profonde, les réactions sont différentes de ce qu’elles sont dans les états que l’on provoque communément aujourd'hui par l'e
s paiTAcadémie des Sciences. Lesgrandes hystériques plongées dans les états profonds de l’hypnose présentaient une telle hype
’influence de suggestions d'ordre religieux, ils se plongent dans des états d’anesthesic qui leur permettent de se donner des
d’expérimenter sur des sujets normaux qui réalisent parfaitement des états appartenant en propre à l’hypnose, sans y ajouter
és. L’attaque de grande hystérie provoque spontanément 1 apparition d’ états psychologiques et de phénomènes somatiques qui n’
ai. Mais, il importe de distinguer les manifestations hystériques des états hypnotiques. Des premières, on peut donner comme
aises, la chorcc hystérique et les tics des chevaux, etc. Parmi les états hypnotiques auxquels les animaux peuvent être sou
des animaux, du charmeur de serpent vis-à-vis de cet animal ; — 2° L’ état cataleptiforme provoqué par une lumière vive avec
simulation de la mort que pratiquent de nombreux animaux est due à un état cataleptique causé par la frayeur et l’anes-thési
a frayeur et l’anes-thésie peut être si absolue que l'araignée en cet état se laisse disséquer et brûler sans faire le moind
ndre mouvement (Darwin) ; plus rarement il s'agit d'une ruse; — 3° Un état de contracture généralisée; les psylles de l’Egyp
brise comme verre. En dehors des manifestations hystériques et des états hypnotiques signalés ci-dessus, il faut mentionne
es et des états hypnotiques signalés ci-dessus, il faut mentionner un état normal dit d'hibernation qui rappelle la léthargi
et que le docteur, en la traitant au corps thyroïde frais, a mise en état de travailler, comme elle le fait actuellement, d
s qu'elle croit devenir très légère et s’élever au-dessus du sol. Cet état mental dure depuis trois ans. Sous les efforts qu
ès abaissées ou nulles; elles n’ont pas le pouvoir d’appeler d'autres états de conscience pour contrebalancer les entraînemen
portés à la suite des visions ou hallucinations, à l’aliénation, aux états de la conscience où l’imagination, la mémoire, l’
mais en même temps sa conscience est très tendue et très érectile; l’ état d’attente se prolonge dans les séries représentat
aits de perversion du jugement sont des conséquences nécessaires de l’ état pathologique proprement dit. Cependant, sur le pr
ominantes, exclusives et ainsi remédie aux vertiges. Mais souvent « l' état spécial de l'aliéné le ferme à toute influence et
Ton profite de ses moments de sommeil naturel pour le plonger dans un état d’hypotaxie qui permette de le suggestionner; com
il sera presque sans défense et n’essayera guère de résister. Or cet état favorable existe, il est physiologique, il est.no
oiïre des nuances qui ne pourraient être saisies ni observées dans l’ état de veille. Or, le sujet lui-même peut prendre p
us en soyons aperçus. 2° Il éclaire le mécanisme intime de certains états expérimentaux en apparence inexplicables, tels qu
formique, médicamenteux. 4° Il reconstitue la trame des fugues, des états seconds, des somnambulismes naturels. 5° Il dév
ces idées fixes qui, à l’insu des malades, sont si souvent la cause d’ états pathologiques. Dans cette œuvre si féconde en d
’ordre même où ils étaient apparus pendant le sommeil. Plongée dans l’ état d’hypnose, elle se rend compte que le souvenir de
nbucos la poursuit et menace de provoquer de nouvelles crises. Dans l’ état de veille, elle n’a pas la moindre notion de ce r
trée aussi peu efficace que les médicaments. Pendant qu’elle est en état de veille, on lui demande si elle a rêvé pendant
e par la fenêtre, s’était fracturé le crâne sur le trottoir. Dans l’ état de veille, elle n’a aucun souvenir de cette image
mblance, l’hypnotisc sans qu’il s’en aperçoive. Interrogé pendant l’ état de veille, M. X... ne sait pas du tout si cette f
ubir une certaine préparation qui transforme mon sommeil normal en un état spécial et tout autre. Il n'y a pas de brusque pa
la fin de la saison sèche qui dure 9 mois, le protopterus sort de 1 état de torpeur pour reprendre la vie aquatique (*}.
l’hiver. Des moutons perdus sous la neige, auraient pu vivre dans un état voisin de l’hibernation et auraient été retrouvés
0 fois moindre. Le rapport de l’oxygène à l’acide carbonique qui, à l’ état de veille, s’élève à I, n’est plus que de 0. 5: i
et abandonnés de mes confrères. Reviviscence du souvenir dans les états hypnotiques. par le Dr E. Béiullox 11 arrive
u par des souvenirs subconscients qui entretiennent le malade dans un état émotionnel. Un artifice assez ingénieux consiste
tat émotionnel. Un artifice assez ingénieux consiste à évoquer dans l’ état hypnotique les souvenirs qui, à l’état de veille,
ieux consiste à évoquer dans l’état hypnotique les souvenirs qui, à l’ état de veille, demeurent dans le domaine du subconsci
er ainsi toute cause capable d’entretenir la cellule nerveuse dans un état anormal d’irritabilité. Il est surprenant alors d
traduisent par une sorte d’inhibition et d’anesthésie temporaires, un état d'indifférence idéoplastique, de torpeur et d’eng
s concourent ù un même résultat, à savoir : placer le cerveau dans un état de monoïdéisme qui ne peut que favoriser la sugge
uites de simultanéités concordantes. » Elle est un art d’exprimer les états d'âme du type affectif ou émotionnel. Dans la p
Allemagne on appelle la « musique pure », la musique sans parole, en état de produire des altérations ou dans la physionomi
es phénomènes de conscience échappent à la loi d'impénétrabilité, les états affectifs peuvent se mêler les uns aux autres, no
al comporte plusieurs interprétations différentes. La dialectique des états affectifs reste à faire ; elle aurait pour objet
t pour objet l'étude composée des phénomènes du type irascible et des états du genre concupiscible. L’analyse des textes musi
l’hypnotisme soit avancée au point de ne plus laisser de doute sur l' état de sommeil des patients. Où est le critère de ce
efforcèrent de l’en dissuader. Heureusement il résista et analysa des états pathologiques qui ont toujours vivement préoccupé
ut temps la passion de la chasse. Un jour le fusil du futur chef de l' état JJoer lit explosion cl blessa violemment le pouce
Wateau, professeur. Objet du cours : De la responsabilité dans les états hypnotiqnes. Les mardis et vendredis a cinq heu
se révèle de plus en plus comme importante. En ce qui concerne les états névropathiques, cette influence du rêve a été mis
mais du rêve subconscient ou inconscient, du rêve somnambulique, d’un état second, accompagné de la perte partielle ou total
ue elle même. Le rêve a également des relations nombreuses avec les états psychopathiques. Depuis longtemps déjà des alié
ante constatation qu’il s'agit là de délires de rêve somnambulique, d’ état second, de ce qu’on péut appeler délires onirique
de l'hystérie et de la folie. Le délire onirique de l’hystérie et des états toxi-infectieux. 5me congrès des aliénistes et ne
Les délires systématisés secondaires. —Idées fixes post-oniriques des états toxi-infectieux. (10me congrès, Marseille, 1899).
choréique. (Thèse de Bordeaux, 1897.) Dr Lassignardie : Essai sur l' état mental dans l'abstinence. (Thèse de Bordeaux, 189
plus ou moins complète. L’analogie évidente de ces délires avec les états somnambu-liques m’avait amené à penser dès le déb
ive. L’hypnose peut s’exercer dans les périodes les plus aiguës des états toxiques et infectieux. J’ai endormi, par la simp
ntanée. Il n’en est pas de même dans les phases moins aiguôs de ces états , et en particulier après la cessation de la fièvr
btient souvent alors par la suggestion, une amélioration marquée de l’ état cérébral. Mais c’est surtout au moment de la co
soient, sont essentiellement des délires oniriques, c’est-à-dire des états seconds. Les monomanies ou délires systématisés
rimitive de nature hystérique, et prenant naissance à l’occasion d'un état fébrile, d’une infection, d'une intoxica- lio
part, toute maladie infectieuse peut également donner naissance à un état hystérique, à titre d’agent provocateur. Mais i
dmettre, ce qui serait vraiment excessif, que dans tous leseas où les états toxi-infectieux s’accompagnent de troubles cérébr
iarrhées, hydropisie, rétention d'urine... et à plusieurs reprises un état agonique. En 1731, le 11 août, après une neuvai
ller consulter à l’hôpital Saint-Antoine, où elle arrive dans le même état que la veille c’est-à-dire avec un œdème très acc
on est inévitable, car non seulement le membre se trouve dans le même état qu'au 8 avril, mais le creux de l'aisselle est re
and nombre de maladies; soit que les troubles vaso-moteurs créent des états pathologiques à apparence organique, soit qu’ils
luence du traitement médical, des bains, des douches et du temps, son état finit par s'améliorer. Le calme revint ainsi que
Il avait pendant ce temps repris, apparemment pour son entourage, son état normal. Pourtant il était à la veille d'accidents
de devient dangereux. Aucune amélioration ne se produisant dans son état , il sort de Vaucluse pour rentrer dans sa famille
ourd’hui il a repris ses occupations et est revenu sensiblement à son état normal. * * Cette observation est très incomp
Wateau, professeur. Objet du cours : De la responsabilité dans les états hypnotiques. Les mardis et vendredis à cinq heu
il eût à peine tolérées. Il est probable que les hystériques, dont l’ état mental offre tant d’autres singularités, acquière
La disposition à cette dissociation et en même temps à la formation d' états de (!) Sydemiam : Œuvres. Bdil. de J.-B. Th. Ba
. conscience anormaux, que nous proposons de réunir sous le nom d’ états hypnoïdes, constitue le phénomène fondamental de
ausepremièredel’hystérie est un engourdissement, ou, si l’on veut, un état de sommeil des centres cérébraux. L’anes-thésie,
iques, 1893. plus ou moins les fonctions des centres cérébraux. L' état de sommeil, à partir d’un certain degré, amène pa
ance les stigmates et les accidents permanents; les variations de cet état de sommeil provoquent des réactions spéciales qui
elle seule, vaut tout un chapitre de dialectique. « À quoi est dû cet état de sommeil ? Dans la majorité des cas, c'est à l’
hologie physiologique, tS^-liîOO). substance a:’ peut revenir à l’ état de substance x, en restituant de l’énergie sous f
trotropisme), des réactions chimiques (chimiotaxie). Une gromie à l' état de rétraction se présente sous l’aspect d’une pet
il. (Société de biologie, 2 février ‘.895, p. 74.) (Gj J. Havet : L' état moniiiforme des neurones chef les invertébrés ave
ève 1898.) (8) Jean. Demoor : Le mécanisme et la signification de l' état moniiiforme des neurones. (Trav. du labor. de l'i
Les appendices terminaux des dendrites cérébraux et leurs différents états physiologiques. (Trav. du labor, de l’institut So
aiblie par des soins qu’elle donnait à ses parents. Voici dans quel état se trouvait cette malade, lorsqu’elle vint à la c
us sommes, que la suggestion acquiert son maximum d’efficacité dans l’ état d’hypnose. La thérapeutique suggestive nous ava
atteints de maladies nerveuses. Neurasthénie, hypocondrie, hystérie, états névropathiques divers et môme aliénation mentale
J’ai une flamme dans l’œil droit, tout me semble couleur d'or. » Cet état singulier se prolongeait pendant plusieurs minute
fixe qui la poursuit; 2° Ou par absence, petit mal épileptique. Cet état diffère de l’autre en ce que le sujet n’a plus au
tance des sentiments affectifs* L'attention a toujours pour cause des états affectifs. Ace sujet, M. Ribot s’exprime ainsi :
'à ce qui le touche, à ce qui l’intéresse, à ce qui produit en lui un état agréable, désagréable ou mixte. » Ce qui est vr
ndrons l’exposé de quelques faits expérimentaux. L’intervention des états affectifs se manifeste dans les trois conditions
s trois conditions suivantes : 1° Dans la production primitive de l’ état d’hypnotisme. 2° Dans la réalisation des sugges
es ou post-hypnotiques. 3° Dans la transformation expérimentale des états d’affectivité. Il est hors de doute que la symp
e plus de succès dans sa pratique et obtiendra le plus facilement les états profonds de l’hypnose sera celui qui réunira au p
La notion de l’intérêt personnel, qu’il faut considérer comme un des états affectifs les plus capables de stimuler l’attenti
sidérations permettent donc d’affirmer le rôle important joué par les états affectifs dans la production de l’hypnotisme. 2
hystériques très hypnotisables, susceptibles d’être plongés dans les états les plus profonds de l’hypnose. Ils présentaient
iments affectifs existants. Le sujet, Mlle M. C., est plongé dans l' état de somnambulisme. Dans cet état, elle présente sp
sujet, Mlle M. C., est plongé dans l'état de somnambulisme. Dans cet état , elle présente spontanément de l’anesthésie génér
timents contraires simultanés. Le sujet, MH* M. C..., plongé dans l’ état de somnambulisme présente, dans cet état, une dis
, MH* M. C..., plongé dans l’état de somnambulisme présente, dans cet état , une disposition à refléter sur chacun des côtés
stérie convulsive. Elle est profondément hypnotisable. Plongée dans l' état de somnambulisme, elle exécute automatiquement le
oignerez votre reconnaissance avec la plus grande effusion. Ce nouvel état durera également trois jours ; il prendra fin le
avec lequel nous avons, après l’expérience, remis toutes choses en l’ état primitif. Il nous a paru équitable de laisser à M
et égard. Les expériences ci-dessus suffiraient à démontrer que les états affectifs spontanés peuvent être influencés par d
homme était un scrupuleux, fils de scrupuleux ; toutefois, chez lui l’ état d'obsession a précédé et amené le délire de persé
ne cellule quelconque dans un corps d’enfant est plus près du premier état cellulaire, de l’état mono-plastidaire, de l’état
dans un corps d’enfant est plus près du premier état cellulaire, de l’ état mono-plastidaire, de l’état de l’amibe, que la ce
lus près du premier état cellulaire, de l’état mono-plastidaire, de l’ état de l’amibe, que la cellule correspondante dans un
oit des cellules haut placées dans l’échelle histoiogique revenir à l’ état embryonnaire. Il se prolu duit un phénomène a
ue est un neurone qui s'est rapproché, dans une certaine mesure, de l' état monoplastidaire, de l'état de l'amibe, et dont, p
rapproché, dans une certaine mesure, de l'état monoplastidaire, de l' état de l'amibe, et dont, par ce fait même, la motrici
donc plus un tout polyplas-tidaire, mais une colonie de plastides en état de régression, à motricité développée, et présent
tendance constante à rétracter leurs pseudopodes, et à les laisser en état de rétraction. Ce n’est plus une nation fortement
une nation fortement organisée, mais un groupement instable de petits états indépendants rappelant l’Italie du xme siècle, co
es yeux (fixation prolongée), suffira à faire entrer un hystérique en état d’hypnose. Ce qui s’explique assez bien depuis qu
s. Et c’est ainsi qu’il suffit pour mettre certains de ces malades en état d’hypnose de les plonger dans l’obscurité ou de l
les prolongements du neurone s ou, si l'on veut, le neurone s est en état de rétraction, de telle sorte qu'il existe, entre
urones de sensation peut se produire aussi chez l’homme normal et à l’ état Schéma I. sp, protoneurone centripète. s’p'.
nts ou monotones, qui peuvent suffire à faire entrer un hystérique en état d’hypnose, provoquent aussi, chez le sujet normal
ans le ventre ; j’éprouve une irritation extrême et me trouve dans un état intolérable. Au lit, je mords mes draps ; le jour
ue; son père était irritable, passionné, violent. Sa mère présente un état mental analogue à celui de sa siile et toutes deu
orce de patience et de ténacité, je suis parvenu à la plonger dans un état suffisant d’hypotaxie. Elle n'a jamais dormi, h p
, le malade conscient de l'amélioration qui s’est manifestée dans son état mental, accepte facilement l’idée de la démorphin
en soutenant l'énergie du malade et en atténuant les sensations de l’ état de besoin. La durée de cette période varie de deu
de suppression, le malade sera, autant que possible, maintenu dans l' état de sommeil provoqué. Les narcotiques, employés pa
pnotique un moyen d’une très grande valeur, parce qu’elle nous met en état de diminuer les doses de morphine jusqu’à l’absti
iété de laryngol. de Vienne, 7 décembre 1809. Une femme présente un état convulsiforme des constricteurs de la glotte ains
stions qui lui sont posées. L’examen laryngos-copique ne révèle qu’un état d’adduction des cordes vocales qui forment une pe
s aiguilles qu'on lui enfonce profondément dans la peau ; pendant cet état , on a même pu lui enlever des polypes du nez, san
l’enfant et recherches pédagogiques b, qui a pour mission d’étudier l’ état physique et mental des élèves des écoles. L’exa
obtenus conduisent à cette conclusion qu’il y a une relation entre l’ état -physique et la précocité chez l’enfant. Les enfa
ement des aboulies, des obsessions, des idées fixes, des phobies, des états d’anxiété, des habitudes automatiques (onychophag
produit pas, c’est que le neurone qui contient cette empreinte est en état de rétraction. On sait que les hystériques perd
se rétracter que les autres, et qu'ils sont plus longs à revenir à l’ état d’extension (amnésie rétrograde). Cela tient à ce
nombre de leurs neurones de mémoire non encore impressionnés sont en état de rétraction. Ces malades sont des photographes
supérieurs de mouvement. On conçoit que ces neurones puissenl être en état de rétraction, alors quo les neurones inférieurs
n. Suivant le nombre des neurones supérieurs de mouvement qui sont en état de rétraction, on a une paralysie s’étendant à to
urs neurones supérieurs de mouvement non encore impressionnés sont en état de rétraction. J’ai signalé un phénomène analogue
n muscle. Si dans un centre donné tous les neurones moteurs sont en état de rétraction, on a une paralysie. S’ils ne le so
il existe toujours chez F hystérique un certain nombre de neurones en état de rétraction, et que le réservoir central en est
ces préliminaires. — Avant de s'y livrer, les derviches se mettent en état ¿’anesthésie : il existe deux méthodes. Les der
trop vite, car le choc de la main contre le métal chaud détruirait l’ état sphéroïdal et produirait le contact, ni trop lent
rs spéciaux les opinions les plus diverses, dépend exclusivement de l’ état des organes génitaux de la femme considérée. Il y
rales et sociales. Par son étiologie, car son existence implique un état psychique spécial; par ses symptômes, car ceux-ci
e, il ne faudra pas compter sur l’accouchement pour guérir ce navrant état , car l’expcrience a malheureusement prouvé que le
e lésion initiale, petite le plus souvent, mais indispensable ; 2° Un état nerveux spécial. C'est cet état nerveux qui me
souvent, mais indispensable ; 2° Un état nerveux spécial. C'est cet état nerveux qui me parait le plus important facteur d
ement dans l’affection qui nous occupe, qu’un spasme nerveux lié à un état psychique spécial. Nous en avons la preuve dans
pas forcément le vaginisme. Et te qui prouve que celui-ci dépend d’un état psychique, c’est sa disparition même dans les cas
et nous ne le nions pas, car si la contracture dépend uniquement de l’ état psychique des malades, celte contracture peut dis
s malades, celte contracture peut disparaître avec l’évolution de cet état psychique. Si nous examinons maintenant, au poi
qu’il importe donc le plus de corriger dans cette affection, c’est l’ état psychique qui engendre la maladie, et de réserver
uti à une exagération de la contracture qui existait probablement à l’ état latent, puisqu’il y avait du spasme anal et que l
lement, cherchant à éveiller quelque jalousie et à faire regretter un état évident d'infériorité, j’évoquais dans son esprit
le d’injecteur pour prendre des injections émollienles et détruire un état inflammatoire qu’une absence de soins hygiéniques
l résulte : Io Que le vaginisme reconnaît comme cause principale un état psychique, consistant soit en une absence totale
e chien sc glisse furtivement dans le cimetière. On le trouve dans un état d’ennui, d’abattement, de véritable désespoir et
uelque chose d’analogue en la voyant, sans motif plausible et sans un état maladif grave, refuser obstinément toute nourritu
ement des aboulies, des obsessions, des idées fixes, des phobies, des états d’anxiété, des habitudes automatiques (onychophag
omme ils ont toujours un certain nombre de neurones de mémoire en état de rétraction, leur intelligence n’est jamais aus
'autant plus marquée qu’il y aura un plus grand nombre de neurones en état de rétraction. Aussi est-elle à son maximum dans
ment). En général des neurones de divers ordres sont en même temps en état de rétraction, et l’on constate à la fois des tro
nous dormons pendant toute la durée de notre vie. En effet, dans cet état socialiste qu’est le cerveau, tout ie monde trava
e normale, le plus grand nombre des neurones de chaque centre sont en état de rétraction. Or, dans la veille hystérique, ce
étractés pendant le jour, se trouvant reposés le soir, reviennent à l’ état d’extension au moment où se rétractent ceux qui s
nent à l’état d’extension au moment où se rétractent ceux qui sont en état d’extension pendant le jour. De telle sorte que l
nie la nuit, dit-il, parce qu’elles sont constamment plongées dans un état de sommeil pathologique qui empêche le sommeil na
t des idées actuellement conscientes ou susceptibles de le devenir. L’ état de la personnalité dépend ainsi du nombre de neur
a personnalité dépend ainsi du nombre de neurones impressionnés et en état d’extension ou susceptibles d’v entrer. La person
régner ce peuple de neurones, en fit régresser les individus vers les états inférieurs, et déterminât cette dislocation que n
écédente. Ainsi diminution et régression de la personnalité quand l’ état s'aggrave, réagrandissement et progression de la
nalité première et l’ctat de l’organisme, alors qu'il lui est soumis, état premier. L’autre personnalité seconde et l’état d
qu'il lui est soumis, état premier. L’autre personnalité seconde et l’ état de l’organisme étal second. Si N est beaucoup p
ète, nous l’avons vu), et, lorsque N’ fonctionne, que le sujet est en état de somnambulisme. On comprend pourquoi le sujet p
On comprend pourquoi le sujet peut, lors de chaque nouvelle période d’ état second ou de chaque nouvelle crise de somnambulis
ssent de l’un à l’autre. C’est alors que le sujet peut retrouver, à l’ état de veille, des souvenirs du somnambulisme, et, da
irs du somnambulisme, et, dans lo somnambulisme, des souvenirs de l’ état de veille. La soudure complète de N et de N: déte
nno divisée en quatre agrégats N, N’, N”, N’” correspondant, l'un à l’ état de veilie, les trois autres à trois états somnamh
N’” correspondant, l'un à l’état de veilie, les trois autres à trois états somnamhuliques (schème ¡3). Supposons que N se re
uliques (schème ¡3). Supposons que N se ressoude à N'. Daus le nouvel état qui appa- -Scboaie 12. ai. a'b', neuro-diélectr
rra exprimer des souvenirs de N et des souvenirs de N\ De même dans l' état N + N* + N' il pourra exprimer des souvenirs de
dans l'état N + N* + N' il pourra exprimer des souvenirs des trois états composants; et enfin dans l'état N-+ N' + N” + N”
ra exprimer des souvenirs des trois états composants; et enfin dans l' état N-+ N' + N” + N”’ des souvenirs des quatre états
ants; et enfin dans l'état N-+ N' + N” + N”’ des souvenirs des quatre états composants. Tout état supérieur prend alors à l’é
tat N-+ N' + N” + N”’ des souvenirs des quatre états composants. Tout état supérieur prend alors à l’égard de l’état inférie
atre états composants. Tout état supérieur prend alors à l’égard de l’ état inférieur le nom de somnambulisme dominateur. Les
l’égard de l’état inférieur le nom de somnambulisme dominateur. Les états considérésdansleur ensemble constituent des somna
nt. En effet, dès la !r‘ séance, elle s’endort facilement et tombe en état de sommeii profond (avec anesthésie, catalepsie,
ir se contenter d’une amélioration plus ou moins considérable de leur état ; que nés avec une constitution nerveuse, cette di
x. En pareil cas, le médecin doit prendre en sérieuse considération l’ état normal du petit malade et les indications de trai
e mental, par Paul Parez, p. 193. Reviviscence du souvenir dans les états hypnotiques, par Bérillon, p. 213. Richer (Paul
19 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
er lbV9. ? IN au ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. DE L' ÉTAT DU FACIAL SUPERIEUR ET UU MOTEUR OCULAIRE COMMU
e la paralysie faciale périphérique. Cette intégrité est passée à l' état de dogme, si bien que l'on a demandé à l'auatom
a participation du facial supérieur à l'hémi- plégie faciale. L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 3 Hallopeau a vu que « plu
ale de 11'azles, 1898-1899, plusieurs observations anciennes. L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 5 se montre paralysé, tand
llu employer le moyen suivant : quand on met le thorax du malade en état d'inspiration maxima et qu'on mesure comparativ
ments est en d'autres termes diminuée. La para- lysie incomplète, l' état parétique n'est donc pas niable, et cependant i
r nous avons éliminé systématiquement tous les hémiplégiques dont l' état mental était trop affaibli pour obtenir des ren
était trop affaibli pour obtenir des renseignements précis sur leur état ancien et permettre un examen sérieux de leur éta
précis sur leur état ancien et permettre un examen sérieux de leur état actuel. Aux autres nous avons demandé s'ils éta
sourcil avec le pouce d'une secousse brusque, se rendre compte de l' état de tonicité et de force des muscles des deux cô
er parfois des différences appréciables. Le malade tenant les L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 7 yeux fermés et résistant
ns, attaque d'apoplexie il y a trois semaines. L'hémiplégie gauche, état subcomateux. Le facial inférieur est paralysé ;
rieur est aussi touché : la paupière supérieure gauche est plus l' état du FACIAL SUPÉRIEUR. 9 tombante que la droite ;
he. Observation XV. R... Joséphine, cinquante ans. Hémiplégie L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 11 gauche en janvier 1896.
e par secousses. Quand les muscles des sourcils sont contractés L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 13 ils présentent aux mouv
plus accentuées de ce côté, le sourcil est relevé et presque L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. ' 15 immobilisé. La malade
es cas : tantôt presque indemne, tantôt nettement frappé, suivant l' état du facial inférieur. Quand le facial inférieur
ouce on cherche par une secousse brusque à se rendre compte de leur état de tension, on reconnaît que du côté paralysé l
baissement du sourcil sont très diminués 1 Thèse Paris, 1897. L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 19 et n'existent pour ains
aris. Juin 1898. Anal, in Ileviie neurologique, 1898, p. 786. L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 21 inférieur et semble res
intient ouvert la fente palpébrale, le releveur de la paupière. A l' état normal que l'équilibre soit détruit, et les dim
cissement de la fente palpébrale du côté hémiplégie est plus L' ÉTAT DU FACFAL SUPÉRIEUR. 23 apparent que réel. Quan
à ce que l'hypothèse de NI. Bris- saud puisse être admise : c'est l' état de la fente palpébrale dans la paralysie facial
du côté sain, et le malade est dans l'impossibilité de fermer L' ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 25 ' l'oeil paralysé. Or,
sion de la localisation corticale du ptosis que l'on trouvera l' état DU FACIAL SUPÉRIEUR. 27 dans la thèse de Surmon
de l'activité de la couche corticale et des centres ner- veux. Cet état peut être aussi symptomatique ci d'autres affec
et hypochondriaque. Le point de départ, l'origine, la cause de cet état de dépression de l'activité cérébrale paraissen
rpeur des forces et de l'activité intellectuelle ; conscient de cet état le malade arrive au découragement le plus compl
les indispose et les fait souffrir. Ils arrivent à ne plus être en état de faire quoi que ce soit. Le début de cette ma
r l'idée mélancolique; elles entretiennent la marche du délire ou l' état d'angoisse. Les organes des sens paraissent sou
d'un pouls à forte tension. Chose explicable si on se rap- pelle l' état de contraction dans lequel se trouve le système
qui est bien réelle au moins au point de vue psychique. Dans les états d'agitation comme on les observe dans la mélanc
toutes les for- mes et manifestations d'activité cérébrale dans un état de LES MÉLANCOLIQUES. 37 stupeur complète.
lle nous répond qu'elle a commis des péchés, mais elle n'est pas en état de nous donner des renseignements sur les faits
anvier, survient un affaiblissement marqué, la malade n'est plus en état de se tenir debout, et couchée, elle n'est pas en
'est plus en état de se tenir debout, et couchée, elle n'est pas en état de se lever. Les facultés intellectuelles sont
ltés intellectuelles sont aussi amoindries, la malade n'est plus en état de donner une réponse, quelque insistance que nou
diminuée et retardée. La sensibilité spéciale paraît bonne, mais l' état mental du malade ne permet pas de s'en rendre u
issent suspects. Le patient mange bien, sans modifier toutefois son état de dénutri- tion très avancée. Incontinence des
du côté physique; la marche est un peu difficile, ce qui tient à l' état psychique de la malade, comme nous le verrons d
e dans les régions inguinales. Les autres organes se trou- vent à l' état normal. Etat psychique. L'attitude de la malade
possibles ; ainsi que, nous ne pouvons pas nous rendre compte de l' état de la mémoire, de la perception et du raisonne-
ses facultés intellectuelles, puis graduellement s'est installé un état de stupeur avec mutisme, interrompu de temps en
état de stupeur avec mutisme, interrompu de temps en temps par des états d'agi- tations impulsives. Etat physique. Con
sique. Constitution faible, les muscles les os et les téguments à l' état normal, peu développés. Les pupilles sont dilua-
sistances possibles. Il est donc impossible de rien apprendre sur l' état de ses facultés intellectuelles et sur son état
ien apprendre sur l'état de ses facultés intellectuelles et sur son état moral. Ce mutisme est de temps en temps interro
e, il ne manifeste aucun désir, rien ne peut le faire sortir de son état de torpeur. Observation Vlf. Le nommé Jeau-Tu
l'hospice, un beau jour très agité et sous l'empire d'un délire, en état de raptus melancolicus, le malade vole un coute
e de son mutisme relatif, nous ne pouvons nous faire une idée sur l' état de ses facultés intellectuelles et sur sa mémoire
sur sa mémoire. La mé- moire pour le calcul paraît bonne, il est en état de faire des petits calculs, surtout des opérat
les mêmes symptômes que la première fois, en exceptant pourtant les états catatoniques, qui paraissent cette fois beaucoup
; dort bien. 31 juillet. - Le malade est dans l'immobilité, dans un état de mutisme absolu; inconscient, très sale; on n
ent, très sale; on ne remarque rien de nouveau. 3 août. - Le même état . On n'arrive à avoir un mot de lui que par des
ongtemps et nous donne des réponses, quoique bien courtes. 15. Même état . 5-20 octobre. Il parle plus, n'est plus si ret
ment à quelques questions, surtout à celles qui se rapportent à son état moral; elle nous dit alors : c qu'elle est une pé
les mains pendantes. z 48 PATHOLOGIE MENTALE. La malade est en état de rester des heures entières dans cette positi
ntérieur étant éclairé, elle s'est effrayée ; depuis ce moment, son état mental devient anormal, en présentant les sympt
nce, frappe et abime tout, ditdcs injures, finalement tombe dans un état de dépression et ne prononce plus aucun mot à hau
flexes rotuliens sont normaux. Il n'est pas possible de constater l' état du réflexe pharyngien, ni si la malade présente d
les draps de son lit sont humides. Il est impossible de juger sur l' état de sa mémoire, de ses idées, de son intelligenc
sont conservés, de même que la mé- moire ; la sphère morale, en bon état . L'affectivité, pourtant, est un peu diminuée.
de l'attitude plus ou moins anormale qu'elle imprime aux membres. L' état pseudo-parétique des muscles hypotoniques pourr
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. , intéressante à noter, amélioration de l' état mental. (lnzer ican jour- nal of insanity, janv
lire. 2° Frère du précédent malade, plus jeune, même aspect, même état , irritabilité, agitation suivie de psychose calme
situation de ses membres avant le début du mouvement, puis sur leur état pendant chaque phase du mouvement ; c'est ainsi
tions et les impres- sions différentes et multiples. Il s'ensuit un état d'excitation qui se continue encore quelque tem
étaient jumeaux et par l'opération pratiquée pour améliorer leur état consistant dans une transplantation musculaire. *
lires post- opératoires sont faciles à reconnaître ; ce sont ou des états transi- toires d'excitation, ou plus rarement d
s. Dans la psychose post-opéra- toire vraie, on retrouve encore les états d'excitation qui caractéri- saient les formes p
saient les formes précédentes, mais on trouve, d'autre part, des états dépressifs qui lui sont propres et qui, contraire
pré- cédents, semblent porter plus facilement à la chronicité. Les états d'excitation sont caractérisés surtout par des
'opération. Contraire- 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ment aux états d'excitation, les formes mélancoliques ou anxieus
, taille hypogastrique, éta- blissement d'anus contre nature. Ces états dépressifs surviennent parfois peu de jours après
es cas d'excitation, mais bien le médecin aliéniste, à l'asile. Ces états dépressifs s'accompagnent souvent de tendance a
sifs s'accompagnent souvent de tendance au suicide. A côté de ces états d'excitation et de dépression, il existe une fo
; quelque temps avant sa mort elle en était arrivée à un véritable état de démence. A l'autopsie on trouve la dure-mère
ère leçon. Diagnostic et pronostic de Vhémorrhagie cérébrale et des états ahohlectifonmes. Traitement des hémiplégiques L'a
rmants. L'auteur insiste ensuite sur le diagnostic différentiel des états apoplectiques ou comateux qui peuvent simuler l
peuvent simuler l'ictus de l'hémor- rhagie cérébrale et divise ces états apoplectiques en : 1° état apo- plectique lié à
l'hémor- rhagie cérébrale et divise ces états apoplectiques en : 1° état apo- plectique lié à une lésion organique des c
t apo- plectique lié à une lésion organique des centres nerveux; 2° état apoplectique sous la dépendance d'un simple tro
nombreux. Dans les seconds qu'il vaut mieux désigner sous le nom d' états coma- teux, nous trouvons au contraire un abais
igitale, l'aconit, la jusquiame et la belladone caractérisées par l' état du cojur et, pour la dernière, la dilatation perm
toujours longue, minutieuse et souvent ingrate. Deuxième leçon. Les états neurasthéniques et leur traitement. Il faut ava
et leur traitement. Il faut avant tout faire la différence entre l' état neurasthénique vrai et celui qu'avec Charcot l'
sse en revue avec beaucoup de détails les principaux symptômes de l' état neurasthé- nique vrai, insistant sur les stigma
ai, insistant sur les stigmates, céphalée, craquements de la nuque, état des pupilles, plaque sacrée, vertige, sur les tro
ngine de poi- trine qui ne se distingue guère de la vraie que par l' état du pouls, sur l'état mental, et montre comment
ui ne se distingue guère de la vraie que par l'état du pouls, sur l' état mental, et montre comment ces symptômes se groupe
ations morbides, d'hystéro- neurasthénie en particulier, et enfin d' états neurasthéniques secon- daires ajoutés. A cet
er, et enfin d'états neurasthéniques secon- daires ajoutés. A cet état neurasthénique vrai, il faut opposer une calégori
. A cet état neurasthénique vrai, il faut opposer une calégorie d' états qualifiés de neurasthéniques qui doivent être com
nombreuses ressemblances dans la forme entre ces deux affections : état neurasthénique vrai et neurasthénie constitutionn
ronostic d'ailleurs pour le neurasthénique vrai dépend souvent de l' état social du malade. Le diagnostic différentiel do
malade. Le diagnostic différentiel doit se faire d'abord entre les états neurasthéniques, puis avec les états mélancoliq
oit se faire d'abord entre les états neurasthéniques, puis avec les états mélancoliques ou hypochou- driaques, enfin, et
e dans l'en- semble symptomatique. L'importance du diagnostic des états neurasthéniques est d'autant plus important qu'
t de ses occupations habituelles et des causes provocatrices de son état morbide. Dans l'hystéro-neurasthénie plus que p
eptionnelles, si par exemple l'iutoxcication est de date récente, l' état général satisfaisant et le taux quotidien ne dépa
bécillité et l'épilepsie symplo- matiques de méningite récente avec état chagriné des circonvolu- tions ; l'idiotie et l
hique dés deux lobes frontaux; l'idiotie hydroccphaiique acquise; l' état de mal épileptique ; l'épilepsie consécutive à
d'un escalier. La pauvre femme gisait sur une paillasse en mauvais état et était vêtue sommairement d'une chemise et d'
est encore de 30/100 chez les délirants chroniques ; mais dans les états de manie, il tombe à 19/100; à''l0/100 chez les
questions. On ne peut pas découvrir un délire, ni rien savoir sur l' état de ses facultés iutellec- tuelles, à cause du m
u traitement par l'opium, on observe une légère amélioration dans l' état de ses facultés mentales. Il reste pourtant tou
s'il se levait debout. Il n'a pas d'auto-accusations. 25 octobre. L' état mental est complètement rétabli. Il parle et ré
ses scarifiées et on applique le traitement décongestif habituel. L' état comateux dure jusqu'à trois heures de l'après-m
lements de la langue, des lèvres ni des doigts. Il y a tendance aux états -catatoniques. Le réflexe rotulien très augment
ort très peu. Elle contracte une stomatite infectieuse intense, son état général empire beaucoup, on la traite par des l
re beaucoup, on la traite par des lavages antiseptiques, etc. Comme état psychique, elle se trouve dans un état d'inquiétu
es antiseptiques, etc. Comme état psychique, elle se trouve dans un état d'inquiétude continuelle, demandant à partir ch
nt; les extrémités froides. Des réflexes et la sensibilité sont à l' état normal. La malade pré- sente de nombreuses cica
cée. Elle dort bien. Après quelque temps de séjour à l'hospice, l' état de la malade parait un peu amélioré, elle dit q
as comment cela lui est venu. Etat psychique. La malade est dans un état d'inquiétude con- tinuelle, son regard est.inte
ils sont incompréhensibles. Il est bien difficile déjuger sur son état psychique, et s'il a un délire d'auto-accusatio
hique, et s'il a un délire d'auto-accusation caractéristique de son état mélancolique, délire qui parait exister, mais q
le malade garde la même immobilité, humilité, mu- tisme. Malgré cet état grave de mélancolie, le malade mange assez bien
t des doigts. Le signe de Biernacki existe à droite et à gauche à l' état commençant. Le réflexe pharyngien est bien dimi
persécution et qui dura pendant cinq ans, le patient tomba dans un état de dépression, sa figure exprime la tristesse et
aucune douleur, mais dit qu'il est souffrant, malade et dans cet état de mélancolie depuis six ans. 128 PATHOLOGIE
ste cinq jours, jusqu'à une semaine, sans aller à la selle; que cet état allerne avec de la diarrhée. Autrement il mange
avant que le médecin ne soit appelé à constater officiellement son état mental; mais par contre, l'autorité administrativ
elèvent les aliénés en France, n'est pas moins mise au courant de l' état du malade par les certificats médicaux de vingt-q
nt, il signale au Comité tous les cas de malades reçus à l'asile en état de restreint mécanique, s'ils présentent des bl
tent des blessures, etc... Il fait tous les six mois un relevé de l' état physique et mental des indi- gents et chaque an
tions brillantes et la membrane nucléaire est plus apparente qu'à l' état normal ; le nucléole n'est pas élargi. Est-ce à
3° l'urée et. l'acide urique sont en plus faible proportion qu'à l' état normal ; 4° la diminution des excrétions nitrog
t de l'acide urique à l'urée n'est pas en relation constante avec l' état mental (American Journal of insanity, avril 189
ion sociale qui se désintéresse trop du passage des jeunes gens à l' état de citoyens et de l'initiation nécessaire aux d
nt. L'unique préparation sociale qui marque encore le passage à l' état pubère confirmé tend à se réduire à l'épreuve de
sitives sur lesquelles repose la vie sociale moderne si complexe, l' état n'a aucun moyen réel d'initia- tive et s'en rem
ion favorable de la suggestion se manifeste par l'amélioration de l' état général, la dis- parition de l'abattement, de l
à peu près complète. Deux mois après la cessation du traitement, l' état de la malade continuait à être très satisfaisan
rale sont dues à une toxine et que nous constatons l'existence d'un état infectieux, pourquoi ne pas admettre que la syp
vec l'arrivée des règles. Une laparatomie rendue nécessaire par son état physique a été pratiquée le 19 juin sans incide
é la persistance de l'agitation et du délire. L'amélioration dans l' état mental est survenue par degrés, sui- vant pas à
ait appris ce qui se passait, vint relater à ce magistrat dans quel état elle avait trouvé, la veille, la défunte. Un mé
rie post-paroxystique existe dans la moitié des cas, surtout dans l' état de mal. 1 Seyfert. Dublin quarterly Journal, 18
les observations étaient très délicates, on ne pouvait rechercher l' état des pupilles ni prendre la température, et surt
ux, noirâtre et se coagule très facilement, surtout à la suite de l' état de mal. Cette particularité avait été remarquée
en, la tête sur le plancher, les yeux fermés. Elle demeure dans cet état comateux pendant longtemps. Quand nous la quitt
de la respiration avec un arrêt momentané. Température 34°8. Cet état comateux a duré 1 h. t/2. Pendant tout le temps l
ses. La respiration est lente. Nous le quittons à 7 h. 1/2 dans cet état . Il est mort dans la nuit. Autopsie faite le 26
fai- blissement, 21 soit 30 p. 100 seulement coïncidaient avec un état anormal de la personnalité physique, seulement un
ives ; or, des premières 364 existaient et des secondes 162 avec un état normal du tact. Ainsi donc, sans conteste, le t
sives ou dépressives de la personnalité physique existent avec un état normal du tact et de ne pas incliner à croire q
te dans les formes agitées et que dans celles-là il y a toujours un état anormal de cette personnalité. D'ailleurs le fa
l'entendre, déflorer cinq cents vierges au moins par nuit et dans l' état d'érection son gland était aussi volumineux que
qui d'ailleurs ne reparut plus après le retour du sens tactile à l' état normal. 192 PATHOLOGIE MENTALE. Que prouven
rurent au sur et à mesure que le tact, très affaibli, revint à l' état normal. Quelques mois après, retour de l'affaibli
ts qui se généralisèrent par tout le corps et parurent influencer l' état mental, car le malade passait une grande partie
se déshabillent sans savoir pourquoi ; même ceux qui sont encore en état de renseigner ne fournissent sur ce point aucun
s a été impossible d'arriver à vérifier avec assez de cer- titude l' état de ce sens. Or, nos 9t< résultats se décompo
i dans 70 p. 100 de nos recherches relatives à la constatation de l' état du tact. Nos échecs ovni, été d'autant plus nom
t le retard (1,8 p. 100) ; ce dernier, le plus souvent associé à un état normal du tact, plus rarement avec de l'affaiblis
lus rares. VII. Nous avons vérifié la progression croissante de l' état anormal du tact avec les progrès de la maladie; r
us. XI. Contrairement à notre attente, nous avons toujours noté l' état normal du tact dans les formes purement dépres-
ation, tandis que l'affai- blissement a été constaté quel que fût l' état des malades. XIII. C'est dans la forme expansiv
t à fait exceptionnel qu'un rapport a été constaté entre ces divers états délirants et les altérations du sens tactile.
XV. Il ne nous a pas été possible de constater un rapport entre les états du tact et l'habitude qu'ont beaucoup de paraly
spéciales aux premiers et celles en plus aux seconds, tandis que l' état normal fut habituel chez les sujets porteurs de c
- taux externes, celle qui engendre le plus souvent des phobies ; l' état mental des malades qui en sont atteints, est ca
és, l'obsession cutanée n'apparaît que comme un épi- phénomène d'un état psychique grave, relevant de l'aliénation menta
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 213 dermatophobies, il faut signaler l' état psychique de l'entourage des malades; cet éléme
oubles fonctionnels réels, au traitement moral, à la suggestion à l' état de veille par le raisonnement seul ou aidé de l
ieu, l'auteur insiste sur les difficultés que peuvent présenter ces états atténués, au point de vue médico-légal. (TAe ca
de la dégénérescence simple, tantôt incons- ciente, en raison de l' état vertigineux du sujet. Le troisième cas présente
n connue qu'un homicide peut être commis dans le somnambulisme et l' état épileptique, la conscience de l'individu étant
premier cas, il s'agit d'un homme de cinquante ans, interné pour un état mélancolique, après deux tentatives de suicide.
ibition ayant disparu, fut instantanément réalisée par un malade en état subconscient. (American jourrzal o/' 212SCLJ2lG
ccès d'aliénation ou dont 224 4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l' état de folie ne serait pas encore confirmé, pourraien
énieuse hypothèse de M. Branly, l'auteur de l'article pense qu'en l' état actuel de la science les éléments manquent à l'
ment remplacée dans certains cas par un entraînement suggestif, à l' état de veille, de la volonté du sujet. C'est ce q
i a paru exister entre les symptômes de cette affection et ceux des états myxoedé- mateux et crétinoïdes. Le malade a suc
on sur la violence du traumatisme, cause de l'affection, mais sur l' état de l'excitabilité électrique des nerfs et des mus
emblables. XXXVI. L'alcoolisme; ses conséquences pour l'individu, l' état et la société; par AL le professeur DEuovE. (Pr
on augmente chez nous, tandis qu'elle diminue dans plusieurs autres états ; il déplore aussi que les femmes et les enfants
bservations permettront d'établir si les névrites avec amnésie de l' état puerpéral, de la fièvre typhoïde, de la 231 I
effet, parait différer par un plus Ion" stage prémonitoire et par l' état de faiblesse psychique et soma- tique dans lequ
s plantes, de 13 p. 100. Le mont de Vénus s'est couvert de poils. L' état psychique a subi également un chan- gement très
l'aspect de gouttelettes ; en même temps les petites épines qui à l' état normal garnissent les prolon- gements des deux
ment celles où régnèrent au moyen âge les psychoses religieuses à l' état endémiques. Comme on l'a dit', l'ignorance es
; pour lui il y a une paranoïa secondaire (née le plus souvent d' états mélancoliques) et une paranoïa primitive; il en é
maires de délires systématisés et d'autres secondaires, surtout aux états mélan- coliques décrit les délires religieux du
élancolique, on l'a dit, le délire est secondaire et consécutif à l' état affectif ; chez le délirant chronique, le délir
n'est pas un délire systé- matique. Lorsque cette vésanie passe à l' état chronique et qu'un délire systématisé vient se
l'état chronique et qu'un délire systématisé vient se greffer sur l' état primitif, ce délire est secondaire. La mélanc
, pour base un trouble du fond émotionnel qui change absolument l' état moral du sujet. Les idées délirantes par suite, l
ourrait distinguer encore parmi les délires dits secon- daires, aux états mélancoliques, selon la variété de mé- lancolie
dées de persécution : Des psychoses décrites comme secondaires à un état mani- que n'étaient que consécutives à un état
mme secondaires à un état mani- que n'étaient que consécutives à un état anxieux de mélan- colie agitée. Aussi, sans ent
n fatidique. L'objectivation délirante qui constitue le fond de cet état menlal de l'aliéné n'est que l'extériorisation
y avoir deux ordres de systématisation opposés bien que partis d'un état initial identique en apparence. Donc dans un gr
re groupe, viennent les délires religieux à systé- matisation (sans états mélancoliques ou hypocondriaques vrais antérieu
délirantes religieuses peuvent encore s'observer comme symptômes d' états maniaques ; dans les états démentiels, elles pe
nt encore s'observer comme symptômes d'états maniaques ; dans les états démentiels, elles peuvent être consécutives à la
Calmeil. De la folie, p. 81. MYSTICISME ET FOLIE. 267 Parmi les états congénitaux, l'idiotie et l'imbécillité pré- se
tisés types. Manie. Nous avons vu les idées religieuses, dans les états mélancoliques, et dans les délires systématisés p
es conceptions délirantes, il nous reste à dire quelques mots des états maniaques. « Il n'est aucune forme de maladie m
sychiques un antagonisme qui rapproche ces formes de la manie des états impulsifs et hallucinatoires, et aussi, de la mél
e les analogies et les différences des idées religieuses dans les états aigus, maniaques ou mélancoliques. Quant à la m
fuites d'idées et les autres symptômes classiques ordinaires de ces états suffisent d'ordinaire à établir le diagnostic.
s éléments positifs en seront fournis par l'âge, les antécédents, l' état somatique (motilité), l'émotivité si spéciale d
le des circonscrits 3. Quant aux démences séniles gref- fées sur un état délirant, elles présentent aussi des carac- tèr
, par suite de complication progressive de son délire, arrivée à un état de pseudo-démence, comme dit M. Christian4, où
s que les éléments moins atteints de la mentalité. ' Thivet. De l' état mental des vieillards. (Thèse, Paris, 1889.) Sé
cal, 1888, n« 43. Psychoses séniles et la ? -- dives. Lwoff. De l' état mental dans les lésions circonscrites du cerveau.
tout-puis- sant. « Il semble que ce délire soit développé sur un état mala- dif des centres moteurs ou volitionnels.
ie. » M. Klippel a, depuis, donné comme substratum organique de ces états , la vaso-dilatation généralisée. Ce caractère
Dieu puissant et con- cierge du Trocadéro 2. On le voit, tous les états exubérants ont entre eux un trait commun qui es
ggestion imitatrice. « Il y a, dit M. Gilles de la Tourette, dans l' état mental des hystériques, quelque chose d'absolum
en oeuvre par la suggestibilité, qui est la caractéristique de leur état mental (p.S`3). L'hystérique peut être, à ce po
he et terminai- son brusque. Pendant l'accès, le malade est dans un état anxieux avec panophobie, il voit le démon dans
eptions délirantes sont demeu- rées frustres, malgré le passage à l' état périodique et chro- nique ; il n'en est pas tou
conceptions délirantes systématisées paraît en raison inverse de l' état dégénératif congénital. Mais entre les deux typ
hoses des héréditaires des formes de délire pathognono- miques d'un état non dégénératif. C'est ainsi que Greidenberg on
conceptions délirantes systématisées paraît en raison inverse de l' état dégénératif congénital. Mais entre les deux typ
chi- mique non seulement nous renseigne donc sur la réalité d'un état d'auto-intoxication dans les psychoses, mais enco
ler 282 PATHOLOGIE MENTALE. l'attention sur la possibilité d'un état toxique, en particulier d'une infection, ou d'u
péciales à l'auto-intoxication rénale. L'inégalité pupillaire, avec état variable des réflexes lumi- neux et accommodati
sie générale. Signalons enfin : les troubles gastro- intestinaux ( état saburral, inappétence, constipation, fétidité d
n l'hypert7aernae ou, par une sorte de contraste avec l'acuité de l' état , l'hypothermie, surtout dans l'insuffisance hép
fluence d'une narcose toxique. Avec la torpeur cérébrale, existe un état particulier des facultés qu'on ne peut mieux dé
sieurs fois, sans se rendre compte. 11 y a là, comme on le voit, un état à part, qui n'est pas seulement la perte de mém
n est ce que nous appelons l'oni- vrai dire, il s'agit plu tôt d'un état que d'un symptôme. Nous entendons par onirisme
plu tôt d'un état que d'un symptôme. Nous entendons par onirisme un état d'automatisme céré- bral analogue au rêve, mais
c'est que, à un degré léger, le sujet passe alternativement d'un état et l'autre suivant qu'il ouvre ou ferme les yeux;
e maintenant à prouver que ce type a pour caractéristique d'être un état de rêve ou onirique. Cette opi- nion, qui s'éta
rrache à son sommeil ou l'alcoolique à son délire, « Or, tous ces états , remarquons-le, sont des empoisonne- ments par
ves délirants des alcooliques et des infectieux peut être perdu à l' état de veille et recouvré dans le sommeil ordinaire
élires toxiques sont identiques; ils présentent les caractères de l' état de rêve. a) Le délire est d'abord et surtout no
normal, mais d'un rêve pathologique, som- nambulique, d'une sorte d' état second, analogue à celui de l'hypnose. C'est po
s d'auto-intoxication gastro-intestinale, pour mettre les sujets en état d'hypnose et conformément à nos espérances, cha
ances, chaque fois le souvenir perdu de l'accès reparaissait dans l' état hypnotique, pour disparaître à nouveau au révei
imes de sa maladie ; et alors que déjà il ne répondait plus, dans l' état délirant, à aucune question, tellement son obtu
nt, à aucune question, tellement son obtusion était extrême, dans l' état hypnotique, plus actif et plus éveillé, s'il es
nne foi qu'il avait été victime d'un accident professionnel. Mis en état d'hypnose, il se rappela tout ce qui s'était pa
t facile, chez cet individu, de provoquer artificiellement ces deux états et nous le faisions passer ainsi successivement
s donc pouvoir dire que le délire toxi-infectieux n'est autre qu'un état second, un délire somnambulique, analogue aux a
tre qu'un état second, un délire somnambulique, analogue aux autres états de somnambulisme, spontanés ou provoqués. - D
toxi-infectiew. Il va sans dire que c'est surtout dans la période d' état ou de déclin se prolongeant outre mesure, bien
abituellement, disparaît dans l'hypnose. Nous pensons aussi que cet état de rêve existe dans tous les étals de confusion
l fait une variété de mélancolie, n'hésite pas à déclarer que cet état parait avoir beaucoup d'analogie avec l'état de r
pas à déclarer que cet état parait avoir beaucoup d'analogie avec l' état de rêve. Et il développe les raisons qui milite
passage suivant : « Ce qui me fait insister sur cette analogie de l' état de rêve et de l'état morbide que j'ai décrit, c
qui me fait insister sur cette analogie de l'état de rêve et de l' état morbide que j'ai décrit, c'est surtout la manière
net que la manière dont quelques conva- lescents caractérisent leur état mental antérieur. Il me semble, dit une femme à
de la quatrième observation, et qui a si bien rendu compte de son état , me dit qu'elle ne peut mieux comparer ce qu'el
uestions qu'ils font, mais surtout des détails qu'ils donnent sur l' état dont ils sortent. Ils éprouvent, mais plus lent
et en disant : « Je ne signale ici que les analogies ; car à part l' état morbide, il y a entre la stupidité et les rêves
une théorie onirique. On sait, en effet, que Meynert attribue cet état pathologique à un affaiblissement de l'écorce ave
grande partie aux étals physiologiques du rêve 2. Mayer rapproche l' état de demi-rêve qu'on observe chez certains sujets
, délire de collapsus, démence aiguë. Le délire de collapsus est un état de confusion profond à développe- ment excessiv
sion mentale, pour ainsi dire intermédiaire aux deux autres, est un état de confusion en forme de rêve avec perversion p
êve avec perversion par illusion ou hallucination de la perception, état aigu développé par suite de l'atteinte portée p
toplasuuques qui se rétracteraient dans le sommeil et dans certains états d'intoxication (Pupin, Hegcr) sont au fond asse
mentale et le rêve, parait rapprocher à diverses reprises ces deux états . Au chapitre de la Psychologie pathologique, à
ir de relations entre elles. La suite est facile à prévoir, c'est l' état de rêve à tous ses degrés. Çà et là on trouve e
t plus entre eux de rapports appréciables ; le malade est dans un état analogue à celui du rêveur '. » M. Marandon de
au choc moral, au surmenage physique, rappelle que dans ces divers états , il existe une auto-intoxication due à des subs
ogie et cl'llp2oloie, 5 et 20 décembre 1897), dis- tingue parmi les états intermédiaires entre la veille cons- ciente et
rmédiaires entre la veille cons- ciente et le sommeil complet : les états de Traùmerei, de rêverie, étals hypnoïdes voisi
t : les états de Traùmerei, de rêverie, étals hypnoïdes voisins des états hypnagogiques, se rapprochant du sommeil physio
ux de confusion mentale, amentia, paranoïa aiguë, qui désignent des états analogues. Nous avons gardé, pour en parler en
eut, dans certains cas, être assimilé à un rêve se produi- sant à l' état de veille et se mélangeant à des doses diverses à
trouvé, surtout comme moyen de calmer l'agitation et de préserver l' état général, souvent très précaire dans les cas de
au bout de cent jours, période à laquelle s'effectue le retour à l' état normal. Ils se manifestent tout d'abord par la
qué à la Société de Biologie un travail établissant l'existence à l' état normal d'un réflexe ischio et bulbo-caverneux s
ilité du malade est normale, exagérée ou absente ou résultante d'un état morbide du centre génito-spinal ou de l'âge. ,
ébut a été lent. La paralysie flasque' a toujours été précédée d'un état spasmodique, et s'est toujours accompagnée d'un
ons, il n'y a pas de parallélisme entre l'évolu- tion clinique et l' état anatomique. (Revue neurologique, oct. 1898.) '
dant à paraître incomplète. Et pourtant il faut reconnaître que cet état incomplet de la con- ception était nécessaire :
es l'épigastre est moins sensible à la pression et aux coups qu'à l' état normal et que, dans un cinquième environ des ca
e trois mois, la conso- lidation paraît parfaite et notre malade en état de marcher. Vaine- ment, on essaie de le souten
'immobilisation ont particulièrement porté leur action. De plus, un état psychique spé- cial vient se greffer sur ces di
s cette importance est beaucoup moindre que les particularités de l' état mental du sujet, observé avant l'apparition des
sept ans, sans anté- cédents connus, a été reçu à l'hôpital dans un état demi-comateux. La température est de 38° 5-380
prend également, il devient douloureux et gonflé, mais revient à l' état normal au bout de six semaines. A noter encore
e alcoolique polymorphe avec hallucinations de l'ouïe et de la vue, état de rêve diurne, hyperesthésie psychique et sens
ques et cloniques. Les mouvements terminés, la malade tombe dans un état de sommeil profond dans lequel elle se montre i
a plus grande facilité, car tout le sys- tème musculaire est dans l' état de flaccidité cireuse caractéristique de l'état
sculaire est dans l'état de flaccidité cireuse caractéristique de l' état cataleptique-franc. Daus ce cas, la crise d'hysté
ces de l'écorce 1 VARIA.. 335 cérébrale, place le sujet dans un état analogue à l'état d'hypno- tisme provoqué. L'
1 VARIA.. 335 cérébrale, place le sujet dans un état analogue à l' état d'hypno- tisme provoqué. L'exercice illégal d
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT 1VÉYROPA1'IIIQUE. APPOINT ALCOOLIQUE. DÉLIRE HA
ement. L'après-midi du 27, la nuit qui suit et le len- demain 28, l' état d'agitation se maintient sans interruption, très-
sons, de serpents qui rôdent sur son lit. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 339 Dans les jours qui suivent,
eil, mais celui-ci dure régulièrement cinq à six heures par nuit. L' état général est redevenu satisfaisant, la températu
de ses hallucinations, elle répond assez DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 34'1 correctement : « Ça va un p
- rément abondantes, sans apporter de modification notable dans l' état de la malade. Le 26 mai, dans un moment de calm
n d'effroi : Oh ! non, je ne veux pas, je ne veux pas ! ... » Cet état persiste avec des périodes plus ou moins longues
, quatre à cinq heures ; l'alimentation est toujours suffisante ; l' état géné- ral satisfaisant, la température oscille
son point de départ. Nous nous trouvons donc ici en présence d'un état baltuci- natoire non systématisé ou très imparf
l ... présente une attitude déprimée, voire même demi- stupide, cet état cénesthétique n'est, de toute évidence, que le
mentale primitive, idiopathique, est une DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT N1 : VROPATÜIQUE. 343 affection habituellement
ènes mentaux ; le fond essentiel de ceux- ci, résultat premier de l' état somatiquc, est constitué par une forme d'affaib
contraire, d'inertie motrice, avec ou sans variations marquées de l' état émo- tionnel'. » Reste alors ce qui a été déc
sche ireî-ivii-iilieit). Kreepelin2 range celle affection parmi les états aigus d'épui- sement, à la suite de Collapsdeli
itaires ne sont pas impossibles, elles n'existent, du moins, qu'à l' état latent, le cerveau est seulement facile à affec
n. oeil, sur Psych. Bd. XLII, 1, 1885.) DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 348 Schûle 1, s'il fait rentrer
s, où l'on notait, en particulier, du trem- blement des mains et un état légèrement saburral des voies digestives, puis,
émotivité exagérée, jouissant, en un mot, DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 347 de cet état mental, que l'on
un mot, DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 347 de cet état mental, que l'on sait être si souvent le substrat
l'emblée, l'aspect du délire chez les dégé- nérés : ce n'est pas un état maniaque franc, ni ce qu'on a décrit sous le no
plus un délire alcoolique pur, mais bien un mélange de ces trois états . Au bout de quelques jours, l'appoint alcoolique
, s'imaginant qu'elle lave son linge (elle est blanchisseuse de son état ), qu'elle tient la République entre ses mains,
dairement chez les dégénérés alcoolisés. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 349 Du même coup, nous pouvons a
is d'indiquer en quelques mots cette terminaison. Après une phase d' état qui s'étend du mois de juin au mois d'octobre,
très tourmentée, très décevante aussi par les sautes brusques de l' état mental. Il y a, par exemple, des journées entiè
tre point sur lequel nous voulons insister, c'est l'embon- point, l' état de santé florissant de la malade, au soi tir d'un
s mouvements de flexion et d'extension dont il ne jouissait pas à l' état de veille. Dans le mois suivant elle commença à
abdomen. Le malade succombe aux progrès de la phtisie, parvenu à un état d'émaciation squelettique. L'autopsie montre un
t échoué, on eut recours à des séances de suggestion pratiquées à l' état de veille et pendant le sommeil hypnotique, et
ée par le cerveau tend à se faire acte : toute idée est un acte à l' état naissant (Bernbeim, Liébault). Elle comprend un
d'autre part, dont l'auto-suggestion verbale, sans préparation, à l' état de veille, est l'élément le plus simple. L'auto
ement et l'utilisation de l'élément affectif. Par le recueillement, état analogue à l'état de « charme » de Lié- bault,
tion de l'élément affectif. Par le recueillement, état analogue à l' état de « charme » de Lié- bault, le sujet met à pro
on attention sur l'idée de dormir. Le sujet se trouve alors dans un état analogue au demi-sommeil du soir, quand on comm
prit sera tou- jours capable d'une concentration plus grande qu'à l' état de veille. La répétition de ces exercices de so
les maladies nerveuses qui n'altèrent pas, du moins en apparence, l' état intellectuel et mental de l'individu. Vous aurez,
du Congrès. il existe des délires systématisés, développés sur des états secon- daires aux principales formes d'aliénati
ent à la démence, ce n'est qu'après être demeurés longtemps dans un état stationnaire. 2° Délires systématisés secondair
s post-mélancoliques. Si l'élément psychonévrotique l'emporte sur l' état paranoïen, le délirant sera plus mélancolique q
ntale. Les auteurs étrangers qui l'ont signalé, ont surtoutvisé les états passagers de confusion qui surviennent au début d
ne sont autre chose que des reliquats monoïdéiques de ce véritable état second qu'est la confusion mentale tonique, en
rvation sur un cas de délire systématisé secondaire consécutif à un état neuras- thénique. Pour lui il n'y a pas de si g
au bout de peu de temps, ils nous reviennent dans le plus pitoyable état . Il en est de même des jour- naux illustrés. Le
e-même de nature hystérique, et prenant naissance à l'occasion d'un état fébrile, d'une infection, d'une intoxication qui
e professeur Ballet fait, en ces termes, un remarquable exposé de l' état actuel de la question : M. Ballet. Lorsqu'en 18
peut-être plus logique de renverser les termes et de comprendre les états hystériques parmi les états infectieux ou toxiq
nverser les termes et de comprendre les états hystériques parmi les états infectieux ou toxiques. M. Régis accepte complè
ychose n'est pas une entité morbide, mais bien un syndrome lié à un état infectieux. Le D1' Anglade demande à poser quel
, absence absolue de volonté; la malade tombait dans un véritable état de stupeur. Huit mois après le début des accident
terrifiant, toujours le même, oublié au réveil mais persistant à l' état subconscient et susceptible d'être retrouvé pen
TÉS SAVANTES. 401 lui aussi, pendant la veille normale et resté à l' état subconscient; une circonstance de peu d'importa
stitution du traitement par les bromures, le malade entrait dans un état de fureur redoutable qui nécessitait son isolem
ité cutanée; 8° L'ablation du cervelet a une grande influence sur l' état général de l'animal et entraîne une cachexie rapi
faible dans ces cas. Même si le divorce devait porter atteinte à l' état du malade, il serait difficile de mesurer exact
res années de son existence. Depuis le commencement de la maladie l' état psychique n'a pas changé. Observation 11.- lial
; la dipsomanie est une véri- table psychose toujours précédée d'un état dépressif et mélanco- lique. M. Bérillon. Pou
pressentiment avant la crise, l'aura; la crise proprement dite ; l' état de mal; les crises épileptiques sous forme de psy
ses épileptiques sous forme de psychoses; les crises incomplètes; l' état des épileptiques dans l'intervalle des crises;
lant de la torpeur intellectuelle à la stupidité complète. C'est un état morbide de l'esprit mais non un délire. Il y a
ées délirantes, elle n'est plus qu'un syndrome, faisant partie d'un état plus complexe comme les délires associés. La conf
ires associés. La confusion men- tale pouvant se retrouver dans les états diver=, a cependant une sorte de personnalité c
que. La symptomatologie permet de la considérer indépendamment de l' état délirant ou névrosique qui l'accompagne. L'anat
t évoluer vers la démence, associée à des idées délirantes ou à des états psychiques particuliers, elle peut disparaitre
tats psychiques particuliers, elle peut disparaitre seule ou avec l' état mental morbide qu'elle accom- pagne pour enfin
centre unique, rapports qui constituent l'unité de l'individu. Tout état de conscience est une synthèse irréductible à des
, et que ce dernier emporte un reflet de celui qui l'a précédé. Ces états de conscience dans leur succession présentent une
rée une pure hétérogénéité, pas plus qu'une pure conti- nuité. Tout état de conscience a une durée et des limites. Le fa
nce a une durée et des limites. Le fait d'admettre entre les divers états de conscience le bien psychique qui unit leur d
ister dans une affirmation identique ; mais comme tous ces divers états tendent à la réalisation d'un système unique, la
re à la fré- quence des hiatus et à l'éloignement psychologique des états successifs. Toute psychopathie caractérisée e
ance, parce qu'elle repose sur l'établissement d'un rapport entre l' état présent et un état à venir, crée un lien entre
repose sur l'établissement d'un rapport entre l'état présent et un état à venir, crée un lien entre les moments conscient
venir, crée un lien entre les moments conscients et coor- donne les états successifs. Après s'être transformée peu à peu et
stabilité est émotionnelle. Le plaisir et la douleur produisent des états affectifs instables de leur nature; on comprend'q
comprend'que la plus légère modification les puisse transformer en états patholo- giques. De l'instabilité émotionnelle
nt pas être con- sidérés isolément, ils doivent être rattachés à un état morbide de la personnalité entière, à des maniè
nulle en apparence, et il y a cata- lepsie quand le sujet semble en état de monoïdéisme. Charcot attribué ce dernier éta
le sujet semble en état de monoïdéisme. Charcot attribué ce dernier état à l'isolement dans lequel se trouvent les idées
de s'arrêter aux impressions du dehors qui pourraient modifier son état pathologique ; cette stabilité morbide a débuté
e anesthésie à l'égard de toutes les impressions extérieures et ces états de monodéisme ne sont-ils pas la conséquence d'
udier les faits psychiques chez.l'enfant, le vieillard et l'être en état de sommeil, mais encore recourir à la psycho- p
son même de son irritabilité nous ne pouvons créer chez lui que des états passagers, et si nous réussissons à lui donner
e méfier de la suggestion hypnotique, la suggestion pédagogique à l' état de veille a plus de chance de réussir. La musiq
ez puissante, on n'observe que les épisodes caractéris- tiques de l' état mental des déséquilibrés ; mais dès que cette ré-
dépression mélancolique, les idéos de : ui- cide ; 2° la période d' état caractérisée par la persécution et les hallucin
urrir, de la vêtir et de lui donner tous les soins réclamés par son état en attendant son admission dans un asile. (L'Au
ades. Une discussion futile commença, qui s'envenima par suite de l' état d'ébriété où se trouvaient tous ces individus.
re d'auto-accusation; et pour peu que ce délire s'accompagne d'un état de dépression ou d'anxiété plus ou moins accentué
ullement la possibilité de leur existence. Lorsque l'on examine l' état mental sur lequel repose ce délire, on n'y retr
u mélancolique. Tout au plus peut-on noter dans les paroxysmes, à l' état passager, un peu de dépression ou d'agitation a
comme au point de vue psy- chique, on ne retrouve encore rien de l' état mélancolique. L'état général reste bon, les fon
psy- chique, on ne retrouve encore rien de l'état mélancolique. L' état général reste bon, les fonctions organiques s'acc
délire, l'absence de tout symptôme, somatique ou psy- chique, d'un état mélancolique fondamental, ces cas diffèrent de
ysique, au moment même où il nous est amené, ne trahit nullement un état de souffrance de l'organisme. Sa physionomie, s
l'analyse subjective de son moi moral, dans la contemplation de son état d'infériorité et d'abjection. Mais, malgré les
ique de la part du malade, opposé à l'ana- lyse qu'il fait de son « état d'àme et qui pourrait en imposer. Nous avons ém
ssi bien que de lui-même. Plus lard, il fit preuve d'un véritable état d'instabilité mentale, changeant de métiers sans
rt, on ne retrouve pas chez le sujet les traits fon- damentaux de l' état mélancolique vrai. C'est ainsi que du côté psyc
n des symp- tômes qu'on rencontre d'ordinaire dans la mélancolie. L' état général est excellent. La circulation, la respi
'affection considérée dans son ensemble et dans ses rapports avec l' état mental antérieur du sujet, le tableau clinique
e d'un délire, quelle qu'elle soit, ne suffit pas à caractériser un état morbide, que le délire d'auto- accusation, en p
moment, même au début de la maladie, il n'y a eu de symptômes d'un état mélancolique. Il se manifeste au contraire comm
'arguments qu'il avait raison et ne se rendait à aucune preuve. L' état physique restait bon, l'appétit convenable, les d
e retrouver avant elles ces troubles particuliers qui constituent l' état mélancolique pro- prement dit et qui, dans la m
caractères particuliers, l'absence des signes pathognomoniques de l' état mélancolique, ne pouvaient nous autoriser à con
lancolie délirante. Rien non plus ne pouvait nous faire admettre un état mélancolique symptomatique de l'alcoolisme par
ne fit que confirmer ce dia- gnostic. Pendant un mois environ, l' état de M. B... reste stationnaire. La santé physiqu
es ou d'autres fois se met à pleurer, à se lamenter sur son triste- état . Mais ce sont là manifestement de simples réact
éressent ; il les étudie, les observe et fait même souvent sur leur état des remarques très fines et très spirituelles.
ne corticale, n'est parfois que la prolon- gation oulre mesure de l' état physiologique, mais le plus souvent il est dû à
DE FAITS. - HYSTÉRIE MALE. MUTISME. AMAUROSE. ACCÈS MÉLANCOLIQUE. ÉTAT SECOND; Il.% f Cn. VALLON, Médecin de l'Asi
t accès mélancolique amenant le placement ci l'Asile de Ville juif, état second pendant cinquante-sept jours, troisième
e épis- taxis, plyalisnze, amnésie, portant sur toute la durée de l' état second. Sortie de l'Asile après un séjour de pl
on lui pose des questions sur les faits actuels, par exemple sur l' état de sa santé, il répond sans trop de difficulté
, sans cause appréciable il se produit un changement brusque dans l' état de P... Tout d'un coup il déclare aux employés
tisme. Il nous exprime son étonnement de ne pouvoir pas paller. L' état reste le même jusqu'au 1 ? mai. Ce jour-là à deux
la rachial- gie ; de plus il est resté pendant près de deux mois en état second comme nous allons le démontrer; or, l'ét
s de deux mois en état second comme nous allons le démontrer; or, l' état second n'est autre chose qu'un état hystérique;
nous allons le démontrer; or, l'état second n'est autre chose qu'un état hystérique; enfin il a présenté des phénomènes
n en effet dans la dépression mélancolique mais il était de plus en état second. Dès l'arrivée, jusqu'au jour où, suiv
ti comme d'un rêve, P... était capable de nous ren- seigner sur son état présent, mais, de sa vie passée, il n'avait gar
l'interroge, mais il reste muet, que les questions portent sur son état présent ou qu'elles aient trait à sa vie antéri
de la mélancolie, comme celle présentée par P..., le malade est en état de ren- seigner aussi bien sur ses antécédents
en état de ren- seigner aussi bien sur ses antécédents que sur son état actuel. C'est là un premier fait, en voici un d
le souvenir de toute sa vie anté- rieure momentanément disparu. L' état de P...... pendant toute la période qui s'étend
s'étend du 8 décembre 1896 au 3 février 1897, n'était donc pas un état mélancolique, il ne saurait recevoir d'autre qual
ancolique, il ne saurait recevoir d'autre qualification que celle d' état second; pendant ces cinquante-sept jours en efl
être un jour, si pour une raison quelconque, P.... retombe dans son état second. L'activité intellectuelle du sujet es
ctivité intellectuelle du sujet est généralement plus grande dans l' état second que dans l'état prime; chez P..., il en
du sujet est généralement plus grande dans l'état second que dans l' état prime; chez P..., il en a été tout autrement, l
ond que dans l'état prime; chez P..., il en a été tout autrement, l' état second s'est accompagné de dépression mélancoli
pression mélancolique. Il est à remarquer que P... est entré dans l' état second, à HYSTÉRIE MALE. 1169 la faveur d'u
M. Gille» de la Tourette a émis, comme on sait, cette opinion que l' état second n'est qu'une attaque délirante prolongée
sont survenus seu- lement quinze jours après le début du mutisme (l' état mélan- colique avait alors complètement disparu
fin que ce troisième accès de mutisme s'est développé au cours de l' état second, et que malgré le retour à l'état prime,
développé au cours de l'état second, et que malgré le retour à l' état prime, il a persisté encore pendant quatre-vingt-
notre malade par un grand nombre de syndromes : amaurose, mutisme, état REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
la membrane néoformée, parvenue dans le premier cas à la période d' état , dans le deuxième cas à la période initiale. D'
aitement médical amélioration puis aggravation progressive, mort en état de mal. Hémisphère gauche pesant 115 grammes de
les condamnations pour infractions nettement symptomatiques d'un état quelconque d'aliénation mentale et à faciliter la
futurs avocats ou magistrats instructeurs, de façon à les mettre en état de mieux reconnaître les cas dans lesquels un d
re. Si ce soi-di-ant indiscipliné est, par hasard, un cérébral, son état sera méconnu, car les fugues et les impulsions
sera méconnu, car les fugues et les impulsions des épileptiques, l' état second des hystériques, les actes extravagants
les corps de troupe, jamais je n'ai été appelé à me prononcer sur l' état men- tal d'individus traduits en conseil de gue
des conseils de guerre ou de discipline. On mettrait donc fin à cet état anormal, en construisant le barrage en question
édical appro- priés à leur situation physique et mentale et où leur état s'aggrave au lieu de s'améliorer. Leur place es
lle que les déhanchements automatiques deviennent spontanés, puis l' état de conscience venant à disparaître complètement
tant d'actes qui provoquent chez lui une manifestation bruyante, un état maniaque. C'est la forme qui prédomine habituel
ges l'out attéré, épouvanté, terrorisé, il reste immo- bile dans un état complet de stupeur. De ces trois formes stupide,
intervenaient, on le trouvait haletant, couvert de sueurs, dans un état d'affolement extrême, et pour lui procurer quelqu
ahier de rapport avec les divers renseignements des veilleurs sur l' état du malade la nuit, le sommeil, la température,
érées et chaque jour, presque tous les malades passent suivant leur état , de i à 4 heures en plein air dans les jardins.
raphique. M. Bérillon. Le dicrotisme apparaît sous l'influence de l' état hypnotique : si le pouls est fréquent, il baiss
hypnotique : si le pouls est fréquent, il baisse en fréquence. A l' état de veille, par exemple, si l'on voit le pouls à 1
· SOCIÉTÉS SAVANTES. 498 Délires systématisés secondaires ci un état neurasthénique ; ' par Lalanne. Méningite tub
nir. Pas de convulsions. Fonctions normales et régulières Excellent état général ; il pesait près de 7 kilogrammes à sa na
usions, il conviendrait de réserver le nom de maladie de Litile aux états paréto-spasmodiques survenant chez des enfants
itié gauche du corps était paralysée et fortement contracturée. Cet état comateux dura vingt-quatre heures ; le malade r
sacrée médiane gagnant rapidement en surface et en pro- fondeur. L' état général s'aggrave, coma, mort. Autopsie. La fac
érieur et inférieur gauches ; enfin le côté droit est le siège d'un état parétique analogue à celui qui avait atteint, q
ines rares, chargées de pus, diarrhée fétide. Au bout de deux mois, état général mauvais, escarre au niveau du sacrum, q
issements fréquents, diarrhée incessante. Cinq jours plus tard, cet état infectieux devient très accusé, subdélirium. L'
- nomènes infectieux s'accroissent, et la malade succombe dans un état comateux, trois mois et vingt et un jours après a
nt, dans les mêmes conditions, que dans l'écorce de sujets morts en état de mal épi- leptique. On serait tenté de leur a
nvestigation. L'au- teur poursuit par les recherches modernes sur l' état gastrique, l'urine, le sang des épileptiques av
blessure péné- trante du cerveau, par Mike. 232. Hémiplégie. De l' état facial supé- rieur et du moteur oculaire com-
rinaire - par Sépet, 486. Délire systéma- tisé secondaire dans un état . J)a ! LIlaill)e, 491. Neurone. Validité de
20 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
on livre intitulé Neurypnologr, James Braid définit l'hypnotisme « un état particulier du système nerveux délep-' miné par d
isme représente cliniquement un groupe naturel comprenant une série d' états nerveux différents les uns des autres» chacun d'e
tre la léthargie, la catalepsie et le somnambulisme hypnotique et les états de même nom appartenant à l'hystérie, il n'existe
Gilles de la Tourette que cette différence, à savoir que les premiers états sont provoqués, les autres spontanés. Or, la diff
' Jules Siuo.s, 1883. p. 19. (t) J. M. Charcot: Note sur les divers états nerveux déterminés par Vhypnotisation sur les hys
et de ses applications à la thérapeutique, 2* édition, 1888. les états dits hypnotiques peuvent apparaître spontanément
z les sujets hypnotisés peuvent se rencontrer sur des hystériques à l' état de veille et font éventuellement partie du cortèg
acun d'eux peut exister isolément chez des hystériques en dehors de l' état d'hypnose provoquée, n'est-on pas en droit de les
même enfin, pour MM. Gilles de la Tourelle et Cathelineau, les divers états hypnotiques se jugent par une formule clinique id
découverte antérieurement par les mêmes auteurs pour l'attaque et les états de mal hystérique. a Entre l'hypnose provoquée
s sont parfois tout comme les somnambules hystériques plongés dans un état psychique second. — L'influence thérapeutique de
qui, ou préexistent (dans la veille même), ou sont chez le malade à l' état latent. L'hypnotisme ne représente ici qu'un réac
ation en général considérable de la suggestibilité. En somme, c'est l' état d'automatisme qui est caractéristique de l'hypnos
t, explique tout, est leprimus moyens de tous les faits observés. L' état hypnotique n'est pas un état spécial, anormal, ar
s moyens de tous les faits observés. L'état hypnotique n'est pas un état spécial, anormal, artificiellement provoqué par l
saire pour obtenir les phénomènes dits hypnotiques ; ils existent à l' état de veille chez certains sujets. Tous les sujets,
réalisent aussi par affirmation simple ou entraînement suggestif à l' état de veille. La suggestion ne produit que rarement
ropriété physiologique du cerveau, la sugges-tïbilité. Il n'y a pas d' état spécial méritant le nom d'hypnotisme, il n'y a qu
t pense que les phénomènes dits hypnotiques ne sont pas fonction d'un état particulier de l'organisme artificiellement créé,
s aussi grandes que les suggcstibilités normales et pathologiques à l' état de veille. « Si, dit M. Crocq, l'hypnose n'est
a suggestibiîité, il faudrait croire que ceux seuls qui possèdent à l' état de veille une hypcrsuggestibilité très accentuée,
erexcitabilité neuro-musculaire vraie. Quoi qu'il en soit, depuis l' état de veille jusqu'à l'état hypnotique le plus compl
ulaire vraie. Quoi qu'il en soit, depuis l'état de veille jusqu'à l' état hypnotique le plus complet, depuis l'hypnose la p
tain moment se sont trouvésmultipliés par les divers observateurs les états décrits dans la sommation provoquée. Si nous av
up d'auteurs. Dans les cas où il nous a semblé mettre les sujets en état apparent de sommeil nous avons conservé de très g
t tels, il est réellement souvent bien difficile de savoir où finit l' état de veille, où commence le sommeil. Braid consid
, mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est plongé dans le même état . Et de fait, l'oubli au réveil a été considéré pa
été considéré par beaucoup d'auteurs comme le signe fondamental de l' état hypnotique. M. Bérillon a fait justement remarq
érales sur l'hyjmotisme. G. R. Soc. Biologie, 15 décembre 1883. — Les états mixtes de l'hypnotisme. Revue scientifique, 12 ju
Revue scientifique, 12 juin 1886. précise la limite qui sépare l' état normal de l'état hypnotique, c'est celui qui a ét
ue, 12 juin 1886. précise la limite qui sépare l'état normal de l' état hypnotique, c'est celui qui a été désigné sous le
l'a dit justement M. Barth, que les manifestations d'un seul et même état morbide, la diathèse nerveuse (3). Si nous igno
re de cette débilité fonctionnelle du système nerveux qui constitue l' état névropathique, nous ne la voyons pas moins, trans
ceux de sa famille, on découvre toujours la même tache originelle, l' état névropathique et c'est encore ce même état qui ex
a même tache originelle, l'état névropathique et c'est encore ce même état qui existe plus ou moins latent chez les sujets i
avec raison que chacun des organes de la vie de relation peut être en état de sommeil pendant que d'autres organes du même o
il général, dit-il, est l'ensemble des sommeils particuliers. » Les états de conscience que l'on comprend sous le nom d'hyp
stérie (strangulation, envie de pleurer, émo-tivité très grande). Cet état durait depuis deux mois, époque h laquelle cette
es sur un seul œil ne peuvent en aucune façon permettre de préjuger l' état de la sensibilité de l'autre œil, qui peut être n
En dépit des douches, du bromure, du chloral et du régime lacté, son état , loin de s'améliorer, se perpétue et même s'aggra
n motrice, l'intcllectualité est touchée. M"' Y. G. se trouve dans un état spécial d'obnubilation ; son cervenu, dit-elle au
ourd'hui, était comme endormi ; peut-ôtre s'est-il agi d'une espèce d' état second pendant lequel c elle avait tout à fait l'
fois, le 2 août 1883, et voici, de mémoire, quel était à peu près son état . Etat cataleptique très manifeste, raideur muscul
gardés. Il y a aussi des urines involontaires en petite quantité. Cet état de vie végétative persiste jusqu'au '25 décembre,
re sa classe après les vacances de Pâques. Elle en est empêchée par l' état de ses forces et envoie sa démission pour raison
ur, d'une attaque d'hystérie convulsive qui la fait retomber dans son état primitif avec aphasie, akinésie, état hypnotique,
e qui la fait retomber dans son état primitif avec aphasie, akinésie, état hypnotique, etc. Sur mes conseils, Emilie L....en
re dans mes salles, à l'hospice de II., le 10 mars 1885. Cette fois l' état hypnotique cesse après 60 jours ; l'amaigrissemen
nos enfants, et les générations qui les suivront restent dans le même état mental? Trouvons-nous, au contraire, que celte or
ans une situation d'engourdissement et d'ignorance les mettant hors d' état de penser par eux-mêmes; et, sous prétexte d'inst
ependant, l'appétit et les fonctions digestives se maintinrent en bon état . Les pupilles étaient dilatées; elles réagissaien
lules et les fibres nerveuses, ainsi que lanévroglio, étalent dans un état d'intégrité relative. L'ensemble du processus rap
ssaire sans laquelle je n'entreprends pas le traitement hypnotique. L' état des malades avant le traitement était très souven
la dépression, des idées gaies aux] idées tristes et désespérées. Ces états d'excitation cl de dépres-^ sion se développent d
ent en pareil cas que les prefl niïères gorgées d'alcool bues dans un état de dépression | font disparaître cette dernière,
tueuses, les j recherchent consciemment comme un soulagement de leur état j dépressif, loin de penser qu'ils deviennent peu
a assez souvent chez des malades atteints de. la folie circulaire, en état maniaque. Quelquefois l'abus de l'alcool dissimul
on favorable de la suggestion hypnotique se manifeste même dans l' état d'empoisonnement aigu par l'alcool où les narcoti
é en général de la manière suivante a On hypnotise le malade dans l' état où il se trouve. 11 est préférable cependant qu'i
jour suivant, l'hypnôjl tisation se répèle avec la même suggestion. L' état du malade-s'améliore habituellement après deux su
oyens d'action sont d'inégale valeur. La suggestion directe pendant l' état do veille et la suggestion (I) Traduction d'un
En effet, l'individu que l'on vient d'hypnotiser est plongé dans l' état àlypotaxie, selon l'expression de Durand de Gros
spection. Rappelons-nous cette vérité ; psychologique, à savoir que l' état d'hypotaxie est réalisé le plus aisément par le m
rogressivement accrue; la sensation auditive persiste donc comme un c état fort » ; de plus en plus vivace, elle devient pré
sychique est, pour ainsi dire, vide de tout contenu ; elle réalise un état très favorable de docilité, de malléabilité, de r
ue cas particulier. Mais, est-on jamais certain d'avoir réalisé cet état de réceptivité ? A quel moment en est-on averti ?
ant, faute do pouvoir les suggestionner. Or, si un aliéné, pris à l' état de veille, se montre ouvertement hostile à toute
différents. Prenons des exemples. Imitation. — Certains sujets en état de fascination ou de somnambulisme, imitent servi
matiques, nombreux chez le sujet normal, sont également fréquents à l' état hypnotique. Les somnambules exécutent des actes
ent ces dernières suggestionneront l'entourage. Le médium est dans un état hypnotique qui rappelle celui du somnambule. Chez
sculait les gens et s'attirait des ennuis. La suggestion améliora son état sans le guérir. Le jeune violoniste Kun Arpad
Cette jambe gauche présente un raccourcissement très net; elle est on état permanent de contracture et le malade marche tout
ans qui parait jouir de toute son intelligence et ne présenter aucun état délirant quelconque. D'autre part, sa sensibilité
et gestes ; elle se ment avec la plus grande facilité et est dans un état romanesque permanent. Deviendra-t-ellc une hyst
ic de phlegmon, môme chronique, car celui-ci ne va pas sans toucher l' état général. Néanmoins ce faux diagnostic de phlegmon
où l'on ne ramasse par les rues de trois à quatre cents personnes en état d'ivresse cocaînique complète. Tous prisent avec
quet, M. Jules Bois a soumis aux assistants un projet d'enquête sur l' état actuel des études psychologiques. A ce sujet une
de jardi n — il est extrêmement diffìcile d'examiner les animaux à l' état de liberté et de les suivre dans leurs pérégrinat
antérieurement dans le sommeil hypnotique suffit pour neutraliser les états d'anxiété, comme si le malade se trouvait en prés
ur répondre à cette question, il me faut préalablement vous exposer l' état de la législation régissant actuellement l'hypnot
ter à ces expériences, et que, par conséquent, nous ne saurions faire état du consentement donné par le sujet? Je répondrai
à mon avis, de l'acte consenti par un hypnotisé, car l'hypnose est un état de folie momentanée. Malheureusement la théorie d
e donation, soit pendant le sommeil hypnotique, avec l'apparence de l' état de veille, soit par suggestion post-hypnotique, a
tion post-hypnotique, au réveil, soit enfin par simple suggestion à l' état de veille, et cela, sans que le sujet eût cessé d
té donnée en présence d'un notaire, et même si le sujet avait agi à l' état de veille. Il suffirait à mon avis de démontrer q
a servi, soit du sommeil hypnotique, soit de la simple suggestion à l' état de veille, que comme adjuvants de ses raisonnemen
le, surtout quand l'opérateur aura provoqué le sommeil, car, dans cet état , les raisonnements équivalent en général a des or
st formel : « 11 n'y a ni crime ni délit, lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l'action, ou lorsqu'il a é
médité?.. ......« Si l'acte n'est pas en conformité parfaite avec l' état moral qui est habituel au sujet, sa sanction pé
coercition augmente la disposition des troubles mentaux à passer à l' état chronique. L'emploi de moyens de coercition dan
ens moral. Il est évident, dans ces cas-là, que l'on devra utiliser l' état d'hypnotisme non seulement pour procéder à la réé
On ne saurait s'imaginer à quel point la provocation préalable de l' état d'hypnose augmente la puissance de la suggestion.
guérison est la règle. Sans l'hypnotisme, la suggestion pratiquée à l' état de veille ne donne que des insuccès. C'est pourqu
e qui joue le rôle prépondérant dans la guérison de l'onanisme et des états mentaux qui s'y rattachent. La durée du traitem
Deux ans n'étaient pas encore accomplis, « que je me trouvai en tel état , qu'encore que mes souffrances ne fus-« sent pas
e l'arrachait avec des « ongles de for : et il me mettait dans un tel état que l'on appréhendait « que l'excès d'une douleur
tait toute déchirée à force de l'avoir mordue, et mon « gosier en tel état , tant pour mon extrême faiblesse qu'à cause que j
ectant attention » et de légers massages, la main était revenue à son état normal. La gué-rison persista le lendemain et les
nt d'un trouble d'idéation. En guérissant ce trouble, on supprimait l' état organique-Dans ces deux observations, comme dans
c vaso-constriction périphérique (leurs plaies ne saignent pas', de l' état cataleptique, des convulsions. Les marabouts save
es musicales autant de temps que ses camarades, et la mettent dans un état d'infériorité évidente pour le concours. Deux m
evant créer un rôle dans une œuvre nouvelle. Elle se trouvait dans un état de surexcitation nerveuse développée par le trava
en elle-même, elle n'était plus sûre de sa voix ni de sa mémoire. Son état était tel qu'il y avait sérieusement à craindre p
notique; je pus d'emblée l'endormir profondément et la placer dans un état de somnambulisme du second degré, c'est-à-dire bi
eu de jours, à la grande satisfaction de son directeur, elle était en état déjouer et le faisait d'une façon très brillante.
arrivée permettent tout au moins l'hypothèse sinon l'affirmation d'un état éclamptique. Aussi me suis-je cru autorisé à vo
me des mois. L'hystérique se comporte alors comme s'il était dans son état normal ; personne ne se doute qu'il fait une fugu
retrouve la mémoire de certains faits dont il n'a pas conscience à l' état normal. Il se rappelle, par exemple, qu'un jour i
de Port-Royal, Anne-Geneviève de Bourbon, duchesse de Longueville. état géxéral. — Henriette-Marie d'Angennes du Fargis n
ne se fit pas attendre : « Lorsqu'elle fut en âge de faire choix d'un état de vie, elle forma la résolution d'être Religieus
evenue inabordable et que j'en suis réduit à tenter la suggestion à l' état de veille qui devient illusoire et d'ailleurs aus
quelle il est endormi assez facilement par le regard et la parole, en état de somnambulisme (anesthésie. etc.) Je lui suggèr
de le répéter, étant donné le bien énorme qui pourrait résulter d'un état de chose différent. Nous ajouterons que les méd
vosité est comparable à la nôtre, et que nous retrouvons chez eux des états pathologiques analogues, aux nôtres, tout aussi b
t l'animal atteint de troubles aussi graves que ceux provoqués par un état hystérique, est inutilisable et rapidement sacrif
liénation mentale sont multiples; mais le plus souvent c'est d'un état pathologique de l'appareil digestif (estomac, int
ux premiers jours du mois de janvier 1885. A partir de ce moment, son état s'aggrava. La sitophobie devint presque continue,
uicide, mais refus complet d'aliment, délire vague et insomnie. Son état est resté pendant quatre années et demie à peu pr
core longtemps. Dans les deux cas, la sitophobie ne dérive pas d'un état morbide de l'appareil digestif, car alors la dénu
ener sinon la guérison totale, au moins une amélioration notable de l' état mental. Mais lorsque la maladie dure depuis quelq
e l'état mental. Mais lorsque la maladie dure depuis quelque temps, l' état général de l'organisme peut s'améliorer sans qu'i
nisme peut s'améliorer sans qu'il en résulte aucune modification de l' état psychique. Dans le premier cas, la mort a été c
i, presque cinq ans et probablement restera encore longtemps dans cet état . Cette différence de réaction dé l'organisme à la
lamait que jamais personne ne pourrait l'endormir. Pour obtenir cet état particulier chez son fils, M. D. le conduisit che
'opération. Alors seulement il me parut se réveiller et revenir à son état normal. Cette observation est intéressante à de
s deux théories paraissent également insuffisantes pour expliquer cet état morbide. ha théorie intellectuelle néglige pres
l'obsession, appartient aux troubles de la volonté. Si l'on étudie l' état des obsédés, en dehors de leurs crises angoissant
mais avec moins de violence » ('). Elle était dès lors « dans un tel état , que son père eût eu assez de peine à trouver un
it... beaucoup, et elle devint vers le mois de juin (10GO, 17 ans) en état qu'elle... ne pouvoit plus descendre pour communi
» « Je lui dis, dit Angélique, que j'avais désiré qu'elle la vît en l' état où elle était, parce qu'il est utile aux enfants
s » p). • Toutefois «Dieu l'éprouva les six dernières semaines par un état intérieur tout-à-fait pénible » (s). En effet, «
nous insistions sur l'utilité de faire exécuter au malade, pendant l' état d'hypnose, des exercices de gymnastique réguliers
a production du sommeil. En un mot, il faut obtenir l'apparition d'un état d'automatisme accentué dont l'utilisation sera fa
es actions qui se montrent impuissantes Iorsquelles sont exercées à l' état de veille, deviennent d'une (1) Bérillon.— Acti
cacité remarquable, lorsqu'elles le sont chez le malade plongé dans l' état d'hypnotisme. Le monoidéisme qui caractérise l'
e plongé dans l'état d'hypnotisme. Le monoidéisme qui caractérise l' état psychique de l'hypnotisé pourrait suffire à donne
rapeuti-quement. Le sujet atteint de choréc ou de tics étant dans l' état d'hypnotisme, l'action mécanique consistera essen
imprimera, au commandement, des mouvements réguliers bien rythmés. L' état de passivité du sujet, développé par la productio
le représentation virtuelle. Il en résulte l'apparition d'un nouvel état de conscience en rapport avec le besoin du sujet
pper des centres d'arrêt auront été faits à plusieurs reprises dans l' état d'hypnose, ils pourront être exécutés alternative
s l'état d'hypnose, ils pourront être exécutés alternativement dans l' état d'hypnose et à l'état de veille. Ensuite, ils n
s pourront être exécutés alternativement dans l'état d'hypnose et à l' état de veille. Ensuite, ils ne le seront plus qu'à
ypnose et à l'état de veille. Ensuite, ils ne le seront plus qu'à l' état de veille. C'est ainsi que l'automatisme du début
C'est ainsi que l'automatisme du début fait progressivement place à l' état conscient. Dans certains cas les résultats du t
en une seule séance, après l'exécution de mouvements passifs dans l' état d'hypnose ('). Le but de cette. communication e
z des chattes et chez des vaches; (1) Les mouvements passifs dans l' état d'hypnose peuvent porter mieux sur les muscles de
, nous avons, en une ou plusieurs séances, obtenu la gué-rîson de ces états pénibles en exécutant tes tractions rythmées de l
venues. II avait donc suffi d'enlever « par une simple suggestion à l' état de veille l'obsession qui jouait le « rôle d'arrê
es sangsues, le repos au lit, ainsi qu'un traitement médicamenteux. L' état aigu ne tarde point à s'améliorer : la malade peu
les vomissements ne sont point supprimés pour cela ; ils passent à l' état chronique. Cependant, au bout de deux .mois, ils
issement, est, à chaque repas, suscité dans l'esprit de la malade à l' état de représentation obsédante ;... et, par cela môm
scrupuleuse qui, à force de faire vibrer son émotivité l'a amenée à l' état d'équilibre instable. Chez l'homme de tout à l'
e rêve une source précieuse de renseignements non seulement sur notre état psychologique, mais aussi sur notre état physiolo
ents non seulement sur notre état psychologique, mais aussi sur notre état physiolo- . CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Les
ement la pathologie nerveuse qui est la plus intéressée à connaître l' état du rêve ; mais la pathologie générale ne doit pas
ologie de Paris. (1 novembre 1901.) nette de ce qui distingue cet état névropathique, ce qui revient à dire qu'il doit a
'ils ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l' état mental des malades qui en sont atteints. Mais e
qui ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l' état mental des malades ; la neurasthénie peut durer d
même de la maladie du doute, qui n'apporte aucune perturbation dans l' état général et n'affaiblit pas les facultés intellect
repos qui lui est indispensable et l'on accélère ainsi le retour à l' état normal. En réalité, la psychothérapie a rendu ser
En résumé, voici la définition que je propose :¦ ? hystérie est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve capable
définir l'hypnotisme de la manière suivante : .L'hypnotisme est un état psychique rendant te sujet qui s'y trouve suscept
actement semblablesàcelles de l'hypnotisme. Ce qui distingue ces deux états c'est que dans le premier les troubles sont le ré
le d'exagérer par suggestion les réflexes tendineux et de ramener à l' état normal, par la persuasion, des réflexes tendineux
ssable », le néologisme « pithiatisme • pourrait fort bien désigner l' état psyclnr[uc qui se manifeste par des troubles guér
oge de Port-Royal. Observation IV, — MàGdelaine-Claude BAUDRAND état général. — Magdelaine-Claude Baudrand, peut-être
de ladite tumeur, enflure et dureté, son ventre étant rétabli en son état naturel » De plus elle « avoit la voix fort cla
ssesse assez avancée. Par places, il y avait comme de la submatité. L' état général est du reste excellent. Dans la journée,
scussion M. Jules Voisin- — L'onanisme se rencontre fréquemment à l' état périodique chez les idiots et les imbéciles. Le c
t chez une personne intelligente. Le rapprochement qu'il fait entre l' état mental de la malade et celui d'une dipsomane est
ellement intermittente et paroxystique. La malade a conscience de son état , mais elle ne peut faire autrement. Elle se sent
it, toutefois, est à noter : pendant qu'elle me parle et m'expose son état , son ptyalisme est comme suspendu ; elle a craché
d'heure qu'a duré notre entrelien. Sans méconnaître le très mauvais état de son tube digestif, je ne puis tout de même pas
antiputrides, antiseptiques, absorbants, laxatifs, lavements, etc.) L' état du tube digestif n'est redevenu normal qu'après p
t demie, M. le Dr Paul Joire, de Lille, fera une conférence sur : Les états tnédiumniques de l'hypnose.—Etats hypnotiques pro
'utiliser les certitudes acquises en les appliquant au traitement des états morbides de la volonté, de la conscience, de l'in
érimentation, suivant la méthode de Claude Bernard, il comprend que l' état de maladie n'est qu'une déviation de l'état physi
ernard, il comprend que l'état de maladie n'est qu'une déviation de l' état physiologique, et il inscrit au fronton de son éd
d légèrement modifiée par M. Richer L'hypnotisme est l'ensemble des états particuliers du système nerveux déterminé par des
on peut provoquer à l'aide de manœuvres artificielles sans modifier l' état général primitivement obtenu. Tout spécialement
influence de la cause la plus minime, sans raison apparente même, les états obtenus peuvent se modifier subitement et se tran
la nécessité de différencier nettement les uns des autres ces divers états et il n'est que juste de dire que sa classificati
es sujets hypnotisés ne répondent pas, dit Charcot, à un seul et même état nerveux. L'hypnotisme représente cliniquement u
isme représente cliniquement un groupe naturel comprenant une série d' états nerveux, différents les uns des autres, chacu
ar une symptomatologie qui lui appartient en propre. Ces différents états , dont l'ensemble représente toute la symptomatolo
l'hypnotisme, peuvent se ramener à trois types fondamentaux : i° L' état cataleptique; 2° L'état léthargique ; 3° L'ét
ramener à trois types fondamentaux : i° L'état cataleptique; 2° L' état léthargique ; 3° L'état somnambulique. Chacun
amentaux : i° L'état cataleptique; 2° L'état léthargique ; 3° L' état somnambulique. Chacun de ces états jouit d'une
2° L'état léthargique ; 3° L'état somnambulique. Chacun de ces états jouit d'une autonomie réelle en ce sens qu'ils pe
affection. Rappelons très sommairement les caractères de ces divers états : ift Etat cataleptique. — Le sujet cataleptiqu
ns variées. 2° Etat léthargique. — L'hystérique en léthargie est en état de résolution générale de tous ses muscles. Les m
° Etat somnambulique. — Ici l'hyperexcitabilité neuro-musculaire de l' état léthargique n'existe plus, mais il est possible d
ne la vie ordinaire d'un chacun, on peut formuler cette loi qu'à tout état psychologique (c'est-à-dire intellectuel, mental,
oup d'hypothèses possèdent ces caractères et restent indéfiniment à l' état d'hypothèses, à moins qu'elles ne soient, un jour
qui pratiquent ces sortes d'expériences ne sont pas tous dans le même état psychologique. Au début, ils exercent, pour ainsi
ui se soumirent à cette règle. Mais alors, qui nous dirait jamais les états d'âme des infortunées créatures devenues les suje
t demie, M. le Dr Paul Joire, de Lille, fera une conférence sur : Les états médiumniques de Vhypnose. —Etats hypnotiques prof
lui, dans son cerveau, elle prend ses racines vraies surtout dans les états passifs dont le sommeil et les rêves sont le terr
ans le monde de l'Inconnu. Les croyances religieuses, nées dans les états passifs de la vie, me paraissent devoir se transf
caractère commun de ne pas faire partie de l'enchaînement ordinaire d' états de conscience que nous identifions avec notre moi
rêve jusqu'à l'écriture automatique, depuis l'hallucination jusqu'à l' état de trance, le champ est vaste. Personne ne l'a
est obtenu sans engourdir ou disloquer le système nerveux général. L' état de trance n'est même plus nécessaire. Soit qu'on
n'est même plus nécessaire. Soit qu'on se serve de la suggestion à l' état de veille, soit qu'on se serve de la suggestion p
ions du pouvoir ordinaire que certaines personnes peuvent exercer à l' état de veille; 2° Les effets non spécialisés de l'é
isoiabiiitê de ce phénomène qui ordinairement indique si exactement l' état de l'organisme entier. Ici, M. Myers reproduit
re, a-t-on dit, est une hystérie de culture. La description des trois états est une création purement artificielle, résultant
qui, ou préexistent (dans la veille même) ou sont chez le malade à l' état latent. L'hypnotisme ne représenterait donc qu'un
s déjà, ce que pouvait avoir d'un peu absolu la description des trois états envisagés isolément et je me suis efforcé de mett
es et les fonctions persistantes ou excitées. D'ailleurs, outre les états qu'on a appelés francs (somnambulisme, catalepsie
phénomènes qui caractérisent les divers degrés de la sommation. Ces états mixtes ne sont que des phases intermédiaires, des
es traits d'union entre les périodes franches et, en somme, tous, les états différents décrits dans l'hypnose ne "sont que de
re envisagé comme un processus essentiellement progressif et depuis l' état de veille jusqu'à la léthargie qui nous semble êt
ne même excitation suffisamment prolongée, faire passer le sujet de l' état de -veille à l'état somnambulique, puis insensibl
uffisamment prolongée, faire passer le sujet de l'état de -veille à l' état somnambulique, puis insensiblement à l'état catal
de l'état de -veille à l'état somnambulique, puis insensiblement à l' état cataleptique et enfin à l'état léthargique. Dan
somnambulique, puis insensiblement à l'état cataleptique et enfin à l' état léthargique. Dans une série de communications f
de biologie en 1883, M. Brémaud (de Brest), attira l'attention sur un état spécial, l'état de fascination qui, pour lui, rep
883, M. Brémaud (de Brest), attira l'attention sur un état spécial, l' état de fascination qui, pour lui, représentait pour a
ibilité trop grande des sujets les avait fait tomber de suite dans un état plus profond du sommeil provoqué. Et même chez
riences étant multipliées, l'impressionnabilité du sujet croissant, l' état de fascination disparaissait ; l'état établi d'em
nnabilité du sujet croissant, l'état de fascination disparaissait ; l' état établi d'emblée était la catalepsie. Chez les s
r les diverses malades soumises à l'hypnotisation dépendent soit do l' état du sujet avant l'expérience, soit des moyens empl
vertex suffisamment prolongée, je pouvais faire passer mon sujet de l' état de veille à l'état som-nambulique, puis du somnam
prolongée, je pouvais faire passer mon sujet de l'état de veille à l' état som-nambulique, puis du somnambulisme en cataleps
sur l'hystérie, le professeur Pitres ne distingue pas moins de douze états dérivés du somnambulisme, de la catalepsie et de
observateurs de Nancy. Le fait de cette multiplication possible des états de l'hypnose est particulièrement évident, précis
lus long, le sujet deviendra cataleptique. Mais ce passage du premier état dans le second ne se fera pas brusquement et tout
à supprimer l'action hypnogénique, on pourra laisser le sujet dans un état , arrêter le malade pour ainsi dire à un degré qui
lisme franc, qui ne sera pas encore la catalepsie vraie, mais bien un état mixte qui présentera mélangés et réunis les phéno
tre multiple à l'infini au gré de l'expérimentateur. En haut serait l' état de veille, en bas la léthargie ; aux principaux é
alepsie, chaque marche représentant pour ainsi dire un degré dans les états intermédiaires. Certains sujets, rares il est vra
dans les états intermédiaires. Certains sujets, rares il est vrai, en état parfait d'équilibre physique et psychique, ne s'y
plus bas mais resteront encore cantonnés dans les degrés supérieurs ( états de fascination, de somnambulisme léger, etc.) Les
sion-nabilité, leur moindre degré de résistance à la suggestion, leur état de névrosisme plus ou moins prononcé. Et dans cet
fait jusqu'alors. Il y avait plusieurs mois qu'elle était dans cet état , lorsqu'elle vit notre collègue le Dp Manfroni, v
e a des insomnies rebelles pendant lesquelles elle se lamente sur son état et entretient son émoti-vité. Elle n'ose môme plu
. Aussi étant donné ce qu'a présenté cette femme depuis deux ans, son état mental et son hyperesthésie psychique actuelle, j
st incomplète au point de vue scientifique puisqu'elle caractérise un état où la grossesse n'existe pas. Il en est de même d
une et l'autre, après le neuvième mois, tout est revenu peu à peu à l' état normal. L'imagination a donc eu chez ces deux f
ue la disparition des phénomènes anormaux ont bien correspondu à deux états psychiques opposés, celui de l'illusion et celui
s le premier cas, de deux dans le second. Une habile suggestion à l' état de veille, fit presqu'aussitôt reparaître les règ
it aucune douleur. Dès la première visite, nous la plongeons dans l' état d'hypnose par fixation des yeux et suggestion du
che soulevé reste encatalepsie. Le membre droit retombe lourdement en état de léthargie. Après le réveil, qui n'est obtenu q
'acte de souffler avec insistance sur les yeux, la malade revient à l' état antérieur. Ainsi la même cause, (fixation des y
Ainsi la même cause, (fixation des yeux et suggestion) a provoqué un état d'hypnotisme différent pour chaque côté du corps,
ns aucune intention de l'expérimentateur, provoquer l'apparition d'un état d'hypnotisme "de degré différent, pour chaque côt
détruisent certaines légendes admises depuis toujours et passées à l' état d'axiomes qu'on ne discute et ne vérifie plus ; l
e point de départ primitif, en n'employant plus que la suggestion à l' état de veille, ou plus exactement à l'état de conscie
ant plus que la suggestion à l'état de veille, ou plus exactement à l' état de conscience parfaite. Ce procédé présente un av
• A l'appui de notre théorie sur l'influence -de la suggestion à l' état de veille, il nous parait intéressant de reprodui
les ne s'appliqueront qu'à certains cas. 2° lleidenham attribuait l' état hypnotique à une inhibition de l'action des cellu
forment un département dans un vaste royaume de communications entre état et état, entre conscience et conscience, entre pe
un département dans un vaste royaume de communications entre état et état , entre conscience et conscience, entre personnali
vidu normal les deux consciences ne sont presque pas dissociables à l' état de veille et souvent le sommeil artificiel hypnot
dre sous forme de communication. Vous avez vu sur cette malade deux états de l'hypnose, différents pour chaque côté du corp
périphériques les plus diverses peuvent, chezl'hystéro-épileptiquc en état d'opportunité, déterminer la production des phéno
'ils accompagnent pas à pas dans toutes ses phases, en rapport avec l' état des centres encéphaliques. Aussi l'examen de la
é primitivementsensible;lec6té anesthésique reste, au contraire, en l' état . Il y a hypnose unilatérale. Remarquons cependa
nérale que spéciale des deux côtés du corps. Dans ces conditions, les états somnambulique, cataleptique, léthargique peuvent
orsqu'elle n'occupait qu'une des moitiés du sujet. Dans le cas où l' état de la sensibilité est différent pour chaque côté
offrent, pour chacun de ces côtés, un développement en rapport avec l' état de la sensibilité. II se produit alors, le plus g
at de la sensibilité. II se produit alors, le plus généralement, deux états différents et simultanés sous l'influence de la m
lité est la plus marquée avant l'expérience, se trouve placée dans un état plus profond, plus complet, dans un degré plus av
sme, l'intensité des phénomènes qui les caractérisent dépendent de' l' état de la sensibilité (générale et spéciale). Elles l
spéciale). Elles lui sont en quelque sorte proportionnelles. Mais l' état de la sensibilité ne fait que traduire au dehors
les. Mais l'état de la sensibilité ne fait que traduire au dehors l' état de fonctionnement des hémisphères cérébraux. On p
du sujet avant l'expérience, on peut, presqu'à coup sûr, juger de son état d'après le degré et l'intensité des phénomènes ob
, quel qu'il soit, qui soit capable de ramener ces deux fonctions à l' état normal. » Tout métaphorique que soit parfois le
hériques, à la fois sensitifs et vaso-moteurs, avec modification de l' état mental. Toutes les fois que, pour une cause ou po
à la malade : « Qu'avez-vous donc ? Vous ne paraissez pas dans votre état normal ! — Mais, je n'ai rien, rien du tout...
j'avais peur, si je revenais vous voir, de me retrouver dans le même état et surtout d'être obligée de vous demander les ca
est quelquefois regrettable. Le sujet ne connaît point la cause de l' état spécial dans lequel l'a mis la suggestion ; il se
s corps. Vers la même époque, le baron de Reichembach affirma que l' état somnambulique n'était pas nécessaire pour détermi
vé. Les deux sujets se trouveraient alors respectivement dans le même état psychique et éprouveraient simultanémentla même s
la même sensation. Cherchons la cause de l'antévision dans d'autres états cérébraux définis. Est-ce purement un effet de
' Enfin ce qui distingue essentiellement l'antévision de ces divers états , c'est que l'image réelle suit toujours, à courte
ortement contestée, n'aurait été observée que chez certains sujets en état d'hypnose. D'ailleurs, dans l'antévision, le phén
ner le cerveau de l'antévoyant, qui se trouverait a ce moment dans un état favorable, et y réveillerait une image déjk reçue
de réceptivité nous échappe comme, du reste, celle de la plupart des états psychiques anormaux et transitoires dont la const
le couloir et y tombe la face contre terre ; son mari est dans un état comateux. La grille de la cheminée, que l'on remp
revient rapidement à elle. Le mari reste pendant quatre jours dans un état semi-comateux. Au bout de quatre jours, il commen
conscience de lui-même, mais non pas de la situation; il conserve son état d'hébétude et de torpeur intellectuelle; sa mémoi
qués au coin d'une autre personnalité; ils sont la manifestation d'un état second. Notre homme, jusque-là intelligentetactif
e déraisonne pas, mais a seulement de la torpeur intellectuelle ; son état ressemble à ceux que-produit le choc cérébal. C
ressemble à ceux que-produit le choc cérébal. C'est précisément cet état de torpeur intellectuelle qui en a imposé aux méd
e chronique, non pas le délire de persécution proprement dit, mais un état délirant avec accès de mélancolie, chez des sujet
lication intempestive à la phlébite ; l'électricité ne mettra plus en état de contracture les membres de certains paraplégiq
l. . La technique de l'hypnotisme. —Les procédés pour provoquer les états profonds de l'hypnose. Lundi 28 Avril, . La sug
Phénomènes rèactionnels marquant la transition de Vétat de veille à l' état d'hypnose. Prennent part à la discussion : MM. Pa
ditions nécessaires à la pratique de l'auto-suggestion. Le meilleur état pour pratiquer l'auto-suggestion est la somnolenc
suggestion de s'endormir et se réveiller de nouveau, pour fixer l' état de somnolence le plus voisin du sommeil. 2° S'e
e caractère et la volonté Les phénomènes réactionnels du début de l' état d'hypnose. Par le Dr Bébillon. Chez un assez
Bébillon. Chez un assez grand nombre de personnes, le passage de l' état de veille à l'état de sommeil normal, de même que
n assez grand nombre de personnes, le passage de l'état de veille à l' état de sommeil normal, de même que le retour à l'état
'état de veille à l'état de sommeil normal, de même que le retour à l' état de veille après le sommeil, s'accompagne de phéno
lit. L'apparition de ces phénomènes marque une limite entre les deux états si différents de veille et du sommeil. Quand il
déterminer souvent d'une façon précise la limite qui sépare les deux états et connaître le moment où s'effectue le passage d
e les deux états et connaître le moment où s'effectue le passage de l' état de veille à l'état de sommeil. M. le Dr Liébeau
connaître le moment où s'effectue le passage de l'état de veille à l' état de sommeil. M. le Dr Liébeault, auquel on doit
nes avant-coureurs et leur cessation brusque marque l'apparition de l' état de résolution. M. Liébeault donnait de ces fait
serions plus disposés à les considérer comme sous la dépendance d'un état émotif et liés à l'existence d'un état d'hystérie
comme sous la dépendance d'un état émotif et liés à l'existence d'un état d'hystérie plus ou moins accentué. Ce qui me conf
met de pronostiquer que le sujet ne tardera pas à être plongé dans un état profond de l'hypnose. Discussion. M. Paul Mag
ecin compétent en la matière. D'ailleurs, comme l'hystérie est un des états qui sont le plus justiciables du traitement de l'
e, on constate ces mouvements réflexes. Réflexes généraux pendant l' état d'hypnose Par M. le docteur Corisin La malade d
lade certains phénomènes réactionnels qui marquent la transition de l' état de veille à l'état d'hypnose et qui, en règle gén
mènes réactionnels qui marquent la transition de l'état de veille à l' état d'hypnose et qui, en règle générale, ne se produi
es phénomènes réactionnels et émotionnels marquant la transition de l' état de veille à l'état d'hypnose que nous avons pu ob
ionnels et émotionnels marquant la transition de l'état de veille à l' état d'hypnose que nous avons pu observer chez elle mi
e est retombée depuis deux mois. Les conditions dans lesquelles son état s'est constitué sont intéressantes. Son père étai
et lui raconte ses peines. Dès les premières manifestations de cet état , à 20 ans, elle est soignée à Bordeaux par m. Pit
après ces malheurs, des peines morales; il a fallu qu'elle acquit un état spécial de sugges-tibilité. Il y a des distrait
faut un rétrécissement de la mentalité. Pour qu'un sujet arrive à un état tel que celui de cette jeune femme, il faut que l
Cela l'effraya et elle rapporta ces phénomènes anormaux à un mauvais état de ses yeux, comme jadis elle avait été amenée à
s nous. Elle ne présente aucun stigmate d'hystérie ; elle n'a pas l' état mental de l'hystérie ; on l'a endormie jadis, mai
dis, on lui a enlevé son utérus ; j'ai connu un homme de 30 ans, avec état mental semblable au sien et à qui on u coupé succ
art, elle est intelligente, on lui expliquera quel est exactement son état et comment lui sont venues ses douleurs et elle g
hypnotisme, ù mon sens, est une science qui s'applique à l'étude d'un état particulier des êtres vivants, dont le système ne
nt de troubles de l'organisme (menstruation, intoxications). Dans cet état , la volonté, le moi est atténué ou même supprimé,
re la porte, et dont elle est consciente, l'a fait résister. Mais son état de santé actuel rendrait l'hypnotisme plus diffic
embre. Désirant me rendre compte si la conscience persistait dans cet état , et après avoir averti la mère, j'impose à mon hy
e moment. Ces toxines ont sans doute produit cet ensemble simulant un état typhoïde. L'utilité de l'hypnotisme et de la su
nt substituer à un état de choses producteur de criminalité, un autre état qui ne Je soit pas. Je rattache aussi à cette par
llon. Un fait qui nous a souvent frappé lorsque nous avons étudié l' état mental des buveurs d'habitude, c'est que dans la
dans la vie de l'individu et déterminent l'apparition d'un véritable état d'aboulie, il faut noter : 1° Les émotions dépr
se manifeste essentiellement par l'apparition ou l'accentuation de l' état d'aboulie. L'individu semble, depuis ses ennuis o
uis lors; la présence de ce supérieur provoque chez lui de véritables états d'anxiété : quand il est interrogé par lui, il se
le, il tremble, il balbutie. Il s'est aperçu que le seul remède à cet état était l'absorption d'une certaine quantité d'alco
abitude que nous avons observés, nous avons constaté l'existence d'un état d'a&oufie très manifeste. II est vrai que cet
ccidents montrent qu'il s'agit d'autre chose : ce délire reproduit un état émotionnel dans lequel elle s'est trouvée placée.
ue temps elle a des crises de nerfs, puis elle revient à peu près à l' état normal. Il y a un an, elle fait la connaissance
t malfaiteur, en effet, porte en lui un germe d'amendement moral, à l' état plus ou moins potentiel et latent ; c'est comme u
i injuste et immoral que de dire à un malade : « Tu es incurable, ton état est sans espoir, il est inutile de rien tenter po
ur l'avenir. » C'estdonc folie de faire la révolution avant d'être en état de l'utiliser ; c'est courir au devant d'un désas
» Le plus grand obstacle à l'émancipation des prolétaires, c'est l' état lamentable de leur mentalité, leurs désordres, le
r le corps social actuel de sa phase embryonnaire, pour l'amener de l' état larvaire à l'état d'organisme achevé, il ne faudr
actuel de sa phase embryonnaire, pour l'amener de l'état larvaire à l' état d'organisme achevé, il ne faudra peut-être pas mo
n fait d'abord un homme résistant. Quand le médecin juge qu'il est en état de travailler, le'directeur le fait venir et lui
Voyons ce que les Américains ont imaginé pour l'amélioration de leur état moral. Notre homme, je l'ai dit, a été. dès son
lui assurer du pain jusqu'à ce qu'il ait trouvé de l'ouvrage. Si l' état moral du condamné ne s'améliore pas, si au lieu d
ours de) p. 287. Hypnose (Les phénomènes réactionnels du début de l' état d'), par Bérillon, p. 337. Hypnose (Réflexes gé
t d'), par Bérillon, p. 337. Hypnose (Réflexes généraux pendant l' état d'), par Corinin, p. 310. Hypnotiseur de serpents
21 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e dia- gnostic. - TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 3 Cet état persiste pendant plus d'un mois. Puis les vomis-
la malade sans fièvre, et avec conservation relativement bonne de l' état 'général; mais néanmoins, presque dès le début,
ce le 24 novembre 1902. Je vais maintenant examiner devant vous son état actuel (12 décembre 1902). Voici la malade de
es est rendue, il est vrai, difficile par l'amaurose et aussi par l' état d'hébétude actuel de la malade; mais par un exa
is elle sentait très bien les diverses odeurs. Cette recherche de l' état de l'odo- rat, on la néglige un peu en général
ndant un nouveau symptôme très intéres- sant. Voyons maintenant l' état des différents muscles : j'ob- serve au niveau
sif de tous les muscles, sans atrophies musculaires localisées. L' état intellectuel de la malade, qui était resté longte
à eau heureusement modifié par M. IIallion. Vous savez bien qu'à l' état normal, l'espace sous-arachnoï- dien se continu
s des membres supérieurs sont assez souvent diminués. Par contre, l' état des réflexes cutanés ne parait pas avoir de val
t sur le point de vue de Kahl- baum et définit la catatonie comme « états particuliers d'excitation, passant dans la stup
et sa soeur. Deux' ans de cela, pendant un ou deux jours, il eut un état passager 'du- trouble p.ychique suivant : il av
ussi; il parlait d'une voix ! qu'on entendait à peine. Concernant l' état psychique on constata line, confusion mentale,
ombinaison, sa sphère psychique est si affaiblie qu'il n'est pas en état d'entretenir aucune conversation. Il existe chez
a au mois de juin de l'année 1900. En comparant la description de l' état du malade faite par le Dr Protopopoff et son él
genoux et le tendon du muscle gastro-cnémien reste tendu. Tel est l' état de sa mobilité locomotrice. On remarque un néga
t remplie de quelque chose. Les muscles mimiques de la face sont en état de tension tonique. Souvent le malade rit et mê
cérébrale d'association, si même elle existe chez lui, se trouve en état d'inhibition. Toute la conduite du malade prouve
élan- colique cherche ordinairement dans lui-même la cause de son état dépressif. Quant à notre malade, outre l'autu-acc
e. Donc, la psychose initiale de notre malade, s'exprimant par un état de mélancolie avec délire épisodique, parfois a
e. . En nous basant sur tout ce que nous venons de citer et sur l' état actuel du malade, nous nous comptons en droit,
binaison. Mange et dort bien. Graduellement le malade passe dans un état de démence de plus en plus profonde. Actuelleme
s en plus profonde. Actuellement (1900), le malade se trouve dans l' état que nous allons décrire à l'instant et qui, d'a
l'hôpital . de l'Empereur Alexander et de l'asile de réception, cet état a été déjà constaté encore avant, à savoir, au
cours suivant de la maladie on pouvait observer chez le malade deux états , état de dépression et état d'exci- 28 CLINIQUE
uivant de la maladie on pouvait observer chez le malade deux états, état de dépression et état d'exci- 28 CLINIQUE MENTA
n pouvait observer chez le malade deux états, état de dépression et état d'exci- 28 CLINIQUE MENTALE. tation, mais tou
ance d'un fond basi- laire de démence. Ces symptômes, tantôt d'un état maniaque, tantôt d'un état mélancolique, pouvai
de démence. Ces symptômes, tantôt d'un état maniaque, tantôt d'un état mélancolique, pouvaient donner lieu à présumer ic
ut à fait bien portants et présentent certaines particu- ; larités ( état dépressif, irritabilité, des positions forcées) ;
énomènes psycho-mo- teurs nous remarquons et même actuellement deux états : état d'altonité et état d'excitation motrice
psycho-mo- teurs nous remarquons et même actuellement deux états : état d'altonité et état d'excitation motrice uniform
ous remarquons et même actuellement deux états : état d'altonité et état d'excitation motrice uniforme. Pour la plupart de
n motrice uniforme. Pour la plupart de temps la malade se trouve en état proche de la stupeur, reste assise conservant u
pas une pose d'un mélancolique stupeureux ; si on la retire de cet état , elle commence à parler et à rire. Avec un sou-
t « un péché », qu'elle est jeune et son mari vieux. Fixée de son état d'attonité elle manifeste des phénomènes d'une ex
l'excitation habituelle avec mouvements stéréotypes. En septembre l' état de la malade était sans modifications visi- ble
uniforme de certains centres, tandis que d'autres, 1 se trouvent en état d'inhibition. On peut donner la même significat
l'un d'eux, à savoir, sur la flexibilité de cire (catalepsie). Vu l' état con- temporain des renseignements concernant ce
t nerveuses, elle peut même être provoquée artificiellement dans un état hypnotique, et, nous croyons que sa pathogénie
ral commun, mais un symptôme local. Chez les malades se trouvant en état de stupeur ou en état comateux malgré 38 CLINIQ
mptôme local. Chez les malades se trouvant en état de stupeur ou en état comateux malgré 38 CLINIQUE MENTALE. le phéno
lexes psychiques qui exi- gent des actes psycho-moteurs qui sont en état d'inhibition chez les catatoniques. Ainsi, par
ttant la possibilité de l'enlèvement des périodes iso- lées. Dans l' état contemporain des choses nous aurions pu donner
nance des phénomènes cata- toniques. Dans le cours progressif cet état passe immédiatement dans la démence catatonique
arait toutefois être due à une fixation im- parfaite plutôt qu'à un état pathologique. Les lésions décrites par Marinesc
Marinesco dit que les lésions signalées sont très communes dans les états morbides des ganglions spinaux, et qu'il n'a ri
ltérations subies par le tissu cortical. Il y a évidemment d'autres états , les folies aiguës par exemple, où il est à peu
Au bout de vingt-six jours, signes de collapsus brusque et mort en état de dyspnée et de cyanose. A l'autopsie : fontan
ivantes : ' 1. Les préparations de cerveau emprunté aux animaux à l' état de veille montrent les prolongements proloplasm
allure vivante, à raison des phénomènes colorés correspondants, à l' état normal ainsi qu'aux états pathologiques. P. KER
des phénomènes colorés correspondants, à l'état normal ainsi qu'aux états pathologiques. P. KERAVAL. IX. De la localisa
drites lisses cons- tituent le stade intermédiaire entre le premier état et le second. 4. Les gros épaississements variq
s gros épaississements variqueux des dendrites correspondent à leur état pathologique d'atrophie dégénérative. P. KERAVA
on acromiale du bras et sur l'apo- physe coracoïde, on obtient, à l' état normal, un léger mouvement de flexion de l'avan
s gauchers dont l'éducation n'a pas faussé la tendance naturelle. L' état d'arriération de cet enfant est, en effet, la c
e parésie. La lente évolu- tion de cette atrophie musculaire et son état pour ainsi dire sta-' tionnaire font croire à l
des malades atteints de paraphasie, il est utile d'élucider : 1° l' état des centres intellectuels supérieurs ; 2° le fo
Après quelques considérations sur le fonctionnement du cerveau à l' état normal et dans les délusions, l'auteur fait remar
a normale : l'ar- ticulation de la parole un peu lente mais nette ; état mental meil- leur que depuis bien des mois. La
rto foncé, contient un peu d'albumine et de l'hé- matoporphyrine. L' état s'aggrave. Une paralysie flasque atteint d'abor
enne. Le recours à l'intervention chi- rurgicale, qui, pourvu que l' état général soit favorable, est essentiel dans les
extrêmement violentes ame- nèrent la malade en quelques heures à un état de déshydratation tel que l'issue fatale parait
he. En dehors des accès on n'ob- serve aucun trouble gastrique et l' état général est excellent. Pen- dant leur cours on
ilité se trouve notablement dimi- nuée dans sa durée, dans tous les états morbides des cordons pos- térieurs : tabès, mal
; il contient générale- ment de l'albumine (globuline), souvent à l' état de traces, quelque- : fois en quantité notable
(petits lymphocytes, grands lymphocytes, albumine ; pgp. période, d' état stationnaire) ; c) accentuée; 7 cas : (grands lym
M. BCRILLON. Sous le terme d'aboulie, on englobe un grand nombre d' états de conscience dans lesquels on constale, à un deg
s effets de la suggestion sont assez faibles chez les sujets dans l' état normal, car son action est neutralisée par les
ée par les facultés mentales de contrôle, par contre, dans certains états pathologiques, l'action de la suggestion est ex
plus haut degré, les malades étant hypersuggestibles. Dans d'autres états , toute suggestibilité est abolie. M. Jules Vois
t qu'un syndrome que l'on peut observer dans le cours de différents états d'aliénation men- tale. 11 ressort également
'auteur étudie alors la question des relations entre l'amnésie et l' état de la conscience : sans doute, dans certains cas,
a ? n- 88' CORRESPONDANCE. nésie n'indique nullement quel a été l' état de la conscience, tandis qu'au contraire elle e
à coups de tisonnier Georges Ragot, vingt-deux ans, son ami, dont l' état est désespéré. Roubeau est spirite et les espri
et des troubles psy- chiques pendant les périodes d'ascension et d' état de la ma- ladie infectieuse, ne pouvait être at
nvalescence de la fièvre typhoïde. Mais la convalescence arrivée, l' état antérieur, accès d'épilepsie, hébétude, etc., r
les autres 1, qu'elles ne sont pas sujettes aux accès subintrants ( état de mal) comme les autres, que l'épileptique pré
qua- rante-cinq sont en démence ; seize sont constamment dans cet état ; les autres ne le sont qu'après l'accès, deux ont
en suis convaincu, bien de la peine à se rappeler quelque exemple d' état de mal, d'accès subintrants chez un épileptique
ès grand nombre d'épileptiques et je ne me rappelle pas avoir vu en état de mal une épileptique affectée d'une altératio
ngt-trois ans de pratique spéciale, vu d'épileptiques goitreuses en état de mal, que les attaques convulsives diminuent
ressive, rapide et seul accès dans toute l'année 1900. Du côté de l' état mental : reste de l'affaiblissement intellectue
d'accidents, qu'il est le plus exposé aux accès subin- trants, à l' état de mal. (Nous dirons encore plus loin com- ment
héance intellectuelle et physique devint complète et lit place à un état paralytique et cachectique qui emporta le malad
Suggestion 2, nous croyons utile de rappeler que l'hystérie est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve capab
était pas inutile de le définir avec précision : L'hyp- nose est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve suscept
e M. Grasset), en admettant que ce centre se trouve alors dans un état de faible activité. A une grande activité physiol
e de l'hypnose ainsi que l'ont établi Liébault et Bernheim, c'est l' état de suggesti- bilité (l'état de celui à qui on p
nt établi Liébault et Bernheim, c'est l'état de suggesti- bilité (l' état de celui à qui on peut faire des suggestions).
ns, avec notre maître Babinski, quitte à y revenir plus loin, que l' état d'hypnose présuppose la suggestion. Il est exac
présuppose la suggestion. Il est exact de dire que l'hypnose-est un état de suggestibilité, pourvu qu'il soit entendu qu
u qu'il soit entendu que le fait seul d'être hypnotisé, nécessite l' état de suggestibilité. La première suggestion prati
tre 0 de l'hypnoti- seur. »' D'où cette définition schématique de l' état de suggestibi- lité : « C'est un' polygone éman
'acte fait-on ? On essaye de convaincre un être dese placer dans un état différent de celui où il se trouve, état qui cons
n être dese placer dans un état différent de celui où il se trouve, état qui consiste d'abord 1 Voir notre premier artic
Babinski a développé dans son travail 1. Si le sujet tombe dans cet état d'inertie apparente, peut-on dire que son moi,
'hypnotiseur, d'accomplir des actes commandés par lui, nécessite un état mental (ou psychique) un état du « moi » spécia
actes commandés par lui, nécessite un état mental (ou psychique) un état du « moi » spécial, le même d'ailleurs qui cara
le même d'ailleurs qui caractérise les sujets hystériques. Mais cet état particulier, pathologique du moi, n'exclut nullem
prouvent que l'intelligence (le centre 0) est aussi éveillée qu'à l' état normal. Ceux-là manieront avec fruits la thérap
otiseur a pu guérir un malade hypnotisé sans succès auparavant. L' état mental du sujet hypnotisable, loin d'être inconsc
igent accepte avec son moi (son centre 0) une chose absurde comme l' état d'hypnose. Nous répondrons que même si on ne po
de l'hypnose : « Je vais vous endormir et je vous guérirai. » Si l' état mental d'une femme atteinte de monoplégie brachia
du corps. Cette transformation, résultat de l'acceptation par son état mental pathologique de votre suggestion, la conva
objets inanimés ou ima- ginaires un pouvoir sur leur destinée. Cet état psychologique de croyance à votre puissance per
guéris sans hypno- tisme, par la seule suggestion ou persuasion à l' état de veille. Nous répondrons qu'avant les pratiqu
enfin il ne faut pas oublier que les sujets hypno- tisables ont un état mental spécial, caractéristique de l'hystérie ',
ractéristique de l'hystérie ', du pitltiatisrne comme dit Babinski, état pathologique du moi. De même que certains cheva
avec tel cavalier et le sautent aisément avec tel autre, de même l' état de suggestibilité présente des variétés qui son
ude nous convainc au contraire, avec Babinski, que l'hypnose est un état mental particulier, dans lequel la personnalité d
ifs de l'hypnotiseur 1 Grasset n'admet pas l'identification entre l' état de suggestibilité. caractéristique de l'hypnose
terons, encore une fois, que l'hypnose présuppose nécessairement un état psychique spécial, pathologique, et que s'il n'
nous étendrons pas sur les degrés et les nombre classifications des états hypnotiques. Ici, comme dans tout. -- pathologi
ité du moi, jusqu'à la réalisation, toujours par sugges- tion, de l' état hypnotique le plus complet. Tel sujet fait preuve
isément compte de la différence de nature qui existe entre ces deux états : l'épilep- 132 REVUE CRITIQUE. tique, au sor
lité pour un sujet d'être hypno- tisé prouve précisément chez lui l' état de suggestibilité. Etre hypnotisé c'est subir u
pnotisable ne sont pas deux termes synonymes, ils représentent deux états mentaux séparés par une nuance seule. Les troub
plus importants : 1° Dans l'hypnose comme dans l'hystérie, c'est l' état mental du'sujet qui n'est pas normal ; c'est su
hénomènes que la volonté et l'imagination pour- raient réaliser à l' état normal. Aussi les paralysies, les contrac- ture
ète; cette cause est d'ailleurs puissamment secondée par un mauvais état général de la nutrition (lequel est du à l'action
ation consen- suelle ; c) à l'excitation cutanée ou sympathique; 6° états irido- moteurs liés à l'accomodation ou à la co
internes de l'oeil paraît être un index très sensible du degré de l' état toxémique. R de iUSGRA VE-CLA Y. VI. Remarques
Mental Science. Janvier 1902). Lorsqu'on se trouve en présence d'un état hallucinatoire, l'un des premiers points à exam
gistes parce que, en réalité, il est à peu près sans importance à l' état normal. Ordinai- rement, nous faisons usage de
LE. 139 cette activité,nous sommes ordinairement sur la limite d'un état anor- mal. Dans la paranoïa où nous observons b
le : elle cause intelligemment, mais quand on l'in- terroge sur son état , ses réponses révèlent de nombreuses hallu- cin
mme, constituant un sens particulier. Nous ne les percevons,pas à l' état normal, mais nous en prenons conscience lorsque l
n son, la compréhension du langage; ils sont corrélatifs aux divers états que l'on observe dans une autre série pathologi
était atteinte de surdité auditive ou labyrinthique à droite; avec état assez satisfaisant de l'audition à gauche. L'as
parent, sombre, déprimée, pour arriver peu à peu, en une année, à l' état de mélan- colie profonde où elle se trouve aujo
re tous des circulaires, la psychose n'étant que l'exagération d'un état physiologique normal. R. LEROY. X. Contribution
changes thaï accompany viscéral diseases. Brain XCV. Head décrit un état de soupçon vague, inhérent à des malades attein
atteint depuis 1869 de folie circulaire. Le 22 août 1898 il est en état d'agitation maniaque consécutive à une période de
laire, tranchant nettement sur la plaque blanche qui l'entoure. Cet état est comparable à celui que l'on observe sur la
session. Cette perversion sexuelle était donc la manifestation d'un état de dégénérescence que venaient encore affirmer
sez souvent qu'on a pris pour un retour complet à la santé un léger état de dépression qui dans certains cas peut être a
estnik psichiati-ii, II, 1884, u 2). - Il ne faut pas confondre cet état avec la passion provoquée par une personne plus
nce bienfaisante en l'espèce de la suggestion, par l'hypnose et à l' état de veille. L'hypnose se produisait chez lui par t
le début des troubles cer- tains. Depuis les accidents cérébraux, l' état morbide a progressé lentement mais sans arrêt.
1'Ctlbl., XX, 1901). 152 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Ce sont des états anxieux caractérisés par la crainte de déglutir
ois la dysphagie est presque le seul complexus symp- tômatique de l' état morbide. La dysphagie psychique se développe so
t incident devient le choc psychique qui donne le coup de fouet à l' état mental. Dès lors le sujet s'observe en mangeant
sculaires de la région. La dysphagie psy- chique en rapport avec un état nerveux rétrocède, s'aggrave, réci- dive, etc.
x rétrocède, s'aggrave, réci- dive, etc. suivant les allures de cet état nerveux. La dysphagie psychique autonome est pl
uarante-neuf ans qui entre à la clinique psychiatrique de Moscou en état de dépression, d'angoisse, de peur, avec idées
de dépression, d'angoisse, de peur, avec idées hypochondriaques; l' état mélan- colique chez elle était accompagné d'agi
vingt-huit ans, L..., entre à Bicêtre au mois de mai 1900, dans un état de violente agitation survenue à la suite d'un
a seule permis d'arriver à un diagnostic précis. En deux années, l' état mental, loin de s'aggraver, est devenu meilleur
i permettent de le reconnaître. Bien plus, on voit se greffer sur l' état lypémaniaque de véritables bouffées de mégalo-
te surtout sur la nécessité d'examiner avec le plus grand soin tout état neurasthénique. Le diagnostic peut être fait av
con- traste qui existe entre les signes qui relèvent seulement d'un état de fatigue chronique, et les signes au contrair
: qu'il y a peut-être moins d'opposition qu'il ne semble entre les états maniaques et mélancoliques ; que les premiers n
en- tale, que souvent de complications résultant d'ailleurs de leur état . Parmi les maladies qui les emportent, il y a à
observation ayant trait à une malade qui présenta simultanément un état de confusion mentale profonde, des phénomènes n
nique l'observation d'un homme mort de syphilis cérébrale et dont l' état démentiel rappelait celui de la paralysie génér
que les conditions sont fort différentes, il est bien évident que l' état émotionnel n'est pas le même chez tous ces suje
e cette dée fectuosité. SOCIÉTÉS SAVANTES. - 169 2° Que c'est l' état émotionnel du blessé au moment et à la suite de
ouvement de flexion de la cuisse sur le bassin plus prononcé qu'à l' état normal. Cette flexion peut être mise en évidenc
on de la plante du pied provoque une flexion des orteils, comme à l' état normal; les orteils ne s'écartent pas les uns d
opinion de M. Babinski. M. BRISS.1UD, après quelques réserves sur l' état plus ou moins i chatouilleux » des sujets se ra
uggestion hypnotique les a fait disparaître. Cette'ma- lade, dans l' état de léthargie, présentait à un degré tout à fait
de Paris à Cherbourg. Ces innovations diminuentconsidérablement l' état de nervosité que présentent de nombreux voyageurs
proviste et injustifiées. L'intelligence est, au contraire, dans un état d'hyperexcitabilité (mémoire excel- lente, sens
r prolongé à l'hôpital pour péri- tonite tuberculeuse et voyant son état empirer, devint rebelle et batailleur, fut cond
es de gymnastique, les exercices respiratoires et la suggestion à l' état de veille. Quelle est l'influence des professio
r est responsable de ses actes, mais qu'il mérite, en raison de son état maladif, quelque indulgence. Après une intére
I. Mars 1904. N° 99. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L' état du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
à gauche. Nous en donnons les observations résu- mées et quant à l' état mental et quant à l'état ophthalmos- copique.
s les observations résu- mées et quant à l'état mental et quant à l' état ophthalmos- copique. Observation I. - Vauder.
rée le 8 juillet 1903. Présente le 7 septembre de la. même année un état loi/- Keraval et Itaviart. L'état du fond de l'
7 septembre de la. même année un état loi/- Keraval et Itaviart. L' état du fond de l'oeil chez les paralytiques Qenerau
s anatomiques initiales et terminales. Nou- relle contribution il l' état du fond de 1 oeil chez les paralytiques géné- r
complète ; aucun trouble intellectuel; conscience très nette de son état . Atténuation très grande des signes physiques.
lésions indéniables. Voici d'ailleurs les traits principaux de leur état mental au moment de l'examen et le relevé corre
nte-six ans, entrée le 29 mai 1903. Examen du 14 septembre 1903. En état de démence complète, cette malade est, de temps
ectuel, avec idées de satisfaction, euphorie, incons- cience de son état . Les Signes physiques qui étaient très prononcés
avec sa maîtresse. Examen du 8 septembre 1903. Persistance du même état men- tal ; hallucinations de l'ouïe et de la se
e dépression mélanco- lique, La patiente se rend bien compte de son état ; elle éclate en sanglots quand on lui rappelle
des troubles intel- lectuels. La malade est très consciente de son état . . Signes physiques très marqués : mouvements d
risâtre ou plutôt gris rosé, mais les bords en sont assez nets et l' état des vaisseaux est normal. Nous croyons à une di
tique, on obtient, en chiffres ronds, une proportion de 38 p. 100 d' états du fond de l'oeil normaux, et de 61 p. 100 de l
aucun développement, de même les ovaires, qu'ils n'existent qu'à l' état de rudiments ; la con- clusion qui vient immédi
compagne d'une augmen- tation de l'impressionnabilité, d'un certain état d'éréthisme émotif, d'une modification passagèr
on encéphalique, éma- nant en quelque sorte des organes génitaux en état de réplétion, n'est-elle pas attestée par les r
très manifeste de l'épilepsie; accès en séries, accès subintrants, état de mal. - Epilepsie grave plus fréquente chez l
épileptogène, mais sans lésions anatomiques des centres nerveux, un état chimique encore inconnu de la cellule ner- veus
abondantes et de la moiteur de la peau, des sueurs profuses même. L' état de mal des épileptiques permet les mêmes ' Cett
uantité des urines pouvant aller jusqu'à l'anurie au paroxysme de l' état de mal, sécheresse relative de la peau, fréquem
r facilement à déterminer la pathogénie des accès en séries et de l' état de mal. D'où des indications thérapeuti- ques q
plus grande fré- quence de l'épilepsie la plus grave chez la femme ( état de mal plus rare chez l'homme), alors que l'épi
, que l'on a englobé sous cette dénomination « idiotie » maints - états d'origines différentes et en apparence seulement
gènes originelles et autres persistant, on observe habituellement l' état mental lié aux lésions devenues indé- lébiles e
produit les troubles lents du métabolisme menant graduellement à l' état cachectique appelé myxoedème, tandis que la par
ule, il les considéra comme des portions de la thyroïde restées à l' état embryonnaire et se développant alors pour compe
yroïdectomie. Pour ces recherches sur le rôle des parathyroïdes à l' état nor- mal, l'auteur pratiqua l'extirpation, de c
res se relâchent et l'animal reprend sa marche. Mais d'ordinaire, l' état tétanique s'établit graduellement, depuis la ma
vaisseaux sanguins, son extrait suffit à assurer la fonction; car l' état tétanique peut être prévenu ou arrêté par l'inj
omplète de la'jambe, les muscles de cette jambe, lors- qu'apparut l' état tétanique ne présentèrent aucune contraction. D
rieures et du cortex, analogues aux dégéi cences aiguës de nombreux états toxiques. Dans un autre ordre d'idées, l'auteur
ainsi que la tachycardie, constante dans la maladie, manque dans l' état expé- rimental : le tremblement de la première
opération brusque et totale. Donc, ressem- blance générale des deux états , mais aussi dissemblances, celles-ci peut-être
Dans' tous les autres cas, elle était nettement plus petite qu'à l' état normal. Au point de vue histologique, dans deux
e second est d'ordre moteur, centrifuge, exprime une variation de l' état du tonus musculaire (rupture de l'équilibre de
t pas obligatoire, elle reste presque toujours dans la pratique à l' état de lettre morte; et ces enfants, simplement fai
ns à ces mesures. R. de M.-C. III. Jugement, exécution, autopsie et état mental de Léon Czolgosz alias Fréderic Nieman,
s ont été conduits par des voies différentes, l'un par l'étude de l' état mental, l'autre par l'examen nécrospique du cer
sable de ses actes. . . ' lt. M.-C. iv. Rapport sur l'examen de l' état mental de Machetto Charles; ' par les Dr Weber
dépourvues de tout caractère de systématisation et greffées sur un état démen- tiel mauifeste, les auteurs ont conclu à
é aux affections nerveuses et mentales, qui a accompli son crime en état de mala- die. Acquitté par le jury, dans un pro
Science. Janvier 1903.) La folie ne s'observe que rarement dans les états les plus accu- sés d'amence ; mais elle est loi
u'une prédisposition soit nécessaire. On trouve souvent chez eux un état qu'on peut définir par le mot instabilité menta
me dans le premier cas. Il peut être une étape, une épisode dans un état mental grave comme dans le second cas. Il perme
SOCIÉTÉS SAVANTES. aller plus loin quelque effort qu'il fasse. Cet état serait comparable à la claudication intermitten
inin- telligible, on prescrivit du natrium jodatum (4,0 pro die) l' état de la malade commença lentement à s'améliorer ;
duite et une faiblesse de mémoire. Point de dé- mence marquée, et l' état psychique continue à s'améliorer. Le rap- porte
de la corne postérieure ont des contours raboteux, sont souvent en état variqueux, se ramifient beaucoup et sont pourvu
ut, de préciser la nature de cette redoutable affec- tion; dans les états mélancoliques, où elles marquent l'affaiblisse-
u'elles se relient aux idées de persécution, ou la coexistence d'un état mélancolique si elles sont purement concomitant
tat mélancolique si elles sont purement concomitantes. - Dans les états d'obnubilation intellectuels, elles se retrouvent
r leur physionomie diverse, elles peuvent servir à différencier ces états , souvent transitoires et curables, des états d'
vir à différencier ces états, souvent transitoires et curables, des états d'affaiblissement intellectuel définitif. A l'a
is depuis la mort de sa femme, survenue le 18 décembre dernier, son état semblait s'être aggravé. Eugène lllallet, qui lai
écis, et d'emblée être fixé sur la nature de la maladie, partant en état de fixer sur sa gravité les membres de la famil
ent que cette pauvre femme entra dans notre service, et, depuis son état a été loin de s'améliorer. Vous voyez l'état de
ervice, et, depuis son état a été loin de s'améliorer. Vous voyez l' état de cachexie profonde dans lequel elle se trouve
tonicité de la peau et désqua- mation exagérée. La recherche de l' état de la sensibilité est délicate dans l'espèce et
l'impotence et la douleur augmentent chaque jouren même temps que l' état général évolue parallèlement vers la cachexie p
le processus cancéreux. Quoi qu'il en soit le pronostic d'un tel état ne saurait être que fort sombre et c'est la mor
ut, d'autre part, « agir sur eux indirectement, comme entraînant un état de « dyscrasie et d'intoxication complète. »
ssons aucun cas où « une métastase se soit faite directement ou à l' état isolé « dans un nerf sans localisation préalabl
e mai, entrait à la clinique Charcot, une malheureuse femme dans un état des plus précaires. Rien d'intéressant dans s
lcooliques de kola et de quinquina. Malgré cette thérapeutique, l' état ne s'améliore pas ; les crachements de sang son
ntuent. Il survient de l'incontinence de l'urine et des matières, l' état mental, déjà très précaire, caractérisé par de
u subdélire ; d'ailleurs notre malade ne tarde pas à entrer dans un état comateux, la température s'élève, et, le décès
avant tout constituées par un élut l'ranen- taire de la myéline, un état poussiéreux de celle-ci mi, sur- tout eu éviden
consistent comme vous le savez en une z chromatolyse centrale avec état vésiculeux du protoplasma cellulaire et excentr
l. Nous ne voyons qu'exceptionnellement le plexus cervical pris à l' état isolé. Les plexus lombaire et sacré sont surtou
présentait une induration au niveau de la cicatrice opératoire, un état cachectique avancé, de l'oedème des membres inf
objectives ne présentaient pas de modifica- tions importantes. L' état ne tarda pas à s'aggraver par les progrès de la
radiculaire. Vous serez aussi le plus souvent mis sur la voie par l' état général, par la connais- sance des antécédents
sphère du médian et du cubital. Ce sont là des faits rares; en tout état de cause; le dia- gnostic serait toujours basé
érieurs atrophiés. Au mois de juin 1901, époque de la fracture, l' état physique est le suivant : membres supérieurs :
phiques osseux. La radiographie a montré à MM. Rénon et Heitz un état très spé- cial du squelette du bras fracturé :
glande thyroïde, insuffisance tantôt ancienne, mais aggravée par l' état de grossesse, tantôt récente, produite par l'ét
is aggravée par l'état de grossesse, tantôt récente, produite par l' état de grossesse même et le surmenage momentané qui
OLOGIE NERVEUSE. 32] constaté chez des chattes thyroïdectomisées en état de gestation des lésions rénales et hépatiques.
ints en même temps et quelques-uns peuvent se trouver normaux ou en état d'hyperexcitabilité à côté d'autres qui sont en
simulé l'urémie délirante ; plus chronique chez le deuxième dont l' état général était resté bon, on aurait pu le rappro
éréditaire ou acquise, et leur caractère dépend de la nature de cet état du cerveau : délire alcoolique chez les alcooli
étudier le méca- nisme des accès de folie, l'influence sur eux de l' état mental, des accidents psychopathiques et somati
le qui produit, par l'intermédiaire d'un pro- cessus anatomique, un état spécial permanent du système nerveux dont l'exp
mes atténuées ou incomplètes, ce syndrome se rencontrerait dans les états vésaniques les plus divers, imbécillité, hystér
ériode aiguë indique^ une toxémie virulente. A la dernière période, état de stupeur avec résistance des muscles aux mouv
par la voie sanguine, avec le streptocoque, on provoque chez eux un état de malaise, avec irrégularité de la température,
ie tend il se terminer dans un espace d'environ six semaines, et un état d'immunité est ainsi créé dans leur organisme.
i fut admis à l'asile comme étant atteint de manie aiguë, et dont l' état ne fit que s'aggraver progsessivement. Il était
pendant la phase d'expansion, ce qui est la caracté- ristique d'un état démentiel. M. Vallon rappelant que les hallucin
e, les crises gastriques, les troubles vésicaux et surtout créer un état mo- ral excellent qui fait que le traitement sp
ques- tions qu'on leu adresse sur leur âge, leurs occupations, leur état social; et tout le temps que dure le procès, il
gulée. Pen- dant Ja période d'hyponarcose qui précède le retour à l' état de veille, je fais des suggestions, grâce auxqu
ssomma un vieillard à coups de tisonnier. Elle se trouvait alors en état de stupeur à la suite d'un accès. A l'arrivée d
decin, peu après le meurtre, ses idées étaient encore confuses et l' état de stupeur continuait. Il en fut de même à l'asil
e stupeur et d'irritabilité; la mort survint alors qu'elle était en état soporeux. A l'autopsie, on trouva une exostose
ment de l'iris est lui aussi très fréquemment atteint. L'iris à l' état normal est constamment mobile et ses mou- vemen
ue placée à cette même distance. L'accommodation se trouve ainsi en état de relâchement. L'observateur se tenant en avan
beaucoup de paralytiques généraux de se rendre un compte exact de l' état dupouvoiraccommodateur; l'intelligence des mala
e de la maladie où il est impossible de la constater à cause de l' état démentiel des malades. Ainsi donc nous faisons
nuant sans interruption et discontinuité, moment correspondant à un état de contracture ou phase tonique à laquelle fait
cette griserie motrice, qui, arrivée à son summum se traduit par un état vague et flou de la conscience, véri- table dis
de son objet qui est l'image motrice dans sa rapide évolution. L' état moteur particulièrement instable et changeant tra
le même sens. L'influence de la musique, sur l'image motrice et l' état moteur est manifeste. L'entraînement provoqué d
e banale, et ont montré que la musique est un tonique efficace de l' état moteur. D'un autre côté, la musique a une actio
lles du rapprochement sexuel. La diffé- rence portait surtout sur l' état local de l'appareil génital. Car ici, il n'y av
vaginal. La similitude résidait surtout dans la vie psychique et l' état mental dû très probablement à l'évolution paral
rès probablement à l'évolution parallèle et similaire dans ces deux états de l'image motrice. L'état oculaire est sou- ve
on parallèle et similaire dans ces deux états de l'image motrice. L' état oculaire est sou- vent d'un précieux secours po
laire est sou- vent d'un précieux secours pour la connaissance de l' état mental d'un sujet. , Dans un précédent travai
scles des yeux est en rapport avec un défaut de conver- gence et un état d'indépendance des deux yeux dans leurs 1 VASCU
« en dedans » sont les plus forts, il en résulte un strabisme : cet état tra- duit ainsi la contracture musculaire des m
re des muscles de l'oeil qui elle-même n'est que la traduction de l' état mental du sujet « et par suite est l'expression
tteté et un éclat qui leur donnent l'apparence de l'immobilité. L' état de lassitude et de faiblesse qui suit l'acte sexu
ique. La force musculaire était prise au dynamomètre Régnier, à l' état normal et pendant l'excitation génitale. Voici le
ions dynamométriques est la suivante pour chaque main dans ces deux états psychobiologiques différents : Pendant l'état n
e main dans ces deux états psychobiologiques différents : Pendant l' état normal, pour la main droite de 31,1, pour la ma
ssions par rapport à leur moyenne brute respective était, pendant l' état normal, de 0, pour la main droite et de 1,4 pou
s dynamométriques. L'observation courante directe et grossière de l' état musculaire dans l'excitation génitale parle d'a
ar conséquent pas se manifester avec son inten- sité normale dans l' état moteur général, ainsi qu'en témoi- gnent des ex
l'épuisement moteur nous dési- gnons, s'entend, l'image motrice; l' état psychique, et non la fatigue organique, l'épuis
les autres processus psychiques. Lorsque le sujet est revenu à l' état soi-disant normal, il en résulte un état d'épuise
ue le sujet est revenu à l'état soi-disant normal, il en résulte un état d'épuisement de l'état mental et principalement
l'état soi-disant normal, il en résulte un état d'épuisement de l' état mental et principalement des impressions et repré
éclairer et même de trancher, si possible, la question suivante : l' état de l'anémie cir- culatoire pendant une excitati
ente des axes oculaires provoquant un véritable strabisme traduit l' état de tonicité et d'hyperactivité du système muscu
puis clonique. 4° Une autre preuve consiste dans l'abattement et l' état de lassitude musculaire qui suit l'acte génital
bilité manifestée par de l'immobilité et du vague de la pensée. Cet état semblé la conséquence de l'épuisement temporair
te génital consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l' état moteur qui, arrivé à son maximum, présente une
une période d'adynamie et de repos. b) Dans la production de cet état et de ces différentes phases, l'image motrice j
est intéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un état d'excitation et de potentiel tel qu'il ne peut se
tion et à la tendance au déclan- chement de l'image motrice et de l' état moteur. Tous les préparatifs, tous les accessoi
, selon chaque individualité, présenter une action excitatrice de l' état moteur, plus ou moins développée et accentuée s
il le faille charger par des excitations extérieures adoptées.' Ces états témoignent d'un état d'affaiblissement moteur d
ar des excitations extérieures adoptées.' Ces états témoignent d'un état d'affaiblissement moteur dont le type est donné
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. d'indican dans tous les états de dépression, de quelque psychose qu'ils relèv
quelque chose près, pour l'acé- tone ; l'inverse s'observe-dans les états d'excitation; il est actuelle- ment impossible
l sont exactes, elles démontrent pratiquement que la manie est un état infectieux aigu, et que lorsque la guérison s'eff
t un état infectieux aigu, et que lorsque la guérison s'effectue un état d'immunité s'établit. 2° Elles prouvent que l
s, M. Blachford conclut que l'on peut admettre comme probable que l' état granuleux de l'épen- dyme a pour cause primitiv
de gangrène qui se sont momifiées et se sont détachées, laissant un état de la peau qui rappelle la sclérodermie. Le s
pas soluble dans le plasma vivant, mais se trouve dans le sang à l' état latent, incorporé dans les éléments cellulaires d
scendants; par le D' C. CENI. (Riv. Sp. difren. fasc. 4, 1903). L' état morbide qui se produit chez les procréateurs, à l
êt. ' R. ni.-C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 391 XXXIX. Un cas d' état de mal compliqué de scarlatine; par George WATT
rent des troubles psychiques, modification du carac- tère, apathie, état de stupeur progressivement croissant; puis cépa
en effet suivant la durée du contact et de son étendue, sui- vant l' état des parties en contact et suivant la situation du
nt en quatorze jours, sans complications pulmonaires ou autres avec état pyrétique durant la dernière semaine. ' - - . R
n qu'il faudrait, si l'on songe que chez elle la condition seconde ( état anormal) se subdivisait en au moins 12 sous-con
ns intéressantes : la première concerne un homme qui avait avalé en état de démence REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 401 d
usqu'à la périphérie, jetant ainsi tous les trajets nerveux dans un état d'activité anormale. L'auteur entre ensuite dan
ocuments. nE lIlUSGRAVE-CLAY. - - R. DE Musgrave-Clay. L11VI. Les états mentaux qui aboutissent à l'homicide; par G.-T.
fs ordinaires, la jalousie, la misère, la terreur, agissant sur des états pathologiquement émotifs, sont la cause des crime
s suivantes tirées d'un discours de M. Robertson : « Les différents états toxiques qui tendent à altérer les cellules ner
d'entre elles. L'opinion générale que la « maladie mentale » est un état primitif et que 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
cteur étiologique des maladies men- tales. 2° La conscience- et les états mentaux peuvent se modifier considérablement da
les états mentaux peuvent se modifier considérablement dans divers états physiologiques (sommeil, rêve, état hypnotique,
considérablement dans divers états physiologiques (sommeil, rêve, état hypnotique, etc.). Pourquoi l'exagération de ces
ues, mais très bien avec l'exagération ou la perversion de certains états physiologiques. i° L'énergie de réaction de la
ctivité ou son inactivité déterminent ou combattent précisément ces états de non résistance par lesquels les bactéries nu
e cette théorie permet d'attribuer à la toxémie, dans la genèse des états mentaux, un rôle non pas primordial mais second
om de prédisposition héréditaire à'la folie comprend au moins trois états très différents : 1° les anomalies cérébrales;
ividuels de la réaction du cerveau à l'égard du milieu ambiant. Ces états ne sont pas nécessairement caractérisés par une
-CLT. LXXX. Etude clinique sur les troubles de la conscience dans l' état post-épileptique ; par le Prof. A. PicK (de Pra
; par le D1' Vallon. Longue et intéressante étude du suicide et des états patholo- giques dans lesquels on l'observe, gro
rait ainsi de faire voyager des malades fébriles et d'aggraver leur état . Comme nous prenons la température de nos malades
Americntz Jour- nal of Insanily, juillet 1902, p. 91-101). XI. L' état actuel de la cocaïnisation spinale sous arachnoïd
utre que les injections de persulfate de soude semblaient relever l' état général. Les injections sont peu douloureuses à
d'oedème observées chez les hémiplégiques : oedème blanc typique et état succulent de la main. Conformément à la règle,
écocité du début, l'hyperthermie locale et la conservation d'un bon état général sont des particula- rités qu'il n'est p
urs insistent surtout sur la précocité du début et le maintien de l' état général : ces deux caractères permettent d'éli-
hypnotique. Finalement elle a été, par la suggestion, guérie de son état cataleptique. , Le merveilleux et la sorcelleri
iques; l'auteur, allant du simple au composé, a recherché d'abord l' état des cel- lules nerveuses dans l'alcoolisme chro
e étant le facteur essentiel. Il se caractérise cliniquement par un état de confusion mentale hallucinatoire suraiguë ac
dés individus héréditairement pré- disposés. Cliniquement, c'est un état de confusion hallucinatoire suraiguë avec fièvr
ui peuvent prendre une part très grande dans le déterminisme de nos états de conscience, leslois d'association constituen
ses idées semblent fuir, et il lui arrive d'avoir conscience de son état . ' L'incohérence de ses idées ne doit pas être
hez eux par l'effondrement soudain de leur intelligence, dans leurs états de conscience, qui se succè- dent avec la même
ngement dans l'influx nerveux a pu produire cet affaiblissement des états de conscience. L'histologie patho- logie s'est
nombreux rapports avec ceux qui se succèdent chez l'être normal en état de rêverie. Les associations systématiques sont
sont les mêmes dans l'aliénation mentale et la débilité que dans l' état normal. L'affaiblissement des processus psychique
es processus psychiques porte chez le maniaque et le débile sur les états de conscience ; mais tandis que chez le maniaqu
ande sera accompagnée de l'acte de naissance du pos- tulant, de ses états de services, d'un exposé de ses titres, d'un ré
cet affaiblissement peuvent apporter une contribution à l'étude des états d'indifférence et d'aboulie. Il s'agit d'un hom
s incidents de son délire. A l'infirmerie du dépôt, il éuit dans un état de marasme au cours duquel il refusa toute nourri
es conceptions extrême- ment peu précises, qu'il y eut à la base un état de frayeur et d'an- xiété commandant des idées
e son- grand- père. Je tâcherai d'élucider plus loin quel était l' état mental de )1. N... à cette époque, état mental
ider plus loin quel était l'état mental de )1. N... à cette époque, état mental qui a déterminé son mode de vie depuis 1
ses repas, encore bien souvent ne descen- dait-il pas déjeuner. Cet état va croissant ; le malade ne sort plus, - mange
ent sans volonté, ne fait rien, sem- ble en partie conscient de son état : il pense alors qne si on venait l'attaquer il
e premiers jours qui suivent son entrée, M. N... reste dans le même état . Spontanément, il n'adresse la parole à personn
minent chez lui aucune réaction. On voit qu'il s'agit en somme d'un état de confusion mentale, d'imprécision extrême des
e recon- naissance, extrêmement vagues, d'ailleurs elles aussi. L' état de confusion disparaît progressivement et avec lu
es renseignements fournis par la famille ; mais M, N... compare son état d'alors à son état présent, et nous pouvons con-
ournis par la famille ; mais M, N... compare son état d'alors à son état présent, et nous pouvons con- clure de son état
état d'alors à son état présent, et nous pouvons con- clure de son état présent à son état d'alors, les actions et réacti
état présent, et nous pouvons con- clure de son état présent à son état d'alors, les actions et réactions de M. N... en
donc ici une réduction considérable des besoins et des désirs et un état accentué d'aboulie; cette aboulie n'est d'ail-
ès cohérent, ses idées bien systématisées, il analyse très bien son état , il est capable de remarques justes et fines su
indiffé- rent. » Habituellement il ne pense à rien, il n'a pas d' états de rêverie, sa Pensée ne se fixe spontanément s
airement, pour penser à quelque chose, pour ne pas persister dans l' état de vide cérébral qui lui est habituel. Expéri
elle du sujet ; nous avons vu que le vi le intellec- tuel était son état habituel. Le malade ne croit pas qu'il serait ca-
temps d'étudier l'attention ; mais on l'observe d'autant mieux à l' état pur que l'intelligence intervient moins pour l'ac
du sujet. Ce qui domine la symptomatologie de ce malade, c'est l' état d'aboulie et d'indifférence : c'est là ce qui fra
lésions élémentaires qui constituaient ce trouble : j'ai observé un état de déficit lorsqu'il s'agit d'émotions-senti- m
oire confus survenu à l'âge de vingt- quatre ans, s'est installé un état d'affaiblissement intellec- tuel que nous venon
ie; autrefois, on rangeait dans la dépression mélancolique tous les états dans lesquels le ma- lade présentait de l'obnub
lancolie est avant tout le résultat d'un trouble affectif, c'est un état de conscience doulou- l'eux; la mélancolie est
uvant des sujets de craintes dans les moindres modifications de son état physique et mental. A cause du retour de plus
? Non, sans doute, puisque le premier accès a laissé après lui un état d'affaiblissement intellectuel, que cet état d'af
a laissé après lui un état d'affaiblissement intellectuel, que cet état d'affaiblisse- ment n'a fait que progresser dan
accès, que les derniers accès sont évidemment conditionnés par cet état de déficit. Ces diagnostics étant éliminés, n
rmi les délires des dégénérés que ceux qui sont l'expres- sion de l' état de deséquilibre fonctionnel congénital des facu
de commun entre un délire à base de confusion hallucinatoire et l' état mental des dégénérés. La maladie de M. N... scind
inde sa vie en deux périodes bien tranchées; son mode de vie, son état mental, son activité intellectuelle sont changés,
on ou son contraire entraînent. Ce sont bien là les caractères de l' état mental de 111. N... Nous avons vu que, chez lui
rou- bles plus accentués que présentent les malades parvenus à un état plus avancé de démence; il s'agit d'une diminutio
plus avancé de démence; il s'agit d'une diminution des désirs, d'un état d'indifférence à tout ce qui l'entoure et à son
s, d'un état d'indifférence à tout ce qui l'entoure et à son propre état , et d'une diminution de la spontanéité intellec
ux troubles de l'évocation spontanée des images qui caractérisent l' état de sa mémoire; elles se résu- ment en cette for
es, les attitudes catatoniques ne sont que les formes extrêmes d'un état intellectuel dans laquelle la vie mentale se ré
pour une cause quelconque (cause que nous igno- rons d'ailleurs), l' état de torpeur augmente, l'aboulie croît dans des p
augmente, l'aboulie croît dans des proportions identiques; sur cet état s'installent des combinaisons d'idées assez fix
empêché de reprendre la place qu'il occupait dans la société. Cet état durant depuis treize ans; il n'est pas hasardé de
ffet, depuis les formes frustes, comme celle de NI. N..., jusqu'aux états de démence profonde; les moins affaiblis peuven
dans ses propos, une certaine satisfaction et l'inconscience de son état . Il a été malade, il est vrai, mais maintenant
te qu'il ne fait pas droit à ses revendications. 190t Janvier. Même état , il insulte, il traite le médecin de canaille,
st resté huit jours sans parler et sans reprendre conscience de son état . Il s'est remis ensuite à ses occupations penda
e peu à ses camarades, mais beaucoup tout seul et à voix haute. Cet état reste absolument identique durant toute l'année
ièrent de l'intensité lorsque le malade s'excite. - Avril. ? l\Iême état . Observation III. C... Marie, cultivatrice, mar
de même d'une façon alter- native. Elle n'est pas consciente de son état ; la mémoire est assez bien conservée si l'on t
t cela confirme l'évolution de la paralysie générale. Avril. - Même état ; est taciturne et s'isole des autres malades.
UN CAS DE DELIRIUM TREMENS. q ï'1 taxe elle-même de « délire » l' état grave par lequel elle a passé. Comment expliq
tout entier peut être considéré comme composé d'unités nerveuses en état de corrélation physio- logique, et dont chacune
es stimulés; et le facteur personnel lui-même peut varier suivant l' état de santé ou de maladie du sujet, et suivant la
ment atteints, l'idéation est gro- tesque, confuse et anormale. Ces états mentaux relèvent surtout des stimulations visue
aussi ne pren- nent-elles ce caractère que lorsque, par suite d'un état patholo- gique, les nerfs sont anormalement irr
s processus de désintégration l'emportent sur ceux d'intégration. L' état de nutrition des neurones dépend de diverses circ
sont absorbés comme stimulants pour activer des neu- z roues dont l' état de nutrition est défectueux, ils émoussent les.
dernières ramifications de leurs dendrites sont entre elles dans un état de continuité organique par REVUE D'ANATOMIE ET
Cette démence consiste en une lenteur des idées, une indolence, un état nuageux de l'intellect avec dimi- nution du pou
rémie, les symptômes mentaux et physi- ques pouvant dans ces divers états pathologiques ressembler à ceux des tumeurs du
dique et son action de contrôle sur les centres sous-corticaux de l' état normal. Supposons maintenant que 1 élasticité d
peut servir à expliquer quelques-uns des principaux phénomènes des états post-épileptiques. L'écorce Rolandique est l'or
Troubles généraux communs à diverses maladies (perte de l'appétit, état saburral de la langue et constipation, nausées et
du sommeil, sur la nature du sommeil et ses rapports avec d'autres états d'inconscience. Un point sur lequel tous les obse
ervateurs sont d'accord c'est l'anémie artérielle du cerveau dans l' état de sommeil ; elle est consécutive à la dilatati
t de la comparaison laite par l'auteur entre le sommeil et d'autres états d'inconscience se résume ainsi : dans le sommei
ns le coma narcotique, il y a inconscience et insensibilité; dans l' état mesmérique (l'auteur préfère ce mot qui ne préc
la fois de la conscience et de la sensibilité. Il y a donc là trois états psychiques qu'il faut se garder de confondre. D
illerées à soupe de la solution à 10 p. 100. Dans le traitement des états névropathiques simples on peut en général se co
NTES. 49& Le chiffre peut subir des modifications dans certains états patho- logiques. Comme on pouvait s'y attendre
t avait été rapide, fébrile, accompagné de troubles importants de l' état général et d'albuminurie, comme un début de par
sensibilité. A la période aiguë du début avait succédé une phase d' état très pro- longée, le malade était resté infirme
é le diagnos- tic de méningite, avec pronostic fatal. En réalité, l' état mental est sous la dépendance d'un trismus, ave
infection buccale permet de triompher rapide- ment du trismus, et l' état mental disparait. L'hypnotisme en Russie. M.
l n'en résulte pas SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 que, pendant ce dernier état , elle fut totalement inconsciente. Son état sec
que, pendant ce dernier état, elle fut totalement inconsciente. Son état second, seul, était impressiouné. Au réveil, c'es
ente. Son état second, seul, était impressiouné. Au réveil, c'est l' état prime qui reparaît; et l'on comprend qu'il igno
raît; et l'on comprend qu'il ignore le contenu psycholo- gique de l' état second. M. Voisin. Il est curieux de constater
hysiquement et mentalement funeste. Je disais expressément ceci : L' état d'incapacité, d'inertie mentale de cette malade
rt du temps, des abouliques. D'autre part, si l'hétéro-suggestion l' état de veille donne de si merveilleux résultats, po
ersuggestibilité pathologique que présente cette personne, même à l' état de veille. Hommage A LILBEAULT.- La Société pre
s rapporteurs auraient dû, pour la même raison, y inclure aussi les états mélancoliquesdes para- lytiques généraux, etc.
patronage n'avait point d'influence bienfaisante, et même souvent l' état de ces mala- des empirait. L'amélioration chez
évolution clinique qui évolue à travers des épisodes variés vers un état de démence plus ou moins profond; l'affaiblisseme
de. La forme catatonique est essentiellement caractérisée par des états de stupeur ou d'agitation où dominent les manifes
e la répétition d'un même mouvement (mouvements stéréotypés). Les états de stupeur catatonique sont caractérisés par un e
es, tentatives de suicide. La forme hébéphrénique est un ensemble d' états de dépression et d'agitation caractéri-és par d
vertiges, accidents convulsifs. La démence précoce évolue vers un état d'affaiblisssement intel- lectuel plus ou moins
formes frustres, on peut observer tous les intermédiaires entre cet état et la démence profonde : ce dernier mode de ter
celle de savoir si une modification de la structure du corps, ou un état constitutionnel quelconque acquis par un individu
l s'agit de la syphilis dite héréditaire. Ici encore il s'agit d'un état constitutionnel acquis, qui influera sur la pro-
de vue de l'héré- dité, directe ou collatérale, de la folie et des états connexes. C'est une loi connue que le semblable
n peut dire que l'élément mâle et l'élément femelle sont alors en état d'incompatibilité physiologique, mais c'est plutô
de parCdbertUatiet.etDettHH. 9. Nerfs entamés. Voir Menthol. L' état des -uculo nlot"urs dalls l'I1pmi- plégie rie
Hotcfl : is, 33R. - ne la main chez un hémiplégique, 418. OEil. L' état du fond de 1'- citez les paralytiques généraux,
LFP11QU ? Etude clinique sur les troubles de la conscience dans l' état -, par l'IC[¡, 411. PoTT. Cavités médullaires e
22 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ppareils circula- toire et respiratoire, et les organes génitaux. L' état général est bon ; le sommeil s'accomplit normal
r; mais la retenue qu'elle s'impose n'est pas sans occa- sionner un état de fatigue, d'énervement, qui ne prend fin que
a fatigue ou à la suite de tout effort musculaire. En dehors de ces états , on note simplement trois, quatre mouvements géné
ue, qui se transforme presque aussitôt en ligne ondulée. Ce dernier état de la contraction répond à la position du pied
ésentent pas de signe d'une lésion quelconque. Non encore réglée. L' état mental n'offre aucune particularité; pas d'idées
que les mouvements se produisent sans trêve ni repos, du moins à l' état de veille. Cette permanence des mouvements peut
ge électrique, mais aussitôt elle s'éternise, rappelle le muscle en état de tétanie, et prend fin d'une manière progress
au, légèrement accidentée, qui rappelle la contraction du muscle en état de tétanie (fig. 6, 7); enfin, pour les muscles
e aux prépara- tions ferrugineuses, fait de l'hydrothérapie, et son état ne s'est nullement amélioré. Le seul bénéfice d
superposition de deux maladies, de même chez J... elle a créé deux états morbides différents : les tics et l'hystérie. E
moins pour ses caractères intrinsèques que pour sa relation avec l' état mental du malade. Dans tous les cas une grande
ence des phénomènes persistants des maladies orga- niques ; -4° à l' état mental des malades. '1° L'étude du développemen
manifestations très vagues et des phénomènes peu accentués. 4" L' état mental de nos quatre malades est bien celui qui
tance et une intensité qui sont tout à fait carac- téristiques de l' état mental hystérique. Faut-il voir, dans leur réve
ines circonstances qui démontrent dans nos malades l'existence d'un état mental, croyons-nous, très caractéristique et q
s'empara de lui, et pendant trois ou quatre mois il resta dans un état très proche de l'aliénation mentale, il avait per
tra- vailler, et ces conditions mentales et physiques revinrent à l' état normal. Sa santé se maintint bonne jusqu'au moi
u toucher; en palpant le biceps du bras gauche pour cons- tater son état de nutrition, il se produit une flexion brusque d
labié, sur la faiblesse et absence des réflexes tendineux, malgré l' état spasmodique des muscles para- lysés ; sur la pr
n patron et ayant vainement cherché une oc- cupation conforme à son état physique, la crainte de la misère s'empara de l
bsence absolue de toute atrophie dans les mem- bres paralysés; 2° l' état dans lequel se trouve la peau de sa main gauche
plégie hystérique lorsque les membres sont contractures ou dans l' état d'opportunité de contracture (Charcot). Du reste,
stériques; de plus, la façon dont ils se sont établis nous révèle l' état mental de B..., et comme cet état mental est tr
ils se sont établis nous révèle l'état mental de B..., et comme cet état mental est très intéressant à connaître pour no
précision pour ainsi dire 62 PATHOLOGIE NERVEUSE. mathématique l' état mental de B...; en outre des stigmates physique
légie con- sécutive. En d'autres termes, en connaissant à présent l' état mental de B..., nous avons une puissante raison
vec une de ses mani- festations les plus typiques; à savoir avec un état mental très caractéristique, qui a donné origin
u traumatisme. Or, qui pourrait nier que ces deux paralysies et les états morbides qui leur ont donné origine sont de la
sme n'a pas d'impor- tance ; c'est l'impression qu'il produit sur l' état psychique du malade qui détermine l'apparition
ain que les mé- decins ont dû examiner avec beaucoup de fréquence l' état de la motilité dans ses membres gauches, afin d
souffert, occasion favorable pour achever de dominer complètement l' état mental de B... Quoi qu'il en soit, nous croyons
ômes, mais il faut les interpréter, en étudiant leur rapport avec l' état mental des malades. Seulement, à cette conditio
et M. A. PERON, interne des hôpitaux'. III. ÉPILEPTIQUES DANS UN ÉTAT PLUS OU MOINS NORMAL. 18 mai 1892. - Vilm... Po
ant et calculant passablement, était tombée progressivement dans un état proche de la démence en dépit du traitement. Il
de janvier dernier, un changement considérable s'est fait dans son état . Ses attaques journalières sont devenues des at
ues renseignements, l'expression de la physionomie est animée : l' état général est meilleur. Nous avons voulu recherch
s malades, en particulier, les malades gravement atteints dans leur état mental paraissent avoir une hypotoxicité consta
t ce ne sont pas les moins atteintes au point de vue mental, dont l' état normal est l'hypotoxicité. 6° Le trouble ment
INIQUES, PATHOGÉNIQUES ET THERAPEUTIQUES. Nous venons de voir que l' état des urines est différent avant, pendant et aprè
tat des urines est différent avant, pendant et après les accès.-Cet état de la sécrétion urinaire au moment des paroxysm
pas tous en revue, mais nous attirerons seulementl'attention sur l' état des voies diges- tives. Tous les malades ont la
Les malades sentent qu'ils vont avoir leur accès, et pour eux, cet état gastrique est un indice certain de l'imminence
Ils viennent trouver le médecin et lui réclamer une purgation. Cet état gastrique a déjà été signalé par plusieurs aute
ons annoncé plusieurs fois à l'avance des accès en cons- tatant cet état . Cet état saburral accompagnant l'hypotoxicité
é plusieurs fois à l'avance des accès en cons- tatant cet état. Cet état saburral accompagnant l'hypotoxicité des urines
écurseurs et concomi- tants de l'accès convulsif ou du trouble de l' état mental ? En tenant compte de l'état urinaire, o
ès convulsif ou du trouble de l'état mental ? En tenant compte de l' état urinaire, on doit penser que tous ces troubles
lique la période paroxystique avec son hypotoxicité urinaire et son état gastrique. A la fin de cette période paroxystiq
nfin une exagération de la toxicité urinaire avec diminution de l' état gastrique. C'est ce qui constitue la fin de la cr
de. Si l'albuminurie complique la sécrétion urinaire comme dans l' état de mal, cette élimination des toxines est plus lo
a mort peut survenir dans un laps de temps plus ou moins court. L' état du rein dans ces cas, joue un rôle capital. S'il
que certaine. Si sa fonction urinaire a été très troublée pendant l' état de mal et si ce trouble fonctionnel persiste lo
sang. Nous avons vu que cette élimination ne s'effectue pas dans l' état de mal, qu'elle est retardée par l'albuminurie
-on tenir grand compte de cette albuminurie chez les indi- vidus en état de mal. Dans certains cas, elle peut être une c
ns. C'est ainsi qu'elle nous donne l'explication des séries et de l' état de mal. L'élimination ne s'effectuant pas, le m
ent avec ferveur et implorent leur guérison. Dans ces conditions, l' état mental ne tarde pas à dominer l'état physique.
érison. Dans ces conditions, l'état mental ne tarde pas à dominer l' état physique. Le corps rompu par une route fatigant
ce que l'esprit possède sur le corps. Les hystériques présentent un état men- tal éminemment favorable au développement
ion indi- quée sur son billet, causer sensément, etc. Le retour à l' état cons- cient dans ces crises, d'une durée de sei
efficient urotoxique était d'abord plus élevé chez ce malade qu'à l' état normal, puis qu'il avait diminué au sur et à me
e générale, ona- nisme avec les signes habituels du myxoeJème et un état de perturbation intellectuelle, l'idiotie. L'au
uantité d'acétone contenue dans l'urine n'est pas en rapport avec l' état psychique du malade (dépression, agitation, peu
tente, une relâche bienfaisantes ; comme exemple,;on peut prendre l' état psychique des candidats à un concours, à un exa
les idées tendront huit fois sur dix au suicide. Etant admise, à l' état normal, l'existence de l'appétence anxieuse, il
ite comment par une exagération tout entière attribuable au mauvais état psychique du sujet, cette appétence induit ce d
antité d'acétone contenue dans l'urine, n'est pas en rapport avec l' état psychique du malade (dépression, agita- tion, p
relation n'est pas suspendu, ou le malade mâche et avale comme à l' état normal, où l'émission des sons est conservée, o
rri- vée à une période avancée et que ne pouvait faire soupçonner l' état de rémission dans lequel se trouvait le malade.
fiévreuse reparurent ; la température s'éleva vivement à 42u5. Cet état calo- rique dura environ deux heures, puis une
ion étonnée et murmurait invariable- ment « Raiiber » (Robber). Cet état durait ordinairement de dix il trente minutes e
suite d'une attaque, est restée plongée pendant trois jours dans un état somnambulique. Le premier jour elle a erré dans
ntale différente de sa vie normale. Lorsqu'on met cette malade en état d'hypnose, elle revient brusquement à son état
met cette malade en état d'hypnose, elle revient brusquement à son état de condition seconde et le souvenir de sa fugue
. 100 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .Lorsqu'on la fait sortir de l' état léthargique dans lequel on l'a plongée, elle re
uel on l'a plongée, elle rentre dans l'existence ordinaire avec son état mental spécial et tout différent de celui où el
tout différent de celui où elle est quand elle est endormie. Chaque état de conscience ne conserve le souvenir que de lu
t de conscience ne conserve le souvenir que de lui-même et ces deux états s'ignorent réciproquement. (Annales médico-psya
hyperesthésie, une hyperexcitabilité musculaire et auditive et à un état de convulsi- bilité qu'on ne retrouve pas avec
de convulsi- bilité qu'on ne retrouve pas avec l'urine normale. Cet état est poussé si loin que, dans l'intervalle des a
urine des malades atteints de stu- peur lypémaniaque, présentent un état de stupeur avec inquiétude et apeurement, qui n
ale. L'urine des lypémaniaques donne naissance non seulement à un état de résolution plus marqué qu'à l'état normal, mai
naissance non seulement à un état de résolution plus marqué qu'à l' état normal, mais encore à de l'inquiétude et àde l'
elle ne se sépare pas de l'atrophie latérale, et on la retrouve à l' état de fascicule scléreux dans la pyramide du bulbe
elles sont moins abondantes dans le premier que dans le second. Cet état se constate surtout dans la protubérance; la dé
qui les distingue nettement des autres fous; 9° leur conduite à l' état libre dans la société; ce qui les distingue des g
'apparaît qu'après les hallucinations, c'est-à-dire, à la période d' état de la maladie. L'opinion n'est pas encore fixée
e qui rappelle la démence aiguë), par la mort ou par le passage à l' état chronique du reste lui-même curable. Il n'est p
4 De l'indication et du mode d'emploi de l'hydrothérapie dans des états d'agitation psychique. Rapporteurs : MM. FUERSTNE
sous-cutanée de chlorure de sodium chez les aliénés sitiophobes en état de collapsus. Mémoire publié. Discussion : M. S
. Depuis quatre ans, excitations paroxystiques avec hallucinations, état mé- lancolique, dégoût de la famille. Cet état
avec hallucinations, état mé- lancolique, dégoût de la famille. Cet état a empiré depuis une maladie intercurrente. L'ex
mène facial. Anesthésie du pharynx. Diagnosis : la combinaison d'un état tétanoïde avec l'hystérie qui est cause de cette
lade s'est faite, sans s'en aperce- voir, il y avait trois jours. L' état de la malade s'améliora très vite à l'hôpital,
, où il y a combinaison de pied plat avec contracture musculaire. L' état de la malade s'améliora de beaucoup après farad
athétérisme journalier, excrétion urinaire libre. Pas d'eschares. L' état de santé de la malade n'est pas satisfaisant, ell
a résultante de la représentation men- 1144 BIBLIOGRAPHIE. tale d' états agréables ou pénibles, et sont, par conséquent d'
bre de sen- sations actuelles ou naissantes, propres à rappeler ces états . Dès lors, les émotions n'étant que des représe
ces états. Dès lors, les émotions n'étant que des représentations d' états de cons- cience provoqués par des excitations e
s conditions physiologiques des émotions présentent, aussi bien à l' état normal qu'à l'état pathologique, une grande analo
logiques des émotions présentent, aussi bien à l'état normal qu'à l' état pathologique, une grande analogie, sinon une si
. Par suite, les agents physiques, qui sont capables de modifier un état de conscience d'origine périphérique, sont auss
science d'origine périphérique, sont aussi capables de modifier les états de conscience d'origine cen- trale : les signes
nscience d'origine cen- trale : les signes extérieurs de ces divers états de conscience peu- vent être étudiés par les mê
ultent des agents physiques et de prouver que les émotions sont des états somatiques s'accompagnant d'états de conscience
prouver que les émotions sont des états somatiques s'accompagnant d' états de conscience que l'on peut voir se développer
phénomènes physiolo- giques et pathologiques, qui accompagnent les états de conscience d'origine soit externe, soit inte
e de l'air, de la pression atmosphé- rique, de la température, de l' état hygrométrique, de la tension électrique des ing
effets et est la condition indispensable de la sensation comme des états de conscience : interne, même lorsqu'il est purem
t passif, peut s'accompagner des mêmes effets généraux et des mêmes états de conscience auxquels il est indissolublement
déterminant, comme toutes les excitations internes ou externes, un état particulier de tension musculaire préralable, qui
ui ne sont pas les effets mais bien les conditions physiques de ces états de conscience, et qui consistent dans des modif
s de provoquer les mêmes phénomènes généraux et d'épuise- ment, des états pathologiques analogues. Sous le coup des condi-
s d'expérimentation. Un point digne de remarque, c'est que dans les états d'excitation l'accélération du processus d'asso-
on est toujours peu marquée relativement au ralentissement dans les états de dépression. Par suite, l'imagination se trouve
ion avec douleur morale, elles sont l'expression physiologique d'un état émotionnel unique, la douleur. La manie dans se
les hémisphères sont indispensables à la production des sensations, état de conscience d'origine externe, ils sont bien
otivités sys- tématiques ; aussi importe-t-il d'étudier avec soin l' état somatique du sujet pour chercher à découvrir d'
ste pas une cause de dépression étrangère au' système nerveux ou un état dépressif curable de ce système, Considérer tou
eux ou un état dépressif curable de ce système, Considérer tous les états émotifs comme des stigmates de dégénérescence,
nfant au moment où sa mère cherchait à l'étrangler. L'enfant dont l' état est très grave, a été conduite à l'hospice des
supérieurs, dont l'évolution plus ou moins progressive, jointe à l' état spasmodique des membres inférieurs, à certains
-Duchenne, soit à la sclérose latérale, si elle s'accompagne d'un état spasmodique suffisamment accentué. Jetez les ye
c'est-à-dire huit jours après. Il était alors exac- tement dans l' état où nous le voyons aujourd'hui. L'a- Fig. 15 et
ut rejeter tout d'abord l'hypothèse d'une lésion né- vritique que l' état des réflexes tendineux et la con- tractilité él
othèse et poursui- vons l'examen de notre sujet. Si nous étudions l' état des différentes régions et en particulier des m
par le médecin du régiment qui ne remarqua rien d'anormal dans son état de santé. Histoire DE la maladie. Il y a deux m
de la phonation ni de déglutition. Les lèvres et la langue sont à l' état normal. Pas de troubles du côté des sphincters.
anesthésie tactile et musculaire » . Et Pierre Marie 2 : « Dans cet état , la vue est d'un grand secours au malade pour r
oscillations. » Toutes ces constatations de terreur, d'anxiété, d' état moral, tout cela n'indique-t-il pas cette sensa
ement, de façon à présenter un rebord assez volumineux. Face. A l' état de repos, le front se présente assez lisse sans
de ce muscle entre l'acromion et la tête de l'humérus et, même à l' état de repos, on constate une dépression. Nous avon
ls- chewnikoff, losenlieim, Arnold, Stadelmann et Nonne) dans des états pathologiques différents. ' Il est d'avis, et K
aient échappé à d'autres, de ce que M. Renaut les a rencontrées à l' état physiologique chez les solipèdes, enfin de ce q
ipèdes, enfin de ce que les observateurs les ont signalées dans des états patho- logiques qui n'ont rien de commun, il es
de cellules), constitueraient un appareil organique qui existe, à l' état normal, dans les nerfs de l'homme, et qui dériv
s étant devenues adultes, les noyaux des cellules passeraient à l' état de cellules invisibles ou cellules sommeillantes
a musculaire perdant ses qua- lités de différenciation, revient à l' état de protoplasme ordi- naire, et aussitôt les cel
des lésions pour- rait être interprété de la façon suivante. A l' état normal, le tissu conjonctif des muscles est remar
arcoplasma et le tissu interstitiel qui possèdent en raison de leur état de moindre différenciation - une énergie de nu-
t ce que j'appelle le labyrinthisme. ,)Il) pathologie nerveuse. L' état de souffrance de l'oreille interne, que j'appelle
ariés, depuis le grand accès' de vertige, dit de Ménière, jusqu'à l' état subvertigineux, qui ne reconnaît qu'un mode d'é
migraine, des angoisses et des terreurs au moindre ébranlement, un état d'émotivité remarquable, d'anxiété pénible, ave
ardive, antécédente ou consécutive aux attaques, aux malaises; un état de dépression mentale, d'incapacité intellectuell
résistait. Né de la lésion voisine, il durait sous l'influence de l' état neurasthénique créé par l'épidémie. L'observation
ai, retour de l'écoulement léger, et la surdité revient totale. L' état général, au lieu de s'améliorer, s'aggrave rapide
llet même année, l'audition primitive se rétablit, tout renaît et l' état général se relève. En janvier 1892, nouvelle éc
ups, ces oscillations brusques sont absolument caractéristiques des états névropathiques et il m'est arrivé fréquemment d
x ans et plus, maux d'es- tomac et diarrhée continue, maux de fête; état amélioré par le Dr Tapret, au moyen du régime l
par les douches froides suivi d'une excellente amé- lioration de l' état général, de la disparition des battements, des
es troubles subjectifs de l'ouïe s'observent encore dans les divers états dyscrasiques, cachectiques (albuminurie, diabète,
s symptômes auditifs per- sistent et progressent, entretenus par un état neurasthénique, soit par une affection utérine
te et à gauche. La quinine est reprise, mais reste insuffisante; un état utérin (pertes, écoulements, douleurs, etc.) tr
il de conduction et la fonction auditive n'avaient pas gardé leur état normal. L'otite ancienne a laissé ici un point fa
au début, il n'y avait aucun signe objectif. J'ai déjà dit que ces états d'éréthisme sont fréquem- ment des signes prémo
prémonitoires de la surdité par sclérose, plus ou moins rapide. Ces états spasmodiques, véritables névroses labyrinthique
86 est un cas de ces névroses labyrinthi- ques associées à tous les états de souffrance de la neuras- thénie, l'ouïe rest
une émotive, et une épuisée dont tous les centres ner- veux sont en état de souffrance. Un traitement général, les prise
ée, violacée, noirâtre par places. La figure 18 donne une idée de l' état de la lèvre à ce mo- ment, mais une idée incomp
). Celte affection avait été précédée du- rant plusieurs jours d'un état mental tout particulier et bizarre. « Il s'arrê
quemment sur ' lui-même. Il reconnaît ses parents, mais est dans un état intellectuel des plus bas. Gâteux jour et nuit,
et tourne plusieurs fois sur lui-même lorsqu'il veut avancer.. Son état intel- lectuel est très bas. Il ne parle pas, c
des mains. ' . , 1888. Juillet. Pas de modification notable de son état . Déve- loppement physique peu accentué. Léger d
cules sont de la grosseur d'un oeuf de pigeon. 1890. Juillet. - Son état intellectuel n'est pas sensiblement modifié. Se
se masturbait continuellement. Au bout de quelques semaines, son état s'est amélioré, il sourit, obéit à quelques ordre
naissance avant terme, sont plus que suffisants pour expli- quer l' état psychique de notre malade. Les accidents convulsi
ningite chronique ou sclérose des circonvolutions). D'autre part, l' état rudimentaire de son intelligence, les mou- veme
olonté est fréquent chez les idiots, il offre une similitude avec l' état des hypnotisés, qu'il serait intéressant de com
r à nombre de nos malades, que l'on peut si facilement suggérer à l' état de veille. Nous nous réser- vons du reste, à pr
imbécillité et la folie morale, diminution de la toxicité. Dans les états .consécutifs aux accès épileptiques, ce fut la di
veux suffit chez lui à provoquer l'organe vénérien. G. D. XXV. DE l' état sain DE L'ESPRIT ; par le D'' 13UCRE. L'auteur
e la vérité objective que ne le sont les soi-disant conditions de l' état mental sain. M. Bucke cite quatre points sur le
s aux aliénés; par le Du GoDDING. A propos de la récente loi de l' état de New-York, qui déclare les aliénés pupilles d
ue la première condi- tion dans les effets hypnotiques doit être un état mental personnel au sujet : par suite d'un trou
soit guidée et surveillée par une force influente supérieure : à l' état de veille, un acte de volition stimule l'activi
s par la capacité automatique de l'attention organique aussi dans l' état mental normal de l'homme, beaucoup de mouve- me
t le raviver pourvu qu'une impulsion exacte lui soit donnée. Dans l' état hypno- tique dans lequel l'attention rationnell
ipp, dont 130 exécutées par Bechterew lui-même, sur trois femmes en état de suggestion hypnotique amhulatoire (deux gran
une petite hystérique). Conclusions. 1° Les malades en question à l' état de veille, se sentant en bonne santé, présentai
êmes opérations intellectuelles chez les individus sains. 2° Dans l' état hypnotique il faut, par rapport à l'état de veill
individus sains. 2° Dans l'état hypnotique il faut, par rapport à l' état de veille, un temps plus grand pourla réaction
es et celui de l'association des conceptions est moindre que dans l' état de veille chez les mêmes individus. 3° Chez ces
opérations intellec- tuelles sus-désignées se font plus vite dans l' état hypnotique quand on leur suggère de se presser
t de l'association conceptuelle, elle le rend plus court que dans l' état de veille. Elle abrège le temps de la réaction si
temps d'élection mais ne le rend pas toujours plus court que dans l' état de veille, avant l'hypnotisme. 5° Invariablement,
ns l'état de veille, avant l'hypnotisme. 5° Invariablement, quand l' état nerveux des sujets s'aggrave (accès d'hystérie an
nt naturellement la part des complications, de la sitiophobie, de l' état de la digestion, de la constitution, de l'âge,
ispensables, une certaine contraction musculaire plus marquée que l' état de tonicité ordinaire. G. D. XX. DE LA PACHYM
re le linteau d'une porte. Quelques jours après, il tombait dans un état mélancolique avec périodes d'exci- tation par i
un état mélancolique avec périodes d'exci- tation par intervalles, état qui nécessita son placement dans un asile d'ali
ut être tenue pour un exemple particulièrement caractéristique d'un état de faiblesse psychomotrice. Or voici trois fait
de symptômes appartenant à cette maladie, il vaut mieux attribuer l' état des phalangettes à une stase produite par des l
qu'ici démontré l'existence de l'atrophie dégénérative des muscles ( état graisseux), de la dégénérescence des racines an
l la névroglie a proliféré à un degré extrême. On a déjà décrit cet état anatomique sous le nom de gliose. M. J. STEINER
extenso '.) M. FREUND présente des schémas destinés à enregistrer l' état de la sensibilité. On les trouve chez Hirschwal
téguments externes cons- tatée en même temps que ce symptôme, et l' état du pouls (petit et contracté), on peut en concl
lors ont forcé l'auteur à le revoir pour le mettre au courant de l' état actuel de nos connaissances. Mais le fond est r
BIBLIOGRAPHIE. 305 d'un autre symptôme hystérique, celle de divers états morbides, tels que les fièvres graves, celle du
ure hystérique permanente se subdivisant en deux variétés suivant l' état d'anesthésie ou d'hy- péresthésie de la peau; 2
umée de la sortie de l'alcoolique, l'asile adresse un rapport sur l' état du malade aux fonctionnaires qui l'ont fait séq
ation n'ait été avertie du fait qu'après l'accouchement; mais, en l' état actuel des choses, il croit qu'il n'y a qu'à la
suite d'affaires d'amour, les autres, à ce que l'on croit, dans un état de démence momentanée causée par la chaleur. LE
uel. Malade d'apparence vigoureuse, fortement mus- clé. d'excellent état général. Intelligent, renseigne bien sur les di
de de ce malade (tendon du tri- ceps) sont un peu plus forts qu'à l' état normal, mais égaux des deux côtés, sans qu'on p
nsi améliorée, il sort au moins de mars de la Salpêtrière, mais cet état ne dura pas longtemps, car d'après une lettre q
de sorte que M. Charcot a pu montrer le malade, dans une leçon, en état complet de pa- ralysie, et dans la leçon suivan
leçon, en état complet de pa- ralysie, et dans la leçon suivante en état d'amélioration très considérable. C'est là un f
re pendant plus de six mois n'ont produit aucun changement dans l' état du malade. Les mouvements de l'articulation du po
chambre ou sur son lit, faisait quelques promenades au dehors. Cet état de faiblesse dura trente jours environ. Eut-il
tit un liquide séreux presque clair. Au bout de trente jours de cet état de malaise et de faiblesse générale, il voulut es
19 mai 1892, sans qu'un notable changement se fut produit dans son état , a quitté le service. Les limites de la zone an
n survint, n'é- pargnant dans sa marche que la face; c'est dans cet état que ce jeune garçon succomba à seize ans, La pl
ères; signalons aussi des épis- taxis fréquentes et abondantes. Cet état continue à s'aggraver durant l'année 1890, et a
r-là (fig. 45 et 46). Un simple coup d'oeil suffit pour constater l' état d'amaigrisse- ment considérable que montrent le
maintenir sa position verticale les mêmes liens dont elle jouit à l' état normal, puisse se déformer, et cette déformatio
chez ce myopa- thique, ou bien n'est que la conséquence du mauvais état de nutrition que la maladie a peu à peu entraîn
uvoir donner à ces considérations une base anatomique, rechercher l' état des rachis et des centres ner- veux ; des circo
cependant que son champ visuel reste comme auparavant rétréci. L' état d'une santé relative dure jusqu'à trois semaines
pour céder à une contracture généralisée après laquelle suivait un état d'af- faiblissement et perte de conscience. Sou
ement général des facultés, autrement dit le dynamisme mental; 2° l' état des mouvements volontaires. Tout d'abord s'impo
s mouvements volontaires. Tout d'abord s'impose la distinction de l' état mental général et des symptômes plus en relief
maux, et qui exigent l'emploi de moyens accessoires. Au-dessus de l' état général, qui est à peu près fixe et constant, a
rification immédiate. En fait toutes ces obsessions sont liées à un état émotif, s'accompagnent des mêmes phénomènes d'a
ons, les idées tardives de suicide ne font partie intégrante de cet état morbide, les tentatives de suicide de ces ma- l
ment puériles et saus résultat. - Tous ces symptômes surajoutés à l' état général fondamental va- riant avec chaque malad
tres fois, le début est graduel et le malade entre d'emblée dans un état qui ressemble à celui du délire alcoolique subaig
mble à celui du délire alcoolique subaigu. Il peut y avoir aussi un état de stupeur très marqué avec ou sans phéno- mène
maladie; 2° guérison avec léger airai- blissement des facultés; 3° état chronique de démence; 4° mort après marche aigu
uë ou chronique, le plus souvent par pneumonie, phtisie, marasme ou état de délire aigu. Au point de vue de l'aaa- tomie
gu. Au point de vue de l'aaa- tomie pathologique, on trouverait des états d'anémie, d'oedème céré- bral avec trouble des
les qui paraissent reliés plus ou moins aux hallucinations. Sur cet état de stupidité viennent se greffer des accès d'ag
s'accordent pour reconnaitre que cette maladie csttaconséqucnced'un état d'épuisement cérébral qui amène un état de faib
aladie csttaconséqucnced'un état d'épuisement cérébral qui amène un état de faiblesse irritable du système nerveux centr
ir un rôle étiologique. Les auteurs les plus récents attribuent cet état au résultat intime d'une infection ou auto-into
monde extérieur, il y a d'abord toujours un parallélisme entre l' état d'agitation motrice et l'idéorrhée ; les hallucin
un trouble aussi profond de la conscience ni de perturbation dans l' état somatique ; le délire d'emblée est le plus souv
e diagnostic. Pour le délire aigu, le moment de son apparition, l' état grave, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 la te
r le Dl' E. LOURENT. Il existe chez certains criminels, à côté d'un état de débilité intel- lectuelle, un état de débili
rtains criminels, à côté d'un état de débilité intel- lectuelle, un état de débilité volitiouuclle qui les met dans un éta
l- lectuelle, un état de débilité volitiouuclle qui les met dans un état d'infériorité notoire, lequel ne leur permet pa
classification des criminels en deux grandes catégories, d'après l' état de leur vo- lonté : les inertes et les impulsif
e la volonlé, et le rôle de la suggestion soit hypnotique, soit à l' état de veille, l'auteur reste persuadé qu'on peut,
e, soit à l'état de veille, l'auteur reste persuadé qu'on peut, à l' état de veille, aveugler la raison et abuser la volo
laisser le champ libre à l'au- tomatisme, et de rendre possible à l' état de veille de véritables auto-suggestions crimin
r¡IlC8 , déc. 1892.) E, B. XXXV. Modifications 013SERN iES dans l' état mental DE certains ALIÉNÉS ATTEINTS DE CHOLÉRA;
le D1' Camuset de faire plusieurs observations intéressantes sur l' état mental des aliénés atteints. 1° Etats maniaques
s maniaques. - L'attaque cholérique a toujours fait dis- paraître l' état maniaque quelle que fût l'intensité, quelle que f
exception : le choléra a toujours fait disparaître temporairement l' état maniaque ainsi que les délires non systématisés
Etats mélancoliques. - L'influence de l'attaque de choléra sur les états mélancoliques, n'a été ni aussi profonde, ni surt
s, n'a été ni aussi profonde, ni surtout aussi générale que sur les états maniaques. Dans un cas de mélancolie chronique,
roduit un effet semblable à celui qu'elle produit toujours dans les états maniaques. Mais, en général, la maladie tendait
s. Mais, en général, la maladie tendait plutôt à accroître encore l' état de dépression. Les malades tombaient vite en pr
etc. - Un seul para- lytique général fut atteint du choléra et son état mental, déjàtrès mauvais, ne fut nullement modi
es. L'attaque cholérique fait disparaître temporaire- ment tous les états maniaques, modifie peu les états mélanco- lique
paraître temporaire- ment tous les états maniaques, modifie peu les états mélanco- liques, fait disparaître les délires v
s et les déments avancés, se rendaient compte de la gravité de leur état et envisageaient la mort avec résignation, sauf
ions délirantes cessent. Mais la cessation du délire et l'excellent état de ses facultés intellectuelles, n'empê- chent
f. Il est difficile dans les cas nombreux où elle n'apparaît qu'à l' état d'intervention; on a pu la confondre avec la lé
et la mieux caractérisée, ou bien succéder, pour le terminer, à un état mental pathologique antérieur. Parmi les formes
orme cependant une classe à part. Il lui faut pour se développer un état d'invalidité cérébrale, résultant d'un épuiseme
ut non seulement par un trouble de l'aperception, mais aussi par un état émotionnel (peur) qui petit à petit envahit tout
des criminels éventuels. On les traite, cependant, et on les met en état de jouir, sans inconvénient pour personne, d'un
'insuffisance des doses prescrites. 3° L'action du médicament sur l' état général somatique a con- sisté dans le relèveme
nt de la nutrition et la production du som- meil normal. 4° Sur l' état mental, le médicament a agi en modifiant et en
uant les symptômes pénibles ou violents et en hâtant le retour à un état analogue à un commencement de convalescence. 5°
maladie : tout d'abord, il n'y a que des secousses accompagnant un état émotif; puis le malade passe à la manie ou il l
ection intercurrente à laquelle l'a singulièrement prédis- posé son état de paralysie : la plus commune de ces maladies te
blée. Depuis deux ans il ne s'est produit aucun changement dans son état . Cette jeune femme n'a pourtant que vingt-cinq
hiatrie, de Saint-Pétersbourg. L'auteur s'est atta- ché à étudier l' état des fibres d'associalion dans l'écorce cérébrale
juin 1892. - Présidence de 11. ZIXN, aîné. M. Zirrrr explique què l' état de santé de M. Loehr aîné a engagé le bureau à
et essentiellement clinique, présente l'histoire de la manie et des états maniaques dans les di- verses formes mentales.
ns, il n'y a jamais de fièvre, à moins de complication organique. L' état de fureur maniaque, signalé parles auteurs comm
Outre la guérison, qui est très fréquente, la manie peut passer à l' état chronique qui se termine par la démence. Rarement
le signe extérieur par lequel ce trouble se manifeste : c'est à ces états qu'il faut attacher la dénomination d'état maniaq
manifeste : c'est à ces états qu'il faut attacher la dénomination d' état maniaque : ces manies secondaires sont à la man
manies secondaires sont à la manie franche aiguë ce que sont les états symptomaliques aux états idiopathiques. Les éta
t à la manie franche aiguë ce que sont les états symptomaliques aux états idiopathiques. Les états maniaques, dont le tab
ce que sont les états symptomaliques aux états idiopathiques. Les états maniaques, dont le tableau rappelle de plus ou mo
e des services pour calmer l'agitation. Enfin, il faut surveiller l' état général et par suite l'alimentation du malade.
sans données psychologiques dif- férentes et sans s'inquiéter de l' état mental provoquant la sugges- tibilité, peut agg
de l'état mental provoquant la sugges- tibilité, peut aggraver cet état mental tout en semblant modifier avantageusemen
ie a ouvert une enquête, et plu- sieurs paysans ont déjà été mis en état d'arrestation. (Petit TroyenT 8 février 1893.)
ets; 50 ils n'ont habituellement pas sur la santé générale et sur l' état mental des sujets qui en sont atteints le reten
ol psyclological medicine de Hack Tuke, 1892. si L. Laurent. -Des états secozds, Variations pathologiques du champ de l
ent par l'isolement et les influences morales qui modifiaient non l' état physique mais l'état mental pathologique de l'h
les influences morales qui modifiaient non l'état physique mais l' état mental pathologique de l'hystérique. Cette conc
e est une psychose et que la modification qui la caractérise est un état maladif de l'esprit'. » Mais ces modifications
inon chez toutes au moins chez la plupart des hystériques, et ces états artificiels peuvent présenter tous les caractères
u phénomène essentiel qui caractérise les somnambulismes; comme ces états sont extrêmement nombreux et variés, on constat
pas dans l'autre. Nous avons essayé de montrer autrefois que « l' état somnambulique ne présente pas de caractères qui l
déterminé que par rapport à un autre moment de la vie du sujet, à l' état normal ou l'état de veille ». L'oubli de tout c
rapport à un autre moment de la vie du sujet, à l'état normal ou l' état de veille ». L'oubli de tout ce qui s'est passé p
qui s'est passé pendant le somnambulisme quand le sujet revient à l' état normal, malgré toutes les complications que ce
erdus réap- paraissent quand le sujet se retrouve de nouveau dans l' état anormal et cette amnésie, suivie d'un retour pé
iodique des souvenirs, établit une sorte de scission entre les deux états . Un individu qui est vraiment somnambule vit de
ultat, la manifestation d'un dédoublement de la personnalité. Cet état est provoqué de diverses manières : quelquefois,
nambulisme de tel ou tel malade : l'une entrera rapidement dans cet état parce que je lui touche le front, une seconde p
n seulement les longues pé- riodes de la double existence, mais des états de durée très courte pendant lesquels le malade
de l'hystérie, ce sont les rap- ports étroits qui existent entre l' état somnambulique et l'at- taque hystérique proprem
Salpêtrière. Les sujets, disions-nous, passent très facilement d'un état à l'autre, de la crise au somnambulisme ou réci
nt =. La mé- moire qui est ici si importante présente dans ces deux états un caractère essentiel, elle est réciproque : l
qu'il retrouve nettement les sou- venirs de l'attaquer Ce sont deux états dont les caractères généraux sont tout à fait c
t provoquée par un phénomène psychologique qui est associé avec l' état émotif, l'idée fixe, le rêve constitutif de la se
u nom que je leur ai donné pendant le somnambulisme pour amener l' état de somnambulisme complet 1. On pourrait faire l
aptitudes, les mêmes paroles, il obéit aux mêmes signes, change d' état suivant qu'on le touche ici ou là. Si l'opérateur
l'attaque d'hystérie vulgaire est la reproduction automatique d'un état émotionnel ancien. On peut le constater en exam
question ici des va- riétés, ni des difficultés de détail, « de ces états de somnam- bulisme variés dont chacun amène le
us souvent encore, nous avons constaté que le sujet dans tel ou tel état hypnotique retrouvait complète- ment la mémoire
psychologique assez délicate qui était alors très peu comprise. « L' état incomplet de la personnalité première, dit-il, co
c- toral 3, montre le grand rôle que jouent chez l'hystérique les états secondaires et les phénomènes subconscients, et l
oujours. Il faut cependant constater que souvent le malade dans son état normal ignore cette idée provocatrice qui ne se
vocatrice qui ne se retrouve net- tement que pendant les périodes d' état second naturelles ou provoquées et c'est précis
e de son idée ' Jules Janet, op. cil., p. 622. s L. Laurent. De l' état mental des hystériques d'après les théories psy
rchives cliniques de Bordeaux, septembre 1892.) 3 L. Laurent. Des états seconds, variations pathologiques du champ de l
de conscience anormaux qucnous proposons de réunir sous le nom ^d' états hypnoïdes constitue le phénomène fondamental de c
es nou- velles peu rassurantes qu'il reçoit ne font qu'aggraver son état ; aussi souvent « se trouvet-il à pleurer ». C
in gauche. Le tremblement est ici très net. La figure 5, répond à l' état du malade, lors de son arrivée à Bigorre, la li
ordiale dont les modalités sont régies par l'âge des malades ? En l' état de nos connaissances, il serait téméraire de co
llent sédatif, recommandable surtout chez les femmes, dans tous les états d'excitation psychique ou motrice accompagnant
e dans.la manie aiguë. Dans les formes de manie chronique, dans les états d'agitation, aux arrêts de développement ou à la
iode, il y eut pendant deux mois une amélioration très marquée de l' état mental en même temps que les troubles de la mot
ont activées et, par suite, l'élimination des produits toxiques ; l' état général de la nutrition s'améliore notablement.
cence, aucun antécédent héréditaire. Il croit pouvoir rattacher son état pathologique à un affaiblissement gé- néral rés
tion du développement de l'intelli- gence, on peut admettre que les états convulsifs, en entravant l'attention, favorisen
tés intellectuelles s'est terminé assez rapidement par un véritable état de démence. G. D. 458 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
durée très courte, ayant disparu brusquement pour faire place à un état d'automa- tisme mental, avec amnésie complète d
culaire. Plusieurs formes d'aliénation mentale se sont montrées à l' état de conséquence de la grippe épidémique, et il e
s confrères la communication de nouveaux faits. R. M.-C. LXXIX. DES états asymétriques QUI SE RENCONTRENT dans la face DE
tômes de paralysie du mouvement qui produi- sent l'asymétrie et les états pathologiques cérébraux qui, dans cer- tains ca
complissement des modifications physiques qui accompagnent certains états émotifs et qui peuvent éventuellement se manifest
raient pas « gorie, ils indiquent du moins qu'il y a entre ces deux états de « nombreux points de contact. C'est ainsi qu
et les lésions de la sensibilité. It faut-remarquer toutefois que l' état de démence de la malade a pu faire passer inape
ode d'excitation; le coeur était hypertrophié, gras, le myocarde en état de dégénérescence. La rupture occupait la paroi
onnaître que si le milieu ambiant paraît agir défavorablement sur l' état mental, si les ressources du traitement à domic
hypnotisme et il m'a montré comment on peut provoquer brusquement l' état cataleptique au moyen d'un bruit violent et sou
résultat. Mais on a vu des cas où le même phénomène s'observait à l' état de veille, sans intervention hypnotique. Aussi Ta
s intervention hypnotique. Aussi Tamburini pense-t-il que, dans ces états hystériques très accusés, l'hypno- tisme déterm
mplexité et de perfectionnement des phé- nomènes qui accompagnent l' état hypnotique. En partant de ce point de vue, on v
; mais il n'est guère possible de ne pas admettre la réa- lité d'un état psychique provoqué lorsqu'on voit les succès que
tifique de l'école de la Salpêtrière, et mériterait plutôt le nom d' état cataleptoïde ; et quant à l'action de l'aimant, l
ecins dans un but thérapeutique. R. DE Musgrave-Clay. LXXXVIII. L' ÉTAT DE RÊVE ET LES FAITS PSYCHIQUES QUI L'ACCOMPAGNEN
ENT ; - - par le Henry SlIfITH-`V1LLIAM. 11 faut distinguer trois états d'âme : l'état de veille, l'état de som- meil p
le Henry SlIfITH-`V1LLIAM. 11 faut distinguer trois états d'âme : l' état de veille, l'état de som- meil profond et l'éta
V1LLIAM. 11 faut distinguer trois états d'âme : l'état de veille, l' état de som- meil profond et l'état de rêve interméd
is états d'âme : l'état de veille, l'état de som- meil profond et l' état de rêve intermédiaire entre les deux autres. RE
entre les deux autres. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 467 - Dans l' état de sommeil profond, les vibrations du cerveau qui
if sont assez faibles pour ne pas affecter la mé- moire. - Dans l' état de veille, au contraire, les vibrations sont cons
ions sont conscientes et peuvent être rappelées à notre esprit. L' état de rêve ne diffère de l'état de veille que par le
uvent être rappelées à notre esprit. L'état de rêve ne diffère de l' état de veille que par le faiblesse de certaines vib
Si le rêve, à première vue, diffère des opérations de l'esprit à l' état de veille, ce n'est pas que l'esprit manque d'u
c'est que les idées intermédiaires dont nous sommes conscients à l' état de veille nous échappent pendant le rêve. Si no
caractères du cheval puis de l'oiseau. Une autre différence de l' état de rêve et de l'état de veille, c'est que, pend
puis de l'oiseau. Une autre différence de l'état de rêve et de l' état de veille, c'est que, pendant celui-ci, certain
t que nous pouvons en rêve perdre notre personnalité. En somme, l' état de rêve est en tous points comparable à l'état de
nnalité. En somme, l'état de rêve est en tous points comparable à l' état de veille sauf que certaines vibrations du cerv
ent toutes les autres. Certaines folies ne sont autre chose que l' état de rêve prolongé pendant la veille; telles sont
llusion. Le génie est une rup- ture partielle d'équilibre, c'est un état anormal. La tendance de la race doit être vers
ersti- tielle : oedème considérable, coeur très hypertrophié. Comme état mental : stupidité avec des périodes d'excitati
le, les cy- lindres épithéliaux avaient disparu de son urine et son état phy- sique et mental était excellent. 3° Méla
un petit nombre de cylindres hyalins. Pas d'cedème. Un an après, état mental très amélioré et plus de signes de néphr
hyalins. Coeur normal. En quelques mois, l'oedème dis- paraît et l' état mental se guérit. 6° Mélancolie avec idées de s
lut à la dégénères-, cence mentale, c'est-à-dire à l'existence d'un état psychopathique qui doit être considéré non comm
un jour, elle était déprimée, un autre jour, elle était en parfait état . L'ensemble de la maladie dura ainsi deux ans e
v à l'ouverture de la so- ciété. Ce discours est intitulé : « Sur l' état actuel des connais- sances neurologiques et sur
r les documents de l'expertise, prétendaient que l'inculpé a agi en état de somnambulisme hystérique ou épileptique, ce qu
immédiatement prévenu, on ne put parvenir à la faire sortir de son état léthargique qui a duré pendant toute la journée d
une affection des canaux semi-circulaires, par Ioos, 276. Esprit, état sain de l'- par Bucke, 25 f. Face, asymétrie
sistance éleotrique du corps, par Frey et Windscheid, 108. RÉI E, état de-, par Smith William, 466. Rumination chez
23 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r 15. Tout le pénil est couvert de poils noirs et assez longs. Même état de la vulve. 1900. Janvier. Puberté. Le sein dr
e 20 sur 17, aréoles bien dessinées, mamelons bien développés. Même état du système ', pileux. Grandes lèvres un peu plu
aiblissement de la mémoire depuis qu'elle a ses vertiges. Tel est l' état de la malade au moment et dans les premiers temps
paisses. Petites le-, vres normales. Clitoris assez développé. Même état de l'hymen et de la région anale. Décembre. E
appris la'] Ï mort de son père. ' ' 1900. JetKUte ? Pu6e ? ? Même état des aisselles. Seins, 25 sur' 18 à droite, 24 s
1 - La valériane a été vantée comme un remède à une infi-, nité d' états morbides; mais le grand nombre de ses échecs a
que seconde un poids de 3 kilogrammes. Rappelons qu'en général, à l' état normal, une première série faite après repos co
ment très vif et virevol- tant constamment sur eux-mêmes, puis, à l' état d'unités ou en plus ou moins grand nombre, des
sont localisées ces soi-disant sensations mus- culaires. Il y a des états pathologiques du muscle, atrophie, etc., mais,
a des états pathologiques du muscle, atrophie, etc., mais, dans ces états , bien qu'il puisse exister de la rigidité, il n
'exemples de sens musculaire proprement dit ; 3° des muscles mis en état de tension par un choc électrique, par des irri
vision ; jamais il n'a manifesté la moindre émotion à ce sujet. Son état morbide n'avait, semblait-il, pas pénétré dans sa
s farces des garçons cordonniers de Berlin. Ceci contrastait avec l' état piteux du malheureux. Il avait en réalité conse
l était devenu d'une douceur, d'une insouciance remar- quables. L' état des yeux est tout aussi intéressant. L'étude anat
ite optique bilatérale compli- quée d'hémorragies. La cécité et l' état du fond de l'oeil qui, au début, pouvait fort b
ollissement siégeant très probablement dans le cerveau antérieur. L' état des yeux ne s'y rattachait plus. On opina pour
gnement puisqu'il permet de mettre en évidence la différence dans l' état des réflexes sur un même malade de chaque côté
et des encéphatites déjà décrites. Elle doit être différenciée de l' état criblé du cerveau de Durand Fardel qui est un a
comme telles ? Un arriéré, même un arriéré placé au voisinage de l' état normal, est souvent devenu ainsi parce que une lé
eureusement pas rare que des sujets qui étaient en bas- âge dans un état de déchéance navrante présentent dix ans après
sensitifs et ataxie ; 2° le syndrome des cordons antéro-latéraux : état paréto- spasmodique, contractures et tremblemen
el ; 3° le syn- drome associé des cordons postérieurs et latéraux : état ataxospa- smodique ; 4° le syndrome des cornes
ureau. 70 VARIA. Discussion de la 110 question du programme : Des états anxieux' dans les maladies mentales. Rapporteur
ande sera accompagnée de l'acte de naissance du pos- tulant, de ses états de service et d'une note résumant ses titres et
à bras au bureau central où il reçut les soins que récla- mait son état . Le pauvre malheureux, ayant enfin recouvert l'us
point découvert. Le journalier a été transporté à l'hôpital dans un état très grave. (Bonhomme Normand n° G, 1902). Dans
son arrivée, une sensible amélioration s'étant pro- duite dans son état , il est rentré à l'hôtel. (Petit Var du 21 novem-
la contraction muscu- laire ; enfin ils ne sont pas superposés à un état de spasmo- dicité latent ou patent du bras et d
ur au niveau du noyau rouge. Un dernier point reste à analyser, l' état du tonus muscu- laire. D'après une théorie réce
ment les con- ditions de la deuxième supposition. Quel était donc l' état du tonus musculaire chez lui ? Nous l'avons tro
bien tendue, la tête est recouverte de petits cheveux bruns. A l' état de repos, l'enfant a la tête agitée d'un petit tr
nd par des crises épileptiformes survenues de bonne heure et par un état de faiblesse relative qui permet le facile enva
dents méningi- tiques mortels sont les seules manifestations de cet état morbide si apparent chez quelques membres de la
ment se font dans le sens transver- sal. On constate aussi un léger état de spasticité et de la trémuia- tion des mains.
es présentés par les précédents malades, il, est loin d'exister à l' état isolé. Den... a de l'instabilité motrice au dir
réflexes des membres supérieurs sont également plus marqués qu'à l' état normal. Il n'a pas de tremble- ment fibrillaire
de malades' chez lesquels le tremblement bien loin d'exister à l' état isolé, occupe seulement la première place d'un sy
LOGIE NERVEUSE. qu'il existe parfois à titre de symptôme isolé, à l' état congé- nital, et que ce nystagmus congénital pe
soit par excès : ce phéno- mène semble pouvoir être lié tantôt à un état de dépression ' Cité par Mosny. Manuel de médec
2 Loc. cil., p. 600 : 118 PATHOLOGIE NERVEUSE...* ' . tantôt à un état d'excitation des centres nerveux. La pre- mière
ine 'de myéline est en voie de destruction. Charcot a comparé cet état à celui des fils électriques mal isolés et a cher
s mal isolés et a cherché à expliquer le tremblement par le mauvais état des conduc- teurs qui ne laissent passer le cou
la naissance et que ce n'est que plus tard - qu'ils arrivent à leur état de développement parfait. Si sous l'influence d
ets hospitalisés que l'on pourra quelque jour se rendre compte de l' état des centres nerveux au cours d'une affection so
que le délire épileptique est le produit de deux fac- teurs : 1° l' état cérébral ; 2° l'ictus épileptique. Ce dernier p
et autres, saines et morbides ». C'est ce que Respault a appelé « l' état cérébral », état indépendant de l'épilepsie, an
et morbides ». C'est ce que Respault a appelé « l'état cérébral », état indépendant de l'épilepsie, antérieur au paroxy
, l'ictus qui provoque l'acte inconscient épileptique, mais c'est l' état cérébral antérieur de l'individu qui en fait le
er à un nouvel internement ; cette crainte l'obsède et augmente son état de tris- tesse. Le 14 octobre 1901, il est pris
alement sur le certificat des habitudes alcooliques. C'est dans cet état que J. Ch... est transféré à l'Admission (ser-
12 octobre 1901. Depuis quelques jours cepen- dant, inquiet de son état , il parlait de se faire soigner. Mais il ne se
ile, ne sachant pas comment il y est venu. Le malade reste dans cet état pendant tout son séjour dans le service, ne con
de documents pour affirmer que J. Ch... est un épileptique, dont l' état comitial a été provo- qué par l'influence récip
ir. En dehors de sa manifestation épileptique, ce malade avait un « état cérébral » qui le fai- sait se préoccuper et à
e en apparence inexplicables, mais qui puisent leur origine dans un état cérébral patholo- gique, au lieu que dans l'obs
cérébral patholo- gique, au lieu que dans l'observation actuelle, l' état mental subconscient n'a jamais fait naître que
RIE DE SAINTE THERESE 127 moins graves de la maladie, elle le nomme états plus ou moins grands de la grâce ou Communion p
t beaucoup souffrir; elle mourut à trente-trois ans. » Notons cet état maladif et cette mort prématurée : si Thérèse e
lettres, qui, très goûtées, furent imprimées plus tard. Mais dans l' état de trouble et 'd'angoisse morale où la maladie
u Château inté- rieur, une de ses oeuvres, Thérèse décrit ainsi son état phy- sique et moral tel qu'il était le jour de
e réveillent sans cesse pour accom- plir de dures besognes que leur état languissant ne semble pas devoir permettre ? il
choses surprenantes; on trouvera souvent chez les hys- tériques ces états de langueur et de fausse faiblesse accompa- gné
L'hystérie. Nous connaissons maintenant le sujet, c'est-à-dire l' état physique et moral de Thérèse ; voyons ce que l'
acles hystériques. Il est très important d'en parler, car c'est cet état dont il s'agit dans la plupart des grands mirac
laquelle les malades, généralement des jeunes filles, arrivent à un état de mai- greur extraordinaire et ne sont plus qu
nourri- ture, j'avais si, peu de force et mon corps était dans un état tel que mes nerfs commencèrent à se retirer avec
me tenaient depuis les pieds jusqu'à la tête, et bientôt je fus en état de mort î. 4a Des contractures dont elle vient
de nouveau complètement incapable de se lever. « Je restai dans cet état jusqu'au dimanche des Rameaux de l'année suivan
peu de cire d'une bougie qu'on avait apportée pour mieux juger mon état ». Enfin, ne trouvant plus aucun signe de vie d
le la messe des morts. - Observations -de sommeil hystérique. Cet état de mort apparente chez des personnes hystérique
certain degré de mensonge et de fourberie accompagnait souvent. cet état . Je vais citer trois cas de ce sommeil : - 1
riques après les crises étaient fréquents. Comme je connaissais son état depuis de longues années, et comme trop souvent
simulant la mort, avec un réveil de deux jours dans l'intervalle; l' état était tel que plusieurs fois les infirmiers vin
et ne retomba plus dans le sommeil. Comme on le voit, malgré leur état de demi-conscience, et bien qu'ils puissent sup
ents dans les manifestations hystériques. Si Thérèse entra dans cet état de sommeil' et laissa croire à sa mort, sans av
ones. Dans les maladies cérébrales d'ailleurs comme dans les autres états mor- bides, on se trouve souvent en présence d'
ier l'anatomie pathologique du cerveau doit compter avec ces divers états , et le clinicien doit s'attacher, dans la mesur
alalgie ; on la fait recoucher et peu d'heures après, elle tombe en état d'inconscience, puis de coma et meurt. A l'auto
pect qui varie suivant la date à laquelle ils ont été atteints. L' état des vaisseaux atteste aussi des processus de date
s. Les premiers sont en rapport avec les objets ; ils tiennent à un état pathologique des nerfs cen- tripètes chargés de
tes chargés de conduire les excitations émanées des objets, ou à un état pathologique des centres de ces nerfs. Les second
nerfs. Les seconds, indé- pendants des objets, sont produits par l' état maladif du sujet; ils naissent dans les affecti
l'automatisme cérébral pur et on doit les rencontrer dans tous les états passagers ou défi- nitifs où l'intelligence est
s complexes (impulsions, crises) et dans un ordre opposé de faits : état cataleptique. néga- tivisme, oppositions divers
donné la mort de leur père. Toutes deux sont demeurées dans le même état depuis leur entrée à l'asile et paraissent marc
ne excitation, il se produit une réaction qui est proportionnée à l' état congénital et évolutionnaire de l'or- ganisme.
ce du facteur 0, c'est-à-dire les causes capables de déterminer des états neuro-pathologiques et particulièrement la foli
tiendrait de repren- dre et de compléter. La symptomatologie de l' état mental des aliénés avec conscience de leur état
ymptomatologie de l'état mental des aliénés avec conscience de leur état , l'étude des signes physiques de la folie raisonn
rolongés ; l'opium eti> ses alcaloïdes dans la thérapeutique des états mélancoliques ; les médicaments hypnotiques, vo
sance hépatique a servi de guide au point de vue thérapeutique. L' état mental de ces malades présente une grande diversi
ie non seulement des paralysies centrales sur- venant aux cours des états logiques, mais aussi de leur caractère habituel
utanée de la région périneo-anale. 11 est mort en 1900 sans que son état se soit modifié. A l'autopsie les auteurs ont t
dans cette première partie et qui se les sera assimilés, sera en état de faire utilement de l'électrothérapie pratique.
ns dans un cabaret situé dans les environs du cercle, était dans un état d'ivresse assez accentué. Il entra subitement dan
trouvait la femme Any dans les bois et la . VARIA. 189 mettait en état d'arrestation après lui avoir fait avouer qu'elle
rentrant ivre, a tiré deux coups de revolver sur sa femme dont l' état est désespéré. (Bonhomme Normand, du 3 au 9 janvi
uellement résidant à l'Hôtel-Dieu de ladite ville a été déclarée en état d'interdiction. Dans un asile d'aliénés. M"10 W
icot et sa broderie ; sa mauvaise humeur conti- nuait. En automne l' état psychique de la malade resta le même. En hiver
es pupilles, on nota : CLINIQUE NERVEUSE. Dépression kératique et états encéphalopathiques graves ; Par le D, B. PAIL
ait à quelques mois avant l'internement, s'était caractérisé par un état de surexcita- Archives, 2' série, t. XIV. 14
ient plus que jamais inerte, gâteuse, baveuse, stupide. Tel est son état , quand, le 23 juillet 1901, je constate aux deux
entent des dépressions très apparentes de leur face anté- rieure. L' état général est mauvais. A la date du 18 juillet, l
ses yeux caves. Le 20 juillet. Yeux de plus en plus caves ; même état de la cor- née. Etat général progressivement ma
Le malade est toujours l'objet de soins d'infirmerie, bien que son état général paraisse meilleur ; sa physionomie devien
de démence, ne se maintienne à titre de réalité ». Depuis lors l' état du malade n'a guère subi de modification et son
airement alité, tant sa faiblesse est grande. - Le 28 octobre, même état psychique avec affaiblissement croissant des fo
phologie. Le 31, rejet de toute nourriture, respi- ration bruyante, état comateux. A la visite du matin, je constate sur
s apparente manifestation des relations psycho- organiques qui, à l' état normal comme à l'état morbide, mettent en commu
ion des relations psycho- organiques qui, à l'état normal comme à l' état morbide, mettent en communication l'activité me
le regard, donnant à celui-ci son expression qui si bien décèle les états d'âme et souvent s'accompagne, dans les cas ext
ien encore dans le marasme dénouant une affection encéphalique, les états stupides, le délire aigu. Même, avec cette in
blement aggravé, soit au point de vue du danger de mort dans les états d'encéphalite, de délire aigu ou de traumatisme
n, soit au point de vue de l'incurabilité et de la démence dans les états psychopathiques dépressifs. RECUEIL DE FAITS.
énervée, excitée progressivement, puis peu à peu est tombée dans un état d'agitation marquée. Justement inquiètes, ses c
on motrice simple avec abolition ou diminution de la cons- cience ; état convulsivant. La compression prolongée des ovai
une heure après, étaient au moins trois fois plus volumineux qu'à l' état habituel et la malade paraissait éprou- ver une
Les époques continuent, tou- tefois la perte sanguine est minime. L' état mental est à peu près normal, à part un certain
est minime. L'état mental est à peu près normal, à part un certain état de torpeur ou de fatigue cérébrale avec accès d
eu plus gros que le droit. Même Pig. 3. 234 ' RECUEIL DE FAITS. état général; s'alimente cependant mieux. 2G janvier.
is l'accès d'agita- tion que nous avions en perspective demeure à l' état d'ébauche. 15 février. Persistance du gonflemen
E SEIN HYSTÉRIQUE 225 5 Appélit meilleur. Du 20 au 28 février, même état . Du 28 février au 4 mars, l'amélioration s'acce
phénomènes morbides. Les seins ne sont le siège d'aucun gonflement; état mental satisfai- sant ; appétit bon. Les règles
e ou elle vit avec les yeux de l'âme. Cela la mettait dans un grand état L HYSTERIE DE SAINTE THERESE 2 j I de perplex
verrait composée de diamants ; facile à la sug- gestion, de par son état hystérique, sainte Thérèse voit la croix telle
disparais- sait ou bien son regard si puissant me faisait tomber en état de ravissement. Ce divin Sauveur se montrait pr
corps léger comme une plume, de se retrouver à terre en très piteux état . Sainte Thérèse eut une hallucination de cette
ux par l'exposé et la discussion du rapport de M. Lalanne sur les « états anxieux dans les maladies men- tales » : DES
anne sur les « états anxieux dans les maladies men- tales » : DES ÉTATS ANXIEUX DANS LES MALADIES MENTALES M. Gaston La
s net qui tend à unir la psychologie à la clinique. La question des états anxieux dans les maladies mentales vient donc bie
ade l'éprouve sans savoir pourquoi, il est. anxieux malgré lui. Les états anxieux furent longtemps confondus dans les malad
mélancolie anxieuse, puis on finit par reconnaître qu'à la base des états émotifs on rencontre presque toujours l'anxiété o
is c'est surtout dans ces dernières années, qu'en étudiant certains états qui tiennent à la fois delà névrose et de la psyc
AVANTES. à lui assigner son véritable rôle dans la constitution des états anxieux. La question des états anxieux dans l
able rôle dans la constitution des états anxieux. La question des états anxieux dans les maladies mentales se réduit do
e la personnalité. Nous arrivons maintenant à la constitution des états anxieux. Le terme de passage entre les névroses
oïa rudimentaire ou délire systé- matisé raisonnant. 1 A côté des états que nous venons d'examiner et qui, à cause du r
ns lesquels l'anxiété intervient à titre de symptôme important. Ces états sont beaucoup plus fré- quents qu'on ne le pens
anxiété nous fait supposer que, par suite des lois de l'atavisme, l' état affectif qui fut pendant de longues pério- des
r et estime que, si les douches froides peuvent produire un.certain état d'angoisse chez l'homme sain, il est certain qu
le faire après une torsion éner- gique dudit drap, devenu alors en état de pratiquer un premier emmaillotement complété
e : Contribution clinique à l'étude des auto-intoxications dans les états anxieux. sociétés savantes. ' 253 Au sujet de
M. Samuel GARDER envoie une note intitulée : La médecine légale des états anxieux. RÉCEPTION A L'HÔTEL DE VILLE Le soir
sautier ». Les tiqueurs présentent, d'après MM. Meige et Feindel, l' état mental de l'infantilisme; le rapporteur n'adopt
mental de l'infantilisme; le rapporteur n'adopte pas cette idée, l' état mental du tiqueur ne rappelle celui de l'enfant
elle celui de l'enfant que par certains côtés; c'est z en réalité l' état mental du déséquilibré simple; la tendance con-
'on pourrait appeler objectif, l'autre ayant pour but de modifier l' état mental (traitement subjectif). 1° Le traitement
le tiqueur étant le plus souvent un abouli- que. La suggestion à l' état de veille est au contraire très recom- mandable
bilité, la versatilité de la volonté sont les caractéristiques de l' état mental du tiqueur. Cette manière d'être témoign
est l'indice d'un arrêt partiel du développement psychique; aussi l' état mental du tiqueur peut-il être qualifié d'infan
adulte le développement psychique a subi un arrêt partiel, que son état mental a conservé une partie des attributs qui
ibuts qui appartiennent à celui de l'enfant. La constatation de l' état mental infantile des tiqueurs nous a paru utile
articipation de 0 (quand il y 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. · a vraiment état mental, aliénation) et les tics polygonaux (quand
iment état mental, aliénation) et les tics polygonaux (quand il y a état psychique, mais pas état mental). M. Cruciiet (
tion) et les tics polygonaux (quand il y a état psychique, mais pas état mental). M. Cruciiet (de Bordeaux) part de cett
remplacés par d'autres symptômes plus accentués. Dans la période d' état , chez un fou hypochondriaque ayant des crises o
uvais jours. Le chaud et le froid, les maladies intercurrentes, les états émo- tifs actuels, ont une influence non douteu
a seule catégorie de liqueurs, et qu'il y en avait d'autres, dont l' état , encore mal connu, avait besoin d'être étudié :
e sorte d'accès transitoire de tic avec une symptomatologie et un état physique bien différents de ceux dont parle le ra
s. 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. La guérison s'accentuait à mesure que l' état physique général s'amendait lui-mêmc. ' Que p
es, je suis tout a fait de l'avis de M. Noguès en ce qui concerne l' état mental des tiqueurs ; comme lui, je crois que c
i concerne l'état mental des tiqueurs ; comme lui, je crois que cet état mental se confond avec celui des dégénérés, et qu
'exagération de cette tendance qui constitue le côté infantile de l' état mental du tiqueur; mais il y a chez lui, en plu
me de trente ans à anté- cédents héréditaires peu chargés et dont l' état nerveux est resté 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. parf
cependant quand on les met, par des manoeuvres hynoptiques dans cet état de bon vouloir de toute personne se prêtant volon
omplexes que suscite la question des tics, il en est un, celui de l' état mental dss tiqueurs, à propos duquel je désire
loppement des psychopa- thies et à plus forte raison dans'celui des états convulsifs auxquels il convient. de rattacher l
ravail publié en 1896 par la Semaine Médicale, la pathogénie de ces états con- vulsifs ; je n'y reviendrai donc pas, et j
i qu'une de ses fillettes; son mari et un autre enfant sont dans un état désespéré; on conserve quelque espoir de sauver
re la fourche. A Cannes, un Italien, Voila Dalmasso, se trouvant en état d'ivresse, a allumé une cartouche de dynamite d
plomb fut tiré sur lui et il fut atteint dans le flanc gauche. Son état est grave. On a arrêté un nommé Lauzéral, qui a
La sépara- tion n'a généralement aucune influence heureuse sur leur état mental. Telle est la folie simultanée 1. La d
pas le sou. Elle ne peut nous renseigner d'une façon positive sur l' état de la mémoire ni sur le niveau mental exact. Jusq
même temps, la parole est embarrassée, « il avale sa langue ».'Cet état persistant, G... entre le 26 mai à l'hôpital Sain
ans ». * Loin de s'améliorer dans les jours qui suivent l'entré^' l' état mental semble plutôt s'aggraver : l'agitation e
s, la droite plus grande, avec paralysie de l'accommodation. Puis l' état s'améliore; l'agitation décroil, mais le malade
de sa femme qu'il croit dans la misère. Nouvelle amélioration de l' état mental. Le 20 octobre G ? part en congé de huit j
e reconnaissable. -Le 14 février, au matin, G... est trouvé dans un état marqué d'obtusion : il reste étendu sur le dos,
ure monte à 39°,5 le matin pour redescendre le soir à 37°,5; nouvel état semi-comateux faisant supposer un ictus passé i
ux faisant supposer un ictus passé inaperçu. Jusqu'au 23 février, l' état général est assez inquiétant : des alternatives
s accidents qu'il met sur le compte du parquet glissant. Pourtant l' état géné- ral s'améliore ; le malade engraisse. (Le
e 26 à 39°,4 4 pour retomber le 27 à la normale et s'y maintenir. L' état mental est le même : période de lucidité avec p
seulement le réflexe rotulien est diminué à droite. C'est dans cet état que le 25 mars, le malade est transféré à l'asi
s épilepti- lormes à droite avec participation de la face; le 10, l' état subdéli- rant persiste avec inconscience absolu
rs suivants, la température monte et atteint le 15 juillet 39,06. L' état général s'aggrave ; le malade ne reconnaît plus
a partie posté- rieure du lobe occipital. Hydropisie ventriculaire, état chagriné de l'épendyme, surtout dans le quatriè
. Hallucination DE l'ange. « Quelquefois lorsque j'étais dans cet état , il plut à Notre-Seigneur de me favoriser de la
r il ne faut rien moins que Dieu même. Dans le temps que durait cet état , j'étais comme hors de moi et j'aurais voulu ne
zarre occupation dont son dard ne pouvait guère revenir que dans un état extraordinaire ! 1 Pour mieux montrer combien
lus des modèles ordinaires de prières, mais la description de trois états hystériques, éprouvés et regardés par elle comm
es, éprouvés et regardés par elle comme choses pieuses et divines ; états hystériques si bien décrits que les médecins de
sorte que dans les cou- vents qui suivent sa règle, plus on est en état d'hystérie, plus on est en état de sainteté.
ui suivent sa règle, plus on est en état d'hystérie, plus on est en état de sainteté. Dans les deux premières oraisons,
les qui ne sont autre chose qu'une jouissance de Dieu. L'âme en cet état ne sait si elle parle ou si elle se tait ; si e
ence, la volonté, la mémoire ne sont pas perdues, mais sont dans un état de paralysie ou de demi-sommeil dont on ne peut
e croyez pas que les mystiques seuls peuvent se donner ou subir cet état , phase de maladie ou oraison d'union, non, d'au
quart d'heure environ, tout était fini. Chez cette personne, cet état n'était ni précédé, ni accompagné, ni suivi d'une
SAINTE THERESE 319 syncope, mais, d'après'son mari, c'était le même état hysté- rique. 40 L'oraison d'extase. - Nous a
uis- sance totale pour s'expliquer sur leur jouissance ; dans cet état toute application étrangère serait un embarras et
mais une demi-heure. « Voyons maintenant ce que sent l'âme dans cet état ; c'est à celui qui le sent à le dire : l'âme r
Que lisons-nous dans nos livres classiques sur l'extase ? C'est un état symptomatique de l'hystérie qui présente les ca
le corps est moins maître de lui. » Pendant la longue durée de cet état nerveux, les périodes d'extase et d'union vienn
cipal, à l'oraison de ravissement ; faire une comparaison entre les états d'hystérie et ces diverses enceintes serait, av
ndicité, maison de correction, maison de refuge pour les aliénés en état de fureur, les filles-mères parvenues au terme
nce. Une première intervention opé- ratoire peul, sans compliquer l' état mental ou nerveux, rester sans action curative
ont encore actuellement en ' traitement; le cinquième a succombé en état de mal. De l'utilité de la ponction lombaire po
de la paralysie générale, puis après une période d'amélioration son état est resté station- naire. Deux ponctions faites
bsence des éléments soit constante, car chez un autre malade dont l' état reste stationnaire depuis treize ans, une premi
élirante succé- der au simple scrupule conscient et obsédant. Les états de confusion mentale peuvent être plus ou moins a
us ou moins accen- tués : ils représentent comme l'exagération de l' état d'aboulie. d'impuissance intellectuelle habitue
s délires oniriques représentent l'exagération de l'autre face de l' état mental des obsédés constituée par l'automatisme d
la forme de l'obsession, mais du complexus symptomatique et de l' état mental sous-jacent dans chaque cas particulier :
hives, 2c série, t. NIV. - 21 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. aggrave leur état mental et les rend plus aptes à contracter des
on plus écrire et avait peu de notions sur les choses usuelles. Son état s'est bien amélioré, les colères sont moins fré
certain goût. En résumé l'enfant se rapproche de plus en plus de l' état normal (4 photographies = 1897-1900). Gtidef.
berté arrive, des impulsions, des habitudes mauvaises compliquent l' état pri- mitif. Ces retards ont diminué les 'chance
système nerveux central ; or, l'influence du système nerveux sur l' état général de l'organisme ne saurait être contesté
ait être contesté, et-ses lésions placent ainsi les malades dans un état d'infériorité vitale et de moindre résistance man
on n'a pu les garder assez long- temps à l'asile pour modifier leur état mental de buveurs, pour leur faire perdre l'hab
aux troubles psychiques de l'hystérie et constituent de véritables états seconds ou de somnambulisme. On a pu m'objecter
t nosolo- gique du syndrome ; à l'énumération successive des divers états pathologiques au cours desquels il apparaît; à
énique, des allures cliniques et évolutives qui, dans chacun de ces états morbides, 346. SOCIÉTÉS ..SAVANTES. - caracté
uccessivement considérés, selon leur, origine éliologique, dans les états mélancoliques, dans la dégénérescence mentale,
dans les psychoses toxiques, dans les état- démentiels et dans les états névropsychopathiques. Au début de cette étude s
on active. - Presque tous les mélancoliques réalisent le deuxième état ; beau- coup atteignent le troisième ; une infi
eux délires de persécution et d'auto-accusation : en pareil ca, les états de mélancolie, d'hypo- chondrie et d'obsession
psychoses toxiques s'observe également chez les typhiques; dans les états d'inanition et dans certaines crises oniriques
rime, se pose presque toujours avant le second : démonstration de l' état d'aliénation ou de non-aliénation de l'autoaccu
. Le problème qui se pose à l'expert est celui du diagnostic de l' état mental de l'autoaccusateur, lequel se déduit, non
bien au-dessous de ces deux catégories psychiatriques, figurent les états mélancoliques, l'hystérie et, enfin, les états dé
riques, figurent les états mélancoliques, l'hystérie et, enfin, les états démentiels. L'as- sociation de ces différents p
. Il faut tenir compte, aussi, de certaines imaginations qui, à l' état de veille, construisent certains romans dont ils
les héros, et qui, quand ils se ressaisissent, les laissent dansuu état de doute. Les persécutés mélancoliques devienne
re et garder le vol secret. Ce récit ayant éveillé des doutes sur l' état mental de cet individu, ou le soumit à une expe
initiales. 1111. Ianv.vr, et G. IiAVIInT. Les publications sur l' état du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
tiques géné- raux francs. Cinquante et un seulement étaient dans un état mental compatible avec ce genre d'examen. Nous
dite postérieure bilatérale sans myopie. On rencontrait encore un état de la papille pâle, comme lavée, chez treize pa
bords indécis. Chez vingt-deux malades, ces deux aspects sont des ' états préliminaires de l'atrophie papillaire. Chez le
pour le plexus brachial. Ils se rencontrent d'ailleurs rarement à l' état de pureté ; presque tou- jours ils sont incompl
éressants sur des frottis ou sur des dissociations pra- tiquées à l' état frais que sur des coupes. Le carmin en masse av
microscope montra une végétation considérable de la névroglie avec état vési- culeux des gaines de myéline, gonflement
mes; dans la plupart des cas, l'endolhélioma, au lieu d'exister à l' état de néoplasme pur, fait partie d'une tumeur dont
ifestations mentales très diverses. L'auteur responsable du mauvais état cérébral de la famille entière parait être le g
ers sur cette dernière circonstance. Je pense que nous avons dans l' état de la mémoire un réactif d'une très grande sens
ide desquelles le juge d'ins- truction pourrait rapidement jauger l' état menlal du prévenu. Il est évident que ces règle
signe 2° dans le fait que l'extension du gros orteil est, dans les états cérébraux, un accident de contracture susceptib
'aulres phénomènes du même ordre, mais pouvant aussi se montrer à l' état isolé et de façon à indiquer la tendance aux co
Maurice Ducosté (Bordeaux). M. Ducosté fait une classification des états névrosiques actuellement rassemblés sous l'étiq
ues actuellement rassemblés sous l'étiquette de neurasthénie. Les « états neurasthéniques » et la « neurasthénie constitu
és cliniques. Mais il faut bien s'entendre sur la signification des états neurasthéniques. Ce ne sont que des symptômes d
ment importante à connaître pour établir un pronostic ferme. Ces états neurasthéniques et mieux neurasthéniformes peuven
est inutile d'insister. C'est un type clinique très net. A côté des états neurasthéniformes et de la neurasthénie constitut
st de règle, les stigmates neurasthéniques disparaissent d'abord, l' état mental avec sa systématisation pessimiste ne céda
psychiques intéressants. En somme, pour M. Ducosté, il y a : 1° des états neurasthéni- que ? , symptômes d'affections div
e classique ses stigmates physiques, mais qui s'en distingue par un état mental spécial. C'est ce que l'auteur appelle l
cité et crises épilep- tiformes jaclcsonieunes; 4° l'évolution de l' état mental, qui a été caractérisé par l'état transi
eunes; 4° l'évolution de l'état mental, qui a été caractérisé par l' état transitoire de l'oblusion intellectuelle, du gâ
ajoutés, sous l'influence d'un surmenage récent, les symptômes d'un état temporaire de confusion mentale, d'hébétude et
déterminer, on peut toujours intervenir sans s'exposer à aggraver l' état du patient. Le danger d'augmenter les contractu
t de la portion non différen- ciée. Le sarcoplasma, très réduit à l' état normal, réagit sous l'in- fluence du moindre ét
, très réduit à l'état normal, réagit sous l'in- fluence du moindre état pathologique et prolifère. Le processus conduis
ur de fibres en tuméfaction trouble, le protoplasma jusque- là, à l' état de plasmode indivis, s'individualiseen cellules d
dans la gaine. C'est la régression cellulaire véritable retour à l' état embryon- naire. Les fibres les plus grêles, pro
erminent la morphologie cellulaire. La fibre striée est revenue à l' état plus indifférent de cellules musculaires embryo
rses dégénérescences des organes. M. Pichenot conclut que c'est à l' état démentiel plus ou moins précoce de ses malades
rattachée la dégénérescence graisseuse des myocardes et le mauvais état des coronaires. Trois d'entre eux avaient moins
paralysie générale. Au contraire, ils ont pu le constater soit en l' état isolé (5 cas), soit en association avec d'autre
once un tabes ou une paralysie générale initiaux évoluant, soit à l' état isolé, soit en association avec d'autres mala-
écithines, qui entrent dans la substance nerveuse, contiennent, à l' état physiologique normal, un composé toxique qui n'es
ar ce principe de Cl. Bernard. « Aucun composé toxique ne peut, à l' état nor- mal, faire partie de l'organisme »; et cet
e de celui qui les a fournis, on pourra admettre leur existence à l' état normal; mais s'ils sont toxiques il faudra les
s biologiques a changé le résultat. La choline n'existe plus qu'à l' état de traces dans les extractions à froid et ne pe
es en salution alcoo- loéthérée. 3° et 4° bases synthétiques. - 1 l' état de chlorures, elles se présentent sous la forme
nger, continue à nous rendre de précieux services, surtout dans les états mélancoliques survenant chez les malades épuisé
s, écrit encore M. Bonnet, nous ont été amenés des hôpitaux dans un état physique à peu près désespéré. Il serait préfér
e de culpabilité n'existait pas préalable- ment pour ainsi dire à l' état latent chez elle, ne serait-elle pas amenée, co
lement une influence originelle. C'est de l'idée de culpabilité à l' état latent que procède l'obsession, besoin impulsif
n, conséquence elle-même de cette tare et de l'idée préexistant à l' état latent, joue le rôle d'auxi- liaire dans l'affi
r l'éclosion et l'évolution, l'idée de culpabilité préexistant, à l' état latent, et constituant ainsi un des éléments fo
soigné. » Depuis quelque temps, en effet, J... était tombé dans un état mélancolique qui semble avoir été la conséquenc
s, les malades eux-mêmes présentent souvent des manifestations de l' état de dégénérescence allant de l'affaiblisse- ment
it de la plus légère émotion pour faire retomber la malade dans son état antérieur. Cette substitution de l'hémianopsie
constipa- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 433 tion). En somme, cet état est caractérisé par une sorte d'affaiblis- seme
xceptionnels dans la période préataxique ; ils sont la règle dans l' état ataxique. 7° Il résulte des observations des aute
branche externe du spinal. E. B. XL. Contribution à l'étude de l' état et du développement des cel- lules nerveuses de
sont peu développées en général et se trouvent en grande partie en état embryonnaire ; d'un autre côté, la structure de
es corticales chez les choucas nouveau- nés se caractérisent par un état embryonnaire très marqué ; mais la structure de
ésultats expérimentaux obtenus, cet extrait parait indiqué dans les états d'excitation et d'exaltation, dans lesquels ou
ets, tout au moins lorsque l'excitation est violente; 5° Bien que l' état de la pression sanguine fournisse, en règle gén
ent, si l'on a des raisons de penser qu'elle n'est pas associée à l' état mental, car une pression anormalement élevée pe
ent cela coïncide avec une influence favorable de l'alitement sur l' état mental et physique; 19° tout ce qui vient d'êtr
résultats avaient donné des améliorations, mais sou- vent aussi des états stationnaires et des aggravations. Dernière- me
ême qu'elle est engendrée et propagée ». Pour remédier à ce fâcheux état de choses, l'auteur indique et propose une séri
c'est que les voyages constituent un traitement précis de certains états morbides précis : l'auteur laisse de côté les mal
états morbides précis : l'auteur laisse de côté les malades dont l' état somatique rend un voyage utile pour ne s'occuper
r que - de ceux à qui le voyage est conseillé comme traitement d'un état mental, et il est d'avis que le groupe formé pa
efforcent de traiter les malades les plus variés, sans égard à leur état psychique, dans les salles communes; les autres
circulation, ce qui peut de même produire un effet favorable sur l' état mental du malade. L'auteur applique la méthode
ohtenue parait devoir être attribuée plutôt à la modification de l' état mental du sujet, de son état affectif fondamental
ttribuée plutôt à la modification de l'état mental du sujet, de son état affectif fondamental, qu'à la production d'une
ante du malade, à la suite de la réussite de ses premiers essais. L' état affectif du sujet marqué d'abord par la tristes
faveur de ces émotions stliéniclues. « C'est à la modification de l' état mental, écrit M. Hartenberg, que nous devons at
utile aux médecins de l'armée, qui ont à juger il chaque instant l' état mental de jeunes soldats traduits devant les trib
vent au milieu même de nos occupations journalières, sinon dans l' état d'oisiveté, tranquillité ou même rêverie, elle s'
s'impose à l'esprit, en dehors de la volonté, mais sans malaise à l' état normal, avec au contraire une angoisse douloure
u contraire une angoisse douloureuse qui la ' rend irrésistible à l' état pathologique. » cc Pour que cette idée angoissa
précautions puériles constituaient chez un individu prédisposé, un état psychique anormal. Il avait conscience de cet é
u prédisposé, un état psychique anormal. Il avait conscience de cet état , et un effort de sa volonté pouvait encore le s
influence modératrice sur les centres psycho- moteurs, le jour où l' état morbide s'est insidieusement installé, où l'obs
, Morselli sous celui de paranoïa 1'udimentah'e qui peut rester à l' état italique : paranoia rudimentaria ideativa, ou p
e idée, bien que l'intelligence reste intacte, sans qu'il existe un état émotif ou passionnel, idée qui appa- rait à la
nes survenant aussi au cours des symptômes morbides ne sont que des états réaclionnels dont l'intensité est précisément d
ien des circonstances démontrent 'que le syndrome est avant tout un état cérébral. L'ouuluatonomie, la folie du doute, l
'angoisse qui joue le rôle principal, représentant un symptôme de l' état neuras- thénique qui est à l'origine de toute o
session reste dans son fondement, dans son essence. Tels sont ces états d'anxiété diffuse. Il y a encore des obsédés, e
une classification des obsessions. Il admet trois classes : 1° L' état obsédant à anxiété diffuse ou panophobique ; 2°
ses : 1° L'état obsédant à anxiété diffuse ou panophobique ; 2° L' état obsédant à anxiété systématisée ou monopho- biq
° L'état obsédant à anxiété systématisée ou monopho- bique ; 3° L' état obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. On dis
si ses concomitants physiques ont une intensité extraordinaire. L' état d'anxiété diffuse ou panophobique est un état per
ité extraordinaire. L'état d'anxiété diffuse ou panophobique est un état per- manent de lension émotive qui éclate par p
er parce que tout ce qui l'entoure l'eflraye. On distingue dans l' état panophobique, l'attente anxieuse et l'attaque a
L'attaque de, frayeurs nocturnes ; 10° L'attaque du vertige. A l' état d'angoisse vient se greffer une idée fixe ou phob
ces, qui, à un degré' plus élevé dans^ l'échelle .morbide,, forme l' état obsédant avec anxiété systématisée ou monophobi
ette peur spéciale isolée n'est sou- vent qu'une manifestation d'un état constitutionnel dé neu- ropathie. Les caractè
n première, reproduction qui se reconstitue intégralement soit il l' état de veille, soit dans le sommeil, DES OBSESSIONS
te sous forme de pensée plus au moins obsé- dante. Les phobies ou états obsédants avec anxiété systématisée, les phobie
prement dites. Les premières seraient dues à la prédomi- nance de l' état émotif, anxieux (névrose anxieuse), les der- ni
rose anxieuse), les der- nières dues à la prédominance de l'idée, l' état émotif restant 't toujours le même, la nouvelle
motif restant 't toujours le même, la nouvelle idée se mésallie à l' état émo- tif, ce qui nous rend compte du caractère
ptée et non douloureuse. D'après Séglas, l'attention est voulue à l' état physiologique, tandis que chez l'obsédé, elle e
sidère comme paraissant née hors de' notre cerveau; Séglas comme un état particulier de la désagrégation psychologique,
à l'obsession c'est d'être consciente. D'après Séglas pourtant, l' état de conscience personnelle ne serait pas. conservé
l'obsession. Ces faits ont été bien étudiés par P. Janet dans les états de dualité hystérique ou encore dus à ces rêves d
surtout chez les hystériques, sans qu'ils en aieut conscience, à l' état de veille. L'obsession se manifeste habituellem
ous publions nous a paru intéressante à plusieurs points de vue : l' état mental du malade dont il s'agit, d'une part, et
l'asile public d'aliénés de Maréville. Nous réservons l'étude de l' état mental pour la fin : Observation. Phlegmon du t
0 série, t. XIV. 31 482 RECUEIL DE' FAITS. Une particularité de l' état physique très importante à signaler, comme nous
g- . mon, En bas, persistait un suintement de pus et de sérosité. L' état général était devenu. satisfaisant à cette époq
seulement un suinte- ment séreux qui finit lui-même par tarir. L' état général, fortement débilité par toutes- ces suppu
15, elle se relève à 36°4, pour revenir à 35°8 le matin du 16. L' état général, déjà peu satisfaisant au début de la mal
onses satisfaisantes. Ce qui est évident tout d'abord, c'est que, l' état de sensibilité très amoindrie qui était le sien
s est connue, c'est l'amoindrissement de la sensibilité. 1 En cet état , T... a peut-être obéi à une voix ? Peut-être a
ition de ces réflexes, mais alors, en môme temps que se développe l' état morbide, il s'accentue de plus en plus jusqu'à
qui précède, suit ou remplace les attaques, se rattache surtout à l' état de mal, et se termine, non soudain, mais gradue
s graduellement, en passant, par une phase de demi-conscience : cet état -là n'est pas l'équivalent psychique du sommeil
e patient, mais produisent des modalités variées. Le passage de cet état méntal inconscient à l'état mental ordinaire s'
modalités variées. Le passage de cet état méntal inconscient à l' état mental ordinaire s'accomplit néanmoins tout à cou
l a fait pendant son automatisme. L'importance médico-légale de cet état saute aux yeux. Le malade peut commettre, sans le
ertaines relations entre la région centrale du lobe pariétal et les états de mélancolie. 1° Cela est démontré par plus de
rances pariétales est due à un trouble trophique qui accom- pagne l' état de mélancolie du malade ; 6° les maladies du crân
uteur avance qup, à l'origine de la mélancolie simple, on trouve un état pathologique de l'émotion de la-peur. Cette émo
ques qui indiquent : 1° Que l'expression physique dé la peur et les états qui s'y rat- tachent peuvent être produits chez
troubles de la vision et la cécité corticale peuvent accompagner l' état mélan- colique. R. de IUSGIi : IVE-CL.aY. XXX
parties centrales ne possèdent pas, même après la naissance et à l' état adulte, des éléments chromatopliiles bien dével
à celui du côté de l'excitation. Ce réflexe ne se rencontre pas à l' état normal chez l'homme adulte; il parait, au contr
unes sur les autres. L'absence de ce contrôle sensoriel, jointe à l' état de distraction favorise l'appari- tion des hall
ent que la cécité psycho-physique des couleurs est le reliquat d'un état antérieur de développement du centre de percept
. von Biervliet pendant le cours du développement de l'embryon d'un état de chromolyse physiolo- gique analogue à la chr
bord, paraissent lui appartenir soit par leurs actes, soit par leur état mental, et qui sont tout simplement des épileptiq
ivres consacrés aux maladies mentales accordent peu d'attention aux états psychologiques inter- médiaires entre l'état no
t peu d'attention aux états psychologiques inter- médiaires entre l' état normal et des états désespérés et désespé- rant
ux états psychologiques inter- médiaires entre l'état normal et des états désespérés et désespé- rants comme l'idiotie et
désespérés et désespé- rants comme l'idiotie et l'imbécillité. Ces états intermédiaires existent pourtant ; on en trouve
cause de la solidarité manifeste des facultés mentales. Mais dans l' état pathologique ou nettement anormal la dissociati
ttention de l'enfant normal, tandis qu'il en est tout autrement à l' état pathologique. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 509
sens spéciaux ou de la faculté d'attention, mais par l'absence ou l' état maladif de la volonté. Les maladies de la volon
au com- plet, ne perçoivent pas; sous sa forme la plus légère, cet état 510 REVUE DE PATHOLOGIE. MENTALE. caractérise
rme extrême il constitue la démence. 13. nE \fuscn.wE CLnr. XI. L' état présent de la science mentale (le premier d'une s
ie, c'est la confusion mentale et la stupidité qui font penser à un état d'auto-intoxication. Le pronostic est favorable d
t le mer- cure qui ait contracté la syphilis pendant qu'il était en état de mcrcurialisme. Cette observation suggère la
rès grande majorité des cas, elle paraît être le développement d'un état analogue ayant débuté dans l'enfance, et elle e
ent en rapport, comme Havelock Elles l'a démontré le premier avec l' état qu'il a désigné sous le nom d'auto-érotisme. En
s les plus variées depuis le jeu actif de l'ima- gination jusqu'aux états de rêve délirant de l'hystérie. Il y a aussi d'
Feré. (Noitv. Iconogr. de la Salpélrière, n° 4, 1899.) , Soit à l' état aigu, soit à l'état chronique, les troubles troph
r. de la Salpélrière, n° 4, 1899.) , Soit à l'état aigu, soit à l' état chronique, les troubles trophiques de la peau s
é de reconnaître ce prurit chez les paralytiques, en raison de leur état mental et l'obscurité qui entoure la pathogénie d
encore, à proprement parler, une psychose, mais elle repose sur un état mental fétichique qui mène fatalement certains
'obsession tyrannique, angoissante à un premier degré. Puis, de cet état , la conscience disparaît à son tour, le malade
spect, du fait d'une auto-intoxication intercurrente, au cours d'un état d'aliénation mentale préexistant, à titre d'épi
gine gastro-intestinale et des troubles mentaux caractérisés par un état de mélancolie anxieuse d'abord, de confusion me
nue, qui est la prédisposition. Quand la maladie est à la période d' état , le seul élément de diagnostic certain réside d
antécédents : l'idiot et l'imbé- cile ont toujours été dans le même état depuis leur naissance; au contraire, le dément
mauvais. Notons aussi que le pre- mier diagnostic qu'on pose sur l' état mental d'un enfant est sou- vent trompeur et qu
Sa vue devint si mauvaise qu'il dut renoncer à la lecture; mais son état s'améliora et il conçut le plan d'étudier les s
ment les meil- leurs, sont rendus meilleurs par la maladie... « Son état était celui qu'on décrit sous le nom de folie d
champ de la conscience. Ce vertige rentre dans la catégorie des. états émotifs et des obsessions propres aux dégénérés.
des divers tissus hépatique, cérébral, stomacal, etc., comparés à l' état normal de ces mêmes tissus (8 figures). A. M.
uivie en ce moment par M. Launois sur les rapports existant entre l' état de la glande pituitaire et l'état d'atrophie ou
sur les rapports existant entre l'état de la glande pituitaire et l' état d'atrophie ou l'absence des testicules (animaux
sous la dépendance l'un de l'autre, ce sont deux effets d'un même état du système nerveux central. ' Un cas de paralys
ute qui, au bout de six semaines, fut encore suivie d'un retour à l' état normal ; la guérison paraissait donc de nouveau
ent Itypersuggestihje, que l'on peut mettre très facilement dans un état cataieploïde avec contractures. Il démontre à n
omment il convient de les varier et de les combiner dans les divers états mentaux, en particulier dans la mélancolie et la
4 paralytiques n'étaient-ils pas tous galeux. Au point de vue de l' état général, les transférés de cette année sont donc
mis depuis quelques jours à peine et qui nous sont amenés dans un état de cachexie très prononcée. En 1901, nons avons p
té spéciale, et d'autre part qu'au premier stade de la maladie, les états émotionnels pathologiques et les formes déliran
ent le premier plan, si bien que ce n'est que plus tard, au stade d' état , que la maladie se caractérise par des symptôme
ment, manifestations hallucinatoires et délirantes, trou- bles de l' état émotionnel (mélancolie, manie, stupeur); 3° enfin
t émotionnel (mélancolie, manie, stupeur); 3° enfin les symptômes d' état durant la v : e entiéfe, à savoir l'affaiblisse-
une tendance à la guérison. Six d'entre eux, sans anomalies dans l' état émotionnel, sont des cas plutôt légers qui corr
formes morbides hébé- phrénique et calatonique, fait intervenir un état émotionnel dans la conception de la catatonie,
ement, ou bien après des rémis- sions plus ou moins sensibles, à un état caractéristique et tout à fait spécial d'affaib
main un garçonnet de six ans à peine, qui, lui aussi, était dans un état d'ivresse avancée. Et la mèic c chantait, batta
, par - Méeus, 542. ' (le Grèzes, -10 i Dépression KÉnATtOCE et états encri pliii lol)at Iiitlues gi-aves,pai Pti 1 l
RVLE. Voir Pie-mère. Voir Histologie. Contribution à l'étude de l' état et du développe- ment des cellules nerveuses de
, introduction à l'étude de la folie, par Mac Pher- son, 186. Des états anxieux dans les -, par Lalanne, 249. men- ta
minal par Souques, 433 . radial. Voir hypnotisme. Neurasthénie et états neurasthéni- ques, par Ducosté, 3S1. XËvnn'E
r le dia- gnost ! cde-Ia généralR. pai Jotfroy et Mercier, 331. L' état du fond de l'oeil dans - générale et ses lési
n et Oboi tlitir, 361. Scuoefer. Voir Réflexe. Science mentale. L' état présent de la -, par llollaucler, 51u. Scléro
24 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
evient à dire qu'il faut toujours employer, pour faire disparaître un état produit, l'agent même qui a servi à le déterminer
inations bilatérales simultanées dans l'hypnotisme. — Persistance à l' état de veille, avec M. Bérillon. (Société de Biologie
reçues, mais lutta avec l'école de Nancy contre la théorie des trois états de l'hypnotisme : catalepsie, léthargie, somnambu
ification spéciale des plus singulières et des plus profondes — mon « état hypota-nique », — qu'aucun signe extérieur ne tra
it toutefois, et continuant d'offrir toutes les marques visibles de l' état de veille le plus complet, je lui dis sur un ton
dit et qui en rit sous cape, et votre suggestion tombera à plat. Un état comparatif des différentes catégories de personne
résultat annoncé ainsi que de la façon dont il s'effectue ; car, à l' état normal, ses membres obéissent à sa volonté, e
osité et la discrimination d'un psychologue professionnel, les divers états de son âme par lesquels il a passé dans le cours
s il est impossible de l'exécuter. Cette aboulie existe dans certains états morbides et maladies mentales. L'opium le donne,
qu'elle dormait. Je lui fis alors les suggestions que nécessitait son état , et je la réveillai. o Vous avez dormi quand mê
s. Elle dormait donc déjà à ce moment, et je me demande dans quel état je l'aurais laissée, si, me fiant à sa parole, je
n danger, mais il ne peut s'en défaire. Elle crée chez le malade un état d'angoisse résultant de la contradiction qui es s
ntégrale. D'après lui, au contraire, l'appareil mental est en mauvais état aussi bien chez l'obsédé que chez le malade aidée
te, des lois très sévères contre l'ivresse. Toute personne trouvée en état d'ivresse, dans un lieu public ou dans la rue, es
sprit, et n'avoir éprouvé à aucun degré quelconque ce qu'il appelle l' état d'extase. Acceptons provisoirement cette déposi
ers le but à atteindre, et une pleine confiance dans le résultat. Cet état de l'âme détermine une effluence biomagnétique, o
ce sombre domaine ; mais en outre qu'elle reste encore elle-même à l' état de sphynx et de protée, eussions-nous deviné son
émiquc. Un peu plus tard, elle éprouve une grande peur : son père, en état d'ivresse, ayant mis en joue avec un fusil, son b
rine s'échappait. Je lui ordonnai de cathétériser régulièrement, et l' état de la blessure s'améliora. Un jour, il lui arri
e d'excellent vin coûtant en ce temps-lâ 15 à 20 centimes. Tenir en état deux pièces de canon ne se faisant entendre qu'un
Il tomba aussitôt sans connaissance et resta plusieurs heures dans un état cataleptique. Il décrit ainsi les sensations du
uve dans le suc gastrique, sous deux formes différentes : d'abord à l' état de liberté, puis à l'état de combinaison. Ces dém
sous deux formes différentes : d'abord à l'état de liberté, puis à l' état de combinaison. Ces démonstrations sont indiquées
istant sur la possibilité de provoquer chez les sujets plongés dans l' état de somnambulisme des variations de la personnalit
n'avait démontré que les mêmes phénomènes peuvent être provoqués à l' état de veille, chez un certain nombre de personnes. E
assisté et qui n'ont jamais existé en réalité. La constatation de cet état psychologique était de nature à préoccuper les ma
uggestibles peuvent, sans être hypnotisés, par simple affirmation à l' état de veille, subir des hallucinations rétroactives.
ans laquelle il était possible d'arriver chez eux, par suggestion à l' état de veille, à la réalisation d'un faux témoignage.
amais assisté à des faits semblables, n'avaient jamais été mis dans l' état de sommeil hypnotique et ne se doutaient pas de l
aliser irrésistiblement la suggestion-d'un acte quelconque, faite à l' état de veille, est en rapport direct avec le développ
l l'expression d'une impulsion existant dans beaucoup de cerveaux à l' état latent? 11 faut croire que le législateur l'a pen
s: 1° Un assez grand nombre d'individus présentent normalement, à l' état de veille, et sans manœuvres préalables d'hyp-not
issant à la constitution d'un faux témoignage existant aussi bien à l' état de veille qu'à l'état d'hypnotisme, ces faits ren
on d'un faux témoignage existant aussi bien à l'état de veille qu'à l' état d'hypnotisme, ces faits rentrent dans le domaine
tures, aux questions ordinaire et extraordinaire. La connaissance des états psychologiques analogues à l'hypnotisme nous a ap
sque sans valeur et dont le nombre ou l'inutilité témoignent comme un état maladif particulier chez les auteurs de semblable
. 50. De l'interprétation de certains phénomènes psychiques par les états médianiques de l'hypnose. Par le D' P. Joibe, d
d'hallucinations ; mais dans tous les cas elles ont lieu dans un des états médianiques que nous avons fait connaître il y a
veux seulement les rapprocher de ce que j'ai dit l'année dernière des états médianîques de l'hypnose, et vous montrer qu'on p
n les expliquer par la coexistence, chez deux sujets différents, de l' état médianique actif et de l'état médianique passif.
ence, chez deux sujets différents, de l'état médianique actif et de l' état médianique passif. Je vais pour cela vous rappe
cela vous rappeler quelques-uns des caractères spéciaux des nouveaux états hypnotiques que j'ai décrits il y a un an, et aux
ques que j'ai décrits il y a un an, et auxquels j'ai donné les noms d' état médianique actif et d'état médianique passif. D
a un an, et auxquels j'ai donné les noms d'état médianique actif et d' état médianique passif. Dans l'état médianique passi
es noms d'état médianique actif et d'état médianique passif. Dans l' état médianique passif, le sujet est apte à recevoir d
peuvent lui cire données à distance. J'ai aussi démontré que dans l' état de médianisme passif on observe la transmission d
on observe la transmission de la pensée et la suggestion mentale. L' état de médianisme actif se caractérise en ce que :
e quelque nature que ce soit; il n'en faut pas plus pour le placer en état de médianisme actif; l'autre sujet perçoit l'hall
. II y a bien là une analogie frappante avec ce qui se passe dans les états médianiques, où nous avons vu un des sujets capab
raison à notre pensée que le sujet qui reçoit l'hallucination est en état médianique passif. En effet, dans la plupart des
bservations, ces hallucinations arrivent, pendant la nuit, ou dans un état de demi-sommeil du sujet; dans quelques cas, le s
un état de demi-sommeil du sujet; dans quelques cas, le sujet est en état de veille, mais il est formellement mentionné qu'
meil normal aux différentes phases du sommeil hypnotique, et pour les états média-niques en particulier, nous savons combien
de la deuxième catégorie sont encore plus faciles à expliquer par les états médianiques, car ils se rapportent uniquement à d
a pensée qui sont très fréquents, ainsi que nous l'avons vu, dans les états médianiques. Quant à la seconde subdivision des
ur autoriser cette déduction. J'ajouterai, de plus, que dans tous les états hypnotiques et surtout les états média-ni[ues, l'
jouterai, de plus, que dans tous les états hypnotiques et surtout les états média-ni[ues, l'isolement dans lequel se trouve l
mmencement d'exécution au moment où ils sont annoncés par le sujet en état médianique. En effet, de toutes les observations
r pour démontrer que si un acte est projeté dans l'esprit du sujet en état de médianisme passiF, il s'agit là d'une simple t
la pensée. Je rappellerai enfin que les sujets peuvent passer de l' état normal à l'état médianique actif ou passif et rev
rappellerai enfin que les sujets peuvent passer de l'état normal à l' état médianique actif ou passif et revenir ensuite à l
tat normal à l'état médianique actif ou passif et revenir ensuite à l' état normal sans en avoir conscience, et sans même que
pas exercés puissent s'en apercevoir. Enfin, la superposition de l' état médianique actif et de l'état média-nique passif,
rcevoir. Enfin, la superposition de l'état médianique actif et de l' état média-nique passif, qui s'observe quand le sujet
ctif et de l'état média-nique passif, qui s'observe quand le sujet en état de médianisme actif influence un sujet en état de
erve quand le sujet en état de médianisme actif influence un sujet en état de médianisme passif, multiplie pour ainsi dire à
ervice de M. A-Voisin, à la Salpêtrière, le 16 novembre 1805, dans un état de lypêmanie avec idées de suicide et céphalée.
rmait mal parce qu'elle cessait d'entendre dès qu'elle entrait dans l' état hypnotique. 7 décembre- — Dès l'occlusion des p
e sa sensibilité. Elle a ses règles depuis ce matin. Elle est dans un état de prostration intense : pas d'appétit; envies de
morale ; pour cela, une prédisposition est indispensable, à savoir l' état de réceptivité émotive, pathologique, que réalise
sile n'aurait été rendu à la vie civile que guéri ou amélioré, hors d' état de nuire, le plus souvent. Et si nous demandons
étaire général fait un exposé de la situation morale de la Société. L' état de la Société est des plus prospère. L'activité d
es très autorisés, ont été considérés comme étant la conséquence d'un état nerveux. Ces troubles oculaires ont duré plusieur
s pourrez monter mes trois étages.» Cette affirmation suggestive, à l' état de veille. produisit l'effet prévu par moi, e
dans son acception la plus large, depuis l'entraînement psychique à l' état de veille jusqu'au sommeil hypnotique profond.
lui en faire, et je joins à chaque injection une forte suggestion à l' état de veille. Après un mois de traitement hypodermiq
es forces reviennent, la digestion et le sommeil s'améliorent: mais l' état mental est à peine modifié, les idées mélancoliqu
oindre déplacement de l'air ambiant suffit à mettre la malade dans un état d'agitation considérable. Mobilité d'humeur extrê
comme impossible le retour de sa neurasthénie. C'est .en excellent état qu'elle quitte Paris, le 28 février 1896. Le 15 j
gulier, une digestion à peu près normale, des selles quotidiennes, un état général assez satisfaisant, en somme, pour écarte
à l'isolement. Il ne reste donc plus qu'à employer la suggestion à l' état de veille, en la masquant, pour la faire accepter
â fait tranquillisé. Le traitement par l'entrai ne ment suggestif à l' état de veille avait duré près de trois mois. Tout e
Tout en comprenant qu'il a involontairement exagéré de beaucoup son état , X... est reste persuadé qu'il a couru un grand d
ée par le malade, devait ne pas réussir. Seule, la psychothérapie à l' état de veille a été couronnée de succès, parce qu'ell
rence sur : Le râle du sommeil dans les cures psychothérapiques : Les états passifs. Jeudi 10 Décembre, à cinq heures, M. l
omnambulisme {Somnus, le sommeil, ambulo, je me promène), on entend l' état d'un individu qui agit d'une façon en apparence n
it, ou du moins, n'en garde pas le souvenir. Comme chacun sait, cet état se rencontre, ou bien, à titre d'accident en quel
car, si, d'une part, l'inconscience, l'amnésie des actes posés dans l' état somnambulique constitue un motif d'exonération, d
etc. Actuellement, on ne constate point d'anomalie notable dans son état mental. Une de ses sœurs a été internée à l'asi
te : elle était folle et avait des attaques de nerfs. Voilà donc un état d'inconscience, d'amnésie, provoqué par l'alcool
ses. Sous le nom de vertige alcoolique, le Dr Crothers1 a décrit un état qui mérite, à juste titre, la désignation de somn
cellente monographie' sur l'alcoolisme, admet également l'existence d' états somnambuliques. « La science, dit-il, n'est pas
r abord, le résultat de combinaisons intellectuelles déterminées. Des états analogues peuvent se^présenter chez les ébrieux,
manifestations. Bruxelles, 1884, p. 184. (2) Meurtre commis dans un état d'ivresse ou accès de monomanie. Condamnation. An
anomalies de la conduite, du caractère, etc., ayant existé pendant l' état somnambulique. Sans doute, le sujet aurait révélé
u somnambulisme. Ceux qui ont eu l'occasion d'observer" des sujets en état de somnambulisme hypnotique auront été frappés de
ubissent la physionomie, l'allure générale, au moment du passage de l' état hypnotique à l'état de veille. Il n'en reste pa
mie, l'allure générale, au moment du passage de l'état hypnotique à l' état de veille. Il n'en reste pas moins vrai que les
ne façon raisonnée, d'une façon vraiment consciente : il peut être en état de somnambulisme, Cette vérité semble parfois m
clusions. 1° Il existe un somnambulisme alcoolique, c'est-à-dire un état provoqué par l'alcool, dans lequel le sujet agit
nce, ou du moins, sans en garder le souvenir. 2° En réalité, dans l' état somnambulique, la conduite, la. manière d'être pr
malies échappent facilement à une observation superficielle. 3* Cet état parait ne se présenter que chez des dégénérés'ou,
ntécédents psychopathiques héréditaires. 4° Les actes commis dans l' état de somnambulisme alcoolique doivent bénéficier de
raitement psychothérapique, nous la voyons tomber brusquement dans un état de sommeil profond, et nous sommes surpris de con
me temps le tremblement s'arrête instantanément dès l'apparition de l' état d'hypnose. Après avoir constaté par un examen c
areils enregistreurs. Les tracés 1 et 2, pris successivement dans l' état de veille et de sommeil, montrent les modificatio
égularisation survenue dans le pouls dès l'apparition du sommeil. A l' état de veille Cœur : V (veille) S (sommeil) (trac
uls est absolument irrégulier, le dicrotisme à peine sensible. Dans l' état d'hypnose, le dicrotisme s'est accentué. On a pu,
la tension artérielle prise avec le sphygmomètre de Verdin, qui, à l' état de veille, était de 500 grammes (11 centimètres d
ent l'accomplissement de la fonction qui en dépend. Chez l'homme en état d'équilibre parfait, le centre spinal peut entrer
ans le cas précédent ('}. C'est ainsi, pour citer un exemple, que l' état de répéltion de la vessie provoque le réflexe gén
serait produite par le consensus des centres corticaux et spinaux à l' état physiologique. Mais que l'un de ces éléments fo
es désordres graves apparaissent dans les zones qui en dépendent et l' état pathologique est constitué. * * * Pour ne p
ces deux strictures assez prononcées tenaient sous leur dépendance l' état de déséquilibrement de ce malade, et l'indication
l ne s'est plus levé la nuit et que le jour il urine plus rarement. L' état général est excellent, l'appétit très bon et les
tobre 1895} les particularités que présentent chez lui les différents états du sommeil. J'ai fait avec lui plusieurs séries
a présentation de la main et montrai les particularités de ses divers états de sommeil, après avoir exposé la plus grande par
ines consécutives, et à plusieurs reprises pendant quelques jours, un état fort remarquable à divers points de vue. En eff
er mais inattendu confirment entièrement cette façon de concevoir son état . En effet, s'il n'était pas prévenu par le sens d
nitial). Le malade, en juillet 1894, avait quitté notre service, en état de somnambulisme (si l'on peut désigner ainsi un
tre service, en état de somnambulisme (si l'on peut désigner ainsi un état qui n'est pas identique avec l'état de somnambuli
e (si l'on peut désigner ainsi un état qui n'est pas identique avec l' état de somnambulisme classique), il y est rentré cett
et dans l'espace de vingt mois aurait eu de nombreuses alternatives d' état somnambulique et d'état normal. Lors de sa rentré
t mois aurait eu de nombreuses alternatives d'état somnambulique et d' état normal. Lors de sa rentrée, il était en état norm
'état somnambulique et d'état normal. Lors de sa rentrée, il était en état normal, et pendant les quelques semaines de son s
s semaines de son séjour, il est tombé plusieurs fois spontanément en état somnambulique. Une fois, M. le DT Tournier, en lu
en lui faisant fixer un objet brillant, reproduit assez exactement l' état où nous l'avions vu il y a deux ans. Pour l'ouïe
oche. Pour la vue, on peut dire qu'elle se rapprochait davantage de l' état normal. Il y avait aussi, quant aux paupières, un
nous nous disposions à le faire, il y eut une aggravation subite de l' état général du malade qui, très rapidement a succombé
e rénale et de l'hypertrophie cardiaque. Quant à leur relation avec l' état de somnambulisme, je me propose de la discuter ul
ence .sur : Le role du sommeil dans les cures psychothérapiques : Les états passifs. Jeudi 10 Décembre, à cinq heures, M. l
7 et 614. (4) Taine. De l'Intelligence, préface de la 2« édition. états par lesquels il a passé, tout ce qui serait arriv
ts par lesquels il a passé, tout ce qui serait arrivé, entre ces deux états semblables, aurait été tiré de rien.... Sans do
s pour retomber immédiatement. La vision est d'ailleurs normale, et l' état des yeux eux-mêmes ne comporte rien de particulie
onfirmer. Ce traitement a été tellement bénin en l'espèce, qu'en tout état de cause il ne peut être préjudiciable de l'essay
émorragie ne reparut pas. Je changeai le pansement en annonçant que l' état des yeux était très satisfaisant, et je remis un
emanda le sujet de la leçon, il répondit qu'il voulait traiter « de l' état mental des maniaques pendant les attaques périodi
is celui qui rend au malade « les services les mieux appropriés à son état . Pénétrés de l'idée que la bonne confraternité
22 décembre 1869, à expliquer par un phénomène d'auto-suggestion les états physiologique et psychologique si curieux présent
elles, Librairie Maquardt. dit-il, je fus témoin des fameux trois états , léthargie, catalepsie, somnambulisme ; là, je vi
ux trois états, léthargie, catalepsie, somnambulisme ; là, je vis les états dimidiés et les stupéfiants états composés ; là,
sie, somnambulisme ; là, je vis les états dimidiés et les stupéfiants états composés ; là, on me montra en action l'hyperesth
a duré cinq jours. en 1884, par un simple ordre verbal donné à l' état de veille, envoyé Mlle II... chez le dentiste, qu
seur Nuel et le Dr Leplat, a entrepris d'améliorer, par suggestion, l' état de la vision, chez deux sujets devenus presque av
riminelles, la plus grave assurément que soulève le rapprochement des états hypnotiques avec le droit civil et criminel. J'ai
es expériences personnelles, est la suivante : Toute personne mise en état de somnambulisme profond devient, entre les mains
te sur l'hypnoscope et les aimants, p. 370 ; 4° De l'analogie entre l' état hynotique et l'état normal, 11, 289 ; 5° De l'ori
et les aimants, p. 370 ; 4° De l'analogie entre l'état hynotique et l' état normal, 11, 289 ; 5° De l'origine des effets cura
ai uni par me convaincre qu'avec l'alcoolisme nous avons affaire à un état complexe, et que, tandis que quelques malades son
emple ; 5° Prédisposition héréditaire qui constitue souvent un réel état de dipsomanie. Pour assurer le succès, il est n
sée, photophobie, hypochondrie légère, traitées par la suggestion à l' état de veille. Par M. Renoux, élève de la Faculté d
ar le médecin traitant. Le malade est soulagé mais retombe dans son état primitif au bout de peu de jours. A ce momenl-là
ndrie fréquents. 14 août. — Première séance de suggestion faite à l' état de veille. Soulagement immédiat : l'hypércsthésie
le malade, malgré une suggestion forte, tend à retomber dans son état psychique antérieur ; il s'Observe, se scrute, es
eurasthéniques, arriver à provoquer la guérison par la suggestion à l' état de veille, mais il est bien plus fréquent d'être
l'expression des idées, la question médico-légale est de décider si l' état mental du sujet est suffisant pour rendre valable
rvice sur l'albuminurie post-paroxystique, la toxicité uri-naire et l' état du sang, expériences dont il a déduit une concept
et elles changeront graduellement votre être pensant et agissant. Les états positifs tels que la santé, la joie, l'harmonie,
rmonie, la force, la spiritualité s'installeront dans voire âme ; les états négatifs tels que la faiblesse, le désordre, la p
rères trouveront un chapitre où il est assez longuement question de l' état hypnotique provoqué par lu musique. La capacité
t fait des testaments et jamais aucun arrêt n'est venu déclarer que l' état de morphinomanie pouvait-être invoque comme un ét
cocaïne à celles de la morphine. Ce traitement ne fit qu'aggraver son état . Des abcès multiples en furent la conséquence. Su
tateur était morphinomane. Il argue que la morphinomanie constitue un état incompatible avec la santé d'osprit requise pour
morphinisés dans des catégories très diverses au point de vue de leur état mental. Il y a des périodes où Ils sont absolumen
ine est même utile chez certaines gens qui doivent a ee médicament un état montai capable de leur permettre de vaquer à leur
igence que lorsqu'ils sont privés de morphine, lorsqu'ils sont dans l' état d'abstinence. Dans ce cas, Lis perdent toute init
eux termes peuvent être Indifféremment employés pour désigner le môme état . La distinction entre l'alcoolisme et la dipsoman
uvent parfaitement sobre. L'habitude de la morphine est continue et l' état de besoin revient avec périodicité constante. Si
vec sommets suspects, des ganglions sous-maxillaires et inguinaux, un état sabrinal de la langue, de la dilatation gastro-in
oduits par les centres d'action placés dans l'hémisphère droit. A l' état habituel, les deux hémisphères fonctionnent ensem
l'autre oreille doit se livrer à un acte d'audition différent. A l' état habituel, les deux oreilles concourent au même bu
gts, développent aussi la dualité cérébrale, qui existe chez tous à l' état latent ; il faut qu'ils habituent leur cerveau à
ote sur un cas de coliques intestinales guéries par la suggestion à l' état de veille (imposition des mains) Par MM. Mongou
lle, à tout traitement par les analgésiques. Seule, la suggestion à l' état de veille (notre malade n'étant pas hypnotisable)
nion de bleu de méthylène, a eu raison de ces accidents graves, car l' état général de cette femme, qui ne s'alimentait plus,
guérison miraculeuse soit obtenue, il faut que le malade soit dans un état particulier, il faut que son esprit soit dans l'é
ade soit dans un état particulier, il faut que son esprit soit dans l' état de crédulité, de suggestibilité qui, seul, peut i
Sang, celui-là. par sa seule présence, détermine en notre] esprit un état d'engourdissement, de somnolence. Nous subissons
taine débilité d'esprit. Bien au contraire, cette aptitude suppose un état plutôt normal. Les individus les plus normaux son
e dont l'instabilité mentale se prête mal à l'influence suggestive. L' état de grande hystérie de cette malade est nettement
à la manie raisonnante, à l'irrésolution qui constituent le fond de l' état mental des hystériques. Dans ces conditions,
atténuer par le contact de la vie en commun et il est rare que dans l' état de mariage l'un des conjoints puisse se vanter d'
dive d'impressions sensorielles subjectives réelles ; mois jamais ces états pathologiques de l'appareil récepteur et du nerf
nent lieu à des phobies. La phobie acoustique, en effet, n'est pas un état périphérique, elle est un état central, comme du
bie acoustique, en effet, n'est pas un état périphérique, elle est un état central, comme du reste toutes les autres phobies
femme et qui appartiennent presque tous à la famille nosologîquc des états de dépression psychique : mélancolie, idées de pe
tes comme la folie circulaire et la folie erotique, et de rares cas d' états d'excitation, manie subaiguë ou aiguë avec impuls
Samedi 13 Mars. — La technique de l'hypnotisme expérimental. — Les états profonds de l'hypnose. — Les anesthésiques et les
e type visuel, le type auditif. — Division du travail mental dans les états hypnotiques ; dissociation des phénomènes psycho-
hallucinations, variations de la personnalité. — La mémoire dans les états hypnotiques : amnésies, hypermnésies. — Appréciat
— Psychologie des mouvements. — Modifications de la motllité dans les états hypnotiques. — Les mouvements inconscients. — L'é
ions de la vie organique. — La respiration et la circulation dans les états hypnotiques. — Action de la suggestion sur les ph
aines. Il n'est nullement nécessaire de provoquer l'apparition de l' état de somnambulisme, bien que la constatation de cet
pparition de l'état de somnambulisme, bien que la constatation de cet état constitue une circonstance particulièrement favor
ion de ses traits, qu'il se rétablit et rentre progressivement dans l' état de santé. Après le réveil, il éprouve parfois u
, Eugénie B... présentait des zones d'aneslhésie caractéristiques, un état mental propre aux hystériques, et je n'insisterai
lle rien. Ces1 encore là un fait caractéristique de la suggestion à l' état d'hypnose» l'amnésie complète au réveil. Je rec
e malade, la guérison du blépharo-spasme s'est maintenue. Quant à son état général, sous l'influence do l'hydrothérapie et d
s trop spéciales pour y insister outre mesure, me convainquirent de l' état absolument normal des yeux de mes deux malades. E
mal ne peuvent être obtenus qu'avec la plus extrême difficulté, vu l' état de dépression de ses facultés intellectuelles.
n'y remarque pas d'écume. Le bras droit, et la jambo droite sont en état de contracture complète. Le pouce et l'index de
e la tète. Parallèlement, M. le professeur Spehl fit observer que l' état intellectuel de Léopold L... s'améliorait d'une f
s un grand nombre d'affections nerveuses: la suggestion indirecte à l' état de veille. Il commença par prescrire, pro forma
e conviction que le phénomène mesmérique reposait sur le changement d' état des centres cérébraux spinaux et des systèmes cir
rdant avec la fixité de l'attention. Je faisais dépendre le tout d'un état physique et psychique du patient déterminé par le
le préfixe « neuro », il donna les termes suivants : Hypnotique : l' état ou la condition du sommeil nerveux. Hypnotiser :
tes les conditions requises, est de placer le système nerveux dans un état de somnolence qui permet à l'opérateur de produir
ons, les uns et les autres, soit dans le sommeil naturel, soit dans l' état de veille. 2° « Qu'il y a, premièrement, une gr
diminuer à volonté, localement ou généralement. 4° « Que, dans cet état , nous avons, à un degré surprenant, le pouvoir d'
tion, localement ou généralement. 5° « Que, aussi longtemps que cet état est maintenu, nous possédons, d'une manière remar
ement le pouvoir d'opérer de rapides et importants changements dans l' état de la circulation capillaire et dans toutes les s
fois obtenir des guérisons par de semblables méthodes appliquées en l' état de veille. D'après la description de sa manière d
ignorance de sa valeur. Braid découvrit qu'il pouvait déterminer l' état hypnotique par le moyen des courants d'air froid.
ns la rigidité et dans la torpeur; faire enfin passer le patient d'un état général de rigidité musculaire et d'inaction sens
ndépendant du corps. » En opposition à la théorie qui rapprochait l' état d'hypnotisme de l'état de rêve, Braid disait : «
En opposition à la théorie qui rapprochait l'état d'hypnotisme de l' état de rêve, Braid disait : « Le réve provient d'un r
ntales à un degré que ne peuvent atteindre les mêmes individus dans l' état de veille. Et, quelle que soit la véritable origi
quoiqu'elle fût ignorante de la grammaire de sa propre langue dans l' état de veille, elle prouverait elle-même que durant l
leux pouvoirs qui peuvent être acquis par quelques patients, durant l' état de somnambulisme artificiel ; elle dit qu'elle se
faire naître une condition ressemblant si peu que ce soit au sommeil, état populairement nommé « électro-biogical », nom que
à ses patients durant l'hypnotisme, étaient exécutées par eux dans l' état de veille, démentant, par cela, le fait que celle
immédiate de reconnaissance, portant sur le total des perceptions et états affectifs de l'instant considéré, (quelque court
e le phénomène se produisit de prélé-férence quand vous étiez dans un état de 14. — De préférence quand vous étiez dans un
étiez dans un état de 14. — De préférence quand vous étiez dans un état de tension morale ou émotionnelle occasionnée par
es où vous vous trouviez [ou par toute autre cause) ? 15. — Dans un état de tension intellectuelle proprement dite, (Par
, le temps écoulé entre son ingestion et l'apparition du phénomène, l' état mental général dans lequel on se trouvait et les
de la maladie, la période de son évolution, les traitements suivis, l' état mental général où l'on se trouvait, et les divers
était la durée totale de la série ? 24. — Quels sont chez vous les états émotionnels qui accompagnent le phénomène : Ver
timent de bien-être ? etc., etc. 25. — Avez-vous jamais éprouvé des états émotionnels sensibles, survenant inopinément et s
souvenir ? b. Par un effort d'attention volontaire portant sur les états affectifs ou les perceptions en eux-mêmes ? c.
si la Revue neurologique: La bêtise n'est pas une maladie, c'est un état de l'homme sain, caractérisé par une perception i
aternité Avec rappel immédiat de la menstruation par suggestion à l' état de veille Par M. le Dr E, Marandos de Monthyel,
la menstruation a reparu dans ces deux cas par simple suggestion à l' état de veille les rend encore plus intéressants. Voic
en effet. Il avait donc suffi d'enlever par une simple suggestion à l' état de veille, l'obsession qui jouait le rôle d'arrêt
ait advenu de cette jeune et jolie femme qu'une simple suggestion à l' état de veille a rendu à la joie de vivre, si elle n'a
t y renoncer. Quand elle se fut un peu remise de son émotion, et en état de continuer sa confession, voici ce qu'elle me r
gonflement des seins. Que risquait-on en tentant une suggestion à l' état de veille ? de retarder de quelques jours la conf
ble pour servir de base au mensonge qui allait être ma suggestion à l' état de veille, au mensonge qui, quelque vilain et odi
se de toute fausse grossesse. Enfin, l'une et l'autre présentaient un état anormal des organes de la génération. La première
e : pour ramener les règles chez Emma X..., je l'ai suggestionnée à l' état de veille, je ne SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE P
e polydipsie excessive guérie, en cinq séances, par la suggestion à l' état d'hypnose », donne lieu entre MM. Dumontpallier,
portaient sur les bras des tatouages variés. l'aurais pas fait à l' état de sommeil ou alors sous la réserve : « Si vous n
us si merveilleuses, que dans le doute, il est sage de s'abstenir. En état de veille, je ne pense pas qu'une telle action so
e, en errant sur les fortifications, le long de la Seine, en étant en état de vagabondage, qu'ils ont été invités par des ca
té très peu douloureuse. Ce fait dénoterait chez les jeunes sujets un état d'insensibilité cutanée. Loin de faire de cette i
ate de tendance à la criminalité, je la considérerais plutôt comme un état physiologique normal. Dans une thèse de la Facu
terré présentant toutes les apparences d'un cadavre, puis rendu à son état normal, après un quart d'heure environ de manipul
erses. Braid établissait également une ressemblance marquée entre l' état produit par le hashisch et certains états hypnoti
ressemblance marquée entre l'état produit par le hashisch et certains états hypnotiques. Il citait à l'appui les expériences
vantes. « .Te devins de plus en plus convaincu », dit-il, « que l' état hypnotique était essentiellement un état de conce
convaincu », dit-il, « que l'état hypnotique était essentiellement un état de concentration mentale durant lequel les facult
édés employés pour déterminer l'hypnose est évidemment de produire un état de concentration, d'abstraction ou d'attention, a
état de concentration, d'abstraction ou d'attention, autrement dit un état de monoidéisme..... Quant aux phénomènes physio
r, celui qui monoidéise : « Monoidéise, condition de la personne en état de monoidéisme. Le mot « Monoideo-Dynamique » i
somnambules artificiels tendent à rester en repos et à tomber dans un état de sommeil profond, à moins qu'ils ne soient exci
ivie par un épuisement correspondant. Il y a môme quelquefois, dans l' état hypnotique, une excitation semblable à l'ivresse,
meil hypnotique ou nerveux et le sommeil ordinaire est compatible à l' état ou à la condition de l'esprit. En passant dans le
lir aucune action exigeant beaucoup d'effort de volonté. un complet état de passivité est donc manifesté durant le sommeil
es procédés employés pour provoquer le sommeil nerveux, engendrent un état actif et concentré de l'esprit du sujet qui peut,
cours du semestre d'été 1891. 1re Partie. — Etude préliminaire des états physiologiques et pathologiques connexes de l'hyp
pnotisme. 2e Partie. — L'hypnotisme, causes et formes. Différents états hypnotiques. Suggestion. Auto-hypnotlsation. 3e
entin communique un cas de dermographisme provoqué par suggestion à l' état de veille chez une hystérique. M. le Dr IL Leme
ui s'est passé. Enfin, si les accès étaient en série, si un véritable état de mal se produisait, il faudrait avoir recours à
grossesses avec rappel immédiat de la menstruation par suggestion à l' état de veille. M. le Secrétaire général propose de
pper, avec l'anémie, son hystérie latente, à créer enfin chez elle un état de misère psycho-physiologique éminemment favorab
anne F... quittait la Polyclinique pour rentrer chez elle en fort bon état , entièrement tranquillisée, ainsi que les siens,
sthésie considérable de la paroi abdominale. Une forte suggestion à l' état de veille, doublée d'une légère potion chloroform
es nerveux, l'indication formelle du traitement par la suggestion à l' état d'hypnose. La mère, prévenue, souscrit d'avance à
tions somatiques et psychiques. En cinq séances de psychothérapie à l' état d'hypnose, non seulement toute trace de malaise a
nce, elle a encore contribué dans une large mesure au relèvement de l' état général. Nous ne saurions donc mieux terminer c
telle intensité, qu'on peut la considérer comme la manifestation d'un état névropathique réel. Chez les enfants, il est ex
hez les adultes atteints de phobies et dont la peur est accompagnée d' états d'anxiété et de troubles généraux aussi pénibles
ainsi qu'en témoignent les deux observations suivantes, à guérir ces états d'émotivité morbide, par l'emploi de la suggestio
rère ainé, qui accomplit son service militaire, n'a jamais présenté d' états d'émotivité analogues ; trois sœurs, très bien po
guérison est complète. Mais en même temps que la peur a disparu, son état mental s'est modifié dans un sens favorable, sa p
uence très fâcheuse sur sa santé. Il dépérissait à tel point, que son état inspirait de sérieuses inquiétudes. Quand on l'
traordinaires qu'il avait obtenus en faisant usage des aimants dans l' état mesmérique, et, avec bonté, il s'offrit à me démo
ions que la patiente m'avait entendu faire, agissant sur elle, dans l' état particulier du sommeil nerveux, comme des impulsi
elle-même entraînée par la vivacité de son imagination qui, dans cet état , la déterminait à croire comme réel ce qui était
une partie de son corps, soit de son corps tout entier. En altérant l' état de la circulation, en retranchant les idées préal
d'exciter ou de déprimer les fonctions, d'augmenter ou de diminuer l' état de sensibilité existant; cela, localement ou géné
ectement, aux effets de l'attention dirigée sur eux ou détournée de l' état morbide... Une impression mentale est nécessairem
leur permet de se souvenir de choses depuis longtemps oubliées dans l' état de veille. « 4° Le remarquable effet de contact
ition de double conscience et de double personnalité, « 6° L'ardent état de l'imagination qui fait qu'instantanément, chaq
du pouvoir des influences mentales sur les différents phénomènes de l' état hypnotique, l'amenèrent bientôt à n'avoir aucune
les idées avec lesquelles ceux-ci étaient ordinairement associés à l' état de veille. Je considère même ce dernier mode comm
on ou émotion) à laquelle ce dernier est ordinairement associé dans l' état de veille ; en un mot, dans les circonstances ord
ontinu, extrêmement rapide des paupières. Le corps a la rigidité de l' état cataleptique; les membres, soulevés, gardent plus
ganiques cèdent à la dynamogénie suggestive. L'entrainement actif à l' état de veille a donné des succès à l'auteur. NOUVEL
cours du semestre d'été 1897. 1re Partie. — Etude préliminaire des états physiologiques et pathologiques connexes de l'hyp
hypnotisme. 2e Partie. — L'hypnotisme, causes et formes. Différents états hypnotiques. Suggestion. Auto-hypnotisation. 3e
ors, l'image de la cause émotionnelle surgit et suggère à son tour un état psychique particulier, avec ses conséquences, l'é
st-à-dire que plusieurs idées naîtront d'une seule, et avec elles des états psychiques voisins ; exemple : phobie ou idée de
tre, est la parole. Mais celle-ci n'est qu'un symbole conventionnel d' états de conscience, et, en cela, gît une grande diffic
été combinée dans aucun cerveau. Comment tentera-t-il d'exprimer cet état nouveau et particulier de conscience, et de le re
ole est établie par une convention. Elle rend perceptible aux sens un état de conscience connu auparavant. Elle éveille chez
ir de la langue qu'il trouve toute faite, c'est-à-dire des symboles d' états de conscience antérieurs d'autres individus, il a
juger le vin que d'après l'aspect du réceptacle, et qu'il est hors d' état d'ouvrir l'outre et de goûter de son contenu. L
ique pour les rendre propres tant bien que mal à désigner de nouveaux états de conscience, est un puissant obstacle de la tra
Peut-être notre organisme se développera-t-il encore au point que les états de conscience ne s'exprimeront plus par des symbo
e au moment de la puberté ? Saurat-il supporter le choc que ce nouvel état physiologique va imprimer à tout son organisme ?
jeune Otto présente une tare neuropathologique, laquelle explique son état cérébral anormal. Dès lors, le développement inte
de la suggestion intelligible. Dangers. Braid pensait que, dans l' état hypnotique, il y avait, premièrement : décroissan
stent une grande docilité, il n'en reste pas moins vrai que, dans cet état de facultés perspectives et de jugement, ils deme
ssi capables de la plus scrupuleuse correction de conduite que dans l' état de veille. Il n'y a là, selon moi, ni plus ni moi
évérantes destinées à corrompre une personne vertueuse plongée dans l' état hypnotique, car je ne condescendrai jamais à témo
sont que le même individu peut être plus facilement démoralisé dans l' état de veille que dans l'état de double conscience du
peut être plus facilement démoralisé dans l'état de veille que dans l' état de double conscience du sommeil nerveux. Durant c
t les plus spontanés effets d'érotisme pouvaient se produire durant l' état d'éthérisalion chez des sujets de la plus haute r
époser sur les faits relatifs à une action commise contre elle dans l' état de veille, la personne ainsi offensée pourrait êt
ses expériences, tant publiques que privées, et il ajoutait : « L' état hypnotique ne peut être déterminé, à aucun degré,
ée des sentiments les plus élevés, conservant toute conscience dans l' état som-nambulique, fera preuve d'autant de délicates
e d'autant de délicatesse et de circonspection de conduite que dans l' état de veille. J'ai prouvé, en outre, qu'aucune perso
e soutenait l'opinion contraire en se basant sur ce fait que, dans un état de torpeur, d'insensibilité et de cataleptique ri
). — II. La question des suggestions criminelles. Ses origines, son état actuel. Rapporteur: Pc Liégeois, de Nancy (France
ringthorpe, 61. Coliques intestinales guéries par la suggestion à l' état de veille (imposition des mains), par Mongour et
x cas de), avec rappel immédiat de la menstruation par suggestion a l' état de veille, par le Dr E. Marandon de Monthyel, 289
sée, photophobie, hypochondrie légère, traitées par la suggestion à l' état de veille, par Renoux, 217. Hypnotisme (applica
n, 233. Parole en miroir (la), 189. Phénomènes psychiques par les états médianiques de l'hypnose (de l'interprétation de
8, 19. — Tracés de la respiration, du pouls, du cœur, des muscles à l' état de veille et de sommeil, 139, 140, 141. TABLE
25 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
ttachées à l'hérédité : son père, François Soubi-rous. meunier de son état , après avoir mal fait ses affaires, avait dû quit
des depuis quinze jours, elle était gardée à la maison à cause de son état maladif et il fallut force supplications pour que
amasser du bois mort le long du Gave. L'asthme hystérique. — Or cet état maladif, dont nous connaissons la nature, il est
tanée, enfin des troubles du sommeil, on peut dire de l'insomnie. L' état psychologique qui constitue cette personnalité pa
ue qui constitue cette personnalité parait être, au premier abord, un état de conscience complet. Marie-Louise se rappelle t
roubles physiques qu'elle présente on ne penserait pas à examiner son état mental. Dans cet état mental la défectuosité la p
lle présente on ne penserait pas à examiner son état mental. Dans cet état mental la défectuosité la plus apparente est une
lument pas l'émotion qu'elle a eue le 20 décembre 1901. Cependant cet état de conscience est de pure apparence. En effet il
la malade en est réduite aux réflexes élémentaires; tandis que dans l' état de sommeil, comme il existe des perceptions visue
t cela nous pouvons dire que la personnalité de Marie-Louise dans son état de sommeil est constituée par un rétrécissement d
lle-ci sera réveillée et qu'elle nous donnera ses impressions sur son état de sommeil elle nous dira entre autres : « Dans c
ions sur son état de sommeil elle nous dira entre autres : « Dans cet état j'y voyais, mais je n'y voyais pas clair, j'y voy
que des perceptions visuelles; c'est donc que Marie-Louise, dans son état de sommeil, avait des perceptions multiples mais
point de vue psychologique par deux caractères bien tranchés : 1° un état de conscience complet; 2" une amnésie rétro-antér
roduit dans la physionomie générale de Marie-Louise dès son réveil; l' état psychologique qui la caractérise à ce moment est,
sensitivo-sensorielles et anesthésiques sont abolies; et si dans son état second Maric-Lotiise a toutes les apparences d'un
es sensations ne peuvent réveiller que des souvenirs antérieurs à son état second, elle est ramenée à la période de sa vie o
ie où ces sensations ont disparu. Marie-Louise se trouve dans le même état que le dormeur qui. ayant dormi trente-six heures
evraient réveiller non seulement les souvenirs visuels antérieurs à l' état second, mais encore ceux qui ont marqué cet état.
suels antérieurs à l'état second, mais encore ceux qui ont marqué cet état . Mais, nous l'avons dit en analysant la personnal
tionnels à cette intensité, c'est-à-dire des souvenirs antérieurs à l' état second. Il en est de même des autres centres sens
suite. Et il en est ainsi pour tous les événements qui ont marqué son état second : les souvenirs visuels viennent les premi
r maintenant je ne le supporterais pas >. Elle se rend compte de l' état de malaise dans lequel elle se trouvait : « J'ava
ión de la personnalité, comme il était facile de la faire passer d'un état dans l'autre, elle disait : « Je mène deux vies d
e la personnalité, que s'engrènent et s'amalgament les souvenirs de l' état second avec l'état de réveil, la conscience de Ma
que s'engrènent et s'amalgament les souvenirs de l'état second avec l' état de réveil, la conscience de Marie-Louise tend ver
e la progression de la personnalité montre que Marie-Louise, dans son état second, avait non seulement des perceptions visue
ésiques. Ces perceptions n'ayant aucun lien associatif entre elles, l' état psychologique qui en résultait était constitué pa
it au déshonneur, à la ruine, au suicide. Je me propose d'étudier l' état mental des joueurs en laissant aux médecins le so
; ils sont à la merci de l'ambiance. Par là même ils font preuve d'un état d'hypersuggestibilité excessif; étant hypersugges
urs plus parfaite de la conscience sociale caractérise les aspects et états sociaux à mesure qu'ils se succèdent. Des initiat
lus ample explication, mais il est probable qu'un jour, étant dans un état maladif, ce magistrat vit à sa porte une mendiant
ais, ses fonctions de magistrat, et que personne ne se doutait de son état maladif. 3* Observation : M. le D' Pitres (1) d
extatique qui veut, et le plus grand saint du monde ne peut entrer en état d'extase malgré tout son désir, s'il n'est préala
e temps, le malade aperçoit une image merveilleuse qui le met dans un état de bonheur et de ravissement inexprimable : Son â
(de Marseille) [suite et fin) (ij Vus dans leur ensemble, les deux états que Marie-Louise a présentés montrent quelle rela
s phénomènes psychiques et les phénomènes physiques. En effet, dans l' état second, à une diminution profonde de la capacité
plus exactement, sans rien préjuger, des fonctions organiques. Dans l' état de réveil, au contraire, au fur et à mesure que l
r et à mesure que les fonctions organiques tendent vers la normale, l' état psychologique tend lui-même vers un état de consc
s tendent vers la normale, l'état psychologique tend lui-même vers un état de conscience de plus en plus parfait. Ce parallé
on cérébrale : délire polymorphe avec excitation et, à leur suite, un état de faiblesse générale se manifestant dès le début
vant : au début du traitement le sommeil hypnotique ne différait de l' état de veille ou plus exactement de pseudo-veille que
aire, ce sommeil s'obtint rapidement et se différencia nettement de l' état de veille; cette différenciation fut encore accus
ervation de Marie-Louise présente des analogies très grandes avec les états psychiques décrits sous le nom de rêves prolongés
urones corticaux produisent chez l'individu un mode de vie propre, un état diathésique, neuropathique spécial, c'est-à-dire
lément nerveux. De sorte que, en dernière analyse, on peut dire que l' état de maladie ne diffère de l'état créé par l'intoxi
dernière analyse, on peut dire que l'état de maladie ne diffère de l' état créé par l'intoxication que par le degré d'intens
uffit à changer sa détermination; en somme, la caractéristique de son état psychologique est de l'instabilité mentale. Ce so
t parler déviation nutritive, mais simplemen trupture d'équilibre, un état d'affaiblissement fonctionnel qu'on pourra toujou
t répondent à un cycle suivant l'heure, le jour, le mois, l'année. Un état d'éloignement exagéré et constant est un phénomèn
nement exagéré et constant est un phénomène pathologique, ainsi qu'un état de rapprochement exagéré et constant. Le premier
si qu'un état de rapprochement exagéré et constant. Le premier de ces états est prémonitoire ou symptomalique des formes d'ex
diminue graduellement jusqu'au moment où le cerveau ayant repris son état d'éréthisme nécessaire, a lieu le réveil. En outr
gnes frontales s'éloigner davantage. Ainsi lorsqu'on veut produire un état d'effacement et de fatigue cérébrale il faut de l
brale il faut de la chaleur; lorsqu'au contraire, on veut produire un état d'éréthisme et d'excitation cérébrale il faut du
— ou surtout — les graines débiles, à vitalité faible ; Comme si l' état de santé de l'opérateur avait une influence sur l
t plus forte que la santé de l'opérateur est meilleure ; Comme si l' état de maladie de l'opérateur produisait un changemen
atigantes. Qui oserait prétendre que ces assistants sont encore à l' état de veille ? Non certes, c'est de l'hypnose, dans
le plus large du mot, il est vrai ; mais, c'est bien de l'hypnose. L' état de défense de l'individu est réduit, la maîtrise
usion avec les autres sortes d'hypnose. Du reste les preuves de l' état d'hypnose vont abonder ; voici les principales :
le poignet, l'épaule, et se frotte vigoureusement pour remédier à cet état douloureux. Nous n'agissons pas autrement pour dé
nomènes moindres, on ne s'en inquiète pas ; on les croit toujours à l' état de veille ; on ne se doute même pas qu'ils sont e
toujours à l'état de veille ; on ne se doute même pas qu'ils sont en état d'hypnose. Aussi les phénomènes d'hypnose spiri
rte que l'Idée de finalité persiste, comme certains le réclament, à l' état virtuel, sous forme d'énergie potentielle initial
s divera et d'une intervention d'un ordre particulier, appropriée à l' état nerveux de l'enfant Indiscipliné, et basée sur l'
a phobie de l'eau n'avait rien de simulé. Elle était le résultat d'un état pathologique, lié très probablement à de la dégén
ait passage de la vie habituelle à une autre vie, comme on passe de l' état de veille à l'état de sommeil. Bernadette deven
ie habituelle à une autre vie, comme on passe de l'état de veille à l' état de sommeil. Bernadette devenait immobile, notez
ion, car c'est elle qui fit croire à la foule émerveillée d'un pareil état que la petite voyante était en présence de la Sai
egard n'apercevait... Celte pauvre petite paysanne « si vulgaire en l' état habituel semblait ne plus appartenir à la « terre
ans se douter qu'il nous donne par cette constatation la preuve que l' état de Bernadette était bien le résultat d'une crise
us grand recueillement à un doux sou-- rire et tomber ensuite dans un état extatique des plus prononcés ; des « larmes s'éch
mère comme tous les assistants vit le petit visage, si chétif dans l' état naturel, s'illuminer tout à coup et se transfigur
nous considérons l'hypnose à ses différents degrés, depuis le simple état d'attention jusqu'au sommeil et à la catalepsie,
ment physiques impressionnant l'un quelconque de nos sens. Ainsi, l' état d'expectante-attention est finalement provoqué ch
ou la fixation fascinatrice d'un objet lumineux amènent simplement un état de passivité relative, un engourdissement plus ou
s qu'à l'œuvre qu'il écoute ; il oublie ses soucis, ses affaires, son état de santé ; il arrive à l'état de monoïdéisrne. Se
il oublie ses soucis, ses affaires, son état de santé ; il arrive à l' état de monoïdéisrne. Second stade. Alors, les sens
la pensée de l'auteur s'impose alors facilement à lui; il est en bon état de réceptivité pour une suggestion. Mais tandis q
us général, chacun l'adapte à son tempérament, à son caractère, à son état actuel ou habituel, normal ou morbide, physique o
l'objet qui a causé l'impression et la difformité consécutive entre l' état du parent à l'époque de l'impression et l'anomali
édé et de ceux qui ont suivi celui dont il s'agit. 12. Quel était l' état de santé des divers membres de la famille? Adre
France, est « un chapitre de la psychologie du mouvement ? » Voilà un état de chose que l'auteur a l'ambition d'expliquer et
les troubles de l'écriture évoluant parallèlement à ceux de certains états pathologiques donneraient pour ainsi dire la cour
ans, nous a remis en mémoire, le passage dans lequel Briquet décrit l' état mental des petites filles hystériques : « A de tr
uffaient, sanglottaient, fuyaient au loin ou se trouvaient mal ». Cet état pourrait se définir par un mot : La susceptibilit
i résulte d'attentes savamment graduées, mettent le néophyte dans des états de conscience qui correspondent aux étals les plu
peu barbues dont .le caractère était irritable ou acariâtre ou dont l' état mental présentait quelques dispositions pathologi
tase et qui, à lui seul, pourrait prouver la nature non divine de cet état . Rappelons pour mémoire l'émission involontaire
ait dans plusieurs endroits. M. Henri Lasserre prétend qu'un jour cet état surhumain dura au moins une heure : peut-être n'a
les représentations, malgré le plaisir inouï qu'il en ressentait, son état de fortune ne lui permettant pas de m'en rembours
la maladie terminée, le système nerveux de l'enfant est revenu à son état normal. Elle arrive trop à propos pour les besoin
e on le fait aux hypnotisés ordinaires. Il suffit de leur répéter à l' état de veille, d'une façon précise et autoritaire, ce
ute la lumière et le discernement qu'elle avait eus jusqu'alors sur l' état de son âme ; ce qui la jettait dans d'extrêmes pe
, où elles resteraient, par suite d'un phénomène de court-circuit, en état de vibration, de luminosité constante, donnant li
difications que subit la force nerveuse extériorisée relativement à l' état de santé des sujets. Par M. le Dr Joire. Préside:
tons à l'aide du sthénomètre, se rencontre, chez les personnes en bon état de santé normale, plus considérable de lu main dr
u sujet et qui peuvent aussi être influencées accidentellement par un état de fatigue passagère et par différentes influence
gère et par différentes influences qui s'exercent momentanément sur l' état psychique du sujet. Quoique ces chiffres n'aien
de la main droite, ce qui est un caractère diamétralement opposé à l' état normal. Nous n'insisterons pas, bien entendu, s
. Main gauche -f- 3°. Le mois suivant, amélioration considérable de l' état général et disparition de la névralgie. Examen au
bilité, hyperesthésie, diminution générale du réflexe pharyngien. Son état s'est aggravé à la suite d'ennuis de famille,
lent, mémoire totalement obnubilée, il a l'air tout à fait hébété Cet état , dû à l'intoxication bromurée, donne à l'examen a
ns vides... C'est là, semble-t-il, un programme assez hardi, dans l' état des mœurs françaises. Or, s'il faut en croire la
ies furent exposées à ce propos, et M. le D' Bérillon soutint que « l' état hypnotique prolongé suffisait, souvent à lui seul
, dans ma pratique, que la suggestion ne réussit que rarement sans un état profond d'hypnose, et que l'état hypnotique prolo
tion ne réussit que rarement sans un état profond d'hypnose, et que l' état hypnotique prolongé parvient, quelque léger qu'il
vement, elle alla s'accen-tuant jusqu'à 12 ans; depuis cette époque l' état est resté complètement stationnaire : il est tel
n phénomène morbide. Dans l'exagération, on peut souvent constater un état pathologique ; mais les plaintes de la victime en
ilement disposée à exagérer plus ou moins dans la crainte de voir son état considéré comme meilleur qu'il n'est. Ce dernier
épend... C'est selon la tête ». ¦ Selon la tête » signifie selon un état psychique d'obsession, où dominent les réminiscen
rassick (). Déjà se dégage, de ce qui précède, la présomption que l' état maladif se résume à une forme relativement simple
effort pendant lequel les groupes musculaires considérés restent à l' état de relâchement complet. A. C. * Il s'agit b
le Juge des conciliations, le 4 mai 1904, il ne s'est produit dans l' état de M. Mullot, aucune modification vraiment import
affaires. M. Mullot, visiblement ¦ monté d. nous répondit que, dans l' état où l'avait mis l'accident, il lui avait été impos
son cerveau — assez opiniâtre, assez absorbante pour caractériser un état morbide. 11 faut môme attribuer à cette sorte trè
ent consistant en figures faites sur le dos du pied avait aggravé son état . Or, ce traitement n'avait jamais été pratiqué, e
les qui sont de véritables mouvements automatiques. Ce qui domine l' état mental, c'est une extraordinaire suggestibilité ;
t le traitement découlent du diagnostic ; on la suggestionnera dans l' état d'hypnose et on la débarrassera de ses hallucinat
: a Tu ne me trompes pas, esprit impur ». L'enfant resta dans le même état . « Lorsqu'il devait passer devant une église ou d
ez remarquable vient à l'appui de cette supposition. La France, par l' état de ses institutions politiques, par l'éclat de sa
nt bien distincte) survient secondairement, elle aussi. non plus à un état mental spécial, mais à une asynergie (congénitale
de fait, un de nos confrères l'hypnotise,... mais sans améliorer son état . C'est que la pychologie de notre jeune homme n'a
parviendra à réveiller ou à exalter les groupes d'images demeurés à l' état rudimentaire et, pour ainsi dire, inculte. Le mei
usa, tolliiur effectus. Toutefois, chez la plupart, il subsistera à l' état de simple habitude morbide; la suggestion hypnoti
les yeux d'un animal, comme on les fixe chez l'homme pour produire l' état d'hypnose, on n'obtient rien ou peu de chose, ce
- dation non seulement le sommeil profond, mais encore beaucoup d' états intermédiaires, qui bien souvent ressemblent à s'
tats intermédiaires, qui bien souvent ressemblent à s'y méprendre à l' état de veille parfait; lentement il y a déjà hypnose
nt il y a déjà hypnose quand l'être sur lequel on agit est sorti de l' état de veille complet, et qu'un certain nombre de ses
veille complet, et qu'un certain nombre de ses fonctions sont dans un état passif. Mais ces états passifs sont nombreux chez
un certain nombre de ses fonctions sont dans un état passif. Mais ces états passifs sont nombreux chez les animaux, quand on
e, de môme des animaux, qui bien entendu ne dorment pas, sont dans un état passif quand nous avons pu prendre sur eux ce que
istance naturelle, se résigne, se tranquillise, il l'aura mis dans un état passif, dans un certain état d'hypnose et alors i
, se tranquillise, il l'aura mis dans un état passif, dans un certain état d'hypnose et alors il pourra facilement lever le
rs faire du redress&ge, le dominer à nouveau, le remettre dans un état passif pour lui faire accepter votre domination e
e recourir pour provoquer volontairement cette hypnose et en faire un état propice au dressage et à l'utilisation des animau
bandonné comme inutile, voire même dangereux. La psychothérapie à l' état de veille constitue la seule méthode vraiment dig
res. Mais dans tout ceci que devient la suggestibilité au moins à l' état de veille. Elle n'a plus sa raison d'être. Car to
us ou moins développée soit, mais elle est. On devra donc dire qu'à l' état de veille, chacun de nous possède une plus ou moi
n ou de la persuasion, quand ce ne serait qu'avec ces sujets qui, à l' état de veille, ont une faculté de contrôle à peu près
ordre idées, il nous a appris à utiliser la suggestion pratiquée à l' état de veille, en tant que gymnastique rationnelle, p
, quel qu'il soit, qui soit capable de ramener ces deux fonctions à l' état normal a Le langage de Burq nous apparait aujou
omme l'expression exacte de la vérité. Cela se comprend d'ailleurs, l' état de la sensibilité ne faisant en somme que traduir
ttente mais prolongée) l'avant-bras d'une malade hémianesthésique à l' état de veille. Au bout d'un temps relativement court,
sonnement approprié à la cure entreprise. Il y a là production d'un état psychologique spécial qui a, ce me semble, la plu
ologique spécial qui a, ce me semble, la plus grande analogie avec un état très léger d'hypnose ou tout au moins d'inhibitio
nent systématiquement dans la pratique exclusive de la persuasion à l' état de veille. A cette influence persuasive pour laqu
ombattre l'auto-sugges-tion que se fait chaque malade au sujet de son état morbide. Mais cette faculté d'auto-suggestion,
594, à dix-neuf ans, il trouva le temporel de son évéché en si triste état qu'il renonça pour toujours à la résidence, se co
e Rome pour l'avancement de sa fortune. Il porta la parole au roi aux états de 1615, et demanda, au nom du clergé, le rétabli
nstruire dans la religion. Aussi l'un d'eux, Nicolas, embrassa-t-il l' état ecclésiastique. Nicolas Choart de Buzanval naqu
nneur et de Religion, qui lui ont depuis servi de règle dans tous les états de sa vie (2) ». Son éducation terminée, il alla
avec une attention soutenue. Selon Mlle Joteyko, « La douleur est un état de conscience qui révèle un conflit entre la forc
physiologique, par l'orthopédie mentale, sous forme de suggestion à l' état d'hypnose ; cet enfant présente déjà une améliora
le traitement. Comme vous le voyez, j'endors mon malade. Le voici en état d'hypnose légère, ce qui nous suffit. Je pose sur
t naître aussitôt l'idée d'impuissance. Elle existe fréquemment à l' état d'ébauche chez les sujets normaux qui présentent,
uissance. On peut rattacher à la fatigue suggérée avant l'effort, l' état du neurasthénique au réveil qui, après une nuit d
tardivement ses études universitaires. Ses parents le destinaient à l' état ecclésiastique ; mais ce fut contre son gré, qu'à
M&gnêtiseur du Dr Teste, il essaya de plonger quelques sujets en état de catalepsie et de somnambulisme. A son grand ét
tions dans un volume remarquable ayant pour titre : Du sommeil et des états analogues, considérés surtout au point de vue de
levue, l'y trouva au milieu d'une vingtaine de malades plongés dans l' état d'hypnotisme. La singularité de ce spectacle, a
3° Enfin, par l'injonction de se réveiller, les sujets sortent de l' état passifoùon les a mis. Pour Liébeault, et c'est là
tes qui se sont occupés du sommeil ordinaire ont déjà observé que cet état ne peut se manifester sans un consentement préala
il ordinaire et d'avoir exposé les signes caractéristiques des divers états hypnotiques. Sa classification des degrés de l'
tation des mêmes phénomènes. Liébeault a également expliqué, parles états hypnotiques, les tables tournantes,- la baguette
n ne prévaudra jamais contre cette vieille vérité. Comme Isolant, cet état est l'adjuvant le plus précieux de la suggestion
rtifice de suggestion, dans une foule de cas, ne remplacera jamais un état physiologique où l'on se replonge tous les jours
re ïe dormeur et l'y suggestionner. » (1) Liébeault : A travers les états passifs : le sommeil et les rêves. Revue de Thyp-
ier article que nous envoya le ! )* Liébeault parut sous le titre : L' état de veille et l'état d'hypnose. II y résume très n
envoya le ! )* Liébeault parut sous le titre : L'état de veille et l' état d'hypnose. II y résume très nettement son opinion
« On a beaucoup parlé, dans ces derniers temps, de la suggestion à l' état de veille, et les quelques disciples du professeu
sur la possibilité d'obtenir, chez un assez grand nombre de sujets, l' état d'hypno-tisme fortuit, ce qui se rencontre surtou
né l'illusion de l'influence exercée par une prétendue suggestion à l' état de veille, c'est qu'il est arrivé à un certain no
extrémités sensibles vers les centres pour laisser f organisme en un état passif plus ou moins profond. » « Cette théorie
éside précisément dans la production préalable de l'hypnotisme ou des états passifs. — Ils useront leurs dents contre nous.
chothérapie méthodique, telle que la concevait le (1) Liébeault : L' état de veille et l'état d'hypnotisme. {Revue de VHypn
ue, telle que la concevait le (1) Liébeault : L'état de veille et l' état d'hypnotisme. {Revue de VHypnotismet 12* année, m
e, d'une façon irréfutable, l'influence que le cerveau exerce, dans l' état d'hypnotisme, sur les fonctions organiques ordina
lui, dans son cerveau, elle prend ses racines vraies surtout dans les états passifs dont le sommeil et les rêves sont le terr
ans le monde de l'inconnu. Les croyances religieuses, nées dans les états passifs de la vie, me paraissent devoir se transf
plie sur elle-même et s'accumule dans certains centres cérébraux. Cet état ne peut évidemment se réaliser que dans le calme
orée héréditaire qui, en outre des mouvements choréiques, comporte un état mental spécial ; c'est la chorée de Huntington ou
aison, que la chorée est toujours accompagnée (et même précédée) d'un état mental. Or notre jeune fille est une grande sugge
ite et Jin) ('} Dans un travail paru en 1888 sur Vhypnotisme et les états intermédiaires entre le sommeil et la veille, M.
nne n'est pas encore endormie, mais est bien près de l'être. Dans cet état , elle ne veut pas, elle ne sent pas, elle ne voit
rimée, le sommeil se produit. Et M. Coste de Lagrave montre que cet état qui précède le sommeil est particulièrement intér
favorable aux suggestions. Celles-ci bien que moins puissantes qu'à l' état d'hypnotisme auront encore assez de force pour se
ncore assez de force pour se faire sentir pour produire un effet. Cet état est le meilleur état de veille pour imprimer à se
pour se faire sentir pour produire un effet. Cet état est le meilleur état de veille pour imprimer à ses facultés cérébrales
s cérébrales un mouvement vers le bien. M. Coste de Lagrave l'appelle état passif de veille par opposition à l'état actif de
. Coste de Lagrave l'appelle état passif de veille par opposition à l' état actif de veille dont la volonté, la domination, l
t la volonté, la domination, l'énergie sont les caractéristiques. L' état passif peut donc être utilisé ; il amène le perfe
u. Nous nous trouvons dans les différentes heures de !a journée à l' état de veille passive ou active. A l'état passif, nou
rentes heures de !a journée à l'état de veille passive ou active. A l' état passif, nous recevons toutes les impressions; les
.. Il est important de réglementer les suggestions qui ont lieu à l' état de veille passive puisque leur ensemble modifie n
chacun est son propre guide. Il est en effet facile de se mettre à l' état de veille passive ou active, il ne s'agit que de
a un avantage à retirer des impressions extérieures, on se mettra à l' état de veille passive ; quand les exemples ou impress
d les exemples ou impressions reçues seront mauvais, on se mettra à l' état de veille active.. L'adulte peut régler les sug
hez lui l'idée de veille passive. Quand il s'y trouve, il utilise cet état pour se donner des ordres. Le meilleur moment est
lque chose, mais l'elTortest si petit que le sujet reste toujours à l' état de veille passive. Quand il s'endort, il pense à
s'éveillant, l'après-midi quand on fait la sieste, on est encore à l' état de veille passive très propre à l'auto-suggestion
ié. Vous vous souvenez que Charcot et Richet ont montré que, dans l' état cataleptique, les mouvements imprimés aux diverse
ques inférieurs (polygone de M. Grasset) ». Intimement associés à l' état normal, ces centres se désunissent à l'état de so
Intimement associés à l'état normal, ces centres se désunissent à l' état de sommeil et de distraction comme à l'état d'hyp
entres se désunissent à l'état de sommeil et de distraction comme à l' état d'hypnose et leur fonctionnement se fait séparéme
séquent avec lui-même, M. Grasset n'admet pas la suggestion vraie à l' état de veille complet. Le sujet suggestionné soi-disa
e complet. Le sujet suggestionné soi-disant éveillé est en réalité en état d'hypnose partielle (sans présenter de signe de s
érillon ou ailleurs, l'examen psychologique nous a toujours révélé un état d'aboulie nettement caractérisé. « Ce syndrome ab
, comme l'a dit M. Bérillon, est ordinairement la note dominante de l' état psychologique individuel du sujet. Il est un des
e fait de son engourdissement cérébral, l'hypnotisé ne change pas son état mental. II obéit aux mômes incitations qu'un suje
on état mental. II obéit aux mômes incitations qu'un sujet normal à l' état de veille, il a simplement moins de résistance, m
estions qui lui sont faites ». M. Crocq a fort bien démontré qu'à l' état de veille, le degré de suggestibilité dépend, pou
ont que très difficilement, sinon même jamais, par psychothérapie à l' état de veille. Ils ne guériront que par psychothérapi
iront que par psychothérapie hypnotique. L'hypnotisme est, depuis l' état de veille, jusqu'à la léthargie la plus complète,
ement progressif. Il suffit de lire les descriptions qu'ont donné des états de l'hypnose les divers auteurs pour juger combie
illeurs c'est une grave erreur de vouloir plonger les malades dans un état de sommeil profond. 11 suffit souvent de les hypn
eil profond. 11 suffit souvent de les hypnotiser au minimum. Dans cet état , les raisonnements porteront qui, tout à l'heure,
. Dans cet état, les raisonnements porteront qui, tout à l'heure, à l' état de veille, étaient impuissants. Car, j'insiste su
i s'adressent à nous, beaucoup ont été soignés par psychothérapie à l' état de veille et cela sans résultat. Ils viennent nou
u moins complètement la personnalité de l'individu et de le mettre en état passager d'automatisme, dès l'instant que la guér
renseigner sur l'efficacité possible du traitement. 3* Provoquer l' état d'hypnose ou tout au moins un état passif, c'est-
le du traitement. 3* Provoquer l'état d'hypnose ou tout au moins un état passif, c'est-à-dire un état physiologique caract
uer l'état d'hypnose ou tout au moins un état passif, c'est-à-dire un état physiologique caractérisé par la suppression et l
le, c'est que les exercices, impuissants lorsqu'ils sont exécutés à l' état de veille, deviennent d'une efficacité remarquabl
d'une efficacité remarquable lorsqu'ils le sont chez le sujet dans l' état d'hypnotisme. C'est sur cette constatation que re
évidemment d'avoir recours à l'agent même qui a servi à le mettre en état d'hypnose. Nous avons développé les raisons pou
quelles il vaut mieux, d'une façon générale, employer pour défaire un état produit l'agent qui l'a déterminé. Le souvenir
nhibition) le sens de l'effet dépendant de Y étal du système nerveux ( état dynamique s'entend) au moment où l'excitation se
ider, dans chaque cas particulier si le traitement doit être fait à l' état de veille ou d'hypnotisme; quel procédé, quelle m
aite au congrès international de méiecine. Liège, sept. 1905. Cet état de passivité, de sédation, étant la condition pré
traduit pas la moindre sensibilité. Des suggestions faites dans cet état se réalisent après le réveil, exactement comme ce
t se réalisent après le réveil, exactement comme cela se passe dans l' état d'hypnotisme. De plus quelques injections suffise
nous ont appris l'influence des diverses couleurs du prisme sur l' état mental elle tonus nerveux. Sans m'étendre sur l
du doigt qu'il pousse un profond soupir et qu'il renverse la tête, en état d'hypnose complète. Mais il n'y a pas là une acco
ttre au juge d'apprécier la culpabilité réelle du prévenu d'après son état mental au moment de l'action; mais son insuffisan
atière les deux questions suivantes : 1» Dire si l'inculpé était en état de démence au moment de l'acte, dans le sens de l
médecine. Il y démontrait le rôle des aboulies, des timidités, des états émotifs dans la pathogénie des troubles fonctionn
timidité n'étaient pas aulre chose que la réalisation d'un véritable état d'hypnotisme, provoqué d'une manière involontaire
st légitime d'établir entre ces phénomènes et ceux qui consliltient l' état d'intimidation. Dix années d'observations pours
t. être intimidé, c'est être hypnotisé. La seule différence entre l' état d'hypnotisalion réalisé sur un sujet par un hypno
se mouvoir, de parler et même de penser. On peut donc comparer cet état aux phénomènes d'inhibition partielle, aux paraly
sies psychiques si faciles à provoquer chez les sujets plongés dans l' état d'hypnotisme. Ce qui justifie cette appréciatio
er-hypnolisables. D'ailleurs ia démonstration de l'analogie entre l' état d'intimidation et l'état d'hypnotisme résulte de
leurs ia démonstration de l'analogie entre l'état d'intimidation et l' état d'hypnotisme résulte de ce fait que l'interventio
nces psychologiques extérieures sont très inégales. Chez les uns, les états d'intimidation sont superficiels, révèlent un car
s ne parviennent pas à se déshypnoliser eux-mêmes et demeurent dans l' état d'intimidalion tanl que la personne étrangère n'a
in, chez certains sujets, la timidité semble affec ter le passage à l' état chronique. Ces timides vivent dans la crainte per
leur évolution normale. Il convient donc de ne pas confondre tous les états d'intimidation sous le nom trop général de timidi
ent les effets de l'intimidation. L'admiralion place l'esprit dans un état d'attente essentiellement favorable à la producti
périence, d'une volonté peu cultivée, elle ne constitue pas en soi un état névropathique. On n'est pas un malade parce qu'on
simplement au traitement psychologique de les mettre à l'abri de ces états d'intimidation dont ils éprouvent les plus sérieu
débilite l'organisme comme la répétition de celte crise nerceuse. Un état neurasthénique succède à cet orage : omne animai
mme nous, que l'auteur traite le coit de crise nerveuse produisant un état neurasthénique. C'est bien là sa pensée comme nou
— écrit-il, en parlant de la femme pendant la menstruation, — c'est l' état psychique et l'on voit apparaître, môme chez le
Tout est matière à psychonévrose. Toute fonction normale produit des états anormaux ! Alors le sommeil de l'animal qui digèr
états anormaux ! Alors le sommeil de l'animal qui digère est aussi un état neurasthénique ? Nous notons à la page 203 encore
la confusion d'idées et les études durent être interrompues ». ¦ «L' état me parut d'abord très inquiétant, car le mulade s
cieL, émis avec une arrogance autoritaire qui dit : La suggestion à l' état de veille, la psychothérapie, c'est une question
ulier et concret de l'idéal moral c-tsans doute toujours relatif à un état donné de la société; mais l'idéal moral, par son
on. Je ne veux plus aller à St-Raphaël parce que j'ai peur, n A cet état mental (lequel comporte, on vient de le voir, des
nir de ce qu'elle a fait pendant ces huit jours; elle les a passés en état second ; même, dans cette condition seconde, elle
elles, toujoui-s à l'occasion d'un reproche. Lorsqu'elle est dans l' état de mal hystérique, le reproche joue le rôle de tr
nt qui suffit à mettre en branle certaines machines puissantes. Cet état de mal hystérique est signalé par quelques phénom
it dormir. » Pendant qu'elle dort, elle a le teint coloré comme à l' état normal ; sa respiration est calme, suivant le ryt
e subconscient ; elles établissent une sorte de pont mémoriel entre l' état second qui touche à sa fin et l'état prime qui va
e sorte de pont mémoriel entre l'état second qui touche à sa fin et l' état prime qui va reparaître à nouveau ; elles dévoile
auto-suggestions tyranniques que le sujet oublie, une fois revenu à l' état normal, mais qui président subconsciemment à la r
ieu. Ceux-ci, pour jouir de cette communication, doivent être dans un état d'extase où ils deviennent indifférents à tout ce
Dans ces conditions nul mieux que les fous inoffensifs ne réalisent l' état d'extase avec les caractères indiqués. Il n'est
er ma malade. Sa timidité même faisait qu'au moment de glisser dans l' état second, elle recouvrait pleinement possession de
lisser dans l'état second, elle recouvrait pleinement possession de l' état prime. Pour vaincre cette résistance, pour obteni
ux phénomènes de l'hypnotisme (Grasset), mais alors la suggestion à l' état de veille n'existerait plus. Dans la suggestion
u fait de son engourdissement cérébral, l'hypnotisé ne change pas son état mental, il obéit aux mêmes incitations qu'un suje
on état mental, il obéit aux mêmes incitations qu'un sujet normal à l' état de veille, il a simplement moins de résistance.
un cas seulement, celui d'une des personnes tombées en enfance. L' état hypnotique s'est produit, sans intention, dans pl
de l'alimentation et de la digestion (normale ou pathologique) sur l' état moral, le caractère, les mœurs, les passions, l'i
e les degrés de l'hypnose varient de la somnolence la plus légère aux états de sommeil les plus profonds, les modalités de la
leur volonté suffit pour les en dégager: par contre, chez d'autres, l' état de stupeur dans lesquels ils sont plongés par l'i
ables de la légitimer, nous ne pouvons assigner le même caractère aux états d'intimidation qui surviennent sans qu'aucune rai
valeur personnelle et de ses moyens d'action, constitue assurément un état anormal. Il en est de même lorsque les phénomènes
on est tout à fait fondé à la considérer comme la manifestation d'un état pathologique. Ribol a établi d'une façon très j
ue naturellement; il n'y a donc pas de différence essentielle entre l' état de conscience des malades préparés >!e M. Dubo
l. Dubois, sous l'influence de ce que nous appelons la suggestion à l' état de veille. Or ce point est très important. Bien d
sait très bien mettre en jeu I'auto-suggestibilité de ces malades à l' état de veille mais si cette auto-suggestibilité n'exi
ous ces cas if. Dubois fait ce que nous appelons de la suggestion à l' état de veille et nous en avons la preuve dans le
d'hypnose au début mais nous arrivons presque toujours à obtenir des états hypnotiques au bout d'un certain temps et alors n
firmer avec force ; pour les autres insinuer avec douceur. Car dans l' état de sommeil, l'individualité morale de chaque suje
érer son livre comme une contribution à l'action de la suggestion à l' état de veille mais non pas comme un*» étude fondament
irectement ces symptômes, et « qu'ayant pour but la guérison de l' état nerveux, il faut que ses « malades prennent patie
nnent patience d'ici là ». Nous ne doutons pas que la guérison d'un état nerveux amène avec elle la disparition des douleu
n question : Il s'agissait d'une femme de 47 ans, cuisinière de son état , qui avait été amenée à l'Hôrel-Dieu, salle Ste-J
pu la tirer de son sommeil. Elle resta ainsi plusieurs jours dans un état de somnolence dont on ne la faisait sortir que tr
jour dans la rue sans connaissance et fut ramenée chez elle dans cet état . Le 7 février 1899, elle entra à l'hôpital Te
e était tombée dans la rue sans connaissance et était restée dans cet état jusqu'au moment de l'arrivée des agents qui l'ava
it à une distance normale le tic-tac d'une montre. En dehors de l' état nerveux, cette femme ne présentait aucune lésion
l ne dura que trois à quatre jours; elle revint progressivement à son état normal et quitta l'Hôtel-Dieu au bout de huit jou
ée sans connaissance dans la rue; des agents l'ayant trouvée dans cet état , l'avaient transportée à St-Louis. Cette nouvelle
ique qu'elle présentait, alors que tous les autres muscles étaient en état de détente complète. Ce spasme, dû à la contractu
s suggestives sont intervenues dans la création et l'entretien de ces états pathologiques. Quand on se trouve en présence d'h
eu près complète de signes somatiques : ainsi Àrgentïna était dans un état permanent de résolution musculaire aussi .bien qu
e, sa première guérison par la suggestion hypnotique, la cause de son état actuel, la conservation parfaite de l'intelligenc
a nuit par sa voisine de chambre ; ils existaient donc aussi bien à l' état de sommeil qu'à l'état de veille. Dans la rue,
e chambre ; ils existaient donc aussi bien à l'état de sommeil qu'à l' état de veille. Dans la rue, dans les magasins, ils
et profondément dès cette première séance. Mais je constatai qu'en état d'hypnose avec anesthesic assez marquée et automa
et automatisme des mouvements, les borborygmes continuèrent comme à l' état de veille jusqu'au moment où. plaçant ma main sur
es d'un nouveau sommeil hypnotique pour obtenir une prolongation de l' état normal. Pourquoi? Je ne veux pas donner ici un av
de toute suggestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l' état mental. Un vieil adage enseigne que « la nuit p
réalité, ce n'est pas la nuit qui rend ce service : ce sont certains états intermédiaires entre la veille et le sommeil prof
veille et le sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un état passif assez accentué, nous acquérons le pouvoir
ints de vue, la sédatîon qui résulte du sommeil provoqué constitue un état favorable pour l'accomplissement des fonctions de
ige mental, ce qui lui est représenté fortement, en l'absence de tout état de conscience réducteur. Ea suggestion hypnotique
Pitié, il y a trente-six ans. Or les modifications survenues dans son état depuis cette époque permettent d'affirmer la natu
s'ennuie; alors apparaissent devant elle des êtres fantastiques. L' état de la santé générale est très bon. Au premier a
e commence à dormir que son délire se manifeste, c'est-à-dire dans un état d'automatisme cérébral. Autrement dit, elle tombe
rgique dura vingt ans. Lorsqu'on peut examiner les malades dans cet état , on retrouve certains indices, comme les battemen
s. Cette femme a été présentée par LàSèGUE comme une hystérique, en état de délire hystérique. C'est un cas extrêmement in
la synthèse mentale oscillante de Janet, phénomène en rapport avec un état physiologique particulier de la couche corticale,
amique cérébrale, la texture du cerveau n'est pas modifiée ; c'est un état particulier qui survient brusquement et peut cess
26 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
oit le point de départ, il y a toujours à côté de l'influence et de l' état suggestif, une influence et un état organiques co
urs à côté de l'influence et de l'état suggestif, une influence et un état organiques correspondants, de môme qu'il y a touj
s correspondants, de môme qu'il y a toujours derrière le braidisme un état psychique ou moral proportionnel à l'intensité du
ion et n'aient va se modifier favorablement, sous son influence, leur état général et leur état mental. Nous voudrions aussi
modifier favorablement, sous son influence, leur état général et leur état mental. Nous voudrions aussi qu'on nous indiquât
e trouvent altérés dans l'obsession. Le point de départ de beaucoup d' états d'angoisse, par exemple, n'est nullement une « Zw
on », choisi par les auteurs français, est bien celui qui définit ces états avec le plus de précision. L'obsession revêt de
pour le malade et très intéressante pour le psychiatre. Cependant ces états psychopathiques sont rares dans les asiles; beauc
me règle que les patients de cette espèce voient dans leur maladie un état exceptionnel, puisque jamais ils n'ont entendu pa
té et la variété de ces psychoses. Je veux essayer, en groupant ces états psychopathiques, de contribuer à une nomenclature
domine la volonté et la raison. Le point essentiel caractérisant cet état est que tes malades ne savent pas dire de quoi il
arres ou malséants. Ces déviations psychiques côtoient de très près l' état sain, et le côté pathologique réside moins dans l
souvent que l'agoraphobie, et l'on ne saurait faire de chacun de ces états psychopathiques une maladie distincte. Ce sont de
ogique. Parmi toutes ces psychoses, il faut distinguer cependant un état psychopalhique présentant une .combinaison de sym
ondrie dans laquelle les malades croient être syphilitiques. C'est un état psycho-pathique très différent. Je pense que le m
ue celui qui est obsédé par la pensée d'être syphilitique. Le dernier état constitue un délire hypocondriaque, le premier es
dité que je l'ai touché pour tirer ainsi vengeance de ma femme? » Cet état psychique fit naître un tourment continuel et une
symptôme secondaire; elle se greffe sur le délire du toucher dans un état avancé et dans ses formes graves; elle doit être
une variété d'obsession très intéressante, qui déviant très peu de l' état normal, nous fait jeter un coup d'œil sur le modu
ière lettre. Il parait que des excès vénériens ont fait empirer son état . Une com- I plication est survenue. Pour se débar
ggestif ne sont guère brillants. D'après ce que le malade me dit. son état a continué d'empirer malgré mes soins. Cependant
sédantes et ses impulsions ; la suggestion agit salutairement sur son état général, elle diminue ses angoisses et sa nervosi
écente. Dans les autres cas. on réussit à enlever les maux de tôte, l' état nerveux, les palpitations ; surtout on arrive à a
e des obsessions. Mais il est important de penser que l'anomalie de l' état psychique réside moins dans les idées obsédantes
les plus chers du malade ne réussissaient guère mieux à améliorer son état , à lui faire abandonner ses habitudes vicieuses.
s malades chez lesquels il a provoqué devant les auditeurs, les trois états : léthargie, catalepsie et somnambulisme, qui con
le de la Salpétrière le privilège d'avoir étudié scientifiquement les états de l'hypnotisme. Là où les auteurs de Nancy n'ont
r, Permettez-moi de vous signaler une observation de suggestion à l' état de veille, qui ne manque pas d'intérêt, d'autant
i était intimé, N'est-ce pas là un fait intéressant de suggestion à l' état de veille? Ce fait ne peut-il être rapproché de c
estive, son mécanisme, propriétés diverses du sommeil provoqué et des états analogues, par le douleur a. Liébbault. — Paris,
reconnu sain d'esprit, dans un asile d'aliénés s'il a été prouvé son état de délire ou d'imbécilité. Congrès d'ethnologie
res termes, l'usage de l'hypnoscope produit l'effet de suggestion à l' état de veille (suggestion sans hypnose). L'essai de l
t entendu toute ma conversation avec elle. II est donc évident qu'à l' état de veille elle n'avait aucune idée de s'être trou
de la face n'obéissent point encore à la volonté de la malade, dans l' état hypnotique ils se contractaient parfaitement à mo
dépendaient de causes matérielles; 2* Les muscles paralysés qui, à l' état de veille, ne pouvaient être mis en contraction p
uer cela par l'excitabilité des muscles et des nerfs augmentée dans l' état hypnotique, en vertu de laquelle l'impulsion de l
l'état hypnotique, en vertu de laquelle l'impulsion de la volonté à l' état normal ne serait pas capable de provoquer d'excit
s muscles ne fonctionnant pas depuis longtemps, mais le serait dans J' état hypnotique; expliquer cela ainsi n'est pas légiti
arcot et ses élèves Paul Block, Tyssen, Ladame et autres décrivent un état maladif consistant en ceci, que le malade ne peut
sens musculaire, la coordination du moral et du physique sont dans un état parfait. D'après Block, le principe de la maladie
s pour la station droite et la marche normale. Biswanger explique cet état par une altération psychique, mais cela subsidiai
que nous lui pratiquons à la peau des bras, mais if ne passe pas à l' état cataleptique quand nous lui relevons les paupière
i relevons les paupières; des frictions sur le vertex n'amènent pas l' état somnambutique. » P. 238 : « Nous malaxons les m
l'hyperexcitabitité neuro-musculaire. ce symptôme quasi constant de l' état léthargique, etc. » Ainsi, M. Masoin n'a pas ob
éthargique, etc. » Ainsi, M. Masoin n'a pas obtenu les fameux trois états que, p. 246, il appelle « les phénomènes classs
t de l'Ecole de Nancy, S. Vandevoir ne présentait les caractères do l' état hypnotique ». Nous avons essayé, des amis et mo
er le contrôle scientifique des faits observés journellement dans l' état d'hypnotisme ou dans les éuta analogues, il a été
érie, une névrose, une maladie véritable. Les malades mis par nous en état d'hypnose étaient, de ce fait, placés dans un éta
es mis par nous en état d'hypnose étaient, de ce fait, placés dans un état pathologique comparable à ta crise d'hystérie.
s adversaires que l'hypnose et l'hystérie constituent un seul et même état , il faut admettre en même temps que nous sommes t
t de vous rappeler à ce propos certaines amblyopies unilatérales. A l' état habituel, le sujet ne voit que d'un œil, mais met
ériques sont des phénomènes que l'on provoque chez les hypnotisés : l' état psychique des hystériques est semblable par certa
que l'hypnotisme n'a aucune relation avec l'hystérie et que c'est uu état physiologique. Contrairement à cette opinion, e
i-même. 3* Les somnambules hypnotiques sont parfois plongés dans un état second et les somnambules hystériques peuvent se
s hystériques peuvent se trouver dans une situation semblable. 4* L' état hypnotique influe sur les excréta urinaires de vi
choisir des femmes qui, de même que Mme L...., peuvent tomber dans un état analogue au somnambu- lisme le plus profond, c'
suggestions inutiles pour se limiter aux suggestions justifiées par l' état du malade, surtout lorsqu'on procède avec soin au
les contre-suggestions possibles, auxquelles donnent toujours lieu l' état psychique ou Tétai mental du malade. De même qu'i
peutiques de l'hypnotisme, Par le Dr TOKARSKY (de Moscou). 1. — L' état hypnotique et la suggestion sont des agents théra
actuellement pour permettre d'apprécier leur valeur exacte. 3. — L' état hypnotique et la suggestion {comme tous les autre
e du système nerveux. 14. — En dehors des cas de guérison totale, l' état hypnotique et la suggestion peuvent être utilisés
me sont : l'insomnie, la douleur, le refus des aliments, la peur et l' état d'inquiétude intérieure. 16. — La question de l
séder des notions de psychiatrie suffisantes pour pouvoir apprécier l' état psychique de son malade et les changements qui pe
que de son malade et les changements qui peuvent se produire dans cet état psychique. 25. — L'application de l'hypnotisme
fois chez les personnes qui se sont laissé « plonger souvent dans l' état d'hypnose, ou qui fréquemment ont pratiqué la « m
été rapidement épui'ée, est un exposé très complet et très clair de l' état actuel de la science sur cette affection à la foi
nt joué par la dilatation de l'estomac dans la production de certains états nerveux morbides, beaucoup d'auteurs ont pu confi
ur attention, trop préoccupés, trop obsédés que sont ces malades de l' état de leur santé. Mais de 14 à admettre arec Ziemmse
ces, et, je le répète, n'est pas plu* dangereux que la suggestion à l' état de veille dont M. Boureret préconise l'emploi dan
ents inducteurs. Si l'inducteur fermait les yeux et n'était plus en état de suivre les mouvements du lecteur des pensées e
it pas, suivant les investigations de ces savants, plus élevée qu'à l' état normal, ils en conclurent que cette faculté de li
philologue me reproche ensuite d'avoir tenu compte des « fameux trois états * et de l'hyperexcitabilité meuro-musculaîre. Mai
se « que le sujet n'est en rapport qu'avec la personne qui l'a mis en état de somnambulisme, pourvu que le sommeil soit asse
inaire, il pe vante d'avoir reconnu « par une sorte de divination • l' état réel de la stigmatisée. Dès lors, il est impossib
t fort sensibles a la suggestion et tombaient pour la plupart dans un état profond de somnambulisme. C'est alors que je fis
béit directement et complètement aux suggestions. En hypnose comme en état de veille, on peut provoquer chez lui avec la plu
ullement un caractère absolument dislinctif de l*hystério ou d'autres états neuro ou psychopathiques; je préfère néanmoins em
t connus dans la psychopathologie sous le nom d'idiots moraux. Dans l' état hypnotique, obtenu facilement sur l'injonction qu
uite d'un saignement de nez qui venait de s'arrêter, il était dans un état de grande faiblesse. Les yeux sont fermés. A mes
issance. Je me sauvais en lui disant que pour le moment, à cause de l' état de faiblesse, ne pouvant rien faire pour l'enfant
pour eux des manifestations étranges, hyslériformes, qui dénotent un état normal, pathologique, monstrueux, un détraquement
tres idées, j'ai fait une suggestion. Nous parlons, par exemple, de l' état de la France, de la considération dont elle jouit
la période hypnagogique qui précède le sommeil, et même dans certains états de concentration d'esprit, à l'étal de veille, no
suggestibilité soit exallée, il faut que le cerveau soit mis dans un état particulier qu'on appelle état hypnotique et que
l faut que le cerveau soit mis dans un état particulier qu'on appelle état hypnotique et que je préfère appeler état de sugg
t particulier qu'on appelle état hypnotique et que je préfère appeler état de suggestibilité exaltée. C'est là la définition
s rêves hallucinatoires. Dans le sommeil, le cerveau est donc dans un état de suggostibilité exaltée qui permet au dynamisme
jeu. De là l'idée d'endormir les sujets pour créer artificiellement l' état de suggestibilité exaltée. De là la définition du
xpérience apprend que le sommeil n'est pas nécessaire pour obtenir un état psychique ttvorable à la production de tous les p
sommeil, ou du moins sans que le sujet ail conscience du sommeil, un état psychique qui crée la suggestibilité aussi profon
ypnotiques puissenl être réalisés chez eux par simple affirmation à l' état de veille. Chez eux l'idée reçue actionne suffisa
er de l'hallucinor d'emblée, autrement dit, de lui donner un rêve à l' état de veille. Je lui dis : « Où êtes-vous? — A l'hôp
l se frotte les yeux, l'expression de sa figure se modifie, un nouvel état de conscience s'y peint: « Tiens! je suis couché.
suis-je? — Je ne vous connais pas. » Il n'est pas encore revenu à son état normal. Après quelques instants : Eh ! noo, non.
peut être ensuite accompli inconsciemment par cette même personne a l' état de veille. L'École de Nancy affirme, en outre,
tement excité, tandis que l'autre patte A demeurera tout le temps à l' état de repos. Ce fait prouve clairement que l'excitat
e l'excitation nerveuse suivant les centres et les filets nerveux à l' état intact, et le caractère, la propagation et la dir
bulbes pileux de la peau et qui, par leur contraction, provoquent cet état particulier de l'épiderme. Nos vaisseaux sangui
e idée définie et bien conçue, pendant que le sujet se trouve dans un état à'attente intense de sa réalisation par un acte c
personnes bien équilibrées et bien portantes, et qui se trouvent à l' état de veille parfait. Pendant l'attente intense de l
il, que c'était la réalité I Jamais l'idée ne lui est venue, dans cet état , que ce pouvait être un rêve ! Chez ces deux ho
que tous les bons somnambules sont dans ce cas, sont suggestibles à l' état de veille, sans avoir jamais été mises eu sommeil
suggestion; que ces idées se transforment plutôt en actes, lorsqu'un état psychique particulier est provoqué, qui exalte la
ion. Dy a à ce point de vue une série de cas intermédiaires entre l' état d'hypnotisme parfait et l'état de veille. Néanm
ne série de cas intermédiaires entre l'état d'hypnotisme parfait et l' état de veille. Néanmoins il me parait essentiel d'i
hypnotisme à l'étal naissant, mais qui peut aussi être assimilé à cet état d'obnubilalîon plus ou moins prononcée qui précèd
M. Bernheim, est beaucoup trop large. Pour lui, l'hypnotisme est un « état psychique particulier, qui met en activité ou exa
Je ne vois pas comment celle définition peut permetre de distinguer l' état de veille de l'étal hypnotique. La suggestibili
vant lui ei d'en tirer profil ? L'hypnose sérail tout simplement un état dans lequel celle aptitude serait exaltée. L'état
tout simplement un état dans lequel celle aptitude serait exaltée. L' état do veille ne se distinguerait donc de l'état hypn
titude serait exaltée. L'état do veille ne se distinguerait donc de l' état hypnotique que par le degré do suggestibilité! Ma
ou plutôt aussi vague revient presque à contester l'existence de cet état psychique spécial. Pour M. Bemheim, le sommeil
une raison pour soutenir que l'hypnotisme bien constitué n'est pas un état morbide? Autant dire que la pathologie n'existe
ent arrivés à se tormer sur les relations qui existent entre ces deux états une opinion toute différente de celle que nous av
l'idée de lui Caire respirer un peu de chloroforme afin de diminuer l' état hallucinatoire et l'agitation; de cette façon je
reprises réveillée; aussi je la trouvais à ma visite suivante dans un état maniaque aussi violent que possible et identique
inatoire et maniaque a cédé et lorsque les sujets ont été mis dans un état qui les rapproche le plus de l'état normal. Leu
ue les sujets ont été mis dans un état qui les rapproche le plus de l' état normal. Leur suggestibilité est donc une conséq
doses fortes chez des épileptiques, chez des bystéro-épîleptiques en état d'hypnose, arrête les préludes et la première pér
ait capital, c'est que certains sujets, hypnotisés ou plongés dans un état analogue, sont susceptibles d'accomplir, malgré e
ait être tentée sur elles. Chez les unes, la suggestion, faite dans l' état d'hypnose, devait être réalisée dans l'état post-
suggestion, faite dans l'état d'hypnose, devait être réalisée dans l' état post-hypnotique ; chez d'autres, la suggestion ét
-hypnotique ; chez d'autres, la suggestion était faite simplement à l' état de veille. Ces expériences nous ont permis de con
la condition de créer, par des manœuvres antérieures et répéiéc», un état cérébral spécial. Il laul provoquer chez ces suje
nt ; je pense qu'il faut tenir très grand compte de la suggestion à l' état de veille et qu'il faut, avant tout, s'assurer si
en dehors de toute hypnolisation, une très grande suggestibililé à l' état de veille. Cela est parfaitement exact, a été adm
iner minutieusement l'hypnotisme et la suggestibilité, même celle à l' état de veille, à laquelle je croîs comme M. Bernheim,
t qu'on prête à ses coreligionnaires d'aimer le dieu Plutus. Dans cet état , jo lui offris un florin d'or, l'invitant à le pr
lue, l'exhibition, en public, d'une personne hypnotisée, soit que cet état ait été produit chez elle par celui qui la donne
'il m'avait été donné de voir pour la première fois un somnambule à l' état de veille, en ce sens qu'il n'avait pas été, au p
s qu'on lui donnait (1). De retour à Liège, je me mis à étudier cet état . J'en vins à me persuader que le sujet était réel
té mise dans le commerce. à un signe quelconque, chez mes sujets, l' état normal et l'état hypnotique, et & mesure que
ommerce. à un signe quelconque, chez mes sujets, l'état normal et l' état hypnotique, et & mesure que j'avançais dans c
froidement: « Certainement; je vois chez vous des muscles en parfait état de santé. — Eh bien ! je vais vous montrer où j'e
s médecins pour un rhumatisme général avec complication, ayant vu son état s'aggraver d'année en année, était tombé dans un
et le sens musculaire, et jette quelques lecteurs des pensées dans un état qui rappelle beaucoup les phases premières de l'h
n général s'accentue d'une manière bien nette. La similitnde de cet état avec l'hypnose se manifeste, chez quelque lecte
ns, ce n'est que d'une manière inconsciente ; il ressent seulement un état tout spécial, une espèce de rêverie pendant laque
ur lui-même, puisqu'il est aisé d'admettre que sa rêverie n'est qu'un état d assombrissement de sa conscience, résultat de l
res à toute suggestion. Nous avons vérifié ces mêmes résultats dans l' état hypnotique de plusieurs de nos femmes hystériques
qui ne constitueraient pas seulement des divers phénomènes d'un même état nerveux, mais représenteraient, pour me servir de
eraient, pour me servir des mêmes expressions de Charcot, une série d' états différents les uns des autres, pourvus chacun d'u
provoqués par des stimulations différentes qui, loin de produire des états nouveauz et tout particuliers, ne servent qu'à me
otal des membres, et que nous considérons comme l'unique et véritable état fondamental de l'hypnotisme) le phénomène de Vhyp
stimulants, et, lorsque celte action cesse, le patient retombe dans l' état léthargique. Or, peut-on dire que cet étal nerv
n musculaire intense et prolongée. Ici encore il ne s'agit pas d'un état nerveux nouveau et distinct, mais plutôt de simpl
rale (résistance des membres quand on veut les mouvoir ou les plier), état qu'on doit considérer comme provoqué par l'excita
citation employée. Par conséquent, nous ne voyons pas ici non plus un état nerveux spécial, mais seulement une nouvelle mani
ode. Ainsi, la contracture dite somnambulique a été rencontrée dans l' état léthargique aussi bien que dans le cataleptique,
léthargique a été aussi observée dans l'étal somnambulique et dans l' état cataleptique [Gilles] (4) ; et Richer a été oblig
la forme cataleptique, ou seulement de somnambulisme, ou seulement d' état léthargique, avec ses propres phénomènes somatiqu
nifestations provoquées par la condition unique, caractéristique de l' état hypnotique, surtout dans la grande hystérie, qui
eux essenliellemonl, mais ils ne sont pas mime caractéristiques de l' état hypnolûpie lui-même. • (1) Mus». Élude critique
af. 40 et soir. (î) «iiLLiv in. :.k Twirette. L'hypnotisme et tes états analogues; Paris, 1S87. (S) fumes. Études cliniqu
bilité cutano-musculaire, la contraction musculaire paradoxale dans l' état de veille. Et chez notre hystérique, aussi bien q
lpêirière, le même élat de rigidité cataleptique qu'on obtient dans l' état hypnotique lorsque, pendant la période dite létha
(1) avaient aussi remarqué chez une hystérique, pendant la veille, un état des muscles analogue a celui de l'hypnose, soit u
la veille, un état des muscles analogue a celui de l'hypnose, soit un état intermédiaire entre la catalepsie et la contractu
agnin relate plusieurs cas de grande hystérie, où l'on vérifiait, a l' état de veille, une hyperexcîtabilité neuro-musculaire
gnalé dans les Lesionî, recueillies par le 1> Melotti, offrait à l' état de veille, les deux contractures : la léthargique
cite un cas où il a vérifié, chez la femme hystérique Ilabillon, à l' état de vetlle, l'existence de tous les phénomènes neu
grande hystérie, dans la plupart desquels on les rencontre aussi à l' état de veille, cela veut dire nécessairement que, lor
es manœuvres hypnotiques provoquent l'attaque convulsive au lieu de l' état hypnotique. Dans un cas d'accès hystérique caract
tion, au moyen de l'hypnotisme, on reproduisait seul et exact le même état . Ce fait a déjà, d'autre part, été mis en évidenc
t dépendre : 1« Soit parce qu'ils ont été cherchés seulement dans l' état hypnotique, ou, pour mieux dire, parce que seulem
ne présentent pas les phénomènes de l'hystérie, ni en action, ni à l' état latent, et. d'autant plus, chez les individus qui
us l'avons déjà dit, rentrer dans l'autre comme ensemble produisent l' état d'automatisme, qui est caractéristique de l'hypno
s. Par conséquent, l'hypnotisme ne doit pas être cousidéré comme un état pathologique ; il n'a ni le mérite, ni la faute d
s soient couronnés de succès. 4° Quoique, en règle générale, plus l' état d'hypnotisme produit est profond, plus énergique
heures, un cours tor l'évolution littéraire dans tes rapporte avec l' état social et politique. Clinique psycho-thérapique
t M. le conseiller Proal, et il ajoute : « Mais, me dira-t-on, si l' état d'ivresse ne produit pas rirresponsa-4 bilité, la
passion. Mais n'est-ce pas « par sa faute qu'il est tombé dans cet état ? Est-ce qu'il n'est pas res-« ponsable de cotte d
morale où la « passion les a fait tomber n'est pas le résultat d'un état morbide, mais « de la dépravation volontaire. «
avation volontaire. « De ce que le criminel présente quelquefois un état de dégradation « intellectuelle et physique qui
e respon-« sable moralement de ses crimes? Non, encore, parce que cet état « d'abrutissement moral et intellectuel est la co
e moins, en quelque sorte, à l'agent toxique provoca- « teur qu'à l' état sous-jacent. c'est-à-dire à l'excitabilité morbid
sent des insomnies qu'aucun médicament n'a pu jusqu'ici atténuer. Son état général est extrêmement défectueux. Le malade n'a
suggestions. Un fait important à noter, c'est que pour arriver à l' état de guérison, nous n'avons pas fait moins de soixa
ants dans l'application du traitement. A la date du 1er décembre, l' état du malade est des plus satisfaisants. L'incoordin
borné son effet à activer l'assimilation du médicament, à améliorer l' état mental et l'étal général du malade ; elle a aussi
e, et cela sans qu'aucune suggestion spéciale ait été faite, même à l' état de veille. Pourquoi ces vomissements ont-ils cess
1888. Depuis trois années, il s'était adonné â l'intempérance et son état empirait rapidement. Il avait des crises où la pa
hez lui, guéri selon toute apparence. C'était en janvier 1889, et cet état subsista jusqu'en juillet- Se trouvant a cette ép
r vint tous les jour» me voir do la campagne qu'elle habitait. Ce bon état persista pendant trois semaines, mai» alors &
onduisit à de nouveaux excès et, pendant deux jours, il resta dans un état d'ivresse stupide. Quand on me l'amena, il sembla
ant le lit de la parturiente, il constatait qu'elle était toujours en état d'hypnose. Quelques instants après, je fus rapp
'elle jusqu'à la naissance de l'enfant. Je lui suggérai alors, dans l' état de veille, de ne pas souffrir. Elle déclarait ne
pendant son sommeil, en dépit de sa volonté. La suggestion faite à l' état de veille, sous forme d'intimidation et de menace
volonté plus puissante. H est possible qu'une suggestion faite à l' état de veille, mais autrement faite, conforme au méca
ne, eût été efficace. J'avais dit à l'enfant ce que je lui ai dit à l' état de sommeil : 0 Mon ami, je sais que lu veux guéri
r, ta bonne nature a repris le dessus, etc. ». Cetie suggestion à l' état de veille, répétée plusieurs fois, eût peut-être
été impossible chex lui, je crois qu'une suggestion bien faite à l' état de veille eût pu, avec de la persévérance, triomp
sur ce fait que les urines d'une malade, la nommée R..., pendant son état normal, n'ont pu être recueillies en totalité pen
ote (page 4) commniquée au Congrès de Rouen, à propos des urines de l' état de veille : « Nous ne les avons analysées que lor
ée, le résidu sec el l'acide phosphorique total des urines émises à l' état de veille présentaient une diminution sur les chi
pas dans la catégorie des aliénées ordinaires. J'ajouterai que dans l' état de sommeil el que dans l'état de veille, ralimenl
nées ordinaires. J'ajouterai que dans l'état de sommeil el que dans l' état de veille, ralimenlaiion était identique. D'acc
ées dans le sommeil, c'est-à-dire à un moment où l'accoutumance à cet état de léthargie était complète. En résumé, nous ma
emps. Il a été possible, a l'aide de la suggestion pratiquée dans l' état hypnotique, de faire disparaître celle polyurie,
le enfin que tous les phénomènes hystériques peuvent se présenter à l' état d'isolement (hystérie moaosymptomalique}, on est
ons eu recours à l'hypnotisation chez trois femmes hystériques dont l' état cérébral a été très amélioré par ce moyen thérape
ment peinée de la ruine de ses parents, qui l'a forcée d'apprendre un état manuel pour vivre, et on attribue sa maladie à ce
1° Il n'est plus permis de douter qu'on peut produire réellement un état d'hypnose variable en intensité, chez la pluralit
lité des personnes qui se soumettent aux procédés hypnotiques; 2° L' état hypnotique est caractérise par une plus grande di
on pathologique chez les dégénérés; étude sur le passage graduel d'un état psychologique normal à un symptôme pathologique -
ncieux, à modifier le caractère, les défauts d'un enfant, à changer l' état cérébral d'un aliéné. C'est ici que les parquets
oppement manifestées par un arrêt de l'organisme au commencement de l' état embryologique, mais plutôt des cas dans lesquels
mandés. Ces actes, qui peuvent être exécutés, non seulement pendant l' état d'hypnose, mais aussi après le réveil, sont très
y, en démontrant que les mêmes phénomènes peuvent être provoqués, à l' état de veille, chez un certain nombre de sujets, d'ai
excessive, qui permet d'influeucer k un tel degré certains sujets à l' état de veille, sans qu'ils aient été préalablement l'
e presque la règle chez les enfants. En soi,l'analyse de ces divers états de conscience, qu'il est si facile de provoquer a
apparence normale, étages de six à quinze ans, de provoquer, soit à l' état de veille, soit dans l'état de sommeil, des illus
six à quinze ans, de provoquer, soit à l'état de veille, soit dans l' état de sommeil, des illusions de la perception, des i
m'ont prouvé que rien n'était plus facile, par simple suggestion à l' état de veille, de déformer les souvenirs chez les enf
ion sur la facilité avec laquelle on peut, par simple affirmation à l' état de veille, créer dans le cerveau de certains suje
hez lui quelques amnésies partielles, puis je raconte devant lui, à l' état de Teille, qu'il a été témoin, le mercredi précéd
Caire. 4* La possibilité de provoquer ces phénomènes aussi bien à l' état de veille qu'à l'eut d'hypnotisme, chez on grand
e, la loi ne vise qu'une chose : défendre La société et mettre hors d' état de lui nuire tous ceux qui La menacent, les crimi
é soient soumis à un régime spécial et mis, comme les aliénés, hors d' état de nuire. Si, au contraire, nul ne peur être endo
eurtre, au suicide, etc., en un mot à des impulsions pathologiques? L' état de besoin créé par la morphine n'est pas une impu
nt autre chose que des rêves, des cauchemars, qu'on observe dans tout état toxique, mais des vraies hallucinations diurnes,
e dans tout état toxique, mais des vraies hallucinations diurnes, à l' état de veille, à l'inanité desquelles le malade ne cr
n, à moins qu'il n'y ail coexistence d'une autre intoxication ou d'un état vésanique. Il en est de même des conceptions dé
de même des conceptions délirantes. C'est à la longue seulement que l' état mental pcul être atteint et des troubles dans la
être atteint et des troubles dans la sphère intellectuelle amener un état dénienlal. Tous ces développements nous conduis
les psychoses impulsives qu'elle est créée artificiellement et que l' état de besoin peut être développé chez le premier ven
sation à domicile est impossible, dit-on, à cause de l'intensité de l' état de besoin, des souffrances intolérables que provo
u Tribunal de première instance de la Seine, M. M..., pour examiner l' état mental d'une nommée B..., inculpée de vol. Cett
répétées d'hypnotisme avaient créé en une suggestibilité telle qu'à l' état de veille elle ajoutait foi à toutes les billeves
à ses parents au bout de six mois de séjour à la Salpêlrière, dans un état de guêrison aussi complète que possible. J'en a
contemporaine, sous le titre de : Les Maladies de l'esprit, résume l' état actuel de la scienee sur cette question si troubl
la névralgie générale de Valleix, la névrose protéiforme de Cerise, l' état nerveux de Sandras, le nervosisme de Bouchut, la
eprendre, me semble plus approprié que tous les autres à désigner ces états divers. U ne préjuge rien, il n'implique aucune i
lement: fonctionnement pathologique du système nerveux. Nervosisme, état nerveux, sont des mots qui désignent plutôt un te
, troubles digestifs, etc. Alors une névropathie s'est greffée sur un état nerveux, sur une diathèse nerveuse générale préex
lle, des troubles digestifs, une apathie, une dépression physique, un état hypochondriaque plus ou moins défini compliquent
ne; la névropathie locale s'est généralisée, et dans ce cas, c'est un état nerveux général héréditaire qui, presque toujours
ants se battre; il a même conservé un tremblement léger persistante l' état habituel. Sauf cela, il se portait à merveille, s
marche moins bien; il voudrait s'en retourner chez lui. Il y a là un état psychique que j'ai observé fréquemment chez certa
uggestion. La sœur du service procédant avec douceur, suggérant à l' état de veille le retour graduel de la mobilité et la
erminée, la malade se plaignait d'une cécité à peu près complète; cet état durait un quart d'heure environ, et puis les obje
s'étendait de plus en plus, sans cependant revenir complètement à son état normal. Pendant la crise, après la période bruyan
s des personnes quelle avait vues. Si, pendant qu'elle était dans cet état de somnambulisme, on l'interrogeait, elle réponda
avec amnésie complète au réveil. Sous l'influence de ce traitement, l' état général s'améliora rapidement, mais à cause de la
on ne la retrouve plus et qu'on ne la voie plus. En présence de cet état cérébral, j'ai pratiqué la suggestion avec plus d
que je provoquais sans la moindre crise, ni avant ni après. Dans l' état de somnambulisme hystérique, la malade entendait
avoir été au ciel et des personnes qu'elle y avait vues. De plus, cet état durait deux jours, quelquefois davantage. Dans
t toutes les sensations désagréables qu'elle me disait ressentir. Cet état cessait quand je voulais. De plus, chaque fois
rtébrale ou spinale, entretenant les douleurs, mais simplemement d'un état névropathique, dans lequel tout était dynamique e
rs commencé par appeler f nervous exhaustion », épuisement nerveux, l' état moibide dont il est question; c'est qu'il avait v
état moibide dont il est question; c'est qu'il avait voulu décrire un état clinique sans faire d'hypothèse d'interprétation
tout effort continu. El c'est la la caractéristique dominante do tout état neurasthénique, c'est l'infériorité dynamique, L'
rale. Et c'est ainsi que Béard a trouvé le mot juste el vrai de cel état morbide. Pourquoi * parce que, en clinicien consc
excitations antérieures, jusqu'à ce que toutefois on arrive a un tel état d'affaissement que les réactions de l'excitation
plus se faire. Eb bien, toute l'étiologie et toule la pathogénie des états neurasthéniques estlà. Observez avec soin vos n
ont fini. En somme, U ne peut fournir aucun renseignement sur leur état psychique, sur leurs facultés mentales, leur degr
our sa part, quatre cas de terminaison fatale, et, pour combattre cet état morbide, il recommande surtout l'isolement. San
ystérique, la suggestion, qu'elle soit faite pendant l'hypnose ou à l' état de veille, doit agir sur le cœur du malade. 11 ne
jours, avait cessé de prendre le moindre aliment et qui était dans un état de délabrement complet. La malade refusait de voi
ou huit mois, avait cessé peu à peu de manger et était tombée dans un état d'inanition presque complet. Elle avait maigri de
t que des pommes. En quelques minutes, cette femme fut plongée dans l' état hypnotique profond. Je fi» apporter les éléments
ans les cas que nous avons traités, comme les malades étaient dans un état de stupeur ires marqué, qu'elle* tenaient les yeu
n'avions pas tenté de provoquer l'hypnose. Nous arions donc agi à l' état de veille, ce qui prouve que la valeur thérapeuti
b. — La suggestion peut donner des résultats favorables dans tous les états d'anorexie, alori même qu'ils ne sont pas de natu
gré une résistance assez apparente, fermer les yeux et tomber dans un état profond d'hypnose avec perte de la sensibilité cu
e et se maintenir avec persistance. « Les choses restèrent dans cet état le 28, le 29 et le 30. • Le \" décembre, M. le
nts hémorrhagiques. Chez notre malade, un ordre, une suggestion à l' état de veille permettait de reproduire le phénomène m
potogie, 15 octobre 1891.) Liébault. — « Le sommeil provoqué et les états analogues ». (In-18,1889.) Liîiiaclt. — Thérape
estive, son mécanisme, propriétés diverses du sommeil provoqué et des états analogues (In-18. 1891.) Lucas-Championnière (P
12.) Prioleau. — • Epilepsie. Tentative d'assassinat en dehors de l' état épileptlque. Condamnation à trois ans de prison (
l'autre. Autre curiosité. La peau étant revenue en apparence à son état normal, si je frottais vivement l'endroit où avai
uvent à h mort, il y a quelques siècles, les sujets chez lesquels ces états se manifestaient « sous l'influence du démon », d
stigmatodermie polychrome ou stigmasie (10). M Chambanl donna à cet état de la peau le nom de dermatoneurose stéréographiq
observations remarquables de ce fait fort intéressant sous le titre d' état dermographique de la peau. Nous avouons qu'aucu
tigmatodermie, de der-matoneurose stéréographique, de dermographie, d' état dermographique de la peau, nous semblent meilleur
peu à peu ensuite avec la teinte ordinaire du tégument cutané. Cet état persiste pendant plus d'une demi-heure, puis la b
diététique sévère institué (Paul Raymond a constaté la cessation de l' état dermographique de la peau chez des alcooliques do
longtemps, l'astuce, le mensonge et la ruse caractéristiques de leur état . Il n'est pas rare que ces aliénées commettent
par leur laisser-aller et par leur dépravation, elles tombent dans un état d'abrutissement absolument animal. La thérapeut
ncipe. Le titre devra faire connaître que tout ce qui se rapporte à l' état psychique, alors même qu'il n'y aurait pas interv
'hypnotisme affirment que les phénomènes somaliques observés dans cet état sont des créations artificielles dues à l'imitati
ystériques seraient seuls susceptibles, selon eux, de tomber dans des états spéciaux, nettement '-aractérisés par des symptôm
expérimentale. La léthargie, ta catalepsie, te somnambulisme sont des états distincts dont la réalité clinique ne saurait êtr
la réalité clinique ne saurait être légitimement contestée. Mais ces états ne se montrent avec toute leur netteté que dans l
procédés appropriés les trois périodes de l'hypnotisme, ainsi que les états somatiques correspondant à ces périodes. La Socié
de l'influenza. La convalescence fui longue. La malade resta dans un état d'anorexie, d'inappétence et d'anémie qui l'empêc
nce et d'anémie qui l'empêcha de reprendre ses travaux habituels. Cet état persista jusqu'au mois d'août 1890, époque à laqu
mière de magnésium, ni la pression du vertes ne venaient modifier cet état . La malaxation des muscles, des tendons, l'excita
ssible, le malade restant pendant toute la durée de l'hypnose dans un état d anesthésie profonde portant sur toute ? peau et
isée. Mais, bien que présentant de l'amnésieau réveil, elle offre cet état particulier qu'elle ne cesse en dormant de se ret
sitôt je vois apparaître l'hyperexcitabililé neuro-musculaire. Dans l' état de catalepsie, j'ai provoqué chez elle la suggest
us l'influence de la suggestion, j'ai pu développer chez elle, dans l' état de catalepsie, le phénomène de l'extase, auquel l
ses. Je l'endors et cherche vainement à provoquer chez elle les trois états . J'ai alors recours a la suggestion; immé- diat
me lorsque nous avons eu fait, devant le sujet, la description de ces états . Immédiatement rhypcrcxcilabilité s'est manifesté
contractures, paralysie. On peut aussi provoquer chez ces sujets des états différents, comme la léthargie, la catalepsie, le
talepsie, le somnambulisme, mais les phénomènes qui caractérisent ces états sont artificiellement créés par l'imitation, l'in
l rendu coupable de pratiques généralement employées pour provoquer l' état d'hypnose, sans qu'on ail à s'occuper autrement d
'écrire que l'effet pratique de la loi serait nul à cause de l'actuel état de la science? Prenons un prévenu quelconque vo
éfendra très certainement en disant : • J'ai certes voulu provoquer l' état d'hypnose ; je ne sais s'il y a ou non simulation
at atteint par les expériences ». On a voulu trop faire, plus que l' état de la question ne le permettait; c'est pour cela
a pauvre malade s'était fracturé le col du fémur. A cet âge et dans l' état de démence, une telle fracture ne guérit qu'excep
ours. Or, cette immobilité forcée produisit un effet surprenant sur l' état mental de notre malade, qui fut prise pendant les
prenait pour des prières. La première fois que Je la trouvai dans cet état , la diaconesse me prévint qu'un grand changement
divine dans les manifestations délirantes. « La folie, dit-il, est un état de souffrance de l'organisme, c'est une maladie.
sens arrive, quand le menton, par exemple, ou le nez, voient, dans l' état d'hystérisme, le centre cortical de la vision qui
ient même pas dignes d'un élève de lycée, ce médium travaille dans un état semi-somnambulique pendant lequel il est à la mer
édiums arrivent, c'est vrai, chez des personnes normales, mais dans l' état d'une passion profonde, chez les mourants, qui pe
pensent à la personne qui leur est chère avec toute l'énergie de cet état préagonique, et alors il arrive que la pensée se
est probable que, dans des temps très anciens où le langage était à l' état embryonnaire, la transmission de la pensée arriva
. Il revint me voir et, au bout de deux séances, se retrouva dans son état normal. En dix jours, son poids avait augmenté de
ctes délictueux ou criminels, les choses se passent différemment. A l' état normal, quand une pensée mauvaise surgit en nous,
n seconde provoquée, comme on a appelé condition seconde spontanée, l' état de Féiida. Recherchant ensuite si, dans certain
ériences sur un clairon de son régiment. Par diverses suggestions à l' état de veille, ce clairon s'est cru nommé sous-lieute
a vus pour la première fois, il a obtenu chez eux, par suggestion à l' état de veille : contractures, paralysies, anesthésies
eptibles d'être mises en somnambulisme profond, de recevoir, dans cet état , et d'exécuter fatalement et inconsciemment des a
'empêcher un sujet très suggeslible d'être mis, par n'importe qui, en état de somnambulisme, et l'on pourrait évidemment, je
is pas le moindre doute, faire la même chose pour les suggestions à l' état de veille. Et voilà, tout trouvé, le remède que
Papa, maman, Adèle, bonjour ». Elle les répéta comme elle le fait à l' état de veille, quand elle voit les mouvements des lèv
ésie, puisqu'elle ne nous entend pas. Pour plonger le sujet dans un état de sommeil plus profond, nous lui comprimons les
rs les yeux du sujet et nous ne constatons aucune modification dans l' état cataleptoîde observé précédemment dès le début du
parence de M11" M... Elle reste endormie et la physionomie exprime un état de repos profond. Ne pouvant provoquer chez le
tte l'influence de limitation. Pour cela nous ferons devant elle, à l' état de veille, des expériences sur un autre sujet.
coup son attention sur ce que nous faisons, nous provoquons les trois états du grand hypnotisme sur une jeune hystérique qui
es avec une grande netteté. Nous la mettons, en particulier, dans l' état de léthargie et, par la malaxation des extenseurs
l'avant-bras. De plus, les membres soulevés, au lieu de rester dans l' état cataleptoTde, retombent comme cela se faisait che
madrid, celui-ci propose d'arracher la dent, étant don-ié son mauvais état et l'étendue de la carie qui avait causé l'abcès.
umettre à une nouvelle extraction; seules, nos suggestions faites à l' état de veille et dans le sommeil somnam-buhque, parvi
té lu: faisait perdre complètement le sommeil. L'insomnie rendait son état critique, ainsi que celui des siens. Un jour, s
n ne constate * chez lui, ni la transition aux diverses phases de l' état magnétique, ni « lliyperexcilabilité neuro-muscul
rideut et inattendu de chemin de fer avait plongée malgré elle dans l' état cataleptique, sur le banc d'une de nos promenades
ur être transportées ». Et M. Voisin ajoute que cette femme était À l' état de veille d'une suggestibilité excesssive, que se
itiques ne visent pas les conclusions de l'expert. Je pense que, vu l' état maladif très accusé de l'inculpée et la nature du
s, et ils se sont rapprochés, sous ce rapport, très sensiblement de l' état normal. Cette présentation donne lieu à un écha
plus satisfaisant. Mais, malgré ce mieux inespéré eL assez rapide, l' état général laissait fort à désirer : l'appétit persi
elte première séance, j'apprends avec plaisir que ces suggestions à l' état de veille ont déjà eu un commencement de succès.
au qui vient justifier les doctrines de Nancy, sur la suggestion et l' état de suggestibilité, soutenues par M. le D' Liébeau
faciale, voulait se faire plomber deux molaires, et en raison de son état nerveux, désirait être endormie. Elle m'assura à
'on avait discutés, de la Salpétrière qu'elle ne connaît pas dans son état normal, etc. En un mot, on a eu la preuve qu'elle
ssions et de montrer qu'elles ont été perçues consiste à la mettre en état d'hypnotisme. Elle parle alors de tout ce qui l'i
bien lorsqu'esl arrivé l'événement qui a si profondément modifié son état . Un inconnu s'est présenté chez elle le 23 août e
quer qu'on ne connaît ce détail que parce qu'elle a pu le raconter en état d'hypnotisme, car personne n'avait assisté à cett
uite de cette attaque dont la nature hystérique n'est pas douteuse, l' état actuel a été constitué, c'est-à-dire que toute la
it auparavant, et les faits s'étaient enregistrés comme d'habitude, l' état psychique et intellectuel étant à ce moment absol
en effet, on assiste à une transformation complète. Une fois dans cet état , lorsqu'on l'interroge, on coa-laie alors qu'ello
, de son séjour chez ses amis, de ses promenades dan* Pari*, etc. Cet état se maintient tant qu'elle est endormie, mais elle
at se maintient tant qu'elle est endormie, mais elle retombe dans son état primitif aussitôt qu'on la réveille. Il s'agit,
at primitif aussitôt qu'on la réveille. Il s'agit, on le voit, d'un état très particulier qui diffère beaucoup de certains
le voit, d'un état très particulier qui diffère beaucoup de certains états analogues, lesquels s'en rapprochent pourtant par
gir dans le même sens et peut-être arrivera-l-ou à modifier aio»! cet état dont le pronostic ne peut être considéré comme tr
d'ajouter qu'en outre du véritable tarentulisme, on observe aussi des états psychopathiques qui le simulent et qui sont dus à
ins une douzaine de jours. Elle ne s'effraierait cependant pas de cet état si, depuis la veille, sa fille ne s'était mise à
effet, est debout, se promène et ne paraît nullement affectée de cet état qui, a première vue, m'a paru, à moi, si grave. L
onner de l'appétit, assurer le sommeil parfait de la nuit, modifier l' état nerveux. La malade a bien voulu M pré 1er à ces h
nerveox demeuré latent juique-là, de créer, chez certains sujets, un état névropathique durable et d'altérer, à la longue,
sé peut ainsi se trouver vis-à-vis de son maître d'un moment, dans un état de suggestion dont les effets se font même sentir
ression du froid qu'elle avait ressentie pendant son sommeil, dans un état de demi-inconscience. Il en est exactement de mêm
o-cpilepsie. « Mais, ajuute-t-il, est-ce une raison pour que ces deux états soient identiques ? A notre sens, cela ne prouve
matières l'illusion, la supercherie, certaines ressemblances arec des états morbides peuvent induire les exorcistes dans l'er
84. Névropathie avec persécution délirante guérie par suggestion à l' état de veille [cas de), par Andrieu, 322. Névropath
27 (1934) Oeuvre scientifique
rt l'épuisé, que son intelligence est ébranlée, qu'il n'est plus en état de suivre un raisonne- ment, que sa mémoire est
é d'exa- miner ce sujet sera dans l'impossibilité d'émettre sur son état une opinion scientifiquement fondée, s'il n'a p
omissements. De quoi s'agit- il ? d'une affection organique ou d'un état purement névropathique, de neurasthénie, d'hyst
donnent naissance à du strabisme qui apparaît déjà généralement à l' état de repos, vraisemblablement en raison de l'acti
alysies des nerfs moteurs, à la dissociation de mouvements qui, à l' état normal, s'opèrent d'une manière synergique. Cet
e hystérique. Vous pouvez voir que la commissure labiale droite à l' état de repos est à un niveau plus élevé que la commis
figure sont très marqués à droite, comme s'il y avait de ce côté un état spasmodique des muscles. Mais on doit se demand
du myosis et à une conservation du mouvement de la pupille, qui à l' état normal coïncide avec la convergence et avec l'ac-
donner à une période de la maladie où le traitement mercuriel est en état d'agir efficacement, et, chose essentielle, il
nt de l'importance à l'inégalité pupillaire ; mais, en réalité, à l' état mono-symp- tomatique ce signe ne semble pas avo
n clinique neurologique; il est essentiel, en effet, de connaître l' état dans lequel ils se trouvent, parce qu'ils subisse
'épilepsie que le visage soit congestionné pendant l'accès, car cet état peut résulter d'un simple effort volontaire; il f
stique par elle-même le malade dit qu'il souffre, mais sans être en état de définir ses souffrances; il en résulte que dan
nt pas appréciées à leur valeur et sont considérées comme dues à un état simplement névro- pathique. Les conséquences de
elé d'anormal, on avait été conduit à attribuer cette céphalée à un état neurasthénique ou hystéro-neurasthénique ; ce q
es et, quand il s'en produit, elles sont généralement étouffées à l' état naissant. Vous penserez peut-être qu'en vous pa
itue une paraplégie complète avec anes- thésie. Je le vois dans cet état 6 mois après le début des troubles. Ne constatant
ûre de la plante du pied provoque, comme cela a lieu d'habitude à l' état normal, une flexion de la cuisse sur le bassin, d
je dois vous dire quelques mots sur le réflexe cutané plantaire à l' état normal chez l'adulte dont je m'oc- cuperai excl
orteil qu'il faut avoir ici spécialement en vue. Or, dans certains états pathologiques, l'excitation de la plante du pied
Il importe que les muscles du pied et de la jambe ne soient pas en état de contraction, et pour obtenir ce résultat il
résoudre, car il est à peine besoin de faire remarquer que si, à l' état normal, le réflexe cutané plantaire ne se manif
r mes assertions en ce qui concerne le réflexe cutané plantaire à l' état physiologique. Voici maintenant quelques sujets
nt atténués, et actuellement cet homme est, comme vous le voyez, en état de se tenir debout et de faire quelques pas ; tou
ce signe chez un sujet dont le système pyramidal fut sûre- ment en état d'intégrité. Mes observations montrent qus le p
uer que sa valeur sémiologique est surtout grande dans les cas où l' état des réflexes tendineux ne permet pas de déceler
les cas où l'état des réflexes tendineux ne permet pas de déceler l' état du système pyramidal. C'est ainsi que dans l'hémi
si, depuis assez longtemps, sur ce phéno- mène que j'ai observé à l' état normal ainsi qu'à l'état pathologique (voir fig
s, sur ce phéno- mène que j'ai observé à l'état normal ainsi qu'à l' état pathologique (voir fig. t et 2). Mais chez les
à une extension du gros orteil. Ce fait seul qu'il peut exister à l' état normal m'empêche d'attribuer à ce phénomène l'i
tractent pas volontairement, qu'ils soient, autant que possible, en état de relâchement. Cette condition est parfois trè
lâche lorsqu'il est couché. Par la palpation on se rend compte de l' état musculaire, et au besoin on attend avec patience
. Je considère donc l'absence du réflexe achilléen comme signe d'un état pathologique. » Albert Charpentier ayant exam
cinq principaux réflexes sont pour ainsi dire toujours présents à l' état normal, il n'en va pas de même de quelques autres
duction, d'adduction de la main, etc. En réalité, leur absence, à l' état normal, n'est peut-être qu'une apparence : en e
que nous venons de dire sur les réflexes inconstants montre qu'à l' état normal il existe des variétés individuelles. Mais
in d'avoir la même amplitude chez tous les sujets. Bien plus, à l' état normal, les réflexes osso-tendineux forts se dist
re toute la gamme des réflexes nouveaux avant d'aborder l'étude des états pathologiques. Pour ne pas s'être familiarisé s
du côté droit sont égaux ri ceux du côté gauche. Sans doute, à l' état normal, comme je l'ai dit, le réflexe de flexion
manque d'un côté tandis qu'il existe de l'autre, on a affaire à un état pathologique. SUR LA LOCALISATION DES CENTRES D
as dans une pareille méprise : le mouvement réflexe de défense, à l' état pathologique, est généralement plus lent et d'u
urs minutes à la recherche d'un seul réflexe pour être fixé sur son état . Je ne saurais donc trop recommander à ceux auxqu
nt constatée, on peut affirmer immédiate- ment qu'on a affaire à un état anormal ; cela ressort des données fournies par
étation d'un pareil cas est simple. En effet, l'asymétrie dénote un état pathologique. Il reste à savoir si cette asymétri
culaires de plus en plus faibles on n'hésitera pas à reconnaître un état pathologique. La faiblesse est-elle moins accen
vateur a fait une étude plus approfondie des réflexes tendineux à l' état normal. Mais il faut reconnaître que, le plus ord
xe paradoxal du coude. Voici comment j'interprète ce phénomène. A l' état normal, la percussion de l'extrémité inférieure
rs sur ceux qui résultent de l'ébranlement de l'os sous-jacent. A l' état patho- logique, lorsque le réflexe d'extension
rcussion de l'extrémité inférieure du radius provoque toujours, à l' état normal, une flexion de l'avant-bras sur (1) Voi
la diminution ou l'abolition du réflexe de flexion de l'avant-bras, état pathologique, peut avoir cette conséquence que
ou la suivent, ou bien elle représente la seule manifestation d'un état patho- logique. En effet, sauf l'hypotonie qui
n considérait l'absence du réflexe achilléen comme très commune à l' état normal. Or, ayant montré que ce réflexe est pou
are de constater dans les névrites la réapparition et le retour à l' état normal de réflexes tendineux qui avaient été abol
ous les réflexes tendineux des membres supérieurs ; en pareil cas l' état des réflexes des membres inférieurs dépendra de
émérité à localiser les frontières de la lésion en se fondant sur l' état des réflexes tendineux. Admettons que le réflex
s, parmi lesquels Margouliès, Balint et Lapinski, soutiennent que l' état des réflexes dépend surtout de la modalité de l
après Jackson et Bastian, par le rôle excitateur qu'exercerait, à l' état normal, le cervelet sur les centres médul- lair
marquer que des mouvements volontaires sont capables de masquer cet état pathologique. Ils peuvent être cause d'une erre
être cause d'une erreur inverse et faire admettre l'existence d'un état pathologique, d'une surréflectivité tendineuse ch
X ET REFLEXES OSSEUX 61 Il est plus délicat de fixer la limite de l' état normal. Nous avons dit pré- cédemment qu'au poi
ut être malaisé dans un cas donné, d'affirmer que la frontière de l' état normal a été franchie. Cependant, j'estime que
de la loi de symétrie, nous dirons qu'il s'agit manifestement d'un état anormal et, tenant un raisonnement analogue à cel
une confusion. Le qualificatif « exagéré » doit, être réservé à un état pathologique. 6a SÉMIOLOGIE Le clonus du pied
droit de considérer la trépi- dation comme parfaite et dénotant un état pathologique. Si non, on peut avoir affaire à u
as, une trépidation identique dans sa forme à celle qui dépend d'un état pathologique. Je ferai remarquer que le phéno-
mettant, quand on les y invite, leurs muscles dans le relâchement, état dans lequel la trépidation épileptoïde ne peut pl
e est un phénomène patholo- gique et que la fruste peut exister à l' état physiologique. Il est à retenir que la trépidat
ils qu'on obtient par la percussion de la face dorsale du pied. A l' état physiologique cette excitation provoque une exten
re, etc., mais elle peut se présenter aussi comme signe unique d'un état pathologique. Cela est pourtant beaucoup plus r
a-latéral des adducteurs » décrit par Pierre Marie réflexe qui, à l' état normal, fait souvent défaut est parfois très fr
ondaire est constituée, s'accompagne de surréflectivité. Quel est l' état des réflexes osso-tendineux dans la phase initial
apsule externe ou d'hémorragie méningée. Le retour des réflexes à l' état normal coïncide aussi avec la guérison des troubl
dique, entre autres une surréflectivité très notable, généralement l' état des réflexes tendineux aux membres supérieurs e
ra sur les réflexes tendineux une action qui sera subor- donnée à l' état où ils se trouvaient avant l'apparition de la par
'hémiplégie, une exagération du réflexe rotulien contrastant avec l' état du réflexe achilléen qui est resté aboli. Le type
se pyramidale ne modifie donc pas nécessairement, tant s'en faut, l' état des réflexes tendineux troublés par le tabès. L
sujet atteint déjà d'hémiplégie avec dégéné- ration descendante, l' état des réflexes tendineux subit presque toujours u
suite l'amyotrophie, deviennent intenses ; la transforma- tion de l' état des réflexes est d'une interprétation très simple
la réflectivité cutanée. Quelques mots d'abord sur ces réflexes à l' état normal. On sait que l'excitation de la peau à l
a constate des deux côtés, ne constitue pas un signe cer- tain d'un état pathologique. Je signale encore un réflexe cuta
thologique ils puissent atteindre un degré dépas- sant en hauteur l' état normal. Pour le deuxième groupe il en va autrem
e de contracture transitoire. Quant à la zone réflexogène, qui, à l' état normal, est ordinairement circonscrite à la pla
rement ces mouvements s'accomplissent avec plus de len- teur qu'à l' état normal ; ils sont, à cet égard, comparables aux m
d'extension et d'abduction des orteils. Je dois dire encore qu'à l' état pathologique les réflexes de défense peuvent être
inspection, elle est douteuse, car la ligne de démarcation entre l' état physiologique et l'état pathologique n'est pas
uteuse, car la ligne de démarcation entre l'état physiologique et l' état pathologique n'est pas d'une netteté parfaite.
fléchit, parfois très énergiquement, ce que l'on n'observe jamais à l' état physiologique. Ce procédé est peut-être le plus
la jambe et de la cuisse s'associent à la flexion des orteils, et à l' état pathologique, comme M. van W oerkom le reconnaî
a acquis une certaine intensité. Nous avons étudié précédemment l' état des réflexes tendineux dans les cas où le tabes
aire parais- sant entièrement conservée, l'impotence était liée à l' état spasmodique, s'il ne serait pas légitime de che
es l'insuffisance des notions concernant les réflexes tendineux à l' état normal, la pénurie des données sémiologiques et
ur ne pas avoir déterminé toute la gamme des réflexes tendineux à l' état physiologique préliminaire indispensable à l'étud
siologique préliminaire indispensable à l'étude de ces réflexes à l' état pathologique qu'on a attribué à l'hystérie la f
tement, et, en tout cas, elle ne fait subir aucune modification à l' état des réflexes tendineux. Pourtant, comme l'expér
ques psychothérapiques. on fasse constater le retour des réflexes à l' état normal : je serai obligé de reconnaître que je
dant on ne peut pas soulever le bras malade aussi facilement qu'à l' état normal, ce mouvement provoquant une légère doul
arrêté, avoir subi des oscillations à la manière d'un pendule. A l' état normal l'activité musculaire trouble presque touj
ibère les mouve- ments passifs des entraves qui leur sont mises à l' état normal par l'acti- vité musculaire. En résumé
é- sente au préalable les divers modes de l'activité musculaire à l' état normal, la tonicité, la contractilité volontair
dions d'abord la paralysie faciale dans l'hémiplégie organique. A l' état de repos, dans la période de flaccidité, la face
l'on s'en rapportait aux traités classiques, l'asymétrie faciale à l' état de repos et dans la période de contracture sera
al s'accentue du côté normal, même chez des hémiplégiques dont, à l' état de repos, la commissure labiale est plus élevée e
. de la Soc. de biol., 1896, p. 17f. z (2) Voir à ce sujet : ce L' état des réflexes et la contracture dans l'hémiplégie
able et c'est là le point essentiel. Je dois faire remarquer qu'à l' état normal l'immobilisation de la cuisse parait êtr
ents du mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc. L' état des réflexes tendineux et des réflexes osseux fou
exes tendi- neux. Je dois faire remarquer que l'appréciation de l' état des réflexes tendi- neux n'est pas sans présent
répéter l'examen à plusieurs reprises pour être fixé exactement sur l' état des réflexes. Les difficultés sont encore plu
ussion d'une région qui avoisine le tendon, soit encore parce que l' état de ces réflexes subit à de courts intervalles d
décisif si l'hémiplégie hystérique ne se manifestait jamais qu'à l' état de pureté. Mais il n'en est pas ainsi et l'on s
ération sa forme. J'ai montré, il y a déjà plusieurs années, qu'à l' état normal, chez l'adulte, l'excitation de la plant
ection. Sa valeur sémiologique est surtout grande dans les cas où l' état des réflexes tendineux ne fournit pas le moyen
l'état des réflexes tendineux ne fournit pas le moyen de déceler l' état du système pyramidal. C'est ainsi que, dans l'h
ec détails comme je l'aurais voulu, n'étaient peut-être pas dans un état d'intégrité parfaite ; mais, d'après ce que j'a
malade finit par succomber, après être restée quelque temps dans un état démentiel. Une autre malade, que j'ai observé a
est, je crois, permis de se servir d'un néologisme pour désigner cet état et de l'appeler anosognosie. , J'ai observé a
ortance, comme s'il se fût agi d'un malaise insignifiant. Un pareil état pourrait être dénommé anosodiaphorie ((x3 ! <x
xemple, un sujet atteint de paraplégie par compression de la moelle état dans lequel les réflexes de défense sont générale
fléchi (Marie et Foix). Habituellement, le mouvement réflexe, à l' état pathologique, s'accomplit avec une certaine len
précède s'applique aux réflexes de défense qu'on peut observer à l' état pathologique. Ces réflexes existent-ils aussi à
observer à l'état pathologique. Ces réflexes existent-ils aussi à l' état physiologique ? Chez l'individu normal, en exci
on du réflexe de défense physiologique. Comment donc distinguer l' état pathologique et sur quels signes se fondera-t-o
dans les mêmes conditions un pareil mouvement ne se produit pas à l' état normal. Je rappellerai ici comment fut découver
t l'extension des orteils du côté paralysé, ce qui n'a pas lieu à l' état physiologique. Schaefer considérait ce phénomène
nt la voix pyramidale. Nous les examinerons tour à tour dans divers états pathologiques où ils ont été l'objet de travaux
ue les réflexes de défense, souvent plus forts, il est vrai, qu'à l' état normal, ne sont pas nécessairement exagérés. «
la précédente par les traits suivants : elle est indépendante de l' état des réflexes tendineux qui sont tantôt forts, t
le à faire ; or, j'ai pu, chez certains sujets se trouvant dans cet état , constater d'une manière incontestable l'affaibli
ues-unes d'entre elles peuvent-elles au contraire être obtenues à l' état physiolo- gique ? y a-t-il des caractères perme
cuisse. Ce sont là les mêmes mouvements que ceux qu'on observe à l' état pathologique. Mais chez le sujet normal, la con
t suf- fisantes pour établir une ligne de démarcation nette entre l' état physio- logique et l'état pathologique. Toutefo
ir une ligne de démarcation nette entre l'état physio- logique et l' état pathologique. Toutefois, en se fondant uniquement
ite. Un autre caractère plus important et conduisant à distinguer l' état physiologique de l'état pathologique est le sui
plus important et conduisant à distinguer l'état physiologique de l' état pathologique est le suivant : chez l'homme normal
je le répète, sans autres moyens distinctifs, la confusion entre l' état physiologique et l'état pathologique pourrait êtr
es moyens distinctifs, la confusion entre l'état physiologique et l' état pathologique pourrait être malaisée à éviter. A
région que la plante du pied permet d'affirmer qu'on a affaire à un état morbide. Ce signe à lui seul me paraît donc déc
Ce signe à lui seul me paraît donc décisif; c'est le criterium de l' état pathologique. Il va sans dire que la conviction
on encore plus importante peut-être que les précédentes, à savoir l' état du réflexe cutané plantaire. Pendant les six mois
faisait des deux côtés en flexion plantaire, c'est-à-dire comme à l' état physiolo- gique. » Je rappelle aussi l'Observ
plantaire, inca- pable de produire une flexion réflexe du pied à l' état normal, peut en déterminer une dans l'hémiplégi
ie interne de la jambe provoquée par le frottement ne détermine à l' état normal aucun réflexe, ou seulement une flexion
pasme cesse, il est ordinairement possible de se rendre compte de l' état de la réflectivité tendineuse. Si j'ai bien com
moteurs des plus marqués n'est pas nécessairement l'expression d'un état incurable. Entre autres faits à l'appui de cett
e à reprendre ses chaînes, ce qu'atteste le retour des réflexes à l' état physiologique.. Mais il y a plus : daus certain
à la période qui précède la mort. J'ai été amené à vous indiquer l' état des réflexes de défense dans les sections spina
es à la phase terminale, à la phase moyenne. Je dois vous exposer l' état de ces réflexes à la première phase, après le tra
cette première phase, la zone réflexogène serait limitée, comme à l' état phisiologique, à la zone plantaire, et ce n'est
iddoch qui ont cherché à établir le parti qu'on pourrait tirer de l' état des réflexes de défense au point de vue du diag
mmes maintenant en mesure d'indiquer les caractères em- pruntés à l' état des réflexes de défense et qui permettent, d'aprè
n est pas toujours ainsi. A la page 63, où il est fait mention de l' état des réflexes 52 jours après l'examen précédent, n
Elle est ensuite endormie à l'éther avec l'appareil d'Ombredanne. L' état des réflexes tendineux et des réflexes de défen
igidité musculaire, elle a complètement disparu. En présence de cet état de shock, on met fin à l'opération. Une heure a
Toujours la victoire de la flexion implique une aggra- vation de l' état du malade. « Y a-t-il seulement libération de l
on encore éprouvée, insolite et occasionnant ainsi une surprise, un état d'anxiété que traduit la physionomie du malade,
rington, est que ces réflexes de flexion tels qu'on les observe à l' état pathologique traduisent la libération de la moell
serait alors qu'une libération relative aux réflexes de défense. L' état pathologique de ces réflexes ne se comprendrait
ntaire et que les mouvements sont plus rapides et moins amples. A l' état pathologique, la triple flexion (seule mode de ré
OGIE ici) semble bien pouvoir être interprétée comme un retour à un état ancestral : la partie excitée fuit l'objet vuln
n peut être provoquée par excitation de l'abdomen ou du thorax. A l' état physiologique, ces réactions ancestrales se son
u de rester lente. On saisit ainsi les raisons pour lesquelles, à l' état physiologique, les réactions motrices qui me pa
maintenant le réflexe des orteils aux réflexes précédents.. Si à l' état pathologique la réaction habituelle des orteils,
rochée, en ce qui concerne son mécanisme, de la triple flexion, à l' état physiologique le mouvement des orteils, la flexio
e la cuisse, de la jambe et du pied. Mais il est à remarquer qu'à l' état physiolo- gique chez l'homme, l'excitation de l
'attaque avec la fuite. On saisirait ainsi la quadruple flexion à l' état physiologique : la flexion de la cuisse, de la ja
s orteils, le réflexe de fuite l'emportera, ce qui est la règle à l' état pathologique, sur ce que nous appelons le réflexe
la vie intra-utérine pour remplir une fonction de préhension ». Cet état qui, chez les autres primates est perpétuel, es
mmence à marcher, ce qui s'explique quand on se rappelle quel est l' état du système pyramidal à cette époque de la vie ;
j'ai dit précédemment sur la possibilité de provoquer parfois, à l' état pathologique, des réflexes des orteils et du pi
elâchement fait défaut, comme cela a lieu quand ces muscles sont en état de contraction ou de contracture, ou lorsqu'il
Il est à remarquer que les mouvements conjugués existent aussi à l' état physiologique : il est plus facile de fléchir l
contraire, chez certains animaux, les mouvements conjugués sont à l' état normal aussi marqués que chez l'homme à l'état
s conjugués sont à l'état normal aussi marqués que chez l'homme à l' état pathologique. Cela est particulièrement évident c
rapportent à des malades présentant le syndrome de Brown- Séquard, état qui semble particulièrement favorable à la mise e
embre inférieur gauche avec troubles sen- sitifs du côté droit. Son état s est rapidement amélioré ; il a pu reprendre son
ucune réaction homo ou contralatérale. Quelques mois plus tard, l' état du blessé s'étant notablement amélioré, la réacti
cousses d'une intensité et d'une brusquerie qu'on n'observe pas à l' état normal, nous dirons qu'il s'agit d'une surréfle
it trop chercher à pré- ciser les conditions capables de modifier l' état des pupilles ; aussi, j'espère que la Société t
tire brusquement la main ; or à ce moment, dans ces conditions, à l' état normal, la ^pupille se contracte très nettement
e serait pas capable de renforcer le réflexe à la lumière, même à l' état normal; or, des expériences faites sur une vingta
est faible; en faveur de cette conception on peut encore invoquer l' état des pupilles dans l'héméralopie, affection prod
llègues à examiner, chez les aortiques qui se présenteront à eux, l' état du réflexe à la lumière des pupilles, et à faire
ensions se modifient sous l'influence de l'accommodation, comme à l' état normal. Du reste, cette malade, comme la précéd
a une importance pratique très grande. Elle décèle l'existence d'un état qui est souvent le précurseur de troubles fort gr
fait attendre au tronc le degré de courbure qu'on peut obtenir à l' état normal sans perdre l'équilibre. Ce phénomène dé
a flexion de la cuisse sur le bassin est bien plus prononcée qu'à l' état nor- mal, ce qui a pour conséquence un soulèvem
es, les opinions sont encore partagées. Nous ne nous croyons pas en état de résoudre ce problème. Nous avouerons que nou
une hypothèse, que tout se passe comme si le cervelet exercait à l' état normal sur les mouvements une action frénatrice
ttire légèrement au moment où il soulève la cuisse. Il est aussi en état de marcher, sans l'assistance d'autrui, si, renco
buer à l'impossibilité où se trouve le malade d'associer, comme à l' état normal, dans l'acte de la marche, la translatio
un des traits propres à des symptômes déjà catalogués. A de pareils états on aurait tort d'appliquer une désignation précis
ationnel de se servir de termes tout différents pour dési- gner des états tellement dissemblables ; mieux vaudrait ne pas é
stituent l'ataxie radiculaire ou tabétique. S'il en est ainsi à l' état dynamique, cinétique, nous estimons que la diff
croît encore lorsqu'on considère les deux catégories de malades à l' état statique. Nous allons le montrer en étudiant la
avons donné le nom de catalepsie cérébelleuse se présente, dans son état de pureté, sous un aspect saisissant. , A en
équilibre. « Mais ce vocable a aussi cette autre signification : « état d'un corps « maintenu au repos sous l'influence
re envisagé sous deux faces, suivant que le corps se trouve dans un état d'immobilité active, ou bien qu'il est en mouve
que d'une affaire de convention et il suffit de s'entendre. « A l' état normal, l'équilibre volitionnel cinétique est réa
isance et de spontanéité qu'avant l'opération ; mais, au total, son état est consi- dérablement amélioré. Luciani soup
N SUR LE COBAYE (En collaboration avec Cl. Vincent et Barré.) A l' état normal quand on applique une électrode derrière c
e chaque côté sur le point d'élection, on obtient généralement, à l' état normal, une inclination de la tête avec un cour
ocié à l'incli- nation ; il est aussi plus ou moins prononcé. A l' état normal, si la situation des pôles est inversée, l
nclination qui domine. ÉPREUVE GALVANO-CALORIQUE Chez l'homme à l' état normal, une irrigation de l'oreille avec de l'eau
re évidente la déviation angulaire vol- taïque est très faible; à l' état normal un milliampère suffit. Un courant trop f
uvements contre-réactionnels. Mouvements contre-réactionnels. A l' état normal, tous les mouvements réactionnels, toutes
laire à ce mouvement, sensibilité qui peut varier beaucoup même à l' état normal, et d'un sujet à l'autre, on observera s
ieu à une contraction mais celte dernière est bien moins forte qu'à l' état de vie, et de plus la contraction est lente, pa
nsi que le ÉLECTROLOGIE n3 nerf facial à son origine sont dans un état d'intégrité anatomique et que la lésion occupe
, il est à noter que la secousse de fermeture est plus lente qu'à l' état nor- mal. Il y a aussi, principalement dans l
nski et Froment ont fait ressortir l'intérêt qu'il y a à examiner l' état de l'excitabilité du muscle, quand le membre est
veux. Les organes thoraciques et les organes abdominaux sont en bon état . Pas d'albumine. Pas de sucre. Il me paraît imp
a lumière est aboli. La marche, pénible il est vrai, à cause de l' état de faiblesse générale, et difficile à cause de
s de la sensibilité. En raison de la cécité complète, et du mauvais état général, la crâniectomie me paraît contre-indiq
la région frontale et prédomine à gauche. Malgré la gravité de l' état dans lequel se trouve le malade, j'estime qu'il y
e région. Le 25 février, M. Chaillous constate que du côté droit, l' état de l'oeil n'est pas sensiblement modifié, mais
s loin la précision. Dans l'observation I, je ne m'étais pas cru en état de déterminer le côté de la lésion. En raison d
vrite oedémateuse bilatérale. Le malade, d'ailleurs, est dans le même état si ce n'est que la céphalée a augmenté. Une p
. Huit jours après le début de ce traitement, le malade sort de son état de demi-prostration, il se lève et marche sans so
ce dure-mérien. On ne voit ni ne sent aucune tumeur. Le 4 juin, l' état des réflexes et celui du fond de l'oeil sont stat
orsqu'on envisage la série des conditions nécessaires au retour à l' état normal. Pour cela, en effet, l'existence du néopl
a lieu souvent, même dans les néoplasies nullement syphilitiques, l' état du malade paraît quelque peu s'améliorer sous l
ntervenir chirurgicale- ment sans tarder davantage. Admettons que l' état ophtalmoscopique de l'oeil ne se soit pas modif
s bien moins intenses, au membre inférieur gauche. Depuis trois ans l' état serait à peu près stationnaire. Etal actuel.
plus tôt possible l'attitude dans laquelle le spasme s'atténue. A l' état de veille les mouvements spasmodiques ne disparai
Rien d'anormal dans les organes des sens; dans les viscères, dans l' état intellectuel. Ajoutons, en terminant, que le ma
en particulier, à ce point de vue, l'attention de la Société sur l' état du réflexe cutané plantaire ; l'excitation de la
e dans une autre séance. Je me contenterai de dire à ce sujet que l' état du malade, entré tout récemment dans mon servic
de la maladie, il dut quitter l'atelier et depuis cette époque son état ne s'est plus guère modifié. État actuel. On
éogéniques multiples. Antécédents personnels : Il est né à terme en état de mort apparente (asphyxie par compression du
Vers l'âge de 10 ans, après une période de deux années environ de bon état relatif, l'enfant fut pris de spasmes marqués d
ordres de phénomènes permanents, constatés déjà en mars 1921. ° Un état spasmodique de tout le côté gauche prédominant au
'il soit couché, assis ou debout. Ce qui les modifie, c'est surtout l' état émotif du sujet : si celui-ci se sent observé,
malade. Par l'examen des mouvements passifs, on met en évidence un état de spasme permanent des muscles adducteurs du b
r les autres. Les mouvements actifs de l'épaule rendent manifeste l' état de spasme dont nous venons de parler. Mais on o
s spasmodiques de l'extrémité semblent alors moins prononcés qu'à l' état de repos. Le malade boite, mais il est à remarque
la raison. Ces troubles subissent particulièrement l'influence de l' état émotif du sujet et ils disparaissent dans le somm
bsolument immobile et elle paraît tout à fait guérie. Le retour à l' état normal n'est pas complet, il est vrai, car, sou
ction complète de ces nerfs ; je dis qu'en pareil cas le retour à l' état normal chez l'adulte est exceptionnel. ' ' .. v
té de Neurologie à cette époque (2). Je la présente de nouveau; son état n'a subi aucune modifi- cation ; la guérison se
dant plus de 10 ans, avait perdu un peu de terrain ; néan- moins, l' état du malade était sensiblement meilleur 15 ans aprè
15 ans après l'opéra- tion qu'avant celle-ci, il était toujours en état de travailler et de gagner sa vie, ce dont il é
pratiquée par le 1) Baumgartner. La malade sortit de l'hôpital, son état s'étant amélioré, et je la perdis complè- temen
anière progressive, qu'au bout de six mois il y avait eu retour à l' état normal et que la guérison s'est maintenue depuis,
attire notre attention sur les variations que l'on observe dans son état . Tantôt elle mange, s'habille toute seule, s'occu
e simplement un « oui » ou un « non » à une question concernant son état . Il est à remarquer que ce mutisme absolu peut
rt avec nous. Voici par exemple ce qu'elle écrit pour expliquer son état . Nous trans- crivons fidèlement : Si je ne pa
cette hypothèse, c'est que ce mutisme si spécial a été observé à l' état fruste chez d'autres parkinso- niens, qu'il a é
scendre jusqu'à six par minute. (') Troubles respiratoires dans les états parkinsoniens liés il l'encéphalite épidémique, p
ES En pareil cas, on observe à la fin de l'inspiration, une sorte d' état spasmodique qui interrompt l'acte respiratoire
e a ajouté que, « par la volonté, elle pouvait améliorer un peu son état pendant un laps de temps assez court ». Son mari
nsouciant. Toutefois son intelligence reste normale. Depuis lors, l' état du malade s'est peu modifié, sauf en ce qui conce
ensiblement modifiée ; dès cette époque le malade aurait été dans l' état dans lequel nous l'avons vu à son entrée à l'hô
ena la fonte. État actuel (novembre t 8gg). Aspect extérieur. L' état général du malade paraît satisfaisant, il a un
n- traction musculaire est approxi- mativement aussi forte qu'à l' état normal, un peu moins pourtant à gauche qu a d
deux aides. 2)O AFFECTIONS DU CERVELET manière plus nette qu'à l' état normal en mouvements élémentaires des divers se
e, très faible à gauche. Il est impossible de se rendre compte de l' état du réflexe crémastérien en raison de l'existenc
e chatouillement de la conjonctive du côté gauche provoque, comme à l' état nor- mal, une occlusion de l'oeil gauche et en
l on devra se reporter. Je rappelle seulement que cet homme, dont l' état ne s'est guère modifié depuis, est doué aux mem
on seulement n'est pas affaibli, mais paraît même plus parfait qu'à l' état normal. Aux membres supérieurs il y a du trem
e trait essentiel de la catalepsie. Le caractère fondamental de cet état , c'est la propriété que présentent les muscles
tilité graves, ainsi que d'une grande gêne dans la déglutition. Son état ne s'est guère modifié, dit-il, depuis le début
uement dans une syncope. Étude anatomique. Après avoir pratiqué à l' état frais la coupe de Meynert, on a fait durcir dan
, ce dont je le remercie, explorer comparativement des deux côtés l' état de la vasomotilité de ce malade, à l'aide du pl
de l'organe d'autant plus marquée que les vaisseaux étaient dans un état plus marqué de turgescence initiale. Quant aux
n, qui peuvent être exagérées, affaiblies ou abolies. Tandis qu'à l' état normal, avec un courant peut intense, de 1 à 3 mi
res l'inclination de la tète fait totalement défaut, au lieu qu'à l' état normal elle est généralement perceptible avec un
ée par le passage du cou- rant. Tantôt la tête s'incline, comme à l' état normal, du côté du pôle positif, mais le mouvem
ure de l'intensité de la lésion. Enfin, le nystagmus provoqué à l' état physiologique par le courant électrique peut ma
quer. Telles sont les principales variétés du vertige voltaïque à l' état patholo- gique. D'après ce qui précède je cro
e déviation sont bien épuisés. Leur persistance indique du reste un état pathologique ; la sensibilisa- tion produite pa
; le réflexe des pupilles à la lumière est faible. La malade est en état de circuler dans la salle, mais elle ne peut le f
ds donne lieu à de la flexion des orteils sur le métatarse. ' . L' état de L. Michel s'aggrave rapidement. La céphalée de
rieurs devient beaucoup plus forte. Des deux côtés la cuisse est en état de flexion, d'adduction et de rotation en dedan
ête qu'on a beaucoup de peine à redresser. Les muscles sont dans un état d'hyperexcita- bilité remarquable ; à la face,
cuisses sont fortement fléchies sur le bassin et les jambes sont en état de flexion forcée sur les cuisses. Il y a une c
ade quitte l'hôpital après y être restée plusieurs mois, sans que son état se soit modifié. ' ' - Elle revient dans le m
d'extension des orteils sur le métatarse. Pendant plusieurs mois, état stationnaire. Au commencement de 1897, la contr
ialement de ces points, sur l'hyperexcitabilité musculaire et sur l' état cataleptoïde des membres supérieurs, mais j'ins
PASMODIQUE 323 dans ce cas entre l'intensité de la contracture et l' état des réflexes ten- dineux qui n'ont jamais paru
om- mun, une forme de paralysie crurale caractérisée à sa période d' état par une contracture très intense amenant une fl
si cette forme clinique de paralysie spasmo- dique correspond à un état anatomique particulier. Mon éminent maître Char
à ce sujet le très intéressant travail du pr van Gehuchten sur : « L' état des réflexes et la contracture de l'hémiplégie
manque complètement ; dans l'observation II : elle n'existe qu'à l' état de traces et n'a commencé à se produire que dan
vrait, ce qui n'est pas, se manifester par des modifications dans l' état des réflexes et en particulier par une exagérat
ompt seulement lorsque se manifestent des signes d'intolérance. Son état présente des alternatives en bien et en mal et no
e alternativement plusieurs fois ; il lui arrive de tomber dans des états d'aplatissement, de dépression, d'indifférence qu
d'indifférence qui durent plusieurs semaines, puis de revenir à un état plus satisfaisant dans lequel il se lamente sur s
nne un résultat absolument négatif. D'octobre 1905 en mai igo6, l' état du malade subit les mêmes alternatives que par
degré très marqué la forme de paraplégie en question, sont dans un état de raideur qui rend l'explora- tion des réflexe
aissement de la température, qui, étant très mar- quées, doivent un état de méiopragie plus ou moins prononcé. V HÉYII
ce d'un malade atteint de tabes, je m'informe, s'il est marié, de l' état de son conjoint, je demande à l'examiner si cela
le remercie, de me l'adresser. Le 27 juin, elle se trouve dans l' état suivant. Du côté gauche, cécité presque complèt
oite ; au contraire en éclairant l'oeil droit on obtient, comme à l' état normal, une contraction bilatérale des pupilles.
vrai, l'excitation lumineuse de l'oeil atteint provoque, comme à l' état normal, la contraction de la pupille de l'autre o
odure de potassium). Je l'ai revue pour la deuxième fois hier ; son état s'est transformé ; à la suite du traitement la
utilement ce travail, nous joignons simplement aux champs visuels l' état de l'acuité visuelle. Il suffit de parcourir ce
bonne conservation de l'acuité visuelle et du sens chromatique. Cet état persiste des années. On peut, tout au moins, su
abolie. Fig. 3o. Obs. I. Tact. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 363 L' état des réflexes tendineux et cutanés est le même qu'
rcher, en dehors de l'anesthésie, des éléments de localisation. L' état des réflexes tendineux donne parfois à cet égard
mpagnés de douleurs épigastriques. Le malade tomba rapidement dans un état de faiblesse profonde se sentant sans cesse éto
mittents mais ne cédèrent complètement qu'au bout de six mois ; son état général s'améliora alors toutefois, les vertige
urs fréquemment au cathétérisme. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 38t 1 L' état de cette malade malgré un traitement hydrargyriqu
ortie de la Salpêtrière la malade est trans- portée à la Pitié, son état s'étant considérablement aggravé. On a dû la po
ate, des os du coude et de la partie supérieure du cubitus qui, à l' état normal, donne lieu à une flexion de l'avant-bras.
ion de Wassermann est positive dans le liquide céphalo-rachidien. L' état général de cette malade est très précaire du fait
ait conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la moelle ( état clair, dégéné- rescence ascendante du faisceau
mandarine. Nous revoyons Mme B... au commen- cement de rg24. Son état général est excellent, mais la plupart des trou
rès limitée, et ce n'est que de temps en temps que la malade est en état de mouvoir un peu son pied ; il existe toujours d
es des corps vertébraux. Plus d'un an après notre premier examen, l' état de la malade n'ayant subi aucune amélioration,
sieurs mois, une amélioration se produit, et depuis l'été de ig23 l' état de la malade reste stationnaire. ' Nous l'exami
trouve une anesthésie à tous les modes. Pendant quelques jours l' état de la malade ne fait que s'aggraver : la paraplég
avec peine, et au point de vue fonctionnel elle est encore dans un état inférieur à celui où elle se trouvait avant l'i
illet, au moment où nous vîmes la malade pour la dernière fois, son état s'était très notablement amélioré et le bénéfice
percevoir. A partir de ce moment jusqu'à son entrée à l'hôpital son état , dit-elle, ne subit pas de modification appréci
semaines après l'opération, la malade est pour la première fois en état d'esquisser, sous l'action du courant faradique,
mars 1912. Voici comment elle relate l'évolution ultérieure de son état . Le premier mouvement volontaire qu'elle ait pu
er igi4, elle est capable d'abandonner la canne. Ultérieurement son état s'améliore encore d'une manière progressive. De
dination que nous signalons plus haut. Depuis la fin d'octobre, l' état de la malade s'est encore notablement amélioré.
la paraplégie joints aux troubles de la sensibilité objective, à l' état des réflexes de défense et à l'évolution de l'a
tténuent petit à petit et finissent par disparaître. C'est dans cet état que la malade entre à l'hôpital le 9 février 19
hinctériens, ni escarre. La malade succombe en novembre 1926 à un état infectieux, hyperthermique, consé- cutif à une
des modifications qu'on observe habituellement en pareil cas dans l' état de la réflectivité tendineuse et de la réflecti
défense diffèrent-ils de ce qu'on voit d'habitude en pareil cas ? L' état des réflexes tendineux peut s'expli- quer par l
niciens qui considéraient le réflexe achilléen comme inconstant à l' état normal ; il n'était pas signalé dans les traités
vives particulièrement sur le trajet des deux sciatiques, et dont l' état s'est très notablement amélioré à la suite de la
nue, sans doute parce qu'ordinai- rement on néglige de rechercher l' état du réflexe du triceps brachial, et qu'en présen
uction et accolé le long du bord externe de l'index, il dessine à l' état normal deux angles, tous deux obtus, de 160" en
, de très courte durée, se succédant rapidement et aboutissant à un état spasmodique qui persiste plusieurs secondes ; c
et se suivent sans interruption en donnant lieu ainsi à une sorte d' état de mal qui, d'ailleurs, ne s'accompagne d'aucun
- lysie faciale périphérique, à la paralysie musculaire succéder un état spas- modique ayant une grande analogie avec l'
par exemple, que chez le nommé Gai., le long supinateur est en bon état , alors que les radiaux et les extenseurs des do
bilité musculaire s'affaiblissent en général ? simultanément et que l' état des réflexes tendineux et de l'exci- tabilité i
n'y a pas de troubles de sensibilité. Les viscères sont en parfait état . Quelles sont les notions qui se dégagent de l'
au préa- lable une idée plus ou moins nette de ce qui distingue cet état névropa- ! i58 HYSTÉRIE-PITHIATISilfE thique,
ls ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l' état mental des malades qui en sont atteints. Mais e
qui ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l' état mental des malades ; la neurasthénie peut durer
me de la maladie du doute, qui n'apporte aucune perturbation dans l' état général et n'affaiblit pas les facultés intelle
repos qui lui est indispensable et on accélère ainsi le retour à l' état normal. En réalité, la psychothérapie a rendu ser
En résumé, voici la définition que je propose : L'hystérie est un état psychique rendant le sujet (qui s'y trouve capabl
définir l'hypnotisme de la manière suivante : L'hypnotisme est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve suscept
ment semblables à celles de l'hypnotisme. Ce qui distingue ces deux états c'est que dans le premier les troubles sont le ré
d'exagérer par suggestion les réflexes tendineux et de ramener à l' état normal par la persuasion des réflexes tendineux e
sable », le néologisme « pithiatisme » pourrait fort bien désigner l' état psychique qui se manifeste par des troubles gué
aux autres et n'exerçant ordinairement aucune action notable sur l' état général. Telle est la conception classique de l
été en face de « professionnels » de l'hystérie, pour lesquels cet état est un gagne-pain, et qui sont plutôt des simul
e, les questions qu'on lui pose ordi- nairement, quand on explore l' état de la sensibilité, peuvent suffire pour éveille
s son inconscience n'est pas réelle, que l'on a affaire plutôt à un état de subconscience et que ce qui se dit alors dev
e de procéder est insuffisante et défectueuse ; en effet, comme à l' état normal, dans les conditions spécifiées, la visi
a seule maladie qui, d'habitude, n'amène aucune perturbation dans l' état général ; les individus atteints de la maladie
ouleur de tête en forme de casque, etc., et l'on créerait ainsi des états névropathiques qui pourraient être pris, par un o
repos qui lui estindispensable et l'on accélère ainsi le retour à l' état normal. En réa- lité, la psychothérapie a rendu
des phénomènes hystériques primitifs et indépendants de tout autre état pathologique. Vous me direz peut-être que, ju
nir l'hystérie elle- même. Je pourrais vous répondre que c'est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve susce
résumé, voici la définition que je vous soumets : L'hystérie est un état psychique spécial qui se manifeste principalement
rement à la suggestion, le processus mental qui aboutit au retour à l' état normal est raisonnable, sinon rationnel, ou, to
exes tendineux chez l'homme sain et qu'ils prennent souvent pour un état pathologique ce qui est physiolo- gique. Si l'e
t plus souvent encore dans bien des cas où elle existe, non pas à l' état de pureté, mais associée à d'autres affections,
sont peut-être amenés à se demander si l'hystérie est réellement un état pathologique et si les manifestations dites hysté
ystérique vrai, sincère, n'est jamais absolument inconscient de son état ; a-t-il, par exemple, pendant une attaque, une
il n'est pas non plus complètement conscient, il se trouve dans un état de subconscience. - Après cet exposé, Messieu
longuement ma manière de concevoir l'hypnotisme. On a donné de cet état diverses définitions fondées, la plupart, sur les
on. Voici comment je définis l'hypnotisme : « L'hypnotisme est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve susce
le de paralyser ses autres membres et de les ramener ensuite à leur état normal ; il se tient sans doute, consciemment ou
phéno- mènes qui relevaient de la simulation ; 3" on a confondu des états nerveux qui doivent être distingués les uns des
ne fausse voie, les neurologistes n'avaient pas su tirer parti de l' état des réflexes tendineux qui étaient pourtant l'o
ille de laquelle il n'y avait pas d'antécédents bacillaires, dont l' état général était satisfaisant et chez qui on ne cons
par le môme mécanisme et leur différence réside seulement dans les états d'âme de ceux qui mettent ce mécanisme en jeu :
rovoquée expérimentalement, conformément à ma fantaisie, je suis en état de l'arrêter lorsque je le désire. La suggestion,
ra pas trouvé immédiatement dans son entourage quelqu'un qui fut en état de le reproduire dans les conditions spécifiées
question de convention. Mais ce qui est inconteslable, c'est que l' état psychique de l'homme qui admet, serait-ce sans un
s ou suggestives dont il est permis de faire dépendre le retour à l' état normal. Prenons un autre exemple, celui d'un ma
ut ce qui est nécessaire pour lui permettre de se persuader que son état était curable. Il ne me semble donc pas prouv
tiques et les phénomènes émotifs qui, par parenthèse, existent à l' état normal et ne peuvent être considérés comme path
u l'un d'entre eux seulement. L'hystérie ainsi définie constitue un état névropathique bien délimité, se distinguant net
ces grandes attaques avec les quatre fameuses périodes, ces grands états hypnotiques carac- térisés par la léthargie, la
ne peut manquer d'être frappé par les différences qui séparent ces états . Envisageons la maladie du doute, et, si je cho
contribue à établir une ligne de démarcation tranchée entre les deux états nerveux que nous comparons, c'est que, contrair
de comprendre que les phénomènes pithiatiques puissent exister à l' état de pureté ou s'associer à d'autres affections qu'
rationnel de soutenir, en se fondant sur de pareils faits, que les états nosologiques en question se composent de deux o
une part, il ne commettra pas l'erreur d'attribuer à l'hystérie des états se manifestant par des caractères que la volonté
ure. Procédons en cliniciens : énonçons les caractères assignés à l' état ou aux états que l'on dénomme « sommeil hypnoti
ns en cliniciens : énonçons les caractères assignés à l'état ou aux états que l'on dénomme « sommeil hypnotique ». Lors
'un qui, d'après son sens étymologique, rappellerait de bien loin l' état de mort, l'autre dans lequel le sujet endormi ou
quel le sujet endormi ou plutôt plongé, les yeux ouverts, dans un « état second », conserverait la faculté de déambuler
cond », conserverait la faculté de déambuler et de parler. Ces deux états hypnotiques sont, au fond, ana- logues, mais il
mmeil hypnotique. Charcot, dès ses premières investigations sur les états dits hypnotiques, avait été frappé par la valeu
musculaire. Quant à la plasticité des muscles, elle caractérisait l' état cataleptique. Il suffit de provoquer un bruit v
uggesti- bilité. Or, comme certains troubles fonctionnels, certains états morbides peuvent céder sous l'influence de la s
ande, simulaient la catalepsie : les tracés ont été identiques* Les états hypnotiques ne possèdent donc pas de caractères s
induire le médecin en erreur, par- viendraient à simuler de pareils états , au moins temporairement. Mais il serait évidem
onc ma profession de foi. Je déclare que l'existence effective d'un état qu'on peut appeler « sommeil hypnotique » différa
s, au réveil, ce qui aurait eu lieu pendant le sommeil. c) Dans l' état léthargique, il serait inconscient. d) Dans l'é
eil. c) Dans l'état léthargique, il serait inconscient. d) Dans l' état somnambulique, sa propre volonté n'existerait plu
onstater par les propos de ces sujets-femmes, par leur altitude à l' état de veille, qu'elles se souviennent parfaitement d
inis presque toujours par obtenir une réponse parfaite. c) Dans l' état dit léthargique, le sujet est-il inconscient ? A
s, est en mesure de sortir spontanément de son sommeil. d) Dans 1 état somnambulique le sujet perd-il tout contrôle volo
us pouvez, il est vrai, faire exécuter à un individu placé dans cet état des actes singuliers qui paraissent déraisonnable
hez simple- ment, par suggestion, à faire adopter par une femme, en état de somnam- bulisme, une toilette ou une coiffur
r l'influence de la persuasion. Des pratiques de psychothérapie à l' état de veille les auraient tout aussi bien débarrassé
guérir : il est plus facile de faire disparaître par persuasion à l' état de veille une paralysie ou une contracture hyst
la santé, et ne sont pas accessibles à la psychothérapie pendant l' état de veille. Le médecin ne prendra de l'ascendant
le problème de l'hypnotisme en médecine légale. Des sujets qui, à l' état de veille, auraient repoussé des suggestions crim
légitime d'un sommeil simulé. L'expert, en effet, ne sera jamais en état d'affirmer la réalité de l'hypno- tisme chez le
viennent maîtres de leurs actions dans la mesure où ils le sont à l' état de veille. Je rappellerai à ce propos que l'Éco
que-là n'avaient été soumis à aucun examen médical ; j'ai exploré l' état de leur sensibilité et de leur vision, avec la
nous avons réservé le nom d'émotion et nous avons appelé la seconde état affectif. Nous avons défini l'émotion de la faç
mier groupe comprend toutes les émotions proprement dites et certains états affectifs comme la tristesse vague non motivée.
ifs comme la tristesse vague non motivée. Au second appartiennent les états affectifs organisés dont les types principaux s
s types principaux sont les sentiments d'espérance et de crainte, ces états possédant le pouvoir d'entrer dans des complexu
ats. Il est à noter en particulier que Neri examina soigneusement l' état de la sensibilité et mesura au périmètre le champ
uns souffraient de troubles nerveux divers constituant un véritable état morbide, une « névrose émotive » ; il ne trouva
rovoquer des commotions morales. Une nouvelle question se pose. Les états affectifs, que nous avons dis- tingués de l'émo
qu'elle a suscités. Semblablement, l'hystérique saisit l'idée d'un état pathologique et le réalise lorsque cette idée s'i
l'intervention d'une idée suggérée, soutenue, il est vrai, par des états all'ectifs systématisés, idée dont ils ne sont
térique, ni de rétrécisse- ment du champ visuel lorsqu'on explore l' état de la sensibilité et de la vision d'un sujet av
oncentriques du champ visuel par anesthésie rétinienne, relevant d'un état névropathique. J'en dirai autant de la dischr
tifs, dont les plus fréquents sont : les larmes, le tremblement, un état d'hébétude dans lequel l'homme ne remue pas, ne
s de l'émotion, immédiatement après l'accident et en dehors de tout état comrnotionnel. Nous avons vu les phénomènes pithi
ez les hommes secoués par de grandes émotions, on trouve souvent un état de suggestibilité anormale liée à un syndrome c
- chiatrique à la ire armée, dans une très remarquable analyse de l' état mental de l'émotionné. Il y aurait ainsi à te
to suggestionner facilement. On peut soupçonner ou même constater cet état confu- sionnel intercalaire dans beaucoup d'obs
es qui suivaient. Il y a des chances pour que, dans certains cas, l' état confusionnel ait passé inaperçu. Les violentes
blis- sant le sens critique et en développant parfois de véritables états de confusion mentale légère. Les faits de guerr
nsécutivement à une plaie par balle, qu'elle s'associait à un léger état de contracture et que les résultats de la psycho-
ce qui se passe autour de lui, entend tout ce qui se dit, comme à l' état normal. Il est donc essentiel d'éviter tout propo
été donné d'observer et qui ont fait leurs preuves, il s'agissait d' états rappelant en tous points des contractions volon
l'avons montré, de déceler parfois certaines particularités dans l' état des réflexes tendineux et de la tonicité musculai
formulions précédemment à savoir que l'hystérie ne modifie jamais l' état des réflexes tendineux et des réflexes pupillai
cutané plantaire paraissait aboli, les muscles étaient également en état de contracture. En résumé, sur les cinq cas rel
ts nouveaux dont on s'est servi pour soutenir que l'hystérie est en état d'abolir les réflexes cutanés ne sont rien moins
PHIQUES ,. PRÉTENDUS HYSTÉRIQUES. Aucun neurologiste ne put faire état , au cours de la discussion de 1908, d'un seul c
pétons, s'applique aux cas dans lesquels l'hystérie se présente à l' état de pureté ou constitue l'élément prédominant.
s'agit de contractures ou d'hypertonies, de paralysies ou plutôt d' états parétiques qui se développent consécutivement à
vant exprimer l'idée que, d'une part, ni l'hystérie, ni aucun autre état psychopathique ne peuvent les produire ; que, d'a
Elle est généralement localisée aux extenseurs et s'accompagne d'un état parétique d'intensité variable. Les troubles de
s et à la suite de traumatismes du genou se développent parfois des états parétiques du pied. On peut observer en pareil
usculaire avec l'absence de R. D., la parésie et la contracture à l' état isolé ou à l'état associé, les modifications de l
bsence de R. D., la parésie et la contracture à l'état isolé ou à l' état associé, les modifications de la réflec- tivité
elle peut même faire complètement défaut. On pouvait encore faire état des troubles vaso-moteurs et thermiques. Dès 19
vité était contestable, nous avions l'impression qu'il s'agissait d' états organiques, impression qui était fondée sur la
surréflectivité tendineuse dans des cas où elle était douteuse à l' état de veille. Chez quelques-uns de ces malades le
des accidents nerveux à l'hystéro-traumatisme et que l'absence, à l' état de veille, de surréflectivité tendineuse bien c
atique ; ils attirent l'attention sur l'existence dans ces cas d'un état psychopathique spécial qui serait venu se greffer
eurologie militaire, on a été frappé par la fré- quence de certains états , attitudes figées ou contractures, différant des
e présentent sous des aspects divers : contractures ou hypertonies, états paralytiques et hypotoniques, états parétiques
: contractures ou hypertonies, états paralytiques et hypotoniques, états parétiques ou simples méiopragies et, fréquemment
e degré d'asymétrie ne dépasse pas celui que l'on peut observer à l' état normal, c'est toujours du côté malade que. le c
excitation élec- trique, sur les différents muscles et obtenir, à l' état de pureté pour ainsi dire, le mouvement qui cor
ssi marqué, il est des plus caractéristiques, car d'ha- bitude, à l' état normal, on obtient seulement un mouvement ébauché
obtenu est analogue. La percussion légère du gastrocnémien qui, à l' état normal, ne détermine pas de contraction nette,
'eau tiède. Cette surexcitabilité mécanique correspond souvent à un état paréticlue des plus manifestes, qui est transit
trie est nette. Rappelons à ce propos que, dans l'appréciation de l' état d'un réflexe tendineux, il y a à considérer non
au début ; mais le réflexe cubito-pronateur, à peu près normal à l' état de veille, subit parfois une exagération élective
troubles vaso-moteurs, l'amyotrophie avaient été très accentués, un état de méiopragie caractérisé par une réduction de
ués ne puissent guérir complètement à la longue et qu'un retour à l' état nor- mal ne puisse être obtenu si ces troubles
ent des paralysies et des contractures se présentaient toujours à l' état de pureté, le diagnostic serait relativement si
auxquels le malade a été soumis réchauffent le membre auparavant en état d'hypothermie. Frappé par un pareil résultat, o
pathologie, de dissocier ces divers éléments et de les étudier à l' état d'isolement, il ne faut pas oublier qu'en cliniqu
dant la narcose la décèle dans certains cas où elle est latente à l' état de veille. Parfois, alors même que la surréflec
possible que les troubles de motilité puissent dépendre tantôt d'un état d'excitation ou de stupeur des centres moteurs sp
sse. Au deuxième mécanisme semblent répondre particu- lièrement ces états parétiques ou hypertoniques si communs qui prédo-
dans des cas de contracture des mus- cles pelvi-trochantériens avec état parétique du pied. Une dernière remarque avant
es vaso-moteurs bien caractérisés s'accompagnent pour le moins d'un état de méiopragie, mais n'entraînent pas nécessaire
résistance ne se modifie en rien. De plus on peut voir le retour à l' état normal ou à un état voisin de la normale d'un v
fie en rien. De plus on peut voir le retour à l'état normal ou à un état voisin de la normale d'un vertige voltaïque carac
r compte de ce que la plupart de ces sujets étaient dans un mauvais état général et qu'à l'époque où l'opération a été p
e malade, malgré l'énucléation de la tumeur, est resté dans le même état que précédemment. Dans un autre cas, il y a eu
oelle. Pendant les quatre semaines consécutives à l'intervention, l' état de la malade ne s'améliora pas du tout ; il y e
la sensibilité cutanée a en partie reparu, surtout du côté gauche ; l' état général est bien meilleur qu'avant l'opération
nce à exécuter quelques mouvements volontaires des pieds. Puis, son état resta très longtemps stationnaire. D'une lettre -
ue m'a adressée le Dr Séjournet, j'extrais le passage suivant : « L' état de la malade s'est consi- dérablement amélioré
, et qu'on la revoit aujourd'hui assise dans un fauteuil et avec un état général parfait, on ne peut qu'ad- mirer le rés
uelques jours, il y a une légère amélioration portant surtout sur l' état de la sensibilité, mais le premier mouvement volo
vement plus marquée et, à partir d'octobre, la malade n'est plus en état de marcher sans aide. A son entrée à la Pitié,
les troubles de la sensibilité deviennent mani- festes ; et voici l' état que je constate vers la fin de juin : Abolition
s, et on ajouta à ce traitement des bains statiques pour agir sur l' état général. En janvier 1906, les petites crises ét
e sa tentative avait échoué. Depuis cette époque jusqu'à présent, l' état du malade ne s'est guère modifié. En résumé, C.
ent plus que tous les dix ou quinze jours. Comme conséquence de cet état de bien-être, C... a engraissé de quatre kilogram
de cet état de bien-être, C... a engraissé de quatre kilogrammes, son état général et son moral sont très satisfaisants ;
il y avait une petite plaie qui ne tarda pas il se cicatriser. L' état de l'enfant, jusqu'à son entrée à l'hôpital de la
ussion de l'extrémité inférieure du radius ne provoque pas, comme à l' état normal, et ainsi que cela a lieu du côté opposé
supérieur droit, que le côté gauche est resté à peu près dans le môme état , que des troubles sphinctériens sont venus s'as
membre supérieur droit sont exagérés. Au membre supérieur gauche, l' état des réflexes est semblable à ce qu'il était il
adiographie, je m'aperçois en examinant de nouveau l'enfant que son état s'est sensiblement amélioré ; son cou est beauc
séant, de tourner la tête, de porter ses aliments à la bouche. L' état des réflexes tendineux et des réflexes cutanés, l
umis alors systématiquement à des pratiques de radiothérapie. Son état continue à s'améliorer rapidement : la contractio
ngtaine de mètres; la marche, il est vrai, est lente, pénible, et l' état des réflexes dénote la persistance d'une perturba
ns X ont ont joué un rôle thérapeutique, on peut faire valoir que l' état du malade qui, jusqu'alors n'avait fait qu'empi
sur le bassin s'opéraient des deux côtés beaucoup moins bien qu'à l' état normal. Les réflexes tendineux étaient normaux.
sur elle trente injections quotidiennes de biiodure d'hydrargyre. L' état continue sans cesse à s'aggraver et dans le coura
motilité, comme d'ailleurs à tous les autres points de vue, dans un état normal. L'examen des réflexes rotuliens n'est p
six semaines, c'est-à-dire jusque vers le milieu du mois de mai. L' état de la malade ne se modifie pas. Il faut noter seu
pie a été commencée, on constate une amélioration très nette dans l' état de la malade qui est devenue capable de fléchir
songer à un mal de Pott, car la colonne ver- tébrale est en parfait état . Je ne crois pas non plus que la syphilis soit
iolentes. En juillet igo6, le malade, qui n'était jamais revenu à l' état normal, se trouva pris d'une crise aiguë. La
1892). 3. Des crampes musculaires dans le choléra et dans d'autres états pathologiques (Id., 2 décembre 1892). 38. Par
e est latente (Société de Neurologie, 15 janvier tgo3). 89. Sur l' état des réflexes tendineux dans l'hystérie (Société d
28 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
s arriérées, «»n prétend c|uc, pour mettre immédiatement quelqu'un en état d'ivresse et provoquer elle/ lui «les vomissement
hnges sont généralement atteints de troubles gastro-intestinaux. Leur état général n'est jamais absolument satisfaisant. Ce
pulsion et automatisme ne sont-ils pas les termes qui caractérisent l' état psvchologiquc du dégénéré ? L'ouvchopliagie. co
e longueur. Les séances suivantes ont été consacrées â modifier son état mental, qui s'est prompleinenl amélioré. Il est a
e d'Alsace (c'est peut-être paire qu'il est en Alsace . Pendant son état hypnotique, nous avons essayé de la confesser. No
ulier celle de se ronger les ongles (onvcliopliagic: sont-ils dans un état d'infériorité appréciable aux divers points de vu
lisme. M. Charcol a montré, à sa clinique, une malade présentant un état de somnambulisme singulier, survenu dans les circ
sme qui se produisait généralement il In même heure. Cependant, son état s'améliora et elle put reprendre son travail ; ma
l particulier, elle est complètement ancstliésiée. lundis «pie dans l' état normal où on la fail revenir; en In réveillant un
yeux ouverts et passe ainsi dans une condition toute différente de l' état normal, bien que son 12. Quelle est IclBcacité
de l'hystérie, car ces malades sont certainement très souvent dans un état analogue, quoique à un moindre degré. On les accu
la tendance à la dislocation du moi. ce qui les fait entrer dans ces états de rèverir où la personnalité se dédouble. Ces mo
ouvenir de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. » L'auteur n'a. Évidemme
l'Origine des effets curatifs de l'hypnotisme 2. je disais que dans l' état ordinaire, la vie de relation distrait notre atte
uelque temps aux médecins île la localité qui ne purent améliorer son état . En désespoir de cause, elle s'adressa à nu forge
ue» jours après, je lui persuadai, dans son sommeil, qu'elle était en état de reprendre ses occupations ordinaires que le jo
va très— bien. Ici aussi je m'abstiens de commenter. A TRAVERS LES ÉTATS PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES Par M. le •
cy AVANT-PROPOS L'article qui suite je l'intitule : A travers les états passifs, le sommeil et tes rêves. S'il est homogè
is, parée que je liens avant tout à être bien compris. Je parle des états passifs en général, et particulièrement du sommei
nd ou léger. Je parle au long surtout des rêves qui ont lieu dans eel état , et prennent pendant le sommeil profond, tantôt s
fs des sens el de la mémoire : appliquant largement au sommeil et aux états analogues la loi do balances ment organique dos f
vec la même liberté d'esprit. Delà encore le nom généralement accepté états passifs, donné à tous les phénomènes divers dont
l soient bienfaisants ou nuisibles: contrairement à la dénomination d' états arctifs, donnée aux phénomènes psychiques de non-
veille où l'esprit équilibré possèilc son libre fonctionnement. Les états passifs sont physiologiques ou morbides., naturel
tels que l'admiration, la m ou r, la joie, l'enthousiasme, etc.. tous états , moins le sommeil et l'abstraction, tous états ém
thousiasme, etc.. tous états, moins le sommeil et l'abstraction, tous états émotifs différents d'expression et d'intensité, s
es, des conceptions délirantes de la folie, l'hypocondrie, etc., tous états qu'on se suggère avec émotion, involontairement e
n rapport avec le momie extérieur; le uiouves (1) Du Sommeil et des états analogues. Paris, V. Masson, 1866. mont de la
rte du sommeil donné déjà à ce point d'arrêt ; et de là. dans le même état . le nom île pôle actif donné aux autres parties d
que l'on peut produire à volonté, faits qui sont des analogues de cet état . Je choisis le plus simple. Lorsque, par exemple,
oui re la concentration d'esprit si favorable a la produclioii de cet état , il y a encore pour cela, un autre facteur bien d
ttention sur une idée, est le phénomène essentiel de la formation des états passifs, quels qu'ils soient, cl du sommeil eu pa
dnpl~es la distribution des forces nerveuses et pensantes durant cel état , il s'ensuit qu'il y a nécessairement deux classe
succès par la suggestion. Je veux vous entretenir aujourd'hui d'un état cerchral fort analogue, quonpic eu apparence tout
e par jour, de plus douleurs du dos, de l'épigastre à la gorge et état hallucinatoire: vue d'araignées et de figures eff
de mes malades actuellement encore internée à la Salpélrière dans un état de manie chronique incurable que j'aurais peut-ét
par l'expression de tristesse qui trahit la forme lypémaniaque de son état mental. L'examen physique ne- montre aucune irr
ée, mis en sommeil profond ou en somnambulisme, c'est-à-dire slans un état où existe l'analgésie complète et dans les|ucl le
REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ÉT THÉRAPEUTIQUE A TRAVERS LES ÉTATS PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES Par M. le d
s malades, et dire que la suggestion négative des signes morludes à l' état de veille suffit pour cela? Mystère! En tout cas,
n ne prévaudra jamais contre celte vieille vérité. Comme isolant, cet état est l'adjuvant le plus précieux de la suggestion
ifice île suggestion, dans une foule île cas. ne remplacera jamais un état phvsiolngjque où l'on se replonge tous les jours
fices de langage pendant Pétai de vrille? Le sommeil est, parmi les états passifs, celui qui se forme avec le pins île
; mais encore je le continue parer qu'en plongeant ce sujet dans cet état , on favorise grandement les ell'cts suggestifs do
l parctè Simples autosuggestions faites pendant la veille ou dans des états analogues au sommeil, principalement s'il s'y mêl
l immobilisée sur L'idée fixe de dormir, celte cheville ouvrière de l' état de sommeil ; et quoique par suite de ce cumul au
issaient entièrement isolés, comme pour le vulgaire on l'est dans cet état , je les ai vus et entendus répéter tout ce qui av
ciation de l'action pensante â deux pôles opposés, et par suite l' état île repos des organes, celte disposition, à son t
il ne leur en reste rien, à tel point que ce qu'ils ont fail dans cel état , ils l' attribuent parfois à d'autres, comme cert
y retrouvait durant le sommeil. IV Ce n'es! pas seulement dans l' état do sommeil que l'on trouve à deux pôles opposés,
ction pensante avec des marques d'inconscience. C'est aussi flans les états passifs qui onl de l'analogie avec le sommeil, qu
fois, elles ne le sont jamais qu'en petit nombre. Toutes, surtout à l' état de veille, moins quelques-unes d'entre elles, res
reuve de l'action divisée et multiple de la pensée cérébrale dans les états passifs, et aussi implicitement de l'action spéci
érieurement que. dans le domaine de la vie de relation concernant les états passifs et surtout le sommeil, les phénomènes pen
un rôle dansée domaine de la vie. On peut dire que. dans le cours des états passifs, les mouvements dits inconscienls sont po
ais parallèlement â ces mouvements inconscients qui ont lieu dans les états passifs, il en est d'autres se passant dans le sy
du grand svmpathïque sont parfois perçues au su du cerveau, même à l' état de veille. C'est ensuite chez des dormeurs somnam
se qui s'est portée, de ces organes sur l'idée fixe qui maintient cet état ? Chez moi. les sens cèdent nécessaireinent ici la
, à quelles lois secondaires ils obéissent, a pour cause primitive un état d'inertie de l'esprit caractérisé par l'absence d
obtenu ces résultats au point de vue physique, j'essayai d'agir sur l' état mental, ce que je trouvai bien plus dillicile. Qu
xtrême. La malade fui facilement hypnotisée et tomba immédiatement en état cataleptique, mais sans amnésie au réveil..Je lui
e temps, puis une fois par semaine pendant un mois. Après ce temps, l' état général s'était fort amélioré, les digestions se
ois il y avait peu on poiut de spasmes, maïs simplement incapacité. L' état général était bon. L'hypnotisme essayé à nouveau
té excessive joignent un nihilisme non moins excessif. — Il y a la un état psychique spécial qui pourra tenter lu plume de q
est nécessaire, pour que la caféine ait ce résultat, qu'il existe un état névropathique spécial, jouant le role de cause pr
, ses sentiments contre lui ne s'apaisèrent pus et sa haine resta à l' état aigu. La vue de l'assassin lorsqu'il rentra dan
son rétablissement d'abord et aussi pour éviter les accidents que son état mental pourrait occasionner ». Au montent de qu
ait été condamné à une peine des plus graves. Mais si l'examen de son état mental par un médecin allénïstc avait été ordonné
seulement du médecin : ce sont de véritables aliénés. A TRAVERS LES ÉTATS PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES l'ar M. la
ment quand je dors, et sous quelque rapport je me suis trouvé dans un état voisin de celui des rêveurs somnambules chez lesq
lé. Une telle dureté de l'ouïe n'accompagncrail-elle pas toujours cet état lorsqu'il se prolonge plus que d'habitude, et sa
les, des crimes même dont nous ne nous rendrions jamais coupables à l' état de veille. J'ai mes défauts et mes penchants vici
s à l'état de veille. J'ai mes défauts et mes penchants vicieux : à l' état de veille, je tâche de lutter contre eux, et il m
nté, il devient le jouet de toutes les passions contre lesquelles à l' état de veille, la conscience, le sentiment d'honneur.
a veille continuée dans le sommeil : suggestion qui, flans ce dernier état , quand il est provoqué, leur est transmise par un
e sommeil que les rêveurs profonds du sommeil ordinaire; comme si les états de conscience et d'esprit du rêve somnainbulique
e, etc.. je réussis à guérir cette maladie par la suggestion faite en état d'hypnose. Ce qui est digne de remarque daus ce
a suggestion. Cette suggestion agît chez la petite malade pendant son état de veille, mais l'auto-susgestion du rêve réappar
auses, l'anatomie pathologique, les symptômes et le traitement de ces états complexes qu'on est convenu d'appeler du terme gé
vn-132 pares. Etudes religieuses 31 mai 1893 gibert. — Saffcallon à l' état de veille. (Normandie médicale.14 avril 1893. p.1
asion pour tenter de m'emparer de son secret par suggestion pendant l' état hypnotique, mais ce fut en vain: elle ne voulut p
s l'hypnose. aussi bien qu'à l'élat de vrille. Un jour, elle était en état d'hypnose: après la suggestion, avait été laissée
estions se réalisent immédiatement chez le malade qui, plongé dans un état de légère hypnose, se souvient parfaitement à sou
elle résistait a d'autres du même caractère, si je l'interrogeais à l' état de veille : Pourquoi accomplissez-vous telle chos
gérés ne dépendrait pas de la volonté propre du sujet, mais bien de l' état de conductibilité des voies d'association de son
'y parvins point. Je me résolus à opérer une suggestion graduelle à l' état de veille. Je massai la jambe paralysée, lui pers
ng tomberait-il à côté d'eux, impuissant, sans connaissance et hors d' état de servir sa patrie ? Je l'ignore, mais j'en dout
constatations intéressantes au point de vue de l'hyperesthésic dans l' état d'hypnotisme. Mme Cl..., âgée de 35 ans, a eu t
résoluts cherchés ils ont. à leur insu, suggéré leurs sujets soit à l' état de veille, soit à l'état de sommeil hypnotique, e
. à leur insu, suggéré leurs sujets soit à l'état de veille, soit à l' état de sommeil hypnotique, en parlant, par exemple, à
malades, leur démarche sont typiques. On ne prendra pas non plus l' état mental des névropathes errants pour une manifesta
st la condition d'une émotion. De même que toute sensation éveille un état émotionnel particulier, de même elle peut être pr
état émotionnel particulier, de même elle peut être provoquée par cet état : c'est-à-dire chaque phénomène est capable de pr
pparentes que réelles, ne sont que les diverses expressions d'un même état dans lequel chaque individualité apporte son Cttr
s artistiques et littéraires incompatibles avec les capacités de leur état normal. Ces accès de grand somnambulisme sont r
n n'imagine et le met parfois — on le verra tout a l'heure —- dans un état fort singulier. L'acte peut-être assez complexe
ur ni contre le magnétisme ou le somnambulisme. M. de Levita agit à l' état de veille. Sans doute, il a la respiration haleta
u moins accusés. « Dansccsconditïons.lephénomènc se produit, même l' état devcille, chez un certain nombre de sujets, et se
onnaissent parfois des objets à unr distance à laquelle personne, à l' état normal, ne pent les distinguer ; ou bien sur des
s, datant de plus de trois ans. Je lui suggérai la disparition de cet état , fort ennuyeux, reliquat, disait-elle, de l'épidé
, c'est que. ainsi que l'a fort bien montré le professeur Bernheim. l' état de suggestibilité domine les choses de l'hypnotis
tion qu'on lui fait. Mémoire, intelligence, volonté assez bonnes. Son état général ne laisse rien a désirer. Il ne présente
même dire qu'il n'a jamais éléeudormicoiiiplètementet cependant ce ' état entre la veilleet le sommeil a sulli pour rendre
de treize ans. Cette enfant prêtait peu d'attention aux conseils à l' état de veille. Dans l'état d'hypnose elle devenait tr
nfant prêtait peu d'attention aux conseils à l'état de veille. Dans l' état d'hypnose elle devenait très attentive. La gué ri
s-ci. j'y ajoute la suggestion à l'étal de veille (par suggestion à l' état de veille, j'entends que le sujet â qui est faite
é faites que pour l'expérience n° 2, en y ajoutant une suggestion â l' état de veille, de telle sorte que son bras droit et s
spositions relatives à l'expérience n° .1, j'ajoute la suggestion à l' état de veille, de telle manière que Lucv m'écrive un
ntré les résultats des expériences 4 et 5, elle fut absolument hors d' état de comprendre comment sa main avait pu agir i
i plus d'entrain ; les idées ne me viennent pas. C'est une aflsairc d' état pour moi que d'expédier mon courrier; moi qui écr
leurs, de la liberté admise par le sens intime, se trouve réduite à l' état d'attribut inconcevable d'un substratum non moins
ice, puisque nous ne connaissons directement que la succession de nos états de conscience. Sensation, motifs divers, délibéra
motifs divers, délibération, choix et décision, voila exprimée comme états successifs de conscience, la chaîne psycho-motric
ue impression intimement unie à la précédente, alors il se produit un état de conscience qui. quand il aboutit finalement à
ontaire, considéré sous sa forme la plus simple, étant mis â pari ces états île conscience agrégés qui constituent la plus gr
titres, et notamment parce qu'elle est liée a une élude approfondie d' états pathologiques : « La volition. dit-il. n'est po
pathologiques : « La volition. dit-il. n'est pour nous qu'un simple état de conscience. Elle n'est qu'un effet de ce trava
avail psycho-physiologique de la délibération aboutit d'une part à un état de conscience, la volition. d'autre part à un ens
hologues intérieurs « et cette volonté est considérée comme un simple état de conscience. Cet état de conscience est considé
cette volonté est considérée comme un simple état de conscience. Cet état de conscience est considéré lui-même comme un sim
issons bien, il y aurait deux faits distincts dans la volonté : 1° un état de conscience pur et simple traduisant en quelque
sus phvsiologique lui-même qui aboutit d'une part à la formation de l' état de conscience et qui. d'autre part, est la seule
qui. d'autre part, est la seule elliciente de l'acte â accomplir. L' état de conscience volonté ainsi envisagé ne pourrait
fluence appartient, exclusivement aux processus physiologiques dont l' état de conscience volonté ne serait lui-même qu'un ef
qui, après avoir été soumis à une impulsion produite par un groupe d' états psychiques réels et a l'état naissant, accomplit
une impulsion produite par un groupe d'états psychiques réels et a l' état naissant, accomplit une certaine action, affirme
et en partant de lui comme «le quelque chose de distinct du groupe d' états psychiques qui a produit I impulsion, il tombe da
l'impulsion seule qui a déterminé l'action. Mais le groupe entier des états psychiques qui constituaient l'antécédent de l'ac
déterminée, vu que, pendant qu'elle existe. Cimpulsion constitue son état île conscience qui n'est autre chose que lui-même
é au point de vue psychique, il n'est en ce moment rien de plus que l' état de conscience composé parlequel l'attention est e
u libre arbitre, du moi. c'est dire qu'il determine les cohésions des états psychiques par lesquels l'action est excitée; et
des états psychiques par lesquels l'action est excitée; et comme ces états psychiques constituent le moi en ce moicent. c'es
que dont il serait un simple accompagnement. Mais s'il est vrai que l' état de conscience et le processus physiologique qui c
rante d'un processus physiologique moteur constituant par lui-même un état de conscience. Dès lors la volonté n'est plus ine
vention active, dans les actes d'un animal doué de conscience, de cet état de conscience qui n'existe pas dans la pierre ni
e la conscience d'avec les processus actifs constituant eux-mêmes les états de conscience, théorie que me parait impliquer ce
usage, me parut très commode pour classer non métaphysiquemenl un pur état de conscience auquel je ne trouvais aucune place,
ure. De même il est naturel qu'au point de vue de l'explication des états pathologiques affectant la volonté. la manière de
deux espèces d'éléments moteurs : « ceux qui servent à constituer un état de conscience et ceux qui servent à le dépenser:
eux est le résultat d'une désintégration moléculaire, du passage d'un état moléculaire très instable à un état relativement
tion moléculaire, du passage d'un état moléculaire très instable à un état relativement stable. Considérons d'autre part que
ce ne peut ni naître ni se maintenir sans qu'il se produise tlans son état des changements. ¦ V. II. Spencer, op. cit., t. I
ctivité cérébrale et celles de la conscience. Différenciation de leur état , telle est la condition nécessaire de la producti
ble une désintégration ou une dépeuse nouvelle. Si la production d'un état de conscience est une dépense d'énergie, ce qui n
dans la conscience comme il y en a dans le désintégration. Il v a des états de conscience faibles et des forts. Tout se passe
un courant nerveux, alors il n'y a aucune difficulté a admettre qu'un état de conscience et un processus moteur soient un se
érangement de l'esprit. Ces symptômes marquaient le commencement de l' état maladif qu'on appelle : folie hystérique. Par sui
t marqué, ou que le sujet endormi s'était indiqué lui-même. Pendant l' état somnambulique et consécutivement après, les libre
bondant : audition redevenue normale: inflammation moindre destissus; état de eéciléde I osil droit resté le même et aucun c
tion précédente en ces points : 1° lucidité extraordinaire pendant un état de sommeil hystérique; 2° diminution, puis dispar
ébeault. œuvre qui n'a paru qu'en l'année ISOG. sur le sommeil et le» état » analogues: qu'avant l'œuvre de Bernhcim (de Nanc
chaque hémisphère cérébral: sur les carartr-rrs différentiels des états somnambulique,. cataleptique et léthargique de l'
e tendance au passage ;"i l'étal actuel du mouvement représenté par l' état de conscience résultant de la désintégration du g
eurs groupes excités, plusieurs désintégrations naissantes, plusieurs états de conscience naissants par là même, plusieurs mo
s, quoique non habituelles, pour constituer antre chose 9 qu'un état subconscient, d'autres qui sont assez fortes pour
son association avec des groupes synergiques, alors elle constitue un état de conscience prépondérant qui est à la fois la r
erveux, a constitué une volonté faible ou naissante. Ce sont tous ces états île conscience naissants à un moment donné, toute
n puisque c'est le résultat même de cette cohésion. Dans la série des états de conscience qui précèdent les actes. la vol
s'agit simplement de traduire phvsio-logiquemcnl et mécaniquement cet état de conscience appelé volonté donl la distinction
ce qu'il possède une netteté toule particulière comme succédant â un état complexe et relativement obscur constitué par cet
éral. Aussi la force de la volonté est-elle liée à celle des autres états de conscience qui la précèdent et qui sont, eux a
e l'on peut appeler neurasthénie (sthe-nos, force, vigueur). Dans l' état opposé, ou neurasthénique astheneia. faiblesse),
if comme s'il ne voulait pas. Les nerfs, du reste, doivent partager l' état de faiblesse des centres nerveux. Ainsi peuvent ê
raît devoir acquérir une très grande importance en psychologie, car l' état de vigueur ou de faiblesse des modifications molé
volonté, présence d'esprit, imagination, tout cela est atteint dans l' état neurasthénique, tout cela croit en vivacité ou en
t neurasthénique, tout cela croit en vivacité ou en complexité dans l' état neurasthénique. Je n'ajouterai rien aux remarques
ôler par l'observation de soi-même, car tout homme passe par les deux états en question qui se produisent successivement pend
- (I) Op. cit.. r. I, p. 635 et suiîv. raient pour produire cet état qui, dans certains cas, pourrait résulter d'altér
eurs tels que le froid, l'abaissement de la pression atmosphérique, l' état électrique de l'atmosphère, etc., et puis par les
osthénie et la cérébraslhénie. quant aux effets produits par ces deux états sur l'intensité et même sur la forme du fonctionn
l'intensité et même sur la forme du fonctionnement intellectuel. L' état neurasthénique est simplement l'opposé de Pélat n
tion «lu café, du thé, de la coca, par exemple, fournit facilement un état neurasthénique passager durant lequel on se trouv
sager durant lequel on se trouve psychologiquement, par rapport à son état moyen, dans des conditions qui peuvent donner une
son état moyen, dans des conditions qui peuvent donner une idée de l' état où sont normalement, certains individus bien doué
circonstances qui semblent indiquer que Mme G... n'était pas dans un état normal et en pleine possession d'elle-même, quand
it tomber en somnambulisme; évidemment, clic est très suggesliùle à l' état de veille et, peut-être, comme chez, plus d'un su
d'un sujet que je pourrais nommer, la transition de l'êtat normal à l' état second est insensible. Donc, elle écoule son dang
mment comprendre autrement, que Mme G... ait pu vouloir mourir dans l' état de nudité où l'on a trouvé son cadavre, elle, une
umer, que la victime de Chambigc était, quand elle l'a suivi, dans un état hypnotique, véritable condition seconde, qui lui
un degré, responsable des actes qu'elle a accomplis ou subis dans cet état ! Pauvre femme ! Et dire qu'il eût sans doute s
ignés par Beard sous le nom de phobies, et par lîouveret sous celui d' états danxiété neurasthénique. Ce qui augmente la dif
sthénique. Ce qui augmente la difficulté du diagnostic, c'est que l' état des malades n'est pas toujours révélé par leur as
re, il en est un assez grand nombre qui s'ingénient A dissimuler leur état d'anxiété. Le type le plus fréquent de ces états
ent A dissimuler leur état d'anxiété. Le type le plus fréquent de ces états est (I) A. l.£vir : Un cas singulier de ncurasl
Les trois observations suivantes montrent quelles aggravations â leur état peuvent résulter, pour «les sujets atteints de ph
en déshabitua promptement. Actuelle-ment, il continue son droit : ses états d'angoisse ne l'ont pas abandonné. Il souffre pre
la plus moral que d'avoir des relations avec une femme en dehors de l' état de mariage. Observation III. — M. M.... négocia
evillain. Voici les renseignements qu'il nous donne sur son singulier état psychologique. Il accuse de bons antécédents héré
de commerce cl ses! créé une situation sédentaire compatible avec son état . On peut dire de lui que. lorsque rien ne le so
ffroi et surtout leurs chutes témoignent assez de l'intensité de leur état d'anxiété. Dans un certain nombre de cas. il s'ag
chloral. bromure. Je la vois le lendemain, aucune amélioration ; l' état va s'aggra-vant. A bout de ressources et avant
à travers le monde, un certain nombre de liseurs de pensées. C'est un état particulier, mais seulement dans le sens de profe
ire pour être fixé sur ce que l'on veut de lui. Le liseur opère à l' état de veille: mais il assure être inconscient pendan
dier utilement la scission et la reviviscence de la mémoire l:ins les états de veille et d'hypnose. Dans le premier chapitr
e de condamner des sujets irresponsables d'actes qu'ils ont commis en état de somnambulisme ou de fascination, c'est-à-dire
nt commis en état de somnambulisme ou de fascination, c'est-à-dire en état de personnalité seconde complètement étrangère à
est parfaitement établi aujourd'hui que le viol étant accompli dans l' état hypnotique, la jeune fille, une fois réveillée, i
s mouvements du fœtus lu! révéleront qu'elle est devenue mëre. Dans l' état de veille elle n'aura aucun souvenir de l'attenta
entat commis, mais ce souvenir revivra entier, complet dans un nouvel état de somnambulisme provoqué et elle dira quel a été
l'avocat et le magistrat ont intérêt â bien connaître ces faits. En état de somnambulisme, une femme peut accoucher et se
tables sur l'irresponsabilité : l'observation du chef de gare qui. en état de fascination, est écrasé par une locomotive, fe
manque d'avertissement dans l'étal de fascination. Mais si. dans l' état de somnambulisme, il est possible d'établir l'irr
métaphysique ou autre mise à part, représentent aillant défaits ou d' états réels distingués aua-lytiquemeut dans l'ensemble
u libre arbitre, mais elle confirme par la même la distinction de cet état d'avec la coordination dont il résulte et qu'il n
oup pins rarement que le» forme» plus simple» d'arlivilé. parce qu'an état complète a beaucoup moins de chances de se produi
complète a beaucoup moins de chances de se produire cl de durer qusua état aimple. Ainsi vont le» chou» en réalité; si 1 on
est pas moins une volonté parfaitement caractérisée. La lutte enlre états afTectifs est très fréquente et la volonté résult
st souvent en opposition plus ou moins nette avec la raison, même à l' état normal. Cependant les motifs do l'ordre affectif,
ordre purement iulcllecliiel à moins d'être excités outre mesure. Des états affectifs peuvent mémo entrer synergique ment dan
jour il en est peu qui. lotit en étant dictés principalement par des états affectifs. 110 soient pas d'accord plus ou moins
acles, parfaitement volontaires, succédant à des délibérations où les états affectifs ne sont pas entrés en jeu avec ce degré
ement rares, les idées les plus .abstraites arrivent à constituer des états affectifs, et même à un très haut degré. Dans les
y a pas moins volonté au sens le plus propre, quand deux ou plusieurs états affectifs sont en concurrence ou lorsqu'un état a
nd deux ou plusieurs états affectifs sont en concurrence ou lorsqu'un état affectif est en concurrence avec un état non affe
en concurrence ou lorsqu'un état affectif est en concurrence avec un état non affectif on moins affectif, quel que soit d'a
utomatiques peuvent être elles-mêmes contrariées par l'intervention d' états de conscience de l'ordre affectif ou même puremen
est-à-dire réduite à elle seule, la volonté n'est autre chose que cet état du conscience exprimé par le « je veux », consist
er, dit qu'il veut ou qu'il ne veut pas et que l'effet indiqué suit l' état de conscience ainsi exprimé, cet individu fait un
s la créer; cependant son « je veux » a été l'expression verbale d'un état de conscience qui n'est pas la pure consta- t
représentée par quelque chose de plus qu'une simple constatation d'un état de conscience, s'il est vrai, comme nous l'avons
st avec raison puisqu'en somme nous n'avons pas d'autres indices de l' état intellectuel et moral d'un homme que ses actes, c
rs associations, leur valeur relative. Pour apprécier, toutefois, l' état intellectuel et moral d'un indi- vidu d'après
, la volonté no sera plus qu'une pure abstraction, un mot exprimant l' état et la valeur dynamique de l'individu tout entier.
ération, pas de volonté par conséquent. On distingue parfaitement cet état de celui où l'acte a été voulu, c'est-à-dire repr
de conscience résultant de faits île conscience antécédents, c'est un état nerveux conscient résultant de processus antécéde
la volonté au sens physiologique sont une seule et même chose. Si l' état de conscience volonté n'est pas l'étal nerveux mê
doptant la doctrine de l'inséparabi lité (§2 et 3) . on reconnaît à l' état de conscience exprimé par le je veux ou le je ne
in, par conséquent, de donner plus de consistance à la volonté simple état de ronscicncc, ou plus de dignité à la volonté si
moteur. La fusion des deux étals indûment séparés en un seul et même état physio-psychologique indivisible rend superflue t
es suggères au premier. Je l'influençais indirectement. Tombée dans l' état de passivité absolue dans lequel se trouvent la p
profond ne disparaît pas ; même si celte sensibilité fait défaut à l' état de veille, elle revient pendant le sommeil provoq
peuvent être influencées par suggestion indirecte, non seulement à l' état de sommeil hypnotique maïs encore en étal de veil
e bonbon contient beaucoup d'idems! vous serez grise, en voyant votre état déplorable vous regretterez ce que vous venez de
z les trois jeunes filles et cependant en m'adressant à une seule ù l' état de veille, je les ai rendues toutes les trois com
s de province, autorisés par l'administration de Lourdes, indiquent l' état du malade avant son transfert au lieu saint. Parf
te mauvaise pensée, ajoute-t-il naïvement par une exacerbation de mou état . Mais la foi revint je fis d'autres pèlerinages e
nt été exécutées par les membres de la commission, ont établi que cet état '.hypnotique) est accompagné de phénomènes psychi
de produire de courtes illusions et des hallucinations fugitives, un état il attention poussé jusqu'à l'excès, et des sugge
e médecine générale et spéciale et d'hygiène qui intéressent tous les états : 2° Le francais osi l'une des langues ofliciol
omissions de l'Index bibliographique. BRUNSCHVIG.— Sue,i;eslion à l' état de veille (Xormandie mêd., 18). DELMAS.— Du tremb
12. 14 et 15, des aphonies nerveuses sont guéries par suggestion, à l' état hypnotique ou même à l'état de veille. Dans l'o
erveuses sont guéries par suggestion, à l'état hypnotique ou même à l' état de veille. Dans l'observation 17. des douleurs
etaient de côté et d'autres, parlaient haut pendant leur sommeil. Ces états constituaient la transition vers l'auto-hypnose,
elle fixai! le robinet de laiton du tuyau à gaz et s'hypnotisait. A l' état de veille, les jours île séance, elle.marchait en
uées pendant le sommeil, deviennent suggestihles et hallucinables â l' état de veille. Leur cerveau réalise avec une extrême
ant 20 longues minutes, l'oreille lixée sur le bruit d'une montre, un état hypnotique, puis tenir son bras en catalepsie pen
z beaucoup pour que en une ou deux minutes, au plus, le sommeil ou un état voisin du sommeil se manifeste. Si le sujet ne do
alors je le fais mettre debout. en le soutenant, et lui suggérant à l' état de veille, qu'il peut se tenir seul, qu'il ne tom
Beaunis, Pitres, l.uys et bien d'autres ont cru pouvoir représenter l' état de la mémoire pendant le somnambulisme par les 3
ions suivantes : 1° Les personnes hypnotisées se rappellent, dans l' état de sommeil, tout ce quelles ont appris antérieure
l, tout ce quelles ont appris antérieurement lorsqu'elles étaient à l' état de veille. 2° Les personnes qui ont été hypnoti
ouvenir de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en état
qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en état de somnambulisme spontané ou provoqué se souvienn
u provoqué se souviennent de tout ce qu'elles ont appris, soit dans l' état de veille normale, soit dans les états hypnotique
u'elles ont appris, soit dans l'état de veille normale, soit dans les états hypnotiques antérieurs. Dans un article paru, e
surtout un point de vue juridique, c'est que l'on peut produire :i l' état de veille, par suggestion, le souvenir des faits
ue l'on puorrait dans bien des cas. soît â l'élat de veille, soit à l' état de sommeil, obtenir du sujet la révélation de» fa
ambule pcut-il, malgré la défense de son hypnotiseur, se rappeler à l' état de veille, ce gui s'est passé pendant son sommeil
t, malgré la défense de son hypnotiseur, se rappeler spontanément à l' état de veille ce qui s'est passé pendant son sommeil.
lisme. On comprend a priori que. s'il est possible de l'obtenir à l' état de veille, la révélation des faits écoulés pendan
que nous rencontrerons dans la suite. Si nous nous trouvons dans tel état que nous n'ayons aucune raison de bâiller, et que
e son auditoire. Le suggestionné, le succube, présente lui aussi un état d'à me particulier. Ce n'est pas au premier venu
a dignité et son honneur, commettre un crime quelconque. En un mot. l' état de réccplmté sera préparé ou determiné par tout c
cplmté sera préparé ou determiné par tout ce qui provoque une sorte d' état de désagrégation, suivant l'expression de Janet,
on de chose», comme ou dit aujourd'hui, pénétrant chez un individu en état de réceptivité agit d'une façon absolument compar
cause occasionnelle et commune et créant, augmentant tout au moins l' état de réceptivité. Les tourmentes politiques créent
ement de celles que M. Pierre Janet a exprimées dans ses études sur l' état mental des hystériques, disait notamment : « En
ment : « En me basant sur les modifications de la mémoire suivant l' état de guérison ou de maladie, sur le parallélisme de
es, sur les phénomènes que j*ai observés chez les sujets auxquels, en état d'hypnose, on enlève et on rend les divers modes
e des hystériques n'était due qu'à ce que ces malades étaient dans un état de vigilambulisme plus ou moins profond. « Quan
bulisme plus ou moins profond. « Quand on plonge ces sujets dans un état d'hypnose profonde et qu'on leur ordonne de se ré
ordonne de se réveiller complètement, au lieu de se réveiller dans l' état de personnalité où elles étaient avant d'être end
les étaient avant d'être endormies, on constate qu'elles sont dans un état de personnalité antérieure, qui les reporte à plu
lusieurs années en arrière... « Les hystériques ainsi ramenées à un état de personnalité antérieure, à un état prime, dans
hystériques ainsi ramenées à un état de personnalité antérieure, à un état prime, dans lequel elles ont encore des stigmates
ensibilité, ou des troubles moteurs ou viscéraux, peuvent revenir à l' état normal. Il suffit pour cela de les plonger dans u
t revenir à l'état normal. Il suffit pour cela de les plonger dans un état d'hypnose profonde, et de leur ordonner alors par
erment, et aussitôt M"! G. entre dans un profond sommeil et passo à l' état de parfait automate : j'avais entre les mains un
ésordre danti sa chevelure : « Regardez, regardez, docteur, dans quel état sont mes cheveux, ils ne veulent pas qu'on les co
vec le mari n'a cessé d'avoir pour but de maintenir sa femme dans cet état passif. Enfin quand la chevelure a été débrouil
dans un rève, ce qui se disait ou qui se passait autour de lui. Cet état particulier qui,avec des chefs indulgents,ne prés
eption de co qui l'entoure est confuse et enfin, dernier termo de cet état anervique, il dort pendant quelques minutes. Ce c
on écriture est régulière et ne présente plus de traces de son ancien état neurolylique, jadis quand il persistait à écrire,
étant souvent forcé de s'absenter, il avait certainement amélioré son état , mais a-t-il guéri complètement? Je l'ignore, éta
au point de vue littéraire, il étudie surtout d'une façon nouvelle l' état psychique des auteurs au moyen de leurs œuvres mê
yen de leurs œuvres mêmes dont il fait des manifestations de certains états pathologiques nouvellement décrits. Dans une co
ines? Pardon, repartit M. Nordau, les couleurs effacécs répondent à l' état de fatigue et d'épuisement des hystériques. Alors
a pas d'effet sans cause, et, l'effet pusse, la cause demeure dans un état latent et comme inactive, jusqu'à ce qu'une occas
erminer je dirais que mon client me parait a l'heure qu'il est dans l' état d'un homme qui n'aurait jamais pris de morphine,
it pas possible de rencontrer, soit le sentiment, soit la pensée, à l' état isolé. L'homme normal n'offre rien de semblable,
s. Il existe, a dit M. Bouveret. des formes légères atténuées, de l' état anxieux qu'il est plus facile de ciler. denumérer
érique manque à la science pour désigner chez les neurasthéniques ces états particuliers de l'esprit que caractérise un senti
, en réalité, les faits se passent beaucoup plus simplement. Dans l' état normal l'urine est maintenue dans la vessie par l
i d'autres médicaments correspondant à des indications fournies par l' état général du sujet atteint d'incontinence nocturne
la nosophobie ou pathophobie Par M. le Dr Antoine Mavroukakis A l' état normal la peur est une conséquence de l'instinct
eint de la maladie dont il a peur. Mais, aussitôt que le malade ou en état de veille ou en état de sommeil hypnotique subit
nt il a peur. Mais, aussitôt que le malade ou en état de veille ou en état de sommeil hypnotique subit une influence supérie
u, ces symptômes imaginaires disparaissent et le malade revient à son état normal. La nosophobie n'est pas la seule obsess
née par une sueur qui a inonde tout son corps. L'ne fois revenu à son état normal, il nous n affirmé que c'était la peur qui
e 10 ans. Agoraphobie très nette dès l'âge do 23 ans. Tel était son état de santé jusqu'à l'âge de 38 ans, lorsqu'un jour
vertiges se sont multipliés. Au moment où il est venu nous voir, son état était le suivant : Marche difficile, mais la marc
e de Romberg existe chez lui mais par une suggestion assez forte, à l' état de veille je l'ai persuadé qu'il ne tombera pas e
ement un nosophobe, â part les accidents de la paralysie infantile. L' état général du malade nous mène ù ce diagnostic, l'ag
is. Je n'ai jamais pu endormir le malade, mais par la suggestion en état de veille j'ai pu l'améliorer en lui faisant en m
Les journaux politiques rapportent le cas suivant de suggestion à l' état de veille : Il y a quelques semaines, une march
x porteurs de pièces dentaires non seule ment de les maintenir en bon état , mais encore et surtout de les relirer la nuit.
94, 283. Association neurologique américaine, 191. A travers les états passifs, le sommeil et les rêves, par Liébault. 4
, 234, 265, 301, 318, 324, 351. Sommeil et les rêves (à travers les états passifs. le),. 41, 65, 106, 135. Sommeil suggér
29 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
er 1903. N" 85. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANAT0M1E PATHOLOGIQUE. L' état du fond de l'oeil chez les paralytiques géné- r
roite, mais à limites nettes ; les vaisseaux étaient nor- maux. Cet état indicateur d'une affection scléreuse et atro- p
géné- rale qui s'affirma par la suite. Uhthoff en 1883 observe un état de trouble (Trubung) plus ou moins intense et s
p. 100 des paralytiques observés (-180). Dans 8 p. 100 des cas, cet état se compliquait d'une hyperémie de la papille. E
s dû en éliminer une trentaine, alités, gâteux, arrivés dans un tel état de marasme qu'il était impossible d'attirer leu
ffisante pour se diriger, pour lire même, autant toutefois que leur état mental le permet- tait. Chez 22 autres malade
ute son étendue, tantôt blanchâtre en quelques points présentait un état flou de ses bords interne, externe, inférieur o
ite franchi, et un de nos malades chez qui nous avions constaté cet état flou de la papille, présentait, un mois plus ta
étudié la période de début de cette atrophie, période marquée par l' état flou, lavé, de la papille tel que nous l'avons
de la simple pâleur à l'atrophie blanche totale en passant par l' état flou, le manque de netteté de ses bords, l'aspect
heur de la papille, tandis que l'autre S... présentait simplement l' état flou que nous avons décrit; comme chez l'un et
s pu nous livrer à des comparai- sons des plus profitables, entre l' état des quatre papilles soumises à notre examen. (D
ormal. Examen ophtalmoscopiqtze : oeil droit : légère atrophie avec état vascularisé intense de la papille. Demi-sphère
ement entourées de nombreux éléments conjonctifs. Ces derniers, à l' état de cellules conjonctives adultes, sont tous dir
rtie de'la lame criblée d'origine sclérotique est formée, comme à l' état normal, par de nombreux faisceaux de fibres con
lique soit plus intense à mesure qu'on remonte vers le cerveau. L' état des fibres nerveuses du nerf optique nous intéres
e postérieure bilatérale sans myopie. III. - On rencontre encore un état de la papille pâle, comme lavée, chez 13 paraly
eur, soit supérieur, avec bord indécis. Ces deux aspects sont des états préliminaires de l'atrophie papillaire. V. Enfi
ntes auxquelles elles donnaient lieu, ont fini par faire place à un état d'anxiété continuelle, jour et nuit. La malade n'
n état d'anxiété continuelle, jour et nuit. La malade n'est plus en état de discuter ses obsessions et bientôt apparaissen
n pareille occurrence, il importe de distinguer soigneu- sement ces états mélancoliques des crises d'obsessions subin- tr
emblent empiéter les unes sur les autres et déterminer un véritable état de mal obsédant dont la durée peut se prolonger
éjaculer sur ses vêtements. - Les choses étaient restées dans cet état , lorsqu'il y a deux ans, à la suite d'une pério
t dans un cercle de plus en plus restreint; rabâ- chage monotone; l' état de la malade rappelle celui des gémis- seurs de
. Il n'est pas exceptionnel de voir l'obsession déterminer certains états délirants auxquels on pourrait appliquer l'épit
re de ces deux éléments qui prédomine dans le tableau clinique. L' état de torpeur intellectuelle peut être plus ou moins
elles et indifférent aux choses extérieures, a fini par verser de l' état de distraction, presque habituel aux obsédés, d
ser de l'état de distraction, presque habituel aux obsédés, dans un état de stupeur complète, avec troubles vaso-moteurs,
s il retombait immédiatement dans son immobilité silencieuse. Cet état dura plus de deux mois. Schuele a bien étudié l
ncieuse. Cet état dura plus de deux mois. Schuele a bien étudié l' état d'excitation intellectuelle auto- matique, de m
amtchatka, et cela n'a pas de rai- son de s'arrêter. » C'est là l' état habituel et nous sommes encore dans le domaine
rt avec l'obses- sion, et les analogies profondes que présente leur état mental fondamental avec celui des malades chez
et Régis, les formes qui aboutissent au délire systématisé sont les états obsédants à symptômes sur- tout intellectuels,
tellectuels, et celles qui versent dans la mélancolie anxieuse, les états obsédants à symptômes surtout émotion- nels, c'
l'obsession, mais du complexus symp- tomatique et de l'analyse de l' état mental sous-jacent On se borne généralement à n
e et beaucoup plus importante pour le clinicien, c'est l'étude de l' état mental sous-jacent, interparoxystique 1, et l'a
z d'importance. Même chez les obsédés qui se rendent compte de leur état , cette division de la conscience n'en existe pa
n'en existe pas moins déjà dans l'intervalle des crises, comme à l' état latent, constituant une sorte de diathèse menta
léments psychiques semblent se grouper en une seule synthèse, en un état de con- science unique. Mais celui-ci n'est jus
uelque sorte aiguë, et nous assistons alors, suivant les cas, à ces états de stu- peur, de confusion mentale, à ces délir
ntale, à ces délires de rêve que nous avons signalés, ou bien à des états à forme de mélancolie anxieuse. Mais le bouleve
l'esprit humain, provoquant l'interprétation, la justification d'un état de conscience contre lequel le malade ne lutte pl
ourtant pas entre eux d'équa- tion absolue, que l'appréciation de l' état organique ne donne qu'une mesure très imparfait
ès imparfaite de la fonction correspondante, chez un sujet donné, l' état anatomique d'un organe restant le même, son ren
pécialisa- tion et par suite de perfectionnement de nos organes à l' état normal. Il serait intéressant de la montrer se
ulaire étant supposée intacte, on tiendra le plus grand compte de l' état du tonus musculaire, puisque toute ano- malie d
e même mot d'incoordination, souvent employé pour désigner tous ces états , correspond à des syndromes très différents, ai
riedreich ne se ressemblent que d'assez loin. Il y a en réalité des états d'incoordination qui n'ont guère de commun entr
avec les troubles moteurs, des troubles sensitifs par exemple, de l' état des forces, de l'intelligence et de la bonne vo
t à discuter la pathogénie de chacun, elle supposerait à tort que l' état actuel de nos connaissances ne nous laisse rien
uis plusieurs années a. cette question 'dont nous voulons exposer l' état actuel. Le temps n'est plus où le traitement de
ration des éléments nerveux ou, à défaut, par leur rééducation. L' état de relâchement des muscles, habituel chez les tab
le à l'intéressé. De ces contre-indications les unes tien- nent à l' état général, ce sont par exemple la cachexie du suj
grande causée par les exercices. Il nous suffira de rappeler que l' état cachectique et la fragilité osseuse sont en effet
let des fonctions-motrices, conséquences de ce rétablissement sur l' état moral, l'état général et certaines paresthésies
ons-motrices, conséquences de ce rétablissement sur l'état moral, l' état général et certaines paresthésies douloureuses.
'abri des soucis maté- riels, s'en contentent ordinairement, et cet état suffit d'ail- leurs pour l'exercice de bien des
avec les fonctions de capitaine d'habil-' lement. S'il n'est pas en état de monter à cheval et d'accepter sans réserves
ndyioépiphysaire. 13. C. VIII. De la réaction des pupilles dans les états d'ivresse et de son importance médico-légale; p
iellement la mémoire des événements qui se sont passés pendant leur état d'ivresse, pour une période de temps embrassant
hez le second les troubles ont persisté, laissant le membre dans un état d'impotence fonctionnelle. A noter que l'inject
qui présentait tous les signes d'une pachy-méningite hémorrhagique ( état comateux, rétrécissement des pupilles, pouls le
lles, pouls lent et dur, strabisme, vomisse- ments, etc., et dont l' état semblait désespéré lorsqu'on lui fit à la cuiss
ires supérieur et inférieur du côté gauche. La douleur, modérée à l' état de repos, était intolé- rable au moindre effort
aliments est rede- venue possible. Six mois après l'opération, l' état du malade est prospère : il a engraissé de 4 ki
M. BRISSAUD depuis la dernière séance a observé quatre malades en état d'apoplexie peu de temps après l'ictus. Chez les
ll sans lymphocytes, donc pas d'Argyll sans qu'il y ait au moins un état méningitique spécifique spécial, point de dépar
te. Cette dernière portion est généralement seule modifiée dans les états pathologiques. Traitement spécifique de lésions
ussi est-il salutaire de tou- jours éclairer un tuberculeux sur son état ; quand il connaît la vérité, il ne s'en trouve
ébriles. La tuberculose peut ajouter un ou plusieurs caractères à l' état mental préexistant ; elle ne le modifie pas de
avancée, ils sont extrêmement égoïstes. Un malade me traduisait sou état mental par ces mots : « Je suis anarchiste de l
et épuisés. J'estime qu'il ne faut pas cacher au tuberculeux son état , mais au contraire le lui révéler; en lui promett
ours se préoccupent de l'oppor- tunité d'éclairer le malade sur son état . En révélant la vérité au - tuberculeux, en lui
je suis également d'avis qu'un tuberculeux doit-être prévenu de son état ; mais je pense qu'il y faut des formes et des
s ont, d'ordinaire, très bon appétit ; sinon on les gave. Quant à l' état mental de ces malades, il faut distinguer ceux
ent des secousses qui, bientôt, se pro- pagent à tout le corps. Cet état dure depuis plusieurs mois ; le malheureux est
inemment femmes par la 1 BIBLIOGRAPHIE. 109 structure physique, l' état mental, les sentiments, la moralité, la sexuali
a quantité d'énergie potentielle de l'organisme, qui peut tenir à l' état plus ou moins florissant des fonctions de nutri
i déclare qu'il n'y a ni crime ni délit lorsque le prévenu était en état de démence au moment de l'action, ou qu'il a ét
exercées contre des aliénés dont le délit était un symptôme de leur état d'aliénation mentale. Ce livre est non seulemen
portant toute la barbe, taches sur la figure, vêtements en mauvais état , facultés intellectuelles très affaiblies, attein
. Grâce à des soins dévoués, une amélioration se produisit dans son état , et ses proches crurent à sa guérison et ils se
noncer sur la gravité de cette blessure ; ils ne pensent pas que l' état du commissaire de police, M. Dezombes, qui, outre
alement perdu la raison et l'usage de la parole. Elle était dans un état de malpropreté repoussant, marchait sur ses mai
riture qu'un peu d'herbe. Le malheureux était presque nu et dans un état de pros- tration lamentable. Son père et sas de
ive, jusqu'à la manifestation délirante sous toutes ses formes. Cet état , créé par suggestion, a été dénommé dans le cad
tte suggestibilité dépend essentiellement du terrain récepteur. A l' état sain, tout individu est soumis plus ou moins à
e et du bon fonctionnement des facultés mentales, en un mot, de l' état du système nerveux central. Si le système nerveux
obser- ver encore de nos jours. Dans les lypémanies, ce sont les états anxieux et le délire démonomaniaque qui sont les
xieux et le délire démonomaniaque qui sont les plus contagieux. Les états maniaques le sont plus rarement. Les folies con
sujet passif, l'acuité des phéno- mènes délirants suffit à créer l' état suggestif. Le sujet passif est un individu dont
t même de l'imposition d'idées délirantes à un sujet le met dans un état suggestif, un état de dépendance, qui lui aliène
ion d'idées délirantes à un sujet le met dans un état suggestif, un état de dépendance, qui lui aliène en partie, dans c
sposition. Mais cesimpressions répétées ébranlent petit à petit son état cérébral instable, puis réveillent l'état vésan
ranlent petit à petit son état cérébral instable, puis réveillent l' état vésanique latent qu'il avait en puissance et au
ne pas ses persécuteurs, c'est toujours on\ ou ils ! C'est dans cet état qu'elle quitte le service de l'admission, le 16 f
Malgré ses affirmations, ses idées de persécution persistent. Son état général est resté bon, mais elle présente des tro
i les persécutions ne cessent pas. » ' Jusqu'au mois de décembre, l' état morbide ne fait qu'augmenter, jusqu'au moment o
'on l'interroge elle se met à pleurer, mais avec instabilité dans l' état émotif. Il est facile de la distraire de ses pr
it facilement car elle conserve toujours la même instabilité dans l' état émotif. Elle écrit souvent à Maison-Blanche pou
ce sujet, elle n'en parle plus guère spontanément comme avant. Son état intellectuel semble avoir baissé, la mémoire es
imposées, les sujets passifs doivent être considérés comme étant en état suggestif, état qui aliène pendant le temps seu
jets passifs doivent être considérés comme étant en état suggestif, état qui aliène pendant le temps seulement où ils so
dico-légal, les sujets passifs des folies impo- sées comme étant en état suggestif et par conséquent irres- ponsables ta
gestif et par conséquent irres- ponsables tant qu'ils sont dans cet état . PATHOLOGIE MENTALE. Des obsessions et impuls
vie de l'individu dégénéré, mais faisant cepen- dant corps avec son état mental. M. Magnan leur a, ajuste titre, donné l
treront d'une façon indubitable le rapport de ces phénomènes avec l' état de déséquilibre mental, et la manière dont ces
au contraire, une angoisse douloureuse qui la rend irrésistible à l' état pathologique; d'autre part l'impul- sion est l'
gine des délires proprements dits, n'est pas plus l'obsession que l' état mélan- colique n'est la mélancolie, De même l'a
st une tendance à l'acte, un ordre donné par les centres moteurs en état d'éréthisme, mais sans pour cela que l'acte soi
e irritation plus grande du cerveau, à la faveur, par exemple, d'un état spécial du sujet tel qu'un état d'émotivité, et
eau, à la faveur, par exemple, d'un état spécial du sujet tel qu'un état d'émotivité, et qu'enfin en outre le taux nor-
e degré, mais cette question de degré est sous la dépen- dance d'un état défectueux du cerveau : la dégénérescence. Plus
la cause à la suite de laquelle elle apparaît, plus elle indique un état dégé- nératif grave. L'obsession et l'impulsi
ieu soulagement à la suite de la satisfac- tion donnée au centre en état d'éréthisme. Mais dans cet enchaînement des man
ce due à l'exa- aération d'un ou de plusieurs centres psychiques en état d'éréthisme. La série des phénomènes morbides
manifestations des syndromes. Reste un fait capital : la présence d' états névro- pathiques : hystérie, épilepsie, neurast
chiques précédentes, mais seulement une coïncidence de ces mêmes états développés sur un même terrain. Et si les névro
des dégénérés, prin- cipalement avec les innombrables couleurs des états déli- rants. L'explication de toutes ces mani
erronées. Nos observations, qui ont porté sur un certain nombre d' états syndromiques : idées homicides, idées de suicide,
s la cause efficiente de la maladie, dont elle souffre. Outre cet état mental instable, cependant déjà dès l'âge de douz
t : douleurs à l'estomac, bouche pâteuse et d'autres sensations à l' état d'ébauche, toutes de nature à faire soupçonner
orme mouvement de recul. A dater de ce moment, elle tomba dans un état déplorable ; sa santé physique était profondéme
ents et tremblements muscu- laires généralisés. Parallèlement à cet état physique, l'idée obsé- dante d'homicide qu'elle
ente, se réveille encore la crainte de toucher à tout ce qui est en état de donner la mort. A la cuisine, la vue d'un inst
la classe. Après quelque temps d'intervalle, on s'aperçut de son état d'inquiétude et on lui donna congé. Tout, rentra
ladives. Des distractions et des promenades améliorèrent encore son état , elle ne conserva que des douleurs dans les ova
ment, soit d'empoisonner ses aliments. Elle avait conscience de cet état et en souffrait ; finalement, pour éviter tout dé
lle se trouve de nouveau sous l'empire des idées noires, et dans un état physique déplorable, elle part pour Lourdes, cr
partir dans ce but, un matin sans cause apparente, en dehors de son état physique maladif, éclatent les idées obsédantes;
s impulsions sont plus fortes, et la malade se trouve alors dans un état d'anxiété 164 PATHOLOGIE MENTALE. extrême, ma
ougeur de la face, pouls rapide (118), respiration accélérée, grand état émotif, maux de tête, etc. Il y a des jours au co
cessaire à l'endormir a été plus longue (quinze minutes). Pendant l' état d'hypnose, surtout au début, elle était excitée
l,calme qu'on prolongea environ une heure. La sugges- tion dans cet état l'a rendue à son réveil plus gaie et moins inqu
ez abondante, joints au traitement moral journa- lier, amendent son état , de sorte qu'actuellement il ne lui reste que q
tendent certains cliniciens ; 2° A côté du syndrome prin- cipal, un état hystérique, et tous deux suivent une marche dis
n'y donne pas suite. Elle n'a pas présenté d'hal- lucinations. Son état mélancolique ne s'expliqne que par le trouble m
e, moins inquiète, est envoyée à l'asile de Maison-Blanche, dans un état d'amélioration sensible. Chez cette seconde mal
son cerveau et marquent dès lors l'idée obsédante principale de son état maladif. Comme contre-partie de ce doute et cra
e la maladie dont elle souffre du côté des yeux. A la longue, des états secondaires alternatifs de dépression et d'exci
tifs de dépression et d'excitation apparurent graduellement, et son état allait s'aggra- vant. Elle ne voulait plus mang
e faiblesse et de douleur le long de la moelle épinière. Dans cet état , la malade est amenée à Sainte-Anne. A l'asile,
ctive du début n'étant que la première manifestation saillante de l' état psychopa- tique plus marqué et plus tenace, qu'
anxieuse; le traitement moral du médecin influence énormément sur l' état de la malade; enfin, au bout de seize mois elle a
hystériques firent leur appari- tion. Elles étaient précédées d'un état d'énervement, de sensations de fourmillements d
dies fébriles surtout la fièvre typhoïde qui viennent renforcer cet état dégénératif héréditaire. OBs. V. Coexistence
réditaires sont incomplets, mais son histoire trahit suffisamment l' état dégénératif manifeste. Le début de sa maladie r
tta l'asile. Après un intervalle de onze ans, en juin 1901, dans un état de parfaite santé, elle fut prise d'une bouffée
érents des premiers ce qui causa son second internement. C'était un état de dépression mélancolique avec hallucinations
e, elle accuse des douleurs dans le rectum et qu'elle n'est plus en état d'aller à la selle. Ces troubles diminuent sensib
lsions morbides : doutes, craintes, scrupules. Dans le second, un état de dépression mélancolique avec hallucinations,
équates aux trois périodes, car dans ce cas il faudrait créer trois états différents qui seraient liés à chacune de ces p
préférence seulement, car on peut la rencontrer aussi avec d'autres états syndromiques. Le pronostic est habituellement f
gonflement. s'exagère sous l'influence des émotions, diminue dans l' état de calme et sous l'action d'une simple bande de
u palais, de la voix, de la déglutition; il n'y a de bulbaire que l' état du maxil- laire inférieur, et il ne s'y joint q
éaction anormale aux courants faradiques peut- même faire place à l' état normal. La réaction myasthénique de Jolly décel
ssement du champ visuel. Le saturnisme ne semble pas étranger à cet état . Il s'agirait alors d'unehystérie symptomatique,
ent spécifique qui eut un très heureux résultat : amélioration de l' état général, apparition de la puberté, disparition
de l'aérophagie et des troubles qui en dépen- dent. 1° Traiter l' état général hystérique. 2° Faire cesser le spasme d
orés du médecin. Il ne s'inspirera, dans sa détermination, que de l' état mental de l'aliéné et de la gravité des lésions
sabilité restait applicable quand la partie lésée établissait que l' état de folie sous l'empire duquel a été commis l'ac
il s'agissait d'une épileptique ayant commis son double meurtre en état de parfaite inconscience et sans en ensuite auc
re avec délire, ce qui nécessite son internement. Il meurt enfin en état de mal sans avoir jamais pré- senté de phénomèn
s, et seulement du côté de la lésion (fibres déjà entrecroisées). L' état des faisceaux dégénérés viendrait en outre à l'ap
il s'agit de tics et de mouvements stéréotypés en relation avec un état mental parti- culier, obsession nosophobique qu
e normale ; les réflexes sont impossibles à trouver, par suite d'un état de raideur presque cata- tonique des membres ;
n, avec des phénomènes de catatonisme. 200 SOCIÉTÉS SAVANTES. . L' état mental de cette femme est manifestement troublé p
s dystrophique qu'inflammatoire. -D'après M. Nageotte, ce serait un état inflammatoire des racines postérieures à la sor
rimitivement. Inutile d'insister sur la différence énorme entre cet état et le caractère tout à fait diffus des localisati
nt un syringomyélique qui depuis deux mois à des hallucinations, un état d'excitation cérébrale très spécial. Les trou
éniables de tuberculose pulmonaire il la période cavitaire, dans un état tel que tout examen devient impossible.- Il meu
pli d'ailleurs d'aperçus judicieux, Gallois dans^ son article sur l' état mental des ovariolomisées, n'ont pu se mettre e
ître dans certains cas, comme nous avons essayé de le prouver, d'un état neurasthénique, il est pratiquement préférable
par l'un de nous, où les troubles psychiques se sont greffés sur un état neurasthénique post-opératoire, il est évident
conduit les auteurs à admettre cette relation. On voit souvent des états neurasthéniques réveillés à la suite ÉTUDE DES
cueil des Tra- vaux, 2e volume), la psychose peut se greffer sur un état neu- rasthénique, elle reste, même dans ce cas,
s, ne se décide ensuite que par crainte de la sonde. A ce moment, l' état physique est très précaire, elle est pâle, amai
premiers jours d'avril, on note une améliora- lion très rapide de l' état mental et de l'état physique ; la malade engrai
il, on note une améliora- lion très rapide de l'état mental et de l' état physique ; la malade engraisse. Le 20 avril,
n maître.» Les senti- ments affectifs sont toujours très marqués. L' état physique est excellent. Réflexions. Il s'agit
e jours après son entrée à l'asile. A son arrivée, elle est dans un état d'obnubilation intellec- tuelle qui empêche tou
st restée quelque peu affaiblie; la mémoire présente des lacunes. L' état physique commence à s'améliorer; mais la malade e
oment, la femme revoit son mari chaque semaine, et constate que son état allait plulôt en empirant d'une façon continue.
venir chercher son mari sans lui donner aucun renseignement sur son état . 4 mars 1898. La femme ramène le malade chez lu
emme ramène le malade chez lui, mais presque aussitôt elle voit son état empirer brusquement. Désordres dans les idées e
personne... je ne sais pas... je ne sais pas. » 28 avril 1898. - L' état du malade a été en s'améliorant de jour en jour
ès au sur et à mesure de leur production très rapide; à ce moment l' état delà jeune fille était des plus précaires d'aut
ns affaire à une psychose post-opératoire chez une prédisposée. L' état de la jeune fille alla en s'améliorant, et après
L'état de la jeune fille alla en s'améliorant, et après deux mois l' état mental était redevenu normal. Actuellement, après
besoin. Mais c'est un taciturne, un hypochondriaque qui malgré son état de santé à peu près normal et une situation par
, de son avis même ; mais quelques jours après son opération, son état de dépression mentale avait considérablement augm
certificat : « elle est atteinte de mélancolie caractérisée par un état de dépression extrême amenant le découragement
nostic du foie suppuré le 28 septembre 1898. Entrée à la Pitié, son état général était mauvais, elle ne man- geait plus,
persisté jusqu'au mois d'août. A l'heure actuelle, octobre 1900, l' état physique autrefois si mau- vais est devenu exce
tat physique autrefois si mau- vais est devenu excellent, quant à l' état mental, si les idées mélan- coliques hypochondr
ours par ses paro- les et ses actes, ses gestes, la délibité de son état mental sur laquelle parait avoir évolué un déli
après s'être trouvée très bien une quinzaine de jours. Plus tard, l' état changea ; tantôt, elle se portait bien, tantôt ma
mie fut faite. Le sac foetal se trouve, comme je l'avais prévu , en état de décomposition; c'était impossible de le sutu
ièveté du délire. Il n'y a malheureusement que peu de détails sur l' état mental et la nature des troubles intellectuels
zona ophtalmique nous ont conduit à admettre Y indépendance de cet état morbide par rapport à la névralgie faciale. L
ÉVRALGIE FACIALE. 247 bien en main, de vérifier de temps en temps l' état de la peau, de constater les progrès accomplis,
que les électrodes soient convenablement appliquées et toujours en état d'humidité parfaite. On n'oubliera pas de recom
emarque que la peau du côté élec- trisé est congestionnée, mais cet état ne tarde pas à dispa- raître après quelques heu
ie. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XIV. De l' état actuel de la théorie de l'inflammation dans le sy
rticularité que ces débris peuvent demeurer sur place longtemps à l' état de cellules calcifiées, de mottes hyalines, de
it considérés comme des actes impulsifs probablement commis dans un état d'inconscience : on avait invoqué les antécéden
conclut de ces faits : que la crise laryngée est fréquente, qu'à l' état d'isole- ment, elle est rare; que, le plus habi
ses gastriques ; très exceptionnellement, de crises de diarrhée à l' état isolé; assez fréquemment, de crises gastriques
un com- plexus symptomatique d'origine bulbaire, caractérisé par un état parétique des releveurs des paupières et de la
palais et du larynx, des muscles de la nuque et des extrémités; cet état parétique augmente avec le fonctionnement des m
Villejuif, sur un sujet mélancolique présentant par intervalles des états anxieux avec hallucinations multiples suivant d
nxieux avec hallucinations multiples suivant des tableaux donnant l' état des courbes respiratoires pendant la durée de l
eaux donnant l'état des courbes respiratoires pendant la durée de l' état émotif. . M. H : 1NEL. LII. Un cas de névrite
fonctionnel parait être sous la dépendance d'une imperfection, de l' état mental, en particulier de la volonté dont l'act
gauche et des membres gauches. Après quelques semaines, retour à l' état normal jusqu'en 1892. A cette époque, spasme de
mes en 1895. De 1895 à 1901, c'est-à-dire pendant plus de cinq ans, état normal. En 1901, réapparition des accidents, cett
runecek. Pendant toute la durée du traitement, l'auteur a examiné l' état mental des malades, leur nutrition générale, le
plus rapide ; la force dynamométrique a notable- ment augmenté ; l' état des réflexes est resté le même. Ce traitement p
cellules nerveuses, par une meilleure irrigation du cerveau. Des états mélancoliques au cours des granulies tuberculeuse
es ont présenté, depuis le début de l'affection jusqu'à la mort, un état mélancolique grave, une dépression profonde avec
rveux de la toxine ou d'une des toxines du bacille tuberculeux. Cet état de dépression, simple chez les indi- vidus norm
igurie excessive. Il était abstinent depuis plusieuts années et son état mental s'améliora au moment oùl'oligurie fut re
e délire par insuffisance hépatique. Je désirerais savoir dans quel état se trou- vait le foie des malades qui en font l
ention est instable et l'automatisme joue un rôle plus grand qu'à l' état nor- mal. Paralysie double du pneumogastrique
déjà par Phi- lippe et Cestan, Babinski, Schulze et montrent que l' état spasmo- dique n'est pas exclusivement et nécess
ez des enfants paresseux ou névrosés, au moyen de la suggestion à l' état de veille, associée à l'hydrothérapie et aux agen
Je considère comme très inexacte l'expression de : suggestion « à l' état de veille » ; on devrait dire : suggestion « ci
estion « à l'état de veille » ; on devrait dire : suggestion « ci l' état de veille apparente ». En effet, le prestige du m
ation d'un autre. L'enfant auquel on croit faire une suggestion à l' état de veille n'est plus à l'état de veille propremen
uel on croit faire une suggestion à l'état de veille n'est plus à l' état de veille proprement dite; il est déjà monoidéi
n réussit. Dès lors ne vaut-il pas mieux provoquer délibérément cet état passif ? Grâce à l'hypnotisme, la suggestion ga
imiquement provoquée, nous sommes réduits à la suggestion pendant l' état de veille. Or, celle-ci est, d'ordinaire, fort
et fabriquent des toxines ; leur nutrition générale est en mauvais état . Pour les guérir, il suffit de rétablir chez eu
te que, quatre mois après le début delà maladie, il n'était plus en état de marcher. Outre l'ataxie on pouvait noter chez
ouvrier de fabrique, fut amené à l'hôpital le 17 juillet de 1901 en état d'inconscience. Sur les antécédentes on parvint
pour les lésions syphilitiques (céphalalgies, analgésies cutanées, états épileptiques équivalents). 5. Présence des lési
ine. Ces malades, tous âgés, sont arrivés, pour la plupart, dans un état d'affaiblissement très grand ; beau- coup sont
sions de la section. ' . , A. M. 318 faits divers. Une IDIOTE A l' état sauvage Sous ce titre : Un être mystérieux, la
ormée d'une corne épaisse, et la malheureuse, retournée presque à l' état sauvage,.rampe et marche à quatre pattes comme
uerite Dupré entra au monastère de Port-Royal, elle était « dans un état d'in- firmité qui visiblement devoit durer tout
du 4 juillet, qui était environ le dixième jour de la maladie, son état s'aggrava. « Les douleurs ne lui donnoient point
ait sans forces, et avait grand peine à parler. Elle resta dans cet état de onze heures du soir à deux heures du matin.
ris de se rendre, « elle passa cinq jours à pleurer, désolée de l' état où elle se trouvoit, partagée entre la crainte d'
mal... Vers les onze heures elle perdit connoissance et fut en cet état environ pendant deux heures... enfin... elle jo
t suivis de larmes ° ». Lorsqu'elle eût signé, « des doutes sur son état devinrent pour elle une espèce de tourment d'au
« n'ayant jamais été curieuse de s'instruire que des devoirs de son état et s'en remettant pour le reste sur les lumière
e due peut- être à la constipation intense, ou peut-être encore à l' état du temps particulièrement mauvais à cette époqu
ffecté. La langue parait épaissie et tuméfiée à la malade, mais cet état diminue au déclin des crises. La face du côté
ement de la sous-maxillaire qui n'a pas tardé à disparaître. V, L' état de la malade reste satisfaisant en août et septem
es séances sont de quarante-cinq minutes à une heure. En octobre, l' état reste très satisfaisant. Nous revoyons la malad
1902 ont été marqués par des douleurs assez intenses. En février, l' état s'améliore à nouveau. Depuis cette époque l'éta
ses. En février, l'état s'améliore à nouveau. Depuis cette époque l' état reste très amélioré, sauf peut-être au moment d
rs deviennent plus courtes et plus rares, et à la fin de novembre l' état est de nouveau parfaitement satis- faisant. E
opposé » mais qui ne l'inquiètent aucunement. Depuis cette époque l' état se maintient absolument satisfaisant. Obs. V. M
. Revu six mois après, en février, le malade est toujours dans un état très satisfaisant. En mai 1902, il a ressenti que
eval. Cet accident, toutefois, n'amène aucune modification dans son état . Enfin en septembre de la même année, les doule
ouleurs. Le malade présente en outre du tic vrai, c'est chez lui un état de spasme intermittent qui donne l'impression d
ands froids. En mai le malade déclare être depuis deux mois dans un état très satisfaisant, n'avoir plus que quelques se
elle nous déclare qu'il n'y a aucune comparaison à faire entre son état actuel et les atteintes antérieures. En juin 1902
ndre encore de-ci de-là quelques séances, elle nous déclare que son état avoisine presque la guérison, tellement elle es
elà des premiers jours de janvier et à partir du 10 janvier 1902, l' état de la malade ne s'améliore plus. Elle cesse le
s douleurs passagères. A partir de juin la malade se trouve dans un état très satisfai- sant et cesse de suivre le trait
lades ont été amélio- rés dans une très notable proportion, et leur état actuel est jugé comme très satisfaisant. Nous
intellectuel; tentative de suicide et d'incendie pendant un accès ; état physique bon ; peut être trans- férée ». Le cer
cil gauches; abaissement de la commissure labiale du même côté. L' état mental est caractérisé par une hébétude profonde
cter la véracité, car elle n'a jamais varié sur ce point malgré son état de démence, et de la péri-encéphalite, maladie
hanger d'opinion. 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Observation d' états psychiques anormaux survenant pério- diquement
sible au monde extérieur, la patiente, en deux à trois jours de cet état , devient stupide et calaleptoïde. Peu à peu, el
). Il s'agit d'un jeune homme conduit l'asile de Santiago dans un état de manie aiguë avec agitation extrême. Le traitem
itement ordinaire n'amena qu'un calme relatif laissant persister un état de 36C REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. confusion
accidents somatiques qui menacèrent encore sa vie. Après un au l' état mental restant mauvais la malade est internée ave
GIE MENTALE. 367 mémoire, la perte de tout sentiment affectif et un état d'euphorie remarquable. A l'autopsie, on trou
psychologiques, juin 1901). Les troubles mentaux consécutifs aux états infectieux avec albu- minurie sont fréquents. I
fait de la diète lactée, a eu trois rémissions très nettes dans son état mental ; elle a pu sortir de l'asile une fois p
la disparition du délire et de l'agitation par l'installation d'un état fébrile est d'observation très ancienne. le fait
entales. L'effet incontestable d'une infection très virulente sur l' état mental pourrait servir d'amorce à des recherche
tructive et criminelle a atteint son maximum d'intensité, le simple état suggestif se transforme en un vrai délire plus
riminels reconnus et dangereux, auquel cas, qu'ils soient ou non en état de foule, une répression énergique sera toujours
ttention qu'il fixe et dérive à son profit, en engendrant ainsi cet état de distraction qui porte atteinte à l'intégrité
latérales, il importe de tenir compte d'autres facteurs, tels que l' état de l'or- gane sensoriel périphérique, l'existen
ne sensoriel périphérique, l'existence de sensations subjectives, l' état mental du sujet, et des divers facteurs psychique
e. II. La musique exerce une influence manifeste aussi bien sur l' état moteur général, dont elle est un tonique, que sur
tion de la musique. SOCIÉTÉS SAVANTES. 379 III. L'abattement et l' état de lassitude musculaire, qui suit l'acte génita
te génital consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l' état moteur. Dans sa production et ses différentes p
r est intéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un état d'excitation et de potentiel tel qu'il ne peut
volution et la tendance au déciauchement de l'image motrice et de l' état moteur. Tous les préparatifs, tous les accessoi
nt selon chaque individualité présenter une action excitatrice de l' état moteur, plus ou moins développée et accentuée s
le pied gauche et le pose sur le bord externe de la plante. Dans l' état de nutrition des muscles, on remarque une certa
de l'avant-bras du côté gauche; le membre inférieur gauche était en état de pied bot. Les réflexes tendineux sont un peu
sque tout à fait et les auteurs la comptaient presque guérie. Cet état dura jusqu'au mois de juillet, lorsque, sans aucu
issaient seulement après 2-3 jours. La petite commença à marcher; l' état général était satisfaisant. Le 20 septembre, la
seulement par des tiraillements delà face et du membre supérieur. L' état général s'améliora aussi. Actuellement, les ner
nt des interrogations, et les renseignements qu'il a donnés sur son état ont été d'autant plus précieux qu'il était étra
e et d'homicide sont survenues tour à tour, et ce tiqueur a gardé l' état mental infantile que conservent toujours les liqu
t supprimée. Elude pathogénique. La genèse du tic tient surtout à l' état mental du liqueur. Le tic a son origine dans un
urbation fonc- tionnelle est la conséquence d'une imperfection de l' état mental et en particulier de la volonté. ' J.
éciles et les idiots itli. de Paris 1893). 396 BIBLIOGRAPHIE. L' état mental du tiqueur est bien analysé par 1111. llei
s, obsessions, phobies, etc., sont les principaux caractères de cet état mental. MM. Meige et Feindel font remarquer, et
t les crampes professionnelles. Le pronostic dépend absolument de l' état mental du tiqueur. Le traitement est un chapitr
ou après l'accès de la ma- nie on pouvait noter chez les malades un état dépressif, tant soit peu prolongé, en rapportan
ne sont pas entrés dans notre matériel, de même que les cas, où l' état maniaque est accompagné de confusion mentale (a
'il souffre souvent d'une véritable hyperesthésie auditive; 2" Un état habituel d'attente anxieuse, dans lequel le suj
épuisement du système nerveux cérébro-spinal. Ce qui caractérise l' état neurasthénique, c'est non l'attente anxieuse, n
rs lui arri- veront ? Comment y échapper ? » Ainsi vit-elle dans un état d'at- tente anxieuse continuelle, dans l'appréh
élivrera de son martyre. Des troubles somatiques accompagnent cet état mental. Céphalée intense, en forme de casque. D
lit, lécithine en injections hypo- dermiques, frank ini : ation. L' état dépressif s'améliore progressi- vement : la sen
t. Tous les symptômes neurasthéniques s'amen- dent. Seul subsiste l' état anxieux, qui, malgré le traitement, per- siste
intégralement avec des alternatives d'atténuation et de rechute. L' état somatique est excellent ; une analyse d'urine ne
née, suffocation, larmes, désespoir, idées de suicide. Néanmoins, l' état général reste satis- faisant. Il n'y a ni asthé
ur, qui ne relève aucune lésion, et attribue tous les accidents à l' état gastrique. Le malade rassuré une fois encore, r
ontre à en faire une névrose distincte et n'y veulent voir qu' « un état inter- médiaire, un terme de passage entre les
i qu'il se présente des cas où le tableau de l'affection existe à l' état pur, sans aucune parti- cipation de neurasthéni
e chsz la femme, in Presse Médicale. 10 juillet, 1897. Lalanne. Des états anxieux dans les maladies ment/des. Rapport au
de mes parens ». Le parti qu'il lui pro- posait était d'embrasser l' état ecclésiastique. Gentien Thomas Il mit encore tr
r en quel lieu j'étois, mais ce que je sais c'est que j'étois en un état de souffrances bien pénibles. Cela dura tout le
t d'un mal de côté, et en deux jours de tems je me trouvai en tel état que j'envoyai prier le curé de la paroisse de me
immobiles les nerfs et les muscles du larynx, me réduisit à un tel état , que je croyois fort souvent ne pouvoir pas résis
, il en fut « pénétré de douleur »3. Son père, qui le destinait à l' état ecclésiastique, le fit tonsurer à sept ans, à l
ne de Singlinet LeMaistre de Saci, l'engagèrent alors à embrasser l' état ecclésiastique et à entrer au couvent. Mais, dit-
lui « donna un baume qui calma peu à peu ses douleurs et la mit en état de pouvoir guérir de ce mal si furieux. Mais qu
es membres les uns après les autres, la réduisit à la fin en un tel état qu'elle ne pouvoit plus se rendre aucun service
uranne sur le sacerdoce, « il comprit combien il étoit indigne de l' état où il se trouvoit engagé, et il eut une telle f
ente. La fatigue et l'anesthésie conduisent la matière vivante à un état d'inertie, qui exige pour être vaincu, l'emploi
fermeture faradique à l'ouverture, subirait une diminution dans les états de débilité, relativement à ce qu'il pré- sente
dans les états de débilité, relativement à ce qu'il pré- sente à l' état normal ou du côté sain. G. Deny. XXIX. De la se
paralysie faciale, à un relâchement du releveur de la paupière. Cet état de relâchement du releveur correspond à une hyp
muscles des yeux est en rapport avec un défaut de convergence et un état d'indépendance des deux yeux dans leurs rapport
s réciproques. V. Le défaut de convergence oculaire coïncide avec l' état de « distraction » qui caractérise le sommeil.
jets amène un trouble de l'attention et jette la distraction dans l' état mental du sujet {Revue neurologique, sept. 1902
médullaire et de la queue de cheval : il peut servir de signe de l' état des fonctions sexuelles. (Bévue neurologique, oct
s divers dortoirs selon le degré de surveillance nécessité par leur état . On objectera qu'il suffit d'un malade bruyant
et même d'homicide sont réduits à leur minimum. Si l'on com- pare l' état actuel à l'état ancien, le calme des salles et de
de sont réduits à leur minimum. Si l'on com- pare l'état actuel à l' état ancien, le calme des salles et des dor- toirs e
un sommeil réparateur leurs journées deviennent meilleures, et leur état mental et physi- que va s'améliorant. Les narco
des orteils est accentué. La cause 472 SOCIÉTÉS savantes. de cet état échappe complètement aux auteurs qui par éliminat
ine est constante dans ces deux maladies. L'ébullition ne donne à l' état normal qu'un louche léger, dans le tabes et la
u plexus brachial d'origine traumatique remontant à quatre ans. L' état du membre, excessivement atrophié, dont l'impoten
rêve musical. M. G1LLLT. Le rêve musical q pour origine, tantôt un état phy- siologique spécial qui donne naissance à d
rique. Une tentative d'hypnotisation fut suivie de succès. Dans cet état , je lui fais la suggestion de se lever le lende
e ainsi que d'une gymnastique appropriée et gra- duée, faite dans l' état d'hypnotisme, la guérison fut promptement obten
scence coutumière ; depuis plus de six mois, la malade souffre d'un état pathologique chronique avec de courtes rémissio
. Dans la terminologie médicale, le mot hypnotisme sert à désiger l' état psychologique, qui résulte d'une influence exer
par un indi- vidu sur le système nerveux d'un autre individu : cet état psycho- logique est constitué essentiellement p
ne sont pas toujours le résultatd'une intervention expérimentale. L' état d'hypnotisme qui consiste primitivement dans l'
sans qu'il y ait chez autrui aucune intervention de pro- voquer cet état . En un mot, un homme peut s'auto-hypnotiser inv
prit que l'on a désigné sous le nom d'expectant attention, certains états affectifs ou émotifs, la fatigue, la timidité,
isation chez des individus prédisposés ou simplement ignorants. Les états hypuoïdes spontanés sont fréquemment le résultat
CIÉTÉS SAVANTES. jouent un rôle considérable dans la production des états hypnoïdes. L'ensemble des conditions qui concou
ce si merveilleuse, de ce que l'on appelle à tort la suggestion à l' état de veille. En réalité, la puissance de la sugge
l est grisé; alors naissent en lui des sentiments qu'il n'a pas à l' état normal : l'orgueil, la combativité, la colère,
nt, de l'amélioration de la parole et de la démarche, et aussi de l' état général du malade. Lorsque les injections étaie
avec artériosclérose très prononcée, surtout une amélioration de l' état général. Cette communication a été l'objet de p
ent déjà de bonne heure à l'auto-observatiou et à l'analyse de leur état mental ; rarement on remarque chez eux une crua
ndance de phénomènes vaso-moteurs. D'' V. Vot3oBlFr.r insiste sur l' état émotionnel mobile particulier chez de tels mala
n trouble à base idéative. Ils résument les caractères généraux des états obsédants dans la définition suivante : L'obses-
dées fixes pures sans émotion angoissante. Les auteurs séparent les états obsédants en deux grands groupes, suivant que l
une crainte, idées obsédantes phobiques (phobies), ou par une idée ( états obsédants idé(itifs). Les phobies se subdivisent
et en phobies particulières ou spéciales (monoplaoLies). Quant aux états obsédants idéatifs, c'est-à-dire ceux dans lesq
ant aux états obsédants idéatifs, c'est-à-dire ceux dans lesquels l' état anxieux se produit sous forme intellectuelle ou
ue et psychologique. Les sujets qui en sont atteints vivent dans un état permanent d'attente anxieuse (Freud), de tensio
greffer comme une sorte d'objectivation plus ou moins durable sur l' état d'angoisse qui constitue le fond de la maladie
dies, de la mort; 3° phobies des êtres vivants. Comme les autres états obsédants, les phobies systématisées d'origine se
ion ne sont pas deux choses différentes, mais deux degrés d'un même état neuro-psychopa- thique, différant simplement pa
ont des émotions morales, des pratiques sexuelles irrégulières, des états maladifs divers; leur importance est secondaire
seulement que MM. Pitres et Régis considèrent l'obsession comme un état mixte, neuro-psycho- pathique et comme un sympt
e toutes les plus fréquentes. Le diagnostic doit être fait avec les états physiologiques (idées fixes. passions), avec le
ait avec les états physiologiques (idées fixes. passions), avec les états pathologiques (psychoses, névroses). Il faut en
ulsives, les auteurs examinent les impulsions dans les princi- paux états psyctiopatliiques : dégénérescence, épilepsie, hy
ité, mais avec précision, l'auteur donne dans sa thèse un assez bon état actuel de nos connaissances sur les localisatio
sole de force pour l'em- pécher d'attenter de nouveau à sa vie. Son état est désespéré. Quant à Marie Bérou, elle a été
ne retentis- sant pas gravement sur la nutrition générale ni sur l' état mental des malades... » ne contenaient pas quoi
anifestations hystériques » par leur définition : L'hystérie est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve capab
ette fois avec précision la définition de l'hypnotisme : « C'est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve susce
er que l'auteur, depuis dix ans déjà, considère l'hystérie comme un état psychique particulier, le plus souvent comme un
- heim. Pour ce dernier, nous le savons déjà, l'hypnotisme est un état physiologique, comme le sommeil naturel. M. Bab
ue la sug- gestion hypnotique, absolument comme la persuasion à l' état de veille (procédé plus ancien) ne guérit complèt
pto- « matiques dus à l'émotivité et pouvant se greffer sur des « états morbides divers » ne sont pas hystériques. Un d
e grands alcooliques. Les symptômes qu'il présente s'associent à un état mental parti- culier, à une instabilité singuli
er, à une instabilité singulière, de manière qu'on doit classer son état dans l'ordre des psychasthénies. (Journal de méde
aisceaux descendants (faisceau pyramidal, de Monakow, etc.) mise en état d'excitabilité des myoneurones, de sorte que, l
t aussi en évidence l'important phénomène de la dis- sociation de l' état du tonus musculaire et des réflexes tendineux.
symptômes cliniques; l'atro- phie respecte les avant-bras. 2° Un état remarquable de la peau de la main qui est rose
au toucher, se laissant difficilement pincer entre les doigts. Cet état se prolonge sur la face dorsale au niveau des d
dans quelques cas au moins elles pourraient ne modifier en rien l' état de la conductibilité électrique. R. C. 530 REVU
fixation pen- dant plusieurs minutes de la pupille à son plus fort état de con- traction, c'est-à-dire la contracture,
rès l'é- masculation). Si l'affection somatique chronique passe à l' état aigu, il y a délire ou perte de la connaissance
en tout point analogues à ceux que l'on observe chez les médiums. L' état mental des « alié- nés » de ce genre semble n'ê
de ce genre semble n'être que l'exagération, le grossissement de l' état mental propre à tous les médiums. Lorsqu'on étu
étudie, en effet, au point de vue de sa physiologie pathologique l' état mental d'un médium, on voit qu'il restez d'une
ont l'observation a été présentée, aux phénomènes ordinaires de l' état médiumnique (communication avec les esprits, écri
but que de rechercher comment nous, médecins, pouvons interpréter l' état mental des médium*. Il y a des degrés divers de
s de calibre menu étaient pourvues de df-iilli ites, se trouvant en état variqueux. Chez d'antres petites cellules toutes
a corne antérieure, étaient pauvres en appendices collatéraux, et l' état variqueux n'était observé que préférenciellemen
ré sensitif. M. Alax EGGER. La méthode des relevés périodiques de l' état des sensibilités a montré que les anestbésies o
'elles sont au contraire sujettes à de grandes oscillations de leur état intensif et extensif. Des périodes de régressio
est présent dans tous les autres cas. Je ne l'ai jamais trouvé à l' état normal sur les 45 sujets que j'ai examinés, au
au moins avec les caractères bien définis qui le caractérisent à l' état pathologique. Sur 16 enfants nouveau-nés, je n'ai
orteil. Par contre il est de règle chez les enfants nouveau-nés à l' état de sommeil. On peut le retrouver parfois chez l
fois chez les enfants d'un certain âge et même chez les adultes à l' état de sommeil. La région plantaire excitée n'est p
ion que l'exagération des réflexes et le clonus du pied. Différents états pathologiques et le sommeil chloroformique peuv
ement, une phase que l'auteur cherche à mettre en relief. C'est cet état qui sans être manifestement pathologique témoig
nifestement pathologique témoigne d'une modification organique. Cet état purement transi- toire, devient définitif. 111.
nt, ho urgeoi.-e ment, sans jamais s'enivrer qu'on arrive ainsi à i état mob de. Un s'accoutume au poison et ce poison d
ce poison devient un besoin ; les deux étais sont engendrés par un état corrélatif de la cellule nerveuse. De déduc- ti
er, était interné depuis peu à l'asile d'aliénés de Saint-Pierre. L' état du malheureux s'étant aggravé, il fut, ce soir, t
se blesser lui-même avec l'arme qu'il tenait toujours à la main. L' état de Navel est considéré comme déses- péré. Lauti
tion Céré- brule et - par vVill-Noes, 280. IDIOrE. Une idiote à l' état sauvage, 318. Image motrice. Du rôle de l'- d
La chez les aliénés, Par (,al latia, 97. ]'%IIILYSIE générale. L' état du fond de l'oeil chez les paralytiques gé- n
avec le mécanisme fonctionnel, par Vaschide et Vur- pas, 89. De l' état actuel de la théorie de l'inflammation dans le
30 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
liénés auxquels il manque le gros symptôme albuminurie, et dont l' état mental seul attire toute l'attention du médecin.
ions, nous verrons que parfois la lésion rénale parait réagir sur l' état mental. Enfin si l'étiologie rénale peut échapp
les grandes lignes le même délire hallucinatoire, délire onirique, état de rêve prolongé avec confusion mentale profond
gastriques d'origine éthylique peuvent développer et entretenir des états déli- rants, véritables rêves prolongés, que M.
tifs les plus propres à mettre sur la voie de son origine réelle, l' état ma- ladif est méconnaissable. » Il est des ca
qu'il ignore peut-être. Il peut constater aussi la coexistence d'un état démentiel pro- fond et d'une albuminurie sympto
observations semblent bien démontrer la réalité d'un lien entre l' état psychique et la lésion viscérale éloignée (Du Cai
étées diminuait, nous avons constaté souvent des modifications de l' état mental. En dehors même du changement d'alimenta
e la quantité d'albumine semble coïncider avec l'aggrava- tion de l' état mental. Il est vrai que le régime alimentaire '
ai que le régime alimentaire ' -Moreau de Tours, De l'identité de l' état de rêve et de la folie (An- nales : ëico-/)c/t0
e céphalalgies violentes et eut des pertes de connaissance. - Cet état aigu ne dura que quelques jours, mais depuis le m
coeur ». Pourtant il est capable de donner quelques détails sur son état de santé anté- rieur. Il nous dit qu'il est suj
Du le' au 8 juin, le malade est laissé au régime ordinaire, et son état ne se modifie pas sensiblement. Moins calme que l
ours. Cette excitation fit place à son arrivée dans le service à un état de dépression très prononcé, mais le délire per-
Il était sur- tout confus et avait une conscience peu nette de son état . Au bout de quelques jours il est devenu moins
cle. b. Un certificat du maire fournissant les renseignements sur l' état civil, le domicile, le domicile de secours, la
t transférés dans les asiles d'aliénés du Grand-Duché, lorsque leur état exige encore des soins spéciaux. Le corresponda
iate- ment son examen somatique. Gustave se tient constamment à l' état de veille, dans la situation indiquée par la ph
tour négatives, le père ayant nié formelle- ment avoir été, soit en état d'ivresse, soit en état patholo- gique quelconq
ayant nié formelle- ment avoir été, soit en état d'ivresse, soit en état patholo- gique quelconque à l'époque de la féco
il existe encore sur la tête une éruption papulo-pustuleuse. même état des organes génitaux. Août. Passe à la petite é
es pieds et roulant la langue dans la bouche. 1894. 16 juin. Même état des organes génitaux (Fig. 6). Parole toujours
u'à neuf mois. Surviennent à ce moment des convulsions sous forme d' état de mal (2 heures), qui se 1'ir, tl. Lem.... Geo
ère améliora- tion, légère toutefois et portant exclusivement sur l' état phy- sique : l'espèce de paralysie de l'un des
Dr GoMAn. L'auteur a constaté que non seulement l'hystérique dans l' état d'hypnose pouvait éprouver plus nettement que d
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. même qu'en passant de l' état d'anesthésie totale à l'état de sensi- bilité p
PATHOLOGIQUES. même qu'en passant de l'état d'anesthésie totale à l' état de sensi- bilité parfaite, elle assiste chez el
la conscience, que celui-ci est rétréci; de là la ressemblance de l' état hypnotique et de l'état ca<a<0)ttMe. Appl
-ci est rétréci; de là la ressemblance de l'état hypnotique et de l' état ca<a<0)ttMe. Applications. On lève le bra
l'étroi- tesse du champ en question, ils ne sont point arrêtés. L' état de négativisme consisterait simplement, d'après S
de Bergmann, soit dans celles de la théorie d'Adamkiewicz ; 3° à l' état , du fait de cette pression, de la substance bla
eur n'insiste pas, et se borne à poser la question suggérée par cet état cérébral, et par l'état mental du malade - de sav
borne à poser la question suggérée par cet état cérébral, et par l' état mental du malade - de savoir s'il y a un rappor
les bizarreries dans l'aspect de l'affection, dans son évolution, l' état mental particulier des malades qui per- mettron
rale chez un arabe syphilitique, instruit et civilisé. Note sur l' état des réflexes tendineux et des réactions électriqu
z douze malades, aux différents degrés de la maladie on a examiné l' état des réactions électriques : pas de modification
ivant les doses employées, on peut obtenir avec le somnoforme trois états psychologiques nettement tranchés : 1" L'hypernar
cience at quelques caractères qui permettent de la rappro- cher des états seconds ou des états d'automatisme; 3° L'hyponar-
ractères qui permettent de la rappro- cher des états seconds ou des états d'automatisme; 3° L'hyponar- cose ou narcose su
n pas une conscience absolue sans contenu, en soi, mais une série d' états conscients. Nous ne connaissons pas la conscien
rançois de Rohaii. M. Félix l3ECrrAOtT. Parmi ceux qui embrassent l' état reli- gieux, certains le font par simple intérê
uvait croire les réflexes rotuliens abolis; il n'en était rien ; un état de vigilance musculaire exces- sive et une exag
a pas, en apparence au moins, de lésions profondes de structure ; l' état de la moelle encore très rudimentaire chez nos
ts qui subsistent, les plus constants et les plus rappro- chés de l' état normal sont ceux de la partie interne de la corne
11° Il existe des relations certainement très impor- tantes entre l' état de la moelle et l'apparition des régénérations.
alades de chercher à les guérir ou tout au moins à amé- liorer leur état . Il convient de les soumettre à ce que notre émin
urgi- cal sans lésion anatomique, ayant leur point de départ dans l' état mental particulier des hystériques. Les simulat
une intervention sanglante que par la gravité des lésions. IV. L' état mental chez les blennorrhagiques; par le De Ducas
accidents cérébraux. Mais ce qu'il y a de fort intéressant c'est l' état mental des individus atteints de cette affectio
l'état mental des individus atteints de cette affection. - · Cet état mental, le plus fréquemment observé, semble ordin
, caractéristique de la tête limousine, sont sans conséquence sur l' état mental de ceux qui en sont atteints. IX. bu t
éclaré que, sa femme ne s'occupant pas de son fils en raison de son état d'imbécillité, il ne pouvait remplacer la mère
taire. 1897-1901. Evolution à peu p ! '9s nulle de la puberté. Même état général. 1902. Hydropisie pleurale et péricar
longs et plus abondants. Verge : long. 7 cm., circonf. 9 cm. ; même état des testicules. Hémor- rhoides persistantes.
hez notre sujet le retard de l'ossifi- cation a laissé persislercet état foetal. Il existe sur toute la surface endo-cra
s extrêmes, interne et externe, sont simplement plus épais qu'à l' état normal ; toutefois, ces feuillets se soudent inti
fficile de distinguer les couches qui apparaissent si nettement à l' état normal, dans la région rolamlique par exemple.
ces dernières ressem- blent-elles plutôt à des neuroblastes. Cet état de dy-génesie est plus évident, quand on examine
- ches de l'écorce cérébrale coiitioni2ent moins de cellules qu'à l' état normal; en outre, les cellules encore existante
es fibres nerveuses, exami- nées isolement, sont plus grêles qu'à l' état normal, même quand il s'agit des fibres relativ
que immédiatement sous-pie-mérienne est épaissie, plus dense qu'à l' état normal; ses fibrilles, finement ondulées, contr
. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nouvelle contribution à l'étude de l' état du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
rne de la cho- roïde de sorte que la papille (3 fig. 1) présente un état de sclérose déjà avancé; il n'est plus possible
-jqtie avéré, depuis six mois il suivait un régime approprié au cet état . 138 CLINIQUE NERVEUSE. Il arrive dans le ser
es, etc. Il se porte très bien et veut reprendre son travail. Cet état d'excitation persiste pendant la première quinzai
confirmée par une analyse d urine pratiquée ulté- rieurement. Même état ju-qu'au milieu du mois de mars; le 21 mars il
épuisé physiquement, se plaignant du froid. 11 semble bien que éet état psychique a coïncidé avec une poussée rénale, c
part qui revient à l'insuffisance rénale dans la pathogénie de cet état mental, d'autant plus que malheureusement l'aut
ent colorées indique laprésence d'une petite quantité d'albumine. L' état mental est celui d'un homme fortement affaibli, g
albumine diminua de quantité ; le coeurdevint plus régulier. Mais l' état démentiel ne subit aucune modification. Seules le
ques s'effacèrent du tableau clinique et lais- sètent la place à un état euphorique constant. La parole demeura très emb
'albumine reparait en quantité plus abondante (0,50 par litre) et l' état mental subit d'intéressantes modifications. Les
reviennent; le malade pleure continuellement, manifeste un certain état d'anxiété. Quelques idées délirantes de persécu
. Du mois de mai au mois d'octobre, il n'y eut pas à noter dans l' état du malade de modifications importantes. A deux re
nterrompie à cause de la mauvaise influence qu'il parut avoir sur l' état mental. Au régime lacté, le malade est resté euph
ment. Elles sont en outre déformées et globuléues; les unes sont en état de chru- matolyse, d'autres ont leur noyau très
spéciale (type Klippel). Chez ce malade, sur le fond démentiel de l' état mental, apparaissaient des alternatives d'enpho
xamen clinique des urines fut négatif au moment de l'admission et l' état d'agitation conti- nuelle avec gâtisme que prés
es attaques épileptiformes, il est exceptionnel* d'observer le même état d'une façon continue, durant jusqu'à la mort surv
ble lésion rénale ne permet-elle pas d'invoquer, pour expliquer cet état anormal, l'automtoxication par insuffisance rén
e Dr Weeks, directeur médical du village pour les épileptiques de l' état de Kew-Jersey, dit que quand vient l'hiver, et
en un effet négatif, ou une intoxication aiguë qui vient aggraver l' état pathologique de cet épileptique. Si l'on inject
symptômes moteurs, psychosensoriels et psychiques dont on a suivi l' état encore deux ans à la suite des injections et de
avec augmentation de poids de 29 kilog. Chez les 2 malades dont l' état s'aggrava, les crises et accidents épileptiques
tées. Une seule fois il y a eu aggravation légère et passagère de l' état général. Souvent le sérum sanguin provenant du
s, contenues dans le sérum sanguin de l'épileptique, qui, suivant l' état de la constitution intime de celui qui le reçoi
réaction physiolo- giques, on obtient amélioration ou guérison de l' état pathologique. Quand, au contraire, ces cellules
ons, déjà altérées, s'éloignent de plus en plus de la normale; leur état pathologique s'aggrave. 150 REVUE DE THÉRAPEUTI
chez l'épileptique dans les conditions ordinaires, y circule à l' état d'inertie. Ce doit être une substance soluble qui
nce commencée le 26 juin 1901 dure jusqu'au 10 août et détermine un état extrêmement pénible. Néanmoins le premier sujet
ance normale, et qui, abandonnés à eux-mêmes n'atteignent jamais un état convenable de développement physique. Le nombre
s précis font leur apparition Si l'on veut remédier utilement à cet état névropathique, il faut s'y prendre de bonne heu
lade, estl'un des plus sûrs moyens d'aboutir à une aggravation de l' état nerveux. Au point de vue de l'instruction, il 3
rielle et chez eux la disparition de la dépression nerveuse et de l' état men- tal particulier qu'ils présentent ne s'obt
ie générale rentrerait donc dans le grand problème de l'origine des états affectifs dans cette maladie. Bien des solution
s qui agissent défavorablement mu1 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE 151 l' état de la loi organique. Inversement, si ces influenc
lle de l'allaitement. Clouston donne six semaines comme limite de l' état puerpéral; BattyTuke ne donne qu'un mois en règ
utre part la réaction myasthénique, les changements observés dans l' état de la malade le matin et le soir ne permettent
s'y arrêter. La tare héréditaire tuberculeuse de la patiente et son état d'hys- térie (hyperesthésie droite transférable
de claquement du second bruit, pas d'hyperpression sanguine, pas d' état général correspondant. Les intei mittences du p
o-rachidien; par A. Sicno (Presse médicale, 25 janvier 1902). A l' état normal, le liquide céphalo-rachidien de l'homme e
alo-rachidien de l'homme est clair comme « de l'eau de roche ». A l' état pathologique, il peut présenter des aspecls bie
ements physiologiques et surtout à conserver certaines attitudes. L' état général est bon, les organes fonctionnent bien.
'ingestion d'un extrait de capsules surrénales, le patient a vu son état s'améliorer considéra- blement durant quelques-
it le terrain névropathique. Le professeur dit quelques mots de l' état de besoin de la dé- morphinisation par les méth
uvoir se passer du poison. Il éprouve l'euphorie caractéristique, l' état de besoin avec ses angoisses, la perte de l'app
cès cérébelleux ou tumeur cérébelleuse. L'intégrité de l'oreille, l' état normal de la température, l'examen cytologique né
ge de 18 ans, chute grave; lésions de la tête; plusieurs semaines d' état inconscient. Deux ans plus tard, attaques d'épi-
décroissante. Il est dangereux. Physiquement il est robuste et son état général n'est pas mauvais. Il y a de l'oedème des
njuguée des yeux vers le même côté. Les crises étaient suivies d'un état de stupeur, auquel succédait une grande irritabil
rteils en éventail. Cet écarternant est très rare et peu marqué à l' état normal; il est au contraire très commun et très
re avait montré beau- coup de cellules polynucléaires. Note sur l' état des fibres A myléine du plexus cardiaque chez les
e du plexus cardiaque chez les tabétiques. M. HEITZ a recherché l' état du plexus cardiaque chez douze tabétiques. Il a
pour le malade tous les symptômes qui relè- vent chez lui soit de l' état digestif, soit une hystérie, soit du tabes. Les
ulière altération de la personnalité, que caractérise le retour à 1 état mental de l'enfance : la malade a vécu, pendant
n avoir trop on troppeunommeilyaanesthésjeethype- resthésie. Dans l' état normal, le cerveau accepte avec jugement. Dans
hésie. Dans l'état normal, le cerveau accepte avec jugement. Dans l' état d'entêtement, le cerveau n'accepte pas, car il n'
au n'accepte pas, car il n'y a pas assez desucgestibilité. Dans l' état d'itypersuggestibilité, de nature hystérique ou a
ation à la chirurgie; le cas d'une jeune fille hystérique, tenue en état de somnanbulisme pendant cinq mois, sans réveil,
autres ; il veut aussi paraitre supérieur aux yeux de sa femme; son état résulte d'un amour propre excessif porté jusqu'
femme; son état résulte d'un amour propre excessif porté jusqu'à l' état morbide. Guérison de symptômes hystériques spas
ite de surmenage et d'émotions et guéries par simple suggestion à l' état de veille. La thérapeutique suggestive en ophth
: « Succèssur toute la ligne. » La suggestion somnoformique, dans l' état d'hyponar- cose ou de narcose subliminale, trio
'il a faites sur l'hypnotisme chez le cheval; il expose surtout les états de charme et les effets thérapeutiques produits
etc. Très intelligente, elle avait la conscience très claire de son état morbide et de l'absurdité de ses phobies, mais
jolie et très riche, elle ne manquait pas de prétendants malgré son état mental qu'elle parvenait encore, il est vrai, à
ns après, qu'elle était toujours aliénée. Cette complication de l' état obsédant par une crise de manie ou de lypémanie
e sait, la jalousie pathologique peut être l'un des symptômes des états psychopatiques les plus variés; bien souvent on o
t dites, la jalousie pathologique se rencontre quelquefois dans les états mélan- coliques séniles chez les femmes et chez
conjugale, alors pour quelque temps elle se tranquillise, mais cet état de tranquillité ne dure pas longtemps; les idées
taue sont accompagnées d'une anxiété mentale très accentuée et d'un état d'angoisse, qui atteint parfois un degré très g
ée que, peut-être, dans de pareils cas existe une combinaison des états psychopathiques ; la malade, dont il s'agit, prov
rie : C..., a de l'incontinence d'urine, mais n'est pas gâteux, L' état de démence, d'mconscience, avec perte absolue de
actuelle. Depuis son entrée, ce malade reste alité. Il est dans un état de torpeur presque complète, indifférent à tout
l'influence du régime lacté. Le malade devient moins triste, mais l' état démentiel ne subit aucune modifi- cation. En
nt on ne retrouve que 13 gr. 50 eu vingt-quatre heures. Depuis, l' état est devenu stationnaire ; on note au point de vue
terets semble bien prouver que ces excès sont de date ancienne. L' état du malade est sensiblement le même après un séjou
s'occuper tant à cause de sa faiblesse musculaire qu'à cause de son état démentiel relatif, se plaint chaque matin de sa
quelques purgatifs drastiques eurent une influence heureuse sur cet état . Toutefois, les symp- tômes ne rétrocédèrent qu
ant deux heures. Elle était soumise à une sorte de suggestion à l' état de veille. Les tics persistaient, atténués par se
ion changerait de face et nous ne serions plus en présence que d'un état dégénératif qui prendrait naturellement place a
que de ces stéréotypies démentielles, c'estqu'onles observe dansles états pas- sagers où définitifs où le pouvoir inhibit
(de Paris). Les anomalies de la fonction motrice signalées dans les états catatoniques revêtent deux modalités 224 4 SOCI
formes de psychoses et de névro- ses, et même au cours de certains états pathologiques aigus (infections, intoxications)
hénomènes chez tous les sujets, de même qu'on explore aujourd'hui l' état de la réflectivité ou de la sensibilité. On peu
es malades de la section et y inscrit les modifications que subit l' état physique ou mental de l'aliéné. Il tient, enfin,
comparaison avec les poids antérieurs, est toujours renseigné sur l' état de nutrition de l'a- liéné. Quand un aliéné m
fférents délires des alcooliques, delirium tremens, rêve prolongé l' état de veille, etc. Telle est aussi la paralysie géné
nt l'hyper-excitabilité de faiblesse à laquelle il faut rapporter l' état de suggestibilité et particulièrement celui qui
1 700. Ces diverses modifications se rencontrent dans de nombreux états physiologiques et pathologiques ; elles ne parais
es et pathologiques ; elles ne paraissent pas caractéristiques de l' état infectieux. Il n'existe donc pas, en réalité, d
Ils rendent ainsi leurs malades moins aptes à être soignés, car à l' état mental dû aux lésions cérébrales, viennent s'aj
ce qu'elle savait très bien que cet exercice était nécessaire-à son état (rachitisme). Vu les progrès réalisés, on a pu
rmer sans crainte d'erreur que le rachitisme et l'idiotie sont deux états qui peuvent avoir entre eux des rapports étroit
très irrégulières. Les prémolaires et molaires sont en très mauvais état . En bas, les quatre incisives et deux camnes exis
. Des observations dans la clientèle me montraient, dès 1890, que l' état de veille rele- vait des mêmes phénomènes et en
Les rayons X sont égale- ment puissants comme sédatifs de certains états douloureux; il en est de même des effluves viol
Les parap)<'gi'es'=pasmo- diques.sout, incontestablement, un des états paralytiques qui ont SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 l
ces indéter- minées, restent indéfiniment stationnaires, sans que l' état général du sujet s'altère, et sans qu'il appara
pas d'atrophies, pas de véritables para- lysies, mais seulement un état de contracture plus ou moins accen- tué, intére
ésente les signes classiques de paraplégie spasmodique. Ce sont ces états qu'il est possible d'améliorer dans des proportio
ur la pau- pière inférieure. Le même fait se produit d'ailleurs à l' état nor- mal, quand les yeux sont clos, mais il est
tives, le désir de recommencer. Par la répétition, l'acte passe à l' état d'habitu- de ; le besoin de l'exécuter devient
constaté des diffé- rences qui nous ont paru être en rapport avec l' état du tonus. i° Chez les sujets sains et pour un m
es cas présenter des écarts et que ceux-ci sont en rap- port avec l' état du tonus : ce nombre augmente quand le tonus di
e toutes les opérations psychiques, diffi- culté d'attention, léger état de rêve, mal de tête, angoisse, anxiété et idée
intellectuelle, pensée pénible, asthénie très prononcée. Retour à l' état normal par gué- rison de l'empyème. , IV° Ces
id. Mal de tête, sensation de plénitude du crâne, angoisse, parfois état de demi-rêve, impossibilité de diriger la pensé
IÉTÉS SAVANTES. 271 1 bration automatique qui détermine une sorte d' état de rêve. Une sensation de dépression physique e
e sensation d'angoisse constante qui, chez l'adulte, détermine, à l' état de veille, de l'anxiété et de l'irritabilité, une
passent très dillérem- ment et se rapprochent de ce qui a lieu à l' état normal. AI)rès 'e trace d'épuisement (dont le n
ntre que le relèvement de la courbe est rapide et soutenu comme à l' état sain. Ces résultats constituent un nouvel argumen
ré de difficulté insurmontable ni brisé de dents, même en mau- vais état . L'introduction de la sonde est des plus simples,
peuvent étie observées des aggravations, sous l'influence de divers états physiologiques (période de pubeité, période d'inv
sédants symptomatiques, qui peuvent être observés dans diffé- rents états psychopathiques (hystérie, épilepsie, démence pré
eille à celle qui existe, par exemple, entre la mélan- colie et les états mélancoliques. La constitution idéo-obsessive se
lie, remontait déjà à une période éloignée, et comme d'autre part l' état de conservation parfaite des foetus indiquait q
en tout point analogues à ceux que l'on observe chez les médiums; l' état mental des « aliénés » de ce genre semble n'êtr
de ce genre semble n'être que l'exagération, le grossissement de l' état mental propre à tous les médiums. Lorsqu'on étu
étudie, en effet, au point de vue de sa physiologie pathologique, l' état mental d'un médium, on voit qu'il résulte d'une
dont l'observation a été présentée, aux phénomènes ordinaires de l' état médiumnique (communication avec les esprits, éc
méthode rigoureuse dont voici les temps principaux : 1° Provoquer l' état d'hypnotisme, c"est-à-dire un état physiolo- gi
emps principaux : 1° Provoquer l'état d'hypnotisme, c"est-à-dire un état physiolo- gique caractérisé par la diminution d
e trac. 4° Lorsque ces suggestions ont reproduit artificiellement l' état anxieux, neutraliser les images génératrices de
'est-à-dire du langage écrit et le bégaiement du langage parlé. L' état de conscience dans lequel se manifestent ces trou
est mental avant d'être moteur. Le seul traitement rationnel de ces états de conscience est la suggestion hypnotique tend
ison par la suggestion hypnotique. M. PAUL Magnin. Interprétation d' états hyonotiques survenus spontanément chez les hyst
u de Présentation d'un appareil pour l'hyp- notisation. M. Doyen. L' état mental des opérés. M. DEMOVCHY. Paralysie vésic
de. Influence des fermentations diges- tivessur le caractère et les états mentaux. BIBLIOGRAPHIE. XV. Psychopathologie
et dont il a été très longuement parlé dans les Archives. XXII. L' état mental des parricides (étude médico-légale); par
étudie un grand nombre de faits médico-légaux qui font ressortir l' état mental des parricides, caractérisé par l'irres-
s d'un sommeil léger ; leurs rêves sont fréquents et influent sur l' état de veille. 11 peut arriver que chez certains ma
. N, 94. ARCHIVES DE NEUROLOGIE MEDECINE LÉGALE. Rapport suri état mental du nommé D..., inculpé d'outrages ; 1*
izaine de confrères sans qu'il ait été possible de le mettre hors d' état de nuire par suite des défectuosités de la loi
ment d'Orléans, en date du 18 décembre 1902, à l'effet d'examiner l' état mental du nommé D.. , représentant de commerce,
e de ses méfaits, afin de faire ressortir la caractéristique de son état mental et d'étayer mes conclusions sur des bases
laignant de la mesure qui a été prise ii son égard. rapport SUR l' état mental DU nommé D... 291 ment recommandé par so
sécuté alcoolisé avec pé- riodes d'excitation. Il admettait que son état ne nécessitait pas un internement immédiat, mai
s voitures, un tapissier pour refaire son salon, puis rapport SUR l' état mental DU nommé D... 293 un gazier, un maître d
assisté d'agents en bourgeois, mercredi prochain. Je rapport SUR l' état mental DU nommé D... 295 « pleure, je pleure to
dans les rues de Versailles le directeur de la maison rapport sur l' état mental du nommé d... 297 centrale de Poissy. Un
on opinion mérite d'être citée : « D..., dit-il, est un dégénéré eu état à peu près constant de déséquilibratiou mentale
déséquilibratiou mentale. Les excès de boisson aggravent encore son état et il existe de fortes présomptions pour qu'il
constituer prisonnier, il trouve le moyen d'outrager rapport SUR l' état mental DU nommé D... 299 M. Tomps, commissaire
« actuellement un malade irresponsable et séquestrable, mais son « état mental est de nature à le faire bénéficier de l'i
nal jugeant que sa responsabihlé était atténuée par suite de son état habituel de surexcitation, réduisit la peine à 15
e un bon tour aux agents. Le 26, nouvelles cattes in- rapport SUR l' état mental DU NOMMÉ D .. 301 jurieusesà M. Temps ;
t-elle varier sur son compte, soit que l'on considère rapport SUR l' état mental DU nommé D... 303 l'état précis dans leq
que l'on considère rapport SUR l'état mental DU nommé D... 303 l' état précis dans lequel il se trouve au moment de l'ex
; 2° Il est irresponsable des actes qui lui sont reprochés ; 3° Son état mental nécessite son internement ; 4° De plus,
ILEPTIQUES EN ANGLETERRE. 309 peut contenir dix épileptiques dont l' état exige des soins médicaux. La direction en est c
asse de malades dont le traitement promet de bons résultats et leur état est susceptible d'une grande amélioration. Ils
er l'école. Il y a sans doute un grand nombre de ces enfants dont l' état exigerait l'envoi dans des colonies d'épileptiq
âge possible, qu'il a admis 24 jeunes gar- çons de quatorze ans. L' état de ces derniers s'est amélioré TRAITEMENT DES É
es auto- rités scolaires de Londres (London School Board), dont l' état exige des soins dans un établissement d'épileptiq
C'est ainsi que Pochon nous a donné une bonne définition des divers états d'agitation, et avec lui on peut décrire l'excita
excitation extérieure, de toute douleur, l'on reste vigile, et cet état peut durer des nuits et des nuits; les neurasth
ls ressentent. Tous les hallucinés, en général, dorment mal; dans l' état d'atten- tion expectante où ils se trouvent, ce
du sommeil, la plus grande profondeur du sommeil étant atteinte à l' état normal, d'une façon rapide dès les premières he
l y a une diminution anormale du besoin de sommeil, d'où résulte un état d'exhaustion nerveuse qui peut être grave; 2° les
à l'insomnie, comme conséquence grave au point de vue psychique, un état de confu- sion mentale. Ces observations de Jan
de vue des applications thérapeu- tiques contre l'insomnie. C'est l' état de la circulation sanguine. On sait le rôle qu'
st bien évident que le sommeil médi- camenteux est indépendant de l' état de la circulation, car il sur- vient, comme on
l'on a faites jusqu'ici au sujet de l'action des médicaments sur l' état vaso-moleur de la circulation cérébrale. C'est
si encore un point qui nous intéresse ici particulièrement. c'est l' état de la circulation générale dans ses rappotts avec
ression san- SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 "uine moyenne correspond à un état normal du sommeil, qu'au- dessus et au-dessous
n- sion. Chez les neurasthéniques, il s'agirait spécialement d'un état habituel d'hypotension exagérée, De Fleury a ob
ervé un de ces malades chez qui la pression, déjà souvent basse à l' état de veille (100 à 140 millimètres), tombait, le
Ce phénomène parait être un phénomène très général dans tous les états d'épuisement (fatigue, inanition, etc.) ; mais il
ut dire que la moitié de nos malades sont amenés dans les asiles en état d'agitation : la statistique de M. Magnan, que
rejeter dans tous les cas où l'on peut craindre l'exagération d'un état spasmodique. Il n'en est pas moins un hypnotique
oses frac- tionnées ont pu être employées comme sédatif dans divers états d'agitation. Le chlorétozze, très peu répandu e
n ne devra l'employer dans ce but qu'en cas de nécessité et quand l' état physique ne s'y oppose pas. D'autres, d'ailleur
ie agitante où elle procure sou- vent un véritable soulagement de l' état de raideur si pénible. Trénel rappelle pour mém
e dire qu'ou l'ordonne sans discernement. On considère que tous les états d'ex- citabilité névropathique en sont justicia
dans les cas de grande excitation, de façon à obtenir, comme dans l' état de mal, un état permanent de sommeil bromique,
grande excitation, de façon à obtenir, comme dans l'état de mal, un état permanent de sommeil bromique, suivant l'expres
age pas ici à ce point de vue. Comme mode de traitement de tous les états d'agitation, avec quelques exceptions spéciales (
fisante. Mais de l'avis de ceux qui ont expérimenté l'alitement les états aigus d'agitation évoluent d'une façon bien moins
somnie, surtout chez les neurasthéniques, les hystériques, dans les états nerveux des adolescents, nous devons citer le b
la dose de 300 à 1.000 grammes. En même temps qu'elles améliorent l' état général, elles atténuent et parfois font dispar
e 34° à 26° et d'une demi-heure de durée. Chez les mala- des dont l' état de la fonction cardio-vasculaire ne peut plus uti
raitre ces accidents. L'orateur ajoute que c'est seulement dans les états d'excitation qu'il a recours à la scopolamine,
ur-Yon). La sitiophobie des alié- nés est communément attribuée à l' état saburral des voies diges- tives, à des hallucin
iment. Absence de troubles digestifs; modification progressive de l' état mental par la diminution des fonctions psychiqu
es à 1 gramme d'iodothyrine a amené une grande amélioration de leur état et, même chez certains, l'absence complète des
contracturer, surtout à droite. J'arrivai alors, par suggestion à l' état de veille et application de la main sur la régi
meil peut penser et travailler consciemment; mais c'est un autre état de conscience. Réveillé, le sujet ne se rappelle
dégénérés. ,)111" le Dr lOTB1&0 (Bruxelles). Les muscles mis en état de dé- générescence (section du nerf) présenten
sensibles au courant galvanique. Il ressort de mes recherches que l' état variable du courant galvanique (fermeture et ou
les. Mor- phologiquement, le muscle dégénéré présente un retour à l' état em- bryonnaire : diminution ou disparition de l
otoplasmi- ques renfermant un cylindraxe central caractéristique. L' état embryonnaire de ces éléments permet d'affirmer
démence est double : il consiste : 1° à distin- guer la démence des états qui la simulent (stupeur, troubles anec- tifs)
s dans l'affaiblis- sement psychique et n'existant dans aucun autre état . Il faut donc réunir plusieurs symptômes et exc
ngénitale. Chez le dément précoce , l'inhibition forme la base de l' état psychique; le dément précoce est un inhibé (Meeus
s mouvements sans signification propre) se présentent dans tous les états passagers ou définitifs où le pouvoir inhibiteu
hibiteur cortical est atteint, en d'autres mots dans la plupart des états de stupeur cérébrale (traumatisme, délire aigu,
s variées (tumeurs et abcès encéphaliques ; alcoo- lisme, hystérie, états démentiels organiques et vésaniques) une altéra
une sorte de régression de la mentalité ou stade de l'enfance. Cet état morbide se marque par une série concordante et
ue, le puérilisme représente une modalité clinique particulière des états démentiels. Quelle que soit l'étiologie de ce
iels. Quelle que soit l'étiologie de ce syndrome, il s'agit là d'un état psychopathique spécial qui n'est, à proprement
ication sur le Puérilisme de M. le D'' Duphé, M. Marie rappelle les états d'enfance spirituelle des auteurs mystiques don
dans les Archives de Neurologie en 1897. M. Marie rapproche de ces états de pué- rilisme paroxystiques, ceux permanents
myélie. Schlesinger et Kienbock des premiers, ont été frappés par l' état mental spécial présenté par certains malades, n
ellectuelles. Ce sont là en somme les premières manifestations d'un état mélancolique qu'on pourra rencontrer beaucoup p
re en effet considérés comme indépendants de la syringomyélie car l' état de dépression dans lequel fut plongé le malade
miné la production de la syringomyélie ont placé le cerveau dans un état de moindre résistance favorable à l'éclosion de
ciées à la syrin- gomyélie, on peut observer à des degrés divers un état mental caractérisé par un état de dépression mé
peut observer à des degrés divers un état mental caractérisé par un état de dépression mélancolique plus ou moins pronon
quer d'idées déli- rantes de persécution et d'idées de suicide. Cet état mental naîtrait sous l'influence de la perturba
s sphinctériens par exemple), sa production serait favorisée par un état de moindre résistance du cerveau lésé par les fac
ient per- manente, involontaire, chez des sujets prédisposés par un état psy- chopathique spécial. Le tic de léchage c
dence DE M. LE professeur Masoin. De la suggestion matérialisée à l' état de veille. M. L. PEETEas (de Bruxelles. L'aclio
elles. L'aclion thérapeutique de la sugges- tion, hypnotique ou à l' état de veille, n'est plus contestée actuelle- ment
hypuothérapie, tous cependant em- ploient la suggestion verbale à l' état de veille. A cette dernière nous ajoutons, depu
er de la suggestion religieuse ? Nous pensons que la suggestion à l' état de veille, sous forme ma- térialisée, doit entr
dorment pas du tout, mais ils sont très faciles à suggestionner à l' état de veille. Les malades se réveillent eux-mêmes,
osensorielles, je réalise avec ce produit l'un ou l'autre des trois états psychologiques suivants : I. Narcose confirmée.
eine conscience, mais seu- lement subconscience ; c'est une sorte d' état d'automatisme. Les diverses sensibilités peuven
tent un certain degré d'activité onirique. III. Hyponarcose. Cet état avoisine la narcose confirmée, sans l'atteindre
ticularités pathologiques qu'il refusait obstinément de révéler à l' état de veille. Au point de vue thérapeutique, chacu
'état de veille. Au point de vue thérapeutique, chacun de ces trois états compo : te des indications spéciales : I. L'h
suggestions appropriées à son cas, le malade qui les repoussait à l' état de veille. Cette narcose convient, en particuli
sion morbide les harcèle et empêche l'invasion de l'hypnose. Mis en état d'hyponarcose, ils ont la notion que tous les o
, arguant qu'il leur enlèvera'leur libre arbitre et les réduira à l' état de machine ; ils acceptent sans répugnance cette
opération capable de libérer l'organe prisonnier et de le mettre en état de fonctionner plus normalement. Mon excellen
2- série, t. XVI. 21 370 SOCIÉTÉS SAVANTES. térie, en aggravant l' état d'engourdissement des centres nerveux, caractér
git ordinai- rement, dans les cas d'hystérie dite morphinique, d'un état hysté- rique méconnu ou latent, qui se développ
e. La morphinomanie au cours de l'hystérie primitive constitue un état très grave au point de vue de la récidive. La per
nt de vue de la récidive. La personnalité hystérique se combine à l' état morphinique, de sorte qu'il y a un rapport diff
vésanies sur la réparation des plaies, parfois ralentie dans les états dépressifs, parfois aussi accélérée au cours de l
respiratoires à 40 environ). Au huitième jour, l'amélioration de l' état général, l'in- dolence et les bonnes apparences
taines dys- trophies n'ont pas une origine poiygiandutaire. En tout état de cause il y a lieu de rechercher les cas où,
subintrantes. Toute une moitié du visage présente sans rémission l' état de contracture fré- 7nissctzzle : sur un fond d
n Nahlosky, pour qui les changements organiques n'exis- tent qu'à l' état de réflexes. rad 1 Pour W. James, les causes gé
x et Natrium lodatum en dedans. Sous l'influence de ce traitement l' état du malade ne s'améliora pas, bien au contraire,
et CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA CACATONIE. 409 d'espérer que leur état s'améliorera. Nous nous en félicitons d'autant
élancolie qui ne fut évidemment pas sans influer fâcheusement sur l' état physique. En mai 1903, à l'arrivée dans le serv
race d'idée délirante, mais elle déclare ne rien com- prendre à son état habituel. Le lendemain cet état habituel a repa
déclare ne rien com- prendre à son état habituel. Le lendemain cet état habituel a reparu. Puis commence à s'écorcher l
occupations, d'idées tristes, et 412 ) CLINIQUE MENTALE. après un état intermédiaire de confusion mentale. (Si l'on aj
ne parente malade. Puis elle reprend son service habituel, mais son état général est altéré par suite des fatigues qu'el
interrup- 414 r CLINIQUE MENTALE. tiens) et une amélioration de l' état physique, l'activité cérébrale reparait peu à p
s, confuses. Aucun souvenir de ses impulsions vio- lentes. Puis l' état mental semble s'améliorer, et. le 6 juillet 1902.
encore démente et que l'on peut pour ainsi dire à volonté mettre en état catatonique ; ce n'est pas une hystérique. Voic
tions, elle fait un signe de tête affirmatif ou négatif. Malgré cet état n'est pas gâteuse. Ainsi nous la voyons pendant
écrit à sa famille, mais elle n'a pas la moindre conscience de son état , ne s'explique pas sa présence dans le ser- vic
dont la paralysie générale n'a pas évolué présente toujours le même état flou des papilles. Six autres malades chez lesq
tandis que la gauche était normale ; Onze malades présentaient l' état flou des deux papilles, la droite seule était a
e M. 7.aniétosl;y, noter très exactement la moindre exacerbation, l' état latent momentané des phénomènes morbides, l'ins
termine presque toujours; pour les autres régions, cela dépend de l' état de l'excitabilité réflexe et non seulement selon
de Reinliold (Deutscbe Zeitschr. f. Kervenbeitk. X. 1897). Dans l' état actuel de nos connaissances il est impossible d'a
potasse à 0,25 ou 1 p. 100 : on atténue par l'acide sulfurique à l' état naissant. Enfin, on lave rapidement à l'eau, on
s muscles des extrémités du tronc, du cou, de la face présentent un état de tension très marqué. La physionomie a l'aspe
signes objectifs des troubles de la sensibilité suggérés pendant l' état hypnotique, par W.-M. Bechterew et 1'. N.ui- HO
1e suggérées sur la respiration et le pouls avant, pendant, après l' état hypnotique : effet sur la courbe respiratoire e
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 437 Pupille.- A l' état de veille les pupilles se dilatent sous l'influen
-de l'épingle pour que ses pupilles se dilatent. La suggestion d'un état d'hypéresthésie ne présente pas de phénomènes d
e ne présente pas de phénomènes différents de ceux qui ont lieu à l' état de veille. Il est difficile chez les personnes
me des ondes respiratoires est diminuée ; quand le sujet passe de l' état de veille à l'état hyp- notique, il fait quelqu
atoires est diminuée ; quand le sujet passe de l'état de veille à l' état hyp- notique, il fait quelques excursions respi
de la respiration et du pouls, tandis que ces fonctions offrent à l' état de veille, dans les mêmes conditions, des oscil
ème circulatoire réagit aussi notablement moins alors que pendant l' état de veille, tandis que si l'on suggère l'hypéres
granuleux. II. Homme de trente et un ans, atteint de paralysie : état ma- niaque avec idées de persécution, alcoolism
lisse; reins granuleux. R. de Musgrave-Claï. XXXIX. Sur quelques états de la moelle dans les anémies graves, par ARCII
dix REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. iI fois un état de dégénérescence de la moelle, sur lequel dans d
ères à souffrir les altérations dont il s'agit se traduisent par un état de sclérose. La preuve que l'anémie est le fact
- nicieuse classique, mais qu'elles se rencontrent aussi dans les états cachectiques de longue durée dans la genèse desqu
dinairement obscurs, et souvent masqués aux yeux du praticien par l' état général grave sur lequel ils se greffent. Dans
n de volume des muscles ne dépasse pas le degré qui concorde avec l' état d'émaciation des anémiques, ordinairement aussi
uentes. La durée de ces troubles dépend naturellement de celle de l' état anémique qui les a provoqués. L'auteur termine
servations sur le traitement, qui doit être surtout dirigé contre l' état du sang, et il relate six observations intéress
que l'on ait observé chez ce malade est un sommeil persisatnt. Cet état de somnolence fut constaté pour la première foi
le génératrice de la neurasthénie sans s'occuper en même temps de l' état général, et que, d'autre part, le résultat n'es
n'est pas plus satisfaisant si l'on se préoccupe exclusivement de l' état nerveux sans soigner simultanément les causes acc
MENTALE. 443. que la castration a été proposée pour remédier à cet état de cho- ses, et que cette proposition n'est pas
cas, sans phénomènes moteurs bien accusés et qui n'aboutit pas à un état démentiel aussi grave que les autres variétés d
; par une certaine lucidité : le sujet a quelque conscience de son état mor- bide et, si, sous l'influence des rêves du
xcellente. P. Keraval. IV. Contribution à l'analyse clinique de l' état de négation (négativisme) chez les aliénés; par
H. Lcnuosc. Cecttral6l. f. Nervenlieith. XXV. N. F. XIII, 1902. L' état de négativisme n'est certainement pas un symptôme
ements du REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 445 tout comme en certains états de stupeur où coexiste le syndrome du négativis
é mentale d'exécuter un mouvement voulu ou demandé est le fond de l' état de négativisme de certains cata- toniques. Ob
réotypée de raideur qui s'accroît encore lorsqu'on la manipule. Cet état de mutisme, de négation, de stéréotypie us-a-vi
obéit pas à sa volonté. On aurait donc grand tort de croire que l' état de négation suppose invariablement que les mala
resque toujours déjà disparu; mais son existence est attestée par l' état de la peau qui Teste dénudée après l'exfoliatio
urones, par l'intermédiaire du reti- culum péricellulaire, entre un état de vibration associée ou corres- pondante, le r
ent les plus usités à Meerenberg contre les psychoses aiguës et les états d'agitation sont l'alitement et les ba5as prolo
d'idées, il nous a appris a utiliser la sug- gestion pratiquée à l' état de veille, en tant que gymnastique rationnelle,
alade, est un excel- lent moyen d'observation de son délire, de son état mental réel. On n'a plus à compter alors avec l
te que de la fatigue de l'organe vocal, soit, au con- traire, qu'un état émotionnel transitoire plus profond, une excita
ment des repas et aussi la nuit dans l'insomnie qui résulte de leur état maladif. Ces états sont, en général, aigus et
ssi la nuit dans l'insomnie qui résulte de leur état maladif. Ces états sont, en général, aigus et, par conséquent, dur
sionomie, leur gesticu- lation désordonnée sont plutôt le fait d'un état d'excitation psycho-motrice connexe que les cor
e, je le ? tiens. Voleurs, assassins. » Dans d'autres cas, c'est un état émotionnel intense qui provoque le monologue.
tre troublé le plus beau jour de sa vie... » Enfin l'épileptique en état de démence ou de déchéance complète monologue a
fférentes conditions psychologiques du monologue n'existent pas à l' état isolé, mais s'associent, pour le pro- duire, le
ns les plus diverses. Tel est par exemple le cas de F..., malade en état de démence alcoolique avec excitation constante
s les formes chioniques, il nous a paru se montrer surtout dans les états de démence et dans les délires systé- matisés c
es systé- matisés chroniques, mais tout particulièrement dans les états désignés sous le nom de délires systématisés seco
rien d'étonnant si l'on se rappelle que pour beaucoup d'auteurs ces états correspondent à une affec- tion chronique en ma
tout en rapport avec les délires systématiques, le décousu avec les états d'excitation générale ou de démence. Si décousu
.. on l'est malade, mais on ne le croit pas. La force physique, l' état nerveux ; l'être n'a pas d'autre chose que l'acte
t les vésanies d'accès ou un paroxysme passager au cours d'un autre état vésanique. Les monologues d'origine hallucinato
uivi ; ils indiquent alors une forme systéma- tique chronique ou un état démentiel. Ils se rapprochent alors des monolog
nt, en général, graves, et, d'autant plus graves qu'on arrive aux états d'inconscience si accentués propres aux formes ch
guës ou des périodes d'agitation. Le se- cond se rencontre dans les états chroniques, qui, contrai- rement aux premiers,
turne et dans ce cas il est le plus souvent la manifestation d'un état maniaque, d'une excitation passagère. Le mode d
maniaque et chez le persécuté. Le premier soliloque en vertu de son état d'excitation générale, le second sous le coup d
alité de ses hallucinations et leur localisation unilatérale. Cet état anxieux, avec son éclosion peu après la méno- p
ttention qu'il fixe et dérive à son profil, en engendrant ainsi cet état de distraction qui porte atteinle à l'intégrité
rvenue, et, s'emparant du phénomène primordial, resté jusque là à l' état rudimentaire en a fait la conception délirante
lumière par le professeur Joffroy : la prédisposition : « C'est l' état llallucinogénique du sujet et non la lésion céréb
mmédiatement que la malade de Pick est une aliénée chronique dont l' état hallucinatoire remonte probablement à une date
bles de l'observation sont l'abaissement de la pression sanguine, l' état à peu près sain des reins et l'absence de toute
à peu près sain des reins et l'absence de toute arlério-sclérose. L' état du foie serait de nature à faire penser à l'alc
e céré- brale et insiste sur l'utilité de soigner attentivement les états pathologiques capables de lui donner naissance.
maintient de la façon la plus naturelle aussi longtemps que dure l' état de distraction. (Revue neurologique, février 1901
nt le pouvoir excito-muteur de^ cornes antérieures, déter- minent l' état spasmodique des paraplégies d'évolution progres-
beaucoup d'épileptiques, des paralytiques généraux, des ivrognes en état de démence, épuisés 'par de longues années d'al
années d'alcoolisme, des imbéciles et des idiots, des maniaques en état de récidive, des fous circulai ! es, des sujets
rmerie ; il y a près de 400 épi- leptiqii( ? répartis, suivant leur état , entre l'infirmerie et les quartier.- ordinaire
et même d'homicide sont réduits à leur minimum. Si l'on com- pare l' état actuel à l'étal ancien, le calme des salles et de
un sommeil réparateur leurs journées deviennent meilleures, et leur état mental et physi- ASILES D'ALIÉNÉS. 521 que va
és guéris et aux aliénés au début de leur maladie men- tale, dont l' état permet, ne fût-ce que temporairement, le place-
médecin de la cour de justice, on y place aussi les inculpés dont l' état mental a besoin d'être étudié. La salle a la form
co-légal, les élèves trouvent là une oc- ccasion rare d'apprécier l' état mental et la responsabilité des in- culpés, sus
ont été nuls. Il. DE IUSGRAVE-CL.1Y. VU. Les mesures prises par l' état à l'égard des aliénés; par L.-J. Morton (The Ve
t bien d'une lésion organique. Cette femme était donc atteinte d'un état organique qu'étaient venus compliquer transitoi-
r.r.I>; et DESCf,U ? avec leur méthode spéciale, ont exa- miné l' état de la musculature oculaire de trois tabétiques. L
le traitement thyroïdien qui amena une amélioration sen- sible de l' état mental. Les états oedémateux fréquents chez les d
roïdien qui amena une amélioration sen- sible de l'état mental. Les états oedémateux fréquents chez les dé- ment* ! préco
(ancien chef de clinique médicale à la Faculté de Lille). Parmi les états pathologiques d'observation courante, il en est
ves, le désir de recom- mencer. Par la répétition, l'acte passe à l' état d habitude ; le be- soin de l'exécuter devient
e llruxelles. 2 jmllet 1900. La chorée mentale des enfants est un état psychique sur lequel on n'a pas jusqu'ici suffi
de l'attention et de la volition, et greffée le plus souvent sur un état d'insuffisance psy- chique peu prononcé. L'in
un état d'insuffisance psy- chique peu prononcé. L'intérêt de cet état mental cou iste surtout dans l'efficacité du tr
ice du quartier du Pout-de-1'iandre, prévenu par des voisins, que l' état de surex- citation de leur co-locataire avait i
Voir Pavillon d'isolement. Contribution à l'analyse clinique de l' état de négation (négntiusme) chez les aliéné», pa
5. Ppi1\1.lTIQt'ES généraux. Nouvelle contribution à l'étude de l' état du fond de l'oeil chez les -. Atro- phie papi
eur méctullane, par Ravmond et Cestan, 519. Parkinson. Noie sur l' état des ré- flexes tendineux et des réactions éle
on, par Huet et Alquier,7S. 552 TABLE DES MATIÈRES. Parricides. L' état mental des -, par Asselin, 8,ï. En(ant-, 38f
é. Les signes objectifs des troubles de la - suggérés pen- dant l' état hypnotique, par Brclr Lerew, IE36. - Voir Troub
ance génitale. - 1'u,r Troubles utérins De la - mate- mallsrr a l' état de veille, par I)ee- ters. 3ti. - Voir Crises h
ostic du -, par Faute, 259. Voir Roentgen. TABETIQUES. Note sur l' état des fi- bres à myéline du plexus card.a- que
t, 268. - psychiques, voir Sclérose. - de la sensibilité dans les états neurasthéniques et mélancoliques, par Dubois, 2
31 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vail automatique et aux fantaisies délirantes qui caractérisent son état physique actuel. Sa pensée était toujours absen
ènes dans la suite. 0 6 CLINIQUE MENTALE. '- Au printemps 1901, l' état nerveux du ménage était précaire, celui de M. S
re- nait si bien sa défense était l'esprit de sa belle-mère. Dans l' état d'éréthisme nerveux où elle était,elle la senta
re passée au second plan disparaisse jamais tout à fait. Vision.- L' état nerveux de Cam... s'aggrava encore, elle devint
s. En par- lant de son séjour en Suisse, elle mentionnait souvent l' état nerveux grave pendant lequel elle disait avoir
ortnaturel, car, au moment de ces acquisitions, elle était en plein état de psychasthénie et dans des conditions excellent
, qu'elle avait mis de soin à nous les cacher la première fois. Son état physique est mauvais, elle ne dort pas, l'appét
in n° 2 par exemple, après une conversation banale, Cam... entre en état d'inspiration, elle ferme les yeux. Son crayon
, avec jambages allongés. L'inspiration cesse, elle revient à son état ordinaire et continue la conversation; il s'agi
le). PAR G. PAUL-BONCOUR. Dans les encéphalopathies infantiles, l' état du crâne né doit pas rester inaperçu : il n'est
tude de la craniolbgie a mis en évi- dence : la boîte cranienne à l' état normal permet au cerveau de prendre le développ
- logie « sur la morphologie crânienne dans ses rapports avec les états pathologiques du cerveau ». Nous avons présenté
expression de cet arrêt de développement. C'est la persistance d'un état cranien infantile, dont l'étrangeté tient souve
que certains caractères ne sont pas le fait de la persistance d'un état infantile : l'épaisseur des parois craniennes,
du liquide. On voit sur les Planches VIII et IX les hémisphères à l' état naturel' et après leur incision. Le crâne (fig.
de IilUSGnAVE-CLAY. II. L'épilepsie ne peut pas être causée par des états toxémiques ; par W. HAMILTON Hall. (The Journal
sus d'irritation. Le polynucléaire seul, traduit par sa présence un état congestif ou inflammatoire, car il ne peut veni
ude d'un malade ayant présenté d'abord un syndrome céré belleux à l' état de pureté, puis devenu plus complexe par suite de
émianopsie latérale homonyme. Ce phénomène se présente rarement à l' état isolé, comme dans les hémorrhagies et les ramol
e une certaine rotondité; les os sont ramollis, épaissis, il y a un état spongieux vasculaire du diploë, les sutures dis
pêche l'excitation indéfinie de la réponse efférente, laquelle, à l' état normal, ne se fera que de la manière habituelle
é mentale congénitale où l'intervention chirurgicale ait rétabli un état mental normal. D'ailleurs l'inutilité de ces opér
considérable des travées vasculo- conjonctives que l'on trouve à l' état normal entre les faisceaux nerveux. Les nerfs d
une diffé- rence et par produire ainsi l'anidéisme, c'est-à-dire un état psy- chologique très favorable à l'invasion de
à l'invasion de la suggestion. Dans la pratique, pour provoquer cet état de suggestionnabilité, je me sers d'un métronom
ujet. M. Paul MAGNIN. Il y a quelques jours, un malade tombait en état d'hypnose, dans mon cabinet, sous l'influence du
inrent deux nouveaux accès épilep- tiques ; le malade était dans un état très lourd; la température était un peu plus ha
expression vive des yeux et de la face. Dans le cours ultérieur, l' état du malade s'améliora ; les phé- nomènes névriti
a psychose de Korsakotf, le plus souvent, laisse des défauts dans l' état psychique des malades, qui concernent principal
s antirabiques, il a été amené à l'hôpital le 1. or mars de 1901 en état d'excitation très marquée, et mourut quelques h
titatives des urines nous est d'une réelle utilité pour connaître l' état du métabolisme dans l'acromé- galie ; pourtant
, ce traitement devant avoir pour but de ramener le métabolisme à l' état normal. L'opothérapie thyroï- dienne ou pituita
nrent point à l'éveiller. Le médecin constata qu'elle était dans un état cataleptique com- plet. Tous les moyens' employ
pital Lariboisière. M. Robert, a la tête affreusement brûlée et son état laisse peu d'espoir. (Radical 24 mai). ' Le c
on absence, sa malheureuse compagne, qui se ren- dait compte de son état , n'attentât à ses jours. . Comment Mme Justier
t sujet à des hallucinations. Il fut transporté à l'hôpital dans un état désespéré. (Le Matin, 18 septembre). Sous ce
à l'épaule, au bras et à l'avant-bras, ce n'est qu'à la main que l' état est demeuré à peu près iden- tique. Procédons
que montrait alors l'examen. Ce qui frappait tout d'abord c'était l' état d'amaigrissement surtout prononcé au niveau des
aler.. ; i 1 .. , L'ir. ? * I LG CLINIQUE NERVEUSE. Tel était l' état de la malade lors de son entrée à l'hôpital, ce
Tel était l'état de la malade lors de son entrée à l'hôpital, cet état s'est peu modifié pendant son séjour. Je dois pou
sisté. Ces symptômes ont été les seuls qui .soient venus modifier l' état clinique de notre malade. Si vous comparez entr
l'extension pour les symptômes locaux et avec retentissement sur l' état général : quant aux symptômes cliniques eux-mêm
l convienne de penser de cette opinion, l'existence de la lèpre à l' état endémique dans nombre de régions de l'Afrique,
adie a-t-elle été reprise simultanément par les médecins des divers états européens justement désireux de prévenir le ret
dermatologiques les plus variées, la desquamation, l'ichtyose avec état cyano- tique, la pigmentation dont la- valeur d
érieurs sont trop analogues à celles que l'on observe dans tous les états ca- chectiques, ainsi que mon collègue Déjerine
- riques,etces expériences semblent démontrer l'indépendance, à l' état normal, de ces deux groupes d'espaces ; toutefois
nes aux autres, certaines se produisant plus spécialement selon les états d'esprit ou les états de calme et d'éréthisme ner
nes se produisant plus spécialement selon les états d'esprit ou les états de calme et d'éréthisme nerveux par lesquels pa
la consonnance l'enthousiasme et l'exalte. Elle met eu stances ses états d'âme et ses impressions. Voici, par exemple, une
orgasme vénérien complet. Elle les décrit : « Deus s'annonce par un état de bien-être particu- « lier et lui fait ce qu'
- ralement appeler par Deus dans ces moments-là. Elle compare cet état à l'attente d'une mort imminente et désirée, la m
la copie et qui retrace avec beaucoup de vérité le caractère de son état psychique dans ces moments-là. Assez long- temp
observa- tion ont duré pendant toute la marche décroissante de cet état vésanique. Cette évolution a été complètement r
tions MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 137 spéciales étant l'expression de l' état de ses centres automatiques au moment où renaît
t toute cette évolution, la mémoire a suivi les fluctua- tions de l' état mental lui-même. Les souvenirs de tout ce qui s
tre ces groupes de souvenirs un peu comme l'auraient fait ceux.d'un état second, mais avec moins-de netteté et moins brus-
t on voyait les manifestations délirantes disparaître de la vie à l' état de veille et alimenter les rêves du sommeil nor
Spiritisme. - Si l'on peut appeler « tempérament média- nimique » l' état psychique qui consiste en la tendance au dédoub
e théo- mane. Bien que chez elle l'élément affectif rapproche son état mental de celui des mystiques purs, elle est auss
t la théoma- nie raisonnante. Tous les sujets atteints de semblable état ayant pu vivre de la vie extérieure normale dan
sent d'expier ses fautes par des, pratiques religieuses assidues. L' état d'incertitude sur sa personnalité qu'il ressent
arrive au sanatorium le 8 avril. Il s'y montre très inquiet de son état , il a peur de devenir fou et supplie qu'on le r
onte tout ce qui précède. Bientôt il s'améliore et à mesure que son état se rapproche de la normale, il oublie son ancie
e spirite n'a été qu'un épisode établissant la transition entre son état de névrose antérieur, caractérisé ho CLINIQUE M
point en solution dans le plasma vivant; il existe dans le sang à l' état latent; il adhère aux éléments cellulaires du san
ne et son introduction dans le sang sont de faible quantité, on a l' état de mal épileptique et les attaques d'épi- lepsi
dino) en ont éprouvé des effets favorables. , P. Kehaval. XXIX. L' état actuel de l'anatomie pathologique du système ne
naît pas de dégénérescence graisseuse de la cel- lule nerveuse. Les états dits de tuméfaction trouble ne se voient ni dan
mal par les vibrations n'exerce pas d'influence essentielle sur son état général, ni sur le tonus muscu- laiie. Malgré l
, ou narcose, au sens étendu de ce mot, peut être regardée comme un état d'éréthisme original, persévérant et sta- hle,
ar des éréthismes d'autre source, tandis que la parabiose serait un état plus ou moins durable d'inhibition qui possède
es. Ce n'est pas un réflexe mécanique. Il existe constant. ment à l' état normal et échappe à l'influence mentale du sujet.
sions se trouvent inscrites sur le ruban sans fin de l'appareil à l' état de courbes dont l'examen et la comparaison fourni
rès difficile, et cependant important pour l'expert, de connaître l' état psychique antérieur du blessé, les fa- milles i
UNIÉ rapporte l'observation d'une malade qui, sous l'influence d'un état hypocondriaque et à l'occasion de trou- bles de
la préoccu- pation continuelle qu'éprouve la malade au sujet de son état phy- sique, ces mouvements par obsession ont un
ain retentissement en exagérant les troubles de la sensibilité et l' état hypocondriaque. Ainsi sont nées des idées de su
cette observation plusieurs points sont à noter : 1° La genèse de l' état obsédant : dans ce cas il s'agit d'une obsessio
l'obsession s'est présentée sous une forme continue, traduisant un état aboulique très prononcé. Partant, cet état ne p
continue, traduisant un état aboulique très prononcé. Partant, cet état ne paraît pas susceptible de rétro- céder ; ,
de rétro- céder ; , 2° L'influence exercée par l'obsession sur l' état mental : l'idée de suicide et les idées de néga
nts ne cessent point. Le début aigu de la maladie, son évolution, l' état du malade, tout cela ne laisse aucun doute que no
autant, qu'il ne pouvait marcher qu'avec l'aide d'nn bâton. Dans l' état psychique du malade on ne remarquait aucun change
hoïde, la pyohé- mie, etc., et au début de la maladie on observe un état de con- fusion mentale. Un état stable et unifo
u début de la maladie on observe un état de con- fusion mentale. Un état stable et uniforme avec oubli et fausses rémini
e reste plus ou moins régulière. Dans les formes plus graves et les états plus lourds les fausses réminiscences portent par
psychose de IORSAKOFF est absolument nécessaire la coexistence d'un état psy- chique particulier (amnésie avec fausses r
ulier (amnésie avec fausses réminiscences ou sans ces dernières, un état psychique comparativement vif) avec des phéno-
es Sociétés d'abstinence ou de tempérance afin qu'ils subissent à l' état de veille et d'une manière continue, l'influenc
urs une origine psychique ; aussi convient-il d'étudier avec soin l' état psychique de chaque malade, pour combattre effi
le s'adressait à un individu profondément hypnotisé. Suggestion à l' état de veille et suggestion hypnotique. M. BOURDON
suggestion hypnotique. M. BOURDON (de Méru). - Si la suggestion à l' état de veille est efficace, il n'en résulte pas que
lin. Ce sthénomètre donnera d'utiles renseignements dans les divers états morbides et il guidera le praticien dans ses pr
oeuvre d'orthopédie suggestive. L'hypnotisme et la suggestion à l' état de veille. . M. Paul Magniez Les fanatiques de
at de veille. . M. Paul Magniez Les fanatiques de la suggestion à l' état de veille proclament la supériorité de cette de
nos suggestions ne sont point subies passivement mais acceptées à l' état de veille, préalablement à toute manoeuvre hypn
ontrôle persistant qui met obstacle à la guérison du malade. Si à l' état normal l'impressionnabilité (ou suggestion- nab
lité) est représentée par 1 et la résistance par 2, dans cer- tains états pathologiques l'impressionnabilité tend vers zéro
de suggestibilité ; et aucun isolement, aucune psycho- thérapie à l' état de veille ne sauraient influencer le malade. Mais
n'ont retiré de l'isolement que, quelquefois, l'aggravation de leur état . Ils viennent nous trouver pour être hypnotisés à
teur. Quant à ceux qui prônent les résultats qu'ils ont obtenus à l' état de veille, ils ont fait de l'hypnotisme sans le
e bizarre prescription guérissent par auto-suggestion en vertu de l' état d'attente et de croyance, de la faith healing, en
sur ses yeux et rencontrant ses propres regards le mettent dans un état de trouble intense. - La conséquence naturell
rd. Celle-ci représente, en somme, une peur morbide, greffée sur un état mental de timidité, à la façon de la phobie de
. - Sous le nom de démences vésaniques, on désigne généralement les états d'affaiblissement permanent, progressif et défi
, de même que, sous le nom de démences névro- siques, on réunit les états démentiels qui succèdent à l'épilepsie, à la ch
offrant néanmoins certains caractères particuliers. A sa période d' état , la maladie s'affirme par un affaiblissement cara
lles , auquel se surajoutent , dans la grande majorité des cas, des états de dépression, d'excitation, de confusion, de s
des caractères spéciaux qui le différencient nette- ment des autres états démentiels. Le premier de ces caractères est d'
ui seul la condition nécessaire et suffisante. Lorsqu'il existe à l' état isolé pendant tout le cours de l'affection, san
roubles psychiques variés : conceptions délirantes, hallucinations, états d'excitation, de dépression et de stupeur que n
OCIÉTÉS SAVANTES. phrénie et surtout dans la démence paranoïde, les états d'excita- tion, de dépression ou de stupeur peu
, ces malades diffèrent totalement de celles qui sont réellement en état de dépression ou de stupeur, parce que, à l'enc
série des extra- vagances signalées plus haut. Leurs compagnes en état de stupeur, gardent, au contraire, invariableme
Insensibles à toutes les excitations extérieures, les malades en état de stupeur voient, entendent, comprennent, et cep
sage, comme dans les cas d'abo- lition du sens stéréognostique. Cet état d'indifférence et d'incurio- sité de la main né
automatique persiste, la psyt : ho-7-éflectitité est absente. Ces états de stupeur, comme ceux d'excitation décrits plus
onstaté une exagé- ration des réflexes tendineux chez les sujets en état de stupeur ou de demi-stupeur. Par contre, les
e dans la forme paranoïde. Ils appartiennent surtout à la période d' état de la mala- die et diminuent en nombre et en in
le même, une significa- tion absolue, qu'on l'observe dans tous les états démentiels et même dans beaucoup de psychoses.
, militent encore les accès fébriles, les crises con- vulsives, les états cataleptoïdes, etc., et, dans le même ordre d'i
les états cataleptoïdes, etc., et, dans le même ordre d'idées, les états de confusion, d'engourdissement, de torpeur, d'
Pour cela, nous examinerons séparément les trois grands groupes d' états démentiels consécutifs : 1° aux folies généralisé
me des entités morbides et que, par ces mots, on désigne de simples états syndromiques pouvant tou- jours être rattachés
S SAVANTES. des processus organiques d'involution sénile et que les états mé- lancoliques observés pendant la jeunesse ou
ncoliques. Y a-t-il lieu de conserver les démences consécutives aux états dits dégénératifs décrits sous le nom de délire
. ? De l'avis de tous les auteurs, la terminaison habituelle de ces états serait la guérison. Nous n'y contredirons pas,
on méconnaît ordinairement, du reste, les liens de parenté que l' état démentiel éclate à tous les yeux; ou bien les acc
çon catégorique, ces auteurs hésitent cependant à faire rentrer les états d'affaiblissement intellectuel consécutifs aux dé
nce de loca- lisation des lésions respectives de ces deux groupes d' états démen- tiels. D'après cette théorie, « les dé
démence précoce, simple, non délirante, est une forme fruste où les états obsédants et impulsifs semblent remplacer les h
éflexes tendineux, diminution de réflexes cutanés, variabilité de l' état moyen de la pupille. Il faut mentionner encore
ndant cinq mois, n'a apporté que d'insignifiantes modifications a l' état mental. Les guérisons signalées résultent proba
e des élé- ments de l'esprit avec vie autonome de ces éléments. Les états de confusion que l'on voit survenir au cours de
tentation ; les centres hypniques et tonostatiques régulateurs de l' état du som- meil, de la tonicité générale et des ré
servation d'une femme de trente-six ans avec double ptosis, myosis, état somnolent parti- culier. Le neuvième jour, accé
Les amputations de régénérations influent, mais influent peu sur l' état de la moelle ; elles n'arrêtent guère la réparati
apprécier par un chiffre le degré d'acuité sensible. Pour mesurer l' état de la sensibilité profonde, il est le plus simp
de Bruxelles. Les phénomènes d'habitude extrê- mement fréquents à l' état physiologique le sont plus encore à l'état path
- mement fréquents à l'état physiologique le sont plus encore à l' état pathologique. Si le système nerveux normal se lai
de.la cornée est ressentie, en tant que piqûre (ce qui constitue l' état normal) dans 75 à 80 p. 100 des cas. Dans d'autre
aliéné qui a com- mis un crime ou un délit sous l'influence de son état mental et qui, pour ce motif, a été reconnu irr
'aliéné dangereux difficile, vicieux, dépravé, est un aliéné dont l' état mental fait courir aux aliénés avec lesquels il e
octeur Raoul Leroy, le médecin en chef de Gaillon, un mémoire sur l' état pré- sent de Gaillon et sur son utilisation éve
su- jets chez lesquels il y a superposition pour ainsi dire de deux états , l'un morbide, l'autre criminel, il existe une
uellement considéré comme un facteur banal. Après avoir rappelé l' état de nos connaissances actuelles sur les réflexes
se rencontrant dans un grand nombre d'autres affections et même à l' état normal, constitue un facteur banal peu propre à
dans un grand nombre d'affections toxiques infectieuses et même à l' état normal ne lui permet cependant pas d'avoir une
antaire combiné. Ces réflexes étant d'une constance remarquable à l' état normal leur abolition présente une importance t
tant plus intéressants qu'ils sont conscients de la gravité de leur état et aussi qu'ils ne présentent pas encore de tro
con- sistent dans des malformations, des troubles intellectuels, un état de déséquilibration particulier. Stigmates ph
téressant de constater que les enfants indociles et insociables à l' état de veille, deviennent immédiatement malléables
médiatement malléables et éducables, dès qu'ils sont plongés dans l' état d'hypnotisme. Pour Magnan, les impulsions irrés
Pour Magnan, les impulsions irrésistibles ont leur cause dans un état de déséquilibration de l'axe encéphalo-médullaire
un mot, faire le diagnostic de la suggestibi- lité ; 2° Provoquer l' état d'hypnotisme, ou tout au moins un état de passi
stibi- lité ; 2° Provoquer l'état d'hypnotisme, ou tout au moins un état de passivité qui s'en rapproche ; 3° Le sujet é
un état de passivité qui s'en rapproche ; 3° Le sujet étant dans l' état d'hyp- . SOCIÉTÉS SAVANTES. 267 nose, lui imp
n véritable phlegmon suppuré de l'orbite, reste le plus souvent à l' état d'in- flammation plastique, cliniquement caract
e d'irriter violemment les filets nerveux, nous le trouvons ici à l' état de phénomène saillant, chez des neurasthé- 270
ez grand nombre de malades atteints de psychoses dépressives ou d' états délirants ou confus, ils ont constaté la présence
ent établie ; comme dans les psychoses post-opératoires fébriles, l' état infectieux grave constitue la vraie maladie ; le
gaiement, n'est pas douteuse ; elle a sa raison d'être dans un même état mental ; les mêmes principes de discipline psyc
sujet cherche à atténuer. L'acte moteur passe, par répétition, à l' état d'habitude, et continue à se produire, alors mê
le entraine sont, comme la fièvre, des conséquences parallèles d'un état géné- ral infectieux dont il faudra préciser, u
térieurement, la nature et l'origine. Contribution à l'étude de l' état du fond de l'oeil dans la paralysie générale. (
Contribution à l'étude du diagnostic et du traitement de quelques états vertigineux. Le Dr RoYET. Le diagnostic de la c
ues états vertigineux. Le Dr RoYET. Le diagnostic de la cause des états vertigineux et de certains troubles de l'équili
ut que de ce moyen résulte un procédé pratique de traitement. Les états vertigineux qui proviennent de troubles de'l'orei
erches anatomiques et cliniques j'ai reconnu que, très souvent, les états vertigineux sont sous la dépendance d'une lésio
n de ces lésions amène la dispari- tion, en général immédiate, de l' état vertigineux. Il y a donc là un moyen précieux d
récieux de diagnostic et de traitement d'une catégorie importante d' états vertigineux. D'autre part, dans plusieurs cas,
e crois qu'on ne peut juger avec certitude de l'origine réelle d'un état vertigineux et de sa signification sans tenir c
des Phtisiques. Elude analomo-clinique. M. E. DUPRÉ. (de Paris). L' état mental des tuberculeux a déjà fait l'objet d'ét
ongrès l'histoire d'un cas dans lequel l'observation- clinique de l' état mental ayant été suivie de l'étude histologique
et des explications quelconques relatives à ses malaises, etc. Cet état d'illusionisme euphorique se marque, comme on le
r le péni- ble contraste qui existe entre les manifestations de cet état mental et la douloureuse réalité des choses. Le
et sous cette forme chez les tuberculeux qui n'ont pas pré- senté d' état mental particulier (Nissl.) Cet état mental, d'
x qui n'ont pas pré- senté d'état mental particulier (Nissl.) Cet état mental, d'ordre démentiel, se rapproche par ses c
et rapidement croissantes du poison. Cette analogie, entre ces deux états psycho- pathiques démentiels subaigus chez des
te parce qu'elle établit claire- ment le substratum anatomique de l' état mental si spécial de cer- tains phtisiques dans
catégorie d'enfants, créations qui ne sont encore en France qu'à l' état de projet lointain, malgré la vigoureuse campag
t Régis ne croient pas à cette origine exclusi- vement sexuelle des états obsédants. D'ailleurs, les faits par eux observ
e d'assez nombreux excès sans jamais varier le procédé. Vite, son état nerveux habituel s'accrut dans de grandes pro-
i produit le mal. Nos trois observations ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES. 305 démontrent que cette dernièr
Sur les associations psychiques obsédantes de contraste dans les états mélancoliques. Par le D' SERGE SOUKHANOFF, Pr
, s'exprimant par l'apparition chez un individu donné de différents états psychiques obsédants (idées, représentations, d
-obsessive. Lorsque l'on observe chez le malade une aggravation des états psychi- ques obsédants, lorsqu'ils sont abondan
que chose, alors nous aurons devant nous un cas de psychose, où les états psychiques obsédants font l'essentiel de la mal
nts et où on ne peut parler d'aucun autre trouble mental. Outre les états obsédants essentiels, exis- tent des idées et d
titution idéo-obsessive est très portée à se combiner avec certains états psychopathiques ou nombreux, il est vrai; chez
opathiques ou nombreux, il est vrai; chez les personnes souffrant d' états psychopathiques obsédants se rencontre souvent
e génie, c'est-à-dire dans la mélancolie ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES. 307 avec états psychiques obsess
lancolie ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES. 307 avec états psychiques obsessifs, on pouvait noter dans l'a
n que nous avons en vue, favorise la manifestation plus marquée des états psychiques obsédants ; parfois il arrive d'obse
; parfois il arrive d'observer une com- binaison particulière de l' état mélancolique très accusé avec la constitution i
s étaient plus courts. Dans les intervalles entre les périodes de l' état maniaque, parfois d'assez longue durée, le mala
niaque, parfois d'assez longue durée, le malade se trouvait dans un état de légère dépression. Il se plaignait ordinaireme
xuelle et parfois de pollutions fréquentes. L'une des périodes de l' état dépressif s'était manifestée dans une forme très
y avait même trouble de conscience ; le malade se trouvait dans un état de peur et d'inquiétude. Lorsque la conscience
nt il tâchait de retenir ses excréments, ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES. 309 quoi qu'il comprenait que to
s. Premièrement, chez notre malade on doit noter l'existence d'un état de dépression, se combinant avec une masse de r
llucinations, par exemple auditives qui étaient en liaison avec son état mélancolique. Si dans ce cas il aurait eu des h
ces associa- tions psychiques obsédantes ; d'après notre avis, les états psychiques obsédants se développent sur le terr
es derniers ont surnagé et se sont développés sous l'influence de l' état mélancolique, qui, relativement à ces processus
apparaît comme moment provocateur. Il est intéressant que dans les états maniaques que le malade a supporté il n'y avait
'idées obsessives, ni des représentations obsédantes; évidemment, l' état d'excitation avec le cours exagéré des idées in
'état d'excitation avec le cours exagéré des idées influait sur les états obsé- dants d'une manière dépressive. Dans le
très instructive pour l'investigation de ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES. 311 la question abordée par nous
avoir, des associations psychiques obsédantes de contraste dans les états mélanco- liques. Bien des malades, chez qui on
la manifestation des associations obsédantes (de contraste) dans l' état mélanco- lique. Et dans d'autres cas, s'y rap
es cas, s'y rapportant, c'est-à-dire, là, où nous constatons dans l' état mélancolique des associations psychiques obséda
ctère scrupulo-inquiet, c'est-à-dire, dans l'existence chez eux des états obsédants rudimentaires. Sans doute, chez les m
mettons de faire les conclusions suivantes : 1. Dans certains cas d' états mélancoliques on observe des associations obséd
ymp- tôme complexus s'observe dans la mélancolie récidivante avec états psychiques obsédants. 2. Dans les cas où existe
la constitution idéo-obsessive. 3. Parfois dans la coexistence de l' état mélancolique et des associations psychiques obs
e et des fantômes se précipitent sur elle et l'étranglent. Dans cet état , la malade gémit, pousse des cris d'effroi, se so
et que j'ai décrits, se reproduisent. Il est impossible, dans cet état , de faire une suggestion quelconque à la malade :
on des yeux, on arrête sa vie tant physique que psychique. Dans cet état elle n'obéit à aucune sugges- tion, ou, si elle
acile, on obtient alors toutes les réactions qu'on obtient dans cet état , mais il est un point très important pour ce qu
'entourent, continue à obéir aux suggestions ; il ne retourne à son état normal que si on le réveille et alors il ne gar
rêves ne sont que le résultat de cette, absence de perception. A l' état normal, la sensation de bien-être est déterminé
ant qu'elle ne dort pas.. Il n'y a qu'une chose qui différencie son état de pseudo-veille de son pseudo-sommeil c'est, d
es yeux ouverts, dans l'autre, les yeux fermés ; mais dans ces deux états les trou- bles qu'elle présente sont identiques
eil, il y a un engourdissement des centres corticaux et c'est à cet état que il. Sollier a donné le nom de vigilambulism
ur se soustraire à ces cau- ses de mort. Elle ne peut sortir de cet état qu'en ouvrantles yeux, elle a alors la preuve v
mps mis à l'exécution de ce mouvement est beaucoup plus long qu'à l' état normal. De plus ce membre se raidit d'une façon
malade. De même lorsque le membre fléchit ou mieux revient à son état de repos, la flaccidité musculaire est exagérée e
e chose pour les paupières. Ouvertes elles sont maintenues dans cet état par un vérita- ble spasme au point que la malad
phénomène qui tient bien plutôt à la modification du tonus qu'à un état psychique spécial caractéristique du somnambuli
étroite des troubles de la sensibilité, troubles qui déterminent un état spécial, état de défiscience psychique et somat
oubles de la sensibilité, troubles qui déterminent un état spécial, état de défiscience psychique et somatique qui ne pe
hystérie, il peut être provo- qué plus facilement que dans d'autres états par suite de l'ins- 318 ' RECUEIL D'E FAITS.
tabilité psychique de ces malades, mais il n'en est pas moins un état différent de l'hystérie, et n'a avec elle aucune
ni des rêves liés au sommeil normal, mais des manifestations d'un état psychique spécial créé de toute pièce par l'anes-
e du parallélisme moderne, c'est-à-dire de la théorie qui dit que l' état physique n'est qu'une manifestation de l'état p
théorie qui dit que l'état physique n'est qu'une manifestation de l' état psychique, que ce dernier seul possède les cara
, 1901.). Long travail dans lequel l'auteur étudie successivement l' état normal et les affections dans lesquelles on ren
attaque, la pression du sang tombe dans le cerveau, celui-ci est en état d'anémie tandis que l'excitabilité de l'écorce
s mouvements convulsifs plus ou moins permanents que dans celui des états paroxystiques de nature hys- térique, qui sont
ystérie. Il faut, par suite, toujours rechercher, en pareils cas, l' état de la sensibilité, des organes des sens, des ré
ivants : début rapide ou soudain, parfois consécutif à tels ou tels états hystériques, ou émotifs; invariabilité du type; r
ement foetal (figure à l'appui). P. KERAVAL.. Lit. Influence de l' état mental des parents sur là formation du sexe de
conçues au moment où le protoplasma de leurs parents se trouvait en état d'effort, où il était stimulé par la pénurie des
our le cheval suffisantes pour provoquer dans le système nerveux un état de tension et d'excitomotricité qui fait concev
que interne. Et celle exagération de l'auto- activité mentale est l' état du système nerveux qui constitue la con- dition
lon les différents individus, au prorata des particularités de leur état mental et des conditions de leur existence ordi
zrénié psichiatrii, VIII, 1903). Expériences propres à déterminer l' état du développement des ramifications terminales d
leptique et assez souvent aussi chez l'hystérique, il se produit un état mental particulier pendant lequel, tout en restan
e ne lui soit- de rien, il éprouve une sensation bizarre vague. Cet état est dû à la déchéance de ce sentiment de la péné-
la pénétration consciente. (le trouble d'emblée produit parfois un état d'angoisse assez fort. M. Pick a retrouvé cet a
e la marche de côté vers le côté sain est défectueuse. Supposons un état spasmodique de l'extrémité droite, l'hémiplé- g
e tour de la périphérie du corps de la cellule et des dendrites à l' état de larges raies noires, dépourvues de détails p
eur émotive, devenue une obsession pour le sujet, avait engendré un état syn- revue d'anatomie ET DE physiologie patholo
re des symptômes d'exci- tation cérébrale. P. Keraval. XXXVI. Les états d'obnubilation psychique des hystériques et leur
de l'idéation. ' , Le mécanisme en est du reste différent. Dans les états d'ob1w- bilation crépusculaire des hystériques,
e est la suite ou l'escorte de certaines pertubations mentales de l' état hystérique dont la nature est pour nous tout au
nique. Ici pas de trouble de la conscience, pas de sommation, pas d' état crépusculaire; les réponses absurdes sont extra
osition de la pupille entière sont l'expression de la combinaison d' états d'excitation, de parésie ou de paralysie des di
. Sans hypnose ni délire, les malades passent sans transitions de l' état convulsif à l'état normal. M. II. \11V. Sur un
élire, les malades passent sans transitions de l'état convulsif à l' état normal. M. II. \11V. Sur un cas de paramioclonu
éditaire, et, tout en étant modérément douée, sem- blant jouir d'un état mental normal jusqu'alors. L'âge constitue une
graduellement en un ou deux jours. Calme, luci- dité, souvenir de l' état morbide antérieur. Dans l'appendice, l'auteur c
tai de nouveau le même malade. Un changement remar- quable dans son état est résulté de l'administration d'extrait pan-
ussi enfantine, est devenue rude et d'une tonalité basse. On voit l' état du malade avant et après le traitement,'sur les
ministration d'un extrait glycériné de pancréas. Je crois que cet état est une entité clinique distincte, une nouvelle m
et par laquelle elle peut être guérie. Comme je l'ai déjà dit, cet état est tout à fait distinct du crétinisme sporadiq
ou sans délire de Requin. Il peut, 'en effet, procéder tantôt d'un état dépressif délirant asso- cié, tantôt d'une dépr
t en toute hâte à l'hôpital Tenon où il fut admis d'urgence dans un état désespéré. (Le Journal). Evadé d'un hospice. Un
ise, d'où il a été dirigé sur le Dépôt. Quant à Mme Baumain, dont l' état est grave, elle a été transportée à l'hôpital T
NS THÉRAPEUTIQUES. 377 Î Mettre l'épileptique, ou le prédisposé, en état de se mieux connaître d'apprécier lui-même son
ïde, suspendent l'épilepsie pendant leurs phases d'as- cension et d' état , on oublie que la castration ovarique, qui supp
à tel point que, en janvier 900, un ami de la famille m'écrit : « l' état de la malade a empiré, « elle devient méchante,
abord, assez difficile à remplir; comment, en effet, modérer, en l' état actuel de nos connais- sances, la fonction du c
nes dans la partie avoisinant la papille. La malade ne peut, vu son état intellectuel rien prendre de la main et l'on es
n seulement on comprend qu'elle se sent le besoin d'uriner. , Cet état a duré-pendant six jours, puis les symptômes se s
oté une tendance irrésistible au rire (abstraction faite des autres états pathologiques de 1 encéphale qui peuvent présen
si : « La gaieté et le bavardage du malade font l'impres- sion d'un état pathologique. Cependant le rire continuel et ex
c idées de persécution basées sur des hallucinations de l'ouïe. Son état ne.s'améliore pas, toujjurs triste, taciturne, in
, malpropre, sans être cependant gâteux, il finit par tomber dans l' état démentiel où il se trouve actuellement. En 18
ile, D. B... n'était pas méry- cole, ses dents étaient en excellent état , les digestions paraissaient s'accomplir normal
nous en assurer par des recherches spéciales. Quoi qu'il en soit, l' état général est bon. D. B... ne souffre pas de son
chez bon nombre de mérycoles, le système dentaire était en mauvais état ; de nombreuses dents étaient gâtées, il manquait
uite d'indigestions dues à leur voracité, favorisées par le mauvais état de leur appareil dentaire. Le phénomène se mont
relief, qu'ils sont drôles, étranges, etc. Janet qui a fait de ces états une étude particulière prétend qu'ils sont dus
uchant la différenciation des diverses maladies qui déterminent les états d'idiotie. On connaît bien, grâce à l'observati
t pas de même au point de vue de la description clinique des autres états d'idiotie. Au point de vue anatomo-pathologique
t C¡OENAI5. (Journ. de Neurologie, 1902, n° 14.) De l'examen de l' état du réflexe du fascia lata dans 12 cas de lésion
Au moment où le réveil se produit, le sujet passe brusquement de l' état de personnalité où il était au moment où il s'est
dont chaque élément conserve une indépendance relative, tant à l' état normal qu'à l'état pathologique. G. DENY. REVUE
ent conserve une indépendance relative, tant à l'état normal qu'à l' état pathologique. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE MENT
er et d'une tristesse excessive, » ou bien elle peut apparaître à l' état fruste. Etat de peur, irritabilité, indécision,
émotif a été longuement analysé dans les processus psychiques des états dégénératifs. Il est étudié successivement chez l
jets qu'on a appelé dégénérés supérieurs. en donnant le nom à ces états émotifs de stigmates de dégénérescence. Mais c'es
ec de simples dégénérés. Pour le moment on ne peut guère ranger ces états émotifs que parmi les psychopathies qui ne relè
nt d'halluci- nations sensorielles en d'autres organes au moins à l' état épisodi- que. Les malades de ce genre, le plus
r ou guérir. P. Keraval. XIV. Troubles de la sensibilité dans les états neurasthéniques et r mélancoliques; par M. DUBO
-patholo- gique autonome; par le Dr SOUHI1ANOF. L'auteur décrit l' état mental des sujets obsédés. Il étudie les rappor
rit l'état mental des sujets obsédés. Il étudie les rapports de cet état morbide avec les délires et avec le syndrome ne
c coprolalie. L'Ano% n'est pas une espèce clinique; il comprend des états d'excitation divers avec tendances à des actes
chez les sujets normaux. Cette lenteur de l'iris à revenir à son état normal constitue une des premières manifestatio
r à son état normal constitue une des premières manifestations de l' état morbide du système ner- veux et permet le diagn
upposer a l'auteur que l'irritation corticale, point de départ de l' état comi- tial, prédomine au niveau du centre du la
es plutôt légères de la maladie et n'of- fraient aucun trouble de l' état émotionnel; l'auteur les considère comme appart
récoce serait caractérisée, dans l'immense majorité des cas, par un état de torpeur ou d'agita- tion, des moments de luc
ie, c'est-à-dire l'immobilité, le mutisme, la flexibilitas æ1'ea, l' état cataleptique, la suggestibilité; plus tard, la
me, la raideur par- ticulière avec flexion difficile des membres, l' état cataleptique, etc. Mais la physionomie, le main
nomie, le maintien du malade n'étaient nullement en rapport avec un état mélancolique; ce n'était pas davantage un hysté
tés, les attitudes catatoniques; enfin chez les deux plus anciens l' état démentiel est définitivement constitué. - « Cet
. elle ne constitue qu'un symptôme pou- vant se rencontrer dans les états morbides les plus variés ». G. D. XXVII. La p
nvulsions dans son enfance. Aucun signe physique de dégénérescence, état général très bon. Début de l'affection à douze
, que l'amplifica- tion d'un mouvement normal très peu apparent à l' état physiolo- gique ; il n'en constitue pas moins u
leurs l'appréciation est laissée au jugement de la cour, qui fait l' état des circonstances dans les- quelles la syphilis
ense que ces prétentions ne tendent à rien moins, dans les cas où l' état mental est douteux, qu'à transformer le mé- dec
niste. Lorsque la conduite d'un détenu donne lieu de suspecter son état mental, le directeur de la prison en avertit le m
A. Un traitement sudorilique mesuré n'exerce aucune action sur l' état morbide des épileptiques; une sudation plus inten
nheilk. XXVI. N. F. XIV 1903.) Expériences avec le véronal dans les états d'agitation des paralytiques généraux; par K. A
ne pour 8 ou 9 malades. Les pensionnaires sont classés d'après leur état d'agitation ; les agités sont placés dans des p
avec d'autres aliénés. L'expérience montre que dans les colonies, l' état de la plupart des malades se modifie avantageus
ore que celle des autres aliénées et d'un examen fréquent . de leur état puerpéral. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Clvrck (
rmule Motet dans son article Pyromanie du Dictionnaire Jaccoud. L' état mental des incendiaires est, en effet, tout spéci
maternel. Ce fait a une très grande importapce pour expli- quer son état mental.'Elle a trois soeurs âgées de neuf'ans, si
Emilienne G... présente du fait de sa lourde hérédité mor- bide un état de dégénérescence mentale caractérisé par des sti
13. CLINIQUE NERVEUSE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal mort; atrophie considérable de l'hémisph
pied en extension sur la jambe. Le membre entier est paralysé et en état de contracture. La sensibilité y est diminuée au
Vers 2 heures de l'après-midi, nouvel accès, qui est le début d'un état de mal : 7 accès se succè- dent, à intervalle d
ises : « Cela va me reprendre, dit-il, les IMBÉCILLITÉ, HÉMIPLÉGIE. ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. 469 doigts me piquent », et
soir. 470 RECUEIL DE FAITS. Tableau des accès et des vertiges. ÉTAT DE MAL, MORT. 471 I ques dizièmes de degré sous
e lave, mange seul, Tous ses actes sont lents partie à cause de son état mental, partie à cause de sa paralysie. Les not
passim. 476 RECUEIL DE FAITS. Hémiplégie. - Mens ! l1'((tions. ÉTAT DE MAL EPILEPTIQUE, TEMPÉRATURE. 477 mence épil
re. Les épileptiques hémiplégiques, comme Ham..., sont sujets à des états de mal épileptique, de même que les épi- septiq
s à un certain âge, vingt-cinq, trente ans, s'ils ont survécu aux états de mal, on voit les accès s'éloi- gner et enf
dans les divisions de l'hospice comme infir- mes incurables. L' état de mal épileptique n'a offert, ici, que la pre-
gitiques disparaissent, Fig. 16. - Tracé de la température - de l' état de mal de Il ... 478 . RECUEIL DE FAITS. la t
sa vie en danger, par des actions dénuées de sens. Autopsie. - L' état général des organes n'appelait aucune remarque
ce daus son intérieur ne semblait pas avoir donné naissance à aucun état inflammatoire, bien qu'elle dût y avoir été de
de l'un et des autres tend à confirmer la théorie qui considère cet état comme le résultat possible d'un développement r
cercles, chacune étant diminuée en volume, si bien qu'il y avait l' état complexe de la microgyrie et de l'ulégyrie ; le
uvelle sur les erreurs fondamentales qui produisent celle-ci et les états alliés, et si nous ne pouvons pas guérir l'idio
c des tu- meurs intramédullaires qui, surtout lorsqu'il survient un état phieg- riratique intercurrent, peuvent en impos
utre part, un accroissement de poids accompagne l'amélioration de l' état mental. ' Simon, ', REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
de frein à la cérébration auto- matique qui déterminera une sorte d' état de rêve. Une sensation de dépression physique e
sensation de dépression physique et morale très accentuée. Enfin un état d'angoisse constant qui, chez l'adulte à l'état
accentuée. Enfin un état d'angoisse constant qui, chez l'adulte à l' état de veille, détermine de l'anxiété et de l'irrit
e parésie spasmodique des vieillards atheromateux. A la période d' état , la démarche parêto-spasmodique coïncide avec l
os que pendant les différents mouvements. Il présentait en outre un état propulsif, et un besoin incessant de mouvement.
ant de mouvement. Il y avait absence de spasmes, de contractures; l' état intellectuel était normal. ' REVUE DE PATHOLOGI
ur 100 femmes internée de quinze à quarante-cinq ans, 75 environ en état de grossesse, d'accouche- ment, de puerpéralité
nt M. Vallon a été victime. J'ai le plaisir de vous apprendre que l' état de notre collègue est devenu meilleur et je vou
précoce. MM Rodbinowitch et Piiulpin dans une étude spéciale sur l' état de l'appareil circulatoire chez 31 sujets attei
ions. Des séances successives de sommeil améliorent assez vite leur état , et alors, la suggestion les impressionne. A ce
eint d'accès de confusion mentale; il sortait complète- ment de son état de confusion après une demi-heure de sommeil pr
ions, de clia- grins et de surmenage, elle a de nouveau présenté un état névro- palhique dont je l'ai débarrassée par la
dié sous peu, etc., etc. Le docteur Bahuaud, appelé à constater son état , délivra un cer- tificat et E... fut conduit à
docteur Biaute ordonna aux gardiens de remettre toutes choses en l' état et fut convaincu alors que ses prescriptions habi
s. - A. Manzoni,' dans Ses Fiancés, a décrit avec un grand soin l' état mental des foules durant les émeutes. Nous croyon
-condamnations que ses actes dangereux entraînaient, mais dont son état psychique morbide le fit déclarer indemne. .
nt relevés, des personnes qui de santé excellente jadis ont vu leur état général physiologique et mental pérécliteretlamor
Léri. 77. .1w·cLIE. Voir Anencéphalie . Anatomie pathologique. L' état ac- tuel de l ? du système nerveux central, p
e. -Voir Délire. Epilepsie. L'- ne peut pas être causée par des états toxémiques, par Holl, 50. Pathologie et traite-
en -. par Geijerslam, 510. Hypnotisme. L'- et la sgugestion à l' état de veille, par Magnin. Les dangers de l ? 51 !
Hystérique Voir Chorée. - Voir Anesthésie. Voir Convulsions. Les états d'obnubilation psychi- que des - et leur paralo
ide et Vurpas, 411. 1.IBÉCILITÉ; hémiplégie gauche : épi- lepsie; état de mal; mort; atro- phie considérable de l'hémi
énérale et le ta- bès, par Léri, 248. Contribution à l'étude de l' état du fond de l'oeil, dans la générale, par Bric
cerveau et des méninges, par Bechterew, 350. Sexe. Influence de l' état mental des parents sur la formation du - de l
e me1'. La impéra- live, par Bérillon, 83. - voir Alcoolique. à l' état de veille et - hypnotique, par Bourdon, 178.
es avec le -, par Spielmeyer, 432. Expériences avec le dans les états d'agitation des paralytiques généraux, pal Abra
32 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans les assertions de ces persécutés, que beau- coup d'hommes à l' état normal se font illusion sur la valeur de leurs
rt il n'est pas non plus un héréditaire, n'en présente pas moins un état mental particulier qui le place sur les frontiè
atteinte d'hys- térie avec crises de sommeil, qui a été violée à l' état de léthargie par quatre individus. Mais ce rapp
s et terrifiantes de l'ouie et de la vue. Etat actuel : Ilubifus et état mental ; fonctions scazsilives, motrices, génit
n temps qui est quelquefois considérable. État actuel. flexbitus et état mental. R... âgé de vingt-neuf ans à son entrée
accessibles à l'exploration clinique paraissent être en 'excellent état : il boit, mange et dort bien, ses digestions son
se par les espaces lymphatiques de la peau et retour progressif à l' état normal. (Phase de résorption lympha- tique.) .)
tait déjà descendu en scaphandre, le 29 janvier, puur reconnaître l' état du chaland et était resté pendant trois quarts
moment de l'accident, il a perdu connaissance et est resté dans cet état pendant trois semaines; il n'a eu absolument cons
ndre symptôme; au bout de ce temps, il est pris tout d'un coup d'un état qu'il appelle bizarre et qui consistait en ce q
s de symptômes, ni gastriques, ni respiratoires, ni douloureux. Cet état , après avoir duré trois quarts d'heure, dispa-
, et dans quelques heures, le dégagement s'est tout à fait opéré. L' état de ses membres inférieurs n'a pas du tout chang
intes de feu, l'iodure de potassium et une hygiène appropriée à son état . Notre malade a fidèlement suivi le traitement
entée de volume, il fallut scier le casque pour le lui enlever. Cet état de la tête coexis- tait avec d'autres symptômes
'étude de ce syndrome qui existe dans les trois cas et qui domine l' état des malades à cette période. C'est le caractère
ndrome tabétoïde persiste, s'ag- grave même, et peu à peu, domine l' état du malade; tandis que l'élément paralytique rét
rétrograde et diminue considérablement d'intensité.. Finalement, l' état mala- dif ne cessant pas un instant de changer
paraît complètement, le syndrome tabétoïde dominant tout à fait l' état du malade. A ce moment, le tableau cli- DES ACC
vait des érections incomplètes suivies d'éjaculation immédiate. Cet état général s'est beaucoup amélioré après le traite
après son accident, il est venu me consulter; pendant ce temps, son état n'a pas été sensiblement modifié. Etat actuel (
on sensitive; une fois la sensation perçue, elle durait plus qu'à l' état normal. Le sens musculaire est à son tour altér
our de; réflexes rotuliens, crémastériens et plantaires presque à l' état normal. Pas de pico- tements d'aiguille. Nous
résiné par jour). Malgré ces conditions absolument défavorables, l' état du malade ne s'est pas empiré; il est resté sta
lus colorée, les lèvres plus livides encore qu'elles ne le sont à l' état normal, enfin le sujet serait souffrant et mang
ls sont sains et ne présentent rien de particulier. Le coeur, que l' état cyanosiquo des muqueuses pouvait faire supposer
- ques. Comme nous l'avons dit au début, Amélitia F... présente l' état crétinoïde au degré le plus avancé. Aucun des sig
es ont une physionomie tout à fait semblable et caractéristique ; l' état du cou, des membres et, en particulier, des pie
l était pos- sible de produire chez certains sujets prédisposés, un état ner- veux spécial caractérisé par des contractu
actures, des paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état nerveux, décrit avec soin par un médecin anglai
pouvaient affecter dans certains cas un groupement spécial en trois états distincts. Nous ne pouvons mieux faire que de r
et à l'Académie. « Essai d'une distinction nosographique des divers états tzer- veux compris sous le nom d'hypnotisme. Le
ent chez les sujets hypno, tisés ne répondent pas à un seul et même état nerveux. En Téalité, l'hypnotisme représente cl
représente cliniquement un groupe na- turel, comprenant une série d' états nerveux, différents les uns dus autres, chacun
cher à bien définir d'après leurs caractères génériques, ces divers états nerveux, avant d'entrer .dans l'étude plus appr
e des phénomènes qui relèvent de chacun d'eux. - « Ces différents états , dont l'ensemble représente toute la symptomato
és, suivant M. Charcot, à trois types fondamentaux, à savoir : 1° l' état cataleptique; 2° l'état léthargique, et, 3° l'éta
à trois types fondamentaux, à savoir : 1° l'état cataleptique; 2° l' état léthargique, et, 3° l'état de somnambulisme pro
à savoir : 1° l'état cataleptique; 2° l'état léthargique, et, 3° l' état de somnambulisme provoqué; chacun de ces états
léthargique, et, 3° l'état de somnambulisme provoqué; chacun de ces états comprenant d'ailleurs un certain nombre de form
un certain nombre de formes secondaires et laissant place pour les états mixtes, peut se présenter d'emblée, primi- tive
en couvre de certaines pratiques. Dans ces derniers cas, les divers états signalés plus haut représentent en quelque sort
gée des yeux sur un sujet quelconque, etc.; b). Consécutivement à l' état léthargique lorsque les yeux, clos jusque-là, s
s provoquées. Abandonné à lui-même, le sujet retombe bientôt dans l' état où il était placé au moment où on l'a impressio
ur un objet placé à une certaine distance. ; ), consécutivement à l' état cataleptique, par la simple occlusion des paupi
lieu parfaitement obscur. Fréquemment, au moment où il tombe dans l' état léthargique, le sujet fait entendre un bruit la
, bien qu'à degrés divers. « 3^ Etat de somnambulisme provoqué. Cet état peut être déterminé directement, chez certains
produit à volonté chez les sujets plongés au préalable soit dans l' état léthargique, soit dans l'état cata- leptique, e
jets plongés au préalable soit dans l'état léthargique, soit dans l' état cata- leptique, en exerçant sur le vertex une s
rçant sur le vertex une simple pression ou une friction légère. Cet état parait correspondre plus particulière- ment à c
ut à déterminer, autant que possible, les caractères qui séparent l' état de somnambulisme des états léthargique et catal
e possible, les caractères qui séparent l'état de somnambulisme des états léthargique et cataleptique, et à mettre en évi
, et à mettre en évidence la relation qui existe entre ce troisième état et les deux autres. « Les yeux sont clos ou dem
ion des membres n'est pas aussi prononcée que lorsqu'il s'agit de l' état léthargique. L'hyperetcitabilité neuro-muscu- l
opriétés de la catalepsie. « L'hypnotisme caractérisé par les trois états que nous 100 REVUE CRITIQUE. venons de décrir
sa description, a laissé de côté à dessein les formes frustes, Les états mixtes, pensant qu'il était préfé- rable de s'a
études sur ce sujet. Le grand hypnotisme peut se présenter dans son état de complet développement dès la première tentat
ns'd'autres cas, le grand hypnotisme ne se constitue dans ses trois états qu'après un certain nombre d'expériences. Le mo
n ne trouve pas la division en trois périodes. Un ou deux des trois états peuvent manquer, d'où plusieurs variétés possib
es. M. Pitres a décrit une dé- viation dans laquelle il a observé l' état cataleptoïde les yeux fermés 1. Toutes ces fo
malade s'endort en léthargie et présente tous les caractères de cet état . On cherche alors, en lui ouvrant les yeux, à l
uel elle ne pouvait s'attendre, détermina immédiatement chez elle l' état cataleptique. Depuis cette époque, l'état catal
immédiatement chez elle l'état cataleptique. Depuis cette époque, l' état cataleptique a pris définitivement place dans l
, ou encore du sommeil simulé. L'aspect sous lequel se présente l' état hypnotique est donc variable et il y a lieu de
variable et il y a lieu de reconnaître l'existence d'une série d' états ^ intermédiaires entre la forme type et la forme l
que l'hypnotisme est considéré à la Salpètrière comme un véritable état pathologique, comme une névrose artificielle, q
mènes hypnotiques peuvent affecter un grou- pement spécial en trois états distincts. C'est là la forme la plus parfaite d
sme doit être considéré dans ses formes les plus parfaites comme un état pathologique. Nous devons maintenant exposer la
cet égard. Si nous prenons, par exemple, un sujet qui présente cet état de torpeur qui caractérise le pre- mier degré d
uestion de preuve reste la question capitale. Si la réalité -de l' état hypnotique est devenue aujourd'hui une vérité i
point de vue médico-légal de l'immunité que peut lui con- férer cet état . Or, comment peut-on démontrer à des juges la r
u d'en faire bénéficier les malades qui ne peuvent être amenés à un état d'hypnotisation plus parfait. Mais ces sujets n
istent ces phénomènes : , Si par exemple on présente à uu malade en état de suggestion une feuille de papier divisée en
nsation du vert complémentaire (Parinaud). - On dit à une malade en état de somnambulisme de regarder fixement un carré de
uxième proposi- tion. Le grand hypnotisme caractérisé par les trois états , lé- thargie, catalepsie et somnambulisme, n'es
la vi- sion mentale de certains individus normaux (\"tin1t), mais l' état hypno- tique exalte celte propriété physiologiq
u participe à l'altération. Tel est le rajeunissement ou retour à l' état embryonnaire des cellules. Pour que le noyau se
sseuse et les extrémités sont froides, livides ou même enflées. Cet état est surtout fréquent dans les cas chroniques ou a
uelques considérations sur la structure des vaisseaux cérébraux à l' état sain et dans quelques formes particulières d'al
t fracturé les côtes, dont le tissu osseux était d'ailleurs dans un état de' dégénérescence très accusé. L'auteur a pensé
es. Nous estimons qu'elle peut représenter dignement à l'étranger l' état de la science française et af- firmer une fois
18 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. J. Séglas présente l'observation tombée en état de mal hys- térique à la suite de tentatives d'
ait est très évident chez cette malade qui est tombée alors dans un état mental particulier et dont les attaques débutan
ossible à un examen superficiel que la malade était suggestihie à l' état de veille. D'un autre côté, si la suggestion à
ggestihie à l'état de veille. D'un autre côté, si la suggestion à l' état de veille a pu avoir ici quelque action curaliv
écoles, au point de vue du développement de leur cerveau et de leur état intellectuel. Cet examen se déduirait de la con
atif d'autant de régimes que d'individus, selon les nécessités de l' état mental. 10° La dépense générale se multiplie qu
C'est en modifiant la circulation que la fièvre typhoïde agit sur l' état mental. La phtisie détermine souvent la résolut
exercé finit par exécuter mécaniquement. 3° Il y a encore quelques états convulsifs par lesquels peut débuter la maladie
t tenu de consigner sur ce registre les changements survenus dans l' état mental de chaque malade, au moins chaque semain
édecin constate également sur ce registre la date de la sortie et l' état mental du malade au moment où elle a lieu, la d
élablissement ou le médecin inspecteur des aliénés est d'avis que l' état mental du malade pourrait compromettre la sécur
le nom, la résidence des personnes qui ont retiré le malade, son état mental au moment de la sortie et, autant que poss
ement d'aliénés de toute personne interdite ou non interdite dont l' état d'aliénation, dûment constaté par un certificat m
semestre, un rapport rédigé par le médecin de l'établissement sur l' état de chaque personne qui y est retenue, sur la natu
tairement ou sur la demande de particuliers, et dans le cas où leur état mental pourrait compro- mettre la sécurité, la
t pour le dépôt des aliénés de passage que, pour l'observation de l' état mental des prévenus ou des accusés présumés ali
ces civils ordi- naires que le temps nécessaire pour constater leur état d'aliéna- tion mentale et pourvoir à leur trans
i deviennent aliénés pendant qu'ils subissent leur peine, et dont l' état d'aliénation a été constaté par un certi- ficat
us frappés par la loi pénale, et non de simples épileptiques dont l' état réclame l'assistance. La commission du Sénat qu
pris évidemment que pour constater l'aliénation ; du moment où cet état aura été ainsi établi, la translation dans un q
ur être placé dans un établissement d'alié- nés, dans le cas où son état mental compromettrait la sécurité, la décence o
ont jugées nécessaires : -. « 1" Tout inculpé qui, par suite de son état mental, a été consi- déré comme irresponsable e
rectionnelle qui a été acquitté comme irresponsable à raison de son état mental; 148 SÉNAT. ? 3° Tout accusé ou prévenu,
, si la défense a soutenu qu'il était irresponsable à raison de son état mental ou si le ministère public a abandonné l'
due sur le motif que l'accusé était irresponsable à raison de son état mental ; cet accusé ainsi acquitté sera remis à l
décide en propres termes que l'aliéné ou le prévenu est dans un tel état habituel de démence ou d'imbécillité, qu'il ne
lui a été commis ou qu'il aura choisi, et elle aura pu porter sur l' état mental de l'accusé. La décision du jury non mot
e plusieurs manières. C'est quelquefois l'aliénation habituelle, un état mental tel, qu'on puisse réellement considérer
s mêmes de l'article 39 du pro- jet, irresponsable, à raison de son état mental au moment même 150 SÉNAT. où le fait a
es yeux de l'observateur. 1° De quoi se plaint-il ? 2° Quel est son état psychique, son faciès, son attitude, son habitus;
u'il faut connaître; de même qu'il importe de se rendre compte de l' état des organes de l'économie entière; 8°Diagnostic E
modifications physiologiques qui se produisent sous l'influence des états émo- tionnels, modifications caractérisées par
ous le mettions au défi, dans notre travail snr l'Hypnotisme et les états analogues au point de vue médico-légal de nous
dort véritablement. C'est, nous répond-il, avec M. Bernheim, qu'en état d'hypnose il est suggestible. Vraiment, dans la
-mus- culaire. Et voilà encore que d'autres stigmates physiques « état des pupilles rendues insensibles à une lumière
e est une auto-suggestion, le somnambulisme dit naturel n'est qu'un état physiologique à l'instar de Hypnotisme : tout p
ire la sug- gestion, le bouc émissaire de tous les crimes commis en état d'hypnotisme ne nous parait pas devoir être fav
soit comme interne nommé au concours dans un hôpital ; 3° diplômes, états de services, distinctions obtenues. En vertu
, Westphal en Allemagne et Nothnagel et Leyden à Vienne. Vu cet état de la question, il nous semble que de nouvelles
uver d'hérédité de famille. A l'âge de vingt-deux ans et en parfait état de santé, la malade épousa un ivrogne atteint p
amélioration considérable dans les dou- leurs lancinantes après un état de fièvre assez aigu que la malade eut à suppor
es autres nerfs crâniens et les extrémités supérieures sont dans un état normal. Dans les jambes, douleurs lancinantes e
. Le père de la malade, qui a soixante-quinze ans, est en excellent état de santé; sa mère est morte à l'âge de soixante
ause du peu de renseignements que ces malades peuvent fournir sur l' état de santé, non seulement de leurs frères et soeu
en que les écrits de ces auteurs aient mis en plus grand relief ces états mor- bides, le D'' Bastian avait, auparavant, r
tait pas de l'amblyopie; c'était distinctement de l'hé- miopie. Cet état dura seulement quatre ou cinq jours et disparut
alysie complète. Il ne peut pas nous donner de renseignements sur l' état de la sensibilité. Il n'y aurait pas eu d'autre
otilité de ces membres. Les membres inférieurs restent dans le même état . Le 17 et le 18 mai, pas d'amélioration. ; Le
bien-que la sensibilité de ses membres inférieurs étant revenue à l' état normal. Nous avons vu le malade le 16 juillet 1
ni paralysie des membres, ni autres troublées cépha- liques. Cet état a duré une heure et demie au bout de laquelle le
rs enfin pas d'autres symptômes soit cépha- liques soit autres. Cet état a duré 2 heures au bout desquelles il a disparu
u bout d'un quart d'heure environ le sens de Toute était revenu à l' état normal. Etat actuel, 28 juillet 1886. - (18 j
ènes paraly- tiques, enfin pas d'autres troubles quelconques. Cet état de cophose complète n'a duré que cinq heures à pe
ar entendre, toutefois d'une façon très confuse. Dès ce moment, son état s'est fort amé- lioré, mais son ouïe n'est jama
état s'est fort amé- lioré, mais son ouïe n'est jamais revenue à l' état normal, ses bourdonnements étaient moins forts
ut agitée; fièvre, céphalalgie intense, insomnie. Le 13 juin, son état n'avait pas changé ; il avait des frissons, pas
d'une douleur à la région gastrique avec sensation d'angoisse. Cet état , qui n'était accompagné d'au- cun autre symptôm
as de troubles urinaires ou génitaux ou rectaux, enfin rien. -- Cet état a duré de 3 à 5 heures. Depuis 1882, étant pers
par éliminer tous les sujets présentant, à un degré quelconque à l' état de veille, de l'hyper- excitabilité neuro-muscu
ples vulgaires, la sécrétion des larmes est provoquée tantôt par un état moral déprimant, un chagrin, tantôt par un corp
supposer qu'il existait un grand hypno- tisme caractérisé par trois états distincts ? S'il a constaté les trois états, ce
e caractérisé par trois états distincts ? S'il a constaté les trois états , ce n'est donc pas en vertu d'une idée préconçue,
st donc pas en vertu d'une idée préconçue, mais parce que ces trois états se sont présentés naturellement à son observati
r au début de ce travail que chez les grandes hypnotiques les trois états pouvaient se dévelop- per dès la première tenta
tentative d'hypnotisation on a pu cons- tater l'existence des trois états avec toutes les particularités qui les caractér
sent, mais au début les phénomènes somati- ques n'existaient qu'à l' état d'ébauche. Nous devons faire remarquer que chez
notiques et ne pré- sentant pendant toute cette époque que les deux états , léthar- gie et somnambulisme, qu'on avait cons
soumise à aucune expérience d'hypnotisme, qu'elle était occupée à l' état de veille à un travail manuel, un violent bruit
téristique de la cata- lepsie. Ces auteurs reproduisaient les trois états de la grande hypnose sur une hystéro-épileptiqu
son frère et du professeur Bianchi, tous les phé- nomènes des trois états admis par l'École de la Salpêtrière. Je ' Revis
très facilement provoquer des contractures chez mon sujet, soit à l' état de veille, soit pendant son som- meil hypnotiqu
ui ont été indiqués par M. Charcot comme caractéristiques des trois états du grand hypnotisme. Il ne pouvait être questio
attention sur la fin du passage qui a trait à l'existence des trois états , à la production de la griffe cubitale, de l'hémi
J'arrive maintenant à la quatrième proposition. L'hypnotisme est un état pathologique et non physiolo- gique. C'est une
' se rencontrer en dehors de l'hystérie; la coexistence de ces deux états n'est donc qu'une coïncidence. » - Nous repou
iques elle est beaucoup plus accentuée que chez les hysté- riques l' état de veille. 2° Nous avons fait remarquer au comm
hysté- rique et qu'il y avait une véritable analogie entre ces deux états . 3° Il existe entre l'hypnotisme et les manifes
s les centres nerveux et n'a aucun rapport avec les fonctions.- A l' état pathologique on trouve aussi d'autres substance
ditions physiologiques et dans des conditions patholo- giques : à l' état physiologique elles servent de réservoir aux al
éservoir aux aliments non utilisés ou aux sécrétions inutiles ; à l' état patho- logique ce sont des pertes de substances
ment parle carmin. Les circonvolutions sont plus aplaties qu'à l' état normal. Les cellules y sont rares, quelquefois ab
le face ni de la langue, quelques groupes musculaires étaient à l' état de rigidité. Réflexes cutanés et tendineux abolis
ert une autre loi, non moins importante : « Pour chaque moment de l' état du nerf et du muscle, existent un optimum et un
tion n'est pas suivie d'une augmentation de la contraction est dile état de pessimum. (Le professeur Marey, en France, a
. (Le professeur Marey, en France, avait déjà signalé ce fait.) A l' état de pessimum, le muscle consomme une certaine qu
muscle consomme une certaine quantité de force; en effet, dans cet état , un muscle récupère ses forces contractiles moi
un muscle récupère ses forces contractiles moins que s'il était à l' état de repos. Dans cet état l'excitabilité du muscl
orces contractiles moins que s'il était à l'état de repos. Dans cet état l'excitabilité du muscle est seulement diminuée
vu se produire de mouvements cloniques en cherchant ce réflexe à l' état de santé. Application de la méthode graphique c
momentané, le maximum est atteint plus lentement et le retour à l' état normal se fait graduellement. La dilatation dir
dilatation directe arrive rapidement à son maximum ; le retour à l' état normal est plus court; le rétrécissement mo- me
augmentation de tension, mais la pupille se rétrécit encore et cet état de contraction persiste. La respira- tion et le
ambe. P. K. III. Des modes d'examen ET D'L'TEltl'ttl.r'AT10\ de l' état de la SE1SI- bilité DANS LE TARES ET LA PARALYS
de l'examen (exercice delà fonc- tion), transforment à vue d'oeil l' état de la sensibilité (une obser- vation), ainsi qu
a cessé de fonction- ner ; dans la maladie de Basedow, elle est eu état d'activité patho- logique, activité qui préexis
point, ils ne se trouvent pas fatigués. C'est ce qui distingue cet état de la distraction commune. L'aprosexie peut enc
ls, les chagrins et les soucis, rentrent encore. dans le cadre de l' état normal. Ils émanent de modifications de la nutr
ctuelle, la. mémoire, émoussen fia force de volonté, l'énergie. Cet état peut, après avoir persisté sous une forme vague
e la dépression mélancolique, en un mot la psychasthénie primitive ( état de fatigue psychique). Malgré cela, si les cond
ra évidente. Observation I. Mégalomanie avec manie aiguë furibonde, état congestif, parésie hémifaciale. Sangsues à la t
nant un paralytique général, absolument sourd, et paraphasique. Cet état a déjà été assez sou- vent observé, à la suite
thiques, la folie étant la maladie d'un système nerveux fatigué, en état de faiblesse irritable, de langueur se terminan
'aliénation mentale. On lui demande alors si cette malade serait en état de délibérer sur les suites de ses actes; cela co
axé précisément parce qu'il n'était pas responsable à raison de son état mental. Un sénateur au centre. Habituel ! - )
la juridiction même qui a prononcé l'acquittement. On me dit : « état mental habituel ». Il peut en effet, se produire
deux hypo- thèses : la première, c'est que l'individu soit dans un état habituel d'aliénation mentale. Tout le monde re
onnance ou d'un arrêt de non- lieu, non pas parce qu'il est dans un état habituel d'aliénation mentale, mais parce que,
incriminé, il n'était 316 SÉNAT. pas responsable à raison de son état mental. Il a eu un accès de folie et c'est dans
de cette question délicate, que cet individu qui n'est pas dans un état habituel d'aliénation, peut cependant être suje
il dit sim- plement qu'il y aura lieu, dans ce cas, d'examiner son état men- tal ; et c'est précisément la justice qui
'est précisément la justice qui sera appelée à se prononcer sur cet état et à décider s'il n'y a pas péril pour la sécurit
commis par l'accusé, celui-ci n'est pas responsable, à raison de l' état mental où il se trouvait au moment du crime. Pa
devrait poser au jury la question d'irresponsabilité à raison de l' état mental de l'accusé. . Cette proposition n'a pas
fait déposer au jury la ques- tion d'irresponsabilité à raison de l' état mental de l'accusé était dénature à provoquer d
, en ce qui concerne l'irresponsabilité de l'accusé à raison de son état mental, un avertissement analogue à celui qui e
s circonstances qui sont de nature à faire supposer qu'il existe un état d'aliénation mentale, dans ce cas-là... M. de G
bord que le ministère public renonce à l'ac- cusation à raison de l' état mental qu'il reconnaît avoir existé chez l'accu
t atteint de folie au mo- ment où le crime a été commis, et que cet état mental le décharge de toute responsabiltié. Il
oser qu'en effet il a existé au moment du crime sinon plus tard, un état d'aliénation men- tale. 'M. Lacombe. Je deman
me de défense. D'après le projet de la commission, il suffira que l' état mental de l'accusé ait été mis en doute ou que
ent d'aliénés de toute personne, interdite ou non interdite, dans l' état d'aliénation, dûment constaté par un certificat
ait sommaire et ne présentant plus les mêmes garanties, alors que l' état du conflit au moins apparent entre la magistrat
prendre une mesure provisoire à laquelle succéderait l'examen de l' état mental de l'accusé acquitté ; cet examen serait,
e l'irresponsabilité de l'accusé et, de l'autre, la négation de cet état mental par l'organe de l'accusation. Ne voyez-v
de l'autorité admi- nistrative, si les magistrats estiment que son état mental le cocs- SÉNAT. 323 titre l'état d'ali
gistrats estiment que son état mental le cocs- SÉNAT. 323 titre l' état d'aliéné dangereux. La cour d'assises peut en agi
éficiera d'un verdict de non- culpabilité, lorsque la preuve de cet état mental lui parait résulter des débats. L'autori
juridiction qui l'a. relaxé en vertu d'une décision motivée par son état d'aliénation mentale est naturellement celle qu
suffisant. La défense invoque l'irresponsabi- lité à raison de son état mental. On ne peut se faire une arme contre l'a
éfense a soutenu que le prévenu était irresponsable à raison de son état mental, ou si le ministère public a abandonné l'a
ous alors que la défense a soutenu l'irresponsabilité à raison de l' état mental du prévenu ? La plaidoirie de l'avocat d
venu qui aura bénéficié d'un verdict d'acquit- tement, mais que son état mental constituera à l'état dangereux. La cour
verdict d'acquit- tement, mais que son état mental constituera à l' état dangereux. La cour d'assises aura cette faculté
ux. La cour d'assises aura cette faculté lorsque la preuve d'un tel état mental « lui paraîtra résulter des débats ».
ice le placement dans une maison d'aliénés de toute personne dont l' état d'aliénation compromet la sécurité publique. A
sur plusieurs bancs.) , (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE V. Différents états de délire dans l'alcoolisme; par le Dr Crotiier
r Crotiiers. La plupart des auteurs se sont contentés d'étudier les états déli- rants aigus et graves des alcoolique ? ,
Un chapitre fort important, et qui abonde en faits, est celui de l' état intellectuel des héréditaires, que ces troubles s
e-Anne pour reconnaître aux dégé- nérés trois aspects cliniques : l' état mental, l'état syndromique, l'état délirant. Po
onnaître aux dégé- nérés trois aspects cliniques : l'état mental, l' état syndromique, l'état délirant. Pour lui aussi, c
érés trois aspects cliniques : l'état mental, l'état syndromique, l' état délirant. Pour lui aussi, ce délire est brusque,
t pas le sommeil; à dose plus forte cette substance donne lieu à un état de somnolence léger passager, inconstant et qui
côté de la motilité; à dose toxique enfin l'acétophénone produit un état comateux qui n'a rien de commun avec le sommeil
stérique n'est pas une malade, c'est une per- sonne chez laquelle l' état d'hypnose latent est perpétuel, » : mascotte, l
latent est perpétuel, » : mascotte, la mascotte est une personne en état d'hypnotisme latent, avec certaines facultés tr
ans cette anatomie, la cou- naissance des fonctions du cerveau, à l' état normal ou pathologique, serait encore plongée d
connues, il devien- drait possible d'en déduire les conditions de l' état pathologique, celui-ci ne pouvant être qu'une m
ne pouvant être qu'une modifi- cation plus ou moins prononcée de l' état normal, sans l'intervention de lois nouvelles'.
ue les organes homonymes du cerveau demeurés intacts ont été hors d' état de suppléer ». Objecte-t-on que la disparition
ont été rapportés par Munk, et avec raison, à la cécité psychique, état dans lequel, on le sait, l'animal continue à vo
ta surtout en bains sulfureux ; quand, à la suite de ces bains, son état se fut un peu amélioré, il se remit de nouveau
on retour a Moscou, I... commença à remarquer en lui des accès d'un état fébrile, qui commençaient par un acca*' blement
GIE NERVEUSE. tomber dans l'obscurité. En octobre, il tomba dans un état fébrile (à ce qui semble, accès de fièvre inter
se)'e)/omt ? «;«) ! HO<')'Kei<. Examen du système nerveux. L' état psychique et la parole du malade sont parfaitem
lmoscopique, fait parle très honoré M. le D''AdeIheim, a démontré l' état normal des papilles des nerfs optiques et de l'
velle dose de quinine, la température tombe le lendemain à 3605 ; l' état général s'améliore, mais les douleurs térébrant
quatre heures et de ce moment jusqu'à maintenant, il n'y eut plus d' état fébrile si l'on ne compte pas un jour de fièvre a
le croire. C'est pourquoi nous devons bon gré mal gré attribuer son état nerveux aux causes qui ont amené une déchéance
uses qui ont amené une déchéance si rapide et si prononcée de son état général; il n'y en a que deux : l'intoxication
es font défaut dans un certain nom- bre de cas, » et plus loin; « l' état de l'iris est très variable : tantôt les pupill
des symptômes existant chez notre malade, nous aurions, malgré l' état normal des muscles oculaires et du fond de l'oe
male; nous voyons donc que le symptôme qui nous troublait le plus l' état normal des yeux dans notre cas, n'est pas une p
ent pas, d'ordinaire. Une seconde coïncidence intéressante, c'est l' état de la sensibilité chez quelques-uns des malades
iblissement de la sensibilité à la douleur-dans tout le corps, avec état tout à fait nor- mal des yeux et de la sensibil
ertain degré d'hyperesthésie pour qu'il veuille se promener dans un état de nudité complète. En effet, c'est dans ce but
pitre de Physiologie pathologique, sur le mode de production de cet état morbide, et nous tâcherons d'expliquer alors le
rier ceux qui l'entouraient de ne pas le secouer ou le toucher. Cet état qui était si effrayant a duré au total trois he
es nausées. L'accès de vertige, une fois dissipé, a fait place à un état vertigineux permanent accompagné de bour- donne
t pas si bien. Toutes les quinze ou vingt minutes, au milieu de cet état vertigineux se dessinaient des accès qui, sauf
te, comme si, d'après son récit, il avait pris beaucoup de vin. Cet état a duré un moN sans le moindre amendement, mais
alade est pris du même accès de vertige et d'une aggravation de son état vertigineux permanent. Fort heureusement cette
ée, à peine de trois heures, au bout desquelles il est revenu à son état anté- rieur. Depuis ce moment, son état s'attén
quelles il est revenu à son état anté- rieur. Depuis ce moment, son état s'atténuait d'une semaine à l'autre, lentement
ement. Etat actuel (17 novembre 1886). Il est très amélioré : son état vertigineux permanent n'existe plus que deux ou t
arquer que le malade est venu nous consulter non seulement pour son état vertigineux et ses crises, mais encore et surto
ps, le malade vint me remercier pour la disparition complète de son état vertigineux. Plus de crises de vertiges, il peu
uits auriculaires, fusillade, vertige de translation, nausées ; son état vertigineux permanent, accompagné des bourdonne
paroxysmes établir par leur rap- prochement, par leur confusion, un état vertigineux permanent. A ce moment, nous nous t
A ce moment, nous nous trouvons , on le sait, en présence : 1° d'un état vertigineux per- manent ; et 2° de crises qui é
ineux per- manent ; et 2° de crises qui éclatent au milieu de cet état , ayant absolument les mêmes caractères que cell
e pour l'autre malade de l'O.BSrRVATION II. (Dès le premier moment, état ver- tigiiieux- permanent au milieu duquel écla
en- viron depuis l'invasion de son accident, au lieu d'avoir son état vertigineux d'une manière perma- nente, il n'eu
raitement quinique,, n'a pas tardé en définitive à mettre fin à son état . La guérison a été complète, absolue et sans su
n de la paralysie complète du nerf auditif, la cophose, met fin à l' état effrayant des sujets en proie depuis longtemps
bientôt après il perd complètement connaissance, il reste dans cet état sans avoir conscience de rien pendant vingt- qu
un tremblement rythmique. Depuis cette époque, jusqu'à présent, son état n'a pas beaucoup changé. - État actuel (15 sept
ctuel (15 septembre 488'r). Symptômes spinaux. Le fait qui domine l' état maladif, c'est une paralysie des. membres infér
t pas le bruit de la chaîne qu'on traînait. II est resté dans cet état de surdité complète qui existait à ce moment à
esté dans cet état de surdité complète qui existait à ce moment à l' état d'isolement pendant trois jours ; il n'avait pas
ue de l'accident; tous ces symptômes., dis- je, dont la plupart à l' état de simplicité, d'isolement, constituent les for
c ses mains. Au bout de ce laps de temps, le malade revient à son état normal, parfaitement bien portant et ne se plaign
plexes sont composés par des symptômes divers et multiples qui, à l' état de simplicité et d'iso- lement, constituent les
eur du côté gauche, ne pouvaient exécuter le moindre mouvement. Cet état , accompagné d'un certain degré de céphalalgie a
ndre ses urines ni ses selles. A 5 heures du soir, il revient à son état normal. Pas trace de paralysie. La sensibilité
ion de ces troubles, comme toujours du reste, est redoutable, car l' état général s'aggrave, le marasme se prononce et le
tait évidemment de la fièvre hectique. L'appétit est presque nul, l' état général s'aggrave encore; une eschare gangreneu
ar jour et que je provoquais des éva- cuations par des lavements. L' état du malade s'améliora par ces soins, la peau à l
'améliora par ces soins, la peau à la région du sacrum revint à son état normal et le malade sembla pendant quelque temp
emploi du calomel comme purgatif; ainsi pendant quelques jours, son état semblait s'améliorer : le mouvement des doigts
. La veille, étant retiré du fond de la mer, il était tombé dans un état comateux ; lorsque je l'ai vu, il était aux der
uspendues pour le monde réel; il y a, en un mot, stupeur. Le même état existe plus tard, mais avec cette différence que
se privant de manger et faire pénitence pour aller à Dieu ! - Même état plus tard; la malade prétend que les prières et
e à apparaître par le fait d'une alimentation in- «- complète et un état nerveux toujours en émoi, toujours en éréthisme
'éréthisme nerveux ontpour couronnement de leur effort incessant un état général qu'on peut caractériser par ces mots : de
u corps qui sont sous l'empire de la volonté. La malade est dans un état d'inertie complète par elle-même; elle ne manif
ns un certain degré de maigreur, dans la flaccidité des muscles à l' état de repos et dans une diminution de la chaleur a
sans qu'il soit tou- jours facile de préciser quel est celui de ces états qui domine '. ' Voir pour ce qui concerne les t
des cylindres-axes est quatre à dix fois plus considérable qu'à l' état normal ; parfois ils sont détruits. La myéline se
minue peu à peu si l'on continue l'usage du tabac, puis arrive à un état stable qui dure tant que le sujet continue à fu
u coeur étaient moins prononcées et dépendaient probablement de l' état de la circulation. Névrite multiple consécutive
escence granuleuse, qui se propage du centre à la périphérie. A cet état , la cellule se désagrège et ses granulations re
s dans la paralysie générale qu'en raison des soins que réclame l' état de ces malades. Altérations du système nerveux
. Il est arrivé à cette conclusion qu'il existe chez les animaux un état spécial, com- parable, sinon analogue à l'état
chez les animaux un état spécial, com- parable, sinon analogue à l' état d'hypnotisme chez l'homme. Cet état est caracté
- parable, sinon analogue à l'état d'hypnotisme chez l'homme. Cet état est caractérisé par : la diminution de l'activité
re de vapeurs d'éther, au lieu de chercher à s'échapper comme à l' état normal, reste indifférente; puis elle est narcoti
Si elle est privée des deux hémisphères, elle arrive très vite à l' état hypnotique, et y reste plus longtemps. La sensi
reste plus longtemps. La sensibilité cutanée ne diffère pas dans l' état de veille ou de sommeil; il n'y a pas d'anesthé
nt une électivité spéciale pour certains colorants. La cellule, à l' état de repos, se colore autrement que la cellule en v
Le nerf doit être enlevé encore vivant, et pour chaque moment de l' état du nerf, il existe une forme déterminée de la s
ur la qua- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 473 3 trième fois et son état était des plus graves; il présentait en- core l
touchement provoquait une crise. Ce sujet était suggestionnable à l' état de veille, et lors- qu'on imitait le son de-la
on de la physionomie, chez les aliénés, dépend souvent non pas d'un état mental, mais d'une atrophie ou d'une hypertro-
t de M. Vallon, propose aux concurrents la question suivante : De l' état mental et du délire chez les idiots et les imbéci
, que l'empoisonnement morphinique n'agisse défavorablement sur l' état mental, il est contestable qu'il puisse provoquer
GEAU rapporte l'observation d'un mari et de sa femme tombés dans un état de démence plus ou moins accu- sée à la suite d
r et de la difficulté de la déglutition. Il est actuellement en bon état . M. le 1)' Welber cite un cas de fracture de la
e dans un chapitre très éloigné qu'il définit l'ivrognerie « est un état particulier de l'organisme ou de la totalité du
mes de neurasthénie alcoolique héréditaire l'au- teur mentionne des états d'ébriété sans alcool, survenant chez les enfan
homme ivre, le neurasthénique alcoolique héréditaire deviendrait en état d'ébriété sans alcool ; l'auteur cite de vieux
société de tempérance qui, quoique très sobres, tombaient dans cet état rien qu'en dépeignant dans leurs discours le dé
, le sexe, l'âge, la religion (rareté chez les juifs), le climat, l' état de l'air (influence marquée des vents d'ouest),
léments de tout acte volontaire, le 496 BIBLIOGRAPHIE. premier, l' état de conscience, n'a aucuile efficacité, taudis que
res à la naissance, de l'éducation, de l'expérience, c'est-à-dire l' état de l'organisation tel que l'ont fait les conditio
e nouveau-né le réflexe agit seul d'abord, et, en l'absence de tout état de conscience, il n'y a point chez lui d'acte v
première esquisse du caractère individuel, marquent le passage de l' état purement réflexe à l'élat volontaire. Accompagn
ge de l'état purement réflexe à l'élat volontaire. Accompagnés d'un état de conscience souvent très intense, ils ont une
e transformer en actes, en -trois groupes : le premier comprend les états intellectuels extrêmement intenses, passant à l
ion plus ou moins longue. La tendance à l'acte est modérée, comme l' état affecté. Enfin viennent les idées abstraites, a
par consé- quent, la spontanéité témoigne simplement d'un excellent état de la nutrition des tissus appelés à agir ; ell
des impressions qui fappent l'individu à un moment donné ; c, de l' état dans lequel se trouvent, à ce moment-là les cen
n. Les auteurs de ces rapports ont surtout pour mission d'exposer l' état actuel de la science sur la question dont ils s
33 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
es tendineux sont conservés. A la main droite la peau pré- sente un état lisse au petit doigt. Il y a des sueurs exagérées
insidieusement, sans cause occasionnelle apparente, au milieu d'un état général satisfaisant, par des troubles de la sens
l peut y avoir des sueurs, des sensations de froid au Loucher, de l' état lisse de la peau. Electriquement, on constate
but caractérisée par des troubles de la sensibilité, la seconde ~ d' état avec de la paralysie atrophique, la troisième ter
déformations qui s'accentuèrent de plus en plus, jusqu'à produire l' état actuel. Pendant le cours de celte évolution, au
de toute protec- tion, à des pressions et des' chocs réitérés, d'où état irritatif et névrite. Quoique, dans notre cas,
vraient alors être considérées que comme secondaires. Aussi, en l' état de la question en général, est-il permis d'hésite
de le voir, dans les intervalles interparoxystiques, s'établir à l' état de symptôme per- manent. Nous avons eu l'occasi
re de la part qui revient aux masses musculaires de la nuque dont l' état de contraction ou de raccourcissement augmente
eux-mêmes, parfaitement appréciable à la main, et occasionné par l' état de contracture dans lequel se trouvaient ces mu
sur des orteils que des troubles nerveux préalables avaient mis en état d'infériorité nutritive. Nous allons d'ailleurs
début de l'accident, coïncidant avec la période la plus forte de l' état spasmodique des muscles, il s'était produit un
depuis un mois, il s'est t produit une amélioration sensible dans l' état de sa fille; celle-ci, tout en boitanl et en pr
nt toute la région latérale du cou. - Le malade n'a pas présenté un état de shok très prononcé. Céphalalgie. Le facial e
gauche. Amélioration des signes fonctionnels. 1er décembre. - Même état au point de vue des phénomènes médullaires : le
mbre. -Atrophie du membre inférieur droit. Du côté de la plaie, bon état . Coloration ccchymotique de tout le cou et d'une
ION, . Chirurgien des hôpitaux. Interne îles hôpitaux. NOTE SUR L' ÉTAT DES FORCES ET SUR LE TREMBLEMENT CHEZ LES ÉPILE
de Verdin, et le tremblement à l'aide d'un tambour à 1. Note sur l' état des forces chez les épileptiques (Bull. Soc. biol
te l'élat normal (le tracé se lit de droite à gauche). . NOTE SUR L' ÉTAT DES FORCES. 3 ! ) réaction chargé de poids que
abilité des mains du sujet, l'avant-bras en demi-flexion, aussi à l' état normal; la ligne supérieure fournie par la main d
main droite, FIG. 6. - Courbe dynamographique de la main gauche à l' état normal (le tracé se lit de droite à gauche).
de droite à gauche). FIG. 7. -a. 1remb[emeul de la main droite à l' état normal; b. tremblement de la main gauche. .10 .
plus étendues que sur la figure 7 qui représente le tremblement z l' état normal. Les oscillations de la main droite, la pl
me dans les, différentes écritures du même individu dans ses divers états : 'les fioritures, les traits ter- minaux, etc.
ter- minaux, etc., sont plus ou moins atténués ou exagérés dans tel état de dépression ou d'excita- tion, mais ils persi
hémichorée, j'ai étudié les mouvements anormaux comparativement à l' état normal et à la suite des attaques, àl'aided'un
culier sur le biceps. La figure 11 a donne un tracé de ce genre à l' état normal, la figure 12 donne deux tracés du même
iquo du biceps gaucho chez G. atteint d'hémiathatose gauche. a. à l' état normal ; b. dix minutes après un choc sur le tend
épilepsie chez G..., atteint d'hémiathétose gaucho. ' , NOTE SUIt L' ÉTAT DES FORCE ? -13 111 pas seulement d'ailleurs le
ic. 13. - Courbes myographiques chez un sujet hémichoréique. a. à l' état normal; b. sous l'influence d'une excitation audi
e. La figure 13 donne la courbe myographique d'un hémichoréique à l' état normal (a), et (b) sous l'in- fluence d'une exc
yeux montra que la conjonctive, la cornée et l'iris étaient dans un état normal. Les mouvements des yeux étaient bons. A d
s'être agi d'une attaque de rhumatisme. - Celte femme attribue son état actuel à la fièvre scarlatine, bien qu'elle rec
ne grandeur (104 centimètres), paraît anémique, se trouve dans un état de nutrition satisfaisant. Dès le premier coup
MÉGALIE. 55 est au moins le double de largeur de ce qu'elle est à l' état sain. Amygdales larges, crevassées. Larynx as
(15 à 25 mm). ' La musculature de l'épaule et du bras est en bon état , au contraire les flé- chisseurs et les extense
ués à l'honnê- DOCUMENTS SATIRIQUES SUR MESMER. 63' teté par leur état , eussent seuls le droit et le privilège d'exercer
tablissement n'a pu nous donner que quelques renseignements sur son état à ce moment. On ne connaît que très peu de chos
e n'a pu non plus se frotter les pieds sur les barreaux du lit. Son état indique d'ailleurs nettement un ralentisse- men
ant ce temps, le pouls reste lent, la teinte cyanique persiste et l' état mental reste le même; alternatives d'hébé- tude
dit n'avoir jamais eu d'attaques de nerfs autrefois. En juin, même état : tantôt se cache dans un coin, résiste éncrgi-
étant ainsi placés, ceux-ci retombent pendant qu'elle répond. Son état général reste d'ailleurs le même; ses mains sont
autrement» répond-elle (l' kann nil cca clcs) . Le lendemain, cet état cataleptoïde persiste (pi. X). Le 30 juillet, A
s doigts, la notion des poids, de leur différence, est conservée. L' état cataleptoïde peut être provoqué et si, par exem
Cliché A. LONDE PHOTOTYPfE BER7HAU0 MELANCOLIE CATALEPTIQUE ( état CATALEPTOtDE) .... S.I...1 BABÉ, ÉctTb.tJRS S
peur consécutifs pendant lesquels elle présenterait l'aptitude il l' état cataleptoïde, et un troisième (phase d'activité
mmobile sur sa chaise, la tête fléchie, les yeux fermés. Le 13, l' état cataleptoïde reparaît. Le 18 il cesse, pour repar
les. , , '15 octobre : crachottement continuel. - Décembre : même état ; alternatives d'excitation plus fréquentes avec
u cloniques, ou sous forme de raideurs musculaires, ou sous forme d' états cataleptoïdes. Il faut noter aussi le mutisme, de
e mu- tisme, la résistance systématique, une attaque de raideurs, l' état cata- leptoïde, et du côté physique des trouble
période de stupeur. A dif- férentes reprises Marcéb a insisté sur l' état des fonctions circulatoires et respiratoires ch
la malade sur un point quel- conque, de quelque façon que ce fut, l' état cataleptoïde cessait immé- 1 : Rail. Leçons sur
ravail sur la catatonie2. Mais si l'attention joue un rôle dans ces états cataleptoïdes s'en suit- il qu'il y ait un effo
ificatifs. Sur un sujet normal, dont la respiration est figurée à l' état de repos dans la figure27, nous voyons, si les
iste chez notre malade. La figure 29 nous montre sa respiration à l' état normal : c'est un type de respiration de mélan-
ompensatrice. Il résulte en somme de l'examen de ces tracés que cet état catalep- toïde provoqué chez notre malade ne tr
es plaques d'anesthésie plantaire redevinrent sen- sibles. Enfin, l' état général s'améliore, le sommeil devient meilleur,
sujette au rhumatisme avant la maladie, mais non depuis. Quant à l' état actuel : mâchoire inférieure très augmentée de vo
'une façon précise, cette notion générale, du lien commun tiré de l' état des troubles de sensibilité - qui réunit les spas
pouvait, parla pression sur les globes oculaires, la mettre dans l' état désigné sous le nom de petit hypnotisme. Dans cet
mettre dans l'état désigné sous le nom de petit hypnotisme. Dans cet état on pouvait, par suggestion, calmer pour un mome
ise de sa toux rauque. Lorsqu'on examine la face de la malade à l' état de veille, on remarque que l'ceil gauche est co
re, on lui enlève tous les matins cette aphonie par suggestion dans l' état somnambulique, et elle peut alors parler à haut
ES TROUBLES. Dans la dernière quinzaine du mois de décembre 1887, l' état de la malade est toujours sensiblement le même.
inférieurs, qu'on enlève ensuite faci- lement par suggestion dans l' état hypnotique. Le 18 décembre 1887, on constate un
lement douloureuse. En même temps, on constate un changement dans l' état de la sensibilité cutanée de la malade : il y a
traction, une légère pression ou percussion. Le 29 décembre, même état . Le 30 décembre, l'hyperalgésie persiste toujou
ériode somnambulique ces douleurs provoquées sont plus vires qu'à l' état de veille alors que la sensibilité a disparu dans
reste du corps, ainsi que cela s'observe ordinairement pendant cet état hypno- tique. Dans les premiers jours du mois
dessus du poignet. Pendant tout le cours du mois de janvier 1888, l' état de la malade reste sensiblement le même : il y
s arthralgiques qui persistent, même pendant toutes les phases de l' état hypnotique* Les autres accidents se reproduisent
t de nouveau faire dis- paraître l'aphonie par suggestion pendant l' état hypnotique; dès lors, cette aphonie ne se repro
i les accom- pagnent n'ont subi aucune modification, non plus que l' état de la sensibilité. La malade a toujours en moye
incessamment agité de mouvements malléatoires de chorée rhythmée. L' état de la sensibilité de ce membre n'est aucunement m
ux. Le 11 décembre la malade demande son exeal. Persistance du même état . Cette observation présente, en dehors du bléph
ilepsie, hémianesthésique droite' et susceptible d'être mise dans l' état appelé grand hypnotisme. L'ayant fait passer da
hypnotisme. L'ayant fait passer dans la phase somnambulique de cet état nous lui suggérons que son oeil gauche se ferme
t de légers mouvements palpé- braux. Ces constatations faites à l' état de veille, nous remettons la malade en somnambu
s avons donc reproduit artificiellement, sur deux sujets mis dans l' état hypnotique, un étal pathologique en tous points s
tracture des muscles qui entourent l'articulation de la hanche. L' état de santé général est devenu très satisfaisant. -
antérieure par un gland conoïde que ne recouvre pas le prépuce à l' état normal. Au sommet du gland on aperçoit le méat
e qne la verge présente une déviation en baïonnette peu accusée à l' état de repos, mais devenant très manifeste pendant
re avoir de l'influence sur la famille Bonaparte. 10 septembre. - L' état s'est amélioré. L'excitation est moins forte, il
coup moins surexcité. 16 septembre. - Le malade est revenu il son état normal. j, 20, 21, 24 septembre. - Un accès par
obre. Le délire a cessé complètement, le malade est rentré dans son état normal. 6 novembre. - Un accès de jour. 8 nov
re malade est microrchide. Cette anomalie ne paraît pas exister à l' état d'isolement, elle est par conséquent moins bénign
s au sommet du gauche; coeur d'un volume double de ce qu'il est à l' état normal, aorte un peu rétrécie. Dans le ventre r
circonstances fait place un véritable délire des grandeurs, et son état mental s'aggravant de jour en jour, on se décid
il la tète ». 11 juin. Le délire mélancolique continue toujours; l' état de sa santé paraît surtout le préoccuper, il se
es jours, il fait sous lui et ne paraît pas avoir conscience de son état . Poids riz Idiogr. 500. 8 décembre. On remarq
aré par un sillon humide des parties voisines. 25 février 1889. L' état ichtyoique de la peau est de plus en plus marqué,
rtion supérieure du petit zygomatique du côté droit. Les lèvres à l' état de repos ne sont le siège d'aucun mouvement, mais
totypie BER1'HAUn TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GENERALE ( ÉTAT ICHTHYOSIQUE DE LA PEAu) E C n OS NIMR & ÉD
ndant on le voit sourire lorsqu'on lui parle de ses enfants. ' Vu l' état mental de notre malade, l'examen de la sensibilit
ît occasionner aucune sensation pénible. On ne peut dire quel est l' état de la vision. La pupille est contractée, petite,
nettement sur plusieurs points dans la planche XXV.' ' ' ' . Cet état squameux de la peau donne au toucher une sensatio
taire au début (pl. XXVII). Rien de semblable au pied droit. .Cet état . ichtyosique de la peau s'accompagne d'une absenc
es des cuisses et des bras paraissent diminuées de volume, même à l' état de contraction, elles présentent un certain degré
L'arthrite de la phalange parait augmentée de volume. Toujours même état de la peau. Même'état mental. Mendel * signal
. Pas d'idées de grandeur ou de satisfaction; la malade est dans un état de tristesse assez marquée sans délire ni halluci
re membres forment comme des barres rigides. Pendant la marche, cet état d'extension persiste; . les membres supérieurs
ncopal se dissipe spontanément, et la malade se trouve dans le même état qu'avant. Pendant l'état syncopal, la déviation f
ément, et la malade se trouve dans le même état qu'avant. Pendant l' état syncopal, la déviation faciale persista. Durant
rande hypnotique, est immédiatement mise en somnambulisme. Dans cet état nous ne tardons pas à lui enlever par suggestio
s attaques d'hystérie. Dans la nuit du 10 au 17 juin 1888 débute un état de mal hystérique pré- sentant ceci de particul
ute celte période il est impossible, dans le but de la tirer de cet état , de déterminer une attaque complète (ordinai- r
d'hémianesthésie scnsitivo-sensorielle. Pendant toute la durée de l' état de mal, le côté droit n'avait pas semblé paraly
onjointement, tout rentra dans l'ordre du côté hémaniesthésique à l' état normal. OBs. IX. - Clés..., 20 ans, hystéro-épi
ec peine, ainsi qu'il arrive lorsqu'elle se trouve plongée dans cet état d'excita- tion assez souvent prémonitoire des a
. 58). La malade qui est facilement hypnolisable est plongée dans l' état sonlnaul- Indique pendant lequel nous faisons d
à quelques points seule- ment, tandis que dans d'autres existait un état tout opposé. Weber est le seul auteur qui dans
tère permanent. Ces contractures peuvent être reproduites pendant l' état hypnotique avec les caractères qu'elles présent
à l'aide de diverses excitations périphériques, les reproduire à l' état de veille. Ce dernier fait a son importance. En
es expériences permettra d'étudier ces contractures provoquées cc l' état de veille, alors qu'en dehors des cas spontanés
n'importe lequel des dia- pasons de Kônig, non seulement pendant l' état hypnotique, comme je l'avais cru tout d'abord,
ypnotique, comme je l'avais cru tout d'abord, mais encore pendant l' état de veille les phé- nomènes suivants. Si l'on
la bouche se dévie vers la droite, se contracture et reste dans cet état pendant 55 à 80 secondes; elle est dure au touc
stériques produire des contractures typiques de la langue, soit à l' état de veille, soit pendant l'état hypnotique, par
ures typiques de la langue, soit à l'état de veille, soit pendant l' état hypnotique, par l'excitation du nerf acoustique
tracture, je rappellerai qu'elles trouvent leurs analogues dans les états expérimentaux hypnotiques longue- ment décrits
à toute autre cause. Le souvenir des douleurs endurées détermine un état de célébra- tion inconscient qui se traduit par
quées par les maneuvres thérapeutiques; elle est entretenue par un état de célébration inconsciente ; l'attitude vicieuse
sement épidermique pour marquer la place des an- ciens durillons. L' état général est excellent, le malade engraisse, et le
sans perte de connaissance dans la journée. 17 mai, plaie en bon état , trépidations beaucoup moins fortes. Poids : 63
e du nez, je crois que, en grande partie, il faut l'attribuer à cel état d'irrigation san- guine exagérée dans laquelle,
ès élargies; elles présentent beaucoup moins d'épaisseur que dans l' état ordinaire, elles sont complètement déjetées en ar
les saillies qu'ils présentent sont beaucoup plus indiquées qu'à l' état normal. La main et le pied avaient été plongés
ndibulum est ré- sistant, il est beaucoup plus développé que dans l' état normal. La glande pinéale a au moins le double
astrique sont très accentuées. En l'absence de renseignements sur l' état de la face intérieure du crâne dans la descript
e nutrition somblait plutôt appartenir aux parties supérieures. L' état des dents, de la mâchoire, du foie, semble nous f
imaginer ce que dut être, dans ces conditions, la vie physique et l' état mental de cette malheureuse « d'un tempérament
fait une véritable peine à tous ceux qui la voient. «Tel étoit l' état déplorable où la paralysie avoit alors réduit la
l'église, lui firent quelque tems après trouver des secours que son état lui refusoit... Son génie lui fournit enfin l'i
horreur à tous ceux qui la voyoient... « C'est dans ce déplorable état que la Couronneau, mettant toute sa confiance d
u reste, sa main et sa jambe gauche restèrent toujours dans'le même état sans aucun mouvement et sans aucune sensibilité
d on y enfonçoit des épingles... Elle est restée dans ce déplorable état jusqu'au 13 juin suivant. » , Sur ces entrefa
ce fait, elle est transportée à l'IIôtel-Dieu, où l'on con- state l' état suivant : Paralysie incomplète du bras gauche ;
s les circonstances que voici : un soir son père rentra chez lui en état d'ivresse, furieux, criant et frappant à tort e
lit. Après cette scène de colère il passa plusieurs heures dans un état d'agitation très grande. Il finit cependant par
nnaissance; il mangeait, buvait et dormait comme à l'ordinaire. Cet état de contracture persista pendant trois mois. Un
s parcnts qui le croyaient perdu, l'ont fait photographier dans cet état . 54 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAH'ËTR ! ËRË
Clinique, le 0 juin 1889. Il était, alors comme aujourd'hui, dans l' état suivant. État actuel. 10 juin.- 25 octobre 1889
l'accident que nous avons décrit. Une fois entré Li l'hôpital, l' état persista tel qu'après la chute; les bras restèr
l'appareil qui resta en place pendant un mois. Quand on l'enleva, l' état du membre inférieur n'avait pas changé. Depuis
ement connaissance pendant plusieurs heures. Une fois sortie de cet état , elle est restée paralysée de tout le côlé gauc
sparu, la guérison s'est effectuée, les muscles sont revenus à leur état normal. Quelque temps après, il a pu prévoir qu
, cramoisi, violacé. Parfois les personnes qui le voyaient dans cet état croyaient qu'il avait bu. Cet état de congestion
rsonnes qui le voyaient dans cet état croyaient qu'il avait bu. Cet état de congestion à la face ne s'accompagne pas de
une ser- rure, il était obligé de tou ner la clef à deux mains. Cet état a persisté jus- qu'en février 1888. Un matin,
270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1'l : TltII : RE. 23j'm('h. L' état de la main s'est amélioré au point de vne de la s
du même jour, nausées. 25 juin. La main est exactement dans le même état de bouffissure et de paralysie qu'elle présenta
ement de la main reparaît, et la paralysie également. Dyn. = 0. Cet état per- sisle jusqu'au 1" juillet, époque à laquel
nt a persisté plus de 5 minutes. 2 juillet. - L'amélioration dans l' état de la main s'est accentuée : Dyn. = 15 kilos. T
= 15 kilos. Tous les mouvements sont possibles. 3-4 juillet. - Même état . Dyn. = 18 kilos. Le 7 août. - Durant la nuit,
dans le décubitus dorsal, les yeux fermés, les membres souples. Cet état de calme dure une minute au plus. Phase de déli
Le mardi 17 septembre, à huit heures du matin, se sentant dans son état normal et entendant le coup de canon de l'Expos
reste la même. Lundi 30. Main droite un peu plus forte. Main gauche état stationnaire. Elles sont de nouveau anesthésiqu
généralement sur les membres, parti- culièrement lorsqu'ils sont en état de contracture ou de paralysie. lien a été ains
eu ou point l'empreinte du doigt. Il était complètement indolent. L' état général était parfait ; il n'y avait pas de fiè
our montrer jusqu'à quel point ces gonflements' hystériques, avec l' état congestif, la teinte violacée de la peau qui pr
érêt pratique qu'ils comportent. Sans doute, l'absence de fièvre, l' état général du malade sont en ces circonstances des i
l s'agit vraisemblablement là d'une manière d'être de la peau, d'un état permanent. Seul, Zunker1 a noté sa disparition
CHÉ A. LONDK PHOTOTYPIE HiRTHAUD ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTERIQUE ( état normal) LIi.CROSNI8 ET ¡¡¡ADÉ, ÉDITIiIUJI NOU
E . / CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTION ? \ dans l' état de mal de sommeil hystérique depuis le 31 mais'18
à droite. Le pouls était ce matin, au début de mon examen, à 120. L' état de contracture est toujours le même, avec anesthé
ion, nous en tenant exclusivement à ce qui regarde l'attaque et les états de mal. Nos malades, hommes et femmes à l'encon
bservation que les stigmates physiques nécessaires pour établir à l' état permanent le diagnostic de la névrose; les seco
es permanents, présentent la série des accidents variés : attaques, états de mal, vomissements, etc., constituant la path
re; c'est elle qui crée la polyurie lorsqu'elle existe. L'étude des états de mal hystérique à forme épileptoïde, à forme
nelles), délirante, nous a démontré, qu'au point de vue chimique, l' état de mal hystérique n'était autre chose qu'une at
s, l'étude de la courbe des excréta urinaires pendant là durée de l' état de mal montre qu'au début il y a chute des élémen
es; puis plateau; et relèvement quelques jours avant la sortie de l' état de mal. Le relèvement des éléments constitutifs,
nanition. L'étude de la courbe permet donc de prévoir la durée de l' état de mal et de prédire le retour à l'état normal.
nc de prévoir la durée de l'état de mal et de prédire le retour à l' état normal. Quel que soit l'état de mal observé, le
t de mal et de prédire le retour à l'état normal. Quel que soit l' état de mal observé, le poids des sujets diminue jou
iminue journellement d'une quantité variable, suivant la durée de l' état de mal. Le retour à l'embonpoint est très rapid
ès rapide après le réveil. Nous voulons démontrer aujourd'hui que l' état de mal léthargique ne diffère pas des autres ét
aujourd'hui que l'état de mal léthargique ne diffère pas des autres états de mal hystérique et que la courbe des excréta
des excréta nous permettra encore une fois de prévoir la durée de l' état de mal et de prédire le retour à l'état normal;
is de prévoir la durée de l'état de mal et de prédire le retour à l' état normal; ce qui est dans la circon- stance d'une
circon- stance d'une importance qui n'échappera à personne. Dans l' état de mal à forme épileptoïde, par exemple, la fré
accès, leur diminution, peuvent faire préjuger la continuation de l' état ou du retour il a l'état normal; de même a-t-on
euvent faire préjuger la continuation de l'état ou du retour il a l' état normal; de même a-t-on des indications assez préc
l'état normal; de même a-t-on des indications assez précises dans l' état de mal délirant par l'état même du sujet. Dans l'
on des indications assez précises dans l'état de mal délirant par l' état même du sujet. Dans l'état de mal de sommeil au
écises dans l'état de mal délirant par l'état même du sujet. Dans l' état de mal de sommeil au contraire, rien qui indiqu
de manger. » (Empereur.) III Nos expériences, en ce qui regarde l' état de mal léthargique ou attaque de sommeil, ont p
attaque de sommeil, ont porté sur G malades donnant un total de 11 états de mal pour lesquels il a été fait 91 analyses de
91 analyses des 2-1. heures de sommeil sans compter les périodes d' état normal. L'état de mal le plus court que nous ay
s 2-1. heures de sommeil sans compter les périodes d'état normal. L' état de mal le plus court que nous ayons observé a é
yse. Il ne faut pas oublier en effet, comme nons l'avons dit, que l' état de mal de sommeil peut se prolonger pendant beauc
s, il nous a paru intéressant de donner tout d'abord l'analyse d'un état de mal, d'une attaque de sommeil n'ayant pas dé
ersion caractéristique de la formule de ces derniers. En effet, à l' état normal Will., 19 ans, poids 48 kilo- grammes, e
ÈRE.. Dans le troisième cas (Mono. femme, 19 ans, 51 kilogrammes) l' état de mal dure 3 jours et se rapproche à un tel po
car, ainsi qu'il arrive quelquefois, il y a incontinence pendant l' état de mal. Nous ne voulons en retenir que ceci : c'e
absolument rien, pesait 57 kilogrammes le 29 juin 1888, début de l' état de mal, et 52 kilogrammes le 3 juillet, jour du
kil. 420. On voit combien peut être grande la dénutrition pendant l' état de mal léthargique lorsque les malades n'absorb
fois, le 23 janvier 1889, ses vomissements sont entrecoupés par un état de mal de sommeil qui dure 3 jours, les 23, 24
uvons établir, étant donné les vomissements, une comparaison avec l' état normal qui n'existait pas à proprement parler à
caractéristiques que celles des cas précédents au point devue de l' état demal léthargique. Chez Saint-Den., âgée de 15 an
nnent à ce taux inférieur. La malade, qui sort le 25 au soir de son état de mal par une attaque convulsive, a maigri de
plus que 36 kil. 950 au lieu des 37 kil. 760 du jour du début de l' état de mal léthargique, soit 270 grammes par jour.
ue le montre le tableau C l'inversion de la formule. TABLEAU C. - ÉTAT DE JIAL LÉTHARGIQUE St.-Bon..., le, ans. CONS
s excrétions urinaires. Le lendemain, il y a; comme pour les autres états de mal, oscillation autour de la normale. L'uré
naire que le 7 et les jours suivants. TABLEAU C. MOYENNES DE CINQ ÉTATS DE MAL DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Biz... 17 ans... S
mois. A partir de cette date, jusqu'en avril 1888, Biz... a eu cinq états de mal léthargique, pour lesquels M. Charcot l'
t inutile, croyons-nous, d'insister désormais. ` Pendant les cinq états , le sommeil fut des plus caractéristiques : lél
ours artifi- cielle fut variable suivant les attaques; dans un même état de mal il existait des séries de deux ou trois
(i00 grammes de lait avec 2 ou 3 oeufs battus. Pendant le dernier état de mal, du 23 mars au 1 ? avril 1888, l'alimentat
mmeil hystérique (Les traits pointillés indiquent les période> d' état normal avant l'attaque. Les traits supérieurs son
ONS. 301 du résidu fixe, de l'urée et des phosphates. En effet, à l' état normal, excrète 1,100 c. c. d'urine, 44gr.50 de
Outre ces considérations qui se rapportent indifféremment aux cinq états de mal, l'étude des deux derniers états - pour ne
ent indifféremment aux cinq états de mal, l'étude des deux derniers états - pour ne prendre que ceux-là - est à envisager
trition, de prévoir la durée de l'accès et de prédire le retom il l' état normal. ' Si l'on considère les figures 79 et 8
considère les figures 79 et 80, on note en effet, dès le début de l' état de mal, la chute du volume de l'urine et de l'uré
sommeil hystérique (Les traits pointillés indiquent les périodes d' état normal avant et après l'attaque). , 302 NOUVELL
scillations que suivent d'ordinaire le réveil. On peut donc, dans l' état de mal léthargique, comme dans les autres états
On peut donc, dans l'état de mal léthargique, comme dans les autres états de mal, en se fondant sur le tracé fourni par le
ar le volume de l'urine et le taux de l'urée, prévoir la durée de l' état de niai et prédire le retour à l'état normal. P
l'urée, prévoir la durée de l'état de niai et prédire le retour à l' état normal. Plus que dans les autres états de mal hys
niai et prédire le retour à l'état normal. Plus que dans les autres états de mal hystérique cette action a une importance
cette action a une importance capitale dans la circonstance. Dans l' état de mal épileptoïde, par exemple, on peut voir q
s de calme devenir plus étendus. On pensera alors que le retour à l' état normal est proche. Il n'en est pas de même, on
normal est proche. Il n'en est pas de même, on le comprend, dans l' état de mal léthargique; le réveil est forcément brusq
il est réveillé. Cette courbe particulière des excrétions pendant l' état de mal léthar- gique et pendant tous les autres
ions pendant l'état de mal léthar- gique et pendant tous les autres états , courbe qui mérite, comme l'a montré M. Charcot
vement que nous observons et qui nous permet de prédire la fin de l' état de mal ne se montre pas dans l'espèce sous l'infl
et, nous avons noté avec insistance que, pendant tout la durée de l' état de mal jusqu'au moment précis du réveil, l'alim
d'en doubler ou d'en tripler, les deux ou trois derniers jours de l' état de mal, le volume et les matériaux solides, si
typhoïde, par exemple. Résumant nos recherches sur les différents états de mal hystérique, nous pouvons donc conclure :
ifférents états de mal hystérique, nous pouvons donc conclure : L' état de mal hystérique, quelle que forme qu'il revête,
osphates avec inversion de la formule de ces derniers ; Pendant l' état de mal, les excrétions suivent une marche dont la
marche dont la courbe permet à elle seule de prévoir la durée de l' état de mal et d'en prédire la terminaison; Pendan
durée de l'état de mal et d'en prédire la terminaison; Pendant l' état de mal, l'amaigrissement quotidien est constant.
stant. Il varie de 200 à 300 grammes par jour suivant la durée de l' état de mal et la quantité des aliments absorbés lor
s sont exactes. L'urée on le sait, est accompagnée dans l'urine à l' état normal par d'autres produits également azotés à
ir alors, à plusieurs reprises, au dosage de l'azote total tant à l' état normal hystérique que dans diverses mani- festa
e Carrier, p. -138. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA NUTRITION dans l' état normal ET dans la FIÈVRE du goitre exophtalmiqu
avait pas eues depuis deux mois. Ces douleurs s'accompagnaient d'un état gastrique marqué : inappétence, constipation, s
s disparurent. Le thermomètre révéla pendant toute-cette période un état fébrile subcontinu, allant de 89°, 2 maxima à 3
8, 89, 90, 9'1, 92, 93). Le malade, âgé de 23 ans, menuisier de son état , commença son service militaire le 5 novembre 1
effet, vers la fin de janvier 1889, le malade, qui avait quitté son état de menuisier pour se vouer à l'agriculture, nous
lon dont la pression pro- voque l'accès ,1' -J, 6l. Epileptiques ( état des forces et tremblements chez les - après les
chez un -), par Féré et Perruchet, 130. Epileptiques (note sur l' état des forces et sur les tremblements chez les- ap
Goitre exophtalmique (contributions àl'étude de la nutrition dans l' état normal et dans la fièvre du -), par Gilles de l
34 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
digestions régulières. Pas de fièvre. Poumons et coeur en par- fait état . Lorsque la malade est entrée dans le service l
ent, au niveau du poignet, des reliefs très marqués, par suite de l' état de contracture des muscles ; les mouvements d'é
us fortement, et un peu plus en haut que la commissure gauche ; à l' état de repos, les lèvres restent entr'ouvertes et l
trophie musculaire manifeste avec déformation caractéristique ; à l' état de repos, elles sont toujours placées tout près
examen électrique de la malade les notes suivantes ; par suite de l' état assez grave où se trou- vait la malade, et de l
. 13 1a· PATHOLOGIE NERVEUSE. Les membres supérieurs sont dans un état de rigidité bien caractérisée. Les muscles de
Les muscles de l'éminence thénar sont un peu moins rouges qu'à l' état normal, ceux de la région hypothénar semblent en-
nt à peu près complétement défaut ou, quand il en existe, c'est à l' état pour ainsi dire isolé. Dans le reste de la circ
elles des autres paires semblent un peu moins volumineuses qu'à l' état normal, presque toutes sont plus rouges et semble
esque toutes sont plus rouges et semblent plus vascularisées qu'à l' état normal ; à l'examen microsco- pique on ne const
ceaux de Goll présentent une coloration un peu plus foncée qu'à l' état normal. Les faisceaux cérébelleux directs sont in
t saines, seul le groupe antéro-interne semble plus pauvre qu'à l' état normal. Avec la coloration de Weigert (hématoxy
s radiculaires antérieures semblaient aussi moins abondantes qu'à l' état CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPH1QUE. 19 no
is tout cet aspect ne diffère pas assez de ce que l'on constate à l' état normal, pour affirmer qu'il soit pathologique.
t entendre un gémissement 1 Les notes prises par M. Vigoureux sur l' état électrique des muscles et des nerfs ont été per
ement la contraction de ce muscle et avec plus d'in- tensité qu'à l' état normal. Le réflexe cutané de la plante du pied
la destruction de l'une d'elles; mais c'est, nous le répétons, à l' état complètement isolé. Les corps granuleux se retr
par la face antérieure des cornes antérieures, mais ils sont à l' état isolé ou par groupes de deux ou trois seulement,
mais ne semblent pas cependant tout à fait aussi abondantes qu'à l' état normal. Quelques-unes ont des bras très longs e
uses de la substance grise paraissent aussi moins abondantes qu'à l' état normal, mais cela est beaucoup moins net que da
ces cellules n'étaient pas aussi volumineuses, aussi belles qu'à l' état nor- Archives, t. X. 3 3t ' PATHOLOGIE NERVEU
EXPERIMENTALE. description histologique détaillée et précise sur l' état de la moelle, consécutif ou traumatisme violent
mois après l'opé- ration. Les nerfs sciatiques étaient observés à l' état aussi frais que possible ; nous les traitions p
eurs et d'une instabilité dans la marche. « Le 19 avril 1875, son état était comme il suit : nystagmus, strabisme conv
strabisme convergent, diplopie, sauf un certain amaigrissement; son état général n'était pas mauvais, sensibilité normale
ssantes, suivies de vomis- sements ; parésie vésicale et rectale. L' état de la malade, soumise à diverses médications, e
médecins d'Athènes; et voici ce que nous avons constaté. Outre cet état psychique spécial accompagné d'une insomnie com
s ce moment là, c'étaient les symptômes psychiques qui dominaient l' état du ma- DE LA CURABILITÉ DE LA SCLÉROSE EN PLAQU
4, j'ai visité bien des fois ce malade, et toujours j'ai constaté l' état suivant : nystagmus, paralysies associées des y
pontané que provoqué, faiblesse des membres inférieurs, et enfin un état psychique bizarre qui consistait à une tendance
flexes, l'épilepsie spinale, la faiblesse des membres inférieurs, l' état psychique, enfin tout a disparu d'une façon compl
sous du taux normal, paraît suffire pour rétablir les choses à leur état physiologique. Nous sommes nécessairement amené
nc sert un nombre si considérable de tubes nerveux qui existent à l' état normal ? Il est certes très difficile à répondr
publier. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A l' état PHYSIOLOGIQUE ET pathologique 1 Par le Dr A. MA
la journée. Cette étude nous a démontré que le sommeil, en tant qu' état de repos, diminue l'élimination de l'azote et de
t), chez des individus dont nous avons examiné les urines pendant l' état de repos. L'élimination de 1 Voy. t. IX, p. 232
alimentation est restée la même en quantité et en qualité pendant l' état de repos et pen- dant l'état d'activité intelle
me en quantité et en qualité pendant l'état de repos et pen- dant l' état d'activité intellectuelle; de plus, quand l'alime
conditions de repos musculaire abso- lument semblables, pendant les états de repos et de travail intellectuels. La dimi
vidus en expérience sont soumis à ce travail ou lorsqu'ils sont à l' état de repos, nous ne pouvons rattacher cette augme
e cerveau, en travaillant, absorbe moins de ces phosphates qu'à l' état de repos ? Les mêmes raisons qui nous ont obligé
'acide phosphorique uni aux alcalis et l'azote chez un individu à l' état de travail intellectuel, comparative- ment à ce
lectuel, comparative- ment à ce qu'il est chez ce même individu à l' état de repos. Il est certain en effet que si, sous
i,' chez l'individu qui fait le sujet du tableau I, tandis que, à l' état de Voir, pour toutes les expériences relatives
ses sous- cutanées. Dans quelques-uns, l'arthritisme se combine à l' état névropathique. Les émotions violentes, surtoutr
de Keller disait souvent à son mari que « si on la voyait dans cet état , on pourrait croire qu'elle avait le plus mécha
une grande abondance de matériaux alimentaires non absorbés. Cet état n'est que l'expression de l'affection générale av
autre, alterner l'une avec l'autre, mais jamais elles ne passentà l' état de délire systèmatique ni inversement; elles se
les névroses graves hysté- ro-épileptiques, avec la menstruation, l' état gravide et puerpé- 10"2 L) REVUE DE pathologie
tés ; inversement le courant galvanique rétracte les vais- seaux en état de dilatation active. Par conséquent, on observe
nné, de choi- sir exactement le genre de courants nécessaire. 8° Un état patholo- gique des ganglions spinaux peut, par
onnaît l'espèce de courants qui convient à un cas spécial on est en état d'indiquer lacondnite halnéothérapique appli- c
en décelant un dixième pour cent dans l'eau); elle n'agit pas sur l' état psychique ; mais, en pro- duisant le repos de l
u Saule demande si la malade n'est pas diabé- tique. M. Magnan. L' état général de la malade étant satisfaisant, il m'a
endant les quel, ques jours qui suivent la chute de la température ( état d'inani- tion) et disparaissent dès que l'améli
cerne la prédominance de conceptions irrésistibles (obsessions), Un état instinctif de la vie psychique : la connaissance
ennent de plus belle à l'occasion des mouvements intentionnels; cet état cesserait pendant le sommeil. L'asymétrie, au p
les phases du sommeil t artificiel, soit de ramener brusquement à l' état de veille les sujets préalablement hypnotisés.
onnue est le vertex, dont la pression fait passer l'hystérique de l' état de léthargie dans l'état de somnambulisme provo
la pression fait passer l'hystérique de l'état de léthargie dans l' état de somnambulisme provoqué (Charcot et Richer),
dans l'état de somnambulisme provoqué (Charcot et Richer), et de l' état de veille dans l'état hypnotique (Dumont- palli
bulisme provoqué (Charcot et Richer), et de l'état de veille dans l' état hypnotique (Dumont- pallier). On sait aussi que
s hypnogènes simples, dont la pression pratiquée sur des suJEts à l' état de veille détermine une phase, toujours la même
pendant il n'y a aucun rapport entre la distribution des zones et l' état de la sensibilité, car le transfert de l'hémian
ente les mêmes phénomènes que dans une phase du sommeil provoqué, l' état cataleptoïde les yeux fermés. Ce qui ajoute à l
le sommeil, sa mémoire embrasse les faits de la veille et ceux des états hypnotiques antérieurs. Guidé par ces analogies
était placée artificiellement. Ainsi la malade étant placée dans l' état cataleptoïde,les yeux fermés, l'attaque la met en
e. Chapitre III. Direction générale et surveillance exercée par l' état sur le service des aliénés. Ce chapitre cemprend
nons enfin le placement très économique des aliénés indigents par l' état chez des nourriciers. Quant au système des asil
ces phénomènes une inter- prétation exacte; il montre que tous ces états s'accompagnent d'une abolition de la conscience
tiné aux affections intercur- rentes du quartier des femmes, dont l' état hygiénique était défectueux ; dans sa cinquième
c. Une grande partie de ces ressources a été employée à améliorer l' état sanitaire; on a assuré l'épuration du sous-sol,
sidère comme la manifestation la plus faible ou, pour ainsi dire, l' état naissant des 1 Fcchner.- Elemenle der psyc/¡op/
e en ce que le suggesteur se trouve continuellement dans un certain état d'équilibre musculaire, prêt à tout moment à pa
ment du lec- teur, guidé par le suggesteur, entre bientôt dans un état de dépendance, vu que l'attention du suggesteur
pas de mouvements; il ne fait que remettre ses membres dans le même état d'équilibre, dont les mou- vements du lecteur v
er à droite ou à gauche, comme si j'avais affaire avec un membre en état de contracture. Il était évi- dent quelle bras
n choisir un, que je parvenais à deviner. Il me reste à parler de l' état psychique des per- sonnes prenant part à l'expé
Il y a des personnes, en effet, que ces expériences mettent dans un état d'agi- DE LONOMATOMANIE. 157 tation, surtout
., ne peut se développer que chez les seuls prédisposés. Tous ces états si nombreux, si variés, confondus sous les titr
ement. Dans tous ces cas, le malade a une entière conscience de son état ; il re- grette et déplore, dit-il, ces idées ab
le est l'objet. Elle a, d'ailleurs, parfaitement conscience de son' état , et par instants/ elle déplore son impuissance
our la revoir et il a pu de la sorte éviter une grande crise. Cet état a duré deux ans, avec des alternatives d'aggravat
. ' ' \ ' . , -, Les deux faits suivants montrent le syndrome à l' état de simplicité ; mais l'obsession du mot était-e
pouvait pas immédiatement en. dire le ,nom, il. surviendrait un tel état d'anxiété, qu'il se verrait décidé, à, reprendr
nt, indirectement par exemple, et ces mots, dit-il, passaient à l' état d'idée fixe. ' Voici encore une observation trè
à la recherche du mot effacé du souvenir. Exami- nons maintenant l' état tout opposé, ce.lui dans lequel e mot, loin de
pouvons affirmer que cela soit pathologique, les variations de l' état normal étant à'ce sujet assez étendues. Nous n'
à l'un' qu'à l'autre système'. Ces apparences correpondent-ëHes à l' état ordinaire des choses, c'est-à-dire' à une' diss
e autre remarque est à faire à propos des lésions médullaires sur l' état des fibres nerveuses au niveau des faisceaux py
est bien certain qu'il serait préférable de constater directement l' état de celles-ci, mais malheureusement dans l'état
ent un lacis inextricable s'il y en a quelques-unes de moins qu'à l' état normal. Quelque précis que soient les renseigne
, dans ces deux observations, il ne soit même pas fait mention de l' état des réflexes tendineux; leur étude eût certaine
e » ; aussi l'auteur, tout en avouant que « à part l'évolution et l' état spasmodique dans le domaine des nerfs bulbaires
u clinique n'est que peu marqné, et n'existe pour ainsi dire qu'à l' état d'esquisse. Aussi voit-on peu à peu le cadre de
le fait de dégénérescence, sa marche sont encore plus évidents, l' état d'hérédité morbide plus net, plus accentué et ses
: blésité assez accentuée. Dynamomètre : M. G. 105; M. D. 110. L' état intellectuel de cet enfant s'est considérablement
. |.r ? J ... ? ? 1...'....- ? . ? >< z jamais plaint de son état et ne consentira a se laisser soigner que lorsq
ès manifeste. Les muscles du thorax sont également plus gros qu'à l' état normal. Au cou, lessterno-cléïdo-masloïdiens, d
orsque l'excitation cesse, il revient avec une grande lenteur à son état de repos physiologique /Ti. 3). Au contraire, lor
vul- sives, anesthésies, contractures passagères, etc. En résumé, état prime jusqu'en mai 1879; de mai 4879 à mai 1880
En résumé, état prime jusqu'en mai 1879; de mai 4879 à mai 1880, état second coïncidant avec la contracture des membres
, et se terminant quand elle disparaît ; après mai 1880, retour à l' état prime, amnésie des douze derniers mois, change-
le. R. 45. La voix est entre- coupée ; le malade est effrayé de son état . L'hématose parait bien se faire; pas de cyanos
sommet droit. - -Traitement. Ipéca à dose nauséeuse. Le 21, même état . Nouvelle hémoptysie. UN CAS DE GRANDE HYSTERIE
le avec une solution alcoo- lique d'acide borique. - Soir. - Même état . Sensation de constriction à la gorge. 21 janvi
lade reste alors hypnotisé, pour reprendre sa crise dès que cesse l' état hypnotique. Il faut qu'il ait sa crise complè
racture. , 10 février. Pour le convaincre, on le fait s'habiller en état d'hypnotisme,- on lui ordonne de marcher, et on
lisait cesjours derniers, à Bicêtre même. Après quelques minutes d' état hypnotique, il prend sa crise comme d'habitude.
morte ! » Aussitôt sa physionomie se rassure. 14 février. - Même état . - V... garde toujours le lit pour sa contractu
Ce qu'il offre de plus spécial, ce sont les modifications de son état mental. Il a, en effet, de véritables accès de fo
oit est revenue. Le malade est resté plusieurs heures au lit dans l' état où il était du mois de janvier au mois d'avril.
omme alors. Ce matin la contracture a dis- paru, et V... est dans l' état prime. Pendant les six derniers mois de l'année
l'aide d'un petit marteau sur ces tendons, quand le malade était en état de veille ou en somniation, amenait la phase ép
e malade entrait de nouveau dans la période de somniation ou dans l' état de veille. L'attaque était donc quelquefois mor
amnésie pério- dique. Quand il est entré à Bicêtre, V... était en état prime. Il 1 Yoy. Debove. Congestion pulmonaire
Cl RECUEIL DE FAITS. n'avait encore présenté qu'une seule période d' état second, à savoir : les douze mois (mai 1879, ma
rs. Au mois de janvier 1884, il tombe dans une deuxième période d' état second, coïncidant encore avec une contracture, e
is. Le 17 avril, la contracture disparaît, et le malade revient à l' état prime. Pour la commodité du langage, nous nous
prime. Pour la commodité du langage, nous nous servons des termes état prime et état second. D'après lui, à l'époque o
la commodité du langage, nous nous servons des termes état prime et état second. D'après lui, à l'époque où 11. Camuset
olue avec l'hystérique de M. Azam. Cette femme, en effet, pendant l' état prime, avait autant de lacunes dans la mémoire
dans la mémoire qu'elle avait présenté de périodes antérieures d' état second. Pour user de la phrase de M. Azam, c'étai
am, c'était autant de pages arrachées du livre de sa vie. Pendant l' état second, au contraire, ces lacunes se comblaient
alors de tout l'ensemble de son existence, à la fois des périodes d' état prime et des phases antérieures d'état second.
ce, à la fois des périodes d'état prime et des phases antérieures d' état second. ' Or, notre malade en état prime a perd
me et des phases antérieures d'état second. ' Or, notre malade en état prime a perdu, il est vrai, la mémoire de l'éta
r, notre malade en état prime a perdu, il est vrai, la mémoire de l' état second, et, à ce point de vue, il est l'ana- lo
'ana- logue du sujet de M. Azam. Mais, dans la deuxième période d' état second que nous avons observée (janvier-avril 188
nvier-avril 1884), il ne s'est pas souvenu de la première période d' état second (mai 1879, mai 1880). Le malade savait b
80). Le malade savait bien qu'il avait habité Saint-Urbain, mais en état de santé et quand il travaillait à la culture.
lus d'étendue que dans la condition prime. Les phases précédentes d' état second paraissent définitivement rayées de son
ar, et ceci est le point essentiel de l'observation, ses périodes d' état second ont exactement coïncidé avec des contrac
ors de cette condition. Nous ferons remarquer aussi que, dans cet état second, le malade présente un aspect bien diffé
vue intellectuel qu'au point de vue moral, de celui qu'il a dans l' état prime. Quand il est contracturé, en effet, ou en
u'il a dans l'état prime. Quand il est contracturé, en effet, ou en état second, le malade est doux, enfantin, et a un l
aquin, indis- cipliné et voleur. Cette manière d'être dans ces deux états est bien intéressante, et pour compléter dans s
us montrerons que chez lui il y avait en quelque sorte un troisième état , celui pendant lequel il était quand on l'a end
ant lequel il était quand on l'a endormi artificiellement. Dans cet état , le malade avait un véritable délire de mémoire
ès de Paris; du reste, il n'était jamais venu à Paris. Donc, dans l' état d'hypnotisme, V... perdait constamment le souve
nt ainsi le ton général de l'organisme et par suite la mémoire ? Un état du système vasculaire ? Une action inhibitoire
cer la fonction du langage. 1 >n En effet citez notre malade à l' état prime; le langage est correct et cependant il e
s cellules qui servent au substratum de la mé- moire puisque dans l' état prime et dans l'état second, la mémoire n'est p
t au substratum de la mé- moire puisque dans l'état prime et dans l' état second, la mémoire n'est pas entière. Cette mod
s qui fut atteint d'une hémiplégie de la face du côté droit et d'un état parétique des membres supérieur et inférieur du
érite syphilitique de la sylvienne gauche. G. D. XXIV. EVEIL d'un état DE MAL HYSTÉRO-ÉI'ILEPTIQUE A la SUITE D'UNE op
hloroforme qu'il faut rapporter dans ce cas l'éclosion du véritable état de mal présenté par cette malade. G. D. XXV.
t jusqu'à l'épaule. Tous les muscles du membre supérieur étaient en état de parésie, mais l'anesthésie dépassait les lim
CH. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE IV. SUR QUELQUES phénomènes d' états épileptiques ET coma- TEUX ; par L. WITKOR'SKI,
cutif varient plus qu'on ne croit chez un individu donné. Quant à l' état de la pupille , tout sopor pur s'accompagne de
eux d'une précision régulière qu'on observe pendant le sommeil et l' état de rêve et, par suite, du supposer que les proc
SSIVE DES ALIÉNÉS; par E. MENDEL. (Neurol. Centralbl., 1884). A l' état normal, la cellule corticale est entourée d'un es
ions extrêmement pro- noncées, quant à leurs cellules. VII. Sur l' état des aliénés en RussiE;parM.KowALE\vsKY. (Archives
opathologie légale, Khar- kow, 488, nn 1.) Avant la fondation des états provinciaux en Russie (zemstwa), c'était le « C
uses de Berlin. Déc. 1884. 234 ! REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. les états provinciaux, qui en ont soin. Quoique la situatio
reux se soit beaucoup améliorée, on trouve encore, cepen- dant, des états provinciaux dans lesquels : 1° l'administration
rême et à l'absence de lois, précises et obligatoires pour tous les états provinciaux, sur les aliénés. C'est pourquoi l'
a été jadis affectée, il s'agit de détermi- ner au moment actuel l' état des facultés, car nous n'avons pas assisté au p
tion chimique du sang, troubles de nutrition en rapport avec cet état ) met souvent les femmes affaiblies et fatiguées à
n'en clÙlsidérerllis' pas moins soit impulsion comirie un Véritable état Mental pathdlti- gique. Car la malade souffrait
ez lui à la suite d'attaques répétées, n'a été que le résultat de l' état cérébral pathologique dans lequel se trouvait h
yait,depuis quelque,temps diminuer le nombre,, de ses, crises; son, état , meiit1 ? élaii a'1é- lioré ; mais il est, mort
e elle, il en était devenu tout d'abord très mélancolique, puis son état mental s'était de plus en plus rapproché de cel
ervation est.cette d'un héréditaire,' 'dont ? là' ! folie resta à l' état latent tant qué'l;épilépsié dôniilétâitilttéintni
malies. poussée induire les autres en erreur (Richc : l). Tel est l' état psychique caractéristique de l'hystérie. 11 y a d
tiU'I·l,t tr ¡ ..1111 '(, , MOfIBIDES TOTAUX RIÍSULTAT, RIÍSULTAT ÉTATS MORBIDES TOTAUX Cl)111'LE'f T DEMI-IIESULTAT. 1Nu
dministrant la quantité voulue dans- un verre d'eau. Il a, dans les états mor- bides les plus divers où il l'a administré
. \ M. EUEnSTVEIG.C'est chez les mélancoliques agités et dans les états aigus en général qu'il a enregistré les menteurs
de préférence en jeu les conceptions visuelles. En effet pendant l' état de veille les mou- vements des yeux, coordonnés
aveur, de l'existence de processus intracérébraux en rapport avec l' état de rêve. En tout cas n'est-ce que par l'étude d
te soit en un affaiblissementsintellec- tuel progressif, soit en un état permanent d'irritabilité, soit, enfin en la sim
f, lorsqu'elle doit être ténue pour incurable , 1 4v. l'examen de l' état mental aura lieu;' comme 'dans le1' cas d'intëa'v
era un curateur; 4 (bis) autre rédaction proposée : l'exa- men de l' état mental afin (l'établir ¡'incurabilité 1 aura lieu
l, 1, [ ? 1-, 9. .1 ' SOCIÉTÉS 'SAVANTES. 265 '' 3° L'examen de l' état mental comportera les mûmes errements que ceux
pupille gauche réagit bien, là pupille droite réagit très peu. Cet état est le même en juin 1883, mais au point de vue me
pendant ! la vie, exercé une. pression qui permet de comprendre, l' état mental.. A la tumeur du nerf optique droit, qui
r- d'hui. L'auteur a cible mérite de reconnaître l'existence d'un état maladif dans un rand nombre de manifestations que
qu'il était le seul homme de Paris et même de la France, qui fût en état de remédier à tant de maux. « Quel homme, en ef
voyant que les troubles de l'esprit pouvaient conduire à un pareil état d'ab- jection et appelaient en quelque sorte de
ésultats de cet acte philanthrophique ne se firent pas attendre : l' état d'effervescence, entretenu par l'emploi, des pr
mois d'un tel régime, que de malades tombaient dans le plus complet état de stupeur, pré- sentant tous les symptômes de
mis de former un capital pour malades congédiés. Alsace-Lorraine, état immédiat de l'empire. -Asile de Sa1' ? 'e ! }lIe-
Au mois de novembre de la même année, il se déclara tout- à-coup un état fiévreux et des douleurs dans le bas du dos qui
'hôpital, oùl'on employa l'électricité pendant quel- ques mois. Son état s'améliora de façon qu'elle put retourner au vi
varus. Les adducteurs des hanches sont fortement contractés même en état de repos, leurs con- tours se dessinent netteme
est certain qu'à l'examen macroscopique de la moelle épinière à l' état frais, on remarqua une nuance grisâtre dans la pa
ccom- DES FAUSSES SCLEROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 309 pagné d'un état fiévreux, d'après le dire de la malade, mais, q
des tendons. A la compression de la colonne dorsale on remarqua un état maladif à la région lombaire. Le malade mourut
on caractère, ni ses relations avec les faisceaux sclérosés. De l' état du cerveau on ne dit mot. Considérant tout cela
an- gement quelconque de la moelle ne fut pas constaté etqui, à l' état actuel de nos connaissances, ne peuvent pas êtr
faveur del'impulsion. Que prouve, en effet, cette futilité ? ou un état d'irrita- bilité émotive amenant une réaction d
orale avide du moindre prétexte à mal faire. Eu dehors de ces trois états morbides, on chercherait en vain une explicatio
es mul- tiples à mobiles futiles relèvent de toute nécessité d'un état psychique autre que les incendies multiples sans
motive. Or, la clinique, c'est-à-dire l'analyse psychologique des états mentaux de ces deux catégories d'incendiaires,
x anté- cédents personnels et de famille, aux conditions d'âge, d' état mental habituel, aux circonstances des incendies,
de réunir en un seul groupe ces deux catégories d'incendiaires à états mentaux si différents ? Voir dans les incendiaire
lsion une idée morbide isolée, susceptible de surgir au milieu d'un état psychique par ailleurs sain, doctrine réprouvée
es ressemblances, qui ont induit en erreur taut d'auteurs, avec des états men- taux au fond radicalement différents ? Tou
veur. Mais il est d'opinion commune qu'en médecine légale ces trois états n'entraînent pas de plein de droit l'irresponsa
influence de l'alcool, dans le premier degré de l'ivresse, dans cet état caractérisé par la surexcitation des instincts
e extrêmement nerveuse, qui, à la moindre contrariété, entrait en état de surexcitation, et était contrainte de garder l
me convainquis que ce résultat n'était pas dû à la paresse mais à l' état psychique de l'enfant. Etran- gère, pour ainsi
s; cepen- dant on l'a encore surpris quelquefois se masturbant. L' état intellectuel de Désob... s'est aussi considérable
e.' (Poids : 20 kil. 320.) 27 février. On suspend les injections. L' état est toujours le même. 12 mars. La stomatite est
- Bouillon, potage, lait, un oeuf, vin de quinquina. 12 mai. Même état ; quelques râles à la base gauche; pas de gêne d
en de nouveau. 18 mai. L'étal général est beaucoup meilleur, mais l' état local le modifie très peu. Le souffle persiste,
CLINIQUE MENTALE. tion est normale ; les gencives sont en assez bon état , mais recou- vrent légèrement les dents. Le c
fuse toute alimentation; il survient un amaigrissement rapide et un état de marasme nerveux qui amènent rapidement la mo
NIQUE MENTALE. génitale, ne dit guère que papa et maman; gâtisme. L' état in- tellectuel de l'enfant ne s'améliore pas, '
celle-ci et auquel on pourrait attribuer aussi une influence sur l' état des descendants : c'est la consanguinité des pa
t, .t effet, pour nous, une double action sur le produit, suivant l' état des parents. Il est évident, en effet, que si c
c'est par suggestion que l'on agit sur la maladie, et cela même à l' état de veille et sans qu'il ait été besoin souvent
tudié les modifications que les suggestions peuvent apporter dans l' état mental d'un névropathe jouissant de la plénitud
qu'est, en somme, la folie hystérique, et des modifica- tions que l' état hypnotique imprime à la manière d'être des suje
nvulsives suivies d'une période très longue de délire loquace. Même état maniaque. 30. -Ne veut pas s'habiller parce que
. -Ne veut pas s'habiller parce que ses habits sont empoi- sonnés ; état maniaque, cris, jurons, violences, 2 août. Une
nt.produit aucun effet. Seulsles aimants ont semblé, en modifiant l' état cynesthétique (le rétrécissement du champ viaue
s la suite de l'observation, comment nous avons pu ainsi modifier l' état de notre malade. Comme nous nous sommes toujour
d'hypnotisme. Nous dirons aussi que nous avons toujours agi dans l' état somnambulique et après nous être préalablement
mnambulique et après nous être préalablement assuré aussi bien de l' état hypno- tique que de la bonne foi de la malade p
phase est moins nette que la précédente, nous avons plutôt alors un état cataleptoide; les membres n'ont pas la flexibil
ît alors : les zones hype- resthésiques sont douloureuses comme à l' état de veille, le phéno- mène d'excitabilité cutano
mène d'excitabilité cutano-musculaire est très évident. Dans cet état , nous avons fait de temps en temps une des expéri
nt de vue particulier. Dès la première séance (18 août) et malgré l' état d'agitation très grande de la malade, le sommei
taleptiformes ; les frictions amènent la résolution musculaire. Cet état dure deux heures et demie, et la malade réveill
tions antérieures : d'ailleurs, la malade devenant suggestible ci l' état de veille, nous avons pu rapidement n'user de l
lectrisation par les courants faradiques aidée de sug- gestions à l' état de veille. Les idées hypochondriaques qui commen-
la crise et durent toute la journée, résistant aux suggestions à l' état de veille. Les suggestions antérieures persistent
ments affectifs se réveillent sous l'influence des suggestions à l' état de veille ; elle demande des nouvelles de ses par
'existe plus. 1° ? . - Attaque de léthargie sans contracture : même état , très calme, affectueuse, mais je ne puis lui f
lucinations; même refus de nourriture résistant aux suggestions à l' état de veille. Sonde oesophagienne. Les anciennes s
les catacombes. A 8. -Attaques de léthargie avec contracture. Même état mental que le 15 durant jusqu'au 24. 21. - Ce
te. A ce niveau, hyperesthé- sie notable; comme les suggestions à l' état de veille restent impuissantes, j'ai recours au
la paralysie par suite de l'électrisation aidée de» suggestions à l' état de veille. Les impulsions au suicide persistent
des auxquelles elle résiste grâce à nos suggestions renouvelées à l' état de veille et tous les jours en lui disant que n
gauche, le sein gauche et dans le. jarret de ce côté. 2 avril. Même état , idées d'empoisonnement, hallucinations du sens
persiste pendant le sommeil. , La malade s'affecte beaucoup de son état et est convaincue qu'elle est atteinte d'épilep
urer, puis s'excite, se met en colère, et finalement en arrive à un état d'excitation assez accentué, elle délire même u
, car elle veut tout faire pour ne pas retomber malade. Juin. Cet état persiste : aucun trouble somatique ni psychique.
lles. Elle rit maintenant de ses erreurs passées. Juillet. - Même état : un peu soucieuse par suite d'affaires de fami
ique n'a jamais pu que guérir l'accès d'un aliéné sans modifier son état mental anté- rieur et d'ailleurs rien n'empêche
s renouvellera, comme nous l'avons fait nous- même, qu'autant que l' état de la malade semblera l'exiger, et que les sugg
e l'état de la malade semblera l'exiger, et que les suggestions à l' état de veille ne réussiront plus. En cas d'insuccès
t l'affection mentale. D'un autre côté si l'on ne peut modifier l' état mental on agira au moins sur l'état somatique e
côté si l'on ne peut modifier l'état mental on agira au moins sur l' état somatique et sur l'agitation, et l'on pourra ai
vateurs sur ce mode de traitement (suggestions hypno- tiques et à l' état de veille), qui nous semble rationnel et qui pe
du compas de Weber, que l'écart était le double de ce qu'il est à l' état sain. Voici d'ailleurs les chiffres précis que
mise. Deux fois nous avons observé la crainte de la mort passée à l' état d'idée fixe (OBs. X, LVII). Une de nos malades
oucher. Sa démarche était en outre vacil- lante. Elle tomba dans un état comateux qui, au bout de vingt-quatre heures, s
intéressantes qu'elles soient, ne changent malheureusement pas l' état de la question. P. K. XL. Contribution A la loc
tion dans les mouve- ments des mains. Le 27 août 1882, sans que son état se soit en rien modifié jusque-là, le veilleur
oit en rien modifié jusque-là, le veilleur de nuit le trouve dans l' état suivant : perte de connaissance, écume à la bou
le refoule en avant et àgauche l'organe central, qu'elle réduit à l' état de ruban (ramollissement). Aplatissement, mais
entre eux, (tant au point de vue du nombre qu'au point de vue de l' état somatique et mental des malades admis), pour qu
mpêcher de s'arracher l'oeil gauche. Deux ans après son entrée, son état ne s'est nullement amélioré; elle a la camisole
améliora- tion, qui augmente progressivement, malgré le déplorable état do sa santé physique. En 880, on obtient d'elle
on des noyaux. Dans les premiers stades, les vaisseaux, rarement en état d'hypergenèse nucléaire, pré- sentent la dégéné
oduit de force dans l'estomac d'un malade dépend beaucoup plus de l' état même du malade que du mode d'administration ou
la vie, paraissait due à un relâchement musculaire gé- néral et à l' état aslhéuique du malade. Enfin les centres corti-
t aussi fils d'aliénés. L'épilepsie héréditaire a son empreinte : l' état convulsif est moindre, le ver- tige plus accent
ptions délirantes qui surgissent d'un jour à l'autre au milieu d'un état général qui ne parait pas comporter un tel élém
vril dernier, M. Jules Falret a exposé avec sa netteté habituelle l' état de la question sur la folie héréditaire. Il a i
folie des actes et conservent toute leur lucidité. C'est bien là l' état mental de l'héréditaire, mais qu'il me soit per
défaut d'équilibre des facultés. Pour se faire une idée nette de l' état mental des héréditaires, il est indispensable de
omme étendue et c'est ce qui explique la multiplicité d'aspect de l' état mental de l'idiot dont les aptitudes s'étendent,
des idiots et non pas une entité morbide répondant à chacun de ces états . Un fait qu'on ne peut pas passer sous silence,
es, les phénomènes sont plus complexes, c'est toute la mimique d'un état passionnel nettement déterminé, le rire ou les
volonté; et cette manifestation extérieure est en désaccord avec l' état cénesthétique du sujet, qui tantôt est indifféren
nique médicale de l'école * de Rochefort. Le lendemain, il tombe en état de mal hystéro- épileptique, qui laisse à sa su
la sensibilité; en même temps, le sujet se trouve dans un nouvel état de conscience. Il se réveille à l'âge de quatorze
ns de sensibilité et de mouvement, et, du même coup, a transporté l' état de conscience à cette époque très éloignée de l
adie. Une série d'expériences analogues nous a fait connaitre des états multiples dont l'ensemble embrasse toute la vie d
es états multiples dont l'ensemble embrasse toute la vie de V..., états que nous devons décrire en détail. - PREMIER ét
a vie de V..., états que nous devons décrire en détail. - PREMIER état . Hémiplégie et hémianesthésie sensitivo-senso1'ie
'il était paraplé- gique, lui sont totalement étrangers. Deuxième état . -- Hémiplégie et hémianesthésie scnsitivo-senso1
- Hémiplégie et hémianesthésie scnsitivo-senso1'ielle à gauche. Cet état s'obtient par application d'un barreau d'acier
on souvenir est borné à cette courte période de sa vie. Troisième état . - Variété du précédent. Cet état n'en diffère qu
urte période de sa vie. Troisième état. - Variété du précédent. Cet état n'en diffère que par l'hémiplégie faciale; il s
courte période de sa vie, lui est totalement étranger. Quatrième état . - Paraplégie avec contracture. Obtenu par l'ap
maladie, tout ce qui a suivi l'attaque et le changement spontané d' état survenus à Bonneval lui sont absolument inconnu
'état survenus à Bonneval lui sont absolument inconnus. Cinquième état . - Absence de toute paralysie et anesthésie. Ob
e infailliblement une grande attaque d'hystéro-épilepsie. Sixième ÉTAT . - Absence de toute paralysie et anesthésie. Obte
'hallucinations, de grandes salutations rhyth- miques. Comme dans l' état précédent, le malade est débarrassé de tous les
amais été tail- leur, et ne sait-il point coudre. Voilà donc six' états différents de la conscience; chacun d'eux est l
mbrasse sa vie entière. Les détails qu'il nous a donnés dans chaque état se sont trouvés conformes aux rensei- gnements
Cette conformité ne laisse pas d'avoir une grande importance. Ces états ont tous été obtenus par des agents physiques par
et de la motilité, si bien que l'expérimentateur, en agissant sur l' état somatique, peut, à son gré, obtenir tel ou tel
agissant sur l'état somatique, peut, à son gré, obtenir tel ou tel état connu de la conscience, état complet pour l'épo
peut, à son gré, obtenir tel ou tel état connu de la conscience, état complet pour l'époque qu'il embrasse, c'est-à-dir
ous avons dû alors faire l'épreuve opposée : agir directement sur l' état de conscience et constater si les transformations
sur l'état de conscience et constater si les transformations de l' état somatique seraient parallèles. Pour agir sur l'
rmations de l'état somatique seraient parallèles. Pour agir sur l' état psychique, nous n'avions d'autre moyen que la s
nt exacte- ment telles que nous les avons décrites dans le deuxième état . En même temps,'il se trouve hémiplégique et hé
re, la zone hysthérogène, toul est transféré comme dans le deuxième état . Dans une autre suggestion, nous lui commandons
commandons de se trouver à Bonneval, alors qu'il était tailleur. L' état psychique obtenu est semblable à celui décrit a
. L'état psychique obtenu est semblable à celui décrit au quatrième état , et simultanément est apparue la paraplégie ave
ieures du corps. De la même manière peuvent être obtenus les autres états . La démonstration nous parait ainsi complète :
La démonstration nous parait ainsi complète : 1° En agissant sur l' état somatique par les moyens physiques, l'expérimen
e par les moyens physiques, l'expérimentateur place le sujet dans l' état concordant de sa conscience; 1° En agissant s
jet dans l'état concordant de sa conscience; 1° En agissant sur l' état psychique, il fait apparaître l'état somatique
nscience; 1° En agissant sur l'état psychique, il fait apparaître l' état somatique concordant. Ce ne sont donc plus le
sont ici des relations précises, constantes et nécessaires entre l' état psychique et l'état somatique, telles qu'il est i
ons précises, constantes et nécessaires entre l'état psychique et l' état somatique, telles qu'il est impos- sible de mod
re parallèlement. M. Féré fait remarquer que les modifications de l' état psychique sous l'influence d'agents physiques o
ées par lui et M. Binent', et qu'il a pu établir qu'au changement d' état psy- chique correspond un changement d'état dyn
blir qu'au changement d'état psy- chique correspond un changement d' état dynamique=. M. Delasiauve a remercié la société
ur de l'hype- rémie cérébrale; il y a aussi des cas dans lesquels l' état psychique ne se modifie point pendant que la fi
privés de l'autoconscience, etc... (suivent les caractères de ces états ). La simulation et l'illusion sont impossibles, c
ze malades, sept présentaient de la récep- tivité a entrer dans cet état , réceptivité qui suppose forcément une prédispo
n abondance et pendant longtemps. Il importe de tenir compte de ces états nécroscoptques. Malheureusement on -n'a pas sou-
cesse, sans repos, les vociférations de paroles stéréo- typées. Cet état continue. Ces cas opiniâtres, insolites, ont rap-
nourris longtemps artificiellement restent après cette épreuve à l' état d'automates végétants, à raison de l'affaiblissem
'individu en deux moitiés, dont chacune présente les symptômes d'un état particulier de J'hypnotisme.. 1\1. Dumontpallie
ression. BIBLIOGRAPHIE. 459 Braid avait déjà constaté que. dans l' état cataleptique, en impri- mant aux membres du suj
, M. Bérillon, partant de ce principe d'après lequel un individu en état de somnambulisme présente une aptitude spé- cia
Epilepsie (bromuration), 108. Epileptique (délire post-), 213; ( états ), 257. Epileptiques dangereux, 255. Epileptiq
nt gynécologique de l'), par Flesclrsi" 110. Hystéro-épileptique ( état do mal à la suite d'une opération chirur- g'i
Richter, 267. , Paratdehyde,parDenda,t07,249. Paralysie générale ( état des cellules nerveuses dans la), par \Iendel,
e), 226 j - (cérébrale), 226. Système nerveux (nutrition du), A l' état physiologique et 'patltulo- gique, par Jfatret,
35 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
érenciation que la durée du trouble favorise, et, d'autre part, à l' état démentiel très vite accentué dans lequel tomben
ces verbales pendant plus d'un an. Leur association étroite avec un état d'éréthisme des centres mas- ticateurs : l'hall
otrices verbales, kinesthésiques, visuelles, auditives, gustatives, état de confusion hallucinatoire. Pneumonie ; mort.
teurs. c) Leur apparition au cours 'd'une période de rémission il l' état de symptôme isolé sans association d'autres tro
es que les hallucinations psycho-motrices observées dans les divers états vésaniques. Elles influent sur le délire des ma
vent très malaisé, soit à cause de leur fugacité, soit à cause de l' état de démence du sujet ; parfois aussi ces hal- lu
sure fonctionnelle qui résulte du phénomène normal se répare dans l' état de maladie, l'altération morbide des neuro- nes
l'altération morbide des neuro- nes centraux les fait passer par un état analogue suscitant le courant cellulifuge sans
est violent, déchire' et brise, et aucun calmant n'a prise sur son état . Septembre, octobre, novembre se passent ainsi,
st pas la », et il parle de lui à la troisième personne. Malgré son état d'affaiblissement et-son gâtisme, l'agitation per
cohérence. - Voici les lettres qu'il a écrites et où il traduit son état par deux sortes d'écritures, l'une émanant de l
nsemble auparavant (délire rétrogade). 12 CLINIQUE MENTALE. Cet état n'a persisté que quelques semaines; l'état généra
12 CLINIQUE MENTALE. Cet état n'a persisté que quelques semaines; l' état général est actuellement bon et l'affection est
ouls est rapide, bat à 120. Mais il n'y a aucune lésion au coeur, l' état général est assez bon, le malade pèse 85 kilos ;
rappant la tête contre les murs, s'arrache les moustaches, puis cet état s'amende un peu. Le 12 avril, a un ictus avec p
umis aux injections de sérum ioduré et à l'hypochloruration. Même état pendant septembre, octobre; le 12 novembre 1900,
on monotone monologue de propos désagréables. Le malade conserve un état général assez ^satisfaisant et paraît tirer pro
A PARALYSIE GENERALE. 15' Il résulterait de nos constatations que l' état normal du sens génital se trouve surtout dans l
e et de sa valeur, il est donc intéressant de rechercher dans quels états s'est trouvé cet instinct lors des diverses tra
ce sens passera successivement et alter- nativement par les quatre états de normalité, d'exaltation, d'affaiblissement e
e sujet continuant à avoir la même idée de lui-même quel que soit l' état de ses organes génitaux. Ces faits, très nombre
le tableau qui suit, fourni par 144 constatations dans lesquelles l' état du sens génital a pu être relevé, le sens tacti
sens des rapports étroits ? Dans '1 080 cas nous avons pu relever l' état du sens génital, le sens algésique étant altéré
a de la boulimie avec vol d'aliments : de même il se lamente sur l' état piteux de ses organes génitaux qui ne sont plus
à base physique, est sans rapport autre que de coïncidence avec l' état des organes génitaux. Emile Turb... dans la premi
nc pleinement autorisé à conclure qu'il n'y a aucun rapport entre l' état des organes génitaux et les conceptions déliran
E GÉNÉRALE. 23 Nous n'avons trouvé non plus aucune relation entre l' état du sens génital et les sensations subjectives r
2 de nos constata- tions nous avons réussi à connaître exactement l' état de l'ins- tinct génésique en même temps que les
subjectives peuvent se trouver associées successivement à tous les états du sens génital. La question est dès lors jugée.
ous avons eu, en effet, toutes les évolutions du mal avec les trois états aux phases initiales de normalité, d'altération
ns réussi dans 95 p. 100 de nos cons- tatations à nous assurer de l' état du sens génital. Nos échecs ont été en diminuan
is parmi eux quelques-uns seulement pouvaient encore éjaculer à l' état flasque. VI. Aux troubles énumérés ci-dessus, i
e que l'altération en plus; mais il est assez habituel que les deux états alter- nent entre eux avec prédominance toutefo
ues et première les pertes séminales, l'éjaculation précipitée et l' état normal. XI. D'un côté l'impuissance totale sans
calme. XIV. Nous n'avons jamais trouvé d'altération en plus, ni d' état normal avec les formes dépressives, calmes ou agi
uante ans. XVII. Nous n'avons noté aucun rapport entre les divers états du sens génital et les transformations de la pers
ystème nerveux dans la série des vertébrés. Sur- prendre, comme à l' état naissant, les premières formes orga- niques des
lement l'existence d'un. substratum anatomique, mais varie avec l' état de ce substratum, avec la qualité et la quantité
s, elle se tuerait sans hésiter Quelques mois après, cependant, son état moral s'était complè- tement modifié, et comme
effet. Il avait donc suffi d'enlever, par une simple suggestion à l' état de veille, l'obsession qui jouait le rôle d'arr
t advenu de cette jeune et jolie femme qu'une simple suggestion à l' état de veille a rendue à la joie de vivre, si elle
e basant sur ce fait, distinguer les manifestations hystériques des états dus à l'épilep- sie. Karplus, montre. en s'appu
uvements est soustraite â la volonté, on doit admettre que certains états d'excitation de l'écorce peuvent déterminer un
profonde dans l'épilepsie et le tabes ; et sur ses rapports avec l' état des réflexes superficiels. Il a cependant trouv
resthésie, plus 'fréquente, se rencontre souvent dans l'anémie, les états dyscra- siques, les cachexies, la convalescence
brillaires localisées dans la plupart des muscles du corps; 3° Un état d'incoordination spasmodique qui se manifeste à
e 4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. folie : c'est une modification de l' état physiologique, un état anti- social, naturel ou
LÉGALE. folie : c'est une modification de l'état physiologique, un état anti- social, naturel ou acquis, mais non pas u
d des doigts, ensuite de la main, enfin de tout le côté gauche. Cet état dure trois jours, puis survient une crise convu
t dangereux pour lui-même et pour les autres. Puis il revient à son état normal, ne se souvenant de rien si ce n'est qu'
, et, pour la résoudre, il faut faire l'analyse quantitative de son état mental et moral; et cette analyse est nécessaire,
du genou droit. En août 1898 accès de goutte avec tophus. Assez bon état jusqu'au 10 juillet 1899. Ce jour là nouvel ict
y. (Médical Record.) Conformément à la loi de 1889 les aliénés de l' état de New-York sont traités dans onze asiles répar
lbany devrait être généralisé systématiquement non seulement dans l' état de New-York mais dans le reste du monde civilisé.
seule- ment à désennuyer les malades, elles ont paru utiles à leur état mental 1. A la fin de l'année, on a fait une ve
lus éloigné, qui pourtant se trouvait dans les , mêmes conditions d' état préopératoire et de soins locaux. Rien ne prouv
es il faut mettre au premier plan les conditions qui soutiennent un état de sensibilité exagérée, le plus souvent l'état
qui soutiennent un état de sensibilité exagérée, le plus souvent l' état d'attente anxieuse, les chagrins et les émotion
ail physique) et calmante (bromures avec codéine). En présence d'un état hysté- rique bien prononcé, il faut essayer le
maniaques et mélancoliques; ce qui facilite l'étude ultérieure des états mentaux survenant comme symptômes ou épiphénomène
BIBLIOGRAPHIE. 69 de maladies infectieuses ou diathésiques où ces états ne jouent qu'un rôle effacé et non constant. No
forme du beau; notre volonté est faite pour vouloir le bien. Dans l' état primitif les troubles pro- fonds produits par d
eut être faussé par des circonstances individuelles (tempé- rament, état de l'organisme, maladies aiguës), il est indispen
erculose et on voit s'affirmer de jour en jour cette doctrine qu'un état infectieux peut engendrer de toutes pièces des tr
s'était tailladé lagorge et les deux poignets avec un couteau. Son état est désespéré. (Le Bonhomme Normand, du 28 févrie
inconvénient de le condamner à une immobilité qui peut aggraver son état mental. L'un de nous se propose prochainement d
ratiquer que chez des malades sains d'esprit, qui attristés de leur état , sollicitent une opération nouvelle dont ils sa
dans cette situation, à Saint-Louis, pendant vingt-un jours; puis l' état demeurant stationnaire, il sortit, mais pour êt
d'une façon générale, il y a une amélioration appré- ciable dans l' état du malade pendant son séjour àl'asile, puisqu'en
car- bone portant sur la tentative de suicide elle-même, avec un état passager de confusion mentaleégalement classique;
relativement court. que lorsque la faim ou l'in sexuel, ou encore l' état de la température ou de l'a phère réveille leur
maux inférieurs parce qu'on les a presque toujours observés dans un état où le train de vie de l'animal était troublé, e
les réactions des vers à la division de leur corps en segments. Les états que l'on appellerait doulou- reux s'ils étaient
rojection. Que l'élaboration des sensations soit accompagnée de ces états internes que nous connaissons directement, état
accompagnée de ces états internes que nous connaissons directement, états suscepti- bles de tous les degrés de clarté ou
comme l'a fait Edinger après Descartes, l'intervention d'un simple état de l'orga- nisme, non d'une force ou d'un être,
rofesseur de médecine légale donna des résultats nuls, à cause de l' état de putréfaction du cadavre. Ce cas présente un
is qui, comme tous les mouvements physiques sont influencés par les états physiques. On a toujours dit de la sensation qu
s ainsi. En fin de compte, c'est au substratum physique, et non à l' état mental lui-même que s'atta- quent les mensurati
HOLOGIQUES. cellules géantes, des myocaryocytes rencontrés dans des états pathologiques d'autres tissus. Le début du proc
issent les mêmes phéno- mènes et vice-vcrsc2. G. Deny. Hill. De l' état des réflexes chez les syphilitiques ; par le D r
é. (./0 : ;ni. de neurologie, 1901, nul 9.) Une enquête faite sur l' état des réflexes de 13 syphilitiques appartenant à
ns des centres nerveux, l'auteur reconnaît qu'il est difficile en l' état d'en donner une interprétation satisfai- sante.
l n'y a donc aucun rapport intime entre la tonicité musculaire et l' état des réflexes, ceux-ci pouvant être très exagéré
iés et aussi l'absence du phénomène des orteils en même temps que l' état stationnaire de la maladie depuis un an lui ont
aiie.tout son service, de sorte que 'personne' ne s'aperçoit de son état , d'autant qu'il a l'air de jouir encore de' l'i
de la partie; il est persécuté, mais pas au point qu'au début, cet état ^attire l'attention de ceux qui l'entourent ; il
et exa- minées par l'auteur lui ont permis en outre d'établir, à l' état de variété spéciale, le type du suicide alcooli
pilepsie, ensuite de la chorée, affections qui sont rares pendant l' état puer- péral, et rares aussi (surtout la chorée)
opinion qui cherche la cause de la chorée et de l'épilepsie dans un état toxique ou microbien du sang. La grande fréquence
tant que les .activités, cellulaires spéciales qui accompagnent les états d'aliénation .mentale,, doivent retentir sur l'
s actes bien : anisés (volontaires). L'auteur étudie ensuite quelques états mus- aires, puis il va au-devant de quelques ob
son sans com- plication. An bout d'environ un an, amélioration de l' état mental; le malade obtient sa sortie, et continu
ite, et réapparition des troubles mentaux : il rentre à l'asile, en état d'hémiplégie droite, d'aphasie partielle, et d'
t le séjour à l'asile, est restée sans retentisse- ment aucun sur l' état mental; d'autre part l'hémorragie cérébrale sur
entre eux, et cependant divers suivant les sujets, et que lorsque l' état mental normal se rétablit, après une de ces exp
accusées; 2° que lorsqu'il existe de l'excitation émotive, ces deux états se modifient proportionnellement à cette excita
modifient proportionnellement à cette excitation; 3° que lorsque l' état mental habituel a reparu et lorsque la tension
arque qu'elle dépend en grande partie des sensations spéciales, des états émotifs parti- culiers (bonheur, colère, etc.)
susceptibilité du sujet. R. DE uIUSGRAVE-CL.1YE. s - XI. Sur l' état mental' d'Auguste Comte; par William-W. IRELAND,
G. Dumas, dans la Revue Philosophique), un ac ticle intéressant à l' état mental d'Auguste Comte. Il résume tout d'abord
tout lorsqu'il mourut, d'un cancer, en 1857, que la question de son état mental fut soulevée à propos de son testament d
ause immédiate est la compression des nerfs intéressés bien que des états autotoxiques et diathésiques puissent REVUE DE
la lésion du rire et du pleurer spasmodique. Elle montre différents états existant du cerveau, et leurs conséquences clin
comme les auteurs ont pu encore'le constater en étudiant surtout l' état des pédoncules cérébelleux. Elle est égale- men
ndifférence à l'égard de sa famille qu'il aban- donne dénote bien l' état affeclil' typique en pareil cas ; la convic- ti
dénomination très heureuse de Théomanie raisonnante. Il compare cet état à celui des régicides étudiés par Régis : même
rganisme et par suite du cerveau, et aussi chez les épileptiques en état de crises subin- trantes. ? ° En exercant une a
n particulier les cellules nerveuses. Elles sont indiquées dans les états de dépression mélancolique, dans les états épilep
sont indiquées dans les états de dépression mélancolique, dans les états épileptiques avec ralentissement des fonctions
sistante qui n'est point modifiée par la guérison de la cécité. Cet état est stationnaire jusqu'au mois de juin 1900 ; le
se conduire elle-même, mais ne parait nullement s'inquiéter de son état : elle semble même enchantée qu'on s'oc- cupe d
. Mais environ un mois après, le 18 août, elle retombe dans le même état d'amaurose double à la suite d'une légère contr
évrier, et leur disparition n'a entraîné aucune modification dans l' état du sujet. Notons encore que ce même 6 février a
ouche est petite, les lèvres sont un peu éversées, les dents en bon état : les deux inci- sives supérieures et médianes
examen à l'otoscope montre un canal auditif externe et un tympan en état tout à fait sain. 11 n'y a jamais eu à aucun mo
pareil visuel qui semble, au premier abord, complètement revenu à l' état normal et qui, en réalité, nous présente il con
lui prescrivit des pilules de mica punis avec forte suggestion a l' état de veille ; le lendemain elle distinguait déjà
Cette guérison peut être complète et durable : c'est le retour à l' état normal ; mais elle peut être incomplète et pass
rmittente et généralement pervertie de la vision binocu- laire. Cet état est de beaucoup le plus fréquemment observé; c'
ut ou partie de savision, suivant l'intensité de cette cause et son état de suggesti- bilité 2. f ! . 1 Et alors : 1°o
ger passé, la suggestion envolée. Voici Marthe, par exemple ; à l' état ordinaire elle ignore, pour ainsi dire, son oei
efois et après des incitations répétées, presque une suggestion à l' état de veille, qu'il pouvait voir par exemple la se
ent constante : nous arrivons au troisième stade qui correspond à l' état normal de la vision : c'est le stade de guériso
nir ce résultat. Il arrivait aussi a la malade de tomber dans un état d'être, à de certains moments, en proie à un état
de tomber dans un état d'être, à de certains moments, en proie à un état soporeux particulier, état très différent par l
re, à de certains moments, en proie à un état soporeux particulier, état très différent par les sensations qu'il provoquai
sente aucun trouble mental. Elle se rend parfaitement compte de son état , convient de l'état maladif, de ses hallucinati
mental. Elle se rend parfaitement compte de son état, convient de l' état maladif, de ses hallucinations et demande à ce
ultats auxquels nous sommes arrivés. Nous devons distinguer trois états différents dans les descriptions qui vont suivr
enses; c) le passage du trouble hallucinatoire de la conscience à l' état normal. a) La faible intensité de l'hallucinati
s à certaines impressions, réactions qui d'ailleurs sont rares, l' état de distraction le plus,absolu règne chez notre ma
expérimentale. En effet, ici ce que nous pouvons provoquer c'est l' état mental, qui dans le cas particulier est principal
par du désordre dans les idées et les actes, est le résultat de cet état mental. Il se passe donc à peu pi es le contrai
, quand nous inférons des désordres présentés par un malade à son état mental et surtout aux causes génératrices de ce d
e. Ce qui caractérise ce tableau symptomatique, c'est en résumé l' état de distractions mentales du sujet joint à de l'
idées et hallucinations. D'autres auteurs propo- seraient pour cet état le diagnostic de confusion mentale hallucinatoi
hez notre malade il n'y a pas d'idées persistantes ni fixes, tout l' état mental est sous la dépendance de nombreuses hal
succèdent comme en une véri- table fantasmagorie kaleidoscopique. L' état mental de G... indépendamment des réactions mot
t comparé la confusion mentale hallucinatoire. La connaissance de l' état mental de notre sujet, peut donc assez bien nou
vient de se passer, sa.cons- cience est de nouveau normale. ' Cet état de réveil, pendant lequel malgré la disparition d
repère qui, les avaient engendrées, existe également à la suite des états de confusion mentale hallucinatoire. La.- durée
e de tout ce qui se présente à lui et arrive à le reconnaître. Un état analogue, quoique d'une durée un peu plus rapide,
à laquelle i a succédé cette disposition spéciale de la malade à un état \ hallucinatoire. Elle présente en somme une suc
? cette évolution, fait d'autant plus difficile à étudié que les' états antérieurs de : la malade nous étaient totalement
canisme de la psychologie de la distractioni et de l'attention. A l' état soi-disant normal l'état mental'de^ G... présen
de la distractioni et de l'attention. A l'état soi-disant normal l' état mental'de^ G... présente à peu près la puissanc
y adapte. Cette image im- posée occupe la conscience et provoque un état de distraction, lorsque l'hallucination est d'i
cination est très intense, à la distraction fait place un véritable état de confusion mentale. Le rapproche- 220 PSYCHOL
GIE MORBIDE. ment, que cette expérience naturelle permet entre deux états psychiques, semble jeter quelque lumière sur le
ue lumière sur le mécanisme et la structure mentale qui préside à l' état de confusion. L'idéation provoquée est rapideme
e est rapidement adaptée et à mesure que la distraction grandit, un état de croyance en la réalité de l'image accompagne
ne d'intensité, la distraction grandit pour bienlôt évoluer vers un état de confusion, qui n'en est que la plus haute ex
rs un état de confusion, qui n'en est que la plus haute expression, état dans lequel les images se succèdent rapide- men
is que l'éréthisme psychique va en augmentant. 3° Le passage de cet état à la vie psychologique normale est intéressant,
tribuer, pensons-nous, à l'etude de la génèse et de l'évolution des états de conscience provoqués par des hallucinations.
es fèces. L'auteur a observé ce fait dans 4 cas sur 12. Plus qu'à l' état anatomique des reins, la fonction rénale est li
de l'élimination. Le bleu de méthylène ne peut servir à contrôler l' état anatomique et fonctionnel des reins chez lesalién
on de leur disposition. Pour reconnaître avec exactitude cer- tains états dégénératifs des cylindraxes de la moelle épinièr
udinales de la moelle, parce que dans les coupes transversales, ces états dégénératifs peuvent échapppr ou en tout cas ne
igneuses recherches des auteurs sur le signe de Babinski : 1° A l' état de santé, la recherche du réflexe plantaire peut
,dans la moelle; 4° Le réflexe de Babinski ne se voit jamais à l' état de santé et nos observations nous conduisent- à
n sens oppo-é, et déterminant, suivant leur énergie respective, les états de tonicité, de contraction ou d'inhibition.
volution progres- sive d'aptitudes organiques qui existent déjà à l' état élémentatre chez l'actinie et le lombric, n'éta
s la genèse de la plupart des myélites, de beaucoup de délires ou d' états de confusion mentale, n'ignorons-nous pas encor
le place à côté du \ délire toxique et fébrile, et en 1898 dans les états toxi-infectieux. D'autre part, les travaux réce
ur, et qui ne manque-presque jamais. Il serait dû, d'après lui, à l' état défectueux des voies digestives supérieures, pr
stipation est habituelle. Elle peut être considérée, comme dans les états infec-' tieux et toxiques, comme une conséquenc
à s 1 sionomie caractéristique, doit être fait cependant avec deux états : dâus'1 ôr râ é p`syclngue, avec les$tts mapia
gue, avec les$tts mapiaques aigus; dans l'ordre somatique, avec les états typhoïdes^ Le delirium tremens est un'delire"ai
ouvrent de fuliginosités, ce qui donne à l'aspect général celui des états typhoïdes. Ils refusent toute inges- tion de so
osition névropathique nécessaire, ont déterminé dans l'organisme un état de réceptivité pathologique particulier, en agi
la céphalalgie, les attaques hysté- riformes ou épileptiformes, les états cataleptiformes ou catato- niques, les troubles
NTES. période prémonitoire et qui persiste encore dans la période d' état . Elle s'observe dans le délire aigu, comme en t
ces que j'ai tentées sur l'animal, je ne suis arrivé à obte- nir un état maladif qu'on puisse scientifiquement comparer au
it preuve d'une indifférence peu en harmonie avec la gravité de son état et qui est un signe précurseur de la mort proch
nier que ce tableau ne se rapproche ''de celui qu'offrent tous les états infectieux. Est-ce à dire pour cela, que la tox
eulement dans la période prémonitoire, mais aussi dans la période d' état . On dirait des maniaques par leur extrême agita
nalés n'étaient non seulement pas hémophiles, mais jouissaient d'un état général parfait : De plus le purpura qu'ils ont
t le suivant : un fond de confusion mentale sur lequel se greffe un état délirant onirique constitué par des association
t pris de nostalgie, manifestant le désir de quitter l'hôpital. Son état mental alla en s'aggravant jusqu'au 268 ' SOCIÉ
ucinations de la vue et de l'ouïe, et des impulsions homi- cides. L' état délirant apparaissait surtout la nuit. Rentré dan
après sa sortie de l'hôpital. Depuis son entrée, il a pré- senté un état mental caractérisé par de la confusion mentale, d
un véritable accès mélancolique, suivi quelques jours après d'un état hallucinatoire, nocturne surtout. La psychose' es
sur le tissu nerveux en particulier : c'est seulement en relevant l' état général du malade que la lécithine améliore l'éta
nt en relevant l'état général du malade que la lécithine améliore l' état nerveux. Elle ne saurait donc être considérée c
une amélioration très rapide des symptômes soma- tiques énumérés, l' état psychique ne tarda pas à être modifié. Néanmoin
les observation ? de torticolis mental publiées jusqu'à présent, l' état mental, ne parait pas aussi modifié et aussi pr
bsorbés par leur délire. Une autre difficulté se présente lorsque l' état d'affaiblissement du sujet est tel qu'il est im
plus de chance de réussir que l'affection physique dépen- dra d'un état mental moins atteint. La prolongation du traite-
orticolis mental ne serait qu'une variété de cette affec- tion et l' état mental des malades atteints de torticolis mentaux
es malades atteints de torticolis mentaux. rentre dans l'étude de l' état mental des tiqueurs. Comme l'a dit . M. Martin,
e la gymnastique et de la rééducation des mou- vements amène dans l' état mental des modifications salutaires. Il a toujo
e chute de bicyclette. Il ne présentait aucun signe d'hystérie. Cet état durait depuis deux ans sans amélioration lorsqu
tre admis, faisant l'éducation de sa volonté et des suggestions à l' état de veille et en employant les moyens habituels,
un stigmate plutôt psychique que physique de la dégénérescence. L' état mental de ceux qui en sont porteurs est celui des
ien pu remarquer que l'amé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 273 lioration de l' état mental a été précédée de l'amélioration de l'état
73 lioration de l'état mental a été précédée de l'amélioration de l' état physique. M. Briand met en relief le caractèr
x chez ies dégénérés atteints de torticolis mental. Il assimile cet état psychique à l'état mental des liqueurs. Tous ce
s atteints de torticolis mental. Il assimile cet état psychique à l' état mental des liqueurs. Tous ces malades ont une i
ent un certain degré d'incohérence dans leurs actes. C'est sur cet, état mental bien particulier que viennent se greffer
rappelle que c'est à M. Magnan que l'on doit la descrip- tion de l' état particulier des dégénérés. Quelques membres rap-
nt aggravés depuis cette époque. A vingt ans, à son entrée, voici l' état physique et mental : Tremblement fébrillaire de
Cet exercice peut avoir une influence utile pour combattre certains états morbides : quelques affections nerveuses trouve-
ource toxique. Dès lors, la thérapeu- tique de la céphalée dans ces états deviendra une thérapeutique pathogénétique et n
ront alors un bloc caractéristique rendant évident, indiscutable, l' état dégénératif du sujet observé. 11 ne faut donc pas
au secours de leur collègue, mais l'un d'eux fut encore mis dans un état pitoyable par le fou, brandissant toujours son
it. L'un des blessés a été transporté à l'hôpital de Bédarieux. Son état serait grave. On s'accorde à dire que le dément
mettre un assassinat, il s'est logé une balle dans la poitrine. Son état est très grave. (Bonhomme Normand, 31 janvier 1
son ivresse et de son impru- dence a été littéralement réduite à l' état de charbon sanguinolent et a expiré dans d'atro
aux réflexes tendineux par la rachicocaïnisation varient suivant l' état antérieur de ces réflexes. Si les réflexes sont
diminuer, s'abolir même quelquefois, puis revenir lentement à leur état primitif et reprendre leurs caractères antérieu
ns affirmer cependant qu'elle n'affecte aucun rapport direct avec l' état des réflexes tendineux : elle n'accompagne pas
lle parait au contraire affecter des relations plus étroites avec l' état général du malade ; on la voit souvent en effet
du malade ; on la voit souvent en effet précéder immédiatement l' état nauséeux, disparaître avec les vomissements et ré
st survenue suivant les cas avec l'exagération des réflexes, avec l' état nauséeux, elle a suivi enfin la trépidation épi
ice des membres inférieurs. Les deux tabétiques précédents qui, à l' état normal ne présentaient aucune trace d'ataxie, n
tion pendant la marche. Mais tous ces malades étaient en proie à un état nauséeux très intense. Phénomènes VASO-MOTEURS.
es faites dans le territoire analgésié dans le but de rechercher- l' état de la sensibilité n'ont presque jamais saigné.
la soustraction du liquide cépha- lo-rachidien modifient toujours l' état des réflexes. Mais ces modifications sont bien
ation évidente du tissu libreux avec une hypertrophie modérée et un état vacuolaire des fibres musculaires. L'examen du
r- cation qui sépare en deux ordres de lésions. Il étudie ensuite l' état des vaisseaux dans la syphilis du cerveau : tou
stion est si net qu'il n'a besoin d'aucune démonstration ; dans les états toxémiques la suggestion a toutes les raisons pos
'exercice est un facteur bien plus puissant dans la création de ces états névro- pathiques. Les symptômes sont nombreux
otif suffisant, ou même absolument sans motif, la simula- tion d'un état de maladie, la recherche excessive de la sympathi
et bien d'autres phénomènes qui se rencontrent égale- ment dans les états névropathiques des adultes. Quant au trai- teme
te qu'elle soit, - de la définition de Mobius : « L'hystérie est un état dans lequel les idées commandent au corps et dé
imentaires : crises cardiaque, respiratoire, vertige, etc.... Cet état d'augoisse est le plus souvent concomitant de pho
t souvent été suivis aussi bien chez l'homme que chez la femme d'un état syndromique d'angoisse. La pathogénie doit en ê
scléroses combinées, compressions médullaires, sclérose en plaques, états paréto-spasmodiques infantiles, nécroses, para-
i constant des contractures dépend de raisons histolo- giques ; à l' état normal, certains groupes musculaires sont pré-
ans la grande majorité des cas, il existe un rapport étroit entre l' état des réflexes tendineux et celui du tonus muscu-
a moelle cervicale déterminent une paraplégie flaccide, soit par un état de shock, soit par un trouble circulatoire par
exe achilléen dont la recherche est toujours facile et positive à l' état normal. J'ai étudié les réflexes cutanés des ma
tonicité du muscle, qui elle-même, serait sous la dépendance de l' état du système nerveux. Tumeurs gazeuses de l'abdom
paralytiques généraux. M. JOFFROY rappelle d'abord les principaux états morbides dans lesquelles on a noté de basses te
chronique du père ou de la mère, ou des deux; - 2° l'alcoolisme à l' état d'ivresse au moment de la conception; 3° durant
leur recommandons d'éviter tout rapport sexuel avec leurs maris en état d'ivresse. Il en est qui comprennent l'impor- t
théories nous paraissent également insuffisantes pour expliquer cet état mor- bide. La théorie intellectuelle néglige pr
ssion morbide, appartient aux troubles de la volonté. En étudiant l' état des obsédés en dehors de leurs crises angoissan
celle de l'illustre More], nous considérons l'obsession comme un état pathologique à base essentiellement émotive, comm
teur. La cellule nerveuse et le neurone ; structure et fonction à l' état normal et pathologique (Revue générale). Gazette
il a constaté pendant la vie les symptômes suivants : pouls rapide, état saburral du tube digestif, faciès hagard, perte
s, très peu fréquents, où l'on se trouvera en .présence d'un de ces états de crise douloureuse, périphérique ou viscérale,
on plus écrire et avait peu de notions sur les choses usuelles. Son état s'est bien amé- lioré, les colères sont moins f
goût. En résumé l'enfant se rapproche de plus en plus en plus de l' état normal. Maur... (Pierre), 10 ans, enfant atte
l douze, treize ans, sans motif fondé. Cet âge arrive aussi, mais l' état s'est aggravé : à la maladie nerveuse et mental
tuel et au point de vue physique, afin de modifier profon- dément l' état nerveux fondamental, la diathèse nerveuse si l'on
1900. SOCIÉTÉS SAVANTES. 353 a décrit, comme on sait, en 1874, un état pathologique constitué à la fois, cliniquement,
citation désordonnée avec bouffées délirantes variées. Bientôt, son état prend un aspect fran- chement mélancolique, à t
a composition en redevint de plus en plus normale; parallèlement, l' état catatonique s'amenda par degrés, les attitudes
e de ce cas, dont nous n'avons donné ici qu'un simple résumé, que l' état pathologique désigné sous le nom de Catatonie p
l'amnésie de fixation. L'auteur pense que l'insolation provoque un état d'intoxication ainsi que l'aspect clinique des
eront discutées à Grenoble : Question de pathologie mentale : Des états anxieux dans les maladies mentales, M. le Dr La
ection abdominale aiguë est passée, les vomissements subsistent à l' état chronique ; ils se maintiennent en vertu d'une
itre des suggestibilités, l'auteur croit que la suggestibilité il l' état de veille est toujours indépendante de la sugge
il l'état de veille est toujours indépendante de la suggestion il l' état d'hypnose. Des sujets dont la suggestibilité à
ggestion il l'état d'hypnose. Des sujets dont la suggestibilité à l' état de veille est minime peuvent devenir par l'hypn
tion de véritables machines. Les nevrosés très suggestionnables a l' état de veille sont souvent très rebelles à l'hypnot
ont pu être réalisées en laboratoire et sont possibles même dans l' état posthypnotique, mais dans la pratique il est pr
oins évidente. BIBLIOGRAPHIE. 301 C'est surtout la suggestion à l' état d'hypnose qui semble avoir des résultats. Contr
s. Contrairement à l'opinion de l'école de Nancy, la suggestion à l' état de veille est utile dans certains cas, elle n'est
ndignité, de persécution. Ces délires sont souvent consécutifs à un état infectieux (grippe, affections broncho-pulmonai
é suffisante pour entraîner la mort, ne laissant derrière eux que l' état mental sénile antérieur parfois un peu aggravé.
ue, de l'influence de la menstruation, de l'ivresse du sommeil, des états passionnels normaux font entrer dans la médecine
qne dès que l'explosion d'un premier symptôme le trahit. Tant que l' état mental le permet, il doit autant que possible con
lace. C'est dans les colonies pour épileptiques qu'ils trouveront l' état le plus favorable. Encore faudra-t-il que celle
larme. Les trois malheureux blessés, l'enfant surtout, sont dans un état désespéré. Quant à Blondeau, il s'était tué sur
actions se succèdent nécessairement suivant îa dose et sui- vant l' état du sujet; les excitants sensoriels fatiguent d'au
les expériences de M. Dèstrée montrent qu'il estfavorable soit à l' état de repos, soit à l'état de fatigue'. Celles de
èstrée montrent qu'il estfavorable soit à l'état de repos, soit à l' état de fatigue'. Celles de M. Frey indiquent que ce
s'agit là vraisembla- blement d'une manière d'être de la peau, d'un état perma- nent et à ce propos ils rappellent que l
us paraît donc établi par ces résultats qu'il ne s'agit pas là d'un état permanent de la peau, mais bien d'un état trans
'il ne s'agit pas là d'un état permanent de la peau, mais bien d'un état transitoire apparaissant et. disparaissant RÉAC
s même au bout de trois et quatre heures chez des sujets qui, à l' état normal, ont de la dermographie très accusée il n'
unis, épileptiques et hystériques. Si nous envisageons maintenant l' état normal nous consta- tons que dans toutes les va
tons que dans toutes les variétés mentales il a été inférieur à l' état anormal, toutefois c'est surtout dans l'hystérie
c une formidable proportion. Pour les autres aliénations mentales l' état normal a été plus fréquent. Après l'hystérie, c
épi- leptiforme. Démence simple, sans euphorie. Cons- cience de l' état maladif. Troubles de la motilité à droite. Duré
plus intense que la première fois. Jusque-là il avait continué son état de marinier. Pendant l'année 1857, les attaques
nt peu précis, et il a conscience, jusqu'à un certain point, de son état démentiel. Il nous dit qu'il a les idées brouil
tionnée. 1 CI' août 1864. Tout le temps qu'il a passé à l'asile son état cérébral a toujours été à peu près le même. Il
rès injec- tés. Il ne peut plus prendre que de la soupe. - 18. Même état . L'embonpoint se maintient. Trois soupes. 19. L
en diminuant chaque joui'. Ce matin, il est encore levé. 20. Même état . Il reste assis, comme d'habitude, sur son banc.
s os du crâne sont excessivement épais, au moins moitié plus qu'à l' état normal. Leur épaisseur est plus grande à gauche
rès une nouvelle école était ouverte par le Dr Wilbur, dans le même état . En 184G, le Dr Backus avait fait une tentative
dans les asiles, et la première mesure prise pour amé- liorer leur état consista à les en séparer. Il indique les modific
elle tombait au chiffre de 120 à 130 millimètres. On étudia alors l' état physique des malades dans ses rapports avec la
, peau souple et moite. Etat aigu : pouls de 90 Il 120 par minute : état subaigu de n0 à 80. Le fonctionnement mécanique e
chimique de l'estomac s'ameliore à mesure que le malade passe de l' état aigu à l'état subaigu. Dans tous les cas aigus, o
'estomac s'ameliore à mesure que le malade passe de l'état aigu à l' état subaigu. Dans tous les cas aigus, on a trouvé l
es membres à être pris de tremblement fibrillaire incoordonnés. Cet état s'atténue dans la période subaiguë. Les hallucina
lée pratiquement nul : activité motrice faible : 6° peau sèche. L' état subaigu est caractérisé par les 'phénomènes suiva
x indications thérapeutiques suivantes chez les mélan- coliques à l' état aigu : 1° diminution de la pression sangnine; 1
andes destructions de cellules nerveuses corticales succèdent à des états convulsifs. Il est encore trop tôt pour donner un
ort guéri. Il. de i\IUSGIà.1\'E-CLaT. XXI. Une théorie relative aux états physiques du système ner- veux qui sont nécessa
iques du système ner- veux qui sont nécessaires à la production des états de mélan- colie, de manie, etc.; par John i'URV
en pathologie mentale que celle de savoir comment se produisent les états d'exaltation et de dépression, et, physiquement
et, physiquement, à quelles modifications du sys- tème nerveux ces états correspondent, si leurs localisations sont diff
que, la mélancolie et la manie étant toutes les deux associées à un état de dissolution du système nerveux, la réduction
il en est de même des inculpés en observation au point de vue de l' état mental, malgré qu'en pratique il soit passé out
amélioration alors que le séjour à l'asile n'eût pu que prolonger l' état morbide ou favoriser le passage à l'incurabilit
tant en malades les sujets qui ont conscience plus ou moins de leur état maladif. 8° Pour les villes dont la population
biles, les imbéciles et même les persécutés ou mégalomanes que leur état permet d'en- voyer dans une colonie ; ce genre
ment combinées. Elle - peut encore être la conséquence d'un mauvais état des reins ou même d'une néphrite méconnue et da
sur-I'on est évacuée sur l'asile, le 27 mars 1897, en raison de son état mental, caractérisé, d'après le certificat d'ad
compliquée de délire ai,r¡u; adynamie profonde, fièvre, diarrhée, état typhoïde des plus graves ». Sous l'influence d'
Chéron i, je constate, le 27 avril, une légère amélioration dans l' état général avec dimi- nution de la confusion des i
e de toute activité proprement volitive, en servant de décharge aux états d'excitation de l'organe céré- bral. » Nous c
ts habituels aux gymnastes. Nous avons vu plus haut sa position à l' état de repos. Ajoutons qu'il met constamment sa ves
l y a eu un motif ; mais ce motif a disparu et l'acte est passé à l' état d'habitude automatique que le malade n'explique
ce suffi- sante pour expliquer la finalité de ses actes. Mais cet état ne dure pas. A la phase de délire systématisé s
une vie intellectuelle de plus en plus restreinte, ils n'ont plus d' états de conscience complète : l'habitude, seconde na
s stéréotypies apparaissent. Il faut donc qu'il existe un certain état d'affaiblissement des facultés psychiques pour qu
tion incline déjà à faire penser qu'on peut les rencontrer dans des états vésaniques autres que les délires systématiques
lade a tou- jours été très réticent et se trouve maintenant dans un état de démence manifeste. A propos des démences p
entité morbide, on peut pourtant étudier les stéréotypies dans les états catatoniques. Pour la plupart, des psychiatres,
u nom de délires systématisés secondaires, indiquant le passage à l' état chronique e t l'acheminement à une démence plus
uicide ». Peu à peu, il s'est mis à gémir et actuellement voici son état : Lorsqu'il est au repos, on le trouve blotti d
i toniques, ni clo- niques, méfiez-vous, quand ils font preuve d'un état mental défectueux, de quelque chose de bien plu
e variation' dans la fermeture de ses fenêtres la plongeait dans un état émotif des plus pénibles, qui prenait seulement
ent les stéréo- typies se montrent en dehors de la démence dans des états d'asthénie, de déséquilibration psychique tels
servent de substratum aux obsessions. Enfin on les ren- contre à l' état normal dans les tics d'habitude. - IV. Considér
diminuent de fréquence, mais une fois. qu'elles sont passées à l' état d'habitude, elles persistent d'une façon indéfini
ns toutes les directions de façon à souffler, siffler, comme dans l' état normal, il lui est désormais impos- sible d'art
on, de l'appétit et faisait bien toutes les autres fonctions. Cet état dura trois mois malgré tous les remèdes qu'on put
nctionnel ; 3° la nature de l'excès de développement, dans ces deux états pathologiques, appartient pri- mitivement à l'o
gane ait une part étiologique dans la dystrophie qui accompagne les états adé- noïdes du pharynx; 6° il semble que le cor
es grandes cellules nerveuses des aliénés, avec étude spéciale de l' état connu sous le nom de,« réaction à distance » ;
u.,Les remarques de l'auteur sur ce fait rare se résument ainsi : l' état curieux des vaisseaux de la pie-mère, observé d
affectées viennent à l'appui de l'opinion du D'' Ohlmacher que cet état débute par les membranes molles; mais dans le c
l y avait une hémiplégie antérieure, en sorte qu'il se peut que cet état prenne naissance au siège d'une vieille hémorrh
octobre 1900.) Dans ces deux cas on a pu étudier non seulement les états his- tologiques, mais encore les états bactério
pu étudier non seulement les états his- tologiques, mais encore les états bactériologiques ; dans tous les deux, il y ava
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Observation I. -A. Deux états pathologiques coexistaient au mo- mentde la mor
gérer la possibilité d'une leptoméningite. OBSERVATION II. -A. Deux états pathologiques coexistaient dans la pie-mère et
taient épaissies et infiltrées de cel- lules à cytoplasme abondant, états qui sont communément asso- ciés à l'atrophie ch
- C. Pendant la vie les symptômes que l'on aurait pu rapporter à l' état de la pie-mère ont été obscurcis par ceux qui a
icales de la circonvolution fron- tale ascendante gauche étaient en état de dégénérescence granulo- graisseuse. Les paro
très faible. Il fut pris de somnolence habituelle et mourut daus un état semi-comateux, sans avoir eu de convul- sions.
vision du côté malade est limitée à la perception de la lumière. L' état de la pupille n'est pas modifié. . R. DE iIIUSG
b. Ce réflexe achilléen paradoxal serait dû, d'après l'auteur, à un état hyperto- nique, vis-à-vis de ceux de la région
t leur antagonisme avec les réflexes tendineux. G. D. LYYVI. De l' état des réflexes chez les syphilitiques; par le Dr Bi
ourn. de Neurologie, 1901, n° 14.) Voici un tableau comparatif de l' état des réflexes chez 13 sujets sains et chez 13 su
aient modifiés, souvent exagérés, d'autrefois diminués ou-abolis, l' état normal était conservé dans les formes bénignes.
uit heures, et le malade est rendu à la santé, en ce qui concerne l' état hystérique ; quant à la débilité et aux phénomè
ogie, 1901, n° 10.) Le traitement que l'auteur préconise contre les états vertigineux chroniques dépendant de l'oreille c
te der- nière indication, et un troisième tableau enfin indiquant l' état du sang avant et après le traitement. De l'étud
olie avec accès prolongés, foires puer- pérales ou du retour d'âge, états de stupeur et démence primaire, particulièremen
avec agitation anxieuse, idées de négation et pachydermie, dont l' état s'améliorait dès qu'elle était soumise à la médic
qu'elle était soumise à la médication thyroï- dienne, alors que son état s'aggravait quelques jours après la ces- sation
, chez laquelle les symptômes de démence avaient été attribués à un état d'imbécillité congénitale compliqué d'épilepsie
uberculeuse et qui; plusieurs mois avant sa mort, avait présenté un état mélancolique d'une forme clinique un peu spécia
36 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
équence d'une action personnelle de l'opérateur sur l'opéré, et que l' état dans lequel se trouvent les prétendus magnétisés
rmes dont il se sort des définitions précises. Voulant indiquer que l' état d'hypnotisme est essentiellement un état expérime
ises. Voulant indiquer que l'état d'hypnotisme est essentiellement un état expérimental, il te définit ainsi : « L'hypnotism
ent un état expérimental, il te définit ainsi : « L'hypnotisme est un état nerveux déterminé par des manawvres artificielles
enne qu'il s'airit de la provocation expérimentale chez un sujet d'un état psychologique quelque peu différent de l'état/pag
tale chez un sujet d'un état psychologique quelque peu différent de l' état /page> page n="6"> normal. Par extension
page n="6"> normal. Par extension, le mot peut s'appliquer à des états présentés spontanément par le sujet en dehors de
suffrages. M. Bernheim proposa la suivante : « L'hypnotisme est un « état psychique particulier susceptible d'être provoqué
it arrivé aux mêmes conclusions : « L'hypnotisme, disait-il, est un état expérimental extra-physiologique du système nerve
que l'hypnotisme est un processus essentiellement progressif depuis l' état de veille jusqu'à la léthargie, en passant par de
uis l'état de veille jusqu'à la léthargie, en passant par de nombreux états intermédiaires. Parallèlement à ceux qui voyaie
ire. En effet, pour M. Liébeault, le sommeil artificiel n'est qu'un état passif expérimental analogue au sommeil normal. C
t qu'un état passif expérimental analogue au sommeil normal. C'est un état physiologique dans lequel l'esprit est en monoidé
lement favorable à la réalisation des suggestions, par opposition à l' état de veille où il e&amp;ten polyidéisme. MM. Li
et Liégeois attachent à la production expérimentale du sommeil et dos états passifs une importance prépondérante. M. Bernheim
de Nancy peuvent se résumer dans les propositions suivantes : 1° L' état hypnotique n'est pas une névrose ; les phénomènes
tre obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel- 2e L' état hypnotique n'est pas particulier aux névropathes,
es procédés d'hypnotisation se réduisent à la suggestion. 4° Dans l' état de sommeil, comme dans l'état de veille, l'indivi
réduisent à la suggestion. 4° Dans l'état de sommeil, comme dans l' état de veille, l'individualité morale de chaque sujet
ntre ces deux opinions extrêmes, dont l'une voit dans l'hypnotisme un état extra-physiologique et l'autre un état physiologi
'une voit dans l'hypnotisme un état extra-physiologique et l'autre un état physiologique, où se trouve la vérité. Comme il f
, selon les susceptibilités particulières, peut être primitivement un état physiologique puis devenir un élatexlra-physiolog
les manifestations physiologiques de l'organisme. Le sommeil naturel, état physiologique par excellence, devient un état ext
me. Le sommeil naturel, état physiologique par excellence, devient un état extra-physiologique s'il se complique de rêves, d
inations visuelles, auditives, gustatives, vous le faites passer d'un état physiologique dans un état extra-physiologique.
es, gustatives, vous le faites passer d'un état physiologique dans un état extra-physiologique. Lorsque Ton provoque chez
qu'il puisse subir, sans douleur, une grave opération chirurgicale, l' état dans lequel vous l'avez placé n'est pas plus phys
que, selon l'expression de Paul Richer ; s'appliquaient à obtenir les états de l'hypnose; avaient constamment recours à l'act
ncy observaient des sujets plutôt normaux; ne s'éloignaient guère des états superficiels et surtout employaient la suggestion
si l'on avait adopté la lumière verte cela était surtout à cause de l' état mental des ouvriers, . « Autrefois, dil-il, quand
o trois semaines dans cet asile il sortit un peu amélioré quant à son état général. Ses phobies, bien qu'atténuées persistai
ation apparente, il eut un alourdissement et retomba dons son premier état . Ainsi il a traîné misérablement su vie ne pouvan
t désespoir affligeants. Des idées de suicide vinrent s'ajouter ù son état , une mélancolie profonde lo gagne, il ne fait que
es et uliénisles. Ni lo bromure, ni les douches, ni la suggestion à l' état de veille ne lui furent d'aucune utilité. Trait
mercier do tout mon cœur du changement que vous avez su opérer dans l' état de mon mari ; il est complètement changé. La prés
s les plus distingués du barreau de Paris à lui donner mon avis sur l' état mental d'un homme de 32 ans, marié, père de famil
'influence d'une impulsion automatique irrésistible, survenue dans un état d'abolition passagère de la conscience. Kn effet,
n effet, lorsque l'inculpé avait été arrêté il semblait éire dans, un état d'hébétude tel qu'il était resté indifférent aux
mpressement à ce double traitement. La transformation opéréo dans son état mental me dispose à le considérer comme guéri et
e grippale laquelle est maintenant guérie, mais a laissé après elle l' état mental actuel. Aucun signe ne permet do penser sé
oilà le point délicat. 11 ne suffit pas de dire à une famille : cet état n'est pas grave, il guérira un jour ou l'autre. C
ente, monotone, uniforme, en même temps que persuasive, je produis un état passif pendant lequel je fais à cette malade les
'une ou de deux séances ; il no suffit pas, en effet, de supprimer un état morbide ; il faut rendre cette suppression stable
l y a cinq ans elle s'est reconnu un don naturel, lui permettant, à l' état de sommeil somnambulique, de découvrir les affect
rticle 18 de cette loi ; Attendu quo la femme Guertiau se trouve en état de récidive légale, aux lermes de l'article 24 de
même jamais, mais qui, cependant, sont enveloppés dans ses lois, à l' état de possibilités certaines; c'est dans un autre se
" année) de la Revue de l'Hypnotisme des détails circonstanciés sur l' état de cette malade. NOUVELLES Enseignement de 1
avec raison que chacun des organes de ia vie de relation peut être en état de sommeil, pendant que d'autres organes du même
artiel ou local de certaines parties pendant que d'autres restent à l' état de veille, c'est-à-dire demeurent aptes à fonctio
meil général, dit-il, est l'ensemble des sommeils particuliers. » Les états de conscience que Ton comprend sous le nom d'hypn
nt, désirant qu'une expérience au moins fût faite pour s'assurer de l' état de la sensibilité chez cette malade, Brown-Séquar
ait été soumise à une attaque de l'espèce décrite. Elle était dans un état d'épuisement extrême et presque incapable pendant
e ses attaques d'extase. Comme il n'est possible à personne, dans l' état de santé, de rester debout sur la pointe des pied
fait capital que l'acte initial par lequel un sujet est plongé dans l' état d'hypnotisme n'est que le résultat d'une irritati
'encéphale. A 'notre avis, l'interprétation la plus rationnelle des états d'hypnotisme est celle qui établit une assimilati
s états d'hypnotisme est celle qui établit une assimilation entre ces états et entre les phénomènes d'inhibition et de dynamo
lonté, on constate l'apparition des deux phénomènes fondamentaux de l' état d'hypnotisme: L'automatisme et l'hallucination.
t le monde suit en effet que, chez certains sujets, on peut, même à l' état de veille, provoquer une contracture ou une anest
et repassent par la période de paralysie et reviennent ensuite à leur état norma!. Je me borne à citer ces quelques expéri
océdé plus compliqué quand on pourra employer la suggestion, soit à l' état de veille, soit pendant l'hypnose, car on obtiend
n'aura pas pu être obtenu par le médecin. Le sommeil naturel est un état passif que nous n'avons pas besoin de produire et
sé. A nous donc de savoir en tirer parti. La suggestion pendant cet état est une sorte de succédané de la suggestion hypno
une tendance à accepter l'inexplicable, et les proches eux-mêmes, en état de débilité émotive, peuvent favoriser parfois l'
-delà des images du rêve dont parlait Anatole. On pourrait comparer l' état mental de ces rêves avec le travail inconscient d
êve 11 y ?? comme dans" tout phénomène, une question de relativité. L' état comateux ou do syncope est loin de répondre, eoo'
prétend, au sommeil profond, quoique nous soyons loin de connaître l' état mental dans ces conditions pathologiques. En somm
et malades spéciaux n'étaient pas accessibles aux manifestations de l' état hypnotique ; mais il parait maintenant indiscutab
ours être employés et qui ne sont en somme que de la suggestion à à l' état de veille à laquelle chacun de nous est plus ou m
ysés dans le sommeil profond, tandis que ces groupes d'idées qui, à l' état de veille, se trouvent plus ou moins en subconsci
s (cas de régression de Ribot). Si l'on considère le sommeil comme un état psychique dont le caractère est la suppression de
avant le début de l'expérience. L'inhibition hypnotique est donc un état expérimental essentiellement physiologique. Cet é
ique est donc un état expérimental essentiellement physiologique. Cet état ne saurait devenir pathologique que par le fait d
ont : 1° La lumière agissant sur l'appareil visuel et déterminant l' état do fascination (Braid, Charcot, Bremand) ; 2° L
sommeil normal pouvait être transformé en sommeil hypnotique. Dans l' état de sommeil les facultés de contrôle sont suspendu
périmentale. A notre avis, le mot hypnotisme devrait être réservé aux états d'inhibition psychique ou phy-/page> page n=
un but expérimental. En dehors de toute manœuvre expérimentale.des états analogues à l'hypnose peuvent se manifester spont
ts. Les excitations d'ordre psychique susceptibles de provoquer des états d'inhibition ou de dynamogénie non expérimentaux
u) ; 4o L'imitation (somnambulisme social de Tarde) ; 5° Certains états affectifs et émotifs; 6° Les rêves. Tous les
s rêves. Tous les agents physiques peuvent également déterminer des états d'inhibition ou de dynamogénie. On peut mentionne
tabac, opium, hachich, etc.) plongent ceux qui s'y adonnent, dans des états analogues àKinhibi-tion hypnotique et facilitent
e la maladie des tics, ni l'imitation des gestes (échokinésie), ni un état mental particulier (tic psychique), qui constitue
s paroles plus profondément vraies qu'on ne croit, « La maladie est l' état /page> page n="79"> naturel des chrétien
us le préceptorat de Mgr de Rebergues. Giiberte, qui lesdestinait à l' état ecclésiastique, les ramena à Paris où, d'octobre
de nous apprend que si on l'emmène tandis qu'elle estplongéc dans cet état second, elle marche sans savoir où elle est ni où
Son lils, dans une note qu'il nous fait remettre, dit que sa mère, en état de crise, marche comme une personne normale, caus
ns a des accès particuliers pendant lesquels elle est plongée dans un état second. Dans cette situation, elle est capable de
ui arrive d'être incorrecte. Elle revient enfin à elle et sort de cet état second comme d'un profond sommeil ; elle ne sait
déshabille tout-à-coup et urine sur eux, on le saisit; il sort de cet état second, s'excuse des actes qu'on lui reproche, ma
uai de la gare. Un autre malade étant sur un pont à Brest sort de son état second : il était parti de Paris, avait fait inco
! Il avait fait toute la traversée, alors qu'il était plongé dans son état second; pendant toute la traversée, sa conduite a
sa conduite avait été régulière et ce fut au moment où il revint à l' état normal, qu'on le prit pour un fou. On admet gén
faire reproduire tout ce qu'ils ont fait lorsqu'ils étaient dans leur état second. Les malades hypnotisés se souviennent des
ut une crise très forte et quand elle se réveilla, eile était dans un état singulier. Elle croyait être dans l'année 1882 et
lle avait donc été plongée pendant huit années de 1882 à 1890 dans un état second dont elle était sortie par une attaque d'h
comitial. La femme de la Salpétriere qui est restée huit ans dans un état second/page> page n="87"> était une hys
inément, elle répond un peu lentement, elle parait plus sombre qu'à l' état normal, mais tous ces détails ne sont pas très ap
e chaise. Si je ne l'avais point réveillée, elle eût pu rester dans l' état second où je l'avais placée pendant un jour, une
aise ; eiie se souviendrait en outre des actes accomplis par elle à l' état normal. A ce point de vue les malades soat supéri
à l'état normal. A ce point de vue les malades soat supérieurs dans l' état de sommeil à ce point qu'ils sont dans l'état de
soat supérieurs dans l'état de sommeil à ce point qu'ils sont dans l' état de veille. Qu'un pareil état se développe spont
sommeil à ce point qu'ils sont dans l'état de veille. Qu'un pareil état se développe spontanément et persiste pendant vin
mais totalement abolie. De plus, il y a toujours parallélisme entre l' état de la mobilité et de la sensibilité ; c'est le me
t limitée à une moitié du corps ; elle peut être totale et absolue. L' état de la inutilité n'est pas toujours parallèle avec
ant de manœuvres frauduleuse, avaient fait croire à la malade, dont l' état s'était aggravé, à leur compétence médicale. Un
; les jours suivants, il perd peu à peu les sourciïs et les elle. Cet état demeure définitif. A î8 ans, la barbe apparaît bl
60, il publiait son premier ouvrage, chez Doin ; Du Sommeil et de ses états analogues. C'était la théorie de la suggestion
croscope. Et il voit l'importance de ce groupement par systèmes'à l' état morbide comme à l'état normal : il crée ainsi du
l'importance de ce groupement par systèmes'à l'état morbide comme à l' état normal : il crée ainsi du même coup Tanatornie gé
us l'influence de l'attention, ne constituaient pas chez ce malade un état analogue à celui d'une personne qui médite, c'est
un état analogue à celui d'une personne qui médite, c'est-à-dire à l' état d'une personne qui, attentive à un seul point, es
fut ainsi amené à admettre que certaines cellules cérébrales ont à l' état normal la faculté de rompre leurs communications
ue par le contact des prolongements de ces éléments nerveux. Dans cet état , les neurones seraient en activité fonctionnelle
rusquement, expliquerait la soudaineté extraordinaire du passage de l' état de veille au sommeil qu'on observe chez certains
veille au sommeil qu'on observe chez certains sujets. Les différents états de l'hypnotisme résulteraient de la suppression d
erposant leurs prolongements entre les terminaisons des neurones. A l' état de repos cérébral, cette interposition des cellul
do la névroglie. Avec cette théorie, le repos mental, le sommeil, les états de l'hypnotisme s'expliqueraient par interpositio
De même, le sommeil hypnotique fait nettement renaître la mémoire des états de conscience survenus pendant une anesthésie chi
u'il puisse être placé rapidement et sans en avoir conscience dans un état de somnambu-lisme profond. Si ce cas se présent
ntroverses. Citons-en quelques extraits qui feront mieux comprendre l' état d'àme de notre héros : « La maladie dont notre ép
e main, de nombreuses fortunes? a Dans son organisation actuelle, l' état civilisé est une machine qui travaille avec un ga
rent un auditoire aussi empressé que sympathique au professeur. Les états mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnot
des interprétations différentes. D'après Bernheim, l'hypnose est un état conscient caractérisé par la concentration mental
aient incapable de calculer avec assez d'exactitude pour le faire à l' état normal. Gurney considère que l'explication de B
gt; page n="137"> n'est-il pas raisonnable d'admettre aussi un état mental correspondant? Ainsi il existerait un cont
st écoulé de jours et combien il en reste encore ; de plus, pendant l' état de veille, il n'a aucun souvenir ni de la suggest
a suggestion ; 4° Ce souvenir ne lui revient à aucun moment pendant l' état de veille ; 5° Il ne lui vient même pas quand e
lle ; 5° Il ne lui vient même pas quand elle passe spontanément à l' état d'hypnose ; 6° Quelques instants avant l'accomp
psychique général des asthmatiques; depuis la simple exhortation à l' état de veille jusqu'à la suggestion répétée, faite da
tation à l'état de veille jusqu'à la suggestion répétée, faite dans l' état d'hypnotisme. Tous les asthmatiques, vieux ou jeu
e du Martynia est souveraine contre la blessure du serpent (Birmanie, états Shans), parce qu'elle ressemble au crâne de cet a
é, il est arrivé à boire (de l'eau-de-vie, surtout) et à se mettre en état d'ivresse, d'autant plus facilement qu'il est fai
lieu le 2 mai 1899. L'ayant déjà guéri de verrues parsuggestion à l' état de veille, je n'eus pas grand'peine à l'endormir,
tout, vin, eau-de-vie, absinthe, etc., sans se mettre bien souvent en état d'ivresse. Je l'ai déjà guéri deux foisd'une cirr
J'ai endormi un sujet hypnotisablc, puis je l'ai réveillé. Dans cet état de veille hypnotique, je lui ai ordonné de regard
ucoup de méfaits qui ne sont pas dénoncés par crainte de vengeance. L' état mental du vagabond et de l'homme errant ne tarde
Vergier de Hauranne. {A suivre.)/page> page n="168"> Les états mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnot
terait mes ordres au moment déterminé par son calcul mental pendant l' état d'hypnose. Quelques jours après ces diverses éché
de ce qui s'était passé pendant le sommeil provoqué. 2.— Pendant l' état de veille, elle était incapable de résoudre menta
lques-unes des suggestions qui ont réussi se sont réalisées pendant l' état de veille, quelques autres pendant le sommeil ord
une certaine quantité de force nerveuse ou d'activité cérébrale. A l' état de veille,cette force se trouve concentrée dans l
durant l'hypnose s'effacent. Quand on produit de nouveau l'hypnose, l' état antérieur de concentration reparait et, en même t
production du premier phénomène? Quant au fait que deux sujets à l' état d'hypnose ont déclaré que chacun d'eux avait rêvé
conclusion que les somnambules passent aisément et spontanément de l' état normal à l'état hypnotique. De plus, bien que l
les somnambules passent aisément et spontanément de l'état normal à l' état hypnotique. De plus, bien que les souvenirs à l
tat normal à l'état hypnotique. De plus, bien que les souvenirs à l' état d'hypnose, spontanée ou provoquée, disparaissent
nt les évoquer a nouveau par des questions posées pendant de nouveaux états d'hypnose. Ainsi, des sujets qui avaient passé
ats d'hypnose. Ainsi, des sujets qui avaient passé spontanément à l' état hypnotique et qui avaient pensé aux suggestions,
t pu faire par la simple méthode d'interrogation pendant les nouveaux états d'hypnose: Même en admettant la concentration p
n spontanée, la difficulté est loin d'être résolue. S'il né reste à l' état normal aucune trace de la mémoire hypnotique, que
temps écoulé de la même façon que la conscience arrive à le faire à l' état de veille. La conscience hypnotique sait exacteme
'asseoir dans le fauteuil pour subir une extraction se trouve dans un état psychique particulier, il est très propre à être
I:t narcose. Il faut éviter soigneusement toute question concernant l' état du patient, et surtout celte/page> page n="1
st suggestionnée. Ce procédé, qui ne présente aucun des dangers des états profonds de l'hypnose, peut être aisément appliqu
a mort, Hodg-e?? rendait de nouveau visite à M™' Pipers. Celle-ci, en état de transe, dit : — Votre ami, George Pelham, a
us, George, là où vous êtes? lui demanda-t-on — Je ne suis guère en état de faire grand'chose... répliqua le revenant. Je
t ne sont qu'un seul et même individu; il faut donc qu'il présente un état menial particulier. C'est surtout chez les hystér
uardel et bien d'autres. Nous nous bornerons ici à une remarque sur l' état mental des hystériques dans les cas qui nous inté
e simule pour cette seule raison qu'elle est hystérique. C'est dans l' état mental qui résulte de sa maladie et qui en est un
ouve bien que le mensonge et la simulation sont dus, chez elles, à un état mental particulier et à une impulsion irrésistibl
estion. Sans doute, il ne faut pas trop généraliser, car, malgré leur état menial spécial, il peut/page> page n="202"&g
ici que le sujet n'est pas malade, qu'il ne présente aucun signe d'un état mental anormal. Dans les cas que nous avons étudi
cas il était facile de trouver chez lui des symptômes spéciaux de son état nerveux. Ici au contraire le sujet ne se distingu
ait possible d'arriver chez beaucoup d'entre eux, par suggestion, à l' état de veille, à la réalisation d'un faux témoignage.
abilité légale d'un témoignage, on pouvait, par simple suggestion à l' état de veille, obtenir des déclarations aboutissant à
s que de temps à autre. Cette moiteur ne dure pas ce fait place ii un état de sécheresse très satisfaisant. M. Paul Farez.
: il existe, entre l'homme et l'animal, ce trait commun, un certain a état de conscience » qui fait que, sous le coup des mê
plaisir, de bien-être. De son maître il se dégage de l'hypnotisme à l' état de veille : il y cède irrésistiblement, il veut ê
li! Sous cette réserve prudente que l'animal ne possède encore qu'à l' état rudi-mentaire ie sens du comique et, quoi qu'en a
si, l'un des parents de M. Foustanos pariait fort mal le français à l' état de veille, mats, une fois endormi, le parlait cou
28"> On sait qu'il suffit de faire prendre â certains sujets, en état d'hypnose, certaines attitudes expressives, pour
mimer. Ce phénomène parait se produire aussi, d'ailleurs atténué, à l' état de veille et chez un grand nombre de sujets. Biai
à demander un examen médico-légal fait par un médecin compétent de l' état de suggestion-nabilité de certains témoins. ll&
e ïe mois dernier, je vous ai dit que, pour plonger le malade dans un état profond d'bypnose, je me suis servi d'un procédé
Salpétriùre attribuait à ce mot. Cependant, ce malade, placé dans un état intermédiaire entre l'état de veille et l'état d'
e mot. Cependant, ce malade, placé dans un état intermédiaire entre l' état de veille et l'état d'hypnose, dans cet état que
malade, placé dans un état intermédiaire entre l'état de veille et l' état d'hypnose, dans cet état que Durand de Gros appel
at intermédiaire entre l'état de veille et l'état d'hypnose, dans cet état que Durand de Gros appelait Î'rt/poiaxie, n'est p
és et vous vous demandez si ie malade, plus profondément endormi, à l' état de léthargie ou de somnambulisme ('), ne bénéfici
le masque et je constate que le malade peut facilement entrer dans un état profond d'hypnose. 11 n'entend plus les bruits
t on peut lui donner une suggestion thérapeutique très intense. Cet état dure assez longtemps, lorsque le masque est enlev
ds qu'il n'offre pas do dangers si l'on s'enquiert au préalable, de l' état du cœur. Nous savons, en effet, que les chances d
passe un malade endormi à l'éthcr une phase primordiale analogue à l' état hypnotique et à laquelle' celui-ci puisse succéde
et démontrée par les faits. Car le sujet est d'abord placé dans un état d'hypnose légère, puis il respire les vapeurs de
bituelle, sans présenter aucun phénomène qui put faire distinguer son état de l'état de veille des autres jours. Eue ne s'ét
sans présenter aucun phénomène qui put faire distinguer son état de l' état de veille des autres jours. Eue ne s'était pas ré
conter à haute voix tout un roman passionnel qui donnait la clef d'un état psychopathique dont elle souffrait beaucoup et po
urir à des doses relativement élevées de narcotiques pour produire Un état suffisant de sug-gestibilité chez des malades réf
quelques observations concluantes à l'étude puthogénique de certains états mentaux plus obscurs en leur origine, parfois obs
s, le patient continue à s'occuper très activement de ses affaires. L' état général a été, du reste, satisfaisant jusqu'en 18
e absence totale de ressort. En même temps, il y a dépérissement de l' état général. 11 peut y avoir ou non des symptômes pul
d'une rémission ou de la guérison des phénomènes psychiques; 3° Cet état pathologique double n'est pas une simple coïncide
mélancolique, d'un maniaque ou d'un délirant,de se préoccuper de son état thoracique, surtout quand le sujet maigrit, touss
oujours être fait après une séance d'hypnotisme. Il en est résulté un état mental particulier qui se manifeste par des phéno
claquer ses doigts. On éprouve beaucoup de peine . à faire cesser cet état quand il a été provoqué. Lorsque la malade est da
cesser cet état quand il a été provoqué. Lorsque la malade est dans l' état d'excitation, ses mouvements automatiques et ses
, d'une hystérique très dégénérée qui s:au-tohypnotise, tombe dans un état de somnambulisme spontané, puis extériorise les r
, puis extériorise les rêves qui surgissent dans son esprit. Tous ces états ont pu être reproduits expérimentalement : ils di
a déclare qu'un grand médium venait d'éclore. Mais, actuellement, son état lui est devenu insupportable et elle désire beauc
9. M. Glorieux résume sous une forme concise, originale et claire l' état actuel de celte question./page> page n="255"
rer que des manifestations uniquement somatiques, avec intégrité de l' état mental. L'état mental dit hystérique est bien u
estations uniquement somatiques, avec intégrité de l'état mental. L' état mental dit hystérique est bien une maladie à part
vêques, ou comme Du Verifier de Hauranne qui comptait des ministres d' état parmi ses disciples. U. — ADJUVANTS PROPRES AUX
s fugues lui revenait pendant le sommeil hypnotique; plongée dans cet état , elle racontait qu'en descendant de chez elle, le
ent et il ne s'est plus livré aux. mômes actes d'auto-mutilatiou. Son état mental s'est modifié dans le sens le plus favorab
ier; a La syphilis devient la raison nécessaire d'un certain nombre d' états morbides qui, dans leur épanouissement deviennent
ment et il no s'est plus livré aux mêmes actes d'auto-mutilation. Son état mental s'est modifié dans le sens le plus favorab
sées. Il semble en effet que les sites de cette nature déterminent un état émotif particulier. Cet état voisin de celui qu'o
les sites de cette nature déterminent un état émotif particulier. Cet état voisin de celui qu'on éprouve au milieu d'une for
umait son mari. L'atmosphère opiacée fut suffisante pour constituer l' état de besoin et pour le satisfaire plus complètement
ents d'intoxication compliqués de troubles convulsifs d'hystérie et d' états d'anxiété neurasthénique. Son aboulie était si ma
une bonne qui vivait dans l'appartement présentèrent des signes de l' état de besoin, lorsqu'ils ne furent plus soumis à l'a
ne, uniforme, continue, exclusive, je mets assez aisément Mme ? .. en état d'hypolaxie; puis je lui suggère la croyance en l
s qui m'éclaireront de plus en plus sur les modalités diverses de son état mental. Pour la commodité de l'exposition, je vai
suivant l'automatisme de ses associations morbides. Sans doute, cet état est fort complexe. Par dessus le délire de perséc
tif au traumatisme psychique que l'on sait, est venu se superposer un état de plus en plus délirant ; de jour en jour, la dé
: la moyenne des dosages donne 3 gr. 85 de sucre par litre ('}. Vu l' état de la malade, on n'avait pas osé espérer qu'elle
itement médicamenteux, si le régime ne suffit pas. • Revenons à l' état mental lui-même. Avant de reconstruire une mais
ie sur le ß syndrome lévulosurique » {'}. Il existe, dit M. Marie, un état mélancolique avec prédominance des idées de ruine
ique et urologique se montrant dan* le liiabète et caractérisé par un état mélancolique. av*c insomnie et impuissance, Bull,
ns objet. Vers le 4 décembre, j'estime que Mme B... est en très bon état . Cependant, je désire la garder encore pendant qu
ailleurs, l'hypnotisme est l'arme thérapeutique qui convient dans les états mentaux en rapport avec les maladies infectieuses
térisent l'individu elle différencient des autres. Sous l'influence d' états morbideson voit survenir des aliéra-tions de la p
ntes ; les dispositions affectives étant abolies. ¦ En résumé, dans l' état de morphinisme ce qui la caractérise essentiellem
e par le retour de la personnalité d'émotionnelle et affective. Cet état de guérison durait depuis huit mois, lorsque la m
la personnalité et Mme X... semble se souvenir exactement dans chaque état de ce qu'elle fait dans l'autre. En parlant de so
ordre affectif ou sentimental. Discussion. M. Jules Voisin. — A l' état habituel, d'après cette observation, la malade pr
le devient économe, rangée, calculatrice, sédentaire. Ce changement d' état ne serait-il pas dû à une action curative exercée
serait-il pas dû à une action curative exercée par la morphine sur l' état d'hystérie? Plusieurs auteurs ont prétendu avoir
effet, on peut se demander si la personnalité qu'elle présente dans l' état morphinique n'est pas supérieur.au point de vue m
nt de vue de l'équilibre fonctionnel, à celui qu'elle présente dans l' état d'abstinence, alors même que cette abstinence se
ucoup plus que par les médicaments qu'il sera possible d'agir sur cet état singulier »./page> page n="316"> Zoophi
do suicide. Développée à ce point, la zoophilie est sans contredît un état maladif,'car'cette femme que In mort de son chat
u'il lui était très difficile de rester dans son lit sans tomber; son état s'est modifié peu à peu et la guérison est venue
page n="319"> La colère et la tristesse sont en relation avec un état tie vaso-eonstriction spasmodique qui ne peut êtr
t observations./page> page n="322"> 30 Mai. — Influence des états psychiquee sur les sens. Sur les organes de la se
Biométrie. 20 Juin. — La responsabilité humaine dans les différents états psychiques. Considératians sur les témoignages su
suggérés. 27 Juin. — La responsabilité humaine dans les différents états psychiques. Appréciation médico-légale de la resp
articulière. 11 semble qu'elle puisse revenir en partie â son premier état de substance a-, et ce, en restituant de l'énergi
que la substance a-' ne revenait qu'en partie seulement à son premier état de substance a-. En effet, sauf dans l'hallucinat
s à propos desquels notre malade fut harcelé sans relâche par le même état angoissant; la vie, en somme, lui est devenue ins
ne fille n'est pas une vicieuse, mais une hystérique qui tombe dans l' état second et accomplit des actes coordonnés qu'elle
rdonnés qu'elle oublie complètement, une fois qu'elle est revenue à l' état normal. L'hypnotisme nous fournira le moyen delà
vent lire, écrire, calculer; ils sont alertes et agiles. ? la suite d' états de mal répétés, d'accès sériels prolongés, noctur
par un ressort, en même temps que la bouche se ferme. » Notons que l' état spasmodique et la démence s'établissent en bloc,
f du verdict. Et, cependant, la surdi-mutité est, par elle-même, un état pathologique susceptible d'amener la non-responsa
, 1899). Il propose d'étendre l'article Ci du Code pénal à tous les états pathologiques susceptibles d'amener la non-respon
e l'hypnotisme. Il a fourni une théorie ingénieuse pour expliquer les états hystériques, le somnambulisme et l'hypnotisme par
tisme. — Le sommeil et les étals analogues. — Le somnambulisme et les états passifs. — L'hypnose et le sommeil provoqué. — L'
ose et le sommeil provoqué. — L'inhibition et la dynamogénie dans les états hypnotiques. — La théorie du neurone. — L'hy-/pag
page n="353"> potaxic et l'idéoplastie de Durand de Gros. — Les états hypnoides et les états analogues à l'état d'hypno
axic et l'idéoplastie de Durand de Gros. — Les états hypnoides et les états analogues à l'état d'hypnose. Vendredi ii mai. —
e de Durand de Gros. — Les états hypnoides et les états analogues à l' état d'hypnose. Vendredi ii mai. — Les maîtres de l'hy
iques d'hypnologie. — La technique de l'hypnotisme expérimental. —Les états profonds de l'hypnose. —Choix des sujets réactifs
et les agents physiques. — Rôle de l'attention dans la production des états hypnotique (Liébeault). — L'induction psychique.
psychologique de l'hypnotisme. — Division du travail mental dans les états hypnotiques: dissociation des phénomènes psycho-m
ogique de l'hypnotisme. — Les lois delà suggestion.—Les degrés et les états profonds de l'hypnotisme. — Les phénomènes somati
ique au traitement de certaines formes de l'aliénation mentale. — Les états hypocondriaques. — Les obsessions. — Les idées fi
e, si l'on veut, influence, mais je nie refuse à appeler sommeil tout état quelconque à la faveur duquel on persuade un cerv
ue à la faveur duquel on persuade un cerveau. L'hypnotisme n'est un état ni anormal, ni antiphysiologique, ni pathologique
que, soit élastique, soit rigide, présentent le même phénomène dans l' état de veille parfaite. Je prends dans mon service un
son cerveau à ne plus l'avoir. Ce qui agit, c'est la suggestion à l' état de veille; celle-ci est la mise en action d'une p
durée plus ou moins prolongée dans le traitement d'un grand nombre d' états nerveux. La durée des séances de sommeil à notre
est d'environ une heure. Les malades considèrent ce sommeil comme un état réparateur. comme un sédatif puissant, et nous so
océdé psychothérapique consiste à utiliser la suggestion faite dans l' état d'hypnose. Enfin, dans certains cas, on aura simp
in, dans certains cas, on aura simplement recours â la suggestion â l' état de veille. Xous devons reconaître que la suggesti
tion â l'état de veille. Xous devons reconaître que la suggestion à l' état de veille est un procédé qui ne donne pas satisfa
nt aucune efficacité. Si nous nous bornions à faire la suggestion à l' état de veille, notre clinique serait bientôt désertée
est indispensable de préparer le terrain, de plonger le sujet dans un état qui ne comporte ni discussion ni résistance, de c
dans un état qui ne comporte ni discussion ni résistance, de créer un état passif, en un mot de réaliser l'inhibition et le
un mot de réaliser l'inhibition et le monoidéisme. La suggestion à l' état de veille s'est montrée parfois puissante, mais l
ction ? la suggestion vigile. Traiter un malade par la suggestion à l' état do veille, c'est ce que tous les médecins font da
tude sans un entraînement spécial. Tenter de faire de la suggestion l' état de veille, c'est à la portée de tout le monde. Pr
ion l'état de veille, c'est à la portée de tout le monde. Provoquer l' état d'hypnotisme constitue une intervention qui, comm
pnose ce qu'il me refuse systématiquement quand je le lui suggère à l' état de veille. D'ailleurs, la simple contemplation d'
ns pas profondément endormi notre malade, nous l'avons plongé dans un état particulier, et, ainsi, rendu plus suggestible.
maire faisait savoir que le malade se trouvait toujours dans le même état , sans fièvre, avec toute sa lucidité, mangeant et
smettre, le jour même, par la sous-préfecture. Vu la persistance de l' état relativement satisfaisant du malade, il y avait l
37 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ace d'un aliéné dont la justice lui a donné la mission d'examiner l' état mental, doit, en toutes circons- tances, se pré
re qui, pour obtenir sa réforme, réussit à donner le change sur son état véritable en simulant un accès d'excitation man
laissées dans la pièce. Malgré ses dénégations, il fut maintenu en état d'arrestation et il déclara aussitôt « que si o
général, se plaignant qu'on l'inter- rogeait sans égard « pour son état alarmant et sa raison ébranlée » ; puis, quand
ient de nature à faire dou- ter, chez l'inculpé, de la réalité d'un état actuel de folie, cependant le dossier de cet in
ième nourricier sur Cing... : « Je n'ai jamais rien remarqué dans l' état mental de cet enfaut, il m'a paru jouir de tout
dit, trois jours avec Cing..., je n'ai fait aucune remarque sur son état mental, j'ai seulement vu qu'il était d'une har
éléments suffisants pour porter un jugement motivé sur lui. IV. L' état mental de cet individu ne laissait pas que d'être
é, je dus néanmoins examiner subsidiairement quel avait pu être son état mental à l'époque de sa séquestration, car au c
de positif sur lui, ni même par l'expertise faite autrefois sur son état mental, en avançant que cette folie ne pouvait
Pour démontrer cette dernière thèse, j'aurais pu faire d'a- bord état des aveux très explicites et très circonstanciés
ur moi une superfétation, car mon siège était fait et je n'en fis état que pour démontrer l'erreur dans laquelle était t
e la vie végétative la plus com- plète, et qu'espérer modifier leur état physique et mental c'est se tromper et tromperi
s de liberté possible aux malades, en tant que compatible avec leur état mental et la sécu- rité publique. Or, il n'est
s complexes d'où résultent les sensations complètes et vives de l' état normal. III. - Du toucher actif. On doit ente
ations cli- niques, qu'il n'existait aucun rapport constant entre l' état de la perception stéréognostique et celui des d
physiologie pathologique de la grande névrose sont encore trop à l' état d'hypothèses. Un fait cependant ressort clair
t au génie : seuls les fanatiques religieux ont été servis par leur état plus ou moins complet d'aliénation plus ou moin
xes, du tremblement. Mal- gré un traitement spécifique énergique, l' état empiie peu à peu, la démence apparaît, il survi
risée par des crises furieuses d'excitation maniaque suivies d'un état demi-comateux de durée variable. L'observation
auteur, qui se sont atténuées à leur tour et ont cédé la place à un état mélancolique avec affaiblissement de la mémoire
moire, incohérence des propos et lé- ger embarras de la parole. Cet état persistait encore sept mois après l'opération.
a sensibilité par action centrale (inhalations) ; neurasthénie avec état aigu et prédominance dans les extrémités inféri
oison, ils se confondent souvent avec les troubles nerveux (voyez l' état neurasthénique et hypochondriaque aigu) et rappel
ocessus émotionnels et mentaux; de lui dépend la détermination de l' état mental et moral autrement dit, dans un cas donn
oïa constatée chez son malade l'auteur se base sur l'existence d'un état d'intoxication alcoolique bien avéré, sur l'abs
squement un délire mélancolique, auquel n'a pas tardé à succéder un état maniaque avec hallucinations de la vue revêtant
s spéciales, ou s'il n'est pas praticable sans causer préjudice à l' état de santé de l'individu à interdire (§ 654). L
l'internement, après avis médical : a) soit demandé pour établir l' état mental, b) soit praticable sans préju- dice pou
s travaux sur ce sujet il n'y a pas plus de chances de maladie ou d' état anormal pour les enfants issus de parents consa
e, se trouve en contradiction flagrante avec le critérium tiré d'un état pathologique. L'apparence de l'intégrité de l'esp
paralytique général peuvent donner lieu à une expertise : 1 dans l' état de maladie, 2° pendant les périodes de lucidité
, 2° pendant les périodes de lucidité et 3° après sa mort. Dans l' état de maladie il faut distinguer la période prodromi
de maladie il faut distinguer la période prodromique, la période d' état et la période de démence. Pendant la période pr
ellement responsable des actes qu'il parait avoir accomplis dans un état de parfaite conscience, et, comme entièrement irr
résentent un caractère de morbidité plus accentué. A la période d' état ainsi qu'à celle de démence il va de soi que l'
servé en outre une REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 61 1 amélioration de l' état intellectuel et chez une malade une suppres- si
sse, véritable obsession mo- trice systématisée, manifestation d'un état anxieux fondamental, il est d'une ténacité dése
ues spontanées de somnambulisme naturel. Indépendamment de ces deux états où le sommeil est réel, il en existe un autre dan
nt placés, par ce fait qu'ils ont accepté l'idée de dormir, dans un état de passivité consentie de tout l'organisme qui me
sme cérébral, qui se produit, selon l'ex- pression consacrée, « à l' état d'exercice », et dépend tout entier d'un bon fo
procédés de la psychothérapie, principalement par la suggestion à l' état de sommeil provoqué, 488 malades. Sur ce nombre
rasthénie, on doit recourir à la thérapeutique suggestive, tant à l' état de veille qu'à l'état- de sommeil. Son expé- ri
hem attribue au traitement moral prolongé aidé de la suggestion à l' état de veille et à l'état de sommeil, la guérison d
ment moral prolongé aidé de la suggestion à l'état de veille et à l' état de sommeil, la guérison de 6 mélancoliques ou lyp
nt les organes doivent être le siège. » De simples affirmations à l' état de veille, ont la propriété de provoquer des ef
sent d'autant mieux et plus vite que les sujets sont plus près de l' état REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 65 somnambulique prof
nt trois ans n'a produit aucun résultat. La suggestion directe, à l' état de veille, a déterminé au contraire la guérison a
d'agoraphobie, la contracture tendait à disparaître complètement. L' état physiqne et psychique était excellent. L'état des
aître complètement. L'état physiqne et psychique était excellent. L' état des réflexes des membres inférieurs n'avait jam
bitoire au pouvoir dynamogène de la volition, provo- quant ainsi un état de lutte susceptible de s'accompagner d'une vér
vaso-dilatation qui a pour consé- quence subjective, le retour des états émotifs slhéniques : la joie, la confiance, le
qui lui lait perdre les idées et les mots et la rend ridicule. Cet état s'est amélioré, et à l'heure actuelle, elle con
adie s'atténuent ou disparaissent. Le myxoedème facial s'atténue, l' état d'anémie s'améliore, la langue diminue de volume
fondée. Les cas où la suppression radicale du médicament produit l' état du mal ou augmente le nombre des crises sont ré
s, la diminu- tion brusque ou même progressive des doses améliore l' état du malade, diminue dans une mesure importante l
'avis de la famille, la considérer comme équivalent à un retour à l' état normal. La médication fut continuée à doses trè
Quelle que soit l'idée que l'on se fait de la véritable nature de l' état hypnotique, on est obligé d'admettre que l'hypnos
l'état hypnotique, on est obligé d'admettre que l'hypnose est un état normal, qu'elle n'implique aucune maladie du corp
volonté soit affaiblie ni asservie, et qu'elle ne constitue pas un état spécial à un petit nombre de sujets. Elle est t
at spécial à un petit nombre de sujets. Elle est tout simplement un état psychologique appartenant à la mutualité uormal
fait, que le sentiment de bien et de mal n'est pas affaibli dans l' état hypnotique (il serait même plutôt aiguisé et af
hypnotisme se montrera particulièrement utile : évidemment dans les états moi bides du système nerveux qui intéressent pl
de ces maladies à la condition d'y avoir recours pour remédier aux états morbides mentaux et moraux qui accompagnent et
hystériques, la psychothérapie est un agent très utile. Dan divers états moraux, accompagnés ou non de symptô- mes nerve
ndre et à parler normalement ; il retombe ensuite à peu près dans l' état antérieur. Le pouls présente quelques intermitt
t au micioscope une lésion quelconque capable de rendre compte de l' état convulsif, alors même que les convulsions se so
ation : elle sert à déterminer la pression du liquide spinal dans l' état de santé et dans l'état de maladie : à l'état n
rminer la pression du liquide spinal dans l'état de santé et dans l' état de maladie : à l'état normal en se servant d'un
liquide spinal dans l'état de santé et dans l'état de maladie : à l' état normal en se servant d'un manomètre à mercure,
qui ont une valeur diagnostique : il contient presque toujours à l' état normal des traces d'albumine. On n'est pas d'ac
s injections de s'as- surer que les dents du malade sont en parfait état , et de constater aussi l'absence de toute lésio
nations de la vue ; la tumeur continuait à grossir, mais en somme l' état s'est amélioré puisqu'il n'y a plus de céphalal
me nature on jugea que ce devait être un gliome. Après avoir vu son état s'aggraver et ses souffrances devenir into- lér
n, l'hémiplégie soit très faible. Ces cas sont rares au moins à cet état de netteté. Discussion : M. MARIE a vu assez fr
atoire stationnaire. Au point de vue pathogénique, je remarquerai l' état nettement variqueux du nerf chez un de mes mala
e mieux faite, et à des moeurs de plus en plus incompatibles avec l' état même de vagabondage ? C'est possible. Mais des
scures. Et d'ailleurs, si les communes rurales ne sont pas mises en état et en demeure de mieux garantir leur sécu- rité
en Russie sont donc d'une criminalité spéciale en rapport avec son état de civilisation et la très faible culture de ses
') 08 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE. trait essentiel et fondamental de l' état psychique des malades atteints de chorée hérédi
quoique Iluet le dise plus tard (1. c., p. f7G) lorsqu'il discute l' état mental des choréiques. Voici ce passage : « Che
- taires névropathiques. Il avait un caractère gai, déplorait son état , mais en avait pris son parti et le supportait av
euses et par suite une compression qui réduit les nerfs voisins à l' état de fibres minces et de fibres 144 REVUE D'ANATO
HOLOGIQUES. extrêmement minces. Régénérescence, dit l'auteur, car l' état des foyers scléreux ne se peut allier à l'idée
tater la tuméfaction de quelques cylindraxes, leur éclatement, leur état ondulé. Ce qui veut dire que quelques cylindrax
lules à peine visibles ou complètement disparues, se présentent à l' état d'éléments pâles, atrophiés, dont le protoplasm
ubstance fondamentale amorphe ; c'est celle-ci qui, dans les divers états pathologiques, est colorable; et cette colorabili
la quantité d'acide urique à la quantité d'acide phosphorique (à l' état de sel bisodique) montre constamment un excès d
e ; et 3° que cette théorie préjuge la question de l'étiologie de l' état anatomique, et qu'elle ne dit pas si les cellules
journée, l'aspect du malade rappelait plu- tôt la démence, avec un état soupçonneux. Une fois interné, le malade s'amél
ns toutes les expertises litigieuses, imposeraient, comme science d' état , leurs idées personnelles sur la pathologie menta
présentait une augmentation de 61 à 183 grammes dans 27 cas. A l' état normal les hémisphères cérébraux sont à peu près
autres.-Dans les 30 cas où le cerveau était plus volumineux qu'à l' état normal (l'auteur l'a constaté 21 fois), la femm
du pied et parfois aussi une flexion des orteils. Or, dans certains états pathologiques, chez des malades atteints d'hémi
évation. Puis, par un effort de volonté, il peut les ramener dans l' état d'équilibre normal. Il déclare avoir, dans la par
yopie, mais aucune autre altération fonctionnelle ni organique. L' état mental est affaibli sans qu'aucun trouble psychiq
la rémission ou de la guérison des phénomènes psychiques. 3° Cet état pathologique double n'est pas une simple coïncide
ncolique, d'un maniaque on d'un délirant, de se préoc- cuper de son état thoracique, surtout quand le sujet maigrit, tou
z des sujets réfractaires. M. Albert Charpentier. Pour produire l' état somnambulique chez des sujets réfractaires, je
s doses relativement considérables de nar- cotique pour produire un état suffisant de suggestibilité chez des malades ré
bonne qui vivait dans l'appartement présen- tèrent des signes de l' état de besoin lorsqu'ils ne furent plus soumis à l'
u bout de trois, quatre ou cinq séances, on n'arrive pas à créer un état suffisant de suggestibilité. .Archives, 2'série
les centres moteurs et vaso-moteurs qui détermine secondairement l' état de cénesthésie correspondant. M. Soury étudie
re dans l'impossibilité de lui nuire, et de tâcher d'améliorer leur état mental. L'expert ne doit se préoccuper actuelle
s, il y avait une trentaine de femmes qui étaient habituellement en état d'ivresse; et l'instituteur m'a affirmé qu'une
a affirmé qu'une bonne moitié des enfants arrivaient à l'école en état d'ébriété. Les hommes boivent chez eux et au caba
La mort remontait à plusieurs heures. Le père respirait encore. Son état n'a pas permis de l'in- terroger. On en est don
s nette, sa mémoire intégralement con- servée. Il s'inquiète de son état , s'informe des moyens susceptibles de le guérir
et fonctionnent par- faitement. L'appareil digestif est en parfait état . L'appétit est bon, les digestions sont faciles
ine 1 litre d'eau ou de limonade dans une journée. Malgré cela, son état général est excellent, elle est forte et fraîche
litres, disons-nous, pour lui fixer un point de repère. Revenue à l' état normal, elle ignore la sug- gestion. Les urines
habituelle. Elle n'a éprouvé aucune gêne, aucun changement dans son état , elle est seulement surprise de cette exagérati
voir le besoin se reproduire. Nous l'avons pour cela interrogée à l' état de veille, et dans le sommeil hypnotique, sans
litres. Aucun changement vraiment appréciable n'est survenu dans l' état de la malade en expérience, si ce n'est des mod
de persécution, se demandant qui peut la faire souffrir ainsi; cet état mental fait place à un excès de religiosité, sans
rt très bien, est d'une gaieté folle et, à l'heure actuelle, si cet état persiste, je puis être en droit de considérer Z
et de la moitié interne de l'oeil droit. Malgré tous les soins son état oculaire persiste le même aujourd'hui. Sorti de
ement, un mois après la publication, les crises réapparaissent et l' état de l'enfant redevient le même qu'avant l'opérat
ette amélioration ne se maintint pas et peu à peu l'oeil revint à l' état primitif. Le malade rentré au service des épile
e. Dans le songe l'aura existe, même lorsqu'elle est insensible à l' état de veille, la période tonique est une phase d'i
u-dessus du point de départ d'une aura périphérique, insensible à l' état de veille et révélée simplement par le songe :
squelles une seule récidive et sept guérisons ou améliorations de l' état mental. Les psychoses ainsi traitées furent quatr
lysie générale. L'excès d'urates se rattachait ordinairement à un état dyspeptique. On a trouvé de la peptonurie deux fo
re existent chez un malade, il convient de soigner, non seulement l' état local s'il y a une lésion, mais encore de trait
catégorie des maladies par dégénérescence, et les stigmates de cet état s'y ob- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 243 serv
e, et à l'heure actuelle nous désignons par cette dénomi- nation un état particulier, analogue par beaucoup de ses traits
cas était remarquable par trois particularités très accentuées : l' état myxoedémateux, la macroglossie, et l'abaissemen
perpétuelle, mais il n'a pu aboutir à la restauration parfaite de l' état psychique. Des cas pouvant simuler le crétinism
une forme d'idiotie partielle avec accumulation graisseuse) ; 4° un état spécial d'bydrémie anémique qu'il faut distinguer
égénérescence graisseuse. 4° Le dernier ordre de faits renferme les états d'anémie hydré- mique, dans lesquels le gonflem
cas publiés on n'a trouvé d'albuminurie. En somme l'analogie avec l' état myxoedémateux est tout à fait superfiéielle. Il
st intéressant. R. M. C. XXXVII. Sur la limite scientifique entre l' état sain de l'intelligence et la folie ; par Edward
ychiques du cerveau; par conséquent la ligne de démarcation entre l' état sain et la folie se trouve au point précis où l
cation entre l'état sain et la folie se trouve au point précis où l' état pathologique du cerveau diverge de l'état sain du
ouve au point précis où l'état pathologique du cerveau diverge de l' état sain du cerveau, le mot cerveau étant pris dans
inations de « folie » et de « fous » doivent être appliquées à tout état dans lequel se manifestent des déviations du ty
les aliénés à admettre qu'il existe toujours chez ces malades un état fibreux, très accusé chez les dégénérés primitifs
'ordinaire, mais qu'elles passent souvent inaperçues en raison de l' état mental du malade. Lorsque la maladie débute par d
ts spasmodiques apparaissent à tout instant quand le malade est à l' état de veille ; ils se reproduisent jusqu'à huit et
nel-du cou. J'attire en particulier l'attention de la Société sur l' état du réflexe cutané plantaire; l'excitation de la p
main prend souvent l'attitude d'une main qui fait les « cornes ». L' état des réflexes diffère dans l'athétose ; je ne ni
s ont diminué ; le genou gauche est seul tou- jours très atteint. L' état sensitivo-moteur est stationnaire. Il y a de la
ans, accès d'épilepsie psychique. Psychose épileptique. Mort dans l' état de mal épilep- tique. A l'autopsie, on constate
re l'ataxie des mem- bres, faiblesse générale et peut être aussi un état parétique léger des jambes. Parésie légère du n
plutôt exagérés. On institue un traitement mercuriel et ioduré et l' état de la malade s'améliore rapidement (en dix jour
ue intacte. La température monte jusqu'à 39,2. Pendant huit jours l' état du malade est variable. Finalement ilmeurt de par
la même maladie. Le malade, le plus âgé de huit enfants ,est né en état d'asphyxie. 11 y a dix ans, brû- lure indolore
-péda- gogique et orthophrénique, les seuls rationnels et qui, en l' état actuel de nos connaissances, permettent d'obten
r dans de notables proportions tout au moins l'amélioration de leur état . Je suis encore à voir un seul épileptique ou u
thique cervical et deux trépanations; or, après chaque opération, l' état 266 BIBLIOGRAPHIE. s'est aggravé si bien, qu'
t d'y ajouter lesodéâénérés amoraux. Ces derniers, en effet, dont l' état mentol est fort bien et fort soigneusement décr
t qu'avec ce signe il pourrait chasser le mauvais esprit. Singulier état psychologique que celui de ce missionnaire catho-
sept heures, Paul Laurent rentrait, rue des Quatre- Vents, dans un état de surexcitation extraordinaire. « J'ai peur de
ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE.. , - i *' Sur l' état variqueux des dendrites cortica : la. : Par le
artinotti) ; les dendrites de ces dernières cellules se trouvent en état vari- queux et diffèrent très nettement des pro
pensons que chez les animaux nouveau-nés qui viennent au monde en état de faiblesse (comme par exemple, la souris, le
con- cerne non seulement le degré de développement du corps SUR l' état variqueux DES DENDRITES corticales. 275 cellula
ches superficielles de l'écorce cérébrale, se trouvent par place en état perlé; mais ce dernier n'est point très marqué.
cations portent différents noms chez différents auteurs, à savoir : état variqueux des dendrites, atrophie variqueuse, é
eurs, à savoir : état variqueux des dendrites, atrophie variqueuse, état perlé, état moniliforme, atrophie moniliforme,
: état variqueux des dendrites, atrophie variqueuse, état perlé, état moniliforme, atrophie moniliforme, etc. Le proces
hie moniliforme, etc. Le processus morbide se manifeste parce que l' état moniliforme, qu'on observe dans l'écorce cérébr
osent à une distance inégale l'une de l'autre. Il faut penser que l' état moniliforme se développe ainsi : avant tout sur
formes qui plus tard se transforment en gonflements sphériques. L' état variqueux ou moniliforme des prolongements proto-
actéristique, à savoir : dans les endroits de la dendrite, où SUR l' état variqueux DES DENDRITES corticales. 277 Î exist
où SUR l'état variqueux DES DENDRITES corticales. 277 Î existe un état perlé plus ou moins marqué, les prolongements c
basant sur nos recherches nous sommes arrivés à la conviction que l' état moniliforme dans diverses condi- tions patholog
sur diverses intoxications nous ne parvînmes jamais à constater un état variqueux des dendrites de l'écorce cérébrale p
e l'écorce cérébrale peu- vent se modifier, donnant un tableau d'un état moniliforme, qui n'est pas toujours également e
at des modifications cadavériques. Par exemple, Havet indique que l' état variqueux des prolongements protoplas- matiques
s, faites pour éclaircir la question con- cernant l'apparition de l' état moniliforme cadavérique, ont démontré que l'éta
l'apparition de l'état moniliforme cadavérique, ont démontré que l' état variqueux des prolongements protoplas- matiqnes
vec une vitesse inégale, ce qui dépend de diverses conditions, et l' état moniliforme dans ces cas porte tout de même un
s, cobayes, lapins). La température basse empêche l'apparition de l' état mo- niliforme post-mortem des dendrites cortica
dont le cadavre resta sans autopsie quelques heures, on observa un état moniliforme des den- drites très marqué, et dan
drites très marqué, et dans l'écorce d'un cobaye normal, dont SUR l' état variqueux DES dendrites corticales. 279 l'autop
orticales. 279 l'autopsie eut lieu dix-huit heures après la mort, l' état vari- queux des dendrites n'atteint point à un
animal se modifient comparativement vite, donnant le tableau d'un état moniliforme plus ou moins marqué. En terminant
moins marqué. En terminant la revue-des conditions qui provoquent l' état variqueux des dendrites des cellules nerveuses
s den- drites à changer rapidement leur forme et à passer dans un état variqueux sous l'influence des narcotiques et c'e
r cela que nous ne pouvons pas être d'accord avec l'opinion que l' état moniliforme des prolongements protoplasmatiques
NATOMIE PATHOLOGIQUE. plasma nerveux et présente un substratum d'un état phy- siologique. M. Mathias Duval, se basant
iences de M. Manoué- lian, faites dans son laboratoire, pense que l' état monili- forme des dendrites sert de preuve immé
vec quoi non plus nous ne pouvons être d'accord. Nous croyons que l' état moniliforme des prolongements protoplasmatiques
ysiologiques très marqués. Nous sommes arrivé à la conviction que l' état moniliforme des prolongements protoplasmatiques
d'expression du procès physiologique, mais on l'observe dans divers états patholo- giques. En comparant les résultats reç
nées analogues des autres auteurs, nous nous sommes assuré que l' état variqueux des dendrites est une indication sur
ssuré que l'état variqueux des dendrites est une indication sur l' état pathologique de la cellule nerveuse développée. L
érébrale dans diverses conditions patho- logiques réagissent par un état moniliforme des dendrites, qui est le même du c
lles apparaissent aussi comme organes prenant une vive part SUR l' état variqueux DES DENDRITES corticales. 281 dans la
tion provoqué d'un moyen ou d'un autre, se reflète sans doute sur l' état des organes aussi délicats que les prolongement
forme du trouble de nutrition dans l'écorce cérébrale qui mène à l' état moniliforme des prolongements protoplasmatiques
. Certaines intoxications plus facilement que d'autres provoquent l' état moniliforme des prolonge- ments protoplasmatiqu
s les prolonge- ments protoplasmatiques des cellules nerveuses. L' état variqueux des dendrites, même très marqué, ne peu
eux des dendrites, même très marqué, ne peut être envisagé comme un état qui mène absolument au dépé- rissement du corps
s en convaincre, en nous basant sur des expériences personnelles, l' état moni- liforme des prolongements protoplasmatiqu
s'effacer graduellement. Plus il y a de dendrites intéressées par l' état variqueux et plus ce dernier est rapproché du c
nt servi de la méthode de Golgi (par exemple, Ceni), même lorsque l' état variqueux est très marqué, la cellule nerveuse
assent déjà sur le corps cellulaire. Venant à la conclusion que l' état perlé des prolongements protoplasmatiques des c
de l'écorce céré- brale chez les animaux adultes sert à démontrer l' état pathologique des éléments nerveux, nous devons
auteurs pourl'indicationdel'état monili- forme des dendrites, comme état pathologique, employent des termes différents ;
et compréhensible pour marquer la dégénérescence en ques- tion. L' état perlé des prolongements protoplasmatiques des c
de l'activité mentale ; en même temps on fait attention à ce que l' état variqueux des dendrites s'accom- pagne toujours
spécialement à la discussion de la question de ce que présente l' état moniliforme, applique à l'explication des phénomè
e, ainsi que de la région de la psychopathologie, son opinion sur l' état va- riqueux des dendrites. SUR l'état varique
thologie, son opinion sur l'état va- riqueux des dendrites. SUR l' état variqueux DES DENDRITES corticales. 283 Anglade
riqueux DES DENDRITES corticales. 283 Anglade dit qu'il a observé l' état perlé des dendrites dans certaines maladies psy
f (Russie) a constaté chez les paralytiques généraux de pair avec l' état moniliforme des dendrites corticales une diminu
onnées que nous venons de citer on voit que les faits, concernant l' état moniliforme des prolongements protoplas- matiqu
itives. Pourtant des combinaisons obliques nous font penser qu'un état moniliforme, tant soit peu répandu, des dendrites
s jeunes animaux, qui les premiers jours de leur vie se trouvent en état de faiblesse et ne peuvent pas marcher, les cel
nd nombre de prolongements protoplasmatiques qui se trou- vent en état variqueux. Ainsi par exemple dans l'écorce céré
considérable de cellules ner- veuses, dont les dendrites étaient en état variqueux. Par conséquent, l'insuffisance de dé
eurones de l'écorce èérébrale, se manifestant dans l'existence d'un état perlé des prolongements protoplasma- tiques et
rce cérébrale des animaux nouveau-nés qui viennent au monde dans un état de faiblesse, il est facile, une fois qu'on est
on est déjà habitué, de dire à quoi nous avons affaire, puisque l' état moniliforme comme dégénérescence variqueuse des
que l'atro- phie variqueuse des dendrites signifie leur retour à l' état embryonnaire peut être admise avec certaines ex
alogie existe seulement relativement à ce que dans le premier cas l' état moniliforme des prolongements protoplas- matiqu
iblissement des capacités mentales, tandis que dans le second cas l' état moniliforme, ressemblant à un cet tain degré à
quelques mammifères. (La Cellule. 1891, t. VII, fascicule 1.) SUR l' état variqueux DES DENDRITES corticales. zizi CAJAL
1890, t. XIV.) DEMOOR (Jean). Le mécanisme et la signification de l' état moniliforme des neurones. (Bulletin de la Socié
ous doses of potassi bromidum. (Brain, Summer, 1898.) Havet (J.). L' état moniliforme des neurones chez les inverté- brés
gy of the cortical Nervecells (specielly in relation to insa- SUR l' état variqueux DES DENDRITES corticales. 287 Î nity)
n° 4.) PARASCONDOLO (Carlo). Recherches histo-pathologiques sur l' état des centres nerveux dans la commotion thoracique
appendices terminaux des den- drites cérébrales et leurs différents états physiologiques. Travaux de Laboratoire de l'Ins
2" fasci- cule.) . SOUKllAN01'F (S.). Contribution à l'étude de l' état et du dévelop- pement des cellules nerveuses de
889, p. 6a9.) Soukhanoff (S.). Documents pour servir à l'étude de l' état moniliforme des dendrites des cellules de l'éco
jours et à la suite duquel elle est restée, pendant un an, dans un état d'équilibre mental ins- table ; la moindre cont
nemis menaçants, elle croit que le diable va l'emporter en enfer. L' état panophobique est tel qu'elle n'a plus conscienc
é un sort et était cause de son tourment. 24. Hier dans la journée, état stuporeux avec obtusion intel- lectuelle profon
es couvertures, une criminelle comme elle ne devant pas être vue. L' état saburral a disparu. Les jours suivants, le déli
rticulés. 12. Plus calme, moins délirant. 27. L'amélioration de l' état physique se poursuit sous l'in- fluence d'injec
ours derniers elle était un peu plus calme sans modi- fication de l' état mental mais aujourd'hui l'agitation réparait avec
'appartenir au démon. » 2 janvier 1900. Vers quatre heures du soir, état nauséeux avec efforts de vomissements : elle re
cauchemars. Le malade, très impressionnable, pleure faci- lement ; état habituel de tristesse, tendance marquée à l'hypo-
re malade ce qu'aurait fait le trépan du chirurgien. Si l'on note l' état du malade avant, pendant et après l'accident, i
nnes normales, et les modifications notées se doivent attribuer à l' état d'hyperhémie ou d'anémie, à la distribution dif
f sont déjà redevenues conductrices, mais pas aussi aisément qu'à l' état normal, la résistance aux incitations en est pl
arce que les impressions sensorielles antérieures ont laissé divers états et que, par suite, la même impression sensorielle
e, par suite, la même impression sensorielle ramène chez chacun ces états divers qui engendrent réactionnellement, des im
la grille des ^ fibrilles, la mémoire en un mot. La mémoire est un état ; qu'une onde excitatrice vienne iL parcourir l
ommence à s'éparpiller et se perd dans la formation réticulaire à l' état de tubercule quadrijumeau; un petit nombre de s
estion. C'est là qu'on voit des fibres de la calotte arciformes à l' état de trousseaux lâches se rendre au ruban de Reil
ène des orteils faisant défaut) et l'on est obligé de soupçonner un état spécial d'irritation des téléneu- rones sensibl
inte de chorée de Syden- ham dont le rythme respiratoire normal à l' état de veille. deve- nait intermittent pendant le s
plutôt l'opinion de l'auteur ; mais l'hérédité produit seulement un état d'équilibre instable qui peut se maintenir indé
ins durables, guéri- sons seulement apparentes. Pour conclure : les états infectieux déterminent souvent l'hystérie chez
nsi provoqué n'est nullement un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 33S état exceptionnel du système nerveux, mais une simple
aussi grandes que les suggestibilités normales et pathologiques à l' état de veille. Cer- tains sujets sont des automates
son de la profondeur du sommeil, c'est que, ou bien la formule de l' état de veille n'est pas normale (hyper-sugges- tibi
13°Si l'on admet qu'il n'y a pas d'hypnotisme, qu'il n'y a que des états variables de suggestibilité, on ne comprend pas
suggestibilité, il faudrait croire que ceux seuls qui possèdent à l' état de veille une hyper-suggestibilité très accentu
hallucinabilité, etc., ne sont pas l'apanage exclusif des sujets en état de sommeil provoqué; ils peuvent être réalisés
être réalisés par suggestion pendant le sommeil naturel ou même à l' état de veille chez certains individus. Bien plus, R
eim affirme que tous les sujets hallucinables et sugges- tibles à l' état de sommeil ou au moins après la suggestion préala
uggestion préalable du sommeil le sont d'emblée, sans celle-ci, à l' état de veille; la suggestibilité est indépendante d
n somme, la suggestion faite pendant le sommeil provoqué ou dans un état voisin et la suggestion à l'état de veille ont de
ant le sommeil provoqué ou dans un état voisin et la suggestion à l' état de veille ont des indi- cations distinctes, au
vocable et la chose. Il reconnaît volontiers que la suggestion, à l' état de veille présente de nombreux avantages; il ac
son expérience personnelle lui a démontré que la suggestion dans l' état d'hypnose, a une action thérapeutique plus gran
ans l'état d'hypnose, a une action thérapeutique plus grande qu'à l' état de veille, et, par suite, il estime qu'il est s
bien qu'il effraye certaines gens, le mot hypnotisme qui désigne un état psychique qui favorise la suggestion en augmentan
oses dues à la suppression de l'innervation de la septième paire; l' état paralytique qui entraine les troubles de la phona
ébelleuse, noyaux bulbaires, cellu- les de la moelle). Le mauvais état général peut à la vérité causer ces altérations
général, sans délire, chez lequel la surdité verbale se montre à l' état isolé, sans cécité verbale,- ni aphasie motrice
iture seule qu'on peut entrer en communication avec le patient. Cet état de surdité ver- bale, presque complète, qui ava
e provocatrice. M. Jules Voisin. Cette femme est une hystérique à l' état habi- tuel ; elle devient sérieuse, économe, ra
s'acquittait dans nos réunions de son devoir de rendre compte de l' état de notre société, des besoins de nos sociétaire
de l'acte de naissance du postu- lant ainsi que de ses diplômes et états de services quelconques. Les candidats seront l
ment, sans aucune excitation périphérique, en simple suggestion à l' état de veille. , Parmi tous les alcooliques, nous
elle prend du vin et du cognac jusqu'à ce qu'elle soit en complet état d'ivresse. Pendant tout le temps que durent ses r
énographes » qui reviennent sans cesse dans son délire. S --nlême état . Transférée il l'Asile clinique. Voilà donc une
re après chaque repas. Le malade, qui prétend n'avoir jamais été en état d'ivresse, ren- trait souvent tellement ivre qu
porter un homme de son âge. Il va sans dire que si le malade est en état de joindre au traitement mercuriel les eaux sul
ue cela soit, il faut avouer que la principale cause, en est dans l' état comtempo- rain de la syphilologie, et de messie
onjonctif de la moelle épinière, laquellese trouverait sans cela en état d'irritation sous l'inlluence du virus syphi- l
l - ce sont les troubles de la circulation qui sem- blent dominer l' état physique des mélancoliques et cet état doit êtr
ion qui sem- blent dominer l'état physique des mélancoliques et cet état doit être attribué sans aucun doute à une cause
é infime de ce que nous voyons au suprême degré chez les malades en état de stupeur ». Au Congrès international de méd
les heureux effets des lavages d'estomac et des purgatifs dans les états mélancoliques. Nous arrêterons là cette revue r
r les physiologistes contraction locale qui s'exagère dans certains états pathologiques. En voici la description d'après
le système nerveux, soit sur l'ensemble de l'économie (ménin- gite, états infectieux). Nous l'avons trouvé chez 32 mélanco-
Il se présente sous deux formes : 1° une forme subaiguë passant à l' état chronique ordinaire ou tabes confirmé qui, à rai-
t de 119, chez lesquels on constate une amélioration à la fois de l' état général et de l'état pathologique. Vient ensu
ls on constate une amélioration à la fois de l'état général et de l' état pathologique. Vient ensuite le Meath Home pou
cialement dans les actes criminels de violence commis dans ces deux états et dans les phénomènes mentaux qui précèdent ce
conduisent à leur accomplissement. L'analogie existe aussi bien à l' état chro- nique qu'à l'état aigu ; mais l'auteur se
lissement. L'analogie existe aussi bien à l'état chro- nique qu'à l' état aigu ; mais l'auteur se borne ici aux formes ai
ur se borne ici aux formes aiguës, et par là il entend d'une part l' état aigu d'alcoolisme ou de manie alcoolique et d'a
re démontrer qu'il existe souvent dans la manie alcoolique aiguë un état identique à l'état dit d'automatisme mental qui e
existe souvent dans la manie alcoolique aiguë un état identique à l' état dit d'automatisme mental qui est caractéristiqu
ique à l'état dit d'automatisme mental qui est caractéristique de l' état post-épileptique, et une période durant laquell
nce d'une « lésion de décharge » analogue à celle de l'épilepsie. L' état où sont placés les centres nerveux les plus élevé
ance que II. Jackson a formulée dans les termes suivants : « 1° les états de conscience diffèrent totalement des états ne
suivants : « 1° les états de conscience diffèrent totalement des états nerveux des centres nerveux les plus élevés ; 2°
s états nerveux des centres nerveux les plus élevés ; 2° les deux états sont simultanés, parce que tout état mental impli
les plus élevés ; 2° les deux états sont simultanés, parce que tout état mental implique un état nerveux corrélatif; et
deux états sont simultanés, parce que tout état mental implique un état nerveux corrélatif; et 3° malgré le parallélism
e un état nerveux corrélatif; et 3° malgré le parallélisme des deux états , il n'y a entre eux aucune interférence. » L'
étant coupées entre les centres moyens et inférieurs, alors dans un état très accentué d'instabilité, et les centres sup
nt cas pris au hasard, l'auteur n'a pas rencontré une seule fois un état normal de la nutrition : dans 40 p. 100 des cas
ongtemps, on a défini l'épilepsie « une perte de la conscience avec état con- vulsif » et il est certain que, dans une a
e et le degré du trouble mental ont une bien autre importance que l' état convulsif; et il serait plus juste, au point de
serait celle-ci : « L'épilepsie est une maladie caractérisée par un état périodi- « quement désordonné de la conscience,
e la tonicité des centres supérieurs aboutit à une exagération de l' état de conscience, en sorte que la conscience ainsi
l'on rencontre dans certains cas rares de somnambulisme et dans les états connexes d'épilepsie somnambulique. Un des poin
bulique. Un des points les plus difficiles à expliquer, c'est qu'un état d'in- hibition ou d'exagération de la conscienc
un épileptique sans être suivi de convulsions apparentes. Dans cet état le malade peut se livrer à toutes sortes de vio
ortes de violences même homi- cides. Peut-être l'explication de cet état d'inhibition - dans lequel il y a une tendance
qui n'ont plus que de légères décharges des centres corticaux. Les états qui relèvent de la troisième forme tendent au s
la difficulté et la lenteur avec lesquelles le malade revient à son état normal, difficulté et lenteur qui vont en aug-
oubles mentaux, et particulièrement de ceux qui se rattachent à des états convulsifs. On considère trop volontiers l'épilep
il faudrait aussi observer soigneusement le mécanisme du retour à l' état de conscience nor- male. 11 y a'encore un sujet
sifications de la folie. M. TOULOUSE propose d'appeler psychies les états mentaux, fon- damentaux et psychoses les formes
ychoses les formes morbides. La psychie peut se présenter sous deux états différents : la faiblesse intellectuelle (meiop
ce d'un malade atteint de tabes, je m'informe, s'il est marié, de l' état de son conjoint, je demande à l'examiner, si ce
ieuse affection ; toute excita- tion (pincement, coup) détermine un état de crampe dans les muscles du membre supérieur
int de la sclérose, décrite plus haut dans sa variété diffuse ; cet état anatomique réalise, à n'en pas douter, le mécanis
décrit, sous le nom de folie SOCIÉTÉS SAVANTES. 451 délirante, l' état psychopathique qui se manifeste par des repré-
olie (trouble général de la reconnaissance des objets) constitue un état psychique des plus graves ; c'est presque une d
cesser, voici quelques semaines, de se rendre à son bureau, et son état empirant inspirait de vives inquiétudes aux hab
voulaient à sa vie, que pour lui don- ner les soins qu'exigeait son état . Quand les voisins accoururent à ses appels, el
q ans, ils avaient faits de tels progrès que le malade était hors d' état de travailler. D'abord cantonnés aux bras, les mo
tait facile- ment et pour un rien battait femme et enfants. Mais un état men- tal ne commença à se constituer qu'après s
ans, célibataire, est entré à l'asile le 1 ? septembre 1899 dans un état de misère phy- siologique très avancée. La maig
l'emporte en énergie sur l'extension, car le malade n'est jamais en état de résolution complète. Les cuis- ses sont fléc
le dos, les pattes en l'air pour se faire caresser. . Etant donné l' état de déchéance mentale du malade, les mou- vement
yant le carac- tère assez morose et taciturne. Progressivement, son état moral devint plus inquiétant, il s'aigrit, devi
ades de salle de dormir. A son arrivée à l'Asile, il semble que cet état d'agitation soit pourtant un peu calmé, mais Br
tion soit pourtant un peu calmé, mais Brout... parait être en plein état de démence. '" 16 septembre 1899. Le malade n
lade gâte. On l'envoie au quartier spécial Leuret. Toujours le même état mental de démence, mais aussi de calme. La prem
e se passe assez bien ; rien ne vient ajouter une note nouvelle à l' état mental et physique de Brout... Cependant le 18
t oppose une résistance aussi brutale que le permet son misé- rable état physique aux infirmiers qui le soignent et le cha
au même degré. Le tremblement et l'hyperesthésie ont diminué. Même état des réflexes. Rien aux différents appareils. 26
ses de la tête et du tronc, revenant deux ou trois fois par jour. L' état intellectuel n'aurait pas été modifié par la ma
trace de cica- trices vaccinales on la vaccine; résultat négatif. L' état de l'enfant ne s'est pas amélioré ; elle ne prê
Comme alimentation, elle ne prend que du lait. 1899. Janvier. Même état . La santé physique parait bonne. Même régime; W
Avril. - L'enfant conserve son appétit ordinaire; malgré cela, son état s'aggrave, l'amaigrissement s'accentue, il y a un
late de bismuth par jour. Mai. - L'enfant présente toujours le même état général mau- vais, l'amaigrissement progresse p
tervalles de peau saine (éruption papuleuse des gâteux). Juin. Même état général. Depuis quelques jours, la diarrhée a c
x sont complètement guéris. La diarrhée s'est établie de nouveau, l' état général est de plus en plus grave, la cachexie
ianopsie du quart inférieur gauche ; elle est morte dans ce dernier état . L'observation a duré du 9 juin 1889 à fin avri
r examine les modifications de ces fuseaux dans un certain nombre d' états morbides où il a pu les retrouver. Dans la para
les autres cas on trouve d'ordinaire une anémie très marquée ou un état cachectique. Souvent, sinon toujours, cepen- da
Méningite séreuse aiguë qu'on rencontre dans l'alcoolisme et autres états toxiques analogues, appelée « cerveau humide »,
agité, hébété, en divagation. D'autres fois, le malade passe en cet état sans avoir débuté par du delirium. Au bout de q
e névrite optique. Après cinq ou six jours d'excitation : hébétude, état semi-comateux. Cou moins rigide, extrémités moi
rouve 17 fois une augmentation, 21 fois une diminution et 5 fois un état station- naire. Sauf dans un seul cas l'excré
le malade vomit, semble plus abattu. On se préoc- cupe surtout de l' état de son urèthre, on trouve du rétrécissement. Le
er ainsi : Des désordres de la marche, qui dépendent à la fois d'un état de parésie et d'un état de rigidité spasmodique
de la marche, qui dépendent à la fois d'un état de parésie et d'un état de rigidité spasmodique des membres inférieurs.
terme; il n'était pas né à la suite d'un accouchement laborieux, en état d'asphyxie apparente; il était normalement conf
ies de la réfraction sont capables de pro- voquer un grand nombre d' états névropathiques, et il semble tout à fait logiqu
ent l'accommodation est susceptible, à la longue, de provoquer un état réflexe du sympathique aboutissant à un paroxysme
Liébeault, le fondateur de l'école de Nancy. L'hypnotisme n'est un état ni anormal, ni antiphysiologique, ni pathologiq
ndant l'hypnose peuvent être reproduits par la suggestion pendant l' état de veille, principalement la catalepsie Archive
ion curative, il faut préparer le terrain, plonger le sujet dans un état qui ne comporte ni discussion ni résistance, cr
dans un état qui ne comporte ni discussion ni résistance, créer un état passif, comme dit Lié- beault, réaliser l'inhib
ser l'inhibition et le monoidéisme. Sans doute, la sug- gestion à l' état de veille est parfois puissante, mais souvent aus
e ce qu'il me refuse systéma- tiquement quand je le lui suggère à l' état de veille. D'ailleurs, la simple contemplation
pas profondément endormi notre malade, nous l'avons plongé dans un état particulier et, ainsi, rendu plus sugestilVe. i
d'entrer dans la vie. Pendant près d'une semaine il demeura en cet état , luttant, de toute sa robuste constitution, con
uprès des dégénérés supérieurs. Ces der- niers présentent dans leur état psychique et moral, plutôt un déve- loppement d
randisse et qu'on punisse sévèrement les parents indifférents. Si l' état d'infériorité intellectuelle empêche l'enfant d
z donc que des modèles parfaits. On fait ainsi de la suggestion à l' état de veille, suggestion qui du reste a de tout te
efficacité de ces créations. Pour mettre le lecteur au courant de l' état actuel de la question, M. Thulié nous donne in
ement des aliénés, par Lyon, 216. Limite scienti- f ! qli entre l' état sain et la -, 550 TABLE DES MATIÈRES. parHung
hanges organiques, par Varozzi. 308. Intelligence. Limite entre l' état sain de l' - et de la folie, par Hunge, 246.
38 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
signer, en somme, par cette expression, la science considérée dans un état en-core imparfait et à l'époque où les faits ne s
és de sa vie ; le » jour où elle aurait dévoilé tous les secrets de l' état patho-» logique et compris toutes les modificatio
siècle de Périclès i. L'anatomie, à cette époque, n'existait qu'à l' état le plus rudimentaire ; on n'avait pas encore dist
t établie la doctrine des constitutions médicales correspondant à des états particuliers de l'atmosphère, doctrine qui a subs
impressionne le plus vivement, c'est l'impor-tance qu'il attribue à l' état général, et l'indifférence qu'il té-moigne à l'ég
ue à l'état général, et l'indifférence qu'il té-moigne à l'égard de l' état local. Ce point de vue paraîtrait singulièrement
les y régnaient au temps d'Hip-pocrate. Or, il faut reconnaître que l' état fébrile constitue toujours un mode à peu près ide
-ce pas à peu près dans le même but que nous cherchons à appré-cier l' état des forces, le degré de tension du système artéri
el, et les oscillations de la température centrale, dans les cas où l' état local ne fournit pas d'indications utiles ? 11
solue, puisque la forme aiguë et la forme chronique d'un seul et même état pathologique se confondent souvent par des transi
. On a reconnu encore, par des observations multipliées, que divers états morbides coexistent ou se succèdent, chez le même
issant, exerçant les fonc-tions qui lui sont propres, modifiées par l' état morbide, qu'il lui faut reconstruire à la lumière
e, s'efforçant de saisir jusqu'aux moindres transitions qui relient l' état pathologique à l'état nor-mal. Par ce côté, vou
ir jusqu'aux moindres transitions qui relient l'état pathologique à l' état nor-mal. Par ce côté, vous le voyez, Vanatomie
uire les instruments au moyen desquels elle s'effectue. Le muscle à l' état de repos présente une réaction alcaline; il devie
ules du sang ne peut-elle pas être au moins soupçonnée, dans certains états graves de l'organisme, où une dyspnée intense se
tho-logie. Il nous est donné, en effet, de créer chez les animaux des états morbides variés, soit en leur faisant subir certa
de pathologie expérimentale, p. 11. Paris, 1866. généralisation des états morbides. On lui doit cette belle étude analytiqu
une conception vraiment rationnelle et presque com-plète de certains états morbides. Mais le temps presse, et je dois conclu
e atmosphère 2. Pendant ce temps, la médecine en était réduite à un état dé- 1. « La pratique sans rénovation scientifiq
maladies chroniques réputées incurables, et qui les ont réduites à un état d'infirmité per-manent. Sous ce rapport, nous p
lesse im-prime à l'organisme s'accusent parfois à un tel degré, que l' état physiologique et l'état pathologique semblent se
isme s'accusent parfois à un tel degré, que l'état physiologique et l' état pathologique semblent se con-fondre par des trans
t externe, et dans la pro-fondeur des cavités splanchniques. Mais cet état est en géné-ral transitoire, et ne tarde pas à fa
rthropie chez plusieurs vieillards (2) : c'est là, ce nous semble, un état pa-thologique consécutif à l'altération dite séni
'elles ont atteint un degré aussi prononcé dépassent les limites de l' état physiologique, puisqu'elles sont capables de prod
manifestations morbides, nous étudierons, dans la prochaine séance, l' état fébrile chez les vieillards, en nous attachant à
Œuv. compi, t. vu. Malad, des Vieillards. 2 DEUXIÈME LEÇON De l' état fébrile chez les vieillards. Sommaire. — Défaut
foie, ainsi que la tuberculisation pulmonaire (3) peuvent rester à l' état un nombre plus ou moins grand de calculs dans l
it plus spécialement nous occuper aujourd'hui. Nous voulons étudier l' état fébrile chez le vieillard, comparé sous ce rappor
défaut, ainsi que les sueurs. Les autres phéno-mènes accessoires de l' état fébrile sont tous, selon le même auteur, plus ou
une discussion préalable? Qu'est-ce que la fièvre? qu'entend-on par état fébrile? Il est à peine nécessaire de vous prév
naturam (1), telle est pour ce grand méde-cin la caractéristique de l' état fébrile. La tradition, pendant une longue série d
l'exaltation de la chaleur animale est bien le fait fondamental de l' état fébrile. Parmi les autres phénomènes qui l'accomp
ur ainsi dire permanente, et qui persiste pendant toute la durée de l' état fébrile. John Hunter est, dans le siècle passé,
nous ferons allusion cependant plusieurs fois aux autres formes de l' état fébrile. 1. Les vieillards frissonnent peu, a
ieillards l'exploration thermométrique dans la période de déclin de l' état fébrile, ou, comme on dit en Allemagne, pendant l
ce. Tantôt l'abais-sement de la température qui signale le retour à l' état nor-mal s'accomplit par degrés successifs pendant
, pour reprendre ensuite défi-nitivement le niveau qui correspond à l' état de santé par-faite. Le but est alors dépassé, si
les gangrènes séniles, le marasme, et diverses formes de cancer. Cet état d'algidité est un symp-tôme grave et qui réclame
la goutte sont composés d'urate de soude. — L'acide urique existe à l' état normal dans le sang. — Il se trouve en excès dans
nstitutionnelle, le plus souvent héréditaire, et toujours liée à un état dyscra-sique particulier ; en effet, la présence
ines. Mais indépendamment de ces affections articulaires, et de cet état particulier du sang, la goutte peut donner lieu à
u reste, quand la maladie se pro-longe, on voit à la fin survenir cet état cachectique qui termine volontiers toutes les gra
ies, l'anémie et le ma-rasme; c'est alors que le malade tombe dans un état d'atonie presque complète et que la nature ne sem
en sont le cortège obligé ; et comme dans cette affection générale l' état du sang semble dominer toute la situation, nous a
t l'honneur d'en avoir fourni la démonstration positive (1848). A l' état normal, il existe des traces d'acide urique dans
assez sensible pour indiquer les traces d'acide urique qui existe à l' état normal, suffit ample-ment aux besoins de la prati
Que la proportion des globules se maintient dans la goutte aiguë à l' état normal, contraste évident avec l'anémie rhuma-tis
e oxalique. Comme complément de cette étude, nous devons examiner l' état des urines dans la goutte ; il s'agit de savoir s
es ving-quatre heures est presque toujours moins consi-dérable qu'à l' état normal (Or 25 au lieu 0^r, 50). Il y a donc dimin
de la synoviale. A une période plus avancée de la maladie, quand l' état chro-nique a succédé aux accès aigus, la synovial
ons-nous avec un soin particulier, après avoir rapide-ment esquissé l' état de nos connaissances, pour ce qui louche aux autr
cté-risée par des infarctus de sable, d'acide urique, quelquefois à l' état cristallin : il peut exister aussi des graviers p
econd degré, on trouve une atrophie de la substance corticale, et cet état granuleux du rein, qui appartient en propre à la
ophiée. Jamais, dans cette affection, on ira vu les reins présenter l' état lardacé. Ces altérations, d'après Garrod, se mo
spepsie est souvent aggravée, sinon créée de toutes pièces, par cet état pathologique du rein; l'œdème en est souvent une
forme convulsive ou comateuse ; elle se rattache bien évidemment à l' état du rein. L'apoplexie cérébrale, l'hypertrophie du
chronique : mais l'accès aigu a une physionomie bien différente de l' état permanent. — thèse urique. — Ensemble symptomatiq
onique. En effet,le premier accès est la manifestation primitive d'un état constitutionnel, qui, par la suite, peut rester l
aigu est si différente de celle que présente la maladie envisagée à l' état permanent, que nous sommes forcés de respecter ce
vant d'aborder ce sujet, il convient d'appeler votre attention sur un état morbide, qui se manifeste quelquefois avant l'app
é la diathèseurique. Occupons-nous, pendant quelques instants, de cet état général, que les Anglais ont principa-lement cont
de l'amertume de la bouche, avec de la sécheresse de la langue et un état saburral ; on observe presque toujours de la cons
souvent les malades tombent dans l'hypocondrie. Chez les femmes, cet état peut se compliquer de manifestations hystériforme
ui les accompagnent. Mais ce qui caractérise le plus spécialement cet état particulier, c'est qu'il s'aggrave pé-riodiquemen
manifes-tations locales sont la fièvre, des frissons erratiques ; un état nerveux, une extrême irritabilité ; enfin, une di
mptômes s'amendent, pour reparaître le soir, ou pendant la nuit ; cet état se prolonge cinq à six jours, lorsque la médecine
certaine quantité d'acide urique. A côté de cette modification de l' état général, nous devons signaler les modifications q
énéral, nous devons signaler les modifications qui surviennent dans l' état local. Le plus souvent, à la suite d'un premier a
e pronostic est en général peu favorable, et qui passe volontiers à l' état chronique. Mais la goutte, ainsi que nous l'avo
reviennent tous les trois ou quatre mois ; c'est déjà le passage à l' état chronique. Il faut se rappeler d'ailleurs que d
ques auteurs. En effet, un affaiblissement prononcé, une tendance à l' état cachectique se montrent toujours, à des degrés di
nière spéciale. En môme temps, le changement qui s'est opéré dans l' état constitutionnel se traduit par une réaction moins
le nombre et la fréquence des transfigu-rations que peuvent subir les états pathologiques : et, de nos jours, cette étude aut
s : le premier comprend les troubles fonctionnels qui relèvent de cet état général ; le second embrasse les lésions organiqu
sième lieu, il est des cas où l'affection des jointures se montre à l' état rudi-mentaire, et se manifeste par des élancement
ge du bol alimentaire. Un accès de goutte amène la ré-solution de cet état . B. Occupons-nous maintenant de la goutte gastr
quée de l'es-tomac, avec des vomissements souvent incoercibles, et un état général plus ou moins grave : on voit alors surve
ébrile plus ou moins intense, et, la suite de tous ces phénomènes, un état de prostration générale. Mais ici les stimulants
er ces résultats par des observations personnelles ; ce serait là cet état de paralysie et d'affaiblissement de l'estomac qu
e agir ici en déter-minant la crise cardiaque. Ajoutons enfin que l' état athéromateux des artères, qui souvent coïncide av
de la vie doivent s'accomplir avec bien plus de difficulté que dans l' état normal. Mais lorsqu'il n'existe point de cachex
ma-tion d'un sédiment composé d'urates amorphes ou d'acide urique à l' état cristallin, dans les urines, peu de temps après l
considérable d'acide urique. Pour connaître à cet égard le véritable état des choses, il serait donc indispensable d'ana-ly
tantôt elle lui succède, ce qui est plus rare; tantôt enfin, ces deux états coïncident, ce qui est plus exceptionnel encore.
s le principe, que la pathogénie de la diathèse urique est encore à l' état rudimentaire, et que, par conséquent, il est impo
éminemment constitutionnelle, et qui se rattache essentiellement à l' état général de l'individu, il est indispensable, pour
actères sympto-matiques de cette affection. Du ine au vi6 siècle, l' état des choses paraît être resté le même, si nous en
ome et à Gonstanti-nople. Il est donc évident que, sous ce rapport, l' état des choses a beaucoup changé. Voilà pourquoi, san
rend qu'elle n'existe aujourd'hui que sur un seul point du globe, à l' état de maladie généralement répandue ; vous avez déjà
tions fondamentales de cette diathèse ; or, l'acide urique existe à l' état normal dans le tor-rent circulatoire ; et pour pe
apperont sans doute pendant longtemps. Mais, pour bien comprendre l' état actuel de la question, il faut suivre les phases
trouvé, dans le tissu fibreux normal, de l'acide inique (1) ; aussi l' état pathologique n'est-il, pour lui, qu'une simple ex
ue n'est-il, pour lui, qu'une simple exagération de ce qui existe à l' état de santé. Il s'ex-plique de cette manière pourquo
urique dans les tissus. Mais, pour l'urée, le fait n'est vrai qu'à l' état morbide : dans les conditions normales, on ne tro
ahies, et au degré de l'inflam-mation locale. Tel est, messieurs, l' état de nos connaissances sur ce sujet. J'ai cru devoi
isme noueux n'est autre chose que le rhumatisme poly-arti-culaire à l' état chronique, mais qu'ils se refusent à reconnaître
oint, qu'en une simple exagération des dis-positions qui existent à l' état rudimentaire dans les conditions normales. On s
e franges qui présentent elles-mêmes des appendices (1). On voit, à l' état pathologique, ces petits prolongements augmenter
ombre et présenter une vascularisation plus intense. Il existe, à l' état normal, des cellules de cartilage dans ces append
e d'He-beden. Ici les altérations de l'arthrite sèche se trouvent à l' état rudimentaire ; mais dans l'arthrite partielle, el
ation plus ou moins prononcée des franges synoviales qui existent à l' état normal ; 2° d'une dilatation variqueuse de leurs
oli, la coloration bleue et la consistance qui les carac-térisent à l' état sain. MM. Ollivier et Ranvier ont montré en outre
ent qu'en pareil cas, les éléments histologïques peuvent revenir; à l' état normal; mais à un degré plus élevé, il y a une se
la substance fondamentale dans le sens horizontal; c'est une sorte d' état velvétique caractérisé par des sillons qui pénètr
des altérations analogues (2). Ces lésions se rencontrent encore à l' état de 1. Kussmaul. —Arch. fur physiol. Heilkunde,
ar, dans l'état actuel de la science, nous ne connaissons aucun autre état diathésique auquel on puisse attribuer de pareils
, mais seulement de deux manifestations différentes d'un seul et même état diathésique ; et vous reconnaîtrez aisément les t
cul^Piigu. 11 s'yjoint une réaction d'ensemble, qui se traduit par un état général très caractéristique, par une altération
et. — Thèse de concours pour le professorat, 1851, p. 51. B. — De l' état général dans le rhumatisme articulaire aigu. Le
l'étude des détails, et occupons-nous des phénomènes accessoires de l' état fébrile. Le pouls, dont la fréquence, d'après M
dans l'excrétion sudorale, ce qui, d'après lui, n'aurait pas lieu à l' état normal ; mais Schottin a fait voir que, même à l'
it pas lieu à l'état normal ; mais Schottin a fait voir que, même à l' état de santé, la sueur renfermait non seulement de l'
rticulaires, quelquefois acides, sont aussi quelquefois alcalins. L' état des urines doit tout particulièrement nous occupe
la présence d'un excès d'acide lactique. Un dernier caractère de l' état général dans le rhumatisme articulaire aigu, c'es
abondantes, et n'ont point cette acidité que nous avons signalée. L' état des urines diffère de ce que nous avons constaté
tisme articulaire subaigu se présente encore avec les caractères de l' état aigu : seulement le mouvement fébrile est moins i
neuses du cœur. Par contre, on observe dans plusieurs cas graves un état tout opposé. On trouve alors, à l'autopsie, le sa
'endocarde : vascularisation de cette membrane. — Conséquences de cet état patholo-gique. — Embolies capillaires. — Lésions
ologique de la mem-brane interne du cœur ; nous serons alors mieux en état de comprendre les altérations dont elle peut deve
mitrale ; mais, sur les valvules sigmoïdes, il n'en existe jamais à l' état normal. Or c'est précisément sur les valvules,
xté-rieure. En quoi consiste donc le processus pathologique ? A l' état aigu, le travail morbide débute par la tuméfactio
du sang) est une conséquence habituelle du rhumatisme, ainsi que de l' état puerpéral et de certaines cachexies particulières
ontrer au pourtour des lésions du cœur (1). Les conséquences de cet état pathologique sont importan-tes à étudier. Voyons
diopathies rhumatis-males. On voit alors survenir les phénomènes de l' état typhoïde, de Y ictère grave, de la fièvre intermi
ations de la maladie, et lorsqu'on se rapproche en quelque sorte de l' état aigu. Au reste, ces maladies ont en général un ca
re aigu, mais sans épanche-ment synovial dans la jointure, et avec un état velvétique beaucoup plus prononcé des surfaces os
sme articulaire d'abord aigu, puis subaigu, qui a fini par passer à l' état chronique. La coïncidence de l'asthme chez cette
cette affection, en second lieu, les symptômes qui se rattachent à l' état général. Arthropathies. A la première période
de déformations consécutives ? Le membre reste, au contraire, dans un état de flaccidité complète. Les déformations que no
contraire, il existait quatre fois plus de phosphate de chaux qu'à l' état normal. Il paraît que le taux normal de l'acide u
ellement de jeunes sujets, âgés de seize à trente ans ou de femmes en état de grossesse ou depuerpéra-lité; les émotions mor
emblée, mais dont la marche présente quelques-uns des caractères de l' état aigu. Après un certain temps, il se développe u
, les déformations de chaque jointure sont plus accusées. Quant à l' état général, il ne s'accompagne que rarement d'un mou
ccès. Enfin, le pronostic est, à tout prendre, moins grave que dans l' état précédent. Nous avons comparé entre elles les d
t leurs différences, mais entre ces deux points il existe une foule d' états intermédiai-res qui établissent entre eux une tra
igine du rhumatisme partiel, lorsque l'affection s'est constituée à l' état chronique, c'est plutôt une infirmité qu'une mala
tés sont intéressantes pour l'observateur, parce qu'elles révèlent un état constitutionnel, qui n'est autre que la diathèse
'apparition des règles, la ménopause, la grossesse, l'accouchement, l' état puerpéral, l'allaitement, voilà, pour les femmes,
une base commune, un fond commun, une prédisposition articulaire, un état arthritique d'où l'une et l'autre tire leur origi
aïac.— Topiques. —Sangsues.— Vésicatoires. — Moxas. — Traitement de l' état constitutionnel. — Alca-lins. — Leurs diverses pr
e de l'organisme, et la goutte peut, sous cette influence, passer à Y état atonique. 4° Le colchique ne doit pas être empl
la goutte que dans le rhumatisme aigu. Dans les exacerbations de l' état chronique, le sulfate de quinine est encore utile
ême, chaque fois qu'il avait un accès de goutte. C. Traitement de F état constitutionnel. — L'indication par excellence se
pas non plus le dissou-dre, comme on l'a prétendu, car il existe à l' état d'urate de soude. Mais, en rendant les tissus alc
(Aix-la-Chapelle) ou simple-ment salines (Wiesbaden) conviennent à l' état torpide, aux cas atoniques. Il existe des eaux
stituants. Ils ont une action indirecte sur la goutte, en modifiant l' état de l'estomac, en combattant l'atonie et en releva
orue, peuvent avoir indirectement une influence utile, en modifiant l' état général. Les moyens lacaux les plus usités sont
rie rectale. De la température du corps chez les vieillards, dans l' état pathologique. — Limites extrêmes de la températ
r locale, mais encore tout l'ap-pareil des phénomènes extérieurs de l' état fébrile, tels que chaleur de la peau, prostration
a lieu assez sou-vent chez l'adulte, occupe ici la scène, mais bien l' état apo-plectique. Le malade se présente à vous endor
ent dans la plupart des maladies qui ont pour caractère de susciter l' état fébrile. On peut d'ailleurs observer des irrégula
e peut présenter chez les gens âgés, atteints de maladies aiguës, l' état général, et plus spécialement l'état fébrile. J'a
atteints de maladies aiguës, l'état général, et plus spécialement l' état fébrile. J'ai, en effet, le projet de consacrer c
aux lésions locales, celle-là s'adresse au phénomène fondamental de l' état fébrile dont elle donne pour ainsi dire la mesure
retrouvé, depuis lors, cette température de 38° comme représentant l' état normal, môme chez des sujets parvenus aux dernièr
'émeut d'une manière un peu sensible, même temporairement, que dans l' état pathologique. Comment comprendre que chez les v
évidemment affaiblies? Il faut, sans doute, invoquer ici, sur-tout l' état de la peau qui, chez les vieillards, présente un
un degré moin-dre, une mobilité extrême. Mais c'est surtout dans l' état pathologique, et en particulier dans l'état fébri
Mais c'est surtout dans l'état pathologique, et en particulier dans l' état fébrile, que se révèle dans tout son jour le désa
ce côté. C. De la température du corps chez les vieillards, dans l' état pathologique, a. Limites extrêmes de la températu
car sous le rapport du taux que la température peut atteindre dans l' état fébrile , ceux-là peuvent ne le céder en rien à c
ps, et que mes recherches ultérieures n'ont fait que confirmer. (De l' état fébrile chez les vieillards). (Voir plus haut p.
alides, ou autrement dit, libres de toute maladie antérieure, de tout état cachectique, au moment où l'état fébrile s'est dé
de toute maladie antérieure, de tout état cachectique, au moment où l' état fébrile s'est développé, car il est certain que c
umonie lobaire observés à la Salpêtrière, et où, pendant la période d' état , les maxima ont plusieurs fois dépassé 40°, 5, la
-que organe, une lésion grossière qui explique la mort. C'est alors l' état général, et dans l'espèce, l'état fébrile qu'il f
qui explique la mort. C'est alors l'état général, et dans l'espèce, l' état fébrile qu'il faut accuser; mais quel est, au mil
tout incriminer ? Ceci nous conduit à entrer dans une digression. L' état fébrile, avec son cortège de symptômes, les uns f
par des symptômes spéciaux qui n'appartiennent pas nécessairement à l' état fébrile, même le plus intense. Reste donc l'élé
ificiellement la température centrale, et produire par conséquent, un état au moins fort analogue à l'état fébrile. Les trou
trale, et produire par conséquent, un état au moins fort analogue à l' état fébrile. Les troubles cpii se produisent, lorsque
rappelle ce que nous observions, tout à l'heure, chez l'homme, dans l' état pathologique. Vous ne l'avez pas oublié, vers 42
rature, est survenue rapide-ment, le sang a été trouvé tantôt dans un état de fluidité extrême, tantôt, au contraire, coagul
lus ou moins long, la température centrale, et même au plus fort de l' état fébrile. Ainsi agissent la digitale ou la vératri
marquable abaissement de la température centrale, une algidité vraie, état bien digne de fixer l'attention, et dont je me pr
pyrogénétique, l'ascension est lente et sac-cadée. Dans la période d' état , les oscillations diurnes sont as-sez grandes, et
jour, survint-un accès épilep-tiforme intense et prolongé, suivi d'un état apoplectiforme ; deux heures après le début la te
esoins de la cause, que certaines parties du système nerveux ont, à l' état normal une influence modératrice sur les foyers d
ielles. Messieurs, Je ne me suis occupé jusqu'ici que de quelques états patho-logiques dans lesquels la chaleur s'élève a
peler au-jourd'hui votre attention. S'il existe des maladies dont l' état fébrile constitue un ca-ractère constant, obligat
elle sorte que Valgidité centrale (c'est ainsi que nous désignerons l' état qui nous occupe), ne figure en général dans l'his
s les parties centrales du corps. Il y a d'ailleurs un bon nombre d' état pathologiques en dehors du choléra dans lesquels
e voit dans certaines paralysies, ou encore dans le cours de certains états fébriles, dans la pneumonie par exemple, toujours
principalement aussi lorsqu'ils sont admi-nistrés dans le cours de l' état fébrile, que l'action de ces médicaments se montr
ivant les recherches de MM. Voisin et Liouville, produit un véritable état fébrile dans lequel la température centrale peut
r effet d'élever la température centrale, et de produire un véritable état fébrile avec frisson, accélération du pouls, pert
eines, et se mêleraient au sang. C'est ainsi qu'ils développeraient l' état fébrile, en raison de ce pouvoir pyrogène, dont l
un court espace de temps,, ne produisent consécutivement un véritable état fébrile. Par suite de la diminution de tension su
ta-ble du taux de la température, suivie ordinairement peu après d'un état fébrile plus ou moins intense, mais persistant; d
s avec fièvre, d'autres avec algidité centrale. Parfois même ces deux états , en appa-rence opposés, peuvent se succéder chez
e immé-diatement à l'infirmerie, où nous la trouvâmes plongée dans un état lipothymique, lequel persista à peu près toute la
l cependant. Ainsi, une péricardite se surajoute à une pneu- t De l' état fébrile dm les vieillards (Voir p. 18), monie l
tion permanente de la force du cœur, et ainsi se produira une sorte d' état lipothymique plus ou moins durable, avec abaissem
es grandes commotions du système nerveux se traduisent d'abord par un état lipothymique avec algidité centrale, suivi ou non
rature centrale. Le même mécanisme peut être invoqué pour expliquer l' état lipothymique, qui, suivant la remarque d'un bon n
; la tem-pérature est à 3!) ou 40° et les phénomènes extérieurs de l' état fébrile sont bien développés. Brusquement, dans l
peut se montrer à toutes les époques de la maladie. Dans la période d' état , l'apparition du collapsus résulte le plus souven
ns long-temps après les petites, et les membres, alors placés dans un état de demi-flexion permanente, sont gênés dans leurs
ccomplissement des fonctions des viscères, E. Rolin était réduite à l' état d'infirmité où nous la voyons. Elle n'avait jamai
Tableau, des jointures le plus souvent affectées pendant la période d' état , sur 40 cas. Articulations des phalanges entre
e ces dix-neuf jours, pendant lesquels la malade continue à manger, l' état des membres inférieurs s'amende au point qu'elle
nstater de craquements. Les deux membres supérieurs sont dans le même état à peu près ; la main gauche est un peu moins diff
ois ans sans pouvoir se lever. Jamais, même au début, de la période d' état elle n'a eu de fièvre ; elle n'a pas cessé de man
as percevoir de bruits morbides. Tous les viscères parais-sent en bon état , et, malgré son âge, la malade est vigoureuse. De
issu des extrémités osseuses peut-être plus dur, plus compacte qu'à l' état normal, et en même temps privé de vascularité. Da
ions et de maux de gencives qui ne tardaient pas à survenir. Dans Y état actuel, nous avons à étudier chez le malade, 1° l
e, de rémission ; 2° une affection pectorale. Voici d'abord dans quel état nous trouvons les diverses articulations. Pied
eur-gauche s'applique exactement au membre supérieur droit. Tel-est l' état des diverses articulations ; mais, nous l'avons d
rondis ; oppression assez forte ; fiè-vre. — Les jours suivants, même état . (Pot. gomm., diète.) Les 10 et 11, pot. stibiée,
malade meurt le 16 mars. Autopsie. — i° Etat des articulations; .2° état des viscères. ses articulations présentent tous l
aisse, très vis-queuse, remplit la cavité articulaire. C'est dans cet état que se trouvent les articulations fémoro-tibiales
même, tous les mouvements s'exécutèrent dans l'articulation, même à l' état normal ; c'était donc non pas dans l'articulation
ie, râle crépitant, crachats rouilles, etc. La malade est dans un tel état de prostration qu'il est impossible de savoir d'e
er à interrorger la malade elle-même , à cause de la gravité de son état . M..... avait eu pour mari un employé de la mai
l'éther. Rein gauche. Son volume est à peu de chose près celui de l' état normal. L'organe est mou, flasque ; sa surface, à
es), paraissent légèrement opaques. Ces tubes, plus larges que dans l' état normal, examinés à un plus fort grossissement (30
dans l'intérieur même des tubes urinifères où elle paraît exister à l' état de masse amorphe, tandis qu'une autre partie du d
ités des cartilages du pavillon de l'oreille, ni les tophus I. De l' état du rein chez les goutteux. Parmi les lésions du
ais nous croyons utile d'exposer, en quelques mots, l'historique et l' état actuel de nos connaissances, sur ce sujet. se r
oite que les pyramides touchent presque la surface de l'organe. Cet état du rein s'accompagne quelquefois pendant la vie,
iés, endurcis et granuleux à leur surface ; mais d'un autre côté, cet état du rein et les symptômes qui en résultent peuvent
indres fibrineux) granulées ou cireuses (wazy casts. Mais peut-être l' état atrophique et granuleux du rein tenait-il uniquem
néphrite albumineuse de M. Rayer),et il est impossible de ranger cet état du rein, dans le gouty kydney de Todd. Les dépô
du thorax où la pointe bat en dehors du mamelon et plus bas qu'à l' état normal; les bruits du cœur sont précipités, tumul
jours ; mais son affection cardiaque et pulmonaire resta dans le même état . Dans le milieu du mois de mars, on s'aperçut q
ons, les accès d'oppression s'aggravèrent, et le malade tomba dans un état de cachexie hydrémique complet; les extrémités su
vre qui était assez vive, disparaissent pour laisser le malade dans l' état d'infirmité où il était avant l'accès. Examen l
aucune nodosité, non plus que les orteils; on y observe seulement un état scléreux de la peau qui, surtout au gros orteil,
de devenir sujet, depuis un an, à ce qu'il appelle des attaques. Cet état est annoncé par un chatouillement qui existe au-d
de rémission ; 2° une affection pectorale. Voici d'abord dans quel état nous trouvons les diverses arti-lations : Pied
r gauche s'applique exactement au membre supérieur droit. Tel est l' état des diverses articulations. Mais, nous l'avons di
arrondis ; oppression assez forte ; fièvre. Les jours sui-vants, même état (Pot. gom. ; diète). — 10, 11 : Potion stibiée, 0
paisse, très visqueuse, remplit la cavité articulaire. C'est dans cet état que se trouvent tes articulations fémoro-tibiales
ême, tous les mouvements s'exécu-tèrent dans l'articulation comme à l' état normal. C'était donc, non pas dans l'articulation
i complètement la transformation graisseuse, ce qui con-traste avec l' état des autres muscles de la main qui ont conservé, à
e bourgeons char-nus ; mais le liquide qu'elle exhale ne diffère de l' état normal que par sa viscosité plus grande, et, dans
ie. « Il y a, sans doute, une arthrite puerpérale spéciale ; mais l' état puerpéral est propre à développer le rhumatisme c
i, ont mis à découvert des ossements humains, pour la plupart dans un état de conservation parfaite, et dont la provenance n
ticulaire chronique. Voici d'ailleurs, en peu de mots, quel était l' état des diverses jointures. —Aux membres supérieurs,
périeurs, les articulations scapulo-humérales étaient toutes deux à l' état normal ; — au coude droit, le dépôt blanc occupe
ent rouges et enflammées. Voici d'ailleurs l'indication sommaire de l' état des diverses articulations : Les articulations sc
p. 103). Anémie de la fièvre rhumatismale. — Il est de règle, qu'un état anémique plus ou moins prononcé et marqué par la
cidité des urines, tel qu'on le rencontre, par exemple, dans certains états dyspeptiques (Prout, Brodie, Budd), sont, entre a
t élevé, abaissé, ou si enfin il s'est maintenu dans les limites de l' état normal. Il importerait même, suivant en cela le p
s où siègent les altérations goutteuses, peut présenter, comme dans l' état normal, une réaction franchement alcaline. Il e
cellulaires qu'ils renferment ne sont pas en plus grand nombre qu'à l' état physiologique ; enfin, il n'y a pas trace de segm
ée par des amas cy-lindriques d'urate de soude, vraisemblablement à l' état amor-phe, lesquels se dissolvent à leur tour par
ait que chez les oiseaux et chez la plupart des reptiles, l'urine à l' état normal, ainsi que l'ont démontré John Davy et d'a
substance tubuleuse, oblitérés et distendus par des amas d'urates à l' état concret; tandis que leurs origines, dans la subst
xpériences dont il est ici question étaient, sans aucun doute, dans l' état normal ; par conséquent, tout porte à croire que
de l'acide urique dans l'hypertrophie de la rate. — En dehors de tout état fébrile, dans certaines affections -qui s'accompa
de quelques recherches nouvelles qu'il a entreprises relativement à l' état du sang dans l'intervalle des accès de goutte : «
e deux jours, les urines se montrèrent abondantes et en même temps, l' état comateux disparut. Il faut sans doute rapprocher
ires du cartilage. C'est là le premier vestige, et pour ainsi dire, l' état embryonnaire des corps étrangers qui, plus tard,
e dans ces stalactites ne diffèrent pas notabfement des procédés de l' état physiologique. Ces altérations dont nous n'avon
ticulaire chronique. Seulement, souvent à peine accusées et comme à l' état rudimentaire dans le rhumatisme généralisé à évol
quelquefois assez prononcé, qui semblent indiquer une tendance vers l' état aigu. Même dans les cas du dernier genre, malgré
y a évidemment une corrélation plus ou moins intime entre ces divers états pathologiques se reproduisant ainsi, à divers deg
scorbutique. Lorsque la goutte est récente et qu'il n'existe pas d' état ca-chectique, les maladies intercurrentes sont lo
tes, les autres anciennes, con-solidées avec ou sans déplacement. Cet état morbide se traduit habituellement, pendant la vie
tte histoire pleine d'étranges événements. C'est la deuxième enfance, état d'oubli profond ou l'homme est sans dents, sans y
: ces auteurs ne décrivent même pas le tremblement sénile, à titre d' état pathologique. Quelques cliniciens, du reste, ont
dont les mouvements étaient excessivement exagérés, succomber dans un état typhoïde avec une élévation notable de la tempéra
des vieillards affectés de chorée ont paru à M. Charcot, être dans un état de démence plus ou moins prononcé. Uétiologie s
pas con-fondre la chorée vulgaire chez les vieillards, avec un autre état pathologique qu'on désigne quelquefois sous le no
on vue de côté. — Comparez la figure 4 à la figure 6 qui représente l' état normal. ^-^TTTc^rv^T-x . _ VA.UVJC5 ÑÎÏ1 u leie
e imprime à la plupart des maladies........ 1 DEUXIÈME LEÇON de l' état fébrile chez les vieillards. Défaut de réaction
la goutte sont composés d'urate de soude. — L'acide urique existe à l' état normal dans le sang. — Il se trouve en excès dans
chronique ; mais l'accès aigu a une physionomie bien différente de l' état permanent. — Diathèse urique. Ensemble symptomati
'endocarde : vascularisation de cette membrane. — Conséquences de cet état pathologique. —Embolies capillaires. — Lé-sions d
opiques extérieurs.— Sangsues.—Vésicatoircs.— Moxas.— Traitement de l' état constitution-nel. — Alcalins.— Leurs diverses pro
rie rectale. De la température du corps chez les vieillards, dans l' état patholo-gique. — Limites extrêmes de la températu
spécialement du rein chez les goutteux................. 363 De l' état du rein chez les goutteux........................
-culation, 249: — fongueuse et scro-fuleuse, 249, 192. Arthritique ( état ), 271. Arthropathies : goutteuses, 47, 59, 161,
e: Causes, 46,47; — observations, 503 ; — caractères généraux, 46 ; — état du sang, 47; — irrégulière, 48; rétrocédée, remon
anguins dans la —, 52; — fibrine, albumine, alcalinité du sang, 52; — état du sang dans l'intervalle des accès, 538; — état
inité du sang, 52; — état du sang dans l'intervalle des accès, 538; — état des urines dans la —, 53, 518 ; — albuminurie dan
philis, 114; — critique, 115; — intra-articulaire, 162: — passage à l' état atonique, 277; — action du plomb, du mercure, 115
153; — traite-ment ; — de l'accès par le colchique, 274, 457 ; — de l' état constitutionnel dans la —, 279 ; — potasse, soude
78 ; — desquamation consé-cutive à l'accès, 78 ; — modifications de l' état local après l'accès, 78 , — ankyloses, 79, 508 ;
culaire, 358 , 396 ; — rougeur, 360, 396 ; — gonflement, 360, 396 ; — état des jointures, 361, 396 : — rétraction musculaire
sculaire sur les dévia-tions, 369 ; — fièvre, 375 ; — sueurs, 375 ; — état des urines, 375 ; — ordre d'envahissement succe
; — sexe, 391 ; — absence de rhuma-tisme articulaire aigu, 390 ; — état des extrémités osseuses, 390, 398 ; — végétatio
62; — arthropathies multiples, 196, 197;— altérations du sang, 197; — état gé-néral dans le —, 199; — fièvre, 199; — pouls,
eurs, 201,205; — salive, 201 ; — urines, 202, 203 ; — anémie, 203 ; — état du sang, 205 ; — acide lactique dans le sang, 205
dite, 219, 222 ; — embolies, 218, 219; —lésions encéphaliques, 228; — état typhoïde 219; — ictère grave, 219; — fièvre inter
34 — variations par les poisons morbides, 335; — va-riations dans les états pathologiques, 336 ; — élévation expérimentale de
39 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
étourdissements sans perte de connaissance, ni chute consécutive. L' état vertigineux durait quelques minutes environ ; e
légèrement mamelonnée, sa consis- tance est ferme et la coupe (à l' état frais) se montre régulière et semée de nombreus
avec tentative de suicide impulsive motivant l'internement, eten un état de torpeur cérébrale s'accentuant de plus en pl
LA THÉORIE DES NEURONES EN RAPPORT AVEC L'EXPLICATION DE QUELQUES ÉTATS PSYCHIQUES NORMAUX ET PATHOLOGIQUES 3 ; Par l
sme psychique. La substance protoplasmique des neurones est dans un état de vibration continuelle, qui est tantôt plus f
t du dehors, elles seront par cela même condamnées à rester dans un état de repos relatif, et dans ces condi- tions tout
is effectué, le contact reste continuel. Si nous admet- tions qu'en état du repos et d'inaction, il pût se faire dans un
e sommeil, alors que l'écorce cérébrale entière est plongée dans un état de repos relatif, il ne s'opère pas d'interruptio
ns les éléments pyramidaux, qui devient par- tout plus faible qu'en état de veille ; et bien qu'il ne se pro- duise pas
s'opère une interruption du con- tact, ce qui n'a lieu que dans les états morbides, et ne se produit guère dans un état n
'a lieu que dans les états morbides, et ne se produit guère dans un état normal. Le degré de l'influence tonique du prol
s loin, en appli- quant la théorie des neurones à l'explicatin de l' état patho- logique connu sous le nom de confusion d
tandis que chez d'autres individus les den- drites entrent dans un état actif très lentement et possèdent une certaine
ns riche en contacts avec d'autres neu- rones, qu'elle ne l'est à l' état normal et devient en outre, moinsimpressionnabl
ble et ne suffit pas pour soutenir les dendrites terminales dans un état de certaine tension et de certain tonus. La fon
veaux ramuscules instables, qui sont incapables de rester dans un état de tension, qui est nécessaire pour que le contac
n. Si nous appliquons la théorie des neurones à l'explication des états maniaques et mélancoliques nous devons supposer
terminaux s'accroît, et ils acquièrent la fa- culté de passer d'un état à un autre avec une rapidité telle- ment exagér
e nouveau avec peine. Nous ne pouvons, comme de raison, expliquer l' état d'an- goisse uniquement par cette rapidité des
les proto- LA THÉORIE DES NEURONES. 7 7 plasmiques terminaux. Cet état est, d'après l'opinion de Meynert, en rapport a
sque ce n'était pas de la pri- vation de l'ouïe ? II. Examen de l' état physique et intellectuel du jeune D... Il nous
nous fut bientôt facile de répondre à cette question. L'examen de l' état physique et intellectuel de cet enfant nous eut b
ent défectueux au double point de vue physique et intellectuel. L' état physique présentait de nombreuses anomalies : la
d'ajouter le manque de flexibi- lité des organes, conséquence de l' état de dégénérescence dont était également affligé
u l'existence de goitre durant la vie, mais 'ce qui importe c'est l' état de la glande, la tumeur goitreuse pouvant ne pl
tion des idées, faiblesse du pouls, sécrétion d'une sueur froide. L' état du pouls et de la température indique le degré de
le choc traduit une dépression de l'activité vitale, causée par un état d'épuisement des centres nerveux et surtout du
le temps le permet, le malade doit être préparé à l'opé- ration. L' état moral a une grande importance. L'anesthésie doit
malade vient de subir un grand traumatisme et se présente déjà en état de choc, il faut prendre soin de ne pas aggraver
e déjà en état de choc, il faut prendre soin de ne pas aggraver cet état . Arrêter les hémorrhagies et désinfecter la pla
rrhagies et désinfecter la plaie. Il ne faut pas opérer avant que l' état de choc ne soit diminué. Il est bon d'ad- minis
l'électricité. Le lésion d'un neurone plus élevé ne change rien à l' état des nerfs, et des muscles, et par conséquent le
fleuriste, née avant terme, au huitième mois, et venue au monde en état d'asphyxie. Dès l'âge de deux mois se montrent
ig. I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 49 la résistance qu'oppose l' état spasmodique varie dans des limites assez étendu
nes. La rigidité spas- modique, la nais- sance avant terme, l' état d'asphyxie ap- parente comme con- tre-coup d'
rd que certains sympt8meslaissés au deuxième plan par Little, l' état paréti- que des membres supérieurs, les trou-
ure posthémiplégique le faisceau latéral du côté contracturé est en état de dégénération, donc la contracture est une co
e, diagnostic clinique n'impliquant pas anatomiquement, malgré leur état spasmodique, l'existence d'une dégénération de
ionnelles ; par 1\ ICOLLE et Halu'rc. (ibis" na 19, 1SOG.) 1° A l' état normal, l'une des pupilles étant seule exposée à
Elles durent plusieurs heures et s'accompagnent parfois d'un léger état syncopal. L'apparition et la disparition brusqu
62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VU. Assistance DES aliénés par l' état , dans l'état DE NE ? YoR6; par le docteur MACDO
PATHOLOGIE NERVEUSE. VU. Assistance DES aliénés par l'état, dans l' état DE NE ? YoR6; par le docteur MACDONALD. L'ass
inue pas moins les errements surannés qui sont fort en retard sur l' état relativement avancé de la science. M. Ëscuder s
la mer, dans un pays riant; les malades y seraient occupés dans un état de liberté aussi complète que leur état pourrait
y seraient occupés dans un état de liberté aussi complète que leur état pourrait le per- mettre, ils subiraient le plus
obtenir la sortie d'individus dont ils ne sont pas aptes à juger l' état mental. M. Charpentier regrette aussi qu'il se
ce dont il s'agit. Le D1' Samuel Garnier a été chargé d'examiner l' état mental d'un individu qui avait commis un meurtr
facultés en même temps qu'elle amoindrit ou perturbe les autres. L' état normal est l'état de tout le monde, ou état moyen
temps qu'elle amoindrit ou perturbe les autres. L'état normal est l' état de tout le monde, ou état moyen, ce n'est que p
perturbe les autres. L'état normal est l'état de tout le monde, ou état moyen, ce n'est que par cette déséquilibration
vier de l'année 1894 il entra de nouveau à la même clinique dans un état encore plus grave et pour cette fois tous les p
ès fort, ayant la fente laryngienne fermée et le diaphragme dans un état d'affaiblissement; alors les entrailles paraiss
ond part de cas cliniques, rappro- chés et discutés, pour établir l' état actuel de diverses questions de la'neuropatholo
l présente une autopsie confirmative. Un enfant, venu au munde en état d'asphyxie apparente, a pré- senté d'abord de l
e lui-même qui, dans une lettre au juge d'instruc- tion, dresse ces états de service, et je ne sais rien de plus tragique
abandonner à son abject destin et de demander qu'il soit mis hors d' état de nuire. C'est la faillite, devant une force inc
fession et s'installe comme patron à la tête d'une boulangerie. L' état continue à s'aggraver : l'amaigrissement général
les nerfs oculomoteurs commun et externe « pas aussi blancs qu'à l' état normal » ; G° des anévrismes miliaires sur les
u rôle, des infections et des intoxications dans l'étiologie de ces états . Vous savez qu'il est classique de dire que les
A propos du n° 33 de la salle Fouquet je vous exposerai bientôt l' état actuel des connaissances sur les lésions du tabcs
franchement et directement inflammatoires. Donc, il s'agit de deux états morbides absolument différents, et il n'y a pas
stion plus ou moins doctrinale à soutenir ou à défendre. Les deux états morbides doivent être séparés, sans aucun doute ;
ette moyenne d'âge supérieure parait suffisante pour différencier l' état , plus commun, de dépression de l'état de démence;
uffisante pour différencier l'état, plus commun, de dépression de l' état de démence; car tandis que, dans le premier de
ession de l'état de démence; car tandis que, dans le premier de ces états , la dissolution mentale, à la fois plus lente d
vingt ans plus âgés que les maniaques, ils étaient probablement en état plus avancé de dégénérescence, et par conséquent
l'on admet que toule modification psychique éveille ou implique un état corporel particulier, il en découle naturellement
femme qui avait été très impressionnée de l'accident présentait un état mélancolique avec idées de persécution, halluci
expliquer ici par la prédisposition plus grande, chez l'homme par l' état d'af- faiblissement dans lequel l'avait plongé
(rVortlc-1V. Lancet, le,* jan- vier 1897.) L'auteur réclame que l' état prenne les épilepfiques sous sa tutelle REVUE D
otie, afin de comprendre que la pro- tection des épileptiques par l' état est une mesure économique autant qu'humanitaire
Flechsig, avec les symptômes négatifs, ambitieux, et l'absence de l' état de confusion. Ce cas, d'un autre côté, ne corre
tre côté, ne correspond pas à la manière de voir de Flechsig, que l' état hypocondriaque dépendrait spécialement des alté
e tout soupçon de partialité. Il a pu noter avec soin l'hérédité, l' état physique du sujet, le mode de dévelop- pement d
t pas qu'il faille aller jusqu'à la faire rentrer dans le cadre des états dégénératifs et la considérer comme le fait Magna
and nombre d'individus chez qui l'inversion existe probablement à l' état latent et ne s'est pas développée parce que les
is et scissures corticales au point de vue de leurs rapports avec l' état de dégénérescence héréditaire. Pour établir net
rconvolutions et scissures de la substance corticale en dehors de l' état pathologique. L'auteur dé- nonce d'ailleurs la
ras gauche. Ensuite successivement : douleurs occi- pito-frontales, état vertigineux, photophobie, somnolence, intelli-
te de l'attention de la mémoire et de toute initiative, somnolence, état semi-comateux (64 p. 100); quelque- fois satisf
atorze mois après l'opération et un an après cette dernière attaque état très satisfaisant et pas d'autres troubles post
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 155 coupes à l' état normal, puis celles que l'on rencontre dans l'éta
. 155 coupes à l'état normal, puis celles que l'on rencontre dans l' état de lactescence et d'opacité des membranes : les
nal of Mental Science. Janvier 1897.) Homme de trente-trois ans, en état de démence : bonne santé générale sauf des trou
constaté chez ce malade qu'une rigidité des muscles trapèzes : son état mental ne lui permettait de donner aucun ren- 1
comme le montrent les observations citées, modifier favorablement l' état général, et c'est ainsi peut-être que peut s'ex
de la femme, M. Ellis estime que chez tout inverti sexuel existe un état neurasthénique qu'il faut d'abord traiter et gu
bord traiter et guérir par une médi- cation appropriée. Lorsque l' état neurasthénique est amélioré ou a disparu, com-
l'étude de ces deux cas il tire les conclusions suivantes : 1° Les états caractérisés par l'inhibition de l'activité sensi
l suivait ce régime depuis près de sept ans et en était arrivé à un état de cachexie complète. Ayant enfin consenti à su
que l'usage modéré du chanvre indien ne détermine absolument aucun état fâcheux, physique, intellectuel ou moral. L'abu
quotidiennement, que des ivrognes sortent d'un public-house dans un état qui rend indispensable l'interven- tion de la p
. Le cabaretier y regardera à deux fois avant de servir un homme en état d'ivresse, s'il sait que son bénéfice de quelqu
, âgé de quinze ans et un peu idiot. Le pauvre garçon était dans un état lamentable lorsque, au cours des perquisitions,
la théologie, qui décidé- ment influait d'une façon néfaste sur son état cérébral. Mais \III° M... ne tint aucun compte
ixième racine cervicale). La virgule de Schulze (6) n'existe plus à l' état de faisceau compact. radiculaire. Au niveau d
r ou l'éosine, nous avons pu apprécier la sclérose névroglique, l' état des vaisseaux, etc. L'étude des lésions parench
nglions rachidiens choisis à différents niveaux, nous ont donné l' état des cellules d'origine des racines postérieures.
paru passer par plusieurs phases. Au début, la myéline présente un état granuleux spécial ; elle est poussiéreuse et se
s centrales de certains nerfs volumineux ; nous croyons plutôt à un état moléculaire spécial de la myé- line malade. Pui
tent pas de nombre; le protoplasma n'est guère plus abondant qu'à l' état normal ; on trouve souvent, dans son épaisseur,
e myéline. Nous ne pouvons donner aucun renseignement positif sur l' état du cylindre-axe au cours du processus tabétique
tera inconnu, on ne pourra, croyons-nous, être renseigné *sur son état dans le tabes médullaire. Cependant, quelques pro
it déjà sur ce sujet pour y revenir. Le médecin adjoint qui, dans l' état actuel, dit le Dr Dubief, est pour la plupart d
éunion des services se trouvera conservée, pour se soustraire à cet état d'infériorité et être à même d'appliquer leurs
es mêmes mains. Dans tous les cas mieux vaut mille fois conserver l' état de choses existant qui permet au moins de se co
pensable de l'inscrire dans la loi, mais elle créera le conflit à l' état permanent et confiera à la Commission de sur- v
affec- tions mentales sont sous la dépendance directe de certains états maladifs physiques qu'il faut savoir discerner, m
teurs-administrateurs n'ont aucune connaissance de l'hygiène d'où l' état déplorable des hôpitaux au point de vue de l'hygi
s vénériennes anti-humains, etc., etc. Pour remédier à un semblable état de choses, indigne d'un gouvernement républicai
u trijumeau. Aujourd'hui, seize ans après le début des accidents, l' état de la malade est le même : elle conserve une pa
génères, cet automatisme débute brusquement et se termine par un. état de sommeil et d'épuisement plus ou moins profond
s qui ne sont pas toujours les mêmes, avec pleine conscience de cet état par le patient et parfaite intelligence des lettr
ci élimine la préten- due paralysie générale sans aliénation et les états psychopathiques sans substratum anatomique appr
n véritable stig- mate paralytique. Dès le début de la maladie, l' état démentiel commençant se trahit par l'impuissanc
et, tout au moins, il y a certitude d'une association avec un autre état pathologique. M. Régis (de Bordeaux). - Je n'in
conde, c'est qu'il est beaucoup trop variable et trop inconstant. L' état démentiel des paralytiques généraux ne leur perme
ne satisfait personne et correspond par sa signification même à un état clinique complexe lié à des lésions nécropsiques
quelques pathologistes irréduc- tibles qui persistent à voir en ces états deux maladies distinctes sont obliges de reconn
ricéré- brites d'origine toxique (alcoolisme, syphilis, saturnisme, états infectieux à lésions plus ou moins graves ou ét
uce très long. Dénucé a rapporté des cas analogues, insistant sur l' état nerveux causé par l'état préputial, et qui disp
apporté des cas analogues, insistant sur l'état nerveux causé par l' état préputial, et qui disparaissent quand le chirur
ine, ou tout autre phénomène épisodique de même genre, existant à l' état isolé et se manifestant pour la première fois, il
stérie. J'ai déjà insisté ailleurs sur les analogies que présente l' état mental, des enfants atteints d'incontinence d'u
laquelle cet accident a complètement disparu par la suggestion à l' état de veille. M. Régis pense, comme M. Pitres, que
de l'hystérie, quelquefois même coexistant avec elle, il existe un état de dégénérescence mentale très favorable à l'éc
inctives, accès de colère, frayeurs nocturnes, etc., etc.). Or, cet état de dégénéres- cence se reconnaît à un certain n
l analogue à celui de la nuit. Ils lui vantent les avantages de cet état de repos, de passivité. SOCIÉTÉS SAVANTES. 259
CIÉTÉS SAVANTES. 259 Lorsqu'ils jugent que le sujet est arrivé à un état de somnolence appréciable, ils s'appliquent par
sommeil provoqué le même langage que d'autres lui adresseraient à l' état de veille. La suggestion faite, ils ne négli- g
ds hystériques les expériences les plus capables de déséquilibrer l' état mental. Ceux qui soulèvent également cette obje
que qui repose uniquement sur la persuasion employée pour créer des états de conscience conformes au besoin manifeste du
risé par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l' état mental se modifie, mais les troubles spasmo- di
entales pour se limiter aux suggestions nette- ment indiquées par l' état du malade, surtout lorsqu'on ne néglige pas de
e M. Bérillon au sujet de l'innocuité de la suggestion pratiquée en état d'hypnose. Je connais plusieurs enfants atteint
a été ici le même que chez les adultes. La suggestion pratiquée à l' état de veille a amené une guérison très rapide dans
men du sang et des urines ; 3° dans ces trois cas la suggestion à l' état de veille a réussi d'une façon parfaite à produir
u'il a vu, en Belgique des malades traités en liberté s'être mis en état d'ivresse pendant une ker- messe. M. LE FILLI
remonter dans les antécédents d'un accusé, mais encore rechercher l' état mental des ascendants. Quant à apprécier le fai
ou cela signifie que les aliénés qu'on nous amène arrivent dans un état qui permet- trait de les guérir; que s'ils ne g
plus de travailleurs. Le traitement de la médecine mentale est à l' état embryonnaire. Nous ne savons pas ce que ça donn
Il essaie de montrer que la neurasthénie est la souche de tous les états dégénératifs. La conviction ne ressort pas de c
ne allure diffé- bibliographie. 285 rente de celle que comporte l' état psychique, elle ne réussit qu'à la fausser, à l
donné un pei.it tableau résumant ce que doit être l'expression des états psychiques chez l'homme sain et chez l'aliéné.
sser cette crise et laisser en même temps ignorer à ses maîtres son état maladif. Au moment où l'ordonnance est descendu
agner à pied le fiacre qui l'a conduite à l'Hôtet-Dieu. Ce matin, l' état de cette fille s'est amélioré, et elle a même p
ité de les séparer, par voie de diagnostic différentiel, des divers états mentaux avec lesquels on les a confondus. Il exam
uvent revêtir, eu passant par tous les degrés qui séparent ces deux états extrêmes. Il recherche leurs rapports avec les
r des passants, a élé transporté à l'hôpital Lariboisière' dans. un état désespéré. D'où la nécessité d'hospitaliser l
ppée de plusieurs coups de couteau dans la poitrine par un fou. Son état est grave. Le parquet est sur les lieux. Ce f
mandent, des bulletins rédigés par le médecin en chef, constatant l' état physique et moral des malades. Mais transmettre
peu agité quoique la température fut normale; tube digestif en bon état , langue rosée, selles régulières, appétit excelle
lle est per- manente; de plus, il n'y a pas de modifications dans l' état général du petit sujet; la déglutition se fait
lendemain, 17 juin 1894, j'allais voir chez lui le petit malade : l' état était le même, l'enfant s'amusait dans sa chamb
, etc., et ordonne un lave- ment purgatif. Le lendemain matin, même état , la constipation assez tenace cède après un sec
vingt-quatre heures les vomissements cessent pour faire place à un état plus alarmant : la perte de connaissance est co
ineté du début et l'histoire de cette malade qui avait traversé des états analogues et qui avait guéri. La respiration de
a respiration est assez régulière, pupilles dilatées et égales. Cet état dura huit jours, puis la guérison survint. En m
le seul cas d'hystérie infantile où j'ai réussi par suggestion à l' état de veille à supprimer les accidents. Il n'en es
dans l'article Hystérie en Vendée. Chez eux la suggestion même à l' état de veille est très efficace. Observation Il Dia
e la jambe droite; cette paralysie survient en deuxjours sans que l' état général de l'enfant paraisse s'aggraver, il march
ction diabétique, sur les caractères de cette hydrurie, enfin sur l' état général du petit sujet qui se maintient excelle
myoclonie doit être considérée comme l'expres- sion extérieure d'un état neuroclonique des nerfs moteurs. Elle ne doit p
du coeur, comme la rupture des autres muscles, est favorisée par un état morbide antérieur. Cette dernière condition peu
omatique qu'on pourrait appeler le syndrome spas- modique..Tous ces états pathologiques ont été réunis par Freud dans un
nce à la guérison. C'est pour bien marquer l'origine spinale de ces états spasmo- diques ainsi que les conditions étiolog
Un second groupe d'affections spasmodiques pourrait comprendre les états spasmodiques survenant chez les enfants pendant l
pyramidaux ; on pourrait les réu- nir provisoirement sous le nom d' états spasmodiques infantiles d'origine cérébrale. (R
cérébrale, se demande si la moelle ne peut pas être elle aussi, en état de mau- 326 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vai
ée dans le sérum sanguin d'épileptiques idiopathiques, comparée à l' état normal. Secondement, il ne parait y avoir que p
trique, pas de troubles sensitifs, pas de troubles trophiques. Cet état porte surtout sur les homnes (2T sur 30 cas) de p
dédoublement de la conscience à la suppression du Moi normal (ICI' état ) et à son remplacement par un Moi patho- logiqu
ues ; cette modification psychique se produit sous l'influence d'un état parti- culier d'épuisement cérébral engendré pa
st-à-dire mal ce qu'il lit mal, mais exactement comme il lit. Cet état s'est manifesté il la suite d'une attaque apoplec
e cas d'une jeune fille ayant présenté des borborygmes rythmés. Cet état d'origine gastrique était favorisé par l'état n
borygmes rythmés. Cet état d'origine gastrique était favorisé par l' état névropathique du sujet. Guérison au moyen de la c
e antérieure de la région frontale. Troubles mentaux consécutifs, état maniaque, mort en état de mal épileplique. A l'au
gion frontale. Troubles mentaux consécutifs, état maniaque, mort en état de mal épileplique. A l'autopsie adhérence du c
l'influence vespérale, il fonde un élément de dif- férenciation des états hypersthéniques et hyposthéniques dans les affe
matinée entraîne un abaissement de la vitalité propre à décéler les états hyposthéniques : tels par exemple, la neurasthé-
res) accuse un surcroît de cette vitalité de nature à accentuer les états hypcrsthéniques, aux- quels paraît se rattacher
réactions respec- tives vis-à-vis du nycthémère, il semble que les états nerveux, vésaniques ou autres, puissent se diff
890 et de laquelle il découlerait que cette névrose, loin d'être un état hypersthénique, serait l'expression d'un affais
l'occasion d'une intoxi- cation paludique aiguë, ont été pris d'un état mélancolique avec stupeur : quelquefois il y a
e peut se remettre rapidement; mais chez d'autres les troubles de l' état mental per- sistent et nécessitent leur envoi d
réquentes. Cependant, chez quelques-uns, les trou- bles passent à l' état chronique, ce sont alors des prédisposés; le dé
que le retour des accès de fièvre amène une aggravation dans leur état mental où même une récidive. Nous devons égalemen
evons également signa- ler que les paludiques peuvent présenter des états analogues à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 339 paralys
M. Aug. Vosix. M. Rey a-t-il fait l'examen du sang ? Quel était l' état de la rate ? M. REY. L'examen du sang a permis
un cas d'acromégalie à évolu- tion lente, sans retentissement sur l' état général et n'ayant amené aucun trouble encéphal
ion thyroïdienne, le corps thyroïde était administré en nature, à l' état frais, à la dose de 4 grammes pendant deux mois e
festes des phénomènes psycho-sensoriels qui resteraient latents à l' état de veille. Les hallucinations auditives ont bes
lésion de l'oreille si commune à l'âge avancé. La suggestion à l' état de veille permet souvent de faire renaître ou d
ure, ainsi que la postérieure, sont deux fois plus fines que dans l' état normal ; une arachnite locale très prononcée. S
e en ce que le système nerveux des enfants se trouve encore dans un état d'évolution. M. le professeur 1\0RSAKOFF. De l'
musculaire du membre supérieur droit, qui en outre était encore en état de contracture; ces phénomènes se développèrent
ique. Il vint au monde sans intervention chirurgicale, mais dans un état d'asphyxie pénible. Bientôt après sa naissance fu
lus souvent. Dans les der- nières cinq années s'observait parfois l' état épileptique. Avec l'ap- parition de ces accès s
. Joffroy à l'intoxication aiguë et chro- nique de l'alcool. Duns l' état actuel de nos connaissances, l'expéri- mentatio
le rit, elle parle avec une plus grande facilité d'élocution qu'à l' état nor- mal1. Si un sujet la préoccupe à l'état de
ité d'élocution qu'à l'état nor- mal1. Si un sujet la préoccupe à l' état de veille, c'estce sujet qu'elle abordera tout
ment comment, en frappant sur l'épaule d'un hystérique, qui est à l' état de veille, et en lui déclarant qu'il ne peut pl
le système nerveux, à le surexciter au point de produire bientôt un état patholo- gique qui sera l'hystérie ou la neuras
hypnotisables; chez les sujets non hypnotisables, la suggestion à l' état de veille doit être uti- lisée, car elle donne
re la valeur d'un ordre, d'un commandement, c'est la suggestion à l' état de veille; il faut convaincre son petit malade
étant donné le carac- tère vaso-paralytique, congestif, le mauvais état dans lequel se trouve la nutrition générale des
alytiques généraux est fréquemment onc- tueuse, gluante, glissante, état dû à une abondante sécrétion de sébum, qu'on po
on est presque constamment suivie d'une amélioration notable de l' état psychique antérieur du malade ainsi que des autre
t, chose notable, leur consolidation est rapide et solide, malgré l' état cachectique avancé du malade. Signalons encor
timètres pour les membres supérieurs. Les sens spéciaux sont en bon état . La perception des couleurs, du goût, odorat, etc
on et défécation, etc. 1897. Mai : s. Le malade se trouve dans un état d'excitation et d'irritabilité extrême, il parl
1 Cf. pour l'étude de l'épaisseur de l'écorce du cerveau humain/à l' état normal et pathologique, par Conti et par Cionin
e générale, mais avec conservation très nette.de la conscience de l' état morbide par le sujet; plus les troubles symptom
érale avancée, plus le malheureux a conscience de la gravité de son état , ce qui est l'inverse dans la paralysie générale
il resta sans pouvoir parler ni comprendre ce qu'on lui disait. Cet état d'aphasie motrice et de surdité verbale persista
it est celle du repos et de la récupération. Au jour, correspond un état d'éléva- tion, de confiance naturelle et de bon
ity, octobre 1896.) E. B. XXVI. LES lavements d'eau chaude dans LES états d'agitation CHEZ LES aliénés; par R. Fronda. (I
saire et qu'on se propose d'empêcher indirectement ou de traiter un état d'hyperhéruie cérébrale, active ou passive. J. S.
. Conception psycho-pathologique de l'obsession. L'obsession est un état morbide à base émotive.-Sans entrer dans de lon
2e série, t. IV. 27 418 sociétés savantes. S'il en est ainsi à l' état physiologique, il ne peut en être autre ment à
est ainsi à l'état physiologique, il ne peut en être autre ment à l' état pathologique. Considérons par exemple l'impulsion
on. » A la base de toute activité physique, déclare Féré, il y a un état émotionnel en rapport avec une excitation local
ore l'obsession dans son fondement, dans son essence. Tels sont ces états d'anxiété diffuse qui ne se précisent que d'une
ixe et sans impulsion ; il n'y en a pas sans émotion, et, dans tout état obsédant, on retrouve, plus ou moins marqués, l
'intellectualiser. L'obsession est donc, comme l'avait vu Morel, un état morbide foncièrement émotif. Classement nosol
, un état morbide foncièrement émotif. Classement nosologique des états d'obsession. Cette conclusion n'est pas seuleme
rationnelle. Si l'émotion est, en effet, l'élément fondamental des états d'obsession, c'est évidem- ment elle qui doit s
e sont les obsessions proprement dites. On a donc ainsi une série d' états obsédants, qui, partis de la forme la plus élém
rmédiaire ou de transition. Nous étudierons successivement : i° L' état obsédaut à anxiété diffuse ou panophobique ; 2°
ement : i° L'état obsédaut à anxiété diffuse ou panophobique ; 2° L' état obsédant à anxiété systéma- tisée ou monophobiq
2° L'état obsédant à anxiété systéma- tisée ou monophobique ; 3° L' état obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. ' C'
progressif plus complet, au point de vue clinique, la division des états obsédants en phobies et obsessions vraies, adop
emier cas, celui que nous avons en vue ici, les sujets sont dans un état permanent de tension émotive, qui éclate brusque-
, de Mac Farlane). Attente anxieuse. Le symptôme prédominant de cet état pano- phobique est ce que Freud appelle très ju
'attaque en elle-même, elle est essentiellement t constituée par un état d'angoisse, soit simple, soit associé à une sen
andulaire. Cas d'anxiété diffuse ou panophobique. Les exemples de l' état anxieux panophobique ne sont. pas rares. On en
matisée, ou monophobique (phobie proprement dite). Comme les antres états obsédants, mais d'une façon plus nette encore,
et cinquante ans surtout, comme l'avait déjà remarqué Morel, mis en état d'opportunité morbide par des fatigues, du surm
es, du surmenage, une maladie, qui ont créé ou accentué chez eux un état névropatique, hystérique ou hystéro-neurasthé-
e notre cerveau. Séglas dit : « L'obsession n'est, en résumé, qu'un état particulier de la désagrégation psychologique, un
vue de l'idée, l'obsession du délire, c'est que, dans lèpre-, mier état , la conscience se révolte contre l'invasion de la
e plus mauvais moment de lajournée. D'autres, au contraire, dans un état supportable durant le jour, sont pris tous les
t chez les hystériques, sans qu'ils en aient souvent conscience à l' état de veille. L'obsessionse manifeste habi- tuelle
re moyen de protection, l'impulsion reste heureusement chez lui à l' état statique. 1 Si l'obsession impulsive aboutit pa
incompatible avec la libre déter- mination. Mais lorsqu'il s'agit d' états comme l'obsession, dans lesquels les facultés i
oujours alors sous forme de phobie diffuse ou systématisée, avec un état anxieux permanent et très intense. Elle dure un
il était dans la période d'accès ; il se souvient parfaitement de l' état d'anxiété dans lequel il se trouvait ; il en dé
e début brusque moins sérieux que le début lent et insidieux. Les états obsédants sont, en principe, d'autant moins grave
sont ici de véritables hallucinations du sentiment. Et, parmi les états purement émotionnels, les phobies diffuses sont
dans la maladie au point de vue de la symptomatologie clinique : 1° état obsédant panophobique ou phobie diffuse; 2° éta
ogie clinique : 1° état obsédant panophobique ou phobie diffuse; 2° état obsédant mono- phobique ou phobie systématisée;
diffuse; 2° état obsédant mono- phobique ou phobie systématisée; 3° état obsédant monoïdéique ou obsession, se trouve co
IL La forme psychique de l'obsession est un concept con- nexe à l' état psycho-moral de la personnalité. III. L'obses
l'émo- tivité morbide, exagère, par l'autonotion de sa qualité, l' état émotif jusqu'à l'angoisse. Idées fixes. I.
sentation psychique élémentaire, n'ayant pas de re- lation avec l' état psycho-moral de la personnalité. III. L'idée
. Idées fixes. IV. L'idée fixe n'est en action que pendant les états aprosexi- ques ; lorsque la personnalité est
VIII. L'idée fixe est, un trou- ble fonctionnel observable à l' état physiologique aussi bien qu'à l'état pathologiq
e fonctionnel observable à l'état physiologique aussi bien qu'à l' état pathologique, des individus dégénérés ou non dé
e des éléments chromatophiles et de ces altérations dans les divers états pathologiques. La grande -découverte qui a été
, mais, une chose essentielle à noter, c'est, que le noyau qui, à l' état normal, occupe le centre de la cellule, émigré
rte d'étudier. Or, cette étude du noyau des cellules nerveuses, à l' état normal comme à l'état pathologique, est général
te étude du noyau des cellules nerveuses, à l'état normal comme à l' état pathologique, est généralement laissée au secon
s dans la .Nouvelle Iconographie de la Salpétrière (1897), étudié l' état des ,cellules nerveuses médullaires dans la rag
it d'une solution alcolisée d'arséniate de sodium et de mercure à l' état métallique. Dès la première dose, notre malade
alysie et une anesthésie des mains et des pieds. Voici d'ailleurs l' état de notre malade le 7 avril 1897, jour de notre
ré, mais ouvert; sa lumière est souvent beaucoup plus grande qu'à l' état normal (tendance à l'hydromyélie); sa configurati
15 et 26 grammes. Après chaque injection, l'animal tombait dans un état de sono- lence, et, au réveil, présentait les p
l'innerva- tion cardiaque, jusqu'à la réintégration complète dans l' état nor- mal ; c) Soulagement corrélatif des altéra
ent du tabes. La principale indi- cation dans le tabes doit viser l' état général du malade et tâcher de relever 'par un
nt pour excipient la mie de pain, qui réduit une portion du sel à l' état métallique ; une autre portion est transformée en
rayons électriques (2° mémoire) ; par M. B. Danilewshy ; Action des états variables du courant galvanique sur les nerfs s
observateurs ont éta- bli que l'alcalinité du sang diminue dans les états diathé- siques (diabète, rhumatisme, cachexie,
de réduction avec diminu- tion de l'oxyhémoglobine, comme dans les états d'épuise- ment consécutifs aux traumatismes, au
ation dans le sang de carbamide acide d'ammoniaque qui devrait, à l' état normal, se transformer en acide urique (Krauski
taques n'était pas l'indice d'une relation de cause à effet entre l' état de l'alcalinité du sang et le phéno- mène convu
vulsif. Et nous nous sommes crus autorisés à tenter de modifier cet état par une intervention thérapeutique. Tandis que
Etat général satisfaisant. T. 37° à 37,5. Pas de modification de l' état mental. Les attaques reparaissent isolées. Le
Le sommeil et l'ap- pétit sont réguliers. Pas de modification de l' état mental. Les attaques ont repris leur fréquence
très nombreuses (voir tableau plus loin). Pas de modification de l' état mental. Poids de la malade avant les injections
124 grammes de sels alcalins. Les modifications produites dans l' état physique ont été une élévation peu considérable
nué à s'émacier, son alimentation est devenue insuffi- sante et son état très inquiétant. Au bout de deux mois elle a ét
ue depuis plus de sept ans. L'excila- tion est tombée subitement. L' état physique s'est restauré. L'état mental est sati
la- tion est tombée subitement. L'état physique s'est restauré. L' état mental est satisfaisant. Les attaques sont devenu
mois après la cessation des expériences, D... se maintient dans un état satisfaisant. Elle continue à mar- cher. Les at
s 5, 6, 7. 8, injections de 40 cent, cubes. Sans modifications de l' état général. · Le 10, injection de 40 cent. cubes s
ons, sueurs, anurie. T. 38°. Au bout de quelques heures retour il l' état habituel. ' ' Le 11, injection de 30 cent. cube
novembre, à la suite d'une série très nombreuse, B... est tombée en état de mal et est morte dans le coma. OnSFRYATJO :
disparu. Les séries épileptiques sont de plus en plus nombreuses. L' état physique est restauré. L'état mental est amélio
es sont de plus en plus nombreuses. L'état physique est restauré. L' état mental est amélioré. Il se produit en moyenne d
de 4 à 5 heures ; elle est annoncée par des coliques et suivie d'un état de dépression mélancolique. Du 1er au 7 juill
u'à 5 il 10 par mois. toujours nocturnes, très violente^, suivies d' état impulsif. Affaiblissement intellectuel, irritab
njections. Trois mois après, la malade a repris son embonpoint. Son état physique et mental est tel qu'il a été résumé p
lement. Un peu d'amaigrissement. Aucune modification notable dans l' état physique et men- tal. Augmentation du nombre de
e courte période de subexcitation et suivies d'une aggravation de l' état mé- lancolique avec idées de suicide. S'occupe
ile à la suite des premières injections. Aucune modification dans l' état physique. Très légère augmentation du nombre de
l'alcalescence sanguine à la suite des injections. Aggravation de l' état dépressif post- paroxystique. Observation VIL
riles à la suite des premières injections. Pas de modification de l' état phy- sique. Augmentation du nombre total des at
emières injections seulement. Aucune modi- fication importante de l' état physique et mental. Diminution du nombre des at
u poignet. Les avant-bras, les bras, tout en étant plus gros qu'à l' état normal sont cependant loin d'être aussi hypertr
es sont augmentées de volume. La langue est plus volumineuse qu'à l' état normal. Thorax. Notre malade présente aussi une
séjourné quarante-huit heures, arrive signalée comme présentant un état maniaque aigu, n'offre à l'entrée qu'un état de
ée comme présentant un état maniaque aigu, n'offre à l'entrée qu'un état de confusion mentale probablement consécutif. E
progressivement, et au bout de la quinzaine cette femme sort de son état d'apathie et demande à s'occuper. Sans avoir be
un mois de calme absolu, eile est visitée parle mari^qui trouve son état très satisfaisant et déclare que sa femme est r
son état très satisfaisant et déclare que sa femme est revenue à l' état normal. Sa sortie lui est alors accordée et ell
xions. Si l'on veut bien maintenant se rappeler la description de l' état physique du sujet de notre observation, on sera
blement presque disparu; la digestion était devenue assez facile, l' état de vacuité de l'estomac ne déterminait plus de se
ne déterminait plus de sensa- tion angoissante ou syncopale. Cet état persista un an et demi. » Au mois d'août 1890,
luence de ces hallucinations et de l'insomnie, il e=t tombé dans un état de tristesse excessive qui lui fait désirer la
a teinture thébaïque est continuée, mais à dose décroissante. 18. L' état mental persiste bon. Suppression de l'opium. Le
almie. Urines : ni sucre ni albumine. Traite- ment bromure. 25. L' état mental est bon. Persistance des accès de suffocat
n. Persistance des accès de suffocation. Insomnie très tenace. Même état du corps thyroïde. 1er juin. Traitement thyroïd
n- dant ce long intervalle, de vingt-cinq à quarante-trois ans, l' état mental du malade actuel n'est point celui des' ba
e qu'à la gaîté, sans qu'on puisse le considérer comme maladif. Cet état psy- chique était plus accentué pendant les pér
ciation morbide temporaire, ou plutôt comme une forme spéciale d'un état mental propre au goitre exophtal- mique ? C'est
de thyroïdienne, soit créés par nne hypersécrétion thyroïdienne, un état psy- chique caractérisé et par les symptômes de
'encontre des psychoses à forme dépressive, alors que logiquement l' état cérébral de cette affection semble conduire nat
phtalmique a dimi- nué jusqu'à disparaître complètement, sans que l' état mental en subisse un amoindrissement. Le malade
dire : 3° Le syndrome maladie de Basedow est capable de créer un état psychique spécial qui peut se transformer en foli
e, inconvenante, et elle se croit au même moment vue dans le même état par sa vis-à-vis, etc. M. Freud apprend en outre
gérés par l'émotion, avec addition de cris qui rappellent l'oie. Un état psy- chique préside à ces convulsions faciales
ments, sous des influences psychiques bien moindres, par suite de l' état de tension où se trouvent les centres. La volon
ié gauche du visage. La complète déchirure de certains muscles et l' état électrique de ceux qui sont respectés indiquent
estructions osseuses très étendues, auxquelles contredit en effet l' état de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 507 l'oreill
naire, qui succombe à l'epilepsie même, est généralement tué par un état de mal dans lequel on distingue un stade convulsi
té insuffisant. Ce qui fait que cette thérapeutique échoue, c'est l' état général insuffisant du malade, les lésions trop
iL l'énergie des effluves odigues de l'opérateur. Du traitement d' états d'angoisse et de contrainte. M. OTTO DORNBLUTH.
t la codéine donne les meilleurs résultats quand on a affaire à des états graves et invétérés d'angoisse et de contrainte;
l'innervation cardiaque, jusqu'à la réintégration complète dans l' état normal; c) soulagement corrélatif des altérations
riminelles. Un acte délictueux ou criminel peut être commis dans un état de condition seconde ou vie somnambulique, d'or
ntales; par A.-A. TOKARSKY (Moscou). Le sommeil hypnotique est un état physiologique spécial, qui se caractérise par l
presque complète de l'activité psychique. Dans beaucoup de cas cet état est accompagné de la plus grande suggestibilité
as cet état est accompagné de la plus grande suggestibilité. Mais l' état hypnotique et la suggestibilité ne dépen- dent
sommeil hypnotique et vice versa. Au point de vue thérapeutique l' état hypnotique a autant de valeur que la suggestion.
que de courte durée. Par conséquent au point de vue thérapeutique l' état hypnotique et les suggestions négatives, ayant
hé- rapeutique donne les meilleurs résultats dans le traitement des états d'excitation générale du système nerveux, quell
mentale se manifeste que sous la condition de l'amélioration de l' état général du système nerveux. Par exemple, la dispa
ée par la disparition de l'excitation générale, de l'insomnie, de l' état affectif, inappé- tence, etc. Dans l'applicat
s probables, parce que la plupart des suggestions indirectes ou à l' état de veille ren- trent dans le domaine de l'influ
quatre jusqu'à quarante-huit heures, et le malade tom- bait dans un état de mal épileptique chaque fois qu'elles arrivaien
AVANTES. 521 attaques était grand; il était, de plus, tombé dans un état voisin de l'idiotisme. Aussi M. Voisin pensa qu
é, ni du côté du globe oculaire ni ailleurs. Il en est de même de l' état général des opéréss qui reste parfait et même s'a
upart des troubles oculaires et diminuer les autres (goitre, pouls, état ner- veux, etc.), prouvent que le traitement de
, évolutionné par le milieu. Le milieu, cause déter- minante de ces états de caducité en évolution. est un élément bio- l
favori- sant les régénérations, et ne doit pas tendre à guérir des états pathologiques qui sont toujours la manifestatio
aissé de côté l'étude du rôle que joue le tissu musculaire dans les états physiologiques et pathologiques de l'appa- reil
s fibres musculaires lisses de l'appareil digestif en présence de l' état pathologique de la muqueuse et de ses sécrétions,
ne susceptibilité, une irrita- bilité de la fibre musculaire lisse ( états moraux, fatigues, surine e nage, névropathie, h
s nerveux gastro-intestinaux, exercent une influence fâcheuse sur l' état général de la constitution. Il se crée ainsi de
âcheuse sur l'état général de la constitution. Il se crée ainsi des états morbides qui varient suivant la localisation des
aliénés qui entrent à l'asile, 80 au moins sont déjà tombés dans un état de complète incurabilité. Ce n'est pas à dire q
adjoint visite, au moins une fois par semaine, et plus souvent si l' état de l'aliéné l'exige, les curables, et une fois
s qu'une seule dans le cours d'un épisode délirant, et à cause de l' état mental parliculier du malade, en raison aussi d
ion ner- veuse héréditaire ou personnelle, par l'anémie, le mauvais état général, par l'âge, le sexe et par toutes les c
le sexe et par toutes les causes qui mettent le système nerveux en état de moindre résistance. DUCAUP. VARIA. Traitem
pre- miers soins lui furent données, et de là, à l'Hôtel-Dieu. Son état est désespéré. « Duchesne a été arrêté. Il pr
montré que les magistrats ont le devoir, en dehors de l'examen de l' état intellectuel de l'enfant, de s'assurer de son d
i constituent une charge pour une société égoïste et retournant à l' état sauvage. Pour nous, nous pensons que le devoir
oubles de l'écri- ture, par Maack, 230. Angoisse. Traitements des états d' - , par Dorubluth, 512. ANTI-ALCOOLIQUE. C
ones. Théorie des - eu rap- port avec l'explication de quel- ques états psychiques, par Sou- manoir, 15. NE 0 lOl YCI
40 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la formation ammonique telle qu'on la trouve chez les rongeurs à l' état adulte. C'est ce que montre les figures 16 et 1
ouvée dans les plexus choroïdes ; jamais elle ne fut rencontrée à l' état de liberté dans les ventricules. (Voy. M. Sée,
Pour ce qui est des fibres nerveuses de cette portion du nerf, à l' état dissocié et traitées par l'acide osmique 42 ) A
est im- possible de s'y arrêter. Il a, du reste, conscience de cet état . Les phénomènes intellectuels sont accompagnés
é une maladie nouvelle. Confondue pendant longtemps avec d'autres états morbides, particulièrement avec la poly- sarcie
t qui constitue l'un des traits les plus caractéristiques du nouvel état morbide. C'est ainsi qu'il compare la forme des
tions se rapportent à des femmes et que ces dernières présentent un état intellectuel voisin du cré- tinisme. Aussi 'pro
- tinisme. Aussi 'propose-t-il d'appeler l'affection nou- velle : état crétinoïde pouvant subvenir chez les femmes à l
nou- velle : état crétinoïde pouvant subvenir chez les femmes à l' état adulte. L'auteur se borne à décrire très nette-
en soit, il s'agit d'une petite fille de quatre ans, présentant un état de crétinisme très accusé, avec embonpoint cons
ellec- tuelle, engraissement considérable, sécheresse de la peau, état pachydermique de la paume des mains et de la pl
ient en même temps ». En résumé, l'auteur voit dans le myxoedème un état mor- bide affectant l'ensemble de l'organisme.
fonde, altérations remarquables de la- peau et du tissu cellulaire, état cérébral particulier. La fin de ce travail comp
lentement et n'est pas complète à 7 ans. Actuellement on observe : état d'inertie avec obtusion intellectuelle et apath
ût 1880, n° 35.) DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 69 ment renversée ( état dû en partie à une rétraction cicatricielle de
enté de se suicider en pre- nant une grande quantité d'opium. A cet état de mé- lancolie, qui cesse au bout de trois moi
illeurs mauvais goût aux aliments. Enfin , le patient tombe dans un état de léthargie très prononcé et on note à côté d'
es sont affai- blies. Au bout de deux ans, il survient un véritable état de manie qui nécessite l'entrée dans un asile.
'attention est affaiblie, le jugement faux, la mémoire en assez bon état . Elle est affectueuse à l'égard de ses enfants.
dans la gauche, 97 ? F. (3G ? C). Le traitement n'a pas modifié l' état cachectique de la malade. Dans la même séance d
ations fréquentes des sens spéciaux, pouvant entraîner un véritable état de manie (Savage). Cependant, l'état habituel e
pouvant entraîner un véritable état de manie (Savage). Cependant, l' état habituel est plutôt un état de lassitude, de st
le état de manie (Savage). Cependant, l'état habituel est plutôt un état de lassitude, de stupidité qui rappelle assez b
igner à entrer à l'hôpital. A cette époque, 2G juillet, voici son état : L'amaigrissement est considérable et porte no
naître que le foie est diminué de volume. Les jours suivants, même état , le liquide de l'ascite se reproduit rapidement
e en l'air, retombent lourdement comme des masses inertes. Malgré l' état de stupeur du malade, on peut apprécier la sensi-
a projeter au dehors. On se rend facilement compte aujourd'hui de l' état de la sensi- bilité ; l'hémianesthésie persiste
s de la bouche. 7 sept. Les forces diminuent; l'appétit est nul ; l' état général s'aggrave. 12 sept.L'hémiplégie, avec
uelques mots à sa disposition; il remue la langue en tous sens. Cet état reste le même jusqu'à la mort qui arrive sous l
au sujet de la rigidité de la char- pente musculaire qui passe à l' état de permanence durant le dernier mois en même te
e ( Verneuil Si comme tend à le croire l'auteur, il est vrai qu'à l' état normal on peut constater sur les nerfs périphér
do suppuration qui succède à la; lésion.'Plusieurs malades, dont,,l' état paraissait 1 désespéré, Ont été sauvés par ce tra
femmes. - . - " Si l'on recherche' quelles sont les maladies ou les états anor- maux qui existaient chez les' sujets que
amment, dans le processus réticulaire. Dans plusieurs endroits, cet état avait amené de petites hémorrhagies. Les vaisse
oisin estime, dans ce cas, que le délire fébrile pouvait tenir a un état congestif des'centres- nerveux, 'comme r'b'iit'eà
e'crois - qu'il faudrait réserver l'antonomasie pour dé- terminer l' état d'un malade qui, sans employer un terme impropre,
le demande si les individus dont il est question mani- festent leur état dansée langage écrit comme .ils le manifestent
on. V. - 11, Le Dr LÉo lit deux rapports médico-légaux concernant l' état mental d'unjournaherde trente-deux anset d'un m
un grand esprit ouvert aux aspirations les plus nobles. Navré de l' état de délaissement où se trouvaient, dans son pays
en revue les différents mots usités pour caractériser les nombreux états d'aliénation, il n'a pas de peine à montrer leu
r constate du reste que le plus souvent l'aliénation mentale est un état composé de différentes formes élémentaires plus
lique à la première période. « Dans le plus grand nombre des cas, l' état mélancolique s'annonce par des phénomènes précu
mpressions le fatiguent, tout lui devient une charge. » C'est cet état de souffrance qui marquerait, du reste, pour Gu
les phénomènes que nous venons de décrire comme se rattachant à cet état nerveux spécial désigné sous le nom d'hyperexci
, ce qui n'a pas lieu pour le côté droit. La malade est toujours en état de veille et cette expérience est faite presqu'
ar l'action d'une lumière très intense. Elle entre d'abord dans l' état cataleptique qui persiste indéfiniment, et alors
ous avons vu plusieurs fois dans le cours de nos expériences, cet état musculaire spécial disparaître tout d'un coup pou
musculaire spécial disparaître tout d'un coup pour faire place à un état paralytique localisé à un seul côté du corps et
is sans manifester le mécontentement qu'un réveil dans un semblable état semblerait devoir lui causer. Elle fait quelque
ndant sans dilficulté par la pression des globes oculaires. Le même état hémi- paralytique persiste. Au bout de quelques
fait qui précède, l'expé- rience suivante dans laquelle, pendant l' état somnam- bulique, alors que, suivant la règle, l
a tête dans le sommeil sans hyperexcitabilité neuro-mus- culaire ou état somnambulique. L'excitation mécanique directe o
aite. La catalepsie n'est plus possible par l'ouverture des yeux. L' état de la motilité est le même par tout le corps.
de la motilité est le même par tout le corps. Nous recherchons l' état de la contractilité électrique que nous trouvon
exes tendineux aux deux bras sont manifeste- ment exagérés. Le même état persiste un quart d'heure environ avec quelques
minée. Mais aussitôt les yeux se ferment et la malade tombe dans un état de résolution tel que nous n'en avons jamais ob
'un côté sur l'autre suivant qu'on cherche à la redresser. Dans cet état les réflexes tendineux sont fort exagérés. Le c
ères se ferment d'elles-mêmes. Pendant que les yeux sont ouverts, l' état mus- ' culaire ne change pas, pas de catalepsie
at mus- ' culaire ne change pas, pas de catalepsie possible, même état des réflexes, même résolution, Bientôt la malad
s yeux sont fermés, et lorsqu'ils sont ouverts, aucune tendance à l' état ca- taleptique. Enfin la résolution musculaire
ocalisation précise soit possible. Ce n'est en somme qu'une sorte d' état rudi- mentaire de l'hyperexcitabilité neuro-mus
état rudi- mentaire de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, et l' état cataleptique qui suit l'ouverture des yeux ne p
montrent le sommeil hypnotique à un degré fort incomplet, sorte d' état rudimentaire. Les phénomènes psychiques sont nu
sorte d'état rudimentaire. Les phénomènes psychiques sont nuls, l' état cataleptique n'existe pas, pas plus que l'aptit
à la contracture, est le lien qui rattache ces faits incomplets à l' état de léthargie hyp- notique entièrement développé
ugineux, nourriture substantielle, lait d'ànesse pendantun mois), l' état général ne tarda pas à s'amen- der. Le teint re
gré quelques dou- leurs gastralgiques, Honorine se trouvait dans un état de santé relativement bon, se livrant sans diff
l'asile sur ces entrefaites, elle resta quelque temps dans le même état psychique, prenant les gardiennes pour des homm
es mains et à la plante des pieds, en même temps que s'amen- dait l' état psychique et que disparaissaient progressivement
ême journée; on aurait dit une véritable action purgative. Enfin, l' état psychique finit par s'améliorer à un point tel
On constate simplement un peu de diminution de l'acuité visuelle. L' état mental est excellent : la malade est raisonnabl
: la malade est raisonnable. Pour tout ce qui est en dehors de l' état psychique ou sensoriel, il existe, d'après notre
sensiblement de ceux d'une personne ordinaire, si l'on né- glige un état de sécheresse particulier de la peau. L'améliora-
oursouffléo. Les dents ont toujours été et sont encore en assez bon état (il ne manque qu'une incisive); elles déter- mi
saillie du mollet, la jambe va s'amincissant beaucoup moins qu'à l' état normal. D'ailleurs, dans quelque partie du corp
e coloration blanchâtre, un peu cireuse dans certaines régions ; un état de sécheresse et de rudesse très marqué. La séc
i ne présente au microscope aucun caractère bien par- ticulier. Cet état de l'urine est dû probablement à un peu de cata
er, etc.). Il en résulta promptement une amélioration réelle dans l' état général de la malade. Cette observation présent
t et arriver à une guérison complète, à mesure que s'amé- liore l' état des téguments. Une particularité non moins inté
31. Charcot, parce qu'elle nous paraît de beaucoup la meilleure. L' état de cachexie que présentent tous les malades, es
udat muqueux. Dans quelques cas, les dents se trouvaient en mauvais état , étaient fragiles, cariées, tombaient. Au cou
ion mucoïde'détermine des rides profondes sur la nuque. En avant, l' état du corps thy- roïde est très intéressant. Presq
un hémiplégique ou l'articulation embarrassée de l'épileptique. Cet état du langage s'accompagne de lenteur corporelle e
ux d'exercer leur esprit ou leur corps, ils restent plongés dans un état de somnolence presque continuel. Le moindre eff
gue. Cepen- dant, lorsqu'on les met en colère, ils sortent de cet état d'inertie : la parole et les actes prennent une
l'arithmétique (Hammond). Enfin on peut voir survenir un véritable état d'aliéna- tion mentale avec ou sans illusions e
es sens spéciaux, ('/est ainsi qu'on a observé de la mélancolie, un état de manie avec violence et inco- hérence du lang
cution, qui disparaissent lorsque la muqueuse digestive revient à l' état normal. Des faits identiques Ll : L.1 C.ICHls11
o- gique nettement définie et que l'on distingue facile- ment des états morbides tels que les affections car- diaques o
pas à porter le diagnostic ». Quelle place doit occuper le nouvel état morbide dans le cadre nosologique ? Ici nous re
abilité de la peau fermée à toute excrétion ? ou bien est-ce dû à l' état de dyspepsie, si fréquent chez ces malades ? Il
rêves. Il nous est arrivé un joui', pendant qu'elle était dans cet état , de provoquer un accès par pression sur un de s
vrir la pupille, et par conséquent provoquer de catalepsie dans cet état . Description de l'attaque. Que l'attaque soit s
jusqu'à la fin do l'at- taque ; elle revient ensuite lentement à l' état normal. Cette observation présente plusieurs fa
e violet qui est w grs et le jaune clair qui est vu blanc sale. L' état de la sensibilité oculaire est en rapport avec ce
morbide dans tout le côté, cependant elle est oppressée. 25. Même état . Trente ventouses sèches. 26. Douleurs dans l'é
gion pré- cardiale. Salicylate de soude, 6 grammes. Lait. 4. Même état . T. 10°, 1 le matin, 40°, 4 le soir. Même trai-
bour- donnements d'oreilles, battements dans les tempes) malgré l' état du coeur, on administre de l'éther avec précautio
77 à la garde-robe, il est tombé sur le sol et est resté dans cet état , ayant gardé, dit-on, toute sa connaissance ( ? )
s'est produit, parait-il, un amaigrissement considérable. A part l' état parétique dépendant de l'ictus primitif, le mal
sion et pansement de Lister. 1881. 10 juin. - Le malade présente un état d'agitation considérable, cherche à sortir du l
Un accès hier. Ce matin l'excitation maniaque est remplacée par un état de torpeur très prononcé ; la respiration est r
23 juillet. Le malade, qui depuis quelque temps était revenu à son état normal, retombe aujourd'hui dans la stupeur et
ec rhum et extrait de quinquina.) Soir : T. R. 39°,2. 24 juillet. L' état adynamique s'accentue. Les lèvres et la langue
is, ainsi que nous l'avons observé nous-mêmes on juin dernier, un état de torpeur qui persistait deux ou trois jours. Il
ésions du lobule de l'insula. REVUE CRITIQUE CARACTÈRE, MOEURS, ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES' Par le Dr Henri HUCHARD
roduire ; mais aucun d'eux n'insiste d'une façon particulière sur l' état des facultés mentales ou affectives ; aucun d'e
et taciturnes, gardent un mutisme complet, restent plongées dans un état de rêverie, de dépression mentale dont on peut
qu'au- i Annales d'hygiène publique et de médecine légale, 1863. ÉTAT MENTAL DES HYSTERIQUES. 189 jourd'hui elles ne
ans l'Iconographie photographique de la Salpdt;,iè,e (1876-1880). ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 191 leur absence de con
soutiennent. Elles sont surtout affectées de ce subdélire ou de cet état malicieux (ainsi désigné par M. Daily) qui les
es préparatifs en silence, loin de tout regard indis- 1 Dally. De l' état et du délire malicieux (Ann. med. psych. 1877,
u- Mlaminond. Maladies du système nerveux. Trad. française, 1879. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 193 vent vaniteuse et o
comme pour l'anorexie hystérique, qui est plutôt le résultat d'un état mental que d'un état gastrique, l'entourage est
ie hystérique, qui est plutôt le résultat d'un état mental que d'un état gastrique, l'entourage est l'obstacle à la guér
édico-légale sur la folie, Paris, 1880. Morel. Éludes cliniques.- ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 195 d'une hystérique, q
, 1858. Duponchel et Chabrun, thèses de Paris, 1874 et 1878; etc. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. t97 Î Quelquefois elles
cahier XLVI des Causes célèbres de tous les peuples, par Fouqumr. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. M 99 convulsivement ses
ans laquelle les laissent toutes les affections d'une durée plus ou ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 201 moins longue dont e
é de, leurs accidents morbides ; elle est due aussi et surtout à un état .-cérébral singulier qui mérite de nous arrêter
conversation animée, ce qui a pu faire dire avec raison que même ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 203 avec ces profondes
HYSTÉRIQUES. 203 avec ces profondes aberrations du sens moral, cet état diffère de lafolie réelle, et qu'il constitue p
t, pour- rait-on dire encore. Toutes les diverses modalités de leur état mental que nous avons cherché à étudier, peuven
ncelante ou défaillante, c'est parce qu'elle est sans cesse dans un état d'équilibre instable, c'est parce qu'elle tourn
norexie invincible, elle se refusait à manger depuis des mois, et l' état était devenu très grave, voisin de la cachexie
de gré ou de force, plusieurs verres d'eau froide coup sur coup. état mental DES HYSTÉRIQUES. 205 pouls petit' et mis
etit' et misérable, jambes légèrement infiltrées ? En présence d'un état si menaçant, M. Charcot prend' une' grave déter
nts, vous m'avez parlé d'une grosse voix ; j'ai senti alors que mon état était réellement grave, j'ai voulu manger, et j
. En terminant ces considérations sur le caractère, les moeurs et l' état mental des hystériques, il est nécessaire de dé-
otte mobilité de caractère qui est l'un des^ traits principaux de l' état mental des hystériques. IX. Cette étude présent
tort l'hypocondrie à l'hystérie ; nous ne confondons pas ces deux états morbides si différents, mais nos observations nou
tôme précurseur de l'hystérie qui va naître à un âge plus avancé. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 207 D'autres fois, on r
s et thérapeutiques sur les mala- dies des enfants, 1880, p. 135. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. ' 209 lalgie très inten
on '. Dans ces cas, ajoute si judicieusement M. West, c'est moins l' état du corps que celui de l'esprit qui doit éveiller
es jeunes épileptiques. En est-il de même chez les adultes, et leur état mental a-t-il son reflet sur leur physionomie;
naître des hystériques. Nous avons suffisamment dé- montré que leur état mental est surtout formé de contrastes, qu'une
ts allemands un nouveau procédé juridique à suivre pour déclarer en état d'aliénation (démencedu Code français) et frap-
h. u. Nex·venlc., 1880.) L'enfant dont il s'agit, venu au* monde en état de microcé- phalie, ainsi qu'on peut s'en conva
cet arrêt de développement, indiquée par le rapprochement entre l' état à peu près parfait des organes visuels et le, man
angoisse extrême des prodromes, marche impétueuse, hallucinations, états exta- tiques, justifieraient la comparaison ave
on de l'anthrax on put remarquer une amélioration considérable de l' état intel- lectuel, et en particulier de la mémoire
vateur : quant à la vérifier, il n'en fut pas question. Tel était l' état des choses en Angleterre, en la4z, relativement a
e, que les accès fussent forts ou faibles. On observa même un cas d' état de mal sans perte de poids; 3° L'ensemble des
me ventricule par une hypertro- phie cérébelleuse considérable. A l' état normal la moelle allongée de la grenouille beye
jour décèle de la dilatation des veines, de la tuméfac- tion et un état trouble de la rétine en bas et en dedans. Ces phé
légère diminution à l'acuité visuelle centrale, coïncidant avec un état trouble de la rétine étendu, l'orateur rappelle q
il, d'une commotion de la rétine ayant pour substratum anatomique l' état local de cette membrane. Or, une grande série d
étant hygroscopique s'oedématie de ce chef par imbibition ; de là l' état de trouble et de tuméfaction décelé par l'ophtalm
uvements automatiques et l'excitation de l'humeur. Il en exclut les états d'agitation qui, par exemple, se montrent dans
vouer que le symptôme clinique en question est extrêmement rare à l' état de pureté, ren- voyant pour la description déta
es névralgies iléo-lombaires. CH. F. VII. Etude expérimentale sur l' état du pouls carotidien pendant le travail intellec
quelquefois des troubles cardio-pulmonaires se traduisant par un état syncopal, avec ralentissement, puis accélération
leine forte des hystériques et l'odeur qu'elles exhalent dans leurs états de mal /i))'o-<7)M. 47 Fig. 15. , 258
be, après percussion du tendon rotulien, est-elle plus ample qu'à l' état ordinaire. La contrac- tilité faradique est con
ien du côté de la pupille. Le lendemain 15 mars, nous notons dans l' état du malade les modifications suivantes : la para
tement la jambe. Le 29 avril, le malade quitte 1'llôtel-Dieu dans l' état suivant : le membre abdominal gauche reste très
in, les yeux restent fixes, sans clignement de paupières ; dans cet état , on peut toucher impunément la conjonctive, san
nes externes de l'oeil sont donc insensibles pendant l'attaque. L' état de la pupille pendant l'attaque a été peu obser
s incomplètes, qui augmentent les difficultés de l'observation de l' état de la pupille, surtout pour la contraction du d
térêt par- ticulier. Ainsi, chez une de nos malades qui, dans ses états de mal, a des attaques incomplètes constituées
sisté sur ces signes fournis par la sen- sibilité oculaire et par l' état de la pupille, qui nous paraissent avoir une gr
ation ; car, à ce point de vue, ils ont une grande valeur, même à l' état d'isolement. En outre, ces phénomènes oculo-pup
arrête l'attaque. Il serait très important de pouvoir comparer l' état de la pupille pendant l'attaque dans l'épilepsi
plu- sieurs égards, et on n'en peut tirer de conclusions. Dans l' état de mal épileptique, on semblerait se trouver da
les modifications que peuvent éprouver cer- tains organes, qui, à l' état normal, ne sont pas sou- mis à la volonté. La p
soumis DE L'HYSTàPO-LPILEPSIE. 295 nos malades à l'expérience à l' état de veille, mais sans succès. Une autre expéri
a physique. Deux de ces sujets peuvent répondre conformément dans l' état cataleptique ; ils n'ont aucune notion des prop
de l'image, suivant qu'on le place devant l'oei) le plus près de l' état normal, ou devant l'oeil le plus amblyope. Du r
de l'état normal, ou devant l'oeil le plus amblyope. Du reste, à l' état de veille, on observe le même phénomène dans la
roforme. A aucun moment, entre l'anesthésie totale et le retour à l' état normal, on ne peut, par aucun moyen, déter- min
ques ne se sont pas renouvelées depuis qu'elle est enceinte, mais l' état de la sensibilité ne s'est pas modifié. Elle dé
it et exclusivement dans sa partie externe. Rien de changé dans l' état de la sensibilité. Depuis le bain, les douleurs
'ovaire, puis au terme de la grossesse, après l'accouchement et à l' état de vacuité. Aussi nous nous croyons fondé à con
que pour cette raison nous avons proposé de désigner sous le nom d' état catalepti forme. Pour l'intelligence de ce qui
des phases du sommeil nerveux désigné sous le nom d'hypnotisme. L' état cataleptique survient d'emblée à la suite de l'
pour la rendre immédiate- ment cataleptique. Les caractères de cet état catalep- tique sont les suivants : ' 1° Les y
a envahi, le plus souvent, la conjonctive et jusqu'à la cornée. L' état de la pupille varie; 3° Les membres gardent les
ic- tion des masses musculaires ne les modifient pas. En- fin cet état cataleptique est uniformément développé sur tou
s pas à insister ici : automatisme, hallucinations provoquées,. L' état cataleptique dont nous venons d'indiquer les pr
n'est plus susceptible 'd'être divisé en deux périodes distinctes : état léthargique avec hyperexcita- bilité neuro-musc
es : état léthargique avec hyperexcita- bilité neuro-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui
bilité neuro-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d' état mixte qui paraît tenir des deux à la fois, et q
est caractérisé par un délire spontané ou provoqué. Il s'y joint l' état musculaire spécial sur lequel nous insistons ic
musculaire spécial sur lequel nous insistons ici. 1 En résumé cet état cataleptique, à cause de la fixité du regard, de
pas à être interrompu par une nouvelle crise de spasme laryngien. L' état de sommation ainsi produit se compose de deux p
uer chez elle des hallucinations variées. Pendant tout ce temps l' état musculaire est intéressant à noter et c'est sur
des membres à conserver les attitudes communiquées. Il semble que l' état cataleptique et l'état d'hyperexcitabilité neur
es attitudes communiquées. Il semble que l'état cataleptique et l' état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire soient ici c
pendant il est facile de se convaincre qu'il ne s'agit pas ici de l' état cataleptique véritable ; mais d'une sorte d'éta
ant les paupières de la malade et en maintenant ses yeux ouverts, l' état cataleptique véritable ne saurait être obtenu.
es exemples. Il ressort des faits que nous avons pu étudier que cet état , qui paraît tenir à la fois et de la léthargie
isposés, ce n'est que dans les premières expériences, avant que l' état hypnotique, par la répétition des séances, se soi
t générale- ment ni l'hyperexcitabilité neuro-musculaire dans son état complet de développement, tel que nous l'avons
état complet de développement, tel que nous l'avons décrit, ni l' état cataleptique parfait, dont nous avons rappelé l
re provoquée fut pour cela diminuée. En résumé, les caractères de l' état cataleptiforme sont les suivants : 316 H PHYS
tendineux sont exaltés. 4° Que les yeux soient ouverts ou fermés, l' état mus- culaire reste le même, présentant toujours
e, présentant toujours ce double caractère d'hyperexcitabiiité et d' état cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir
cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir de quelle manière l' état cataleptiforme se rattache au phénomène de l'hy
vante qui met bien en relief et les différences qui sé- parent l' état cataleptiforme de l'état cataleptique véri- tab
relief et les différences qui sé- parent l'état cataleptiforme de l' état cataleptique véri- table et les liens qui ratta
de l'état cataleptique véri- table et les liens qui rattachent cet état cataleptiforme au phénomène de l'hyperexcitabil
ement par la pression sur les globes oculaires et sur les tempes. L' état de somniation ainsi produit se caractérise par
nérale. Elle n'existe pas à la face'. Nous essayons de produire l' état cataleptique par l'ouverture des yeux. Les paup
, mais les globes oculaires sont convulsés en haut et à droite. L' état cataleptique que nous obtenons ainsi est imparfai
es réflexes ten- dineux persistent. Il est aisé de reconnaître là l' état catalepti- forme. - En effet, en insistant sur
. Ce qui précède montre bien les différences qui existent entre l' état cataleptique vrai et l'état cataleptiforme. Dans
en les différences qui existent entre l'état cataleptique vrai et l' état cataleptiforme. Dans le cours de la même séance
face chez cette malade. 318 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. relient cet état cataleptiforme au phénomène de l'hyper- excitab
. Cette expérience consiste à produire sur un segment de membre l' état cataleptiforme pendant la phase de léthargie. I
intre dont parlent les auteurs. Il semble alors que cette sorte d' état cataleptique est bien due à un léger degré d'hy
pour faire cesser toute roideur et en même temps toute apparence d' état catalep- tique. E. L'hyperexcitabilité neuro-
-musculaire pouvait être observée chez nos malades en dehors de l' état hypnotique, pendant la veille. . Ce n'est ordin
UEIL DE FAITS. 319 j gâtent jamais ceux qui sont observés pendant l' état de sommation. Nous ajouterons que ces phénomène
la contracture musculaire, peut n'en présenter pas moins, pendant l' état de som- mation, les signes les plus complets de
eure du côté droit présente au contraire toutes les apparences de l' état normal, les cellules nerveuses y sont en grand
re. (Archives de Physiologie, 1S74, p. 586). ' Déjerine. Note sur l' état de la moelle épinière dans un cas de pied bol v
EIL DE faits. 323 la tête s'exécutaient avec une certaine gêne. Cet état s'aggrava insensiblement et quelque temps avant
ations ponctuées tous les huit jours. VA juillet. Du côté gauche, l' état de la sensibilité au contact, à la piqûre et au
le cou est moins raide, la nuque est moins large, moins empâtée. L' état général est excellent, le malade engraisse visi
main, comme son assiette, sa cuiller. 27 novembre. F... se sent en état de reprendre son travail ; M.Vùlpian.qui a repr
itives dans la moelle épinière. Nous avons exploré bien souvent l' état de la sensibilité du côté droit ; jamais nous n
ves redevinrent mensuelles. Vers l'âge de huit ans, il eut un autre état de mal qui dura 67 heures, dans lequel on const
. 38° ; nuit tranquille. Ce matin, abattement, refus de manger. Cet état est la règle chez lui à la suite des accès. 1
r 40 gr. ; sinapismes. - Soir : T. R. 39°, 2. 2 mai. T. R. 391,2; l' état local esL excellent, la plaie a bon aspect, le
at local esL excellent, la plaie a bon aspect, le pus est bien lié; état général médiocre. Soir : t. R. 39". 3 mai. - T.
. 38°. Malgré son aspect cachectique, le malade ne tousse pas; tout état inflammatoire a disparu autour de la plaie. Soi
4 gr. de sous-nitrate de bismuth. 4 totit. Moins de diarrhée ; l' état cachectique s'accentue de jour en jour : pas de
La seconde phase débute par des convulsions, revêtant la forme d'un état de mal et prédominant dans la moitié gauche du
de là, on note le retour des convulsions mensuelles; puis un autre état de mal, offrant les mêmes carac- tères que le p
ommence en juin 1880. De même que la seconde, elle s'annonce par un état de mal. Les convul- sions prédominent toujours
prédominent toujours à gauche. Autrefois, quelques jours après les états de mal, D... se levait, semblant revenu à sa si
douleurs de tête, a de la fièvre, etc. ; et, tandis que le premier état de mal n'avait pas intéressé la motilité, que l
nd n'avait produit qu'une parésie elle-même transitoire, ce dernier état de mal se termine par une hémiplégie gauche et
les était déjà mise en lumière par ce fait qu'on la ren- contre à l' état typique, pour ainsi dire, dans l'hémianesthésie
t se retrouver comme en germe dans les cerveaux des animaux. Dans l' état actuel de nos connaissances, il est impossible
endi- neux ; mais bientôt (i-0-45 secondes) elle les abolit, et cet état d'inertie persiste d'autant plus longtemps aprè
rier), l'auteur passe à la connexion supposée qui, existant entre l' état de l'in- telligence et celui de la pupille en g
d'un « centre de dépression » dont l'initiative provo- querait les états intellectuels qui se dessinent dans la mélan- c
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XV. Rapport médico-légal concernant l' état mental DU SIEUR M. K. B., ACCUSÉ DE TENTATIVE D
pithélium pigmenté de la rétine, ainsi qu'en une décoloration et un état trouble de la rétine. , E. C. SOCIÉTÉS SAVANT
n peu violemment les articulations douloureuses, pour en explorer l' état . Il rapporte l'observation d'une malade non hys
nscience, la fatigue légère qui suit l'at- taque aussi bien que les états de mal hystéro-épileptiques les plus prolongés
s prolongés ne permettent la confusion ni avec l'accès, ni avec l' état de mal épileptiques. Ces descriptions parfaitem
IE. 373 gnostiques physiques, et facilement appréciables des divers états nerveux, ont été recherchées à la Salpêtrière.
éthargie dans laquelle fuit défaut l'lryper- excitabilité. Ces deux états si divers, léthargie et catalepsie, peuvent d'a
nément par les voies buccale et rec- tale, 6 grammes), guérissent l' état de mal ou les accès graves en ramenant la tempé
si dans l'épilepsie verti- gineuse, le délire postepitcptique, et l' état de mal. Au bromure de zinc, il faudrait réserve
Charcot et Richer, L ? 9, 310. Hystériques (caractères, moeurs, état mental des), par Hucbard, 187. 111'SLet'O-i'1
t, 2'ili. Paralysie générale (Hallucinations dans la), 217 ; - ( état mental et pupille dans la), 356 ; - Décoiti-
thérique du), 216. Pouls carotidien (étude expérimen- tale sur l' état du - pendant le travail intellectuel), par Glcy
41 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dedépressionextrême, cette dernière phase formant pour ainsi dire l' état permanent. Excitée, elle gesticule, fait des gr
qui débute, et qu'il nomme initiale, lui semble correspondre à l' état d'anéantissement et de mort apparente. Quand ar
it, immobile, pour écouter les paroles de son démon familier. Cet état , qui durait chez lui une demi-heure, cesse avec
celui de la simple extase, il ya des intermédiaires nombreux. Ces états mixtes, que j'ai décrits sous le nom d'extato-
en moins d'une minute, il re- tombe dans sa demi-catalepsie. Cet état a duré de vingt-quatre à quarante-huit heures.
he ascensionnelle. Chez Justine, on ne voit aucune trace du premier état . Les hallucinations signa- lées par le D' Ancel
aire, elle voulait se substi- tuer à lui et prêcher à sa place. Cet état , d'origine ancienne, n'avait point varié. Que
, des données de notre nomenclature. CLINIQUE NERVEUSE NOTE SUR L' ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES; Par le Dr A.
résigne. Elles passent en habitude, mais guérissent très rarement. ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 27 Î paralys
leur a donnée leur auteur, elles suggèrent une idée inexacte sur l' état de la molilitéchez les hémiplégiques, et cela,
epuis quelques années de nombreuses recher- ches comparatives sur l' état des forces et de la motilité volontaire chez le
exploration est imparfait, car il ne fournit d'indication que sur l' état des forces de certains groupes musculaires, mai
très précises et comparables sur la force du groupe exploré. A l' état normal, chez l'homme adulte, la force de pres-
idéveloppée dans les conditions que je viens d'indi- quer égale : ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 29 Chez la f
; la moyenne est : 30 CLINIQUE NERVEUSE. Hémiplégies, droites. ÉTAT DES 1·'OKCGS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 3t Hémiplé
si je ne me trompe, tirer un certain nombre de conclusions. - 1. ÉTAT DES FORCES DANS LES MEMBRES DU COTÉ OPPOSÉ A L'
du côté opposé à F hémiplégie sont toujours plus faibles zc'ci l' état normal. Il ne s'agit pas ici d'un phénomène dou
trouve que les membres supérieurs du côté opposé à l'hémiplégie ' ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HEMIPLEGIQUES. 33 ont perdu
acun 20 kilogr. de pres- sion. Or, le- membre supérieur donnant à l' état normal une pression notablement plus forte que
légie droite avec aphasie. L'exploration dynamométrique fournit : ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 35 fonctionn
possible. Il y a bien évidemment dans ce cas une différence entre l' état de la motilité des deux membres inférieurs, pui
es cas, bien entendu, où la lésion cérébrale est unilatérale. II. ÉTAT DES FORCES DANS LES MEMBRES DU CÔTÉ CORRESPONDA
ES FORCES DANS LES MEMBRES DU CÔTÉ CORRESPONDANT A L'HÉMIPLÉGIE L' état des forces dans les membres du côté hémi- plégi
NERVEUSE. à établir des moyennes pour les comparer à celles de l' état normal ou du côté non paralysé. Dans les hémi-
amomètre s'élèvera à x + n. Il semble qu'il y ait un entraînement ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 37 dont la v
té de marcher chez les hémiplégiques, n'est pas en rapport avec l' état des forces dans les membres inférieurs. Beaucou
pression très modérée dans les membres inférieurs , tandis qu'au ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 39 contraire
qu'ils le faisaient sanspeinesur lajambedu côté opposé. En fait, l' état des forces est secondaire. Ce qui est essentiel
nergiques qui sont nécessaires au maintien de l'équilibre dans la ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HEMIPLEGIQUES, 41 station v
prétation anatomo-physiologique. Fig. 1. Schéma destiné a montrer l' état des forces dans les quatre membres dans un cas
e membres dans un cas d'hémiplégie droite. (Début 7 février. - A, état des forces le 17 février; B, le 2 mars; C. le 3 a
ier; B, le 2 mars; C. le 3 avril.) PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR L' ÉTAT DE LA PUPILLE CHEZ. LES ÉPILEPTIQUES EN DEHORS
inions les pupilles par cette méthode, nous recherchions aussi leur état à la lumière du jour. La 4Î ! , PATHOLOGIE NERV
, nous nous bornons à signaler le fait, n'étant actuelle- ment en état d'en tirer aucune conclusion. MÉDECINE LÉGALE
tte sortie. » Depuis cette époque seize mois se sont écoulés et l' état mental de G... n'a subi aucune atteinte; entré
rdiction prononcée par le tribunal soit levée, ce que permettrait l' état mental actuel de G..., s'il croyait devoir en f
sième accès urvint en 1872 alors qu'il retravaillait de son premier état , et fut suivi d'un 4c quelques heures après. Ce
issait un peu et que la jambe gauche était un peu moins solide. Cet état s'accentua peu à peu; il rit une saison à Néris
difficulté, et la marche était devenue très pénible. C'est dans cet état qu'il est venu trouver M. le professeur Charcot
do brusques soubresauts de ses membres inférieurs. il en résulte un état d'affaiblissement général. Sur l'avis de M. Cli
et paraplégie spasmodique. 65 Sous l'influence de ce traitement, l' état général s'améliora rapi- dement, l'excitabilité
membres inférieurs s'amenda. Quand il vint nous voir le 23 mars, l' état spasmodique avait subi une recrudescence depuis
e inférieur droit (côté hémiplégique) était à peu près dans le même état où il se trouvait avant l'accident, c'est-à-dire
ade nous affirme que son membre inférieur droit se maintient dans l' état où il était autrefois quand il se considérait c
s. Procédé pour la conservation et la momification des cerveaux à l' état sec. Journal l'Encéphale, n» 1) s'est utilement
nce grise plus ou moins diffuse dans le centre ovale, invisible à l' état frais, mais devenue appréciable grâce à l'actio
s pour plusieurs sens, eussent révélé une légère différence entre l' état des sensibilités spéciales du côté sain et du c
d sympathique. Elle fait défaut dans le goitre 'suffocant même. L' état du coeur non moins que les considérations précéde
senthal a trouvé un nombre de cellules plus considérable que dans l' état normal, ce qu'il attribue ci la segmentation de
i joue le plus grand rôle dans l'étiologie de l'ataxie, ce sont les états névropathiques des ascendants; et il ne manque
ensibilité du début de l'accès complet. Un premier degré qualifié d' état d'obnubilation postépileptique embrasse trois e
ts du délire. Selon que domine- ront en lui la préoccupation de son état , la méfiance, l'irrita- bilité, les sentiments
n'est d'ailleurs qu'après des années que l'épilepsie se double de l' état d'obnubilation mentale continue, la psychose au
r- phine pour obtenir les mêmes effets; ils tombent alors dans un état cachectique qui les mène plus ou moins vite à la
sychique, et une anorexie complète. On peut réussir à combattre cet état par des excitants et des analeptiques, parfois
nc pas inoffensive. Le morphinisme étant caractérisé surtout par un état d'épuisement du système nerveux central, il n'e
'a jamais vu survenir d'accidents .graves, tels que le collapsus. L' état général s'amé- liore peu à peu; la langue se ne
ie intercostale gauche. En 1 8 G 9 , après une fièvre typhoïde, cet état s'aggrava tellement qu'on dut remplacer le traite
ltat de mon examen : taille moyenne, amaigrisse- ment considérable, état squelettique, aspect cadavéreux. La face antéri
ssipée, le réflexe tendineux a reparu des deux côtés du corps, et l' état physique et psychique s'est considérablement am
, troubles cardiaques, alté- ration des globules sanguins, etc. Cet état physique et mental dont le début remonte à envi
le. 1 Variole. Quelle que soit la part réelle ou idéale prise par l' état fébrile, la conges- tion encéphalique, l'infect
es des sinus. Dans les cas favorables, les accidents cessent avec l' état fébrile, à moins qu'une prédisposition ne les p
délires initiaux (formes de pas- sage) ; puis ceux de la période d' état de l'affection : c'est alors qu'interviennent p
,8 p. 100 malades en proie aux accidents psychiques de la période d' état . Les symp- tômes défavorables sont : les convul
CIÉTÉS SAVANTES. leur longueur et leur intensité ; il était dans un état constant de surexcitation qui altérait sa santé
s. Ce travail concerne à la fois les aliénés criminels qui, vu leur état mental, sont innocents de tout crime, à la fois
'autorépres- sion du délire, la nature alcoolique des phénomènes, l' état des habitudes antérieures; tels sont les élémen
a le danger des hallucinés en proie au délire des persécutions, des états impulsifs, des phénomènes d'angoisse, d'une agi
par rapport à 2o d'urée) en un cas de catatonie et dans les divers états d'agitation maniaque (1 : 22); la quantité en é
té accompagnée d'une agita- ion modérée, d'un mutisme prononcé. Cet état progresse modé- rément; mais au bout de trente-
ntre l'entourage, malpropreté. Après trente-six heures de durée cet état cède la place à une nouvelle période de moyenne
exemple qu'il y a dix ans il avait été trouvé gisant dans la rue en état d'ivresse. M. Rock apporte à ce propos une obse
serva d'idées délirantes ni aucune manifestation de cet ordre. Cet état durait treize ou quatorze jours, se terminant aus
ubles mentaux quelques années plus tard et se trouve aujourd'hui en état de dé- mence avec agitation périodique... Ai. R
néphrite exige le concours des oedèmes rapides, des douleurs, de l' état trouble carac- téristique d'une urine fréquemme
vue de leurs caractères et de leur évolution, puis de considérer l' état de la pupille. Très souvent les troubles de la
itement a une action persistante sur le tabes qu'il immobilise en l' état avec ou sans amendement de quelques-uns des sympt
e présente, NI. Gray, malgré la gravité de la blessure, est dans un état satisfaisant et nul doute que, dansquelque temps,
quatre minutes à gauche (hyperesthésie), en neuf minutes à droite ( état normal); la différence entre les deux lignes di
ui, et leur changement objectif ou réel, est le commencement d'un état de rêve dans lequel, lorsqu'il arrive à un degr
ver. » Je hasarde le nom de délire de négations pour dési- gner l' état des malades auxquels Griesinger fait allu- sion
la négation systéma- tisée. Il n'est pas rare, toutefois, dans les états de chronicité avancée, que le délire de négatio
rédominent l'anxiété (une anxiété intérieure effroyable constitue l' état fondamental de la mélancolie avec stupeur, dit
rd les DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 159 principaux caractères de leur état mental. Dans leur forme la plus atténuée, ces c
ans délire, sont eu effet atteints d'un délire triste portant sur l' état de leurs facultés morales et intellectuelles,'
drie morale repose sur le fonds commun de la mélan- colie et sur un état d'anxiété vague et indéterminée, « les malades
d'une manière confuse; tout lui paraît transformé. A - mesure que l' état maladif devient plus intense, ce voile s'épaiss
est alors, comme le fait justement remarquer M. Baillarger, dans un état voisin du rêve. Non seulement à ce point de v
égards, il semble n'y avoir qu'une différence de degré entre ces états d'hypochondrie morale et les affections mélanco
possibilité de leur guérison, d'un soulagement quelconque dans leur état de souffrance; c'est une des premières négation
térieur et leur propre existence. Il importe de bien distinguer cet état d'hypochondrie morale de l'hypochondrie ordinai
s dont il est ici question. Le véritable mélanco- lique est dans un état de dépression générale... Rien de pareil n'a li
ne pouvoir mourir, suivant leurs n 162 L> CLINIQUE MENTALE. états alternatifs d'agitation anxieuse ou de dépression
, à une période plus avancée et surtout quand la' maladie passe à l' état chronique, à la fois moral et physique. Des mal
"L "" "a ' 1 Ces hallucinations sont fréquentes surtout dans les états de stupeur, mais on les observe aussi dans la y
; , partout des flammes, des incendies. 166 CLINIQUE MENTALE. L' état hallucinatoire 'des mélancoliques anxieux, stup
urables. La mélancolie dite sans délire, l'hypochondrie morale, les états anxieux avec idées de ruine, guérissent habitue
négations est' I 70 CLINIQUE MENTALE. DU DEHRb DES NÉGATIONS. un état de chronicité spécial à certains mélancoliques
quelques-uns doués des qualités morales les plus distin- gués. Leur état maladif, leur délire d'humilité ne con- trasten
rnants comme les circulaires et comme certains intermittents dont l' état considéré comme sain contraste absolument avec
rches ne portent que sur certaines formes de folie liées à quelques états particuliers de la femme, comme la grossesse, l
r dix-neuf, taudis que dans huit les organes génitaux étaient à l' état normal et que dans cinq l'état était inconnu. S
uit les organes génitaux étaient à l'état normal et que dans cinq l' état était inconnu. Skene2 compta, sur cent quatre-v
es données sui- vantes : 1° âge; 2° forme de la maladie mentale; 30 état physiologique du système sexuel (vierge ou non,
a'mala- 180 PATHOLOGIE MENTALE. die sexiielle. Le diagnostic de l' état de la sphère sexuelle a toujours eu lieu au spé
e-quinze ans, au nombre de soixante. Les malades réglées, d'après l' état physiolo- gique de leur sphère sexuelle, se div
sur les indications des ma- lades, qui pouvaient, en raison de leur état psychique particulier', donner'un renseignement
e par les formes des maladies sexuelles accompagnant diffé- rents états physiologiques de la sphère sexuelle des aliéné
in ou le psychologue désireux d'étudier dans tous leurs détails les états de conscience dans la folie devrait donc, pour
e RECHERCHES SUR LA POLIE AVEC CONSCIENCE. 191 I scientifique des états de conscience dans la folie, mais je ne veux pa
nes variés. Il résulte de cette étiologie et de ce mode de début un état ordinaire de conscience, à la naissance des vés
hallucinations n'apparaissent pas tout d'abord avec la netteté de l' état confirmé. Ce sont des bruits vagues, des chucho
s'il n'est pas le jouet de son imagination en délire. Au début, les états d'excitation et de dépression viennent aussi se
vaincu leur résis- tance. Ainsi, en réalité, c'est précisément cet état de conscience à la naissance. des vésanies, éta
st précisément cet état de conscience à la naissance. des vésanies, état de conscience permettant la lutte et la dissimu
une assez longue période, ces infortunés ont la perception de leur état physique et intellectuel pour lequel ils vont s
s médecins. II y a un second groupe de paralytiques chez lesquels l' état de conscience au début est un fait constant. La
cérébrale, dans le stade précédent ils ont la notion claire de leur état * dépressif. Il est enfin un troisième mode de d
e coup de troubles d'une acuité telle que toute appréciation de son état lui est d'ordinaire impossible. Mais il est une
uels datent de deux ans. Mme C... a la conscience très nette de son état ; elle est dominée par une frayeur, une anxiété
e courir dans sa chambre et de pousser des cris. Désolée d'un tel état , de ne pouvoir surtout surmonter ses craintes jug
ut plus ou moins longue, la folie progresse et passe à sa période d' état . D'ordi- naire la conscience est vaincue à ce m
ans tous leurs détails. D'autres fois, il y a durant la période d' état comme des éclaircies de raison ; la conscience
es et que c'est trop absurde pour y croire. Vivement affecté de son état , il priait en grâce de le guérir. Le soir toute
rt de rémission, et l'inconscience a été absolue. Par contre, les états de conscience sont rares à la terminaison des v
ignorante, en avoir trouvé si peu qui eussent connaissance de leur état , n'est-ce pas la preuve que dans cette catégori
u'à ce jour, sauf chez une femme, il ne m'a pas été donné de voir l' état que nous étudions chez les personnes à instruct
émité. Cette surface est d'ailleurs rugueuse et ne présentait à l' état frais aucune trace de fibro-cartiiago. Le condyle
d'une usure. 5° Hanche droite. A. Os iliaque. Avant de décrire l' état de la surface articulaire de cet os, nous diron
sujet ataxique est ramené, parle pro- cessus de la dissolution, à l' état d'un enfant qui apprend à se tenir debout et à
ainsi combattu, mais tous les autres symptômes, en même temps que l' état général du malade s'améliorera d'une façon sens
ion horizontale calme seule la sen- sation vertigineuse continue, l' état d'instabilité constante qu'é- prouve le malade,
malade dans les horribles sensations du paroxysme. D'autres fois, l' état vertigineux est moins marqué et permet la vie ac-
ment et parallèlement, et la dose de sulfate de quinine donnée et l' état des symptômes chez les malades observés par MM.
. Les bruits quiniques s'ajoutent au début aux bruits morbides et l' état s'aggrave tant que, sans l'espoir de la gué- ri
sans l'espoir de la gué- risou, le malade préférerait revenir à son état ordinaire de souffrance. Amélioration dès la pr
a constaté une fois seulement des bourdonnements d'oreille. Vue : l' état des pupilles est très variable : elles sont tan
imple prédisposition indivi- duelle en vertu de laquelle, comme à l' état normal, toute pensée donne rapidement naissance
on délirante émerge, c'est-à-dire la folie proprement dite avec ses états émotils, ses altérations morales profondes (Leg
urait rien à voir avec la campagne; outre qu'on ignore quel était l' état des soldats et des populations avec lesquels le
qui existent déjà en An- gleterre, pour soigner les malades dont l' état d'aliénation dure encore après l'expiration 'de
s commémora tifs, avec un simple certificat médical indiquant son état mental, mais ne faisant nullement mention du crim
mais ne faisant nullement mention du crime qu'il avait commis. Son état était si peu douteux qu'il n'y avait même pas eu
ge et autres simples délictueux irresponsables par le fait de. leur état intellectuel. 2 le le sociétés savantes. ' M.
s parties en question. Confir- mation de l'examen nécroscopique à l' état frais, par M. Birch- Hirschfeld, qui a pratiqué
- tions vasculaires. M. 131NSwnrrcclt, qui a examiné les pièces l' état frais, a ren- contré des cellules granuleuses,
té gauche, en même temps que le droit interne du côté opposé est en état du parésie, symptômes dont la réunion, aux term
-mère, il le place dans'de l'alcool plus ou moins concentré selon l' état du tissu nerveux, changeant 250 SOCIÉTÉS SAVANT
tion irrésistible dont la répétition a fini par greffer à demeure l' état pathologique en question. Il s'agit, pour M. 'V
itive qui s'est développée sous la forme aiguë en rêve ou pendant l' état de veille (Arch. f. Psych. u. Neraezali., 1111.
dème et de l'inflammation. Le diagnostic différentiel de semblables états repose : anatomique- ment, sur l'adhérence des
e attention aux mouvements passifs qu'on leur imprime, sans être en état de prendre ou de conserver des poses pénibles.
ransformations de la douleur psychique ou même physiologique en des états mentaux tout différents. Telles ces formes d'abou
stérie viscérale, aux rapports de l'hystérie en général avec divers états morbides, aux troubles vaso-moteurs et sécré- t
utique, aux troubles intellectuels, au caractère, aux mceurs et à l' état mental des hystériques. Cette dernière étude si
ntation doit être surveillée avec la plus grande sollicitude, car l' état de la nutrition est de la plus haute importance
n. Leur température est la même que celle des régions voisines. L' état de la sensibilité à leur niveau n'est pas constan
. 188t. JonissEN,çE (G.). Les mouvements de l'iris chez l'homme à l' état pli y- siologique. Brochure m-8° de 52 pages, P
entable anarchie des mouvements et des efforts d'équilibration. Cet état vertigineux cruel aboutit à la chute ou bien lu
ou bien lui succède. Si l'accès est subit et terrasse le malade, un état nauséeux, demi- syncopal, précède souvent de lo
ertige, auriculaire. En DU ? El'l'IGE DE )rLNiLRr. 275 J effet, l' état vertigineux durable, l'état nauséeux cons- tant
? El'l'IGE DE )rLNiLRr. 275 J effet, l'état vertigineux durable, l' état nauséeux cons- tant, bien que d'aspect beaucoup
orine par attaque, peuvent être des manifestations incontestables d' états anatomo-pathologiques auriculaires identiques o
d'hui, la trilogie symptomatique de Ménière indiquerait toujours un état pathologique des canaux semi-circulaires. On sa
ar une légère commotion du labyrinthe. Il est très admissible qu'un état névrosique particulier, préexistant, est nécess
susceptible d'être,modifié, dans son intensité, quand on, change l' état ;, de tension, par 282 CLINIQUE NERVEUSE. infl
remière je range les cas où le délire des négations se présente à l' état de simplicité; dans la seconde, un cas où il es
avoir fait plusieurs tentatives de suicide. Mnle E... est dans un état d'agitation anxieuse avec des idées de culpabil
orter aucune modification à ce délire. M-0 E... en est arrivée à un état de démence avec grognements, cris inarticulés,
t dès qu'on a procédé à la réduction. Elle succombe en 1878 dans un état de cachexie générale. DU DÉLIRE DES NÉGATIONS.
gée de soixante-trois ans, placée à Vanves en mai 1868, est dans un état de grande agitation anxieuse; elle s'imagine qu
est amenée à Vanves, à la fin de l'année 1876. M-0 S... est dans un état d'agitation anxieuse extrême; elle se croit cou
nées dans le mutisme et l'im- mobilité. Actuellement (mai 1883) son état reste absolument stationnaire. - Observation
s elle fut reprise des mêmes accidents et amenée à Vanves dans un état d'agitation anxieuse intense avec gémissements et
inquante-huit ans, placée à Vanves au mois d'août 1879, est dans un état de mélancolie anxieuse qui date déjà de plusieu
fils ne devint aveugle par suite de l'opération du strabisme. Cet état anxieux se dissipa au bout d'un mois. A la fin de
inistré. A son arrivée à la maison de santé, M-e C... est dans un état de mélancolie anxieuse avec paroxysmes d'agitatio
is de mars 1879, à la suite d'une tentative de suicide, est dans un état d'agitation anxieuse intense. Il cherche par to
n et du reste il va mourir. En mai 1882, M. C... en est réduit à un état de démence paraly- tique ; il peutàpeinemarcher
eut faire une confession publique de ses péchés. Elle sort dans cet état de rémission à la fin de l'année 1876. L'anné
e de la môme année, Mme IL.. quitte la maison de santé dans le mémo état d'aliénation chronique, pour être transférée da
io. Annales ? ndico -2)s ! lcho log iqztes, t. I. l3an ? né.n. De l' état clésiné sous le nom de stupidité, 4843. La théo
'onanisme et l'exaltation de l'imagination amenant à la fois un tel état de faiblesse et d'éréthisme génital que l'érect
ne invincible frigidité. Tout cela avec une entière conscience de l' état maladif. Telle est cette anomalie sexuelle bien
nous devons le répéter, ce serait une étrange erreur d'en faire des états morbides distincts. Du reste, chez quelques man
c- tive qui nous occupe n'est qu'une manifestation saillante d'un état psychopathique beaucoup plus profond. Pour comp
« Il y aurait, dit-il, une attention plus sérieuse à don- ner à l' état mental de certains individus convaincus de pédé
tudes honteuses des pédérastes. Mais il ne faut pas confondre cet état , en quelque sorte secondaire, avec les excès de
, est-ce avec la plus grande attention que devrait être examiné l' état mental des inculpés, dès qu'apparaîtrait quelqu
as, ainsi que le fait remarquer Westphal, apprécié exac- tement l' état mental du héros de cette affaire qui, d'après l
égénéré. Mais il n'est pas toujours facile de se rendre compte de l' état mental, à en juger par le fameux Karl Heinrich
al '. Pour notre malade également, dont on ne saurait contester l' état névro-psychopathique, est-ce qu'il ne passe pas
INVERSION DU SENS GENITAL. 305 sexuel est un syndrome enté sur un état psychopathique plus étendu. Krafft-Ebing, dan
xuels ont toujours été normaux. Il est bon dénoter que l'enfant t l' état de nudité INVERSION DU SENS GENITAL. 307 ï le
- sionnant pas. Ici encore ce syndrome n'est qu'un épi- sode d'un état maladif qui prend sa source dans l'hé- rédité,
siste en dehors des idées obsédantes. C'est donc toujours le même état psychopathique avec des couleurs différentes dans
s été et est encore, 308 PATHOLOGIE MENTALE. aujourd'hui, dans un état presque permanent de surexcitation nerveuse et
rmés, il cherchait tous les moyens de calmer ses sens ; puis, à cet état violent succédait, tout à coup, une prostration
ait de l'his- toire, à celui que l'éjaculation lui procurait. Cet état ne subit pas de variations notables pendant que
i habitaient dans le voisinage, et il passa ces quinze mois dans un état incessant de surexcitation : lorsqu'il était se
e. Vers 1868, des modifications notables se produisirent dans son état et, depuis, cet état est resté à peu près le même
odifications notables se produisirent dans son état et, depuis, cet état est resté à peu près le même. A la vue des obje
saillant de cette observation ; mais ce n'est là qu'un épisode d'un état maladif, que démontrent les antécédents hérédit
voit naître un motif nouveau d'angoisse et de perplexité. Voilà l' état maladif. Comment pourrait-on le soup- çonner si
été l'objet de ses premiers désirs, sa vue, . lailt lait ( 1 Il,), état d'excitation extrême, elle éprouvait des sensa-
lures de bénignité, sont, au contraire, les ,3nâ ? festiôs l >,n état , toujours grave. 'Il faut dés ! terrains' de i ch
re dL',s 'ordre. 1 »b -,1,, 1 ,,f , t t | ^5 as : r ' Par contre, l' état psychique du malade étaiï keW il était surexcit
t P ? t oun lepi·gia4 ? iççs accès maniaques violents succédait un état de repos, pendant lequel le patient répondait a
e' composée dé' jeunes cellules de tissu conjonctif, un fibrome à l' état jeune bà'tin'Sdi- corne vrai. , Il.. , ' i 11·W
constaté que la lésion maté- rielle d'un organe est la cause de cet état pathologique. Pour le clinicien qui doit interp
res capables de modifier l'irrigation des centres nerveux. Dans l' état actuel de nos connaissances, on serait tenté de l
erte do connaissance. Quelquefois elle est précédée par une sorte d' état vertigineux. Ces hémiplégies peuvent présenter
de toute sensation spéciale, et doit appeler notre attention sur l' état des urines. Nous avons souvent entendu notre ma
ie complète est rarement notée dans les cas de diabète, surtout à l' état isolé. Une large plaque d'anesthésie se voyait
bonne santé et aucun autre symptôme diabétique que la glycosurie. L' état de cette der- nière n'a jamais influé sur ces s
froid peut être générale (Fritz), alter- ner avec celle de chaleur, états à distinguer des véritables fris- sons de la pé
caractéristiques de l'asthénopie accommodativc, variables avec l' état de la réfraction de l'aeil, plus marqués chez l'h
rhagies, les flux séreux abondants'. On a fait jouer un rôle à l' état chimique des milieux de l'mil. Leur appauvrisse
e. Rares sont les amendements qu'on peut observer dans son cours. L' état de la vue va s'aggravant sans cesse, jusqu'à la
après Galezowsky, le glaucome hémorrhagique, peuvent compliquer cet état . IIeyl publiait récemment une observation des p
Z LES DIABÉTIQUES. 353 nales (Desmarres.) et dans un grand nombre d' états cachec- tiques (saturnisme, alcoolisme, nicotin
fois, sans trouble mental caractérisé, le malade se trouve dans un état de défaillance morale, redoutant l'ac- tion ; i
influence du traite- ment, une amélioration portant à la fois sur l' état physique et sur l'état mental (Legrand du Saull
nt, une amélioration portant à la fois sur l'état physique et sur l' état mental (Legrand du Saulle), il faut bien admettre
77. Loc. cit., p. 217. Il. Leroux. - 1'lt. l'arts, 1881. 5 De l' état mental chez certains diabétiques, 1878. a Cotar
spé- ciale, car le coma dyspnéique ne s'obsprve pas dans d'autres états , où la déshydratation du sang est également très
e foetus, prédominance retrouvée par Broca sur un singe adulte. Cet état est transitoire chez l'enfant, car après la nai
de ses blessures et quittait l'hôpital. Le 25 mai, il présentait l' état suivant : Systèmes osseux et musculaire bien dé
douleur en un point quelconque, on porte toute son attention sur l' état de la sensibilité du point symétrique de l'autr
rsqu'il s'agit de névralgies non plus commençantes, mais liées à un état pathologique déjà établi, tel par exemple 372 R
t de la tète et du corps, et perdit connaissance. Il resta dans cet état pendant soixante-douze heures ; néanmoins, on p
Les pupilles étaient contractées et paresseuses, mais revinrent à l' état normal à mesure que la réaction se prononça. Il n
coutume juive. Sept jours avant son admission, étant alors dans son état de santé habituel, et pendant qu'il se promenait,
sible et des convulsions fibrillaires à la langue, accompagnées d' état sabural et de tremblement des doigts en ce qui co
résulte des études qui ont été, faites sur la folie morale que cet état se rencontre surtout dans deux cas : tantôt, en
tre surtout dans deux cas : tantôt, en effet, il précède ou suit un état démolie plus manifeste, tantôt il constitue un
uvent se produire, soit des associations d'idées anormales, soit un état d'insensibilité morale. » L'étude des lésions
ts à son malade ; il se borne à les choisir, à les appro- prier à l' état de l'organe, cherchant surtout à utiliser les fon
la méthode de l'éduca- tion à l'amélioration ou au soulagement de l' état des malades atteints d'affections mentales; 4°
jours, disparition des mouve- ments choréiformes, amélioration de l' état mental. Pendant plus de dix mois reste à l'asil
peresthésie qui avait paru exister sur les membres du côté droit. L' état de la moelle tou- tefois fournit quelques expli
u des garanties les plus élémentaires relativement à l'étude de son état mental. Sans doute, il arrive parfois; souvent
onstate que, dans les autres pays, on étudie, lorsqu'il y a lieu, l' état mental de l'accusé avant les débats, tandis qu'
rie comme sym- tôme de l'accès d'), 224. Epileptiques (note sur l' état de la pupille chez les en dehors des attaques
188. Folies (classificaton des), par Dela- - siauve, 1. Forces ( état des) chez les hémiplé- giques, par Pitres, 26.
') avec paraplégie spasmodique, par Féré, 61, 1, Hémiplégiques ( état des forces chez les), par Pitres,26. Hyoscyam
de quinine et de bromure de potassium), 386. Pupille (note sur l' état de la), chez les épileptiques en dehors des a
42 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
r fait sentir ses effets dans les systèmes musculaire et osseux. Tout état morbide des muscles exerce une influence sur le s
durée des phénomènes produits , une étonnante facilité à passer d'un état quelconque à l'état contraire. Le centre cérébr
s produits , une étonnante facilité à passer d'un état quelconque à l' état contraire. Le centre cérébral est, comme toute
accroissement organiques. Avec de pareilles données, fournies par l' état physiologique, on s'explique aisément pourquoi l'
organisation générale de l'enfant, son mode de vitalité propre et les états pathologiques qui en dépendent, impriment encore
ital. MM. Rilliet et Barthez(l) ont décrit avec beaucoup de soin un état cachectique de l'enfance, surtout commun dans les
temps, s'affaissent de plus en plus, sont réduits pour ainsi dire à l' état de momie, et s'éteignent ou sont enlevés par la m
l'excavation et s'organisant en tissu osseux, après avoir passé par l' état fibreux et par l'état fibro-cartilagineux. La c
nisant en tissu osseux, après avoir passé par l'état fibreux et par l' état fibro-cartilagineux. La colonne vertébrale, div
maladie, si l'ulcération reste superficielle. Comment reconnaître cet état latent? C'est à l'aide des symptômes. Vous fonder
symptômes. Vous fonderez le diagnostic sur la douleur, l'attitude, l' état des mouvements, l'existence des abcès, la paralys
positions. Ces signes sont équivoques; ils se rencontrent dans des états morbides autres que le mal de Polt. Les abcès, la
période. Dans tous les cas, on devra s'éclairer des antécédents, de l' état général. 2e période. — Les signes sont encore p
point de paralysie ni d'abcès par congestion. Le seul symptôme dans l' état fonctionnel est une douleur, quand on cherche à r
vre une petite pointe d'apophyse épineuse. Ce cas se rapporte non à l' état latent, mais à cette période de déformation équiv
on, par la douleur produite dans les efforts de redressement, par l' état général du sujet, etc., qu'il s'agissait d'un mal
t je viens de parler; beaucoup de médecins confondent à tort ces deux états . Le rachitisme est propre à l'enfance ; c'est u
ui offrent quelques traits de ressemblance avec le mal de Pott dans l' état latent : le lumbago, les maladies des reins, de l
a pourtant décrit un mal vertébral sec. Tant que le tubercule est à l' état de crudité, on n'observe pas d'abcès, et alors, s
i l'on veut, le mal sera sec; mais je ne sache pas qu'il présente cet état dans d'autres cas. Le pus existe en quantité va
, tandis que le physiologiste anglais n'a voulu désigner par là qu'un état dans lequel les nerfs sont privés de l'influence
uter aux grenouilles dans les expérimentations physiologiques. Dans l' état sain, ces attouchements auraient un effet bien mo
l'existence du mouvement réflexe, plus ou moins marqué en raison de l' état de la sensibilité et de la motilité. Une de ces
z que je n'ai pas voulu dire que les malades se trouvent dans le même état physique, matériel, que ces reptiles; il n'y a pa
aire. Les différentes nuances du troisième degré répondent à divers états de l'altération nerveuse. Il existe un rapport co
perte complète de l'irritabilité musculaire; mais il ne dit rien de l' état réflexe. On observe encore, dans ce troisième d
ar des contractures, qui compliquent quelquefois la paralysie , par l' état des viscères du petit bassin, lesquels peuvent pa
l vertébral. Elle provient d'un jeune homme de dix-huit ans, ayant un état pénible, —il était mécanicien,—adonné de plus à l
er. Ier cas : Absence de paralysie et d'abcès par congestion. — Cet état peut durer de longues années. Il faudrait, pour a
de réparation, pour empêcher une fâcheuse difformité et améliorer l' état général. En un mot, on agit ici dans l'unique but
uérison. Ce qu'on peut faire se rapporte à deux points : 1° soigner l' état général ; 2° soigner l'étal local. Sous le rapp
gner l'état général ; 2° soigner l'étal local. Sous le rapport de l' état général, il y a des diathèses qui peuvent empêche
limitation s'opérera d'autant mieux, que vous améliorerez davantage l' état général. Les frictions sont encore un bon moyen
re qu'on puisse redouter les effets de la compression du thorax, si l' état de station n'augmente pas sensiblement la courbur
furent les moyens employés. Ces deux bustes en plâtre représentent l' état de la colonne avant et après le traitement ; il y
plusieurs mois s'écoulèrent sans amener un changement notable dans l' état de la motilité, lorsqu'au mois de janvier dernier
vec facilité. Aussitôt qu'une amélioration se fait remarquer dans l' état des mouvements, on peut souvent cesser tout trait
t fâcheux qu'ils entraînent, surtout dans l'enfance, relativement à l' état général des sujets. Je puis appuyer ici le juge
collection volumineuse existe dans la fosse iliaque du côté gauche. L' état général est excellent. Ce fait vient à l'appui de
s plus haut, que l'abcès, tant qu'il n'est pas ouvert, n'altère pas l' état fonctionnel. On n'a encore rien tenté pour la gué
rs par congestion; mais il en est d'autres prenant leur source dans l' état général des sujets, dans la douleur vive que caus
ive souvent embarrassante. U faut peser toutes les circonstances de l' état des malades, balancer les chances bonnes et mauva
ès dont le pus offrait une extrême fétidité au moment de sa sortie. L' état général de cet enfant s'est maintenu bon depuis c
xistence d'un point gangreneux des parois de l'abcès. On sait que l' état fistuleux des abcès par congestion se prolonge en
ules. Ce produit existait dans le corps de la 8e vertèbre dorsale à l' état d'infdtration caractérisée par la présence, dans
aissie ; elle sécrète des liquides en plus grande quantité que dans l' état naturel et plus ou moins altérés. Cette synoviale
e; nous verrons comment le diagnostic peut être établi entre ces deux états . Mais ce n'est pas toujours sous forme de torti
ent. La résolution laisse ordinairement les articulations dans leur état normal ; mais, si la maladie a duré plusieurs moi
qu'il y ait un obstacle au glissement des surfaces articulaires. Cet état était plus prononcé lors de son entrée à l'hôpita
oint de difficulté de la déglutition. Pour bien se rendre compte de l' état des parties, il faudrait explorer le pharynx, voi
naître, c'est la position des os. On peut souvent, en ayant égard à l' état des parties, présumer qu'il y a luxation ou sublu
e force inégale. b. Le torticolis volontaire est lié aux différents états de l'âme. Le cou, en effet, concourt avec la tête
d'une maladie articulaire. Celle-ci laisse quelquefois après elle un état des os qui maintient l'attitude pathologique : de
éveloppement des deux moitiés de la tête et du cou. Nous avons vu cet état être la conséquence des torticolis musculaire et
a dirige; elles sont surtout utiles quand le torticolis est passé à l' état chronique, ou à son début. Mauchard avait déjà in
p qu'il soit applicable à toutes les articulations du corps. Dans l' état chronique, aux manipulations il faut ajouter des
velle articulation. I. Capsule fibreuse. — Elle peut présenter deux états différents : Io un état d'allongement; 2° un état
Capsule fibreuse. — Elle peut présenter deux états différents : Io un état d'allongement; 2° un état de perforation. A. Al
eut présenter deux états différents : Io un état d'allongement; 2° un état de perforation. A. Allongement de la capsule. —
llongement de la capsule. — Il doit être considéré au début ou dans l' état imparfait de la fausse articulation, et à une épo
t de la fausse articulation, et à une époque plus avancée ou dans son état parfait, si je puis ainsi dire. L'allongement est
gues; ce sont les seules qui renferment une description complète de l' état de l'articulation. M. Jules (1) Exercitationes
retrouve pas de rigidité des muscles après la naissance. Rien, dans l' état des muscles, n'indique ces contractions énergique
ne doit pas nous arrêter, parce qu'il est démontré aujourd'hui que l' état du cotyle est toujours consécutif, et qu'il est p
e présente dans les luxations anciennes et congénitales du fgmur deux états distincts : l'état d'allongement et l'état de per
luxations anciennes et congénitales du fgmur deux états distincts : l' état d'allongement et l'état de perforation. Le premie
ongénitales du fgmur deux états distincts : l'état d'allongement et l' état de perforation. Le premier se rencontre dans deux
erforation. Le premier se rencontre dans deux phases des luxations, l' état imparfait et l'état parfait; nous avons examiné c
er se rencontre dans deux phases des luxations, l'état imparfait et l' état parfait; nous avons examiné ce qui se passe dans
mparfait et l'état parfait; nous avons examiné ce qui se passe dans l' état imparfait. Pour résumer ce que j'ai dit relativem
es par plusieurs causes. Dans la deuxième période, c'est-à-dire à l' état parfait de la luxation , la capsule allongée se p
la luxation , la capsule allongée se présente sous deux aspects : à l' état de simple allongement, sans déplacement des inser
ment, sans déplacement des insertions normales, ou bien à la fois à l' état d'allongement et de déplacement des attaches. La
x les plus remarquables par leur organisation et leur influence sur l' état des mouvements sont ceux que j'appellerai faiscea
que j'appellerai faisceaux en X; ils ont leur point de départ dans l' état naturel. La capsule, en effet, dans l'état normal
eur point de départ dans l'état naturel. La capsule, en effet, dans l' état normal, est renforcée par des trous seaux fibre
les mêmes que chez les sujets sains. Dans la station verticale et à l' état normal, les fémurs se trouvent compris dans le pl
é. Je vous laisse à déduire plus complètement les conséquences de l' état anatomique de la jointure par rapport à la mobili
, et je passe à la seconde forme des altérations de la capsule dans l' état parfait de la pseu-darthrose; je l'appelle, cette
lle se produit souvent dans un âge plus avancé. On peut confondre cet état avec la luxation par refoulement de la capsule. E
gloire d'avoir découvert les luxations congénitales du fémur (1). L' état de la capsule est ordinairement analogue, sinon i
congéniale du fémur présente des caractères qui le différencient de l' état normal ; il est irrégulier, asymétrique, même lor
existe, en effet, entre ces deux sections du membre inférieur, dans l' état sain, une différence de 1 centimètre à l'avantage
eints de luxation congéniale, par une distance plus grande que dans l' état normal. Cet écartement est le plus ordinairement
ère de la luxation se tire de la position de la tête du fémur. Dans l' état physiologique, elle est profondément située et éc
te rouler sous les doigts. Mais on ne la sent guère davantage clans l' état sain; le déplacement des muscles qui recouvrent l
mouvements. — Tels sont les signes de la pseu-darthrose fémorale à l' état de repos; ce sont les signes anatomi-ques ; nous
mi-ques ; nous avons aussi des symptômes physiologiques, déduits de l' état des mouvements. Parmi ceux-ci, les uns sont moins
des mouvements. Parmi ceux-ci, les uns sont moins étendus que dans l' état normal, les autres le sont autant. La flexion de
rthrose, est fort étendue ; elle l'est autant et même plus que dans l' état sain. Les mouvements opposés, par contre, sont fo
s de longueur que l'autre. Examinez alors avec soin l'articulation, l' état général du sujet. La déformation du fémur est ord
anifestée dès que l'enfant a marché ; il n'a existé à aucune époque d' état douloureux du membre, suivi de raccourcissement e
oient point aperçues des douleurs et de l'impotence inséparables d'un état pathologique ou traumatique du membre. Morgagni
vement à l'origine de la luxation, si le commémoratif n'établit pas l' état antérieur du sujet. Cette pièce est un exemple de
, si l'on ne possède d'autres caractères que ceux qui sont tirés de l' état anatomique; elle provient du service de M. Chassa
. Le diagnostic doit encore faire reconnaître, s'il est possible, l' état anatomique de l'articulation sur le vivant, comme
ar un examen attentif. On doit aussi essayer de déterminer quel est l' état de la tête et du col fémoral, s'il y a syndesmose
ation se reproduit fréquemment. Dans la deuxième période, alors que l' état inflammatoire est passé, il reste une luxation, e
symptomatiques de l'articulation ilio-fémorale. Paris, 1835, in-8°. état primitif, ou s'il a produit d'autres déplacements
. M. Ferdinand Martin assure avoir produit de l'amélioration dans l' état des sujets qu'il a soumis à un traitement mécaniq
e. Dans ces cas, on peut, avec des moyens mécaniques, amé- liorer l' état des sujets, diminuer la claudication, accroître l
ouvements. Les deux dessins que je place sous vos yeux représentent l' état des membres avant et après le traitement. J'ai re
la laxité des ligaments, ce qu'on peut reconnaître en ayant égard à l' état des mouvements, on doit chercher à remédier aux d
rétraction des muscles antérieurs et internes de la cuisse; c'est un état qu'il faut traiter par les moyens qu'on oppose gé
Cette affection est le strabisme. ARTICLE IV. STRABISME. Dans l' état physiologique, il doit y avoir, et il y a en effe
l'adduction ou de l'abduction. Le premier de ces mouvements étant à l' état physiologique plus habituel que le second, et le
contraction ne laisse pas de traces sur le cadavre ; il est dû à deux états principaux des agents du mouvement : dans un cas,
; cette faiblesse pourrait plutôt être rapprochée de l'amblyopie. L' état de la vue doit aussi être examiné dans les deux y
ous savez comment on explique la vue simple avec les deux yeux dans l' état physiologique : les images se peignent sur des po
dère des objets plus ou moins volumineux, plus ou moins éloignés. L' état des yeux date de la première enfance; le malade a
ts, précautions indispensables pour arriver à la notion complète de l' état de la vision. Je n'insiste pas sur les moyens d
le. Mais ordinairement alors la déviation passe du côté opposé , et l' état de la vision reste le même; cependant, dans quelq
ent et divergent ne sont pas maintenus par des liens de même force. L' état du muscle opposé à celui qui produit la déviation
oup de réserve, et on examinera de nouveau la direction des yeux et l' état de la vision. Une condition essentielle de succès
ement, avec persistance de la très-légère convergence qui constitue l' état normal, le succès est à peu près assuré. Il faut
u muscle droit externe fut pratiquée sans amener de changement dans l' état de l'œil; de larges débridements eurent pour résu
e interne; il n'en est distant que d'une demi-ligne. Aujourd'hui, l' état des yeux est satisfaisant; seulement le gauche es
cès dans deux autres cas ; et qu'enfin elle a laissé les yeux dans un état très-imparfait chez les deux derniers malades. Ce
seuls se meuvent quelquefois dans une direction opposée. Mais, dans l' état pathologique, la rangée antérieure du tarse peut
ien de celte attitude. Mais ces contractures peuvent se présenter à l' état chronique et amener de véritables pieds bots. M
n du pied bot congénital. D'une part, il peut être la suite de divers états pathologiques, surtout d'affections du système ne
igine du pied bot natif, non-seulement par l'examen du membre et de l' état général de l'enfant, mais encore à l'aide du comm
tend à accroître la déviation, et la station est moins solide qu'à l' état normal, ce qui expose le sujet à des entorses, à
marchait d'abord sur le bord externe. L'autre pied était dans le même état , mais il a guéri seul, et il s'est fait un grand
ue, elle fut atteinte d'un rhumatisme articulaire aigu, qui passa à l' état chronique. 11 en est résulté une déformation des
ennent la forme de griffes , suivant l'expression de M. Duchenne. Cet état s'explique, comme à la main, par un excès d'actio
. Pour moi, je préfère ne donner le nom de rétraction qu'à ce dernier état . Or ce raccourcissement permanent ne s'établit qu
ccourcissement, la contraction et la rétraction des muscles. Ces deux états sont, à la vérité, généralement associés. Us se t
un mot des muscles allongés dans le varus. Ils se présentent dans un état de tension dû à cette tendance continuelle des mu
Il en résulte que le triceps sural devient plus adducteur que dans l' état normal, et qu'il tend à augmenter encore la dévia
r toutes les parties de ce membre, os, muscles, vaisseaux, nerfs. Cet état persiste toute la vie et s'aggrave même avec l'âg
rps. La cause de cet arrêt de développement se trouve, tantôt dans un état pathologique antérieur, dans une lésion nerveuse
nce. De plus, le pied, qui était tourné en dedans et probablement à l' état de varus équin, est devenu un pied équin simple.
les jeunes apprentis qui travaillent debout; elle finit par amener un état très-douloureux du pied par la distension des lig
ension est limitée, tandis que la flexion est plus étendue que dans l' état nor- (1) Sixième leçon, 27 juin 1856. (2) W.
us au pied gauche; les os du talus ne diffèrent pas sensiblement de l' état normal ; ceux du varus sont très-notablement défo
liée à la circonstance qui l'a fait naître, au lieu de représenter un état permanent, local. Au commencement de ma pratiqu
les éléments qui constituent le pied bot. Ainsi, il faudra explorer l' état de la contractilité des différents muscles, l'éta
faudra explorer l'état de la contractilité des différents muscles, l' état de leur nutrition ; s'assurer de la conformation
é d'une manière permanente, si l'articulation de la hanche est dans l' état normal. § II. — Traitement du pied bot. Jusqu
gravent le mal; il peut même survenir des ulcères , des caries. Cet état fonctionnel du membre pied bot prive les pauvres
e trop célèbre ïalleyrand fut condamné par son pied bot à embrasser l' état ecclésiastique, pour lequel il avait, je crois, p
t, jour et nuit. Seulement on doit le visiter souvent, s'assurer de l' état de la peau dans les points où elle supporte le pl
aitement mécanique capable d'amener une guérison aussi parfaite que l' état des parties le permet. Je n'ai guère rencontré ce
océdés de ténotomie ont parcouru plusieurs phases avant d'arriver à l' état où ils sont aujourd'hui. D'abord, on a coupé si
animaux, dans des conditions diverses, des recherches nouvelles sur l' état anatomique et physiologique des muscles divisés c
forcément la suite du traitement. Elle peut aussi s'accompagner d'un état fébrile qui, surtout chez les jeunes enfants, est
inflammation suppurative. Il en est de même d'une idiosyncrasie, d'un état cachectique, de la scrofule, d'une maladie aiguë
st âgé de dix-neuf jours, et affecté d'un varus congenial gauche. Son état général est très-satisfaisant. Vous voyez que son
les plus complètes, le pied réunit rarement tous les caractères de l' état normal, surtout si la déviation était congénitale
la déviation était congénitale. Sa forme conserve quelque chose de l' état primitif, ou s'altère par l'effet même des moyens
pointe du pied. La flexion atteint un angle un peu moins aigu qu'à l' état normal; la plante du pied a sa concavité naturell
onnais toutes les analogies signalées depuis longtemps entre ces deux états et invoquées de nouveau par MM. Stanski et Beylar
n début, et qui, dans le cas contraire, constituent des formes ou des états différents. Je rattacherai toutes les nuances d
différents. Je rattacherai toutes les nuances du rachitisme à deux états des os qui caractérisent les deux périodes princi
uérison a lieu, j'établirai en tout trois périodes, répondant à trois états distincts, bien que ceux-ci ne se succèdent pas n
que ceux-ci ne se succèdent pas nécessairement. Première période : état atrophiquc, ou résorption interstitielle des os.
atrophiquc, ou résorption interstitielle des os. Deuxième période : état fibroïde ou cartilaginiforme, ou de ramollissemen
broïde ou cartilaginiforme, ou de ramollissement. Troisième période : état éburné. A. Première période.—La première périod
irurgien distingué. Le tissu spongieux, incessamment produit dans l' état normal entre le corps des os longs et leurs extré
ongoïde sont très-minces et se voient difficilement à l'œil nu dans l' état normal; mais dans le rachitisme, leur épaisseur d
os, les rendent à la fois plus flexibles et plus fragiles. Aussi cet état des os, dans le rachitisme, joint à leur soupless
sme. B. Deuxième période. — La deuxième période a pour caractère un état fibroïde des os. J'emploie ce mot fibroïde, pour
neux, qui n'ont point été acceptés. Par transformation d'un tissu à l' état fibroïde, il faut entendre que ce tissu devient s
i perdent leur matière calcaire. Ces os s'épaississent en passant à l' état fibroïde ; le tissu spongieux augmente de volume
lles preuves par M. Flourens (3), le périoste sécréterait l'os dans l' état normal; beaucoup d'auteurs ont pensé qu'il avait
t, M. Vir-chow (4), qui a décrit, après MM. Kœlliker, Mayer, Broca, l' état microscopique des os rachitiques, a reproduit la
s. Il ne faudrait pas prendre, comme on l'a fait quelquefois, pour un état graisseux dû au rachitisme l'état gras observé su
me on l'a fait quelquefois, pour un état graisseux dû au rachitisme l' état gras observé sur les os des vieillards gibbeux et
gnée à l'étranger sous le nom un peu dur d'ostéopsathyrosis. Dans cet état , le moindre effort, une chute légère, une faible
mie impériale de médecine, t. XVI, p. 378, 1851. lettes offrant cet état particulier avec d'autres atteints de fractures r
rable à celle de l'ivoire ; d'où les noms de 'période d'éhurnation, d' état ébumé, que j'ai adoptés plus haut. Cet état se vo
'période d'éhurnation, d'état ébumé, que j'ai adoptés plus haut. Cet état se voit surtout là où le tissu cartilaginiforme é
blement la nature des os dans l'enfance ; après les avoir ramenés à l' état fœtal, il en fait, avant l'âge, des os d'adultes
es points transparents qui se voient sur ce crâne de jeune sujet. L' état d'imperfection des os du crâne peut aller encore
pu, cette année, diagnostiquer souvent un rachitisme en considérant l' état des fontanelles relativement à l'âge de l'enfant.
ne couche de tissus chondroïde et ostéoïde un peu plus épaisse qu'à l' état normal. A un degré plus avancé, les articulatio
t interne. Pour moi, cet enfant est un rachitique qui a passé par l' état d'éburnation dans le ventre de sa mère, au moins
tique mesure treize centimètres, c'est-à-dire deux de plus que dans l' état normal. Bùchner (1) cite une jeune fille rachitiq
al, du lieu où le mal sévit avec le plus d'intensité ; ce sont : 1° l' état de l'ossification au moment du début de la maladi
lus grande activité de développement aux époques correspondantes de l' état physiologique, tandis que les os dont le plus gra
ueur et produire la claudication. Certains individus sont réduits à l' état de cul-de-jatte par l'énorraité de leurs déformat
èces acquièrent plus de densité. Or, le rachitisme crânien prolonge l' état fœtal et l'exagération du développement cérébral.
sme crânien, et par conséquent excès de développement cérébral. Cet état du cerveau a pour conséquence physiologique la pr
ne couleur plus foncée ; il est aussi plus dense et moins aéré qu'à l' état normal. Cette altération s'étend plus ou moins lo
iennent emphysémateux dans d'autres points. Les conséquences de cet état des voies aériennes se comprennent facilement : l
paroi abdominale. On a dit que le foie était plus développé qu'à l' état normal, et Glisson (2) ajoute que, quoique plus v
s flexuosités comparables à celles des vaisseaux du même ordre dans l' état de vacuité des organes creux ou très-mobiles, sus
i, en effet, la débilité joue un grand rôle dans la production de cet état pathologique, elle n'en est pas l'élément unique.
à trois ans; il était noué. Cette petite fille, venue au monde en bon état , était maigre, débile en sortant de nourrice, à n
lésions de l'innervation, douleurs, exaltation de la sensibilité; un état fébrile; la perturbation des fonctions respiratoi
u'ils laissent tomber de côté et d'autre. C. Pujol (2) a parlé d'un état aigu du rachitisme ; cet état est réel et paraît
et d'autre. C. Pujol (2) a parlé d'un état aigu du rachitisme ; cet état est réel et paraît lié à la période de ramollisse
tres, 1802, et Boyer, Maladies chirurg., t. III, p. 626, 1814. D. L' état aigu est accompagné d'une fièvre d'abord passagèr
ennes sont saines d'ailleurs. Les fonctions digestives sont dans un état variable. L'appétit est souvent diminué, mais que
mes généraux, qu'on doit être porté à croire à l'influence d'un autre état morbide qui constitue l'affection principale. I
tiques suivant l'époque à laquelle elles se manifestent, et suivant l' état général du système osseux. J'en dirai autant de
ait avoir guéri plus de cent enfants « réduits par le rachitisme à un état désespéré , » en leur administrant chaque jour qu
nt vous expliquer cette singularité : « Quand la maladie est dans son état , dit J. L. Petit, l'art a moins de part à sa guér
se présenteront. On s'attachera, pardessus tout, à entretenir le bon état du tube digestif. La nutrition générale, celle de
. En général, il ne faut les employer que lorsque les enfants sont en état de marcher. Quand il y a indication d'employer
érosion du tissu des vertèbres ou des ligaments intervertébraux. Cet état du rachis est moins une maladie, dans le sens ord
on combinée de plusieurs causes, qui presque toutes se rattachent à l' état de station propre à l'homme. L'équilibre de la
la colonne vertébrale. Elles disparaissent avec leurs causes, quand l' état de station vient à être remplacé par le décubitus
e, qui augmente avec l'âge , est pour ainsi dire un commencement de l' état pathologique. Nous l'avons trouvée le moins prono
On a fait des recherches intéressantes pour déterminer dans ce cas l' état anatomique des pièces du rachis. MM. Wcber (1) on
igure de MM. Weber montre l'exactitude de leurs assertions, quant à l' état des ligaments. Elle a été faite d'après une pièce
tuantes ; 2° L'activité normale des muscles qui le meuvent ; 3° L' état physiologique des autres sections du squelette, q
a rectitude, restent droits fort longtemps ; tandis que ceux qui, par état , se sont tenus habituellement penchés en avant, c
ions; cependant il devient quelquefois général. La courbure tient à l' état douloureux des jointures; Delpech a rapporté un b
e sorte qu'il est difficile de dire quelles sont ici les limites de l' état normal, et où commence la courbure réellement pat
ses réprimandes. L'espèce de lordose physiologique déterminée par l' état de grossesse ne laisse pas ordinairement de trace
rale donne peu de résistance aux systèmes osseux et ligamenteux, si l' état de grossesse est accompagné de travaux pénibles ,
o-sacrée , la colonne lombaire décrit un arc plus prononcé que dans l' état normal ; sa différence de hauteur en avant et en
a jeunesse, par une bonne hygiène, par les médicaments appropriés à l' état général des sujets, par les forces de la nature e
nt qu'un rôle très-secondaire. Cette contracture se montre-t-elle à l' état chronique sous la forme permanente? La chose est
ieures. La contracture du dos et des lombes est fort rare, même à l' état aigu, lorsqu'elle ne dépend pas du rhumatisme; je
leurs antagonistes, les fléchisseurs, restent sains. Chacun de ces états opposés donne lieu à une attitude spéciale. Les
, et les extenseurs sont déchargés d'une fonction qu'ils sont hors d' état de remplir. De là la lordose. Mais ce genre de
ure par flexion ; mais cette flexion paraît dépasser les limites de l' état normal, et elle pourrait, à la longue, être suivi
lordose congénitale est en général une circonstance très-accessoire d' états fort complexes ; on l'a principalement rencontrée
des auteurs plus anciens. Cependant ces observations sont restées à l' état de faits isolés, bien qu'elles constituent réelle
r Dugès (5); il est difficile de ne pas voir avec ces auteurs, dans l' état d'imperfection du crâne et du rachis, les suites
es muscles, rejetés sur les côtés avec les lames vertébrales, et leur état de relâchement comparé à la tension des muscles a
audrait peut-être réserver pour la courbure permanente qui se lie à l' état anatomique du rachis. Cette fausse scoliose n'e
res de cette classe sur le sacrum. C'est une attitude anormale dans l' état physiologique ; mais elle joue un rôle important
e dans l'état physiologique ; mais elle joue un rôle important dans l' état pathologique. C. Ajoutez à une légère flexion l
instinctif et par la prédominance d'action des muscles de ce côté. L' état du membre inférieur influe aussi, dans ce cas, su
ble, et partant aussi la déformation; mais le père, cordonnier de son état , a eu l'heureuse idée de mettre une semelle de pl
sise. Voici deux enfants qu'on peut regarder comme des modèles de l' état normal, quoique l'un d'eux ait une scoliose très-
en garde contre ces méprises, guidés par l'anatomie pathologique. L' état actuel de nos connaissances permet de suivre Xévo
olution de la gibbosité ou bosse produite par la scoliose, depuis son état rudimentaire jusqu'à son développement le plus av
t le plus avancé, le plus considérable. Ce que je considère comme l' état rudimentaire de la scoliose, c'est la courbure la
seulement du côté où elle existe : aussi ne séparerai-je pas ces deux états dans la description. Le siège ordinaire de l'un
rieure du corps vertébral éprouve alors un déplacement sensible : à l' état tout à fait normal, et dans les dorsales moyennes
courbures secondaires voisines. De ces deux circonstances résulte un état mixte, un mélange de petites déformations apparte
orti-ques et sous-aortiques. J'ai rapporté toutes ces courbures à l' état physiologique; on pourrait y voir des courbures p
thologiques. La dépression aortique superficielle est certainement un état normal ; mais j'accorderai que l'existence, à peu
a scoliose spontanée ou essentielle, qui n'est que l'exagération de l' état normal ; c'est la plus commune. 2° La scoliose
ès de la difformité. Nous ne sommes pas encore arrivés, en effet, à l' état du rachis qui constitue la gibbosité ou bosse. L'
liose due au rachitisme que le crâne peut conserver les traces de cet état pathologique. La face porte au contraire, tôt o
Sterne, que cette longueur n'était pas augmentée comparativement à l' état normal. Le peu de volume des membres dépend des p
qu'elle ne se rattache nullement à une modification primitive dans l' état des muscles. La plupart des changements que les
on partielle des fibres mus- culaires, qui finissent par passer à l' état graisseux. Vous voyez sur ces planches coloriées
ors, dans ses contractions, un effort dirigé dans le même sens qu'à l' état normal. G. Viscères. — a. Moelle, épinière. — P
r de ce canal. Le canal vertébral n'est pas symétrique comme dans l' état nor mal; nous avons vu que les trous des vertèb
st fort élargi (2). Il est quelquefois en partie graisseux ; mais cet état ne m'a pas paru plus fréquent chez les sujets gib
partie moyenne et sa face convexe, le foie paraît peu s'éloigner de l' état normal, ainsi que vous le remarquez sur ces dessi
et les côtes. Voici pourtant un cas où les reins -sont à peu près à l' état normal, malgré une forte déviation du rachis (3)
re explication. Fleischmann (4), qui malheureusement ne dit rien de l' état des muscles, suppose que l'éventralion , (1) Hi
de l'accroissement est lésé sans qu'on en trouve l'explication dans l' état anatomique; les forces seules qui président à cet
t anatomique; les forces seules qui président à cet acte dévient de l' état normal. Il est des cas où l'on est tenté de cro
oppée : c'est une scoliose. Cette influence de l'aorte, qui, dans l' état normal, n'est pas sensible pendant les premières
courbure latérale de l'épine se présente, pendant la vie, sous trois états ou à trois degrés différents qui constituent, lor
pas dans sa marche, autant de périodes successives, savoir : 1° A l' état latent, période latente; 2° A l'état de déviati
successives, savoir : 1° A l'état latent, période latente; 2° A l' état de déviation visible, période de déviation confir
l'état de déviation visible, période de déviation confirmée; 3° A l' état de déviation assez avancée pour produire une véri
duire une véritable gibbosité, période de gibbosité. a. Pe période, état latent. — Cette période se confond par des nuance
rection des omoplates diffère : la gauche est plus oblique que dans l' état naturel ; son angle inférieur est relevé en dedan
qui ajoute tant à la difformité, semblent rétrograder et repasser à l' état d'S verticale qui caractérise la seconde période,
nt à droite et à gauche dans la station sur les deux pieds, comme à l' état normal, ils sont, de toute nécessité, inégalement
ale, sont plus tendus et se contractent avec énergie pour maintenir l' état de station ; ils forment souvent une espèce de co
n des lombes sur le sacrum par l'action musculaire peut, comme dans l' état naturel, se produire en sens inverse de la flexio
deuxième période n'apportent toutefois que peu de changements dans l' état des fonctions; ce n'est qu'au degré qui constitue
u'une réunion d'effets qui peuvent dépendre d'une cause commune, d'un état général constitutionnel, de la chloro-ané-mie, et
ères abdominaux pressent de bas en haut avec plus de force que dans l' état naturel. L'inspi- (1) Traité du Rakitis, p. 122
s inspirations qui rétablit à peu près l'équilibre fonctionnel dans l' état de repos. Mais au moindre mouvement actif, dans t
. naire de la gibbosité, et il s'explique facilement par le mauvais état des fonctions nutritives. Après la respiration,
sont une des causes de mort les plus fréquentes dans la scoliose. L' état habituel de la respiration et de la circulation,
ralement coïncidence de deux effets dépendants d'une même cause, d'un état constitutionnel des sujets. Dugès et Delpech (1
d'essoufflement, de faiblesses, qui dépendent peut-être autant de son état général que de sa difformité. Ve cas. — Fille d
t jouissent les individus bien conformés. Vous avez pu en juger par l' état fonctionnel que nous ont présenté plusieurs scoli
de lésion fonctionnelle sensible; tous ses viscères paraissent dans l' état naturel. Le foie ne dépasse pas les fausses côtes
bure latérale du rachis. Il me reste à passer en revue les différents états que l'on peut confondre avec la scoliose, à établ
ue par une altitude vicieuse, en grande partie volontaire, passée à l' état d'habitude. On distingue de la même manière les c
qu'elle existe, distingue suffisamment la scoliose de tous les autres états . Il ne peut donc y avoir de doute qu'à l'égard de
ystème musculaire. f. La situation de l'épaule peut s'éloigner de l' état normal sans qu'il y ait scoliose. C'est ce qu'on
e pulmonaire, l'asthme, les maladies du cœur, etc. Cependant certains états complexes réclament un examen attentif pour évite
me une maladie : on n'y voit qu'une difformité. Et cependant c'est un état plus grave que beaucoup de maladies réputées tell
que, de faiblesse de constitution, de croissance disproportionnée à l' état des forces., après les maladies longues, pendant
ire à celui que vous voulez obtenir. Proportionnez les mouvements à l' état des forces, et, sous prétexte de fortifier les mu
t que possible. Il n'y a point à cela d'utilité spéciale eu égard à l' état des parties dans la scoliose ; ces exercices rent
ette affection, que sur quelque indication particulière, et lorsque l' état de station droite qui les accompagne ne paraîtra
es exercices spéciaux, la force d'occlusion des mains, qui les met en état de rester cramponnés aux supports sans les lâcher
convexe, et que les formes s'améliorent ou reviennent à peu près à l' état normal. On a prétendu que l'extension du rachis
compatible avec la tolé rance des organes, avec les exigences de l' état fonctionnel, qui, pour le médecin, doivent domine
lus forte du côté de la tête. L'enfant se remonte alors et le premier état se reproduit. On a soin de régler l'inclinaison d
rcice pour entretenir le (i) Quatorzième leçon, 21 août 1857. bon état des forces et de la nutrition. La durée du couche
de circonstances. En général, le maximum de la traction continue, à l' état de repos, ne doit pas dépasser huit à dix kilogra
début, il faut s'enquérir de sa marche, considérer les antécédents, l' état général, et proportionner les moyens au danger, à
rture à la peau, par la méthode sous-cutanée. Ce que l'on sait de l' état des muscles dans la scoliose, des véritables obst
u se passent des phénomènes actifs de formation osseuse. Tant que cet état persiste, on a plus de chances de voir la nutriti
ourbure au moindre degré possible, et qu'à maintenir ce degré dans un état stalionnaire le reste de la vie de l'individu.
t, d'un tiers ou tout au plus de moitié , contrastent moins avec leur état primitif que la courbure dorsale principale de la
ement achevé, des formes robustes, y apporte plus d'obstacles. Mais l' état général exerce encore un autre genre d'influence.
ui accomplit seule la restauration des formes, et, sous ce rapport, l' état fonctionnel joue un grand rôle dans les changemen
l'épine est très-souvent accompagné d'une amélioration générale de l' état fonctionnel, qui se montre ordinairement dès les
43 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peut-être un peu oublié de nos jours, en tracer les rapports avec l' état mental normal et les princi- pales formes psych
mais erronée et exagérée en rapport avec les idées en question. L' état de l'humeur correspondant à ces idées, qu'il les
rvention du contrôle psy- chique, du sens critique. Or, c'est sur l' état de l'humeur que '\VERNICIOE appuie principaleme
actère de la fixité. Elle devient alors le centre d'irradiation des états de cons- cience, sans cependant.en entraver le
que les gens du monde classent souvent encore dans le domaine de l' état normal, sont, parfaitement et à juste titre, au
iation de la valence normale des conceptions, est déjà troublée à l' état normal, lorsqu'on est en proie à de certaines c
idées fixes. - L'idée fixe pathologique reflète, en certains cas, l' état d'es- prit habituel du malade et ses tendances;
i ont été mises en éveil par une fabrication pathologique. Dans l' état de poly-idéisme physiologique, il y a, pour ainsi
aussi les hallucinations. Elles ont pour origine les changements d' état de la conscience, les sensations morbides, et c
forme-t-elle, géné- ralement par suite d'essais d'explications d'un état quelcon- que qui n'est pas forcément conforme à
s ce caractère ; ses croyances mystiques s'il en a, resteront à l' état platonique, en ce sens qu'il ne subordonnera pas
sent ce qui se passe en lui. On a quelquefois des obsessions à l' état normal. Qui n'a été hanté en pleine réflexion p
bserve chez les héréditaires. L'idée obsédante émotive procède d'un état nerveux anté- rieur dépressif. Exemples : les m
un coin, dans le champ de l'idéalion, troublant le cours normal des états de conscience, lui esl , l'idée fixe. , 23 ét
lade s'identifie. » (Magnan et LEGR.11N. La pleine conscience de l' état représente le grand caractère de l'obsession. Mai
ne se contente point du rôle de phénomène isolé dans le sein des états psychopathiques, elle finit par se répéter et par
morale de l'idée de son impuissance, retentissement phy- sique de l' état réactionnel, soulagement. consécutif à la satis
ée aux.centres surexcités, - voilà les signes de l'obsession dont l' état lucide de la conscience est à lui seul pathogno
aux suppositions quant à l'événement qui a pu la provoquer. En cet état pas de gué- rison possible. 26 CLINIQUE menta
ou recueillie des obser- vations péremptoires d'idée fixe dans les états suivants : l° Idée fixe greffée sur la débilité
ment. Pour comble, il avait encore cette préoccupation que dans cet état il ferait des bévues et s'attirerait des amende
ils ne font que restaurer des idées abandonnées. L'analyse de cet état mental se ramène à un excès de sub- jectivité ;
férents, stades de l'évolution mentale normale; il passe ainsi de l' état positif à l'état abstrait et de là à l'état ficti
e l'évolution mentale normale; il passe ainsi de l'état positif à l' état abstrait et de là à l'état fictif. Il est en ef
le; il passe ainsi de l'état positif à l'état abstrait et de là à l' état fictif. Il est en effet curieux de retrouver le
es, les considère comme innées, immanentes chez l'homme normal, à l' état inconscient. Elles apparaissent et passent au p
fonctions corticales sont supprimées. La superstition existe à l' état d'élément inconscient dans le cerveau normal oi
passés dans une étroite réclusion, et les apparences soutenues d'un état calme et tranquille déterminèrent à lui accorde
ns et à des déterminations véritablement pathologiques. C'est cet état mental qui produit les régicides vrais, les sauve
es premiers travaux de Charcot) : les contractures permanentes et l' état pariéto-spasmodique d'origine médullaire sont e
t démontrée la corrélation cons- tante entre les contractures (et l' état spasmodique) d'une part et la lésion du faiscea
faisceaux pyramidaux entraine-t-elle la contracture permanente ou l' état pariéto-spasmodique ? Depuis Vulpian, Charcot e
contracture ne tardèrent pas à apparaître. Pendant un an environ, l' état de la malade resta stationnaire. Lors de son entr
ctionnelle s'amende graduellement et disparaît vers avril 1896 et l' état men- tal s'améliore. Mais pendant plusieurs sem
porte sur 34 cas, et se décom- pose ainsi : 11 guérisons complètes ( état physique et état mental), 9 améliorations, il é
et se décom- pose ainsi : 11 guérisons complètes (état physique et état mental), 9 améliorations, il états stationnaire
isons complètes (état physique et état mental), 9 améliorations, il états stationnaires, 3 morts opératoires. La statisti
; 18 améliorations, soit 22 i/2p.100; 62 SOCIETES SAVANTES. et 28 états stationnaires, soit 35 p. 100, 4 morts, soit 5 p.
rgicales et suivies, l'une de guérison, l'autre d'amélioration de l' état men- tal. Ces cas sont restés isolés. Aucun aut
s, sur le cerveau, et qui doit dispa- raître pour faire place à des états intellectuels bien définis, liés ou non à la dé
chez des épileptiques ou des hystériques en vue de remédier à leur état de nervosité. Des installations particulières
z 22 malades, et nous avons constaté par la suite : 11 guérisons, 3 états stationnaires, 7 améliorations, 1 mort. Les o
es physiques en supprimant si possible ces dernières. Sans guérir l' état antérieur d'aliénation mentale, l'acte opératoire
ntérieur d'aliénation mentale, l'acte opératoire met l'organisme en état de lutter efficacement contre le délire et contre
à des lésions de peu d'importance mais susceptibles dé prolonger un état de malaise indéfinissable, avec répercussion su
n simple curettage, une opé- ration de Schroeder, triomphent de cet état de lassitude, dont l'ori- gine est alors trouvé
uentes, tellement pénibles, elles ont un tel retentissement sur son état général, qu'il est, de toute nécessité d'en emp
et l'imbécillité en général avec les renseignements spéciaux à ces états chez les enfants norvégiens. Il a trouvé, que 2
et d'imbéciles 5 : 39 - il a trouvé le rachitisme comme cause de l' état morbide. L'auteur a fait des examens sur l'hygi
Pans, 1899. Librairie G. Basson. PL.\1G1\.\HD-FL.\ISSIInEs (IL). L' état mental dans le goitre exophtal- tique. Volume m
est rendu. Voici la lettre qui édifiera amplement le lecteur sur l' état mental de P... et sur la nature de son délire.
er à Marseille, une maison très importante. Je suis horloger de mon état , et je vais travailler chez lui. » « Le connais
mbre. il conserve la même attitude. Il n'a aucune conscience de son état . Parfois, on le surprend dans un coin, en compa
à coeur de leur annoncer. » 11 est dirigé sur Vaucluse dans le même état . Observation VIII (Krafft-Ei>11ng). Dégénéré
phies obscènes. Voilà pourquoi on l'a mise à l'hôpital pour que son état mental fût observé. Là aussi, les annonces du jou
lle a cinq enfants tous bien portants. Tous ses organes sont en bon état . Elle ne présente pas la moindre tare physique.
impossible de connaître l'ascendance. « Ceci était resté dans cet état pendant quelque temps, lorsque ayant eu besoin
rnai et enfin à Armentières où il se trouve depuis trois ans. Son état actuel est celui du délire chronique à son comple
'en ces termes : « L'appelé X..., ou la personne appelée X... » Cet état est entre- tenu par des illusions de la vue qui
qu'il a accaparé toutes ses affaires. 110 CLINIQUE MENTALE. Son état actuel est celui du délire de persécution à son c
uniquement 11 des idées obsédantes d'ordre intellectuel, mais à des états émotifs persistants, à des états de la per- son
s d'ordre intellectuel, mais à des états émotifs persistants, à des états de la per- sonnalité qui restent immuables, en
s états de la per- sonnalité qui restent immuables, en un mot à des états psy- chologiques, qui, une fois constitués, per
ner naissance, en passant de l'idée fixe pri- mitive consciente à l' état d'idée fixe subconsciente, àdessymp- 1 Xévroses
efois dans la poliomyélite antérieure aiguë des enfants'. '. Mais l' état actuel des muscles, moins atrophiés qu'arrêtés
é maternel. Pas d'épilepsie dans sa famille. 1 Troisier. Sole sur l' état de la moelle épillière dans un cils d'héllli- J
s'énerve ; il a des tremblements de tout le corps ; c'est dans cet état qu'arrive l'accès. Lorsque celui-ci est terminé,
upérieure de l'occipital gauche (avril 18cl6). Après l'opération, l' état du malade semble amélioré, il ne voit plus repa
tiques, et le malade put sortir de la maison de santé, en excellent état au physique et au moral, deux mois après son en
rapidement la cachexie et eût maintenu longtemps le malade dans un état de faiblesse dont il n'eût pu faire les frais.
omanes et les petits morphinomanes ; les premiers, qui doivent leur état à une prédisposition plus accentuée, à une morp
ctions portent leur effort respectivement et toutes à la fois sur l' état mental du sujet, car un tic, simple ou complexe,
la solution de chlor- hydrate de morphine de 0,003 p. 100 d'eau. L' état s'améliore, l'enfant commence à avaler du pain.
uérison. On avait pris du sérum pendant douze jours ; une semaine l' état de l'enfant fut satisfaisant, mais après, les c
opos de l'examen médico-légal du meurtrier C.... et rapport sur son état mental; par le Dl' S. Garnier. Le maire d'une
une irresponsabilité complète. Dans l'alcoolisme chronique, c'est l' état de conservation ou de déchéance des facultés in
modifier la responsabilité des malades. Il en est de même dans les états délirants, convulsifs, somnambuliques, etc., qui
LOGIE MENTALE. 1. Les phénomènes de la distraction cérébrale et les états dits de dédoublement de la personnalité ; par l
énue lors du sommeil normal, pour devenir minima ou nulle lors de l' état hypnotique et des états analogues, ' peut, même
rmal, pour devenir minima ou nulle lors de l'état hypnotique et des états analogues, ' peut, même à l'état de veille chez
lors de l'état hypnotique et des états analogues, ' peut, même à l' état de veille chez certains sujets, se trouver en d
érents actes souvent bien combinés, sans en avoir conscience. Cet état se rencontre fréquemment : on l'observe surtout c
tant ou ayant existé, Ilobespierre, Danton, 13onapa'rle, etc... A l' état de veille cet état est appréciable chez les médiu
é, Ilobespierre, Danton, 13onapa'rle, etc... A l'état de veille cet état est appréciable chez les médiums; il n'est autr
s leur mémoire est riche, plns et mieux elle a été meublée dans les états habituels par l'intelligence, plus aussi on peut
urobiline et l'hématoporphyrine peuvent se trouver dans l'urine à l' état normal mais c'est seulement dans les états morb
trouver dans l'urine à l'état normal mais c'est seulement dans les états morbides qu'elles y apparaissent en grande quan
ale ne serait qu'une des nom- breuses manifestations nerveuses de l' état diatMsÏlfue c'est-à-dire d'un état morbide émin
es manifestations nerveuses de l'état diatMsÏlfue c'est-à-dire d'un état morbide éminemment héréditaire caractérisé par un
sistance, devient plus pressante, plus impérieuse et fait naître un état de malaise de plus en plus pénible, accompagné de
es qui le regardent et souvent, contrairement à ce qui se passe à l' état de veille, il a une érection suivie de pollutio
ble de l'outrage public à la pudeur qu i lui est reproché, mais son état mental exige la continuation du traitement dans
vue psychique, entre cet exhibitionniste qui présente sa verge à l' état flasque et les autres qui se montrent ordinaire
mots leur échappe. La plus âgée est 'SOCIÉTÉS SAVANTES. dans cet état depuis neuf ans, la plus jeune depuis dix mois. L
VANTES. - minutes de repos, et ainsi de suite. Depuis quinze mois l' état est le même qu'au premier jour. Au niveau du
guéri par la suggestion pendant le sommeil naturel. Celui-ci est un état passif que nous n'avons pas besoin de produire
e met en relief un certain nombre de faits correspondant aux divers états psychiques. 1° Les phénomènes intellectuels tel
ement est une affection gênante qui met celui qui en est atteint en état d'infériorité au pomt de vue social en l'annihi-
rra s'ad- joindre la psychothérapie. Dans tous les cas surveiller l' état men- tal du bègue, raffermir sa volonté, lui do
la neurasthénie, l'hystérie, l'aliénation mentale. 8. Essai sur l' état mental dans l'abstinence; par le Dr LASSiGKAMOE.
ompa- gnons, dans le naufrage de la « Ville-de-Saiut-Nazaire ». L' état mental créé par l'abstinence peut se résumer ains
sychiques et de leur gravité. On peut 'établir un parallèle entre l' état mental de l'abstinence et celui des intoxicatio
dépression, mais dont la pre- mière seule est caractéristiqne. Ces états peuvent donc être rappro- chés des états neuras
e est caractéristiqne. Ces états peuvent donc être rappro- chés des états neurasthéniques ou hystériques. Naturellement l
s suivant les personnes qui en sont atteintes, leur éducation, leur état de santé habituel et aussi suivant les moments.
nts. Ce qu'il y a de vrai, c'est que l'éner- vement peut résulter d' états neurasthéniques et hystériques, comme il peut a
t une petite neurasthénie. , Quant au pronostic, il dépendra de l' état de santé habituel du sujet, de ses tendances pa
ental préalable qui leur a préparé la voie, tels que : idées fixes, état émotionnel persistant ; enfin les aboulies pério-
par un coup de hache. Le fils, qui habitait avec lui, était dans un état complet d'ivresse. Il a été arrêté comme auteur
e; en fait, ces troubles exis- tent, mais sont très légers. ' A l' état normal il nous est possible de fermer et d'ouvrir
ont contesté la valeur clinique de ce symptôme, en observant qu'à l' état normal un certain nom- bre d'individus n'ont pa
moins de force. Enfin, très souvent, il y a une modification de l' état sta- tique, du tonus musculaire : tantôt un rét
mit le plus souvent, et quelquefois mais non toujours tombe dans un état syncopal avec refroidissement de la peau et un
alade ne tombe pas, la douleur de tète ne s'accompagnant que d'un état de confusion passager. Dans les deux cas, ces sym
eille vers les 2 heures de l'après- midi, notre malade jusque-là en état de santé convenable, a éprouvé un fort mal à la
La connaissance persiste mais elle est obnubilée.. Le malade est en état de somnolence avec une respiration inégale et r
ESSIVE 203 Dans la soirée surviennent des vomissements abondants. L' état s'aggrave progressivement : la torpeur s'accent
té droit qui demeurent con- tracturés ; les membres gauches sont en état de paralysie flasque et les paupières sont abai
nâtre. Température axillaire, 38° à gauche. Le lendemain 14, même état de résolution; paupières'abaissées, léger nysta
sentant pas très solide ; celui de son observation III est dans un état d'ivresse apparente. Nous retrouvons cet état d
ation III est dans un état d'ivresse apparente. Nous retrouvons cet état dans notre observation 1 : la malade marche dev
gauche, des convulsions à droite, des pupilles ponc- tiformes et un état comateux. Il est vrai que ce coma primitif disp
'à la fin dans le côté paralysé. Dans la plupart des observations l' état des réflexes n'a pas été noté ; dans les cas où
vraie. Broadbent signale fréquemment comme phénomène de début un état de confusion cérébrale qui fait ressembler ces
fusion cérébrale qui fait ressembler ces malades à des personnes en état d'ivresse. Cet état peut manquer dans les cas o
fait ressembler ces malades à des personnes en état d'ivresse. Cet état peut manquer dans les cas où le malade est frap
itement conservée, mais ces malades ne tardent pas à tomber dans un état de somnolence qui s'accuse de plus en plus. Ils
ion du foyer hémorragique. Les ventricules latéraux sont tantôt à l' état de vacuité, tantôt remplis par une quantité plu
nerf lésé. Dans le cas où elle a lieu. les cellules reviennent à l' état normal; dans le cas contraire, après ce retour
iennent à l'état normal; dans le cas contraire, après ce retour à l' état normal, elles s'atrophient et disparaissent. M.
s aliénés : fractures spontanées et accidentelles, l'ostéoporose, l' état des os du crâne dans la paralysie générale, les
porencéphaliques; 4° Partout l'on suit les membranes des trous, à l' état de travées de tissu conjonctif jusqu'au corps c
es à des ombres au milieu desquelles le noyau disparait presque à l' état de silhouette dans laquelle un point obscur rep
t les parois épaissies et sont dilatées. En résumé -après 6 heures, état flou des granulations de Nissl, avec accumulati
ne contre-indica- tion. L'hypnose peut alors améliorer à ce degré l' état subjectil' du patient qu'il obéisse à la sugges
une hypnose assez profonde. Ceci fait, on passe à la suggestion à l' état de veille et à l'état de demi-sommeil ; on a au
onde. Ceci fait, on passe à la suggestion à l'état de veille et à l' état de demi-sommeil ; on a auparavant annoncé au pa
'on lui suggère. Cela donne du courage au malade; la suggestion à l' état de veille est plus aisée, le résultat cherché a
S SAVANTES. 235 faible et irrégulier. A partir du 6 janvier 1898, l' état s'améliore sensiblement; la parésie faciale dis
particulier, Régis, la suggestion est le traitement de choix de ces états mentaux . post-infectieux. L'agent infectieux,
s, sous l'influence de l'irritation de l'urèthre, il tombe dans des états d'éréthisme génital qui entraine l'exécution d'
ibles. Le traitement devra être doublé ; il portera à la fois sur l' état local et sur l'état mental ; il suppri- mera la
devra être doublé ; il portera à la fois sur l'état local et sur l' état mental ; il suppri- mera la cause des impulsion
Sous ce titre l'auteur nous donne une sorte de revue rapide de l' état de la science à l'heure actuelle. Suivant son exp
ou la castration est réelle. En même temps qu'une amélioration de l' état local, se produit toujours une amélioration de
ioration de l'état local, se produit toujours une amélioration de l' état général. C'est même un des premiers résultats o
Les diverses préparations d'ovaires ont la même action tant sur l' état local que sur l'état général. L'ovairine, en pilu
ations d'ovaires ont la même action tant sur l'état local que sur l' état général. L'ovairine, en pilules, paraît plus pr
gée à son tour de cet ensemble. Les impulsions, dans les principaux états mor- bides ont, en effet, des caractères propre
a convalescence peuvent présenter tous les degrés, depuis un simple état de stupeur rêveuse jusqu'à la confusion BIBLIOG
antes, c'est ce qui explique les fugues des malades. Parfois, à cet état , se joint un vrai délire avec idées hypochondri
me d'angoisse. Mais la jalousie affective ne reste pas toujours à l' état de simple passion : elle peut franchir un degré
plus et devenir morbide. Entre les deux existent comme toujours des états de transition difficiles à classer, surtout che
s qui présentent à certains moments, soit le jour, soit la nuit, un état particulier difficile à définir, tenant le mili
e de rêve somnambulique, ou comme on dit, de subsconcient. Dans cet état , la cérébration automatique s'exerçant en pleine
itions des phéno- mènes analogues qu'on peut rencontrer dans divers états morbides, et en particulier de l'aboulie des mé
le de subir des transformations qui sem- blent la faire dévier de l' état premier. En se transformant, l'héré- dité a le
se d'angoisse atteint une grande intensité. La psychothérapie à l' état de veille entendue daus son sens le plus large
IE. 219 ' ques et les hystéro-neurasthéniques, elle échoue dans les états obsédants constitutionnels, qu'on les envisage
ose pulmonaire . - Martin (Georges). Elude sur la neurasthénie et l' état mental des neurasthéniques. Maynaud (Armand). L
es du jugement et du raisonnement, les altérations périodiques de l' état général, constituent un tableau assez complet d
de l'affaire Dreyfus et que les gendarmes vont venir l'arrêter. Son état est très grave. (Petit Parisien du 15 août.) L'
L'incendie de alancillcac. La femme Veilleraud est main- tenue en état d'arrestation. Alcoolique incorrigible, elle aura
Les représentants de la police ont tous été très malmenés ; mais l' état de Grandjean, qui a dû interrompre son service,
erniers cas les troubles cérébraux - se manifestent sous la'forme d' états d'excitation ou de dépression. Les premiers de
la'forme d'états d'excitation ou de dépression. Les premiers de ces états apparaissent avec une fréquence spéciale chez l
es les opéra- tions chirurgicales, même les plus simples. Quant aux états de dépression, surtout fréquents chez les héréd
tale. Sur ce fond de confusion mentale survient très fréquemment un état déli- rant qui se présente avec tous les caract
t du mois de mars. Pen- dant les premiers jours qui la suivirent, l' état mental de C... n'attira nullement l'attention;
de nature terrifiante. Dans les derniers jours du mois de mais, l' état physique s'amé- liora sensiblement; la cicatris
le de Naugeat. 6 avril 1898. A son entrée dans cet établissement, l' état phy- sique de notre malade attire tout d'abord
rê- mement amaigri, le teint pâle, terreux même, C... est dans un état de faiblesse tel qu'un dénouement fatal nous para
es ne sont pas moins accentués. Un élément semble prédominer dans l' état mental du malade : c'est la confusion des idées
pas, malgré l'absorption de deux grammes de chloral. 22 avril. L' état du malade ne s'est pas sensiblement modifié. La
on puisse se dispenser de recourir au cathétérisme oesophagien. L' état physique s'améliore lentement; la plaie de l'aiss
me dit l'année exacte de sa naissance. 11 est donc manifeste que l' état mental n'a guère changé ; la désorientation d'e
a, du reste, après sa guérison, com- paré spontanément à un rêve l' état dans lequel il se trouvait alors. A cause de
Malgré cette affection incidente, qui, du reste, parait bénigne, l' état général tend à s'améliorer; C... recouvre ses for
ès cicatrisée, et ne donne que quelques gouttes de pus. Juin. - L' état mental ne subit aucune modification. L'amélio-
bruyant la nuit. Mauvaise tenue. Malpro- preté. Amélioration de l' état physique; le malade se nourrit bien; l'amaigris
seul changement qui se soit produit, en ces derniers temps, dans l' état du malade, consiste en une diminution très nota
recoupée, cependant, de quelques instants de lucidité relative. - L' état physique s'améliore de jour en jour. Les ulcéra
mportantes lacunes ; l'étendue de ces dernières ne peut guère, en l' état actuel, être déterminée avec précision, à cause
et que le travail de la pensée devenait de plus en plus facile, sou état actuel lui est apparu plus nettement, et ses so
upart du temps, il ne pensait à rien ». Au point de vue physique, l' état de notre malade est actuelle- ment aussi satisf
t leur intensité n'a commencé à décroître qu'à dater du jour où l' état physique s'est amélioré. De .plus, la folie a rev
particulier M. le D'' Régis, considèrent comme caractéristique des états toxi-infectieux : nous voulons parler de la con
vant l'intensité de l'intoxication et son ancienneté. Peut-être l' état de faiblesse préexistant à l'opération et aggra
Pendant toute la durée de la maladie, le symptôme fondamental de l' état psychique du sujet a consisté en une désorienta
LINIQUE MENTALE. moments, faire prendre pour des vésanies pures ces états maniaques et mélancoliques symptomatiques. Il
elle fut atteinte d'une congestion pulmo- naire des deux bases; son état fut grave pendant une semaine ; après avoir pré
ion de la sensibilité générale sur les deux moitiés de la langue. L' état de la sensibilité spéciale n'a pu être recherch
dans les troubles de sensibilité. 19. En recherchant de nouveau l' état de la sensibilité chez la malade, on constate q
é les mêmes résultats que l'on peut considérer comme exacts, dans l' état intellectuel de cette malade. Les douleurs sponta
ettement aux questions qu'on lui adresse ; il se rend compte de son état et cause avec facilité. Motilité. Membre supé
eraient par l'anémie ou va.so-constriction' des centres nerveux les états mélancoliques et par l'hyperhémie ou vaso-dilat
lancoliques et par l'hyperhémie ou vaso-dilatation paralytique, les états congestifs ou mania- ques. Nous laissons de c
ase-dilatation. Ces phénomènes ne se produiraient pas dans certains états nerveux où les fonctions des centres sont troub
mestique, origi- naire du Tarn-et-Garonne, entre le 16 juin dans un état d'excita- tion intense. C'est sa troisième séqu
rveuse, réagissait vive- ment à toutes les impressions morales; cet état paraît attribuable à l'anémie pour laquelle on
de manie. Cette suppression peut être attribuée à trois causes : l' état d'anémie; la congestion cérébrale ; les troubles
dent sans modification. Nous ne croyons donc pas à l'influence d'un état d'anémie hypothétique. Peut-on attribuer l'amén
es, 20 série, t. VIII. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. d'imaginer qu'un état congestif du cerveau soit assez pro- noncé pour
me normale. De plus, nous avons observé la même aménorrhée dans des états mélancoliques, c'est- à-dire d'anémie cérébrale
r la tonicité des vaisseaux. Cette mo- dification consisterait, à l' état normal dans une excitation des vaso-dilatateurs
rs, d'où congestion génitale et hémorragie. Supposons maintenant un état psychique anormal, entraî- nant une perturbatio
aî- nant une perturbation dans les centres encéphaliques. Que cet état soit accompagné de congestion ou d'anémie central
ntres, en particulier sur ceux des vaso-moteurs. En effet, dans les états psychiques, nous observons toujours une modi- f
ujours avec les accès de manie et les fonctions rétablissant avec l' état mental ; ensuite par l'inefficacité du traiteme
peu grande ; la voûte palatine est ogivale, la dentition en mauvais état ; beaucoup de dents manquent, cependant les inc
nsions. IDIOTIE CONGÉNITALE ET HYPOSPADIAS. 295 III. Fonctions. L' état général de notre malade à son entrée est très '
et sans pouvoir donner, même par geste, une indication sérieuse. L' état général est relativement satisfaisant ; rien au
tout intéressante de l'examen physique de 11..., c'est évidemment l' état de l'appareil génital. 11 s'agit manifestement
s caractères sexuels secondaires, qui sont tous ceux non tirés de l' état des parties génitales, est très complexe, et il
ontenait-elle des spermatozoïdes dissous. 5° En ce qui concerne l' état psychique de notre malade, il est permis de se
estion est anologue à celle que nous avons discutée à pro- pos de l' état physique; mais ici le problème est singulière-
fois sur 260 sujets, débiles, idiots ou épileptiques, alors qu'à l' état normal il ne se rencontre guère qu'une fois sur
icina y ccrugia, n° 553.) On ne recherche pas assez en pathologie l' état des fonctions du sympathique; il ne suffit pas
ion res- piratoire ou par interprétation vicieuse inconsciente d'un état anor- mal de la muqueuse pituitaire, se plaigna
n des sensibilités est généralisée. A. M. XXXIX. D'un remarquable état de sommeil pathologique; par F. Holzinger. (Neu
ellement fatigué, depuis deux ans. Le mouvement seul le tire de cet état , sans l'en débarrasser. En revanche, la nuit son
petit palmaire, en outre de l'influence exercée sur lui, comme à l' état normal par l'excitation électrique du cubital. C'
s ou un peu anguleuses, le corps de la cellule res- tant, comme à l' état normal contigu à la couche endothéliale. Il n'y
es abdominaux et crémastériens faibles. Bien de cer- tain quant à l' état de la sensibilité. L'agitation augmentant vers
uisent d'une façon périodique au moment des époques menstruelles, l' état de la malade restant normal dans l'intervalle d
l'intervalle des accès. Reste à savoir quelle est la valeur de cet état normal et jusqu'à quel point nous pouvons le co
rable après un séjour de onze mois à l'Asile. La transition entre l' état normal et la stupeur ou récipro- quement était
beau-frère. Quelque temps après son incarcération, il tomba dans un état de dépression mélanco- lique qui retarda son ju
la paralysie générale la vigueur du délire soit conditionnée par l' état de la lésion alors que son existence ne l'est q
face et à la langue du côté droit avec aphasie simultanée. Mort en état de mal épilep- tique qui a duré six heures. A l
du doigt ou du marteau percuteur un petit coup sec sur un muscle en état de relâchement, il se forme parfois à l'endroit
tions organiques et fonctionnelles du système nerveux, et dans les états d'épuisement général. Le rapport de ce phénomène
pupillaire, trouble paralytique de la parole, assymétrie faciale. L' état de . démence apathique est rarement remplacé pa
partenant en propre aux enfants nés avant terme, caractérisée par l' état spas- modique plus que par la paralysie, ne se
, un ou- vrier maçon nommé Joseph Erny, âgé de trente-trois ans, en état d'ébriélé, voulut monter sur un tombereau en ma
het qui dépassait. L'infortuné a été transporté à l'hôpital dans un état désespéré. (Petit Parisien, 25 août). Tentati
e Parquet de Saint-Brieuc s'est trans- porté à Pléhedel et a mis en état d'arrestation le nommé Yves Boscher, journalier
us dilatée. Il est difficile, à cause de la paralysie de juger de l' état de la sensibilité cutanée qui paraît diminuée.
ondissant. Rien d'anormal au coeur, ni aux poumons. Le 8 avril, l' état est considérablement aggravé. Persistance de la
; la peau est chaude, la figure colorée et couverte de sueurs. Même état des réflexes. Le malade a vomi ce matin. La res
pide, ample mais dépressible (120 par minute). Pendant la journée l' état continue de s'aggraver, la température monte à
es degrés de piknomorphisme et de chromatophilie s'échelonnant de l' état de lati=ue à l'état de repos complet au temps o
rphisme et de chromatophilie s'échelonnant de l'état de lati=ue à l' état de repos complet au temps ou Nissl et l3enda di
importantes et dont la signification est beaucoup plus claire : l' état hyalin, l'apparence vitreuse se retrouvent dans u
es modifications dans la répartition du pigment que l'on trouve à l' état normal dans la plupart des grandes cellules de
les lésions de la moelle cervicale et consistaient uniquement en l' état hyalin, la coloration diffuse d'un petit nombre
time qui l'éloignent du type généralement admis comme indice de l' état sain, type qui n'est lui-même qu'une moyenne. Ain
'une cellule nerveuse prise dans un ganglion spinal et examinée à l' état frais, avec ou sans coloration au hleu de méthy
e et leur répartition ; corpuscules cliromatophyles de Nissl. A l' état frais les cellules d'un même ganglion spinal ne
que employée, n'a fait qu'accentuer des différences invisibles il l' état frais ? Et surtout peut-on avancer que cette mo
oup considèrent aujourd'hui comme étant le substratum de nombre d' états pathologiques ou fonctionnels. Seules des lésions
tionnels. Seules des lésions pour ainsi dire grossières : vacuoles, état hyalin, modifications du noyau, perte de l'affi
protoplasma est beaucoup plus voisin de l'aspect qu'ils offrent à l' état frais ; un chagriné fin et uniforme remplace le
t des modifications artificielles ou pathologiques de celle-ci. A l' état normal, les grains formant en effet un ou plusi
sse et Ramond '. Dans notre observation le microbe causal était à l' état de pureté dans le liquide méningé, et ce dernier
eut répondre que dans la grande majorité des cas on n'a relaté ni l' état ni la quantité du liquide céphalo- rachidien et
vement motrice. On sait en effet que rien n'est plus variable que l' état du système nerveux central ou périphérique dans
allucinations de l'ouïe, qui se rendent parfaitement compte de leur état et ne délirent point. Brierre de BoismonL', pou
oreilles », et c'est ce qu'elle fait. Relevée dans la rue dans un état pitoyable, on la transporte à l'hôpital Beaujon
rs, les lobules des oreilles sont adhé- rents, les dents en mauvais état . A des hallucinations de l'ouie, quoique bien m
suivants tout trouble hallucinatoire a disparu, M... est revenu à l' état nor- mal et nous promet de ne plus boire. 1
peut plus digérer. Régime lacté pendant cinq jours. Le 5 août, son état mental est meilleur, mais B... est toujours un
Il est indispensable de voir ce qui se passe dans notre esprit à l' état physiologique, pour pouvoir donner une expli- c
ieur; c'est là notre forme d'images vives à nous moteurs 2. » A l' état pathologique, l'hallucination motrice verbale n'e
ent remuer sa langue à l'instant où la voix se fait entendre. A l' état normal, quand nous prononçons des mots menta- l
mal, quand nous prononçons des mots menta- lement, nous sentons à l' état d'ébauche, des mouvements musculaires d'articul
ar un système de fibres anastomotidues. » (P. Raugé .) Ainsi, à l' état pathologique, l'hallucination motrice verbale n
(Bulletin médical, 2U juin ]89 ? ) 390 CLINIQUE MENTALE. ou des états faibles d'innervation périphérique qui, sans qu
Généralement, ces hallucinations déterminent chez les malades un état de dépression mélancolique ; souvent elles entr
le fait travailler en classe aussi régulièrement que le permet son état . Mars. Même traitement. - Onze attaques en tout
iteur.) Travail du plus haut intérêt où l'auteur estime que, dans l' état actuel de la science, il est nécessaire, pour l
es, à la suite d'une compression médul- laire, est explicable, en l' état actuel de la science, par la seule interruption
ou projeté en rameaux touffus se détache de la zone en question à l' état de noyau beaucoup plus foncé. En réalité ce son
t, qui, par suite paraissent enlacées dans cette membrane ténue à l' état d'entrelacement rétiforme. Ces tractus membrane
x supérieurs au moins, leur source dans la multiple variation des états d'éréthisme de ces éléments, accompagnés de la pa
pouvaient tout aussi bien tenir à une carie verté- brale. Bientôt l' état général devenait inquiétant. Insuccès du traite
is, trois mois, trois mois et demi. On prend des animaux en parlait état de santé. Ils gagnent du poids pendant les prem
imaux. On put constater nette- ment également chez deux patients un état de stupidité consécutif à l'agitation de la pér
ment et des taches de vitiligo persistèrent. Huit mois plus tard, l' état du malade continuait à être très satisfaisant,
e diag- nostic était rendu douteux par des fractures multiples et l' état mental du malade. Aucune amélioration de l'atax
ement simples, son étiologie est souvent un problème complexe : les états goutteux, arthritiques, névropathiques, syphili
. Tarde pense que chez eux et chez toutes les nations anciennes à l' état de clan, le crime était conçu non comme un acte
ollectivité, famille ou clan, un résultat de 428 BIBLIOGRAPHIE. l' état de guerre qui existait en permanence entre les cl
re réprimés. Il est bien évident qu'une masse de délits dépend de l' état de civilisation et des moyens de les com- mettr
nalité qu'elles peuvent réduire à rien celle des changements dans l' état de civilisation. La criminalité est comme nulle
bles intellectuels qu'on observe le plus souvent consistent dans un état de stupeur ou d'affaiblissement progressif des
dans les cas de ramollissement cérébral en foyer consistent dans un état de stupeur ou d'affaiblissement pro- gressif et
igus ou chroniques, d'évolution ou d'invo- lution. Existe-t-il un état mental, un enchaînement de troubles psychiques
CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 437 A l'admission la malade est en état de démence complète. Elle se meut encore assez
voies digestives supérieures, odeur fétide. Le lendemain : aphasie, état dysplégique plus accentué à droite. Gémissement
à six jours. Douleurs céphaliques. A l'admission, on constate un état d'agitation avec réactions très violentes, hype
côté. A l'admission, on constate un affaiblissement physique, avec état parétique des membres droits, plus accentué au
iser hâtivement et de chercher à dresser le tableau clinique de l' état mental qui accompagne les foyers de ramollissemen
quelques jours à quelques semaines après leur internement, dans un état de démence absolument inoffensif. En présence d
la chute très rapide de cette agitation et son remplacement par un état d'affaiblis- sement intellectuel progressif. Qu
il se termine après quel- que temps par la mort, ou qu'il dure, cet état ne nécessitera pas ou au moins ne rendra pas ur
r sur cetle base fondamentale. Très peu d'aliénés, même dans leur état de fureur, doivent êlre éloignés de toute occupat
résultats du traitement des psychoses est justifié dans beaucoup d' états chroniques, il n'en est plus de même quand il s
ndiqués chez les malades atteints d'affections mentales aiguës. Ces états sont en effet toujours associés étroitement à d
pérales, les délires post-convulsifs (hystérique, épileptique), les états maniaques et mélancoliques, les psy- choses pér
aut y ajouter aussi les épisodes aigus qui surviennent au cours des états chroniques (paralysie géné- rale, démences, dél
s une panacée universelle ; il ne peut guérir, à lui seul, tous les états aigus d'aliénation; du moins estimons-nous, d'a
it en effet retenir avant tout l'attention du thérapeute, c'est l' état d'épuisement du cerveau et de l'organisme. Ces su
sement, le refus d'aliments, la faiblesse générale, l'âge avancé, l' état puerpéral, la chlorose, les anémies, les troubles
chlorose, les anémies, les troubles circulatoires, sans parler des états fébriles ou subfébriles. Or ces divers symptôme
s sont constantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d' états d'excitation, ou de dépression, ou de confusion
motrices (étals maniaques), sensitives (mélancolie), sensorielles ( états hallucinatoires), ou que son activité soit susp
oser l'organe intoxiqué ou surmené, afin de permettre le retour à l' état normal des mutations nutritives du neurone. Or
naison de ces psychoses par la mort, la démence ou le passage à l' état chronique. Il permet en outre de restreindre l'em
elle catégorie restreinte de malades : presque toujours il s'agit d' états mélancoliques ou neuras- théniques, plus rareme
is, Conolly, recommande, d'après Brosius, le séjour au lit dans les états maniaques et les autres formes avec excitation.
dans les hôpitaux, cette réaction a été excessive. « Dans certains états maniaques aigus semi-fébriles, dit-il, de même
états maniaques aigus semi-fébriles, dit-il, de même que dans les états mélancoliques caractérisés parmi profond sentimen
uses, in LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES. 433 Dans ces divers états d'épuisement nerveux, le neurologue américain s
men- tale. Hitti. Traitement de la mélancolie. Blin. Traitement des états nuniaques. 3 Alagnan. Traitement de la manie.
t, à leur tour et dans certaines cir- constances, se manifester des états délirants. L'hérédité psychopathique ne perd pa
, mal ourlées, voûte palatine rétrécie, asymétrique. Il est dans un état d'agitation extraordinaire et se met, dès son a
dit : « fais 7 pas, crache 7 fois et tu guériras ta vérole ». Cet état hallucinatoire avec agitation et gâtisme se calme
tourdissements avec engourdissements passagers du bras droit. Cet état de rémission se maintient pendant deux mois et
décembre 1897. L'excitation s'apaise et est remplacée par un grand état de confusion mentale, le malade est inconscient,
méabilité rénale considérablement diminuée. L'année 1899 amène un état démentiel complet, le malade reste toute la jou
e- ment de l'activité des centres bulbaires ; le cerveau exerce à l' état normal une influence régulatrice sur ces centre
ond pli doit tenir à la place où le bord inférieur du couturier, en état de spasme, contourne le vaste interne, au mveau d
sme et robuste, le sang con- tenait deux fois plusde fibrine qu'à l' état normal ; il en était de même chez un homme hyst
de troubles vésicaux, rectaux, sexuels ; enfin la continuité de cet état , depuis dix-huit mois. tel est le ré- sumé du c
gine l'affection rénale commençante qui, se greffant sur un mauvais état général, a altéré le sang, en a aug- menté la c
ale, car la malade avait dès sa naissance l'aspect myxoedémateux. L' état mental (idiotie) du myxoedème est donc expliqué p
ps calleux ont été plus légèrement affectés. Ainsi s'explique que l' état mental de l'enfant ait plus à souffrir que celu
) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 501 d'auraprae-épileptique ou à l' état d'accès complèlementautouomes, qui alternent av
; raideur de la nuque; strabisme divergent. T. 40°, 7. Mort en cet état le o. Autopsie. Bronchopneumonie récente en foy
! unopAiC bitempontle, mais il est rare que les choses restent en l' état , aussi nettement limitées, c'est pourquoi l'on
ré des zones motrices (manie), sensitive (mélancolie), sensorielle ( état halluci- natoire), ou que son activité soit sus
oser l'organe surmené ou intoxiqué, afin de permettre le retour à l' état normal des mutations nutritives du neurone. Ajo
mal des mutations nutritives du neurone. Ajoutons que sous le nom d' états aigus d'aliénation, nous com- prenons à la fois
n rapide et de date récente (délire toxique, délire hallucinatoire, états maniaque et mélancolique) et les épisodes aigus
jours être fait après une séance d'hypnotisme. Il en est résulté un état mental particulier qui se manifeste par des phé
d'une hystérique très dégénérée qui s'auto-hypnotise, tombe dans un état de somnambulisme spontané, puis extériorise les
puis extériorise les rêves qui surgissent dans son esprit. Tous ces états ont pu être reproduits expérimentalement ; ils
a déclaré qu'un grand médium venait d'éclore. Mais actuellement son état est devenu insupportable et elle désire beaucou
dans les milieux qu'elle fréquente. SOCIÉTÉS SAVANTES. 517 7 Les états mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnot
-à-dire des enfants qui pour des raisons variables en arrivent à un état identique. C'est donc une erreur grossière de d
milieu familial : mais comme il est impossible de bouleverser notre état social pour mettre les jeunes Français dans des
ressa de le dépendre et de lui prodi- guer les soins nécessaires. L' état de Pinson ne présente aucune in- quiétude. (Le
ral et méningite aiguë, par Klippel, 514. Abstinence. Essai sur l' état mental clans l' -, par Lassignardie, 167. ACR
. Dédoublement. Les phénomènes de la distraction cérébrale et les états dits de de la personnalité, par Laupts, 139.
par Looft, 73. Distraction. Les phénomènes de la cérébrale et les états dits de dédoublement de la personnalité, par
tises à propos de l'examen - du meurtrier C... et rapport sur son état mental, par Garnier, 137. Consultation au suj
ns d'esprit et chez les aliénés, par Pilez. 142. D'un remarquable état de - pathologique, par llolzinger, 314. Sous-
44 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rdit complètement connaissance, et resta environ une heure dans cet état . A son entrée, nous constatons un peu de renver
Les accidents de la veille ont disparu, le malade est revenu à son état antérieur ; il y a cependant plus de raideur da
ras ni aux jambes. Température du soir, 39°,la. 104° jour. - Même état . Dépôt purulent dans l'urine. Ce liquide, exami
i persiste longtemps. Température du soir, 40°,1. 121° jour. Même état , la douleur est très vive au creux épigastrique
ur. Le malade qui, depuis le dernier accès, n'était pas revenu à un état aussi calme qu'après les accès précédents, a ét
jonctif y sont plus épais ; ces travées conjonctives présentent un état grenu particulier qui n'existe pas dans les autre
semble au contraire faire de nou- veaux progrès. Voici quel est son état actuel : les contractions spasmodiques sont con
ut de la langue quand elle ne peut plus la maîtriser. Du reste, l' état général de sa santé parait se ressentir fortement
s n'aient pas notablement souffert. L'influence de la maladie sur l' état du moral est encore plus sensiblement marquée e
iers se dessinaient de plus en plus. A cette époque il présentait l' état suivant : dix-sept ans, grand, assez maigre, jo
lle il entra en correspondance régulière. A. partir de ce moment, l' état que nous avons décrit s'aggrava devant les entr
endu à sa famille le 1 Il juillet 1883. Il revint au Havre dans cet état , éprouvant un chagrin tel qu'à plusieurs repris
iblement, ces phénomènes portés à leur acmé s'amendèrent et voici l' état dans lequel nous trouvons S... le 15 juillet 18
l nous trouvons S... le 15 juillet 1885., au Havre dans sa famille, état dont nous complétons l'exposé au moyen des docu
ioration soit considérable il n'a encore pu reprendre son emploi. L' état général est excel- lent ; l'intelligence nette
eut, dit-elle, une grossesse ordinaire, mais qui s'accompagna d'un état mental particulier, causé par le désir de régul
sa maladie, et qui passe son temps à lire des récits de voyages. L' état général est satisfai- sant, l'intelligence vive
frappé. Il s'ennuie beaucoup et voudrait bien retourner au Havre. L' état général est toujours très satis- faisant. Ajout
ué qu'un bruit soudain, une surprise exagérassent momentanément son état ; il n'a jamais éprouvé le besoin irrésistible d
e à la Salpêtrière prendre un bain d'électricité statique, mais son état ne semble pas s'améliorer, car au 24 juillet, d
tation chez M. Charcot, qui confirme le diagnostic. Etant donné l' état relativement favorable du sujet, qui n'a plus que
nt empruntés au vocabulaire le plus grossier, le plus ordurier. Cet état a persisté à peu près sans modifications jusqu'
fille de dix-sept ans, épileptique depuis huit ans. Les crises, à l' état de vertiges pendant un an, ont ensuite pris le
convul- sions s'est amendée aussi d'une manière très notable, et l' état général s'est sensiblement amélioré. Ainsi l'ap
té nettement rachitique et scrofuleuse et ce n'est qu'alors que son état s'améliore de plus en plus. Dans la suite, une
eurs, l'auteur arrive aux conclusions suivantes : ' Io Les divers états que l'on comprend sous le nom d'hystérie représ
perémie est secondaire ; c'est l'hyperémie de tous les or- ganes en état de suractivité. En résumé, pour M. Wigtesworth,
a montré à la vérité que les hallucinations sont compatibles avec l' état de raison ; mais si quelques personnes ont pu a
ES LES CIRCONSTANCES ENVIRONNANTES LORS- QU'IL s'agit d'apprécier l' état mental d'un I\L1D1. ; par SAMUEL Wilks. (Journa
tenants et aboutis- sants d'un malade avant de se prononcer sur son état mental. En effet, « le vrai peut quelquefois n'
ignement sur les causes qui avaient pu réduire son mari à ce triste état . Quelque temps après, un parent du malade alla
ras gauche, et existant à peine à la jambe gauche; elle est dans un état de semi-inconscience et parait avoir une sorte
la faiblesse à gauche est alors marquée. Depuis cette époque, même état qu'avant J'attaque peut-être avec une très légè
ue ou répétée, ou même parfois à l'aide d'influences mécaniques, uu état de mal épileptique qui, tantôt se calme spontan
pei-ilieriiiie de un à deux dixièmes de degré. C. On aurait, dans l' état ^le mal, noté 44o l'; le thermomètre monterait en
à 34° S', on n'entrave ni l'excitabilité corticale, ni la genèse de l' état de mal; 14" L'anémie n'a d'influence sédative s
xyène dans le sang fait disparaitre les pauses mterconvulsives de l' état de mal; les pupilles deviennent étroites; 15- La
tère tonique; 17o L'extirpation de la zone corticale motrice dans l' état domalépileptique réduit au silence les convulsion
semblable; elle augmente simple- ment l'excitabilité des muscles en état de catalepsie expérimentale. P. K. IV. Contri
r a l'inconvénient de faire tomber facilement l'orga- nisme dans un état de prostration plus ou moins profonde, ce qui n
période de moins de quinze jours, j'ai été commis, pour constater l' état mental de trois aliénés, à la suite de tentativ
gé sur l'asile Sainte-Anne. Quand il y arrive, S... est dans un tel état de dépression qu'on ne peut réveiller SOCIÉTÉS
lors se demande si cet homme n'est pas un et s'il n'est pas dans un état de stuleurconsécutice à une crise comitiale. Une
nt plusieurs jours permet d'écarter cette opinion; S... sort de cet état , les souvenirs redeviennent nets, précis, et il n
qu'on avait crus sans importance, et, d'un seul coup, se révèle un état pathologique, ancien, profond, irrémédiable. Te
aintenant un second fait non moins intéressant que le précédent : l' état mental de l'individu dont il s'agit avait passé
s, j'étais commis par le procureur de la République pour examiner l' état mental d'un nommé ))..., inculpe de tentative '
forte, un constant besoin d'air (le thorax présente en permanence l' état d'inspiration); cette dyspnée s'exaspère au max
larynx comme étant le siège d'un obstacle. Elle ne peut parler. Cet état dure toute la nuit tel quel. On a recours, non
M. JoLLY (de Strasbourg). Sur la paralysie Ce nom s'applique à des états dans lesquels les muscles de la parole. de la d
rveau dans lequel les altérations macroscopiques consis- tent on un état trouble avecépaississemenl delà pie-mère, accom-
évident dans l'accrois- cement : elle peut, aux divers stades de l' état embryonnaire, pro- (Iiiii-c en I)ieii de; ot ?
xe des muscles du squelette d'un homme normal peut se présenter à l' état de contrac- tion minima, et que c'est à peine s
lade se frappe'aux murs, gémit, supplie son mari de la tuer : à cet état succède une période de sopor. Elle entre à la C
asse; l'encéphale a manifesté sa souffrance par les céphalalgies, l' état maniaque et la stupeur. Puis, il s'est accoutum
bunal, les uns attestant la simulation tandis que M. Zinn affirme l' état de maladie : de là désordre dans l'esprit des j
l'élégant salon de conversation était aux mains des divers corps d' état du bâtiment, le professeur Muguenin de Zurich é
qui résultent d'un épuise- ment somatique. M. 0. Millier ajoute les états de dépression psy- chique au début (mélancolie
e légères), tandis qu'il ne saurait y avoir qu'aggravation pour les états d'excitation ac- compagnés de manifestattons ir
s irrésistibles, d'angoisse, d'halluci- nations, ainsi que pour les états en rapport avec des pertes de substance (paraly
t sou traitement là-bas. M. ICNt : ctlr. Longue durée insolite d'un état d'o6tattLilution psy- chique de nature épilepti
lance attentive et des soins assidus aboutissent au relèvement de l' état général; avec lui se montre une période d'accal
culaire; elles disparaissent au stade de parfait dévelop- pement, d' état , pour revenir au stade de repos ou de dépression
'éviter ces tortures. Aucun des assistants n'a observé de pareils états pathologiques. Bien des fois ils ont vu des mél
tes ou commençantes qui permettent un traitement au logis, sont des états de dépression simples se traduisant par une mau
(pouls accéléré, dur, tendu, dicrote). Le regard reflète ces divers états . La parole paresseuse, traînante, peut être égale
des intervalles lucides plus ou moins longs avec conscience de leur état . L'héré- dité occupe dans l'espèce une large pl
et doit être imposée lorsque le malade n'a plus conscience de son état de maladie. Les narcotiques doivent, avant tout,
e collapsus avec diarritéeprofuse, douleurs vagues, empirement de l' état psychique. L'opium agit au début sur l'appareil
siège nosofogiquo à l'affection les ganglions spermatiques, dont l' état de souffrance agit de la même manière que celui d
et l'histologie générales, de mettre sous les yeux des étudiants l' état actuel de nos connaissances relatives à la dispos
es étaient faits les examens stéréognos- tiques : 1" influence de l' état de mouvement des corps sur la fa- cilité à les
du mouvement des jointures, sens d'orientation); 3° influence de l' état de l'intelligence (jeunes enfants, maladies du
. 0[tscH.sKY.(Cttarkoii', 1884.) L'auteur nous fait ressortir que l' état de la fatigue des muscles et des nerfs soumis à
physiologie expérimentale) ne peut pas être considéré comme tel. L' état produit par cette irritation ne serait donc pas
at produit par cette irritation ne serait donc pas assimilable à« l' état de ta fatigue » produit par une « innervation»
amométriques des muscles « fatigués », elles ne nous montrent pas l' état propre aux muscles isolés, puisque le système n
scles et nerfs en question pourrait seulement nous renseigner sur l' état delà fatigue. Prenant comme point de départ de se
ts obtenus par ses expériences le font considérer comme propre à un état des muscles mais pas comme réflexe nerveux. ' F
. A défaut d'examen direct, ces lésions seraient révélées par les états variables de la langue, par la présence dans les
ué Y TusET. (Barce- lone, 1884). Recherches dynamomélriques sur l' état des forces chez les hémiplé- giques ; par Drcaa
ce, ni des dents. En somme, on peut dire que ce qui domine dans son état général, ce sont les caractères à' infantilisme
concierge dans une maison très importante; il est mieux nourri, son état général est meilleur. Les circonstances ont m
est meilleur. Les circonstances ont montré du reste la valeur de l' état général, du repos et de la bonne alimentation.
, t. 1(, p. 264. Nous ajouterons que cet auteur dit en parlant de l' état physique et des faits et gestes de t'enta).t,« «t
rnée sera plus mauvaise qu'à l'ordinaire : ils se sentent dans un état tout spécial, ils éprouvent, disent-ils, un éne
eparurent avec leur violence ordinaire qu'après la disparition de l' état fébrile. Indépendamment de ces étals fébriles,
riode. Il nous faut encore, avant de passer outre, insister sur l' état physique et moral du sujet, état qui ne variera
nt de passer outre, insister sur l'état physique et moral du sujet, état qui ne variera pas du reste dans les périodes u
érieures. Disons-le de suite, pendant toute cette première étape, l' état phy- sique du sujet est aussi satisfaisant que
a marche lorsqu'elle siège dans les membres inférieurs. Quant à l' état mental, il est parfaitement régulier et normal
ppellent ceux des aliénés ; ils ont parfaitement conscience de leur état ; la plupart sont fort intelligents. Quant à l'
science de leur état ; la plupart sont fort intelligents. Quant à l' état moral, il est va- riable suivant l'âge de l'ind
l'instar de personnes plus âgées, s'affliger outre mesure de leur état : ils prennent des habitudes de paresse si chères
Obs 11) : « S... est dans la cour de la Salpêtrière, en proie à son état habituel ; il est agité par ses contorsions var
d'une convulsion et chez des personnes que leur édu- cation et leur état mental sembleraient devoir mettre à l'abri de p
spéciale (Obs. II). . DE L INCOORDINATION MOTRICE. 185 Quant à l' état physique, moral et mental des malades, lorsque
auf bien entendu à tenir compte des inconvénients que peut créer un état aussi anormal. §111. La marche de cette affec
caractère tout spécial , celui de ! 'oee/7e (col)ï,o- lalie); 4° l' état physique et mental des sujets est en pleine int
quilles et soucieux de leur dignité : ils sont intelligents. » Leur état physique est satisfai- sant : l'affection sembl
u gestes de ceux qui les entourent, tout en paraissant jouir d'un état mental parfaitement régulier dans l'intervalle de
rt par la race juive ? M. O'Brien a observé en Malaisie, mais cet état , fréquent chez les Malais, l'est éga- lement ch
ré à d'autres actes de même nature, le sauteur revient aussitôt à l' état normal. Son explosion, comme celle du revolver,
guère confondre les deux affections que lorsque la chorée passe à l' état chronique, puisque celle que nous avons décrite
notisme, le sujet peut être échola- lique, mais quelle différence d' état ! et même, si cette écholalie persiste par sugg
llucitzn- tions et accès de manie avant et après les accès. Séries; états de mal. - Affaiblissement intellectuel. Pliimos
t ivre que tous les enfants ont été conçus ; c'est surtout dans cet état qu'il avait des rapports sexuels. Grossesse acc
ite; muqueuse du pharynx assez rouge; langue large. Gencives en bon état . Organes génitaux : la verge est relativement l
ent dilatées, la langue est entre les dents, il y a de l'écume. Cet état dure en- viron 4 minutes, puis le ttcrlor cesse
" juin. Hier, à trois heures de l'après-midi, Cr... a été pris d'un état de mal; à 8 heures, il avait eu 20 accès et 10 ve
it eu 20 accès et 10 vertiges. A 8 heures du soir, il était dans un état comateux. T. A. 39°, 8. Ce matin , il est- asse
lus calme. - 46 avril. Il est revenu aujourd'hui complètement à son état normal. : .t9 tnui. - Daus la uuit, I accès; T. 1
l9 nouetnbz·c. -C... est complètement revenu à lui et a repris son état normal.'l'. li. 38°, ? . - Soir : 1'. 11. 3S°.
Les accès se montrent par séries. Nous avons même noté un véritable état de mal. Ils ont été plus nombreux en 1883, et l
thèse. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX .1 L' ÉTAT PHYSIOLOGIQUE El" l'ATIOLOGIQUI : . Parle D 1.
mme ma- lade, il faut connaître la nutrition du système nerveux à l' état physiologique. Ce n'est qu'en comparant l'état
système nerveux à l'état physiologique. Ce n'est qu'en comparant l' état de maladie à l'état dû santé qu'on peut dire qu
tat physiologique. Ce n'est qu'en comparant l'état de maladie à l' état dû santé qu'on peut dire que dans tel cas il y a
n travail ayant pour but d'étudier la nutrition de ce système -il l' état physiolo- gique. Dans l'état actuel de la sci
e eu cet acide, c est même le seul où l'on rencontre ce dernier à l' état libre. Si donc, faute de données chimiques suff
s y existe soit sous tormedeseis.'soitHntt tiès laible quantité à l' état Lbte. Longtemps la présence dans les urines de
èlre DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 2 : ! 5 relativement à l' état de repos ou à l'état de santé ; et, on le sait,
N DU SYSTÈME NERVEUX. 2 : ! 5 relativement à l'état de repos ou à l' état de santé ; et, on le sait, la chimie nous fourn
nous sommes arrivé relativement à la nutrition de ce système à l' état physiologique et pathologique. Pour cela nous inv
utrition du système nerveux n'a pas encore été laite. Dans certains états nerveux ou à la suite de l'administration de médi
tion de l'excrétion du phosphore incomplètement oxydé dans certains états nerveux ne. suppose pas néces- sairement un gra
eux parties consacrées, l'une à la nutrition du système nerveux à l' état physiologique; l'autre à la nutrition de ce sys
ux à l'état physiologique; l'autre à la nutrition de ce système à l' état pathologique, dans l'aliénation mentale, l'épil
'épilepsie et l'hystérie. 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A L' ÉTAT PHYSIOLOGIQUE. Historique. Les recherches r
ent l'élimination de l'acide phosphorique chez un individu sain à l' état de repos et chez ce même individu soumis à un t
U h;rr divers. 4 13yassun.-Lsscti sur la relation qui existe il l' état physiologique entre l'activité cérébrale et la
, était défectueux, et cela non seulement parce qu'il produisait un état de répugnance tel que Byasson, ainsi qu'il le d
étudié comparativement cette élimination chez un même individu à l' état de repos et à l'état de travail intellectuel. P
nt cette élimination chez un même individu à l'état de repos et à l' état de travail intellectuel. Pendant un certain nom
se produisent dans l'élimination de l'acide phosphorique, pendant l' état d'activité cérébrale, attribuer ces modificatio
le travail intellectuel, l'individu en expérience soit, pendant l' état de repos et pendant l'état de travail, dans des c
l'individu en expérience soit, pendant l'état de repos et pendant l' état de travail, dans des conditions biologiques abs
ce sujet (loc. ca't., p. 100), l'exemple suivant : Un individu à l' état de repos, soumis à un régime mixte tou- jours l
on de l'acide phosphorique et de l'azote, alors que nous étions à l' état de repos, nous nous sommes ensuite soumis penda
nsécutifs l'éli- mination de l'acide phosphorique et de l'azote à l' état de repos, nous avons étudié pendant trois autre
encore comparativement l'élimi- nation de l'acide phosphorique à l' état de repos et à l'état de travail intellectuel.
nt l'élimi- nation de l'acide phosphorique à l'état de repos et à l' état de travail intellectuel. 1'uL ? u III. Influe
est resté le même sous l'influence de l'activité céré- brale qu'à l' état de repos. Consécutivement aux modifications pro
ous avons expérimenté étaient placés, nous l'avons dit, pendant les états de repos et de tra- vail intellectuels dans des
RVEUSE. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 253 En faisant la part de l' état de l'appareil oculaire et de ses milieux, l'aut
striées ont simplement diminué de volume; peu d'entre elles sont en état de dégénéres- cence parenchymateuse. Comme, cin
stât : mais les facultés et les fonctions étaient en rapport avec l' état ru- dimentaire du développement histologique. L
n, s'addi- tionnent et placent les organes nerveux centraux dans un état d'irritation croissante. Une longue action de c
e la sensibilité à la douleur dans les mêmes régions. Longtemps cet état persiste à peu près tel quel. En juillet 1880 s
P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XIII. De la conscience dans LES états connus sous LE nom d'états d'inconscience; par
MENTALE XIII. De la conscience dans LES états connus sous LE nom d' états d'inconscience; par A. PicK (Arc7a. f. Psych.,
assertions de Gnauck, d'après lesquelles il y a, dans l'espèce, un état anormal de la conscience analogue à celui du rê
essaie l'explication d'une pathogénie somatique. Ainsi, il est des états 1 Voy. Archives de Neurologie. Revues analytiqu
te une conscience avec amnésie, une conscience sans amnésie, et des états intermé- diaires de la connaissance. Ces partic
insuffisance soit moindre que dans l'idiotie. Il étudie ensuite l' état mental des imbéciles au point de vue de leur ca
uïe (le malade voit martyriser des animaux et les entend crier), un état de dépres- sion profonde accompagné de désordre
e la motilité. Relations homologues entre les réflexes cutanés et l' état de la sensibilité, c'est-à-dire que le réflexe cu
e choc du ventre musculaire même ne produit jamais, quel que soit l' état d'hyperexcitabilité mécanique de ce dernier, des
ire; il suffit, pour s'en convaincre, de contrôler les allures de l' état somatique et de l'état psychique. 9'' Ce refus
en convaincre, de contrôler les allures de l'état somatique et de l' état psychique. 9'' Ce refus résulte, dans la plupar
es stcechiologiques de ces patients. Il n'est donc qu'un symptôme d' états morbides de l'économie. 30 Aussi l'organisme de
riquu après lésion cephatique. Les premières sont de préférence des états d'exaltation ; les secondes se traduisent presque
altation ; les secondes se traduisent presque aussi souvent par des états de dépression. 6o Le pronostic est dans les psych
ar la rétention de produits destinés à être éliminés. Dans tous ces états , la séni- lité précoce est fréquente et les tro
formes mélancoliques, hypocondriaques, anxieuses ou panophobiques; état conscient des malades, sauf dans certains cas d
igner et tous eussent préféré une maladie comme explication de leur état . Ces sujets nous ont paru se rattacher aux form
faire fortune, soit de conquérir des lionneurs, soit de réformer l' état politique, social et moral de leur époque ou de l
ieuses, ou panophohiqnes de la folie; il = peuvent consister dans l' état d'affaiblissement intellectuel ; 4° Ces trouble
e de cette destruction, quand elle vient à disparaître de ces mêmes états et espèces; cette incapacité d'adaptation appar
re, il constate un soulagement de courte durée, dans la seconde l' état du malade empire. Elongations du nerf Trijumeau
résultat d'un simple ébran- lement de la colonne vertébrale, dans l' état d'intégrité parfaite des os et de la dure-mère
se termine par la mort. Elle éclate brus- quement avec violence, un état fébrile des plus accen- tués et amène tous les
s devons dire cependant ici, que l'observation ne mentionnant pas l' état antérieur de la contracture très prononcée des
forme de myélites systématiques; 4° La commotion peut exister à l' état latent et ne se révéler que par des troubles se
édominant à gauche. De quatre ans et demi ci sept ans, dix ci douze états de mal convulsifs. A sept ans, nouvelles convul
dant. Alliétose. Modifications de l'intelligence. A dix ans, nouvel état de mal : nouvelle din21 ? zutio ? z de l'intelli-
torze mois, il ne se tenait pas sur les jambes; il était en mauvais état ; la nourrice était devenue enceinte; il fut alo
la droite ainsi que l'avant-bras correspondant; elle présente un état qui se rapproche de l'alhélose; lorsqu'elle est a
er les doigts dans la demi-flexion, ils reviennent d'eux- mêmes à l' état précédent; mais si on les place dans la flexion
n- servé son aspect normal, l'autre est très atrophiée, réduite à l' état membraneux. Tout le pli courbe est très atrophi
état membraneux. Tout le pli courbe est très atrophié et réduit à l' état membraneux, ainsi que la partie postérieure du
ents nombreux. b) De quatre à douze ans, Lef... a eu une douzaine d' états de mal convulsif, débutant le matin vers quatre
pt ans, sans prodromes, ainsi que c'est à peu près la règle, nouvel état de mal plus long que les précédents, dans leque
faiblie par ces convul- sions. Elle diminua encore après un dernier état de mal sur- venu à dix ans. La situation intell
expliqué ni par des condi- tions extérieures défavorables, ni par l' état physique des malades, la plupart des auteurs on
s grossesses et les couches furent normales et sans influence sur l' état mental de la malade. - Mais elle ne fut pas heu
Elle fut conduite delà gare à l'établissement, camisolée, dans un état d'exaltation extrême. DE L1 TEMPÉRATURE D\NS LE
ger prétexte pour provoquer un violent accès de colère. Tel était l' état de la malade à son arrivée à l'asile. Elle mangea
yés. 358 RECUEIL DE FAITS. ' 34 mars. Assez faible physiquement : état d'excitation comme la veille. Bon sommeil. La t
mmeil sont meilleurs; une amélioration sensible se produit dans son état physique et psy- chique. Avril. 1-3. L'appéti
à 38° C'. Cet abaissement thermique est d'autant plus notable que l' état général de Mmo W... ne ressemblait guère à 1 Ji
e, la température est tombée plusieurs fois à 34°, 4 C., sans que l' état général du malade ait été sensiblement modifié.
ssertion. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A l' état physiologique LT pathologique3. Par le D' A. MA
PATHOLOGIQUE Nos recherches sur la nutrition du système nerveux à l' état pathologique ont porté sur trois groupes de mal
REVUE CRITIQUE. ditions déterminées, en soumettant un individu à l' état de repos, à une alimentation toujours la même e
élimination de l'acide phosphorique chez l'aliéné, relativement à l' état sain, mais de cette élimination dans deux pério
tion de ce problème d'une autre manière. Supposons un individu en état de santé vivant constamment dans le même milieu
urs périodes alimentaires dix individus sains, vivant à l'asile à l' état de repos et mangeant le régime ordi- naire de l
iode alimentaire chez dix individus sains, vivant ci l'asile et à l' état de repos 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX.
et minima au-dessus et au-dessous des- quels on puisse dire qu'à l' état pathologique, lorsque le malade observé est pla
une alimentation régulière. Par conséquent, pour pouvoir comparer l' état pathologique à l'état physiologique au point de
ière. Par conséquent, pour pouvoir comparer l'état pathologique à l' état physiologique au point de vue de l'élimination
e, qu'à comparer chez lui l'élimination de l'acide phosphorique à l' état de santé et à l'état de maladie. . Interprétati
lui l'élimination de l'acide phosphorique à l'état de santé et à l' état de maladie. . Interprétation des modifications
ueillir toute l'urine rendue dans les vingt-quatre heures, et que l' état des malades réclame une alimentation et un trai
limentaire) ren- dait en moyenne par vingt-quatre heures : 1» A l' état de guérison : ' Azote, 22,58 ; acide phosphoriq
ant un accès d'agitation, alors que la maladie était à sa période d' état et l'intelligence du malade très embrouillée :
sphorique rendu par vingt-quatre heures est augmenté. Tandis qu'à l' état sain, ce chiffre est de 1 gr. 85, il atteint al
é différente sur chacun d'eux suivant les cas. Pendant la période d' état de la maladie, alors que les troubles cérébraux
V. J..., 42 p. 100 et 69 p. 100 au lieu de 35 p. 100 qu'il est à l' état normal. Pendant les périodes de déclin de la ma
phates alcalins tombe à 30 p. 100 au lieu de 35 p. 100. Pendant l' état de dépression, alors que, à part l'agitation, l
terres, 0,64; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,38. Car..., à l' état de calme, rend par vingt-quatre heures : Azote,
acide phosphorique uni aux alcalis, 0,91. 1. Sous l'influence d'un état d'agitation, il rend : Azote, ? 41; acide phosp
6 ; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,60. Sous l'influence d'un état de dépression, ce même malade rend : Azote, 1
ination de l'acide phosphorique et de l'azote. A ce point de vue, l' état maniaque peut être divisé en quatre périodes :
nt superficiels. Dans le premier cas, qui correspond à la période d' état de la maladie, l'agitation produit les modifica
cides que sur le second; de sorte que les rapports qui existent à l' état physiologique entre les phos- phates neutres et
ports qui existent entre ces deux acides sont diminués. Pendant l' état de dépression, état généralement passager, prél
ntre ces deux acides sont diminués. Pendant l'état de dépression, état généralement passager, prélude d'un nouvel accè
ni aux alcalis. Pour rendre plus saillantes les modifications que l' état ma- niaque imprime à l'élimination de l'azote e
ons dans le tableau suivant : Tableau VIII. Influence exercée par l' état maniaque sur l'élimi- nation de l'azote et de l
iodes de dépression, tandis que cet acide est diminué pendant les états de rémission et de convalescence. Le fait de l'au
tion. Et si on remarque, d'une part, que c'est dans la période d' état , alors que les troubles cérébraux sont le plus in
, alors que les troubles cérébraux sont moins marqués que pendant l' état de dépression, on est obligé de rattacher à ces
sein de la substance nerveuse. En effet, elle n'existe plus dans l' état de dépression, alors que ces échanges sont cepe
ote et de l'acide phospho- rique pendant l'agitation des périodes d' état et des périodes de déclin de la manie, on retro
arrive sous l'influence du travail musculaire; dans les périodes d' état , au contraire, alors cepen- dant que le système
sement de la nutri- tion générale. Par suite, nous pouvons dire : l' état de délmes- sion maniaque retentit sur la nutrit
forme d'aliénation mentale. Nous pouvons, considérant seulement les états d'agitation et de dépression, résumer comme sui
., l'élimination de l'azote et de l'acide phosphorique diffère de l' état normal par les trois points suivants : a) Dim
encore, pour rendre plus précis les résultats qui précèdent, que l' état mental de Gib... restant le même, nous avons ex
ésultats trop peu précis pour nouspermettre, en nous basant sur ces états morbides, de nous rendre compte des rapports qu
ont peu influencés et peuvent même être di- minués relativement à l' état ordinaire. Notons encore que Lépine et Jacquin
e l'acide phosphorique dans l'épilepsie a porté sur des malades à l' état de repos, vivant à l'asile, soumis au régime or
n dehors des attaques, l'influence des attaques, et enfin pendant l' état de mal épileptique. Dans ces divers cas, nos re
par vingt-quatre heures pendant les jours où cet individu est à son état ordinaire, ades attaques, ou bien est dans sa p
un ans, épileptique, rend en moyenne par vingt-quatre heures. A l' état ordinaire : Azote, 16,54 ; acide phosphorique t
ans, épileptique, rend en moyenne par vingt- quatre heures : A l' état ordinaire : Azote, 17,47; acide phosphorique to
dément épileptique, rend en moyenne par vingt-quatre heures : A l' état ordinaire : Azote, 15,33; acide phosphorique to
vons dire : A. Sous l'influence des attaques et comparativement à l' état ordinaire : 1° L'azote rendupar vingt-quatre
° L'acide phosphorique total est augmenté. B. Sous l'influence de l' état de mal épileptique : 10 L'azote rendu par vingt
ue nous avons obtenus chez les épileptiques qui précèdent pendant l' état or- dinaire, c'est-à-dire en dehors des attaque
ant l'état or- dinaire, c'est-à-dire en dehors des attaques et de l' état de mal épileptique, avec les résultats que nous
tats que nous afournisThomme sain en général, on voit que pendant l' état ordinaire, l'élimination de l'azote et de l'aci
es modifications produites par les attaques d'é- Epilepsie et par l' état de mal épileptique sur l'élimination de l'acide
du système nerveux les phosphates terreux éli- minés en plus qu'à l' état ordinaire sous l'influence des attaques d'épile
t pas en dehors des attaques, sous l'influence des vertiges et de l' état de mal épileptique, c'est ailleurs que dans le
nce ner- veuse. B. Etal de mal épileptique. Sous l'influence de l' état de mal épileptique, l'azote, l'acide phosphoriq
s, de sorte que les rapports qui existent entre ces substances et l' état ordinaire ne sont pas ou très peu modifiés. Par
s- phorique : 1° Dans l'épilepsie, en dehors des attaques et de l' état de mal épileptique, l'élimination de l'azote et
sphorique par les urines n'est pas modifiée; 2° Les attaques et l' état de mal épileptique augmentent l'éli- mination d
te revue consacrée à l'étude de la nutrition du système nerveux à l' état physiologique et pathologique, nous avons dû, p
à cette manière de voir et professa à la charité de Berlin que ces états morbides pou- vaient surgir d'emblée (de là le
er, n'admettent pas du tout qu'un délire systématisé puisse être un état secondaire. 392 .REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ,
réelle de la couleur. Si, par exemple, on présente à une malade en état de suggestion une feuille de papier divisée en
s, l'affaiblissement intellectuel prématuré est la conséquence d'un état pathologique déterminé et non de la sénilité. I
e cérébrale antérieure; c'est une influence psychique, comme dans l' état normal, qui agit sur le centre génito-spinal ;
n plus accentuée, que nous ne l'avons trouvée dans la brochure, à l' état d'Inisdea dans la journée du 13 avril. 11 est c
on trouve presque continuellement dans la démence paralytique à son état de parfait développement et, cliniquement, para
u qu'après une longue observation préalable permettant d'affirmer l' état 1 Voy. Archives de Neurologie, t. V, p. 125 et
ui unit le malade à l'éta- blissement. On s'inquiète notamment de l' état sanitaire de la maison du nourricier; une seule
i concerne le lobe temporal opposé, toute la pointe était dans un état d'hypérémie extrême. Confirmation orale de M. ScB
nèse par la moelle, et de songer à l'existence, dans l'espèce, d'un état d'excitation chronique des noyaux moteurs des c
rmaux. Intégrité psychique, à part un certain degré d'euphorie. Bon état général. Absence de phénomènes paralytiques, si
âne, les méninges, le cerveau, les muscles de la tête et du cou, un état d'hyperémie très prononcé, avec hémorrhagies ca
utre, qui, depuis trois mois, n'a pas subi de rotation, présente un état prononcé de démence, avec parésie des quatre ex
lasie vascu- laire) ; en un mot, il y a concordance complète avec l' état habituel de l'écorce des aliénés paralytiques g
ien des cas, une émotion de l'âme les a précédées, mais souvent ces états sont consécutifs. Les expres- sions d'imprégnat
nastique, les accès diminuent de fréquence. Lorsqu'il s'agit d'un état habituel 3')aypocoztdrie, il faut suivre le goû
ouvelle Société a pour but l'élude des phé- nomènes psychiques, à l' état normal et à l'état pathologique, d'après la mét
our but l'élude des phé- nomènes psychiques, à l'état normal et à l' état pathologique, d'après la méthode d'observation
ité philosophique et physiologique de l'hérédité naturelle dans les états de santé et de maladie du système nerveux (2 vol.
ori- gine bulbaire), par Semmola, 433. Conscience (de la dans les états connus sous le nom d'état d'in- conscience),
mmola, 433. Conscience (de la dans les états connus sous le nom d' état d'in- conscience), par Pick, 261. Congrès des
és pendant l'abstinence), 106. Nutrition du système nerveux à l' état normal et n l'état pathologi- que, par llairet,
ence), 106. Nutrition du système nerveux à l'état normal et n l' état pathologi- que, par llairet, 231, 360. Z comm
45 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sque le 20 il tomba brusquement dans le coma. Behr le trouve dans l' état suivant : face pâle, yeux fixes, carphologie, f
cilement pris pour une méningite, si on n'avait été renseigné par l' état du tes- ticule. On trouve de même dans la thèse
uve de même dans la thèse de Lemar- chand', un cas de Laveran, où l' état général était si grave qu'on hésitait entre une
us aurons à revenir sur ce point, qu'il existe dans les deux cas un état inflammatoire des méninges, mais dans le premie
ment, voit le malade quelques ins- tants après et le trouve dans un état de stupeur voisin du coma. Toutefois, en l'exci
u'à rendre des sons inintelligibles; il retombe rapidement dans son état primitif d'assoupissement. Le corps est dans la
Sulfate de soude, dix sangsues aux apophyses mastoïdes. Le 30, l' état est le même mais un peu amélioré; la paralysie
abaisse, 38°,5 le matin, 38°,7 le soir. Pendant quelques jours, l' état se maintient stationnaire et il faut arriver au
de s'appuyer sur sa béquille ou sur sa canne; il se fatigue vite. L' état général est excellent. A la date du ler avril 1
mentent d'intensité pendant cinq ou six jours, restent dans le même état pendant une huitaine de jours, puis diminuent.
nt fermé, en même temps que les douleurs cessaient entièrement; cet état dura quelques semaines, puis peu à peu de léger
mâle ; la langue se tire bien droite ; il marcheparfaitement, pas d' état vertigineux. Les viscères, notamment l'estomac, n
ont subi la dégé- nération graisseuse. L'examen microscopique, à l' état frais, des granulations montre un nombre assez
cause, fuir la maison paternelle) ; en 1871, un jour qu'il était en état d'ivresse, il a fait une chute sur la tête, laq
n aborde l'examen plus INVERSION DU SENS GÉNITAL. 43 général de l' état mental habituel à ces prétendus mo- nomanes, on
nomanes, on remarque que celui-ci est loin d'être simple. Outre un état de déséquilibration bien carac- téristique qui
t la vie des membres de la famille. Certains n'ont présenté que l' état desimpicdéséquiiibration, sans que jamais vienn
retrouver la trace, mais peut-on dire que l'on connaît exactement l' état mental d'individus avec qui l'on n'a 44 RECUEIL
ants dans la vie intellectuelle des membres d'une même famille. Cet état mental qui se transmet, cet ensemble de syndrom
il était en érection pendant des heures entières. Sa mère, que cet état inquiétait, se relevait souvent, et constatait
inquiétait, se relevait souvent, et constatait chaque fois le même état d'érection. Il n'a jamais pu être guéri de ces
ces syndromes et dans l'espèce, ils sont bien caractéristiques de l' état mental que notre malade tient de ses ascendants
puis la publication de notre Traité du diabète, où nous exposions l' état de la science sur cette question, l'histoire de
cerveau, c'est sortir de la question; le diabétique, en raison de l' état de ses vaisseaux, est exposé, tout comme un aut
bral, que signifient des lésions aussi disparates pour expliquer un état symptomatique qui a son autonomie et sa caracté
n, de Kratschmer, de Paschutin, d'Abeles lui-même, le cerveau à l' état normal ne contient pas de glycogène. Chez deux au
ec le coma diabétique ? Cliniquement, de l'aveu général, ces deux états ne présentent pas une analogie qui autorise la co
. l'urémie ? Et lorsque le clinicien fait la différence des deux' états , comment admettre que le pathogéniste fasse la co
oment donné, aboutit à une véritable insuffisance cardiaque et à un état syncopal rapidement mortel. Frerichs admet auss
DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 55 organes. Voit et Hertz ont constaté cet état lipémiquedu sang dans deux autres cas de coma d
ier cas, les malades tombent progressivement ou brusquement dans un état de torpeur, de faiblesse générale, d'anéantisse
ransfor- mations successives a passé la matière pour se trouver à l' état d'acétone dans les tissus; il suffit au patholo
ie proprement dite. Comme l'acétonémie, ils se caractérisent par un état d'anéantissement et un coma terminal plus ou mo
us- quement d'une sensation de faiblesse extrême; rapidement, cet état de faiblesse devient tel que le malade ne peut se
somnolence, d'où il est, en général, facile de tirer le malade, un état de torpeur intellec- tuelle analogue à la torpe
laire. Les pupilles sont dilatées, mais sensibles à la lumière. Cet état ne mérite pas, en réalité, le nom de coma, mais
urine par jour, contenant 40 à 50 grammes de sucre par litre. Son état s'était sensiblement amélioré sous l'influence de
urinaire, car la dyspepsie n'est pas rare chez les diabétiques à l' état de complication accidentelle et sans aucune relat
u'une chose, c'est qu'on les laisse tranquilles. Puis survient un état de somnolence, une torpeur irrésis- tible ; on
s, progressivement ou brusquement, cette somnolence fait place à un état coma- TBOUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES
t pas la force de tenir les objets qu'elle essayait de prendre. Cet état persista quelque temps, s'aggravant ou s'amélio
jour à l'autre, jusqu'au moment où l'affais- sement fit place à un état comateux, accompagné de quelques mouvements con
ques de convulsions généralisées. Eu même temps que la gravité de l' état général s'accentuait, la quantité de sucre dimi
eurs semaines avant-d'amener le coma mortel. Ce qui domine, c'est l' état d'accablement, d'affaissement, commun à toutes
une irrita- bilité ou une vivacité anormale, plus habituellement un état de somnolence diurne avec sensation d'affaissem
ction et l'odeur acétonique disparaissent, et le malade reprend son état de santé antérieur. Mais, après une succession
albuminurie. Existe-t-il une con- nexion, un rapport entre ces deux états ? En tout cas, la con- nexion, est loin d'être
- ticulier ; quelques-uns cependant (biceps) sont souvent dans un état de rétraction très prononcé. Les contractions fib
es - La paralysie pseudo- hypertrophique s'accompagne toujours d'un état hypertrophique de quelques muscles; elle respec
n'est pour rien dans la pathogénie de l'affection. D'autre part, l' état général des sujets permet d'établir que le rhumat
nsorielle est, dans la plu- part des ras, directement parallèle à l' état psychique; dans certains cas, elle vient et s'e
epsie, l'alcoolisme, le nervosisme, la neurasthémie, la chorée, les états d'angoisses, le railway-spine. Les lésions céphal
gère : à la suite de l'attaque, quand l'attaque se com- plique d'un état de dépression ou d'excitabilité de la sphère affe
parole lente et embarrassée, paresse intellectuelle très prononcée, état habituel de somnolence : tels sont les autres s
nations avec excitation, qui forme une phase de transition ; dans l' état maniaque en effet (hypérémie cérébrale), les ne
nt à la concep- tion, à la connaissance du monde extérieur) et de l' état d'impres- sionnabilite irritalive des nerfs et
let 1883.) Dans ce travail, auquel de brèves considérations sur les états pathologiques qui sont associés à la folie chez
andes fonctions viscérales sont intactes. Pendant six semaines, son état ne change pas ; mais ensuite il s'aggrave ; ell
tétanique, et dont chacune dure de quatre à cinq minutes. Puis son état mental s'améliore un peu ; mais une escharre co
mais une escharre commence à se former au siège. Le 3 février, son état mental s'aggrave de nouveau ; en même temps ell
l'impuissance de travail et d'exécution psychique tient à un léger état d'épuisement psycho-somatique. La plupart de ce
nence d'alcool, il s'effectua une amélioration de la motililé, de l' état des muscles, voire des contractures M. Skixigmu
en commun avec de nombreux incurables agit défavorablement sur l' état psychique des aliénés curables; 50 parce que les
ce des conditions atmosphériques et en particulier de l'ozone sur l' état des névropathes chroniques. Depuis décembre 188
0 observations individuelles (neurasthénie, hystérie, hypochondrie, états d'excitation ou de faiblesse, maladies de coeur,
ent des troubles déjà perceptibles, surtout quand, en même temps, l' état hygros- copique s'éloigner de la moyenne; 4° un
traîne souvent des troubles tout a fait remar- quables du côté de l' état général ; une réascension rapide déter- mine so
excitabilité hysté- rique, les idées de persécution ; mais tous les états d'affaiblis- sement, d'affaissement purement ph
'ozone a prédominé pendant la nuit au dehors ? M. 1 r.ESCa. Sur l' état anatomique de la moelle épinière de deux microc
site, on la trouve toujours dans 1"étitt second, qui est devenu son état habituel. Les personnes qui n'ont pas l'habitud
illés qu'en condition normale. Un symptôme caractéris- tique de cet état , c'est qu'elle ne sait absolument pas avaler les
r les liquides et difficilement les solides. Au contraire, dans son état physiologique régulier ou condition première, l
lui fait. Elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant son état antérieur, son état second; de même que, durant
ucun souvenir de ce qui s'est passé pendant son état antérieur, son état second; de même que, durant ce dernier état, el
son état antérieur, son état second; de même que, durant ce dernier état , elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé
ier état, elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant son état premier. M. Verriest a, tour à tour, provoqué l
premier. M. Verriest a, tour à tour, provoqué l'apparition des deux états ; il a présenté d'abord cette malade dans son ex
tte malade dans son existence seconde, et l'a ramenée ensuite à son état normal. Pour cela, il suffit de lui commander d
rieurs; puis, la malade s'éveille en souriant et se trouve dans son état normal. Alors elle ne sait plusoù elle est; sa
s sont les personnes qui l'entourent, etc., et profite de ce nouvel état pour boire avide- ment plusieurs verres d'eau.
is peu, il est devenu possible de la faire entrer dans une espèce d' état tioisième en appuyant légèrement etrapidement s
ant légèrement etrapidement sur les globes oculaires : ce troisième état diffère essentiellement de l'hypnotisme par le
t de l'impos- sibilité de provoquer la moindre suggestion. Dans cet état , la paralysie de la jambe droite disparaît, mai
tition. Il est donc possible de faire passer cette malade par trois états de conscience distincte. Il est impossible, dan
oupçonnés d'aliénation mentale; B, à tout individu ayant commis, en état de folie reconnue un crime quelconque ; C, aux
iquement les malades et à les isoler selon les fluctuations de leur état mental. 11 a été construit pour une population
tention ne peut être fixée. L'intelligence est très' embrouillée. L' état physique est mauvais ; les narines sont fuligin
ues moments de calme, puis elle devient continue, et c'est dans cet état que B... est conduit à l'Asile. L'accès d'ali
tion du début diminue bientôt, disparait même pour faire place à un état d'affaissement très marqué. B... mange peu et c
d'une pendule. Cet homme mange aujourd'hui régulièrement, aussi l' état physique s'est-il amélioré; la sécheresse des lèv
demment considérable. B... se rend compte à certains moments de son état , et alors il se met à pleurer « parce qu'il est
de ce côté que de l'autre. Pendant les mois de mai et de juin, l' état mental de B... reste stationnaire. On constate
générale. Puis, les symptômes somatiques disparaissent et, àpart un état d'obnubilition intellectuelle plus con- sidérab
ement, les troublescérébraux s'atténuent et disparaissent; seul, un état de torpeur intellectuelle et somatique persiste
érison se maintient depuis quatre ans, et tout, depuis lors, dans l' état psychique de B..., semble indi- quer que l'alié
cas actuel aucune autre cause susceptible d'être incri- minée que l' état physique dans lequel était B..., au moment où a
lieu l'émotion morale, on arrive naturellement à se demander si cet état n'a pas joué un rôle dans le développement de l
de l'aliénation men- tale. B... était alors sous l'influence d'un état fébrile consécutif à un refroidissement, sous l
eu m'importe. Aussi, pour que nous puissions dire que, chez B..., l' état fébrile dont il était atteint a joué un rôle da
lus les mêmes raisons de doute que pour les troubles psychiques l' état fébrile sous l'influence duquel' était B... en ce
me temps à l'extérieur et à l'intérieur du crâne, donnant lieu à un état conges- tif et irritatif, qui a surtout porté s
issent en effet, la maladie revêt le caractère maniaque, et seul un état d'obnubilation intellectuelle plus considérable
uits, il était agité, bruyant et privé de sommeil. C'est dans cet état qu'il entra à l'hôpital. Au bout de quinze jour
tif, puisqu'un évacuant beaucoup plus doux avait si fort empiré son état . Neuf semaines passèrent ainsi dans un transpor
lumière sur le caractère exact du réflexe rotulien... Quel est l' état du réflexe rotulien dans un cas d'ataxie qui s'
arche encore beau- coup et vient à Paris à pied de Saint-Mandé. L' état s'aggrave progressivement et, en février 1882, il
vers cette époque que débute l'anesthésie. A partir de ce moment, l' état actuel s'est graduel- lement développé, comme n
cas, on a l'habitude et il est préférable de ne pas s'occuper de l' état de la rétine, c'est-à-dire de l'hémiopie et de
t-à-dire de l'hémiopie et de décrire l'hémianopsie, c'est-à- dire l' état du champ visuel déterminé par le campimètre ou
Les deux premières variétés sont exclusivement causées, d'après l' état actuel de nos connaissances, par une lésion du
s antérieur, postérieur ou latéraux. La dernière variété, d'après l' état actuel de nos connais- sances, est toujours pro
n. Pas de lésions du fond de l'oeil. Il n'est pas fait mention de l' état des pupilles. Mort le 34 décembre 1884. L'autop
ntermittents furent les principaux phénomènes de cette période. Son état général était meilleur, mais le coeur était très
à quelques millimètres dans l'intérieur de la substance blanche. L' état de la capsule interne, des couches optiques, et
é- gie et d'anesthésie nette, je puis affirmer avec certitude, en l' état actuel de nos connaissances, qu'il n'existait p
lit, elle se mord la langue et a des convulsions. En revenant à l' état normal, ou, après avoir passé par un état qui ne
vulsions. En revenant à l'état normal, ou, après avoir passé par un état qui ne laisse pas de présenter une analogie plu
, impatiente, dysorexique et se remet plus tardivement. Pendant l' état dont nous venons de faire la description, les o
s ou par la traction des membres. A ces mo- ments, elle présente un état mental excitable, en partie conscient dont ses
n peut s'exprimer ainsi. Elles s'expliquent très probablement par l' état de dyscrasie où est resté le sang à la suite de
quel trois périodes principales sont nette- ment observables : 1° l' état léthargique; 2° l'état cataleptique et 3° l'éta
ncipales sont nette- ment observables : 1° l'état léthargique; 2° l' état cataleptique et 3° l'état somnambulique. Nous n
observables : 1° l'état léthargique; 2° l'état cataleptique et 3° l' état somnambulique. Nous ne pouvons mieux faire, pour
lgré l'intérêt des phénomènes si remarquables qui caractérisent les états hyp- notiques, nous ne nous en occuperons pas e
diaques un peu assourdis, pas 1 J.-M. Cliarcot. Note sur les divers états nerveux déterminés par l'hypnolisation chez les
ord couchée. 10 léthargie : la face se contracteun peu moins qu'à l' état ordinaire, le sterno-mastoidien, pressé, ne rép
dans l'attitude particulière, à cettepériode moins nettement qu'à l' état ordinaire les membres gauches l'ont perdue et,
aurait alors une sorte d'épui- sement des symptômes, tandis qu'à l' état qu'on peut appeler normal, en vertu de sa const
diminuées ; le poignet n'en offrait presque pas. Aujourd'hui, où l' état lésionnel des jointures gauches est manifesteme
ours de ce mois époque où l'amen- dement des arthrites et même de l' état général est considérable. Le 23, contracture' g
he, n'étaient pas modifiées. Par contre, les caractères des trois états de l'hypnose ont été très notablement influencés
actères hypnotiques était évident; on pour- rait presque conclure l' état de ceux-ci du degré des lésions articulaires. U
our, tandis que le corps de la cellule lui- même passe lui-même à l' état granuleux. On a, en somme, sous les yeux la str
K. V. Etudes sur les attitudes considérées comme indicatives des ÉTATS MORAUX ET ENVISAGÉES DANS LES OEUVRES D'AIIT; par
s spécialement les attitudes de la main, dans leurs rapports avec l' état moral ; les muscles, en effet, n'étant que des in
ar un mécanisme nerveux central, leurs attitudes doivent refléter l' état du centre nerveux. Dans le court travail qui no
nt conformes à celles que l'auteur a décrites comme appartenant aux états d'esprit qui doivent en effet appartenir aux pe
t son minimum chez les animaux supérieurs; chez ces « derniers, à l' état normal, la conscience spinale n'est jamais - ap
tres, cette « activité n'est pas réduite, comme pour la moelle, à l' état de « mécanisme purement automatique et que, par
des périodes sans limites et à « l'abri du risque d'être réduit à l' état d'automate intellectuel. « Deux conditions tout
ne importance pour nos études. Les muscles d'une grenouille sont en état de tenir une articulation dans l'immobilité pen
e de la fatigue ; nous devons, en outre, prendre en considération l' état relatif de repos ou de fatigue dans lequel on t
Nous avons plus de mille courbes entre nos mains, des notes sur l' état dans lequel se trouvait le sujet au moment de l'e
sclé, mais d'une faiblesse intellectuelle telle, qu'il n'est pas en état de répondre par une phrase à la question la plu
nous en concluons que nous avons affaire à un malade. Dans certains états mentaux que l'on pourrait désigner de « maladie
hes sur des jeunes filles hystériques qui se trouvaient dans un tel état de surexcitation qu'on les avait mises à l'hôpita
aliénés; nous ne pouvons obtenir de courbes à ce moment, vu leur état d'agitation; grâce à la faradisation, nous finîme
dans leurs discours. La méthode sert à laisser une image fixe de l' état de la malade, image qui a plus de valeur que l'
enir la volonté. Jusqu'à quel point la volonté est influencée par l' état de la malade ? nous pourrons en juger facilemen
ent à la même jeune fille; sur la première, elle se trouve dans son état normal ; la seconde est faite au moment où elle
érêt tout particulier. Chez ces derniers, les modifications de leur état se constatent sur leurs courbes, comme nous avo
avec rigidité : la contraction locale n'est point altérée dans ces états . 3" Les paralysies atrophiques s'ac- compagnent
a substance contractile qu'un excitant mécanique fort place dans un état voisin de la dégéné- rescence semblable à celui
situde. P. K. XVII. Sur LES limites DU sens DE la température A l' état sain . ET A l'état malade ; par J. Donath (Arch
I. Sur LES limites DU sens DE la température A l'état sain . ET A l' état malade ; par J. Donath (Arch. f. Psych., XV, 3).
s l'observation m'amène plutôt à penser que nous avons affaire à un état mélancolique voisin de la stupeur et peut- être
ez lui très effrayé. Cette frayeur ne suffit-elle pas à expliquer l' état de stupeur dans laquelle il est resté vingt ans
nce de courants électriques ou de toute autre cause, il sort de cet état de stupeur, et parle. Mais il n'y a rien d'éton
. J'admets, avec lui, la même distinction entre ces deux derniers états , mais je crois que nous ne mettons pas au même ni
éréditaire, comme ces dégénérescences reconnaissent à l'origine des états morbides chez les ascendants, il reste à déduir
années. Sera publié in extenso. Discussion : M. OTTO. Quel était l' état microscopique des lobes temporaux ? -Réponse. R
amen révélât autre chose que de l'acide diacétiquedans l'urine. Ces états se dis- siperaient en général promptement; fréq
art des phases de la maladie ou pour chacune de ces phases, quand l' état clinique variait. La conclusion est que, à l'ex
tion d'un cas, ces réactions ne se montrent que chez des malades en état d'abstinence complète ou partielle. Sur huit ma
klin. Aled. VI, 5). Tuczek rattacha impérieusement l'acétonurie à l' état d'inanition, il l'observa chez les sitiophobes
ident et les phénomènes psychopathiques, un spécialiste est seul en état d'apprécier avec le soin et la compé- tence vou
asies névro- tiques) ; c) ceux dont on peut rattacher la cause à un état d'irri- tatioit aigu, généralement inflammatoir
ns les oplithalmies dites neuroparalyliques. On n'est pas encore en état de décider si la gangrène symétrique des extrém
ndiquées. Chaque exci- tant détermine dans la substance nerveuse un état anormal d'au- tant plus accusé que l'excitant e
xcitant est plus intense. Mais la substance nerveuse supportera cet état anormal jusqu'à une certaine limite. Plus un ex
est intense, plus vite cette limite sera atteinte ; à ce moment, l' état de la substance nerveuse change : d'actif il de
ormant par leur com- binaison autant de signes pathognomoniques des états patholo- giques suivants. Sous le nom de compre
roit lésé. La rubrique de commotion cérébrale englobait une foule d' états coma- teux engendrés par des traumatismes viole
duits, par conséquent, par action réflexe ; on les distinguerait en états de surexcitation et états de paralysie' cérébrale
action réflexe ; on les distinguerait en états de surexcitation et états de paralysie' cérébrale. En résumé, ' . SOCIETE
ses à forme spé- ciale. Il faut enfin tenir pour des dyscrasies ces états du sang qui se forment dans le corps lui-même o
idement à un traitement mé- dical ; en même temps, aggravation de l' état général, parfois sen- sation de fatigue et de l
KBr; les bouillons à l'extrait de viande et le vin rouge relèvent l' état de ses forces. Cette fois, l'état psychique, sa
viande et le vin rouge relèvent l'état de ses forces. Cette fois, l' état psychique, sans être modifié, témoigne d'un grand
cidents du cas de Griesinger (névralgie de la cinquième paire). Les états d'excitation des nerfs sensibles se propagent à
tition et delà respiration, mais ces accidents rétrocèdent bientôt; état stationnaire quant à la pa- ralysie des extrémi
cinq ans. Dans tous les cas on a trouvé des anomalies du crâne, un état trouble diffus de la pie-mère (on put cependant,
ut d'abord se rappeler que la paralysie générale ne possède pas d' état anatomo-pathotogique spécifique. En effet, l'atro
gomyélie, de la sclérose multiloculaire de la moelle, et cer- tains états qui se montrent chez des gens qui, antérieurement
ans l'écorce des paralysés généraux. Il n'a jamais prétendu que cet état fût pathognomonique; la publication de son observ
méthode qu'exige cette question. Il convient donc de soumettre les états nécroscopiques de Zacher à une confirmation ult
comme l'ergotine, il anéantissait certaines espèces de fibres. Les états nécroscopiques de l'idiotie montrent nettement
l'importance qu'il y a à vérifier l'existence des rêves pendant les états d'incons- cience. Les hallucinations que l'on p
ève contre la tendance générale à regarder comme des sommations les états mentionnés par Tuczek. Les phéno- mènes du deli
qu'avant tout, ce qui importe, c'estle caractère des rêves dans les états d'interruption de la conscience, qu'il s'agisse
ribution à l'étude du sopor et des mouvements automatiques dans les états d'hébétude. Si l'on prend comme type, le sopor
; diminution de la sensibilité cutanée; c'est au beau milieu de cet état que sur- vient un soir le sommeil; alors cessen
de quelque temps, nouveau sommeil; le joursuivantper- sistance de l' état d'obnubilation (comparer avec les mémoires de S
316 SOCIÉTÉS SAVANTES. pendant des jours entiers à la suite d'un état de Inal épileptique. 11 se distingue du sopor,
dite. Les mouvements soporeux des yeux ' peuvent se joindre à ces états . Dans l'état de mal épileptique où le retour au f
uvements soporeux des yeux ' peuvent se joindre à ces états. Dans l' état de mal épileptique où le retour au fonc- tionne
u centre voisin. (Voy. le mémoire d'Unverricht) i. Le sopor elles états qui lui ressemblent (certains stades de la narcos
de nouveaux excès qui engendrent les accidents sus-énoncés. Enfin l' état de nutrition générale SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 j
ux jours après les excès. Lasègue, en t88l, montre l'importance des états de sommation initiaux; son terme d'alcoolisme s
nfirmer, ne prouve rien, carRajewsky(1875)-a trouvé de l'alcool à l' état normal. En somme : 1° Grande ressemblance ent
. Toute plainte ne cessera que lorsque ces établissements seront en état de recevoir 2 malades pour 1,000 habitants. On a
eux d'une petite excavation localisée au sommet du poumon gauche. L' état général est alors satisfaisant, l'appétit intac
s le poumon droit, quelques rares tubercules crus vers le sommet; état normal dans les autres parties. Coeur et péricard
s ont conservé leur apparence habituelle et ne diffèrent enriende l' état normal. Denombreuxfragments ont été recueillis,
x. Ses fibres sont légèrement Juméfiées et plus appréciables qu'à l' état habituel. Il est en outre infiltré d'éléments c
fficile d'y rencontrer quelques tubes conservant les attributs de l' état normal. Les formes de la lésion sont d'ailleurs
les paralysés. Les centres nerveux, cerveau et moelle, sont dans un état de parfaite inté- 352 PATHOLOGIE NERVEUSE. gr
re, indépendante, et les considère comme un incident secondaire, un état deutéropathique, consécutif à une altération de
portions altérées font suite des segments qui ne s'éloignent de l' état normal que par la tuméfaction du noyau et la pl
ues en groupe, elles présentent le plus souvent les caractères de l' état normal; la méprise est facile, et c'est seuleme
eut- être les expérimentateurs ont une certaine influence sur cet état ? Je veux essayer de répondre à cette question,
r ensuite mieux pénétrer dans la connaissance du mécanisme de cet état . Les hypothèses sur l'hypnotisme abondent, mais
ait pas avec la rupture du courant, mais au contraire, pareille à l' état catalep- tique, elle restait au même degré. C
ritation cesse immédiatement, je ne saurais entrevoir pourquoi, à l' état normal, cela n'au- rait pas lieu dans le systèm
e Bubnoff et Heidenhain, dont j'ai fait mention, prouve que, dans l' état produit par le poison, l'irritation du centre c
lent une petite partie des cellules de l'écorce; enfin, pendant l' état somnambulique la partie éveillée est un peu plus
meil ordinaire. Cette irritabilité est à peu près éteinte pendant l' état de veille, elle change toujours de siège. Ce ch
eau, sans impressions du monde extérieur, ne peut pas se tenir en état de veille, ceja est aussi prouvé par des observa-
rconstances), parce que, comme j'en veux parler plus tard, dans cet état l'irritation ne peut pas s'étendre normalement
lus étendue. La pro- priété commuas de toutes les trois phases de l' état hypnotique est que la contraction une fois prov
dorsal spasmodique) ; en troisième lieu, nous parlerons à part de l' état des réflexes rotuliens qui ont une importance t
lons relever maintenant les renseignements. Dans 14 observations, l' état des réflexes rotuliens n'est pas expressément i
a maladie (du moins avec une précision suffisante pour indiquer l' état des réflexes rotuliens dans les phases initiales)
n posera les diagnostics de bonne heure, on pourra recueillir sur l' état de ces réflexes rotuliens des renseignements pl
aussi simples; et, n'ayant aucun renseignement qui l'éclairât sur l' état mental de la prévenue qui ne présentait aucun m
de Saint-Lazare, dut être placée à l'infirmerie, elle était dans un état singulier, et l'on s'aperçut immédiatement qu'o
ait condam- née à trois mois d'emprisonnement. La cause vint en cet état devant la cour. Annette G... eut une attaque d'
it par le mot de suggestion, faisant valoir, d'ailleurs, le fâcheux état de santé d'A. G..., il demanda qu'il plût à la
emanda qu'il plût à la cour de nommer des experts pour exa- miner l' état mental d'Annette G..., dire si cette fille n'avai
mbre des appels de police correctionnelle, à l'effet de constater l' état mental de la fille G...'(Annette), appelant d'u
e nom de sa soeur Suzanne. Nous avons voulu savoir quel était son état pendant « ses crises ». Sa mère nous les décrit
. Elle restait de quatre à six heures ainsi, et elle sortait de cet état sans convulsions. En 187o, à la fin de l'année,
t, après avoir 'épondu aux premières questions, elle est prise d'un état synco- pal, de courte durée d'ailleurs. Une foi
il en fut encore question dans la salle d'infirmerie; et, dans un état qui ne rappelle en rien l'état de suggestion hypn
s la salle d'infirmerie; et, dans un état qui ne rappelle en rien l' état de suggestion hypnotique, Annette G... descendi
jeté avec le concours du greffier de la pri- son. Mais, il reste un état mental particulier sur lequel nous avons le dev
; et quand celte femme arrive à Saint-Lazare, elleétait dans un tel état de dépres- sion, de faiblesse, qu'elle avait pu
tions, le vol pour lequel elle est poursuivie, commis au plein d'un état de désarroi intellectuel et moral, sous la pres
n et de résistance suffisantes. La culpabilité disparaît derrière l' état pathologique, RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPIT
cérébraux et de l'épais- sissement de leurs parois, ainsi que de l' état plus hyperhémié de la moitié inférieure du bulb
ce la nuit. La malade passe trois ans à la Teppe de 1879 à882 ; son état , sans s'être amélioré, reste stationnaire. A
du délire. Quinze jours après, sa mère la retire de l'asile, où son état n'avait fait qu'empirer. Reçue à l'hospice de l
e ne cesse de répéter : « Eh bien Eh bien ! » Au mois de juillet, état de mal pendant une semaine, avec subdélirium et
males. Le 24 du même mois, faux besoins de défécation, moeléna et état catarrhal. -- Pas de fièvre. Douleurs abdominales
ance d'un côté, avec morsure de la langue, perte de connaissance et état soporeux à la fin de l'accès. Etat actuel. Pe
té ni de motilité. RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 415 5 L' état général est bon. Les urines sont normales. Le 2 j
47 au 18 février et mort le 18 février à 8 heures du matin dans un état de prostrationcomplète. L'autopsie est pratiqué
ons furent absolument négatives. ^ ( ' ., ... - -. De plus si cet état crémeux, puriforme était un effet de dé- compos
te, in-omnie, accidents du décubitus; mort. Au- topsie. Congestion, état trouble et adhérences en dedans et en dehors de
en disant que ce qu'il a de mieux à faire c'est de se tuer, car son état est tellement anlinaturel que son désir serait
ment intacte. M. Savage lui a donné des conseils appropriés à son état ; mais il n'a eu depuis aucune nouvelle de ce ma
LOGIE MENTALE. 429 » faits rapportés dans ce travail, c'est que les états anormaux « de l'utérus sont beaucoup plus fréqu
ute d'avoir reconnu une affection uté- « rine, on laisse passer à l' état incurable une affection primiti- « vement curab
r elle- « même une cause de folie, il n'en est pas moins vrai que l' état ané- « mique du sang est incontestablement, dan
110 11 y a, dans tous les cas, une amélioration bien nette « dans l' état du sang, pendant la convalescence mentale, mais
our le service des incendies, d'exercer ces hommes et de vérifier l' état du matériel au moins une fois par mois; enfin i
ait tellement violent qu'il fallait l'attacher; il commit, dans cet état , une tentative de suicide dont il ne se souvena
la durée de celle-ci, autorisant à mettre sous la dépen- dance de l' état syncopal ou de l'arrêt momentané du coeur, l'ap
lant, chez un sujet dont les facultés subjectives sont en perpétuel état d'obsession ? Ce sont là des conditions fondame
érience de Weber. L'hypothèse de l'iden- tité de siège cérébral des états de conscience semblables expli- que bien commen
du même livre (B), provenant d'une vision antérieure; et ce second état de conscience (B) suscite par la force de la co
arues actuellement et qui s'accolent à l'image actuelle du livre* L' état (B), intermédiaire, est inconscient par fusion
ir le raisonnement : « l'établissement d'une association entre deux états de conscience, au moyen d'un état de cons- cien
ent d'une association entre deux états de conscience, au moyen d'un état de cons- cience intermédiaire qui ressemble au
en d'un état de cons- cience intermédiaire qui ressemble au premier état , qui est associé au second, et qui, en se fusio
iques et en particulier la contracture, la secousse musculaire et l' état cataleptoïde. La BIBLIOGRAPHIE. 453 même méth
ucinations et une étude nouvelle sur les phénomènes hypnotiques à l' état de veille, l'auteur tente heureusement un essai
'auteur ne cite aucun cas de suicide accompli par des sujets dont l' état d'intégrité mentale soit nette- ment établi, il
acrée à ['étude clinique, l'auteur, après avoir résumé brièvement l' état des connaissances actuelles, relate douze obser
es idées; - Dès FAITS DIVERS. 463 aliénés avec conscience de leur état ; Des effets comparatifs de la chronicité et de
'), par Kast, 3-20. Attitudes considérées comme indi- catives des états moraux et envi- sagées dans les oeuvres d'art,
291. Sénile (folie), par Savage, 92. Sens de la température à l' état sain et a l'état morbide, par Donatli, 255.
lie), par Savage, 92. Sens de la température à l'état sain et a l' état morbide, par Donatli, 255. Sens génital (inve
46 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent, sans diminution de l'acuité auditive. Le malade resta dans cet état , pendant les mois de septembre et d'octobre.
able du cerveau et ordonna un traitement approprié. Depuis lors l' état du malade alla toujours en s'aggravant. La 4 PA
t de jour en jour. Lors de son entrée, le 4 février, nous notâmes l' état suivant : ' Etat actuel. C'est un homme dans
es. Mais vers le 15 février, on vit survenir une aggravation dans l' état du malade. En effet, dès ce moment les forces dim
ment sous lui. Le 12 mars, survint une brusque aggravation dans son état . On constata ce jour là que tout le côté droit
nt purgatif, et on lui mit un vésicatoire à chaque mollet, mais son état , au lieu de s'améliorer, alla en s'aggravant, e
les séparent étaient moins sinueux et surtout moins profonds qu'à l' état normal; nous avons cherché à représenter cette di
Salpètrière; et Raymond PETIT, interne des hôpitaux. DU SANG. L' état du sang a déjà été l'objet de plusieurs recherche
parition de globulins ou hématoblastes. Chez plusieurs malades en état de mal, nous avons voulu remplir l'indication d
nous avons tenté cette intervention, nous avons échoué à cause de l' état tout particulier du sang. Les veines sont assez
paul range sous quatre chefs les hypothèses tendant à expliquer cet état : 1° congestion cérébrale ; 2° névrose; 3° lési
eux chez lesquels il n'y a pas de troubles gastro-intestinaux, ni d' état saburral de la langue, et ceux chez lesquels ce
e dans ces deux espèces d'épi- lepsie. Dans l'épilepsie réflexe l' état de l'intelligence reste très longtemps normal,
nt. Au contraire, dans l'épilepsie générale qui s'accompagne de l' état gastrique sur lequel nous avons tenu à insister,
curseurs que décrivent tous les auteurs sont toujours accompagnés d' état gastrique, d'état saburral de la langue. Nous d
vent tous les auteurs sont toujours accompagnés d'état gastrique, d' état saburral de la langue. Nous devons soigner cet
at gastrique, d'état saburral de la langue. Nous devons soigner cet état gastrique par des laxa- tifs et par une hygiène
ne parviendrons à l'empêcher que si nous dirigons nos moyens sur l' état général du malade, sur son état gastri- que d'a
e si nous dirigons nos moyens sur l'état général du malade, sur son état gastri- que d'abord. Cette distinction de l'é
istinction de l'épilepsie réflexe à aura, ne s'accompa- gnant pas d' état gastrique et de l'épilepsie réflexe à aura s'ac-
'état gastrique et de l'épilepsie réflexe à aura s'ac- compagnant d' état gastrique, par conséquentdevenant épilepsie ord
mme distingué n'avait pas attiré l'attention des praticiens sur cet état saburral concommitant des voies disgestives. Pour
ileptique vrai tombait tout d'un coup sans prodrôme et sans aura; l' état gastrique pour lui passait inaperçu et il s'ap-
e disons plus haut, pour nous le signe capital différentiel est l' état gastrique du sujet accompagnant généralement les
es différences dans le nombre des accès et nous ne constatons pas d' état de mal produit par la suppression d'un de ces t
s à démontrer qu'une attaque épi- leptique peut se derouler dans un état de conscience plus ou moins parfait. E. B. IV
sieurs particularités peu fréquentes montre toute l'importance de l' état névropathique, héréditaire ou acquis, dans le d
tacher l'hébéphrénie; 4° la neurasthénie constitutionnelle avec les états anxieux et les ob.-essions ou impulsions; 5° le
laire. Ceci ne dura que quelques jours pendant la durée même de l' état délirant et rétrocéda sans laisser de traces. Il
s de ses soeurs tout en louvoyant, quant à son appréciation de leur état mental : 2° exemples de transmission de concept
OGIE MENTALE. 45 XVI. SUR UNE sensation SUBJECTIVE de l'ouïe dans l' état HYPNAGO- GIUE; par L. Daraskiewicz. (Ne1l1'olúg
l y a d'une part une idée qui s'impose au malade et d'autre part un état émotif associé, que ce soit l'anxiété, le doute
associé, que ce soit l'anxiété, le doute, le remords, la colère; l' état émotif est la chose principale et persiste inal
ée varie. Une analyse psychologique des différents cas montre que l' état émotif, comme tel, est toujours justifié. Seule
dans ces deux caractères que consiste l'empreinte pathologique : l' état émolif s'est éternisé, alors que l'idée associé
incon- ciliable par une autre idée mal appropriée à s'associer à l' état émotif qui, de son côté, est resté le même. C'e
rs et qui maintenant se trouvent en associa- tion grotesque avec un état émotif qui ne leur convient pas, mais qui est r
e entre les obsessions et les phobies est que dans ces dernières, l' état émotif est toujours l'anxiété, la peur. Il y
idée inconciliable remplacée; on ne trouve jamais autre chose que l' état émotif anxieux qui, par une sorte d'élection a
re. La maigreur augmenta de plus en plus et la malade tomba dans un état lamentable. A son arrivée dans le service, ma
l'ont vu alors " sont unanimes sur ce point. Sa femme exposant son état mental pendant les mois de juillet et d'août 18
pas aujourd'hui dans un accès aigu de son affection, il est dans un état raisonnant qui, pour lui, représente l'état d'é
fection, il est dans un état raisonnant qui, pour lui, représente l' état d'équilibre mental. 2° S... était dans un accès
t le viol qui lui sont reprochés; 3° il était, à ce moment, dans un état pathologique qui le privait complètement de son
Lorsqu'elles ne se terminent pas par la guérison, elles passent à l' état chronique et aboutissent même à de véritables p
ité, etc.). Le plus souvent la psychose confirmée se traduit par un état d'affaiblissement intellectuel progressif avec
éiformes dans la moitié droite du corps, symptômes révélateurs d'un état de dégénérescence, sur lequel viennent en outre
xtrême et se manifeste par des troubles vaso-moteurs de la face, un état d'obnubilation psychique qui empê- che la malad
la période prémenstruelle. Il faut tenir compte aussi des fréquents états vertigineux, présentés par l'inculpée, états qu'a
te aussi des fréquents états vertigineux, présentés par l'inculpée, états qu'accompa- gnaient des troubles visuels et une
tions psychiques. L'auteur termine en constatant chez l'inculpée un état de dégénérescence héréditaire, accompagné de ch
ure sous la dictée étaient conservées. Puis elle ne put copier; son état général ne lui permettait du reste que difficil
opie disparaît, plus de céphalée et la mémoire redevient normale. L' état général est bon, les douleurs ne se font plus s
à savoir le dommage infligé directement à l'individu par suite de l' état psychique qui a présidé chez lui à l'acte crimi
ont jamais suffisantes par elles-mêmes pour permettre d'affirmer un état maladif. Ces criminels endogènes doivent être e
ladie psychique 'sont deux concepts différents. La folie morale à l' état isolé doit être rejetéé. C'est, ajoute Sommer,
0 SOCIÉTÉS SAVANTES. multiples : le fait de la nature endogène d'un état psychique ne suffit pas pour démontrer qu'il s'
el. Il montre que les tendances criminelles sont déjà contenues à l' état embryonnaire (mensonge, cruauté) chez les indiv
leur durée n'ont pas été sans attirer rapidement l'attention sur l' état de la nutrition dans les paroxysmes; les recherch
les chlorures, les sulfates sont diminués d'un tiers par rapport l' état normal. Le rapport de l'acide phosphorique terr
. 83 alcalin (les deux formant l'acide phosphorique total) qui, à l' état normal, est en chiffres ronds comme 1 est à 3 t
iques survenant sous forme d'accès, soit simples, soit prolongés ou états de mal. Ces faits consacrent d'une façon irréfrag
rt au cours du paroxysme hystérique simple ou prolongé sous forme d' état de mal ; l'attaque de spasme paraît avoir surtout
L'auteur s'occupe ensuite de quelques variétés de l'attaque et de l' état de mal hystérique revêtant plus particulièremen
est qu'une attaque hystérique transformée. Dans l'attaque et dans l' état de mal du sommeil hystérique, il ne s'agit en r
ère, p. 58-78. (B.) 84 bibliographie. buliques de l'hystérie, aux états seconds de l'amnésie rétro- antérograde et à l'
e somnambulisme dit naturel dans le cadre de l'hystérie. Tous les états décrits dans ce chapitre ne sont en somme que les
it être assimilée à un paroxysme ordinaire, à sa forme prolongée ou état du mal. Le second volume de la seconde partie d
porté à la Morgue aux fins d'autopsie. Quant à Julia Martin, son état mental va être soumis à l'examen de médecins alié
ecin de l'asile d'aliénés de la Roclie-sur-Yon, L'appréciation de l' état mental des femmes qui commettent un crime au mo
ence normale et présentant tout au plus quelques signes vagues d'un état mental peu caractérisé. En pareille occurrence
nd du Saulle', l, qu'en pareil cas, on est en droit de soupçonner l' état mental. En admettant avec l'auteur que nous ven
ntal. En admettant avec l'auteur que nous venons de citer que cet état d'excitation nerveuse quasi délirante qui s'empar
oger. C'est alors qu'il nous commit pour procéder à l'examen de son état mental et dire si elle devait être considérés c
vrent sous le traversin du lit de Marie C... un enfant mâle dans un état de décomposition avancé. L'autopsie du foetus
s de son avant-dernière instruction, elle est revenue dans un grand état de surexcitation et toute boule- versée... Dans
ime, les accès reviennent plus forts et le malade est enlevé par un état de mal. Le patient, dit Legrand du Saulle, paie
son administration est par trop prolongée nous avons remarqué que l' état saburral de la langue ne peut plus dis- paraitr
eut plus dis- paraitre malgré les purgatifs. Il entretient donc cet état quand les individus sont arrivés à saturation e
nisons. Nous n'avons jamais vu sa suppression amener à ce moment un état de mal et la mort du malade. Cet état de torpeu
ression amener à ce moment un état de mal et la mort du malade. Cet état de torpeur accompagné de vertiges incessants a
xcitation ne sont pas dues plutôt à cet empoisonnement que décèle l' état gastrique concomitant signalé plus haut. L'indi
e de cette saturation chronique, présentait indé- pendamment de cet état gastrique des vertiges et de la folie furieuse
duisaient et l'excitation disparaissait ainsi que les vertiges et l' état gastrique. Nous avons pu constater quatre ou cinq
e médicament et de purger le malade; on le voit alors revenir à son état habituel. La guérison n'est donc pas complète s
le profonde. On peut reprocher à ce médicament aussi d'entretenir l' état gastrique. M. Féré pour obvier cet inconvénient
nt qu'il doit ici être administré de bonne heure, dès le début de l' état gastrique. Quand une série d'accès est com- men
Nous les avons essayés dans plusieurs cas et spécialement dans des états de mal ou dans des périodes d'excitation ou de tr
, une fois chez la première, deux fois chez la seconde, à arrêter l' état de mal. Tous ces moyens d'action sur le tube di
. C'est DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 129 surtout lorsque l' état saburral de la langue est très accentué avant l
ccès, ou bien lorsque les accidents sont déjà com- mencés et dans l' état de mal que cette médication nous paraît devoir
dans les cas qui nous intéressent. En même temps qu'elle agit sur l' état géné- ral, elle est un bon moyen de sédation qu
nistrées à plein jet sur la tête '. Chez les malades qui sont en état de mal épileptique avec élévation croissante de
La malade Lep... que nous avons soumise à ce traitement dans deux états de mal et une période d'excitation, a pu échapper
deux états de mal et une période d'excitation, a pu échapper à ces états graves qui entraînent si fréquemment la mort. Nou
Chez plusieurs malades nous les avons employées avec succès dans l' état de mal, dans les accès sériels et lorsque les s
épileptique commence à présenter les symp- tômes prémonitoires avec état saburral des voies digestives, nous le faisons
artificiel à doses progressivement croissantes chaque jour, et si l' état saburral persiste très accentué, laver l'estoma
ès accentué, laver l'estomac plusieurs jours de suite. Enfin dans l' état de mal et dans l'agitation, nous joignons à tou
ires font leur apparition. On les continue tout le temps que dure l' état gastrique. Les douches seules peuvent être cont
Le 3 août 1893 elle entre dans une série d'accès, dans un véritable état de mal avec une température élevée, 40°. Hébétu
n véritable état de mal avec une température élevée, 40°. Hébétude, état saburral des voies digestives très prononcé; on
ie réflexe ne s'accompagne pas de troubles gastro-intestinaux, ni d' état saburral. Elle est moins grave; 4° L'épilepsi
sa terminaison ; 7° Dans l'épilepsie par intoxication, lorsqu'un état de mal s'accompagne d'hémiplégie corticale, on
myéline et de toutes les fibres périphériques est très voisin de l' état parfait des fibres de l'adulte, mais il ne l'a
e, la formation myélinique s'est notablement accrue par rapport à l' état postembryonnaire du premier âge. Aussi voit-on le
l, on ne saurait nier qu'il n'y ait un accord remarquable entre les états anatomiques des cerveaux de personnes très inte
nt les uns sur les autres, doivent cependant être maintenus dans un état d'extension réciproque. On a fait plusieurs thé
réquente que la manie; 2° les fluctua- tions qui surviennent dans l' état des affaires, les grèves, etc., l'ap- pdrition
tielles du traitement consistent à ramener l'organisme physique à l' état normal, et à substituer aux conceptions morbide
use déterminante, la précocité du traitement, la forme du délire, l' état physique de la malade. Dans les cas héréditaires,
aisons pos- sibles sont la guérison, l'amélioration, le passage à l' état chronique et la mort; les chiffres recueillis à
ur 120 cas, on compte 49 guérisons (40,8 p. 100), 41 pas- sages à l' état chronique (34,1 p. 100), 14 améliorations (11,6 p
aitement varie naturellement suivant la forme de folie et suivant l' état de santé de la malade; mais il a pour base et pou
'affaiblissement mental à début insidieux et à progrès réguliers. L' état émotif des périodes de début était généralement
éguliers. L'état émotif des périodes de début était généralement un état de douce satisfaclion, modérément accusé. Les t
somatiques de la paralysie générale faisaient absolument défaut. L' état du malade s'aggrava subitement, la prostration
autres et qui a abouti à une méningite aiguë et à la mort était un état analogue au status epilepticus qui se termine si
d lieu il fera de la bonne thérapeutique en mettant l'enfant hors d' état de se livrer à ses excès, soit en frappant sa j
itique où l'individu commence à prendre les caractères sexuels de l' état adulte. Une des caracté- ristiques de l'hébéphr
Je regrette beaucoup d'entendre un rapport aussi décourageant de l' état de santé de notre bambin, et quand son excellen
, pro- duisaient une fatigue excessive. Les choses étaient dans cet état lorsque, le 26 janvier au matin, elle éprouva d
la malade entre à la Salpêtrière. Le 20 février, elle était dans l' état suivant : La paralysie est absolue. Le réflexe ro
. Il est facilement reconnaissable, même quand il n'apparaît qu'à l' état d'ébauche. Mais d'autres états délirants qui do
le, même quand il n'apparaît qu'à l'état d'ébauche. Mais d'autres états délirants qui doivent présenter dans leur mode de
ge du sujet et sont facilement reconnaissables cliniquement quand l' état intellectuel leur ' Magnan. -- Leçons cliniques
délire doivent faire éliminer du premier coup la démence sénile. L' état de la mémoire en particulier est caractéristiqu
e reste très frappée de cette perte, très triste, mais sans que son état de tris- tesse ait paru morbide aux personnes d
ffaiblissement intellectuel qui a assez rapidement fait suite à cet état dépressif a préparé le terrain pour l'éclosion
re largement entrer en ligne de compte la notion de l'hé- rédité, l' état des facultés intellectuelles, au début de l'affec
oute .problématique et l'affection chez l'un et l'autre a passé à l' état chronique. - SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES
t constater qu'en aliénation mentale l'organisation n'existe qu'à l' état d'é- bauche. Ce n'est pas un réquisitoire que
271 et natu- rellement il est amené à rechercher le remède à un tel état de choses. Pour ma part, je n'hésite pas à di
ar une bronchite aiguë ou par une bronchite chronique repassant à l' état aigu. Cette bronchite des grosses bronches n'a ce
eu que du délire de persécution. Ce délire alterne et se mêle à un état de pleine conscience, il diminue ou disparaît l
urs de la maladie. Les malades ont conscience de la gravité de leur état , annoncent leur fin prochaine et la désirent po
l'accès maniaque de certains intermittents. Ce qui caractérise cet état mental, c'est la surexcitation générale de tout
ruinent en spécu- lations ridicules. Telle est la physionomie de l' état mental du malade dont M. Cullerre rapporte l'ob
un élément capital et établit une distinction tranchée entre cet état et la folie chronique systématisée ambitieuse dés
partielle du corps thyroïde et il paraissait exister entre ces deux états d'une part (ralentissement du pouls, torpeur phys
SAVANTES. 227 deux côtés, soit d'un seul côté du corps thyroïde, un état d'irrita- tion vaso-motrice etvaso-sécrétoirequ
s'il n'y avait pas là l'indication d'un traitement particulier. A l' état normal, et c'est là l'hypothèse la plus vraisem
la lymphe ses transformations normales, créait dans l'organisme un état d'intoxication dont la fièvre était un signe ré
couche de cellules plates endothéliformes qu'on ne retrouve pas à l' état sain. De plus, le stroma interacineux n'est plu
est représenté par une substance que j'appellerai thyromucoïne. A l' état adulte, le corps thyroïde sécrète par contre un
glandulaire réalisée par chaque grain thyroïdien ; elle répond à l' état de maturité de la sécrétion thy- roïdienne. Ell
oïdien agit en retour sur la glande thyroïde qui tend à revenir à l' état foetal, ainsi que l'ont démontré MM. Ballet et
définitive ce que nous pouvons, je crois, affirmer seulement dans l' état actuel de nos connaissances, c'est qu'il existe u
us rapportons peuvent servir à étayer cette théorie. Bien que, en l' état actuel des choses, elle nous paraisse la moins
ette théorie justifie les tentatives thérapeutiques suivantes : à l' état normal, et c'est l'hypothèse la plus vraisemblabl
Le tour du cou est resté le même, ainsi que le tremblement. Quant J' état mental et à l'agitation, ils n'ont présenté aucun
depuis son enfance, on est porté plutôt à chercher la genèse de cet état morbide dans une intoxication initiale qui a fait
éta. La malade a présenté, comme beaucoup d'hystériques, un léger état fébrile qui, à certaines époques, a été marqué pa
jours derniers, alors que les autres symptômes s'amendent et que l' état général s'améliore. L'émotion parait exercer une
gativement. Cette dyspnée serait donc purement nerveuse, bien que l' état du coeur puisse contribuer à sa production. Nou
bles digestifs profonds, selles et urines bilieuses, etc.; enfin un état mental particulier tout à fait anormal. Je prés
résistibles des épileptiques. Bien qu'on la rencontre dans d'autres états morbide=, dans d'autres formes impulsives, nota
onfondre avec les impulsions qui peuvent se présenter dans d'autres états morbides. La connaissance des accidents convuls
e à rechercher maintenant ce qui, par rapport aux impulsions ou à l' état impulsif, permet de déterminer l'irresponsa- bi
me et, par conséquent, ne point le rendre irresponsable. Il y a des états d'impulsion franche, irrésistible, où la volonté
s hallucinations, puis reste pendant un temps plus ou moins long en état de délire; dans ce dernier cas, le souvenir fai
up trop court. M. Jules Voisin a dans son service une malade dont l' état mental reste quinze jours incompatible avec tou
incontestés ont accompli desactes criminels sans rapport avec leur état maladif; l'un d'eux a même simulé une crise peu
Les centres moteurs le sont aussi, puisqu'un homme qui souvent, à l' état normal, se fatiguait très vite, parcourt une ro
on trouve l'observation d'un hystérique, bien connu (D...), qui à l' état de somnambulisme a fait des fugues multipliées,
Proust, Raymond, etc. Dans ces derniers cas, les malades sont en état second, ne se souviennent de rien après la fugue;
malades se fixent un but, peuvent résister, mais s'ils passent à l' état second, immédiatement ils partent. c) Impulsi
connus. Les cas publiés jusqu'ici prêtent le flanc à la critique. L' état de conscience du malade en état de fugue n'a ja
i prêtent le flanc à la critique. L'état de conscience du malade en état de fugue n'a jamais été observé. Il est très di
leur fugue. Cela cadre-t-il avec l'idée que nous nous faisons de l' état mental des épileptiques ? Peut-être porte-t-on
put être hypnotisé dans un but criminel, et resta six mois dans un état second. M. Régis. - Il faut poser la question e
et disparaissent avec les alcools supérieurs pour faire place à un état comateux subit; il insiste sur les phé- nomènes
point de vue clinique. on observe une variabilité des symptômes, un état parti- culier d obnubilation intellectuelle pas
e la folie présénile, ne peut- on la considérer comme relevant d'un état d'infériorité intellec- tuelle ? M. ALZHEIMEA
rtrophie des éléments de la névroglie; ces derniers présentaient un état de division du noyau. Les vaisseaux étaient peu
ébut a été subit, signalé par un ictus apoplectique. A la période d' état on constate une augmentation de la faiblesse de
de raisonner dont ils font preuve. Dans quelques cas on constate un état de démence apathique, une amnésie notable coïncid
peut observer dans cette forme clinique des idées délirantes et des états hallucinatoires. La mobilité des symptômes au d
er que, si l'on peut constater chez les malades qu'il a étudiés des états d'agitation, des accès hallucina- toires, il s'
raîtra pas possible. Le pa- ragraphe 150 spécifie que les sujets en état d'inconscience ou dont le libre arbitre aura ét
aves modifications de l'humeur que l'on peut par- fois constater un état accusé de confusion, d'ailleurs passager. Le re
ts jusque-là normaux. Parmi les facteurs éliologiques, on note : un état physique défectueux (anémie, embarras gastrique
ne se termine'jamais par un délire systématisé, mais parfois par un état de faiblesse psychique secondaire. P. Sérieux.
c'est un procès-verbal ou du moins un compte rendu fort exact de l' état du jeune enfant au moment où M. Séguin s'est char
arfaitement senti à quel point il importait d'abord d'amé- liorer l' état physique des idiots, avant de chercher à développ
mené a l'Hôtel-Dieu de Caen. Bazain était à peine nourri et dans un état d'émaciation épouvantable. Les voisins connaiss
t accident, son peu de connaissance de là langue fran- çaise et «on état mental rendant l'interrogatoire difficile. Il n'a
mémoire faiblit, la parole s'embarrasse, les mains tremblent et cet état affecte beaucoup le malade, qui se sent incapab
st considérée comme possible. Évolution ultérieure de la maladie. L' état du malade reste à peu près stationnaire pendant
e. Apporté le lendemain dans la salle J. Boulay, Wek... est dans un état comateux, les sphincters sont paralysés; la tem
rales sont saines. De nombreux points de l'écorce sont examinés à l' état frais; il n'existe de corps granuleux nulle par
proliféré. Tout l'intérêt que présente cette moelle se rapporte à l' état des vaisseaux et surtout des méninges. La pie-m
compatible avec une circulation régu- lière. En un mot il y a là un état tout spécial, qui n'est certaine- ment pas arti
Les petites artères présentent une endartérite énorme, en plus de l' état spécial des tuniques externes décrit plus haut.
ser la paralysie générale. Cette lacune s'explique sans doute par l' état mental du sujet et la difficulté qu'il éprouvai
hares au sacrum, s'affaiblit et s'émacie; dans le courant de 1892 l' état général s'amende un peu, les eschares sacrées se
es eschares sacrées se cicatrisent, mais bientôt il retombe dans un état de marasme profond. Les pieds sont tombants, le
es douloureuses particulière- ment dans le territoire du cubital. L' état mental est affaibli, la crédulité est extrême,
i des ulcérations des orteils. Autopsie. - Le cadavre est dans un état d'émaciation extrême; les muscles sont grêles,
erne, sunt manifes- tement plus nombreux et plus volumineux ,qu'à l' état normal. Entre ces faisceaux on aperçoit une inf
du gyrus rpctns, où elles sont certainement moins nombreuses qu'à l' état normal. La né- vroglie ne parait pas épaissie.
épaisseur des muscle', sont complètement atrophiées et réduites à l' état d'une gaine remplie de noyaux. Quelques fibres
urs mois déjà. Il n'y a pas d'atrophie musculaire. Les pupilles, en état de myosis, sont égales et présentent le signe d
signe d'lrgyll-Rohertson ; il n'y a pas eu de paralysie oculaire. L' état mental et le caractère ne paraissent pas altéré
le malade au lit. Au mois de janvier 1893, W... est arrivé dans un état de cachexie profonde; il contracte, le 18 janvier
Romberg. Quelques signes de satisfaction attirent l'attention sur l' état mental; on constate des lacunes dans sa mémoire
ement des mains. Tous ces signes vont en s'accentuant rapidement; l' état mental tourne à l'hypocondrie avec délire triste
rsure de la langue, sueurs profuses, suffocation, parésie du coeur, état de mal). Ces accès ne présentent aucun des cara
edevient normale : les autres symptômes s'amendent. Au dixième jour état semi-comateux, suivi le lendemain de signes de
s mouvements coordonnés; les globes oculaires, tournés à droite à l' état de repos, sont entraînés à gauche par des secouss
sses rappelant le nystagmus. Le douzième jour, au coma succède un état de somnolence, de la tachycardie (80-100) ; des p
ail après chaque accès de névrite. Actuellement l'affection est à l' état chronique : les symptômes moteurs prédominent; pl
) Il s'agit d'un homme de vingt-trois ans, apporté à l'hôpital en état de coma, et dont on ne sait rien si ce n'est que
raumatisme portant sur une articulation dont les nerfs sont déjà en état de dégénérescence. L'observation de faits récen
utres symptômes qui ont été signalés plus haut. Malheureusement cet état satisfaisant n'a duré que six semaines, au bout
alternantes d'excitation et d'abattement. On constate chez lui deux états , l'un dans lequel il parle gallois et se souvie
à ce qu'il a fait dans ce pays. Ecriture en miroir. Dans le premier état il est gaucher, dans le second il est droitier. V
re et de la sensibilité générale et des sens spéciaux dans les deux états . P. S. XXXVI. SUR LES TROUBLES DE la sensation
e, faisceau pyramidal, cornes anté- rieures et fibres motrices avec état spasmodique et en même temps atrophie progressi
teux continuent à suivre le traitement; d'autres ma- lades, pour un état polysarcique,ont été mis au même traitement, et
t que dans l'hystérie est plus tenace, l'amal- grissement rapide. L' état mental consiste en apathie aboulique et dégoût
puberté serait une cause très importante pour la production de ces états , en faisant intervenir des idées mystiques géni
est atteinte de mélancolie avec obnubilation intel- lectuelle. Son état général est mauvais. Elle est soumise au traite-
colie anxieuse avec tendance à la stupeur et pseudo-catalepsie. Son état s'est maintenu sans modification aucune depuis
on. Elle prétend qu'elle n'a pas de bouche, pas d'estomac, etc. Son état s'est aggravé depuis quelque temps, il marche v
d'hypocondrie, causée par l'ennui d'être atteinte de syphilis. Cet état ne l'empêchait pas d'exercer sa profession de c
vies de rémissions incomplètes de courte durée. A partir de 1890, l' état mental s'est transformé, et actuelle- ment la m
tent les unes les autres et for- ment une sorte de gradation dans l' état mélancolique qui aboutit à la démence. Il se di
voir dans les asiles des aliénés transférés de la prison, et dont l' état mental avait été méconnu au moment de leur con-
flagrants délits. Ces condamnations ne seraient pas prononcées si l' état mental de l'aliéné était reconnu à temps et le ma
ient prises pour annuler toutes les condam- nations dues à ce que l' état du malade a été méconnu. Ce serait peut-être ac
t le voeu que la flétrissure imméritée subie par les aliénés dont l' état menlal a été méconnu au moment de la 328 SOCIÉT
. Gi- raud. De la paralysie vaso-motrice dans ses rapports avec l' état affectif des paralytiques généraux, par MM. KLI
du tracé persiste et ne se transforme pas en ligne droite comme à l' état phy- siologique. Ainsi donc, contrairement à ce
un fait important qui est la caractéristique psycho- physique de l' état mental affectif du paralytique général : la dou-
uatorze ans, époque du début de son affection, jusqu'à présent, son état n'a fait que s'affirmer et s'accentuer. Actuell
tion, par douche et bain statique combinés traitement de choix de l' état général il faut ajouter pour les symptômes loca
neurasthénie cède ainsi lentement, par transitions insensibles de l' état morbide à l'état sain. La galvanisation est rés
ainsi lentement, par transitions insensibles de l'état morbide à l' état sain. La galvanisation est réservée aux sympôme
ues variés, aluminium, nickel, argent. M. A. Marie. Remarques sur l' état mental de quelques séniles. A propos de trois c
ancolie ab miseria). Il s'attache à montrer l'extrême diversité des états mentaux catégorisés démence sénile : il étudie
ssive accumulation qui est l'avarice, peut arriver à constituer des états morbides à la fois embarrassants pour la justic
tion de la justice, la persistance et surtout l'aggravation de leur état morbide. 6) Ceux que l'appareil judi- ciaire et
usieurs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l' état mental d'un individu. Il est aussi absolument u
accoutumé d'occuper jusqu'alors; toutefois elle existait encore à l' état indé- pendant. Si modeste qu'elle fût, cette
n à l'étude du tatouage. D'ANDRADE NEVES. Essai sur l'influence des états utérins sur le déve- loppement de la folie. - M
r l'alcool. Heroguelle. Contribution à l'étude du traitement de l' état de mal épileptique. BÉZIAT. De la sciatique hysté
maladie de Breard avec les mala- dies infectieuses. LE Maître. Des états cataleptiques dans les maladies mentales- Moric
soumis à son examen, « étaient atteints d'une manie provenant de l' état des instruments physiques ». Dans ces cas excep
met cependant encore, en 1602, l'influence des démons dans certains états de délire. Sennert (1572-1637), dont la Pî,acti
s : sauf quelques exceptions, on se contentait de les mettre hors d' état de nuire, de les enfermer. La troisième période
a On devra, dit-il, accorder aux malades autant de liberté que leur état le permet..., on les , 4 ' Griesinger. Traité
à l'influence favorable du travail, rester plusieurs années dans un état de santé passable, alors que sans cette mesure,
uës, et pour l'isolement et la surveil- lance de ceux auxquels leur état mental ne permettait pas de bénéficier de la vi
n d'en être,ainsi. C'est là, certes, un aveu pénible, mais celer un état d'infériorité n'est point le faire disparaître,
point de sédatifs du système nerveux; 5° Le meilleur remède dans l' état de mal épileptique est la sai- gnée. Comme médi
et un ans, sans antécédents héréditaires ou personnels chez qui un état myxoedémateux s'était peu à peu développé : lor
u côté de la peau, du tissu cellulaire, de la température, que de l' état général et dans la sphère intellectuelle. Au cour
prend un aspect grenu, ses prolon- gements tombent et la voilà à l' état de cellule nue. Puis c'est le noyau qui se liqu
et que le tonus vasculaire se maintient : tel est le cas pendant l' état de veille ou d'activité intellectuelle; au cont
ité quel- conque du corps est en rapport direct avec le nombre et l' état plus ou moins sain des cellules ganglionnaires
ocalisée; par le Dr PROUT. Chez un épileptique de onze ans, mort en état de mal, l'auteur trouva une atrophie marquée de
faits précis qui doivent être examinés un à un. P. S. XLIX. SUR l' état DES réflexes dans la section TRANSVERSE totale DE
nose pupillaire; par le D1' Muni. L'auteur estime avec raison que l' état de la pupille peut, dans certains cas, donner d
civilisation. On ne peut signa- ler toutes les différences entre l' état actuel de la civilisation et celui du passé. Il
uel de la civilisation et celui du passé. Il faut tenir compte de l' état d'infériorité au point de vue neurologique d'un
ence du Professeur KR.EPFLIN. M. NISSL (rrancfort-sur-le-llfein). L' état actuel de l'anatomie et de la pathologie des ce
ns la coloration des cellules nerveuses tiennent probablement à des états fonctionnels différents de ces cellules (repos,
sentants du type brun de l'Alle- magne du Sud, sont plus sujets aux états maniaques. L'auteur donne sur ce sujet une stat
20 ou 25 cas p. 100, et agissent en déterminant habituellement un état d'excitation motrice ou psychique, accompagné de
uestion des pénalités applicables aux délits et crimes accomplis en état d'ivresse. M. L ! EB6fANN. Une famille de quéru
ÉTÉS SAVANTES. le traduit dans ses écrits d'une façon qui révèle un état de débilité mentale. - Enfin deux autres enfa
ique (la fille). Apparition d'idées de grandeur. Terminaison par un état d'affaiblissement intellectuel. Discussion :
faire écarter l'hypo- thèse d'un acte commis sous l'influence d'un état comitial. M. STEINER a vu le sujet deux fois en
-on voir dans la simulation bizarre inventée par W....l'indice d'un état de débilité mentale. M. PELSIA1V.- Sans doute
lors que W... était au service militaire. M. FLUGGE. Sur certains états spéciaux d'affaiblissement intellec- tuel (KR.E
parfois dans l'exécution de leurs travaux. D'après Kroepelin, cet état psychopathique se développerait parfois dès la je
ression accompagnée d'idées de persécution et suivie plus tard d'un état d'excitation avec idées de grandeur. Les concep
intellectuel avec une incohérence très accusée dans le langage. Cet état dure pendant des dizaines d'années sans modific
nations et à une foule de sensations pénibles, qui entretiennent un état d'excitation. En 1876, les troubles sen- soriel
ion d'idées dont on puisse retrouver le fil. L'auteur admet que ces états d'affaiblissement psychique dans lesquels il y
générescence psychique. Il n'est pas encore possible de dire si ces états sont toujours secondaires à la paranoïa. Paul S
édico-psychologique mettait au concours la question suivante : De l' état mental et du délire chez les imbéciles et les i
tle cas le plus fréquent, elle n'apporte aucune modification dans l' état physique ou mental du malade. La durée de cette
oxiques. Cette hypotoxicilé coïncidant avec une amé- lioration de l' état mental, l'auteur pense à une corrélation. Il s'
le lit, mais encore durant leur convalescence et aussi ceux dont l' état de faiblesse sans exiger un repos absolu nécess
s deux dis- 442 asiles d'aliénés. - positions sont imposées par l' état maladif des gens qui y sont conduits, le plus s
as quand, trop faible encore pour descendre, il sera néanmoins en état de se lever, un fauteuil confortable et une cuvet
des tranquilles. Les malades qui l'habitent, en effet, sont dans un état intermédiaire qui ne comporte rien de spé- cial
t iiiédico-pédaqogiqtie, on note une amélio- ration croissante de l' état général de la malade : les spasmes musculaires
e malade à une piqûre et s'accom- pagnent de défaillances. - En cet état , il entre au bout de quatre ou cinq jours à l'i
s fréquents (de cinquante-cinq à soixante environ). Le 12 mars, l' état général parait s'améliorer; l'appétit renaît; l
à la parésie des membres inférieurs, peu de modifications. Le 15, état général satisfaisant; mais le malade essaie vaine
al satisfaisant; mais le malade essaie vaine- ment de marcher. Même état des réflexes tendineux. Les mains restent viola
rasser. - De l'infirmerie Tr... passe le 16 juin à l'hôpital où cet état , ébauche de sa précédente atteinte du mois de f
me clinique bien définie. Il est essentiellement caractérisé par un état menlal particulier, où domine l'amnésie, accomp
les événements les plus récents ; il peut se présenter presque à l' état isolé. Dans d'autres cas, en même temps que l'a
aire, généralement favorable dans les formes chroniques alors que l' état général du patient est relativement satisfaisan
conscience sont suivis de symptômes de dépression et d'un véritable état typhique grave. Il n'est vraiment reconnaissabl
atoire, soit dans celle de stupeur. J. Séglas. L. La SUGGESTION A l' état DE veille dans QUELQUES affections oculaires; p
même rechute, parfois en s'en rendant compte, d'autres fois dans un état d'abolition complète de la conscience, mais tou
vient un nouvel accès, alors la personnalité change. Dans le nouvel état morbide, le malade oublie la vie normale et les
était des faibles d'esprit sans trace aucune d'hystérie ou d'autres états voisins. Le traitement de la démonopathie, lors
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. atrophie complète du sens moral : cet état de perle complète du sens moral n'est pas sans
lan- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. j5 5 colique ; dans un autre un état d'excitation maniaque : dans ces deux cas, la b
s l'affaiblissement intellectuel s'accompagne de la conscience de l' état maladif. On voit les sujets atteints de névrose
ntraire, dans la paralysie générale, la perte de la conscience de l' état maladif est caractéristique, dès la période de
euse ayant duré un mois se trouvait depuis quel- ques jours dans un état de profonde confusion. Elle ne s'orientait plus
ger degré de paralysie du facial droit. Au point de vue psychique : état de confusion; la station et la marche sont poss
n outre il a manifesté à diverses reprises du refus d'aliments; des états cataleptiformes furent constatés; plus tard il pr
bre de cellules normales, d'autres éléments présentant diffé- rents états de dégénération. Dans les premiers stade5, les al
es corpuscules bleu foncé caractéristiques qui se ren- contrent à l' état normal, on voyait les parties entourant le noyau
'anxiété qui tourmente le SOCIÉTÉS SAVANTES. 483 patient, que cet état d'anxiété ne survienne que par accès ou qu'il s
s diieclenient la folie, il en prépare et facilite l'éclosion par l' état d'excitation dans lequel il entretient l'écorce
,), - Il s'agit d'un homme âgé de cinquante-deux ans, buveur, qu'un état de « faiblesse » générale rendait depuis deux a
remblement et de délire. Tout en se présentant avec les dehors d'un état d'euphorie, il se plaint de céphalée, de vertig
ent provoquées par l'alcool. M. 1\oNIG. - Quelques réflexions sur l' état actuel de l'assistance des aliénés en Angleterr
auteur aurait pu ranger dans les causes dues aux modifications de l' état civil. Les causes biologiques : longévité, na
sse et la ménopause mettent aussi indiscutablement la femme dans un état psychique anormal. Les causas morales ont été c
qu'aucune mesure ne soit prise pour mettre ce fou dangereux hors d' état de nuire. (Le Petit Parisien, 19 septembre.) Da
oe- deker, 491. Onc. Sur une sensation subjective de l ? dans l' état hypnogogique par Daraskewicz, 45. Pachyméning
inswanger, 258. Paralysie vaso-motrlce dans ' ses rapports avec l' état affectif de la -, par Klippel et Dumas, 328.
r. modes de chez l'homme sain, par P. Bicher, 146. SUGGESTION à l' état de veille dans quelques affections oculaires, p
47 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt pour un rien, par la peur même de rougir, très malheureux de cet état ; si malheureux qu'ils appréhendent tout contact
pathologique. Nous les citons uniquement comme point de départ des états plus caratérisés qui vont suivre. Deuxième degr
fois seulement, de la confusion. Il se tourmente par moments de son état , mais peu, et cela ne l'empêche aucunement aprè
que ces variations de nuances aient une influence quelconque sur l' état de l'esprit, et à cet égard on peut dire que l'
delà de quelques instants. - Dès le début, les sujets sont dans un état de trouble et d'an- goisse inexprimables. Plusi
haut quelles sont les influences qui les favorisent. En dehors de l' état mental de la crise ou du paroxysme, que nous ve
e ou dans un couvent au lieu de faire des enfants ». Tel est leur état mental dans l'interparoxysme. Telles sont les p
se, en particulier de la médication psychique, de la suggestion à l' état de veille, l'hypnose étant restée impossible. C
e ne passe pas à l'ombre. Les temps gris, doux, me mettent dans des états impossibles. (Il est vrai qu'il y a autre chose
u 1,580 grammes, quantité normale, à 500, 600 ou 700 grammes. Cet état dure un temps variable, un, deux, trois, cinq, di
sur d'autres points ont été unanimes à me dire : * Cela tient à un état nerveux prononcé. » Une particularité : si j'en
st arrivé de rougir étant seul. Je le répète, je ne suis arrivé à l' état dans lequel je suis que peu ci peu. Ma propre f
au point de vue moral et psychique. a) Influence sur le moral. Cet état peu commun a eu puur effet de déterminer chez m
sychologie, relativement à la théorie de l'émotion. D'une part, les états affectifs, généralement regardés jusqu'ici comm
énéralement regardés jusqu'ici comme secondaires et subordonnés aux états intellectuels, tendent à être considérés comme
à rattachées à une névrose du système nerveux ganglionnaire 1. L' état actuel de nos connaissances ne permet pas de se
qui est évident déjà, c'est que le rôle de l'émotion dans certains états psychopatiques. comme l'obsession, est plus con
, plus considérable môme que celui de l'idée fixe, et que, dans ces états , les phénomènes vaso-moteurs ne font jamais déf
bsédés, soit durant la crise paroxys- tique de rougeur, soit dans l' état interparoxystique. Nous pouvons néanmoins tirer
Dumas. Des paralysies uaso-mnlrices dans leurs l'U]J- ports avec l' état affectif des paralytiques généraux (Comptes rendu
tc. Il ne s'agit donc pas d'une idée simple, ordi- naire, mais d'un état psychique complexe, dans lequel l'idée et l'émo
duction de l'émotion pre- mière. Il en est ainsi également dans l' état interparoxystique, où l'idée de la rougeur, bie
de l'idée fixe. Il peut même arriver ce fait curieux que lorsque l' état atmosphérique n'est pas favorable àlarougeur, l
xes vaso- 26 . CLINIQUE MENTALE. moteurs dans la série des divers états psychiques qui caracté- risent l'éreuthophobie.
-482, DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 33 Ailleurs, la sainte décrit un état qui est à rapprocher de l'automatisme graphique
arde pas à les franchir et à entrer en possession de ce bienheureux état dont parle le philosophe inconnu dans son Nouve
» ; leur âme tombait alors dans une sorte d'extase qu'il appelle l' état de mort. « L'âme, se trouvant entièrement absor
ns, et d'autrefois seulement en partie. » , Le dernier terme de l' état pathologique, qui dans une partie des cas se tr
e donc dans une inhibition complète, qui est l'extase. « Dans cet état de ravissement, mon corps devient si léger qu'i
les maladies mentales en cinq groupes : étals de dépression mentale états d'excitation mentale folies inter- mittentes ét
pression mentale états d'excitation mentale folies inter- mittentes états d'affaiblissement intellectuel maladies céré- b
ncipaux caractères diagnostiques qui carac- térisent ces différents états et leurs subdivisions. (The alienist and neurol
réfute les idées enonées qui considèrent comme des critériums de l' état sain de l'esprit le but dans l'ac- complissemen
érent. Les symptômes de névrite périphérique furent très nets, et l' état parétique très marqué. Les symptômes physiques
a fin de la, période dépressive, à remonter au chiffre des phases d' état nor- mal : 1,73 - 1,79. On remarque même que le
duquel l'acide phosphorique esi éliminé en quantité moindre qu'à l' état normal, qui a pour conséquence la diminution de
s doute, plus le délire du malade est absurde. plus se remarque son état morbide ; mais parfois le délire du malade pren
ologistes de Bordeaux, le docteur Pailhas a décrit sous le nom de « états monomaniaques liés à une déviation de l'instinc
une déviation de l'instinct de conservation de la propriété », cet état mental de certains individus qui, expropriés de l
on l'observe presque uniquement chez une caté- gorie de malades en état de dépression mélancolique, chez qui la mélanco
gravité de ce cas en quelque sorte foudroyant peut tenir au mauvais état général du malade, à l'irrégularité du traiteme
ngourdissement du bras gauche avec dyses- thésie très marquée, même état du côté gauche de.la face. Troubles de même ord
gique. Les cellules des connus intérieurs des épileptiques morts en état de mal montrent ce qui suit : la substance fondam
ines, ou plus vivement colorés que d'ordinaire (exagération de leur état granuleux) se rappro- chent du bord. Les nucléo
lations y ont conservé la forme et la disposition habituelles. Même état chez les paraplé- giques, les lapins dont on a
ent pas ces symptômes. Quand ils apparaissent, pendant la période d' état , on peut prévoir avec une grande vraisemblanceq
Halhaum ne correspond pas chez nous à une entité morbide; c'est un état dans lequel on observe successi- vement la dépr
s ou les maisons d'aliénés. Pour remédier à cet état de choses, l' état de New-York vient d'installer dans la vallée du
nouveau où il a été placé, de toute la liberté compatible avec son état mental et vivre le plus possible de sa vie habi
nséquence, il conviendra d'y con- duire tous les aliénés valides en état de s'y rendre, les inconvénients signalés du gr
t systématiquement tout permis, du moment que l'aliéné n'est pas en état d'être visité au parloir, il en résulte que cer
matiquement le permis à tout aliéné non allié qui, par suite de son état mental ou physique, est dans l'impossibilité de
lettre, n'autorise à visiter hors des quartiers que les aliénés en état de se rendre au parloir ou dans les jardins de
conséquent dans la Seine, en dehors du bien qu'elles procurent à l' état mental de l'aliéné et du plaisir qu'elles lui a
ses, et à supposer des différences dans leurs processus internes. L' état interne des cellules nerveuses, c'est l'aptitud
craint de voir s'éta- blir un processus de sclérose latérale ou un état d'aliénation men- tale, inquiet de l'apathie et
siens. Il pense avec Jaccoud que l'hystérie se caractérise par un état d'alaxie cérébrospinale dans lequel l'innelvalion
e rythme moyen occupait surtout le côté droit du corps; continu à l' état de veille, il cessait pendant le sommeil et s'e
, 1896.) Chez de jeunes chiens de quatre à six semaines, en parfait état , on détruit la moelle, en la liant sans ouvrir
apportés par le tabes dans la nutrition de la cellule nerveuse. (Un état gastrique particulier, se manifestant un peu av
ent un chapitre sur l'influence des opérations gynécologiques sur l' état mental des opérés. Simple confirmation de ce fa
ravaux récents des auteurs, est passée en revue l'influence sur ces états du tempé- rament individuel, du milieu, de l'ét
nfluence sur ces états du tempé- rament individuel, du milieu, de l' état social, du climat, de l'édu- cation, de l'oisiv
ceux que l'on trouve dans les rêves des sujets normaux. Certains états , les délires des intoxications entre autres, peuv
analogies avec le sommeil et les délires hypno- tiques, ces divers états ne sont cependant pas identiques; car, outre- d
eur souvenir est perdu au réveil, il peut être retrouvé pendant les états subconscients (hypnose, somnambu- lisme, etc.).
air de famille » emprunté à l'hystérie. Leur indé- pendance avec l' état général du sujet, leur distribution sans rela-
l, est à signaler ici parce qu'elle contient quelques données sur l' état men- tal des châtrés, aussi bien des adultes ch
mon, consécutive à la section du pneumogastrique, met l'or- gane en état de réceptivité et permet, dans la suite, à l'infe
us loin amènerait à la formation d'énormes fibromes ; le retour à l' état embryon- naire constituerait un sarcome. Témoin
es ou non aux visuelles communes pour donner plus de vivacité à cet état panophobique qui pousse si facilement les alcoo
s ensembles énormes de représentations évoquées incessamment dans l' état normal, et qui remplissent tout le centre d'art
eux sont classiques, tous les ouvrages qui ont été publiés sur cet état , si pareil à l'aliénation mentale en général, e
in ces paroles de Chaslin, qui résument une étude qu'il fit sur cet état : « L'analyse que nous avons faite plus haut de
ns lésion en foyer, la lésion pouvant ou non être en rapport avec l' état pathologique antérieur. Pour nous résumer nous
he et termi- naison brusque. Pendant l'accès, le malade est dans un état anxieux avec panophobie, il voit le démon dans
conceptions délirantes sont demeurées frustes malgré le passage à l' état périodique et chronique; il n'en est pas toujou
choses des héréditaires des formes de délires pathognomoniques d'un état dégénératif (délire chronique de M. Magnan).
ELIGIEUSES. 183 s'agit ici d'une dame qui croyait avoir communié en état de péché mortel. Le délire religieux était ince
oir, ces syndromes peuvent s'observer à 184 . CLINIQUE MENTALE. l' état permanent et incorporés à un délire mystique chro
sions. ? Cyanose à la naissance. Premières convulsions sous forme d' état de mal à 5 ans avec prédominance à droite. Hémipl
ut pris d'une nouvelle crise, qui dura jusqu'à minuit, sous forme d' état de mal. Les secousses convulsives, qui étaient tr
sont très fréquents, ainsi que le montre le tableau ci-devant. L' état d'idiotie prononcée de Doue... rend impossible la
884. Hydrothérapie du le, avril au 1er septembre. 1er juillet. Même état . D... passe son temps à flâner dans la cour de
mange pas. Le pouls est petit. 2. D... a encore eu six accès. Son état reste le même. 23. Depuis hier quatre accès. Pr
e malin. 18 accès hier. T. R. 38°. - Soir : T. R. 38°, 3. 6. Même état .- K. Br. Bouillon et lait. Dans les trois dernier
ié, étoiles de Ver- rheyen. - Rein droit (130 grammes) lobulé, même état . Capsules surrénales normales. Vessie pleine, s
capital les convulsions qui se sont pré- sentées sous la forme d'un état de mal. Elles ont duré sept heures sans arrêt e
arrêt et ont porté uniquement sur le côté droit. Souvent, après cet état de mal, les malades de cette catégorie ont un r
loppés. Tous les efforts faits pour obtenir une améliora- tion de l' état intellectuel ont échoué. Le traitement, d'ail-
ns cérébrales encéphalite - qui s'était traduite cliniquement par l' état de mal convulsif, a débuté l'épilepsie. Dans le
'elle était à l'origine, ces malades n'en sont pas moins sujets à l' état de mal épileptique. Donc... nous en fournit un
ère céré- bral gauche, fournit l'explication du syndrome clinique : état de mal convulsif, hémiplégie et idiotie, épilep
nsible que la moindre impression extérieure déter- mine chez eux un état d'excitation. Enfiu M. Clouston constate en ter
urmenage mental. M. Tuke pense que dans ce dernier cas il existe un état congestif de la substance corticale, et il en d
troubles men- taux et à des troubles somatiques. Si, au moment où l' état cérébral agit d'une manière si fâcheuse sur l'o
rânes sur lesquels on a tenté cette intervention, mais encore sur l' état men- tal des petits malades et sur les résultat
esquels les violences et la répétition des tentatives entraînent un état de lutte perpétuelle absolument épuisant pour l
30 mai 1896.) L'auteur débute par des considérations étendues sur l' état d'hyp- notisme et sur la conception différente
relève de l'anémie, de la chlorose ou de la dyspepsie, ce sont ces états pathologiques qu'il faudra soigner, mais la sug
sécrétion du lait; mais il faut aller jusqu'au sommeil profond. Les états neurasthéniques génitaux (impuissance psychique,
perversions sexuelles et notamment dans l'homosexualité. Certains états neurasthéniques spéciaux tels que Yaslrophobie,
piqûre ' d'apomorphine, et on le maintenait ainsi dans un perpétuel état nauséeux, aboutissant fina- lément au vomisseme
ALE. 221 traitement thyroïdien détermine incontestablement un léger état fébrile qui, par son action et la réaction qu'i
une sorte, être considérée comme le caractère de distinction de cet état de l'esprit comparé aux autres altérations ment
'un type clinique d'un des nombreux intermédiaires qui sépa- rent l' état normal de l'idiotie, en passant par la débilité m
dans les cas de démence alcoolique avec symp- tômes paralytiques, d' états séniles avec prterio-sclérose et signes paralyt
. Cette empreinte caractéristique se traduit le plus souvent par un état d'excitation, d'irrégularité et d'inquiétude qu'i
les et qu'il voulait les tuer. L'attaque est précédé ou suivie d'un état de stupeur plus ou moins long et est souvent te
Indes Orientales et parce qu'elles ont une grande influence sur l' état mental des indigènes, et 2° l'état émotif, la sus
s ont une grande influence sur l'état mental des indigènes, et 2° l' état émotif, la susceptibilité nerveuse des indigène
sion sexuelle est une anomalie congénitale, parfois fonc- tion d'un état dégénératif. Cette anomalie, ou prédisposition à
tèmes d'association. La diminution de cette faculté engendrerait un état de tristesse et d'anxiété, son augmen- tation u
e. On ne peut pas attribuer une action étiolo- gique spécifique à l' état puerpéral, grossesse, état puerpéral pro- preme
une action étiolo- gique spécifique à l'état puerpéral, grossesse, état puerpéral pro- prement dit ou allaitement; ce s
ses occasion- nelles. Les maladies mentales se développant durant l' état puer- péral n'ont pas de caractères particulier
ions épi- leptoïdes, telles que nous les connaissons, et arrive à l' état psy- chique des idiots hydrocéphaliques; on tro
ry HEAD. (Tfec Jourlaal of Mental Science, janvier 1896.) Parmi ces états , il en est qui sont pour ainsi dire directs, c'es
, seulement des troubles sensoriels et émotifs. Le premier de ces états est une mélancolie survenant avec une extrême r
pour en tenter l'exécution suffisent à dissiper. Le second de ces états est l'état d'hallucination : ces hallucina- tio
nter l'exécution suffisent à dissiper. Le second de ces états est l' état d'hallucination : ces hallucina- tions portent
rtent sur la vue, l'ouïe et l'odorat, peut-être sur le goût, mais l' état de la bouche ne permet guère de s'assurer de leur
penser que l'améliora- 234 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tion de l' état mental survient plus souvent à la suite de la sca
n et d'épuisement rapide, sont dues à l'auto-intoxication. - 5° Les états paranoïques, ou ceux qui se caractérisent surto
noïques, ou ceux qui se caractérisent surtout par des concepts, les états de stupeur chro- nique, et certaines formes de
tique primitive. Il y a cependant lieu de faire exception pour l' état mental particulier qui accompagne les paralysies
et rapidement perdue, et qui avait succombé à l'âge de deux ans en état de marasme. Quatre ans plus tard, M. Sachs a cons
us les enfants dont il s'agit sont morts vers l'âge de deux ans, en état de marasme. Le diagnostic différentiel est à fa
nir). Interné dans un asile, il peut à peine marcher et est dans un état de demi- stupeur : pouls rapide et faible. Il s
me d'une cuiller et de la feuille de papier comme d'une assiette. L' état cataleptique persiste, et se rapproche par plus
sive, et par instants totale, parallè- lement à l'amélioration de l' état mental. R. DE MUSGRAVE-CLAY. SOCIÉTÉS SAVANTES.
es exper- tises d'hommes compétents lorsqu'ils ont des doutes sur l' état mental d'un inculpé; d'où leur désir de voir de
Tels sont : a) les hallucinations ; b) les idées délirantes; c) les états affectifs pathologiques. Ces derniers sont géné
dépressive, rarement à forme expansive. Le plus important de ces états affectifs est l'angoisse . Certains aliénés veule
bles de la conscience. Des incendies sont commis parfois au cours d' états d'inconscience, sans motifs apparents, d'une fa
éfaut de jugement (paralytiques et imbéciles), d'autres par suite d' états affectifs pathologiques (angoisse), ou d'idées
ons et idées de persécution systématisées. Pas de cons- cience de l' état maladif. Mémoire excellente, langage très cohé-
plus suffisantes pour faire disparaître les symptômes pénibles de l' état de besoin. Les descendants des buveurs sont des
s qui auront subi de nombreuses condamnations pour délits commis en état d'ivresse ; b) les buveurs atteints d'accès con
sés par une dose minime d'alcool, l'ivrognerie habituelle, tous ces états psychiques anormaux ont nécessité des mesures d
de protection, éparses jusqu'ici dans les codes civils "des divers états allemands, dans le code pénal. On s'occupe actu
des symptômes. Le sujet avait alors une conscience parfaite de son état et, bien que sa mémoire fût dimi- nué, il pouva
nt le tableau clinique de la démence secondaire. En novembre 1895 l' état général devient mauvais, des vomissements se pr
la conduite criminelle considérée comme l'aboutissement de certains états de mentalité, elles sont également applicables à
eet intéressante étude AI. Ireland examine d'après ses biographes l' état mental du grand poète ; on a beaucoup discuté s
sont là des manifestations insolites auxquelles on ne saurait, en l' état des choses, attribuer une grande importance. »
substances sapides placées dans la bouche provoquent également à l' état normal une action réflexe sur la sécrétion sali
e. Cependant il y a parfois dans la joue droite, mais seulement à l' état d'ébauche, le même trouble qu'à gauche. Aucune
n toujours, de sensations de chaleur à la face et probablement d'un état congestif vaso- moteur et dans ce cas il y a to
ions persistent ou se reproduisent si souvent qu'elles deviennent l' état habituel du sujet qui les subit. Il est intér
al pour l'interprétation des faits, de rapprocher de ces troubles l' état physique de la langue 268 CLINIQUE NERVEUSE.
troubles l'état physique de la langue 268 CLINIQUE NERVEUSE. et l' état des fonctions digestives. Incontestablement celle
le. Le goût peut donc être profondément atteint sans catarrhe, sans état saburral de la langue. Il en est quelquefois de
terre, d'amer- tume, etc., des tabétiques, nous avons constaté deux états de la langue. Le premier est caractérisé par un
mentée. Ces modalités sont le plus souvent chroniques. Est-ce là un état gastrique chronique dans lequel persistent natu
s d'intensité les sensations subjectives du goût ? A notre avis cet état de la langue', compatible d'ailleurs avec d'ass
dans le tableau précédent. Ainsi que nous le dirons plus loin, cet état de la nutrition de la langue dépend du trijumea
tions dans l'aspect de la muqueuse correspondante, consistant en un état catarrhal de la langue, en un trouble trophique
persistent avec leur enveloppe' de myéline, sont plus grêles qu'à l' état normal. Le ganglion d'Andersch qui se trouve su
ses correspondantes ; ? ° la sécré- tion de ces muqueuses ; 3° leur état trophique. On connaît en effet l'influence dila
rat et du goût. C'est dans ce dernier cas qu'on observe parfois cet état particulier de la trophicité de la langue, dési
goût ou d'odeur de putréfaction, ne serait pas sans rappeler les états primitifs de tristesse ou d'euphorie donnant nais
blir les principales phases de ce processus de différenciation : a) état de diffusion des granules chro- matiques dans l
es chro- mophiles représentent sans doute, comme Nissl le croit, un état fonctionnel de la cellule nerveuse, peut-être e
tade d'activité, chaque élément psychique se trouve dans un certain état THÉORIE DES NEURONES. 299 vibratoire ou chimi
sur le mécanisme histologique de l'association. du sommeil et de l' état de veille. III. Théorie de l'attention. I. En
sation ou perception déterminée ; la perception y est conservée à l' état latent, et la « pléiade de pyramides corti- cal
ent avec une cellule sensorielle d'un organe des sens conserve, à l' état latent, les diverses images, ou mieux les unités
t tou- jours le même aspect, que les organes fussent plongés dans l' état de repos au moment de la mort (animaux sacrifié
rpendre l'existence de variations mor- phologiques corrélatives à l' état de repos ou d'activité des cellules nerveuses,
econdaires et tertiaires, elles présentent dans l'intervalle de ces états toutes les transitions possibles. Ces formes, qui
maux : ces cellules, contractiles, étendent leurs expansions dans l' état de repos, les rétractent dans l'état contraire.
endent leurs expansions dans l'état de repos, les rétractent dans l' état contraire. Ces cellules de la névroglie abondent
ara- vant séparées. En vertu de ce mécanisme, le cerveau passe de l' état de repos à l'état d'activité. Ces contractions
. En vertu de ce mécanisme, le cerveau passe de l'état de repos à l' état d'activité. Ces contractions pseudopodiques de la
lle de * matière isolatrice des courants nerveux. L'hypothèse des « états latents » des principaux processus mentaux, si
si par ces mots Cajal entend autre chose que les conditions de ces états , paraîtra sans doute hors de saison. Il en faut
abstraction est allé retrouver l' « apperception » de Wundt, avec l' état de prétendu « mono- idéisme » de l'attention, d
éthode de Weigert permet d'étudier la névroglie, chez l'adulte, à l' état normal et pathologique. Elle colore en bleu uni-
sma de ces cellules, dont elles sont émancipées, chez l'adulte, à l' état normal, la substance de ces éléments ne soit pas
laire; 3° parce que ces fibres et leurs cellules se comportent, à l' état pathologique, tout à THÉORIE DES NEURONES. 307
omme, suivant Weigert, que pour la période embryonnaire et pour les états pathologiques du système nerveux : à l'état nor
bryonnaire et pour les états pathologiques du système nerveux : à l' état normal, et quand le développement est achevé, l
muqueuse olfactive, etc., où la névroglie épithéliale demeure à cet état embryonnaire, les prolon- gements centraux et p
rga- nique des vertébrés. Ces traces anciennes, attestant encore un état antérieur de développement du système nerveux,
ieure est responsable, est aussi absurde que de dire qu'un homme en état de crise convulsive est, puisqu'il a toute sa f
cette abstinence n'était possible que si l'ivrogne était mis hors d' état de retomber dans ses habitudes alcooliques : qu
à prouver qu'il existe un somnambulisme alcoolique, c'est-à-dire un état provoqué par l'alcool, dans lequel le sujet agi
nscience, ou du moins, sans en garderie souvenir. En réalité dans l' état somnambulique, la con- duite, la manière d'être
ent que chez des psychopathes héréditaires. Les actes commis dans l' état de somnambulisme alcoolique doivent bénéficier
nts : le médecin est appelé pour une crise convulsive téta- nique : état d'opisthotonos, bras serrés contre la poitrine, m
ts,étouffements et inquiétantes irrégularités du coeur. Depuis, son état sensiblement amélioré. Un point importnntà noter,
mes) de whisky pur : pen- dant plus de deux mois il demeura dans un état de stupeur plus ou moins profond : il présenta
, l'épilepsie rele- vait bien réellement et bien exclusivement de l' état diabétique, Archives, 2e série, t. III. 21 j"
origine aucune allure particulière. Il en est autrement de certains états mentaux, qui ne vont pas jusqu'à la folie, qui
es phénomènes d'agitation nerveuse qui viennent d'être décrits et l' état d'apathie mentale des myxoedémateux : une autre
VANTES..)2 1 ressés), des troubles de la parole qui est scandée, un état d'imbé- cillité, des accès de rire impulsif. L'
fmann comme un complexus symptomatique spécial ; combinai- son d'un état de débilité mentale avec une atrophie musculaire
ystrophie progressive. A ces altérations s'associe assez souvent un état d'imbécillité. 3° M. Bruns 'présente un hémisph
de l'albumine et des pigments biliaires. Hypothermie. Pouls 88. Cet état se maintient durant quelques jours sans modific
pilles; légère parésie des mem- bres inférieurs. L'ictère augmente, état comateux dont le malade ne sort que rarement po
marquer qu'il a observé maintes fois chez des épileptiques morts en état de mal des hémorragies analogues à celles décri
elquefois, par la narcose cliloroformique, à entraver le cours de l' état du mal. M. Weber (Uchtspringe) La méthode de Go
orragies dans la substance grise centrale des épileptiques morts en état de mal, son hypothèse sur l'étiologie toxique d
LA THÉORIE DES NEURONES EN RAPPORT AVEC L'EXPLICATION DE QUELQUES ÉTATS PSYCHIQUES NORMAUX ET PATHOLOGIQUES ; Par te'
estions, appliquons les résultats reçus à l'explication de quelques états peychiques normaux et pathologiques. En faisa
ef du laboratoire de chimie '. L'usage si répandu du plomb soit à l' état pur, soit dans ses composés, explique la fréque
FAITS. étant assez délicate, nous avons préféré doser ce métal à l' état de sulfate de plomb, en le précipitant par l'ac
celer des traces de plomb très appréciables et les caractériser à l' état de sulfure, puis de chromate. 11 ne nous para
a substance grise de la corne antérieure de la moelle épinière. Cet état spasmodique marche naturellement vers la guéris
ale, la moelle lombaire et la moelle sacrée on voit parallèlement l' état spasmodique disparailre des membres supérieurs
naissance la faculté de se tenir debout et de marcher, il montre un état de développement avancé. Les relations qu'il est
icularité DE structure DES CELLULES DE la COLONNE DE CLAME ET SUR L' ÉTAT DE CES CELLULES DANS LE TABES SIMPLE OU ASSOCIÉ
s atteints de para- lysie générale et de tabes, pour y rechercher l' état des cellules des colonnes de Clarke. Dans la
ie un solide appui. L'aliéné dont il s'agit se présentait sous deux états différents : tantôt il raisonnait bien, était d
t il était dément, gaucher, et ne parlait que le gallois. Dans un état intermédiaire enfin, il était ambi-dexlre et parl
t ambi-dexlre et parlait un mélange d'anglais et de gallois. Dans l' état de raison, il n'avait aucun souvenir de ses éta
de gallois. Dans l'état de raison, il n'avait aucun souvenir de ses états de folie, mais il se rappelait très bien ce qui
de folie, mais il se rappelait très bien ce qui se rapportait à ses états de raison antérieurs. L'auteur a recours à une
i tendent à prouver que l'insula de Reil dépourvue de fonctions à l' état normal est susceptible de suppléer le centre du l
pra- tique, relatives à l'examen de la fontanelle chez l'enfant. L' état de la fontanelle est d'un précieux secours dans
sée soit par de la diarrhée, soit par des hémorrhagies, soit par un état cachectique. Dans la thrombose des sinus, la font
ychologique, des conditions génératrices suffisantes dans le simple état maniaque ou mélancolique. Il en existe d'autres,
e est démontrée par les observation^ inverses de modifications de l' état mental, à la b74 REVUE DE pathologie mentale.
les avec les troubles intellectuels; ainsi crue M. H. Head, sur les états mentaux liés d certaines affections viscé- 1'al
liés d certaines affections viscé- 1'ales. A. M. L. SUR certains états du système circulatoire chez LES aliénés; par S
ntes et très propres à démontrer les relations qui existent entre l' état du système circulatoire et les anomalies des pr
s un cas comme dans l'autre, comme le cerveau ne peut recouvrer son état normal qu'avec le concours du système vasculair
é pen- dant trois ans dans un asile, où le diagnostic porté snr son état mental fut celui de GO paranoïa». Son examen ph
physique à l'asile et plus récemment donne les résultats suivants : état normal des sens spéciaux; testicules anormaleme
técé- dents héréditaires; syphilis; autres facteurs étiologiques; état mental et développement intellectuel avant l'appa
ue fout encore défaut, on peut constater par intervalles un certain état d'obnubilation intellectuelle. qui se traduit plu
psychoses qui présentent des conceptions délirantes, tels sont les états de confusion et l'amentia. Il faut encore citer l
sujets les injections déterminèrent des phénomènes d'excitation. L' état mental des individus soumis au traitement ne fu
é dans le même membre, de l'insommie, de la perte de, l'appétit, un état d'épuisement. Il devient incapable de continuer
en, qui détermina une perte de connais- sance passagère suivie d'un état d'obtusion durant quelques jours (vomissements,
lement les actes de violence accomplis par les aliénés et aussi à l' état d'excitabilité nerveuse qui se rencontre chez c
absurdes ou violents coïncidant parfois avec des allures correctes; état d'anxiété ; répétition d'accès analogues ou ide
aralytiques et les déments séniles, par un sentiment assez vif de l' état maladif, par des lacunes murales. La démence ép
ent leur service (désertion etc.). Les troubles consécutifs sont un état d'obtusion, de stupeur, d'irasci- bilité au cou
. 391 équivalents. Au point de vue clinique, on observe surtout des états de stupeur ou de délire hallucinatoire aigu ; l
surtout des états de stupeur ou de délire hallucinatoire aigu ; les états de confusion, de fureur maniaque sont plus rare
s impulsifs, d'amnésie partielle ou totale. Les actes commis dans l' état de stupeur sont des vols, des attentats à la pu
cides, des meurtres, etc. 4° Les psychoses chroniques épileptiques, états d'excitation ou de stupeur pouvant durer des mo
acher l'acte incriminé à ces troubles psychiques. On cherchera si l' état mental habituel du sujet présente les caractères
e humeur épileptique qu'il a maintes fois constatée, après certains états de confusion, et qui constituait le seul signe
TaczEK fait remarquer que certaines conceptions, nées au cours de l' état de rêve épileptique, peuvent se continuer au delà
cette période et faire partie des acquisitions du sujet revenu à l' état normal. Ces faits ont une importance au point de
e que dans son rapport il a considéré la modification spéciale de l' état de conscience comme caractérisant avant tout le
llance continuelle pendant la nuit. ' M. Siemerling insiste sur l' état de la conscience et le souvenir consécutif; il
roubles peuvent se rencontrer dans toutes les psychoses et tous les états de faiblesse intellectuelle. Contraire- ment à
l'on ne tient compte que des observations complètes. Ces formes des états épileptoïdes sont la source de grosses difficulté
produire des désertions et autres actes délictueux. Au cours de ces états d'excitabilité anormale, un épileptique peut ré
'eau-de-vie. M. THOMSEN relève quelques particularités concernant l' état de la mémoire daus les formes d'obnubilation tr
attaques sont fréquentes : deux et davantage par jour, tendance à l' état de mal, parfois avec élévation de tempéra- ture
grande fréquence, physionomie variable des symptômes, tendance à l' état de mal, inefficacité du bromure, évolution identi
ortie. Sur 10 sujets en rémission dont la famille a suivi et noté l' état mental, un seul a été considéré par son entoura
rapports remarquables (rémissions survenant de préférence dans les états d'excitation). On observe également, dans la ca
SOCIÉTÉS SAVANTES. 397 des phénomènes convulsifs qui dénotent un état d'excitation du cerveau. L'auteur résume ains
on admission, pré- senta quelques attaques syncopales, suivies d'un état de dépression et d'un certain degré d'amnésie.
iparésie droite, vertige, vomissements, perte de l'équilibre. Enfin état comateux et mort. A l'autopsie, tumeur dure, sp
, manifeste des idées^d'empoisonnement. A l'asile, somnolence, puis état fébrile, sans cause appréciable, (39°, b pouls;
s caractéristiques des tumeurs cérébrales (Jastrowitz, Oppenheim) : état maniaque spécial (moria) avec euphorie. Dans le
e était beaucoup moins atteinte qu'on aurait pu le croire d'après l' état de stupidité apparente. L'humeur était habi- tu
ent déprimée, mais toujours très variable; parfois se mon- trait un état d'euphorie. Il n'y avait pas, à proprement parler
--). Les rapports de la substance des cellu- les nerveuses avec les états de repos, d'activité et de fatigue des élé- men
, l'activité physiologique n'a rien produit. D'après Mann, durant l' état de repos, des matériaux de réserve, qui se colo
de la rétine, du corps genouillé externe, delà sphère visuelle. A l' état d'activité, des matériaux sont utilisés,- tandis
lement quelles sont les modifications anatomiques correspondant à l' état d'activité, de repos et d'épuisement de la cell
te analgésie à la suite de l'atta- que ne se trouvaient pas dans un état d'obnubilation accentuée, mais pouvaient donner
n est plus fréquente chez les enfants et se développe peut-être à l' état embryonnaire, restant inaperçue tant qu'elle ne
nquait bibliographie 419 donc un ouvrage d'ensemble établissant l' état actuel de la science, en ce qui concernait cett
umogastrique peuvent être intéressés; le fonctionnement des sens, l' état psychique sont modifiés par les troubles 'diges
es théories sur l'hérédité, des notions générales sur la vie, sur l' état de santé et des maladie ; sur la mort, la naiss
re). II. La question des suggestions criminelles. Ses origines, son état actuel. Rapporteur : professeur Liégeois, de Na
possible ... Le patient, forcé de garder le lit, s'é- teint dans un état de profond marasme... ; il n'est pas rare de le
). - A la période ultime..., sensibilité, mou- vements volontaires, états psychiques conscients, toutes les manifestation
rès diverses : la termi- naison la plus fréquente est causée par un état de cachexie profonde... Viennent ensuite, par o
paralytiques généraux. Je laisserai de côté tout ce qui concerne l' état mental pour m'occuper seule- ment de l'état gén
tout ce qui concerne l'état mental pour m'occuper seule- ment de l' état général des malades et, plus particulièrement,
ment de l'état général des malades et, plus particulièrement, de l' état des fonctions motrices. J'indiquerai ensuite, d'a
s par la crise finale alors qu'ils conservaient encore, avec un bon état général, l'intégralité de leurs mouvements, et
résulté d'un ictus cérébral, d'une affection intercurrente ou d'un état de marasme. 1. Le premier groupe est de beaucou
Si nous examinons rapidement les rapports qui ont existé entre l' état des malades avant la mort, entre la durée de la
et un régime individuels, variables avec chaque malade et suivant l' état de ses forces, de ses fonctions digestives, etc
die aurait habituellement une durée plus longue. Dès la période d' état , on peut prévoir la terminaison future, d'après
stingué a étudié surtout les rap- ports des signes physiques avec l' état mental et le délire, et il conclut aussi à l'ex
on de tout traitement moral et médical ; c'est la consécration d'un état morbide, d'antipathies que rien ne justifie le
éâtre pendant plusieurs jours de suite. L'enfant naquit à terme, en état de mort apparente et avec le crâne si tendre qu'i
alcoolisme du père, la différence d'âge entre lui et sa femme, et l' état de mort apparente de l'enfant quand il est venu
ons dans la région sacrée explique l'intégrité des sphincters; et l' état à peu prèsnormal des cornes postérieures, des t
ée par le langage articulé ou écrit, par suite de l'oubli des mots, état qui est probablement dû à une dégénérescence ce
rent en s'aggravant pendant huit ou dix ans. Depuis cinq ou six ans état stationnaire; il y a un arrêt de développement;
L'exagération du réflexe d'un seul côté indiquera généralement un état d'hypertonicité ou de contracture active commença
par des causes, ayant toutes cela de commun, qu'elles produisent un état de faiblesse physique. On range ici par exemple
t ce qui l'entoure, mais ne perd pas complètement connaissance. Cet état dure trente à soixante secondes. Il n'est pas a
miplégie droite et la paralysie du moteur oculaire commun gauche. L' état athéromateux très prononcé de l'hexagone, du tron
ur fixer avec plus de précision qu'on ne l'a fait jusqu'à présent l' état mental dans les paroxysmes hystériques, que les
e, et le souvenir de ce qui s'est passé pendant sa durée, aboli à l' état de veille normal, est susceptible de reviviscen
veille normal, est susceptible de reviviscence complète dans les états hypnotiques ultérieurs, spontanés ou provoqués. (
vons affaire ici à une forme de narcolepsie pure, en contraste de l' état narcoleptique, qui accompagne quelquefois l'hys
patholo- gique. M. SCIIATALOFF fit mention d'un malade chez qui l' état narco- leptique existait depuis dix-huit ans et
de mettre en lumière la grande importance des sentiments d'anxiété ( états dépressifs de concentration, d'expecta- tion) d
TÉS savantes. 487 7 voquer la neurasthénie. Il est nécessaire qu'un état affectif de concentration de nature dépressive
. 100, se traduit en général par une impressionnabilité extrême, un état d'inquiétude, de poltronnerie. Mais parmi toute
is parmi toutes les causes occa- sionnelles de la neurasthénie, les états affectifs de nature dépres- sive, d'anxiété et
ces facteurs est plus difficile à déceler; il en est ainsi quand l' état d'anxiété est provoqué par des troubles physiqu
tose, etc.); 3° Avant tout, les signes physiques qui accompagnent l' état d'anxiété sont absolument identiques avec les s
algie des neurasthéniques n'a pas d'ana- logue dans les signes de l' état d'anxiété; 4° Il n'y a pas de neurasthéniques q
d'anxiété; 4° Il n'y a pas de neurasthéniques qui ne présentent des états d'anxiété, de concentration pénible. Bouveret s
aide du sphygmomanomètre de v. Basch. Il est intéressant de noter l' état de la pupille dans la peur; la constric- tion d
qui veulent s'imposer à la majorité par la violence. L'étude de l' état mental des anarchistes montre qu'il faut grou-
Marie, est excellente. Paul Sérieux. XII. Elude médico-légale de l' état mental des vieillards ; par le Dr SCIlAEFFER. (
gie générale exposé toute l'importance de la prédisposition et de l' état mental, « les deux jalons directeurs de l'étude
à évolution systématique. Le diagnostic de ce délire est basé sur l' état mental primordial et sur l'évolution de la mala
mentale, mais n'offre plus les mêmes caractères. M. Magnan étudie l' état mental des dégénérés qui est surtout caractéris
iables, sans évolution régulière ce qui permettra avec l'étude de l' état m'entai antérieur de faire le diagnostic avec le
nie raisonnante et la folie morale ne sont que l'exagération de cet état mental : l'une dans la sphère intellec- tuelle,
sée par l'affaiblissement des facultés et la disparition rapide des états de conscience. Ils existent cependant au début de
des -, par Tromner, 404. Rapports de la substance des - avec les états de repos d'acti- vité, etc., des éléments nerve
ur la - cérébrale, par Giannelli, 140. Circulatoire. Sur certains états du système - chez les aliénés, par Edgerley,
de Bech- terew, 127. Théorie des - avec explications de quelques états psychiques, par Soukhanoff, 337. \rDLoowuE. R
48 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
s suivantes qui ont été votées à l'unanimité : « La production de l' état hypnotique permet d'obtenir la réalisation d'acte
et qu'ils étaient extrêmement faciles à intimider. L'examen de leur état mental révèle d'intéressantes particularités; ils
. En un mot, on peut dire que les deux manifestations dominantes de l' état mental des bègues sont l'émotivité excessive et l
t l'aboulie. On peut dire de beaucoup d'entre eux qu'ils présentent l' état d'infériorité mentale désignée sous le nom de pué
ge et dans l'émission des sons. Les vers fameux de Boileau passés à l' état de proverbe, expriment une vérité indéniable: C
ement de sa pensée et l'articulation de sa parole se rapprochent de l' état normal. Quand il est en présence d'autrui, il per
les Psychonévroses ». ( suite j l4) C'est donc seulement dans des états hypnotiques que la douleur ne peut parvenir à 0,
ique des maladies nerveuses. Nous connaissons bien des malades dont l' état nerveux ne guérira jamais entièrement mais qui so
tre la douleur, nous n'aurions jamais obtenu même l'amélioration de l' état général. Or cette amélioration a eu lieu et elle
ait des troubles oculaires, des phobies diverses, était enfin dans un état déplorable analogue à celui de l'avocat de M. Dub
ce qui au point de vue psychologique revient à dire la suggestion à l' état de veille, (et nous savons combien souvent l'état
e la suggestion à l'état de veille, (et nous savons combien souvent l' état de veille de ces malades sans l'influence de la c
ce de la confiance ou de leur propre suggestibilité est analogue à un état hypnotique) nous admettons que la suggestion sans
ennent pas. * Cette dépression mentale le rend furieux, aggrave son état général et sucite un profond découragement. Cet é
eux, aggrave son état général et sucite un profond découragement. Cet état persistant, il se voit dans la nécessité d'interr
senter pas même un jour, de ?on bureau. Après la troisième séance son état mental et sa lucidité intellectuelle sont tels qu
n magistrale le rapport annuel de Lord Cromer. En moins d'un mois l' état général est complètement modifié. Le traitement,
uprès de laquelle je suis employé depuis plusieurs années, voyant mon état s'aggraver de jour en jour, m'a fait examiner par
stration s'est décidée à me retirer mon emploi. » Réellement, son état est grave ; il a la figure pâle et amaigrie, les
ion, de volonté, changement du caractère, impressionnabilité, colère, états mélancoliques et hypochondriaques. sont arrivés a
deux semaines les séances sont répétées chaque jour. A ce moment son état généra! s'est manifestement transformé. Son aspec
transformé. Son aspect physique dénote une amélioration frappante. L' état mental a marché parallèlement à l'état physique.
une amélioration frappante. L'état mental a marché parallèlement à l' état physique. Le 25 mars, c'est-à-dire le quinzième j
de toute suggestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l' état mental. Un vieil adage enseigne que, « la nuit
n réalité, ce n'est pas la nuit qui rend ce service: ce sont certains états intermédiaires entre la veille et te sommeil prof
veille et te sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un état passif assez accentué, nous acquérons le pouvoir
nts de vue, la séda-tion qui résulte du sommeil provoqué constitue un état favorable pour l'aecomplissement des fonctions de
te. par M. le professeur Lionel Dauriac. r Le sommeil est-il un état pendant lequel la vie de l'esprit se continue? L'
ience. La suggestion pourrait être définie : l'action de provoquer un état de conscience (sensation, idée, sentiment, voliti
un état de conscience (sensation, idée, sentiment, volition), que cet état de conscience soit accompagné ou non d'un acte ex
le projectile et la blessure. Autant le mot hypnotisme caractérise un état nettement défini, celui de sommeil provoqué (à de
ous nous appliquons à démontrer le peu de valeur de la suggestion à l' état de veille, lorsqu'elle repose seulement sur des p
On peut trouver dans Vexpectant attention qui n'est, en somme, qu'un état d'hypnotisme et réalise une sorte de fascination,
digestif fonctionne bien, il n'y ni a infection ni intoxication; cet état n'a point été précédé de période préparatoire. Il
rez présente les excuses de M. le professeur Berlhelot, empêché par l' état de sa santé, et qui la veille, dans son laboratoi
x médecins s'ils ne sont pas préparés par leurs études à analyser des états d'esprit ou des phénomènes impondérables, qui res
états d'esprit ou des phénomènes impondérables, qui ressemblent à des états de veille de façon à s'y méprendre. J'ai vu deu
Cela ne prouve pas que le viol ne soit pas possible dans de profonds états hypnotiques mais dans la question qui nous occupe
nose elle-même mais de la suggestion pendant l'hypnose; et, lorsque l' état du malade nécessite un état hypnotique prolongé p
ggestion pendant l'hypnose; et, lorsque l'état du malade nécessite un état hypnotique prolongé pendant une heure ou deux, il
auvres tout en accordant à chacun consciencieusement le temps que son état nécessite. Voilà pour le spécialiste. Dans la p
le à nous hypnotiseurs, puisqu'elle démontre ce que la suggestion à l' état de veille permet d'obtenir en particulier dans le
tion chez un lycéen. 5° Dr Bérillon. — Diverses particularités de l' état d'aboulie. M. le Président met aux voix la cand
sommeil, avant tout repos appréciable. Ne bénéficiais-je pas ici d'un état particulier de monoïdéisrne favorisé par le somme
st pas seulement en raison du repos somnique. C'est aussi parce que l' état de monoidéisme s'établit alors facilement. Dans l
l, frais et dispos, n'aurait pu mouvoir? C'est ce qui se passe dans l' état d'hypotaxie ou dans un état de réve ; c'est une d
pu mouvoir? C'est ce qui se passe dans l'état d'hypotaxie ou dans un état de réve ; c'est une des raisons qui expliquent la
e de toute pédanterie. « Nos Universités ne sont pas entièrement en état de remplir cette double fonction. Elles sont enco
ades ; 3° édifier la science du fonctionnement du système nerveux à l' état mental et à l'état pathologique. La psychiatrie e
a science du fonctionnement du système nerveux à l'état mental et à l' état pathologique. La psychiatrie et la neurologie ne
ue d'imprimer à son corps de violentes secousses et... d'aggraver son état . (Rires.) Comme on incriminait le séjour dans l
ier. Dès la première séance, il provoqua chez notre jeune malade un état d'hypnose profond et s'adressant à elle avec auto
; il semble l'avoir fait d'une manière automatique, dans une sorte d' état subconscient, tout comme on fait, par simple réfl
un petit galibot. » (Journal, 5 avril 1906), p. 2, col. 1. Dans l' état pitoyable où se trouvait Berthon, ce rêve n'est p
méthode hypno-pédagogique afin de bien marquer que la production de l' état d'hypnotisme est la condition fondamentale de son
nce de la mère qui est une hystérique. Elle présenté à son entrée l' état suivant : Enfant d'une apparence gracile ; peau d
ne. Les clignotements cessent pendant la nutrition avec la sonde. Cet état dure jusqu'à décembre. A la mi-décembre elle co
ieuses expériences de Mesnet, qui plaçait des hommes vigoureux dans l' état de fascination et les transformait en véritables
tisme. Les excitations périphériques chez es hystèro-épileptiques à l' état de veille et d'hypnotisme ; l'autre par moi sous
différentes méthodes que l'on emploie favorisent la production de cet état d'abstraction ou de fixité d'attention, dàn„ lequ
ivie, et la santé physique se rétablit, en même temps que subsiste un état mental suffisant pour justifier une surveillance,
s qu'ils ont bu la plus petite quantité d'alcool, ils entrent dans un état d'excitation qui supprime la suggestibilité. Si M
enté d'expliquer le mécanisme du sommeil, de l'hypnotisme, des divers états hystériques. De nombreuses discussions ont été so
affirmations. Il a cité une longue série d'observations démontrant l' état de dépression morale aussi bien que physique, de
ion de sommeil. On pouvait y lire, en quelque sorte à livre ouvert, l' état de surmenage de celui qui avait écrit. On y lisai
ssance de résistance intellectuelle et physique et ils attribuent cet état déplorable au surmenage et à l'insuffisance du re
ditions indiquées, a pour effet de plonger le système nerveux dans un état nouveau accompagné d'une somnolence et d'une tend
elobre 1906. IL, '^H 2) Braid : « II se produit tout d'abord un état très sensible d'excitation de tous les organes de
er sommeil dorment ordinairement avec une sorte d'inquiétude sur leur état . » (S. LM p. 179.) 3) Braid : « Dans cet état,
d'inquiétude sur leur état. » (S. LM p. 179.) 3) Braid : « Dans cet état , nous avons le pouvoir de diriger ou de concentre
la déprimer à volonté, localement ou généralement. » 4) « Dans cet état nous avons le pouvoir d'exciter ou de déprimer la
des années entières... Etant éveillés au commandement, il décèlent un état d'imbécillité, ne connaissent rien de ce qui les
s, ils ne se remettent que ce qu'ils avaient vu dans le temps de leur état habituel de veille. » (S. L., p. 174.) * 2) Sym
* 2) Symptômes : Développement des plus variables symptômes dans l' état hypnotique. Braid : « Dans différentes périodes
es dans l'état hypnotique. Braid : « Dans différentes périodes de l' état hypnotique les symptômes les plus variables peuve
. 236.) L'imagination mentale et la concentration de l'esprit, dans l' état Ivypnotique, suffisent chez quelques individus po
ssant for- tement et par suggestion sur l'esprit des patients à l' état de veille, modifier l'activité physique des organ
id, que la même influence (suggestive sur l'esprit des patients à l' état de veille) peut s'exercer par rapport au son, à l
suggestion. 9) Veille : Certains sujets peuvent être gouvernés à l' état de veille. Braid : Après avoir observé qu'il y
d : Après avoir observé qu'il y a des patients qui sans.entrer dans l' état proprement hypnotique, peuvent être gouvernés et
ue, peuvent être gouvernés et contrôlés comme s'ils se trouvaient à l' état de dédoublement de la conscience, Braid dit : « I
assez grand nombre qui peuvent être influencés et contrôlés pendant l' état de veille et en pleine conscience d'eux-mêmes. »
pent, non seulement pendant le sommeil lucide, mais même aussi dans l' état de veille des époptes, lorsqu'ils ont été du moin
vec laquelle M11* X... est hypnotisée autorise la supposition que cet état , qui est le principal élément de son succès auprè
ulte nullement l'apparition d'une aptitude spéciale à interpréter des états ou des phénomènes physiologiques ou pathologiques
onnel (flanelle, foulard, etc.), ou une mèche de leurs cheveux. . L' état hypnotique même le plus développé ne confère à ce
t du sommeil, exécuter un acte qu'il serait incapable de réaliser à l' état de veille. ^ A plus forte raison, il ne saurait
ésions, de leur étendue, de leur ancienneté, de leurs rapports avec l' état général antérieur et actuel, de l'état relatif de
neté, de leurs rapports avec l'état général antérieur et actuel, de l' état relatif des autres organes, etc. Nous devons aj
réalisées par son père et son frère. A cet égard, existe chez elle l' état mental décrit par tous les auteurs qui se sont oc
balle de revolver restée dans la téte). Grâce à l'amélioration de son état , il était rentré dans sa famille. Il eut la malen
a voyante : que Mlle X... a une médiumnité bien nettement établie à l' état de sommeil provoqué. C'est une psychomètre incons
vibrations pathogènes émanées de la radio-activité de nos organesà l' état maladif. D'autre part, c'est un instrument qui
t placée dans une maison de santé, qui leur a dû l'aggravation de son état . A l'aide d'une mèche de cheveux envoyée en cache
d au vœu formulé tout à l'heure par M. Rocher: « La production de l' état hypnotique permet d'obtenir la réalisation (Tac-t
ypnotique; et la première chose pour cela c'est de placer le sujet en état d'hypnose. Souvent il suffira de produire un état
placer le sujet en état d'hypnose. Souvent il suffira de produire un état hypnotique léger, comme cela se pratique du reste
ggestions thérapeutiques; il n'en est pas moins indispensable que cet état hypnotique soit produit. Certains auteurs en pa
roduit. Certains auteurs en parlant des suggestions faites dans les états hypnotiques superficiels, que nous appelons le pr
ats hypnotiques superficiels, que nous appelons le premier degré de l' état somnambulique, les ont improprement appelées sugg
de l'état somnambulique, les ont improprement appelées suggestion à l' état de veille. La suggestion à l'état de veille n
prement appelées suggestion à l'état de veille. La suggestion à l' état de veille n existe pas : le mot même est un vérit
un véritable contre-sens pour quiconque a pris la peine d'étudier les états hyp-Botiques et se rend compte de ce qu'est la su
n sujet reçoive une suggestion, il faut évidemment qu'il soit dans un état de suggestionnabilité.Or, la suggestionnabilité e
Or, la suggestionnabilité est un phénomène qui ne se présente pas à l' état de veille normale. On peut persuader un sujet à l
ésente pas à l'état de veille normale. On peut persuader un sujet à l' état de veille ; on ne peut pas le suggestionner; et l
que nous faisons pour nous entendre en français. Quand, ayant mis en état d'hypnose, un individu atteint de paralysie des j
nabilité se développe, il faut nécessairement que le sujet passe de l' état de veille dans un état d'hypnose. Cet état d'hypn
il faut nécessairement que le sujet passe de l'état de veille dans un état d'hypnose. Cet état d'hypnose peut être très lége
nt que le sujet passe de l'état de veille dans un état d'hypnose. Cet état d'hypnose peut être très léger, le passage peut m
erceptible pour les personnes qui n'ont pas une grande expérience des états hypnotiques, il n'en est pas moins réel c'est ce
otiques, il n'en est pas moins réel c'est ce qui se présente pour les états les plus superficiels du premier degré du somnamb
gestion à distance, comment allons-nous faire pour placer le sujet en état d'hypnose. Tout d'abord il faut considérer deux
11 suffit alors de lui rappeler la suggestion faite antérieurement, l' état d'hypnose est facilement produit comme une suite
de suggestibilitédu sujet et suivant que l'on veut le mettre dans un état d'hypnose plus ou moins profond pour obtenir la r
ances extérieures les plus favorables pour obtenir la production d'un état hypnotique. Pour cela on lui ordonnera de se reti
n utile. Ceci bien établi on peut par différents moyens provoquer l' état d'hypnose. Il est bon d'en avoir un certain nombr
ui conseiller de s'exercer à plusieurs reprises, à se placer dans cet état , avant de lire les suggestions, afin de 1 habitue
nt par le malade sur l'ordre qu'il en a reçu par écrit, produisent un état d'hypnose suffisant pour lui donner la uuggestion
nt, il s'éveillera de lui-même complètement et se retrouvera dans son état normal. Cette dernière partie est une suggestio
ra dans l'esprit, s'imposera au cerveau du sujet, en même temps que l' état d'hypnose se produira et qu'il deviendra suggesti
ent utile. Le premier effet sera de bien replacer le sujet dans son état normal et d'éviter les désagréments que j'ai vus
de bien éveiller leur malade et l'ont laissé sans s'en douter dans un état d'hypnose auquel ils ne comprenaient absolument r
t faites. Cette suggestion pour amener le réveil sera faite en tout état de cause, quel que soit le procédé que l'on aura
duire l'hypnose. Il arrivera quelquefois que, soit pour produire un état d'hypnose plus profond, soit parce que l'on sait
tiendra les regards fixés sur le même point, cela produira un premier état d'hypnose. Les cinq minutes suivantes il regard
aine difficulté à faire réaliser les suggestions par le malade. Car l' état d'hypnose est assez profond et les suggestions, a
est un Italien que je n'ai jamais vu, mais je connais assez bien son état psychique par la correspondance assez longue que
us haut relativement aux prescriptions destinées à mettre le sujet en état d'hypnose. A cela j'avais ajouté, sur une feuille
règles : Placer le sujet dans de bonnes conditions pour être mis en état d'hypnose. Bien l'hypnotiser en choisissant le
eux. Prendre les précautions voulues pour bien assurer le passage à l' état d'hypnose et le passage de l'état d'hypnose à l'é
es pour bien assurer le passage à l'état d'hypnose et le passage de l' état d'hypnose à l'état de veille. Faire des suggestio
r le passage à l'état d'hypnose et le passage de l'état d'hypnose à l' état de veille. Faire des suggestions courtes, précise
séances de rééducation de la volonté, réalisée par suggestion dans l' état d'hypnotisme. Les parents du jeune homme sont d'a
nt des obstacles attribués à la malveillance; de plus, par suite de l' état rudi-mentaire des wagons de marchandises, les piè
t diverses : le milieu dans lequel les enfants vivent (Decroly), leur état physiquo, otc. Aussi appellerons-nous ces enfants
moins éloignés, présente des accès d'excitation ou de dépression, un état toul-à-fait distinct de l'état habituel, avec tro
ccès d'excitation ou de dépression, un état toul-à-fait distinct de l' état habituel, avec troubles de la mémoire, actes impu
cas plus rares, la démence survient chez des épilepti-ques, après des états de mal fréquents ou des séries d'accès ; sa march
mentale. Il faudrait donc essayer de prévenir les résultats de cet état de chose et tâ'cher de reconstituer le foyer fami
e, s'enquérir de sa nature intime, de sa sensibilité morale et de son état physique. On doit connaître ses penchants et touj
esse surveillés et soumis à un régime de discipline particulier. Si l' état mental dégénératif du sujet ne s'améliore pas, ou
es et dans les appartements resserrés des grandes villes aggrave leur état , aussi les institutions médico-pédagogiques desti
ns distinctes selon leur âge, leurs aptitudes intellectuelles et leur état nerveux sont soumis ù une surveillance constante,
nt interrompue le poursuit; la crainte de ne pas bien jouer le met en état d'infériorité, dès qu'un public l'écoute ; il hés
t bleu au lieu d'être quelconque. II y a donc anesthérîc suggérée à l' état d'hypnose, ou tout au moins d'hypotaxie. Pour v
aient sous l'influence de la moindre dose d'alcool, et même de vin. L' état d'hypnose étant en relation directeavec l'état de
ool, et même de vin. L'état d'hypnose étant en relation directeavec l' état de l'attention, on peut conclure de ce qui précèd
(et, en particulier, chez ceux qui nous approchent le plus) certains états de somnolence ou de sommeil qui, mutatis mutandis
réduits à ce sommeil spécial. Certains animaux, non hibernants à l' état habituel, le deviennent sous la pression de certa
60 jours ne sont point morts, parce qu'ils restèrent plongés dans un état voisin de l'hibernation. De même, chacun sait que
e et non pas un sommeil pathologique. J'en dirai autant de certains états de mort apparente, par exemple chez les poissons
le, laquelle comporte finalement la cachexie et, avant elle, tous les états intermédiaires qui y mènent, torpeur, hébétude, e
el et la force de la volonté jouent nécessairement leur rôle dans cet état . M. Lépinay, médecin-vétérinaire. — Les animaux
Je me rends à son désir, et lui donne les suggestions appropriées, en état de sommeil léger. Arrivé à Batavia, il me décri
dire depuis trois semaines. La pauvre malade, exténuée, présentait un état d'amaigrissement effrayant. Le médecin du transat
ussite mettre la dame en sommeil profond. La suggestion donnée en cet état arrêta les vomissements et rendit l'appétit et la
29 août, les 2, 5, 9 et 15 septembre. Dès la 3' séance, elle tombe en état de charme; dès la 1", elle fait le voyage de Deve
r BérillOx, professeur à l'Ecole de Psychologie. La timidité est un état psychologique que l'on retrouve toujours à la bas
issance des effets de l'hypnotisme. L'être intimidé se trouve dans un état psychologique analogue à celui de l'être hypnotis
qu'ils sont exposés à ressentir se joint celle d'être constamment en état d'infériorité dans leurs entreprises, aussi progr
rogressivement se crée en eux l'indécision, l'irrésolution et enfin l' état d'aboulie confirmé. Chez d'autres, à l'aboulie ne
ins la disposition à se laisser intimider est même si marquée que cet état psychologique peut être considéré comme la manife
t d'agir conformément à ses intentions, signes pathognomo-miques d'un état anoimal, morbide, ainsi que l'a très judicieuseme
sité d'une occupation et peut-être aussi par le besoin d'une espèce d' état de somnolence. Nous avons remarqué que les pri-se
résentent fréquemment des troubles diges-gestifs, ils sont en mauvais état et il a été dit avec vraisemblance que le tic éta
un temps aussi long se balançait au point d'entrer dans un véritable état d'hypnose. Nous avons pensé que le tic, qui con
-motrice » se développant exclusivement chez des sujets présentant un état mental spécial, un état d'infantilisme psychique
t exclusivement chez des sujets présentant un état mental spécial, un état d'infantilisme psychique caractérisé par une impe
exclusivement chez les sujets présentant, si on peut ainsi parler, un état psychique comparable à celui des tiqueurs humains
, un état psychique comparable à celui des tiqueurs humains. Dans cet état , le cheval offre tout au moins des tares physique
s cas, trop peu nombreux ou d'une façon trop peu suivie pour en faire état , mais cependant nous avons observé que par exempl
procédant ainsi, l'auteur a pu reconnaître que lorsque l'abeille a l' état de « chercheuse n (de rôdeuse, comme disent les a
le va signaler cette pâture à la ruche. Elle-même revient passant à l' état de butineuse, accompagnée de quelques recrues et
mais à la condition de leur appliquer des méthodes appropriées à leur état . Vous avez résolument abordé ce grave sujet et mo
d'aspirations sexuelles, mais elles sont vagues et imprécises. Cet état d'indétermination sexuelle persiste le plus souve
uvent l'occasion de le faire, l'hypersuggestibilité qui caractérise l' état mental des adolescents. Chez les adolescents et
é est si développée qu'ils se placent facilement d'eux-mêmes dans des états de conscience analogues aux états d'hypnotisme. C
ent facilement d'eux-mêmes dans des états de conscience analogues aux états d'hypnotisme. C'est lorsqu'ils se trouvent dans c
alogues aux états d'hypnotisme. C'est lorsqu'ils se trouvent dans ces états d'attente affective, de désir, de monoïdéisme, d'
s par l'initiateur se comportent comme des suggestions faites, dans l' état d'hypnotisme, à un sujet très hypnotisable. De là
bien plus dans une mauvaise initiation à la vie sexuelle, que dans un état de dégénérescence. A cette notion il conviendra
r M. le Dr Fernand LaGRange, Médecin consultant à Vichy. On appelle état d'entraînement, l'ensemble des perfectionnements
ence d'un exercice corporel régulièrement pratiqué. Chez l'homme, l' état d'enlrainement se produit souvent sans qu'on le r
s mouvements d'une certaine énergie. Mais souvent la recherche de cet état est l'unique objectif du travail corporel que l'h
fait défaut, doit se-porter au poumon en plus grande abondance qu'à l' état de repos ; et c'est le cœur qui doit l'y pousser.
curculionides ou charançons, et au genre B&laninus, et vivent à l' état larvaire dans les noisettes, les châtaignes, les
balle. « Une seule passion dominait mon père, celle de son nom. Son état habituel était une tristesse profonde que l'âge a
nement agit pour augmenter la résistance de l'homme à la fatigue. L' état de fatigue est caractérisé par deux symptômes pri
l'homme continue son exercice intensif, il risque de tomber dans cet état qui l'expose au surmenage inconscient et qu'on ap
ans cet état qui l'expose au surmenage inconscient et qu'on appelle l' état de surentraînement. Dans l'état de surentraînem
nage inconscient et qu'on appelle l'état de surentraînement. Dans l' état de surentraînement, les forces baissent sans que
xplique une foule d'autres qu'on observe journellement sur l'homme en état d'entraînement. Le souvenir 1 un effort couronné
soit acquise; sous la seule condition d'entretenir les muscles en bon état de nutrition, par la répétition quotidienne d'eff
. M* B... se met alors à l'hypnotiser. La première fois, il le met en état de somnolence. Pendant la séance, il lui suggère
ndant deux mois avec trois séances par semaine. Au bout d'un mois son état général est tout à fait modifié, bien que, de tem
s sans en avoir conscience, mais ces actes n'ont pas été commencés en état de conscience, ils sont tout entiers compris dans
« — Je ne crois pas, répond Mme R... J'ai dû avaler cet animal à l' état d'œuf ou d'embryon avec les aliments ou les boiss
bservations, de la main même de la malade. On peut juger par lui de l' état dans lequel était cette malheureuse. Que devion
rchant la cause de ce fait, je m'apercevais d'un changement dans leur état de santé. Si ces timides ne forment p;is la class
e qui l'accompagne. Or, plus l'impressionnabilité chez un sujet à l' état de veille ou à l'état d'hypnose, est forte, plus
Or, plus l'impressionnabilité chez un sujet à l'état de veille ou à l' état d'hypnose, est forte, plus facilement s'accomplis
la nutrition des régions mêmes qui sont l'objet de cette confiance. L' état de confiance qui surgit chez le malade remonté pa
effets physiologiques, auxquels donnera lieu l'apparition d'un pareil état de confiance, sont par suite plus ou moins analog
u moins analogues aux actions somatiques qui caractérisent les divers états de joie avec tout leur cortège d'émotions et d'id
e très peu perceptible tout d'abord. Nous pouvons donc conclure : L' état de confiance ne vient pas seulement combattre l'i
l eût assurément éprouvé la plus grande humiliation en constatant son état de malpropreté, ainsi que l'odeur infecte, due au
le ou d'une surprise agréables, d'un étonnement joyeux, tout homme en état de sentir et de vibrer, lèvera spontanément ses b
ascenlionnel vertical, qui traduit l'aspiration involontaire vers un état plus parfait. A l'annonce d'un malheur, d'un désa
débraillé. Fort bien, mais les ivrognes deviennent dans leur triste état des êtres particulièrement batailleurs et agressi
s résultats. L'attention est susceptible d'être ainsi rééduquée à l' état de veille et avec avantage également à l'état d'h
tre ainsi rééduquée à l'état de veille et avec avantage également à l' état d'hypnose, quand faire se peut. Mais il faut bien
.\géiêraies dehnêdeciiie, 1905,' p. -10. les plus rapprochés de l' état de veille qu'il faudra chercher à provoquer, les
rapprochés de l'état de veille qu'il faudra chercher à provoquer, les états d'inhibition légers dans lesquels la résistance p
de psychologie. Les aboulies sont constituées par une association d' états de conscience parmi lesquels les plus apparents s
caractère d'aboulie confirmée et une disposition à l'aggravation de l' état pathologique. Au contraire, le retour progressi
ée, des exercices d'écriture appliquée. Les progrès réalisés dans l' état mental du malade s'enregistrent d'eux-mêmes sur l
ychothérapeutes qui, jusqu'à ce jour, sous les noms de suggestion à l' état de veille, ou de persuasion, se sont cantonnés da
nous l'a démontré mon maître, le Dr Bérillon, n'est autre chose qu'un état d'hypnotisme à un certain degré), toutefois pour
e du Caire, âgé de 24 ans, vint me consulter le 20 mars 1906. dans un état d'anxiété extrême. * Docteur, me dit-il, mon av
tes les psycho-névroses. L'être intimidé par une personne est dans un état analogue à l'être hypnotisé. L'intimidation provo
émotionnel et en souffrent; ils perdent confiance en eux-mêmes, d'où états progressifs d'indécision, d'irrésolution, d'aboul
sion, d'irrésolution, d'aboulie. Lorsque l'anxiété se joint à ces états , le malade éprouve des phobies, dont la plus péni
lité ne soient pas synonymes. Quelle est la différence entre ces deux états ? Je me contente de rapporter les opinions de que
née dernière, écrivait dans la Presse Médicale (') ; « La vieillesse, état physiologique, manque de la régénération qui est
Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, la sénilité est un état pathologique que l'on rencontre presque toujours
s; ce qui rend impossible une séparation nette et précise de ces deux états . » C'est aussi notre avis. Il est facile d'établi
ique des faits. Et, au lieu de chercher la vieillesse normale dans un état imaginaire ou dans un état qui, même s'il existe,
de chercher la vieillesse normale dans un état imaginaire ou dans un état qui, même s'il existe, constitue une extrême rare
vraiment la règle et d'ériger en portrait de la vieillesse normale l' état habituel de l'individu quand il a dépassé une cer
dus dont le déficit intellectuel serait très prononcé par rapport à l' état de la majorité des vieillards ayant le môme âge.
ce cérébrale, qu'elle soit jusqu'à un certain point indépendante de l' état des vaisseaux (comme atrophie ou sclérose primiti
de la régression psychique du vieillard, cela serait sans doute, vu l' état actuel de nos connaissances, un rapprochement -&g
s son mérite incontestable, était incapable d'aborder l'examen de ces états mentaux * que le plus grand métaphysicien et pres
mémoire et il est conscient de sa faiblesse organique ; c'est tout. L' état de son affectivité, ses extravagances, son instab
à des illusions de souvenirs et croit reconnaître dans son passé son état actuel qui n'est que l'effet de la vieillesse.
ntion : la joie qu'éprouvent les hommes, surtout les primitifs, par l' état d'extase, fait qu'ils désirent se mettre en cet é
primitifs, par l'état d'extase, fait qu'ils désirent se mettre en cet état par des moyens religieux. C'est ainsi que religio
ment [dans notre cas c'est le sentiment religieux) sur Pâme. Dans cet état , notre réceptivité pour les autres impressions es
anse était partie intégrante de la fête religieuse ; j'ai pu noter 1 " état d'extase, la joie extatique qu'ils cherchaient et
es et dans la solitude et la contemplation éternelle ils arrivent à l' état extatique, ne sentant plus leur situation grotesq
ce n'est plus l'extase religieuse proprement dite, mais c'est le même état psychologique sous formes nouvelles crées par l'é
t que les préoccupations professionnelles jouent dans l'étiologie des états d'anxiété qui compliquent fréquemment les manifes
ât au traitement avec une bonne volonté manifeste, la production de l' état d'hypnotisme ne fut pas tout d'abord facilement r
ent réalisée. Plusieurs séances furent nécessaires pour réaliser un état d'automatisme assez accentué. Dès lors, l'amélior
r un état d'automatisme assez accentué. Dès lors, l'amélioration de l' état nerveux fut obtenu assez rapidement. En lui dem
us rigoureusement cor.for-mé à la méthode suivante : 1° Provoquer l' état d'hypnotisme, c'est-à-dire un état physiologique
éthode suivante : 1° Provoquer l'état d'hypnotisme, c'est-à-dire un état physiologique caractérisé par la diminution des d
océdés psychologiques, en y associant les médications indiquées par l' état général du sujet, amène des guérisons remarquable
e recherchera de nouveau chez le même sujet, étudié celte fois dans l' état d'abstinence, le réflexe de la suggestibilité red
n sujet auparavant très hypnotisable, l'aptitude à être plongé dans l' état d'hypnotisme. Dans la recherche du réflexe de l
in The Practionner, dit que dans les insomnies sans relation avec un état morbide défini, il devient nécessaire d'administr
vient nécessaire d'administrer un hypnotique, il faut se guider sur l' état de la pression sanguine. Si la pression est aba
49 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
.Aus, si quatre jours après nous fut elle rendue.A l'infirmerie son état ne litclu'emliirer. Le service n'étant point or
er des escapades fâcheuses et si nous avions laissé les choses en l' état , celles-ci, gros- sies par les mauvaises langue
icières ont elles-mêmes cons- taté une certaine amélioration dans l' état mental. Cinq d'entre elles notamment, enfants r
'immense majorité de nos malades ne sont plus ces « démentes dont l' état mental nejustifiait pas d'une façon absolue le
ls n'ont jamais convenu pour l'hospitali- sation d'aliénés que leur état mental ne permet pas de 12 ASSISTANCE. placer
conservantune auto- rité suffisante. Or ceci, qui s'est manifesté l' état aigu pour la petite Germaine est également vrai
et celles qui s'y rattachent (attribution de chaque personnalité ou état de conscience à l'un des hémisphères, etc., ont
reconnaître la du- plicité, ou suffira- t-il de la constater, comme état secondaire, chez l'être pleinement formé ? J'
e il n'existe aucune sorte'd'observation. Con- cluons donc -qu'en l' état actuel de la science il y a lieu de croire que
premiers globes vitellins demeurent à peine quel- ques instants à l' état tangent. Sitôt individualisés, ils se rappro- c
ment par le Duplicisme la vie psychologique de l'Homme et aussi ses états psychologiques anormaux,sa liberté, son unité d
ie qui attribue à chaque hémisphère une personnalité distincte, à l' état normal ou à l'état pathologique. J'ai rappelé d
haque hémisphère une personnalité distincte, à l'état normal ou à l' état pathologique. J'ai rappelé dans l'historique qu
siste, et quoiqu'il se vante de connaître, outre la sociologie, « l' état actuel de la science zoologique »(p. 36), que sa
ait un éloge exa- géré des personnes qui l'entourent. Toutefois cet état s'améliore et la sortie est signée le z9 septem
s jours, les phé- nomènes bruyants s'atténuent, mais il persiste un état assez ac- centué de confusion mentale avec déso
a dans l'urine ni sucre ni albumine. Ni lièvre ni modification de l' état général. Du 10 aul7,la situation est sensibleme
nique de la maladie. Klippel et Dumas ont signalé les rapports de l' état affec- tif des paralytiques généraux avec leur
idérer la vaso-dilatation péri- phérique comme entièrement liée à l' état de satisfaction dans la variété expansive. On o
le un certain nombre de symptômes qu'il faut en- core attribuer à l' état des centres vaso-moteurs ; tels sont les attaqu
ticulations temporo-maxillaires). Sa croissance est moindre qu'à l' état normal mais ne subit pas d'arrêt complet (diamètr
ne cause jamais le moindre trouble dans ses mouve- ments ni dans l' état apparent de ses divers tissus. Pourtant,après l
as. 9, p. 391 à 401, 6 fig.) Trois cas de paralysie générale avec état variable des réflexes : 1° Femme de 50 ans; dou
le à forme hémiplégique ou de rachitisme grave. En général tous les états spastiques s'opposent à sa production. L'A. se
nfluence de la section expérimentale des racines postérieures sur l' état des neurones périphériques. Contribution à l'ét
génitale,soit involutionnelle, et chez lesquels il existe aussi un état anormal du sang, caractérisé par une tendance s
as de Joffroy, mais bien dans tous, que l'on aurait vu apparaître l' état convulsif. L'auteur pense que cet autre facteur
aître l'état convulsif. L'auteur pense que cet autre facteur est un état approprié des cellules nerveuses, et pro- bable
est un état approprié des cellules nerveuses, et pro- bablement un état d'extrême instabilité, tel qu'on peut s'attendre
t une structure défectueuse, et 90 %, sous la forme de thrombus, un état du sang capable d'agir à la manière d'un facteu
pourrait aboutir à la formation d'angiomes, et cliniquement, que l' état particulier du sang qui crée cette tendance à la
u- tre elle donnera naissance à une série de crises, voire même à l' état de mal. Sauf dans les cas qui se compliquent
ls a indiqués comme générateurs de l'épilepsie, quelquefois c'est l' état indispensable du système nerveux qui man- que ;
ans l'épilepsie idiopathique, et ces deux facteurs sont, d'abord, l' état d'instabilité des cellules nerveuses, la dissol
nerveuses, la dissolution sénile du système nerveux, et ensuite un état de stase ou d'anémie cérébrale résultant des lé
n 1906.) L'hypoesthésie périphérique, seule étudiée jusqu'ici à l' état nor- mal ou pathologique,serait en quelque sort
urvivants examinés par l'A. 9 seule- ment furent trouvés en parfait état de santé ; 7 étaient atteints de 72 REVUE DE PA
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tétanie chronique ; 19 présentaient des états tétanoïdes ; 6 étaient dans un état rappelant l
hronique ; 19 présentaient des états tétanoïdes ; 6 étaient dans un état rappelant le myxoedème. Ch. Bonne. VII. Epileps
s gauches respectées par la poliomyélite de l'enfance, mais déjà en état de moindre résistance, et que,dans ces conditio
Par contre l'usage de l'ovarine amena d'heureuses modifications : l' état psychique fut grandement amélioré l'hypophyse ne
pit. L'inexécution des actes ou des gestes n'était donc pas due à l' état démentiel mais à cette incapacité spéciale à mo
G. Deny. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. - Sur la combinaison des états dépressifs aigus avec pro- cessus psychiques ob
es hallucinations. L'auteur voit dans ce cas la combinaison de deux états psychopathologiques dont chacun aurait pu exist
dépendamment de l'autre et il pose le diagnostic de mélancolie avec états psychiques obsédants. En France,nous dirions to
tats psychiques obsédants. En France,nous dirions tout simplement : état mélancolique chez un dégénéré ; en effet,le mal
ce terrain ne paraît pas être de la mélancolie vraie, mais bien un état de dépression en rapport avec la nature des tro
) - Les caractères jusqu'ici attribués à la fugue (irrésistibilité, état de la conscience et du souvenir) sont loin d'êt
fication a peu de valeur diagnostique, car elle est diffuse et, à l' état normal, la sensibilité à la douleur est très va
z les soldats lusses. La grande majorité d'entre eux se trouvait en état de dépres- sion : ils présentaient la forme stu
ments de la vie courante peuvent prendre place dans le tableau de l' état délirant d'halluci- natoire. En somme la guer
la confusion mentale aiguë, à ]'amentia de lfeynert,la plupart des états psychopathiques ob- servés chez les soldats ram
mment émise par P. Marie, l'apraxie de Liepmann n'est pas liée à un état démentiel. Sur 1'1 malades pris au hasard et qu
mentiel. Sur 1'1 malades pris au hasard et qui étaient tous dans un état de démence profonde un seul était apraxique. En
jouta les aliénés criminels en atten- dant la création d'un asile d' état spécial. Comment se fera l'ad- mission de ces m
joies que procure l'extase. M. Bérillon. L'extase est une sorte d' état de charme, de fascination ; elle réalise un éta
se est une sorte d'état de charme, de fascination ; elle réalise un état superficiel de l'hypnose, avec monoidéisme et,
rteun cas de ce genre, en particulier sur la production fictive, en état d'hypnose,des conditions dans lesquelles le tra
misme;ni amoindrissement des facultés intellectuelles. 1 - Les états affectifs neutres M.Lionel I)AUacAC.-Les états
tuelles. 1 - Les états affectifs neutres M.Lionel I)AUacAC.-Les états affectifs sont, d'ordinaire, définis en fonctio
'autre deces phénomènes ils paraissent s'évanouir. Or il existe des états affectifs, sans plaisir et douleur, qui ne sont p
desquels il faut placer la suggestion hypnotique. Par elle, dans l' état d'hypnose il devient possible de cultiver le ré
vec qu'elle intensité le reflexe d'obéissance se ma- nifeste dans l' état d'hypnotisme chez des sujets qui à l'état de ve
nce se ma- nifeste dans l'état d'hypnotisme chez des sujets qui à l' état de veille en paraissaient dépourvus. A la cultu
bilia- tion psychique à peu près complète, consécutive à un certain état mental, accompagnée des seules manifestations p
M. Picot appela aussitôt des agents qui mirent ce malheureux hors d' état de nuire. C'est un négociant de la rue de Hivoli,
E NEUROLOGIE MEDECINE LEGALE Une hystérique incendiaire pendant l' état - somnambulique ; , Par 1(3 Dr A. CULLERRE
la Roclie-sur-7 ou. Les actes délictueux ou criminels accomplis en état de somnambulisme hystérique ou de condition sec
orales le cas d'un jeune homme condamné pour escroqueries faites en état de vie somnambulique. 13ernhcim relate le fait
e le fait d'un jeune hystérique de seize ans qui. en 1898, étant en état second, s'approprie un chèque, qu'il avait été
ou criminels com- mis par des hystériques ont été exécutés dans un état de subconscience crépusculaire ou dans un accès
quelles s'ajoutent, dans la suite, des crises de somnambulisme ou d' état second pendant lesquelles elle se livre à des f
icié d'une ordonnance de non-lieu. HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT l' ÉTAT SOINAN113ULIQUE. 99. Enfin, un troisième ordre
de son mari, qu'elle n'est point folle, mais que, en raison de son état de santé, elle se résigne à la séques- tration
ns. Bien qu'elle refuse à peu près conti- nuellement de manger, son état physique s'améliore néanmoins, car on profite d
it étouffée dans les bras du fantôme. Elle est parfois une heure en état d'apnée; les tissus violacés, la langue tuméfié
Revue de l'hypnotisme, lb'J;3).. HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT l' ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 10L se plaint de quelques troubl
f et s'en empare et on ne la lui arrache qu'avec peine. Revenue à l' état prime, elle est heureuse d'apprendre que l'inlirm
state la disparition de toute crise, comulsive ou délirante. Seul l' état neurasthénique se révèle par des phénomènes nom-
, s'efforça, par diverses manoeuvres d'hypnose, de la ramener à l' état normal. Elle n'y réussit qu'au bout de plusieurs
18 septembre, à la suite d'une attaque convulsive, elle revient à l' état prime, très étonnée d'apprendre qu'on n'est pas
y fait remarquer : un certain nombre d'entre elles, commencées il l' état normal, ont été conlinul'esdans 1 ? laL de déli
idées fixes : celle du suicide et de la vengeance..Mais alors qu'en état de délire parlé, elle est surtout hantée' par l'i
out hantée' par l'idée du suicide, HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT L' ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 103 dans l'état de délire écrit,
, HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT L'ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 103 dans l' état de délire écrit, elle exprime de préférence avec
, après m'avoir exposé d'une façon correcte pendant deux pages, son état physi- que et moral et avoir beaucoup insisté p
t retirée par son mari. Au bout de sept ans. Rechute et incendie en état somnam- bulique.- Après un intervalle de sept a
iller; il est vrai que je travail- HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT l' ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 105 « lais dans du rouge, qui me
très nettement des écrits de la malade que c'est dans une période d' état second, de somnam- bulisme délirant en un mot,
epsie, anorexie, vomissements, myasthénie cryesthésie elc. Dans cet état , la mentalité ne semble pas foncièrement altéré
; la malade devient, à la vérité, morphinomane, ce qu'explique son état de souffrance habituel et sa déséquilibration n
'homicide, et les impul- sions nuisibles les plus variées. Dans cet état , qui est toujours un état second, un élat de cr
ions nuisibles les plus variées. Dans cet état, qui est toujours un état second, un élat de crise avec vie som- nambuliq
une véritable mentalité criminelle. Pour comprendre quel était l' état de notre malade au moment où elle a commis l'in
exclusive, la mère de leurs petits enfants. Soudain, du fait de cet état émotif intense et systéma- tisé, aidé sans dout
e, dans un amoin- drissement suprême de sa personnalité réduite à l' état d'automate, elle succombât enfin à l'obsession.
ndrissement progressif de la cons- cience personnelle,d'une sorte d' état monoïdéique amené par l'angoisse, que l'impulsi
éclanche Le terme de folie avec conscience, employé pour désigner l' état mental de ces malades, est donc assez impropre,
provoque, directement responsable HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT L' ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 1os des actions criminelles et e
estations psychiques de l'hystérie, crise délirante, somnambulisme, état second, doit être considérée comme exclusive de
idérée comme exclusive de toute responsabilité. Dans ces di- vers états , la conscience est altérée,pervertie ou réduite
du jugement et de la volonté sont aussi im- possibles que dans les états crépusculaires de l'attaque épileptique. On p
On pourrait objecter, à la vérité, que la personnalité, dans les états seconds ou somnambuliques, loin de se présenter
ble parfois accrue, élargie et forti- fiée. Certains sujets, dans l' état second ont une mémoire plus complète, une sensi
able. Certaines hystériques sont positivement plus intelligentes en état de sommeil qu'en ce qui pa- raît être chez elle
ligentes en état de sommeil qu'en ce qui pa- raît être chez elles l' état de veille et quand il existe des personnalités
t normales pour dis- cuter et décider cet acte ? Etait-il ou non en état de démence» JI au sens actuel de l'article 64,
moire, ses maladies anté- rieures, etc. ? Nous essayons d'établir l' état normal ou ma- ladif de ses neurones psychiques.
desquelles 13 sens com- mun et la pratique ont toujours compris les états intermé- diaires entre la santé mentale et la f
nt de vue de la sécurité sociale. Mais il y a un moyen, même dans l' état actucl de la législation, do parer, dans une ce
. L'intérêt social exige absolument qu'on cesse de ne voir dans les états dits intermédiaires à la raison et à la folie q
stic, un traitement. Le diagnostic comprend la détermination de l' état mental de l'inculpé et du rôle joué par les lac
implement qu'il n'y a ni crime ni délit lorsque le prévenu était en état de démence au moment de l'action; que le moL«re
êtes, et tous, comme un seul homme, ne consentiraient pas qu'un tel état de mépris général continuerait d'exister. La fa
ancolie récidivantes, englobant ainsi dans une même entité tous les états d'excitation et de dépression qui n'appartenaie
a permis de montrer que la manie et la mélancolie, loin d'être des états contraires comme on le croyait généralement, so
tre des états contraires comme on le croyait généralement, sont des états homologues caractéri- sés l'un et l'autre par l
ésentent à la fois des symptômes de ma- nie ou de mélancolie, des « états mixtes ». La folie maniaque-dépressive peut don
r la répétition, l'alternance, la juxtaposition ou la coexistence d' états d'excitation et dépression ». (Deny et Camus).
in a enrichi cette psychose de la description des étals mixtes. Ces états mixtes se rencontrent principalement au moment
ts mixtes se rencontrent principalement au moment du passage d'un état mélancolique à un état maniaque, ou inversement ;
ent principalement au moment du passage d'un état mélancolique à un état maniaque, ou inversement ; ils peuvent encore s
n état maniaque, ou inversement ; ils peuvent encore se montrer à l' état isolé et constituer tout l'accès du malade.Dans
ontrer à l'état isolé et constituer tout l'accès du malade.Dans ces états , les symptômes jusqu'ici rapportés à la manie e
e de l'excitation et de la dépression ». Kraepelin a décrit les six états mixtes suivants : la manie coléreuse ; la manie
xcitation et de dépression de la démence précoce. Le diagnostic des états mixtes peut être très difficile. Le pronostic s
ciles de la pathologie mentale, à cause des fréquentes variations d' état chez le même individu d'un moment à l'autre, à
iable que dans cette maladie il y a des rémissions, des retours à l' état normal. J'appuie cette affirmation sur une stat
abord l'existence des étals mixtes si bien étudiés par M. Krâpelin, états de beaucoup les plus nom- breux, dans lesquels
simples récidives. Il faut distinguer aussi avec soin d'a- vec les états vraiment périodiques les affections mentales do
rent bien le rapport intime existant entre la maladie du coeur et l' état psychique. Chez nos deux premiers malades, des
pressifs sont cependant les plus fré- quents et peuvent exister à l' état isolé. Quelle que soit la forme revêtue.par les
at isolé. Quelle que soit la forme revêtue.par les perversions de l' état mental, excitation ou dépression, il ne s'agit
me alimentaire chez l'homme, la clinique, permettent de rattacher l' état de santé à la maladie de Basedow par toute une
acher l'état de santé à la maladie de Basedow par toute une série d' états intermédiaires de ner- vosisme : hyperthyroïdie
r les manifestations qualifiées d'hystériques. En se basant sur l' état constitutionnel et les aptitudes psychiques du su
sidérée comme une diathèse prenant, en général, son origine dans un état constitutionnel du système nerveux, le nervosis
sociales des individus (hystérie infantile, hystérie féminine). Les états hystériques dérivent par des transitions insen-
er montre l'importance des causes morales pour le développement des états hysté- riques et considère même l'hystérie comm
elé près d'une jeune fille de ferme, qui présentait de la fièvre. L' état général était satisfaisant, je pensai à la grip
nce de l'hystérie. Il est im- possible de modifier par suggestion l' état des réflexes tendi- neux, cutanés, pupillaires.
es réactions qui ne sont plus usitées chez l'individu normal qu'à l' état ru- dimentaire ; quelques-unes d'entre elles ne
t-être plus intenses, mais non différentes de ce qui se produit à l' état normal. Seulement il s'y ajoute quelque chose e
s'y ajoute quelque chose et c'est ce quelque chose qui constitue l' état hystérique. C'est qu'une fois produit il a tend
produit il a tendance à persister (idée ou accident somatique), Cet état ainsi fixé amène, suivant le degré de l'ac- CON
de sommeil d'inhibition, d'engour- dissement peu importe le mot cet état hystérique es- sentiellement caractérisé par de
de l'amoindrissement de l'ac- tivité cérébrale, en ajoutant que cet état a une tendance à res'er le même une fois produi
ment de l'écorce cérébrale, qui a tendance à rester fixé dans les états de moindre activité où il se trouve amené par dif
é des antécédents héréditaires de Rousseau, \I. Régis insiste sur l' état neurasthénique constitutionnel dont Rousseau a
quel s'associait un assez fort degré d'artério- sclérose. Voilà son état pathologique fon- damental. Mais il y a eu autr
uni- cations très intéressantes sur la pression sanguine dans les états épileptiques et sur les moyens de rappeler à la v
n en- fant né à terme et ayant survécu deux ans, en présentant un état de contracture permanente des membres et du tronc
ar d'une part il existe dans l'iiitérieui du ganglion des fibres en état de dégénérescence et plus lard régénérées telle
connaissabbles. C'est ainsi que la couche moléculaire, tapissée à l' état nor- mal par quelques fibrilles à peine visible
ces psychoses; qu'en tout cas,la méthode a l'avantage d'éclairer l' état mental du mala- de et exerce sur la maladie une
'alcoolisme ou de l'hystérie est bien un trouble pro- dromique de l' état de mal. Pour noter les troubles visuels colorés
de laquelle se trouve une figure grimaçante. Motet rapporte qu'à l' état de symptômes précurseurs ce sont les hallucinat
épilepsies larvées mais elles peuvent aussi, sous l'influence de l' état hallu- cinatoire, se montrer comme symptôme pré
chniques histologiques nouvelles, il nous semble difficile de faire état des recherches anté- rieures à la conception de
nées déjà acquises, avec des différences provenant sans doute de l' état de délire aigu dans lequel sont morts les malad
Leroy les auteurs disent que « l'aspect de l'écorce rapprochée de l' état de dégénérescence grais- seuse massive du foie,
immédiates développées au. moment même et au cours de la période d' état de la maladie ; atrophie du neurone avec évolut
compte du receveur central de la Seine. Le mandat sera appuyé d'un état nominatif des fonc- tionnaires au nom desquels
le préfet, au nom du trésorier général, à des époques fixes, avec états détaillés à l'appui..... Le Directeur général de
égimes impossibles, on leur a in- culqué des idées fausses sur leur état . La psychothérapie peut les guérir très vite' :
lorhydrate de morphine mériterait donc d'être consi- déré, dans les états anxieux qui masquent le fond psychique et rende
des observations récentes,par lesquelles il est démontré qu'entre l' état mental normal et l'état mental mor- bide les di
s,par lesquelles il est démontré qu'entre l'état mental normal et l' état mental mor- bide les différences ne sont souven
utre côté la psychiatrie apprend à connaître des symptô- mes et des états psychiques dans de telles proportions et dans une
ines déviations mentales du délinquant ou du moins se rattache à un état mental morbide ? Et bien, que les doc- CONGRÈS
ns leur forme primitive, que..peu de défenseurs, la législation des états mo- dernes civilisés admet de nos jours à peu p
discipline sont tous des psychiatres. La descendance, le milieu, l' état mental et phy- sique de l'enfant criminel ou mo
s existent chez beaucoup d'au- tres malades qui n'ont pas du tout l' état mental hystérique, je crois qu'ils peuvent se d
er la même analyse non plus sur les symp- tômes isolés,mais sur les états hystériques, sur les périodes de la vie pendant
eler suggestion mais qu'il faut une modification générale de tout l' état nerveux CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. 2
Du reste, les exemples ne sont pas rares de forces qui existent à l' état de fonction de la matière, sans la modi- fier q
disponible. C'est cette proposition que nous' allons démontrer.A l' état normal, le potentiel du système nerveux est rép
soit dans la sensibilité cutanée du sujet. Si nous considérons l' état psychique des hystériques, nous ver- rons égale
ns l'état psychique des hystériques, nous ver- rons également que l' état psychique peut être troublé par des va- riation
er proportionnées pour que l'individu soit normal. Nous avons à l' état normal, comme régulateurs de l'état psychi- chi
u soit normal. Nous avons à l'état normal, comme régulateurs de l' état psychi- chique, deux grandes fonctions qui doiv
consiste essentiellement en ceci : l'hystérie est constituée par un état d'activité moindre depuis la légère diminution ju
e n'est donc que l'exagération de ce qui se produit constamment à l' état normal, avec cette différence seulement que l'i
définiment. Qu'on appelle engourdissement, sommeil, inhibition, cet état de l'écorce, peu importe (1), l'essentiel est de
tion s'arrête, il semble au sujet qu'il tourne en sens inverse, ces états anesthésiques sont en relation avec des variation
les nerfs de la huitième paire. Ces troubles s'accompagnent, dans l' état normal, de nystagmus dit de rota- tion. Lorsque
ge de la cavité et des parties molles. Malgré cette intervention, l' état général de la malade s'aggrava elle présentait
chro- matolyse. Pour les fibres, les gaines myéliniques étaient à l' état vacuolaire et les cylindraxes irréguliers et dé
nne. Mme Lachize, modiste, âgée de quarante-cinq ans, était dans un état de santé mentale que son internement dans une m
ans la tête et se jeta par la fenêtre de lepr appartement commun. L' état de la mère et du fils est désespéré. (L'Aurore
- tata une fracture du lémur gauche et du bassin et déclara que l' état était très grave. (Bonhomme normand, juin.) Un
s elle cher- che toujours à les justifier ; elle les attribue à son état temporaire d'inconscience ou à la « faiblesse d
elle se trouve à la campagne ; mais après, tout revient au premier état ; la malade va dans une grande ville et y mène
ce que les résultats immédiats ob- tenus parla coquetterie même - l' état d'excitation se- xuelle chez l'homme - donnent
d'origine différente. On observe ce phénomène très souvent dans les états d'excitation psychique générale (état maniacal)
nomène très souvent dans les états d'excitation psychique générale ( état maniacal); le même phénomène se produit sous l'
e rien concernant les anomalies sexuelles en général. L'examen de l' état psychique et physique du malade a donné les rés
r à la Sibérie, aux forçats qui y travaillent et c'était toujours l' état intérieur, psychique des CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
tes) ; au bout de quelques minutes,le malade se trouvait dans un état très agréable d'excitation sexuelle qui s'augment
ten- dances sexuelles normales très intenses. La description de l' état psychique dans lequel se trouvait le malade pen
s ins- tructive à ce point de vue ; elle montre nettement que cet état est bien conforme à celui d'un adolescent pas-
ligotés. Faire descendre une femme de sa haute position sociale à l' état d'un détenu ligoté, dont on peut disposer libre
raits d'une comtesse, comme femme. Nous avons comparé plus haut l' état psychique du malade à un état érotique très exa
mme. Nous avons comparé plus haut l'état psychique du malade à un état érotique très exagéré d'un adolescent normal. P
n'aurait pu manquer d'être- frappé par ce fait que pour apprécier l' état du cerveau, c'est bien souvent à l'ensemble des
us d'un concours commun. Tout le monde trouvera son compte à un tel état de choses ; les chaires de psychiatrie y recrut
ilité du médecin et dont le plus grand nombre est et restera hors d' état d'acquérir une véritable instruction. Si ces an
ants arriérés et des instables. Les arriérés, sont, il est vrai, en état de débilité mentale, ils ne possèdent qu'une in-
let 1893. 288 LÉGISLATION. pourrait le plus souvent les mettre en état de ne pas être, durant leur vie d'adulte une ch
rtout PROJET DE LOI. 291 dans certaines régions en raison de leur état de débilité et d'instabilité. " On pourra tou
n, couché sur un drap ten- du au travers de la baignoire. Exitus en état de marasme le 26 février 1905. L'autopsie nou
'intermédiaire d'images représenta- tives ; elles se représentent l' état qu'elles désirent reproduire. M. Paul Fartez.-
pondance se fait par son intermédiaire Chaque année, il présente un état de la caisse, et ses comptes de gestion sont vé
port aux mobiles qui entraînent l'homme pourqui ils constituent à l' état normal des moyens de délense suffisants. Ces
a coupe aux lèvres et rien ne permet d'espérer qu'aujourd'hui, vu l' état actuel do nos finances françaises, nos législateu
y a quinze ans, une période vaguement délirante, réduction de son état actuel. Un amant, d'un rang supérieur au sien, et
ontact de l'actif pourvu de son imminence morbide. La genèse de l' état délirant s'est donc faite, chez le sujet passif,
psychique héréditaire, mais encore de cette même dia- thèse dans un état d'activité. II. Marie Forel est restée au servi
nes d'au- tomatisme se sont emparés d'elle et la font vivre dans un état de passivité. « Elle a toujours été beaucoup pl
y suis plus. » La malade dit ceci avec hésitation, par suite de son état de doute et de malaise, mais sans réticence.
environ un tiers de litre d'alcool à brûler, elle est jetée dans un état de nar- cose dont elle estime la durée à trois
é. 7° Le plus curieux de ses changements consiste dans un certain état de doute au sujet de ses tourments passés. 346
utre part ne pouvait se tromper en la conduisant chez les folles, l' état de doute avait été préparé par l'optimisme et l
ur favoriser mo- mentanément, grâce aux conceptions énoncées, cet état de doute. 8. Nous avons dit que le délire nous
la- cement. C'est une femme assez grande, bien constituée, en bon état de santé générale ; d'une mise très correcte, e
venger ou se tuer parce qu'elle n'a plus rien à espérer.Le premier état émotif semble être, d'une ma- nière générale, c
retenu par la multiplicité de ses interprétations, qui engendre cet état . En vain donc on chercherait chez elle l'idée p
L'affection a débuté vers 1902, nous a dit la soeur, et, depuis, l' état délirant n'a fait que s'aggraver. D'ailleurs, l
ïncidence ? ou bien y a-t-il une relation quelconque entre les deux états ,comme le pense con- jecturalement le Prof. Recl
elle est la pathogénie d'une telle affection, ne serait-ce point un état congénital ? L. VA II L. XXVI. Le mécanisme d
ut donner de l'hystérie, la définition suivante : l'hystérie est un état psycho-pathologique caractérisé par l'hyperimpr
s ; démence progressive.Deux ans avant la mort (à 41 ans), après un état de crises, hémiplégie gauche qui présenta const
lle est associée avec des lésions dégénératives de la glande dont l' état des cellules révèle le non fonctionnement (Observ
des praticiens des plus distingués eussent commis des erreurs. Ces états semblent. eux aussi,dus à une absence de contrô
autrefois s'accumuler dans les hô- pitaux se rencontrent encore à l' état sporadique chez des prédispo- sés. L'isolement
une rééducation psychique et physique soit par la suggestion à l' état de veille soit, pour détruire l'idée fixe, à la s
nt,cette faiblesse devrait également se manifester au même taux à l' état de veille. Neuf fois sur dix, c'est à un sommei
d sommeil,en éliminant l'action des centres cérébraux qui pendant l' état de veille règlent les fonctions vésicales, tran
evra affirmer l'exis- tence de l'exagération de réflexe et en faire état pour le diagnos- tic que si on constate d'autre
e ne serait que pour éviter de confondre la neurasthé- nie avec les états qui lui ressemblent et dont le pronostic est tout
fonctions de l'audition et celles du sens de l'es- pace ainsi que l' état de la région mastoïdienne, du fond de l'oeil et
de la position des membres; céphalée à gauche. Accès d'angoisse ; état cachectique. Pas d'hystérie. II. Femme : 29 ans
e ne pouvait être mise en cause, d'après l'anamnèse, l'évolution, l' état psychique,tant dans le cours que dans l'interva
ar Etienne. (L'Encéphale, 1907, n° 7.) Hémiplégique présentant un état permanent de contracture ac- tive, d'hypertonis
laire s'est produite à la faveur de cette contraction continue. Cet état s'écarte complètement de la contracture post-hé
ïdienne sur le développement de la polysarcie. F. T. LV. Note sur l' état actuel de la pellagre dans les Landes. Un cas d
observer, impossibles à simuler. Dans l'épilepsie larvée, dans les états hystéro-épilepti- ques, la recherche de ces sym
a terminaison par le sommeil, le retour plus ou moins brusque à l' état de santé, la fréquence de l'absence de récidive.
sification bien établie, que les auteurs estiment prématurée,' en l' état actuel de nos connaissances, on peut, en utilis
ggestibilité, d'automatisme, comme les sujets hypnotisés. Entre cet état d'hypnose et le moment où le cerveau reprend se
ccompa- gnent et que l'on croyait être des effets. La colère est un état psychique où domine l'exaltation du tonus vital
es (af- fection, bonté, pitié) ; ils agissent tous à l'inverse de l' état psy- chique et des forces dégagées par les mobi
e fonction, qu'il est responsable. Le fatalisme le nie ; mais notre état social et nos lois sont basés sur le libre arbitr
dé- veloppement). Les effets de ces altérations ont trait : 1° à l' état de la responsabilité, irresponsabilité dans le
tre tout leur.soin à laisser créer ou rétablir et entretenir en bon état les modestes pelouses et parterres qu'on a pu i
amen objectif (8 octobre 1903) a donné les résul- tats suivants : l' état généra ! de la nutrition est bon ; pas de trou-
urs, j'ai reçu du malade une lettre dans laquelle il me dit que son état s'est aggravé ; qu'il marche avec peine et qu'il
OISONNEMENT PAR LES HOMARDS CONSERVÉS EN BOITE. 405 suivants dans l' état du malade par rapport aux examens précé- dents
esthésie vibratoire. L'ataxie et le signe de Romberg ont disparu. L' état général du ma- la(le est tout à fait satisfaisa
on de la température, l'affaiblis- sement des forces, troubles de l' état général) et s'accom- pagne d'une hémorragie int
de ses accidents gastro-intestinaux, bien que le deuxième jour, son état eût été si grave que les médecins craignirent p
ZlIr pellclo-tabe, f)eufs rncctic.l'ochcnsclu ? 1S91, p.1 007. DE l' état de MAL épileptique. 41U Quant à notre malade,
infectieuse ait pu provoquer tiès facilement la polynévrite. De l' état de mal épileptique ? Idiotie congénitale aggrav
tant sur lecôté droit. Signes de méningite. Epilep- sie. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et mé- ningo-encéph
le père cbL mort d'une fluxion de l, poitrine, en 1902. < DH l' état de MAL épileptique. 421 Pas de consanguinité ;
nte de paralysie infantile. - L'enfant n'a présenté aucun accès, ni état de mal jusqu'à son entrée à la Fondation (3 ans
avant les premières convulsions, il s'agit vraisemblable- ment d'un état congénital aggravé par des convulsions. Ce n'es
. Elle ne reconnaissait à ce moment que son père et sa mère. DE l' état de MAL épileptique. 423 Elle fut alors examin
s de mai après une coqueluche bénigne. Etat actuel (17 mai 1901). L' état général est bon, pas de pâleur, ni adipose, ni
l'accommodation. L'examen fonctionnel est impossible étant donné l' état in- tellectuel de la malade. Nez droit, petit
'inférieure. Palais à voûte arron- die, voile normal ; dents en bon état , pas de caries, maxillaires normaux, articulati
on anale glabres. Membres supérieurs et inférieurs glabres. DE. L' ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUF. 4.2Î I Traitement : Bains s
sme ; exercices de la marche ; douches et bains. En juillet 1901, l' état de l'enfant reste stationnaire. Son vocabulaire
ne poupée ou un chiffon. 1902. Janvier. L'enfant reste dans le même état ; la parole n'a fait aucun progrès ; les jambes
aines.Les accès sont moins fréquents qu'au printemps der- nier et l' état général est relativement satisfaisant, mais ce-
prouvent de violentes secousses cloniques et se recroducvil- . de l' état DE MAL l : l'ILI'l'1QUG. 42'.) lent ; les paupi
u le dernier soupir, sans râles, ni cris. Pendant la durée de son état de mal, c'est-à-dire en 18 heu- res la malade a
ccipital ; en arrière les circonvolutions sont plus maigres. de l' état de MAL 1 : 1LG1'rIQIiC. 431 Hémisphère gauche :
ant, qui n'avait pas eu d'accès d'épilepsie chez elle a une sorte d' état convul- sif ; l'épilepsie véritable semble débu
et en 1906. V. Au mois de sep- tembre 1JU(i il est survenu un état de mal épileptique qui va nous permetlrc d'en
va nous permetlrc d'entrer dans quelques considérations. VI. L' état de mal épileptiqtte, nous le rappe- lons, est
e reparait pas, un second accès apparaît, la température s'élève, l' état de mal est-constitué et la mort peut arriver. (
s'élève de nouveau, ces deux circonstances peuvent se produire : l' état de mal se termine par la mort avec unélévation
e s'est abaissée 3 3-1. La mort est survenue après 229 accès. Ici l' état de mal ne s'est com- posé que d'une période con
aux « formes cliniques de la folie » et à l'étude médico-légale des états mentaux douteux. La première partie passe succe
s mentaux : les seules formes intermédiaires connues sont certains « états psychologiques qui se développent sur un fond n
nctive et appétitive, l' « insuffisance dans la persévérance » de l' état maniaque est opposée, un peu schéma- tiquement,
eu schéma- tiquement, à l' « insuffisance dans la résolution » de l' état mélan- colique. L'historique est très sommair
ils n'igno- raient aucun des caractèles psychologiques communs aux états extrêmes ; ils n'ont pas non plus méconnu les p
amen des malades à distance des accès et par la reconstitution de l' état psychique habituel antérieur à la première manife
manie et dépression son toujours conjuguées, pour quelles causes, l' état dépressif est-il, dans certains cas, assez cour
de la femme,... trouble affectif à début lent, mani- festé par des états d'agitation et d'angoisse qui soumettent la mal
raits les moins ' caractéristiques qui- distinguent cette forme des états dépressifs de la psychose mani-dépressive. La
qui conduisit à rapprocher les troubles mentaux par obsessions des états différenciés par Krse- pelin sous le nom de « f
lles ; le diagnostic est alors difficile, d'une part, avec certains états hystériques et épilep- tiques, d'autre part, av
ertains états hystériques et épilep- tiques, d'autre part, avec des états catatoniques et paranoïaques. La définition sui
és. finir par conclure ainsi : « Y avait-il, au moment de l'acte, l' état psychique auquel la conception populaire du dro
n posée par le législateur. » Dans les`deux derniers chapitres, l' état mental au point de vue pénal, au point de vue c
naissances psychiatriques étendues leur permettant t de constater l' état mental des condamnés au moment de leur arri- vé
ment serait abrégée ou prolongée selon l'amendement constaté dans l' état du détenu. Il ne prendrait fin que par une déci
n culot de centrifugation suffisant). * G. DENY. II 1. - Un cas d' état de mal épileptique traité par la ponction lomba
L'hypertension du liquide céphalo-racliidien étant la règle dans l' état de mal épileptique,les ponctions lombaires répété
ner à Maréville, ils auraient donc eu affaire dans ces formes à des états para-dysentériques d'après la nomenclature de L
quelques-uns des réflexes tendineux sont encore conservés, même à l' état faible, ils s'accentuent et peuvent même devenir
le trau- matisme a occasionné la P. G. sans qu'il puisse être fait état d'une prédisposition impossible à affirmer avan
urs normal des idées, très tenaces ; elles constituent un véritable état de besoin psychologi- que ; elles sont conscien
ion forcée se rattacheraient t les « manies » les plus diverses, un état général de revue de pathologie mentale. 11J3
plus peut- être en relation avec la mentalité dU'sujet qu'avec son état physi- que. La maladie débute à tout âge; mais
guérir. Trois théories ont cherché jusqu'à présent à expliquer cet état : celle de l'idée obsédante, presque abandonnée
te dernière est inconsciente. Le psychasténique a conscience de son état ; le mélancolique ne l'a généralement pas ; l'hys
eule, comme l'alcoolisme ou la syphilis, d'engendrer les différents états d'idiotie chez les des- cendants. Sur 14 cas d'
ujours curables, constituant un syndrome bien défini, lié soit à un état fonctionnel, soit à une maladie organique défin
essée à un de ses camarades,est sujet à des crises consistant en un état d'inquiétude générale avec crainte de tomber, e
alternants ou maniaques-dé pressifs prendrait place l'ensemble des états qui représentent les plus saillantes manifestat
riosus, démens, insanus, mente cap- tus, alienatus mentis. Tous ces états impliquaient, au point de vue pénal, une seule
ence de la sec- tion expérimentale des racines postérieures sur l' état des neu- rones périphériques. Contribu- tion
Charpentier, p. : n6. Hystériques. L'ne - incendiai- re pendant l' état , somnambu- lique, par Cullerrc, p. 97. Ictus.
ortant sur le côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal. Sclérose atro- phique et méninge-encéph
ment des sciences, par Béril- lnn, p. 307. Pellagre. Note sur l' état actuel de la dans les Landes. Un cas de - ave
importance de la numération, par Lamelle, p. 454. Un cas <; d' état de mal épileptique, trai- té par la par Picheno
50 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Cette nouvelle série de conférences sera consacrée à l'étude des états psychopathiques encore communé- ment désignés s
périodiques, de folies à double forme, alterne , circulaire , etc., états que l'on tend aujourd'hui, à la suite des trava
clat ; La 3° période est caractérisée par la synthèse de tous les états habituellementdécrits sous les termes de ma- ni
eux étals en apparence aussi disparates, aussi discordants, que les états maniaques et les états mélancoliques, les ancie
aussi disparates, aussi discordants, que les états maniaques et les états mélancoliques, les anciens nmnigraphes, y compr
'évolution peut être annoncée et prédite à l'avance, la plupart des états syndromiques, considérés jusqu'alors comme de v
tes la même évolution, il était plus logique de considérer tous ces états comme les manifestations, les équivalents d'une
dies mentales, comme forme clinique indépendante, et que tous les états d'excitation décrits sous ce nom relevaient de
lui de la mélancolie d'involution sénile ou présénile. Quant aux états dépressifs de la jeunesse ou de l'âge mur, qui
duit Kroepelin à réunir et à grouper sous une seule étiquette, les états psychopathiques considérés avant lui comme auta
s communément dé- crits sous les noms de «manie simple» et tous les états mélancoliques qui ne sont pas des mélancolies d
, la manie et la 2%élaico- lie intermittentes, etc.,ne sont pas des états spéciaux et qu'elles ne diffèrent en rien de la
reconnaître, d'après l'examen des diverses for- mes isolées de ces états , si l'on se trouve en présence d'une manie ou d
effet, de nous objecter que, même s'il était démontré que tous les états d'excita- tion et de dépression sont suivis de
itation du maniaque et la dé- pression du mélancolique existent à l' état d'ébauche chez tous les sujets. Comme l'a trè
si nous n'étions pas tous, quelque degré, des circulaires, et si l' état patho- logique qui constitue la folie périodiqu
ieurement, je me borne à les signaler : c'est d'abord l'existence d' états maniaques-dépressifs nzix. tes entrevus autrefo
fois par Guislain,mais décrits pour la première fois par Kraepelin, états dans lesquels les phénomènes d' excitation et d
ux de ces derniers qui appartiennent à la mélancolie d'involution), états qui sont encore décrits séparément sous les rub
folie maniaque-dépressive, qui comporte seu- lement trois groupes d' états différents, reliés, il est vrai, entre eux, par
vrai, entre eux, par de nombreuses formes intermé- diaires : des états maniaques, des états dépressifs et des étais mi
ar de nombreuses formes intermé- diaires : des états maniaques, des états dépressifs et des étais mixtes. Dès maintenan
RIE PAR LA LIGATURE ÉLASTIQUE. 10 juxtaposition ou la coexistence d' états d'excitation et de dépression. Ainsi que l'in
es alternatives d'amélioration et d'ag- gravation. Quant au reste,l' état général est satisfaisant, le sujet est grand, f
n du liquide céphalo- rachidien est généralement augmentée dans les états d'irritation, dans les paralysies générales et
Devay. (Lyon médical, 8 au'il 1900. p. 715.) Pour JI. I)evay,lcs états compulsifs ne seraient que des phéno- mènes de
ales, ne se traduisant clini- quement. par aucun symptôme. Dans ces états , on a cherché, le Prof. Pierret entre autres, à
itial, les colères, les accès de mauvaise humeur, de tristesse, les états crépusculaires comme l'automatisme ambulatoire,
erve, avant d'arriver à cette forte dose, une modification dans les états crépusculaires de la conscience. La médication co
(Boston med. surg. journ., 15 juin 1905.) Les auteurs ont soigné l' état de mal par des injections hypoder- miquescl'une
n'est applicable que lorsque les accidents aigus sont calmés, que l' état est devenu stable : il faut d'abord une premièr
sion cellulaire ré- parallle, qui leur a paru liée, d'une parla a l' état cuto-toxiqne ré- ARCIllVES,2- série, 1POG, L. X
s rapportés, soit que les signes subjectifs aient été masqués par l' état démentiel, soit que les signes physiques aient
les fonctionnels de l'hypophyse (lrowUich-L'uchs/ ;8° dans tous les états mor- bides susceptibles de produire l'hypérémie
pophyse accompagnées des graves faits ,légénératif ? surtout dans l' état de cachexie acromégalique dans lequel la glande
de chromatolyse surtout diffuse, des corps cellulaires re\ enus à l' état rond, d'autre'- surchargés de pigment jaune ; les
seraient les plus nombreux ; ils rattacheraient insensiblement cet état à la poliencéphalile et autres malades du bulbe
- Contribution à l'étude des troubles physiques particuliers dans l' état de stupeur ; par les 0" Sou- KANOFF et PETROFF
s, idées de persécution, confu- sion etc.) bientôt remplacés par un état de stupeur qui dura 18 mois. Pondant cette phas
plus de l'affaiblissement intellectuel qui vient d'être signalé, un état délirant vague, peu retentissant, mais pro- voq
aisemblable ou à l'absurde. Le délire d'interprétation n'est pas un état démentiel : les erreurs de jugement ne sont pas
Iéchlomlisalion definitivequelors- que le malade a été mis ainsi en état de la supporter. P. Tissot. X. Les ivresses dél
que chronique. Si, au point de vue pénal, les actes commis dans un état d'ivresse volontaire excluant l'imputabililé doiv
nt être considérées comme pénalement irresponsables des suites d'un état délirant dont elles n'ont en rien déterminé ou
s (dysarthrie, tremblement de la langue, troubles de l'écriture). L' état maniaque a disparu, mais les autres troubles on
cles autres affections de l'organisme. L. WAUL. XV -Psychose de l' état puerpéral ; par M. Georges CAR- RIER. (Soc. Méd
lIop, de Lyon 11 avril 1905.) Observation d'un cas de psychose de l' état puerpéral, chez une femme de 38 ans. Les phénom
fOl'll1ediniljlWCOil- fusion mentale hallucinatoire caractérise les états anlitoxiques. 3° Dans une terminaison qui corro
ératif. Au point de vue de la pathogénie de ce cas de psychose de l' état puerpéral, l'auteur pense que l'élément essenti
ent essentiel est ici l'épuise- ment qui a créé dans l'organisme un état anliloxique spécial, dé- terminé suivant Kraepe
ermique et celle du pouls. Celle-ci, en effet, pendant la période d' état delà maladie a montré le tracé d'une véritable
entaire se différenciant en son milieu pour former la fibrille. A l' état pathologique, la différenciation disparaît, mai
nd auweu formulé tout à l'heure par M. Rocher. La production de l' état hypnotique permet d'oblenirla réalisa- tion d'a
s : 1° placer le sujet dans de bonnes condi- tions pour être mis en état d'hypnose : "° bien l'hypnotiser en choisissant
IÉTÉS SAVANTES. précautions voulues pour bien amener le passage à l' état d'hy- pnose et le passage de l'état d'hypnose à
pour bien amener le passage à l'état d'hy- pnose et le passage de l' état d'hypnose à l'état de veille : 4° laire les sug
passage à l'état d'hy- pnose et le passage de l'état d'hypnose à l' état de veille : 4° laire les suggestions courtes, p
savoir quelle place on doitattribuer,dans une classifica- tion aux états mélancoliques qui ne peuvent rentrer dans aucune
tituent-ils une forme morbide spéciale ou sont-ils symptomatiques d' états organiques mal connus pour lesquels le terme «
que les auteurs ont en vue, qu'ils parlent de mélancolie pure ou d' état mélancolique dans lequel le syndrome mélancolie
France par Sérieux et Capgras, pour rattacher la mé- lancolie à un état organique déterminé, l'involution sénile, dont
en prennent certains sujets. Pour la description des symptômes, les états mélancoliques sont réduits à deux formes : sans
e l'image mentale ; ce senties « idées autochtones » de Werniele, - état faible, -qu'il il fautséparer de l'hallucinatio
Werniele, - état faible, -qu'il il fautséparer de l'hallucination, état fort. Les signes physiques sont ensuite passés
on analyse les troubles élémentaires de l'esprit communs à tous les états mélancoliques. Il s'adresse pour cela il des méla
mélancolie : le malade soutire. Mais il faut considérer dans cet état deux choses : l'anxiété,paroxystique,et la dépres
parce que BIBLIOGRAPHIE. b7 le délire croît d'autant plus que l' état affectif est plus puissant ; il apparaît lorsqu
plus que l'état affectif est plus puissant ; il apparaît lorsque l' état affectif accapare toute la personnalité. Ce qui
persécution ; ces dernières sont rares. Elles naissent toutes de l' état affectif ; l'es- prit relie ces conceptions sec
irement, et secondairement le délire vient renforcer et justifier l' état affectif. Le chapitre IV traite du diagnostic.
e se résigne ou réa- git par lesuicide. L'auteur passe en revue les états qui simulent la mélancolie : par la dépression
s délirantes. Au point de vue il il convient d'envisager : 1° les états mélancoliques liés à des affections mentales ; 2°
, mais hien le résultat de 2 facteurs : un cerveau prédisposé et un état organique réa- lisé à la suite des causes énumé
puisement cérébral. Et ces troubles somatiques peuvent engendrer un état psychique, ce n'est pas seulement parce qu'ils
état psychique, ce n'est pas seulement parce qu'ils produisent « l' état coenesthésique pé- nihlo" ; la possibilité du d
rmet de ne plus voir dans la mélancolie une entité morbide, mais un état dû à de nombreux facteurs et réalisable dans de
ndifféremment d'un côté ou de l'autre. Mort le 2 septembre 1905, en état de mal. 11 z-asanas dire qu'aucune des .multipl
ieur est en outre beaucoup plus éten- due d'avant en arrière qu'à l' état normal ; sa paroi su- périeure est formée, en d
e l'asymétrie de développement : un espace plus considérable qu'a l' état normal était ainsi réservé à l'hémisphère gauch
mment observé que le vrai Argyll- Robertson, surtout à la période d' état . Les déformations et irrégularités pupillaires
e se rendre compte de l'existence de ce trouble visuel à cause de l' état du malade. La isolé, sans ictus, au début de la
mes de moin- dre importance comme Venophtalmie qui accompagne les états cachectiques. Même it ce moment, les r,énzis- s
altérations sans importance diagnostique et qui se rencontrent à l' état normal, avec les états patholo- giques. Il n'es
rtance diagnostique et qui se rencontrent à l'état normal, avec les états patholo- giques. Il n'est pas moins nécessaire
ion classique en trois stades se succédant régu- lièrement : début, état , terminaison, division que nous avons adoptée p
ous 1 unité de la science du système nerveux de l'homme, étudié à l' état normal et pathologique, l'unité de la neurobiol
il : Le poids spécifique du sang est légèrement augmenté dans les états démentiels. Dans l'épilepsie,on note,au contraire
très vite à la normale. L'alcalacence du sang s'abaisse dans les états toxi-infectieux el dans l'épilepsie au moment de
on ou d'une infec- tion ; 2° L'hyperglobulie est la traduction d'un état de con- centration moléculaire du sang ; 3" Il
tose s'observe au début des psychoses toxi-infectieuses et dans les états d'agitation ; 5° La mono- nucléose avec augment
tuellement pathogènes peuvent circuler dans le sang des aliénés à l' état de saprophytes. C'est un fait nouveau sur leque
e identiques peuvent être trouvés dans le sang des aliénés soit à l' état de saprophytes, soit à l'état d'agents pathogèn
vés dans le sang des aliénés soit à l'état de saprophytes, soit à l' état d'agents pathogènes,en sorte qu'on en arrive à
eut appeler les manifestations mé- tatoxi-in/'ectieuses. Dans les états mentaux chroniques de ce groupe, la même pathog
ratum anatomi- que s'édifie lentement et on conçoit que ce sont des états mentaux dépendant non seulement de la sénilité
ou l'exercice, le régime lacté ou mixte, les troubles vasomoteurs ( états émotifs, hallucina- tions), etc. Il faudra teni
s je pense qn'il faut, pour édifier une formule leucocytaire d'un état psychopatique, étant donné les contingences, les
nventionnel, l'âge de 60 ans par exem- ple ; la sénilité indique un état pathologique, que l'on rencontre presque toujou
lus tard, soit beaucoup plus tôt que le début de la vieillesse. Cet état peut aussi se constater à un degré très variabl
diminuée que la substance grise. Des dilatations périvascu- laires ( état criblé ou dilatations isolées) paraissent tenir
nile » ; 4. des foyers de désintégration lacunaire. 5. des foyers d' état vermoulu ; 6. de gros foyers de ramollissement
e des cellules nerveuses seraient ainsi la conséquence de multiples états patholo- giques plutôt que l' « involution » ph
rès exclusives à la sénilité : les lacunes de désintégra- tion et l' état vermoulu. ZD Les lacunes ont toujours une origi
oblitération artério-scléreuse ou fibro-liyaline d'un vaisseau. L' état vermoulu est une ulcération corticale, qui s'en-
de la prolifération névro- glique dans ces cas explique pourquoi l' état vermoulu coïncide d'ordinaire avec un état déme
cas explique pourquoi l'état vermoulu coïncide d'ordinaire avec un état démentiel assez pro- noncé et parfois avec l'ép
. Elle paraît pouvoir recon- naître aussi pour cause déterminante l' état vermoulu ou surtout la sclérose miliaire de l'é
itaire ou acquise,d'une aptitude convulsive. B. Psychiatrie. - 1° L' état mental des vieillards. - On trouve toute une sé
e. - 1° L'état mental des vieillards. - On trouve toute une série d' états de transition entre la conservation parfaite de
sont conservées et le malade garde très longtemps conscience de son état . Ces diverses variétés de troubles mentaux de l
c. Il est vrai qu'il y a dans le rapport une brève indication sur l' état de la réflectivité : le réflexe des or- teils s
G'est par un processus identique, mais superficiel,que se réalise l' état vermoulu, qu'il faut rap- procher d'une lésion
sie intermittente ; à la para- lysie générale sénile. Tandis qu'aux états lacunaires corres- pondent plus particulièremen
la sensibilité, de la réflectivité. Ce qui ne veut pas dire que l' état lacunaire n'occasionne pas la démence. Je crois p
ce propos, une distinction : pour qu'il y ait une démence dans les états lacunaires il faut que l'écorce soit atteinte.
s formes pa- raplégiques par ces lacunes, il faudra s'enquérir de l' état du cervelet. 11 n'a rien été dit de ce cervelet
troubles sensitifs, mu- tisme, accidents viscéraux, somnambulisme, état crépuscu- laire, etc. Le diagnostic posé, le
ssociés aux attaques : hallucinations, idées délirantes, agitation, états extatiques, etc., il est évident que l'expert doi
e jouet de son idée fixe. Les mêmes considérations s'appliquent à l' état se- cond qui n'est qu'un état somnambulique pro
mêmes considérations s'appliquent à l'état se- cond qui n'est qu'un état somnambulique prolongé. Danscette double vie, d
es une mentalité différente. Une hystéri- que timide à l'excès, à l' état normal, peut se montrer bruyante, hardie et tém
l'état normal, peut se montrer bruyante, hardie et téméraire dans l' état second. L'inculpé ne sera, en tous cas, déclaré
aré irresponsable que si le délit a été réellement commis pendant l' état somnambulique. Plus délicate est la recherche d
e est la recherche de la responsabilité dans les actes accomplis en état de subconscience. Ces « états cré- pusculaires
onsabilité dans les actes accomplis en état de subconscience. Ces « états cré- pusculaires » marquent parfois le prélude
vulsifs, réalisant ainsi un équivalent psychi- quede l'attaque. Ces états de subconscience avec ou sans trou- bles sensor
re acquise à tous les actes, vols ou homicides,exécutés pendant ces états . Si, comme cela est assez fréquent, l'expert ne
z fréquent, l'expert ne peut arriver à démontrer l'existence de cet état de subconscience au mo- ment del'acte, le probl
ions épileptiques, il est fréquent de rencon- trer simultanément un état de débilité ou de dégénérescence mentale plus o
ent l'alcool, la morphine et l'éther. L'in- toxication réagit sur l' état mental du malade, mais il est tou- jours possib
rticulière qu'elle diminue un peu la fréquence des attaques, mais l' état mental n'en demeure pas moins ag- gravé. L'expe
tout le monde est d'accord pour reconnaître que le crime commis en état de crise entraîne fir· responsabilité ; mais si
ectuel, l'impulsivité dans le domaine volontaire, et enfin d'autres états morbides, toxiques, obsédants, etc., etc., re-
crises ou de syndromes somati- ques, accessoirement à la création d' états psychiques qui n'ont guère de conséquences médi
tions de la force : contractures et paralysies,etc. De même leur état mental a toujours pour cause un manque d'équilibr
e la mobilité excessive de leur esprit, de leur passage facile de l' état nor- mal dans, les états seconds ; enfin de leu
de leur esprit, de leur passage facile de l'état nor- mal dans, les états seconds ; enfin de leur extrême sugges- tibilit
très grave. Les impulsions qui résultent,pour les hystériques,des états seconds dans lesquels elles se trouvent, les po
s, soit comme prévenus, il est indispensable de faire examiner leur état mental par un médecin spécialiste. De l'emplo
t des déplace- ments de l'aiguille que l'on constate à mesure que l' état du malade s'améliore. Les nombreuses formules i
et de l'anesthésie du larynx lui-même. Les muscles glottiques, en l' état où sont les muscles des jambes chez un grand at
ion de l'émotion primitive, ou s'il y a eu intervention d'un nouvel état mental. Dans le pre- mier cas, on trouve une no
depuis long- temps : à plus forte raison, leur retentissement sur l' état général doit-il intéresser l'aliéniste..1. Ségl
descendants, en ce qu'elle détermine directe- ment chez ceux-ci un état de débilité générale (arrêt de dé\clop- pement
débilité générale (arrêt de dé\clop- pement complet, mort précoce), état qui n'est que la conséquence des arrêts partiel
ques de la pellagre aiguë ou su- baigué. quoique restant toujours l' état de spores, lesquelles dé- terminent une grave e
pendant plus de 8 mois. Au boul de ce temps, la malade est mise en état d'hypnose et on constate aussitôt l'atténuation
d'un choc moral, mais pour disparaître encore après suggestion à l' état d'hypnose. Dans le second cas il s'agit d'une h
se reconnaissance, dans la seconde observation, était associée à un état de fatigue et a disparu avec lui. G, 1). 156
que, s'est porté plusieurs coups de couteau lans le has-venLne. Son état est grave. (Bonhomme Kormand, 2 juin\. - D'oit
ts, lorsqu'on peut contrôler leur diète. Ponction lombaire dans l' état DE MAL. Cette ponction diminue la gravité de l'
lombaire dans l'état DE MAL. Cette ponction diminue la gravité de l' état ,s'il a hypertension du liquide cuphalorachidien
rachidien, hypertension qui s installe aussitôt après le début de l' état de mal. 1 au : ur : L. NÉCESSITÉ DE L'ASSISTANC
t par un docteur appelé en il il lui transporté à l'hôpital dans un état désespéré. En roule, il déclara que, s'il guéri
rprétation plus difficile ; d'autres, enfin, de nature épileptique, états de mal, dont la symptomatologie avait été modif
s sujets. A ce propos, nous insisterons sur ce dernier diagnostic d' état de mal, appliqué à des accidents caractérisés p
le traitement sans sel avec 4 grammes de bromure de potassium. L' état général des malades ne fut pas sensiblement mod
es VOIS[ ? Roger Voisix el A. Ilcyou.-I3romisme,lrouhlcc mentaux et état de mal épileptique au cours de la dcehtoruration
signalées en décembre. Cette fois encore, une malade fut atteinte d' état de mal, trois jours après cessation du régime,
tures des membres inférieurs se font avec difficulté par suite d'un état de contracture très exagéré. La résistance musc
fin UN CAS DE COMPRESSION DE LA MOELLE 173 qu'il est revenu à l' état de santé antérieur il l'accident. Si on l'exami
on médullaire consécutive à une coin-- pression », autrement dit, l' état spasmodique n'est pas exclusivement et nécessai
de la clinique, en raison de la diversité de . pronostic des divers états et de la nécessité qu'il y a, en matière d'obse
e autre, faute de quoi les éléments combinés et embrouillés de deux états dis- tincts pourront faire croire à l'existence
confession, d'où terreurs religieuses, peur obsédante de mourir en état de péché mortel, et d'èti'e assassiné au cours
re de la bière et se couche. Il passe quelques jours chez lui ; son état semble s'améliorer. du moins, le délire est moi
ite remarquable d'hallucinations queje présentai étant couché et en état de veille », dit le malade : . En octobre 1899,
net, que le malade ait été bien réel- lement, comme il l'a dit, en état de veille. Peu après, la scène d'éventrement pr
et de même elles dis- paraissent sans déterminer l'apparition d'un état nou- veau. Il ne nous reste donc plus, en deh
AITS. Réflexes. Ils ont été difficiles à rechercher, on raison de l' état de spasme de tout le corps : les réflexes réfut
leurs, sauf une hémianesthésie gauche. Lelendemain nous trouvâmes l' état de la malade très amélioré, mais nous aperçûmes
DLS MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 107 crises, ou bien si l' état nerveux (par hérédité) de son or- ganisme fit a
tasique-abasique, d'ago- raphobique, et l'on met sur le compte d'un état névropa- thique surajouté cette appréhension qu
ues de la démence précoce. La forme mélancolique se distingue par l' état mental parli- culier : douleur morale mal justi
es précédents. Suture sagittale. Bien que ces sutures présentent un état plus avancé d'ossification que les précédentes,
toujours un substratum morbide. La nymphomanie se ratta- che à un état constitutionnel, hystérique ou dégénératif ; il y
ant plus que les épileptiques meurent le plus souvent au cours d un état de mal et que les diagnostics n'indiquent pas s
e sera « détraquée » ; il s'établira aussitôt dans l'orga- nisme un état pathologique qui ne cessera que lorsque l'or- g
due plus ma- nifeste par l'etude de l'histoire clinique de certains états pa- thologiques. Elle est éminemment congestive
dans les cas où l'irri- tation spinale est sous la dépendance d'un état anémique, le traitement hydrothérapique devra ê
accompagnant d'ané- mie, traitées et guéries par les ferrugineux, l' état anémique n'a jamais été bien accentué, incapabl
n'a jamais été bien accentué, incapable par lui-même d'a- mener un état sérieux de dépression physique ou psychique. Le
Bussang, de Spa. Les eaux minérales qui conviennent le mieux à ces états neurasthéniques sont sans conteste celles de Sa
t de la colonne, ensellure lomhaire, déviations diverses du rachis, état normal des organes génitaux, exagéra- tion du s
e des ma- ladies. G. D. X. Paraplégie infantile, début insidieux, état station- naire, puis aggravation; par le Dr Bou
Dans ce dernier cas, les réflexes réapparaissent rapidement. Dans l' état de mal les réflexes sont souvent très actifs. D
cès, tantôt d'une façon continue. Quelques séancesde suggestion à l' état de veille firent disparaître très rapidement ce
s qu'il nous a été donné de recueillir d'épileptiques succombant en état de mal peu de temps après leur lièvre typhoïde, a
emande sera accompagnée de l'acte de naissance du postulant, de ses états de services, d'un exposé de ses titres, d'un ré
t pour l'application de cette dernière règle, il ne sera , pas fait état du juré visé au paragraphe 2 du présent article.
», ils se proposent d'étudier la contagion des actes réflexes, des états émotifs, des per- ceptions,des sentiments,des m
érait chez les deux malades ; de temps en temps, ils sortaient de l' état de stupeur qui leur était habituel et insistaie
r ce détail, qu'il trouve très intéressant et très curieux, que cet état de ranimation coïncidait toujours chez l'un et
pas. La maladie mentale fut la suivante chez toutes les deux ; un état maniaque qui,après une certaine amélioration, se
Après quoi, une période proche de la normale à laquelle succéda un état de dépression avec refus déman- ger. Cette phas
ger. Cette phase de dépression fut de nouveau rempla- cée par un état maniaque ; et deux fois les mêmes alter- native
ssait complète. Elles passaient ainsi alternativement par le double état diabolique et céleste ou les deux se combinaien
uvenirs des choses apprises jadis et l'agitation violente étaient l' état habituel ; néanmoins, il y avait, comme chez fo
s'était bien passé et que les deux jumelles se maintenaient dans un état très satisfaisant. Ici est notre unique cas, pe
cause de l'imperfec- tion de la technique. Pour le côté central des états psy- chiques, les expériences faites ont porté
- zaines. Cette méthode a cela de propre qu'elle fait appel à des états psychiques encore plus simples, puisqu'on emplo
les apportés par une distraction. On a voulu expérimenter sur des états psychiques les poisons de l'intelligence. 283
sons de l'intelligence. 283 qui se rapprochent le plus possible des états pathologi- ques bien connus à cause de l'influe
rritabilité émotionnelle exa- gérée. On devait expérimenter sur des états psychiques comparables : artificiellement provo
les jours de brome on pourrait déduire l'influence du brome sur les états psychiques correspondants. As Mémorisation DE
pro- priété de produire des effets très spécifiques; il laisse en état normal toute unesérie de phénomènes expérimentés
eizième rapport sur la situation des asiles d'aliénés du royaume, l' état de la mortalité générale et spéciale pendant le
ues montrent au point de vue de la tuberculose un bien meil- leur état sanitaire. Celles de la colonie de Gheel sontpar-
nt ce dernier auteur, les meilleurs moyens de traite- ment pour les états d'agitation sont : 1° un complexus de salles, g
inu- tieux pour m'édifier aussi complètement que possible sur son état mental et contrôler ses allégations en ce qui con
urée du congé d'essai ou il son expiration, l'aliéné pourra, si son état l'exige, être réintégré à l'Etablisse- ment san
ndant qua- tre mois et demi, sans aucune rémission, demeura dans un état de profonde dépression avec mélancolie de l'orm
de neuf ans et une fil- lette de six ans. On attribue cet acte à l' état neurasthénique (le Jlme Gallou. Terrible dram
a ni anesthésies ni hyper- esthésies. Pendant la journée du 8, l' état reste stationnaire, le ma- lade ne parle pas.
ous était pos- sible de rechercher assez minutieusement chez lui, l' état des diverses fonctions du langage. Pour plus de
avons fait suivre d'un court aperçu du langage intérieur, puis de l' état mental provoqué chez le sujet par l'apparition
ME, APHONIE, AMNÉSIE, APHASIE. 343 l'influence de la suggestion à l' état de veille une amé- lioration progressive des ph
bligé de le répéter en route pour ne pas le perdre ». 8 mai. Même état , il ne se souvenait pas ce matin du rendez-vous
tions, pas d'illusions. 7 mai. D ? est toujours très affecté de son état : « il y a des moments, je suis comme saisi, j'
du front. Les muscles de la joue gauche étaient également dans un état spasmodique plus accusé encore lorsque le malade
. Jusqu'au mois de décembre 1903, c'est à dire durant huit ans, l' état du bras reste stationnaire, lorsqu'une nuit, à
n temporo pariétale gauche. Non délirant, il présente simplement un état de dépres- sion mélancolique en rapport avec le
e disparurent progressivement sous l'influence de la suggestion à l' état de veille et de l'isolement. Sept mois après le
fficulté s'augmente, chez les aliénés, de la superposition des deux états physique et psychique et de leur retentissement
re et cardiaque, qui serait un signe prémonitoire caractéristique d' état de moindre résistance, a précisément été signal
e à l'existence d'une déminéralisation excessive, est commune aux états de déchéance qui précèdent la tuberculisation p
ires, conservent leur valeur normale aussi bien au début que dans l' état de tuberculose confirmée, et la nature de ces c
r- tains tuberculeux de fâcheux résultats au point de vue de leur état mental. Il est peut-être difficile d'isoler en-
es indiscutables (service du Dl' Boudrie) et une infirmière, dont l' état général, après une pleurésie bacillaire, a été
et nuit, été comme hiver, soumises au traitement approprié à leur état physique et entourées de tous les soins désirable
voie digestive, soit en introduisant les toxiques spécifiques il l' état isolé. Les toxiques sont extraits par l'eau ou
s jours l'explo- sion des symptômes cliniques caractéristiques d'un état de mal grave. 6° Les principes toxiques épile
plus grande partie de ce principe circule dans le plasma vivant à l' état latent. .1. SÉGLAS. XLVII. Quelques détails s
F. T. Ll. Ueber Fibrillenbilder der progressiven Paralysen (Sur l' état des neurofibrilles dans la paralysie générale) ;
) Homme de 36 ans, « qui, outre une psychose caractérisée par des états d'excitation el de la faiblesse intellectuelle pr
LOGIE PATHOLOGIQUES. 397 corps de Nissl,suivie de l'apparition d'un état vésiculeux du corps de lacellule. r1u Marchi, l
hant d'un délire systématisé parannique. Ce délire dépend donc de l' état mental plus ou moins élevé, plus ou moins restr
ent épaissies et renfermaient un plus grand nombre de noyaux qu'à l' état normal. Autour des vaisseaux il existait en out
on de l'accommodateur ne s'observe qu'à la première période, et les états différents à un oeil et l'autre, qu'aux phases
us de la moitié pendant les deux premiers mois. 11 suffit de voir l' état de misère. d'affaiblissement, de malpropreté, d
ou chaude, qui nous a donné de meilleurs résultats. « Contre les états d'agitation à forme maniaque, nous avons usé de
rmettent de BIBLIOGRAPHIE. 411 diagnostiquer avec précision les états morbides constatés chez nos malades et de mettr
un coup au sein n droit de Frances, (lui fut tué instantanément. L' état des trois bles- sésest grave. (« l.eJournal » ?
nterrogé Richard et sa femme et, finalement, il a mis le premier en état d'arrestation laissant en liberté la seconde qu
il faudrait que cet instrument nous renseignât non seulement sur l' état de la force, mais aussi sur le siège de la lési
multiples et compliqués, qui se combinent entre eux pour produire l' état de fatigue ? La fatigue physio- logique est-ell
para- mètres a, b et c, et une augmentation de //par rapport à l' état d'inanition,dans lequel ont été prises les courbe
'alcool, mais il diminue dans la courbe-glucose compa- rativement l' état d'inanition,ce dernier s'accompagnant d'excitat
, elle pèse seulement 25 kil. le 15 août. A partir de ce moment l' état de l'enfant s'aggrave rapi- dement ; elle maigr
limente l'enfant, lait, oeufs, côtelettes, et viande crue. 111ai. L' état de Cott.. est sensiblement stationnaire ; elle a
ée et tousse Loti- jours beaucoup, mais ne crache jamais. Juin. L' état de l'enfant ne s'améliore pas; elle a encore pe
résente comme un tissu blanc, nacré, lardacé, plus résistant qu'à l' état sain, et cela, d'une façon uniforme sur toutes
sme (un an). De 3 à 9 ans, arrêt de développement phy- sique. L' état anormal de l'enfant a été relevé par la mère dè
anique et faradique, de ces muscles. Quelques semaines plus tard, l' état s'était beaucoup amélioré. les réactions électr
isme d'origine psy- chique est a rapprocher des autres mutismes des états dépressifs; 3" Le diagnostic de ce mutisme volo
yrinlhiques. L'asthénie neuro-musculaire qui est la traduction d'un état d'hypotonus musculaire se rencontre chez les ve
de l'hypotonus des libres musculaires se rencontre souvent dans les états vertigineux et dans les maladies du cavum. C
résie droite récente, tu- berculose pulmonaire. Albuminurie légère, état fébrile, délire. A l'autopsie ; on ne trouve ri
e le rhumatisme chronique et la paralysie agitante est dans ce même état de rigidité, de soudure, d'immobilité relative et
isme semblent de- venir de plus en plus étroits. Pour l'auteur, l' état neurasthénique fait partie de la symptoma- lolo
sique ou mental. Parmi les psychoses, c'est à la mélancolie que l' état neurasthé- nique des rhumatisants a le plus de
nèse du délire hypochondriaque de négation. Pour l'auteur enfin, un état arthritique peut parfois être seul responsable
les variétés de rhumatismes aigus, subaigus ou chroniques, c'est l' état géné- ral de la nutrition qui est l'élément pri
pathogénie des psycho-névroses. M. PRII.1 on. - La timidité est un état psychologique quo l'on retrouve toujours il la
sance des effets de l'hypnotisme. L'être intimidé se trouve dans un état psychologique analogue à celui de l'être hypnot
ils sont exposés à ressen- tir se joint celle d'être constamment en état d'infériorité dans leurs entreprises.aussi prog
e créent en eux l'indéci- sion, l'irrésolution, le doute et enfin l' état d'aboulie confirmé. Une enquête minutieuse, pou
ains la disposition à l'intimidation est même si développée que cet état psychologique peut être con- sidéré comme la ma
GLOU (du Caire). En Turquie et en Egypte la timi- dité constitue un état mental endémique et héréditaire. Elle a pour ca
Toute séquestration qui ne serait pas en- tièrement justifiée par l' état mental de l'interné qui en est l'ob- jet, const
de réparer l'erreur etde rendre à la liberté des malheureux dont l' état ne comporte pas la nécessité d'un internement : i
suite de guérison, ou en raison d'améliorations survenues dans leur état , ou à titre d'essai) depuis le 1er novembre 1905
aiblie, qui ne sont point, à proprement parler, des aliénés, dont l' état ne réclame pas de soins médicaux particuliers, et
modé- rateur ou rectificateur. La superstition existerait donc à l' état d'élément inconscient dans le cerveau normal et
l voisine. Ainsi s'expliquent nos réminiscences, nos refrains, nos' états passionnels : le fils du mélancolique devient mél
, la conscience n'est pas une. Celte dislocation se montre dans les états d'obsessions et d'impulsions, l'automatisme, la
thologique. M. le 1)'' Paul FAREZ, professeur. Objet du cours : Les états de mort apparente. Les samedis à cinq heures à
, Hystériques. La lesponsabll1té des -, par Leroy, p. 124. De l' état mental des -, par Joire, p 133. Mutisme, aphoni
es cel- lules spinales des vertébrés, par Fragnito, p. 146. Sur l' état des dans la paralysie générale, par Schaffer,
p. 29. infantile, début insi- TABLE DES MATIERES. 503 dieux, état stationnaire, puis aggravation, par Bouchaud,
lombaire. La en médecine mentale, par Derou- baix, p. 23. dans l' état de mal, par Friedel. p. 158. Les - - en série
origine toxi- que, par Ballet et Laignel-La- vastiue, p. 31. de l' état puerpéral, par Carrier, p. 46. Contribution à
460. Troubles. Contribution à l'é- tude des - physiques dans l' état de stupeur, par Souka- noff et Pétroff, p. 39.
51 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
ures. Chez les vieilles femmes, en effet, surtout chez celles qu'un état habituel d'infirmité condamne au défaut d'exercic
up plus considérable et des parois beaucoup moins épaisses que dans l' état naturel : encore les parois amincies offrent-elle
ouvelle peut être distinguée du tissu «de l'os, ils sont dans le même état que si la fracture venait d'être opérée; que, dan
u musculaire. » (2) (1) Dans quelques cas, le ligament rond est à l' état de vestige; dans d'autres cas, il y a absence com
s à la formation du cal, et que ce cal est produit par le passage à l' état cartilagineux, puis à l'état osseux des parties m
ue ce cal est produit par le passage à l'état cartilagineux, puis à l' état osseux des parties molles qui sont en contact ave
ter et de la crête iliaque ; saillie du grand trochanter. Quant à l' état général de la malade, il est peu satisfaisant : d
e malade, je fus éloigné de l'idée d'un ramollissement du cerveau : l' état d'hébétude et de somnolence me parut purement sym
adducteurs, et en dehors par le couturier n'est plus applicable. L' état général annonce une fin prochaine : diarrhée abon
premier comme dans le deuxième cas, une cavité cotyloïde ancienne à l' état de vestige, une cavité cotyloïde nouvelle plus ou
eurs années d'ancienneté. La cavité cotyloïde ancienne, déformée, à l' état de vestige, n'est pas beaucoup plus apte à recevo
ord antérieur de l'os ilion avec le corps du pubis, tandis que,dans l' état naturel,cette union se fait à angle très obtus. C
, bien loin d'être atrophiée, m'a paru plus épaisse encore que dans l' état naturel, ce qui tient sans doute aux tractions co
vision dite des gâteuses), observée le i3 octobre i832, me présente l' état suivant : Hémiplégie du côté droit ; évacuation
blir le côté gauche. La malade, qui rend parfaitement compte de son état , assure que depuis l'invasion de la maladie, elle
nt endolorie; la malade porte une hernie inguinale du côté droit. L' état de la malade reste stationnaire jusqu'au 20 janvi
articulations atloïdo-axoidienne et atloïdo-occipitale étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Il en était de même
en sorte que cette malheureuse était condamnée à garderie lit dans un état d'immobilité presque complet et à recourir à autr
t dans le deuxième et le troisième doigts. La figure 4 représente l' état des os d'une main appartenant à un autre sujet, a
individus, qui, sans le secours de l'art, auraient été condamnés à un état permanent d'infirmité. Mais il ne faut s'attend
s'établissent entre les extrémités osseuses; les muscles passent à l' état graisseux; les nerfs musculaires s'atrophient, et
ison , plusieurs os du carpe étaient soudés. Quelques-uns étaient à l' état de vestige. La rigidité articulaire me paraît d
devant toutes les parties qui étaient malades. Le cerveau était à l' état normal, excepté les lobes antérieurs qui présenta
la même espèce, preuve évidente que l'économie vivante obéit, dans l' état morbide, à des lois aussi régulières et par consé
régulières et par conséquent aussi facilement observables que dans l' état physiologique. Je ferai suivre la description des
pugne nullement d'admettre que, dans le développement de la tumeur, l' état cartilagineux a précédé l'état osseux. On peut en
dans le développement de la tumeur, l'état cartilagineux a précédé l' état osseux. On peut encore supposer que plus tard tou
offre une grande ressemblance avec celle du tissu de l'utérus dans l' état de grossesse. Les vacuoles représentent assez bie
é en consultation, en juin i838, pour madame Rigot, qui me présenta l' état suivant: Fièvre très vive ; battemens du pouls, d
près cet accident le 16 juin, que je fus appelé et que je constatai l' état ci-des3us. Sur la fin de juin, une nouvelle tum
cerveau et tous les organes du thorax et de l'abdomen étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. On ne
e être si parfaiteque tous caractères morbides disparaissent et que l' état anormal s'élève en quelque sorte jusqu'à l'état n
isparaissent et que l'état anormal s'élève en quelque sorte jusqu'à l' état normal; on conçoit que la moindre pression exercé
n primitivement vicieuse des germes, non comme la représentation d'un état normal permanent appartenant à d'autres espèces,
vices de conformation peuvent s'expliquer par une lésion éprouvée à l' état fœtal, un grand nombre doit remonter jusqu'à l'ét
sion éprouvée à l'état fœtal, un grand nombre doit remonter jusqu'à l' état embryonaire, et il ne répugne nullement d'admettr
rière. Il est malheureux que nous n'ayons aucun renseignement sur l' état des parties molles de ces deux sujets. Sur celui
tivement démontrée. Les nerfs encéphaliques et spinaux étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. La figure 3 représ
és, tantôt les yeux sont parfaitement développés, tantôt ils sont à l' état rudimentaire, d'autres fois ils manquent complète
ert, naissant entre les deux sourcils. Le reste du corps était dans l' état normal : seulement il y avait six doigts aux pied
Fig. 3. i° Viscères. Estomac, foie, rate, intestins grêles dans l' état régulier. L'état anormal commence à l'embouchure
scères. Estomac, foie, rate, intestins grêles dans l'état régulier. L' état anormal commence à l'embouchure de l'intestin grê
les trompes et les ovaires droits et gauches. Ces organes sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. Les ovaires présente
ne et interne. A la jambe, JR représente les jumeaux et soléaires à l' état de vestige. Comme les muscles grands fessiers et
a ligne médiane, on trouve d'arrière en avant, le sacrum, qui est à l' état normal ; l'orifice inférieur du bassin OIB, qui e
confondus. Les phalanges et les os métatarsiens ne diffèrent pas de l' état normal. Il est bon de remarquer que le mouvement
m'ont pas paru enflammées. L'estomac et les intestins étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Les reins ont appelé
ui a précédé la mort du sujet, et il ne m'a pas été donné d'étudier l' état des nerfs laryngés, du pneumo-gastrique, du bulbe
hidien et du cerveau; je dois même dire que je n'ai songé à étudier l' état des nerfs intrinsèques du larynx que lorsqu'il n'
d usage de liqueurs fortes, au point qu'on le surprit souvent dans un état complet d'ivresse. Son pouls était petit et lent;
re de poche dont la capacité était double de celledece conduit dans l' état ordinaire. x Un rétrécissement « subit percé d'un
raient pas sensiblement de ceux qu'on a coutume d'y rencontrer dans l' état sain. Les parois de ce conduit avaient augmenté d
sans perdre aucune des qualités physiques qui les constituent dans l' état normal. Le long de l'œsophage, on voyait un pet
muqueuse. Celles de ces végétations qui étaient, pour ainsi dire, à l' état naissant, n'étaient pas pédiculées. La longueur d
outre à côté du pylore, une multitude de mamelons ou végétations à l' état naissant implantés sur une por* tion de muqueuse
ntes de toute solution de continuité. On doit l'inférer au moins de l' état d'intégrité des fonctions digestives avant et apr
ent imperforées, ce qui n'étonnera pas, si l'on considère que, dans l' état normal, les follicules de l'intestin grêle sont c
de l'imperfo-ration , qu'un de'Jeurs caractères différentiels dans l' état sain , c'est la présence d'un pertuis visible à l
ité assez prononcée. « Les organes contenus dans le thorax sont à l' état normal : il n'y a pas de toux. L'abdomen est tend
de 1 epiglotte est rouge; le larynx,la trachée et l'œsophage sont à l' état normal ; l'estomac présente une altération bien r
erte d'un mucus épais et grisâtre. Les deux autres membranes sont à l' état normal. « La muqueuse des intestins grêles est
ses encéphaloïdes prêtes à se ramollir ; enfin il en est qui sont à l' état de pulpe rougeâtre. Les ganglions correspondans à
de consistance comme cartilagineuse. Les reins et la vessie sont à l' état normal; mais la prostate volumineuse, dure et bla
x ; le ventricule gauche est un peu épaissi ; les testicules sont à l' état normal ; les ganglions lymphatiques des aisselles
à la lésion des follicules. «Quelles peuvent être les suites de cet état kysteux et quel traitement y aurait-il à faire? C
e a été qu'ils pouvaient bien n'être que le sommet des villosités à l' état d'hypertrophie. » J'ai peu de chose à ajouter a
, dans des cas où la muqueuse intestinale correspondante était dans l' état le plus parfait d'intégrité ? J'ai eu occasion
es encéphaloïdes prêtes a se ramollir; enfin il en est qui sont « à l' état de pulpe rougeâtre ». Il serait difficile de ne p
x mois de séjour. Couchée aun. 33, salle Ste-Anne, elle me présente l' état suivant : maigreur excessive, sans coloration par
epuis deux mois, est entrée dans mon service le 9 octobre 1836 dans l' état suivant : maigreur extrême et par conséquent ride
on : les eschares qui tapissaient les parois du trajet fîstuleux et l' état aigu survenu dans les derniers temps, ne permette
professeur Moreau : c'était dans l'été de i83i. Voici quel était son état . Marasme porté au plus haut degré, abdomen très v
cuité de l'utérus, et d'une autre part, à la présence d'une ascite. L' état de la malade paraît d'ailleurs désespéré. Douleur
ruptures ni cicatrices. « L'ovaire gauche est plus petit que dans l' état naturel, il est ramolli, et une légère pression s
conservés et n'offrent rien d'extraordinaire. — Le diaphragme est à l' état sain. 6° Dans le bassin est un utérus rouge, bi
Dans le bassin est un utérus rouge, bien conformé U, ayant, comme à l' état normal, ses ligamens, ses trompes T et ses deux o
nies, sont cependant plus fortement appliquées au corps des os qu'à l' état normal. Réflexions. Ce cas doit être placé à cô
ait également deux pieds-bots. Quant à la conservation parfaite à l' état de mollesse, de flexibilité des viscères thora-ci
malade ne se plaint d'aucune douleur, et n'a pas la conscience de son état . Il succombe le 5e jour. A l'ouverture de l'abd
rosité lactescente; d'autres foyers, qui étaient en quelque sorte à l' état naissant, présentaient des points blancs séparés
. Poumons, cœur sains.— Tête. Le cerveau et ses membranes sont dans l' état d'intégrité. Réflexions. — Les abcès du foie, d
douloureux. Spino n'entra à l'hôpital que le 11 mai. Il était dans l' état suivant : Face altérée, grippée; extrémités pre
nt : urines rares. ( 20 sangsues, fomentations, bains.) Le 12, même état (i5 sangsues). Le i3, éructations; deux vomisseme
cordon ombilical, et qui entrent successivement dans l'abdomeu dans l' état régulier, n'effectueraient qu'incomplètement leur
ait en opposition avec cette manière de voir : chez l'embryon, dans l' état régulier, les viscères abdominaux occupent la cav
ui ont eu beaucoup d'enfans, on trouve la cicatrice ombilicale dans l' état naturel et les aponévroses voisines amincies et é
é était emphysémateux. Dupuytren n'ose pas tenter d'opération, tant l' état de la malade lui paraît désespéré. Elle mourut la
en se demande quelle aurait été la conduite à tenir, à supposer que l' état de la malade eût permis l'opération : la méthode
ement. (Sans doute qu'on ne fit pas l'opération parce qu'on croyait l' état de la malade désespéré.) Le 20, même état : pot
ion parce qu'on croyait l'état de la malade désespéré.) Le 20, même état : potion thériacale. Le 21, septième jour de l'
r exactement aux couches qui recouvrent le cordon testiculaire dans l' état naturel. Ces couches augmentent, diminuent, se dé
esoin était, attester l'exactitude de mes paroles. Voici quel était l' état de l'enfant : « Peau froide et livide, pouls à pe
onite visible à Texte-ce rieur. — Même prescription. ce Le 26, même état . Je fais remplacer l'eau de gomme par du lait cou
nsi dire sur les os. « Le Ier septembre, la tumeur est dans le même état ; mais le dévoiement a cessé : les selles sont « d
faim , il cesse de crier lorsqu'on lui donne du lait. « Le 3 , même état physiologique. La tumeur se déterge et suppure. I
ue cette lésion. Une lésion par arrêt de développement, c'est donc un état normal temporaire devenu permanent. Dans toute
livraison, Hernies ombilicales, pl. 5 et 6): « Chez l'embryon, daus l' état « régulier, les intestins occupent la cavité abdo
, est apportée à l'hôpital Necker le 28 février i835, au soir, dans l' état suivant : l'abdomen est le siège de vives douleur
ale tuméfaction de l'abdomen : à l'hypogastre, l'abdomen était dans l' état naturel : la tuméfaction commençait à gauche et u
filiforme, extrémités froides, face terreuse, supination, immobilité, état d'agonie qui se prolonge jusqu'à dix heures du so
s évacuations alvines continuent, et avec elles l'amélioration dans l' état du malade. Le 28, un purgatif minoratif provoqu
te tumeur était également formée par l'intestin renversé. Du reste, l' état général était excellent, et l'appétit naturel. —
râtre, une épaississement notable, une fétidité extrême, en un mot un état gangreneux, sans diffluence, avec escarification,
assigner « des symptômes, tant leur existence a peu d'influence sur l' état des fonctions. Il est même « probable qu'elles s'
ors, on conçoit que la désinvagination de l'intestin pourrait, dans l' état d'altération où sont les tuniques intestinales, r
lques-unes de consistance assez dure. Abdomen souple et indolent. L' état général annonçait d'ailleurs une fin prochaine. L
ive. Je vis la malade pour la première fois le 6 juillet : le 12, l' état adynamique était porté au plus haut degré, la tum
acquis le volume du poing. Le i3, je trouvai la malade plongée dans l' état comateux le plus profond. Perte de myotilité, per
us donner aucun éclaircissement positif sur le mode d'invasion de cet état ; seulement on nous dit que la malade avait été p
inales qui a été représentée sur la figure. Le cerveau était dans l' état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. — i° L
u était dans l'état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. — i° L' état comateux avec perte complète et générale du senti
nt, à dix-huit pouces de cette valvule. Le gros intestin était dans l' état le plus parfait d'intégrité. Considérations gén
i souvent cette coloration qu'on est habitué à la considérer comme un état à-peu-près normal. C'est surtout dans les poumo
ment de ces taches noires qui semblent ne pas dépasser la limite de l' état régulier, le poumon présente très souvent des col
s cette malade, accouchée douze jours auparavant, qui me parut dans l' état le plus grave : elle était exsangue, la face d'un
e, qui me demanda à manger avec une insistance qui contrastait avec l' état général, insistance qui est d'ailleurs commune à
é, à la manière des érysipèles erratiques ; voyant d'une autre part l' état de prostration excessive de la malade, et ne donn
ultitude de petites granulations piquetées de noir à leur centre. Cet état ne peut pas être normal, il est probablement le r
ien, très bien et je le crois hors de danger. Le huitième jour de cet état apyrétique, une parotide se développe à gauche ;
arotide se développe à gauche ; elle est excessivement douloureuse. L' état ady-namique si bien décrit par Pinel, se manifest
l'hôpital de Limoges. Un paysan athlétique entre à l'hôpital dans l' état suivant : Douleur très vive à l'épigastre, abdome
pas superficielle, mais occupe toute l'épaisseur de la membrane; cet état me paraît être de la gangrène, bien que le tissu
ts : sur les malades guéris ou convalescens, il y en a eu deux dont l' état paraissait aussi grave que celui des malades qui
r convalescence ne soit qu'apparente, et que la dysenterie passée à l' état chronique ne laisse des traces ineffaçables(i). V
l'anus et prescrit l'eau de riz gommée. Observé le 4, il présenta l' état suivant : besoin continuel d'aller à la garde-rob
avait envoyé pour refaire sa santé, s'il était possible. Le 5, môme état , môme prescription, quinze sangsues seulement. Le
; faiblesse extrême ; faciès dysentérique ; pouls petit, fréquent. L' état de faiblesse du sujet ne permit pas d'avoir recou
i pénètre toute l'épaisseur de ces plis, et pourrait bien indiquer un état gangreneux : il est possihle cependant que cette
e de laquelle le malade succomba dans l'affaissement le plus complet ( état adynanique de Pinel); point de douleur; prostrati
excessive. 6. La dysenterie aiguë tend essentiellement à passer à l' état chronique, et je ne connais rien de grave, rien d
n du plus grand nombre des maladies aiguës ou chroniques. 7. Dans l' état chronique, la dysenterie est essentiellement apyr
ais incomplètement guérie, comme la source de plusieurs formes de ces états de langueur générale, de dépérissement, avec dige
ur la quantité que sur le choix des alimens, et les proportionner à l' état des forces diges-tives. On est souvent obligé de
suit que cette maladie doit être traitée avec le plus grand soin à l' état aigu, pour prévenir les graves accidens qu'elle e
st a une dysenterie négligée ou incomplètement traitée, que remonte l' état valétudinaire , ï état de souffrance, dhypochondr
ligée ou incomplètement traitée, que remonte l'état valétudinaire , ï état de souffrance, dhypochondrie presque permanent d'
e la partie inférieure du rectum avec hypertrophie très considérable, état variqueux des veines, phlébolithes, sans aucune t
e, de toux, d'oppression très considérable, et succomba dans un grand état d'angoisse et comme suffoquée. Ouverture du cor
, admise à la Salpêtrière sous le nom de cancer du rectum, présente l' état suivant : Face décolorée, bouffie, infiltrée, c
'œdème séro-sanguinolent, dans lequel le tissu pulmonaire est dans un état voisin de l'apoplexie comme tenant plus souvent à
M , et sur le tissu cellulaire extérieur à la tunique musculeuse. Cet état hyper-trophique de l'intestin, suite de phlegmasi
nt. J'ignore ce qu'elle entend par opération. Diagnostic. D'après l' état actuel rapproché des commémoratifs, je diagnostiq
, à l'utérus, à l'ovaire et à la trompe gauches, tous organes dans un état d'atrophie complet, tels qu'ils sont chez une enf
ons. Ainsi, inflammation de la membrane muqueuse du rectum passée à l' état chronique ; destruction par ulcération de cette m
mptes d'induration. Cette malade étant morte, je dus m'assurer de l' état de l'intestin rectum, et je vis que les cinq dern
u'on ne pouvait les guérir. Voici une description plus détaillée de l' état local : Sur la marge de l'anus étaient un grand
n fluide s'épanche-t-il hors des réservoirs qui le contiennent dans l' état naturel, la nature forme sur-le-champ une membran
ès aisément passer la phlébite, d'adhésive qu'elle était d'abord, à l' état de phlébite suppurative. Relativement à la natu
malade était alors en proie à une sixième crise. Je la trouvai dans l' état suivant. Abdomen très volumineux, météorisé ; les
nération que je supposais s'être étendue de l'utérus au rectum. Cet état se prolongea jusqu'au mois de mai i838. Je ne vis
tion d'urine, et j'engageai M. Sobaud son chirurgien à s'assurer de l' état de la vessie. L'idée d'une grossesse ne me vint j
se ne me vint jamais à l'esprit, je ne la croyais pas possible dans l' état où se trouvait la malade. J'étais d'ailleurs cert
ille secousse, elle succomba le quatrième jour de l'accouchement. L' état de grossesse que nous n'avions pas reconnu avait
remarquable par une couleur brun foncé. Plusieurs tubercules sont à l' état naissant, et entourés d'un tissu induré. Les fi
à la manifestation de la phthisie pulmonaire, et pouvant demeurer à l' état latent pendant un grand nombre d'années. Consid
ieurs années à une jeune femme dont la rate énorme se concilie avec l' état de santé le plus florissant. Je redoutais pour el
jamais observé cette coloration, lorsque les kystes étaient dans leur état d'intégrité, si l'on peut parler d'intégrité à l'
importantes. Il est des tumeurs cancéreuses qui restent toujours à l' état , de tubercules; il en est dont l'accroissement es
le rapport du volume, les uns ayant à peine le volume du foie dans l' état normal, et par conséquent ne débordant pas le reb
péritoine les niasses carcinomateuses superficielles du foie. X. L' état des veines du foie mérite de fixer toute l'attent
lente, tantôt rapide; dans quels cas les cancers du foie restent à l' état latent pendant un temps plus ou moins long, et qu
titude de masses et de tubercules cancéreux, dont un grand nombre à l' état naissant, en sorte que l'on pouvait y étudier le
lus grande partie de ces masses et tubercules était très dense et à l' état qu'on désigne ordinairement sous le nom de squirr
plèvre, soit aux dépens du tissu du poumon. La malade vécut en cet état pendant deux mois environ, et succomba épuisée pa
plus grande quantité de suc cancéreux. Plusieurs tumeurs étaient à l' état naissant, et j'ai constaté de la manière la plus
ovaires et les trompes adhéraient intimement entre eux. Cancer a l' état liquide ou abcès cancéreux enkystés dans le foie
répétés furent associés aux moyens déjà prescrits. Le 12 et le 13, état stationnaire, toujours mêmes angoisses, même sent
ous de l'hypocondre droit. La malade, qui n'a nulle conscience de son état , sollicite une saignée, qui fut suivie d'une long
une constitution grêle et éminemment nerveuse, que je trouvai dans un état de malaise, d'angoisse extraordinaires : il se pl
hépatite aiguë : l'indication était un traitement antiphlogistique. L' état du pouls, la disposition syncopale s'opposant aux
s nous contentâmes de dix-huit sangsues sur la région douloureuse. Un état syncopal plus prononcé en fut le résultat. Nous d
a mèche, pour prévenir le retour de l'hémorrhagie. Pendant la nuit, l' état syncopal fut moindre. Le i/j au matin, pour la
brile continue, le pouls est plein, fort , à 120. Le contraste de cet état avec celui des jours précédens est vraiment extra
malade faiblit, il est couvert de sueur, son pouls devient filiforme: état syncopal permanent. Quelle est la source de cette
est vidée sans hémorrhagie nouvelle. Du 29 décembre au 6 janvier, l' état local est parfait; le foyer se vide; le volume du
abdomen n'occasionne aucune douleur. L'ictère a complètement cessé. L' état général n'est pas tout-à-fait aussi satisfaisant
urtout pendant le redoublement ; sueurs nocturnes ; amaigrissement, L' état local du foie ne rend nullement compte de l'état
; amaigrissement, L'état local du foie ne rend nullement compte de l' état général : il n'existe plus à l'épigastre qu'une p
t groupés par masses. On voyait çà et là quelques petites cavernes. L' état du foie devait appeler toute notre attention. Or,
par la dimension du foyer GAH représenté figure 1 , et l'acuité de l' état inflammatoire, expliquent la gravité des accidens
u par une plainte. Je diagnostiquai donc un abcès chronique du foie L' état de la malade restant stationnaire, je l'engageai
anières, qu'un soulagement passager. Elle sortit de nouveau , dans un état de langueur, d'inappétence absolue, de pâleur, de
sieurs fois tà ma consultation particulière, et toujours dans le même état . Un jour, cinq mois environ après l'accident, je
anger, il continua à les suivre jusqu'à ce qu'il fût rassuré sur leur état , et s'alita le 29 avril. Le foie s'accrut gradu
de ne sé plaignait que d'un léger ressentiment à l'épaule gauche. L' état des organes digestifs suivit les diverses phases
es facultés intellectuelles conservèrent jusqu'au dernier moment leur état d'intégrité. Certain de sa fin xxiie livraison.
er se montre par masses isolées, au milieu de parties qui sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. La phlébite du foie,
traumatique, affectent absolument le même mode de développement. L' état latent de la maladie du foie s'explique par l'ind
t que nous avions affaire à une dégénération encéphaloïde, passée à l' état de désorganisation. La partie superficielle de
t de sa flétrissure, pour l'épiploon, pour le poumon lui-même dans un état de gangrène, et comme tel, il a été lié et excisé
e qui la caractérise chez l'adulte; plus souvent elle se présente à l' état latent. Il faut, en quelque sorte, la deviner. Or
s d'obtenir la résolution. N'oublions pas que, dans la pneumonie, l' état local n'est qu'une partie de la maladie, que l'ét
s la pneumonie, l'état local n'est qu'une partie de la maladie, que l' état général est la source d'indications non moins imp
est porté, le 22 septembre 1828 , à la maison royale de Santé, dans l' état suivant: Face décolorée , livide; sentiment de
qu'il n'y avait pas eu de convalescence, mais seulement passage de l' état aigu à l'état subaigu, et qu'on n'avait été révei
it pas eu de convalescence, mais seulement passage de l'état aigu à l' état subaigu, et qu'on n'avait été réveillé de la sécu
r le haut ni par le bas. Les 24, 25, 26 et 27, même prescription: l' état général du malade parait meilleur. Le pouls s'éta
re. — Le mieux se soutient; mais il est aisé de voir qu'il y a plutôt état stationnaire que tendance prononcée vers la guéri
lade se trouve bien, trop bien: il n'a nullement la conscience de son état et se croit en convalescence. Ce qui m'étonne le
pour moi. La respiration est à peine un peu plus fréquente que dans l' état naturel. Du reste, le malade tousse à peine: c'es
ions sont remplies de concrétions sanguines qui présentent les divers états qui constituent les différens degrés de la phlébi
ns de texture sans retentissement, si je puis m'exprimer ainsi, sur l' état général. La phlébite de l'artère pulmonaire, co
n plusieurs kystes remplis de matière crétacée. Je regarde les divers états sous lesquels se présente la matière contenue dan
urs fonctions accoutumées. On ne tient pas un assez grand compte de l' état de ces ganglions dans les ouvertures cadavériques
ion des symptômes. La malade dont il est question était morte dans un état d'anasarque. Je regarde comme un fait démontré
le, accidentel, tissu caverneux ou spongieux qui se présente sous des états divers, lesquels peuvent être considérés comme le
rveux. Le malade passe presque tout-à-coup et sans intermédiaire d'un état qui n'inspirait aucune inquiétude sérieuse à un é
termédiaire d'un état qui n'inspirait aucune inquiétude sérieuse à un état de stupeur, de prostration et de mort, comme un a
n se rappeler que la phlébite adhésive ne passe pas ordinairement à l' état de phlébite suppurée, ou que si elle y passe, c'e
du cancer utérin, guérit souvent spontanément. On conçoit que, dans l' état d'anémie où se trouvent quelquefois réduites les
pouvait atteindre le museau de tanche et par conséquent constater son état . Dans les derniers temps de la vie, infiltratio
ve Mallard, âgée de 75 ans, est entrée salle Saint-Luc, n° 10, dans l' état suivant : Hémiplégie gauche. Le membre supérieu
épaisseur, et il faut bien distinguer cette participation des os à l' état variqueux de l'érosion que les tumeurs sanguines
on était plus ancienne; le tissu variqueux était en quelque sorte à l' état sénile; mais le système musculaire n'avait pas ét
tous les autres points de la circonférence de la veine étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Ce cas
ge-violet des jambes de ce sujet, et je fus curieux de m'assurer de l' état des veines. Je ne pus d'ailleurs recueillir sur l
son observation avait été publiée sous ce titre. Voici d'ailleurs l' état des membres inférieurs : couleur lie-de-vin viola
ussi bien qu'hémorrhagie cutanée. La phlébite (car je considère cet état comme une phlébite) était limitée aux veines sous
té respectés: aussi la peau et le tissu cellulaire étaient-ils dans l' état le plus parfait d'intégrité. La phlébite occupa
ffet, tous les caractères du scorbut), coïncide assez souvent avec un état fongueux des gencives, lesquelles sont, dans d'au
cives, lesquelles sont, dans d'autres cas, parfaitement intactes. Cet état s'accompagne rarement d'une fièvre de réaction. L
ît mieux dénommé phlébite capillaire hémorrhagique. Il y avait dans l' état local quelque chose d'actif, qui appelait une méd
le lieu. Pansement avec l'acétate de plomb liquide étendu d'eau. L' état local s'améliore ; mais l'état général s'aggrave,
ate de plomb liquide étendu d'eau. L'état local s'améliore ; mais l' état général s'aggrave, la respiration devient plus gê
che de sang et ecchymose superficielle. Il était aisé de voir que cet état tenait à un épanchement de sang sous-cutané, mais
nsion très douloureuse du membre, qui est considérablement tuméfié. L' état général est excellent. Point de réaction fébrile.
anatomiques de cette lésion hémorrhagique, qui tantôt coexiste avec l' état fongueux des gencives, tantôt est indépendante de
ste avec l'état fongueux des gencives, tantôt est indépendante de cet état fongueux. Les caractères anatomiques sont exactem
ambe, siège de la douleur et de l'application des sangsues. Le 14-) état local toujours le même; mais à la suite d'atroces
ros orteil, elle s'étendit ensuite aux autres orteils du même pied. L' état général était d'ailleurs excellent. Le malade s'e
même un sentiment général de bien-être, n'a aucune inquiétude cle son état : assoupissement. Le pincement, la piqûre, le cha
dépouillées d'épiderme par le pincement de la veille étaient dans un état de dessiccation semblable à celle qu'on observe s
se décomposer comme le membre d'un cadavre. La malade vécut dans un état de stupeur jusqu'au 5 mai. Ouverture du cadavre
upérieur du poumon droit était le siège d'une inflammation passée à l' état de suppuration infiltrée. Le pus est exprimé du p
ysie du sentiment et du mouvement de la main : la malade rapporte cet état à la saignée et croit qu'on lui a piqué un nerf.
e quinquina pour boisson. — Potion avec camphre x grains.) 26, même état . — 27, momification du membre; la malade demande
à la main était vide et desséchée. Du reste, la main était dans un état de dessiccation semblable à celui qui résulterait
ines, les vaisseaux lymphatiques conservant encore quelque temps leur état d'intégrité, celles-ci doivent pomper en quelque
morte et la dessécher avec une extrême rapidité. On conçoit combien l' état des veines doit influer sur le mode de décomposit
anévrysmes, car, à leur niveau, les tuniques artérielles sont dans l' état le plus parfait d'intégrité , et le sang n'est nu
ans, employé, couché au n° 16, salle Saint-Ferdinand, m'a présenté l' état suivant, le 25 septembre i84o, jour de son entrée
ration très fréquente, dont le malade n'a nullement conscience dans l' état de repos au lit, mais qui s'accompagne d'une oppr
ent constituées par une dilatation de l'aorte. Du reste, bon appétit, état moral excellent : gaîté, espérance de guérison :
es crises, car, hors de là, il est aussi bien qu'en pleine santé. L' état de ce malade se maintint identiquement le même de
onservé toute son intelligence, et qui n'est nullement effrayé de son état , se plaint d'éprouver un malaise général en même
liformes et donnent une impulsion très faible; et cependant, dans cet état de mort, l'impulsion est encore très forte en bas
'aspect extérieur. Les trois tuniques artérielles existent, dans leur état d'intégrité, au niveau de la partie simplement di
ce besoin ne dure que quelques jours.—Du 28 septembre au 21 décembre, état stationnaire. Du reste, même état des membres. Le
rs.—Du 28 septembre au 21 décembre, état stationnaire. Du reste, même état des membres. Le malade ne peut dormir ni jour ni
étruit par l'usure. Du reste, Partère carotide primitive était dans l' état le plus naturel, et la circulation ne devait y ép
et la sous-clavière gauche étaient plus grosses d'un tiers que dans l' état naturel. Les branches qui partaient de ces troncs
onsidérables ; les autres branches de l'aorte ventrale étaient dans l' état naturel. 2° Observation de M. Reynaud. Elle a p
de structure particulières au cœur lui-même, nous verrons que, dans l' état normal, tous les points des ventricules du cœur s
atation sur 48 faits observés : encore dans les huit faits restans, l' état du cœur n'a pas été noté. (1) Archives générale
plus facilement des adhérences avec son enveloppe, qu'un cœur dans l' état normal. Je sais bien que M. Beau a essayé d'établ
e du péricarde. — Infiltration générale. — Dévoiement. — Mort dans un état demi asphyxique. Delaunay, i5 ans, vigneron, es
mbre i84o, salle Saint-Ferdinand, n° 8, hôpital de la Charité, dans l' état suivant : Voussure bien manifeste de toute la m
depuis quelque temps. Les fonctions digestives sont dans le meilleur état . Nulle douleur. Point d'œdème. Le jeune malade n'
Point d'œdème. Le jeune malade n'a pas la moindre inquiétude sur son état . Diagnostic. J'hésitai un instant, pour le diag
té. — L'estomac , l'intestin grêle, le foie et les reins, sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. (i) Une expérience
dans mon service, à la Salpêtrière, le ier mai 1838, voici dans quel état : lèvres violacées, variqueuses; mains et pieds c
ier le pouls aux carotides, où je le trouve lent et faible; du reste, état intellectuel parfait : la malade ne me demande, d
ns, est entré à l'Hôpital de la Charité, le i5 septembre i84o, dans l' état suivant: face (1) Voyez Grisolle, Traité pratiq
lement en montant les escaliers; il y a quinze jours qu'il est dans l' état de suffocation où je le vois. Traitement. Vento
roduite le 20 ; le malade est resté sur son séant toute la nuit. Même état du cœur, léger claquement que je rapporte à un ép
son entrée. Le malade rentra à l'hôpital, le 26 septembre, dans un état de cyanose et d'algidité aussi complet que possib
et l'algidité me parurent venir de la gêne de la respiration ; mais l' état du malade ne me permit pas d'explorer sa poitrine
mbres inférieurs, des vésicatoires aux jambes, le retireraient de cet état asphyxique et me permettraient d'avoir recours au
e, dans les cas de rupture spontanée du cœur, on ne trouve pas dans l' état du tissu de cet organe la raison suffisante de la
eu occasion d'observer un certain nombre de faits qui conduisent de l' état normal du cœur à cet anévrysme partiel vrai : ain
a région du cœur, était d'ailleurs permanent. Le malade exprimait son état habituel en disant qu'il lui semblait que son cœu
itrine, et, d'autre part, les poumons souvent explorés étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Lorsque le malade ét
uellement très dur, plein, et un peu intermittent. Je n'ai pas noté l' état du cœur; l'auscultation méthodique et la percussi
s, je l'ai vue amener directement la mort en jetant le malade dans un état syncopal dont il ne put se relever. Il faut, en e
eût dit que le cœur avait été soumis à une ébullition prolongée. Cet état du cœur permettait la séparation facile des fibre
d'un bruit de râpe extrêmement fort, se conciliait d'ailleurs avec un état de santé très satisfaisant et a occasioné une mor
arla circulation veineuse collatérale, qui tend toujours à rétablir l' état régulier; de même, à plus forte raison, les caill
ioux m'ont adressé, il y a plusieurs années, un cœur qui présentait l' état suivant : Près de la pointe de ce ventricule exis
r que les dimensions des cavités gauches ne dépassent pas celles de l' état régulier. La coupe delà fig. 2' montre dans tou
, tome ni) que la valvule tricuspide est véritablement bivalve dans l' état normal, et que i épaississement de cette valvule
ulanger, terrassier depuis quelques mois, entre à l'Hôtel-Dieu dans l' état suivant : face bouffie, lèvres violacées, membres
Il mourut pendant la nuit, le cinquième jour de son entrée, dans un état de suffocation. Ouverture. — Deux ou trois litr
s, entre à l'infirmerie de la Salpêtrière le i " janvier 1833, dans l' état suivant. La respiration est fréquente : elle n'es
; sensation permanente de suffocation qui met la malade dans un grand état d'angoisse; pouls presque insensible aux radiales
e organisée comme dans la péricardite. Je ferai remarquer que, dans l' état normal, la membrane interne de l'oreillette gauch
parce qu'il prenait pour de l'entêtement et de la mauvaise volonté un état de torpeur, prélude d'une méningite granuleuse de
mon service à l'hôpital de la Charité, le 23 mai i84i Voici dans quel état : décoloration et bouffissure de la face ; membre
s. Diagnostic. — Hydropéricardite. L'orthopnée, l'infiltration et l' état du pouls, sont les conséquences de l'épanchement
es saignées l'ont beaucoup affaibli. Les voies digestives sont en bon état , et le malade demande à manger. Traitement. Ven
currence le thermomètre des forces du sujet ; il n'exprime plus qu'un état local, savoir, la gêne des contractions du cœur é
culation scapulo-humérale, au coude et au genou du côté droit__Même état le 25 : la fréquence du pouls ne dépasse pas qu
il était extrêmement bègue, on pouvait difficilement s'assurer de son état intellectuel. Du reste, la constitution est loin
, agitation , délire, oppression , palpitation, angoisses. J'étudie l' état du cœur que j'avais exploré de temps en temps dep
c, un gramme. Le 3o juin et les jours suivans jusqu'au 6 juillet, l' état du malade paraît meilleur ; la douleur et la tumé
; la douleur et la tuméfaction articulaires ont cessé complètement. L' état du cœur me préoccupe par la matité de la région q
péricarde, et cette manière de voir était d'ailleurs confirmée par l' état régulier du pouls et par l'absence de trouble not
étention d'urine persiste et nécessite le cathétérisme. 19 juillet, état général stationnaire; mais l'épanchement dans la
son volume ordinaire. Les orifices et les cavités du cœur sont dans l' état le plus régulier. Le poumon droit, qui a un grand
t toutes les surfaces frottantes, qui étaient pour ainsi dire dans un état d'orgasme ou de surexcitation, sont menacées ; d'
es agonisantes , et les malades, transportées à l'infirmerie dans cet état extrême, succombent d'ordinaire dans l'intervalle
r mes conseils, elle était âgée de 26 ans et 3 mois, et me présenta l' état suivant : Amaurose complète; perte non moins co
, pendant lequel elle est restée constamment couchée, à raison de son état de faiblesse générale. Pendant ce dernier mois
dées, la netteté de l'articulation des sons; et c'est à la suite d'un état de calme plus prolongé que de coutume, qui donnai
ieu, où les moxas et îelectro-poncture sont inutilement employés. Son état s'aggrave même sensiblement, les contractions x
l'hôpital, décidée à ne rien tenter de nouveau. Pendant deux ans, son état est stationnaire: la santé générale est très bonn
itaire était percée de part en part. Les sinus frontaux étaient à l' état de vestige. Les trous optiques très rétrécis, apl
tume, elle gagne son lit de son pied, et à peine couchée tombe dans l' état suivant, que M. Boullet, appelé un quart d'heure
sur le mouvement et sur le sentiment. Le membre supérieur est dans un état de demi-flexion avec rigidité. Le membre inférieu
rétrécie des corps genouillés externes qui d'ailleurs sont dans leur état naturel : cette dégénération grise ne présente au
lectuelles. — Affaiblissement général de la myolilité. — Mort dans un état d'adynamie. ( i ) Une femme de 55 à 60 ans mour
lle ne peut articuler plusieurs syllabes de suite. Je n'ai noté, ni l' état de la myotilité, ni l'état de la sensibilité ; ce
eurs syllabes de suite. Je n'ai noté, ni l'état de la myotilité, ni l' état de la sensibilité ; ce qui suppose qu'elles ne pr
urs du mercure, entre à la Salpêtrière en juin ï834 : voici dans quel état : Articulation des sons lente, laborieuse ; dégl
débuté par un affaiblissement graduel des membres inférieurs, par un état de titubation semblable à celui d'une personne iv
rance et le bulbe rachidien, la protubérance surtout, avaient subi un état de compression tel, qu'il est difficile de compre
ont-ils été libres, alors que les membres inférieurs étaient dans un état de rigidité paralytique? pourquoi la contraction
pulpe molle, comme si la substance grise ne se présentait pas dans l' état normal sous l'aspect d'une pulpe molle. Ne serait
trière, en remplacement de M. Rostan. Je trouvai cette femme dans l' état suivant : jambes fortement fléchies en arrière su
ux; car les muscles des jambes et des pieds sont au contraire dans un état de flaccidité remarquable. La rigidité est telle
ysmes, en atténua l'intensité. L'eschare du sacrum amena bientôt un état adynamique. Pouls faible d'abord, puis impercepti
tion. Pour commémoratifs, je recueille que la malade n'est dans cet état que depuis un an : elle l'attribue à un refroidis
pectés, ne tardèrent pas à être envahis. (1) (1) Je n'ai pas noté 1 état de la sensibdité tactile sous l'influence du pinc
s rationnels d'une pneumonie aiguë, parvenue à sa dernière période. L' état de la malade me parut désespéré : elle refusa de
pé à la paralysie. La gaîté enfantine de la malade contraste avec son état de paralysie presque générale. Les urines sont vo
ntellectuelles sont entières. La malade n'a aucune inquiétude sur son état . Quatre saignées ont été successivement pratiqu
ettre la malade dans l'attitude obligée du cathétérisme. J'étudie l' état de la colonne vertébrale, qui était d'abord doulo
t que le cerveau est sain. Il y a un contraste bien singulier entre l' état général et l'état de la face, qui est calme et ex
st sain. Il y a un contraste bien singulier entre l'état général et l' état de la face, qui est calme et exprime la gaîté.
intelligence est entière; la face est bonne. Nulle inquiétude sur son état . J'avais épuisé, par rapport à cette malade, les
u sentiment et du mouvement du membre inférieur droit. Du reste, même état ,contraste toujours frappant entre l'expression
de la face, la gaîté, la sécurité la plus complète, la causerie et l' état de paralysie douloureuse. Elle raconte qu'elle a
la malade a été réveillée par des secousses. Il est évident que cet état ressemble à celui de l'invasion. Il y a tendance
ité, tel est le résumé qu'il donne lui-même à plusieurs reprises de l' état de son malade. Or, voici les détails: on veut s
et le pincement, sans qu'il y ait pour cela sensibilité. D'ailleurs l' état des facultés intellectuelles de son malade, altér
is le 11 avril 1829, entre à l'infirmerie le 9 septembre i832, dans l' état suivant. La malade a toute son intelligence : sa
ntement purulent fétide, comme aux parties contiguës qui sont dans un état habituel de malpropreté. Indépendamment du tort
sur un fauteuil ; mais son corps, recourbé sur lui-même, est dans un état de rigidité tel qu'il ne peut se prêter à l'attit
e des deux substances. Le volume de la moelle était d'ailleurs dans l' état naturel. Réflexions. Ainsi, rigidité, immobilit
de noix vomique , qui détermina des mouvemens convulsifs. Voici son état le 2 décembre, jour de son entrée. Paralysie pr
xtrémités supérieures; mais la sensibilité des mains est dans le même état que celle des pieds. La malade dit que le petit d
'ombilic. J'ignore quel en est le siège. Contre toute espérance , l' état de la malade s'améliore: point de fièvre, appétit
âgée de 60 ans , est entrée à l'infirmerie de la Salpêtrière, dans l' état suivant : Membres inférieurs très affaiblis. Po
ailleurs, jamais de crampes , jamais de secousses. Je n'ai pas noté l' état de la sensibilité, ce qui suppose qu'elle ne prés
vision dite des Gâteuses, observée le 15 décembre i832, me présenta l' état suivant: Rigidité des membres inférieurs qui so
uand on la touche. Urines et selles involontaires. Je n'ai pas noté l' état de la sensibilité tactile. Des eschares se formen
on de l'influence de l'hémorrhagie et autres lésions du cerveau sur l' état de la moelle, et réciproquement de l'influence de
elle, et réciproquement de l'influence des lésions de la moelle sur l' état du cerveau. Je puis donner comme positif ce fait,
amenés à la demi-flexion. La malade ne tarda pas à succomber dans un état d'assoupissement, que je rapportai à une très gra
te époque que la peau des membres a perdu sa sensibilité. Voici son état le i5 février i833 , jour de son entrée. Paralysi
ses convulsives : urines et matières fécales toujours involontaires , état parfait de l'intelligence : absence de fièvre : l
autres modes de traitement qui furent complètement sans succès. Son état est resté stationnaire pendant le trois dernières
uement le même depuis le moment de son entrée. Voici quel était cet état . Intelligence parfaite ; mais la conversation f
ppellent exactement la danse de Saint-Guy. Tous les sens sont dans un état complet d'intégrité. Urines et selles retenues et
rale. Sous le rapport de ïa myotilité générale, la malade est dans un état qui représente très exactement la danse de Saint-
Le cerveau, le cervelet, le bulbe rachidien, étaient également dans l' état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Ici le
ce réciproque des faisceaux ou cordons de la moelle est établie par l' état morbide aussi bien que par l'état sain. Voici d
dons de la moelle est établie par l'état morbide aussi bien que par l' état sain. Voici d'ailleurs deux autres faits dans l
La malade resta dans mes salles la dernière année de sa vie, et son état fut complètement stationnaire. Voici quel était
ie, et son état fut complètement stationnaire. Voici quel était cet état : sensibilité obtuse, qui ne se manifeste que tard
ent de la paraplégie, cette femme est extrêmement oppressée et dans l' état qu'on désigne ordinairement sous le nom d'asthme.
une péricardite. La malade mourut avec toute son intelligence,dans un état de suffocation. Ouverture. Moelle petite; adhér
son entrée, il y a deux ans: elle rendait parfaitement compte de son état , bien que l'articulation des sons fût embarrassée
des sons beaucoup plus difficile que lorsqu'elle était revenue de cet état de trouble. Du reste, elle finissait par se faire
re, ni au moment de sa production , ni pendant le traitement. Voici l' état de la malade le i5 septembre i838, au moment de s
de l'ouie, de la vue, de l'odorat et du goût. La malade est dans un état de dépérissement tout-à-fait étranger à sa parapl
eure du corps à l'empire de la volonté. Voici d'ailleurs quel était l' état des membres paralysés : paralysie complète des me
garder le lit, elle se décida à entrer à l'Hôtel-Dieu. C'est dans cet état qu'elle entra dans le service de M. Récamier, qui
ent, et la malade fut dirigée comme incurable sur la Salpétrière. L' état de la malade resta stationnaire pendant une quinz
dienne, et par conséquent exercer toute son action sur la moelle. L' état des acéphalocystes contenus dans la poche fibreus
ade est très affaiblie depuis quelque temps. Pour mieux apprécier son état , je la fais lever : elle se soutient et marche av
ible que le membre inférieur droit. Voici d'ailleurs l'analyse de l' état des membres quant au sentiment et quant au mouvem
is je n'ose faire mettre la malade sur son séant pour l'explorer, son état me paraît d'ailleurs sans espérance.— Eschare con
uille. L'intelligence est parfaite. Je n'ai pas tenu note écrite de l' état du membre atrophié sous le rapport du sentiment;
les parens que j'ai interrogés avec beaucoup de soin à ce sujet. L' état de la malade reste stationnaire quant au cancer d
us développé que le membre inférieur gauche, n'était pourtant pas à l' état normal, qu'il offrait une atrophie et une faibles
de la Charité, salle Saint-Joseph, n° 20, le 23 novembre i84o, dans l' état suivant: Paraplégie complète du sentiment et du
évidemment des débris du corps des vertèbres. Pour mieux étudier l' état de la colonne vertébrale, je l'ai fait diviser pa
douleur dans les reins. Arrivé à New-York, il veut travailler de son état , mais il lui est impossible de rester les jambes
depuis ce moment, il lui a été impossible de faire un pas. Voici l' état dans lequel j'ai trouvé ce malade, le 24 janvier
x moxas d'abord, puis deux autres de chaque côté de la déviation. L' état du malade reste stationnaire jusqu'au 20 mars. A
et cinquième vertèbres dorsales : la paraplégie une fois consommée, l' état du malade resta stationnaire; or, voici cet état
ne fois consommée, l'état du malade resta stationnaire; or, voici cet état : Paralysie complète du sentiment dans les memb
e vapeur sur la colonne vertébrale furent successivement employées Un état nerveux général, l'insomnie, des souffrances into
pour en prévenir le retour. Quatorze mois se sont passés clans cet état . La tête était parfaitement libre; mais Sanson ne
enterie très intense, qui résista à l'opium, seule médication que son état put comporter. A l'ouverture qui fut faite par
perte absolue du sentiment et du mouvement; les membres sont dans un état de résolution complète; la bouche n'est pas dévié
ble. Transférée le 18 au matin à l'infirmerie, elle nous présenta l' état suivant : décubitus sur le dos ; immobilité compl
ciaux, à la manière d'une personne qui comprendrait la gravité de son état . La malade tire la langue hors de la bouche, mais
ion (paralysie avec rigidité), lue membre supérieur droit est dans un état complet de résolution; il tombe comme une masse i
ide que le jour précédent; le membre supérieur droit est dans le même état ; sensibilité des membres inférieurs, qui se retir
t à peine la saisir ; pouls fréquent et dur; chaleur de la peau : cet état fébrile consécutif me paraît indiquer un travail
fut portée à la Salpêtrière le 3 mai 1829, à l'âge de 52 ans, dans un état d'hémiplégie dont les caractères n'ont pas varié
qui datait d'un an ou deux au moment de son entrée : voici dans quel état je la trouvai en octobre i832. Hémiplégie adroi
i adresser quelques paroles, de faire une prescription relative à son état , pour provoquer une sécrétion de larmes abondante
n la transporta à l'infirmerie le 28 avril, et nous constatâmes que l' état cérébral était identiquement le même que celui pr
ain pour les arracher; pouls petit et fréquent; dépérissement rapide; état obtus de l'intelligence. Mort le 3 juin. Ouvert
figure qui, terminée en mon absence, se rapproche beaucoup trop de l' état normal. Les corps olivaires sont volumineux, in
servent aussi dans les fortes apoplexies du cerveau et du cervelet; l' état apoplectiforme sympathique d'une lésion grave exi
emme affectée de cancer de l'utérus, étant tombée tout-à-coup dans un état apoplectiforme semblable de tout point au précéde
u, le cervelet et la protubérance étaient parfaitement intacts, que l' état cérébral était sympathique de l'affection de l'ut
TUBERANCE ANNULAIRE. Un enfant, âgé de 4 ans, m'est présenté dans l' état suivant: faiblesse générale, telle que la station
ait même assez considérable. Je recueillis pour commémoratifs que cet état datait de trois ans, époque où il avait été pris
qu'on avait jugé que cet enfant était épileptique. Je regardai cet état comme tout-à-fait au-dessus des ressources de l'a
s d'induration rouge et d'induration grise de la pneumonie, mais deux états bien distincts ; que le ramollissement blanc est
intact, ainsi que le nerf optique. Aussi la vision était-elle dans l' état le plus parfait d'intégrité. Le corps strié inter
vent. La femme dont l'observation précède offrait le maximum de cet état ; car elle n'articulait aucun son, bien qu'elle co
bstance grise, les symptômes de paralysie sont rarement persistans. L' état de démence est souvent le résultat de ramollissem
dite des gâteuses, nous ont présenté , comme cause matérielle de leur état mental, une ou plusieurs cicatrices de ramollisse
atrice brunâtre de la protubérance. Femme Demousseau, 63 ans, sur l' état antérieur duquel je n'ai aucun renseignement posi
atin,elle était hémiplégique ; on la transporta à l'infirmerie dans l' état suivant: XXXIIIe LIVRAISON. 3 Hémiplégie à ga
-la-fois, et la substance cérébrale intermédiaire est toujours dans l' état le plus parfait d'intégrité. A quels symptômes
représenté fig. i,une vieille femme de la Salpétrière mourut dans un état comateux, vingt-quatre heures après son entrée da
qu'à ces cris, provoqués par des élancemens douloureux, a succédé un état comateux. La paralysie de la moitié gauche du cor
auche, de même que tous les sinus de la base du crâne, étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. La surface du cervea
et l'inflammation des sinus ? Cela est difficile à expliquer ; mais l' état puerpéral prédispose tellement à l'inflammation e
ites, qui avaient laissé pendant un certain temps les malades dans un état de langueur qu'on rapportait à toute autre cause.
reins, ce qui l'empêchait de se lever. Elle s'afflige beaucoup de son état . Elle n'avait pas eu de céphalalgie. Je diagnosti
ômes précurseurs, on ne sait à quel moment précis, elle tombe dans un état comateux avec abolition complète de tout mouvemen
lles déterminent un léger mouvement de déglutition. Diagnostic. Cet état d'abolition complète des fonctions cérébrales peu
e trace de nerfs olfactifs; mais tous les autres nerfs étaient dans l' état d'intégrité. —CC sont les circonvolutions cérébra
s qui avoisinent le cervelet et la protubérance; elles sont dans leur état naturel. MC, MC, MC est la membrane mince en laqu
les circonvolutions cérébrales qui les avoisinent, présentaient leur état normal; il ne manquait, à proprement parler, que
passait pas en volume les tubercules quadrijumeaux qui étaient dans l' état normal. Les pyramides antérieures peu développées
trouvés, dans le service de M. Baron, et observée le i5, présentait l' état suivant : Crâne très petit; voûte déprimée; fro
frontal, aplatissement des pariétaux, développement plus grand qu'à l' état normal de l'occipital, qui, de son angle supérieu
nullement douloureux; la locomotion de tous les membres était facile; état général excellent, et pourtant je pronostique une
dant huit jours dans l'eau-de-vie camphrée, je n'ai pas pu juger de l' état de l'arachnoïde dite spirale. On a trouvé, m'a-t-
l y a maladie irritative, inflammation. Saignée du pied. Le 2, même état , douze sangsues dont six à l'apophyse mastoïde et
i. Le 5, le malade a la conscience d'un mieux-être ; cependant même état de tout point : l'impression de la lumière est to
pulpeux ou pultacé de la muqueuse gastrique; et je disais (i) : « Cet état « diffère essentiellement du ramollissement gélat
llissement pultacé de la muqueuse gastrique qui a été décrit comme un état pathologique par quelques auteurs, et que j'ai vu
ment, en sorte que le tissu propre de la dure-mère est souvent dans l' état le plus parfait d'intégrité. Plus tard, la dure-m
umonie. La veille de sa mort, elle rendait parfaitement compte de son état , et, comme elle avait éprouvé une fracture de cui
mps elle cesse de parler. Observée le 19 décembre, elle me présente l' état suivant: Hémiplégie du côté droit avec difficul
ile de ricin, deux onces. Le 19 décembre et les jours suivans, même état ; décubitus dorsal immobile; pleurs continuels à t
, ipécacuanha six grains. xxxviie livraison. 1 Les jours suivans, état stationnaire. Le 28 décembre, je trouve les membr
mbre, je trouve les membres supérieur et inférieur fléchis et dans un état de rigidité. La flexion est portée aussi loin que
coction dans trois verres d'eau ; miel scillitique deux onces. Même état jusqu'au 3i. Le membre supérieur de rigide qu'il
, salle Saint-Michel, n° 9, le 19 décembre 1833. Voici quel était son état : affaiblissement des facultés intellectuelles ;
istance comparables à celles de l'albumine fortement concrétée. Cet état du cerveau m'a paru appartenir, non à une dégénér
uchée salle Saint-Michel, nG 2, hospice de la Salpétrière, présente l' état suivant : évacuations alvines involontaires ; idi
uche du corps. Il y avait plusieurs mois qu'elle était dans le même état . Cependant elle dépérit : des eschares au sacrum
remières traces d'une transformation médullaire. Si j'en juge par l' état de la peau qui supporte et avoisine la tumeur (fi
e-même, composée de stries ou filets de nature cornée. C'est dans cet état qu'il fut présenté à la Société royale de médecin
Une jeune femme d'une trentaine d'années entre à l'Hôtel-Dieu dans un état d'affaissement porté au plus haut degré, et meurt
Les points noirs ou gris qu'on voit çà et là sont des tubercules à l' état naissant. La couleur noire est donc primitive ; e
plit l'excavation, et cependant tous les organes pelviens sont dans l' état le plus parfait d'intégrité. Dans le grand bassin
de la loi, qui tend à établir que tout cancer mélanique est lié à un état général de l'économie, en sorte que, lorsqu'on re
-fait différente de la couleur blanc-de-lait, du tissu nerveux dans l' état d'intégrité. Il est bien difficile de dire si cha
sonde était sorti de la vessie. L'incontinence reparut. Cependant l' état général du malade s'altéra : perte de l'appétit;
lade s'altéra : perte de l'appétit; diminution des forces, et bientôt état adynamique très prononcé. Tous les matins on sond
ation du rectum, l'hypertrophie de la vessie, l'atrophie des reins, l' état tuberculeux du testicule, sont probablement la su
ton, les calculs prostatiques sont composés de phosphate calcaire à l' état neutre teint par une matière colorante. Une pro
cellulaire du périnée ; il existait en outre une pneumonie passée à l' état d'hé-patisation grise. Ne serait-il pas possible
ions ne sont autre chose que des follicules muqueux invisibles dans l' état sain de cet organe. 4° Oblitération complète du
ous possédons trop peu de faits d'anatomie pathologique, relatifs à l' état du canal de l'urètre dans la blennorrhagie, pour
reuse de la région lombaire droite. — Mort en quelques heures dans un état comateux.—Calcul dans le bassinet.—Transformation
rès colorée; beaucoup d'embonpoint; gaîté; point d'inquiétude sur son état . J^a malade souffre dans l'attitude assise, et su
outre l'anneau ombilical dilaté peut admettre l'extrémité du doigt. L' état de bien-être de la malade est souvent interrompu
extrêmement intense lui parut un résultat et non point une cause. Cet état se prolongea depuis quatre heures jusqu'à huit he
ssait tout ce qu'il ingérait. M. Vallerand et moi nous crûmes que cet état syncopal tenait à une indigestion. .Nous prescriv
ue je rapporte la céphalalgie atroce, les vomissemens continuels et l' état syncopal du début de la maladie. Quelles sont l
dans la première période, la seule indication, c'est de remédier à l' état syncopal. Il serait bien peu rationnel d'avoir im
t rapidement,et, au bout de quelques jours, la malade sortait dans un état de santé très satisfaisant, si bien que l'explora
, depuis quinze ans, gravelle, coliques néphrétiques, séparées par un état de santé parfaite. En octobre i83g, coliques néph
uvé des reins petits, granuleux, jaunâtres, représentant assez bien l' état du foie, qu'on désigne sous le nom de cyrrhose. C
trente à quarante fois plus considérable que celui de l'organe dans l' état sain. L'incision de la tumeur donna issue à sep
les points les plus ténus; dans les autres points, elles offraient un état d'engorgement qui participait dusquirrhe non ulcé
, et je suis porté à croire que ce rein ne dépasse pas la limite de l' état normal. (i) M. le docteur Bouvier vient de publ
ue aisément par le rôle que joue la glande mammaire, qui n'est qu'à l' état de vestige dans le sexe mâle. Or, bien qu'il n'y
on n'y trouve pas vestige de tissu osseux. Les omoplates sont dans l' état de plus parfait d'intégrité. Les cotes droites
ration; car les muscles, la glande mammaire et la peau étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. Le tibia n'a éprou
des parties saines; bien que les glandes de l'aisselle fussent dans l' état le,plus parfait d'intégrité, la maladie repullula
embres inférieurs et un amaigrissement rapide : c'est dans ce fâcheux état que le malade quitta Paris pour retourner dans sa
trique ou intestinale, se voyait du sang qui se présentait sous trois états bien distincts : i° ici des gouttes globuleuses,
séeuse, jaunâtre, granulée à la manière du riz cuit. Je considère cet état comme constituant la suppuration des tissus cancé
généralement décrites. On l'a appelée, je crois, cancer colloïde a l' état de crudité ; mais le cancer colloïde, c'est-à-dir
ïde, c'est-à-dire le cancer aréolaire gélatiniforme ne présente pas d' état de crudité : l'observation m'a prouvé depuis long
une augmentation de volume dans ces tumeurs, l'époque du changement d' état approchait: on lui avait suggéré des craintes trè
es membres inférieurs, demoiselle, est entrée à la Salpêtrière dans l' état suivant : (voyez fig. i.) Mamelle droite déform
es et cutanées aurait daté d'une époque beaucoup plus rapprochée. L' état général était d'ailleurs excellent. La malade ne
é de tissu, car les muscles intercostaux et les côtes étaient dans un état parfait d'intégrité. Frappé du volume du genou
furent remplacées par une bonne cicatrice. La malade parut guérie. L' état général était excellent. Deux petites masses canc
opiacé.—Les progrès furent extrêmement lents et au bout de 18 mois, l' état général de la malade n'était pas sensiblement alt
, si bien que, au premier abord, on dirait une glande mammaire dans l' état normal. La peau qui recouvre la mamelle offre une
pouls ; toux très forte, survenant par quinte ; oppression. Du reste, état stationnaire des tubercules cancéreux, dont aucun
e est emportée. A son entrée, le 29 septembre 1837, elle présente l' état suivant : à la place de la mamelle droite, surfac
membres inférieurs ; un peu d epanchement dans l'abdomen; d'ailleurs état presque stationnaire jusqu'au 6 janvier i838. A c
urs, et surtout du bras droit, ce qui l'avait forcé de renoncer à son état de couturière. (Potion éthérée;— saignée de seize
e. Tout le reste de l'encéphale et la moelle épinière, étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. La tumeur qui étai
ucture, nous verrons qu'elles sont identiquement les mêmes que dans l' état de grossesse, pourvu toutefois que le corps étran
rtrophie partielle de l'utérus, le reste de l'organe peut être dans l' état naturel, ce qui est rare, parce que si l'utérus n
uivre les veines cancéreuses depuis le point où elles présentent leur état d'intégrité le plus absolu jusqu'au réseau veineu
die. Je ne soupçonnai même pas la gangrène de l'utérus. Le 10, même état ; le 11, absence complète du pouls, froid algide;
ard, les caractères locaux propres à cette gangrène humide. Quant à l' état général, il varie suivant que la gangrène se fait
utérus et le vagin n'est pas à beaucoup près aussi marquée que dans l' état naturel. Je ferai remarquer, bien que cette cir
oblique de haut en bas, la concavité légère en bas, tandis que dans l' état naturel, sa concavité est dirigée en haut et sa d
ement ; pouls misérable : métrorrhagie. La malade a été réduite à cet état par des pertes extrêmement abondantes : elle s'ét
outume, cet organe présente à la coupe un aspect fibreux comme dans l' état naturel, et cependant la compression en fait suin
e. Il eût été désirable que le sac herniaire n'eût pas été en mauvais état , pour déterminer ses rapports avec les parties dé
s qui ont lieu pendant la grossesse, et en celles qui ont lieu hors l' état de grossesse. Relativement aux hernies de l'uté
ois abdominales prodigieusement distendues, comme cela se voit dans l' état de grossesse, surtout chez les femmes qui ont eu
a présence. Si la hernie de l'utérus ne peut pas s'effectuer dans l' état de grossesse, on conçoit que l'utérus déplacé pui
rconstance se soit jamais rencontrée. La hernie de l'utérus, hors l' état de grossesse, est un fait acquis à la science (i)
porté au dessus de la tumeur, reconnaissait l'anneau inguinal dans l' état naturel. Immédiatement au dessous , on sentait l'
l'hôpital de la Charité, dans les premiers jours de mai 184o, dans l' état suivant : vomissemens indomptables, froid algïde
s, je soupçonne une dégénération cancéreuse de l'utérus, et d'après l' état actuel, je soupçonne la"gangrène de cet organe.
érique, et se concilier avec l'intégrité de toutes les fonctions. L' état du rein me paraît digne de fixer l'attention. J'a
masse, l'invasion subite des symptômes les plus graves au milieu d'un état qui paraissait compatible avec une vie plus ou mo
r, que nécessitent les grandes modifications de texture amenées par l' état de grossesse et par l'accouchement. Cette gangrèn
ens des couches internes dont il est constitué. Existe-t-il, hors l' état de grossesse, une gangrène primitive de l'utérus,
es fonctions de la menstruation , ni dans les fonctions digestives. L' état général paraissait excellent. Les sangsues appliq
? J'ose à peine l'avouer, il ne me vint pas dans l'idée de vérifier l' état de l'utérus. A cet œdème douloureux du membre i
ues. Depuis l'invasion de l'œdème et de la gangrène des gencives, l' état général avait fléchi, la face était devenue jaunâ
ble, avec détritus gangreneux ; érosion qui représentait exactement l' état des gencives. Je suis persuadé que toute l'épaiss
avec les indurations ordinaires, suite de phlegmasies chroniques. L' état des ganglions lymphatiques correspondans, qui si
us, vu à l'extérieur, avait son volume naturel et paraissait dans son état d'intégrité. Mais ayant incisé cet organe, je vis
C'est un des cas qui m'ont le mieux appris que la distinction entre l' état de crudité et l'état de ramollissement dans le ca
m'ont le mieux appris que la distinction entre l'état de crudité et l' état de ramollissement dans le cancer encéphaloïde éta
rès cinq mois de séjour dans mon service, à la Salpétrière, dans un état presque stationnaire, elle fut prise d'hérnorrhag
par une traînée de points tuberculeux. Je ne pus reconnaître dans cet état aucun des caractères du tissu cancéreux; le ramol
ration des germes l'un par l'autre dans un cas de grossesse double. L' état embryonnaire du fœtus et surtout l'état de l'ovai
un cas de grossesse double. L'état embryonnaire du fœtus et surtout l' état de l'ovaire me paraissent des argumens sans répli
us porteur se révèle toujours par quelque coté. Dans le cas actuel, l' état de l'ovaire ne permet pas le moindre doute à cet
toutes les terminaisons observées de ces singulières déviations de l' état normal. Les grossesses extra-utérines ovariques
e quelques remèdes insignifians, se décida à entrer à l'Hôtel-Dieu. L' état général était bon : la face n'était pas notableme
nt; la langue sèche. La malade est dans une ignorance complète de son état , bien qu'elle ait la plénitude de ses facultés in
que, depuis un mois environ : elle avait si peu d'inquiétude sur son état , qu'elle n'a consulté M. INauche, son médecin,que
onsécutivement envahis ; le tissu de l'utérus était d'ailleurs dans l' état le plus parfait d'intégrité. On voyait la végétat
7 ans, entra le 1e1 août i838,à l'infirmerie de la Salpétrière dans l' état suivant dévoiement; abdomen très volumineux , mét
dévoiement, qui, du reste, s'arrête de suite, ne pouvait expliquer l' état de l'abdomen. L'exploration la plus attentive ne
nse et brune. Du reste, tous les viscères abdominaux étaient dans l' état le plus parfait d'intégrité. La muqueuse du gros
héorie de l'infection cancéreuse. 23e liv., pl. v, p. 4- — Cancer à l' état liquide, ou abcès cancéreux enkystés dans le foie
e grise des circonvolutions. = Influence des lésions du cerveau sur l' état de la moelle. 32e liv., pl. 1, n,p. / 6.— Il est
opium. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 6. — Dévoie ment cholérique ; état typhoïde. Guérison.= Dévoiement cholérique; cramp
tat typhoïde. Guérison.= Dévoiement cholérique; crampes; vomissemens; état typhoïde porté au plus haut degré. Guérison. 14e
Dévoiement cholérique; gastro-entérite. Mort.= Dévoiement cholérique; état adynamique; gastro-entérite. Mort. 14e liv., pl.
n, m, iv, v, p. 7. — Dévoiement cholérique ; crampes ; vomissemens ; état typhoïde porté au plus hauldegré. Guérison. 14cli
ntellectuelles. Affaiblissement général de la myotilité. Mort dans un état d'adynamie. 26e liv., pl. 11, p. 6. — Tumeur canc
fatale des longues maladies ; elle tend essentiellement à passer à l' état chronique. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pa-
é des diverses formes. = Entérite pseudo-membraneuse,- importance des états divers des vaisseaux de la muqueuse et du péritoi
thérapeutique. — Cancer du foie. 23e liv., pl. v, p. 4- — Cancer à l' état liquide ou abcès cancéreux enkystés du foie. 23é
nterie incomplètement guérie est la source de plusieurs formes de ces états de langueur générale avec digestion laborieuse, a
sang doit aussi souvent contribuer aux hémorrhagies spontanées que l' état des parois vasculaires. 3e liv., pl. x,p. /. — To
même. 21e liv., pl. vi,p. /. — Chute du rectum. Réduction laborieuse, état adynamique. Mort. Abcès multiples dans le foie (p
fatale des longues maladies : elle tend essentiellement à passer à l' état chronique. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie path
nterie incomplètement guérie est la source de plusieurs formes de ces états de langueur générale avec digestion laborieuse, a
laies, sont, par leur qualité et leur quantité, le thermomètre de l' état général de l'accouchée. 13e liv., pl. 1, n, m,
. 11,12. — Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée à l' état chronique. 17e liv., pl. m, p. 3. — Le pus peut e
au. 32e liv., pl. 1, n, p. — Influence des lésions de la moelle sur l' état du cerveau. 32e liv., pl. 1, 11, p. 6. —Paraplégi
hérence du péricarde. Infiltration générale. Dévoiement. Mort dans un état à demi asphyxique. 39e liv., pl. vi, p. 3. PERI
hydatides placentaires. = Existence de vésicules dans le placenta à l' état normal, m La transformation vésicu-leuse du place
, p. 1. — La pneumonie des vieillards se présente le plus souvent à l' état latent ou sous la forme adyna-mique. 29e liv., pl
l dans le typhus puerpéral. 13e liv., pl. 1, 11, ni, p. 10, 42. —De l' état du pouls dans le choléra asphyxique. 14e liv., pl
v,p. — La pneumonie des vieillards se présente le plus souvent à l' état latent ousous la forme adynaniique. 29e liv., pl.
oureuse de la région lombaire droite. Mort en quelques heures dans un état comateux. Calcul dans le bassinet. Transformation
te sous-arachnoïdienne à leur début. 6e liv., pl. 1, 11, p. 6. — De l' état de la respiration dans le choléra. 14e liv., pl.
elà jambe. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée à l' état chronique. Inflammation communicante des veines i
Ses qualités doivent contribuer aussi souvent aux hémor-rhagiesque l' état des parois vasculaires. 3e liv., pl. 1, ». 3. — L
p. /. — Expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de l'utérus hors l' état de grossesse. 11e liv., pl. v, p. 2. — Caractères
l ; vagin double. = Utérus bifide dans son corps, col et vagin dans l' état normal. 4e liv., pl. v, p. /. — Utérus bifide d
. 2. — Utérus cloisonné dans son corps seulement, col et vagin dans l' état normal. = Utérus biloculaire. = Considérations gé
p. /. — Expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de l'utérus hors l' état de grossesse. 11e liv., pl. v, p. 2.— Polypes; di
52 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
u moins accentuée de l'élément, du tissu, de l'organe préexistants, l' état pathologique, sur ces divers points, ne saurait ê
état pathologique, sur ces divers points, ne saurait être dégagé de l' état normal que par le rap-prochement minutieux des de
on, être mis à même de reconnaître avec certitude les caractères de l' état pathologique dans les di-verses parties de cet or
agérant, des dispositions de structure qui, à peine accentuées dans l' état physiologique, pourraient passer inaperçues ou êt
ésentent les dernières expansions des rami-fications bronchiques, à l' état fœtal. Pour rendre cet exposé plus clair, je plac
très simple reproduisant» à peu de chose près, les dispositions de l' état fœtal et qui ne s'éloigne pas foncièrement, vous
nullement entourés de granula-tions. Cette membrane, si délicate à l' état normal, n'en acquiert, pas moins, dans l'état pat
mbrane, si délicate à l'état normal, n'en acquiert, pas moins, dans l' état pathologique, une épaisseur considé-- Fig. 8. —
éliale — ou endothéliale ainsi qu'on l'appelle quelquefois — qui, à l' état normal, revêt dans toute son étendue, la cavité d
ar personne. Il y a longtemps qu'on sait aussi que, chez l'homme, à l' état fœtal, et chez le nouveau-né, ce revêtement s'obs
lial continu, mais polymorphe, que nous décrivons tout à l'heure. À l' état fœtal, au contraire, chez cet animal, comme chez
me, objet spécial de nos études. En premier lieu, nous envisagerons l' état fœtal, époque de la vie où le revêtement épithéli
ervait des alvéoles dans lesquels il était loisible de reconnaître un état pour ainsi dire intermé-diaire. Sur une portion
ois, ayant respiré deux heures. II. Alvéole non distendu, resté à Y état fœtal. III. Alvéole distendu ; la plupart des c
ence du revêtement épithélial pulmonaire dans l'espèce humaine, à l' état normal, pendant la vie extra-utérine et où nous d
ithélial à la surface des canali-cules respiratoires chez l'homme à l' état normal. On peut, d'a-près ces données, affirmer q
er ce qu'il appelle, à tort ou à raison, Yirritation nutritive. Cet état est caractérisé par un gonflement de l'élément ce
de la tuberculose. Ce mode de multiplication, très vulgaire dans l' état physio-logique, ainsi que l'a montré Remak dans l
as du développe-ment embryonnaire, l'est aussi, vous le savez, dans l' état pa-thologique. Or, Messieurs, ces phénomènes de
à plusieurs noyaux. — Chez l'homme, dans la péritonite rele-vant de l' état puerpéral, M. Kundrat1 a observé des faits ana-lo
lvéole, il se forme des petits noyaux d'induration lobulaire qui, à l' état frais, se distinguent, sur une surface de section
l'épithélium propre-ment dit. La cellule plate qui, chez l'adulte à l' état normal, tapisse la paroi interne du canalicule re
ïdes, dispo-sitions qui reproduisent, on le voit, les caractères de l' état fœtal. A l'appui de ce que j'avance, je citerai
ui, ainsi que j'aurai l'occasion de vous le démontrer, représente à l' état subaigu ou chronique la broncho-pneumonie aiguë s
s for mes de la broncho-pneumonie subaîguë ou chronique. — Retour à l' état embryonnaire du revêtement épithélial et des paro
, décrite par Legendre et Railly, et qui représente, suivant moi, à l' état chronique, la broncho-pneumonie vulgaire. J'aurai
morpholo-giquement, qui répond, chez l'homme, après la naissance, à l' état normal. Maintenant, Messieurs, veuillez vous re
, l'épithélium glandulaire sombre, granuleux, à bâtonnets qui, dans l' état normal, tapisse cette partie des * Charcot, loc
damental est mutalis mutandis, le même au fond, à savoir : Retour à l' état embryonnaire des éléments nés du mésoblaste et, e
revêtement épithélial, tendance à la reproduction des caractères de l' état fœtal. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons
mment dilatés. Ils possèdent un épithélium cubique moins élevé qu'à l' état normal. — Leur cavité est remplie par de petits é
u intersti-tiel, production exubérante de ce tissu, B, B, tantôt à un état d'organisation plus ou moins avancée, tantôt comp
. ment rempli par un epithélium granuleux, comme cela s'observe à l' état normal (F/g. 25), on a sous les yeux un tube pour
ithélium possédant encore plus ou moins nettement les caractères de l' état normal. A part les petits vais-seaux, qui, plongé
, il est difficile de décider s'ils sont plus riches en noyaux qu'à l' état normal. Seulement l'endothélium de la capsule de
épithéliales cubiques, en tout semblables à celles qui existent, à l' état normal, dans les canaux inlerlo-bulaires. En même
ologie, 1870, p. 771). sorle, substitué au réseau que forme, dans l' état normal, l'a-nastomose des colonnes de cellules hé
es nodules péribronchiques. — Terminaisons : résolution ; passage à l' état subaigu et chronique. I. Messieurs, Pendant
nt de distinguer ces deux lésions. Pour la pneumonie lobaire, c'est l' état très manifeste-ment granuleux de la surface de se
dans les portions centrales du lobule. Si j'ajoute à ces lésions l' état des bronches et des bronchioles remplies de muco-
ar la phlegmasie ; et enfin une altération parti-culière du poumon, Y état fœtal ou carnification dont je ne veux pas parler
aisseuse et sont résorbés ; — 2° La broncho-pneumonie peut passer à l' état chronique et aboutir à la cirrhose du poumon. D
les et altérations lobulaires consé-cutives. — Rôle accessoire de l' état fœtal dans la broncho-pneumonie. — L'irritation è
eut constater facilement la tendance qu'elles présentent à passer à l' état chronique, en voyant se produire la périartérite
réelle du poumon qu'on désigne avec Legendre et Bailly sous le nom $ état fœtal, de carnification ou de collapsus pulmonair
aire, et de vous indiquer sommairement les relations que présente cet état qui n'a rien d'inflammatoire avec la splénisation
série, t. IV. p. 55, 184, 235, 1844). c'est en 1884 seulemenl que l' état fœtal a été l'objet d'une description en règle da
cerlain nombre de lobules qui restent affaissés après la naissance. L' état fœtal de Legendre et Bailly résulte au contraire
t, par suite de la disparition de l'air con-tenu dans les alvéoles, l' état anatomique qu'il présentait avant l'établissement
it avant l'établissement de la respiration : c'est donc un retour à Y état fœtal. Celle lésion, ainsi que l'a montré Gaird
airdner et Béhier3 sont allés trop loin lorsqu'ils ont prétendu que l' état fœtal doit être substitué à la pneumonie lobulair
le simple examen macroscopique. Voici d'ailleurs la description de l' état fœtal telle qu'elle a été donnée par Legendre et
de l'état fœtal telle qu'elle a été donnée par Legendre et Bailly: l' état fœtal peut être lobulaire ou lobaire et occupe en
pus; enfin l'insufflation rend au parenchyme tous les caractères de l' état normal. En somme, l'état fœtal ne diffère de la s
rend au parenchyme tous les caractères de l'état normal. En somme, l' état fœtal ne diffère de la splénisation que par l'abs
ho-pneumonique, mais il n'y a pas filiation nécessaire entre ces deux états . Tous deux procèdent de la lésion bronchique. Cel
ssaire pour la progression du processus inflammatoire. En résumé, l' état fœtal et la splénisation sont deux éléments disti
tion péribronchique semble en quelque sorte accessoire et presque à l' état de complication. Mais c'est une complication très
nt par diverses variétés d'induration pulmonaire, et représentant à l' état chronique la forme aiguë de la pneumonie lobaire
mmation parenchymateuse aiguë du poumon qui se trouve représentée à l' état chronique. Des foyers tuberculeux, 1 Je prie me
eur développement et permettent ainsi de saisir la transition entre l' état aigu et l'état chronique proprement dit. A. Ind
nt et permettent ainsi de saisir la transition entre l'état aigu et l' état chronique proprement dit. A. Induration rouge :
et là les diverses espèces de corps granuleux qu'on rencontre dans l' état aigu; mais, en outre, il existait un certain nomb
mêmes qualités chimiques ou microscopiques qu'on leur connaît dans l' état aigu. Dans l'induration grise que nous devons mai
e l'hépatisation rouge aiguë et les indu-rations diverses propres à l' état chronique. — L'induration grise est en général pe
lus avancés de l'induration. Nous avons nous-même examiné avec soin l' état du poumon dans un cas où la métamorphose fibreuse
tit nombre de ces corps fusiformes. La couche èpithéliale, qui dans l' état normal sépare le contenu des canalicules (vésicul
es épithéliums cylindrique et pavirnenteux sont plus granuleux qu'à l' état normal, surtout les derniers; on les rencontre so
ltération, d'ailleurs fort rare suivant lui, se présente toujours à l' état lo-baire et consiste en une induration rouge-gris
ette dernière partie des antécédents des détails bien précis. Voici l' état dans lequel nous le trouvons : maigreur très pron
e couverte d'un enduit blanc très épais. Etat local : le cœur est à l' état normal, résonnance naturelle et même peut-être un
à tomber et, au bout de huit jours, cet homme était à peu près dans l' état où il se trouvait lors de sa dernière rechute. Il
régnaient les grandes chaleurs). Pendant les huit jours que dure cet état , le malade s'affaiblit rapidement, maigrit de plu
cent à se gonfler; cependant les urines ne sont point albumineuses. L' état local de la poitrine, constaté à plusieurs repris
e. Le malade succombe le 2 oclobre, sans que rien ait pu modifier son état . Autopsie faite le -4 octobre. — Thorax. A l'ou
ut à fait sains. Ce lobe est environ moitié moins volumineux qu'à l' état normal, il est pesant et paraît à l'extérieur d'u
ouls à 140 ; la respiration est gênée, 32 inspirations péni-bles. L' état de la malade est exactement le même les jours sui
hénomènes qui marquent d'une manière particu-lière la transition de l' état aigu à l'état chronique : « On voit d'abord, dit
marquent d'une manière particu-lière la transition de l'état aigu à l' état chronique : « On voit d'abord, dit M. le professe
vations de M. le professeur Grisolle, qu'un lent retour du poumon à l' état normal est un fait commun, sinon même ha-bituel,
toire. Quoi qu'il en soit, lorsque la pneumonie doit se perpétuer à l' état chronique, les phénomènes généraux, s'ils se sont
tôt, au contraire, il y a préala-blement réapparition momentanée de l' état aigu ou, autre-ment dit, rechute. Au bout d'un
de délire ; crachats rouilles caractéristiques. — Le Ier avril, même état local : 100 pulsations ; délire la nuit. — Le 2 a
ril, même état local : 100 pulsations ; délire la nuit. — Le 2 avril, état adynamique très prononcé, cra-chats rouilles très
ès foncés ; le souffle bronchique gagne le lobe in-férieur. — Le 3, l' état typhoïde persiste ; dans les deux tiers su-périeu
s le tiers inférieur. — Le 4, 92 pulsations, amendement prononcé de l' état général ; cra-chats muco-purulents, non rouilles.
ns, la température de la peau tout à fait normale. — Du 8 au 11, même état général. Ce-pendant le souffle persiste au sommet
u souffle bronchique à la fin de l'inspiration. — Du 12 au 17, même état général, même état local ; le souffle et la matit
e à la fin de l'inspiration. — Du 12 au 17, même état général, même état local ; le souffle et la matité persistent au som
de force, il mange à peine; un peu de fièvre le soir ; toujours même état local; le 29 le malade a eu du frisson le matin.
abondant, mais il devient de plus en plus séreux; pendant ce temps l' état général est toujours fâcheux ; fièvre hectique, a
a portion d'aliments qui lui est ac-cordée. — Du 1er au 19 juillet, l' état général s'aggrave graduel-lement, la fièvre hecti
à deux reprises; quinquina en potion et kermès, pendant la durée de l' état typhoïde. — Le 11 avril, on applique un vési-cato
poumon en lobules manifestement plus petits qu'ils ne le sont dans l' état normal. Ces cloisons celluleuses sont pâles, blan
n'ont présenté aucune altération. Symptômes locaux. — A. Lorsque l' état chronique est con-stitué, la douleur de côté est
rs points d'un même poumon, sinon les deux organes, et y existe à des états différents, en rapport avec les époques différent
ependant on ne les a pas vues, pour cela, passerplus commu-nément à l' état chronique. Lorsque la pneumonie aiguë passe à l'é
commu-nément à l'état chronique. Lorsque la pneumonie aiguë passe à l' état chronique, c'est surtout, sans doute, parce qu'el
comme l'ont vu Requin et M. le professeur Grisolle. L'existence d'un état cachectique, déterminé pardes maladies antérieure
n'avaient jamais, à proprement parler, dépouillé les caractères de l' état aigu. Thérapeutique. — S'il s'agissait d'un cas
donné, par exemple, d'assister au passage de la pneu-monie aiguë à l' état chronique, on pourrait peut-être, les for-ces du
l'application de larges vésicatoires sur le côté affecté. — Lorsque l' état chronique est constitué, même indication de la mé
e plusieurs cautères sur la poitrine, ou en-core d'un large selon.— L' état des forces dans une maladie de ce genre devrait
tères que nous lui avons assignés, elle appartient ex-clusivement à l' état aigu. Ce serait donc par un double abus du terme
me chez ceux- B. Carnisation. — Sous ce nom, Legendre 1 a décrit un état particulier du poumon qu'il a rencontré deux fois
rhales à évolution lente. C'est pour ainsi dire la carnifica-tion à l' état chronique. Voici avec quels caractères la camisa-
aux tissus carnifiés, en grande partie du moins, les caractères de l' état normal. Rien de semblable n'a lieu dans les cas d
asque, privé d'air, évidem-ment comprimé, et tout à fait dans le même état que celui d'un poumon refoulé vers la colonne ver
trouver le parenchyme intermédiaire doué de tous les caractères de l' état normal3. Cependant, le docteur Corrigan a pensé
sposition en amas ou mamelons séparés par des interstices presque à l' état normal. — Les premières phases de cette lésion on
une étude spéciale et un nom particulier. Les unes, représentant à l' état chro-nique la péripneumonie aiguë, ont pour siège
adulte, les signes locaux persistent ; bientôt la fièvre reparaît, un état typhoïde s'établit, et des es-charres se forment.
on et au même point; 2° parce que l'autopsie a permis de con-stater l' état des parties qui avaient été le siège de ces inva-
é. La malade a succombé à une pneumonie droite : peut-on croire que l' état du poumon gauche n'a plus permis, dans les dernie
pe 2, Forster 3), Yhépa-tisation indurée (Lebert), est le pendant à l' état chronique de l'hépatisation rouge de l'état aigu.
bert), est le pendant à l'état chronique de l'hépatisation rouge de l' état aigu. La lésion est lobaire ; le tissu pulmonaire
n la distinguer delà carnifica-tion, laquelle n'est autre chose que l' état fœtal. Avant eux cependant, Corrigan avait, en 18
Quelquefois elle se résout, quelquefois elle se prolonge et passe à l' état chronique. Bartels cite un cas qui a duré sept mo
arnisées, roses et lisses, correspon-dant aux parties splénisées de l' état aigu, on trouve les altéra-tions de la pneumonie
s complètes, t. v, Poumons. 13 spéciaux qui n'appartiennent pas à l' état aigu : a) épaississe-ment des parois des alvéoles
plè-vre pulmonaire ; il a reconnu l'existence d'orifices remplis à l' état normal par quelques cellules lymphatiques, et il
uelques cellules lymphatiques, et il a même pu voir, assure-t-il, à l' état pathologique, les filaments fibri-neux de la surf
l'étendue du lobe supérieur. Mêmes lésions dans le lobe inférieur à l' état moins avancé. Bronches un peu dila-tées, cylindri
Mais, avant d'en aborder l'étude, il convient d'examiner brièvement l' état du poumon qu'on peut désigner sous le nom d'anthr
tiennent en abondance de la matière charbonneuse. Le plus souvent cet état du poumon est compatible avec une intégrité fonct
distingués des particules charbonneuses conte-nues dans l'organe, à l' état physiologique. 1 Robin et Yerdeil.—Traité de ch
'est transformé petit à petit, sur une épaisseur va-riable, et est en état d'inflammation chronique: c'est déjà une caverne
fait point ailleurs d'autre travail de ramollissement tuberculeux, l' état général s'amé-liore ; c'est une quasi-guérison. L
he où tout le tissu embryonnaire pariétal est devenu tissu fibreux, l' état fébrile s'est complètement éteint. Dans vingt cas
e Cruveilhier. Il peut arriver aussi que le tubercule, parvenu à un état de parfait développement, reste pour ainsi dire s
eilhier montra que le tubercule peut s'arrêter dans son évolution à l' état de tuber-cule cru, à l'époque où la mortification
reuse est faite ici au moment où. le tubercule tout entier est dans l' état qu'il présente à l'ordinaire : zone em-bryonnaire
: elle dé-termine la forme aiguë ou chronique. C'est elle qui règle l' état général, qui détermine la fièvre ; c'est elle qui
uable surtout par des symptômes généraux très graves consistant en un état typhoïde et une sorte de diathèse hémorrhagique.
vec soin les observations et on verra qu'il n'en est pas ainsi, que l' état général est proportionné à l'étendue non pas de q
foyers pneumoniques. Dans bon nombre de cas, il faut bien le dire, l' état général paraît lié à d'autres conditions encore p
des hôpitaux. ment ce tubercule élémentaire, en quelque sorte, à l' état d'isolement, dans diverses circonstances, et, en
ront représentés dans le tubercule. Seulement, ils s'y montreront à l' état rudimentaire, arrêtés dans leur dévelop-pement et
matière tuberculeuse, dans l'organe, elle se présente là, ou bien à l' état de corps isolés, arrondis (tubercules miliaires),
les miliaires), simples ou agglomérés, gris ou jaunes ; ou bien à l' état de masse infiltrée dans un nom-bre variable d'alv
mis facilement en relief. Si, maintenant, on s'arrête à considérer l' état que présente Fig, 39. — Alvéoles de la pneumoni
r réunis en amas pour constituer une granulation, être rencontrés à l' état d'isolement plus ou moins parfait et leur constit
és plus haut et ils consistent dans le gonflement du protoplasma, son état grenu, sa tendance à l'accolement, sa réfringence
ppel, formée par un élément cellulaire unique, dont le protoplasma en état d'ac-croissement actif donnerait naissance par vo
revêtu la forme typhoïde, le sang se présente habi-tuellement dans un état de dissolution, de fluidité extrêmes. Comme consé
nnement des fosses nasales. Le 31, à la visite, on le trouve dans l' état suivant : décubitus dorsal, prostration extrême,
a eu un peu de délire, hier, dans la soirée et pen-dant la nuit. Môme état du reste. L'hémorragie nasale ne s'est pas renouv
duit fuligineux. Constipation. Ré-tention d'urine. Coma profond. Même état de la paupière et de l'œil droit. 6 août. — Le
e caillots. Abdomen. — Les reins sont un peu plus volumineux qu'à l' état normal. On trouve disséminées à leur surface un c
is jours seulement après le début, les malades étaient restées dans l' état comateux. Encore chez un sujet atteint de cance
nerveux et irritable et se voit enfin bien-tôt incapable de faire son état ; il n'a pas travaillé depuis bientôt environ six
t actuel. — A son entrée à l'hôpital, nous trouvons le ma-lade dans l' état suivant: amaigrissement assez prononcé des membre
nt quelques heures ; jamais de vomissements, Rien de notable dans l' état des sécrétions ; le malade va à la selle deux foi
, qui paraît dû à son poids, et qui est surtout remarquable pendant l' état de plénitude de l'es-tomac. — Prescription : lodu
précipite du haut du premier étage de l'escalier. On le relève dans l' état le plus grave. L'interne de garde, immédiatement
tivement; toutefois, ils existent en bien plus grande quantité qu'à l' état normal. Ainsi, on en rencontre de 10 à 15 dans le
on en rencontre de 10 à 15 dans le champ du microscope, tandis qu'à l' état normal on en rencontre tout au plus 1 ou 2. Us on
gorie conservent un caractère important et qui distingue surtout l' état normal, c'est-à-dire qu'ils manquent de noyau. Le
imètre. 2° Globules blancs différant de ceux que l'on rencontre à l' état normal par la présence du noyau. Les globules de
s que nous venons de décrire et ceux qu'on rencontre dans le sang à l' état normal, c'est l'existence, au centre des premiers
près l'action de l'eau. Il faut noter, en outre, comme caractère-de l' état morbide, le grand volume des globules blancs et d
un jaunâtre ou même rouge. Ces granulations exis-tent quelquefois à l' état de liberté ; mais, le plus souvent, elles s'agglo
te récente , elle est au contraire, petite, plus petite même qu'à l' état normal, et d'une consistance très dure, si la mal
ulaires de la rate: c'est tout ce qu'on pouvait faire, en raison de l' état peu avancé de nos connais-sances concernant l'his
tamorphoses des globules du sang ; elle renferme souvent, même dans l' état physiologique, des corpuscules de pigment analogu
qui circulent avec ce liquide, arriver à préjuger assez exactement l' état des viscères en géné-ral, et en particulier celui
es. Toutefois, quels que soient les résultats obtenus jus-qu'ici, cet état morbide si complexe est assurément loin d'être co
res. — Nombre considérable de globules rouges, plus petits que dans l' état normal, etc. La nommée Laure Weiss, âgée de cin
e, est amenée, le 20 septembre 1860) à l'hôpital de la Pitié, dans un état très grave, et succombe quelques heures après son
dissolvent pas dans l'acide acétique. Ce sont des éléments passés à l' état gras, en voie de destruction. Tous ces globules
es contenaient des globules graisseux en plus grand nombre que dans l' état normal; elles ren-fermaient en outre une quantité
avons conslalée dans le sang. Cette matière, qui se voyait aussi à l' état libre, dans le liquide ambiant, peut être par sui
qui nous paraissent avoir un certain intérêt : l'une est relative à l' état des globules rou- ges, et l'autre à la présence
rouges? Il n'est guère possible de s'en faire une idée exacte, car l' état du sang dans la leucémie, l'abondance des globule
le sang, et elle paraît demander un temps assez long pour passer à l' état de cristaux. Il est clair que si ces cristaux s
le 10 juin 1851, à l'hôpital delà Charité, où nous le trouvons dans l' état suivant : Constitution profondément détériorée
ript. : Potion, laudanum, 10 gouttes, diminution des aliments. — Même état les jours suivants. Le 24 juin, des caillots de
s, sou-vent redoublé, quelquefois intermittent; extrémités froides. L' état de l'urine n'est pas modifié. Même état les jou
tent; extrémités froides. L'état de l'urine n'est pas modifié. Même état les jours suivants, si ce n'est que l'oppression
our; le malade ne dit pas éprouver de palpitations. 30 juin. — Même état général, même nombre de selles ; elles contiennen
ript. : Un vésicatoire sur la région précordiale. {"juillet. — Même état que la veille. Quelques frissons errati-ques; pas
veille. Quelques frissons errati-ques; pas de chaleur cutanée ; même état des selles et de l'urine. — Rien de nouveau à not
e heure du matin. Le malade était depuis deux jours dans un véritable état d'agonie. Le frottement péricardique a persisté j
rougeâtres, contiennent très peu de matière puriforme. Tubercules à l' état crétacé au sommet du poumon. Le poumon gauche n
s, et qui ont le même mode de connexion que ces derniers, indiquent l' état par lequel ils ont dû préalablement passer avant
ues qui se sont succédés, et en l'absence de tout renseignement sur l' état antérieur des fonctions circulatoires. Ces phén
. 25. Pouls très petit, à 108; peau très chaude, langue très sèche, état typhoïde, coma vigil, urines et selles involontai
ce point. Rien au cœur, pas de toux, pas d'expectoration. 26. Même état . Le pouls est si fréquent qu'on ne peut le comp-t
n. — Le foie présente la coloration, la consistance et le volume de l' état normal. Il renferme trois noyaux blanchâtres, du
met du poumon droit. Le cœur est à peine plus volumineux que dans l' état normal. Il n'a pas contracté d'adhérences avec le
-rieure. — B, la paroi du kyste. — C, les parois du cœur réduites à l' état d'une mince lamelle d'aspect fibreux ; point d'ad
rt et M. Davaine, paraissent essentiellement composées de fibrine à l' état amorphe, contenant des granula-tions de caractère
à propos d'un cas d'affection ulcéreuse de la valvule tricuspide avec état typhoïde et formation d'abcès multiples dans les
évelopper surtout chez des sujets débilités, principalement pendant l' état puerpéral *, qu'elle a plusieurs fois été rencont
lle paraît s'être établie d'emblée, sans avoir été précédée par aucun état morbide apprécia-ble. A mesure qu'on apprendra
survient assez fréquemment pendant le cours de la grossesse ou dans l' état puerpéral proprement dit où elle revêt parfois la
oc. cit. — Simpson, Obstetric Memoirs, t. II, p. 67, 70. — Lotz, De l' état puerpueral considéré comme cause d'endocardite (B
Je malade ayec soin, mais on ne prit pas une note dé-taillée sur son état . On constata toutes les apparences d'une affec-ti
r la chaleur). On prescrit deux verres d'eau de Sedlitz. Le 6. Même état à peu près que la veille. Le bruit de souffle par
eur très prononcée, cependant l'ensemble de la physionomie indique un état typhoïde. La peau est chaude et couverte d'une su
orte de frottement confus. La respiration est plus fréquente qu'à l' état normal. Mêmes ré-sultats de la percussion et de l
'intestin. Les plaques de Peyer et les follicules isolés sont dans un état tout à fait normal. — L'estomac n'a pas été exami
sont suffisantes. On achève d'ouvrir les ventricules pour examiner l' état de ces val-vules et des orifices auriculo-ventric
ule Iricuspide. Cette végétation est constituée par de la fibrine à l' état fibrillaire, au milieu de laquelle on trouve quel
t eu aucun trouble du côté de l'or-gane central de la circulation, un état typhoïde concomittant très accusé, la constipatio
e se tromper sur le moment exact de chacun des bruits de souffle. L' état typhoïde s'est manifesté trois ou quatre jours ap
idus cachectiques, atteints de ma-ladies chroniques, ou encore dans l' état puerpéral. Or, chez ces sujets, le sang présente
a recouvre de vésicatoires volants. Le 1er août, la malade est dans l' état suivant : la tumeur iliaque a diminué de volume e
inte de phlegmatia alba dolens, dépendant en partie, sans doute, de l' état puerpéral, mais déterminée surtout par la pres-si
son travail, d'ailleurs si riche de faits, Sur la mort subite dans l' état puerpéral. Paris, 1858. 2 Traité des accoucheme
ulement du pseudo-pus? Nous penchons pour cette dernière opinion. l' état d'induration rouge et plaques purulentes quelques
o-sées à ce dernier genre d'accident. IL Mais ce n'est pas dans l' état puerpéral seulement qu'il sera donné de rencontre
nt, dans un intéressant mémoire de Simp-son sur la mort subite dans l' état puerpéraldeux observa-tions qui paraissent contra
; il était par conséquent important de noter tout parti-culièrement l' état dans lequel les veines crurale et iliaque du côté
xpectoration; la percussion et l'auscultation n'apprennent rien sur l' état de la poitrine ; seulement, dans quelques cas, on
i lui sont propres, ou même, en l'absence de ceux-ci, l'existence des états pathologiques ou physiologiques qui prédisposent
es de respiration et de con-naissance commençaient à se manifester. L' état de la malade ne leur parut pas moins des plus ala
e heure et demie après le début de l'accident, la malade était dans l' état suivant : immobilité dans le décubitus dorsal, la
e pouls seul disparaissait. A dater de minuit, il s'était fait dans l' état de la malade une amélioration sensible et qui se
alade une amélioration sensible et qui se soutenait. C'est dans cet état que M. Barlh, appelé en consultation, vit la mala
ressive, soutenue, mais lente, et la malade res-tait toujours dans un état grave. A dater du sixième jour, elle fit des prog
s veines de l'économie. Il y aurait donc d'abord paralysie du cœur et état syncopal, puis, secondairement, asphyxie. Les mou
rusion des yeux, etc., devraient, en par-ticulier, être rattachés à l' état asphyxique. Le docteur Panum 2, t Loc. cit., p.
t allé plus loin, et on s'est demandé si, dépourvue de vaisseaux, à l' état normal, la membrane interne des artères était sus
arde pas à s'épaissir et à prendre un aspect laiteux ; parvenue à cet état , elle est apte à subir la dégénération athéromate
terreuse de la peau. Enfin, l'arc sénile, dont la coïncidence avec l' état graisseux du cœur a été depuis longtemps signalée
n le point de vue auquel on se place, peuvent être divisés, d'après l' état des parois, en anévrismes vrais, mixtes externes
suivrons dans le cours de cette description. — Pour ce qui touche à l' état des parois artérielles, nous ren-voyons le lecteu
forme de ¡cochea collet, suivant l'expression de M. Cruveilhier. L' état des tuniques artérielles est ici très variable. Q
externe indurée adhère à la membrane interne régénérée. Enfin, dans l' état le plus avancé, la tunique moyenne a com-plètemen
Aucune description ne sau-rait ici suppléer aux effets du dessin. L' état des tuniques artérielles mérite dans ce cas une a
e secondaire. D. Il est, au contraire, très intéressant d'étudier Y état des parois anévrismales, au point de vue de la ré
ence d'un anévrisme de l'aorte: mais la malade ayant succombé dans un état de ma-rasme prononcé, on découvrit à l'autopsie u
ent les pulsations des deux artères radiales, dont les battements à l' état normal sont iso-chrones et d'une égale intensité.
La compression de la veine cave inférieure ou supérieure produit un état variqueux des branches afférentes de ces deux gra
x manque souvent. 2° Stridor, sans aphonie. 3° Variabilité dans l' état de la voix. 4° Stridor venant d'en bas. '6° R
ent, de part et d'autre, les symptômes se manifestent du même côté. L' état du pouls, les accidents localisés au bras ou à la
lus an-guleuses. Stokes fait observer avec raison que l'ascite et l' état vari-queux des veinules abdominales sous-cutanées
e qu'une artère aussi volumi-neuse que l'aorte ne saurait revenir à l' état normal, sans offrir au moins quelques traces des
elà de quelques mois. Les malades succombent presque toujours dans un état d'asphyxie. Dans un seul cas (Wade) la mort a eu
hez lesquels l'aorte présente un diamètre deux fois plus grand qu'à l' état nor-mal. Hunier a vu, en pareil cas, des fiexuosi
ssem-blance extérieure avec les enfants. La petitesse du pouls et l' état de l'appareil sexuel sont les principaux indices
l'anomalie qui nous occupe n'est autre chose que la persis-tance d'un état fœtal. En effet, à une période peu avancée de la
se développera inévi-tablement pour suppléera ce défaut ; et comme l' état des pou-mons pendant la vie fœtale s'oppose à ce
supplémentaire maintiendra pour toujours l'isthme de l'aorte dans un état d'infériorité relative. Mais ce n'est pas tout ;
te, les autres de la portion descendante de l'aorte, et qui, même à l' état normal, s'anastomosent si largement entre elles,
symptômes de cette anomalie sont presque exclusive-ment fournis par l' état de la circulation. On constatera un dé-veloppemen
puriforme ; sa rupture fut suivie d'accidents apoplectiques et d'un état typhoïde, qui se ter-mina par la mort. Nous sav
l reste au pas, sa démarche assurée présente tous les caractères de l' état normal ; mais àpeinea-t-i trotté pendant quelques
interne droites. Celles-ci présentent à peu près les rapports de 1 état nor-mal, mais leur calibre paraît très manifestem
oces, insomnie absolue, inappétence, modifications inquié-tantes de l' état général, tel a été le tableau que le malade nous
t privé de son membre, c'est bien entendu, mais il ne souffre plus. L' état général est devenu excellent. Tout fait espérer q
le Mémoire, p. 572. l'impuissance motrice douloureuse, nulle dans l' état de repos, survient seulement par accès, évidemmen
endant cette période on assiste successivement au rétablissement de l' état normal : 1° la circulation se rétablit dans les m
mencé, on enlève la ligature, on voit, au bout de quelques minutes, l' état normal reparaître et la rigidité cesser. Si, au c
t prescrite. Cette saignée n'est suivie d'aucune modi-fication dans l' état du malade: notons, en passant, que le sang est un
l de Bon-Secours. Une vieille chiffonnière, âgée de 70 ans, dans un état de mai-greur extrême, présentant une teinte jaunâ
térée, elle ne pouvait, en un mot, donner aucun renseignement sur son état antérieur. De temps à autre, elle avait des synco
u-lier encore que par le passé. Il se manifeste un peu de délire et l' état adynamique se prononce. Le membre inférieur gauch
agulé. Ses parois ont une épaisseur normale. Les valvules sont en bon état . Le cœur gauche est manifestement hypertrophié :
r, c'est que les vaisseaux sanguins du réseau capillaire sont dans un état de plénitude extrême. Cependant, malgré cette ext
urs nets ; ils sont tous devenus éminemment granuleux et sont dans un état de véritable dissolu-tion. Dans certains points m
ct de l'in-farctus hémoptoïque véritable. La confusion entre ces deux états anatomiques, si différents au fond, sera cependan
érés, devenues vésiculeuses, trois ou quatre fois plus grandes qu'à l' état normal et à surface bosselée. a, c, d, Noyaux d
es ; ces cellules sont quelquefois deux à six fois plus larges qu'à l' état normal et renferment de deux à douze noyaux envir
nuleux. d, e, f, Degré plus avancé d'hypertrophie et de passage à l' état gra-nuleux. G fiar cot QBT1VP8S completes. í.
s for-mes de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique. — Retour à l' état embryonnaire du revêtement épithélial et des paro
nodules péri-bronchiques; — Terminaisons : résolution; passage à l' état subaigu et chronique... 98 DIXIÈME LEÇON bron
hronique... 98 DIXIÈME LEÇON broncho-pneumonies expérimentales. — état foetal et son rôle dans la broncho-pneumonie. — i
éoles et altérations lobulaires consé-cutives. Rôle accessoire de l' état fœtal dans la broncho-pneumonie. — L'irritation é
propos d'un cas d'affection ulcéreuse de la valvule tricuspide avec état typhoïde et formation d'abcès multiples dans les
sacciforme, 482; — an. vrai, 482; — an. en poche à collet, 483 ; — état des parois,485, — compression des organes voi-s
dichotomique, 18; — de 2e ordre, 18 ; —de 3° et 4e ordres, 19; — à l' état fœtal, 22; — intra-pulmonaires, 29; — struc-ture
ouloureuse par accès, 574, 577, 582; — trou-bles fonctionnels, £S2; — état du système nerveux, 581, 583; — physiologique pat
74, 559; — siège, 561; — pédi-culisation, 552; — conséquences, 562; - état typhoïde, 563; — bi-bliographie, 563; — vers dans
essen, 31. Fièvre intermittente, ?27; — épi-démie de —, 328, 337; — état des reins dans la —, 344; — dyspnée, hémoptysie,
53 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
amène ce jeune homme de dix-neuf ans, très amaigri, plongé dans un état de dépression intellectuelle voisin de la stupe
itons pas à considérer ce fait comme en concordance complète avec l' état diffus des lésions étu- diées aux étages inféri
ération des fibres endogènes. Dans le même sens, il faut invoquer l' état du faisceau de Goll qui apparaît sain, à quelqu
t tout d'abord très important de constater cette opposition entre l' état presque sain des racines (caractère le plus net
nes antérieures que dans les colonnes de Clarke ; nous avons noté l' état granuleux d'un certain nombre de ceux qui persi
sparition des éléments endogènes s'explique sans dif- ficulté par l' état des cellules des cornes : Le centre trophique s
OLOGIE MENTALE Depuis son entrée à l'asile elle est restée dans cet état de dépres- ion mélancolique, se reprochant d'av
Elle ne se faisait qu'une idée inexacte de l'heure et du jour. Cet état ne dura que peu de jours et dans une lettre que
d'autre que des idées mélancoliques. Au point de vue physique son état général est assez satisfaisant. Mais on remarqu
Il y a amaurose complète de l'oeil gauche ; la pupille est dans un état de dilatation moyenne et elle ne réagit pas direc
e l'éclairage de la pupille droite, la pupille gauche revient à son état de dilatation primitif. A la convergence il y a
DE NÉGATION. 27 Cet examen est d'ailleurs difficile en raison de l' état de dépression de la malade. Avril 1898. - Auj
e l'état de dépression de la malade. Avril 1898. - Aujourd'hui, l' état de M110 A... est amélioré, elle a pleine consci
ruine. Ce qui donne un aspect un peu particulier à ce cas, c'est l' état men- tal qu'a présenté la malade au moment de s
ques de sa mère et les combattait tout en présentant elle-même un état semblable. Premier accès.- Les premiers acciden
solue. A son entrée, elle est très déprimée, puis elle passe par un état d'agitation considérable de quelques jours de dur
accès débute soudaine- ment, et elle entre en novembre 1887 dans un état d'excitation maniaque qui dure deux à trois moi
89. Troisième accès. -- Elle est réintégrée un mois après dans un état de grande anxiété avec refus de nourriture, déses
août 1893 ; à la suite d'une grippe, elle tombe rapidement dans un état de stupeur très profonde avec gâtisme. A la fin d
s la voyons pour la première fois (décembre 1893), elle est dans un état d'angoisse énorme avec hallucinations multiples,
général à la suite d'une question qu'on lui a posée. C'est dans un état d'anxiété indeseriptihie qu'elle émet avec loqunc
sme d'anxiété elle refuse de s'entretenir avec nous. Cependant, son état s'améliore rapidement, elle se rend compte qu'e
alade est calme, s'occupe très activement; elle a conscience de son état morbide et a gardé le souvenir très net de tout
e, au mois d'août après une attaque de grippe et est restée dans un état d'engourdissement jusqu'à la fin de décembre. E
es autres, etc. (avril 1897). '- Avril 1898. Depuis un an le même état persiste et le même état persiste et les idées
97). '- Avril 1898. Depuis un an le même état persiste et le même état persiste et les idées mélancoliques sont très act
ccès proprement dits (treize ans); il est d'ailleurs possible que l' état mélancolique date de l'enfance. Depuis l'année
et sur le monde extérieur. Délire hallucinatoire poly- morphe avec état anxieux et idées de persécution. Consécutivement,
t; 1111ll0 H... ne se nourrit que de lait et de bouillon. Aussi son état général périclite surtout à lasuited'un anthrax
ille la reprend en novembre 1895. A sa sortie elle est dans le même état , se livre chez elle à toutes sortes d'actes ins
s'occupe avec la plus grande régularité de travaux de couture. Cet état persiste jusqu'en décembre 1896, sans aucun cha
ntradiction avec les faits expérimentaux et doit être rejetée. En l' état actuel de la science, on ne peut non plus admettr
ait soudainement le reste de l'appareil, c'est-à-dire la glande, en état de déchéance fonctionnelle. Il y aurait entre l
ans fait une chute sur la tête. On l'ap- porte à l'hôpital dans un état semi-romateux avec des troubles moteurs et sens
ningée à gauche. Trois jours plus tard, devant l'aggravation de son état , on pratique la trépanation de la région temporo-
'appeler l'attention sur l'apparition précoce des troubles mentaux ( état démentiel progressif) et les phénomènes de paré
cendante pouvant durer plusieurs mois, puis s'établit une période d' état qui n'a aucune tendance à rétrocéder naturellem
our sur son épaule gauche un fardeau de 50 kilogr., abandonne cet état et presque aussitôt il présente un spasme par leq
rs que les autres symptômes de tabes sont il peu près nuls et que l' état gé- néral du malade s'est maintenu excellent ;
ue l'ataxie est en voie d'évolution croissante et rapide; lorsque l' état général, les symptômes viscéraux, les troubles ti
rait à son tour et le malade, absolument [guéri, se trouve dans son état normal. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 63 Il s'e
enses et aussi prolongés que dans le cas rapporté par l'auteur. L' état du sujet était tel que la mort semblait imminente
e ces vésicules, la subs- tance colloïde est moins abondante qu'à l' état normal. Le tissu interstitiel, à peine existant
s les cas difficiles, repose sur la déter- mination rigoureuse de l' état de démence ; cette démenée si pro- fonde dès le
des caractères particu- liers qui la distinguent de tous les autres états démentiels ; elle constitue un véritable stigma
s à part. En terminant, M. Mouratow émet l'opinion que l'étude de l' état de la substance chromatophile de la cellule n'a
le n'a pas autant d'importance, par elle- même, que par rapport à l' état général de la cellule, et surtout en tant qu'un
at général de la cellule, et surtout en tant qu'une indication de l' état de sa nutrition. A la discussion qui a suivi ce
SOCIÉTÉS SAVANTES. ciennes brûlures. L'annulaire droit se trouve en état de contrac- ture (flexion forcée) par suite d'u
ons et des cornes présentent une pigmentation plus prononcee qu'à l' état normal, pas de bacilles. Pas d'altérations lépreu
des facteurs étiologiques rencontrés dans d'autres observations à l' état isolé, permet de présager l'impor- tance du rôl
de la sénilité anti- bibliographie. 75 cipée, comme l'indique l' état du système circulatoire, et comme l'indique la
ique de ces faits réside dans l'action de la diathèse produisant un état dégénératif, régressif de l'ensemble de l'éco-
eux, comme dans l'hérédité cérébrale, ou bien est l'expression d'un état général, d'une sénilité en voie d'évolution pro
ussitôt au visage. Puis le meurtrier prit la varia. 79 fuite. L' état de Gigan est assez grave, mais non désespéré. Qua
mate de potasse, et la coloration est moins facile à obtenir qu'à l' état normal'. » Qu'il s'agisse ou non d'une dégénéra
ral X..., dont elle menaçait de solliciter l'intervention, etc. Cet état persista pendant plusieurs mois sans se modifier;
lègue du service des hommes, appelé pendant un intérim à examiner l' état mental de celte malade, commençait ainsi son ce
PHOÏDES CHEZ DES ALIÉNÉS. 103 montait à plusieurs années, que, en l' état actuel de nos connaissances psychiatriques, j'a
de scarlatine et arrive à cette conclusion, que l'amélioration de l' état men- tal survient plus souvent à la suite de la
observé avec soin dix ma- lades atteints de dothiénenterie grave. L' état mental n'a été modifié d'une façon certaine que
yphoïde à furme ady- namique grave se déclare. Pendant la période d' état , dispa- rition brusque et complète des symptôme
ition brusque et complète des symptômes maniaques durant un mois. L' état maniaque antérieur revient bientôt suivi d'une
rôtie, presque tous les signes d'une fièvre typhoïde à la période d' état . La malade est devenue plus calme, mais elle ré
elle-même qu'elle va très bien. Et de fait l'amélio- ration de son état mental persiste; le 18 septembre, la fièvre est
inci- dente guérit, Mye B... se lève au mois d'août sans que son état mental ait jamais changé. Ainsi donc, dans l'ob
ne pas répondre à l'excitation. Lorsqu'on a poussé la fatigue à un état voisin de l'épuisement, le muscle continue à mou-
iant l'action physiologique du courant galvanique dans sa période d' état variable de fermeture, a démon- tré : 1° que l'
au congrès de Moscou ses recherches expérimentales sur l'action des états variables du courant galva- nique sur les nerfs
ion forte quelle sera l'attitude du pied après la myotomie, enfin l' état de l'innervation. Si le muscle n'obéit plus à l
T d'électrothérapie. pondant. Elle est absolument indépendante de l' état de santé ou de maladie de toutes les parties de
acher surtout aux caractères du pouls examiné au sphygmographe, à l' état des pupilles, au caractère du malade et enfin à
confiance de son malade, il exerce sur lui une forte suggestion à l' état de veille, il continue le bromure de quinine et l
et l'électricité; 4° la fièvre était simplement nerveuse puisque l' état général et la nutrition n'en furent que légèrem
aître que la coexistence fré- quente chez le même individu des deux états pathologiques, gigan- tisme et acromégalie, n'e
t plus violents que d'habitude, le malade tombe brusquement dans un état coma- teux et meurt. On croit qu'il s'agit d'un
ports intimes de la syphilis et du tabès, l'auteur professe qu'en l' état actuel de la science la meilleure explication e
voit que des maladies bien caractérisées arrivées à leur période d' état . A tous égards, dans l'intérêt des malades, pou
umet au Comité de direction à qui il communique, à chaque séance, l' état de la caisse et la situa- lion financière de la
patronnés par tous les membres de la Société. Ils s'informent de l' état moral des patronnés, font connaître aux médecin
la suite d'une violente scène de ménage dans laquelle son mari, en état d'ivresse, l'avait battue, la nommée Pauline Bour
ato, et natif de Sicile, rentrait l'autre soir à la caserne dans un état d'ébriété tel que le sergent de garde lui adres
nviron six mois. Il fut interné dans une maison de santé, mais, son état s'étant amélioré, il fut bientôt rendu à la liber
Fontainebleau. Sur ces indices, les agents purent mettre, hier, en état d'arrestation six gamins, qui constituaient à eux
e des membres inférieurs s'étant accentuée, la malade n'est plus en état d'écrire et ne manie que difficilement la cuiller
profond dans le pli inguinal droit. 164 CLINIQUE NERVEUSE. L' état général de la malade a beaucoup empiré vers la mo
urer en anneau les capillaires et les vaisseaux de calibre ; et à l' état normal, on trouve à ces endroits un cndothélium
gaines lymphatiques des vaisseaux, on les nomme périthé- lium); l' état morbide consiste en une prolifération abondante
es en série, et au moment des espaces intercalaires. Ces différents états sont quelquefois difficiles à distinguer. Il fa
efois difficiles à distinguer. Il faut tenir compte exactement de l' état des voies digestives de la malade, de la qualit
pendant plusieurs jours de suite. Les malades présentant ce dernier état sont des sériels dont l'intervalle lucide est l
-dire au moment où comme nous l'avons montré, la malade présente un état saburral, indice d'une prochaine série d'accès.
intercalaire. Mais, dansée cas, nous avions noté chez la malade un état saburral très prononcé, indice d'une série d'at
iéna- tion mentale, est surtout de rattaclier l'acte incriminé à un état pathologique antérieur, de montrer qu'il est to
cachexie, intoxication ou quelque autre cause plaçant l'individu en état de réceptivité . Après avoir suivi leur évoluti
tiqueter folie post-opératoire. On trouve signalés presque tous les états pathologiques du cer- veau, manie avec tous ses
ire de persécution, démence, paralysie générale, puis neurasthénie, états neurasthéniformes, hypocondrie, SOCIÉTÉS SAVA
certains mots ou certaines phrases pendant des heures entières. Cet état la désespère, mais si elle cherche à se retenir e
rand nombre. : l'impression morale, une action nerveuse réflexe, un état de shock ; l'opération en elle-même, la nature
es post-opératoires étaient dus à une action nerveuse réflexe, à un état de shock. Dans cet ordre d'idées, Vène, Le Dent
agit d'un cas véritable d'intoxication iodoformique, la notion de l' état cérébral antérieur doit intervenir pour expliqu
isons normaux. . C'est par l'auto-intoxication qu'on s'explique l' état démentiel qui survient à la suite de la thyroïd
on très secondaire, ce sont les anesthésiques, les antiseptiques, l' état d'anémie ou de cachexie du sujet, la nature de
s et c'est là, sa caractéris- tique, ce délire est un rêve vécu, un état second, un état somnam- Mique. Quand il dispara
a caractéris- tique, ce délire est un rêve vécu, un état second, un état somnam- Mique. Quand il disparaît, il y a perte
o-scléreux, chez ceux dont les émonctoires naturels sont en mauvais état . M. Régis cons- tatelesbons résultats que donne
lle B..., âgée de vingt-un ans, présente à partir d'octobre 1892 un état de confusion mentale auquel se joint un mois aprè
usa- tion. A son entrée à la Salpêtrière, en juin, elle est dans un état typhoïde avec carphologie, raideur des membres,
Après une rémission de deux mois, elle tombe brusque- ment dans un état méningitique qui l'emporte en trois semaines. O
plus, il n'existe pas de symptômes psychiques ou soma- tiques d'un état mélancolique fondamental. L'exercice des facultés
, trépidation épileptoïde, paralysie des sphincters, etc., etc. Cet état persista durant trois à quatre mois, puis on s'
ui en sont atteints se trouvent, au point de vue psychique, dans un état de déchéance notable. Les observations de tabes
opos, je veux, en terminant, rappeler qu'étudiant la pathogénie des états convulsifs en général et ayant en vue ce fait r
sme latent : isolé, le segment médullaire est amené rapidement à un état de potentialité exagé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 229
M. Vallon étudie tous les troubles mentaux transitoires, tous les- états passagers d'aliénation mentale, qui sont de natur
tème nerveux; 9° troubles mentaux liés à des troubles du sommeil : état intermédiaire à la veille et au sommeil, somnambu
i l'ont précédé, accompagné et suivi ; 2° l'inculpé étudié dans son état présent, dans ses antécédents personnels, dans
grande signification : nul souci de fuir de la -part de l'inculpé, état d'hébétude, sommeil, torpeur, etc. Enfin, les c
l'interrogatoire des témoins, à celui de la victime, si elle est en état de s'expliquer, en un mot, il s'entourera de tous
de l'épilepsie qu'un très petit nombre méritant d'être qualifiés d' états d'aliéna- tion mentale transitoire. Tous, sans
sitoire. Tous, sans exception, relevaient manifes- tement soit d'un état de dégénérescence mentale, soit surtout de l'in-
nt. Pour les auteurs allemands, la folie transitoire est liée à des états congestifs du cerveau. Krafft-Ebing, nous l'avo
nt les indi- vidus chez lesquels on observe le plus communément des états congestifs transitoires du cerveau ? C'est préc
nge que la folie transitoire, qui reconnaît pour base anatomique un état congestif du cerveau, se développe précisément
réserve l'aliénation mentale transitoire, symptoma- tique de divers états morbides, je ne puis me défendre d'un doute à l
dehors de toute prédisposition héré- ditaire, en l'absence de tout état pathologique antérieur, tels que l'épilepsie, l
carrière de cas de folie transitoire qu'il n'ait pu rattacher à un état pathologique antérieur. Souvent il a fallu un e
is en vue de l'examen médico-légal, fut considéré comme accompli en état de demi-responsabilité, l'émotion passionnelle
udication intermittente bien étudiée par Charcot; l'or- gane est en état de méiopragie d'origine artérielle. Si le calib
de ce ramollissement devait être recherchée naturelle- ment dans l' état du système artériel ; or, fait particulier, les b
ue dans notre observation les faits étaient de date récente. De l' état du facial supérieur et du moteur oculaire commun
ienne voit, à la suite de son traitement électrique qui aggrave son état , se développer une phobie de la marche. Tandis
ns un placard pour limiter ses mouvements et étouffer ses cris. Cet état était' absolu- ment continu, et dans les moment
ontinu, et dans les moments d'accalmie, il subsistait quand même un état spasmodique généralisé des muscles. Maints traite
ge du début de la maladie. Au bout de cinq mois, la malade était en état de quitter le sanatorium, de se livrer à toutes l
e fut extrait qu'à la troisième application du forceps. Il était en état de mort apparente et les jours suivants eut des c
- sions. A l'examen les membres inférieurs paraissent normaux à l' état de repos, mais si l'enfant est mis debout ils de\
NGLADE (de Toulouse), rap- portent l'observation d'un sujet mort en état de mal épileptique, après avoir présenté toutes
se promène dans la propriété de l'établissement, si elle est en hon état d'entre- tien ; mais ces notions sont courtes e
être complétées que par quelques notes, les modifica- tions de leur état mental sont moins nombreuses et les rares guéri-
es malades, d'augmenter leurs chances de guérison, aggraverait leur état mental. M. Marandon de Montyel propose de suppr
eillées avec soin par le service médical pour ne 'pas aggraver leur état mental, comme je l'ai vu arriver quelquefois.
e malades à l'asile sont assez nombreuses ; la plus fréquente est l' état d'excitation des malades; ensuite vient l'impos
s dans les quinze jours) les trois quarts des malades présentent un état de nutrition tout à fait bon; dans le quart qui
ttention à ce départ, car ils étaient habitués à voir L... dans cet état anormal. Chez lui, il se mit à table. Il dérais
uf ans, lois de sa naissance s'est présenté par la fesse et dans un état de mort appa- rente. Pas d'antécédents névropat
d'où il n'a pu être retiré qu'après un certain temps et dans un tel état d'asphyxie que pour arriver à rétablir sa respira
s rétabli de cet accident, rien d'anormal ne s'est produit dans son état de santé jusqu'à l'âge de neuf ans, époque à la
-brachial de la moelle ; et il est impossible d'admettre qu'avec un état si avancé d'atro- phie dans ces muscles, ceux d
nt à l'hôpital général de Nancy, service de M. le Pl' Spilmann. Son état mental est absolument normal. Elle entend dire
t arriver en sep- tembre pour remarquer une amélioration nette de l' état physique et une modification favorable parallèl
tte de l'état physique et une modification favorable parallèle de l' état mental. M... arrive peu à peu à se rendre compt
on, on constate tout d'abord qu'elle parait avoir conscience de son état , mais, si l'on retient trop longtemps son atten
errifiantes. Ces troubles se sont dissipés sans amé- lioration de l' état physique, en trois ou quatre jours ; il a suffi,
de lui faire remarquer qu'elle se trouvait absolument dans le même état et que, par con- séquent, elle verrait aussi sa
a la satisfaction de constater elle-même une amélioration de son état physique, c'esl-à-dire dès qu'elle retrouve de l'
ion apportée par l'exemple de la pre- mière, sans amélioration de l' état physique, ce qui prouve bien qu'il ne peut réel
re heures avant la mort de la malade. Jusqu'aux dernières heures, l' état général est resté excel- lent, el. les fonction
e des noyaux correspondant au nerf vestibu- )aire'2° Intégrité de l' état général et des fonctions organiques,, absence d
des images visuelles, auditives et autres. Ils examinent ensuite l' état mental particulier des aphasiques et leur capacit
sse est à la mélancolie. ' LWOFF, LXHI. Auto-observations PENDANT l' état hypnotique ; par Ollo-G, WETTERSTRAND (de St0ck
e sur l'hypno- tisme, mais il croit aussi à l'autonomie de ces deux états . LworF. LXV. Parésie transitoire ET récurrente
s idées se trouvant entravée par la lenteur des perceptions. Si cet état d'ar- riéralion intellectuelle s'accentue, il y
e et agréable. , Dans la paralysie infantile d'origine cérébrale, l' état mental pré- sente des degrés divers en rapport
ducation. La paraplégie spasmodique est le symptôme dominant de cet état . tD Une catégorie distincte d'imbéciles est for
ropres à établir l'origine commune des traces qu'on y rencontre à l' état normal. L'observation em- bryologique permet à
ile de faire un diagnostic et surtout de localiser la lésion. Cet état dura huit mois environ. Il présenta alors de la t
uls et des accidents d'oedème pulmo- naire, le tout accompagné d'un état fébrile très marqué. Devant la gravité de cet é
accompagné d'un état fébrile très marqué. Devant la gravité de cet état , on tenta d'intervenir et l'application d'une c
rimante pour faire disparaître les douleurs, comme pour prévenir un état de mal d'où peut résulter la mort. > R. C. I
des variétés individuelles qui dépendent de la constitu- tion, de l' état de la nutrition, de l'âge, etc., et que nous ne c
préciser, dans l'avenir, les lésions anatomiques en relation avec l' état électrique. On a montré que, dans la réaction d
ilité du courant électrique peut-elle enriéhir la symptomatologie d' états patholo- giques ? Nous avons déjà indiqué les e
une influence purement psychique - auto-suggestion, suggestion à l' état de veille ou de sommeil -une vésication d'une r
les suites opératoires semblaient devoir être excellentes, dans un état mélancolique avec anxiété très vive, idées de sui
r du sein gauche, d'un délire mélancolique qui a cédé la place à un état maniaque avec idées de grandeur et érotiques, e
cerne la première question, l'auteur admet qu'en dehors de certains états aigus caractétisés par de la confusion, de l'inco
de simple analogie; mais d'après lui il existerait entre ces deux états un rapport d'équivalence, c'est-à-dire que certai
produites par l'épui- sement ; 2° en pénétrant l'essence même de l' état de veille, et en y arrêtant, suspendant ou trou
nt ou troublant le cours régulier de l'associa- tion des idées. Les états psychopatiques, postoniriques sont habituel- le
ndant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 32S 5 le mouvement, soit à l' état de veille, soit à l'état de sommeil, il appert
OGIE MENTALE. 32S 5 le mouvement, soit à l'état de veille, soit à l' état de sommeil, il appert que ni l'activité, ni le
sexuels, sans qu'on puisse en espérer une influence heureuse sur l' état névropathique des malades. - On n'en peut tirer
admis, en principe, que toute phobie a pour élément fondamental un état d'anxiété, et que cet état d'anxiété consiste e
ute phobie a pour élément fondamental un état d'anxiété, et que cet état d'anxiété consiste essentiellement en un phénom
agnent, dans la conscience, d'un sentiment d'angoisse, de peur. Cet état d'angoisse devient permanent dès lors, tandis que
urvenu sans aucune représentation psychique préalable, détermine un état d'anxiété, à la faveur duquel les phobies pour-
tion, au choc trauma- tique, etc. Chez la plupart de nos patients l' état est resté slation- naire. Trois ont été aggravé
augmenté de fréquence, soit parce qu'il s'est produit un véritable état de démence ou de torpeur intellectuelle très mani
l pas incriminer uniquement l'inter- vention, car le sujet était en état de mal et présentait d'ailleurs une grave lésio
s mois; accès d'abord rares, maintenant deux ou trois par semaine ; état d'idiotisme et de démence à peu près complet. T
nt aux questions posées et ne peut donner de renseignements sur son état . Pendant la quinzaine, M. le Dr Brunet constate
, et même parfois d'anesthésies (Obs.III). Des modifications dans l' état des réflexes cutanés et tendineux peuvent être
ellement un morceau de papier buvard, ce qui lui parut soulager son état d'angoisse. Dès lors elle eut souvent recours à
déshabitue l'or- ganisme des poisons (Entwohnungskuren), à savoir : état d'an- goisse et d'inquiétude, sensation de brûl
des cornes antérieures, examinées d'après Nissl, se trouvent dans l' état de développement embryonnaire. Les cel- lules d
ttribuaient au foie dans la mélancolie. Esquirol signale le mauvais état de cette glande chez les suicidés. Les arthriti
1880, constatait que les abcès du foie peuvent s'accompagner d'un état plus ou moins marqué de mélancolie et d'hypocondr
e, déprimé, ne répond que par monosyllabes en versant des larmes; l' état général est bon; cependant il y a de l'anorexie
reparait, t. s. 39° 2. Du 26 au 30, il y a une amélioration dans l' état général ; pas de fièvre : le malade recommence
s sont claires et abondantes, sans albumine ni sucre; néanmoins l' état gastrique laisse toujours à désirer. Ce même soir
nce, tout cet ensemble symptômatique fait songer exclusivement à un état bilio-septique que nous ne chercherons pas à ca
intoxication de cause interne créée par l'insuffisance hépatique. L' état infectieux fébrile qui s'est manifesté longtemp
ue l'on eût pu attendre, n'est pas nettement caractéristique d'un état d'intoxication. Les symptômes psychiques fondamen
crise panophobique transitoire signalée au début de la période d' état et les rêves terrifiants dont le malade s'est p
on l'observe dans tous les cas où le foie fonctionne mal, dans les états bilieux, hémorrhoïdaires, dyspeptiques, transit
nt pour antécédents l'uricémie, la migraine, le rhumatisme vague, états qui résultent de troubles nutritifs auxquels le f
e malade se révèle néanmoins d'une façon bien significative par cet état de cépha- lée ou plutôt d'hébétude et de somnol
phénomènes nerveux les plus fréquents parmi ceux qui résultent d'un état de souffrance du foie, est en effet la somnolen
a somnolence et la narcolepsie. Elles se manifestent au début des états graves, mais peuvent aussi se rencontrer dans les
chaque instant, ou du moins tombait, selon son expression, dans un état indéfinissable de pesanteur et de lourdeur cra-
, que le délire qui survient après abstinence chez un alcoolique en état de maladie aiguë diffère du véri- table délire
nts. Peu de temps après, des phénomènes nerveux compli- quèrent son état : elle devint sujette à des crises qualifiées de
onnerre (astrophobie), achevèrent de jeter la perturbation dans son état mental et une violente crise maniaque éclata. L
nte au point de vue clinique, nous retrouvons la coïncidence d'un état de souffrance du foie et d'un trouble mental, ce
sorption partielle de la bile, conséquence de l'obstruction et de l' état de souffrance des voies biliaires. Au cours de
pagnent la confusion mentale primitive font complètement défaut : l' état général est plutôt florissant, il n'y a pas d'em-
e étable où elle s'isole pendant plusieurs années. Elle vit dans un état d'exaspération con- tinuel, en proie aux halluc
L'influence de l'ictère grave terminal a été absolument nulle sur l' état mental ; aucune complication délirante n'est su
droit. Céphalalgie, vomissements répétés, toux, fièvre. Le 28, l' état fébrile persiste à un degré modéré, la douleur hé
out le corp une faible teinte ictérique. Rien de particulier dans l' état mental, sauf de l'hébétude. Le 2 mars, pendan
ani- feste les mêmes idées délirantes, sans que la physionomie de l' état mental soit en rien modifiée. 374 CLINIQUE
us complet marasme, ayant conservé jusqu'à la fin conscience de son état et du monde extérieur. A l'autopsie, cancer mas
l'influence de cette prédisposition, le cerveau, tout en étant, à l' état normal, d'un fonctionnement bien équilibré, n'e
rte prédisposition à délirer, peuvent créer, du côté du cerveau, un état d'imminence morbide. Dans ces conditions, 376
résignant à mettre une constatation impossible pour celles que l' état physique ou mental des sujets ne nous permettait
'étranger contiennent les travaux les plus récents relativement à l' état du tact dans la paralysie générale. Nous serons
ns durables ont été signalées à la période initiale. A la période d' état , dit-il, la sensibilité aussi peut être troublée
constatation exacte du tact chez les paralytiques par suite de leur état mental. Dans les phases initiales, c'est la vio
soit le même expérimentateur qui, à chaque constatation, apprécie l' état de la sensibilité tactile. Et maintenant, lais-
ues chez lesquels nous avons recherché à de fré- quentes reprises l' état du sens tactile depuis le jour de leur entrée j
Le tableau suivant répond à cette question. Nous avons pensé que l' état de calme et d'agitation du sujet était suscepti
leau met bien en évidence six faits intéressants. En premier lieu l' état constamment normal du tact durant les périodes
nos paralytiques au moment de nos constatations étaient dans cet état et pas une fois nous n'avons pu relever la moindr
ors de nos cons- tatations nos sujets se trouvaient dans ce dernier état et nous avons relevé seulement 56 altérations,
e fait mis encore en évidence par notre tableau qui étonne, c'est l' état constam- ment normal du tact dans les formes pu
n est rien et comme 56 fois nos constatations ont coïncidé avec cet état , le chiffre en est assez important pour établir
mort par suicide, on peut citer certains morts par submersion, où l' état du corps est identique dans l'hypothèse du suic
La malade présenta de la fièvre dès son entrée à l'hôpital, puis l' état devint infectieux et la mort survint dans le coma
parole, de la mimique, de l'ecriture, de l'audition des mots, de l' état intellec- tuel, l'absence de troubles moteurs p
eut servir d'exemple à cet égard : Un homme de trente-sept ans, à état mental bizarre, surmené peut être intellectuell
toute une moitié de la musculature du visage. En tenant compte de l' état psychique du malade qui témoigne d'une réelle d
Ce jour-là cependant un changement capital surviendrait dans son état : une sévère discipline imposée à sa volonté pour
ourant nerveux étant quelquefois accélé- rée par comparaison avec l' état normal. Par l'effet de la convulsion épileptiqu
u bromure de potassium, le temps de réaction subit, par rapport à l' état intercalaire, un léger allon- gement, en rappor
Il s'agit d'une petite fille de cinq ans amenée à l'hospice dans un état comateux profond. On apprend par les renseignemen
ir repris conscience, à la façon des malades qui succombent dans un état de mal épileptique. Ce cas, qui par sa nettet
onner la substance corticale de ce jeune cerveau, donnant lieu à un état convulsif suivi de mort. L'interprétation la pl
mettre que REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 413 l'alcool a provoqué un état convulsif, qui comme tout état convulsif chez l
E LÉGALE. 413 l'alcool a provoqué un état convulsif, qui comme tout état convulsif chez l'enfant s'est terminé par la mo
nfant. Quelle est la nature de la dyspnée, observée au cours de cet état ? 1 Elle est due en partie à l'intensité des co
chite continuent à l'augmenter. Il faut enfin penser, au cours d'un état comateux, à la pénétration possible d'aliments
ur fréquence et leur grand nombre, de même que par l'intensité de l' état de dépression qui suit l'accès épileptique. Aux
iques mêmes, en partie les périodes précédant et suivant l'accès, l' état de démence épileptique, ainsi qu'en partie la p
atténuée, l'auteur fait les remarques suivantes : 1° L'examen de l' état mental d'un criminel devant un grand nom- bre d
erches plus approfondies soient t faites sur la dégénérescence et l' état mental des dégénérés. (Ame- j'ican journal of i
rent les mêmes troubles délirants qu'il avait prétendu simuler; cet état ne s'est guère amélioré et, depuis huit ans que
e, mais l'idée criminelle est liée à une perception dé- formée de l' état réel des choses; le crime est le résultat d'un éq
L'expérience a cependant montré que la punition d'un acte commis en état d'ivresse n'avait jamais servi d'exemple et emp
nation du siège de la volonté, sont lises. L'alcoolique est dans un état d'automatisme cérébral. C'est un malade ; il y
de crimes qu'ils commettent dans des accès de folie intermittente, état ma- ladif plutôt que volontaire, et tout ce qu'
effrayés par une maladie intercurrente ef craignant son passage à l' état chronique, ont renoncé définitivement à la bois
nsidérations relatives à l'espérance d'influer éventuellement sur l' état névropathique des sujets à opérer. Dans ces cas
ues des organes sexuels pour tenter d'exercer une suggestion sur un état névro- pathique coexistant. Enfin, mais seuleme
s elle puisse être considérée comme un fait secondaire, aggravant l' état mental, dans tous ces cas, si l'on soupçonne un
variété hystérique, mélancolie périodique. Quand le diagnostic de l' état mélancolique a été fait, il reste à établir le
ère anxiété. Si, traitée de la sorte, la maladie parait tourner à l' état chronique, alors s'impose l'éloipnement dans une
enu devrait être, dès son admission, examiné au point de vue de son état psychologique, de ses parti- cularités mentales
rtement vers la lumière du vaisseau. Quelques cellules même sont en état de pro- lifération évidente. Ce sont là les pri
x ambiants. A part les agglomérations, ces ceilules s'observent à l' état isolé dans une large étendue de la substance bl
tissu cortical normal, n'était les quelques cellules ner- veuses en état de dégénérescence. Nous faisons remarquer, à pro-
le où la cellule nerveuse possédant deux noyaux se trouve déjà en état de dégénérescence avancée. Nous n'avons pas gra
bsence complète d'hématies, de l'hémaloïdine soit amorphe, soit à l' état de cristaux d'hématine dans les tissus. D'autre
capillaires et les petits vaisseaux. Certaines de ces cellules, en état de modifications progressives, sont en effet ac
ts des cellules névrogliques, fait que l'on observe communément à l' état normal et surtout dans les foyers d'encéphalite
es, globules blancs du sang, les cellules névrogliques sont déjà en état de prolifé- ration assez avancée, phénomène sui
leur passage une certaine résis- tance, qui est variable suivant l' état de ces articulations. Dans l'attention intervie
remarquer que le réflexe irien lumineux se produit quel que soit l' état psychologique du sujet. Le réflexe accom- modat
deux neurones sensitifs ! Mais ce ne peut être que pour modifier l' état de cette articu- lation à un certain moment, po
me de ces prolongements des contacts plus ou moins intenses selon l' état d'attention commandé par le cerveau. » A notre
. Nosographie. Ce genre d'obsessions qui peuvent se produire, à l' état passager et peu marqné, chez des individus bien p
t de la vie, mais d'ordinaire, elle ne dure que quelques heures à l' état d'intermède épisodique. Presque toujours ce sen
onde en raison d'une dilatation d'estomac. - Toutes les deux ont un état mental de nature convulsive; seul le degré diff
près à toutes les affections organiques, de plus près encore à ces états que l'on rangeait c daus le vieux cadre des név
le. La première, c'est l'épilepsie vraie ; la seconde représente un état épileptiforme ou épileptoïde ; 2° les causes de
n des néolo- gismes incompréhensibles accompagnent l'émotion. A cet état cor- respond vraisemblablement une congestion i
les difformités congénitales DU cerveau dans leurs RAPPORTS AVEC L' ÉTAT DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE ; par N. SO
lules motrices de la moelle épinière. Ces dernières restent dans un état de développement embryonnaire. R. C. XXXV. SU
ui suit immédia- tement le paroxysme, en rapport avec la durée de l' état post- épileptique. Les accès survenus chez le m
, du mésencéphale et du cer- veau terminal, et cela quel que soit l' état de la sensibilité. G. D. LVI. De l'influence de
BREGMAN. (iV6M)'00 ? Centralbl., XVI, 1897.) Après avoir résumé l' état de la question clinique dans ses rap- ports ave
e, la plupart des cellules ont des granulations plus petites qu'à l' état normal. Une partie du proto- plasma présente un
. Cette association d'alhétose et de myolonieest peut-être due à un état d'excitation tout particulier du neurone corticom
tal. 2° Fonctionnelle. - Cas dans lesquels le malade n'est pas en état de donner à l'objet qu'il se représente dans l'es
urasthénie n'est pas une maladie, mais le nom donné à une réunion d' états qu'il faut savoir différencier, et qui a donné li
thénie M'aie que l'auteur décrit avec une précision parfaite est un état acquis, frappant un sujet valide et guérit faci
passer de cause occasionnelle pour apparaître : elle comporte un état mental beaucoup plus accusé que la neurasthénie v
ent plus rebelle, paroxystique et en tout cas sujette à rechutes. L' état neurasthénique accompagne souvent d'autres affec-
e petit ouvrage est une excellente mise au point de la question des états neurasthé- niques, tous les points de vue y son
oyés spéciaux, les juges, fait qui constitue la véritable base de l' état actuel des choses dans les états civilisés. » '
ui constitue la véritable base de l'état actuel des choses dans les états civilisés. » ' M. Makarewicz ne voit donc pas u
ec ceux de la tribu. Mais jusque-là même, jusqu'à la naissance de l' état , c'est bien le droit de vengeance qui apparaît
r 1898. 528 VARIA. a Quand cet homme a bu, il se trouve dans un état morbide tel qu'il est complètement irresponsabl
et Haute, 189. Etat des cellules ner- veuses chez les - morts en état de mal, pa : 'llispal et.\nglaUe, 259. Rapidi
1301clipique - de Fa- rel, par Bauer, 62. Auto-observa- tion de l' état -, par Wetters- transi. 294. Hypnoiisme. Somn
54 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
y. faisant ressortir les avantages du procédé par lequel il réalise l' état d'hypnotisme, déclare : « Mon procédé a encore ce
sser hypnotiser et celui qui l'hypnotise. Dans le fait de provoquer l' état d'hypnotisme chez une personne il ne saurait
n'y aura pas de cas où un sujet ne se placera pas de lui-même dans un état analogue à L'état d'hypnotisme. Il s'agira alors,
s où un sujet ne se placera pas de lui-même dans un état analogue à L' état d'hypnotisme. Il s'agira alors, non d'hypnotisme
s d'hypnotisme fortittt, et la volonté de celui qui aura provoqué cet état ne sera pour rien dans les effets d'inhibition qu
moindre malaise. Elles ont pu également s'assurer que la sortie de l' état d'hypnose, le réveil en un mot, s'est toujours ré
as été inutile de commencer par leur apprendre que la production de l' état d'hypnotisme constitue par lui seul un puissant a
café, de tabac, le système nerveux se trouve tellement excité, que l' état sédatif indispensable à la production de l'hypnot
age du tabac, je sais que je vais me heurter, pour la production de l' état d'hypnose, à des difficultés plus grandes que
ence organique, constitue un obstacle invincible à la production de l' état d'hypnotisme. Chez les individus doués d'une ém
individus doués d'une émotivité exagérée, le sentiment de la peur, l' état d'anxiété, ou même simplement une contrariété un
e mettre spontanément et volontairement les muscles de ses membres en état de résolution complète. La constatation de cette
faits analogues en a conclu que l'activité cérébrale qui constitue l' état de veille ne peut se maintenir qu'à la faveur des
de cet appareil est un moyen précieux pour produire l'hypnose ou les états analogues et, en fermant le malade aux excitation
de aux excitations extérieures, assurer ensuite la persistance de ces états . L'occlusion des yeux est parfaite, l'occlusion
Des paragraphes semblables existent en Autriche, en Hongrie, dans ¦l' état de New-York, eu Norwège,en Suède,en Russie, en Bu
out leur but. La liberté de l'individu est ainsi lésée, parce que l' état punit aussi les actes sexuels des invertis qui ne
homosexuelles. En stigmatisant les homosexuels comme des infâmes, l' état en pousse un grand nombre au suicide. Moll, Hirsc
ure on eut pu croire que l'amour normal, l'amour hétérosexuel était l' état anormal. Mais si vous songez que les médecins c
ne parait pas disposé à recommencer. Avulsions dentaires pendant l' état d'hypnotisme Le Popular Science Siffings de Lon
Science Siffings de Londres mentionne le fait suivant: Etant dans l' état d'hypnose une jeune femme de vingt-quatre ans s'e
de l'Hypnotisme des faits d'avulsions dentaires sans douleurs dans l' état d'hypnose. C'est une des applications de l'hypnot
moyen d'éviter la propagation de l'homosexualité, mais il n'est, vu l' état actuel des choses, ni applicable, ni appliqué. En
, à caractère défensif, de cette diathèse, l'obésité, le diabète, l' état migraineux. Beaucoup souffrent également de troub
rmation et de contrôle, suffisamment précis pour que nous en fassions état , à la condition que le régime alimentaire soit co
aire. La diététique et l'hygiène sont à peu près celles de tous les états psy-chasthéniques. En ce qui concerne le régime,
ions sexuelles. La guérison est d'autant plus facile à réaliser que l' état hypnotique a été obtenu plus promptement et plus
c la pierre de touche de la curabilité. Les suggestions faites dans l' état d'hypnose doivent exercer une influence profonde
l une satisfaction nor- male sont doués d'un sens olfactif en bon état de fonctionnement. C'est un point essentiel sur l
l et pour subir l'attrait du sexe opposé est d'avoir un bon odorat, l' état contraire prédispose certainement à l'homosexuali
à la rééducation de l'olfactif, par l'emploi de la suggestion dans l' état d'hypnolisme, en l'aidant de l'intervention des d
ns l'appréciation d'une œuvre musicale, juge aussi d'après son propre état psychique et se laisse guider par ses tendances d
vre fait naître dans l'âme humaine, dans un sujet mis dans un certain état d'hypnose. Dans cet état, en effet, le sujet pe
humaine, dans un sujet mis dans un certain état d'hypnose. Dans cet état , en effet, le sujet perçoit, d'une manière infini
rectement chez lui les sentiments correspondants. Chez ce sujet à l' état d'hypnose, il n'y a plus ni préjugés, ni modifica
de milieu, toutes les conventions et réticences volontaires qui, à l' état de veille, viennent, le plus souvent, modifier le
avons reproduites par la photographie, nous montrent l'expression à l' état le plus pur de tous les sentiments : La douleur,
vraie et l'expression sincère des sentiments, c'est chez le sujet à l' état d'hypnose que l'artiste peut les provoquer et les
t à étudier le développement et l'expression des sentiments daus leur état le plus vrai et le plus naturel, chez les sujets
ts daus leur état le plus vrai et le plus naturel, chez les sujets en état d'hypnose. Un cas d'application de l'hypnotisme
de en pareil cas. D'ordinaire, lorsqu'une femme veut accoucher dans l' état hypnotique, on l'hypnotise plusieurs fois avant l
1904.) (2) Travaux du 8• Congrès en l'honneur du D' Pirogoi. un état de sensibilité extrême, coudition des plus favora
e supporterait pas l'accouchement. Elle resta près d'un mois dans cet état de désespoir et sous l'influence de ces idées noi
un fait curieux d'opèralion chirurgicale faite sans douleur, à l' état de veille, sous l'influence d'une suggestion fait
, à l'état de veille, sous l'influence d'une suggestion faite dans un état d'bypnolismc antérieur. Meyzieu, le 29juillet 1
un journal de Londres, d'une jeune femme qui a subi sans douleurs, en état d'hypnose, l'avulsion de 14 racinesdentaires. 11
ilement hypnotisable. Après l'avoir endormie et lui avoir suggéré, en état d'hypnose, qu'une fois éveillée je lui enlèverais
t pondérale de la croissance ont chacune leur individualité et qu'à l' état pathologique cette indépendance peut s'pccentuer
ompréhensible. Le plus minutieux examen préalable du cœur a accusé un état parfait ; ni l'autopsie, ni l'examen microscopiqu
el ou artificiel (hypnotique ou narcotique) nous apprend que c'est un état psychique propice aux suggestions de tous genres.
as morte elle enregistre mécaniquement les excitations extérieures. L' état de sommeil est même particulièrement favorable à
e neutraliser les suggestions, si elles ne visent que la production d' états temporaires, par exemple une anesthésie. On con
our obtenir un résultat très positif. Eappelons encore une fois que l' état de sommeil, quand le raisonnement est absent, est
fois que l'état de sommeil, quand le raisonnement est absent, est un état favorable par excellence pour la fixation de tout
terreur et amène la mort. C'est que les émotions vives produisent un état de grande réceptivité aux impressions, en somme u
produisent un état de grande réceptivité aux impressions, en somme un état analogue au sommeil hypnoptique, ou à la snbeonsc
l hypnoptique, ou à la snbeonscience. quand l'activité cérébrale de l' état de veille est suspendue. Il n'est cependant pas
st suspendue. Il n'est cependant pas facile de tuer par frayeur à l' état de veille et il (1) Medical Timer and Gazette,
ne saurait aller plus loin. Le sujet tressaillit, et se raidit dans l' état cataleptique, mais ne mourut pas malgré la sugges
ber et vous vous endormirez » Quant à moi j'ai dit à mon sujet dans l' état post-hypnotique : « cette sensation n'est pas obl
ychique une action psychique. Si vous voulez laisser se développer un état naissant, votre arme est le silence ; si vous vou
fit déjà pour livrer l'esprit du dormeur à l'inconnu hasardeux ; et l' état psychique qui sen suit peut avoir des suites fune
sommeils artificiels — hypnotique et narcotique — sont avant tout des états psychiques où la suggestion est possible. La fray
encement d'asphyxie qui provoque une terreur et des palpitations, Cet état psychique, si l'on y prête nne attention sérieuse
ent augmenter le danger. H se peut que l'on doive chercher dans les états psychiques subjectifs les causes du 1/80 pour cen
ormir comporte des éléments psychologiques ; 2° Chaque sommeil est un état propice aux suggestions ; 3° Celui qui se sert de
chloro-formation il faut tâcher d'obtenir, par suggestion directe, un état psychique qui exclut la possibilité d'autosuggest
s, le ehloroformi6ateur aura la maîtrise de son-sujet et dirigera ses états psychiques à son gré, éliminant la part du hasard
lui donna un choc si violent qu'il succomba aussitôt. * ß * Des états de conscience divers survenus à l'occasion de col
s soumis à la seule influence des centres médullaire ou bulbaire. Cet état a particulièrement frappé tous les contemporains
nuit il dormit mal. Le lendemain, il me dit qu'il se trouvait dans un état d'excitation cérébrale extrême, qu'il se rendait
ent presque partout- et combler ainsi une lacune qui nous met dans un état de grande infériorité vis-à-vis de l'Allemagne.
fforts convergent vers un but unique, la réalisation rationnelle d'un état moral et physique conforme aux capacités du genre
faire apprentissage de souplesse, n'est-ce pas enfin s'élever vers un état de beauté, la beauté de l'homme a cheval — point
s de soi-disantes guérisons miraculeuses, et exposent véridiquement l' état véritable de ces prétendues guérisons. Ils pourra
ts, on constate, en effet, une disposition particulière à réaliser un état psychologique dans lequel la fonction visuelle se
uence fascinatrice d'animaux d'espèces différentes, je désignerai cet état sons le nom d'état de fascination. Le nombre de
d'animaux d'espèces différentes, je désignerai cet état sons le nom d' état de fascination. Le nombre des sujets présentant
est capable, je ne tarde pas à-observer dans son regard un singulier état de fixité. Ses yeux, grands ouverts, présentent u
andé de fixer. La fascination visuelle n'est, pas autre chose qu'un état de monoïdéisme accentué survenant chez un individ
mine de détourner son regard. ? semble donc que l'être plongé dans l' état de fascination subisse un charme qui n'est pas sa
as sans attrait, et qu'il trouve dans la prise du regard un véritable état de satisfaction. Cette impression résulte netteme
logie et de Psychologie, ayant pour titre : La prise du regard dans l' état de fascination, je faisais remarquer que les suje
ion, je faisais remarquer que les sujets susceptibles d'entrer dans l' état de fascination et de présenter le phénomène de la
r à fixer un instant mes yeux pour qu'elle se trouvât plongée dans un état de fascination visuelle très marqué, se traduisan
ne de la prise du regard, n'est que' l'exagération expérimentale d'un état qui leur est familier. Le phénomène de la prise
on visuelle et on s'explique qu'ils se prêtent a la production de cet état , puisqu'il aboutit â la mise en jeu d'une aptitud
e qui placent l'animal dans des conditions absolument comparables à l' état d'hypnotisme. Certains faits observés journelle
s en l'air comme le ferait un sujet humain soudainement plongé dans l' état de catalepsie. Un chasseur qui connait bien les
monoïdéisme olfactif, analogue au monoïdéisme visuel du sujet mis en état de fascination. Cette systématisation de l'atte
ements graves qui tirent leur importance des conditions voisines do l' état de guerre, au milieu desquelles ils se sont dérou
est un instinct chez le médecin ; je cherche à me rendre compte de l' état psychologique de tous ceux qui m'entourent. Si je
officiers de l'état-major, avec lesquels je vis. me semblent dans un état très analogue au mien. Ce qui domine chez eux, c'
hagie est toujours accompagnée d'une amélioration très marquée dans l' état mental. L'instabilité, l'irascibilité dont font
ment vicié l'enseignement dans nos facultés et u produit peu ft peu l' état morbide que nous combuttonn. Mais, 11 y a autre
t qu'il s'endormait au moment des affaires les pins importantes : cet état insupportable se prolongea pendant? ans. L'exam
O hémoglobine, poids spécifique 1065, viscosité 60,5, par conséquent, état presque chlorotique, avec un nombre d'érythrocyte
ue apportée dans les conditions de la circulation. C'est pourquoi Y état antérieur de l'appareil circulatoire devra toujou
essivement. 2° L'une et l'autre syncope réalisent parfois un simple état de mort apparente ; on devra lutter avec énergie
de soumettre un malade à la chloroformisation. on examine avec soin l' état de son cœur et de ses poumons. Or ce qui importe,
qui importe, bien plus que sa circulation ou sa respiration, c'est l' état de sa « réflectivité ». Certains nerveux ont des
doit s'appliquer, surtout par la suggestion, à inhiber ou diriger les états psychiques du sujet, tout comme on le fait pour l
s caractères particuliers du suicide que l'on rencontre dans d'autres états névropathiques, si, en somme, le suicide hystériq
ne qu'elle va soigner a Salis de Béarn. Cette névralgie entretient un état d'excitation psychique, d'angoisse d'abord diffus
e d'abord diffuse et sans objet et qui, par la suite, se résout en un état panophobique (claustrophobie, agoraphobie, dromop
urasthénie. Malgré plusieurs cures d'isolement et d'hydrothérapie cet état ne s'amende pas. Depuis déjà longtemps Madame X..
e sensation est si nette qu'elle produit un changement complet dans l' état de la malade : l'éréthisme. l'angoisse disparaiss
e pensée ramène tout le cortège de phobies que nous avons décrites, l' état de mal être, d'anxiété et d'angoisse qui avait di
t d'exécntion. Par la suggestion hypnotique, par la psychothérapie, l' état de la malade s'améliore progressivement, et vers
es mêmes ennuis qui ont contribué à Téclosion et à l'évolution de son état morbide, aussi au bout de quelques jours elle épr
ée névropathique, chez une scrupuleuse. Et. en effet, ce qui domine l' état mental de cette malade est le scrupule. C'est lui
et règle l'idée du suicide. Cette prédisposition névropathique, cet état de dégénérescence mentale est bien mis en lumière
la malade dans la période de sa vie qui peut être considérée comme l' état de santé. Dans cette période la personnalité de l
, à cause de la faiblesse de leurs organes.de la vue, de l'ouïe, de l' état général des centres nerveux. A ce compte, que d'e
e conservateur et propulseur des actes reflexes caractéristiques de l' état d'amour. - > Des Courtïlz remarque à ce suje
gré d'anomalie, anomalie qui va devenir d'autant plus apparente que l' état de dépression psychique, de neurasthénie sera plu
ession psychique, de neurasthénie sera plus prononcé. En effet dans l' état morbide dont le début remonte à une vingtaine d'a
dont le début remonte à une vingtaine d'années, ce qui domine dans l' état mental de" la malade c'est une aboulie absolue, u
le en elle un sentiment d'indignité, de honte de soi; autant dans son état de santé elle était prompte à se décider, à conce
ut plus être qu'une charge, qu'un embarras. La caractéristique de son état mental, tant dans la période de sa vie où elle ét
ent inutile, mais nuisible. Ces idées entretiennent et déterminent un état d'émotivité, d'éréthisme; d'angoisse, de douleur
qu'éprouve son mari, la blessant dans son orgueil, la mettent dansun état d'éréthisme tel qu'elle ne peut plus voir personn
oire et qu'elle en arrive à ne plus aimer sinon à haïr les siens. Cet état mental se traduit objectivement au fur et à mesur
vement au fur et à mesure que se déroulent les événements pour un état panophobïque avec psychasténie, de la neurasthéni
tout autre. Nous nous trouvons là en présence d'un cas typique de cet état nerveux que Freud a isolé du cadre de la neurasth
é par nos rapports, en était exagéré. Et ainsi j'en suis arrivée à un état d'excitation constant, à un besoin presque perman
la phobie primitive, l'hydrophobie qui a été le premier symptôme d'un état mental défectueux et nous dirons alors que c'est
de cette idée ou bien si elle n'est elle-même qu'une conséquence d'un état mental originairement taré. Revenons k l'examen d
fonctionnel, ralentissement qui est lui-même sous la dépendance d'un état cérébral défectueux soit constitutionnel, hérédit
mande. Des individus très impressionnables, peuvent être mis dans l' état somnambulique du « Latah » par un mot, un regard,
un geste. Le • Latah » ressemble, dans sa forme la plus intense, k l' état d'hypnose très profonde. Les malades peuvent être
chercher sur leur figure une expression particulière, indice de leur état de grossesse ; elle leur trouve les traits fatigu
prouver, dit-elle. Tout k coup, tandis que je la questionne sur son état physique, elle se lève précipitamment et s'approc
pent mettre en somnambulisme. Il partage l'ancienne croyance que cet état n'existe que chez les hystériques. Cette opinion
c certaines précautions et en tenant compte des circonstances et de l' état moral du malade ». Il espère donc quelquefois obt
ain s'ouvre, le porte-plnme tombe encore. Dans d'autres cas, c'est un état parétique, une sorte de paralysie qui envahit les
inés dans un geste concerté deviennent impossibles, par ce fait qu'un état psychique concomitant se met de la partie. Ces ma
M. Bagukr, directeur de l'Institut départemental des Sourds-Muets : L' état actuel de l'Instruction publique pour les anorm
tif chez l'homme ne constituaient pas des faits indifférents pour son état psychologique. L'abolition ou la diminution du
Nancy,& savoir l'existence d'une série de transformations entre l' état de veille complète et le plus profond somnambulis
; je lui montre la grande différence psychologique qui existe entre l' état d'un esprit qui s'applique k un travail et l'état
qui existe entre l'état d'un esprit qui s'applique k un travail et l' état passif que je viens de provoquer. J'ajoute que l'
t la phase primitive de l'hypnose et elle a tendance k glisser dans l' état d'engourdissement après un temps plus ou moins lo
dans l'état d'engourdissement après un temps plus ou moins long. Cet état devient lui-même de plus en plus profond et final
n résultat thérapeutioue en dehors d'une hypnose profonde ; le simple état passif, bien, employé par le médecin, peut guérir
ont été suggérées dans cette direction, se mettre elles-mCmes dans un état d'hypnose aussi intense que celui qui a été réali
i les malades réfractaires essayaient tout seuls de se mettre dans un état passif ils échoueraient complètement. Ils ne pour
fficile et très laborieuse. La manière dont l'hypnotiseur maintient l' état passif a une très grande importance. II doit form
de dans l'engourdissement, il n'est guère difficile d'approfondir cet état ou tout au moins de l'entretenir par des suggesti
uelque chose qui se présente toute réalisée sitôt que l'on a obtenu l' état hyp- notique. Ou peut développer une telle su
'ont pas su lui prescrire. H quitte l'Amérique dans un très mauvais état moral ; peut-être est-il trop profondément imprég
omie. Entre temps, je lui ai fait subir un traitement approprié à l' état de son tube digestif. En particulier, l'effluvati
riques des Ecoles de Paris et de Nancy). Déplus, la symptomologie des états hypnotiques se trouve trop touffue et trop comple
peut-être l'explication des facultés qu'on rencontre chez l'homme en état d'hypnose. TJne faculté qui sortirait de rien s
l'affaiblissement et la chute successive finissent par constituer les états de sommeil et d'hypnose, l'ouïe qui est celui qui
malade soumis k ses soins. Mais il existe ù côté ou au-delà de ces états légers, très communs d'après les déclarations de
s les déclarations de Nancy et d'après l'expérience usuelle, d'autres états plus accentués mais aussi plus rares, soit parce
ur les confins de la physiologie et de la pathologie ; qui touche aux états pathologiques dont il nous reste à parler, et qui
es dont le faisceau est toujours moins tendu et un peu relâché dans l' état de sommeil, centres qui, sons le coup d'un réveil
saut avant la présence de leurs chefs. Ce désordre, peu durable a l' état naturel, devient plus habituel, plus prolongé et
eux débile qui, le matin au réveil, restent un certain temps, dans un état de confusion, à reprendre leurs esprits, se deman
ditions cosmiques, et au bénéfice du perfectionnement de la race, des états hgpnoldes se sont produits comme une forme de som
s, si divergents, du sommeil commun ou ordinaire des civilisés et des états hypnotiques artificiels produits par l'interventi
I. Baguer, directeur de l'Institut départemental des Sourds-Muets : L' état aetnel de l'instruction publique pour les anormau
ages. Dr G-. d'HOTEL, de Foix-Terrons : Essai sur la suggestion à l' état de rêve et dans la vie normale : étude de signe p
forçons également de mettre nos auditeurs en garde contre ces mauvais états de conscience qui, tels que la veulerie, le mysti
ions victorieuses contre les Musulmans Kachgars et Dzoun-gars ! Cet état de pacifisme systématique dure trois siècles. On
En dehors de oes hyperesthésies, certaines personnes présentent à l' état normal une sensibilité olfactive si délicate qu'e
ion et en général sur le fonctionnement des organes des individus à l' état normal. Us en ont tiré la conclusion que les acti
ttais à converser avec eux en leur causant de leur amnésie et de leur état actuel. Avec des personnes sensitives les phénomè
nrent victimes d'insomnies qui les forcèrent à quitter l'endroit. L' état de notre malade ne s'améliore pas, elle se plaint
it morbide. Elle n'était heureuse que lorsqu'elle pouvait décrire l' état pathologique de ses amies et elle avait collation
M. Bagukk. directeur de l'Institut départemental des Sourds-Muets : L' état actuel do l'instruction publique pour les anormau
res. Les tendances à ces rapprochements familiaux persistent dans l' état de domesticité, et c'est un fait bien connu que l
it pas, on a recours à l'hypnotisme ; on endort le sujet et, dans cet état de sommeil provoqué, on outille son esprit, on lu
qu'au bout de deux séances. Le malade ne peut pas être plongé dans un état dépassant la demi-léthargie ; il ne peut ouvrir l
'arriver à un bon résultat. Voici le fumeur endormi, plongé dans un état d'hypnose plus ou moins profonde. Sa volonté est
longue, j'ai vu beaucoup de neurasthéniques ; il m'a semblé que leur état d'inconscience relative jouait un plus grand role
a recherche du ¦ signe de la détente musculaire » nous a appris que l' état neuro-musculaire normal se révèle également par G
avec laquelle le sujet peut faire passer ses muscles volontaires de l' état de contraction à celui de résolution. Par contre,
empérament brûlai et autoritaire de sou mari entretenait chez elle un état de crainte perpétuelle. Elle avait peur. Du gen
commerce et du caractère du mari, nous pouvons facilement déduire un état émotif permanent, entretenant chez cette malheure
ur-Moselle). — TJn grand suggestionneur allemand. 8. M. Baguer. — L' état actuel de l'instruction publique pour les anormau
uscles abdominaux ont disparu. A la vérité, tous ces muscles sont à l' état de flaccidité complète et la malade ne peut les c
5. Parallèlement, une amélioration considérable est survenue dans l' état de Zénona : les zones d'anesthésie ont diminué de
rbidité des centres nerveux. Dans l'un comme dans l'autre cas,il va état pathologique des cellules, des neurones. Votre
ra à supprimer la cause de tous ces désordres, remettra les choses en état et les neurones en action ; vos suggestions seron
t. Après quelque jonrs d'affaiblissement ces messieurs reprirent leur état normal et, bientôt, cette cure d'antlsonuneil leu
a fonction du contre du réveil. h'état de reit/e. encore plus que l' état do sommeil, dépend donc de l'intégrité de ce cent
e veille ne peut plu* >*tre maintenu. Le sujet reste alors dans un état de sommeil artificiel partager ou de sommeil path
d'où résulterait non seulement le réveil, mais aussi le maintien de l' état de veille. L'homme, dont le centre du réveil sera
tton carbonique ches les marmottes, out provoqué chez les malades des états de sommeil, dans lesquels ils restaient plongés j
rgane spécial, dont la fonction serait de maintenir le sujet dans cet état de veille. Dans ce cas, cette action ne pourrai
psychique ou d'une action physique. Le réveil ou la terminaison de l' état d'hypnose résulterait d'un processus analogue, ma
tre cérébral dont le retour à l'activité semble marquer le retour à l' état de veille. Cette disposition à être hypnotisé o
prévenue, qui sont disposés à no voir, dans l'hypnotisme et dans les états qui s'y rapportent, que des phénomènes très simpl
ans la moindre difficulté ; l'hypnotisation l'a fait rentrer dans son état second. Réveillée à nouveau, elle est frappée d
bles, il l'a arrachée, petit à petit, a la personnalité parasite de l' état second ; il s'est appliqné à rééduquer la fonctio
ique, puis hypnotique, Zénona paraissait sortir petit à petit, de son état maladif, reprendre peu a peu conscience et s'ache
reprendre peu a peu conscience et s'acheminer progressivement vers l' état normal. On croyait d'autant plus au retour de l'é
ssivement vers l'état normal. On croyait d'autant plus au retour de l' état prime que les diverses fonctions psychiques s'éta
éveillées et allaient en s'améliorant. Or. elle était encore en plein état second : et la suggestion n'avait fait que modifi
it fait que modifier, heureusement, il est vrai, les modalités de cet état second. Le jour du réveil, en février 1900. on vi
que, jusqu'alors, en dépit des apparences, elle était restée dans un état de sommeil hystérique. Son étonnement au réveil s
l souligna le conflit entre les deux personnalités successives. Cet état second,antérieur à février 1906. avait été tellem
llement organisé et discipliné par la suggestion qu'il avait simulé l' état prime. On comprend tonte l'importance médico-léga
e, en apparence. Zénona vivait, en somme, dans une sorte de rêve ou d' état onirique. Un acte délictueux, commis dans ces cir
autre» circonstances, ne parvient pas, d'ordinaire, à influencer ces états seconds. Or. ici, l'état second a été considérabl
parvient pas, d'ordinaire, à influencer ces états seconds. Or. ici, l' état second a été considérablement modifié, précisémen
de l'Hypno-tisme, septembre 1906. suggestion, éthyl-méthylique, l' état second a été tellement transformé qu'il a pu simu
at second a été tellement transformé qu'il a pu simuler le retour k l' état presque normal. Quelque peu différent du sommei
de de terminaison, et aussi sa période d'invasion. Si le retour à l' état normal, au lieu d'être brusque et instantané, a é
d'un organisme où l'intoxication avait préparé un terrain propice ; l' état infectueux avait causé un de ces délires onirique
de chez le Dr Gota, ce psoriasis a suivi toutes les vicissitudes de l' état mental, dont, à chaque instant, il fut, en quelqu
ravant, lestant stationnaire ou s'améliorant de la même manière que l' état psychologique lui-même ; il s'est atténué progres
ténué progressivement, au fur et à mesure que Zénona s'éloignait de l' état second ; il a disparu complètement, dès que la ré
nt, dès que la rééducation fonctionnelle fut pleinement réalisée et l' état second complètement inhibé. Ce fait prouve, une f
itation génitale. En 1901, à propos de l'influence de l'estomac sur l' état mental, je disais que ce n'était qu'à la faveur d
e, de la suggestion et de la psychothérapie en Allemagne. En effet, l' état des choses en matière d'hypnotisme était à ce tem
rincipale de l'hypnotisme se restreindra à son rôle historique. « A l' état d'hypnose > dit-il « l'influence psychique par
-il « l'influence psychique paraît comparativement plus grande qu'à l' état de veille. Dans ce fait nous relovons la cause qu
'état de veille. Dans ce fait nous relovons la cause que c'est dans l' état de sommeil provoqué qu'on a le premier remarqué l
z un nombre restieint de malade nerveux. Dans la pluralité des cas, l' état de veille suffira pour réaliser la suggestion. &g
s hypnoses profondes, que les résultats obtenus par la suggestion à l' état do veille, mariée aux différents autres modes de'
la physiologie ne lui pouvaient suffire. Le domaine-frontière entre l' état pathologique et l'état physiologique de l'esprit
ouvaient suffire. Le domaine-frontière entre l'état pathologique et l' état physiologique de l'esprit montre des relations no
ale, nous rappelons encore la pathographie introduite par Mœbius. les états anormaux de l'esprit tels que la double-personnal
. les états anormaux de l'esprit tels que la double-personnalité, les états de transe et les troubles de la conscience analog
nt du langage comme des autres mouvements de l'expression, celui de l' état de rêve, des instincts et autres, la psychologie
xquelles on a ajouté la psycbasténie. terme sous lequel on groupe des états mentaux indéfinissables, (aboulies, obsessions, d
s la préface de la seconde édition de son livre sur Le sommeil et ses états analogues. il exprime, en termes positifs, le déd
cations diverses qui peuvent être légitimement conseillées contre ces états nerveux. Je suis le premier à affirmer qu'il est
animation, d'intérêt réel.aboutissent le plus souvent à la création d' états d'indolence et d'apathie intellectuelle, dont les
r leur manière d'être, et je puis ainsi me faire une opinion sur leur état physique et mental, sur leur degré de responsabil
; 3° Xévrosee. La quatrième division comprend les enfants dont l' état général altéré influe sur la capacité intellectue
ligentes, mais, parmi celles-ci, 8 0/0 avaient un trouble marqué de l' état général. Récidivistes. — 77 enfants sorties amé
/0), normales plutôt au point de vue de feur développement et de leur état intellectuel, responsables. Elles sont vicieuses
le ; aussi, relevons-nous chez S 0/0 de nos enfants une atteinte de l' état général. Ces accidents passés, on n'a plus aucun
mender les enfants délinquants doivent évidemment varier suivant leur état physique et intellectuel. Pourtant, le fait de le
, il n'avait pas cinq ans et déjà l'onanisme était passé chez lui à l' état d'habitude chronique, automatique, violente même,
s en bas-Age ne sont guère accessibles k la suggestion raisonnée de l' état de veille et aussi parce que, chez eux, on peut r
rmi par le docteur Galtier et d'avoir été mis. par suggestion, hors d' état de se livrer durant un jour à l'onanisme, qu'à da
et des inégalités pupillaires multiples. Pensant à la suggestion à l' état de veille, j'ai observé, j'ai mesuré de l'œil des
implement. 1° Le signe pnpillaire, dans la vie courante, indique un état de réceptivité de l'individu, une suggestion d'au
t plus puissante que cet individu est plus jeune ou prédisposé par un état d'anie antérieur qui fait prédominer I sur B. 2
parties. Dans la première il nous apprend ce qu'on a entendu par l' état hynop-tique, par la suggestion et comment ils opè
succinct de l'historique, l'auteur procède à analyser l'essence de l' état hypnotique. Il s'appuie dans cette analyse sur le
uit cet auteur à admettre que dans son essence l'hypnose constitue un état de sommeil. L'étude des états de sommeil reconn
ans son essence l'hypnose constitue un état de sommeil. L'étude des états de sommeil reconnaît un côté physique comprenant
e Ventrée en sommeil, met bien en vue les principales propriétés de l' état de sommeil, considéré de ce point de vue psychiqu
fantasiastes peuplant nos rêves et régnant sans entraves alors qu'à l' état de veille le contrôle sait refréner la fantaisie
le réel de l'irréel. A la nuit tombante ? quand l'homme se trouve en état de sommeil) la lumière est différemment distribué
oits de la réalité. Le demi-sommeil, autre propriété étonnante de l' état de sommeil, est constitué par un mélange de somme
onviendrait plutôt de nommer sommeil partiel, est dans son essence un état de veille faisant trait d'union entre le sommeil
nion entre le sommeil qui précède et celui qui suit immédiatement cet état mitoyen. Dans l'espèce on ne pourrait sérieusemen
s entre les deux extrêmes de la veille au sommeil complet. L'homme en état de sommeil partiel reste en certain rapport avec
que la définition psychologique suivante s'impose : V hypnose est un état de sommeil se caractérisant par l'existence du ra
risant par l'existence du rapport, cela veut dire : elle constitue un état de sommeil dans lequel l'hypnotiseur et l'hypnoti
ymptômes accompagnant l'entrée du sommeil. Quant l'homme se trouve en état d'excitation : tels le soldat dans la mêlée du co
lade qui était médecin et bien un courant delà sciencehynpnotique ; l' état hypnotique rappelle l'état de recueillement de l'
ien un courant delà sciencehynpnotique ; l'état hypnotique rappelle l' état de recueillement de l'a me en dévotion. ? La
s. De même que l'éducation scientifique vise à mettre l'étudiant en état de poui'suivre seul ses études, l'éducation moral
de renforcer sa volonté. L'hypnose dans ce cas peut servir a créer l' état de concentration de l'Ame nécessaire A favoriser
a valeur du sommeil provoqué en tant que remède calmant dans nombre d' états d'éréthisme nerveux, la danse de St-Guy. certaine
ugles (La vie psychique des), p. 127. Avulsions dentaires pendant l' état d'hypnotisme, p. 30. Bandeau hypnogène (Un), pa
55 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n constate que les muscles sont plus sensibles à la pression qu'à l' état normal et que cello-ci cause au malade une doul
a est notablement au-dessus du niveau A qui est celui du muscle à l' état de repos; puis le malade cessant ses efforts d'
nt D, et par conséquent le biceps est encore bien plus éloigné de l' état de repos qu'il ne l'était en D; puis en G nouve
, nous voyons que la durée totale du phénomène, c'est-à-dire de l' état de spasme musculaire, a été de cinq secondes et d
pas toujours le même. Nous devons encore dire quelques mots de l' état psychique de notre malade, les faits observés d
sez forte, produit même de petites on- dulations dans les mucles en état de contraction to- nique. Les muscles^des extré
tte sensation, mais bien l'impotence fonc- tionnelle causée par cet état spécial du muscle ; nous ne reviendrons pas ici
ue ces variations sont comprises dans les limites qui constituent l' état normal, et que, comme nous l'avons vu chez notr
le-même, soit de bourrelets ou d'ondes musculaires qui indiquent un état actif du muscle pen- dant quelques instants.
c ainsi une sorte de gamme de sensations correspondantes aux divers états de l'appareil transmetteur et surtout de la pla
humide. Depuis cinq ans, tourmenté par des bourdonnements, et un état vertigineux constant, entrecoupé d'accès de verti
e. A droite : l'expérience donne le résultat normal. Un mois après, état amélioré ; épreuve des pressions à gauche, au p
ne. lésion auriculaire comme explication du vertige. Il s'agit d'un état vertigineux chez une jeune fille de seize ans ;
'agit d'un état vertigineux chez une jeune fille de seize ans ; cet état fut jugé purement nerveux tout d'abord, l'oreil
ccrus ces jours-ci, après la venue régulière des règles. De plus un état d'obnubilation avec léger bourdonnement d'oreille
les phases diverses 38 CLINIQUE NERVEUSE. de l'affection, et des états organiques qui accompagnent une otite aiguë sup
nc analyser au moyen de ces résultats de l'épreuve des pressions, l' état anatomique des par- ties auriculaires, aux deux
ablit tout en sa place ; et les rémit- tences caractéristiques de l' état normal reparaissent. Certains traumatismes ou a
'une chute. A la suite de ce malheur, elle resta trois mois dans un état de dépression lypémaniaque. Guérie, elle fut à
cet homme lui était devenue insupportable. Elle se désolait de cet état , voulait réagir contre et n'en pouvait mais. El
tentative d'asphyxie par le charbon. Transportée à l'asile dans un état assez alarmant, elle sortit guérie au mois de j
s ses renseignements, elle a toujours conservé la conscience de son état durant sa maladie. Au moment de la crise, en dé
nte- nir en public au point que personne ne se doutait du bizarre état de son esprit; et se livrait même à des études sé
i à son mari, ni à ses enfants ; elle a pourtant conscience que son état s'aggrave : l'attrait du suicide augmente; la mal
nt toujours inconscientes ? Je le crois. J'ai indiqué plus haut les états de conscience qui se produisent soit au début,
soit dans le cours de la para- lysie générale, mais ce sont là des états fugitifs, de simples épisodes de la maladie, et
les se concilierait-elle avec la conservation de la réflexion ? Les états transitoires que j'ai décrits se comprennent à
nos passions, tout la fois elle apprécie sainement quelques-uns des états de notre être et est trompée sur d'autres. Se c
ix mois la marche était à peine possible à l'aide de béquilles. Cet état dura jusqu'en 1870, époque à laquelle le malade
ume de la façon suivante : il survint peu de modifications dans son état général pendant trois ou quatre mois à dater de s
idents semblables; mais dans cet intervalle, il se produit dans son état un grand chan- gement, dont il a conscience. Sa
ependant, puisqu'il y a un lien générale- ment admis entre ces deux états , nous pouvons faire remarquer que chez un très
tion appréciable à l'oeil nu 1. Ainsi nous voilà en présence d'un état moral qu'on peut à peine considérer comme patho
tre donc nettement qu'il n'y a pas de relations nécessaires entre l' état moral et intellectuel et la morpholo- gie gross
de la Salpêtrière, n'avaient rien présenté de particulier dans leur état mental. Un seul autre exemple de cette anomalie
s et en bas (strabisme divergent, les pupilles sont rétrécies). Cet état de tétanisne persiste pendant cinq à dix minutes;
le relâchement [phase de résolution), mais la malade reste dans un état comateux ; la face est cyanosée, la respiration
te période est peu accentuée chez notre malade. Elle consiste en un état de torpeur, pendant lequel la ma- lade n'entend
ncore l'expres- sion de la colère, parfois elle se met pleurer. Cet état disparaît au bout d'une demi-heure, mais la mal
ement continuel dans le gosier, par- fois une toux spasmodique. Cet état dure quelques heures, et même jusqu'à vingt-qua
uche ou s'appuie contre un objet quelconque, et tombe alors dans un état d'anéantis- sement qui ressemble au sommeil. Bi
uelque temps de mal de tête et de fatigue dans les membres ; mais l' état s'améliore rapidement, et souvent elle retourne
lus lents et plus faibles, et la malade se trouve dans une espèce d' état léthargique que je ne pouvais pas regarder sans
pas regarder sans craindre de le voir se terminer par la mort. Cet état dure de une à trois heures. Des convulsions, du
uccédaient de façon à constituer ce qui a été désigné sous le nom d' état de mal hystéro-épileptique. Enfin l'influence de
oduit un double résultat opposé : l'arrêt des convulsions pendant l' état de crise et au contraire le développement des con
ise et au contraire le développement des convulsions en dehors de l' état de crise. C'est ce que le médecin américain a pu
a langue, et perte momenta- née de connaissance. Ensuite survint un état de délire avec illusions et hallucinations terr
e et deux- enfants. Elle en eut un violent chagrin et tomba dans un état voisin du désespoir. Le soir elle allait fréque
quitté l'hôpital, elle y rentra de nouveau le 9 juin 1880, dans un état d'inconscience ou de demi-inconscience. Elle av
es générales. Je vais essayer de donner un aperçu de ces différents états et de leur mode de succession, tels que je les
eloppement éloignant l'idée de l'idiotie, M. Pollak se basant sur l' état congestif prodromique, les attaques apoplectifo
ntinue du processus, de l'excellence de la santé anté- rieure, de l' état d'induration de certaines artères périphériques,
es sciences de Caen, M. Duret a fait un exposé clair et précis de l' état de la science sur la question des localisations
tifs, fibres d'association. 106 SOCIÉTÉS SAVANTES. Il mentionne l' état de nos connaissances au sujet du cerve- let et
entir me semble devoir être rattaché à ce que j'ai désigné du nom d' état malicieux. Pour ma part, il m'est impossible d'
tence à laquelle on les observe. Pour caractériser enfin d'un mot l' état de cet enfant, on peut dire de lui que c'est un
urnir. M. Motet propose démettre à l'ordre du jour de la Société, l' état mental des enfants et s'engage à développer lui
décrite de la mélancolie anxieuse. Le signe caractéristique de cet état est dans le titre même sous lequel M. Cotard l'
s tracés sont identiques chez l'homme et chez la grenouille, dans l' état de santé et dans l'état de maladie ; mais quand
chez l'homme et chez la grenouille, dans l'état de santé et dans l' état de maladie ; mais quand le muscle est atteint d
Dr Bard fait une communication sous ce titre : Des symp- tômes de l' état de santé intellectuelle el de son diagnostic avec
difications de fonction d'un organe, il faut d'abord en connaître l' état normal, 11 en énumère quatre : 1° l'instinct de
ent être classés dans la même catégorie, car tous deux sortent de l' état intellectuel ordinaire. SOCIÉTÉS SAVANTES. 117
ent atro- phiée et'ne contenait plus qu'une ou deux cellules en bon état ; mais à droite les groupes de cellules étaient
cins ou deux rapports distincts au procureur de la République sur l' état mental de la personne à placer. Ces rapports se
tenu de consigner sur ce registre les change- ments survenus dans l' état mental de chaque malade, au moins chaque semain
VARIA. Néanmoins, si le médecin de l'établissement est d'avis que l' état mental du malade pourrait compromettre l'ordre
nom et la résidence des personnes qui auront retiré le malade, son état mental au moment de la sortie, et, autant que p
nt d'aliénés, de toute personne interdite ou non inter- dite dont l' état d'aliénation compromettrait l'ordre ou la décence
semestre, un rapport rédigé par le médecin de l'établissement sur l' état de chaque personne qui y sera retenue, sur la n
sonnes dont le placement aura été volontaire et dans le cas où leur état mental pourrait compromettre l'ordre public, la
et hospices ordinaires que le temps nécessaire pour constater leur état d'aliénation mentale et pourvoir à leur transfère
parce qu'elle l'aura considéré comme irresponsable par suite de son état mental; 2° Tout inculpé poursuivi pour délit qu
d'une ordonnance de non-lieu comme irrespon- sable, à raison de son état mental. Si la sortie d'un de ces internés est d
malités pres- crites par l'article 15, les aliénés indigents dont l' état mental ne compromettrait pas l'ordre public, la
ministrateur légal devra soumettre au procureur de la République un état sur la situation financière de l'aliéné. ART. 4
ont communiquer à l'ad- ministrateur, un an après l'internement, un état sur la situation de l'aliéné. ART. 50.-Les pa
tions. Il sera tenu de présenter tous les trois ans au curateur, un état de la situation de fortune de l'aliéné. ART.
ouvelés qu'après que ledit administrateur aura fourni au curateur l' état de situation prescrit par l'article 52. AnT. 5G
gence et celui de la divergence, ou plus exactement du retour à l' état parallèle. Le second pourrait être con- sidéré
mpagné d'aucun autre symptôme céphalique. Le 25 mai je constate l' état suivant : Le malade éprouve toujours de la diff
Le 17 juillet la voix est nasonnée. Le 19, le Dl Girou trouve que l' état dynamométrique est de 28 kilog. à droite, de 48
log. à droite, de 48 kilog. à gauche. Le 2-2 juillet, je constate l' état suivant : la paralysie conju- guée est plus pro
éprouvé de diplopie et l'on n'en cons- tate pas actuellement. A l' état de repos il n'y a pas de déviation des yeux, ni d
i observé le ma- lade pendant un mois et demi environ, sans que son état se soit modifié. Le traitement a consisté en
cette direction, elle accuse une douleur frontale, du vertige et un état nauséeux. Diplopie croisée, persistant dans tou
te de l'ac- commodation sans mydriase. Les pupilles sont égales, en état de contraction modérée. La réaction est faible
examen, le malade, admis dans le service de M. Charcot, est dans un état qui ne permet pas de pratiquer l'examen fonctio
convergence et de l'accommodation. Donders a démontré que, dans l' état normal, le mou- vement de convergence et l'effo
mais toujours moins prononcée le matin. Le 12 avril je constate l' état suivant : Les mouvements des yeux se font avec
mouvements parallèles, lesquels ayant une grande amplitude dans l' état physiologique, produisent toujours, dans leur p
nées. Cette forme de diplopie parait donc habituellement liée à l' état vertigineux. Je n'ai pas besoin de rappeler le
fréquemment observé dans le vertige de Ménière, mais surtout dans l' état verti- gineux. L'absence complète de variation
ervée et l'audition par la voie de l'air fort amoindrie. Dans cet état anatomo-pathologique, on n'observe ni vertige n
laquelle il est allé consulter M. le Dl Rondeau, qui, frappé de l' état de l'audition, m'envoie le malade à examiner. Le
'a pas eu de nouvel accès à tomber, mais il est constamment dans un état vertigineux, qui l'em- DU VERTIGE DM MÉNIÈRE. 1
se mettre au lit, tout tournait autour d'elle; elle était comme en état de syncope, assourdie, hébétée, vomissant au mo
ope. A droite : au premier coup, choc extrême, pâleur de la face, état demi-syncopal, la face se porte du côté opposé;
pason frontal que celui-ci perçoit, sont donc en rap- port avec l' état de mobilité et de conductibilité du tympan. D'u
dont la mobilité peut désormais être étudiée et appré- ciée. A l' état normal, il y a concordance complète entre ce qu
al, et aussitôt le vertige. De ce parallèle, on doit conclure que l' état de la paroi labyrinthique du sujet, et de l'art
onduction du son du diapason par la voie crânienne, enfin avec un état fluxionnaire très accusé de la muqueuse de la g
ont : le relâche- ment tympanique, l'obstruction des trompes, et un état (luxionnaire congestif, subiuflammatoire, du ph
c sur le labyrinthe a lieu. J'ai observé le vertige de Ménière et l' état verti- gineux, quarante-six fois. Dans ces quar
t guéri depuis longtemps (trois cas). On a donc pu diagnostiquer un état pathologique des fenêtres ovale et ronde, et de
Il y a là, dans cette pathogénie, affaire de proportions entre les états anatomo-pathologiques et les causes d'ébranleme
en définitive recevoir qu'une certaine somme de liquide sanguin à l' état sain, se trouve dans l'impossibilité 188 CLINIQ
lle de l'étrier, et de comparer les résul- tats de l'épreuve. A l' état sain il y a concordance complète entre les sens
. Elle se montre à titre de complication dans le cours de plusieurs états morbides des centres nerveux. Elle provoque, se
oyaux des segments tubulaires sont gonflés, et plus nombreux qu'à l' état normal. Le proto- plasma a végété, etse montre
goutte- lettes myéliniques. Ces gaînes vides, ainsi décrites à l' état isolé, se dis- socient mal d'ordinaire et reste
s altérations que nous venons de décrire se présentent rarement à l' état d'isolement absolu. Il peut arriver que toutes
ons trouvé à côté de fibres profondément dégénérées, réduites à l' état de gaînes vides, des fibres nerveuses grêles, à c
il s'agit là de fibres régénérées et présentant les caractères de l' état embryonnaire. On observe du reste des fibres to
eux; le protoplasma qui les entoure était gonflé plus sombre qu'à l' état normal et parsemé des mêmes granulations. Tel
s. La fesse du côté opposé' ne présente rien d'anormal. 26 mai. L' état de la malade s'est aggravé. Il est impos- sible
e la paume de la main, sans décollement épidermique. 27 mai. Même état général. L'eschare fessière gauche mesure sept
rares. 11 n'y a pas une seule fibre présentant les apparences de l' état normal. Les racines et les nerfs autres que les f
Saint-André, salle 10, service de M. Démons. Cet homme est dans un état de coma absolu ; la respiration est stertoreuse,
u pied est exagéré à droite. Relâchement des sphincters. 24. Même état . Le malade exécute cependant quelques mouvement
lables par leur aspect, leur diamètre, et paraissant répondre à des états bien différents. Les unes, les plus nombreuses,
quelques fibres cependant présentent le type 3 ou sont réduites à l' état de gaines vides (type 5). Les autres sont des
cellules plates ont paru plus nombreuses, plus volumineuses qu'à l' état normal et gonflées par la présence de granulati
t de la mémoire, délire hypochon- (lî,2*aque, idées de persécution, état cachectique. Phtlaaisie pulmonaire avancée. - A
idées, du délire hypochondriaque, de la faiblesse musculaire, et un état cachectique. Nous ne pouvons nous procurer aucu
n propre nom et répond Présent; dit qu'on veut le faire mourir. Cet état persiste jusqu'à la fin du mois avec quelques i
quelques intervalles de calme. Pas de changement appréciable dans l' état général. J;i ! 'H. Stupeur. Le malade gémit, il
supérieur. Pas de caverne à droite; tubercules ramollis au sommet, état granuleux MÉNINGITE TUBERCULEUSE CERÉ13RO-Sl'lN
e. Le sujet, déjà porteur de lésions avancées, a d'abord présenté l' état mental qu'on observe fré- quemment chez les ind
sensation d'une boule remontant à la gorge. A partir de ce jour, l' état général s'est sensiblement modifié. L'anémie s'es
ué ; la salade, les fruits verts étaient les aliments préférés. Cet état dura près de deux ans. Il y a environ un an (
t fixes, les membres roidis. On ne peut obtenir aucune réponse. Cet état dure environ deux minutes ; après quoiJ... nous
er à la pêche. Elle venait de tomber presque instantanément dans un état semi-cataleptique. Ses membres conservent la po
ier, et de l'eau froide projetée sur le visage font disparaître cet état qui a duré environ quinze mi- nutes. La malade
cet état qui a duré environ quinze mi- nutes. La malade revient à l' état cataleptique d'avant l'attaque : réapparition d
la vue, visions sombres. ,18 aoùt. - La nuit s'est passée dans cet état , la malade n'a pu dormir. Elle a prononcé quelq
d'environ cinq à six minutes. La malade n'en reste pas moins dans l' état semi-cataleptique qui avait précédé la crise. L
de la malade dans l'intervalle des attaques, et qui ont traita cet état cataleptique singulier, pour arriver au récit d
ésie ont persisté, et à partir de ce moment la malade entre dans un état de mal absolument analogue à celui qui a existé d
analogue à celui qui a existé du 17 au 23 août ; c'est-à-dire que l' état cataleptique persiste non seu- lement pendant l
ou moins éloignés et sont tantôt isolées, tantôt subintrantes. Cet état de mal a persisté depuis le 5 octobre à onze he
période de calme et passe la nuit dans 230 REVUE CRITIQUE. - cet état que j'ai précédemment décrit ; elle a des halluci
points anesthésiés et tout s'est terminé par le retour complet à l' état normal. Pendant toutes les attaques la 'compres
ennes qui engendrent spontanément l'hystérie. Celle-ci résulte d'un état d'irritation particulier de certains départemen
ent et de l'excitabilité du sys- tème nerveux utéro-ovarien et de l' état local des organes sexuels, en ayant soin d'asso
ite auront répondu durant la vie des symptômes indépendants de tout état coma- teux, l'auteur rapporte une observation q
GIE NERVEUSE. 2H pu sur leurs sujets reproduire expérimentalement l' état léthar- gique, l'état cataleptique et l'état so
r leurs sujets reproduire expérimentalement l'état léthar- gique, l' état cataleptique et l'état somnambulique. Les carac-
re expérimentalement l'état léthar- gique, l'état cataleptique et l' état somnambulique. Les carac- tères vraiment distin
t somnambulique. Les carac- tères vraiment distinctifs de ces trois états nerveux différents consistent dans des modifica
embres, qui gardent long- temps les positions communiquées, enfin l' état somnambulique, d'après eux, parun état de rigid
itions communiquées, enfin l'état somnambulique, d'après eux, parun état de rigidité générale de tous les muscles. Les a
ions suivantes. Les modifi- cations musculaires qui caractérisent l' état léthargique, l'état cataleptique et l'état somn
modifi- cations musculaires qui caractérisent l'état léthargique, l' état cataleptique et l'état somnambulique ne diffère
ires qui caractérisent l'état léthargique, l'état cataleptique et l' état somnambulique ne diffèrent en somme que sous le
gmentation de l'excitabilité de l'appareil neuro-musculaire. Dans l' état léthargique, cette augmentation de l'excitabili
mme des moda- lités différentes d'un seul fait vraiment spécial à l' état hypno- tique et qui consiste dans une augmentat
strer ces réactions, au moyen de la myogra- phie ; on a ainsi sur l' état du muscle des renseignements bien autrement sér
ires l'augmentation rapide du volume de la masse encéphalique et un état tel des sutures qu'elles ne se laissent plus di
nt la mort, sans participation de la dure-mère. Ils distinguent cet état de la péripachy méningite spinale de Traube et
, et parallèlement par l'abais- sement de la température ; ' 2° L' état oedémateux, solide, de la peau et du tissu con-
uis guéri et veux reprendre ma place dans la société. » Tel est son état actuel. Evidemment, on ne peut baser sa mainten
le degré de perfectionnement que nous allons exposer. Né en 1836 en état de surdité complète, il était, sept ans plus ta
iculation. Aujourd'hui, ce sauvage instruit etéduqué, habile dans l' état de tourneur en bois, communique constamment ARC
nnaissance. A une époque plus avancée, accès de petit mal, suivis d' états de sommation d'une durée de quinze à vingt minu
réaction électrique, ne doivent pas être tenues pour le signe d'un état pathologique du muscle, et par suite, elles ne
lucide qui sépare chaque accès ne se manifeste pas toujours par un état intellectuel parfai- tement satisfaisant. Chez
usieurs années, les périodes de rémission sont caractérisées par un état psychique anormal, mais sans manifestations dél
uite do cette première attaque les choses sont restées dans le même état où elles se trouvaient antérieurement, c'est-à-
méningée localisée au niveau du lobule paracentral . 2 mars. -,Même état de la motilité~et de la sensibilité. Les réflex
au niveau du lobule paracentral qui est pour ainsi dire réduit à l' état de' masse tuberculeuse. Il est très remarquab
.nf;)frf;r< ! .ttt . 1 , IftM I CI p U 1 . 5 avril ? 1 ? - Même1 état .' La iaco est toujours indemne, quant aux troüb
mpossible de'constater'un trouble quel- conque de la sensibilité. L' état de la sensibilité du membre inférieur est le mê
ct, parait un peu plus obtuse qu'à'droite; mais il faut noter que l' état intellectuel de, la malade's'obnulüleysérieusem
la malade rapporte 1 excitation a la face interne du bras, mais son état intellectuel ne nousparait t pas permettre d'ac
ne grande confiance à ses déclara- tions. EUeest, en effet, dans un état de prostration considérable : la face cyanosée
immersion dans l'alcool'absolu et il n'est pas faitmen- tion de l' état des racines. L'opinion 1 qui' 'rattache;, le 1
stée jusqu'à pése-ntil à "l'étati"d ? hylôthèsel'p'ure;18'ét dans l' état actuel'de la'science,' on ne'serait pas* autori
oh U, 8noil^riG<j , . Etat au moment de l'entrée (15 iuillet). L' état générai est ... mauvais, d apparence cachectiqu
1· ? 1, ,9t'r 1 .. Ru·l- ! y'Ir. .,·'1·' 30. Le malade,est dalisuii état ,(1'affaissement et, de,.fai- t, blesser eYtre",
éjèrementyri-'j satre, presque exsangue-*et plus consistante qu a 1 état normal. z Le spongieuxisonf également moins rou
'Ur," a5tendon a..provoquefunc secousse très .brusque suivie d,un. état tétanique qui maintenait la jambe étendue penda
membres inférieurs, de l'incontinence d'urine, c'est-à-dire dans un état qui rendait l'examen difficile et ne laissait auc
J''t | /t ? f)t.h ? i i ( | z tion dynamique qui, dans le cas de. l' état léthargique, se traduirait par une exaératioll
OTISME CHEZ -LES HYSTÉRIQUES. 313 3 excitabilité plus grande qu'à l' état normal. La plupart des raisons que nous» avons
e la'face'une grimace beaucoup plus'vive et plus accusée que dans l' état léthargique ordinaire. Les muscles''d'u' front,
sance la malade demeure dans un t ,n · f - 1, "' ·11 '1 -J ti I 1 état d'ébriété dû à ·1 action chloroformique. Elle tut
s, modifications neuro- musculaires ? que,(li'on i observeldaiis, l' état somnambu- lique.,Eii dehors,delétat,lélharique-
1,11 ",( ? n, ,.izi h ? si Lorsque la jinalade est iptongée, dans l' état somnam- bulique,t,lespropriétés d'excitabilité
5 rv(r-tr1 ! ·1 rn v t "' ' membre qui, tout à l'heure -7 pendant l' état léthargique 0 ? 1rt`m `(t in'Rt'nt sf/poi-p» pq
RnYjl V" ? h ? i'w : H facilement appréciable, caractéristique de l' état de le- rt riltl(,rj t.rty r : ;f'r i ``31 'tI ?
>l t ? (tf;It `1'Srt')(i'ltirrt ) faits de contracture pendant 1 état somnambuhque ont lçrnftrtf5rv '1tt 'it.rr;fT %`
. I .. , , ' ? . i ' '. ' Pour la production de la contracture de l' état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 '
ï J ' 11 «i.l, . - , , ,am·t ? t'i | contraire, la contracture de l' état somnambulique ne -MI' ! Il t m > ? if "'1 "t
- ? l.. ,IL] * ) 0 '« ' Il rit 9 0 susceptible la contracture de l' état léthargique. Pendant agit-4 ,tt ...l, , 1 £ , .
thargique. Pendant agit-4 ,tt ...l, , 1 £ , . . ? , 1 .ni ? - , l' état somnambulique, la contracture est plus diffuse, ,
mbre.. ,.ltl 1 , ? »* ...' · I ' ni . - 't I...' ? ll.JI w Dans l' état léthargique, les réflexes tendineux sont .' y &
- . t ! Il' i : » - . . , .. , i ? . ' - "I contracture., Dans l' état somnambulique, les réflexes. I 1 i 1 " i i ? ..
à la contracture. ( ., 1 1 1 . . , l . . Enfin la contracture de l' état léthargique ne se résout ,. ! > Hl La )-Il#,
1 ., 1 ., ' , t " I ' - I . ' ' . M - 1 I ! Nous rappellerons que l' état léthargique est . pro ? voqué d'emblée par l'em
- f 1 ,··1 f n n¢ r ·' ! wenin , rr i- vrfi rr 1. r.l,·· cède a 1 état cataleptique pari occlusion des'paupieres, où q
t laryngé spécial et par la montée d'un peu d'écume aux lèvres. L' état somnambulique, au contraire, est provoqué d'emb
<)' 1 . menés psychiques nuls ou très incomplets, tandis que l' état somnambulique, en outre des faits de contracture
é;Jç ést latdih ? mu;)<Fc ? â propreJ,éx(lçsslon., Sortie de son état ., d'inconscience, elle, conserva, u.nc.,pa''ab'si
j ? t"Q)'f"f ? t ? tt'of'r,rt ? ttl'jt ? "f paraît inquiète de son état ? contrairement aux hystériques que nélp'éucerï
lunll.Jt : f '1Ul ? KI" ji'"n 2lLlr.tl nL idiot i,l Le'2'2,J'mêmc ? état ;f,'cmislipatiori'' depuis deux ? jours; cinquante
lèvre. ' )n9n ? ? -j JM (bi311""4 ? »' I : isummib 'ddmaa 2o, même état . Cependant la,lé51on trophŸquesignalée la.veille
iiiala'dè*'iié's'eii"tio'u-ve""p'o'intm.odifié'll" J-1 ucLe 3, même état ? La : %a)ade,nia)g'r6 les'dangers que pe'ut'd-
s jours' de' courants continus," la1 contracture semble diminuer; l' état général est excellent. ,'1 ? 1' L' <1" z en'
rw «1 i'â 21o'e" ... ? i ? i- », - -- ca8 ^, ' Troisier. Note sur l' état de la moelle épinière dfins,un\cas d'Jiémi^.0'^
térés ! des accès précurseurs eux-mêmes' d'une aggravation dans l' état ànesthésique' de l'achromatopsie : tels après un
a- vant'et' pendant 'lés pauses,' le 'fond de 1 aell rëprésentait l' état normal" ·1 1 ? r ? n'fn ' ,nt . r tt ? n ,'1, c
sée par une dilatation aiguë, des, vaisseaux sanguins delà peau, en état d'hyperthermie, contrastant avec, une .températ
anspiration, puis d'une sensation defroidsubjective ayeCjCyanosp et état blafard des extrémités, qui précède l'accès^ ,J
l'autre. Puis les centres d'innervation vasculaire récupérant leur état pathologique primitif graduellement, le transfert
ctilité électrique, l'absence de troubles trophiques cuta- nés et l' état normal des sphincters, qu'on ne saurait retrouver
Les vomissements non douloureux surviennent plus fréquem- ment à l' état isolé ou par petites crises, alors que leur indé-
rtrophie; 2° la mul- tiplication des noyaux intracellulaires ; 3° l' état vacuolaire ; 4° l'altération pigmentaire et l'a
cellule, dont le protoplasma est plus clair, plus réfringent qu'à l' état nor- mal. Les prolongements sont conservés ains
t que d'une hypertrophie véritable. En effet, si on l'exa- mine à l' état frais, on constate que son contenu se colore fai-
e la série des accidents, y compris l'aphasie et la polydipsie, à l' état général engendré par l'insuffi- sance rénale. D
même période et au même appareil (nerveux), doivent être reliés à l' état des reins. Ces psychoses seraient à l'urémie cé
ie') de disposi- tion des poils, la coloration,de.l'iris, jusqu'à l' état deslanneaux aponévrotidues,(hernie) ? des,,orif
n des qualités transmissibles adhérentes aux générateurs, mais de l' état dynamique de la puissance con- ceptuelle de la
nfin, les accès de sommeil s'acctoissentctscprolongent. Tel est son état à son arrivée. Les crises d'hypnotisme ne se res-
lectuelles n'ont, au reste, subi aucune perturbation qualitative. L' état général est celui d'une chlorotiquc. L'évolution
mois de maladie. Les renseignements postérieurs ont appris que l' état mental était redevenu normal bien que la fillette
apathie. En effleurant légèrement son visage, on provoque un nouvel état d'hypnotisme profond. Puis la guérison s'effectue
ypnotisme. La parole et l'ouïe sont abolies pendant la durée de cet état ; ces fonctions ne se rétablissent point dans l'
rua- tion irrégulière. Signalons la dilatation pupillairo pendant l' état de sommeil dans ces trois observations. L'aut
on sait, progresse d'avant en arrière. P. K. DE H. sollicitude DE l' état A l'égard DES épileptiques; par F..IOLL1'. (Arc
ique où on leur délivre des médicaments gratuits ; 20 Ceux dont l' état nécessite l'admission temporaire dans des établ
raitement des maladies des femmes, exercent une action nocive sur l' état mental.des aliénées, même quand-ils n'engendrent
dégénérescence mentale ; 4° Le résultat de cet examen décidera de l' état névropathiquo particulier de , l'inculpé ou, du
t;"J«n'»«p,-» ? tat'oif de vides intellectuels' et éthiques dans I, état , mental ? ...'.PV v W , yiii ? 11 .a·,·y J41111 ,
usuels; l'opium et les.lavements ont leurs indications tirées de l' état local de l'intestin. La maniaque qui'manipule s
donner de-, preuves. Les convulsions se rencontrent dans plusieurs états diffé- rents de l'épilepsie; d'ailleurs le mala
ons résumées ici, ajoutait à l'adoption de la pénalité concernant l' état d'ivresse publique : « Dans les cas où « l'incu
années de la vie. 2o L'idiotie complète est incurable. Mais, cet état , se rapportent L maintes/ormes d'épuisement ner
l appartient ; 396 SOCIÉTÉS SAVANTES. (1) De relever le nombre, l' état , les conditions de ces malheureux par les soins
e l'or- gane. Plusieurs séances avaient considérablement amélioré l' état du malade, et l'on avait résolu d'employer déso
uffisants ; la première loi prescrivant un placement con- forme à l' état mental du criminel (1800) ; la loi de 1816 ordon-
re saisir, en médecine légale, si l'individu que l'on étudie est en état de réflé- Cllir sur les suites de ses actions,
u'on doit le transférer dans un asile d'aliénés ; 'aussitôt cesse l' état aigu et apparaît l'imbécillité congénitale. ' S
kow) et Tic"es sont d'avis que la détermination pure et simple de l' état mental suffit, sans qu'on soit obligé de pénétr
stérie, de la folie hystérique, de la clinique médico-légale de cet état morbide, et de son diagnostic, sans oublier un
es en trois degrés : 40 troubles légers des facultés affectives; 2° état mental envisagé dans l'enfance, à l'âge adulte
e présenter avec des degrés très divers : 10 tantôt c'est un simple état de dépression mélancolique; 2° tantôt il existe
d'excitation offre aussi des degrés différents. 4° Ce peut-être un état de simple exaltation mentale; 2° d'autres fois
se présente dans ses deux phases 'avec une intensité variable : 1° état mélancolique et simple exaltation mentale; 2° m
e anxieuse ou avec stupeur et simple exaltation mentale ; 3° simple état mélancolique et manie aiguë ; 4° mélancolie ave
et d'un délire vésanique est de nouveau mise en lumière : ces deux états morbides conservent chacun leur évolution spéci
ut d'abord l'auteur expose les motifs qui l'ont amené à penser à un état infectieux du sang ; ils sont puisés dans l'analy
l'analyse des symptômes analogues et communs au délire aigu et aux états typhoïdes. « Cette analogie dans les symptôme
irection (le Quinquaud et Malassez ; il a toujours tenu compte de l' état elilorolique et anémique antérieurs et des autres
compte de l'état elilorolique et anémique antérieurs et des autres états morbides capables d'engendrer des causes d'erreur
eur possibles. « Ces modifications se rencontrent au maximun dans l' état de col lapsus, d'où cette première conclusion q
n de ces organismes parasitaires ne se rencontrent dans le sang à l' état normal. L'auteur, sur sept cas de délire aigu, a
els les mi- crobes ont été constamment constatés, et il rapproche l' état de surexcitation du délire aigu, l'état du surm
onstatés, et il rapproche l'état de surexcitation du délire aigu, l' état du surmenage cérébral de l'état du surmenage de
de surexcitation du délire aigu, l'état du surmenage cérébral de l' état du surmenage des hôpitaux. Enfin il insiste sur
a·icaz nervousness) : si Beard n'a pas été le premier à décrire cet état qui avait déjà fait l'objet de plusieurs travau
e la), par Flint, 233. Santé intellectuelle (des symptômes de l' état de et de son diagnostic avec la folie), 116. Z&
56 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n. Maladie de Raynaud à la deuxième période, affec- tant la forme d' état de mal asphyxique, survenue et la suite d'une é
e une. sensation de pesanteur accompagnée d'une légère douleur. L' état de santé fut bon jusqu'au mois de décembre 1891.
alomnieuses. La malade éprouva alors de continuelles insomnies. A l' état de veille, et dans ses rêves, lorsqu'elle venai
e commença se montrer. La malade vit alors pour la première fois un état d'asphyxie suc- céder sur ses doigts à l'état d
r la première fois un état d'asphyxie suc- céder sur ses doigts à l' état de syncope. Les phénomènes se repro- duisirent
des doigts. La paume de la main conserve sa coloration normale. A l' état de syncope, les doigts sont d'un blanc de cire
t dans tous les doigts de la main. Parfois un doigtreste encore à l' état de syncope alors que l'asphyxie a déjà envahi l
rictions faites sur les doigts paraissent augmenter la durée de cet état . La malade éprouve une sensation de chaleur en pl
ocale, rarement d'asphyxie. , 10 CLINIQUE NERVEUSE. En outre, à l' état de veille, la malade ne se souvient plus de sa
e son ennemie de Chaumes. Bien plus, elle n'y pense plus, même en état d'hypnose. Elle refuse même d'y penser. Quand nou
e qu'elle nous décrivit d'ailleurs. Cette idée, elle l'a gardée à l' état de veille. L'examen du tableau des crises montr
re autour des paupières et du nez. Néanmoins elle se trouve dans un état relativement satisfai- sant et peut travailler.
habituelles. Au bout d'un certain temps s'est installé un véritable état de mal avec dix à douze crises par jour d'une d
t son idée fixe rappelant ses crises, il s'établit un cercle dont l' état de mal est l'expression symptomatiqne. C'est
ANS LES PSYCHOSES. 47 De même qu'une infection antérieure diminue l' état de résis- tance et d'immunité antérieures d'org
érieures d'organes spéciaux comme l'urèthre et l'utérus, et crée un état de réceptivité de ces orga- nes pour des infect
. femme Ch ? 53 ans. Pas d'antécédents héréditaires. Intégrité de l' état mental jusqu'à 39 ans. Première période dure 3
lait-il pas dire clairement qu'elle avait pour mari un cochon ? Cet état de pénible malaise, d'incubation, dure trois ans.
u nom de démence; ce terme s'adressant, d'une manière générale, aux états intellectuels en voie de déclin. Cette évolut
essayerai d'atteindre en vous exposant dans les leçons prochaines l' état mental des dégénérés. LES DÉLIRES PLUS OU MOI
rent en outre des hallucinations sans nombre, peut-être dues à un état de faiblesse irritable des éléments anatoiniques
cet auteur, le Wahnsinn, aigu ou chronique, a pour caractère que l' état de l'humeur correspond au genre des hallu- cina
hronique, acquise ou d'origine dégénérative, ce qui veut dire que l' état de désordre intellectuel aigu (verwirrtheit), n
ution ou autres, plus ou moins cohérentes suivant qu'il s'agit de l' état aigu ou de l'état chronique. M. Kroepelin, de
lus ou moins cohérentes suivant qu'il s'agit de l'état aigu ou de l' état chronique. M. Kroepelin, de son côté, n'emploie
umeur varie, mais l'ensemble de la sensibilité affective reflète un état d'angoisse. Le Wahnsinn de Kroepelin a pour élé
est avant tout insuffisant, et les facultés mentales sont dans un état d'infirmité qui préside à l'évolution de la malad
tre ques- tion de Verrùcktheit. Dans cette dernière, il s'agit d'un état de faiblesse mentale ayant pour symptômes cardi
qui est caractérisée par des hallucinations pressées et mobiles, l' état d'humeur des malades variant avec la même rapid
icité irrépa- rable. Quelques-uns de ces malades en meurent dans un état d'agitation permanent, c'est pourquoi il en fau
'épilepliques que l'on rencontre aux États-Unis (douze mille pour l' état de New-York seul), et énuméré tous les obstacle
téristique de l'hystérie (ceci est à craindre chez les individus en état d'hynoptisme). Dès lors la par- ticipation des
lessure céphalique grave, d'autant plus qu'il était phthisique; cet état physique a une grande importance dans l'es- pèc
ion de certaines séries de conceptions. Mais avant de qualifier cet état de pathologique, il faut tenir compte de l'ensemb
omaine même. L'assistance libre des femmes est pratiquée quand leur état la comporte ; dans ce but un a modifié l'ancien
on soutenue, appréciant les moindres changements survenus dans leur état . Rien ne lui échappait, aussi bien dans l'état me
s survenus dans leur état. Rien ne lui échappait, aussi bien dans l' état mental des malades que dans leur santé générale
e aigu, de la para- lysie générale ou péri-encéphalite diffuse, à l' état simple ou com- pliqué, du ramollissement cérébr
ord, puis trépané et guéri de son amnésie primitive. Il persiste un état mental curieux, consistant en une tendance à la
ette forme du délire des persécutions, ce persécuteur n'est plus en état de s'occuper de ses affaires et que par suite il
mais pour cela il faut qu'ils déterminent, précisent, établissent l' état mental de la personne qu'ils examinent. Les pre
ental de la personne qu'ils examinent. Les preuves à l'appui de cet état mental sont nécessaires, or celles qu'ils appor
une lésion ou quasi-lésion, de la paralysie ? Puis-je améliorer mon état ou seulement retarder la marche toujours ascend
able, il ne pourrait y être soumis sans un préjudice sérieux pour l' état géné- ral de sa santé. En résumé, il s'agit d
transitoire, à la suite d'une émotion minime, le même phénomène à l' état d'ébauche. Enfin à en croire le malade, cette p
tervention d'une cause occasionnelle. Chez les neurasthéniques, l' état mental exerce, comme on sait, une grande influe
. Mais elle se distingue de la folie systématique (paranoïa), par l' état de la lucidité constatée dans cette dernière qu
conscience (Wille). On voit la confusion men- tale se présenter à l' état intercurrent dans les psychopathies les plus di
issent, pour un instant, à déchirer le voile qui les couvre. En cet état , le malade a encore un léger souvenir, quoique
mot dans les formes violentes de manie; quand celles-ci passent à l' état chronique, la confusion mentale, géné- ralement
sion des idées qui, sous la forme de galop, se produit d'emblée à l' état de symptôme intercurrent dans la folie systématiq
conscience. Très fréquent dans la paranoïa, il masque tout à fait l' état du sentiment qui ne paraît pas atteint. Mais il
natoire aiguë; de même les hallucinations peuvent apparaître à l' état intercurrent dans la forme de paranoïa où domine
aveur du sommeil. Elle éprouvait seulement des cauchemars. Malgré l' état de suggestibilité des femmes à cette époque, le
nt dans l'im- paludisme, les néphrites chroniques, la glycosurie, l' état sclé- reux des artères, et enfin certaines affe
n mémoire intitulé : Sur une névrose vaso-motrice se rattachant à l' état hystérique, entièrement guérie par l'emploi des
ntervalle des accès la vascularisation rétinienne était revenue à l' état normal. Les vaisseaux avaient repris leur calib
cuisinière, ne paraît pas éthy- lique. Elle est très nerveuse. Son état névropathique s'est considérablement accentué d
elle s'était rendue coupable d'une maladresse plus grande. Dans un état d'énervement très grand (elle était litté- rale
s accès, apparaître spontanément. Il cite un cas de Volfius où un état semblable apparut à la suite d'un violent accès d
ne fut con- damné qu'à cinq jours de prison en considération de son état d'in- toxication alcoolique pour lequel il étai
nité de l'internement propre- ment dit comme de la déclaration de l' état d'aliénation pour la mise en surveillance du pl
type criminel une dénomination qui exprime la cause prochaine de l' état de criminalité. Cette cause prochaine est l'att
l'attention se borne exclusivement aux stigmates physiques. De l' état psychopathique et du milieu où se meut l'individu
e particulier. La société serait mieux protégée. E. B. X. Sur LES états psychiques douteux devant LES tribunaux; par M.
de voir comparaître devant les tribunaux des inculpés présentant un état mental douteux. Liemann, Kasper, Loran, Krafft-
Sa conduite bizarre, ses propos ont fait songer immédiatement à l' état anormal de ses facultés intellectuelles. Soumis à
embre 1892.) L'auteur rapporte des expériences personnelles sur les états som- nambuliques provoqués ou spontanés et le p
és par lui se sont trouvés particu- lièrement marqués, à savoir : l' état de dépression apathique, l'affaiblissement musc
S. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 137 1 XX. CENT cas .d'épilepsie; état DE la réfraction ET traitement par DES VERRES;
térique. La suggestion, faite pendant le sommeil hypnotique, ou à l' état de veille, ou encore par voie d'il- lusion médi
athiques qui guérissent, il en est d'autres qui s'éta- blissent à l' état permanent. E. B. - XXXII. Sur un cas DE syndrom
visage les lésions des nerfs péri- phériques, soit qu'on envisage l' état de la moelle épinière, les faits jusqu'ici conn
améliorent, dans certaines circonstances, les épileptiques vrais en état de mal. Enfin il a, depuis plusieurs années, co
. Les paralytiques généraux, dit-il, sont, le plus souvent, dans un état physiologique trop précaire pour qu'on leur ret
M. Briand il a toujours trouvé leurs urines hypotoxiques pendant l' état de mal et hypertoxiques après. Il croit, à une
et bromure et, depuis le 8 août 1893, elle n'a plus d'attaques. Son état mental s'est modifié; elle a récupéré la nettet
ment toutes les sensations du corps collaborent à cette faculté à l' état normal. Mais il n'est pas moins certain que des
tre qu'à la période prodromique de toute maladie mentale, il y a un état sentimental particulier, mais il est pas- sager
maladie, on peut, dans l'immense majorité des cas, déterminer si l' état de l'humeur, gai ou triste, est primitif, ou s'
ver une indépendance absolue et de ne me préoccuper jamais que de l' état mental de l'individu que j'exa- minais. De tout
ts genres d'aliénation : paralysie générale, infirmités cérébrales, états mélancoliques, états maniaques, folie puerpérale,
n : paralysie générale, infirmités cérébrales, états mélancoliques, états maniaques, folie puerpérale, folies toxiques, f
rs. L'enquête a établi, au sujet de ce meurtrier inconscient, que l' état physique de ses ascendants n'a pas été sans inf
'état physique de ses ascendants n'a pas été sans influence sur son état moral. Son père est mort dans une maison de san
lle, d'ailleurs, il n'avait pas bu, le fait est prouvé. Quant à l' état physique de l'inculpé, il est satisfaisant. Dans
e Raynaud. La différence tient-elle à la nature de l'émotion ou à l' état du système vaso-moteur. Nous n'avons aucun élém
de l'émotion, et suivant la période de la maladie (début, période d' état , période d'amélioration). D'ailleurs maladie de
ualités propres, mais la signification clinique d'un grand nombre d' états patholo- giques susceptibles d'impressionner pr
réflexions sont applicables à notre cas d'affection de Raynaud. L' état de mal asphyxique en rapport avec une idée fixe s
e menstruelle, Vulpian pense qu'elle met le système nerveux dans un état d'excitabilité tout à fait exagérée pendant laq
nger à tout ce qui l'entoure et reste un temps considérable dans un état d'hé- bétude profonde. On est autorisé à craind
sé dégénératif d'un délire chronique pur il faut envisager : < l' état mental du sujet, les syndromes épisodiques déve
'état mental du sujet, les syndromes épisodiques développés sur cet état mental, enfin l'évolution, l'allure particulièr
s de la Paranoïa, c'est le récent travail de Chaslin qui présente l' état de la question en France. Toutes les psychoses
circonstances dans lesquelles, d'après l'analyse psychologique de l' état du malade, sa maladie doit être rangée dans la pa
tia. De même le délire asthénique est précisément à la limite des états psychopathiques passagers et des maladies psychiq
délire et hallucinations; la période aiguë dis- paraît emportant l' état dépressif et l'angoisse, le délire de- meure et
n enregistre des idées délirantes de grandeur et de persécution, un état mélan- colique ou maniaque, des accidents hysté
il existe à un degré plus ou moins accentué, et, pour le moins, à l' état épisodique, des idées obsédantes, ou telles et
ter l'opinion des psychia- tres qui tiennent le délire aigu pour un état particulier pou- vant se joindre à diverses mal
moraux. Je dois dire que cet événement n'eut aucune influence sur l' état mental du malade, dont le délire mélancolique e
e rencontre donc à la base et comme expression dominante des divers états toxiques, depuis l'alcoolisme et ses analogues
elle perdit imédiatement connaissance et resta trois jours dans cet état . Cette jeune fille resta ensuite alitée pendant
es vaso- moteurs, etc. Ces signes de névroses s'accompagnaient d'un état de dépression mélancolique. Se fondant sur ses
de boissons. A son entrée à son entrée à l'asile, il présentait un état de dépression qui aboutit bientôt à une mélancoli
phine, les idées délirantes de négation s'effacèrent et peu à peu l' état mélancolique disparut à son tour. G. D. II. Un
citait l'onanisme. Ces diverses perversions paraissent relever d'un état de dégéné- rescence, le sujet qui en a été atte
lennorrha- gique n'est pas suffisamment connue pour être admise à l' état de donnée indiscutable, aussi n'est-ce qu'avec
qui, atteinte de vaginite blennorrhagique, tomba peu à peu dans un état de stupeur panophobique avec confusion hallucinat
orité des cas, est une toxine spécifique. Cette toxine existant à l' état latent dans l'organisme, du fait de la syphilis
ie psy- chique de la parole intérieure normale et pathologique. A l' état normal, les centres d'articulation des mots (ré
parole (parole intérieure). Toutefois cette audi- tion n'a pas à l' état normal l'intensité, le retentissement qui impose
s génitales répétées. 7° A ces différents symptômes correspond un état de désagréga- tion psychique, plus ou moins mar
écessaire de leur demander un avis. M. Garnier appelé à constater l' état mental d'un sieur B..., inculpé de tentative de
eur rendit, sans hésitation, une ordonnance de non-lieu basée sur l' état mental de B... ; celui-ci fut placé dans un asi
le épouse contre laquelle il s'était trouvé, lors de l'attentat, en état de légitime dé- fense. A trois reprises différe
suite de cet interrogatoire, commit le D''Magnan pour examiner son état mental. L'éminent aliéniste de Sainte-Anne conc
t; qui a affirmé qu'au- cun des hommes de l'art appelé à examiner l' état mental de l'in- terné n'était allé jusqu'à dire
sorielles (de préférence de l'ouïe); ils s'agitent et présentent un état d'humeur en rapport avec ces hallucinations. Te
quatre semaines la lucidité progresse en même temps que se relève l' état de la nutrition matérielle, finalement la compl
rvation très complète montre, chez une couturière de trente ans, un état d'agitation incessante avec désordre dans les i
ns; inquiétude, angoisse, parfois des violences, en d'autres cas un état de demi-stupidilé, en sont les conséquences. Il
tance chromogène et d'une substance chroma- tique ; il apparaît à l' état d'organe pâle un peu gonflé dans lequel on peut
a employé la méthode des coupes macroscopiques pratiquées soit à l' état frais, soit après durcissement. Mais pour l'ana
emarquable- ment fait et fournit les données les plus exactes sur l' état actuel de ces questions encore à l'étude. La
quelconque d'anatomie du système nerveux, se contentant d'exposer l' état actuel de nos con- naissances sur ce sujet, mai
eux mé- moires, est un essai de classification qui semble résumer l' état actuel de la question. Le rôle des auto-intoxic
s en relief : Cette théorie géné- rale de l'origine infectieuse des états délirants est, du reste, expo- sée depuis longt
S asiles d'aliénés DE la Saxe; par Tri. GUNZ.. Voici le résumé de l' état actuel de l'assistance publique des aliénés en
qu'un épileptique est en imminence d'accès, on observe chez lui un état saburral de la langue, des plus pro- noncés. Pl
Au début, la langue est seulement un peu sale, puis chaque jour, l' état saburral augmente, jusqu'à l'apparition des acci-
893. 260 PHYSIOLOGIE pathologique. d'une façon très différente. L' état saburral apparaît et s'accroît progressivement,
mière attaque éclate; mais la langue au lieu de revenir ensuite à l' état normal, reste couverte de son enduit saburral q
se termine. Ce moment est d'ailleurs marqué par la disparition de l' état sabur- ral de la langue. Mais s'il y a un inter
e, , comme on peut facilement s'en rendre compte en surveillant l' état de la langue. Malgré l'interruption des accès, l'
riables ; il est intéressant de voir ce que devient dans ces cas, l' état saburral de la langue. Ici comme tout à l'heure l
le mental qui s'établit. La langue devrait donc rester dans le même état . C'est ce que l'on constate invariablement; tan
ue l'on constate invariablement; tant que dure le trouble mental, l' état saburral persiste et il augmente s'il doit surv
langue se rapproche de DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 261 l' état normal et parallèlement le délire épileptique s'a
la raison reparaît. Lorsque enfin le malade est redevenu lucide, l' état saburral a complètement disparu. Ce parallélism
tat saburral a complètement disparu. Ce parallélisme absolu entre l' état de la langue et les acci- dents épileptiques a
ble mental ou accidents larvés, est annoncée et accompagnée par l' état saburral de la langue; c'est que la durée de cet
mpagnée par l'état saburral de la langue; c'est que la durée de cet état est égale à celle des accidents, et que sa disp
à celle des accidents, et que sa disparition annonce le retour à l' état normal. Les anciens considéraient la langue com
idèle de l'estomac, toute modification de celle-là répondant à un état particulier de celui-ci. L'estomac doit donc être
r de celui-ci. L'estomac doit donc être atteint dans l'épilepsie, l' état de la langue l'atteste à priori, et les faits l
prouvent; dans la migraine ophtalmique d'origine épilep- tique cet état est des plus manifeste. Lorsque nos malades son
sujets qui n'éprouvent qu'un goût amer sans perte de l'appétit. Cet état s'accompagne ordinairement d'une constipation a
me temps qu'ils nous réclament une purgation. Ils ont raison, cet état gastrique, dont l'enduit de la langue n'est qu'
par nous jusqu'à ce jour. Il parait à première vue évident que cet état gastrique doit suivre les mêmes variations que
araître. Ces expériences nous ont apporté la certitude que, comme l' état saburral de la langue, les troubles gastriques
s. Les modifications de la langue, indiquant la manière d'être et l' état des fonctions de l'estomac et de tout le tube d
ntensité dans les périodes d'agitation prolongées et surtout dans l' état de mal épileptique dont la gravité est bien con
as; . 2° Elle se rencontre dans tous les modes d'épilepsie ; 3° L' état de mal épileptique parait toujours accompagné d
marquer, cette albuminurie peut, quand elle se manifeste pendant un état de mal épileptique, être la source d'erreurs de
mptomatique pour établir un rappro- chement frappant entre les deux états . Sans vouloir l'aire de l'éclampsie et de l'épi
rsque'les accès sont nombreux, intenses et subintrants comme dans l' état de mal. Il n'est pas jusqu'au moment de l'évacu
i- fient,, tout comme les expressions allemandes et étrangères; l' état symptomatique. · A côté de cette forme, il en e
me les idées délirantes de grandeur et de persécution parvenant à l' état par- fait dans la folie systématique chronique,
ntia) des deux autres types, puisque celle-ci peut s'introduire à l' état épisodique ou symptomatique (que nous appelons
llucinations sensorielles, idées délirantes, incohé- rence) ; 2° un état des sentiments consécutif à cette altération in
s simple, dans cette paranoïa, de se préoccuper tout bonnement d'un état aigu et d'un état chronique, car vraiment la Ve
te paranoïa, de se préoccuper tout bonnement d'un état aigu et d'un état chronique, car vraiment la Verwirrtheit n'est q
.première- enfance ; s elles ont, créé unjétattmental spécial..Cet, état mental( est-il grossier et témoigne-t-il d'un a
dit que'la'confusion' mentale,' tantôt' épisddiqué, tan- " tôt à l' état d'accès,' peut également constituer un'stade de'd
folie systématique révèlent toujours une anomalie du senti- ment, l' état de gaîté avec exaltation cadrant avec les idées d
eur; ont pour élément' prédominant, pri-t mitif, admis par tous ? l' état du sentiment. » '('' ? ''\lajnan''et ses élèves
de cette étude. Nous avons eu personnellement pour but d'exprimer l' état de la terminologie appuyée par le gros des cons
et la malade entrait dans des convulsions générales, suivies d'un état comateux. Quand elle se réveillait après quelque
iques puis cloniques. L'attaque était d'intensité modérée. Après un état comateux de courte durée, elle put quitter mon
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.- 301 du Michigan dans un état de démence qui ne permettait pas d'en tirer de
hale ne fût terminé, vers la fin de la vie foetale (ce que prouve l' état des racines spinales). Par suite de l'arrêt de dé
ion. Figures. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXII. Les états affectifs ET la mémoire; leçon de M. le Pr RIBOT,
enir, la mémoire de rappel ou d'évocation s'applique-t-il aussi aux états affectifs ? Pour rendre. les «recherches plus f
ppel ou d'évocation existe bien pour chacun de ces quatre groupes d' états affectifs, niais se rencontre plus ou moins net
é, il y a lieu de considérer dans toute mémoire ou repro- duction d' états affectifs d'une part, des conditions cérébrales a
érales de réponse dont l'ensemble provoque le rappel en retour de l' état affectif. (Revzceazeu'olopiqié, janvier, 1894.)
ignes qui peut être de quelque.valeur diagnostique, et démontrer un état cérébral inférieur. Combien 'donc de ces stigma
ux de dégénérescence sera toujours suspect pour ce qui concerne son état mental, nerveux ou moral; il pourra devenir plus
judiciaire ou d'erreur dans le diagnostic et dans le pronostic de l' état mental et moral des malades. (The alie- nist an
organisées, ne s'effectuent qu'avec peine, et il en ré-, z suite un état douloureux; une altération plus étendue, plus pro
p. 100 d'associations phonétiques et par asso- nance, tandis qu'à l' état normal, il n'y en a que S p. 100. 'Les mêmes mo
ez les premiers, tandis que la répétition n'est que de six fois à l' état nor- mal, dans les pires, conditions du travail
e poser un diagnostic. Il mourut le 19 dé- cembre 1892 dans le même état ; pendant les derniers jours qui pré- cédèrent s
dans le somnambulisme, en un mot pen- dant,,Ia durée -de- certains états dans lesquels la conscience normale. du malade
me en- voyé la malade à M. Potherat qui a bien voulu examiner son état . Il n'a observé aucune lésion sérieuse et quoique
nctions.des itroublés fort graves «' vK 1 i 1 t * ! 1 t, 1 w avec l' état . ,».' , Le'pld ' 0 et est en'rapportTcependait
avec l'état . ,».' , Le'pld ' 0 et est en'rapportTcependait, avec 1 état hystériqilé. Lé plus. net est le resserrement d
mp;lW suq ahsq nfi . s'te'1(s· y,rrs.,t .1 J Tension' vasculaire. L' état du système circulatoire et parti- ..(1·, ·aqurl
gime. Ceci n'est pas sans importance : ,l'exercice,, le rgpos, l' état de digestion ou de jeûne influent ^beaucoup sur l
. otc^ei(^.'j - i.U plii ? IV of9o ou Etat de Ja sensibilité. g L' état de,, la sensibilité chez les épil'ptique "s" do
une absence, de sensibilité qui rappelle celle desr alcooliques en état d'ivresse où plutôt des alcooliques chro- nique
t'épileptlques ! Cés troublés nutritifs apparaissent surtout'dans l' état demal.11 La' cicatisàti-ow des plaies est suspe
é' rapidement ét'surtout'quànd'il''v''a''eù de grandes séries ou un état de mal ? ) .. ' -, t. - ...0 tnn .· ? < rr oq)
e. Nous,verrons plus tard, quelle peut être- la pathogénie de ces états passagers, maistil nousjest permis de;nous demand
nt rare, se produit généralement pendant une série d'accès, dans un état de mal le plus souvent. Elle a déjà été signalé
e persister pendant un mois et demi ; il est vrai que dans ce cas l' état de mal a duré lui-même à peu près un mois. D'au
il). Eu février 1893, elle a 238 accès épileptiques ; elle reste en état de mal avec forte élévation de température pend
orte élévation de température pendant tout ce mois. Au cours de cet état de mal elle devient hémiplégique droite et apha
t en inten- sité. En 1891 vers le mois de décembre, cette malade en état de mal est frappée d'hémiplégie droite avec aph
droite avec aphasie passagère. Cet, 374 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. état dura à peu près quinze jours; les accès disparus,
mouvements- convulsifs se produisent cependant du côté atteint. Cet état est d'une durée variable; ensuite il rétrocède
sous l'influence de nouveaux accès en séries surtout ou d'un nouvel état de mal, comme d'ailleurs la démence épileptique
'est le tableau que présente actuellement la malade Cir... Plus cet état s'aggrave par poussées successives, 376 PHYSIOL
chez les épileptiques ayant fait une hémiplégie corticale dans un état de mal, et l'hémiplégie semble avoir marqué le dé
s logique. Nous verrons tout à l'heure dans la patho- , génie que l' état de mal avec son élévation de température et son
spasmodique que nous voyons chez les malades précédemment cités. L' état de mal agirait donc comme la rougeole, la vario
rieur droit, depuis le coude jusqu'aux extré- mités des doigts. Cet état qui survenait aux mêmes moments que la crise ap
ir ce malade : son faciès traduit la fatigue, voire même un certain état d'anxiété avec dypsnée et fréquence du pouls. L
ment et péni- blement sous la dictée quelques mots révélateurs d'un état d'agra- phie manifeste et paraissant, tout comm
due et que du souffle et des râles fins occupentle sommet gauche. L' état général est de plus en plus mauvais, bien que l
la revois une fois par semaine pen- dant le mois de février; le bon état s'est maintenu tel que depuis la fin de janvier
hémiauesthésie, mais le malade tombe dans l'assoupissement, dans un état demi-conscient, il ne répond qu'à peine et aux
e rouge, le vert et le bleu). Le blessé est devenu très gras. Son état mental présentait quelques particularités intéres
vienne l'ennuyer REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 385 pour cela. Cet état mental s'accuse de plus en plus, d'abord il n'y
psule n'a pas été touchée. Il est difficile, pour ce qui touche l' état de la mémoire, de faire autre chose que des sup
ns le tabes, décrits par les auteurs, on n'a pas fait attention à l' état des nerfs périphériques, quoique, à en juger .p
moelle entière fut examinée ; d'après les symptômes cliniques et l' état de la capsule interne ainsi que des pyramides, il
les chroniques. Cette allure presque sans exception est l'apanage d' états psycliopatliiques déter- minés qui sont caracté
re incriminée; s'il y a hyperthermie, on se trouve en présence d'un état congestif. , M. Charpentier objecte que c'est l
, et des plus émineuls, auraient reconnu la parfaite intégrité de l' état men- - tal de Feldmann. C'est inexact. Personne
attesté cela, ne sont nullement aliénistes. Finkelnbourg attesté l' état de raison de M. Feldmann. Mais il · parle d'err
nt des accidents cliniquement autonomes, qui peuvent se montrer à l' état d'accès accompagnés de signes phy- siques. Di
scussion. M. QCHULTZE. 11 ne faut pas confondre les obses- sions et états anxieux avec la neurasthénie; ils n'en sont pas
grand qu'on ne leur en attribue actuellement. Elles comprennent des états très différents, il serait à désirer qu'on mit
et aux courants faradiques. En cinq mois on réussit à améliorer cet état ;*la malade reprit l'usage de ses mem- bres à pe
ttre en pratique. M. MERCKDN lit son travail sur la conscience de l' état morbide dans la paranoïa. Publié in extenso 1.
causes les plus variables, mais reposant en définitive sur un même état , la confusion mentale, c'est-à-dire l'affaiblisse
gnées, les bains et les douches. Un grand nombre arrivèrent dans un état de faiblesse, d'atonie et de stupeur tel que pl
e, avec idées incohérentes, sans force et sans énergie : « Dans cet état , disait un de ses mala- des, mon intelligence e
complissent en eux ; ce sont chez eux des rêves en rap- port avec l' état d'oppression cérébrale dont ils sont atteints et
e la démence aiguë avec ses variétés agitée et stupide ; si c'est l' état somatique qui prédomine, on a les formes qui si
tend plus particulièrement sur la théorie de Meyneft, qui admet à l' état sain l'hypérémie par- tielle au niveau de certa
exprimer avec Fechner en disant que les centres hypérémiés sont en état de veille alors que le reste du cerveau est à l
rémiés sont en état de veille alors que le reste du cerveau est à l' état de sommeil. b - M. Chaslin résume aussi les thé
umé, ce qui fait le fond de la psychose que nous analysons, c'est l' état de confusion se manifestant sous les formes les p
confusion se manifestant sous les formes les plus variables. Si cet état est très peu marqué, il donne lieu aux con- fus
ux malades tous les après-midi et les promener au dehors quand leur état mental le permet; je considère ces relations fr
t qu'il sorte avec eux pour villégiaturer toutes les fois que son état le permettra. Les petits services ont été compl
ait naissance à l'épi- lepsie, et l'on verrait ensuite paraître les états mentaux, les vésanies, l'idiotie, et finalement
s de l'ivresse au moment du coït sur le produit de la conception. L' état mental des parents au moment de la conception j
e.ait le contre-coup de tout ce que la mère éprouve. Comme tous les états que nous avons signalés entraînent des modifica
uchements difficiles, l'arrêt prolongé dans la filière pelvienne, l' état de mort apparente, l'asphyxie par cir- culaires
laissant, au moins au début, le sujet qui en a été atteint dans un état de santé parfaite. Tantôt, c'est un accès isolé
ainsi de même que tout rentre dans l'ordre, et qu'il revient à son état normal, dès qu'il élimine suffisamment ce poiso
ans l'épilepsie, les accès sont précédés la plupart du temps par un état prémonitoire spécial qui tantôt est plus ou moi
que cette accumulation progressive d'un produit toxique entraine un état de malaise général avant que les accidents n'éc
cette étude rapide, DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 447 sur l' état gastrique et l'enduit saburral de la langue; c'es
e manifestent; les lavages de l'estomac viennent rendre compte de l' état de cet organe; l'appétit disparaît, la bouche e
e que bientôt les manifestattons convul- sives vont apparaître. Cet état saburral de la portion supérieure du tube diges
écrétion de la toxine du microbe. Mais suivons dans son évolution l' état saburral, prenons le cas où les attaques se pré
nt tout le temps que durent les accès, la langue reste dans le même état , ou bien parait de plus en plus chargée. Les ac
u qua- rante-huit heures, il survient de nouveaux paroxysmes. Cet état saburral de la langue est un signe que la série n
cès convulsifs, comme pendant le délire consécutif et l'agitation l' état saburral ne disparaît pas. C'est seulement qu
que s'accumule, la quantité absorbée par l'organisme augmente, et l' état gastrique comme l'aspect de la langue s'accentu
se fait, la quantité de poison retenue dans l'organisme diminue, l' état saburral s'amende, et bientôt les accidents réf
vons recueilli les urines des vingt-quatre heures physiolo- giques ( état de veille et 'sommeil). Pour ce faire, nous com-
tômes gastriques, mais en sens inverse. On pourrait objecter que l' état saburral commence à dispa- ' Jules Voisin. Cong
ue en soi, il faut pourtant avouer qu'elle vient ici se joindre à l' état saburral et parler dans le' même sens. Chez l
ment et d'une façon moins complète. Enfin, ils peuvent arriver à un état de déchéance physique et intellectuelle qui con
ainsi qu'il veut voler dans l'espace, et qu'il se croit souvent en état d'accomplir des travaux gigantesques. Nous voyo
a essayé de déterminer la durée de cette hyperexcitabilité due à l' état inflammatoire, sa marche et d'autres questions
ue de la ligature. 3° Nerf écrasé. La résistance du nerf réduit à l' état de simple conducteur est notablement plus faibl
ctionnement habituel de leur circulation. S'agit-il d'individus à l' état dit physiologique, qui présente encore pour l'h
s des résistances initiales et finales obtenues dans les différents états morbides que l'auteur à soumis à l'examen. Il con
t à l'autre. Les variations sont encore en relation avec certains états patho- logiques. On trouve la résistance diminu
rce élec- tro-motrice doit être constante; on doit s'assurer du bon état des contacts des électrodes de toutes les parti
ie. Les réactions polaires sont à peu près identiques à celles de l' état phy- siologique. Cependant pour la réaction min
la maladie, il faut rechercher jour- nellement, en même temps que l' état de la circulation et de la respiration, les mod
intéressantes. Il note surtout comme résultat, l'amélioration de l' état général, la diminution de la sensation de chale
et terminé par la mort : on trouva les cellules corticales dans un état de dégénérescence très accusé et très avancé, ave
accusé et très avancé, avec des cellules étoilées et des noyaux en état de prolifération autour des vaisseaux et de la
nd usage au Bengale des drogues tirées du chanvre : on les fume à l' état de chunus et de ganja; on les boit à l'état de
anvre : on les fume à l'état de chunus et de ganja; on les boit à l' état de Lhang et de siddhi, ,et on les mange à l'état
a; on les boit à l'état de Lhang et de siddhi, ,et on les mange à l' état de majune; toutefois l'habitude de fumer le chu
du tabac, ou avec une très petite quantité de datura détermine un état qui peut varier entre un effet exhilarant et une
uler la manie, ou bien aboutir à la mélancolie et à la démence. Cet état est généralement de courte durée, et la termina
éressants sur la technique du massage, technique variable suivant l' état patho- logique auquel on veut remédier. R.1V1.
d'avoir toujours recours à l'atro- pine avant de se prononcer sur l' état de la réfraction. Je pense aussi que, chez les
quelconque, latente ou mani- feste, peut être démontrée, en tant qu' état oculaire, chez quatre- vingt-quinze sujets sur
res dégénérés qui ne veulent pas s'apercevoir de l'anomalie de leur état , et que leur existence se passe précisément dan
acer dans un établissement de tempérance. C'est d'après M. Smith un état épileptique et épileptoïde alcoolo- gène. Le se
particulier, la théorie de l'aperception dans ses applications à l' état patholo- gique est combattue avec énergie d'un
guïté. Mais ce sont là les degrés inférieurs de l'association; à l' état normal, lorsque la pensée se déroule dans un or
é et d'attention ne sont pas autre chose que le côté conscient de l' état physiologique qui accompagne l'appari- tion dan
nombre de gouvernements, d'une administration' autonome confiée aux états provinciaux « semslmo ». On trouvera dans des t
son, qu'il y laissa dans l'espoir de l'y retrouver quelque jour à l' état sauvage. Samuel Tuke, son père, était un Quaker
des directeurs médecins du pays; il correspondrait tout à fait à l' état actuel de la science. 486 asiles d'aliénés. a
térêt. La discipline et la routine ont été les facteurs de l'ancien état de choses dans les asiles; mais l'application d
ts et de les classer par un examen approfondi physique et mental. L' état de la nutrition générale et l'hygiène alimentai
mental. L'état de la nutrition générale et l'hygiène alimentaire, l' état des divers ordres de sensibilité, la conformati
uardel. Le tréso- rier, M. Masson, a donné des renseignements sur l' état de la souscription. Les sommes qu'il à reçues s
' , par Bechterew, 42; traitements récents de l' par Collins, 42; état de la réfraction dans l' -. par \\'orlc-Dood, l
Massage sur la gymnastique et le , par Sandblom, 466. Mémoire, états affectifs de la -, par Ribot, 309. Menstruel,
57 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; ni syncopes, ni constriction du ventre. Elle a fait connaître son état de grossesse à ses patrons et, comme le soldat
baissement très marqué de la voûte pala- tine, semblant indiquer un état pathologique des fosses nasales postérieures.
ilité générale semble légèrement obtuse, ce qui tient peut-être à l' état intellectuel de l'enfant. Elle est très sensibl
e de la fontanelle antérieure, la déformation des os des membres, l' état particulier des os 2, etc.), sur le système cut
ns l'interroger au sujet de l'argent de M. Quesneville et il est en état de nous répondre. « Le matin nous dit-il, j'avais
a subi aucun traumatisme ; il n'est pas épileptique : rien dans son état présent, rien dans son passé ne peut faire sup-
ction, augmentation notable du volume de la myéline par rapport à l' état normal et par rapport aux éléments voisins ; tr
me (oedème inflammatoire). Il semble hyper- trophié par rapport à l' état normal et aux éléments qui l'en- tourent. Il ne
e et perd, en ce point, les cercles concentriques qu'elle offre à l' état normal; quelquefois elle se transforme en boule
ltérée au niveau du centre, prend une coloration plus foncée qu'à l' état normal, mais cependant pas assez forte pour que
t le cylindraxe est flexueux et contourné, mais qu'il est encore en état de dégénérescence. Mais il y a plus : dans les
. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cellules multipolaires la tuméfaction, un état globuleux, une transformation en corps opaques
par conséquent le réactif qui les colore et les fait apparaître à l' état normal. Tout récemment des lésions de ce genre
qui nous intéresse c'est le gonflement des éléments nerveux. Cet état pseudo-hypertrophique qui loin de représenter .un
qu'il est par un étroit cercle de myéline. Mais dans le début de l' état chronique on peut voir aussi cette tuméfaction
la lésion prise dans son début offre de frappantes analogies avec l' état chronique. C'est pourquoi on est en définitive
cation capitale s'impose pour éclairer le pronostic ; l'examen de l' état du rein, la recherche du signe de Cheyne-Stokes
heyne-Stokes et de celle de l'hyperpyrexie. Des trois, l'étude de l' état du rein est la plus importante. Dans un cas d'apo
is symptômes ne peut être constaté, le malade peut se rétablir. Les états toxiques ou infectieux équivalent à l'altératio
. Examen de 24 malades dont 17 atteints d'hystérie, neurasthénie et états semblables (tableau). A la tendance d'excréter
alexie totale littérale et ver- bale pour l'écrit et l'imprimé. Cet état dure sans modifications appréciables jusqu'à la
ssion intra-cranienne (céphalées, vomissements, névrite optique). L' état mental commençait à s'altérer ainsi que la sens
leux ou syphilitiques. Le traitement spécifique ne fit qu'empirer l' état du malade qui guérit par le trépan (méthode de
qu'inégales au point de vue des résultats obtenus relativement à l' état mental. La préparation employée dans les deux cas
volumi- neux. Au bout de quinze jours, amélioration marquée de l' état mental et du goitre. Au bout d'un mois l'amélio
une teinte plus naturelle ; la transpiration devient appréciable. L' état myxoedémateux des tissus sous-cutanés devient moi
que les petits malades revenaient plus ou moins lentement vers leur état antérieur, mais cette régression était plus lente
is plus lente. C'est sur deux données : la température du soir et l' état de la nutrition générale, qu'il faut se baser p
se baser pour régler les doses, avec cette réserve toutefois que l' état de la nutrition est plus impor- tant des deux s
ème a monlré dans quelle large mesure la glande thyroïde agit sur l' état tro- phique de la peau et influence le système
HÉRAPEUTIQUE. Le traitement thyroïdien est spécifique dans tous les états patho- logiques relevant d'un défaut ou d'une i
t d'un défaut ou d'une insuffisance d'action du corps thyroïde; ces états pathologiques sont : 1° le myxoedème acquis des
, avec rapidité et faiblesse du pouls, et prostration extrême ; cet état de faiblesse peut durer plusieurs jours. Mais l
d'une intervention qui modifie sûrement et d'une façon profonde l' état de la circulation intracranienne et par suite de
a tension cérébrale. La mentalité étant visiblement dépendante de l' état de tension vaso-molrice plus ou moins grande du
r cessation, il redevint à demi conscient, demeul rant toutefois en état de somnolence et ne répondant que fort mal aux
nouveau tamponnement, elle était à peu près complètement effacée. L' état mental du malade s'était rapidement 'amélioré dès
t, ni les membres inférieur et supérieur gauches ne participent à l' état convulsif. Il est arrivé quelquefois, cependant,
quelques jours après l'accident sa vue s'affaiblit notablement. Cet état dura environ quatre jours. eut plusieurs attaqu
nt de la langue. A l'entrée de la malade à l'asile on noie un léger état de dépres- '-ion et d'irritabilité : on ne cons
ses reparurent bientôt, mais moins fréquentes et moins intenses : l' état mental était sensiblemenl amélioré. La céphalal
et la convalescence était con- firmée. A cette date on constate l' état suivant : la parésie de la face, l'état de la j
A cette date on constate l'état suivant : la parésie de la face, l' état de la jambe ne sont pas modifiés; le bras gauche
Caillé, qui, ne peut par conséquent donner de renseignements sur l' état actuel des malades. Dans le troisième cas, le mal
as, le malade est de l'aveu de l'opérateur, à peu près dans le même état qu'avant l'opération. Et quant au quatrième cas
sque l'on peut sans exagération dire que tous les malades y sont en état de réceptivité bacillaire plus ou moins accusée
- damnés par les tribunaux pour délits ou crimes commis pendant l' état de maladie. Il manquait à ces faits des cas de co
table irresponsabilité. 11 manque une corré- lation directe entre l' état mental de l'individu et l'acte incriminé. M. LE
alade n'a pas toute sa conscience; sa personnalité et par suite son état de conscience sont entamés. Ainsi, dans le cas pa
uand la crise a été terminée, alors, seulement, il est revenu à son état de conscience habituelle, a eu regret de ce qu'
-à- dire quand l'aliéné n'a pu échapper à la prison que grâce à son état mental, le magistrat devrait pouvoir tenir au c
ait pouvoir tenir au criminel le raisonne- ' ment suivant : « Votre état mental vous rend irresponsable, par con- séquen
en face d'un individu ayant com- mis un crime sous l'influence d'un état mental pathologique, prendra une mesure tempora
ègne la liberté de la femme. Nous y notons de grands progrès daus l' état social, dans le bien-être général, une diminuti
reuse, ils ont reculé de dégoût; ses habits étaient dans un affreux état de malpropreté, et son appar- tement, où séjour
éné habituellement dangereux : l'amélio- 'ration constatée dans son état l'avait même fait attacher au service du médeci
s, fait preuve de bon sens et montre une parfaite conscience de son état . Il sait par exemple que ces voix sont des hall
c'est la prédisposition vésanique, acquise ou originelle, c'est l' état d'infériorité fonctionnelle des centres cérébraux
la rende en quelque sorte réelle, vivante el- objective, il faut un état mental particulier, assez rare puis- qu'en somm
onctuées au niveau de la région mastoïdienne, on améliora enfin l' état local et les hallucinations disparurent avec l'ot
es sensations rapportées à la périphérie, et le malade qui est en état hallucinogénique, les interprète et les transform
les interprète et les transforme en hallu- cinations. C'est donc l' état hallucinogénique du sujet et non la lésion céré
oreille droite; puis tout dis- parut, et le malade retomba dans son état habituel. Deux mois après il survint une nouvel
oires par la méthode de Marchi. Partout aussi les vaisseaux sont en état de dégénérescence granulo-graisseuse. Dans les
sont de plus eux-mêmes presque tous des neurasthéniques. C'est cet état qui déterminerait chez eux un affaiblissement g
e le crime est l'aboutissant naturel et la conséquence logique d'un état mor- bide, il ne saurait avoir d'autre punition
, et on a trouvé que le chiffre de ceux qui ne s'étaient pas mis en état de récidive était de 78,5 p. 100. La règle de l
ne organisation militaire ; les ateliers comprennent trente- quatre états différents, et, bien qu'ils n'aient pas été créés
ns crimi- nelles ou vicieuses sont bien réellement le résultat d'un état d'alié- nation mentale aigu, chronique ou pério
e véritables explosions et ne sont pas seulement l'exagération d'un état normal. Par exemple, si une personne très irasc
a pas, en règle générale, être admise pour un crime commis dans cet état de fureur. Mais lorsque sans motif objectif ou
ne anomalie paroxystique de con- duite n'est que l'exagération d'un état psychologique habituel, la culpabilité subsiste
fluence de la musique que les sujets sains. Les mélancoliques, en état de dépression, ne jouent que rare- ment, et la
olie, sauf peut-être dans la convalescence, si le malade était, à l' état normal, sensible aux impressions musicales. '
incurables, suivant le cas, et à la manière de faire constater leur état d'aliénation et de curabilité, est étroite- men
ans celles des névrites toxiques où le virus, autant du moins que l' état de la science nous permet de l'affirmer, a pris
mment de toute affection morbide définie ou connue. Il ajoute qu'un état de ce genre du liquide sanguin nous fournit une
devient bruyant et de nouveau silencieux. L'alternance de ces deux états continue pendant plusieurs années. Quand il par
d, au point de vue mental, le passage brusque, presque violent d'un état prolongé d'excitation maniaque avec idées d'exa
ation, d'une conduite des plus bizarres et des plus fantasques à un état de profonde dépression aboutissant à une tentat
n peut se demander si cette dépression constituait véritablement un état mental de mélancolie, ou bien et l'auteur incli
pas le résultat d'un retour à la santé mentale mettant le malade en état de se rendre un compte exact de sa misérable si
ion de la trépana- tion se posait tout naturellement. Le déplorable état de santé du malade a fait écarter l'hypothèse d
bral, ne pouvait être que fort incertain. Pendant les paroxysmes, l' état mental du malade est assez sin- gulier, et corr
malade est assez sin- gulier, et correspond assez exactement à 1' « état de rêve » décrit parHuphlings Jackson ; il est
ort : ceci indiquerait pour employer la terminologie de Jackson, un état de dissolution des couches les plus supérieures
alysies passagères qui succèdent aux convulsions épileptiformes : l' état manifeste de parésie est démontré par la diplopie
XXIV. Contribution A l'étude clinique DES idées obsédantes ET DES états psychiques analogues ; par ÏHOMSEN. (fi1'C%li'D s
oute, etc. L'auteur pense qu'il vaudrait mieux se servir du terme « états psychiques obsédants » dont le cadre est plus lar
celui « d'idées obsédantes ». Il considère comme appartenant aux états psychiques obsédants : I. Les états obsédants d
nsidère comme appartenant aux états psychiques obsédants : I. Les états obsédants deutéropatiques,nés le plus souvent sur
lus souvent sur un terrain neurasthénique : a) Les phobies - 6) Les états dési- gnés sous la rubrique Il, mais survenant
Il, mais survenant dans l'hystérie, neuras- thénie, etc. II. Les états psychiques obsédants idiopathiques formant une
s vaisseaux sanguins et fréquemment aussi le coeur, restent dans un état d'infantilisme, l'aorte et les autres vaisseaux
changement de tension du pouls coïncidant avec un changement dans l' état mental peut être observé dans certains cas de s
on des médicaments qui dilatent les vaisseaux est favorable sur l' état mental. P. S. XXVII. Fréquence DES TROUBLES FON
nt à ce que les vétérinaires ont désigné, sous le nom d'immobilité, état morbide qui parait jusqu'à présent n'avoir été
écutive à une maladie aiguë, une chute, etc., et alors curable. Cet état , caractérisé par l'abolition de l'excitation et l
voulu, dans le* prin- cipe, l'incoordination musculaire. En tout état de cause, ce qui décide du diagnostic dans le tor
e, ce qui décide du diagnostic dans le torti- colis mental, c'est l' état mental du malade toujours plus ou moins débile
B. XXXII. INTRODUCTION D'UN TESTICULE artificiel ET GUÉRISON D'UN état mental morbide chez un SIONO-CIiYPTORCIIIDE; par
ui la constatation qu'il n'avait qu'un testicule avait développé un état d'anxiété profonde de dépression mélancolique e
xiété profonde de dépression mélancolique et de l'idée fixe que cet état le con- damnait à l'impuissance. Après un ess
aie se cicatrisa très vite et le malade guérit immédiatement de son état mélancolique et perdit si bien ses idés d'impui
des conditions de moindre résistance dans lesquelles les place leur état mental, les malades trouvent en général, dans l
roubles psychiques dans la fièvre typhoïde ; Kraepelin a séparé les états délirants qui se montrent après l'infection typhi
'excitation maniaque passent au premier plan. Tantôt il s'agit d'un état de simple exci- tation intellectuelle, tantôt d
s'agit d'un état de simple exci- tation intellectuelle, tantôt d'un état de confusion délirante avec hallucinations ; le
? ; 1 : : ° 1S3 J REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. : ' ;t : t ; plus,( états maniaques), soiten moins (états dépressifs). A un
HOLOGIE MENTALE. : ' ;t : t ; plus,(états maniaques), soiten moins ( états dépressifs). A un degré plus accentué on observ
contraire le diagnostic vers un autre sens. Le diagnostic avec les états délirants accompagnés de confusion et de désori
nstruction géné- rale soit moins solide et qu'ils ne soient dans un état d'infé- riorité relative= 2 '. Nous ne voulons
de l'épi- lepsie, il contient encore une description complète de l' état per- manent des épileptiques et des paroxysmes
our à tour l'hérédité, les stigmates physiques de dégénérescence, l' état mental, la coexistence des psychoses liées à la
leur influence sur un terrain prédisposé qui constitue proprement l' état perma- nent des épileptiques. On peut dire, e
ileptiques doit répondre à deux grandes indications : 1° modifier l' état permanent des malades ; 2° prévenir les paroxys
es tranquilles et inoffensifs ou dans les infir- meries, quand leur état exige des soins assidus. Le nombre des enfants
ni se tenir sur les pieds. Le côté droit de son visage se trouve en état de légère parésie comparativement au côté gauche;
ntité est très diminuée ; elle ne contient ni albumine, ni sucre. L' état mental du malade présente quelqups singularités
de grandes affections de la mémoire, mais cependant, en examinant l' état mental du ma- lade scrupuleusement, on voit qu'
faiblesse des muscles abdominaux s'accroissait. L'observation de l' état mental du malade indiquait qu'il avait des sing
s faible et encore moins nette. 11 ne faisait guère attention à son état dangereux et sa principale pensée était de dema
ées, et il s'adressait avec la même prière à certaines personnes. L' état physique du malade s'empirait pro- gressivement
, les symptômes cliniques du côté du cerveau (les vomissements et l' état men- tal très caractéristique), tout cela indiq
ux que l'on constatait chez les myxoedémateux. Reverdin désigna cet état pathologique sous le nomdeA/yoe- dème opératoir
es et de l'irritabilité ne ? veuse. - Amélioration progressive de l' état moral. - Guérison. Camille C..., né à Paris en
vait imparfaitement de la langue du pays de Galles. Dans le premier état , qui était le plus normal, son pouls était fort e
ryngé ; les muscles du larynx participaient plus légère- ment à cet état convulsif. Le côté droit de la face demeurait p
disparu, mais les muscles qui en avaient été le siège étaient en état de parésie, et la langue était légèrement déviée
sclérose, restes de la résolution d'hémorragies périvasculaires. L' état criblé décrit par Durand-Fardel est commun chez
re est souvent atrophié surtout dans sa moitié supérieure. Enfin, l' état athéromateux du cerveau des vieillards détermin
ivasculaires sont ordinairement dilatés, ce qui donne naissance à l' état criblé déjà indiqué. Altérations de ta moelle é
e, dissé- minées dans la substance blanche, des fibres nerveuses en état de dégénérescence, que l'acide osmique colore e
niformément qu'elles l'étaient. Un autre point intéressant, c'est l' état mental de la malade; c'était une imbécile, prés
hiées, ont un volume et un aspect qui se rapprochent davantage de l' état normal. Les circonvolutions de l'hémisphère dro
écessairement aboli dans tous les cas de tabes. Il étudie ensuite l' état du réflexe du genou dans un certain nombre de m
ente le diagnostic différentiel des traumatismes cérébraux avec les états morbides intra-craniens, en même temps qu'il si
mais les cloniques sont rares, sauf le cas de lésion complicante. L' état des pupilles est ordinaire- ment modifié, mais
des changements qu'il présente n'est caractéristique; d'ailleurs un état pupillaire normal est compatible avec toutes le
ste et brusque de température et par une modification évidente de l' état général. Les températures ultérieures sont irré
ormes de traumatismes intra-craniens, mais elle existe rarement à l' état de lésion mortelle isolée : ses symptômes sont ir
tion. La perte pri- mitive de conscience peut être remplacée par un état de léthargie ou d'affaiblissement des perceptio
ration ne changent de caractère, si bien que la persistance de leur état normal au milieu des désordres concomitants prend
t qu'un degré plus ou moins avancé de déchéance sénile, relève de l' état de nutrition des tissus, ou, en d'autres termes
des tissus, ou, en d'autres termes, des caractères du sang et de l' état des vaisseaux qui le distribuent. Chez beaucoup
harge graisseuse. La fréquence dans les asiles du mal de Bright, un état particulier de refroidissement et de cyanose des
ils soulèvent le revêtement épaissi, donnant ainsi l'illusion d'un état granuleux. Les états signalés dans les artère
tement épaissi, donnant ainsi l'illusion d'un état granuleux. Les états signalés dans les artères de moyenne taille se re
e s'écarte un peu du sujet, l'auteur tient à signaler en passant un état pigmenté de la pie-mère qui revêt la moelle all
de longtemps l'apparition des troubles mentaux. Il pense donc que l' état vacuolé et la dégénérescence des cellules nerve
aire. Us ont depuis longtemps été reconnus comme caractérisant un état de dégénérescence, et ont été l'objet des recherc
les affections des or- ganes pelviens chez la femme, ainsi que les états morbides qui se rattachent à la gestation. Le
OLOGIQUES. bien le son est conduit; mais il faut faire la part de l' état des parties molles qui recouvrent les os, leur
tous les modes, la mobilité ne s'exer- Ç âlién 1-1-às', .domine à l' état normal, d'une façon continue, mais présentaient
corps thyroïde comme étant la règle dans la maladie de Basedow : l' état des vésicules et de leur contenu, des travées c
ours à la castration : il s'agit, le plus souvent, de femmes dont l' état physique et psychique était très compromis et p
'appareil génital n'étaient que la conséquence d'une psychose, d'un état de souffrance du système nerveux central, qui d
ions, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 239 des idées de persécution et des états passagers d'excitation. Chez l'une on constatai
t. La guérison d'un ulcère du col déter- mine une amélioration de l' état psychique : la malade est mise en liberté guéri
tion : (ovaires atrophiés et salpingite). Amélioration notable de l' état mental, disparition des accès maniaques. Dans la
ce sur la marche ordinaire de l'épilepsie, mais il est ulile dans l' état de mal, ainsi que le chloral. Les bromures sont
té, ne seraient-ils pas, après examen de « leurs titres et de leurs états de services, appelés à des fonctions « plus act
de Vincennes et du Vésinet. 3 D'éminents aliénistes émettent sur l' état actuel de notre science spé- ciale dans notre p
par lui compte 250 pensionnaires répartis suivant le sexe, l'âge, l' état mental, l'éducabilité, et une colonie de 50 suj
tous les sujets atteints de maladies mentales caractérisées par un état de faiblesse intellectuelle congénitale ou acquis
physique ou mentale. Quelques périodes d'excita- liou. 1884. Même état . Hallucinations de la vue, de la sensibilité gé-
alomaniaques. L'eczéma a envahi toute la face et le cuir chevelu. L' état de la nutrition est mauvais : amaigrissement. R
ent repliée sur elle- même, indifférente à tout. 1886-87-88. Même état de cristallisation. Embonpoint progressif. 1889
point progressif. 1889. Erysipèle de la face sans modification de l' état mental. Adipose généralisée. 1890-91-92-93-9
e, elle est tombée peu à peu dans l'espace de quelques mois dans un état d'inertie physique et psychique profond, qui a
à sa mort après avoir entrainé la démence. Cette évolution dans l' état mental de B... avait paru singu- 362 REVUE DE P
de son travail : 1° tout ce que nous savons sur la pathogénie de l' état décrit sous le nom de compression cérébrale - a
énéraux d'expérience - semble indiquer que l'on peut remédier à cet état par l'intervention chirurgicale; 2° dan, l'état
peut remédier à cet état par l'intervention chirurgicale; 2° dan, l' état actuel de nos connaissances, il est désirable que
he, puis ceux du - bras et enfin ceux de la jambe du même côté. Cet état convulsif dura cinq heures pendant lesquelles l
uisque, à l'âge de douze ans, il s'était déjà mis plusieurs fois en état d'ivresse. Dès qu'il commença à gagner de l'arg
r eu la syphilis. Il y a trois ans et demi, il commença à exercer l' état de peintre, et l'exerça dix-mois : c'est alors
avec des béquilles, après quatre mois de séjour au lit. Pendant l' état paralytique, il remarqua que ses deux jambes ét
ur, plaie rebelle et dont la guérison a été lente. Actuellement son état général est satisfaisant, il dort bien, il a bo
e de la mémoire et l'affaiblissement intellectuel. Pendant un an, l' état de la malade resle stationnaire, puis elle est
l'épilepsie sensorielle, pL l'épilepsie larvée, aussi bien que les états décrits sous le nom d'équivalents psychiques de
excès de tabac ni d'alcool. Il était très déprimé moralement par un état pathologique qui datait d'environ deux ans, et qu
clamait une opé- ration, préférant même un anus contre nature à son état actuel. Une opération fut en effet pratiquée pa
très favorable et s'est maintenu plus de deux ans. Retombé dans son état pathologique antérieur, le malade reçut le consei
et de soupapes qu'il est manifeste qu'il avait reconnu le véritable état névropathique du malade et qu'il avait surtout
e la région où il se trouvait, l'élé- ment psychique joue encore un état important, puisque la simple idée qu'il allait
es actes de : violence peu en harmonie avec leur manière d'être à l' état de veille et tantôt poussés à se livrer à des a
te non dans la substitution d'un réflexe à un autre, mais bien d'un état de faible tension à une condition de haute tensio
ions des deux échappements on peut reconstituer l'image de tous les états émotifs ou réflexes imaginables. F. BOISSIER.
alienist and zze2crologist., avril 1895.) E. B. III. Rapport SUR l' état mental DU SIEUR A..., inculpé d'outrage aux MOE
: i.) E. 13. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 293 VI. DE l'évidence DE l' état S11V de l'esprit dans LES affaires criminelles;
la crainte d'être découvert, ne sont des témoignages certains de l' état sain de l'esprit dans un cas donné. , Souvent
e et de la science demandent que, dans chaque affaire criminelle, l' état sain de l'esprit de l'accusé soit établi sans qu'
pèce d'hallucinations). Mais le symptôme le plus impor- tant de cet état morbide est l'illusion de déjà vu, qui dure depui
vu doit être cherchée dans le mécanisme de la perception et dans l' état de la mémoire. Elle pourrait être trouvée dans
giénique, ni au point de vue du groupement des malades d'après leur état mental. En outre la possibilité d'ac- cidents t
faire un classement meilleur des alié- nés en tenant compte de leur état mental et de leur situation sociale. L'auteur c
ces catégories de malades ne reçoit en réa- lité les soins que leur état réclame. La séquestration ne convient en effet
s, le traitement des aliénés par toute la liberté que comporte leur état : absence de mur extérieur et intérieur, dévelo
res enfants. Leur caractère s'irrite, ils deviennent violents, leur état mental s'aggrave. Quant au dernier groupe com
litaire; il prétend que sa main était déjà à ce moment dans le même état qu'à son entrée à l'hô- pital, c'est-à-dire ble
ologique du côté du coeur; l'organe semble un peu plus petit qu'à l' état normal ; l'aorte semble plus étroite. Hypérémie
humérale, radiale, cubitale, ont un calibre beaucoup moindre qu'à l' état normal. Ainsi, par exemple, l'hu- mérale présen
poraire, présentent maintenant une contracture permanente. Dans cet état , les conditions qui favorisent le reflux du san
). L'influence salutaire des maladies graves intercurrentes sur l' état mental des aliénés est depuis longtemps reconnue
d'environ z50 aliénées indiquent des modifications favorables de l' état mental au cours des maladies suivantes : érysip
, il se manifeste de l'excita- tion intermittente, puis peu à peu l' état d'excitation devient per- manent avec des parox
nutrition. Incohérences continuelles des actes et des paroles. Cet état dure depuis plus de trois ans. Les facultés int
is plus de trois ans. Les facultés intellectuelles semblent comme l' état physique profondément atfai- blies et il parait
se promène, commence à s'occuper et prend soin de sa personne. Cet état dure pendant trois semaines. Le foyer de suppur
t dans l'espace de quelques jours notre malade est retombée dans un état absolument analogue à celui que nous avons noté
Guérison apparente pendant trois semaines. Retour presque subit à l' état maniaque antérieur. Observation II. - F... Fl
perthermie. Hérédité névropalhique et vésanique très chargée. Cet état ne présente aucune modification jusqu'au 20 mai,
ève, s'occupe, écrit à ses parents, aide aux soins des malades. Son état physique se restaure et elle peut être considér
tion brusque de l'exci- talion. Le 15 juillet F... est dans le même état qu'au moment de son entrée : agitation maniaque
s. Fièvre typhoïde à forme adynamique grave. Pendant la période d' état , disparition brusque et complète des symptômes ma
34' RECUEIL DE FAITS. ques durant un mois. Retour presque subit à l' état maniaque antérieur puis amélioration progressiv
non affaiblis, par une amélioration plus ou moins considérable de l' état mental. Près des deux tien de nos malades étaie
ns certains cas (obs. 1 et II) jusqu'à la disparition complète de l' état maniaque, qu'il s'agisse de manie chronique ou
ents, et, dans les deux seuls cas où nous l'avons vu se produire, l' état mental normal ne s'est maintenu que pendant tro
maintenu que pendant trois semaines et un mois. Ce retour subit à l' état normal suivi d'une rechute presque aussi subite
ble guérison, mais comme une guérison apparente, une éclipse de l' état psychopathique antérieur. Cette éclipse serait-
on, reconnue réellement folle. Il s'agissait de savoir quel était l' état mental de cette femme pendant les années qui on
notisé toute mémoire des circonstances ou actes accomplis pendant l' état hypnotique ; 3° Si le pouvoir de l'hypnotiseur
ependant se sont refusés à admettre qu'un individu ordinaire dans l' état hypnotique puisse commettre un crime et que, d'
emple dans le cas où un homme commettrait un crime en se croyant en état de légitime défense : dans ce cas seulement il
non de succès, constitue par elle-même la preuve suffi- sante d'un état dangereux d'aliénation mentale et un motif non
e une période d'incubation, une période d'invasion et une période d' état . La première période peut être précoce et très
ériode peut être précoce et très longue ; elle est constituée par l' état d'anxiété (Magnan) et les interprétations délir
peuvent s'ajouter celles de la sensibilité générale. A la période d' état le délire se systématise et il comporte trois é
evient dangereux. Enfin, aux idées de persécu- tion, à la période d' état du délire, peuvent s'ajouter des idées de grand
topsie a été faite. R. M.-C. XXXI. Recherches expérimentales SUR l' état mental dans LE VERTIGE, ET SUR LE VERTIGE CONSI
comme relevant essentiellement d'une modification corticale ; 4" l' état d'instabilité et de paresse psychiques qu'engendr
ver- tige favorise les manifestations de l'hypnose; 5° un sujet en état de vertige devient anormalement accessible à l'
ype clinique bien accusé ; mais en comparant cette maladie avec des états cérébraux connexes, j'ai essayé de montrer que
yé de montrer que son identité essentielle avec quelques-uns de ces états a été obscurcie par la manie de diagnostic diff
outes les variétés de la paralysie générale, mais beaucoup d'autres états que l'on a à tort, essayé jusqu'à présent de di
la seconde qui est aussi la plus grave, n'est proba- blement qu'un état plus avancé de la première. Dans la première va
esthésie et amaurose de l'oeil droit ; il existait en même temps un état mélan- colique avec cauchemars, hallucinations.
rveau était pâle et, à cause de la tardiveté de l'autopsie, dans un état de semi-dégénérescence telle qu'il était difficil
étaient plus ou moins atrophiés. Les os étaient spongieux, dans un état d'ostéoporose. On pouvait facilement enlever le
te la perte correspondant de la parole (mutilé, aphasie). Quand cet état s'est dissipé, la parole revient. Généralement
chez un garçon de huit ans. Trabécule solitaire du chiasma, avec un état de confusion mentale aiguë fébrile, sans hémian
s coups d'aiguille superficiels, extrêmement vifs et rapides. A l' état ordinaire la sensibilité à la douleur est exagéré
pupillaire, les vaso-moteurs de la peau de la face et de la tête, l' état de la respiration, du coeur, du pouls, etc. P.
et quelques gouttes de créosote. L'excès de matières colorantes à l' état nuageux est enlevé à l'aide du papier buvard, o
malade ne cesse de percevoir des fragments des objets ambiants. Cet état dure dix à quinze minutes, la perception parfai
-sug- gillatious à la moindre pression, du côté droit. En mars, cet état . subsistant, légère fièvre, marasme, mort. On
yphilitique pure. L'auteur a pu faire une recherche minutieuse de l' état des vais- seaux de la moelle, dans un cas de pa
par le Dr LANP1S. (Annales médico-psychologiques, décembre 1895.) L' état de veille est l'état normal de fonctionnement psy
nales médico-psychologiques, décembre 1895.) L'état de veille est l' état normal de fonctionnement psychogé- nique des ce
ique des centres cérébraux. L'auteur considère comme nécessaire à l' état de veille le fonctionnement d'un centre de coordi
on et d'élaboration des matériaux fournis par les autres centres. L' état de cessation du fonction- nement psychogénique
rent les sommeils partiels accompagnés de rêves et constitués par l' état de repos du centre supérieur en même temps que pa
ntres (rêves partiels ou généralisés). Le sommeil hypnotique est un état de sommeil pro- fond et durable du centre supér
est un état de sommeil pro- fond et durable du centre supérieur; l' état des autres ne différant de l'état normal que pa
et durable du centre supérieur; l'état des autres ne différant de l' état normal que par la cessation de leurs communicatio
aines maladies (dans certains genres de dé- mence ? ) ou inhibé à l' état normal, surtout chez des prédisposés ou sous l'
ermet de décrire, outre la disposition d'ensemble correspondant à l' état normal, cer- taines modifications constantes, d
influx nerveux en- gendre de l'énergie, celle-ci demeure en lui à l' état de potentiel maintenue par les forces identique
n de ces énergies qui la contrebalancent. Cet équilibre constitue l' état de repos, et l'ac- tivité consiste dans la répo
II. LAEIIR. 1° La discussion sur la communication de M. Këni- De l' état actuel de l'assistance des aliénés en Anglete7,
la mélancolie, la confusion mentale, les folies périodiques et les états de faiblesse intellectuelle congé- nitaux ou ac
faiblesse intellectuelle congé- nitaux ou acquis. Il montre que les états cataleptiques s'y peuvent observer sous une for
e et ne serait que phénomènes catalep- tiques chez les dégénérés en état de stupeur. L'auteur termine par les applicatio
les applications du myographe au diagnostic de la simulation des états cataleptoïdes. Dr A. Marie. X1. Hystér ie ; par
s d'autres maladies, et aussi les associations morbides avec divers états pathologiques. Quelques considérations sur l'ét
ides avec divers états pathologiques. Quelques considérations sur l' état mental l'amènent à définir la nature de cette n
tiques (hommes et femmes) qui ont besoin d'être isolés, ou que leur état d'excitation empêche de vivre dans les pavillon
inférieure de l'humérus. 1894-1895. Amélioration progressive de l' état intellectuel et phy- sique. 1896. Mars-avril.
-Malades, le diagnostic était au départ : Coxalgie avec appa- reil, état général bon; et, au retour, coxalgie améliorée. L
laire, contusion très légère à l'oeil gauche. Ce malade est dans un état mental qui exige son placement dans un asile d'
Décembre. Grossièreté, trivialité, indocilité. Aucun progrès dans l' état mental. Janvier 1888. Panaris ostéomyélitique d
n rangées. L'arti- culation est naturelle. Les gencives sont en bon état . Cou assez long; circonférence, 28 centimètres.
ité supérieure du radius dont on ignore et la date et la cause. L' état des mains mérite une description détaillée. a)
niveau de la face dorsale des doigts, ' Nous avons rédigé tout cet état actuel d'après les notes recueillies par notre
dans le coude. Malin : T. R. 38°. Soir : 39°. 16 janvier. - Même état . Pe"sistance du gonflement et de la 4154 RECUEI
1896. Janvier. Mêmes lésions trophiques de l'aisselle droite. Même état de la puberté, si ce n'est que la moustache se de
du même côté, descendent tout droit dans le sillon longitudinal à l' état de cordon antérieur des pyramides. Ces fibres-l
qui se terminent dans la couche granuleuse interne de la rétine à l' état de ramuscules terminaux. P. KERAVAL.. LXXXII.
DR. G.LDI. 1. (Il manicomio, fasc. 3, 4, 1894.) La suggestion à l' état de veille, plus que l'hypnotique, est d'une trè
s les cas où il présente une indication formelle. La suggestion à l' état de veille ne doit pas être faite avec routine, ma
e typhoïde consécutive au choléra n'apporta aucune modification à l' état psychopathique antérieur : seule une maniaque t
ès agitée présenta, durant cette seconde période de l'infection, un état transitoire de calme et de lucidité, qui dispar
e l'excitation du symphatique. Le fait se rencontre plutôt dans les états d'exaltation que dans ceux de dépression, comme
rement à ce que l'on observe à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 483 l' état normal. Les stimulus périphériques ne peuvent qu'
on de Fournier, trouve que d'après ses observations personnelles, l' état intellectuel, celui de la motilité, le mode de
de salutation). Bruus a relevé aussi des cas de grande chorée, des états qui rappellent la période de clownisme (Charcot
ée, des états qui rappellent la période de clownisme (Charcot), des états de somnambulisme, des cas typi- ques de possess
ment moins grave de prendre une manifestation hystérique pour un état organique, mais la confusion est néanmoins fâcheu
nt, au point de vue du pronostic, de séparer l'hystérie de certains états relevant de la dégénérescence mentale (tics et
maladies mentales, et cherche si à chacune d'elles cor- respond un état humoral déterminé. Les recherches expérimen- ta
Flint, 117. Analyse du -, par Bauer, 335. Criminel. Evidence de l' état sain des esprits dans les affaires, - par Kie
s enfants en justice, 90. TESTICULE artificiel et guérison d'un état mental morbide chez un mo- no-cryptorcliide, pa
58 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t de l'admission. de ce malade, je le retrouve à mon retour dans un état de calme avec légère dépression men- tale sans
qspéciale"beaucoup plus profonde que celle de l'alcoolique, même'en état de stupidité. '"* ' Brissaud et Lamy : l«ayMesM
ui était présente, elle tomba « comme pasmée » pour demeurer en cet état depuis dix heures jusqu'à mi- 1 Manuscrit ne 18
e psychique ou somatique; concomitant. Passant- en revue les divers états morbides dans lesquels peut se rencontrer * ce
, ambulatoire accompli par une' femme de cinquante-deux ans dans un état de somnambulisme,' terminé par des attaques d'h
précédente (amnésie rétrograde), àpeu près complètement perdu à l' état de veille, sauf quelques incidents surnageants; r
dents surnageants; reparaissait, de la façon la plus nette dans t l' état hypnotique. A propos de ce ' fait; M., Pitres e
ï0Arhélio- ration progressive eri'jàilvier," sans'chan.ereiit'de' l' état mental. (Amenicun journal of itisanity, 1893.)
. I J' il- ' f. ? "t ? j .t .& . . V Rapport médico-légal SUR l' état morbide DU mécanicien DE LOCO- motive W. B. mis
de Marshall EWELL, Etude micrométrique des globules sanguins ci l' état de" santé où de maladie.^ " ^v-A 1 'z < ™- * .
. ? natj-q .l,I' 9.iy IfII n 'Après avoir tout d'abord considéré l' état d'alcoolisme au moment du crime comme une aggra
n1estvicieuse. Si l'on prescrit l'eau froide sans tenir compte de l' état général des organes, si, par engoûment ou par,
aînant; ces procédés sont surtout indiqués lorsqu'on a affaire à un état d'affaiblissement imminent du système nerveux c
cueils de psychiatrie. Il faut espérer, que l'avenir améliorera cet état . 1. 1 '«.tiunn nuv .fit"" "ui"- <»; <i-&g
e constitutionnel désigne un processus pathologique exis- tant -à l' état latent chez l'individu et se -développant, «sans,
otivité. Désordre des actes, souvent dangereux en rapport avec. cet état mental. Accidents somatiques multiples; lassitude
délit, pourra-t-on lui appliquer une pénalité quelconque dans son état actuel de maladie ? M. Charpentier. , Dans ma c
lle, transitoire; la manie subaiguë, chronique, le délire aigu, les états maniaques symptomatiques. Puis la mélancolie ty
Vient ensuite la slupidité psychoasthénique, cataleptiforme et les états de stupidité sympto- matiques. Enfin sont étudi
ptième les démences primitive, secondaire, sénile ; la huitième les états congénitaux, imbécillité) idiotie; crétinisme.
vait de l'embarras de la parole depuis le mois de février 1892, cet état est intermittent. Il y a dix-huit mois, il est
cles. Conservation du réflexe plantaire. Le malade est arrivé à cet état graduellement sans attaques congestives ni épil
qu'on les observe au niveau des grandes cellules pyramidales dans l' état normal et au niveau de certaines cellules polyg
es cellules rondes de l'écorce sont plutôt en voie d'atrophie qu'en état de prolifération. Il serait difficile de dire que
u-dessous les fins réseaux qu'ils forment sont moins fournis qu'à l' état normal et les tubes qu'ils forment paraissent t
forme de la cellule nerveuse qui, de triangu- laire qu'elle est à l' état normal, devient ronde ou ovale en perdant ses a
stés jusqu'ici invisibles par toutes les autres méthodes. C'est cet état moni- liforme des prolongements protoplasmiques
corps de la cellule, cette atro- phie de saillies épineuses qui à l' état normal hérissent les prolongements cellulaires,
sparition des nombreuses épines, des saillies innombrables qui, à l' état normal, recouvrent les NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 9
larvé et la plus commune qui n'a épargné personne, consiste en un , état apathique, en un malaise psychique. On se sent
Parfois on a la tête et les mains plus chaudes que d'habitude. Cet état reconnaît souvent pour cause l'impaludisme larvé.
il pleure sans cause. Le malade a toujours pleine conscience de son état morbide. b) Amyosthénie. Elle accompagne en gén
e de son état morbide. b) Amyosthénie. Elle accompagne en général l' état psy- chique. Son intensité est variable et elle
tre ces amyosthéniques présentent sensiblement la même force qu'à l' état normal. c) Troubles vaso-moteurs. Ces troubles,
ndu pour troubler la pression sanguine générale et donner lieu à un état demi-syncopal, par abaissement de la pression s
et 0,023. C'est sur ces trois ordres de troubles, et surtout sur l' état psychique, que la neurasthénie palustre est bas
rsale est douloureuse, soit à la pression, soit spontanément. Cet état coïncidait toujours avec une névralgie générale.
et les récidives alors se mani- festent par une aggravation de leur état ; ou, d'autres fois, quelques troubles isolés pe
0, m'ont fourni d'aussi nombreux cas de neurasthénie que l'été. L' état constitutionnel des malades ne joue qu'un rôle
e temps en temps nerveux et sujet à des mauvaises humeurs; mais cet état passait vite. Il y a quinze jours qu'il commenç
rt du paludisme. Toujours bien portante, et sans aucune névrose, ni état névropathique anté- cédent. Un mois avant elle
des inspirations profondes, sa vue s'obscurcit, elle tombe dans un état vertigineux, la tête tourne, Elle a des alterna
résente tous les troubles de la neu- rasthénie palustre, à savoir : état psychique, amyosthénie, troubles 'vaso-moteurs.
, mais cette fois ils consistaient en une faiblesse générale, en un état lipo- , thymique avec battements artériels et t
pas de midi, même le plus indigeste, était parfaitement toléré. Cet état dura à peu près quatre ans. Les troubles subjec
n, ainsi que tous les troncs nerveux sur leurs points de Valleix. L' état psychique s'est complètement transformé. Celt
fusaient rapidement la nourriture et finissaient par mourir dans un état cachectique avancé. Nous les avons suivis de pr
excellents, à en juger par les photographies, en ce qui concerne l' état phy- sique du moins. Quant à l'état mental, ajo
ographies, en ce qui concerne l'état phy- sique du moins. Quant à l' état mental, ajoute M. Railton, on ne sau- rait prét
nce d'un épileptique dont rien n'explique la maladie, de penser à l' état oculaire. E. Régis. V. Cas de folie consécutive
e surtout par l'affaiblissement ou la perte de la mémoire et par un état général d'indifférence, et qui est due à un aff
ation mentale débute quelque temps après une fausse couche. D'abord état maniaque, ensuite état dépressif avec délire. P
elque temps après une fausse couche. D'abord état maniaque, ensuite état dépressif avec délire. Puis les deux états d'ex
rd état maniaque, ensuite état dépressif avec délire. Puis les deux états d'expansion et de dépres- sion se remplacent et
DE PATHOLOGIE MENTALE. observations ; alimentation insuffisante et état de stupeur avec refus de nourriture chez deux m
ition et on peut considérer l'hypothermie chez les aliénés comme un état d'inhibition diffuse provoquée par des causes d
de Poppelsdorf, expériences qui doivent montrer que l'individu en état d'hypnose peut pendant longtemps, voire une demi-
tplial. Il commande à la malade d'ouvrir les yeux ; la voilà dans l' état somnambulique; activité psychique très intense,
ggestion (scènes de toute nature fabriquées de toutes pièces) ; cet état est prolongé pendant près de deux heures et, du
prises, éner- giquement suggéré verbalement d'avoir à sortir de cet état . M. Scautz communique l'histoire de deux faits
a question examinée par ce congrès relative à la culpabilité dans l' état d'ivresse. Sur la proposition de lt.OEuEeE cett
délirantes fixes mais complètement nouvelles qui dans leur premier état étaient des idées de persécution puis se sont t
e tremblement relatif de la main tenant le tambour (c'est-à-dire en état de contraction musculaire). Je dis que le tremb
esante, ne se trouveront pas enregistrées. Quant au tremblement à l' état de repos il n'est pas permis d'en avoir le grap
phé- nomènes pathognomoniques, tels que la reproduction, dans des états hypnotiques, des souvenirs disparus. Il m'a donc
nt elle avait conscience et dont elle souffrait, elle présentait un état général de dépression et de tris- tesse qui en
cise. ' Un point semble établi, c'est que l'incendie a provoqué cet état d'amnésie et d'aboulie que l'on constate encore
e avec soin. Je n'ai jamais constaté de changement notable dans l' état de sa mémoire, si ce n'est qu'elle paraît s'affai
t tant en rapport avec le développement de la musculature qu'avec l' état de lucidité et de conscience du malade. Mme B..
nt de douleur, très légère; ceci est probablement en rapport avec l' état d'asthénie psychique. , Pour terminer avec ce
L'étude de la mémoire de \Ie 13... doit comprendre trois parties : état des souvenirs de la période de temps contemporain
e si le dernier qu'elle se rappelle est visuel ou auditif, lié à un état émotif ou autre, attendu surtout qu'il n'y a pa
onnaissances apprises à l'école, sont demeurées dans son esprit à l' état de souvenirs, parce que, d'un usage plus fréque
a connu. C'est d'ailleurs un fait que je constate souvent dans des états de confusion mentale, où il existe une certaine
exemple, me cite les vertes et les brunes. , J'expérimente alors l' état de la mémoire verbale. Je lui cite des mots fam
ctement la saison ni l'heure actuelle. Elle se fie en général sur l' état du ciel. " * 'li- .' ' - ^Le 3 février à 10 heu
e, non 180 ' CLINIQUE NERVEUSE. pas dans les détails, mais dans l' état émotif désagréable qui les accompagne et les su
peuvent-ils . revenir un jour, c'est-à-dire existent-ils encore à l' état latent dans une mémoire inconsciente ? Cette de
iente ? Cette dernière hypothèse n'est pas probable; dans aucun des états , de distraction, il n'a été possible de ranimer
t pas encore 'assez comment les sen- sations f s'emrriâgâsinent à l' état de résidus dansées- cellules nerveuses^' quelle
aissent à mesure qu'elles sont perçues. Cependant celles liées à un état émotif paraissent être susceptibles d'une plus
ules nerveuses à rete- nir les sensations qui les ont irritées ? Un état d'épuisement chronique comme le pense M. Féré ?
à un choc moral ou à un traumatisme physique, comme aussi dans des états de fatigue, la perception deviendrait'moins int
mais que bien peu de dépar- tements consentiraient à faire, dans l' état de nos moeurs rou- tinières. e Ce qu'un seul
ablissements à la fois pédagogiques et médicaux, en harmonie avec l' état de la science actuelle. Mais tant que les cho
chancelier autre chose qu'un ordre au parlement, de lui envoyer un état sommaire des preuves. En même temps qu'ils intr
oux chargé de satisfaire à l'ordre du chancelier, de lui envoyer un état sommaire des preuves de la procé- dure, s'était
la dite Buvée, procès-verbaux dressés par le dict commissaire de l' état du dict couvent et des personnes des religieuse
sixiesme novembre de la recog- noissance de la longueur, largeur et état de choeur du coup vent des dittes religieuses ;
diplopie et symptômes de ménin- ' gite basilaire coïncidant avec un état cblorolique et disparaissant avec luisanstraite
le pied sur la jambe. Dans la station sur les talons, en effet, à l' état normal, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 211 ? les
éduqués, tels la plupart des malades des hôpitaux, qui restent à l' état infantile, en ce sens qu'ils ne peuvent écrire
ôté droit ayant progressé, le masticateur du côté droit présente un état de parésie marqué; le facial droit est atteint,
s déterminations différentes de celles du commun; pour Foville, l' état de toutes les personnes qui ne jouissent pas de l
relief ce fait que les troubles de nature hystérique tiennent à un état mala- dif de l'esprit; ils auraient pour point
e de ce'que nous avançons, il suffit d'observer ce qui se passe à l' état physio- . logique quand notre intelligence vive
unir, de grouper, de synthétiser le même ensemble de notions qu'à l' état physiologique; elle laisse hors de son do- mari
a ter- rasse et l'annihile momentanément. Ainsi sont constitués les états de condition seconde ou de somnambulisme sur le
u. Les notions qui précèdent résument, si nous ne nous abusons, l' état actuel de nos connaissances sur la nature de l'hy
spositions : elle se manifeste dans d'autres cas, on lésait, par un état durable et permanent, par une déviation indélébil
type physiologique à laquelle on a donné le nom de dégénérescence, état caractérisé par des malformations physiques, par
fférences, et si la dégé- nérescence et l'hystérie constituent deux états très voisins, ils n'en sont pas moins distincts
'en sont pas moins distincts, ..Il nous faut maintenant étudier l' état mental des hystériques et 224 SOCIÉTÉS SAVANTES
qui dépendent de la dégénérescence mentale. Ce qui caractérise l' état mental des hystériques, c'est, dans l'ordre int
elles qu'il faut rattacher à l'hystérie. Ces considérations sur l' état des hystériques montrent qu'on avait été trop l
a cuvette du thermomètre, etc. Ces quelques exemples montrent que l' état mental des hysté- riques est susceptible de dév
sserons de côté dans cette esquisse. Cette réserve admise, tous les états som- nambuliques (exception faite pour l'automa
nambulisme revêt sa forme la plus complète. Il constitue alors un état second au cours duquel l'individu présente les ap
des actes. Mais au réveil où, si l'on préfère, après le retour à l' état habituel, le souvenir de toutes les pensées, de
férentes. Aussi le mot dédoublement de la personnalité appliqué aux états dont il s'agit n'est-il pas parfaitement exact.
st indispensable si l'on veut saisir la caractéristique de certains états mentaux observés au cours de l'hystérie et s'ex
our qu'au premier abord on puisse penser qu'on est en présence d'un état maniaque d'autre nature. Mais dans ces cas, la
ancoliques ne sont pas rares chez '.les hystériques. En dehors de l' état d'habituelle tristesse, dont nous avons déjà pa
n que les limites de l'hystérie sont dif- ficiles à préciser et les états qui lui confinent sont précisément des manifest
prédispositions, dans d'autres cas elle se mani- festerait « par un état durable et permanent, par une déviation c indél
cence Et plus loin : « la dégénérescence s'entend actuellement d'un état caractérisé par des malformations physiques, pa
sentée. La prédispo- sition, en un mot, c'est la dégénérescence à l' état latent. Et dire que le facteur étiologique prin
al, j'assistai à diverses reprises à ce délire de reviviscence. A l' état de veille aussi 232 SOCIÉTÉS SAVANTES. bien q
ence. A l'état de veille aussi 232 SOCIÉTÉS SAVANTES. bien qu'à l' état d'hypnose provoquée, la malade se souvenait de
d'une tem- pérature au-dessus de 41°. Devant la persistance de cet état qui résistait à tous les traitements, on commen
prouver, c'est celui qui a trait à l'analogie du rêve avec certains états hystériques. Je crois, pour ma part, que le rêv
qu'on arrache à son sommeil ou l'alcoolique à son délire. Tous ces états sont des empoisonnements par des voies dîne- re
e la conscience, de la lucidité, du retour brusquement possible à l' état normal, qui paraissent ne jamais se perdre, pou
lusieurs attaques de manie aiguë rémittente, l'affection passer à l' état chronique. Dans la manie habituelle la guérison
ible de s'entendre. Que l'hystérie et la dégénérescence soient deux états voisins, d'ac- cord, mais affirmer que c'est la
égénérescence. Comme la prédisposition, celle-ci peut exis- ter à l' état latent. En effet, lorsque sur vingt femmes qui so
ne prédisposée chez laquelle la dégénérescence mentale existait à l' état latent. SOCIÉTÉS SAVANTES. 237 M. BRISSAUD(de
e-là bien portant présenter des manifestations hystériques. Mais un état dégénératif dont la connaissance est fondée sur
riels, ainsi que cela s'observe dans les délires toxiques; 20 sur l' état de semi-conscience des sujets ^««"interpellatio
s troubles moteurs ou sensitifs propres à la polynévrite. C'est cet état que les nombreux auteurs qui s'en sont occupés
périodiques. Il faut parfois de longues années pour se guérir de l' état neurasthénique que produit l'alcoolisme. Crothers
remplacer les prisons et les maisons de correction qui aggravent l' état phy- sique et moral des ivrognes qui y sont pla
e profession ; - 2° ensuite les alcooliques délirants (aliénés) à l' état subaigu, aigu ou suraigu;-3° enfin les aliénés
n est tout à fait d'accord sur les caractères symptoma- tiques de l' état mental dans la polynévrite périphérique, en rev
t sur sa pathogénie. Certains auteurs, comme Korsakoff, font de cet état mental une manifestation spé- ciale à la polyné
rougeole, qui, dès la période d'incubation, aggrava notablement son état psychique en y ajoutant un élément mélancolique
lui fait désirer la mort plutôt que de rester indéfiniment dans cet état d'infériorité mentale. Tel est, depuis près de
et état d'infériorité mentale. Tel est, depuis près de huit mois, l' état psychique du malade, ce qui prouve combien sont
maladies infectieuses sur le système nerveux. Or, ce malade, dont l' état mental est manifestement l'état men- tal caract
tème nerveux. Or, ce malade, dont l'état mental est manifestement l' état men- tal caractéristique de la psychose polynEv
s troubles oculaires, la faiblesse des membres. , E. Régis VL Des états seconds; variations pathologiques du champ de la
ue d'ensemble, les diverses théories relatives à la psychologie des états seconds. En voici les conclusions : . Il existe
s états seconds. En voici les conclusions : . Il existe une série d' états psychiques, désignés sous le nom d'états second
: . Il existe une série d'états psychiques, désignés sous le nom d' états seconds, caractérisés, dans les cas les plus ne
éritable altération de la personnalité, le sujet étant autre qu'à l' état de veille et perdant, lors de son retour à l'ét
tant autre qu'à l'état de veille et perdant, lors de son retour à l' état normal, le souvenir de tout ce qui s'est passé
nir de tout ce qui s'est passé pendant la période pathologique. Ces états ne doivent pas être étudiés séparément, mais bi
ours le même,- fait bien prouvé par la faci- lité avec laquelle ces états peuvent se transformer l'un dans l'autre et la
période de la grande attaque), il faut joindre un certain nombre d' états frustes, caractérisés par la prédominance des p
et le souvenir partiel et souvent vague au moment du retour à ' l' état normal; ce sont : les états frustes de Bernheim,
souvent vague au moment du retour à ' l'état normal; ce sont : les états frustes de Bernheim, de distraction de P. Janet
qui, mieux que tout autre, permet d'expliquer les troubles de leur état men- tal et certains de leurs stigmates physiqu
nt sain, à conscience large, on ne pourra jamais déterminer que des états frustes d'hypnose. . Cet état particulier de dé
e pourra jamais déterminer que des états frustes d'hypnose. . Cet état particulier de débilité mentale, qui peut coïncid
entale et la répétition peut amener la production artificielle d'un état mental analogue à celui de l'hystérique. E. Rég
itaire dans les diverses psy- choses. Délires systématisés dans les états maniaques et . mélancoliques, dans la folie int
ompte de ces différences. La même influence se fait sentir dans les états mixtes tenant a à la fois de la pathologie et d
i bien que ce délire partiel ne vous semblera plus que l'effet d'un état général. - En somme, la teneur du délire ne fou
int de vue de la genèse vésanique, exagérer l'influence de certains états diathésiques et décrire avec Berthier des névrose
dents expliquaient la prédisposition qui faisait le fonds même de l' état maladif et en était la véritable cause efficien
syphilis, démontrerait que la manie et la syphilis étaient ici deux états coexistants, avec une étiologie différente, et
te de la marche et de la périodicité des accès, de l'intégrité de l' état mental dans la période intercalaire, de l'ap- p
. C'est au sommet d'une vie de travail que sourdement se modifie un état men- tal jusque-là parfait. A ce moment la lutt
eur forme, ne sont le plus souvent que la traduction d'un côté de l' état men- tal que nous apprendrons à connaître : l'o
'esprit n'est pas réduite aux psy- choses ; elle comprend aussi les états mixtes tenant à la fois de la pathologie et de
moindre dans la genèse des troubles intellectuels survenus dans ces états mixtes. Passons rapidement en revue ces nouvell
es je viens d'en- trer tendent à prouver que la prédisposition et l' état mental sont les deux jalons directeurs dans l'é
laissés chez eux et ne reçoivent pas les * soins qu'exigerait leur état . . D'abord, pour les idiots et les imbéciles, l
dressa, en outre, une sorte de mémoire réca- pitulatif, en faisant état de toutes les affirmations des reli- gieuses. I
cadre de l'hys- térie convulsive et délirante, dont la réalité, à l' état épidé- mique, a été scientifiquement établie de
ons obscènes, de la réalité desquelles elles ne doutèrent pas à l' état de veille, et dont elles racontèrent les moindres
ènes se produisaient, une connaissance parfois assez complète, leur état mental ne fut pas profondé- ment troublé, car c
ait été compliquée de nymphomanie. Mais le caractère commun de leur état mental, intercalaire aux crises, fut sans conte
elles de Deiters de la substance blanche semblent être restées à un état de développe- ment antérieur; les cellules-arai
ensorielle ou sensitive (oeil, oreille, larynx, épiderme) pendant l' état hypnotique : « 1° Quand on excite le plan verti
itation, les longues prières, l'extase, etc., c'est-à-dire dans les états comparables au rêve : c'est pour cette raison q
rvent rarement à un si haut degré dans le tabes, mais surtout par l' état des racines dont les altérations sont minimes s
nze jours, et depuis lors les maux de tête ont disparu, ainsi que l' état neurasthénique. M. Duret pense que la trépanati
ers *. Elle a donc parcouru la période que représente aujourd'hui l' état de son frère. Ces observations diffèrent, pourt
t fixés, les vaisseaux sanguins et lympha- tiques le sont aussi à l' état de déploiement; toutes les formations épithélia
elles sont au moment même de la mort. Voyons maintenant dans quel état sont fixés les nerfs normaux engagés dans les t
nt en de l'eau plus ou moins chargée de sels minéraux. ' - Dans l' état normal, la cavité vaginale des troncs et des tron
debout, marchant et devenus propres. Parallèlement au progrès de l' état physique on voit la physionomie s'éveiller de plu
sorielle, mais toutefois dans des limites plus res- treintes qu'à l' état normal. On pourrait croire que tout processus p
eur de la nature toute psychique de l'anesthésie hystérique. Dans l' état hypnotique (somnambu- lisme, léthargie), les ph
qu'on nous a fait voir étaient en général bien tenus, étant donné l' état des bâtiments. Mais on n'a pas conduit les con-
ement deux ou trois fois. Il n'y aurait rien de particulier sur son état mental antérieur ; mais il est au moins prudent
ns et délire, sur lesquels nous reviendrons. La malade ne garde à l' état de veille aucun souvenir de ces atta- ques, fai
es-uns, très rares, seulement dans leurs détails, restant ainsi à l' état défaits vagues, isolés, sans signification préc
ique, sans pensera rien, dit-elle. De fait, par l'examen direct à l' état de veille, on ne peut retrouver chez elle aucun
ez elle aucun délire, aucune idée fixe, et l'on ne cons- tate qu'un état de confusion mentale assez accentué. Depuis son
que que nous venons de signaler et que l'on observe directement à l' état habituel, vient à se modifier dans des circonst
e à qui on enlève la faculté de voir et d'entendre, tombe dans un état particulier, sur lequel les auteurs ne sont pas d
e ces cas particuliers, pense que les malades entrent alors dans un état de sommeil qui se rapproche du sommeil normal,
sommeil hypnotique. -, Pour M. Pierre Janet, ce serait également un état somnam- bulique ; pour M. Pronier, une manifest
olongée, ne produit rien de particulier, aucune modification dans l' état somatique ou psychique de la malade qui comprend
pour recevoir nos ordres et nous per- mettre de nous assurer de son état psychique. Nous continuons donc ainsi à fixer s
issement des paupières qui persiste tant que la malade est dans cet état . Le pouls est accéléré (108), la respiration l'
r ; les paupières se relerment de suite, et tout reste dans le même état . Mais si on les maintient ouvertes 358 CLINIQUE
s phénomènes les plus apparents qui caractérisent objectivement cet état . Sans rien préjuger de la question, ce sommeil
plus grande et d'un champ de conscience beaucoup plus étendu qu'à l' état de veille. 1 Si nous recherchons ce que sont
, mais encore d'autres qui l'ont précédé et qu'elle a oubliés à l' état de veille; enfin, tous ceux qui se produisent au
ntre sept et huit heures. Cette visite du gendarme semble être, à l' état de veille, le point de départ de l'amnésie qui,
as totalement perdus pour elle, mais qu'ils existent en réalité à l' état subconscient. De même, les faits qui ont suivi l'
conservés de la même façon subconsciente. C'est ainsi que, dans cet état , la malade donne les renseignements les plus pr
exacts des lieux, des objets, des dates, de la durée; alors qu'à l' état de veille, elle semble n'avoir rien compris et
r la malade abandonnée à elle-même. La seule différence est que cet état particulier se produit moins rapidement que dan
ectifs restent les mêmes.) Interrogée sur ce qu'elle éprouve dans l' état que nous ve- nons de décrire. M... déclare sans
sans hésitation qu'elle se trouve très bien, beaucoup mieux qu'à l' état de veille. Elle n'est pas énervée, n'a pas mal
s mal à la tête. D'autre part, elle nous dit for- mellement que cet état ne ressemble pas à son. sommeil de la nuit, par
s mêmes phé- nomènes objectifs précédemment signalés au sortir de l' état déterminé par l'expérience de Strumpell. Et dan
Strumpell. Et dans un cas comme dans l'autre, une fois revenue à l' état de veille, M..., est parfaitement inconsciente
ne fait elle même aucune différence entre ce sommeil provoqué et l' état qui succède à l'expérience de Strumpell, qu'ell
e l'opinion qui rattache l'anesthésie et l'amnésie hystériques à un état de désagrégation mentale particulier, de double c
yens ordinaires ou par l'expérience de Strum- pell, et aussi dans l' état de simple distraction si facile à déterminer ch
d'un phénomène psychologique survenu à l'origine de l'amnésie, de l' état aboulique, de la confusion mentale, et dont la
, la présence d'une idée fixe subconsciente. En effet, alors qu'à l' état de veille l'inter- rogatoire de la malade ne me
u la chercher; et découvre même qu'elle y pense dans la journée à l' état de veille, mais « sans s'en rendre compte, sans
ême pendant la HYSTÉRIE. EXPÉRIENCE DE STRUMPELL. 363 veille, à l' état subconscient, absorbant le peu d'attention que
le peu d'attention que M... a de disponible, la maintenant dans un état de distrac- tion perpétuelle, et par suite augm
remarquer, à ce propos, que M... n'est nullement suggestible dans l' état somnambulique provoqué soit par les moyens ordi
s deux conditions défavo- rables. Toutefois, M... présente d'autres états , voisins du pré- cédent, où le développement in
plus suggestible et où elle l'est en effet. C'est ainsi que dans l' état de distraction simple provoquée pendant l'état de
est ainsi que dans l'état de distraction simple provoquée pendant l' état de veille, et avec écriture automatique et inco
idée fixe du gendarme. M... est également suggestible dans un autre état somnam- bulique, intermédiaire en quelque sorte
en quelque sorte à la distraction avec écriture inconsciente et à l' état somnambulique que nous avons décrit chez elle,
es reprises multipliées, nous avait toujours mis en présence de cet état dont nous avons exposé tout à l'heure les parti
nditions d'anesthésie et d'am- nésie. Elle tombe rapidement dans un état de sommeil sem- blable en apparence aux précéde
dans les autres expériences, M... a conservé, absolument comme à l' état de veille, son anesthésie sensitivo-sensorielle
poursuite. Malgré ces différences, il est à remarquer que dans cet état somnambulique particulier, elle conserve la not
bulismes précédents et se trouve, dit-elle, à peu près dans le même état . Dans ce somnambulisme, car c'est bien en fait
eil. Nous avons pu, dans les conditions précédentes, comme dans l' état de distraction provoquée, nous attaquer à l'idée
s, et il s'est produit dès lors une très légère amélioration dans l' état mental, jusqu'à ce qu'une nou- velle attaque, e
lant le délire, vint tout remettre en question. Ces variations de l' état somnambulique constatées une fois dans l'expéri
voqué, et c'est là un argument de plus en faveur de l'identité de l' état succédant à l'expérience de Strumpell avec les
qui pour la plupart ont avec elle de grandes analogies : 1° Que l' état particulier qui succède à l'expérience de Strum-
nce de Strum- pell n'est nullement un sommeil naturel, mais bien un état somnambulique. 2° Que cet état somnambulique,
t un sommeil naturel, mais bien un état somnambulique. 2° Que cet état somnambulique, comme tout autre du même genre d
jours d'un grand intérêt d'étudier la nutrition dans les différents états pathologiques, mais cet intérêt croît encore 1
lume de vingt-quatre heures est un peu diminué si on le compare à l' état physiolo- gique ; mais qu'au contraire il est a
l'acétone ne fournissait aucun signe pathologique en rapport avec l' état psychique ; il a constaté qu'on pouvait trouver
psychique ; il a constaté qu'on pouvait trouver cette substance à l' état de santé comme de maladie et qu'elle n'avait au
suite de la maladie de leurs pro- priétaires, sont toujours dans un état de malpropreté révol- tante et lorsque nous avo
fection, on devra apporter un soin tout particulier à cons- tater l' état du faisceau solitaire, du corps restiforme et des
ganisme : maladies, excès, vices débilitants, intoxications, et les états d'origine psy- chique si fréquents chez la femm
e de Zola la Bête humaine; chaque épisode du roman lui remémore son état et lui fait faire des comparaisons entre l'impu
dos ; son dos se décompose, etc. La malade se rend compte de son état : elle est persuadée de l'ineptie de ses parest
ement n'a amené de soulagement. Cette observation, qui montre qu'un état délirant n'est pas une condition sinequa non po
uelle la produc- tion pileuse anormale coïncida avec le passage à l' état chronique de la psychose. (Bi-ilish JIccl. Jozi
tion), ou par l'ensemble confus d'hallucinations de tous les sens ( état de confusion ayant quelque analogie avec le délir
ire aigu). G. DENY. XXXV. LE czar Jean LE Terrible DE RUSSIE ET son état mental; par le Dr P. Kowalewsky. (liull. de la
AVANTES. chronique. On se déterminera d'après l'humeur du malade, l' état de sa connaissance, le degré de confiance qu'on
ères d'un sentiment obsédant. Eclairé sur la nature spéciale de cet état mental, il redevient plus calme et finit par êt
Eh bien ! chacun de ces phénomènes peut se mon- trer isolément à l' état d'accès fruste chez les neurasthéniques, ou à l
isolément à l'état d'accès fruste chez les neurasthéniques, ou à l' état de symptôme chronique, sans qu'il se produise auc
ique et psychologique des fugues morbides dans les trois principaux états où on les ob- serve en dehors de la folie propr
sation délirante. Conception du délire chronique basée : 1° sur l' état mental primordial ; 2° sur l'évolution de l'affec
; il rapproche, en sa lente et fatale évolution, toute une série d' états psychopathiques, considérés jusqu'ici comme des
fixer un type morbide, l'évolution de la maladie tout entière et l' état mental sur lequel elle est née. Ces deux élémen
re alors de tous les bruits extérieurs, et les rejette aussitôt à l' état d'images tonales, qui empruntent au délire nais
endre le sens. » A ce moment le centre auditif cortical est dans un état d'éréthisme tel qu'à chaque vibration de l'écor
nt même qu'elle ait fini d'en comprendre le sens ». L'idée qui, à l' état physiologique accompagne l'acte, suffit de même
surmenage de ses centres sensoriels ont eu leur contre-coup sur l' état général. Malgré tout, la mémoire persiste, l'in
uelquefois cette attente se prolonge outre mesure et le met dans un état de surexcita- tion extrême : Le 29 mai, malgré
riens. Les désirs et les aptitudes génésiques n'ont pas faibli. L' état général est satisfaisant. Le malade est pâle ; il
, comme avant l'injection. En outre, les animaux étaient en parfait état de santé et augmentaient même de poids. Il est, c
uvée attirée sur cette pollakiurie transitoire et éliminatrice. A l' état de veille, il n'en était pas trop ému, mais il
es années après. Ce trouble urinaire n'indique dans l'enfance qu'un état névropathique précurseur de l'hystérie, mais sa
lus rationnel d'admettre la première hypothèse qui est conforme à l' état actuel de nos connais- sances anatomiques et ph
aurait y avoir qu'unanimité. L'interprétation ne peut varier. A son état de parfait développement c'est une dislocation,
ns de l'affaiblissement des facultés, et de DE LA PANAROIA. 479 l' état du sentiment (dépression, excitation), qu'ils ont
nchaînés comme dans cette dernière ; tout au contraire, ils sont en état de perpétuelle mobilité et ne peuvent, par suit
Il est vrai que c'est la raison pour laquelle on a identifié à cet état deconfusioii mentale déjà mis en relief par Wes
l mourut même dans un accès de suffocation, non sans rapport avec l' état de paralysie des muscles inspirateurs. (Britisl
ts dans les écoles de réformes ou de correction pour ces différents états , en Amérique. (British bled. Joum., 24 février 18
ion d'Altmann, et dans deux conditions physiologiques déterminées : état de repos et état d'action. . Dans le premier
dans deux conditions physiologiques déterminées : état de repos et état d'action. . Dans le premier cas (V. fig. 18,
plique en bien des cas rien, et obs- curcit plus qu'il n'explique l' état des choses. Mais je ne puis souscrire à la défi
le délire. Il est indubitable que ces symptômes-là se montrent à l' état passager dans toutes les folies fonctionnelles
nt de maladies infectieuses, de traumatismes, tient aussi bien à un état physique qu'à un état mental; on la désigne sous
euses, de traumatismes, tient aussi bien à un état physique qu'à un état mental; on la désigne sous le nom de démence ai
es sur la description de quelques tableaux morbides momentanés ou d' états morbides qui se prolongent pen- dant quelque te
e s'applique à l'ameuta considérée comme forme morbide et aussi aux états mentaux les plus différents auxquels la langue
cès d'agitation, procéder par poussées qui généralement aggravent l' état mental. En revanche, s'il ne se produit pas d'ag-
hallucinatoire. J'ai assez souvent vu de tels malades arrivés à un état remarquable de lucidité éprouver peu après une
hallucinés, ils tombent alors dans le désordre chronique des idées, état de dissociation intellectuel (Verworrenheit) do
et des hystériques. Il ne nous est pas possible de croire que les états d'obnubilation intellectuelle, de rêvasserie, d'a
ons d'énumérer de l'amentia ont pour signes distinctifs communs : l' état de trouble de la connais- sance qui peut aller
a folie systématique aiguë (para- noia acuta) passe directement à l' état de folie systématique chro- nique (paranoia chr
theit). Le polymor- phisme des conceptions délirantes est, dans ces états , la règle ; ja- mais en tout cas, il n'y a orga
usion mentale, l'humeur des malades correspond surtout à celle de l' état maniaque, mais, réciproquement, chez le vrai ma
n mentale, tandis que dans l'autre, les conceptions délirantes de l' état de confusion mentale ont provoqué une cénesthés
t pour quelques cas de folie systématique aiguë caractérisés par un état céneslliétique mania- que, très marqué et très
re part, il existe des cas de paranoïa et de confusion mentale avec état mélancolique marqué et persistant. Il est don
que souvent pendant quelque temps une sensation d'étouffement, un état d'agitation intérieure vague. Ils n'émettent pas
r la bibliographie et les traités ne reflètent point actuellement l' état présent de nos connaissances, aussi chaque savant
mment Snell n'admettait pas la théorie actuelle d'après laquelle un état mélancolique pouvait servir de base à l'édificati
e de début de l'affection, l'absence de fièvre, la persistance de l' état général et surtout par l'évolution favorable de
nt qu'en apparence, la maladie presque sûre- ment existant déjà à l' état latent. Théories bulbaires. La théorie de la né
e « akinesia algera » et dont le symptôme dominant consiste dans un état douloureux de tous les organes actifs et passif
ntiments affectifs, des impulsions, etc., sont les symptômes de cet état sénile, qui marche lentement vers la démence. J
cain où l'on a cru pouvoir interroger l'accusé mis préalablement en état d'hypnose pour lui faire avouer son crime et ce
as plus qu'il ne faut ajouter de créance aux soliloques des gens en état de rêve. A. Marie. X. Essai sur la neurasthén
'il n'y a qu'une différence de degré dans les symptômes de ces deux états morbides. De nombreuses observations, minutieus
s asiles et que l'assistance du médecin ne soit requise que quand l' état physique de l'aliéné, atteint d'une maladie de
ns les rapports médico-légaux de divers médecins spécialistes sur l' état mental des personnes examinées par eux. L'on n'
gique du -, par Schalfer, 316. Czar, le Jean le Terrible et son état mental, parKowalewsky, 413. Dmtwwsue, liar Hayc
lE. llAL1'RACTRICE, par Cl. Bell, 5G. Médico-légal, rapport sur l' état morbide d'un mécanicien, W. B., par Oppenheim
Smirnoff, 486. Sang, examen microchimique du , par J. Joues, 55; état du poids spécifique du sang chez les alié- né
59 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
au plus , ne manifeste suffisamment le changement qui s’opère dans l’ état habituel do son existence. Pour obtenir ce chan
’agitation qu’il éprouve. Ceci fait, je le laisse retomber dans son état de repos, et, m’éloignant à cinq ou dix pas, je r
s sur des hommes placés dans les mêmes circonstances, c’est-à-dire en état de sommeil naturel. Je trouve qu’il n’en est en
s, gêne dans la respiration, sommeil plus profond ou réveil. Dans l’ état d’ivresse les mêmes phénomènes ont lieu. Dans l
uvent, pour m’assurer du sommeil de personnes qui me disaient être en état de somnambulisme, il m’est arrivé de diriger sur
u éclairer mon esprit. Rarement j’ai rencontré quelque être humain en état de sommeil naturel sans essayer aussitôt l’action
tit était très-susceptible d’entrer en somnambulisme, et que dans cet état , lui, M. Du Potet, pouvait, à sa volonté, et sans
un sommeil naturel assez léger; et quelqu’un lui ayant parlé dans cet état , il s’éveilla comme en sursaut. Peu d’instants ap
t tel nombre de bandeaux que l’on voudrait et d’agir sur lui dans cet état . On lui couvrit en effet la figure jusqu'aux nari
bientôt après l’opération magnétique, et le patient retombe dans son état habituel jusqu'à ce qu’une nouvelle magnétisation
nétisme augmente le mal et replace l’individu qui y est soumis dans l’ état aigu; c’est le plus favorable des symptômes. Souv
nt ces parties fussent complètement insensibles. Je la laissai dans l’ état que je viens de décrire. Mais bientôt après elle
rire. Mais bientôt après elle reperdit connaissance et retomba dans l’ état où je l’avais trouvée. J’y allai de nouveau, la r
ballonné, chaleur sèche et âcroà la peau. Je la magnétisai dans cet état . Ehabien, la nuit qui suivit, elle eut quatre h
é, ayant les yeux ouverts, mais fixes; les muscles de la face dans un état de repos parfait; le pouls était petit, fréquen
duisis ainsi comme il était venu, mais à reculons et toujours dans un état d’impassibilité que je n’avais vu de ma vie. Je
rie, mon cher ami, calmez les inquiétudes quej’ai, premièrement sur l’ état de votre santé et de votre bien-être, et puis sur
, tous les moyens échouaient. Un soir cette malheureuse était dans un état de rigidité générale qui rappelait le tétanos, et
l est indécent, combien il est scandaleux qu’une femme, vouée par son état à la vertu de charité, ordonne de me faire saisir
de plus de faire du bien à mes semblables, dont je suis appelé, par l' état que j’embrasse, à soulager les misères, et ce m
ans scs consultations elle a eu le bonheur d’indiquer les causes et l’ état de bien des maladies. L’exactitude de ses observa
t ponctuellement. .Une fois le docteur Brownell la laissa chez lui en état de somnambulisme et en communication avec beaucou
eu d’attaque épileptique depuis le commencement du traitement. Dans l' état magnétique elle déclare qu’elle est complètement
ouvements dans les fluides. Il faut que le malade soit replacé dans l’ état aigu , c’est-à-dire dans la disposition où la mal
’ils ont entre eux, et nous chercherons une explication de ces divers états du cerveau et de l’intelligence. De la surdi-mu
tion royale des Sourds-Muets de Paris. Examen de l’Académie. De l’ état actuel du magnétisme en France, en Allemagne et e
reconnois 1 existance ; lui seul peut rétablir cette harmonie dans 1 état naturel (I). » Qu’est-ce donc que cet agent gén
et communiquer toutes les impressions du mou#-ment (2). » Quoique l’ état de fluidité de la matière soit un état relatif, i
u mou#-ment (2). » Quoique l’état de fluidité de la matière soit un état relatif, il est évident qu’après avoir épuisé par
il sans fatigue et jouissant d’un bien-être qui n’eût pas existé si l' état de somnambulisme eût été rompu immédiatement aprè
sme eût été rompu immédiatement après le travail d’exploration. Cet état de calme, que je me gardais d’interrompre par des
, elle souffrait dans l'estomac et les intestins. Je fis cesser cet état que je croyais un désordre de ses idées; redevenu
ifacial étaient devenues douloureuses, et, ne pouvant rester dans cet état , cette personne me fit appeler pour obtenir quelq
meil. Je le magnétisai encore deux ou trois fois, et cet homme fut en état de reprendre ses travaux ordinaires. Dans ce cas,
ieux et les aliments difficilement digérés. Je la magnétisai dans cet état . Le sommeil apparut bientôt; puis une abondante t
iras esl amendé beaucoup. Il y a quelques jours elle s’examina dans l’ état magnétique et dit que le magnétisme lui avait été
ratoires du somnambulisme magnétique. II n'est aucun des singuliers états que nous allons d’abord décrire qui soit lucide o
énements passés ou futurs, dont on ne peut avoir cennaissan.ce dans l’ état de veille, parce qu’ils ne s’enchaînent, soit com
-GUÉaiSOM d’i’NE GASTRO-ENTÉIIITE AIGUË AVEC CONGESTION CÉRÉBRALE ( ÉTAT DÉSESPÉRÉ.) Pendant l’hiver Je 1830, M""' F...,
se puisse voir. Bientôt les fâcheux symptômes qui caractérisaient son état se compliquèrent de violentes douleurs de téte qu
araissait plus possible de tenter de nouvelles saignées, à cause de l' état de faiblesse où se trouvait la malade. Nous jugeâ
uvai sensiblement mieux; elle n’avait qu’un souvenir très-confus de l’ état où elle s’était trouvée la veille; seulement elle
ence de la garde toute ébahie; la malade ne tarda pas à enlrer dans l’ état de somhambul'snte complet ; quelques instants apr
n faire, mais agissaient trop. Dans toutes les maladies passées à l' état chronique, une heure de magnétisation suffit pour
de douleurs intolérables, j’ai fait cesser ces douleurs et rétabli l’ état naturel par celle seule pratique. Dans tons les
emble de la matière la plus divisée par le mouvement intestin. En cet état , il remplit les interstices de tous les fluides,
sant tous les espaces, il opère la cohésion sans êtro lui-méme en cet état . Je démontrerai de même que l’attraction est un m
êtent dans des canaux dont la capacité est impropre à les contenir. L’ état des vaissaux dans lesquels le cours des humeurs e
uissance de se contracter; la seconde, lorsqu’un vaisseau est dans un état d’irritation qui l’empêche d’être dilaté. Ainsi,
ièrement neutralisé la substance. • On avait négligé de constater l’ état du pools au début de l’expérience ; son accélérat
du pools au début de l’expérience ; son accélération plus tard et l’ état de la pupille ont suffisamment démontré les effet
termes pour exprimer ce qu’ii sent; il ne voudrait pas sortir de cet état ; il est si heureux ! « Que je remercie celui qui
... dit qu’il voulait faire prendre un antidote pour le ramener à son état naturel; suivant lui, ce sentiment de bien-être d
t moi. » 11 se lève ensuite en disant : « Tout cela est un rêve ; cet état d’aberration a donné une impulsion plus vive à me
re délicieuse des sensations qu’élles éprouvent ; mais en voyant leur état d’excitation, tout le monde a été'd’avis que ces
vérifier, et s’il en est ainsi, il serait facile de faire cesser cet état par un quart d’heure de magnétisation. Cet aper
suffocation, quelquefois un épanouissement de la sensibilité avec un état de bien-être inaccoutumé. Le foie, que l’on pou
in numéro.) OPÉRATIONS CHIRURGICALES FAITES SAN8 DOULEUR, DANS UN ÉTAT MAGNÉTIQUE. Rapport lu à l’Académie royale de M
ait magnétiser ladite malade, et la mettre, par ce moyen, dans un tel état d’insensibilité que l’extraction de la dent carié
avant de procéder ù la magnétisation, il nous a engagés à constater l' état de la dent. L’examen nous a fait voir la dent,
ent qui avant la magnétisation produisait de vives douleurs. Dans cet état , M. Cohen a procédé à l’extraction de la dent; il
magnétisme, se proposa lui-même poür cette expérience. Il fut mis en état de sommeil magnétique complet, en moins de .cinq
uit pas, par un ami qui l’avait magnétisé plusieurs fois déjà. En cet état , il trouva que la chambre était trop éclairée, et
ativement. « On convint de le laisser encore quelque temps dans cet état , et, quand on jugea devoir l’éveiller, le magnéti
le magnétisé fit un mouvement des yeux, mais ne put les ouvrir, et l’ état magnétique dura trois minutes de plus. « Bientô
, étant appelé auprès d’une femme qui avait les dents en très-mauvais état , imagina d’essayer le magnétisme pour rendre poss
on sur le bras gauche, mais en vain. Le magnétisé, interrogé dans cet état , dit qu’il entend tout, qu’il ne dort pas, qu’il
ort pas, qu’il ne peut ouvrir les yeux, qu’il est engourdi et dans un état singulier d’assou pissement; il sent aussi un fou
dem. Séance du 2 avril. — MM. NVinenn el Millet rendent compte de l’ état de deux pauvres malades que la société a confiés
s heures et demie sans lu moindre clignottcment, et affirme qu’en cet état il n entend rien de ce qui se passe autour de lui
té, le fixe avec son regard fascinateur. Nous avons observé qu’en cet état M. Divet a la pupile notablement dilatée; c’est l
le magnétisme produit le somnambulisme, l’être qui se trouve dans cet état acquiert une extension prodigieuse dans la facult
l n’y remarque, ordinairement, que les parties qui ne sont pas dans l’ état naturel et qui en troublent l’harmonie. Il retrou
ve dans sa mémoire le souvenir des choses qu’il avait oubliées dans l’ état de veille. 11 a des prévisions et des présensatio
c sagesse; il s’égare, s’il est mal dirigé. Lorsqu’il rentre dans l' état naturel, il perd absolument le souvenir de toutes
r de toutes les sensations et de toutes les idées qu’il a eues dans l’ état de somnambulisme; tellement que ces deux états so
ées qu’il a eues dans l’état de somnambulisme; tellement que ces deux états sont aussi étrangers l’un à l’autre que si le som
ant, il ajoute : « Des observateurs modernes assurent que, dans cet état de somnambulisme, dont nous venons d’exposer anal
ouvertes qui se feront successivement auront pour point de départ cet état moral où rien n’est inconnu. Lo sommeil, et tou
aise? 11 est bien difficile de conserver le sommeil lucide dans son état de pureté. Ceux qui consultent les somnambules n’
issance; car, voici ce qui arrive : les magnétisés qui tombent dans l’ état extraordinaire de sommeil lucide, ne pouvant, éve
lut le retour de ces visions auxquelles l’enfance seule ou les grands états d’irritabilité sont sujets. La nuit, lorsque j’ét
de créer dans mes yeux, une espèce de sympathie s’établissait entre l’ état de rêve et l’état réel où je me trouvais. « Tou
yeux, une espèce de sympathie s’établissait entre l’état de rêve et l’ état réel où je me trouvais. « Tous les objets qu’il
eux qui ont écrit sur cette matière, il nie suffit d’avoir établi l' état de la question que je veux traiter. Et d’ailleurs
gé dans la terre. Notre ami a essayé la clairvoyance de son sujet à l’ état de veille et a découvert plusieurs sources à la m
la Mouche de Saône-et-Loire.) OPÉRATIONS CHIRURGICALES PENDANT L’ ÉTAT MAGNÉTIQUE. A Monsieur le Directeur du Journal
ile et insensible au toucher. Le jeune Mirra passait facilement à l’ état somnam-bulique. Je proposai donc à la mcrc de l’o
vations qui ont été toiles, il parait que, pendant qu’il est dans cet état de somnambulisme, le sens du lact est profondémen
succès, cl il csl impossible de l’éveiller. Un soir qu’il était en état Je somnambulisme, après avoir fait plusieurs chos
it indiquer la propriété de médicaments qu’elle ne connaii pas dans l’ état de veille. Il a essayé sur le platine et l'aconit
Il m’a paru que le magnétisme animal, n’étant pas encore parvenu à l’ état de science, ne pouvait faire l’objet d’un enseign
ent avec soin. Mais nous ne sommes pas au bout des découvertes; cet état nouveau nous en fournira bien d’autres encore.
ails nouveaux; car maintenant ce n’est plus qu’un jeu de produire cet état si singulier ; chaque magnétiseur possède une mas
lexibilité des muscles est la même, et n’offre aucune différence de l’ état ordinaire. Vous voyez que nos grands physiologi
n le malade ne donna aucun signe de douleur : il était assis clans un état do tranquillité parfaite, mais quand les médeci
in devenue inévitable. 11 est bien rare que l’on n’abuse pas de cet état d’insensibilité : c’est un si bon moyen de convic
meurtries par des expériences de pure curiosité, sont douloureuses en état de veille, et ne reviennent à l’état primitif q
curiosité, sont douloureuses en état de veille, et ne reviennent à l’ état primitif qu’en parcourant la période inflammato
ilité alors semble doublée; on sent, on perçoit ce qui échappe dans l’ état d’équilibre des forces. C’est un nouveau sujet d’
venir sensibles à des impressions qu’ils n’apercevaient pas dans leur état ordinaire, ou môme recevoir des impressions étran
ais faire la moindre recherche, vous convaincront, que, dans certains états magnétiques et dans certaines exaltations morales
ce déplorable excès. Je passe les trois quarts de la «journée dans l’ état de torpeur où vous m’avez vu. « Incapable de me m
n-« nés qui veillent sur moi avec un soin religieux. Dès « que, par l’ état de mon pouls, ils reconnaissent que « mon cœur
usage sont lourds, hébétés, stupides, et finissent par mourir dans un état d'idiotisme complet. Pour les Malais, au contrair
riodes bien distinctes dans 1 ivresse de l'opium : la première est un état assez doux; on tombe dans une somnolence agréable
versent, lui attachent fortement les mains, puis le laissent dans cet état cuver tranquillement son opium. Ce sont les Chino
ogue, je n’ai pas « rencontré une aussi grande étendue de terrain à l’ état d’ébou-«leinent que coin i sur lequel est située
rciements h la société tout entière et à M. Simon en particulier. Son état de maladie a été consulté par le docteur Penoyée,
lacour et Millet en sont chargés. M. Winen entretient la société de l’ état d’un épileptique qu’il magnétise depuis trois sem
par l’ivresse, lui a confessé qu’hier, s’étant mis dans ce déplorable état , il n’avait, à son grand étonnement, point éprouv
éprouvé d’accès. Séance du 28 mai. — M. Simon, rendant compte de l’ état d’une dame paralytique qu’il magnétise à Auteuil,
le gauche et la mâchoire supérieure. L'expérimenté tombe vile dans un état de torpeur et d’abattement; la tôle se penche et
ogresse. Scance du 15 mai. — SI. Courant entretient la société de l’ état d’un enfant qu’il a magnétisé. M. Dupont a obte
ateurs de tant de souffrances, sans pouvoir les abréger. Si, dans cet état , des paroles s’échappent, c’est pour vous instrui
t sentie par l’autre malade , et bientôt on vient nous avertir de son état de convulsion. Je laisse cellè ei calme; mai$ nu
de l’autre, celle que je viens de quitter retomberiiiiis son premier état ; il nie faut y revenir. Les crises que je fais Hà
acëdmpagné tic perceptions. Plus tard cëpëHdant Füftë avance dans cet état , et peut prédite les crises qit’felfe doit encore
x étaient difficiles à ouvrir, et les muscles, quoique revenus à leur état habituel, conservaient une sensibilité douloureus
sentiment ne cédit que, le. dernier jour du traitement. baris leur état de maladie, rapprochées ou éloignées, elles s’acc
orte. 11 csi extrêmement rare que le magnétiseur n’abuse point de l' état magnétique qu’il a développé; si c'est du somnamb
é sur les yeux un triple bandeau. Je ne m’étendrai pas non plus sur l’ état tétanique des jambes du magnétisé, devenues roule
jugé à propos de te dire de quelle manière je bus, pour le mettre en état de mieux juger ce qui m’arriva la nuit du vendred
ais vouloir entrer en goguette. Car je puis dire que j’étais alors en état de peindre sur les murailles toutes les figures q
te-deux ans, agriculteur, portant au genou une tumeur blanche dans un état fort avancé. L’opération fut faite à son insu et
administrai des opiacés, du quinine, du vin, etc., pour le mettre en état de supporter l’opération, que je jugeais inévitab
bsentai alors, el quoique je reçusse journellement un rapport sur son état , ù mon retour je lus aussi étonné qu’heureux de l
pouvait lui arriver aucun mal, et que je le visse auparavant dans cet état . « M. Topliam le magnétisa, et je fus surpris d
, gémissement. « La levée du premier appareil eut aussi lieu dans l’ état magnétique, et le malade est maintenant (18 novem
son enterrement correspond exactement à celui où, très-inquiet de son état , j’allais de maison en maison demander de ses nou
le magnétisme dans son ordre du jour. La question est celle-ci : De l' état du Magnétisme en France. C est là une belle occas
, vous êtes pâle comme un mort ; il faut vous laisser un peu dans cet état , mais lorsqu’il me plaira de faire revenir la vie
é, plus aussi il y avait de lucidité. J’entends par sommeil profond l' état où il y a insensibilité, où les sens sont fermés
ons. Ici la seule approche d’une personne étrangère dérange, altère l’ état régulier du sommeil. Votre trouble augmente les d
de la veille, et qui venait pour la première fois de tomber dans cet état heureux de crise magnéti-qiie; je dis à ce jeune
0. (2) Dénomination primitive du somnambulisme. qui était flans l’ état naturel. Ce jeune homme m’obéit sur-le-champ; mai
s sèuhc et une fièvre lente ne quitta plus la malade. Tel était son état lorsque j'entrepris son traitement. On avait pres
sprit qui est en nous acquiert quelquefois, bien positivement, dans l' état de sommeil et aussi dans l’état de veille, l’intu
uelquefois, bien positivement, dans l'état de sommeil et aussi dans l’ état de veille, l’intuition de mots, de faits même, do
tateur, pour nous offrir la preuve de Vinfluence de la musique dans l' état de somnambulisme. Après avoir été endormies par l
ordinaires du magnétisme, elles ne tardèrent pas â se trouver dans l’ état de lucidité désirable. Alors un savant instrument
en ce moment captivaient leur esprit possédaient loul leur être; cet état attendrit l'auditoire et le loucha même jusqu’aux
eux, ei que d’ailleurs 011 ne voudrait pas les croire. Ramenées à I état normal, elles ne gardèrent pas la moindre souvena
au préalable par M. le président. Celle opération continuée amène l' état de roideur cataleptique des membres. Les bras, in
ne à la mourante, line autre personne plus auguste encore est dans un état nerveux qui inspire la pitié et vous donne à vous
enfance. Mais nous leur répondrons que les peuples qui ont vieilli en état de civilisation sont plus près de l’enfance que l
nnues comme efficaces, les procédés que j’employais pour diminuer cet état ne faisaient que l’augmenter. Le plus sûrestefe v
e cesser ce mal, que je croyais passager. Après plusieurs heures, son état persistant, nous fûmes obligés de la descen- dr
cace. Endormis, ils n’onl aucune peur du mal qui leur arrive dans cet état ; réveillés, ils ont les mômes craintes que si le
(Im suite au prochain numéro.) OPÉRATIONS CHIRURGICALES PENDANT L’ ÉTAT MAGNÉTIQUE. g I. — INTRODUCTION D’UN SÉTON. J
lté par M. Ward avant d’entreprendre l’opération qu’il a faite dans l’ état magnétique (I). Originairement consulté sur la po
nairement consulté sur la possibilité et la sûreté d’opérer, durant l’ état mesmérique, sans douleur, je donnai mon opinion f
érique, sans douleur, je donnai mon opinion formelle que produire cet état et y exécuter les opérations les plus douloureuse
rescrivis un séton. N’en ayant été nullement prévenue, elle était (en état mesmérique) debout, devant moi et d’autres person
ibilité. Le docteur Perrier, après s’être assuré de la réalité de cet état en pinçant inopinément le patient, constata cent
de souj- fiance! Au bout d’un instant je ramenai la patiente à son état normal; et quand 011 lui dit que ses dents étaien
, je l’avoue, d’èlre certain comment ou si je pourrais faire cesser l’ état que j’avais produit, el plus l’on me poussait plu
(Vosges), un jeune domestique d’environ dix-sepl ans se lève dans un état de somnambulisme, ouvre la fenêtre de sa chambre,
ont chacun appréciera la justesse : « Les chutes qui se font dans l’ état de somnambulisme sont beaucoup moins dangereuses
ns l’état de somnambulisme sont beaucoup moins dangereuses que dans l’ état normal, parce que la sensibilité a disparu complè
rganisation la plus timide, la plus nerveuse, la plus délicate dans l' état de veille. Comment se fait-il que les effets du
RAITEMENTS MAGNÉTIQUES. Question délicate aujourd’hui, à causo de l’ état actuel des croyances. 11 est rare, en effet, de t
inet voisin, j’entendais scs discours, la description minutieuse de l’ état du malade, et porter un pronostic dont j’apprécia
gnétisme sont d’un ordre tout différent, et qu’appartenant à un autre état de l’homme ils ont leurs lois propres et distinct
étonnés qu’ils ne nous apparaissent pas de la môme manière? Dans cet état si spécial, la forme et les dimensions des objets
aire à un organe qui se trompe, à un sens qui a ses illusions. Dans l’ état de veille, et cela est certain, ce ne sont pas le
11 pourra peut-être avoir des données certaines sur la cause ou sur l’ état qui lui permet de voir à nu les objets eux-mômes.
c’est que leurs perceptions par la vue sont absolues, et que, dans l’ état ordinaire, l’état de veille, elles sont relatives
erceptions par la vue sont absolues, et que, dans l’état ordinaire, l’ état de veille, elles sont relatives, dépendantes de l
sentir et de connaître, et s'il y a en nous ou chez quelques-uns deux états différents, bien caractérisés, faut-il les confon
ée, que le temps et l’espace n’existent pas pour le somnambule dans l’ état de lucidité. C’est là, assurément, quelque chose
blerait même que c'est une vocation chez eux, qu’ils ne sont dans cet état que pour cela seulement. Nous ne prétendons pas d
t pour ré|iondre 5 la question du programme ainsi conçue : Quel est l' état actuel du magnétisme en France? mais non pour fai
orange le fut, en effet, lorsque cessom-« nambules furent rendues à l’ état normal. En vain j'aflir-« mais que le plateau por
e laissé dans un élat semi-magnétique, ne différant en apparence de l’ état normal que par une extrême dilatation de pupilles
l’enfant et la décapitée, fit disparaître ce trouble, et, ramené à l’ état normal, le patient n’eut plus aucun souvenir de l
r Comelin agit sur des patients démagnétisés graduellement jusqu’à un état singulier, voisin du normal, dont ils accomplisse
M. Wailly. M. le docteur Mathieu, pour s’assurer de la réalité de cet état , enfonce des épingles dans les chairs, sur la fac
xprime en ces termes : « Miss*** fut plongée instan-« tanémcnl dans l' état mesmérique parM. Vernon, qui assura « pouvoir par
s organisés auxquels revenaient sans cesse mes somnambules passés à l’ état d'extase, je résolus de faire l'application du ma
! Je continuai, et le 24 aoûl je cueillis ces trois pèches en parfait état de maturité; elles avaient 24, 22 et 21 centimètr
ochain numéro, les détails d’une amputation de la jambe, faite dans l’ état magnétique, sans douleur, par les docteurs Loysel
ition était un médecin célèbre, M. ltard. Je le mis bien vile dans un état qui rendit ses confrères fort sérieux et le laiss
xpérimenter ils avaient éprouvé des modifications heureuses dans leur état habituel. Un jeune homme, qui avait un tic doulou
de, ne pouvait agir sur lui. On le saigna, le baigna sans succès; son état paraissait alarmant; le délire n’avait pas diminu
’il ne sc livrerait plus à ce dangereux exercice. Il avait dans cet état de lièvre nerveuse des facultés surprenantes dont
mettre en crise complète, parce que la volonté sc dérègle, et que cet état , dès lors, n’est plus qu’une sorte d’ivresse mora
(La suite au prochain numéro.) OPÉRATIONS CHIRURGICALES PENDANT L’ ÉTAT MAGNÉTIQUE. Le premier fail d'insensibilité mag
et obtenue telle qu'on la désirait, la malade consentit, pendant son état de somnambulisme, à se soumettre à l'opération ,
rès-importantes. Je laisse cette somnambule presque toujours dans l’ état magnétique, et lorsque je la réveille je ne la la
e réveillée qu’une 011 deux heures. Magnétisée, elle est comme dans l’ état normal : elle mange, elle boit, elle voyage, elle
, désigne le siège et la nature des douleurs, les lésions internes, l’ état des viscères et des humeurs, l’état de tous les o
douleurs, les lésions internes, l’état des viscères et des humeurs, l’ état de tous les organes; mais elle ne désigne point l
rps entier devenait roide comme une barre de bois et restait dans cet état pendant deux heures au moins. L’heure des attaque
s, et une grosseur sur le sein devint extrêmement visible. Dans cet état de souffrance, elle n’avait pas do sommeil, ne po
es soins. Quelques jours après elle devint somnambule, et, dans cet état , nous lui demandâmes pourquoi e!le était si agité
» Beaucoup des ouvrages que nous admirons ont élé composés dans cet état de l’esprit, mais il n’en existe peut-êtrepasunse
tacle de la vie, existant premièrement sur cette terre matérielle à l’ état d’enfance, de noviciat, premier degré préparatoir
heur auquel ils arriveront en temps et lieu. Nous sommes lous dans un état d’enfance dans celle vie ; des enfants décoléré,
ivination qui confond les esprits forts et qui tourne aujourd’hui à l' état de science positive. Il esl hors de doute que l
empêcher d’admellre que le magnétisme fût connu des anciens, el que l' état d'insensibilité om.plèle qui permet aujourd'hui d
e Hortensc un cas d’insensibilité à la douleur et de paralysie dans l’ état de veille. (Voir Société du Mesmérisme, 18 septem
ent à son invitation. Tous éprouvent des effets légers, fugaces, el l' état comateux, sorte decarus, appelé sommeil magnétiqu
yables avaient li>'ii que la crainte remplaçait le rire. Ce nouvel état fie l’esprit lu magnétiseur venait augmenter le t
as ; vainement ils ont essayé les moyens mis à leur disposition, et l’ état furieux se prolonge. Accourez, vous qui avez ense
s n’avez plus à vous occuper du magnétise : il sera dès lors dans son état moral habituel. Dans d’autres circonstances le
tout son corps rempli d'humeurs. Depuis longtemps i! était rions cet état , et la science ne pouvait rien pour lui. 4'enhepr
dire à la malade, déjà atteinte deux fois do cette maladie, (pic cet. état durerait six semaines. Après une magnétisation de
se « et éruption de pustules à la partie supérieure de la « tôte. Cet état durait depuis quinze ans. Traitée à « l’hôpital S
rendre). Un enfant (1), dis-je, exécute sans magnétisme, ou plutôt en état magnétique naturel ou spontané, des choses qui so
ermette d’accomplir son désir. Une jeune fille, mise ensuite dans l’ état magnétique par M. Wuilly, chante à un ordre menta
bu-liques ne s’opèrent pas par les sens qui leur sont affectés dans l’ état normal, pose, sans prévenir de son dessein, une p
IIROPICO-MAGXÊTIQl'E. — Séance du 5 novembre. — M. Millet met dans un état cataleptiforme un bras seulement d’une jeune fill
profonds chagrins, et qu’il remarque une amélioration sensible dans l’ état de son esprit, 'mais qu’il s’est développé des do
60 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
try qui rapporte 63 cas d'oxcéphalie, quelques renseignements sur l' état du rhinopharynx chez les oxycéphales. Patry se
les uns des autres, avaient vu, dans l'oxycénhalie, les premiers un état post-méningitique avec atrophie secondaire des
ue avec atrophie secondaire des nerfs optiques, et les deuxièmes un état adénoïdien. Nous voyons donc, à l'aide de la mi
que la première. - A 15 mois, il fut retiré par ses parents dans un état pitoyable : il était atrep- siqne, avec un vent
n danger, il vomissait toujours le lait de la mère et tomba dans un état de faiblesse extrême.Enfin, au troisième mois, il
qu'après le 15e mois. A deux ans, cet enfant n'était pas encore en état de se tenir sur ses jambes ; la mère était obli
bords orbitaires. Ptosis moyenne des paupières supérieures qui, à l' état de repos, couvre le tiers supérieur de la corné
Masson & Cite, Editeurs ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 15 L' état général actuellement est assez bon. La glande t
auprès de sa nourrice jusqu'à l'âge de trois ans, toujours dans un état de santé très mauvais. Elle était très maigre et
yeux à fleur de tête. Je n'ai pu obtenir aucun renseignement sur l' état des fontanelles à cette époque, ce qui est cert
vue d'oeil. A l'âge de quinze mois il fut repris à la maison dans un état de santé très précaire ; il n'était pas même ca
l fit sa première dent et il commença à marcher à 25 mois. Dans cet état il vécut jusqu'à l'fige de trois ans, toujours af
ux (sinus latéral et sinus pélreux), fait que je n'ai jamais vu à l' état normal. Enfin l'on doit signaler la disparition
dans le crâne rachitique. Or, j'ai pu constater que, dans tous les états d'hypertension chronique endocranienne, la gout
u trou occipital est bien plus rapprochée du plan horizontal qu'à l' état physiologique. Cette rotation antérieure du tro
f, dans l'oxy- céphalie, se trouve placé un peu plus en haut qu'à l' état normal par rapport au bord alvéolaire, ce qui j
ui démontre l'analogie de la conformation des orbites dans ces deux états pathologiques. Mes recherches radiographiques m'o
nt, l'angle facial dans l'oxycéphalie serait donc plus ample qu'à l' état normal, tout en étant moins prononcé que dans l
nétique des os du crâne. L'hypertension cérébrale prodromique des états oxycéphaliques est in- diquée par la constatati
celles que nous rencontrons dans l'hydrocéphalie et dans les autres états pathologiques d'hypertension cérébrale de l'enfan
ue les rapports ci-aniolociquessoni très dif- férents dans ces deux états similaires. Or, l'explication de cette différen
ontétudié l'oxycépha- lie ont tous eu une tendance à rapprocher les états oxycéphaliques de l'hydrocéphalie, voire même d
her à déceler le mécanisme spécifique se rapportant à chacun de ces états pathologiques. Dernièrement encore Mellzer, dan
ière basilaire que l'on retrouve chez eux, n'a rien à voir avec les états oxycéphaliques (pli. VIII). L'hyperostose du cr
y a eu une période prodromique dans laquelle a évolué un véritable état de cranio-tabes rachitique, et plusieurs de mes
crâne, tandis que les mêmes impressions vacuolaires, à la suite des états méningitiques de l'âge adulte, se trouvent pars
cérébrales au moyen des rayons de Röntgen. Cet auteur insiste sur l' état inégal et atrophique des os déterminé par la pr
ipsig, 1912 ÉTUDE DU SYNDROME OXYCIPHAL1QUR 37 Virchow parle d'un état inflammatoire des enveloppes intérieures du crâ
ésultat d'un fait patholo- gique susceptible d'être rangé parmi les états inflammatoires. Mes épreuves radiographiques co
o- thèse ; je rappellerai en effet que,dans aucun cas on ne peut, l' état normal, fixer parla radiographie le trajet des
abes et l'oxycéphalie des liens d'affinité anatomo-patholoique; i l' état prodromique de l'oxycéphalie est assurément analo
i les auteurs qui se sont occupés de cette question, à signaler des états comparables au cranio-tahes dans la première péri
a première période de l'oxy- céphalie et aussi à confondre ces deux états pathologiques, confusion très légitime du reste
est une dystrophie d'origine rachi- tique. Dans l'oxycéphalie, l' état rachitique des os et du crâne retentit sur les
erre Marie et Couvelaire (1). Parmi les phénomènes communs aux deux états sont l'asthénie et l'im- puissance ; elles étai
ue que remontent les premières photographies, les autres montrent l' état du malade cinq ou six années plus tard. Il avait
Il DEUX CAS DE PSEUI)U-I UJIEUIt CËHËHHALË 4 il est constipé. Son état s'aggrave et le 24 novembre, eu l'examinant de no
re, tous les deux jours une injection de 0,03 centigr. Le mauvais état du malade progresse encore. Il ne peut plus parle
- satiles. On lui applique un emplâtre vésicant à la nuque. 31. L' état du malade parait être meilleur, il a ouvert les y
fficulté pour lui faire les injections mercurielles. 5 décenibre. L' état du malade commence à s'améliorer malgré que le
et agité. On reprend les injections mercurielles. 1er février. L' état de prostration a diminué et le malade se plaint d
vaincu par les siens que ce sont des sensations fausses. 3. - Son état empire rapidement. Il se produit une hémiplégie g
gâtisme. On lui applique de nouveau un emplâtre vésicant. 5. - Son état commence de nouveau à s'améliorer. 8. L'hémiplé
= 15, 9 + 8 = 17, 9 + 6 = 15, 15 + 17 = 32, 18 + 19 = 37. 24. Son état psychique s'est beaucoup amélioré, il croit encor
accuse une forte céphalée après la ponction lombaire. 3 mars. - L' état psychique du malade s'est amélioré progressivemen
cèdent plus aux analgésiques. 20 mai. - Le malade est de nouveau en état de prostration, il gémit et porte continuelleme
avec difficulté, en se plaignant de ses maux de tête. " . 22. - L' état de prostration persiste, le malade est congestion
ps des tressaillements dans le membre supérieur gauche. ' 23. - L' état de prostration est beaucoup plus intense, il gémi
continuels. 24. Il s'est produit une hémiplégie gauche complète, l' état de prostration et d'inconscience persiste. -
rostration et d'inconscience persiste. - Le malade reste dans cet état pendant quelques jours ; après quoi, il s'amé-
us atténués jusqu'en septembre, c'est-à-dire jusqu'au moment où son état a empiré avec l'apparition de symptômes nouveau
se sont accentuées. Son père nous dit qu'il a changé beaucoup comme état psy- chique. Il était autrefois vif et loquace,
able d'aucun effort intellectuel, son intelligence est réduite. Cet état continuant à s'aggraver, son père l'amène à Bucar
elligence semble être réduite, il reste impassible vis-à-vis de son état , et est distrait par des faits insignifiants qui
lée a beaucoup augmenté. A 6 heures du soir le malade tombe dans un état d'inconscience à la suite de l'exacerbation de
science à la suite de l'exacerbation de la céphalée. Il présente un état comateux, avec la tête fléchie en arrière. On l
vomissements continuels. 6. - A la suite de la ponction lombaire l' état du malade s'est amélioré. La céphalée est moins
e l'état du malade s'est amélioré. La céphalée est moins intense. L' état général est meilleur. 11. La force dynamométriq
été très intense pendant le matin, détermine une nouvelle attaque d' état comateux, ces attaques se sont répétées fréquemme
fortes de la céphalée. A cette heure-ci le malade se trouve dans un état d'inconscience complète, dans le dé- cubitus la
lui re- tire 15 centimètres cubes de liquide céphalo-rachidien. Son état ne s'améliore pas et à 6 heures de l'après-midi
i plaident pour la participation du système nerveux dans beaucoup d' états toxi-infectieux, d'aulres organes, elles observ
s plexus choroïdes, on n'a pas prêté suffi- samment d'attention à l' état de ces derniers dans la méningite séreuse et da
Schultze (S) (1876), d'Huguenin ((i) (1878), de Plehn (7) (1887), l' état des plexus choroïdes n'est pas mentionné. Mais
rmaux. Dans les cas autopsiés de Quincke il n'est pas question de l' état des plexus mais seulement de la méningite et de
ux, ou hyperhémiques et tuméfiés. Plus loin (p. 215) en discutant l' état des méninges et des plexus choroïdes dans l'hyd
nctif et son épithélium affirme que dans le premier on ne voit, à l' état normal, aucune espèce de leucocyte. Dans les in
céphalie el de pseudo-tumeur il ne mentionne pas, dans la plupart l' état des plexus choroïdes, Dans le cas I il dit que le
ement fébrile, non pas dès les premiers jours, mais à peine quand l' état du malade s'est beaucoup aggravé. Dans notre se
sans idées délirantes ni troubles vésa- niques d'aucune sorte ; cet état démentiel simple paraît être primitif, en ce se
ension ; il est un peu creux, sans équinisme vrai. On constate un état de raideur musculaire appréciable surtout aux mem
yeux. Pas de scoliose. En résumé l'on trouve chez ce malade : un état 1)al·éto-SpaSnlOdlqllf·, avec atrophie musculai
ais indépendamment l'un de l'au- tre, Erb et Westphal signalaient l' état des réflexes tendineux chez l'homme sain et dan
es existent toujours chez l'homme sain elque leur absence dénoie un état pathologique du système nerveux. Cette opinion,
si. Au contraire, Nageotte ((i) s'est rendu compte que c'est avec l' état des champs postéro-externès que les cordons de Go
dans les racines postérieures par Marinesco. C'est là assurément un état éminemment favorable il nne meilleure conductio
rme, il n'existe pas de troubles trophiques, les malades ont un bon état général ; les douleurs, l'ataxie sont peu dé- v
pris, le traitement du tabès, dans ces cir- constances ; soigner l' état de l'estomac ne doit pas être là l'unique préoc-
, et de préférence dans la région iombo-sacrée. Quel serait alors l' état du sympathique et du pneumogastrique ? Si leurs t
revue critique de MM. To- lol et Froment résume parfaitement bien l' état actuel de la question. Il w apparaît que les ob
s gastriques où l'autopsie est assez complète pour renseigner sur l' état de l'estomac sont extrêmement (1) Graupner, cit
excitations habituelles sont devenues insuffisantes par suite de l' état pathologique des voies. Si ces voies s'améliorent
répéter même les paroles les plus simples. Cependant, peu à peu son état tant physique que psy- chique alla s'améliorant
constaté au cou, ni dans la région scapulaire. Ni la motilité, ni l' état général du malade ne laissent rien à désirer.
i- ner le malade au point de vue neurologique, et durant ce temps l' état du blessé s'était amélioré sous plusieurs rappo
g démontra le fonctionnement normal des organes de l'ouïe et le bon état de l'appareil ventriculaire. L'examen des yeux,
re : on lui écrit le mot en question, et, bien qu'il ne soit pas en état de le déchiffrer,il le copie lente- ment certes
e comme il était avant». A l'hôpital, il a donné des preuves du bon état de ses instincts sexuels, il est sociable et co
ez ces malades le seul puérilisme mental. N'est-ce pas avouer que l' état mental des géants n'a pas encore été étu- dié ?
ainsi qu'en témoigne parfois une légende de sa main. ' Tel est l' état mental de notre géant inverti. L'histoire de so
aison de santé. Rendu à sa famille, il retombe très vite dans le même état . On lui enlève alors des végétations adénoïdes
t par une crise sudorale et sont accompagnées et suivies d'un léger état onirique au cours duquel notre malade exprime que
elle. Actuellement, janvier 1912 : Nous ne saurions revenir sur cet état menta que nous avons suffisamment décrit plus h
at- teint aujourd'hui. , GIGANTISME ACItOJII : GALIQUE 133 Sou état physique est néanmoins assez satisfaisant. Le pou
pt mois. Il a un faciès pouponnien, il est imberbe et sur- tout son état mental est empreintde débilité. Son émotivité, se
e vue, peut et doit être considéré comme sa caractéristique c'est son état 1. mental vraiment spécial et constitué par des
antile. 3° Il n'y a pas d'hypertrophie pituitaire visible. 4° Son état mental correspond à ce que nous proposons de nomm
éclat de rire, suivi d'un son guttural, toujours le même. Mais cet état se modifie peu à peu ; nous pûmes après deux sema
eut reproduire des dessins très simples (un carré par exemple). Son état mental paraît donc avoir évolué formellement ; le
en hauteur, alors que la diaphyse se continue rectiligne comme à l' état normal ; 3° que les épiphyses ne sont pas tuméfié
s orteil ; il n'y a pas d'excavation sur le bord interne, comme à l' état normal. Bassin. - Légère antéversion; diminutio
.anatomique. Les principales déformations qu'on rencontre dans cet état sont, en dehors de la micromélie : le développe
ain degré d'aplatissement du bassin, la fracture de la clavicule, l' état mental aussi. ' En ce qui concerne la dysplas
, les tendances lubriques ne 14 1 CRESP1N ET BONNET sont pas il l' état de nuances, mais sont au contraire très accentuée
égénérescence, qui lui interdisait toute réflexion sérieuse sur son état et sur la vie elle-même. Le milieu fruste auquel
ntelligence amoindrie dès le principe. Du reste, l'observation de l' état intellectuel et mental de notre sujet était dif
a syphilis, avoue un degré d'éthylisme accen- tué et jouit d'un bon état de santé générale. Pas de traces d'infections anc
souffert. Il a souvent ressenti des démangeaisons violentes que son état de vagabondage peut amplement ex- pliquer.Nous
est indolore. L'analyse des urines donne une formule convenable. L' état général fonctionnel est celui d'un homme en ass
aux plis de l'aine. Nous avons recherché tout particulièrement l' état des diflérentl1s sensibilités. Il n'y a rien d'
l'on résume les particularités cliniques qui sont fournies par cet état pathologique on voit que les premières constatati
tes sont celles qui se rapportent aux modifications pigmentaires, l' état général du malade demeurant satisfaisant. L'assoc
e travail, j'ai re- cherché systématiquement, de 1908 à fin 1911, l' état des principaux ré- flexes de 2.304 gardes répub
e défectueuse, et que le ré- flexe achilléen se montre constant à l' état normal quand on le recherche en faisant mettre
peut pas être négligée en pratique. Lorsqu'un homme présentant cet état vient à contracter une affection nerveuse ou su
re lié à des conditions diminuant la mortalité, ne peut pas être un état congénital. L'absence permanente des réflexes a
feste de fréquence avec l'âge, ne peut donc pas être rangée parmi les états congénitaux. Dans les cas où l'absence n'est pa
toujours été et doive toujours rester monosymptomatique, soit que l' état monosymptomatique actuel représente le reliquat d
st pra- tiquée plus bas (Sicard). Les leucocytes divers de tous les états méningés, les globules rouges des hémorragies d
plus précocement et les plus fréquem- ment atteints à la suite des états méningés sont les nerfs de la base. Dans la cav
s et même aux sensations viscérales comme la faim et la soif et aux états affectifs. « Et notez que par ces figures je n'en
nos connaissances actuelles concernant la structure du neurone à l' état normal et pathologique se sont multipliées cons
part des substances qui existent dans une cellule se trou- vent à l' état colloïdal et celle remarque concerne non seulemen
ons de cette surface qu'il se produit différente changements dans l' état colloïdal. En l'état actuel de nos connaissance
'il se produit différente changements dans l'état colloïdal. En l' état actuel de nos connaissances, nous devons admettre
t consister en ce qu'il est constitué par un mélange de corps à des états physiques différents, solides, liquides ou gaze
u gazeux. Mais lorsque le système ne comporte que des corps de même état physique, il peut être encore hétérogène s'il e
est donc néces- saire d'avoir un terme nouveau autre que celui « d' état physique » pour désigner toutes les parties hom
au ouvert avec des mailles .polygonales qui dépassent 6 u, mais cet état n'est pas permanent, le réseau se rétracte, les m
e de Cajal ou celle de Bielschowsky produit une modification dans l' état col- loïdal du cytoplasma et par conséquent dan
s celui des neurofibrilles, Il serait vraiment extraordinaire que l' état physique des neurofibrilles ne changeât pas sou
d'argent; par conséquent nous devons admettre comme démontré que l' état physique des neurofibrilles, c'est-à-dire l'exi
ible par conséquent, tandis que l'élévation de température rend son état visqueux plus fluide. Les imprégnations métalli
eu de toluidine de se fixer sur les neurofi- brilles. De par leur état physique, les neurofibrilles se rapprochent davan
Les changements -du milieu interne de la cellule retentissent sur l' état colloïdal des neurofibrilles comme sur les autr
olloïdales qui constituent les corpuscules de Nissl ne sont plus en état de s'agglomérer pour leur don- ner naissance, l
tion ou même la dégénéres- cence granuleuse. En ce qui concerne l' état physique du hyaloplasma ou de la substance inte
transformer en un colloïde résoluble lorsqu'on vient d'altérer son état colloïdal ; du reste,le nucléole est très sensibl
dent assez exactement à celles que Lugaro et moi avons décrites a l' état normal dans les pièces fixées par le sublimé ou u
cellules contiennent des granulations disséminées, plus denses qu'à l' état normal, mais visibles, d'autres, une différenci
on des centres nerveux. Il produit des modifications profondes de l' état colloïdal de la cellule nerveuse.. Les cellules s
s dans ce dernier liquide offrent une luminosité plus grande qu'à l' état normal et que leur cytoplasma est parsemé de pa
- tion exercée par ces différents corps est sous la dépendance de l' état où se trouve la cellule nerveuse en expérience,
m en solution isoionique, je n'ai pas pu me faire une opinion sur l' état des cellules à cause de la rapidité de la cytolys
fois il offre deux arcs lumineux symétriques qui contrastent avec l' état diaphane de la plupart des cellules. - L'acti
r- sibles. Toujours ces études nous ontpermis-de mieux comprendre l' état physique de la cellule nerveuse et nous avons v
s. Grâce encore à cette étude nous avons pu nous rendre compte de l' état physique du noyau et des neurofibrilles et nous a
ile. a3. Cellule dont toutes les granulations de cytoplasma sont en état de dissolution. Contour lumineux de la membrane
ndent à se diriger en haut, en dehors et en avant, reproduisant à l' état d'ébauche une disposition qu'on retrouve chez q
opposées, agissant pour trans- former la colonne vertébrale. A l' état normal, les deux tendances constituent le type ha
erceptibles. On constatait en outre chez elle comme chez sa fille l' état ogival de la voûte palatine. Ses dents étaient
(10), Schorslein (11), Carpenter (12) (l'auteur ne mentionne pas l' état du crâne, mais les photographies montrent que la
ts d'aplasie claviculaire dans lesquels on ne fait pas mention de l' état du crâne publiés par Morand (24), Martin (25), St
ur ce motif qu'il ne peut pas nous donner des renseignements sur leur état . Il n'a plus ni frères ni soeurs. Mais ils ont
i attire tout de suite l'attention lorsqu'on observe ce malade, est l' état du crâne. Eu effet on constate que le frontal p
sent pas le fragment externe. L'os est d'ailleurs plus mince qu'à l' état normal. ' Taille : 1 m. 44. Longueur du tronc d
mètres. Les différents segments des membres sont plus courts qu'à l' état normal. Les doigts gardent leurs proportions re
pas être exclu, étant même vraisemblable, vu ses rêves ainsi qu'un état de vasodilatation de l'extrémité du nez et des
cas absolument certains. Parmi les cas d'aplasie claviculaire où l' état du crâne nous est resté ignoré, nous trouvons s
d'aplasie claviculaire, nous n'avons pas de données précises sur l' état du crâne ; nous trouvons signalés dans les cas su
e il est entré à l'hôpital pour des troubles rénaux et ignorant son état dénutrition antérieur, il nous est difficile de n
3). En outre dans ces cas les auteurs se sont contenté de décrire l' état des clavicules, des insertions musculaires de l
de cette dystrophie. Nous igno- rons complètement en particulier l' état des glandes à sécrétion interne et nous croyons
nt sur les crises convulsives du père, sur les fausses couches et l' état des tibias de la mère, ainsi que sur l'état du
es fausses couches et l'état des tibias de la mère, ainsi que sur l' état du fond de J'oeil de la fillette. Ces mêmes auteu
suppose une anomalie régressive, la clavicule manquant ou étant à l' état tout à fait rudimentaire chez certains animaux.
tant plus qu'elle n'expliquerait pas d'autres phénomènes tels que l' état des dents, la taille petite, etc., obser- vés a
» qui, au mois d'avril 1908, se serait su- bitement réveillée de l' état léthargique où elle se trouvait depuis 32 ans ;
la durée de la maladie, et que, par cette raison, la description de l' état de Caroline ne puisse présenter de précision vé
r ne se lever que 32 ans plus tard. Au- cune cause plausible de son état n'a pu être découverte; apparemment, sa maladie
aient guère il un cas de ce genre. Elle resta toujours dans le même état de stupidité, sans parler, insensible aux piqûr
stérique », et après 15 jours, on la renvoya chez elle dans le même état qu'à son arrivée. Depuis, elle était soignée clan
mais la mort de la mère ne provoqua aucun autre changement dans son état . A partir de ce moment, ce fut le père qui, une
e scientifique, il est évident que Caro- line s'est trouvée dans un état d'inhibition avec négativisme qui corres- pond
contre, une certaine tendance à la simulation a dû caractériser son état , bien que les manifestations de celle-ci aient
ologiques qui avaient occasionné sa longue stupeur se trouvaient en état de régression ; on a le droit de croire que Carol
e de la maladie. Toutefois, cette supposition restera forcément à l' état d'hypothèse. Certaines circonstances rapportées
r la tendance aux exagérations démonstratives qui caractérisent les états de troubles hystériques. Il est à noter que C
s sa conscience. Il est probable que Caroline s'est trouvée dans un état très prononcé d'épuise- ment psychique et d'inh
gmenta considérablement. Durant cette période, il se trouva dans un état de stupeur avec anesthésie ; cependant, on réussi
o- matie et que la tendance constatée de la catatonie à simuler les états psy- chasthéniques et hystériques nous incitent
articu- LA DORMEUSE D'OKNO. - 32 ANS DE STUPEUR 279 lier, car son état anormal semble avoir duré pendant toute la périod
ire et des troubles de la motilité. Membre supérieur gauche : A l' état de repos, le pouce est en extension et abductio
s, 15 ma. Pendant ce séjour à l'hôpital, malgré l'amélioration de l' état général et un il traitcnent électrique, le m,il
rieur droit. Dans un troisième séjour, du 22 mars au 22 mai 1902, l' état resta encore sans amélioration, et le malade se
ssi sous des aspects très variés et sans relations évidentes avec l' état des fibres nerveuses ; il existe des gaines de
288 LONG de fibres saines, en général groupées ; les autres sont en état d'atrophie rela- tive, et entourées par des gai
s gaines de myéline présentent des segments inter-annulaires en bon état de conserva- tion, intercalés entre des fragmen
rifascicxclai·e et inlerfasciculaire. Vasa nervorum. On sait qu'à l' état normal, les enveloppes conjonctives ne sont pas d
a longueur d'un même nerf, ce qui rend malaisée l'appréciation d'un état pathologique de faible inten- sité. Sur l'ensem
t parésiés), les fibres nerveuses sont moins non]-, breuses qu'il l' état normal, les unes en bon état de conservation, les
uses sont moins non]-, breuses qu'il l'état normal, les unes en bon état de conservation, les autres de volume très rédu
it : le tissu conjonctif intrafasciculaire est plus abondant qu'à l' état normal et forme des travées fibreuses, mais on ne
men- tation de volume des troncs nerveux. Quelques vasa nervorum en état d'hypertrophie. Ces lésions des nerfs sont syst
er des bles- sures par éclat d'obus et des gelures pour expliquer l' état des membres infé- rieurs, et le saturnisme pour
lamelleuse et développement exagéré» du tissu interstitiel, tantôt état presque normal. Dans les muscles : lésions atro
plus fréquentes dans les nerfs intramusculaires. Dans les muscles : état lardacé, augmentation des noyaux du sarcolemme,
sclérose névroglique ; prolifération en îlots de l'épendyme, parfois état criblé de la substance grise. Dans les ganglion
e et de l'endonèvre avec augmentation des noyaux. Dans les muscles, états variés de régression allant jnsqu'à la transfor
laire progressive et considèrent les lésions comme le résultat d'un état dégénératif primaire très étendu, frappant à la
sissement des parois vasculaires ; des fibres saines persistent à l' état isolé au milieu de l'atrophie; quelques-unes sont
volume normal des gaines de Schwann d'une épaisseur exagérée et un état fibreux ou réticulé du tissu conjonctif intra-fas
e par la plupart de ceux qui ont trouvé dans leurs préparations cet état histologique singulier (1). Mais encore ici, la d
s encore ici, la dystrophie interstitielle n'a aucun rapport avec l' état de l'élément conducteur ; on peut voir une fibr
ession la dis- parition des éléments conducteurs. Dans ces divers états anatomiques, les lésions des nerfs périphériques
es. Ces dégénérescences médullaires, dans des observations où aucun état spasmodique, ni cérébelleux ou ataxique, n'en f
, n'en faisait prévoir l'existence, montrent bien qu'il s'agit d'un état dégénératif disséminé, altérant avant tout les él
les psychiques, va- riant depuis le déséquilibre mental jusqu'à des états constitutionnels plus caractéiisés, tels que la
ois un épaississement des parois des vaisseaux, inexplicable par un état inflammatoire ancien ou récent, et qui parait bie
un état inflammatoire ancien ou récent, et qui parait bien être un état dégénératif hypertrophique. Nous terminerons
n flexion. On constate de l'atrophie de la jambe gauche. En 1903, l' état est sensiblement le même : les crampes douloureus
flexion, d'adduction et de rota- tion en dedans sont normaux. Même état des réflexes. Les douleurs, quoique très diminu
e service et on constate à ce moment une notable aggravation de son état ; il n'est toutefois pas complètement impotent
ontrant les rapports de la masse adipeuse t et de la moelle. Avec l' état de cette dernière aux différents segments lombair
des lésions irritatives et en particulier de lésions vasculaires. L' état des racines est va- riable suivant qu'il s'agit
tte application de courants électriques ayant été aban- donnée, son état empira de nouveau (1910). Alors il s'aperçut qu'i
e celle de la supination et celle de la pro- nation, la main est en état de flexion sur le' poignet et les doigts en état
tion, la main est en état de flexion sur le' poignet et les doigts en état de demi-flexion sur la main, sauf l'auriculaire
phalange en position d'extension extrême et sa deuxième phalange en état de flexion sur la première. Il est de toute évi
suel, perception des couleurs), l'ouïe, le goût, l'odorat, sont à l' état normal des deux côtés. Examen électro-diagnos
nts éthiques qui le sont presque autant. Le sujet s'intéresse à son état dans une juste mesure, il exé- cute scrupuleuse
développement considérable des hallucinations. Après le retour à l' état normal, récit détaillé des troubles psycho-sensor
l'ilôtel-Dieti et de là sur St-Jacques. Examen du malade pendant l' état psychique aigu, 22 juillet 1911. A sou arrivée
mort.» - On remarque qu'il se rend compte à certains moments de son état , mais tout en causant il a de fréquentes halluc
énomènes aigus, 5 août. L'enfant nous fait un récit détaillé de son état : Il déclare encore « C'est la lecture qui a fa
° ,le pouls à 80. Une légère purgation saline améliore beaucoup cet état . L'après-midi, à la contre-visite, nous lui montr
... » Il sort en chantant. 12. - L'enfant est toujours dans le même état . Il cesse de chanter cependant pour nous dire q
r la magie et invoque la religion pour le défendre : il est dans un état émotionnel douloureux quoiqu'il chante tout ce qu
épondant difficilement aux ques- tions qu'on lui pose. Retour à l' état normal et récit des faits, 22 août. L'enfant nous
l chantait pour aller au paradis. Il déclare qu'il est revenu à son état normal presque tout d'un coup... En somme l'enf
ance de tout ce qui s'est passé. Il précise tous les détails de son état . Depuis dix jours le calme est persistant. L'ap
re. Ainsi lorsque ce petit malade nous fut a mené, il présentait un état aigu, hallucinatoire, illusionne ! , délirant,
ionne ! , délirant, avec anxiété extrême. A de rares intervalles, l' état émotionnel douloureux était remplacé par de la jo
illait régulièrement avant ses méditations sur la magie. Pourquoi l' état émotion- nel douloureux (peurs, inquiétudes, ca
des accidents psycho-sen- soriels observés ? Pourquoi serait-ce un état toxique inconnu d'ailleurs ? Le gérant : P. Bou
s de Ramsay Hunt ne comporte d'examen ana- lomique,etd'autre part l' état des réflexBs, en particulier du réflexe cutané
nguer dans l'intérieur des vaisseaux des globules rouges en parfait état . Il y a cependant un rétrécissement consi- déra
léger degré de sclérose péri- vasculaire et dans deux de nos cas un état fenêtre du territoire d'une pe- tite artériole
le adulte des fibres musculaires, dont quelques- unes sont clans un état de conservation aussi remarquable que les fibres
is solognat. Il ne se rend aucun compte de sa situa- tion et de son état actuel et déclare qu'il va faire venir sa femme e
cutif,urination involontaire, Après la crise, le malade présente un état confusionnel plus accentué : ses pro- pos sont
haque attaque convulsive est suivie pendant plu- sieurs heures d'un état crépusculaire, durant lequel le malade tient des
n nouvel accès convulsif. Th. se trouve presque constamment dans un état d'obnubila- tion très accentué : ses propos még
en- tourage. Il parait actuellement s'acheminer rapidement vers un état démentiel de plus en plus accentué. ÉPILEPSIE
troubles mentaux s'accentuent rapidement et paraissent aboutir à un état démentiel de plus en plus marqué. ' La pathog
ur droit il faut pren- dre encore quelque précaution, le laisser en état de repos, le faire appuyer 408 PASTtNR * du c
, qui néanmoins n'existerait pas quand il est couché au lit, dans l' état de repos absolu. Du reste, pas de douleurs, ni au
Depuis que le Professeur Pierre Marie a appelé l'attention sur les états de rigidité vertébrale avec ankylose des racine
ches, avec les cuisses fléchies sur le bassin. Elle calcule que cet état est resté le même deux ans, pendant lesquels le
bes (Babinski) est positif. a les signes de Raimiste et Grasset à l' état d'ébauche. Sensibilité. -Elle est affectée dans
de nouveau au mois de septembre. Il était, à peu près, dans le même état . 19 octobre 1912. Depuis quelque temps il jette
tions pupillaires sont normales. La sensibilité est normale. Même état dans un deuxième examen en 1908. On note des ve
extrêmement diminués s'ils existent. L'examen est très difficile vu l' état de fai- blesse extrême du malade. Le réflexe
tance blanche, il reste dans le cordon antérieur quelque trace de l' état réticulé de la coupe précédente, dans le cordon
eur, et au niveau de l'angle inferieur du cordon antérieur, le même état réticulé que dans l'observa- tion 1 (voir fig.
n profond de la face antérieure prédominant à droite. Du même côté, état réticulé de l'angle supéro-interne du cordon an
avec fièvre modérée 38°, 38°5. Elle présente à étudier, ou- tre son état général et des arthrites chroniques des hanches,
Examen du système nerveux. - Rendu difficile par les ankyloses et l' état de la malade. Réflexes rotuliens : impossible
de sa lille), ce qui cadre bien avec l'intensité de l'atrophie et l' état des réactions électriques. En résumé, chez un
vant-bras, pas d'altérations ac- cusées des réactions. A gauche : état sensiblement le même, pour le médian et le radial
nerf et sur les muscles dans le domaine du cubital à la main. Même état qu'à droite dans le domaine du médian à la main.
uterons enfin les troubles de réactions électriques. Par contre l' état des réllexes, l'existence ou l'absence de trouble
, radiculaire ou névritique. Ainsi donc, malgré la variabilité de l' état des réllexes, l'atrophie isolée non progressive
il manque le plus souvent. Nous avons vu l'incertitude où laisse l' état des réflexes. Il semble, à voir nos observation
d'autres faits les modifient. Elles résument cependant, pour nous l' état actuel de la ques- tion. Un point demeure obs
ous eûmes l'occasion de voir pour la première fois dans le coma, en état decrises presque subsistantes, qu'en raison des
action des muscles de la face. Cependant la malade, plongée dans un état de torpeur, cau- sait par intervalles, pour ret
mais on ne s'attarde pas en ce moment à ce détail, en raison de son état . Le soir, la malade reste dans le coma. Elle a
parence normale. Le 29, on apprend que la nuit s'est passée dans un état de crises subin- trantes. Le matin, les convuls
remiers troubles psychiques ont commencé au mois de mai 1911 par un état de somnolence. ' Ensuite elle devint très irasc
Obregia) (1) a vu le malade (en ville) pendant qu'il présentait cet état . Ce n'est qu'à la suite d'une amé- lioration qu
ème. Le tissu adipeux du tronc et des membres plus développé qu'â l' état normal couvre les reliefs musculaires et donne au
oids du malade : 72 kilos. Au point de vue psychique ou constate un état de démence simple sans phénomènes délirants. On n
er, etc. Malgré un traitement spécifique (injections de calomel), l' état du malade s'est empiré. Il commença en outre à
mpiré. Il commença en outre à engraisser au sur et à mesure que son état psychique déclina. Il eut à plusieurs reprises de
semble augmenté, la consis- tance est également plus grande qu'à l' état normal. La rate (125 grammes) ne semble pas alt
RHON ET URECHIA Au point de vue microscopique on nota dans ce cas l' état du corps thy- roïde, de la surrénale du côté op
is que dans d'autres follicules les cellules sem- blaient plutôt en état hyperfonctionnel. On nota aussi un petit kyste gr
que celte dernière peut constituer une cause d'obésité. Ensuite l' état adénomateux d'une des capsules - surtout associé
urrissant abondamment peuvent arriver à l'obésité surtout lorsque l' état d'autres organes (testicu- les, surrénales, etc
dans des cas où on ne trouve pas d'obésité. Il faut alors voir si l' état d'autres glandes ne peut contribuer également à
ophysaire. , Il ne serait pas complètement impossible qu'un certain état d'hyper- fonction conduisît à l'obésité et que
édents alcooliques, leur alimentation. » On peut penser aussi à l' état du tube digestif, à la vasodilatation des organ
et où elle suit un traitement électrique, qui n'améliore guère son état . Les articulations de ses genoux deviennent pou
à partir du 30 juin. Novembre 1912. Malgré l'opothérapie associée l' état morphologique ne s'est pas modifié. Au premie
de volume indépendamment du reste du corps ! Depuis cette époque l' état général s'est amélioré d'une façon constante, mai
grissement, qui survint à la suite d'une grippe, contrastait avec l' état de parfaite nutrition qu'accusait le reste du cor
les affections intermédiaires entre ces deux syn- dromes, certains états d'épaississement tégumentaire associés à des affe
astinal, ou si le tissu cellulo-graisseux du médiastin n'est pas en état de prolifération lipoma- teuse. On comprend que
61 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
’abord, Un homme fut, en octobre i8/|2, amputé de la cuisse, dans l’ état d’insensibilité magnétique, par le Dr Ward. En
pris? Les réminiscences de leurs principes et de leurs croyances en l’ état de veille; puis, la fantaisie s’emparant de leur
ontinuerait d’empiler ses écus, le tourneur de chaises exercerait son état , le tisserand ferait de la toile, dans ce monde s
t du Gers, M. Tanazac, nous donne quelques détails intéressants sur l’ état du magnétisme dans son pays, et une cure qu’il a
demandait ce qu il pensait du changement survenu si rapidement dans l' état du bras, il fit cette réponse digne de Loyola, ou
« Les personnes sont prises au hasard dans l’assemblée, et mises en état de subir ces étranges mutations. Nous vivons vrai
aîtrait-on l’identité? Ce ne serait qu’un caméléon dont l’aspect et l’ état toujours changeants ne permettraient de rien conc
bles, l’idée d’un monde meilleur que celui-ci, où la souffrance est l' état normal du plus grand nombre, vous a souri, et vou
sions occasionnées par des douleurs dans le ventre, et c’est dans cet état qu’elle se décida à consulter une somnambule. Aus
agnétisée fut employée, et comme les dents étaient serrées, pendant l’ état convulsif on en faisait pénétrer quelques gouttes
tisme et son organe m’engage à \ous présenter aussi le tableau de son état . Les sciences ne s’étendent que pendant la paix
che importante de la propagande. Tel est, messieurs, le résumé de l’ état du magnétisme dans le monde. J’ai cru utile de vo
même fortement, sans trouver vestige de sensibilité, et pourtant cet état revient dès que le sommeil est dissipé. Cette aff
au en est rude et épaisse, tandis que celle du côté sain est dans son état normal. 20 mars. — Pouls, 98; respiration , 18
ini avec la femme Huro, j’examinai encore Sonatum, et je le jugeai en état d’être opéré, ce qui eut lieu de la manière ordin
fait reverdir une plante morte qui a sa racine, et qui la met en même état que si elle poussait en pleine terre. De cette Pa
amen. Il désira aller à l’hôpital. II y est venu le 3. Son constant état de souffrance rend extrêmement douteux qu’on puis
objets extérieurs, quoique grands ouverts, et en apparence dans leur état naturel, qu’il me soit permis de re- porter cec
me disposai à opérer cet homme. Il avait été depuis deux jours dans l’ état le plus satisfaisant, et je conclus de là qu’il e
dans ma pratique mesmérique à Calcutta. Je parle de l’invasion de l’ état de veille par l’état de sommeil, que l’on verra d
érique à Calcutta. Je parle de l’invasion de l’état de veille par l’ état de sommeil, que l’on verra dans ce cas et le suiv
e n’est pas un phénomène accidentel, mais un symptôme spécifique de l’ état mesmérique, je vais citer quelques cas dans lesqu
n de toucher le mal avec l’acide, pendant que la femme était dans son état naturel. Quoi que je pusse penser do cette demand
ui procurer, je la mesmérisai. Je fis une opération sur elle dans cet état ; quand elle s’éveilla, elle n’eut aucun souvenir
sans grande douleur. La mobilité du coude est redevenue presque à son état normal, et celle du poignet est entièrement libre
lir de mon mieux la tâche que je m’impose, je vous dirai un mol sur l’ état actuel du magnétisme en Italie, ou plutôt, car ce
trois ou quatre heures chaque nuit, sans user de narcotiques, et son état général s’est amélioré. C’est peut-être là tout c
rapidement, tandis que celle de la cheville droite resle dans le même état . Du 28. Un ulcère a percé sur la cheville décol
avril. Ulcère cicatrisé, enflure et douleur nulles. La malade est en état de sortir de l’hôpital, et de retourner chez elle
des Journaux. —Notre dernier volume est presque rempli de relations d’ états concernant des personnes qui se croient obsédées
se en rapport avec un jeune homme atteint d’une fièvre maligne dont l’ état ne laissait plus d’espoir de guérison, ordonna l’
être irréligieuse, il éloigna ces jeunes personnes, et mourut dans un état de consomption trois mois après leur départ. Le
lement chez l’individu bien portant soit la maladie régnante, soit un état de malaise qui peut dégénérer en une aflêction qu
s. L’homme a double vie; la science connaît bien l’une : celle de l’ état de veille; et tous les humains sont sur ce sujet
couchée dans un lit, étendue sur le dos, et ayant les membres dans un état de raideur tel, qu’il est impossible d’en déler-m
voit que le globe de l’œil roule dans l’orbite, et qu’il est flans un état convulsif profond, ainsi que cela a lieu dans les
la malade. La peau, devenue terreuse seulement aux mains, est dans un état de chaleur normale. Les mouvements du cœur et du
tudinaire depuis seize mois, est depuis cinq semaines non pas dans un état de sommeil, mais de contracture spas-modique, de
érée, le cerveau finit de se prendre , et le malade est alors dans un état nerveux qui lui donne presque des moments de fure
es malades, qui, en i832, a arraché à la mort des cholériques dans un état désespéré, et combat tous les jours avec le plus
e place, et endormit le malade. Le lendemain, mieux sensible dans l’ état général. Le malade a dormi la nuit. L’enflure de
es battements tumultueux. On ne saurait s’y méprendre, ce sont deux états diilè-rents ; ils ont d’ailleurs des résultats qu
lé par le vin n’a aucune liberté: il est presque apoplectique. Dans l’ état magnétique, au contraire, les esprits sont dégagé
9. VARIÉTÉS. Catalepsie. — On lit dan9 l’Hermine, de Nantes : « L’ état de la jeune cataleptique dont nous avons déjà ent
de M. Gravé pour arracher par l’effet des passes magnétiques , de son état deHorpeur, la pauvre jeune iille qui, avant son a
st en ce moment atteinte du même mal, après être tombée dans ce cruel état à la suite d’une visite à sa malheureuse parente.
rtains de son action , une modification ré,elle et apparente dans 1 état de l’intéressante malade, ce que n’a pu faire la
e dans la simple action des muscles, qu’à chaque acte de la volonté l’ état électrique éprouve un changement en plus ou en mo
une succession de transmissions d’électricité , lequelles altèrent l’ état électrique du cerveau de la personne magnétisée,
ra (outre les particularités individuelles qui modifient, même dans l’ état de santé, la susceptibilité nerveuse), impression
ue en présence d’un public nombreux : savants, médecins, curieux. L’ état d’Anne Chaigneau est constaté dans la lettre du D
de la précédente séance, car M. Grave trouva la malade dans le même état , même moins bien qu’en la quittant. Après une h
t des yeux de tous les assistants, étonnés el attendris. Dès lors l’ état cataleptique cessa, et après un vomissement de sa
Quatrième séance. — M. Gravé trouva la malade retombée dans le même état , par suite du tumulte de la veille. Il y avait tr
en -catalepsie. La magnétisation la faisait chaque fois sortir de cet état . mais elle y retombait toujours en l’absence de M
a sorte, la science se formerait promptement. Aperçu sur différents états de l’extase magnétique. L’extase est cet état m
perçu sur différents états de l’extase magnétique. L’extase est cet état magnétique où l’âme, détachée des sens, n’est plu
e spirituelle. Nous allons successivement passer en revue ces trois états différents, dont nons avons recueilli des exemple
naître les phénomènes magnétiques les plus intéressants. Le premier état de l’extase, celui où des substances matérielles
umains recueillis dans un dolmen, ou tombeau druidique. Le deuxième état , celui qui dévoile au sujet la perception du mond
res d’IIerculanum, une Muse antique, Mel-pomène, en un mot. Voilà 1 état du sujet dans ses rapports avec son semblable, da
on esprit, puisque la vue lui en était cachée ; c’était seulement les états de lame des autres personnes magnétisées qui la p
nt : le miroir et ses images n’étaient rien pour elle. Le troisième état extatique , celui où le sujet n’ayant ou n’accept
ndit et absorbe toutes les autres modifications de l’âme. C’est cet état qui donne aux sentiments les plus délicats et les
seul est son objet. Ce sont les phases et les développements de cet état surnaturel que j’ai tant admirés et si vivement s
énible. Le maître, alors, jugeant à propos de mettre un terme à cet état , d’un geste la dégagea du fluide qui le détermina
et sans secousse l’un de ses genoux sur le parquet. Elle était à l’ état d’extase!.... Ce fut alors que commença, pour l
ent. Tel était l’ensemble de sa pose et de son expression. Dans cet état de béatitude indicible, elle sem- blait prier,
était transfigurée!....... Ses formes physiques étaient passées à l’ état d'idéal; les contours de son visage étaient épuré
ion, dans une extatique immobilité qui n’aurait représenté qu’un seul état de l’àme, qu’une seule note de l’harmonie animiqu
e, qu’une seule note de l’harmonie animique universelle.....Non ! cet état phénoménal eut son enchaînement de phases qui for
e, p. 65, 2- édition. Ainsi disposé, M. do Tristan, pour juger de l’ état électrique do l’atmosphère qui l’entoure, prend d
uféreuccs mngnétlqnes dominicales. Magie magnétique. (Suite.) T/ état du voyant, que je viens de décrire, ne peut offri
ux êtres, c’est-à-dire de l’équilibre parfait du fluide entre eux à l’ état normal, résulte /’indifférence j « 2° Que du co
tivement magnétique à l’individu chez qui le fluide est seulement à l’ état normal, résulte l'influence d’attraction ou la
plus haut degré, à l'individu chez qui le fluide existe seulement d l' état normal, résulte l’influence mauvaise, l’influence
négativement magnétiques, ou chez qui le fluide existe seulement à l' état normal, résulte l’influence de rayonnement, l’inf
doit être un agent de perturbation sur les organes, en modifiant leur état actuel pour y substituer un état nouveau. La méde
n sur les organes, en modifiant leur état actuel pour y substituer un état nouveau. La médecine ne procède pas autrement: le
e prescrit ont pour but de produire la perturbation artificielle de l’ état morbide spontané, de manière à déterminer la cris
crise par suite de laquelle celui-ci disparaîtra pour faire place à l’ état normal auquel il avait momentanément succédé. De
t à entretenir la vie, et dont Je juste rapport entre eux constitue l’ état de santé. Après avoir développé avec beaucoup d
son, c’est-à-dire comme moyens de perturbation , de modification de l’ état morbide, les toniques, les stimulants, les sédati
elle de la sensation douloureuse et des symptômes qui caractérisent l’ état morbide, c’est donc, ajoute l’auteur, se donner t
es probabilités d’un prompt retour de la circulation des liquides à l’ état normal. Résumant notre analyse, relativement à
Ramener à l'équilibre les divers fluides dont l’harmonie constitue l’ état de santé. Proposition des plus rationnelles, et q
n de certains remèdes, mais que l’on voit souvent impuissants quand l’ état pathologique exige qu’on actionne simultanément p
endu, des cas où une crise nécessaire semble aggraver momentanément l’ état du malade); pour nous (à part certains cas d’hé-m
st là, dira-t-on, l’idéal du bon magnétiseur, et peu d’hommes sont en état de le personnifier complètement, nous en convenon
é, il admet, après examen, la réalité des merveilles inhérentes à cet état qu’il considère avec raison comme devant éclairer
nspect dans le recours aux consultations médicales des somnambules. L’ état de somnambulisme se présente, dit-il, sous tant d
celui de médecins de l’âme, titre que personne mieux qu’eux n’est en état d’exercer avec cette foi vive, cette ardente char
que, les cinq qui suivent : la guérison y a ¿■té obtenue sans que l’ état de veille ait été suspendu. M'i“ M*** : gastrit
tisée, huit éprouvèrent des effets non équivoques, et relatifs à leur état de santé. Une des somnambules, qui ne s’était sou
r, et je la mis à l’eau magnétisée. Elle entrait promptement dans cet état comateux où toute locomotion se trouve empêchée ,
chée , mais elle dormait lort peu. L’effet quelle ressentait dans cet état , elle le comparait ensuite à ce que lui avait fai
magnétiseurs accablent de questions les magnétisés, avant même que l’ état magnétique soit bien atteint; ils les influencent
résence de sa famille, ou d’amis seulement, me semble être sorti de l’ état de veille, je lui demande s’il est assez magnétis
; et, dès cet instant, je ne lui parle plus. Quelquefois son nouvel état l’absorbe si profondément , qu’il n’en dit rien d
e, si tant est qu’elles aient des limites ; mais je crois que, dans l’ état encore trop peu avancé de la science, au lieu de
sommeil survient; mais il n’est point magnétisé. Je le laisse dans un état de torpeur remarquable qui dura cinq heures; poin
continue la magnétisation, 11.% et laisse mon malade dans le même état de torpeur cpie le malin; deux heures après une r
*** entre en convalescence, il désire néanmoins être magnétisé; « cet état de sommeil me fait tant de bien! » me disait-il.
és avec une adresse et une dextérité de mouvement impossibles dans un état ordinaire. Puis, s’élançant à travers tous les ob
, Augusle-Artbur Giblat, âgé de cinq ans, natif de Paris, a éprouvé l’ état de maladie suivanl: Le ier août 1847, un mal de
udre, des pilules, et du sirop. Le 20 novembre le malade était dans l’ état suivant : Plus de sommeil ; la tête penchée sur
on ci-dessus, dans son élat de maladie, et que je l'ai revu depuis en état de guérison. V1AUT. Collis MATHE, oncle do l'
ollègues qui l’ont d’abord magnétisé en riant, font maintenant de son état une élude sérieuse. C’est un événement dont on pa
ectées d’cléplian-tiasis. Dès la seconde magnétisation, il était en état d’être opéré. Électrisé, piqué, pincé, etc., en v
oncés, étaient : Pourquoi me couper '( Pourquoi me faire dormir ? Cet état continua jus-qu’à cinq heures, alors on le change
rnal du Magnétisme, (ome V, page 268. lirait jamais à être opéré en état de veille , et maintenant il dit que Itrahma est
le sommeil magnétique. Ceux qui connaissent les particularités de l’ état mcsmérique, ont souvent observé que ses sujets mo
source de tout bien et de toute vérité. Le principal caractère de cet état élevé de la sensibilité, est une répugnance pour
robablement aux influences qui les dominent, principalement si leur état moral ordinaire n’est pas bon; mais ce qui est ce
de déguisement ; tellement qu’il leur serait très-difficile, dans cet état , d’agir à parte, comme ils sont souvent accusés d
ccorder leur croyance aux faits de l’action mesmérique. Et si, dans l’ état de veille, ils eussent consenti à devenir complic
e cette dissimulation qui s’attache si fréquemment à l’homme dans son état naturel. « Un jeune homme, nommé E. A*** nous p
ais, à présent, je comprends que je n’ai « pas bien agi. » « Dans l’ état mesmérique, le caractère de ce somnambule présent
e de ce somnambule présentait un contraste frappant avec celui de son état de veille. De bonnes dispositions morales et de g
il cherchait à peine à dissimuler. Je lui demandai, un jour, dans son état de veille, ce qu’il pensait qu’il dût advenir de
nes. « Le même somnambule, quoique dépourvu de sensibilité dans son état de veille, semblait toujours, quand il était mesm
regrettait les erreurs de ses heures de la veille , el parlait de son état naturel comme d’une existence exceptionnelle. Sou
me je les vois maintenant! » Il n’y a personne qui, l’ayant vu dans l’ état mesmérique, n’ait re- marqué le changement en m
ste en général, et montrant peu de sensibilité, il manifestait dans l' état mesmérique toute la chaleur d’un naturel plein de
xpression du plus profond chagrin ; tellement , qu’il semblait hors d’ état de parler. Quand je lui eus demandé la cause de s
us quitter.... « Combien je le regrette profondément! » Rendu à son état de veille , il rit, parla , et parut tout indiffé
ve et saisit le moyen de se satisfaire, sont le triste apanage de cet état . Le magnétiseur qui commence n’aperçoit point c
hasard vient enlever tout espoir en replongeant les malades dans l’ état où d’abord ils avaient été pris. On obtient don
u’on tenta, fut faite dans le but de s’assurer jusqu’à quel point cet état était permanent, ou pourrait être maintenu par un
pas plus d’un demi pouce de longueur. Quant à la possibilité de cet état , cela ne peut pas être l’occasion du moindre dout
ur ne réclame que la seule découverte de la localité de l’organe. L’ état de l’électricité du sujet fut trouvé négatif, et
qu’on n’a pas eu le temps de lui porter les secours que réclamait son état . Revue des journaux. — L e Journal des Théâtres
du lendemain, ce qui retardait beaucoup sa guérison , surtout dans l’ état de faiblesse où elle était pendant les trois quar
vous écrire. Elle va aussi bien que possible. Elle serait déjà dans l’ état normal, si une meilleure nour- ri turc avait se
Quant à Marie Rivierre, ainsi que je vous l’ai annoncé, elle est à l’ état normal. Son traitement a été aussi compliqué que
i avait été soumis à l’action de la médecine ordinaire, était dans un état qui laissait peu d’espoir pour sa cou- servatio
nt complètement revenues ; la croissance reprenait son cours. « Cet état n’a fait que s’améliorer depuis, et aujourd’hui ,
Marion est dans d’excellentes conditions : on peut dire même dans son état normal. Il a grandi, sa taille est parfaitement d
ogistes magnétistes qui ont observé et décrit, autant que le permet l’ état de la science, le jeu du fluide mesmérique sur le
uire le charme qui dominait ce jeune frénétique, et à le rendre h son état normal. Cette expérience réussit admirablement
s, où les lois les plus simples, les mieux établies des facultés, des états , des opérations, des connaissances de l’âme sont
omotion et-de mouvement: toutes ses autres facultés sont laissées à l’ état de repos. Ayant placé un jeune homme fort sensi
lus complète connaissance de l’homme; à l'examen philosophique de ces états si surprenants où, sans être plongé dans un somme
où ce sens intime nommé conscience, n’est plus là pour constater les états , les facultés , les opérations, les connaissances
ns et ses rapports avec les organes sensuels et corporels? Dans son état naturel (nous n’osons pas dire normal, car cette
ui se compose de pensées, de sentiments et de volontés. Mais dans les états que nous avons décrits, tous ces principes, dus à
caractéristique, ses cris inarticulés durent souvent plus que dans l’ état naturel. Ils se prolongent quelquefois plusieurs
rs heures , lorsque, par suite d’hé-morrhagie, le délire s’ajoute à l’ état mesmérique, comme il est arrivé pour Shaik Mannic
es; quelques phénomènes de lucidité médicale vinrent se joindre à cel état singulier. M1'* Angélique se prescrivit des fumig
airer sur la nature de sa maladie ; tous les remèdes appropriés à son état se présentaient instinctivement à son esprit. Le
s propos perfides exaltèrent son imagination, en lui représentant cet état anormal comme le résultat d’expériences coupables
tique; elle me promit de ne faire aucune tenlative pour sortir de cet état . Le lendemain, à neuf heures du matin, elle ne s’
nterrogeais pour connaître son opinion sur les voyants qui, pendant l' état de veille, croient apercevoir dans un globe de ve
c autant de facilité qu’auparavant, mais il ne consistait que dans un état d’assoupissement presque continu. Alors, à ma gra
ment. Dix-huit magnétisations d’une heure par jour l’ont rendue à son état normal. 7° Une violente douleur du dos qui empê
ther. Cette solution nous parait effectivement très-probable dans l’ état d’engouement où sont les esprits de la prodigieus
iations dans l’intensité de ces émanations provenant de l’àge ou de l’ état de santé des individus; mais il n’y découvrit rie
en appuyant les mains sur ma téle, je fus guérie parfaitement, et en état d’aller à la messe. Les médecins en furent si éto
igation du souvenir au réveil. En effet, à peine rentre-t-il dans l’ état de veille, que le nom de l’individu, tel qu’il le
int ainsi. N’avons-nous pas une découverte propre à nous tirer de cet état misérable et dégradé? N’avons-nous pas le magnéti
par la singularité des phénomènes qu’elles présentaient : tels que l’ état cataleptique des membres, les crises épileptiform
nsibilité complète à toute sorte d’excitation; elle n’avait, dans son état ordinaire, qu’une connaissance très-imparfaite de
du Magnét., n° 1...., 1818. elle ne sortait pas d’elle-même de cet état , mais elle demandait qu’on l’éveillât. » Tous c
pouvoir déclarer positivement que ces paroxysmes appartenaient à cet état . (1) Medic. and Physic. Journal, 1814. (2) De
vie presque doublée, permet d’apercevoir ce dont ni le cadavre, ni l’ état normal ne peuvent donner l’indice. De curieux f
s de la médecine pour l’améliorer. 11 crut enfin reconnaître dans son état une véritable possession; il eut recours aux exor
nérabilité du corps des extatiques ; ce phénomene étroitement lié à l’ état de quelques convulsionnaires de Saint-Médard, a é
maisons. J’espère néanmoins que lorsque vous lui aurez dit quel est l’ état de votre femme et votre triste position, je suis
diminué. M. Laforgue assura ma femme que le lendemain elle serait en état de faire la route de Bizanos à Pau ; elle la fit
sera transmis en lettres d’or à la postérité, jetais vraiment dans un état de souffrance insupportable. Les douleurs étaient
iolentes qu’elles me faisaient jeter des cris. C’est dans ce triste état que je me livrai avec une confiance sans bornes à
ui était raccourcie de trois centimètres, était presque revenue à son état naturel, et les muscles commençaient à reprendre
appelé auprès d’une jeune fille, jardinière, âgée de 18 ans, dans un état désespéré, abandonnée des médecins, il avait pu,
nait toute espérance de la sauver, lorsque les parents, la croyant en état de manger, lui donnèrent des alimenLs, malgré la
an.'es de magnétisme, j’éprouvai un grand soulagement, et, voyant mon état s'améliorer, j’y eus une grande confiance; puis,
ouver de fatigue. Veuillez vous rappeler que ma maladie, passée à l’ état chronique depuis plus de trois ans, avait son siè
’ont fait connaître cc digne homme. M. Thessier, médecin , voyant l’ état de ma maladie, me dit que je ne pourrais jamais g
amais guérir à Troyes , vu que l’os de ma jambe était dans un mauvais état , mais qu’il me ferait entrer à Paris dans l’hôpit
somnambulisme, et permet de j-établir les choses dan» leur véritable état , elle laisse au somnambulisme ce qui lui appartie
c des illusions provoquées par une singulière variété inhérente à cet état , et que sur cet océan obscur, on manque tellement
tellement absolue, qu’elle soit une conséquence du développement de l’ état somnambulique. Loin de là, cette faculté d’instin
re et dans scs effets, ne sont plus que des individus à facultés de l’ état de veille, quand ils abordent le traitement. Ains
quent dans tous les cas; chez d’autres, l’habitude et la réflexion en état somnambulique les guident dans leurs prescription
générale; mais il était réellement en rapport avec ce que demandait l’ état de la malade. 11 fut suivi avec exactitude, amena
nuels. En moins de huit jours, mon pauvre enfant se trouva réduit à l’ état de squelette. Pendant vingt jours, je l’ai disput
, avant, nous suivrons l'auteur dans la classification des différents états magnétiques, dont quelques-uns, sous le rapport a
sourire de pitié, se sont succédés à chaque nouvel examen. Ce dernier état de notre conscience de magnétiste, nous a dominé
, ou ne l’ignoçe pas, est d’avoir été mis , surnaturellement, dans un état qui lui permettait d’avoir des entretiens avec le
us, et de la prévision des crises. Si vous lui dites qu’il y a dans l’ état somnambulique une science innée, il rejettera b
Lefebure, magnétiseur à I’aris, de l’interroger après l’avoir mis en état de somnambulisme. Cela eut lieu, et Boulay, penda
note exacte, et c'est sur le vu de cette note que Boulay, rendu à son état naturel, a opéré, et est parvenu à faire faire un
science ne peut rien perdre à cette étude. Si Swedenborg, dans son état surnaturel d’extase, dit son panégyriste, a été c
er les véritables phénomènes produits par le mesmérisme, dire que son état doit avoir été réellement l’état mesmérique, est
uits par le mesmérisme, dire que son état doit avoir été réellement l’ état mesmérique, est une induction à priori très-natur
re éclairci qu’en mettant en parallèle les caractères ordinaires de l’ état mesmérique, avec ceux de l’état de Swedenborg. La
allèle les caractères ordinaires de l’état mesmérique, avec ceux de l’ état de Swedenborg. La trance magnétique, qui est prod
ous les rapports, le cas de Swedenborg était exactement l’opposé. Son état n’était pas un état de sommeil, ni aucun de ceux
cas de Swedenborg était exactement l’opposé. Son état n’était pas un état de sommeil, ni aucun de ceux qu’on peut produire
rqué, non plus, par la moindre absence de souvenir, en sortant de cet état ; si, en vérité, on peut dire, sortir d’un pareil
sortant de cet état ; si, en vérité, on peut dire, sortir d’un pareil état . Contrairement aux lucides magnétiques qui sont d
un pareil état. Contrairement aux lucides magnétiques qui sont dans l’ état interne (1), mais ne jouissent pas de la conscien
était d’ouvrir une vue spirituelle qui lui laissait l’entière (1) L’ état interne est celui où l’âme, entièrement dégagée d
es corporels et sensitifs, n’existe plus que de la vie spirituelle. L’ état externe, au contraire, constitue l’état normal. C
que de la vie spirituelle. L’état externe, au contraire, constitue l’ état normal. C’est l'âme rendue à la vie de relation.
( i ). » 11 en résulte « qu’il pouvait connaître et décrire, dans son état de conscience externe, ce qu’il voyait avec ses y
— Ses écrits sont remplis de particularités psychiques sur son propre état ; et l’on trouvera le plus haut intérêt dans la di
uvera le plus haut intérêt dans la distinction qu’il en fait avec les états simulaires, où il montre « une minutieuse connais
leur découverte, du moins sous ce nom, était inconnue au monde. » L’ état de cette double faculté, pour parler nette- (1)
, toutes les sensations que les organes sensitifs lui fournissent à l’ état de veille : elle voit, elle entend, quoique les y
s la vie normale ou la veille. 2i.\ ment, n’est autre chose que l’ état de lucidité magnétique ou d’extase se produisant
de lucidité magnétique ou d’extase se produisant simultanément avec l’ état de veille. La possession de cet élat complexe est
its du mesmérisme recueillis par la science, on ne trouverait pas des états analogues, semblables même, ne serait-il pas prud
t, des milliers de personnes. Cependant, qui a vu, examiné, vérifié l’ état prodigieux de l’auteur des Arcanes? Où sont dépos
t si quelqu’un pourrait affirmer que Swedenborg ait jamais été dans l’ état magnétique; et si, comme beaucoup d’autres magn
pour un moment, la sincérité de ses déclarations et la réalité de son état exceptionnel, nous ferons quelques réflexions uli
ue je marchais sans me tromper de chemin. Dans ce moment, j’étais à l’ état de vision; voyant des bosquets, des rivières, des
utre lieu. Très-étonné de cela, je m’aperçus que j’avais été dans cet état où sont ceux dont on dit qu’ils sont transportés
, Arcana cœ-lestia, 1882-1885.) Ce petit paragraphe descriptif de l’ état magnétique de Swedenborg est très-précieux, en ce
t où il était, et n’avait pas, par conséquent, la conscience de son état ; puisque en fut un changement soudain d’état, qu’
, la conscience de son état; puisque en fut un changement soudain d’ état , qu’il appelle vision corporelle, qui lui montra
gage usuel et mystique de Swedenborg, que le retour puç et simple à l’ état de veille. Appeler cela une vision corporelle, no
res de ce fait, mais qu’il fallait le lui laisser ignorer pendant son état de veille. Ses désirs, à cet égard, furent exacte
; et, conformément à cela, un instant après, quand, il était dans son état naturel, il annonça son projet de partir le lende
n procédé magnétique pour le lui rappeler, lorsqu’il est revenu à son état normal; et cependant, aussitôt qu’il est réveillé
donc encore un fait qui vient rabaisser l’élévation fantastique de l’ état magnétique de Swedenborg. Nous pourrions ajoute
iction, que nous demanderons pourquoi le révélateur de ces différents états du mesmérisme, ne nous a pas dit un seul mot sur
de la nature, et indiqué toutes ses propriétés, soit pour obtenir les états magnétiques, soit pour guérir les maladies ? Que
stance, qu’il appelle transposition de l’âme: « J'ai été mis dans cet état , trois ou quatre fois ; seulement, afin de le con
t été vraiment inspiré, il n’aurait pas eu besoin d’être mis dans cet état pour le connaître; attendu que l’inspiration est
, c’est qu’aucune inspiration ne venait ou ne pouvait lui révéler cet état . Or , il y a été mis plusieurs fois, seulement af
as été inspiré et n’a reçu aucune révélation. « J’ai été mis dans cet état , » dit-il; mais il aurait dû nous apprendre comme
on a dû la découverte à l’immortel Mesmer. — * J’ai été mis dans cet état . » Mais c’est qu’apparemment il ne pouvait s’y me
et influx donnait, par infusion, la connaissance ou révélation de cet état . Donc, alors, il était superflu, ridicule même, d
t. Donc, alors, il était superflu, ridicule même, d’être mis dans cet état pour le connaître. Ainsi, il ne reste plus d’acce
compte en ces termes : La première fois que je vis une personne en état de somnambulisme, on me mit en rapport avec elle.
u. — Maximilien Joly. D. Votre âge?— Cinquante-huit ans. D. Votre état ? — Prêtre. D. Votre lieu de naissance ? — Beaug
yé dans les douanes. D. Votre âge ? — R. Vingt-cinq ans. D. Votre état ? —• R. Somnambule. D. Votre lieu de naissance?
nérale annuelle des actionnaires. Compte-rendu du gérant. Résumé de l' état du magnétisme dans les diverses parties de monde,
vinatoire, ou furcelle. Instrument à l'aide duquel on peut juger de l' état électrique de l’atmosphère, 253. Catalepsie pro
on d’une cure remarquable sur son enfant, 631. Invasion subite de l’ état de veille par l’état de sommeil, 105, 423. Magi
able sur son enfant, 631. Invasion subite de l’état de veille par l’ état de sommeil, 105, 423. Magie magnétique. La phil
62 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ins grande différence entre la sensibilité des deux jambes. Le même état persiste sans se modifier sensiblement jusqu'au
sant par l'ombilic; ils sont plus marqués à gauche qu'à droite. L' état reste tel quel jusqu'à la mort. Observons que si
La moelle présente une quantité de noyaux plus considérable qu'à l' état normal, mais ces noyaux sont assez uniformément
très facilement l'usage de leurs jambes, et viennent de nouveau en état de faire de lon- gues courses sans avoir besoin
ite à ce mode de traitement et une fois habitué, il revient à son état primitif. Le professeur Grasset dit dans son dern
un vulgaire éthylique profondément intoxiqué et présentant, avec un état parétique général, des troubles intellectuels.
es matières. Anesthésie des membres inférieurs et des réservoirs. L' état intel- lectuel s'est encore obscurci. Les jou
ose généralisée, les artères sont suffisamment pourvues de sang à l' état de repos, mais insuffisamment à l'état d'activité
samment pourvues de sang à l'état de repos, mais insuffisamment à l' état d'activité; d'où l'apparition des symptômes au
t 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de se propager. A la période d' état , la maladie peut se présenter sous diverses for
siège des mouvements choréiques. Suit une étude très complète sur l' état des réflexes dans la chorée. Les réflexes peuve
aucoup plus certain et plus stable par cette sugges- tion lente à l' état de veille que par le sommeil hypnotique, dont e
les objets dont il n'a pas trouvé le nom spontanément, il n'est en état de le répéter plusieurs fois que si on le lui dem
iennent, il lit et écrit, lentement à la vérité, Le quatrième jour, état normal, sauf une lacune de la mémoire portant s
s presque complètement de leurs sels calcaires, revenir ensuite à l' état ostéoïde, mais avec dépôt irrégulier et abondant
s os atteints de fracture spon- tanée dans le tabes, correspond à l' état de la 4r° radiographie de notre malade. La seco
d'hydrogène sulfuré, leur convenaient mieux. Les tabétiques en bon état , et ceux à phénomènes tabétiques récents et peu
i-ci a été intense et prolongé. M. Bechterew croit qu'ils'agit d'un état épileptique, enté sur une affection organique d
sie essen- tielle. ' Il est dû à l'empoisonnement qui produit les états épileptiques. Dans l'épilepsie vraie, non organ
idées associées, suivant la direction et les lois fondamentales des états mentaux d'où résultent la physionomie de chaque
e Code français : « Il n'y a pas crime ou délit, si l'accusé est en état de folie au moment de l'acte...» Et de même en
t ù la liberté est de première importance. Il faut faire examiner l' état mental de l'accusé par un médecin, et, de préfé
mme un des devoirs de leur charge d'ordonner un examen médical de l' état mental des accusés, quand les cir- constances d
y, octobre 1899, p. 317 à 326. La classification en crimes contre l' état , l'individu ou la propriété, n'indique pas les
s des criminels qui y sont, permettant de se faire une idée de leur état mental. , Pourquoi ne pas continuer le traiteme
n des nerfs qui indique un certain degré de névrite quel que soit l' état de la cellule de la corne anté- rieure ; 3° L
ticolis et améliorer les mouvements choréiformes du bras. Quant à l' état mental de la malade, il est resté peu développé.
ilité électrique, ni de la sensibilité. Il semble donc qu'un pareil état ne puisse relever d'une affection définie des cen
présente deux pièces relatives à deux cas de porose cérébrale, « L' état de fromage de gruyère » qui caractérise les cou
- 88 SOCIETES SAVANTES. plitude, celle-ci étant en rapport avec l' état d'atrophie des muscles. Il est naturel que les
puisque depuis un mois, malgré la continuation de la suggestion à l' état de veille qui, dans les premiers jours, avait a
mélioré dès le lendemain le malade semblait revenu totalement à son état normal le surlendemain. On croyait à une simple h
e internatioale tendant à empêcher le mariage des sujets atteints d' états morbides capables d'engendrer la dégénérescence
agit de véritable maladie mentale et l'onanisme n'intervient qu'à l' état de symptôme ; ce qu'il faut soigner, c'est la mal
oins vigoureux que la veille : qu'il les remue avec difficulté. Cet état de gêne va en augmentant jusqu'au jour où il se
adisalion. La sensibilité ne revient pas. Le 28. Faradisation. même état de la sensibilité, mais les troubles sensitifs
, inerte, il ne. pouvait plus s'en servir. Elle est restée dans cet état , malgré des frictions énergiques à l'eau-de-vie
t alour- dies pendant plusieurs jours. - - Grâce à la pendaison l' état de la malade n'a jamais empiré. Elle marche aus
s sans aucune douleur ; elle dormait bien, et contrairement à sou état habituel elle n'a pas ressenti l'apparition de la
appétit. La malade tomba au bout de deux ans de pen- daison dans un état de débilité, ne pouvant rien digérer et souf- f
mbres inférieurs avec lourdeur et fatigue, empêchant la marche. Cet état dura six semaines. Un confrère, consulté par la
nsée qui n'y est pas les connexions sont interrompues. C'est donc l' état de rétraction, l'état ordinaire de l'immense ma
es connexions sont interrompues. C'est donc l'état de rétraction, l' état ordinaire de l'immense majorité des filaments t
s se modifie secondairement, consécutivement à la respiration; 8° l' état delà REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
· Un homme de soixante-neuf ans est apporté il l'hôpital dans un état comateux, il meurt douze heures après sans avoir
érentiel des kystes parasi- taires du cerveau. IL C. ' XIX. Sur l' état atrophique de la moëlle épinière dans la syphilis
s 38 ans auparavant. Pendant les trois premiers mois de la maladie, état de lourdeur et de raideur des membres inférieurs;
e mois,-apparition des troubles sphinctériens et aggra- vation de l' état paréto-spasmodique; on constate des troubles de
tent à côté de la dépression et de la diminution intellectuelles un état mental particulier, qui constitue leur note psy
lier, qui constitue leur note psychopathique domi- nante : c'est un état de torpeur, d'engourdissement psychique, d'obnu
econdaires ont fourni des parties de protoplasma de la cellule, à 1 état , partie de mottes chromatiques, partie de subst
contre cette théorie ses adversaires, ils ne sont cependant pas en état de miner la confiance qu'elle a suscitée, car e
- tives. La troisième, i neo ns cience, fébrile, fut marquée par un état de cachexie nerveuse. Une seule ponction rach
la suggestion, en rétablissant les fonctions troublées, 'améliore l' état organique de celles qui président à ces fonctions
tance familiale des aliénés. L'auteur fait une courte esquisse de l' état de l'assistance fami- liale des aliénés à l'étr
raitement ioduré. ' Il s'en suivit une amélioration sensible dans l' état de la malade- : les céphalées ont disparu, le c
s il est stable. La reproduction des souvenirs parait dépendre de l' état de la circulation et de conditions souvent déte
yse les explications, que le dédoublement de la personnalité dans l' état somnambulique, hypnotique, hystérique et dans l
quelque temps après. lllme Domy est à l'agonie. Quant à M. Domy son état est également alarmant. Arrêté aussitôt, le jeu
toirement signifié, à nous et à Bechterew, que nous exposions là un état pathologique déjà mis en lumière, il y a cinqua
à la publication d'Eulenburg. Il résulte de ces recherches que l' état morbide auquel nous avons donné le nom d'obsess
aire, chez un malade atteint d'éreuthophobie, leur ont montré que l' état de chacune de ces fonctions variait du tout au
phénomène qui prédomine est bien un élément purement émotionnel, un état pour ainsi dire intellectuel qui fait de cette
'on se rappelle les curieuses expériences chez les hysté- riques en état d'hypnose, chez qui la provocation d'une attitu
état d'hypnose, chez qui la provocation d'une attitude détermine l' état mental correspondant. Au surplus, à l'appui de
nsi dire brusquement, du jour au lendemain. J'en suis averti par un état intérieur indéfinissable, mais clair pour moi,
s averti par un état intérieur indéfinissable, mais clair pour moi, état qui est un symp- tôme, non un prodrome. Eh bien
Analysons maintenant quelques cas types, c'est-à-dire analysons mon état physique et mon état psychique avant, pendant et
quelques cas types, c'est-à-dire analysons mon état physique et mon état psychique avant, pendant et après l'accès de ro
lis un jour- nal, ou je regarde une personne, un objet. Je suis à l' état neutre. Le choc se produit. Une bouffée de chal
scène, c'est une lassitude immense, un affaissement moral. - Cet état de coma psychique persiste plus ou moins longtemp
n bouleversement total de l'Etre. Entre ces deux types d'accès et l' état normal s'échelonnent tous les intermédiaires, d
le néant. Mon cerveau suinte l'ennui. Il y a quelques années, ces états d'âme de détresse étaient si fréquents, si péni
délivrer pour toujours. Aujourd'hui, mes idées étant les mêmes, mes états d'âme sont moins aigus. Et j'attribue cela à la
nsations, et que, d'autre part, ces sensations existent en nous à l' état d'Idées, ces Idées-Perceptions provoquent la roug
- Comme chacun sait, on réunit sous la dénomination de vésanies des états mentaux fort divers, voire même opposés, qui fo
ire à froid avec toutes les apparences physiques et psychiques de l' état normal. Je le comprends moins pour la double fo
comprends moins pour la double forme composée comme on sait de deux états aigus, maniaque et Iypémaniaque, qui se succède
ut-être sommes-nous tombés sur une petite série exceptionnelle. L' état normal est de beaucoup le plus fréquent dans la
coup le plus fréquent dans la folie systématique et l'emporte sur l' état anormal de 43 p. 100. Le fait est d'autant plus
nombre de malades ne peut être pris en considération. Quant à l' état normal il nous fournit un résultat inattendu. C
tes nos périodes de dix en dix ans nous le trouvons inférieur à l' état anormal. mais dans notre tableau le maximum d
bégaient. Rien du côté paternel . Antécédents personnels. - Mauvais état de santé de la mère pendant la grossesse de Lou
eul. - Je le réveille. Dans la journée, Louis a vécu, quoique à l' état de veille, sa personnalité de l'âge de trois an
psychoses coïncidant avec la grossesse n'ont rien de spécial à cet état . L'accouchement peut en certains cas être un de
ffets obtenus dans 53 cas. Simon. XVII. Diagnostic différentiel des états paralytiques et pseudo- paralytiques ; par. Art
30.) L'auteur indique d'abord comme raison de la ressemblance des états paralytiques et pseudo-paralyticlues l'existence
s réformes : labora- toires, sanatolias,etc. Cela a eté fait dans l' état de New-York. A la tête de ces institutions, (as
t été au contraire irritables, hystériques, exaltées, tombent à des états de dépression ; parfois cela aboutit soit à de l'
eut guère être résumé, est que la conception de la mélancolie comme état de dépression et de la manie comme état d'exalt
tion de la mélancolie comme état de dépression et de la manie comme état d'exaltation, et constituant deux ma- ladies, a
ontraire que des phases manifestant des degrés différents d'un même état morbide. C'est à Kroepelin surtout qu'on doit de
ue la névralgie elle-même, dans ce cas, serait symptomatique d'un état névropathique permanent. Et c'e : t souvent l'épi
rétation est surtout à émettre quand l'attaque est accompagnée d'un état de conscience halluci- natoire et suivie d'amné
l'écorce devienne particulièrement excitable et épuisée : d'où des états de confusion et d'incohérence sur base hallucinat
petit mal que de grandes crises et comme phénomènes psychiques des états de rêve. SIMON. XXVIII. Christopathie et scienc
. Mais nous savons bien que des gué; risons sont consécutives à des états d'exaltation et que l'attente confiante peut su
ande intensité, il s'élabore des images dont le fond correspond à l' état du moule dans lequel elles ont pris naissance.
rme de têtards avec l'eau des marais usitée comme boisson, soit à l' état d'oeufs mélan- gés en poudre aux liquides dans
i-même, l'exagération de sa personnalité, son manque de mesure, ses états fréquents d'exaltation. Mais il conserva long-
s, mieux encore, le pied ou la jambe font défaut ou sont restés à l' état rudi- mentaire. Sans entrer dans les détails
e deux fractures spontanées auxquelles semblait le prédisposer un état rachitique très marqué. Le vitiligo est fréquent
A ce moment sont arrivées les premières règles et s'est ins'allé un état myxoe- démateux fruste. Le traitement thyroïdie
tat myxoe- démateux fruste. Le traitement thyroïdien a amélioré cet état même dans ses manifestations osseuses, comme l'
sans succès à la Salpetrière par le lit et le régime lacté pour un état neurasthénique vulgaire, mais qui est at- teint
ndre ses occupations, de vivre de la vie commune et de conserver un état moral et un état général satisfaisant. Deux aut
ons, de vivre de la vie commune et de conserver un état moral et un état général satisfaisant. Deux autres thérapeutique
té par Braid concerne un enfant de cinq ans et demi, qui provoqua l' état hypnotique chez une domestique, après avoir ass
troubles de l'oculo-moteur (communs), les crises épileptiformes, un état de stupeur somno- lente fréquente dans la ménin
e stupeur somno- lente fréquente dans la méningite de la base, avec état démentiel rappelant les symptômes de la paralys
ui provoqua la dési- gnation de trois docteurs pour l'examen de son état mental - mit dans la soirée en émoi le personne
moins de huit hommes pour maîtriser le-forcené qui retomba dans son état de prostra- tion. Les docteurs déclarent n'av
la volonté, par le jeu spontané de l'automatisme cérébral. Dans l' état normal, ce phénomène apparaît assez fré- quemme
sulte de la fatigue ou de la distraction, et elle n'y existe qu'à l' état d'ébauche. Mais, chez certains sujets (psychast
ne idée d'une certaine nature, enva- hissant l'esprit, détermine un état affectif, des sentiments agréables ou pénibles,
iennent que les symptômes organiques de l'émotion, loin de suivre l' état affectif, le précédent, au contraire, et le dét
endrait que secondairement, non pour produire mais pour constater l' état émotionnel : « Les changements corporels qui su
bot également, « la conscience de ces troubles (organiques) est l' état psychique que nous appelons l'émotion '. » Spinoz
te se compose « de tendances, c'est-à-dire d'éléments moteurs, et d' états de conscience agréables, pénibles ou mixtes ; c
n. Si chacune d'elles peut expliquer une partie et un moment de cet état morbide, ni l'une ni l'autre ne nous paraît ren
bsession systématisée n'estque le symptôme le plus saillant de leur état morbide très com- plexe, l'élément émotif y jou
ent toujours chez lui l'apparition de l'idée -. Il existe aussi des états d'angoisse obsédante et impulsive, dans lesquel
les gestes de la colère et de la tristesse, s'ils ne créent pas ces états , les entretiennent certainement et les accentue
ssi bien difficile d'expliquer, avec la théorie intel- lectuelle, l' état panophobique dans lequel l'angoisse, une fois a
lement peur. Inversement, l'éx- pression peut faire défaut dans des états d'émotion très vive : les colères froides n'ont
s l'exis- tence tout entière s'est immédiatement accompagnée d'un état affectif ( tristesse, désespoir), lequel, ensuite
érimentalement que la réaction émotionnelle, que la conscience de l' état affectif précède les modifications vaso-motrice
ration radicale des étals intellectuels et des étals affectifs. Les états affectifs ne seraient que le reflet mental, que
nt certaines modifications organiques. Par conséquent, dire que les états intellectuels ne sont, par eux-mêmes, ni pénibl
ni pénibles ni agréables, qu'ils sont indifférents, àmoins qu'un état affectif venu d'ailleurs ne leur soit surajouté,
n des modes de l'intel- ligence et de la conscience. Il n'y a pas d' état psychique in- différent, chacun d'eux a un ton
semble immense de réactions parties de l'écore, c'est-à-dire d'un état de conscience particulier, pour aboutir à un état
c'est-à-dire d'un état de conscience particulier, pour aboutir à un état général de cénesthésie secondaire, consécutive;
is l'accès émotif n'est que la manifestation la plus apparente de l' état morbide très complexe des obsédés, il s'en faut
symptômes, à ce qui constitue le fond de la maladie, en un mot, à l' état obsédant. L'état obsédant préexiste à la crise
constitue le fond de la maladie, en un mot, à l'état obsédant. L' état obsédant préexiste à la crise angoissante et il p
lors, il est difficile de comprendre que l'élément essentiel de cet état puisse être l'émotion, qui, par définition, est
pliquent ni les obsessions, pourtant si fréquentes, qui restent à l' état faible, ni l'état obsédant, antécédent et subst
sessions, pourtant si fréquentes, qui restent à l'état faible, ni l' état obsédant, antécédent et substratum des obsessio
e préexiste aux obsessions et les prépare; sa permanence explique l' état obsédant. - L'élément émotif et l'élément intel
leur développement, elle active par association la réviviscence des états affectifs que l'obsession met enjeu ; enfinla l
t de logique de notre esprit, en fixant dans une formule définie un état jusqu'alors imprécis. Si l'aboulie est la base
t « une émotion systématisée u, car, de sa nature, l'émotion est un état diffus, sans repré- sentation objective ; elle
ouvenirs, déjà dans ma plus tendre enfance, je vois le début de mon état torturant qui se manifestait de différentes man
. Mon démon tourmentant prit bientôt cela et je tombai dans le même état , moi qui n'avais pas eu jusqu'alors la moindre
ut où autrefois je n'au- rais pas vu la plus petite difficulté. Cet état s'était installé sans autre motif que l'idée de
s complètement l'espoir (quoique depuis ma dix-sep- tième année mon état ne fit que s'aggraver). Dans mes moments heureu
ne dois pas ainsi gaspiller inutilement ma vie. Comme une fois mon état était devenu très mauvais, je m'étais décidé à
e soutenir et tombais parfois dans un véritable désespoir. Dans cet état , il m'était impossible de travailler, et je con
pénibles dans la tête, continuellement des images fantastiques à l' état de veille, l'esprit constamment déprimé, de ter
et si je parlais, je me faisais violence pour ne pas tomber dans un état tout à fait semblable à la mort. Arrivé à Ber
i occuper un appartement dans le quartier « unter den Linden ». Mon état intérieur était mauvais ; je louai un instrumen
tre, mais jamais je ne faisais un effort; j'étais dans un véritable état de torpeur, et mon esprit ne voyait que des ima
ellectuel, pendant de longues heures je i estais stupide et dans un état d'ex- citation qui ne me rendait pas abordable,
que je le pouvais à dissimuler aux yeux du monde mon épouvan- table état . Si malgré la présence des hommes je sentais de l
chais à le graver dans ma mé- moire, mais inutilement, car dans cet état torpide, rien, pas même les plus grandes choses
n complètement, du moins suffisamment aussitôt que s'installait cet état torpide, mais je ne sais quel est l'état le plu
sitôt que s'installait cet état torpide, mais je ne sais quel est l' état le plus à redouter. L'angoisse dans la rue, dont
entionné pour que ce tourment se représente. Pour ce qui est de mon état physique, je dois dire que j'ai tou- jours été
première fois que je note d'une façon si suivie la marche de mon état particulier ; je le fais à la demande de ma soeur
nscience soit intacte. Comme j'espère à bon droit que mon étrange état ne restera pas sans exciter votre attention, et
e trouble mental ne trouvait aucun point t d'appui suffisant dans l' état somatique du malade. 111. de N... est plutôt pa
ment mon BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 285 assistance parce que son état avait de nouveau empiré, comme autrefois. Il me
i, aussi peu que le suicide. Il est touchant de voir que pour lui l' état heureux serait celui de l'aveugle. La perte de
ar un trouble des fonctions diges- tives. Un purgatif remet tout en état . Aotît. - Par suite d'un silence prolongé de se
physique du malade. l'idiotie morale. 295 de la répulsion pour l' état militaire. Un voyage en famille au bord de la m
A... est un malade, et les troubles que nous avons relevés dans son état psychologique et moral sont la conséquence de s
vés dans son état psychologique et moral sont la conséquence de son état morbide. Bien qu'au moment de la conception, le
les jours qui précèdent les attaques d'épi- lepsie, et pendant les états de dépression neurasthénique, une diminution da
senic; contre l'épilepsie noc- turne, bromure et chloral ; contre l' état de mal, chloroforme, injections hypodermiques d
nerfs, ayant pour but d'obtenir une rétrocession atrophique de cet état . Deux malades l'ont subie. Il y a eu amé- liora
t son expansion maxima (cinquième segment cervical), demeure en l' état dans le faisceau de Goll jusqu'à la partie la plu
des zones concentriques de vert, de jaune, de rouge brun sale. Cet état présente des variétés dont la plus accentuée co
rases, de rien construire qui ressemble à une proposition ; 2° Même état , mais l'enfant répète convenablement de toutes
aires la suite de troubles circulatoires, chez des morphinomanes en état d'abstinence). M. Alocli fait remarquer que l
d'exécuter le même mouvement volontaire. Ces effets variant selon l' état du sujet, une excitation pénible et déprimante po
loir et par conséquent du travail ; leur usage prolongé entraine un état de fatigue qui ne diffère pas de l'état de surm
usage prolongé entraine un état de fatigue qui ne diffère pas de l' état de surmenage. D'où il découle, au double point
l'influence 320. SOCIÉTÉS SAVANTES. desquelles s'est développé un état cachectique assez accusé, au cours duquel il mo
. ' - M. Duram a vu plusieurs paralytiques généraux se croyant en état de grossesse plus ou moins avancée. M. Sérieux
s de persécution ou de grandeur, existant tantôt seules, tantôt à l' état de combiuaison, sans qu'on puisse, distinguer une
ale infantile avec maximum à gauche, idiotie et épilepsie, morte en état de mal. Il y a agénésie complète de l'hé- misph
crâne ne sont pas douloureuses Vu le début brusque de la maladie, l' état stationnaire des symp- tômes pendant deux aus e
on cervicale. Le malade ne guérit pas, et les lésions passèrent à l' état chronique. A l'heure actuelle, toutes les artic
nt latéral du noyau; dans quelques-unes, le protoplasma est dans un état de dissolution presque complète. Sur les prépa-
essus inflammatoire à marche subaiguë ou chronique. Dans les divers états vésaniques le cyto-diagnostic est constam- ment
anisme comme in vitro; enfin quel rôle attribuera-t-on au brome à l' état naissant ? ' En résumé, de ces faits il découle
M. Pic a insisté dans une étude remar- qnable. Ils consistent en un état d'obuubilation intellectuelle, un repos psychiq
satisfaisante. Mais s'agit-il d'une insuffisance cérébrale où d'un état convulsif là se pose le problème il résoudre ?
anée est normale partout, de même que les ré- flexes tendineux et l' état des pupilles. Bromure de potassium (4 gr. par j
se- conde fois à l'hôpital. Depuis sa sortie, le 31 mars 1899, son état n'a, dit-elle, pas beaucoup changé. Il y a eu,
, découragée, avait refusé de prendre depuis sa dernière attaque. L' état général est bon en ce moment; le poids a de nou
ce moment que la malade a commencé à s'occuper sérieusement de son état de santé et à envisager toute la gravité de ses
fré- quentes ; elles s'observent régulièrement aussi bien dans l' état de mal que, à un moindre degré, dans les attaques
atteint d'excitation maniaqne, aujour- d'hui en voie de démence. L' état mental de ce malade ne présente aucun relief in
surplus, les deux mamelons existants sont implantés plus bas qu'à l' état normal. z Au point de vue fonctionnel, les dive
e cuisses biendéveloppés, terminés par des doigts imparfaits. » Cet état continue le même auteur, « ne correspond à aucu
à s'alimenter, il garde le lit. » Lors de son entrée à l'asile, son état est le suivant : Mélancolie présentant la for
, il faut faire une minutieuse exploration électrique, qui montre l' état des nerfs et des muscles, afin de ne pas commet
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 37 7 totalement'de côté en le mettant en état de strabisme interne aussi accentué que possibl
bras. Le malade fléchit, quoique faiblement, son bras, et, dans cet état , il le met en supination et en pronation, exécu
Ils sont cependant susceptibles d'apparaitre en peu de jours, à l' état d'hyperalgésie subjective : sensibilité à la pres
; la terminaison de la maladie par la guérison, c'est-à-dire par un état stationnaire qui compte actuellement quinze ans
. Contribution à la question de la transmissibilité hérédi- taire d' états pathologiques acquis ; par H. OI3ERsrJ : INEH. (N
40 ani- maux. Conclusion. - Dans des conditions convenables, des états pa tho- logiques acquis peuvent se transmettre
l revient à lui et demande : « Ceci m'est-il arrivé en songe où à l' état de veille ? » Ainsi donc, jusqu'au 11 mars sort
tion. Deux sont, dit-il, de l'érezcthose simple de Pitres et Régis, état dans lequel le malade- est momentanément déconc
influences climatologiques propres à atténuer ou à suppri- mer cet état paralytique trouveront ici leur indication formel
on formelle. Rien n'est plus utile en pareil cas que l'ensemble des états de calme que réalisent les voyages maritimes. D
ezo-I-onlr Médical Journal, 20 avril 1901.) L'ataxie aiguë est un état dans lequel le malade, dans un espace de temps
arent : puis un soir elle fut prise de convulsions hystériques avec état spasmodi- que, généralisé et strabisme double p
ar conséquent ' nullité de tout engagement pris par une personne en état de folie) qui règle les contestations possibles
à la relation qui parait exister entre les signes phy- siques et l' état mental. 0 SmoN. XVI. Morphine et criminalité; p
sque ces sujets ont présenté des signes d'aliénation mentale ou des états d'excitation nécessitant un traitement spécial
sa peine ter- minée, ne peut être mis en liberté, par suite de son état mental, il est transféré dans un asile d'aliéné
de vingt-huit ans; elle était entrée au mois de mars précé- dent en état de dépression et avec l'idée qu'on voulait l'empo
ulait l'empoi- sonner : elle était réservée et taciturne ; mais son état s'était amé- lioré, on la considérait comme con
n- tention était de couper complètement la tête à sa victime. Son état resta le même durant vingt-quatre heures après le
uelquefois sous le nom d'équivalents psychiques de l'épilepsie. Ces états mentaux présentent des caractères particuliers,
oins accentués; mais quelquefois cependant le malade se réveille en état de manie furieuse. ' 410 REVUE DE MÉDECINE LÉ
certainement des étals post-épileptiques où le crime est commis en état d'inconscience absolue. Ces cas s'accompagnent
e avec elle aux misères de la vie dont elle était accablée dans son état de demi-démence. Les filles-mères qui accouchen
les-mères qui accouchent clandestinement sont bien elles aussi dans état de demi-démence. Pendant neuf mois, sous le cou
uelles de leur esprit vont prendre un caractère aigu. C'est dans un état d'aliénation, que tout a préparé, que nous les
de la délivrance, ou lorsqu'elle se trouve encore sous le coup d'un état puerpéral, a-t-elle toujours conscience de l'acte
le aimait. Elle se confirma dans son hallucination en analysant son état physique qui suffisait pour elle il témoigner d
e il témoigner de la réalité de ses relations restées cependant à l' état de rêves. Et devenue femme, elle se persuada qu
n- ner ; et qu'il y aurait à créer des asiles de sûreté ou asiles d' état pour certains criminaloïdes qui ne sont pas des
iques dans des cas de mal comkial essentiel aussi bien que dans des états liés à des tumeur;, cérébrales. Il a trouvé les
mentles cellules pyramidales intacles même chez des sujets morts en état de mal. La névroglie au contraire n'est jamais
noter que le malade, ancien syphilitique, a subi au cours de cet état des injections mercurielles. Ce malade est un typ
légère confusion mentale. Elle entre un mois après à l'hôpital, en état de dépres- sion mélancolique, de confusion, d'a
des réflexes normaux ou exagérés. Il n'y a pas concordance entre l' état des trois ordres de réflexes : cutanés, muqueux
e de son père qu'il a lardé à coups de couteau sous l'omo- plate. L' état du malheureux est désespéré, le poumon gauche a
Il. BLIiosof·. L'effort intellectuel. G. Milhaud. La loi des quatre états . -')r G. Dumas. L'état mental de Saint-Simon (1
intellectuel. G. Milhaud. La loi des quatre états. -')r G. Dumas. L' état mental de Saint-Simon (1" article). E. de CvoN.
re : G. de IIOBCF1'Y. Qu'est-ce que la philosophie ? Dr G. Dumas. L' état mental de Saint-Simon (2' article).-A. BIUER. D
on et à la suivante, me fourniront l'oc- casion de vous remémorer l' état de nos connaissances con- cernant cette importa
aux de tête, avec exacerbations vespérales; elle est tombée dans un état d'ané- Fig. 22. SUR TROIS cas d'hémianopsie.
ent spécifique intensif. Aucune amélioration ne s'en suivit, dans l' état de la malade. Voire que, dans la suite, à parti
Un traitement mercuriel intensif n'a pas amené de changement dans l' état de la malade. Celle-ci continue de tomber dans
ercher les mots, elle ne peut plus comprendre ce qu'on lui dit. Cet état ne dure que quelques instants. La malade ne per
uarante-un ans. Son père est mort, à l'âge de soixante-huit ans, en état d'hémiplégie. Sa mère a été emportée par une
ulté de parler. Au bout de trois heures, elle était revenue à à son état normal ; à ce moment-là, elle ne présentait aucun
e. 444 CLINIQUE NERVEUSE. Le lendemain, C... était rétablie et en état de reprendre son travail. En septembre dernie
ue des résultats normaux, et cela s'ap- ' plique en particulier à l' état des papilles. La réaction pupil- laire, dite de
gée de faire un effort, pour se rappeler leur nom. Depuis lors, l' état de la malade n'a pas subi de change- ments appr
vait simplement une grande difficulté à s'orienter, en raison^ de l' état de sa vue. On avait diagnostiqué l'existence de
reconnaît parfaitement la nature. Ce trouble amnésique existe, à l' état d'ébauche, chez la seconde de nos deux malades;
monyme droite. La seule modification survenue depuis lors, dans son état , consiste dans le caractère légèrement spasmodi
fournir la preuve que l'hémiparésie droite ne subsiste plus qu'à l' état de vestige, sauf à la face, où elle est encore
alyse mentale dans la vie psycho- logique des différents sujets à l' états soit normal, soit patho- logique est variable s
cinations. 475 même, et là encore tantôt sur le corps, tantôt sur l' état mental 1. Ainsi selon ces diverses orientations
jamais, comme le disait il y a déjà longtemps Hume, que nos propres états de conscience, que notre esprit. Mais ce sont l
ent suggestible, des idées de doute et de scrupule la hantaient; un état d'inquiétude et une tendance marquée à l'analyse
l'esprit réviennent à la mémoire et elle examine attentivement son état mental, des craintes de culpabilité engendrent
t coupable. En un mot, L... cherche à analyser et à expli- quer son état mental. Elle cherche à distinguer des actes ou de
ns le champ de sa cons- cience. Après une analyse minutieuse de son état mental, elle leur trouve une origine en dehors
élire, et provoquant par les découvertes qu'elle révèle au sujet un état émotif, qui achève de lui enlever ses points de
u'habituellement on nomme psycho- ' motrice. Mais dans l'étude de l' état mental de L..., indépen- damment des conditions
al ou même les mentalités différentes qui jaillissent pendant ses états de distraction. Il lui manque, disons-nous, la po
logique intérieure évoluant dans l'atmosphère la plus intime de nos états intellectuels successifs. Bon nombre ne peuvent t
ore à ne voir dans le langage intérieur qu'un écho de leurs propres états intellectuels. Notre sujet L..., et ici commenc
rs propres états intellectuels. Notre sujet L..., et ici commence l' état pathologique dissocie, par une attention extrêm
port inverse de ce qu'ils sont normalement. L'examen minutieux de l' état mental de notre sujet nous donne l'explication
Admis à l'asile d'Armentières le 22 septembre 1896, il présente un état de déchéance physique et intellectuelle qui paraî
nement de son mari, elle présentait depuis un certain temps déjà un état de PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 489 dépressi
et être très con- tent. Les personnes de l'entourage attribuent son état aux nom- breux chagrins qu'il a éprouvés. Sa
barras de la parole, perte de la 490 RECUEIL DE FAITS. 1 mémoire, état démentiel des facultés, gâtisme. Toute enquête su
générale. 11 n'en est plus de même en janvier 1896. Il présente un état de confusion intellectuelle très marquée, tient
our le tuer et il cherche à s'éloigner en se cachant le visage. Son état s'aggrave très rapidement et on,doit l'interner l
ggrave très rapidement et on,doit l'interner le 25 mars 1889. Son état est le suivant : paralysie générale progressive p
brale ; depuis lors, il donne des signes d'aliénation mentale, cet état s'est aggravé ces temps derniers, au point que so
ou interne- ment est devenu nécessaire. A l'entrée à l'asile, son état , est le suivant : mélancolie, présen- tant la f
mes psychiques et somatiques de la folie paralytique à la période d' état . Six mois après elle succombe dans le marasme.
e l'après-midi et se termina à cinq heures, en reprenant la nuit. L' état psychique de la malade lui occasionna une conjo
de lui occasionna une conjonctivite. Lorsque la malade revint à son état normal, voici ce qu'elle raconta : le lendemain d
que) : la dégénérescence des fibres nerveuses, qui se manifeste à l' état de pâleur de la papille et de formation d'un se
ement épaissies, existaient de petits ilôts de tissu scléreux. Même état , quoique moindre, des cordons latéraux. Substan
ant, etc., etc. Souvent ils portent des conserves sombres. C'est un état dont ils ont d'ailleurs conscience, et qui se tro
és criminels doivent être compris : 1° Les inculpés de crime dont l' état d'aliénation aura été reconnu, soit au cours de
qui ont été l'objet d'une ordonnance de non-lieu, en raison de leur état mental, elles crimi- nels devenus aliénés dont
dmet M. Leredde, une véritable guérison, c'est-à-dire un retour à l' état normal chez des malades ayant présenté des signes
e maintenir les muscles dans la fixité peut être plus grande qu'à l' état normal, de telle sorte que l'affaiblis- sement
des perturbations dans le vertige voltaïque. M. J. BABiNSKt. A l' état normal, quand on applique aux tempes ou aux apo
servation directe. Les déments précoces tantôt sont plongés dans un état d'hébétude dont rien ne peut les tirer; tantôt
précédée, ni accompagnée d'émotions et n'est que l'expression de l' état d'engourdissement de l'activité cérebrale et de l
à exister isolément et n'éveillent plus les autres éléments qui a l' état normal s'associaient avec eux. L'état de stu- p
s les autres éléments qui a l'état normal s'associaient avec eux. L' état de stu- peur, dans lequel la conscience semble
ue. Coën reconnaît trois points dans le traitement : 1° Fortifier l' état général de l'enfant; 2° Développer son intelli-
aso-moteurs, fausse angine de poitrine, dyspnée, boulimie, etc. Cet état , qui serait mieux à sa place parmi les syn- drô
om de névrose d'angoisse. L'élément principal de ce syndrôme est un état chronique d'an-, goisse, dit l'auteur, avec obs
et présentent fréquemment des tares morales, bien qu'elles aient un état mental habituellement entaché de tares, les accès
Rapporteur : M. NoGuLs (de Toulouse) ; 2° Pathologie mentale : Des états anxieux df/1¿ les maladies mentales. Rapporteur
a mère. survenue récemment. La coneierge est soignée chez elle. Son état est très grave. (Le Français du 29 janvier 1902).
e coude en absoi bant une infusion d'allumettes. Cette fois-ci, son état est considéré comme désesperé. (Journal de Sein
c sub- venant à ses propres dépenses, par Whileway, s03. - pour l' état de Sussex, par Haves, 505. Admis- sions au Cu
ogres- sive, par Krafft-Ebing, 220. Dia- gnostic différentiel des états para- ivliuues et pseudo-palalytlques, par A.
. Un' cas de par H. Lemesle, 2tt}. Transmissibilité héréditaire d' états pathologiques acquis, par Obers- teiller, 387
63 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
trouvent pas constamment les moyens de traitement appropriés à leur état . Ces prévisions se sont réalisées. La consultat
viennent, trois fois la semaine, recevoir des soins appropriés à leur état . Le concours dévoué que nous a prêté notre exce
cjest elle qui, depuis quel a médecine existe, s'occupe à décrire les états morbides, à déterminer leur caractéristique, leur
essieurs, qu'il existe encore, à l'heure qu'il est, un grand nombre d' états morbides, ayant évidemment pour siège le système
psie, l'hystérie même la plus invétérée, la chorée et bien d'autres états morbides qu'il serait trop long d'énumérer, s'off
le que l'hystérie reconnaît, elle aussi, au même titre que les autres états morbides, des règles, des lois qu'une observation
notisation chez certaines hystériques. La question est celle-ci : cet état peut-il être simulé de façon à tromper le médecin
e rug. S. — Schéma da tracés obtenus sur une hystéro-épileptique en état de catalepsie hypnotique. I. Tracé du pneumog
lorsque le malade est au lit. Je ferai ressortir tout d'abord que l' état général est excellent : bonne mine, bon appétit,
cription, les résultats de l'exploration électrique qui nous montre l' état de la nutrition des muscles. Au moment de l'entré
es inférieurs. Est-ce une particularité du sujet, ou bien y a-t-il un état morbide d'excitation réflexe exagérée dans toute
hors de la région où, au contraire, les cellules motrices sont dans l' état de torpeur que nous supposions tout à l'heure ? C
nces. Il s'est produit une amélioration sensible qui contraste avec l' état antérieur, demeuré pendant de longs mois stationn
que nous faisons à la Salpêtrière de la machine électrique. Dans l' état présent de l'électrothérapie, il ne saurait exist
raumatique chez les sujets qui présentent la rigidité spasmodique à l' état latent. — Exagération des réflexes tendineux chez
ez cette femme, et que la diathèse était là toujours vivace, mais à l' état latent. B... se rendait comme cTliabTtude à l'ate
vons vu la malade, le lendemain matin, et nous l'avons trouvée dans l' état où nous la voyons aujourd'hui, et que nous allons
t rester flasques; mais la contracture existe là, pour ainsi dire à l' état latent, comme le montre l'exagération des réflexe
se et en particulier des cellules motrices des cornes antérieures, un état spécial que j'ai proposé, faute de~Tîïîêïïx, de d
ec l'attitude de notre première malade, dont la physionomie trahit un état intellectuel considérablement affecté par la répé
s le désirerons. Vous la voyez avec un coussinet sur l'œil droit, à l' état de repos ; il ne se passe rien de particulier dan
flexes tendineux. — Avec l'amyotrophie, il existe une contracture à l' état latent. — Contracture spasmodique, réflexe d'orig
marche extrêmement difficile, et il s'est vu obligé d'abandonner son état . Actuellement, il est facile de reconnaître les
ue prédomine, la contracture existe pour ainsi dire en puissance, à l' état latent. Cela me conduit à vous faire remarquer qu
s s'atténuent au contraire dans la veille, alors que le malade est en état de lutter contre elles. Sans nier l'influence d
paralysie agitante, les muscles des membres et du tronc sont dans un état de tension permanente qui détermine la rigidité d
sie générale progressive, et si nous considérons chez lui seulement l' état actuel, nous reconnaissons qu'il s'agit d'un cas
s caractères de la paralysie générale ne s'établissent décidément à l' état permanent. Ces attaques dites congestives sont
es premiers accès de telle façon qu'on eût pu, en les considérant à l' état d'isolement, comme appartenant à une affection le
Or, même dans ces formes plus graves, la migraine peut s'établir à l' état de maladie, ou mieux d'indisposition habituelle,
es du syndrome : migraine ophthalmique, qui ne puisse s'établir à l' état permanent; ainsi l'aphasie, l'hémiopie, Fig. 13
ulaires qui ne cessent pas après l'excitation, mais s'établissent à l' état de contractures. Yoici, en effet, la griffe cubit
s jumeaux. Vous voyez donc que la contracture existe toujours ici à l' état latent, et qu'il suffit d'une excitation bien lég
tation bien légère pour la reproduire plus longtemps et peut-être à l' état permanent. J'ai signalé chez ces deux malades l'e
trales de la réline. Dans l'amblyopie hystérique, les caractères de l' état normal se modifient de telle façon que les cercle
licitude paternelle, laquelle ne fait que provoquer l'exaltation de l' état nerveux, ou, du moins, de la part du père, un mai
autour de l'établissement, interrogeant tous ceux qui sortaient sur l' état de son fils, qui savait ce qui se passait et ne s
oule hystérique, les spasmes, les convulsions. Pour ce qui est de l' état moral, les renseignements fournis par la supérieu
à un massage prolongé. Remarquez que cette contracture se produit à l' état de veille, et qu'elle se présente avec la même in
catalepsie provoquée des hystériques. La question est celle-ci : cet état peut-il être simulé, au point de pouvoir tromper
ielle et sensitive, ce stigmate qui caractérise à peu près sûrement l' état hystérique, lorsqu'on a soin de faire le départ d
controns chez la jeune fille que nous venons d'étudier. Tel était l' état du malade, le 7 octobre. Depuis lors, sous l'infl
à la suite des contractures hystériques de longue durée, il existe un état lisse particulier de la peau de l'extrémité des d
rhumatismes. B. Voici dans quelles circonstances s'est développé l' état pathologique que nous devons étudier. Le 28 décem
e inflammatoire, d'une myélite, en un mot. L'examen approfondi de l' état des membres inférieurs chez notre malade va nous
Le malade est entré à la Salpêtrière, le 8 novembre dernier, dans l' état où nous le voyons aujourd'hui. Il marche habituel
rés de taches rouges ; le pied est, en outre, légèrement tuméfié. Cet état rappelle ce que l'on voit, dans certains cas de p
g), soit à l'ouverture du courant (0. OEffnung). Or, pour obtenir à l' état normal une secousse (Z. Zuckung) avec le plus fai
e. Nous allons appliquer dans un instant ces notions à l'étude de l' état trophique des muscles atrophiés chez notre malade
-dire que, dans les deux cas, il faut un courant plus fort que dans l' état normal pour obtenir une réaction ; mais les résul
, la réaction galvanique persistant mais modifiée en plus, indique un état sérieux, mais avec régénération possible ; qu'au
'au contraire l'absence de réaction faradique et galvanique montre un état des plus graves, une modification dégénérative du
modifications profondes des réactions électriques correspondant à un état grave de la nutrition des muscles se voient dans
namique des cellules des cornes antérieures ; celles-ci sont dans cet état d'hyperexcitabilité que j'ai proposé de désigner
forcée. Pour ce qui est de la médication, elle s'adresse surtout à l' état trophique des muscles affectés : nous conseille-
ensité doivent éveiller l'attention, et on doit toujours rechercher l' état du sein, de l'estomac, de l'utérus, etc. 4° Les
opsie droite. Mais il nous faut actuellement étudier de plus près l' état de notre malade, au moment où il s'est présenté à
i le résumé des études que nous avons faites presque journellement. L' état du malade s'est amélioré aujourd'hui d'une façon
res, ne parle pas à voix basse, bien que ce soit son habitude, dans l' état de santé. Il se contente d'écrire les lettres qu'
ité des mots peut se présenter dans la clinique, pour ainsi dire, à l' état d'isolement, et qu'elle représente le trouble pat
issipée plus tard, laissant, dans quelques cas, la cécité verbale à l' état d'isolement. Toutes ces circonstances, vous le vo
quelles se rattachent l'hémianopsie et la cécité verbale établies à l' état permanent, depuis près de six mois. Toutefois la
ale une fois établie ne rétrograde guère et reste le plus souvent à l' état d'infirmité indélébile. Charcot. Œuvres complèt
comme disent certains auteurs, locales. » Or, s'il est vrai qu'à l' état normal « les diverses formes de la mémoire » — c'
ot qui parle — « out une indépendance relative, il est naturel qu'à l' état morbide, une forme disparaisse, les autres restan
rd un complet désarroi; il s'était produit désormais entre son nouvel état et l'état ancien un contraste violent. M. X... se
let désarroi; il s'était produit désormais entre son nouvel état et l' état ancien un contraste violent. M. X... se crut un i
percevoir, et cette constatation eut pour effet de le rassurersur Sun état mental. Il reconnut d'ailleurs peu à peu qu'il po
nouvelle, dont il est facile de faire ressortir la différence avec l' état primitif de M. X. . décrit plus haut. Chaque fo
ppression si complète de la vision iniérieure, qui place M. X. hors d' état , de se représenter, de se figurer les objets, les
me, l'apparence athlétique des muscles du mollet. Ils présentent, à l' état de repos, une augmentation de consistance notable
sourcils ; elle dort habituellement les yeux à demi ouverts, et, à l' état de veille, la contraction la plus énergique de l'
rs voir vous-mêmes comment la transition peut se faire entre ces deux états , car, sans plus insister sur ces généralités, je
, au cou, la sensation de boule. Elle tombait alors dans une espèce d' état lipothymi- 1. Voir à PAfpendice (p. 441) l'obse
alade chez laquelle les accès durent depuis plus de trente ans. L' état actuel chez Flor... est aujourd'hui le suivant. J
me chez laquelle les mouvements choréiques rhythmés n'existent qu'à l' état rudimentaire, à l'état de germe, pour ainsi dire,
uvements choréiques rhythmés n'existent qu'à l'état rudimentaire, à l' état de germe, pour ainsi dire, revenant par accès spo
taire avec une grande lenteur ; j'insisterai du reste bientôt sur son état mental. Il possède une bonne santé physique habit
relever quelques particularités propres à vous remettre en mémoire l' état de ces enfants, à l'époque où ils furent présenté
ux. Pour ce qui est des agents qui s'adressent particulièrement à l' état hystérique, nous comptions mettre en œuvre le tra
ade d'Angoulême lorsque je reçus une lettre du père me dépeignant cet état lamentable et me priant de venir voir son enfant.
lement, foncièrement distinctes'. Yous remarquerez en outre, que si l' état général de l'enfant est devenu meilleur, il laiss
di, depuis un mois, qu'elle s'est développée ; dans tous les cas, son état général est devenu plus satisfaisant. Pour ce qui
vous shock, London, 188ii. vent c'est l'hystérie qui est enjeu. Ces états nerveux, graves et tenaces, qui se présentent à l
propositions qui sont aujourd'hui établies dans tous les esprits à l' état de vérités démontrées, après n'avoir rencontré pe
stérie. Pour eux, c'est quelque chose de particulier, je ne sais quel état pathologique non encore décrit, qui demande à pre
telle quelle des mois et des années; 2° Une autre raison, c'est que l' état psychique des malades n'est pas celui des hystéri
lendemain matin il était fort étonné de trouver son ouvrage fait. Cet état dura de 12 à 15 ans. Il s'est marié à 28 ans. On
, dans le service de la clinique, et, à son entrée, nous constatons l' état suivant : Le malade est pâle, anémique, il a pe
t pour la viande, à laquelle il préfère les mets acides ; en somme, l' état général est assez peu satisfaisant. Les stigmates
tre attaques successives, le malade ait retrouvé enfin complètement l' état normal. Jamais, pendant le cours de ces crises, i
a Salpétrière, en janvier 1885, nous avons constaté ce qui suit : L' état général, en ce qui concerne les fonctions de nutr
oduits, à la suite du coup qu'il a reçu sur la tête. Or, Messieurs, l' état neurasthénique, avec tout l'ensemble des phénomèn
ts biens distincts coexistent chez notre malade G. En premier lieu, l' état neurasthénique, conséquence immédiate et directe
t que, de nouveau, il fermait les paupières. Il tombait alors dans un état d'anxiété extrêmement péni ble, et souvent il r
mière fois. 11 est, vous le savez, assez bien musclé, vigoureux ; son état général paraît satisfaisant. L'é-Charcot. Œuvres
presque immédiatement sans connaissance, et fut transporté, dans cet état , chez son patron. Il ne portait aucune trace de b
nsité. Au moment où le malade entre à la Salpêtrière, on constate l' état suivant : Les stigmates hystériques sont très net
a langue, ne mangeait plus, se sentait faible et travaillait mal. Cet état durait depuis quinze jours, lorsqu'un soir, vers
, durant cette longue période, de cesser tout travail, à cause de l' état de faiblesse où il se trouvait. Ces crises furent
r à l'Hôtel-Dieu. L'examen du champ visuel nous donne du côté droit l' état normal, tandis qu'à gauche, il y a un rétrécissem
ur les antécédents héréditaires assez significatifs du sujet, sur son état psychique et sur ses mœurs, sur les troubles de l
n agissant sur l'esprit du malade, par voie de suggestion, même à l' état de veille, — nous avions reconnu au préalable que
in, trouvant P. au sortir d'une attaque qui n'avait en rien modifié l' état des choses, je tentai de lui persuader qu'il étai
après le début de la monoplégie, les choses sont encore dans le même état : nous retrouvons le malade exactement dans les co
s, au point de ne pouvoir pas s'aCcuser au dynamomètre. Remarquez l' état de résolution, de flaccidité absolue du membre. I
iques: leur production par suggestion dans l'hypnotisme. — Différents états de l'hypnotisme considérés au point de vue de la
le occurence, outre le début brusque, accompagné le plus souvent d'un état fébrile de plusieurs jours, on observerait certai
éfaut naturel plus ou moins prononcé, suivant les sujets, que, dans l' état ordinaire, vient corriger le jeu normal de l'acco
ité du côté gauche. L'examen du champ visuel montre, du côté droit, l' état normal tandis qu'à gauche, il y a un rétrécisse-
relativement au traitement de l'hystérie : agents propres à relever l' état des forces, déchues à peu près toujours en pareil
l ne faut certainement pas négliger l'emploi, s'adressent surtout à l' état général et les résultats de leur mise en œuvre, e
s les cas de ce genre. Nous savons que chez les sujets plongés dans l' état d'hypnotisme, il est possible — et c'est là un fa
1. J.-M. Charcot, Essai d'une distinction nosographique des divers états nerveux compris sous le nom d'hypnotisme. Note co
ine rêvé par de la Mettrie, que nous avons sous les yeux1. Dans cet état de catalepsie, chez la plupart des individus, le
occupera dans nos études d'aujourd'hui. 11 s'agit seulement ici d'un état d'obnubilalion, d'engourdissement mental plus ou
s point de voir qu'en inculquant à un sujet somnambu-lisé l'idée d'un état morbide, par exemple de l'impuissance motrice d'u
mêmes, lors de la première expérience. Greuz... est plongée dans l' état somnambulique, à l'aide d'une légère pression exe
tion des mêmes phénomènes, pendant la veille, chez une hystérique à l' état d'hypnotisme naturel et permanent. Considératio
de discussion, le membre a repris en effet toutes les fonctions de l' état normal, tant au point de vue de la motilité qu'en
es sujets. Sans doute, ajouterai-je, ces deux hommes n'étaient pas en état de sommeil hypnotique au moment de la chute, non
jets prédisposés comme l'étaient certainement Porcz... et Pin..., à l' état cérébral que déterminent chez les hystériques les
psychiques que somatiques de l'hypnotisme, peuvent se rencontrer à l' état de veille, sans qu'il soit nécessaire de faire in
re de faire intervenir les pratiques d'hypnotisation. Il semble que l' état hypnotique qui, pour d'autres, est un état artifi
otisation. Il semble que l'état hypnotique qui, pour d'autres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures,
utres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures, l' état ordinaire, l'état normal, si tant est qu'en parei
artificiel, soit pour ces singulières créatures, l'état ordinaire, l' état normal, si tant est qu'en pareille circonstance,
l, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse être question d' état normal. Ces gens-là, passez-moi le mot, dorment,
aissent le plus souvent ignorer absolument les phénomènes qui, dans l' état de sommeil, ont été provoqués chez eux. sujet d
on n'ait employé aucune manœuvre d'hypnotisation, par conséquent, à l' état de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la c
is, au point de vue psychique, ce sont évidemment les caractères de l' état somnambulique qui dominent. Eh bien! si, opérant
es pratiques d'hypnotisation ne sont intervenues; tout s'est fait à Y état de veille. La démonstration, si je ne me trompe,
n quelque sorte indirect, en ce sens qu'il s'adresse surtout soit à l' état général, soit à la diathèse hystérique. Deux fois
grès réalisés du côté de la sensibilité. À ce dernier point de vue, l' état est resté presque stationnaire chez Pin..., et au
parfaitement saine, présentant la délicatesse et la transparence de l' état physiologique; les os étaient seulement légers, p
is il ne se servit plus que d'une canne ; il y a plus d'un an que son état est demeuré ce que vous le voyez aujourd'hui. S
ystérique : massage, ses bons résultats transitoires ; influence de l' état psychique. — Guérison probable. Messieurs, J'
ésolution; ceux du membre malade furent les derniers à parvenir à cet état ; la peau était devenue insensible au pincement, m
is, l'homme lui-même placé dans les conditions mentales spéciales à l' état hypnotique. Les deux malades que je fais placer
nets du grand hypnotisme; elles présentent, comme vous le voyez, à l' état de veille, tous les grands symptômes de la coxalg
a été produite par nous, volontairement, artificiellement, pendant l' état hypnotique; naturellement, chez ces malades, les
par Brodie. Chez une de ces femmes, c'est en produisant, pendant l' état somnambuiique, une légère torsion de la cuisse su
table suggestion traumatique. Mon sentiment est, Messieurs, que cet état hypnotique dans lequel la suggestion produit de t
ion produit de tels effets, est assimilable, sur plus d'un point, à l' état , qu'en Angleterre on est convenu d'appeler du nom
ions de chemin de fer. Dans ces occasions, il se développe souvent un état mental tout particulier, récemment étudié avec so
ge, qui le rapproche d'ailleurs, très judicieusement à mon avis, de l' état d'hypnotisme Dans l'un et l'antre cas, en effet,
rêter plus longtemps sur le rapprochement que je vous indique entre l' état mental produit par le shock nerveux et celui qui
ffet, la douleur peut être, de même que la paralysie, suggérée dans l' état hypnotique, soit au moyen d'une suggestion orale,
le traumatisme qu'il a subi a produit chez lui un shock nerveux et l' état mental correspondant à celui-ci. Sans doute, la h
vement établie, sous forme d'arthralgie permanente, qu'en raison de l' état psychique produit par le shock nerveux. Telle e
sept enfants la plus horrible misère; aussi vit-il à ce sujet dans un état d'inquiétude perpétuelle, de dépression mentale q
qu'il n'aura plus toujours devant les yeux le spectre de la misère; l' état de dépression psychique dans lequel il vit ne tar
elle des contractures constitue un véritable stigmate révélateur de l' état hystérique. — Amélioration du malade, à la suite
oins, même indépendamment des particularités cherchées en dehors de l' état du membre, les contractures hystériques pourron
umatiques banales, ou encore se produisant artificiellement, même à l' état de veille, au gré de l'observateur, à l'aide de c
er cas, c'est-à-dire les contractures artificiellement provoquées à l' état de veille, les nouvelles recherches que nous avon
ubes. Eludes sur les contractures provoquées chez les hystériques à l' état de veille, Thèse de Bordeaux, 1885. champ visue
ractères cliniques, la contracture provoquée chez les hystériques à l' état de veille ne diffère peut-être, vous le voyez, de
, depuis l'époque où il nous a échappé. Voici quel est actuellement l' état du malade. Dans le membre supérieur gauche, la se
ut-être plus fréquent, — avant de rentrer en complète possession de l' état normal, il traversera une période où se montre un
dans toutes les directions, de façon à souffler, siffler comme dans l' état normal, il lui est désormais impossible d'articul
enu pendant la période somnambulique, persiste, comme vous voyez, à l' état de veille. Je n'oserais pas le laisser se prolong
ans rhypnolisme sont d'autant plus difficiles à faire disparaître à l' état éveillé, qu'on les a laissés persister plus longt
re 1885, vers 6 heures du soir, survint l'accident qui l'a mis dans l' état où. nous le voyons aujourd'hui. Ce soir-là, sur l
la Faculté qui nous a donné les renseignements suivants concernant l' état de Le Log..., pendant le séjour de deux mois qu'i
otablement quand le malade porte un verre à sa bouche. Mais c'est l' état des membres inférieurs qui réclame surtout une me
des zones motrices etsensitives de l'écorce grise cérébrale qui, à l' état normal, président au fonctionnement volontaire du
lativement à ces deux points. En premier lieu, il est certain que l' état mental qui s'observe dans la période somnambuliqu
l'absence de tout contrôle, de toute critique, devront s'établir à l' état autonome, vivre à la manière d'un parasite en que
ne puissance de réalisation pour ainsi dire sans limites. Parmi les états mentaux inconscients ou subconscients dans lesque
, on trouve toutes les circonstances requises pour la production de l' état mental particulièrement favorable à la réalisatio
in, pendant les deux ou trois jours qui suivirent l'accident, dans un état de véritable torpeur intellectuelle ; c'est dire
etc. Ajoutons que, si cette même hystérique avait été plongée dans l' état somnambulique, le même choc eût déterminé, à peu
'idée d'impuissance motrice du membre ; et cette idée, en raison de l' état mental somnambulique si particulièrement favorabl
veloppement des paralysies hystéro-traumatiques qui se produisent à l' état de veille, en dehors de l'hypnotisme. Ici, la mod
ronostic, car il ne serait pas difficile de citer des exemples où cet état devenu incurable s'est terminé par la démence.
cune maladie nerveuse ait existé dans la famille. Mouil... était en état de santé parfaite lorsque, le 1er décembre 1885 à
ne s'est en rien modifiée. Les stigmates persistent au même degré. L' état général est excellent, Fig. 88 et 89. — Mode de
et motrice, laquelle persiste telle quelle depuis 18 mois; quant à l' état de suggestibilité, il s'est développé par le fait
x et bulbaires, ainsi que les cellules nerveuses spinales qui, dans l' état normal, sont en relation directe ou indirecte ave
cette représentation n'est rien autre chose qu'une forme faible de l' état psychique qui accompagne le mouvement réel, elle
la variété que pour la précision, présentent tous les caractères de l' état normal. Ces mouvements persistent, en grande part
des mouvements volontaires. Peut-être, d'ailleurs, existe-t-il à l' état normal, des variétés à cet égard. Il est possible
er l'étude des caractères qui lui sont propres. Examinons d'abord l' état actuel de la motilité. Le membre supérieur droit
des yeux. Un phénomène qui présente aussi quelque intérêt, c'est l' état de la température locale, celle-ci est abaissée d
à signaler au point de vue de la température centrale, pas de fièvre; état général excellent. Si maintenant, Messieurs, no
onnaissant une origine réflexe et résultant d'une modification dans l' état des cellules des cornes antérieures de la moelle
son régiment vient en France. A Vierzon, il resta huit jours dans un état de délire, causé, dit-il, par des accès de fièvre
ut de deux jours. Jusqu'en 1875, on ne relève rien d'anormal dans l' état de Cb... A cette époque, il part pour l'Algérie o
à Genève à l'observation rédigée par le Dr Revilliod. C'est dans cet état qu'il de mande son admission à l'hôpital, le 11
: L'abduction et l'adduction des cordes vocales se font comme dans l' état normal, lorsque le sujet prononce les voyelles e,
à l'examen laryngoscopique, on trouva les cordes vocales dans le même état constaté par M. Revilliod- A sa sortie de l'hôp
violence de l'attaque ; la durée moyenne est de 4 à 5 minutes. Cet état s'accompagne de phénomènes subjectifs : constrict
n disparaît, le malade recouvre la parole. Chez Gué..., pendant cet état de mutisme, la sensibilité réflexe du voile du pa
bilité réflexe du voile du palais est conservée, comme, du reste, à l' état normal. Ce mutisme a eu des phases plus longues
er à voix basse, chuchotée. Les cordes vocales étaient restées dans l' état décrit jusqu'à son retour d'Angleterre. A ce mo
arynx dans ces dernières années, sans trouver de modifications dans l' état de cet organe. Il ne peut y avoir de doute qu'i
c'est-à-dire lorsqu'il indique la paralysie du laryngé supérieur et l' état normal du récurrent, nous serons autorisés à adme
é et tout à fait indépendant de l'agraphie, qui a existé seule et à l' état de pureté, dès 1868. Ou s'assure, du reste, ais
re maître fournissait une observation où l'agraphie se présentait à l' état de pureté, dégagée de toute confusion avec les au
ou, enfin, à des indifférents, lorsqu'il s'agira de gens qui sont en état d'arriver à la représen talion du mot par l'un qu
rend aisément combien en présence de variations aussi étendues dans l' état normal, il est difficile de tracer les caractères
umatique chez les sujets qui présentent la rigidité spasmodique à l' état latent. — Exagération des réflexes tendineux chez
flexes tendineux. — Avec l'amyotrophie, il existe une contracture à l' état latent. — Contracture spasmodique, réflexe d'orig
ques ; leur production par suggestion dans l'hypnotisme. — Différents états de l'hypnotisme considéré au point de vue de la p
tition des mêmes phénomènes pendant la veille chez une hystérique à l' état d'hypnotisme naturel et permanent. Considératio
hystérique : massage, ses bons résultats transitoires; influence de l' état psychique. — Guérison probable...................
elle des contractures constitue un véritable stigmate révélateur de l' état hystérique. — Amélioration du malade à la suite d
avec le mutisme hystérique, 423. Paraplégie hystérique, 441, 443; — état delà sensibilité; limitation particulière de l'an
64 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
4 novembre), nous constatons la persis- tance et l'aggravation de l' état comateux : le malade est étendu dans son lit, s
ent encore sous l'in- fluence de la lumière. On ne peut apprécier l' état de la langue. La commissure buccale est abaissé
oculaires sont convulsés et fortement déviés vers la gauche. Cet état dure deux ou trois minutes seulement. 'Ces crises
membres) persiste aussi. 4 CLINIQUE NERVEUSE. Il y a toujours un état de contracture de la face et des membres du côt
s'installant progressivement, constituant d'abord plutôt un simple état subcomateux, se transformant plus tard seulemen
tracture des membres du côté droit. Mêmes varia- tions du côté de l' état des pupilles : le premier jour elles sont égale
à la surface de l'encéphale, qui peut s'observer au cours de divers états dyscrasiques ne donnera, si du moins elle peut
nestiques précis, elle est surtout marquée en même temps que par un état comateux assez profond par des phénomènes du cô
nl-elles pu, en diminuant la ten- sion inlra-cranienne, améliorer l' état du malade ? C'est là chose possible, et c'est c
ue général, même à une période déjà avancée, restait conscient de l' état de sa virilité et fournissait, sur celle-ci des
r le moins. N'empêche que les renseignements qu'ils donnaient sur l' état véritable de leur virilité étaient exacts. De m
ent exacts. De même il est rare- ment arrivé que ceux fournis sur l' état inverse, l'état d'exci- tation, n'aient pas été
ême il est rare- ment arrivé que ceux fournis sur l'état inverse, l' état d'exci- tation, n'aient pas été reconnus fondés
médecin. Par elles, on arrive à connaître non seulement toujours l' état avant l'entrée, mais encore souvent l'état à l'
n seulement toujours l'état avant l'entrée, mais encore souvent l' état à l'asile, et cela môme si les malades ne sortent
-résultats de nos recherches, il convient de résu- mer brièvement l' état actuel de la question, en rapportant les appréc
assez fréquente au contraire. Cet auteur ne dit rien des périodes d' état et de terminaison. Pour M. Voisin, au contraire
d'autres fois', au contraire, il existe de l'agénésie. De tous les états d'excitation, nous apprend M. Sollier, la premi
ital est, dans les premiers stades de la maladie ainsi que dans les états d'excitation épi- sodique, habituellement accen
is ni ceux-ci, ni ceux-là ne semblent avoir recherché si les deux états ne se remplaceraient pas chez le même sujet et à
et 91 fois, nous ne sommes pas parvenu à constater avec certitude l' état du sens génital, soit une proportion d'insuccès
r sur leurs jambes. Certes il n'est guère probable qu'ils soient en état d'accomplir le coït nor- mal, mais ils ont des
LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 27 7 n'existent qu'à ce moment. Il est deux états que nous avons constatés seulement à la seconde
rvation incomplète qu'expliquent les difficultés du sujet; ces deux états sont l'impuissance avec libido et possibilité d
: les pertes séminales, l'éjaculation précipitée et quel- quefois l' état normal. ' Existe-t-il un rapport entre les alté
lytiques généraux qui étaient considérablement améliorés et dans un état simulant SCLÉROSE TUBÉREUSE. 29 presque une g
guérison, avaient un appétit sexuel plus souvent violent que dans l' état de délire expansif avec agitation, qui n'occupe
). - La physionomie n'exprime aucune in- telligence, mais dénote un état maladif. Tète un peu carrée, assez développée,
e droite manquant. Les molaires, encore temporaires, sont dans un état complet de destruction. Gr... grince souvent des
E DE PATHOLOGIE MENTALE. 41 L les choses par des mots meilleurs, en état d'accepter plus aisément et aussi plus équitabl
de la puberté, car le malade ne présentait aucun des signes de cet état de transition; il faut donc admettre qu'on se t
anents du poison sur l'organisme maternel, effets qui provoquent un état transmissible de dégénérescence, et pour une au
es surtout par une préoccupation absorbante et obsédante touchant l' état de l'organisme, sorte d'ébauche d'une folie hyp
es normaux est toujours polycyclique continue ; tandis que dans les états de confusion, les états délirants des hystériques
polycyclique continue ; tandis que dans les états de confusion, les états délirants des hystériques, l'état de mal épilep
dans les états de confusion, les états délirants des hystériques, l' état de mal épileptique, ou lorsque l'injection a ét
Enfant de sept ans, pas d'hérédité fâcheuse. Né à terme, mais en état d'asphyxie ; n'a marché que vers deux an, n'a jam
ongueur du travail de l'accouchement, qui a fait naître l'enfant en état d'asphyxie. L'opération a consisté en une crani
De plus, le dégoût, supposant le goût préalable et, par suite, -un état conscient d'alcoolisation et. en même temps que
ractère baisse à mesure que monte le besoin de la boisson. Dans cet état d'obnubilation du sens moral et d'affaiblissement
logé. La liberté dont jouissent les malades est subordonnée à leur état . La nourriture des logés est la même que celle
teints de démence oiganique, chez lesquels le tissu cérébral est en état de dégénérescence pro- gressive ; 3° idiots de
énérale ; 5° la plupart des épilep- tiques ; 6° malades dans un tel état de débilité physique qu'on ne peut pas les tran
ilité physique qu'on ne peut pas les transporter sans aggraver leur état ; 7° malades mal- propres ou sur le point de le
raît plus singulier, c'est qu'elles puissent être provoquées dans l' état de veille apparente, chez des sujets qui ont dé
té hypnotisés. Or, il est inadmissible de considérer comme étant en état de veille complète un être qui, tout à coup, BI
centres supérieurs et cette inhibition constitue essentiellement l' état d'hypnotisme. Il est curieux de constater que c
comprend trois opérations essentielles, la conservation de certains états dans le cerveau, leur reproduction et leur reco
eintes du mal tant moral que physique. La pensée est un acte iL l' état naissant, elle fait en se dévelop- pant action
oir d'un tiers est subir de l'hétérosugges- tion. Dans le monde des états de conscience, comme partout, t, c'est aux plus
ématie; par l'attention nous pouvons accorder cette suprématie à un état de conscience de notre choix. Ces constatations
régenter son émotivité, et de transformer même en passion noble, un état émotif dont l'évolution pourrait devenir danger
physio- nomie, un ton de conversation, un modus muendt conlorme à l' état de conscience que nous voulons créer en nous. L
même et le découragement paralysent si souvent nos efforts, où un état névrosique en un mot préside à toutes les manifes
gite chronique, l'inégalité de poids des hémisphères céré- braux, l' état du faisceau pyramidal dans 4 cas de contracture
hes anthropométriques, il est unanimement reconnu aujourd'hui que l' état mental des enfants est en relation directe avec
ques jours nous avons vu un enfant idiot de sept à huit ans, dont l' état est très perfectible. Et comme nous expri- fait
s d'affections cérébrales en foyer ou présentant de la tendance à l' état de mal. Flechsig et ses élèves' sont revenus su
, au bout de quelques mois, de séries d'attaques et d'un retour à l' état antérieur. Il a noté fréquemment des accidents
physique, présentant à la fois des vertiges et de grands accès sans état de mal. Ces malades ont pris le premier jour 0
ombreux, et, après la cessation progressive de l'opium, 2 ont eu un état de mal. Les 6 autres ont subi tout le traitemen
. depuis cette époy2lr. Débilité mentale ; trépanation pendant un état de mal grave; suspension de tous les tymylomes ;
tous les tymylomes ; récidive après trois mois; mort uu cours d'un état de mul. Léonie L... était, à son arrivée à Vill
irement, survenaient des séries d'attaques constituant un véritable état de mal. En 1898 cet'état de mal fut suivi d'émi-
core léger accroissement, enfin au mois de mars de la même année un état de mal très grave survient. Le 20 mars 68 attaque
pouls est petit, la malade s'amaigrit et souffre de plus en plus, l' état général est très précaire; les crises tendent à
tervention est décidée. L'o- pération fut faite le 24 mars en plein état de mal par MM. Pozzi et Picqué. Les centres c
ccès d'excitation maniaque qui dura quelques jours. Dans la suite l' état de la malade redevint exacte- ment ce qu'il ava
hes, conservation de la conscience), enfin le 8 février survient un état de mal au cours duquel pendant une crise Léonie
loin, nombreuses attaques isolées ou vertiges dans l'in- tervalle, état de mal en mai 1893 (jusqu'à 160 accès en un jour)
le, état de mal en mai 1893 (jusqu'à 160 accès en un jour). En 1894 état de mal vers la même époque. Au cours de ces trois
déprimée en cratère. Enfin en avril 1895 Léonie meurt au cours d'un état de mal très grave. N'ayant malheureusement pa
comme cela se produit généralement dans les cas de mort par suite d' état de mal. Sur quelques points disséminés la congest
te superfi- cielle dont quelques-uns anciens pouvaient remonter aux états de mal antérieurs. Le cerveau était petit, je n
a aussi une survie de trois ans et qu'ayant eu lieu au cours d'un état de mal et presque à l'agonie de la malade, la gra
d'une lourdeur et d'un engourdis- sement des membres inférieurs. L' état s'est ainsi peu à peu aggravé et la démarche a
ts dans la plante des pieds, de parésie des membres inférieurs. Cet état a peu à peu progressé. Actuellement, l'état gén
membres inférieurs. Cet état a peu à peu progressé. Actuellement, l' état général est excellent. La démarche est nettemeu
l elle avait été trans- férée, formulait ainsi son opinion : a Même état ; à la suite d'une attaque hystérique, surdité.
oitrine à l'âge de quarante-huit ans, elle était un peu « idiote », état qui serait survenu à la suite d'une crise de nerf
travaillait depuis longtemps au jar- din de l'asile et semblait en état de s'occuper et de gagner sa vie au dehors. 11
chrétiens là-bas, tandis qu'ici et au dépôt il n'y en a pas. » Cet état persiste jusqu'au 7 mars. Le 7, au matin, G..
e a presque complètement disparu. Pas de température.. 2 27. Même état d'exaltation. Hier, une dame et ? a soeur sont
Pas de température. Même traitement, doses plus élevées. 28. Même état , l'msomnie persiste malgré le chloral. Bains, h
passe autour d'elle. Elle parle peu, est calme, triste. : 24. Même état , le regard est cependant moins effaré, la phy-
qu'il existe un rapport entre la manière de réagir à l'alcool et l' état psychique : plus l'intoxication, la dégradation
il n'y a pas toujours parallélisme entre le tonus des muscles et l' état des réflexes tendineux, et que, dans un certain
ération des réflexes tendineux ne peut pas être considérée comme un état d'imminence ou d'op- portunité de contracture.
que l'effort nécessaire à cette dernière est plus énergique qu'à l' état normal par suite des lésions qui augmentent la
'pratiquées récemment. Sur ces six cas, il a observé quatre fois un état particulier qui était surtout carac- térisé par
trouverait peut-être, même dans quelques épilepsies, secondaires un état somatique particulier au-dessous des manifes- t
teur à l'oc- casion de ce cas et s'y rapportant. En ce qui touche l' état patho- logique primitif, les causes les plus fr
trique. Ainsi des résultats très divers peuvent être amenés par des états très analogues. 1 Consulter sur la persistanc
la moelle, et il faut se rattacher à la théorie suivant laquelle l' état spasmodique est le résultat d'une hyperac- tivi
de la face, exagération du réflexe patellaire, sensibilité intacte, état mental sain. Autopsie : l'examen microsco- piqu
l sain. Autopsie : l'examen microsco- pique des centres nerveux à l' état frais fait défaut, le cerveau et le cervelet so
ance de la substance chromatique est l'expression fondamentale de l' état d'excitation de la cellule. (illoiphologiscite
uité de la fibrille primitive colorée chez le vivant ou colorée à l' état mourant est un fait acquis. Qu'on galvanise l'a
RAVAL. XIX. Quatorze mois d'application du maintien au lit dans les états d'excitation psychique ; par Lion : '( Obozréni
ficilement à l'alitement, qui sont le plus agressifs, à raison de l' état de leur connaissance, de l'impétuosité de leurs
tres fables des époque» dogmatiques. La valeur de la suggestion à l' état de veille suffit à montrer l'exagération de la
s eschares continuent à augmen- ter ; la malade présente un jour un état comateux inquiétant, puis, progressivement, tou
aires dans les centres inférieurs, le tout ayant pour substratum un état morbide de la substance nerveuse. La question d
état morbide de la substance nerveuse. La question de savoir si cet état morbide a pour siège le neurone, la cellule ner
les aïeux du malade devaient porter cette prédisposition en eux à l' état latent. C'est pour cela que la chorée n'est pas
la part prise par les divers facteurs étiologiques à la genèse de l' état pathologiqne, ni des conditions dans lesquelles
tuberculose. Ceci sullit donc pour faii e voir que la division des états pathologiques à l'aide des causes, en internes
es réclamai ions que celui-ci finit par le rendre à la liberté, son état mental ne s'étant nullement modifié. Martel Bri
six mois. La malade a actuellement quarante ans, elle est en plein état d'obses- sion depuis le mois d'avril. La malade
obses- sion depuis le mois d'avril. La malade appelle elle-même son état « la maladie de la faim », elle en est profondé
i tient plus longtemps que les autres aliments sur son estomac. Cet état est tout à fait analogue à la dipsomanie, et pe
senter deux formes, selon son origine et sa nature. Ce peut être un état obsédant dégénératif, survenant d'une manière tou
nce par les moyens moraux; l'abstinence alcoolique résultera de cet état mental préalablement créé. Le traitement qui co
rose en plaques. La leçon suivante permet au professeur d'établir l' état actuel de la question de la sclérose en plaques
d'âges gradués, et chez des enfants du premier âge. Elle a noté l' état systématique de la myélinisation pour chaque âge,
ue « un danger pour la morale et là sécurité publique », et que son état mental nécessite son internement dans un asile
Cependant la victime avait été trans- portée à l'Hôtel-Dieu où son état fut jugé très grave. (Le Radical, 18 mars 1900.
er n'a cessé de chanter pendant le trajet de May-sur-Orne à Caen. L' état du blessé est très grave. Des démarches avaient
couteau son père qui lui faisait des reproches. Il a été arrêté. L' état de Lemue père est grave. (Le Bonhomme Normand,
l moitié 188 VARIA. assommé quand les agents vinrent l'arrêter. L' état du blessé est grave. (Le Bonhomme Normand, 6 au
ant à Adolphe Tichaut, il a été consigné au poste de police, où son état n'a pas permis de l'interroger. L'Aurore, 20 av
se livre contre lui à toute sorte de vio- lences quand elle est en état d'ivresse. C'est ainsi qu'un soir, le .commerça
fait feu. La nuit sui- vante, comme elle était encore dans le même état , elle porta à son mari, pendant qu'il dormait,
vée inanimée au milieu d'une mare de sang. La pauvre ferume, dont l' état est désespéré, a été transportée à l'hôpital Co
nt par le lit de tous les malades non tranquilles et de ceux dont l' état physique laisse à désirer. Il fallait concilier
ontractent les pires habitudes et, si l'isolement se prolonge, leur état mental en est profondément modifié ; on a alors
que les malades en question ne sont pas à même, en raison de leur état mental, de dénoncer les violences dont ils peuven
se permanente d'excitation, comme exagérant les con- séquences de l' état hallucinatoire et comme favorisant le développeme
solument égaré, dans un - LES CLINIQUES l'bYCHI.a'l'RIQUt;S. 03 ' état de conl'ubion profonde, cas d'ailleurs rare, un g
orie histolo- gique du sommeil formulée par Mathias-Duval puisque l' état moniliforme n'a pas été observé dans les neuron
rien, il n'existait ni rétraction des prolongements cellulaires, ni état perlé, ni dispari- tion des appendices piriform
éveloppement brusque sinon de cette lésion (qui pouvait exister à l' état latent depuis quelque temps) du moins de se* ma
t émis une opinion analogue : il avait soutenu qu'un bon nombre d' états morbides ou de symptômes ordinairement attribués
s simples vertiges épileptiques, que les vertiges liés à un mauvais état de l'estomac ou à des maladies de l'oreille, so
es des autres épileptiques. A plusieurs reprises elle passa par des états de surexcitation maniaque allant jusqu'à une dé
on maniaque allant jusqu'à une désorientation complète et mourut en état de mal. A l'autopsie on trouva dans l'hémisphèr
du crime, l'attitude ou les antécédents peuvent faire soupçonner un état mental défectueux ; 3° Chaque fois que la défen
tous les préve- nus et faire rapport aux magistrats sur ceux dont l' état mental laisse des doutes. R. C. Il. Les alién
cinations hypnologiques, aurait eu des hallucinations de la vue à l' état de veille. Pendant les derniers temps, état de
nations de la vue à l'état de veille. Pendant les derniers temps, état de dépression. Rétrécissement concentrique du c
sait sous l'influence d'une vo- lonté étrangère. Elle était dans un état de rêve, fascinée par la somnambule, parlant et
es enfants et de ses amis. C'est donc un crime par sug- gestion à l' état de veille. Jusqu'ici on s'est surtout préoccupé d
le. Jusqu'ici on s'est surtout préoccupé des crimes suggérés dans l' état de sommeil hypnotique et cependant il s'agit là
surtout de crimes de laboratoire. Les actes délictueux suggérés à l' état de veille sont bien plus fré- quents dans la pr
cquitte un prévenu ayant commis un acte criminel par suggestion à l' état de veille. Ce ré- sultat, ajouterons-nous, est
es, qu'il s'agit d'idées délirantes, vraiment para- noïques, mais l' état mental n'est pas tout à fait le même que celui
ées délirantes actuelles n'ont pas la force associative decedernier état . L'individu a une demi-conscience de sa maladie
ent; mais tandis que le notaire le lui relisait il retomba dans son état de stupeur, et ne put pas le signer. Quatre jou
arrêt qui eût été intéressant. Dans le cas actuel, en présence d'un état de lucidité absolue constaté par quatre médecin
, les recherches sur la constitution des liquides de l'économie à l' état de santé et de maladie, ces travaux ont déjà do
r à la détermination de la formule chimique propre aux diffé- rents états morbides ! Il ne nous déplaît pas de constater
alors, seulement, la cause morbifique, agis- sant sur un cerveau en état de moindre résistance, peut faire éclore la fol
'assistance géné- ralement adopté. Une appréciation plus nette de l' état et des be- soins des aliénés, l'encombrement de
istraits de l'asile et placés dans un milieu mieux approprié à leur état . HI . CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. Pour
ion phobique 248 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. et rester à l' état de maladie simple de la rougeur chez un sujet n
de cette période, au bout de laquelle on assure au malade, que son état nerveux général, qui constitue l'élément import
énie, et ils ont été décrits plus ou moins fidèlement sous le nom d' états anxieux neurasthéniques : et quand ces états d'
dèlement sous le nom d'états anxieux neurasthéniques : et quand ces états d'anxiété dominent chez un malade, on pro- nonc
place incontestablement prépondérante, et elle est par- venue à un état d'avancement tout à fait remarquable. Il y a un
la structure et l'agencement intime des centres nerveux étaient à l' état de lettres mortes pour 1(.s anatomistes, et où
ur revient à Ehrenberg, à Valentin, à Pürkiiije. Elle sortit de son état informe et prit corps dix ans plus tard. A cette
posent la zone mo- trice corticaie était, à peu de choses près, à l' état d'avancement où nous la trouvons encore aujourd
tinguer celles qui résultent d'une perturbation fonctionnelle, d'un état d'épuisement, d'une intoxication, de celles qui
r les liqueurs capiteuses, l'infortuné en était arrivé à un extrême état de nervosité qui ne laissait pas que d'in- quié
était atteint de la manie de la persécution. Le malheureux, dont l' état est désespéré, a été trans- porté à l'hôpital L
est jeté par la fenêtre du 2e étage. Il a été relevé dans un triste état . [Bonhomme Normand, 10 août 1900.) LES drames D
e parquet, où on le trouva mort, victime d'une congestion due à son état d'ivresse. - Charles David, vingt-un ans, solda
e au lit, et le temps qu'il y séjournera dépend uniquement de son état de santé apprécié par le médecin; les malades ne
e, par conséquent, l'action favorable de l'alitement sur beaucoup d' états affectifs était hors de doute, mais cela n'est
emprisonnement dans les cellules. Les maladies caractérisées par un état d'agitation ont une marche plus modérée; dans l
tion active). 8. L'indication principale pour le repos au lit est l' état d'excitation des malades. Le régime au lit très
ement de mains, les réflexes étant normaux. La situation était en l' état , avec quelques palpitations par inter- mittence
rence, à 8 centimètres au-dessus de la fourchette ster- nale. Cet état demeura sans grande modification jusqu'au 9 févri
igrissement de 9 kilogr. (71 kilogr. au lieu de 80). C'est dans cet état que, le 9 février 1898, B... quitta l'hôpital mil
positive qui a été faite dans plusieurs cas du bacille d'Eberth à l' état de pureté dans le pus des cas de thyroïdites ab
tie supérieure 2. Cette infection peut d'ailleurs aboutir à trois états anatomiques très différents, et de conséquences p
ôté de lésions de phlébite avec thrombose, « le parenchyme était en état d'hypersécré- tion manifeste... les vésicules é
érale. ' 300 PHYSIOLOGIE pathologique. laire et par conséquent un état dynamique spécial, dont le potentiel est dans u
nte de celle du courant nerveux. - De sorte qu'en fin de compte l' état moléculaire et dyna- mique des centres récepteu
éphalie « le caractère notoire et essentiel du cerveau réduit est l' état abortif du lobe occipital ». La place qui nous
on, défectueuses chez ces enfants, conduisirent l'un à penser que l' état vicieux des vaisseaux peut être un état général.
isirent l'un à penser que l'état vicieux des vaisseaux peut être un état général. Shuttlewortli exprime l'opinion que «
s unies. Dans quelques cas, le foramen magnum est plus petit qu'à l' état normal, les procès basilaires horizontaux, laté
i étaient éga- lement des imbéciles. Le D' Echeverria considère les états mor- bides comme étant de caractère atrophique,
de la pie-mère et l'arachnoïde, la dilatation des ventricules et l' état granuleux de l'épendyme furent observés. Dans 6
tricules. La surface convexe du crâne est souvent plus mince qu'à l' état normal, mais elle peut-être épaissie et éburnée
petit ou plus grand que normalement. Pour ce qui est de la base, l' état le plus intéressant est celui dans lequel il y
ux central, correspond aux besoins pratiques de la science dans son état actuel ; mais la classification anatomo-palhologi
gues voies d'association manquaient complètement ou étaient dans un état de très faible développement. Les faisceaux r
et le centre semi-ovale, le tissu nerveux parfois se trouve dans un état d'arrêt de développement vrai (qui se constate
e par la présence des neuroblastes), et dans les autres cas dans un état de déviation de développement (qui s'exprime pa
ertain temps leurs formes embryonnaires, et qui se trouvent dans un état de léthargie fonc- SECTION DE NEUROLOGIE. 319
toutes les maladies de forme aiguë ; 7° Il faut tenir compte de l' état mental individuel, surtout en plaçant et groupa
cette question » ; ; 8° D'une part, aussi longtemps qu'il existe un état maladif aigu, l'essentiel dans la thérapeutique
nts de psy- choses aiguës ou de psychoses chroniques présentant des états intercurrents d'excitation ou de dépression ; 2
encore actuellement alitées depuis plus de deux mois sans que leur état se soit modifié. Ces constatations faites, MM.
rait interpréter ce fait de deux façons : tout d'abord, on admit un état d'excitation du centre moteur ; mais qu'on consi-
paralysie des mouvements associés de latéralité des deux yeux. A l' état de repos, les globes oculaires étaient en posit
tômes, sont apparus quatre ans auparavant à la suite de chagrins. L' état de la malade s'aggrava assez rapidement un an ava
omplet, et en territoires centraux qui n'atteignent que plus tard l' état adulte. Sur le centre frontal d'as- sociation l
der, car elle préjuge une solution touchant l'erreur que comporte l' état actuel de notre ignorance. Mélancolie traitée a
aussi des idées de persécution et des idées hypocondriaques. Des états mélancoliques simples on arrive par transition gr
ial d'incapacité et d'insuffisance croissantes qui se manifeste à l' état normal, et que l'on peut opposer au sentiment d
de mélancolie anxieuse, de plus le Wahnsinn dépressif et enfin les états de dépression séniles. Dans ces dernières année
rapports étroits. De cette manière de voir, il résulte que tous les états dépressifs des périodes moins avancées de la vi
éléments les plus utiles seront 314 BIBLIOGRAPHIE. fournis par l' état psycho-moteur. Tandis que l'allure du mélan- co
signes de catatonie, si on constate un négati- visme opiniâtre, des états d'excitation spéciaux puérils, des grimaces et
l'analogie des signes psychiques. Plus de lucidité et de clarté, un état affectif plus constant et plus vif, un développem
as encore sur les rapports de l'artério-sclérose cérébrale avec les états mélancoliques. Paul SÉRIEUX. VARIA. LES ALI
(La Petite Gironde, 10 septembre.) Tous ces faits témoignent de l' état déplorable de l'assis- tance des aliénés en Fra
laix, demeurant à Châ- tillon-sur-Seine, rentrait à son domicile en état d'ivresse; sa femme venait d'accoucher. La brut
blessure de la petite victime est grave. Sa grand'mère est dans un état de surexcitation terrible. (Petit Parisien du 9 s
voir tué sa femme, se sera fait justice lui- même. La femme, dont l' état est grave, est soignée à l'hôpital. (Petit Pari
alade à de telles violences, que la malheureuse victime est dans un état désespéré. Ils ont été arrêtés. (Tablettes des
mpétent, que n'importe quel autre malade, ne serait-ce que pour son état moral. L'hémiplégique, « cet enfant peu gâté de
permet, en dehors de son action directe, de nous rendre compte de l' état tonique des muscles, du degré de l'atrophie, de
e personnel de celui qui l'applique. Après s'être rendu compte de l' état des différents éléments des régions atteintes,
l est le mouvement qui se trouve conservé chez ces malades, même en état de reliquat. Puis on est obligé d'indiquer les
iste, comme nous l'avons déjà dit, en massage raisonné, guidé par l' état tonique des muscles et les manifestations patho
ée par les masseuses du service, dont l'ins- truction générale et l' état physique laissent souvent à désirer. Dans un ca
t des asso- ciations psychiques normales : il s'agit en un mot d'un état de faiblesse mentale qui ne permet pas de recti
tale qui ne permet pas de rectifier les conceptions délirantes. Cet état de débilité psychique, dont le degré est très v
haque semaine : on peut ainsi suivre de près les modifications de l' état général. Dans la mélancolie circulaire, le prof
e, la voix intérieure ne présente plus ce caractère. Elle reste à l' état de représentation mentale vive, précise, sans a
urable de la force musculaire. Cette augmentation est-elle liée à l' état d'excitabilité des tissus situés sur les lignes
ut déjà affirmer que cette augmentation n'est pas en rapport avec l' état dit éleclroto- nique puisqu'elle se produit ave
rnier congrès de l'ArAs par M. lleudelssohn sur les Variations de l' état électrique des muscles chez l'homme sain et malad
courant sensiblement plus fort que celui du côté sain, bien qu'à l' état de repos on pût dériver de la surface cutanée du
quoique moins rapides que dans la première. En somme il existe à l' état de santé comme à l'état de maladie un paralléli
ue dans la première. En somme il existe à l'état de santé comme à l' état de maladie un parallélisme complet entre les ph
.'avaient constaté qu'ils tuent' les animaux en mettant le coeur en état de trémulation librillaire qui amène bientôt so
erce sur la névrite chronique cause de la paralysie. Elle produit l' état cathéleclrotonique qui augmente l'excitabilité
ns l'expé- rience de M. Grasset, au moment où le muscle revient à l' état de repos, il se produit un mouvement qui consis
ysé soit il peu près égal à celui de la jambe saine. Des différents états lacunaires du cerveau; par Pierre Marie (de Par
re à la genèse pathologique de l'autre série des cas, décrits comme état criblé. M. le professeur OBERSTEINER (de Vienne
end évidente la possibilité d'améliorer encore davantage, jusqu'à l' état normal moyen, les enfants dont le cerveau est dan
les mêmes lésions dans des cerveaux de malades ayant présenté des états maniaques et mélancoliques ne paraissant pas en r
de cette dégénérescence. La fréquence d'hy- peresthésie sexuelle, l' état émotif qui en dépend, expliquent que souvent ch
: la pleine conscience de l'obsédé, sa lutte contre l'impulsion, l' état émotif avec le désespoir de voir que ses forces
ation de l'idée dont il est obsédé peut le délivrer de son terrible état . Par conséquent, on ne doit pas confondre avec
son terrible état. Par conséquent, on ne doit pas confondre avec l' état d'obsession les cas suivants : 1° Les actes s
mpulsifs commis par des dégénérés se trou- vant constamment dans un état d'hyperesthésie sexuelle, qui sous l'influence
ir, ni même en avoir la connaissance; 3° Les actes sexuels dans des états inconscients épisodiques de délire, commis par
l n'y a plus crime ni délit. Eu cas que le juge n'accepte pas ces états d'obsession-impulsion comme appartenant à la fo
apport est si étroit que l'obses- sion symbolise en quelque sorte l' état dégénératif. L'émotivité, véritable stigmate mo
SECTION DE PSYCHIATRIE. 433 impressionnabilité maladive, créant un état de réceptivité. Cette circonstance profondément
y trouve, d'ordinaire, tout un ensemble de signes révélateurs de l' état de déséquilibration mentale et parfois, aussi,
e corrélation nécessaire est née d'un incident mis en valeur par un état de réceptivité émotiveet dedésharmonie fonction
encore dans cette première partie les statistiques rela- tives à J' état du thymus et du corps thyroïde, et les tables de
ouvé, des chanteurs se présentèrent, et, en peu de jours, on fut en état de chanter avec ensemble et harmonie. Maintenan
emiers essais, il a conçu un projet d'éducation musicale adapté à l' état intellectuel de nos malades, projet que j'espère
« Toutes les fois que le temps le permet, les malades, qui sont en état de marcher, et qui ne peuvent pas ou qui ne veule
inon comme exploration fondamentale, la re- cherche minutieuse de l' état des réflexes. On reconnaît donc implicitement à
lutôt d'une modification dans la forme de ce réflexe, dans certains états pathologiques, signalée pour la première fois p
nçoit donc qu'j, non seulement l'on doive s'attacher à rechercher l' état du réflexe plantaire dans la paralysie générale
ité, capable de nous permettre d'apprécier avec plus d'exactitude l' état du système nerveux dans cette maladie. Pour mie
générale, nous décrirons en quelques mots ce qu'est ce réflexe à l' état normal. L'excitation de la plante des pieds pro
gère il la piqûre d'épingle. Dans les mêmes séances, on examinait l' état du réflexe rotulien. Le tableau ci-après résume
iers représentant soit une exagération, soit une diminution, soit l' état normal, ou enfin une abolition du réflexe rotul
E PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 459 A. En ce qui concerne l' état du réflexe plantaire : 1° Dans la paralysie gén
par Ba- binski. B. Si nous étudions maintenant comparativement l' état du réflexe plantaire et du réflexe rotulien, et
éflexe rotulien, et. si nous cherchons à établir un rapport entre l' état de ces réflexes et la période évolutive il laqu
teurs), il nous a paru exister une relation assez constante entre l' état du réllexe rotulien et celui du réflexe plantaire
du réllexe ; 3° On ne peut établir une relation quelconque entre l' état des réflexes soit rotulien, soit plantaire, et
ne syphilitique, six d'entre eux, tous parvenus soit à la période d' état , soit à la période de déclin de la maladie ont
simplement arriérés, vicieux ou épileptiques que, en raison de leur état , on ne peut recevoir dans les écoles pu- blique
la direction ; nous ne saurions admettre en effet le voeu n° 4. L' état mental de ces enfants est un état pathologique ;
admettre en effet le voeu n° 4. L'état mental de ces enfants est un état pathologique ; c'est donc au médecin et au méde
e que celle des aveugles et des sourds- muets. En se basant sur les états dressés par les conseils de .revisiou 1.1 : \1.
du temps privés des soins les plus élémentaires que réclament leur état . C'est une faute dont les conséquences se font
que pour toutes les autres obsessions, n'a pris de valeur que par l' état de réceptivité émotionnelle. C'est en souvenir
es s'abattent sur le perverti sexuel sans le modifier en rien. Si l' état psycho-moral d'un prévenu doit être l'objet d'u
n médecin. La préoccupation de l'expert devra être de vérifier si l' état du sujet peut être juxta- posé à l'un des types
de mesure, et dans chaque cas, il convient d'étudier et de peser l' état obsédant proprement dit, et le degré de dégénér
omme l'admettent Magnan, Fèré, J. Voisin, et, non pas un retour à l' état sauvage de nos ancêtres, comme le prétend Lombr
cés dans des maisons spéciales où l'on , tâcherait d'améliorer leur état . Ils n'en sortiraient que sur l'avis d'une comm
de tout travail. ce qui rend leur vie très pénible et aggrave leur état . On peut subdiviser les différentes formes de l
ution ci l'étude de la fréquence de l'hérédité dans l'étiologie des états mentaux chez l'enfant. M. Dans -)16 cas de débi
n des réflexes rotuliens n'est pas toujours facile à faire dans les états paraplégiques, il faut bien se tenir aux règles
e des libres rubro-spinales : or, c'est précisé- ment dans ces deux états que l'on observe l'exagération des SECTION DE n
ez des personnes normales, une influence caractéristique des divers états de conscience sur l'intensité du réflexe patell
uns (de Hanovre). - Les réflexes cutanés son ! en général, même à l' état normal, si divers qu'ils perdent par là même beau
on- dis, faiblement colorés par l'hémaloxyline, que l'on trouve à l' état normal en nombre variable irrégulièrement dissé
elle est limitée à l'écorce. Donc, aphasie motrice incomplète, à l' état isolé, suns a graphie, sans cécité ou surdité v
ait atteint le malade de M. Lemos devait éveiller l'attention sur l' état anatomique du lobe temporal et pariétal ; et co
ni- voque ; il croit que sous le nom de tabes nous confondons des états anatomiques et cliniques très différents et pense
qu'il y aurait lieu de pratiquer une dissociation de ces différents états . M. J. Babinski (de Paris). - llï,l. P. Marie e
cette atrophie précède les lésions médullaires ou survient dans un état plus ou moins avancé de la maladie, il se produ
egrés variés d'amincissement et d'émyélini- sation de leurs fibres ( état embryonnaire). Des changements simi- laires dan
ie musculaire, des accidents gangreneux du décubitin avec oedème et état trouble de la pie-mère adhérente à la substance
nous arrivons parfois à découvrir que la véritable cause de leur état malade réside dans une idée fixe, un rêve, etc.,
ces les plus intimes et en fait son véritable esclave. Le mari, à l' état de veille, ignore le viol moral dont il est l'o
q ans, en rentrant à son domicile, 114, rue Demi- dof, au Havre, en état d'ivresse, s'est précipité sur sa femme, née Lé
fut blessé à la tête. perdit connaissance et depuis il est dans un état de léthargie qui a été . constaté et étudié par
l, n'est pas un imposteur, mais un pauvre malheureux qui est hors d' état de faire le moindre mouvement. Voici ce qui s'e
ns aient déclaré que l'infortuné garde-frein était vraiment dans un état d'insensibilité complète, les envieux n'ont' pa
iagnostics des médecins ; plusieurs lésions du cerveau ont motivé l' état léthargique dans lequel Diet- trich a végété pe
lvélinisation des - z cérébraux, par Vogt, 174. Hérédité dans les états mentaux de l'enfant, par Blin, 492. Nocivité
65 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
excitant ainsi les terminaisons du nerf vestibulaire, et que cet état vibratoire de l'endolymphe dû aux vibrations du s
de ces fibres, il est de toute évidence que l'influence exercée à l' état normal par le cervelet sur les fonctions statiq
tes sur la production de l'ataxie dans le tabès dorsalis, examine l' état 14 ik REVUE CRITIQUE. des fonctions de la sen
s résultats succincts : Coïncidence ou causalité : deux malades, en état de mal, soumises au bain de une heure à 39°, se
épileptiques jeunes (vingt ans), dont le coeur parais- sait en bon état , on a fait prendre tous les soirs de cinq à six
cueillies difficilement, sont fortement albumineuses. Le 27, même état , le teint se plombe un peu, fuliginosités sur l
s selles diarrhéiques ; on le décèle dans les urines. Toujours même état pulmonaire. Sept bains, potion cordiale, caféin
re. Sept bains, potion cordiale, caféine 0,50. Le 29. et le 30, l' état est le même, injection sous-cutanée de 500 gram
1 gramme d'albumine par litre et de l'urobiline. 1 ? octobre, même état , sept bains et 500 grammes de sérum artificiel;
les bruits cardiaques sont sourds, le pouls est à 125. Le 2, même état . ' Le 3, la température atteint 41°, à à neuf h
TYPHOÏDE. 23 coeur très voilés : la congestion des bases intense; l' état jugé très grave nous fait suspendre les bains.
estionné et le malade saigne assez abondamment du nez. Le 5, même état . Le malade a une crise épileptique, formée subi
vulsive, qui a duré une quinzaine de minutes et il reste dans un état comateux, avec une respiration haletante et super
oint de vue pathogénique et thérapeutique seraient prématurées en l' état actuel de la question. Thèses DE Lyon 1899-19
choisis soit parmi les cas aigus entrés à la clinique et passés à l' état chronique, soit dans un autre établissement d'o
le qu'il voit d'autres malades que ceux de la clinique (où certains états psychopathiques sont rarement observés), qu'il so
alement) convient pour des malades absolument inconscients, dans un état de confusion pro- fonde. La'porte doit rester o
ant tout attirer l'attention du clinicien et du thérapeute, c'est l' état d'épuisement du cerveau et de l'organisme. Ces ma
considère sa méthode comme plus particulièrement indiquée dans les états de faiblesse, d'épuisement d'anémie d'amaigriss
ntaux bénéficient largement du repos. Citons rapi- dement parmi les états nécessitant le repos physique, la dénu- trition
sement, le refus d'aliments, la faiblesse générale, l'âge avancé, l' état puerpéral, la chlorose, les anémies, les trou-
hlorose, les anémies, les trou- bles circulatoires, sans parler des états fébriles ou subfébriles. Or ces divers symptôme
s sont constantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d' états d'excitation, de dépression, ou de confusion, ou
eau soit surmené par le fonctionnement exagéré des zones mo- trice ( états maniaques), sensitive (mélancolie, sensorielle (é
es mo- trice (états maniaques), sensitive (mélancolie, sensorielle ( états hallucinatoires) ou que son activité soit suspe
er l'organe intoxiqué ou surmené, afin de permettre le re- tour à l' état normal des mutations nutritives du neurone. Or, s
igris et fatigués, par l'agitation, l'insomnie, l'inanition, dont l' état général en un mot .ne laisse à désirer. Bâtim
jour par des passants qui l'ont trouvé sans connaissance et dans un état convulsif. Il se rétablit et est condamné à deu
tous chez des femmes. R. M. C. V. L'habitude considérée comme un état mental morbide et son traitement; parW. Henry K
s notre puissance mentale s'ac- croît. L'habitude n'est donc pas un état volitionnel qu'il soit dési- rable de cultiver
ui s'y abandonne ; d'autres voient leur existence favorisée par des états nerveux, qui sont physiplogi- quement normaux,
des états nerveux, qui sont physiplogi- quement normaux, ou par des états nerveux hérités qui ne sau- raient à aucun poin
l'individu s'y abandonne volontairement; celles qui sont dues à des états cérébraux héréditaires ; celles qui sont dues s
tales morbides, on trouve l'égoïsme; c'est lui qui est le véritable état pathologique, c'est lui qu'il faut éliminer ou an
resté quelque temps sans connaissance ; la police l'ayant trouvé en état de vagabon- dage, l'a envoyé à l'asile. Pendant
voyé à l'asile. Pendant les trois jours qui suivent son entrée, son état s'améliore notablement à tous égards; puis rechut
ntrée, son état s'améliore notablement à tous égards; puis rechute, état d'inconscience et mort presque subite. A l'auto
, (Tite Journal of Mental Science, avril 1898.) L'auteur résume l' état de la question et présente plusieurs pièces ana
r par altération (perversion) ou par défaut (absence) : ce sont ces états pathologiques du cerveau qui consti- tuent la b
. Enfin, en dernier lieu, on trouve e) les lipophrénies, véritables états de dissolution psychique, avec diminution et dé
s du groupement de certains symptômes mentaux : par exemple dans un état particu- lier de dépression, on trouve celle-ci
auteur, il a trouvé cet ensemble de symptômes mentaux associé à des états psychiques pathologiques qui ne paraissaient po
en y regardant de plus près on constate qu'il n'en est rien. Les états somatiques auxquels il s'associe peuvent être cla
etc. 58 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. De la classification de ces états morbides physiques, de la cons- tatation de ce
s états morbides physiques, de la cons- tatation de ce fait que les états mentaux ne s'associent à eux que lorsque ces ét
ce fait que les états mentaux ne s'associent à eux que lorsque ces états physiques ne sont dus ni à un microbe spécifique,
rer par l'observation des faits expérimentaux et cliniques, que cet état particulier existe réellement et qu'il est dû à
nitale : 1° Idiotie ; 2° imbécillité ; 3° crétinisme ; 4° paranoïa ( état douteux). VU. JFoHesHMttMe (n'est ordinairement
e). R. DE nlUSGIIA'E-CL : 1Y. XIII. Cas d'impulsion au suicide en état d'automatisme cérébral, par W. E. Sullivan. (1'
W. E. Sullivan. (1'he JOi()'aal of dlental Science, avril 1899.) L' état d'automatisme cérébral est un état intéressant au
dlental Science, avril 1899.) L'état d'automatisme cérébral est un état intéressant au double point de vue de la psycho
cas dans lesquels l'impulsion au suicide s'est manifestée dans cet état automatique, un cas d'épilepsie, un cas d'épile
s, ce qui est peut-être plus probable qu'ils ne s'accompagnent d'un état de conscience particulier, tellement différent de
nt chez les imbéciles (angoisse, idées de persécution absurdes) à l' état fugitif et chez les dégénérés où elle constitue l
e ensuite le sujet des lésions de la colonne posté- rieure dues aux états cachectiques, anémiques et infectieux. Il décri
et les dégénérations secondaires qu'ils provoquent font souvent à l' état avancé l'impression de scléroses combinées systé-
ans les relations entre ces cordons el les nerfs périphériques. Cet état de choses tend d'un côté à rendre ces cordons p
on observe une sorte de tabès qui reproduit trait pour trait, at l' état aigu, les principaux caractères anatomiques du
ns un cas où, à l'autopsie, les cordons latéraux ont été trouvés en état de parfaite intégrité. 74 SOCIÉTÉS SAVANTES.
ns la substance grise que dans la substance blanche. 3° D'après l' état actuel de nos connaissances, l'inflammation est
e sont atrophiés, ceux de la cuisse restant intacts. Depuis lors, l' état est resté stationnaire. Les symptômes cardinaux
n devrait en tout cas toujours exa- 88 SOCIÉTÉS SAVANTES. miner l' état de la dure-mère dans toutes les affections mé-
fier considérablement, non seulement la mentalité, mais encore l' état physique. Charcot a montré que l'oedème bleu pouv
mi les anesthésiques locaux : la cocaïne et l'antipyrine. Plusieurs états pathologiques modifient la sensibilité à la dou-
nsporté immédiatement à motel-Dieu, il a été admis d'ur- gence. Son état est désespéré. C'est un nommé Prebet, âgé de qu
ui vaquait aux soins du ménage, cinq coups de son arme rechargée. L' état des blessés est désespéré. Le malheureux fou di
is elle se plaignait de perdre la vue. Elle avait conscience de cet état de souffrance de son cerveau, car elle disait q
s par- ties du corps. , Le médecin certificateur décrit ainsi son état mental : « Diffi- cile, hargneuse et portée irr
tisme. Célestine était d'humeur rieuse et Prudence acariâtre : leur état mental reflète exactement, à ses diverses pério
semi-agités, il fut un peu perdu de vue jusqu'à l'année 1899, où l' état de sa santé physique attira de nouveau l'attent
pie du noyau, chromatolyse du cytoplasma, etc. Toutefois, comme à l' état normal le plus grand nombre des cellules des co
rigine 2. On recher- cha donc quel était, dans le labes dorsalis, l' état des cellules d'ori- gine des racines et des cor
tiques, un « aspect normal ». Et cependant, lorsqu'il rapproche l' état de ces cellules dans le ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE
chromatique détermine la nature du jugement qu'on doit porter sur l' état normal ou pathologique de la .cellule nerveuse,
rprit donc une sorte de parallélisme entre le tableau clinique et l' état histologique de l'amyotrophie tabétique : clini-
Schaffer : dans des préparations provenant de deux cas de tabes, l' état de la substance chromatique ne différait en rie
tre que la dernière assertion de Lugaro est en contradiction avec l' état anatomique du neurone moteur phériphérique dont
l est bien vraisemblable qu'il ne s'agirait pas d'une affection à l' état naissant, au sens strict du mot. Du moment qu'i
TIQUE.. - : Mais continuons la démonstration négative de Redlich. L' état des cellules et des fibres nerveuses du côté de
intérêt de ce problème est comme ramassé dans la considération de l' état des cellules des ganglions spinaux, c'est-à- di
, surtout chronique, en exagérant la compression qu'exerce déjà à l' état normal la pie-mère sur les racines posté- rieur
livré Redlich dans le champ si vaste de la littérature relative à l' état des méninges de la moelle dans le tabès, il résul
i persistent avec leur enveloppe de myéline sont plus gréles qu'à l' état normal. « L'examen des circonvolutions cérébrales
multanément atteints, selon la nature de la cause pathogénique et l' état , congénital on acquis, de résistance des différ
ellules géantes de l'écorce motrice chez les aliénés, examinées à l' état frais (sans durcissement) : contribution à la p
le nous éclaire sur sa consistance, ,qui est ferme et élastique à l' état sain et qui peut augmenter ou diminuer beaucoup
stique à l'état sain et qui peut augmenter ou diminuer beaucoup à l' état pathologique. Elle nous fixe beaucoup mieux aus
trace de matière chromophile ; il est 'probable que parvenues d cet état elles ne tardent pas à disparaître -complètemen
as, naturellement, il y avait des cellules où la substance était en état de dégénérescence; mais la majorité appar- tena
ormal. L'auteur ne prétend pas en déduire que, dans tous ces cas, l' état normal de cet élément particulier impli- quait
us ces cas, l'état normal de cet élément particulier impli- quait l' état sain de la cellule toute entière ; certains faits
rts avec le fonctionnement de la cellule : il expose sur ce point l' état actuel de la science : d'après les recherches l
s nerfs. Mais il faut dire que cette pathogénie n'est encore qu'à l' état d'hypothèse. La quinine n'a d'action qu'au poin
ons de l'écorce sont très fermement attaquées et alors on observe l' état moniliforme très manifeste dans les foyers. Les
e trois ou quatre ans, ont toutes les cinq des accès sériels et des états de mal. A la suite de ces accès ou de ces étals
lante, spasmodiqne surtout après un exercice prolongé. Du côté de l' état mental on constate de l'hébétude et aussi une v
rent dans les espaces intervallaires, mais ne reviennent jamais à l' état primitif, de sorte que progressivement à la suite
turée, complètement démente, emportée par une vaste eschare ou un état de mal. Ces malades ne sont pas des idiots épil
es mêmes de la paralysie ; 4° Son concours et sa terminaison ; 5° L' état des réflexes superficiels et profonds. 1° L'his
ce d'altérations manifestes des mitres sens supérieurs. VIII. - L' ÉTAT PSYCHIQUE. IX. Troubles circulatoires thermique
du sexe, de la natio- nalité du malade, de son genre de vie, de son état général, de l'état de ses organes (coeur, vaiss
o- nalité du malade, de son genre de vie, de son état général, de l' état de ses organes (coeur, vaisseaux, reins), etc.
pourraient être considérés comme signe pathognomonique de certains états morbides. Ceci tient surtout à ce que nos conna
, entrecoupées quelquefois de bâillements et provoquant à la fin un état de fatigue douloureuse des muscles thoraciques.
que. M. Doutrebente a observé des cas analogues. Il considère cet état comme une nouvelle forme de la maladie et même un
pporte deux cas de fièvre typhoïde chez des épilepti- ques morts eu état de mal au cours de leur pyréxie. L'autopsie con
aisser la température aussi bien dans la fièvre typhoïde que dans l' état de mal épileptique. ! Il. lII.\G : '<I.\N crai
ue, arrivé à la phase ambitieuse, qui tombe par intervalles dans un état de dépression mélancolique avec idées hypocondr
e que dans les scléroses pyramidales, d'autres fois n'existe qu'à l' état 182 sociétés savantes. d'ébauche. Elle peut s
de la compréhension des mots lus et de troubles de l'écriture. L' état maniaque s'amenda rapidement mais la surdité per-
verti qui pratiquait les rapports homosexuels et qui fut ramené à l' état normal par la suggestion hypnotique. 'BIBLIOG
sur ce point ? Après avoir noté la date, le lieu, le substlratum, l' état de la température, il devra d'abord rechercher
de réflexes de Babinski. Ajoutons que nous n'avons pu rechercher l' état de. la contractilité électrique parce que nous
aucun d'eux n'a jamais présenté les signes caractéristiques de cet état mor- bide. Notre collègue et ami, M. le docte
ines, la bouche se dévia à gauche. Les régions atteintes étaient en état d'anesthésie complète. La paralysie avait dispa
développé'au point de vue ana- tomique ; chez ce dernier existe un état parétique, et comme Westphali-l'a-montré, une :
l y a un arrêt de développement' du système mus-, culaire resté à l' état infantile. Pour Donath, cette conception ne sau
'un, le Physiiiiiin ou Ai,tzli- che Vorprufung, l'autre, l'examen d' état (.S<tMM;f< ! ? M) ! ) ou 1 ) ? ( ? che Pr
entretien gratuit, une indemnité de 600 marks. Dans quelques petits états allemands les médecins volontaires n'ont pas de
uses : A. Les délires fébriles. B. Les délires j infectieux. C. Les états d'affaiblissement infectieux. ; Il. Les psychos
aniaque-dépressive (Etats maniaques et délirants, étals dépressifs; états mixtes). - A. Forme simple. B. forMepë ? OtKe.
. Les psychoses hystériques, C. La névrose lran7nalique. XII. Les états psychopathiques (Folie des dégénérés) : A. La f/q
' La duboisine est préférable à l'hyoscine et à l'hyoseyamine, l' état de calme qu'elle provoque étant plus prolongé et
; en revanche, les malades de trente ans et au-dessous voient leur état s'aggraver sous l'influence de ce médicament, d
épilepsie n'existaient qu'à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 239 9 l' état de vertiges avant l'infection paludéenne. Après l
voquerait donc dans certains cas, l'épilepsie qui n'existait qu'à l' état latent. Dans les cas observés, l'état d'épi- le
ilepsie qui n'existait qu'à l'état latent. Dans les cas observés, l' état d'épi- lepsie persisterait même après guérison
raîna plusieurs jours : il survint de la rigidité mus- culaire avec état spasmodique, et l'enfant mourut à l'âge de deux
lcoolique et syphilitique, entrée à l'hôpital en septembre 1898, en état de paraplégie complète ayant débuté par la jamb
parfaitement la paupière en regardant en haut. A l'opbthalmoscope, état normal et semblable des deux côtés. Les deux pu
a ligne médiane. Les muscles de la moitié gauche du pharynx sont en état de parésie. Au laryngoscope, paralysie complète
la névrite optique, que l'on rencontre si rarement dans les autres états morbides .que l'on peut presque faire de cette
uscles extrinsèques de l'oeil. Les phénomènes qui dominent dans cet état particulier sont : le spasme ou crampe; l'incoo
e 1898.) Ce court travail est accompagné d'une planche qui montre l' état d'un enfant qui s'était bien porté pendant les
ses, rendant la marche impossible, amenant des sueurs pro- fuses. L' état mental s'aggrave en même temps que la chorée. Le
re de déséquilibrés dont la volonté est inca- pable de réfréner les états passionnels qui peuvent les envahir, et qui ne
le degré de leur respon- sabilité. Leur histoire biologique, leur état de dégénérescence mentale, BIBLIOGRAPHIE. 2G3
ues propres aux dégénérés, aux déséquilibrés. Aussi, je crois que l' état de dégénérescence, créant l'impulsion au suicide
and il dit, dans le chapitre du suicide passionnel, en parlant de l' état psychologique des suicidés par amour : « Ils ont
de la colère) comparé à celui d'enfants du même âne - Quel est son état de santé ? Quelles ont été ses maladies ? Déter
., chez les vieillards athéromateux, sont souvent' consécutifs à un état infectieux (grippe) quelconque. Ces délires gué
t après la maladie qui les a causés, ne laissent derrière eux que l' état mental antérieur parfois un peu aggravé. Aussi
rive de l'Asile clinique avec de la fièvre (38°). Le corps offre un état d'embonpoint normal. La face, dans son ensemble
s nombreux. La mère est une névro- pallie à un degré très prononcé, état qui paraît être la consé- quence d'un Iraamalis
e à droite, survenues au quin- zième jour, se montrant sous forme d' état de mal à partir de ce jour, jusqu'au sixième mo
ir de ce jour, jusqu'au sixième mois, ont été la conséquence de l' état congénital. Mentionnons la diplégie avec contract
rettons de n'avoir pu recueillir de plus amples renseignements vu l' état du malade au moment où l'observation a été recu
eillies par M. Sarde interne du service à cette époque quel était l' état de Antoine L..., au moment de l'entrée : homme
eures de l'après-midi. Alors, l'enfant tombe définitivement dans un état de torpeur profonde, dont il ne devait plus se
38,-1. Ce matin à 10 heures, nous retrouvons le malade dans le même état coma- teur qu'hier soir; la résolution musculai
ier à 90°. Rien aux poumons, ni au coeur. Vers les onze heures, l' état empire encore ; on commence à entendre, même à
qui viennent d'être décrits, mais, comme eux, caractéristique d'un état de dégénérescence. On peut les rencontrer dans
les espaces prévasculaires, sans toucher au reste de la moelle. A l' état frais ils sont beaucoup plus volumineux qu'après
nerveuse. Quant au siège de la lésion (sauf en ce qui concer,ie les états psychiques) il paraît être dans les nerfs périp
ments qui entrent dans la constitution - du système nerveux sont en état de continuité structurale ininter- rompue. Il f
ncentriques qui représentent la frontière entre l'était normal et l' état pathologique. Leur forme est ordinairement arro
variations et des anomalies nom- breuses. Encore sur la limite de l' état normal et de l'état pathologique figurent les l
omalies nom- breuses. Encore sur la limite de l'état normal et de l' état pathologique figurent les listes du plexus chor
vec la nature : > par son éducation objective, il met l'homme en état de vivre au milieu de son entourage physique, e
ccomplit ses plus hautes fonctions quand les sens objectifs sont en état d'inactivité : en un mot, il est cette forme d'
nce qui se manifeste chez un sujet hypnotique lorsqu'il est dans un état de somnambulisme. Ces définitions distinctives
ssées conformément à ma suggestion. A ce moment, la malade était en état de stupeur, le dos tourné et ne nous avait pas
a été observé dans un cas de mélancolie derne, très chronique avec état stationnaire depuis deux ans et un état de quas
derne, très chronique avec état stationnaire depuis deux ans et un état de quasi-guérison. Le seul travail qui soit par
nt des fonctions digestives qui accompagne inévitablement un pareil état mental, le sang devient plus pauvre en matière
propos de la grande hystérie. · 2° Homme d'un certain âge trouvé en état de vagabondage et admis à l'asile : heureux, ga
duellement de génération en génération, aboutissant finalement à un état de démence ou d'ampiiiia qui tend à amener l'exti
sme, parfois de la stupeur avec ou sans catatonie ou bien encore un état maniaque ou mélancolique. Mais tous ces aspects
eptiques et les paralytiques géné- raux. Dans la confusion aiguë, l' état psychique morbide est inin- terrompu, les terre
iques. - SIMON. XIV. Revision des lois relatives aux aliénés dans l' état de Virginie ; par William-Francis Drewry. M. D.
roupes musculaires. Le diagnostic est difficile à établir entre cet état et la chorée chronique de l'adulte. L'intégrité a
erti qui pratiquait les rapports homosexuels et qui1 fut ramené à l' état normal' par la suggestion hypnotique. Séance
e vaginisme. M. ARAGON. Le vaginisme dépend' presque' toujours d'un état psychique et la psychothérapie en est le traite
euvres de balancement ou de tournoiement se mettent d'abord dans un état hypnotique spécial avec anesthésie complète. Al
o-constriction que l'on sait pouvoir devenir très intense pendant l' état hypnotique. nleszner et le fluide magnétique.
s principales maladies suivantes : 1° Dans la folie périodique, l' état dépressif n'a en lui-même qu'une valeur seconda
e ; 3° A la grande classe des dégénérés se rattachent de nombreux états mélancoliques d'aspect et de durée tout à fait sp
x impulsions, du négativisme plutôt que par la dépression. De vrais états mélancoliques se montrent cependant comme stade
les séniles, prouvée parles statistiques, la fréquence extrême des états dépres- sifs à cette époque de la vie sont dus,
as de folie intermittente ou de démence précoce à début tardif; les états dépressifs delà démence paralytique ou de la dé
et de la contribution personnelle qu'il a apportée à l'histoire des états dépressifs. P. Sérieux. XI. Contribution à l'ét
sive, tristesse inertie, somnolence, accidents légers; 2" période d' état , sommeil continu avec réveils faciles à provoquer
erre. Il entre à l'hôpital le 12 septembre en pleine léthargie. A l' état de veille il répond avec peine mais avec justes
é- rente, liquide cérébro-spinal trouble contenant des lilaires à l' état larvaire vivantes. A la coupe des centres ner
image réduite de la société, et la société elle-même où l'homme à l' état normal recueille les impressions qui éveillent
n, apprécie parfaitement celle des malheureux qui l'entourent. Leur état est à ses yeux en état d'infériorité, il refuse
t celle des malheureux qui l'entourent. Leur état est à ses yeux en état d'infériorité, il refuse de se lier avec eux, l
oyait, d'autres fois, poursuivie par des ennemis invisibles, et cet état n'était pas sans inspirer à ses voisins une cer
UEz une fillette. La gendarmerie de Vic-le-Comte vient de mettre'en état d'arrestation et de transférer au parquet de Cl
quatre et cinq dans les vingt-quatre heures. De plus, il vint en état d'infantilisme. Le il février 1896, on extirpa
l'intervalle, elle n'avait pas eu une seule attaque convulsive ; l' état général et l'état intellectuel étaient meilleurs
e n'avait pas eu une seule attaque convulsive ; l'état général et l' état intellectuel étaient meilleurs que précé- demme
s fut déterminé à l'aide de l'excitateur électrique. En raison de l' état du pouls, il fallut interrompre l'opération.
rès une certaine durée d'une épilepsie par- tielle, il s'établit un état épileptogène de tout le cerveau, qui ne saurait
s cas d'épilepsie par- tielle d'origine traumatique, on a trouvé en état d'intégrité apparente le territoire de la zone
Mernot, son beau-père, et lui plongea son couteau dans le ventre. L' état de ce dernier est désespéré. Après son crime, Odi
s, sont les suivantes : 1° L'iridoplégie réflexe unilatérale est un état qui peut se ren- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
çon permanente à un seul des deux yeux. 3° On l'observe souvent à l' état de conséquence éloignée d'une maladie de la tro
nt d'un groupe séméiologique : le plus souvent elle se présente à l' état de symp- tôme isolé; mais dans un cas comme dan
diminués. Réflexes du genou légèrement exagérés, Confusion mentale, état vertigineux, plus ou moins vague, lour- deur de
W. BLOUBIENAU. (06o. : r<pMC/M('t(, III, 1898.) Deux figures. L' état de l'excitabilité électrique et de l'excitabi-
être vivant, et il n'y a pas d'action sans mélange d'inhibition. L' état de la vie dans chacune des parties du corps est
nement pas aussi nombreux qu'on l'a sup- posé jusqu'à présent; 2° L' état pathologique du corps pituitaire est moins cons
la compression ; aucun trouble viscéral ; pas de modifications de l' état général. Ces tumeurs, comme les adéno lymphocèl
sensibilités, pas d'atro- phie musculaire, pas de convulsions. Cet état dure sept mois et se termine par la mort au cou
au. L'auteur discute la question de savoir dans quelle classe des états de sommeil, peut être rangé ce cas de sommeil phy
e cas dont il s'agit ici, la crise d'éternuement survenait après un état prodomique de picotement de la face mais sans aur
'ablation des annexes, et cette opération n'a nullement modifié son état . L'auteur pense qu'il s'agit d'un acro-paresthési
uscles abdomi- naux, un véritable clonus abdominal qui existait à l' état de veille même en l'absence du hoquet, donnant
dépendant de modifications des organes pelviens, cette anémie, cet état névropathique qui surviennent à la suite de l'a
" REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1 grossesse, et les psychoses de l' état puerpéral et de la lactation. On a contesté et
n satisfaits, et constater leur disparition après le mariage. Les états névropathiques qui accompagnent la nymphomanie
lcération. Les déplacements utérins donnent souvent naissance à des états névropathiques intenses. Dans un autre travai
n rencontre dans la tumeur des zones de transition entre ces divers états qui montrent bien que ce sont là des états diff
nsition entre ces divers états qui montrent bien que ce sont là des états différents d'une même tumeur. Si l'on se repo
lle ne l'exclut pas absolument, cette séparation pouvant dater de l' état embryonnaire. En faveur du gliome alvéolaire,
icules; mais ici encore on peut se demander s'il en était ainsi à l' état embryonnaire. En faveur de l'endothéliome, il y
inome dit primitif du cerveau doit par conséquent se rencontrer à l' état de néoplasme se conti- nuant avec l'un ou l'aut
rait exclusivement aux néoplasmes dont les germes ont débuté à l' état d'inclusions ectodermiques chez l'embryon jeune,
du gliome appartiendrait à une période plus avan- cée, et même à l' état adulte avec point de départ dans la cellule épe
meur, la première avait pénétré partout dans le néoplasme, soit à l' état de tissu tu- berculeux diffus, soit à l'état de
le néoplasme, soit à l'état de tissu tu- berculeux diffus, soit à l' état de nodules discrets. Les bacilles et les cellul
de leucocytes po- lymorphonucléaires. On peut donc en raison de son état d'infiltra- tion et son étendue limitée, consid
ante; sa durée varie de quelques jours à trois ou quatre mois; et l' état spécial qui la caractérise est une paralysie fl
de foudre se rencontre souvent chez des dégénérés, associée, à des états névropathiques. L'auteur apporte deux observati
d'un attrait sexuel subit, suivi peu après de crise consulsive. Cet état se reproduisit plusieurs fois. L'autre observ
ne connaissait pas, et suivi peu après de sensation de vertige avec état confus. En général, le coup de foudre semble surt
Médical Journal, 22 juillet 1899.) L'auteur définit le délire « Un état psychique caractérisé par l'abolition de la con
ion , et il a employé deux procédés, la piqûre et le pin- cement, l' état mental de la plupart des malades observés nécessi
e à. une grosse lésion du cerveau. L'hémianesthésie relative est un état beaucoup plus commun qu'on ne pense chez les al
en a observé seize cas, dont six ont guéri : cette ma- ladie est un état de dégénérescence du système nerveux qui enva-
fait que ce virus est ou n'est pas le seul agent nuisible, enfin l' état général du système nerveux ; mais dans tous les c
quent est naturelle- ment l'alcool. Enfin il faut tenir compte de l' état général du sys- 422 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
e est constante et nécessaire; sans elle la maladie n'existe pas. L' état mental est en état d'exaltation et d'agitation
nécessaire; sans elle la maladie n'existe pas. L'état mental est en état d'exaltation et d'agitation qu'on pourrait appe
'insomnie, l'affaiblissement mental, la variabilité alternante de l' état mental, et les rémissions : la troisième de ces m
parésie mo- trice et une diminution de l'excitabilité réflexe : les états que l'on observe le plus souvent sont la parési
-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 423' XL. Considérations sur l' état mental dans l'aphasie ; par CONOLLY NoRMAN. (Th
e de cas. Socialement et légalement, on peut se demander quel est l' état d'un malade atteint d'aphasie. A priori, on inc
soient moins nuisibles à l'ensemble de l'intelligence que certains états corticaux qui impliquent une per- turbation gén
d'un cas d'aphasie ou d'un cas similaire, si l'on veut pré- ciser l' état mental, il faut d'abord chercher dans quelles lim
siège probable de la lésion cérébrale, et l'on sera renseigné sur l' état des organes de l'expression; ce renseignement e
déchéance mentale est plus avancée que quand les derniers de ces états se rencontrent isolément, et quand, l'asymbolie e
du mal ; il se rendit alors au bureau de police, où il expliqua son état , et où on lui conseilla de ne pas faire l'imbéc
l alla alors chez un ami, y coucha sans dormir, et le lendemain son état s'était encore aggravé ; les impulsions homicid
e que beaucoup de .ceux qui s'ôtent volontaire- ment la vie sont en état de trouble mental : d'ailleurs la'plupart des c
juillet 1899.) , L'organe olfactif de l'homme nous apparaît dans un état rudi- mentaire lorsque nous le comparons à celu
mercuriel énergique, il y eut une amélioration considérable de l' état général, de la parole et des mouvements de la jam
des mouvements de la jambe. Mais ultérieurement il se développa un état spasmodique des muscles du bras et de la jambe,
gressif des facultés mentales. L'autre présente depuis trois ans un état analogue de démence progressive avec plaintes à p
te tuberculeuse, l'autre est d'une bonne nutrition générale, et son état mental est meilleur que chez le premier. En rés
nion sur les théories émises au sujet des rapports du génie et d'un état morbide (folie-névrose). Il ne parle qu'en pass
on de faire une étude complète de l'irritabilité, mais de résumer l' état actuel des connais- sances à ce sujet et aussi
ue mental. C'est dans ces conditions qu'il tira au sort et que, son état ayant passé inaperçu, il fut incorporé, en novemb
nit son régi- ment. Mais sa démence était devenue telle que, hors d' état de continuer son service, il fut réformé le 23
. CLINIQUE mentale. des muscles de la face. Après un instant de cet état ataxique, la langue acquiert une certaine stabi
rine ne présente rien de particu- lier. Au point de vue mental, l' état se caractérise par un affaiblisse- ment très no
éral. paralysie générale ET SYPHILIS héréditaire. 453 Tel était l' état de Victor L... dans le ? premiers mois de l'année
l'état de Victor L... dans le ? premiers mois de l'année 1899. Cet état , tout en restant le même, est allé depuis en s'ag
iques assez accusées pour appeler l'attention du chirurgien sur son état mental. Doux et discipliné, n'étant astreint à
ier n'a jamais été appelé à l'examiner et à donner son avis sur son état mental. Il semble donc ressortir nettement de
sme n'a pas semblé exercer une influence au moins immédiate sur cet état psychique. » Je n'ai rien à ajouter à un docu
n'est pas actuellement en mesure de déceler, d'une façon précise, l' état de nutrition des os, des circons- tances multip
ied gauche; dans le pied droit la position du gros doigt était, à l' état habituel, la même que la posi- HÉMIPLÉGIE SPASM
t, mon objet n'était certainement pas de chercher à améliorer son état intellectuel, mais de pouvoir agir favorablement
r son état intellectuel, mais de pouvoir agir favorablement sur son état épileptique, cela m'induit à mettre en pratique
emment que chez l'adulte), on ne peut pas établir une relation de l' état du faisceau pyramidal déduite de la lésion céré
dants franchement dégénérés, alors qu'ils devaient se trouver en état agénésique d'après le développement et la patho-
ment chez l'enfant, de manière qu'il n'est pas possible d'induire l' état du faisceau pyramidal, quelque intense que soit
, toujours davantage dans le côté droit. Ce que j'ai observé de son état intellectuel, c'est que pendant le mois de déce
hez les épilepti- ques. Sur cinquante-deux femmes observées tant en état de mal que dans des moments sans crises, une fo
ysique légère étaient conséquence et non cause de l'altération de l' état mental. Le signe de Quinquaud pourrait être enc
es cas où cette élévation exis- tera, et ceux où elle manquera; ? L' état ambiant de la tempéra- ture influence dans une
di- cation thyroïdienne exerce aussi une influence bien nette sur l' état mental ; 19° Chez beaucoup de malades, elle exe
dée directrice initiale du traite- ment, à savoir la prodution d'un état fébrile, n'est pas entièrement justifiée par le
lades, la tuberculose a été enrayée d'une manière effective et leur état a été beaucoup amélioré. Deux d'entre eux, outr
amélioré. Deux d'entre eux, outre l'amélioration marquée de leur état pulmonaire et de leur santé générale, ont guéri d
Mais le bénéfice de cette méthode n'a pas été limité aux sujets en état d'imminence morbide, ou actuellement atteints par
rice ou thérapeutique ; mais il'faut se guider principalement sur l' état du malade, et arrêter immédiatement l'écoulemen
les conscrits de l'interprétation erronée et de l'ignorance de leur état mental. Les classes supplémentaires annexées en
ques d'origine encéphalique : rares sont les délires paranoïdes. Un état d'angoisse associé à de la dépression et à des
nt-elles un aspect spécifique ? Tantôt elles révèlent l'aspect d'un état émotion- nel pathologique simple ou accompagné
à des impulsions épileptouies, à des délires paranoïdcs. Mais ces états ne se distinguent pas en eux-mêmes de ceux que l'
des traits communs avec l'épilepsie vraie. P. KEHAYAL. LI Y. Des états mentaux qui sont à la limite de l'aliénation ment
allucinations obsédantes ne sont pas très rares. On les observe à l' état épisodique dans beaucoup de psychoses. Particu-
e affaire l'agent véritablement actif; 2° la forme de la folie et l' état mental ont été absolument similaires; 3° dans les
te devenue plus tard diffuse. La débilité mentale qui traduisit cet état , était peu aisée à différencier de celle qui ca
rveau n'est pas comprimé. Naturellement, quand les pièces seront en état d'être étudiées sur des coupes, un examen micro
re de son côté qu'il n'est pas aussi étendu, tant s'en faut, qu'à l' état normal. Il y a donc bien de la paralysie ou de
l en avait au commencement. En exa- minant le malade en dehors de l' état d'équivalent épileptique, on trouve chez lui de
an- tage, celles de persécution au contraire ont diminué. 11 y a un état manifeste de démence. L'auteur considère son
exes supérieur^, ainsi que des modifi- cations pupillaires dans les états émotionnels, lui font émettre l'hypothèse du re
pou- , BIBLIOGRAPHIE. 5121 1 vant, d'après lui, dépendre aussi d' états psychiques morbides ; tandis que les premiers s
? 363. - de l'enfance, 367. L ? par Douglas, 418. , Aliénation. L' état de New- York et la pathologie de 1' , par Nvize
et Regnault, 348. Détention. Influence de la - cellu- laire sur l' état mental, par de Rode. 320 Diabète. Rapports du
ausse -. par Finrllay. H)0 ? ILIItITLDE. L' considérée comme un état mental morbide, par K.es- teven, 48. IIailuci
ement guéris par la . par Voisin, 430. Suicide. Impulsion au - en état d'automatismecérébral, par Sulli- van, 59. -
66 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
de chanter. De- puis il est devenu triste, morose; sauf cela, pas d' état mental particulier. On le voit, il y a d'eux ét
sauf cela, pas d'état mental particulier. On le voit, il y a d'eux états morbides à considérer chez ce malade. D'une par
le dos lui faisait toujours mal ». Cet affaiblissement général, cet état douloureux de la région dorsale et de l'épaule pe
s ulcérations. La poussée éruptive est 'précédée et annoncée par un état douloureux de la main et des doigts. C'est une
bles trophiques, etc., tiennent depuis quinze ans cet homme dans un état d'infirmité relative. Incapable de se livrer à
du côté opposé. 12 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. d'un état de raideur, d'ankylose incomplète de l'articulati
bad (Hongrie), elle nous arrive à Paris et entre à l'hôpital dans l' état suivant : Jeune fille, petite, ratatinée, ayant
tendineux sont pourtant abolis; mais cela paraît tenir surtout à l' état morbide des articulations et'de la' musculature.
t certainement un peu diminué de volume (pi. VI) : , En un mot, l' état de la petite malade était notablement amélioré
u'à l'occasion des mouvements volontaires. Laplupart persistent à l' état de repos et pendant les mouvements actifs, mais i
les mouvements volontaires et d'autres qui, tout en persistant à l' état de repos, s'exagèrent notablement sous l'influenc
généralisé, très prononcé et permanent, le malade se trouve dans un état de vibration perpétuelle qui- frappe dès l'abor
inférieurs, le tremblement ne s'efface que pendant le sommeil. A l' état de veille il ne cesse jamais, même dans l'état
dant le sommeil. A l'état de veille il ne cesse jamais, même dans l' état de repos et de relâ- chement musculaire le plus
atteint son maximum d'intensité ; il est alors pour ainsi dire à l' état aigu; cet état dure pendant un, deux, trois jou
ximum d'intensité ; il est alors pour ainsi dire à l'état aigu; cet état dure pendant un, deux, trois jours, parfois quelq
nt ; la pré- hension n'est pas aussi rapide, aussi immédiate qu'à l' état normal. Aux membres inférieurs, le tremblement,
e des oscillations, dont les membres inférieurs sont animés et de l' état d'instabilité de leurs masses muscu- laires ? N
nt une période de calme relatif; ils représentent pour ainsi dire l' état moyen du tremblement. Nous avons déjà dit qu'à
ance même puisse être jamais l'origine d'erreurs de diagnostic. Les états morbides auxquels ils appartiennent sont eux-mê
ère, cet homme offrait quelques jours après tous les symptômes d'un état neurasthénique des mieux caractérisés. Ce sujet
LPETRIERE CONSIDÉRATIONS SUR LES ECCHYMOSES SPONTANEES ET SUR L' ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES Nous avons eu récemment
Iüss 2, d'Ashtlcy Cooper^ et de Froidefond 1. Il s'ensuit, qu'à l' état individuel, ces ecchymoses sont le plus souvent
elle « après des convulsions qui lui firent perdre connaissance, un état de torpeur physique qui dura onze jours » ? On
e spectacle. Elle avait tout bénéfice -IL s'entretenir en semblable état . Aussi arriva-t-elle a il provoquer il sa fanta
a plus haute importance et bien propres à jeter un grand jour sur l' état mental des hystériques que nous voudrions égale
pris un développement jusqu'alors inconnu et qu'en ce qui regarde l' état mental de l'hystérie masculine, nous aurons il
doit se faire de l'hystérie J », M. Moëbius a nettement caractérisé l' état mental des hystériques, et, en 1889, M. Pierre
otre contribution se bornera uniquement à combler cette lacune. L' état mental des hystériques femmes, en dehors des trav
ce mentale et de l'hystérie. Th. Paris, 1883. h. Caractère, moeurs, état mental des hystériques. - Archives de neurologie,
ie à la lecture des textes originaux; nous la formulerons ainsi : l' état psychique de l'hysté- rique résume à peu près t
éalité il n'en est pas ainsi, et que, comme l'attaque d'hystérie, l' état mental hystérique a son déterminisme qui ne res
e l'hystérique pourra peut-être plus que tout autre, en dehors de l' état mental qui lui est propre, présenter les stigma
e actuelle inaugurée par les travaux de M. Charcot, ont écrit sur l' état mental des hystériques. Hystériques les voleuse
iagnostic d'hystérie ne pût un seul instant être mis en doute. Si l' état de suggestibilité est un, il n'en est pas moins e
s ces prodromes ne sont pas constitutifs, a proprement parler, de l' état mental des hystériques, ils appartiennent à l'att
particulier, ils peuvent, par leur succes- sion, créer une sorte d' état permanent qu'il était nécessaire de faire resso
ui, chez les hystériques à attaques, va singulièrement influencer l' état mental dans les intervalles des accès. Lorsque
rêve a été telle qu'elle peut créer encore des halluci- nations à l' état de veille. Nous avons vu un de nos malades, un ho
n'en a pas moins impressionné le cerveau ; il a modifié à son gré l' état mental qui semble d'autant plus bizarre, heurté,
s qu'elle entraîne avec elle, et qui ont une si grande place dans l' état mental des hystériques, seraient d'une facile i
pour ainsi dire sans relâche et qui pèsent du plus fort poids sur l' état mental de l'hystérique. Nous voulons parler des
ham et qui sont l'apanage constant de ces malades. Etant donné leur état d'impressionnabilité cérébrale, de suggestibili
ctes de la vie journalière des hystériques et créent chez elles cet état mental versatile, inconstant, ou très décidé pe
s. Enfin ces suggestions et auto-suggestions existent également à l' état 1. Société de Biologie, 20 novembre 1SS6. 2.
que, comme l'appelle M. Charcot, germe plus ou moins vite suivant l' état de suggestibilité cérébrale de l'hystérique. El
onnaissance de cause. Il est même des hystériques chez lesquels cet état de suggestibilité est si grand, qu'à l'état de
iques chez lesquels cet état de suggestibilité est si grand, qu'à l' état de veille, ce sont de purs automates ; leur éta
t si grand, qu'à l'état de veille, ce sont de purs automates ; leur état mental est absolument identique à celui des somna
st un' merveilleux sujet d'étude. Son étal d'esprit est tel, qu'à l' état de veille on ne manque jamais, avec un peu d'insi
se porte très bien. 1. Gilles de la Tourelle. - L'hypnotisme elles états analogues au point de vue médico- légal, ° éd.,
, Voilà comment, croyons-nons, il faut comprendre dans sa pureté l' état mental de l'hystérique, femme ou homme, adulte ou
'hygiène, avril 1887. 3. Gilles de la Tourelle, l'Hypnotisme et les états analogues au point de vue médico- légal (toc. c
rva- teur atteN,if pourra parfois, en constatant le changement de l' état mental d'un sujet, prédire, ou tout au moins pr
s moteurs. Telles sont les réflexions que nous inspire l'étude de l' état mental hystérique plus particulièrement peut-êt
te resteront CONSIDÉRATIONS SUR LES ECCHYMOSES SPONTANÉES. 67 à l' état de faits acquis. Quoi de plus commun que les épid
par l'isolement. A ce propos, il faut bien se garder de confondre l' état mental des jeunes hystériques avec celui de ces
ls pas étiquetés purement et simple- ment hystériques 1 - . V L' état mental de l'hystérique homme parait au premier ab
mental de l'hystérique homme parait au premier abord différer de l' état mental de l'hystérique femme. Il est cependant le
tes; de plus, l'association très fréquente dans l'espèce d'un autre état ner- veux, psychique lui aussi, rare chez la fe
édons comme nous l'avons* fait pour la femme, en étudiant d'abord l' état mental hystérique de l'homme, pur de tout mélange
abord l'état mental hystérique de l'homme, pur de tout mélange. Cet état mental existe : il est plus particulièrement l'ap
peut être dite efféminée, un étal mental commun faisant communs les états phy- siques. Ce sont des romanesques, se vantan
iter le tableau tout entier, on y voit se dessiner à chaque ligne l' état mental de l'hystérique .homme, avec ses rêves si
particuliers, en même temps qu'on assiste il sa combinaison avec l' état psychique du neul°asthésique, impuissant, incap
l de stigmates, ses attaques, ses paralysies ou ses contractures. L' état mental ne se modifie guère, toutefois il s'acce
entent toujours du côté qui est le siège de l'hémianesthésiei. Et l' état mental de « l'hystéro-neurasthénique » se pours
de l'hydrargyrisme, et nous insistons sur ce terme pour dire que l' état mental, dans ce que l'on a appelé l'hystérie to
, par la bonne raison qu'il n'y a pas deux variétés d'hystérie. L' état mental dans l'hystérie, ou mieux dans l'hystéro-n
reilles affirmations dans une bouche aussi autorisée, et étudiant l' état mental des hystériques, il nous était absolumen
interdit de ne pas entrer dans de semblables considérations. Cet état mental de l'hystéro-neurasthénie n'est pas absolu
1, et il nous a semblé qu'il était assez bien caractéristique de l' état psychique de l'hystérie féminine à cette époque
n'est pas en raison directe de son intensité. Aussi l'hystérie et l' état mental qu'elle comporte guérissent-ils dans la ma
est plus de même chez l'adulte où les modifications impri- mées à l' état mental par la névrose sont le plus souvent a tout
bilité. Au premier chef, il ne faut pas oublier de distraire de cet état men- tal les stigmates de dégénérescence qui po
men- tal les stigmates de dégénérescence qui pourraient dénaturer l' état psychique des hystériques sans jamais cependant
part que prend chez l'homme l'asso- ciation de la neurasthénie à l' état mental des hystériques. Gilles DE la TOURETTE,
e sans tenir compte de l'angle que la colonne* lombaire fait dans l' état normal avec le sacrum. Il en résulte un changem
pre- mière vue. Jamais de diarrhée; la constipation est plutôt son état habituel. Jamais d'oedème des jambes; rien au
le malade ne réagit avec sa langue qu'en 51 centièmes de seconde (l' état normal étant de '10 à 20 centièmes de seconde)1
r en paralysie. « Il avait cette idée-1 : ') en tête ». Tel était l' état du malade lorsqu'il eut sa première attaque dans
il chaque pas ; il tremblait de tous ses membres, il était dans un état d'anxiété, d'angoisse inexprimable. Il resta ains
tal le 12 mars ; aucune modi- fication ne s'était produite dans son état . Depuis cette époque, il a été soigné chez lui
que à 8 heures. Depuis son entrée dans le service de la Clinique, l' état du malade, en dépit du traitement auquel il a é
ux. Il était abasique et astasique et se trouvait exactement dans l' état où nous le retrouvons aujourd'hui. Le malade raco
it atténué et avait fini par disparaître. Les choses étaient en cet état , lorsque, à la fin de l'année dernière, le 13 n
lements qui peuvent survenir dans l'hystérie comme dans tout autre état pathologique ou même physiologique, mais bien de
ont été précédés d'autres phénomènes ne laissant aucun doute sur l' état pathologique du sujet. Ces manifestations antérie
. De taille moyenne, elle conserve un embonpoint'modéré et un bon état de la santé générale malgré les troubles anorexiq
I 3 ? ci w 108 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA 8ALPf;TRIERE. en état de somnambulisme provoqué. Bien que ces bâillemen
DE PN070C0170GRAPIiIF CIiINF h L('INt' : BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES ( état normal) Llrl,O"'N11- &. U",¡ ? pO7ltVRb C
et élévateurs de la mâchoire sont alternativement dans un véritable état de contracture. Puis surviennent quelques mouve
ÉRIQUES. 119 Il est à noter que les bâillements qui surviennent à l' état isolé sans se. grouper sous forme d'attaques n'
cette inspiration \\ profonde, proportionnelle en- général, dans l' état normal, à l'intensité \ du bâillement. Quand el
inrie bruit, si caractéristique -" et si difficile à masquer dans l' état physiologique,- qui vçcompabné 1 l'entrée brusq
n(mcemeni, c'est.à : dÍl;e forOE et : s'oüveIÍt un peu bruyante a l' état normal. 'Chez notre. malade, on note aussi u'n'e
te, en effet, que les bâillements s'accompagnent souvent, comme à l' état physiologique d'ailleurs, d'une sensation de so
. Puis la crise se termine, les bâillements cessent pour passer à l' état intermittent ou revenir ultérieurement sous forme
loniques, soit plus souvent sous forme de raideurs musculaires ou d' état cataleptoïdes. Ici il est nécessaire d'examiner e
es cas comme une simple variété de mélancolie avec stupeur, et. les états cataleptoïdes qu'on y rencontre comme de fausse
er des phéno- mènes cataleptoïdes analogues. Chez notre malade, cet état mélan- colique paraît être primitif. L'explorat
ntré M. Charcot dans sa 10° Leçon du Mardi, sur l'amélioration de l' état général, du sommeil, sur la grande atténuation
us que sur la signification véritable de celles-ci. L'exposé de l' état de cette controverse a été formulé, il y a peu
paralysies amyotrophiques d'origine manifestement spinale sont des états morbides similaires se développant sous l'influ
myélites et polynévrites. C'est ce qui ressortira au moins, en tout état de cause, de l'exposé des observations concluan
prétées par l'estphall comme étant l'expression pure et simple de l' état sénile de la moelle. 2° Une observation (d'Eise
de décubitus. Peu de temps avant la mort, l'auteur a pu constater l' état station- naire des phénomènes nerveux. Autops
mente depuis dix-huit mois, s'exagérant par accès, accompagnée d'un état nauséeux prononcé et améliorée parfois par le s
CONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIËRE. ACROMËGALLE A DÉBUT PRÉCOCE. 153 L' état général reste bon, mais le sujet affligé de sa cé
it moins absolument sous l'influence de la volonté. Du reste, à l' état normal, l'ouverture palpébrale présente des varié
ation. L'élévation exagérée de la paupière supérieure s'observe à l' état normal, sans aucune anomalie de volume ou de sa
state que le maxillaire inférieur est notablement plus épais qu'à l' état normal. Les apophyses zygomatiques sont très
s sont petits. Les déformations, bien que faciles à distinguer de l' état normal (voir planche XXX), sont cependant beauc
he Il est facile de se rendre compte qu'il n'en est point ainsi à l' état normal. Le même os est également très épaissi et
mmes et que le temps de réaction était quatre fois plus long qu'à l' état normal. L'aphasie hystérique est souvent précéd
les courbes dynamométriques de la main dans la fatigue et dans les états d'épuisement en général. En outre, le plateau est
uisement en général. En outre, le plateau est plus trémulant qu'à l' état normal. La figure 49 reproduit la courbe d'un é
avons vu déjà en effet que les épileptiques présentent souvent à l' état habituel, mais surtout dans la période postparoxy
la vie matérielle, à se procurer par lotis les moyens possibles un état de béalitude ou de charme passager qui pût leur
ygiène appropriées, dans le but de pouvoir combattre les différents états morbides qui en sont la consé- quence. C'est ce
édical, 1888). ' DE L'OPIiTIIAL1V10PLÉGIE EXTERNE. 189 ment par l' état cachectique du sujet, ayant frappé tout particuli
algie, de vertiges, de toute réaction cérébrale en un mot et le bon état général du malade, nous en aurons fini avec le
jet placé de côté; pas de diplopie. Bouche, langue, pharynx dans un état normal, pas de modification électrique. Pas de si
u'elles étaient devenues plus rares. Après une légère amélioration, état stationnaire au 12 avril. Ni syphilis, ni dipht
ait prise de délire et de convulsions et était transportée dans cet état à l'hôpital (14 février). La malade n'avait pas
science de son transport à l'hôpital. A son entrée à l'hôpital, son état présentait, paraît-il, tout à fait les caractèr
de trente-six jours à Saint-Louis, elle part pour le Vésinet dans l' état suivant : elle marche sans boiter, le bras droit
mention « hémorrhagie cérébrale » ( ? ).) La malade reste dans cet état sans amélioration notable jusqu'en décembre. A
, et le bras droit lui-même commence à se paralyser. C'est dans cet état qu'elle entre le 20 décembre à l'hôpital; les jam
e, elle fut comme la première fois prise de délire et on la crut en état d'ivresse. Son délire nécessita encore l'emploi d
la main droite et la main gauche = 8° 5 en plus à main gauche. Même état des muscles abdominaux. . 23 février. - Très
as gauche continuent, et les deux bras sont maintenant dans le même état . L'attitude vicieuse des mains s'exagère. C'est
ion de l'articulation métacar- po-phalangienne impossible. Très bon état général, embonpoint relatif. Novembre. - Léger
vantes. État de la malade le 16 décembre 1874. Le corps est dans un état d'embonpoint normal; les mains seules présenten
salle dans laquelle elle se trouvait, contient une description de l' état de la malade, que nous ne reproduisons pas, car
ous, pendant son internat dans le service de M. Charcot, relatait l' état de la malade à cette époque, dans les lignes su
ummulaires,matité des sommets, souffle amphorique adroite... etc. L' état de la malade fut en dernier lieu noté par M. A. D
t de coloration rouge jaunâtre, et de consistance plus ferme qu'à l' état normal. , Bien qu'à l'avant-bras et au bras les
xiste une diminution évi- dente du réseau des fibres fines qui, à l' état normal, est assez riche, et s'entrecroise dans
aux cellules, leur nombre est diminué; quoique la différence avec l' état normal soit extrêmement faible; les cellules on
terfasci- culaire qui forme une gangue beaucoup plus épaisse qu'à l' état normal (Planche XXXII, fig. 4, b). Les fibres
on cherche à produire, les mains serrent avec moins de force qu'à l' état normal ; il gauche le dynamo- mètre. marque 17
e. La.face plantaire est plus creusée, le dos Llus saillant qu=dul' état normal; le métatarse est un peu portéende,dans
rs. Goldscheider s'éleva contre cette hypothèse en s'appuyant sur l' état de la sensibilité thermique chez les tabétiques
la commissure labiale gauche était tirée «jusqu'à l'oreille ». Cet état persista pendant quatre ou cinq jours, puis dim
t dès lors presque régulièrement par une crise de vomissements. L' état actuel de cette jeune fille est le suivant : les
s non plus de déviation secondaire appréciable. Pour déterminer l' état particulier des yeux que nous venons de décrire
orte comme l'oeil sain brusquement en dedans. On détermine alors un état singulier dans lequel la malade ne fixe plus av
es sont normaux. Les urines ne : renferment ni albumine ni sucre. L' état général est bon, l'appétit plutôt diminué.. L
provoque une crise douloureuse si on veut la pratiquer de force. L' état général est bon; l'appétit satisfaisant, la diges
e à laquelle nous ne pouvons nous ranger. Cependant, en raison de l' état psychique spécial du sujet, de sa tare hérédita
tronc. Plus tard, sous l'influence de l'ha- bitude, se développe un état spasmodique permanent des muscles, une contract
us un jeune garçon, c'est une jeune fille tombant à la renverse, en état de crise et soutenue par sa mère. Les cheveux d
n certain degré de troubles gastriques, avec fétidité de l'haleine, état sahur- ral, etc. Contre ces troubles les purgat
'éruption. BROMURATION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 263 5 mai. Même état de l'éruption : naphtol et salicylate de bismuth.
issement progressif des membres. Enfin, à son entrée à l'hôpital, l' état de la malade « présente les caractères de l'ivr
e qu'à la première atteinte il survient un délire violent. Enfin un état général grave - état cachectique, alternatives de
teinte il survient un délire violent. Enfin un état général grave - état cachectique, alternatives de diarrhée et de con
par eux-mêmes, en dehors de leur valeur diagnostique. ' Ce sont l' état général grave, le délire, les oedèmes et les trou
ral grave, le délire, les oedèmes et les troubles vaso-moteurs. Cet état d'adynamie, de cachexie même, avec troubles gas
, douleurs abdominales (obs. IV, VII; VIII, IX, XII), vomissements, état adyna- mique, puis agitation et délire, en même
utes ces relations, on note en effet un stade de début sous forme d' état général fébrile, du délire, et des paralysies amy
arthropathies traumatiques n'est dans une certaine dépendance de l' état des cordons latéraux, que parce que ceux-ci des
a face dorsale du pied, sous forme de petite tumeur. C'est dans cet état qu'elle rentrait en 1881 à Lariboisiôre, dans l
ers viscères, le coeur, le foie, la rate, etc., sont normaux, que l' état général est excellent, la nutrition aucune- men
is. Mais ce ne sont là que des examens négatifs dont, étant donné l' état actuel de la science sur la filariose, nous ne
e revient : plus de parésie faciale, presque plus de vertiges; même état oculaire. La malade avait été traitée par l'iodur
moments, sorte de paralysie de l'extension il la main droite. Même état à la sortie. ans. XI. Ophthalmoplégie unilatéra
8G, p. 85). DE L'0111'l'111LJIUILI : G1G EXTERNE. 295 est dans un état de faiblesse, d'abattement, d'apathie générale, q
qui me frappent tout d'abord comme un point caractéristique de son état ; souvent pendant l'interrogatoire Perrot s'endo
). La malade quitta la clinique médicale de Berne avec la mention « état absolument le même depuis deux ans ». En 1886
ravant; l'affection oculaire n'a donc pas progressé. En revanche, l' état général n'est plus si parfait, et J. B... se plai
buminurie, l'hypothèse d'une néphrite interstitielle, de même que l' état général du malade, qui se promène constamment d
és réflexe lumineux conservé. Réflexe aecommodateur très diminué. L' état de l'accommodation est difficile il préciser à ca
uet à Lariboisière, où il est électrisé. Pendant quelques jours son état paraît s'améliorer, il avale plus facilement, qua
e est restée bonne et le fond de l'oeil normal. Aucune donnée sur l' état des mouvements de la pupille et de l'accommodatio
ystériques (considérations sur les ecchymo- ses spontanées et sur l' état mental des - , par Gilles de la Tourette, 49 (C
gique de Gabie (Fragment de l'-), 7. Bâillements hystériques, 18; état normal, 17. Carcinose de la région lombaire de
67 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e'l'on ne peut dire au juste s'il s'agit là d'une disposition due l' état pathologique actuel ou s'il ne s'agit pas là simp
. - Paralysie et anesthésie du membre supérieur gauche dans le même état . M. Gautiez pratique alors ce qu'on appelle dan
es sont très grêles; le malade dit qu'ils ont toujours été dans cet état et que pour- tant ses désirs sexuels étaient no
à l'hôpital les exercices qu'on lui avait recommandé de faire. Son état général est toujours le même. Le membre supérie
hie. Donc, il est très naturel que les localisations spi- nales d' états généraux (que nous appelons les mala- dies de l
type clinique que nous étudions. Ainsi les indications tirées de l' état morbide fonda- mental, sont les mêmes dans le t
J'ai déjà parlé de la fonction de la substance corticale pendant l' état hypnotique; et, en comparant tout ce que je vie
fixation d'un objet comme une irritation sensorielle par laquelle l' état hypnotique serait provoqué, ainsi Brown-Séquard
ent, à un instant donné, les irritations corticales tombent dans un état d'équi- libre d'intensité très petite'. Si, pen
ais il y a une différence dans la forme et daus le degré des deux états . Pendant le sommeil normal, c'est en vain que n
l'expérience. i si pathologie NERVEUSE. peut arriver que, de cet état , il s'éveillera tout à fait, ou bien qu'il reto
llera tout à fait, ou bien qu'il retombera dans son sommeil. Dans l' état hypnotique, une influence au delà de certains l
ubler l'équi- libre des irritations corticales : c'est ce qui est l' état de veille. Un courant électrique appliqué à la
s'en servir pour éveiller un hypnotisé. Le moment principal de l' état de veille est le main- tien d'un certain nombre
at de veille est le main- tien d'un certain nombre d'images dans un état d'irri- tation plus ou moins élevée; je crois d
lle, les irritations du cerveau sont.en équilibre. Beard' compare l' état de veille à un candélabre dont tous les becs so
ette comparaison, toutefois en la modifiant de la façon suivante. L' état de veille est comparable à un candélabre dont u
e peut ' faire attention qu'à une seule chose à la fois. Mais à l' état normal, tout en s'efforçant de diriger l'attentio
émoire, le deuxième le dé- faut du jugement. Pendant l'hypnose, cet état est développé à un haut degré dans la forme du
ques-uns ondoient de temps en temps produisant les rêves. Pendant l' état de veille, le maniement des robi- nets s'exécut
mais en vérité par des irritations sensitives, tandis que pendant l' état hypnotique, c'est l'expérimentateur qui ouvre e
t ferme à son gré les robinets. Le sommeil hypnotique est donc un état d'équilibre des fonctions de la substance corti
nsion de cette irritation n'atteindra jamais le degré qu'elle a à l' état de veille, et de là la spontanéité manque absol
u sommeil hypnotique; mais il est hors de doute que ce n'est pas un état normal. On en ren- contre des exemples bien mar
e cette étude. En jetant un coup d'oeil sur les des- criptions de l' état hypnotique des divers auteurs, on trouve des di
nces telles qu'il faut se demander s'il y a autant de formes de cet état , ou bien si les expéri- mentateurs ont une infl
côtés était accompagnée de l'aphasie. Quant aux trois phases de l' état hypnotique de M. Charcot, ils ont le grand méri
, ils ont le grand mérite d'avoir complété nos connaissances de cet état très précieux pour les études de la fonction du
rale. D'un côté, il y a tant de transitions, de formes frustes, des états pour ainsi dire interposés entre les phases typ
ve pas à produire ces phases; ni l'un ni l'autre ne tombent dans un état qui est cer- tainement hypnotique, mais qui n'a
eut parvenir expérimentalement à para- lyser, selon les phases de l' état hypnotique, les fibres des divers systèmes d'as
ns un travail que nous publierons prochainement, nous décrirons cet état spécial pendant lequel, spontanément et dans un t
comme pour se mettre en léthargie, les ouvre comme pour passer à l' état cataleptique, se fric- tionne le vertex comme p
frotter le bras qu'on est obligé de maintenir; puis il tombe dans l' état particulier que nous observons habituelle- ment
peu à gauche (1 cen- timètre de hauteur). A partir de ce moment, état de crises avec déroulement de personnalités div
milieu de crises hystéro-épileptiques, l'appa- court, le malade en état de crises se transporte à des âges divers et su
de crises se transporte à des âges divers et successifs de sa vie, état psychique qui entraîne un état somatique tou- j
âges divers et successifs de sa vie, état psychique qui entraîne un état somatique tou- jours le même. 56 RECUEIL DE F
ou moins com- plète de la moelle pendant vingt et trente ans sur l' état ana- tomique du cerveau et de tous les organes
à des maladies distinctes, ce sont des accidents alternes d'un même état général, l'athérome artériel ou endartérite gén
Cet alhérome ne serait lui-môme qu'une manifestation avancée d'un état morbide général que M. Lancereaux désigne sous le
ral et physique) a déterminé l'ischémie foetale (ramollissement). L' état psychique de cet idiot se rattachait aux déform
au début de- ce second épisode la nutrition de la malade est en bon état , parce que, pendant son évolution, l'aliénée de
'être à la condition qu'on observe avec la plus grande conscience l' état des forces et qu'on prévienne toute complicatio
a vue, suivis de complète cécité. Aphasie. Pendant le dernier mois, état de mal avec hébétude permanente et secousses co
on avait affaire à une démente épileptique de cinquante-quatre ans ( état de mal dèsle début de la fièvre typhoïde ; mort
assertions de Rieger (communication orale), M. Rabbas a déterminé l' état des facultés de ces malades à la lecture. 11 a
sait aux ordres donnés. Lorsque, au bout d'une semaine ou deux, son état commença à s'améliorer, il ne répon- dait que p
le, il refusa de manger, devint malpropre, et l'on craignit que son état n'aboutit à la démence. Mais peu à peu cet état
on craignit que son état n'aboutit à la démence. Mais peu à peu cet état s'améliora, et, au bout d'un an, il put quitter l
nal inguinal d'un testicule non descendu); à partir de ce moment, l' état du malade s'améliore, et, sans recouvrer son in
ntique et caractérisée par des idées de persécution greffées sur un état d'imbécillité déjà ancien. R. M. C. XXI. UN cas
es, et de 1 p. 100 pour les femmes. La grossesse, l'accouchement, l' état puerpéral et la lactation réu- nis en un seul g
drée au cours d'une psychose curable : dans la pluralité des cas, l' état de gravidité exerce une influence défavorable sur
d'emblée par guérison ou démence définitive; ce stade débute par un état dé dépression en rapport avec des hallucina- ti
ire aigu (Obs. 111); tantôt enfin de manie compliquée de stu- peur ( état mixte de l'Obs. Il). Cette maladie, qui porte sur
la démence frappe surtout dans les cas d'évolution compliquée ou d' état mixte ainsi que dans la forme se bornant au sta
» et, plus loin, : « la folie est un processus déter- miné par des états pathologiques des centres subordonnés. » P. K.
ni en écrivant, ni en parlant, il ne se trompe d'ex- pression, cet état s'aggrave pendant les quatre mois suivants, au
oteurs ne nous arrêteront pas, ce que nous voulons savoir , c'est l' état des vaisseaux dans la boite crânienne. Pour é
ête, comme on constate la tuméfaction et la rougeur de la face. Cet état est désigné sous le nom d'oedème cérébral. La c
ne secousse qui les faisait sortir de leur apathie et produisait un état de surexcitation. Après le si- lence dans leque
ement à parler et donnaient quelquefois des renseignements sur leur état . Un épileptique se sentait toujours soulagé apr
e se sentait toujours soulagé après l'inhalation d'amylnitrite. Cet état de soulagement cessait quinze minutes après que
s courbes d'un homme simple, d'un certain âge, dont les courbes à l' état normal étaient assez satisfaisantes ; ici aussi
trite, il a toujours été impossible de prendre de tracé parce que l' état de surexcitation du malade devenait considérabl
procher de ce malade, 2' à 3 gouttes d'amylnitrite pour produire un état d'ivresse, tel que, le Archives, t. XII. 7 98
courbes aussi régulières, sous l'influence de l'amylnitrile, qu'à l' état normal. D'autres, au contraire en furent profon
le agit aussi, mais très peu et passagèrement, sur l'agitation et l' état de l'humeur, n'exerçant d'ailleurs aucune actio
her; par H. NEUMANN. (Neurol. Centralbl., 1885.) Un phthisique en état de collapsus reçoit deux injections sous- cutan
Meynert, pénétrent, au niveau de la partie inférieure du bulbe, à l' état de fibres arci- formes, dans le noyau des cordo
de temps à autre, inquiétude occasionnée par des visions. Tel est l' état depuis le 17 février jusqu'à ce jour. Constance
elativement bonne. M. SANDER, demande s'il y a eu dans l'espèce des états épilep- toides. - Réponse négative. M. REntAS
nser- vent leur aptitude pleine et entière. - Sclérose en plaques : état semblable. Paralysie bulbaire progressive; fréq
r. Grande sensibilité au contact de la peau et des muscles. Mort en état de collapsus. Les viscères sont parsemées de lési
bystero- épileptique débile au point de vue mental qui n'est pas en état de discerner la culpabilité de son parjure. Ce
mise en doute n'ont pa jusqu'à présent été mises en rapport avec un état anatomique quelconque. Ces rémissions qui s'obser
os recherches, elle est très rare, et il est probable que plusieurs états nerveux où on l'a signalée doivent être rattachés
nce à peu près complète d'anesthésie, etc.; 2° au point de vue de l' état de la respiration, qui se régularise en même te
ns la quantité d'acide car- bonique exhalé; 4° au point de vue de l' état de la circulation encéphalique, le cerveau étan
irculation encéphalique, le cerveau étant moins congestionné qu'à l' état de veille, ce qui semble indiquer un apport moi
stitue, à proprement parler, ce travail, on y trouve une étude de l' état et les variations de la pression 128 VARIA. s
s en oxygène et moins riches en acide carbonique, dans la période d' état du sommeil anesthé- sique ; 2° la quantité d'ac
'observation plus loin, fut également atteint d'érysipèle, mais son état intellectuel ne parut nul- lement modifié par c
étaient tortueux ; la substance corticale elait plus épaisse qu'à l' état normal. Il n'y avait pas traces DE GL\NDE thyro
ût. Un nouvel examen du malade montre peu de chan- gements dans son état . Les paupières gauches sont plus bouffies qu'à
,22 en 1882; fD',23 en 1884; 1mu5 en 1885; 1 ? 7 en août 1886. L' état intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la
ysé, la parole était embarrassée. Au bout de quelques semaines, son état s'amé- liora notablement; mais, le 31 mars, sur
aussi com- plète que le premier jour; au bout d'un certain temps, l' état s'améliora de nouveau; la paralysie du membre s
es rapides, de mouvements cloniques ; enfin le'malade revient à son état normal; mais peu de temps après, la même série
er 1886, le malade est envoyé de la Charité à la Sal- pêtrière. Son état ne s'est pas modifié depuis sa dernière entrée
du massage et de l'aimant ont été faites pour chercher à modifier l' état du ma- lade, mais jusqu'à présent aucun résulta
complet de la sensibilité. La paralysie est tou- jcurs dans le même état ; l'amyotrophie est restée station- naire. Il
u'il pût se lever et retourner chez lui. A ce momentvoici dans quel état il se trouvait : le membre supérieur était comp
e ma- lade est entré dans le service de M. Moizard, à Cochin. Son état du reste ne s'était pas modifié depuis le début e
e de la main et provoquèrent des excoria- tions assez accentuées. L' état du malade ne se modifia plus pendant une durée
Une fois à terre, le malade perdit connaissance et resta dans cet état pendant quatorze heures environ. Quand il revint
avant-bras et du bras étaient tout à fait abolis. Il resta dans cet état jusqu'au moment de son entrée à l'hôpital. Etal
uche. tel mars. Les douleurs ont disparu. 15. - On remarque que l' état du membre supérieur se mo- difie, la contractur
- Depuis deux jours est survenue une modification importante dans l' état du membre supérieur; quelques mouve- ments des
t simplement émoussée. Les sens spéciaux sont toujours dans le même état . 9. Le malade commence à mouvoir l'avant-bras s
l'épaule. 5 mai. Le malade demande à sortir, et voici dans quel. état il se trouve : . le membre supérieur gauche n'est
que les doigts se sont fléchis, contractu- rés dans la main, dans l' état où ils sont aujourd'hui. Huit jours après, il e
ours après, il est retourné à la mairie; le bras était dans le même état . Puis il est entré à Lariboisière, où on l'a en
rophiés. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 177 Il revient le 18 juin. Son état , depuis sa sortie, ne s'est guère modifié. En
l'observation qui avait été prise par son interne. Voici dans quel état se pré- sentait le malade le jour de son entrée
ce que l'on constate alors : Le malade est à peu près dans le même état que lors de son entrée à l'Hôtel-Dieu. - Son ét
près dans le même état que lors de son entrée à l'Hôtel-Dieu. - Son état général est toujours très bon. La paralysie du
plus de quatre mois après l'en- trée du malade à la Salpêtrière son état ne s'est encore aucu- nement modifié. L'amyotro
naissant une origine réflexe et résultant d'une modification dans l' état des cellules des cornes antérieures de la moell
eut recours aux spiritueux afin de retrouver un peu de sommeil. Cet état se prolongea jusqu'au 10r novembre. La veille d
t'avec peine et en même temps le malade était constipé. Tel était l' état du malade le novembre, jour où il entra à la cl
lui la jambe droite et remuer un peu la plante des pieds. Il est en état de faire la flexion du membre supérieur droit.
e et une matité obtenue par la percussion. Le malade n'est pas en état d'expectorer. Le 9 novembre, la température s'e
s totales de la dure- mère avec les os de voûte. La pie-mère est en état d'hyperémie stasique. Il est rappeler que la mo
e et les cellules, dans l'une comme dans l'autre, se trowentdans un état atrophique; mais celle altération est cepen- da
hébétude, sensation de tension, de pression de douleur céphalique, état de mauvaise humeur, d'hypochondrie, de mélancol
anls : la chaleur du lit et l'exercice, les suda- tions dissipent l' état de rigidité; en revanche, l'appréhension, la cr
dérée (astigmatisme) Intégrité du système nerveux. Il s'agit d'un état congénital héréditaire; la mère du sujet en quest
e présentait pas cette allure vive des membres caractéristique de l' état normal; quand on voulut le faire marcher, on s'
omsen. L'auteur y voit un type morbide spé- cial caractérisé par un état de dépression anxieuse, avec insomnie ou sommei
e punition, ne peut jamais s'attendre il modifier favorablement l' état moral du détenu dans les cas mêmes où celui-ci n'
ltéré directement sa santé; ce dommage s'est d'abord traduit par un état de nervosisme général que relate le malade (exe
uences en question, ainsi quand il pense à l'hypnotisation et à son état pathologique. Alors que le début de sa maladie
te délimitation rigoureuse. Il faudrait savoir limiter son rôle à l' état du père au moment de la con- ception, ou à celu
prit, c'est pour faire mieux comprendre, par l'étude des derniers l' état mental des autres. L'avantage de cette méthode
ais reliés entre eux par un caractère commun, qui n'est autre qu'un état hériditaire et de pouvoir ainsi, par l'examen f
tenir certains mots grossiers; elle riait ou pleurait alors que son état normal du moment était en opposition avec ses r
n et pour satisfaire tout le monde, appelons, si vous le voulez cet état : folie des héréditaires dégénérés. M. Cotard m
les émotions psychiques de nature anxieuse qui ne procèdent pas des état » catatoniques. M. EDFL. La rigidité catatonique
ur l'administrer à 52 femmes d'âges variés, atteintes de différents états d'agitation (chronique ou maniaque aiguë) on em
ine, et tout en entendant ce qui se passe autour d'elle, est hors d' état de réagir d'une façon quelconque. Parmi les phéno
public dts prévenus dontl'rz/faire s'instruit, afin d'examiner leur état mental au besoin pendant six semaines ». Quel r
ainsi conçu : En ce qui concerne la préparation d'un rapport sur l' état mental de l'inculpé, le tribunal, peut sur la p
gements nerveux. Plus tard, on remarque une grande instabilité de l' état moral : tantôt le malade pleure sans motif, tan
bilité tactile et douloureuse est émoussée; ensuite, on remarque un état paralytique qui ne dure pas. Le 11 mai, tous le
ire, R... perdit l'usage des jambes et de la parole. C'est dans cet état qu'on l'amène à l'hôpital. Le ma- lade est d'un
remuer les doigts. Le pied gauche est con- tracturé en dehors, à l' état d'extension. L'évacuation de l'urine se fait au
jumeaux de l'un et de l'autre côté. Le 21 juillet, le malade est en état de soulever un peu les jambes dans son lit; la
bé en arrière, les coudes fléchis, les poings fermés, les jambes en état d'extension, perte de la connaissance. Les même
fléchir la jambe gauche dans toutes les articulations, et il est en état de la soulever un peu ; les mouvements de la dr
pouvait un peu marcher facilement, mais après il revenait au même état . Moralement, il paraissait abattu, parfois la tri
e médecin de service. Le 21 décembre, je trouve notre malade dans l' état suivant : la perte de connaissance ; les pupill
jour où le malade recouvre l'ouïe. Le 15 et le 16, il se trouve en état de stupeur, il est couché, les yeux fixés sur u
s les jambes tremblent; les muscles des membres inférieurs sont à l' état de rigidité, les genoux fléchis; il glisse les
de quatre minutes, garde la position suivante : les jambes sont à l' état d'extension, les bras aussi, éloignés du corps; l
il peut marcher plus longtemps. L'activité psychique est normale. L' état décrit est le même que jusqu'au 2 février, exce
ou bien, au contraire, les jambes sont raides, les muscles sont à l' état de tension. Cela fait que la démarche des malad
ctive); 15, 20 minutes avant l'accès, le malade se couche, tombe en état de stupeur, 288 CLINIQUE NERVEUSE. les yeux o
L'enfant reste pendant tout le jour assis devant une table, dans un état d'inertie et d'oblusion intellectuelle complète
oigt et ne disparaît pas par la pres- sion. La main gauche offre un état analogue, bien qu'à un degré moins marqué. Au
tions au galvanocautère. Nous avons déjà indiqué, chemin faisant, l' état de l'intelligence ; notons encore que Then... r
sommeil est tranquille, l'après-midi tout entière se passe dans un état de demie somnolence et d'immobilité. Jamais depui
l'arcade sus-orbitaire où elle se limite par un léger bourrelet. L' état des téguments (par suite de la cachexie pachyde
ie pachydermique) empêche d'explorer les gan- glions. -Peau chaude, état saburral des premières voies digestives. 24. Le
igt laisse une empreinte. On ne peut que présumer l'érysipèle, vu l' état ordinaire de la peau; pas d'ap- pétit ; un vomi
. De même, la rougeur descend sur le côté droit jusqu'au poignet; l' état général est bon. -T.R. 38°,6. - Soir : 38°, 6.
- Soir : 38°, 6. 10. - Les doigts sont envahis par l'érysipèle, l' état général est bon. T. R. 38',2. - Soir : 38°6.
6. - Soir : 3-in,4. 16. T. R. 31 ? . 27. - Th... est revenu à son état habituel, et est très gai. 4881. Juillet. - Poi
e. Les gencives, un peu décollées, mais relativement en assez bon état , forment un bourrelet autour des dents et des rac
ni tuméfiés, ni douloureux. T. R. 37°,6. - Soir : 31l,6. 11. Même état . T. R. 37°,4 . - Soir : 31°, . 306 CLINIQUE NER
e; les deux oreillettes sont dilatées. La graisse qui se trouve à l' état normal dans les sillons est ici beaucoup moins
phère gauche.- La scissure de Sylvius (pal. III, Se. S.) laisse à l' état frais une partie de l'insula àdécouvert; après un
la malade de Curling, ces érysipèles n'ont nullement amélioré son état intellectuel. Le traitement (toniques, bains sa
ain; il était devenu, au moins par moments, plus expansif, mais son état intellectuel ne s'était pas sensiblement modifi
324 CLINIQUE NERVEUSE. renseignements que ceux qui concernent son état actuel, M. Lalo, étudiant en médecine, qui a bi
le soir, à 6 h. 1/2, 34°. Respiration lente et inégale. 16. Même état . Le matin, à 8 h., T. ax. 34° 6. Le soir, à 7 h
pour désigner le myxoedème des auteurs anglais ou une forme de l' état crétinoïde de M. Baillarger. La physionomie de
nduisit à l'examen général de l'enfant, et nous constatâmes le même état de la peau sur les membres supérieurs et inféri
alade reste couchée dans son lit, grande gâteuse, immobile, dans un état de mutisme absolu, triste et silencieuse ; elle
eds et sur les jambes, où la circulation est si pauvre qu'il y a un état chronique d'engelures. La (peau est sèche etdur
e qui rendraient compte de la persistance de l'amé- norrhée et de l' état infantile des organes génitaux externes et inte
cette absence qu'il faut rattacher le myxoedème d'abord, ensuite l' état crétinoïde. Eu 1882, M. Bail a présenté à diffé
ssent avec régularité. Tous les sens spéciaux paraissent être à l' état normal et la sensibilité tactile ne laisse rien
ographie, semblent avoir été atteints de pseudo- oedème dur \ par l' état de la dentition, de la peau, la sen- sibilitéau
la Salpêtrière. « Le second point, ajoute M. Bail, se rattache à l' état d'ossifi- cation des parois crâniennes. D'après
principales causes du crétinisme. Or, nous avons affaire, ici, à un état abso- lument inverse : il y a défaut d'ossifica
cial, à supposer que le crétinisme vrai ne se rapproche pas de l' état myxoedémateux, il s'agit d'un crétinisme spécia
é gauche, la dent cor- respondante du côté opposé apparaissait. L' état de la langue était remarquable. Elle était trop g
lar- geur exceptionnelle, elle était normale. Le corps était en bon état , mais un peu petit. Ce bon état paraissait être
tait normale. Le corps était en bon état, mais un peu petit. Ce bon état paraissait être dû à un excès de la graisse sou
blance de son cas avec le myxoedème de l'adulte, ne croit pas à l' état crétinoïde avec cachexie pachydermique. Le diag
cependant devoir être posé assez clairement, si l'on considère l' état intellectuel et physique de la malade, les masses
r volumineuse du cou que présentait ce malade ! ' JI 1 '1 ' 1 Cet état crétinoïde des idiots myxoedémateux per- met de
te d'être remise à l'étude; il serait intéressant de s'assurer de l' état de la glande thyroïde chez les crétins complets
complète; souvent, par exemple, il n'y est fait aucune mention de l' état de la glande thyroïde. Parmi les observations q
ent élargis, et contiennent parfois des granulations laiteuses. A l' état frais, les vaisseaux corticaux, enlevés à la pi
qui ne permet que difficile- ment dese rendre un compte exact de l' état du cou, des pieds, etc. Toutefois, cette photog
yspnée ; alourdissement corporel et intellectuel; six mois après, l' état est encore plus marqué, la dyspnée plus forte n
e nécessite la trachéotomie; rapide améliora- tion consécutive de l' état général. En nsss, les symptômes de la cachexie
rythénoïdes difficille; électricité, ferrugineux; amélioration de l' état général. Elle peut reprendre son travail de cou
. L'auteur pense que si on les avait opérés avant l'apparition de l' état crétinoïde, celui-ci aurait été attribué à l'op
erd beaucoup de sa valeur du fait qu'il ne donne aucun détail sur l' état des corps thyroïdes extirpés; on comprend très
démateux. Depuis longtemps déjà notre attention a été appelée sur l' état de la glande thyroïde chez les idiots, et sans
evée : M. Horsley rapporte les symptômes observés par lui à trois états successifs : 1° période nerveuse; 2° période mu
quer pourquoi, chez l'homme, la thyroïdectomie semble produire un état myxoedémateux susceptible d'amélioration, dont
mique à la suite de l'extirpation du goitre en deux temps éloignés ( état qUI se rapprocherait de ce qui se passe dans le m
survie de cinquante-deux jours; un autre chien dont nous ignorons l' état ultérieur, ne présentait encore aucun phénomène
que (inconnu) de l'organisme dont la neutralisation s'opérerait à l' état normal, dans la glande thyroïde. La théorie tox
le siège, en empêchant totalement son fonctionnement, produisent un état crétinoïde assez voisin du crétinisme avec ou s
vue des accidents qui ont suivi le suicide n'est point la seule; l' état mental lui-même est amélioré ; B..., qui, antér
vait mise depuis deux jours, et qui doit avoir été trop serrée. » L' état mental est changé; B... suppliait autrefois qu'
trière; elle craint de se voir refuser cette sortie. Mardi 7. - L' état général n'a pas changé ; seulement les idées d'
de plusieurs attaques de pleurésie; mais je n'ai pas considéré cet état comme une contre-indication suffisante de l'emp
s l'écorce, dans la couronne rayonnante. On doit ensuite examiner l' état des vaisseaux et des lym- phatiques périvascula
a hernie du cerveau, comme on la comprend d'habitude, puisque cet état n'arrive seulement que lorsque le lambeau ne s'es
ain étaient un peu affaiblis. Le pouce gauche était souvent dans un état de rigidité, alternant avec un spasme clo- niqu
igidité, alternant avec un spasme clo- nique (on pouvait amener cet état en manipulant le pouce). Sensibilité. - Pas d'a
nt, après la réparation d'un petit morceau de peau sur le bord. L' état du malade après l'opération était très intéressan
nds étaient très exagérés du côté gauche dans les deux membres. Cet état s'améliora et, à l'époque de la réunion, tout é
ette simple indication nous connaissions tous les caractères de son état intel- lectuel. Nous pourrons ajouter qu'il a d
rs en outre, ces éléments sont exagéré- ment pigmentés, plus qu'à l' état normal. Le cerveau de'para- lytiques généraux c
5 parfois même 40° et change chez le même patient parallèlement à l' état de santé subjectif dans lequel il dit se sentir
ment et leurs modifications permettent de déduire un jugement sur l' état général actuel de l'écorce; en comparant les ré
onnées par le patient on peut obtenir un aperçu sur le mélange de l' état neurasthénique ou hystérique avec les allégatio
. Un désordre dans les idées intermédiaires est cons- titué par cet état desomniation délirante que l'on remarque pen- d
. avec les collègues du pays, ils reconstruisissent l'histoire et l' état actuel de la maladie, d'où auraient découlé les
névropathe, avec lui en calèche découverte, en plein jour, dans ses états , car il est évident que le malade, bien que dûm
ulement il existait de graves lésions cérébrales, mais encore que l' état durait depuis longiemps. En voici le résultat
nou. La langue est pincée entre les dents, ces dernières en mauvais état . La peau du crâne est très épaisse et gorgée de
dant sur les comptes rendus du Département médical relativement à l' état de santé psychique des conscrits convoqués pend
our les épilep- tiques vient d'être créé récemment à Baldwinsville, état de Massa- chusets, aux Etats-Unis. Les bâtiment
68 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sition. Celte prédisposition, chez le morphinomane J réside dans un état de faiblesse plus ou moins manifeste Archives,
ui s'était fait le boule-en-train elle chef de la bande no- made, l' état moral était excellent : le malin on se réveil-
nte de la soif morphinique,' comme ils sont les seuls fauteurs d'un état qui les amène à ces excès, ils en doivent subir
toutes les intoxications volontaires se retrouvent souvent le même état mental prédisposant, celui des héréditaires ; m
prédisposant, celui des héréditaires ; mais comme il arrive que cet état mental spécial reste silencieux plus ou moins l
rd d'autrui ; son développement est basé sur la timidité innée. L' état pathologique décrit par cet auteur n'est pas du
ive (2). Voilà ce qui est dit dans les mé- moires du malade sur cet état , mémoires que j'ai pu- biliés : « Avant de quit
ice, ma timidité augmentait de plus en plus. Le désir de cacher mon état maladif et (t) Archiv. de Neurologie, Il' 10 ?
crainte du regard d'autrui, je me suis spécialement arrêté sur ces états el j'ai décrit dans trois cas nouveaux l'élut n
es yeux et ne se sentent pas il leur aise. » Ce qui caractérise cet état maladif, c'est que les malades le comprennent e
on le méprisait - parce qu'il avait de tels yeux ; il concevait son état anormal et le fait que sa pensée s'occupait con
'ébauche de la maladie existait en muil»enavanl : avec le temps cet état m'était devenu habituel et je rougissais même à
dans l'ignorance du monde; mais le l'ait reste le même, que dans un état pareil COnlllH' 1" mien la \ ie etimpos ? ibll'
autrui de no- tre cas, il est évident qu'il s'agit visiblement d'un état imposé, importun, qui se traduit par ceci : qua
régulièrc du malade. Voici ce que raconte le malade lui-même de son état : « Mon père est, d'un embonpoint assez considé
ue, elle traitement de l'urethrite dure jusqu'à présent. « Un autre état pathologique du système nerveux, c'e1 la fai- b
é de cela l'indécision et la douceur. « L'amour-propre va jusqu'à l' état maladif; la tendance vers l'i- soiemenf ; l'amo
ans laquelle je lus ce qui suit : « Je me suis décidée d'écrire mon état , autrement je risque de ne rien dire. Je suis a
ppartient à la classe la plus basse, et ces voyages ont aggravé mon état ; j'y ai rencontré des physiono- mies vraiment
RD. 23 quillement et si ensuite, quittant le livre je me rappelle l' état qui me pèse, je me demande qu'est-ce qu'il se p
eseulc fois; maismalgre cela je me sentais mieux. Dès l'automne l' état maladif recommença ; mais ma doctoresse était t
ins d'abuser de votre patience. L'été passé, en- core avant que mon état maladif eut, commencé, au mois de jnin à 10 heu
faut encore compléter ces faits cités par la malade par ceci que l' état pénible dans lequel elle se trouve disparaît dans
alade nous raconte dans sa noie avait joué un certain rôle dans son état maladif, et il est probable qu'à cause de cet i
onnaître son impotence à ses yeux ; voilà pourquoi il éprouvait cet état péni- ble aux regards d'autrui surtout après de
idicule par ce clignotement bizarre et confus des paupières et de l' état qu'il' accompagne, état pendant lequel la J'OU-
ent bizarre et confus des paupières et de l'état qu'il' accompagne, état pendant lequel la J'OU- 9ecsr pareille ci la ch
ante, avec parfaite estime, etc.» La description citée démontre l' état tragique dans lequel se trouvent ces malades qu
ins cas dans la supposition des malades qu'on peut reconnaître leur état normal d'après l'aspect de leurs yeux, d'après
nous le trouvons- dans le cas du premier malade qui détermine son état maladif par les mots suivants : « Le sentiment
ou le souvenir de celui-ci jouc-t-il un certain rôle. Ainsi, dans l' état maladif que j'ai décrit ci-dessus,il s'agit du
décrit ci-dessus,il s'agit du développement imposé el ennuyeux d'un état affectif de confusion et de crainte lorsque les
ue les autres personnes regardent les malades droit aux yeux et cet état affectif apparaît ou bien immédiatement après l
e en ceci : le malade craint qu'on reconnaisse d'après ses yeux son état anormal (l'onanisme, l'expres- sion impure, etc
faut remarquer qu'il y a dans ce cas une certaine analogie entre l' état maladif que j'avais décrit (t) et la crainte «
gis (2) ; celle-ci apparaît dans cer- tains cas comme résultat d'un état affectif primitif ; dans d'autres cas, elle sui
oculaire ; par exemple, le premier de ces malades en décrivant son état dit : « Le regard d'autrui provoque en moi une
nt garantit mieux leur tranquillité d'.lmc. * Il va sans dire que l' état décrit est très pénible pour les malades, comme
t 'dans une forme plus ou moins pure sans combinaison avec d'autres états pathologiques et elle pré- sente alors une form
celle cont- binaison est, un très bon moyen' contre les différents états nerveux, surtout, neUl'1lslhéni'lucs, . 32 as
l devient le système /c/<o-co)'<t'co-/) ? /)'OE) ? t;W. ' A l' état normal la sphère psychique volontaire et la sphèr
ntripètes et cen- trifuges qui les relient l'une à l'autre. ' A l' état pathologique, il n'en est plus de même soit à la
s que si on les compare de chaque côté ; on ne peut conclure à leur état normal ou anormal que par leur ab- sence d'un c
normale. La gradation de celte transition permet de distinguer cet état du morcellement en écale, ou de l'atrophie des fi
des anomalies dans la structure des parois vasculaires, ainsi que l' état des gaînes de myéline. Tout pigment apparaît égal
'une autre observation d'imbécile, avec hémiplégie et épilepsie, et état de mal qui lui sert de contre-partie. Paul Bo
uablement décrits avec un sens clinique parfait. La pathogénie de l' état neurasthénique repose avant tout sur la prédisp
'intoxication alimentaire, mais ces principes, sont subordonnés à l' état des fonctions digestives (hyperchlorhy- drie ou
rai à votre questionnaire. Ettoutd'abordje pose en principe qu'en l' état actuel des choses, il est impossible de faire u
paillasse de varech avec une allumette oubliée dans ses poches. Son état fut jugé des plus graves, M. Carré, commissaire
(examen par dissocia- tion) ; dans l'autre cas on ne parle pas de l' état des ra- cines. C'est donc avec raison que Barte
s psychiques. Depuis la lin de janvier jusqu'à la mort du malade, l' état géné- ral et les douleurs continuelles ont été
foie en particulier. Le rôle du foie et de ses altérations dans les états ly- pémaniaques, n'est point pourtant une conce
t entre les affections hépatiques et les psy- choses. ' Quant aux états mélancoliques, directement liés aux troubles hé
s, a démontré que les abcès du foie pouvaient être accompagnés d'un état plus ou moins marqué de mélancolie et d'hypocon
acides biliaires, éventualité fort acceptable, puisqu'il y avait un état de subictère très manifeste ; ou bien l'ex- cès
contraste singulier, dit Griesinger (1), presque risible, avec leur état de tristesse profonde : on en voit, par exemple
été ellectuées chez ` ? S pamlytiqllcs,qéI1C- raux. Un n'a Bromé d' état négatif qu'une seule fois. En même temps qu'on
ais l'inverse n'est pas wai,c'est-à-dire que l'on trouve parfois un état cytologique négalifa\ec une augmentation de l'a
entées sur des sujels ayant eu la syphilis, on puisse constater un état positif, bien que dans ce cas, l'augmentation d
ooliques à se laisser ponctionner. Chez les alié- nés alcooliques t' état du liquide cérébro-spinal était absolument néga
é une balle de rewlver dans le voisinage de l'apophpe mastoille ; l' état cyto- logique positif (le\ait tenir aux phénomè
ée à une connexité entre l'irritation des méninges et l'acuité de l' état men- tal. Le nombre des lymphocytes varie entre
du système nerveux central, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 111 trahit un état cylologique intermédiaire à l'état normal et à l'
DE THÉRAPEUTIQUE. 111 trahit un état cylologique intermédiaire à l' état normal et à l'é- La[ pathologique bien qu'il se
sie. Toutefois ils sont presque exclusivement obsenés dans tous les états mentaux s'accompagnant d'inhibition psy- chique
il qui a le «rand mérite d'attirer l'attention des aliénistes sur l' état physique des malades, état physique le plus sou
attirer l'attention des aliénistes sur l'état physique des malades, état physique le plus souvent trop négligé. R. LEROY
nt immo- biles, à quelque intensité lumineuse qu'on les soumette. L' état mental est incompatible avec l'examen de la con
térations décrites chez les épileptiques morts dans le co- ma ou en état de mal. La moelle ne présente rien de particulier
du cerveau affectant en l'espèce les troncs nerveux en question. L' état ophtalmoscopique et l'anomalie spéciale de la réa
te de la ban- delette optique droite. P.lIERAVAL. XXI. Quel est l' état de la pupille dans l'immobilité réfle- xe typiq
r cette dernière se peut développer graduellement etsub- sister à l' état de complexus pur pendant des années. Aussi les ex
onductibilité complète de l'oculo- moteur commun. Pour rechercher l' état de la voie centripète, du moins quand un indivi
ades attteinls d'épilepsie grave ou surtout, pendant les périodes d' état de mal dui,assezsouvent se produisent sans caus
par delà lourdeur de tête, de la confusion intellectuelle, par un état fébrile, par l'aggravation des symptômes de l'épi
ique à un épileptique pendant la phase d'aggravation de sa maladie ( état de mal) on n'obtient pas de phénomènes d'intoxi
près que l'aggravation a disparu, quand le patient est revenu à son état normal, on obtient aussitôt des phénomè- nes d'
rt, maxima 75 %). B. L'absence complète d'onde musculaire trahit un état patholo- gique du système nerveux en rapport :
u centre ou du conducteur nerveux, ex. : convulsions, contractures, états de tension même sans convulsions, de l'hystérie
toxication, à lI. Damaye, auteur d'un Essai de diagnostic entre les états de débilité mentale ; à M. Petit pour sa thèse
troubles de l'écriture, évoluant parallèlement à ceux de certains états pathologiques, donneraient une sorte de courbe fi
hallucinations, l'automatisme, etc. Le sujet spirite n'est plus en état de veille, mais hypnotisé au -sens le plus larg
mmeil. La fillette ne s'alimente plus,elle maigrit et tombe dans un état d'anémie inquiétant.L'en- fant dont l'attention
imant sous une forme imprécise s'adapte à chaque auditeur suivant l' état par- ticulier de celui-ci. Il y a une suggestio
aux. Des modifications que subit la force nerveuse relativement à l' état de santé des sujets. M. Paul,loIRE (de Lille)
d'aspirationssexuelles, mais elles sont vagues et imprécises. Cet état d'indétermination sexuelle persiste le plus souve
é que par des idées se rapportant à ce fait. L'explication de ces états mentaux se trouvent dans la sugges- tibilité so
scents. On peut admettre que les actes commis l'avaient été dans un état d'at- tente affective, réalisant un véritable é
ient été dans un état d'at- tente affective, réalisant un véritable état d'hypnose de monoi- déisme ou tout au moins d'e
n plus dans une mauvaise initiation à la vie sexuelle que dans un état de dégénérescence. \ Perversion sexuelle guérie
en est pourtant bien distincte) est aussi secondaire, non plus à un état mental spécial, mais à une asy- nergie fonction
iendra à réveiller ou à exalter les groupes d'images demeu- rés à l' état rudimentaire et pour ainsi dire inculte. Le meill
couvrée le trac disparaî- tra de lui-même ou bien,s'il subsiste à l' état d'habitude morbide, l'hypnotisme aura tôt fait
mICQ, méde- cin en chef, directeur. Pendant toute l'année 1903, l' état sanitaire a été absolument satisfaisant. Aucune
s ceux de l'Isère et du Morbihan, cette circu- laire est restée à l' état de lettre morte. Tout cela et bien d'autres cho
aque, base clinique invaria- ble, nécessaire et incontestée de tout état hypochondriaque. Pour tous les auteurs, l'idée
nte, vésanique, qui n'est guère connue que des aliénistes, tous les états intermédiaires peuvent s'observer. Sans doute,
econnaître l'impossibilité de différencier l'un de l'autre ces deux états . Aussi, l'étude pathogénique de l'idée hypochon-
humeur (dépres- sion, exaltation, sentiment de bien ou de mal-être, état de suspicion et d'inquiétude rappelant beaucoup
de mal-être, état de suspicion et d'inquiétude rappelant beaucoup l' état d'inter- prétation de certains aliénés), tantôt
maxima du cuir chevelu. Cette action de la douleur réfléchie sur l' état mental s'expliquerait, pourllead, dela manière su
s dernières an- nées. En effet, le rôle de la coenesthésie dans les états affectifs normaux (joie, tristesse) et dans les
ésie dans les états affectifs normaux (joie, tristesse) et dans les états psycho-pathologi- ques (mélancolie anxieuse ou
ence du sympathique. On comprend les liens étroits qui unissent les états hypochondriaques aux troubles coenesthésiques..
i établissent nettement l'existence des troubles viscéraux dans les états hypochondriaques, il convient de signaler l'inf
us énergique, peuvent tou- jours être retrouvés à l'origine de tout état hypochondriaque. Mais l'importance de chacun d'
adies mentales, leur coexistence peut provoquer l'ap- parition d'un état hypochondriaque, avec des différences cli- niqu
agnostic étiologique que le diagnostic différentiel de ces derniers états morbides. 172 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES E
172 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. . 1° Les états hypochondriaques peuventse montrer au cours des
on- driaques (auto-mutilation). 11 en est de même dans les autres états toxi-infectieux (confusion mentale typhique, grip
t actuellement reconnue et au cours desquelles se ren- contrent les états hypochondriaques, on est conduit à penser qu'il
par quelque caractère étiolo[Jir¡lIc ou éco- /) ? 11 n'y a que des états hypochondriaques toujours symp- tomatiques d'un
ées d'incurabilité) reste pra- tiquement valable. L'apparition d'un état anxieux peut par- fois expliquer lasoudaineté d
l existait un véritable substratum coenesthe- sique à l'origine des états hypochondriaques. De même, M. Régis affirme, av
ture entre la nosophobie neurasthénique et le délire des négations, états extrêmes reliés entre eux par toute une série d
ue qu'un rôle très peu impor- tant et le plus souvent nul : c'est l' état d'anxiété qui est manifestement primitif dans l
Entre la neurasthénie et l'hy- pochondrie, on peut trouver tous les états intermédiaires ; .mais ce qui caractérise le ne
ec- tion de troubles soniatiqucs réels », et aussi « que lous les états hypochondriaques sont symptomatiques de quelque
me. 2" Dans le cas contraire, l'analyse mentale qu'il fera de son état deviendra morbide; il en résultera des troubles m
il doit, selon nous, envisager successivement la forme du délire, l' état mental du malade, et la nature de la lésion. Fo
ormes sénile, précoce ou alcoolique, Etal local. Reste l'étude de l' état local. Dans certains cas, les troubles viscérau
tionnelle de cette cénesthésie cérébrale qu'il faut rattacher les états hypochondriaques. Dans quelques cas, il est vra
outer que cet ébranlement se produit d'autant plus facilement que l' état de réceptivité congénital ou acquis des centres
e délire de non-existence des organes, comme l'apanage exclusif des états démentiels. M. Henry Meige (de Paris) pense que
té de nature entre la nosophobie neurasthénique et le ÉVOLUTION DES ÉTATS HYPOCHONDRIAQUES. 183 délire des négations de C
chondriaque ; par MM. DENY et P. Camus (Sera publié). Évolution des états hypochondriaques. MM. TATY et CHAUMIER (de Lyon
ndant près de huit mois. Au bout de ce temps, la malade est mise en état d'hypnose, et on constate aussitôt l'atténuatio
s le sixième mois. Ici, l'hyp- nose, pas plus que la suggestion à l' état de la veille n'ont eu d'influence évidente : ma
a) l'unilatéralité ; b) l'asso- ciation, dans cet hémispasme, d'un état spasmodique à la fois tonique et clonique ; c)
irrégularité pupillaire ne constitue pas un signe de tabes C'est un état normal n'apparaissant pas lorsque la pupille a
tue qu'une anomalie congénitale complètement indépendante de tout état pathologique. Prévention des maladies nerveuses
trouverait pas de médecins voulant donner un certificat relatif à l' état men- tal de leurs clients. Cette opinion a été
il est bien rare qu'on ne l'observe pas. Aux périodes de début et d' état ; on le ren- contre moins souvent ; il existe né
étaient à la période finale de la maladie et 2 étaient à la phase d' état . Enfin sur nos 4 observations recueillies chez
morbide envahit la moelle. Mais on le rencontre aussi à la phase d' état et, quel- quefois. au début. C'est au début que
qu'il n'y a pas de troubles de la marche ; moins rare à la phase d' état , il existe fréquemment la phase finale pendant
ême moment, d'une congestion de toute la conjonctive. Le retour à l' état normal coïncide avec un dé- tournement quelconq
n arrêt de développement physique et mental. L'intelligence est à l' état rudimentaire ; tics nom- ALBUMINO-DIAGNOSTIC. 2
Par là on comprend qu'à la grande variété des complexions et des états individuels on puisse opposer la variété considé-
es, tenant spé- cialement compte des individualités. Au sujet des états d'excitation et de dépression, le rappor- teur
énergie orga- nique. On cherchera dans la situation respective de l' état des organes et de leur expression fonctionnelle
ves chauds. - Dans les crises d'excitation survenant au cours des états maniaques chroniques, la symptomatologie seule
bains d'une durée de douze heures, laisse entrevoir que, dans tout état maniaque chronique, il y a se méfier de l'actio
ie des Américains, si suscepti- ble de se mettre en harmonie avec l' état des sujets et les be- soins d'un service rapide
e. Comme on le sait bien, la mélancolie n'est point exclusive des états d'excitation et, dans ces cas où se range la méla
les bains très prolongés sont le, moins applicables. - . Dans les états d'excitation mélancolique seront, en outre, ind
s plus accusées, telle que la mélancolie avec stupeur, mais avec un état général relativement satisfaisant, on peut empl
ntervalles de un ou plusieurs jours (Morel, de Mons). Lors- que les états mélancoliques aigus sont marqués par la dépres-
ves et pédiluves chauds ou sinapisés seront seuls appliqués quand l' état général, très défectueux, s'ac- compagnera de t
avec une extrême réserve, étant donnés leur action débilitante et l' état de dépression organique inhérente à cette affec
n'est que dans des cas spéciaux, et après un examen approfondi de l' état des forces du malade et de ses capacités réacti
venant chez les jeunes gens. Toujours est-il que, dans les grands états d'agitation catatonique, Kroepelin s'écarte souve
le s'adresse aux folies lucides, aux syndromes de dégénérescence ou états plus ou moins liés à l'épilepsie, à l'hystérie,
lui de l'hydrothérapie curative et prophylactique. D'à-" U près les états constitutionnels ou morbides des individus, les
es, soit, comme sim- ple prédisposition, dans ce qu'il appelait les états nerveux des héréditaires : «Je tiens à signaler
fectieux, comme la folie puerpérale, la confusion mentale, certains états mania- ques s'accompagnant d'un état général gr
a confusion mentale, certains états mania- ques s'accompagnant d'un état général grave, la mélancolie stupide, la dépres
sure où ils peuvent, par eux-mêmes, fournir des indications sur l' état des forces du malade. 5° Aux états d'excitation
, fournir des indications sur l'état des forces du malade. 5° Aux états d'excitation et d'agitation conviennent géné- l
mpte de dangers et rend nécessaire la présence du médecin. 8° Aux états hyperthermiques (délire aigu) on opposera les e
indication du bain prolongé (Bonnefous, Reinhard, Alter). 11° Aux états subaigus prolongés ou aux affections aiguës ten
pondra pas le retour parallèle de ses aptitudes mentales. 12° Les états chroniques seront généralement soumis à une hyd
LNÉOTHÉRAPIE ET HYDROTHÉRAPIE. 219 règles générales applicables aux états d'excitation ou de dé- pression psychiques ; ma
ages de mémoire et en général de toute opération intellectuelle, un état d'anxiété marqué. Surceca- nevas sont venus se
les yeux vitreux, le pouls irrégulier, les ex- trémités froides, en état d'asphyxie imminente. Je fis immé- diatement ch
espiration est presque com- plètement supprimée. Ces accès dus à un état maximum d'in- coordination sont absolument comp
A la suite d'un accident de voiture (le malade était cocher), son état s'aggrava et il commença à présenter du trembleme
versons. Avant-hier, il parut à nouveau très exalté. Toutefois, son état n'inspirait pas d'inquiétude immédiate et on ne
n apprit par un télé- gramme son arrestation à Trésigny-sur-Orge. L' état de Mme Di- jon paraît désespéré. Drame de la
tète, je vais devenir folle ». Elle interroge tout le monde sur son état , pour savoir si elle pourra guérir et de quelle
ses plaintes et ses gémissements dès qu'on s'approche d'elle. Cet état anxieux persiste malgré l'usage de petites doses
orts, tous les gens vont mourir de faim par ma faute». En mars même état de confusion avec idées délirantes de transform
le fonctionnement de ses viscères ne la préoccupe nullement. Son état d'anxiété a été, il est -vrai, pendant toute la p
'émotions dépressives et prolon- gées apparaît chez notre malade un état anxieux qui se traduit par de l'inquiétude, des
e extraordinaire, la femme fléau, le mystère del'Incar. ' nation. L' état anxieux s'exagère au sur et à mesure que se dév
n orga- nique, les idées de transformation corporelle qui, avec l' état anxieux concomitant, ont occupé le premier plan
; delà, ses doutes, ses hésitations, ses perplexités et son profond état de désorientation il l'égard du monde extérieur
thésic. Une même formule peut donc servir à caractéri- ser ces deux états syndromiques, dont les principaux éléments sont
deux états syndromiques, dont les principaux éléments sont : 1° un état d'anxiété avec obsession de se souvenir, de se
nesthésie cérébrale dans la genèse du délire de notre malade et des états li·hocliomlriaducs en général, nous ne faisons,
ns, du reste, que développer l'interprétation pa- thogénique de ces états qui a déjà été fournie par Th. Ribot, J. Cotard
. Les images intérieu- res, modifiées ou oblitérées, par suite d'un état maladif des régions correspondantes de l'écorce
des sensations organiques qui constituent le fondement de tous les états neurasthé- niques, psychasthéniques, hypochondr
la confusion mentale, c'est-à-dire la psychose caractéristique des états d'em- poisonnement de l'organisme. Durant le
raintes d'empoisonnement, de l'érotisme, du mysti- cisme, etc.. Cet état onirique ou de somnambulisme aigu, pour ainsi d
de la paralysie générale. Le tableau clinique est le même et cet état ne diffère de la paralysie générale classique q
prémonitoire, les mo- difications de l'urine et du taux urinaire, l' état saburral, la constipation opiniâtre, l'appariti
qu'elles laissent fréquemment après elles les sujets diminués et en état d'infériorité psy- chique, particulièrement en
es psychoses pergrippales vraies, celles de la période fébrile ou d' état , ont été distinguées par Kirn (1891) en délires
ues. - On sait combien fréquemment la grippe laisse après elle un état d'asthénie physique et mentale profond, per- si
nce, de l'agitation, du délire onirique, des hallucinations et un état physique qui traduit, comme l'état psychique de
irique, des hallucinations et un état physique qui traduit, comme l' état psychique de dénutrition, l'épuisement de l'org
es maladies qui les atteignent, pour la bonne raison qu'ils sont en état de chimisme instable et constamment prêts à fai
e infection qui ne tarde pas à éclater. Le délire de la période d' état de la pneumonie est très fréquent ; pour certai
Le sujet est pris de malaise, d'anxiété, d'agitation ; puis vient l' état somnolent et en- suite comateux. Alors les pupi
e ordinairement par la mort » (Potain). Le délire de la période d' état de la pneumonie peut affecter aussi le type de
comme dans celui de toute intoxication ou infec- tion, une sorte d' état second ecmnésique faisant revivre le malade à u
ucinations ou des illu- sions du goût, créées ou entretenues par un état sabur- ral intense et d'où naissent des idées m
onsidérable, parfois suivie de stupeur. L'insomnie est la règle ; l' état général est pré- caire, la dénutrition très mar
vant à l'homme seul ; d'autres pensent qu'elle doit exis- ter, à l' état embryonnaire dans toute la série des êtres et q
animal les parties supérieu- res de son cerveau (1), il est dans un état d'indifférence psychique absolue. Non seulement
nomène qui se présente, c'est l'obnu- bilation de la conscience, un état crépusculaire de l'es- (1) Cette confusion des
veau est telle, que l'on est en droit de supposer cet or- gane en état de fonctionner. Toutes les circonvolutions sont
uti- lisable. Le cerveau de cet animal est, histologiquement, en état de fonctionner ; des voies afférentes et eflerent
cience à un degré quel- conque, il faut que l'organe entier soit en état de fonc- tionner. Cette période de la vie corre
per- mettre à un acte volontaire de se produire. Il faut, dans l' état actuel de nos conceptions sur la conscience, que
éactions ou fonctions qui mettent l'organe nouveau, le cerveau en état de fonctionner. Les an encéphales ont souvent une
e central, le seul qui nous intéresse à pré- sent, pourrait être en état de fonctionner chez l'enfant et les voies condu
, sont, à celte époque, et seu- lement à partir de cette époque, en état .de fonctionner chez l'enfant (1). IV. Entre
es mouvements de défense, la thermogenèse, l'alternance entre les états de veille et de sommeil (1). Toutes ces (1) Les
t chez le nouveau-né normal où l'on ne peut guère différen- oer les états de veille des états de sommeil. 11 y a des oscill
normal où l'on ne peut guère différen- oer les états de veille des états de sommeil. 11 y a des oscillations de l'activi
l'excitation peut bien parvenir aux ra- cines nerveuses qui sont en état d'intégrité physiologi- que. Chez l'anencéphale
nte. D'autant plus que dans la même région le névraxe entier est en état de fonctionner. « Malgré les lésions avancées d
fonction- nement normal ? (2). Avec un névraxe inférieur, en tel état , quels sont les mouvements qui peuvent se pro-
ES DE CONSCIENCE DANS L'ONTOGENESE. 299 ganglions rachidiens eu bon état fonctionnel chez l'anen- céphale assurent la sy
ns vitales des monstres an encéphaliens et du nouveau-né démontre l' état d'anencéphalie fonctionnelle de ce dernier.Les
es difformités congénitales du cerveau dans leurs rapports avec les états des cellules nerveuses de la moelle. (Nouvelle
on graduelle des fonc- tions les plus élevées. Chez l'enfant, les états de conscience, c'est-a-dire de connaissance de
individus décérébrés, on doit ad- mettre qu'il est apte à avoir des états de conscience. Ce caractère ne peut marquer que
y achéiromégalie. Il existe donc un con- traste remarquable entre l' état des os et celui des parties molles; les premier
ienne, comme l'ont déjà dit bien des auteurs. C'est une phase, un état particulier, une forme infectieuse ai- gué de l
élément surajouté qui exprime simplement un degré plus accusé de l' état morbide, ne faisant donc pas nécessaire- ment p
traitement a été infé- rieure à un mois, indice d'une admission en état grave. Le maxi- mum des décès a été observé en
que c'est, tout au plus s'il s'assoupit 2 ou 3 heures par nuit. Cet état dure depuis bientôt trente ans. Il va de soi qu
rdinier nommé Demétrius Carini. Comme le malade était dans un grand état d'excitation, on l'enferma, à dix heures du soi
nvulsions. Notre malade. On ne sait si la conception a eu lieu en état d'ivresse. La urosscsse a été accidentée par des
rt d'heure après, 370,8 ; deux heures après, 37°, 5. Juillct.- Même état des organes génitaux, des pupilles et de la par
emet toujours lentement après ses accès. Juillet. Puberté. Sterne état du système pileux. Verge : G cent. sur 5 Il.).
dit un grand nombre de fois (1), - '2° L'ell fant a succombé il un état de mal épileptique et selon la règle que nous a
ège cet enfant contre ses impulsions. Elle se rendait compte de son état de tristesse et. désirait la mort pour elle, ma
istesse et. désirait la mort pour elle, mais non pour l'enfant. L' état mélancolique avec phobies et obsessions impulsive
turne, boudeur. Première atteinte de mélancolie, il y a ij ans. L' état actuel remonte à un mois. Il a débuté par des cép
ises, passagères ; puis de la tristesse sans cause ap- parente. Cet état s'accentue de plus en plus. La malade vivait ma
eu une affection cérébrale (1885). Pas de renseigne- ments sur cet état , très probablement mental et de même nature que
'insomnie est absolue. Pendant trois jours. F... reste dans le même état de stupeur avec mutisme absolu. Le 11 janvier
ncolique et avait dcb idées de persécution. Elle est morte dans cet état il la suite d'une congestion cérébrale. Dans sa
sion. Les troubles et les lésions du foie pa- raissent influencer l' état mental des prédisposés ou des dégénérés. Le t
es. Les troubles gastro- intestinaux étant semblables dans les deux états , la même alimentation doit réussir dans les deu
anesthésie générale par le chloroforme cl l'élher, et dans quelques états pathologiques, tels que l'hystérie, la svringo-
probablement dans le voisinage de la région rolandiync, et qu'il l' état normal, le centre de l'hé- misphère gauche inte
cteur des écoles de la ville d'Anvers, exposaient très lidèlcmcnl l' état actuel de nos connaissances sur ce sujet. Se pl
nces , SOCIÉTÉS SAVANTES. " 37 (l'hypnotisme, il est ramené à son état normal et mis en état d'affronter le concours ;
NTES. " 37 (l'hypnotisme, il est ramené à son état normal et mis en état d'affronter le concours ; il obtient,en 1901, u
dans une ambiance dont la couleur puisse heureusement agir sur leur état mental et sur leur tenus nerveux, c'est-à-dire
ns une chambre rouge. Ainsi, les uns et les autres sont mis dans un état de meilleur ètl'e,prn- dant foule la durée de l
être absolue, il n'y a pas, dans la démence pré- coce, un véritable état démentiel, au sens d'Esquirol, mais un simple é
ce, un véritable état démentiel, au sens d'Esquirol, mais un simple état d'affaiblissement mental, la « Schvvaechozustande
». L'auteur résume ensuite, dans la seconde partie de sa leçon, l' état actuel de nos connaissance sur la nature et l'éti
n une observation très détaillée qui montre en outre que certains états caLatoni([ucs insuffisamment analysés permettraie
rant à l'activité Ù(' ! acOI1"Ciellce. P. 1\.l : R.\YAL. rI. De l' état des réflexes musculaires et autres de la face d
omorphes de formes morbides dillérenles. Il ne nous reste donc en l' état qu'à roulror Ie· lx·yclmre I'altrè l'eusontllle
eure. L'enfant n'avait pas été souvent au grand air : la mère, il l' état de grossesse, était par conséquent incapable de
inellenl surtout en relief dans ce cas, c'est, la dissociation de l' état du tonus musculaire et das oele.res tendineur.
ignalent les phénomènes de suppléance qui se sont pro- duits dans l' état mental de leur malade Bizarre pendant son en- f
syndrome décrit parles auteurs, un ne trouve pas d'altérations de l' état général ni des lésions viscérales aucune circon
érale, est irrita- ble mais sans violence, et sans persistance, son état morbide ne lui permet pas d'avoir un sentiment
surtout de montrer les formes plus rares se rapprochant des autres états psy- chopathiques, renvoyant pour tout ce qui r
u délire alcoolique aigu sont les plus fre- ilucntes.D'autrefois,un état de stupeur serf d'introduction à la ma- ladie.
uis l'enfance. Après ses accès, pendant une semaine, il est dans un état d'obinibilation lout particulier; ses facultés
gonflement des cylindraxes, dila- tationdesmaüles de la névroglie. état normal ou dispa- rition plus ou moins complète
males, plus nombreuses : on constate toute- fois à peu près le même état de dilatation et renflement des mailles de la n
urs, et différemment interprétés. Le manque de renseignements sur l' état anatomique des nerfs périphériques ne nous perm
ils indifférent : pas de troubles delà sensibilité (réserves pour l' état mental delà ma- lade) ; jamais de troubles sphi
avec gigan- tisme, examiné particulièrement au point de vue de l' état du sang. La Société m'a chargé de résumer le tr
phos concerne un malade âgé de 33 ans, qui présenta réunis les deux états . le gigantisme et, l'acromégalie. Celait un géa
utivement, impulsion violente, 468 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. puis état catatonique et; attitudes figées, tremblements
examiné au point de vue bactériologique le sang des épileptiques en état de crises. Leurs recherches ont été constamment
les comitiaux, M. Minor fit observer que la présence, dans d'autres états , des micro-organismes trouvés parera, nue s'opp
moment de l'accès. Ils liront ainsi *)8 préparations fixées ou à l' état frais et 58 cultures en bouillon ou gélose résu
al. On se rapproche alors beaucoup plus de l'épi- lepsie aiguë,de l' état de mal où les périodes s'imbriquent, se confond
oche encore à l'initiative privée de maintenir les médecins dans un état de subordination indigne du rôle qu'ils doivent
chographiques fournissent en effet de précieuses indications sur l' état de la motilité et des facultés intellectuelles et
esticulaire et à la cast¡ ation; Des relations qui existent entre l' état des glandes génitales mâles et le développement
'anthropologie. ' ° ' Bien que ne se faisantalors aucun doute sur l' état précaire de sa santé, Pierre Roy avait tenu à s
a par quelque caractère étiolo- gique ou évolutif. Il n'y a que des états hypochondriaques symptomatiques qui peuvent s'o
avec M. P. E.L,\u- ;\OIS, ) 15. Des relations qui existent entre l' état des glandes génitales mâles et le développement
ution à l'étlllle dn terme de sejnnctiva, par Gross, p. 386. De l' état des réflexes musculaires et autres de la face
rveuse. Des niodifica tions que subit la - - rcla- tinl1lent lt l' état de santé des sujets, par Joire, p. 138. centr
e l'inertie congéni- tale des - par Reichardt, p, 117, Quel est l' état de la dans l'immobilité réflexe . typique des
69 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
d cette ligne sera consultée, il ne faudra donc pas perdre de vue l' état respectif des circonvolutions du corps calleux.
IQUE. siège en avant et en dehors du corps strié, se présente à l' état simple sans complication importante. Le groupe
onstitué par l'artère aphasique et ses rameaux. On comprend que l' état des connaissances anatomiques à l'époque où Gin
l, de considérer successivement : la pré- disposition, le délire, l' état mental après guérison tar- dive ; et de leur de
on des manifestations délirantes, il ne revienne pas toujours à l' état absolument normal. La prédisposition, en effet,
de la famille; affaiblis au point de vue intellectuel, ils sont en état d'éprouver toutes les émotions du coeur. Si che
à leurs hallucinations et leurs idées maladives, tom- bent dans l' état si bien décrit en quelques lignes par le savant
s années, les symptômes appa- rents de la démence, je crois qu'eu l' état actuel de la science, il n'est pas permis de ce
c'est le der- nier point qui me reste à résoudre par l'étude de l' état mental après guérison tardive. La réalité des g
INIQUE MENTALE. J'ai passé en revue la prédisposition, le délire, l' état mental après guérison tardive et, nulle part, j
u obtenir pour les quatre autres des renseignements précis sur leur état mental après la sortie. Ces malades, il est vra
de vivre au dehors. » Ce certificat permet d'apprécier exactement l' état mental de Brug... sept ans et demi après l'admi
d'où le certificat suivant : « Ce malade est loin d'être dans un état aussi satisfaisant qu'il le prétend. Deux faits s
a préfecture : « M. Brug... est depuis plusieurs mois, revenu à son état normal. Il est très calme, son caractère est tr
élioration s'était de plus en plus accentuée ; enfin, en juillet, l' état mental est tel qu'il est question de tenter une
t à l'asile, on a souvent l'occasion de le voir et de constater son état mental. Observation III. Sept ans et demi de sé
sique s'était améliorée. Jusqu'en automne, le malade resta dans cet état . Il parut alors plus éveillé, plus causeur; mai
présenta plus que des lésions isolées de l'intellect. Ce dernier état se maintint jusqu'en janvier 1878, où, durant u
e, le cer- tificat suivant était rédigé : «Cla... présente dans son état mental une sérieuse amélioration qui se soutien
ésite guère à en 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. rattacher l'origine à un état nerveux natif : les con- vulsions sont fréquent
à présent peu songé à rattacher d'une façon précise l'éclampsie aux états névropathiques, et à l'épilepsie en particulier
; et la marche de la température rapproche l'accès d'éclampsie de l' état de mal épileptique. L'urémie s'accompagne toujo
ts exagérés. Nous voyons la névrose éveillée par l'accouchement à l' état d'éclampsie, persister sous forme de manifestat
e survint à trente-deux ans (1873) : elle se trouvait alors dans un état moral fâcheux, elle était extrê- mement jalouse
: la mère put se lever en dix-huit jours, et elle fut rapidement en état de se remettre aux soins de son ménage. Tout
ubles purement accidentels, et qu'ils dépendent, au contraire, d'un état morbide persistant. A la suite d'une scarlatine
éclamptiques, puis cette épilepsie aiguë passe pour ainsi dire à l' état chronique et ne se manifeste plus que par des a
eau sur l'identité de nature des manifestations convulsives. 3° L' état névropathique qui peut se transmettre aux desce
tc., peuvent se terminer parla guérison, en laissant l'organisme en état d'opportunité convulsive, ou passer à l'état ch
ssant l'organisme en état d'opportunité convulsive, ou passer à l' état chronique, et se tranformer en épilepsie vulgai
chement des plus difficiles qui n'influa d'ailleurs en rien sur son état mental. Le début des accidents est en effet de
avalant des allumettes, des épingles et trente pilules d'opium. Cet état dura quelques mois et céda à un traitement appr
on enfant, bien que la voix de sa conscience le lui défendît. Son état ayant paru s'améliorer, Mmo A. M... ne tarda pas
cordiale très intense et en même temps, elle avait des visions. Cet état se renouvela tous les soirs six jours de suite;
les menstrues sont régulières, l'appétit conservé malgré un léger état saburral des voies digestives ; les urines rares
comme dans la mélancolie anxieuse commune, Mme A. M... est dans un état d'angoisse intense, de souffrance qu'exprime as
et indolente, indifférente à-tout, occupée seulement de son triste état . Et tous ces symptômes durent depuis le premier
e. Si l'on voit par hasard, chez certains per- sécutés, survenir un état d'anxiété pareil, cela n'est que passa- ger et
aux conceptions hypochondriaques qui, à leur tour, entretiennent l' état mélan- colique. Cette prédominance des troubl
s'expriment par des plaintes ou des préoccupations exagérées sur l' état de la santé, sur des sensations maladives de to
ur tête vide ou brûlante, leur bouche collée, ils se plaignent de l' état de leur estomac, de leurs intestins ; quelquefois
e, après une certaine période de délire mélancolique ordinaire. Cet état spécial serait alors une sorte ^aggravation de
ette névrose. D'ailleurs les démoniaques hystériques sont rares à l' état isolé, surtout dans notre société actuelle et dan
REVUE CRITIQUE. négations, sorte de période secondaire de certains états mé- lancoliques analogues à celui de notre mala
es étaient atteints. Aujourd'hui, nous possédons la relation ' d'un état analogue qui existe non plus en Amérique, mais
h qui, dans la circonstance, désigne tout à la fois l'individu et l' état spécial de l'individu qui en est affecté. Cet
'individu et l'état spécial de l'individu qui en est affecté. Cet état est fréquent parmi les Malais et les habitants de
s, sons ou gestes de ceux qui les entourent, tout en jouissant d'un état mental parfaitement régulier, dans l'intervalle
rouge, ou frappe un spectateur, est parfaitement conscient de son état d'abaissement mental et souffre beaucoup de sa
s belles Malaises). « Les femmes d'un âge avancé présentent le même état , et, ce n'est pas là un des phénomènes les moin
décrite en Allemagne sous le nom de schla//2rrznlcenheit. «Dans cet état morbide, un individu, étant subitement réveillé
t à un profond sommeil. » Nous ne chercherons pas à interpréter cet état bizarre, jumping </ du Maine, latah de Malai
sseur Charcot, un cas qui, par bien des points, se rapproche de cet état singulier. Il s'agit d'un jeune garçon de quinz
droit. Ni céphalalgie, ni perte de connaissance; le malade était en état de penser, mais il ne pouvait émettre aucun mot
é et de la sensibilité qui furent ceux habituels, nous relèverons l' état de 1,'oieille gauche présenta successivement de
et les circonvolu- tions pariétales contiguës. L'auteur rattache l' état de l'ouïe à la lésion du lobe pariétal; malheur
t les résultats auxquels l'acide osmique a conduit M. Tuczek '. A l' état normal toutes les couches de l'écorce sont extr
mentale, les sexes, les religions, les classes sociales, etc... Un état des dépenses et des recettes compléterait heure
icularités différentes de celles que nous venons d'en- registrer. L' état du pouls, si frappant dans l'espèce, est- bien,
mode de traitement. Tels sont : certaines douleurs musculaires, un état de névrosisme, de lassitude et d'épuisement, l'ag
n l'excellent fonctionnement de tous les appareils, d'où le parfait état de santé physique et mental. Les maladies auxqu
un domicile particulier les membres de sa famille qui sont dans un état d'aliénation mentale, de les soigner et même de
e massue som- mifère presque instantané, les auteurs ont observé un état ébrieux tirant sur la typothymie. Un malade, ap
s même du triceps fémoral; ce phénomène devrait être attribué à l' état d'irritation où se trouvent les cornes postérieur
eux maladies, faut-il avouer que nous ne sommes pas actuellement en état d'indiquer quels sont au juste les rapports qu'
M. Vulpian, que certaines excitations périphériques déterminent un état spécial des centres corticaux correspondants, et
llules de la névroglie avec multiplication des noyaux et finalement état vacuolaire et destruc- tion de ces cellules. Ai
e la température assez marque. Elle est elle-même effrayée de son état et cherche à se débarrasser de cette infirmité, m
TÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude d'une nouvelle variété d' état de mal i : PILEI'TIFOIillE Par le Dr Gilbert BA
elle peut le simuler dans ses deux modalités : l'accès' isolé et l' état de mal. On sait que la première phase de l'atta
i, par leur réunion et leur en- chaînement constituent un véritable état de mal, rap- pelant de très près l'état de mal
nt constituent un véritable état de mal, rap- pelant de très près l' état de mal épileptique. Mais il s'agit alors simple
rès l'état de mal épileptique. Mais il s'agit alors simplement d'un état de mal épilepti forme, comme l'appelle M. Charc
ressortir les caractères et la signification nosologique de ce faux état de mal épileptique. L'hystérie s'habille donc
es, les accès se sont montrés par séries consti- tuant un véritable état de mal, analogue à celui qu'on observe chez les
s sur lesquels nous reviendrons. Pas de changement nouveau dans l' état delà malade jusqu'au 18 octobre, époque à laque
examen de la sensibilité a été pratiqué à deux reprises, pendant l' état de mal hystérique, et un mois après la fin des
20 et 22 grammes par jour, n'a déterminé aucune amélioration dans l' état de la malade. Nous avons constaté que ce médica
forme si prédominant et si fortement accentué, dit notre maître, l' état de mal a persisté pendant plus de deux mois, et
... chez laquelle la température s'éleva jus- qu'à 40°, A, durant l' état de mal. Cette différence radicale dans l'influe
entiel entre l'é- pilepsie et l'hystérie dans la considération de l' état général et dans le simple fait de,la survie. L'
mple fait de,la survie. L'épilepsie corticale amène assez vite, un, état de déchéance céré- brale profonde et même la mo
agne au con- traire e 4,unp, très, forte secousse de la jambe. -Cet état d'hyper- excitabilité spinale,- que nous avons
énuant durant' deux ou i^L8»i ? ! ,^»tJW8^Ç^ ! ft)me.Iïïafi94 4,11', état normal. La .sensibilité reste parfaitement inta
aines ou même' de plusieurs mois qui séparait les séries d'accès, l' état de là-malade n'e ? pi'ê- sentait aucun phénomèn
,jLan do 1 t-, les veines rétiniennes ont paru plus dilatées qu,à l' état normal. La malade succombe en novembre 1882, à'
T(r(irt, ff,cn tif4r, , t : mfi 1d.. )*io-1r'f, tl. e t. r dans 1, état actuel de la.science. la chose n est pas ad- mi
M. Duret sur la cir- culation cérébrale; après notre travail sur l' état de la couronne rayonnante dans le lobe frontal,
les autres, poussant plus loin leurs recherches, ont rattaché à un état morbide plus profond ce qu'ils ont considéré co
ives, de quelque nature qu'elles soient '. Alors, absorbes par leur état , ils se concentrent en eux- mêmes, amplifient l
sccomplications du délire chronique sont constituées par différents états , tels que l'hystérie, l'épilepsie, l'alcoolisme,
énéralisé, une dépression profonde prédomine dans l'ensemble de son état , tandis que le délirant chronique a tendance, d
iode expansive ne sera pas confondue avec la paralysie générale ; l' état de la pupille, l'absence de tremblement, le dél
tête qu'elle attribue à ses persécuteurs, de la constipation et un état d'excitation qui -Importe à l'isolement pour se
, quand il ne vient pas se greffer sur le délire chronique un autre état morbide. Voici maintenant un casj se rattachant
l'indice de",lacunes" intellectuelles 'cüii,iiur-` iluént déjà à l' état lat'enU/dissociàtion'r'^ ? ^ ^^b g ? ', ! 11 no
eptique ou plutôt de l'iit`flûçiicç tle 'l'ictus' épileptique sur l' état cérébral normal et pathologique (1883)'. u ? ^ 9
oit, ou que DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 181 ··rt P d'autres états pathologiques se greffent sur lui, a une évolutio
e fosse sylvienne, qui,pourrait paraître impropre, correspond à l' état embryogénique de la scissure. Pendant la vie foet
quée dans les régions où ce tissu est particulièrement abondant à l' état nor- mal, c'est-à-dire dans la-première couche
ait eu, jusqu'à l'apparition de la fièvre, aucune amélioration de l' état mental, l'amélioration a commencé pendant le co
e pronostic était soit désespéré, soit au moins très défavorable, l' état mental n'a été aucunement influencé par la mala
GIE MENTALE. 205 forme congestive, avec température élevée; mauvais état général. Elle est irritable, refuse les médicam
e, déraisonnable, incohérent; il a perdu la mémoire; en dehors de l' état de mal, il est docile, mais très susceptible. 1
q ou dix minutes d'un accès classique spas- modique. C'est dans cet état qu'il succombe. A l'autopsie (soixante-douze he
y Kesteven. (Journal of mental Science, juillet )88 ? p. 1 17.) L' état particulier que l'auteur désigne par ces mots « N
e très imparfaitement par l'expression « obtusion nerveuse», est un état t plus aisé à décrire qu'à resumeren une défini
aladie puisse en être la cause; c'est le plus souvent sans doute un état congénital, résultant d'un mode vicieux ou inco
st qu'une modification spéciale du mouvement, on pourra concevoir l' état dont il s'agit comme résultant d'une sorte de v
nstituantes de la substance nerveuse. Lorsqu'il est congénital, cet état peut être héréditaire; lorsqu'il estacquis, il
mes, fou et irresponsable. Au point de vue médico-légal, de pareils états nerveux ont une importance de premier ordre : s
du caractère criminel de l'acte commis. Il suffit que de pareils états cérébraux existent, et que leur pos- sibilité s
mot lors- : ) qu'on le lui demandait. A ces faits correspondait un état anormal des cellules 'des'noyaux -d'origine de-
ntéressants travaux sur la paralysie générale, a étudié avec soin l' état du réflexe du genou dans cette maladie; il consta
nelles,8 a'résume comme' il°suit les rapports qui existent entre l' état du réflexe du genou et les principaux'faits ou
sés4;170Jgramntes; : sbni',tissu La substance grise est réduite à l' état de sinlplé·I31üéllé sur' lés1 lobes fronlaux.1
plètement la cellule. Le tissu connectif était plus abondant qu'à l' état normal. sa;Le corps thyroïde est considérableme
de la nutrition cérébrale, reconnaissant prob'ablemdnttpour'càuse l' état atheromateùx (goutte) des artères 'de.1,1bas«é.
s infe)'ieurM ? eti)e9 ` ? 3,juillet;mn étatsncopal 'isezirâve (cet état `s'était>déjîw prb-p duit plusieursifois, dan
ut à fait débartasségltes-i,çélesVd,é,irantcs et qtig le r Lourde l' état cataleptique paraisse devoir être provoqué par la
,- u ? 1 ''II.' ,i ? t , 1110 . ? J>l ! medicauxJfrequenfs sur 1 état du malade, a lui faire des visites, a ? nn m ? mp
étude dont l'orateur attend1' aussi deseohelù'- sions sur bien des états psych'opathiquès, qu'or ? emprunte'ra'des docum
, méningite, foyers muiti- iples), parfois même sans^qu'il existe d' état , clair. Quant H l'anatomie pathologique de,ienc
oucher. On l'arrête, sans qu'il vienne à l'idée de personne que son état mental puisse offrir des doutes. Toutefois on d
En conséquence, le médecin légiste demande et obtient de scruter l' état mental. Il découvre l'existence d'une mélancoli
vancés de la paralysie générale, l'unitonalité du masque répond à l' état de déchéance psychique, et en même temps aux tr
paralytiques généraux et les déments. Le sourire témoigne de divers états de déchéance psychique; il est très souvent sté
sourire d'individu gêné; il en est de même pour les épileptiques en état d'affaiblissement intel- lectuel, à l'époque où
scles de la lace à l'action impétueuse des autres muscles du corps ( état maniaque et surtout délire aigu); d'aucunes, la
oïde, pneumonie, affections cé- phaliques ou encéphaliques), et son état de faiblesse consécutive a été la cause d'une é
us, d'ordinaire, les jeunes aliénés de notre catégorie sont dans un état de faiblesse générale, rap- pelant les dystroph
1 en sort non guéri. Deuxième entrée en septembre de la même année; état mental identique compliqué de formica- lions da
nt, le fond de l'ceil ne présente que de la pâleur des papilles, un état trouble de moyenne intensité de la rétine, un r
jour-là, le malade quitte le lit; mais, le 2 1, on l'y retrouve en état de stertor, avec de l'écume à la bouche; les ex
ralytiques; les pupilles sont égales et réagissent bien. Le 2, même état . Le 24, état normal. Le 25, hémiplégie faciale
es pupilles sont égales et réagissent bien. Le 2, même état. Le 24, état normal. Le 25, hémiplégie faciale du côté gauch
ychique s'est montré dès la première semaine qui s'écoulait après t' état lyllémaniadue. Il est extrêmement difficile de
lit sans que, depuis deux ans que cet heureux résultat a eu lieu, l' état normal ait, en quoi que ce fût, été modifié. M.
enfants tiennent, par les soins des femmes, les appartements en bon état : on se loue beaucoup de celte disposition. Les
ine, il y avait, de chaque côté, huit cel- lulespourlesmaniaques en état de fureur, et, datisla quatrième sec- tion, cin
résident les aliénés calmes, les aliénés agités et les maniaques en état de fureur; de chaque côté, prennent place quatorz
e dès les premières semaines, si on le soustrait à la morphine; cet état signalé parm. Charcot est le premier signe de l
ble sur le vaste interne de la cuisse et le biceps brachial. De l' état psychique il y a peu de chose à dire. Le jeune
TÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (ÉTUDE D'UNE NOUVELLE VARIÉTÉ D' ÉTAT DE MAL' ÉPILEPTIFORME)1 J Par le D' Gilbert BAL
res supérieurs. Ces troubles de la sensibilité générale sont là à l' état permanent, paraissant s'accentuer un peu à la s
mais jamais nous n'avons constaté leur disparition et le retour à l' état normal. Ce qu'il y a aussi de remarquable dans
e ressent, car elle est plongée, comme nous allons le voir, dans un état subcomateux. Mais lorsqu'on surprend un accès i
tude chez une personne au lit. Mais la malade reste plongée dans un état quasi-comateux : les yeux sont fermés, on n'obt
d nombre d'accès et ont duré plusieurs jours, il existe une sorte d' état parésique du membre supérieur gauche. La malade
peut mouvoir son bras qu'avec difficulté, cela parait tenir à un état douloureux de l'articulation scapulo-humérale gau
r à un état douloureux de l'articulation scapulo-humérale gauche, état douloureux qui dépend lui-mêmeprobablement des co
otence fonctionnelle du membre supérieur gauche, se rattachant à un état douloureux de l'articulation de l'épaule du mêm
eur cutanée. Malgré l'absence des signes qui révèlent d'ordinaire l' état hystérique, il n'est pas douteux que cette mala
séries, quelquefois con- sidérables, constituant alors un véritable état de mal épilepti forme; 7° Il est des signes q
ait pour titre : Hémiplégie infantile suivie d'épilepsie partielle, état de mal épilep tique ; mort, foyer ancien intére
Verti- ges ci quatorze ans. Début des accès et dix-sept ans par un état de mal. Aura du pouce gauche. Père très ne ? t;
e dans les parties correspondantes du côté droit. A la suite de cet état de mal, Gra... aurait été comme fou pendant un
i était, disait-il, plus douloureuse que la droite. Un mois après l' état de mal, la raison et la marche étaient redevenues
tait pas peureux. L'intelligence aurait un peu baissé à partir de l' état de mal; toutefois, il fréquentait l'école du so
nuit(E<te ? 7ts<). · S mii. A la visite, on le trouve dans un état de stu- peur très prononcé; il se plaint toutef
plusieurs reprises, des séries d'accès; il eut de plus, en 1874, un état de mal sur lequel nous manquons de renseignemen
us manquons de renseignements. Enfin, en 1883, il survint un nouvel état de mal auquel le malade a succombé et qui a off
le malade a succombé et qui a offert la plupart des symptômes de l' état de mal ordinaire, entre autres l'élé- vation de
membres inférieurs, impuissance. Après deux ans pendant lesquels l' état du malade ne subit pas de change- ments, l'aute
s sont en partie dégénérés (dis- parition des stries transversales, état cireux, absence de bien des fibres, multiplicat
tificielle; que la pigmentation des cellules nerveuses constitue un état normal régulier; que l'hypertrophie (bouffissure
eaux de paralytiques généraux ne traduit aucune différence d'avec l' état normal; quant aux fibres myéliniques c'est la s
rent les suivants : troubles paralytiques delà parole, céphalalgie, état nauséeux, bientôt suivi de parés le des branche
ours, la cinquième également dix jours. L'examen décèle pendant cet état l'intégrité absolue de tous les modes delà moti
gai, tranquille, actif. Symptômes de début : évanouis- sement; état semi-conscient pen- dant une semaine; au técetl
cule. Les cir- convolutions du côté gauche sont plus petites qu'à l' état normal. La substance blanche des lobes antérieu
sme ; à la suite d'une série de fortes attaques, elle tombe dans un état de stupeur, et ne tarde pas à mourir, après avo
ant au toucher une sensation de dureté, de den- sité, évidemment en état de sclérose avancée. A la coupe, la subs- tance
e sorte d'union des couches adjacentes de substance grise pure. Cet état , que l'auteur n'avait jamais observé auparavant,
connaît aucune observation où l'on ait bistologiquement étudié cet état du cervelet, si ce n'est l'observation d'idioti
euses, et que les différences que l'on peut observer sont liées à l' état plus ou moins avancé du pro- cessus morbide. R.
ntendant médical d'un hô- pital d'aliénés.. R. M. C. XLIII. Sur l' état mental dans l'hypnotisme; par D. IL1CK TUKE. (J
rie sont les suivantes : I. Conditions nécessaires pour provoquer l' état dont il s'agit ; II. Symptômes objectifs chez l
HOLOGIE MENTALE. 357 de ce qui a été présent à son esprit pendant l' état hypnotique. Nous suivrons l'ordre adopté par l'
li Tulze, a démontré que le sujet peut-être surpris,'et même mis en état de catalepsie, dès que son attention est le moi
s réflexes tendineux identiques à ceux que l'on constatait dans l' état de veille; dans quelques cas, ils étaient exagéré
I. Conclusions de l'auteur : « 1- La conscience peut exister dans l' état d'hypnotisme et le sujet peut passer,- rapideme
'hypnotisme et le sujet peut passer,- rapidement ou lentement, à un état complet d'inconscience, comme dans l'étal somna
qui parait fort judicieuse. (Voy. Bernheim. De a suggestion dans l' état hypnotique et dans l'état de veille. Chap. IV,
e. (Voy. Bernheim. De a suggestion dans l'état hypnotique et dans l' état de veille. Chap. IV, p. 45.) REVUE DE PATHOLO
pendante de la volonté; « 8° Il peut exister, dans les différents états d'hypnotisme, soit une exaltation, soit une dép
vée par lui sur le cerveau d'un tabétique de cinquante ans, mort en état de démence paralytique avancée, entre l'écorce et
icile d'observer les patients, auxquels on en a prescrit, dans leur état d'hypnose. Mais, somme toute, sur deux cent dix
réalisé un complexus sympto- matique qui n'est point l'expression d' états hybrides et fusionnés, mais bien le résultat de
ires complexes, à la fois l'épilepsie et la vésanie ; mais ces deux états morbides res- tent indépendants dans leurs mani
n heure et constituer ainsi, auprès des deux autres, un troisième état morbide à physionomie spéciale. Il n'est pas té
e la vie embryonnaire, opinion à l'appui de laquelle vient encore l' état de la base du crâne défectueuse dans sa fosse p
omatiques et psychiques de la paralysie générale, sans qu'on fût en état de cons- tater de causes particulières. Au mome
s d'arrêt à propos de certaines byllabes ou de certaines lettres. L' état très avancé de la démence ne permet pas un exam
ninges molles, dans la région cérébelleuse, sontaussi minces qu'n l' état normal au-dessus des parties relativement nor-
s les symptômes. L'orateur fait remarquer que Kussmaul a observé un état sem- blable au moment de la période de convales
à M. Berlin si le symptôme observé par lui ne dépen- dait pas d'un état de faiblesse générale. Celui-ci répond que ses
t (de Fribourg). Contribution ci l'albuminurie transitoire dans les états convulsifs. Une malade de la clinique de Fribourg
amen de M. Manz), une névrite optique double. Puis, à la suite d'un état de mal per- sistant depuis plusieurs semaines,
roite est en- core considérablement borné, mais en bas et en haut l' état normal est presque revenu. Acuité visuelle et a
genou. Nul trouble de la sensibilité, du sens musculaire. Tel fut l' état qui persistait jusqu'en juillet 1883. Il y a qu
ésie totale. C'est un jeune homme de vingt-trois ans, présentant un état de débilité intellectuelle modéré, sans tare hé
ïe, goût, odorat) ou du sens musculaire, à la suite ou à propos des états que voici : 1, A la suite d'un accès d'épilepsi
lorsqu'il s'yadjoint un délire hallucinatoire; 2° A la suite des états d'obnubilation postépileptiques (stupeur, manie
ns spasmodiques, aura motrice et sensitive, etc.) ; 4° A propos d' états stationnaires post ou interparoxystiques qui, l
logique, résulte ce fait que la folie est toujours le symptôme d'un état , organique quelconque pyré- BIBLIOGRAPHIE. 38&
ntes. Il va de soi également que, si la res- ponsabilité n'est, à l' état physiologique que partielle, elle ne sau- rait
iologique que partielle, elle ne sau- rait jamais être complète à l' état pathologique. Ace propos, nous signalerons une
nforme à la loi de convulsi- 392 BIBLIOGRAPHIE. bilité du nerf en état de dystrophie, explique pourquoi l'évolution d'
iver que la mélancolie initiale soit le seul stade qui at- teigne l' état adulte (mélancolie simple et ses variétés), ou qu
loppement, la phase ou l'accès envi- sagé peut se présenter dans un état de chronicité telle qu'il y a évidemment sous r
es formes transitoires ne sont que les plus fortes explosions, d'un état pathologique existant depuis longtemps, ayant pas
de primitif), par Fritsch. 97. Albuminurie transitoire dans les états convulsifs, 3S0. Alcoolisme chronique, 225. A
ur cérébrale), 204. Epileptiforme (étude d'une nouvelle variété d' état de mal), 129, 277. Epilepsie (recherches cliniq
cyamine (action de l') par Richter de (Piaukow), 100. Hypnotisme ( état mental dans l'), 356). Hystei·ie, 121 ; - (at
d'- à forme d'épilepsie partielle (étude d'une nouvelle variété d' état de mal épileptiforme), par Ballet et Crespin,
), 379. Nerveuses (fibres à myéline dans l'écorce du cerveau, a l' état nor- mal et chez les paralytiques gé- néraux)
mak, 84. Paralysie infantile spinale exis- tant depuis trois ans ( état ana- tomo-pathologique dans un cas de), par S
, 389. Rage (commission de la), 127. Rapports medico-tegauxsories états mentaux douteux, 360. Bestraint, 355. Réact
70 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
e l'évolution de l'art de la gravure, depuis sa naissance jusqu'à son état actuel. En effet, on pourra être surpris de renco
ce du ventre qu'on peut, sans être taxé d'exagération, rapporter à un état de grossesse manifeste. Un jeune guerrier imber
peu étonnée : les -tantes étaient radieuses. Je les laissai dans cet état et partis aussitôt en leur disant : « A demainJ «
ainJ « J'avais fait ce que quelques-uns appellent la suggestion à l' état de veille. Nous avons maintes fois entendu ici et
cette expression. Je partage entièrement son opinion sur ce point. L' état de veille dans lequel se trouvait cette jeune fil
tat de veille dans lequel se trouvait cette jeune fille n'était pas l' état normal, mais un état spécial dans lequel, par sui
quel se trouvait cette jeune fille n'était pas l'état normal, mais un état spécial dans lequel, par suite de l'influence de
, dominait tout son être psychique. N'est-ce pas, du reste, par cet état que passent tous les sujets qui s'endorment? Ce n
assent tous les sujets qui s'endorment? Ce n'est plus véritablement l' état de veille normal, c'est un état d'émotîvité dans
orment? Ce n'est plus véritablement l'état de veille normal, c'est un état d'émotîvité dans lequel il y a comme une première
ion de la suggestibilité de chacun. Suggestionnée par moi, dans cet état spécial, la jeune fille dormit profondément toute
n'avait pas disparu, les règles n'étaient pas encore revenues, mais l' état général accusait une amélioration des plus satisf
énible. Pour être plus certain du succès, je ne me contentai pas de l' état émotif dans lequel je venais de faire une suggest
ante, les suivants. Tout d'abord, c'est un délire somnambulique, un état second. Le champ de la conscience est tout entier
e la plupart des névropa-thies et psychopathies, et dans la période d' état de ces affections ; c'est là, un fait d'observati
y a identité entre le mécanisme de production des deux sommeils, de l' état d'engourdissement psychique et organique qui les
organique qui les caractérise. Ce qui confirme l'identité de ces deux états , c'est que le sommeil ordinaire se transforme en
rritables; il n'y a aucun inconvénient à les « laisser plongés dans l' état d'hypnotisme pendant plusieurs « heures consécuti
urée plus ou moins prolongé, » dans le traitement d'un grand nombre d' états nerveux. Ce « sommeil est éminemment réparateur,
t par moment un besoin impérieux de mordre ses mains pour apaiser son état morbide, une hypéresthésie de la région pelvienne
fixer mon regard et, en une minute, il tombe en catalepsie. Dans cet état , je lui suggère avec insistance sa guêrison proch
ette seconde séance je me borne à m'occuper de ce symptôme. Pendant l' état hypnotique je lui fais boire un demi-verre d'eau.
rois minutes, je l'hypnotise; il tombe en catalepsie légère. Dans cet état je lut suggère, a plusieurs reprises, la disparit
ier, c'est-à-dire pendant cinq semaines, une fois par semaine. Dans l' état hypnotique, la rigidité des membres à dcml-par.il
able. Sou caractère était change et à ce point que la mère y voyait l' état d'un enfant en délire et qui devait mourir bientô
t, depuis le temps, et rien, dans son apparence, n'accusait un pareil état . Était-ce du trismus hystérique? J'avais déjà o
e la catalepsie elle conservoit cette même attitude. 3* Si dans cet état quelqu'un élevoit un de ses bras, fléchissoit sa
s marques de sensation. 7* Enfln, elle se tirait d'elle-même de cet état sans aucun secours, et aucun remède n'en abrégeoî
avec une vivacité et un esprit qu'on ne lui voyoit jamais hors de cet état , elle cbangeolt quelquefois de propos et sembloit
a journée, ne sachant d'ailleurs rien de ce qu'elle avait fait en cet état . Vers la fin de mai de la même année, tous ces
te promptitude à faire tous les mouvements volontaires? Il faut que l' état des cataleptiques diffère intérieurement bien peu
ontracte la syphilis ; puis il souffre de dépression physique et d'un état neurasthénique complet avec sensation de casque,
bservation du même sujet soit prise par divers médecins, étudiant son état pathologique à l'insu les uns des autres. On arri
émontrent l'hypersugges-Ubilité que présente cette personne, même à l' état de veille. M. le Secrétaire général annonce à l
vingt-quatre heures, et la malade resta après la dernière dans l' état léthargique où elle est encore aujourd'hui (7 avr
ontaire, devint aussi très rare ; les règles ne reparurent pas. « L' état de calme léthargique était interrompu a des dista
le verrons plus loin, qu'a la période terminale. A cette époque, l' état de M. B. entra dans une phase stationnaire, marqu
ment d'une grande crise d'hystérie semblable à celle du début- de son état SUPPLÉMENT A LA REVUS DE L'HYPNOTISME. — N* 3
tation morbide des centres thermogènes constatée pendant la période d' état avait fait place a une dépression telle que l'inf
s les deux séries d'attaques qui ont marqué le début et la fin de son état morbide. Cela expliquerait la perte du souvenir d
Ce cas démontre la possibilité de vivre de nombreuses années dans l' état de sommeil hystérique et la possibilité de surviv
permettre de résister aux causes d'affaiblissement résultant de leur état morbide spécial. Il est non moins nécessaire de
assé pendant son sommeil ; il n'en résulte pas que pendant ce dernier état , elle fut totalement inconsciente. Son état secon
as que pendant ce dernier état, elle fut totalement inconsciente. Son état second, seul, était impressionné. Au réveil, c'es
ciente. Son état second, seul, était impressionné. Au réveil, c'est l' état prime qui reparait; et l'on comprend qu'il ignore
reparait; et l'on comprend qu'il ignore le contenu psychologique de l' état second. M. Voisin. — Il est curieux de constate
hysiquement et mentalement funeste. Je disais expressément ceci : « L' état d'incapacité, d'inertie mentale de cette malade,
la malheureuse fille comme folle dans un grenier. Pendant un mois son état ne subit pas de notable modification. Ccpcndunt
er. Elle reconnaît son entourage, sa gaité revient, elle recouvre son état normal, sans avoir le moindre souvenir des événem
Enfin elle présente une suggeslibililé tout à fait extraordinaire à l' état de veille. Les cas de ce genre sont tris fréq
tente mais prolongée) l'avant-bras d'une malade hémianestbésique, à l' état de veille. Au bout d'un temps relativement court,
rmez pas, etc. » Il y a quelques jours encore une malade tombait en état d'hypnose dans mon cabinet, pendant que je causai
d'une différence et par produire ainsi l'ani-déisme, c'est-à-dire un état psychologique très favorable à la suggestion. Dan
il ne peut trouver trêve ni repos, pas plus le jour que la nuit. Cet état lamentable dure depuis deux mois; aucun médicamen
de. Par la fixation du regard, elle est légèrement assoupie; dans cet état , je lui frictionne la fesse et la cuisse, le long
t devient très mélancolique. Pressée de questions sur la cause de cet état , elle répond qu'elle a été frappée par la mortsub
ntôt se rendort. Pendant les trois mois qui suivent, elle présente un état général de sommeil avec, de temps en temps, des r
Dans l'urine rien de pathologique. La force musculaire correspond à l' état général de la malade. Couchée, elle fait très lib
e ne me donno aucun succès. Je provoque alors chez ma malade un léger état hypnotique, puis je lui ordonne de se lever et de
paupière supérieure tombe et elle entre immédiatement dans un profond état de somnambulisme avec amnésie complète au réveil.
de l'extraction. Je lui propose de faire en sorte qu'cllosoît dans l' état d'hypnose quand le dentiste la lui enlèvera; mais
me consulter en cas de rechute, j'ai donc tout lieu de croire que son état de santé est suffisamment bon et qu'elle n'éprouv
agit avec force, résiste victorieusement et se maintient en excellent état . Mais ce sont là des cas particuliers. D'une
l'embarquement. La plupart des personnes suggestionnées, même dans un état hypnotique très-léger, ont été indemnes du mal de
tible, car II faut compter avec los qualités nautiques du navire et l' état de la mer ; mais le procédé est rationnel et on n
me, etc. (cas de Coromilas) empêchent l'apparition du mal de mer. Ces états forts accaparent toute la conscience, font dériva
ns de fer, etc. produisent, à terre, chez certaines personnes, un état identique au mal de mer, à l'intensité près. Ce v
nt très petits. ¦........ Suit une description très complète de l' état des organes Internes, dans laquelle il nous parai
main. Non seulement elle était femme, mais de plus elle était dans un état de grossesse avancée. Le clergyman n'avait pas de
re à lui seul à faire éclorc un délire ; les analogies entre ces deux états sont de pure apparence; lorsque le réve et le
individu, ils ne sont, ils ne peuvent êlro que la manifestation d'un état pathologique du cerveau ; le rêve, lorsqu'il préc
rsqu'il précède le délire, peut être la première manifestation de cet état , mais rien de plus; il fait prévoir le délire, il
it été de mieux en mieux, et avait même augmenté de 5 kilog. Mais l' état mélancolique que j'avais constaté et dont elle av
pourrait l'en débarrasser. Je l'interrogeai donc en détail sur son état psychique. Elle me dit qu'en outre d'un mal de
t môme dans mes sentiments et mes sensations. » Elle a peur que cet état ne la pousse au suicide. Cependant elle n'est pas
on sommeil, les suggestions qui me parurent le plus appropriées à son état , je lui prescrivis, en oulre, des toniques du sys
plus intéressant d'observer l'influence de l'hypnotisme seul sur cet état spécial, mais pour le plus grand bien de la malad
moins, j'ai pris ce titre, parce qu'il m'a paru traduire exactement l' état de la malade dont je viens de vous parler. Quand
il. Mais nous connaissons tous et l'avons éprouvé plus d'une fois cet état spécial qui précède souvent le sommeil, état
plus d'une fois cet état spécial qui précède souvent le sommeil, état intermédiaire, dans lequel, sans perte de la cons
ou qu'une cause quelconque nous réveille, nous nous trouvons dans un état psychique qui, suivant l'expression de Bertin, es
orte de délire physiologique. Les causes les plus fréquentes de cet état de demi-sommeil sont la fatigue intellectuelle ou
prolongé dans une salle surchauffée ou insuffisamment aérée. Et cet état diffère de la somnolence proprement dite, car il
mble de notre activité. Il ne saurait non plus être confondu avec l' état de distraction qui constitue une véritable infirm
symptôme de maladie. Chez ma malade, il n'y avait ni somnolence, ni état de distraction, mais bien réellement uu demi-somm
ur Raymond. Cette jeune fille est âgée de 19 ans ; elle vit dans un état de rêve ; pour tout ce qui n'est pas son reve, el
ssant, rapide à sept ou huit oscillations par seconde, persistant à l' état de repos, exaspéré à l'occasion d'une émotion ou
'a été accompagnée d'aucune modification dans le caractère, ni dans l' état mental. Ce qu'il y a de plus frappant c'est qu'on
a poursuite d'un ennemi victorieux n'était venue changer ce dangereux état . La bataille indécise de dix jours autour de Mo
miez pas votre malade? — Non. — C'était donc de la suggestion à l' état de veille. Je ne suis pas de cet avis. La malad
ait d'elle-même d'un pouvoir sur elle, se mettant d'elle-même dans un état de soumission vis-à-vis de lui et cela sans contr
ui oserait prétendre qu'influencée aussi diversement elle fut dans un état de veille complet et normal. Il y avait chez el
léger, très léger, c'était do l'hypnose. En un mot elle était dans un état spécial, dans celui de l'attente. Et son sorcier
harme opere. On l'attend, on trouve qu'il ne vient pas assez vite ; l' état d'attente se transforme en attente anxieuse, on p
itement éveillées, on est entré avec une volupté incomparable dans un état spécial, qui est l'hypnose de l'attente. Si je me
étendre que. dans tous les cas de sorcellerie, le grand facteur est l' état d'hypnose et qui dit sorcellerie dit hypnotisme?
nt elle ne se sentait pas le besoin au départ, n'est-elle donc pas en état d'hypnose? Et les gens arrêtés bouche béante deva
nombreux doivent être les gens qui, étant éveillés, sont pourtant en état de sommeil léger, en un mot d'hypnose. Eh bie
Eh bien, tous les gens qui s'adressent aux sorciers sont eux aussi en état d'hypnose. S'ils ne sont pas attirés, fascinés pa
phénomènes. D'un celé un dominateur, de l'autre des dominés dans un état d'attente, ce sont bien, ce me semble, les mômes
âteuse. Le 15 avril, commence le traitement par la suggestion à l' état de sommeil; la malade est endormie dès la premièr
eurs, vous parler de la neurasthénie, en tant que représentée par les états spéciaux observés chez les nerveux, terme génériq
r, en 1895. prouvant une fols de que, chez certains grands esprits, l' état de maladie peut ne pas entraver la puissance inte
lessi fréquentes dans la vie, deviennent les facteurs quotidiens d'un état de dépression nerveuse qui se traduit, chez les p
s beaucoup les trois quarts de nos dirigeants, mal préparés pour leur état et insuffisants dans leur social actuel. L'éduc
— ainsi que, plus tard, le jeune soldat —, le plus vite possible en état de se conduire et de se tirer d'affaire lui-mêm
Insignifiantes. Xous les trouvons. Messieurs, chez des individus en état de prédisposition originelle, de dégénérescence p
nérés. Ce déséquilibre particulier n'est, pour nous médecins, que l' état de moindre résistance d'un système nerveux resté
réservé aux seuls prédisposés héréditaires. Aussi peut-on dire de ces états , véritablement constitutionnels, ce que nous diso
quand la prédisposition héréditaire existe et quand Ton se trouve en état d'infériorité préalable du système nerveux. Mais,
èse décidément trop exclusive, de Max Nordau, lorsqu'il affirme que l' état de « dégénérescence » est le lot nécessaire de l'
anité actuelle. • » Si l'hystérie est souvent caractérisée par un état réel d'aboulie, avec un rétrécissement du champ d
es aberrantes dont il s'est fait une loi. • Nous devons ici faire état de ce que, à partir de l'époque de la puberté et
isément les plus fréquentes chez nos sujets de tous les genres. Ces états latents se dévoilent et s'exaspèrent, nous le sav
e manière certaine que la collectivité ne fait qu'aggraver ce fâcheux état . Ainsi, en lisant les récits des différentes at
nerveux peuvent coïncider avec des apparences physiques trompeuses. L' état psychique ne répond pas toujours à l'aspect extér
etc.. En résumé, en dehors de l'hérédité, nous signalons, pour 1'* état nerveux », deux causes étiologiques d'ordre contr
le et cessent de réagir contre les impressions sensitives. Donc, deux états auxquels nous devons pourvoir. (I) Voir Revue J
vreuse, la h&te fébrile, se trouve être le principal facteur do l' état nerveux.... Or, ne rien précipiter, ne pas se hât
sensations pénibles vont de pair et constituent un cercle vicieux; l' état d'anxiété et l'instabilité vaso-motrice s'entreti
e la surprise subite, elle est dans une certaine mesure imputable à l' état de déchéance physique : le trouble physique gross
arrière, tombés, sous l'influence de préoccupations intenses, dans un état d'épuisement nerveux, de neurasthénie viscérale a
d'abandonner leurs fonctions, pour ne songer qu'au traitement de leur état spécial, traitement, nous devons le dire, aboutis
en en service, il pouvait sans hésitation parcourir la même voie. Cet état dura trois années et il ne fallut rien moins qu'u
pétées que rien n'y pouvait faire, sinon le remède obligé d'un pareil état de phobie invincible, le transfert du sujet dans
ues toute l'attention qu'elles méritent, d'autant plus que ce genre d' état peut conduire À des résolutions extrêmes, déserti
généralement ces phobies comme l'expression de sensations normales en état d'exagération pathologique par suite de la nutrit
auses qui retenaient celte science, la plus difllcile de toutes, à un état embryonnaire. Il comprit la nécessité de la faire
bsolue de se mouvoir, de parler et de penser. C'est pour désigner cet état que le physiologiste Preyer a créé le mot calaple
e cette aboulie motrice, partielle ou généralisée, est comparable aux états d'inhibition que les manoeuvres d'hypnotisme prov
d'une intervention expérimentale ; la peur, au contraire, réalise un état d'hypnolisme fortuit. Le mécanisme intime est le
L'homme, dépourvu de tout pouvoir de contrôle, se trouve donc dans un état analogue à celui d'hypnotisme qui est, comme on l
ns un état analogue à celui d'hypnotisme qui est, comme on l'a dit, l' état d'hypersuggestibilité. On sait avec quelle irrési
out d'un coup, comme par une explosion qui remplace instantanément un état de fluctuation dont nous avions instinctivement l
renseigner sur l'efficacité probable du traitement. 2* Provoquer l' état d'htpnose ou tout au moins un état passif, c'est-
le du traitement. 2* Provoquer l'état d'htpnose ou tout au moins un état passif, c'est-à-dire un état physiologique caract
uer l'état d'htpnose ou tout au moins un état passif, c'est-à-dire un état physiologique caractérisé par la suppression et l
le, c'est que ces exercices, impuissants-lorsqu'ils sont exécutés à l' état de veille, deviennent d'une efficacité remarquabl
efficacité remarquable lorsqu'ils le sont chez le sujet plongé dans l' état d'hypno-tisme. C'est sur cette constatation que r
n lui-même, ce phénomène consiste en ceci : Un sujet, placé dans un état particulier, que nous appelons état média-nique,
ceci : Un sujet, placé dans un état particulier, que nous appelons état média-nique, est capable d'exercer sa force sur c
lacement de l'aiguille varie suivant les personnes, et surtout avec l' état de santé des individus. Nous avons constaté che
it attiré par lui. Après ces constatations faites sur des sujets en état de santé, il était intéressant de rechercher comm
nées par le sthénomètre, en même temps que les malades revenaient à l' état normal sous l'influence des bains de lumière colo
ippe, la longue convalescence, les neurasthénies, le paludisme et les états infectieux. PRIX : 3 fr. 50 Solution §romurée
rveux de l'estomac, la lièvre paludéenne, la dysménorrhée et tous les états dans lesquels l'anémie est associée à l'épuisemen
ien le voir. III. — Psychologie des Parias. — Quel a bien pu être l' état d'àmc de ces infortunés mis hors caste par la vol
ces deux définitions, que devient la suggestibilité, au moins à l' état de veille? Elle n'a plus sa raison d'élre. Car to
s ou moins développée; soit, mais elle est. On devra donc dire qu'à l' état de veille, chacun de nous possède une plus ou moi
ont que très difficilement, sinon même jamais, par psychothérapie à l' état de veille. Us ne guériront que par psychothérapie
iront que par psychothérapie hypnotique. L'hypnotisme est, depuis l' état de veille jusqu'à la léthargie la plus complè
ent progressif. Il suffît de lire les descriptions qu'ont données des états de l'hypnose les divers auteurs pour voir combien
lleurs, c'est une erreur grave de vouloir plonger les malades dans un état de sommeil profond. Il suffit, en général, de les
rofond. Il suffit, en général, de les hypnotiser au minimum. Dans cet état d'inhibition léger, que les ignorants de la quest
mmeil hypnotique, les raisonnements porteront qui tout à l'heure, à l' état de veille, étaient impuissants. Car j'insiste sur
nit presque toujours par se laisser convaincre, car, en le mettant en état d'automatisme minimum, on a précisément et simple
on ou de la persuasion. Quand ce no serait que chez les gens qui, à l' état de veille, ont une faculté de contrôle à peu près
qui s'adressent à nous ont été souvent soignés par psychothérapie à l' état de veille, et cela sans aucun résultat. Ils vienn
us ou moins complètement, la volonté de l'individu et de le mettre en état passager d'automatisme, dès l'instant que laguéri
de joie, d'exaltation, de délire. Comparaison précieuse des effets d' états émotionnels différents sur les mêmes organes, et
que cette malade, très intelligente, s tout à fait conscience de son état ; elle raconte très bien ce qu'elle éprouve ; mais
sédatif sur le cerveau, «t il. Dubois lui attribue la production d'un état psychologique qui no serait en somme qu'on léger
atique exclusive de la persuasion, c'est* i-dire de la suggestion s l' état de veille, dont les malades ne tardent d'ailleurs
. Les premiers symptômes que l'on observa chez elle, furent ceux d'un état de dépression bientôt suivie d'un accès d'excitat
é du menton (Pig. 48). Peu de temps après son entrée à l'asile, son état mental s'améliora,-on l'occupa à la buanderie ; m
os Incohérents, on l'envoyait dans la cour. Quand elle était dans cet état , elle marchait vite, se roulait par terre ou s'as
accouchement qui eut lieu immédiatement après la mort de son mari. Un état d'anxiété s'était manifesté pendant les derniers
11 sentait parfois le besoin d'uriner, mais pas aussi souvent qu'à l' état normal. Ce qui parlait aussi en faveur de la natu
nce, une hypotaxie assez accentuée se produit, le patient définit cet état un « engourdissement agréable. » Je lui suggère q
pontanément que des quantités minimes d'urine, puis, petit à petit, l' état normal s'est tout à fait rétabli. Discussion.
stions. Des séances successives de sommeil améliorent assez vite leur état , et alors la suggestion les Impressionne. A ces m
nt, il s'arrête au milieu d'un morceau, incapable de continuer. Cet état le désole ; il sent bien que, dans ces conditions
cupations, de chagrins et de surmenage, elle a de nouveau présenté un état névropathique dont je l'ai débarrassée par la sug
min de fer, sans nausées, vertiges ou même vomissements. Sur mer, son état était pitoyable. Elle en était presque dangereuse
é de chaque traversée. Le résultat fut la disparition complète de l' état maladif qui depuis l'enfance revenait à chaque vo
e femme environ cinq centimètres cubes de sœmnoforme et je provoque l' état d'hypnonarcose, tel que l'a décrit le docteur Pau
ements ont cessé ; le sommeil est calme et l'appétit revient. Voici l' état de la malade après la cinquième séance de narcose
bre, ses forces ont augmenté graduellement et qu'elle s'est sentie en état de quitter son lit la veille du nouvel an. A cett
y. Personne d'entre vous n'Ignore que, pour réveiller un dormeur en état d'hypnose, nous nous aidons de certaines manœuvre
s, et qui ne peut dormir. Je donne les Instructions nécessaires à son état , et pour l'endormir j'essaie d'appliquer la main
des névroses et des psychoses. Cette habitude vicieuse exerce sur les états névropathl-ques une influence désastreuse, car el
rrivé fréquemment dans notre pratique d'acquérir la certitude que des états névropathiques graves étaient entretenus par des
sthésies sensorielles très tenaces et très pénibles, des phobies, des états d'anxiété, des délires passagers, des troubles du
connaissance par la famille, a eu pour effet de mettre un terme à des états névropalhiques dont rien ne pouvait faire prévoir
euse et rare. Cette femme, en effet, a parfaitement conscience de son état et le raisonne ; dès qu'elle évoque une sensation
répond pas aux questions qu'on lui pose : cela milite en faveur de l' état mental hystérique. De plus, en septembre 1904, a
e sont que de l'agitation musculaire. Peu a peu, elle a manifesté cet état psychique spécial qui répond à son apparence cata
pu prévoir, n'ayant reçu sur place aucun des soins que réclamait leur état , ont été rapatriés à travers la Mandchourie, dans
femme barbue indique qu'on se trouve en présence d'un sujet doué d'un état mental anormal. (1) William Hills. Médical Time
cestral de l'homme. Dans ces conditions elle se rapprocherait par son état mental des individusdont la folie consiste surtou
donc pas la théorie du Dr Mercier. Entre les femmes à barbe dont l' état mental est normal et celles qui sont aliénées, il
ou bien encore la disparition de sa femme, abandonnant ses enfants. L' état psychique du sujet variera suivant les différente
e sujet, aucune importance, mais qui en se totalisant constituent cet état émotif. Cher, les sujets de cette catégorie,
recourt au vin et en boit jusqu'à l'ivresse complète : à mesure que l' état d'ivresse passe et que les centres cérébraux se r
tablir un point de vuo juste sur les alcooliques. C'est en étudiant l' état psychique du sujet qu'on arrive à s'expliquer pou
rem- placer par le dégoût du vin, chez le périodique remplacer l' état d'angoisse et de tristesse par un état de quiétud
chez le périodique remplacer l'état d'angoisse et de tristesse par un état de quiétude et de sérénité d'àme, très certaineme
on sur les alcooliques sans prendre en considération s'ils étaient en état d'ivresse ou non. L'expérience m'a démontré qu'il
pourquoi j'ai complètement renoncé à faire la suggestion au sujet en état d'ivresse, je ne la fais que le jour où il n'a pa
dégrisés. Quant aux alcooliques périodiques qui viennent chez moi en état d'ivresse, je leur prescris la solution d'hydrate
la plupart, au lendemain de la séance, se présentent dans un mauvais état . Ils n'ont pas bu depuis le matin et se sentent m
pourtant pas garantir le résultai efficace du traitement, tant que l' état psychique et le système nerveux du malade ne sont
t nous avons déjà signalé l'importance et dont le but est d'adapter l' état psychique et le système nerveux des alcooliques a
'alcool et la sérénité d'àme ; 2* elle adapte le système nerveux et l' état psychique des alcooliques aux nouvelles condition
'alcoolisme. Il est de première nécessité d'étudier scrupuleusement l' état psychique de chaque patient pour combattre ce mal
est purement psychique, il faut le combattre par un moyen qui vise l' état psychique et le modifie dans le sens voulu. Ce mo
sens voulu. Ce moyen, c'est la suggestion. Pour parvenir à refaire l' état psychique du sujet, il faut une période de te
avoir des récidives, puisqu'il n'y a aucune possibilité de refaire l' état psychique du malade dans une très courte période
(1). Trois cas principaux peuvent se présenter : l6 Le malade, en état de narcose, reçoit la suggestion curative, exacte
arcose, reçoit la suggestion curative, exactement comme s'il était en état d'hypnose ; 2- Pendant la narcose, le malade re
es. Citons des faits. Une femme de 30 ans, scrupuleuse, présente un état anxieux paroxystique. Elle se lamente, pleure, sa
ques anxieux viennent chez.moi uniquement pour dormir. Je les mets en état de narcose légère et, aussitôt, je me retire dans
donne les Illusions de son ancien toxique. IV. Mme L. R..., 35 ans; état nerveux indéterminé; idée fixe de jalousie ; croi
mais par l'absence du pouvoir sexuel. On a souvent confondu ces deux états dont l'Indépendance est plus fréquente qu'on ne l
sie conjugale ayant d'abord provoqué une exaltation du désir, puis un état d'impuissance complète. Obs. 5, financier, 38 a
l'arsenal thérapeutique est épuisé, sans le moindre résultat. Et cet état dure sans discontinuer depuis 28 jours. Entre t
ec elle, mon seul but est de la préparer à recevoir la suggestion à l' état de veille. Je tâche de produire dans son cervea
Ainsi, il me suffit de certifier la guérison pour créer chez elle cet état d'hypotaxie indispensable à l'idéoplastie. Le len
incitation verbale, je suis parvenu à obtenir chez elle l'hypnose à l' état de veille de Grasset. Dans cet état, qui doit
tenir chez elle l'hypnose à l'état de veille de Grasset. Dans cet état , qui doit être considéré comme la toute première
qui doit être considéré comme la toute première phase de la série des états hypnotiques, on peut encore observer tous les phé
este, on sait fort bien que la sommation hypnotique n'est autre que l' état de suggestibl-lité. Ce principe, qui doit être co
e dose de réceptivité a la suggestion. Elle se trouvait donc dans cet état extranormal, extraphysiologique qu'on appelle hyp
ns cet état extranormal, extraphysiologique qu'on appelle hypnose à l' état de veille. Quel est donc le mécanisme de cette cu
ater une corrélation entre ces mains lourdes, molles et humides et un état psychologique que l'on peut désigner sous le nom
ns sont molles sont dépourvus do décision, d'énergie, de volonté. Cet état des mains s'observe fréquemment chez les hystériq
enté de l'hyperhldrose très accentuée des mains, étalent revenus à un état normal. A mesure que leurs mains redevenaient sèc
olice saxonne furent requis pour arrêter une femme qui se trouvait en état de vagabondage et s'était rendue coupable de dive
t fussent entretenus par l'intervention d'une suggestion faite dans l' état d'hypnose. Mais il me prouva la réalité de cette
iystérique. Il nous fut facile de l'hypnotiser profondément. Dans cet état , de l'ancstliésio générale et des contractures fu
tôt à ce"tie agitation motrice succède un affaiblissement généra], un état d'asthénie tel que la malade ne peut plus faire u
oids qu'elle avait gagné à Meyzieux et se retrouve alors dans le même état où elle était avant son départ pour Lyon. C'est a
onstate, c'est qu'elle ne se rappelle pas l'émotion qui a précédé son état actuel, et qu'elle ne se rend pas compte de ce qu
e pas c'est qu'ils sont morts. Et ainsi existe un antagonisme entre l' état mental de Marie-Louise et les modifications que l
elte seconde personnalité différait de la personnalité normale par un état d'excitation sensilivo-motrice qui ne disparut qu
fait le plus intéressant de cette observation est, sans contredit, l' état psychologique de Marie-Louise, dont le caractère
t que du jour où elle se réveille complètement. On voit alors que cet état n'était qu'un état d'automatisme, un état létharg
le se réveille complètement. On voit alors que cet état n'était qu'un état d'automatisme, un état léthargique d'autant plus
ment. On voit alors que cet état n'était qu'un état d'automatisme, un état léthargique d'autant plus difficile à diagnostiqu
lée Jouissant de l'intégrité absolue de ses fonctions psychiques. Cet état de léthargie lucide est intéressant par lui-même
vilège qu'à son degré le plus haut. Nous affirmons qu'elle existe a l' état normal chez tous les hommes et que, par suite, sa
re dans sa vitalité ; surviennent les règles qui la mettent encore en état d'infériorité ; ses parents la couvent et ne cess
la boulimie, dès que la préoccupation de la nourriture s'installe à l' état de manie. Cette jeune ûllc est intelligente : e
71 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
héréditaires. — Mère nerveuse, ayant des tendances à s'évanouir. Cet état a cessé depuis dix ans environ. Père arthritique
rossesse, Mme P... fut en butte à des contrariétés incessantes, et en état de surexcitation. Antécédents personnels.— A l'
t mal ; mictions nocturnes inconscientes, constatation au réveil d'un état d'hébétude et d'une morsure de la langue. A ce
n trois mois, et il agit principalement sur moi par la suggestion à l' état d'hypnose. Les résultats sont les suivants : «
ctuelle. Il m'est arrivé ainsi d'améliorer d'une façon très marquée l' état mental de certains épilep-tiques. Dr Bérillon.
acité qu'elle avait perdu : ils reprennent goût à l'existence et leur état général s'améliore d'une façon très appréciable.
actions sont la résultante des forces qui sont en nous, l'hérédité, l' état de santé, le tempérament, on est forcé de reconna
que la persuasion intense, continue, autrement dit la suggestion à l' état de veille, peut donner des résultats surprenants.
sujets l'hypnotisme réussira lorsque la persuasion, la suggestion à l' état de veille auront été impuissantes. Les succès obt
sique que cet enfant est capable de recevoir pour ne pas aggraver son état et le précipiter dans des troubles mentaux de la
nts arriérés par M. le docteur Doyen. Est-il possible d'améliorer l' état des enfants arriérés par une opération ? Cette
quelques compresses stérilisées. Le malade, qui se trouvait dans un état presque syncopal après l'opération, dut subir que
lètement arrêtée quand le volet a été rabattu et la peau suturée. L' état actuel du malade ne semble pas faire présumer qu'
prouvent le blépharospasme, le bon fonctionnement des sphincters et l' état des réflexes. Vespaslen thaumaturge. « Pendan
and voit ses malades en ville, ceux qui sont traités à domicile, leur état ne permettant pas de se déplacer et ceux qui sont
tique n'était pas autre chose que le sommeil naturel avec, en plus, l' état de rapport avec l'hypnotiseur. Il ne considérait
port avec l'hypnotiseur. Il ne considérait pas que la suggestion, à l' état de veille, puisse exercer la moindre influence su
atique pour la fabrication, tout en étant moins dangereuse pour l' état général des individus qu'elle réclame. Les prop
ment cérébral. La seule indication qu'il crut pouvoir me donner sur l' état de la malade fut qu'elle lui adressait au confess
constater que la cécité laisse dans la conscience de ses victimes un état d'indifférence plus ou moins profond pour le mond
tat d'indifférence plus ou moins profond pour le monde extérieur. Cet état non seulement semble entraver la suppléance des s
perceptions qui lui restent. II. — Les aveugles qui échappent à cet état sont ceux qui, par une cause quelconque, ont dema
stérilité par M. le Dr Paul Joire (de Lille) La stérilité est un état morbide empêchant la reproduction de l'espèce. Le
stion hypnotique, nous permettra de rendre facilement ces malades à l' état normal. Je signalerai en troisième lieu des tro
arynx et du pharynx, mise en jeu et considérablement développée par l' état d'hypnose, est donc un des meilleurs moyens à uti
énéral, soit une insensibilité ou une sensibilité anormale, liée à un état psychique. Dans ces cas, c'est évidemment au tr
que la manifestation d'un trouble morbide ; mais aussi parce que cet état devient lui-même la cause d'une véritable maladie
occuper de ces malades ; il pourra toujours relever et fortifier leur état moral ; et le plus souvent comme nous venons de l
e l'obnubilation de sa rétiveté naturelle, le zèbre se trouve dans un état passif, analogue aux états profonds de l'hypnose.
iveté naturelle, le zèbre se trouve dans un état passif, analogue aux états profonds de l'hypnose. Dépourvu momentanément de
e, il subit la direction à laquelle il serait capable de résister à l' état habituel. La domestication n'est, en fait, qu'un
différentes. On appelle alors des gens sachant porter remède à cet état maladif Ils viennent. Certains d'entre eux disent
Polong, mais il lui reste un trouble maladif et son corps est dans un état de faiblesse très grande. Chez certaines personne
ntage de l'atmosphère suggestive que crée la présence de personnes en état de sommeil, qui favorise si bien la naissance du
umis à un examen rigoureux et né sont admis au traitement que si leur état justifie l'epoir d'une grande amélioration ou de
à leur aise, à gagner leur confiance, à me faire une idée juste de l' état de leurs organes. Le diagnostic de la maladie p
symptômes qu'il présente et finis par lui donner les conseils que son état exige, des règles de régime, d'hygiène etc. L
e l'engage à m'écrire de temps en temps, à me tenir au courant de son état , à m'avertir en cas de défaillance ou de rechute
que les seconds, étant donné que l'emploi loyal de la suggestion à l' état de veille et à l'état de sommeil leur permet : 1°
t donné que l'emploi loyal de la suggestion à l'état de veille et à l' état de sommeil leur permet : 1° de provoquer uq somme
leurs patients ; 2° de provoquer l'anesthésie chirurgicale qui met en état de subir des opérations graves, des accouchements
e arrive ainsi, vers l'année 1885, à ce que j'appellerai la période d' état , laquelle durera vingt ans. Elle n'articule jam
(de Thenelles) ou môme Gésine M... (de Grambke). En pleine période d' état , Bénita se conduisait comme ces aliénés qui, sous
second rebou- teur, les oscillations qui ont précédé la période d' état , le mutisme, l'anorexie persistante et le maintie
étudie et qu'il dirige selon leurs aptitudes de façon à les mettre en état de gagner leur vie lorsqu'ils seront rendus à la
Il nous semble qu'un certain nombre seront des êtres utiles ; mais l' état encore embryonnaire de la fondation ne nous perme
ités mentales, mais d'autant plus mal connues qu'on-se rapproche de l' état normal, et qui se traduisent ; au point de vue fo
enfant parmi les débiles. Comme je l'ai déjà dit, le diagnostic des états inférieurs de débilité mentale, idiotie ou imbéci
Diagnostic de la débilité mentale. A mesure qu'on se rapproche de l' état normal, la difficulté en même temps que l'importa
ue la contagion morale, mais ce qui peut être vrai pour ceux que leur état intellectuel classe dans la normale, est beaucoup
catégorie sociale, arriéré, vicieux, criminel, pour ne parler que des états qui nous occupent. Or, dès que l'enfant s'est f
plus fréquente encore chez les débiles, à prendre leur parti de leur état d'infériorité, à accepter même comme chose na
les idées fixes subconscientes du sujet, puisqu'aussi bien, dans cet état , il en garde le souvenir, alors qu'il les ignore
n, dans cet état, il en garde le souvenir, alors qu'il les ignore à l' état de veille. D'ailleurs, ce ne sont pas seulement l
de découvrir par ce procédé. Il est encore le meilleur traitement des états de mal et de somnambulisme naturels, puisqu'il pe
te, le concept mental qui l'obsédait. Nous savons, d'ailleurs, qu'à l' état de veille, un choc moral intense peut suffire par
tat de veille, un choc moral intense peut suffire parfois à ramener l' état psychique à son taux normal. Rappelez-vous l'hist
er l'idée fixe primaire, un véritable changement à vue s'opère dans l' état du malade. Les accidents actuels disparaissent ra
idents hystériques n'est, en somme, que la manifestation extérieure d' états émotifs persistants, dont la disparition est seul
onstitution nerveuse et le songe fait en quelque sorte partie de leur état pathologique. Mais, chez les personnes moralement
la manière des suggestions, s'exerçant sur des sujets plongés dans l' état hypnotique. Les pratiques religieuses ont pour ef
ses ont pour effet le plus manifeste de réaliser chez les fidèles des états extatiques qui ne sont en réalité que des états d
chez les fidèles des états extatiques qui ne sont en réalité que des états de fascination hypnotique. D'où l'influence si pu
sante de la suggestion s'exerçant chez les individus plongés dans ces états . L'Administrateur-Gérant : Ed. BERILLON. EX
rythmiques avec le courant Leduc, ramener à la vie les accidentés en état de mort apparente à la suite d'éleclrocution. A n
e rurale, dans un milieu où fleurit l'hystérie, pour ainsi dire « à l' état sauvage » et non comme « produit de culture ».
simplement qu'il n'y a ni crime, ni délit lorsque le prévenu était en état de démence au moment de l'action ; que le mot res
la loupe sur la reproduction. Le rire bestial de ce sujet prouve son état mental. (Fig. I). Comparons un autre sujet (fig
pourrait mieux comparer ce malade qu'à un léontiasis osseux. Mais cet état , décrit par Virchow, est si rare et si peu connu
l'hérédité nerveuse, quelquefois l'hérédité alcoolique qui créera cet état hystérique. Je l'ai recherchée d'une façon systém
térique n'est que la manifestation extérieure, visible, tangible de l' état hystérique, c'est en quelque sorte le cachet, le
ctions et intoxications, il aura bien des chances de vivre avec son « état hystérique » sans en être incommodé en quoi que c
érédité nerveuse qui crée l'hystérie, mais une hystérie qui reste à l' état latent sans se manifester au dehors. II — Genès
ggestibilité excessive, à une crédulité exagérée et surtout à un réel état d'aboulie. Le premier trait qui frappe ici l'ob
mpérance, l'alcoolisme chronique, l'ivrognerie, la fécondation dans l' état d'ébriété, les mariages consanguins, l'impaludism
ise de tous les signes d'une fissure à l'anus intolérante, amenant un état tel que nous fûmes obligé de penser à lui pratiqu
éder à un traitement par l'électricité, traitement qui le mettrait en état de pouvoir uriner seul, sans cathétérisme. Pendan
apie hypnotique. Dr Paul Magnin :Rôle de l'expectant attention et des états d'attente dans l'exaltation de la suggestibilit
ecin expert, dans le plus grand nombre, pourrait-on dire, il s'agit d' états pathologiques incomplets, intermédiaires... » Ce
trouve ! le plus souvent, être aussi un psychologue éprouvé. En tout état de cause, c'est lui qui, sur la question de respo
tral d'engager la suggestlblllté du sujet ; quant à la suggestion à l' état de veille, elle ne présente sans doute aucun des
l'amener, par l'examen réfléchi de son passé, à mieux comprendre son état présent. « La guérison est certaine si le malad
éparés. Les enfants seraient répartis dans ces classes d'après leur état de calme ou d'agitation, le degré de leur arriéra
ement des RECUEIL DE FAITS Une hystérique incendiaire pendant l' état somnambuligue par M. le Dr A. Cullerre médecin-
la Roche-sur-Yon. Les actes délictueux ou criminels accomplis en l' état de somnambulisme hystérique ou de condition secon
ade, ainsi que de ses écrits, il ressort que c'est dans une période d' état second, de somnambulisme délirant, en un mot, aya
epsie, anorexie, vomissements, myasthénie, cryesthésie, etc. Dans cet état , la mentalité ne semble pas foncièrement altérée
ée ; la malade devient, à la vérité, morphinomane, ce qu'explique son état de souffrance habituel et sa déséquilibration ner
e, d'homicide, et les impulsions nuisibles les plus variées. Dans cet état , qui est toujours un état second, un état de cris
lsions nuisibles les plus variées. Dans cet état, qui est toujours un état second, un état de crise avec vie somnambulique,
les plus variées. Dans cet état, qui est toujours un état second, un état de crise avec vie somnambulique, la malade se fût
s, une véritable mentalité criminelle. Pour comprendre quel était l' état de notre malade au moment où elle a commis l'ince
exclusive, la mère de leurs petits-enfants. Soudain, du fait de cet état émotif intense et systématisé, aidé sans doute de
r que, dans un amoindrissement suprême de sa personnalité réduite à l' état d'automate, elle succombât enfin à l'obsession. »
adie, surtout si elle se prolonge quelque peu, laisse toujours dans l' état mental de l'enfant des séquelles mentales qui aff
rendre les enfants bien sages. * A côté de ces cas nombreux où un état pathologique a été le point de départ de l'indulg
un enfant chez lequel la disposition à la désobéissance est devenu un état habituel, je n'hésite pas à déclarer que cet enfa
égénérescence mentale, l'indocilité n'est pas fatalement causée par l' état pathologique, elle peut également être rattachée
ng desquels il faut placer la suggestion hypnotique. Par elle, dans l' état d'hypnose, il devient possible de cultiver le réf
titue l'élément fondamental. Les enfants indociles et insociables à l' état de veille, deviennent immédiatement malléables et
es et éducables dès que l'on a pu obtenir chez eux la production de l' état d'hypnotisme. 11 est môme très remarquable de con
er avec quelle intensité le réflexe d'obéissance se manifeste, dans l' état d'hypnotisme, chez des sujets qui, à l'état de ve
ance se manifeste, dans l'état d'hypnotisme, chez des sujets qui, à l' état de veille, en paraissaient dépourvus. C'est ce qu
. C'est ce qui explique la nécessité de recourir à la production de l' état d'hypnotisme qui permet d'accentuer la puissance
rêt soudain de l'évolution intellectuelle. Malgré tous les soins, l' état de cette enfant est demeuré stationnaire. Par con
ar l'intermédiaire d'images représentatives ; elles se représentent l' état qu'elles désirent reproduire. Il faut admettre qu
olfactive. Dr Dhotel (de Poix) : Etat de la pupille dans certain ! états d'attention. Dr Jacques Bertillon : Considérati
ssionnels de l'athlétisme. gymnastique ou un jeu quelconque. Leur état n'est donc point dû aux exercices auxquels ils se
pour ainsi dire humiliés de leur faiblesse et de leur gaucherie ; cet état d'infériorité les décourage et bientôt ils renonc
e devrait cesser d'être actif et utile. La race devrait sortir de son état d'hypnotisation pour ce qui concerne la jeunesse
de son impuissance à le faire. La suggestion hypnotique modifia cet état psychique en introduisant, dans l'esprit de la ma
mplètement ou provisoirement détruit, si cette disparition tient à un état pathologique, ou si cet instinct maternel a été p
ù l'on allait l'inhumer. Désireux de s .avoir si je pouvais faire état de ce cas et le présenter comme authentique d
lors, à l'Ecole de psychologie, sur les sommeils pathologiques et les états de mort apparente, je lis une enquête dont j'expo
ngères encombrent et déshonorent la littérature spéciale relative aux états de mort apparente. Toutefois, entre la crédulit
pplications. D' Dhotel (de Poix) : Etat de la pupille dans certains états d'attention. Dr Jacques Bertillon : Considérati
à l'infanticide. M. Podiapolsey (de Saratow). — De l'influence des états psychiques sur les changements de couleur des che
lirante. Dès ce moment, son esprit en demeura troublé. Ce fut dans un état demi-conscient et l'esprit déjà confus qu'il fut
; de plus, il n'est jamais tenu aucun compte, dans cet exercice, de l' état des viscères ni des grandes fonctions physiologiq
implement qu'il n'y a ni crime ni délit lorsque le « prévenu était en état de démence au moment de l'action ; que le mot « r
me qui puisse se targuer d'avoir, une seulefoisdans sa vie, réalisé l' état de liberté dont parle cette définition ! Plus q
que de s'attarder à une vaine . logomachie qui laisse les choses en l' état . • Je voudrais résumer en quelques mots mon a
ximum de peine ou accorder des circonstances atténuantes eu égard à l' état de maladie du sujet. En cas d'irresponsabilité, n
-, ques progrès, la pathologie nerveuse serait restée tout à fait à l' état d'ébauche ; et les lésions organiques du système
'hypnotisme. Dr Dhotel {de Poix) : Etat de la pupille dans certains états d'attention. Dr Jacques Bertillon : Considérati
ce qu'on attribue aux spectres : c'est ce qui a amené à désigner leur état par les mots de visage spectral. Ces personnes, b
l'habitude- Dans deux autres cas, le visage spectral était lié à un état d'anémie profonde et de neurasthénie \ l'intensit
es cas, a disparu en même temps que les malades se rapprochaient de l' état de guérison. Je serais reconnaissant à mes confrè
ce sujet, l'opinion la plus courante sur les motifs qui ont créé cet état de stagnation et même de régression de la Turquie
oups et blessures réciproques,et dire : « 1° Si le prévenu était en état de démence au moment de l'acte, dans le sens de l
simplement qu'il n'y a ni crime, ni délit lorsque le prévenu était en état de démence au moment de l'action ; que le mot res
ultère). Le cas de force majeure. Le cas de légitime défense. L' état d'ivresse (n'entraînant qu'une atténuation de pei
rdé le souvenir des actes qui lui sont imputés, s'il se montre hors d' état d'en apprécier la portée, s'il s'exprime d'une fa
. Ils reconnaissent que, de toute évidence, l'aliéné agité est hors d' état de comprendre quelquechose : « Nec furiosi ullum
rticulier, la débilité mentale légère : insania juncta stultitiœ. Cet état n'est pas dangereux, puisqu'il permet de vaquer à
, aliénâtes mentis » C). La constatation de l'un ou de l'autre de ces états (1) En ce qui concerne le fou, s'il n'a pas de
r de punir l'accusé en cas de simulation et celui de le mettre hors d' état de nuire, si la folie était furieuse, le texte la
si conçue : « Il n'y a ni crime, ni délit lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l'action. » (8) Modestin
sage, et dont le sens étymologique n'a pas cessé de correspondre à un état défini, qui est celui de pouvoir répondre d'une f
n'avaient pu trouver jusqu'à ce jour. Qui de nous n'a été frappé de l' état mental de ces ouvriers qui, à tout prix, veulent
rue dans le dernier numéro par laquelle je signalais l'existence, à l' état permanent, chez certaines jeunes filles ou jeunes
ades mais la charpente estrestéela même ; le fond n'a pas changé et l' état mental de l'hystérique est aujourd'hui ce qu'il é
. Les hystériques confirmés ne sont que des vigi- lambules dont l' état de sommeil est plus ou moins profond, plus ou.moi
es peuvent être séparément ou simultanément inhibées ou excitées, ces états d'inhibition ou de dynamogénie étant susceptibles
. Mais encore faudrait-il tout d'abord savoir comment se comporte à l' état normal la synergie des hémisphères et à ce point
e serait celle d'une géante. Des émissaires cherchèrent dans tous ses états une jeune fille de stature démesurée. Ils la déco
la suggestion armée. 4. M. Podiapolsky (de Sataroff). Influence des états psychiques sur les changements de couleur de la p
let, Darwin en font également mention. Mais notre'connaissance de cet état morbide s'est] tout particulièrement enrichie dan
ne saurait être identifiée avec les idées obsédantes, mais serait un état émotionnel, survenant dans certaines conditions e
ont il s'agit, des troubles vasculo-nerveux, avec accompagnement d'un état émotif, peuvent se produire rien que par l'effet
eux qui, comme Raymond, Arnaud, Billod, P. Janet, envisagent tous les états d'obsession en général. Ces auteurs, en particuli
ement de la volonté d'arrêt, celte aboulie précédant l'apparition des états d'obsession. La conscience de l'affaiblissement d
t dans l'attente angoissante de nouveaux tourments, ce qui explique l' état particulier de leur émotivîté. Concentrant leurs
lé malade, mais même s'il lui semble seulement qu'on le regarde. Cet état est instable : tantôt il s'améliore, tantôt au co
on et son peu de foi en la guérison. Aussi nepuis-je rien dire de son état actuel. IL —Le 23 mai vint me consulterunemploy
citabilité du système vasculaire, liée, suivant toute apparence, à un état d'obsession, comme dins l'observation précédente.
nt mieux ; elle peut étudier et se promener ; elle admet déjà que son état ," si pénible, ne tardera pas à se dissiper. A la
21 octobre, après la dixième séance, la malade vient me dire que son état physique est maintenaut tout à fait normal ; elle
ue ses troubles avait disparu définitivement(1). De l'influence des états psychiques sur les changements de couleur des che
aratoff). A la mémoire du Professeur G. P. Mûnch. L'influence des états psychiques sur le corps est un fait des plus curi
isme. Je désire, dans la présente communication, étudier l'action des états d'âme sur le pigment. D'une part, nous connaiss
tion des cheveux qui. d'après ses observations, coïncidaient avec des états psychiques, maladifs ou sains. Le Dr Foustanos
ris au hasard, indiquent l'existence d'une relation étroite entre les états psychiques et la perte ou la reconstitution de la
ens Hébreux, Par M. L. Delmas (suite et fini. Les Prophètes, leur état mental . — D'après le Df Wulfîng-Luer, on les dis
ait pas considérée, chez les Hébreux, comme une maladie, mais comme l' état de l'homme possédé par une divinité. Souvent le
de délire. Mais il est un point fort intéressant à étudier, c'est l' état mental de ces prophètes. Une des conditions sin
peuples essentiellement croyants jusqu'au mysticisme. D'ailleurs, cet état mental était religieusement entretenu par les pro
ccordent à considérer le mysticisme comme aboutissant fatalement à un état mental particulier qui relève de la psychiatrie.
x malades, gravement atteints, qui m'interrogent à ce sujet : « Votre état est loin d'être désespéré ; mais, prendre ses der
e à lui, pour les esprits superficiels il est vrai, en suggestion à l' état de veille et l'hypnotisme dont ses premiers trava
pprimées par la simple éducation suggestive inhibitoire du malade à l' état de veille. Tous les autres phénomènes considérés
à la Société de Neurologie, est ainsi conçue : « L'hystérie est un état psychique rendant le sujet qui s'y trouve capable
e conférence faite à la Société de l'Internat le 28 juin 1907, est un état psychique spécial capable d'engendrer certains tr
perd toute ea valeur ; elle ne nous apprend rien sur la nature de cet état psychique spécial et se trouve réduite en somme a
rement à la suggestion, le processus mental qui aboutit au retour à l' état normal est raisonnable sinon rationnel, ou tout a
ier 1908. — Présidence de M. le D" Jules Voisix. De l'influence des états psychiques sur les changements de couleur des che
rofiter des circonstances favorables pour appliquer la suggestion à l' état de veille. C'est la guérison du paralytique à Cap
uggestions répétées. Le D' Pètroff a vu ud cas où un ordre unique à l' état de veille Ht lever le bras à un malade qui depuis
il naturel, — comme l'inattention, la frayeur, la grande émotion et l' état hypnotique — constitue un état dans lequel l'âme
on, la frayeur, la grande émotion et l'état hypnotique — constitue un état dans lequel l'âme est, pour ainsi dire, à nu, san
igne sous le nom de o persuasion » aurait peut-être amené ce rêve à l' état subconscient ; dans cet état, ce rêve fût resté p
ion » aurait peut-être amené ce rêve à l'état subconscient ; dans cet état , ce rêve fût resté pathogène ; seul l'hypnotisme
première crise. Depuis lors, le souvenir de ce rêve la fait tomber eh état second et lui donne, chaque fois, une crise très
e monoïdéisme qui est une des manifestations les plus frappantes de l' état d'hypnotisme pourra donc être utilisé chez les su
es idées fixes et les obsessions sont profondément enracinées. Dans l' état d'hypnose le malade est évidemment plus malléable
et les falsifications des denrées comme causes occasionnelles de cet état morbide, il insiste sur une bonne nourriture, une
lée et est soumis au traitement qu'on jugera le mieux approprié à son état afin de neutraliser les effets délétères du narco
dans l'Asile, quitte à reprendre le traitement. La timidité est un état pathologique qui se rencontre en Amérique comme p
e 200 cas de cette maladie et prône l'excellence de la suggestion à l' état de sommeil provoqué dans ces cas. A propos de l
mère intelligente. Alors que les remontrances et conseils donnés à l' état de veille ne suffisent pas à corriger certains dé
vité primitive. L'hystérie constitue pour lui un syndrome mental « un état psychopathologique caractérisé par l'hyperimpress
entalité sans qu'il faille d'ailleurs entendre par là qu'il existe un état mental spécial caractéristique de la névrose. Cet
ues. On est aussi en droit de se demander avec M. Cruchet « comment l' état normal de l'enfant s'est transformé en hystérie p
fausse par rapport à l'âge de l'en- fant ». De par le fait que l' état mental infantile peut, dans certains cas, exister
cas, exister chez l'hystérique, il n'en faut pas conclure que ce même état mental soit hystérique chez l'enfant. Les termes
onsidérée comme une diathèse prenant, en général, son origine dans un état constitutionnel du système nerveux, le nervosisme
; d. de ne pas retentir gravement sur la nutrition générale et sur l' état mental des sujets qui en sont atteints. » Pour an
omans permet d'affirmer que vingt-cinq d'entre eux étaient doués d'un état mental normal. Seize se sont même révélés comme d
s'observe encore aujourd'hui chez les animaux vivant en troupeau, à l' état de liberté. Tant que les sociétés furent peu ét
cependant de l'aider devant l'horreur de la mort. L'examen dénote un état somatique absolument normal, avec, toutefois, anc
rir » parce que l'on ne sait pas, s'il y a tout de même un enfer. » L' état somatique est complètement sain. Le confrère avou
ccasionnelle apparente, Alexandrine se réveilla un beau matin dans un état parfaitement normal. Pendant cette première pha
e ce moment, les règles revinrent, mais tous les quinze jours, et cet état ne se modifia plus jusqu'à l'époque où le traitem
es et ses méfiances ayant disparu, nous pouvons provoquer chez elle l' état d'hypnose pendant lequel elle ne cesse d'ailleurs
ues sons, notamment sur les voyelles A et E. Elle se trouvait dans un état à peu près analogue à celui où se trouvait une de
onfiante par les petits progrès réalisés déjà, ma malade était en bon état de réceptivité. J'ajoute que, par acquit de consc
nque de la peau ne provoquait plus aucune sensation de brûlure. Cet état de parfait équilibre s'est maintenu depuis. Alexa
hésies pharyngées ne se rencontrent que chez les sujets présentant un état mental particulier, qui les prédispose à s'occupe
boutit à la syphilophobie ou à la cancerophobie. En se basant sur l' état psychique et la notion du terrain, on peut distin
ar ne plus pouvoir l'en distraire. A côté des troubles sensoriels, un état mental particulier est indispensable. Suivant
rine. L'auteur ne s'est pas borné ù décrire, après tant d'autres, cet état de faiblesse nommée « Neurasthénie » et dont on a
minéralisation organique, de la réaction urinaire, du sommeil et de l' état mental. Un chapitre spécial est consacré à la des
ez le paysan, par Terrien, p. 121. Hystérique incendiaire pendant l' état somnambulique, par Cullerre, p. 156. Idiotie (L
Infanticide chez les animaux, par Lépinay, p. 210. Influence des états psychiques sur les changements de couleur des che
72 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ors, voulut bien nous éclairer sur le sujet. Il nous apprit que cet état était assez fréquent chez les jeunes gens, mais
ances à la campagne. Sous l'influence du repos et du grand air, son état s'améliora; mais, à la rentrée des classes, les
ications. Un autre retour à la campagne ne modifia pas beaucoup cet état . Au mois d'octobre suivant, il ne fut même pas
tte hydrothéra- pie, loin de soulager le malade, parut aggraver son état . Il fallut, au bout de trois semaines, renoncer
ne s'étend pas aux yeux, la vue est bonne, les pupilles sont dans l' état normal. A... commença son traitement le 1" juin
sser rapidement les phénomènes qui s'étaient produits, et amender l' état céphalique, comme cela m'a réussi dans tous les
ctuellement, à l'âge de vingt-trois ans, il est encore dans le même état qu'il y,a cinq ans. Observation III. -11. C..
mal de tête, accompagné d'étourdissements et de maux de coeur. Cet état , qu'on crut d'abord passager et'qu'on traita pa
bromure de potassium, résista à ces' moyens thérapeutiques. Seul l' état gastrique s'amenda ; mais les douleurs de tête pe
pendant la nuit, il conservait le sommeil. Au mois d'août, comme l' état ne s'améliorait pas, on emmena l'enfant à Ragat
ection nerveuse à ce défaut de la vue. Les verres, appropriés à cet état , ne lui ont du reste apporté aucun soulagement. L
y fit et, vers le mois d'août, l'enfant revint à Paris dans le même état . A Pâques, on tenta de remettre 4'enfant à l'éc
fant de sa céphalalgie, mais il n'en fut rien. Bien au contraire, l' état empira de telle sorte qu'il fut bientôt obligé
uels. Le De Bucquoy essaya en vain le sulfate de quinine contre cet état . Au mois de novembre, le Dr Bucquoy conseilla d
fois. La mémoire reste excellente. L'enfant est très affecté de son état ; il est animé des meilleures intentions et ne d
par jour, tout en suivant son traitement. Enfin, au mois de mai, l' état parut si satisfaisant au Dr Bucquoy, qu'il consen
remit avec ardeur au travail. Mais, au bout de quelques semaines, l' état céphalique reparut et s'aggrava rapidement. On
nt partit pour la campagne vers les pre- miers jours d'août dans un état excessivement satisfaisant. Il revint à Paris a
crainte ^d'une^méningite. -.L'enfant resta, deux ans,dans· le même, état "et, m'a été adressée, de nouveau,,il.y,a quelq
osséder, se retenir; il est absorbée par cette préoccupation de.son état douloureux; ou moral, ou physique; bientôt, il
35 admettre' qu'ils' aient réel leiiient,ltoiisci 1ciice. de leur état .'» Ce que j'ài observé ne me permet pas d'accepté
roxysme's.1 OepÚis¡lors",rajoütét-elle',ll¡] : coÍ1scie¡{ce de mon état - commenca à s'obscurcir, et aujourd'liuielle s
r la malade elle-même ne permet-elle pas('de suivre révolution de l' état de conscience dans un cas de manie linter- mitt
e saurait se comparer aux deux autres. 141 ? ,Lou. : . déplorez son état ,1 s'afflige surtout de la marche croissante de'so
rs à la suite de chagrins ou d'ennuis,' il était re- tombé dans cet état qu'il- comparait à'l'enfancedes vieillards. Il
ébété, se réfugiait dans.11 les.petits,;coins, ,tout honteux de son état .10oiitinuellement,ilqf cherchait et touchait au
t de montrer des, aliénés ayant accOlppli,aul milieu, d'un grandi état de dépression, des. tentatives de, suicide dont
, ,1., 'II 1)1J. ,Jtltl1J f ! 'r" t , 1 l' Il i l' n Si lës deux états d'excitation et de dépression pris" ,, \ j .d.
par l'expérience; Adèle¡,Sic ? .1 se résigne plus,volontiers, à un, état qu'elle sait passager. La transition au stade e
vraie Jolie ,3 puisque ,jeB,raisonne .sur¡¡,tout et ? même- sur mon état . J'ai seulement peur sans. motifs. C'est affreux
seule enfin avec son'amour. -Mm0 D à conscience de tout ce que cet état a d'anormal. Elle gémit' de sa situation, elle
it jours, fatiguent le malade. M. X.. : ne parle il personne de son état , toutefois, il en est inquiet; malgré lui, il a
U dont' elle avait aussi connaissance facilitait sans.nul,doute cet état passif de son être, auquel, désespérée, elle.es
straire par le suicide. Mule Es... vécut près de huit mois dans cet état ; les' facultés s'affaiblirent," la' conscience s'
,, en^ dépit ,dej ses' .efforts ? progressa.^ , Inquiète 1 Lçlç son état , des ravages chaque iour plus grands qu'elle cons
gé de. se -lever et de (se promener i dans -la-- campagne. 11 Cet-. état ,l ! dont. il r avait ,,con- science ? l'inquiét
nxiété. Le malade consulta un médecin, se soumit à un traitement^ L' état "ne s'iiméliÓPatpas ! f Au'bÓútlde')'quèÍqll,esJ
sur son'.compte toutes ses'souf- frances physiques. Un an'après, l' état était le même. Aucun symptôme paralytique ne s'
onfiance, dans ses hallucinations ? Jamais.je,n'lai, colis ? taté l' état ^'inverse. On°se méfié moins tde'ses'sensa- · r
'1'1 ? 1' ...1 -'JI.L , r .lr (l(*t,,3 ,[l7f ( une fois de plus, l' état physiologique se,, refléterait. dans l'état pat
( une fois de plus, l'état physiologique se,, refléterait. dans l' état pathologique. ' 'Toute systématisation-fait par
Au début delà maladie-, elle resta.une dizaine de jours', dans- un état , notable de dépression ;-puis, sous l'influence d
iquaient les>moyens de se,{ débarrasser 'des priez- mières : Cet état ,] avec le,temps; alla sans cesse en s'aggravant.
Ji 'accèpt"e pas d'ètre1folle,<'vu^qU->ellea'p''p'fécie'son'' état et qu'elle -n'est. pas dupe «de. son imagination)
,i;,t1 ,1· ? tpÍ ? \f1\." -*M,4,j ttr.t.t" ·rJ 7 M'.jif1,; e m ! 1 état psycho-sensoriel qu il constatait en lui-même. Au
sujet. ^représentation meritalé est) souvent automatique^ même,à L' état de santé ? quand ou,est;poursuivi par un souven
vqluLion;,frontate.,Lo(S27toi de Rolando est moins, profond, qu'à l' état normal et s'arrêle : ,à l un.e.1 crta ! ne J dis
, résumée du cerveau montre que, en maintes régions, on observe un état foetal ? ? II. Dans ce cas, de même que dans ce
indoue;' de Sh'o'ru : 1quï'eui; paraît-il, un enfant' mort-né ». L' état et le fonétionnen1ent' dês,orO'oâj{'es''gén'it'
vers, ne semble-t-il pas, plus rationnel de ! les rapporter. à ' un état morbide spécial qu'à,unc altération localisée. !
exophthalmie,'etc ? =elle est constituée aussi et s'ûrtout'par cet état nerveux particulier. que nous avons décrit 'plu
neçtrouvetPas7 du'ilfdtiaccompagné,d'aucunrsympt6me.qui annonçât un^ état morbide. , Tous, ceux ,qui on) étaient, affectés
outes les^ fonctions se faisaient régulièrement, en un mot, dans un état dc" parfaite santé*, 1'esF'on" pas" porté \ à" en
9 planches, 1881. VIII. DES mouvements DE l'iris chez L'HOMME A l' état physiologique, par G.-Jobissenne. (Extraitides.
s s'y tenira's51si1 ni 'manger seul.^Réduit' enmême° : tempst à » l' état » squeletliquo,i'sess membres n'ont aucune attit
mmum, 1>ien,·loin·d'êLre·progressive. Il y a ici, à la période d' état , prédominance de l'amyotrophie paralytique sur.
du nombre etidu volume 'des cellules' de'leurs' noyaux' passés 'à)l' état fibreux; ! Ces lésions, ressemblent ài celles q
onu'b alius x.1 L ,JrIj;Jfril75'til .Après une, rapide; revue"de'rl; état de,nos"copnaissances,surl'lié.1 mj¡p : IstJIi ,
'(1 Ik( aulrcs anoml¡]¡es de la.percepl1'bn'douloureuse, En outre" état fe- brile;' symptômes gastriques, affaiblisseme
ante à droite. Rien d'anormal quant à la réaction pupillaire ou à l' état oplttlralmoscopique. Exagération des réflexes pat
e plus* souvent qu'elle dans les'affections de la protubé- rance. L' état fonctionnel des muscles dont elle relève n'a au-
ord du côté gauche (facial; athétose de la main) pour aboutir à un- état de mal'de quinze jours; consécutivement, amnésie,
importance au point de, vue- médico-légal) ; ,par,Cb.t rt : nH ? L' état . mental ides hystériques al été (le sujet .d'ét
ecine, légale ? '" " On comprend sous le nom d'hypnotisme plusieurs états nerveux ? m ? t ? ? f ? t" < ? - 1,.... " J nr
, C ? '¡I ? IFn, types, fondamentaux^ : 4°, étal cataleptique; ' 2° état léthargique ; '3° état dé somnambulisme' provoq
fondamentaux^ : 4°, étal cataleptique; ' 2° état léthargique ; '3° état dé somnambulisme' provoqué : Nous allons' rappele
1 f . W 111 I « t , n .ment les caractères principaux de ces trois états . un ni m lu IU.1 ? J) JUI.lq J n. y, -n {'» l'1
par, l'occlusion avec compression 1 H. Iluchard. Caractère, moeurs, état mental des hystériques (Archives-de'Netirologie
) 8t : P' ? 2y -1\ "'\1 ,r 2 H. Legrand du Saulle. Les hystériques; état physique et état " mental, actes .insolites, dé
\ "'\1 ,r 2 H. Legrand du Saulle. Les hystériques; état physique et état " mental, actes .insolites, délictueux et crimi
NTES. , lit Il'' -, légère des'yeux/'etc. ;'2° consécutivement à' l' état cataleptique^ par l'occlusionldespaupires ou'pa
d'activité, le sujet se prête peu en général aux 'suggestions.. Cet état est donc. le moins inté- ressant au point de vu
é- ressant au point de vue spécial qui nousioccupe : tw m 1 -4, L' état cataleptique et l'état léthargique peuvent être l
e vue spécial qui nousioccupe : tw m 1 -4, L'état cataleptique et l' état léthargique peuvent être localisés ? en conserv
etc.). On le produit secondairement chez les sujets plongés, dans l' état cataleptique ou l'état léthargique en exerçant
condairement chez les sujets plongés, dans l'état cataleptique ou l' état léthargique en exerçant une friction légère ou
ne friction légère ou une simple pression, sur. le vertex. Dans cet état , qui correspond plus particulièrement àce qu'on a
la résolution des membres, est beaucoup moins prononcée, que dans l' état précédent. Mais, si, par l'excitation mécanique
la peau, etc., de produire une rigidité musculaire, spéciale, .un - état cataleptoïde différant de la contracture liée à
ions on peut provoquer des actes automa- tiques très complexes. Cet état est celui qui se prête le mieux à notre étude a
e prête le mieux à notre étude actuelle ? On peut faire cesser cet- état de som- nambulisme provoqué, soit, en ouvrant l
mant légère- ment les globes oculaires pour plonger le sujet dans l' état léthar- gique. SOCIÉTÉS SAVANTES. 125 Lorsq
ou à la calalepsie,,des phénomènes qui, appartiennent au troisième état . Il est indispensable, dans toutes les expérience
, déterminer, à chaque instant et d'une^manière, précise, dans quel état le sujet se trouve sous, peine d'erreurs graves
o : : mènes qui doivent, nous..occuper spécialement dans les divers, états de l'bypnotisme.,lCX9 l "J3q ou ! . Jn(W -m : ¡
Jn(W -m : ¡ ? ¡ , il, Ifi1 .ni, L l' 1., Nous laisserons de côté l' état léthargique, parce que, bien que la sensibilité
nstants a\antdc retomber dans l'immobilité cataleptique.'1 Dans cet état , les sens 'peuvent devenir le point de départ de
.g ? ère l'idée'de s'en servir. La nommée B ? 'étant plongée dans l' état cataleptique, on lui met dans les mains son 'croc
es conséquences possibles de- ces sortes d'actes suggérés'pendant l' état , catalep-, tique,» et qui ne peuvent laisser, a
lle, la sensibilité des membranes externes de l'oeil revient dans l' état où elle existe dans,la,yeille; Ce fait ,vient à
198, etc. l ' .m 1 j 128 SOCIÉTÉS SAVANTES. pendant la durée de l' état cataleptique, et suivies d'actes automa- tiques
lativement peu compliqués. Notons que l'on peut encore, pendant cet état , suggérer des hallucinations persistantes qui dur
onformément aux lois de la physique. III. Mais c'est surtout dans l' état de somnambulisme provoqué 1 que l'on peut étudi
erreur sur l'identité d'une personne : ' tollé 1 lyp'n'otique Il l' état '.de ? veille iy'prôdigüér. dest caresses à une
avec les zones hystérogènes, et dont le simple attouchement, dans l' état de somnambulisme provoqué, détermine des sensat
des illusions et des hallucinations, il est encore possible dans l' état de somnambulisme provoqué de suggérer des idées
ns les autres circonstances. Que l'on veuille bien considérer que l' état de sujétion de l'hypno- tique, n'est point en c
tique, n'est point en contradiction avec ce que l'on observe à l' état normal ; il s'agit seulement d'une exagération de
pour qu'il ne tienne pas compte des impressions antécédentes. A l' état normal, le temps qui s'écoule entre l'excitation
pendant plusieurs jours, elles finissent souvent par rester dans un état d'obsession permanente; elles sont pos- sédées,
e, nous nous sommes surtout attaché à montrer : 1° que, dans divers états de l'hypnotisme, il est possible de provoquer d
ec à la fondation des asiles pour buveurs et de faire reconnaître l' état d'esclavage psychique de ces malheureux.-Les mo
son expérience personnelle. L'épilepsie comprend aujourd'hui des états divers, quant à la violence, à la durée, à la fré
Duché de Wurtemberg, 7 p. 100 des aliénés sont épileptiques. Autres états allemands, 2,4 à 12,7 p. 100 des aliénés sont épi
seront dangereux pour la sécurité publique. ° Les personnes qui en état d'aliénation mentale ont commis un délit ou un cr
re d'aliénés. 6" Les personnes dont on instruit l'affaire ou dont l' état mental paraît douteux à l'époque de l'acte déli
nce même des alinéas précédents, sera envoyée aux gouvernements des états confédérés allemands ainsi qu'au chan- celier.
dre, non plus que l'inappétence qui l'ac- compagne, avec le mauvais état de la nutrition qui provient du délire morbide.
'asile con- firma le diagnostic : accès convulsifs Í'éguliers' avêc" états 1 d'obn'ubi- lation passagère, mais durant un c
as de conceptions en- chaînées ? ils. n'ont pas de but déterminé. L' état d'hypnotisme et l'obnubilation, de la connaissa
tres du patient, centres qui réfléchissent les mouvements. Dans les états d'obnubi- lation< psychique,, l'activité aut
upable lui font penser que l'individu a commis cette action dans un état de pro- fonde sommation somnambulique. 2° M.
)'c : ¡. l1T 111J ? l'Q, ),1,\ Il Discussion : Nasse. De semblables états se voient aussi,passaeere-; ment en d'autres mo
e de potassium, car ce médicament aurait tout à fait mas- qué son état . Nouaux, surveillé jour et nuit, à tous les ins
usion, d'incohérence, de puérilité; elles ne peuvent que refléter l' état mental de ces êtres, si pro- fondément déchus d
s, le seul fait qui importe, le seul qu'on doive retenir, c'est l' état de profonde déchéance mentale qui se retrouve p
de celles du début. A la fin de l'évolution vésanique, en effet, l' état mental est tout autrement affaibli que dans les
rés. Cette hypochondrie ne fait guère après tout qu'exa- gérer un état assez habituel chez les personnes âgées. La plu
s tètes osseuses qui la constituent sont plus volu- mineuses qu'à l' état normal. Il est facile de luxer la phalange sur
elles sont grisâtres, translucides et beau- coup plus grêles qu'à l' état normal. ^ Examen HISTOLOGIQUE, - Nerfs du membr
; rétention complète d'urines. Pendant le courant du mois de mai, l' état d'Olivier ne s'est pas sensiblement modifié. Ce
uche. Le sacrum présente à peine un peu de rougeur. Le 13 juin, l' état général est très mauvais ; amaigrissement consi
es fibres qui composent ces faisceaux sont atrophiées, réduites à l' état de gaines vides et présentent l'aspect de fibre
es tubes, la fragmentation de la myéline en fines granulations avec état variqueux (type 3). 4° Tronc du sciatique pop
fisante de l'acide osmique n'a pas permis une étude rigoureuse de l' état des fibres nerveuses dans ces ganglions. Les co
altérés. Mais ce qu'il y a de particulièrement intéressant dans l' état des nerfs périphériques, c'est que l'altération
fficile de donner une raison plausible de ces différences entre l' état des racines antérieures et postérieures. Nous nou
s nerveux. Dans cette hypothèse, la lésion centrale modifierait l' état de la nutrition des nerfs périphériques, mais ne
es cas pour en révéler l'existence, et, pour apprécier exactement l' état d'inté- grité ou d'altération des tubes nerveux
cs nerveux étaient sains et présentaient toutes les apparences de l' état normal. Toutes les névrites périphériques ne do
autres formes de céphalal- gies, et notamment dans celles liées aux états névro- pathiques ordinaires où les malades n'ac
és qui, après mûr examen, avaient déclaré ne pouvoir rattacher leur état à un trouble de l'accommodation. Pour quelques-
anatomo-pathologiques ne nous permettent que des conjectures sur l' état des centres nerveux. Chaque fois qu'il s'agit d
efforts n'aggrave pas leurs douleurs, comme on l'ob- serve dans les états congestifs du cerveau plus fran- chement caract
une seule et même région, est aussi difficile à expliquer, dans un état purement hyperémique. Il nous semble donc que c
processus plus intime que nous devons rechercher la cause de cet état cérébral. Ceci nous amène à parler de l'étiologie
nos enfants n'ont eu ni affection organique des centres nerveux, ni état névropathique qui mérite d'être signalé. Que d'
vation de D... Au mal de tète s'ajouta au bout t de peu de jours un état de malaise général avec anorexie, abattement, f
asthénie, ou plutôt, de la parésie cérébrale, une des formes de cet état . Grâce à M. Charcot principale- ment,' nous avo
ale qu'en raison des souffrances occa- sionnées par le travail. Cet état est dû le plus souvent à des fatigues intellect
et il est encore DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. 213 dans le même état qu'il y a cinq ans, à l'époque où il nous fut a
complexité de son action, elle répondra à toutes les exigences de l' état de nos malades. Par sa puis- sance reconstituan
de trace de dégénérescence secondaire. L'examen histologique, à l' état frais, était fait après la dis- sociation, par
). ItLCUI : 1L I)L rall'l'S. ' aussi quelquefois pour l'étude à l' état frais. Comme réactifs chimiques, nous avons éga
vec 2/7 Verick. La substance grise de la partie lésée, examinée à l' état frais, présentait les éléments suivants : cellu
nucléole, ils conservent encore leurs caractères distinctifs dans l' état d'hypertrophie ci-dessus mentionné et, au contrai
es caractères que nous avons indiqués en décrivant ces éléments à l' état frais après dissociation. En étudiant les coupe
ts que, dans cette région seulement, on trouve les cellules dans un état de destruction plus avancé, représenté par la v
llules des couches superficielles et des parties excentriques, leur état , présente la première période de l'évolution d'
olongements. Remarquons, cepen- dant, que l'auteur ne dit rien de l' état des parois des vaisseaux, et qu'il se borne à l
r l'endroit où il a trouvé cette tuméfaction et ne parle pas de l' état du tissu environnant, ce qui est fort important a
nvolontaires. L'enfant ne tousse pas ; rien à l'auscultation. Cet état habituel est traversé par des crises revenant à i
on remue le malade, il pousse quelques gémissements très faibles. L' état comateux est permanent; nul indice de connaissa
ns la nuit, on a compté 53 accès, T. R.40°. A la visite du matin, l' état de l'enfant parait s'être notablement amélioré :
ymétrique. Liquide céphalo-I'J.chiLlien un peu plus abondant qu'à l' état normal. La pie-mère est louche en un grand nomb
dernière dénomination. En nous fondant sur les antécédents et sur l' état du malade à l'entrée, nous avons porté le diagn
nous a publié, il y a quelque temps, un très bel exemple '. V. L' état de mal, auquel a succédé la broncho-pneumonie t
s et, dans l'espace de dix années, elle avait réduit le malade à un état de marasme qui semblait annoncer une fin procha
tion les aliments qui remontaient de l'estomac presque dans le même état où ils avaient été avalés. L'assimilation ne s'
xécuta jamais que d'une manière très imparfaite comme le prouvait l' état de maigreur et de fai- blesse du sujet. Cependa
es ruminent inconsciemment, pour ainsi dire, sans se douter que cet état physiologique leur est particulier, et on les é
'un homme du monde que d'un aliéniste il comprend un grand nombre d' états psychopa- thiques très divers, qui sont loin de
oint désemparé. Pour s'accommo- der aux nécessités pratiques et à l' état des moeurs du moment, la loi n'en doit pas moin
rnr..a. (Arch. f. Psych. u. Nervenk., XII, 3.) Après un résumé de l' état de nos connaissances anatomo-patho- logiques su
érations polypiformes. M. Brûckner fait ressortir l'analogie de cet état avec l'hypertro- phie cérébrale. P. K. V. QUE
cerveau languissante dans la mélancolie et dans un certain nombre d' états maniaques. Les amé- liorations observées dans l
mènes physiologiques énumérés, en même temps qu'elle exprime les états inverses de la nutrition de l'écorce. L'emmagasin
bienfaiteurs, l'immorta- lité. P. K. XII. Démence aiguë, stupeur, états DE même ordre; par SCIIÜLE. (Allg. Zeitschr. f.
s- wanger à la démence aiguë, couvre une question de degré dans l' état pathologique et non une différenciation dans la n
cas d'épilepsie héréditaire indéniable, la maladie était restée à l' état latent chez le procréa- teur longtemps après s'
uite d'une fièvre typhoïde, est restée pendant vingt et un jours en état de mal épileptique et dont les attaques ont attei
i). Dans la myélite dorsale ! où ses extrémités inférieures sont en état de paralysie flasque, les phénomènes tendineux pe
phénomènes paralytiques, et pouvant se compliquer d'apha- sie. Ces états passagers sont susceptibles de complètement dispa
M. LOEun' : cn sa qualité de président, communique à l'assemblée l' état de 'ses affaires' et lui fournit un court rapport
hopathes constituera le lieu le plus propre à se rendre compte de l' état mental ; ,2° Lorsque des actes criminels graves
tal ; ,2° Lorsque des actes criminels graves motivent l'examen de l' état PS) chique, l'asile d'aliénés n'est pas disposé
que de Groefo sur les pu- pillcs srwlllnlcs s appldluC il 'd'autres états de la pupille qu'à celui de ô'n '1'cils." Bien,
omènes,' etsil'in'est1 pas rare de voir le médecin, par exemple, en état d'établir le diagnos- tic le plus assur,é, ? r,
itres 111 et IV. Nous y avons d'abord considéré les caractères de l' état hystérique, puis nous avons passé en revue les
pare à ceux du myxoedème. Ce qui confirme ce rapprochement, c'est l' état d'atrophie de la thyroïde qui a été signalé dan
on ne l'avait cru jusqu'ici, entre le crétinisme, le myxoe- dème ou état crétinoïde et les accidents que nous venons de si
ros orteil. Un mois après, le pied droit était resté dans le même état , mais plusieurs sillons cornés étaient apparus su
bien à droite qu'à gauche. Ce délire très bruyant se superpose à l' état mental préexistant qu'il masque. pour un temps.
uvait indiquer ni son nom, ni son adresse, ni sa profession, ni son état civil : «Je ne me rappelle pas, disait-elle, si
es leçons à l'asile Sainte-Anne. Après avoir placé la malade dans l' état de somnambulisme, il lui dit à l'oreille droite
. zu Berlin, 1877-78-79. DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3j 1 1Úl état d'excitation des centres sensol iels de l'écorce'
p. 324.) DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 353 frais des rêves. A l' état normal, en effet, si pendant le sommeil une lum
atisme seul concourt à la production de ce phénomène. Dans certains états pathologiques, dans l'épilepsie par exmple, sur
e développer des hallucinations chez un individu prédis- posé, en état de réceptivité morbide; mais que cette prédispo
tres sensoriels de l'écorce; 4° Les expériences dans les différents états d'hypno- tisme de l'hystérie corroborent de tou
re, il se livra à l'eau-de-vie, s'enivrait fréquemment et, dans cet état , prenait souvent froid, ou était maltraité par se
les femmes. De toutes les maladies ayant quelque rapport avec son état actuel, nous devons mentionner une uréthrite qu
CROSCOPIQUE. -En dissociant des fragments do la moelle épinière à l' état frais ou après une macération dans une faible s
pyramides seules, toutes les autres parties du bulbe étant dans un état parfaitement normal'. Dans la protubérance, c
l'on pouvait s'en assurer en examinant les coupes tranversales à l' état frais, la dégéné- rescence allait le long de la
on très intéressante et fort importante se pré- sentait : dans quel état se trouvaient les hémisphères du cer- veau ? la
t-bras, a montré que l'immense majorité de leurs fibres étaient à l' état normal, mais, par la dissociation, on en trouva
ulum ni rétrécissements. La dilatation de l'estomac est peut-être l' état qu'on a le plus fréquemment observé à l'autopsi
veloppée que d'ordinaire et en contact avec le diaphragme, même à l' état de vacuité. La position de l'estomac, normale d
te du mérycisme, il nous parait utile d'examiner en quelques mots l' état des voies digestives et le mode d'ingestion des a
sier (OBs. XXVIII), où le sujet, déjà malade, avait encore vu son état s'aggraver sous l'influence de vomitifs répétés.
ment terre sans connaissance. Au bouL d'un moment, il sortit de son état comateux avec des cris, une grande agitation et
tte grosse tubérosité était en contact avec le diaphragme, même à l' état de vacuité. Le diaphragme était épaissi d'une m
l'air dans l'oesophage où son accès serait si propre à produire cet état de ré- plétion et de trop plein qui favorise de
ion ; cepen- dant, à partir du moment où les aliments remontent à l' état de pâte, cette contraction devient à peine visi
ières primitivement solides ne remontent plus dans la bouche qu'à l' état de hachis et plus tard se présentent enfin sous
mpossible de reconnaître ici l'ordre de retour des aliments et leur état au commencement et à la fin de la rumina- tion.
un fait que nous avons déjà signalé dans le précédent : le mauvais état des dents. D'un autre côté, la voracité, ainsi
itation. Gela peut s'expliquer assez facilement si l'on considère l' état des aliments qui remontent au commen- cement et
milieu de l'amaurose complète (obs. II, V et VII). P. K. XVI. SUR L' ÉTAT DE LA TEMPÉRATURE DANS QUELQUES FORMES DE MALADIE
ocales d'un côté à l'autre qui atteignent quelquefois ? 2°, 3°, 4°; états passa- gers sous la dépendance de troubles de l
dmet que la conscience de la maladie se décompose en sentiment de l' état morbide, et discernement de l'état morbide. Le se
e se décompose en sentiment de l'état morbide, et discernement de l' état morbide. Le sentiment de l'état morbide provien
'état morbide, et discernement de l'état morbide. Le sentiment de l' état morbide provient de sensations ayant pour point d
méninges, du liquide céphalo-rachidien, etc.. Le discernement de l' état morbide procède, lui, du raisonnement; ainsi, e
u le coma qui suit les affections encéphaliques. Les hystériques en état .d'hémianesthésie subissent la dilatation pupill
plus forte sécrétion sudorale. P. K. XX. Rapport MÉDtCO-LËGAL SUR l' état mental DE DELY-lIIEUE\IED, ACCUSÉ DE MEURTRE SU
assez souvent à certaines formes d'aliénation mentale ou à certains états psycho- pathiques. Elle se manifeste par des im
se rapporte ni à un stade ni à l'autre, un pouls non classé comme l' état psychique du malade. Ces caractères, qui sont l
hopathique de l'hu- meur du malade et déceler les accès abortifs, l' état psychique s'inscrit en quelque sorte par la ten
tendineux est au contraire fréquente et a lieu parallèlement avec l' état spasmodique des groupes mus- culaires, et est r
antité d'un liquide séreux) ; résorption complète dès que reparut l' état normal. L'au- teur explique qu'il ne saurait êt
factions dans l'un des faits, l'amélioration de la psychose et de l' état général, le défaut de phénomènes inflammatoires o
ne prenant sa nourriture que si on la slimulait vivement. Outre cet état mental, elle présentait à la ré- gion frontale
es ? N'est-ce pas la manifestation d'une lésion circonscrite ? Et l' état mental ? 11 y a surtout une profonde obtu- sion
que quelques lacunes de la mémoire. Nous ne trouvons pas dans cet état l'affaiblissement réel et pré- maturé des facul
ENKËL prend la parole sur le thème que voici : Crimes commis dans l' état d'inconscience. Il s'agit de deux faits à propos
de l'acte, l'ingestion d'alcool avait provoqué, outre l'ivresse, l' état d'obnubi- lation épileptoïde propre, à lui seul
la réalité de l'opinion émise sur l'existence, chez ces malades, d' états de sommation épileptoïde. II. IL ? 42 ans, mari
IÉTÉS SAVANTES. 421 11. KNECHT a observé dans son établissement des états de pareille sorte plus de cent fois. M. IDELE
six mois. On n'a pas à redouter dans l'espèce d'action nocive sur l' état mental, seulement il fauts'entourer de précaution
mains du pre- mier orateur, jamais engendré d'accidents nerveux; l' état psychique des aliénés n'a jamais été influencé
pagne le stade d'exaltation maniaque des paralytiques généraux, les états d'obnubilation psychique post- épileptique, l'e
olie greffée sur des bruits intra-auriculaires s'étant produits à l' état aigu (bruits vasculaires d'origine hématique) d
ck ; à côté de cela, chez la femme, ou pour peu qu'on se défie de l' état du coeur et des gros vaisseaux, on se contenter
es ; -, 2° Comme ces manifestations morbides se montrent dans les états pathologiques des formes les plus différentes rep
une em- bolie graisseuse ', mentionnée par M. Fischer dans certains états d'agitation. Le nombre de cas de ce genre, pour
nnées, surtout en Angleterre, celles qui ne servent pas sont en bon état , taudis que toutes celles que l'on utilise sent
épileptique ou plutôt de l'influence de l'ictus épilep- tique sur l' état général normal et pathologique; par RESPAUT. Th
En dehors ne ses attaques, les épileptiques se trouvent dans des états psychiques qui présentent des variétés sans nombr
états psychiques qui présentent des variétés sans nombre. a) Cet état est pathologique s'il s'agit de sujets qui sont e
. ; b) mais même chez des sujets sains, en dehors de l'épilepsie, l' état psychique est très différent suivant les habitu
, qu'il soit permanent ou transi- toire et précédant l'attaque, cet état psychique détermine la forme du délire, auquel
cachet pathogno- monique, l'inconscience. On peut retrouver dans l' état psychique autérieur les éléments du délire épil
miner que des actes automatiques, qui varient précisément suivant l' état cérébral anté- rieur. Que l'état psychique an
ui varient précisément suivant l'état cérébral anté- rieur. Que l' état psychique antérieur soit normal ou pathologique,
ait résumer l'his- toire si complexe de la pathogénie du diabète. L' état actuel de la science n'autorise pas un médecin
sur ce fait, M. Dreyfous s'exprime ainsi : « Elle est l'indice d'un état particulier du système nerveux qui débute par l
ommandons à nos lecteurs le tableau de ce que M. Dreyfous appelle l' état mental du diabétique. Il cite ensuite la narcol
'est l'impossibilité de réagir oùse trouve le diabétique, c'est son état de défaillance ». De plus les globules sanguins
ssement complet, s'exprime par l'apparition du coma dyspnéique. Cet état de défaillance, sur lequel M. Dreyfous insiste au
entales, 40 ? Couleurs (perception des), 99. Crimes commis dans l' état d'incons- cience, 419. Délire aigu idiopathiq
paralytique et syphilis, par Snell, 264. Démence aigué, stupeur, états du même ordre, 270. Déviation conjuguée des y
du délire ou plutôt de l'influence de l'ictus épilep- tique sur l' état général normal et pathologique), par ltesp,mt,
nérescences secondaires dans le ruban de Reil), 110. Psychiques ( états douteux), 282. Psychoses transitoires, 409. P
73 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
niers ramuscules artériels n'abordent les troncules nerveux qu'à un état de finesse très grande, ce qui constitue une an
es et les artérioles ne s'enroulent au- tour des fascicules qu'à un état de ténuité très grande.' Veines DES nerfs. Ce q
, dans l'épaisseur du nerf. - Assez souvent, même en dehors de tout état variqueux, ces Fig. 1j. Vaisseaux du plexus bra
ingt-quatre heures (40 gr. 94 par litre). Homme obèse. Dents en bon état ; pas de gingivite. Pas d'érup- - tiens cutanées
accusée, le malade voit assez nettement, joue aux cartes, etc... L' état général est satisfaisant. Lem... est obèse, plutô
urinaires dejà signalés. Rien au foie ni dans les divers organes. L' état général est très satisfaisant, le caractère gai e
pouls bat régulièrement à 80°. Les divers viscères sont normaux. L' état général est bon, l'intelligence remarquablement
al est bon, l'intelligence remarquablement lucide. Il n'a rien de l' état mental des diabétiques. L'examen des urines n
oin, pour interpréter la succession, chez un même individu, de deux états morbides, de res- susciter la théorie oubliée d
endants d'individus qui souvent n'ont oliert à nos recherches que l' état rudimentaire, pour ainsi dire, d'une perturbati
exister. Ou, du moins, si elles coexistent, l'une d'elles est à l' état latent n'attendant peut-être qu'une occasion po
En juin 1885, à la suite d'un traumatisme (chute dans l'escalier) l' état s'aggrave. Furonculose à Wiesbaden. Etat actuel
etc., en souvenir des bruits correspon- dants qui se produisent à l' état physiologique chez les chiens, chats, porcs, bo
termes, une tendance remar- quée à subsister chez l'hystérique à l' état d'isolement, sans accompagnement d'autre stigma
NERVEUSE. présente les phénomènes du grand hypnotisme avec trois états classiques. Elle vient d'être placée dans l'éta
isme avec trois états classiques. Elle vient d'être placée dans l' état somnambulique, je la fais asseoir face à face d
nommée Bill..., qui pousse son cri rythmé comme de plus belle : à l' état de veille, remarquez le bien, Gr...ard a entend
au soir, sans en être particulière- ment impressionnée; mais dans l' état somnambulique cela sera, vous allez le constate
obnubilée. Or juste- ment ce cas se présente à un haut degré dans l' état somnambulique hypnotique où le jugement est aff
cit d'un événement propre à frapper fortement de jeunes esprits, un état psychique analogue à celui qui s'observe, sous
ser qu'il s'agissait là d'une sorte d'arrêt exercé sur la moelle en état d'hypérexcitabilité. On pouvait penser que si d
interrompu, l'apparition des règles à une époque tardive, malgré l' état parfait de la nutrition générale de la malade,-
âgé de trois ans, était hydrocéphale depuis l'âge de neuf mois, son état s'aggravait lentement, mais n'empê- chait pas l
cun mauvais symptôme. M. D. IX. LE CHAMP VISUEL DES HYSTÉRIQUES A L' ÉTAT DE VEILLE ET PENDANT l'état hypnotique; par E.
IX. LE CHAMP VISUEL DES HYSTÉRIQUES A L'ÉTAT DE VEILLE ET PENDANT l' état hypnotique; par E. E. Moravcsik. (Neurol. Centt·a
visuel et des couleurs des deux yeux, mais surtout à gauche. 1 A l' état de veille, les excitants périphériques augmentent
nte. Ce dernier phénomène se produit également pendant l'hypnose. L' état hypnotique agran- dit le.champ visuel; les exci
it le.champ visuel; les excitants périphériques provoquent dans cet état les mêmes effets qu'à l'état de veille; une sugge
ants périphériques provoquent dans cet état les mêmes effets qu'à l' état de veille; une suggestion triste se traduit par
e plaie dans les os. Le bras gauche paralysé-ne peut être levé. Cet état s'améliore en huit jours, mais trois semai- nes
d à toute la muqueuse buccale tantôt sous forme d'accès, tantôt à l' état permanent. Sommeil et souvent paroles impossibl
ourde de l'af- fection. Il est probable que la maladie existait à l' état latent jus- qu'au jour où un léger traumatisme
ent directement des racines postérieures. On les voit nettement à l' état de trousseaux compacts dans la région de la dix
égrité des sphincters et des viscères, réaction lente des pupilles, état normal de l'intelligence et de la parole, dispa
ais' accroissement de l'analgésie. Une cure à Nauheim aggrave son état qui bientôt cependant s'améliore. Puis, soudain,
t six mois dans mon service, et on a vu pendant tout ce temps que l' état de l'avant-bras n'était pas stable, et que quel
la malade se servait de son bras pour différents mouvements. Cet état alternatif de mieux et de pis dura plusieurs mois
s psycho-névroses, cette der- nière forme étant considérée comme un état hallucinatoire, de rêve, avec perte du moi comm
a maladie débute par le délire typique de persé- cution, suivi d'un état expansif, avec un délire religieux, mystique ou
qui l'entoure et devient confus dans ses sensations internes. A cet état s'ajoute l'influence des affections, tantôt sou
calme et égale propre aux paranoïques, on voit chez ces malades un état épisodique d'une grande excitation, avec un tro
ion du diagnostic. P. KERAVAL. IV. Contribution A la' casuistique d' états mentaux DOUTEUX au POINT DE vue IIsDICO-L1.GAL
complet qu'il nous présente, résumant parfaitement, en tout cas, l' état actuel de la science... » Cette appréciation de
cateurs dans la genèse de l'hystérie. A ce propos il met au point l' état actuel de la question de la névrose traumatique
male ou interparoxystique et par un chapitre fort intéressant sur l' état mental des hystériques, dans lequel, par l'étud
bitement furieux a été tué par les gardiens qui étaient, dit-on, en état d'ivresse. L'autopsie a démontré que le malheur
parole disparurent le soir du même jour. Pendant l'année 1891, l' état du malade ne s'améliora nullement. Tous les tro
l très prononcé, sans délire carac- térisé, et se traduisant par un état d'apathie, d'inertie et d'indiffé- rence complè
ègles ne parurent pas, les seins et le système pileux restèrent à l' état rudimentaire. Dans la période d'état, quand la
système pileux restèrent à l'état rudimentaire. Dans la période d' état , quand la maladie est bien confirmée les symp-
ffet, dans la majo- rité des cas que par de la débilité mentale, un état de démence simple, tranquille, sans conceptions
on d'entreprendre. Il suffit d'indi- quer rapidement ici les divers états psychopathiques dans lesquels la tendance à l'h
le sujet. Jusque-là, on ne le savait pas aliéné, il dissimulait son état et il se livrait régulièrement à ses occupation
uence de la passion, soit spontanément et ' sans raison autre qu'un état pathologique : spécial' du' fonctionnement du c
ence de la passion plutôt que de la folie dite épi- leptique. ' L' état mental habituel des épileptiques est bien connu
ans' des circonstances pareilles, les médecins appelés à examiner l' état mental des accusés concluent sou- vent à la res
ressemblent parfois tout à fait aux accès de manie inconscients, l' état de conscience seul les en distingue. Il est trè
tent ordinairement de diagnostiquer, sans beaucoup de difficulté, l' état mental du sujet. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z .
e au moins ingénieuse du réveil atavistique, chez un dégénéré, d'un état mental antrefois habituel à l'homme antéhistori
ates physiques de dégénérescence) des sujets permet de déterminer l' état mental de ces derniers tel qu'il était au momen
onclusion, car l'idée de la responsabilité atténuée est basée sur l' état de défectuosité d'une entité métaphysique, dont
mbre important de cas, le résultat, non d'un vrai délire, mais d'un état mental pathologique particulier dû à l'empoison
it cette tendance pour aboutissant : Mais il existe encore d'autres états . psy- chopathiques qui , peuvent, à un moment d
et certains veulent même qu'on ne les' rencontre que là. C'est l' état de déséquilibration des facultés mentales qui e
ancolie chez les dégénérés occupe un des pre- miers rangs parmi les états vésaniques susceptibles de se compliquer d'homi
sujets, est pour ainsi dire réflexe, qu'il s'accompagne ou non de l' état de conscience. C'est pendant les pa- roxysmes d
rés, en outre de la mélancolie vraie, on observe encore de nombreux états délirants, plus ou moins partiels, plus ou moin
us ou moins bien systématisés. Irréguliers dans leur évolution, ces états psychopa- thiques succèdent parfois à un accès
s exécutés par les aliénés dégénérés intellectuels, dans le cours d' états psychopathiques très variables, ont, eux, des c
e égale ou supé- rieure à celle que le foie forme journellement à l' état normal, soit 200 grammes approximativement, d'a
u langage pouvait être le siège de ce trouble fonctionnel, de cet état d'éréthisme qui provoque l'hallucination. Suivant
sion verbale, l'hallucination verbale mo- trice simple ou enfin à l' état plus faible, la représentation mentale motrice.
qu'ici, c'est peut-être parce qu'elles restent souvent chez eux à l' état faible. Mais chez ces malades, quelle que soit
e se fatiguait très vite. Elle se plai- gnait, n'était pas dans son état normal. Elle avait un mouvement dans les yeux.
il y a neuf mois, une contrariété brusque .et depuis ce moment son état a empiré. Elle a été prise de crises qui surven
t incapable, indigne et est prise de craintes pour l'avenir, et son état d'in- décision est tel qu'elle désire la mort s
riode de surmenage, elle parait avoir eu une première atteinte avec état neurasthénique, idées noires, préoccupations po
enser des choses qui ne sont pas bien. » Elle a conscience de son état et ne peut plus pleurer. Pas d'hallucinations d
ncolie, Mél. Paq. semble avoir dès l'enfance donné des preuves d'un état mental spécial. Du côté affectif, elle trouvait
omba dans son isolement. Elle travaillait beaucoup et c'est dans un état de dépression physique mar- quée qu'elle commen
la Salpêtrière le 7 novembre 1888, service de M. Falret, .i dans un état de dépression mélancolique très accentué avec idé
vérita- bles hallucinations se rappelaient, une fois sortis de leur état de rêve, les visions qu'ils avaient eues pendan
é l'internement actuel. Diagnostic : mélancolie avec agitation. Son état mental, après des hauts et des bas sans grande
arition des premiers troubles intellectuels. Au point de vue de l' état d'anémie de la malade, il faut signaler non seu
s autres ' fonctions cérébrales. R. M. C. VIII. UNE observation d' état CONVULSIF ou d'état épileptique; par IIAIIRINGT
ns cérébrales. R. M. C. VIII. UNE observation d'état CONVULSIF ou d' état épileptique; par IIAIIRINGTON SAINSDUIIG. (The
la maladie reconnaissait pour cause une lésion nerveuse centrale. L' état général du malade s'est amélioré. R. M. C. XI
autre cause; la malade en effet souffrait depuis quelque temps d'un état cachectique déterminé par un cancer du sein avec
es d'aliénation mentale. R. M. C, XV11. Cas DE FOLIE associée DES états pathologiques intéressants ; par James RORIE. (
nts de la maladie, a fait totalement défaut. Les modifications de l' état mental (substitution d'un calme relatif accompa
reil cas, et avait indiqué les rapports de celte affection avec les états névropathiques en général. R. M. Q. XIX. Cinq
gleterre qu'à l'étranger ; il ne saurait toutefois, pour désigner l' état de son malade, se contenter du terme lorsque le
ette interprétation est plus satisfaisante que celle qui invoque un état inflammatoire chro- nique. R. 111. C. XXIII.
ns la situation qu'il occupait; 4° il esl remarquable, enfin, par l' état de conservation de la châtaigne; en effet, bien q
icielle; enfin, l'auteur attribue l'accès de manie et la chorée à l' état de débilité générale et d'ané- mie du sujet, do
n de la folie, il y aurait lieu de tenir rigoureusement compte de l' état mental antérieur à l'opéra- tion. On peut accus
dans lesquels ils peu- vent être considérés comme justiciables d'un état de neurasthénie acquis. C'est à ceux-là qu'on p
iens, etc. De plus, l'auteur a pu constater chez les malades qu'à l' état normal, l'élimination de l'urée était au minimum,
ns- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 229 9 cience qui caractérisent l' état désigné sous le nom de « petit mal », 'et qui,
s effets et des causes en feront souvent reconnaître la nature. « L' état crépusculaire » qui passe beaucoup plus souvent
lus souvent inaperçu peut être en quelque sorte interprété comme un état de petit mal, une série de petits accès psychiq
elques jours, des mois, des années, et constituer alors une sorte d' état second. La conscience peut n'être pas totalemen
e, cette tendance à voyager qui sont presque, caractéristiques. Cet état est souvent très difficile à distinguer de l'ét
ctéristiques. Cet état est souvent très difficile à distinguer de l' état somnambulique. Lorsqu'il dure un certain temps, i
l dure un certain temps, il peut être conscient : c'est une sorte d' état second épileptique dans lequel l'individu a con
ce de ce qu'il fait, s'en souvient, mais agit tout autrement qu'à l' état normal. Le caractère de ces malade-' est sembla
us le nom d'amnésies l'oubli des faits qui se sont passés pendant l' état d'in- conscience. Eu réalité, ce sont des pseud
de raptus mélancolique, outre les données générales fournies par l' état vésanique, les actes qui précèdent le ruptus ne
que pour exclure la possibilité d'un cas de manie transitoire.- Les états de som- nambulismes, souventdifficiles à différ
ence très courts, même si l'on a à juger des actes accomplis dans l' état conscient, ne peut pas être considéré comme par
ent inconscient, entraînant l'ir- responsabilité totale. Pour les « états crépusculaires », et « l'état second épileptiqu
r- responsabilité totale. Pour les « états crépusculaires », et « l' état second épileptique», ils entraînent aussi l'irr
t soumis à des impulsions et des sensations qu'il n'éprouve pas à l' état sain : ce sont des phé- nomènes morbides, et qu
ongtemps : et un tel traitement est parfaitement compatible avec un état floris- sant de la nutrition générale. Dans la
qui reparaissent invariablement ; il y a donc lieu de croire qu'à l' état normal de la glande thyroïde rend inof- fensifs
urs chez les hypochondriaques, les hystériques et les épileptiques ( état préépileplique) dont la nature est pro- bable,
e du système musculaire, dans le cas rapporté, n'est pas prouvée, l' état des dernières ramifi- cations et des terminaiso
de ce que l'on ne croit pas possible une amélioration sérieuse de l' état de ces pauvres êtres. Telle n'est pas l'opinion
liénés hésitent à provoquer la mise en liberté d'indi- vidus dont l' état mental leur parait suffisamment amélioré pour r
être, l'ad ministration ne publie pas chaque année un rapport sur l' état de nos établissements de bienfaisance, et en pa
commission possède les pouvoirs les plus étendus pour exa- miner l' état des asiles tant publics que privés, pour se rense
ente cependant un intérêt pratique assez grand pour condam- - ner l' état actuel non seulement d'ignorance, mais encore d'i
pour l'opium : la jeune malade décrit, d'une façon très imagée, les états douloureux et pénibles par lesquels elle a passé
essée par 'sa femme. Je n'ai, dit-il, jamais rien remarqué dans l' état meutal de ma fille. A ma connaissance elle n'a
ts que présentait une jeune malade de sa clientèle dont il voyait l' état s'ag- ARCU1VES, t. XXIII. 19 290 CLINIQUE men
tissement du pouls et de la respiration. Après cinq minutes de cet état léthargique, elle se frotte les paupières, fait u
- retour du sommeil léthargique, réveil cinq minutes après dans ^un état d'inconscience parfaite. ' : dater de ce jour, la
3v Et surtout à l'influence que les impressions de la malade à l' état de veille, avaient sur le mouvement de son esprit
alade à l'état de veille, avaient sur le mouvement de son esprit en état de -somnambulisme. - Le médecin de ma jeune m
t des crises régulières par l'absence de période léthargique, par l' état de demi-conscience dans lequel elle était et par
outes ses ressources et toute son activité pratique pour modifier l' état de la jeune malade, soit qu'il essayât de l'end
ier l'état de la jeune malade, soit qu'il essayât de l'endormir à l' état de veille en cherchant à la con- vaincre qu'il
tération des traits, ni oppression, ni bavardage, eu un mot dans un état tout semblable à la période léthargique qui pré
on médecin, de plus en plus inquiet, vint me voir, me parler de cet état , et me demander si je ne craignais pas qu'en in
tionnelle, étant donné les mutations qui s'étaient produites dans l' état mental de cette jeune fille, chaque fois qu'un
e la crise somnam- bulique : soit qu'il vienne des impressions de l' état de veille; soit qu'il ait pour origine l'excita
pian, Déje- rine, Popoff, Marie, Landouzy, etc., qui ont étudié l' état de la moelle et du cerveau à la suite de variole
mmence immédiatement le voile du palais qui descend plus bas qu'à l' état normal et se termine par .une luette bifide.
n et étendue et c'est ce qui explique la multiplicité d'aspect de l' état mental de l'idiot, dont les aptitudes s'étenden
exprimer par des signes ce qu'il pense, on sait aujourd'hui que cet état correspond à une lésion de la couche corticale
intime avec le monde extérieur; mais cette amélioration dans leur état , cette perception plus étendue des diverses sensa
ts groupes de dégénérés, il est bon de rappeler ce qui se passe à l' état normal. Si l'on examine, en effet, l'enfant qui
e des facultés HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 315 mentales aboutit à cet état de conscience qui nous permet de discerner le v
ns; avec l'inté- grité des zones motrices, les sculpteurs, etc. A l' état normal, la fonction ne fait pas l'organe, mais
motrice. Dans d'autres circonstances, c'est toute la mimique d'un état passionnel, rires ou pleurs, qui surgit, en dés
n état passionnel, rires ou pleurs, qui surgit, en désaccord avec l' état cénesthésique du sujet. Elle riait aux éclats à
e centre auditif de l'écorce (première temporale) est dans un tel état d'éréthisme, que l'image vient solliciter le ce
En résumé, chez certains sujets dont l'intelligence est parfaite, l' état moral est défectueux ;'Chez d'autres, l'état mo
ence est parfaite, l'état moral est défectueux ;'Chez d'autres, l' état moral est parfait, mais certaines aptitudes intel
défaut. Enfin un troisième groupe comprend des indi- vidus qui, à l' état ordinaire, sont bien pondérés, intel- HÉRÉDITAI
ser dans l'amphithéâtre de la clinique des études nouvelles sur l' état mental des hystériques qui venaient simplement co
de les lui offrir. 'Messieurs, j'ai l'intention de vous parler de l' état mental de certains malades, mais il faut d'abor
insupportable; des médecins doi- " vent étudier autre chose. Le mot état mental d'une malade » .doit désigner aujourd'hu
n Que pensez-vous de ces observations ? Quel est votre avis sur l' état de la sensibilité de ces deux jeunes filles ? Si
définitions analogues à celles de Wundt : « les sensations sont des états de conscience primitifs qu'il est impossible de
s phénomènes comme vous vou- drez, des sensations élémentaires, des états affectifs, pour em- ployer l'expression d'un cé
épendent de la sensibilité rétinienne. Vous savez aussi que, dans l' état normal, la pupille se dilate, quand on excite u
M. Guinon, vous a dit ici dernièrement qu'il y avait une quantité d' états somnambuliques différents. Vous me per- . mettr
vis, une sorte de paralysie hystérique, qui n'est pas apparente à l' état normal, grâce à une suppléance psychologique, cel
la nient. Kleudgen 14 qui regarde l'albuminurie comme fréquente à l' état normal, ne l'a pas vue plus souvent chez les ép
Le délire; 4° Pen- dant et à la suite des accès en série; 5° Dans l' état de mal. ' ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE CHEZ
d'albumine dans les 5 urines. C. Dans 6 cas, l'albumine était il l' état de traces : 49 ans, Vev..., 1 accès, 5 urines :
Il est donc habituel alors, de voir l'urine rester seulement à l' état de traces chez les malades dont l'urine à un prem
uminurie consécutive aux accès en série et à l'albumi- nurie dans l' état de mal. Nous n'y reviendrons donc pas. Les phén
t qu'un seul accès, est peut-être une véritable complication dans l' état de mal où, nous le verrons plus loin, elle para
s d'ordinaire meurent plus facilement que les autres épileptiques d' état de mal. 362 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nous
sont point' forcément des sérielles. 17.. . . Albuminurie dans l' état DE MAL épileptique. Les états de mal épileptiqu
rielles. 17.. . . Albuminurie dans l'état DE MAL épileptique. Les états de mal épileptique étant assez rares, même dans
cherchons systématique- ment l'albuminurie chez des épileptiques en état de mal, nous l'avons toujours rencontrée : nous
mple typique : Le 23 juillet 1891, Hemmer..., seize ans, entre en état de mal à 10 heures et demie du matin. Nous assi
obe. T R, 40° 2. Pouls très précipité et faible à 140. Devant cet état général grave, on pratique une saignée de 350 g
détail, parce qu'il montre bien l'évolution de l'albuminurie dans l' état de mal. ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE ET ÉPILEP
minurie ne peut pas servir toujours à différencier, à elle seule, l' état de mal épileptique de l'éclampsie. C'est une af
r ce point ont besoin d'être multipliées et étudiées à nouveau. L' état de mal épileptique paraît toujours être accompagn
eurtre en question est un phénomène clinique, faisant partie d'un état mental morbide connu, étudié et bien carac- tér
l'homicide se ren- contre en dehors des entités nosologiques et des états morbides que j'ai signalés, on doit considérer
- tion de Châteaudun de l'examiner et de faire un rapport sur son état mental. C'est ce rapport, légèrement modifié dans
s points qui peuvent fournir des indications quant à l'étude de son état mental. Ensuite, je décrirai les symptômes prés
i. A plusieurs reprises il fait feu, et enfin, son fusil en mauvais état et que dans sa précipitation il charge mal, lui
t refusé de boire du vin, il dit qu'on veut l'empoisonner. 13. Même état à peu près que hier. Je lui demande le nom de s
débarrassé de la vie en même temps que de ses souffrances - Si cet état se prononçait davantage, le malade entrerait dans
e un purgatif énergique. 17. L'agitation est beaucoup moins vive. L' état mental est redevenu ce qu'il était avant la cri
à mieux accepter la nourriture ? On cherche à se rendre compte de l' état des sentiments affectifs. On lui parle de sa fe
mélioration persiste, mais sans se prononcer davantage. En somme, l' état reste stationnaire. On retrouve encore des hall
venu calme, la crise a avorté. On peut définir ainsi brièvement l' état mental actuel de A... : Dépression mélancolique
lade, outre qu'il est le siège de la psychose actuelle, est dans un état pathologique particulier, sur lequel nous avons
et fut envoyé à l'asile de Bonneval, où il est en ce moment. Son état mental (leur février 1892) n'a encore subi aucu
rien. L'observation détaillée d'A..., jointe à la connaissance de l' état mental réel de ce malade, ne peut, au contraire
de la conversation mentale. Nous ferons remarquer seulement que l' état faible de l'hallucination psycho-motrice demande
e le 30 mars 1888, dans le service de M. Falret, se présente dans l' état suivant. Début. Depuis six mois elle n'est pas
ulente; mais elle mange assez bien en se forçant un peu. Dans cet état de santé assez médiocre, elle se mit à commettre
le continuelle- ment à elle-même et qu'elle s'y sent forcée. Si l' état faible de l'hallucination psycho-motrice peut pas
at faible de l'hallucination psycho-motrice peut passer inaperçu, l' état fort, en quelque sorte l'hallucination confirmée,
d'ailleurs est bien en rapport avec l'idée que l'on se fait de l' état cérébral des mélancoliques. Ce qui domine chez eu
e à l'aboulie, celle-ci est ordinairement sous la dépendance d'un état physique défectueux et pénible. Si le mélancoliqu
pontanéité, c'est qu'il manque de vitalité. Quoi qu'il en soit, cet état de dépression conduit ce genre de malades au do
e les images représentatives surtout verbales puissent passer à l' état hallucinatoire. Il se passe chez eux l'inverse de
erait aisément la présence des hallucinations verbales motrices à l' état fort ou faible, véri- tables phénomènes d'autom
es mélancoliques, crainte de la ruine, de la mort de ses enfants, état d'inertie allant presque jusqu'à la stupeur ! Cet
ent approprié, une améliora- tion se produisit; mais il persista un état de dépression mélan- colique avec découragement
très fréquentes et constituer un des caractères importants de leur état mental avec lequel elles cadrent bien. - Elles
llusions et des interprétations délirantes. D'une façon générale, l' état mental du mélancolique n'est pas propre au déve
egment antérieur des cordons postérieurs de la moelle; elle est à l' état de faisceau compact immédiatement en arrière de l
11., t. IX-X11-XVIL) - La circulation cérébrale diffère suivant les états hypnotiques : il semble qu'il y ait hyperhémie
ant les états hypnotiques : il semble qu'il y ait hyperhémie dans l' état léthargique et anémie REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
émie REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 407 dans l' état cataleptique. Tout mène à croire qu'il n'existe p
'état cataleptique. Tout mène à croire qu'il n'existe pas, dans les états hypnotiques, d'antagonisme entre les circulations
réactions vasculaires, identiques à celles qui se produisent dans l' état de veille, mais moins marquées par suite de la
mais moins marquées par suite de la constriction des vaisseaux. Les états hypno- tiques ne doivent pas être considérés co
violences portant sur les mêmes régions, on peut voir survenir des états de dépression psychique dus à une diminution su
aient minces, bien qu'elles fussent en réalité plus épaisses qu'à l' état normal. Il n'y avait aucune trace de lésion de
ta- 4'10 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. néité, état dans lequel ces centres ne subissent que très fai
nance des convulsions à droite; léger strabisme; le tout suivi d'un état semi-comateux : bouche légèrement déviée à gauc
le présentent seules la base matérielle du protoplasme ner- veux en état de fonction. Sans doute, la présence d'une grande
saire, folie des dégénérés. Ils partagent leur existence en trois états : liberté, prison, asile. Ils sont tous ivrognes
eux fillettes de, 'quinze et seize années, l'au- teur a constitué l' état clinique suivant. Epilepsie Jacksonnienne unila
aut des conditions d'existence favorables, jusqu'à ce qu'il soit en état de gagner sa vie, jusqu'à ce que ses forces men
ibilité psychologique. Ou bien c'est un jeune homme qui se croit en état de grossesse, qui dit avoir ses règles et autre
panite, paralysie des jambes. En dehors des crises, intégrité de l' état mental, l'enfant est rangé, affectueux, modeste
nférence horizontale du crâne s'est accrue de deux centimètres. L' état mental se résume ainsi : depuis l'âge de dix-huit
arrassé et [dépourvu de souplesse. Pendant six semaines. retour à l' état normal ; le malade a conscience de sa siluation,
l absorbait de fortes doses ainsi que des narcotiques violents. Son état s'était beaucoup aggravé depuis quelques jours.
tempe droite. Le malheureux a été transporté à l'Hôtel-Dieu dans un état désespéré. (L'Eclair.) UN enfant assassin. On m
mais en vain, de l'hypnotiser. On employa alors la suggestion à l' état de veille, mais sans connaître le résultat obtenu
s des, - 155. 1 . Faits divers, 135, 456. Folie, associée à des états patholo- giques divers, par Ilorie, 221; - co
74 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
leur étendue. Dans l'OasERVATiON IV il n'est pas fait mention de l' état du pied. En somme, comme on le voit dans toutes
rait répondre qu'il doit en être de cela comme de beaucoup d'autres états morbides qui ne se dévelop- pent que sur certai
ade contracte d'incliner son tronc, il se développe sans doute un état spasmodique des muscles, qui n'est plus suscept
) ; Par PAUL BLOCQ, interne des hôpitaux. Nous désignons ainsi un état morbide dans lequel l'impossibilité de la stati
pied, tantôt sur un autre, parcourant ainsi toute la maison ». Cet état dura quinze jours, et le 29 mai, subi- tement,
'avril), qu'il lui etait impossible de se tenir debout. Depuis, son état général resta excellent, mais le trouble moteur
vision : il aurait vu gris (achroma- topsie) pendant un temps. L' état général est bon : aucun trouble des autres appare
ce très im- pressionnable, se met facilement en colère, et dans cet état perd connaissance : elle a quitté ses enfants,
mois, elle a eu une attaque, et c'est à partir de ce moment que son état a commencé à s'aggraver; dès lors, elle n'a pas
er, et impossible de se tenir debout plus de quelques secondes. Cet état persista sans modifi- cations pendant six semai
sage des membres inférieurs : à cette même époque alfirnre-t-elle l' état général restant satisfaisant, les membres supér
ne pouvait se se; vu' de ses mains pour rien même pour manger. Cet état de complète impo- tence dura deux mois, au bout
rations. re- pos, les jambes ne présentent rien d'anormal, sinon un état vari- queux assez prononcé. La sensibilité es
ation debout est possible, mais très difficile sans appui. Dans cet état il se produit des oscillations, et aussi des flex
uel, n'ont pas amené jusqu'à présent d'amélioration sensible dans l' état de la' malade. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE
ni du thorax. Les urines sont normales. 58 CLINIQUE NERVEUSE. L' état général est bon. D... mange bien, dort bien. Use
le 15 février. (Nous avons revu ce malade à la fin de juillet. Son état est toujours le même. Les douleurs thoraciques
aissance. Au début, dit-il, il avait parfaitement conscience de son état , et il aurait été prévenu de cette attaque par
ont été moindres, et il ressent un certain bien-être. Le 18 mai, état stationnaire. - Le malade mange un peu. Le 19 m
ganglion pour se diriger vers le centre sont plus volumineux qu'à l' état normal. En certains points de la ' Cette planch
n est de même dans certains cas d'indigestion, ou bien à la suite d' états dyspeptiques. Bartholow rapporte un cas d'éphid
. 1886. Janvier. - La mémoire est médiocre; le malade est dans un état de semi-démence. Dynamomètre à droite : 30; à g
e rapport qui suivit fut le dernier qui ait été rédigé concernant l' état mental de l'opulent aliéné. Nous le publions au
les résultats de l'enquête à laquelle nous nous sommes livrés sur l' état mental actuel du sieur Mistral, pensionnaire à
rendu à son tuteur ? ' ? Notre enquête a porté successivement sur l' état mental actuel de l'interné, les conditions maté
ociation des idées et conservation très incomplète de la mémoire. L' état mental actuel n'est que la conséquence d'une lo
Ministre. - Maintenant que nous avons étudié d'une façon sommaire l' état mental de M. Mistral, décrit son installation,
permettent aux concitoyens de Mistral déjuger par eux-mêmes de son état de santé physique ou morale : cette surveillanc
aucun doute sur 92 REVUE CRITIQUE. ce fait que dès l'année 1837 l' état mental de Mistral était déjà tel que l'incurabi
dément, et comme c'est la règle chez les prédis- posés, on vit cet état de démence ne progresser que lentement, et do t
aujourd'hui. A la vérité, il existe, ainsi que nous le verrons, des états pathologiques presque semblables aux précédents
es sont froides, pâles, insensibles, immo- biles et restent dans un état plus ou moins prolongé de mort apparente qui pe
t lorsque l'on considère, comme l'a fait Landouzy (p. 67), que «cet état syn- copal varie de plusieurs minutes à plusieu
i de s'attarder à une longue discussion pour démontrer que tous ces états sont de même nature et qu'une seule question de
on vingt-quatre heures, et la malade resta après la dernière dans l' état léthargique où elle est encore aujourd'hui (7 a
aujourd'hui (7 avril I S8 i). Le lendemain et les jours suivants, l' état de la malade ne se modifiant pas, il fallut son
lontaire, devint aussi très rare; les règles ne reparurent pas. L' état de calme léthargique était interrompu à des dista
attaques de sommeil, mais enfin, lorsque Lan- douzy écrit que « cet état syncopal varie de plusieurs minutes à plusieurs
face et des deux extrémités de ce côté, se généralise bientôt ; un état de mal se déclare. On constate finalement des a
ro- mure de potassium n'ont produit aucune modification dans son. état . C'est seulement après avoir échoué avec ces remè
é. Le quatrième jour de ce traitement : amélioration no- table de l' état psychique, diminution du tremblement, sommeil e
foie de la malade 4G centigrammes de chlorhydrate de morphine à l' état libre. Cet emmagasinage expliquerait comment des
r que les sujets sur lesquels ils ont expérimenté n'étaient pas à l' état de veille, comme le prétendent les expérimentat
veille, comme le prétendent les expérimentateurs, mais bien dans un état hypno- tique et que cet état qui, d'après eux,
es expérimentateurs, mais bien dans un état hypno- tique et que cet état qui, d'après eux, n'est pas susceptible de sugg
tériel et mental. Ce n'est pas tout; il faut absolument adapter à l' état de chacun d'eux le mode d'alimentation; consulter
u professeur KOIILRAUSCH; simplicité, bon marché, retour rapide à l' état d'équilibre, telles sont les qualités qui recom-
ganglions et la moelle des réactions colorées différentes même à l' état nurmal. -Courte observation de tubercule dans l
ce qui augmente ses douleurs. Mal- gré les purgatifs administrés, l' état demeure le même jusqu'au Voy. Archives de Neuro
e leur maladie, plein discernement de leur SOCIÉTES SAVANTES. 137 état morbide; 2° ceux qui viennent d'eux-mêmes se fair
les directeurs soient des alié- nistes ; seuls du reste ils sont en état d'opérer la sélection voulue, d'assurer toutes
assager à sa maladie; mais il retomba presque aussitôt dans le même état et commença à s'écrier à chaque instant que per
des visités étaient couverts de vermine. Dans beaucoup de villes, l' état de malpropreté et de désordre des maisons de ch
es; espèce et quantité du régime ali- faits DIVERS. 157 mentaire; état du couchage, des vêtements, etc., des observation
con- gestion des oreilles; sa vue s'obscurcissait par moments; cet état durait près de huit jours et cessa pour reparaî
gésiques et thermo- anesthésiques, le sens du tact est en aussi bon état qu'ailleurs. A l'examen par le compas de Weber,
t la plus frileuse et transpirait davantage. Le 23 août, il y eut état fiévreux et sur le côté cubital de la main gauc
nt se passa sans qu'on ait eu besoin de recourir au cathétérisme. L' état général du malade s'améliora peu. Le traitement
alade de l'iodure de potassium qui agissait défavorablement sur son état général et fut par suite abandonné. Dans ce d
durant deux, trois semaines, il se développa dans le bras droit un état semblable à celui qu'il éprouvait dans la jambe
t descendus de cinq travers de doigts. Le nerf trijumeau est en bon état ; les autres symptômes du système nerveux n'ont
perçue, tandis qu'ici le malade ne perçoit que 4° de différence. L' état général est bien meilleur. Fig. 17. 174 PATHO
effet d'un attouchement. Le membre inférieur droit est dans le même état qu'il présentait au premier examen. Mais sur le
antérieure. Les phéno- mènes subjectifs sont demeurés dans le même état . Hypocon- drie marquée; des sensations diverses
adies qu'il découvre en lui, comme du cancer, de la phtisie, etc. L' état général du malade s'est considérablement amélio
dans es parties périphériques au memnre; on la trouve en menteur état à mesure que l'on observe plus haut et elle est n
nts des autres doigts sont légèrement affaiblis en comparaison de l' état normal. Les mouvements de la main sont libres et
la dégluti- tion, l'articulation et les organes du bassin sont à l' état normal. Les organes internes sont en bon état.
es du bassin sont à l'état normal. Les organes internes sont en bon état . La complexion est solide. Le malade ne resta p
Le malade ne resta pas longtemps à l'hôpital et sortit dans le même état . De temps en temps il venait se faire voir par mo
ophiés, le pouce est faible. Le malade serre assez fort le poing. L' état de sensibilité est partout demeuré stationnaire
art cela, toutes les fonctions s'accomplissent ré- gulièrement et l' état général reste bon. 192 pathologie NERVEUSE. D
tre et persister ensuite assez longtemps. Toutefois, d'ordinaire, l' état station- naire dure et est suivi de la cessatio
tifs à la physiologie de la station et de la marche considérées à l' état normal. Nous em- pruntons d'abord à M. Mosso un
e centre spinal, et alors l'ordre donné n'est pas exécuté. - Dans l' état de nos con- naissances sur ce sujet, il serait
par voie de suggestion chez des malades hystériques plongées dans l' état de grand hypno- tisme. Gr... est plongée dans
7 ? posps<as ? af mal (novembre 1884). - Automatisme. - Mort en état de mal (1SSG). Autopsie. Atrophie et aspect cha
res molaires droite et gauche arrachées pour carie. Gencives en bon état . Articulation nor- male. Menton bas, retiré en
e une bride légèrement saillante et linéaire; l'orifice anormal à l' état ordinaire a la forme d'un triangle isocèle dont
ns attirer sur lui l'attention de nos lecteurs : il s'agit des deux états de mal qu'il a eus en 1884 et en 1886. Dans les
: 2M" CLINIQUE NERVEUSE. montre la marche de la température dans un état de mal qui se termine par la guérison; le secon
ccompa- gnée d'automatisme.' Dans sa thèse sur la -Pathologie des états épileptoïdes, 0. Berger - établit un rapprochem
d'autres manifestations de crampes arrivant par attaques. Puis ces états devenus durables atteignent leur plus grand dé-
des grandeurs; analogue à celle-ci par la succession des différents états psy- chiques en relation avec des symptômes mus
e stupeur de courte durée arrive de nouveau de l'excitation ou un état de franche mélancolie à laquelle succède la stupe
ment de stupeur. Dans des cas plus rares, la stupeur alterneavec un état de Verwirtheit secon- daire. Les terminaisons p
Il y a encore des cas où la Catatonie se déve- loppe au milieu d'un état d'excitabilité nerveuse ou d'un état de dépress
se déve- loppe au milieu d'un état d'excitabilité nerveuse ou d'un état de dépression physique générale. Mais alors ell
. Dans beaucoup de cas après la stupeur (Attonitat) se développe un état de Verwirtheit secon- daire ou général avant la
néral avant la démence complète, et avant cette stupeur se place un état maniaque qui la sépare de la mélan- ^ colie ini
ation de l'innervation motrice. Très fréquemment, et surtout dans l' état de stupeur, on constate une flexibilité ! ¡ cir
niques ou toniques, doivent être mises sur le compte en partie de l' état psychique, en partie de l'état phy- sique. Il n
e mises sur le compte en partie de l'état psychique, en partie de l' état phy- sique. Il n'y a jamais deparalysie motrice
is qui serait pour Kahlbaum un genre de Catatonie mitis. Car dans l' état de stupeur on peut toujours reconnaitre quelque
jours reconnaitre quelques symptômes neuro-moteurs et souvent des états convulsifs antérieurs à l'entrée à l'asile, passa
ci- tation, sorte de raptus passagers, interrompant fréquemment l' état mélancolique, mais avec tant de rapidité et d'une
ie, apoplexie, méningite, encéphalite, qui se présente soit dans un état de santé com- plète, soit dans un état de troub
qui se présente soit dans un état de santé com- plète, soit dans un état de trouble mental durant depuis un certain temp
ou de dépression. émotion- nelles intenses, conduit sûrement à des états de mutisme non motivé ou tout au moins à un éta
it sûrement à des états de mutisme non motivé ou tout au moins à un état cataleptique. Enfin il sera compliqué de symptô
Ou bien, si l'on voit chez un malade franchement mélancolique un état pathétique spécial et une attitude d'une raideur
e de la verbigération, sur l'absence de changements brusques de l' état émotionnel, sur l'amnésie qui suit les états d'ag
angements brusques de l'état émotionnel, sur l'amnésie qui suit les états d'agi- tation. Il n'y aurait pas de vraie manie
'amélio- ration de la Catatonie marchant parallèlement à celle de l' état général. Enfin l'oedème cérébral décrit par Eto
des cordons blancs de la moelle. Il trouve une grande analogie de l' état du cerveau avec celui qu'on observe dans la fiè
plus ou moins de régularité, de manie et de mélancolie et par des états épileptoïdes et cataleptoïdes avec conceptions dé
les qui sont primitives (prima^y insanities) dans le sous-ordre des états caractérisés par un trouble émotionnel fondamen
nt somatique (cataleptique ou tétanique), ou sug- f gérer l'idée. L' état psychique peut se limiter à l'état du t; Wahnsi
ique), ou sug- f gérer l'idée. L'état psychique peut se limiter à l' état du t; Wahnsinn aigu ou descendre jusqu'à la dém
e du système vaso- moteur qui en fait une vraie psychoneurose : les états variables d'excitation, de dépression, de raide
orme très fréquente du Wahnsinn hystérique a de règle pour début un état d'excitation maniaque. Il s'agit toujours alors
e la prochaine apparition de phénomènes hystériques surajoutés. L' état des muscles est très important à considérer, surt
r que le plus souvent les pupilles paraissent normales ou dans un état variable decontraction ou de dilatation. Mais aus
sortir qu'à à l'inverse de ce qui se passe dans l'épilepsie, dans l' état de mal hystérique, latempératurenes'élève pas a
est permis, avant de parler des diverses sensibilités, d'étudier l' état de la nutri- tion générale, résultante directe
l'observation d'une dame anglaise qui resta pendant 7 jours dans un état qui n'était évidemment autre que la léthargie h
sommeil religieux, cette catalepsie volontaire, elle était dans un état de mort apparente; les incrédules lui enfonçaie
it plus intéressant encore, et surtout plus concluant, d'examiner l' état des sécrétions pendant les attaques de som- mei
uelque chose de plus et nous pensons que véritablement, pendant cet état , les hystériques brident peu, se dénutrj- tionn
e dans sa plus large expression. Ceci nous conduit à il parler de l' état des sens chez les individus atteints de sommeil
analogues au point de vue médico-légal, in-8°, 1887, chap. vu, Les états hystériques. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE
anière étonnante; cinq ou six hommes ne pouvaient la retenir. Cet état dura trois semaines, après lesquelles la chorée s
malade, dont le système nerveux était débarrassé entièrement de son état morbide, parut aussi fraîche et aussi bien portan
rut aussi fraîche et aussi bien portante qu'auparavant. Pendant son état léthargique, où toutes les fonc- tions paraissa
ait d'entendre les prépara- tifs de mort sans pouvoir sortir de son état . Elle a vécu encore treize ans; le mariage et t
assez longues pour qu'on ne se trouve plus en présence d'un même état de mal hystéro-épileptique. On sait en effet que
peut-être réelle, qu'on avait avant eux enterré des hystériques en état de mort apparente, ce qui n'est plus à craindre
ades sont froides, pâles, insensibles, immobiles et restent dans un état plus ou moins prolongé de mort apparente qui pe
négalité pupillaire et un léger embarras de la parole persistent. L' état mental et l'état physique se maintiennent encor
re et un léger embarras de la parole persistent. L'état mental et l' état physique se maintiennent encore très satisfai-
ral avec oppression cardiaque, constriction au creux épigastique et état syucopal. Elle s'affaisse sans proférer une par
rhagie ancienne ou ré- cente ; lesvaisseaux sont partout en parfait état , il n'existe aucune adhérence pathologique. L
stance; la substance blanche et les noyaux centraux dans un parfait état ; enOn la protubérance, le bulbe et le cervelet
arfait état ; enOn la protubérance, le bulbe et le cervelet dans un état irrépro- chable. Poumons. - A l'ouverture des
n Traité de pathologie générale et l'on verra combien chacun de ces états prête à l'étude sé- méiologique. Ici encore i
UES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 289 lade paraît plongé dans un véritable état apoplectique d'origine cérébrale, d'autant plus
trop à l'appréciation individuelle. Ces signes sont tirés : 1° de l' état de la température ; 2° de l'état de la sensibil
Ces signes sont tirés : 1° de l'état de la température ; 2° de l' état de la sensibilité ; 3° de la participation divers
ormes de la paralysie générale ou de la sclérose en plaques; dans l' état de mal épileptique ou éclamptique elle s'élève à
onstatation de l'hyperexcitabilité musculaire spéciale à ce dernier état . Nous savons néanmoins que l'hypnotisme peut êt
poitrine. Pour se soustraire à cette correction, Phinéas simula un état léthargique pendant quarante-trois jours. Aucun
nous avons déjà traité dans notre travail sur l'Hypnotisme et les états analogues au point de vue médico-légal et dans un
tée par l41abille s, que les malades peuvent être violées pendant l' état 'Le viol dans l'hypnotisme et dans les états an
être violées pendant l'état 'Le viol dans l'hypnotisme et dans les états analogues; communication du 2 août 1886. - Ra
put accuser faussement un indi- vidu de l'avoir violée pendant cet état . Nous l'avons dit, nous n'insisterons pas davan
ralbl. f. Nervenheilk., 1886.) CONTRIBU- 1 Voy. L'hypnotisme et les états analogues..., p. 519-524. REVUE DE thérapeutiqu
éraux). P. KERAVAL. II. Contribution A L'ÉTUDE DE la suggestion A l' état DE VEILLE au point DE vue thérapeutique ; par l
de 1'urèthre, trou- bles psychiques, etc...,) par la suggestion à l' état de veille. L'auteur croit, avec Grasset, qu'on
et se trouve dès lors apte à subir les effets de la suggestion à l' état de veille. G. D. III. Contribution A l'action D
tieuses et des idées de persécutions. Chez les dégénérés surtout, l' état délirant accuse le plus souvent une irrégularit
même, si l'on en croit MM. Saury et Legrain, plus particuliers aux états inférieurs. Du côté psychique on a pu noter dan
d'esprit, les altérations du caractère, des sentiments et même les états émotifs spéciaux réunis par M. Magnan sous le n
s exemples. Cette coexistence possible du délire chronique avec les états dégénéra- tifs est encore mise en évidente dans
t héré- ditaire, tandis que le délire chronique serait distinct des états de dégénérescence, à ce que prétendent M. Magna
ioré le sort des aliénés à Paris, dont les asiles étaient en piteux état , et qu'il ait paru accomplir dans la capitale d
oilà, dit M. Loehr, l'exactitude. Il cite à l'appui Tenon (1786), l' état encore piteux des services de Pinel, en 1808 (rap
rimes. Il arrive très fréquemment, quand on doute de la nature de l' état mental d'un prévenu, qu'on cherche à con- naîtr
on cherche à con- naître ses antécédents... 111. DE GAVARDIE. Ses états de service intellectuels ! M. le Président. N'i
lez assez souvent. AI. LE Rapporteur Oui, monsieur de Gavardie, ses états de service au point de vue mental. La magistrat
du Code civil ; « 2° Un rapport au procureur de la République sur l' état mental de la personne à placer, signé d'un doct
infirmité cérébrale, d'affaiblissement intellectuel, qui les met en état de nuire, et en fait des incurables. Il est du
la protubérance, le bulbe rachidien ont toutes les apparences de l' état normal. On ne remarque pas de dégénérescence gr
es dé substance grise et les cordons blancs ont les apparences de l' état normal : cellules et tubes sont également sains
sculo- cutané droit. Tous ces nerfs, sans exception, sont dans un état parfait d'inté- grité, Quelques filets cutanés,
nt altérés.' Les quelques fibres rnyéliniques qu'on y rencontre à l' état normal ont disparu ; on n'aperçoit que des fibr
le trouble dynamique de l'encé- phale et rien ne ressemble plus à l' état apoplectique causé par une vaste hémorrhagie cé
'état apoplectique causé par une vaste hémorrhagie cérébrale, que l' état malades atteints de paralysie générale, de sclé
deux ans, à la suite de préoccupations, il eu des idées noires; cet état psychique a persisté pendant trois mois. La p
dies héréditaires du système nerveux) pouvait se ren- contrer à l' état d'affection familiale et nous avons rapporté, à
s dans les réactions électriques. C'est sur ces variations dans l' état électrique des nerfs et des muscles qu'Erb a ba
réaction de dégénérescence complète, on constatait au contraire un état presque normal de la contractilité faradique. L
r la dégénérescence du nerf, et partant des troubles marqués dans l' état de la con- tractilité. » DE LA PARALYSIE FACI
es les hémiplégies de la face qui s'offrent à notre observation à l' état de paralysies isolées ? Nous ne le pensons pas.
hologi- que de la paralysie faciale sont encore à faire et dans l' état actuel de la science nous en sommes réduits aux
ence; - grincement de dents. Gâtisme; affaiblissement progressif; état de mal. Pyo-piieuino-thoi-ax consécutif. Mort.
e autres sur les doigts. Les sens sont difficiles à examiner vu l' état de démence coi7z- plète du malade ; l'ammoniaqu
es, deux nouveaux accès. Duch... est resté toute la journée dans un état de prostration complète.. - T. R. 380,8. - Soi
- T. R. 40°,6. Soir : 41°. 14. T. R. 390,6. Soir : 41°. 15. Même état avec des alternatives de mieux relatif et d'ag-
une péricardie purulente, qui se sont développés à la suite d'un état de mai'. 1 L'hémisphère cérébral droit ne prése
enne de la circonvolution frontale ascendante, du lobe occipital, l' état chagriné des pre- .' Nous ferons remarquer que
racter, et dans l'espace de quarante secondes elles ont repris leur état normal. Quant au tremblement, il persistait enc
ences, les pupilles se contractent plus lentement; pour revenir à l' état normal, elles mettent plus de deux minutes, tan
'on voit que les respirations réappa- raissent, mais pas à leur état normal. Le tracé n° 43 nous donne, par la cou
but central des pneumo- gastriques, comme aussi leur irritation à l' état normal, donne les mêmes résultats, soit réappar
rieure. Quant à l'expiration, c'est un acte passif, un retour à l' état de repos, d'où l'inspiration a fait sortir le p
1·f.Jensen a rappelé la catatonie de Kalhbaum qui se range près des états épileptiques et inconscients, et qui a aussi une
e sur la folie à double forme, M. Ritti 2/' signale la présence des états cataleptiques dans la période I mélancolique; i
le forme, 1883, Obs. XI, XII, XIII. LA CATATONIE. 425 formes ou états cataleptiformes et même les simples raideurs mu
étaniformes. De même que les convul- sions ou les contractures, les états cataleptiques sont aussi très fréquents chez le
s chez les hystériques en dehors des attaques de catalepsie et de l' état hypnotique. En effet, si à l'état de veille les
es attaques de catalepsie et de l'état hypnotique. En effet, si à l' état de veille les hystériques peuvent présenter 1'l
alepsie. Lasègue '' avait déjà signalé le fait de la catalepsie à l' état de veille chez les hystériques. M. Charcot dans
téro-traumatiques, a parlé d'un sujet hystérique qui préséntait à l' état de veille l'immobilité cataleptique des mem- br
orté de nouveaux exemples de ces faits de plasticité musculaire à l' état de veille. ' Krafft-Ebing. Lelarbuch. B. I. ! F
REVUE CRITIQUE. Ces phénomènes peuvent aussi se rencontrer dans les états dégénératifs avec délire surtout du contenu mys
veut lui-même prendre et garder et cela les yeux ouverts. Dans cet état les muscles présentent seulement une légère raide
um. Guislain 2 signale aussi la fréquence de ces symptômes dans l' état qu'il décrit sous le nom d'extase, différent de l
. Art. Extase. LA CATATONIE. 42 Ils peuvent aussi accompagner les états de mélancolie symp- tomatique : on les rencontr
ité cataleptiforme provoquée. M. B. Battalia' a a observé aussi des états cataleptiformes chez un individu intoxiqué par
ve. Dans les autres formes de mélancolie, qui ne présentent pas l' état de depression mais des symptômes d'anxiété simple
les avait déjà signalés '. Ils peuvent aussi être surajoutés aux états maniaques (Lagardelle). On sait d'ailleurs que da
eur peuvent être des plus accentués. Krafft-Ebing signale aussi les états cata- toniques chez les déments. Il n'est' pa
alysie, on peut rencontrer des phénomènes convulsifs variés, et des états de raideur signalés par Kalhbaum chez ses catat
êmes, qui sont plus spéciaux à la folie et que Morselli 3 divise en états d'excitabi- 1 lité réflexe exagérée des muscles
en états d'excitabi- 1 lité réflexe exagérée des muscles (tétanie), états d'exagération du tonus musculaire (catalepsie),
(tétanie), états d'exagération du tonus musculaire (catalepsie), et états de distribution anor- male de l'impulsion centr
mouvement), ces désordres eux-mêmes peuvent se rencontrer dans les états vésaniques les plus diffé- rents. En sorte que
ntrer souvent ailleurs, en particulier dans les LA CATATONIE. 431 états d'affaiblissement intellectuel primitifs ou secon
ien particulier, car ils sont le plus souvent l'apanage de tous les états mélancoliques, si bien même qu'on a pu donner à
sition (Guis- lain 5), Le mutisme aussi se rencontre dans les mêmes états , surtout de mélancolie profonde, dont il est pr
e la maladie ne présente non plus rien de caractéristique : car les états variables par lesquels passe le malade n'ont ri
tivement que très exceptionnellement, et en général suit plutôt un état de mélancolie simple, ou un état de mélancolie
ment, et en général suit plutôt un état de mélancolie simple, ou un état de mélancolie qui suit une manie, de telle sort
son maximum d'intensité et d'étendue dès le début. A la période d' état , le choréique est agité par les mouve- ments le
ue, présente une période d'ag- gravation progressive, une période d' état , puis décroit avec une plus ou moins grande rap
- sant en huit déments, six fous systématiques chroniques, quatre états d'angoisse et de désordre dans les idées greffés
, vociférations, paraphasies, comme symptômes post-épileptiques; 3° états d'excitation moteurs (corticaux) soit dans le s
d'affections organiques du cerveau. L'allure générale est, de par l' état d'hébétude, d'ob- nubilation psychique concomit
la s'applique aux symptômes mentaux de maladies sérieuses. Tous les états morbides mentaux sont des subdivisions des état
érieuses. Tous les états morbides mentaux sont des subdivisions des états mentaux normaux dans des voies différentes. Par
es accès d'une certaine variété d'épilepsie, comme le font d'autres états mentaux (auras intellectuelles). - En conséquen
eur tare céré- brale non point à la folie des ascendants, mais à un état passager l' des parents au moment de la concept
caractérise la folie des héréditaires ou dégénérés, c'est surtout l' état mental du sujet, les syndromes épisodiques dévelo
tat mental du sujet, les syndromes épisodiques dévelop- pés sur cet état mental et enfin l'évolution, l'allure particulièr
'mporlance donnée au chiffre 3 me paraît devoir être si- gnalé. Son état de débilité mentale a été, d'un autre côté, const
ux des vestiges de ces tares physiques presque caractéristiques des états inférieurs, de l'idiotie par exemple. Quant à ne
écution. Pour bien établir le type, il s'en est tenu à la période d' état , négligeant ainsi la marche de la maladie. Il a
vi le délire de persécution depuis son début jus- qu'à sa période d' état .Comme je ne veux qu'établir un type et détermme
u nom de démence, ce terme s'adressant, d'une manière générale, aux états intellectuels en voie de déclin. M. Falret crai
ce qui rapproche ces deux actes de paralytiques, c'est avant tout l' état mental, c'est le fond de démence sur lequel rep
comme des foyers de dégénérescence circonscrits, appartiennent à un état normal. On les trouve surtout au point où le ne
plein pied dans le domaine de la pathologie cérébrale. Il expose l' état actuel de la question, tel qu'il res- sort des
bre atteint. Cette notion est acceptée sans contrôle en raison de l' état cérébral que nous avons dit, et il en résulte la
essé par un docteur en médecine au procureur de la République sur l' état mental de la personne à placer dans un établiss
mment « les phases de la maladie ». Ces expressions supposent que l' état du malade aura compris des périodes succes- siv
« Art. 18. - Toute personne majeure qui, ayant conscience de son état d'aliénation mentale, demande à être placée dans
T. gine de tout étranger résidant ou de passage en France, dont l' état d'aliénation aurait exigé le placement conforméme
devait pas être réintégrée dans la maison de santé du Dr R..., son état ne présentant aucun danger pour la société. Le
75 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
ement silencieux et solitaire. Le pendule devra donc se tenir dans un état de stabilité parfaite. En elfet, il ne bouge poin
même, employée en nature, dont ces globules portent le nom. « 2* Un état d’isolement complet réalisé entre le corps de l’e
s verrez ! Allop. — Voulez-vous que je vous donne de l'émétique à l' état sain? Je vous réponds bien que vous le sentirez.
ntretenir l’apparition des symptômes prédits. Vous le mettiez dans nn état magnétique, docteur, par impression morale d’une
isme déjà agitée plusieurs fois entre nous, vous ne niez pas certains états particuliers que j'appelle magnétiques. Quelle qu
les limites auxquelles peut atteindre la perturbation morale dans ces états , vous êtes sûr qu’ils existent, puisque vous-même
enfin que votre faculté volitive était altérée. « Eh bien, dans cet état , certaines des facultés intellectuelles sont amoi
elles sont amoindries, surtout la comparaison et la volonté. Dans cet état , que divers procédés physiques ou moraux peuvent
jours que l’apâlissement. Nous autres, qui avons manié les sujets k l' état de charme, cette sorte d'état dont je vous parlai
autres, qui avons manié les sujets k l'état de charme, cette sorte d' état dont je vous parlais tout à l’heure, qui avons un
art du diagnostic; mais chez lui la plessimétrie est quasi passée à l' état de loqundc. Quiconque se présentait pour un cas q
le diagnostic, deuxième plessimétrisation du malade pour constater l’ état de la rate au moment de l’ingestion du remède, tr
e partie, une petite partie du bagage des magnétiseurs. Observation d’ états où l'impression morale augmente de puissance, pro
ndants de toute hypothèse pour amener un grand nombre de sujets à cet état ; possibilité de diriger Timagination, et de lui
que je regarde comme un effet d’imagination. Vous dites que dans cet état -là on est sujet à être crédule. Je suis peut-être
relation suivante, signée d’un M. Gardner Adams et datée de Franklin ( état de Massachussets). « On peut voir chez M. S. Wh
hez elle, il y avait deux existences bien distinctes : celle dans son état de veille, et celle dans son état de-sommeil magn
es bien distinctes : celle dans son état de veille, et celle dans son état de-sommeil magnétique qui, je l'affirme, ne le cé
igurer une personne plus indisciplinée que ne l’était celle-ci dans l’ état somnainbulique ; éveillée, elle était d'une polit
ui es-tu pour me parler ainsi?... Je ne te connais pas... » (Dans cet état , elle tutoyait tout le monde.) Plusieurs personne
re docet ne semble-t-il pas rentrer ici à cent coudées sous terre ? L' état magnétique était pour elle un joug réel sous lequ
qu’il n’avait pas fermé l’œil de toute la nuit et se trouvait dans un état de malaise indicible. «Comme ceci menaçait de d
t pas dupe de ma supercherie, que personne n’a vérifié au préalable l’ état des papiers, que l’un des trois était certainemen
ri jusqu’au moment où elle devra être rappelée devant la justice. Son état réclame des soins. L’acte qu’elle.a commis l’a ét
s la prévention de meurtre, et laissé au jury le soin d’apprécier son état mental au moment où l’acte a été commis. Nous sav
t être somnambule, et ce qu’une personne fait à une autre dans un tel état ne doit pas être jugé fait sciemment. Et si j’adm
e la laissais sortir aujourd’hui, elle pourrait retomber dans le même état , et jeter encore un de ses enfants par la fenêtre
nce que — surtout dans les boutiques — je ne crois point aux grâces d’ état . En trouvant dans la lucidité somnambulique une
nion et son critique parlent d’une jambe coupée par M. Cloquet dans l’ état de sommeil magnétique, mais il y a erreur de part
teur F.lliotson , où l’on a déjà pratiqué plusieurs opérations dans l’ état de sommeil magnétique, opérations faites toutes d
avoir été déflorée et rendue mère contrairement à sa volonté, dans l’ état de sommeil magnétique; ceci est une affaire d’obs
la crut morte... Plus tard, interrogée par le médecin, toujours en état de somnambulisme , elle répondit : « Etant endorm
rs de ce mois, elle fut presque toujours somnambule le soir. Dans cet état , elle s’occupait presque exclusivement à préparer
lève et prend congé, rayonnante de joie et d’espérance... Toujours en état de somnambulisme, elle rentre chez elle. A huit h
Invitée à une partie du soir dans une maison amie, elle s’y rendit en état de somnambulisme. Parmi les invités se trouvait u
conversait avec une entière liberté et une grande vivacité. Dans cet état , elle distinguait, sans la moindre difficulté, le
s en papier, comme elle avait coutume dele faire pour s’amuser dans l’ état de veille. Ses yeux étaient parfaitement clos : m
r et an milieu de ses occupations ordinaires. Quand il était dans cet état , il recommençait souvent le travail qu'il avait f
ions était un jeune jardinier qui devint somnambule et qui, diins cet état , exécutait des choses extraordinaires. Il s'endor
beaucoup d’autres, suffiront pour prouver que le somnambule, dans son état extraordinaire, est capable, sans aucun usage app
sque nous en possédons dans Paris d’aussi puissants pour le moins, en état de produire à volonté et devant toute personne, d
ndirent que la mère du jouitc homme était, depuis une heure , dans un état de crise violente. — Nous nous élançâmes dans le
it, selon l’expression vulgaire fort juste; l'aliénation aurait lieu, état qui, dans tous les cas, cesse après la mort, et d
tivité relative aux fonctions des organes, à leurs sympathies, à leur état présent, à leurs habitudes; les causes dont l’act
ar, résultat de la gêne des fonctions animales et principalement de l’ état embarrassé de l’estomac. Le rêve qui comporte l
Le rêve qui comporte le présage, le rêve lucide, n’a lieu que dans l’ état de calme du corps; et celui-là peut être produit
ite la condition de ses rêves est toujours d’accord au surplus avec l’ état de ses mœurs et son caractère. Soyez pur et honnê
avoir qui a eu le songe, ce qu’il fait, comment il est né, quel est l’ état de sa fortune, son âge, sa santé. Il faut ensuite
en elle de l’âme du duc d’Orléans ; il l’associe en quelque sorte à l’ état de béatitude dans lequel il se trouve, et il la c
pas donner, dit-il, une idée assez claire, ni assez distincte de cet état singulier des facultés intellectuelles et des fon
en a pas trouvé jusqu’ici de plus convenable c’est que sans doute cet état a été considéré comme inexplicable (1). « Si l’au
en soit donc, faisons quelques remarques. Observons d abord qu’à l’ état de somnambulisme le malade ne reconnaissait la pl
d’air ; il reprit connaissance et se leva (1). Le lendemain il fut en état de monter un chameau et se mit en route, en expri
aces colorées de ce pays, ne feront aucune difficulté de croire à ces états nerveux extraordinaires : quant aux influences my
o On observe chez les fanatiques indiens un pouvoir étonnant sur l’ état nerveux d’autrui et même sur les objets matériels
ance de madame Mauger, au bout de ce temps, je me suis trouvé dans un état de convalescence complète, pas une douleur, pas u
Le fluide magnétique animal qui est considéré comme invisible dans l’ état de veille et comme ne pouvant être vu que par les
ique , dis-je, ne pourrait-il être visible pour tout le inonde dans l’ état de veille? Cette idée, étant conçue par moi, me c
ux, le fluide humain, dit-on. Mais alors comment expliquer les divers états maladifs analogues àceux que-nous provoquons arti
i de la terre, ne pouvant trouver une issue par en bas, était dans un état extraordinaire de tension, et produisait en se dé
arges, mêlait peu à peu les deux fluides et ramenait insensiblement l’ état latent. — Une autre fois, dans une de ces crises,
er la conclusion que le somnambulisme n’est que la prépondérance de l’ état négatif amené par les passes dans le système nerv
spasmes, les convulsions, les crampes annoncent la prédominance de l’ état positif dans le même système nerveux, provoquée s
é, l’ceuvre de la génération humaine, à ceux qui veulent l’élever à l’ état de science, et lui faire occuper la place qu’il m
ns le système nerveux une perturbation qui conduit au sommeil ou à un état morbide qui présente avec lui certaines analogies
produisaient alors, pouvaient tout aussi bien avoir lieu dans divers états morbides et produire des modifications qui aidero
ications qui aideront au rétablissement de la santé, ou aggraveront l’ état morbide , suivant la prédisposition du malade et
sance fort imparfaite , ce qu’il aurait été incapable de faire dans l’ état ordinaire ; il y a là un phénomène curieux sans d
toutes les circonstances qui ont été regardées comme des preuves de l’ état démoniaque , sont semblables à celles qu’offre l’
es preuves de l’état démoniaque , sont semblables à celles qu’offre l’ état magnétique et sont tout aussi naturelles: il raco
es à l’intervention d’un diable, ne font qu’alimenter et aggraver sou état morbide et peuvent môme le rendre chronique. On
uit. Au réveil, ces symptômes alarmants reparaissent; et cet horrible état dure... environ trois mois ! « La médecine, lor
de nos facultés qui y sont engagées, et essayer de donner de cet état do l’âme une théorie selon les règles d’une saine
ès l’auteur du Mémoire n° A, il n’y a rien qui échappe à l'âme dans l’ état de somnambulisme magnétique, rien à quoi elle ne
s événements les plus reculés et dont elle n’avait rien appris dans l’ état de veille. Elle prévoit de môme et avec la même c
concentrant. Ce sera toujours l’âme unie à ces organes, qui, dans ces états maladifs, en est plus dominée qu’elle ne les domi
ue, l’est tout autant du somnambulisme artificiel et magnétique, deux états identiques au fond. — Que ce sommeil magnétique s
iens), se croit dans une position inexpugnable quand il déclare que l’ état som-nambulique ne pourra être constaté que quand
onstaté que quand on l’aura défini.... Pour M. Lélut, du moins, cet état , qu’il soit bien ou mal défini, existe , peut êtr
phe doit étudier. Quant au\ facultés extraordinaires que présente cet état , six des concurrents les admettent résolument et
ontrent dans un sommeil morbide, normal, et tout à fait contraire à l’ état de santé, résultant soit d’une cause accidentelle
us appelons, dit-il, en général sommation une maladie appartenant à l’ état de veille et souvent périodique, présentant presq
squels l’accroissement du corps se fait remarquer par sa rapidité, un état tel que ces personnes, après avoir éprouvé de I’h
e, et peuvent, aux questions faites par celui (pii les a mis dans cet état , répondre d'une voix altérée, avec des mots le pl
ec des mots le plus souvent choisis, rendre un compte très-exact de l’ état de leur santé, annoncer des changements qui auron
été dit par ces personnes, mais il n’en sera pas toujours ainsi. Cet état surprenant, dans lequel les sens externes étant a
clairs, plus précis, plus nets, les principales phases, qui dans cet état singulier, s’offrent aux yeux de l’observateur co
ide du système nerveux. « Il faudrait peut-être la chercher dans un état d’exaltation particulier des parties génitales...
de lui, il venait à moi en chancelant, en décrivant des zigzags. Cet état n’étant point dangereux et pouvant se prolonger,
. « Le professeur pense que l’àme se détache de la matière ' dans l’ état de sommeil magnétique, se déplace et communique a
froid et noir! comme le bâtiment est secoué!... Sont-ils tous dans un état , ont-ils delà peine!... Ali ! mon Dieu, pauvre M.
de la Bourse dans ce moment-ci... Gomme il travaille; est-il dans un état !... Ça n'est pas amusant d’être là, je ne voudrai
ets, et notamment ceux d’une concentration du fluide dans le cerveau, état dans lequel l’âme se contemplerait elle-même et a
omparée nu corps. Mais, voulant citer un long passage sur une sorte d’ état préliminaire de l’extase, que l’auteur lui-même a
ux, qui plongent dans la profondeur des entrailles et font sentir les états généraux de la vie corporelle. « De même, dans
reconnue avec transport et avec cette exclamation : « Ah ! voilà « l’ état vrai ! » « Cette forme refait le corps, et tant
ifiées par le feu. Que si l’homme se livre au péché et s’il accepte l’ état faux , l'état d’orgueil et de colère, de tristess
feu. Que si l’homme se livre au péché et s’il accepte l’état faux , l' état d’orgueil et de colère, de tristesse et de sensua
de ces faits. « Selon nous, cet ensemble de sentiments constitue l' état vrai de l’homme : état très-rare pour nous, qui p
n nous, cet ensemble de sentiments constitue l'état vrai de l’homme : état très-rare pour nous, qui parlons ici, et rare aus
our un instant à son image. « Mais qu’est-ce que cette forme et cet état , au point de vue théologique ? Je l’ignore. Est-c
rme et cet état, au point de vue théologique ? Je l’ignore. Est-ce un état purement naturel, et l’âme reprend-elle naturelle
nore pleinement. « Cependant il estbien à croire que, dans tous les états humains possibles, Dieu fait sentir à l’âme, de t
é possible sur la terre. « Quoi qu’il en soit, cet état d’âme est l’ état vrai : cet état seul, plus ou moins senti, est la
a terre. « Quoi qu’il en soit, cet état d’âme est l’état vrai : cet état seul, plus ou moins senti, est la source des gran
Alors un contrôle sérieux aura lieu, et l’on ne tardera pas à être en état d'apprécier leurs prétentions. Si elles sont fond
stes de Paris. Car nous affirmons qu’ils n’ont jamais vu de médium en état de lire à chaque instant et à coup sûr la pensée
qui ont le don heureux , le pouvoir merveilleux d’être lucides dans l’ état de somnolence magnétique. Des expériences innom
leur signification? Enfin, la personne dont il parle qui, dans les états de crise, semble transformée en une autre personn
vie de l’âme suivant les mondes avec lesquels elle communique. Dans l’ état que nous appelons naturel, parce que c’est celui
ouvons le plus souvent (et c’est pourquoi il paraît au sens commun J’- état normal), l’âme est en relation avec le monde phys
ns vivante. Elle vit peut-être alors avec plus d'intensité que dans l’ état réputé norrrtal, bien que le monde et les êtres a
rentrer dans la conscience de nous-mêmes. Que devient l’âme dans cet état mystérieux ? Avec quel monde, avec quels êtres es
lquefois transmises à l’âme et qui se rapportent à sa position dans l’ état de veille? Ces faits, qui ne peuvent être niés co
el, comme on voudra l’appeler, qui par son action produit en elle des états et excite des actes dont la conscience lui échapp
eut saisir et analyser par la réflexion. « Il en est de même de ces états sublimes de l’intelligence où l’homme, éclairé pa
le génie de l'artiste transporté p u- la vue do 1 idéal, sorteut de l’ état permanent naturel ou ordinaire de 1 humanité; ils
quelquefois le vulgaire les accuse de folie. « Le caractère de, cet état est aussi la suspension plus ou moins complète de
nce de ïa psychologie expérimentale, puisqu’elles se rapportent à des états où l’observation de soi-même devient impossible o
nt impossible ou au moins très-difficile. (c II en est de même de l’ état où l’âme peut entrer par la prière, c’est-à-dire
érer ce côté surnaturel de l’existence humaine. « Enfin, il y a des états singuliers où les phénomènes psychologiques les p
er avec des êtres d’un autre monde, etc. Ici plus encore que dans les états précédents, la conscience est suspendue, et il n’
adies où ils se produisent le plus fréquemment (car c'est toujours un état maladif causé par la rupture de l'équilibre entre
er le sang, etc., et on verra dans ces faits autant de preuves de cet état dont nous parlons, qui s’est manifesté de diverse
ivité rentrent dans leur cours habituel. Il en est de même dans cet état analogue au sommeil qu’on appelle la rêverie, par
réflexion et la perte de la connaissance s’ensuit. En sortant de ces états , on revient à soi, on reprend ses esprits, comme
r l’esprit se reprend en effet et redevient présent à lui-même. « L’ état singulier qu’on appelle somnambulisme, qu’il arri
mme s’ils étaient deux personnes distinctes et séparées, l’une dans l’ état ordinaire et l’autre dans la crise. Dans ce derni
l’une dans l’état ordinaire et l’autre dans la crise. Dans ce dernier état , le sujet se nomme toujours à la troisième person
rsonne très-naïve et très-pieuse, qui tombe naturellement dans uu tel état , quand elle est vivement affectée par une cause m
servir d’instrument à l'intelligence et à la volonté. 11 y a dans cet état incapacité de réfléchir, de penser, de vouloir ;
on âme, tout son amour à la place de Dieu qui seul a droit (1). « L’ état de l’âme qu’on appelle enthousiasme lui ôte momen
nage pour ainsi dire dans un océan d’amertume ou de bonheur. Dans cet état , elle ne peut ni penser, ni parler, ni agir, elle
verser? L’arbre demeure-t-il éternellement du côté où il est tombé? L’ état de l’âme, après la mort, est-il définitif, irrévo
altation de nature extatique ; il est donc très-possible que dans cet état anormal, leur sensibilité soit émoussée et qu'ils
r impunément certaines tortures qui leur seraient intolérables dans l’ état ordinaire ; il serait donc possible qu’ils présen
nous est naturellement sympathique ou inférieur en influence par son état maladif ou para propre volonté ? Comment, dis-je,
Deux semaines de magnétisation amènent une grande amélioration dans l’ état de la malade, qui a été entièrement guérie par le
malade, qui a été entièrement guérie par les remèdes indiqués dans l’ état de lucidité par la gouvernante de la jeune fdle e
is d’une magnétisation quotidienne ¿une demi-heure, l’enfant était en état de percevoir le bruit. le,.plus léger et de . dis
nsom-ipe, calment les accès et amènent une grande amélioration dans l’ état de la malâde. îsov. Le colonel de B., membre de
ques heures, au grand étonnement du médecin qui, le matin, trouvait l’ état de la malade assez inquiétant pour engager les ma
cher, d’Heddernheim, près Francfort. Aménorrhée, crampes d’estomac, état de langueur et abattement général. Une séance d’u
l’on voulait qu’il pût dire au mourant un dernier adieu. Tel était l’ état du malade lorsque je fus appelé près de lui, sino
tète, d’atroces coliques, de nausées et de vomissements de bile. Cet état durait depuis quarante-deux heures, malgré les ef
Bien plus, en opérant sur un grand nombre d individus, nous serons en état de dresser la statistique de ses effets. Ce sera
ais offrent tant d’exemples et qui est dii domaine de la seconde vue ( état magnétique naturel ou spontané). Ce n’était pas n
ersonne dont le sommeil magnétique était fréquemment lucide. Dans cet état , je la faisais voyager et il arrivait de deux cho
mot encore pour finir. Nul.n’iguore que, lorsque le sujet est dans un état de somnambulisme approchant de l’extase, il arriv
vça 0lite3 songesvet les soi-disant visions des somnambules ? — quà l’ état de veille, nous n’avons qu’à penser à une personn
action , chez ceux qui arrivent au somnambulismes jusqu’à l’extaSe, ■ état dans lequel ils perçoivent,’-non plus seulement c
de la ville une proposition signée : il s’engageait à rétablir dans l' état normal de santé les membres que les médecins cond
n» 53 du 10 mars, page 121. Qui produit cette modification dans l’ état d’agrégation des corps? C'est la cluilcur; c’est
les conséquences. Nous ne connaissons de corps élémentaires dans un état de pureté parfaite que ceux qui s'offrent à nous
nveloppccharnelle, faculté qui serait principalement i nhérente à ces états . Nouscreyons en effet que, lorsque AL Lassaigne a
onnaît déjà l’existence d’un nombre infini d'Esprits qui sont dans un état de bonheur ou de souffrance proportionné au bien
corps humain. L’expérience démontre le contraire : les somnambules en état de voir les maladies et les remèdes sont beaucoup
sentiments, il arrivera souvent qu’ils ne pourront s’élever jusqu’à l' état anormal, grâce auquel ils étaient éclairés d’une
s du maître. Les hominicules demeurés ou retombés dans le chaos à l’ état neutre ou cataleptique peuvent en être tirés parl
tin. Je m’y trouvai et je vis la partie malade qui était dans le même état que la veille. Après que son aide l’eut lavée, il
ndant une demi-heure, après quoi il se trouva parfaitement sain et en état de frapper sur l’enclume. — Un M. J. G... avait
qu’il existait jadis des individus doués d’une science surhumaine, en état de donner sur toutes les questions des solutions
ssent ordinairement de la lucidité qu’après avoir été plongés dans un état particulier par l'action d’un magnétiseur, dont l
u par écrit ou de vive voix : on suppose donc que les Esprits sont en état de voir et d’entendre ce qui se passe dans la sal
conviction de n’être pas les auteurs ; ils peuvent donc, dans cet état et avec une entière bonne foi, mettre en jeu quel
'elle s’échappe d’une chaudière. Après une demi-heure passée dans cet état , la respiration se supprimait tout à coup. Le cœu
ent en compliquer les accès. Nous trouvâmes parfois la malade dans un état complètement cataleptique... On comprend que tous
par ces procédés, première et évidente preuve de la supériorité de l’ état qui confère ces privilèges. Mais comment lès chos
nstitution de l’individu, qui dérive elle-même et des parents et de l’ état des astres au moment de la naissance ou de la con
parole, a remercié l'assemblée de son accueil sympathique, a exposé l’ état du magnétisme en Amérique, où les partisans d’une
de petites au-guilles. Si tout le système névralgique est dans cet état , je comprends les souffrances de la malade, me di
-lismea fait un appel à tous les médiums et à toutes les personnes en état de présenter quelque chose de remarquable en ce g
RVEILLEUX. C’est une tradition très-vulgaire et très-ancienne que l’ état du ciel annonce les grands événements humains. To
sombres et mélancoliques, nous trouvons plusieurs indications de cet état maladif de l’esprit public. La tristesse des idée
somnambules découvre des secrets que ne peut atteindre l’homme dans l' état ordinaire ; il y a donc dans l’art divinatoire un
x d’une extrême difficulté, et dont ils seraient incapables dans leur état ordinaire. Voici un nouvel exemple qui nous paraî
ormie du sommeil magnétique, elle annonça son projet de faire, dans l’ état de noctambulisme, une tapisserie dont elle exposa
ntait déjà une grande difficulté, et certainement une personne daus l’ état ordinaire n’aurait pu travailler dans de pareille
ettre son ouvrage, puis elle allait se coucher tranquillement. Dans l' état de veille, elle ne conservait aucun souvenir
n sommeil magnétique, elle se rappelait ce qui s’était passé dans son état de noctambulisme; mais il n'v avait pas réciproci
ut en juger par les quelques paroles qu’elle prononce dans ce dernier état . On ne put faire à ce sujet d'expérience suivie,
quelque lumière sur la voyance et les conditions qui font naître cet état singulier : « Le maréchal Blücher venait d’atte
étranges. « Voici cou ment il procède. 11 prend un oiseau dans son état le plus sain, le plus normal ; pendant plusieurs
a chasse et toujours à portée J'éiudier les mœurs des animaux à l' état domestique on à l'état sauvage, Alphonse Tousscne
s à portée J'éiudier les mœurs des animaux à l'état domestique on à l' état sauvage, Alphonse Tousscnel, n’a pas hésité à int
toujours «n grand intérêt et facilitent les études du somnambulisme, état encore si peu connu, comme tout ce qui tient aux
rg « (elle est très-renommée ; cependant ma confiance, en elle, « à l’ état de veille, n’était pas très-marquée); je l’invoqu
au lit, insensible et ayant îi peine conscience de son existence; son état était désespéré. M. Page, en lui imposant les mai
ue entre le somnambule et ceux qui sont en rapport avec lui; Dans cet état , l’âme passe tout entière pour ainsi dire dans le
e il se trouve en rapport. Celle-ci peut à son gré le rappeler de cet état et l'y plonger de nouveau. Elle exerce sur lui un
mourir près de ses enfants. On lui fait observer qu'elle n’est pas en état de quitter son lit et de monter à cheval. Elle pe
décisives; elle est prête à indiquer, d'après une mèche de cheveux, l’ état de santé d’un individu, et à décrire, au seul con
de santé d’un individu, et à décrire, au seul contact d’un cadavre, l' état des organes intérieurs et les causes qui ont amen
ra dans la voie que nous indiquons, plus le nombre des commissions en état d’expérimenter d’une manière efficace ira en s’ac
, laisser subsister le doute. Par exemple, qu’un somnambule décrive l’ état d'un malade, ses indications peuvent être vagues,
e fis en 1846. Mes trois fils tombèrent malades dans le moment où mon état devint le plus critique (je restai sans connaissa
commandé. Il y avait quarante-huit heures que le corps était dans cet état , quand le grand-père, homme très-âgé, vint de Lan
fait par la jeune fille elle-même. Actuellement l'enfant est dans un état tel, qu'on ne sait si l’on ne doit pas regretter
s réserves quant à la bonne foi d’une partie des médiums qui, dans un état mental particulier, peuvent exécuter des mouvemen
paraître prochainement les observations qu’a suggérées à M. Conrotson état habituel de songeur et dévoyant éveillé. On n’ign
el de songeur et dévoyant éveillé. On n’ignore pas que ce fut aussi l' état d’Apollonius de Tiiyanes et de bien d’autres pers
par l'Académie des sciences morales et politiques, considère cet état et le somnambulisme comme une sorte de dégradatio
es entrailles et les placer devant lui, puis rentrer dans son premier état . Ce spectacle, quelque atroce et quelque dégo
dement la main sur la blessure de son ventre, et tout rentre dans son état primitif, sans qu'il lui reste la moindre trace d
ngea : aux contorsions violentes du système musculaire succéda un état de calme complet; il paraissait endormi, ses yeux
r l'invitation d’une des personnes présentes. 11 était, en un mot, en état 4e somnambulisme. Je in’enquis des causes présumé
ine veille. Les passes magnétiques me paraissent être la cause de l’ état actuel de l'enfant : je n’en vois pas d’autre.
teur. — J'ai vu le jeune malade le 13 octobre •1858; il était dans un état somnambulique, jouissant de locomotion volontaire
athéchisme. Mon fils le vit dans la nuit du 15, il était dans le même état et conjuguait le verbe pouvoir. Ce n'est que quel
ques dans lesquelles il éprouve de violentes convulsions suivies d'un état de calme et de somnambulisme. Le pauvre magnétise
sorte, de leur ignorance. Le premier médecin, après avoir exposé l' état de l’enfant, dit ne pas croire au fluide magnétiq
opinions toutes faites, puisées on ne sait où, et qu’on n’est pas en état de justifier. Le témoin déclare que « ni la que
nce de Soubise était sérieusement malade de la fièvre scarlatine; son état était devenu alarmant; les médecins n’espéraient
re éclore des facultés anormales. Cagliostro passait pour être en état d’évoquer les morts, de les faire apparaître et p
Un homme âgé mourut dernièrement après avoir passé huit ans dans un état de prostration causé par la paralysie. 11 apparte
à. son indisposition, et ne la quitta qu’après l'avoir ramenée à son état normal et avoir fait ii la mère les recommandatio
lquefois à celle-ci d’être vue en plusieurs lieux à la fois. Mais cet état peut être aussi l’effet d'une disposition naturel
ignait toujours d'avoir 1111 poids sur le cœur et s’inquiétait de sou état . On la consola, en l'engageant à. avoir confiance
souffle ni mouvement, qui survient après l’insomnie, indique que son état était une catalepsiè, compliquée de somnambulisme
était une catalepsiè, compliquée de somnambulisme spontané. Dans cet état , comme on le sait, les spasmes toniques, où tous
s dans une position singulière. L’exemple précité prouve que dans ces états , certaines cir- constances étant données, ¡1
i s’approchèrent plus ou moins de la vérité. Et puis sommes-nous en état de juger l’antiquité? le peu d’ouvrages qui nous
cette définition ne soit la bonne. En effet, si la magie n’est pas en état de prouver sa réalité par la production de certai
os villes, ni terreur, ni admiration, parce que, tout en étant hors d’ état d’en comprendre le mécanisme, ils savent que c'es
rend les papiers qui, quand f y assistai.se retrouvèrent dans le même état , mais qui, dit-on , dans d’autres circonstances,
longtemps dans le tombeau, conservées par la lumière astrale dans un état complet de somnambulisme lucide : a Leurs âmes al
elle il apparaît à nos yeux, la matière brute, dis-je, sortant de cet état d’ébullition, fut soustraite peu à peu à ce choc
même du mouvement, soit organique, soit inorganique et retomba dans l’ état d’inertie. Alors, à cette époque de refroidisseme
quilibre général qu’elles ont pour but de maintenir, dans l’homme à l' état de santé. Nous trouvons ces polarités très-pron
différence s’observe également pendant le sommeil comparativement à l' état de veille. Cette influence de la position sur le
alepsie (1). M. Michèa. « Puisque M. Puel affirme avoir constaté un état d’hypéresthésie très-prononcé à la région épigast
nomie, des relations directes ou indirectes, mais qui sont tels que l’ état de ces appareils exerce une influence sur nos dis
sitions morales. Cette influence se manifeste particulièrement dans l' état de rêve ; elle en détermine souvent la nature. Ai
s propter hoc, quoique ce fût post hoc. Ce fut alors que je la vis. L’ état du faciès et celui du pouls me firent douter de l
me vint alors de répéter ce que j’avais vu faire suides personnes en état de somnambulisme; je fis quelques frictions sur l
Sommeil, des rêves et du somnambulisme dans tétat de santé et dans l' état de maladie (2), ouvrage où sont admises et décrit
la vis tout à coup entrer, sous l’influence de ce médicament, dans un état de lucidité des plus merveilleux. Elle distinguai
d’un livre quelconque, la lecture en devenait aussi rapide que dans l’ état naturel. 11 y avait donc réellement vision. Le gr
e minute, de deux jours en deux jours, suffisent pour le remettre à l' état normal. Je pense que vous vous êtes déjà fait la
ieure ait fait déborder la leur. Enfin de ce qu’une personne, dans un état particulier, peut jouir de certaines facultés ano
stations par des procès* verbaux signés de témoins respectables et en état de bien observer. On ne peut rien nier à priori;
mêler à la nourriture quotidienne prolonge la vie, mais dispose à cet état de demi-sommeil et de folie dont on se sert avec
leva de son ht, se promena dans sa chambre ; et dépuis elle a été en état de marcher et de vaquer à ses affaires. Lors de l
t ses amis là déterminèrent à me faire venir. Je la trouvai dans un état fort alarmant et en proie à de cruelles souffranc
ue je lui eus imposé les mains, elle se trouva également guérie et en état de marcher. Elle sortit de suite dans la rue pour
dit que le malade était un jeune homme d’environ quatorze ans, dont l' état était très-grave, qui était très-affaibli ; à l’i
n vu de pareil ni entendu parler d'un tel mal. Alors, elle décrivit l’ état du malade d’une manière aussi précise et aussi mi
t une déplorable victime de la sorcellerie. En présence d’un pareil état mental, M. d’Hector de Roche-fontaine, substitut
nte, et trouva la somnambule assise sur le bord de son lit et dans un état de préoccupation profonde. Elle n’avait aucunemen
a réellement une forme singulière de la vie, un mode d’existence, un état dynamique du système nerveux qui comporte des fac
action directe, immédiate de l’homme sur l’homme; qu’il y a enfin un état somnambulique qui n’est pas plus contestable que
y a enfin un état somnambulique qui n’est pas plus contestable que l’ état hystérique ou l’état cataleptique. A ce titre, le
mnambulique qui n’est pas plus contestable que l’état hystérique ou l’ état cataleptique. A ce titre, le somnambulisme est un
n entier qu’après la mort du corps. Mais toujours est-il que, dans un état pareil, il est permis de supposer qu’elle peut en
stères du magnétisme qui parle, mais un ancien praticien qui, dans un état désespéré, a eu recours au magnétisme et qui a ob
complète; je la magnétise, et, pour la première fois, elle présente l’ état cataleptique. Sur ma demande, elle ouvre les yeux
respiration entre-coupée des hystériques. — Nous la laissons dans cet état pendant 6 minutes environ, pour observer l’accès,
travaille. « Deuxième question. — Quel rapport y a-t-il entre votre état actuel et les accès convulsifs que vous avez eus
ession et une toux nerveuse. «Le matin, je trouve la malade dans un état qui avoisine le coma. Les réponses sont courtes,
tes, lentes, mais justes. Après chaque réponse, elle retombe dans cet état semi-comateux. Le pouls est large, à 105; ronchus
liques.. Ce matin, soif ; pouls large et fort, à 115. Du reste,..mime état . Pendant la journée, la malade se plaint de courb
sensible à la pression. — Quelques coliques. — Soif. — Du reste, même état qu’hier. Je prescris 40 centigrammes de calomel,
t sur le cou, des cataplasmes sédatifs sur le ventre. * Le 25. Même état , pouls petit à 65. « Le 26. M. le docteurGros m
ence est intacte. « A 2 heures de l’après-midi je la trouve daus un état ady-namique complet, presque en syncope. Le pouls
nts dont il n’avait aucune souvenance lorsqu’il était rentré dans son état normal. Cette singulière découverte ne pouvait
parla concentration de son esprit. Cette sorte d'abstraction amène un état particulier, dans lequel le sujet, tout ¿veillé e
rir les yeux. Si néanmoins les paupières se lèvent, c'est-à-dire si l’ état impressible n’existe pas ou est incomplet, M. Dar
he, une rupture de l’équilibre nerveux favorable à la production de l’ état impressible, qu’elle complète par des moyens usue
ue la langue anglaise n’a point de mot pour la peindre ; après quoi l’ état impressible est ordinairement produit. Les autres
es, dit M. Gregory, s’apercevront que ces phénomènes, produits dans l’ état de veille, dépendent de ce qu'on appelle suggesti
la plus grande étendue, sur beaucoup de personnes, tandis que dans l’ état ordinaire, un très-petit nombre d’individus en so
ommeil puységurique paraissait être la condition, s’obtiennent dans l’ état de veille et de conscience, c’est-à-dire apparemm
son avis, si l’on considère combien la clairvoyance est fréquente à l’ état de veille ; sans parler des prophètes et autres v
fluide vital ou magnétique distribué dans les muscles, d’où résulte l’ état où la suggestion est possible : le sommeil, la tr
galité relative entre l’encéphale et le reste du corps, mais dans des états différents. Ces divers moyens sont donc à examine
09, 312, 459, 636. FAITS ET EXPÉRIENCES. Accidenls arrivés dans l' état léthargique. 28, 280, 447; — magnétique, 44, 506;
ons thérapeutiques, 21. Indépendance morale des somnambules, dans l' état magnétiqué, 43, 313. Intuition médicale, 114, 3
ar M. Morin, 271. Sommeil (du) del rêves et du somnambulisme dans l’ état de santé et de maladie, par le Dr Macario. Citati
76 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
ulin. La lucidité souffre autant d’une santé trop parfaite que d un état trop maladif : une de nos somnambules sentant en
par moment tous les phénomènes de l’aliénation mentale, sans que cet état doive inquiéter le magnétiseur, alors môme que ce
magnétiseur, alors môme que cette aliénation se montre en dehors de l' état somnambulique et n'a pas été annoncée en somnambu
és à des substances médicamenteuses dont ils avaient connaissance à l' état de veille, et qu’ils employaient avec beaucoup d’
discute, on se promène, on travaille, on mange, on boit,comme dans l’ état naturel; on peut donc se faire une idée d’une par
e de satisfaction a constamment brillé sur son visage, et, revenu à l’ état normal , il a déclaré devant l’auditoire que le s
ait-il, obligé de contrarier la nature, en faisant cesser trop tôt un état de bien-être où se complaisait le magnétisé. «
du magnétiseur, de voir le colosse qu il désirait faire tomber dans l’ état de somnambulisme ; mais le gant était jeté, il fa
eur. Enfin, après l’avoir tenu environ trois .quarts d’heure dans cet état , il le démagnétisa et, tout en le faisant, démagn
e, et cependant sans quitter le triangle, et peu après il fut dans un état complet de somnambulisme. Dans ce moment le magné
de la puissance qui agissait sur lui, en passant successivement d’un état de première torpeur à. un tremblement convulsif t
ent prononcé , que je craignais de le voir tomber en convulsion ; cet état d’exaltation nerveuse se prolongea bien une bonne
e qui prouve que sa lucidité est tellement grande quand il est dans l’ état de somnambulisme, qu’il voit parfaitement au trav
ibre vraiment étonnants, le tout sans cesser un instant d'être dans l’ état de somnambulisme, car c’est ainsi qu’à onze heure
voyée à Bayonùe pour y faire le service auprès de l’Empereur. « Ses états de services nous apprennent qu’il rentra dans l’a
ci le témoignage flatteur que le général de Muller inscrivait sur ses états de service : o L’inspecteur général, général en
des esprits sans corps sera longtemps contestée. Rappelle-toi que l’ état magnétique n’est ni le sommeil ni la veille, mais
sortir de cette lé-« thargie. » « Le saint évêque décrit ensuite l’ état extatique du prêtre, et ce qu’il dit est tout à f
o Lyon, 1549, page 45. vent cette voix frappe notre oreille dans un état intermé-« diaire entre le sommeil et la veille. Q
mi fermés. Ce « sont là positivement les songes divins envoyés dans l’ état ii mitoyen entre la veille et le sommeil. » (
et le sommeil. » (i Demandez à tout somnambule de vous décrire son état , il n'y réussira pas mieux que 11e vient de le fa
étisée, par exemple, à laquelle nous nous tiendrons comme preuve de l' état avancé et d'expérimentation complète que la scien
le réveille avec la même facilité. Dernièrement je lui dis, dans l’ état de veille : Lorsque je ferai psil, vous dormirez.
mes alors, nous donnant le bras, absolument comme s’il eût été dans l’ état de veille. Dernièrement, dans une réunion où se
La jeune somnambule, car il n’y avait aucun doute à conserver sur son état , murmurait quelques paroles inintelligibles que l
nétisme de nos jours, si contredit, si nié, parce qu’en effet, en cet état de transition , il ne représente ni le mort ni le
as en avant pour nous préserver d’une chute. Quand il s’exerce dans l’ état de veille, il ne nous fait faire que des actions
, elle combine certains ordres d’idées bien supérieures à celles de l' état normal, perçoit une infinité de choses qui ne tom
ion qui leur est propre, quand elles sont restées pour ainsi dire à l' état d'enfance, en présence de ces appétits ayant tout
cipe chez tous les adeptes de l'illuminisme. Le somnambulisme est l’ état qui nous a semblé jusqu’à ce jour le plus favorab
ui exige Une véritable éducation. Les mensambules se trouvent dans un état singulier dont les uns ne paraissent point frappé
ort vers le point d’où elle était partie; qu’elle ressentait alors un état de béatitude ou de peine, suivant ses bonnes ou s
substitue au mot magnétisme le terme concentration, pour expliquer l’ état passif où doit être l’esprit de l’individu chez l
d.i sujet, rendre somnambule celui qui n'aurait aucune tendance à cet état , et, pat le même motif, un guérirait le somnambul
de l’âme asservie aut manifestations des sens: cependant, si dans cet état elle re- I Mj^niHisour. ;i‘ Ouvra»' ciltf. p
nserve encore quelques points de contact avec les sens. C’est donc un état intermédiaire entre l’homme sensitif et le pur es
de abstraction des sens, jouit de la faculté de passer à son gré de l’ état sensitif à l’état intuitif, par la concentration.
sens, jouit de la faculté de passer à son gré de l’état sensitif à l’ état intuitif, par la concentration. Toutefois, l’intu
e elle est proportionnée , n’y est jamais aussi profonde que dans cet état île calme (■!). » Nous admettons sûrement la su
ambulisme, mais nous rejetons la possibilité de passer à son gré de l’ état sensitif à l’état intuitif, /ou/cs les fois que l
us rejetons la possibilité de passer à son gré de l’état sensitif à l’ état intuitif, /ou/cs les fois que l’on aura recours à
es relations coupables avec des hommes ; que d’autres étaient dans un état de grossesse ; Attendu que, sans examiner l’opi
une autre classe. Quelques-uns ne parlent que lorsqu’ils sont dans un état de transe, mais d’autres parlent dans leur état n
rsqu’ils sont dans un état de transe, mais d’autres parlent dans leur état normal. Dans ces cas, il semble que l’intelligenc
fait agir ; seulement elle se trouve, dans « le monde spirituel, à un état plus raffiné, plus élevé. » Le juge Edmonds, qu
onter à sa source; que, ni dans sa vie terrestre, ni dans aucun autre état de sa future existence, l'homme n’est gouverné pa
n plus condamné à un long sommeil sans rêves ; mais que, passant à un état où les maux de la vie matérielle n’existent plus,
et se figurent qu’ils sont appelés à exercer une mission dix ine. Cet état se rencontre surtout lorsque l’exaltation intelle
à son intérieur, voyons ce que l'expérience nous apprend, 1° I)e l' état de l'homme, lorsqu'il détache son esprit des chos
rit des choses sensibles pour l’appliquer aux insensibles; 2° De. l’ état oii il se trouve lorsque son esprit est tout enti
tact est même plus délicat alors, et beaucoup plus parfait. Dans cet état , des personnes ont vu des esprits et des anges au
elles les ont entendus, elles les ont touchés. Dieu m’a mis dans cet état trois ou quatre fois. « Quant au second état, j
Dieu m’a mis dans cet état trois ou quatre fois. « Quant au second état , j'en ai fait l’expérience en marchant dans la vi
arché ainsi pendant des heures entières, je revenais subitement à mon état d’homme ordinaire, avec l’usage de mes sens, et j
e l’humanité souffrante. III. _Le quiétisme, dont le nom spécifie l’ état de calme et de repos où l'esprit doit se trouver,
se et d’un développement manifeste des fonctions intellectuelles. L’ état extatique de P.-M. Vintras fut contesté par l’aut
euses qui ne laissent aucune trace de lésion anatomique, émanent d’un état anormal dans la circulation du fluide magnétique.
contravention prévue par l’art. 371), § 7, du Code pénal, et cela en état de récidive, aux termes île l’art. 483 ; « Sans
ruit seul chez les personnes dont le [cœur et les artères sont en bon état , pourra être, dans la majorité des cas, un signe
on emploie trop souvent chez les femmes enceintes, en augmentant leur état eblorotique augmenteraient-elles aussi leur sensi
était autrement, il y aurait encore à se demander et à vérifier si un état morbide passager, en modifiant l’état du sang, ne
se demander et à vérifier si un état morbide passager, en modifiant l’ état du sang, ne s’opposerait pas à la manifestation d
néral le bruit de souffle carotidien ; le pouis est plus élevé qu’à l' état normal, el la respiration plus active. Les artè
st très-simple de comprendre (pie cette malade passera facilement à l’ état somnambulique ; à plus forte raison doit-on compt
re de touche pour désigner à l’avance les différentes aptitudes à cet état maladif, que nous connaissons sous le nom de somn
En (ôte de ces signes accessoires je mettrai la perte d'appétit, un état de langueur, une espèce d’engourdissement dans le
pas inutile de rappeler ici les principaux moyens de mctti” fin'à un état qui, sans être grave en soi, inquiète beaucoup ce
s qui sont le siège de la douleur, du spasme ou du délire. « En cet état , rien n’est ordinairement plus facile que de réta
veuses et de ramener rapidement les victimes de l'expérimentation à l’ état ordinaire de leur santé. Il suffit de mettre les
duquel l'auteur s'exprime ainsi, à propos de la lucidité comparée à l' état des medium. « On serait tenté, dit-il, de place
, domine sa volonté et l’attire insensiblement vers l'abîme. Même à l’ état de veille, Marguerite subit encore cette dominati
; la jeune fille me dit qu’elle était guérie et qu’elle se croyait en état de reprendre sa place. Le lendemain, les battemen
es ranimai. Dès que je suspendais mon action, ils retombaient dans un état d’anéantissement et semblaient morts ; dès que je
vait fait périr plusieurs. Elle était malade depuis un jour, et son état paraissait désespéré. .le la magnétisai ; elle s’
s au soir, vers onze heures moins un quart, je le questionnai sur son état qu’il disait être très-bon, lorsque soudainement,
ur l'œil observateur il y eût apparence de souffrance marquée. En cet état , et pour un moment, il semble vouloir dormir ; le
t humain sont souvent étrangement influencées, de manière à amener un état du système entièrement anormal, et cela par des c
bord de la nature de l’âme et traite de ses facultés observées dans l’ état de veille, dans celui du sommeil et dans le somna
s caractères du sommeil, et qui, à bien des égards, est supérieur à l’ état de veille; il se met en rapport avec les objets e
rodigieuse et des facultés anormales. Qu’v a-t-il de commun entre cet état transcendant, entre cette activité exubérante qui
é et jouissent des autres facultés du somnambulisme. Le sommeil est l’ état le plus inférieur de la vie humaine, le somnambul
l’état le plus inférieur de la vie humaine, le somnambulisme en est l’ état le plus élevé, le plus brillant. De l’insensibi
t l’état le plus élevé, le plus brillant. De l’insensibilité dans l’ état magnétique, M. Noizet con- dut que l’âme est un
’implique pas celle de l'organisme entier ; que le somnambule, dans l’ état décrit par l'auteur, entend son magnétiseur et lu
objets extérieurs soient semblables à celles qu’on peut avoir dans l’ état de veille ; il pense que si l'objet qui a produit
te. Tous reconnaissent qu’une personne peut tomber d’elle-même dans l’ état appelé magnétique, et que la plupart des effets p
t d'être mien, et cette idée me serait étrangère. Je suis donc hors d’ état de l’exprimer, et je suis en droit d'affirmer que
s l'intervention d’êtres surhumains, que les opérateurs arrivent à un état de surexcitation et d’hallucination dans lequel i
Cette théorie est spécieuse ; mais il nous semble qu’elle est hors d’ état de rendre compte de tous les phénomènes, notammen
les, mais qui manque même du nécessaire, c’est-à-dire qui est dans un état maladif ou de défaillance, au lieu de verser dans
ral, ne se forme et ne se répand que par la libre discussion. Aussi l’ état scientifique d’un pays est-il ordinairement en ra
e qu’elle a suivi, les difficultés qu’elle a rencontrées, enfin son état d’avancement ou de retard dans tel ou tel pays ci
nues jusqu’à présent de la péninsule. Dans un poétique tableau de l’ état des croyances mesmé-riennes en Espagne, M. Jules
lité du livre, tandis que la phénoménologie pure n’y est guère qu'à l’ état de simple énoncé. Quant au somnambulisme, il en e
itter les traits pallides de son sujet pour aller animer son âme. Cet état de veille de l'àme et de sommeil du corps se nomm
sommeil du corps se nomme lucidité somnambulique, parce que, dans cet état , l’âme est douée d’une vue céleste qui lui fait t
ou enfin qu’ils ne sont pas dans les circonstances nerveuses (lisez l’ état magnétique) nécessaires pour que toute leur force
es par la volonté ; 2° la production, par suite de cette action, d’un état particulier différent de l'état normal. J’ai dé
tion, par suite de cette action, d’un état particulier différent de l' état normal. J’ai déjà cité le texte où M. Babinet r
vons, de cette influence nerveuse, de l’action magnétique, résulte un état particulier, l'état dans lequel les facultés de l
ence nerveuse, de l’action magnétique, résulte un état particulier, l' état dans lequel les facultés de l'être paraissent mod
ouvement des tables est dû aux impulsions des opérateurs arrivés à un état de crise magnétique, agissant, sans en avoir la c
du souvenir des actes, supposait l’opérateur ou les opérateurs dans l' état normal ou naturel. Ceux qui se sont occupés plu
que nous écrivons, savent qu’il existe une série fortement nuancée d’ états par- ticuliers différents de l'étal normal. Nou
d’existence le nom de crise, que lui avait donné Mesmer (1). Dans cet état de crise, le sujet n’est plus en possession compl
e, des étals qui ne sont que les deirrés nlus ou moins prononcés de l' état crisiaque. Le somnambulisme naturel ot la choré
l’infâme mixture connue sous le nom do petit bleu des barrières. L’ état de béatitude (suivi d’accidents graves) produit p
cations aux facultés, soit corporelles soit animiques. 1 ’ Certains états morbides paralysent ou développent d'une façon ét
is ceux-là savent aussi combien l’imagination des sujets soumis à cet état crisiaque est surexcitée, et quelle difficulté l’
eptives de celles qui proviennent de la faculté imaginative. Dans l’ état de crise provoqué par les procédés du magnétisme
semble alors qu’il y ait une sorte de mélange ou de combinaison de l’ état normal avec l’état de crise. L’état magnétique
y ait une sorte de mélange ou de combinaison de l’état normal avec l’ état de crise. L’état magnétique sans sommeil, que p
mélange ou de combinaison de l’état normal avec l’état de crise. L’ état magnétique sans sommeil, que produit fréquemment
emment M. du Potet à ses séances, fournit de nombreux exemples de cet état mixte. Les phénomènes produits par la méthode que
ciété de Jésus), permettent aussi de constater cette coïncidence de l’ état crisiaque et de l’état normal. Lorsque le sujet
tent aussi de constater cette coïncidence de l’état crisiaque et de l’ état normal. Lorsque le sujet est isolé, on observe
ire île tous les autres actes. Peut-être y a-t-il plutôt succession d’ états de crise ii divers degrés, ou alternance de l’éta
utôt succession d’états de crise ii divers degrés, ou alternance de l’ état de crise avec l’état normal, que mélange des deux
ts de crise ii divers degrés, ou alternance de l’état de crise avec l’ état normal, que mélange des deux étais. Si, dans l’
de crise avec l’état normal, que mélange des deux étais. Si, dans l’ état normal, beaucoup d’actes volontaires sont exécuté
ien, à plus forte raison, cette circonstance doit se présenter dans l’ état de crise, où les facultés du sujet éprouvent touj
rocédé employé par Mesmer (le baquet) pour développer ou déterminer l’ état de crise. Nous avons évité avec soin, dans tout
e mettre les membres de la chaîne ou quelques-uns d’entre eux dans un état de crise plus ou moins prononcé. Si l’état de c
-uns d’entre eux dans un état de crise plus ou moins prononcé. Si l’ état de crise des membres de la chaîne n’est pas assez
n que celle de ces impulsions. Comme les personnes qui restent dans l’ état normal sentent distinctement l’impulsion mécaniqu
es ne ressentiront rien du tout. Ceux, au contraire, qui sont dans un état de crise assez avancé (ce cas se rencontrera, si
touché, ôtaient tout ecchy-mosés (martelés de bleus). line fois cet état de crise admis pour un ou plusieurs membres de la
e. Il s’ensuit qu’il est, entre certaines limites, difficile dans l’ état normal, et impossible dans l’état de crise même l
certaines limites, difficile dans l’état normal, et impossible dans l’ état de crise même légèrement développée, d’apprécier
t, si l’on réfléchit à la facilité avec laquelle les individus dans l’ état crisiaque obéissent aux influences étrangères ou
mbre avec le pied situé du côté de ce membre. ”est un autre membre en état de crise qui soulève le meuble, influencé par la
res causes que la magnétisation ou la chaîne qui peuvent déterminer l’ état crisiaque. Il y a des sujets qui entrent sponta
émotion, une surexcitation de l’imagination suffit pour déterminer l’ état crisiaque. Aussi certains sujets, une fois qu’ils
rouver dans leurs facultés les modifications que l’on remarque dans l’ état de crise. Avant de m’occuper d’un genre de mouv
parlantes, comme toutes celles i|iii se rattachent aux sujets dans l’ état de crise, donnent des résultats excessivement var
s’il s’y trouve un sujet sensitif de haut titre, ce sujet passe à un état de crise voisin de l’extase (1). Sans qu’il per
uit ou si l’on suit un léger mouvement oscillatoire, le medium dans l’ état de crise ne saura pas être la cause elficiente du
1 on oublie, il doit en être encore de même pour les conceptions de l' état crisiaque. Le medium peut aussi être influencé
me nature corporelle, puissent aussi avoir action sur un sujet dans l’ état crisiaque. Ainsi, la communication avec les espri
d’oranges, du kirch et de la bière. Que deux, trois individus dans l’ état normal goûtent le contenu des verres, pour eux c'
n échappe aux regards des spectateurs restés froids et en dehors de l’ état crisiaque ? Si tous les corps émettent de la lu
ans les cas anormaux qu’il faut étudier les facultés qui existent à l' état germo, ou, si l'on veut, h l'état latent. A ce po
udier les facultés qui existent à l'état germo, ou, si l'on veut, h l' état latent. A ce point do vue, on pourrait dire que l
’un corps deviennent perceptibles au moment où le medium, arrivé à un état de crise plus avancé, les perçoit par intervalles
urtout dans un moment où beaucoup d’écrivains magnétistes passent à l’ état d’oracles, où trop de sujets magnétiques se posen
odite, être à double sensibilité, recevant par des canaux, fermés à l’ état ordinaire, des communications tenant évidemment d
remière conquête de la vérité sur l’erreur. « Le somnambulisme ou l’ état magnétique, sous toutes ses formes, dévoilant les
é des sens. Et pourtant, dans ce chaos où la raison s'abime, de cel état que nons savons produire, Im lumière jaillit.
ote et tous les plus grands génies de l’antiquité : l’homme, dans cet état , revêt des attributs transcendants que l’on croir
beur de toutes les générations qui l’ont précédé, et à le réduire à l’ état primitif de sauvage innocence?.... Sa destinée pr
ément, Elle impose sa loi sans paraître sévèro ; Quiconque en cet état la prend pour conseillère, Au milieu do débris
toutes sortes d'extravagances, et que le merveilleux que présente cet état peut conduire ceux qui l'observent aux conséquenc
me elle l’avait annoncé, le cadavre du malheureux charbonnier dans un état de putréfaction très-avancée, et sur le côté du c
trop de dommage, il faut, dit-on, qu’ils se mettent dans une espèce d’ état de somnambulisme qu’ils obtiennent par un procédé
és de garder : leurs turbans, leurs tarbouches volentde tous côtés; l’ état somnam-bulique commence; toute la ligne s’incline
us ceux, médecins et autres, qui avaient vu la malade dans son ancien état , inconsolable, cette cure produisit l’admiration
devint tout à fait aveugle. Il y avait un mois qu’elle était dans cet état , lorsque M. Houlet la magnétisa pour la première
son appétit n’a jamais été si bon. 11 y a Join certaine- ment de l’ état où est M"" Guioni à celui où elle serait, si sa v
ent en rapport avec son magnétiseur. Chaque fois qu’elle est dans cet état , elle dit qu’elle voit son cerveau; elle le dit ê
de l’eau ferrée, à l’usage de laquelle il la mit pour combattre son état clilorotique. Au bout de quelques minutes, elle d
oucher la main. Un instant après, son bras et sa main étaient dans un état de catalepsie complète. Dans cette réunion se t
logie, qui, endormi par influence biologique, était dans ce moment en état de complète lucidité. 11 lui fut demandé ce qui s
Charavet a son bras droit roidi. — Restera-t-il longtemps daus cet état ? — Deux minutes. — Peux-tu savoir ce qui a pr
dieux ? — Saint Paul (ce garçon n’avait pu entendre, à cause de son état de sommeil, rien de ce que nous disions). — Tu
1825 ; il était grand. Ce garçon, toutes les fois qu’étant dans son état de lucidité il voit entrer M. Charavet, sourit et
d-père, mort à Lyon au mois d’avril dernier. Etant endormi et dans un état de lucidité par influence électro-biologiqtie, il
ition grotesque du sauvage au Café des aveugles). Gemma, rendue à sou état normal, continue ses tendres démonstrations ; mai
issance de l’avenir. En effet, après avoir plus ou moins prolongé cet état de prostration simulée, le sorcier se lève, répon
mnambulisme qui échappe à, cette explication. Or, Mesmer ignorant cet état , dans lequel se résume tout le magnétisme animal,
xercer par tous les points du corps. h° Les somnambules sont-ils en état de rendre des services à la médecine, malgré l’in
, car je perdis la conscience de mon être ; mais quand je sortis de l’ état d’inconscience, des secousses me parcouraient des
ces expérimentateurs, l'électricité est ordinairement positive dans l’ état de santé. Elle est plus souvent négative chez les
journée, la température élevée, sont des circonstances qui exaltent l' état électrique. » Et plus loin : u Un refroidisse
pposer, d’après le fait de Niepce, que l’intelligence peut rester à l’ état latent par l’effet d’une mauvaise conformation ou
me nerveux malade, par les vibrations saines d’un système nerveux à l’ état de santé. Les sympathies auraient pour cause des
ililate et ars cl inventor probatus (1), que la vitalité existant à l’ état d’émanation tiède et vivifiante dans les dépouill
nombre de fourbes et de trompeurs ont trouvé le moyen de simuler cet état merveilleux ; ces charlatans, on pourrait dire ce
traiter chez lui quelques malades qui lui seraient désignés et dont l' état aurait été préalablement constaté par un médecin
gnétique dans le domaine de Monceaux ; mais sa pensée, n’étant qu’à l’ état d’aspiration, 11e pouvait trouver d’écho en ce mo
onde visible, la solution du problème, tandis qu’elle est en nous à l’ état de force vive, comme nous espérons pouvoir le dém
s infaillible. Deux médecins avaient été successivement appelés, et l’ état de ma mère empirait toujours; sa situation était
en somnambulisme connaît une infinité de choses quelle ignore dans l’ état de veille. — Plusieurs fois déjà j'avais pu en ac
avais remarqué déjà mainte fois que lorsque je la consultais dans cet état , elle, était d’une lucidité plus grande, ce qui d
nce du malade, et en moins de deux minutes j’amène la somnambule à un état des plus satisfaisants: puis je la mets en rappor
ateurs, j’amenais ma somnambule, chaque fois que je l’endormais , à l’ état cataleptique. Quel effet ne dut pas produire sur
onner encore au fluide beaucoup plus de force et d’énergie que dans l’ état ordinaire, lui imprimer une direction convenable,
ne , et que les linges noués autour de mon corps étaient dans le même état ; les voici à terre. » Je les regardai, ils éta
d’une vingtaine d’années, est amenée; je la mets préalablement dans l’ état de sommeil magnétique, et ensuite dans celui d’in
magnétique, et ensuite dans celui d’insensibilité absolue. Dans cet état , mes incrédules, pour se convaincre, ont pincé ce
bles, que l’on désespérait pour les jours de la malade. En outre, cet état se compliquait d’accidents nerveux excessivement
(Névralgie faciale.) Une troisième affection compliquait ces divers états , dette dernière paraissait, à mon avis, la plus g
le, à tel point que l’un des deux crut devoir avertir la famille de l’ état désespéré où se trouvait le malade. La femme du m
la nuit, et revenait par intervalle dans la journée. En présence d’un état si alarmant, j’étais embarrassé sur le parti que
le malade éprouva un mieux sensible. Le pouls était redescendu à son état normal. Le délire avait presque complètement cess
ix ; enfin elle en a repris l’usage et s'est ainsi retrouvés dans son état normal. Il ne lui restait plusqu'une grande fatig
station de cette faculté automatique; on la rencontre quelquefios à l' état de veille, où elle ne paraît être que de l’imitat
ert et Bartbet ont, comme on sait, proposé de faire servir ce curieux état à la transmission conventionnelle de la pensée, c
ne ; tel qu’une mèche de cheveux, un anneau, une lettre, etc. « Cet état est voisin de la clairvoyance directe et ils se c
ace qui le dirige jusqu’à la personne qu’il voit directement dans son état lucide. « 2° Clairvoyance directe. — La premièr
rix inestimable, surtout si des personnes instruites étaient mises en état de lucidité. » Arrivé enfin à la théorie, l’aut
le medium (moyen) de la sympathie et de la vision lucides. «Dans l’ état ordinaire, nos sens étant actifs, les émanations
nous pourrions alors les remarquer. Tel est le cas de la lucidité à l’ état de veille (conscious clairvoyance). « De môme q
'a mis dans le cas de pouvoir donner à ses compatriotes une idée de l’ état où se trouve la question du magnétisme en France.
tal de clairvoyance éveillée. Cet homme peut acquérir la lucidité à l’ état de veille en concentrant son esprit sur un objet.
és h la pesanteur. Les dents serrées ne permettent pas de constater l’ état de la langue ; abdomen indolent. Respiration peti
e; pouls petit et un peu fréquent. Je crois avoir affaire à quelque état spasmodique tenant à son tempérament nerveux ou à
à quelque état spasmodique tenant à son tempérament nerveux ou à son état de nourrice; je pratique une saignée du bras de /
soir, on vint me chercher pour la môme malade, retombée dans le même état de la veille. J’arrive chez la malade à dix heure
ait dix heures moins vingt minutes. Pendant que je m’informais de son état , elle dit d’une voix très-claire : «Il est bientô
’a pas reparu. D’après M. le professeur Grisolle, « l’extase est un état dans lequel un individu, livré tout entier à une
agnétistes. Victor MEUNIER. ÉTUDES ET THÉORIES. 1° UN MOT SUR L’ ÉTAT ACTUEL DU MAGNÉTISME. En jetant un coup d’œil s
it complètement les facultés mentales de son semblable, laissé dans l’ état de veille ? Depuis les publications des arcanes
it faussement les impressions externes et internes, commencement de l’ état maladif qui forme les hallucinations. Quel hori
oins qu’on ne suppose qu’un ou plusieurs d’entre eux, plongés dans un état magnétique plus ou moins avancé, n’aient eu l’int
pondant, M. le Dr Bergevin, nous donne des détails très-étendus sur l’ état du magnétisme dans cette ville. Il se publie un n
e se trouve tout entière aux prises avec ce redoutable ennemi, non; l’ état général est au contraire assez satisfaisant; sauf
se livrer uniquement à l’action bienfaisante du magnétisme. Voici l’ état dans lequel elle se trouvait le jour où je corn-
ans tout le corps, et revenant tous les jours sous forme d’accès. Cet état se compliquait de nausées,,de vomissements et d’u
dinaire, qui avaient réussi jusque-là sur elle. Je la trouvai dans un état complet d’insensibilité, la respiration nulle. Le
lef; il l'ouvrit, descendit l’escalier, trouva la maison dans le même état que quand il était allé se coucher la veille, et
' Barrow n’a aucune connaissance des arts mécaniques, et que dans son état normal il est incapable de concevoir la moindre i
raissent; et la peau se retrouve alors douce, non colorée et dans son état naturel. « Cette dame est aussi medium parlant;
e ces dispositions pour agir sur nous. Etant devenu medium, je fus en état de donner les distances d’un lieu à un autre, ave
me, mon père avait témoigné le désir de voir améliorer par ce moyen l’ état de souffrance où se trouvait plongée depuis quelq
ndividu qu'on portait sur un brancard l’hôpital, et qui était dans un état désespéré, a reçu dans la rue même les soins d’un
sement des dépenses a forcé le comité de proposer un tarif basé sur l' état de fortune des malades, en maintenant pour les in
observation sous le double rapport du physique et du moral, dans son état de santé et dans celui de souffrance. Marie X..
e se réveille, elle n’a aucun souvenir de ce qui s’est passé dans son état cataleptique. Le lendemain matin, je la trouvai
autre monde. Il est possible tic mettre certaines personnes en cet état par l’action du magnétisme. Cette action débarras
attaques de nerfs. La danse de Saint-Guy était parmi les enfants à l’ état d’épidémie. Ils annonçaient d’avance qu’ils allai
r de ce récit, fut appelé près d’elle, à la demande qu’elle en fit en état de somnambulisme, état qui lui était habituel, lo
lé près d’elle, à la demande qu’elle en fit en état de somnambulisme, état qui lui était habituel, lors môme qu’elle paraiss
échauffaient. L’aimant contournait ses mains, qui ne reprenaient leur état naturel que lavées dans une eau courante. L’indig
torze fois les bouteilles. Cures opérées par la voyante. Même à l’ état de veille, M“* H. ressentait en elle-même ou voya
e non-seulement d’une excellente conformation, mais dans un excellent état . Son cœur et les organes respiratoires étaient tr
avant d’admettre des malades au traitement, le médecin constatât leur état par écrit, pour pouvoir le comparer à celui dans
t président de la Société royale d’Édimbourg, a fait un rapport sur l’ état actuel du mesmérisme en Écosse. L’honorable aca
s aucune position. Après la première semaine de mesmérisme, il fut en état de se tenir debout ; à la troisième, il put parco
uvra parfaitement la santé; il y a trois mois qu’il est guéri, et son état a toujours été satisfaisant depuis cette époque.
et en peu de temps elle améliora sa position au point de le mettre en état de marcher seul. » Le rapporteur remarque que l
yés. Il est bien rare que ceux qui sont le plus réfrac* taires dans l’ état de santé, n’éprouvent pas , en cas de maladie , c
essibles non à la nature humaine, mais à l’homme tel qu’il est dans l' état ordinaire! Ils acquièrent donc des facultés trans
bien immense qui a été fait et qui se fait tous les jours. Quoique l’ état actuel du somnambulisme laisse beaucoup à désirer
lications qu’en ont présentées quelques savants, et il s'avoue hors d’ état d’en donner une plus satisfaisante. Nous approuvo
plusieurs chances d’erreur soient évitées (1). 2° Noter par écrit l’ état actuel et les antécédents du ma- (I) Mes honora
ivrés par les protecteurs de 1 œuvre. Après la constatation de leur état , comme il est dit ci-dessus, ils sont confiés cha
aph. Il y raconte qu'il s’est trouvé avec un medium, tanneur de son état , homme simple et n'ayant reçu qu’une éducation fo
s tables, ont obtenu des effets que l’impulsion musculaire est hors d’ état de reproduire. C’est déjà un résultat fort import
me dans le cas de sommeil ordinaire ou de somnambulisme, succession d’ états différents chez le même individu ; c’est simultan
eille administration. Le négociant, l’artisan, etc., celui auquel son état ou une profession quelconque absorbe une partie d
tenu différentes réponses sur son âge, etc., on le questionna sur son état : « Poète, répondit-il. « — Veux-tu nous donn
de développer ses connaissances. A l’âge de seize ans, il apprit l’ état de taillandier, auquel il travailla jusqu’à vingt
s choses? Qui parle en lui pour lui révéler même ce que les sens, à l’ état de veille, n’ont jamais pu lui apprendre ? On a
ille instruction puisse mettre les médecins de la Nouvelle-Orléans en état de magnétiser leurs malades. Mais si ce précis es
éorie des phénomènes de Tétai magnétique comparés aux phénomènes de l' état ordinaire; par le D' Gamin. 1 vol. in-8. Paris, 1
ns l’autorité de révélations; mais il pense avec raison que, dans cet état singulier, l’esprit acquiert des facultés extraor
être la lucidité des somnambules pourra percer des voiles qui, dans l’ état ordinaire, arrêtent notre vue débile. D’après l
ie de son livre, SI. Garein considère l’action du fluide vital dans l’ état ordinaire. Le fluide vital est «l’agent intermédi
âme et du corps», c’est «l'agent de la sensation et du mouvement. » L’ état magnétique ne développe pas un sixième sens, n’in
ler, des facultés nouvelles dont le germe ne se trouverait pas dans l’ état ordinaire, il ne fait que leur donner une nouvell
n, un nouveau perfectionnement. La question : «Comment voit-on dans l’ état magnéti-gnétique?» dépend uniquement de celle-ci
ti-gnétique?» dépend uniquement de celle-ci : «Comment voit-on dans l’ état ordinaire?» La réponse est la même : dans les d
e des objets extérieurs viendra se peindre dans ses yeux comme dans l’ état de veille, et néanmoins l’âme n’en recevra pas l’
l’action des sens, puisque, comme le remarque l’auteur, l’œil, dans l’ état ordinaire, voit des astres situés à une distance
nsiste à établir l’identité des deux modes de vision ; car si, dans l’ état ordinaire, la vision a lieu au moyen de la lumièr
du fluide vital. C’est par le fluide nerveux que les sens sont mis en état d'être impressionnés par les objets extérieurs ;
affirme, est en rapport avec eux. C’est ainsi que se forment, dans l' état ordinaire , les communications de l'âme avec les
pui de cette thèse. Il fait l’application de ses principes aux divers états , à celui de veille, à celui de som- mcil, à cel
l est causé par l'épuisement du fluide vilal, ce qui met l’âme hors d’ état de communiquer avec les objets extérieurs, d’où i
sions qui lui en ont juger les propriétés aussi exactement que dans l’ état de veille : par exemple, la somnambule que cite M
ige, ponctue, etc. Dans tous ces faits les sens servent, comme dans l’ état normal, à rendre compte à l’âme des propriétés de
es règles fort sages extraites du savant ouvrage de Chardel. Dans l’ état magnétique, le fluide vital est séparé des sens ;
enlevée aux sens; elle appartient tout entière à l’âme. » Dans cet état , ce qu'on appelle improprement la vue ne s’exerce
xtérieur, qu’elle établit ou brise à son gré. Le fluide vital, dans l’ état ordinaire, s’arrête à la surface des objets, tand
il pénètre l’intérieur des corps et franchit les distances.... Dans l’ état ordinaire, le fluide vital n’agit que partielleme
-à-dire qu’il concourt à l’action particulière d’un des sens ; dans l’ état magnétique, il agit collectivement, il ne se dive
smission du son paraît produire sur lui la même impression que dans l’ état ordinaire; rien n’autorise à affirmer que ce ne s
é. Le prétendu isolement des sens n’est donc point une condition de l’ état somnambulique. On ne peut affirmer davantage que
stance des somnambules, les organes fonctionnent autrement que dans l’ état ordinaire et qu’il en résulte des moyens plus p
là quelqu’un connaissant le magnétisme et capable de faire cesser cet état si extraordinaire? » On le voit, cette hypothès
ont mises en communication avec lui. 11 devient un miroir fidèle de l' état moral de l’expérimentateur, sa doublure, son seco
ils mettent, en le magnétisant, un homme en rapport avec une fille en état de somnambulisme. Alors celle-ci exécute ses pens
ttait souvent ses sujets à l'influence de la musique et obtenait un état extatiforme assez remarquable. Ce phénomène, pure
oses étaient plus gracieuses , plus sensuelles, éprouvait pendant cet état semi-extatique un certain plaisir à entendre une
envahie s’évaporait, le sommeil cessait, et elle se trouvait dans un état mixte qui n’était ni la veille ni le sommeil magn
(La suite au prochain numéro). FAITS ET EXPÉRIENCES. LUCIDITÉ A L’ ÉTAT DE CRISE IMPARFAITE. Tant que les principaux ph
porte. » Or Léonie n’avait jamais été le soir chez M™ Leroux qu’en état de somnambulisme, en imagination, pour me servir,
éponses très-remarquables par leur lucidité, en avaient obtenu, sur l’ état actuel ou les occupations de leur famille, des re
vait délaissé un' travail à l’aiguille. C’est ce souvenir perdu à l’ état de veille que le sujet a cependant retrouvé au bo
ître quelques-uns. Ainsi des rêveurs m'ont plusieurs fois déclaré, en état de crise, que lorsqu’ils perdaient quelque chose,
. du Potet a ap' pelés magiques, indiquent à la fois combien ces deux états diffèrent et combien ils se tiennent par des lien
t, au moins par ouï-dire, la partie de cartes d’Alexis. — Alexis, à l’ état crisiaque, devine, ou est censé deviner le talon
les idées que d'autres faits m’avaient suggérées sur le mélange de l’ état crisiaque avec l'état ordinaire. Ce qui me fait
s faits m’avaient suggérées sur le mélange de l’état crisiaque avec l' état ordinaire. Ce qui me fait incliner vers cette e
dans la crise imparfaite qui présente à première vue le semblant de l’ état normal , faut-il rappeler l'exemple des tireuses
geons les magnétistes à ne pas s’en rapporter à nos conjectures sur l’ état crisiaquç imparfait; mais nous croyons qu'ils fer
espoir, messieurs, parce que le démon est complètement étranger à mon état de crise. « — Cependant vous présentez des facu
e pouvez chasser ce qui n'existe pas. » « Puis elle s’occupa de son état physique et lui décrivit plusieurs incommodités d
n’y a pas d’enfer... » « A ce blasphème proféré par une sainte à l’ état de veille, ces messieurs restèrent stupéfaits, et
173. Pendules explorateurs. Voy. Elec-tromètres. Phénomènes de l' état magnétique comparés aux phénomènes de l’état ordi
ètres. Phénomènes de l'état magnétique comparés aux phénomènes de l’ état ordinaire, 701. Philosophie médico-magnétique.
rs, 145. Somnambulisme. — Propositions et aphorismes sur les divers états du somnambulisme magnétique, par M. le Dr Ordinai
ination en somnambulisme. 50. Insensibilité à la douleur : dans l' état magnétique, 480; — dans l’extase spontanée, 519.
dicale en somnambulisme, 465, 468, 506, 551, 567, 614. Lucidité à l' état de crise imparfaite, 746. Lombago guéri par le
e (le) expliqué par lui-méme, ou nouvelle théorie des phénomènes de l' état magnétique comparé; aux phénomènes de l'é-tat o
77 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
qui atteint du pre-mier coup son summun d'intensité, à la suite d'un état fébrile plus ou moins intense ou en l'absence de
e soigner d'accidents thoraciques qui le for-çaient à interrompre son état (marchand exposé à l'air) et l'obli-geaient à s'a
té gauche de la face, du bras et de la jambe gauches, étaient dans un état de mouvement continuel, excepté pendant le sommei
nt plusieurs mois, devint pâle, maigrit et perdit l'appétit. Dans cet état , à la suite d'une vive frayeur, elle fut atteinte
administrées, et au bout de deux heures et demie, il revint dans son état intellectuel normal ; ses pupilles étaient moins
examens microscopiques, auxquels le sang a été soumis, aussi bien à l' état de santé qu'à l'état de maladie. Ces caractères s
s, auxquels le sang a été soumis, aussi bien à l'état de santé qu'à l' état de maladie. Ces caractères sont : la sphéricité p
tubes étant infiniment moins nombreux et se montrant d'ordinaire à l' état naissant. » Sur des coupes faites après durcissem
u bout de peu de jours, un catarrhe intense de l'intestin, suivi d'un état de ma-rasme qu'il fallut d'ailleurs attribuer bie
Par ses mensurations, M. Woillez a pu constater: 1° que la période d' état , c'est-à-dire celle dans laquelle l'épanché* ment
ssitôt que l'ampliation a cessé de se produire, el que la période d' état dure vingt-quatre ou quarante-huit heures tout au
. Woillez a con-staté à la mensuration l'existence de cette période d' état . 2° Vers le vingtième jour, la pleurésie a une
es et inquiétants peut être opéré du quinzième au vingtième jour si l' état général du malade l'exige, et quoiqu'il n'y ait p
ns-nous dit, est rentrée à l'hôpital en 1871* Nous allons décrire son état actuel (janvier 1872). Ce qui frappe tout d'abo
e que l'on peut. Le procédé employé ici était indiqué forcément par l' état des parties et par la tentative opératoire anté-r
vés dans une de nos expériences. Le délireest alors dans sa période d' état : les idées se pressent en foule, s'entre-choquent
cependant troublé par des cauchemars. Au réveil, on se trouve dans un état tout à fait nor-mal (Aubert-Roche) ; parfois il r
vi non plus de sommeil, mais.de stupeur, et le malade tombe dans un état de coma analogue au narcotisme (Gairdner). Ce der
be dans un état de coma analogue au narcotisme (Gairdner). Ce dernier état peut survenir d'emblée et sans donner le temps au
s le train postérieur, des frissonnements, et l'ani-mal meurt dans un état d'affaiblissement qui paraît être le résultat de
urbith minéral, de beurre de cacao, d'huile d'amandes douces, etc., l' état de la chevelure s'est considérable-ment amélioré.
affection des cheveux persiste encore, mais à un degré très-minime; l' état gé-néral est bien meilleur.... » L'examen microsc
la couche muqueuse (mu-couse layer) contenait plus de pigment qu'à l' état ordinaire. Par-tout, ces tumeurs étaient séparées
'elle se compose de cellules épithô-liales qui se divisent, comme à l' état normal, en deux couches : le tissu de la couche d
nains sont des. microcéphales. Nous avons exploré au dynamomètre l' état de ses muscles. Ici encore nous avons obtenu des
z cet homme, c'est le cerveau droit qui prédomine, tandis que, dans l' état normal, c'est le cerveau gauche qui l'emporte sur
les et exécutent leurs mouvements de flexion et d'extension comme à l' état normal. Signalons encore la présence singulière
métacarpe, car l'extenseur pouvait lui résister, d'autant plus qu'à l' état normal l'équilibre n'existe entre les fléchisseur
x les uns des autres, formait des tractus beaucoup plus larges qu'à l' état normal. Ces tractus étaient renflés çà et là par
rice, par la dissocialion, nous avons trouvé peu de tubes nerveux à l' état normal, et beaucoup de tissu con-jonctif. Sur d
nts de tétanos traumatique : quatre d'entre eux se trouvaient dans un état désespéré. L'administration du médicament fut sui
la rigidité. Pendant huit jours, elle resta à peu près clans le même état , avec un ou 'deux accès par jour; peu à peu cepen
ien fut administrée, à la dose d'un grain loutes les trois heures : l' état du petit malade resta le même pendant quelques jo
ulut bien nous autoriser à administrer le Hachisch à un soldat dont l' état était désespéré. Il avait une fracture comminutiv
ommé Humbert, sous le coup d'une congestion cérébrale, ayant amené un état comateux tel qu'on ne put obtenir du malade que d
x consultants n'hésitent pas à conclure que M. Humbert n'était pas en état de comprendre l'importance de l'acte qu'il faisai
passage de l'urine dans l'urèthre qui est infranchissable, soit de l' état de distension exagé-rée de la vessie, il faut, pa
on, ont pour but de modifier la surface muqueuse, d'en faire cesser l' état inflammatoire chronique. Ainsi elle agit sur la c
toujours être faite dès qu'elle est possible, et cela en raison de l' état si remarquable où se trouve le sujet, aussitôt le
lithotritie sont au contraire les indications de la taille. 1° Si l' état général physique du malade est tel qu'on ne puiss
faut laisser de côté la lithotritie et prati-quer la taille ; 3° L' état de suppuration persistant de la vessie, surtout q
omen. Celte partie, une des plus importantes, résume convenablement l' état actuel de la science ; la division clas-sique des
vertèbres.Ce plan, aulieude descendre verticalement en bas, comme à l' état normal, se dirige ho-rizontalement d'arrière en a
sales qui concourent à former le spina bifida, partent comme dans l' état normal, les six premières côtes. Mais, au lieu de
l fait tous les jours des injections dans la vessie. — C'est dans cet état qu'il part prisonnier en Allemagne. — Bientôt l
déposer une forte quantité de muco-pus ver-dâtre et filant. Voilà l' état dans lequel est le malade lorsque je le vois pour
ictions se produisent. — J'essaye, durant quatre jours, de calmer l' état spasmodique de la vessie, en faisant très-lenteme
s. — Voici ce que j'observe. — Après les premières séances, il y a un état de calme de la vessie qui dure de une heure à une
ibre et je retire 300 gram-mes d'urine. Je conseille au malade dont l' état général est très-bon de se sonder lui-même toutes
e la langue, dès que la vessie est débarrassée de la pierre, et que l' état général se relève est trop net pour que je n'in-s
s, les urines normales. On ne sentait aucune tumeur dans l'abdomen. L' état général était bon. La distension du ventre par l'
a présence, au niveau du flanc gauche, d'une sorte de large plaque. L' état général, au moins en 1869 et dans les premiers mo
des sciences, une série de recherches d'où il résulte que : « Dans l' état physiologique, dans l'espèce hu-maine, comme chez
ntion d'urine avec ballonnement du ventre; néanmoins la malade fut en état de quitter l'hôpital quelques jours après. Plus
superficielle sur le canal à la face supérieure. Le prépuce est à l' état de paraphimosis ; la miction, quoique difficile e
liger de ce qui peut nous renseigner sur la nature de la maladie et l' état du malade. Aucun système exclusif ne doit être ad
les difficultés. Certaines substances s'obtiennent difficilement à l' état de poudre fine, et, d'un autre côté, le commerce
pas complètement entre les accès ; l'amélioration porte surtout sur l' état général. Dans ces cas, on remarque, suivant la pr
ts situés en arrière au voisinage du sillon interfessier. Soir. — L' état du malade est aussi bon que possible, il ne souff
ate, que l'on fixe autour du moignon par quelques tours de bande. — L' état général continue à être bon.— Les jours suivants,
ion 42. Langue sèche, peau couverte de sueur. Dans la matinée du 7, l' état du malade s'améliore, mais il reste toujours grav
compression sur le trajet que nous venons de décrire. 11 mars. — L' état du malade est resté le même, il n'est survenu auc
digeonnages avec du perchlorure de fer à 50°. À dater de ce moment, l' état s'aggrave d'heure en heure. Mort le la dans la so
gi (18 centimètres), mais aussi d'une épais-seur bien au-dessous de l' état normal, s'étale au-dessus de la surface externe d
rec-tion de M. Vulpian. — Il n'est fait aucun examen de la tumeur à l' état frais et par raclage. Les parties qu'on a voulu é
engorgés. Le toucher rectal ne fut point pra-tiqué pour reconnaître l' état de la prostate. Rapprochant des tumeurs du test
e les tubes séparés par une étendue de tissu plus considérable qu'à l' état normal, on rencontre du tissu conjonctif en voie
ion de noyaux. En certains points, les altérations ont déjà passé à l' état de régression granulo-graisseuse. Enfin, parfois
'une béquille. Soixante-sept ans plus tard, nous la trouvons dans l' état suivant: le membre inférieur gauche et la cuisse
peu volumineuse. La poulie astragalienne, beaucoup plus petite qu'à l' état normal, a son cartilage érodé dans certains point
ils, par leur volume et leur consistance se rapprochent beaucoup de l' état normal. Il convient d'ajouter qu'au même niveau l
même niveau les muscles delà région plantaire présentent à peine cet état graisseux si prononcé dans ceux de la jambe. GR
re, il commença à éprouver une grande faiblesse dans les membres; cet état persista pen-dant huit jours, puis le tremblement
it sur le port. Il y a sept ans, il est venu à Paris pour apprendre l' état de mi-roitier. — Pour la première fois, en mars 1
tout le mois de février, et prit 25 bains sulfureux. — Cependant son état ne s'améliorait pas; il rentra chez lui, mais rev
et moins forts que de coutume. Il ne s'inquiéta pas davantage de son état , et continua à travailler. Mais au bout de cinq o
le repos ne parvenait même pas à calmer. Traitement. C'est dans cet état que le malade se présenta à l'hôpital. M. Paul le
es chaque fois. Après 8 bains, un mieux sensible s'était opéré dans l' état du malade, le tremblement avait beaucoup diminué,
de est soumis à l'influence des bains électriques. Après 16 bains son état s'est sensiblement amélioré. Mais il ne peut term
'hôpital non parfaitement guéri, mais avec un mieux sensible dans son état . Nous terminerons par l'observation suivante qu
olent. Pen-dant un mois elle se reposa chez elle, mais voyant que son état ne s'amé-liorait pas, elle entra à l'hôpital. S
est malade primitivement et ce n'est qu'ensuite que se traduit, par l' état général du sujet, l'atteinte portée par la maladi
ls offrent l'is-churie hystérique à son maximum de développement, à l' état de symptôme permanent. Durant des jours consécuti
élot et Berger. En 1870, les choses restent à peu près dans le môme état , si ce n'est qu'une nouvelle attaque est suivie d
balancement assez régulier entre les deux phénomènes. Quel a été l' état général pendant cette longue période de quatre mo
ng de notre malade renfermait une plus forte proportion d'urée qu'à l' état physiologique, nous nous déci-dâmes à pratiquer u
du bassin. Les ganglions inguino-cruraux n'étaient point engorgés ; l' état général de la femme était bon. Sous l'influence d
pièce de 2 francs. Ipéca. 9 mars. Les vomissements ont disparu ; l' état général est mauvais, le pouls petit, rapide ; on
'érysipèle blanchit, la plaie se déterge, les eschares s'éliminent, l' état général s'améliore. La malade commence à dor-mir
femme enceinte suivis d'avortement et de mort. Pour ce chirurgien, l' état puerpéral est également une cause d'in-succès.
attendra avant d'agir que les organes génitaux soient revenus à leur état normal et que la femme ait repris ses forces; tro
pement très-incomplet ; on ne peut que très-difficilement apprécier l' état du squelette. Cepen-dant il ne paraît pas exister
is ce moyen est très-fatigant et il serait possible de remédier à son état en lui donnant un appareil prothétique : c'est du
du vagin, dans lequel elle plonge libre-ment. Sa longueur varie, à l' état normal, entre 6 et 12 millimètres. Deux circonsta
tion de ce dernier ait été con-sidérée, pendant si longtemps, comme l' état régulier à cette période de la vie. C'est donc ch
longation pût exister à titre de malformation congénitale, sans aucun état pathologique. Telle n'est point l'opinion de M. B
La cavité du corps de l'utérus, ayant la direction et le volume de l' état normal, est de 3 centimètres, tandis que la longu
ment de la peau et de la muqueuse fut pratiqué. Les surfaces mises en état de cruentation furent rapprochées par quatre poin
isons : grâce à l'obstacle mécanique apporté par la tumeur, grâce à l' état cachectique qui, dans certains cas, s'oppose à l'
Au lieu d'être plane et à peu près lisse sur ses faces, comme dans l' état phy-siologique, la rate présente alors des bossel
tes, elles crient sous l'instrument tranchant et restent toujours à l' état de crudité. » (Cornil et Trasbot, de la Mélanose,
rouges. Vu quelque temps après par M. Bumstead, il fut trouvé dans un état cachectique très-prononcé, avec de nombreuses pet
e. . Grande circonférence. . . . 26 centimètres. 15 58 58 L' état général est bon. La malade se lève et mange deux
la décharge électrique, car c'est au pôle positif que l'on constate l' état le plus intense et la plus grande longueur du jet
du courant dans les conducteurs présente trois phases distinctes, l' état initial, alors que le mouvement commence dans le
l'état initial, alors que le mouvement commence dans le conducteur, l' état définitif quand le courant continu a tra-versé le
at définitif quand le courant continu a tra-versé le conducteur, et l' état final au moment où le courant cesse de traverser
se du courant de la pile. En résumé, le passage du courant mo-difie l' état moléculaire des corps, mais cette modification,si
ême vitesse, et, par conséquent, changent rapidement et brusquement l' état moléculaire du nerf et du muscle; et c'est égalem
est fatiguée, plus il faut de temps pour qu'elle puisse revenir à son état moléculaire primitif ; et, d un autre côté, pour
ère (service de M. Charcot.) Les renseignements qu'elle donne sur son état anté-rieur sont les suivants : Elle n'a jamais
agna d'accès de suffocation intense laissant dans leur in-tervalle un état de dyspnée habituelle. Obligée de garder le lit,
orte. L'affection des voies respiratoires, cause vraisemblable de l' état cachectique actuel, est arrivée elle-même à une p
du genou, les surfaces cartilagi-neuses et la synoviale sont dans un état d'intégrité parfaite. L'arti-culation étant ouver
ions répélées au nitrate d'argent n'amenèrent aucun changement dans l' état de la fistule. « Vers le milieu d'avril, après
elle-ment ? Nous avons également à distinguer les trois phases : Io état initial; 2° état définitif; 3° état final. État
s avons également à distinguer les trois phases : Io état initial; 2° état définitif; 3° état final. État initial. — Au mo
distinguer les trois phases : Io état initial; 2° état définitif; 3° état final. État initial. — Au moment où le courant
tat définitif. — Pendant tout le temps où le courant est main-tenu, l' état moléculaire reste en équilibre, il n'y a donc pas
Au moment de la cessation du courant, il y a de nouveau rupture de l' état moléculaire, et par conséquent excitation des ner
éculaire. On conçoit ainsi que toute cause extérieure qui modifiera l' état mo-léculaire déterminera par cela seul une excita
, c'est dans les tissus qui peuvent le plus rapidement modi-fier leur état moléculaire, que la rupture du courant a le plus
llemagne, et physiologistes et médecins d'outre-Rhin ne parlent que d' état cathélectrotonique, et d'état anélectrolonique, d
médecins d'outre-Rhin ne parlent que d'état cathélectrotonique, et d' état anélectrolonique, de cathélectrotonus extra-polai
nt que lui, l'orientation des molécules et imprime par son passage un état dynamique particulier. Par cela seul, ce courant
n doive être le résultat. Nous préférons dire de suite quel était l' état des organes géni-taux de cet homme quand il s'est
Comme on le voit, sur la Planche XXIII, qui représente très-bien l' état des parties, ce qui frappe tout d'abord, c'est un
volume, la consistance, la sensi-bilité et la motilité sont ceux de l' état normal. Agauche et inférieurement, entre les bo
e point celui d'un œuf de poule ; ils sont peu ou point douloureux. L' état général du malade est bon, toutes les fonctions
en préoccupa pas davantage et, pendant un an, tout resta dans le même état , avec des alternatives d'augmentation et de dimin
pues instants. Les folliculites, les kystes folliculaires et divers états inflamma-toires ou néoplasiques peuvent se dévelo
ave que s'il se fût agi d'un simple allongement, et contribua, avec l' état général, à faire rejeter la résection du col. Il
une troisième et une quatrième grossesses qui n'aggravèrent point son état . Il y a deux ans, sans cause aucune, survinrent
instrument, décidée à en-trer à la Maison de santé. Là, on constate l' état suivant : Malade très-affaiblie par les souffranc
ur les difficultés et les dou-leurs survenant dans l'acte sexuel. L' état général est bon ; néanmoins madame X. souffre de
uelles il se trouve en contact. Comme le permanganate de potasse, à l' état so-lide ou en solution concentrée, est en même te
ais à aucun moment complètement disjointes. On a encore donné à cet état le nom (Yhystéro-épilepsie à crises combinées. Da
attaques-accès, que d'une manière incomplète, et pour ainsi dire à l' état d'ébauche; mais, à la vérité, ce ne serait pas là
ère à constituer ce que, pour l'épilepsie, on appelle les séries ou l' état de mal. 11 y a d'ailleurs, dans cet état de mal
on appelle les séries ou l'état de mal. 11 y a d'ailleurs, dans cet état de mal des épileptiques, à distinguer ce qu'on no
tem-pérature centrale chez la nommée Chevalier, pendant le cours de l' état de mal épileptique qu'elle vient de subir tout ré
us fâcheux augure ; elle s'accompagne d'ailleurs le plus souvent d'un état général qui, par lui-même déjà, donne beaucoup à
ature centrale. * Voy. l'observation deFadayat, qui a succombé à un état de mal et le tracé qui l'accompagne dans la Revue
ide de la température n'appartient pas en propre, tant s'en faut, à l' état de mal épileptique ; on l'observe encore, par e
uzy parle d'une hystérique qui avait eu jusqu'à 100 accès par jour. L' état de mal hystéro épileptique peut d'ailleurs se pro
t un cachet épiiepti-forme si prédominant et si fortement accentué, l' état de mal a per-sisté pendant plus de deux mois et,
s l'espace d'un jour, à 150 ou 200 environ. La persistance d'un tel état , sans que la mort s'en soit suivie, ne montre-t-e
ansitoire (Fig. 11). — Je dois ajouter que ja-mais pendant ce temps l' état général ne nous a inspiré la moindre in- FlG. 1
aître, Il résulterait en somme de tout ce qui précède, que, si dans l' état de mal épileptique, à grandes séries, la températ
temps que la situation devient des plus graves, au contraire, dans l' état de mal hystéro-épileptique à longue série, la t
la température ne dépasse guère le chiffre normal, et d'ailleurs l' état général concomitant n'est pas de nature à inspire
emple suffira, messieurs, pour vous montrer qu'en présence d'un cas d' état de mal hystéro-épileptique, de quelque intensité,
ux et retour de la conscience après 6 minutes. La malade est en bon état , sa langue un peu chargée, la température à 58°,
ons fréquentes d'urine et de matières dans le lit. Amélioration, puis état stalionnaire jusqu'au 2 octobre au soir, où la ma
Un quart d'heure après température 42°,75. Autopsie. — Corps en bon état ; larges taches cadavériques aux endroits déclive
ptions. Cette différence de contractilité des muscles dans certains états pathologiques est certainement un des faits les p
, et avait amené une paralysie des muscles de la face. A mesure que l' état de cette malade s'aggravait, la con-tractilité pa
'un aussi grand volume et occupant une pareille étendue en largeur. L' état de santé du sujet, la marche lente et le caractèr
te au point de vue calligraphique. 6 déc. P. 76; T. R. 38ll,4. Même état de la parole : oui, non. — Soir : P. 60; T. R. 37
. 37°,3. — Soir : Le frisson a cessé vers midi. Rien ne l'explique. L' état du cœur (hypertrophie) n'a pas changé; la respira
it plus de fautes que dans le premier. Wjanv. V... est revenu à son état habituel. 27 janv. Nouveaux accidents : pâleur
ne, il suffit des moindres quantités de chloroforme pour l'amener à l' état de détente, d'immobilité, d'anesthésie complète.
ment, l'autre une source de refroidis-sement. Cet antagonisme, dans l' état normal, est constamment réglé par l'harmonisateur
Ce qui se passe quand on met du vinaigre sur la langue d'un chien, l' état de l'estomac recevant des aliments, etc., le prou
lin. Ce nouveau traitement n'amena pas une grande modification dans l' état du malade. Celui-ci, après quatre jours de repos,
t dans les membres ; pendant son sommeil, il avait des secousses. Cet état dura quatre à cinq ans, sans que le malade s'en p
au-cune amélioration. A son entrée à l'hôpital, le malade présente un état ca-chectique très-prononcé ; la peau est terne, j
s. Sécheresse de la gorge. Pupilles largement dilatées.—24et25mars. L' état reste sensiblement le même. —26 mars. Le tremblem
r un épanchement de sang dans le tissu de l'organe ; on rencontre cet état dans les fièvres paludéennes, la fièvre typhoïde,
rielle, par em-bolie ou thrombose, se rencontre dans le rhumatisme, l' état puer-péral, l'alcoolisme, l'épuisement prématuré
rmiltentes, la morve, le charbon, l'infection purulente, le typhus, l' état puerpéral; A0 In-duration de la rate; on la renco
pansement à l'alcool. 20 juin. Le pavillon de l'oreille est dans l' état suivant : il a di-minué de moitié peut-être, non
apparaissant à la super-ficie. La raie est plus volumineuse qu'à l' état normal. On ne trouve rien de particulier dans les
: Sur un chien robuste, nous avons trépané le crâne afin d'examiner l' état des vaisseaux cérébraux sous l'influence des cour
ence peut même être observée directement en examinant en même temps l' état des vaisseaux de l'œil au moyen humecté ou qu'i
néanmoins, ses muscles sont loin d'être déjà revenus complètement à l' état normal. Chez cette malade, on obtient avec une
tions dont les éléments vivants peuvent pro-fiter pour rentrer dans l' état normal; comme tous les autres agents, elle est ob
d informe et irrégulier, mais qui, avec le temps, se rapprochera de l' état nor-mal. (Ibid.) E. Dupuy. 1 Yoy. pages 147 e
la préhension des petits objets est impossible. Tel est, en résumé, l' état dans lequel on trouve le malade, le 9 janvier 187
ltat, par le bromure de potassium. — Traitement par la daturine. Même état . — B... Jacques, 47 ans, coupeur de poils de lapi
oration. Le malade sort bientôt de l'hôpital, à peu près dans le même état qu'au moment de son entrée. La médication n'a p
'un traitement con-sécutif peut amener une grande amélioration dans l' état de l'arti-culation. Nous avons parcouru avec soin
ICALE CRÉTINISME CHEZ UNE ENFANT NÉE A PARIS OE PARENTS PARISIENS ÉTAT NERVEUX DU PÈRE COÏNCIDENCE DU DÉVELOPPEMENT DU C
erstitiel. Ce tissu est partout notablement plus déve- loppé qu'à l' état ordinaire et se distingue par une prolifération n
let pleural épaissi. — Au niveau des fractures, l'os est réduit à l' état d'une sorte de pulpe jaunâtre où on rencontre sur
ait-il bon de rechercher préalablement, dans ces cas de parotidite, l' état des veines jugulaires. — Si on y constatait une p
e crois qu'il faudrait tenir compte, dans les cas de parotidite, de l' état des veines voisines avant de déterminer le mode d
it le corps de l'utérus. Si nous n'avons fait que nommer les divers états inflammatoires ou néoplasiques qui peuvent se dév
n admet cette femme dans le service de M. Cusco, vu la gravité de son état général. Antécédents. La malade raconte qu'elle
ntimètres. Le cul-de-sac antérieur est beaucoup moins prononcé qu'à l' état normal; de plus, il importe ici de faire ressorti
OBSTÉTRIQUE VI. Des accidents des plaies pendant la grossesse et l' état puer-péral, par le docteur J. Cornillon, ancien i
ne des hôpitaux de Paris1. — Doit-on opérer pendant la grossesse et l' état puerpéral ? Grosse question agitée d'abord devant
fièvre typhoïde et la pneumonie. Les accidents des plaies pendant l' état puerpéral font l'objet de la seconde partie, et p
es pendant l'état puerpéral font l'objet de la seconde partie, et par état puerpéral l'auteur comprend avec le professeur Pa
lle est due à la compression, tantôt elle est sous la dépendance de l' état général ; elle est alors, comme le dit M. Hervieu
la sclérose médullaire: réduction considérable du volume delà moelle, état tourmenté de la substance blanche entraînée dans
cation ; mais un examen attentif permet de reconnaître entre les deux états des différences tranchées. Chez le paraplégique,
bes nerveux sains dont quelques-uns seulement sont plus minces qu'à l' état normal. Pathogénie; — causes de la paralysie da
tomatique réel, réductible en un terme équivalent aux mots malignité, état malin? C'est évidemment la question qui doit être
plate n'existe pas; à gauche, l'omoplate est constituée par un os à l' état cartilagineux, fortement recourbé, dont les deux
on arrive à une ouverture de 0m,15, c'est-à-dire 0m,04 de plus qu'à l' état normal. Mais les autres défor-mations du bassin n
formait cependant avec l'ho-rizon un angle beaucoup plus aigu qu'à l' état normal. Au bout de 8 jours, la femme se levait
x qui avoisincnt l'ouverture du col (Huguier) : à peines visibles à l' état ordinaire, ils sont augmen-tés de volume et dilat
ait plutôt raccourcie qu'allongée. Après avoir expliqué aux époux l' état des choses, je leur dis qu'il n'y avait qu'un moy
avait plus rien. Lorsque Morse arrive au dispensaire, il est dans l' état suivant : hyperémie périkératique assez intense,
78 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
dans la maladie de Parkinson : presque constantes à la pé- riode d' état , elles surviennent en même temps que les attitude
la même pathogénie. Je veux, aussi, attirer votre attention, sur l' état des réflexes tendineux ; parce que la question
lentement progressif qui a, peu à peu réduit cette malheureuse à l' état cachectique où vous la voyez aujourd'hui. Vous
particularité qui se présente par- fois lorsque vous rechercherez l' état des réflexes tendineux. J'ajoute que l'examen é
dans cette maladie, qu'une question d'années et vous avez vu à quel état misérable sont réduits les malades, avant de su
ellules corticales, par la méthode de Nissl ; par celle de Golgi, l' état variqueux de leurs prolongements ; enfin, au We
ppelez-vous que les arsenicaux peuvent être utiles, en améliorant l' état général, ce qui donne aux malades une nouvelle én
sont mêlées, d'où il suit que lorsqu'elle est individualisée par un état pathologique, sa densité et son épaisseur varient
à la bandelette externe, il paraît sain, mais si on le compare à l' état normal, on voit qu'il est moins fourni de fibres
es cordons postérieurs sont en effet notablement plus petits qu'à l' état normal. 2" Sacrée.- La dégénérescence prend la
question ; elle répond pourtant à la réalité des faits. Noyées à l' état normal dans la masse des fibres radiculaires, l
res fines endogènes. 32 NAGEOTTE cules moyens et postérieurs, à l' état normal, se trouvent masqués par les tractus des
dans/1 la moelle perdent là leur gaine de Schwann, et il existe à l' état nor ? comme l'ont montré Obersleiner et Redlich
contenait encore de 1/10 à 1/8 de la somme totale de ses fibres à l' état normal et l'auteur pa- raît avoir eu bien de la
encore remarquable- ment nombreuses, si bien que ces zones qui à l' état normal tranchent sur le reste de la substance b
leur trajet entre la portion périphérique et la portion médiane à l' état isolé, et qu'il a été impossible de suivre ces
le-même en deux subdivisions. Dans toutes ces régions il existe à l' état normal un réseau de fibres à myéline qui sont l
AGEOTTE constater qu'en effet il y ci un rapport très exact entre l' état du cordon de Goll à la région cervicale et celu
66 CROUZON Elle n'a révélé aucune modification appréciable dans l' état des cellules. Bulbe. Au niveau de la diminution
PROFESSEUR A. PITRES, ETUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES A l' état normal ET dans QUELQUES affections spasmodiques
s dans le temps. II ÉTUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES A L' ÉTAT NORMAL. I. Nous avons recherché en premier lieu
ntaire. On verra plus loin qu'il n'en est pas de même dans quelques états pathologiques. III. On peut résumer ainsi sous
sous forme de conclusions les constatations précédentes : 1° A l' état normal, l'excitation minima de la plante du pied
exe des orteils se produisait toujours et uniquement en flexion à l' état normal. 3° Les variations d'intensité des excit
mbien était incomplète cette dernière manière de voir, puisque, à l' état normal, la flexion et l'extension du gros orteil
erses, etc., etc. Dans toutes ces affections, on retrouve comme à l' état normal la même décomposition du réflexe plantai
, réflexe planti tibial, réflexe planti-crural. Mieux encore qu'à l' état normal, cette décom- position paraît justifiée,
s : . Le RÉFLEXE PLANTI-CRURAL présente les mêmes caractères qu'à l' état 74 VERGER ET ABADIE · normal. Il se traduit d
lexe PLANTI-TIBIAL présente aussi les mêmes caractéristiques qu'à l' état normal, mais il possède ici comme particularité s
ure, en tous points comparables au type de flexion pure observé à l' état normal : il a été cependant rencontré chez des
normal. Quel- quefois la flexion du gros orteil présente comme à l' état normal une am- plitude plus grande que l'extens
termes, flexion et extension, est inverse. Tandis, en effet, qu'à l' état normal la flexion est plus prolongée que l'extens
e du gros orteil). ÉTUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES 75 à l' état pathologique la flexion initiale est brusque et c
tré que chez un seul malade, atteint de sclérose en plaques avec un état re- marquablement spasmodique des membres infér
rs avec une vivacité et une amplitude beaucoup plus marquées qu'à l' état normal. III. En règle générale, l'excitabilité
logiques, la région plantaire n'est pas seule effi- cace, comme à l' état normal, pour provoquer l'apparition du réflexe pl
° Dans les affections spasmodiques de la voie pyramidale, comme à l' état normal, l'excitation minima efficace de la plante
trice. Cette extension peut accom- pagner en réalité la flexion à l' état normal, mais dans les affections spas- modiques
ant ainsi l'illusion d'un réflexe pathologique inversé, puisque à l' état normal c'est généralement la flexion qui appara
gique de différence essentielle de nature, puisque, d'une part, à l' état normal, on constate fréquemment par la méthode
ique une extension succédant à la flexion, et que d'autre part, à l' état pathologique, on constate également par les mêmes
ère précédant l'extension : ce qui fait la différence, c'est qu'à l' état pathologique cette extension devient plus vive
'augmentation de poids ; c'est un signe sans intérêt cli- nique à l' état isolé.Il est lié à un autre fait qui est aussi in
concavité antérieure. Le ventre est dur à la palpation et paraît en état de contraction permanente. Pendant la respirati
nt pour une deuxième cure que j'ai conseillée : il est dans le même état . Nouveau traitement, identique au premier. Pas
du côté malade il existe. Cette anomalie donnerait à croire qu'à l' état normal il n'existait probablement pas ni d'un côt
ellaire du même côté un peu augmenté, a une signification nette : l' état spasmodique, léger à la vérité; et cliniquement
58 jours d'hôpital. Un peu plus tard il fut * réformé à cause de l' état de ses genoux. Il n'y a jamais eu de blennorr
ée (mai 1901) à l'Hôpital thermal. - Grand, fortement cons- titué ; état général bon. Vu à nu le malade se tient fortement
le dos s'enraidit de plus en plus, et depuis 8 mois, M... est dans l' état ou il se présente aujourd'hui. ' Etat à l'arr
ismale, - appellation discutable 'si l'on n'admet pas qu'il existe un état morbide représenté par l'arthritisme,le rhumati
s viennent après les épaississements fusiformes. Il y a vraiment un état variqueux ou, moniliforme des dendrites. Si l'é
imension, ils sont de forme variée; mais on ne peut parler ici d'un état moniliforme ou variqueux des dendrites. 104 C
e l'affection : - 12 septembre. - La malade est restée dans le même état ; elle s'occupe un peu dans la salle. " Réfle
e de son lit (contusion du nez et de la main). 95 janvier 1902. - L' état s'est amélioré ; la malade se lève. 18. - Nouve
c- tiformes ou épileptiformes. » A l'entrée la malade est dans un état physique médiocre ; elle reste assise toute la
nous l'interrogeons. A aucun moment d'ailleurs elle n'a quitté cet état d'euphorie. Pas d'idées délirantes ou du moins
eure : pas d'impulsions, ni signes d'irritabilité ou de méfiance .Cet état se com- pare en somme à un affaiblissement déme
ntiel organique, celui des déments apoplectiques par exemple. ' L' état général est médiocre, sans que l'examen somatique
monte pendant ces deux jours à 40°. Pas de signes pulmonaires. L' état général s'altère progressivement; la malade ne fa
té ce mot d'indifférence «je m'en f...» et elle rit. Pas de crise ; état de subagitation motrice. - La rétention a cessé d
gitation motrice. - La rétention a cessé depuis le 3 mai. 18. - L' état s'aggrave; vomissements, facies très pâle ; état
e 3 mai. 18. - L'état s'aggrave; vomissements, facies très pâle ; état syncopal avec refroidissement des extrémités. T
t reconnaissables, disposées en traînées un peu moins riches qu'à l' état normal ; le protoplasma existe quoique altéré. Be
Jastrowitz ; sous le nom de moria et witzelschut ils définissent un état qui va depuis l'euphorie béate jusqu'à sa traduct
ique présentant plus d'un trait commun avec le tableau clinique des états démentiels or- ganiques. Nous ne retrouvions pa
i devient de plus en plus difficile. A son entrée à Perron (1897) l' état général du malade est bon, les yeux sont intell
la face. Le rire est un peu spasmodique et s'accompagne aussi d'un état vultueux du visage. 1900. - L'impotence fonctio
ination ses membres infé- rieurs au-dessus du lit. Ceux-ci sont à l' état permanent de contracture qui contraste avec l'a
espiration un peu souf- flante au sommet gauche avec submatité. L' état général a décliné rapidement : asthénie extrême ;
- Depuis trois jours, une aggravation notable s'est produite dans l' état du malade. Sans qu'il y ait de signe d'occlusion,
t disparu. 4 juin 1902. - Depuis hier, le malade, qui était dans un état plus satisfai- sant, est de nouveau pris d'acci
yra- mides antérieures, les cylindraxes sont moins abondants qu'à l' état normal, très irréguliers, la plupart sont très
R sont nettement altérées, elles paraissent moins nombreuses qu'à l' état normal ; ellles sont globuleuses, leurs prolong
mois avant sa mort, à peu près brusquement, une aggravation de son état , avec hémi- anesthésie gauche complète au tact
la digestion, de lapuissance des masses musculaires, en somme de l' état physique général. Cette particularité qui nous
xe et la plus élevée, est la résultante d'une série ininterrompue d' états de conscience et de volitions, adaptés à des fi
ême chez les fous l'on observe toujours - quels qu'ils soient,- des états de conscience et par conséquent des actes moteurs
défec- tueuse, il persiste,parfaitement conservés, de très nombreux états de cons- cience, et les mécanismes moteurs sont
yer d'agir directement sur la première pour provoquer un retour à l' état de conscience et de volonté normal ; ou bien nous
la période aiguë des psychoses aiguës qui sont presque toujours des états de démence aiguë, souvent fiévreux et souvent g
qui, malgré leur démence, on observe encore l'existence de nombreux états de conscience même s'il y a un cata- tonisme et
gativisme. Chez ceux-ci, peut-être parce qu'ils se trouvent dans un état initial de maladie, l'ergothérapie est employée e
ue. Il n'en est pas ainsi pour l'alcoolisme chronique, à cause de l' état d'asthénie physique, et de la pro- fonde démenc
nsi que la faculté d'assimilation. La démence est constituée par un état d'absolue « indifférence, par une disparition tot
aussi dans plusieurs formes mixtes, ltébéphrénico-catatoniques où l' état de catalepsie musculaire n'est pas per- manent,
s suffit de citer la définition de Babinski que « l'hystérie est un état psychique qui rend le sujet capable de s'auto-
IANCHINI En dehors de quelque cas de grave psychose hystérique avec états d'agita- tion et de délire, toutes nos malades
tion et de délire, toutes nos malades d'hystérie sont sorties dans un état de guérison complète. Les états d'obsession n
es d'hystérie sont sorties dans un état de guérison complète. Les états d'obsession ne peuvent être traités à l'aide d'au
tits inférieurs. Nous avons recueilli enfin un certain contingent d' états maniaques et dépressifs et d'états de démence.
li enfin un certain contingent d'états maniaques et dépressifs et d' états de démence. Nous avons réuni sous ces termes cert
ère fois et qui ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 151 présentent des états maniaques ou dépressifs dont il est impossible dé
t, faute d'anamnèse on ne peut dire que ceci : ils se trouvent en « état de démence ». Après ces données sur le travail
ment dans l'hiver, trois ou quatre octogénaires ou paralytiques à l' état terminal sont confinés au lit. Des 121 femmes,
s réels de la biologie des fous : 10 chez tout aliéné il existe des états de conscience ; 2° chez la plus grande partie des
urnées en dedans. Ce dernier trait' est exact ; malheureusement cet état des membres inférieurs est, incom- patible avec
e Ernest ne possède pas seulement l'habitus extérieur, mais aussi l' état mental. Cet homme de 40 ans fait preuve dans se
il a fait souvent « 60 kilomètres dans sa journée ». Puis il fait état de son ingéniosité et de son esprit inventif; il
st que fantaisie, amour de la parade. C'en est assez pour montrer l' état psychique. On y trouve poussés à l'extrême tous
. APERT, médecin des hôpitaux. Les relations qui existent entre l' état anatomique du corps thyroïde d'une part, la cro
et cannelés transversalement.. Rien à noter de particulier dans l' état des viscères ; poumons, coeur, en bon état,pas
er de particulier dans l'état des viscères ; poumons, coeur, en bon état ,pas de sclérose artérielle appréciable, tympanism
té et pré- cision, aime la lecture, écrit correctement. Tel est l' état présent du malade. Son histoire antérieure n'est
ndant leur jeunesse, puis ils restaient figés définiti- vement à un état d'infantilisme plus ou moins profond. Ils ne repr
APERT des vasculaires sanguines, notre homme se rapproche plus de l' état nor- mal que les myxoedémateux francs ; nous ex
avaient reparu. Au bout de deux mois (de reprise du traitement), l' état des malades était aussi satisfaisant que possible
tail à gauche, et déplus le gros orteil gauche est en extension à l' état statique. On constate très nettement à gauche l
rents racontent qu'ils l'ont trouvée le 10 février au réveil dans l' état où elle est actuellement, incapable de dire une p
ie semblable, pas plus que les collatéraux. Le père, facteur de son état , est d'une bonne santé habituelle ; il a cepend
nservée, les pieds sont froids, cyanosés et mouillés de sueur ; cet état existait avant la maladie. , L'examen de la s
lle regrettait beaucoup d'avoir manqué son coup. Décembre. - Même état de dépression profonde entrecoupée d'impulsions
apper ceux qui l'entourent et casser des carreaux. 30 avril. - Même état de demi-stupeur avec attitudes catatoniques, mu-
on d'affaires d'intérêts ; « 'Démence précoce caracté- risée par un état de stupeur catatonique permanent, interrompu par
lade, il est aisé de s'apercevoir qu'elle est sous l'influence d'un état obsédant continu : ce sont des idées obsédantes
ne s'agirait pas d'idées d'auto-accusation bien en rapport avec son état mélancolique. Les hallucinations dé la sensibil
es de notre ma- lade paraît bien s'expliquer par l'influence de cet état obsédant dans un cer- veau aboulique. 11 juin
), d'être instruit de l'exis- tence de cette affection pour être en état de la reconnaître, il suffira aussi de grouper
acines à leur entrée et à leur sortie des ganglions, et d'apprécier l' état des cellules nerveuses, suivant qu'elles occupe
logiques où les anciennes méthodes avaient per- mis de conclure à l' état normal de la cellule, l'introduction de chaque
s chromatolyse : et si l'on réfléchit que la cellule peut subir à l' état pathologique des variations de volume assez consi
einte d'un érysipèle de la face à la suite duquel elle manifeste un état démentiel très accusé. Elle succombe le 18 octo
es postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l' état normal. Dans notre premier travail nous écrivio
e de cellules sont en voie de dégénérescence graisseuse (fig. 3). L' état du noyau est proportionnel à celui de la cellule.
ôt épaissi, les cloisons intercellulaires un peu plus larges qu'à l' état normal ; mais la sclérose interstitielle n'est pa
trophie. Les cellules capsulaires semblent plus volumineuses qu'à l' état normal, elles sont élargies, gonflées. Les lésion
distinguer le nucléole et les fines granulations qui l'occupent à l' état normal'; c'est cet état que quelques auteurs on
et les fines granulations qui l'occupent à l'état normal'; c'est cet état que quelques auteurs ont décrit sous le nom d'h
ortance en ce qui concerne le point qui nous occupe, c'est-à-dire l' état des cellules nerveuses ; il n'y a aucun rap- po
ont rien des pécifique, il n'est pas certain qu'elles traduisent un état pathogique de la cellule. Mais plusieurs auteur
terstitiel était également plus riche en pigment dans le tabes qu'à l' état normal, mais il est difficile d'en tirer aucune
1 234 THOMAS ET HAUSER burg, elle correspond peut-être aussi à l' état pyknomorphe ou de repos fonctionnel de la cellu
ent cylindraxile a été sectionné. En réalité, nous ne sommes pas en état d'affirmer si les lésions \cellù'M laires du ga
il est quelquefois très difficile d'établir un paral- lèle entre l' état anatomique et l'état fonctionnel de la cellule, e
rès difficile d'établir un paral- lèle entre l'état anatomique et l' état fonctionnel de la cellule, et il est légitime d
cq et,Huel. En 1889, Contribution ci l'étude de la nutrition dans l' état normal et dans la fièvre du goitre exophtalmiqu
n. En 1890, Considérations sur les ecchymoses spontanées et sur l' état mental des hystériques. Contrihution Ú l'élude
alytique et para- lysie bulbaire sans lésions anatomiques », est un état morbide, clinique- ment défini, dont nous somme
e et à l'accommodation. L'oeil droit semble être plus ouvert qu'à l' état normal ; les deux sourcils beaucoup plus élevés.
s autres muscles. Le rectum et la vessie fonctionnent comme en leur état physiologique. L'exploration de la sensibilité
éphalite supérieure chronique, par son évolution progressive ou son état stationnaire, et quand elle envahit les noyaux bu
ntre une ou deux cellules ; et même alors elles se trouvent dans un état d'atrophie au plus haut degré. Avec ces lésions
richement parsemée d'amas de fibres saines. Nous ne sommes pas en état de donner une explication plausible de cette su
prendra mieux ainsi les différences que nous avons trouvées entre l' état normal et l'état pathologique. Notions d'anatom
si les différences que nous avons trouvées entre l'état normal et l' état pathologique. Notions d'anatomie normale. - La
n même temps ratatinés, revenus sur eux-mê- mes, moins longs qu'à l' état normal ; leur couche est fréquemment plissée. P
enle ; les fibres de Ilenle sont, non seulement plus courtes qu'à l' état normal, mais souvent aussi plus espacées, et la
internes sont généralement moins nombreux et plus espacés s qu'à l' état normal ; la diminution parait bien plus sensible
ra ta faible épaisseur de la couche des cellules ganglionnaires à l' état normal, alors même (7) que la couche des fibres
couche des cellules ganglionnaires est presque aussi épaisse qu'à l' état normal ; la couche des fibres optiques a au con
uveau et précieux pour juger des changements qui surviennent dans l' état de nos malades. Tout degré d'attention, de conc
s en considération pour apprécier toute fluctuation survenue dans l' état du malade. Dans les asiles où le régime du trav
citation cesse brusquement et le 13 décembre la malade étant en bon état est rendue à la liberté. Cette courte relation
la liberté. Cette courte relation ne nous laisse aucun doute sur l' état maniaque en présence duquel nous nous trouvons.
r la malade au moment où elle se trouvait au point culminant de son état maniaque. Avant de voir ce que cette broderie off
erons quels sont les traits caractéristiques principaux propres à l' état maniaque ? Etat d'esprit exalté, gai, accélératio
l'arrondissement de Kazan après avoir été malade plusieurs mois. L' état psychique de la malade pendant son séjour à l'hôp
, ce qui fait que par moments on la nourrit au moyen d'une sonde. L' état décrit cède la place à des périodes de calme pend
sous sa couverture elle reste immobile au lit. Très apathique. Ces états alternent avec une rapidité assez grande. Tout
ituation. Au bout de 12 mois et demi la malade quitta l'asile dans un état psychique satisfaisant et considérablement remi
ui eut lieu le 3 février. Pendant tout le temps de la gestation son état avait été déséquilibré ; après les couches exal
e battre Au moment de son placement à l'hospice elle manifestait un état d'exaltation extrême ; elle parlait sans fin, ses
tale en donnant comme ré- sultat un kaléidoscope bigarré d'idées, d' états d'esprit, d'actions dans lequel aucune pensée n
r jus- qu'à son complet épuisement. Dans le cas où le malade est en état de concen- trer tant soit peu son attention sur
produits sur ces pages et qui sont dus à la main de malades, dont l' état mental vient d'être ébauché, confirment on ne peu
rie et devient agres- sive. La conscience ne cesse d'être claire. L' état désigné dure avec de petites fluc- tuations pen
ment avec les paranoïques et les autres chr-oniques..tombés dans un état de débilité mentale une foule bigarrée de ce que
le lit et relit z sans fin le même livre, tantôt elle tombe dans un état d'excitation pendant le- quel elle manifeste l'
thique, peu active ; ce n'est que par moments qu'elle tombe dans un état d'exaltation pour devenir alors grognon et quer
de ce qui a été emmagasiné par la mémoire au temps lointain de son état normal. Les processus logiques faiblissent ; les
roubles mentaux particuliers, qu'il n'hésitait pas à rapporter à un état psychopathique. Dans un autre passage, il les ide
cence. ' Les auteurs chrétiens ont insisté longuement sur l'étrange état mental des adorateurs de Bacchus. ' « Les Bac
est, surtout parmi les femmes, qu'on est obligé d'emporter dans un état d'insensibilité (1). » Enfin, de nos jours, par
es manifestations,mais qui n'est pas, nécessairement, l'indice d'un état névropathique permanent. Le contrôle cortical i
mpulsion irrésistible, cette unique réponse : la mein Hen ! 1 1 Cet état dura quelques jours seulement et ne s'est pas rep
l ne présente rien du côté d'aucun appareil. De taille moyenne, son état général est excellent. Voici ce que donne l'exa
volonté nécessaire à une cure bien conduite. Arrivé au régiment en état de parfaite santé apparente, notre malade met s
n d'être impuissante; il a quitté l'hôpital à peu près dans le même état qu'au jour de son entrée, et depuis ce moment n
l'obser- vation clinique, à laquelle nous prions de se reporter. L' état du malade est resté'presque exactement le même
u pro- noncé, particulièrement au niveau des muscles de la jambe. L' état géné- ral, qui était resté bon jusqu'alors, s'e
parfois les faisceaux neuro-musculaires. Nulle part on ne trouve d' état vacuolaire de la fibre musculaire. Dans certain
it pas d'une erreur de fixation ; cependant nous avons constaté cet état moniliforme aussi bien dans les gros nerfs que
it que dans les myopathies, on peut distinguer au point de vue de l' état des muscles, trois formes : une forme proprement
bre musculaire. b) Fibrillation d'une fibre musculaire ; retour à l' état embryonnaire et peut-être trans- formation fibr
bres musculai- res embryonnaires, nous croyons que pour expliquer l' état de certains mus- cles, on peut très bien adopte
ur lequel nous n'avons pas suffisamment insisté est représenté de l' état du tis.su nerveux qui se trouve immédiate- ment
cordons de la moelle, qui n'a pas plus de rapport avec un sim- ple état atrophique qu'elle n'en a avec un processus infla
et le chiasma est très épaissie. Le chiasma ne repose nullement à l' état normal, comme on l'a prétendu, sur la gouttière o
bandelettes optiques et les pédoncules cérébraux. Or, alors qu'à l' état normal l'arachnoïde transparente n'em- pêche pa
disproportion. Les nerfs, deviennent moins nettement blancs qu'à l' état nOl'l1,'1/jl sont souvent un peu grisâtres, com
le et le nerf un espace plus ou moins large. L'arachnoïde, qui, à l' état normal, n'est que médiocrement adhérente à la g
aiment t tout à fait caractéristique. Au lieu d'observer, comme à l' état normal, une division du nerf en un certain nomb
és de tissu scléreux dense, ils sont beaucoup plus abondants qu'à l' état normal, ils semblent à demi- indépendants de ce
n- dre de semblables petits vaisseaux engainés de sclérose ; or à l' état nor- mal c'est seulement dans les gaines conjon
araître les bandes fibreuses interfasciculaires que l'on trouve à l' état normal, alors que la sclér.ose estailleurssi in
e s'explique par la disparation pure et simple des cloisons qui à l' état normal unissent les points nodaux conjonctivo-v
eaux nerveux vidés, mais la fasciculation est restée la même qu'à l' état . normal. L'aspect est très différent de celui des
ersistance si longue, qui nous a frappé dans l'étude clinique, de l' état c demi-voyant », l'état qui permet au malade de d
i nous a frappé dans l'étude clinique, de l'état c demi-voyant », l' état qui permet au malade de distinguer le jour de l
sont les mêmes qne celles de la portion vasculaire; mais, comme à l' état normal la portion la plus rapprochée du chiasma n
st précisément cet aspect que nous avons trouvé le plus souvent à l' état pathologique dans la portion orbitaire du nerf.
-conjonctives de la portion crânienne du nerf plus épaissies qu'à l' état . normal et leur situation n'était pas modifiée; d
t périphérique on voit très nettement les termes de passage entre l' état normal et l'état pathologique : l'hyper- trophi
voit très nettement les termes de passage entre l'état normal et l' état pathologique : l'hyper- trophie vasculo-conjonc
ertébrale n'est pas déformée ni douloureuse. Au mois de mars 1898 l' état de la motililé est stationnaire. La malade peut
ue ancienne par étranglement, avec cxsudats autour de la papille et état sinueux, dilaté, des veines. On remarque l'exis
en avant et des trois premiers doigts en arrière. En 1895. - Môme état . Cyphose très marquée à la région cervicale. Trou
e de la plupart des symptômes cliniques. La clinique nous montre un état spasmodique, une exagération bilatérale des réf
, une exagération bilatérale des réflexes, phénomènes qu'explique l' état des FPC. Le peu d'atrophie musculaire se justif
ques. Dans leur structure une particularité est frappante : c'est l' état de leur tunique adventice. Elle leur forme une ga
us avons plus spécialement envisagées. Nous ne revenons pas sur l' état des méninges, la dégénérescence des FPC, déjà s
ale la cavité n'est nulle part tapissée de cellules épendymaires. L' état des vaisseaux, au milieu des régions les plus sai
t pâle, presque livide ; les yeux sont creux, cernés, témoignant un état de grande fatigue. Cet ensemble de lésions perm
de sa tenue, de sa conversation, etc., d'utiles indications sur son état men- tal. D'une part, la forme des lettres, l'a
à profit, et d'autre part, le contenu de l'écriture, c'est-à-dire l' état mental extériorisé par l'écriture, assurément une
e. Cette extériorisation graphique de la pensée nécessite, même à l' état normal, un labeur psychique plus ou moins pénible
ROY duit à l'extérieur d'une façon plus ou moins heureuse suivant l' état men- tal du sujet. Certains y excellent, d'autr
la tète devenait le siège d'une douleur extrêmement vive. Dans cet état , qui n'allait généralement pas jusqu'à la perte
possible de prévoir les troubles physiques de l'écriture d'après l' état des muscles des paralytiques généraux : chez ce
nt dépendre de troubles moteurs ; elles peuvent dépendre aussi de l' état mental du sujet. Si celui-ci présente de l'exci
ois manuscrits d'un autre paralytique. Le premier est antérieur à l' état de maladie confirmée ; peut-être trahit-il l'exci
ÉCIlITUnl<; 429 des, puis le malade revint progressivement à son état habituel dans l'es- pace de quelques minutes.
sans commentaires, la lettre suivante d'un dé- ment précoce dont l' état est depuis très longtemps stationnaire et qui est
ce, la méninge postérieure est peut-être un peu plus épaisse qu'à l' état normal, mais elle ne présente nullement les gros
rence ne semble pas dépasser sensiblement celle que l'on observe à l' état normal. Pas d'amas lymphocytaires, ni dans la
dehors, elles sont moins longues transversalement ; d'ailleurs à l' état normal la corne de CI est moins large que celle
ents. Quelques vaisseaux sont entourés d'une large zone claire. L' état de la méninge et de ses vaisseaux semble à peu pr
e restreint de gai- nes myéliniques sont seules colorées ; mais à l' état normal ces gaînes sont trop irrégulièrement col
nt encore un peu effilées ; les cellules out sensible- ment le même état et le même nombre que sur la coupe précédente.
s, fibres très colorées ou à peine colorables, fibres- cellules à l' état embryonnaire, fibres complètement ou incomplèteme
léaire, même infiltration graisseuse. Nerf \ sciatique gauche. Même état que le droit avec prolifération con- jonctivo-g
rémas- térien faible; abdominal, conjonctival, cornéen normaux. L' état général est bon. Il dit avoir maigri un peu et il
evenir normales ou atrophiées. Nous n'avons pu observer nettement l' état bifide sur ces coupes longitudinales, mais dans
groupes de noyaux dans la substance hyaline fondamentale. Tous ces états voisinent et peuvent être observés sur un même ch
isée avec conservation des muscles postérieurs de la jambe. Le même état persiste actuellement comme il est facile de s'
notre externe et ami Potelet, rendent compte de leur topographie. L' état général de la malade est excellent; on ne trouve
phie. L'état général de la malade est excellent; on ne trouve aucun état mor- bide récent ou actuel qui puisse expliquer
urs est restée deux ans en traitement à l'asile, elle présentait un état de confusion mentale extrême avec hallucination
oreilles écartées, désourlées, asymétrie du crâne. 8 décembre. Même état de stupeur complète avec négativisme. Il s'ali-
une main près de sa bouche, l'autre dans sa poche. ' , 8 mars. Même état de stupeur, gâtisme. On constate à l'examen des p
La pression profonde à ce niveau est très douloureuse, car malgré son état de stupeur, le malade'fait un mouvement brusque
ui a insisté avec raison sur son caractère douloureux. 30 juin. L' état mental est sans modifications. Le pseudo-oedème e
arges eschares à fond purulent comme les premières. LI 20 août. L' état physique général est assez mauvais ; la nutrition
sez mauvais ; la nutrition est dé- fectueuse. Le malade est dans un état de dépression et d'inertie profonde. Il répète
n mutisme absolu. 23 novembre 1899. - Il arrive à l'asile dans un état de dépression intellec- tuelle très manifeste,
itudes d'onanisme. Est moins violent qu'autrefois. 3 décembre. Même état de stupeur, il est mal tenu, malpropre, urine sur
es troubles trophiques doi- vent être fréquents chez les aliénés en état d'inhibition cérébrale (Dermato- psychies de M.
doués d'un tempérament très nerveux. Or la rétivité est un vice, un état morbide continu de la volonté qui peut rele- ve
la nymphomanie chez la jument, pouvant déter- miner à la longue un état général des plus défectueux décrit, en méde- ci
connus en mé- decine vétérinaire, et l'hypnotisme des animaux (1), état psychique artifi- ciel provoqué par des actes d
e sang, synonyme d'énergie, n'a rien à voir, disions-nous, avec les états morbides continus du caractère, de l'émotivité et
ome avec un luxe inusité de précautions, entrait, dit-on, « dans un état d'exaspération voi- sin de la folie ». La jumen
peut avoir de l'importance au point'de vue de la détermination d'un état d'in- fériorité individuelle » (Séglas), en rap
structive que l'échelle intellectuelle des animaux, et la liste des états dégénél'ati{s de l'animal comprendra alors des vi
mportant que l'accumulation de ces symptômes place l'animal dans un état d'infériorité réel, diminuant à la fois sa vale
rançais, des Autrichiens, s'est maintenue, malheureusement, dans un état de profond arriérisme social et intellectuel. Pen
ach (3 pl.), par Henry 111EicE, 248, 322. Réflexes plantaires à l' état normal et dans quelques affections spasmodiques
Ai3ADiE et H. VERGER. Etude graphique des réflexes plantaires à l' état normal et dans quelques affections spasmodiques
Verger et S, ABASIE. Etude graphique des réflexes plantaires à l' état normal et dans quelques affections spasmodiques
79 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
\. On sait que sous le nom d'idiotie on englobe un grand nombre d' états pathologiques congénitaux ou acquis, paraissant
10 mari. : Douleurs sourdes dans la région occipitale gauche ; l' état des yeux n'est pas modifié ; toujours stase pap
elle d'arthropathie nerveuse. 16 novembre. - L'enfant, dans le même état , est rendue it sa famille. 1899. 17 juillet.
t est pâle, plutôt grasse. La physionomie est sans expression ; ÉTAT DE LA MALADE A 14 ANS. 7 l'enfant voyant à pein
ant a bien dormi hier, elle boit bien son lait. m 20 août. - Même état . L'ecchymose est un peu plus étendue au niveau
alcoo- lique depuis longtemps, mais elle n'aurait pas eu lieu en état d'ébriété. Durant la grossesse, la mère prenait
tardive (2), le caractère triste, irritable, semblent indiquer un état congénital. Jamais de convulsions. Ecolage conv
ard dans notre service à la Fondation Vallée (juillet 1899). V. L' état de la malade restait alors le même. Le 111 aoÛ(
tre membres qui, en 1905, sont pris de contractures. C'est dans cet état que l'enfant est arrivé dans le service, offran
s au- tres, la maladie de Basedow ne peut créer de toute pièce un état vésanidue. Les troubles mentaux qui l'accompa-
sionnelle, sur le même terrain maternel de la dégénéres- cence. L' état constitutionnel du système encéphalique, depuis
rina au lit jusqu'à 7 ans. De bonne heure, on constata chez elle un état mental maléqui- ]ibré. Outre qu'elle présentait
ette à un énervement mal délini. Elle avait comme le sentiment d'un état anormal qu'elle ne pouvait rattacher à aucune c
profonde. Elle ne parla plus et resta au lit pendant deux mois. Cet état persista jusqu'il la lin de juin 1900. Puis il
ittente des troubles cé- rébraux. En particulier, la rémission de l' état mental en 1901 ne e répondit à aucune améliorat
impossibilité absolue de fixer l'attention constitue le fond de son état psychique. Idées de grandeur : la malade s'imag
c., autant de circonstances qui ré- veillent le plus généralement l' état de déséquilibre latent des dégénérés, c) Les sy
n ombilicale. G. D. ] ? - Lésions de5 neuro-fibrilles dans certains états pa- thologiques ; par le Pr Marinesco. (Journ.
u cours des hémiplégies et des para- plégies. Dans ces différents états pathologiques les lésions des neu- rofibrilles
sans que l'un soit la conséquence de l'autre. En ce qui concerne l' état des neuro-fibrilles dans la para- lysie général
tion convergente des axes oculaires pendant leur accomplissement, l' état de lassitude qui les REVUE DE PATHOLOGIE MENT
cte sexuel consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l' état moteur qui, arrivé à son maximum, présente une
par une période d'adynamie et de repos. Dans la production de cet état et de ses différentes phases l'image motrice jo
ar l'hérédité, n'est pas comme on l'admet gé- néralement, un simple état de moindre résistance du sys- REVUE DE THÉRAP
rme particulière de maladie ner. veuse. G. D. IX. - Evolution des états hypochondriaques, par \lll. 'l'aTv et CHAUflER,
AUflER, (Journ. de Neurologie, 1905, n° 23.) Les dix observations d' états hypochondriaques relatés dans ce travail plaide
di- calement et non pas seulement psychiquement. Le pronostic des états hypochondriaques n'en reste pas moins très grave.
n seulement les améliorations ne se maintiennent pas longtemps et l' état des malades reste stationnaire jusqu'à la mort,
y parvenir qu'indirectement en s'efforçant de leur substituer des états psychiques normaux, et cela, au moyen de l'iso-
na est née en 1889. Lors de ses pre- mières règles, elle présenta l' état mental hystérique. A propos des moindres reproc
s reproches, elle fait une fugue, Une de ces iugues eut lieu dans l' état second. En août 1904, elle présente des troubles
otique. M. r ! KR ! L ! ,oK. L'étude des phénomènes observés dans l' état d'intimidation permet de les assimiler à ceux q
ue de se mouvoir, de parler et de penser. Un peut donc comparer cet état à la paralysie psychique qu'il est facile de pr
psychique qu'il est facile de produire par suggestion dans certains états de l'hyp- notisme. Pour nous l'état d'intimidat
e par suggestion dans certains états de l'hyp- notisme. Pour nous l' état d'intimidation est analogne à l'état d'hypnose.
de l'hyp- notisme. Pour nous l'état d'intimidation est analogne à l' état d'hypnose. Seulement dans ce cas il s'agit d'hy
es personnes a été trop cultivée. L'admiration met l'esprit dans un état d'attente favorable à la production de l'hypnos
ractairesà toute tentative d'hyp- notisation ; quand on étudie leur état mental habituel, on ap- prend qu'ils sont des o
conde catégorie, on observe au contraire des sujets chez lesquels l' état d'intimidation existe pour ainsi dire iL l'état
ets chez lesquels l'état d'intimidation existe pour ainsi dire iL l' état permanent. Cette timidité qui s'accompagne le p
ux puissances surnatu- relles. Or, les aliénés réalisent souvent un état psycholo- gique analogue ; s'ils sont servis pa
ons de M. Valentino m'ont rappelé la haine d'Auguste Comte contre l' état métaphy- sique et sa sympathie pour l'état féti
d'Auguste Comte contre l'état métaphy- sique et sa sympathie pour l' état fétichiste. D'ailleurs, Comte, lui aussi, a ver
s points principaux suivants. 1° La timidité est la manifestation d' états psychologiques constitués par de l'inhibition d
s centres nerveux; 2° Les phénomènes d'inhibition observés dans les états d'intimidation sont analogues à ceux qu'on réal
états d'intimidation sont analogues à ceux qu'on réalise dans les états d'hypnotisme. , 3° La suggestibilité est la con
suggestibilité est la condition essentielle de la pro- vocation des états d'intimidation, comme de ceux de l'état d'hypno
le de la pro- vocation des états d'intimidation, comme de ceux de l' état d'hypnotisme. 4° L'intensité des états d'inti
idation, comme de ceux de l'état d'hypnotisme. 4° L'intensité des états d'intimidation est en rapport avec le degré de
e incommodité, en amenant paral- lèlement la disparition des divers états d'intimidation et d'émotivité morbide. soci
ion ou dégénérescences psychiques, avec les délires greffés sur ces états , et B. les infirmités psychiques d'involution o
onsacrées à la Pathologie spéciale, c'est-à-dire à l'étude : 1° des états psychopathiques primitifs; 2° des états psychop
t-à-dire à l'étude : 1° des états psychopathiques primitifs; 2° des états psychopathiques secondaires ou asso- ciés. Parm
stions actuellement à l'ordre du jour, un inventaire complet de l' état présent de la psychiatrie, en France et à l'étran
eux sur l'intelligence et le caractère et engendrent lente- ment un état mental caractérisé par un amoindrissement des f
ées quand la maladie a diminué d'intensité ; elles sont passées à l' état chronique quand elle a persisté. Ces hallucinat
ade ; elles surviennent de pré- férence, le soir, la nuit, dans les états d'assoupissement. Leur caractéristique est de s
a personnalité n'ont jamais été notées chez ces persécutés. , Les états de folie ah u2cre Icesa ne reconnaissent pas tou-
de caractères qui permettent de les distinguer assez facilement des états psychopathiques analogues. La nature de l'otopa
x, 1 ! J(4- [905.. ' Etude du rire dans l'hystérie apparaissant à l' état de rire soit spontané, soit provoqué. Le rire i
s du rire, par suggestion de l'acte lui-même, par sugges- tion d'un état psychique gai, par excitation des zones idéo-
gai, par excitation des zones idéo- 74 VARIA. gènes modifiant l' état mental dans le sens du rire, enfin par excitati
hylocoque ; on a constaté aussi la présence du bacille d'Eberth à l' état de pureté dans le li- quide céphalo-rachidien e
emande sera accompagnée de l'acte de naissance du postulant, de ses états de services, d'un exposé de ses titres, d'un ré
allé, alors que ses vociférations ne laissaient aucun doute sur son état mental et sur l'urgence de son admission dans u
e la présence des réflexes. Nous-même (1) avons soutenu que. si l' état des réflexes ne pouvait nous donner de renseign
anale restèrent anesthésiques. Aucun changement ne survint dans son état jusqu son en- trée à la Salpétriére, si ce n'es
de la malade le G juillet 1905. La malade est paie et amaigrie, son état général est des plus défectueux. Elle présente
escarres profondes et suintantes datant d'environ 1 mois 1 ? . L' état de la malade au point du vue des troubles nerveux
regretter qu'il ait été impossible d'avoir des renseignements sur l' état et l'évolution des réflexes ten- dineux. Nous s
c contracture. Lorsque nous voyons C ? 18 ans après son entrée, son état ne s'est pas modifié sensiblement. Elle a pris
ature cutanée. La sensibilité objective est très dimi- nuée, mais l' état mental de la malade ne permet pas de l'exami- n
E NERVEUSE. de la malade s'aggrave tous les jours, elle est dans un état de dé- chéance physique extrême, l'escharre a p
ce et en profondeur, dénudant le sacrum et les dernières côtes. L' état mental a peu varié, mais les troubles de la parol
de 38 ans par suite d'infection et de broncho-pneumonie, dans un état de misère physiologique extrême. Autopsie. - Ky
ent des parties pig- mentées do coloration rouille. L'encéphale à l' état frais, 10 minu- tes après l'extraction, pèse 10
L'hémisphère droit est aplati, déprimé, beaucoup plus étalé ({u'a l' état normal : l'hémis- phère gauche, au contraire, e
. d.. Humérus droit. che germinale. ce qui s'explique étant donné l' état d'involulion de la fumeur. La coque osseuse rép
toresse L1P1 : \'KA, Le but de la psychothérapie est de ramener à l' état nor- mall'individudontl'équilibrc intellectuel
était doulou- reuses et se produisaient toutes les 2 semaines. Son état durait depuisun an et dans les derniers temps i
rait depuisun an et dans les derniers temps il s'était aggravé. L' état général était bon,mais la nutrition s'était ralen
76, plein, régulier ; la respiration norniale, pas d'oppression. L' état des poumons était normal éga- lement sur toute
Le 19 août : elle dort mieux, elle dit qu'elle se sent en meilleur état : le dégoût de la nourriture diminue, elle prom
mplète : après quelques jours de sug- gestion elle en revient à son état normal. Dans les pre- mières séances, la sugges
ruit'» anormaux. Pas de varices. Peau, nutrition générale : eu lion état de nutrition;.graisse 11111'1 lia 11'1111'11 ab
sc. Cependant, si ce dernier fait est exact, il ne prouve pas que l' état des vaisseaux soit en cause, attendu que nombre
ale ; leur amélioration a cepen- dant été suivie dans deux cas d'un état de rémission des signes physiques et mentaux. D
leur demande de faire du côté parésié. bien qu'ils sachent être en état de les exécuter. Ils en ont bien la volonté, ma
aire très net. La contracture tardive des muscles hémiplégies ou en état de paralysie infantile cérébrale n'a pas fourni
mané des centres inférieurs ou cor- nes antérieures de la moelle en état d'excitation ? Le silence au niveau des muscles
e ; des paresthésies (sensation du brûlure;. Celte si- multanéité d' états du système musculaire diamétralement oppo- sés
atrophies du cortex cérébral et en par- ticulier de la 3" frontale ( état vermoulu, dilatation ventricu- laire (hydrocéph
ux avec des saillies anormales des aisseaux de ces noyaux : c'est l' état prélacunaire : les lacunes miliaires prennent u
point l'endar- térite vulgaire de l'a 1-Lé 1-i O-sclé l'ose. Cet état se distingue : a) de la porose de M. P. Marie, so
nant des cavités régulières parois lisses dans le cerveau ; b) de l' état criblé de DlIl'and-Ful'del qui paraît dû surtou
- tique ; par Féré. (Revue de médecine, mai 1903.) La courbature, état pénible de lassitude qu'on rencontre tantôt che
scipliné, masturbatuur, mais il n'a pas de signe d'hys- Lérie : cet état ne rappelle ni la maladie de Thomsen, ni l'astasi
'S autel1l's, mais c'est la première j'ois qu'on si- gnale dans ces états de la myotonie. L. Wahl. Auréoles névropathique
is REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 113 la laiblesse augmenta. Cet état n'a ni la marche de la lrichi- nose, ni celle d
su con- jonctif. Pas de lésions importantes du système nerveux. Cet état probablement infectieux (Cnwerricht) serait dû,
symptômes apparents iL cause de l'albuminurie, fonction du mauvais état des reins et du foie. Des laits expérimentaux d
e lésion jusqu'alors latente devient évidente sous l'influence d'un état général mauvais : les plus intéressants de ces
is longtemps disparues réapparaissent sous l'influence d'un mauvais état général. Conclusions : une lésion des centres n
rcissement est dû à la brièveté de la libre musculaire elle-même. L' état intellectuel de ralentissement disparaît de mêm
r la décoloration temporale des deux papilles; le contraste entre l' état de l'acuité visuelle et celui du champ visuel (
s. Dans un cas on n'a pu déterminer le début. Calola rejette dans l' état ac- tuel de la science l'opinion des auteurs qu
l'intelligence présente des lacunes assez peu ac- cusées pour que l' état démentiel aitpu être méconnu. M. I)ouraESENTE e
raît souffrir. Chose étrange, la mère se préoccupe beaucoup de leur état . Elle les embrasse, pleure à l'idée de s'en sép
sciplinés ou des vicieux dont les parents violenlsmé- connaissent l' état d'infériorité intellectuelle. Al. Vallon se mon
vu une femme ne présentant que de légers stigma- tes d'hystérie à l' état fruste, et qui fut prise très rapidement de par
é tout le syndrome méningitique, entra pro- gl'eSi\ellleI1L dans un état d'euphorie continue avec inconscience de sa sil
e et le timbre de sa voix exprimaient toujours sa participation à l' état de ses malades. Tout l'arsenal médicamenteux ne
diagnostic clinique et de sa ressem- 158 VARIA. hlancc avec des états simulés. A mesure que l'intensité de la vie mil
e que c'est un catatonique ; la sitiophobie est la conséquence d'un état et non pas d'un symptôme. Nous allons maintenan
ts. REFUS D'ALIMEN CATION DANS LA DÉMENCE CAT1'1 ONIQUE. 163 un état parallèle clos principaux symptômes et du l'alime
efne.A. : Même, alimentation. 3 juin 1900. S. : Amélioration de l' état précédent. Ouvre les yeux, va seul il la garde-
de la journée. 164 CLINIQUE MENTALE. 11 août 1900. S. : Même état : reste couché. A. : A refusé la soupe le matin
upe le matin ; ne prend rien de la journée. 12 août 1900. S. : Même état : reste couché. A. : N'a rien mangé. 13 août
état : reste couché. A. : N'a rien mangé. 13 août 1900. S. : Même état , le matin, reste couché. A. : Cave le matin. Au
de du pain et en mange environ 250 grammes. 29 juillet 1901. Même état , mange cinq bols de soupe qu'il a demandés. A
me, suggestibilité, stéréotypies. Or, il n'est pas un seul de ces états qui, soit isolé, soit associé il plusieurs autres
bien déterminé, mais simplement comme la conséquence même de son état catatonique. De plus, nous ferons ob- server ic
ataleptiques, s'immobilisant au milieu d'un mouvement. Elle étaiten état de demi-stupeur, avec confusion des idées, et fai
C\tll1tla cuillel' pl (,'l ? t en présence de la persistance de cet état que l'on fut obligé d'avoir recours la sonde oe
plus haut serait plus exact et conviendrait bien mieux à ce genre d' état . CLINIQUE NERVEUSE Grossesse et puerpéralité
at choréique, mais seule- ment au point de vue de sa fréquence. Cet état rend la malade impropre à toute occupation suiv
on, les globes oculaires se convulsent en haut; la malade bave. Cet état dure peu, et les convulsions cloniques succèden
pés jusque-là, s'assourdissent et cessent bientôt. L'enfant naît en état de mort apparente, qui ne peut être attribué qu
- ments de chloral. Elle quitte la clinique le lendemain, dans un état de calme relatif : l'affection nerveuse a repris
un mouvement con- vulsif spécial, on ne s'expliquerait pas que cet état con- vulsif dure depuis plus d'une vingtaine d'
e, minus habens, dégénérée inférieure, ne pouvait réagir que par un état convulsif à la plus minime cause provocatrice.
tologiques sur la structure fibrillaire de lacellule nerveuse il. l' état normal et il. la suite des lé- sions des nerfs
constitue nullement une lésion spécifique due au tétanos, puisqu'un état analogue peut se vérifier tout aussi accentué d
22 se lève sans présenter du graves symptômes ; 2° Du 22 au 2G mai, état hallucinatoire terrifiant continuel avec hypere
et donnent l'examen anthropologique, physiologique, nerveux, avec l' état des réflexes, delà sensibilité, des organes des
c l'état des réflexes, delà sensibilité, des organes des sens, et l' état mental. Ils discutent certains signes spéciaux,
oureuse, précédée depuis un mois par des douleurs articulaires. Cet état répond, croit l'auteur, à une forme particulièr
are noire du volume d'une pièce d'un franc. Le médius pré- sente un état parcheminé spécial delà peau qui est comme mo-
nus chez les hystériques en crise, ou en contracture. Le clonus à l' état de relâchement musculaire reste un signe très p
nce. La suggestion pourrait être définie : l'action du provoquer un état du conscience (sensation, idée, sentiment, voli
état du conscience (sensation, idée, sentiment, volition), que ce) état du conscience soit accom- pagné ou non d'un act
et la lecture reste limitée aux lettres a, e. i, 0, u. 1904. - L' état de l'enfant Beau ? est resté stationnaire II ne
urbulent et mé- chant. 1900. - Aucune modification notable dans l' état de l'en- fant. 1901. - Légère amélioration. A
voyé 1/2 heure à l'atelier de couture. 1898. - L'enfant est dans un état satisfaisant, au point de vue de la tenue, du r
ille et de passer quelques jours avec elle. 1901. 9 ans 1/2.' Son état s'est bien amélioré : les colères sont moins fr
tain goût. -- En résumé, l'enfant se rapprocha de plus en plus de l' état normal. 1902. Gccrg ? continue à donner de la s
r, et cherche à fredonner. (Compte rendu 1903, p. XIV.) 1905. - L' état de l'enfant est stationnaire, il n'a rien ac- q
lles. Gâtisme. L'enfant est inca- pable de manger seul. 1897. - L' état de l'enfant s'améliore, il marche aujour- d'hui
caractère, l'enfant reste gour- mand, voleur et coléreux. 1900. L' état de l'enfant reste stationnaire. 1901. Les progr
per les enfants. 1904. Un changement notable s'est produit dans l' état de l'enfant. Il s'intéresse à tout ce qui se fa
ient nulles. Ne mangeant pas seul, restant toute la journée dans un état som- nolent, cet enfant semblait n'être doué qu
oup de goût au travail manuel et s'y prend très adroitement. Dans l' état général nous constatons une amélio- ration asse
ation mentale, chorée, strabisme, affaiblissement du bras gauche. L' état nerveux de cet enfant s'est modifié favorableme
son et réveiller les heureuses dispositions qui paraissent être à l' état latent dans son coeur; enfin comme toujours évi
les princes et les seigneurs étrangers, fai- saient illusion sur l' état du royaume. Le sire de la Hivièrc, ai- mable et
uer sa mère. L'érection, au paroxysme, s'accompagnait d'une sorte d' état de mal avec impulsion au coït pour ainsi dire i
ir comme réactif révélateur, mais a, bien certainement, marqué leur état morbide consécutif, d'un sceau traumatique tang
éflexes normaux, strabisme de l'oeil gauche. Embarras de la parole, état démentiel simple. Troubles sphinctériens notabl
LE. « Peu après son admission à Tournay, Cord ? est tombé dans un état de démence paralysiforme simple, qui a marché rap
i de l'alcoolique classique (1). D'autre part, il faut distinguer l' état du blessé anté- rieurement à l'accident et post
une autre différence entre les deux membres inférieurs, ni dans l' état de la paralysie ni dans celui des autres phénomèn
ux côtés était peu compatible avec la conservation unilatérale d'un état nor- mal des réflexes, Voici l'interprétation q
ure s'abaisse par saccades, et les autres muscles reviennent à leur état de paralysie absolue. Le sommeil le plus profon
omoteur, ou, si l'on préfère, athétose de l'ocu- lorhoteur comme en état de paralysie infantile. La cause la plus admiss
XXV. Trouilles de la sensibilité musculaire dans le tabes et autres états pathologiques : myosthésiométre ; par W. M. Beg
ables, le tissu muscu- aire et le tissu nerveux. Il faut donc que l' état du système ner- veux se réfléchisse sur les réf
ner- veux se réfléchisse sur les réflexes musculaires. Déjà, k l' état normal, les réflexes musculaires ne sont pas iden
maladie de Thomsen, montreque, s'il existe des différences dans les états myotoniques, une théorie générale permet néanmo
mental, ce qui lui est repré- senté fortement, en l'absence de tout état de conscience réduc- teur. La suggestion hypnot
toute sug- gestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l' état mental. Un vieil adage enseigne que « la nuit
lité, ce n'est pas la nuit qui rend ce service : ce sont, certains états intermédiaires entre la veille et le sommeil prof
eille et le sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un état passif assez accentué, nous acquérons le pouvoi
s de vue 1 la sédation qui résulte du sommeil provoqué constitue un état favorable pour l'accomplissement des fonctions
ique proprement dite. Il a été frappé par certains points spéciaux, état nerveux particulier, longue durée de ces affect
la taihlesse musculaire. 11 devient parfois violent sans rai- son ; état physique très amoindri à la suite de neurasthénie
énie trau- malique. C. quinzaine : Est atteint de dépression avec état neurasthéni- que consistant on douleurs erratiq
Dans d'autres cas, une prédisposition préalable nette, voue même un état psycliopatlii(lue antérieur à l'accident peut se
, diriger sur Sainte-Anne. (Diagnostic hésitant entre simulation et état délirant vrai.) Un procès en dommages et inté-
des muscles. (Le malade nie l'alcoo- lisme.) A maintenir, hors d' état de se diriger (idées de grandeur nais- santes.)
c laquelle il se retranche est niaise et indique la débilité de son état mental. Le traumatisme, qui a pu donner un coup d
état mental. Le traumatisme, qui a pu donner un coup de fouet à un état mental antérieur déjà déséquilibré, n'a joué qu'u
d'un traumatisme léger, fit de la neurasthénie hypochondriaque. Cet état , loin de rétro- céder, tourna à la chronicité e
e tenu compte de phénomènes pure- ment subjectifs, conséquence de l' état mental de l'ouvrier, la volonté de celui-ci de
ents et très lourds sans que pour cela ils influent forcément sur l' état mental morbide dû à l'ac- cident. Celui de nos
ns graves, le blessé paraîtra revenu et définitivement revenu à son état nor- mal. Pourra-t-on affirmer que tout se born
déjà difficile, mais la difficulté se complique étrangement de l' état psychologique des intéressés. Cet état psychologi
e complique étrangement de l'état psychologique des intéressés. Cet état psychologi- que mériterait d'être étudié par un
-huit heures, la loi demande plusieurs réponses distinctes : 1° L' état de la victime ; 2° Les suites probables de l'ac
er d'un traumatisme cranien accidentel, ne se devra pas borner à- l' état physique ; il devra s'éten- dre à l'état mental
se devra pas borner à- l'état physique ; il devra s'éten- dre à l' état mental, en raison de ce fait que l'argument pri
ation confirmée. Il faut qu'il y ait eu quelque modification dans l' état 362 CLINIQUE MENTALE. \ mental du malade, o
l'aliénation.De là,nécessité d'un examen physique double touchant l' état local du point traumatisé et touchant l'existen
es souvent du fait de la revendication de la victime, parce que l' état de folie l'empêche par définition de les faire
Contribution à l'étude des migraines et de leurs rapports avec les états épileptiques et délirants, 190» ? . . L'ÉPILE
sentielle accu- sée semble donc disparaître, parfois entre ces deux états pathologiques en effaçant la ligne de démarcati
lé- gique par exemple, ou après l'épilepsie, rapprochent ces deux états encore davantage ; les phénomènes paralyti- que
ant lesquelles notre malade éprouvait une vive jouissance, mais à l' état de veille de semblables sensations faisaient dé
en de pareils moments, et à distinguer avec finesse ces différents états . De grands efforts de volonté lui permettaient
geait sa colère. Elle comprenait parfaitement bien l'horreur de son état sans réussir à le combattre. Voici ce qui eut
e, ses yeux, en inondant tous les objets et la chambre entière. Cet état dura peut-être une demi à une seconde, pour se
état dura peut-être une demi à une seconde, pour se terminer par un état d'inconscience accompagné au dire de son mari p
x der- nières années vinrent apporter un certain changement à cet état : tantôt tout l'accès se bornaita l'apparition d'
ecture et l'existence. Tout lui semble privé de but et de sens; son état est désespéré ; on le lui a dit et elle y croit
le vomissement. Il ne s'agissait pas môme de la substitu- tion d'un état par un autre, mais de l'extension d'un phé, L
porté leur at- tention sur la corrélation qui existe entre ces deux états et qu'ils attribuaient aux fonctions génitales
vent aggraver l'épilepsie existante, provoquer ses re- tours si son état est devenu latent, et devenir quelquefois même
nisme le fait d'expo- ser en public ses parties génitales, soit à l' état d'automa- tisme épileptique, soit sous l'influe
it à l'état d'automa- tisme épileptique, soit sous l'influence d'un état impulsif ou d'une perversion sexuelle avec trou
u'elle ne quittait que pour aller se coucher. Tel était en résumé l' état de la malade à son entrée à la Fondation. 1901-
e était insignifiante et inspirait la pitié, à cause de son mauvais état général. Elle ne mangeait, ni ne buvait seule,
stesse et de mélancolie, comme si elle s'était rendue compte de son état . Elle causait peu, la voix était tremblotante,
irement la progression des troubles de la parole sui- vant l'âge, l' état intellectuel et le séjour il l'école, tous les ta
ulant pas se laisser convaincre, signifia à son mari - qui était en état d'ivresse - qu'il ne rentreraitpas dans cet éta
ari - qui était en état d'ivresse - qu'il ne rentreraitpas dans cet état au domicile conjugal. Furieux, le débardeur sort
t mental. « Les malheureux se rendaient parfaitement compte de leur état ; chez deux d'entre eux, existait bien du rire e
rend l'examen mental assez difficile, surtout en ce qui concerne l' état des facultés intellec- tuelles ; toutefois la m
- cience obscure de ses infirmités et de sa faiblesse réduit à un état permanent de défiance et de crainte et à des ré-
ces symptômes médullaires, quelque pénibles qu'ils soient, c'est un état men- tal déplus en plus inquiétant pour sa fami
révoir pour une épo- que plus ou moins éloignée, l'aggravation de l' état men- tul dans le sens de l'affaiblissement des
s sans objet fixe. (Les quelques éclair- cissements fournis sur cet état mental, permettent de supposer qu'il s'agissait
progression insensi- ble des phénomènes médullaires et bulbaires. L' état mental reste celui de la démence pure et simple
à se dilater un peu plus que la droite dans la pénombre. Tel est l' état du malade en mars 1906, deux ans après son entr
sagères d'hébétude confusionnelle,crises dues sans doute à quelque état passager d'auto-intoxication où ;'t'une sim- pl
mois, le quantième, le jour de la semaine. Il ignore où il est. Son état mental est caractérisé par l'indifférence, l'hé
s, des associa- tions -de symptômes, expression clinique de quelque état général d'infection ou d intoxication et évolut
lque état général d'infection ou d intoxication et évolution d'un état tératologique congénital ou héréditaire (1), il e
multanément ou successivement à plusieurs territoires du névraxe en état d'infériorité structurale et fonctionnelle pour
ur de l'abcès est d'ordinaire, et souvent sur une large étendue, en état de renouvellement et d'infiltration oedémateuse
ement reconnaissables, mais prenant moins bien les colorants qu'à l' état nor- mal ; à leur périphérie elles sont attaqué
réiformes. D'après ce diagnostic, il est facile de comprendre que l' état général de l'enfant laissait beaucoup à désirer
armes. Au point de vue scolaire, elle était nulle. A cause de son état elle n'avait pas fréquenté l'école; sa vue aussi
souvent maussade et grognon, pleurait sans motif, à cause de son état maladif sans doute. Maintenant le caractère est g
l'a retardée au point de vue scolaire principalement. Mal- gré cet état maladif, l'enfant s'est énormément développée, so
s auteurs ont recherché quel est le sort d'une cellule qui, mise en état de réaction à distance par la section du nerf p
sparition. Ramon y Cajal considère ces lésions comme résultant de l' état de repos des cellules. Les auteurs pensent au c
d'office, ordonnez le placement dans le cas où vous estimez que « l' état d'aliénation de l'intéressé compro- mettrait l'
haque personne ainsi placée par votre ordre, un rapport indiquant l' état du malade, la nature de sa maladie, les résulta
cette de- mande est joint. « un certificat de médecin consLatant l' état men- tal de la personne à placer et indiquant l
s hommes de l'art de visiter la personne désignée, de constater son état men- tal et d'en faire rapport sur-le-champ : i
ssocie par- fois, l'altruismc s'accompagne la plupart du temps d'un état 510 bibliographie. d'euphorie bienveillante
action béate. Il est un élément précieux de diagnostic entre divers états psychopathiques et différencie en particulier la
, par Fragnilo, 201. - Structure fibrillaire de la - nerveuse à l' état normal et il la suite des lésions des nerfs,
par Ch. Féré, 418. Neuro-fibrilles. Lésions des - - dans certains états pathologi- ques, par Marinesco, 42. Névralgie
ld, 329. de la sen- sibilité musculaire dans le ta- bès et autres états pathologi- ques myosthésiomèlre, par Bech- le
80 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
alysie devient complète, flasque ou spasmodique, ce qui dépend de l' état du tonus muscu- laire, lequel n'est pas en rapp
du tonus muscu- laire, lequel n'est pas en rapport constant avec l' état des réflexes. Enfin apparaît l'atrophie muscula
alaisé lorsque la lésion siège en une région pres- que immobile à l' état normal, comme l'est la région dorsale moyenne.
ser au mal de Pott et en rechercher les signes ; d'autre part, si l' état général du sujet est satisfaisant, une injectio
nce, à la région dorsale, dont les mouvements sont presque nuls à l' état normal, elle est facile à mettre en évidence, a
vertébrale et ouvrir le canal rachidien, nous n'avons pu juger de l' état de leur partie profonde. Pour la même raison nous
partie profonde. Pour la même raison nous n'avons pu apprécier ni l' état des disques ni celui du ligament vertébral commun
e des irrégularités et des saillies granuleuses, plus accusées qu'à l' état normal, sur la face externe de la crête iliaque
fait qu'au même endroit en avant de la tête fémorale se trouve à l' état normal une empreinte rugueuse, l'empreinte ilia
, celle du diagnostic. Qu'est-ce donc que l'infantilisme ? , Un état caractérisé par la persistance des caractères phy
Il faut admettre, qu'à cette époque de la vie, la grippe le mit en état d'op- portunité morbide, en exagérant l'état né
e, la grippe le mit en état d'op- portunité morbide, en exagérant l' état névropathique créé par l'hérédité mor- bide con
t sortir de la maison sans se faire accompagner. Dans la suite, cet état émotif s'aggrava, et la peur se précisa avec plus
: doute, phobie diffuse, monophobie, phobie diffuse et guérison. L' état mélancoli- que est secondaire. Je ne peux pas
janvier (1892), mais il ne s'est pas con- servé longtemps dans son état normal : une vingtaine de jours après il faisait
il a été reçu le 22 avril dans mon service, Il m'est arrivé dans un état d'excitation physique et psychique modérée. Dor
sortant le 25 mars. Il rentra chez lui assez bien portant, dans son état normal, mais trois jours après il eut une discu
olongea jusqu'au mois de février 1894. Après quelques semaines d'un état normal, se trouvant encore à l'hôpital, il eut
encore plus de trois mois, à la fin desquels le malade récupéra son état normal qui se maintint jusqu'au mois de juin 1896
il vint, le 8, se réfugier à l'hôpital du Conde de Ferreira dans un état d'excitation maniaque, dont il sortit guéri le 24
sion de l'émotivité, c'est une crainte irraisonnée, une phobie. Cet état se dissipa au bout de 3 ou 4 mois. , Au mois de
dans l'excitation maniaque sans transition, à ce qu'il paraît, d'un état normal ; et il se trouvait encore excité quand,
à la maison, mais on ne peut pas dire qu'il était toujours dans son état normal. Au contraire, pendant cette période, il
épressions passagères, il se maintint dans ce que nous appelons son état normal jusqu'au mois de février 1904, pen- dant
hyroïdien. C'est à cette époque que se rapporte la description de l' état morphologique et physique du malade que je me p
qui convient aux fo- lies intermittentes dans la classification des états psychopathiques, il me sem- ble incontestable q
isir, mais il n'a ja- mais eu aucune pollution. Il est affligé de l' état plus que rudimentaire de sa verge, et me prie d
e rudimentaire de sa verge, et me prie de bien vouloir la mettre en état de fonctionner. , informa- Les dents, sans être
ue, dans ce cas, il devrait déjà exister un début de cachexie, et l' état de sa santé est en somme assez satisfaisant.
uis « le nom d'infantilisme, dit M. Henry Meige, sert à désigner un état physique et mental qui s'observe chez les indiv
f, il est un homme par son âge et par sa taille, et un enfant par l' état rudimentaire de ses organes génitaux, par l'abs
corps. Voyons maintenant ce que l'esprit offre de particulier. « Un état mental infantile, dit encore M. Henry Meige dan
boucher, d'en saisir un morceau et de le manger en cachette. Cet état mental, on peu complexe, tient de l'infantilisme
s bonne heure,etne l'a jamais abandonné. La faiblesse native de son état mental, les stigmates physiques et psychiques q
assis, immobile, la tête penchée sur la poitrine et dans un certain état de torpeur, plutôt physique qu'intellectuelle.
es planes. Déplus, les on- gles sont atrophiés : plus minces qu'à l' état normal, légèrement striés dans le sens longitud
it de conscience, je vou- drais me renseigner très exactement sur l' état du corps thyroïde, car c'est le seul moyen d'ém
e la dégénérescence que dans le sens de l'infantilisme. En effet, l' état mental du dégénéré est essentiellement caractér
e suis, priori, tenté d'y trouver l'explication pathogénique de son état morphologique et psychique, et je me demande qu
importance du rôle pathogénique que le corps thyroïde a joué dans l' état du malade. Mais, avant, nous allons indiquer le
rquables et très utiles sur le processus de l'ossification et sur l' état du squelette dans quelques mala- dies, et elle
x n'ont pas bougé du tout. La verge reste infantile, toujours « à l' état de promesse », absolument comme elle était avant
que le malade a 38 ans et dix mois, après le traitement thyroïdien, l' état consigné dans cette description persiste tel qu
est atténuée d'une façon appréciable. La dystrophie des ongles et l' état mental n'ont pas subi le moindre change- ment.
à mon avis, l'hérédité neuro-pathologi- que qui est coupable de cet état ; et je pense qu'elle a pu produire tout cet en
hol., 1886, t. II, p. 269-284. 74 MAGALHAES LEMOS Peut-être que l' état pathologique de l'utérus (la mère « en a toujours
essus multiples, simultanés ou suc- cessifs, fixer à tout jamais un état qui ne devait être que transitoire. Et c'est pr
rès triste et abattu, quand il se rend bien compte de son misérable état . Il a été impossible de découvrir la cause de c
l'os, le périoste et le cartilage épiphysaire se trouvaient dans un état plus ou moins inflammatoire. Tout ceci nous don
connaissait déjà l'augmentation de volume des pieds et des mains, l' état douloureux et le gonflement des articula- tions
z en même temps, que l'appareil génital extérieur se trouve dans un état rudimentaire. Et en examinant les belles photog
able que la castration de l'homme et de l'animal peut exercer sur l' état physique et psychique, vous serez d'accord avec
raphie très instructive. Mais, retournons à notre malade. Dans quel état se trouverait la glande pi- tuitaire. Vous vous
l'acromégalie. Les tumeurs cérébrales peuvent exister longtemps à l' état latent. Ne veuillez pas perdre de vue non plus, q
utres modes de sensibi- lité n'ont pu être recherchés étant donné l' état mental de la malade. Le dermographisme est très
s ma thèse (1), sur l'importance qu'avaient la stase du membre et l' état cachectique du sujet dans la production du pseudo
immobiles, les jambes pendantes ; de plus, il existe chez elles un état de débilité physi- que manifeste. Nous avons ma
sychiques. La reproduction de la pupille, comme moyen de refléter l' état de l'âme du personnage représenté, sans accesso
i lire ni examiner les esquisses dans une position normale,mais cet état disparut bientôt,de sorte qu'on peut supposer q
à l'heure actuelle. Cette évolution si hâtive fut indolore. Seul, l' état général laissait fort à désirer ; la malade touss
sant surtout à l'hystérie, impli- quant une tare générale du sujet ( état névropathique). Ce qui permet surtout de rattac
us, et au bout de ce temps-là la parole revenait petit à petit et l' état normal se rétablis- sait peu à peu. Ces crise
. La joue droite semble plus remplie et la gauche plus effacée. A l' état de repos la bouche semble déviée à gauche. Cett
es : rien d'anormal ; pas d'albumine. C. - Mouvements, sensibilité, état psychique. Comme nous l'avons vu dans les antéc
s globes oculaires, de la langue, etc., chez tous ces sujets dont l' état névropathique (hystéri- ques, épileptiques, dég
), de dystrophie (Landouzy) d'hypotrophie (Variot), on dé- crit des états pathologiques assez analogues au point de vue cli
nor- maux. Il n'y a aucun trouble du côté des organes des sens. L' état psychique est à peu près intact : on observe cepe
tat psychique est à peu près intact : on observe cependant un certain état d'apathie et d'indifférence, une lenteur intell
s noyaux des gaines deSchwann sont plus longs et plus nombreux qu'à l' état normal. z Des préparations, par la méthode de
dragons, présente de l'ichthyose des membres supérieurs et du dos ( état rugueux de la peau qui est sèche et semble reco
s, se reproduisant de préférence au printemps. Jamais de pertes à l' état de veille, pendant la miction, la défécation ou c
équivalent familial de la neuro-fibromatose généralisée ? 5° Le bon état de santé habituel du sujet qui a accompli le serv
t au moins de supposer le maintien, pendant de longues années, d'un état général satisfaisant. L'observation deR... consti
e. Pendant les premiers temps du séjour de la malade à l'Ecole, son état géné- ral fut excellent ; elle consommait toute
s forces qui fut s'accentuant progressivement jus- qu'à aboutir à l' état dans lequel il fut admis chez nous. Le malade s
c'est à peine si on notait une modification insigni- fiante, dans l' état du malade. Seul le deltoïde avait recouvré quelqu
e se produisent en général par le mécanisme de la traction. En- tel état de cause, pourquoi, dans les paralysies des béqui
ite. Le malade est à demi-conscient et non pas dans le coma, mais l' état s'aggrave rapidement et il meurt au bout de deu
tout de petites lignes blanches qui lui donnent un aspect strié. Cet état de choses détermine nécessairement de la pâleur
termes, la couche sagittale externe, étant privée des fibres qni, à l' état nor- mal, ne font que la traverser (et n'en fon
, ne font que la traverser (et n'en font nullement partie) existe à l' état de Schéma n° V. Cas Roll... 1912 LASALLE-ARCH
que central, le faisceau longitudinal. Ce faisceau existe alors à l' état de pureté et il diffère sensiblement du faisceau
S NERVEUSES T>JRM1NÉL,S ? ? ARM`ÛES MASSUES DE CROISSANCE, A L' ÉTAT PATHOLOGIQUE ET 'A L'ÉTAT NORMAL ; LÉSIONS TABÉ
,S ? ? ARM`ÛES MASSUES DE CROISSANCE, A L'ÉTAT PATHOLOGIQUE ET 'A L' ÉTAT NORMAL ; LÉSIONS TABÉTIQUES DES RACINES MÉDULLA
res,découvertes par Ramon y Cajal dans les ganglions rachidiens à l' état normal ; nous verrons que ce sont vraisemblable
ns également qu'il existe dans la substance grise de la moelle, à l' état normal et à l'état pathologique, des formations a
existe dans la substance grise de la moelle, à l'état normal et à l' état pathologique, des formations analogues, qui 'jo
r rapport la racine antérieure, un volume moins considérable qu'à l' état normal ; on peut estimer à 1/5 approximative- m
ale chez un homme de 34 ans, mort dans le service de lll. Séglas en état de cachexie,avec de larges eschares. La moelle,
ation exceptionnelle. Soc. de Biol., 1905. 20 NAGEOTTE à part l' état de légère inflammation diffuse qui est habituel d
; il existe des lésions inflammatoires des vaisseaux ; en un mot l' état de cette région est très compa- rable à celui q
l n'y a, dans le ganglion, pas plus de massues d'accroissement qu'à l' état nor- mal. Ce cas est un bel exemple de névrite
es cylindraxes radiculaires antérieurs et postérieurs (Gonflements, état moniliforme). Cette lésion est banale dans sa f
N COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 221 date que les gonflements et l' état moniliforme qui en résulte, sont des modes habi
rtout de l'ob- servation III pour la décrire. Elle consiste dans un état moniliforme des cylindraxes, qui est amené par
hien si 'ce sont les 222 11) NAGEOTTE fibres fines contenues à l' état normal dans la racine postérieure, qui sont plu
24 NAGEOTTE la biologie des neurones ; en effet, elles existent à l' état physiologique, où Ramon y Cajal les a décrites
Cajal dans l'écorce du cervelet de jeunes chiens tués au début de l' état morbide désigné sous le nom de « maladie des je
velle formation dans les cas-anciens. Régénération collatérale et l' état pathologique. Si l'ensemble de ce processus rep
radiculaire posté- rieur, telle qu'elle se produit dans le tabes. 1 état normal ; II disparition de l'axone radiculaire
N COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 233 3 schématiquement,à côté de l' état sain primitif (I),tes deux phases du proces- su
e régénération dans les ganglions (1). Régénération collatérale à l' état normal. - Les phénomènes de régé- nération que
tème nerveux ne sont que l'exagération d'un processus qui existe à l' état de santé normale. On sait que Ramon y Cajal a
description magis- trale de formations singulières qui existent à l' état normal dans les gan- glions rachidiens et sympa
e ces forma- tions normales avec celles que je viens de décrire à l' état pathologique est absolue, seul leur nombre est
est mort le sujet ; ici encore, la seule diffé- rence qui sépare l' état pathologique de l'état sain réside dans la multip
i encore, la seule diffé- rence qui sépare l'état pathologique de l' état sain réside dans la multipli- cation de ces org
variées de neurones possèdent la même propriété de pro- duire, à l' état normal, comme à l'état pathologique, des fibres t
ssèdent la même propriété de pro- duire, à l'état normal, comme à l' état pathologique, des fibres terminées en massue, q
La nécessité de l'élaboration continue de fibres de suppléance à l' état normal n'apparaît pas tout d'abord ; les neuron
- fluences, et en particulier au cours de la. sénilité,- qui est un état subnor- mal, il apparaît des prolongements dend
eul pour expliquer la présence de la régénération col- latérale à l' état normal, c'est l'existence constante d'un petit no
s cylindraxes,' ou bien cette disposition trahit-elle en réalité un état pathologique ? Il est assez difficile de le dir
et la maladie n'a jamais pu être tracée et il est pro- bable que l' état idéalement sain n'est qu'une limite impossible à
infimes que répondent les fibres terminées en massues observées à l' état normal, soit qu'elles se montrent au moment mêm
rmations analogues dans la substance grise de la moelle humaine à l' état normal et à l'état pathologique; Cajal en a obser
dans la substance grise de la moelle humaine à l'état normal et à l' état pathologique; Cajal en a observé dans l'écorce
XXIV. Fig. 1. - a, b, c, coupes du 4e nerf radiculaire lombaire à l' état normal, pratiquées suivant les lignes a, b, c,
s lésions cylindraxiles dans les racines antérieure et postérieure ( état moniliforme). Fig. 3. Etat moniliforme des cyli
capsulaire. En outre il existe quelques prolongements dendritiques ( état sénile de Cajal). Planche XXXVII. Méthode de Ca
hysiques de ramollissement des .deux sommets. Altération grave de l' état général. Amaigrissement, asthénie, malgré la con-
s d'hémianopsie. Les jours suivants, le malade reste plongé dans un état de torpeur continue avec indifférence et apathi
s, surtout à droite. Les jours suivants,' devant l'aggravation de l' état général, l'altération du pouls qui devient petit
impossible de différen- cier le noyau d'un petit élément, foncé à l' état normal, de celui d'une pyrami- dale. Les limite
ent être confondues avec le nucléole. Bosselé et plus gros qu'à l' état normal, presque toujours excentrique, bleu pres
bords déchiquetés, bien différente de celle que Nissl a décrite à l' état normal ; enfin, sur certains petits éléments ne
que tous les cerveaux d'individus âgés, sont ici plus nombreux qu'à l' état normal, surtout dans les régions frontales et m
porel progressif; entré à l'hôpital cantonal en mai 1903. Comme son état empirait, sa femme le reprit chez elle en septemb
r les objets à courte distance. Per- sistance du gâtisme. Exitus en état de marasme. ' B... fut interné comme éthylique
le nom- bre va diminuant à mesure qu'on s'éloigne du ventricule. L' état vacuole cesse à 3 centimètres du pôle frontal.
et moelle du noyau r.). Plus tard l'aqueduc ne subsiste plus qu'à l' état de mince fente. Le corps quadrijumeau postérieu
ies blanches avoisinant la tumeur des fibres variqueuses et le même état vacuole qu'au cerveau; la PI. XL en indique la
du 3e au 4e ventricule de se rétablir. Il est certain que chez B... l' état psychique fut beaucoup meilleur vers la fin de
érature : 38°5. Urine, rien de particulier. Le malade est dans un état de torpeur profonde et meurt au bout de 36 heures
culaire,; mais, nous le répé- tons, le diagnostic de ces différents états est possible dans la pluralité des cas. Si ce d
'examen objectif ne permet de rien dé- celer qui explique un pareil état . Quant l'évolution de la maladie, elle esl d'un
es centres nerveux et tendent à faire admettre au contraire que cet état ressortit à un trouble plus général. En raison
on à siège musculaire, sous la dépen- dance d'une perturbation de l' état général de cause indéterminée. Il en est demême
us tard les membres su- périeurs deviennent raides et douloureux, l' état général s'affaiblit et la malade succombe à une
Les cornes antérieures étaient bien conservées ; on y remarquait un état pigmentaire des cellules gan- glionnaires ainsi
e, l'un dans lequel les altérations musculaires accompagneraient un état démentiel ou cachectique, l'autre évoluant avec u
é de ces deux types s'évanouit et si l'on constale chez les uns, un état marastique prolongé, et chez les autres un habi
'ont pas toujours été aussi gravement atteints au point de vue de l' état général, que même arrivés à la phase de rétrac-
ef dur et douloureux. La flexion du bras est toujours possible. L' état général s'aggrave pro- gressivement, le facies
a description précédente nous avons volontairement laissé de côté l' état des viscères et du système vasculaire. Dans tous
t nous n'avons constaté que des modifications très légères dans son état depuis le premier jour où nous l'avons examinée
11.1 1 ' PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CHEZ LES VIEILLARDS 269 d'un état général plus ou moins grave tandis que le sujet p
n. La dermato- myosite décrite par Unverricht (1) s'accompagne d'un état général grave, d'un gonflement de la peau et de
malgré de considérables rétractions. ' " Tous les viscères sont en état d'atrophie plus ou moins prononcée. Le grand ép
s quelques tu- bercules crétacés. Chez un sujet le coeur était en état d'atrophie manifeste et pesait, vide de sang 17
la suite de leur exfoliation, les cellules musculaires revenues à l' état embryon- naire se chargent de graisse et rempli
tion primitive de la fibre musculaire dont les éléments revenus à l' état indif- - férent contribuent il la suite de tran
fibre musculaire (division, prolifération nucléaire, régression à l' état embryonnaire) d'une part, prolifération abondante
ncy, par sa propriétaire qui veut s'en dé- barrasser à cause de son état mental. C'est un homme bien constitué, de taill
'Hôpital au début d'août 1904. Etat actuel. Nous constatons alors l' état suivant : La peau ne présente rien d'anormal, s
moment de sa première radiographie mentionnée plus haut. Voici l' état des réactions électriques : 1° Excitabilité au
ALADIE DE RECKLINGHAUSEN 287 taient d'une façon isolée ou comme à l' état d'ébauche chez d'autres mem- bres de sa. famill
central. Les deux hémisphères cérébraux sont loin d'avoir, même à l' état normal, une valeur identique (1). Mais cette no
identique (1). Mais cette non-équivalence n'est jamais accusée, à l' état normal, au point de troubler l'harmonie apparente
mal, au point de troubler l'harmonie apparente du corps humain. A l' état pathologique, en ce qui concerne spécialement les
. C'est que, chez notre malade, tout ce côté droit nous apparaît en état d'infériorité manifeste. Nous ne savons pas si
in présentant des tares héréditaires manifestes et sur la partie en état d'infériorité de cet organisme, a évolué, avec
es tics se multiplient et s'aggravent. L... est constamment dans un état de surexcitation qui se manifeste actuellement pa
n garçon qui présente en même temps deux autres signes indiquant un état de myopsychie de Joffroy, de prédispo- sition a
ENCE DE LA SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES SUR L' ÉTAT DES NEURONES PÉRIPHÉRIQUES CONTRIBUTION A L'ÉTU
s voulu nous rendre compte de l'influence que pouvaient avoir sur l' état des ganglions spi- naux, des nerfs cutanés et d
ntérite au 247e jour, les autres chats sont parvenus en excel- lent état de santé, grâce à la propreté minutieuse maintenu
antérieurs. Il ne semble pas qu'antérieurement à nos expériences l' état des nerfs péri- phériques ait été systématiquem
semaines plus tard, étaient rapportés d'assez nombreux examens de l' état des nerfs cutanés quelques mois après la sectio
érées, il y avait aussi des gaines vides. Nous nous croyons donc en état de conclure que le processus de dégénéres- cenc
Dans une troisième série d'expériences enfin, nous avons recherché l' état des nerfs cutanés peu de temps après la section
ent d'entre eux (chat VU), contenaient un petit nombre de fibres en état de dégénérescence avancée. C'étaient des fibres
pathiques. L'influence de la section des racines postérieures sur l' état du sympathique est également de date récente. B
laire, Thèse Paris, 1903. 306 ROUX ET HE1TZ velles, portant sur l' état du sympathique non plus 2 à 3 semaines après la s
e. On distingue les fibres des racines postéiieures, partiellement en état de dégénérescence rétrograde {fixation par le s
et qu'elle ne retentit pas, même au bout de ce laps de temps, sur l' état des cellules ganglionnaires sous-jacentes. ' Ex
ganglionnaires sous-jacentes. ' Examens des ganglions spinaux. L' état histologique des ganglions spinaux après section
jusqu'au 5e mois après l'opéra- tion. Au 5e jour, il a constaté un état de chromatolyse fine ou en amas dans un grand n
voir également des deux côtés; le ganglion spinal contiendrait à l' état physiologique un certain nombre d'éléments anorma
des progrès continus jusqu'au 200e jour; à partir de cette date, l' état reste stationnaire (constatations du 330e jour)
d'ailleurs minime et nous désirions surtout nous rendre compte de l' état des cellules et des fibres nerveuses au bout de p
dant par contre l'avantage précieux de nous montrer en même temps l' état des fibres à myéline, et de permettre de faire
ayant t survécu plus de 7 mois, la présence de fibres à myéline en état de dégénéres- cence au milieu d'une majorité de
à ce sujet, des divergences presque aussi marquées qu'au sujet de l' état des cellules ganglionnaires. Tous admettent que l
' Personnellement, nous avons trouvé le bout ganglionnaire dans un état très différent aux diverses époques où nous l'a
ul segment interannulaire. On ne pouvait malheureusement juger de l' état du cylindraxe, mais la gaîne protoplasmique par
et quelques fibres grosses à myéline, ces dernières plus rares, en état de dégénérescence wallérienne avancée (fixation s
sec- tion. Au bout de plusieurs mois, Koster rechercha à nouveau l' état du bout médullaire, sans y trouver de fibres ré
ons vues dans le bout ganglionnaire au milieu des grosses gaînes en état de dégénérescence rétrograde. Il est seulement di
elle est l'influence de la section des racines posté- rieures sur l' état des neurones périphériques et quelles déductions
lésion brutale et instantanée comme la sec- tion de la racine, à un état pathologique permanent et d'évolution très lente
dégénérescence rétrograde de la racine postérieure sectionnée et l' état d'atrophie segmentaire des racines tabétiques.
t un cer- tain nombre de cellules surpigmentées et quelques-unes en état de chromato- lyse partielle. Des ganglions gauc
identiques dans certains filets cutanés de la coupe. Au. contraire, état normal des nerfs cutanés de la queue, de la jambe
e majorité des fibres sont intactes, quelques-unes se présentent en état de dégénérescence wallérienne avancée. Chat d
actes, quelques fibres beaucoup plus rares,fines en majorité, et en état de dégénérescence très avancée. Du côté des n
parations sur 5, montre à la dissociation deux groupes de fibres en état de dégénéres- cence wallérienne, l'une de 3 à 4
anés de la face postérieure du genou un certain nombre de fibres en état de dégénérescence wallérienne, territoire de la 2
uffire à ren- dre le diagnostic histologique extrêmement délicat. L' état des méninges ne représente pas non plus un argu
ors aucune maladie éruptive ou infectieuse n'est venue troubler son état de santé. Cependant à 14 ans il a présenté des ad
puis il rentra en Europe et vint s'installer à Paris. Mais comme l' état de sa santé s'aggravait toujours il entra d'abord
ableau clinique s'aggrave de nouveau. z Le malade se trouve dans un état subcomateux ; il est très pâle et se ré- veille
; ensuite il répond péniblement aux questions qu'on lui pose. 30. L' état subcomateux persiste. La température s'est élevée
ue au niveau de la fesse gauche. 31. La température donne 39- 5 ; l' état du malade est un peu meilleur qu'hier. Il répon
t fièvre élevée pendant quelques jours, éruption papulo-pustuleusé, état subcomateux. Mort. Le sujet, qui était 348 ' GI
acines antérieures et posté- rieures sont, elles aussi, en très bon état (fig. 7). Au niveau de la 2e racine lombaire, l
à gauche. En juillet 1874 il entre dans le service de M. Ferrand. L' état de son bras droit s'améliore et il peut recomme
ur du côté gauche sont atteints par la sclérose : il y reste un petit état de tissu sain dans la zone radiculaire interne
classique. ' La pie-mère médullaire est un peu plus épaisse qu'à l' état normal, surtout postérieurement et au niveau de
un pro- blème mathématique. Il est vrai que la musique exprime des états psycho- logiques moins concrets que ceux exprim
ssion (2). Il n'est pas possible d'exprimer d'une façon définie des états psychologiques indéfinis. Pour cela, tout ce qu
s de ce dernier, se rapportant à l'intelli- gence musicale ou à des états spéciaux de l'activité psychologique de l'in- d
e rendre compte de l'existence d'anesthésie croisée du trijumeau, l' état comateux des malades rendant trop précaires les
ugle depuis plus de 40 ans. Il est également intéressant de noter l' état de la motilité et de la sen- sibilité'. La para
S DOIGTS 389 transparence osseuse, avec opposition relative entre l' état de condensation osseuse dans les épiphyses et d
ds sont plus ou moins emphysémateux ; d'autres ont leurs poumons en état physiologique.Pas non plus de rapport appréciab
et articulaire, et l'hypothèse d'un rapport entre ces troubles et l' état de la moelle sénile semble pouvoir se présenter
de la taille. Le sujet n'accuse aucun symptôme paraissant lié à cet état d'acromégalie, il n'y a aucun trouble de la sen
e (Brissaud, Launois et Roy). D'après ces derniers auteurs,ces deux états pathologiques sont fonction d'un même trouble d
il y en avait peu aux aisselles. La verge mesurait 9 centimètres à l' état de flaccidité.Les testicules étaient très dével
plus jeune des géants connus dans la littérature médicale ; 2° L' état des organes génitaux dont le développement précoc
nitaux dont le développement précoce n'est pas en proportion avec l' état habituel de ceux des géants pathologiques chez
ypoplasie des orga- nes génitaux et de la torpeur sexuelle ; 3° L' état et l'influence de la glande hypophysaire. En envi
essation de la' croissance pathologique, au moins l'amélioration de l' état psychique, cequi était le point le plus importa
eune garçon s'éleva de 137 à 142 cent. 7 soit de 5 cent. 7 . Dans l' état psychique il n'y eut presque aucune modificatio
ement avec la thyroïdine maintenu aussi une dizaine de mois. Dans l' état psy- chique il n'y eut aucune amélioration, et
nce thérapeutique. Le second but du traitement, l'amélioration de l' état psychique, ne fut pas obtenu SUR UN CAS DE GIGA
sexes. En agissant ainsi, je ne pensais pas pouvoir influen- cer l' état psychique, résultat que je n'avais pu obtenir par
u une augmentation de 5 cent. 7 et 5 cent. 0). Mais c'est surtout l' état psychique qui subit des améliorations inattendu
it déjà assez bien. 404 HUDOVERNIG Les altérations profondes de l' état psychique, et le ralentissement de la croissanc
e la selle turcique et la présence d'une anomalie de l'hypophyse. L' état de cette glande ne fut donc pas altéré par les di
roportion avec la verge, de sorte qu'on pouvait presque penser à un état infantile des testicules. Cet infantilisme n'étai
es que nous prîmes, au moment de notre entrée à Moukden et que leur état avait rendu intransportables par l'armée en ret
ion que les peintres, graveurs ou sculpteurs qui ont représenté des états pathologiques les ont effectivement étudiés d'a
autre division secondaire. Puis, plusieurs autres fibres noires, en état de division en Y, fn, fn', rn", et encore deux ma
ylacés. On voit en outre, sur le trajet de quelques cylindraxes, un état de dégénérescence granuleux et des renflements
rmation présentent la dégénérescence des neuro-fibrilles ou bien un état de gonflement. Les fibres des racines postérieu
périphé- rie de la cellule, il y a chromatolyse centrale et souveut état poussiéreux de toute la cellule. Le noyau est t
nes cellules ont perdu leur contour, elles sont si atrophiées et en état de désintégration moléculaire si prononcée qu'e
ttitude en griffe des deux mains trahit seule, au premier examen, l' état de maladie. Etudions en détail les accidents ne
arée peut ap- porter quelque contribution à l'interprétation de ces états de stupeur si communs chez les aliénés et les m
urte durée, d'une à deux minutes au plus, mais laisse après elle un état de torpeur qui n'est pas tou- jours dissipé lor
ivement le 3. , Malgré la disparition des attaques épileptiformes l' état général ne s'améliore pas. Le chien reste const
différent à ce qui l'entoure. Sorti de sa cage et mis debout, son état de stupeur ne disparaît pas complète- ment. Son
n dehors des zo- nes motrices a donné lieu à de l'épilepsie et à un état de stupeur. Ces deux symptômes peuvent s'expliq
on, en s'étendant aux autres éléments de l'écorce, a donné lieu à l' état de stupeur. Les lésions présentées par les autres
ondants, et il y a un peu de strabisme externe de l'oeil droit. L' état général est excellent; la nutrition est bonne. La
' P. LEJONNE et M. CHARTIER. A côté de l'infantilisme type Lorain, état pathologique caractérisé parla a persistance de
t, crachait continuel- lement. Elle était facilement essouflée. Cet état persista, avec des aggra- vations, à travers l'
l'asile ce malade est devenu moins cohérent et plus déprimé, mais cet état variait d'un jour à l'autre et rappelait un éta
déprimé, mais cet état variait d'un jour à l'autre et rappelait un état de démence précoce para- noïde traversé de bouf
ce de sensations génitales subjectives et dans la conviction de son état de mariage princier imaginaire. En somme, dégén
ocié à une atrophie musculaire généralisée, une cyphoscoliose et un état hypertrophique des nerfs. La soeur étant morte
ntérieur étant beaucoup plus rapproché du talon pos- térieur qu'à l' état physiologique. Cette attitude est maintenue, d'un
, réflexe accommodatif con- servé (signe d'Argyll-Robertson). A l' état de repos, pas de nystagmus. Pendant les mouvement
. 484 DEJERINE ET ANDIIÉ-THOMAS L'observation précédente résume l' état du malade en 1890. A partir de cette époque jus
gne d'A. Robertson. Sens chromatique normal. Champ visuel normal. L' état mental est toujours le même, c'est celui d'un d
nerfs sont augmentés de volume, d'un diamètre double de celui de l' état ordinaire et très durs' la palpation. Ils ne pa
cependant pas sensiblement plus douloureux à la pression que dans l' état normal. Nous revîmes régulièrement ce malade pl
lièrement ce malade plusieurs fois chaque année de 1893 à 1900. Son état resta sensiblement le même au point de vue de l'a
tution de ce manchon. C'est pourquoi il est important de comparer l' état des racines sur dissociation à celui qu'elles pré
lus prise. Les cornes postérieures sont à peine plus petites qu'à l' état normal, mais leur réseau myélinique est maigre,
e Nissl. Les cellules sont peut-être un peu moins nombreuses qu'à l' état normal : quelques-unes sont pâles, décolorées, at
bas, la sensation douloureuse est, sauf le retard, perçue comme à l' état normal. Sensibilité thermique très altérée, l'e
ut fermer les yeux, froncer les sourcils, rider son front comme à l' état normal. Du côté du facial inférieur, au contraire
s montrent que l'orbiculaire des lèvres ne fonctionne pas comme à l' état physiologique, les lèvres sont saillantes, la lèv
mais il est extrêmement lent et souvent difficile à percevoir. A l' état de repos du globe oculaire, il n'y a pas de nys
que lors du dernier examen. Les sphincters sont toujours intacts. L' état général est mauvais, bronchite chronique et emp
hronique et emphysème. Sans être aussi altéré que chez son frère, l' état mental de notre sujet est loin d'être normal, pas
ne redevient normale que sur le sommet de l'épaule. A gauche, même état pour la face palmaire des doigts et-de la main. S
ltérations des nerfs périphériques et des racines postérieures sans état hypertrophi- que, et des lésions des cordons po
es deux maladies ; enfin il existe une oppo- sition notable entre l' état des nerfs cutanés et celui des nerfs musculaires
i diminuée de volume ; elle peut même apparaître plus grosse qu'à l' état normal. Histologiquement on trouve, dans la pre
la région dorsale moyenne. Mort 9 mois après l'admission, dans un état cachectique avec émaciation considérable. Aut
nce; réaction de dégéné- rescence dans les muscles paralysés. Cet état s'aggrave après une phase d'amélioration transito
méninges avec infiltration de polynucléaires. Cellules nerveuses en état de légère chromatolyse avec pigmentation. Des
-axes ; les cellules des cornes antérieures, glo- buleuses, sont en état de chromatolyse avec pigmentation ; le canal est
la région sacrée prennent le Marchi un peu plus intensément qu'à l' état normal ; le canal épendymaire est oblitéré, rem
bien accentués ; nous n'avons pu trouver aucun parallélisme entre l' état des vaisseaux sanguins de la moelle et les lé-
ssion de la fonction, mais seulement une altération de celle-ci, un état d'irritation qui intéresse le seul trophisme; pou
pa- gnés de rétraction palmaire, ne peut se soutenir. Pourtant, cet état d'irri- tation, qui devrait être la base du dér
logiques, en particulier pour ce qui concerne les amyotrophies et l' état lacunaire de la moelle. L'atrophie musculaire d
ce grise, et, dans mon cas, la substance grise périépendymaire. Cet état pa- thologique peut être nommé pour analogie av
cavités semblables à celles de la désintégration cérébrale, et. cet état anatomo-pathotogique peut être nommé myélo-sclé
de précieux renseignements sur XIX 38 574 LASALLE ARCHAMBAULT l' état des gaînes myéliniques, mais il est peu facile de
l est peu facile de se rendre compte au niveau de l'hémisphère de l' état réel du prolongement cylindraxile. Seconde part
de faire cette assertiou. La cou- che sagittale extrême existe à l' état d'ébauche sur certaines de nos planches (Nouvel
endroit, la voie py- ramidale regagne son indépendance et c'est à l' état de pureté qu'elle constitue la pyramide bulbair
Quel est ce faisceau dont les fibres de toute longueur existent à l' état de pu- reté presque dans la couche sagittale ex
cérébrale du nerf optique ; que le second neurone visuel existe à l' état de pureté dans la couche sagittale externe du l
t les paralytiques généraux dans tous les pays ; une partie, dans l' état de démence calme, sans cachexie trop avancée, son
luence de la section expérimentale des racines postérieures sur l' état des neurones pé- riphériques (3 pl, dont 1 en c
s fibres nerveuses terminées par des mas- sues de croissance, à l' état pathologique et a l'état normal. Lésions tabéti
ées par des mas- sues de croissance, à l'état pathologique et a l' état normal. Lésions tabétiques des racines médullai
luence de la section expérimentale des racines postérieures sur l' état des neurones périphériques (3 pl. dont 1 en cou
03. Fibres nerveuses terminées par des massues de croissance, à l' état pathologique et à l'état normal (régénération c
inées par des massues de croissance, à l'état pathologique et à l' état normal (régénération collatérale des), par NAGE
81 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
t contre cette identification, et affirment qu'il s'agit là de deux états patho- logiques absolument différents : « Contr
ment établies; et de plus, l'étiologie et la pathogénie de ces deux états sont entourées d'obscurité. Nous avons profité
génitaux sont rudimentaires, quoique bien conformés. La verge, à l' état de flaccidité, ne mesure que 7 centimètres de lon
u vert. Il y une hyperesthésie pour le bleu. La figure représente l' état des deux champs visuels projetés sur les rétines
sque 21 ans), un géant par sa taille (2 m. 100), et un enfant par l' état rudimentaire de ses organes géni- taux', par l'
ne saurait pas en exclure tout à fait l'influence d'un déficit de l' état cénesthétique, évidemment mutilé par l'absence de
ovenant des organes génitaux. On sait, en effet, jusqu'à quel point l' état cénesthétique domine et actionne notre individu
e déséquilibre de son esprit. Ceci posé, continuons l'examen de son état mental. L'idéation est limitée au cercle restre
ments et de difficultés; je l'attribue a la conscience qu'il a de l' état rudimentaire de ses organes sexuels, en contraste
eurer. GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE 17 Un trait de son état mental, c'est encore la bouderie. J'arrive un mat
aille associée à sa conformation corporelle, aussi bien que par son état mental, José Lopes est un géant infantile. Est-
pas le nier. Il est, en tout cas, absolument certain que ces deux états , ont débuté tous les deux de très bonne heure,
z José Lopes l'existence d'une affinité très étroite entre ces deux états . La cause du gigantisme chez José Lopes, comme
gigantisme chez José Lopes, il me semble que dans la genèse de son état , il faut faire une place importante à toutes le
pètrière, t. XVII, p. 166. 22 MAGALIIA1S LKMOS admirablement à un état , comme celui de notre géant, caractérisé par l'
type infantile,qui en est une, soit exclusivement t subordonnée à l' état de la fonction thyroïdienne. On a aussi, parfois,
examinons l'influence de l'atrophie génitale de José Lopes sur son état morphologique. L'atrophie génitale des géants,
te plusieurs stigmates d'acromégalie. La combinaison entre ces deux états est laconiquement, mais avec éloquence, exprimée
berg). Mais, chose essentielle, pour ces auteurs il s'agit des deux états pathologiques « absolument différents l'un de l'a
ffinité et même l'identité de nature, qu'à leur avis relie ces deux états , c'est que, dans presque la totalité des acromé
l. Il est, en effet, fort vraisemblable que le point de départ de l' état morphologique que nous avons décrit chez José L
interne, il me semble pouvoir éta- blir, comme fort probable, que l' état morphologique et dystrophique du géantJosé Lope
nir d'un seul et même trou- ble de la fonction ostéogénique. 6° L' état morphologique et dystrophique du gigantisme infan
fut opérée pour son goitre au mois de juillet 1908. Depuis lors son état s'est aggravé. La démarche devient impossible, so
obablement de même pour les autres formes de sensibilité.bien que l' état psychique de la malade ne nous permette pas d'o
de hématoxylinophile. Le tissu conjonctif est plus développé qu'à l' état normal. Les capsules surrénales ne présentent p
ndant. Les articulations ne sont ni déformées, ni tuméfiées. Même état pour les os du bassin. On trouve dans ces dernier
n de l'ovaire on ne constate pas de follicules ni de corps jaune en état d'activité. Mais on constate des corpora albica
'est pas très grand. Le tissu conjonctif est plus abondant qu'à l' état normal. Un très grand nombre de cellules contie
chez les ostéomalaciques. Enfin il a étudié, au point de vue de l' état du corps thyroïde, 33 cas d'ostéomalacie à la C
, de 33 cas d'ostéomalacie où on trouve certaines indications sur l' état du corps thyroïde on ne peut retenir que trois ca
produit après la thyroïdeclomie que lorsque l'animal est arrivé à l' état de cachexie. D'après Veillon (3), les injection
raient que faiblement le retard apporté dans la consolidation par l' état strumiprive. Bayon observa que le traitement th
ue, les résultats peuvent varier d'un observateur à l'autre suivant l' état fonctionnel de l'ovaire au moment de l'opératio
les animaux éthymisés. Ces derniers auteurs ont observé en outre un état ostéoporotique chez ces mêmes animaux et ont no
ec troubles osseux si marqués, il serait intéressant de connaître l' état des glandes à sécrétion interne dont les altéra
e et dépendante de la précédente disposition anormale du radius ; l' état subluxé du poignet serait de môme consécutif à
es autres doigts ainsi que les os métacarpiens et carpiens sont à l' état normal. Il s'agit donc d'un cas d'hexadactylie
-t-il, cette formation défectueuse n'est point sans rapport avec un état antérieur (atavique), car les mons- truosités n
état antérieur (atavique), car les mons- truosités ne diffèrent des états ataviques que par un défaut d'accommo- dation q
ément le développement normal de l'em- bryon, au point de créer des états tératologiques qui arriveraient ainsi à se prod
êmes agents que nous trouvons comme cau- ses dans la production des états pathologiques représentent également,avec beauc
ond accepte la signification pathologique attribuée par Virchow aux états tératologiques, sans renoncer complètement pour c
vie transitoire resteront vainqueurs, mais ceux qui ne sont qu'a l' état latent pourront se repro- duire de nouveau et r
active. Souvent aussi s'ajoutent des modifications pathologiques de l' état affectif (Gemütslage) et cela sous deux formes
polynévritique, la désorientation est permanente, dès le début. Les états délirants de la presbyophrénie se comportent de f
s qui se passent autour d'eux, tout en se trouvant néanmoins hors d' état d'avoir la notion exacte de leur situation ef d
; quoi qu'il en soit,on observe dans la démence sénile simple, des états analogues transitoires, qui peuvent disparaître e
e. La plupart des observations de presbyophrénie sont muettes sur l' état des nerfs périphériques ; on n'y voit pas menti
diverses encé- phalopathies. » « J'admets (2) volontiers que ces états d'affaiblissement intellectuel sont liés souven
otde Presbyoph rén ie,pu isclu'el le réserve cette appellation à un état psychopathique, qui, par son étiologie, ne peut
est un symptôme d'ordre banal qui se trouve toujours, au moins à l' état d'ébauche, et parfois très accusé, dans les forme
n ictus qui survint un an avant la mort et laissa le malade dans un état de démence absolue. M. H..., après des études d
e presbyophréniqzce (1 ). - Fabulation fantastique consécutive à un état onirique. Polynévrite élhylique fruste chez une f
gastro-intestinaux, diminution de la mémoire, mais depuis 3 mois, l' état s'est aggravé : hallucina- tions nocturnes (voi
ment difficile de décider s'il s'agit d'une démence éthylique, d'un état crépusculaire post- épileptique, ou même d'une
ation, donner naissance au syndrome presuyophréniljue dans tous les états où l'amnésie de fixation est susceptible de se
ux défaillances de la mémoire, représente ici en quelque sorte, à l' état d'ébauche, le phénomène de l'amnésie fabu- lant
ous, à comparer l'étal morbide du presbyophrénique avec deux autres états très voisins, l'état de rêve et l'état de rêverie
morbide du presbyophrénique avec deux autres états très voisins, l' état de rêve et l'état de rêverie, à l'opposer au rê
ophrénique avec deux autres états très voisins, l'état de rêve et l' état de rêverie, à l'opposer au rêve, et à le rappro
d'une conception ou d'un récit imaginaires. C'est ainsi que, dans un état différent du rêve, dans la rêverie, le sujet, a
les deux cas, non seulement la vie allo-psychique est conservée à l' état rudimen- taire, mais la vie auto-psychique est
sychique est exaltée dans ses processus automati- ques. Le sujet en état de rêverie associe ses idées avec abondance et fa
titutionnelle. Les cas de fabulation consécutive ou équivalente aux états oniriques cons- tituent un groupe naturel. La f
u rêve etde l'onirisme qu'on la voit souvent alterner avec ces deux états , surtout leur succéder et parfois s'y substitue
ost-onirique) ou des souvenirs d'un rêve. Il y a là toute une gamme d' états assurément très voisins et souvent combinés, ma
érante, qui s'exalte surtout dans ses processus automatiques : d'où état de rêverie, Jabulation effective. Emprunt des m
que (continuation de l'activité de rêve par l'activité de rêverie); état mythopathique en apparence acquis, mais, le plu
nce acquis, mais, le plus souvent, simple réaction à l'amnésie d'un état my- thopathique antérieur constitutionnel. De
sbyopllrénique, la crédulité est d'ordinaire portée au maximum. Cet état qui, par tant de traits, se rapproche de la rêver
e, répondant à la période initiale de l'affection ou à la période d' état , et sous laquelle se manifeste, et.aussi se dis
fabulation. La Presbyophrénie caractérise donc, en pareil cas, des états d'affaiblis- sement relatif, démentiel ou non,
e ne relève ni de l'hallucination ni de l'interprétation, mais de l' état mythopathique du sujet. Il s'agit alors d'un dé
qu'aux mouvements. Les systèmes musculaire et nerveux sont dans un état normal. Observation V. Al. L..., 27 ans, rémo
de signaler une certaine amélioration subjective et objective dans l' état du malade après un traitement d'un mois ; un ce
arçon de restaurant, choriste, marchand am- bulant, etc... . 5° L' état général est bon. 6° Les douleurs el l'iiitiiiob
exion. 16° La statique et la dynamique des malades dépendent : de l' état de l'ankylose de la colonne vertébrale, du degr
LIQUE 139 une complète dégénérescence des faisceaux postérieurs (un état semblable a été décrit par le Dr Babinski). D
spécifique, et appliqué au membre fracturé l'extension continue. L' état du malade a paru s'améliorer au début, tant au
était revenu. Mais celte amélioration n'a pas duré long- temps ; l' état du malade n'a pas tardé à empirer, celui-ci se ca
du corps est de 80 kilogrammes ; la taille de 1 m. 38. Tel était l' état de II. P... en 1907. Elle était alors âgée de 57
seur R. WEBER (de Genè\e). àl. V. Monakow, dans son ouvrage sur « l' état actuel de la question des localisations cérébra
n'est plus capable de raconter son passé de façon suivie. Puis son état s'améliore passablement ; il sait qu'il est à B
Puis la somnolence devient de plus en plus profonde et F. succombe en état de marasme provoqué en partie par les vomisseme
Son corps est en décomposition, il est mort et n'existe plus qu'à l' état de « sur- vie ». On le méprise « avec raison »
e gauche.-En 1905 sa fin parut imminente, mais à peine sorti de son état comateux, il se mit à insulter et à battre son
ons d'origine vasculaire ; le malade est donc plus conscient de son état misérable et enfin, il souffre en général davan-
tc. A côté de ces cas, où l'infiltration même du tissu donne de son état pathologique une preuve évidente, il en est d'a
infirmiers qui s'approchent de lui. L'examen somatique révèle un état cachectique, une inégalité pupilbiire, INJECTIO
e 24 juin. A la date du 4 juillet on notait une amé- lioration de l' état général : disparition du gâtisme,et des accès hal
e la période d'élimination, la température ne dépassa pas 38°i et l' état général fut excellent : appétit et embonpoint mar
ement réparée. Au point de vue mental, le malade est dans le même état de confusion. Son aphasie et son hémiparésie ne
s détails. On peut dire qu'il en est de même pour la trophicité : l' état hypotrophiclue des parties non hémi- plégiées e
énérale. Peau, tissu cellulaire, et muscles du côté valide, sont en état de moindre résistance et pour ces organes ainsi
ET PUISSANTE DAME VÉROLLE 185 Le scelleur quoiqu'il dise Que mon état ne peut celer ne nous montre dans l'une ni l'au
droit, auraient seuls été agités. ' - Le malade est dans le même état de demi-sommeil, ne répondant pas aux questions
amblyopie. Champ visuel normal à droite, très rétréci à gauche. Cet état n'est pas modifié à un nouvel examen, pratiqué en
nt le siège d'une hydrocéphalie assez considérable (PI. XXIX). avec état lisse et intégrité macroscopique de leurs paroi
de vertiges sans troubles de la vue, de l'ouïe, de la parole, de l' état mental. Jamais de paralysies. Néphrite chroniqu
pendant 3/4 d'heure, et d'hémorragies par le nez et les oreilles, l' état empira : vertiges, évanouissements, stase papil
de la main droite pour ce qui est de son altitude (en griffe), de l' état des muscles (atrophie) et des mouvements relatifs
het spécial qui nous a frappé de suite en voyant le malade, c'est l' état de la peau. Les petits carrés de la peau, compr
lusion n étant déjà évidente. Je me limiterai donc à considérer l' état de la peau de la main. La peau de la main n'est
caractères bien différents : « Tous les détails qu'on constate à l' état normal sur la face dorsale de la main, sont effac
t aspect que ces auteurs ont exprimé en employant la dénomination d' état ichthyosique de la peau. Mais ce n'est pas ains
u bout de deux mois sa femme le reprend, et pendant douze jours son état paraît se modifier très fa- (1) Ces renseigneme
Roui. D. Quand ? Pas de réponse. D. - Votre corps est en bon état ? R. (A voix très basse) Pas trop. D. Votre c
es troubles mentaux à l'âge de 17 ans. De juillet à septembre 1891, état catatonique. - D'octobre 1891 à mars 1892, rémi
pressive ou de démence précoce catalonique ? A en juger d'après l' état actuel, il ne semble pas qu'il puisse y avoir d
ossifias. (Gross. : 1/2.) Les Il ? iiiiei-ipie4eux qui sont dans l' état normal faibles el percés de trous, ne se sont p
rent les têtes des côtes et les ligments costo,ve1'tébraux qui, à l' état normal, sont constitués par des libres qui parten
tervalles entre les arcs des vertèbres connexes qui contiennent à l' état normal le ligament jaune, sont remplis sur notre
sité du tissu spongieux partout est augmentée en com- paraison de l' état normal (fig. 10). (agrandies. 5.) LA SPONDYLOSE
analyser les rapports du cartilage avec les vertèbres connexes. A l' état normal (fig. 8, Pl. XXVII), la face antérieure
articulations de la colonne vertébrale. Aspect macros- copique. A l' état normal dans les coupes qui passent transversaleme
t du périoste. Les surfaces articulaires des apophyses obliques à l' état normal se tou- chent étroitement et ont une cap
anche et grise de l'encéphale et de la moelle épinière sont dans un état normal, aussi bien que les racines des nerfs ra
trouble général constitutionnel de l'organisme et, souvent, de son état de marasme (Pribram). Au point de vue anatomiqu
l'absence de troubles de sensibilité et, enfin, la persistance d'un état général satisfaisant. Tous ces symptômes, bien
t les autres, ne peuvent être que des formations récentes. ? c) L' état des cartilages qui recouvrent les têtes des os de
t de tous les traite- ments physiques, les douleurs s'apaisaient, l' état général s'améliorait et parfois les mouvements
s génitaux ; en outre, par son hypersécrétion, elle pro- duirait un état d'adipose. Von Frankl-Hochwarl émet la même opi
de plus difficile que de dire à propos de cet organe, ce qui est l' état pathologique et ce qui est l'état normal ; car l'
ropos de cet organe, ce qui est l'état pathologique et ce qui est l' état normal ; car l'augmenta- tion du tissu conjonct
e masse compacte uniformément violette, où on reconnaît seulement l' état granuleux dans la périphérie. Dans quelques aut
BE Du reste, nous avons examiné, s'il existait une relation entre l' état delà a glande et la maladie qu'avaient eue les
ous a été impossible de constater sa présence autour du nucléole en état de bourgeonnement très actif, nous sommes tenté
NS 277 tendus et gorgés de sang, et dont les corps de Nissl sont en état de désin- tégration granuleuse et d'acUromalose
du nucléole. Les nucléoles de volume normal, hyper- trophiés ou à l' état de bourgeonnement, quittent leur situation normal
omatoplliledelVissl (désintégration granuleuse, achro- matose) ou l' état vacuolaire du cytoplasma, le nucléole est situé à
es cellules ganglionnaires, on voit la moitié des corps de Nissl en état de désintégration gi-antileuseej l'autre en ach
sant la membrane nucléaire du côté de la substance chromatophiie en état de désintégration granuleuse. Dans d'autres cel
mais dont les corps de Nissl sont sur toute la surface cellulaire en état de désintégration granuleuse, le nucléole conse
du noyau ; dans les cellules à substance chromatophile altérée à l' état de désintégra- tion partielle ou d'achromatose
, le nucléole n'est pas déplacé el le plus souvent on le trouve à l' état de bourgeonnement manifeste. Et si maintenant o
les échanges nutritifs normaux (corres- pondant morphologiquement l' état normal de la substance chromato-- phile)et les
ormaux ou dimi- nués dans l'autre (substance de Nissl normale ou en état de désintégra- tion granuleuse) ; il en résulte
ène cel- lulaire) ; 3° La destinée du nucléole ainsi émigré et 4° l' état des cellules dans lesquelles a lieu ce phénomèn
igration. Lorsqu'on envisage la question au point de vue général, l' état normal ou pathologique de la cellule n'a pas d'
ncontre dans n'importe quelles cellules et n'a aucun rapport avec l' état de celles-ci. Mais, dans notre des- cription, n
ces modifications sont très probablement en relation étroite avec l' état de la cellule. Dans l'émigration passive, le
le d'un cône il sommet émoussé, arrondi. Une fois parvenue dans cet état , elle parait être à son maximum de tension, car
e nucléole une fois dans le cytoplasma peut se présenter sous trois états différents : a) d'hypertrophie. b) de bourgeonnem
longée, ova- laire, triangulaire, ou de forme irrégulière. Dans cet état sa structure granuleuse se montre très nettemen
. Dans l'amas pigmentaire, le nucléole se trouve le plus souvent en état de bourgeonnement ou de désintégration ; à l'ét
e plus souvent en état de bourgeonnement ou de désintégration ; à l' état de désintégration, les sphérules qui entrent da
ellules dont le nucléole se trouve dans l'amas de pigment jaune à l' état de bourgeonnement ou de désintégration granuleu
le que ces différentes positions du nucléole sont en rapport avec l' état de la substance chroma- tophile. Rares sont les
paraît assez nettement. Grand nombre de fois nous l'avons trouvé en état d'hypertrophie et situé en un point de la périphé
émiplégique, tabétiqueetc...)on peut voir grand nombre de noyaux en état d'homogénéisation, si sur de pareilles coupes o
tion,mais sur des coupes de ganglions de polyomyélite, les noyaux en état de dégénérescence acide prennent le colorant ac
rencontrent dans les ganglions d'apparence normale et dans différents états pathologiques. Van Gehnchten et Nelis (1898) (1
ns rachidiens des animaux atteints de rage et croit qu'il s'agit d'un état pathologique de la cellule. Lugaro (1900) (LI)
pondants ; pour cet auteur la cellule vacuolaire est une cellule en état de dégénérescence kystique. Athias (190G) (3) déc
s, La vacuole des cellules des ganglions spinaux chez les animaux à l' état normal, Anat. Anzeiger Centralblatt, 1905. (4
, poussiéreux, répandus sur toute la surface du corps cellu- laire ( état poussiéreux). On peut aussi constater des cellule
t et intensivement avec le bleu polychrome ou le bleu de toluidine ( état chromophile). Le noyau est aussi altéré souvent
e trouve vers la périphérie du corps cellulaire très atrophié ou en état d'homogénéisation. Dans certai- nes cellules la
atose complète on observe des cellules à substance chromatophile en état de désintégration granuleuse partielle ou génér
scures l'aspect est tout à fait différent, car ces cellules sont en état d'atrophie pigmentaire ; leur corps protoplasmi-
de rosace se trouve dans les cellules à substance chromatophile en état d'achromatose ou de désintégration granuleuse ; d
ence la formation décrite et en même temps de se rendre compte de l' état de la substance chromatophile. Par toutes ces mét
le et la situation de la formation en général. Dans les cellules en état d'achro- 298 JONNESCO matose absolue (PI.XLII
sant plasmosphère. Dans les cellules à substance chro- matophile en état de désintégration granuleuse (PI.Xl,lil,fig. 2),
es cas précédents. Donc, l'exis- tence d'un certain rapport entre l' état des corps de Nissl et le degré de développement
nts que nous venons de décrire pourront être considé- rés comme des états successifs d'un processus d'évolution vers une fo
définitive qui serait celle que l'on retrouve dans les cellules en état d'achro- matose absolue.Le polymorphisme de ce
rmes ne varient pas a ! 'infini mais paraissent bien subordonnées à l' état de la substance chromatophile ; en effet dans l
'état de la substance chromatophile ; en effet dans les cellules en état de désintégra- tion granuleuse 011 remarque la
ours la même forme A au lieu de C,D,E..x. Dans d'autres cellules en état d'achromatose absolue on aura la forme B. Exami
nucléole ; 2° la formation n'apparaît que dans quelques cellules en état de chromatolise, mais on ne la trouve pas dans to
e dans les cellules de la zone périphérique. A part ces cellules en état de dégénérescence pigmentaire on remarque par c
envahie par les éléments de la capsule et contenant son nucléole en état de bourgeonnement dans l'amas pigmentaire. Au voi
he XLIV. Fio. 1. Cellule ganglionnaire à substance chromatophile en état de désintégra- tion granuleuse irrégulière (a)
ance chro- matophile d'apparence plus ou moins normale et en (b) en état de désintégration granuleuse. Au centre de 1.1
chsinophiles de tailles inégales, (b) nucléole hyper- trophié et en état de bourgeonnement. Dans le reste du cytoplasme on
on au bleu de toluidine éosine. En (a) subs- tance chromatophile en état de désintégration granuleuse, (b) noyau d'aspect
e vieille, sèche, ridée, parcheminée, présentant une maigreur et un état d'émaciation extrêmes dus en partie à une tuber
9% 19e e et Il-), paires gauches. Paralysie de la 6e paire. - A l' état statique on constate un strabisme convergent de
tatique on constate un strabisme convergent de l'oeil gauche. A l' état dynamique, ce strabisme s'exagère dans les mouvem
- que portant à la fois sur le facial supérieur et inférieur. A l' état statique : La Louche est en point d'exclamation
gement ouvert. Les rides du front sont effacées du même côté. A l' état dynamique : . Quand la malade lève les yeux la
paralysie avec atrophie du trapèze et du sterno- mastoïdien. A l' état statique, en avant : la disparition presque compl
ée de la ligne médiane, le creux sus- épineux paraît amaigri. A l' état dynamique la déformation s'accentue en avant et s
DiISYNOROME BULBAIRE PAR LÉSION PÉRIPHÉRIQUE 307 Musculature. A l' état statique : strabisme convergent de l'oeil gauche.
ure. A l'état statique : strabisme convergent de l'oeil gauche. A l' état dynamique : le strabisme s'exagère dans les mouve
Marie), apparaissant vers l'âge de 30 ou 35 ans, il existe d'autres états corporels qui s'en rapprochent par cer- tains c
t nous ne saurions prétendre qu'il s'agit d'un acromégalique. Ces états corporels sont encore peu connus et mal classés.
s ? Enfin, chez ces sujets, les troubles res- tent-ils toujours à l' état d'ébauche ? Ne sont-ils pas susceptibles, d'évo
atement lorsque nous avons voulu l'exa- miner ce fut d'une part son état mental bien particulier, d'autre part les di- m
ppés : la région sus-pubienne est recouverte de poils ; la verge en état flexible mesure 10 centimètres, sans anomalie.
son qu'on peut espérer apporter quelque lumière dans l'étude de ces états corporels. ASILE D'ALIÉNÉS DE KOULPARKOW, GALIC
vite. La langue n'est pas épaissie, mais elle est plus longue qu'à l' état normal, et pend en dehors de la bouche. Les lèv
de l'oeil. Etat mental. - Le malade est arrivé à l'hôpital dans un état de démence fort accentué, qui jusqu'à ces jours
alan- giennes correspondantes. Aujourd'hui le malade a un mauvais état général, caractérisé par une fai- blesse généra
'ataxique,tous les muscles péri-articulaires sont dans un continuel état d'agitation. Ces contractions, qui s'observent
dre son équi- - libre. Cette absence d'harmonie, remplacée par un état choréique des muscles, ne pouvait pas échapper
s antérieurs cette fois-ci antagonistes ont été continuellement à l' état de contraction. Nous avons vu de même que les m
contraction des muscles postérieurs et des muscles latéraux. Cet état de flaccidité, qui est d'un degré inférieur à la
t cinétique. Et si nous ajoutons que par le progrès de la maladie l' état général s'affaiblit, et que même les muscles pe
t vraisemblable que les muscles se trouvent ordi- nairement dans un état de légère contraction, que nous désignons sous le
re contraction, que nous désignons sous le nom de tonus, et que cet état est dépendant de l'intégrité des racines postér
seulement aux mouvements passifs qui dé- passent par leur étendue l' état normal. Et pour confirmer ce qu'il sou- tient,
e son épaississement sur la moelle dorsale, du 2e au 11° segment. L' état atrophique est très marqué pour la moelle épinièr
grouper un syndrome quelque peu précis et les manifestations de ces états atrophiques. Le diagnostic neurologique se prop
ie des fibres. Si nous envisageons les causes aptes à provoquer l' état atrophique du système nerveux central, il est b
on; la seule cause qui dans notre cas est susceptible d'expliquer l' état atrophique de la moelle épinière et de la moell
ayant abouti à une, infirmité, n'ont retenti en aucune façon sur l' état général ! Mais pour prouver d'une façon inconte
jours refusé à rendre les petits services que son instruction et son état de fesseur Vires, chargé du cours de clinique ;
ombreuses à son sujet. Bien des auteurs estiment avec Souques que l' état mental de ce genre de malade n'a rien de spécia
t, à notre connaissance, le seul qui soit uniquement con- sacré à l' état mental des achondroplasiques, insiste particulièr
'une ressemblance de plus avec les instables moraux. Pour Lauze cet état mental est la conséquence d'une hypersé- crétio
t d'ajourner le débat, de reconnaître qu'à l'heure actuelle, dans l' état présent de nos connaissances, l'étude des troub
e reconnaissent que notre conformation physique rejaillit sur notre état mental. Il est même tel état pathologique où l'
onformation physique rejaillit sur notre état mental. Il est même tel état pathologique où l'altération psychique a été ra
açon que pour l'achondroplasie, l'intelligence est conservée mais l' état mental est atteint : en apparence apathique, le
a lui attirer surtout pour des choses qu'elle ne connaît pas. Son état mental a quelque chose d'infantile. Quand nous no
tit (i). Pas de der- mographisme prononcé. ' En co qui concerne l' état psychique, on note que le malade reste tranquille
a polydactylie n'est que rudimentaire, car la radiographie montre l' état normal des os de la main. ' Dans le second cas
igt. Pl. LXII. Radiographies des mains de la même malade montrant l' état normal des os. Le petit apendice chirnu n'a pas
aractère d'un jeune garçon; puis dans un second temps s'installa un état myxeedemateux qui étouffa les caractères d'infa
rer clans la majorité des observations, par contre la sécheresse et l' état squameux se retrouvent presque chaque fois. Cet
écheresse et l'état squameux se retrouvent presque chaque fois. Cet état squameux peut confiner à une véritable ichthyos
sauf pour les malades âgés (au-dessus de 45 ans), on ne voit pas cet état ridé du front, des joues et du cou, si particul
dit, ne s'étahlissent-ils que dans la moitié des cas. Par contre, l' état moral se modifie davantage ; ce qui frappe, c'est
tôme, on décèle de petits troubles cutanés : sécheresse, ichthyose, état cassant et sec des cheveux. Les signes fonction
ure centrale (mais la température est trop rarement notée). Enfin l' état d'apathie mo- dérée, avec lenteur des réponses
ul peut créer des réactions aussi profondes, c'est à la faveur d'un état général grave, avec des signes d'athyroïdie et de
ale, plus appréciable encore du côté psychique. Il est parvenu à un état neutre, asexué, ce qui est quelque chose de dif
ct. Du côlé féminin, quoique plus rare- ment observé, ce retour à l' état neutre se traduirait par du virilisme. Mais dan
es testicules étaient frappés, si les tubes séminifères étaient à l' état d'inactivité complète, ce qui attirait surtout l'
e, absolument constante (ainsi qu'en témoignent les dimensions et l' état des organes génitaux et l'impuissance) : le syn
nnel en effet clans le myxoedème acquis de l'adulte d'ob- server un état d'infantilisme incontestable. Mais il va souvent
s'atténue, leur appétit vénérien s'émousse ». Mais, en général, l' état et le fonctionnement des organes génitaux chez
de 3 enfants. A eu il y a quatre ans une très forte hémorragie avec état syncopal. Elle se remit très lentement de son ané
hangement de son caractère, mais c'est surtout depuis 6 mois que son- état s'est accentué. Pâleur du visage sans albumin
que son- état s'est accentué. Pâleur du visage sans albuminurie; état glabre des régions sus-pubienne, axillaire ; di
xiv 28 438 CORDIER ET REBATTU A part ces accidents spécifiques, l' état du malade est exactement semblable à celui quia
qui aboutit rapidement à la frigidité absolue. Dès cette époque, l' état physique est profondément modifié, car on ne co
embonpoint, à maigrir rapidement de 13 kilogs. Ce fléchissement de l' état général avait débuté par des malaises d'apparen
s véné- riens déclinaient de plus en plus. Vers le huitième mois, l' état général était alarmant, la faiblesse extrême. P
tous les mois à peu près; il ne s'inquiète qu'à un seul moment de l' état de ses testicules : c'est en décembre 1907, où au
on- tinuer son travail et peu après ses rapports. Depuis un an, l' état est à peu près le même. A l'exa.nen. Homme semb
). Gandy. Myxirdème acquis de l'alnlte mec légression .sexuelle à l' état prépubè1'e.ln- fanlilisme réovr.ei/' de l'iiduV
tion veut remplacer, préciser ce qu'on doit entendre par myxoedème, états hypothyroïJiens sans myxoedètne, infantilisme, en
voir été fort grave, il note une asthénie progressive et rapide, un état épais du tégument qui prend une teinte jauue, l
quel- ques jours de repos on le renvoie, croyant qu'il exagère son état de faiblesse. Histoire de la maladie. C'était a
ble avoir été grave ; car il dit ne pas s'être rendu compte de son état et il est resté obnubilé pendant plusieurs jour
ève-t-il et avec difficulté GO à 70 kilogs. Malgré cette faiblesse, l' état général n'était pas mauvais. L'appétit était co
temps, il a un érysipèle de la face qui, récidive 3 mois après. Son état était alors sensiblement identique à celui qu'il
incapable, il est recueilli par des amis et peu à peu, voyant que son état ne s'améliore pas, il rentre de nouveau dans le
nsuffisance thyroïdienne, il ne pensera pas au myxoedème, puisque l' état myxoedémateux qui définit le syndrome, la bouff
deux chez des femmes, dans le dessein d'attirer l'attention sur cet état envisagé comme type défini de malfaçon congénit
que sa difformité existe depuis sa naissance; ce garçon est dans un état de santé générale parfaite et, en dehors de l'éta
rçon est dans un état de santé générale parfaite et, en dehors de l' état de ses membres supé- rieurs, il ne présente auc
nt à la tribu de Mananja ; ob- servé en janvier 1910. Il n'existe d' état similaire chez aucun membre de la famille. Auta
l'anomalie existe depuis l'enfance. Ce garçon est dans un excellent état de santé générale ; il est vif et actif ; l'exa
e stade pré- coce d'une artliropathie de Charcot dans le tabès. L' état des mains et des doigts est tout à fait intéressa
e côté. Ce n'est pas le véritable aspect de la main en trident. L' état du pied est représenté sur le dessin ci-joint (fi
ns le cas IV, il y a en outre raccourcissement des avant-bras et un état anormal des pieds. En raison de notre ignorance
ec l'achondroplasie. Dans nos deux cas qui concernent des femmes, l' état des doigts ne se montre pas très éloigné de ce
'achondroplasie dans lequel l'unique symptôme de la maladie était l' état des mains. Si de tels faits doivent être acceptés
ilets sensitifs qui ontpour mission de renseigner les centres sur l' état des organes périphériques. La section expérimen
quatre mois un travail très réduit, proportionné à ses forces, et l' état local s'est aggravé sous certains rapports. La fo
pte de ces données, puisque, au cours des six mois qui suivirent, l' état du blessé, loin de s'améliorer, s'est plutôt ag
es conclusions de la thèse de Sans; elles nous paraissent résumer l' état actuel de la question : to On peut observer à l
uses sur les incapacités fonctionnelles, il est légitime d'en faire état pour relever le taux de l'indemnité, sous réserve
r- osseux et lombricaux entrent en jeu pour leur propre compte. A l' état normal, nous faisons ces deux mouvements d'un s
ès imparfaitement. Autre- ment dit, on reviendra de nouveau à notre état antérieur, quand étant enfants, nous étions mal
82 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
te, l'anatomie macroscopique ne fournissait aucun renseignement sur l' état de la substance grise, sur la localisation exacte
bandes minces, où la substance blanche a conservé les caractères de l' état normal. Or, Messieurs, il ré-sulte des nombreuses
optique à l'œil nu et au microscope. — Aspect de la papille : 1° à l' état normal ; 2° dans l'induration grise progressive.
tômes qui répondent à ces lésions se traduisent, pour les uns, par un état paralytique, pour les autres, par les douleurs. M
rose spinale tabétique. Il y a lieu de remémorera ce pro-pos que, à l' état normal, les nerfs optiques se rapprochent, quant
e vous rappellerai très brièvement l'aspect de la papille optique à l' état normal. —Vous n'avez pas oublié la forme ovaloïde
étaient aupara-vant; seulement, contrairement à ce qui a lieu dans l' état nor-mal, on ne peut plus les suivre, pénétrant à
implement appliqués. Rien d'ailleurs qui s'éloigne pro-fondément de l' état normal ; mais voici le caractère décisif. Par sui
contractée (myosis), il y a quelquefois des phénomènes qui révèlent l' état paralytique des vaso-moteurs: la joue est rouge;
11 n'y a pas à invoquer non plus soit l'influence du froid, soit un état diathésique, goutte, rhumatisme, etc., les affect
nd moteur des symptômes ? \J arthropathie des ataxiques serait, à l' état chronique, le représentant des affections articul
st représenté par de petites tumeurs fort analogues qui existent, à l' état normal, à la surface de la dure-mère crânienne et
est pas à l'abri de la critique, la moelle n'ayant été étudiée qu'à l' état frais, et non à la suite des durcissements qui se
est en quelque sorte un résultat prévu, annoncé. Eh bien, dans quel état a été la moelle au niveau du point comprimé chez
oelle au niveau du point comprimé chez ces sujets, ou mieux dans quel état est-elle encore ? Je crois pouvoir vous donner à
s filets nerveux en assez grand nombre et qui peuvent devenir, dans l' état pathologique, le siège de douleurs vives. Puis vi
est-il que, d'après Haller et Longet, la dure-mère est insensible à l' état normal ; mais, par contre, il est certain, d'aprè
al ; mais, par contre, il est certain, d'après Flou-rens, que, dans l' état pathologique, c'est-à-dire lorsqu'elle est enflam
à ce que les muscles qui jouent le rôle de sphincters restent dans un état de spasme permanent. La volonté ne modi-fie pas a
rajet et ils offrent ceci de particulier, qu'ils sont modifiés dans l' état normal par une influence réflexe, qui leur est co
er le pouls lent. — Accidents liés au pouls lent permanent : Syncope, état apoplectiforme, accès convulsifs. — Dans certains
nt exister, durant plusieurs semaines, ou plus long-temps encore, à l' état d'isolement, c'est-à-dire indépendants de toute p
ils participent à la fois, quant aux symptômes, de la syncope et de l' état apoplectique ; il est enfin des cas, dans lesquel
Il s'arrête même momentané-ment, quelquefois complètement. Toujours l' état syncopal ouvre la scène ; l'état apoplectique ave
quelquefois complètement. Toujours l'état syncopal ouvre la scène ; l' état apoplectique avec sommeil stertoreux survient ens
mps qu'ils devenaient plus longs. Le plus souvent, dans ces crises, l' état syncopal faisait place bientôt aux phénomènes apo
ière. Je me vois forcé, à mon regret, de laisser quant à présent, à l' état de projet, ce travail d'appli-cation. TROISIÈME
e qui atteint du premier coup son summum d'intensité, à la suite d'un état fé-brile plus ou moins intense ou en l'absence de
sur le bras d'un valet de chambre. Le troisième jour se déclara un état fébrile, assez violent dès l'abord, et qui, bient
Cette période fébrile se termina au bout de cinq ou six jours, et l' état général redevint rapidement tout à fait normal. C
nt. Au bout de ce temps, il se produisit un certain amendement dans l' état des membres supérieurs et le malade commença en o
abdomen et du cou surtout, contrastent par leur relief qui rappelle l' état normal. Des deux côtés, mais principale-ment à ga
er. L'appétit toutefois était de-venu nul, la langue était chargée. L' état fébrile a persisté les 28 et 29, sans se montrer,
ement le tronc successivement vers un côté, puis vers l'autre côté. L' état général est toujours resté excellent. Nous revo
Cellules nerveuses des cornes antérieures de la moelle épinière. — A, état normal. — B, état hypertro-phique. — C, altératio
des cornes antérieures de la moelle épinière. — A, état normal. — B, état hypertro-phique. — C, altération pigmentaire. — D
emps trouble et. opalescent. Les prolongements sont plus épais qu'à l' état normal et comme contournés. J'ai comparé cette al
érité fort plausible, et il importe de remarquer en particulier que l' état des nerfs périphériques, dans les premières semai
du bras et de l'épaule seront intacts et présenteront le volume de l' état normal de manière à former un contraste frappant
t les membres supérieurs étaient, de même que le tho-rax, réduits à l' état squelettique, tandis que les membres inférieurs,
, en nom-bre variable, se rencontrent sur les préparations faites à l' état frais. Lorsque ces altérations de la névroglie so
2 Malheureusement, dans les cas de M. L. Glarke et de M. Duménil, l' état de la substance blanche spinale n'est pas indiqué
État de la moelle épinière à l'autopsie. — Renflement cervical : à l' état frais, des corps granuleux existent en abondance
ent indispensable — et l'on ne mentionne pas d'une manière spéciale l' état des cellules des cornés antérieures. Nous croyons
erveuses mêmes n'avait pas encore été mis en lumière, et nulle part l' état anatomique de ces cellules ne ?e trouve explicite
e sorte géomé-triquement dans une région des faisceaux blancs qui à l' état normal, du moins chez l'adulte, ne se sépare par
in-tées par l'acide osmique. Enfin, ces mêmes parties renferment, à l' état normal, une certaine proportion de cellules charg
poglosse. — A, B, (à droite de la ligne fictive R,'R') représentent l' état normal. — A, noyau de l'hypoglosse composé d'une
paume de la main excavée, l'avant-bras et le bras réduits presque à l' état de squelette. Généralement alors, la rigidité spa
ie un relief et une consistance qui contrastent singulièrement avec l' état des membres supé-rieurs. Cette paraplégie offre
ance motrice tient moins à l'af-faiblissement de l'innervation qu'à l' état spasmodique des muscles; dans ceux-ci, d'ailleurs
ment, ajoutais-je, par la voie des tubes nerveux qui établissent, à l' état physiologique, entre les deux régions, une commun
titre de complication de la pachyméningite cer-vicale hypertrophique, état morbide, qui, depuis plusieurs années, a fixé mon
. À la vérité, dans ce cas, la moelle épinière ayant été examinée à l' état frais, ou après un durcissement imparfait, des lé
le côté clinique, aux travaux que je viens de citer. Relativement à l' état de la moelle épinière, nos observations ont porté
ns,trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et postérieurs dans un état d'intégrité par-faite ; la substance grise, dont
rfs m'ont paru offrir, dans toutes leurs parties, les apparences de l' état normal. Nous avons même rencontré, dans l'épais-s
lles du tissu con-jonctif— dépendant duperymisium internum — qui, à l' état normal, séparent à peine les faisceaux musculaire
ère qui intéressent directement la nutrition des muscles. Tel est l' état des choses, quant à présent ; je ne sais si je me
rs à l'appareil moteur. Il se caractérise surtout, en somme, dans son état de complet développement, par une contracture per
haque jour à dégager successivement. Si, en effet, entre les divers états pathologiques que je viens d'énumérer, les analog
le premier et pendant quelque temps le seul symptôme consiste dans un état parétique, portant égale-ment sur les deux membre
icalement différente dans les deux cas. Chez l'ataxique, réduit à cet état , c'est encore le pouvoir de coordonner les mouvem
r atteint un certain degré, elle reste, pendant plusieurs années, à l' état stationnaire. Souvent limitée pendant toute la
evés plus haut, et qui apparaissent successivement. D'abord, c'est un état parétique des mains qui se montrent inhabiles à s
dorsal spasmodique. Cela étant posé, je laisserai de côté certains états morbides, comme les contractures hystériques par
ble superficiel, se tra-duisant d'ailleurs, dans les deux cas, par un état paralytique ou parétique des membres inférieurs.
ée de tomber. C'est que, en effet, elle se trouve sous le coup d'un état ver-tigineux, pour ainsi dire perpétuel, et que l
u'elle vient d'éprouver son accès. C'est qu'en réalité, en outre de l' état vertigineux habituel, que j'essayais de peindre à
es et aussi parfois des vomissements terminent la crise, après quoi l' état vertigineux redescend à son taux pour ainsi dire
assique. Il n'y a guère plus de six années, eh effet, que chez G. l' état vertigineux s'est établi d'une façon permanente,
se à la Salpêtrière, où elle est depuis six ans sous nos yeux, dans l' état lamentable où vous la voyez aujour-d'hui. Il ex
crois pouvoir avancer que, malgré ces tra-vaux, la connaissance de l' état pathologique dont il s'agit n'est pas encore entr
ent à se rapprocher, à se confondre, de manière à constituer enfin un état vertigineux, pour ainsi dire permanent, au milieu
les cas graves, lorsque, par exemple, les malades en sont réduits à l' état lamentable où vous avez vu la nommée Gir... ; c'e
fin, sur-tout, de vous mettre à même de bien reconnaître quel était l' état des choses au moment où la thérapeutique est inte
se rapportent ces dénominations ne répond pas exclusivement à un seul état morbide, il peut se montrer com-mun à des affecti
is plusieurs années, littéralement confinée au lit, sous le coup d'un état vertigineux pour ainsi dire permanent 1 1874, n
rter sur une civière dans la salle des Conférences. En outre de cet état vertigineux, en quelque sorte habituel, et qu'acc
t symptomatique fondamental, dans la maladie de Ménière, tandis que l' état vertigineux habituel peut être, en quelque sorte,
r une sensi-bilité excessive de la plante des pieds, plutôt que par l' état vertigineux. J'exigeai que l'expérience fût répét
es. Je fus appelé, en juin 1875, pour donner mon avis concer-nant l' état d'une dame, âgée d'une trentaine d'années, qui, d
dernières années, ont suivi mes leçons, reconnaîtront facilement cet état morbide dont je leur ai déjà montré, à diverses r
Salpêtrière. Nous avons à considérer, dans sa condition actuelle, l' état du côté droit du corps, d'abord au point de vue d
constituent une agitation permanente qui fait que, en définitive, cet état en ce qui concerne du moins le caractère des trou
côté de l'hémichorée post-hémiplégique, il y a lieu de mentionner un état pathologique pour ainsi dire inverse, c'est-à-dir
tous les points semblables à la première, de manière à constituer un état de mal dont la durée a été de trois heures enviro
l'emploi des moyens vulgaires. Un certain degré d'amaigrissement, un état cachectique assez prononcé, qu'au-cune affection
dans tous les symptômes permanents, céphalalgie, parésie, dyspepsie, état cachectique, était tel déjà qu'il avait pu repren
n'hésitai pas, vous l'avez prévu, à rattacher à la syphilis 1 Sur l' état cachectique et la pâleur terreuse que présentent
ai eu le plaisir de rencon-trer à... M. B... et de le trouver dans un état de santé irré-prochable. Le traitement prescrit à
stants. A la suite de cet accident il fut décidé, qu'en raison de l' état depuis plusieurs années fort délabré de sa santé,
fut convenu que l'on agirait aussi éner-giquement que le permettait l' état général du malade 2. On prescrivit la diète lacté
(J.-M. G.) 2 Les bons effets des préparations mercurielles contre l' état cachectique qui relève de la syphilis tertiaire o
; la contracture permanente avait disparu comme par enchante-ment, l' état général enfin s'était notablement amélioré. Huit
Mais enfin, pendant un séjour de plusieurs mois à Amélie-les-Bains, l' état de l'intestin s'étant modifié de la façon japlus
extension comme leur flexion se font complètement ; toutefois, dans l' état habituel, les doigts sont placés dans une positio
fs surtout à divers troubles de la sensibilité et du mouvement et à l' état gé-néral. Appareil de la digestion. — La langue
espiration. — Pouls petit, régulier, moyenne-ment fréquent ; cœur à l' état normal. — L'auscultation et la per-cussion ne don
opathies des ataxiques. A droite et à gauche, le rebord si accusé à l' état normal des cavités cotyloïdes est en grande parti
I. p. 330. fluence de causes banales, ou relevant au contraire d'un état diathésique, la goutte, le rhumatisme. Il n'en es
bouts séparés de la moelle épinière. L'examen microscopique, fait à l' état frais, de deux segments de la moelle, au voisinag
ntraire les myélocites paraissent sensiblement plus volumineux qu'à l' état normal. Beaucoup d'entre eux sont enveloppés d'un
reconnaître des altérations qui avaient échappé lors de l'examen à l' état frais. On trouve sur les coupes transversales, di
nt manifestement plus volumineuses et plus nettement dessinées qu'à l' état normal ; quelques-unes renferment deux gros noyau
es régions où les tubes nerveux ont conservé tous les caractères de l' état normal. Les coupes longitudinales permettent de c
avoir subi aucune alté-ration appréciable. Examen microscopique à l' état frais. — On trouve dans les points ramollis, des
ré d'infiltration graisseuse ; les noyaux sont plus nombreux qu'à l' état normal. On trouve sur quelques préparations des c
omplètes, ?.?. 27 tres O, 035mm-, d'autres O, 025 mm-, seulement, l' état normal étant représenté par le chiffre 0, 025 mm-
indres d'axe dépouillés de myéline et beaucoup plus volumineux qu'à l' état normal; 3° de nombreux myélocites, les uns libres
aissies ; le plus souvent elles ne sont pas plus épais-ses que dans l' état normal. Mais ce qui frappe surtout, dans cet ex
les cellules tuméfiées ne sont pas seulement plus vofumineuses qu'à l' état normal: elles sont, de plus, manifestement déform
nsi que le nucléole, ont toujours paru présen-ter les caractères de l' état physiologique. J'ai été assez heureux pour rendre
iculièrement, c'est que, dans ce même cas, un premier examen fait à l' état frais avait permis de reconnaître la tuméfaction
u-loureuse tout le long de la colonne vertébrale. De 1872 à 1875, l' état de la malade demeura sensiblement le même. A plus
espiration devient de plus en plus embarrassée. Cependant, malgré cet état de faiblesse extrême, la malade continue à marche
nchement blanche des racines postérieures qui pa-raissent saines. Cet état des racines antérieures se rencontre seu-lement a
s a seul conservé un volume et une coloration qui se rapprochent de l' état normal ; tous les autres muscles de cette région
ux à la région cervicale et à la région lombaire ne conte-naient, à l' état frais, aucun corps granuleux. —Quelques fragments
des cellules nerveuses et de la plupart des tubes à myéline qui, à l' état normal traversent dans tous les sens l'aire de la
tance grise prend parle carmin une teinte beaucoup plus foncée qu'à l' état normal. Malgré la dispa-rition des éléments nerve
substance grise a repris à peu près complètement les caractères de l' état normal. Les cel-lules nerveuses y sont nombreuses
ois épaissies, beaucoup moins toutefois qu'à la région cervicale. Cet état des vaisseaux se retrouve de l'étendue des cornes
ntérieures, la pie-mère est épaissie et manifes-tement enflammée. Cet état inflammatoire de la pie-mère se re-trouve, bien q
che corticale et la zone radiculaire antérieure se retrouvent dans un état d'intégrité absolue. Bulbe rachidien. — Coupe p
ovoïdes, et accolées les unes aux autres par l'endonèvre épaissi. Cet état est exactement le même pour les racines antérieur
es. — Elle a été réglée régulièrement depuis l'âge de onze ans. Son état de santé ne présente ensuite rien de particulier
lorsque le 5 février 1869, à la visite du soir, on la trouve dans un état assez grave d'asphyxie qui s'était déclaré presqu
e, les racines antérieures ont repris le volume et la coloration de l' état normal. Le facial et l'hypoglosse présentent, e
ésentaient une modification dans leur teinte. La moelle, examinée à l' état frais, ne nous a mon-tré aucune altération appréc
ésultat à l'examen microscopique. Les préparations ont été faites à l' état frais. Nous prendrons pour type de notre descri
fibres offrent même un diamètre 4 et jusqu'à 5 fois plus petit qu'à l' état normal. Et une particularité importante à signale
. — Le tissu conjonctif' interfibrillaire parait plus abondant qu'à l' état normal; on y observe une proportion exagérée de n
e l'aspect fendillé. 2° a) Bacines spinales antérieures. Examen à l' état , frais. Le nombre des tubes nerveux qui, dans ces
tubes nerveux qui, dans ces racines, ont conservé les caractères de l' état normal, est plus grand qu'on aurait pu le suppose
nerveux. c) Nerfs crâniens. Le facial et l'hypoglosse, examinés à l' état frais, en divers points de leur trajet, ont prése
, n'a fourni aucun résultat décisif. e) Moelle épinière. Examen à l' état frais de la partie ramollie. On sait qu'immédiate
nt après l'autopsie ; les tubes nerveux offraient les caractères de l' état normal ; on ne rencontrait dans les intervalles q
servé, à peu près, les dimen-sions et tous les autres caractères de l' état sain. Parmi les cellules atrophiées, les unes bie
les atrophiées, les unes bien que 6 ou 7 fois plus petites que dans l' état normal, ont cependant conservé leur forme étoilée
ué que les noyaux de la névroglie y fussent plus abondants que dans l' état normal ; il n'en était pas de même aux commissure
de la substance grise nous ont paru offrir toutes les conditions de l' état sain. Région dorsale. L'examen n'a pu porter qu
n nombre normal ; elles offrent pour la plupart, les di-mensions de l' état sain. Quelques-unes seulement présentent des lési
re envi-ron au-dessus du bec du calamus scriptorius et réprésentant l' état normal, on pouvait compter' dans le noyau de l'hy
us délicats (pro-bablement des prolongements de cellules) qui, dans l' état normal, se croisent et s'entre-croisent en mill
erne et de l'auditif nous ont paru présenter tous les caractères de l' état normal. Observation IL Sclérose symétrique de
la salive. Il semble que tous les muscles de la face soient dans un état de contracture permanente, qui s'exagère encore l
on s'effectue d'une manière un peu plus com-plète, mais elle amène un état d'anxiété extrême ; quel que soit le mode d'intro
sont très grêles, mais leur coloration se rapproche sensiblement de l' état normal. Le masséter, rouge à sa surface, est jaun
base sont saines. Le bulbe rachidien offre tous les ca-ractères de l' état normal. — Le tissu de la moelle est partout d'une
onné un résultat presque négatif. Du moins jamais n'a-t-on trouvé cet état granuleux de la fibre musculaire, vu cette prolif
s fibres avaient perdu leur striation transversale et présentaient un état granu-leux très prononcé du contenu de la gaine.
, et tous présentaient des caractères histologiques bien voisins de l' état normal. C'est à peine si on pouvait y distin-guer
longements pâles et amincis, qu'il est impossible de suivre comme à l' état normal, à une certaine distance de leur lieu d'or
des cylindres d'axe. Ceux-ci sont pour la plupart plus minces qu'à l' état normal ; dans quelques endroits, au contraire, il
à la région lombaire, plus de la moitié a consérveles caractères de l' état normal. La colonne vésiculaire de Clarke n'a pas
premier temps de la dé-glutition s'est-il effectué qu'il survient un état d'anxiété extrême : durant plus de cinq minutes,
sa faim. Elle est très mai-gre et déjà très affaiblie. En examinant l' état du système muscu-laire dans les diverses parties
clavicules s'élèvent. Il y a donc inertie du diaphragme. 29. — Même état que la veille. Le pouls est d'une rapidité ex-trê
s muscles ont, du côté droit comme du côté gauche, l'apparence de l' état normal. Le diaphragme ne présente pas d'altératio
ce qui est de la coloration et de la consistance, les caractères de l' état sain. y. Etat des centres nerveux et des nerfs
en particulier et la pro-tubérance offrent toutes les apparences de l' état normal. On n'y .peut reconnaître aucune trace d'a
e ces racines, ils paraissent être un peu moins volumineux que dans l' état normal, mais ils n'ont subi aucun changemement de
eaux, présente à peu près partout des noyaux plus nombreux que dans l' état normal. Il est remarquable que la prolifération
de la pointe. Bien qu'ils aient conservé leur coloration rouge de l' état nor-mal, les muscles extrinsèques de la langue pr
es supérieurs. p. Nerfs crâniens. — Sur toutes les préparations à l' état frais provenant des filets radiculaires très grêl
t pneumogastrique, ne présentaient pas d'autre altération que ce même état granu-leux de quelques tubes nerveux. Cette altér
nique et le grand sympathique cervical ont offert les caractères de l' état normal. y. Examen des centres nerveux, préparat
-unes de ces cellules nerveuses ont conservé tous les caractères de l' état normal ; elles sont en petit nombre puisqu'elles
incts : la petite quantité de pigment qu'elles renferment souvent à l' état normal ne s'est pas accrue. Les cellules qui of
vahies par le pigment se colorent, au contraire, à peu près comme à l' état normal. Le noyau et le nucléole sont encore plus
t intacte ; peut-être les vaisseaux y sont-ils plus volumineux qu'à l' état normal ; ils paraissent en tous cas gorgés de glo
spinal. Celles-ci, pour la plupart, ont conservé les caractères de l' état sain. Un bon nombre d'entre elles, pourtant, ont
taire, principalement vers la région externe du noyau. On sait qu'à l' état normal il existe, en ce point, quelques cellules
'offre pas d'autre altéra-tion qu'une transparence plus grande qu'à l' état normal et ré-sultant, vraisemblablement, de la di
ensions, sa surface lisse, et, en un mot, toutes les appa-rences de l' état normal, bien que ses muscles propres contins-sent
t organe des lésions évidemment insuffisantes pour rendre compte d'un état paralytique aussi prononcé. D'où faut-il faire dé
s de physiologie normale et pathologique, 1870, p. 247). Note sur l' état anatomique des muscles et de la moelle épinière d
s du tissu conjonctif (dépendances du perimysiitm internum), qui, à l' état normal, séparent à peine les faisceaux musculaire
nservé à peu près toutes les dimensions et les autres caractères de l' état normal ; mais un examen moins superficiel fait bi
manifeste, beaucoup sont re-marquables par leur extrême gracilité1. L' état hyalin avec dégénérescence granulo-graisseuse, la
. À la vérité, dans ce cas, la moelle épinière ayant été examinée à l' état frais ou après durcissement imparfait, des lésion
s trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et postérieurs clans un état d'intégrité parfaite ; la substance grise dont no
rfs m'ont paru offrir, dans toutes leurs parties, les apparences de l' état normal. Nous avons même rencontré, dans l'épaisse
xiles. En somme, nous croyons qu'avant de rien décider à l'égard de l' état anatomique des nerfs périphériques dans la paraly
ces mouve-ments, les considère en quelque sorte comme constituant un état morbide particulier, autonome, M. Charcot estime
optique à l'œil nu et au microscope. — As-pect de la papille : 1° à l' état normal; 2° dans l'induration grise progres-sive.
pliquer le pouls lent. — Accidents liés au pouls permanent : syncope, état apoplectifornae, accès convulsifs. — Dans certain
............................................... 462 Vil. Note sur l' état anatomique des muscles et de la moelle épinière d
83 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
bilité du sujet, le résultat se fera attendre, la cure d’un semblable état ne pouvant être prompte, instantanée comme cela s
ontaires forcés, il faut toujours qu’un sentiment nous avertisse de l’ état de nos membres ; mais le sentiment dans la peau (
une longue pratique a acquis un coup d’œil pénétrant, est parfois en état d’annoncer les progrès et l’issue d’une maladie e
nt assisté à des expériences de somnambulisme, savent combien, dans l’ état somnambu-lique, les facultés intellectuelles acqu
se fait des appareils. Quelques extatiques entrent d’eux-mêmes dans l’ état de crise où se produit leur lucidité, soit sponta
ncentration qui exige un effort de volonté. D’autres n’arrivent à cet état que sous l’in-lluence des causes extérieures, et
nts. Le choix et la disposition de certains locaux pouvaient amener l’ état de lucidité : les malades qui couchaient dans les
se fait des appareils. Quelques extatiques entrent d’eux-mêmes dans l’ état de crise où se produit leur lucidité, soit sponta
ncentration qui exige un elfort de volonté. D’autres n’arrivent à cet état que sous l’in-lluence des causes extérieures, et
nts. Le choix et la disposition de certains locaux pouvaient amener l’ état de lucidité : les malades qui couchaient dans les
rait d’une maladie que l’on ne pouvait combattre et la tenait dans un état de marasme continuel. « D’après mon récit, elle
le qui, lui prenant la main, lui dit tout d’abord : « Madame, votre état n’a pas changé ! « — Comment ! mon état n’a pas
d’abord : « Madame, votre état n’a pas changé ! « — Comment ! mon état n’a pas changé ! Mais j’arrive de «Versailles, et
ci, et pour votre mari, M. le comman-i dant; je vous répète que votre état n’a pas changé de-« puis le jour où j’ai consulté
heures après, j’étais en présence de la somnambule ; mise aussitôt en état de somnambulisme par son mari, à qui je remis une
quinze ans !... » Et elle nous en fit un portrait exact, indiqua l’ état de sa santé et donna un traitement à suivre. To
s dire que ces dames seraient encore là pour une heure. « Dans quel état trouvez-vous la mère? « — Elle est bien satisfa
s court que l’autre. Que vous ai-je dit en vous voyant dans ce piteux état . Je vous ai dit : «Dans sept jours vous marcher
triques, et il eut le bonheur de découvrir l’électricité négative à l’ état de tension dans la peau de l’homme sain , en quan
eau de l’homme vivant contient toujours de l’électricité négative à l’ état de tension, et en quantité d’autant plus grande q
que calmer l’attaque sans la provoquer, ou met le malade dans le même état d’angoisses que quand on a arrêté Yaura avec une
flué au cœur et au cerveau, suivant ce qu’elle vit plus tard dans son état lucide. Son mari chercha vainement à la réchauffe
e son mari, elle serait morte. Elle demanda qu’on la laissât dans cet état jusqu’au lendemain matin. Le lendemain, il ne l
ommandé, pendant son somnambulisme, qu’on ne lui parlât pas, dans son état de veille, de ce qu’elle avait éprouvé, de peur q
enté son épuisement, et il avait peine ii concevoir comment, dans son état de faiblesse extrême, il avait pu communiquer à s
a plus terrible : trois attaques d’éclampsie s’étaient ajoutées à cet état déjà si grave, et on sait combien cette complicat
ecins les plus renommés sont appelés pour faire cesser cet inquiétant état . On saigne cette femme, on lui fait prendre du ca
n homme affecté d’une maladie nerveuse ; il est fou ou comme fou. Son état est difficile à peindre. Il veut parler, il ne le
ue vision par le creux de l’estomac ou par le bout des doigts, dans l’ état qu’on appelle magnétisme animal. Quand bien même
on qui puisse se déplacer, un individu plongé dans ce qu’on appelle l’ état magnétique ne saurait, dans aucun cas, distinguer
ne définition les comprenant tous, et nous préférons caractériser cet état eu disant qu’on peut le considérer comme un rêve
re exclusif est, en effet, un des traits les plus remarquables de cet état . Tant que l’attention demeure attachée sur" un ob
nnaît dès que ces enseignements lui sont remis devant l’esprit. « L’ état de somnambulisme peut se transformer en celui de
; un binait fort l’aurait éveillée, mais il n’était pas perçu dans l’ état de sommeil parlant ; et, si l’interlocuteur lui a
c’est un des traits les plus caractéristiques de ne conserver, dans l’ état de veille, aucun souvenir des pensées ni des ac
s-même servira à éclairer plusieurs des traits les plus spéciaux de l’ état dont il s’agit. Le sujet était une jeune dame d’u
te circonstance, la patiente avait coutume de passer directement de l’ état de veille à l’état de somnambulisme ; la transiti
patiente avait coutume de passer directement de l’état de veille à l’ état de somnambulisme ; la transition était immédiatem
de sa donnée. Une autre fois, il arriva que, quand elle tomba en cet état , sa sœur, qui était présente, se trouva porter un
y a quelques € minutes, et personne ne peut l’avoir pris. » Dans cet état , sa colère contre S... revint. La patiente éprouv
à chacune, le ressentiment contre S... reparaissait. De la sorte, son état était très-voisin de la double conscience, très-c
st la facilité avec laquelle les pensées peuvent être dirigées dans l’ état de somnambulisme, par le principe de suggestion.
r l’accomplissement d’une action volontaire quelconque, et aussitôt l’ état mental correspondant sera éveillé. Ainsi, la main
té fait et pouvait se retracer l'action insurmontable exercée sur son état mental par ce traitement de son appareil musculai
t l’idée de boxer qui surgit. Le pouvoir de l’opération pour régler l’ état mental de tels somnambules est presque illimité e
ces muscles mêmes, soit par une suggestion indirecte en provoquant l’ état mental le plus propre à susciter dans ces muscles
s de cette condition mentale qui, nous l’avons vu, caractérise un tel état , à savoir la possession de l’esprit par une idée
lisme, on ne peut en rien dire de précis. Chez quelques personnes cet état revient fréquemment ou même habituellement ; chez
somnambulisme. Le cas suivant est un autre exemple de l’effet de cet état d’attente, concurremment avec l’immobilité de l’a
d’action sur les yeux et les paupières, et qu’il mette le patient en état d’avoir le regard fixé dessus. On fera entendre a
Par le seul repos, les sens rentreront promptement dans leur premier état . Nous avons souvent été témoin nous-même de la pr
erme, déclarant qu’il est impossible d'y résister. Toutefois, quand l' état hypnotique a été ainsi provoqué un certain nombre
ue delà cinquième paire, semble avoir une relation plus intime avec l’ état subséquent que n’en a la condition du sens de la
la mystification des exorcistes de Lou-dun par le comte de Lude. L’ état dans lequel entrent les médiums n’est, croyons-no
un philosophe, un politique, etc., bien qu’il soit très-ignorant à l’ état normal? Sont-ce des esprits qui interviennent dan
bsolument perdue, et qu’elle se manifeste naturellement dans certains états transitoires où l’âme peut se trouver. » Il est
s, et qui le considère simplement comme un mode de l’âme humaine , un état sui gcneris que l’ancienne et moderne philosophie
s ; « il paraît même savoir des choses qu’il ne savait pas dans « l’ état ordinaire, mais qu’il oublie à l’instant du révei
es, leurs prophéties, et, sans qu’ils lui donnent un nom spécial, cet état tout particulier du somnambulisme où l’âme se dég
roi, sans accidents ; rien, en un mot, ne paraissant changé dans leur état ordinaire. L’une de ces personnes a parfaitement
nfarcher. 11 était venu en voiture et fut très-étonné de se sentir en état de pouvoir, après la séance, s’en retourner à pie
même de nous instruire sur les phénomènes qui se produisent dans cet état singulier. Il se sert des faits dans lesquels il
bien que l’Eglise n’enseigne rien de semblable. Bien plus; étant k l’ état de médium et écrivant en vertu d’une force qui lu
oit accidentellement la faculté de la mémoire. M. Almignana, étant en état de médium, prie la force occulte d’écrire quelque
on de la molaire. Mon opération terminée, la patiente était encore en état de somnambulisme, elle s’opposait à ce que je lui
ir recours à la clairvoyance, alors que le malade est lui-même hors d’ état d’exprimer ses souffrances, d’en indiquer le sièg
’irriter le système nerveux de leurs malades, et les jetaient dans un état pire que celui dont ils avaient prétendu les tire
tes les conditions d’une véritable décomposition..... Tel était son état quand j’arrivai auprès d’elle le 5 décembre 1841,
Le médecin appelé n’avait plus su qu’ordonner pour la tirer de cet état de prostration complète. 11 est bon de vous dir
de préciser de la manière la plus claire possible. Le sujet, à son état normal, est placé dans la chambre où je me trouve
irement insensibles; mais alors, comment M. Jacques qualifiera-t-il l’ état do ceux qui ne le sont pas et qui cependant, hors
des sens ordinaires qui fonctionnent pour l’existence de l’homme à l’ état de veille ne sert à l’homme enlevé par le magnéti
icable à aucun des actes qu’il accomplit dans ce nouvel et mystérieux état . Transporté dans cette vie merveilleuse, le somna
me prièrent d’essayer de sauver leur fille. J’y consentis malgré son état déplorable, et j’eus le bonheur d’obtenir un plei
universelle, dans laquelle tout est dévoilé pour le voyant. Dans son état magnétique, il y a une absence complète de toute
grand que l’homme ait à sa disposi-sition, est peut-être lui-même à l’ état de fluide. » Et pourquoi n’en serait-il pas ain
Le somnambulisme naturel et le somnambulisme symptomatique sont deux états essentiellement différents, en ce que l’un n’a li
substitué. « On voit que le magnétisme et le somnambulisme, dans l’ état où ils se trouvent, sont deux choses très-distinc
visible, incorporelle, mais non immatérielle. Y!âme humaine, dans l’ état d’extase soit naturelle, soit causée par l’additi
ici au somnambulisme n’est autre chose que l’extase proprement dite, état bien distinct du précédent, en ce qu’il peut être
a nécessité d’une bonne classification des différentes catégories des états si variés où peut se trouver l’homme par suite de
ité de la maladie, et qui est une proposition passée généralement à l’ état d’axiôme depuis Mesmer, et adoptée comme telle pa
, la peau moite; enfin, sauf une anesthésie complète (le lu peau et l’ état des yeux qui sont convulsés vers le haut, ce somm
complète; je la magnétise, et, pour la première fois, elle présente l’ état cataleptique. Sur ma demande, elle ouvre les ye
la respiration entrecoupée des hystériques. Nous la laissons dans cet état pendant six minutes environ pour observer l’accès
vertiges, le sang me travaille. — Quel rapport y a-t-il entre votre état actuel et les accès convulsifs que vous avez eu p
ppression et une toux nerveuse. Le matin, je trouve la malade dans un état qui avoisine le coma. Les réponses sont courtes,
rtes, lentes, mais justes. Après chaque réponse, elle retombe dans un état semi-comateux. Le pouls est large, à 105 ; ronchu
ntolérables. La malade se couche sur son lit et tombe bientôt dans un état comateux. A deux heures, elle rentre chez ses p
coliques. Le matin, soif, pouls large et fort à 115 ; du reste, môme état . Pendant la journée, la malade se plaint de courb
nné et sensible à la pression, quelques coliques, soif, du reste même état qu’hier. Je prescris ¿0' centigrammes de calomel,
nétise la malade. Elle me dit qu’elle ne voit pas clair à. cause de l’ état du cerveau, que le magnétisme calme la céphalalgi
et sur le cou, des cataplasmes sédatifs sur le ventre. Le 25, même état , pouls petit, à 65. Le 26, M. le I)r Gros m’acc
ce est intacte. A deux heures de l’après-midi, je la trouve dans un état adynamique complet, presque en syncope. Le pouls
puis la plus haute antiquité, cultivée longtemps dans les temples à l’ état de science secrète, pratiquée dans l’Inde par les
logie actuelle? Une science indéterminée et vague, où l'âme reste à l’ état de problème; science qui vous laisse le doute au
pouvait conserver, après les faits de la cause, quelque doute sur son état et ses facultés, il y aurait lieu à ouvrir une en
que Mongruel endort sa femme ou feint de l’endormir, et que, dans cet état de somnambulisme vrai ou supposé, celle-ci fourni
’une lésion des propriétés vitales qui tiennent les parties dans leur état normal, sous le rapport matériel ?» Les faits j
e pris bien des fois, pendant plus de six mois que dura ce déplorable état , à invoquer la mort comme unique soulagement à me
i j’avais suivi ce traitement héroïque. Les choses étaient dans cet état , lorsqu’un dimanche, jour heureux s’il en fut jam
de même que Maria, qui se montra fort effrayée en me voyant dans cet état déplorable. Je l’endormis sur le champ, et elle
la plus grande exactitude le traitement qu’elle m’avait prescrit, mon état se trouvait en effet beaucoup plus grave encore q
forces vitales, et si nous n’avons pu parvenir à les rétablir dans un état parfait, cela tient plutôt à, cette cause qu’à l’
itôt qu'on les magnétise, et le somnambulisme suit de près ce premier état ; une entre toutes présente une lucidité remarquab
de la voir se briser entre nos mains. — Pour si épouvantable que cet état paraisse, il n’y a point à s’en alarmer, il n’est
Les malades qui ne peuvent se rendre au dispensaire, à cause de leur état de souffrance , sont visités à domicile. Le mag
e rapidité incroyable, il lui était impossible de les ralentir. Cet état ne dura pas longtemps; le bras fatigué d’un exerc
tiseurs, je dus en chercher la théorie positive, afin de renoncer à l’ état purement négatif dans lequel m’avaient naturellem
dans sa théorie, il a pu se figurer que le magnétisme était resté à l’ état d’embryon où il lui a plu seulement de l’entrevoi
nger, que les magnétiseurs aient placé au nombre de leurs miracles un état qui ne fût pas la santé ou la madie ? » Quant à
que c’est l’imagination seule qui fait exclusivement les frais de cet état anormal, nenous semble pas logique. Qu’elle en so
es même effets produits par des causes bien différentes cependant ? L’ état d’ivresse produit par l’inhalation de l’éther vou
des phénomènes parfaitement semblables à ceux obtenus sur l’homme à l’ état de veille et jouissant de toutes ses facultés int
collées l’ime contre l’autre. Les bras et les jambes étaient dans un état de résolution complète; les muscles du col ne sou
concourent à la déglutition qui fussent disposés à fonctionner. Cet état , déterminé par le magnétisme que l’enfant avait p
de; et tout porte à croire que si la dame en question avait, dans son état de saturation magnétique, donné à téter à un enfa
ue et d’en faire exclusivement à tout autre emploi de leur teins leur état et leur profession. Voici les Baisons qui motiven
lui sa croix pectorale ; mais, le guéridon ne s’arrêta pas. Dans cet état , une personne présente plaça sa main sur le guéri
Enfin, chez un petit nombre, les pratiques du magnétiseur amènent un état particulier d’extase variant suivant les individu
sans analogues dans la vie normale? Pouvez-vous enfin prouver que cet état ne peut pas être provoqué par les magnétiseurs?
ques reculées, et môme en observant actuellement les peuplades dont l’ état social répond aux époques initiales du développem
nullement cette proposition, pas plus que la classification des trois états théoriques distincts par lesquels M. Segond veut
ent de la flamme qui consume les offrandes faites aux dieux, ou par l’ état des entrailles des victimes. Dans son adolescence
tisé; car, nous l’avons fait observer, n’oublions pas que c est sur 1 état d’extase ou de convulsions que portent toutes les
l veut en faire découler comme conséquence. Pour lui, tous les autres états intermédiaires n’existent pis. C’est tout simple,
omte, qui établit que nos moteurs affectifs sont des penchants dans l’ état actif et des sentiments dans l’état passif, 11e p
fectifs sont des penchants dans l’état actif et des sentiments dans l’ état passif, 11e prouve nullement que ces deux organes
t l’économie générale répond soit aux époques tliéologiques, soit à l’ état métaphysique.... « Dans l’état de pleine maturi
aux époques tliéologiques, soit à l’état métaphysique.... « Dans l’ état de pleine maturité, les plus saines intelligences
jugement, on peut, par des moyens purement artificiels, développer un état cérébral dans lequel le dedans prend le dessus su
; « L’aliénation mentale confirmée n’est que la persistance de cet état dans lequel nous faisons, sur les phénomènes obse
dans celui de ses argument , il invoque comme personnification de cet état pathologique un cas poétique. « Ce qui, dit-il,
n duquel on développe. riiez une personne convenablement préparée, un état subjectif plus ou moins prononcé et qui peut alle
nvenu et donné par un des médecins, et en trois minutes elle était en état de somnambulisme complet. M. Segond nous dira-t
pération chirurgicale au sein, sans douleur, i«r «ne jeune fille en état magnétique, par le D' Louïet. L’état d’anesth
leur, i«r «ne jeune fille en état magnétique, par le D' Louïet. L’ état d’anesthésie complète dans lequel ce sujet est mi
sme, la mettre dans 1 insensibilité par cet agent, et profiter de l’ état où on l’aurait mise pour faire prématurément l’ou
it mise pour faire prématurément l’ouverture de cet abcès. « Dans l' état de veille, la jeune personne s’était fortement op
’elle faisait craindre la mort prochaine de ce petit être. Dans cet état de chose, j’employai le magnétisme, autant dans l
’il échappe à l’analyse de nos sens, est un être idéal fictif, hors d’ état , en aucun temps, eu aucune circonstance, de modif
ucun temps, eu aucune circonstance, de modifier, n’importe comment, l’ état habituel de l’homme qui lui est soumis? S’il es
ange que nous ne puissions rien leur trouver d’analogue dans certains états de l’économie? dans le sommeil, par exemple, etsu
des notions fausses. Or, il résulterait de là que, chez l’individu en état d’extase telle qu’il la dépeint, la contemplation
et qui fait la base unique de son système, il explique facilement un état extatique de sa composition, inventé pour le beso
M. Segond peut-il de bonne foi appliquer les paroles de Thouret sur l’ état du magnétisme de son temps au magnétisme tel qu’i
causes peuvent produire ce phénomène, qui tient le plus souvent à un état maladif et qui se manifeste aussi dans l'extase a
. Il y a de« personnes qui, sans aucune cause connue, arrivent à un état permanent d’allucinalion : certains bruits ou cer
e reste en développant des facultés qui étaient jusque-là restées à l’ état latent. Sa vue à distance, sa prévision, sa lucid
e doutant encore moins qu’elle venait de passer si longtemps dans cet état de somnambulisme. L’expérience avait donc bien
près quinze jours de magnétisation, avait eu le bonheur de passer à l’ état de somnambulisme et de pouvoir m’indiquer un trai
ante qui avait eu sa fille guérie de la même manière, connaissait cet état , et qu’elle ne fit rien pour chercher il m’en fai
meil à l’autre, et me suis levé plus tard qu’à l’ordinaire et dans un état de repos parfait... Mais cest égal, dit-elle enco
la charpente existaient avant Monge, et avaient de beaucoup dépassé l’ état embryonnaire des brandies du magnétisme que la tr
enter le phénomène désigné par Mesmer sous le nom de crise, et dont l’ état le plus avancé est l’extase , désignée aussi par
xtase , désignée aussi par certains mystiques sous le nom île transe, état parfait, état de grâce. Ce n’est pas ici le lieu
ait, état de grâce. Ce n’est pas ici le lieu d’examiner cette sorte d’ état magnétique, sur lequel nous avons déjà adressé qu
me — à propos des tables tournantes. Disons seulement que c’est à cet état que se rapportent les désignations que l’on trouv
luminés,— Phamtù/ues (1), — etc. Il faudrait distinguer ensuite les états divers de crise intellectuelle, en examinant cell
nctions organiques les modifications nécessaires pour les ramener à l’ état normal, les rendre capables de remplir le but auq
endra, dans chacun de ses genres, deux subdivisions correspondant à l’ état physiologique et à l’état pathologique : — l’éduc
genres, deux subdivisions correspondant à l’état physiologique et à l’ état pathologique : — l’éducation des organes et la gu
magnétisés. Je n’hésite donc point à attribuer l’amélioration dans l’ état de la malade à l’exécution de cette ordonnance, q
tout ce qui y tenait, —je m’attendais à une légère amélioration de l’ état du malade à la suite de la nouvelle qui devait lu
ement de la neuvaine, et à l’époque indiquée, le malade était dans un état pitoyable. Pendant les neuf jours de la neuvain
des visions plus ou moins lucides que les sujets auraient eues dans l' état de crise imparfaite. Il est probable qu’on s’oc
recteur, vient dire qu'elle est possédée ; si quand, elle revient à l’ état normal après une crise nerveuse, chacun de ceux q
gens qui, sous quelque désignation ou quelque robe que ce soit, font état d’accuser, quoique,... — i)Q mettons pas de quoiq
gt;.is plus aujourd'hui, — !.• la part de celui qui, en vertu île sou état , m'accuserait d'avoir guéri sans diplôme, — la qu
ux premières lueurs du crépuscule du matin. Alors ils tombent dans un état d’anéantissement physique et moral que l’on compr
uccomberont infailliblement. La femme, surtout, se trouve dans un tel état de marasme, qu'on peut facilement préjuger sa fin
on gré mal gré, de leur partie. Le vulgaire attribue généralement l’ état des deux époux à quelque sortilège que leur aurai
impressions et cherche à faire saisir les causes et les rapports de l’ état singulier auquel il a été en proie. « Un voyage
contre les exigences de sa nature : une sorte de lutte s’engage. Cet état de repos et do veille qui se succède et qui est s
et qui est sa condition ordinaire de la vie, fait place chez lui à un état tout particulier qui n’est plus ni le repos ni l’
e chez lui à un état tout particulier qui n’est plus ni le repos ni l’ état de veille : ses yeux sont ouverts; il entend; sa
la vue, atteignent surtout ceux qui sont à jeûu, les hommes voués à l’ état monastique, les voyageurs soumis à l’influence du
précède le sommeil de l’homme et. en marque la fin. C’est pendant cet état de somnolence que des esprits timorés ou crédules
rit, ordinaire à ceux qui éprouvent ces hallucinations, fait passer l’ état de maladie mentale des aberrations passagères che
e moment est celui où s’accomplit le passage de l’un à l’autre de ces états . « Le ragle présente le plus grand rapport avec
lui ; elles sont obsédées par son souvenir ; elles l’accusent de leur état maladif; elles voient en lui un sorcier redoutabl
s la balance de la vérité. Nous voyons, dans ce cas, en dehors de l’ état de complète insensibilité dans laquelle la malade
e. Dès son premier essai, il obtint., au bout de quarante minutes, un état de coma-vigil, et d’insensibilité à la douleur. 1
elâchés. Elle ne retint pas son haleine, tout chez elle était dans un état de relâchement, de placidité et de repos complet,
assistants, puis son sein, et remarquant que tout était dans le même état que lorsqu’elle s’assit, elle parut déroutée, bie
i n’était que le prélude de ce qui allait suivre. M. Lecomte mit en état de catalepsie un des bras de son sujet, et, dans
nt, revenant un grand nombre de fois pendant le jour, accompagné d’un état de sommeil pendant lequel il aperçoit des dessins
table, et le malade, dans l’intervalle des accès, restait hébété. Cet état , du reste, cessa assez promptement pour faire pla
fin, le dernier phénomène caractéristique fourni par le malade fut un état de somnambulisme très-prononcé, qui ne se montra
je puis maintenant affirmer que, dans une contré e boisée, je suis en état de désigner les eaux qui coulent sous le sol et
pénétration, il soulevait tous les voiles; aujourd’hui, bien que son état semble le même, il est le jouet d’un mirage tromp
contre le somnambulisme. Tout somnambule, lucide ou non, se croit en état de résoudre péremptoirement et à première vue tou
itude d’une personne qui subit le sommeil magnétique et qui passe à l’ état sonmambulique. Voilà comment est dégradé ce don
t la terre... Il importe de faire cesser autant que possible 1111 tel état do choses. Les magnétistes honnêtes doivent être
re bonheur : ce sont les doses des remèdes exactement appropriées à l’ état des forces du malade, et la convenance, l’opportu
sur la question du sommeil; et il prouve que le somnambulisme est un état tout à fait différent du sommeil, état dans leque
ve que le somnambulisme est un état tout à fait différent du sommeil, état dans lequel l’âme, loin de sommeiller, acquiert u
lus marquants ont lieu au contraire quand les opérateurs sont dans un état passif et attendent le langage de l’être inconnu
247, sur quoi 69 ont été parfaitement guéris, 0 ont été amenés à un état voisin de la guérison, 40 ont éprouvé une amélior
n’éprouvant clans le début que peu ou point de modification dans leur état , ils perdaient patience ; d’autres, parce cju’on
s’y attendaient ; d’autres encore, parce que leurs occupations, leur état de santé ou leur dénûment, eu encore la trop gran
leur exemple. A. S. MORIN. UlNpcuNalro niRgnètiquc de PMriH. Un état de souffrance et de fatigue, résultant probableme
i-partie influence étrangère combinées par l’action magnétique. Cet état , on le voit, vient naturellement, mais toutefois
érieur, tend à la sympathie et à l’union. Or si pour l’homine, dans l’ état ordinaire, il est difficile de se soustraire à ce
car, s’il admet que les fonctions de l’organisme sont modifiées, à l’ état normal, par les procédés magnétiques, il est évid
rocédés magnétiques, il est évident qu’elles peuvent l’être aussi à l’ état morbide. Or, les magnétiseurs n’affirment pas aut
lligiblement pour vous les vérités qui ne sont encore chez moi qu’à l’ état de sentiment ! Je n’ose vous promettre d’y parven
des tables, nous avait priés de l’aider à consulter de la sorte sur l’ état de sa santé. Mademoiselle 0***, dans le but d’a
les membres et leurs articulations ne laissent point de doute sur un état général d’entreprise (1). La jambe gauche se gonf
istait que de la vie de notre terre à terre. On la plonge en extase ; état libre, indépendant des étreintes de la volonté (d
ui !... Je suis morte hier à quatre heures de l’après-midi. Dans quel état !... si tu savais!... Mon corps était tout décompo
Spiritual Têlêgraph du 2 décembre 185A contient un long article sur l’ état du spiritualisme au Texas. On cite une médium de
ces fort intéressantes ; les esprits ont donné des explications sur l’ état particulier où nous n’avons pas conscience de ce
e remontai, les fonctions de la vie étaient peu à peu revenues à leur état habituel, sauf un reste d’agitation bien facile à
e vienne, par l'ellet de la magnétisation, à tomber lui-même dans cet état . >— Nous approuvons les réserves quant aux som
et exercés durant longtemps à se mettre au-dessus des sens; mais cet état est fort rare, et il faut parler ici de ce qui es
teur ; soins, et traitements qui ne furent pas continués à cause de l’ état peu fortuné du père (cet homme, ouvrier fileur ch
A ma seconde visite, qui eut lieu le même soir à huit heures, même état . Seulement les accès hystériques ont plus de forc
. Je le cite : a On doit entendre par magnétisme animal, d’abord un état particulier du système nerveux, état insolite, an
ar magnétisme animal, d’abord un état particulier du système nerveux, état insolite, anormal, présentant une série de phénom
un autre individu exerçant certains actes dans le but de produire cet état . L’existence du phénomène magnétique ne serait-el
en croire ses apologistes. Quelques malades retombèrent dans le même état après une guérison apparente ; d’autres ne purent
/’instinct. .Mais c’est se payer de mots; car, quand un individu, à l’ état de veille, jouit de la plénitude de ses facultés
la première. Les graves différences qui se trouvent entre les divers états d’un individu, n’autorisent pas à reconnaître c
sieurs personnes; ce qui serait un non-sens. Une personne arrivée à l’ état de somnambulisme jouit de facultés qu’elle ne pos
état de somnambulisme jouit de facultés qu’elle ne possède pas dans l’ état ordinaire ; puis, la crise une fois terminée, ell
roduisent, chez tout le monde, les' passages du sommeil ordinaire à l’ état de veille. L’individualité subsiste, quoique modi
itation du cerveau a suffi pour produire, chez certains individus, un état anormal dans lequel se sont développées des facul
’arrivée de chaque malade, le médecin de l’établissement constate son état ; il est tenu note jour par jour des magnétisatio
ets, ses genoux et toutes ses articulations étaient dans uu si triste état , qu’il était incapable de faire aucun service. Il
Reconnaissant enfin l’inutilité de ses efforts, il la laissa dans un état désespéré. « Un Indien assura qu’il y avait dan
lui parla, mais il ne put répondre. On le secoua poulie tirer de cet état , mais ses yeux continuaient toujours d’être fixes
ses parents ne comprissent pas qu’elle pût agir dans un aussi triste état . Elle consulta M°‘* Ogier, qui en somnambulisme
magnétisée. Je me chargeai du traitement après avoir fait constater l' état de la malade par M. le docteur Léger. Voici quels
ui défendis de se coucher à gauche. Je lui demandai le lendemain, à l’ état de veille, de quel côté elle s’était couchée. — D
ne supposition qui s’accrédite de jour en jour et passe bien vite à l’ état de certitude. De là naturellement liaine et désir
ysan, son ennemi, auquel il causait ainsi de cruelles insomnies et un état maladif; et ce bruit n’était point entendu de» pe
x allemands la nouvelle suivante : « Varsovie, le 20 janvier. « L’ état du feld-maréchal prince Paskiéwitch ne laisse plu
z. » Ainsi, de l’aveu môme des organes officiels, c’est alors que l’ état du malade n’offre plus aucun espoir, alors que ce
ait pas encore été délivré des bureaux; que les terres étaient en bon état et appartenaient légitimement à ses héritiers. —
de recevoir l’influence et les conséquences qui en résultaient sur l’ état naturel du sujet. Aussitôt que le bandeau fut app
turel du sujet. Aussitôt que le bandeau fut appliqué, le sujet fut en état de distinguer les objets. « On n'employa ni pas
Le don de voir vint instantanément. Elle ne paraissait être ni dans l’ état magnétique ni dans l’état biologique. Elle avait
tanément. Elle ne paraissait être ni dans l’état magnétique ni dans l’ état biologique. Elle avait conscience de ses actes ex
ssi susceptible d’éprouver tous les sentiments et les passions dans l’ état de clairvoyance que dans son état normal. Quand e
s sentiments et les passions dans l’état de clairvoyance que dans son état normal. Quand elle paraissait s’affaiblir et qu’e
la couleur de la reliure ; en un mot, tout ce qu’elle voyait dans son état naturel, elle Je voyait également dans son étal s
elle faisait ; mais cette circonstance n’apporta aucun changement à l’ état de la petite Phébé. Le bandeau fut ôté et remis à
rises. Du moment où la vision naturelle était obstruée, elle était en état de décrire les objets. Il n’y avait pas, comme da
emploi de la méthode ordinaire, d’intervalle pour qu'elle arrivât à l’ état de clairvoyance. Le bandeau n’apportait pas plus
s loin, son rayon s’est agrandi, il sait quelque chose de plus qu’à l’ état de chenille; c’est exactement la différence qu’il
llucination. Faits, 39, 455, 630. Insensibilité à la douleur dans l’ état magnétique, 169, 352, 368, 478, 521. Instinct d
ettant ses rêves en action, 102 ; — dame passant sans transition de l' état de veille au somnambulisme naturel, 103. Sorcel
ts, 578, 620. Vue à distance et à travers les corps opaques, dans l’ état magnétique, 59, 211 ; — dans le sommeil ordinaire
84 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
ue actionnaire en entrant devra représenter s’s actions et signer cet état de pré:ence. AriT. ia.. Les actionnaire* absent
les renseignements nécessaires, pour que la police médicale soit en état de prononcer en connaissance de cause. 5° Les m
relations entre les magnétiseurs et les individus qui se trouvent en état de somnambulisme vrai ou fictif, et appliquer les
tion, c’est-à-dire trois, ou quatre inspiration^ m’ont plongé dans un état extati-forme caractérisé par l’insensibilité et d
et émerveillé d'une si belle conquête. J’éprouvais, au sortir de cet état , un bien-être indicible qui me faisait engager to
a de céphalalgie et d’un malaise analogue à celui qui suit l’ivresse, état qui dura de deux à trois jours. Si ce résultat
oi aussi vous n’êtes pas guérie; du reste c’est vous-même qui, dans l’ état de somnambulisme, avez donné ce conseil. — Mais,
e qu’à moitié. Tous avez vu l'homme demi-mort, peut-être que dans cet état existe une confusion d’idées, et que les choses v
mense. Par le magnétisme, je m’explique le somnambulisme , et par cet état je comprends encore le jeu nouveau des facultés d
0 juin dernier, étant à Nemours (Seine-et-Marne), je fus informé de l’ état de souffrances continuelles de la petite Barrot,
que les yeux paraissaient pleins de sang; la mère me déclara que cet état durait depuis plus de deux années. A de rares int
me voir, j’exan.inai la malade, je la trouvai à peu près dans le même état qu’à l’époque où je fis commencer le traitement m
: appesantie par la suite de ses perceptions, elle voit le passé; son état ordinaire lui montre le présent; un état exalté l
ons, elle voit le passé; son état ordinaire lui montre le présent; un état exalté lui ferait peut-être découvrir l’avenir. E
et leur dit : — La somnambule va rentrer; un des privilèges de son état est d’être devenue, par le sommeil magnétique, au
des crises ignorées du magnétiseur et, par conséquent, rester dans un état de trouble capable de menacer sa raison. Le mag
y a deux ans que cela s’est passé, et il y a de l’amélioration dans 1 état de mon fils. Plus tard, je lui présentai un enfan
jours été; que sa maladie était le résultat d un accident, et que son état tenait à des circonstances physiologiquesqu’elle
on que le prétendu don de seconde vue, que posséderait cette femme en état de sommeil magnétique, n’est qu’une fable. » (C
Le sceptique nie l’existence de tout ce qu’il n’a pas vu; c’est son état . Un président de Cour royale disait devant une no
plus funeste qu’elle s’adresse de préférence à ceux qui sont hors d' état de la juger et de la reconnaître pour ce qu’elle
mérique. M. Esdaile offrit d’opérer un patient qu’on avait mis dans l' état convenable; le nabab déclina la faveur d’assister
ible, et je ne pus sous aucun rapport établir de différence entre son état et celui d’une personne plongée dans le plus inte
docteur Mouat, parce que je désirais avoir un témoin compétent de l’ état de cet homme. Je trouvai M. Mouat qui voulut bien
un mot le coma et le somnambulisme furent parfaitement identiques aux états magnétiques parallèles. Je ne puis établir comb
il était tout a fait insensible aux impressions extérieures dans son état de somnambulisme demi- éveil lé, ou somniveillo (
teur Mouat venant à soulever les jambes, les trouva dans un singulier état de rigidité, autre symptôme mes-mérique. Nous c
ste entre la sensation et la perception si souvent rencontrées dans l’ état mesmérique, sur laquelle j'ai si fréquemment insi
nt dans certains cas par des agents autres que celui (pii a produit l’ état magnétique, peut être attribué à une cause fausse
uche depuis 7 ans. 1 faiblesses de femme enceinte, que j’ai mise en état d’avoir une heureuse délivrance. 1 faiblesse de
vré la santé, tout en conservant scs glandes qui sont revenues à leur état ordinaire; il a pris tout à coup un développement
pris tout à coup un développement et une force remarquables, que son état précédent ne lui aurait absolument pas permis de
possible pour l’effrayer; le médecin lui disait surtout que, dans son état , ce serait fort dangereux pour elle; que ses nerf
u'il n’y avait rien à faire. Sans m’inquiéter de ses craintes et de l’ état effrayant de la malade, je l’actionnai vivement p
bout d’un quart d’heure le calme le plus parfait avait succédé à cet état violent, sans qu’il y eût l’abattement ordinaire,
la moindre contrariété. Une fois l’action passée, elle revenait à son état habituel'; je l’ai magnétisée une ou deux fois la
aissait en proie aux plus violentes convulsions, puis tout à coup cet état cessait brusquement et complètement; ses traits,
ntes que ce dévoiement l’affaiblit et l’énerva complètement. Dans cet état il eut de nouveau recours à moi, et au bould’une
ne seule magnétisation. Ce même jour, et c’éiait à une noce qu’en cet état elle avait dù venir, elle put impunément faire ho
esse, et notre jeune homme se trouve bientôt capable de reprendre son état de graveur sur métaux. Sa santé continue à être s
on strangulaire qui effraye sa femme; mais sans pousser trop loin cet état , je dégage sur les jambes, et aussitôt l’effet se
cie ; j’insiste en vain. Cependant il ne tarde pas en effet à être en état de reprendre ses travaux, sensiblement soulagé ma
es, ont trouvé moyen, dans l’exercice de la prière, de s’amener à cet état d’extase et de suprême quiétude si recherchée des
duite par le dawamesk. Les narcotiques qui commencent par produire un état de rêve, par faire cesser tout rapport avec Je* c
à la chose, et expose ce qu’il a fait, les malades qu’il a vus, leur état , les procédés employés, et les résultats obtenus.
dres. Lorsque je la magnétisai la première fois, elle était dans un état permanent de congestion cérébrale; la ligure gon-
dans cet instant tout est péril et danger, et nul ne sait encore si l’ état où nous sommes est grandeur ou démence. Le pouv
e autres lechirur-gien en second qui servit à la conviction de tout l’ état — major. Le bruit de cet événement se répandit bie
is c’est une langue dont l’homme aura perdu la clef en sortant de cet état supérieur, de cet Eden dont tous les peuples ont
, la colonne vertébrale, la poitrine et reins ont été remis dans leur état normal; les jambes étant revenues d’égale longueu
e quelques médecins qui présentent cette situation passagère comme un état habituel de folie; mais que diroient-ils si, lors
lus que, au retour de cette dame à Dijon, il voulut bien examiner *on état , et m’informer de son parfait rétablissement par
se. Je propose de choisir un ou plusieurs malades, d’en constater l’ état par tous les moyens connus en médecine, et l’état
s, d’en constater l’état par tous les moyens connus en médecine, et l’ état bien constaté et signé par M. Thouret sera cachet
parlerai pas, j’employerai seulement ma méthode pour reconnaître leur état ; j’en ferai l’exposé que je signerai et cachetter
trois dimensions multipliées entre elles. Un homme, par exemple, en état de payer son logement mille livres est certaineme
s les parties actionnées, et il se trouvait en peu d’instants dans un état complet de rigidité : contraction du tronc, des m
ans les limitesde notre connaissance; que, tout le temps que dure cet état , la personne ainsi influencée n'emploie qu’avec e
sa propre existence. Mais ce demi-sentiment ne s’est jamais élevé à l’ état de conviction. Avec tout cela ma raison n’a rien
end pas, excepté par son effet, jusqu’à mon existence normale. Dans l’ état somnambulique, il y a simultanéité et contemporan
tre le raisonnement et sa conclusion, la cause et son effet. Dans mon état naturel, la cause s’évanouissant, l’effet seul de
série de questions bien dirigées proposées à mon intelligence dans l’ état magnétique. Vous avez souvent observé la profonde
e, et la vaste science qu’il déploie sur tous les points relatifs à l’ état magnétique; de cette singulière science autopsvcb
j’aimerais mourir. Mais maintenant, il n’y a pas lieu à le désirer. L’ état magnétique est assez près de la mort pour me sati
de l’esprit, non de la pensée. La matière imparticulée, ou Dieu, à l’ état de repos, est approchant, autant que nous pouvons
ré la conquête de la vie ultérieure. P. Vous avez dit souvent que l’ état magnétique ressemblait à la mort de très-près. Co
t les ombres des étoiles, et à la perception des anges les réduit à l’ état de non entités. P. Vous dites que les astres n’
nature soient contrariées, et la guérison retardée?... Que, dans l’ état de santé, les centres nerveux envoient plus ou mo
dont j’avais sous les yeux les analogues; ou bien encore, si certains états que le vulgaire a souvent attribués à des maléfic
i provoqué bien des sortes d’aliénation, quelquefois sans suspendre l’ état de veille : j’ai ôté la faculté du souvenir, jusq
et de persévérance, j’imagine, et conséquemment sans succès. Voici l’ état de cet enfant lorsque je le vis la première fois
de ce repos forcé pour solliciter de nos amis quelques détails sur l’ état du magnétisme dans différents pays : la lettre qu
rt (de Garnay). Monsieur, Vous m’invitez à vous faire connaître l’ état du magnétisme dans nos contrées, le progrès qu’il
ieux qu’il me sera possible. Le magnétisme, ici, est à peu prés à l’ état d'embryon. 11 n’y a pas de séances publiques. Il
aire n’ont été que les phases à peu prés inévitables d’un phénomène d’ état social qui se poursuit, et qui, selon moi, n’accu
ne d’état social qui se poursuit, et qui, selon moi, n’accuse que cet état et nullement les personnes, du moins en général,
ue lorsque nous sommes hors du ton habituel de notre être, et dans un état où notre existence actuelle participe aux faculté
ouver des sensations sans le secours des sens; mais seulement dans un état de transition où notre âme, se trouvant plus inti
eille, ils tombent et sc tuent en perdant cet aplomb que leur donne l’ état de transition où ils sont en accord de 7", et e
é pour les tracasseries révolutionnaires, el passa vingt ans dans cet état de léthargie et non de somnambulisme. Enfin, cett
ûr garant des facultés ultrà-humaines que leur vision acquiert dans l’ état de somnambulisme, soit naturel, soit artificiel,
somnambulisme ne dépend point du tempérament. Si l’i-diosyncrasie; l’ état sanitaire, physiologique et psychologique du suje
ans, ne put manquer des médicaments et consultations qu’exigeait son état . On me rapporta que cette femme était affligée d’
après avoir été prévenue, me fut amenée par sa mère. Voici dans |uel état elle se trouvait alors. Agée de vingt-cinq ans, e
et perdit connaissance. Ma femme lui prodigua tous les soins que son état exigeait, ce dont elle se montra très-reconnaissa
rnièrement au Pont-de-l’Arche et m’étant informé au sieur Chenel de l’ état de santé de sa femme, j’appris avec un plaisir bi
i entretient la sensibilité des nerfs ; ils ne sont pas encore dans l’ état de paralysie, puisque la partie percluse ne se pu
e se putréfie pas et continue de s’alimenter. Cependant elle est en l’ état de mort accidentelle, privée de senlimentet de se
é avec le sommeil ne permet pas le moindre doute sur l’origine de cet état : le premier somnambule était insensible; mais qu
n’a point indiqué, ni peut-être prévu non plus, la production de cet état par un fluide humain étranger ; ce (pii est pourt
n pouvoir plus positif que le patient, et c’est ainsi qu'on produit l’ état qu'on appelle magnétique. Cet agent fluidique, qu
contact avec un autre système d’un pouvoir positif moindre, produit 1 état magnétique chez celui-ci, en soutirant le fluide
e l’esprit à l’égard du corps chez un homme profondément absorbé. L’ état magnétique ne dérange en rien l’ordre de la natur
s indispositions que ce moyen si simple guérirait invariablement. L’ état magnétique n’est pas seulement le sommeil magnéti
e l’usage des sens ni les facultés musculaires, mais à mesure que cet état s’élève, on éprouve davantage une sensation de bi
le sommeil magnétique est produit, et que souvent on le prend pour l’ état de clairvoyance, mais on se trompe : il n’est que
iment rare, le même qui joint une pensée à une autre pensée. Dans cet état l’esprit est apte a recevoir les impressions d’ob
isées par les forces du magnétiseur. Cette situation est analogue à l’ état naturel de désorganisation physique qu’on appelle
celte dernière résulte de la perte des deux puissances, tandis que l’ état de clairvoyance est produit par la fusion des for
hénomènes produits par la magnétisation sont les analogues des divers états anormaux de l'esprit, tels que le rêve, etc. : c’
uy — analyse et extrait, 351. Hôpital magnétique de Calcutta. — Son état actuel, 103, 215 281. — magnétique de Paris. —
50. — de M. Cahagnet sur le même sujet, 52. — du dr Dugnani sur l' état du magnétisme à .Milan, 38. — île Al. Jobard su
22. — Id. sur la magnétisation myologique, 315. — de M. Boméa sur l' état du magnétisme dans la Drôme, 327. — de M. Duboc
Sa définition, 278. Magnétisabilité, 279. Magnétisme (le). — Son état actuel en Orient, 168; — en Italie, 28, 159, 21
isme. — Cure d'orphthalmie, par M. Girollet, 39. Rapport annuel sur l' état de la société, 360.—Renouvellement du bureau, 363
il lui était impossible de se tenir debout. Lorsque je vis de près l’ état dans lequel était Esther Tavard (c’est le nom de
de son travail, est devenu tout à coup sombre et mélancolique; à cet état , en succéda bientôt un autre, mon oncle eut des m
nce de quelques jours, et, à mon retour, je trouvai le malade en pire état ; non-seulement les chants avaient recommencé, la
ncera. » En effet, le pauvre homme descendait de sa charrette dans un état pitoyable; à peine arrivé, je le magnétisais; que
ain, dans la soirée, je vis arriver sa femme toute effrayée du nouvel état dans lequel était son mari; il avait dormi et dor
s’éveilla, mangea avec un grand appétit, et revint, en un mot, à son état normal. A partir de ce moment, je fus complètem
complète en paraîtrait d’autant plus longue qu’elle offrirait moins l’ état actuel de la question. Ce qu’il faut entendre s
onférer à certains sujets, en vertu de la puissance qu’il possède, un état qu’il ne peut pas toujours, qu’il peut même très-
buste, exerçant, je crois, la profession de chaudronnier, fut dans un état de jactitation effroyable. J’avais remporté une g
ffaires «le Juin succombent malgré les soins les plus empressés et un état moral satisfaisant. L’éclatant succès des opérati
le savent, c’est l’absence de mort sur près de deux cents opérés, en état magnétique, qui a déterminé la création du Mesmer
est du H», si vous voulez m’en écrire une demain pour m’informer de l’ état actuel, vous me fairez plaisir : d’aulant que mal
tiellement expérimental; que, loin de s’y constituer de préférence en état de clairvoyance religieuse ou thérapeutique, il s
nt par le somnambulisme; mais si le somnambulisme, considéré comme un état de quasi-sommeil doué d’une activité intelligente
ivité intelligente, est un fait incontestable; la clairvoyance de cet état et l’intervention du magnétisme animal, pour le p
s à lame? Est-ce suffisant pour établir avec Ammonius d’Alexandrie un état où il n’y a plusde distance, plusd’impénétrabilit
lusd’impénétrabilitépour celle-ci? Est-ce suffisant pour enseigner un état où elle lira dans toutes les intelligences, dont
pas avoir la prétention de juger à fond ni à jamais, mais on sera en état d’apprécier la réalité des phénomènes qu’il produ
os voyants les plus renommés, et un journal scientifique donne, sur l’ état des expériences et des croyances, des détails cur
n changement complet, comme je viens de le dire dans mon ouvrage De l' état moral de l'Allemagne. dans la nouvelle Jérusale
étrangère à toute espèce d amour-propre et ignorant complètement, à l’ état de veille, les excursions qu’elle fait endormie,
ent de la bonne foi, il y a même plus que de la piété; il y a un rare état d’exaltation accompagnée d’élévation véritable da
érieurs à ce qu’elle eût été capable de dire sur cette terre dans son état habituel. Je ne dis pas son état naturel, car le
ble de dire sur cette terre dans son état habituel. Je ne dis pas son état naturel, car le sommeil magnétique n’est pas une
lle ne parlerait plus lors que du fâcheux esclavage que leur impose l’ état de veille; de leur vulgarité, de leur faiblesse d
mpose l’état de veille; de leur vulgarité, de leur faiblesse dans cet état , de leur asservissement désastreux aux opaques en
a parfaite habitabilité de tous ceux de ces globes qui ont passé de l’ état de gazéité et de l’état de fluidité, n’appartiend
de tous ceux de ces globes qui ont passé de l’état de gazéité et de l’ état de fluidité, n’appartiendrait-il pas à la métaphy
ale et le maintien du bon ordre. Les finances publiques sont en bon état quand la recette est égale à la dépense; si la dé
Et combien de fois ce levier lui fait-il défaut ! La santé est cet état dans lequel l’homme éprouve un sentiment de bien
qui n’admet aucune nuance de trouble au moral comme au physique. Cet état résulte d’un rapport parfaitement harmonique entr
oins profonde de ce rapport. Rupture qui détermine aussitôt un nouvel état dans lequel une activité particulière se développ
ade on trouve au nombre de quatre, puisqu’aux trois déjà existants en état de santé, la cause morbigéne vient s’ajouter. V
àe soli-elisrne comprend tous les systèmes qui prennent pour bases l’ état des parties constituantes de l’organisme dans la
. corres|>. du n» 72 arl. Touloust; c'est toujours dans le uiéme état : vos ordres n'auront pas élé exécutés. Stockho
re un vomitif ou un purgatif convenablement choisi. Le lendemain, cet état qui durait depuis plusieurs semaines, qui avait é
avez-vous si mal conduit cette maladie, que vous avez fait passer à l’ état chronique, soit par votre hésitation, soit par vo
soit assez puissante pour amener les crises qui doivent détruire les états pathologiques des organes affectés ; sans cela, l
selles, dérangement des règles. Certes, si sur d’autres personnes en état de santé j’avais pu, comme en magnétisai e déterm
les molécules d’une poudre fine sont à la dose de 5 centigrammes, en état de constituer par l’ensemble de leur surface une
ire connaître à nos abonnés les détails qui nous parviendraient sur l’ état actuel du magnétisme dans les départements. Nous
i-magnétisme. « Vous medemandez des renseignements relativement à l’ état du magnétisme à Metz et dans les environs. J’ai h
ntellectuelles semblent ne plus dépendre decelles qu’il possédait à l’ état de veille, et il se trouve doué, tout à coup de
e la connaissance de choses dont il ne s’était jamais occupé. » Cet état singulier se présente avec une grande variété dan
ssession, elle ne peut y lire ce qui n’y est pas gravé. « Il est un état , décrit par les magnétiseurs sous le nom Yextase,
’il soit permis de les révoquer en doute. » Le somnambulisme est un état de transition entre les deux vies, état dans lequ
. » Le somnambulisme est un état de transition entre les deux vies, état dans lequel lame emploie simultanément, mais impa
s tout individu par la conslruc lion coiorelle, le tempérament et l’ état organique ou moral du moment, et mêmedans chacun
t privé de ses esprits par la fonderie et la forge, mais de celui à l’ état de vie et de maturité que l’on trouve dans les en
ose, le défaut de menstruation, le réservoir décrit est approprié à l’ état du malade, il n’en est pas de même de tous les au
e à l'aide de laquelle elle se charge des molécules des corps dans un état de ténuité comparable à celui où les réduit la di
blir l’harmonie détruite par la maladie et pouvoir même conjurer tout état anormal du corps. Rien en effet ne semblait plus
une extension parfois si extraordinaire, qu’on ne trouve plus dans l’ état ordinaire de l’homme rien qui puisse y être compa
e tête, j’étais inquiet, le système nerveux commençait à être dans nn état d'irritation anormale, je ressentais parfois des
ritation anormale, je ressentais parfois des mouvements fébriles. Cet état se prolongea quelque temps sans me fatiguer beauc
en ai eu des preuves manifestes, et cependant la tète en feu, dans un état de délire, l’estomac surexcité, le pouls agité, e
d autre sans pouvoir m'arrêter nulle part ; enfin, je sentais, si cet état avait duré, la vie m’échapper. J’ai douté, jusq
à Abd-el-Kader comment il désire s’assurer que le sujet, dans un tel état , distingue les objets sur lesquels on appelle son
ui en étaient possédés ou obsédés! (On sait que la possession était l’ état de ceux qui avaient le diable au corps, c’est-à-d
corps, c’est-à-dire dans le corps même; tandis que Vobsession était l’ état des personnes sur lesquelles le diable agissait e
craint en outre que leur reproduction n’amène une perturbation dans l’ état social. Cela posé, j’aborde le récit, et pour l
arquer que c’était un parti pris par mon inconnu de me mettre dans un état continuel d’irritation. Il me flattait d’abord en
t beaucoup à réfléchir, et au milieu des pensées que me suggérait mon état je m’aperçus un jour que la direction du fluide é
pectacle m’était offert et je 11e me lassais pas de l’admirer. Dans 1 état de contemplation où je me trouvais le rapport ave
tèrent dans les premiers temps à faire touteequi pouvait aggraver mon état . Il est même probable que les conseils perfides d
n dans laquelle on me raillait du peu de succès de mon voyage, et cet état d’exaspération rendait sans doute mon système ner
centrai le plus possible pour éteindre ce rapport. Je restai dans cet état près d’une heure, durant laquelle l’influence de
ser, je rompis de guerre lasse cette position fatigante. Revenu à mou état normal, je reconnus qu'il n’y avait rien de chang
t par esprit de vanité, mais afin qu’on ne puisse supposer que dans l’ état où je me trouvais, il pouvait y avoir chez moi qu
is pas à ces simples impressions qui pour toute personne ignorant mon état pourraient paraître vagues, j’attendais pour plus
t à tel point qu’elles me firent cracher le sang et me mirent dans un état des plus alarmants. Au milieu de ces inconstanc
ésultait une douleur constante vers les pnrlies comprimées, lîans cet état je remarquais que la sensation des pincements que
njectures hasardées. L’améliorationquece procédé produisit dans mon état me permit de persévérer et de poursuivre la lutte
il m’on éloignait, ou bien me poussait à leur accomplissement. Cet état de découragement qui avait suivi la surexcitation
commence à le croire, car ici comme ailleurs je n’ai obtenu dans mon état qu’une légère amélioration qui disparailra peut-ê
ns lui faire part dumotifde ma visite, je lui exposai brièvement inon état qui parut l’intéresser; cherchant à rappeler ses
it pour l’avenir plus de poids à mes paroles. Quand je parlais de mon état , on avait 1 air d'en rire, de le considérer comme
constaté, dis-je, que la transmission de pensée pouvait s’obtenir à l’ état de veille d’une manière plus régulière et plus co
ans le somnambulisme; mais ce qu’il y a de remarquable dans ce nouvel état , c’est que les rôles se trouvent, en quelque sort
rfection. Si je me permets d’exprimer ici mon opinion sur ce nouvel état des sujets magnétisés, c’est que j'ai causé plus
leur examen, dans l'espoir d’en tirer quelque éclaircissement sur son état et d'obtenir de leurs révélations quelque moyen c
r ces différents points. Une autre somnambule après avoir reconnu l’ état d’agitation nerveuse du sujet, se trouvant embarr
hui, en raison des souffrances qu’on lui a fait éprouver, dans un tel état d’exaspération qu’il ne peut plus se maîtriser et
anière à lui enlever tout moyen de recherche à ce sujet, soit que son état d’agitation extrême ne lui ait pas permis d’emplo
mbule consultée est entrée dans des détails très-circonstanciés sur l’ état de la personne avec laquelle on la mettaiten rapp
ifficilemnt à bout de la faire cesser, parce qu’elle était passée à l’ état chronique. Pourtant elle indiqua la magnétisation
itement magnétique, qui a déjà produit une légère amélioration dans l' état de notre obsédé. Dans le principe il n’éprouvait
n sur lui. Après avoir été magnétisé, notre protégé se trouve dans un état d’assoupissement qui paralyse en partie le pouvoi
été Magnétolo-gique de Paris, vient aussi de mourir. Chronique. — L’ état du magnétisme, à Paris, s améliore sensiblement.
e mon admiration sans bornes.» A ce moment, la malade était dans un état de mort apparente, qui durait depuis plusieurs jo
uissantes, à l’action des plus forts stimulants; j’avais affaire à un état dont le pareil ne s’était jamais offert à ma vue,
reprenant leur cours, la malade se trouva incontinent replacée dans l’ état morbide primitif. Ma seconde visite eut lieu si
ux ganglionnaire paraît être le siège habituel de ses fondions. A l’ état rudimentaire, chez le fœlus, l’instinct préside a
s de nos habitudes ; aussi l’observons-nous rarement chez l’homme à l’ état normal. Nous n’en retrouvons de traces que chez l
de les analyser et de les décrire. Maintenant, parlons un peu de l’ état actuel denotre malade, puisque vous vous intéress
ligence supérieure. Quoi qu’il en soit, c’est un problème qui, dans l’ état présent des choses, ne saurait être résolu. On ne
Il y a des somnambules qui.scmblcnt s'identifier si intimement à l’ état des malades, soit par une sorte d’efllux de matiè
hier (Traité prat. du Magnét., p. (512 ), se refusent à examiner leur état ; ils éprouvent de la répugnance pour le tableau q
rs tous leurs soins et lui indiquent la médication qui convient à son état . Je né me suis jamais trouvé en présence d’un de
rincipe, sauf de rares exceptions : la lucidité qui se déclare dans l’ état de santé diminue presque toujours ou disparait en
de santé diminue presque toujours ou disparait entièrement pendant l’ état de maladie ; la lucidité qui commence dans l’état
tièrement pendant l’état de maladie ; la lucidité qui commence dans l’ état de maladie disparaît, au contraire, quand la sant
s jambes, aux pieds et aux mains. Des frissons vinrent compliquer cet état ; le pouls s’affaiblit considérablement ; agitatio
dormis de nouveau à neuf heures : elle passa la nuit entière dans cet état . Le mercredi 5, je visitai madame B. à huit heu
aque jour, depuis ce moment, une amélioration bien notable dans son état , et huit jours après elle put reprendre ses habit
imentation sévère du savant. M. Charpignon a parfaitement compris l’ état dans lequel l'exigence des esprits posait la ques
s le public lui avait dit: «Si « vous voulez commencer par prouver un état de k coma, de sommeil simple, nous vous croirons
ri un cas sans autre effet apparent que l’amélioration graduelle de l’ état du patient, qui n’éprouva plus le moindre malaise
s’est passée comme elle l’avait rêvé. 11 pense que la lucidité est un état anormal, et que ceux qui explorent l’inconnu par
avec succès, quoiqu’il en eût été effrayé dans l’origine. « Dans l’ état magnétique, il y a désunion , pour ainsi dire, en
qu’il ne fait qu’imaginer. Le sommeil naturel est aussi une espèce d état de détachement. M. Parsons croit que l’âme peut s
durant longtemps qim le coma pouvait être produit, et que, dans cet état , le patient ne sentait pas exactement le même deg
ges de médecine un seul cas bien observé, montrant qu’une personne en état de catalepsie ou de somnambulisme possède des fac
rien de ce qu’a avancé M. Parsons, si ce n’est qu’on peut produire un état comateux dont le magnétisme animal ne lui paraît
t sentiment est aboli. C’est pourquoi il nie qu’on puisse produire un état dans lequel le corps sente le moins, et non le pl
z de choses dans l’Écriture, 1 histoire ancienne et 1rs récits de l’ état actuel de l’Inde, de la Chine et de la Turquie, p
des Statuts, i l'effet d'entendre le rapport annuel du (iéranl, sur l' état de la Société. BIBLIOGRAPHIE. SAGGIO SL’LL’ A
nt pu exister entre nous et nos malades, qui, quoique tombés dans cet état plusieurs années avant qu’ils nous soient connus,
la force vitale, il est nécessaire que le magnétiseur soit en parfait état de santé pour qu’il n’en résulte rien de fâcheux
t un livre. Ces objets furent vus et décrits exactement par elle. L’ état cataleptique existait au plus liant degré, et la
uit mois à partir do ce jour. Dès lors ses fonctions reprirent leur état normal, et, « je la magnétisai irrégulièrement, d
près ces deux magnétisations, il y eut sensible amélioration dans son état . • Je ne pus la faire parler qu’à la treizième
re, en Angleterre, un Monsieur qui se trouve précisément dans le même état que l'obsédé dont il est question dans le Mémoire
ement à agir sur sa raison , à l’éclairer sur l’impossibilité que son état misérable fût dû au pouvoir magnétique ; mais je
lire, et je connais plusieurs magnétiseurs eux-mêmes qui sont dans un état voisin de l’hallucination : à force de s’exagérer
ura rendu clairs et sensibles les faits qui, aujourd’hui, sont ou à l’ état de doute, ou présentés avec une auréole qui empêc
r cependant que, par un mélange de somnambulisme ou d’extase avec cet état anormal, les objets et les personnes vus de celte
ns de la raison. Tout a donc besoin d’être pondéré, et c’est dans cet état seulement qu’on jouit de la santé. Rien n’est p
profonde , les muscles semi-volontaires participent graduellement à l’ état général du système musculaire : soit qu’il y ait
laire : soit qu’il y ait rigidité, catalepsie, ou flaccidité ; et cet état est souvent si complet qu’on n’aperçoit aucune tr
’éveilla bientôt après spontanément, dit-il. « Le 6, il me parut en état d’étre opéré. « Le 7, j’invitai beaucoup de per
, donna toujours cent-vingt pulsations en sommeil et quatre-vingt ü l’ état normal. » Après les détails chirurgicaux de l’o
r l’usage approprié de laxatifs et de quinine. La plaie paraît en bon état , et se ferme rapidement. 11 s’assied maintenant s
t j’aurais pu l’opérer dès le quatrième sans une particularité de son état magnétique, que j’observai tout d’abord, et dont
des Statuts, i l'effet d'entendre le rapport annuel du Gérant, sur l' état de la Société. Le jour, l'heure el le lieu de la
85 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
ne affirmation qu'il serait bien imprudent d'avancer, étant donné l' état actuel de nos connaissances. Et on pourrait app
up la mémoire et son visage est peu expressif. L'appétit est bon, l' état général très satisfaisant; les viscères thoraciqu
té les renseignements qui nous avaient été fournis. Il était dans l' état suivant : le tremblement et l'embarras de la* p
'existent plus; il a toujours des vertiges, de la céphalalgie et un état neurasthénique complet. Il s'agit ici d'un homm
e. Les troubles psychiques, l'abattement du visage, la tristesse, l' état dépressif appartiennent à l'hystéro-neurasthéni
ulus. Dans le membre supérieur gauche, il y a, presque toujours, un état de trémulation d'inten- sité variable qui ne se
ances d'électrisation, amélioration sensible. Par la suggestion à l' état de veille et la faradisation, au bout de cinq jou
ssance et miction involontaire. A la suite, il eùt quelque temps un état mental bizarre : il était comme abruti. En 1874,
le centre semble être aux genoux; les mollets semblent être dans un état de contraction réflexe, de demi-contracture. Pend
he est diminuée. Au point de vue psychique, il est peu intelligent; état mental affaibli. La santé générale est bonne, e
aravant, ne pouvaient être soulevés du lit et étaient restés dans cet état d'impotence et d'inutilité durant plusieurs moi
onfortante, et, cependant, la figure garde un bon aspect. Tel est l' état actuel, que cet homme considère, par comparaiso
nt, sans cause appréciable, d'une paralysie de la langue, puis d'un état léthargique, durant lequel il entendait et voyait
fficulté, etc. Au bout de dix minutes, il rentre dans son pre- mier état . L'auteur conclut sans autre forme de procès :
On le renvoie le 16 octobre. Plus tard survient une récidive de cet état mor- bide avec des symptômes identiques et une
à l'hôpital. Six ans après, le 5 décembre 1872, il revenait dans l' état suivant : lorsqu'il est dans la situation horiz
t. L'examen de la sensibilité n'est pas prati- cable à cause de son état psychique. II paraît certain « scheint es sicher
. Un traitement par les bains sul- fureux améliore sensiblement cet état . Depuis un quinzaine de jours, de nouveaux symp
uleur lombaire, vertige et tendance à la syncope. 11 reste dans cet état pendant quatre mois. Au bout de ce temps, complèt
supérieurs, l'impotence et l'atrophie étaient restées dans le même état . Etat actuel. Ce qui frappe tout d'abord chez c
appe tout d'abord chez ce malade, quand on l'exa- mine assis et à l' état de repos, c'est l'expression de ses yeux immobile
er- tèbre cervicale est extrêmement saillante, beaucoup plus qu'à l' état normal, et au-dessus d'elle il existe un vérita
la pronation au contraire, quoique beaucoup moins énergique qu'à l' état normal, présente cependant une certaine énergie
pouvait même pas se tenir debout, commence à marcher. Néanmoins, l' état des membres supérieurs est resté stationnaire. Le
l'élévation; l'abais- sement s'exécute assez bien. ? - . 0. G. L' état est sensiblement le même. Pas de strabisme au rep
re heures. Six accès en tout. Depuis qu'il est dans le service, son état est à peu près stationnaire. Sans accès de migr
peut faire aujour- d'hui comme un grand progrès. ' Tel était son état lorsque nous avons pris cette note, c'est-à-dire
me; il est devenu triste, songeur et paraît très préoc- cupé de son état . ,Motilité. Moyennement musclé. Pas d'autres tr
aux questions que nous lui adressons, paraissant se trouver dans un état bizarre de demi-conscience et l'air préoccupé.
dans son imagination. A ce moment précis où elle se trouve dans cet état bizarre, les impressions sensorielles restent san
res qui persistaient. La malade revient alors progressivement à son état habituel et la mémoire de tout ce qu'elle a vu
beau- coup plus complexes et plus variées. Nous n'avons pu ni à l' état de veille, ni pendant la période som- nambuliqu
ais dépitée, s'arrête. Nous avons appris en le lui deman- dant. à l' état de veille, qu'elle ne connaissait pas cette derni
de technique, après avoir indiqué cependant en quelques traits les états morbides où peut convenir. cette opération, c'est
vec un indice céphalique très peu considé- rable et j'ai constaté l' état avancé des sutures en même temps que l'étroites
entriculaire, scléroses cérébrales limitées ou diffuses, etc. Ces états coïncident d'ailleurs avec la synostose prématuré
que la synostose crâ- nienne prématurée n'est le plus souvent qu'un état morbide qui a pour causes le plus souvent la sy
uvent la syphilis héréditaire, l'alcoolisme et le rachitisme. Les états morbides qui, dans une certaine mesure, m'ont par
isant à peu près défaut; le crâne DE LA CRANIECTOMIE, 99 offre un état éburné. Certains crânes d'enfants, de trois, cinq
océdés expérimentaux,- comme chez les hystériques, est définie : un état pathologique du muscle caractérisé par la raideur
contracture se produise est de dix à quinze secondes. , Dans cet état on constate que les muscles de la main et de l'av
ssion des tendons. Mais le tremblement alcoolique est augmenté. Cet état de. contracture peut être maintenu aussi longte
ifié, et il est de vingt- quatre inspirations par minute, comme à l' état normal. Le coeur bat un peu plus rapidement, et
oeur bat un peu plus rapidement, et de quatre-vingts pulsations à l' état normal, il va à quatre-vingt-seize par minute.
CONTRACTURE VOLONTAIRE 1 : 111;7. UN ILYS'fI;NIQUE. 108 cesser cet état de contracture, il agit lentement. La masse intes
e nerfs. Nous avons pris quelques tracés pneumographiques pendant l' état normal et l'état d'immobilisation volontaire du
ns pris quelques tracés pneumographiques pendant l'état normal et l' état d'immobilisation volontaire du thorax. A l'état n
l'état normal et l'état d'immobilisation volontaire du thorax. A l' état nor- mal (fig. 22) la respiration ne présente r
)les en montrant que « par le seul fait qu'une hystérique, même à l' état de veille, fixe son attention. sur une partie de
gtemps le diaphragme, les intercostaux et les muscles abdominaux en état de contraction, n'est pas chose commune. Lorsqu
tremblement hystérique vibratoire disparaît pendant le sommeil. A l' état de veille, il ne s'efface jamais complètement, mê
toujours s'apaise et cesse dès que le malade passe de l'action à l' état de repos. Les hystériques trembleurs qui répond
EMENTS HYSTÉRIQUES. 111 membres, le corps tout entier entre dans un état d'agitation violente, il tel point que, parfois
ques instants. Mais ceci n'a lieu que lorsque le malade est dans un état de calme absolu; et pour peu qu'il se sente obs
e 26 juin 1889. Antécédents héréditaires Mère épileptique, morte en état de mal, a l'âge de trente-six ans. Père mort de
t éveillée, dès qu'il se sent observé. Le tremblement des mains à l' état de repos présente aussi ce caractère. Le nombre
lérose en plaques. Ce dernier cesse toujours et complè- tement il l' état de repos. Lorsqu'on est en présence d'un malade a
u lit même il avait de très forts soubresauts dans les membres. Cet état persista plusieurs mois et s'amenda au point de
sa présence indispensable au milieu de ses hommes. Il craint que l' état morbide dans lequel il se trouve ne lui porte t
il persistait encore, uous dit le malade, il y a quelques mois. Cet état l'inquiétait fort, c'était un tourment pour lui
s boissons alcooliques. Ces troubles divers persistèrent. Tel était l' état du malade, lorsqu'il y a cinq mois, pendant le
E LA SALPÊTRIÈRE. appliqua des pointes de feu dans le dos, mais son état ne se modifia en rien. Quelques jours après sa
son mémoire légitimes, s'il, existait, en dehors de l'hystérie, des états dynamiques capables de reproduire le tableau delà
LINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 129 L'absence du nystagmus, l' état des réflexes tendineux, la recherche et la cons
é, ces vertiges sont des attaques d'hystérie avortées, arrêtées à l' état naissant. Parfois, en effet, ils se terminent par
et la fixité du regard, l'hébétude de la physionomie dépendent de l' état neurasthénique dans lequel sont si souvent plon
ciliter la solution du problème. Bref, rien ne doit être négligé; l' état actuel, le passé, la marche doivent être interr
encé- phalite supérieure de Wernicke. Les choses restèrent en cet état pendant quelque temps. Il n'existait alors aucu
ffet le malade était médecin, se rendait parfaitement compte de son état , s'exagérait même peut-être la gravité du pronost
a ni ataxic, ni signe de Romberg, ni troubles de la sensibilité. L' état général du malade est excellent et l'affection,
dui- sit une certaine amélioration du côté de l'oeil gauche; mais l' état de l'oeil droit s'aggrava : les deux pupilles é
et le gros orteil. Les yeux étaient restés à peu près dans le même état ; il n'en souffrait pas. A Panama, il contracta
ngé deux serpents sans qu'un mieux sensible se fût produit dans son état . « Un jour, comme le roy Clovis sommeilloit, il
'est que l'éruption fut accompagnée d'un oedème considérable. Cet état dura depuis le mois de décembre jusqu'à il y a un
s réponses sont parfaitement lucides. Rien ne trahit en apparence l' état mental qu'elle présente. Ni le père ni la mère
ître M. Lailler et faites en mai 1881, donnent une idée exacte de l' état de la malade à cette époque. Depuis sa sortie d
figure parfois qu'elle a plusieurs maladies, elle s'attriste de son état qu'elle croit incurable et a peur de mourir à la
incurable et a peur de mourir à la moindre indisposition. Sauf cet état mental qu'elle raconte, il n'y a aucune espèce de
des transversales qui ne sont pas plus sensiblement accusées qu'à l' état normal. Les sourcils sont, relevés comme dans l
qui est intéressée. Les plis haso-géniens sont plus accusés qu'a l' état normal, la moitié infé- rieure des joues est fl
résultat la production d'opacités cornéennes. C'est en raison de l' état de sa vue qu'elle a été admise à la Sal- pètriè
bnubilation de la vue; tout cela accompagné d'une vive anxiété. Cet état de malaise alla s'accentuant pendant une demi-heu
nous voulons faire ressortir en terminant, c'est qu'il s'agit d'un état pathologique spécial ayant revêtu le masque de la
p à pleurer sans trop savoir pourquoi. Constamment préoccupé de son état de santé, il disait souvent à sa femme qu'il av
lombaire persistaient. Parfois il était pris de vertiges. Tel était l' état du malade, lorsque dans les premiers jours de n
rapeutiques diverses auxquelles il a été soumis. Voici quel est l' état du malade le 3 juillet 1889, jour de son entrée à
juillet, puis le 4 et le 20 août. Il n'y a rien de changé dans son état . Il présente également les mêmes symptômes que no
et sa jambe blessés, il alla se coucher. Mais il était dans un tel état d'angoisse et d'agita- tion qu'il lui fut impos
ez calme, mais tous les soirs vers 8 ou 9 heures il entrait dans un état d'agitation violente accompagnée de rêves, de c
cesse, puis reprend soit à l'occasion d'un mouvement, soit en plein état de repos. Dans ces moments de calme relatif, l'
ts héréditaires. Le malade ne peut donner aucune indica- tion sur l' état de santé de ses grands-parents. Celle réserve fai
tal; son amplitude s'accroît à chaque fois que la malade passe de l' état du repos à l'accomplis- sement d'un acte quelco
s de l'oreille droite; et puis, au bout d'une ou deux heures de cet état douloureux (elle s'élait couchée), elle perdil
difficulté. Il n'avait pas du tout de fièvre ; il dormait bien. Cet état de contracture persista sans se modi- fier pend
bras et sa main tendus hori- zontalement. Elles ne cessent pas à l' état de repos, et leur amplitude ne, s'accroît que f
s les circonstances que voici : Un soir son père rentra chez lui en état d'ivresse furieuse, criant et frap- pant à tort
es, au nombre de 6 à 6 1/2 par seconde. Le tremblement persiste à l' état de repos, mais les oscillations sont plus ample
ts il devient intermittent; alors, si l'on observe le malade dans l' état de repos, sa main reposant sur ses genoux, ou pen
s traitements ne produisirent aucune amélioration. Tel était donc l' état de la malade lorsque, vers le 28 juillet environ,
ements dans l'oreille droite, puis au bout de quelques jours de cet état douloureux on lui avait appliqué des vésicatoir
ne sont le siège d'aucune secousse, d'aucune oscillation, soit à l' état de repos, soit pendant les mouvements volontair
du corps. - Si on l'observe attentivement lorsqu'elle est dans cet état de calme parfait, on ne tarde pas à voir appara
ade boite un peu en marchant, mais cette boiterie est causée par un état douloureux de la région du cou-de-pied droit. En
lement. Nous n'avons pas pu essayer l'effet de la suggestion dans l' état de sommeil hypno- tique, aucun de nos malades n
tion mentale, en nous y révélant les traces d'anomalies diverses, d' états pathologiques que nous aurons à spécifiera l'ai
ccipitales; leur situation symétrique ou non (pl : 1giocéphalie), l' état des sutures craniennes (scaphocéphalie, trigonocé
froide ni cyanosée. Enfin, la nutrition cutanée est intacte et l' état général n'est pas modifié. . La marche ultéri
e. Seuls les membres supérieurs sont restés à peu près dans le même état ; en tout cas . les mains ne sont pas plus habil
lioencéphalite, il n'existe guère de modifications bien nettes de l' état normal, chez le myopathique au contraire, l'ensel
ents noyaux, les autres éléments enfin ne s'écartaient en rien de l' état normal. Vaisseaux dilatés dans le terl'ltoirc-11c
ngestionné et les ventricules con- tenaient plus de sérosité qu'à l' état normal. Les cordons de Goll étaient sclé- rosés
l fut examiné par Westphal (septembre 1882), le malade présentait l' état suivant : deux cicatrices bien nettes sur le péni
sur leur trajet inlra-médullaire, les nerfs pathétiques étaient en état d'atrophie complète. Atrophie très prononcée des
llules ganglionnaires sont seulement un peu moins nombreuses qu'à l' état normal bien que l'hypérémie soit notable. Il es
chaudière. Aucun débris ne l'atteignit; néanmoins il resta dans un état d'agitation indes- criptible. Pendant trois jou
que, à la con- tracture spasmodique de certains muscles, succède un état nouveau qui est la rétraction indélébile, le mu
rès la pose du premier appareil; 2" après la pose du second; 3° à l' état actuel. 252 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
onna, dans une note manuscrite, les renseignements suivants sur son état actuel : « La jambe pouvait s'étendre complètem
oux touchaient le menton. Les pieds étaient dans l'extension. Cet état de douleur et de contracture se prolongea jusqu'e
n gauche du malade avant l'amputation du médius. Le second montre l' état actuel de cette même main. OBs. Pierre IIerth,
uté en août sans raison et sans douleur. Voici d'après M. Le Fort l' état du malade à cette époque : Le 30 septembre, à l
ontanément et tombait dans le pansement. Aujourd'hui 12 décembre, l' état local est le suivant. Le médius gauche est volu
ement aplatie l'éminence hypothénar nel'est que beaucoup moins. Cet état d'atrophie partielle de la main contraste avec
en convalescence d'où il revenait pour rentrer à la Salpêtrière. ÉTAT ACTUEL(6février 18(1)(t.'XXIX, XXX). -L'examen du
IE. 261 l'observation si complète que nous venons de rapporter, l' état du malade n'ayant pas sensiblement varié depuis
nflée et rouge. En effet le soir à cinq heures sa main était dans l' état suivant : OEdème coloré de la face dorsale du m
type parfait des dents dites « en gradins ». Le nez représente à l' état d'ébauche le nez dit « en lorgnette ». Enfin son
nge rien au fond des choses. Ce sera le cas ou jamais de désigner l' état morbide dont souffre notre malade sous le nom d
de plus en plus, le 23 février, il fut apporté à la clinique dans l' état suivant : État actuel. Le malade est constammen
peu diminué (il a été impossible de l'examiner à fond à cause de l' état psychique du patient). La compression des tronc
e faire un examen plus complet de la vue et du fond de l'oeil, vu l' état psychique du patient, quoique nous nous fussions
ne ni sucre; le soir la température était de 36 ? 2.1' février. L' état du malade est pire; l'état cyanolique du isi-c et
pérature était de 36 ? 2.1' février. L'état du malade est pire; l' état cyanolique du isi-c et des mains est plus marqu
it privé de connaissance ; de temps en temps il délire doucement. L' état cyanolique est très marqué ; le pouls est insen
ties environ- nantes. A l'examen microscopique de cette partie (à l' état frais), on trouva une énorme quantité de globul
tres parties du cerveau. La moelle allongée paraissait aussi en bon état , mais dans le quatrième ventricule l'épendyme éta
urs, gonflement et immo- bilité, presque permanente. Obligé par cet état à rester couché dès sa plus tendre enfance, son
t d'abord l'expression générale de la physionomie en rapport avec l' état ou l'alté- ration des facultés. Nous aurons l'o
conque et est séparé du tragus par l'incisure interlra- gienne. A l' état normal, le tragus et l'antitragus ne forment pas
e de dépression. La face interne ou crânienne du pavillon offre à l' état normal des saillies et des dépressions disposée
). Hélix. - La racine de l'hélix, comme nous l'avons vu, forme, à l' état normal, à la partie antérieure de la conque un
ibuant 'les caractères de l'oeil mongolique à la per- sistance d'un état foetal. -Ces caractères de l'oeil mongolique se r
l'oeil mongolique se ren- contrent parfois chez les Européens et l' état congénital particulier, décrit sous le nom d'ép
leur éruption et l'évolution du système dentaire. La denture est l' état du système dentaire au moment de l'observa- tio
x races supérieures (Darwin, Mantegazza). Pour l'observation de l' état actuel du système dentaire, la denture, je vous
iffre il partir de la gauche se rapporte à la demi-arcade droite. L' état du système dentaire doit être examiné au point de
du pénis, qui peut être petit, atrophié ou très développé, même à l' état de flaccidité, sa direction (torsion de la verge)
sont loin d'être rares, en particulier chez les mélancoli- ques ; l' état des ganglions et les cicatrices ganglionnaires (s
es ganglionnaires (scrofule, syphilis); la flaccidité de la peau, l' état du tissu cellulaire sous-cutané (dermatolysis,
s amenant une déviation du type normal qui place l'individu dans un état d'infériorité relative. Elles dénotent un arrêt
ologiques dites réversives qui sem- blent placer l'individu dans un état d'infériorité absolue en amenant une déviation
es zones ne sont pas hystérogènes. La région lombaire présente, à l' état très accusé, cette saillie normale qu'a signalé
ité. - Les membres inférieurs sont raides, en extension incomplète, état qui empêche d'obtenir les réflexes rotuliens. L
lgré plusieurs tentatives de chloroformisation et d'hypnotisation l' état de la malade ne s'améliora pas, et elle quitta
a dans le service de M. le professeur Cornil, toujours dans le même état . De longues considérations seraient ici superfl
ade entre chez Beni-Barde, à Auteuil, le 10 juin 1881, dans le même état ; elle y reste trois mois et en sort sans améliora
ous n'avions obtenu d'autre résultat que le maintien favorable de l' état général sans aucune amé- lioration du côté des
inte d'oreillons qui ne présenta rien de particulier. En 1884, même état satisfaisant. En 1885, la malade se marie, elle é
e 1887, elle fut prise subitement de claudication déterminée par un état de faiblesse du membre inférieur droit. Cette cla
x yeux. `1cJ novembre 1887. La malade quitte l'hôpital dans le même état . Que l'hystérie soit en jeu chez cette malade,
s et ces signes probables d'hérédo- syphilis, la malade présente un état mental caractéristique; elle rit ou pleure sans
lalgie persistante, continue, mais entre- coupée de paroxysmes avec état fébrile et coloration marquée du visage. Il lui
a marche et la station debout. « Il y a là, nous écrit M. Sirot, un état paraplégique qui, vu l'antécédent paternel, me
formations rachitiques, mais qu'elle doit plutôt être rattachée aux états de dégénérescence dont elle constituerait un des
LA POITRINE. 337 Le tableau précédent résume, au point de vue de l' état mental et des signes physiques de dégénérescenc
dé- formation de la poitrine en avant : de convexe qu'elle- est à l' état normal, la paroi tho- racique antérieure devien
ts por- teurs de tares héréditaires plus ou moins lourdes et dont l' état mental est lui-même rarement indemne. Relativ
ut relever que d'une influence dégénérative. Pour ce qui est de l' état mental on constate aussi, comme nous le disions
jets porteurs du thorax en en- tonnoir d'autres malformations, leur état mental, leurs antécédents héréditaires psychopa
ice et créatrice, inter- vient pour constituer de toutes pièces les états dégénératifs, les dévia- tions du type normal d
ui cependant lient de l'une et de l'autre. Il ne se traduit, dans l' état ordinaire, par aucun signe objectif; le malade
le professeur Charcot, sous le nom de diathèse de contracture-. Cet état spécial du système neuro-musculaire tient de la p
l'hystérie. Elle a été désignée par quelques auteurs sous le nom d' état d'opportunité de 1. Nous pensons être agréable
ployé la dénomina- tion de diathèse de contracture pour désigner, l' état nerveux dont il s'agit et dont il plusieurs rep
de la contracture, in Prog. méd. 1880. · Ballet et Delanef, De l' état d'opportunité de contracture, in Gaz-, méd. de Pa
s, °-9 juillet 1882. Brunet, Elude clinique et physiologique de l' état d'opportunité de contracture. Th. Paris, 1883.
ubes, Eludes sur les contractures provoquées chez les hystériques à l' état de veille. Th. Bordeaux, 1885. P. Berbez, Sur
'exaltation des réflexes tendineux ne comporte pas nécessairement l' état de diathèse de contracture. 2° Trépidation épil
rique. Il acquiert une importance beaucoup plus considérable dans l' état de contracture latente des hémiplégiques organi
tôt l'une sur l'autre et ne tardent pas à se confondre dans un même état de contraction tonique analogue à la tétanisation
ste Fig. 03. incomplète et le muscle demeure raccourci. Il est en état de contrac- ture (fig. 64). c. Mais le plus s
te par un souffle ou un courant d'air léger; i. La suggestion à l' état de veille. Tous ces procédés dont on pourrait a
entôt d'elle- même. D'autres fois, on ne parvient qu'à provoquer un état de raideur permettant un certain déplacement de
raideur permettant un certain déplacement des parties comme dans l' état cata- leptoïde ou fausse catalepsie. Mais lorsq
s récemment délivrés d'une contracture spontanée et étant encore en état de diathèse de contracture, nous avons observé
hénomènes. Cette contracture, de même que celle provoquée pendant l' état hypnotique, est susceptible parfois, mais non t
tion ne cédera que sous l'influence d'une suggestion contraire. L' état hypnotique qui nous offre au plus haut degré cett
u'on vient de lui faire prendre par voie de suggestion pen- .dant l' état cataleptique, et l'on peut constater qu'il s'agit
st endormie de nouveau. La contracture persiste toujours. Pendant l' état léthargique, l'excitation mécanique des muscles e
s en vertu de l'hypcr- excitabilité neuro-musculaire, spéciale de l' état léthargique sont sans influence sur la contract
ntracture existante, et produite par impression psychique pendant l' état cataleptique. La malade est plongée alors dans l'
que pendant l'état cataleptique. La malade est plongée alors dans l' état somnam- bulique par la friction sur le sommet d
somnam- bulique par la friction sur le sommet de la tête. Dans cet état , l'hyperoxcita- bilité neuro-musculaire létharg
poing fermé de notre sujet. Enfin, le sujet est mis de nouveau en état de catalepsie. On attire alors son regard sur s
s la paume de la main que la malade dit être douloureuse. Pendant l' état léthargique, la contracture de la main en flexion
ique des muscles fléchisseurs. La malade est ensuite plongée dans l' état cataleptique. La suggestion est impuissante a r
contracture. Ensuite la contracture est détruite par le retour à l' état léthargique et l'excitation des antagonistes. P
pliqué un quart d'heure. On hypnotise à nouveau le sujet. Pendant l' état léthargique, l'excitation mécanique des muscles
nd, mais le poing reste toujours fermé. La malade est alors mise en état de catalepsie : le regard est attiré sur la main
vient il bout de cette contracture obtenue par les passes pendant l' état som- DIATHÈSE DE CONTRACTURE. 351 nambulique.
'en sont pas moins intéressants. Ils éclairent les autres. Dans l' état de veille, dans la diathèse de contracture, des p
hystérie, tant s'en faut. En comprenant les cas où elle existe il l' état le plus rudimentaire révélé par la ligature éla
ou moins étendues. Les parties anesthésiées sont seules parfois en état de diathèse de contracture. D'autres fois, il e
Boulogne 3a°3 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. parle d'un état de parésie hystérique s'accompagnant de contractu
uelconque, d'une manière réflexe, et qui se rapporte évidemment à l' état de diathèse de contracture. Il cite l'observati
sur lequel l'impression du vent fut perçue, demeurait dans le même état qu'auparavant. M. Pitres a signalé des cas analog
oloration bleuâtre, asphyxique des parties'. Chez quelques-uns, cet état asphyxique s'accom- pagne d'une tuméfaction gén
prononcé pour que les- mouvements en soient gênes. En général, cet état asphyxique est limité aux extrémités; aux pieds
fois plus haut, etlatcinte violacée envahit jusqu'au poi- gnet. Cet état augmente sous l'influence du froid, et il paraît
is pas que jusqu'à présent on ait signalé de cas dans lesquels- cet état se soit montré généralisé; aussi l'observation su
ine voisine, 3 f ? u. Peu à peu la recrudescence douloureuse de l' état asphyxique des pieds NOTE SUR L'ASPHYXIE LOCALE
l et nous n'y avons jamais trouvé rien d'anormal, aucune trace de l' état des vaisseaux signalé par Maurice Raynaud dans le
lement la même. Il y a deux mois, ces accidents se sont aggravés. L' état général, jusque-là indemne, f) s'est altéré et
e " d'une déviation latérale de cet organe, pas plus du reste que l' état du voile du palais. En tout cas, il y a glossop
point de vue physique et intellectuel, le petit malade est dans un état de torpeur assez accentué. Il ne se tient pour ai
ngitiques commencent à se calmer; la fièvre persiste cependant et l' état général est assez mauvais. On essaie de l'élec-
it revient et, le 27 mai 1890, elle quitte l'hôpital Necker dans un état général satisfaisant et pourainsi dire complèteme
it le diagnostic de tuberculose pulmonaire. Elle resta dans le même état jusqu'au 10 septembre. Ce jour-là, elle se leva e
atoire à la nuque. Elle était très mal et on l'a crue mourante. Cet état a duré jusqu'au 3 octobre. Etat a2t 5 octobre 1
lle n'accuse aucun phénomène nouveau, ne veut pas entendre parler d' état névro- pathique et concède simplement un caract
soit prouvé rigoureusement. Le rhumatisme est facile à éliminer; l' état des articulations, l'alternance des manifestati
désigné sous le nom expressif d'astasie et d'aba- sie. C'est là un état morbide sur lequel M. le professeur Charcot est
ée. Tous les mouvements sont possibles, quoique plus faibles qu'à l' état normal; ils sont faciles dans les divers 384 NO
e spécial caractérisé surtout par une humeur mobile et fantasque. L' état gé- néral est bon, l'appétit conservé, la diges
t, dans ce cas, d'hystérie simulatrice. La marche de l'affection, l' état psychique spécial, l'intégrité de l'état général,
a marche de l'affection, l'état psychique spécial, l'intégrité de l' état général, viennent encore plaider dans ce sens.
ue les tabes précoces sont ordinairement des tabes malins. Et ici l' état général est parfait. En résumé, il ne peut êt
sez versatile; il passe tout son temps au lit. L'appétit est bon, l' état général aussi. Dans les divers viscères, rien à
r, il est vrai, si tout ce complexus morbide ne relèverait pas d'un état infectieux, d'une névrite toxique; mais celle-c
on. » Dans tous les cas, rien n'est plus délicat que de saisir, à l' état naissant, les premières manifestations de la se
de cette contracture. Le lendemain, les mains étaient dans le même état , la malade se sentant en outre fatiguée est res
UES « SIMULATEURS ». 421 M... resta une quinzaine de jours dans cet état , puis l'oedème et les douleurs disparurent peu
placé par M. Ballet, et y reste trois mois sans amélioration de son état . Le 7 février 1890 il revient à l'Hôtel- Dieu.
il recommença à pouvoir marcher avec îles béquilles. C'est dans cet état qu'il se présenta le 1 i. la consultation de M.
i atrophié. L'orbiculaire des lèvres ne paraît pas participer à cet état , quoique le malade ne puisse ni souffler, ni si
que nous ignorerons les limites pré- cises de ce champ visuel il l' état normal. Ce rétrécissement ne saurait donc avoir
rement concentrique; les limites du rouge sont plus étendues qu'a l' état normal, son cercle est transposé en dehors; dans
hénomènes nerveux que cette malade a présentés à deux reprises, son état psychique, le début brusque (quoique ce mode de
= 35°. Le phénomène de la démographie1, qui est très manifeste à l' état normal chez ce sujet, est exagéré. L... accuse
r, L..., qui n'a pas eu d'accès depuis dix jours, est tombé dans un état d'apathie. Il ne se plaint d'aucune souffrance pa
blissement du côté droit n'est pas plus marqué que d'ordinaire. Cet état qui n'est pas d'origine toxique, le malade ne p
re après la mort, la température monte à 41,8. Depuis le début de l' état de mal, il avait eu 108 accès,- et depuis le 24
ans surveillance. Après une des séances le malade est tombé dans un état comateux et est mort dans les vingt- quatre heu
e malade eut une crise gastrique suivie au bout de trois jours d'un état comateux et de mort9. Erb rapporte un cas ana
t observé le plus souvent le retour du sommeil, l'amélioration de l' état général, du signe de Romberg et des troubles de
es symptômes graves. L'amélioration porte surtout sur le sommeil, l' état général et les symptômes médullaires. Les sympt
'accoutumance pour la suspension; et comme ce traitement améliore l' état général, on peut y avoir recours pendant de lon
la paralysie agitante les résultats obtenus ne se rapportent qu'à l' état général, aux paresthésies, à la rigidité muscu-
s'améliorent, mais comment expliquer alors les aggravations de leur état ou la mort ? Il faut remarquer en outre que qua
ui ont suivi la suspension nous forcent à admettre l'existence d'un état inflammatoire localisé proba- blement dans la p
'hystérie convulsive. ' La planche XLVlf, fort rare, est le premier état de la planche XLYI. La planche LV111 se passe d
86 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
n leur enseigne la menuiserie, la serrurerie, la cordon- nerie, les états de tailleurs, de vanniers et de rempailleurs de
et aussi après un stage d'observation qui leur permet de choisir l' état qui leur convient le mieux. - On ob- tient d'as
et quelques bourrages qui ont exigé près de deux mois à cause de l' état des anciennes carrières existant à cet endroit.
plus d'accès mais étant atteints d'infirmités les mettant hors d' état de gagner leur vie au dehors). Grâce à ces préc
'observation plus loin, fut également atteint d'érysipèle, mais son état intellectuel ne parut nul- lement modifié par c
l Science, vol. XXII, 1876, p. 261). 10 IDIOTIE CRÉTINO1DE. l' état normal; il présentait sur ses bords une petite sa
étaient tortueux; la substance corticale était plus épaisse qu'à l' état normal. Il n'y avait pas traces de glande thyro
. - Un nouvel examen du malade montre peu do chan- gements dans son état . Les paupières gauches sont plus bouffies qu'à
i,22 en 1882; 1 ? 3 en 1884; li,25 en 1885; 1m,27 en août 1886. L' état intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la
L'enfant reste pendant tout le jour assis devant une table, dans un état d'inertie et d'obtusion intellectuelle complète
oigt et ne disparaît pas par la pres- sion. La main gauche offre un état analogue, bien qu'à un degré moins marqué. Au
sommeil est tranquille, l'après-midi tout entière se passe dans un état de demi-somnolence et d'immobilité. Jamais depuis
CHEXIE PACHYDERMIQUE. 29 9 elle se limite par un léger bourrelet. L' état des téguments (par suite de la cachexie pachyde
xie pachydermique) empêche d'explorer les gan- glions.-Peau chaude, état saburral des premières voies digestives. 24. -
igt laisse une empreinte. On ne peut que présumer l'érysipèle, vu l' état ordinaire de la peau; pas d'ap- pétit ; un vomi
. De même, la rougeur descend sur le côté droit jusqu'au poignet; l' état général estbon. -'1·. R. 38°,6. - Soir : 38°,6.
- Soir : 38°,6. 10. - Les doigts sont envahis par l'érysipèle, l' état général est bon. T. R. 380 ? - Soir : 38°6. F
stationnaire. 32 IDIOTIE C12R'rINOIDE. 27. Th... est revenu à son état habituel, et est très gai. 1881. Juillet. - Poi
e. Les gencives, un peu décollées, mais relativement en assez bon état , forment un bourrelet autour des dents et des rac
ni tuméfiés, ni douloureux. T. R. 371,6. - Soir 37°,6. 11. - Même état . T. R. 37°,4 . - Soir : 37°,7. 12. - La tuméfac
e; les deux oieillettes sont dilatées. La graisse qui se trouve à l' état normal dans les sillons est ici beaucoup moins
phère gauche.- La scissure de Sylvius (l'r.. II, Sc. S.) laisse à l' état frais une partie de l'insula à découvert; après u
la malade de Curling, ces érysipèles n'ont nullement amélioré son état intellectuel. Le traitement (toniques, bains sa
ain; il était devenu, au moins par moments, plus expansif, mais son état intellectuel ne s'était pas sensiblement modifi
CHEXIE PACHYDERMIQUE. 51 renseignements que ceux qui concernent son état actuel, 111. Lalo, étudiant en médecine, qui a
le soir, à 6h. 1/2, 34°. Respiration lente et inégale. 16. - Même état . Le malin, à 8 h., T. ax. 34° 6. Le soir, à 7 h
pour désigner le myxoedème des auteurs anglais ou une forme de l' état crétinoïde de M. Baillarger. La physionomie de
nduisit à l'examen général de l'enfant, et nous constatâmes le même état de la peau sur les membres supérieurs et inféri
alade reste couchée dans son lit, grande gâteuse, immobile, dans un état de mutisme absolu, triste et silencieuse ; elle
eds et sur les jambes, où la circulation est si pauvre qu'il y a un état chronique d'engelures. La .'peau est sèche et d
e qui rendraient compte de la persistance de l'amé- norrhée et de l' état infantile des organes génitaux externes et inte
cette absence qu'il faut rattacher le myxoedème d'abord, ensuite l' état crétinoïde. Eu 1882, M. Bail a présenté à diffé
ssent avec régularité. Tous les sens spéciaux paraissent être à l' état normal et la sensibilité tactile ne laisse rien
ographie, semblent avoir été atteints de pseudo- oedème dur', par l' état de la dentition, delà peau, la sen- sibilitéau
la Salpêtrière. « Le second point, ajoute M. Bail, se rattache à l' état d'ossifi- cation des parois crâniennes. D'après
principales causes du crétinisme. Or, nous avons affaire, ici, à un état abso- lum,ent inverse : il y a défaut d'ossific
cial, à supposer que le crétinisme vrai ne se rapproche pas de l' état myxoedémateux, il s'agit d'un crétinisme spécia
é gauche, la dent cor- respondante du côté opposé apparaissait. L' état de la langue était remarquable. Elle était trop g
lar- geur exceptionnelle, elle était normale. Le corps était en bon état , mais un peu petit. Ce bon état paraissait être
tait normale. Le corps était en bon état, mais un peu petit. Ce bon état paraissait être dû à un excès de la graisse sou
blance de son cas avec le myxoedème de l'adulte, ne croit pas à l' état crétinoïde avec cachexie pachydermique. Le diag
cependant devoir être posé assez clairement, si l'on considère l' état intellectuel et physique de la malade, les masses
it par la tumeur volumineuse du cou que présentait ce malade. Cet état crétinoïde des idiots myxoedémateux per- met de
e d'être remise à l'étude ; il serait intéressant de s'assurer de l' état de la glande thyroïde chez les crétins complets
complète; souvent, par exemple, il n'y est fait aucune mention de l' état de la glande thyroïde. Parmi les observations q
ent élargis, et contiennent parfois des granulations laiteuses. A l' état frais, les vaisseaux corticaux, enlevés à la pi
qui ne permet que difficile- ment dese rendre un compte exact de l' état du cou, des pieds, etc. Toutefois, cette photog
yspnée ; alourdissement corporel et intellectuel; six mois après, l' état est encore plus marqué, la dyspnée plus forte n
e nécessite la trachéotomie; rapide améliora- tion consécutive de l' état général. En 1886, les symptômes de la cachexie
ythénoïdes difficille; électricité, ferrugineux ; amélioration de l' état général. Elle peut reprendre son travail de cou
. L'auteur pense que si on les avait opérés avant l'apparition de l' état crétinoïde, celui-ci aurait été attribué à l'op
erd beaucoup de sa valeur du fait qu'il ne donne aucun détail sur l' état des corps thyroïdes extirpés; on comprend très
démateux. Depuis longtemps déjà notre attention a été appelée sur l' état de la glande thyroïde chez les idiots, et sans
evée : M. Horsley rapporte les symptômes observés par lui à trois états successifs : 1° période nerveuse; 2° période mu
quer pourquoi, chez l'homme, la thyroïdectomie semble produire un état myxoedémateux susceptible d'amélioration, dont
mique à la suite de l'extirpation du goitre en deux temps éloignés ( état qui se i approcherait de ce qui se passe dans le
survie de cinquante-deux jours; un autre chien dont nous ignorons l' état ultérieur, ne présentait encore aucun phénomène
que (inconnu) de l'organisme dont la neutralisation s'opérerait à l' état normal, dans la glande thyroïde. La théorie tox
le siège, en empêchant totalement son fonctionnement, produisent un état crétinoïde assez voisin du crétinisme avec ou s
lle avait des « crises d'idées noires, » elle pensait à mourir. Cet état durait depuis la naissance de son dernier enfan
se mettait à crier qu'il avait peur. Après six mois passés dans cet état , il eut des étourdissements le prenant deux foi
les jours suivants il devint triste, ses yeux étaient égarés et cet état dura jusqu'à la fin de la fièvre. Quand celle-c
bien renseigné sur les sens ; c'est ainsi qu'on ne peut apprécier l' état de la vue ; les yeux sont grands, l'iris est br
du lait et du bouillon. En résumé, légère rémission. 18 mai. Même état ; Hoël... est assez tranquille, sauf quand on v
tels qu'ils ont été pris (huile de ricin, 15 grammes.) 29 ? nai. L' état de Hoël... ne s'est pas modifié, l'abatte- ment
ouls toujours fréquent, mais régulier et plus ample. 2 juin. Même état , pas de garde-robes depuis quatre jours malgré
un abaissement de la température. Raideur de la nuque. 19 juin. L' état du malade ne s'est guère modifié : même aspect
umeur de la protubérance est constituée par du tubercule massif à l' état caséeux. Les masses caséeuses, irrégulières, so
l'entrée de l'enfant, disparition du ptosis. Le surlendemain, même état , sueurs, mort. ' A l'autopsie : méningite de la
nérale. 30 août. Le bras gauche commence à se contracturer; même état général. Le malade n'est plus observé. 11 octob
ir de la tête. Le lendemain, il avait de la paralysie faciale et un état nauséeux avec vomissements. Depuis quelque temps
t seulement diminuée. Le goût et l'odorat sont normaux. 4 juin. L' état de l'enfant s'aggrave. Il éprouve de la diffi-
par du strabisme passager de l'oeil gauche et se continua par un état fébrile sur lequel nous manquons de renseignement
était très irrégulier et la température un peu élevée (38°,8). L' état du malade s'aggrava presque constamment, c'est
en soit, dans les jours qui précédèrent la mort, l'aggravation de l' état de IIoël... se traduisit par un amaigrissement
39°,2. 28 avril. Les traits sont un peu grippés; l'enfant est en état de demi-conscience; quand on l'interpelle, il reg
de liquide céphalo-rachidien en quantité un peu plus grande qu'à l' état normal. Quelques petites adhérences avec la dur
ennes, présentent à son maximum une altération dont on retrouve des états différents sur toutes les couches. Elles sont d
t n'offrent pas de pro- longements distincts. Enfin, à un troisième état , on ne voit qu'un noyau sphérique, avec un peti
'on voit dans un même champ du microscope, sont à peu près aumême état ; tandis que, plus loin, on rencontre des groupes
ndis que, plus loin, on rencontre des groupes de cel- lules à autre état . Les capillaires dans ces deux couches sont ram
es nerveuses, disparition qui nous est expliquée par les différents états aboutissant à l'atrophie que l'on peut observer
granuleuses, remplissent les culs-de-sac et paraissent revenues à l' état indifférent. I. L'existence d'une intoxication
e côté gauche du corps et cette prédominance se remarqua durant les états de mal convulsifs qui survinrent à des interval
ée a disparu. Le sommeil est bon. Pas de fièvre. 19 Février. Même état , mais à l'inspection de la bouche on trouve des
hérédité a exercé, dans ce cas, une influence notable qu'explique l' état nerveux du père, et l'aliénation antérieure de
minaient par l'apparition d'écume aux lèvres. Pendant deux ans, son état est resté à peu près le même. DESCRIPTION DU MA
16 février. Hier, il a bu un peu de lait; ce matin, il est dans l' état suivant : les sourcils sont froncés, les paupière
onne ; l'enfant ne s'est pas plaint ; le matin, il est dans le même état et dans la même attitude ; somnolence continuel
pincées ; la bouche était toute grande ouverte sans déviation. Cet état aurait duré 3 à 4 minutes, d'après la surveilla
nulle part elles ne sont groupées par nids comme on les trouve à l' état normal dans les régions motrices, ainsi que l'a
loin. Ces lésions sont générales et diffuses. Il n'y a nulle part d' état pigmentaire des cellules, ni rien d'analogue à
nulle part d'état pigmentaire des cellules, ni rien d'analogue à l' état hyalin si développé que l'on observe à la pério
s et laudanisés ; bismuth. 21 septembre. La diarrhée a cessé,mais l' état général est le môme. Traitement : Bagnols et po
môme. Traitement : Bagnols et poudre de viande, etc. 10 novembre. L' état de la dentition est le suivant : dents de lait,
se- ment et semblent correspondre à une lésion plus avancée que l' état chagriné qui coexiste sur l'hémisphère. Sur l'h
mamelonnée et offre uno surface irrégulière qui paraît être due à l' état chagriné poussé à l'extrême et dont le centre e
che fibril- laire névroglique. Au-dessous, elle se montre sous deux états différents : sur certains points, la sériation
ules bout à bout beaucoup plus distantes les unes des autres qu'à l' état normal et séparées par du tissu névroglique àpe
nés sur des coupes et ne présentaient pas d'autres lésions que leur état légèrement alrophique, semblable 1 celui qu'on tr
ingo-encéphalite qui ont enlevé le malade à l'âge de 7 ans. II. L' état de P..., à l'époque de son admission dans le se
s les cellules qui meurent de cette façon nous ont montré les trois états successifs de tuméfaction hyaline, d'état granu
ous ont montré les trois états successifs de tuméfaction hyaline, d' état granuleux et de désintégration moléculaire comp
domestique, enceinte de trois mois, sans avoir connaissance de son état , car elle avait eu ses règles aux époques ordin
ement parler nerveuse ; elle semble être atteinte simplement de cet état nerveux encore peu défini décrit sous le nom de
SE. 205 ment être examinés. La constatation, par Mme Forino, de l' état normal du placenta, des membranes, de la situatio
ir son père et sa mère. Au début, les accès étaient annoncés par un état de ma- laise, d'abattement et de tristesse qui
examinerons les singulières assertions de l'auteur relativement à l' état de mal épi- leptique et nous ferons voir qu'il
n aussi nette, en ce qui con- cerne les petites séries d'accès et l' état de mal épilep- tique. Conclusions. 1° Les acc
SÉRIELS d'épilepsie. Les accès d'épilepsie se présentent tantôt à l' état isolé, tantôt sous forme de séries. Dans ce der
es sur l'épilepsie et l'hystérie, pages 1 à 9h. Paris. 1876. - De l' état de mal épileptique, thèse de A. Leroy ; Paris,
avec l'absence d'hyperthermie, à distinguer les séries d'accès de l' état de mal épileptique. Bourneville, 1886. 16 234
de mal épileptique. Bourneville, 1886. 16 234 TEMPÉRATURE DANS L' ÉTAT DE MAL. III. DE LA TEMPÉRATURE DANS L'ETAT DE M
velles, qu'il pré- tend ajouter à nos connaissances actuelles sur l' état de mal épileptique. « D'ordinaire, écrit M. W
st d'ordi- naire, quoique non toujours, modifiée conformément à cet état do chose L'ascension demande généralement quelq
lusieurs jours. (1) Ceci est vrai pour quelques cas, mais souvent l' état de mal débute brusquement. OPINION DE M. WITK
tion fébrile la plus connue des épileptiques, à ce qu'on a appelé l' état de mal épileptique, une invasion invariablement
cte des opinions de M. Witkowski, et, en comparant son tableau do l' état de mal épileptique à la description que nous av
et que nous répétons, en fournira une première démonstration. « L' état de mal épileptique, avons-nous dit, est ca- rac
ce sujet, les notes des pages 2 ? 6 et 232. 236 TEMPÉRATURE DANS L' ÉTAT DE MAL. - ration.; 5° et surtout par une élévat
ccroît même quand ils ont cessé. » . Nous avons distingué, dans l' état de mal épileptique, deux périodes, comme le fai
près nous, Flg. 23. - Tracé de la température rectale dans un cas d' état de mal type, terminé par la guérison. -, T. pri
ervations rigoureuses. Nous avons insisté sur la TEMPÉRATURE DANS L' ÉTAT DE MAL. 237 marche, la durée, le traitement e
marche, la durée, le traitement et l'anatomie pathol9,. gique de l' état de mal. De même que M. Witkowski, mais encore a
e même que M. Witkowski, mais encore avant lui, nous avons vu que l' état de mal pouvait être constitué uniquement par la
itué uniquement par la période con- Fi r. 35.-Tampératnre dans un état de mal limité à la péiiode convulsive. - , T. a
la mort.+ T. 8 heures après la mort. Fig. 25.-Tempéralure dans un état de mal terminé par la mort à la période méningi
que; la mort survenait enfin que dans '23H 8 TEMPÉRATURE DANS l' ÉTAT DE MAL. d'autres circonstances l'état de mal se
s '23H 8 TEMPÉRATURE DANS l'ÉTAT DE MAL. d'autres circonstances l' état de mal se terminait par .la guérison. Nous av
porté, en 1870, l'observation d'une malade, Chevall..., qui a eu un état de mal épileptique dans son type le plus parfai
ngitique. Quelque temps après, cette malade a été prise d'un nouvel état de mal, limité à la période convulsive et auque
érature centrale, celle de la période convulsive. Un exemple de l' état de mal terminé par la mort du- rant la période
en une heure. Après le dernier, alors que l'enfant était dans un état comateux, la température rectale était à 41°. Les
ermine parla mort. (fin. 25). L'observation suivante, relative à un état de mal qui, comme le second état de mal de Chev
bservation suivante, relative à un état de mal qui, comme le second état de mal de Chevall..., a eu une issue fatale, pe
de là période convulsive. (1) Le nombre des accès qui constituent l' état do mal est très variable; il peut être inférieu
- Asphyxie légère à la naissance.-Premières convulsions à six mois ( état de mal).- De six mois à onze ans, fréquents ret
n âge. La tête est assez régulièrement ovoïde. 242 OBSERVATION. ' ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. 243 Traitement : Ecole, gym
dilatées, la gauche un peu plus que la Fig. 26. Température dans un état de mal terminé par la mort. , T. 1/4 d'heme ,il).
de distance du début de sa courbe ; cetto scis- TEMPÉRATURE DANS L' ÉTAT DE MAL. 249 sure est de nouveau coupée par un p
ure centrale a été prise à des intervalles rapprochés dans ce cas d' état de mal, dont la marche a un peu différé des cas
onsidéré dans Bourneville, 188G. 1 ? -1 250 .TEMPÉRATURE DANS L' ÉTAT DE MAL. son ensemble nous présente une élévatio
ésente la fig. 27 ; il montre la marche de la température dans un état de mal qui s'est terminé en trente heures. La m
i ont précédé la mort. L'abaissement Fig. 27. - Température dans un état do mal épileptique limité la période convulsive
e do la marche de la température dans les principales formes de l' état de mal épileptique (2). (1) Voir : Bourneville.
87 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
fixes sont sub- conscientes, mais on en retrouve la pensée dans des états som- nambuliques ou par les procédés qui permet
mou- vement par un effort de volonté ou par l'intermédiaire d'un état affectif 3. Cette réapparition rapide et cette co
r beaucoup d'auteurs, les hystériques, disait M. Féré, sont dans un état permanent de fatigue psychique qui se tra- ' Ce
suffisance. Il s'agit d'une faiblesse de l'attention, ou mieux d'un état de distraction perpétuelle que l'on constate fa
mpressions qui devraient le frapper '. Si on cherche à vérifier cet état de l'esprit d'une manière plus pré- cise, on co
156. DEFINITIONS RECENTES DE LHYSTERIE. 1 plus simple. « C'est un état exagéré de distraction', qui n'est pas momentan
une attention volontaire dirigée uniquement dans un sens ; c'est un état de distraction naturelle et perpétuelle, qui em
une longue chaîne qui se prolonge dans un seul sens. Chacun de ces états successifs est en réalité complexe, il ren- fer
u par la mémoire la partition de l'opéra, réunit dans chacun de ses états de conscience un nombre immense de faits. L'ind
ntal, le minus habens conscientix, si nous pouvons exprimer ainsi l' état mental de cet individu très intel- lignent peut
uinon, sont des phénomènes cérébraux, l'hémianesthésie également, l' état mental, syndrome important chez les hystériques
xes, elles ont des émotions persistantes et les émotions sont des états complexes de tout l'organisme dans lesquels se mê
nettement distincte de la première et alternant avec elle, c'est un état dans lequel les phénomènes intellectuels sont a
t cependant suivi d'une amnésie complète quand le sujet revient à l' état normal et ces souve- nirs ne se retrouvent que
l'état normal et ces souve- nirs ne se retrouvent que dans un autre état analogue. Sans doute il y a mille degrés et com
avail arrivent à la même conclu- sion : D'après M. Strumpell, « les états hypnotiques et les manifestations hystériques s
es sont au fond étroitement unis ». Pour MM.'Breuer et Freud, « les états hypnoïdes et les phé- nomènes hystériques sont
émoratifs, la nature des accidents qui précèdent ou qui terminent l' état second. Nous insistons surtout avec, cet auteur
us continuons ces études de diagnostic, nous rencon- trons d'autres états mentaux qu'il faut comparer avec'celui de l'hys
nt des ivresses, des délires qui sont très souvent semblables à des états hysté- riques. Nous avions insisté autrefois su
a dégénérescence mentale et de l'hys- térie, 1888. II. Colin. - L' état mental des hystériques. 1890. DÉFINITIONS RÉCEN
e les phénomènes d'automatisme et de désagrégation dépendent d'un état qui est maladif, mais qui n'est pas uniquement hy
at qui est maladif, mais qui n'est pas uniquement hys- térique. Cet état serait au contraire plus large de beaucoup que
tériques, disaient MM. Breuer et Freud, sont raisonnables dans leur état éveillé et aliénées dans 2G REVUE GÉNÉRALE. l
s dans leur état éveillé et aliénées dans 2G REVUE GÉNÉRALE. leur état hypnoïde'. » C'est cette séparation nette des phé
es, elle est beaucoup plus complète dans cette maladie que dans les états psychasthé- niques. CONCLUSION. Nous n'avon
puberté physique qui a cepen- dant une grande influence, mais d'un état qui vient un peu plus tard et que l'on pourrait
aites depuis longtemps par les méde- cins et les psychologues sur l' état mental des hystériques. CLINIQUE NERVEUSE, QU
CLINIQUE NERVEUSE. organique, elle reproduit l'aphasie motrice à l' état d'isole- ment, et ce qui est chose inouïe dans
inution de l'excitabilité ou d'une qualité physiologique qui dans l' état normal reste constante ou varie dans des limite
l'altération organique. Supposons que le tissu nerveux soit dans un état d'anémie passagère, son excitabilité sera dimin
e. Celle-ci naît avec la société et se complique avec ellejusqu'à l' état où nous la voyons aujourd'hui : c'est une vérit
al ofinsanity, 1892.) E. B. VIII. MÉTHODE D'EXAMEN DU CERVEAU A L' ÉTAT FRAIS; par le Dr 111NDRED. L'auteur décrit le
pour les leucocytes amassés autour des parois vasculaires dans les états inflammatoires aigus ou chroniques, on aura de
'audition, s'ac- compagne facilement de convulsions épileptiques, d' états d'imbé- cillité ou d'idiotie, qui sont ordinair
e corticale, il ne s'en suit pas que cette aire cérébrale soit, à l' état sain, le siège d'une impulsion volontaire, pour
t dû à ia grande résistance dans la circulation périphérique et à l' état tortueux con- sécutif du système artériel. J.-B
femme atteinte de myxcedème, dans le but de permettre de comparer l' état actuel de la malade avec celui qui se produira
u, la dé- marche est devenue plus ferme et la scoliose a diminué. L' état psychique s'est amélioré, la céphalée est deven
litation, l'intelligence; par des études sévères, je me suis mis en état de défendre ses droits et ses intérêts, j'ai voul
autres des conditions qui viennent d'être rappelées ils sont hors d' état d'employer utilement la partie saine de leur ac
essé de questions par le magistrat, il s'est retranché derrière son état de « sujet ». S'il a écrit et em- prunté quoi q
t à de fré- quentes maladies. Depuis quatre jours, il était dans un état de surexcitation extrême et, subitement, avant-
de blessure grave. M. Delamarre, commissaire de police, a mis en état d'arresta- tion la dame Quintallet, qui a été e
um et des bains sulfureux. Après deux mois de séjour à l'hôpital, l' état du malade s'amé- liore ; la marche devient plus
près la chute de la fièvre, il se trouve bien de nouveau, et dans l' état d'amélioration où il était avant sa fièvre typh
nt sa fièvre typhoïde. Au mois de mars 1890, -en même temps qu'un état fébrile assez marqué, des mouvements involontai
roite. 31 décembre. Matin, T. 39°. Soir, T. 40°,4. P. liO, 112. L' état général paraît bon. Soif assez intense. La contra
uve d'ailleurs bien; on défait le pansement. La plaie parait en bon état , on n'y touche pas. Le soir l'agitation a augme
rois ans après le début, le malade est déjà depuis longtemps hors d' état de travailler ; à cette époque, -j'attire l'att
oir exactement de quelle façon se fait la restauration et dans quel état étaient les cylindres DES TUMEURS NÉVROGLIQUES
à la cessation'' des 'règles. Quelquefois aussi'elle accompagne. un état de' malldont'elle ne dépend nulle- ! ment.*1- E
t-être'à une extension ou à une intensité plus ou moins grande de l' état morbide.' Sou observation5 dans laquelle à côté
trois semaines, il's'est produit une amé- lioration marquée dans l' état général du malade. 11 est naturelle;- . 1 ment
.), ), 1 , ; , Durée : 17 jours. Etude absente au point de vue de l' état de la physiologie de la nutrition. ' ' ''J'1'"
peu plus fréquente paraît-elle être quand elle' accompagne certains états spasmodiquesdes divers muscles siégeant du côté o
tions. Peut-être faut-il y joindre ce trois sième caractère, qu'à l' état de, repos'la^ paresie est extrêmement accentuée
mblent à des paralytiques. 148 REVUE, DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Cet état peut subsiste^ très longtemps. En) même temps, on
'à ta guérison. Intégrité des muscles, surtout si ,1'on considère l' état satisfaisant, de la nutrition chez,une personne
trau- matisme du bras, présenta au bout d'une douzaine de jours un état d'excitation, avec douleur de tête intense, élé
opinion de sa mère et des infirmières,,dui l'ont) gardé est que son état mental s'est amélioré, il est moins agité et mo
on'1lit ? aiÚ,sI;t'àve,c des livres dont il regarde les images. Son état physique est excellent.1 A'sept heures de l'après
as d'en- lever les points de sutures avant"un jour ou^deux'; mais l' état de l'enfant est si satisfaisant que je vais les
alades en'Angleterre.'L'un mourut quel ? qu'es jours après, d'un' 1 état f,'d'hyperpyrexie' : L'autre 'malade'' guérit e
eSt ap' pelé un jour auprès* d'une malade urémique,' présentant un état maniaque'. Le pouls était' mauvais,'la températ
microcéphalie était due à une synostose prématurée, en disant que l' état est dû au développe- ment vicieux du cerveau, e
craindre quand le poids du corps du malade aug- mente tandis que l' état mental, qui s'était d'abord amélioré, rétro- cè
t à faire un ouvrage clair et à simplifier l'exposé de ces nombreux états qu'on range un peu à tort et à travers aujourd'
mmepourM. Charcot, l'expression di- recte, sans intermédiaire, d'un état particulier de névropathie, que la neurasthésie
a masse des accidents névropathiques. P. S. III. Contribution à l' état mental des hystériques ; par le Dr Long- bois (
vec prudence. Le but à atteindre est de maintenir le malade dans un état de bromisme imminent, état qui se reconnaît à l
dre est de maintenir le malade dans un état de bromisme imminent, état qui se reconnaît à la perte du réflexe pharyngien
t comme boisson de l'eau très chaude. Le repos, la suggestion à l' état de veille, l'isolement, l'hydro- thérapie, la g
nts qui, à raison d'infirmités corporelles ou mentales, sont hors d' état de fré- queuter une école, ni les enfants moral
, poitrinaire, et deux de ses frères sont morts de la poitrine. Son état actuel a été précédé d'une série de crises hyst
du nouvel An, et c'est très peu de temps après qu'elle tomba dans l' état où elle se trouve encore aujourd'hui. Pendant s
dans la chambre où la malade re- posait. - Quel que puisse être l' état de cette personne au début, il n'est pas douteu
les caractères physiologiques facilement ap- préciables des divers états et phénomènes nerveux produits ; de se renferme
ois jours à s'exciter, le second est retombé tout de suite dans son état antérieur. D'une manière générale il résulte de
s. Cette influence sédative a été minu- tieusement contrôlée, car l' état de chaque malade, du réveil au coucher, a été r
l'agitation revient progressivement, si bien qu'après cinq jours l' état antérieur a reparu. Reprise de la duboisine à 1
ppression pour contrôle, mais après vingt-quatre heures retour de l' état antérieur. Reprise dé la, duboisine à 1 milligram
ué oblige à abandonner le traitement; dès le lendemain, retour de l' état antérieur. La médication a duré quarante jours
ont encore plus intéressants, car ils ont nettement différé selon l' état aigu ou chronique. Dans ce dernier, l'accoutuma
ression pour contrôle, mais après quarante-huit heures, retour de l' état antérieur. Reprise de la duboisine à la même do
pression pour contrôle, mais après vingt-quatre heures, retour de l' état antérieur. Reprise de la duboisine à la même do
ppression pour contrôle et de nouveau, après vingt-quatre heures, l' état antérieur a reparu. De- rechef, on prescrit 1 m
et la sédation obtenue se maintient quatre jours, puis retour de l' état antérieur. Reprise de la duboisine à la dose de
on, le malade n'eût pris que 42 milligrammes de duboisine. Dans l' état aigu, les résultats ont été moins bien satisfai-
édative DE la DUBOISINE CHEZ LES ALIÉNÉS. 225 rapidement reparaît l' état antérieur. La médication n'avait duré que vingt
de deux semaines, suppression pour contrôle, mais en trois jours l' état antérieur a reparu. La dose de 1 milligramme n'
et même résultat que la première fois;-en trois jours, retour de l' état antérieur. Reprise de la duboisine à'3 milligra
ouche, goût qu'il retrouve dans ses aliments. Dès le second jour, l' état antérieur reparaissait. La médication avait dur
a encore sept et huit heures de tranquillité, puis, brusquement, l' état antérieur' reparaît. Reprise de la duboisine à
uit heures au maximum. Quatre milligrammes laissent les choses en l' état une semaine et l'accoutumance s'établit de plus
as chro- niques. Dans la lypémanie, nous avons donc obtenu pour l' état aigu 37 p. 100 d'action, soit continue, soit avec
mance, et 26 p. 100 seulement d'action faible, tandis que dans l' état chronique cette dernière action défavorable s'est
'est-à-dire le vingt-troisième jour de sa fièvre, je l'ai vu dans l' état suivant : Le malade, d'une constitution assez r
ns menace d'accès épileptiforme, et après la quatrième injection, l' état vertigineux est tellement atténué, que nous pou
ns ;la folie épilep- tique, elle est toujours restée sans effet : l' état des malades soumis à ce traitement ou bien est
E DE THÉRAPEUTIQUE. sagère de dégénérer en manie dans un cerveau en état d'instabilité manifeste; 3° dans les états vagu
manie dans un cerveau en état d'instabilité manifeste; 3° dans les états vagues de délusions et dans les psy- choses enc
DES INFUSIONS de chlorure de sodium CHEZ LES aliénés SITÉOPHOBES en état DE collapsus; par G. ILBERG. (Allg. Zeitsch. f. P
a sécrétion salivaire et la sensibilité gustative. Elle met fin à l' état mental des aliénés qui présentent du désordre d
déterminées et reconnues tant dans l'orga- nisme normal que dans l' état de maladie : Produits de la vie cellu- laire de
antes : La toxicité de l'urine serait notablement diminuée dans les états maniaques, augmentée, au contraire, dans les ét
iminuée dans les états maniaques, augmentée, au contraire, dans les états mélancoliques. De plus, l'urine des maniaques e
mptoire que l'auto-intoxication serait la cause et non l'effet de l' état mental. Comme cela a été constaté dans certaine
le ou la convalescence, on a affaire à la psychose dite asthénique, état mental plus ou moins variable d'aspect, cons- t
rsque l'intoxication est lente et chronique, c'est d'ordinaire d'un état mélancolique qu'il s'agit; enfin, on peut observe
état mélancolique qu'il s'agit; enfin, on peut observer parfois des états rappelant de plus ou moins loin la démence paraly
coliques se sont constamment montrées plus toxiques que celles de l' état physiologique. Sur six expériences, six fois le
pertoxicité des urines a coïncidé dans presque tous les cas avec un état saburral très accusé '244 'SOCIÉTÉS SAVANTES.
Chez trois maniaques, les urines ont semblé moins toxiques qu'à l' état normal; mais, pour diverses raisons, les auteurs
s ont été nette- ment (légèrement dans un cas) plus toxiques qu'à l' état physiolo- gique et la toxicité s'est atténuée p
accentués du côté des divers appareils et de l'amaigrissement, des états fé- briles, typhoïdes, cachectiques. , - Ces
ur la contre-indication de l'hydrothérapie- froide. En présence d' états mélancoliques par accès, on devra donc dé- pist
lir d'une part qu'il existe des connexions étroites entre les trois états morbides dénommés : confusion mentale, délire h
re hallucinatoire et délire aigu, et, d'autre part, entre ces trois états et les auto-intoxications. A l'appui de ses idé
e hallucinatoire et de la confusion mentale. Le lien qui réunit ces états morbides à l'intoxication est évident. L'auteur
s ces cas un examen médical préalable pour déter- miner nettement l' état mental. - 111. BncAlVn appelle l'attention du C
-lieu, échappant à la prison ils n'en seraient pas moins mis hors d' état de nuire àla société. Une discussion s'engage,
art. 8 : « Il n'y a ni crime, ni délit, lorsque « l'auteur était en état de démence ou « contraint par une force à laque
bille présente ensuite plusieurs malades. L'un est un ataxique avec état mental et somatique de paralytique général, syp
re paroxystique manque complètement et où l'individu est obsédé à l' état pour ainsi dire permanent. Son premier cas es
t pour ainsi dire qu'une habitude poussée à l'extrême et passée à l' état de mal obsessif chez des individus à volonté tr
ètement l'éducation de ces deux malades, chose que leur âge et leur état de satisfaction rendent impossible. En conclu
nt in- fectieux. Au point de vue mental il s'est agi dans ces cas d' états mélancoliques sans fièvres. L'auteur établit un
ncoliques sans fièvres. L'auteur établit un lien très net entre ces états et l'auto-infection; généralisant son idée, il es
nés par des familles de nourriciers . Asiles modèles de Belgique et état actuel des colonies d'aliénés en ce pays par P.
qui n'a même pas l'originalité d'être complet et au cou- rant de l' état actuel de la science. P. SOLLIEn. VARIA. UNE
is derniers jours, il était enfiévré et agité avec insomnie, et son état général était mauvais. (Boston med. and Surg. J
tence d'une stase papillaire assez marquée, égale des deux côtés; l' état de démence de la malade ne permet pas de se rendr
tenant compte de la lenteur des réactions qui est le fait de son état cérébral; elle est peut-être un peu diminuée à ga
ive (zones hystérogènes). Un des phénomènes les plus marqués de cet état morbide est la présence continuelle d'une cépha
. Les renseignements, que cette malade était naturellement hors d' état de donner, ont été fournis par une de ses amies,
escaliers, mais déjà l'intelligence était éteinte. En présence de l' état de la malade et des renseignements fournis sur
tologique. Les pièces ont été étudiées' sur des dis- sociations à l' état frais et après l'alcool au tiers;, puis sur des
affine. ' 1 ' ? r 1 , o z 1° La tumeur. - Sur les dissociations à l' état frais on constate que le tissu néoplasique est
au contraire ont plus volontiers des noyaux qui se rapprochent de l' état embryonnaire; ils sont plus petits, plus compac
qui proviennent évidemment des cel- lules névrogliques revenues à l' état embryonnaire et proliférées. Il est un point qu
e clair qui l'entoure, un nombre assez considérable de noyaux en' état 'de prolifération évident (fig. : 21). Ces noyaux
effet exactement inverse. Enfin des préparations ont été faites à l' état frais par la méthode d'Exner, qui ne permet aucun
s 116 ? 24 juin 1892.) 296 CLINIQUE NERVEUSE. dois ajouter qu'à l' état , normal, ainsi que je m'en suis assure, la régi
produire les deux espèces d'éléments qui caractérisent ce tissu à l' état adulte : les cellules névrogliques, avec les fi
rme. » La seule mesure prise tout d'abord pour remédier à ce triste état de choses fut (20 janvier 1843), la nomination
. A partir de cette époque, la dysenterie cesse de se montrer à l' état épidémique (sauf en 1878). Comme elle existe dans
tat épidémique (sauf en 1878). Comme elle existe dans la région à l' état endémique, elle n'est pas supprimée, bien entendu
on mal entendue, les chagrins domestiques, la ménopause, les divers états puerpéraux et enfin les excès alcooliques : nou
y ajouter des alcools d'industrie. 11 est en définitive absorbé à l' état naturel. J'ai cependant ouï dire que la consomm
, com- prenant aussi tous les symptômes du stade ultérieur mais à l' état passager. Graduellement arrive le stade de déli
ce réflexe est diminué, parfois celui-ci disparaît temporairement ( état cataleptoïde dans la catatonie). Mais il est im
logique pour le plus grand nombre des cas. J. SÉGLAS. XXII. SUR l' état mental DE CHRISTINE, REINE DE Suède; par DE SAR
nations de la vue). Elle était, au moment de son admission, dans un état de santé absolument misérable : pendant son séjou
enou gauche et vomis- sements répétés pendant cinq jours. Tel est l' état qui dure cinq mois ; puis , guérison progressiv
ar de la manie ou de la mélancolie avec excitation, ou bien par des états convulsifs; 4° une période finale de démence. '
on de la bouche chez les idiots; Paris, 1808. Sollier (Alice). De l' état de la dentition chez les 'enfants idiots et arr
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 329 qui se rapprochent le plus de l' état primitif. Il constate ensuite que la précocité
am- biant. Pourquoi n'admettrait-on pas l'influence du milieu sur l' état mental, puisque toutes nos méthodes d'éducation
s pathologiques; 5° nous savons que les poisons qui, 'dans certains états morbides prennent naissance dans l'organisme, o
Peut- être s'agit-il de lésions de l'écorce cérébrale qui, dans, l' état actuel de nos connaissances, échappent à nos mo
it de nombreuses expériences. Il formule le mécanisme suivant : A l' état normal les extrémités nerveuses sen- sitives so
tat normal les extrémités nerveuses sen- sitives sont le siège d'un état de tension produit par la nutrition et l'excita
férieur fait saillie, les globes oculaires sont plus espacés qu'à l' état normal. Il faut signaler encore des maux de têt
Tremblements limités à un membre ou à un seul côté du corps. , L' état mental des névropathes voyageurs mérite un'examen
û renoncer à essayer de réveiller la' cataleptique 'qui; passée à l' état de curiosité locale, est "devenue' pour 'sa fam
» h .JI '11""1 0 Etendue- sur une couchette en fer et ténue dans un` état d'exces- sivê'propreté; 'l'endormie d'Origlly-S
n briser plusieurs'. il ' < 1 Dans ce corps inerte et réduit à l' état de' véritable squelette, toutes les fonctions o
cataleptiques qui peuvent se produire de temps à autre. Bien que l' état cataleptique soit' généralement de courte durée
vrose, frayeur, violent chagrin, grande émotion, c'est toujours' un état très alarmant et qui, même de courte durée, ne
de la glotte pendant l'inspiration est beaucoup plus grande qu'à l' état normal, et le regard plonge profondément dans l
insisté, sur la disparition de ces cellules nerveuses comprises à l' état normal entre les fibres des pédoncules céré- be
sentir ce qu'elle tenait. » Dans toutes les autres observations, l' état de la sensibilité n'était pas mentionné, ou bie
iniciens de valeur indis- cutable. ' La rareté des documents et l' état encore embryonnaire de la question ne nous enco
s, bien que nous n'ayons pu saisir la voie par laquelle s'opère à l' état normal la coordination de leurs mou- vements, n
rganes génitaux. L'auteur ne signalait pas tous les caractères de l' état d'obsession, mais il admettait l'un d'eux, l'im
au médecin son certificat de départ si impatiemment attendu. Son état est d'ailleurs satisfaisant, et les portes lui se
sique et le traitement moral persévérants ont ramené chezB... un état plus égal et plus stable. Mais cette équilibratio
des d'anxiété, d'insomnie, de cauchemars, il vient d'entrer dans un état tout à fait délirant, et arrive à l'Admis- sion
'exemples que des prévenus réellement responsables aient simulé cet état qu'ils ne soup- çonnent pas. REVUE DE PATHOLO
, les phé- nomènes ressemblent à ceux du somnambulisme, de certains états de rêve, de l'ivresse alcoolique; ce sont enfin
nt aliénés; si on les acquitte, ils ne tarderont pas à se mettre en état de récidive (on sait que la loi anglaise, à l'inv
miers malades, la èvre typhoïde exerça une influence heureuse sur l' état mental, puis elle aggrava l'état psychique, et
xerça une influence heureuse sur l'état mental, puis elle aggrava l' état psychique, et la psychopathie reparut comme devan
rêve tout éveillé. L'insomnie, fréquente chez lui, entretient un état de faiblesse irritable des facultés conceptuell
Quatre observations. P. K. XLV. Rapport MÉDICO-LÉGAL motivé SUR l' état mental DE L'EXPÉDI- TIONNAIRE C. Fer. A. KRUEGF
ONTRIBUTION au diagnostic anatomique DE la paralysie GÉNÉRALE PAR L' ÉTAT ANATOMO-PATHOLOGIQUE DE LA MOELLE; par B. SCHLE
pendant les périodes d'exaltation très accusée; 4° dans ces divers états mentaux, le nombre des globules rouges est au-des
us constatons que le poids spécifique du sang est plus élevé qu'à l' état sain, et où il y a une diminution des glo- bule
té se rencontre dans la démence secondaire, comme d'ailleurs dans l' état sénile, où la mentalité va s'affaiblissant ; 8°
ine est plus élevé dans la paralysie générale, et la démence qu'à l' état de santé ; 7° il semble qu'il y ait, dans l'épi
ort entre ce phénomène et l'intensité de l'excitant ? Dans certains états pathologiques, des interruptions lentes peuvent
ix-huit heures d'existence. Cet examen a eu lieu sur le cerveau à l' état frais par la méthode de la congélation; les cou
si l'auteur n'a pu, par les méthodes de préparation du cefveau à l' état frais, en déceler la présence chez l'enfant, il
distinc- tement chez ces deux ordres de maladies : C'est dans les états aigus accompagnés de dépression mentale que l'o
ent, c'est surtout dans la manie qu'on les rencontre, ainsi que les états hypérémiques. Etant donnée la marche de ces for
as de démence consécutive bien accusée, appartiennent nettement aux états d'exaltation mentale, et ne se rencontrent que
ts d'exaltation mentale, et ne se rencontrent que rarement dans les états de dépression. L'état d'hypérémie n'est pas sou
, et ne se rencontrent que rarement dans les états de dépression. L' état d'hypérémie n'est pas souvent constaté; il en e
que partout ailleurs, ce sont : la dilatation des ventricules, et l' état granuleux de la membrane qui les tapisse. En re
ttre à la malade de reprendre son service. Six mois plus tard, même état , sauf pourtant un re- lèvement assez accusé de
tion maniaque d'environ huit jours, elle s'était cal- mée, mais son état vertigineux était tellement accusé qu'elle était
f.-\V. Mac Dowall. (The Journal of mental science, janvier 1893.) L' état du cuir chevelu chez ce malade est très exactemen
son que si l'explication du profes- seur Kaposi était correcte, cet état du cuir chevelu, étant donné la fréquence delam
e du mari et dont la première grossesse améliora considérablement l' état mental. Malheureusement, sur les quatre enfants
procédé avec violence en faisant à un vieillard une suggestion à l' état de veille, et M. Caryophilis cherchait à établir
rrero se trompe en supposant que le mensonge soit impossible dans l' état de sommeil et rappelle que la violence chez les
son où elle servait et, peu de jours après, elle est tombée dans un état de mélancolie avec tendance à s'accuser de fautes
en dépit d'une paralysie qui semblait complète, la malade était en état de mouvoir les jambes Archives, t. XXVI. 27 4
e est restée normale. Une certaine amélioration est survenue dans l' état de cinq malades. Le rapporteur présente à la So
). L'asthé- nopie nerveuse en question est l'expression locale d'un état géné- ral"du système nerveux; elle va de pair a
nés, connus. M. 11PPEN. De la formation de cavités de la moelle à l' état aigu avec démonstrations. Sera publiée ailleurs
tomatologie générale il donne une description détaillée de tous les états psychopatbiques typiques : l'état mélancolique qu
escription détaillée de tous les états psychopatbiques typiques : l' état mélancolique qui peut être passif ou actif; l'é
ues typiques : l'état mélancolique qui peut être passif ou actif; l' état maniaque avec ses deux variétés : état d'ex- ci
peut être passif ou actif; l'état maniaque avec ses deux variétés : état d'ex- citation maniaque et état de fureur; l'ét
t maniaque avec ses deux variétés : état d'ex- citation maniaque et état de fureur; l'état de confusion mentale avec ses
s deux variétés : état d'ex- citation maniaque et état de fureur; l' état de confusion mentale avec ses différentes forme
e fureur; l'état de confusion mentale avec ses différentes formes : état de rêve, état de délire général et état de stup
at de confusion mentale avec ses différentes formes : état de rêve, état de délire général et état de stupeur; Y étal pa
ec ses différentes formes : état de rêve, état de délire général et état de stupeur; Y étal paranoïaque; l'état de démence
e, état de délire général et état de stupeur; Y étal paranoïaque; l' état de démence; et, enfin, l'état de déséquilibrati
état de stupeur; Y étal paranoïaque; l'état de démence; et, enfin, l' état de déséquilibration psychique. Il étudie ensu
ychique dont les différentes' combinaisons contribuent à former les états psychopathiques que nous venons d'indiquer. Ce
troubles de la conscience de soi-même, tels que l'inconscience de l' état morbide, la somnolence, le coma; les troubles d
l'hyperalgésie psychique, les différentes formes pathologiques de l' état anesthé- sique, les émotions. L'auteur parle en
le, d'où résulte la nécessité absolue d'examiner chez les aliénés l' état de tous les organes. La psychopathologie générale
uer du premier coup non seulement les oscillations survenues dans l' état psychique, mais encore les rapports qui existen
ns psychiques au cours de différentes affections somaliques; 2° les états psychopathiques très fugaces en rapport avec une
s très fugaces en rapport avec une action toxique immédiate; 3° les états psychopathiques indépen- dants qui se montrent
i voit-on figurer dans cette première classe : le délire fébrile, l' état psychopathique des maladies générales sans fièvre
lapsus, la confusion mentale asthénique, le délire trauma- tique, l' état comateux, l'intoxication par les boissons alcooli
a fureur transitoire, le somnambulisme, l'émotion pathologique, les états impulsif et hypnotique. On pour- rait évidemmen
on cérébrale circons- crite. Enfin la troisième classe comprend les états liés à un arrêt de développement : idiotisme, i
é- senté jamais aucun désordre psychique. Au dire de la malade, l' état dans lequel elle se trouve aurait commencé il y
ent de la personnalité que l'on ne rencontre le plus souvent qu'à l' état rudimentaire chez le persécuté ordinaire. L'évo
sujets non hypnotisables on doit avoir recours à la suggestion à l' état de veille, qui fournit d'excel- 448 ' CLINIQUE
; l'astasie et l'abasie n'existaient pas, comme c'est la règle, à l' état de monosyndrome. On voit l'aphonie et l'anorexi
es les accompagnent. Malgré les traitements multiples em- ployés, l' état était toujours resté le même depuis quatre mois,
ro-traumatique. J'ai une malade, une hystérique ; sans la mettre en état de som- nambulisme, sans préparation aucune, je
ypnotisés. guérison DES accidents hystériques par la suggestion A l' état DE veille. Tous les hystériques ne sont pas, on
es quel traitement employer ? Encore la suggestion ; suggestion à l' état de veille. Je montrerai par quelques exemples q
issements hystériques. Guérison par eau colorée avec suggestion à l' état de veille. Demoiselle G..., vingt-deux ans, dom
je savais très dévote. Je me con- tentai alors de la suggestion à l' état de veille. Parmi les médi- caments donnés par m
ultats qu'elle obtint. Je n'endors pas la malade (la suggestion à l' état de veille ayant presque autant d'effets sur le
lui proposant de l'endormir et me contentai de la sug- gestion à l' état de veille en lui posant la main sur le ventre et
vint, le hoquet avait reparu. Une nouvelle suggestion pratiquée à l' état de veille ne donna pas de résultats. C'est alor
vations, la suggestion pendant le sommeil n'est pas nécessaire. A l' état de veille une suggestion bien faite donne par-
ai reconnu que, si les troubles effacés par la suggestion faite à l' état de veille reparaissaient, il était inutile d'es-
e système nerveux, à le surexciter, au point de produire bientôt un état pathologique qui sera l'hystérie ou la neurasth
s, les fous systématiques agités, les épileptiques et les idiots en état d'agitation, et l'on obtient des résultats surpre
n de manger (action sur les glandes salivaires) parfois modifient l' état mental, notamment la stupeur (en relevant la pr
'est'pourquoi'chez le paralytique général, de' même que'les gens en état de sommeil hypno- tique, les opérations de l'es
paralysie de quelque muscle lingual que ce soit, elle est due. à un état , d'innervation 1 il 10 p-, Il 1 p ? -% it, , .
re rondj on'conseillera4lanmor;phinet comme'propre à^ entretenir^ l' état neutre'des liquides de'J'estomac.y ' 1 n Irant.
sentent des caractères spéciaux. Ainsi s'explique, qu'en dehors des états morbides parti- culiers, les variations et aspe
aussi avec avantage l'hydrothérapie contre l'hystéro-épilepsie, cet état complexe et mal défini où l'on observe un mélan
dans une pharmacie où les premiers soins lui ont été donnés. Son état est très grave. Elle porte une blessure de cinq c
écorce ') par, Goodall,'40û. Cerveau, méthode d'examen dû - " à l' état frais; par ICindred; 52 - quelques remarqués, s
r Sarbo, 138; un cas d'anurie- par Halot, 145; contribution à l' état mental des -, par Long- bois, 168. - Idiotie,
vs, des - de chlorure de sodium chez les aliénés siliopho- bes en état de collapsus, par llberg, 239 : - par Lelimaiii
'de'S injections de chlo- ' rure de sodium chez les aliénés ' =en état de collapsus, par libero, 239 ? ? 1 '...j ? S
88 (1913) Exposé des travaux scientifiques
ion pathologique, mais je me suis assuré depuis qu'ils existent à l' état normal dans la plupart des muscles striés. N'ay
e sectionné, les champs de Cohnheim sont bien plus distincts qu'à l' état normal ; ces champs ou polygones, qui correspon
voici comment on peut comprendre le processus patholo- gique : à l' état normal, la fibre musculaire est un élément très d
iation morphologique tend à s'effacer, l'élément tend à revenir à l' état embryonnaire. » Ce processus particulièrement n
d'ordre général : tous les éléments dif- férenciés repassent par l' état indifférent lorsque les circonstances les oblig
de toute lésion musculaire a été exprimé par Durante. Tandis qu'à l' état sain la portion trophique et non différenciée (sa
a partie fonctionnelle ou musculaire différenciée en fibrilles, à l' état pathologique il y a inversion dans l'importance r
fface alors plus ou moins complètement et, la cellule revenant à un état primitif, la portion trophique et indifférente
sser un courant électrique de quelques milliampères, on provoque, l' état normal, entre autres phénomènes, une sensation de
antôt associé à l'inclination. 5° J'ai établi que chez l'homme, à l' état normal, une irrigation de l'oreille avec de l'e
onduit à établir quelques notions nouvelles en ce qui concerne leur état normal, mais comme ces données, d'une importance
rôle important » (122). A l'appui de cette idée on peut invoquer l' état des pupilles dans l'héméralopie, affection prod
s, et fixer mieux qu'on ne l'avait fait avant, moi les limites de l' état normal, ce qui est essentiel pour le neurologiste
n admettait autrefois que le réflexe achilléen était inconstant à l' état physiologique et pour ce motif sans doute les cli
ent... Je considère l'absence du réflexe achilléen comme signe d'un état pathologique. » Telle est également l'opinion d
e. J'ai insisté sur la symétrie parfaite des réflexes tendineux à l' état physiologique, d'où cette conséquence que l'asy
différences indi- viduelles. Mais quelles sont les frontières de l' état physiologique ? Quel est le degré à partir duqu
le droit de considérer la trépidation comme parfaite et dénotant un état patholo- gique. Sinon, on peut avoir affaire à
as, une trépidation identique dans sa forme à celle qui dépend d'un état patho- logique. Je ferai remarquer que le phéno
s, mettant quand on les y invite leurs muscles dans le relâchement, état dans lequel la trépidation épileptoïde ne peut
ite est un phénomène pathologique et que la fruste peut exister à l' état physio- logique. « Il est à retenir que la tr
res qui, là, seront mieux à leur place. J'ai dit plus haut qu'à l' état normal la percussion de l'extrémité inférieure
la diminution ou l'abolition du réflexe de flexion de l'avant-bras, état pathologique, peut avoir cette conséquence que
et des doigts. Dans les faits de ce genre on peut encore, d'après l' état des réflexes intermédiaires, réflexe de pronati
paradoxal du coude dont je crois avoir pénétré le méca- nisme. A l' état normal, la percussion de l'extrémité inférieure d
rs sur ceux qui résultent de l'ébranlement de l'os sous-jacent. A l' état pathologique, lorsque le réflexe d'extension es
nes. J'ai démontré enfin que l'hystérie est incapable de modifier l' état des réflexes tendineux, contrairement à ce qui
Il importe que les muscles du pied et de la jambe ne soient pas en état de contraction, et pour obtenir ce résultat il
à résoudre car il est à peine besoin de faire remarquer que si, à l' état normal, le réflexe cutané plantaire ne se manif
nde dans les cas où les réflexes tendineux ne renseignent pas sur l' état du système pyramidal. C'est ainsi que, dans l'h
ttement avec le manche d'un marteau à percussion, ne détermine, à l' état normal, aucun réflexe ou seulement une flexion
ussi, depuis assez longtemps, sur ce phénomène que j'ai observé à l' état normal ainsi qu'à l'état patholo- gique. Mais i
mps, sur ce phénomène que j'ai observé à l'état normal ainsi qu'à l' état patholo- gique. Mais il est rare chez les sujet
une extension du gros orteil. « Ce fait seul qu'il peut exister à l' état normal m'empêche d'attribuer à ce phé- nomène
e importance pra- tique très grande, car il décèle l'existence d'un état souvent précur- seur de troubles fort graves et
En résumé, chez cinq malades sur six, le signe d'Argyll existait à l' état isolé. Chez le sixième on constatait de plus l'
rait trop chercher à préciser les conditions capables de modifier l' état des pupilles ; aussi j'espère que la Société tr
gné, on retire brusquement la main ; or, dans ces condi- tions, à l' état normal, la pupille se contracte très nettement à
culaire paraissant absolument conservée, l'impotence était liée à l' état spas- modique, s'il ne serait pas légitime de c
a précédente par les traits suivants : elle est indépen- dante de l' état des réflexes tendineux qui sont tantôt forts, tan
ène de la crampe musculaire ( : 3 ? J'ai montré que dans certains états morbides il est souvent possible, par l'applica
ur la jambe. Ordinairement, le muscle, après avoir été mis ainsi en état de con- traction une ou plusieurs fois successi
itude, dans les formes graves de cette maladie et dans sa période d' état , elles se développent spontanément, ou il suffi
lieu d'admettre, à priori, qu'il peut être observé dans les divers états pathologiques qui comprennent les crampes spont
t constituaient une infirmité fort gênante. On peut désigner un tel état sous la déno- mination de maladie des crampes.
: DU LIQUIDE C) ? PHALO-)iA( : HiD)EK 71 trouvons, dans 5o cas, des états morbides que nous considérons comme le résultat
niciens qui considéraient le réflexe achilléen comme inconstant à l' état normal (voir p. 28) ; il n'était pas signalé da
ives particulièrement sur le trajet des deux sciatiques, et liant l' état s'est très notablement amélioré à la suite de l
nue, sans doute parce qu'ordi- nairement on néglige de rechercher l' état du réflexe du triceps bi a- chial, et qu'en pré
? la fossette mentonnière, la synergie paradoxale peuvent être à l' état normal reproduites avec exactitude par l'électr
ralysie faciale périphérique, succéder à la paralysie musculaire un état spasmodique ayant de grandes ana- logies avec l
ue les réflexes de défense, souvent plus forts, il est vrai, qu'à l' état normal, ne sont pas néces- sairement exagérés.
ue l'on considérait l'absence de ce réflexe comme assez commune à l' état normal. Dans les traites classiques de pathologie
on clas- sique. B. Réflexes tendineux des membres supérieurs. L' état de ces réflexes, dans le tabes, a été l'objet d'u
s malades présentant des signes carac- téristiques de tabes, dont l' état est à peu près stationnaire depuis des années o
Aussi est-il bon de posséder d'autres éléments de localisation. L' état des réflexes tendineux, par exemple l'inversion d
éant, de tourner la tête, de porter les aliments à sa bouche. « L' état des réflexes tendineux et des réflexes cutanés, l
soumis systématique- ment à des pratiques de radiothérapie. « Son état continue à s'améliorer ; la contracture cède peu
de mètres ; la marche, il est vrai, est encore lente, pénible, et l' état des réflexes dénote la persistance d'une pertur
rayons X ont joué un rôle thérapeutique, on peut faire valoir que l' état du malade, qui jusqu'alors n'avait fait qu'empi
ait conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la moelle ( état clair, dégé- nérescence ascendante du faisceau
ircons- tances dans lesquelles l'affection s'est développée et de l' état général du malade qu'il est possible d'arriver
condi- tions sont donc semblables. Je dois faire remarquer qu'à l' état normal l'immobilisation de la cuisse paraît êtr
, il est à peu près égal à droite et à gauche. Néanmoins, comme à l' état normal il peut y avoir entre les deux côtés de
, l'impotence du côté paralysé étant complète, ou bien le malade en état de prostration profonde est incapable de faire le
qu'une atrophie musculaire peut résulter d'une modification dans l' état dynamique des cellules nerveuses. Les obser- va
arrêté, avoir subi des oscillations à la manière d'un pendule. A l' état normal l'activité musculaire trouble presque touj
libère les mouvements passifs des entraves qui leur sont mises à l' état normal par l'activité musculaire. En résumé, da
a flexion de la cuisse sur le bassin est bien plus prononcée qu'à l' état normal (voir fig. 15), ce qui a pour consé- que
i donnée des mouvements démesurés cérébelleux : « Et d'abord, à l' état normal, comment un sujet procèdc-t-il pour exéc
rant légèrement au moment où il fléchit la cuisse. Il est aussi en état de marcher, sans l'aide d'autrui, s'il a devant
le pied suit à peu près sans dévier le chemin qu'il prendrait à l' état normal, et que les pas se succèdent avec une
se trouve le malade d'associer, dans l'acte de la marche, comme à l' état normal, la translation du tronc à la flexion de
elleux est caractérisé par la faculté que présentent les muscles en état de contraction volontaire de se maintenir longtem
ieu chez les sujets témoins. La méthode graphique fournit sur cet état des données complé- FiG. 21. Sujet normal. Ilom
j'ai donné le nom de catalepsie cérébelleuse se présente, dans son état de pureté, sous un aspect saisissant. A en ju
re envisagé sous deux modes, suivant que le corps se trouve dans un état d'immo- bilité active, ou bien qu'il est en mou
à que d'une affaire de convention et il suffit de s'entendre. « A l' état normal, l'équilibre volitionncl cinétique est réa
Dupré et Devaux (voir Latron, Thèse, Paris, igi i) ont constaté un état catalep- toide léger des membres supérieurs ass
ce, « il n'y a aucun doute qu'une série de cérébelleux montrent cet état cataleptoide ». Il y voit « un très frappant écar
on le fonde principalement sur les modifications que subissent à l' état pathologique les réactions objectives provoquées
n, qui peuvent être exagérées, affaiblies ou abolies. Tandis qu'à l' état normal, avec un courant peu intense, de i à 3 1
es, l'inclination de la tête fait totalement défaut, au lieu qu'à l' état normal elle est généralement perceptible avec u
quée par le passage du courant. Tantôt la tête s'incline, comme à l' état normal, du côté du pôle positif, mais le mouvemen
e l'inclination ou du côté opposé. Enfin, le nystagmus provoqué à l' état physiologique par le courant électrique peut ma
quer. Telles sont les principales variétés du vertige voltaïque à l' état pathologique. Chacune d'elles doit dénoter so
courant. Après avoir déterminé les phénomènes que l'on observe à l' état normal, nous avons recherché les modifications
sistance ne se modifie en rien. De plus, on peut voir le retour à l' état normal ou à un état voisin de la normale d'un v
ie en rien. De plus, on peut voir le retour à l'état normal ou à un état voisin de la normale d'un vertige voltaïque car
e vertige labyrinthique, caractérisé par des bruits subjectifs avec état vertigineux constant, se compliquant de grands ic
céphalo-rachidien suffit à produire une amélioration très grande. L' état vertigineux, les ictus disparurent, les bruits su
atés il mentionne le développement du pannicule adipeux ainsi que l' état infantile de l'appareil sexuel, et se dit encli
vec des interruptions. « En octobre iSgg je revis cette femme ; son état s'était transformé, elle se sentait bien plus f
administré pendant longtemps, exerce une influence heureuse sur cet état pathologique, c'est parce que celui-ci présente d
lèguesà examiner, chez les aortiques qui se présen- teront à eux, l' état du réflexe à la lumière, et à faire connaître à l
travail de revision. L'hystérie était généralement conçue comme un état névropathique défiant toute définition, sorte d
rminent des altérations cérébrales ou médullaires. On la croyait en état de donner naissance à des lésions superficielles
tenait principale- ment à ce que l'étude des réflexes tendineux à l' état normal avait été négligée et que la gamme de le
elle de l'hystérie. 11 découle, en effet, de ce qui précède que cet état n'est pas, tant s'en faut, capable « de tout fair
este avoir une autre opinion à l'époque où l'on faisait' entrer des états organiques dans le cadre de cette névrose ? Il es
t des caractères qui n'appartiennent qu'à eux, dont tous les autres états morbides sont dépourvus, et qui par suite consti-
érie ; je l'ai énoncée de la façon suivante : « L'hystérie est un état pathologique se manifestant par des troubles qu
sque-là n'avaient été soumis à aucun examen médical; j'ai exploré l' état de leur sensibilité et de leur vision, avec la
us avons réservé le nom d'émo- tion et nous avons appelé la seconde état affectif. Nous avons défini l'émotion de la faç
er groupe comprend toutes les émotions proprement dites et certains états affectifs comme la tristesse vague non motivée. A
s comme la tristesse vague non motivée. Au second appartiennent les états affectifs organisés dont les types principaux son
types principaux sont les sentiments d'espérance et de crainte, ces états possédant le pouvoir d'entrer dans des complexus
quelques-uns souffraient de troubles nerveux divers constituant un état morbide, une « névrose émotive»; il ne trouva pas
rovoquer des commotions morales. Une nouvelle question se pose. Les états affectifs, que nous avons distingués de l'émoti
qu'elle a suscités. Semblablement, l'hystérique saisit l'idée d'un état pathologique et le réalise lorsque celte idée s'i
l'intervention d'une idée suggérée, soutenue, il est vrai, par des états affectifs systématisés, idée dont ils ne sont que
s, au réveil, ce qui aurait eu lieu pendant le sommeil. c. Dans l' état léthargique, il serait complètement inconscient.
s l'état léthargique, il serait complètement inconscient. d. Dans l' état somnambulique, sa propre volonté n'agirait plus e
e une affection organique expose à négliger le traitement qu'un tel état com- porte. De plus, dans les cas d'associati
1892). 37. Des crampes musculaires dans le choléra et dans d'autres états pathologi- ques (Id., 2 décembre 1892). 38. P
e est latente (Société de Neurologie, 15 janvier tgo3). 8D. Sur l' état des réflexes tendineux dans l'hystérie (Société d
89 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
piqûres sont plus vivement sen- 16 CLINIQUE NERVEUSE. ties qu'à l' état normal. La sensibilité thermique est atteinte : u
raissent pas altérés. L'encéphale étantretiré, on examine d'abord l' état des vaisseaux : l'artère basilaire présente un
noter, c'est un brillant spécial ,de la surface des coupes, et un état un peu poisseux de la substance cérébrale. Mais l
se montre fort rarement. Griesin-er3 a observé dans quelques cas un état passager d'hyperesthésie considérable à la surf
lezowski, Magnan. « Il est souvent plus difficile de reconnaître un état * Magnan et Sérieux. La paralysie générale, p.
Journal of insanity, 1895). 32 CLINIQUE MENTALE. 1 normal qu'un état pathologique, » disait M. Ballet dans une leçon
phérique relevant soit d'une lésion centrale (encéphale), soit d'un état général de cachexie (Durante 3). Elle existe da
i que l'a signalé Zacher'. L'apparition de ces troubles aggravait l' état de la malade au lieu de l'améliorer (comme l'on
chambre, l'accoudoir de la fenêtre, etc., elc. P. ICR.1V.1L. X. L' ÉTAT DU C1RCULUS NUTRITIF DANS UN CAS SPÉCIAL DE FOLIE
rme, dans la nutrition, plus d'azote, qui apparaît dans l'urine à l' état d'acide urique et d'éléments xanthiques, que pend
soire des amputés; disparition spontanée des sensations illusoires; état mental.des amputés. Reprenant ensuite l'étude d
physiologie pathologiques. suit partout D est étroitement liée à l' état des nerfs contenus dans la cicatrice du moignon
doigts. A. FENAYROU. XXXIV. Contribution A la QUESTION relative A l' état DES PETITS CAPILLAIRES DE l'ÉCORCE DU CERVEAU D
, atteinte de torticolis mental depuis plus de quatre ans, a vu son état s'améliorer en moins de 15 jours, à tel point qu'
d'énergie, se déchargeant à la façon d'une bouteille de Leyde. L' état mental du sujet exerce aussi son action sur la re
egré qu'a- vant l'opération ; mais il n'y a plus trace de goitre, l' état général physique et moral est demeuré excellent
(Médecine Détroit, mars 1896). Existe-t-il, se demande l'auteur, un état mental dans lequel un individu est entraîné d'u
nce réprouve ? 2 La folie morale est difficile à préciser. C'est un état mental dans lequel l'individu conserve toute so
ison, mais présente une perversion d'instincts naturelle. Un pareil état a ses racines dans l'hérédité qui transmet les
ours con- firmé cette règle. Il n'a jamais pu obtenir d'un sujet en état de sommeil, d'accomplir un acte qu'il croit cri
cours de la crise, à se tranquilliser et à les considérer comme un état transitoire, à réagir, par conséquent, dans une
r fou et irresponsable de ses acles, en donnant comme preuve de son état d'aliénation mentale une série d'actes absurdes
la voix. Bien qu'il eût la vue comparativement passable et que son état intellectuel était très bien développé, il ne p
une hémiplégie avec une aphasie ; bientôt la malade mourut dans un état comateux. A l'autopsie on constata ce qui suit;
'hôpital avec une hémiplégie gauche et mourut dans un mois après un état comateux. A l'autopsie on trouva une tumeur qui
faibles, la fatigue aug- menta encore plus, et surtout s'empira son état général. L'activité SOCIÉTÉS SAVANTES. 89 du
ade entra de nouveau à la Clinique des mala- dies nerveuses dans un état très pénible. L'appétit était très mau- vais, l
encore (33 kg. 600 gr.); mais bientôt survint une amélioration de l' état de la malade. Avant tout l'appétit augmenta; à
sement excessif, qui surtout à des conditions peu favorables dans l' état de la malade se fait sentir à un plus haut degr
si faible, que ce n'est que dans quelques jours qu'elle reprit son état d'amélioration. Cette dernière dépendait princi
Cette dernière dépendait principalement du réta- blissement de son état général, ce qui s'ensuivit bientôt après l'augm
ossolimo et Mouravieff. De la structure de la fibre nerveuse dans l' état normal et pathologique, Méthode de formol- méth
presque toutes les parties intégrantes du système nerveux dans son état normal et pathologique; et 2° la manifestation
e hypothèse, l'auteur a donné à ses malades, mises préalablement en état d'hypnose, l'ordre de se réveiller ; mais non p
suite. Poursuivant ensuite ses investigations il s'est aperçu que l' état de vigilambulisme pouvait être également modifi
sibilité pour ramener en même temps tous les accidents, y compris l' état de somnambulisme. De cette nouvelle série d'exp
ications de la sensibilité sont elles-mêmes sous la dépendance d'un état d'engourdissement ou de sommeil des centres cér
lètement paralysé ; la parole était très gênée. Elle resta dans cet état trois semaines, puis l'aphasie disparut. L'hémi
e de vomissements répétés et d'incontinence d'urine. 9 jiiin. - L' état est resté stationnaire; ce matin on constate quel
u de la corticalité offre une consistance un peu plus grande qu'à l' état normal. On ne trouve ni gomme, ni hémorragie, ni
; au moment où nous écri- vons elle se dit également revenue à son état normal. Et cependant son état mental n'est peut
s elle se dit également revenue à son état normal. Et cependant son état mental n'est peut-être pas absolument sain, com
ves, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NERVEUSE. cérébrale mise en état de moindre résistance, elles peuvent produire d
ait beaucoup mieux; son hémiplégie était en voie de gué- rison, son état général meilleur, la suppuration de sa plaie comm
nt le pus. Nous ne pûmes pas avoir de renseignements précis sur son état immé- diatement avant l'ictus ; mais nous ne vo
l'acuité est très réduite. Il y a un peu d'inégalité papillaire. L' état général est moins bon, la malade a maigri. On p
suivie d'un sommeil profond. Au réveil elle se retrouve dans son état habituel, ressentant seu- lement un peu de faib
e, mais sans régularité. Rien d'anormal à l'examen des poumons. L' état mental parait assez particulier. La malade reste
e certaine saillie, les vais- seaux font encore un léger coude. L' état mental est bien meilleur et paraît au premier abo
certaih degré d'aphasie motrice qui auparavant était masquée par l' état mental. Dans une phrase un peu longue elle est
très logique de prendre LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 133 pour type des états paralytiformes indûment baptisés de la dénomina
rmes indûment baptisés de la dénomination « paralysie générale » un état pathologique dont l'étiologie est encore aussi
plexes chez la femme, 'moins variées aussi les symptomatologies des états paralytiformes chez la femme ? Enfin, je le rép
e, eut toujours des goûts féminins : c Je ne puis mieux définir mon état qu'en disant que je suis une femme dans un corps
sultat, au contraire. Dans certains cas l'opération peut agir sur l' état mental comme le ferait une fièvre intercurrente,
des ovaires calme les symptômes aigus de la maladie et provoque un état de stupeur tendant à la démence. A. V. XIX. G
nt 14 améliorations des symptômes physiques et 8 améliorations de l' état mental soit 57 p. 400. A l'amputation du col et
la voie vaginale et 5 par l'abdomen dans deux cas soit 17 p. 100, l' état menlal fut amélioré 10 de laparotomie pour affe
chirurgie gynécologique n'est plus à l'étude et qu'elle est passé l' état de fait acquis. , A. V. XX. Relation étiologiqu
re soit pour leur santé physique, soit dans le but d'améliorer leur état mental. Les aliénés à intervalles lucides peu-
. Pour lui les maladies organiques ont une grande influence sur l' état mental et surtout les désordres des organes pelvi
n très petit nombre de descriptions. Elle est constituée par divers état nerveux passagers qu'il est extrêmement diffici
eure des symptômes. Ce que l'on trouvait chez ce malade, c'était un état bien caractérisé d'affaiblissement intellectuel a
ar ['insuffisance des images commémo- ratives, qui met le psûchê en état d'équilibre instable et rend l'individu accessi
onnus, l'auteur formule le diagnostic de tremblement hérédi- taire, état morbide que M. M Achard et Raymond ont démontré
appréciable, et se manifestant en dehors, sinon indépendamment des états pathologiques classés Elle est caractérisée par
ues de dénutrition et des phénomènes mentaux, résultat premier de l' état somatique dont le fond essentiel est constitué
contraire d'inertie motrice, avec ou sans variations marquées de l' état émotionnel n. A propos de l'étiologie de cette
tion, M. Séglas discute la valeur de l'hypothèse d'après laquelle l' état de faiblesse irritable du système nerveux centr
yant pour objet la peur du ramollis- sement cérébral. S'il s'agit d' états neurasthéniques accidentels, il importe d'en re
s s'être un instant amendé, reprendre sa marche en avant. Parmi les états neurasthéniques résultant d'une infection ou au
aux ano- malies somatiques, aussi peu délimité du type normal que l' état de maladie est séparé de l'état de santé. Il aj
i peu délimité du type normal que l'état de maladie est séparé de l' état de santé. Il ajoute que parmi les classes de 1S
.-A. KOCH. (Centralbl. f. Nervenheilk., XIX, N F., vu, 1896.) A l' état normal, pense Wernicke, et c'est là le mérite de
'auteur, traita une petite fille de six ans qui se trouvait dans un état avancé de crétinisme par les tablettes d'extrait
jeune crétin de six ans trois mois dont un frère était aussi dans l' état de crétitisme du vraisemblablement à l'hérédité
ent à l'hérédité maternelle, par la glande thyroïde donnée soit à l' état frais soit en tablette. En dix mois le succès
des stimulants du système nerveux qui peuvent agir dans certains états morbides. Son plus grand succès a été une amélior
nausées, moiteur de la peau et perte de poids. Les changements de l' état mental furent manifestes : un déprimé devint pl
rsistèrentpas trois mois après la cessation du traitement. Certains états de stupeur et de dépression se trouvèrent au cont
plutôt que comme un médicament ; il n'a vu aucune amélioration d'un état mental produit par l'emploi de tablettes d'ovai
ngt-sept ans, atteinte de méningo- encéphalite spécifique et dont l' état était considéré comme déses- péré. Des injectio
l'enregistrement des effluves qui se dégagent des êtres vivant à l' état normal et pathologique, par Charrin et Nittis;
atteints de maladies du système nerveux central ou périphérique, un état iehthyosique particulier de la peau, et qui se
es argentées. Les ongles des orteils sont bruns, plus minces qu'à l' état normal. Les dents sont usées, surtout les incis
sitation de la parole. Inégalité pupillaire. » Inconscient de son état , il sourit à l'idée de sa fortune imagi- naire
, cyanosées. Les ongles des orteils sont petits, plus minces qu'à l' état normal. Ils s'effritent en minces lamelles. Les
te, maigre, apathique et indifférente. Elle est inconsciente de son état , et n'a que quelques idées vagues de satis- fac
bras droit, au tiers inférieur, également sans douleur. Tel est l' état de la question. Nous n'avons pas nous- même d'o
ombèrent dans l'espace de quelques jours. La malade était dans un état satisfaisant. Au mois de décembre, soit cinq mo
la voix féminine. Etat mental. A l'entrée, ce malade présentait un état maniaque subaigu sur lequel il est inutile de s
bien des ques- tions intéressantes. Tout d'abord on doit retenir l' état phy- sique du malade chez lequel la cryptorchid
ec une extrême lenteur et peut même s'arrêter sans avoir acquis son état de perfection ; consé- quence pour lui de la re
on les trouvera dans d'autres affections mentales. On rencontre à l' état de liberté dans les espaces péri-cellulaires de
degrés de ce processus depuis une très légère échancrure jusqu'à l' état où la cellule est réduite à un noyau entouré d'
bien qu'il soit quelquefois contracté et sans nucléole visible. Cet état pathologique a été observé par l'auteur dans des
e sait, et Obersteiner l'a démontré, se rencontrent fréquemment à l' état normal dans les espaces péri-cellulaires. Le mo
et était atteint de jargonaphasie et de paraphasie. Dans la suite l' état de ce malade s'améliora légèrement, l'usage de
ps thyroïde, thyroïdine, tabloïds anglaises). Sous son influence, l' état de la malade s'est rapidement amélioré ; on a not
a d'artificiel dans la distinction qui n'est que la traduction de l' état de nos connaissances et de nos moyens d'investi
présentent une première période d'épuisement nerveux suivi par des états vertigineux accompagnés. souvent de troubles se
ne des voies d'élimination des toxines et pto- manies produites à l' état normal dans l'organisme, se trouve sup- primée.
st de savoir quelle est la pathogénie de ces rapports ; y a-t-il un état spécial latent du bacille produisant dans l'écono
sant dans l'économie une altération organique correspondante, ou un état particulier des phénomènes intimes de la nutrit
ien que le processus morbide qui, d'ordinaire, amène à la longue un état paralytique continu, ait pu se manifester avec as
mois après, d'une fièvre typhoïde. Cette maladie a retenti sur son état mental et provoqué la trans- formation du regre
ladie. Mais des troubles trophiques n'ont pas tardé à apparaître. L' état de la malade est resté à peu près stationnaire pe
maladie a présenté les particularités suivantes : début brusque en état de santé parfaite; paralysie ascendante ne gagn
ébut de la maladie, et en général leur accentuation est un indice d' état géné- ral et de pronostic plus graves. D'aprè
t de pronostic plus graves. D'après les observations de l'auteur, l' état psychique des malades 240 REVUE DE PATHOLOGIE N
ntre autres par Kussmaul, qui lui avait donné le nom d'apraxie. Cet état peut aussi être rapproché de « l'imperception » d
n- tenant comme malade ? Quel changement a-t-on remarqué dans son état ? Sur tous ces points, aucun renseignement de la
atteint que pour 27 à qui a été accordée la permission de vivre à l' état de relégués libres, mais qui ont dû se réfugier
dans le sentiment naturel de la propriété et il est représenté à l' état rudimentaire par l'exagé- ration de ce sentimen
s a émis, au Congrès de Bordeaux de 1895, le voeu que l'examen de l' état mental des inculpés soupçonnés d'aliénation soit
serait grand temps que celle réforme fut réalisée. 6. Troubles de l' état mental atax Antilles; par F.-J.-Ch.-E. GUILLIOD.
utant plus facile- ment l'apanage des créoles qu'ils présentent à l' état normal des tendances neuropathiques. L'alcoolis
s sui- vants de la question : 1° la mémoire, son fonctionnement à l' état normal, ses troubles;-2°des hypertrophies génér
es; 4° des hy- permnésies dans le sommeil et dans quelques autres « états seconds » ; 8° des hypermnésies vésaniques et d
Les hy- permnésies, on le comprend, pourront se produire dans tout état d'émotion intense qui a concentré l'émotion sur
ui se produit dans l'hypnotisme et le spiritisme. z Enfin, dans les états où l'attention est supprimée (sommeil natu- rel
de la pensée. Cette hyper- mnésie est la caractéristique même de l' état maniaque, que celui-ci soit du reste vésanique
BIBLIOGRAPHIE. 265 "ressive. C'est aussi la caractéristique de l' état de la pensée dans les intoxications par l'alcoo
e commis par un normal ou supposé tel, sa part de responsabilité. L' état social est en grande partie la cause de la crim
s asiles, colonies agri- coles et asiles proprement dits, suivant l' état de perfectibilité des individus. » , 11. Les
tion et de mélancolie se succédant mais ne se combinant pas ; 2°les états mixtes chez des malades d'abord persécutés et dev
sécutés et devenant ultérieurement persécutés-mélancoliques; 3° les états mixtes chez des malades d'abord mélancoliques e
, et l'hypotoxicité de l'urine, rapprochée de la dispa- rition de l' état gastrique et de l'apparition de l'hypertoxicité u
de l'hypertoxicité uri- naire au moment où le malade revient à son état normal, semblent des preuves incontestables de
ations épileptiques. La prédisposition est essentielle ;. c'est : l' état d'équilibre instable de la cellule nerveuse. Le
) consécutives aux accès convulsifs. Mais il faut, au préalable, un état particulier de la cellule nerveuse connu sous le
telli- gence reste longtemps normale, tandis que dans l'épilepsie à état gastrique (par intoxication), l'hébétude postpa
action, efficace, ou bien elles suivent l'évolution favorable d'un état morbide 2. La réalité de ces guérisons peut fai
veille. Il comprit, dans certaines lectures, qu'il s'agissait d'un état mor- bide et que la médecine pourrait lui être
et quatre jours après d'une attaque de chorée généralisée, avec un état mélancolique bien mar- qué qui dura cinq mois.
u des jeunes filles mieux renseignées qu'elle, la mettaient dans un état d'agitation particulièremeut pénible. Elle reje
Malgré cela l'affaiblissement de Gill... est plus considérable. Cet état est survenu à la suite d'une infection carac- t
2. T. R. 37°,4. Soir : 37°,5. 21. T. R. 37°,3. Soir : 3 7°,7. 22. L' état s'aggrave. T. R. 38". Soir : 38°,3. 23. T. R. 3
nt et de son entou- rage. Si l'on examine l'homme vivant dans les états variés de la société, on voit qu'il y a un cert
XXXI. Action du système nerveux SUR LES processus NUTRITIFS, A l' état DE santé ET DE maladie ; par le Dr BEVERLEY, 0. I
' SYDNEY Hun. Dans un long et intéressant mémoire l'auteur résume l' état actuel de nos connaissances sur les différentes
oeur que : 1° ces phénomènes sont réalisés surtout lorsqu'il y a un état de tension exagérée intracar- diaque avec inter
la maladie et ne se manifestent qu'en présence d'un coeur encore en état de servir ; jouant ainsi le rôle d'avertisseur
s services. Parmi ces derniers, M. Bechtereff insiste surtout sur l' état des réflexes cutanés (abdominaux tout particu-
ue montrent encore l'indissoluble soli- darité de la névrose avec l' état somatique devant l'hérédité comme chez l'indivi
on le temps d'interve- nir. Tout le monde est suggestibie, même à l' état normal; mais celui-ci ne diffère que par le deg
e des résultats de la suggestion hypnotique et de la suggestion à l' état normal ; voilà les cinq propositions que M. Bram-
n'est pas acceptée dans l'hypnose; ce refus est aussi facile-dans l' état léthargique profond que dans la somnolence légère
monoïdéïsles. L hypnotisme serait au contraire poly-idéiste et l' état normal monoïdéiste. La théorie de Myers, analogue
e désagréables. La volition non anéantie n'a que changé de forme, l' état moral persiste et arrête les suggestions contra
Braid et Myers ont beaucoup contribué à donner une idée claire de l' état hypnotique, tout en ajoutant aux difficultés de
nu que la liqueur n'était pas altérée. L'enfant présente bientôt un état de dépres- sion nerveuse très marqué, avec tend
température. L'enfant meurt dans des conditions analogues aux cas d' état de mal épilep- tique, trente-six heures après l
n, ait excité la substance grise corticale au point de produire cet état convulsif, qui a amené la mort. Il n'y a donc pas
relè- vent de l'alcoolisme aigu. Ces accidents rappellent-ceux de l' état de mal épileptique. P. RELLAY. Nos lecteurs t
e de persécution semble parfois borner son évolution à la période d' état , sans présenter ni phase mégalomaniaque ni déme
ées aux psychoses par malformations cérébrales, et les secondes aux états mélancoliques qu'elles relient par toute une sé
et 5 : une demi-heure avant chaque attaque, le malade tombe dans un état de rêve qui le rend incapable d'accomplir l'act
. LES DEVOIRS civiques ET les responsabilités DES médecins ENVERS l' état ; par le D1' John PUNTON. Si les sciences médica
e registre, au moins tous les mois, les changements survenus dans l' état mental de chaque malade... » L'auteur, dans un
t ce qui a déjà été expérimenté avec les meilleurs résultats dans l' état de New-York où les directeurs, de concert avec
uvosr. Le délire prophétique, tel que l'auteur l'a envisagé, est un état de délire hallucinatoire caractérisé par la cro
ication du prophète et de l'être surna- turel s'accomplit sous deux états psychopalhologiques différents. Dans l'un, le s
tant et l'oracle, entre l'interrogeant et l'interrogé. Dans l'autre état , le sujet s'incorpore à son inspirateur. Il y a
re indica- tion thérapeutique, en dehors du traitement habituel des états de ce genre, consiste donc à faire le calme et
ce de la part d'un sorcier par : 1° intoxication; 2° suggestion à l' état de veille; 3° suggestion hyp- notique ; 4° acti
hénie de prédominance psychopathique ; 3° la pseudo-neurasthénie ou états neurasthéniques secondaires ; 4° enfin, les tro
chez le même sujet. On peut considérer comme le plus simple de ces états mélancoliques celui où il y a persistance de la
nibles ou douloureuses. Ce sont eux qui, ayant cons- cience de leur état , se plaignent que leur sensibilité est émoussée
ous nos sentiments reposent sur cette consti- tution organique. Cet état affectif et émotionnel détermine chez nous des
violents intem- pestifs. Au début, le malade a conscience de cet état , il ne se sent plus le même qu'autrefois, il a
locale, ou venant du canal alimentaire, de l'appareil génital, de l' état des muscles, sensibilité musculaire, sensation
la passion et la volition. Ecoutons sur ce point M. Janet' : « L' état vital de l'organisme s'exprime dans la conscience
mitée de l'organisme. Moniteur perpétuel et indéfectible, il rend l' état du corps incessamment présent à la conscience e
définie, mais ses effets n'en sont pas moins attestés par certains états dont nous pouvons nous rendre aisément compte.
s intime, de ce toucher intérieur qui rend compte au sensorium de l' état mécanique des organes (viscères, muqueu- ses, a
l'appé- tit, phénomènes nerveux, leucorrhée). Puis est survenu un état de malaise vague, d'ennui, d'abattement, de trist
comme une auto- mate. » c On ne peut mieux comparer, dit Taine, l' état du patient qu'à celui d'une chenille qui, garda
papil- lon, avec les sens et les sensations d'un papillon, Entre l' état ancien et l'état nouveau, entre le premier moi,
les sens et les sensations d'un papillon, Entre l'état ancien et l' état nouveau, entre le premier moi, celui de la chen
orielles elles-mêmes sont secondaires chez ces mélancoliques. « L' état hallucinatoire des mélancoliques anxieux, stupide
ement marquée. « Au début, le malade peut avoir conscience de son état ; mais il ne tarde pas à perdre la notion du cara
de l'énergie volitionnelle. Au début, le malade a conscience de cet état , il se sent autre que par le passé ; mais il ne
secondaire de possession paraît le type. Aux formes frustes et à l' état faible correspondent les malades hantés par des
e destructive surles objets extérieurs, sur l'univers entier... Les états de dépression motrice simple avaient conduit le
alade au doute et aux négations philosophiques et religieuses ; les états d'exalta- tion inconsciente suggèrent la croyan
le caractère des tentatives que fait le malade pour s'expliquer son état ; il est secondaire ; mais cette explication, l
en vain de s'approcher. Le doute ne lui est plus permis, il est en état de péché mortel, il est maudit, il est damné.
it dans l'individualité amène au début des efforts de réaction, des états anxieux ; mais dès que les malades s'aperçoiven
on- nera pas de la rencontrerplus rarement et plus tardivement. L' état de conscience actuel en évoque généralement un
ordinairement on peut observer le passage de l'un à l'autre de ces états ; la scission, tout d'abord incom- plète, s'achè
ignaler. disait déjà Esquirol ', comme une variété de démonomanie l' état dans lequel certains aliénés, frappés des terre
r faite, ou même qu'on passe à l'exécution de l'acte. On a dit de l' état normal que penser c'était se retenir d'agir. Po
même prédominer encore, et les impulsions demeurer latentes ou à l' état naissaut; le malade s'attribue seulement des mé
oque, dans le second, par une sorte d'induction, la manifestation d' états d'exci- tation spéciale, qui peuvent n'être pas
ombre d'unités ou individus (Edinger) qui, dès leur apparition, à l' état de neuroblastes encore dépourvus de prolongemen
iale de leur protoplasma, possèdent la fa- culté d'être mis dans un état d'excitation déterminé par certains stimuli ext
vent les cellules des cornes antérieures persister longtemps en bon état . Dans les paralysies relevant d'une dégénération
s paralysies relevant d'une dégénération du faisceau py- ramidal, l' état fonctionnel du neurone moteur direct, c'est-à-dir
être mises en vibration, à la manière d'un résonateur, que par les états d'innervation de quelques-unes des nombreuses e
traitement venant à échouer, un matin la malade fut avertie que son état nécessitera son place- ment dans le pavillon de
aplégie, qui succèdent aux crises, disparaissent brusque- ment. L' état d'anorexie avec vomissements répétés se prolonge
tous ces accidents sont toujours survenus à la suite d'une sorte d' état de mal hystéro- épileptique, sans aucune manife
temps que l'anes- thésie généralisée, à la suite de cette sorte « d' état de mal hystéro-épileptique » dont j'ai parlé pl
intervertébraux. Dans le bulbe et la moelle épinière, il existe un état vacuolaire à la périphérie des cellules. Dans tou
égénérescence gra- nuleuse. Dans les nerfs périphériques, on voit l' état vacuolaire, une légère tuméfaction des fibres p
rations artificielles et cadavériques concomitantes. Formation de l' état criblé dans les substances nerveuses du cer- ve
urent aussi fréquentes, et le malade succomba quatre jours après en état de mal. Autopsie. Congestion des méninges. Atro
philis cérébrale; par le professeur BECHTEREW. Jusqu'à présent, les états d'obnubilation de la conscience dési- gnés par
peu de temps après. Après examen, l'auteur émit la conclusion que l' état du malade était sous la dépendance de la syphil
d'autres éléments étiologiques quelconques expliquant dans ce cas l' état morbide; mais avant tout l'anamnèse et la prése
e déterminé par la syphilis, ou faut-il considérer ces cas comme un état morbide développé indépendamment sur le terrain
dire de contracture de ces prolongements eux-mêmes qui, mis dans un état de paralysie, produisent le sommeil physiolo- p
ions, a sa raison d'être dans les premiers stades du tabès, quand l' état général n'a pas encore subi d'atteinte grave et
, la principale indication dans le tabès doit être celle qui vise l' état général du malade et qui a pour but de relever
t la paralysie générale y serait inconnue. L'objection tirée de l' état rudimentaire de la civilisation des ha- bitants
sible, mais il n'a pas encore été prouvé qu'il y ait entre les deux états une relation de cause à effet. L. M. Sollier
ns syphilitiques cutanées chez les paralytiques généraux sans que l' état démentiel s'améliore. M. G. Ballet. Je me suis
parations au picro-carmin ou à l'hématoxyline, jusqu'à la période d' état . Pour ce qui est de l'objection soulevée par M.
i d'alcoolisme. A partir du mois d'octobre 1896, elle entre dans un état de grande excitation motrice, avec obnubilation d
nce chromatophile se trouvât tout de même dans les cellules dans un état de solution. Dans les cellules, traitées par la
, paralysie des membres du côté droit avec atrophie musculaire. A l' état de repos la main et la plante du côté droit, so
Mouratow et KojEWNtKow échangent des opinions en ce qui concerne l' état des réflexes dans lacompres- sion de la moelle.
pêché les habitants de l'évêché d'en- tendre les détonations. « L' état du concierge est désespéré. Les blessures du chan
en germes dans les formes com- munes de mélancolie, engendrent à l' état faible les idées de ' Voir Archives de Neurolog
mélancolie avec stupeur, soit dans la mélancolie anxieuse. Ces deux états , malgré la différence de leurs manifestations e
à une période plus avancée, et sur- tout quand la maladie passe à l' état chronique, à la fois moral et physique. Des mal
t l'idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir mourir, suivant leurs états alternatifs d'agitation anxieuse ou de dépressi
'est la nature même de ces idées qu'ils n'ont jamais eues dans leur état normal, ou même qui sont complètement opposées
plète par suite de la forme que revêt bientôt la pensée lorsque cet état se prolonge... et que l'exercice des facultés e
ividu qui s'est formé en lui- même. Comment peut-il interpréter son état , que doit-il pen- ser de lui-même ? N'est-il pa
t. I, in-1», Basilie, 1736. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 467 Dans cet état , elle priait, faisait dire des messes, suivait
outce qu'elle veut; par exemple, contre le séjour au lit auquel son état la condamne , en particulier contre toute éléva
ntatives de suicide. 11 nous a laissé une relation détaillée de son état mental. « Je ne saurais vous exprimer ce qui se
cris et des lamentations, semblables à ceux des démons. Je sens l' état de damnation et l'appréhende, et me sens comme
e une place accessoire. Quand le délire mélancolique vrai passe à l' état chronique il se systématise, se cristallise, si
ue ou un retentissement beaucoup plus profond sur la nutrition et l' état psychique de l'individu, comme il arrive du fai
alaire du noyau; prolongements protoplasmiques plus visibles qu'à l' état normal, etc.), sont à peu près les mêmes que ce
sse- ment de la mémoire, confusion dans les idées, obtusiou. Même état en 1892 avec nombreuses attaques. Séquestré le 30
de les priver de travail et de toute liberté, ce qui aggravait leur état mental. Dans des asiles spécialement organisés po
'aii Eidl, 1807.) Une aura intellectuelle, vive rémi- niscence d'un état mental passé, la décharge des souvenirs, si l'on
études du médecin, car l'accumulation des décharges multiples, avec états secondaires et perte de conscience, restera peu
indique, sans une faute dans I*ot-dre de leur siieces- sion. Cet « état de mal unilatéral » ne se produit que sous l'in-
omme analgésique local. Manheimer (Marée)). Du gâtisme au cours des états psyehopatkiques.Marcotte (Cbarles-Adrien). De 1
éningite, dont la guérison est la règle, doit être rangée parmi les états de mal ou paroxysmes hys- tériques. Comme trait
le plus ancien ; 4° Que les médecins adjoints soient ramenés à l' état de stagiaires, mis à la disposition des médecin
et insiste sur l'heureuse influence qu'il exerce d'ordinaire sur l' état mental des aliénés chroniques, seule catégorie
nt rendu nécessaire la réintégration à l'asile. En Amérique, dans l' état de Massachusetz, on s'est également trompé sur
nnelle qu'à celle de ses enfants. Il va une quinzaine de jours, son état s'était aggravé et des démarches qui devaient abo
squ'au singe, toutes les espèces animales se trouveront amenées à l' état de dégénérescence dont seule l'espèce humaine n
ière : les singes accourent, boivent, s'enivrent et tombent dans un état d'égarement où ils deviennent incapables de disti
nte, de façon à leur rendre à peu près insensible le pas- sage de l' état libre à l'état de captivité. » Mais la partie l
leur rendre à peu près insensible le pas- sage de l'état libre à l' état de captivité. » Mais la partie la plus curieuse
er, un coup de trop, et s'excusait d'avoir fait sa visite en un tel état , dont il avait espéré, disait-il, qu'on ne s'ap
nale syphilitique, par Pelletier, 508. ' Mental. Troubles de l' état - aux Antilles, par Guilloil, 263. MESNET. Né
Beach, 77. et justice militaire, par Ferria, 262. Variations de l' état montai et de la , par Guyot, 266. Rêves. Sign
90 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
agnés de douleurs épigastriques. La malade tomba rapidement dans un état de faiblesse profonde se sentant sans cesse éto
mittents mais ne cédèrent complètement qu'au bout de six mois ; son état général s'améliora alors, toutefois, les vertiges
ec effort et on doit avoir recours fréquemment au cathétérisme. L' état de cette malade malgré un traitement hydrargyriqu
sortie de la Salpêtrière la malade est transportée à la Pitié, son état s'étant considérablement aggravé. On a dû la po
ate, des os du coude et de la partie supérieure du cubitus qui, a l' état normal, donne lieu à une flexion de l'avant-bra
ion de Wassermann est positive dans le liquide céphalo-rachidien. L' état général de cette malade est très précaire du fait
ait conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la moelle ( état clair, dégéné- rescence ascendante du faisceau
armi nos pièces de laboratoire, les cerveaux de deux malades dont l' état clinique a été très soigneusement observé. Les
rose combinée sénile. Les renseignements que nous possédons sur son état clinique ne laissent rien à désirer, car cet ho
, ù.la suite de laquelle il demeura pendant assez longtemps dans un état d'affaissement très marqué. C'est à cette époque
mais ses forces déclinèrent rapidement ; il tomba plus tard dans un état de demi-coma et mourut le 10 juin 1910. Durant
soumis à une observation très soutenue et l'on peut affirmer que l' état de la parole n'a subi aucune modification. Jus-
voisine. Alors qu'au moment du départ elle paraissait jouir de son état de santé habituel, on s'aperçut plus tard dans la
lle perdit connais- sance. Ce ne fut qu'alors que la gravité de son état s'imposa, et aussitôt l'on manda auprès d'elle
oit de dysarthrie, soit d'aphasie sensorielle. Malheureusement, cet état de guérison apparente ne dura que peu de temps.
usieurs fois de suite. Reconnaissant parfaitement la gravité de son état , notre patiente était visiblement déprimée et exp
nt transmis par le médecin traitant,8 la date du 6 décembre 1912, l' état ne s'est guère amélioré, depuis que le malade a q
t grand, maigre,bien bâti. Nerfs crâniens,membres supérieurs en bon état . Les membres inférieurs sont absolument inertes,
e de symptômes d'amélioration dans un sens quelconque, après quoi l' état empira sérieusement, les douleurs dans les geno
l'amélioration progresse rapidement sans oscillations ou sans que l' état empire même momentanément ; dans les com- mence
Sensibilité tactile et à la douleur ; le sens musculaire revient à l' état normal ; seule la chaleur se fait moins sentir
ulement et sous-arachnoïdien et les vaisseaux vei- neux, reprit son état normal, la limite supérieure de l'anesthésie tomb
ulièrement nuisible de l'appareil d'extension sur les douleurs et l' état général du malade, le résultat négatif de la ré
vements du pied droit sont les plus faibles. 23 janvier 1911. - L' état général empire notablement ; réapparition des d
nce d'urine partielle, constipation prolongée. Accrois- sement de l' état de faiblesse générale ; douleur légèrement amoind
recommence à marcher. La démarche devient de plus en plus sûre ; l' état général est bon ; mais cela ne dure guère. Un moi
es réapparaissent. Le malade commence à uriner avec difficulté; son état général empirant, il se décide à retourner l'hô
Fonctionnement de la vessie satisfaisant; l'absence de fièvre et l' état général du malade témoignaient d'un résultat éton
embre-'^ octobre. Le sens musculaire dans les orteils revient à son état normal ; la trépidation du pied disparait; les do
le malade avait la fièvre, toussait, ce qui influait en mal sur son état général, on l'envoya dans un sanatorium où les sy
pulmo- naires commencèrent à diminuer, la température revint à son état normal, la toux cessa. Pendant ce temps l'état
érature revint à son état normal, la toux cessa. Pendant ce temps l' état nerveux du malade n'empirait pas ; au contraire
s, extrémités supérieures normales; extrémi- tés inférieures dans l' état de tonicité spastique extrême, paralysie presque
partir de, la limite supérieure, indiquée dans ta description de l' état présent ; faible réflexe plantaire bilatéral.
inférieures. Il y a 3 mois, après ablation de la matrice (myome en état de dégénérescence myxomateuse), augmentation de
ent. Organes intérieurs, nerfs crâniens, extrémités supérieures à l' état normal. Extrémités inférieures : la droite ne fon
guéri le malade, toujours est-il qu'il améliora considérablement, son état , TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELL
férieures, ce qui lui per- met de recommencer à marcher. En outre l' état général s'améliora nota- blement ; le malade se
ssu osseux. Cependant le cours subséquent de la maladie ainsi que l' état actuel du patient ont démontré tout le caractèr
, d'après l'un de nous (2) une inclination fixe, car en l'espèce un état affectif puissant réalisera une systématisation p
dans -son délire et c'est tardivement que leur nombre diminuera ; l' état affectif incertain conduira à une systématisati
t encore enfermées complètement dans leurs capsules germinatives. L' état des cartilages épiphysaires correspond du reste à
spond du reste à cet âge ; nous ferons remarquer en effet, que si l' état des cartilages de conjugaison des os longs n'es
osture de la momie, il en est tout autrement 64 BERTOLOTTI pour l' état d'ossification des vertèbres. L'on peut voir très
o- fonctionnement thyroïdien, on ne le concevait qu'accompagné d'un état myxoedémateux, plus ou moins marqué suivant les
trouve 1 m. 16. Alors survient une sorte d'amé- lioration dans son état ; de plus il s'alimente plus copieusement qu'aupa
l entre (6 mai t901) dans le service du Dr Morax, où l'on examine l' état de sa vision. On trouve, du côté droit, une céc
st impossible de se rendre compte, par la vue et la palpation, de l' état de la thyroïde. Le larynx est petit. Son corps es
ypophysaire et arrêt de croissance consécutif. Persistance de cet état jusqu'à 18 ans. Puis régression épisodique des
sont décrites dans les myoclonies qui ne sont pas liées à d'autres états pathologiques. Mais elles ne sont dans ces cas-là
sation, en 1888, dans le travail deZiehen comme devant englober des états semblables qui, auparavant, se trouvaient séparés
désignation de paramyoclonus multiplex par Friedreich, d'un nouvel état morbide et qui est devenu classique. Il est int
rtain degré de tétanisation avait lieu, et il apparaissait aussi un état de contractilité simultanée de plusieurs mus- c
ce groupe. Comme le dit Cruchet, ces phénomènes sont plus près de l' état physiologique que de l'état morbide. Ce sont de p
het, ces phénomènes sont plus près de l'état physiologique que de l' état morbide. Ce sont de petites secousses pal- pébr
nition que nous présentons des myoclonies. La première élude de cet état morbide a été la thèse de Berland publiée en 18
e, les réflexes ne présentent pas, en général, de modifications ; l' état mental persiste intact ou est très légère- ment
ssentielle, à grands déplacements, qui ne sont pas dépendantes d'un état pithiatique ni d'une lésion organique quelconque.
ce résultat. Cela paraît un symptôme involontairement greffé sur l' état morbide que nous sommes en train d'étudier. Quand
lalie qu'elle avait. Elle est partie de l'infirmerie dans le même état . OBs. IL G. M.. 18 ans, domestique, est entrée
cuisses et des cuisses sur le tronc, et tout revient, de suite, à l' état normal probable- ment par l'action adjuvante de
des alternatives d'intensité. La malade estaujourd'hui dans le même état qu'il y a un an. Pendant le sommeil elle n'a pa
a eu une petite contrariété et, tout de suite, elle est revenue à l' état primitif. Dans les deux cas il y a des particul
tre les myoclonies essen- tielles qui, n'élant pas liées à d'autres états morbides, ont des caractéris- tiques suffisante
es sur ce sujet il n'y a pas de raison pour qu'on ne sépare pas ces états morbides. Le tic est, d'après Henry Meige et Fe
e, et coordonné vers un but ; par la répétition, cet acte passe à l' état d'habitude et finit par se repro- duire involon
e illogique pour les séparer des lies. Le diagnostic entre les deux états morbides peut être quelquefois diffi- cile, mai
des myoclonies symptomatiques et de la mala- die d'Unverriclrt. L' état physique des myocloniques est bon. L'état psych
die d'Unverriclrt. L'état physique des myocloniques est bon. L' état psychique ne subit pas d'altérations sensibles. D
ymptomatiques et essentielles : les premières sont liées à d'autres états morbides et les secondes ne sont associées à au
ne et des secousses myocloniques qui alternent continuellement. Cet état morbide est aussi appelé épilepsie partielle co
définies, il reste les myoclonies qui ne sont pas liées à d'autres états morbides, qui ont une vie autonome, et que nous
ent avec un rythme régulier et qui appartiennent généralement à des états pathologiques définis. MYOCLONIES ESSENTIELLES
tendance imitative : écholalie, échocinésie, coprolalie ainsi qu'un état mental particulier qui se manifeste surtout par l
produit direct de la vésanie» et Bris- saud l'appréciait comme un « état mental spécial, des bizarreries, de l'ex- centr
ents et l'imitation, dans cer- taines limites. La malade avait un état psychique spécial. Entre ce cas que nous pouvon
eures 1/2 du soir à 1 heure de l'après-midi. 24. La malade est en état de sommeil depuis le 22 à 5 heures du soir jusq
. Ce n'est que le jour suivant, jour de douche, que l'on constate l' état de l'organe. La glande est tuméfiée, immobile e
al (Nantes) La manie chronique n'est pas l'agitation chronique. Les états d'agita- tion chronique comportent plusieurs va
de boire dans l'établissement et rentre quelquefois à la section en état d'ivresse. Voici quelques renseignements sur sa
s de la messe et des Cantiques. Le soir, en rentrant, était dans un état de malpropreté repoussante ; il était couvert de
des phénomènes d'ordre hypersthénique. Comment s'est constitué cet état maniaque chronique ? Voici ce que nous supposon
e aussi, mais cette dernière progressivement a été remplacée par un état maniaque resté chronique (asthénomanie post-mél
salh. A leur côté nous trouvons plusieurs cellules névrogliques à l' état d'involution (Eisath). On voit assez,souvent da
un phénomène erratique. Ses an- cêtres préparent et expliquent son état mental et elle-même imposa son hérédité à ses d
e, dit un historien, dans une profonde mélancolie. « C'est dans cet état qu'elle accouche, le 10 mai 1503, de Ferdinand,
le mène avec la princesse Jeanne et l'on ne saurait s'en étonner; l' état de la princesse est tel, en effet, qu'il doit (
e, une blessure que l'on se met en devoir de panser. Mais bientôt l' état devient grave et Vésale soutient qu'il faut tré
tale caractérisée qui s'im- pose aux esprits les moins avertis et l' état psychique normal, il existe une série ininterro
tis et l'état psychique normal, il existe une série ininterrompue d' états anormaux, qui doivent êlre recherchés avec soin
lligence, sauf quelques particularités en relation surtout avec cet état d'infériorité dans les rapports sociaux, où les
se et de la sypliilis. Les autres pensent que l'on doit admettre un état d'auto-intoxication, produit par le mauvais fon
n. Toujours au point de vue clinique il est intéressant d'étudier l' état psy- chique des achondroplases et des micromèle
on en dise il semble bien que dans beaucoup de ces cas il existe un état d'infé- riorité ou au moins de vulnérabilité ps
es viscéraux impor- tants. Le pouls plutôt rare, 64 par minute. L' état psychique ne semble présenter rien de particulier
terne. Nous ne pouvons pas connaître, d'après cette radiographie, l' état de la base du crâne. Dans l'autre observation l
es os nasaux sont plus larges et en même temps plus concaves qu'à l' état normal (PI. XXXII). L'apophyse basilaire de l'o
la motilité. Ponction lombaire négative. ' En ce qui concerne son état psychique on constate un état d'agitation. La m
re négative. ' En ce qui concerne son état psychique on constate un état d'agitation. La malade chante, crie, pleure, es
el surtout la très petite taille de ce malade due en partie aussi à l' état de flexion des jambes sur la cuisse présenté pa
llure lombaire est plutôt .absente. On peut penser dans ce cas à un état d'achondroplasie fruste. Cette malade a présent
ésorientation). A ce propos il convient de dire quelques mots sur l' état psychique dans l'achondroplasie. Certai ns au
sychique dans l'achondroplasie. Certai ns auteurs pensent que cet état psychique est normal. Pourtant ce phénomène est
ne saurait non plus généraliser d'un seul cas en ce qui concerne l' état de l'affectivité dans l'achondroplasie, caruziére
'équilibre affectif. r. Lauze qui consacra récemment sa thèse à l' état mental des achondro- plases pense pouvoir parle
lant ceux de la manie. Dans le cas de Lauze la malade a présenté un état maniaque. Ii s'agis- sait d'ailleurs, ainsi que
résente une micromélie rhizomélique et qui nous semble présenter un état voisin de l'achondroplasie, a présenté une pé-
ovariennes ou thyroïdiennes, ce dernier traitement pour réaliser un état semblable à celui qui a dû exister chez la- mèr
et chez ceux à membres habituels. On devra étudier le poids et l' état fonctionnel des différentes glandes et le rappo
tements ; la voûte palatine est ogivale ; les dents sont en mauvais état . La langue a un volume normal, elle est le sièg
arquèrent que la tête de l'enfant. commençait à grossir plus qu'à l' état normal et les yeux à paraître plus saillants que
nu (sang) est négative. On ne peut donner un jugement certain sur l' état du goût et de l'odorat, à cause du mutisme du m
t inférieurs s'accomplissent mieux que dans les jours précédents, L' état général est bon : pouls valide, rythmique (80 pul
seulement une exagération des réflexes superficiels, ahsents dans l' état aigu de la maladie, tandis que les réflexes rotul
diminution notable de la pression intrarachidienne et le retour à l' état normal du liquide cérébro-spinal. C'est dans le
CUT1SATION DE L'HYDROCÉPHALIE INTERNE 221 forme d'amélioration de l' état subjectif et des phénomènes objectifs, dus à la
mon cas être accusées par la manifestation avant tout de ce spécial état infectieux et par sa successive réacutisation ?
liquide cérébro-spinal réussit à ramener les conditions du malade à l' état primitif. BIBLIOGRAPHIE 1 Oppenheim. - Trat
i se présentait, je fus d'abord embarrassé, car je ne savais à quel état pathologique l'attribuer. La première pensée qu
en arrière, évaluable à 45" «.Celle déformation n'existait pas à l' état de repos et exigeait toujours une intervention ac
u'à droite. Mais cette ànomalie ne saurait être considérée comme un état pathologique de la musculature de cette région.
ophie, ni même hypertrophie ou pseudohypertrophie. En examinant l' état de la sensibilité cutanée, je pus constater en ex
soumis à mon observation, c'est-à-dire, depuis près de neuf ans, cet état des omoplates ne se modifie ni n'empire. Appe
t peu accentuée. Je veux maintenant passer rapidement, en revue les états morbides indri- SUR UN CAS D'OMOPLATES AILÉES P
avoir si la cause de la difformité décrite doit être attribuée à un état pathologique et s'il s'agirait ensuite de cons-
n état pathologique et s'il s'agirait ensuite de cons- tater si cet état , physiologique ou pathologique, est un état stati
e de cons- tater si cet état, physiologique ou pathologique, est un état stationnaire, et enfin s'il n'y a pas combinais
est un état stationnaire, et enfin s'il n'y a pas combinaison d'un état pathologique avec un état physiologique. On p
et enfin s'il n'y a pas combinaison d'un état pathologique avec un état physiologique. On pourrait expliquer les omop
alement nous fournir aucune conclusion en faveur de l'un ou l'autre état morbide, soit nerveux, soit musculaire. Il est
devons penser, après avoir passé en revue et éliminé les différents états pathologiques,qu'il s'agit ici d'une dextérité mu
usieurs jours, et la jeune femme se trouvait par conséquent dans un état général des plus satisfaisants, sont apparus le
grammes d'albumine par litre. Il avril. Revenue complètement de son état comateux, elle se plaint de voir trouble. Réten
rnité, mais toujours steppant. On l'a revue au mois d'août, dans un état légèrement plus amélioré qu'à la sortie. BIBL
n rôle consistait surtout à entretenir les meubles d'art en excellent état . De 33 ans à 60 ans il frotte donc les meubles,
haut, que nous avons trouvé des lésions des racines antérieures. L' état des racines postérieures, si intimement lié aux r
pie-mère par les racines, dans leur « taille » (d'après Hoche). L' état du système vasculaire et lymphatique dans la moel
58 REBATTU ET GRAVIER logique, pour réserver cette appellation à un état anormal, pathologique, avec rupture des proport
signer, l'on emploie un terme fort compréhensif, s'appliquant à des états dont la palhogénie n'est souvent pas univoque.
ssi normale et régulière, de 3riz4 le matin et de 37°3 le soir. L' état intellectuel est normalement développé pour un. h
illons. A 6 ans, angine avec dysphagie et adénite. De 6 à 12 ans, état de santé absolument normal. A 12 ans, notre mal
ou 5 minutes. Sur plusieurs préparations microscopiques, faites à l' état frais, l'examen montre quelques corpuscules amy
sme Tét'e1'sij deGatady) ou plus rarement évoluent vers une sorte d' état asexué, que l'on a désigné parfois sous le nom
allure progressive au point que la malade était tombée dans un tel état d'émaciation qu'aucun chirurgien n'avait voulu in
re pen- dant quelques mois une cure d'iode qui aggrave beaucoup son état . Elle mai- grit excessivement, sa faiblesse est
er et elle continue à suivre différents trai- tements toniques. Son état ne s'améliorant pas, elle entre il l'hôpital Colt
hôpital Coltzà pour se soumettre à l'opération, mais à cause de son état de faiblesse excessive elle est mise d'abord da
isant des séances de 15 en 15 jours d'une durée de dix minutes. Son état s'améliore un peu, elle peut se promener dans s
alvanisa- tion du sympathique ayant produit une amélioration dans l' état du malade et ayant fait en même temps disparaît
oureuse avec des amyotrophies et des contractures, accompagnée d'un état de sclé- rose de la peau des membres inférieurs
pathique qui ouvre la voie de l'éruption de la maladie,sans être en état de produire à elle seule la sclé- rodermie, pou
quefois, c'est parce que la glande n'est pas toujours dans le même état . Gauthier (2) distingue même deux formes de scl
e façon à rendre la malade à peu près impotente à tout travail. L' état général pourtant n'a pas beaucoup souffert, elle
ation on ressent qu'ils ont acquis une consistance plus dure qu'à l' état normal (Voir Fig. 4 PI. XLIII). Nous attirons
s l'hypothyroïdisme, au contraire de ce que l'on rencontre dans les états acro- mégaliques, ne s'accompagne pas d'une dil
du fonc- tionnement du corps thyroïde : cette glande présentait un état d'atrophie complète avec retentissement sur les
faits, Strumpell conseille de toujours examiner à l'autopsie en quel état se trouve l'hypophyse cérébrale. En 1902, Laf
s nom- breuses observations appartenant au syndrome de Profichet un état spé- cial de la peau qui est lisse, luisante, r
ns encore qu'à l'autopsie on constata la sclérose du myocarde et un état atrophique des viscères. Il n'est pas douteux
uiques, la peau est durcie, il y a de l'ichthyose, des eschares, un état pigmentaire des téguments. Le malade est cachec
aitement mercune) et sortit améliorée de ses phénomènes laryngés, l' état des téguments restant inaltéré. En résumé, il s
petits. La peau des jambes est aussi plus foncée de couleur qu'à l' état normal ; pendant qu'on soignait le malade à l'hôp
; la malade est revenue ensuite, au point de vue de la parole, à l' état où elle se trouvait avant cette grippe. Examen
lapin est un animal très doux et si timide que lors- que il vit à l' état sauvage il creuse sa demeure dans la terre au fon
percevait. Nous n'avons pu obtenir aucun renseignement précis sur l' état du langage à cette époque. Jamais la malade n'a e
relativement peu touché. La malade se rend très bien compte de son état . ' Cette malade est donc bien atteinte d'aphasi
e sont les prin- cipales causes du peu de progrès constaté dans son état . Elle n'a plus été revue qu'a de rares interval
mastoïdite, elle a succombé trois jours après l'interven- tion, son état ne s'étàit pas modifié. Examen anatomique.- Aut
ien que nous n'ayons pu obtenir de renseignements très précis sur l' état du langage pendant les premières années qui ont s
peul, comme du reste le syndrome asthénie, s'associer à d'au- tres états morbides, créant des tableaux cliniques complexes
juin 1912. Le malade est déshabillé : on constate qu'il est dans un état excellent au point de vue somatique genéral. Le c
est pas douteux, à notre avis, que nous soyons ici en présence d'un état maniaque . Sans doute nous faisons le diagnostic
venues. Leur intensité est variable; quelquefois peu apparentes à l' état de repos du visage, elles deviennent manifestes
ffectent la forme de convulsions toniques, ne se manifestant qu'à l' état d'activité de la face. Cette variété est constitu
gauche s'améliora spontanément, mais au bout de quelques jours son état restait stationnaire. Sur les conseils de son méd
s faci- lement, les traits étaient moins déviés, lorsque apparut un état spasmodique de l'hémiface gauche qui fit progre
ges furents faits au niveau du côté gauche de la face, mais comme l' état spasmodique persistait après trois mois de ce nou
raits sont entraînés vers l'oreille gauche. Examen de la face à l' état de repos (PI. LU). - Au front, les rides sont t
rès légèrement ou pas du tout la grimace d'ensemble provoquée par l' état spasmodique de l'hémiface gauche. Elles ont, d'
en même temps que s'atténuerait légèrement, dit encore la malade, l' état spasmodique de la face. Elles ont apparu avec cet
la malade, l'état spasmodique de la face. Elles ont apparu avec cet état spas- modique, elles semblent suivre ses variat
s musculaires. Le clignement d'une paupière entraînant toujours à l' état normal le clignement de l'autre, toute excitation
modes et des deux côtés : il faut signaler cependant qu'au début de l' état spas- modique, la peau de l'hémiface gauche éta
réactions électriques n'avaient pas varié, malgré l'apparition de l' état spasmodique qui succédait à l'état paralytique. E
varié, malgré l'apparition de l'état spasmodique qui succédait à l' état paralytique. Elles étaient les suivantes : Ex
ploration faite le 20 mars, c'est-à-dire un mois après, alors que l' état spasmodique ne s'était uullement modifié, montrai
e, et malgré toutes les médications anti- spasmodiques employées, l' état paréto-spasmodique de 1'liémiface gauche ne s'é
tée électriquement pendant 7 mois. Au bout de ce temps, apparaît un état spasmodique du côté paralysé avec déviation des
: 1° Des reliquats de paralysie faciale gauche, se traduisant, à l' état de repos, par l'absence de rides frontales, l'a
cligne- ment physiologique des paupières (2). Pour distinguer ces états de « contracture frémissante », peut-on se fier
l le plus important dans ce diagnostic serait la consta- tation à l' état de veille de la relation étroite qui unit ces mou
ce est plus accentuée que dans l'occlusion des deux yeux. Donc, à l' état normal, l'occlusion énergique des paupières s'a
ou des deux, suivant qu'on ferme un seul oeil ou les deux. Dans l' état spasmodique qui succède à la paralysie faciale, l
mprend ainsi facilement pourquoi les premiers ne se montrent qu'à l' état de repos. Les HÉ : iISPAS11ES SYNCINÉrrQUES DE
de était atteinte d'in- somnies qui ne l'ont pas quittée depuis ; l' état général devint mauvais ; le ca- ractère devint
traits sont entraînés vers le côté gauche. Examen de la face à l' état de repos. Les rides frontales sont également ma
cette manoeuvre. Secousses musculaires de l'hémiface gauche. - A l' état de repos de la face ou dans les mouvements habi
. Rien au coeur ni aux poumons. Hien d'anormal dans les urines. L' état mental, sauf les modifications du caractère signa
très améliorée, les céphalées ont.disparu, le sommeil est revenu, l' état général s'est remonté, le caractère est devenu
tat général s'est remonté, le caractère est devenu meilleur. Mais l' état spasmodique de son hémiface gauche est tou- jou
. Elle est revue le 13 septembre 1905. L'amélioration a persisté. L' état spas- modique de la face est moins marqué, mais
e légère déviation de la face vers la gauche, à peine apparente à l' état de repos de la face, plus perceptible dans la m
e n'estpas traitée électriquement. Au bout de deux ans, apparaît un état spasmodique du côté paralysé avec déviation des I
4" Une absence de secousses musculaires dans l'hémiface gauche à l' état de repos ou dans les mouvements habituels de la
'étude de la deuxième ob- servation. Ici, ces secousses, nulles à l' état de repos et dans la mimique habituelle, apparai
aient trait à des paralysies faciales périphériques anciennes, avec état spasmodique quelquefois même fort léger. Quelques
isparaître ensemble, et leur disparition laisse les muscles dans un état de repos apparent. Elles se présentent sous la fo
gnes pulmonaires. Appareil digestif normal. Les jours suivants, l' état fébrile à grandes oscillations se maintient. L'in
mble-t-il, tout à fait au début des accidents, un accouchement avec état fébrile consécutif, mais il ne parait pas y avoir
est normal, l'intelligence est bien développée, la mémoire bonne, l' état intellectuel est celui d'un adulte; le malade n'e
sticulaire, thyroïdienne et pan- créatique ne modifiaient en rien l' état du malade. Les ulcérations périanales se cicatr
re est venue se greffer secondairement sur un terrain préparé par l' état dystrophique antérieur. OXYCÉPHALIE ET SYNDROME
ayant une va- leur pittoresque analogue expriment, au fond, le même état pathologique du squelette : l'ossification prém
t Virchow (1) qui signala ces faits, en attribuant la cause « à des états in- flammatoires des enveloppes internes du crâ
e, de même que les formes hydrocéphaiiques peuvent se ramener à des états inflammatoires des enveloppes du cerveau ». Wel
ent d'après Bertolotti, de l'hypertension cérébrale prodromique des états d'oxycéphalie; or l'amin- cissement des os, déc
r praktischen Augenheilkunden. 1876. (7) Sauvages, Recherches sur l' état sénil du crâne, Paris, 1876. (8) GUDDEN, Recher
issements, et périodiquement (une fois par mois) il tombait dans un état que ses proches appelaient léthargie. Il était de
. On peut considérer que les attaques épileptiques proviennent de l' état anormal des voies lymphati- ques du cerveau el
la lymphe de la cavité crânienne dans le corps par aspiration. L' état atonique général du protoplasma produit le sommei
ogie, 5 juin 1862. 458 LÉRI par sa face inférieure : alors qu'à l' état normal les condyles occipitaux sont plutôt au-d
térieur et le bord postérieur du trou occipital, la ligne aboutit à l' état normal au niveau du tiers inférieur des choanes
ent est parfois tel que l'apophyse basilaire, presque verticale à l' état normal, devient presque horizontale, par exempl
de sorte que l'angle sphéno-basilaire esl plutôt plus ouvert qu'à l' état normal. Entre la cyphose basilaire verticobasiq
3). En arrière, les fosses cérébelleuses sont moins profondes qu'à l' état t normal, elles sont moins « en contre-bas » de
ndantes du système glandulaire endocri- nien, c'est-à-dire avec des états morbides qui n'ont rien à faire avec l'acroméga
rongeait ses ongles durant un certain temps, mais par la suite leur état s'est trouvé très mauvais et ils ont presque di
e les observations d'acromégalie avec autopsie et vérification de l' état de la moelle se comptent. Quoi qu'il en soit,
on interne. Peut-être dans l'avenir les vérifications relatives à l' état du sympathique dans le tabès apporteront quelqu
squelette normal : Longueur du 2e métatarsien : 96 millimètres (à l' état normal, 76 mm. environ). Longueur du 3e métat
76 mm. environ). Longueur du 3e métatarsien : 86 millimètres (à l' état normal, 70 mm. environ). De plus, toutes les
morragie méningée, tout en étant un facteur important, n'est pas en état de déterminer à elle seule le syndrome de la coag
toutefois que non seulement la symphyse mé- ningo-médullaire est en état de rendre le syndrome, mais aussi tout procès m
evée par Sicard en France et par Nonne etRaveneiiAlleiiiaciie sur l' état du liquide céphalo-rachidien dans les différent
mencement du mois d'août on constate une faible amélioration dans l' état du malade : il peut fléchir à demi le genou droit
heures le liquide se prend en une masse consistante, translucide. L' état du malade reste le même ; il nous affirme toutefo
ontinence et rétention d'urine, constipation opiniâtre. 3 juin. - L' état général va empirant. Le malade a heaucoup maigri,
alade maigrit toujours; depuis quelques jours, il est tombé dans un état d'apathie, il reste indifférent, somnolent, avec
ium se fait en masse. Le malade a quitté le service le 28 juin. Son état s'est continuellement aggravé de sorte que dans
les membres inférieurs, surtout dans la région postérieure. Comme état général nous notons, à la réception, un organisme
intense réaction méningée. Il nous a été envoyé en pleine période d' état , en sorte que nous n'avons pas pu suivre les ét
lammatoires. Il résulte donc.que l'endothélium sous-arachnoïdien en état cl'intlam- mation laisse passer dans le liquide
91 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
affection organique des centres nerveux, est la manifestation d'un état névropathique le plus souvent héré- ditaire ; c
s. Au point de vue psychique, ils parcourent la gamme entière des états dégénératifs depuis l'idiotie et la débilité ment
t et de l'hystérique n'est d'ailleurs pas une hypothèse gratuite. L' état mental de certains enfants nerveux ressemble en
onnel du cerveau avant quelque rapport avec ce qu'on observe dans l' état mental des hystériques. Il consiste en un défau
cturne. L'enfant revient seulement le 11 novembre me consulter, son état de santé l'en ayant empêchée plus tôt. Je la tr
confirmée la justesse du rapprochement que nous avons fait entre l' état mental des incontinents et celui des hysté- riq
ypnose légère, catalepsie suggestive, sugges- tion appropriée à son état . 17. Trois nuits mouillées depuis le 10. 31.
-être excessives. Deux nuits mouillées. 12 mai. Aucun accident. L' état physique est meilleur, les règles régulières; l
obtusion tout particulier, qui milite en faveur de l'existence d'un état mental anormal. Chez ces sujets on voit au sur
enfant la guérison est obtenue, pourrait-on dire par suggestion à l' état de veille, aucun signe d'hypnose n'ayant été co
le 22. Hier, cet enfant a eu encore un de ces accès de fièvre avec état quasi comateux dont le diagnostic est incertain
s cas. Le degré d'hyp- nose du sujet est sans grande importance. Un état de simple passivité psychique avec yeux mainten
u; il était très hypocondriaque, et fut profondé- ment affecté de l' état de son fils. Dès sa jeuuesse, X... a offert ses
tôt il se persuade qu'il est coupable envers elle. Peu à peu, cet état s'aggrave sans cause adjuvante apparente. X...
ste. X... nous remet un billet dans lequel il nous fait part de son état ; mais quelques heures après, HALLUCINATIONS SU
lus affreuses tor- tures ; il craint qu'on ne l'enterre vivant; son état d'anxiété est inexprimable ; il est pâle, tremb
qui s'est passé entre nous, luicrie-t-elle; je me vengerai. » Cet état persiste pendant plusieurs jours. Le malade ne ma
'est pas une entité morbide, c'est un syndrome appartenant à divers états patho- logiques, et l'hystérie joue un rôle con
ou les pollutions spontanées; la névrose d'angoisse (irritabilité, état d'at- tente anxieuse, phobies, attaques d'angoi
le poids du corps, et par suite sur ces deux rapports formulés à l' état de norme proportionnelle chez l'individu sain d'e
, 1895.) Cinq observations de paralysie périphérique attestée par l' état de l'excitabilité électrique et la limite de la
u rapidement, après la troi- sième séance de.suggestion verbale à l' état de veille. Il s'agit d'une jeune fille de vingt
- troubles psychiques consécutifs aux accès. On a donné l'opium à l' état pur (opium à 12 p. 100 de morphine); la premièr
ez la femme. La médication de Flechsig a une action favorable sur l' état mental des épilepti- ques ; une malade a été, à
établissement, pratiques qui sont en contradiction formelle avec l' état actuel de la science psychiatrique. Elle insist
evient amnésique ; deux ans et demi après l'accident on constate un état d'affaiblissement intellectuel à marche progres
ment et ayant déterminé des foyers d'apoplexie. 3. M. Schultze. Les états de sommeil pathologiques et la nnrco- lepsie.-C
t à des intervalles plus ou moins longs. Gelineau ne parle pas de l' état des pupilles. 4. L : 1NGRCUTER. Présentation de
tutions où se pratique l'éducation spéciale nécessaire à chacun des états anormaux, quelles sont les formalités nécessair
d'inquiétant jusqu'au commencement de 1892, c'est à ce moment que l' état devient mauvais. La tète lui tourne quand il fa
rendre quelques menus services en rapport avec l'infériorité de son état intellectuel, et il fut revu pour le certificat
S... est considéré comme un paralyti- que général sans délire. Cet état se mainlint quelques semaines, une amélioration
la compression ont une consistance plus ferme et plus dense qu'à l' état ordinaire. Une série de sections méthodiques ne
ur, d'une hémorragie cérébrale ou d'un ramollissement; mais, avec l' état intellec- tuel, ces constatations faisaient fat
es dix premiers jours qui suivirent l'opération, il demeura dans un état mélancolique bien caractérisé, puis il redevint n
ue de l'autre, enfin le sujet rougit avec une faci- lité exirême. L' état mental est redevenu normal, mais on a vu plus h
il veut mourir, il est surexcité, il ne mange ni ne dort plus. Cet état va s'aggravant pendant trois jours et aboutit à
public en avait rappelé. Camuset. II. EXPERTISE médico-légale SUR l' état mental DE V..., accusé d'homicide. Equivalent p
issement, le DrTam- broni, fut chargé par le tribunal d'étudier sou état mental. Le médecin expert devait tout particuli
quand il jeta M... dans le Iteno ? - Quel rapport y a-t-il entre l' état mental actuel de V... et son état mental au mom
? - Quel rapport y a-t-il entre l'état mental actuel de V... et son état mental au moment du meurtre ? V... enfin ne ser
ant enfin toute nourriture. On dut l'envoyer au manicome. Voici son état à son arrivée : la face est pâle, l'air hagard,
homme terrifié par l'épouvante, il se débat et cherche à fuir. Cet état grave s'amenda petit à petit et finit, après un
emps, par se dissiper complètement. L'accès aigu élait fini, mais l' état mental restait très défectueux : erreurs de per
estion. - D'après lout ce qui précède il est facile de conclure à l' état mental véritable de V... Nous trouvons en effet
oniale halluci- natoire; 2° Au moment du meurtre V... était dans un état parti- culier de perversion de sa personnalité,
le hystérie mentale, qui lui enlevait la liberté de ses actes; 3° L' état mental actuel de V..., son état mental au momen
evait la liberté de ses actes; 3° L'état mental actuel de V..., son état mental au moment du meurtre ne sont que deux ma
règne et qui se résout par les actes les plus violents. Pendant ces états transitoires ou lout au moins d'affaiblissement c
dans le cerveau pendant le sommeil. Elles sont compatibles avec un état mental sain et ne diffèrent des idées normales
rent des idées normales que par le degré. Il n'admet dans ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif isolé. L
que par le degré. Il n'admet dans ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif isolé. L'état mental négatif abs
dans ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif isolé. L' état mental négatif absolu n'existe que dans la déme
rit peut exister chez un individu nullement aliéné. Le germe de cet état pathologique existe loujours dans la vie normale
tention est incomplètement absorbée. Entre ces faits normaux et les états pathologiques les plus intenses; il y a tous le
iots généralement mal déve- loppés, malingres et doués d'un mauvais état général sont aussi mal disposés que possible à
avoir, pour certains, de fâcheux résultats au point de vue de leur état mental. D'autre part peut-on se contenter d'iso
ur et de nuit, pour les aliénés, aussi bien au point de vue de leur état psychique qu'au point de vue de leur état menta
n au point de vue de leur état psychique qu'au point de vue de leur état mental. C'est en réalité tromper l'espoir 138 "
oir rappelé brièvement l'historique du phénomène du genou, résume l' état actuel de nos connaissances sur la nature et la s
exemple, associée d'autres signes, servir à différencier la manie d' états analogues faisant parlie du groupe des paranoïa
d'une tonicité déter- minée du quadriceps. La perte du réflexe à l' état physiologique, doit vraisemblablement être attr
à l'état physiologique, doit vraisemblablement être attribuée à des états passagers de contracture musculaire. L'absence
oncées. ' M. NEISSEIi. Dans toutes les recherches qui portent sur l' état des réflexes, il faut tenir compte, si l'on veu
ic de la paralysie générale. Il importe seulement de s'assurer de l' état de relâche- ment complet des muscles. M. IIIO
s. Il est fréquent d'observer des modi- ficalions passagères dans l' état des réflexes, qui sont dues à des modifications
et M. Tuczek sur la néces- sité d'examiner à différentes reprises l' état des réflexes chez un même sujet. Il répond à M.
our mensongères, ce qui irrite profondément celui-ci et aggrave son état . L'expert lui-même peut être victime de cette e
appartiennent en effet au groupe de la paranoïa. Quand il s'agit d' états périodiques, de formes circulaires, l'excitation
orme clinique spé- ciale désignée habituellement sous ce nom ou des états passagers survenant au cours d'autres psychoses
sique, à quatre périodes et, si Lasègue a vu seulement la période d' état , en revanche, il faut admettre aujourd'hui les
s ses points essentiels, dans ses discussions les plus actuelles, l' état de la science sur la maladie observée. C'est ai
s expressions d'un même groupe morbide, la myoclonie, produits de l' état de dégénérescence. Deux leçons sur les délires
° Spalding se livrait habituellement à la boisson et se trouvait en état d'ivresse tous les jours à partir de midi. Il n
anifestations de la scrofule et de la tuberculose inséparables de l' état constitutionnel de quelques- uns d'entre eux. N
e faits éga- lement avec beaucoup de prudence en tenant compte de l' état général du malade et de sa résistance. En dehor
rsalis, que notamment le symptôme ataxie est souvent aggravé par un état mental, neurasthénique, qui se traduit clinique
ncore plus remarquable que dans le précédent cas, si on considère l' état d'impotence absolue dans lequel nous avons trou
és par le malade sont favorablement influencés par le traitement. L' état général devient manifestement meilleur. Les mal
Toutes conditions égales des sujets jeunes, intelligents, avec un état général qui n'a pas trop souffert, s'amélioreront
IE DANS LE TABES DORSALIS. 181 tabétiques-ataxiques avec un mauvais état général ou atteints de maladies organiques grav
ncer les exercices que quand la maladie sera arrivée à la période d' état ou de progrès lent, chronique. En effet nos exe
s'aggrave de plus en plus. Au dire du malade et de son entourage l' état général s'est sensiblement amélioré à la suite
trois mois, dit-elle, sans attaque. Mais à la suite d'une chute, l' état ner- veux devient plus accentué encore, les cri
sont amincis. En résumé, nous avons eu l'occasion d'observer : 1° l' état normal, avec cependant persistance de cet épais
un individu n'ayant jamais éprouvé de troubles digestifs, et dont l' état général, d'ailleurs, est excellent. Il y a do
veuses et les neuro- logistcs en firent l'application à une foule d' états morbides dont ils ignoraient jusqu'alors les vé
exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état d'hallucination. » .. ' , La caractéristique de
as exacte ou du moins ne con- tient qu'une partie de la vérité. A l' état normal, nous avons la faculté de nous représent
entale extériorisée s'impose avec une persistance obsédants ! . Cet état est voisin de la maladie, mais n'est pas encore
ants ! . Cet état est voisin de la maladie, mais n'est pas encore l' état pathologique. Jusque-là, le sujet se rend compte
ue celui-ci vient de lui et non du dehors. Mais un pas de plus et l' état pathologique est constitué : le phénomène se dé
u de ce qu'il entend; il a franchi le Ru- bicon ; il est sorti de l' état physiologique pour tomber dans l'état pathologi
Ru- bicon ; il est sorti de l'état physiologique pour tomber dans l' état pathologique. C'est cette inconscience de l'ori
phénomène. Comme on le voit, le passage se fait insensiblement de l' état physiologique à l'état pathologique; la représent
voit, le passage se fait insensiblement de l'état physiologique à l' état pathologique; la représentation mentale se tran
illes. Pendant longtemps, pendant des mois, cette conscience de son état persiste. Plus tard, sous l'influence de cha- g
Plus tard, sous l'influence de cha- grins divers, il tomba dans un état mélancolique; bientôt sur - ? ce fond mélancoli
ence, même des alcooliques, on retrouve, derrière et au-dessous, un état mental passager ou du- rable, évident ou plus o
be à l'oc- casion de nouvelles sensations réelles et n'exclut pas l' état de cons- cience. Entendant un morceau de musiqu
, non à des habitudes psychiques seu- lement, mais aussi à certains états de cicatrice hétérotopique, car les modificatio
l'asphyxie locale, durant de quelques jours à un mois; la période d' état , accompagnée d'accès de douleur et de gangrène,
e, les veines se dilatent de plus en plus, les artères sont dans un état de spasme permanent et la lésion des parois vas
l'absence d'oedème, de paralysie, de parésie et de contracture. L' état général du malade est excellent, sa température n
uadrangulaire, qui est à bords concaves, avec noyau central, dans l' état normal, perd ses granulations chromatophiles (exo
rique, bien après son propre début; 2° il est donc sage dans tout état névrosique plus ou moins obscur, dans ses origine
ut l'affirmer qu'avec réserve de l'avenir, l'hystérique restant à l' état latent; 5° l'action sédative et tonique tout à
s pas de l'avis de M. Lamacq sur l'exis- tence des tremblements à l' état normal ; je crois que les sujets que l'on consi
eler le tremblement qui existe chez tous les gens normaux, même à l' état de complet repos. L'ap- pareil est dû à M. Meye
de Sydenham. Parfois la chorée s'é- ternise par mise en branle de l' état nerveux : la suggestion arrête alors le branle.
nt est aussi curable de celte façon ; l'entl'aZnemcnt suggestif à l' état de veille produit la guérison. Le paramyoclonus
germe dans les secousses d'im- patience de certaines personnes. A l' état de maladie, s'il n'est pas ancien, incrusté dan
e masse gélatineuse, chez des mélancoliques on peut pronostiquer un état curable, non héréditaire, mais plutôt infectieu
s quarts échappent à toute action thérapeutique spé- ciale par leur état de chronicité qui les voue à une incurabilité f
sa guérison d'une maladie physique transmissible ou en raison d'un état passager qu'elle aurait intérêt à cacher ou pour
vénériens, les aliénées aux vénériennes. C'est un reste de l'ancien état barbare, où aliénés, vénériens et filles-mères
que le reconnaît le rapporteur, mais il en est de même de certains états aigus dans lesquels une guérison rapide permet au
l'on affectera des asiles ou des services spéciaux et distincts aux états aigus et chroniques et qu'on séparera ces servi
u'à guérison d'une maladie physique transmissible ou en raison d'un état passager qu'elle aurait intérêt à tenir secret
plus souvent, d'ailleurs, leur entourage contribue à entretenir cet état mental, cette appréhension. La relation qui e
veux central et l'ap- pareil digestif est mise en évidence, outre l' état mental, par des troubles de sensibilité de la z
igestives dans le cerveau, que signalent eux-mêmes les malades. Cet état peut s'accompagner de rumination et parfois mêm
peut s'accompagner de rumination et parfois même de vomissements. L' état général n'est pas altéré; le sommeil est ordina
ceptions déli- rantes, actes anormaux) sont dus à la reviviscence d' états psy- chiques antérieurs sous l'influence d'une
caractères physiques et psychiques identiques. Ce qui domine dans l' état des sujets, c'est que cette tendance à rougir l
r les vapeurs d'huile d'aniline avec ictus apoplec- tique, cyanose, état de collapsus, pouls ralenti et très faible, pup
nt les troubles psychiques et moraux apparurent et abou- tirent à l' état actuel caractérisé par des ictus apoplectiques ré
e est suggestible, et est mise, sur l'ordie qui lui a été donné, en état de sommeil hypnotique. Présentation de pièces.
ion de la glande thyroïde du mouton par la voie stomacale, soit à l' état naturel, soit en capsules ou en tablettes, a une
nes senso- riels. Pas de syphilis. Pas d'alcoolisme. Actuellement l' état général est excellent, et sauf quelques trouble
l'impossi- bilité d'utiliser pour parler, ainsi que cela a lieu à l' état physiolo- gique, cet air qui se fait de plus en
sensibles et constantes au moins jusqu'ici se sont montrées dans l' état de A. K... depuis son entrée à l'Asile clinique
s catégoriques, rien n'avait fait précédemment supposer chez lui un état d'infériorité ou de vulnérabilité spéciale dans
t localisées à la face, enfin elles s'accompagnent d'ordinaire d'un état mental spécial qui trouve son expression fréque
et depuis quelque temps pour un motif futile, il est entré dans un état voisin de la dépres- sion mélancolique. Au poin
pathologique. 268 CLINIQUE mentale. K... présente en outre à l' état d'ébauche un phénomène que l'on pourrait rappro
bro-médullaire 1. ASILES D'ALIÉNÉS. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK RAPPORT DE LA COMMISSION DE SURVEIL
tics, 1893.) (Note de la rédaction.) ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 271 ments de charité et de correct
. Disons tout de suite que le nombre des aliénés inspectés dans l' état de New-York s'élevait au le, octobre 1894, à 19,0
gime extra pour des cas spéciaux, qui ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 273 doit être prescrit par les méd
ion que conseille la commission. RAPPORTS SPÉCIAUX DES HÔPITAUX D' ÉTAT Ces rapports sont établis sur un plan uniforme,
e suivant proposé par la commission : ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 275 1. Exposer, d'une manière géné
ssion d'un malade, en ce qui concerne les examens pour déterminer l' état mental et physique du sujet, l'enregistrement d
ons pour l'observation spéciale, etc. assistance DES aliénés dans l' état DE NEW-YORK. 277 28. Fait-on régulièrement des
rs communs à l'li0pital; si oui, dans ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 279 quelle mesure et pour quelle c
'aliénés. 6. Proportion des décès : ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 281 15. On ne se plaint guère de l
de la puberté devinrent-ils manifestes ? Quel était, auparavant, l' état mental et physique ? Quels change- ments sont-i
tré de la haine pour le sexe opposé ? assistance DES aliénés dans l' état DE NEW-YORK. 283 Age adulte. Etat de la const
emblements ? . Etait-il très excitable, dépressible ou irritable en état de santé, et ces conditions duraient-elles quel
atique ? Y a-t-il quelque chose de continuellement pénible dans son état social, au sujet de la profession, du ménage, d
sur d'autres ? Qu'est-ce qui parait affecter de quelque manière son état actuel ? Examen physique. Taille... Poids...
reille.. Oreille, front, oreille... ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 285 Oreille, oreille... Oreille,
son de leurs effets thérapeutiques. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 287 40. Le système des portes ouve
c'est-à-dire à environ celle du sang. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 289 Ponr les baignoires l'eau est
déterminante les traumatismes du sein qui agissent en influençant l' état mental des sujets. On l'observe aussi assez fré
réflexes cutanés sont en partie conservés. Vaste eschare sacrée. L' état général de- vient rapidement très mauvais, mort
ure pyogène. Quelle est la nature de cette infection pyogénique ? L' état de putré- faction du cadavre n'a pas permis de
axes, axes de la tête, du cou, du tronc, etc., étaient étudiés à l' état physiologique. On sait qu'à l'état physiologiqu
tronc, etc., étaient étudiés à l'état physiologique. On sait qu'à l' état physiologique l'axe du tronc est oblique de haut
ait Vulpian, serait due à un léger degré de contracture et non à un état myopathique spécial. Les auteurs terminent leur
ciaux intacts, mais inégalité des pupilles. Aggravation rapide de l' état général, accidents de décubitus aigu et mort quat
vésicaux et rectaux. Au mois d'octobre 1896, la malade était dans l' état suivant : état général satisfaisant, paralysie
taux. Au mois d'octobre 1896, la malade était dans l'état suivant : état général satisfaisant, paralysie complète des me
ette recherche. Anatomiquement, le processus embryonnaire passe à l' état adulte, et c'est la sclérose qui en est l'about
de l'épaule. Au moment où l'auteur le voit, le malade est dans un état vraiment misérable. Articulation des mots impossi
ade depuis sept ans. Rien à relever dans les antécédents. Voici son état actuel : les deux bras, surtout le gauche, ne p
parole, asymétrie de la face et stupeur. Amené à la clinique en cet état , on note la pléiade ganglionnaire des syphili-
et état, on note la pléiade ganglionnaire des syphili- tiques et un état de stupeur. Il n'y a aucun phénomène paralytique,
e avec des périodes d'excitation ; plus rarement se manifestent des états de confusion avec hallucina- tions. Quand les s
ébrale a pu, pendant plusieurs mois, simuler une psychose aiguë, un état de confusion hallucinatoire avant qu'on ait pu
éterminer certains troubles psychiques et plus particulièrement des états maniaques. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
il. Jastrowilz déclare qu'il est une forme de trouble psychique, un état de démence avec excitation et exubé- rance (zto
blait normale à l'oeil nu, on ne l'a pas examinée au microscope à l' état frais. Après l'avoir durcie, on trouve des lési
connues sont le myxoedème infantile le nanisme, l'idiotie, etc. Un état mental infantile accompagne toujours la malform
de la Société des Sciences de Nancy ; 2° L'asile de Maréville, son état sanitaire et son régime alimentaire, parle D'' J.
ves, éjectives de l'examen psychique. L'auteur s'occupe d'abord des états psychiques et de leur expression, en comprenant
psychiques. Quant aux éléments qui consti- tuent l'expression d'un état psychopathique, ils dépendent des con- ditions
est un malheureux épileptique qui a plusieurs crises par jour ; son état l'empêche de se livrer au travail et il occupe se
les exercices physiques.- M. Paloque (Paul) : De la suggestion ci l' état de veille. Neutralisation des dangers et influe
pelle bien qu'elle pouvait remuer ses jambes au lit. C'est dans cet état qu'elle fut transportée à la Salpêtrière dans l
aux organes thoraciques et abdo- minaux. L'appétit, le sommeil et l' état général sont bons. Commencement du traitement l
e le progrès devient de nou- veau très rapide. Voici quel était son état le 1 ? avril : la malade marche dans la salle s
ux poumons. Rien aux organes abdominaux. Le sommeil, l'appétit et l' état général sont bons. Commencement du traitement l
en conservé pour son âge. Malgré l'envahissement rapide du tabès, l' état général est resté bon. Le malade mange et dort
n motrice, il a été consi- dérablement amélioré. Voici quel était l' état du malade avant son départ. Il exécute assez bi
les nouvelles que nous recevons du malade qui habite la province, l' état du malade va toujours en s'améliorant. Il march
actuel (5 juillet 1895. Le malade est de grande taille, robuste. L' état général est excellent. Le malade dort et mange
ntinence la nuit. ASILES D'ALIÉNÉS. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YÛRK1 RAPPORT DE LA COMMISSION DE SURVEI
1 Voir Archives de Neurologie, n° 10. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 363 Les accusations formulées par
ppropriée et un changement de régime. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 36S 10. On a signalé la mort d'un
a loi sur l'assistance des aliénés. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS l' ÉTAT DE NE1V-YURIC. 367 î plus libéral, en matière d
alement soumises à l'autorisation gou- vernementale. Il y a, dans l' état de New-York, 18 établissements privés d'aliénés
pôts, pensionnaires, payants, etc.) ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 371 372 ASILES D'ALIÉNÉS. ASSIST
NEW-YORK. 371 372 ASILES D'ALIÉNÉS. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 373 374 asiles d'aliénés. ASSIST
NEW-YORK. 373 374 asiles d'aliénés. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L' ÉTAT DE NEW-YORK. 375 376 asiles d'aliénés. Durée
les hôpitaux d'Etal). (30 septembre). ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS l' ÉTAT DE NEW-YORK. 377 Lieux de naissance. Sur les
e huit années à l'asile, furent rendus à leur famille sans que leur état mental se fût beau- coup modifié. L'auteur eut
un cas devient décidément chronique, c'est souvent un devoir, si l' état du malade permet de le faire sans danger pour l
nt se présenter dans l'épilepsie et être modifiées légèrement par l' état épileptique coexistant, telles la mélancolie, l
genre. Siehel, en 1863, en a observé trois cas, caractérisés par un état de mécontentement, un besoin de disputes, des p
ankt-Honhwart, par l'apparition d'hallucinations terrifiantes, d'un état d'anxiété et de confusion. Il importe de faire
corporés, n'ont pas permis de reconnaître les imperfections de leur état men- tal. Qu'arrive-t-il alors ? Ces individus
démence progressive très accentuée dès le début. A. M. XXX. DE l' état mental dans L4 maladie DE BSEDOW; par A. 1\ ! .
s; 3° l'aversion morale et juridique contre le meurtre n'est qu'à l' état embryon- naire chez les peuplades sauvages, de
escence régressive ou de processus pathologique, et représentant un état psychique semblable à celui de l'humanité primi
gies. On peut distinguer parmi les aliénés : a) ceux qui offrent un état congénital (folie morale, épilepsie, imbécillité)
possibilité de nuire et de procréer, les individus présentant « ces états psychiques semblables à ceux de l'humanité prim
ngage médical. En plus leur vie n'était qu'une succes- sion de deux états mentaux, de natureopposée, alternant régulière-
ficulté de la parole, criesthésie. En mars 1895, la malade dans cet état fut sou- mise au traitement par l'xelrait thyro
l'hydrothérapie comme moyens généraux et comme moyens d'améliorer l' état trophique de l'encéphale, l'extrait thy- roïdie
rs si opiniâtre. A. M. VIII. LE quebracho dans LE MÉL\NCOLOE ET LES états DE stupeur; par le D1' G. ICIERaarr. Penzoldt
e action favorable sur la dyspnée, mais améliora très notablement l' état de dépres- sion mélancolique, si bien que, sous
otablement l'état de dépres- sion mélancolique, si bien que, sous l' état de dépression présenté par la maladie il son ar
d'électricité statique positive) et la plaque, située en dehors à l' état neutre. Quant à la vibration lumineuse en elle-
l'aphasie s'installe lentement et progressivement. A \a.période d' état , la surdité verbale domine la scène clinique, l
de l'aphasique sensoriel est toujours très troublée à la période d' état . L'écriture spontanée est impossible; mais bien
uestions qui lui sont posées. En résumé, c'est un être retourné à l' état sauvage. A la vue des gendarmes, il s'est mis à
746), signale de plus les transformations successives de ces divers états dépressifs qu'il dénomme indistinctement hypoco
Le même malade peut, d'ailleurs, passer de l'un à l'autre de ces états , parlant automatiquement, tantôt à son insu, tant
le juge de paix, pour l'aliéné y recevoir tous les secours que son état exige et que l'humanité réclame en sa faveur. »
les plaça d'abord dans les prisons et un rapport du district sur l' état des prisons de Blois signale le mélange des fou
ou constructions qui seraient néces- saires pour mettre ce local en état de remplir ce genre de destina- tion et d'évalu
le attaquée de la vue et presque en démence parce sa famille est en état de subvenir à ses besoins. Cependant avec le co
réclusion, le préfet réclame, le 27 septembre, au maire de Blois un état bien établi, déterminant les dépenses propres a
recommandait la rédaction d'un règlement du service intérieur, à l' état de projet, pour le joindre au règlement géné- r
recevoir le traitement qui leur con- vient, on peut craindre que l' état de folie ne se perpétue par le défaut de soins
à un degré susceptible de produire l'aliénation mentale et dans un état d'indigence absolue. PART. 3. Le nombre des pla
ir-et-Cher priait aussi M. le maire de Blois de faire mettre en bon état le mobilier des aliénés et épilep- tiques, avan
édiatement à la visite des individus transférés, en constatant leur état et en inscrivant sur la feuille de visites les
se, douleurs dans les membres, dans les inférieurs surtout, mauvais état géné- ral. On l'envoie à l'hôpital de Spezia, d
s à idiosyncrasie spéciale ? Tient-elle à des parlicularités dans l' état hygrométrique de l'air ou à l'état électrique,
elle à des parlicularités dans l'état hygrométrique de l'air ou à l' état électrique, ou à la température ? On ne sait. On
pérature ? On ne sait. On ne sait même pas si elle coïncide avec un état anémique, ou au contraire avec un état byprémiq
pas si elle coïncide avec un état anémique, ou au contraire avec un état byprémique de l'encéphale; et, à ce sujet, l'ex
thyroïde dont on ignore d'ailleurs la dose. Sous leur influence, l' état général s'améliore ; la céphalalgie, les douleu
ie), au mali-mali des Tagalais (de Manille), au latah (des Malais), états caractérisés par des impulsions quabi réflexes.
ihiler toute idée de famille, le médecin peut poser le diagnostic d' état mental interdisant toute liberté de disposer de s
sur lui et il l'eût tué s'il n'avait été secouru. Il était dans un état de fureur extraordinaire, on le mit dans une ce
dus jeunes n'étant ni névropathes, ni « corrompus, ni dépravés, à l' état idéal au besoin ; c'est une sorte « de loi. L'e
, la question de savoir quels sont les rapports entre la folie et l' état de dégénérescence de la voûte palatine. (American
n du sens de la vue. Malheureusement ces enfants, en raison de leur état intellectuel, n'ont pu fournir que des renseign
Assistance des épileptiques, 156, 331, L, 335. - des aliénés dans l' état de New- York, par Darin, 370, 362. des idiots
92 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
, la mère a été sujette à des émotions multiples occasionnées par l' état de santé de son mari (douleurs rhumatismales),
'est à la chute sur le poêle et à la brûlure que la mère attribue l' état de l'enfant. Traitement par le bromure de potas
iable : ni circulaire du cordon, ni séjour prolongé au passage; cet état se prolongea 20 minutes et ne (1) Bien que l'in
mouvement brusque, tandis que ses yeux se convulsaient en haut; cet état durait 3 ou 4 secondes. D'autres fois, en tétan
pouvait se soulever spontanément sur l'oreiller. A quatre ans, cet état parétique des bras et du cou avait totalement d
ils viennent surtout sous l'in- fluence des temps orageux. Comme état général, en outre du défaut de développe- ment
t entend nettement; on ne peut avoir de renseignements précis sur l' état de l'odorat,- il paraît con- tent lorsqu'on lui
le, parfois le visage se colore légèrement. Puis, le corps reste en état de tétanisme généralisé, sans prédominance unil
UBÉREUSE DU CERVEAU. 13 droit à la région inguinale. Par suite de l' état de gâtisme, les fesses et la partie supérieure
eures, en même temps qu'il rencontrait un obstaclo sérieux dans l' état d'idiotie des malades. Néanmoins nous avons pu,
avions observé dans les cas pré- cédents, et en tenant compte de l' état paré tique des membres et du cou, vraisemblable
ès caressant. Les convulsions reparurent à 4 ans, sous forme d'un état de mal qui dura 5 ou 6 heures et dans lequel elle
ves redevinrent mensuelles. Vers l'âge de huit ans, il eut un autre état de mal qui dura 67 heures, dans lequel on const
38°; nuit tranquille. Ce matin, abattement, refus de manger. Cet état est la règle chez lui à la suite des accès. 13
; sinapis- mes. - Soir : T. R. 3 î°. ? . 2 nzai. -T : R 39°,2 ; l' état local est excellent, la plaie a bon aspect, le
at local est excellent, la plaie a bon aspect, le pus est bien lié; état général médiocre. - Soir : T. R. 39°. 3 mai.
R. 38°. Malgré son aspect cachectique le malade ne tousso pas; tout état inflammatoire a disparu autour de la plaie. --
uth. MÉNINGO-rNrÉPHALITE7 2 : i l ' 24 août. Moins de diarrhée; l' état cachectique s'ac- centue de jour en jour; pas d
seconde phase débute par des convulsions, revê- tant la forme d'un état de mal et prédominant dans la moi- tié gauche d
de là, on note le retour des convulsions mensuelles ; puis un autre état de mal, offrant les mêmes caractères que le pré
ommence en juin 1880. De même que la seconde, elle s'annonce par un état de mal. Les con- vulsions prédominent toujours
rédominent toujours à gauche. Autrefois, quel- ques jours après les états de mal, D... se levait, semblant revenu à sa si
douleurs de tête, a de la fièvre, etc. ; et, tandis que le premier état de mal n'avait pas intéressé la motilité, que l
n'avait produit qu'une parésie elle-même transi- toire, ce dernier état de mal se termine par une hémiplé- gie gauche e
e accès survint en 1872, alors qu'il retravaillait de son premier état , et fut suivi d'un 4e quelques heures après. Cett
73), enfin, une disparition complète des cri- ses en 1881. III. L' état intellectuel do ce malade n'offrait rien de bien
n temps, par suite de trop grande application à la musique, dans un état d'hébétude profonde. Ce serait à ce moment-là q
chez Edern ; le petit pli d'anastomose est dû à la persistance d'un état embryonnaire, et sa petitesse indique que les d
sur le point do se rejoindre à ce moment; par suite, il est dans l' état d'un embryon de huit mois environ. La première
auche,de sorte que, en défini- tive, le côté gauche présenterait un état d'évolution plus avancé que le côté droit. «
incisure antérieure qui est l'incisure sus-orbitaire supérieureà l' état rudimentaire ou l'incisure l'ronto-limbiclue, l
de l'atavisme. Suivant eux, la microcéphalie « serait un retour à l' état simien du crâne et du cerveau ». Nous n'entrero
Paria indoue, de Shortt, qui eut, paraît-il, un enfant mort-né. » L' état et le fonctionnement des organes génitaux, chez
ire à l'àge de 30 ans. Aujourd'hui il se montre très préoccupé de l' état de son fils. [Père, 81 ans, sabotier, bien port
te ; l'autre à 4 mois et demi : celle-ci était oc comme idiote », état qu'on attribuait aux peurs qu'avait éprouvées la
ed avec les mains. Sous l'influence d'une aspersion d'eau froide, l' état d'a- gitation se calme un peu. Il entend ce qu'
a ni délire, ni secousses convulsives. 16 mars. Pas d'attaque. L' état général de l'enfant est excellent. 22 mars. L
oint de vue des symptômes subjectifs, est impossible par suite de l' état de démence absolu dans lequel il se trouve. Il
rlhropalhies. Ce qui attire surtout l'attention chez Del....c'cst l' état des membres inférieurs. Il existe une con- sidé
le nombre des franges synoviales, l'exis- tence des arthrophytes, l' état gélatineux du liquide intra- articulairo, l'alt
dernières présentent, tant au point de vue de l'évolution que de l' état anatomique, les véritables caractères que revêt
tant à la garde-robe, il est tombé sur le sol et est resté dans cet état , ayant gardé, dit-on, toute sa (1) C'est ce qui
s'est produit, paraît-il, un amaigrissement considérable. A part l' état parétiquc dé- pendant de l'ictus primitif, le m
on et panse- ment de Lister. 1881. 10 juin. Le malade présente un état d'agitation considérable, cherche à sortir du l
Un accès hier. Ce matin, l'excitation maniaque est remplacée par un état de torpeur très prononcé; la respiration est ra
23 juillet. Le maladequi, depuis quelque temps, avait recouvré son état normal, retombe aujourd'hui dans la stupeur et
avec rhum et extrait de quinquina). Soir : T. R. 39 ? 24 juillet. L' état adynwv ? ue s'accentue. Les lèvres et la langue
fois, ainsi que nous l'avons observé nous-mêmes en juin dernier, un état de torpeur qui per- sistait deuxou trois jours.
pas de déformation appréciable. La mensuration de la calotte à l' état sec donne les résultats suivants : D.L. 174, D.T.
e. Les cavités cotyloides regardent beau- coup plus en avant qu'à l' état normal, leurs axes forment un angle de 45 degré
rités, dépendant et des conditions déplorables des salles et de l' état spécial des sujets atteints par la maladie : c'es
R. 38°. - Soir : T. R. 38°. 20 janvier. Grande amélioration dans l' état général ; le malade demande à manger. On perçoi
ir : '1'. R. 40°. 14 janvier. Deuxième épistaxis dans la nuit; môme état . T. R.' 39°,4. Soir : T. R. 40°,4. 15 janvier
geait pas, toussait et avait des frissons. Nous le trouvons dans un état de somnolence et d'abattement. La face est roug
Soir : T. r. 8°,9. 15 janvier. L'éruption commence à disparaître; l' état général s'améliore; la diarrhée a cessé. T. R.
gauche ; râles sous-crépitants abondants dans toute la poitrine. L' état général paraît satisfaisant. La température osc
mpérature est en plateau, 37°,8. 28 Mars. L'enfant est revenu à son état de santé habi- tuelle ; toutefois, on perçoit e
s ravale le tout. ROUGEOLES COMPLIQUÉES. 1 ! 5 5 15 janvier. Môme état à l'auscultation. T. R. 39°, ? . Soir : T. R. 3
T. R. 38°,8 (vésicatoire). - Soir : T. R. 40°,4. 20 janvier. Môme état à l'auscultation. Le malade con- serve cependan
-Soir : T. R. 40°,2. 24 janvier. Mômes symptômes thoraciques, même état général ; persistance de la dyspnée. T. R. 38°,
t moins abattu. T. R. 39°,2. - Soir : T. R. 39°, 2. 27 janvier. L' état général s'améliore. Le souffle a disparu; il ex
ents pleuraux; Fig, 9. ROUGEOLES COMPLIQUÉES. 117 i A droite, l' état du poumon s'améliore. T. R. 38°. - Soir : T. R
t encore soufflante, mélangée de râles sous-crépitants, néanmoins l' état général se relève de jour en jour : il n'y a pa
y a pas de dyspnée. T. R. 38°,2. Soir : T. R. 38% 3 février. Môme état de la poitrine ; les râles sous-crépi- tants, t
quelque appétit ; la conjonctivite a cessé; le faciès a repris son état normal. (Vin de quinquina; sirop d'iodure de fe
L'enfant se lève. 21 février. Tout symptôme thoracique a cessé ; l' état général est redevenu normal. L'enfant reste lev
tre sous les yeux du lecteur l'amélioration qu'on peut apporter à l' état d'idiotie com- plète. Trop généralement on cons
r à l'état d'idiotie com- plète. Trop généralement on considère cet état comme incurable. Fortifier le physique par des
epuis, ils sont devenus quo- tidiens. Aujourd'hui, on constate un état d'idiotie complète; gâ- tisme, salacité, mastic
poussées d'impétigo du cuir chevelu et des engelures fréquentes. L' état général se montrait meilleur par les temps froi
immobile au lit. T. R. 39°,8. Soir : T. R. 40°. 16 janvier. Même état . T. R. 40°,4. - Soir : 40°, 2. 17 janvier. L'ér
. R. 39°,4 (ventouses sèches). Soir : T. R. 40°,2. 21 janvier. Même état des poumons; l'enfant sort un peu de sa torpeur
éoliques sur le tronc, très peu sur les membres. La diarrhée, à l' état chronique chez notre malade, n'a pas augmenté. A
. 39°,8. 18 janvier. La conjonctivite et le coryza ont disparu. L' état des poumons reste le même. L'enfant va mieux, et
s thoraciques ont disparu. Monel ? mange de bon appétit elsortdeson état de som- nolence. La conjonctivite persiste. '
hmatique. Un frère a eu des convulsions et est resté depuis dans un état d'imbécillité. Un cousin germain du côté patern
e façon continue. L'ap- pétit est presque nul. L'enfant est dans un état d'émacia- tion extrême; il reste somnolent, com
is par semaine et quelquefois restait plu- sieurs jours de suite en état d'ivresse. Durant ces périodes, il se livrait à
nourrice pendant deux mois, notre ma- lade, à cause de son mauvais état général, fut repris par sa mère et élevé au bib
de petites poussées congestives à la face. A deux ans 112, nouvel état de mal convulsif qui dura 7 ^heures ; les convu
ulsions frappèrent encore le même côté ; - un mois après, troisième état de mal d'une durée de 3 heures; - six semaines
de mal d'une durée de 3 heures; - six semaines plus tard, quatrième état de mal (pendant 4 heures). A chacune de ces cri
tigo persiste. La température est au-dessus de 38°. 10 janvier. L' état des yeux s'améliore, l'impétigo dimi- nue.L'enf
ttaque cle convulsions quidurèrent environ une semaine. Dès lors, l' état intellectuel s'affaiblit davantage, l'enfant de
il respiratoire. A l'entrée à l'hospice, on constate, en outre de l' état d'idiotie complète, que le malade rumine. Après
guës où le contact continuel des déjections alvines, par suite de l' état de gâtisme, avait déterminé un érythème chroniq
cuisses et la région hypogastrique. Eu égard au début récent de cet état d'abattement et de fièvre, en même temps que rè
idiotie consécutive à l'hydrocépha- lie (1). Malgré la gravité de l' état de cet enfant qui était confiné au lit, à notre
ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. fant a été conçu alors que son mari était en état d'ivresse, c'est à cette cause qu'elle-même att
es cris, se heurte la tête, s'as- sied à terre, étend les bras. Cet état dure environ dix mi- nutes et se répète tous le
ep diacode avec rhum 30 gr.). -Soir : T. R. 40°. 15 janvier. Même état . Persistance de la diarrhée. T. R. 3cJ°,li. - S
'enfant pousse des cris plaintifs en se balan- çant, comme dans son état de santé normale. La tempéra- ture se maintient
o,2. 6 février. Râles sous-crépitants avec respiration rude. Même état de sécheresse de la bouche. T. R. 40°,4. Soir :
R. 40°,4. Soir : T. R. 40°,6. 7 février. L'enfant est assoupi. L' état de la bouche reste le même ; les gencives sont
ciques ne durent qu'un temps très court, et l'en- fant arrive à un état de santé, qui va plusieurs jours en n'amélioran
ns, dit cet auteur, par le fait des hémorrhagies que par suite de l' état ataxique, et des symptômes de malignité proprem
n'a été que consécutive, et, en quelque sorte, symptomatique de l' état de purpura; nous avons, en outre, constaté l'exis
e entrée à Bicêtre, l'enfant était dans IDIOTIE COMPLÈTE. 157 Î l' état où nous le voyons aujourd'hui.. Peu de jours aprè
n ne sait si les convulsions prédominent d'un côté. On attribue l' état intellectuel du petit malade aux peurs de la mè
vier. L'éruption a complètement disparu. Grande amélioration dans l' état général. Cessation de la diarrhée. T. R. 38°. -
Sur le bord libre de la valve interne de la mitrale, on trou- ve un état dépoli de la séreuse avec quelques végétations
r, grâce au milieu dans lequel s'est propagée l'affec- tion, et à l' état des sujets qui en ont été atteints. Chemin fais
degrés variables, comme manifestation à distance de la rougeole, l' état mental et névropathique est resté exacte- ment
ce qu'explique suffisamment l'é- volution rapide de l'épidémie et l' état mental de nos ma- lades. La période prodromiq
a varié dans nos cas de 4/10 de degré à un degré 8/10; tantôt d'un état stationnaire de la température qui se traduit p
vanche sur les conditions physiques indi- viduelles, inhérentes à l' état mental ou névropathique. A l'appui de cette ass
fi- sante pour l'entretien de la vie, manque de la résis- tance l' état pathologique.» » . Selon nous, c'est dans la fr
ugeole, qu'il faut cher- cher le 1 ésr.ltat del'action funeste de l' état d'idiotie, jointe à l'action de l'encombrement.
93 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
antilisme envisagé par Lorain n'est en somme rien autre chose qu'un état dystrophique général produit et entretenu pendant
, prétendrait que le mot d'infantilisme ne convient pas à un pareil état ? C'est un fait, auquel on donne la consécration
qui,d'autre part,par gradation in- sensible, se confondent avec cet état morbide parfai temèn t défini qu i est le myxoe
prime pas les connexions embryonnaires des neurones, il laisse en l' état les aptitudes psychiques du nouveau-né. Il en est
point auquel je m'arrêterai bientôt. Au préalable, revenons sur l' état psychique de la jeune fille que je signalais co
tre immédiatement que le retard de son développement dépendait d'un état morbide voisin du myxoedème. Le jeune Philippe
t le temps s'écoula depuis lors sans apporter aucun changement à un état physique et intellectuel qui semblait s'être fi
fance. Voilà donc deux exemples d'infantilisme qui démontrent que l' état dystrophique caractérisé par l'immobilisation d
onc justifiée ? Ou bien le myxoedème ne serait- il pas un véritable état morbide ? ? Non, le myxoedème infantile, à l'in
xoedème'de l'adulte, n'est pas, dans l'immense majorité des cas, un état morbide. C'est une manière d'être, une anomalie
oïde ou n'existe pas ou ne sécrète pas. Voilà un être condamné; à l' état de nouveau-né à perpétuité. Il conserve son aspec
titulée : Myxoedème acquis de l'adulte avec régression sexuelle à l' état prépubère, infantilisme rêversif de l'adulte, dys
6 ans, l'autre de 33 ans, ont présenté jadis tous les caractères de l' état adulte ; les traits étaient virils, la moustach
rophiés et ont perdu leurs fonctions ; leurs poils sont tombés. Cet état .s'est constitué chez le premier malade, vers l'â
rares observations analogues, M. Gandy suppose que la cause de cet état réside dans un trouble thyroïdien, peut-être co
Gandy, la jeune femme dont il s'agit est parvenue nor- malement à l' état adulte ; puis quelque temps après une grossesse,
; puis quelque temps après une grossesse, les premiers signes d'un état d'infantilisme apparurent et s'accusèrent peu à p
cette époque, disparition progressive des caractères physiques de l' état adulte, apparition d'un état d'infantilisme tardi
gressive des caractères physiques de l'état adulte, apparition d'un état d'infantilisme tardif avec tendance au myxoedèm
rai que dans ces observations il y a une apparence de retour vers l' état infantile, il ne s'agit pas ce- pendant d'une r
entes du volume du corps thyroïde et chez laquelle ces variations d' état de la glande correspondaient à « des change- me
e correspondaient à « des change- ments alternants et inverses de l' état psychique ». Lorsque le corps thy- roïde diminu
ésumé, nous voyons l'infantilisme sous tous ses aspects et même à l' état rudimentaire se manifester comme un symp- tôme
ombroso), ou du paludisme (Lan- cereaux). Mais il va de soi que l' état de malaise des organes est assez général pour q
ralysie générale, quelques symptômes dont la réunion re- produit un état catatonique suffisamment caractérisé pour que, da
ans offrir quelque difficulté. Nous rappellerons brièvement que l' état catatonique peut se présenter sous deux aspects
, l'excitation ou la stupeur catatoniques. La symptoma- tologie des états de stupeur catatonique est assez complexe. Outre
tion et opposition, raideurs musculaires,.....), de suggestibilité ( états calaleptiformes, écholalie, échomimie ..), les st
énéralement sous cette forme que se manifestent à l'observateur les états catatoniques au début ou dans le cours de la para
lavements et sondages journaliers. Puis il finit par tomber dans un état de stupeur complète, passant ses journées immobil
sque deux mois. Puis le malade sortit de sa stupeur et revint à son état antérieur de dément simple, aussi docile qu'aup
érale au cours de laquelle on voit à deux reprises se manifester un état catatonique, bien caractérisé. Le diagnostic ne
suivant, en raison de l'existence, au début de l'observation, de l' état catatonique et de l'impossibilité qui en résult
ersécution n (fi juin). A son entr6e, le malade se présente dans un état de mutisme presque com- plet. Il est absolument
men physique toujours impossible. Le 15 juin, le malade est dans un état de stupeur complète : mutisme, mêmes attitudes
ue pour retrouver instinc- tivement son équilibre. Il ne sortde'cet état qu'une fois installé tant bien que mal au réfec
elles on observe seulement au cours de la paralysie géné- rale, à l' état isolé, quelques-uns des éléments du syndrome cata
emiers malades des symp- tômes nombreux de négativisme au cours des états catatoniques qu'ils ont présentés. En voici e
é pupillaire ; Argyll ; réflexes tendineux légèrement exagérés. Cet état persiste sans modification sensible pendant près
siques. En janvier 1906 le malade est très affaissé, plongé dans un état d'inertie dont il ne sort que pour faire opposi
iste. Alimentation difficile, mais ne nécessitant pas la sonde. Cet état dure un peu plus d'un mois; puis disparaît et l
ême. Mais une dizaine de jours après il tombe graduellement dans un état de demi-stupeur, ne répondant guère aux ques- t
il avait des poux...) Pas d'habitudes alcooliques. C'est dans cet état qu'il est entré dans le service. La recherche des
illions en veudaut du café. Nombreux accrocs de la parole. Même état des pupilles. 29 novembre, - Même idées ; mais
ux ans environ ; au début étourdissements fréquents; une fois léger état vertigineux, sans perte de connaissance complèt
érés ; actes de violence, fugues ? syphilis antérieure. A l'entrée, état d'excitation avec délire mégalomaniaque incohéren
ai- blissement déjà notable des facultés ; aucune conscience de son état ; embarras de la parole ; inégalité pupillaire,
e s'accentue progressivement. Actuellement, le ma- lade est dans un état de démence absolue. Il ne présente de particulier
ient conservés. Pour elle, il n'y avait aucune différence entre son état et l'état présent ; il s'agit, à 'n'en pas douter
rvés. Pour elle, il n'y avait aucune différence entre son état et l' état présent ; il s'agit, à 'n'en pas douter, de la
pect fibreux. Les vaisseaux qui partent de la base du coeur sont en état d'aplasie ma- nifeste : C aorte, en particulier
multiples. Tout d'abord, les alvéoles sont moins développés qu'à l' état normal, malgré l'augmentation de volume de la g
breux et moins abondants que d'habitude, et où il existe un certain état flou du proto- plasma, avec pigmentation légère
andis que, plus loin, cette limite redevient aussi distincte qu'à l' état normal. Les aréoles contenues dans ces jetées o
pas été retrouvé depuis cette époque). Refroidissement des mains et état lisse de la peau qui est très mince. La face, l
sente des troubles psychiques sans grande gravité, exagération d'un état mental habituel : loquacité, instabi- lité d'hu
à l'hôpital cantonal dans le service de M. le pro- fesseur Bard. L' état des muscles est le même que précédemment. Mort le
issu conjonctif intrafasciculaire. Ce dernier, plus abondant qu'à l' état normal, forme une gangue interstitielle, réguli
t assez espacées pour qu'on puisse les étudier séparément comme à l' état de dissociation (Pl. VI, D, E). Elles se présen
able (fig. 9) ; il en est qui sont hypertrophiées, d'autres sont en état d'atrophie plus ou moins avancé; les fibres en ét
'autres sont en état d'atrophie plus ou moins avancé; les fibres en état d'atrophie complète ne sont plus représentées q
de secousses fibrillaires, l'intégrité de la sensibilité cutanée, l' état normal des réflexes rotuliens semblaient légiti
ans l'observation qui fait l'objet de ., ce travail de rechercher l' état des ganglions spinaux et des filets sensitifs'.
que Strümpell le disait déjà en 1893, elles doivent être dues à un état anormal d'organisation de certains systèmes his
de parler, il bafouillait et bé- gayait. Il reste chez lui dans cet état pendant 3 mois ; les douleurs survenaient penda
e suivante même progression dans les troubles, mais depuis 1899 son état n'a pas beaucoup changé. Les douleurs ont bien di
équilibre statique dans le décubitus est bon, presque meilleur qu'à l' état normal. Il n'y a pas d'hypotonie. Pupilles
let les sillons superficiels sont plus profonds, plus larges qu'à l' état normal et que les circonvolutions à ce niveau par
quadrilatère antérieur et postérieur des deux côtés, contraste avec l' état des lamelles du lobe semi-lunaire, et en généra
elles qu'au fond des sillons interlamellaires. Couche médullaire. L' état de cette couche contraste avec les altérations
e quelques rares cellules de Purkinje, pour la plupart cependant en état manifeste d'atrophie. Dans quelques- unes mêmes
arciformes superficielles antérieures sont aussi abondantes qu'à l' état normal. Les noyaux arqués sont très gros, et ri
nt un grand nombre de fibres fines, beaucoup plus abondantes qu'à l' état normal et montrent la disparition, ici et là, de
éseau myélinique de cette co- lonne est aussi bien développé qu'à l' état normal. Dans les cordons postérieurs et dans le
es couches (moléculaire et des grains) dépend en grande partie de l' état de la couche des cellules de Purkinje ? Si quelqu
906. Etat actuel. C'est une femme chétive et maigre ; cependant son état général est bon et l'examen de ses divers appar
partient à l'enfance. Mais que faut-il penser dans notre cas de l' état de la glande pituitaire ? Une expérience récent
cas s'accompagnent d'habitude d'une croissance exagérée. Or, dans l' état actuel de nos connaissances, nous devons admettre
st surtout l'hérédité qu'il faut incriminer dans la production de l' état somatique et psychique de son malade (au point
2 kilogram- mes à 18 ans (au lieu de 53 kil. 900, chiffre moyen à l' état normal) et 160 kilogrammes à 37 ans (au lieu de
, normal, et de bonne santé. Et l'on voudrait que ce docteur fût en état de diagnostiquer les défec- tuosités de l'être
ut fournir des indices extrême- ment précieux sur la situation et l' état des parties profondément cachées et qu'à ce tit
et de l'ana- tomie comparée.Mais la description du corps humain à l' état vivant, l'exa- men morphologique d'un modèle nu
gurer les modifications morphologiques qui résultent des différents états musculaires : contraction, relâchement, distensio
t emparés pour apprécier et suivre les modifications opérées dans l' état de leurs enfants par la thérapeutique employée. »
e ni dans les membres. Elle a continué à faire des ménages dans cet état , et n'a cessé de travailler que faute d'ou- vra
dans cet état, et n'a cessé de travailler que faute d'ou- vrage. L' état général est resté bon ; mais depuis quelque temps
du mollet. Il est en effet absolument impossible de lutter contre l' état d'adduction permanente de la cuisse ; le tendon
out entier montre des muscles considérablement atrophiés et dans un état de flaccidité complète, contrairement à ce qui se
polichinelle. Les muscles fessiers gauches présentent également un état d'atrophie et de flaccidité mani- feste, mais l
le. Quoique étant « minus liabens » il lit et écrit assez bien. L' état du malade ne s'est pas modifié dans les années su
bérance la voie pédonculaire semble être aussi bien développée qu'à l' état nor- mal, et aussi bien à gauche qu'à droite. D
tteint de paralysie infantile, presque complète- ment^ paralysé, en état de flaccidité complète et présentant une atrophie
l à l'étude de la lésion initiale, car il était déjà démontré qu'un état terminal pouvait relever de lésions initiales va-
des symptômes généraux (fièvre, agitation, convulsions, somnolence, état gastrique, etc.) pendant quelques jours, furent p
la somnolence alternant avec des convulsions. Peu de jours après cet état , se développa chez l'un une paralysie spinale,
rs et l'exten- seur propre du gros orteil, ces muscles sont dans un état de contracture légère et entraînent la position
cl très robuste, au teint coloré, aux yeux vifs, paraissant dans un état de santé géné- rale parfait. Il ne signale dans
i avec une grande précision les circons- tances qui l'out amené à l' état actuel. Un jour de 1902 (qu'il nous a fixé), il
e circulatoire au niveau de membre supérieur gauche Le coeur est en état très suffisant,' paraissant à peine touché par
èles à la direction des fibres musculaires et on voit ces dernières l' état de dissociation au milieu du tissu adipeux (fig
la hanche et la cuisse gauches, en même temps qu'elle présentait un état fébrile. Les dou- ' leurs ont duré deux ans ; d
ce cas il ne s'agit pas de trophoedème et on doit se demander si l' état de la trophicité de ces membres n'a été simplem
ente petit à petit et depuis 1904 s'est complètement généralisée. L' état mental de la malade ne permet point de connaîtr
s ces conditions ne peut t prendre l'aspect globuleux, à cause de l' état de distension dans lequel le met l'éloignement
la forme qu'ils ont sur le vivant, c'est-à-dire correspondante à l' état physiologique du muscle en rapport avec l'attit
n même muscle, une forme spéciale correspond à chacun de ces divers états . « Ceux d'entre vous qui ont déjà suivi le cour
j'ai mis à leur faire distinguer sous la peau du modèle ces divers états musculaires qui sont la manifestation de la vie,
03, époque à laquelle il y rentra dé- finitivement. Depuis 1880 l' état de ses membres du côté droit n'a pas sensiblement
très clair; pas de lymphocytose. Aucune modification à noter dans l' état du malade de 1903 à 1906. Mort le 10 avril 1906
des fibres qui paraissent plus espacées et moins nombreuses qu'à l' état normal. Les noyaux médian et externe du thalamu
érieur de la capsule interne est moins développée en largeur qu'à l' état normal, les fibres y sont assez denses et assez
e dans le locus niger. L'auteur ne donne pas de renseignement sur l' état du lobe oc- cipital, mais dit que l'hémianopsie
as dans l'histoire clinique de notre malade de renseignements sur l' état de la fonction auditive ; ce fait enlève toute va
ine, quinine, quinquina, kola, oxygène en inhala- tions, etc. Cet état continua pendant 5 jours ; la sensibilité revint]
région sacrée, épine iliaque, jambes, talons). Pen- dant 13 jours l' état s'aggrava. Le 29° jour de la maladie, coma, fièvr
ce troublée, dysarthrie, cris de douleurs. Pendant deux jours, même état . Le 33" jour, surviennent des vomissements bilieu
33" jour, surviennent des vomissements bilieux ; le 3le jour, même état corporel et mental,et vers lesoir,strabisme droit
es on voit des éléments névrogliques e plus grande abondance qu'à l' état normal, des leucocytes, et çà et 1 quelques fig
uence la myélite. Cette myélite se termine par la mort ou passe à l' état spasmodique chronique. Dans le premier cas on t
nvalescence ; mais, malgré l'alimentation et la bonne aération, cet état d'impuissance motrice augmenta lentement pendan
a Florida, fille de parents sains et avec deux petits frères en bon état de santé ; n'a eu aucune maladie digne de menti
mba malade de nausées, vomissements et fièvre de moyenne intensité, état qui dura plu- sieurs jours, à ce que déclarent
eurs jours ; l'enfant fut transportée à la campa- gne, et ce nouvel état fébrile disparut en dix jours. Au bout d'un moi
ls se contractaient faible- ment à l'excitation faradique. En cet état , au mois d'août, elle fut attaquée d'une double p
re élevée, nausées, vomis- sements, grand abattement et somnolence, état grave qui dura quatre ou cinq jours, d'après ce
-ci, comme de raison, une période de rétablissement, le retour il l' état normal, mais c'est une régression lente et asse
ui veulent. Grâce à une abstinence prolongée et au régime lacté cet état de confusion hallucinatoire disparait assez rapid
s'affaiblit sans rai- son appréciable. Il tombe rapidement dans un état voisin de la stupeur : im- mobile, il ne répond
ond plus aux questions, il s'alimente très peu. Le 19 septembre cet état s'accentue sans que l'examen viscéral ne révèle r
pas d'une lésion anatomique de l'iris lui-même ; enfin rien dans l' état de l'oeil ne peut l'expliquer. Il nous faut don
omme la plupart des ébriants à faible dose. A un degré plus avant l' état subjectif de rêve devient un NOTE SUR L\ FOLIE
s'observer, mais aussi la confusion mentale onirique peut passer l' état chronique ; une systématisation secondaire peut s
que sa substitution au haschich en Egypte empirerait probablement l' état des choses. L'alcool paraît aussi avoir une actio
en prend et sa tolé- rance de la dose absorbée. « A mesure que l' état mental du malade s'améliore, il est interrogé à
ptibles à son action toxique, deviennent aliénés à tel point que leur état nécessite l'internement. C'est donc plutôt un r
mbre supérieur droit). 1 Il n'y a aucun trouble sphinctérien. 1 L' état psychique est satisfaisant. 41 Au point de vue
de cet examen sont peu sûrs, carA... tomba en février 1904 dans un état de somnolence ; il s'endormait par exemple en man
- Le cerveau fut durci en entier pour éviter toute altération de l' état des ventricules, puis débité en coupes sériées. L
idal gauche, aiusi appliqué sur l'os sous-jacent ait été mis hors d' état de fonctionner, ce qui expliquerait l'hémiplégie
t de lucidité imparfaite. Ce n'est qu'après plusieurs jours que son état s'améliora de nouveau. En janvier 1904 le malad
oire, fut la cause de ces accès ? Le malade connaissait si bien son état qu'il resta couché durant années. C'est encore
lulaire superficiel et profond, pour conserver la pièce dans un bon état . Découverte, à la face interne du bras, au nive
t plus large et plus forte que l'interne, ce qui est l'inverse de l' état habituel. HÊMÏMÉUE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
oïde, sont très bien développés. Les parties sont exactement dans l' état de développement où elles seraient, si une sect
moyenne de l'os, et qui représente les rugosités qui se voient à l' état normal sur la face externe. HÉMIMÉLIE AVEC ATRO
l'absence du petit pal- maire qui, du reste, n'est pas constant à l' état normal. L'anomalie commence à la région profond
2° phalange. - Elles n'existent qu'à la main droite, et offrent un état car- tilagineux pour l'index et l'auriculaire,
de longueur. Son extrémité supérieure, un peu plus grêle que dans l' état naturel, offre la tête, le col, la grosse et la
PPEL ET BOUCUET L'artère sous-clavière était plus petite que dans l' état ordinaire, vu la gros- seur de la sous-clavière
tre fixé sur leur poids à la naissance, ainsi que sur le poids et l' état des arrière-faix. T. J... présente une hémiméli
geole à 2 ans. Cette affection exceptée, la santé fut parfaite. Bon état général. Pas de rachitisme. Bonne dentition. Pa
bles réunies ne pouvaient manquer d'avoir une bonne influence sur l' état psychique des troupes. Voilà pourquoi je pense qu
s le feu de son artillerie. Dans le but de mieux faire comprendre l' état psychique de nos soldats, nous décrirons briève
l'autre pendant un assaut. - Aucun mieux ne se fit remarquer dans l' état de ces malades tant que dura le siège ; mais ap
us ces accès se ressemblaient. Le plus souvent nous observions : un état dépressif très fortement marqué avec des idées dé
Nos quatre cas concernent des soldats ; ici nous avons constaté un état d'apathie et une grande dépression ;en même tem
capitulation, aucune amélioration visible ne se fit remarquer dans l' état de ces malades, mais, quand l'atmosphère cessa
lcoolique. Jusqu'au départ de Port-Arthur nous observâmes dans leur état une amélioration graduelle, tant dans la sphère
que Korsakoff nomme dysthymia melancholica : trouble du sentiment, état émotionnel pénible. 1 L'humeur dépressive que n
Dans un cas nous remarquâmes la confusion mentale, dans l'autre un état dépressif fortement accusé, accompagné d'idées d'
culaires, à l'un des forts de l'aile droite, un ti- railleur dans l' état duquel rien d'anormal ne s'était manifesté jusque
t disparut promptement, et principalement chez les malades ayant un état expansif, nous remarquâmes dans ces derniers une
tandis que le contraire se fit obser- ver chez les malades avec un état dépressif. L'influence (1) de la pleine mer sur
gement de la sensibilité : l'étal expansif semblait en préserver, l' état dépressif y contribuer. Chez les malades souffr
pas sentir, ou pendant notre séjour dans les ports, il y eut dans l' état de ces malades aggravation dans toutes les sphè
e substituer à eux par une sorte de suppléance en certains cas. L' état mental de ces malades se caractérise généralement
e avec les troubles gastro-intestinaux, gastralgie, crampes, nausées, état saburral, constipations et diarrhées alternante
isent leurs mêmes effets. Les rechutes sont donc fréquentes, et les états chroniques aussi ; les 356 MARIE. - FOLIES PELL
ger que la phase paralytique ultime de la pellagre peut réaliser un état identique cliniquement et pathologiquement à la
cunes de désintégration cérébrale », mémoire très documenté sur les états lacunaires en général, les lacunes cérébelleuses
tomber dans l'erreur. La première planche met en opposition deux états d'un même cerve- let sénile ; nous verrons que
ur l'importance de ces caractères. Cette opposition faite entre l' état normal et une lésion avancée, exa- minons avec
s membres supérieurs. Pas de troubles vaso-moteurs ni trophiques. L' état général est excellent : il s'agit d'un homme de
dont le système pileux et les organes génitaux sont normaux. Son état intellectuel est intact. Il n'y a aucun trouble d
oir des troubles grossiers de la sensibilité, autant du moins que l' état intellectuel de la malade permet de s'en rendre
OBSERVATION CLINIQUE. Dans les antécédents du malade, maçon de son état , on ne trouve rien de bien particulier. Il fit
été signalée en mars et avril, et qu'ils se pré- sentent souvent en état de pseudo-épidémicité. Il s'agit donc ici -bien
12 octobre 1899 à la suite d'une ordonnance de non-lieu basée sur son état mental. Il est le huitième de douze enfants don
; de plus le col regarde plus directement d'avant en arrière qu'à l' état normal, et cette orientation spéciale produit l
t, ceux du genou font défaut. En résumé, on trouve chez ce sujet un état de dégénérescence totale, atteignant les sphère
e produirait chez les vertébrés supérieurs que dans la période de l' état embryonnaire est observée bien plus complète ch
pour- être considérées dans les classiques comme des variétés de l' état normal, sont ici présentes dans les points où le
'omoplate, grand dentelé. d) Masse : Rhomboïdes, ils ne sont qu'à l' état de très vague différencia- tion, et n'ont pas d
nsité pour les muscles et pour les os, avec la chronologie qui, à l' état normal, préside au développemeut de ces parties r
gri. Mais la fonction qui avait le plus notablement souffert de cet état , c'était la fonction menstruelle ; la malade a à
séparés les uns des autres par un tissu cellulaire qui diffère de l' état normal par sa grande conden- sation et par le p
ut à fait, sauf la coloration, l'aspect de la mamelle saine, hors l' état de lactation. On voit cependant, çà et là, quel
plètement cicatrisée du 15 au 20 janvier. Cette jeune fille, dont l' état est très satisfaisant maintenant, et qui n'est
it de l'exagération des réflexes, et les deux membres inférieurs en état de paraplégie spasmodique. Zingerlé (4) publie
équen- tes, s'accompagnent de céphalée et par instants de véritable état de mal ; le niveau intellectuel est très faible
n de la séreuse au niveau du rebord de la cavité porencéphalique, l' état des circonvolutions en avant de cette cavité, l
ches longues et minutieuses, quelquefois dans les moments même où l' état du malade réclame la moins grande perte de temps.
ôle important dans notre topographe cérébral, n'aurait pas dans cet état en- tièrement atteint ce but par suite de l'épa
alors, la malade s'améliora. Jusqu'à 27 ans sa santé demeura dans un état stationnaire ; à ce moment ses menstrues furent
es de plus en plus graves apparurent qui conduisirent la malade à l' état actuel. Des tuméfactions molles se formèrent pe
-même et indolores à la pression ; actuellement elles sont dans cet état . Les articulations des genoux grossirent, devin
cette tuméfaction. En même temps la malade commença à présenter un état de faiblesse géné- rale, des céphalalgies, de l
r- senic. Elle subit 13 injections de cacodylate de soude, mais son état ne fit que s'empirer. Etat actuel. - La malad
art d'une altération des centres nerveux ou d'une modification de l' état général de la malade ou de l'une ou de l'autre
oussées d'urticaire qu'elle a présentées assez souvent indiquent un état constitutionnel congénital ou acquis, mais dont l
pas limitée aux membres inférieurs soulève le problème d'un certain état constitutionnel qui peut bien ne pas résider da
général d'origine glandulaire. Il serait intéressant de connaître l' état de la coagulabilité du sang dans le trophoedème
la thyroïdine et les bulles disparurent avec l'amélio- ration de l' état général pour être remplacées par des papules urti
la retenir lui causent un sup- plice épouvantable et continuel. L' état des réflexes tendineux est resté le même ; en eff
cée à son tour par une nouvelle contraction. De là une .apparence d' état vibratoire, variable d'ailleurs - suivant les m
ité du sterno-mastoïdien droit peuvent d'ailleurs s'expliquer par l' état de contraction violente et presque permanente d
ébraux. Il ne croit pas à une lésion grave, irrémédiable, mais à un état irritatif particulier de la substance LES PÉRIP
e, est devenue souple et blanche, elle est même un peu ridée. ` L' état mental est excellent. Le malade poursuit son trai
gion du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements de bras. L' état mental de Taurone s'est aussi modifiée ; il est d
absolue que le malade continue à tenir le médecin au courant de son état , en lui envoyant un bulletin de santé toutes le
n rotation à droite et la flexion complète. A tout cela s'ajoute un état de nervosisme considérable; les tentatives de c
partement. 'Tel est le tableau certainement noir, mais réel, de mon état actuel. J'ajoute tout de suite que je ne me déc
N'y aurait-il pas lieu de recourir à un traitement quelconque pour l' état de nervosisme général ? Et pour la nuit ? Veu
rechute où toutes les manifestations convulsives sont aggravées. Un état d'instabilité, une surexcitation générale appar
ntrée en jeu d'autres muscles ? Je ne sais pas à quoi attribuer cet état . 2° Cependant je n'éprouve plus de douleurs dan
nsécutif dans la main gauche. 3° En outre je suis toujours dans l' état que je vous ai précédemment signalé ; mon nervo
ts assis ; mais je n'ai pas encore pu aller au delà. 3° Tel est mon état actuel ; je sens que je suis sorti d'une crise vi
sais plus, même à prendre l'immobilisation du début ; cependant mon état général s'améliorait. Je ne pouvais expliquer c
ais je suis plus tranquille et me lève le matin reposé. Tel est mon état actuel ; je continuerai la lutte avec l'espoir
is incontestable. Cependant, je n'étais pas très satis- fait de mon état : la marche et les repas demeuraient toujours pén
z violents devant le miroir, mais sans succès. En présence de cet état , j'ai pensé qu'il fallait profiter de ce que les
cclusion complète pendant quelques instants. Tel est mon déplorable état actuel ; certainement je ne me décourage pas, j
reste au lit aussi longtemps que je le puis et voici com- ment mon état m'oblige à procéder : Si, lorsque je me couche,
ment t vers la guérison. Elles sont enfin un reflet très clair de l' état mental dé Taurone. 21 juin 1903. -'Vous m'ave
son de campagne. Un hôtelier assurera ma subsistance et la tenue en état de mon appartement. Je passerai couché tout le
hec de mon traitement à Paris qui s'annonçait si bien a été dû à un état de nervosisme aigu, conséquence d'un peu de surme
e rarement à m'arrêter, et pas pour longtemps, la tête di- recte. L' état de contracture des divers muscles qui entrent en
il faut espérer qu'un nouvel équilibre s'éta- blira dans mon nouvel état . Je le souhaite bien, car je ne puis plus, à l'he
soeur Anne... Je n'ai pas à vous annoncer grand changement dans mon état . J'ai avancé un peu seulement dans les exercice
dans la marche. Voilà, aussi fidèlement rapporté que possible, mon état actuel ;je doisajouter pour être complet, que m
ossible, mon état actuel ;je doisajouter pour être complet, que mon état général d'hyperexcitabilité musculaire est le m
cal que j'ai lu : « si la maladie reçoit le traitement approprié, l' état est toujours amélioré, et on peut parfois arriv
verse de celle qui probablement a été la cause occasionnelle de mon état . Je favorise de même en lisant ou en écrivant d
i restait de mes acquisitions, de voir un peu clair dans mon nouvel état et me préparer à recommencer la lutte. 2° Il m'
osition incorrecte que je vous signale, et, lorsque je me trouve en état complet de contracture, le côté gauche de la nu
e de l'omoplate. Il y a dans tout cela quelques modi- fications à l' état antérieur. Enfin, j'ai remarqué aussi que le mo
a cédé pendant que d'autres sont entrés en contracture ou que leur état de con- tracture a augmenté. Toutes ces constat
c'est à ce moment que j'ai été atteint. Je ne puis incriminer que l' état pathologique auquel est due mon affection. Rema
ivement croissante. 28 février 1904. Je puis enfin vous annoncer un état réellement satis- faisant, pourvu qu'il soit du
jour. Je suis bien heureux, comme tout le monde autour de moi, de l' état dans le- quel je me trouve, et dussé-je rester
tranquille tant que les vestiges de ma maladie me démontrent que l' état pathologique dont elle était la manifestation n'a
régularité méthodique; je décontracte les muscles que je surprends en état de contracture. Je fais, tous les matins, deu
chose; je vous l'indique pour vous faire connaître complètement mon état actuel et ne m'en préoccupe que comme indices q
s'en va tout de même. Il n'y a pas de différence sensible eutre mon état d'aujourd'hui et celui d'il y a 8 jours, mais je
rve de mon mieux. 2° Je surprends assez souvent quelques muscles en état de contraction légère, non voulue, tantôt la jo
urs une position et des mouvements cor- rects. 3° Voilà dans quel état je suis bien heureux de me trouver ; ma bonne vo-
orticolis aurait été la première manifestation au moins sensible de l' état mental que cette affection comporte, et cet éta
oins sensible de l'état mental que cette affection comporte, et cet état aurait été cependant en germe chez moi puisque.
ts convulsifs. Taurone est désormais guéri de son torticolis. Son état mental est excellent. Il est, à juste titre, sati
'oeil des sujets qui sont sur le point de s'endormir ; car dans cet état les yeux.sont tournés en haut, vers l'extérieur
uscle élévateur du sourcil du côté droit, constata des deux côtés l' état normal des noyaux des XH", VIIe et V Ipaires, y
e coma, dans l'agonie, tant chez l'homme que chez les animaux, tous états qui sont caractérisés par l'insensibilité de la
94 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onnement ils réagissent par des mouvements. Le lapin reste dans cet état de stupeur pendant quelques minutes et, peu à p
eprend ses habitudes. Après un repos de dix minutes, il revient à l' état normal, ne supportant pas.le pincement, etc.
générales ; après un repos de deux à trois minutes, il reprend son état normal. Alors nous balançons des chiens pen- da
s chiens étaient abattus; ils fermaient les yeux en tombant dans un état somnolent; ils ne remuaient plus vers la fin de
s respirations diminuent leur fréquence et revien- nent presque à l' état normal. Dans le repos qui suit le balancement,
prolonge alors les respirations deviennent moins fréquentes qu'à l' état normal, et plus amples jusqu'au double même.
précédente. Tantôt il crie continuellement, tantôt il tombe dans un état de f Fig. 11. - Tracés pris dix minutes après l
duisant sur l'appareil des secousses pendant la chute de la tête, l' état de l'animal s'aggrave, il ravale alors presque
ses sensations anormales. Les fonctions intellectuelles sont en bon état . La malade ne demeurait pas à Moscou et je ne l
flexe rotu- lien réapparut du côté droit. Cette amélioration dans l' état des membres inférieurs progressait lentement, j
e du thorax conser- vaient tout le temps une sensibilité normale. L' état général de la malade était satisfaisant. Dans l
s, la maladie paraissait avoir progressé ; on me communi- qua que l' état de la malade empira considérablement. Le 25 fév
rogressé moins que tous les autres ; on n'observe ici presque que l' état antérieur resté stationnaire : le tiers inférie
ie musculaire dans la main droite; à la main gauche elle est dans l' état antérieur; seul le muscle premier interosseux f
ents, une angoisse indéfinie, des accès de frayeur, d'épuisement, d' état semi-syncopal. Point d'agoraphobie marquée, mai
alade pendant une année. Depuis le commen- cement du traitement son état allait en s'améliorant continuelle- ment. Tout
omique, ensuite du fer et du sulfate de quinine, qui améliorèrent l' état général du malade; plus tard l'iodure de potass
main gauche, tremblement inconstant, qui revenait aussi pendant l' état de repos. La faiblesse de la main associée à l'at
ésulte du cas de C... que dans la paralysie générale à sa période d' état , alors même que le malade peut encore vivre au
de peut encore vivre au dehors, la suggestion, pour ainsi dire, à l' état de veille, peut être faite sans entrainer la re
C ? a allumé un incendie et tout porte à croire qu'en raison de son état mental très affaibli, il a agi d'une façon inco
héréditaires, tels que l'alternance du délire, avec la succession d' états exal- tés ou déprimés (Morel '), le verbiage mo
formes délirantes, peut se rapprocher et même se classer parmi les états dégéné- ratifs, elle partage avec eux les carac
bilité neuro et cutano-muscu- laire et la plasticité musculaire à l' état de veille. Or, jamais dans les observations de
ues plus tard) et la marche spéciale de l'affection comme liée à un état de dégé- nérescence et d'un pronostic très grav
folies épidémiques, à celle du délire religieux surtout et certains états névropathiques tels que l'hystérie. 56 REVUE CR
un. Elle cherche même à se magnétiser elle-même pour se guérir d'un état semblable à celui de son amie, qui est infirme
urra lui faire du tort dans l'ave- nir ou la reprendre, etc. Plus d' états cataleptiques, commence à dormir. 16 août. La
ommande ; les vers la rongent. A cette période, elle a présenté des états de raideur presque généralisés mais sans contra
sition qu'on leur im- primait, mais restaient toujours raides'. Cet état de mélancolie s'accentue et arrive graduellemen
de), bains sinapisés, sirop de morphine. 26 août. Amélioration de l' état général ; mutisme, refus d'ali- ments, résiste
qu'on ne vienne dans ma chambre. » 28 août. Faciès meilleur, même état psychique ; mutisme, refus d'aliments, résistan
e moteur. Se promène un peu seule, pleure beaucoup. 30 août. Même état ; la sensibilité est bien plus nette, quoi- que
» Novembre.- A la fin de ce mois, réapparition des règles ; même état ; elle ne cause que tout bas et seule, et si on lu
ort à des idées folles qui se con- centrent en moi, je suis dans un état tellement stupide que je ne sais plus ce que je
; elle s'occupe, mais d'une façon fébrile. Elle a conscience de son état ' Nous rapprocherions volontiers cela des fac-s
t à dire passer par une période de mélancolie simple ou même par un état d'exaltation mentale antérieur (manie ou anxiét
s ces 64 REVUE CRITIQUE. LA CATATONIE. circonstances la période d' état de la maladie, les autres phases n'étant que de
et peut passer par différents stades avant d'arriver à la période d' état , faut-il la rejeter pour cela ? Si cela était,
es troubles du système nerveux moteur, au point de vue psychique, l' état de mélancolie plus ou moins profonde, le reste
kinésie (reproduction du geste) et de coprolalie, ainsi que d'un état mental particulier qui se manifeste surtout par l
nférieure du lobule pariétal ; le corps strié du même côté était en état de dégénérescence partielle. Ons. VI. Adroite,
ade prodromique semblable à celui de la paralysie générale, puis un état qui rappelle la para- lysie générale bien plus
mples calculs, par du dé- sordre avec incohérence des idées, par un état d'obnubilation sem- blable à celui de l'ivresse
(il est à noter qu'il ne s'agissait pas d'une fièvre typhoïde), son état mental commença à s'améliorer, et fina- lement
j'ai relatés dans le présent mémoire constituent des exemples d'un état cérébral morbide , dans lequel les symptômes me
que les sentiments « altruistes »' de Spencer ou bien sont dans un état imparfait d'évolution depuis la naissance, ou bie
otionnels et automatiques se donnent carrière plus librement qu'à l' état normal. 3° On ne peut poser aucune règle absolu
r lequel repose un bout de la corne d'Ammon du même côté. Tel est l' état de ces restes que les anatomistes les plus comp
te, jamais d'hémorrha- gies, pas de troubles visuels, à raison de l' état anatomopalholo- gique et de la durée relativeme
e affectant la modalité classique; ils passent aussi facilement à l' état tonique; on trouve souvent les pieds immobi- li
ersement de la formule. Pleine intégrité des nerfs crâniens et de l' état psychique. Réaction prompte des pu- pilles. Abs
chromatique à larges mailles, tant que les cellules conservent leur état reconnaissable. On trouve alors que dans les ce
s cinq jours qu'une modification quelconque peut se produire dans l' état du malade et, par conséquent, à côté du médecin
quatre premiers mois que l'on peut arriver à constater le véritable état mental d'une per- sonne ! J'ai assité à des int
en ce moment à son attention je demande peut-être beaucoup dans l' état d'agitation ou plutôt d'émotion un peu pénible et
ettre obstacle à cet abus, il est indispensable, et il suffit que l' état mental de la personne soit nettement établi. En s
rnier mot aux magistrats dans une affaire où le médecin seul est en état de faire entendre une parole autorisée ? Je l'ai
'asile, qui est tenu aussi de rédiger un rapport pour constater son état . C'est. consécutivement à ces deux premiers rap
d même ils seraient, par suite de connaissances exceptionnelles, en état de le faire. Vous les con- traignez à ne juger
ionnelles, en état de le faire. Vous les con- traignez à ne juger l' état mental de l'aliéné que par les rapports écrits
édecins dont vous suspectez la sincérité ; s'il y a eu erreur sur l' état mental de la personne, la même erreur sera 118
les connaissances de celui qui le fait et jamais sans danger pour l' état moral de celui qui le subit ? Rien de tout cela n
déterminé. Travail utile à consulter en somme et qui résume bien l' état actuel de la question. P. S. II. Le somnambulis
uggestions, des hallucinations suggérées, de la spontanéité et de l' état men- tal dans le somnambulisme provoqué. P. S.
out de ce temps elle se . réveillait mais se trouvait alors dans un état second caractérisé par de la gaieté, une plus g
nd caractérisé par de la gaieté, une plus grande activité. Dans son état ordi- naire elle perd le souvenir de toutes ses
son état ordi- naire elle perd le souvenir de toutes ses périodes d' état second, ce qui, on le comprend, trouble singuli
de qui étaient d'abord très courtes ont fini par égaler celles de l' état ordinaire, et enfin par les dépasser et remplir
ter qu'une chose dans cette consciencieuse observation, c'est que l' état soma- tique dans les deux états de la personnal
sciencieuse observation, c'est que l'état soma- tique dans les deux états de la personnalité n'ait pas été pris avec le m
ues considérations sur les altérations de la personnalité dues à un état morbide des facultés intellectuelles ou à des n
minance des troubles de sensibilité, BIBLIOGRAPHIE. 123 l'autre d' état dans laquelle s'observent des troubles moteurs et
e successive- ment l'influence que peut exercer chacun de ces trois états sur le corps, c'est-à-dire sur les sensations,
adulte, alors qu'il n'y aplus, comme chez l'enfant, de cellules à l' état de formation, qui contrebalancent l'influence n
ines et urinaires, s'il n'est pas dé- montré qu'elles relèvent d'un état névropathique antérieur, la chose est bien prob
du traumatisme semble être celui d'un excitant qui met en action un état diathétique. Il peut être comparé au rôle de la
idérable, et il aurait été cependant fort intéressant de préciser l' état actuel de la science sur ce point si contesté,
indications qui vous seront utiles pour vous ren- seigner sur leur état , et, dans le cas où quelque doute subsisterait
ut évidemment qu'elle soit suffisante pour permettre de constater l' état de celui qui est l'ob- jet de la mesure, mais i
en estatteint reçoive sans larder tous les soins que ré- clame son état et qu'il ne saurait trouver ailleurs qu'à l'Asile
nnotation du médecin de l'asile, indi- quant son appréciation sur l' état mental du malade. c Mon collègue désirant reste
ers la fin du mois de mars 1876 le malade, sans tenir compte de son état de santé, reprend son travail dans l'air compri
sont rares. Dès lors, tous les ans, il faisait sa cam- pagne et son état , loin de s'empirer, s'était amélioré au point qu'
arante-huit heures environ. Le 13 août, il reprend son travail, son état parétique étant tout à fait le même qu'avant l'
rectaux. Une demi-heure après, la paraplégie ayant fait place à son état parétique habituel, noire homme reprend ses imm
gauche et il présente en même temps une couleur rouge bleuâtre. L' état de nutrition des membres paralysés ne laisse rien
pas à l'aide de deux béquilles; mais, un mois après, voyant que son état restait stationnaire, il se décide à reprendre
ter plus de dix minutes dans le fond. Vingt-cinq jours après, son état s'est tellement amélioré qu'il a pu marcher san
e à la compression et qu'il s'est livré à des excès de boisson, son état , au lieu de s'améliorer, s'est empiré au point
malade le 27 juillet 1885. Le fait dominant presque exclusivement l' état du malade est une paraplégie des membres inféri
té examinée sous tous ses modes n'a présenté aucune altération. - L' état nutritif des muscles ne laisse rien à désirer :
pas avoir de nouveaux accidents, mais sa paraplégie restait dans un état stationnaire. Etat du malade le 15 juillet 1884
laire ne présente aucune altération. Pas de troubles trophiques : l' état des muscles est satisfaisant : examen électriqu
secousses qui le tourmentent assez souvent. Durant quatre mois, l' état du malade resta tel que nous venons de le décri
au commen- cement de juin, il s'est débarrassé complètement de son état paraplégique ; le malade faisait de longues cou
nctions de la miction de la défécation et de la génération sont à l' état normal. Il n'y a aucun symptôme céphalique. Il
itaux il y avait un priapisme très fort, le pénis était dans un tel état d'érection que le malade nous raconte qu'il ne se
i, car c'était le seul symptôme qui représentait à cette époque son état maladif. Etat actuel. Exaltation considérable d
ais depuis lors, l'amélioration s'arrête et le malade reste dans un état stationnaire jusqu'au 13 mai 1884 (c'est-à-dire
e général que le malade ne peut définir. Sans tenir compte de son état , il remet son casque pour faire la septième immer
urs au fond du vase. Le 10 février, il a pu marcher sans appui. L' état du malade tel que nous venons de le décrire est r
t siégeant aux quatre membres, mais surtout aux inférieurs. Enfin l' état paraplé- gique a considérablement empiré. Il n'
été trouvée parfaite. Pas le moindre trouble du sens musculaire. L' état trophique des membres paralysés ne laisse rien
pendant quatre jours, au bout desquels la vessie est revenue à son état normal. Pas de constipation. Le 22 août, le mal
de la main au membre gauche. Vessie, rectum, organes génitaux à l' état normal. Il n'y a absolument aucun symptôme céphal
ancienne amante, pour essayer, dit-il, ses organes génitaux au bon état desquels il tenait beaucoup. Il fut très afflig
rapatrié à Synii. Il se trouvait à peu de choses près dans le même état quant à la parésie de ses membres, c'est-à-dire q
Le droit inférieur et les deux supérieurs sont restés dans le même état parétique, mais cette disparition ne devait pas
es membres 182 CLINIQUE NERVEUSE. inférieurs restent dans le même état . Le malade rend seul ses urines bien que diffic
. Le malade rend seul ses urines bien que difficilement. Rectum à l' état normal. Depuis ce moment, l'amélioration de ses
aralytiques qui lui a permis de marcher à l'aide d'un seul appui, l' état du malade est resté tel que nous allons le décr
d'autres symptômes. Un médecin a employé la sonde et un purgatif. L' état du malade pendant les trois jours suivants 26,
ts purgatifs. Le 29 mai, un léger changement s'était produit dans l' état du malade. 11 pouvait soulever ses membres infé
escrit. Etat du malade (,10 août 4886). Au bout de vingt jours, l' état du malade s'est considérablement amélioré. En eff
est en partie détruit, en partie diminué. Sensations subjectives : état frileux, fourmillement, sensation de constric-
mouvements fibrillaires et fascieullaires sont loin d'être rares. L' état des réflexes cutanés et tendi- neux présente de
u moment des douleurs, et agissant d'une manière dépressive sur son état général. Tous les symptômes décrits peuvent se
, le tout dépend du degré d'excitabilité du système nerveux et de l' état de l'estomac. Ainsi , les personnes anémiques ,
pie-mère ; là, ils se divisent à l'in- fini et enfin pénètrent à l' état capillaire dans la subs- tance du cerveau et de
n, on remarque que le premier flot du liquide sort en jet. Dans l' état normal, les centres nerveux subissent une certa
rachidien, peuvent être comprimés. Le liquide céphalo-rachidien à l' état normal exerce une certaine pression sur les cen
nsi formé, se crée des vides qui étaient remplis par un liquide à l' état frais. On a sous les yeux des cavités aréolaires.
er un tissu aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expliquent l' état cha- griné qui résulte de l'effondrement des co
e de l'effondrement des couches moyennes de la substance grise et l' état kystique, aréolaire qu'on observe, beau- coup p
apparent, au lieu, d'être disposées en, séries verticales comme à l' état normal. Les couches suivantes de la substance g
de toute affection aussi bien héréditaire qu'acquise. A côté de cet état physique, l'état mental se caractérisait par une
n aussi bien héréditaire qu'acquise. A côté de cet état physique, l' état mental se caractérisait par une apathie profond
stait par l'attitude suivante : les membres et le tronc étaient à l' état de légère flexion, et la tête REVUE DE MEDECINE
ent. J. RoUBtKOYITCU. ' II. Incendie commis par une hystérique rN état de désordre, D'EN- CHEVÊTREMENT sensoriel trans
ans un cas comme dans l'autre, on trouve, à l'origine de l'acte, un état psychique sem- blable; dans un cas comme dans l
le de la tète. - On peut ajouter que ce crâne est dans un excellent état de conservation, mais incomplet; il lui manque
rsécution et de grandeur se rencontrent, en effet, dans une foule d' états vésaniques, mais le délire systématisé de grand
uration des comptes de M. Sciiuele, trésorier. AI. Bww.wcFa. D, : l' état actuel des recherches relatives ci l'hypno- tis
atives ci l'hypno- tisme. D'après ses investigationspersonnelles, l' état d'hypnotisme produit par Braid et (leidenhain s
'hypnose par suggestion de Liébeault et Bernheim se traduit par des états de sommeil tout spéciaux dans lesquels le sujet
res, paralysies, hallucinations). Quant à la sugges- tion pendant l' état de veille, elle n'est possible que chez certains
nacée, puisqu'en réalité elle transforme un nervosisme lalent en un état neuropalliique et psychopathique grave qu'elle
qui constitue une sorte de phase de transition entre l'hypnose et l' état normal est celui qu'il faut choisir pour l'élud
suggestion après l'hypnose est-elle réelle ? Et d'abord quel est l' état de la mémoire et du souvenir chez un hypnotisé ?
dans l'asile à une certaine époque de la maladie. Quels sont les états morbides, quelles sont les phases de la ma- lad
z lui; on l'accordera alors sans s'arrêter aux défec- tuosités de l' état mental ou physique Quand il existe un opiniâtre
part, chez les aliénés à désordre très accusé dans les idées et en état d'agitation , l'acétone ne se montre dans l'u-
période comateuse mortelle, tandis qu'un diabétique con- servant un état de santé satisfaisant présentera de la diacéturie
dans tous les cas qui touchent à la liberté d'une personne ou à son état . Ce corps-là jouit d'une qualité tout à fait ex
ui n'est pas un droit de simple avis, mais qui le constituerait à l' état d'autorité, qui ferait de lui le représentant d
de ce stage, de l'acte de naissance du postulant, ainsi que de ses états de services quelconques. Les candidats seront l
oques, les délires reflètent les idées du moment. Si l'on examine l' état mental des malades, on retrouve celui des déséq
ide était héréditaire, sans être, le plus souvent, un syndrome d'un état mélancolique : « Mon père s'est pendu à trente
aleur d'une observation. Trois paysans rentraient du marché dans un état de demi-ébriété. Pendant qu'ils étaient attablé
contagion existe. L'intermédiaire obligé est ici cons- titué par l' état mental des sujets. Ceci nous amène à la véritab
ts. Ceci nous amène à la véritable pathogénie de ces accidents. L' état mental, jouant un rôle prépondérant, doit être
ont associé leurs conceptions délirantes, ne jouissent pas du même état mental. L'un joue un rôle actif, l'autre joue u
rsation par une série de Gilles de la Tourette. L'hypnotisme et les états analogues au point de vue médico-légal, Paris,
perversion morale qui s'accentue plus tard et qui s'accompagne d'un état à peu près complet d'inconscience rela- tivemen
s irrégulière, et seu- lement quand elle manque de travail. Sur cet état mental se sont greffés des syndromes épisodique
nt revenue à elle, était encore couchée auprès des cadavres dans un état com- plet de putréfaction : « ça sentait très m
-elle sans s'émouvoir. Ces faits donnent déjà une juste idée de l' état mental de la malade, qui, absolument sans défen
le droit inférieur et les deux supérieurs étant restés dans le même état de parésie : cette disparition n'était pas dest
rétention une fois disparue, tantôt fait place, mais rarement, à l' état normal de la vessie (OBs. X), tantôt DES ACCIDE
'urines, et comme elle, une fois dissipée, fait place rarement à un état normal, moins rarement à la diffi- culté de déf
i était pris d'un priapisme très fort, le pé- nis était dans un tel état d'érection qu'il raconte n'avoir jamais vu son
yscampsie des articulations, la démarche spasmodique s'ajoutent à l' état morbide. Poursuivons maintenant la marche de ce
nouvelle paraplégie soudaine et complète survient, qui enraye son état , en voie d'amélioration. Chez le malade de l'OB
, en voie d'amélioration. Chez le malade de l'OBSERVATION I, dont l' état se trouvait en rétrogression fort avancée et qu
x n'ayant pas duré plus d'une heure et demie, au bout de laquelle l' état parétique était tout à fait le même qu'auparava
plégiques intercurrents ne sont pas si complets, mais par contre, l' état du malade s'aggrave, par exemple l'état du mala
omplets, mais par contre, l'état du malade s'aggrave, par exemple l' état du malade de l'OBSERVATION VIII, qui était rest
qui était resté stationnaire pendant treize ans, est aggravé par un état paraplégique inter- current incomplet voire mêm
e et le 21 septem- bre, les organes génitaux étaient revenus à leur état normal. Il en est exactement de même pour les t
vue de ses accès de douleurs fulgurantes, il se trouve dans le même état . Il en est de même pour ses douleurs en ceintur
troubles vaso-moteurs. Vessie, rectum et organes génitaux sont à l' état normal. Pas de symptômes céphaliques. Les fonct
Le malade a bien suivi le traitement pendant deux mois. Voici son état le 2 juin 1884. Il ne boite plus ; impossible de
s que la compression a commencé, il avait à peine conscience de son état et avant l'enlè- vement de son casque il avait
contre, les membres inférieurs étaient restés presque dans le même état ; nous disons presque, car il ne faisait dans le l
bilants, pas d'anomalies du pouls. Il n'en a pas été de même pour l' état des membres inférieurs, qui n'a pas changé. Le
ant une année et demie, le malade a été forcé de garder le lit, son état étant tel qu'il suit : paralysie très prononcée
VI. 25 386 CLINIQUE NEIIVEUSE. Le 17 mars, il a pu uriner seul. L' état de la paralysie des trois membres n'a pas chang
été soumis à aucun traitement, l'amélioration s'arrêta. Aussi son état n'a pas changé beaucoup durant le temps fort long
deux mois. La rétention, une fois disparue, tantôt fait place à l' état normal (OBs. XIV, XV, XIX), tantôt à une diffi-
le initial du rectum; une fois dissipée, tantôt elle fait place à l' état normal et tantôt à l'incontinence de selles. (A
de quelques mois à deux ans. D'autres auteurs ont également vu l' état stationnaire de nombreux symp- tômes dans le co
jeune âge, comme aussi par sa nature même, elle reste longtemps à l' état latent, il est très pro- bable que le début rée
manesthésie dans les membres infé- rieurs. En outre, on ne peut à l' état actuel de nos con- naissances (comme pour le ca
e les acci- dents procursifs ont beaucoup moins d'influence sur l' état intellectuel de ces malades; tant qu'ils existent
par une lésion restreignant l'espace ambiant, soit qu'il s'agisse d' états d'hyperémie ou d'anémie de ces organes, soit en
d'un traitement amenant parfois une amé- lioration passagère dans l' état du malade. RECUEIL DE FAITS NOTES SOMMAIRES S
n des centres inférieurs (tonisme), finalement une exagération de l' état tonique, de par la surexcitation des centres in
s éléments non corticaux. L'apparence clinique d'après laquelle l' état tonique paraît résulter de la confusion des contr
famille, mais dérobe des aliments pour les manger en cachette. Même état durant les mois de février et de mars; il se ca
ements de la peau, elle arrive ensuite d'em- blée, généralement à l' état eloiiiqllesur les extrémités supérieures et inf
xe. Nystagmus rota- toire en regardant de côté. Evolution subaiguë, état stationnaire pendant trois ans ; puis, formatio
apidité qu'elle est survenue, mais non toujours, et peut passer à l' état chronique. Si la .cause est récente, bien défin
ins d'asile sont tenus de consigner sur un registre des notes sur l' état du malade, quotidiennement pendant les quatorze
e clinique ' . M. Bastelberg. De l'emploi de l'hyoscyamine dans les états d'agio talion chroniques. Il a pu l'administrer
être autorisés à faire un certificat, et faudrait qu'ils fussent en état de le faire parfait. Les établissements, eux, son
es. C'est encore un manque de logique. Il y a encore une question d' état également engagée dans l'affaire. M. DELSOL. Me
ordonner toutes les pres- criptions nécessaires pour améliorer son état . Mais si cet état se prolonge, si la maladie se
es pres- criptions nécessaires pour améliorer son état. Mais si cet état se prolonge, si la maladie se caractérise et s'
conséquences de ce' diagnostic et de statuer à lui tout seul sur l' état et la capacité civile du malade. Nous rencontrons
omment les choses se passent-elles ? Lorsqu'un individu est dans un état habi- tuel d'imbécillité, de démence ou de fure
ur, ses parents et quelque- fois le ministère public, lorsqu'il y a état de fureur, introduisent une instance pour deman
i sont chargés d'examiner le malade et de dire s'il est ou non dans état habituel d'imbécillité, de démence ou de fureur.
qui, dans notre législation actuelle, est appelée à prononcer sur l' état et la capacité civile de la personne résultant
ient qu'à des cas véritablement exceptionnels. Il faut être dans un état habituel d'imbécillité, de démence ou de fureur
ugerait nécessaires, afin de statuer en connaissance de cause sur l' état mental de l'aliéné ou prétendu tel;qu'elle pour
re la gauche), perpé- tuellement. Un sénateur à gauche. C'est à l' état chronique. M. de Gavardie. A l'état chronique ?
Un sénateur à gauche. C'est à l'état chronique. M. de Gavardie. A l' état chronique ? ... J'allais dire une méchan- ceté
utorité judiciaire consiste beaucoup moins dans l'appréciation de l' état mental de la per- sonne en cause que des circon
bunal, en pareille circonstance, ne consiste pas tant à apprécier l' état mental de la personne que les circonstances dan
le une observation de dément dont le père était alcoolique, et en état d'ivresse au moment de la procréation. L'auteur
es génitaux uri- naires. Il cite des observations de ces différents états , montre que l'alcoolisme diminue le degré de ré
érilité précoce ou ultime. L'étude des effets de l'alcoolisme sur l' état intellectuel des descen- 486 VARIA. danls est
nc, 70. Hypnotique (nouvel agent), par Me- îing, 92. Hypnotisme état aciucl de la ques- tion de l'), par Binwanger,
oiie, 79. Méningite et surdi-mutité, par Schùllz-», 86. Moelle ( état de la dans l'élonga- tion du sciatirlnr), par T
95 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
simili-bus curantur), et de forcer les jeunes sœurs à rentrer dans l' état d’innocence parfaite à l imitation de nos premier
ur les plus saintes, les plus parfaites, étaient celles qui, dans cet état , paraissaient au chœur pour y recevoir l'Eucharis
ù Dieu, les anges, la plupart des saints sont partout représentés à l’ état de nudité, il a pu arriver que des sectateurs do
ur les perdre. Le diable fut jaloux des vertus des jeunes sœurs, de l’ état de perfection oïl elles étaient arrivées et jura
toutes nues sur io mont Taygite. Cela étant, nous croyons que dans l' état de macération, d'exaltation et de dévotion excess
omènes qu’il produit comme des dupes par trop crédules, jouets de cet état d'hallucination, de suggestion magnétique qu'on a
eprésenter les phénomènes produits par M. Home comme le résultat de l’ état d’hallucination, d'illusion, d électro-biologie d
malheureuses qui faisaient de tels aveux étaient de pauvres femmes en état d’hallucination, de fascination magnétique ; de m
tre, toute volonté en étaient absents. A des êtres tombés dans un tel état , il est facile de tout suggérer, de tout faire av
une circonstance tout à fait semblable. On peut admettre également l’ état de fascination, de charme, exercés par le curé Pi
r lui, elles ont ressenti comme des horreurs, et sont restées dans un état complet de stupidité. Alors l’évêque d’Évreux fit
uelques jours déjà, s’était rendu dans le monastère pour y examiner l’ état des pauvres religieuses et y appliquer les re
uis survinrent des crises nerveuses épouvantables. Elle était dans un état très-alarmant ; pourtant on parvint, après des ef
eine Bavent, une pauvre femme hallucinée, égarée, se trouvant dans un état presque permanent d’électro-biologie, de crise ma
ant ce mode, le sujet n’est pas en somnambulisme, il se trouve dans l’ état de charme, qui est par excellence l’état des visi
bulisme, il se trouve dans l’état de charme, qui est par excellence l’ état des visions de toute nature (je prends, bien ente
te nature (je prends, bien entendu, le mot vision en bonne part). Cet état diffère essen- tiellement du somnambulisme, e
’établit aujourd’hui de confusion à cet égard. La production de cet état , qui est très-facile sur la plupart des personnes
continue sans lui et change de nature. Il est plus difficile dans l’ état de charme que dans le somnambulisme d'imprimer un
ets divers ; cela ressemble à une batterie de cuisine en fort mauvais état ; il y a aussi une boite qui parait rouillée et e
les à d’autres qu’à des magnétistes. Tous se sont produits dans l’ état de charme et spontanément. J’en ai rencontré auss
se passe dans les opérations magnétiques que nous examinons. Dans l’ état ordinaire ou vie de relation, l’âme se sert du ce
s y$ux et sans oreilles. On ne peut argumenter de ce qui se passe à l’ état de veille pour conclure quoi que ce soit à propos
à propos des opérations magnétiques; toute comparaison entre les deux états est impossible et doit être rejetee d'une manière
que l'esprit d’une autre somnambule, ou plutôt d un sujet mis dans l’ état de charme, s’est transporté, avec la rapidité de
e, pour les opérations de 1 intelligence, entre le somnambulisme et l’ état de charme. Dans le premier cas, l’esprit est en p
l a la conscience de ses actes, il raisonne et agit presque comme à l’ état de veille, il se transporte comme il veut et il e
ant sur le sol, peut donc rencontrer un caillou sous son pied. Dans 1 état de charme au contraire, tout semble imprévu, spon
taient sur terre, et généralement vêtus de la même façon. Est-ce leur état réel, ou bien ont-ils pris cette apparence pour s
ait bien malheureux qu’ils se trompassent toujours. L’homme, dans son état ordinaire, est sujet à l’erreur, et il n’est venu
tantiel, vital et intime s’établit entre l’âme de l’homme élevé à cet état particulier que le magnétisme peut développer, et
t à la plonger dans le sommeil magnétique. Même avant de passer à cet état , la pauvre malade avait perdu complètement l’ouïe
usait sa présence : les yeux s’ouvrirent, son regard élw comme dans l’ état ordinaire, et la coloration de la face sein blait
xactement les propriétaires de ces objets, de leur genre de vie, leur état de santó, la cause de leurs maladies, et a prescr
extase qu’elle a été ravissante. Sa physionomie, assez commune dans l’ état ordinaire, s’est en quelque sorte transfigurée, e
au moins hasardée. Qu’un individu entrancè, c’est-à-dire arrivé à un état anormal et voisin de l’extase, voie l’intérieur d
des mamelles, trouble de la vue, migraine, vertiges et fièvre. — Cet état persistait de six à huit jours au même degré d’in
continuelles, et la nuit se passe sans sommeil. Voilà en résu né l' état dans lequel je le trouve. Ses jours me paraissent
nte, le pouls a acquis plus de force, les pulsations sont presque à l’ état normal. Je réitère l’opération de la veille. — Ap
stions sont bonnes. Tous les symptômes alarmants ont disparu, son état est des plus satisfaisants, la sérénité renaît su
mettre eu somnambulisme une de ses cousines qui avait eu jadis en cet état une clairvoyance remarquable. Mariée depuis cinq
les présentant à des savants, a des magnétistes , à des personnes en état d observer et dont l’attestation eût achevé de do
le ait oublié le peu qu’elle savait de cette langue, mais que, dans l’ état de médium où il se développe incontestablement de
aveur de la coopération étrangère, c’est que, quand il écrit dans son état de médium , il a une écriture qui n’est pas du to
ossible d’en rendre raison. Il est certain que le médium est (fyns un état extraordinaire : il y a chez lui, sans qu'il en a
vues autrefois que d’une manière fugitive, et dont 11 croît, dans son état ordinaire, n’avoir conservé aucun souvenir. Pour
prétention de donner la claf de toutes les diflicultés que présente l’ état de médium ; nous ne faisons que hasarder une h y
se trouve ainsi ameué forcément à reconnaître qu’un individu, dans l’ état de médium, peut composer des discours sans en avo
n esprit ne puisse écrire que dans la langue du médium et soit hors d’ état d’employer la langue dont il se servait sur terre
ès la mort de Grandier. Ses premiers soins furent employés à calmer l’ état d'agitation des religieuses, et notamment de la s
saint François de Sales, revint bientôt à une santé complète. Mais l’ état de Surin persista près de vingt ans: ce ne fut qu
ieu, «je dois être abandonné a toutes les peines, et passer par des « états encore plus humiliants et plus semblables à ceux
ma prudence « charnelle me le persuade aussi, comme très-utile dans l’ état h de faiblesse et de langueur ou je suis ; mais l
larmes et de sanglots, et la jeune fille se trouva rétablie dans son état normal. .« Le lendemain, à l'heure précise où l
n n’eût été plus facile, pour un magnétiseur, que de faire cesser cet état cataleptique, qui a été si funeste à cetle jeune
e entorse qui lui causa une très-vive douleur ; elle se trouva hors d' état de marcher, et on la transporta au bureau. M. Gui
dix-sept ans, demeurantà Allonville, chez son maître, se lève dans un état de somnam-balisme, ouvre la fenêtre de sa chambre
, qu’il ne pose pas lui-même ses conclusions. A coup sûr, il était en état de le faire, et son œuvre eût tiré de ce compléme
nt les forces physiques paraissaient en quelque sorte sommeiller. Cet état particulier était mis .par quelques assistants su
latif, et elle indiquait les poumons comme le siège de son mal. Son état s’étant aggravé à l’arrivée de la mauvaise saison
e année de traitement; je me prescrirai moi-même les remèdes dans mon état magnétique ; car sans le magnétisme il serait imp
i de grandes choses dont on sera émerveillé. « Je sens que dans cet état somnambulique, je serai capable de répondre de la
de ne tenir aucun compte de ses caprices et de ses résistances dans l’ état de veille; de la magnétiser chaque jour, et de lu
, et le 8 janvier, j’obtins d’elle d’autres prévisions sur son propre état . Elle me dit, dans son sommeil, que le 8 août, à
e eût semblé la veille loin de pouvoir espérer d’être de longtemps en état de se lever, elle vint, à l’heure par elle annonc
er en la magnétisant six mimâtes le long de l’épine dorsale, dans son état de veille. Telle est la relation que je soumets
chambre voisine, où se trouvait le médecin : — Que pensez-vous de l’ état d’Albert ? — M. D..., répondit le médecin, ne s
nent tremblantes et que des crispations nerveuses se manifestent. Cet état disparaît bientôt pour faire place à un sourire g
recouvre en partie les éléments de sa nature. Le somnambule, dans son état anormal, souffre, car l’action magnélique est une
a mieux la pensée qu'il aura reçue. Ainsi, l’esprit du médium, dans l’ état anormal relatif, reçoit généralement l’idée confu
sont ces événements? demanda M. Roberaud. — Une révolution, un coup d’ état , les pouvoirs suprêmes luttant entre eux; le plus
ressources de leur science, ils ne purent parvenir â faire cesser cet état fâcheux. Au mois de juin 1857, M. John R. Reed, d
7, M. John R. Reed, de Hartford, âgé de vingt-un ans, forgeron de son état , ayant la prétention d'être influencé par les esp
cours à M. Reed , qui vit le malade le 3 janvier 48Ô8 , ;et, dans son état de iranse, -décrivit minutieusement un reptile dm
étisme, je le crois du moins. Voici, du reste, ce que j'éprouve : A l’ état de veille, étant couché les yeux fermés, je comme
traîner quelquefois dans des lieux connus ou môme inconnus. Mais, à l’ état de veille, toutes mes pensées et toutes mes actio
iode de décroissement, la force vitale épuisée s’éteint, laissant à l' état d’une masse inerte la machine matérielle composée
sont pas tous dans la nj£mc situation ; on doit donc obtenir sur leur état des notions qui diffèrent entre elles. Puis il se
mbules, dit-il, peuvent sans le secours d’un magnétiseur se mettre en état de somnambulisme, en catalepsie, en extase, et pr
ce que le manque de ce fluide précieux. La vie peut exister dans un état libre ■ou latent, et en cela elle a beaucoup d’an
et du froid. Il faut absolument qu’elle soit anéantie, même dans son état latent, pour que la putréfaction puisse avoir lie
e que la vie cesse. Beaucoup d’animaux passent tout l’hiver dans un état d'engourdissement sous la neige et même sons la g
ner au loin, de produire ce que l'on appelle le sommeil magnétique, l' état du somnambulisme. Ce fluide de vie, comme tous
nfluant sur son intelligence, les secrets cachés à nos sens dans leur état naturel.. Les songes mystérieux , les pressenti
ns qu’une étude approfondie en ait été faite, et qu’il soit élevé à l’ état de science, on en verra alors les résultats incom
ussi les frictions lentes et à distance qui guérissent ou modifient l’ état maladif de l’homme. C'est que ces deux choses son
t qui doit exister entre la propriété de la substance médicinale et l' état de l’organisme malade pour obtenir un résultat qu
pour le malade en le privant de médicaments plus convenables pour son état que le magnétisme. Les spécialités existent en mé
a situation semble ne pas s’être améliorée, la plaie est dans le même état que huit jours auparavant. •— La somnambule décla
Huit jours plus tard, la guérison est assurée, la jambe est dans un état des plus satisfaisants. Cesser définitivement l’u
; je souffrais beaucoup et ne pouvais point marcher. C'est dans cet état que j’ai eu recours au magnétisme, comme dernier
nvulsions périodiques , n’ont éprouvé d’abord de changement dans leur état que quelques cessations de leurs Crises, mais que
la langue ; je souffrais d’une amanrose grave. C'est dans ce triste état que j'ai eu recours au magnétisme, comme dernier
te. « Mon père étant gravement malade, appela un médecin ; mais son état ne fit qu’empirer jusqu'à ce que le médecin prono
i besoin de vous pour venir le traiter. Néanmoins, il me décrivit son état aussi exactement qui1 s’il avait été auprès de lu
1 linceul. Quelques minutes après l’arrivée du docteur, il fut mis en état , de se lever tout seul, et il fit deux fois le to
exposer ; pour moi, je vais simplement vous présenter un résumé de l’ état présent du magnétisme. Plus que jamais, les mag
. Ces deux aspects, légitimes tons deux, qui restaient mélangés à l’ état confus, tendent de plus en plus à se distinguer.
milieu de l’âme collective, et de l’espfit général des sphères où son état se transmue, jusqu’à l'intégrité de son retour à
a mort n'exprime pas l'anéantissement de l’étre. mais son départ de l' état d'iufime condensation. comme la molécule, ou
ception comme une terre sublime, ou plutôt la substance ¡¡indique à l’ état du premier milieu de la création. Cette terre tou
. Nous devons déjà signaler comme un progrès la reconnaissance de cet état par un homme de science. Il se trouve encore des
ons scientifiques. M. Lévêque ne voit dans le somnambulisme qu'un état morbide : « Si le somnambule magnétique n’est qu’
l, telles que la fameuse sonate de Tartini. Si donc le sommeil est un état inférieur à certains égards, il peut aussi renfer
es caractères de supériorité ou servir de transition pour passer à un état supérieur à celui de la veille. M. Lévêque parait
ous d’épouvante ; vint ensuite le siège qui dura très-longtemps, vu l’ état du lucide qui était, comme les autres, eflrayé de
genre et qui n’aien; passé qiielcjuos doux instants dans cet étrange état volatile. Voilà, selon nous, une des plus grave
rps est un fait naturel, c'est la mort qui a des degrés divers et des états préliminaires intermédiaires (1), tandis que le t
vez, vous qui, après cent magnétisations en un jour, vous trouviez en état de recommencer le lendemain ; répétez bien à vos
e dans nos ellorts pour vous aider... Madame X... étant revenue à son état normal, j’ai prié ma fille Rose de me donner quel
à des ell'cts nerveux, il eût pu se faire que des organes qui dans l’ état normal auraient été insensibles aux agents physiq
ux agents physiques dont l’action pro-duitlesépidémies,fussent dans l’ état magnétique influencés par ces agents de manière à
vantant de résultats qui ne sont pas constatés et qu’ils sont hors d’ état de reproduire. S0119 ce rapport, ils ont prêté le
a volonté et l’intelligence, la moelle épinière est intacte. Dans cet état , M. Flourens pince la patte, le pigeon retire sa
e somnambulisme ; qui croient devoir rechercher si, dans certains états d’excitation nerveuse , des individus sont réelle
tranchées peuvent exister à cet égard chez le même individu dans des états nerveux divers ; il est possible que les rayons c
oduite touchant la propriété dont jouissaient certaines personnes à l’ état de crise, de déchiffrer une lettre à distance, av
poids de 3980 grains a été liquéfiée par les esprits, puis rendue à l’ état solide et remise dans la môme forme. Il met ensem
é ce bloc dans les monnaies primitives, toutes rendues à leur premier état . Beaucoup d’autres manifestations extraordinair
e, des facultés plus transcendantes que celles dout jouit l’homme à l’ état lucide. Oui, certes, le phénomène des meubles p
erdict constatant que cet individu était mort des blessures reçues en état de somnambulisme. (Spiritual Telcgraph du Îi) jui
velles capsules, je fis jouer les délentes, et, tout étant en parfait état , je nie dirigeai vers l’escalier qui conduit à la
affaissé dans une insensibilité léthargique ; je ne sais combien cet état dura. Je n’en sortis que lorsque l’aube diaphane
s chroniqueurs, celui qui a le plus contribué à faire passer Hume à l’ état de prophète, et qui dernièrement nous donnait de
igine dans l’électricité, que la science actuelle admet, au moins à l’ état latent, dans chacun de nous. Nous ne donnerons
ou l'autre de ces signes, certains sujets tombent quelquefois dans un état particulier appelé sommeil clcctriqne. Ce sommeil
nsibilité absolue. Les somnambules affectibles, se trouvent dans un état plein de dangers et qui offre fort peu d’avantage
subséquent, deux conditionsque l’on ne rencontre pas toujours dans 1 état d’insensibilité produite par le chloroforme et l'
des choses présentes ou éloignées, apprécier plus sûrement que dans l’ état de veille les effets dans leurs causes, pouvoir e
l’homme rappelle évidemment ici la grandeur d’où il est déchu, et cet état primitif d’inuocence, si riche de lumières qui pe
connaissance de plusieurs objets, qu’il ne pourrait connaître dans l’ état ordinaire, même à l’aide des organes des sens. Ai
is en rapport avec d'autres personnes, surtout avec des malades sur l’ état desquels on désire leur avis, entrent avec ces pe
les symptômes de leur mal. Ce n’est qu’alors que le somnambule est en état de prescrire un régime et les remèdes .convenable
ndormir et somnambuliser qu’entre vivre, sentir et parler. Le dernier état suppose sans doute les deux autres, mais lés deux
fut en butte. Il eut des extases et des visions, et souvent dans cet état , il fut élevé en l’air en présence de plusieurs m
prenons dans les deux premiers groupes, ainsi que ceux que présente l’ état physique des somnambules, nous croyons que lacaus
homme est un fait peu contestable, mais encore et toujours, d'après l' état actuel de la science, on ne peut s’empêcher de re
fluide électrique, mais encore ce même fluide existe dans l'homme à l’ état libre, c’est-à-dire que l’homme peut le communiqu
stance. c ) Déployer une force physique au-dessus de son âge, et de l’ état dans lequel on se trouve (1). 2° Un assez grand
’est passé, dans cet (1) De erorciianclis obtettit à dœmonibut. état , a également lieu. Pourquoi donc, mi l’analogie f
ulisme l’ouvrage du démon, n’y voient qu’un mode de l’âme humaine, un état suigeneris que l’ancienne et moderne philosophie
. « Je voulus la démagnétiser. Peine inutile : elle avait passé à l’ état cataleptique. Ses membres fléhissaient comme de l
que je me donnais pour la démagnétiser, je ne pouvais la ramener à l’ état de veille, à la vie de relation, lui restituer la
ais nuisit à mes moyens, soit défaut d’adresse, je me trouvais hors d’ état de tirer la jeune fille de l’état anormal où je l
ut d’adresse, je me trouvais hors d’état de tirer la jeune fille de l’ état anormal où je l’avais plongée. Comme c’était la p
ais que la jeune fille était tombée, l’année précédente, dans le même état , sans qu'il y eut action magnétique, et que cela
d’un autre magnétiseur dont le concours la tirerait peut-être de cet état . A peine ce projet conçu, je le réalisai immédiat
ani, magnétiseur habile et éclairé. Je trouvai la malade dans le même état où je l'avais laissée la nuit précédente. Seuleme
ui devait être en quelque sorte l’indice de sa réintégration dans son état normal, Grâce à son action, aux efforts de la jeu
qui s'était fait et dit autour d’elle dans la dernière période de son état magnétique, alors qu’elle commençait à recouvrer
e d’étude, à acquérir la pratique du magnétisme, afin de se mettre en état d'employer tous les moyens qu'offre la nature pou
e sache pas que l’on ait osé aller plus avant et tenter l’aventure. L' état de sommeil est déjà difficile à faire cesser, il
oin. Dans d’autres, cas plus rares, on ne voit point de sommeil ; l’ état convulsif ne se montres pas, le corps-se roidit s
r pendant plusieurs jours, en s’affaiblissant pourtant par degrés, un état de surexcitation extrême du système nerveux causé
ant, sa femme fut influencée et excitée à écrire : se trouvantdans un état où elle n’avait qu’à moitié conscience de ce qu’e
es médecins, sans pouvoir soulager la malade. Le premier février, son état avait empiré, au lieu de s’améliorer. Je perdis t
ommé Langlois. Tout ce qui revenait sur son compte le peignait dans l’ état obligé pour son rôle, c’est-à-dire dans une innoc
intenant en résumé, d’après la rameur publique, ce qui aurait amené l’ état où se trouve cette jeune personne : Il n’y aurait
e voix ; toutefois, son organisme paraissait complètement changé, son état d’extase était tel, qu'elle ne voyait et n’entend
ande pécheresse. » Après quoi, elle s’affaissa sur son siège, dans un état apparent d’insensibilité. D’abord on s’en inquiét
our que le corps fût plié horizontalement à la hauteur des pieds. Cet état se prolongea la nuit et le jour suivant. « A
conduire ensuite chez sa famille ; elle n’avait aucun sentiment, (¡et état se prolongea sans changement appréciable, trois o
escriptions qui n’eurent aucun résultat. Pourtant la malade devint en état de répondre aux questions par des signes de tête,
nes de tête, mais sans pouvoir encore parler. Elle demeura dans cet état pendant seize jours , sans aucun changement visib
de mouvementsimpétueux, jusqu’à ce qu'elle retombât épuisée dans son état d’immobilité. Ces accès eurent lieu jusqu’à trois
. « D’après ce qu’elle déclara depuis, elle avait conscience de son état et avait connaissance de ce qui se passait autour
lque répugnance à en faire la narration. « La durée de ce singulier état et les circonstancesqui l’ont amené en firent un
l y a lieu de croire que la dame dont il s’agit s'est trouvée dans un état d'extase religieux , comme 011 en voit beaucoup d
s dans les vies des saints. L'exaltation religieuse amène parfois cet état singulier dans lequel la vie matérielle semble su
les médecins reconnaissent qu’il est très-dangereux de prolonger cet état anormal. Quand il a été amené artificiellement à
omnambulisme , le magnétisme peut toujours le faire cesser. Quand cet état se développe spontanément, le même moyen peut êtr
petite fille, âgée de quatre ans, s’ôtant couchée la veille dans son état de sauté ordinaire, nous réveilla vers les trois
rien avaler, en but trois verres ; elle paraissait alors revenir à un état plus naturel. Ici, le médium ou plutôt l’Indien n
n en se fondant sur ce que cette dame est presbyte et ne peut, dans l’ état ordinaire, lire qu’avec de fortes lunettes. Cette
que cette dame est presbyte à un degré très-prononcé ; 2° que, dans l’ état somnam-bulique, cette presbytie disparaît et que
t que la vue redevient normale. M. Guidon nous a assuré que, dans l’ état ordinaire, elle ne pouvait faire un point de cout
tent les ca-raotèresde preabÿtie et .diffèrent de ce quelles sont à l’ état 4e veille. A.-S. Moaus. ÉTUDE SUR L’AIDE. V
stance immatérielle est la base de toute métaphysique d’accord arec l' état actuel des sciences. Le principe sur lequel repos
ent sur elle, savoir : que ta matière ne peut changer d elle-même son état de mouvement ou de repos, ce principe exige que l
e, j’arrivai trop tard. Je m’informai auprès de Mm* la concierge de l’ état dès lifeux. Cette dame m’accueillit avec une parf
urant qu’il va entrer en communication avec les esprits , arrive à un état extatiforme, rêve les yeux ouverts , croit entend
ommunication à la matière brute devient plus directe au sortir de cet état ; dans cette désunion, le corps conserve un refle
fut de conduire cette crise jusqu’au somnambulisme pour tirer de cet état des indications favorables au traitement de cette
et en demandent la perpétuité, parce qu’ils se trouvent bien dans cet état qui leur paraît infiniment plus supportable que l
ler mieux. Puis, après un autre intervalle de quatre jours, je fus en état d’aller à pied chez ma sœur (à une distance d’un
t point s’arrêter là. A l'âge de vingt ans, il tomba malade, et l’ état uomnambulique reparut; pendant quinze jours consé
ême, ne le soulageant point, un jour qu'il souffrait beaucoup, dans l’ état somnambulique, il a fait une invocation à la Divi
on avaient constaté. Inutile de dire que le savoir du sujet, dans son état ordinaire, est nul ou à peu près. 11 a su toujour
haque entreprise. Le sujet, qui est un être très-ordinaire dans son état d’éveil , a des sentiments excessivement honnêtes
éveil , a des sentiments excessivement honnêtes et religieux dans son état somnambulique, et recommande toujours à son magné
e que, par le magnétisme, l’âme se dégage delà matière; que, dans cet état , le corps ressemble 3i un morceau de bois sec, et
magnétiseur est interrompue. 11 a indiqué que pour le sortir de cet état qni dure ■quelquefois très-longtemps, il Fallait
ertain nombre de sphères spirituelles , jusqu’à ce qu’elle arrive à l’ état angélique ; d’autres Esprits sont tout simplement
chette ou de la corbeille {ex eathedrâ), que quand ils sont dans leur état normal. Le moyen proposé par la Revue ne peut a
xcessives qui l’empêchaient même de sommeiller dans la nuit. Dans cet état , elle désira se faire transporter de nouveau à Ca
circonstance de sa vie privée ; en un mot, M. Dominique possède, à l’ état de veille, une lucidité remarquable. Madame X..
agnées de prières, suffisent pour guérir les malades et les mettre en état de retourner chez eux à pied. Des enfants épilept
u la description. L’ayant magnétisée le 6 octobre, elle tomba dans un état singulier qui dura six jours entiers ; pendant to
prendrait. Le magnétiseur fit de vains efforts pour faire cesser cet état , il était sans influence sur elle. Un médecin fut
vait rien à faire. — Elle annonça le moment où elle rentrerait dans l’ état normal et déclara que rien ne pourrait devancer l
me et au somnambulisme. Quand on a vu et interrogé madame M... dans l’ état de sommeil, il faut véritablement avoir la supers
tranchées peuvent exister à cet égard chez le même individu, dans des états ner- veux divers ; il est possible que les ra
duite, touchant la propriété dont jouiraient certaines personnes, à l’ état de crise, de déchiffrer une lettre, à distance, a
, et alors les organes de l’ouïe fonctionnent absolument comme dans l’ état ordinaire, ainsi qu’il est facile de s’en assurer
orte sa pensée que sur l’objet désigné par celui qui l’a mis dans cet état . » Nous n’insisterons pas sur ces erreurs que l
us n’insisterons pas sur ces erreurs que le praticien sera bientôt en état de rectifier lui-même. Quand la somme du bien l’e
ur Wiliam Ingalls) ayant demandé si l’enfant (Frédéric) était dans un état qui n’était pas naturel, le docteur Stedman répon
turel, le docteur Stedman répondit qu’il lui semblait qu’en effet cet état n’était pas naturel et-que ces spasmes ne pouvaie
dirigea vers la commission ; il semblait se croire réintégré dans son état normal, et ne pas apercevoir M. Collyer qui, debo
. James dit qu’il regardait comme douteux qu’on put feindre un pareil état . M. Collyer offrit de maintenir le jeune homme da
ient pour l’observer, de manière qu’on pût vérifier s’il simulait son état . « M. Stone, étudiant en médecine à Salem, prés
détermine les mêmes effets. Il assure que le sujet est alors' dans un état de demi-somnambulisme. Quelques minute après,
i dit que ce souvenir devait se rapporter à cequ’il avait vu dans son état de demi-somnambulisme. Le sujet rendant compte de
tenant comme hors de doute que Mi... (le dernier sujet) était dans un état non naturel, et que cet état a été produit par M.
e Mi... (le dernier sujet) était dans un état non naturel, et que cet état a été produit par M. Collyer. « Le docteur Lewi
Je suis obligé de reconnaître que le dernier sujet était dans un état nerveux fort étrange et qui n’est pas naturel.
marchez dans une fausse voie? Les clairvoyants, qui jugent mieux de l’ état d'un malade, sur un simple vêtement et les yeux f
il est parti et se perche au sommet. Alors, il revient à son premier état , mais une vache ou un veau se trouve placé entre
me M..., une femme qui n’est pas moins sincère et intelligente dans l’ état de veille, que lucide dans le sommeil magnétique.
lle, sa mère me reçoit les larmes aux yeux : — « Ma fille est daas un état désespéré, les convulsions n’ont pas cessé un ins
ez-la avec votre aplomb académique... Eh bien, que pensez-vous de son état ? Si on l’appelle, elle n’entend pas ; si on la p
magnétiseur va vous instruire ! Oui je vous apprendrai ce qu’est cet état , comment on le provoque, comment on le dissipe. C
es êtres supérieurs et quitter ainsi la vie ! Pour faire cesser cet état et calmer les inquiétudes de sa mère, il a fallu
pulations magnétiques après lesquelles mademoiselle Kurz revint à son état normal sans rien se rappeler de ce qui s'était pa
jamais arrivé. Je la trouvais dans son fauteuil, très-contente de son état et souriante ; mais, hélas ! en m’approchant d’el
a magnétiser de nouveau et à pousser jusqu’au somnambulisme. Dans cet état de clairvoyance, elle déclara: « qu’il fallait en
a peur de l’enfer m’agitait encore souvent. Je me demandais : En quel état suis-je? si je mourais à l’instant même, serais-j
s après une seule magnétisation. Lorsqu’une fois j’étais arrivé à l’ état comateux, presque toujours après une 2” ou 3* mag
ée. Après deux ou trois magnétisations, j'obûensl'insensibilité à l' état de veille, et cela en cataleptisant le membre que
ent annoncé s’est accompli de point en point. La mémo personne, à l' état de somnambulisme, a tracé de main de maître le po
t si précise, que personne n’a songé à s’inscrire en faux.— Lorsque l’ état somnambulique se déclarait chez elle, sa physiono
ient, et celte jeune personne, qui s’exprimait convenablement à l’ état de veille, devenait réellement éloquente. Elle sa
subséquent, deux conditions que l’on ne rencontre pas toujours dans l’ état d’insensibilité produite par le chloroforme et l’
raculeuses ; bien des faits allégués s’expliquent naturellement par l’ état d’hallucination où se sont trouvés quelques r
, autant qu’on peut en juger par les documents connus, dépendent de l’ état psychique des médiums ; ces sortes de faits ne pe
mais, par suite de ses préventions, qui lui faisaient considérer cet état comme simulé, elle n’a aucunement cherché à étudi
ent, nous engageons les médiums et en général toutes les personnes en état de présenter des faits curieux, à concourir à cet
ons sur l'art des coups (rappings), de manière à rendre les élèves en état d’égaler et même de surpasser la famille Fox. Une
n la publiera et que, sur les deux rives de l’Atlantique, 011 sera en état d'apprécier ses révélations. D'après le Telegra
du lome XVI), 42. FAITE ET EXPÉRIENCES. Accidents arrivés dans l’ état léthargique, 82, 581 cataleptique, 127 ; —épilept
96 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ment les rires et les pleurs involontaires, sans nul rapport avec l' état cénesthésique du sujet. Observation VIII. Dégén
o-motrice. Dans d'autres circonstances, c'est toute la mimique d'un état pas- sionnel, rires ou pleurs, qui surgit en dé
état pas- sionnel, rires ou pleurs, qui surgit en désaccord avec l' état cénes- thésique du sujet. Elle riait aux éclats
agée. Le centre auditif de l'écorce (lro temporale) est dans un tel état d'éréthisme que l'image vient solliciter le centr
heures et minuit, sans avoir remarqué rien de particulier dans son état . Le lendemain, lorsqu'il essaie de se lever, il
son état. Le lendemain, lorsqu'il essaie de se lever, il éprouve un état de faiblesse tel dans les jambes que s'il veut
elle on- pouvait loger une mandarine. ' 'i . , 1 ) i C'est dans cet état , réduit au décubitus dorsal, ne pouvant remuer
éminences thénar et hypothénar sont presque totalement effacées. L' état de la sensibilité des membres supérieurs ne pré-
y a au moins dix jours qu'il n'a pas été à la selle et attribue cet état à ce qu'il ne mange pas. Mais l'absence de toute
'aller à la garde-robe indique nettement qu'il y a tout au moins un état de parésie rectale. En pressant alternativement
ant pas à ce genre de recherches. "<-' i f ' ' ' 29 janvier. L' état du malade s'agârave. L'ataxo-adynamie et le dél
baiguë, intermédiaire très vague qui indique qu'il ne s'agit ni d' état aigu'ou chronique ? Le début a eu lieu ¡. . 1 J
ne pas étudier d'autres problèmes plus simples que nous présente l' état mental des hystériques ? D Je vous répondrai qu
t qu'il ment peut- être quelquefois. Mais il faut tenir compte d'un état mental encore insuffisamment étudié, 1 fréquent
se assez forte qui avait bouleversé, comme cela arrive souvent, son état mental, et elle m'avait complètement oublié. Sa
du tout souvenir des faits auxquels j'avais été mêlé. Peut-être cet état bizarre de la mémoire aurait-il duré quelque te
lé beaucoup, certains délires qui accompagnent la crise, certains états anormaux qui suivent quelquefois l'attaque semble
'une des premières et l'une des plus remarquables descriptions de l' état mental d'une hystérique : « Quelquefois, dit-il
ique : « Quelquefois, dit-il en parlant de sa malade, il y avait un état moral tout' particulier observé par la mère d'E
re comme une attaque d'hystérie. Elle sortit de son attaque dans un état mental tout particulier : 1° elle avait oublié
vous avoir signalé les principales. II. Pour résumer rapidement l' état d'une de ces malades que je viens de vous décri
rappelle seulement un fait bien connu de tous : l'hyp- nose est un état qui ne laisse pas de souvenirs après le réveil
ères hypnotisations, mais il est à mes yeux la caractéristique de l' état somnambulique plus ou moins grave. Chez la jeun
mplement à reproduire artificiellement chez elle un de ces nombreux états suivis d'amnésie dans lesquels elle entrait d'e
tre par suggestion, ou mieux par une habitude automa- tique dans un état moral analogue à celui dont elle vient de sorti
je ne vous décrirai point. Je vous rappelle seulement que c'est un état spontané qui fait partie de la crise hystérique e
en, il n'en est rien, on peut reproduire artificiellement ce même état qui semblait faire partie intégrante de l'attaque
emble avoir totalement oublié la langue anglaise. Quand elle est en état de somnambulisme provoqué, elle parle de Londre
mnambulisme que l'on provoque, pour mettre l'esprit dans un certain état où il retrouve les souvenirs cherchés. Cette 40
, les phénomènes psychologiques primitifs qui se sont conservés à l' état latent réapparaissent un peu. moins forts, moin
uggestion, on peut toujours arriver à produire chez l'hystérique un état artificiel assez analogue aux états naturels qu
à produire chez l'hystérique un état artificiel assez analogue aux états naturels qui ont été oubliés pour restaurer le
pasmes et de petits accidents con- vulsifs. Un jour, dans un de ces états somnambuliques acci- dentels, elle me dit spont
ais dès que ce som- nambulisme changea et que le sujet entra dans l' état de veille ou dans un autre somnambulisme, ces s
venirs disparurent de nouveau complètement. J'ai cherché ce que cet état pou- vait avoir de particulier et j'ai été frap
térique. 47 laire de tout le côté droit, tandis que dans les autres états elle était perpétuellement anesthésique totale.
t été perdu. La restauration accidentelle, j'en conviens, du même état de sensibilité s'était accompagné de la restaurat
nte cinq ou six personnalités' différentes, ou plutôt cinq ou six états de mémoire différents, caractérisés chacun par de
t des amnésies déterminées. Je vous rappelle que dans chacun de ces états de souvenir il avait un état particulier de la
vous rappelle que dans chacun de ces états de souvenir il avait un état particulier de la sensibilité, et il suffisait,
it, quand c'était possible, de rétablir artificiellement tel ou tel état de la sensibilité, pour faire naitre immédiatem
el ou tel état de la sensibilité, pour faire naitre immédiatement l' état de mémoire correspondant. On constate chez ce m
ce malade et chez beaucoup d'autres une rela- tion étroite entre l' état de la sensibilité et l'état de la mémoire, tell
d'autres une rela- tion étroite entre l'état de la sensibilité et l' état de la mémoire, telle que nous l'avions rencontr
endantes des anesthésies. Ce serait alors la variation brusque de l' état de sensibilité qui déterminerait les amnésies l
ment d'un type à un autre; elles sont, par exemple, des visuelles à l' état de veille et des motrices en somnambulisme. Nat
point de vue, sont des modifications de la mémoire ; ce sont des états dans lesquels les sujets ont des souvenirs partic
a prédisposition des hystériques aux amnésies localisées, de tels états seront chez elles très nombreux, très variés et t
e l'on emploie, mais du terrain sur lequel on opère. Parmi tous ces états som- nambuliques, dont l'étude est interminable
à peine, le grand.point n'était pas d'analyser en détail tel ou tel état som- nambulique ; il fallait démontrer l'existe
tel état som- nambulique ; il fallait démontrer l'existence de ces états anor- maux, écarter l'objection facile et banal
sie hystérique. 51 symptômes psychologiques. Il fallait choisir des états som- nambuliques chez des hystériques qui fusse
je le dis, sans hésiter, si je puis aujourd'hui vous présenter les états somnambuliques que nous étudions, c'est parce q
a présenté d'autres. Aujourd'hui, nous pouvons choisir parmi les états somnam- buliques avec plus de liberté et je vou
s qui me paraissent intéressants. Ainsi je vous propose d'appeler états ou somnambulismes à mémoire réciproque ou, pour a
e réciproque ou, pour abré- ger, somnambulisme réciproques certains états tels que le sou- venir du premier se retrouve d
termine par quelques convulsions et la malade se réveille dans son état normal avec l'oubli complet des deux états préc
lade se réveille dans son état normal avec l'oubli complet des deux états précédents. Eh bien, on peut provoquer artifici
dents. Eh bien, on peut provoquer artificiellement chez elle divers états som- nambuliques ; dans l'un de ces états provo
ellement chez elle divers états som- nambuliques ; dans l'un de ces états provoqués, vous voyez qu'elle reste étendue, le
crise, pendant cette même période de sommeil. Ce sont donc là deux états à mémoire réciproque. - - Pendant qu'elle est
d'être ordinaire pendant le somnambulisme, elle change totalement d' état et perd le souvenir de ce qu'elle vient de me d
som- nambulismes artificiels les yeux ouverts. Voici encore deux états réciproques. Eh bien, dans les états de ce genr
x ouverts. Voici encore deux états réciproques. Eh bien, dans les états de ce genre, vous remarquerez, je crois, très s
remarquerez, je crois, très souvent un fait important : c'est que l' état de la sen- sibilité est le même dans les deux é
nt : c'est que l'état de la sen- sibilité est le même dans les deux états réciproques. Vous pourriez le vérifier ici avec
précision, si nous avions le loisir d'étudier en détail les divers états psychologiques que cette,, malade traverse. Vou
ts psychologiques que cette,, malade traverse. Vous verriez que les états de mémoire ne deviennent identiques qu'au momen
mémoire pendant le somnambulisme : je ne fais que vous signaler les états supé- rieurs et les états inférieurs. Dans les
ulisme : je ne fais que vous signaler les états supé- rieurs et les états inférieurs. Dans les premiers, le sujet a le so
roque n'est pas vraie et dans lés seconds il ne se rappelle pas les états supérieurs. Il n'y a qu'un seul état de ce genr
nds il ne se rappelle pas les états supérieurs. Il n'y a qu'un seul état de ce genre dont je crois aujourd'hui la connai
is et avec beaucoup de justesse par M. Azam, pour désigner l'un des états psychologiques de Félida X... 1. Nous avons eu
ogiques de Félida X... 1. Nous avons eu l'occasion de constater cet état à plusieurs reprises chez des hystériques et no
ui est bien connue de vous tous, Witm. Elle est maintenant dans son état de veille, c'est-à-dire dans son état normal, l
Elle est maintenant dans son état de veille, c'est-à-dire dans son état normal, le plus habituel. Je vous rappelle l'état
t-à-dire dans son état normal, le plus habituel. Je vous rappelle l' état de sa sensibilité à ce moment : anesthésie tact
t qui n'affecte que la perception personnelle. En outre, dans cet état de veille, Witm souffre de nombreuses amnésies,
s s'est chargé de l'en- dormir au dehors et nous la ramène dans cet état que je veux vous décrire '. Il est facile de vo
ATION AU NIVEAU DE LA CICATRICE OSSEUSE. PAS DE MODIFICATION DANS L' ÉTAT DU SUJET; ..1.' 1 , '- . '1 . Par les Dors MA
malade, je ne sais pas ce que j'ai. » L.... se rappelle très bien l' état spécial dans lequel il se trouve dans ces pério
hemins me conduisaient, j'allais dit-il. Il a ainsi passé, dans cet état d'impulsion cons- ciente ou subconsciente, derr
art, qu'il est rentré chez lui. Il était, raconte sa femme, dans un état lamentable, les vête- ments sales, non déchirés
tout à fait Archives, t. XXIV. 5 66 RECUEIL DE FAITS. dans son état normal. Il nous fait le récit de ses aventures av
aso-motrice exagérée, insta- bilité, bizarreries), ont pour base un état d'irritabilité et tout à la fois de faiblesse d
ntinué, depuis leur entrée à l'asile, non seulement à présenter des états mentaux parfaitement identiques; en outre on a
grande que normalement chez 8 épilep- tiques et 18 criminels; 11° l' état des autres sens (tact- douleur ouïe goût odorat
t de psychopathies simples (prédominance des mélancolies). Tous ces états morbides, dépourvus de cachet spécifique, évolu
chez les fébricitants des hallucinations pénibles de la vue, dans l' état intermédiaire entre la veille et le sommeil.
incendies et à la suite d'une ordonnance de non-lieu, basée sur son état mental, avait été renfermé à l'asile de Dijon d'o
mais je ne vois aucun rapprochement à faire entre son passé et son état actuel. Aujourd'hui, devant le rap- port de M.
ieront. L'intervention indivi- duelle des directeurs peut, dans des états où ceux-ci n'ont point l'influence qu'ils devra
les d'aliénés. Il faut l'étendre à tous, quant aux personnes dont l' état d'aliénation est notoire. En effet, tout aliéné
n cas d'aliénation mentale, quand elles sont invitées à examiner un état mental, ce n'est pas pour un motif d'assistance
ribunal dont dépend l'aliéné; ce tri- bunal ordonne l'examen de son état mental et la communication du résultat de l'exa
ter la définition géné- rale, et que tous ceux qui ne sont point en état de s'occuper eux- mêmes de leurs affaires doive
tribunal et dans les feuilles les plus lues du jugement rendu sur l' état mental de l'aliéné. C'est complet. Au moins pou
constituer un curateur, les pénibles interrogatoires pour établir l' état de la fortune. Pour les aliénés aisés, un tuteu
tribunal, déclaré en démence. » Cette signification officielle de l' état de démence a provoqué, chez ce malade, un accès
sement en un établissement pénitentiaire sans grand avantage pour l' état mental de ces malheureux, car la répression ne
grave et la grande chorée. Leur admission n'est permise que par un état de somniation posthys- térique ou des tentative
il est question de la faculté psychique, ou, si l'on préfère, d'un état mental en rapport avec la responsabilité. Quant
a distinction, la définition même des héréditaires dégénérés ; si l' état mental est intermé- diaire entre la santé psych
e la responsabilité et de la doser suivant le caractère même de cet état mental. Quand vous estimez qu'il ne faut pas co
l y a d'abord l'élévation du prix des spiritueux. Mais serait-on en état instantanément d'empêcher la consommation de l'
istique, en recensant ces malades d'après leur âge, leur sexe, leur état physique et mental, ainsi que d'après leurs moy
urable abesoin du discernement médical ; ilfaut savoir, suivant son état morbide, lui dispenser les soins, l'alimen- tat
rer en matière, qu'il est en mesure d'éclairer les magistrats sur l' état mental de ces ma- lades. Le rapport fait par lu
és. Prenons un exemple, celui des , hallucinations négatives ou cet état si spécial des fous systéma- tiques envahis par
dents psychopathiques se montrent isolés et, pour ainsi parler, à l' état épisodique, indé- pendants d'un trouble profond
és hystériques. C'est ce qu'il ne faut jamais perdre de vue en tout état de cause et de maladie. Il convient en outre de s
ion de celle- ci dépend, pour une bonne part, de la profondeur de l' état hypno- tique, mais l'hypnotisabilité et la sugg
et, à proprement parler, sur les malades qui ont conscience de leur état morbide, qui témoignent d'un idiosyn- crasie ps
et Maman qu'à un an et demi. Il fut admis à la clinique dans cet état , on lui fit une fois une ponction pour son hydroc
ns parues depuis la thèse de M. Souza-Leite, qui en 1890 résumait l' état de la question. , bibliographie. 139 Ce qu'
des signes qui le constituent que nous jugeons chez les autres de l' état de leur activité psychique. A ce point de vue l
tie de l'ouvrage, et nous y trouvons des aperçus sur la mimique à l' état statique, de repos, et dynamique d'expression.
l'année et fait con- naître tous les mois au comité de direction l' état de la caisse et la situation financière de la S
patronnés par tous les membres de la Société. Ils s'informent de l' état moral des patronnés et font connaître aux médec
ns ses asiles, à s'imposer des sacrifices énormes pour atténuer cet état fâcheux de la législation. « Il est, disait M
evèrent à 17.400 livres sterling. (The Lancet, 7 mai 1892.) Asile d' état POUR les épileptiques. - Un millier d'épileptique
nterrement le bouleversait et il courait s'enfermer chez lui. - L' état d'angoisse est tel que rien ne leur coûte pour
recevoir le médecin le vendredi. Elle a pleine cons- cience de son état , regrette ces craintes puériles, ces préoccu- p
e départ d'idées délirantes, mais plus tard, elles sont restées à l' état d'obsessions simples, la malade eu ayant entièr
t sans feu. Ce malade fort intelligent a pleine conscience de son état maladif; il fait de grands efforts et réussit p
après les accès convulsifs en série ; 3e Avant, pendant et après l' état de mal ; 4° Avant, pendant et après le petit ma
188 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Aujourd'hui elle est revenue à son état normal, On a dû la sonder .pour recueillir envi
tobre, pas d'attaques ni de vertiges. L'urine prise pour comparer l' état sériel avec l'état normal a été recueillie le 2
es ni de vertiges. L'urine prise pour comparer l'état sériel avec l' état normal a été recueillie le 2 octobre. (Voir Mor
du 14 octobre. Le lendemain 15, elle était d'ailleurs revenue à son état normal. L'urine est très trouble, en petite qua
oulever d'une pièce sur la planchette. La respiration s'arrête. Cet état dure environ dix secondes. Puis des secousses rép
uivis de migraine, mais sem- blaient tout de même en rapport avec l' état de l'estomac, puisqu'ils disparaissaient généra
rneuil, relaté par Baralt) d'hémiopie passagère survenue en parfait état de santé, sans autre cause appréciable que le b
ter (subjectivement, sinon à l'examen objectif) ; mais toujours à l' état transitoire, non permanent, comme la limitation
de potassium. Le 7 novembre 1891, le malade revient nous voir : son état est stationnaire. Le 17 février 1892, Kerl...
eurs traitements. Ce que nous nous efforcerons de préciser, c'est l' état des tissus et des organes qui ont à souffrir de
système nerveux, je pus constater combien peu satisfaisant était l' état de la physiologie cérébrale, si éloquemment expos
s. Ils ont leurs équivalents mécaniques, chimiques et caloriques. L' état maladif de l'esprit est constitué d'une façon n
nvulsions, les anomalies de la sensation. Nous sommes maintenant en état de comprendre pourquoi dans certains cas, le ce
l'aura ou prodrome de l'accès, tels que les sensations de rêves ou états intellectuels similaires, les illusions ou hall
té de cette idée préconçue a depuis été amplement démontrée par les états de service de la chirurgie cérébrale durant les
la cicatrice, la chose fut faite. Pour vous donner une idée de l' état pitoyable dans lequel se trouvait le patient av
de des aspects objectifs et subjectifs de la fonction cérébrale à l' état de santé, il n'est point surprenant que nous so
ils font de sérieux efforts pour établir des corrélations entre les états morbides de l'esprit et les altérations nutritive
s recherchent, de concert avec les symptômes psychiques, les divers états et degrés de la destruction ou de la perversion
r donner la possibilité de se rendre compte du lieu de ce corps à l' état de repos ou de mouvement, de façon qu'en tout t
t de repos ou de mouvement, de façon qu'en tout temps ils soient en état d'indiquer la direction du mouvement du corps e
ion, permettent au malheureux de préciser la nature de l'objet, son état , son siège. P. il III. Etat SOMNIFORME CHEZ L
'ivresse se joignent d'autres troubles intellectuels élémentaires : état de stimulation, état de dépression, troubles du c
d'autres troubles intellectuels élémentaires : état de stimulation, état de dépression, troubles du caractère, de l'idéa
ation, insomnie ou hypnose, désordres de la mémoire etc., enfin des états délirants qui sont ramenés à plusieurs types : le
e type mélancolique (kawa, licheguana) ; les formes mixtes et les états vésaniques (toujours symptomatiques d'une tare cé
vrier, le Dr L... la vit, et à cette époque elle était dans le même état , quoiqu'il n'existât chez elle aucun désordre s
tamment de la sylvienne, dilatation du ventri- cule latéral gauche, état granuleux et épaississementdel'épendyme, atroph
du corps remonte, la guérison est effectuée. P. KERAVAL. XXX. DES états DE sommeil hystérique ET DE LEURS rapports avec
le et même malade on a rencontré toutes ces oscillations. Donc, les états de léthargie pure sont les manifestations du mê
me de certains cas graves de mélancolie anxieuse, devant passer à l' état chronique ; dans son second mémoire plus comple
sordonnée. Le délire des négations, d'après Cotard, se présente à l' état de SOCIÉTÉS SAVANTES. 283 simplicité, se ratt
ime de les réunir en une espèce noso- logique nouvelle; 4° dans les états mélancoliques, les idées de négation indiquent
s cerveaux invalides; 9° on- observe les idées de négation dans les états mélancoliques anxieux. ils se combinent alors à d
umées ainsi qu'il suit : SOCIÉTÉS SAVANTES. 28S ' 1° Il existe un état psychopathique essentiellement caractérisé par
damnation et de possession ; des idées de ne pouvoir jamais mourir; état de chronicité spécial à certaines formes graves
rmes graves de mélancolie anxieuse, intermittente ou par accès. Cet état psychopathique, appelé par Cotard délire des né
comme une entité morbide, mais, suivant son expression, « comme un état psychique propre aux anxieux chroni- ques ».
effet, tous les symptômes indiqués par lui comme appartenant à cet état psychopathique : . 1° Anxiété mélancolique; 2°
iscérale, des hallucinations kinesthétiques ou motrices, mais aucun état mélanco- lique. Puis sont apparues des idées de
ertains cas sembleraient constituer des formes de passage entre les états mélan- coliques et les délires de persécution.
Cotard, raves, incurables en général, se terminant souvent par un état de marasme dans lequel meurt le malade. J'ai obse
tion et très fréquentes chez les mélancoliques, affirmation de leur état d'angoisse morale, mais elles ne constituent qu'u
angoisse morale, mais elles ne constituent qu'un syndrome et non un état nosologique spécial. Je ne peux voir dans leur
se taire toujours, alors que son silence peut susciter l'idée d'un état plus grave que la réalité, ou celle d'une séque
le médecin, car le malade divulgue, sans s'en rendre compte, son état d'aliénation par ses écrits et peut, une fois gué
des membres de famille en désaccord avec les autres qui divulgent l' état du malade. Il serait nécessaire que les pouvoir
95, 20, 25 ou 30 francs, suivant les ressources de la famille et l' état mental du malade ; 4° Les colonies agricoles
ferme dans un asile, dit-il, est aujourd'hui un principe passé à l' état d'axiome. C'est une conquête définitivement acq
el inhérent à la maison privée; a 4° Une modification heureuse de l' état mental « Une amélioration de l'état menlal se p
Une modification heureuse de l'état mental « Une amélioration de l' état menlal se produit pour la plupart des cas envoy
n, l'administration a fait dresser l'an dernier, à celte époque, un état numérique des aliénés à qui il suffirait d'un p
ignation, de mésestime du moi qui cons- titue le fond ordinaire des états lypémaniaques. Les persécutés dont il s'agit, a
cution à physionomie anormale se rencontrent aussi dans certains états de dépression mélancolique. Je pense même que s'i
elles s'accompagnaient toujours et surtout dans les paroxysmes d'un état d'angoisse très prononcé. J'ajouterai que les c
rent les antécédents héréditaires psychopathiques des malades, leur état mental antérieur (déséqui- libration), leurs st
sus intellectuels, avec participation de la conscience, angoisse et état vertigineux. On rencontre la confusion mentale
ence; le vertige épileptique serait en quelque sorte le type de cet état . Les malades qui se plaignent qu'on leur vole l
on qui ne sont souvent que des troubles délirants justiciables d'un état de neurasthénie. M. SÉGLAS. -Je ferai observer
te. En ce qui regarde les rapports des troubles déli- rants avec un état neurasthénique, M. Chaslin les a signalés : il di
ignalés : il dit même que la confusion mentale est justiciable d'un état d'épuise- ment rapide et brusque du système ner
ez des maniaques inter- mittents simples ayant de temps en temps un état passager de dépression. M. Marie (d'Évreux) l
nsi le danger de la commotion. Je ne cesserai de l'observer; si son état mental ne s'améliore pas, selon mes désirs, j'o
nt terminée, et nous n'avons plus qu'à attendre les événements. Son état mental a été examiné de près, de façon à pouvoi
permettra aux os du crâne de se développer d'une façon normale. L' état de ces malades est si malheureux et si déplorable
ulation du sang. L'enfant a eu des attaques provenant de ce mauvais état de circulation, mais elles ont considérablement
uand elle a le dos tourné. Elle a évidemment sa raison, quoique à l' état naissant. La difficulté de la déglutition a com
érer et de publier. II. Quelques-uns de nos auteurs donnent sur l' état des fontanelles des renseignements qui nous sem
es sur les différentes formes d'idiotie et sur leur traitement. « L' état de ces malades est si déplorable, écrit M. Wiet
t;. Grand fut leur étonnement en trouvant la victime en excellent état de santé. Elle raconta aux agents que, dans un mo
nfui aussitôt. H... a été envoyé à l'hôpital Beaujon dans un piteux état . (Lan- terne, 2 juillet 1892.) Georges Guiron e
accumule de . nombreux syndromes épisodiques; elle est dans un -, état d'émotivité perpétuelle, la plupart de ses centre
Comme les autres onomatomanes, la malade a pleine conscience de son état , s'en attriste et, par moments, sur les conseil
ctère maladif, leur invincible irré- sistibilité, malgré le complet état de conscience. Au point de vue médico-légal, ce
physique habituelle, de son tempé- rament, de sa constitution, de l' état de ses forces. Le plus souvent, ces dernières i
union. Dans ce laps de temps, il n'y eut rien à remarquer dans son état de santé, sinon une espèce de défaillance qui l
uval et l'oc- cupe jusqu'au 28 février 1890. Dans cette période son état de santé empira continuellement; les rachialgie
ode de menstruation avec les mêmes caractères. Dans cette période l' état mental de Mme Gi... était notablement troublé.
e nouveau chez Duval pour y reprendre son travail. Mais bientôt son état empira de nouveau. En jan- vier 1891, elle fut
r à la Salpêtrière dans le service de M. le professeur Charcot. Son état de santé à cette époque était très mauvais, ell
contraire, l'on peut dire qu'elle constitue l'un des attributs de l' état mental des hystériques; elle nous explique bien d
es mots ». Cette hypothèse nous parait bien être en harmonie avec l' état mental de la malade, dans lequel la perte de la
i affirme Cha..., entraîna la mort. Pour compléter ce croquis sur l' état de famille de Cha..., je dois ajouter qu'une so
parfois deviennent plus amples et plus lentes, il se manifeste à l' état de repos, ne s'exa- gère pas pendant le mouveme
délire d'ac- tion, et sa manifestation pendant l'attaque et dans l' état d'in- conscience parfaite tient plus de la gran
lement effrayé qu'il perdit connaissance et tomba à terre. Dans cet état d'inconscience qui dura quelques minutes, il ne
blic. Effrayé par ces atta- ques qui augmentaient de fréquence, son état physique et moral se troubla; six mois après au
Gibier de Savigny '. Un homme de vingt-huit ans, infirmier de son état , fut frappé par la foudre; il perdit connaissance
t des membres figurent bien parmi les manifesta- tions communes des états émotifs; mais nous ne voulons pas pousser l'int
trice de la névrose, et il nous révèle en même temps dans Bar... un état mental hystérique des plus caractéristiques.
ait lui qui donnait origine à l'attaque, son image devait occuper l' état psychique de Fiq..., même durant la perte de la
ie transitoire chez un même individu, se présenter complet ou à l' état rudimentaire (simples étincelles), ou même manque
premier) dans les centres sensoriels corticaux, s'expliquant par un état irritatif des écorces céré- brales, de la même
ion vaso-cons- trictrice doit suivre la paralysie du sympathique, l' état de . congestion neuroparalytique. Or, voilà les
ire du syn- drôme migraine ophtalmique, qui ne puisse s'établir à l' état permanent. Ainsi l'aphasie, l'hémiopie, la paré
lique les accès. Ce passage des troubles ner- veux occasionnels à l' état permanent, est à craindre surtout chez les hyst
l est très facile de reconnaître l'affection et de la rapporter à l' état ner- veux plus ou moins manifeste du sujet. Les
s anémiques, et même chez des personnes qui ne révèlent aucun autre état morbide, tien- nent toujours à des troubles pas
nt à lui seul la maladie, qui pourra tout au plus se rapporter à un état neurasthénique latent ou fruste. , En raison
2 CLINIQUE NERVEUSE. vous montrer quelques exemples sont faites à l' état de veille. De semblables suggestions sont fort
Mais remarquez donc que cette jeune fille est maintenant dans un état tout à fait anormal. D'abord, elle n'a plus aucun
i est spé- cial et que nous devons chercher en elle. C'est dans l' état de leur volonté que nous devons chercher ce phé
illiam Page, a exprimé ce caractère d'une manière saisissante : « L' état hystérique, dit-il, est constitué essentiel- le
e, elle déploie un réel talent, mais tout cela est effectué dans un état bizarre. Elle se fixe sur son travail, n'est pl
ous toutes sortes d'influences, les hystériques changent beaucoup d' état psychologique. Après une crise, après un sommei
artificiel, après une émotion quelconque, ou bien pendant certains états anormaux que l'on provoque ou qui surviennent s
Vous savez que l'on peut la maintenir pendant quelque temps dans un état qui, pour elle, est extraordinaire et dans lequ
s hystériques qui la caractérisent pendant la veille. Eh bien ! cet état présente un caractère de plus auquel je n'ai pa
age qui paraîtra prochainement dans la collection Charcot-Debove, l' état mental des hystériques. SYNDROME HYSTÉRIQUE DE
s caractères anthropologiques, et, au point de vue psychologique, l' état de ses sens, de son intelligence, de ses émotions
irresponsables que ceux de la variété précédente. Mais à partir des états mitoyens qui témoignent d'une organisation path
ait à tenir compte de l'in- fluence que pourraient exercer sur leur état mental d'autres formes d'assistance, telles que
liénés sont pour leur famille et la société un véritable fléau. L' état nerveux crée nécessairement chez les dégénérés le
résence d'esprit, il n'est plus maître de diriger ses facultés. Cet état d'exal - tation que le dégénéré est incapable d
ré est incapable de réprimer est, dans quel- ques cas, provoqué à l' état normal par le simp 1 e fait de la volonté chez
rrait par exemple requérir en ces termes : Procéder à l'examen de l' état mental du prévenu ou accusé. aux fins de déterm
u accusé. aux fins de déterminer si, au moment du fait, il était en état de folie, ou s'il a été contraint par une force
ion d'un facteur psychique. Jusqu'à ce jour on n'avait pas décrit l' état psychique particulier qui motivait ces mouvemen
membrane nucléaire finit par disparaître. Le corps du noyau qui à l' état sain se compose d'une charpente renforcée par pla
s. 495 devient discoïde et sinueux ; finalement, il est réduit, à l' état d'un petit grumeau coloré contenant, en son mil
vingt-trois à trente-un ans d'une épilepsie primitivement sérieuse ( états de mal) qui guérit, il était à l'âge de quarant
se dans la moelle se propage exactement comme la myélite aiguë; à l' état , SOCIÉTÉS SAVANTES. 509 de foyer scléreux -
de la moelle, on a sacrifié la clinique à l'analyse anatomique des états cadavériques et l'on a rejeté presque complètem
lle transcorticalé, par Pick, 79; - sensorielle, par Adler, 82; - état actuel de la question de l' -, par Moeli et W
mnésie-, par J. Janet, 29 ; température élevée chez une -, 271; - états de sommeil - , par Loewenfeld, 279; auto- TAB
142, 147. Sommeil HYSTÉRIQUE, par Loewenfeld, 279. Sominforme ( état ), chez les animaux après l'ablation du cervelet
97 (1911) La pratique neurologique
lement spécialisé en quelque sens que ce soit, puisse se trouver en état de pratiquer un examen complet de tous les appa
gique », l'étudiant, le médecin non spécialisé se trouvassent en état d'employer de façon utile ces différentes méthode
élément de trouble visuel. C'est précisément ce qui a lieu dans les états anormaux de la réfrac- tion, quand par rapport
i l'étude des différents procédés pour la détermination exacte de l' état de réfraction de l'oeil (ophtalmomètre, kératos
tion. Les éléments nerveux de la région maculaire, si sensibles à l' état nor- mal, sont atteints de cécité pour une, pou
forcément le rétrécissement du champ visuel pour le~ blanc. , A l' état physiologique, les champs visuels des couleurs so
s aux autres dans un ordre toujours le même (fig. 7). Dans certains états pathologiques, cet ordre physiologique peut être
suivre les améliorations ou les aggravations progres- sives clans l' état d'un muscle paralysé. Fig. '12. - Strabisme con
résie d'un ou plusieurs muscles du globe, l'oeil n'est plus dans un état d'équilibre parfait. Dans certaines positions,
rimètre, quelle était 1 étendue -du champ du regard monoculaire à l' état physiologique; et on a pu établir un ]''ig. 17.
l'observateur, ophtalmolo- giste de profession, sait reconnaître l' état de réfraction du malade qu'il observe (hypermét
ropie, myopie). ' " , Voici un procédé qui dispense de déterminer l' état de réfraction. 11 est analogue à celui que j'ai
e sur un faisceau parallèle par les cristallins C, Cs C5 il divers, états d'accommodation. F £ F2 F3 les foyers de ces troi
ins. Les modifications de forme du cristallin, suivant ses différents états de réfringence, sont marqués en quadrillé. 21
le premier. EXPLORATION DE LA MOTILITÉ PUPILLAIRE La pupille il l' état normal, ne se tient guère en position fixe; elle
les procédés habituels, d'éclai- rage. 5° Réflexe consensuel. A l' état physiologique normal; l'excitation lu- mineus
Rétrécissement du champ visuel du côté opposé. L'oeil, amblyope à l' état isolé, fonctionne 1. Beaucoup des troubles visu
dans l'hémianopsie est la cécité verbale qui peut se rencontrer à l' état de pureté. Et la fréquence de l'aphasie s'expli
ière de les dépister. Ramollissement. Artériosclérose concomitante; état défectueux du coeur, àge avancé du malade. Autr
e et supprimée. . Mydriase physiologique. Certains sujets ont, il l' état en apparence normal, les pupilles assez dilatée
acile par la constatation de lésions oculaires concomitantes. A l' état normal, l'iris est soutenu par le cristallin sur
aussi montrée dans la neurasthénie.' - Mobilité pupillaire. A l' état normal, en dehors de tout mouvement de convergenc
par névrite interstitielle hypertrophique. Réflexe consensuel. A l' état normal, les contractions et dilatations de la p
s variés, il peut être unilatéral ou bilaté- ral, exister seul, à l' état isolé, ou s'accompagner d'autres troubles nerveux
male est parfois très dimi- nuée chez des individus paraissant il Y état normal. Les causes locales d'hyposécrétion sont
chées les unes des autres. , La cornée peut rester longtemps en cet état ou s'éclaircir en laissant toutefois une opacit
Testai.) 138. . MALADIES DE L'OREILLE. juguée; nystagmus); 4° un état nauséeux et anxieux; 5° des phénomènes. Coupe t
e plus intéressant est le nystagmus. Le nystagmus peut exister il l' état de repos des globes oculaires ou (lans les dive
uvelles recherches à la suite des nom- breux travaux de Barany. A l' état normal, l'épreuve galvanique, la pression direc
-dire vers la gauche et inversement. C'est là ce qui se produit à l' état normal, et comme on s'est mis d'accord pour désig
ide. L'étude des réac- tions normales et de leurs modifications à l' état pathologique peut donc fournir d'utiles indicat
à l'état pathologique peut donc fournir d'utiles indications sur l' état du labyrinthe et de toute la voie vestibulaire,
e, assez improprement désignée par ce- terme, est en rapport avec l' état de la muqueuse et des terminaisons nerveuses. Ell
ours la même pour des odeurs très variées. Elle dépend souvent d'un état nerveux, neurasthénie, hystérie, mélan- colie ;
uente dans les lésions nasales. Mais elle ne reste pas toujours à l' état de névrose. Les malades deviennent de véritable
on momentanée de l'orientation et de la localisation con- scientes, état analogue au demi-sommeil; 2° la surperception d'e
ndés, le dos contre l'axe et les pieds sur le bord du plancher. A l' état normal, le sujet a la notion de la rota- tion ;
u ». Plus rarement le type continu survient d'emblée, marqué par un état , vertigineux, des bourdonnements et une 'diminu
ou moins apoplectiques (variété chro- nique avec paroxysmes). . L' état du vertigineux chronique peut être extrêmement pé
ectifs ou vertige typique; celui-ci pourrait être rem- placé par un état vertigineux léger, du treinbleinent des jambes, u
ysie de la 0U paire, déviation conjuguée, nys- tagmus, etc.) ; 4° l' état nauséeux et anxieux des lésions bulbaires; 5° des
. Dans tous ces cas, l'action d'un renexe est fort probable, mais l' état . névropathique du sujet entre aussi en cause.
. D'autres médicaments ne déterminent le vertige qu'à la suite d'un état , nauséeux et souvent de vomissements, tels la d
l'un des premiers symptômes quand l'absorp- tion a été massive, un état vertigineux prononcé avec faiblesse, anémie, tr
vec angoisses, sueurs froides, nausées et parfois vomissements. L' état vertigineux paroxystique ou intermittent de l'alc
apoplectique. Nous réunirons donc la description de l'ictus et de l' état d'assoupissement spécial qui lui est consécutif
s'il en exista, le malade est, dans la grande majorité des cas, en état de résolution complète, insensible, immobile, s
voies respiratoires. Ajoutons qu'il est important de s'assurer de l' état de la vessie et de l'évacuer au besoin. L'exame
tes où, dans une même description, ont été compris l'apoplexie et l' état consécutif, nous dispensent de revenir sur le c
de it sa torpeur par des appels. des excitations répétées. Dans les états profonds ou carus, il y a suppres- sion totale
es. 11 est important de savoir chercher les causes éventuelles d'un état comateux. Pour ce faire, chaque appareil doit ê
important de connaître et de suivre la température, d'interroger l' état des viscères : il peut y avoir une pneumonie; le
ma étant un sommeil mor- bide, ressemblera plus ou moins à tous les états qui comportent la suppression ou l'affaiblissem
iers donnent fréquemment d'un sommeil profond et prolongé; mais cet état réparateur ne s'accompagne ni d'altération des
s posées, garde un instant les attitudes imposées, et cependant cet état n'est ni le sommeil ni le coma. Il s'agit dune vé
orbides, spontanés on provoqués. On constate dans le premier de ces états l'absence des réflexes, l'affaiblissement du poul
estion. A côté de tous ces syndromes dans lesquels sans exception l' état général reste excellent pendant un laps de temps
tionnement de la circulation et de la respi- ration. S'il existe un état syncopal marqué, on aura recours aux stimu- lan
ubilé; et s'il est aisé de faire cesser, au moins relativement, cet état de torpeur, l'éveil est de peu de durée, et le
si dans les sommeils artificiels observés chez les hystériques. Ces états morbides sont en effet moins des sommeils que des
ères SOMMEIL MORBIDE. 1 fH d'exister ou de vivre différentes de l' état normal, distinctes de lui par l'amnésie qui sui
certain nombre d'entre eux ont-ils été ajuste titre qualifiés d' « états seconds ». Ces sommeils artificiels peuvent se,
sans aazbulotioa2 s'observe chez les hystériques ainsi que dans les états cataleptiques associés. Le sommeil hystérique sur
d, les extrémités cyanosées. Le système, musculaire n'est jamais en état de résolution complète; il existe même fréquemm
s (som- nambulisme) ou provoqués (hypnose). Le somnambulisme est un état morbide de l'enfance et de l'adolescence. C'est
de l'enfance et de l'adolescence. C'est un sommeil, c'est-à-dire un état d'obnubilation intellectuelle, au cours duquel un
, au cours duquel un certain nombre d'actes sont exécutés comme à l' état de veille, en apparence du moins. Le somnambule
crimes de laboratoire avec des armes inoffensives. Il existe dans cet état une hyperexcitabilite non plus neuro-musculaire
se constitue ainsi un véritable dédoublement de la personnalité; un état second existe il côté de l'étal, primitif de l'
du. Il se produit souvent des crises convulsives au départ des deux états , Il semble finalement que l'état do veille soit l
es convulsives au départ des deux états, Il semble finalement que l' état do veille soit l'état normal, d'où le nom de vi
rt des deux états, Il semble finalement que l'état do veille soit l' état normal, d'où le nom de vigilamblllisme donné il
t automatisme envahissant. L'oubli est le plus souvent complet d'un état , pour l'autre; il se peut cependant que. les ma
t d'un état, pour l'autre; il se peut cependant que. les malades en état de viguambutismc, souvent plus alertes, plus in
ns la vie ordinaire, primitive, aient conscience et souvenir de cet état primitif. Enfin, l'on peut, dans un certain nom
gage oral peut présenter des troubles variés dans un grand nombre d' états pathologiques. TROUBLES DU LANGAGE ORAL Une d
objet en verre ou d'une claque dans les mains. tant recher- cher l' état de l'audition pour les bruits plus délicats, tels
s ne les comprend pas. On explore avec soin, en telle occurrence, l' état général de l'intelligence. Le malade se rend-il s
du langage est spécialement troublée dans cette maladie. Dans les états d'obnubilation intellectuelle (idiotie, imbécilli
Pure » ; on peut, notamment chez ces malades, observer au début un état de prostration et des troubles de l'équilibre q
e des chiffres. Lecture de chiffres isolés. Si le malade est hors d' état de parler, il montrera avec ses doigts, ou en fra
légique ? des membres seulement ou aussi de la l'ace ? Ilnel. est l' état de la langue ? des lèvres ? du voile du palais ?
odiques ? 1 ? istc-(-il des troubles de la déglutition ? quel est l' état du réflexe pharyngé ? ' ? L [MOUTIER ] ' :
ffet, un véritable trouble de l'attention; elle s'observe, dans les états crépusculaires de l'intelligence, chez. les démen
peur où le malade est absorbé par ses idées pénibles. Dans certains états maniaques, on peut voir un état de mutisme pass
ses idées pénibles. Dans certains états maniaques, on peut voir un état de mutisme passager résultant du tumulte des id
ns l'amimie byperstbénique, certains muscles du visage sont dans un état de contraction permanente et déterminent une expr
mimique proprement dit peut être exagéré, c'est l'hyper- sémie des états d'expansion, de l'excitation maniaque; il peut êt
ut être di- minué ou aboli, c'est l'lrr/posC : nzie ou l'asémie des états de dépression, de la mélancolie, de la confusio
sous divers aspects. Le délire peut être la continuation pendant l' état de veille d'un rêve commencé pendant le sommeil
nts meurent par- fois sans que l'attention ait été appelée sur leur état de santé demeuré en apparence normal. 11 ne f
pas confondre la démence vraie chronique et incurable avec certains états transitoires d'affaiblissement intellectuel, tels
té, la stupeur cérébrale, la confusion mentale. Dans ces différents états pseudo-démentiels, qui sont curables, existe le s
ndairement à d'autres troubles psychiques (délires hallucinatoires, états émotionnels profonds), on le rencontre dans les
la débilité mentale, de l'ioabécil- lité, de l'idiotie qui sont des états psychopathiques congénitaux. Tandis que la déme
(épileptiques, traumatisés, paralytiques géné- raux à la période d' état ). La mémoire est une fonction psychique complex
nt dans le subconscient, ils peuvent réapparaître dans le délire, l' état somnambulique. ' LES HALLUCINATIONS Esquirol
exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état d'hallucination. » Bail a proposé cette définit
daires comme l'éducation des malades, leur fonds intellectuel, leur état social, leur profession, leurs tendances antérieu
def ? ir.s<t/7f'. les idées d'auto-accusation ont, à cause de cet état démentiel et de l'amnésie, un aspect clinique s
mais ce délire des paralytiques a des caractères spéciaux dus il l' état démentiel, c'est un délire mobile, absurde, incoh
trait aux préoccupations des malades sur leur santé générale, sur 1 état de leurs organes. Certains sujets, comme les neur
ie hypocliondriaque. Les idées hypochondriaques s'observent dans un état morbide que l'on appelle l'hypochondrie essenti
assez souvent d'idées de négation. Elles s'observent aussi dans les états mélancoliques de la folie inter- inillen le et
gnent de gémissements, de plaintes monotones; elles évoluent sur un état mental démentiel. Chez les alcooliques chroni
forcée. L'hydrothérapie est employée sous diverses formes. Dans les états de dépression mélancolique on conseillera l'app
quelques minutes, puis le malade sera entouré par un drap sec. Les états d'excitation maniaque seront calmés parfois par
d'arrosoir excite les mélancoliques; elle ne convient nullement aux états de dépression des paralytiques généraux, car el
maniaque prolongée. Les hains froids doivent être employés dans les états maniaques accompagnés d'hvperthernnic. Les bain
tique con- tribue il relever la nutrition défaillante dans certains états dépressifs. Parmi les agents de la thérapeutiqu
u jugement d'interdiction. 2° Un certificat du médecin constatait l' état mental de la personne à placer, et indiquant le
registre, au moins tous les mois, les chan- gements survenus dans l' état mental de chaque malade. Ce registre constatera é
nom et la résidence des personnes qui auront retiré le malade, son état mental au moment de sa sortie, et, autant que pos
t d'aliénés, de toute personne inter- dite ou non interdite, dont l' état d'aliénation compromettrait l'ordre public ou la
semestre un rapport rédigé par le médecin de l'établissement sur l' état de chaque personne qui y sera retenue, sur la n
sonnes dont le placement aura été volontaire'et dans le cas où leur état mental pourrait compromettre l'ordre public ou la
nt au département ou avec lequel il aura traité. Les aliénés dont l' état mental ne compromettrait point l'ordre public ou
xiger le certificat médical. Le certificat médical doit spécifier l' état mental, les troubles psychiques de l'aliéné ain
dances morbides, etc.). ", (Pour un placement d'office, ajouter : l' état d'aliénation de Z1......... ? compromet l'ordre
uelquefois, au contraire, " chez les épilepliques la déchéance de l' état intellectuel amène l'idiotie ('). cl) Idiotie a
ngite choI11que peut subir des poussées ultérieures qui aggravent l' état mental et peuvent conduire l'enfant à la mort.
hez l'adulte. , ' Le pronostic de l'idiotie dépendra d'abord de l' état d'idiotie auquel on : a affaire, de la progress
ntribution. L'existence de troubles sensitifs peut renseigner sur l' état du système; nerveux, orienter le clinicien dans
physiologistes et des cliniciens. Nous allons rapidement exposer l' état de nos connaissances actuelles sur la nature de
ditRichet, est produite par toute cause qui modifie profondément l' état du nerf. Il n'y a pas, par conséquent, d'excitant
atéraux. De cette diversité d'opinions, il résulte qu'aujourd'hui l' état de. nos connaissances ne nous permet pas d'indi
ours sont souvent nécessaires pour établir d'une façon com- plète l' état de la sensibilité d'un malade. Il faut également
de la sensibilité d'un malade. Il faut également tenir compte de l' état intellectuel du sujet, souvent défectueux (chez u
suite d'une simple application sur la peau d'une substance qui, à l' état normal, ne provoque qu'une sensation de contact
rte de la perception stéréognostique. Les cercles de sensations à l' état normal varient, suivant les régions, de 1 à 65
u'ils sont le plus étroits. Voici, d'après Weber, un tableau de l' état normal du seuil extensif des principales région
é à la-douleur, c'est l'anesthésie Ir y- pe1'esthésique; - .. A l' état normal, les différentes régions de la surface cut
ée ou muqueuse ne réagit pas uniformément à la tempé- rature : il l' état normal, certaines régions sont capables de discer
sensibilité électrique cutanée des différentes régions du corps à l' état normal. Dans la première colonne, les chiffres
fférentes parties du corps '(Rydel et Seiffer). Voir le schéma de l' état normal de la pallestliésie. établi par ces aute
de plomb) de poids connus, et l'on compare avec le côté opposé. A l' état normal, le membre supérieur peut reconnaître des
ique ; il pourra parfaitement reconnaître la forme, la dimension, l' état de lisse ou de rugueux d'un objet, mais il sera
on peut ad- mettre que Y asymbolie tactile, elle aussi, dépend de l' état de la sensi- bilité périphérique, qu'elle n'est
récente et encore assez prononcée, que l'hémipté- gique soit hors d' état de démêler et d'indiquer la nature de l'excitatio
uel l'a plongé l'attaque apoplectique, période pendant laquelle son état d'obnubilation cérébrale rend l'examen de la se
ro- cédé thérapeutique est mauvais, puisqu'il ne fait qu'exagérer l' état de suggestibilité du sujet. Leur durée. Leur
des mois et des années. Enfin, ces troubles ne modifient en rien l' état des réflexes organiques; les réflexes cutanés,
nt être guéris rapidement. Les laisser persister, c'est augmenter l' état de suggestibitité du sujet, c'est aggraver son ét
est augmenter l'état de suggestibitité du sujet, c'est aggraver son état 111;\Topathique. i donc le médecin doit se gard
té viscérale il la distension; souvent enfin on est forcé déjuger l' état de l'altération sensitive par les troubles de f
e douleurs viscérales, le sujet, chez lequel les viscères sont il l' état normal insen- sibles. reporte, par erreur de lo
énérale ; enfin dans les hémorragies méningées, soit à la période d' état , soit à la période prodromique. Dans les affe
ments, troubles digestifs, vaso-moteurs, oculaires, abattement de l' état général, etc.), survient par accès cal'at'- tér
ur est possible : une lésion d'un organe quel- conque peut créer un état neurasthénique. C'est alors à Panamnese et aux
s qui le composent (cénesthésie). La sensibilité organique qui, a l' état normal, ne donne que des sensa- tions rudimenta
donne que des sensa- tions rudimentaires, subconscientes, peut à l' état pathologique s'exalter, disparaître ou se perve
quelques jours ou en quelques se- maines, tantôt elles passent à l' état chronique, durent des mois et des rnées. Les ré
e névrite. Il faut prendre en considération, élans le pronostic., l' état du réflexe achillécn : son abolition dénote souve
acun des réflexes précédents, comment se manifestait le réflexe à l' état normal. Nous allons étudier maintenant les trou
soit en provoquant une ischémie radiculaire ou médullaire. Enfin, l' état des réflexes peut être le même dans les hémorragi
nce. Il semble que ce symptôme soit en rapport avec la gravité de l' état général et avec l'intensité des troubles cérébr
ur la pneumonie infantile. Dans le choléra, M. Galliard a examiné l' état des réflexes rotuliens. Dans les formes algides
y a signe de Babinski, le malade peut arriver alors il un véritable état de rétraction des membres inférieurs et il rest
rétraction des membres inférieurs et il reste confiné au lit dans cet état , mais cependant, dans la grande majorité des ca
existe pas de concordance entre la forme de la lièvre typhoïde et l' état des réflexes. L'exagération se rencontre cepend
hnine, elle peut s'observer au cours des toxi-infections, tel est l' état des réflexes dans la rage et dans le tétanos; e
de la plante des pieds provoque, comme cela a lieu d'habitude il l' état normal, une flexion de la cuisse sur le bassin.
ais, chez beaucoup de sujets, le réflexe rait totalement défaut à l' état normal et il y a immobilité des réflexes. A l'é
phénomène. 1 Chez les enfants, le phénomène des orteils existe à l' état normal ; '. Paraplégie spasmodique. Fig. 9. P
e même au niveau de l'épigastre pour le réflexe épigastrique. A l' état normal, suivant que le sujet est plus ou moins ob
es, la bouche devant être légèrement entrmn- verte sans effort. A l' état normal il ne se produit aucune réaction, mais à
effort. A l'état normal il ne se produit aucune réaction, mais à l' état pathologique les deux lèvres se rapprochent et se
névrites périphériques, les compressions radiculaires, le tabès. L' état des réflexes cutanés a été recherché chez les dia
n très singulière : tantôt il se remue dans son lit comme pris d'un état d'énervement, tantôt son agitation se tra- duit
reuses. Le pincement prolongé, nous l'avons dit, les plonge dans un état d'excitation très singulier, mais, quelle que s
Dans les hémiplégies récentes, ils sont généralement imputables à l' état subcomateux ; dans les hémiplégies anciennes, c
onsciemment les urines et les matières fécales. Le plus souvent cet état s'accompagne d une diminution plus ou moins pro
rs bien réellement affaire à une véritable hémiplégie. Il existe un état singulier d'impotence motrice des membres qui n'e
ite, aussi inat- tendue, mais il y a de nombreuses exceptions. lj état apoplectique, quand il est bien prononcé, indique
t et même l'hémorragie méningée ne déterminent pas ordinairement un état aussi comateux que l'hémorragie cérébrale; c'es
bre qui s'établit entre les groupes des extenseurs de la cuisse, en état d'insuffisance active, et celle des muscles fléch
passifs, l'étude de la force musculaire permet- tront d'apprécier l' état de flaccidité ou de contracture. On recherchera
u les points douloureux apophysaires. On explorera minutieusement l' état des réflexes tendineux et cutanés. , Le malad
al par un examen général du sujet (troubles des membres supérieurs, état des yeux, signe d'Argyll, .psychisme). La ponct
us avons déjà parlé, ainsi que divers troubles trophiques. cyanose, état ichthyosique de la peau,adipose, escarres du ta
ceide. Le tonus, la motilité, les réflexes tendineux sont abolis. L' état des réflexes cutanés est variable; ils sont en gé
s il la fois l'ataxie, la paralysie et l'atrophie musculaire. Les états vertigineux ne peuvent guère prêter il confusion
ableau clinique des plus nets. Les membres inférieurs présentent un état spastinuc léger le plus souvent, parfois même l
l'inverse. La marche est lente : il faut des mois pour atteindre l' état définitif. À ce moment, la contracture est des
n- sitits, sphinctériens ou électriques, ni accidents trophiques. L' état des réflexes est parallèle à l'état des muscles
ues, ni accidents trophiques. L'état des réflexes est parallèle à l' état des muscles, il n'existe pas de secousses libri
nté de- meure excellente dans leur intervalle. Pendant la période d' état , le coeur est dilaté; le malade ruisselant de s
s'aperçoit de son accès; dans d'autres cas, quand il se produit à l' état de veille, on peut noter quelques symptômes pro
embres, fourmillements, pico- tements. Quand le malade est pris à l' état de veille, le début ne se fait pas brusquement
chez les singes inférieurs. Chez l'homme ce muscle n'existe qu'à l' état de vestige et il n'est fixe au calcanéum que pa
n de ces différents orifices. De plus, ces muscles tradui- sent les états du moi intérieur, président au jeu de la physiono
PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÊTE. 585 sourcils se voit aussi dans des états psychologiques comme la surprise, l'admiration,
iale. Physiologie. Le buccinateur a une action différente suivant l' état de plénitude ou de vacuité de la cavité buccale
sie musculaire, enfin l'examen du malade permettra de reconnaître l' état moulai si spécial du pithiatisme. Ces paralysie
tent pendant l'expiration, contrairement il ce que l'on observe à l' état normal. La dyspnée peu accentuée durant le repo
sera basé, comme dans toutes les paraly- sies périphériques, sur l' état des réactions électriques. La paralysie [G GCIL
t plié, ce qui rapproche les points d'insertion de ces muscles. A l' état normal toutefois cette résis- tance antagoniste
cancer. Le traitement consistera le plus souvent en suggestion il l' état de veille : elle réussira souvent sur ceux qui
uvent juste, mais peut-être pourrait-on lui reprocher de faire trop état des expériences sur les animaux et de ne pas tc
nopathies, les tumeurs cervicales ou médiastines. A la période d' état les deux cordes sont immobiles, en position cada-
omure, le chloral, la morphine, etc., et le traitement général de l' état névropathique. IV. NÉVROSES DU LARYNX Nous pa
stérie ou la chorée. Mais le plus souvent, il s'agit d'un véritable état névrosiquc spécial, qui a reçu les noms très dive
muscle sain, c'est surtout l'invaria- bilité de la consistance à l' état de repos et à l'état de contraction qui acquier
urtout l'invaria- bilité de la consistance à l'état de repos et à l' état de contraction qui acquiert de l'importance.
même et que les mêmes muscles de l'un et de l'autre côté soient à l' état de contraction ou de relâchement identique; il
de. volume et de consistance des muscles, quand ils passent de I l' état de repos à l'état de contraction, est un signe d'
consistance des muscles, quand ils passent de I l'état de repos à l' état de contraction, est un signe d'atrophie bien plus
en entier au milieu de faisceaux atrophiés et former à l'oeil, à l' état de repos ou surtout pendant la contraction, des
alors que les muscles correspondants paraissaient encore en parfait état . Marinesco (3) a confirmé ces constatations, mais
nce qui sépare les deux épines iliaques antéro-supérieures ; or à l' état normal la différence entre ces deux distances n
ale » ; en 1868 (') il renonça lui-même à attribuer la maladie à un état morbide de l'encéphale, « parce que dans un certa
musculaire, le thorax et le bras d'autre part, réduits presque à l' état squelettique. Les muscles respirateurs restent
MUSCULAIRES. même régresserait-elle plutôt légèrement (P. Marie). L' état général reste excellent et les malades peuvent
rcot et Pierret, Schaffer, Raymond et Philippe (au, Collins (4)]. L' état de la méninge au niveau du passage des racines
une période d'augment qui peut être rapide ou lente, une période d' état et une période de décroissance. 1. Lésions trau
progressivement envahissante de l'atro- phie, comme d'autre part l' état actuel de nos connaissances ne nous permet pas
c un muscle normal s'accuse plus encore, à l'oeil et à la main, à l' état de contraction; quand le muscle se contracte, on
le muscle altéré avec le muscle symétrique du côté opposé, soit à l' état de repos, soit à l'etat de contraction. DIAGN
e de toute modification de volume et de consistance au passage de l' état de repos à l'état de contraction, puissance con
ation de volume et de consistance au passage de l'état de repos à l' état de contraction, puissance contractile active et r
ombrables obstacles que la circulation sanguine peut rencontrer à l' état pathologique soit dans les gros ou les petits vai
par le fait que l'hypertrophie est pour chaque fibre musculaire un état transitoire, c'esi, la première phase de révolu
inuée. PHYSIOLOGIE NORMALE ET PATHOLOGIQUE DE LA COORDINATION A l' état normal, tout mouvement est dù à la contraction si
ibre, soit dans les voies centripètes ou centrifuges du cervelet. L' état actuel de nos connaissances indique : d'une par
mps à la musculature de plu- sieurs segments de ses membres qui à l' état normal devraient se mouvoir synergiquement, not
telle ou telle contraction musculaire; naturellement moindre qu'à l' état normal pour une même contraction, puisque d'une
suivants : Marcher lentement en avant, d'abord à volonté suivant l' état du malade, puis en corrigeant successivement :
n faible genu recurvatum fait mieux reposer en ligne droite qu'il l' état normal les condyles articulaires du fémur sur l
de l'appareil de susten- tation et troubles oculo-moteurs réflexes, état nauséeux et anxieux, phénomènes auditifs passag
t de l'affection étudiée, le syndrome mor- bide est, à la période d' état , vraiment typique. Hémiplégiques doubles, mais
e thorax étant en apnée. On a beaucoup discuté pour savoir à quel état mental correspon- daient ces larmes ou ce rire
d'autre part l'influence dès attitudes- exprimant une passion sur 1 état mental de celui qui subit passivement ou même
après une amélioration très prononcée suivie d'une longue période d' état stationnaire, la maladie peut reprendre, une marc
tication, aussi a-t-on pu dire que tout hémiplé- gique présente à l' état d'ébauche le syndrome pseudo-bulbaire. Ce syn-
me de la main ou sur les doigts fermés et chaque membre est dans un état de raideur telle qu'en cherchant à le soulever
ent. Nous avons vu que les convulsions peuvent guérir et passer à l' état chronique. Elles peuvent aussi amener la mort p
t alcoolisme des parents. A ce point de vue on a même pu invoquer l' état d'ivresse chez un des parents pondant la concep
onvulsions pourront, il est vrai, marquer tout à fait le début de l' état infectieux et le diagnostic être moins aisé. On
tions du système nerveux. On est en présence d'un malade qui a un état infectieux grave, de la fièvre, des convulsions
pellera auprès d'un paralytique général qui vient de compliquer son état déjà si grave par des convulsions partielles ou g
le malade, l'entourage nous dira que depuis quel- ques mois déjà l' état intellectuel du malade avait baissé, qu'il y avai
au moment de l'ictus apoplectique auxquelles succé- dera bientôt un état comateux avec hémiplégie ou paralysie des quatre
frapper un alcoolique et il sera difficile de différencier les deux états ; peu importe. Mais voici des cas où il faudra f
l faudra rechercher alors avec soin s'il n'existe pas, au moins à l' état d'ébauche, un des signes suivants : céphalée et d
. L'accès épileptique peut, apparaître soudainement, au milieu d'un état de santé tout à fait satis- faisant en apparenc
, variable, tous les jours, plusieurs fois par jour. On a décrit un état de mal ? s/en'<7Me. Ce qu'il importe de savo
exagération fréquente des réflexes tendineux avec clonus du pied, l' état de la pupille qui est dilatée et immobile à la
ué avec M. Pitres : sur 1000 sujets il a observé, en dehors de tout état pathologique, un trem- blement dans 40 pour 100
physiologique et pense que tout le monde tremble plus ou moins il l' état physiologique. Ce sont du reste également, les
t régulier, à rythme pendulaire, et qu'il puisse se produire dans l' état de relâche- ment des muscles du malade. Il doit
s sujets nerveux sous certaines influences et en particulier dans l' état de raideur des membres inférieurs; dans ces cas
sion des mouvements volontaires; dans d'autres cas, il persiste à l' état de repos. , - ' - Enfin- le même sujet peut pré
ie générale. Ce tremblement ne s'efface que pendant le sommeil, à l' état de veille, il persiste tout le temps, mais cepe
'est la recherche des autres symptômes de la sclérose en plaques, l' état des- réflexes tendineux, le phénomène des orteils
, dans certains cas, l'exagération des mouvements peut entraîner un état nerveux spécial qui se révèle par l'insomnie et q
écial qui se révèle par l'insomnie et qui peut être le prélude de l' état du mal choréique. L'excitabilité mécanique et é
(hallucinations) qui peuvent devenir nombreuses, être, suivies d'un état maniaque et constituer alors. un délire hallucina
r alors. un délire hallucinatoire aigu souvent caractéristique de l' état de mal : ces troubles psychiques sont peut-être
on apparente, elle annonce alors ' CcaovzoN. 852 - CHORÉES. ' l' état de mal choréique; dans certains cas, l'apparition
terminent par le syndrome auquel nous avons déjà fait allusion : l' état de mal choréique qui s'annonce par des agitatio
dée et coordonne vers un but par la répé- tition : il est passé à l' état d'habitude, se reproduit involontairement, en s
nent prédominants, l'affection est alors constituée. A la période d' état , les troubles moteurs ont les caractères que nous
t on en con- naît deux variétés principales. C'est tout d'abord l' état de. mal choréique qui est semblable à un délire
i se présente sous là forme d'un délire halluci- natoire aigu, d'un état maniaque ou de convulsions et d'incohérence dans
a forme de la mélancolie anxieuse ou d'une excitation maniaque. L' état général dans la chorée de Sydenham vulgaire est p
ans quelques cas, elle est alors le plus souvent symptomatique d'un état de mal ou d'une complication, mais quelquefois
la chorée est caractérisée, comme nous l'avons déjà indiqué, par l' état de mal, par l'élévation dé la température, par
semaines à deux mois, au bout de ce temps le petit malade sort de l' état que nous venons de décrire; la guérison est la
ve que dans 2 à 2 12 pour 100 des cas. et elle se produit alors par état de mal ou épuisement nerveux, comme dans le cas
s à deux grossesses successives et quelquefois elle a pu passer à l' état chronique. Elle s'observe surtout chez les prim
t, c'est clmrca lactantiurn : quelquefois la mort peut survenir par état de mal choréique comme dans le cas c.lc l3echtore
de, décrire sous le nom collectif de myoclonies un certain nombre d' états pathologiques que l'on considérait autrefois co
eil. Il n'existe aucun trouble des réflexes ni de la sensibilité, l' état mental est indemne. Enfin, l'affection, en généra
ons de signaler. Les myokymies ne provo- quent aucun trouble dans l' état général, elles surviennent chez les dégé- nérés
tl'11St·lllllll aux membres, la contracture se fait en flexion. L' état spasmodique plus encore que les mouvements rend d
uemment répété et fonctionnellement systématisé, conditionné par un état mental spécial : c'est un trouble psycho-moteur
ractères du mouvement qui constitue le tic et les particularités de l' état mental du tiqueur. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES
gulé ; mais ce qui domine précisément, comme nous le dirons, dans l' état mental du liqueur, c'est l'insuffisance de la vol
aison d'être. Les tics apparaissent d'autant, moins lentement que l' état mental est plus atteint, que le déséquilibre ps
complexe. D'autre part, de nouveaux tics apparaissent, parce que l' état mental du sujet le prédispose aux tics, la répéti
le diagnostic. La maladie ne va pas sans une atteinte profonde de l' état mental, et aux mouvements désordonnés se joigne
t plus fréquente que le tic est plus simple et plus récent et que l' état mental est moins altéré ou plus susceptible de
cation psychique sont le meilleur préservatif d'une récidive. II. L' état mental du tiqueur. A) Ses caractères. - L'état
'une récidive. II. L'état mental du tiqueur. A) Ses caractères. - L' état mental du tiqueur est celui des dégénérés, pris
toujours fugace. « papillonnante », éphémère, indice d'un perpétuel état d'instabilité mentale (.\'Ieige).' L'insuffis
eut prendre un caractère obsédant. Chez beaucoup de tiqueurs dont l' état mental est plus altéré, surtout au début des vésa
ins de l'observateur ; celui- ci retire brusquement ses mains : à l' état normal, les bras tombent immédiatement,' par un
S. Meige et Feindel ont appelé l'attention sur la ressemblance et l' état mental des tiqueurs avec celui des enfants : lé
avons insisté, dans l'analyse tant des réactions motrices que de l' état mental du liqueur, sur les nombreuses analogies d
ritlunomanie. ODûlat0111- ]lie, etc ^r^ B) Ses conséquences sur l' état physique. Le déséquilibre des IÏI(.(11- tés cér
opposé des auteurs précédents, Pitres et Crnchet pensent que. si un état mental prédisposant est nécessaire dans la produc
s rythmies de Cruchet, c'est le type de la rythmie essentielle il l' état de veille. En dehors du tic de Salaam ou spasme
la compression du facial (.Jof1roy) ; ils coexistent souvent avec un état 1. Orno. Presse médicale, 50 septembre 1899.
TATONIE par le D MOUTIER La catalepsie, et la catatonie sont deux états extrêmement voisins, dis- tincts cependant si l
comateux, inconscient ou semi-conscient. 11 présente, en ce cas, un état psychique particulier, une passivité sans laque
ute sensihilité d'ailleurs est abolie. La catalepsie n'est pas un état spastique. Les muscles conservent l'attitude im
server les attitudes données, elle se différencie immédiatement des états . de contracture ou de paralysie dans lesquels les
ne position immuable. - Catatonie. Nous entendrons par catatonie un état caractérisé par l'intégrité de la contractilité
attitudes catatoniques simples se voient en revanche dans nombre d' états de démence ou de déficit banaux : on les rencontr
égal de tout autre groupe musculaire. Ajoutons que presque tous les états catatoniques s'accompagnent de dermalogra- phis
ense. HYPOTONIE par le Dr CROUZON L'hypotonie musculaire est un état spécial de flaccidité des muscles, (lui permet
y-skin (ou glanz-haut) consiste en un amincissement de la peau avec état lisse, aspect de vernis luisant. Ce trouble appar
nsécutivement aux sections nerveuses, s'observe très fréquemment un état ichtyosique du tégument. La peau est sèche, mince
moins dans les cas typiques, pu bien si l'on veut, à la période d' état . Une moitié de la face, en effet, est réduite,
i- culation est alors littéralement effon- Orée. A la période d' état , au-dessous d'un tégument normal ou ne présen-
l'inhibition des noyaux pneumogastriques qui permet d'expliquer cet état stationnaire du pouls. La fièvre s'accompagne d
aladies organiques du système nerveux, la fièvre peut être due à un état inflammatoire : le type de cette fièvre est la fi
nilatérale. La fièvre l'ait partie du cortège symptomatique. dans l' état de mal cho- réique ou dans une complication ass
es accès se succèdent coup sur coup, il y a constitution alors de l' état de mal opileptique, et un des signes capitaux d
lors de l'état de mal opileptique, et un des signes capitaux de cet état est l'élévation de la température; cette températ
qu'il la mort et monte même encore après la terminaison fatale. Cet état de mal épiloptique, même quand il se rencontre da
que toujours qu'il s'agit d'une urémie associée il une grippe, à un état infectieux, à une lésion cérébrale (Giraudeau, Cr
chycardies de la fièvre typhoïde ou du rhumatisme. On sait qu a l' état normal, le coeur est innervé par le sympathique
e affection de cet organe laisser à sa place, après sa guérison, un état dou- loureux qui constitue alors à lui seul tou
températures élevées ou abaissées ; mais presque constamment par l' état de [réplétion de la vessie; Une retenue prolong
la vessie ne se vidant pas : aussi faut-il toujours s'assurer de l' état d'évacuation de la vessie. On observe dans la s
ndispensable de s'assurer, par les moyens indiqués ci-dessous, de l' état de réplélion de la vessie : la constatation pré
la vessie, dont l'innervation est depuis plus ou moins longtemps en état de déchéance, cède, plus facilement et se laisse
rticle rétention pour plusieurs affections dans lesquelles les deux états de rétention et d'incontinence se succèdent sou
irement limpides au début, mais il est rare qu'elles restent en cet état , car l'infection se produit très rapidement. Tr
douleurs, purulence des urines : mais ceux-ci sont influencés par l' état du muscle vésical, lmrésié ou excité. Si l'infe
l. Dans les urétéro-pyc- lites chroniques, on s'adressera aussi à l' état général : régime lacto- végétarien avec quelque
observé une continence prolongée et dont les vésicules seraient en état de réplétion. 11 est rare qu'il s'agisse de spe
s actionnent une sonnerie électrique. Ellfin on agira surtout sur l' état mental du sujet, en lui démontrant la bénignité
chiques, l'éjaculation peut être arrêtée : celle-ci se produit, à l' état normal, parce que le sperme, emprisonné et comp
ez les épileptiques ou traduisent des troubles de la sensibilité. L' état de la muqueuse varie enfin selon la santé de l'
ée. Chez le mélancolique, la langue est extrêmement chargée, et cet état est d'autant plus accusé que la dépression est
ralysie faciale otitique, des maladies du l'oie ou de l'estomac, un état fébrile. Troubles de la motilité linguale. Parm
c en est facile; le spasme est peu intense, ne s'accompagne d'aucun état général inquié- tant. Il précède le rejet pério
SUPÉRIEURES. 987 î intermittences. Il est sous le coup direct de l' état mental du malade. Ce spasme psychopathique ne r
ts de déglutition; il souffre. » jllehovu et lüémoncl). De plus, un état nauséeux extrêmement pénible avec désir d'exonéra
ssement simple; il se fait. facilement, sans efforts, soudain, sans état nauséeux. Ce vomissement en fusée peut être ali
qui vomissent sans cesse, obéissant à une foule d'idées étranges. L' état nauséeux est continu; et l'on peut voir se réal
enant à restreindre chaque jour de plus en plus l'alimentation. Cet état diffère de l'anorexie proprement dite en ce que t
mi un jour, deux jours ; bientôt aucun aliment ne sera toléré; et l' état vicieux sera constitué. Les vomissements de la
iverse probablement; mais il importe de l'aire un examen serré de l' état névropathique ; car si parmi ces vomissements b
ssement avec torpeur et tendance au collapsus, puis par l'excellent état de la santé entre les crises. A ces vomissement
ise survient soudain, brutalement; parfois depuis quelques jours un état nauséeux se marquait, associé ou non à de la tens
cyanose et les sueurs froides complètent l'aspect cboteriforme. Cet état peut aller jW.;(IU'¡'1 la syncope ou au coma mort
ccès peut durer une ou plusieurs heures; quel- quefois un véritable état de mal embrasse plusieurs journées. Les crises'
ation d'accès où la simulation involontaire joue un grand rôle. Ces états pithiatiques se distinguent facilement des cris
l'estomac avec putréfaction ; les vomissements sont très tardifs. L' état général est alarmant; la mort pcut survenir, le
ns la région du plexus solaire. Troubles centraux attribués à des états gastriques. Nous avons 'déjà signalé les rappor
avec constipation rebelle. Troubles de le défécation révélant un état mental. Le diagnostic est simple dans tous ces
oubli des usages sociaux devient complet, et démence ou délire, son état fait négliger à l'aliéné le réglage volontaire
ntinence lui succède quand les racines s'atrophient. Ces différents états dépendent et de l'anesthésie du rectum et des t
ières amincies et rubanées sous l'influence du spasme intestinal. L' état général est parfois effrayant : des vomissements
git encore du même syndrome, ballon- nement plus ou moins localisé, état général plus ou moins grave, douleur au point d
et s'enchaînent, il convient de rappeler la haute impor- tance de l' état des voies digestives dans les états morbides de l
peler la haute impor- tance de l'état des voies digestives dans les états morbides de l'esprit. La constipation suffit en
nts divers; ces traitements seront en effet bien différents selon l' état mental. Dans tout traitement, il existe, en eff
n existe une) et nous ne nous y attarderons pas ici, le symptôme, l' état névropathique. Or, ce qu'il faut bien savoir, c'e
par regorgement. Le gâtisme peut également se rencontrer dans des états plus ou moins voisins dn coma, dans certains so
ropreté, ignorance et oubli. Mais le gâtisme appartient surtout aux états vésaniques. Il est souvent involontaire, mais par
e nouveau l'attention sur ce point, ce n'est pas seulement dans les états de démence que l'on voit s'installer le gâtisme ;
t celte seatophagie n'est pas exceptionnelle dans un grand nombre d' états , dans la paralysie géné- rale par exemple. Enfi
poignet, les petits os étant pourtant parfois plus gonflés qu'il l' état normal (Guersant). La « notaire » du poignet est
, en rave ou « en radis ». Tardivement la dactylite peut passer à l' état chronique et déterminer toutes les déformations
a longue ils prennent un aspect flétri, rétracté, comme chagriné. L' état parcheminé peut survenir d'emblée, sans phlyctè
extrémités. Les petits os du pied sont souvent plus gonflés qu'à l' état normal. L'arthropathie nerveuse, presque exclus
tion des orteils sont aussi abolis, mais ils sont très minimes il l' état normal en dehors de l'abduction du pouce. Les e
cas fort rare de l'observer ? INFANTILISME L'infantilisme est un état morbide remarquable par l'absence des caractère
obésité n'est point fatale; elle est fonction à un certain point de l' état du castrat, et celui-ci peut être fort maigre s
t tardif, l'individu subit une régression véritable, et retourne en l' état du nourrisson. La forme générale est arrondie
ut examiner à. ce niveau, les anomalies de la forme et du volume, l' état des sutures et des fontanelles. Celles-ci peuvent
ntale étant en général diffi- ciles, voire disproportionnées avec l' état cérébral de l'immense majorité. Maladies nerveu
xcès sexuels, inversions sexuelles. Le tatouage lui-même traduit un état mental tout particulier chez celui qui subit volo
avec ses bosselures, sa tuméfaction avec conservation relative de l' état général pourra faire penser au foie syphilitique.
ienne de la première grosse molaire : cette lésion consiste dans un état atrophique, une sorte d'usure et de quasi- dest
et A. Brissaud), Widal, Lemierre et Boivin. Dans certains cas, cet état du liquide était dû à la syphilis des centres n
affections des centres nerveux suivant Sicard, Quincke, etc. A l' état normal, le liquide céphalo-rachidien contient une
diabète, la quantité de sucre était 3 ou 4 fois plus grande qu'à l' état normal. On a pu voir le glucose dans le liquide
de détermination de l'isotonicité du liquide céphalo-rachidien, à l' état normal; le liquide céphalo-rachidien a un degré
le liquide céphalo-rachidien et le sang. Perméabilité méningée. A l' état normal, la méninge rachidienne [0. CROUZON.]
mais le chromogène. La perméabilité méningée n'existe donc pas à l' état normal, elle exis- tera au cours de certaines m
lloïdine et à le couper. Résultats généraux du cyto-diagnostic. A l' état normal le liquide céphalo-rachidien ne renferme
nq lymphocytes (petits mononucléaires) par champ de microscope. A l' état pathologique, on pourra rencontrer des globules
umine dans le liquide céphalo-rachidien se fait par ébullition. A l' état normal t'ébuiii- tion provoque une légère opale
re cérébral. La contusion peut donc, comme la fracture, provoquer l' état hémorragique du liquide céphalo-rachidien. C'est
e de létal comateux. Trocmé (Thès ! ' de Paris, 1 ! IOD) a résumé l' état de la question. Ponction lombaire dans les névr
gue continuelle (Quincke, Loepel') ; plus tard, ils tombent dans un état d'hébétude complet troublé seulement par quelqu
s fontanelles bombent et battent. La fièvre est minime ou fugace, l' état général médiocre; l'enfant maigrit, s'affaiblit
lques cris, mais, le plus souvent, il ne tarde pas à tomber dans un état de somnolence continuelle. Il peut avoir des conv
xtrême lenteur de la marche, son irrégularité, la conservation de l' état général sont, par contre, des indices nullement
té extrême du diagnostic étiologique tient à ce que rien, ni dans l' état local, ni dans l'état général n'autorise à suspec
ic étiologique tient à ce que rien, ni dans l'état local, ni dans l' état général n'autorise à suspecter la tuber- culose
rémités permet d'éliminer l'empoi- sonnement par les champignons. L' état des pupilles qui sont intactes, inégales ou par
mnolente = tuberculose. Pour le croire, il faudrait ignorer que cet état peut être réalisé par des épendymites banales, et
e osseux est caractérisé dans le myxoedème par la persislarzee de l' état cartilagineux des épiphyses et des cartilages d
e quel- ques semaines après le début du traitement la malade fut en état de se tenir debout et de faire quelques pas; ce
ontra des veines et des artères papillaires revenues à peu près à l' état normal. Il n'obtint toutefois qu'un résultat pa
ur ce genre d'appa- reils ; on peut les maintenir facilement en bon état et en attendre un bon fonctionnement. ' 11 es
galvanique continu peut lui convenir; il met en jeu les effets de l' état permanent du courant. Nous appellerons galvanis
, on recherche généralement l'action du courant galvanique dans son état permanent. Faisant partir l'intensité de zéro,
plications du courant galvanique, dans la recherche des effets de l' état variable du courant pour l'électro-diagnostic,
est évitée. Action DES courants galvaniques continus. Effets DE l' état permanent DU courant. Le courant galvanique pas
s nerfs moteurs et sur les muscles, le courant galvanique, dans son état permanent, ne parait guère produire directement d
Avec de forts courants, cependant, on peut voir les muscles mis en état de contraction soutenue plus ou moins prononcée ;
ependant, qu'ils sont produits plus facilement lorsqu'on arrive à l' état permanent du courant en élevant rapidement son
a conductibilité de J'influx nerveux et dans des modifications de l' état électrique des nerfs; on les observe facilement
paraissent davan- tage excités par le courant galvanique dans son état per- manent. En effet, le courant, pendant so
ensité n'est que la moitié de ce qu'elle est à la cathode (-). ). ÉTATS DU COURANT GALVANIQUE 1 : 115 passant d'une man
nt, la peau est anémiée et présente une coloration blanchâtre ; cet état est d'ailleurs de courte durée, bientôt les vai
laire des éléments de l'organisme, etc. COURANT GALVANIQUE DANS SES ÉTATS VARIABLES (Excitations de fermeture et d'ouvert
laissant passer d'une manière continue, développant les effets de l' état permanent dont il vient d'être parlé, on peut l
ons et a des rétablissements brusques développant les effets de ses états variables. Supposons que par l'un des procédés
résistance opposée par le corps. Le courant passe par la période d' état variable de fermeture. Si [E HUENT ] z1214 AP
ensité retombe presque immédiatement à zéro, c'est la période d' état variable d'ouver- ture. Nous pouvons représen
sser ainsi par le corps. N. Le courant galvanique, au moment de ses états variables, a la ]>ro-i prieté d'exciter les
excité. L'excitation n'est pas tont il fait la même au moment de l' état variable de fermeture et au moment de l'état va
la même au moment de l'état variable de fermeture et au moment de l' état variable d'ouverture. Elle est aussi en rapport
étés du courait galvanique dans ses étals variables... effets des états V : 11tL11tLES de fermeture et d'ouverture sur le
bles ; c'est Fig. 18. - Schéma de l'onde galvanique AF, période d' état variable de fermeture; 1<'0, période d'état pe
anique AF, période d'état variable de fermeture; 1<'0, période d' état penna- lIellt; OB, période d'état variable d'ou
de fermeture; 1<'0, période d'état penna- lIellt; OB, période d' état variable d'ouverture. ÉTATS VARIABLES DU COURAN
de d'état penna- lIellt; OB, période d'état variable d'ouverture. ÉTATS VARIABLES DU COURANT GALVANIQUE. 1215 Y élect
la fermeture du courant, pendant la durée de passage du courant en état permanent, puis au moment de l'ouverture. Sur
roduire toutes. nous citerons les quelques exemples suivants : .. ÉTATS . VARIABLES DU COURANT GALVANIQUE. 1217 POC >
nférieur à PFC. Applications A l'électao-diagnostic des effets DE l' état variable ' du courait galvanique Pour procéde
tion des fils conducteurs. Le pôle négatif étant celui qui dans l' état normal produit le plus faci- lement l'excitatio
HÉRAPEUTIQUE. 1227 Applications A la thérapeutique des actions de l' état 'A11(ABf.I : DU COUTANT galvanique Pour appli
our appliquer au traitement des maladies nerveuses les actions de l' état variable du courant galvanique, on se servira des
ations continuelles, des effets se rapprochant des excitations de l' état variable du courant et dus aux fluctuations de
on inverse de celle du cou- rant qui lui donne naissance. Pendant l' état permanent du courant pri- maire, il n'existe au
scle après qu'il a terminé sa décontraction et qu'il est revenu à l' état de repos, les mêmes phénomènes se reproduisent :
on latente, entre de nouveau en contraction avant d'être revenu à l' état de repos; il recommence une période d'énergie c
l'onde induite de ferme- ture F' A' de sens inverse : A 0 période d' état permanent du courant primaire pendant laquelle
laquelle il n'y a pas d'induction dans le. secondaire; 0 B période d' état variable d'ouver- ture du courant primaire a la
ces excitations successivement répétées, le muscle n'atteint pas l' état de repos, il reste en état de tétanos incomplet.
ment répétées, le muscle n'atteint pas l'état de repos, il reste en état de tétanos incomplet. Si la fréquence des ondes
action, ses se- cousses se fusionnent complètement et il est en état de tétanos complet. Au point de vue de la p
citabilité propre que les divers nerfs et muscles présentent dans l' état normal pour les courants faradiques comme pour
on suspend le passage du courant de façon à laisser les muscles à l' état de repos un temps sensiblement égal ou même plu
accompagnant l'excitation des muscles peuvent gêner pour estimer l' état de la sensibilité cutanée. Aussi est-il préféra
l'intensité que l'on se propose de faire agir dans son passage à l' état continu; on règle ensuite le courant faradique
rement les deux courants. A l'action du courant galvanique dans son état continu, effets ioniques et électrotoniques, se
ne à gros fil, DE L'EXCITABILITÉ FARADIQUE ET GALVANIQUE DANS LES ÉTATS PATHOLOGIQUES . Dans les affections du systèm
té est plus grande, ou au contraire elle est plus faible que dans l' état normal. ; Augmentation simple DE l'excitabilité
e l'excitation apparaît avec des cou- rants plus faibles que dans l' état normal. En fait, il n'est pas toujours facile d
tre avec des courants dont l'inten- sité est plus faible que dans l' état normal. De même que pour l'excitabi- lité farad
le ; PFC et POC apparaissent également beaucoup plus tôt que dans l' état normal; de plus les contractions deviennent fac
F et même à PO; la présence de POTe, qui ne se rencontre pas dans l' état normal, est intéressante à constater dans ces cas
facilement, mais encore que NOC, assez rarement constatable dans l' état normal, devient souvent très mani- feste. R. Ge
l'excitation n'apparaît qu'avec des courants plus forts que dans l' état normal. Lorsque l'hypo-excitabilité est peu pro-
corps que l'on examine une position telle que ces muscles soient en état de relâchement; il tau u aussi veiller à ce que
aussi veiller à ce que les patients ne tiennent pas ces muscles en état de contraction volontaire. Pour exciter des mus
, en effet, des courants plus forts que pour exciter des muscles en état de repos; et en omettant les précautions que no
quelle nous aurons à distinguer une période de début, une période d' état et une période de déclin. Laissant de côté po
rons plus loin, nous nous occuperons dès maintenant de la période d' état . Les altérations des réactions électriques qui ca
itation. La contraction, au lieu d'être vive et rapide comme dans l' état normal, devient lente et traînante ; elle met un
'). Cette lenteur de la contraction, très prononcée ;t la période d' état de la DU dans les processus aigus, est à elle seu
ion longitudinale produite de cette façon est plus forte que dans l' état normal, et que souvent elle prédomine sur l'excit
le et qui se rencontre assez souvent sur certains muscles, même à l' état normal. On observe surtout cette inversion (PFC &
lement plus forte que l'excitation de l'anode, NFC>PFC('). Cet état de la réaction longitudinale n'est pas seulement,
liniques. Période initiale de la DR. Avant d'aboutir à la période d' état , dont nous venons d'exposer les principales man
cles. On peut alors considérer la DR comme entrée dans sa période d' état ; c'est généralement dans le cours de la deuxième
paraître ainsi tardive- ment dans la paralysie faciale. Période d' état de la DR. Par période d'état de la DR nous enten-
t dans la paralysie faciale. Période d'état de la DR. Par période d' état de la DR nous enten- dons le temps pendant lequ
ir même s'étendre sur plusieurs années. Ainsi comprise la période d' état de la DR pourrait se subdiviser elle-même en troi
DU restant encore bien nettes; cette dernière partie de la période d' état de la DR est assez longue et se prolonge souven
ouvent de nombreux mois. Période terminale de la DR. A la période d' état de la DR succède 1. A cette période de la DU on
ses d'ouverture. Celles-ci sont obtenues plus facilement que dans l' état normal, non seulement il PO, mais encore à \\1
ncore à \\1 : on peut voir même, contrairement à ce qui existe dans l' état normal. N0C>POC. Cette inversion des contrac
édomine sur NFC elle lui devient égale puis inférieure comme dans l' état normal. En même temps que l'excitabilité galvan
'excitabilité longitu- dinale se modifie aussi et se rapproche de l' état normal, elle perd sa prédominance, et les contr
u excitables pour que la DR n'y soit pas constatable à la période d' état ; mais, sur d'autres, le processus étant moins
iques, on peut trouver sur certains muscles de la DR à sa période d' état et,sur d'autres muscles de la- DR à une période
le courant excitateur, le muscle ne revient pas immédiate- ment à l' état de repos, il ne se décontracté que lentement, et
es courants à intermittences semi-fré- quentes ne provoquant dans l' état normal qu'un tétanos incomplet. Dans le cas de
tonique avec tétanisation plus complète qu'elle ne le serait dans l' état normal, puis le spasme rnyoto- nique se résout
lus ou moins fusionnées prennent l'étendue qu'elles auraient dans l' état normal. On observe encore un effet sem- blable
vec des courants il intermittences assez peu fréquentes qui, dans l' état normal, provoquent des secousses musculaires rapp
s et séparées les unes des autres comme elles l'auraient été dans l' état normal dès le début de l'excitation. L'excitabi
ns durables; suivant l'intensité de l'excitation et aussi suivant l' état des muscles, elles restent localisées aux faisc
actions tétaniques que l'on observe parfois, en dehors même de tout état pathologique, avec des excitations faradiques f
pendant leur durée le muscle est très dur, comme contracture et en état de crampe véritable; les courants avec intermit
scle se contracte, mais le tétanos ne se maintient pas comme dans l' état normal, il va en s'affaiblissant pendant la durée
phère de distribution du nerf; elle est plus marquée, au moment des états variables du courant, à la fermeture et a l'ouv
e cependant de tenir compte, pour éta- blir cette comparaison, de l' état de la résistance électrique. Lorsque les troubl
s du corps ils ne peu- vent être estimés que par comparaison avec l' état de la sensibilité de per- sonnes bien portantes
araison; dans ces conditions encore il importe de tenir compte de l' état de la résistance électrique. ¡ Dans l'examen de
tion devient douloureuse. Il y a parfois intérêt à explorer ainsi l' état de la sensibilité dans certaines affections cér
ait perçue, même avec des courants faibles, à peu près comme dans l' état normal, mais à aucun moment cette sen- sation n
uvent des sensations colorées. C'est particulièrement au moment des états variables du courant ou à l'occasion de fluctuati
sensations gustatives se trouvent provoquées non seulement par les états variables de fermeture et d'ouverture, mais aussi
fermeture et d'ouverture, mais aussi par le passage du courant il l' état permanent. Du côté du pote positif on observe u
avec les fonc- tions d'équilibration. Réactions auditives. Dans l' état normal le courant faradique impres- sionne peu
ndus par une oreille normale, se trouvent perçus par une oreille en état d'hyperexcitabilité fonctionnelle. Le courant g
ctionnelle. Le courant galvanique donne difficilement aussi, dans l' état normal, NERF ACOUSTIQUE. VERTIGE VOLTAÏQUE. 127
ons et rétablissements du courant après chaque augmentation. Dans l' état normal, à un moment de l'examen ainsi poursuivi
ination de la tête, mais encore dans quel sens elle se fait. Dans l' état pathologique le vertige voltaïque peut être modif
acilement, ou au contraire il s'obtient plus difficilement que dans l' état normal. En qualité la sensation d'entraînement
1276 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. obtient des indications importantes sur l' état de l'appareil auditif. (') Ces indications sont
iffère notablement suivant que l'on consi- dère le courant dans son état continu ou dans ses étals variables. Il ne nous
00 et 1 250000 ohms. Un certain nombre de conditions influent sur l' état de la résistance électrique du corps ; nous n'e
contenu. On discute aussi sur les conditions qui entraînent dans l' état physiolo- gique des différences de résistance e
daire. Les conditions les plus importantes paraissent dépendre de l' état de kératinisation des cellules superficielles de
tions jouent d'ailleurs, aussi, un rôle impor- tant dans les divers états pathologiques. Méthodes d'évaluation de la rési
rs et des muscles, on a besoin de [«rendre une notion relative de l' état de la résistance et de déterminer très approximat
ors en clinique. Modifications de la résistance galvanique dans les états patholo- ; [E. HUET.] 1286 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC
vé des signes importants pour l'électrodiagnostic et on rechercha l' état de la résistance électrique dans un assez grand
cha l'état de la résistance électrique dans un assez grand nombre d' états pathologiques. Dans l'hystérie avec hémianesthé
s de la résistance électrique ont été signalées aussi dans d'autres états pathologiques. On a constaté son augmentation dan
tance resterait sensiblement normale (Silva et Pescarolo). Dans les états cachectiques, notamment la cachexie carcinomateus
nte du faisceau pyramidal prend un rôle important. Elle entraine un état spasmodique plus ou moins accusé, depuis la simpl
ns prolongé. Dans tous les cas il faut surveiller avec grand soin l' état des membres paralysés au point de vue de la spus-
onc lieu de surveiller attentivement les effets du traitement sur l' état spas- modique et de suspendre le traitement si
ire pour que la DR se développe avec ses caractères de la période d' état , l'examen devient très démonstratif et peut fix
'avec le bain électrode; et, suivant les indications fournies par l' état des mus- ('les on reporte, après avoir ramené l
laisse généralement passer quelques minutes encore le courant, à l' état continu, en relevant son intensité à la valeur
traitement par l'élec- trisation se trouve généralement indiqué. L' état des nerfs et des muscles qu'ils animent reconnu
se rendre compte, en même temps qu'on applique le traitement, de l' état de l'excitabilité galvanique des muscles. A cha
me plus. Les inten- sités doivent être faibles et en rapport avec l' état de l'excitabilité galva- nique ; dans la périod
tion du pli naso-labial, secousses spasmodiques dans les muscles en état de contrac- [lire., soit au repos, soit surtout
gué- rison ou d'amélioration; il peut aussi agir directement sur l' état des muscles incomplètement atrophiés en entrete
bles trophiques et sensitifs que pour les troubles neuro-moteurs; l' état de spasmodicité, lorsqu'il existait, aurait été
avec des courants d'une intensité moyenne de 5 à li m. A. Lorsque l' état de l'articulation le permet, on peut à la galva-
es variées : le froid, des traumalismes, des fatigues exagérées, un état diatbésiquc (rhumatisme, goutte, diabète), une
il l'autre les points d'application des électrodes. four ménager l' état de la peau, il convient d'ailleurs, après chaque
x jours et même J NÉVRALGIE SCIATIQUE. 1517 ï tous les jours si l' état de la peau le permet. L'ion salicylique est très
st le cas, par exemple, pour les névral- gies imputables au mauvais état des dents, à des sinusites ou il des otites, ou
Les unes ressemblent aux névralgies des autres nerfs; il existe un état d'endolorissement ou d'engourdissement continu da
E FACIALE. t : n1 1 pendant 20 à 50 minutes, parfois davantage si l' état de la peau le permet. Pour cesser l'électrisati
sible quand on fait intervenir de fortes intensités; pour ménager l' état de la peau on se voit obligé à ne répéter les séa
à 20 ou 50 mu. Cette électrisation est répétée tous les jours, si l' état de la peau le permet; au besoin on change un pe
Neurasthénie. Sous le nom de neurasthénie on comprend souvent des états variés et assez différents les uns des autres. Le
ouvent des états variés et assez différents les uns des autres. Les états de neu- rasthénie acquise, résultant de fatigue
d'intoxications ou d'auto-intoxications, seraient il distinger des états de la neurasthénie constitutionnelle et héréditai
et héréditaire dans lesquels on confond fréquemment d'ailleurs des états différents de névropathie et de psychopathie. N
Nous ne pouvons entrer ici dans une analyse détaillée de ces divers états , et nous devons nous contenter de donner quelqu
lques indications générales sur le traitement par l'électricité des états neurasthéniques et de quelques-unes de leurs mani
ables. L'amélioration est parfois assez rapide surtout du côté de l' état général et de quelques symptômes secondaires comm
plus souvent elle n'est pas complète, bien que dans son ensemble, l' état des malades puisse être redevenu très satisfais
lus généralement le corps thyroïde reste plus volumineux que dans 1 état normal; parfois aussi le goitre n'est que peu m
ntre-indications de ce traite- ment tirées soit de l'âge, soit de l' état du système cardio-vasculairc. son des lésions p
njections intra-rachidiennes de sérum anliniéningo- coccique. Les états d'agitation observés en pathologie mentale, les a
eler, pour le traitement de la neurasthé- nie, que bien souvent cet état morbide est symptomatique d'une lésion organiqu
ciable de l'hydrothérapie qu'au point de vue de l'hygiène. Dans les états convulsifs infantiles les bains tièdes répétés
tièdes répétés paraissent avoir une action sédative; dans certains états choréiques les bains tièdes ou le drap mouillé
ais faire de coupes macroscopiques sur un cerveau ou une moelle à l' état frais, car on rend ainsi les pièces inutili- sa
re des résistances, 1195. Applications à l'électrodiagnostic de l' état variable, 1219. Applications à la thérapeutique
variable, 1219. Applications à la thérapeutique des actions de l' état variable, 1227. galvaniques continus, collecteu
courants, 1204. Localisation des courants, 1205. - - Effels de l' état permanent du courant; effets thermiques, méca-
laires, effets catalytiques, 1215. " Courant galvanique dans les états va- riables. Excitations de fermeture et d'ou
riables. Excitations de fermeture et d'ouverture, il 5. - lfets des états va- riables de fermeture et d'ouverture sur l
e, 118. Débilité mentale, 269. ' Défécation. Troubles révélant un état mental, 998. Défense (Idées de -) chez les al
eur donner, 1205. Électrodiagnostic, application des -effets de l' état variable du courant galvanique, 1219. Points mo
faradique, 1255. Excitabilité fara- dique et galvanique dans les états patho- logiques. Conservation des réactions nor
. Ponction lom- baire thérapeutique, 1145. Hydrothérapie dans les états d'agitation, les insomnies. 1;;1.2. -l'hystèrie
r- tielle, 1249. - Période initiale de la IL D., 1250. l'ériode d' état , période terminale, 1251. Syndromes de dé- gé
urants faradiques, 1285. - modifia- tions de la résistance dans les états pa- thologiques, 1285. - Respiration, trouble
98 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dévia- tion de la colonne vertébrale; il reste huit jours dans un état comateux. Pendant des mois, l'amnésie a été com
il avait projeté avant l'accident. Mais tout cela se fait dans un état d'automatisme inconscient, dans une sorte de de
allut le placer dans une maison de santé. Il y vit en- core dans un état de complète démence, traversée par de fréquenls
sser de trace apparente. Le blessé paraît complètement revenu à son état de santé antérieur à l'accident. Il n'est pas
es muscles de l'oeil aux di- verses impressions lumineuses ou à cet état de la vision intérieure qu'on appelle l'attenti
seul lobe occipital. Elles ont été faites sur des malades dont l' état de l'intelligence, surtout aux périodes avancées
P. 133. · 84 PHYSIOLOGIE. Modène, où il ait été tenu compte de l' état du cerveau'. Chez une fille de quatorze mois, a
tionnelle à sa pression dans l'air condensé où l'on respire. Dans l' état ordi- naire l'acide carbonique et l'azote du sa
ui la contient (p. 58). « Les particules des gaz qui ont repris l' état aériforme dans toute l'étendue du système sangu
fermer une proportion d'acide carbonique beaucoup plus forte qu'à l' état normal; et cet acide carbonique dissous reviend
e qu'à l'état normal; et cet acide carbonique dissous reviendra à l' état gazeux dès que la pression extérieure diminuera
euvent dans quelques cas, avoir une in- fluence sensible même sur l' état de santé ou de maladie de l'homme. Lorsque l'ai
prolonge, plus le sang doit se charger d'un excès de gaz libres à l' état de solution, l'absence de régulateur de la pres
S ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 97 Î « Le gaz repasse à l' état libre dans les vaisseaux, les divers liquides,
ure, 39°,2. 8 juillet, 7 heures du matin, l'animal est dans le même état . Contractilité faradique un peu diminuée, je tu
AR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 107 au nombre de deux qui existent à l' état de mélange dans les proportions que voici : E
compression, suivant les lois de la solubilité des gaz repasse à l' état libre lors des change- ments brusques de pressi
« Aucun accident n'est survenu, aucune bulle de gaz n'a paru à l' état libre dans les vaisseaux, parce que l'air que r
IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE. 115 21 octobre. - Roséole à l' état naissant. L'ulcération anale a toujours le même
nitrate d'argent. 17. - Cautérisation des plaques de la gorge. Même état de la gingivite. Les syphilides de la face dimi
é. Pansement phéniqué. ' 7. - La température est toujours élevée. L' état général reste le même. On trouve un peu de pus
usement trop fréquente et qui n'a d'autre résultat que d'aggraver l' état mental. IV. - Placé à quatorze ans en apprentis
e plantaire sont deve- nues sensibles. Enfin il nous a semblé que l' état général lui aussi s'est le plus souvent amélior
tement n'a pas eu d'effet sur le poids du corps, non plus que sur l' état des réflexes rotuliens qui restent toujours absen
t bon de rappeler que la suspension a pour effet, en dehors de tout état morbide d'augmenter le nombre des respi- ration
plus fréquent, et la pression artérielle paraît plus élevée qu'à l' état normal. » Pour M. Althaus ', la suspen- sion dé
nous les rangerons soustrois chefs : 1° modalités particulières à l' état général ; 2° affections des sys- tèmes cardio-v
endant la durée de la suspension. 3° Enfin, il est bon d'examiner l' état des dents qui, lorsqu'elles sont trop ébranlées
qui pourraient se produire du côté du maxillaire inférieur. En l' état actuel de nos connaissances sur la suspension, on
sibilité générale et leur durée se trouvent sous la dépendance de l' état psychique du malade. Si l'état psychique est st
se trouvent sous la dépendance de l'état psychique du malade. Si l' état psychique est stationnaire, les troubles de la
r pendant des années. Mais, qu'il survienne une modification dans l' état psychique du malade, immédiatement l'état de la
e une modification dans l'état psychique du malade, immédiatement l' état de la sensibilité change. Quant aux troubles fo
ettent à nu le territoire de l'artère cérébrale moyenne et noient J' état de la circulation de la branche qui monte sur l
surgir, tout à coup, un syndrome (la capra- lalie) révélateur, d'un état mental défectueux antérieurement. Ces deux mani
Weber décèle l'obligation d'en écarter les points bien plus qu'à l' état normal pour que le malade les perçoive toutes d
ainsi qu'on l'observe sur les queues de larves de gre- nouilles en état de dégénérescence. M. Westphal n'a pu voir de n
otions morales scliock nerveux, maladies générales et infectueuses, états pathologiques se traduisant par un affaiblissem
t provocateur n'a jamais que provoqué l'hystérie laquelle était à l' état latent chez le sujet, ou s'était déjà manifestée
nt (Red.). 158 BIBLIOGRAPHIE. C'est bien de l'hystérie et non des états mal nommés hystéroides ni des hystéries ayant u
culine bien faite pour dérouter quand elle ressemble plus par son état mental sombre à l'alcoolisme qu'à celui des hysté
épileptiques, les idiots, les imbéciles et les enfants criminels. L' état psychique de ces ma- nifestations morbides se c
ait à des guérisons survenues sous l'influence de la suggestion à l' état de veille l'auteur conclut que toutes les guéri
e à profit sa col- lection où tous les cerveaux sont gardés dans uu état suffisant de conservation. C'est une partie du
plus ou moins fortes; l'amai- grissement des circonvolutions ; leur état chagriné et ratatiné, marronne, même, la présen
âgés atteints de plus d'épilepsie vraie, la coexistence des deux états est d'ailleurs fréquente. Enfin nous rap- porte
ion entre l'atrophie de la substance grise que nous étudions et les états plus marqués de kystes, et de sclérose lobaires
t gâteux, il présentait des convulsions allant jusqu'à un véritable état de mal. Il mourut dans un de ces états de mal;
s allant jusqu'à un véritable état de mal. Il mourut dans un de ces états de mal; de broncho-pneumonie comme la plupart d
nulle part elles ne sont groupées par nids comme on les trouve à l' état normal dans les régions motrices, ainsi que l'a
n'y a pas le caractère si expansif du paralytique, mais plutôt un état de torpeur , enfin la marche de la mala- die n'
a paralysie générale : depuis plus de 7 ans le malade reste dans un état à peu près stationnaire, et ce n'est pas ainsi
), I, p. 447.) Un homme d'une soixantaine d'années et amené dans un état comateux auquel il succombe quelques jours aprè
s graves, le blessé paraîtra revenu, et définitivement revenu à son état normal. Pourra-t-on affirmer que tout se borner
tte période, le blessé continue à agir comme s'il était dan s son état normal, et cependant, il est absolument in- con
'est-à-dire la veille du jour de son acci- dent, pour reconnaître l' état du chaland à la même profondeur de 22 mètres en
ès mauvaise, fièvre, céphalalgie intense, insomnie. Le 13 juin, son état n'avait pas changé, il avait des frissons. Cepe
approprié et par suite d'intempérances du malade avait passé à l' état chronique. C'est dans cet état que ce plongeur
empérances du malade avait passé à l'état chronique. C'est dans cet état que ce plongeur s'est décidé à faire sa campagn
s avant son départ (il y en a même qu'on met dans le bateau dans un état d'ivresse qui va jusqu'à les rendre insensibles
les; la vessie était légèrement prise. Pas d'autres troubles. Cet état paralytique a disparu au bout de trois jours. C
re et vagabondait, il refusait de travailler et se trouvait dans un état de torpeur intellectuelle qui ne lui per- metta
surtout dans deux régions : la peau et les fonctions psychiques. L' état morbide de la peau consistait dans un gonflemen
cegonflement était sur- tout remarquable aux mains et aux pieds. L' état psychique de ces malades présentait tous les sy
'est pourquoi l'auteur proposa de bap- tiser cette maladie du nom d' état crétinoïde. En outre l'auteur fit la remarque q
l'organisme et sa fonction défectueuse en forme d'im- bécillité. L' état de ces malades est proche de celui des animaux
ésente en fait d'anomalie psy- chique la particularité suivante : l' état dépressif avec symp- tômes de démence passa en
ux maladies. Il expliquelaprésencede la m-ucine par l'analogie de l' état embryo- logique des tissus : de même que dans l
ues endroits chauves de la tête se couvrirent de cheveux. En fait d' état mental dépression profonde, irritabilité, mauva
èrement ataxique. Le malade est très frileux. L'auteur rattache cet état à celui de crétinisme. En 1886, à paru le trava
hexie générale de l'organisme avec les particularités propres à cet état et parfai- tement analogues à celui que les neu
l'activité psychique s'altère profondément et va toujours jusqu'à l' état d'idiotie. Kocher propose de ne pas du tout ris
en général. On appela l'attention sur la possibilité de ce que l' état crétinoïde, apparaissant après l'extirpation de l
tale précède l'opération, on peut supposer que c'est à cause de l' état pathologique de la glande. Dans de pareils cas l'
soumis à l'extirpation de la glande thyroïde précède l'opération. L' état de crétinisme nous en donne le meilleur exemple
e. Ce qui est important c'est que l'on avait remarqué déjà alors un état général dyscrasique comme suite de l'extirpatio
ez ces animaux primates une maladie qu'on pourrait diviser en trois états successifs : .¡ 0 pérl'ode nerveuse; 2° période
ntissement de la motilité en général ; mais entre les ani- maux cet état n'apparaît clairement que chez les singes. Si l
inges. Si l'animal survitàcette période, il passe au troisième, à l' état atrophique, qui finit en marasme et mort. Dan
t le sang s'agrandit considérablement, et nous voyons apparaître un état de dyscrasie mucineuse ou de myxoedème. Horsley
e dyscrasie mucineuse ou de myxoedème. Horsley suppose que dans son état normal la glande thyroïde présente une sorte de
es n'atteignent pas leur transformation finale et s'arrêtent dans l' état mucoïde. De cette manière le sang changé ne don
paralysie; b, les centres psycho-corticaux supérieurs, en hébétude, état comateux avec exitus lelhalis. Les recherches e
nsûreté et la vacillation de la marche et une apathie complète. Cet état apathique fait place parfois à des accès d'exci
née était toujours affaiblie. Les animaux qui avaient survécu à cet état passaient à un état paralytique qui finissait p
ffaiblie. Les animaux qui avaient survécu à cet état passaient à un état paralytique qui finissait par la mort. La trans
des convulsions toniques et cloniques. Quant au myxoedème et à l' état crétinoïde, Munk les traite de symptômes accident
nner que des résultats assez peu satisfaisants au point de vue de l' état mental. Mais lorsque l'on eut enlevé près d'un mi
ce d'une température normale, il faut bien rejeter l'hypothèse d'un état inflammatoire du cerveau, au moins sous la form
hie blanche de la pupille. On peut se demander jusqu'à quel point l' état des nerfs optiques peut ici être considéré comm
at des nerfs optiques peut ici être considéré comme révélation de l' état du cerveau et spécialement des circonvolutions.
malade, consécutivement à la castration, aucune amélio- ration de l' état mental. Quelque temps après, ce malade réussit
ées : les obsessions sont toutes accompagnées de la conscience de l' état de maladie; elles sont héréditaires, rémittentes,
'alienés, a de l'asymétrie faciale et a eu des tics convulsifs. Son état est caractérisé par des accès de fureur conscient
urs une grande part à l'affaiblisse ni en du moi, qui constitue à l' état normal, le véritable régulateur entre les sensa
nations; dans la lypémanie hypocondriaque, on constate souvent de l' état saburral, de l'inertie gastrique, suivis fréque
e ra- mené pendant l'hypnose où les malades semblent revivre leur état second. Ces fugues diffèrent notablement des cris
e les hallucinations noc- turnes qui peuvent aboutir à un véritable état de mélancolie ou d'excitation. De plus, elles p
élires bien distincts, coexistants, mais non confondus; l'un dû à l' état mental préexistant, l'autre à l'intoxi- cation
et halluciné. M. Pierre JANET (du Havre) demande qui sera juge de l' état de santé des sujets observés. Pour arriver à ce
T pense qu'il n'existe pas à ce sujet de loi aussi formelle. Chaque état prend la sensation qui lui est le plus utile et
provoquer L'IIYP- NOSE ET augmenter la suggestibilité. Pour lui, l' état hypnotique n'est pas le sommeil, mais un état p
tibilité. Pour lui, l'état hypnotique n'est pas le sommeil, mais un état psychique particulier qui aug- mente la suggest
ant hypnolisable. D'ailleurs, la suggestion peut se faire aussi à l' état de veille. Quant au rôle thérapeutique de la sugg
ns. 111. Tarde (de Sarlat) fait remarquer que la femme porte, à l' état normal, les caractères de l'homme criminel. Et ce
au milieu, à l'éducation, à la physiologie des criminels et à leur état psychique. M. BxouanDEL met les anomalies sur l
t de la maison où elle habitait. L'émotion qui aurait dû aggraver l' état de cette prédisposition, l'a au contraire améli
s de nombreux cas, bien problématique. 1\i. GARNIER se basant sur l' état mental des traumatisés, les fait renlrer daus l
s qui dure vingt-quatre heures ; puis le malade récupère un parfait état de santé psychique et physique, y compris la sens
ômes objectifs; mais ce n'est pas la loi. Rien ne nous prouve que l' état d'hypnotisme s'annonce fatalement par un signe
rd de vue cette vérité qu'il n'est pas rare de voir méconnaître les états les plus fréquents, les plus légers d'hypnotism
l'hypnotisme n'aboutit pas à la catalepsie. Quoi qu'il en soit, les état hypnotiques les plus communs ne s'accompagnent
. Toute personne qui, du fait de l'aliénation mentale, n'est pas en état de veiller sur elle ou sur sa fortune, pourraêtre
Dans le premier cas, on a affaire à une maladie mentale; le second état peut être compatihle avec le fonctionnement phy
e de toute personne qui se trouve, quoique passa- gèrement, dans un état d'inconscience, ou qui traverse une période de
mentale; la loi recevra alors son application pour la durée de cet état ou de cette phase. Ce même paragraphe prévoit l
dans l'hospice fût limité au temps indispensable pour constater son état . Dès que l'aliéna- tion mentale est reconnue, l
s sur la manière dont ses instructions avaient été suivies et sur l' état des cellules destinées au dépôt provisoire des
avoisinant le quartier des incurables indigents. Déjà en 1887, leur état défectueux frappait M. l'inspecteur générai Fovil
est difficile de ne pas remarquer que les malades qui sont dans un état tel qu'on ne peut laisser aucun objet mobilier à
la pierre, permettent au be- soin de maintenir l'aliéné s'il est en état de démence furieuse ». A D..., le secrétaire gé
souvent informées, à la suite des inspections générales, du mauvais état des cabanons d'aliénés. Il faut bien reconnaîtr
avec un profond senti- ment de tristesse que nous avons constaté l' état pitoyable dans lequel se trouvent les malheureu
éné qu'ils songent quelque- fois moins à soigner qu'à mettre hors d' état de leur nuire. Il serait difficile, d'autre par
ituation d'être traités au début même de leur affection avant qu'un état chronique incurable se soit établi. . Ce n'est
ations Ca- naques et il n'était que temps de mettre fin à un pareil état de choses. La méningite cérébro-spinale a BER
inspections; faire de véritables ex- pertises médico-légales sur l' état d'un séquestré, en cas de procès; autoriser l'o
nts sem- blables ; mais dans cet intervalle, il se produit dans son état un grand changement dont il a conscience. Sa pa
de la parole ne s'est qu'amélioré, sans que l'élocution revînt à l' état normal. Les troubles intellectuels et moraux re
à l'état normal. Les troubles intellectuels et moraux restant en l' état . . Migraine ophtalmique. Il y a quinze jours, u
qui sont ordinairement transi- toires, qui ne puisse s'établir à l' état permanent : tels l'engourdissement de la face e
foyers, bien qu'il n'y ait pas de tissu con- jonctif véritable. L' état actuel de nos connaissances sur la névroglie no
ale n'est pas assez avancé pour que nous tentions d'interpréter ces états et de les rapporter à des modi- fications des c
um 336 anatomie pathologique. une altération dont on retrouve des états différents sur toutes les couches. Elles sont d
t n'offrent pas de prolonge- ments distincts. Enfin, à un troisième état , on ne voit qu'un noyau sphérique, avec un- pet
on voit dans un même champ du mi- croscope, sont à peu près au même état ; tandis que, plus loin, on rencontre des groupe
tandis que, plus loin, on rencontre des groupes de cellules à autre état . Les capillaires dans ces deux couches sont ram
es nerveuses, disparition qui nous est expliquée par les différents états aboutissant à l'atrophie que l'on peut observer
nce blanche offre l'aspect d'une véritable émuision de myéline. Cet état , dû à la macération de la pièce dans l'alcool'
es convulsions avaient débuté à quatre mois, suivies d'un véritable état de mal convulsif. On trouve de plus notés des c
océphalie, épaississe- mient et adhérences des méninges par places; état chagriné des circonvolutions. Examen iiistolo
nouveau-nés, sur des coupes 'faites pour pouvoir comparer les deux états , la limite 'entre la première et la seconde cou
fre les mêmes caractères que ci-dessus. Dans le lobe occipital, l' état est le même. Il existe autour de beaucoup de va
ons, coïncidant il est vrai, avec les mêmes lésions d'atrophie et d' état chagriné à l'oeil nu. L'atrophie et l'état chag
lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L'atrophie et l' état chagriné des circonvolutions se retrouvent dans
s. Mort de broncho- pneumonie gangreneuse diffuse, consécutive à un état de mal. Examen IIISTOLOGIQUE. - Hémisphère droi
, aspect foetal du cerveau; arrêt de développe- raient, atrophie et état chagriné de la partie postérieure de l'aé- misp
isphère droit. Examen histologique. - Coupes du lobe frontal droit, état géla- tiniforme. Picro-cazmin et bleu de méthyl
e aérolaire qui expliquent l'affaissement de la circonvolution et l' état chagriné de la surface. Ces lésions sont à leur m
si formé, se créent des vides qui étaient remplis par un liquideà l' état frais. On a sous les yeux des cavités aréolaire
er un tissu aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expliquent l' état chagriné qui résulte de l'effondre- ment des co
de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l' état kystique aréolaire qu'on observe, beaucoup plus
e apparent, au lieu d'être disposées en séries verticales comme à l' état normal. Les couches suivantes de la substance g
ouche fibrillaire névroglique. Au-dessous, elle se montre sous deux états différents : sur certains points, la sériation
s bout à bout, beaucoup plus dis- tantes les unes des autres qu'à l' état normal et séparées par du tissu névroglique, à
nés sur des coupes et ne présentaient pas d'autres lésions que leur état légalement atrophique, semblable à celui qu'on tr
nous n'avons pu les rattacher, surtout celles de la névroglie, à l' état normal, montrer quels éléments s'hypertrophiaie
SUBSTANCE GRISE. 389 Obersteiuer. - Voies sanguines du cerveau ci l' état normal et pathologique. Anal, in annales médico
culaire, la diminution de la tension musculaire, et même les légers états parétiques de quelques groupes de muscles, sans
etc., etc. Lav... a été camisolé et emporté à l'infirmerie dans un état de grande surexcitation. On a dû l'attacher une
partie antérieure du tronc, mais elle est atté- nuée à gauche. Même état de la sensibilité à la partie postérieure du tr
et si la maladie se développe en bas âge, les sujets présentent un état d'idiotie MYXOEDÈME OU CACHEXIE PACHYDERMIQUE.
arement on voit apparaître dans des cas de myxoedème le délire ou l' état maniaque. Du côté delà motilité, nous voyons un
uer seulement que chez le garçon le myxoedème était accompagné d'un état créti- noïde des plus marqué; dans les cas des
ème était loca- lisé et occupait les pieds, les mains et la face, l' état mental 426 REVUE CRITIQUE. présentait les pre
pas d'augmentation dans son activité et on peut même se figurer un état ou le struma serait égal à l'absence de la fonc
ile d'aliénés; le père de la malade se suicida à vingt-cinq ans, en état de mélancolie. Pas de renseignements sur les pa
lus, elles duraient jour et nuit, autant lorsque la malade était en état de repos que lorsqu'elle se mouvait. A cela s'a
;mt6; une demi-année plus tard, une struma. Durant cette période, l' état de la malade élait oumis à des changements; tan
ations de la vue et de l'ouïe, manifestation de peur et de terreur, état de complète absence, inclination à la fureur. Cet
e terreur, état de complète absence, inclination à la fureur. Cet état dura pendant trois jours, après quoi la malade de
t trois jours, après quoi la malade devint tran- quille. Mais cet état de tranquillité n'était pas son état habituel pos
evint tran- quille. Mais cet état de tranquillité n'était pas son état habituel post- épileptique, dépressif, mais dur
IE PACHYDERMIQUE. 429 les gonflements disparurent complètement et l' état psychique de- vint normal. Il ne resta que les
cas ne sont pas rares où la glande thyroïde agrandie, pré- sente un état égalant parfaitement son extirpation totale; la
nserva que les symptômes de la maladie de Basedow. Pendant tout l' état myxoedémateux, il n'y eut pas de grands changem
umeur n'est pas due seulement à une violence subie, mais encore à l' état particulier soit des vais- seaux, soit du sang,
fois intéressante comme détermination cutanée et comme indice d'un état général. Chez un homme atteint de paralysie gén
e, octobre 988ï.) Dans le premier de ces deux cas. on constatait un état d'atro- phie et de dégénérescence plus accentué
compagnée d'amnésie, et, surtout après les crises convulsives, d'un état voisin de la paraphasie et (bien qu'à un moindr
ndre degré) de la surdité des mots ; toutefois, la coexistence d'un état de démence rendait l'appréciation de ces faits
ningite et à une hémorrhagie traumatiques localisées, ainsi qu'à un état pachyméningi tique, qui reconnais- saient à leu
up plus rares dans lesquelles la thrombose doit être rattachée à un état général ou constitutionnel. R. M. C. V. Trois c
i peu de symptô- mes alarmants, alors que l'un des poumons était en état de col- lapsus et que l'entrée de l'autre poumo
elle se calme graduellement jusqu'à ce qu'elle ait atteint le même état qu'au commencement de ce cycle respiratoire : a
gitant ne doit plus être considérée comme une névrose ; 2° que tout état constitutionnel susceptible de pro- duire de la
enne cépha- 442 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. lalgie occipitale et de l' état psychique (idées de persécution avec agoraphobi
majorilé : La Société médico-psychologique, considérant que dans l' état actuel de la science, toute tentative à l'effet
de pendant l'accès lui-même; l'orateur constata (il s'agissait d'un état de mal) dix à vingt secondes avant chaque accès
s épithéliums. Ce qui prouve qu'il faut rattacher l'albuminurie à l' état du cerveau.. ` M. Edinger (de Francfort). Du dé
is grammes. Le sulfonal fait disparaître l'angoisse en procurant un état de somnolence des plus sédatifs et calme les ma
n cela il a raison, il en prévoit le degré en se pré- occupant de l' état de la détermination volontaire et de son fonc-
torpide. Il s'agit notamment de malades ayant le sentiment de leur état mental et qui, par appréhension, sont bientôt p
on revien- drait au point de départ, on ramènerait les choses en l' état où l'on était avant l'introduction de la neuras
éthisme du stade d'agitation, ces deux périodes étant closes par un état de bien-être parfait jusqu'à ce que le cycle re
sfaisant. Passons aux idiots qui, sans être tout à fait réduits à l' état végé- tatif, n'ont guère dépassé le développeme
la quotité de la rente à ser- vir à ces invalides du travail. Leur état mental n'était pas tel qu'on dût les.envoyer da
musicales chez les), par Kast,153. Artério - sclérose généralisée ( état des vaisseaux rétiniens dans l'), par Roehlma
Lemoine, 441'; - (bromure d'or dans l'), par Gou- bert, 442 ; - ( état du fond de l'aeil dans l'), par Kuies, 445. E
99 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Ces recherches ont porté sur' les animaux et sur l'homme sain ou en état d'insomnie et sont dues à différents auteurs :
térieur et même, dans certains cas, du train antérieur, apparaît un état de somnolence léger et passager que fait cesser
de quelques minutes généralement, de une heure ou deux au plus. Cet état de somnolence, nous l'avons obtenu, peu importe
inistrée à des doses toxiques, l'acétophénone produit rapidement un état comateux qui n'a rien de commun avec le sommeil
urines, on retrouve au contraire, du côté du système nerveux, un état d'anémie qui, suivant les doses, est limité à l
celles des auteurs dont nous avons rappelé précédemment les noms; l' état de som- nolence que nous avons signalé est, en
s autopsies le démontrent, les centres nerveux, et réalise ainsi un état de ces centres qu'on regarde assez voloutiers a
tions un véritable sommeil, sommeil qu'elle ne fait qu'ébaucher à l' état physiologique, et cela encore à des doses trop
s sa dépendance l'agitation maniaque et l'insomnie, peu importe l' état de vascularisation du système nerveux, nous n'a
comme le dit la malade, des douleurs d'es- tomac, nous ne savons, l' état mental du sujet ne nous permet pas d'élucider c
s forfaits dont ils sont accusés; au médecin chargé d'examiner leur état mental ils persis- tent à ne rien avouer. Cette
ubles physiques concomitants qui jetteraient un grand jour sur leur état ; ils n'y ont pas pris garde ou leur mémoire rud
ette maladie comme forme mor- bide spéciale, et la rattachant à des états mentaux essentiellement différents. Les alién
parler en toute sincérité et assez intelligents pour analyser leur état , s'en souvenir et le dépeindre, ne laissent auc
t contre la marche envahissante de la folie, nul ne soupçonnera son état et l'acte criminel sera ainsi la seule manifest
entiment aussi altruiste que le précédent est égoïste. Revenu à son état normal par l'assouvissement de son instinct pat
e; coïncidant avec la transformation du caractère, elles révèlent l' état morbide du patient. Nous en avons des exemples
ases de l'évolution vitale qu'un rapport existerait entre elle et l' état des organes génitaux, d'autant plus que chez la
jamais donné aucun signe de folie, et qu'il était parfaitement en état de se rendre compte de la portée de ses actes.
stérie; depuis dix-huit mois, au dire de son médecin ordinaire, son état s'était beaucoup aggravé. Au moment des crimes,
étaient si marqués que l'opinion publique reconnut d'instinct un état intellectuel anormal chez l'incen- diaire. Troi
15 et le 16, il ne s'en préoccupa plus et parut de nouveau dans son état normal. Le 17, il fut de nouveau sombre et taci
ologique, l'incendiaire n'a pu nous renseigner complètement sur l' état de son esprit à ce moment, mais il nous a fourni
s l'enflamma à l'aide d'une allumette. Aussitôt il rentra, dans son état normal. L'impulsion disparut pour ne revenir qu
été atteint de violents maux de tête avec lassitude générale et cet état avait persisté une quinzaine de jours sans que
re très intelligent, et ce fait était en complète opposition avec l' état intellectuel habituel dans la pyromanie. Un cer
tuelle qui ne leur per- met pas de fournir des renseignements sur l' état de leur esprit au moment des crimes. III. Dan
succomba le lendemain à une péritonite. Quand il se sentait hors d' état de résister, ses colères étaient furieuses; il
ulbe ne présentent aucune anomalie, et sont absolument comme dans l' état normal. Les ventricules latéraux ne sont pas pl
nte sur les coupes, avec un développement qui semble au-dessus de l' état normal. L'examen microscopique à l'état frais e
qui semble au-dessus de l'état normal. L'examen microscopique à l' état frais et par dissociation permet de constater q
dans toutes le noyau est intact et visible. Enfin, on trouve à l' état de dissémination dans toutes les préparations une
la substance grise, c'est-à-dire les caractères de l'idiotie, et un état pathologique rappelant quelques-unes des lésion
e de voir. L'hypertrophie cérébrale constituait pour son cerveau un état acquis stationnaire, et compatible avec un fonc
des faces externes; la substance corticale est plus colorée qu'à l' état normal, la substance blanche est très injectée;
la substance corticale à la substance blanche sont les mêmes qu'à l' état normal; pas de 63 REVUE CRITIQUE. lésions loc
amollie. Presque partout la substance grise est plus colorée qu'à l' état normal : « les circonvolutions cérébrales ne so
dence ou absence d'un fond mental faible, présence ou absence d'un état psychoneurotique antérieur (manie ou mélancolie).
Cependant sous le nom d'Ectasa's paranoi.ra, il a décrit certains états secondaires d'exaltation mentale avec conceptions
lie systématisée. En plus Griesinger classe cette vésanie parmi les états secondaires d'affaiblisse- ment intellectuel ex
e forme secondaire nous trouvons une autre forme Wahnsinn (p. 357), état d'exalta- tion mentale avec conceptions déliran
ue avec la période prodromique de la paralysie générale et certains états d'excitation maniaque. A la même époque (185),
le substituant à celui de monomanie dû à Esquirol, et séparant ces états de la démence, à l'inverse de Griesinger. Ses d
e et dépressive, de certains délires systé- matisés comparables aux états héréditaires, le passage de l'hy- pochondrie au
antérieurement, admet maintenant avec Snell l'origine primitive des états mixtes (délires de persécution et de grandeur)
secondaires ; il va même jusqu'à l'exagération en admet- tant comme états primitifs non seulement des états psycho- neuro
'exagération en admet- tant comme états primitifs non seulement des états psycho- neurotiques, mais encore des maladies i
risth3 (1878) étudie les rapports des conceptions délirantes avec l' état émotionnel. Chez le maniaque et le mélancolique,
maniaque et le mélancolique, l'idée est secondaire et procède de J' état émotionnel ; ce serait l'inverse dans la folie
me une des terminaisons possibles des psychoneuroses 4, et comme un état secondaire d'affaiblissement psychique ; d'où l
es pri- mitives ; les folies secondaires seraient surtout l'issue d' états mélancoliques plutôt que d'états maniaques. 1
ndaires seraient surtout l'issue d'états mélancoliques plutôt que d' états maniaques. 1 Krafft-Ebing nie complètement l'ex
ie systématisée, déve- loppés à la suite de maladies fébriles, de l' état puerpéral, d'a- bus alcooliques. Junn$(188-2)
é. Kroepehn* (1883) distingue : 1° la Primâre herrüclcllzeit sans état de débilité mental et comprenant le délire des pe
ntée sur un fonds de dégéné- rescence et survenant plutôt après les états de dépression qu'a- près les états maniaques. I
ce et survenant plutôt après les états de dépression qu'a- près les états maniaques. Il tait ressortir comme Koch, Pel- m
NOÏA 75 Arndt' range la Paranoia parmi les psychoses atypiques ou états d'affaiblissement psychique et il en reconnaît de
alades n'ont pas d'hallucinations, ils peuvent guérir ou passer à l' état chronique. La forme chro- nique peut se diviser
r de tout petits élé- ments nerveux pauvres en prolongements ; même état d'atro- phie comparative à l'égard du groupe de
HYSIOLOGIE. 87 nerf optique droit atrophié, sans autre lésion qu'un état trouble des méninges molles, présentait quantit
ies mentales ; aussi était-il tout d'abord nécessaire de rappeler l' état actuel de nos connaissances sur celle grande vé
Esquirol, se trouvait, de ce jour, nettement isolé et constitué à l' état d'unité nosologique. L'édifice construit alor
le malade qu'on trouve inquiet, concentré, replié sur lui-même, en état permanent d'éréthisme psycho-sensoriel, aborde,
pas moins d'une manière permanente, pour ne pas être sans cesse en état de manifestation bruyante. Chez les intermitten
é consomme sa propre substance. - Dans maints cas, on maintiendra l' état des forces, du moins 4 Voy. Archives de Neurolo
d'alcool dilué. - Expectation circonspecte, contrôle incessant de l' état du malade, repos au lit, observation précise, m
l'acte incriminé se « trouvait, au moment où il l'a perpétré, en un état d'incons- « cience ou de trouble pathologique d
ide. C'est au juge, au juge seul, qu'il appartient d'apprécier si l' état d'inconscience ou de trouble psy- chopathique c
on de conceptions étrangères et indé- pendantes de la mélancolie, l' état de l'humeur également dif- férent de celui du m
3° elle parait d'autant plus curable qu'elle se rapproche plus de l' état de simplicité; 4° les BIBLIOGRAPHIE. 119 hall
les crimes de cette nature, l'auteur ne se soit pas préoccupé de l' état mental des violateurs et de leurs victimes ; s'
ent la permis- sion d'examiner le sujet et la liberté d'étudier son état et les symptômes de son mal. Les parents et la
rent unanimementet prêtèrent même serment de leurs paroles, que cet état durait depuis one mois environ, et que, pendant
rba entièrement et égala la maigreur du ventre. Le sujet arriva à l' état d'amai- grissement où on peut l'observer mainte
la fille, comme cette dernière restait continuellement dans le même état , on fut suffisam- ment convaincu qu'il n'y avai
connu qu'elle était toujours demeurée chez ses parents dans-le même état , vivant sans boire ni manger. Nous avions eu ce
e narration. Aucun chan- gement notable ne s'était produit dans son état et il n'y avait aucun doute, d'après nous, que
ous avons expliqué dans la première narration, comment et dans quel état nous avions observé ' pendant l'été et pendant
aissance, et me saisit la main droite. A la vérité nous trouvâmes l' état de son corps à peu près semblable à ce qu'il ét
ment allait sa soeur malade, il m'assura qu'elle était dans le même état , et surtout qu'elle semblait plus faible pendan
rvée : il suffirait de la rajeunir, de la mettre en harmonie avec l' état actuel delà société, de la compléter con- formé
ue soit la loi de 1838, elle n'est plus en harmonie complète avec l' état actuel de la société. Inattaquable dans son esp
morale; apprécier l'influence de la thérapeutique et du temps sur l' état mental; affirmer la guérison et fixer l'heure de
l'internement : admis- sions, maintenues, sorties; pour constater l' état moral et en suivre les modifications ; se préoc
r un acte qui appelle une répression pénale, ayant des doutes sur l' état SÉNAT. 151 mental du militaire qui l'a commis
lus aucune surveillance, aucun contrôle de l'Etat. Il est tombé à l' état de service purement dépar- SÉNAT. 153 tementa
i vu bien des choses : jamais une société n'est arrivée à un pareil état de désorganisation. C'est effrayant ! Il faut,
ien ne peut altérer, pour qu'il reste encore quelque chose de notre état social. (Très bien ! à droite.) Je passe à la
de représentation mentale volontaire de ces mêmes mots : Bien que l' état de l'imagination orale 1 Bernard. Loc. cit., p.
ion brute et inconsciente des mots se produit assez fréquemment à l' état patholo- gique; il me suffira de mentionner le
qui nous occupent, j'ajouterai que l'on a pu constater, soit à l' état physiologique, soit à l'état pathologique, le f
erai que l'on a pu constater, soit à l'état physiologique, soit à l' état pathologique, le fonctionnement normal d'une se
s gens qui font des fautes d'articulation et qui se reprennent; à l' état nor- mal, un peut prétendre que ces gens-là se
aphasiques par lésion du centre de Broca qui ont conscience de l' état défectueux de leur articulation; chez ceux-ci l
a cru remarquer qu'elles se produi- saient moins quand il était à l' état de repos, tandis qu'elles étaient provoquées et
es par le mouvement, surtout un travail pénible, des émotions ou un état général de fatigue; aussi le travail lui est-il
uelle les secousses ont persisté. Voici ce que nous avons noté de l' état du malade à son entrée a la clinique : Constitu
on avec l'intensité des accès, fièvre qui peut mêmer accompagner un état purement comateux radicalement dépourvu de phén
s avons posée sur l'élévation considérable de la température dans l' état de mal épileptique. Toutefois, avant d'aborder
mpoisonnement, de persécution, etc. Cette forme guérit ou passe à l' état chronique. Elle peut succéder à des maladies ai
e à l'état chronique. Elle peut succéder à des maladies aiguës, à l' état puerpéral, à des accès hystériques ou épilep- t
au complexus psychique s'est montré dès la première semaine après l' état mélancolique. Il est extrêmement difficile de d
matisation et dont la teneur varie; e, un type décrit sous le nom d' état de folie systématique ( Wahnsinn), abortive aig
aiblissement intellectuel; aussi la classe- t-il dans le groupe des états d'affaiblissement mental, qui sont presque touj
nion de Krafft-Ebing. Ces délires sont pour lui l'expression d'un état mental faible par leur étiologie, leur marche con
n étant différenciées par ce fait que le malade a conscience de son état '. Quant à la nature clinique de ces délires, M
dus cas de lypémanie avec délire des persé- cutions dans lesquels l' état mélancolique est secondaire. 4° Les folies hypo
aines plus tard, strabisme; trois semaines encore, au mo- ment où l' état local semble satisfaisant, agitation, divagation,
eutique, mais comme coerciteur laissant souvent les malades dans un état d'apathie et de dépres- sion (trois observation
de Peyer; coloration argileuse des matières fécales ; congestion et état gras des reins; coeur gras; sang de couleur laq
Biriz, ont démontré qu'il paralyse les centres vaso-mo- teurs à l' état de chloroforme ou de chlore (inspirations suspi-
jonctivite, il ne se présente plus qu'un mode de traitement. Dans l' état hystérique, on doit agir sur les nerfs sensitif
Féré a insisté sur l'influence des excitations périphériques sur l' état dynamique et dans une note spéciale, il a étudié
st toujours vu blanc. Le surlen- demain, les choses sont restées en état ; dans cette troisième séance, je fais deux séri
n des couleurs sans que j'ai renouvelé les excitations et malgré un état de mal hystérique et des attaques très nombreuses
ue; d'ailleurs ce fait n'a rien d'étonnant, car on sait que, même l' état normal, les sens se développent par l'éducation
les expériences de M. Féré, est celle qui a le plus d'action sur l' état dynamique. Kunkel a montré au-si que le rouge p
énommer par un terme unique suffisamment clair cette suc- cession d' états psychopathiques reliés entre eux d'une façon si
ANTES. d'emblée, avec les caractères qui lui sont propres, après un état mélancolique vague, avec peu d'idées de persécu
cusée que les démences organiques, elle se manifeste surtout par un état d'incohérence. M. Dagonet nous dit que le délir
le en faisant trans- férer dans un asile public les prévenus dont l' état mental néces- sitait un examen pouvant être pro
iquée de bronchiopneumonie, à convales- cence longue. Enfin parfait état de santé physique et psychique. Il n'a jamais p
nt que le tribunal ait entendu un ou plu- sieurs spécialistes sur l' état mental...», tandisque le § 368 du Code civil la
égories de malheureux qui sont admis' comme aliénés, parce que leur état mental les rend plus ou moins impropres à la vi
us les individus, tels que les malheureux en démence sénile, dont l' état n'est pas susceptible de traitement; on devrait
resque toujours confondus. L'idiot est laissé partout en France à l' état de non-valeur sociale absolue, et il offre enco
- ment, à accepter le troisième paragraphe. Quel est, en effet, l' état de la question ? On reconnaît que les asiles d'al
ticle 5 ! 0, ainsi couçu : «Selon les caractères de sa miladie et l' état de sa fortune, le conseil de famille pourra arr
arents à faire, dans le délai de trois mois, une déclaration de cet état d'aliénation au procureur de la République. M
(Leloir). L'auteur 'étudie en détail les symptômes de la période d' état : -. Il l'anesthésie souvent d'une remarquable
os et des articulations, les mutilations. AI. Leloir donne enfin l' état de la scorie sur les lésions des nerfs de la mo
nographie. Ces différentes parties sont des exposés compacts de l' état actuel de la science sur ces différentes question
aitement dirigé contre le mal vertébral lui-même. CE. F. XI. De l' état de la sensibilité cutanée, dans le rhumatisme art
. ScuTEiNBEM (Arch. de,Psych., t. VI, n° 4,1885. Kharcow). IL Sur l' état des aliénés dans le sud-ouest de la Russie, par
maladie con- tagieuse. 11. Alors que presque partout ce sont les états provinciaux (Zemstwa) qui s'occupent des hôpita
En 18o les établissements de charité passent entre les mains des états provinciaux. Immédiatement une nouvelle maison se
mais presque aussitôt le pouls et les pupilles sont revenus à leur état normal. Les accès semblent dans ces derniers
st accéléré à la fin de l'accès, reviennent presque aussitôt à leur état normal. Cette variété d'accès, paraît-il, se ra
rieures et inférieures, de la tête ; la parole était saccadée ; cet état a duré une demi- heure. Les mômes mouvements ch
erait jusqu'au pli de l'aine, mais il est difficile, en raison de l' état intellectuel de V..., de lui faire préciser la
;o ? e sous l'influence d'une médication éthérée. Amélioration de l' état mental coïncidant avec la marche de la tubercul
dans l'attitude d'un mélancolique. Nous ver- rons graduellement cet état s'accentuer et s'aggraver, jusqu'à la lypémanie
s. N'a toujours pas eu d'accès épileptiques. Pas de violences. Même état mental Même attitude. Trem- blement assez prono
s, petites. Oreilles petites, ourlées, sans lobule. CD Juin. Même état . Se tient immobile comme une statue, ne réponda
Devient gâteux. CAS DE MELANCOLIE AVEC STUPEUR. 357 Octobre. Même état Reste des heures entières debout, dans la cour,
t les courants continus, qui n'amènent guère de changement dans l' état de la sensibilité. Le malade sent sans doute les
ts Daniell, sans résultat. Bains sulfureux. 1882. 8 Janvier. Même état . Tentative infructueuse d'hypnotisme. 9 Janvi
mobilité. Refus de manger. On est forcé de le nourrir à la sonde. L' état gé- néral reste satisfaisant. 1884. Janvier.
a laisse dans la position qu'on lui a donnée, comme s'il était en état cataleptique, mais on voit qu'il fait effort pour
pas, ne crache pas. Avril. Un certain changement s'est opéré dans l' état de G... Il s'est mis à vomir ce qu'on lui donna
acte ses muscles de la face, et crie : Holà ! 1884. Septembre. Même état de mélancolie stupide. Etat général assez bon.
fusil, et marmotte des paroles incohérentes. 1885. Janvier. Même état . -Les excitations très fortes, les brûlures, le
nférieurs commencent à se raidir. 3 heures. Il est retombé dans son état habituel. Le soir à 9 heures et demie, nous arr
nées, si ce-n'jest quand on l'enivra le mois dernier. Avril. Même état . Cependant le malade maigrit. Mu- tisme et état
nier. Avril. Même état. Cependant le malade maigrit. Mu- tisme et état catalepti forme. 22 Juin. - Depuis quelques jou
elle du côté droit quoique celle-ci soit déjà plus en relief qu'à l' état normal. Le lobule paracentral est plus saillant
qu'à l'état normal. Le lobule paracentral est plus saillant qu'à l' état normal aussi bien du côté droit que du côté gau
ttre que cette hypertrophie était plutôt apparente que réelle, vu l' état de ratatinement des circonvolutions voisines ;
il entend le son de la voix, bien qu'avec moins de netteté qu'à l' état normal. On a beau élever la voix, B. Louis ente
bien que perçus, ne l'étaient pas avec la même inten- sité qu'à l' état normal. Voilà donc trois faits dont le premier
a surdité verbale aussi com- mode et aussi complète que le permet l' état actuel de nos connaissances ; et ne serait-ce q
laire de la main droite; les jambes étaient à peu près dans le même état qu'auparavant. le malade pouvait faire des cour
les doigts étaient à peu près complètement fléchis, et presque à l' état où on les trouve. C'est seulement'à partir de m
endant, aux pieds les tendons extenseurs sont plus saillants qu'à l' état normal. La première phalange des orteils, sauf
llons nasolabiaux ne semblent pas notablement plus accentués qu'à l' état normal, le menton ne présente pas les petites d
impossible l'examen des circonvolutions motrices nous a mis hors d' état de faire ces recherches ; nous ne pouvons qu'en
re ou prodromique de Paranoïa, dont elles diffèrent cependant par l' état de conscience du sujet. 11-fant enfin (comme l'
s indépendantes de toute cause occasionnelle constatable ou de tout état morbide émotif, qui a une marche ni uniforme ni
- lisme), etc... Quant à la genèse de ce délire, il survient sans état morbide émotif antérieur, il s'accompagne d'hal
que rationnelle. Or, ne sont-ce pas là des signes suffisants d'un état de dégénérescence mentale ? Morselli3 (1886) ra
décrite sous le nom de folie sensorielle aiguë et placée à côté des états maniaques et mélancoliques. L'autre, la folie s
e ce délire systématisé de négation est toujours secondaire à des états mélancoliques, le plus souvent anxieux, au lieu d
és, peuvent se diviser en quatre degrés suivant le niveau de leur état mental : 1° l'idiotie; 20 l'imbécillité; 3° la dé
cillité; 3° la débilité mentale; 4° les dégénérés supérieurs. Or, l' état mental de ces derniers, par les anomalies du ca
énérés supérieurs, M. Magnan fait la synthèse d'un certain nombre d' états particuliers qu'il désigne du nom de syndromes
ats particuliers qu'il désigne du nom de syndromes épisodiques. Ces états caractérisés par l'obses- sion, l'impulsion ave
qui considèrent ces troubles psychiques comme caractéristiques d'un état de dégé- nérescence ' (stigmates psychiques).
n analogue à celle des délires des dégénérés à évolution chronique ( état mental particulier, début insidieux et progressif
r que les idées de persécution ou de grandeur pouvaient exister à l' état isolé, ou bien que si on les rencontrait chez l
les formes de délire que l'on rencontre chez les dégénérés, leur état mental, les syndromes épisodiques, les délires d'
ppelons un travail antérieur de M. Saury 3 qui avait étudié aussi l' état mental des dégénérés, les syndromes épiso- diqu
emble que cette variété aiguë est très comparable tantôt à certains états mélancoliques plus ou moins accentués, souvent
vent avec stupeur, parfois avec dépression ou anxiété, tantôt à des états d'excita- tion maniaque simples ou symptomatiqu
us qu'une forme de délire systématisé simple- ment secondaire à des états maniaques ou surtout mélancoli- ques, dont elle
c KrafftEbing en faire justice et les mettiesous la dépendance de l' état pathologique dont elles font partie. Ce- pendan
et de leur structure; affai- blissement de l'activité du coeur); l' état du ramollissement correspond à l'époque de l'ic
topsie, on constate épaississement des parois du crâne, synostoses, état trouble de la pie-mère avec adhérences au cerve
des plus récentes méthodes de Weigert, de la corne postérieure à l' état normal et dans le tabes dorsal. La corne postér
ES. 421 défaut de soudure des deux sacs cutanés dont la réunion à l' état normal forme la double poche scrotale. Ces deux
du pseudo-vagin (utrécule prostatique). Cette disposion rappelle l' état normal, c'est-à-dire les rapports de l'utrécule p
'a pas permis à l'ob- servateur d'obtenir aucun renseignement sur l' état psychique de l'enfant. Tout ce qu'on peut savoi
n'est qu'une phase souvent la plus longue et la plus apparente de l' état vésanique désigné du nom de délire chro- nique.
à l'objection, il s'est défendu d'avoir jamais voulu confondre cet état avec la démence organique vraie. 426 SOCIÉTÉS S
ont de l'embarras gastrique plus ou moins accusé, etc. Voilà pour l' état physique. C'est l'imagina- tion qui fera le res
s'atténuera et il ne testera de toute celte logique apparente qu'un état plus ou moins accusé de démence. On peut enco
-être l'avantage de conserver l'ancienne expression sous laquelle l' état maladif est déjà connu tout en la complétant pa
M. de Rochas, il est facile de s'assurer si le sujet est ou non en état de sommeil somnambulique ou de suggestion hypno
pnotique. S'il est insensible c'est qu'il est dans l'un de ces deux états et par conséquent irresponsable. M. JOURNIAC co
mittente. Cette jeune fille qui se rend un compte très exact de son état est poursuivie depuis son enfance par une foule
e catégo- ries d'après l'acte délictueux, sans tenir compte de leur état ' Voy. Aicliîves de Neurologie, XIII, p. Hj.
leur traitement est extrêmement difficile parce qu'ils sont dans un état mental particulier, qu'ils sont madrés, rusés.
ent qui jette la plus grande perturbation dans une exploitation à l' état libre. Mais les conditions favorables peuvent ê
celui de ses parents ou des personnes qui en tiennent lieu, si l' état d'aliénation mentale n'est pas constaté par deux
e par le juge de paix du canton, qui s'assurera par lui-même de l' état du malade et renouvellera ses visites au moins un
ent d'aliénés de toute personne, interdite ou non interdite, dont l' état d'aliénation, dûment constaté par un certificat m
rondissement, lequel n'a pas la possibilité d'aller s'assurer de l' état du malade, mais qui peut seulement, en s'inspiran
en quelque sorte une démonstration anatomique de la réa- lité d'un état particulier du système nerveux. Un siècle de diva
qu'on ait pu faire et la description qu'il a donnée des différents états connus sous le nom d'hypnotisme, il est certain
yroïde comme ré ferait l'exérèse totale. Elle ne produit donc pas l' état crétinoïde, le myxmdème, comme à la suite de ce
e janvier 1887, le Dr H. M. Hurd, médecin en chef de l'asile de l' état de Michigan à Pontiac, recommande le monobromure
100 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ux. L'organe de toutes les impressions reçues de l'organisme dans l' état conscient, l'organe des impulsions de la volont
rimentale les endroits du cerveau où se trouvent les tissus, dont l' état parfait de santé forme une condition sine qua n
ns ces cavités amènent à la perte permanente de la conscience, à un état soporeux, au coma, d'où le retour aux fonctions
llucidi une tu- meur de petite dimension, probablement une gomme en état de décom- position. Ainsi les maladies de l'h
e de la pensée. Ces processus psychiques peuvent se produire dans l' état conscient et dans l'état inconscient, selon qu'
ssus psychiques peuvent se produire dans l'état conscient et dans l' état inconscient, selon qu'ils arrivent dans la sphère
te de la connaissance et la prostration de l'animal. reste dans cet état 3-24 heures, et il meurt sans avoir repris conn
couchée sur les jambes de devant et touten restant immobile dans un état inconscient, il émettait des sons plaintifs, to
cas, à léser le corpus du fornix lui-même. L'animal se trouvait en état de perte complète de la conscience, de laquelle
ahlement à la perte prolongée ou définitive de la cons- cience, à l' état soporifique et au coma. Il nous reste encore l'
lui une perte complète de la conscience et il mourut aussi dans cet état inconscient. En terminant mon travail, je dois
ve qui survient quelque temps après que les membres sont restés à l' état flasque. En résumé jusqu'à Bouchard la contract
malade depuis des années. Donc la contrac- ture d'un muscle est un état permanent d'activité, puisque la contracture en
ettre, d'accord avec son maî- tre Charcot,que la contracture est un état de strychnisme permanent delà moelle. Charcot
xpérimental et le strychnisme spontané, comme Charcot caractérise l' état tétanique des cellules des cornes antérieures d
assive, ainsi que le croyait Follin ; elle relève au contraire d'un état d'excitabilité musculaire exagérée. C'est, on n
qu'il reconnaisse que les centres moteurs médullaires se trouvent en état d'excitation exagérée au cours de la contractur
au cours de la contracture les centres moteurs médullaires sont en état d'excitation, la force inhibitrice ou frénatric
ns par contre que pendant les processus morbides il se développe un état d'excitalion quelconque dans les organes centraux
le système nerveux qui sont excités pendant la contracture, d'où un état d'excitation, ce que disaient également Charcot
. 32 - NOICA Parmi les auteurs qui ont étudié ces mouvements il l' état normal un des premiers fut Millier (1 ). Quant
LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 3 en extension, parce que même à l' état normal les extenseurs du membre inférieur sont
tisfaire. Mais si nous résumons la théorie de Bastian-Jackson : à l' état normal le cervelet excite les cellules des corn
tus. Dans les mois qui suivent il n'y a pas grand changement dans l' état de la paralysie ; la marche est presque impossi
ilité, et ces symptômes cliniques sont bien en con- cordance avec l' état anatomique du lobule paracentral, dans lequel on
e au milieu des tissus nécrosés des fragments d'écorce cérébrale en état de conservation relative (1). Or, si ces formes l
gauches avec conservation de la motilité. Pas d'hémiplégie. Pas d' état spasmodique. Epilepsie. Mort à l'âge de 47 ans. L
47 ans, entrée à l'Hospice cantonal de Genève le 31 janvier 1902, en état rl'asystolie et de délire, et morte le lendemai
t les circonvolutions temporales occupent un niveau plus élevé qu'à l' état normal. ,, Sur les coupes suivantes, passant
n complète delà région rolandique inférieure, qui y fait passer à l' état normal ses fibres de projection). Cet étaleme
eptique depuis la puberté. Fait impor- tant, on ne constatait pas d' état spasmodique du côté gauche du corps; on compren
de ne pas trouver dans les symptômes cliniques, en même temps que l' état dystrophique de ce membre supérieur, une altérati
dans le nombre de ses éléments conducteurs, mais occupant comme à l' état normal toute la capsule interne et tout le pied
elle n'a pas empêché cependant le segment périphérique de subir un état dystrophique, prédominant à la main et à l'avant-
vie intra-utérine ; le segment périphérique corres- pondant est en état de dystrophie mais sans présenter de paralysie mo
état de dystrophie mais sans présenter de paralysie mo- trice, ni d' état spasmodique. La comparaison de ces deux malades,
lade insiste sur ce point. Etat actuel (mai, 1907) (Pl. V et VL). L' état général est excellent, le visage est gai,il ne
lésions sur un doigt ou un orteil échappent à toute règle connue. L' état général est resté excellent : on ne remarque co
ès s'ac- compagne de cyanose et « il persiste entre les attaques un état de torpeur et d'hypothermie locale avec un peu
17 septembre 1907, jour où elle eut une perte de connaissance. Son état de santé générale était bon ce moment, mais dep
aussi marqué à droite qu'à gauche, et en relation évi- dente avec l' état général, il n'existe, pas plus sur la jambe gauch
signification symbolique et qui devraient être la conséquence d'un état de délire, sont bien plus fréquents dans la dém
rai qu'on a décrit de ces apparats symboliques, en rapport avec des états de conscience essentiellement dépressifs de dém
s jus- qu'au moment de l'examen de la personne malade; comparer son état présent au premier; bien examiner, avant de con
la bizarrerie des statues delà villa Polagonia, près de Païenne, un état psychopathotogique des auteurs : il parle çà et
rler, altérations plus ou moins distinctes, selon les cas. Et entre l' état normal et l'état morbide, il y a un point incer
lus ou moins distinctes, selon les cas. Et entre l'état normal et l' état morbide, il y a un point incertain, oscillant, de
crire ses fines harmonies, si son habit de fête n'était pas dans un état parfait, avec ses dentelles bien repassées, et
tion de soi-même..lIs : sont déjà dans l'erreur et aux limites de l' état normal, les individus qui choisissent, par une
et les figures 9 et 10. Et cela, pour des raisons variées : pour l' état de repos relatif, parce qu'il peut avecson inte
oit dans les figures 1, 8 et 10) ; et qu'un malade déjà arrivé à un état d'agitation assez grave ne pré- sente jamais, à
au moins des 24 cas où les auteurs ont donné des indications sur l' état du crâne. Dans les cas que j'ai étudiés personn
ux, on se rend aisément compte des dimensions de cette loge et de l' état des parties profondes. On voit que la circonvolut
ment rapide de la tumeur. Puis les choses sont restées dans le même état jusqu'à la mort. Pendant toute cette longue pér
u tissu nerveux : dilatation des gaînes myéliniques, tuméfaction ou état sinueux des cylindraxes, épaissis- sement diffu
changea brusquement et se manifestèrent des symptômes du côté de son état mental. Elle se fit triste, taciturne et commen
bien conservée. On n'arrive pas à se rendre un compte très exact de l' état de la sensibilité tactile et thermique, car la
é semble intacte. On ne peut pas être exac- tement renseignés sur l' état de la sensibilité tactile et de la sensibilité pr
e la sensibilité tactile et de la sensibilité profonde à cause'de l' état mental de la'malade, ainsi que l'on a vu pour les
rs méthodes pour être renseigné le plus exactement possi- ble sur l' état précis de leur structure qui, à un premier examen
n cellulaire aiguë des cellules segmentaires qui retourneraient à l' état em- bryonnaire,donnant naissance à des cellules
de la moelle épinière ne seraient pas suffisantes pour justifier l' état de complète désagrégation des nerfs périphériques
peu près normal. Il y aurait donc une proportion manifeste entre l' état pathologique des cellules et celui de ieursproi
racines médullaires, ce qui semble creuser un fossé profond entre l' état anatomo-pathologique du système nerveux périphé
s les autres groupes musculaires qui ne sont pas paralysés sont à l' état de contracture. A cette conclusion de Mann, nou
ont pas contractés, comme étant non seu- lement paralysés, mais à l' état d'hypotonie, de relâchement (Mann), nous réservon
itudes des membres absolument analogue à celles qu'on voit dans les états de contracture. L'importance de ces mouvements po
en est plein, et elles enivrent un cerveau beaucoup plus modeste à l' état normal. Pensant qu'il est très probablement aus
, sculpture, mode- lage, de l'auto-observation médicale, etc. A ces états d'excitation qui, très exceptionnellement, ont
ambes. Celle dernière avait l'apparence d'un éléphantiasis modéré ; l' état t des jambes est celui qu'on retrouvera en 1906
t. L'enflure des jambes n'était pas augmentée à ce mo- moment, et l' état local s'améliora peu à peu ; vers le 26 janvier e
évrier elle était bruyante et elle continuait à être malpropre. Cet état anormal se prolongea en mars, avril et mai, mai
lle resta au Guy's Hospital du le' novembre au 1er décembre 1906. L' état de ses jambes à ce moment est montré par les phot
ez modérée, et il a aussi souffert des « atta- ques aiguës ». Son état actuel n'est pas mieux venu sur la photographie (
rmal dans les bruits du coeur ; tous les viscères semblaient en bon état . La cuisse était alors moins enflée, et le geno
enflés et moins rouges ; le lendemain, le malade était revenu à son état normal d'oedème, l' « attaque aiguë » ayant dur
eur de la jambe s'en était allée et l'enflure était reve- nue à son état habituel. Ces attaques sont toutes de même cara
tions qùoique elle reste un jour ou deux encore mal en train. Son état est le suivant : Les orteils sont tuméfiés sur
dont l'observation est le point de départ de tout ce travail ; son état a été décrit en détail ci-dessus. Mary qui vien
de 12 ans, a commencé à être atteinte de l'oedème des jambes. Son état n'est pas encore très mauvais, mais elle est obli
la cuisse et sur la jambe, étaient de- venues plus visibles qu'à l' état normal, mais elles n'étaient pas proémi- nentes
expli- cite ; mais, étant donnée cette histoire, il est clair que l' état d'Alice se rap- 192 HOPE ET FRENCH proche bea
comptons 13 cas sur 42 personnes de 5 gé- nérations. En France cet état morbide est appelé maladie de Meige. S'il faut
ulté pour certains cas, peut ordinairement être rejeté du fait de l' état normal du reste du corps, par la présence de la
parce que l'administration de l'extrait thyroïdien n'améliore pas l' état des jambes. Il est évident qu'il existe une cau
incipales semblent pouvoir être incriminées dans la production d'un état de ce genre : 1 Obstruction veineuse ou thrombo
s d'espèce ; il peut très bien s'agir de variations familiales d'un état essentiellement le même. Comparaison avec les d
à un âge variable, comme dans nos propres cas. Le traitement de cet état . Il n'est guère besoin de traitement dans la pl
et d'appliquer des topiques anodins sur les régions affectées. L' état de notre propre malade ne pouvait être maintenu d
inc, et d'autres encore. Rien n'apporta la moindre modification à l' état de la jambe. Un observateur a obtenu des avanta
s le cas d'Alice Wher- rell, il semble tout à fait impossible que l' état normal puisse être rappelé. Le point important
es aiguës » dont nous avons donné les détails en temps et lieu. Cet état diffère objectivement beaucoup de la maladie de
ue, mais nous avons des raisons de croire qu'il existe sous ces trois états morbides et nos cas de maladie de Milroy une co
vert par Baumann en 1895. L'iodothyrine de Baumann n'existe pas à l' état libre dans la glande ; elle est combinée aux al
décrits et interprétés à part. Je passerai donc rapidement sur l' état mental des myxoedémateux,pour m'étendre davanta
es arriérés, les hypothyroïdiens chroniques d'Hertoghe, etc. 1. L' état mental des myxoedémateux. Le myxoedème est un s
génital est moins complet ; tous les symptômes étant moins accusés, l' état intellectuel est plutôt celui de l'imbécile que
t parfaitement voisiner avec des troubles squelettiques intenses. L' état mental du myxoedémateux in- fantile est celui d
ne esquisse très rapide, parce qu'on la trouve partout détaillée, l' état mental des myxoedémateux. Je n'ai pas à faire à
tat mental des myxoedémateux. Je n'ai pas à faire à part celle de l' état mental des crétins. Le créti- nisme, en effet,
te la démonstration du rôle de l'in- suffisance thyroïdienne dans l' état mental des myxoedémateux. Voici, à titre d'exem
seule fait l'infantilisme vrai, qui n'est pas une dystrophie, mais un état morphologique. On voit la netteté de l'opinion
On voit la netteté de l'opinion de M. Brissaud. Dans ces cas-là, l' état mental, qui le puérilisme, est donc en rapport
n et non avec des perturbations toxiques d'origine glandulaire. L' état mental est lié à une anomalie de structure et non
ement du syndrome d'hypothyroïdie et, d'autre part, pour juger de l' état curateur, la contre-épreuve est impossible. II.
tiples et variétés qu'on peut observer chez les basedowiens. a) L' état psychique habituel des basedowiens. Basedow ava
des sentiments effectifs, tels sont les caractères principaux de l' état psychique des basedowiens. Interprétation. La
rétation. La nature thyroïdienne des modifications habituelles de l' état psychi- que des basedowiens ne paraît plus cont
er- sistante suscitèrent des idées hypochondriaques et amenèrent un état mé- lancolique avec hallucinations. L'état mé
iaques et amenèrent un état mé- lancolique avec hallucinations. L' état mélancolique pousse parfois les malades au suicid
et des scrupules, fut prise à 47 ans de goitre exophtal- mique avec état psychique caractériserai- une grande lassitudeave
ooliques, ou dégénératives. . Sainton conclut aussi : « Il y a un état mental spécial qui est l'apanage LES TROUBLES P
ns cas, l'intoxication n'a fait que mettre en relief ou aggraver un état plus ou moins latent. La nature toxi-thyroïdi
ent et progressivement en même temps que les symptômes physiques. L' état mental redevint normal et la guérison put être
t dans un cas de Rattner, où l'antithyroïdine de Moebius améliora l' état psychique seul sans modifier le syndrome de Based
hyperlhyroïdien. 1. Basedow fruste. Ce terme, caractérisant des états variables, n'a pas une rigueur absolue. C'est u
us à un tempérament avec ses avantages et ses inconvénients qu'à un état morbide. Qu'on en juge par cette observation de
upe, je passerai en revue les troubles psychiques observés dans les états rapportés par Léopold Lévi et II. de Rothschild à
disme et du myxoedème. Soc. thérap., 9 nov. 1904. Wolseley-Lewis. L' état mental dans le Mya : oedeM ! e. The Lancet, 23 av
En conséquence la durée to- tale du pas complet est moindre qu'à l' état normal. En outre, afin de se maintenir en équil
eur Brissaud un jeune homme qui, pendant la marche, par une sorte d' état spasmodique, tenait le membre inférieur droit à
édicateur) et est caractérisée par la différence qui existe entre l' état des trois derniers doigts et celui du pouce et
actère analogue à la main numérotée 1 : c'est la différence entre l' état des deux derniers doigts et l'état des trois prem
1 : c'est la différence entre l'état des deux derniers doigts et l' état des trois premiers. Peut-être le troisième doig
ette habitude se répète tous les soirs. Juin 1908. Depuis lors, l' état de P. n'a pas varié. 252 SÉGLAS ET STROEHUN I
d'aliments, le mutisme, les stéréotypies, si bien qu'actuellement l' état du malade rappelle quelque peu celui des dément
au moins permis de considérer que cette seconde phase se relie à un état d'affaiblissement intellectuel. En effet, l'indif
n fumeur. Depuis l'âge de 22 ans, il travaille régulièrement de son état de ciseleur, avec une courte absence à la suite
gastrique, céphalée peu marquée, qu'on rapporte à la grippe. Cet état dure quatre jours pendant lesquels le travail est
comparables à la sensation d'onglée, mais elles sont passagères. L' état général du malade est toujours excellent, aussi n
la marche. Elles persistent en dehors de tout retentissement sur l' état général. ' Le 20. - Les douleurs se sont étendu
la motilité était conservée dans les cuisses. Aucune atteinte de l' état général. Du 30 avril au 8 mai. - Tous les sympt
série de frictions à l'onguent napolitain, sans modification de son état ; puis est 264 HAUSHALTER ET COLLIN envoyée à
le renferme. Il n'est plus vésiculeux, clair, transparent comme à l' état normal. mais très foncé, d'une teinte beaucoup
l ! eclterches sur le noyau et le nucléole de la cellule nerveuse à l' état normal et pathologique. Journal sur Psychologie
x moteur redescend le long d'un faisceau pyramidal qui n'est pas en état de « perturbation », l'orteil du côté excité se
ant pas été sciée, on ne peut juger de leur partie profonde ni de l' état du ligament. Plus récemment le professeur Raymo
terre. 11 ne se pro- duisit, à ce moment, aucune modification de l' état général ; la douleur disparut au bout de deux m
léchit et les mouvements deviennent de plus en plus dif- ficiles. L' état général s'altère, et le malade tombe dans un état
s dif- ficiles. L'état général s'altère, et le malade tombe dans un état de cachexie où le trouve le docteur Pagliano eu
hérédo-traumatique, a signalé comme symptômes médul- laires : 1° Un état parétique des muscles du tronc, du cou et des mem
té précoce, avait d'ailleurs frappé é Winckelmann qui insiste sur l' état de déchéance qui peut frapper cer- tains êtres
ce traitement la malade ne ressentit aucun profit au contraire son état empira et on eut surtout une accentuation des sou
complète. La malade resta dans notre service deux mois sans que son état montrât aucun changement im- portant. Elle vomi
urs après d'avoir mangé trop vite, ce que permettait de constater l' état des matières vomies. Elle se plaignait toujours
s parents s'y opposèrent. Quand la malade quitta notre service, son état physique n'avait pas varié ; elle pesait 28 kil
ette année (15 mois après) j'ai trouvé si peu de variation dans son état qu'en publiant les deux observations entières j
ières je ne ferais que me répéter ; je vais me borner, en décrivant l' état ac- tuel, à relever les quelques modifications
étés des urines, des matières fécales et du sang nous démontrent un état parfaitement normal. Examen radiographique. - V
a soeur. Très intéressante et instructive est la compa- raison de l' état d'ossification de la main que nous venons de décr
'ÉTUDE DE L'INFANTIUSME DU TYPE LORAIN 323 de Marguerite, montre un état d'ossification très avancé et qu'on peut dire n
sujet (PI. LV),le jeune homme de 22 ans,présenle à peu près le même état d'ossification que la main de Marguerite ; quoiqu
es d'au moins 3 millimètres ; le tarse est normalement ossifié. L' état d'ossification des métatarsiens et des phalanges
nts sujets. Dans ce but nous ne ferons que tracer très rapidement l' état actuel de nos connaissances sur la question de
la clinique, y est revenu le 18 mars 1908 , il se maintient dans un état de santé suffisant. Subjectivement il accuse une
erveux; ce poison qui probablement vient du canal digestif est, à l' état normal, neutralisé par la thyroïde. Tout cela
NI ET G. GIGLIOLI anatomo-pathologiques opposés et consécutifs : un état hyperplasique et un état cachectique. C'était d
-pathologiques opposés et consécutifs : un état hyperplasique et un état cachectique. C'était d'autant plus admissible que
plus admissible que dans un le cas, chez un sujet se maintenant en état satisfaisant malgré que la maladie durât depuis
oyons encore que dans le second cas, où le malade se trouve dans un état de bien-être, tout en étant typiquement acromégal
lobe oculaire est diminuée dans tous les sens. existe également à l' état permanent un certain degré de contrature des musc
ause des synostoses prématurées a été rapportée par Virchow à « des états inflammatoires des enveloppes internes du crâne,
e, de même que les formes hydrocéphaliques peuvent se ramener à des états inflam- matoires des enveloppes du cerveau ». P
at d'un processus pathologique suscep- tible d'être rangé parmi les états inflammatoires. » L'époque d'oblitération des s
ans certaines di- rections. « Nous ne pouvons pas tenir compte de l' état du fond de l'oeil dont les modifications sont i
hez notre second malade, l'examen oculaire ne peut renseigner sur l' état de la papille en raison des phénomènes de conjonc
Il nous a paru intéressant de rapporter ces deux cas et de résumer l' état de la question en raison de l'intérêt de cette
t pas altérée, mais l'examen en est presque impossible en raison de l' état mental de Mme G... Réglée il y a 3 semaines.
riode des céphalées violentes, du délire,. de la désorientation, de l' état démentiel. Cette dernière période dura environ
s la nature, il n'y a rien de normal ou d'anormal, il n'y a que des états naturels différents. Dans la nature, il n'y a p
ilité de caractériser cette situation autrement qu'en l'appelant un état naturel, une occurrence qu'on rencontre dans la
n soi des phénomènes aberrants, irréguliers, funestes ; ce sont des états natu- rels qui coexistent, en état d'indifféren
guliers, funestes ; ce sont des états natu- rels qui coexistent, en état d'indifférence, d'affinité ou de répulsion, avec
, en état d'indifférence, d'affinité ou de répulsion, avec d'autres états naturels et, pour les qualifier d'aberrants ou de
mathématique de l'ensemble des forces qui sont entrées en jeu. Les états de la matière humaine varient donc au gré du dé
jamais malade ni souffrante, elle ne connaît que des successions d' états physico-chimiques, tous logi- ques, tous nature
us logi- ques, tous naturels, parce que déterminés. Tant pis, si un état déterminé de la matière vivante composante, lié
pis, si un état déterminé de la matière vivante composante, lié à l' état de santé et au bien-être de l'individu composé,
semble de l'organisme, homme, animal ou plante et tout sera dit. Un état aura succédé à un autre ; ce que le pre- mier p
ctuellement la vie comme un équilibre physico-chimique en perpétuel état d'instabilité c'est-à-dire de mouvement. Un agr
evons considérer d'une part DE LA PATHOGÉNIE DES NÉVROSES 375 son état structural, sa configuration chimique et, d'autre
entaire. Après avoir subi l'excitation, celui-ci n'est plus dans un état identique à celui qui existait avant que la for
llules en même temps et s'il n'avait pas conservé la mémoire de son état antérieur. S'il pouvait se transformer totalement
t une huitaine de jours, il surprenait constamment son sphincler en état de contraction pénible et, bien qu'il le relâchât
qu'il y a similitude complète entre la condition précé- dente et l' état suivant et que celui-ci est une imitation et, en
une reproduction de la première. En conséquence, la survivance, à l' état de névrose, des affections organiques après la
IE DES NÉVROSES 385 dérée, du geste dans le cas présent. Le dernier état , l'équivalent organi- que est égal à l'équivale
énomène extérieur, de telle sorte que celui-ci a son empreinte, son état correspondant, son portrait t organique dans le
t mise en liberté sous l'in- fluence d'excitations appropriées. Les états d'âme sont si peu du moral et si bien du physiq
r ou provoque des accidents semblables ; l'émotion suscite d'autres états émotionnels. Les tics, le bégaiement se reproduis
chose et qu'on y ait pensé avec plus ou moins d'in- sistance. Que d' états pathologiques ont eu pour cause un rêve et rien
excès de sensibilité, d'impressionnabilité la distingue des autres états considérés comme normaux. Certains enfants sont
mmédiat de la matière vivante considérée dans son unité ou dans ses états d'agglo- mération par un élément, une énergie q
ommence la névrose et où elle finit. La matière vivante existe en des états divers et ses manifestations s'étendent depuis
jusqu'à la folie dans ses symptômes purement psychiques, et de ces états extrêmes à la lésion commençante jusqu'aux chan
ri admirablement par la suggestion, en passant par la multitude des états gastriques intermédiaires, qui me dira où commenc
musculaire névro- sique qui, en elle-même, ne se distingue pas de l' état organique de même nom, nous arrivons à la paral
rop impressionnable prend le nom.d'hyperes- thésie. La névrose et l' état normal ne se distinguent donc que dans leurs ca
qu'elle constitue un étal différent, mais en degré seulement, de l' état de santé. Une seconde conclusion découle de l'e
l'une ou l'autre rubrique. Je comprendrais que l'on distinguât les états névrosiques les uns des autres, si chacun avait
second à l'homme. Il y a quelques années, la synthèse de tous les états névrosiques aurait paru impossible, parce que,
m'ont jamais im- pressionné. Où est donc la barrière qui sépare les états névrosiques ? Il n'y a ni abîme, ni fossé, ni d
athiques qui l'ont amené à l'hôpital. Cela commença, chez lui, par un état de nosophobie diffuse et par des préoccupations
êve pas, il n'a pas de cauchemars. Pierre reste six mois dans cet état , puis subitement la crise s'aggrave. C'est alor
de point d'appui et où l'équilibre est difficile à conserver. Cet état dure un an ; puis, aux environs des vendanges de
e de frapper. Ces crises d'excitation durent environ une heure ; un état de stupeur leur fait suite. Pendant les période
a prédominance manifeste des mouvements automatiques. 11 n'y a ni état catatonique, ni troubles de la contraction muscul
areils ni des organes du sens. Au point de vue mental, il existe un état de confusion notable, avec ten- dence à l'affai
imulta- nément les articulations des deux premiers métatarsiens à l' état normal (pre- mier et deuxième cunéiformes). P
ains et des pieds ; 2° la coexistence, avec ces malformations, d'un état constitutionnel de dégénérescence men- tale ; 3
nt les malformations des extrémités, se préoccupant peu ou pas de l' état mental. Aussi ont-ils conclu, pour la plupart,
ler de façon plus précise l'attention des futurs observateurs sur l' état mental des syndactyles. 4° L'existence actuelle
ORISETTI Coude. - L'articulation du coude est anormale du fait d'un état globuleux de l'extrémité inférieure de l'huméru
érus, où les saillies et les fossettes sont moins accentuées qu'à l' état normal ; la fosse coronoïde est remplacée par un
e d'apparition de la puberté et des caractères sexuels accessoires, état enfantin de l'intelligence et du caractère ; mais
artilages épiphysaires à un âge auquel ils sont normalement dans un état d'ossification beaucoup plus avancé ; la thèse so
nt de S il 6 ans ; l'examen radiogra- phique montra au contraire un état d'ossification tout à fait correspondant à celu
tent plus évidents les caractères du syndrome myxoedémateux,moins l' état de bouffissure des téguments qui est remplacé par
éré par plusieurs auteurs comme un carac- tère eunuchoïde joint à l' état presque atrophique des organes génitaux, nous f
rénavant donner aucune valeur pour le dia- gnostic différentiel à l' état plus ou moins avancé de l'ossification des car-
présentent aucun symptôme. Il n'existe pas non plus chez elles cet état thymique-lymphatique qui, selon Gaspero, devrai
antilisme envisagé par Lorain n'est en somme rien autre chose qu'un état dystrophique général produit et entretenu pendant
normal vu qu'il manque tout symptôme dystrophique des téguments ; l' état de relative intégrité de l'intelligence dépose
justes ; 6° Augmentation de la suggestibilité; 7° Disposition aux états affectifs anxieux. Au contraire chez les malade
s les jugements et une conceplion très exacte et très juste de leur état de santé ; et delà part de l'ainée une apprécia
d'après la marche de la maladie. Plus souvent la maladie passe à un état chronique et peut présenter alors, selon Oppenh
nfin aux conclu- suivantes. Nos trois sujets présentent, de par l' état de leur développement somati- que et psychique,
erheilk., 18-il. Bernard LÉON. Rôle des glandes surrénales dans les états pathologiques. Presse méd., 10 août 1907. Ber
ise d'une crise de céphalée vive avec vomisse- ments, hyperthermie, état général mauvais, puis coma. Son caractère changea
men (hemihypoesthésie gauche, ovaralgie dermographisme très évident, état des réflexes superficiels et profonds normal) ;
; je la prie de me montrer un moment ses pieds, désirant examiner l' état de ses réflexes cutanés. Elle me prie de ren- v
fille n'avait plus de crises convul- sives ; elle travaillait, son état général était très bon. Un jour, chez elle, en
un poison facile à déceler (phosphore, acide minéral, alcali...). L' état de la malade est trop grave ; on ne peut essayer
duraient parfois toute la nuit. Pas d'anémie, pas d'albuminurie ; un état général très bon ; un train dévie assez fatigan
cardite urémique. Cette péricardite urémique est caractérisée par l' état urémique du sujet, par le fait que ces frotteme
sociation morbide, mais d'une affection secondaire, dépendante de l' état urémique du sujet. Encore un exemple : nombre d
la pâleur extrême du « doigt mort » du « petit Brightisme ». A cet état de vasoconstriction vasale ne suit pas une dilata
tériques; mais il est certain.aussi que cette faculté se trouve à l' état d'ébauche chez tous les hommes, et particulière
teints d'hystérie ? Je ne le crois pas. Le pithiatisme se trouve en état d'ébauche chez tous les hommes. Seulement chez
tement raison. Mais lorsque la crédulité du sujet s'accompagne d'un état mental spécial qui rende la volonté esclave des
té esclave des idées que nous' lui mettons dans la tôle, et que cet état mental est permanent et dominant au lieu d'être e
et que cet état mental est permanent et dominant au lieu d'être en état d'é- bauche, on a bien le droit, je crois, de p
ggestionnabililé de ses mani- festations. Elle comprend en outre un état psychique particulier dont les caractères princ
u- pré), la diminution du contrôle cérébral. Elle comprend aussi un état physique spécial capable de réagir d'une façon
IBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANÉES SPONTANÉES 503 Lorsque cet état psychique particulier fait défaut, on n'a pas le
car il se présentait en dehors de l'accès convulsif dans l'apparent état de santé générale. Je désire encore noter que c
coolisme et morphinisme) , de la paralysie générale, et de certains états convulsif s. Appelé, en 1893, à la chaire de Cl
/ 193