ussi de la névrose hystérique qui pourrait bien être là présente, à l'
état
d'isolement ou d'assooiation. IV. Pouvons-nou
uelques cas rares, révolution est rapide, fébrile et se termine par l'
état
comateux, il en est d'autres plus communs où la m
n à la région paracentrale, et se rapprochant de façon à déterminer l'
état
de mal. Par ce fait, le malade est en danger de m
utre part, les signes de phthisie pulmonaire ne sont pas très nets, l'
état
général est relativement bon; peut-être avons-nou
'asystolie menaçait, l'œdème apparaissait aux membres inférieurs et l'
état
général ne tardait pas à devenir désespéré, faisa
l aux questions que nous lui adressons, paraissant se trouver dans un
état
bizarre de demi-conscience et l'air préoccupé. Pr
s dans son imagination. A ce moment précis où elle se trouve dans cet
état
bizarre, les impressions sensorielles restent san
tures qui persistaient. La malade revient alors progressivement à son
état
habituel et la mémoire de tout ce qu'ellp a vu pr
ons beaucoup plus complexes et plus variées. Nous n'avons pu ni à l'
état
de veille, ni pendant la période somnambulique ob
, mais, dépitée, s'arrête. Nous avons appris, en le lui demandant à l'
état
de veille, qu'elle ne connaissait pas cette derni
re rouge. Le placement des divers verres devant lesyeux du malade à l'
état
normal ne produit pas l'attaque et ne provoque au
l'éther, le chloroforme, le verre bleu, l'eau de Cologne. Si ces deux
états
sont comparables à ce point de vue, ce qui n'est
alade réagit surtout suivant ses souvenirs, qui ne varient point d'un
état
à l'autre, puisqu'ils forment une partie de subst
somnambulisme est un mot vague sous lequel sont confondus une masse d'
états
distincts : le somnambulisme qui survient spontan
pirerons ici, de tenter la classification nosographique de ces divers
états
. Si les somnambulismes méritent d'être étudiés
), dit ce dernier auteur, lorsque les fonctions qui appartiennent à l'
état
de veille s'exécutent pendant un sommeil d'ailleu
n sommeil d'ailleurs normal. » Nos connaissances relativement à cet
état
sont très peu précises, car les observations ne p
ité neuropathique. (1) Gilles de la Tourette. — L'Hypnotisme et les
états
analogues, p. 171, Paris, 1887. C'est ordinaire
expression motrice d'un rêvo, qui, en raison de son intensité ou do l'
état
spécial du sujet, passerait de l'idée à l'acte.
es incertitudes qui régnent encore sur bien des particularités de cet
état
, il est relativement facile de le reconnaître et
e de le reconnaître et de le diagnostiquer, si l'on tient compte de l'
état
tout à fait normal du sujet dans l'intervalle des
senté antérieurement des accès de somnambulisme, pense que ce dernier
état
se rapproche à ce point de l'hystérie qu'il est a
6 jours. Dans la plus longue de ces fugues, le sujet, livreur de son
état
, se rappelle avoir fait la troisième de ses cours
xplications, et le trouvant porteur d'une somme importante, le met en
état
d'arrestation. Ce n'est qu'après avoir passé quel
que elle-même, de l'autre le somnambulisme hypnotique. Entre ces deux
états
prennent place tous les intermédiaires. Ce n'es
p-toïde) et la deuxième (convulsive) de l'attaque peuvent exister à l'
état
d'isolement, il arrive aussi que la troisième pér
héra peutique, 1889, p. 768. des attitudes passionnelles isolée à l'
état
de simplicité, et anormalement prolongée. » Exa
, pour ainsi dire, d'une double vie, passant alternativement par deux
états
que M. Azam a désignés sous les noms de « conditi
les noms de « condition première » et « condition seconde ». Dans son
état
normal ou condition première, la malade est grave
et, revenue à elle, on la trouve en condition seconde. Dans ce nouvel
état
, son caractère a changé : elle est devenue gaie e
isive. Elle se souvient de tout ce qui s'est passé pendant les autres
états
semblables qui ont précédé et pendant sa vie norm
torpeur la reprend, et elle revient à sa condition première. Dans cet
état
elle a oublié tout ce qui s'est passé dans sa con
atégorie est non moins intéressante; elle est dotée, elle aussi, d'un
état
n° 1 et d'un état n° 2. Tout ce qui se passe dans
oins intéressante; elle est dotée, elle aussi, d'un état n° 1 et d'un
état
n° 2. Tout ce qui se passe dans l'état n° 2, elle
aussi, d'un état n° 1 et d'un état n° 2. Tout ce qui se passe dans l'
état
n° 2, elle ne le sait que dans un nouvel état sem
ce qui se passe dans l'état n° 2, elle ne le sait que dans un nouvel
état
semblable, et il en est de même pour l'état n° 1.
e sait que dans un nouvel état semblable, et il en est de même pour l'
état
n° 1. Elle renferme donc, en réalité, deux pers
en réalité, deux personnalités qui s'ignorent l'une l'autre. Dans son
état
n° 2, elle offre les signes somatiques de la cont
somatiques de la contracture somnam-bulique qui n'existent pas dans l'
état
1 ; de même l'hémi-anesthésie et le rétrécissemen
esthésie et le rétrécissement double du champ visuel, observés dans l'
état
2, sont très exagérés dans l'état 1 : on note enf
le du champ visuel, observés dans l'état 2, sont très exagérés dans l'
état
1 : on note enfin chez elle, dans l'état 1, une v
2, sont très exagérés dans l'état 1 : on note enfin chez elle, dans l'
état
1, une véritable abasie, qu'on ne retrouve pas da
le, dans l'état 1, une véritable abasie, qu'on ne retrouve pas dans l'
état
n° 2. Du côté psychique, elle se conduit comme
tat n° 2. Du côté psychique, elle se conduit comme tout le monde en
état
2, mais elle y est éminemment sugges-tibie, dispo
est éminemment sugges-tibie, disposition qu'on ne constate pas dans l'
état
normal. Enfin, lorsqu'elle passe de l'un à l'autr
qui est également hystéro-épileptique, se trouve depuis 3 ans dans un
état
second tout à fait semblable; c'est-à-dire qu'ell
clef qui permet de se rendre compte de la place nosographique de ces
états
. M. Charcot fait remarquer, avec raison, qu'il ex
it remarquer, avec raison, qu'il existe une sorte de gradation de ces
états
, gradation qui va de l'attaque passionnelle norma
ut s'en rendre compte parla constatation des signes somatiques de cet
état
. Il existe une hyperexcitabilité musculaire qu'on
me ordre, exercées sur leurs antagonistes. On remarque aussi dans cet
état
une exaltation notable de la puissance musculaire
u'il plaît à l'expérimentateur de lui ordonner. De même que clans les
états
précédents, il oublie au réveil tout ce qui s'est
s contradictoires, à savoir qu'il existe des rapports étroits entre l'
état
hypnotique et l'état hystérique. Somme toute, s
savoir qu'il existe des rapports étroits entre l'état hypnotique et l'
état
hystérique. Somme toute, si l'on fait abstracti
ncore insuffisante aujourd'hui pour permettre de les classer (1), les
états
somnambuliques se réduiraient aux suivants : somn
ant aller, si les attaques deviennent subintrantes, jusqu'à simuler l'
état
de mal épileptique (état de mal hystérique épilep
s deviennent subintrantes, jusqu'à simuler l'état de mal épileptique (
état
de mal hystérique épileptiforme de Charcot) (3).
. totypes. M. Mesnet, initiateur dans la matière, caractérisait cet
état
délirant qu'il avait observé avec les plus grands
urt avec agilité et saute sur les bancs, alors qu'il lui fallait, à l'
état
de veille, un bras pour la soutenir pendant la ma
intermédiaire d'aucun élément convulsif, aussi bien que le retour à l'
état
normal qui marquait la fin de la crise. C'est dan
sser à côté de lui pendant une de ses crises sans se douter dans quel
état
il était, sauf qu'il avait alors une propension à
le délire peut être accompagné des autres phénomènes de l'attaque à l'
état
d'intégrité ou de simple ébauche, ou, dans d'autr
xamen médico-légal de M. Garnier. Laissant de côté ces trois derniers
états
qui ne nous occupent point ici, nous voyons que,
n particulier, sont remarquables par une sorte de ressemblance avec l'
état
de veille, et l'exécution d'actes coordonnés. Ent
délire. Il s'adressait à son père, effaré de voir son enfant dans cet
état
, et lui disait : « Allez-vous-en, Monsieur. Vous
êvait de gros chiens qui l'attaquaient. Les choses restèrent dans cet
état
pendant cinq mois. Un beau soir, au moment de se
en comptant rapidement : « Un, deux, trois, quatre. » Il sort de cet
état
soit sans transition bien accusée, soit par l'int
sme qui se prolongeait quelquefois jusqu'au lendemain matin. Dans cet
état
il mangeait, buvait, sortait dans la rue, se fais
i me raconta que quelques jours auparavant elle avait été frappée à l'
état
de veille par la physionomie d'un aveugle dont le
vant elle pour jouer avec, comme un chât qu'elle était, tandis qu'à l'
état
de veille elle n'y aurait même pas fait attention
anquille et ne donne pas au patient des allures bien différentes de l'
état
de veille. Il sera très facile à un observateur n
Eh bien, il n'en est rien. On n'a nullement chez ce malade produit l'
état
hypnotique, mais simplement développé une attaque
qui est tout à fait identique à l'écriture habituelle de l'enfant à l'
état
de veille. taient un pou plus tard, voilà tout,
anda sévèrement, le menaçant de la punition divine (il était dans son
état
normal à ce moment). Il rentra chez son patron to
is présente quelques poils naissants, en moins grande quantité qu'à l'
état
ordinaire à cet âge, La verge est assez volumineu
on, sinon la voix du malade, change pendant la période délirante. A l'
état
normal, il parle posément, doucement, avec une pa
rendre un développement beaucoup plus considérable et s'installer à l'
état
continu pendant des jours entiers, sans laisser p
des jours entiers, sans laisser place un seul instant au retour de l'
état
normal. Ce fait s'est produit à plusieurs reprise
e de mouvements choréiques analogues à ceux qu'elle présente dans son
état
normal, mais ces mouvements choréiques durent peu
régions spas-mogènes et spasmo-frénatrices qu'elle présente dans son
état
habituel restent insensibles dans son état de dél
qu'elle présente dans son état habituel restent insensibles dans son
état
de délire ; ainsi la pression du sommet de la têt
son état de délire ; ainsi la pression du sommet de la tête, qui, à l'
état
normal, provoque une attaque de chorée rhythmée,
e même pour la compression de la région ovarienne droite, qui, dans l'
état
ordinaire, arrête ses attaques d'hystéro-épilepsi
ans qu'elle est à la Salpêtrière. nous remettons la malade dans son
état
normal en lui comprimant la région ovarienne et e
on sensorielle sont très souvent identiques dans l'un et dans l'autre
état
. Signalons seulement le verre jaune donnant l'hal
est pas sans intérêt cependant de rapprocher l'un de l'autre ces deux
états
analogues d'activité mentale inférieure, qui, à u
sang. On lui mit un vésicatoire sous l'aisselle. Il était dans cet
état
, alité constamment, lorsque, le quatrième jour ap
l fit à la Salpêtrière un premier séjour (20 août au 30 octobre). Son
état
était alors exactement ce qu'il est maintenant.
aient ces bêtes qu'il écrasait ainsi. Nous lui avons demandé dans son
état
normal s'il ne rêvait jamais d'animaux quelconque
mpressionnabilité à la parole, le malade est cependant encore dans un
état
de concentration bien profonde. Il suffit, pour s
e d'apparence si singulière ? Il nous semble avoir sa solution dans l'
état
hallucinatoire qui crée l'idée-image et donne à l
la phase épileptoïde, on peut voir celle-ci, dans ce qu'on appelle l'
état
de mal hystérique épileptiforme, s'individualiser
grande crise complète, pas plus que des anomalies rares, telles que l'
état
de mal hystérique épileptiforme ou les attaques d
e la pression sur les globes oculaires. On verra plus loin quel est l'
état
dans lequel on met en réalité le malade à l'aide
avec une épingle le côté droit de la face, qui était anesthésique à l'
état
de veille; aussitôt le malade manifeste que la se
é gauche, au contraire, il y a une anesthésie, qui n'existait pas à l'
état
de veille. En même temps, il s'écrie : « Oh! les
propres du délire que présentait ensuite le malade, de distinguer cet
état
de somnambulisme hystérique de la véritable hypno
er des suggestions de ce genre, soit dans l'hypnotisme, soit dans les
états
ne relevant pas véritablement de l'hypnose, mais
endant à cette époque, apportait à l'écriture, nous l'avons prié, à l'
état
de veille, de nous tracer une page d'écriture, un
nons plus loin le fac-similé (Voyez planche II, Fig. 1). Etant dans l'
état
de veille, il a mis sept minutes à écrire avec di
fin du dernier vers du tercet précédent. Dans la pièce écrite dans l'
état
somnambulique, il n'a eu garde de laisser passer
s placées à dessein en regard de celles qu'il avait écrites pendant l'
état
de veille. L'écriture est toute différente, com
arbres, à l'avant-dernier, sein au Lieu de fond. Enfin, tandis qu'à l'
état
de veille il avait mis sept minutes à écrire ces
sogne. A ce moment nous lui mettons sous les yeux le manuscrit de l'
état
de veille et il commence aie relire, corrigeant t
rections et l'arrètons-nous avant qu'il en soit arrivé là. Revenu à l'
état
normal, il ne se rappelle pas avoir rien écrit, n
issons dans le nombre, parce qu'elle donne une idée assez exacte de l'
état
moral habituel de notre malade, plus riche d'espr
t qu'il « dormait », car il n'avait encore rien composé là-dessus à l'
état
de veille, et, d'autre part, dans cet état de vei
rien composé là-dessus à l'état de veille, et, d'autre part, dans cet
état
de veille, il lui eût fallu deux bonnes heures po
yperacuité de la mémoire bien remarquable. Il est peu probable qu'à l'
état
de veille il se fût ainsi souvenu, après vingt jo
tait du reste à peu près ainsi pour tous les faits accomplis dans son
état
somnambulique, du moins autant que nous pouvions
énomène montre qu'il existe évidemment une sorte de liaison entre les
états
somnambuliques successifs chez cet homme. Cela ne
ls se souviennent en général de tous les faits de la veille pendant l'
état
somnambulique, ainsi qu'il est toujours facile de
mpte. Leur personnalité n'est donc pas véritablement changée dans cet
état
. Le dédoublement de leur moi se manifeste seuleme
elles. L'élément convulsif y est toujours représenté, quelquefois à l'
état
d'ébauche, quelquefois dans son complet développe
jeune fille au grand délire hystérique de huit jours de durée, esta l'
état
normal une jeune personne un peu timide, légèreme
une simple réminiscence des pensées qui ont occupé les malades hors l'
état
d'attaque (1). » Une pareille affirmation, sous c
onduites au gré de l'expérimentateur. Il existe, en effet, dans cet
état
, une sorte de mono-idéisme très particulier, expl
pport avec son délire. » Et plus loin il définit en quelques mots cet
état
de monoidéisme en disant que « la véritable carac
nent ou renversent suivant leurs besoins. On rencontre un semblable
état
de monoidéisme dans la période cataleptique du gr
la catalepsie. Loin de nous l'idée de vouloir identifier en tout deux
états
aussi dissemblables dans leurs manifestations ext
s délirantes qui n'est pas un des côtés les moins remarquables de cet
état
. Mais si l'on suggère une idée au cataleptique,
ans le somnambulisme hystérique. De plus, dans l'un et dans l'autre
état
, c'est par les mêmes procédés que l'on peut arriv
cinations : c'est-a-di¡re par des excitations des organes des sens. L'
état
cataleptique correspond à cet égard au degré le p
d'entre elles étaient absolument identiques dans l'un et dans l'autre
état
. La seule différence essentielle a été que, dans
hystérique, toutes deux caractérisées au point de vue psychique par l'
état
de monoidéisme, aussi nettement appréciable dans
normal, ne conserve aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant l'
état
somnambulique, de ce qu'a pensé, exécuté la perso
ée de souvenir implique une comparaison latente et la conscience d'un
état
actuel dans lequel on évoque un fait antérieur. E
nos somnambules hystériques, il ne semble pas y avoir de notion de l'
état
présent, ou plutôt, c'est l'hallucination du mome
'hallucination du moment qui en réalité constitue à elle seule tout l'
état
présent. C'est ce que M. Gilles de la Tourette en
le que le malade corail) Gilles de la Tourette. — L'hypnotisme et les
états
analogues au point de vue médico- légal, lre édit
fait une preuve indéniable que la personne délirante peut exister à l'
état
d'unité, et persister toujours la même dans les d
ongtemps, été appliquée à ces sujets qui accomplissent, dans certains
états
seconds, des actes dont ils n'ont plus conscience
seconds, des actes dont ils n'ont plus conscience ni souvenir dans l'
état
normal. On ne saurait donc mieux faire, il nous s
le entité morbide. Nous connaissons le somnambulisme hypnotique. En l'
état
actuel de la science et jusqu'à plus ample inform
n connaissons des exemples, à la catégorie des épileptiqueset sont en
état
d'automatisme ambulatoire comitial. D'autres, au
vaincre, en l'observant à ce moment, qu'elle était tout simplement en
état
de somnambulisme hystérique, que ce somnambulisme
r en touchant un point hystérogène et en ramenant aussi la malade à l'
état
de veille, au milieu de quelques convulsions repr
senté antérieurement des accès de noctambulisme, pense que ce dernier
état
se rapproche à ce point de l'hystérie, qu'il est
i-là est actif, il parle de lui-même, va, vient, exécute, suivant son
état
de délire, des actes plus ou moins naturels ou bi
haise, sur laquelle nous l'avons placée pour la faire passer dans cet
état
. La seule manifestation d'activité qu'elle donne,
ns sensorielles simples donnant chez elles les mêmes résultats qu'à l'
état
de veille et ne produisant aucune hallucination.
et ne produisant aucune hallucination. Enfin elle est passée dans cet
état
d'hypnose sans la moindre convulsion. On pourra
re convulsion. On pourra même, dans certains cas, comparer ces deux
états
chez le même sujet et voir encore mieux, par là,
u somnambulisme hypnotique. Il paraîtra difficile de confondre deux
états
aussi dissemblables. Non pas sans doute qu'ils so
Salpêtriere depuis dix ans déjà ; il y a cinq ans, elle tomba dans un
état
très particulier, qu'à cette époque j'avais, sino
t psychiques que somatiques de l'hypnotisme peuvent se rencontrer à l'
état
de veille, sans qu'il soit nécessaire de faire in
e de faire intervenir les pratiques d'hypnotisa-tion. Il semble que l'
état
d'hypnotisme qui, pour d'autres, est un état arti
sa-tion. Il semble que l'état d'hypnotisme qui, pour d'autres, est un
état
artificiel, soit pour ces singulières créatures l
autres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures l'
état
ordinaire, l'état normal, si tant est qu'en parei
t artificiel, soit pour ces singulières créatures l'état ordinaire, l'
état
normal, si tant est qu'en pareille circonstance i
al, si tant est qu'en pareille circonstance il puisse être question d'
état
normal. Ces gens-là, passez-moi le mot,dorment,al
lambulùme » a été proposé par MM. Eggeret Lereboullet pour désigner l'
état
second dans le cas de Felida observé par M. le pr
'on n'ait employé aucune manœuvre d'hypnotisation, par conséquent à l'
état
de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la c
es et psychiques du grand hypnotisme existaient chez cette malade à l'
état
de veille d'une façon permanente. Or, ce n'est pa
que les choses se passent, et, en réalité, cette malade présente deux
états
; c'est là, en somme, un exemple de ce que l'on co
quée qui concerne les différentes modalités du sommeil morbide ou des
états
analogues, le mieux est de prendre chaque fait, e
ervice où elle est restée depuis. En 1884, après une longue période d'
état
de mal hystérique, — cet état de mal, que vous co
is. En 1884, après une longue période d'état de mal hystérique, — cet
état
de mal, que vous connaissez, est comparable à l'é
ystérique, — cet état de mal, que vous connaissez, est comparable à l'
état
de mal épileptique, avec cette différence qu'il n
ine jamais, autant qu'on sache, par la mort — elle est tombée dans un
état
particulier, que nous appellerons son état second
— elle est tombée dans un état particulier, que nous appellerons son
état
second ou son état B, lequel a persisté depuis, p
dans un état particulier, que nous appellerons son état second ou son
état
B, lequel a persisté depuis, presque sans discont
tantôt spontanés, tantôt provoqués, en tout cas de peu de durée, de l'
état
antérieur, état prime, état A. Il suit de là qu
, tantôt provoqués, en tout cas de peu de durée, de l'état antérieur,
état
prime, état A. Il suit de là que, dans l'état n
voqués, en tout cas de peu de durée, de l'état antérieur, état prime,
état
A. Il suit de là que, dans l'état n° 1, Hab...
de l'état antérieur, état prime, état A. Il suit de là que, dans l'
état
n° 1, Hab... connaît tous les événements de sa vi
et ignore ce qui lui est arrivé de 1885 à 1890, — tandis que, dans l'
état
n° 2, elle se souvient seulement des divers incid
vers incidents datant de cette dernière période. Cependant ces deux
états
, si nettement séparés l'un de l'autre, sont encor
tre, sont encore rattachés l'un à l'autre par un fonds commun. Dans l'
état
B, en effet, il reste de l'ancienne personnalité
tre personnalité de la malade. Dans sa seconde personnalité, dans l'
état
B, Hab... est anesthésique totale. La perte de la
t rares. Elles sont régulièrement conformes au grand type. Mais son
état
psychique est surtout particulier ; elle n'est re
larité bien intéressante, elle sait lire, écrire et calculer dans cet
état
B ; c'est qu'une malade du service (la nommée L..
ntaires. Je vous fais remarquer, en dernier lieu, que, dans ce même
état
B, Hab... présente tous les caractères du grand h
aty sont mélangés, au lieu d'y être groupés de façon à constituer des
états
distincts. Nous allons, à présent, examiner com
s. Nous allons, à présent, examiner comparativement Hab... dans son
état
A. L'injonction simple suffit, pour peu qu'elle s
s l'ordre, mais désormais nous allons reconnaître les caractères de l'
état
prime, état A. Dans cet état, où vous la voyez
ais désormais nous allons reconnaître les caractères de l'état prime,
état
A. Dans cet état, où vous la voyez maintenant,
allons reconnaître les caractères de l'état prime, état A. Dans cet
état
, où vous la voyez maintenant, la malade est très
est, en effet, entrée dans le service une quinzaine de jours avant l'
état
de mal qui a changé la personnalité d'Hab... : «
tracture, suggestibilité) qui se montraient à un si haut degré dans l'
état
B. Ces périodes d'état A sont, en général, asse
qui se montraient à un si haut degré dans l'état B. Ces périodes d'
état
A sont, en général, assez courtes. Elles ne duren
ttaque, moins accentués cependant, qui président à la transition de l'
état
A dans l'état B. Cette transition se fait soit sp
accentués cependant, qui président à la transition de l'état A dans l'
état
B. Cette transition se fait soit spontanément, so
opinion est qu'il s'agit là d'une attaque d'hystérie transformée. Ces
états
de vigilambulisme me paraissent tout à fait analo
développement prépondérant, ainsi que cela se voit par exemple dans l'
état
de mal hystérique épileptiforme, où la phase épil
ntes. La plupart des psychologues admettent qu'il existe en nous, à l'
état
normal, 180 - altérations de la personnalité,
rsonnalité complète. Cette division du moi est moins marquée dans l'
état
normal que dans l'état pathologique et, par consé
Cette division du moi est moins marquée dans l'état normal que dans l'
état
pathologique et, par conséquent, plus facile à ob
sonnalité, « le sentiment général du corps est complètement changé. L'
état
nouveau sert de base à une nou- (1) Griesinger.
roche beaucoup plus en ce sens de la deuxième personne étudiée dans l'
état
normal et l'état pathologique par quelques auteur
us en ce sens de la deuxième personne étudiée dans l'état normal et l'
état
pathologique par quelques auteurs et en particuli
art, j'ai montré l'analogie frappante qui existe au point de vue de l'
état
psychique et de la nature de la suggestibilité en
ent de la personnalité. C'est qu'en effet cette ressemblance avec l'
état
normal est singulièrementaccentuéechez les malade
ffet, au point de vue psychique, le phénomène le plus saillant de cet
état
de dédoublement. Ainsi que le dit M. Gilles de la
d., juillet 1874). (2) Gilles de la Tourette. — L'hypnotisme et les
états
analogues au point de vue médico-légal.— lre édit
t place à l'autre, ou plus proprement lorsque pour la première fois l'
état
second (condition seconde, état B) se substitue à
ement lorsque pour la première fois l'état second (condition seconde,
état
B) se substitue à l'état prime (état normal, cond
mière fois l'état second (condition seconde, état B) se substitue à l'
état
prime (état normal, condition première, état A),
'état second (condition seconde, état B) se substitue à l'état prime (
état
normal, condition première, état A), le sujet gar
état B) se substitue à l'état prime (état normal, condition première,
état
A), le sujet garde toujours quelques notions d'un
D'autres notions aussi subsistent la plupart du temps dans le second
état
. Mais je reviendrai plus loin sur ces particulari
oncer autres parollcs, que, Père Jean, et belle Marie... » Dans cet
état
elle se rendit à la chapelle pour y entendre la m
vec langue espesse, et fort difficilement, à la guise d'enfant. » Cet
état
dura du 10 au 19 novembre de l'année 1584 et disp
peu à peu elle arriva à se familiariser avec eux. Elle était dans cet
état
depuis plusieurs mois, lorsqu'un beau jour elle f
hénomènes. Cette deuxième crise de sommeil fut suivie du retour à l'
état
normal ; mais elle n'avait conservé aucun souveni
pendant l'intervalle. « En un mot, dans Vétat ancien, elle ignorait l'
état
nouveau. C'est ainsi qu'elle nommait ses deux vie
uisent ainsi pendant quatre ans, à peu près périodiquement. « Dans un
état
ou (1) Mac Nish. — Philosophy of sleep, 183!, d
en ont de leurs natures respectives; par exemple, dans les périodes d'
état
ancien, elle possède toutes les connaissances qu'
ssances qu'elle a acquises dans son enfance et sa jeunesse ; dans son
état
nouveau, ellene saitquece qu'elle a appris depuis
son premier sommeil. Si une personne lui est présentée dans un de ses
états
, elle est obligée de l'étudier et de la connaître
ître dans les deux pour en avoir la notion complète... ... Dans son
état
ancien, elle a une très belle écriture, celle qu'
rès belle écriture, celle qu'elle a toujours eue, tandis que dans son
état
nouveau son écriture est mauvaise, gauche, comme
ni les moyens de la perfectionner. » Ces phénomènes d'amnésie d'un
état
dans l'autre, d'oubli dans Yétat nouveau, de conn
leurs chez la religieuse Jeanne Féry, qui était aussi entrée dans son
état
second à la faveur d'une attaque hystérique non p
que nécessitait habituellement une myopie assez prononcée. Dans cet
état
nouveau, elle paraît beaucoup plus active et ses
d je ne suis pas en somnambulisme. » C'est qu'en effet, pendant son
état
second, la malade a conservé la notion très exact
é la notion très exacte des faits accomplis non seulement pendant cet
état
de crise, mais aussi pendant l'état normal, c'est
complis non seulement pendant cet état de crise, mais aussi pendant l'
état
normal, c'est-à-dire pendant toute sa vie antérie
t l'état normal, c'est-à-dire pendant toute sa vie antérieure. Dans l'
état
normal, au contraire, elle a perdu tout souvenir
somnambulisme. Elle est donc forcément gauche, empruntée, pendant cet
état
normal, où il lui manque des morceaux tout entier
lui manque des morceaux tout entiers de sa vie. Elle a notion de cet
état
de gêne de la condition normale lorsqu'elle se tr
re en disant : « Quand moi est bête. » Elle est plus communicative en
état
second et elle connaît si bien son état prime qu'
lle est plus communicative en état second et elle connaît si bien son
état
prime qu'elle prie les personnes à qui elle vient
i nous permet sans contredit d'assimiler véritablement les périodes d'
état
second à des attaques vulgaires d'hystérie. M. Du
quelconque à l'intérieur, provoque le réveil subit, ou le retour à l'
état
normal, avec sensation douloureuse, aggravée pa
avec sensation douloureuse, aggravée par le dépit d'être ramenée à l'
état
bête », accompagnée d'un violent «ébranlement ner
auprès de qui un individu non prévenu passerait sans se douter de son
état
, toutes les transitions possibles. Eh bien, nous
onnalité, avec persistance du souvenir de la première personne dans l'
état
second ; possibilité de faire cesser les accès en
avons point si l'auteur a constaté de visu ce passage insensible d'un
état
à l'autre. Les mots «sommeil agité » permettraien
les accès précédents et en outre de tout ce qui s'est passé pendant l'
état
de veille... Il a donc une double mémoire, l'une
tre qui s'étend à toutes les périodes du somnambulisme... Mais dans l'
état
de veille il necon-serve aucun souvenir de l'état
isme... Mais dans l'état de veille il necon-serve aucun souvenir de l'
état
somnambulique.La durée de cette phase est, si l'o
ouvrant les paupières et en lui soufflant sur les yeux. » Pendant cet
état
, il est éminemment suggestible. Il y a là un dé
e qu'on ne lui connaissait pas. C'était la première constatation de l'
état
second, du dédoublement de la personnalité. A que
tinguaient chacune des deux personnalités de sa malade. « Pendant l'
état
second, Mlle X... change complètement de caractèr
. change complètement de caractère. Douce, aimable et un peu molleà l'
état
normal, elle devient impatiente, méchante, impétu
. Elle mange avec un meilleur appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'
état
normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle cha
ier tout de suite, pour que je puisse te faire marcher. » Revenue à l'
état
normal, elle ne se rappelle absolument rien de ce
ne se rappelle absolument rien de ce qu'elle a dit ou fait pendant l'
état
second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s
me nous venons de le (1) Voir la note, p. 190. rapporter... Dès l'
état
second elle résiste vigoureusement lorsqu'on essa
déploie alors une grande force musculaire... Quand elle est dans son
état
normal, elle perd toujours au jeu de dames, mais
rmal, elle perd toujours au jeu de dames, mais lorsqu'elle est dans l'
état
second elle gagne, au contraire, toujours. » II
cun autre stigmate d'hystérie. Bien que cette jeune fille, dans son
état
second, se souvînt des faits de sa vie normale, i
faits de sa vie normale, il lui arrivait cependant souvent, « dans l'
état
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa connaissance dans l'
état
prime. » Elle parle à M. Ladame, qu'elle connaît
tat prime. » Elle parle à M. Ladame, qu'elle connaît fort bien dans l'
état
normal, comme si elle s'adressait à quelqu'un d'é
qu'il essayait de la réveiller, c'est-à-dire de la faire revenir à l'
état
prime, elle lui répondit : « Je dirai à M. Ladame
le fiancé de MUe X..., qui pouvait l'hypnotiser lorsqu'elle était à l'
état
de veille, n'avait aucun pouvoir sur elle quand e
tat de veille, n'avait aucun pouvoir sur elle quand elle était dans l'
état
second. M. Ladame fut plus heureux dans la suite.
fut plus heureux dans la suite. Il put parvenir à l'hypnotiser dans l'
état
second et par la suggestion faire disparaître les
ortée. C'est donc surtout une différence de caractère qui distingue l'
état
second. En ce qui concerne le souvenir, il est bi
r, il est bizarre de voir que la malade, bien que se souvenant dans l'
état
II de tous les faits de l'état I, oublie cependan
a malade, bien que se souvenant dans l'état II de tous les faits de l'
état
I, oublie cependant certaines figures. Elle con
on (1). Chez sa malade les facultés paraissaient plus affinées dans l'
état
second que dans l'état normal. C'est une jeune
les facultés paraissaient plus affinées dans l'état second que dans l'
état
normal. C'est une jeune fille de 22 ans chez qu
s mois consécutifs avec des retours d'une ou deux heures par jour à l'
état
normal, interrompue, comme l'état normal lui-même
s d'une ou deux heures par jour à l'état normal, interrompue, comme l'
état
normal lui-même, par des attaques convulsives ou
our calmer ses diverses douleurs, de chloral pour pouvoir dormir. L'
état
second peut se produire à la suite d'une attaque
arque le début, la malade, par une inspiration profonde, entre dans l'
état
second. « Elle jette alors autour d'elle un regar
plus vive ; elle cause et rit avec plus d'animation. Très docile à l'
état
normal, elle devient, en état second, volontaire
avec plus d'animation. Très docile à l'état normal, elle devient, en
état
second, volontaire et capricieuse. Elle s'occupe
ond, volontaire et capricieuse. Elle s'occupe de préférence, dans cet
état
, à des ouvrages de broderie ou de couture minutie
nière faculté est surtout manifeste. Le souvenir de faits oubliés à l'
état
normal se réveille et se présente à son esprit av
nfance et dont elle ne sait plus le premier mot, une fois revenue à l'
état
normal. « Pendant l'attaque de somnambulisme, l
e, la malade a gardé le souvenir de tout ce qui s'est passé pendant l'
état
normal et les attaques de somnambulisme précédent
s. « Quelquefois cependant la malade paraît avoir oublié, pendant l'
état
second, les faits qui ont immédiatement précédé l
'état second, les faits qui ont immédiatement précédé le début de cet
état
. C'est ainsi, qu'étant entrée un jour en somnambu
souvenant plus qu'on avait auparavant servi le dîner. « Revenue à l'
état
normal, la malade a complètement oublié tout ce q
ériode de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubliés pendant l'
état
normal. « Comme nous l'avons dit plus haut, la
somnambulisme chaque soir entre six et sept heures et reste dans cet
état
toute la soirée. C'est en état second qu'elle se
e six et sept heures et reste dans cet état toute la soirée. C'est en
état
second qu'elle se couche et s'endort... Dans cet
oirée. C'est en état second qu'elle se couche et s'endort... Dans cet
état
indéterminé qui sépare la veille du sommeil, elle
nature hystérique. Les phénomènes qui marquent le début des crises d'
état
second sont trop franchement hystériques (attaque
ne attaque vulgaire d'hystérie. Remarquons déjà que, dans ce cas, l'
état
second né d'une attaque de sommeil se prolonge au
fois, pendant trois mois consécutifs avec de courtes interruptions d'
état
normal de une ou deux heures par jour. Comme da
ou deux heures par jour. Comme dans les cas de Dufay, de Ladame, l'
état
II est relativement plus agréable à la malade que
Ladame, l'état II est relativement plus agréable à la malade que son
état
normal après les premières crises. Dans l'état se
le à la malade que son état normal après les premières crises. Dans l'
état
second, en effet, elle est plus vive, plus adroit
s troublée par la présence de ces lacunes de mémoire qui existent à l'
état
normal, et portent alors sur toutes les périodes
existent à l'état normal, et portent alors sur toutes les périodes d'
état
second. Si cette malade entre dans son vigilamb
nts qui se produisent pendant la nuit, alors qu'elle s'est couchée en
état
second, pourraient bien n'êire aussi que des phén
s phénomènes convulsifs par l'intermédiaire desquels elle revient à l'
état
normal. Avant d'arriver à l'histoire deb deux m
opie hystérique. Tous les soirs à une certaine heure, elle entrait en
état
second. Ordinairement triste, renfermée, dans l'é
elle entrait en état second. Ordinairement triste, renfermée, dans l'
état
normal, elle devenait subitement alors vive, gaie
itement alors vive, gaie, expansive.Un soir, pendant qu'elle était en
état
second son frère arriva à la maison. Elle manifes
1890, t. 16, f. III, p. 146). fête. Le lendemain matin, revenue à l'
état
normal, elle fut fort étonnée de le trouver là et
èrement intéressant en ce sens que sa malade présentait dans les deux
états
des phénomènes morbides différents, en même temps
mènes morbides différents, en même temps qu'une amnésie complète d'un
état
dans l'autre et réciproquement, et qu'on pouvait
que continuellement dans son existence seconde ; mais comme, dans cet
état
, il lui est impossible de boire, le médecin est o
e désaltérer, puis elle s'assoupit et se réveille de nouveau dans son
état
second. « ..... M. Verriest peut facilement pro
état second. « ..... M. Verriest peut facilement provoquer les deux
états
. Il la place dans l'existence première par l'hy
, quelles sont les personnes qui l'entourent, et profite de ce nouvel
état
pour boire avidement plusieurs verres d'eau. Pour
uffit de l'hypnotiser et de la réveiller comme précédemment. Dans cet
état
la malade est gaie, sa figure est souriante, elle
nous avons vu dans la plupart des observations précédentes, les deux
états
sont complètement séparés et dans aucun d'entre e
estations morbides qui n'existent point dans l'autre : mutisme dans l'
état
I, impossibilité d'avaler les liquides dans l'éta
e : mutisme dans l'état I, impossibilité d'avaler les liquides dans l'
état
II. Nous retrouverons un phénomène analogue dans
Là, on lui apprend le métier de tailleur, qui était compatible avec l'
état
de paralysie de ses membres inférieurs et, au bou
e de ses membres inférieurs et, au bout de quelques mois, il était en
état
de coudre convenablement. Un beau jour, il est pr
our, il est pris d'une violente crise hystérique d'où il sort dans un
état
tout à fait singulier. A son réveil, la paraplé
ingulier. A son réveil, la paraplégie a complètement disparu et son
état
psychique est totalement modifié. Il ne reconnaît
lui en parle, il demande si « on se moque de lui. » De plus, dans cet
état
, il est méchant, querelleur et voleur. Au bout de
a suite d'une attaque, la contracture a disparu et il se croit dans l'
état
antérieur au 26 janvier ; il n'a aucune notion de
il pendant vingt-quatre heures. Mais, le lendemain, il retombe dans l'
état
primitif, à la faveur d'une autre crise qui remet
se modifie et devient plus doux, bien qu'encore irritable. Dans cet
état
, il ne connaît que la deuxième partie de son séjo
n élevé. Il n'a aucune paralysie, ni anesthé-sie. On voit combien cet
état
contraste avec l'état de Roche-fort, caractérisé
paralysie, ni anesthé-sie. On voit combien cet état contraste avec l'
état
de Roche-fort, caractérisé physiquement par l'hém
re que, entre chaque expérience rappelant artificiellement tel ou tel
état
de personnalité, il retombait spontanément dans l
s la situation où il se trouvait en entrant à l'hôpital de Rochefort (
état
de Rochefort, avril 1885). Après cette expérience
érience il revint, par l'intermédiaire d'une crise convulsive, de cet
état
de Saint-Urbain avant la vipère, à l'état de Roch
ne crise convulsive, de cet état de Saint-Urbain avant la vipère, à l'
état
de Rochefort. En plaçant un aimant au niveau de
rine, en garnison à Rochefort, avant son entrée à l'hôpital. Dans cet
état
, que l'on pourrait à la rigueur considérer comme
tal. Dans cet état, que l'on pourrait à la rigueur considérer comme l'
état
le plus rappro- ché de l'état normal, dont la v
rrait à la rigueur considérer comme l'état le plus rappro- ché de l'
état
normal, dont la véritable notion se perd au milie
nt la véritable notion se perd au milieu de la succession de tous ces
états
variés de personnalité, le malade se souvient de
plégique. Nous n'irons pas plus loin dans la description des divers
états
de personnalité de Louis V... Qu'il nous suffise
pnotisable), MM. Bourru et Burotont pu produire l'apparition d'autres
états
. C'est même en partie par ce moyen qu'ils sont ar
soins de M. Mabille (1), il présenta des attaques de déroulement des
états
successifs de personnalité. Dans ces crises, on l
de phénomènes pathologiques ayant caractérisé l'un quelconque de ses
états
(suggestion de la paraplégie de Bonneval, par exe
e véritables crises de somnambulisme hystérique relatives tantôt à un
état
, tantôt à un autre. En résumé, nous retrouvons
un autre. En résumé, nous retrouvons chez ce jeune homme plusieurs
états
bien distincts de personnalité : En premier lie
plusieurs états bien distincts de personnalité : En premier lieu, l'
état
dans lequel il se trouvait dans (1) Mabille et
Saint-Urbain, âgé de dix ans, doux et docile de caractère ; puis l'
état
dans lequel il était pendant la seconde partie du
é de 17 ans, paraplégique, arrogant, méchant et voleur ; les divers
états
de Bicêtre (1er séjour, 1883 à 1885) ; l'état d
oleur ; les divers états de Bicêtre (1er séjour, 1883 à 1885) ; l'
état
de Rochefort, avant d'entrer à l'hôpital, où i es
e, et le début de son séjour à Bonneval, quand il était tailleur. Cet
état
peut être jusqu'à un certain point considéré, si
t peut être jusqu'à un certain point considéré, si l'on veut, comme l'
état
normal ; l'état à son entrée à l'hôpital de Roc
à un certain point considéré, si l'on veut, comme l'état normal ; l'
état
à son entrée à l'hôpital de Rochefort, avec hémip
miplégie droite sensitivo-sensorielle et motrice, l'oubli de tous les
états
de sa vie autres que la deuxième partie de son sé
val (non paralysé) et son premier séjour à Bicêtre (1884). Tous ces
états
, et j'en passe, et non des moins intéressants, te
ne fois de plus sur la manière dont le malade entrait dans ses divers
états
de personnalité ou en sortait, c'est-à-dire par l
pas le cas de M. Tissié (1) pour cette raison que le malade, dans son
état
second, était sous le coup d'une impulsion morbid
. Il n'agissait donc pas, à proprement parler, comme une personne à l'
état
de veille, dans ses fugues dont les unes étaient
e qu'elle appelle « sa crise ». En fait, elle entre dans son deuxième
état
. Voici comment : elle est assise, un ouvrage de c
e, et elle ne souffre pas des nombreuses douleurs névralgiques de son
état
ordinaire. Dans cet état, que M. Azam a nommé sa
des nombreuses douleurs névralgiques de son état ordinaire. Dans cet
état
, que M. Azam a nommé sa condition seconde, Félida
vie, se souvenant non seulement de son existence ordinaire, mais des
états
semblables à celui dans lequel elle se trouve. El
celui dans lequel elle se trouve. Elle a conservé également, dans cet
état
, toutes les notions acquises dans l'état I et dev
conservé également, dans cet état, toutes les notions acquises dans l'
état
I et devenues plus ou moins automatiques, lire, é
it marqué l'entrée en condition seconde) et Félida s'éveille dans son
état
ordinaire. Mais elle est sombre, morose, et elle
nnée à un jeune homme qui devait être son mari, et, un jour, dans son
état
normal, elle m'a consulté sur les phénomènes sing
on seconde se sont accrues et elles ont égalé en durée les périodes d'
état
normal. Alors Félida présentait ce phénomène sing
ulier que pendant une semaine, par exemple, bien qu'elle fût dans son
état
normal, elle ignorait absolument tout ce qu'elle
rmale, il s'est trouvé que, pendant nombre d'années, les périodes d'
état
normal ne duraient que trois à quatre jours, souv
que grosse bêtise causée par le manque de souvenir. De plus, dans cet
état
, ses manifestations hystériques s'aggravaient et
qu'elle fit plusieurs tentatives de suicide. En même temps que les
états
de condition seconde empiétaient de plus en plus
kyste de l'ovaire. Voici, au point de vue intellectuel, quel est son
état
. « Depuis environ neuf à dix ans, les périodes
ue cela aurait lieu, c'est-à-clire par l'installation définitive de l'
état
second. Car, bien qu'aujourd'hui l'alternative de
urd'hui l'alternative des deux personnalités n'existe plus guère, cet
état
normal qui l'a remplacée doit être creusé de lacu
ère crise dure vingt jours. Puis tout cesse et l'enfant revient à son
état
antérieur. Quelques jours après, retour des acc
s jours après, retour des accidents convulsifs et, à leur suite, de l'
état
d'amnésie, comme précédemment. Cette fois cet éta
à leur suite, de l'état d'amnésie, comme précédemment. Cette fois cet
état
se prolonge pendant deux mois, puis guérit. Après
et état se prolonge pendant deux mois, puis guérit. Après huit mois d'
état
normal, les phénomènes convulsifs reparaissent, b
es phénomènes convulsifs reparaissent, bientôt suivis d'une période d'
état
second qui dure un peu plus d'un mois. Enfin une
bulisme se jugeait par une attaque et tout rentrait dans l'ordre. Cet
état
bizarre finit, au bout de quelque temps, par se p
entouraient et s'absorbait dans des lectures interminables. Quand cet
état
cessait, interrompu par quelque attaque convulsiv
z vu pour acquérir la certitude que cette jeune fille présentait deux
états
bien distincts : l'un, état A, état prime, état n
de que cette jeune fille présentait deux états bien distincts : l'un,
état
A, état prime, état normal, état de veille pendan
ette jeune fille présentait deux états bien distincts : l'un, état A,
état
prime, état normal, état de veille pendant lequel
ille présentait deux états bien distincts : l'un, état A, état prime,
état
normal, état de veille pendant lequel elle ne pou
it deux états bien distincts : l'un, état A, état prime, état normal,
état
de veille pendant lequel elle ne pouvait marcher
onservait le souvenir des faits de toute sa vie antérieure ; l'autre,
état
B, état second, coiidition seconde, état anormal,
t le souvenir des faits de toute sa vie antérieure ; l'autre, état B,
état
second, coiidition seconde, état anormal, état de
sa vie antérieure ; l'autre, état B, état second, coiidition seconde,
état
anormal, état de vigilambulisme, dans lequel elle
ure ; l'autre, état B, état second, coiidition seconde, état anormal,
état
de vigilambulisme, dans lequel elle avait le libr
d'emblée les principaux phénomènes qui caractérisent chacun des deux
états
. On comprend quelle importance ce fait doit acqué
udia plus minutieusement les phénomènes caractérisant chacun des deux
états
, et l'on arriva aux résultats suivants : 1° Eta
ux résultats suivants : 1° Etat B (État anormal, condition seconde,
état
de vigilambulisme). Je commence par décrire cet
ition seconde, état de vigilambulisme). Je commence par décrire cet
état
parce que c'est celui dans lequel la malade se tr
lade se trouve le plus ordinairement. En réalité, bien que ce soit un
état
anormal, c'est son état habituel. Elle y entre à
rdinairement. En réalité, bien que ce soit un état anormal, c'est son
état
habituel. Elle y entre à son lever et n'en sort q
ns la plus absolue obscurité. Parmi les notions conservées dans cet
état
B, et qui ne contribuent pas pour peu de chose à
et écrire et elle ne fait pas plus de fautes d'orthographe, dans cet
état
, qu'elle n'en ferait dans l'état normal. Elle con
us de fautes d'orthographe, dans cet état, qu'elle n'en ferait dans l'
état
normal. Elle continue à coudre, à faire du croche
eux tout d'abord et, je le répète encore, cette jeune fille; dans cet
état
, présente, pour tout observateur non prévenu, méd
appliquer régulièrement l'épithète de somnambule et caractériser son
état
par la dénomination de somnambulisme. Le mot « vi
vigilambulisme » proposé par MM. Egger et Lereboullet pour désigner l'
état
second de Félida (la malade de M. Azam dont l'obs
lus que le rouge. Fig. 4 — Champ visuel de Marguerite Dia... dans l'
état
vigilambulique. En ce qui concerne la motilité,
veille, d'en donner le sens. Si elle a presque tout perdu dans cet
état
B, en revanche elle a fait quelques acquisitions
de temps en temps avec sa famille, est emmenée par elle (toujours en
état
B, puisque cela se passait pendant le jour) à une
orter ici, que les notions nouvelles acquises accidentellement dans l'
état
B, sont peu profondes et n'ont par suite que peu
ans l'hypnotisme et qui en caractérisent ordinairement les différents
états
. J'ai déjà parlé de la diathèse de contracture qu
nes léthargiques. Mais en pressant sur un muscle on le fait entrer en
état
de contracture permanente, que l'on peut faire ce
que ses membres présentent la flexibilité, la mollesse spéciales à l'
état
cataleptique. On les meut sans rencontrer de rési
é. Jusqu'ici nous ne sommes pas encore, malgré tout, bien loin de l'
état
normal, ces phénomènes pouvant être à la rigueur
s en éloigne considérablement. La jeune Marguerite présente, dans cet
état
apparent de veille, quelques-uns des phénomènes s
ques, si l'on peut employer ici ce terme, et être transportées dans l'
état
A. Alors la malade, pendant une période d'état no
re transportées dans l'état A. Alors la malade, pendant une période d'
état
normal provoquée, voit et retrouve encore la phot
coiffé d'un casque à panache ou d'un bonnet de coton. Cette période d'
état
A passée, elle voit encore l'hallucination suggér
t A passée, elle voit encore l'hallucination suggérée dans la phase d'
état
B consécutive, ce qui prouve nettement la continu
cutive, ce qui prouve nettement la continuité des diverses périodes d'
état
second, même interrompues par des périodes interc
es d'état second, même interrompues par des périodes intercurrentes d'
état
normal. Disons tout de suite ici, bien que ce s
ien que ce soit empiéter sur la Charcot, t. ir. 15 description de l'
état
A, que la malade dans celui-ci ne prend pas de la
allucination grotesque de l'élève coiffé d'un casque à plumes. Dans l'
état
B, elle rit comme une folle ; dans l'état A, elle
'un casque à plumes. Dans l'état B, elle rit comme une folle ; dans l'
état
A, elle s'indigne, et s'adressant à moi, par exem
nte à noter et qui monlro bien cette indifférence de la malade dans l'
état
B, à laquelle je faisais allusion plus haut. Te
is allusion plus haut. Tels sont les phénomènes qui caractérisent l'
état
de vigilambulisme chez celte jeune fille. Voyons
ulisme chez celte jeune fille. Voyons maintenant quels sont ceux de l'
état
A ou état normal. 2° Etat A (état normal, état
z celte jeune fille. Voyons maintenant quels sont ceux de l'état A ou
état
normal. 2° Etat A (état normal, état prime, éta
s maintenant quels sont ceux de l'état A ou état normal. 2° Etat A (
état
normal, état prime, état de veille). Dans les c
quels sont ceux de l'état A ou état normal. 2° Etat A (état normal,
état
prime, état de veille). Dans les conditions ord
eux de l'état A ou état normal. 2° Etat A (état normal, état prime,
état
de veille). Dans les conditions ordinaires, l'é
mal, état prime, état de veille). Dans les conditions ordinaires, l'
état
A, l'état normal, l'état de veille, n'apparaît po
prime, état de veille). Dans les conditions ordinaires, l'état A, l'
état
normal, l'état de veille, n'apparaît point sponta
veille). Dans les conditions ordinaires, l'état A, l'état normal, l'
état
de veille, n'apparaît point spontanément aux yeux
e matin au moment du réveil, pour faire place au retour spontané de l'
état
B. Il dure donc seulement oendant la nuit, de sor
vie normale. Mais après quelques investigations, on s'aperçut que cet
état
de veille pouvait revenir accidentellement de tem
nous reviendrons plus loin. En tous cas, les périodes accidentelles d'
état
A, tant spontanées que provoquées, sont toujours
oyenne elles sont à peu près de dix minutes. J'ai étudié moi-même l'
état
A, non seulement dans ses manifestations accident
fférence entre les diverses périodes et qu'il s'agissait bien là d'un
état
unique, toujours comparable à lui-même dans toute
apparitions. Le phénomène le plus caractéristique qui distingue cet
état
et empêche dès l'abord toute confusion avec l'aut
ce trouble de la marche qui la gêne grandement, Marguerite a, dans l'
état
A, un air soucieux, ennuyé, q'ui fait un frappant
out à l'heure. Elle ne paraît d'ailleurs pas bien à son aise dans cet
état
. Elle se sent « toute drôle (1). » Elle est aga
ent alors à rechercher chez elle les phénomènes morbides notés dans l'
état
B, on constate un changement complet. En ce qui c
qui cite également (p. 108) quelques cas de malades paraplégiques à l'
état
de veille et parfaitement agiJes dans le somnambu
e cette dissociation de3 troubles de la motilité dans l'un et l'autre
état
. ne lui en avons jamais vu dans cet état, sauf
ilité dans l'un et l'autre état. ne lui en avons jamais vu dans cet
état
, sauf celles qui en marquent la fin, et à l'aide
e vigilambulisme. Pendant la nuit, où elle est, même éveillée, dans l'
état
A, on n'a jamais constaté d'attaques. Quant aux
urs (v. Fig. 5). Fig. S. — Champ visuel de Marguerite Din... dans l'
état
normal (on voit que le rétrécissement est moins p
e D...; ce qu'elle était incapable de faire, on s'en souvient, dans l'
état
B. De plus, elle donne sur sa famille et ses anté
absolument tous les faits accomplis et les événements survenus dans l'
état
B, c'est-à-dire depuis environ le mois d'octobre
chez ses parents, partageant avec elle son argent, ses repas. Dans l'
état
A, elle ne la connaît plus. Elle ne l'a jamais vu
e a vu, en effet, Marguerite F... pendant la nuit, lorsqu'elle est en
état
A, couchée dans le lit voisin du sien. Nous fîmes
ut se reporter, en ce qui concerne la description des phénomènes de l'
état
A chez cette malade, à la description ci-dessus d
omènes de l'état A chez cette malade, à la description ci-dessus de l'
état
B. J'ai suivi à dessein exactement le même plan d
upeur qu'elle ne peut plus marcher (elle était tombée spontanément en
état
A en plein jour). Elle s'approche d'elle pour lui
u grand étonnement de l'autre. Cette période accidentelle spontanée d'
état
A fut la plus longue qui ait été constatée ; elle
emps, Marguerite, à la faveur d'une nouvelle attaque, rentre dans son
état
habituel (état B), peut de nouveau marcher et red
e, à la faveur d'une nouvelle attaque, rentre dans son état habituel (
état
B), peut de nouveau marcher et redevient affectue
rais citer mille exemples analogues de cet oubli total des faits d'un
état
dans l'autre. Un dimanche matin (16 février 189
te. On provoque alors artificiellement (voir plus loin) le retour à l'
état
A. Voilà Marguerite devenue incapable de faire un
» Autre exemple ; Le lendemain du jour où elle avait assisté (en
état
B) à une matinée du théâtre de la Porte-Saint-Mar
ses impressions 'V. plus haut). Nous provoquons alors le retour de l'
état
A et elle ignore absolument qu'il existe une pièc
est d'ailleurs pas allée au théâtre la veille. Mais tandis que dans l'
état
B, bien que connaissant la pièce, elle ignorait à
e ignorait à peu près ce qu'étaient Clèopâtre et Marc-Antoine, dans l'
état
A, n'ayant aucune notion du drame, elle sait parf
romain et celle-là une reine d'Egypte. Au bout de quelques minutes, l'
état
B étant revenu spontanément, elle a perdu de nouv
ant la comparaison entre les phénomènes caractérisant chacun des deux
états
, nous constatons que, dans l'état A, la malade a
ènes caractérisant chacun des deux états, nous constatons que, dans l'
état
A, la malade a absolument perdu toutes les manife
musculaire, à peine un léger degré de diathèse de contracture. Plus d'
état
cataleptique : on peut frapper de grands coups su
rt gong, la malade manifeste de l'agacement, mais elle reste dans son
état
normal et il est impossible de produire ainsi la
ambulisme hypnotique qui étaient développés à un si haut degré dans l'
état
vigilambulique. Plus de contracture des muscles p
e? » J'ai parlé plus haut de la suggestion transportée par ordre de l'
état
B dans l'état A. C'est là, si l'on peut ainsi par
é plus haut de la suggestion transportée par ordre de l'état B dans l'
état
A. C'est là, si l'on peut ainsi parler, une sorte
orte de suggestion post-hypnotique et nullement une suggestion dans l'
état
A. Tels sont les phénomènes qui caractérisent l
gestion dans l'état A. Tels sont les phénomènes qui caractérisent l'
état
A, état de veille, état normal. Il nous reste mai
dans l'état A. Tels sont les phénomènes qui caractérisent l'état A,
état
de veille, état normal. Il nous reste maintenant
Tels sont les phénomènes qui caractérisent l'état A, état de veille,
état
normal. Il nous reste maintenant à étudier commen
l. Il nous reste maintenant à étudier comment se fait le passage d'un
état
dans l'autre. 3° Passage d'un état dans l'autre
comment se fait le passage d'un état dans l'autre. 3° Passage d'un
état
dans l'autre. D'une façon générale, d'après ce
on verra plus loin l'importance de ce phénomène, que le passage d'un
état
dans l'autre se fait toujours par l'intermédiaire
rs circonstances à considérer : tout d'abord comment, dès le début, l'
état
B a remplacé l'état normal et ensuite comment, de
onsidérer : tout d'abord comment, dès le début, l'état B a remplacé l'
état
normal et ensuite comment, depuis l'établissement
at normal et ensuite comment, depuis l'établissement définitif de cet
état
second pendant la journée, le passage se fait de
ier avec celui de Félida, que ce passage n'a pas été brusque et que l'
état
B ne s'est pas installé définitivement en une foi
ne fois. Les attaques, fréquentes à cette époque, ramenaient tantôt l'
état
B, tantôt l'état A, suivant qu'elles avaient lieu
ques, fréquentes à cette époque, ramenaient tantôt l'état B, tantôt l'
état
A, suivant qu'elles avaient lieu dans l'un ou dan
un ou dans l'autre. Peu à peu, ces attaques diminuant de fréquence, l'
état
second a empiété de plus en plus pendant le jour
quence, l'état second a empiété de plus en plus pendant le jour sur l'
état
normal et a fini par se régler ainsi qu'on l'a vu
II y a donc eu au début des oscillations irrégulières entre les deux
états
, marquées par des attaques convulsives successive
anant des parents qui avaient au début noté l'enchevêtrement des deux
états
. Grâce à la présence de l'astasie-abasie dans l'é
rement des deux états. Grâce à la présence de l'astasie-abasie dans l'
état
A, ils avaient très bien remarqué que dans le cou
ement capable de marcher. Pour ce qui est du passage quotidien de l'
état
B à l'état A, le soir, et de l'état A à l'état B,
le de marcher. Pour ce qui est du passage quotidien de l'état B à l'
état
A, le soir, et de l'état A à l'état B, le matin a
qui est du passage quotidien de l'état B à l'état A, le soir, et de l'
état
A à l'état B, le matin au réveil, j'ai assisté
passage quotidien de l'état B à l'état A, le soir, et de l'état A à l'
état
B, le matin au réveil, j'ai assisté plusieurs f
s lors des passages accidentels diurnes, spontanés ou provoqués, d'un
état
dans l'autre. Il est donc vraisemblable qu'il e
ue. A la suite d'une contrariété, d'une émotion par exemple, étant en
état
B, Marguerite est prise d'une attaque hystérique
nts, arcs de cercle, etc.. Quand les convulsions cessent, elle est en
état
A, paraplégique, et ne connaissant plus ses compa
verse en arrière, ébauchant un arc de cercle. Puis elle rentre dans l'
état
B, d'où elle ne sortira plus que le soir spontané
ien est de même lorsque Ton provoque artificiellement le passage d'un
état
dans l'autre. La malade étant habituellement pend
t dans l'autre. La malade étant habituellement pendant le jour dans l'
état
second, c'est le plus souvent le retour à l'état
ndant le jour dans l'état second, c'est le plus souvent le retour à l'
état
normal que l'on provoque. Il suffit pour cela de
ela dure quelques secondes et, quand c'est fini, la malade est dans l'
état
A, astasique-abasique, non suggestible, en posses
érieure. Il est rare que l'on ait besoin de provoquer le retour à l'
état
B. L'état A provoqué est généralement très court
Il est rare que l'on ait besoin de provoquer le retour à l'état B. L'
état
A provoqué est généralement très court et ne dure
s le vigilambulisme, le prolonger au delà de ce délai. Le passage à l'
état
B se fait de lui-même, à la faveur d'une petite a
(1), car aussitôt les mêmes phénomènes convulsifs se produisent et l'
état
B est rétabli. Au mois d'avril 1891, la malade
mois d'avril 1891, la malade quitta le service toujours dans le même
état
, étant ainsi restée soumise à notre observation p
nous communiqua. Cette lettre nous montre qu'elle est toujours dans l'
état
B, du moins pendant le jour, et que l'état A se m
u'elle est toujours dans l'état B, du moins pendant le jour, et que l'
état
A se montre de plus en plus rarement. Elle fait t
at A se montre de plus en plus rarement. Elle fait tous les jours, en
état
second, des acquisitions de plus en plus considér
uérison se fera ainsi : elle s'instruira d'elle-même peu à peu dans l'
état
B, qui finira par prendre complètement la place d
peu dans l'état B, qui finira par prendre complètement la place de l'
état
normal. Quoi qu'il en soit, voici les passages
j'aime autant rester somnambule. D'abord, si je revenais dans l'autre
état
, tune serais plus ma sœur, et puis bien d'autres
savais pas que Louis (un de ses parents mort pendant qu'elle était en
état
D) était mort et que je ne connaissais pas le pet
roirait entendre parler Félida en lisant cette lettre, mais Félida en
état
prime, puisque sa mémoire était entière (1) La
es, dans ce qu'elle dit ; mais ses parents ont raison aussi. dans l'
état
second. En tous cas, c'est là un document bien in
à autre, soit spontanément, soit artificiellement, et interrompant l'
état
B par de courtes incursions (a, b, c, d) dans sa
e 1889, interrompu de temps en temps par des retours accidentels de l'
état
prime (a, b, c.) et par les retours nocturnes pér
l'état prime (a, b, c.) et par les retours nocturnes périodiques de l'
état
prime qui n'ont pu être figurés sur ce schéma.
transition, composée, ainsi que je l'ai dit plus haut, de périodes d'
états
A et B enchevêtrées les unes dans les autres. Enf
es apparitions accidentelles (a, b, c, d) et régulières (nocturnes) d'
état
A est la seule habituellement apparente. La perso
allure épileptiforme qui se reproduisent plusieurs fois sous forme d'
états
de mal pendant cette période. (1) Voir plus hau
arcot. — Du vigilam-bulisme hystérique. Je passe rapidement sur ces
états
de mal successifs dont a souffert Marie H... à ce
et nettement hystérique. De plus, à l'inverse de ce qui arrive dans l'
état
de mal comitial vrai, il n'y a point d'élévation
t, c'est-à-dire sans retour à la connaissance. Guérie de ces grands
états
de mal, Marie H... reste dans le service. A cette
expérimentation chez Marie H.., et on s'aperçut qu'elle était dans un
état
anormal que M. Charcot caractérisait en ces terme
'on n'ait employé aucune manœuvre d'hypnotisation, par conséquent à l'
état
de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la c
is, au point de vue psychique, ce sont évidemment les caractères de l'
état
somnambulique qui dominent. Eh bien, si, opérant
remarqué chez elle les phénomènes somatiques qui caractérisaient son
état
et nous l'avaient fait ainsi dénommer, les troubl
ous connaissions depuis quelques mois, M. Charcot examina avec soin l'
état
mental de Marie H... et acquit bientôt la convict
eux personnalités distinctes l'une de l'autre : 1° la personnalité B (
état
B, état second, état de vigilambulisme), postérie
onnalités distinctes l'une de l'autre : 1° la personnalité B (état B,
état
second, état de vigilambulisme), postérieure à 18
tinctes l'une de l'autre : 1° la personnalité B (état B, état second,
état
de vigilambulisme), postérieure à 1884-1885 et in
mps par des retours brefs de la personnalité A; 2° la personnalité A (
état
prime, état de veille, état normal), antérieure à
retours brefs de la personnalité A; 2° la personnalité A (état prime,
état
de veille, état normal), antérieure à 1884-1885.
la personnalité A; 2° la personnalité A (état prime, état de veille,
état
normal), antérieure à 1884-1885. Suivant le pla
t le plan adopté pour notre première malade, commençons par étudier l'
état
B. 1° Etat B (état anormal, condition seconde,
notre première malade, commençons par étudier l'état B. 1° Etat B (
état
anormal, condition seconde, état de vigilambulism
s par étudier l'état B. 1° Etat B (état anormal, condition seconde,
état
de vigilambulisme). C'est l'état dans lequel, d
(état anormal, condition seconde, état de vigilambulisme). C'est l'
état
dans lequel, depuis 1884-1885, la malade vit habi
r de très courtes apparitions, soit spontanées, soit provoquées, de l'
état
A. Il est tenace à ce point que la maladie même n
ez grave, avec élévation considérable de la température, sans que son
état
fût le moins du monde modifié. Tous les jours à p
danse, parle comme tout le monde. Depuis six ans qu'elle est dans cet
état
, elle a pu acquérir un grand nombre de notions no
es qui, ajoutées à celles qui ont persisté dès le premier jour dans l'
état
second, lui permettent de passer dans la vie, san
ts et plus compliqués. On verra plus loin que l'interrogatoire dans l'
état
A nous réserve une singulière surprise à ce sujet
l'état A nous réserve une singulière surprise à ce sujet. Dans cet
état
second, elle est sujette à des attaques d'hystéri
en particulier au milieu de 1890, atteinte d'une nou» velle période d'
état
de mal hystérique épileptiforme, identique aux pé
ion ovarienne droite. Fig. 7. — Champ visuel de Marie Hab... dans l'
état
vigilambulique. Si l'on s'adresse à la mémoire,
ix ans, mais cela tient à la présence des oscillations entre les deux
états
qui ont probablement rempli la période mal délimi
st que celle-ci est venue souvent la voir depuis qu'elle est dans son
état
second. Elle ignore de même où elle a été élevé
ue conforme par les révélations obtenues d'elle ultérieurement dans l'
état
A, nous permettait de lui faire des questions abs
hénomènes. Il suffît on outre du moindre bruit pour la plonger dans l'
état
cataleptique avec respiration superficielle, rale
ce pour les faire servir à des expériences. 2° État A [État normal,
état
prime, état de veille). Lorsque, à l'aide d'un
faire servir à des expériences. 2° État A [État normal, état prime,
état
de veille). Lorsque, à l'aide d'un des procédés
s loin, on provoque artificiellement chez Marie II... un retour à cet
état
, ou lorsqu'il reparaît spontanément à la suite d'
on a vu que Marguerite D... préférait, comme toutes ces dernières, l'
état
second à l'état prime. Dans cette condition pre
guerite D... préférait, comme toutes ces dernières, l'état second à l'
état
prime. Dans cette condition première, elle ne s
e semblable en train. Elle est encore nettement hystérique dans cet
état
, mais les stigmates de la névrose sont beaucoup m
fermer les yeux. Le rétrécissement du champ visuel, qui était dans l'
état
B de 25° à gauche et de 30° à droite, n'est plus
'existe, d'autre part, aucun trouble de la motilité qui distingue cet
état
du précédent. Fig. 8. — Champ visuel de Marie H
et état du précédent. Fig. 8. — Champ visuel de Marie Hab... dans l'
état
normal (on voit que le rétrécissement est moins p
ans le travail déjà cité de MM. Marie et Souza-Leite, à propos de son
état
de mal hystéro-épileptique de 1884. Elle est né
on à laquelle assistait M. le Pr Proust. Marie II..., interrogée en
état
B sur les personnes qu'elle connaissait autour d'
igné M. Charcot, moi et les élèves du service. On la place ensuite en
état
A et on lui fait la même question, pensant qu'ell
nous lui citons les noms. (Voir plus haut les mêmes questions dans l'
état
B). On lui présente la jeune L..., celle qui lu
., celle qui lui a appris à lire, à écrire, à faire du crochet dans l'
état
B. « C'est une petite nouvelle, dit-elle, je ne l
lpêtrière au commencement de 1885. Elle la connaît donc dans ses deux
états
. Mais quelle différence entre l'un et l'autre !
nt caractérisée par ce trouble de la mémoire, porte également, dans l'
état
A, sur les phénomènes hypnotiques que la malade p
, même assez intense, produit auprès d'elle, ne la plonge plus dans l'
état
cataleptique. Enfin l'absence de suggestibilité e
re d'une façon générale, considérant et l'établissement primitif de l'
état
second, le début de la maladie, et les passages
s d'aussi longs détails. Il paraît certain que l'établissement de l'
état
second s'est fait à l'occasion des états de mal s
tain que l'établissement de l'état second s'est fait à l'occasion des
états
de mal successifs auxquels la malade a été en pro
eu là une période traversée par des oscillations irrégulières entre l'
état
A et l'état B, ce qui explique les divergences ex
riode traversée par des oscillations irrégulières entre l'état A et l'
état
B, ce qui explique les divergences existant dans
emière, dit tantôt être en 1884 et tantôt en 1885. Puis, peu à peu, l'
état
B a de plus en plus empiété sur l'état normal et
ôt en 1885. Puis, peu à peu, l'état B a de plus en plus empiété sur l'
état
normal et a fini par le remplacer complètement. C
guerite D..., laquelle avait toujours conservé une période nocturne d'
état
normal, l'état B existe d'une façon permanente. L
aquelle avait toujours conservé une période nocturne d'état normal, l'
état
B existe d'une façon permanente. Le retour de l'é
d'état normal, l'état B existe d'une façon permanente. Le retour de l'
état
A est toujours accidentel, soit qu'il survienne s
on le provoque artificiellement. Dans ces deux cas, le passage de l'
état
B à l'état A est toujours marqué par une attaque
que artificiellement. Dans ces deux cas, le passage de l'état B à l'
état
A est toujours marqué par une attaque convulsive
s que le passage accidentel, à la suite d'une attaque survenue dans l'
état
B, pour une contrariété ou tout autre motif, prés
, je le veux, il le faut, » provoquer artificiellement le retour de l'
état
A. Mais, entre la suggestion et le retour se plac
s à autre soit spontanément, soit artificiellement, et interrompant l'
état
B par de courtes incursions (a, b, c, d) dans sa
. B. Etat second, interrompu de temps en temps par des retours de l'
état
prime (a, b, c.) ; habituel depuis 1885. X. Pha
; habituel depuis 1885. X. Phase de transition, période des grands
états
de mal hystériques de 1884-85. Quant au passage
s grands états de mal hystériques de 1884-85. Quant au passage de l'
état
A à l'état B, on n'a jamais besoin de le provoque
ats de mal hystériques de 1884-85. Quant au passage de l'état A à l'
état
B, on n'a jamais besoin de le provoquer. Il se pr
uvoir tenir une conversation quelque peu suivie avec la malade dans l'
état
A. Même par les suggestions les plus énergiques,
ques, nous n'avons jamais pu faire durer plus longtemps le retour à l'
état
A. Il se fait toujours de même avec une parfaite
e monde. En 1884-85 se place une phase de transition, marquée par les
états
de mal hystériques épileptiformes, à la faveur de
alité B, interrompue par des apparitions accidentelles (a, b, c, d) d'
état
A, est la seule habituellement apparente. La pers
nce de la première ou non. M. Pitres (de Bordeaux), qui considère l'
état
second comme une manifestation d'hypnose spontané
que le souvenir des actes accomplis ou des faits survenus pendant cet
état
, est absolument perdu au réveil, tandis que, au c
tat, est absolument perdu au réveil, tandis que, au contraire, dans l'
état
de somnambulisme, le malade conserve non seulemen
sa personnalité mais encore la mémoire de tout ce qui s'est passé à l'
état
de veille. Telle est la règle habituelle. Mais on
e somnambule ne conserve point le souvenir des faits accomplis dans l'
état
normal. « Quelquefois, dit M. Pitres (2), les cho
souvenir du passé aux impressions du présent est rompu ; le moi de l'
état
de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de
; le moi de l'état de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de l'
état
de veille ; la notion de l'identité morale est al
s malades comme dédoublés en deux personnes, c'est que, dans les deux
états
, il existe des modifications plus ou moins profon
is distinctes dans l'un et dans l'autre. D'une façon générale, dans l'
état
second le malade conserve la notion de son être,
cette conscience intime de son être, le malade conserve encore dans l'
état
second un certain nombre de notions acquises et d
une garçon avait tout oublié, lecture, écriture, calcul, etc., dans l'
état
second. Mais il continuait à monter à cheval et à
, avaient totalement disparu. En présence de la persistance, dans l'
état
second, de certaines notions acquises dans l'état
persistance, dans l'état second, de certaines notions acquises dans l'
état
prime, il n'est pas sans intérêt de faire remarqu
acquisitions faites dans le vigilambulisme ne se reportent pas dans l'
état
de veille. On a vu plus haut que Marie H... avait
avait appris à lire, à écrire, à compter et à faire du crochet dans l'
état
second. Elle ignorait tout cela, comme par devant
dans l'état second. Elle ignorait tout cela, comme par devant, dans l'
état
normal. Cela tient-il à ce que les notions acquis
ans l'état normal. Cela tient-il à ce que les notions acquises dans l'
état
second sont moins profondément implantées, ainsi
da entre autres, soit fort obtuse comme chez Marie H..., d'un autre
état
? On ne saurait, ce me semble, trancher définitive
née par qui que ce soit (1) ». Ceux-là sont toujours conservés dans l'
état
de vigilambulisme et l'on peut même y voir quelqu
Marguerite D..., la physionomie plus vive, plus expressive que dans l'
état
normal. Mais ce n'est pas tout : d'autres modif
'est pas tout : d'autres modifications peuvent encore survenir dans l'
état
second, qui le différencient nettement de l'état
core survenir dans l'état second, qui le différencient nettement de l'
état
normal. Ces modifications portent sur le caractèr
normal. Ces modifications portent sur le caractère, les habitudes, l'
état
physique du sujet, le fonctionnement de ses organ
es, l'état physique du sujet, le fonctionnement de ses organes et son
état
de santé, enfin sur sa condition psychique. Menti
ps sans nous apercevoir de l'amnésie qui achevait de caractériser son
état
second. Il est donc possible que, parmi les cas d
est donc possible que, parmi les cas de suggestibilité prononcée à l'
état
de veille, on trouve des exemples de vigilambulis
de même dans quelques cas connus de suggestibilité très accentuée à l'
état
de veille et désignés par M. Beaunis sous le nom
t possible. M. Liégeois, qui a étudié ces faits de suggestibilité à l'
état
de veille, les compare au cas de Félida de M. Aza
d'hui, examinons les autres modifications qui peuvent survenir dans l'
état
second et servir à les distinguer de l'état norma
i peuvent survenir dans l'état second et servir à les distinguer de l'
état
normal. Tout d'abord nous trouvons souvent un c
as le plus typique, à ce point de vue, est celui de Ca-muset. Dans un
état
donné son malade était méchant, emporté, voleur;
et ces modifications se reproduisaient, à coup sûr, chaque fois que l'
état
correspondant revenait, soit spontanément, soit a
artificiellement. La malade de Dufay était communicative, gaie dans l'
état
second et jouissait également dans cet état d'une
ommunicative, gaie dans l'état second et jouissait également dans cet
état
d'une hyperacuité sensorielle considérable, tandi
et état d'une hyperacuité sensorielle considérable, tandis que dans l'
état
normal elle était plus triste, plus renfermée. Ce
conde; celle de Ladame, au contraire, était mal élevée et donnait, en
état
second, des gifles à son fiancé, ce qu'elle n'eût
tat second, des gifles à son fiancé, ce qu'elle n'eût jamais fait à l'
état
normal. Chez les sujets de Verriest et d'Azam, on
alade est, si l'on peut ainsi parler, en meilleure situation dans son
état
second ; il s'y sent plus à l'aise et éprouve un
us à l'aise et éprouve un sentiment de bien-être qu'il n'a pas dans l'
état
normal. Cela peut provenir de deux causes qui n'e
Tout d'abord, dans les cas comme celui de Félida, où la mémoire de l'
état
prime persiste dans l'état second, le fait est tr
comme celui de Félida, où la mémoire de l'état prime persiste dans l'
état
second, le fait est très compréhensible. Dans la
on seconde, il n'y a point de lacunes de mémoire. Dans les périodes d'
état
normal, au contraire, il y a des lacunes plus ou
s, correspondant aux périodes de vigilambulisme antécédentes. D'où un
état
de malaise facile à imaginer et qui n'existe poin
état de malaise facile à imaginer et qui n'existe point dans l'autre
état
. Les quelques exemples empruntés à l'histoire de
ne peut être accentué. Cette malheureuse, se retrouvant subitement en
état
1 dans une voiture de deuil et ne sachant point l
es et des rubans, doit évidemment se sentir bien plus à l'aise dans l'
état
vigilambulique, dans lequel elle n'a point à crai
en effet, que, chez la plupart d'entre elles, on constate, pendant l'
état
second, un certain apaisement des phénomènes de l
tue le fond de leur maladie. Le sujet de Verriest était aphone dans l'
état
normal provoqué. Félida, vigilambule, ne souffrai
us des douleurs diverses qui la tourmentaient considérablement dans l'
état
normal. Il en est de même chez nos deux malades q
dérer les phénomènes d'ordre pathologique qui peuvent exister dans un
état
et être absents dans l'autre. Comme on a pu le vo
encore ici le plus caractéristique, libre de ses mouvements dans tel
état
, paraplégique clans tel autre, hémiplégique dans
.. Je ne reviens pas sur le sujet de Verriest qui était aphone dans l'
état
prime et avait un spasme de l'oesophage dans l'ét
ait aphone dans l'état prime et avait un spasme de l'oesophage dans l'
état
second. Notre deuxième malade, Marguerite D..., é
cations profondes de la sensibilité, différentes dans l'un et l'autre
état
. Ces modifications portaient, comme nous l'avons
. L'anesthésie cutanée, distribuée sous forme d'hémianesthésie dans l'
état
normal, était totale et s'étendait sur toute la s
rmal, était totale et s'étendait sur toute la surface du corps dans l'
état
vigilambulique. Le champ visuel, fortement rétréc
l'était beaucoup moins ou ne l'était plus que d'un seul côté dans l'
état
prime. Il en était de même en ce qui concerne la
ans le vigilambulisme, ils présentaient une plus grande acuité dans l'
état
normal. Ce sont là des phénomènes importants à
excessive rareté. Avant d'en linir avec cette comparaison des deux
états
entre eux, je crois utile de faire ressortir un f
de nos malades. Je veux parler de ce retour spontané périodique de l'
état
prime pendant la nuit, que nous avons constamment
e nous avons constamment observé chez Marguerite D... Ce passage de l'
état
B à l'état A pendant le sommeil naturel avait déj
s constamment observé chez Marguerite D... Ce passage de l'état B à l'
état
A pendant le sommeil naturel avait déjà été obser
élida, ainsi que par M. Dufay chez sa malade. Celle-ci se couchait en
état
de vigilambulisme et passait «insensiblement du s
heure réglementaire.» Mais la différence est toute dans ce fait que l'
état
second s'étaitprocluit accidentellement dans la s
a soirée, la malade étant restée pendant la journée précédente dans l'
état
normal, avant l'arrivée de la crise. Notons en pa
. Notons en passant que cette régularité dans le retour nocturne de l'
état
A chez Marguerite D... est encore un caractère pe
vrose. * M. le Pr Charcot, dans ses leçons, a émis l'idée que cet
état
vigilambulique chez des sujets hystériques n'est
ce sont de véritables accès de somnambulisme hystérique prolongé... L'
état
anormal dans lequel l'individu va être plongé sur
paisent, et, sans que le somnambulisme hystérique perde ses droits, l'
état
second se trouvera constitué (1). » C'était un pr
nt vers l'idée actuellement soutenue par notre maître, à savoir que l'
état
second n'est qu'une forme particulière de l'attaq
aragraphe spécial, sur les phénomènes qui marquent la transition d'un
état
dans l'autre. Chez Marguerite D..., le passage
attaque convulsive parfaitement caractérisée, le retour inopiné de l'
état
normal. Donc passage à l'état second, retour à l'
nt caractérisée, le retour inopiné de l'état normal. Donc passage à l'
état
second, retour à l'état prime se font par l'inter
ur inopiné de l'état normal. Donc passage à l'état second, retour à l'
état
prime se font par l'intermédiaire de convulsions
r des convulsions, (1) Gilles de la Tourette. — L'hypnotisme et les
états
analogues au point de vue médico-légal. lre éditi
vient que j'ai observé chez elle pour la première fois le retour de l'
état
normal à la suite d'une attaque convulsive violen
attaques à forme épileptoïde marquent la fin et le commencement de l'
état
vigilambulique, en d'autres ternies le passage à
encement de l'état vigilambulique, en d'autres ternies le passage à l'
état
normal transitoire et le retour à l'état second d
utres ternies le passage à l'état normal transitoire et le retour à l'
état
second de durée plus prolongée. Le vigilambulisme
ésence d'une attaque de sommeil. Le malade de Bonamaison entre dans l'
état
B par une crise convulsive ou une attaque de somm
B par une crise convulsive ou une attaque de sommeil ; son retour à l'
état
normal est marqué par des aboiements qui ne sont
que de véritables convulsions. Le sujet de M. Vizioli tombe dans l'
état
vigilambulique à la faveur d'une grande attaque c
e de M. Ladame, c'est une attaque de sommeil qui marque le début de l'
état
second. Ce n'est pas moins caractéristique dans
de M. Ver-riest. Au début une attaque franche marquait le passage à l'
état
B et le retour à l'état A. Plus tard l'élément co
t une attaque franche marquait le passage à l'état B et le retour à l'
état
A. Plus tard l'élément convulsif s'efface peu à p
au point de vue qui nous occupe ici. Le premier entre dans ses divers
états
par des attaques plus ou moins franches et on en
côté, M. Azam note avec soin les phénomènes marquant le passage d'un
état
dans l'autre, et au début de l'état second il nou
énomènes marquant le passage d'un état dans l'autre, et au début de l'
état
second il nous décrit bien nettement l'aura cépha
un intérêt tout particulier. En effet, tout d'abord elle tombe dans l'
état
second par l'intermédiaire d'une petite perte de
tant à constater, parce que nous le trouvons seulement dans ce cas, l'
état
vigilambulique peut cesser à la volonté de l'obse
s (côtés du cou, pharynx) pour provoquer instantanément le retour à l'
état
normal. Ce sont là, en réalité, de vérilables zon
, une pareille hypothèse est bien difficile à accepter pour ceux où l'
état
second dure depuis des mois et des années, interr
nées, interrompu seulement de temps à autre par do courtes périodes d'
état
normal, A cette objection la réponse me paraît fa
elles. Mais au début de la maladie il s'était produit une période d'
état
second de trois mois de durée. Ce dgilambulisme d
omplet et presque permanent de la personnalité et la courte attaque d'
état
second. Les observations que j'ai relatées au cou
e aussi cette conséquence, à savoir que le vigilambulisme, ramené à l'
état
normal, souffre beaucoup plus que le somnambulism
ans mon précédent travail). Le vigilambulisme, au contraire, dans son
état
second, exécute des actes de la vie ordinaire, ve
chapeaux s'il est chapelier, du sucre s'il est épicier, comme dans l'
état
normal. Revenu à l'état normal, il trouve un chap
lier, du sucre s'il est épicier, comme dans l'état normal. Revenu à l'
état
normal, il trouve un chapeau, du sucre en moins d
les jours des vigilambules à oscillations plus ou moins périodiques d'
états
A et B, trouble qui n'existe point du fait des pé
nt laisser-aller, ce flegme, dont font preuve les vigilambules dont l'
état
second se prolonge très longtemps. La malade de M
de M. Dufay, par exemple, était concentrée lorsqu'elle se trouvait en
état
B, n'entendait pas ou ne paraissait pas entendre
l'existence des hallucinations caractéristiques du somnambulisme, cet
état
ressemble beaucoup à celui des somnambules les mo
dont nous parlions tout à l'heure. Y aurait-il donc entre ces deux
états
hystériques, le somnambulisme, d'une part, et le
le somnambulisme, d'une part, et le vigilambulisme, d'autre part, des
états
de transition participant à la fois des caractère
ypnotisme : Elle rêve tout haut de faits dont elle n'a pas notion à l'
état
de veille, et dans l'hypnotisme elle se souvient
orsque, quelques minutes après, on ramena le mari, elle tomba dans un
état
nerveux, marqué surtout par un délire dont j'aura
la rigueur du terme. Eh bien, Messieurs, voilà quatre mois que cet
état
dure sans modification d'aucune espèce. Il y a do
e, je n'ai pas dit amnésie progressive, car les choses restent dans l'
état
originel. Elles sont antérogrades par rapport au
sont trop absolus. En réalité, les faits qu'elle oublie si vite, à l'
état
de veille, et qu'elle ne peut plus faire apparaît
son sommeil des souvenirs qu'elle est incapable de faire revivre à l'
état
de veille. Mais la preuve en est surtout dans le
stion post-hypnotique comme méthode curatrice : la malade gardera à l'
état
de veille la trace des suggestions de l'hypnose;
ns la période rétrograde, rien d'anormal : aucune modification dans l'
état
de santé, aucun changement dans le caractère, auc
funèbres. Puis, à ce délire avec hallucinations visuelles, succède un
état
léthargique profond qui dure une journée et dont
ortir de cette attaque d'hystérie délirante, MmeD... se trouva dans l'
état
où vous la voyez aujourd'hui. Je viens de dire
t de ses enfants. Ces crises n'ont apporté aucune modification dans l'
état
de la malade (22 janvier 1892). tendues peu aup
e, à ce sujet, en mon absence. En réalité, elle ne connaît dans son
état
amnésique actuel que mon nom et mon portrait, acq
ste aujourd'hui parfaitement conscience — et les inconvénients de cet
état
. Elle eut alors l'idée de recourir à l'usage d'un
dépôt inconscient, dans sa mémoire, des événements qu'elle ignore à l'
état
de veille. Plus tard, des tentatives d'hypnotisme
Son sommeil hypnotique est réellement peuplé de faits enregistrés à l'
état
de veille. Le contraste est éclatant et mes rétic
nt été obtenus. Grâce à la suggestion hypnotique, la malade sait, à l'
état
de veille, le nom de la salle oU elle se trouve,
t oublier aujfur et à mesure de leur production. Ce n'est plus dans l'
état
de sommeil naturel, dans les rêves, ni dans l'hyp
Cette reproduction des souvenirs d'une manière subconsciente, dans l'
état
de veille, s'effectuait par l'intermédiaire, soit
ues de nerfs, des frayeurs maniaques, etc.. Niepce signale de même un
état
morbide nerveux chez le fils d'un diabétique. Zim
traitement approprié produit une amélioration portant à la fois sur l'
état
physique et sur l'état mental, il faut, pense-, t
oduit une amélioration portant à la fois sur l'état physique et sur l'
état
mental, il faut, pense-, t-il , admettre une rela
me frappée d'aliénation mentale quelques (1) Legrand du Saulle. — L'
état
mental de certains diabétiques (Gaz. des Hôp., 18
ingt-quatre heures (40 gr. 94 par litre). Homme obèse. Dents en bon
état
; pas de gingivite. Pas d'éruptions cutanées. La p
u accusée, le malade voit assez nettement, joue aux cartes, etc.. L'
état
général est satisfaisant. Lem... est obèse, plutô
s urinaires déjà signalés. Rien au foie ni dans les divers organes. L'
état
général est très satisfaisant, le caractère gai e
le pouls bat régulièrement à 80°. Les divers viscères sont normaux. L'
état
général est bon. L'intelligence remarquablement l
éral est bon. L'intelligence remarquablement lucide. Il n'a rien de l'
état
mental des diabétiques. L'examen des urines n'a
besoin pour interpréter la succession, chez un même individu, de deux
états
morbides, de ressusciter la théorie oubliée de Lo
scendants d'individus qui souvent n'ont offert à nos recherches que l'
état
rudimentaire, pour ainsi dire, d'une perturbation
e coexister. Ou, du moins, si elles coexistent, l'une d'elles est à l'
état
latent n'attendant peut-être qu'une occasion pour
En juin 1885, à la suite d'un traumatisme (chute dans l'escalier) l'
état
s'aggrave. Furonculose à Wiesbaden. Etat actuel
sucre égale ou supérieure à celle que le foie forme journellement à l'
état
normal, soit 200 grammes approximativement, d'apr
tous cas, on peut affirmer qu'il n'y avait point de tachycardie. L'
état
général est bon ; l'appétit conservé. Le sommeil
malade avait une certaine tendance à tenir la tête déviée à gauche. L'
état
des yeux était le suivant \ le droit externe de l
ière depuis l'année 1890. Toutes les modifications survenues dans son
état
depuis le travail de MM. Le Noir et Bezançon jses
s à l'observation de MM. Le Noir et Bezançon, il se présentait dans l'
état
suivant qui ne s'est guère modifié aujourd'hui, s
bras est beaucoup plus volumineux. MM. Le Noir et Bezançon ont noté l'
état
normal du deltoïde. Il n'en est plus de même aujo
la cuisse droite qui est proportionnellement à peu près dans le même
état
qu'en 1889. Quant aux jambes, on serait fort te
orges Guinon et Raïchline. (Inédit.) l'aura, se trouve déjà dans un
état
d'ahurissement tel que cela lui est devenu imposs
ormer, ne nous paraissait pas assez digne de confiance, étant donné l'
état
de débilité intellectuelle où ils se trouvent pou
eure avant l'accès. Délire post-épileptique à chaque accès. Récemment
état
de mal d'une nuit et un jour; 73 accès pendant la
ère difficile et violent. Début, à l'âge de 11 ans, par une sorte d'
état
de mal vertigineux qui dura près d'un an et la ma
rt on sait que le rétrécissement concentrique ne s'observe jamais à l'
état
permanent dans l'épilepsie pure. Il peut, il est
anent dans l'épilepsie pure. Il peut, il est vrai, s'y rencontrer à l'
état
de phénomène transitoire, dans la période plus ou
d'une violente émotion (mauvais traitements infligés par son père en
état
d'ivresse) suivie immédiatement du premier accès.
à dix-huit mois, par séries donnant lieu à de véritables périodes d'
état
de mal d'une durée de douze à quinze heures. La
st impossible de les provoquer et même simplement de les produire à l'
état
naissant par la pression sur les régions ovarienn
isuel du scotome scintillant que nous avions déjà rencontré, mais à l'
état
d'isolement (Obs. XV). Chez celle-ci, il est asso
de faire ce relevé. C'est l'aura hystéroïde. Elle existe 10 fois à l'
état
d'isolement et, nous l'avons indiqué chemin faisa
c., etc., en souvenir des bruits correspondants qui se produisent à l'
état
physiologique chez les chiens, chats, porcs, bœuf
tres termes, une tendance marquée aT* subsister chez l'hystérique à l'
état
d'isolement, sans accompagnement d'autre stigmate
ment endormie, présente les phénomènes du grand hypnotisme avec trois
états
classiques. Elle vient d'être placée dans l'état
pnotisme avec trois états classiques. Elle vient d'être placée dans l'
état
som-nambulique, je la fais asseoir face à face de
nommée Bill..., qui pousse son cri rhythmé comme de plus belle : à l'
état
de veille, remarquez-le bien, Gr...ard a entendu
in au soir, sans en être particulièrement impressionnée ; mais dans l'
état
somnambulique cela sera, vous allez le constater,
est obnubilée. Or justement ce cas se présente à un haut degré dans l'
état
somnambulique hypnotique où le jugement est affai
récit d'un événement propre à frapper fortement de jeunes esprits, un
état
psychique analogue à celui qui s'observe, sous un
a près d'une demi-heure immobile, comme endormi, et, au sortir de cet
état
, il eut la jambe gauche parésiée. A partir de c
é à avoir des convulsions, il y a de cela 18 mois, vit encore, et son
état
général est satisfaisant. D'autre part, quoiqu'
e eut cessé, tout rentra dans l'ordre et le malade se trouva dans l'
état
où il était un instant auparavant et où il se tro
hypnotisme: Elle rêve tout haut de faits dont elle n'a pas notion à l'
état
de veille et, dans l'hypnotisme, elle se souvient
222, 227, 246,258 ; Sugges-tibilité dans le —, 223, 244; Passage d'un
état
à l'autre dans le —, 232, 248 ; Durée du —, 262.
rs, de l'hémorrha-gie et du ramollissement du cerveau ; enfin, avec l'
état
sclé-reux et les anévrysmes siégeant sur les peti
loppe les vaisseaux de ces deux variétés, peut présenter seulement un
état
strié, ondu-leux, rappelant l'aspect d'un faiscea
de la troisième variété de M. Robin, l'adventice peut présenter deux
états
différents. C'est tantôt un simple épais-sissemen
s directions et ne sont plus régulièrement longitudinaux comme dans l'
état
normal. Telle est cettepériartéritescléreusequi
un quart de millimètre. La couleur de ces anévrysmes varie suivant l'
état
du sang qu'ils contiennent, et suivant l'état de
vrysmes varie suivant l'état du sang qu'ils contiennent, et suivant l'
état
de la paroi. Quand la paroi est mince, l'anévrysm
ui ont pu provoquer répanchement. Quand on a isolé un anévrysme à l'
état
d'intégrité et qu'on l'étudié à un plus fort gros
t. L'artère sylvienne gauche est également dilatée à son origine. — L'
état
des viscères n'a pas été noté. Obs. II. Salpètr
pée d'apoplexie le 17 février 1857, et est apportée à l'Hôtel-Dieu en
état
de coma avec une hémiplégie droite. Elle meurt le
ques instants après son déjeuner. Elle reste pendant une heure dans l'
état
apoplectique, puis reprend connaissance ; on cons
es jaunâtres. Les deux reins pèsent ensemble 205 gr. et présentent un
état
assez notable d'atrophie de la substance cortical
pondérante, n'occupe plus le premier rang dans notre statistique. L'
état
des artères de la base a été noté 69 fois. Sur ce
rdel (1) qui avait réuni 32 observations d'hémorrhagie cérébrale où l'
état
des artères de la base était indiqué, a trouvé qu
isart, Bricheteau, Bouillaud, Ménière, Rokitansky, Leubuscher, etc. L'
état
du cœur se trouve noté 53 fois dans nos observati
d'hypertrophie secondaire du cœur. Dans nos observations, on trouve l'
état
des reins noté 49 fois; or 16 fois seulement ou 3
gauche incomplète avec contracture. Début le 20 décembre 1800; sans
état
apoplectique. Le sixième jour, ecchymose avec sou
uche ; sans oblitération artérielle. — Début le 30 octobre 1857, avec
état
apoplectique. Hémiplégie -droite avec flaccidité.
e Sylvienne, sans athérome. — Pneumonie lobaire. Début brusque avec
état
apoplectique le 31 octobre 1807. — Hémiplégie dro
mollissement blanc, centre ovale droit. Début le 22 mars 1867, sans
état
apoplectique. — Hémiplégie gauche avec flaccidité
ateuse avec hypertrophie anémique de l'hémisphère droit. Début de l'
état
apoplectique le 7 mars 1807. — Hémiplégie flasque
pondant. Début le 21 mars 1800. —? Hémiplégie droite peu prononcée,
état
apoplectique. Le deuxième jour, rougeur, taches
ple, ou l'hémiplégie, incomplète à l'origine, n'est pas accompagnée d'
état
apoplectique et ne se constitue que graduellement
au-dessous du taux normal. Ainsi, au lieu de 37°, 5 qui représente l'
état
physiologique, on a trouvé en pareil cas à peine
esse du côté paralysé (V. p. 73). Ainsi, d'après M. Charcot, dans l'
état
apoplectique grave lié à l'hémorragie cérébrale,
fait allusion ; mais l'on peut affirmer qu'ils ne répondent pas à un
état
fébrile proprement dit, puisqu'ils apparaissent a
sur un brancard et admise salle Sainte-Marthe, où on la trouve dans l'
état
suivant : Somnolence profonde dont on tire diffic
respiration haute, suspirieuse, mais pas de ronflement. Le 7, même
état
que la veille ; la somnolence, toutefois, semble
mais bornées aux muscles du cou et à ceux de la face. Du 7 au 10, l'
état
ne varie point ; il n'y a pas eu de nouvelles con
au est moins chaude que ces jours passés, le pouls moins fréquent ; l'
état
général, en somme, est plus satisfaisant. Néanmoi
se du crâne était également, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, à l'
état
normal; toutefois, les pertuis vascu-laires forma
même, soit à droite, soit à gauche de la grande faux, paraît dans l'
état
normal; seulement, elle semble plus vasculaire qu
paralysie avec contracture des membres du côté gauche. C'est dans cet
état
que la malade est observée le jour de son admissi
des accès, on ne constate aucune modification bien marquée, soit de l'
état
des fonctions cérébrales, soit de la paralysie av
ours avant la mort. Si l'on rapproche ces diverses circonstances de l'
état
dans lequel on a trouvé le sang épanché dans la c
ir le siège de mouvements fluxionnaires, ce qui s'explique tant par l'
état
phlegmasique des parties voisines que par la rich
nnaire devient plus violent, et la néo-membrane passant elle-même à l'
état
inflammatoire peut devenir, à son tour, le point
» Incontestablement, ce peu de mots contient la théorie, au moins à l'
état
rudimentaire ; mais, isolée et pour ainsi dire pe
néanmoins la structure pour ainsi dire rudimentaire qui distingue à l'
état
normal les plus petites artérioles ou veinules ;
ue si elle est très légère, ou bien si elle se produit au milieu d'un
état
grave par lui-même, principalement lorsqu'il s'ag
uin, jour où on t'examine pour la première l'ois, on le trouve dans l'
état
suivant : Il est d'une constitution assez faible,
ibilité est tout à fait intacte. Les fonctions digestives sont en bon
état
. Il n'y a aucun trouble apparent dans les fonctio
s jour par jour la maladie. Il n'y a aucun changement apparent dans l'
état
du malade jusqu'au II juin. Ce jour là, le malade
le de croton. Le surlendemain, 11, on trouve le malade dans le même
état
(On lui fait appliquer 15 sangsues à la région an
les oreilles, mais on n'obtient aucune modification favorable dans l'
état
du malade. Dans la nuit du 17 au 18, nouvelle a
es qu i nous venons de décrire ne cessent point, et il meurt dans cet
état
le même jour à quatre heures du soir. On lui avai
sie, on reconnaît dans toute la surface interne du crâne un singulier
état
de maladie. La table interne semble manquer dans
pérale se prononcent de plus en plus; la malade tombe bientôt dans un
état
adynamique et meurt le troisième jour. A Yautop
lissement par des parties de substance nerveuse qui parurent être à l'
état
sain. La pièce anatomique a été mise sous les yeu
vé de l'usage de la parole, ait présenté les lobes antérieurs dans un
état
d'intégrité complet en les examinant par circonvo
e nerveuse de la troisième circonvolution suffisent pour expliquer un
état
d'aphémie très prononcé, tel qu'il existait chez
pût rendre compte de l'incident. Les choses restèrent dans le même
état
pendant plus d'un mois, après quoi, le gonflement
on gastrique dont il souffre depuis longtemps et que caractérisent un
état
dyspeptique habituel avec gonflement de l'épigast
mouvements imprimés aux membres. Les choses restèrent dans le même
état
pendant environ un mois ; après quoi il se produi
ves préoccupations relatives à sa profession. 11 est résulté do là un
état
d'exaltation nerveuse qui s'est fait sentir, d'un
pollutions nocturnes, souvent répétées, qui occasionnèrent bientôt un
état
nerveux, accompagné d'idées tristes et parfois si
un état nerveux, accompagné d'idées tristes et parfois singulières. L'
état
nerveux devint bientôt assez grave pour que M. B.
ésordres gastriques notables; la santé générale est, en somme, en bon
état
. Si je ne craignais pas de donner sans profit,
auchaude ; pouls 66, température rectale 37°,8. 3 et 4 août. — Mémo
état
, seulement la température centrale s'élève progre
ne certaine étendue, plus molle et d'une coloration plus rosée qu'à l'
état
normal. — Le calibre de l'artère sylvienne droite
raissent avoir conservé le poli, la consistance et la coloration de l'
état
normal. Les jointures correspondantes des membres
t injectés. Le nerf médian gauche offre, au contraire, la pâleur de l'
état
normal et on observe à sa surface aucune apparenc
vement très pâles et présentent d'ailleurs foutes les apparences de l'
état
normal. L'analyse anatomique n'a pas été poussé
u'elle fut dirigée vers l'infirmerie (7 mars), où on la trouva dans l'
état
suivant. Coma profond avec respiration stertore
Le soir, la malade est retombée dans un coma profond. T. B. 38, 2. L'
état
des membres paralysés ne s'est en rien modifié.
pris sur la l'esse la place de la tache ecchymotique. 13 mars. — L'
état
ne s'est pas modifié d'une manière notable. Le me
oré et plus volumineux que celui du côté opposé. 19 mars,matin. — L'
état
s'est aggravé. Râle lavyngo-trachéal ; pouls pres
présenter des noyaux de la névroglie en plus grand nombre que dans l'
état
normal. Au bulbe rachidien,la pyramide antérieu
n rosée et une injection vive du névrilème qu'on n'observe pas dans l'
état
normal. D'ailleurs, aucune altération histologiqu
croscope. A droite, les noyaux de tissu conjonctif sont, comme dans l'
état
normal peu nombreux et très-distants les uns des
l'autre ; à droite, les surfaces articulaires sont pâles comme dans l'
état
normal; à gauche, on observe les altérations syno
faces articulaires et la synoviale offrent toutes les apparences de l'
état
sain. Le début de l'hémiplégie remontait dans c
ale, au milieu de circonstances qui méritent d'être relevées. Ainsi l'
état
général était devenu des plus graves lorsque ces
ndants et plus rapprochés les uns des autres qu'ils ne le sont dans l'
état
nor- 1. Charcot. — Note sur la formation rapide
de difficulté. Elle n'a pas quitté le lit depuis cette époque, et son
état
ne s'est en rien modifié. Il y a quelques jours
lumineux que ceux du côté droit, ont un contour arrondi, comme dans l'
état
normal. Les noyaux clu sarcolemme paraissent dans
lement altérée ; la synoviale en particulier, présente la pâleur de l'
état
normal. Les articulations de l'épaule, du coude
èrement adhérentes, constituées, en grande partie, par la fibrine à l'
état
fibrillaire et contenant en assez grand nombre de
cé à paraître, dans ce cas encore, à l'époque môme où se déclarait un
état
fébrile accompagné de symptômes graves. L'état fé
ôme où se déclarait un état fébrile accompagné de symptômes graves. L'
état
fébrile était lié cette fois aune pneumonie. D'ap
é cette fois aune pneumonie. D'après cela, il est vraisemblable qu'un
état
grave de l'organisme, survenant brusquement, est
iformes, ni céphalalgie. Les choses restent à peu près dans le même
état
jusqu'au 10 avril. À cette époque, on note que l'
ès dans le même état jusqu'au 10 avril. À cette époque, on note que l'
état
général s'est progressivement aggravé depuis plus
s marques de souffrance. Température rectale, 37°, à. 11 avril. — L'
état
s'est aggravé. Délire bruyant, langue sèche, poul
a/alysé sont toujours beaucoup plus chauds que ceux du côté opposé. L'
état
est d'ailleurs le même qu'hier. 13 et 11 avril.
opposé. L'état est d'ailleurs le même qu'hier. 13 et 11 avril. — L'
état
ne s'est pas modifié. T. R. 38°, 5. — Il s'est
er absolument latentes, ainsi que je l'ai observé plusieurs fois. L'
état
hypérémique que présentaient, dans ce cas, les ga
ou encore d'une modification plus ou moins profonde, survenue dans l'
état
général du sujet (2). Au contraire, dans le cas d
ulté de distinguer une ou plusieurs couleurs. « On sait que, dans l'
état
normal, les différentes parties du champ visuel r
ation de la séance précédente. « Cette jeune femme, mercière de son
état
, est hystérique depuis longtemps : elle a eu de
e Thouret et d'An-dry, relatifs à l'action du magnétisme sur certains
états
pathologiques. Ces travaux sont très intéressants
une période de réaction pendant laquelle les phénomènes de retour à l'
état
normal cessent. Eh bien ! il en est de même avec
le détail et qui, en conséquence, uTvâhTM. Burq, est approprié à son
état
. Ainsi la métalloscopie n'est autre chose que la
que tous les faits dont je parle ne peuvent pas s'interpréter par cet
état
que les physiologistes anglais désignent quelquef
. Enfui, il disparaît à son four et l'œil se trouve de nouveau dans l'
état
où il était, lorsque la malade nous a été présent
son bras. Vous voyez que la sensibilité, qui était tout à l'heure à l'
état
normal, est présentement complètement abolie. I
taque hystérique. Lorsque le sujet est, en effet, sous le coup de cet
état
diathésique, il semble, vous disais-je, que l'éth
qui, autrefois, la mettaient, d'une manière très prononcée, dans cet
état
tout particulier de l'anesthésie métallique. Je
ions extérieures du cuivre qui, autrefois, mettaient la malade dans l'
état
particulier dont je vous ai parlé, sont aujourd'h
ues sont susceptibles, sous des influences diverses, d'entrer dans un
état
de somnambulisme ou de catalepsie provoqués, qui
érie « hysteria major. » Une connaissance plus approfondie des divers
états
désignés sous les noms de catalepsie et somnambul
d'expériences multipliées, que la production artificielle des divers
états
dont nous allons essayer de donner la description
s à plusieurs minutes) et parfois d'une façon instantanée, survient Y
état
cataleptique. La malade est comme fascinée, immob
le n'est point contracturée et tous ses membres ont la souplesse de l'
état
normal ou à peu près (quelquefois ils sont le siè
s qu'elle aurait même peine à prendre quand elle n'est point dans cet
état
. Toute communication de la malade avec le monde e
e langage de Braid, on appelle le phénomène de la suggestion (2). Cet
état
de catalepsie dure aussi longtemps que l'agent qu
nnaire de médecine et de chirurgie pratiques, par M. Mathias Duval.
état
qui en diffère essentiellement et qui répond à ce
st peut être assez improprement employé ici, car nous verrons que cet
état
spécial diffère par bien des caractères du vérita
on, on obtient à \rolonté une contraction ou une contracture. A cet
état
des muscles, se joignent pour caractériser la lét
ctes, les yeux fermés, à peu près avec autant de précision que dans l'
état
de veille. Le sens musculaire, suivant la remarqu
fort variable. Charcot. Œuv. comp. t. ix, Hypnotisme. 17 dans son
état
normal ; il semble que l'intelligence soil plus e
rémissement des paupières, etc). Pour faire sortir la malade de cet
état
, comme de l'état cataleptique, il suffit de lui s
aupières, etc). Pour faire sortir la malade de cet état, comme de l'
état
cataleptique, il suffit de lui souffler sur le vi
res, témoignant ainsi de la connexité qui existe entre ces différents
états
et l'attaque convulsivc vraie. Dans aucun cas, no
s'est passé pendant ce sommeil (1). En résumé, on voit que les deux
états
que nous venons d'étudier sont ainsi caractérises
ce sous ce rapport entre la léthargie et la catalepsie. Dans ces deux
états
, le pouls est régulier; il bat de 80 à 100 pulsat
ères de la malade léthargique pour faire revenir tous les signes de l'
état
cataleptique. Dans cette expérience, la catalepsi
être varice de la façon suivante: Supposons la malade plongée dans l'
état
cataleptique sous l'influence d'une vi\re lumière
cuper l'un ou l'autre côté du corps. Les contractures variées que l'
état
de léthargie permet de donner à la malade se réso
atement si on vient à la faire passer directement de la léthargie à l'
état
normal par les divers procédés : souffler sur le
complètement de la contracture, qu'en la plongeant de nouveau dans l'
état
de sommation (1). L'hystérique ainsi affectée d
les, par le procédé que nous venons d'indiquer, est sous le coup d'un
état
spécial du système musculaire, que l'on pourrait
bien connue, qui consiste à faire tomber un coq ou une poule dans un
état
assez analogue à la catalepsie de l'homme, en lui
n plaçant un coq devant une lumière de Drummond ; survient bientôt un
état
qui ressemble à 1. Le mot sommation est emprunt
s résidait dans Vimagination de l'ammcd. Récemment, en Allemagne, cet
état
cataleptiforme a été reproduit par divers procédé
as le seul agent qui paisse plonger les hystéro-épileptiques dans les
états
de catalepsie et de léthargie ; les mêmes expérie
pruntée à un ouvrage publié sans nom d'auteur, par un Français. Sur l'
état
cataleptique chez les animaux voir, en outre, des
lumière, il suffisait de leur fermer les yeux pour les plonger dans l'
état
léthargique. Dans le cas présent, la même manœuvr
rgie possède tous les caractères décrits précédemment. Au milieu de l'
état
léthargique, de nouvelles vibrations du diapason
petite promenade au grand air, aient tout fait disparaître, — dans un
état
de prédisposition tout spéciale qui fait qu'elle
s à endormir par ce moyen, la léthargie semble précédée d'une sorte d'
état
cataleptique. Tout ceci s'obtient sans manœuvres
récautions expérimentales dans sa manière de procéder. C'est dans cet
état
que nous avons repris la question. Nous avons ess
ivement. Après une triple oscillation les choses sont revenues à leur
état
primitif. Nous venons d'assister au curieux phéno
u, la malade recouvrait la sensibilité du côté droit, et arrivait à l'
état
où vous la voyez aujourd'hui. La main droite n'es
e série de préparations qui nous a servi à la mettre primitivement en
état
de contracture hystérique artificielle. Les phé
ue) suivent la contracture. Dès que notre malade sera délivrée de l'
état
diathésique spécial de contracture dans lequel no
s Briquet ; j'ai démontré qu'ils peuvent exister dans certains autres
états
morbides, et être la conséquence de lésions parti
he l'achromatopsie qui existait auparavant dans l'œil droit. Mais cet
état
, provoqué par nous, ne persistera pas. Après une
Après une dizaine d'oscillations consécutives, tout reviendra dans l'
état
primitif. Et, à la fin de l'expérience, la malade
emps qu'elle voyait les couleurs de l'œil droit, passe de nouveau à l'
état
d'hémianesthésie droite, au moment même où, à dro
i fait cette expérience, c'est pour vous faire sentir par vous-même l'
état
dans lequel se trouve l'hystérique (le plus souve
Il suffit de regarder fixement une hystérique pour la mettre dans cet
état
spécial de léthargie provoquée, dans cet état inc
pour la mettre dans cet état spécial de léthargie provoquée, dans cet
état
inconscient de résolution des membres, d'insensib
en lui disant de me regarder : elle tombe comme foudroyée dans cet
état
spécial, n'entendant plus rien, ne voyant plus ri
elle ne saura pas ce qui s'est passé. Pendant qu'elle est dans cet
état
particulier, nous constatons qu'il existe chez el
t dans cette sorte d'hypnotisme, nous pouvons la faire passer dans un
état
de catalepsie artificielle ; il suffit de lui ouv
resthésie musculaire a dès lors disparu. La catalep sie est donc un
état
confinant à l'état hypnotique du début de l'expér
e a dès lors disparu. La catalep sie est donc un état confinant à l'
état
hypnotique du début de l'expérience ; nous pouvon
e la contracture, il faut de nouveau faire tomber notre malade dans l'
état
de léthargie provoquée: je la regarde fixement en
me regarder en face, et, immédiatement, elle tombe dans ce singulier
état
. L'hyperesthésie musculaire existe : je fais un
he. Ce réveil n'est, en effet, pas un réveil physiologique ; c'est un
état
pathologique, c'est la sortie d'une crise, de mêm
'est un état pathologique, c'est la sortie d'une crise, de même que l'
état
dans lequel nous la plongeons artificiellement n'
erveux ; je ne sais trop ce que cela signifie : appelons-le plutôt un
état
de sujétion, de subjection ; peu m'importent les
Nous pouvons faire passer directement notre jeune hystérique dans l'
état
cataleptique. Disons-lui de regarder un ins tan
evient tragique à son tour. Nous pouvons maintenant transformer cet
état
cataleptique en état de léthargie par l'effet de
tour. Nous pouvons maintenant transformer cet état cataleptique en
état
de léthargie par l'effet de la cessation de la lu
, quittant son attitude cataleptique, elle tombe sur la chaise dans l'
état
que nous venons d'étudier. Alors la surexcitabili
itations de toute sorte n'a d'ailleurs pas d'influence fâcheuse sur l'
état
ultérieur de la malade. Après une sorte d'engourd
eure, lorsqu'elle aura pris le grand air, elle se retrouvera dans son
état
normal. Je n'insiste pas d'avantage aujourd'hui
électrique. Dès qu'on cesse l'éclairage électrique, elle tombe dans l'
état
d'hypnotisme, pendant lequel nous avons constaté
répète avec une autre de nos hystériques. Pendant qu'elle est dans l'
état
de somnambulisme, je puis, en la sollicitant, lui
st maintenant insensible sur toute la surface du corps, tandis qu'à l'
état
ordinaire elle ne l'est que du côté droit. Nous
minez l'attitude de celle-ci ; c'est la chute d'une hystérique dans l'
état
hypnotique ou de somnambulisme. Voyez la résoluti
ues, les caractères physiologiques facilement appréciables des divers
états
des phénomènes nerveux produits ; de se renfermer
d'ailleurs sur les sujets de cette catégorie surtout que les diverses
états
nerveux produits artificiellement semblent attein
al dessinées. 1. — Essai d'une distinction nosographique des divers
états
nerveux compris sous le nom d'hypnotisme. Les p
servent chez les sujets hypnotisés ne répondent pas à un seul et même
état
nerveux. En réalité, l'hypnotisme représente clin
e représente clinique-ment un groupe naturel, comprenant Line série d'
états
nerveux, différents les uns des autres, chacun d'
tacher à bien définir d'après leurs caractères génériques, ces divers
états
nerveux, avant d'entrer dans l'étude plus approfo
elèvent de chacun deux. C'est faute d'avoir spécifié, au préalable, l'
état
particulier chez lequel ils ont relevé une observ
ontredire les uns les autres sans motifs suffisants. Ces différents
états
, dont l'ensemble représente toute la symptomatolo
menés, suivant M. Charcot, à trois types fondamentaux, à savoir: 1° l'
état
cataleptique; 2M'étaHéthargique et 3° l'état de
amentaux, à savoir: 1° l'état cataleptique; 2M'étaHéthargique et 3° l'
état
de somnambulisme provoqué ; chacun de ces états
aHéthargique et 3° l'état de somnambulisme provoqué ; chacun de ces
états
, comprenant d'ailleurs un certain nombre de forme
rs un certain nombre de formes secondaires et laissant place pour les
états
mixtes, peut se présenter d'emblée, primitivement
mise en œuvre de certaines pratiques. Dans ce dernier cas, les divers
états
signalés plus haut représentent en quelque sorte
e processus. Laissant de côté les variétés, les formes frustes, les
états
mixtes, on devra se borner, dans cet exposé, à in
quer, d'une façon sommaire, les traits les plus généraux de ces trois
états
fondamentaux qui dominent en quelque sorte la sym
ngée des yeux sur un objet quelconque, etc.; — b) consécutivement à l'
état
léthargique, lorsque les yeux, clos jusque-là, so
ons provoquées. Abandonné à lui-même, le sujet retombe bientôt dans l'
état
où il était placé au moment où on l'a impressionn
rd sur un objet placé à une certaine distance; b) consécutivement à*l'
état
cataleptique, par la simple occlusion des paupièr
lieu parfaitement obscur. Fréquemment, au moment où il tombe dans l'
état
léthargique, le sujet fait entendre un bruit lary
ire, les contractions sont passagères, elles ne s'établissent pas à l'
état
de contracture durable. Les contractures se produ
l'excitation des muscles antagonistes. Chez le sujet plongé dans l'
état
léthargique, on peut, ainsi qu'on l'a dit plus ha
, on peut, ainsi qu'on l'a dit plus haut, développer instantanément l'
état
cataleptique, lorsque, dans un lieu éclairé, on m
les paupières supérieures. 3° Etat de somnambulisme provogué. — Cet
état
peut être déterminé directement, chez certains su
le produit a volonté chez Jes sujets plongés an préalable soit dans l'
état
léthargique, soit dans l'état cataleptique, en ex
sujets plongés an préalable soit dans l'état léthargique, soit dans l'
état
cataleptique, en exerçant sur le vertex une simpl
xerçant sur le vertex une simple pression ou une friction légère. Cet
état
paraît correspondre plus particulièrement à ce qu
tout à déterminer, autant que possible, les caractères qui séparent l'
état
de somnambulisme des états léthargique et catalep
que possible, les caractères qui séparent l'état de somnambulisme des
états
léthargique et cataleptique, et à mettre en évide
ue, et à mettre en évidence la relation qui existe entre ce troisième
état
et les deux autres. Les yeux sont clos ou demi-
ution des membres n'est pas aussi prononcée que lorsqu'il s'agit de l'
état
léthargique. L'hyperexcitabilité neuro-musculaire
ment dite, l'on propose de désigner cette rigidité particulière à l'
état
somnambulique sous le nom de rigidité cataleptoïd
mbulisme artificiel proprement dit. Lorsque chez un sujet amené à l'
état
somnambulique, on exerce à l'aide des doigts appl
ués sur les paupières, une légère compression des globes oculaires, l'
état
léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculai
léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculaire peut remplacer l'
état
somnambulique ; si, au contraire, relevant les pa
es paupières, on maintient, dans un lieu éclairé, les yeux ouverts, l'
état
cataleptique ne se produit pas. IL — Etude part
ude particulière d'un certain nombre des phénomènes observés dans l'
ÉTAT
hypnotique. A. — Influence d'un certain nombre
t d'un temps très court, en général, apparaissent les phénomènes de l'
état
cataleptique décrits plus haut. Il suffit d'étein
sé en abaissant avec le doigt les paupières supérieures,pour amener l'
état
léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculai
ion. Au bout de peu d'instants il devient immobile, le regard fixe; l'
état
cataleptique s'est produit, si alors les vibratio
yngé se fait entendre, les membres tombent en résolution, en un mot l'
état
léthargique a remplacé l'état cataleptique. Si, a
bres tombent en résolution, en un mot l'état léthargique a remplacé l'
état
cataleptique. Si, au lieu de s'arrêter brusquemen
s'arrêter brusquement, les vibrations s'éteignent progressivement, l'
état
cataleptique primitivement produit persiste, au c
iques, un saisissement qui, fréquemment, est immédiatement suivi de l'
état
cataleptiqne. B. — Du phénomène de V hyper exci
I et III) (1). Il est, on l'a vu, un des caractères fondamentaux de l'
état
léthargique. Il consiste sommairement en une apti
gique : elle résiste aux efforts les plus vigoureux; mais, tant que l'
état
léthargique persiste, il est un moyen fort simple
ènes de suggestion par l'intermédiaire du sens musculaire. — Durant l'
état
cataleptique, la physionomie, d'abord impassible,
TT eufcôté du corps ; hémiléthargie, hénùcata lepsie. — Au cours de l'
état
cataleptique, il suffit de clore un des yeux du s
côté, dont l'œil est demeuré ouvert, conserve fous les attributs de l'
état
cataleptique. Inversement, durant l'état léthargi
erve fous les attributs de l'état cataleptique. Inversement, durant l'
état
léthargique, ii suffira de soulever une des paupi
môme temps que le développement, de ce même côté, les caractères de l'
état
cataleptique. Cependant, le côté du corps où l'œi
du corps, pendant que l'autre côté présente les caractères soit de. l'
état
léthargique, soit de l'état cataleptique. E. —
e côté présente les caractères soit de. l'état léthargique, soit de l'
état
cataleptique. E. — Persistance pendant la veill
rsistance pendant la veille de quelques phénomènes produits pendant l'
état
hypnotique. — Les contractures produites par exci
contractures produites par excitation mécanique des muscles pendant l'
état
léthargique, persistent souvent après le réveil,
veil, lorsqu'on n'a pas eu soin de les faire disparaître, pendant l'
état
léthargique, par l'excitation des antagonistes. P
llement produites, il suffit, le sujet étant de nouveau plongé dans l'
état
léthargique, de mettre à profit la réapparition d
tractures artificielles ; alors môme que le sujet a été plongé dans l'
état
léthargique, elles résistent néanmoins, le plus s
i de la localisation de Broca. — Lorsque le sujet étant plongé dans l'
état
cataleptique, on lui suggère l'idée de compter à
iques ; du phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire (1). L'
état
hypnotique que l'on obtient assez facilement chez
ne puisse se rencontrer, à des degrés variables, il est vrai, dans l'
état
de santé ou dans l'état de maladie. Et, d'après c
, à des degrés variables, il est vrai, dans l'état de santé ou dans l'
état
de maladie. Et, d'après cette loi aujourd'hui bie
hysiologique et que la maladie nous révèle souvent . les secrets de l'
état
normal. Entre le fonctionnement régulier de l'o
e, l'hypnotisme devient comme une voie ouverte à l'expérimentation. L'
état
hypnotique, n'est autre chose qu'un état nerveux
verte à l'expérimentation. L'état hypnotique, n'est autre chose qu'un
état
nerveux artificiel ou ex érimenta dont les manife
res : l'influence d'un certain nombre d'agents sur la production de l'
état
hypnotique : lumière vive (lampe Bourbouze, lumiè
ue provoquée ; — le mode de succession chez un même sujet de ces deux
états
nerveux : léthargie provoquée et catalepsie provo
s détails sur un des phénomènes somatiques les plus intéressants de l'
état
de sommation chez les hystériques, sur ce phénomè
d'un ordre plus élevé. Pour la production du réflexe tendineux de l'
état
normal, plusieurs conditions sont nécessaires. El
emier lieu, le muscle sur lequel on veut agir doit être placé dans un
état
de tension modérée. En second lieu, l'excitation
excitation électrique ou mécanique autre que la percussion. Dans l'
état
hypnotique, les circonstances qui favorisent la p
usse quelquefois directe, mais toujours vive et très courte. Dans l'
état
de santé, la contraction réflexe du triceps crura
lien. Cette contraction, d'intensité moyenne, s'exagère dans certains
états
morbides caractérisés par un accroissement de l'a
en certains cas, elle se montre là où elle n'existe que rarement à l'
état
normal, comme au bras par la percussion des tendo
réflexes tendineux, l'ataxie locomotrice par exemple. Les différents
états
nerveux auxquels les pratiques de l'hypnotisme do
émamianesthésique à gauche. Les réflexes tendineux sont exagérés, à l'
état
de veille, surtout dans tout le côté gauche. Un
sur le biceps brachial et traduit les modifications survenues dans l'
état
de contraction de ce muscle. La ligne inférieure
e la main et des doigts. Le tracé I (Fig. 2) a été obtenu pendant l'
état
de veille. La secousse musculaire réflexe n'est p
rticipent pas à la contracture. Les recherches faites au sujet de l'
état
des réflexes tendineux pendant la léthargie hysté
ées. C'est ainsi qu'après nos expériences les réflexes tendineux de l'
état
de veille sont toujours un peu plus exaltés qu'au
scle sur le tendon duquel on opère n'a pas besoin d'être placé dans l'
état
de demi-tension exigé pour la production du réfle
at de demi-tension exigé pour la production du réflexe tendineux de l'
état
normal. Pour les tendons superficiels etfacilem
a main sous l'influence de l'excitation mécanique du médian pendant l'
état
d'hyper-excitabilité neuro-musculaire et que nous
sque ce même muscle est contracture par l'excitation mécanique dans l'
état
de l'hy-perexcitabililé neuro-musculaire. L'omopl
s muscles de l'avant-bras d'une hystérique hynoptisée et présentant l'
état
nerveux spécial favorable à ce genre de recherche
ce qui est des muscles de la face, l'excitation mécanique, pendant l'
état
d'hyperexcitabilité, ne donne lieu qu'aune contra
e partie seulement d'un muscle large et fascicule, tandis que, dans l'
état
d'hyperexcitabilité, la contraction totale de ce
seul de ces faisceaux; c) De la propagation de l'excitation. Dans l'
état
d'hyperexcitabilité, le mouvement d'un muscle s'a
laquelle nous avons insisté en commençant et qui n'existe que dans l'
état
d'hyperexcitabilité. 11 résulte de tout cela qu
de tout cela que la localisation est plus difficile à obtenir, dans l'
état
d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, par l'excit
sumé, il existe pour la localisation de l'excitation mécanique dans l'
état
d'hyperexcitabilité neuro-musculaire et pour la f
s voisines (1 et 2 de la môme planche), sur lesquelles le nez est à l'
état
de repos. L'oRBicuLAiRE des lèvres répond aussi
muscles des membres obtenue par les mômes procédés persiste pendant l'
état
cataleptique (1). Pour compléter nos recherches
mergence de la parotide, s'offrent d'eux-mêmes à l'excitation. Dans l'
état
d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, la contract
appent, dans le plus grand nombre des cas, à l'action volontaire. A l'
état
de veille, notre malade est totalement incapable
al. II. DE QUELQUES CARACTÈRES DE LA CONTRACTURE PROVOQUÉE DANS L'
ÉTAT
DTIYPEREXCITABILITË NEURO-MUSCULAIRE. La contra
xcitation des antagonistes.— La contracture ainsi provoquée pendant l'
état
hypnotique, cède très facilement par la friction
ie, elle est impuissante contre la contracture qui persiste pendant l'
état
cataleptique ou après le réveil. La figure 26 r
persiste tant que dure le sommeil, elle persiste également pendant l'
état
cataleptique, mais, aussitôt qu'on provoque le ré
e réveil, elle s'évanouit ; 2° Si la malade est réveillée pendant l'
état
léthargique, la contracture disparaît aussitôt. M
n a soin de la rendre cataleptique, la contracture persiste pendant l'
état
de veille, avec la même forme et le même degré d'
e dernière précaution n'est pas nécessaire. Réveillée, même pendant l'
état
léthargique, la malade garde sa contracture. Le
ces contractures, il faut endormir de nouveau le sujet, et, pendant l'
état
léthargique, procéder à l'excitation des muscles
t. MM. Brissaud et Ch. Richet ont observé, sur le membre anémié et en
état
de contracture latente, les mêmes phénomènes que
.. est endormie par la fixation du regard. Elle tombe aussitôt dans l'
état
de léthargie avec hyperexcitabilité neuromusculai
lors de l'application de la bande d'Es-march. Nous savons que, dans l'
état
d'hyperexcitabilité, il suffit du plus léger atto
r que nous avons évitée en appliquant•-" la bande d'Esmarch pendant l'
état
cataleptique. Une fois la bande de caoutchouc a
avec les mêmes précautions que tout à l'heure, c'est-à-dire pendant l'
état
cataleptique. La malade est replongée dans l'ét
-à-dire pendant l'état cataleptique. La malade est replongée dans l'
état
léthargique et l'excitation mécanique portée au n
bital du membre anémié, à la région du coude. Nulle modification de l'
état
des muscles. L'aimant est appliqué près de l'av
s les phénomènes que nous venons de décrire comme se rattachant à cet
état
nerveux spécial désigné sous le nom d'hyperexcita
re, ce qui n'a pas lieu pour le côté droit. La matade est toujours en
état
de veille et cette expérience est faite presqu'à
par l'action d'une lumière très intense. Elle entre d'abord dans l'
état
cataleptique qui persiste indéfiniment, et alors
e, nous avons vu plusieurs fois dans le cours de nos expériences, cet
état
musculaire spécial disparaître tout d'un coup pou
t musculaire spécial disparaître tout d'un coup pour faire place à un
état
paralytique localisé à un seul côté du corps et q
mais sans manifester le mécontentement qu'un réveil dans un semblable
état
semblerait devoir lui causer. Elle fait quelque
pendant sans difficulté par la pression des globes oculaires. Le même
état
hémiparalytique persiste. Au bout de quelques ins
s du fait qui précède, l'expérience suivante dans laquelle, pendant l'
état
somnambulique, alors que, suivant la règle,, l'hy
de la tête dans le sommeil sans hyperexcitabilité neuro-musculaire ou
état
somnambulique. L'excitation mécanique directe ou
ux.L'étatdela motilité estle mêmepartoutlecorps. Nous recherchons l'
état
de la contractilité électrique que nous trouvons
lexes tendineux aux deux bras sont manifes tement exagérés. Le même
état
persiste un quart d'heure environ avec quelques f
erminée. Mais aussitôt les yeux se ferment et la malade tombe dans un
état
de résolution tel que nous n'en n'avons jamais ob
'un côté sur l'autre suivant qu'on cherche à la redresser. Dans cet
état
, les réflexes tendineux sont fort exagérés. Le ch
pières se ferment d'elles-mêmes. Pendant que les yeux sont ouverts, l'
état
musculaire ne change pas ; pas de catalepsie poss
s, l'état musculaire ne change pas ; pas de catalepsie possible, même
état
des réflexes, même résolution. Bientôt la malad
les yeux sont fermés, et lorsqu'ils sont ouverts, aucune tendance à l'
état
cataleptique. Enfin la résolution musculaire s'es
localisation précise soit possible. Ce n'est en somme qu'une sorte d'
état
rudimentaire de l'hyperexcitabilité neuro-muscula
rte d'état rudimentaire de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, et l'
état
cataleptique qui suit l'ouverture des yeux ne peu
ous montrent le sommeil hypnotique à un degré fort incomplet, sorte d'
état
rudimen-taire. Les phénomènes psychiques sont nul
t, sorte d'état rudimen-taire. Les phénomènes psychiques sont nuls, l'
état
cataleptique n'existe pas, pas plus que l'aptitud
e à la contracture, est le lien qui rattache ces faits incomplets à l'
état
de léthargie hypnotique entièrement développé don
e raison nous avons proposé de désigner sous le nom d'hypnotisme. L'
état
cataleptique survient d'emblée à la suite de l'im
ique pour la rendre immédiatement cataleptique, Les caractères de cet
état
cataleptique sont les suivants : 1° Les yeux so
sie a envahi, le plus souvent, la conjonctive et jusqu'à la cornée. L'
état
de la pupille varie ; 3° Les membres gardent le
ou la friction des masses musculaires ne les modifient pas. Enfin cet
état
cataleptique est uniformément développé sur tous
pas à insister ici : automatisme, hallucinations provoquées (1). L'
état
cataleptique dont nous venons d'indiquer les prin
utres moins parfaits dans lesquels le sommeil hyp- 1. En résumé cet
état
cataleptique, à cause de la fixité du regard, de
ue n'est plus susceptible d'être divisé en deux périodes distinctes :
état
léthargique avec hyperexcifabilifé neuro-musculai
inctes : état léthargique avec hyperexcifabilifé neuro-musculaire, et
état
cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui pa
xcifabilifé neuro-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d'
état
mixte qui paraît tenir des deux à la fois, et qui
me est caractérisé par un délire spontané ou provoqué. Il s'y joint l'
état
musculaire spécial sur lequel nous insistons ici.
e pas à être interrompu par une nouvelle crise de spasme laryngien. L'
état
de sommation ainsi produit se compose de deux pha
oquer chez elle des hallucinations variées. Pendant tout ce temps l'
état
musculaire est intéressant à noter c'est sur lui
e des membres à conserver les attitudes communiquées. Il semble que l'
état
cataleptique et l'état d'hyperexcitabilité neuro-
er les attitudes communiquées. Il semble que l'état cataleptique et l'
état
d'hyperexcitabilité neuro-musculaire soient ici c
cependant il est facile de se convaincre qu'il ne s'agit pas ici de l'
état
cataleptique véritable ; mais d'une sorte d'état
s'agit pas ici de l'état cataleptique véritable ; mais d'une sorte d'
état
cataleptique déjà Charcot. Œuvr. com.pl. t. ix,
evant les paupières de la malade et en maintenant ses yeux ouverts, l'
état
cataleptique véritable ne saurait être obtenu. Le
les exemples. 11 ressort des faits que nous avons pu étudier que cet
état
, qui paraît tenir à la fois et de la léthargie et
prédisposés, ce n'est que dans les premières expériences, avant que l'
état
hypnotique, par la répétition des séances, se soi
sentent généralement ni l'hyperexcitabilité neuro-musculaire dans son
état
complet de développement, tel que nous l'avons dé
son état complet de développement, tel que nous l'avons décrit, ni l'
état
cataleptique parfait, dont nous avons rappelé les
re provoquée fut pour cela diminuée. En résumé, les caractères de l'
état
cataleptiforme sont les suivants : 1° Les yeux
tendineux sont exaltés. 4° Que les yeux soient ouverts ou fermés, l'
état
musculaire reste le même, présentant toujours ce
ême, présentant toujours ce double caractère d'hyperexcitabilité et d'
état
cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir
cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir de quelle manière l'
état
cataleptiforme se rattache au phénomène de l'hype
ion suivante qui met bien en relief et les différences qui séparent l'
état
cataleptiforme de l'état cataleptique véritable e
en relief et les différences qui séparent l'état cataleptiforme de l'
état
cataleptique véritable et les liens qui rattachen
orme de l'état cataleptique véritable et les liens qui rattachent cet
état
cataleptiforme au phénomène de l'hyperexcitabilit
ilement par la pression sur les globes oculaires et su? les tempes. L'
état
de sommation ainsi produit se caractérise par l'e
érale. Elle n'existe pas à la face (1). Nous essayons de produire l'
état
cataleptique par l'ouverture 1. L'hyperexcitabi
, mais les globes oculaires sont convulsés en haut et à droite. — L'
état
cataleptique que nous obtenons ainsi est imparfai
et les réflexes tendineux persistent. Il est aisé de reconnaître là l'
état
cataleptiforme. — En effet, en insistant sur l'
re. Ce qui précède montre bien les différences qui existent entre l'
état
cataleptique vrai et l'état cataleptiforme. Dans
bien les différences qui existent entre l'état cataleptique vrai et l'
état
cataleptiforme. Dans le cours de la même séance n
xpérience destinée à mettre en lumière les connexions qui relient cet
état
cataleptiforme au phénomène de l'hyperexcitabilit
re. Cette expérience consiste à produire sur un segment de membre l'
état
cataleptiforme pendant la phase de léthargie. I
peintre dont parlent les auteurs. Il semble alors que cette sorte d'
état
cataleptique est bien due à un léger degré d'hype
re pour faire cesser toute roideur et en même temps toute apparence d'
état
cataleptique, E. — L'hyperexcitabilité neuro-mu
euro-musculaire pouvait être observée chez nos malades en dehors de l'
état
hypnotique, pendant la veille. Ce n'est ordinai
dans ces conditions n'égalent jamais ceux qui sont observés pendant l'
état
de somniafion. Nous ajouterons que ces phénomènes
à la contracture musculaire, peut n'en présenter pas moins, pendant l'
état
de somniafion, les signes les plus complets de l'
bilité électrique du muscle n'est pas sensiblement modifiée pendant l'
état
d'hyperexcitabilité neuromusculaire ou en dehors
ndant la veille, soit pendant la léthargie hypnotique, soit pendant l'
état
cataleptique, soit même alors qu'il est en état d
tique, soit pendant l'état cataleptique, soit même alors qu'il est en
état
de contracture. Ce qui nous paraît indiquer que c
centre nerveux lui-même, modification dynamique qui, dans le cas de l'
état
léthargique, se traduirait par une exagération de
par une exagération de fonction, une excitabilité plus grande qu'à l'
état
normal. La plupart des raisons que nous avons inv
onc soumis aux inhalations de chloroforme une malade hypnotisée et en
état
de léthargie avec hyperexcitabilité neuro-muscula
vec les caractères que nous avons décrits. La malade étant dans cet
état
, nous lui faisons respirer du chloroforme. — Nous
de la face une grimace beaucoup plus vive et plus accusée que dans l'
état
léthargique ordinaire. Les muscles du front, du n
u'aux membres, demeure sans effet. Nous laissons la malade dans cet
état
, la compresse de chloroforme est enlevée, et nous
es-mêmes. Après avoir repris connaissance la malade demeure dans un
état
d'ébriété dû à l'action chloroformique. Elle tuto
qui est en rapport avec ces mêmes muscles. M. Vulpian résume ainsi l'
état
de la question : « Il est probable, dit-il, que l
ques mots des modifications neuro-musculaires que l'on observe dans l'
état
somnambulique. En dehors de l'état léthargique do
usculaires que l'on observe dans l'état somnambulique. En dehors de l'
état
léthargique dont nous avons parlé, il est possibl
les que nous venons d'étudier. Lorsque la malade est plongée dans l'
état
somnambulique, les propriétés d'excitabilité neur
vez beau presser ou malaxer le membre qui, tout à l'heure — pendant l'
état
léthargique — se contracturait avec force sous l'
plus grossier et plus facilement appréciable, caractéristique de l'
état
de léthargie et qui a fait l'objet du présent mém
a fait l'objet du présent mémoire. Ces faits de contracture pendant l'
état
somnambulique ont été cependant signalés en passa
ous paraissent devoir rentrer dans la catégorie des contractures de l'
état
somnambulique; il les obtient par l'excitation cu
ctifs sont les suivants : Pour la production de la contracture de l'
état
léthargique, les excitations cutanées seules deme
ntéresse les parties sous-cutanées. Au contraire, la contracture de l'
état
somnambulique ne survient crue sous l'influence d
de quelle localisation précise était susceptible la contracture de l'
état
léthargique. Pendant l'état somnambulique, la con
ise était susceptible la contracture de l'état léthargique. Pendant l'
état
somnambulique, la contracture est plus diffuse, e
st plus diffuse, elle envahit habituellement tout un membre. Dans l'
état
léthargique, les réflexes tendineux sont exaltés,
és, et le choc sur les tendons produit bientôt la contracture. Dans l'
état
somnambulique, les réflexes tendineux sont éga-
ne donnent jamais lieu à la contracture. Enfin la contracture de l'
état
léthargique ne se résout que par un seul procédé,
ication à la surface du membre contracture. Nous rappellerons que l'
état
léthargique est provoqué d'emblée par l'emploi de
tions d'un grand diapason brusquement suspendues. Qu'elle succède à l'
état
cataleptique par l'occlusion des paupières, ou qu
uit laryngé spécial et par la montée d'un peu d'écume aux lèvres. L'
état
somnambulique, au contraire, est provoqué d'emblé
règle est d'éviter toute secousse, toute action brusque. De plus, l'
état
léthargique ne présente que des phénomènes psychi
e que des phénomènes psychiques nuls ou très incomplets, tandis que l'
état
somnambulique, en outre des faits de contracture
nom de léthargie hypnotique provoquée — a pour principal caractère un
état
spécial d'hyperexcitabilité de tout le système mo
us l'influence de l'excitation mécanique qui produit alors, pendant l'
état
léthargique, des effets semblables à ceux qui sui
1882, p. 20). De récentes études m'ont permis de constater que cet
état
d'hyperexcitabilité n'appartient pas exclusivemen
ues, mais de l'action du courant galvanique sur l'encéphale pendant l'
état
de léthargie hypnotique. Dans cet état, le cour
ue sur l'encéphale pendant l'état de léthargie hypnotique. Dans cet
état
, le courant galvanique, appliqué sur un des côtés
tissus au passage du courant galvanique, chez les hystériques dans l'
état
hypnotique et à l'état de la veille. Il m'a sembl
ourant galvanique, chez les hystériques dans l'état hypnotique et à l'
état
de la veille. Il m'a semblé assez intéressant pou
observations faites à ce sujet : La malade une fois plongée dans l'
état
de léthargie, par les procédés habituels, la fixa
ésence de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire caractéristique de cet
état
étant reconnue, un des tampons (le tampon négatif
des tampons sur le crâne. Ces faits une fois bien constatés dans l'
état
léthargique, il s'agissait de savoir s'ils étaien
, il s'agissait de savoir s'ils étaient bien une particularité de cet
état
nerveux spécial ou s'ils se rencontraient indiffé
cet état nerveux spécial ou s'ils se rencontraient indifféremment à l'
état
de veille. Chaque expérience a donc été répétée
euses nous engage à conclure, jusqu'à plus ample informé, que, dans l'
état
de léthargie hypnotique, il existe une excitabili
é au courant galvanique, des régions encéphaliques motrices pendant l'
état
de léthargie hypnotique. Ce fait nous paraît d'
la façon que j'ai précédemment indiquée, a toujours provoqué, dans F
état
léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculai
alement à la fermeture du courant. La même expérience, répétée dans l'
état
de veille, chez ces quatre sujets, a toujours don
, j'avais été amené à conclure, provisoirement toutefois, que, dans l'
état
de léthargie hypnotique avec hyperexcitabilité ne
des hystériques hypnotisables plongées, comme les précédentes, dans l'
état
de léthargie avec hyperexcitabilité neuro-muscula
ue, sur les quatre sujets de ce groupe, trois ont présenté, pendant l'
état
de veille, sous l'influence de la galvanisation c
bles à celles qui avaient été observées par le même procédé pendant l'
état
de léthargie. Ainsi, chez une seule de ces malade
provoquées par l'excitation galvanique du crâne ont paru propres à l'
état
hypnotique. Pour ce qui est de notre troisième
otisées. C'est qu'en réalité l'hypnotisme comprend une longue série d'
états
nerveux très divers, différents les uns des autre
n délimiter et à bien définir. Pour ne citer que quelques exemples, l'
état
léthargique, ainsi que je l'ai fait remarquer dès
rquer dès l'origine de nos études, en 1878, diffère foncièrement de l'
état
cataleptique, et ce dernier diffère à son tour de
èrement de l'état cataleptique, et ce dernier diffère à son tour de l'
état
dit somnambulique, etc., etc. Ces formes si diver
Il est, on le voit, fort important, de spécifier les caractères de l'
état
où se trouve le sujet chez lequel on relève une o
es auxquelles se rapporte ma dernière communication étaient toutes en
état
de léthargie avec hyperexcitabilité. De plus, les
est nécessaire d'exposer sommairement les principaux caractères de l'
état
cataleptique dont il s'agit et de donner quelques
hypnotisme. C'est chez les malades de cette catégorie que les divers
états
nerveux artificiellement produits par l'hypnotism
ie, ou autrement dit, que le grand hypnotisme ne consistait pas en un
état
nerveux artificiellement provoqué, toujours ident
t semblable à lui-même, mais bien qu'il représentait tout un groupe d'
états
nerveux divers, différents les uns des autres, ch
d'états nerveux divers, différents les uns des autres, chacun de ces
états
saccusant par une symptomatologie qui lui apparti
par une symptomatologie qui lui appartient en propre. Ces différents
états
nerveux dont l'ensemble comprend toute la symptom
pnotisme, doivent être ramenés à trois types fondamentaux qui sont: l'
état
cataleptique, l'état léthargique, l'état somnambu
e ramenés à trois types fondamentaux qui sont: l'état cataleptique, l'
état
léthargique, l'état somnambulique. L'état catal
pes fondamentaux qui sont: l'état cataleptique, l'état léthargique, l'
état
somnambulique. L'état cataleptique, dont il s'a
t: l'état cataleptique, l'état léthargique, l'état somnambulique. L'
état
cataleptique, dont il s'agit spécialement ici (1)
eut i. Nous avons donné ailleurs la description détaillée des trois
états
nerveux. Voy. Charcot : Note lue à l'Académie des
des yeux sur un objet quelconque. Il se développe consécutivement à l'
état
léthargique lorsque les yeux clos, jusque-là, son
uvert par l'élévation des paupières. Le trait le plus saillant de l'
état
cataleptique c'est, on peut le dire, l'immobilité
rand nombre d'auteurs, la « flexibilitas cerea » n'appartient pas à l'
état
cataleptique des hypnotiques. Les réflexes tend
il ne reste aucun doute dans l'esprit du lecteur, sur la réalité de l'
état
cataleptique qui sert pour ainsi dire de support
II). Fia. 28, — Tracés obtenus chez une hystéro-épileptique clans l'
état
cataleptique de l'hypnotisme. — I, tracés du pneu
'expression de la physionomie. Pendant que le sujet est plongé dans l'
état
cataleptique, les yeux restent ouverts, et la fac
e ainsi sur la face d'un sujet hypnotisé ne modifie en aucune façon l'
état
nerveux dans lequel il se trouve. L'état catalept
ne modifie en aucune façon l'état nerveux dans lequel il se trouve. L'
état
cataleptique n'est nullement interrompu par l'app
s sur ce sujet. La Figure 1 de la Planche X représente la malade en
état
cataleptique. C'est dans cette attitude droite et
me nerveux, et leur principal mérite est de mettre en relief, par l'
état
d'isolement où ils se trouvent, des faits dont il
vent, des faits dont il n'est pas difficile de retrouver la trace à l'
état
normal. Les expériences d'hypnotisme, dont il s'a
re latente (Brissaud) (3), excitabilité musculaire (Ch. Ri-chet) (4),
état
d'opportunité de contracture (Ballet et Delanef)
llet et Delanef) (5), Brunet (6), hyperexcitabilité musculaire hors l'
état
d'hypnotisme, contractures passagères, etc., etc.
s-rendus des séances de la Société de Biologie, 1882, p 21. 5. De l'
état
d'opportunité de contracture. ( Gaz. Méd., 23 jui
. Méd., 23 juillet 1882). 6. Etude clinique et physiolologiqUe de l'
état
d'opportunité de contracture, Thèse de Paris, 188
à mieux définir. Nous rappellerons que, pendant deux des phases ou
états
nerveux de l'hypnotisme (état léthargique et état
lerons que, pendant deux des phases ou états nerveux de l'hypnotisme (
état
léthargique et état somnambulique) la contracture
deux des phases ou états nerveux de l'hypnotisme (état léthargique et
état
somnambulique) la contracture musculaire peut êtr
nue, mais par des procédés différents et propres à chacun de ces deux
états
. Ainsi, pendant la léthargie, la contracture succ
tonique musculaire et ramenassent les traits de la physionomie à leur
état
naturel. La môme malade nous a raconté alors qu'i
s avons énumérés. En somme, la diathèse de contracture représente à l'
état
de veille, le phénomène de l'hyperexcitabilité ne
itabilité neuro-musculaire de l'hypnotisme, mais atténué et comme à l'
état
d'ébauche. Toutefois, nous ajouterons que, dans c
a veille et celles que nous avons données comme caractéristiques de l'
état
léthargique de l'hypnotisme. Il convient donc d
itement analogue à celui que nous offre une hystérique plongée dans l'
état
somnambulique de l'hypnotisme. Au point de vue ne
nt de vue neuro-musculaire, on peut dire qu'elle était somnambule à l'
état
de veille. Nous ajouterons, pour compléter la r
us ou moins étroites. Les parties anesthésiées sont seules parfois en
état
de diathèse de contracture. D'autres fois, il e
ysie. C'est là un exemple des affinités secrètes qui relient ces deux
états
musculaires si opposés en apparence la contractur
et qui peut se formuler ainsi : un muscle est susceptible d'entrer en
état
de contraction permanente par le seul fait du rap
é dans une communication récente à la Société de Biologie (2), sur un
état
musculaire spécial qui se rencontre chez les hyst
rovoquée pendant l'hypnotisme, suivant que le sujet est plongé dans l'
état
léthargique ou dans l'état somnambulique. Nous
me, suivant que le sujet est plongé dans l'état léthargique ou dans l'
état
somnambulique. Nous ne saurions entrer ici dans
— Contraction paradoxale obtenue chez Cad..., hystéro-épileptique en
état
de diathèse de contracture, par redressement brus
ntractures artificielles. désarmés, car en outre du traitement de l'
état
général, qui a Lien son mérite, nous avons plusie
ore avoir recours au massage prolongé, etc., etc. La suggestion à l'
état
de veille sous forme de persuasion ou d'injonctio
apide peut aussi amener un résultat favorable. Mais la suggestion à l'
état
d'hypnotisme aura, si l'hypnotisme est praticable
es hypnoti-sables, s'il s'agit du grand hypnotisme, provoquer, dans l'
état
léthargique, l'apparition de contractures, avec l
ts successifs de la contracture, ou encore par i'hypnotisation dans l'
état
léthargique ou par la suggestion. Une certaine ac
art. La situation peut être représentée par le schéma suivant : à l'
état
normal, la mise en jeu de l'arc diastaltique est
'excitation permanente venant des muscles ou de la peau. Si, dans cet
état
, l'excitabilité des cellules motrices est représe
ntracture. Eh bien ! on peut admettre que, dans l'hystérie, il y a un
état
purement dynamique des filets du faisceau pyramid
s jamais persister, par la simple raison qu'elles sont combattues à l'
état
naissant, aussitôt qu'elles apparaissent. Nous
d-bot, et on la maintenait quelquefois plus d'une demi-heure dans cet
état
. C'est le petit hypnotisme qui se produit chez el
qué inconsidérément. Evidemment c'est l'hypnotisme qui l'a mis dans l'
état
où il est aujourd'hui. Il est vrai que l'hypnotis
naître au sein de votre Conseil sanitaire.il ne faut pas l'oublier,l'
état
hypnotique confine de très près à la névrose hyst
'électrisation statique et sur son action thérapeutique dans certains
états
morbides. Avant d'entrer dans les détails, je cro
ovoque la contraction du muscle et môme plus énergïquement que dans l'
état
normal, alors qu'il est impossible d'obtenir cett
olant, est mis en communication avec ce conducteur, dont il partage l'
état
électrique. Quant à l'électricité négative des co
voir dans quelques minutes se produire une modification complète de l'
état
de leur sensibilité. On va suivre les changements
Elles font partie en d'autres termes du conducteur, dont elles ont l'
état
électrique ; elles représentent en somme un simpl
use qui disparaît en quelques heures. Voyons, maintenant, dans quel
état
, après vingt minutes environ d'électrisation stat
qu'il était possible de produire chez certains sujets prédisposés, un
état
nerveux spécial caractérisé par des contractures,
tractures, des paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet
état
nerveux, décrit avec soin par un médecin anglais,
s pouvaient affecter dans certains cas un groupement spécial en trois
états
distincts. Nous ne pouvons mieux faire que de rep
propriétés de la catalepsie. L'hypnotisme caractérisé par les trois
états
que nous venons de décrire, constitue ce que M. C
sa description, a laissé de côté, à dessein, les formes frustes, les
états
mixtes, pensant qu'il était préférable de s'arrêt
études sur ce sujet. Le grand hypnotisme peut se présenter dans son
état
de complet développement dès la première tentativ
jets se perfectionnent avec l'exercice. Dans d'autres cas, le grand
état
ne se constitue dans ses trois états qu'après un
ce. Dans d'autres cas, le grand état ne se constitue dans ses trois
états
qu'après un certain nombre d'expériences. Le mode
n ne trouve pas la division en trois périodes. — Un ou deux des trois
états
peuvent manquer, d'où plusieurs variétés possible
pres. — M. Pitres a décrit une déviation dans laquelle il a observé l'
état
cataleptoïcle, les yeux fermés (1). Toutes ces
malade s'endort en léthargie, et présente tous les caractères de cet
état
. On cherche alors, en lui ouvrant les yeux à la f
somnambulisme, et on constate toutes les propriétés inhérentes à cet
état
. La malade reste ainsi dix-huit mois à la Salpêtr
uquel elle ne pouvait s'attendre, détermina immédiatement chez elle l'
état
cataleptique. Depuis cette époque, l'état catalep
a immédiatement chez elle l'état cataleptique. Depuis cette époque, l'
état
cataleptique a pris définitivement piace dans la
el, ou encore du sommeil simulé. L'aspect sous lequel se présente l'
état
hypnotique est donc variable, et il y a lieu de r
onc variable, et il y a lieu de reconnaître l'existence d'une série d'
états
Intermédiaires entre la forme type et la forme la
re que l'hypnotisme est considéré à la Salpêtrière comme un véritable
état
pathologique, comme une névrose artificielle, qu'
omènes hypnotiques peuvent affecter un groupe ment spécial en trois
états
distincts. C'est là la forme la plus parfaite de
tisme doit être considéré dans ses formes les plus parfaites comme un
état
pathologique. Nous devons maintenant exposer la
cet égard. Si nous prenons, par exemple, un sujet qui présente cet
état
de torpeur qui caractérise le premier degré de M.
question cle preuve reste la question capitale. Si la réalité de l'
état
hypnotique est devenue aujourd'hui une vérité inc
au point de vue médico-légal de l'immunité que peut lui conférer cet
état
. Or, comment peut-on démontrer à des juges la réa
u d'en faire bénéficier les malades qui ne peuvent être amenés à un
état
d'hypnotisa-tion plus parfait. Mais ces sujets ne
nsistent ces phénomènes : Si par exemple on présente à un malade en
état
de suggestion une feuille de papier divisée en de
sensation du vert complémentaire (Parhiaud). — On dit à une malade en
état
de somnambulisme de regarder fixement un carré de
a deuxième proposition. Le grand hypnotisme caractérisé par les trois
états
, léthargie, catalepsie et somnambulisme, n'est pa
it par éliminer tous les sujets présentant, à un degré quelconque à l'
état
de veille, de l'hyperexcitabilité neuro-musculair
emples vulgaires, la sécrétion des larmes est provoquée tantôt par un
état
normal déprimant, un chagrin, tantôt par un corps
de supposer qu'il existait un grand hypnotisme caractérisé par trois
états
distincts? S'il a constaté les trois états, ce n'
isme caractérisé par trois états distincts? S'il a constaté les trois
états
, ce n'est donc pas en vertu d'une idée préconçue,
'est donc pas en vertu d'une idée préconçue, mais parce que ces trois
états
se sont présentés naturellement à son observation
r au début de ce travail que, chez les grandes hypnotiques, les trois
états
pouvaient se développer dès la première tentative
re tentative d'hypnotisation, on a pu constater l'existence des trois
états
avec toutes les particularités qui les caractéris
érisent, mais au début, les phénomènes somatiques n'existaient qu'à l'
état
d'ébauche. Nous devons faire remarquer que chez c
hypnotiques et ne présentant pendant toute cette époque que les deux
états
, léthargie et somnambulisme, qu'on avait constaté
t soumise à aucune expérience d'hypnotisme, qu'elle était occupée à l'
état
de veille à un travail manuel, un violent bruit p
aractéristique de la catalepsie. Ces auteurs reproduisaient les trois
états
de la grande hypnose sur une hystéro-épileptique
de son frère et du professeur Bianchi, tous les phénomènes des trois
états
admis par l'École de la Salpêtrière. Je n'ai pas
t très facilement provoquer des contractures chez mon sujet, soit à l'
état
de veille, soit pendant son sommeil hypnotique, i
qui ont été indiqués par M. Charcot comme caractéristiques des trois
états
du grand hypnotisme. 11 ne pouvait être question
l'attention sur la fin du passage qui a trait à l'existence des trois
états
, à la production de la griffe cubitale, de l'hémi
J'arrive maintenant à la quatrième proposition. L'hypnotisme est un
état
pathotogique et non physiologique. C'est une mani
nt se rencontrer en dehors de l'hystérie ; la coexistence de ces deux
états
n'est donc qu'une coïncidence. » Nous repousser
tiques, elle est beaucoup plus accentuée que chez les hystériques à l'
état
de veille. 2° Nous avons fait remarquer au comm
que hystérique et qu'il y avait une véritable analogie entre ces deux
états
. 3° Il existe entre l'hypnotisme et les manifes
stériques..... 297 Essai d'une distinction nosographique des divers
états
nerveux compris sous le nom d'hypnotisme.......
des particulières d'un certain nombre de phénomènes observés cans l'
état
hypnotique.......................................
355 § 2. De quelques caractères de la contracture provoquée dans l'
état
d'hyperexcitabilité neuro-musculaire...........
— vraie, p. 435; — simulée, p. 438. Gataleptiporme(Etat), p. 393; —
état
musculaire pendant 1'—, p. 401; — caractères de V
e pendant 1'—, p. 401; — caractères de V—,p. 403;—-distinction avec l'
état
cataleptique vrai, p. 404. Cataleptique (Extase
de la face, p. 359: —? caractères de la contracture provoquée dans l'
état
d'—, p. 375, 407, 409; — différents degrés de 1
p. 2S1. Hypnotisme, p. 278; —chez les hystériques, p. 297; — trois
états
principaux dans 1'—, p. 299,520; — production de
être « un malade ». En un mot, elle affirmait que l'hypnotisme est un
état
pathologique. Ce principe est absolument inexact
uggestionné. Or, le sommeil provoqué par suggestion n'est pas plus un
état
pathologique que le sommeil provoqué par la fatig
eux sièges, j'invite ces enfants à les regarder, et je leur fais, à l'
état
de veille, la suggestion d'aller s'y asseoir ; je
ntéressante à constater qu'une extrême suggestibiiité. Elle dénote un
état
mental particulier, et souvent même un esprit sys
du sommeil provoqué. Dans beaucoup de cas la suggestion verbale, à l'
état
de veille, visant avec précision un symptôme nett
sa légitime autorité. Dans sa plupart des cas, la psychothérapie à l'
état
de veille ne donnerait que des résultats incertai
sion de l'enfant, il faut neutraliser ses résistances, substituer à l'
état
d'activité un état de passivité. Il est assez fac
l faut neutraliser ses résistances, substituer à l'état d'activité un
état
de passivité. Il est assez facile d'obtenir, chez
d'obtenir, chez presque tous les enfants, ce qu'on pourrait appeler l'
état
d'influence hypnotique. Cet état est caractérisé
enfants, ce qu'on pourrait appeler l'état d'influence hypnotique. Cet
état
est caractérisé par une tendance à la somnolence,
disposé à s'incliner passivement devant les affirmations. C'est là un
état
excellent pour l'application de la thérapeutique
indications impératives. Néanmoins, que la suggestion soit faite à l'
état
de veille, à l'état de somnolence, ou à l'état de
ives. Néanmoins, que la suggestion soit faite à l'état de veille, à l'
état
de somnolence, ou à l'état de sommeil, il est bon
gestion soit faite à l'état de veille, à l'état de somnolence, ou à l'
état
de sommeil, il est bon que la suggestion soit app
tions expérimentales, pour se limiter aux suggestions indiquées par l'
état
du malade, surtout lorsqu'on ne néglige pas de pr
ce qui fait que l'hypnotisé est sensible à la suggestion constitue un
état
fondamentalement physiologique, que je me représe
bsolument dans le vrai, comme une pléthore nerveuse du cerveau. Cet
état
d'impressionnabilité à la suggestion, vous l'avez
Cet état d'impressionnabilité à la suggestion, vous l'avez nommé l'
état
de « charme »; à mes débuts, et dans mon Elec-tro
débuts, et dans mon Elec-tro dynamisme Vital (1855), je l'ai appelé l'
état
« passif » ; enfin, 1. en 1860, dans mes co
ou Hypnotisme nerveux, j'ai adopté une nouvelle appellation, celle d'
état
« hypotaxique » ou d'« hypotaxie. » Vous me perme
sse qu'à l'entendement sous sa forme d'affirmation ou d'injonction, l'
état
préparatoire qui doit se trouver préalablement ré
pondérant et décisif dans les délibérations ordinaires de l'homme à l'
état
de veille normale, il en est différemment dans l'
de l'homme à l'état de veille normale, il en est différemment dans l'
état
hypotaxique, cela pour deux raisons : premièremen
tat hypotaxique, cela pour deux raisons : premièrement, parce que cet
état
factice a d'abord pour effet de troubler et de re
la fois le sens moral et le sens logique, agissant en cela comme à l'
état
de rêve; secondement, parce que, à la faveur de c
comme un poltron révolté. » Mais n'anticipons pas. Je répète que l'
état
physiologique d'hypotaxie pleinement établi chez
à la suivante : Chacun est-il susceptible d'être mis dans le plein
état
d'hypotaxie, c'est-à-dire d'être complètement sen
'ai vu, la généralité des hommes et des femmes se montrerait apte à l'
état
hypotaxique, bien qu'à des degrés divers, et moye
airement voulu, et cette même puissance morale, toute puissante sur l'
état
physique de l'individu, serait sans action sur so
issante sur l'état physique de l'individu, serait sans action sur son
état
moral ! Je trouve cette suppositon incompréhensib
c'est que, dans l'expérience en question, le sujet était tombé dans l'
état
d'hébétude hypnotique qui, sur le point particuli
bœuf fût invité à faire un rapprochement bien « suggestif » entre cet
état
de torpeur et d'hébétude morales dont certains as
expériences hypnotiques font preuve, avant comme après le coup, et un
état
mental entièrement semblable que l'on constate ch
que (1), prouve suffisamment que telle ne peut être ma pensée. Mais l'
état
hypotaxique a plusieurs degrés auxquels correspon
nt entièrement dupes de l'illusion qui les berce. Les mêmes nuances d'
état
mental se dessinent chez les hypnotisés. ***
enir, si l'expérience réussit il est bien évident que c'est grâce à l'
état
de contraction continue et à une sorte de contrac
al. Dix-huit mois passés sous les drapeaux ne purent triompher de cet
état
, et il fut obligé de quitter l'armée (Gazette des
sur les habitants de Surinam (Guyanne). Là vivent, dans les bois, à l'
état
demi-sauvage, des nègres descendants des anciens
ugnances sont si généralisées et si intenses, qu'elles constituent un
état
pathologique et méritent d'entrer dans le domaine
rès complète de la connaissance, la chute à terre comme une masse, en
état
de raideur complète et générale, avec tresmus, pâ
elle a la même douleur et autant d'attaques. L'idée me vient que son
état
maladif étant la catalepsie et que son état hypno
. L'idée me vient que son état maladif étant la catalepsie et que son
état
hypnotique s'accompagnant de raideur cataleptique
La suggestion et l'imitation dans l'art. Paul Joire (de Lille) : Les
états
médianiques de l'hypnotisme. Max Nordau : Une fam
eint pâle, de complexion assez délicate, ce garçon, cordonnier de son
état
, accuse une douleur abdominale et une douleur tho
que l'enfant était déjà suggestionné, hypnotisé, c'est-à-dire dans un
état
de conscience autre. Il l'aurait, en continuant à
cience autre. Il l'aurait, en continuant à l'interroger, ramené à son
état
de conscience normal, il aurait passé à côté de l
de l'hypnose, sans s'en douter. Levant les bras de l'enfant, dans cet
état
, je constatai qu'ils restaient immobiles, en cata
au réveil leur ont échappé. Après deux ou trois séances en général, l'
état
d'hypnose ou de suggestibiiité devient continu. V
dits hypnotiques. La provocation de ces phénomènes implique-t-elle un
état
anormal? L'idée des lombrics a déterminé chez lui
'idée des lombrics a déterminé chez lui des douleurs abdominales, à l'
état
de veille et de conscience parfaite ! Je lui ai s
enons d'obtenir dans le sommeil provoqué, nous allons les obtenir à l'
état
de veille parfaite. Tenez ! je prends le bras de
voyez donc que toutes lès suggestions sont accomplies par lui à l'
état
de veille, et j'aurai pu d'emblée, sans sommeil p
sychique qui fait sa suggestibiiité ; je n'ai pas produit chez lui un
état
anormal ; j'ai démontré simplement devant vous sa
tiser le malade ; en dépit de sa résistance, nous avons pu, pendant l'
état
de sommeil provoqué, à la faveur de l'état de con
, nous avons pu, pendant l'état de sommeil provoqué, à la faveur de l'
état
de conscience nouveau ainsi créé, neutraliser la
ence nouveau ainsi créé, neutraliser la douleur, tant qu'existait cet
état
. Mais aussitôt le sujet revenu à sa conscience no
estion au traitement du rhumatisme (1) Liébeault, Le sommeil et les
états
analogues, 1866, p. 352. aigu ou chronique, l
r : hallucinations, crises fréquentes et terribles, suivies d'un long
état
de torpeur et de prostration : tels sont les phén
effrayé des progrès du calvinisme, sut admirablement tirer parti de l'
état
de Nicole. Le haut clergé et le peuple criant
au moment où la cuillère lui touchait la bouche, elle retombe dans l'
état
d'engourdissement dont on venait de la tirer. C
dont on venait de la tirer. Ce qui ajoutait au merveilleux, dans l'
état
de Nicole, c'est qu'elle n'absorbait jamais de no
plusieurs mois, faisant à peine quelques pas dans sa chambre, dans un
état
stationnaire ; elle commença à devenir triste, dé
ce. Cette action complémentaire ne se manifeste pas seulement sur l'
état
mental et l'état général. Son action propre se ré
n complémentaire ne se manifeste pas seulement sur l'état mental et l'
état
général. Son action propre se révèle : 1° En ro
l'on trouve l'observation d'un hystérique bien connu, D...., qui à l'
état
de somnambulisme a fait des fugues multipliées da
ar Proust, Raymond, etc. Dans ces derniers les malades sont dans leur
état
second et ne se souviennent de rien après la fugu
es malades se fixent un but. peuvent résister, mais s'ils passent à l'
état
second, immédiatement ils partent. c) Viennent
résoudre. Les cas publiés jusqu'ici prétent le flanc à la critique. L'
état
de conscience de ces malades en état de fugue n'a
rétent le flanc à la critique. L'état de conscience de ces malades en
état
de fugue n'a jamais été observé. Il est très diff
ins de la vie. Cela cadre-t-il avec l'idée que nous nous faisons de l'
état
mental des epileptiques ? Peut-être porte-t-on le
n'eût constaté que son cœur battait encore faiblement. Ce merveilleux
état
dura jusqu'au samedi suivant, à la même heure. Al
; désespérée des médecins, elle était réduite par la phtisie à un tel
état
de faiblesse et de maigreur qu'elle n'avait plus
eds la malade qui lut dit avec une grande foi : « Père, voyez en que,
état
je suis : donnez-moi votre bénédiction et priez D
ns la terre six semaines, et l'autre dix jours. Pour l'observateur, l'
état
où se trouve le fakir, et qu'il provoque artifici
peut constituer une des phases de l'hypnotisme. Pour arriver à cet
état
, les fakirs, qui sont évidemment des hystériques
e prendre une des poses prescrites par le livre sacré pour tomber à l'
état
d'hypnose en regardant fixement le bout de son ne
ues ne sont sans doute pas pour rien pour engendrer chez les fakirs l'
état
d'hypnose. NOUVELLES Enseignement de l'hypnot
et qu'il dut rentrer à l'hôpital le 25 avril. Il était alors dans un
état
plus pénible que jamais. Ses douleurs rachidienne
s le traiter à cause de la photographie que je voulais prendre et son
état
ne se modifia pas ; toujours même douleurs. Ce n'
Sayre et qu'il était sorti marchant avec des béquilles. Peu à peu son
état
s'était amélioré et il avait pu remplacer ses béq
pas. Les paroles et les gestes n'ont aucune influence sur eux ; leur
état
AU??-SGGESTION ET CONTRE-SUGGESTION cérébra
il ; ils peuvent être hallucinables. On pourrait croire que, dans cet
état
, la suggestion thérapeutique doive toujours réuss
ux variantes de résistance : les uns, tant qu'ils sont dans le nouvel
état
de conscience qu'on appelle hypnose, sont influen
ouleur qu'ils accusent. Mais lorsqu'ils sont réveillés et revenus à l'
état
de conscience normal, l'effet obtenu ne persiste
rent ; il ne se souvient de rien. Il est certainement suggestible à l'
état
de veille. Je lève son bras ; il ne peut plus le
e lève son bras ; il ne peut plus le baisser. Voici la catalepsie à l'
état
de veille. Il essaye en vain d'abaisser son bras.
épigastrique, « comme si cela ne pouvait pas digérer. » Tel est son
état
aujourd'hui, 16 décembre. Vous voyez que je l'end
se la laisse pas déraciner. Est-ce l'effet de la maladie qui crée cet
état
psychique particulier qui le rend indocile, qui l
x de tête sont toujours intenses. Je con- tinue la suggestion à l'
état
de veille, sans en avoir l'air, affirmant que tou
à la guérison, mais qu'on ne peut pas forcer la chose. Le 20, même
état
. Il me raconte qu'il y a deux ans un mal de tête
me celles de la tête et du ventre, qui ont à peu près disparu. Même
état
les jours suivants. Le 26, il dit que depuis av
ins malades, à la faveur aussi d'une thérapeutique mal appropriée à l'
état
psychique, que je ne puis m'empêchèr d'appeler vo
tention sur ce suiet. Voilà un garçon hypnotisable et qui, malgré l'
état
hypnotique, reste rebelle à la suggestion directe
r. La suggestion est répétée plusieurs fois, sans résultat notable. L'
état
reste stationnaire. Cependant, le 12 décembre,
e mode de suggesti-bilité; ces deux hypnotisables n'acceptent pas, en
état
hypnotique, la suggestion thérapeutique; lesdeuxe
plusieurs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l'
état
mental d'un individu. Il est aussi absolument u
iellement par ces deux phénomènes qui se combinent : l'anorexie et un
état
mental spécial. Ce qui fait l'intérêt de cette fo
t que l'appétit n'est pas revenu, même si les malades s'alimentent. L'
état
mental est caractérisé par de l'apathie intellect
evoir, dans les asiles, des aliénés transférés de la prison et dont l'
état
mental avait été méconnu au moment de leur condam
s flagrants délits. Ces condamnations ne seraient pas prononcées si l'
état
mental dc l'aliéné était reconnu à temps, et le m
s soient prises pour annuler toutes les condamnations dues à ce que l'
état
du malade était méconnu. Ce serait peut-être actu
émet le vœu que la flétrissure imméritée subie par les aliénés dont l'
état
mental a été méconnu au moment dc la condamnation
e l'Asile des aveugles d'Edimbourg annonce aujourd'hui qu'elle est en
état
de procurer des masseuses parfaitement au courant
pital de quinze jours; il en est sorti il y a quinze jours. Voici l'
état
que nous avons constaté à son entrée: Constitutio
sentir l'odeur du brûlé sans être oppressée. Elle dut renoncer à son
état
et se maria. L'oppression a augmenté progressivem
doit l'opérer lorsqu'elle sera débarrassée de sa toux. Tel était l'
état
de la malade qui était traitée par l'iodure de po
tentir sur celle-ci. Chez notre malade, il y a peu de bronchite à l'
état
normal, la toux existe sans grande expectoration;
ale du poumon. Cette impressionnabilité d'ailleurs est variable à l'
état
physiologique chez les différents sujets. Tel ave
atouillements et même des douleurs qui peuvent engendrer un véritable
état
hypochondriaque. Notre malade est née trés-impr
umontpallier, Max Nordau, Auguste Voisin, Bérillon et Valentin. Les
états
médianiques de l'hypnose. Par m. le dr Paul Jôi
de Lille. On a coutume de décrire dans le sommeil hypnotique trois
états
diffé-rents les uns des autres, chacun de ces éta
hypnotique trois états diffé-rents les uns des autres, chacun de ces
états
s'accusant par une sympto-matologie qui lui appar
ant par une sympto-matologie qui lui appartient en propre. Ces divers
états
sont encore considérés comme les différentes phas
res génériques, qui ont été magistralement décrits par Charcot. Ces
états
sont l'état léthargique, l'état cataleptique, l'é
s, qui ont été magistralement décrits par Charcot. Ces états sont l'
état
léthargique, l'état cataleptique, l'état somnambu
tralement décrits par Charcot. Ces états sont l'état léthargique, l'
état
cataleptique, l'état somnambu-Iique. Rappelons
Charcot. Ces états sont l'état léthargique, l'état cataleptique, l'
état
somnambu-Iique. Rappelons rapidement les traits
Rappelons rapidement les traits caractéristiques de ces différents
états
, qui nous permettront de les différencier de ceux
ettront de les différencier de ceux que nous allons décrire. Dans l'
état
léthargique, les yeux sont clos ou demi-clos ; le
traction se transforme facilement en contracture permanente. Dans l'
état
léthargique, l'anesthésie^est variable, plus ou m
estions restent sans effet. Si l'on ouvre les paupières du sujet en
état
de léthargie, de façon qu'une vive lumière vienne
n qu'une vive lumière vienne frapper ses yeux, il passe dans un autre
état
qui est l'état cataleptique. Le caractère propr
umière vienne frapper ses yeux, il passe dans un autre état qui est l'
état
cataleptique. Le caractère propre de l'état cat
un autre état qui est l'état cataleptique. Le caractère propre de l'
état
cataleptique c'est l'immobilité. Le sujet reste c
terne reste insensible aux excitations les plus vives. Le troisième
état
hypnotique classique est l'état somnambulique qui
ations les plus vives. Le troisième état hypnotique classique est l'
état
somnambulique qui présente aussi des caractèr
présente aussi des caractères propres qui le séparent nettement des
états
léthargiques et cataleptiques. Le sujet placé d
ment des états léthargiques et cataleptiques. Le sujet placé dans l'
état
somnambulique a les yeux clos ou demi-clos; il pe
i-clos; il peut les ouvrir au bout de peu de temps sans sortir de cet
état
. Les paupières se montrent souvent, mais non touj
et la résolution des membres n'est jamais aussi accentuée que dans l'
état
léthargique. L'hyperexcitabilité neuro-musculaire
u d'un souffle léger dirigé sur la peau, développer dans ce membre un
état
de rigidité qui diffère de la contracture due à l
Remarquons d'abord que ce serait une erreur de croire que ces trois
états
forment une gradation régulière et constituent de
ère et constituent des phases progressives du sommeil hypnotique. L'
état
léthargique est le premier qui s'obtient d'ordina
aupières et en dirigeant sur ses yeux un rayon de lumière vive. Cet
état
cataleptique représente un sommeil excessivement
ente un sommeil excessivement profond et peut être considéré comme un
état
hypnotique très avancé ; nous en avons la preuve
t cet isolement est s; complet que celui même qui l'a plongé dans cet
état
ne peut plus rien sur lui, à moins de retourner e
en sur lui, à moins de retourner en arrière et de ramener le sujet en
état
léthargique. Le sujet en état de léthargie peut
en arrière et de ramener le sujet en état léthargique. Le sujet en
état
de léthargie peut encore passer dans l'état somna
éthargique. Le sujet en état de léthargie peut encore passer dans l'
état
somnambulique, mais une fois en cet état il ne pa
ie peut encore passer dans l'état somnambulique, mais une fois en cet
état
il ne passera plus en catalepsie sans retourner a
cet état il ne passera plus en catalepsie sans retourner ainsi dans l'
état
primitif de léthargie. Au cours d'un grand nomb
servai des phénomènes qui ne pouvaient se rapporter à aucun des trois
états
hypnotiques dont nous venons de parler. Pouvaient
dont nous venons de parler. Pouvaient-ils davantage se rapporter aux
états
mixtes, intermédiaires aux trois états classiques
ils davantage se rapporter aux états mixtes, intermédiaires aux trois
états
classiques et qui ont été longtemps mal définis e
nus ; nous savons qu'ils se rapportent: les uns à la combinaison de l'
état
léthargique avec l'état cataleptique ; les autres
se rapportent: les uns à la combinaison de l'état léthargique avec l'
état
cataleptique ; les autres au mélange de l'état lé
tat léthargique avec l'état cataleptique ; les autres au mélange de l'
état
léthargique avec l'état somnambulique. Jamais on
tat cataleptique ; les autres au mélange de l'état léthargique avec l'
état
somnambulique. Jamais on n'observe la combinaison
ue avec l'état somnambulique. Jamais on n'observe la combinaison de l'
état
cataleptique avec l'état somnambulique, ce qui pr
que. Jamais on n'observe la combinaison de l'état cataleptique avec l'
état
somnambulique, ce qui prouve une fois de plus, co
st une sorte d'impasse d'où l'on ne peut sortir que par le moyen de l'
état
léthargique et qui n'a aucune relation direct
i n'a aucune relation directe avec le somnambulisme* J'ajoute que ces
états
mixtes sont multiples dans chacune des deux catég
ries; dans la première, suivant le plus ou moins de prédominance de l'
état
léthargique ou de l'état cataleptique ; dans la s
uivant le plus ou moins de prédominance de l'état léthargique ou de l'
état
cataleptique ; dans la seconde, suivant la prédom
ance de la léthargie ou du somnambulisme. Dans tous les cas, tous ces
états
mixtes présentent une symptomatologie spéciale da
uelle on retrouve des caractères plus ou moins accusés des différents
états
qui entrent dans leur combinaison. L'étude atte
nts états qui entrent dans leur combinaison. L'étude attentive de l'
état
des sujets que j'avais en observation me permit d
is en observation me permit de constater d'une façon certaine que cet
état
n'était ni l'un des trois états classiques, ni au
constater d'une façon certaine que cet état n'était ni l'un des trois
états
classiques, ni aucun des états mixtes qui peuvent
que cet état n'était ni l'un des trois états classiques, ni aucun des
états
mixtes qui peuvent former leur combinaison. Cette
, je m'appliquai à reproduire expérimentalement et à bien étudier ces
états
hypnotiques et je suis arrivé ainsi à découvrir e
tats hypnotiques et je suis arrivé ainsi à découvrir et à isoler deux
états
hypnotiques nouveaux que j'ai désignés sous le no
soler deux états hypnotiques nouveaux que j'ai désignés sous le nom d'
états
médianiques : l'un, l'état médianique passif ou i
nouveaux que j'ai désignés sous le nom d'états médianiques : l'un, l'
état
médianique passif ou induit; l'autre, l'état médi
ts médianiques : l'un, l'état médianique passif ou induit; l'autre, l'
état
médianique actif ou inducteur. Pour produire l'
uit; l'autre, l'état médianique actif ou inducteur. Pour produire l'
état
médianique passif ou induit, voici les procédés q
légères oscillations de tout son corps ; il se tenait debout dans un
état
de rutitude volontaire : il semble maintenant qu'
s, la respiration est lente et profonde. Les membres ne sont pas en
état
de résolution comme dans l'état de léthargie,
rofonde. Les membres ne sont pas en état de résolution comme dans l'
état
de léthargie, ils retombent pourtant mollemen
ause qui a modifié sa position et si cette cause persiste. Dans cet
état
, le sujet n'est pas suggestionnable par la parole
fs et paraissent de peu d'intérêt, par contre nous observons dans cet
état
toute une catégorie de phénomènes nouveaux et des
es mouvements, provoquer des actes assez compliqués. C'est dans cet
état
médianique passif que l'on observe les phénomènes
ous avons fait remarquer plus haut, dans les caractères généraux de l'
état
médianique passif, qu'un membre quelconque du suj
oulevé avec la main retombe immédiatement dans sa position normale. L'
état
du membre, mis en mouvement par les passesJaites
nces que j'ai faites dans ce sens. Après avoir placé mon sujet dans l'
état
médianique passif, par les procédés que j'ai indi
, présentant les sinuosités les plus imprévues, je place mon sujet en
état
médianique passif à l'extrémité de la ligne et je
tation du sujet se montrait à chaque intersection. Je fais cesser l'
état
médianique passif et je rends au sujet son état n
n. Je fais cesser l'état médianique passif et je rends au sujet son
état
normal en passant plusieurs fois les mains en tra
a accomplis et de tout ce qui s'est passé pendant qu'il était dans l'
état
médianique passif. Il était intéressant de conn
l était intéressant de connaître les impressions du sujet pendant cet
état
, et de savoir pourquoi et comment il obéit aux mo
itions extérieures dans lesquelles j'ai opéré, et j'ai constaté que l'
état
de la température et les variations atmosphérique
iques par une chaleur artificielle portée à un degré assez élevé. L'
état
médianique actif ou inducteur est beaucoup plus d
ent les observations en sont beaucoup plus rares. C'est, du reste, un
état
très complexe et qui présente une difficulté part
té particulière pour l'étude, en raison des différents degrés que cet
état
peut présenter. Il importe donc de diviser méthod
acilement l'observer, les procédés par lesquels on peut provoquer cet
état
, les différents symptômes de la crise elle-même,
observé le médianisme actif ne sont jamais, jusqu'ici, des sujets à l'
état
sain. Le plus souvent, ce sont des sujets du sexe
des hystériques, affection souvent bien caractérisée par un léger
état
de parésie affectant certains membres, et par des
moments des crises de somnambulisme spontané. Ce sont des sujets d'un
état
névropathique poussé au plus haut degré, qui poss
que poussé au plus haut degré, qui possèdent en un mot l'hystérie à l'
état
latent ; en tout cas, toujours et sans exception,
ujet, de quelle manière et par quels procédés se détermine chez lui l'
état
médianique actif ou inducteur. Chez certains su
dinairement par les mêmes procédés que ceux par lesquels on produit l'
état
médianique passif, et, dans ces cas, l'état média
par lesquels on produit l'état médianique passif, et, dans ces cas, l'
état
médianique passif se développe le premier, et ens
passif se développe le premier, et ensuite, après un certain temps, l'
état
médianique actif lui succède. Dans certains cas
Dans certains cas, Tordre de succession est différent. On provoque l'
état
léthargique par les procédés habituels d'hypnotis
procédés habituels d'hypnotisation, puis on fait passer le sujet de l'
état
léthargique en état somnambulique, et l'état médi
'hypnotisation, puis on fait passer le sujet de l'état léthargique en
état
somnambulique, et l'état médianique actif succède
ait passer le sujet de l'état léthargique en état somnambulique, et l'
état
médianique actif succède à l'état somnambulique.
argique en état somnambulique, et l'état médianique actif succède à l'
état
somnambulique. Je n'oserais, dans ces cas, affirm
mbulique. Je n'oserais, dans ces cas, affirmer si le sujet passe de l'
état
somnambulique dans l'état médianique passif et de
ns ces cas, affirmer si le sujet passe de l'état somnambulique dans l'
état
médianique passif et de là en état médianique act
sse de l'état somnambulique dans l'état médianique passif et de là en
état
médianique actif, ou si l'état médianique actif s
s l'état médianique passif et de là en état médianique actif, ou si l'
état
médianique actif succède sans transition au somna
vive ou apparaissant brusquement produit des troubles profonds dans l'
état
du sujet, accélération de la respiration et palpi
ans l'état du sujet, accélération de la respiration et palpita-lions,
état
de souffrance visible, tremblement des membres et
s intéressants. De même que nous avons vu que la caractéristique de l'
état
médianique passif était de subir les influences v
e subir les influences venues de l'extérieur, la caractéristique de l'
état
médianique actif est, pour le sujet, d'exercer un
arquer que ces derniers phénomènes en particulier s'accompagnent d'un
état
de raideur et de forte tension des membres du suj
lieu à des phénomènes beaucoup plus complexes. Après la crise, l'
état
du sujet change complètement, l'excitation est re
oucher ; souvent un sommeil plus ou moins long précède son retour à l'
état
normal. En général, le sujet a perdu tout souveni
ner par une remarque de la plus grande importance pour l'étude de ces
états
médianiques de l'hypnose. J'ai vu, dans certain
nose. J'ai vu, dans certains cas, se produire la superposition de l'
état
médianique passif avec l'état médianique actif ;
cas, se produire la superposition de l'état médianique passif avec l'
état
médianique actif ; et voici de quelle façon peut
voici de quelle façon peut s'observer cette combinaison. Un sujet en
état
médianique actif influence un autre sujet qu'il p
n autre sujet qu'il place, d'une façon consciente ou inconsciente, en
état
médianique passif. Les phénomènes que ces deux su
il était parfaitement insensible, et, le lendemain, je le mis dans un
état
de sommeil encore plus profond. C'était un homm
tif, la question des asiles de traitement des buveurs en Suisse, et l'
état
actuel de la lutte contre l'alcoolisme dans ce de
ces animaux n'auraient pas résisté s'ils n'avaient été placés dans un
état
voisin de l'hibernation. La toison dont le mouton
t est alors réduit à sa substance, sans aucune altération. 11 est à l'
état
de simple spectateur, et c'est la forme qui est v
éna 1895, inr8e, VII, 113 p. avec fig. SgrûSSO. — La suggestion à l'
état
de veille dans certaines affections oculaires. Bo
l'envahissement des centres psychiques. Le jeune malade compare cet
état
à celui d'un engourdissement ou d'un sommeil d'où
ivait de passer cette épreuve. Elles sont extrêmement courtes, mais l'
état
d'accès est si profondément établi qu'il fond les
la moindre résistance, cette moindre résislance étant établie par un
état
d'adynamie des cellules nerveuses présidant à la
re d'une idée thérapeutique mise en présence de l'idée pathogène. Cet
état
de résistance doit provenir, selon toute probabil
centres psychiques voisins. Il serait intéressant de savoir si cet
état
est analogue à celui du sommeil somnamblulique av
u sommeil somnamblulique avec amnésie au réveil. D'autre part, dans l'
état
hypnagogique, les centres psychiques étant décour
ommeil lui-même. En effet, si par elle il peut supprimer la crise à l'
état
de veille, il en est incapable pendant le sommeil
nté est atténuée. Ce que l'on sait aujourd'hui sur les rêves et sur l'
état
hypnagogique permet d'admettre qu'en faisant lui-
pendant qu'il dort, il pourrait peut-être éviter les crises comme à l'
état
de veille ou du moins les espacer. Mais tout dépe
le D' Bérillon, que d'une façon générale lesonychophages sont dans un
état
d'infériorité très appréciable soit au point de v
que la prophylaxie jusqu'ici est restée nulle ou illusoire contre ces
états
morbides, puisque la pratique a démontré l'insuff
faire ce qui est mal; je répète, en quelque sorte, mes suggestion à l'
état
de veille et, pour l'encourager, je lui donne que
nes gens ; malgré tout, elle semble avoir conscience de son misérable
état
; elle dit que « c'est plus fort qu'elle de faire
ouce béatitude. Alors je continue à lui parler, la suggestionnant à l'
état
de veille, pour ? élargir le champ de sa conscien
lade qui en est affecté, nous ayions affaire non pas directementà cet
état
lui-même, mais à la conscience, à la perception d
mentà cet état lui-même, mais à la conscience, à la perception de cet
état
. Il semble quelque peu oiseux et naïf d'établir u
distinction entre un trouble et la conscience de ce trouble, entre un
état
nerveux et la perception de cet état nerveux ; et
nscience de ce trouble, entre un état nerveux et la perception de cet
état
nerveux ; et cependant cette distinction est rend
rs auteurs une définition du vertige, j'ai constamment vu confondre l'
état
vertigineux et la sensation vertigineuse ; et j'a
des troubles fonctionnels, pour la faim, la soif, etc., qui sont des
états
nerveux non localisés, tandis que d'autres sensat
s d'ordre psychique. Si le siège de la perception consciente de ces
états
nerveux localisables ou non, est, selon toute évi
vidence, cortical, il est non moins vraisemblable que le siège de ces
états
fonctionnels, de ces troubles, de ces besoins, es
possible d'assigner à leur siège une localisation bulbaire. Ainsi l'
état
vertigineux, l'état de nausée, d'oppression, de c
à leur siège une localisation bulbaire. Ainsi l'état vertigineux, l'
état
de nausée, d'oppression, de colère, de faim, de s
de nausée, d'oppression, de colère, de faim, de soif, etc., sont des
états
bulbaires, tandis que la sensation de vertige, de
n de vertige, de nausée, etc., sont des perceptions cérébrales de ces
états
nucléaires inférieurs. Il y a, si nous pouvons em
internes, que le reflet conscient de l'autre. Cette perception de l'
état
bulbaire par cette vaste rétine que forme l'écorc
cun besoin n'avait fait désirer ni même prévoir ? D'autre part, ces
états
, ces troubles, ces besoins peuvent au contraire s
tion intime de nos fonctions organiques. Enfin certains d'entre ces
états
nerveux subjectifs peuvent non seulement s'impose
ns du sucre, etc. ? Et la peur ? Il est évident que c'est un de ces
états
nerveux non localisables que nous connaissons sur
le s'accompagne parfois ; comment ne pas la rapprocher de ce groupe d'
états
bulbaires qu'une aura éveille l'un après l'autre
ssivement vibrer les cordes d'une harpe ; et plus spécialement de ces
états
nucléaires particuliers que l'on commence à é
Ce sont des troubles nucléaires, la plupart pneumogastriques, et des
états
d'exaspérations centrales que nous caractérisons
s, troubles secrétaires, moteurs, vasculaires, sensoriels, etc. Cet
état
bulbaire à ses répondants dans la corticalité, et
craint véritablement de guérir et ne peut supporter même l'image d'un
état
autre que le sien. Ajoutons que ce malade est un
est un homme extrêmement intelligent, qui analyse très nettement son
état
, et dont aucune autre faculté n'est altérée. C'
s une angoisse le prenait,sans aucun vertige, et il ne sortait de cet
état
qu'en secouant vivement la tète. La claustropho
e ; nous avons fait de cette dernière un trouble bulbaire ; est-ce un
état
isolé, ou bien n'est-ce pas plutôt le trouble d'u
e ; est-ce un état isolé, ou bien n'est-ce pas plutôt le trouble d'un
état
physiologique ? Nous n'hésitons pas à considérer
tation subjective, de même la peur est pour nous la perturbation d'un
état
fonctionnel que nous ne savons comment nommer.
onc leur fera-t-on place dans nos traités de physiologie ? Tous ces
états
fonctionnels ne contribuent-ils pas à former cett
st en réalité une jouissance très active, quand on sait jouir, est un
état
qui résulte de la communion d'une foule d'états f
on sait jouir, est un état qui résulte de la communion d'une foule d'
états
fonctionnels en pleine activité ; et nous sommes
sécurité physique dont la perte momentanée constitue la peur, est un
état
fonctionnel assuré par la bonne, la naturelle, La
bonne, la naturelle, La légitime entente de la majeure partie de ces
états
fonctionnels dont les noyaux bulbaires sont le si
. Mais si la peur est un trouble fonctionnel, si la sécurité est un
état
fonctionnel, quel nom donner à la fonction qui ma
ressions nettement contradictoires pour développer dans les foules un
état
cérébral particulier impliquant une obéissance fa
ou. Divers troubles d'origine psychique guéris par suggestion à l'
état
de veille. Par M. le Dr Gobodichze. Parmi les
relativement très rare. Il n'est pas resté chez ma petite malade à l'
état
isolé. D'autres troubles du même ordre sont venus
loyés par M. Paul Blocq. Arch. de Neurologie, nos 43 et 44, 1888.
état
, couchée presque sans mouvement, faible, pâle, un
ac et un autre confrère tient à la tuberculose pulmonaire. Le mauvais
état
général de la malade lui suggère même, à l'auscul
rétrécissement du champ visuel. J'ai eu recours à la suggestion à l'
état
de veille. En quelques jours Marie V... a recouvr
is) partagent avec les suggestions hypnotiques le tort de changer les
états
d'âmes par des moyens qui ne sont pas ceux du pur
oit peut-être — et je crois pouvoir ajouter : doit probablement — son
état
à une suggestion spontanée, à une auto-suggestion
mation du jugement, de la volonté, etc., elle peut mettre le sujet en
état
hypnagogique. L'état de fatigue s'établit plus
la volonté, etc., elle peut mettre le sujet en état hypnagogique. L'
état
de fatigue s'établit plus ou moins rapidement, se
on l'expression vulgaire. L'influence des rêves sur sa production à l'
état
de veille est connue, si bien qu'on peut se deman
e ressentie pendant le rêve et oublié au réveil peut réapparaître à l'
état
de veille par association de mouvement, c'est-à-d
'il est pathogène, on peut l'utiliser thérapeutiquement dans certains
états
psychiques ou comme adjuvant à la gymnastique méd
astique médicale. L'influence des rêves sur les actes accomplis à l'
état
de veille est manifeste. Voici un cas. M. X...,
ne pas avoir de monde. Il se recouche. Se rendort et rêve, dans un
état
hypnagogique, qu'il n'y a pas de course ; il rest
art. Il les voit et Lire le coup de pistolet toujours en doutant. Cet
état
a duré pendant toutes les épreuves, X... donnait
eille peut être reprise et renforcée par le rêve ; elle crée alors un
état
pathologique. Telle est l'observation suivante qu
roit où le Christ lui est apparu et elle en détourne les regards. Cet
état
persiste pendant les quatre mois qu'elle demeure
le et jaune. Elle ressent des troubles gastriques qui provoquent un
état
d'hypocondrie mal défini. Quelques phobies appara
vient très suggestible et, un grand surmenage professionnel aidant, l'
état
de phobie s'accentue. Elle a des hallucinations,
lui porter secours. Elle éprouve un chagrin de famille et aussitôt l'
état
empire. La peur de mourir la pousse à se précipit
ainsi la tournure de son esprit et je modifiais la suggestion scion l'
état
psychique. Après un certain entraînement, je lu
orté, la suggestion directe ne peut lutter, de prime abord, contre un
état
d'auto-suggestion profondément établi; il a fallu
un biais pour ceux qui ne pouvait accepter la suggestion directe à l'
état
de veille ou à l'état de sommeil, car la peur inh
i ne pouvait accepter la suggestion directe à l'état de veille ou à l'
état
de sommeil, car la peur inhibait la suggestion. J
ections graduelles de psychothérapie atténuées ou renforcées, selon l'
état
de réceptivité de chaque sujet. C'est ainsi qu'ay
traitement est fort délicat à appliquer, car, outre la suggestion à l'
état
de veille qu'il faut savoir doser selon le moment
éré tonifie, un exercice violent fatigue. Or, la fatigue provoque des
états
psychiques pathologiques. Rien n'est mobile comme
nt gymnastique bien réglé ; il pavait être d'autant moins élevé que l'
état
d'automatisme est plus prononcé. Ce coefficient
me est plus prononcé. Ce coefficient dépend de l'âge, du sexe, de l'
état
physiologique et psychique de chaque sujet en mêm
tat physiologique et psychique de chaque sujet en même temps que de l'
état
climatérique du milieu. Il est quotidien et il
2° Les rêves jouent un rôle important dans la production de certains
états
psycho-pathologiques en renforçant une impression
tats psycho-pathologiques en renforçant une impression reçue soit à l'
état
de veille, soit à l'état de sommeil. On peut co
en renforçant une impression reçue soit à l'état de veille, soit à l'
état
de sommeil. On peut combattre leur action patho
nsité et la difficulté des exercices doivent être calculées d'après l'
état
du sujet au moment où il agit. La marche doit ent
t abondante inondant tout le corps. Ces accidents étaient suivis d'un
état
général de courbature et de souffrance qui durait
: 1° Expérimenter toujours et exclusivement avec des personnes à l'
état
de veille. — Sans doute, la plupart des sujets av
usement de rien faire qui puisse endormir les sujets ou modifier leur
état
normal. 2° Mettre les sujets, dès le début et p
turellement par l'extrémité des doigts, mais elle se dégage aussi à l'
état
diffus de toutes les parties du corps. Du moins i
que je complète en indiquant le procédé que j'emploie pour vérifier l'
état
de la sensibilité du sujet au cours de ces expéri
rier. L'hypnotisme pratiqué avec succès sur un sujet peut prouver l'
état
hystérique de ce sujet, mais sa non réussite ne p
ne soit pas hystérique, si, d'ailleurs, le sujet est suggestionné à l'
état
de veille, non pas même par le commandement, mais
que qui revient par l'hypnotisme, revient aussi par la suggestion à l'
état
de veille. Ce point de pratique a une grande impo
employé modèle, très sobre et très honnête. Quoiqu'il en soit, son
état
émotif avait augmenté, il s'évanouissait de temps
t là, en dormant, comme un dédoublement de la personnalité-Jamais à l'
état
de veille il ne se souvenait de ce qu'il avait di
le faire la suggestion la mieux ordonnée, car s'il était guéri de son
état
somnambulique, il n'avait point encore repris son
t guéri de son état somnambulique, il n'avait point encore repris son
état
premier. II faut savoir qu'il avait été accusé
premier. II faut savoir qu'il avait été accusé d'un crime contre l'
état
social, crime qu'il n'avait pas commis, mais qui
s qui pour lui était une idée fixe ayant une grande influence sur son
état
psychique. Or, un jour de sortie, il rencontra
urés. Les médecins ont diagnostiqué dès l'abord un sycosis. Depuis, l'
état
s'aggrava peu à peu malgré un traitement énergiqu
en grand nombre, surtout de cocci. Par la culture on a pu isoler à l'
état
pur un coccus qui rappelait beaucoup le staphyloc
e son éruption en plein. Les boutons de la barbe étaient, les uns à l'
état
de suppuration, les autres recouverts de croûtes.
Les observations démontrent que son influence n'est pas moindre sur l'
état
et le fonctionnement des follicules pileux. Si so
ase, la symétrie des lésions. Les médecins qui ont au début négligé l'
état
du système nerveux ont à la dernière consultation
attention des médecins sur la nécessité de prendre en considération l'
état
nerveux des malades atteints de sycosis. La commu
s actions psychiques, qu'on les appelle suggestion, psychothérapie ou
états
hypnotiques. Ce sera la gloire de la Société d'av
environ, l'avoir en observation. — Nous constatâmes qu'elle était en
état
permanent de somnolence, qu'elle était complèteme
e courte, mais elle ne parlait jamais spontanément ; elle sentait son
état
, elle s'en plaignait et disait tristement qu'elle
(\) Voir Luys : « Recherches sur le système nerveux », 1865. — « De l'
état
de sommeil de l'axe spinal », p. 416 et suivantes
s. J.-B. Baillière ; — et « Traité de Pathologie mentale., » ; « De l'
état
de sommeil des appareils cérébelleux et spinaux »
rente; son épaisseur, en différentes régions, me parut moindre qu'à l'
état
normal, pas de capillaires apparents. La substa
psychique, d'un groupe d'expérimentateurs, d'autres pour produire à l'
état
de veille des illusions semblables à celles du so
ve, est très restreint ; ainsi on n'est pas capable de percevoir ni l'
état
des muscles ni le contact du corps entier, par le
réalité, c'est-à-dire : on rêve d'un étal statique correspondant à l'
état
statique réel du membre ; les autres parties du c
autres parties du corps se règlent dans l'esprit du rêveur selon cet
état
particulier, de sorte qu'il trouve son corps enti
n cet état particulier, de sorte qu'il trouve son corps entier dans l'
état
(statique), correspondant à un état (statique) de
il trouve son corps entier dans l'état (statique), correspondant à un
état
(statique) de la veille. Par exemple, celui qui d
du corps se présentent à l'esprit de celui qui dort conformément à l'
état
perçu du membre ; mais voici la différence : dans
e ; mais voici la différence : dans notre cas (2°) la perception de l'
état
du membre est plus indistincte, de sorte que la d
ires par des images d'autres personnes qui se trouvent dans les mêmes
états
musculaires que nous-mêmes. 40 On rêve quelquef
t naissance à différentes illusions. Celui qui dort a conscience de l'
état
musculaire causé par le fait qu'il a gardé pendan
quoi tient la différence entre les rêves où le membre se présente à l'
état
statique et ceux où il se meut ? Lorsque le membr
ntéressés sont un peu plus fatiguées que dans le cas où Ton rêve d'un
état
statique du membre ; voilà pourquoi, dans le prem
ire chez l'autre, étant à peu près les mêmes, on conçoit que ces deux
états
présentent à peu près les mêmes caractères. Il
ite d'un réve où elle croyait jouer du piano, une autre continuer à l'
état
de veille des mouvements coordonnés, mouvements n
ve. C'est qu'en effet, pour que l'influence du réve se continue à l'
état
de veille, il faut que les conditions qui favoris
t sa production et son développement soient conservées dans ce nouvel
état
. Or, dès le réveil, notre attention devient vigil
plus ou moins vite la fiction, laissant à peine subsister parfois un
état
hypnagogique rapidement disparu. Chez l'hystéri
firmer cette manière de voir. Une malade arrive à l'hôpital dans un
état
d'affaiblissement extrême, car, depuis six semain
quelque chose m'empêche de manger. » Or, en mettant cette malade en
état
d'hypnotisme, on apprend que sa mère qui est mort
La conséquence thérapeutique de ces faits, c'est que pour modifier l'
état
pathologique créé par un rêve, il faut suggérer à
rino et du sommeil hypnotique pendant lequel la pupille revient à son
état
normal. Il existe do plus, du même côté, de l'ane
auche pour les mouvements volontaires. Le fond de l'œil est normal. L'
état
général de la malade est très bon. Tous ces tro
ler dans un petit livre destiné aux enfants. Aujourd'hui, il est en
état
de pouvoir épeler ; cependant certains mots f
rde civique (séance du 5 avril 1867). « A partir de cette époque, l'
état
du malade ne fit qu'empirer ; aussi, réduit à l'é
cette époque, l'état du malade ne fit qu'empirer ; aussi, réduit à l'
état
squelettique et en proie à un profond décourageme
t mépris unanimement dans le même sens. Concluons clone qu'un certain
état
mental du malade l'a débarrassé presque brusqueme
vers son père — je lui avais fait ouvrir les yeux sans le tirer de l'
état
d'hypnose — comme pour lui demander protection et
t à grand'peine faire quelques pas dans l'église, était maintenant en
état
de se rendre à pied de chez lui à la station de F
L'ATTITUDE CATALEPTIFORME dans la fièvre typhoïde et dans certains
états
psychiques. Par m. le professeur Bernheim (de N
la fièvre typhoïde; ils existent chez maints sujets dans d'autres
états
morbides, ou à l'état de santé parfaite, à lafave
existent chez maints sujets dans d'autres états morbides, ou à l'
état
de santé parfaite, à lafaveur d'un certain état p
tats morbides, ou à l'état de santé parfaite, à lafaveur d'un certain
état
psychique. Quel est cet état psychique? Dans la
anté parfaite, à lafaveur d'un certain état psychique. Quel est cet
état
psychique? Dans la fièvre typhoïde, ce n'est pas,
, pour comprendre, pour fixer son attention ; mais il faut un certain
état
psychique caractérisé par la diminution de l'init
'initiative intellectuelle, par une faible spontanéité cérébrale. Cet
état
peut être normal chez beaucoup d'individus; chez
luence de maladies diverses, ou psychologiquement, sous l'influence d'
états
moraux spéciaux. Alors, le sujet garde l'attitude
La diathèse de contracture, qui existe à un degré variable dans cet
état
» s'explique aussi par l'absence d'initiative céré
spontanée et l'auto-hypnose dans la lièvre typhoïde et dans certains
états
psychiques. Ces faits si intéressants, si fréquen
sie et clu sommeil provoqué dit hypnotique. Ils montrent bien que ces
états
ne sont pas des phénomènes extraordinaires liés à
ogène; ce ne sont au fond que des phénomènes physiologiques liés à un
état
psychique particulier qui est l'état normal chez
nomènes physiologiques liés à un état psychique particulier qui est l'
état
normal chez quelques-uns, qui peut être produit,
peut être produit, chez d'autres, par certaines émotions ou certains
états
morbides diminuant la spontanéité cérébrale.
ans un grand nombre de cas, des suggestions appropriées faites dans l'
état
d'hypnose suffisent pour développer, en même temp
erçu d'un procédé qui m'a toujours réussi. L'enfant étant mis dans un
état
de suggestibilité suffisant, je le fais approcher
trémités et de la langue, parésie qui fait des progrès constants. Son
état
mental tend rapidement vers la démence finale.
, les cellules cérébrales sont vite épuisées et remises sans cesse en
état
vibratoire, ne jouissant ni d'un repos nécessaire
il réussit à se préserver; ses cellules volîtives dominent, dans leur
état
de tension extrême, les cellules pathogènes prête
r pendant ces huit jours et de ne plus avoir d'attaques;la malade, en
état
de somnambulisme, mangeait, buvait et se promenai
mployé chez un marchand de vin, il a été effrayé par un « client » en
état
d'ébriété. L'enfant est tombé immédiatement dans
s étendus de la langue sont impossibles. Séance de suggestion à l'
état
de sommeil hypnotique, dans lequel on le plonge a
nier à 43 ans. L'auteur ne peut donner de renseignements précis sur l'
état
psychique et somatique des deux premiers. Cependa
nie, nous devons d'abord étudier ce qu'est son opposé, c'est-à-dire l'
état
de sommeil. Le sommeil présente de nombreuses v
s : on peut cependant distinguer 3 formes ou plutôt 3 degrés dans cet
état
: l'hypnose simple, la narcose, la léthargie. L'
l'hypnose simple, la narcose, la léthargie. L'hypnose simple est un
état
dans lequel les phénomènes psychiques disparaisse
s, ou essentiels à l'entretien de la vie ; l'individu plongé dans cet
état
est incapable de mouvements même automatiques. Or
entendu, pas recours à des doses capables de produire la léthargie, l'
état
de mort apparente : le sommeil, a dit Homère, est
doivent souvent être déclarés irresponsables. C'est dans les divers
états
hypnotiques que l'on peut bien se rendre compte d
royait autrefois l'apanage des hystériques ; mais, en somme, tous ces
états
dérivent d'une même modification hislologique dan
té momentanément rompu. L'hypnotisation, en définitive, et les divers
états
seconds spontanés (somnambulisme naturel, absence
reste, la doctrine du Dr Liébeault, car, pour lui, le sommeil et les
états
analogues, tels que l'état hypnotique, sont dus à
ébeault, car, pour lui, le sommeil et les états analogues, tels que l'
état
hypnotique, sont dus à un arrêt de la pensée. C'e
rencontre chez l'homme et il existe normalement chez les animaux des
états
de sommeil relatif où la conscience est moins dév
rielles des hystériques, et les phénomènes que l'on constate daus les
états
hypnotiques et le somnambulisme naturel, les abse
. Dumoxtpaluer. Sur le traitement par la médication hypnotique de l'
état
mental, des obsessions et des idées fixes des hys
peu connue. Et pourtant aucune autre médication ne peut agir sur cet
état
mental, d'une façon aussi rapide et aussi assurée
t mental, d'une façon aussi rapide et aussi assurée pour l'examen à l'
état
normal et lui procurer une guéri-son définit: ?.·
r, par le moyen du traitement hypnotique, quelque amélioration dans l'
état
de sa cliente. Voici son histoire: Mme B. est u
savoir à quels sujets nous avions affaire, c'est-à-dire quel était l'
état
pathologique de Mmu B. et accessivement de M. X.
il était évident qu'il avait exercé une influence considérable sur l'
état
mental de M°"B. ; quelle était la naturede celte
J'arrivai ensuite à des suggestions appropriées à la guérison de l'
état
mental de ma cliente. Je lui suggérai dans ce but
s de la même façon à chaque séance, et au bout de quatre séances, son
état
mental était totalement changé, elle n'avait plus
e l'influence salutaire que peut avoir le traitement hypnotique sur l'
état
mental de ces sujets et vous montre qu'il ne faut
rer chez l'homme seul, on l'étudié dans l'ensemble du règne animal. L'
état
léthargique, en effet, qu'on peut provoquer chez
, diminution des sécrétions et de la respiration. Elle reste dans cet
état
de sommeil apparent avec occlusion des paupières
rifier leurs Dieux, ils arrivent par une longue pratique à obtenir un
état
léthargique prolongé. Kurh (*), notamment, a obse
terre, prend une des poses prescrites par le livre sacré et tombe à l'
état
d'hypnose à force de regarder fixement le boutde
endorment. Ce n'est pas l'hiver, comme on l'a cru, qui provoque cet
état
: car tanrec, échidné, pétrel, albatros des tropi
turel aux hibernants. Quelques espèces qui ne sont pas sujettes à cet
état
peuvent -le prendre en certaines occasions. AI.
bruyères, dans un étroit espace ; ils s'étaient donc trouvés dans un
état
voisin de l'hibernation. FOLKLORE Etres fanta
orier, 1, place Jussieu. Guérison des verrues par la suggestion à l'
état
de veille. « Lausanne, le 3 mars Î896. ? Mons
rience qu'il est possible dc guérir des verrues par la suggestion à l'
état
de veille. « Une vieille femme de ma parenté av
, était alité depuis fort longtemps. Dans la journée du 3 mars, son
état
de santé s'aggrava, et, dans la soirée, le médeci
ment anatomique pendant le phénomène étudié. Les muscles, pendant l'
état
de contraction, sont le siège d'une circulation p
ils consomment plus d'oxygène, exhalent plus d'acide carbonique, leur
état
électrique est modifié. Mais tout cela ne nous ex
sombres et claires, ni ce qui se passe dans ces parties lorsque, de l'
état
de repos, la fibre passe à l'état de contraction.
asse dans ces parties lorsque, de l'état de repos, la fibre passe à l'
état
de contraction. Lorsque, au contraire, les histol
tions qui se complètent sans s'exclure. De même pour le sommeil : l'
état
de la circulation cérébrale, l'intensité des comb
érébrale, l'intensité des combustions, de la production de chaleur, l'
état
électrique des masses cérébrales sont des conditi
encore la recherche his- tologique peut trouver place. Quel est l'
état
de ces cellules, quelles sont les modifications d
s modifications de forme, d'aspect, qu'elles peuvent présenter dans l'
état
de sommeil comparativement à l'état de veille'? L
qu'elles peuvent présenter dans l'état de sommeil comparativement à l'
état
de veille'? Les suppositions qu'on pourra émettre
ns des prolongements de protoplasma d'un autre neurone ; puisque, à l'
état
de veille, la transmission du premier neurone au
ue la comiyuiié est devenue moins intime. 3e En quoi consiste cet
état
moins intime de contiguïté ? Puisque ces articula
sensitifs centraux et nous disons hardiment: il est probable que, à l'
état
de veille, ces ramifications oscillent au contact
iphériques pour recueillir les impressions apportées par ceux-ci; à l'
état
de sommeil, ces ramifications protoplasmiques se
n des conditions variables, selon tel ou tel organe des sens, selon l'
état
du sujet. C'est pourquoi telles excitations sont
s cellules cérébrales ne sont pas toutes largement ouvertes comme à l'
état
de veille. Non seulement les neurones qui établis
n'est pas à croire que toutes les communications persistent comme à l'
état
de veille. Si certains réflexes persistent et son
ciles, d'autres au contraire paraissent abolis. La moelle a aussi son
état
de sommeil. Pour prendre un exemple extrême, pens
ral, la pensée continue parfois à être ce qu'elle était à la fin de l'
état
de veille; on rêve souvent des choses auxquelles
voulus, au moment de s'endormir. Nous pouvons donc dire que, dans l'
état
de veille, les prolongements protoplasmiques des
-t-il pas de rétraction des prolongements de protopiasma; peut-être l'
état
de veille ou d'activité de la cellule nerveuse co
axe, il ne recueillera plus rien; la désarticulation succéderait à un
état
d'articulation incessamment mobile et contingent.
e, parmi les neurones, quelques-uns seulement d'abord sortent de leur
état
d'immobilité ou de rétraction ; ils étirent en ce
s plus nombreux; les neurones ont peine à sortir spontanément de leur
état
de rétraction. Nous pouvons donc dire qu'il n'y
s aujourd'hui pour tous les éléments cellulaires de l'organisme. Tout
état
de fonction ou de repos de ces éléments se tradui
us lisons par exemple dans un ouvrage récent (') : « Le sommeil est l'
état
de repos de notre conscience. » En effet, le somm
de repos de notre conscience. » En effet, le sommeil peut devenir un
état
absolument inconscient, si tous les neurones se s
nnalité ? Est-ce que nous ne nous y souvenons pas et de notre moi à l'
état
de veille et de même de notre moi tel qu'il a été
suivre la théorie histologique du sommeil normal jusque dans tous les
états
pathologiques. Nous avons bientôt reconnu que cet
es et les neurones sensitifs centraux. — Le sommeil, c'est-à-dire l'
état
d'isolement, par rétraction des prolongements, de
x, témoin les rêves. ¦ — Le sommeil des neurones est comparable à l'
état
des leucocytes en asphyxie ; l'arrivée dc l'oxygè
re de la théorie Iombrosienne : ß Les maladies de l'âme naissent de l'
état
du corps ». Platon admet le méchant par ignorance
énal aux termes duquel il n'y a crime ni délit quand l'agent était en
état
de démence au moment de l'action, il s'en fallait
limater et se fortifier, qu'elle rencontre dans le système nerveux un
état
de réceptivité, caractérisé par une crédivité et
clomus multiplex, guéri par la suggestion employée successivement à l'
état
d'hypnose et à l'état de veille. Celte descriptio
i par la suggestion employée successivement à l'état d'hypnose et à l'
état
de veille. Celte description jette une vive lumiè
la céphalée et pour du délire qui surviennent après les attaques. Cet
état
a débuté, il y a trois ans, par des ctourdissemen
n'a pas eu de convulsions pendant son enfance. L'aggravation de cet
état
morbide semble avoir été causée par la mort de sa
e. Dès son début, je fais à la malade des suggestions relatives à son
état
et en particulier à son hypéres-thésie et à ses a
lle indique une action subie, passive, sous l'influence, en un mot, d'
états
maladifs variés. Le sommeil ne commande pas, il e
me moyen d'investigation clinique et comme agent thérapeutique. — Les
états
analogues à l'hypnose. — Le somnambulisme et les
eutique. — Les états analogues à l'hypnose. — Le somnambulisme et les
états
passifs. Samedi V5 Avril. — Les théories modern
et agents physiques. — Les lois de la suggestion. — La suggestion à l'
état
de veille.— L'auto-hypnotisation. Samedi 2 Mai.
l'onychophagie et des habitudes automatiques. Samedi 23 Mai. — Les
états
hypnotiques et le somnambulisme envisagés au poin
osition des mains, a pu être plongé, dès la troisième séance, dans un
état
de sommeil hypnotique suffisant pour permettre de
d'autres suggestions similaires. On s'assure qu'il est réellement en
état
d'hypnose en provoquant chez lui diverses contrac
tres fois, au contraire, c'est la dégénérescence qui apparaît comme l'
état
primordial, l'hystérie, plus ou moins fruste, éta
s sur les actes morbides de notre sujet. (I) H. Colin : Essai sur l'
état
mental des hystériques, th. de Paris, 1890. (?) B
la nuit précédente. Si les rêves peuvent avoir cette influence à l'
état
normal, ils en ont une plus grande encore dans le
que renforcer une idée, une tendance déjà préexistantes, au moins à l'
état
latent, et les rendre irrésistiblement réalisable
. Voici un procédé recommandé par l'auteur : L'enfant étant rais en
état
de suggestibilité, il le fait approcher d'une tab
mie des "pupilles, et encore cette hyperémie est-elle peut-être l'
état
habituel du fond de l'œil. La cornée est sensib
au dire du malade, persiste au même degré, même cécité absolue, même
état
nerveux, pleurs spontanés dès qu'on l'interroge,
ers jours de décembre. Aucune modification ne se produisit dans son
état
. Pourquoi continuait-il à simuler? Parce qu'il y
crépi tants. Cette maladie a duré trois semaines. Amélioration de l'
état
mental pendant la fièvre, mais la maladie a laiss
sente une des formes d'aphasie désignées plus haut. Puis on la met en
état
de somnambulisme et on lui fait relire le même pa
état de somnambulisme et on lui fait relire le même passage. Dans cet
état
elle lit sans hésitation et comprend tous les mot
encore lus, et après six séances on lui fait lire successivement à l'
état
de veille, puis en état de somnambulisme provoqué
x séances on lui fait lire successivement à l'état de veille, puis en
état
de somnambulisme provoqué, puis en état de réveil
t à l'état de veille, puis en état de somnambulisme provoqué, puis en
état
de réveil, trois passages de 35 lignes chacun. El
eptembre.— Depuis plus d'un mois, la malade parait avoir retrouvé son
état
normal. La mémoire est revenue. L'aphasie et la c
tués à l'idée de considérer cette perversion du sens génital comme un
état
pathologique et sont d'avis que l'inversion sexue
ve à la fois de l'influence des rêves sur les actes accomplis à l'
état
de veille. Le hasard de la clinique me conduisit,
l rôle. Je créai la classe des cap (très. Mon sujet, impressionné à l'
état
de veille par le récit d'un voyage ou par la vue
te et il partait le lendemain en continuant son rêve, c'est-à-dire en
état
second. Cet état ne s'établissait cependant qu'à
le lendemain en continuant son rêve, c'est-à-dire en état second. Cet
état
ne s'établissait cependant qu'à la suite d'un cho
émotion, contrariété, ennui, etc. Albert X... préparait ses fugues en
état
second, car il ne partait jamais sans argent, eng
ter à la Société. L'influence des rêves sur les actes accomplis à l'
état
de veille a été longtemps contestée; elle existe
vés qui accomplissent leurs fugues, leurs vols ou tout autre acte à l'
état
second, c'est-à-dire dans un rêve éveillé. Ces su
e. Or, ce rêve est provoqué par une impression sensorielle perçue à l'
état
de veille et qui, renforcée dans le sommeil physi
M. Régis agît de même après une impression sensorielle ressentie à l'
état
de veille : vue de l'argent, d'objets divers, bij
éactions. Ils ne sont responsables vis-à-vis de la Société que dans l'
état
de personnalité qui correspond à celui du milieu
celui du milieu dans lequel ils se trouvent placés, c'est-à-dire à l'
état
prime. Mais si jamais la société passait à l'état
s, c'est-à-dire à l'état prime. Mais si jamais la société passait à l'
état
second, c'est par l'élat second qu'ils seraient r
'état second, c'est par l'élat second qu'ils seraient responsables, l'
état
prime deviendrait alors pathologique. Dans tout a
J'ai fait quelques expériences sur Albert X..., que j'avais placé en
état
second. J'ai recherché, il y a huit ans, l'influe
omme de 22 ans, M. V..., qui, depuis trois jours, se trouvait dans un
état
de léthargie profonde. Sa mère me raconta que son
s le renvoyèrent en Belgique, où il reprit son métier d'horloger. Cet
état
de somnambulisme qui persistait toujours avec inc
e somnambulisme qui persistait toujours avec incapacité de travail et
état
mélancolique, fut, après quelques semaines, compl
quelques jours; lorsqu'un jour, à Braine-le-Comte, V... tomba dans un
état
de léthargie profonde. Transporté à l'hôpital de
catalepsie, et, bientôt, le bras gauche resta à son tour dans le même
état
. L'acheminement vers le réveil se manifestait déj
chaque fois que ses yeux rencontraient sa mère, il retombait dans son
état
primitif. Je fis sortir cette dernière, et, imméd
tait obtenu, c'est-à-dire la communication entre moi et le malade à l'
état
de sommeil. Dès lors, les suggestions devenaient
our le soigner, quand déjà depuis une semaine il se trouvait dans cet
état
. Cette fois, en une demi-heure il était debout et
appelait l'hypnotisme la mettait en crise. EJle souffrait déjà de cet
état
malheureux depuis dix ans, lorsque j'eus l'occasi
il paraissait déjà très influencé, et, peu à peu, il tombait dans un
état
de résolution musculaire, indiquant l'existence d
eil assez profond. La première suggestion fut celle de rentrer dans l'
état
de calme et de renoncer à ses projets homicides.
était beaucoup plus calme et accusait une amélioration notable de son
état
général. Il avait mangé et dormi. Dans la secon
'anesthésie à la piqûre et l'amnésie au réveil. Deux jours après, son
état
mental était très favorablement modifié. 11 décla
ment d'avoir cédé à ses défauts. Quelques suggestions faites dans l'
état
d'hypnose avaient suffi pour ramener le calme dan
ns un étal profond de l'hypnose ; 2" par la rapidité avec laquelle un
état
mental grave a été modifié favorablement par la s
pendant un mois, au milieu de sa famille. Le malade a bénéficié d'un
état
de suggestibilité normalement chez lui . très dév
er par les événements les plus regrettables. Un accouchement dans l'
état
d'hypnotisme Par M. le Docteur Auguste Voisin,
e voir le 22 juillet 1895, m'apportant son enfant qui est en très bon
état
. Quant à elle, elle se porte bien. En résumé, c
lus vive frayeur, un air de stupidité répandu sur tout son corps. Cet
état
dura près d'une demi-heure; à mes prières, le chi
cinq semaines, lorsqu'il quitta notre hôpital, il était dans le même
état
qu'à son entrée. L'élève qui le surveillait, et s
ar les émotions de toute sorte qu'il avait éprouvées. J'ajoutai :.a L'
état
de ce chien s'améliorera sans doute avec le temps
e. Il est resté apafhique, indifférent à tout, sauf à sa gamelle. Son
état
ne s'est pas sensiblement amélioré. [Rec. de néd.
ne idée fixe dont on ne pouvait éclaircir la nature, elle arriva à un
état
d'aboulie complète, affaissée physiquement et mor
une dépression morale, une psychaslhénie intense. A la faveur dc cet
état
s'implante, dans l'esprit de celte femme, une idé
ir le sentiment de l'injuste mort de l'enfant. Et, en effet, dans des
états
psychasthéniques comme celui dont vous avez ici u
avez ici un exemple, sans délire bien systématisé, tout en relevant l'
état
général par une médication tonique et fortifiante
iante, vous devrez chercher à substituer, par la suggestion, soit à l'
état
de veille, soit dans le sommeil hypnotique, une n
Paris, 1896. TABLE ANALYTIQUE DES MATIERES Accouchement dans l'
état
d'hypnotisme (un), par A. Voisin, 360. Accident
2. Attitude cataleptiforme dans la fièvre typhoïde et dans certains
états
psychiques, par Bernheim, 233. Autohypnose (néc
r la), par Varinard, 80. Guérison des verrues par la suggestion à l'
état
de veille, 285. Hamiet au point de vue médico-l
de) 109. Massage (une école de) 31. Médianiques de l'hypnose des
états
), par P. Joire. 109. Médecins en Allemagne (les
109. Médecins en Allemagne (les), 94. Médication hypnotique de l'
état
mental, des obsessions et des idées fixes des hys
e muet, 316. Troubles d'origine psychique guéris par suggestion à l'
état
de veille, par Go-rodichze, 152. Troubles ocula
signes diagnostiques physiques et facilement appréciables des di-vers
états
nerveux produits, en nous renfermant d'abord dans
elief l'influence d'un certain nombre d'agents sur la production de l'
état
hypnotique : lumière vive (lampe Bourbouze, lumiè
tères, ainsi que le mode de succession chez un même sujet de ces deux
états
nerveux : léthargie pro-voquée et catalepsie prov
la grande attaque hystérique ou attaque hystéro-épileptique, dans son
état
d'entière régularité et de complet développement.
rveilleux. On trou-vera au fond de chacun d'eux l'existence d'un même
état
morbide (la grande hystérie) susceptible de revêt
prévue et presque inévitable lorsque le matin on les trouve dans cet
état
. Et ce n'est pas là leur moindre argument en fave
e du diaphragme, de l'estomac et de l'œsophage; d'où peut résulter un
état
nauséeux qui se prolonge et devient très pénible.
s d'animaux, l'engastrimy-thisrne qui s'observent le plus souvent à l'
état
épidémique, se ren-contrent plus fréquemment en d
ains un froid désagréable, leur température qui était de 33°,4 C. à l'
état
normal, descendait à 30°,6 C. ; le pouls baissait
on pouvait être certain que l'attaque durerait encore longtemps. Cet
état
ayant persisté environ trois mois, sur-vint tout
, ou un tremblement analogue à la trépidation. Le membre est dans cet
état
particulier qui permet l'exagération du mouvement
miques de l'attaque pendant environ cinq jours. Et d'abord c'est un
état
psychique spécial accompagné d'hal-lucinations de
la ré-veille par la compression ovarienne, elle est fort étonnée de l'
état
dans lequel elle se trouve et ne se souvient de r
e trouve appliqué le tambour explorateur sont alternativement dans un
état
de contraction et de relâchement relatif. Enfin
quable. Des moyennes prises sur diverses malades et pendant plusieurs
états
de mal, alors que les attaques se répètent un gra
nte. Les bras s'élèvent un peu et se contour-nent en reproduisant à l'
état
d'ébauche les mouvements de circumduction que nou
frayant et qui mé-ritent bien le nom d'attaques démoniaques. § 3. —
ÉTAT
MENTAL PENDANT LA DEUXIÈME PÉRIODE, La perte de
n bruit quelque peu violent, comme un coup de gong, la plonge dans un
état
cataleptique que nous aurons occasion d'étudier p
ut en prenant son su-jet parmi les personnes qu'elle a vues pendant l'
état
de veille, la malade crée une scène toute de fant
i en quelques propositions, les prin-cipaux signes distinctifs de cet
état
nerveux particulier qui carac-térise la troisième
es mieux cachés. En outre de ces caractères différents de délire, l'
état
de l'in-telligence et des divers sens permet enco
levier enregis-treur, que le muscle demeure peu de temps dans Te même
état
de contraction. Tantôt la contracture s'exagère s
des courants électriques sont sans effet sur ces contractures. Cet
état
de contraction musculaire sfénéralisée donne à la
'y a pas d'hal-lucination, la malade a parfaitement conscience de son
état
; elle Fig. 86. Quatrième période. Contractures
me; elle varie sinon dans son en-semble, au moins partiellement, vu l'
état
de contraction instable du muscle; nous sommes en
culaire, et le sensorium com-mune n'est point atteint. d) Enfin cet
état
peut se prolonger et la respiration n'est habi-tu
cl.'psyc, sept. 1843. CHAPITRE VI MARCHE. — DURÉE DES ATTAQUES. —
ÉTAT
DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche des attaqu
ce qu'on appelle des séries d'attaques, parfois fort longues. C'est l'
état
de mal hystéro-épileptique. Dans les séries, le
repos, pendant lesquelles la malade prend quelque nourriture. Et cet
état
peut durer quinze jours, un mois, et même davanta
ies du système nerveux, sé-pare Vétat de mal hystéro-épileptique de l'
état
de mal épilep-tique : « Si, dans l'état de mal ép
mal hystéro-épileptique de l'état de mal épilep-tique : « Si, dans l'
état
de mal épileptique à grandes séries, la tem-pérat
temps que la situation devient des plus graves, au contraire, dans l'
état
de mal hystéro-épileptique à longue série, la tem
, la température ne dé-passe guère le chiffre normal, et d'ailleurs l'
état
général conco-mitant n'est pas de nature à inspir
te; une des périodes fait entièrement défaut ou ne se présente qu'à l'
état
d'ébauche. Bientôt les trois principales périodes
i trêve ni repos. C'est en quelque sorte le fastigium ou la période d'
état
de la série; la durée en est plus ou moins longue
n. Elles se succèdent sans interruption pour constituer une série, ou
état
de mal hystéro-épileptique. Jusqu'à 10 heures 20,
acture généralisée. Délire. Enfin, l'attaque se trouve réduite à un
état
de contracture généralisée avec retour de la conn
llement. On abaisse ses paupières avec la main, et survient un nouvel
état
nerveux, la sommation1. Mais bientôt recommence s
e la règle en ce qu'elles présentent quelques-uns des caractères de l'
état
cataleptique. Dans les séries d'attaques que no
série d'at-taques à la suite de laquelle elle demeure plongée dans un
état
cataleptique qui dure encore lorsque nous l'obser
munique. Le phénomène de la suggestion, qui est un des attributs de l'
état
cataleptique, et que nous étudierons plus loin, n
nt ceci d'irrégulier, qu'elles revêtent plusieurs des caractères de l'
état
cataleptique. Nous reviendrons sur ce dernier poi
sont fermés, mais se laissent facilement ouvrir et demeurent dans cet
état
. Les pupilles sont dilatées. — L'attouchement de
hydrothérapique, elle essaye quelques mouvements de gymnastique. L'
état
général est complètement transformé. Les nuits so
u'elle voyait le diable ou d'autres objets effrayants. C'est dans cet
état
de crise qu'elle se trouvait lorsque M. Charcot f
t alors que le docteur Brongniart se décida pour l'hydrothérapie. L'
état
de la malade se compliquait de crises hystéro-épi
aménorrhée, chloro-anémie, alternatives de dyspepsie et de boulimie,
état
nerveux caractérisé par une nosomanie et une nécr
e. » J'entre, et je vois un enfant qui venait en effet de tomber en
état
de crise. Pour l'instant il était en attitude d'a
venons les deux religieuses placées au-près d'elle par sa mère, que l'
état
de crise se prolongeant pendant huit heures, il f
par un envahissement brusque, la malade tombait comme fou-droyée. Cet
état
durait une ou deux minutes, puis la phase hystéro
ure parut à madame X... la solution la plus rapide pour sortir de cet
état
intolérable : aussi pendant quinze jours elle ne
r à l'institut hydrothérapique de Passy. A son entrée (mai 1873), l'
état
de la malade peut se résumer ainsi : ap-pétit nul
sous la douche, nous recourons à l'électricité pour la sortir de cet
état
. L'application est heureuse; tout d'abord, par le
elle-même. On put alors faire une friction générale qui mit fin à cet
état
. Cette fois la malade était en proie à des accès
isation pratiquée trois semaines après la première, mettait fin à cet
état
de souffrances et d'angoisses dans lequel madame
jour à Vichy, au mois de juin 1879, nécessité par la santé du père, l'
état
, de notre malade est satisfaisant ; un seul accid
ouvelle attaque. J'ai reçu de ses nouvelles de Rio le 15 octobre; son
état
de santé continuait à être assez bon. A cette n
re même, mais rarement. Les larmes presque toujours mettent fin à cet
état
. Est-elle dans l'imminence d'une grande attaque
nce, la ma-lade se renverse et la période épileptoïde commence. — Cet
état
a duré de quelques heures à une demi-journée. — L
né-ralisée avec contracture des quatre membres. La langue est dans un
état
de protrusion et de déviation forcée à droite com
solution prochaine. Si je cesse de comprimer les ovaires, bientôt cet
état
léthargique est interrompu par des secousses du m
ai été appelé auprès de ma cliente je l'ai toujours trouvée dans un
état
de contracture et de tétanisation géné-rales, la
s. Elles se succèdent et se renouvellent parfois de façon à amener un
état
de mal hys-térique. Dans ce cas, elles laissent a
ient complètement, la malade reparle les trois langues et reprend son
état
habi-tuel. DIX-SEPTIÈME OBSERVATION. Hystérie
ans la tête, puis perte de connaissance. 1° La période qui suit cet
état
est caractérisée par de la raideur du corps, de l
blable à la première et bientôt suivie d'une autre. Elle est alors en
état
de mal hystéro-épileptique. VINGTIÈME OBSERVATI
des émotions fréquentes, ressenties pendant le temps de la Terreur, l'
état
de virginité, la vue d'une de ses amies attaquée
les ou physiques, auxquelles la malade auroit été peu sensible dans l'
état
de santé. Trois ou quatre fois les premières donn
ès fréquents, relatifs cependant pour la fréquence et l'intensité à l'
état
des règles. Dans les premiers mois de sa rentrée,
à la bouche; le pouls est insensible. Après quelques minutes de cet
état
, la contraction tétanique cesse, l'agi-tation dev
e. La respiration n'était plus sen-sible et le pouls avait cessé. Cet
état
dura une heure, après laquelle toutes les fonctio
son, et souvent son corps se courbait en arrière, et restait dans cet
état
tétanique pendant cinq à six minutes; elle faisai
convulsifs acquièrent une force prodigieuse;la malade est dans un tel
état
d'hypersthénie, qu'elle résiste avec avantage aux
ître les symptômes de compression cérébrale. Les auteurs parlent d'un
état
de syncope ou de coma qui aurait simulé la mort p
estmoins rare de voir la malade entrer, sur la fin de Vaccès, dans un
état
voisin de V extase et du magnétisme, ou dans un d
rs limitées par le genou, un peu plus rouge et plus volumineux qu'à l'
état
normal. » La jambe est froide; le ventre ballon
ouvert, les anges dans leur gloire, et restait quelque temps dans un
état
de véritable illumination 2. » NEUVIÈME OBSERVA
sant un petit gémissement qui consistait en hou hou répétés. Dans cet
état
, elle était pelotonnée sur elle-même ; ses yeux f
ments les plus rapides et les plus variés. Quand elle sor-tait de cet
état
, ce qui arrivait brusquement, elle souriait, pren
ois à quatre heures avec des alternatives de rechute et de retour à l'
état
normal. Dans l'intervalle de ces crises, elle res
visite de M. Cerise, mademoiselle C... se trouvait également dans son
état
normal. Bientôt après, elle eut ses petites extas
u côté gauche les membres sont, après quelques-unes des atta-ques, en
état
de contracture et agités de secousses rythmiques
l'une, de l'épilepsie précédée d'angine de poitrine; une seconde, un
état
de mal épileptique (obs. L); une troisième, une a
de force. Hier elle a eu trois accès convulsifs. Décembre 1861. — L'
état
de cette malade a peu changé. Les phénomènes morb
endant tout ce temps, elle est étrangère à tout ce qui l'entoure. Cet
état
cesse et tous les membres sont pris d'un trem-ble
ur, morte depuis quinze ans, qui vient, dit-elle, l'ennuyer. Dans cet
état
, elle a bien conscience de ce que vous lui dites;
cher, etc. ; elle a recouvré l'esprit sans avoir repris ses sens. Cet
état
dure plus ou moins longtemps, puis des larmes abo
étonnement et la crainte. Elle ne garde aucun sou-venir de ces divers
états
, qui durent quelquefois trois heures et plus. Une
fois excité l'hilarité de cette jeune fille en lui racontant, dans l'
état
qui précède le réveil complet, la fable de l'âne
ment et forte-ment projeté en avant. Un hoquet accompagne souvent cet
état
tétanique. La respiration semble abolie, la malad
t se débarrasser semble lui étreindre le larynx. La face, pendant cet
état
qui dure de soixante à quatre-vingts secondes, es
lité à la région ovarique ; nous y reviendrons dans un instant. Cet
état
, avec une alternative de coma et de contractions
ait àses lèvres, et elle l'expulsait par des efforts d'expuition. Cet
état
, qui se prolongea pendant dix minutes environ, fu
uant. Outre ces attaques, il lui arrivait souvent de marcher dans cet
état
de sommeil, avec les yeux ouverts. Une fois, elle
la secouant, en la piquant, en lui faisant flairer du tabac. Dans cet
état
, ou forme somnambulique, elle voyait l'infirmière
ait l'infirmière qui la soignait, mais ne la reconnaissait pas. Cet
état
somnambulique pouvait être produit artificielleme
nnonce brusque de la mort subite de son père; la malade tomba dans un
état
de dépression bientôt suivi d'excitation, et se c
rrégularité de la menstruation. Quelques jours après son entrée son
état
s'était beaucoup amélioré. La dé-pression et l'in
elle qui suivit, les règles firent presque complètement défaut et son
état
empira; elle avait quotidiennement plusieurs atta
ade agitée et tomba dans une sorte d'extase ou de mort apparente. Cet
état
cataleptique avec abolition de la conscience, dur
e doit être considérée que comme une atténuation, ou, si l'on veut, l'
état
rudimentaire de l'hystéro-épilepsie ou hysteria m
et la troisième pé-riode, nous allons les retrouver, sinon dans leur
état
de complet développement, au moins en germe, dans
in-cipe, perte ordinairement incomplète des sens et de l'entendement;
état
de syncope plus ou moins prolongé, mais rarement
es hystériques sont, au milieu de leurs accidents convulsifs, dans un
état
fort remarquable; elles ne voient ni entendent, e
ues ou dans l'intervalle des pa-roxysmes, les malades tombent dans un
état
de rêvasserie ou de somnam-bulisme. » La distin
en tranchée, est relative à l'in-tensité des attaques et se tire de l'
état
des fonctions de l'entendement. Tantôt, en effet,
n et d'extension qui dénotent une suractivité musculaire plutôt qu'un
état
morbide variable. » Mais chez les malades qui p
térieures, la malade offre pendant les rémissions de ses attaques, un
état
singulier d'extase ou de somnambulisme. » Monne
e peu de temps avant l'attaque. Quelquefois ses facultés sont dans un
état
d'exaltation surprenante : le langage prend une d
oïde, qu'il ne faut pas confondre avec ce que nous avons déjà Sippelé
état
de mal hystéro-épileptigve. Celle dernière dénomi
que épileptoïde avec contracture généralisée et perma-nente. § 1. —
ÉTAT
DE MAL ÉPILEPTOÏnE Il n'est pas rare de voir l'
i est le début d'un nouvel accès. On se trouve alors en présence d'un
état
de mal parfaitement semblable, du moins en appare
e d'un état de mal parfaitement semblable, du moins en apparence, à l'
état
de mal épileptique, et que nous avons désigné déj
état de mal épileptique, et que nous avons désigné déjà sous le nom d'
état
de mal épileptoïde. Les accès se suivent sans int
ans un instant, ne révé-laient leur nature éminemment hystérique. L'
état
de mal épileptoïde peut se prolonger pendant fort
Sans avoir rencontré un cas aussi accentué, nous avons vu souvent l'
état
de mal épileptoïde se prolonger 4 ou 5 heures, et
senté de fréquents exemples. L'innocuité de la persistance d'un tel
état
est, pour qui con-naît la gravité habituelle de l
tance d'un tel état est, pour qui con-naît la gravité habituelle de l'
état
de mal épileptique, un des contrastes les plus h-
nelle et transitoire. Je dois ajouter que jamais, pendant ce temps, l'
état
général ne nous a inspiré la moindre inquiétude,
varienne et l'excitation des zones hystérogènes conservent, pendant l'
état
de mal épileptoïde, les propriétés d'arrêt dont n
les arrêter, et la connaissance revient tout d'un coup au milieu d'un
état
dont la gravité paraissait au-dessus de toutes le
rces de l'art. Malheureusement rien de semblable ne se produit dans l'
état
de mal véritablement épileptique. Sans avoir re
tude de succès ^ Mais le signe diagnostic le plus important entre l'
état
de mal épileptoïde et l'état de mal épileptique,
gne diagnostic le plus important entre l'état de mal épileptoïde et l'
état
de mal épileptique, réside dans la marche de la t
marche de la température. Nous en avons déjà dit un mot au sujet de l'
état
de mal hystéro-épileptique. Il résulte des recher
empérature ne tarde pas à s'élever à 40° et plus, en même temps que l'
état
général s'aggrave, tandis que si c'est l'hystéro-
mes qui dominent la scène. Les attaques dont la réunion constitue l'
état
de mal épileptoïde, I. Au contraire, dans d'aul
..., Iiystcro-épileptique du service de M. Delasiauvc, au milieu d'un
état
de mal épilep-toïde. Les aUaques se succèdent san
s Maladies du système nerveux^, ont également trait à la variété de l'
état
de mal épileptoïde par prédominance du tétanisme.
me viscéral et son retour fréquent peu-vent donner lieu à une sorte d'
état
de mal épileptoïde, fort grave en apparence, comm
t. La pupille, moyennement dilatée, est sen-sible à la lumière. Cet
état
se prolonge, aucune excitation ne peut la faire s
Mais la compression de l'ovaire droit nous montre de suite que cet
état
alarmant n'a d'épileptique que le dehors, et qu'i
naissance ne tarde pas à reparaître entièrement. B... accuse alors un
état
nauséeux extrêmement pénible. Malgré la compressi
NTRACTURE GÉNÉRALISÉE ET PERMANENTE. A. — Il n'est pas rare, sur un
état
de conti\acture permanente et généralisée, de voi
re, même pendant la phase de résolution, ne se rencontre guère dans l'
état
de mal de l'épilepsie vraie. Dans l'observation
mais très faiblement. Ce qui semblerait permettre de rattacher cet
état
à la période épileptoïde, c'est, outre le tétanis
as complète. Quelques malades ont môme pleinement con-science de leur
état
, cl, au sortir de l'accès, affirment n'avoir pu,
ssus; les muscles des membres et du tronc sont raidis, tantôt dans un
état
tétanique, tantôt dans un état clownique, se trad
t du tronc sont raidis, tantôt dans un état tétanique, tantôt dans un
état
clownique, se traduisant par des coups de pied, d
tion des règles sans changement notable. Après un an passé dans cet
état
de stupeur, le deuxième dimanche de mai 1839 voit
estèrent tous les mois pen-dant huit jours. En 1843 (27 juillet), l'
état
s'aggravant de plus en plus, elle entre à l'hos-p
Elle ne peut souffrir les religieuses de l'hospice. Elle est dans un
état
de faiblesse extrême. On constate les signes d'un
le est dans un état de faiblesse extrême. On constate les signes d'un
état
chlorotique très accusé. Mais, sous rinducrice
'hal-lucination et ramène la connaissance, laissant la malade dans un
état
d'ébriété qui persiste, comme effet direct de l'a
entrer exactement dans le môme cadre. L'extase est le plus souvent un
état
complexe, fréquemment associé à des phé-nomènes m
ui depuis longtemps était sujette à des attaques de nerfs, et que son
état
de grossesse rendait encore plus impressionnable,
lendemain de son entrée, cette jeune fille se présente à nous dans l'
état
suivant : La figure est altérée, le regard inqu
affreux que son imagination lui représente. Pendant deux jours, cet
état
d'agitation extatique se reproduisit d'une ma-niè
quelques minutes. La malade perdait connaissance et se livrait en cet
état
, à des mouvements désordonnés, qu'à peine plusieu
soir; je devais me bâter, me dit-on, si je voulais voir la malade à l'
état
de veille, parce que ses accès arrivaient à quatr
che était un peu infléctiie et le bassin légèrement incliné. En cet
état
, elle offrait très exactement l'altitude d'une im
1 b. 8 min. La malade laisse tomber sa tête sur l'épaule gauche; même
état
. )) 1 h. 9 min. Elle se soulève assez maladroil
oint la sensibilité spéciale à l'organe qui était enjeu, mais bien un
état
d'byperesthésie analogue à l'hy-peresthésie ovari
ues et psychiques. Il ressemblait en tout aux hystériques femmes en
état
de mal : délire in-terrompu par des crises. La re
e, revenu à la raison, mais tou-jours sujet à des crises. Depuis, l'
état
mental est resté bon; les crises continuent avec
est en voie de guérison. Nous Lavons encore revu en décembre; même
état
; les crises se pré-sentent une ou deux fois par j
, mariée. Entrée à la Salpétrière, le 5 juin 1865. Elle est dans un
état
voisin de la stupeur. Son regard est égaré, ses r
une de ses sœurs, dix jours après un accouchement, est tombée dans un
état
maniaque qui a nécessité son envoi à la Salpétriè
ersée en arrière, la bouche toute grande ouverte, immobile et dans un
état
de stupeur apparente. Daw6' une autre, elle eut d
arder aucun aliment solide ou li-quide, la plongèrent bientôt dans un
état
de faiblesse alarmant. Du reste, pas le plus lége
, fond en larmes; puis au bout de quelques heures, elle revient à son
état
habituel ^ Obs. V. Attaques convulsives, avec i
de plus cher? » Puis elle revint à elle-même. Le 31 janvier, le même
état
se reproduisit avec les mêmes symptômes. Mais peu
it été annoncé à la malade comme un jour de délivrance, mit fin à cet
état
mi-sérable, et, comme la première fois, ce fut en
de. Assez mal réglée depuis l'âge de quinze ans, elle a passé par des
états
de maigreur et d'embonpoint extrêmes. Au mois de
, s'arrachant les cheveux, ayant les idées les plus incohérentes; cet
état
dura deux heures. Enfin pendant la journée et les
entre-mêlé de rémissions, pendant lesquelles la malade était dans son
état
ordi-naire et n'avait aucun souvenir de ce qu'ell
re la camisole de force. Nous eûmes l'idée de l'hypnotiser dans cet
état
. Quelle ne fut pas notre surprise en la voyant au
rise en la voyant au bout de peu de temps s'assoupir, puis passer à l'
état
hypnotique! A partir de ce moment elle fut comme
r les yeux, mais sans parvenir à l'endormir. Le lendemain matin, même
état
. Il avait duré toute la nuit, mais moins violent
onnée à elle-même, M.... ne paraissait avoir aucune conscience de son
état
; cependant, si on l'interrogeait en y mettant bea
s, mais empreintes d'une profonde mélancolie. Deux jours après, cet
état
mental se dissipa brusquement, faisant place à fi
ue, cris, pleurs, rires alternatifs... La malade resta dans le même
état
, alternativement atteinte de délire et de trouble
, le regard atone, sans raideur dans les extrémités, sans fièvre. Cet
état
d'où, quoi qu'on fasse, il est impossible de la t
que franche, parfois assez vive, éclatant brusquement à la suite d'un
état
de mélancolie consciente ou demi-consciente, sans
enir en arrêt leur imagination vagabonde, de retomber aussitôt dans l'
état
d'où vous les avez tirées. » J'ai signalé avec in
ns l'état d'où vous les avez tirées. » J'ai signalé avec insistance l'
état
de demi-connais-sance qui accompagne le plus souv
l'on voit les accès de délire hystérique revêtir quelques traits de l'
état
som-nambulique, comme l'insensibilité à tous les
signalé par tous les auteurs, se rapproche de ce qui se passe dans l'
état
de somnambulisme pendant lequel la malade accompl
accomplit des actes avec une adresse qu'elle ne saurait retrouver à l'
état
de veille, ce Quel-quefois, dit Briquet, la vital
te pour le médecin légiste de connaître cet ordre de faits, puisque l'
état
céré-bral spécial où se trouve l'hystérique l'aba
s. » « Le talent de ces malades, « ditNiemeyer, » pour inventer des
états
par lesquels elles se promettent de faire sensati
en effet susceptibles, sous des influences diverses, d'entrer dans un
état
de somnambu-lisme ou de catalepsie, dont l'étude
l'ombre. Une connaissance plus nette et plus approfondie des divers
états
désignés sous le nom de catalepsie et de somnambu
s résultats. qui lui permette d'embrasser l'ensemble des différents
états
ner-veux provoqués dont je vais donner la descrip
signes diagnostiques physiques et facilement appréciables des divers
états
nerveux produits, en nous renfermant d'abord dans
es pliysiques ou somatiques qui pouvaient caractériser les différents
états
nerveux que nous avions produits. Ce n'est que pl
d'esquisser, d'après leur mode de groupement naturel, les différents
états
ner-veux qu'ils servent à caractériser. PREMIÈR
à plusieurs minutes) et parfois d'une façon ins-tantanée, survient l'
état
cataleptique. La malade est comme fas-cinée, immo
e n'est point contracturée, et tous ses membres ont la souplesse de l'
état
normal ou à peu près (quelquefois ils sont le siè
s qu'elle aurait même peine à prendre quand elle n'est point dans cet
état
. Toute communication de la malade avec le monde e
s le langage de Braid, on appelle le phénomène de la suggestion ^ Cet
état
de catalepsie dure aussi longtemps que l'agent qu
pières supérieures avec la main, la catalepsie fait place à un nouvel
état
qui en diffère essentiellement et qui répond à ce
t peut-être assez im-proprement employé ici, car nous verrons que cet
état
, spécial diffère par bien des caractères du vérit
ctes, les yeux fermés, à peu près avec autant de précision que dans l'
état
de veille. Le sens musculaire, suivantla remarque
lui pose avec plus de précision qu'elle ne le saurait faire dans son
état
normal; il semble que l'intelligence soit plus ex
émissement des paupières, etc.). Pour faire sortir la malade de cet
état
, comme de l'état catalep-tique, il suffit de lui
upières, etc.). Pour faire sortir la malade de cet état, comme de l'
état
catalep-tique, il suffit de lui souffler sur le v
res, témoignant ainsi de la connexité qui existe entre ces différents
états
et l'attaque convulsive vraie. Dans aucun cas nou
i s'est passé pendant ce sommeil -. En résumé, on voit que les deux
états
que nous venons d'étudier sont ainsi caractérisés
ce sous ce rapport entre la léthargie et la catalepsie. Dans ces deux
états
le pouls est régulier, il bat de 80 à 100 pulsati
mmet/(première phase), som-nambulisme (deuxième phase.) Pendant cet
état
de léthargie hypnotique, l'action des zones hys-t
l'arrêt de l'attaque, sans que la malade sorte, pour ainsi dire, de l'
état
hypnotique. La malade n'a absolument conscience d
rmine point en même temps le réveil, et laisse la malade dans le même
état
de sommeil que celui dans lequel elle se trouvait
l'expression de M. Gharcot, les preuves analomiques de la réalité des
états
nerveux ainsi provoqués et écarte d'une façon pér
tenus par l'électrisation faradique de ces points moteurs, pen-dant l'
état
normal, se trouvent reproduits d'une façon identi
identique par l'excita-tation mécanique de ces mêmes points pendant l'
état
de léthargie provoquée^ avec cette différence tou
u'aux membres la contracture remplace la contraction. Dans ce dernier
état
, les muscles et les nerfs sont également sensible
été répétées un grand nombre de fois. Eufm il paraîtrait que dans cet
état
nerveux certains muscles font exception à la règl
icheu. 24. cherchant avec l'extrémité mousse d'un crayon, pendant l'
état
léthargique, nous les avons facilement trouvés ch
ongtemps à cause de la douleur qui l'accompagne, chez l'hystérique en
état
de léthargie, l'excitation mécanique des mêmes ne
end une attitude caractéristique que l'excitation faradique faite à l'
état
normal n'a-vait qu'à peine indiquée. La main se t
ères de la malade léthargique pour faire revenir tous les signes de l'
état
cataleptique. Dans ce cas la catalepsie et la lét
être variée de la façon suivante. Supposons la malade plongée dans l'
état
cataleptique sous l'influence d'une vive lumière.
CONTRACTURE PERMANENTE ARTIFICIELLE. Les contractures variées que l'
état
de léthargie permet de don-ner à la malade se rés
tement, si on vient à la faire passer directement de la léthargie à l'
état
normal par les divers procédés: souffle sur le vi
s, par les procédés que nous venons d'indiquer, est sous le coup d'un
état
spécial du système musculaire, que l'on pourrait
bien connue, qui consiste à faire tomber un coq ou une poule dans un
état
assez analogue à la catalepsie de l'homme, en lui
en plaçant un coq devant une lumière de Drummond; survient bientôt un
état
qui ressemble à la catalepsie, mais qui n'est jam
s résidait dans rimaginalion de ranimai. Récemment, en Allemagne, cet
état
cataleptiforme a été reproduit par divers procédé
as le seul agent qui puisse plonger les hystéro-épileptiques dans les
états
de catalepsie et de léthargie ; les mêmes 1. Le
runtée à un ou-vrage publié sans nom d'auteur, par un Français. Sur l'
état
cataleptique chez les animaux, voy., en outre des
gie possède tous les caractères dé-crits précédemment. Au milieu de l'
état
léthargique, de nouvelles vibrations du diapason
etite prome-nade au grand air, aient tout fait disparaître, — dans un
état
de prédisposition tout spécial qui fait qu'elle e
lumière, il suffisait de leur fermer les yeux pour les plonger dans l'
état
léthar-gique. Dans le cas présent, la même manœuv
esthésiques, et devenant anesthésique totale. Elle demeure dans cet
état
mental jusqu'au 3 décembre. Le 1" et le 2 décen
le calme ; mais, les attaques terminées, elle se trouve dans le même
état
mental qu'au-paravant. Enfin, le 3 décembre, à
roi, les yeux sont ouverts. Si on lui ferme les paupières, survient l'
état
léthargique et tout le cortège des phéno-mènes dé
ous rendions près d'elles^ nous pouvions à volonté les plonger dans l'
état
léthargique en leur fermant les yeux et repro-dui
s à endormir par ce moyen, la léthargie semble précédée d'une sorte d'
état
catalep-tique. Tout ceci s'obtient sans passe auc
Dans cette expérience, la malade paraît être plongée d'emblée dans l'
état
léthargique, sans passer par l'état cataleptique,
raît être plongée d'emblée dans l'état léthargique, sans passer par l'
état
cataleptique, comme dans les expériences précéden
le-ment, il pourra parvenir à fixer cette phase qui n'est autre que l'
état
cataleptique; en effet, la malade, abandonnée à e
rs, quelquefois dans un seul. Ils sont le siège d'une certaine 1. L'
état
cataleptique ainsi obtenu présente, en outre des
es d'ordre psychique dont nous parlerons plus loin. raideur. Mais l'
état
cataleptique est bien imparfait, car le membre so
ataleptique et faire cesser l'hyperexcita-bilité musculaire. Les deux
états
, léthargie et catalepsie, n'en sont pas moins net
avons déjà lon-guement décrite. Le soulèvement des paupières amène l'
état
cata-leptique, de la même façon que dans les obse
les deux épaules. B... est endormie par le regard. Elle est dans l'
état
que nous avons appelé léthargie avec hyperexcitab
mais les choses en restent là, et la malade se trouve dans un nouvel
état
de som-meil avec rigidité souvent générale. Cet
bilité mus-culaire n'existe plus. En apparence, rien n'est changé à l'
état
de léthargie hystérique dans lequel la malade se
ieures et le somnambulisme paraît plus parfait. Pendant ce deuxième
état
de sommeil, si l'on vient à exercer une pression
adique, quelque forte qu'elle soit, n'a jamais pu mettre le muscle en
état
de contracture per-manente et n'a jamais produit
on du vertex est plus ou moins forte. 2" La production de ce nouvel
état
de sommeil est d'autant plus facile qu'il a été p
hallucination est suivie soit du réveil spontané, soit du retour de l'
état
cataleptique. 6" Ce nouvel état nerveux s'accom
éveil spontané, soit du retour de l'état cataleptique. 6" Ce nouvel
état
nerveux s'accompagne parfois de phénomènes psychi
hénomènes psychiques particuliers (hallucinations provoquées) et d'un
état
d'hyperesthésie spéciale qui permettent de le rap
attention sur les phénomènes psychi-ques qui accompagnent les divers
états
nerveux dont jusque-là nous avions étudié surtout
rtout les phénomènes somatiques. Nous 1. J'attire l'attention sur l'
état
nerveux spécial dont il est question ici et qui e
re secousse, sans le plus petit signe épileptoïde. On examine alors l'
état
de la contractililé musculaire, les muscles ne ré
ctes de somnambulisme. Nos malades nous ont paru alors dans le même
état
que celui que nous pou-vions provoquer par la pre
-rique et de quelques-unes de ses variétés. PREMUiRE OBSERVATION. —
ÉTAT
DES SENS PENDANT la CATALEPSIE HYSTÉRIQUE PROVOQU
rayons visuels en strabisme interne et supérieur. Elle tombe dans cet
état
connu sous le nom de léthargie avec hyperexcitabi
opriété de conserver les attitudes communiquées, la malade est dans l'
état
cataleptique. Je résumerai les caractères déjà
l'état cataleptique. Je résumerai les caractères déjà connus de cet
état
. Insensibilité générale à la piqûre. Fixité du
tion terrible. Sous l'influence de l'hallucination ainsi provoquée, l'
état
cataleptique peut cesser complètement, la malade
regards de la malade, l'œil reprend aussitôt sa fixité première et l'
état
cata-leptique général revient avec tous les carac
n des différents sens. A. La malade cataleptique, dont l'œil est en
état
de percevoir les mouvements de l'expérimentateur
Aussitôt que la malade n'est plus en mouvement, elle retombe dans l'
état
cataleptique qui persiste jusqu'à ce qu'une nouve
la maintenir quel-ques instants pour que, l'impression s'effaçant, l'
état
cataleptique général reparaisse. Si l'on place
t l'usage estconnud'elle, on la voit, presque aussitôt, sortir de son
état
cataleptique pour se livrer, en quelque sorte fa-
s et ne diffèrent en aucune façon de ceux pour lesquels la malade à l'
état
de veille déploie toute son intelligence. Ils sem
léthargique. On met entre les mains delà malade, toujours pendant l'
état
cataleptique, du tabac et du papier à cigarette.
l'extré-mité qui flambe et elle ne les retire pas. Elle est dans cet
état
complètement anesthésique. Enfin nous lui mettons
ère des gens qui ne savent pas. Cette expérience montre que, dans cet
état
d'automa-tisme, la malade vit bien sur son propre
correspondante s'arrête, le bras re-tombe inerte, les muscles sont en
état
d'hyperexcitabililé musculaire, mais l'autre main
par l'extrémité et la roule minutieusement, la remettant ainsi dans l'
état
où elle était lorsque nous la lui avons donnée. C
indiqué et n,e s'arrête qu'à la fin de la page. Pendant la lecture, l'
état
cataleptique a cessé, car si l'on cherche à soule
qu'elle est amblyo-pique et achromatopsique de l'œil droit et que cet
état
persiste pendant la catalepsie comme nous en four
mène de la poursuite fatale et inconsciente d'une action, pendant cet
état
d'automatisme, peut être constaté ici et s'est pr
ais rien de ce que nous attendions n'arrive. Bar... n'est pas plus en
état
de retourner le livre, qu'elle peut écarter une f
hallucinations provoquées pendant l'État cataleptique. Pendant l'
état
cataleptique, la persistance de l'ouïe permet à l
épendance de l'observateur qui la dirige à son gré. Une fois dans cet
état
hallucinatoire, le sujet ne répond aux questions
aître toute hallucination. Du moment oû se produit l'hallucination, l'
état
ca-taleptique cesse et la malade peut exécuter to
ît, soit spontanément, soit chassée par la parole de l'observateur, l'
état
cataleptique revient immobilisant le sujet dans l
moment oû l'image a disparu de son esprit. Pendant que B..., est en
état
cataleptique, on attire son regard et, le dirigea
e, on lui dit qu'elle est dans un jardin rempli de fleurs. Aussitôt l'
état
cataleptique cesse, elle fait un geste de surpris
l'hallucination avec l'attitude ou le mouvement qui la traduit, et l'
état
cataleptique avec absence complète d'impression p
et que nous avons nous-même rencontrée sous une certaine forme dans l'
état
de somnambulisme sans hyperexcitabilité musculair
r par degrés et disparaît spontanément laissant toujours la malade en
état
cataleptique. Pendant que la malade dominée par
possibles que pour l'oeil qui n'est pas achromatopsique. Bar..., à l'
état
de veille est achromatopsique de l'oeil droit.
ique de l'oeil droit. Au point de vue du réveil provoqué, pendant l'
état
cataleptique, et pendant cet autre état nerveux q
du réveil provoqué, pendant l'état cataleptique, et pendant cet autre
état
nerveux que l'on peut appeler l'état hal-lucinato
taleptique, et pendant cet autre état nerveux que l'on peut appeler l'
état
hal-lucinatoire, une différence existe. Dans l'ét
on peut appeler l'état hal-lucinatoire, une différence existe. Dans l'
état
cataleptique simple, un souffle léger sur le visa
ir que l'observateur possède sur l'ori^^anisation du sujet mis en cet
état
nerveux spécial peut aller encore plus loin et dé
Il arrive même parfois que les sens qui sont complètement abolis à l'
état
normal, ne sont pas, dans l'état cataleptique sus
ens qui sont complètement abolis à l'état normal, ne sont pas, dans l'
état
cataleptique susceptibles d'hallucinations. Ainsi
gotit et du tact du môme côté, conserve pendant la catalepsie ce même
état
des sens, et voici ce que nous avons pu constater
aler une particularité curieuse que nous avons ren-contrée, pendant l'
état
cataleptique, chez deux de nos malades. l'hallu
er encore l'expérience plus loin, nous avons déjà vu que, pendant cet
état
cataleptique, il suffit de placer les bras de la
s fois a toujours donné les mêmes résultats. Cette malade pendant l'
état
de veille ne peut par sa seule volonté provo-quer
ation provoquée que je viens de décrire n'accompagnent pas toujours l'
état
cata-leptique. Il est des malades chez lesquelles
s toujours l'état cata-leptique. Il est des malades chez lesquelles l'
état
cataleptique se borne aux phénomènes indiqués dan
vives appel-lations, la malade ne bouge pas plus qu'une statue, et l'
état
cata-leptique persiste toujours au même degré. Wi
psychique alterne avec le trouble musculaire, l'hallucination avec l'
état
cataleptique. Certains faits d'automatisme qui pr
plet développement l'automatisme et les halluci-nations provoquées, l'
état
cataleptique n'est pas toujours apte à la product
its d'automatisme et d'hallucination provoquée soient possibles que l'
état
cataleptique succède à la léthargie ^. 1. Lorsq
nces d'automatisme rapportées plus haut ont été reproduites pendant l'
état
cataleptique succédant à l'état léthargique occa-
us haut ont été reproduites pendant l'état cataleptique succédant à l'
état
léthargique occa-sionné par la convergence des ax
e) amène, au bout de peu d'instants, la catalepsie générale. Dans l'
état
cataleptique ainsi produit sur Bar..., la suggest
cinations provoquées pendant l'État de léthargie ou de somnambulisme,
état
des sens Des hallucinations peuvent être égalem
sens Des hallucinations peuvent être également provoquées pendant l'
état
de somnambulisme. Elles diffèrent de celles dont
uci-nations de la vue ne sont pas possibles (les malades ont dans cet
état
les yeux fermés) pendant que tous les autres sens
ndant que tous les autres sens peuvent subir fhallucination. Dans cet
état
l'automatisme si saisissant de l'état cataleptiqu
subir fhallucination. Dans cet état l'automatisme si saisissant de l'
état
cataleptique n'existe pas, ou il existe dans des
ste pas. En voici deux exemples qui serviront également à montrer l'
état
des sens pendant fétat de somnambulisme. Suzann
fermées) et du goût, sont conservés du côté non hémianesthésique à l'
état
de veille. L'anesthésie à la piqûre est complèt
ne donnent lieu à aucune sensation. 11 n'est pas possible dans cet
état
de provoquer ni illusions ni hallucina-tions d'au
bien que ses yeux soient fermés. semblables, est survenu un nouvel
état
nerveux qui par ses caractères diffère beaucoup d
la douleur persiste. La parole est conservée, et, de même que dans l'
état
précédent, la malade peut communiquer ses impress
a malade peut communiquer ses impressions. Les sens sont dans le même
état
que dans la léthargie avec hyperexcitabilité. La
nt ou disparaissent au gré de l'observateur, sans changer en rien l'
état
de la sensibilité ou de la motilité. Pendant to
tait absolument impossible de susciter, mais Suzanne est alors dans l'
état
de suggestion dont nous avons parlé dans les expé
s, car, l'hallucination une fois pariie, elle retombe aussitôt dans l'
état
catalopticjue, et les phénomènes d'automatisme do
e dont il a été question se développent facilement. Gl... pendant l'
état
de léthargie provoquée parla fixité du regard pré
à la piqûre est abolie aussi bien à la peau qu'aux muqueuses. Mais l'
état
des sens reste à peu près le même qu'à l'état de
u'aux muqueuses. Mais l'état des sens reste à peu près le même qu'à l'
état
de veille. (Gl. est hémianesthé-sique droite). El
ête on fait disparaître lliyperexcita-bilité musculaire, et le nouvel
état
nerveux ainsi produit se révèle par de nouveaux s
nouvel état nerveux ainsi produit se révèle par de nouveaux signes. L'
état
des sens demeure le même que précédemment et la m
nt toujours fermés au moins en apparence. (Nous avons vu que dans cet
état
, chez Suz,.., les hallucinations de la vue n'étai
comme un rêve qu'un trop brusque réveil aurait effacé. Pendant cet
état
hallucinatoire, si l'on soulève les paupières de
à ce qui se passe chez Suz.., au lieu d'être remplacée bientôt par l'
état
cataleptique, l'hallucination au bout de peu d'in
ontané. Je dois ajouter que Gl... contrairement à Suzanne présente un
état
cataleptique absolument rebelle à toute hallucina
t les hallucinations provoquées, ou simplement sug-gérées pendant cet
état
de somnambulisme, persistent quelquefois pendan
e la malade, se rappro-chant en cela de la contracture qui survit à l'
état
léthargique pen-dant lequel elle a été provoquée.
i survit à l'état léthargique pen-dant lequel elle a été provoquée. L'
état
dans lequel se trouvent alors les malades se rapp
CARACTÈRES DU SOMNAMBULISME SANS IIYPEREXCITABILITÉ MUSCULAIRE Cet
état
de somnambuhsme provoqué offre les plus grandes a
inaires qui permettent d'entrevoir les ressources que peut offrir cet
état
ner-veux spécial, au point de vue du merveilleux,
dente ne sont pas toujours pos- sibles et notre malade B..., dont l'
état
cataleptique est si riche en troubles psychiques
tions qu'on lui pose, l'intelligence paraît même plus éveillée qu'à l'
état
nor-mal. Nous ne lui avons cependant jamais vu dé
her les objets dont on lui indique la place. Enfin je signalerai un
état
spécial d'attraction de la malade pour certaines
montré dans nos expériences avec beaucoup de netteté. Bar... dans l'
état
de somnambulisme sans hyperexcitabilité musculair
pressant avec le doigt sur le sommet de sa tête, l'a plongée dans cet
état
. S'il s'éloigne, elle devient inquiète, se met à
e point a été fait par l'intermédiaire d'un objet quelconque, le même
état
nerveux de somnambulisme sans hyperexcitabilité n
omnambulisme sans hyperexcitabilité ne s'en produit pas moins, mais l'
état
spécial d'attraction, dont je parle, n'existe pas
se celles de chacun des observateurs et ne veut pas les abandonner. L'
état
spécial d'attraction existe à la fois pour les de
fait d'observation régulièrement observé DESCRIPTION DES DIFFÉRENTS
ÉTATS
NERVEUX PROVOQUÉS. Après avoir rapporté les rés
é à la solution de ces difficiles problèmes. Je distinguerai quatre
états
nerveux particuliers dont je résu-merai le mode d
ion élective se produit au sujet de la contracture provoquée dans cet
état
. L'observateur dont le contact est supporté par l
ulaire ; 4" État de léthargie sans hyperexcitabilité musculaire, ou
état
de somnambulisme. § 1. — CATALEPSIE HYSTÉRIQUE
Toutes les pratiques usitées dans f hypnotisme peuvent faire naître l'
état
cata-leptique; nous voyons en effet la catalepsie
roduise. » Enfin, dans le cours de nos expériences, nous avons vu l'
état
cataleptique remplacer immédiatement fétat léthar
ert (Obs. II, p. 371). Dans ce cas, nous avons lieu de penser que l'
état
cataleptique produit est sous la dépendance d'une
urité complète, la catalepsie par soulèvement des paupières pendant l'
état
léthargique, n'est plus possible. Lorsqu'on soulè
ez Wit..., nous avons vu parfois les inhalations d'éther provoquer un
état
cataleptique parfait, qui se transformait immédia
agère, toujours d'a-près la remarque de Spring, survient, même dans l'
état
de santé, à la suite d'une émotion profonde. On v
ent, jusqu'à ce que l'intensité de la lumière augmentant peu à peu, l'
état
cataleptique des membres s'accuse par degrés et s
ait d'autres expériences avec la lumière colorée. Lorsque pendant l'
état
cataleptique ainsi obtenu, la lumière est supprim
elation de Cardan, je n'étais pas très convaincu de l'analogie de cet
état
de rigidité des moissonneurs avec la catalepsie,
a messe à Montmorillon (Vienne); on le rap-porta à sa demeure dans un
état
de catalepsie complète^, et il ne recouvra connai
réelle : mais, dans un certain nombre de cas, il y a persistance de l'
état
normal des sens. » [loc. cit.) Cerise rapporte
ues, à celle que donne la flexibi-lité de la cire. L'intensité de l'
état
cataleptique semble en rapport avec la rai-deur d
ième névrose ayant quelque analogie avec le somnambulisme, et que cet
état
étant donné, des rapports peuvent s'établir avec
ne de la suggestion (Obs. 1,1'" série). Tels sont les signes de cet
état
qui nous paraît présenter les ca-ractères de la c
il mérite seul d'en conserver le nom. Nous le distinguerons du second
état
que l'on pourrait di^^eier cataleptiforme, qui ac
avec le premier. Nous donnerons les signes différentiels de ces deux
états
, qui, tout en présentant une certaine analogie pa
roduction de la léthargie avec hyperexci-tabilité musculaire \ 1. L'
état
cataleptique est signalé par Azam comme un des ph
est signalé par Azam comme un des phénomènes les plus constants de l'
état
hypnotique. « Il peut exister, dit-il, avec l'ane
ntrer avant môme l'anesthésie. » Enfin nouveau rapprochement avec l'
état
cataleptique que nous avons décrit : « J'ai recon
ndante du corps... » § 2. — AUTOMATISME. HALLUCINATIONS PROVOQUÉES.
ÉTAT
DE SUGGESTION Je rapproche de la catalepsie cet
NS PROVOQUÉES. ÉTAT DE SUGGESTION Je rapproche de la catalepsie cet
état
singulier dans lequel la malade sous l'empire d'h
ation spéciale des sens accomplit automatiquement certains actes. Cet
état
que pour plus de concision je désignerai sous le
ctes. Cet état que pour plus de concision je désignerai sous le nom d'
état
de suggestion, — parce que la malade ne s'apparti
angère — offre ceci de remarquable qu'il peut être provoqué pendant l'
état
cataleptique et qu'il alterne avec lui. Il se pro
oduit là une sorte de balancement qui fait que la malade, sortie de l'
état
cataleptique pour entrer en état de suggestion, r
qui fait que la malade, sortie de l'état cataleptique pour entrer en
état
de suggestion, retombe na-turellement et fataleme
t de suggestion, retombe na-turellement et fatalement dans le premier
état
, aussitôt que l'in-fluence qui a fait naître le s
paru, soit spontanément, soit sous l'action de l'expérimentateur. L'
état
cataleptique et l'état de suggestion qui se rempl
, soit sous l'action de l'expérimentateur. L'état cataleptique et l'
état
de suggestion qui se remplacent réciproquement ch
correspondant ^ 1. Les connexions si étroites qui existent entre l'
état
cataleptique et l'état hallu-cinatoire sont encor
es connexions si étroites qui existent entre l'état cataleptique et l'
état
hallu-cinatoire sont encore révélées par le fait
toire sont encore révélées par le fait suivant : Dub..., présente l'
état
cataleptique simple, celui qui répond à l'obs. I,
sont pas possibles. Et cependant on retrouve les liens qui unissent l'
état
cataleptique à l'hallucination pi'Ovoquée dans l'
sans hyperexcitabilité, les oulèvement des paupières ne ramène plus l'
état
cataleptique comme cela a lieu pour le sommeil av
mps, elle s'évanouit bientôt spontanément et laisse la malade dans un
état
cataleptique pro-fond, indifférent à toute tentat
ute tentative d'hallucination provoquée. En résumé, nous voyons ici l'
état
cataleptique avoir besoin pour se produire de la
eau l'hallucination provoquée de la vue. A. Mode de production. — L'
état
de suggestion succède à l'état de catalepsie remp
e la vue. A. Mode de production. — L'état de suggestion succède à l'
état
de catalepsie remplissant certaines conditions pa
particulières (per-sistance au moins partielle des sens). Lorsque l'
état
cataleptique est apte au développement de ces phé
a catalepsie et peut aussi faci-lement y mettre fm par le retour de l'
état
cataleptique. B. Caractères. — Je ne rapportera
t des muqueuses. T L'œil est ouvert, le regard a perdu sa fixité. L'
état
catalep-tique n'existe pas et la malade conserve
e la suggestion. Par suggestion, Braid entend ceci : un sujet, dans l'
état
cataleptique, est placé dans une position donnée
deaux) dans l«s Arch. gén. de méd., janv. 1860.) ce qu'ils sont à l'
état
normal et permet à l'observateur d'impres-sionner
ait modifier. Nous avons vu quelquefois une scène provoquée pendant l'
état
de suggestion dont il est question ici, se reprod
a malade conserve parfois des hahucinations provoquées. T Pendant l'
état
de suggestion le réveil n'est pas aussi facile-me
suggestion le réveil n'est pas aussi facile-ment obtenu que pendant l'
état
cataleptique. Le simple souffle sur le visage ne
es) sous l'influence duquel s'est produite la catalepsie. Pendant l'
état
cataleptique, quel qu'ait été son mode de produc-
nt au môme résultat, mais par-fois en faisant passer la malade par un
état
cataleptique de peu de durée, quoique fort appréc
aient résisté à l'opium se sont vues enrayées, suspendues pendant cet
état
particulier de leur système nerveux (l'hypnotisme
un certain degré (le plus sou-vent ceux du côté hémianesthétique à l'
état
de veille demeurent complètement abolis) et perme
ncomplète et partielle (Obs. VII, 1'' série), qui cède à la friction (
état
cataleptiforme). T Toujours hyperexcitabilité m
isté à l'emploi de la morphine, étaient calmés par la production d'un
état
léîhargi({ac provoqué par l'approche d'un aimant
dans l'ensemble des phénomène.s qui caracté-risent chacun de ces deux
états
nerveux. On verra au paragraphe suivant que si ce
es deux états nerveux. On verra au paragraphe suivant que si ces deux
états
de somniation ont des signes communs, ils diltère
le à établir et saisis-sante chez les malades qui présentent les deux
états
. L'expérience suivante vient à l'appui de cette m
é (voy. obs. p. 381). La pression sur les deux yeux peut modifier son
état
et faire reparaître l'hyperexcitabilité. La press
perexcitabilité n'existe en aucune façon. Mais la différence des doux
états
nerveux qui se partagent alors la malade ne consi
lement, comme on peut le voir par ce qui suit. Nous savons que dans l'
état
léthargique avec hyperexcitabilité, ou premier so
xpérience qui a été faite : Pendant que Rar... est plongée dans cet
état
que j'appelle pour plus de concision le deuxième
venu au premier tommeil. En elfet, si ce cliangemenl survenu dans son
état
dynamomètre, par exemple ; si alors on malaxe l
niers cas rangés par les auteurs parmi les attaques catalepti-ques, l'
état
du muscle ne peut-il être rapproché de cette vari
parfois la léthargie et que nous proposons de désigner sous le nom d'
état
cataleptiforme. Cet état cataleptiforme, qu'il
e nous proposons de désigner sous le nom d'état cataleptiforme. Cet
état
cataleptiforme, qu'il n'est pas rare de voir acco
friction, font cesser la catalepsie sur un membre, sur un doigt; cet
état
revient en replaçant doucement le membre à sa pla
la force développée est au moins d'un tiers plus considérable qu'à l'
état
ordinaire. » (p. 5). Nous avons vu comment les
ureu-sement contractures; depuis déjà 20 minutes, elle était dans cet
état
si souvent pré-curseur d'une attaque. Nous la con
loureuses comme nous le savions ; bientôt ses mairs revin-rent à leur
état
ordinaire et la malade, à son réveil, fut fort ét
e un peu brusque-ment le membre d'une malade dont les muscles sont en
état
d'hy-perexcitabilité, ou bien, qu'après avoir sou
e la véritable catalepsie décrite plus haut, et de f autre, ceux de f
état
cataleptiforme, il nous est facile de les consign
e ne mo-difient en aucune façon la position com-muniquée au membre.
ÉTAT
CATALEPTJFOUME ue la léthargie — Yeux fermés.
IIVSTÉ-,KIQUE. A. Mode de production. — Nous avons pu provoquer cet
état
d'une façon sûre et constante chez la plupart de
des par la friction ou simplement la pression sur le vertex pendant l'
état
de léthargie avec hyperexcitabilité musculaire.
tion, et l'on voit cet effort devenir en ({uelque sorte constant et l'
état
cataleptique du membre élevé se produire. C'est d
'ai pris l'in-dication de cette expérience... Il arrive souvent que l'
état
cataleptiiiue ne peut être produit que dans les m
h l'autre et la remplaçait spontanément, comme par les progrès de l'
état
pathologique spécial que l'on avait provoqué. L
'anœuvres habituelles des magnétiseurs ont pour effet de produire cet
état
de somnambulisme hystérique immédiatement sans fa
stérique immédiatement sans faire passer la malade par les différents
états
nerveux dont nous avons parlé. Les caractères d
onstaté une tiyperesthésie particulière du tact qui se traduit par un
état
d'attraction spécial pour les personnes, se produ
te un ordre de contractures d'une autre na-ture qui se rattachent à l'
état
d'hyperesthésie spéciale dont j'ai parlé, qui ne
llect et la vivacité 1. Souvent alors la voix est plus faible qua l'
état
naturel et comme voilée. Cette remarque avait été
ifférence qui existe, sous ce rapport, entre ce que nous avons appelé
état
de suggestion et l'état de somnambulisme dont il
us ce rapport, entre ce que nous avons appelé état de suggestion et l'
état
de somnambulisme dont il s'agit ici, apparaît d'u
e chez les malades sus-ceptibles de présenter successivement les deux
états
. Quelques exemples feront bien comprendre. Pend
e redevient aussitôt cataleptique, ainsi que je l'ai dit. Pendant l'
état
de somnambuhsme, Bar..., accomplit sur l'ordre, c
de tous ses caractères. Cette longue digression, sur les différents
états
nerveux qu'il est possible de provoquer chez les
suivants à utiliser les notions acquises. 1. La différence entre l'
état
de suggestion et l'état de somnambulisme se fait
notions acquises. 1. La différence entre l'état de suggestion et l'
état
de somnambulisme se fait encore bien sentir dans
ple suivant. En plaçant les mains de Par..., pendant qu'elle est en
état
de somnambulisme, dans l'attitude de la prière, c
mé, la malade par le simple soulèvement des paupières est passée de l'
état
de somnambulisme dans l'état de suggestion dont n
oulèvement des paupières est passée de l'état de somnambulisme dans l'
état
de suggestion dont nous avons parlé, et la même a
n dont nous avons parlé, et la même action continuée pendant les deux
états
, emprunte à chacun d'eux des carac-tères particul
coma, décrite par Briquet, nous paraît rentrer dans ce cadre. h. De l'
état
cataleptiforme. Î5 I. — ATTAQUE DE LÉTHARGIE SI
d avec anesthésie générale et résolution musculaire. Voyant durer cet
état
qui ressemblait (n'était l'anesthésie absolue) à
taient pas écoulées que la malade retomba de la même manière, dans un
état
de sommeil com- plet avec anesthésie générale.
élèves de la clinique, toujours le sommeil avec anesthésie, véritable
état
léthargique, se produisit dans les mêmes conditio
r la sensation de contact de l'aimant ; dans ces conditions, jamais l'
état
léthargique n'est survenu et, toujours, il a suff
le réveil était précédé des mêmes mouvements convulsifs. Pendant l'
état
léthargique la résolution musculaire était com-
Je ne m'étendrai pas longuement sur les attaques de léthargie avec
état
de mort apparente. Ces faits ont de tout temps fi
chée de ce que nous avons observé chez nos hystériques qui, pendant l'
état
de léthargie Drpvoquée, conservent, au milieu d
manière étonnante : cinq ou six hommes ne pouvaient la retenir. Cet
état
dura trois semaines, après lesquelles la chorée s
a malade, dont le système nerveux était débarrassé entièrement de son
état
morbide, parut aussi fraîche et aussi bien portan
parut aussi fraîche et aussi bien portante qu'auparavant. Pendant son
état
léthargique, où toutes les fonctions paraissaient
ations dans lesquelles, aux principaux phénomènes qui caractérisent l'
état
léthargique avec hyperexcitabilité musculaire^ te
s manifestes de congestion céré-brale, qui sont rendus évidents par l'
état
des yeux, par la coloi^ation de la face, par la g
ien. C'est le phénomène 1. On se souvient que les contractures de l'
état
léthargique provoqué se ré-solvent par le massage
ilà l'image exacte de la situation. De prime abord, je croyais à un
état
cataleptique; mais si l'on prend un des deux bras
ux dirigés du côté de la lumière, pour voir si je n'obtiendrais pas l'
état
cataleptique; mais la contracture tétanique resta
é d'une petite baguette de bois. Pendant que la malade est dans cet
état
, j'essaye, mais sans résultat aucun, de provoquer
uvent dorsal. A cela se bornent quelquefois tous les symptômes. Cet
état
ressemble alors à un véritable sommeil; et si pen
s de signaler, on peut reproduire ces mouvements cataleptiques. Cet
état
de sommeil n'est pas le seul qu'elle présente dan
e à la Salpôtrière, d'où elle sort pour retourner à Orléans. Là son
état
s'améliore. Au bout de quelque temps, les phénomè
e mercure), et elle ne les eut pas plutôt pris, qu'elle tomba dans un
état
de catalepsie qui dura douze heures. Je fus la vo
out de quelques heures, tous les muscles du corps se trouvent dans un
état
complet de raideur, et la violence des douleurs s
Le son le plus léger faisait éprouver à la malade plongée dans cet
état
une sorte de secousse électrique; ses muscles se
Puel fut amené fortuitement à découvrir un moyen de faire cesser cet
état
de contracture et de catalepsie. La friction su
phénomènes de catalepsie étaient évidemment sous la dépen-dance d'un
état
d'hyperexcitabihté musculaire. Les analogies avec
étanique des muscles de la poitrine. c( Les muscles une fois mis en
état
d'activité par le contact de la main, continuaien
On se trouve ainsi en présence d'un symptôme et non d'une maladie. L'
état
cataleptique se produit, en effet, dans des condi
PASSIONNELLES Les affinités qui existent entre l'hallucination et l'
état
catalep-tique des muscles ont été mises en lumièr
s faite de la catalepsie hystérique provoquée. Nous avons vu ces deux
états
nerveux si différents s'équivaloir en quel-que so
onnelles, les membres de la malade présenter tous les caractères de l'
état
cataleptique. Math... dont nous avons déjà parl
convulsives depuis le matin. Au moment de la visite, elle est dans un
état
cataleptique qui dure depuis une heure environ. N
épaules en signe de doute. L'oc-clusion des yeux ne modifie en rien l'
état
cataleptique. Nous la laissons quelques instant
s diversement placés, assise sur son lit ou couchée. Elle est dans un
état
cataleptique semblable à celui décrit au début. O
rrive parfois, elle dit très bien qu'elle ne voit rien. C'est alors l'
état
cataleptique sans hallucination. L'on voit comb
es d'hallucinations provoquées que nous avons rapportées plus haut. L'
état
de la malade est certainement le même, et la seul
x soient ouverts ou fermés les signes ne changent pas. 11 existe un
état
cataleptique de tous les muscles que la friction
friction. Frémissement continu des paupières. Les caractères de l'
état
cataleptique qui accompagne les attitudes pas-sio
s , des observations précédentes, nous n'avons aucunement modifié cet
état
en abaissant les paupières et en maintenant, quel
violent accès hystérique la première fois qu'elle vit sa fille en cet
état
. Outre ces accidents communs aux catalep-tiques,
éder de violentes convulsions, et un délire bien plus spirituel que l'
état
sain. Il arrivait aussi, de temps en temps, qu'el
rs par tomber en faiblesse, quelquefois en syncope ; lorsque dans cet
état
, on s'avisait de la piquer pour la faire revenir
part des caractères de l'attitude passionnelle, et les attributs de l'
état
cataleptique. L'attitude est expressive et il e
les ont été les témoins ^. » De plus les membres sont le siège d'un
état
cataleptique dont l'intensité varie. Au premier d
qu'il est rationnel de considérer comme le degré le plus intense de l'
état
cataleptique, la raideur est telle que le déplace
s qu'elle assistait à la messe et lors de l'élévation du calice, d'un
état
d'extase cata-leptiforme ^. Obs. III. Dans des
a des-cription de l'attaque hystérique, la convulsion fait place à un
état
d'extase, ou à une syncope, qui se prolonge assez
table erreur (Vésale); il n'est pas rare que l'extase coïncide avec l'
état
cataleptique du système mus-culaire ; j'ai observ
convulsive: mais deux ou trois fois la semaine, elle tombait dans un
état
d'extase avec catalepsie qui se prolongeait au mo
Delasiauve a déjà tenté de rattacher à un même trouble céré-bral deux
états
nerveux si opposés en apparence Pour le mo-ment,
ogique que soulève cette union des hallucinations de l'extase et de l'
état
1. Cette malade a été observée par M. Privat en
s nous avons vu^ sous l'influence de pratiques hypnotiques variées, l'
état
catalep-tique et les hallucinations alterner chez
alées. Chez une de nos malades, B...,j'ai observé plusieurs fois un
état
cataleptique manifeste inaugurer la grande attaqu
ête et Vextrémité des^orteils, madame X... retomba sur son Ht dans un
état
de résolution complète; le pouls était calme, bat
es muscles du visage se contractât et accusât la moindre douleur. Cet
état
dura un quart d'heure environ ; il cessa comme il
te. » Si on lui ployait un doigt ou plusieurs, ils restaient dans l'
état
où on les mettait; si on les tendait, c'était la
leptiformes, souvent entre-coupées de hoquets, et se terminant par un
état
cataleptique ( avec flexi-bilité cireuse très mar
it exécuter les mouvements qu'elle désirait, que lorsqu'elle était en
état
de diriger ses yeux vers ses membres. A la suite
e devait être jugée, elle tomba vers les cinq heures du soir, dans un
état
que Ton prit pour une apoplexie, et l'on alla en
faible de ce côté. ... En janvier 1875, en outre de l'anesthésie, l'
état
hystérique de Marie Lecomte se traduisait par une
re et silencieuse, les membres dans la résolution complète, tel est l'
état
dans lequel on la trouve à la visite du matin. Un
'abdomen, dans tous ses points, est d'une sou-plesse remarquable. Cet
état
de loquacité et de demi-catalepsie, rappelant le
cinq heures du matin, tout s'apaise, et on retrouve la malade dans un
état
de catalepsie absolue comme la veille. Cet état p
uve la malade dans un état de catalepsie absolue comme la veille. Cet
état
persiste pendant tout le jour. La malade est soum
vient pas sur elle-même, et les muscles de la région, participant à l'
état
cataleptique, gardent l'empreinte de la main, — I
sihésie n'a pas cessé un seul instant d'être absolue. La raideur et l'
état
cataleptique des muscles, bien que fortement dimi
uriné deux fois sous elle. Le 13. La nuit s'est passée dans le même
état
. Au matin hallucinations, demi-connaissance. A
s le début de son attaque. Le 24. La malade est presque revenue à l'
état
normal. Le 1" mai. La malade ne se ressent plus
e suite, au moins pour le côté gauche, la résolution des muscles et l'
état
physiologique des parties; les résultats sont les
ns le membre opposé, les parties frictionnées retournaient seules à l'
état
physiologique, les autres restaient cataleptiques
rovoqué. Quant aux rapports qui relient ensemble les frictions et l'
état
catalep-tique du muscle, les résultats ont varié
e sur lequel nous sommes revenus si souvent... (pag. 47). Pendant l'
état
cataleptique provoqué. Bar... nous a présenté des
es avec f hyperexcitabilité musculaire. Les membres, même dans leur
état
morbide (l'état cataleptique) obéis-saient encore
xcitabilité musculaire. Les membres, même dans leur état morbide (l'
état
cataleptique) obéis-saient encore à quelques exci
des limites physiologiques. Le somnambulisme appartient toujours à un
état
pathologique et se rattache aux né-vroses par ses
direction spéciale; Poubli le plus complet accompagne le réveil. L'
état
décrit par Frank, sous le nom de sommation sponta
ls insensibles. Le pouls est souvent sain, ou il est plus lent qu'à l'
état
normal, et la chaleur du corps est naturelle; la
me X... revient à elle ; on essaye de la calmer en lui parlant de son
état
, lui disant qu'elle a besoin de soins; elle nous
r déshabiller la malade et la mettre au lit; nous avions constaté son
état
cataleptique en la mettant en équilibre sur les i
c sa fille aînée, faisant à la fois les demandes et les réponses. Cet
état
durait de trois à cinq heures, et répon-dait exac
la malade devient somnambule sans transition. Il semble qne le second
état
dérive naturelle-ment du premier. L'hallucination
qui dirige l'autre, prennent naissance à la même source. C'est e même
état
psychique transformé suivant la nature de la mani
qu'elle a pour eux, qui dirige tous ses actes. La maladie reproduit l'
état
mental de la ma-lade dans l'intervalle de ses cri
passionnelle et le somnambulisme de la malade de M. Mesnet, les deux
états
n'en conservaient pas moins leurs attributs diffé
et je la ramenai ainsi sur son lit que j'avais fait mettre à terre. L'
état
cataleptique existait dans toute sa force, je lui
qu'à qua-tre heures du matin. A deux heures je me trouvai dans un tel
état
de fatigue ou d'épuisement nerveux que je me re
ions du bassin avec plaintes prolongées, Inrmes, puis apparition de l'
état
cataleptique et d'un sommeil que j'appellerai pat
se reproduire indéfiniment, ou du moins tant que la malade est dans l'
état
somnambulique actuel. Dans ce sommeil, le touch
ctuel. Dans ce sommeil, le toucher, le goût et l'odorat, qui dans l'
état
de veille sont tout à fait absents, paraissent in
h. 35 minutes. — Les yeux s'ouvrent. Somnambulisme avec monologue et
état
cataleptique. Interrogée sur l'objet de ses hal
e me répond qu'elle voit sa mère morte depuis quelques années, dans l'
état
où elle est en ce moment; elle se voit saisir par
'à la dernière. 10 h. 40 minutes. — Somnambulisme avec monologue et
état
cataleptique. 11 h. 25 minutes. — Hallucination
lle, la malade dit avoir eu peur et être tombée immédiatement dans un
état
d'hystéricisme, et le lendemain dans sa première
ue. 28 février. — La malade a passé ces sept derniers jours dans un
état
de délire léger entrecoupé de temps en temps par
lade qu'une très légère sensation de chatouillement. Il mai. — Même
état
; la peau est froide, d'un blanc mat, complètemen
et dans une inertie désespérantes. Le soir une attaque met fin à cet
état
, et au réveil il ne reste aucun souvenir sur les
rié. Toute la journée elle paraît épuisée et de-meure plongée dans un
état
extatique. Le soir survient une attaque d'hys-tér
ssance; elle dit seulement après quelques-uns d'entre eux, et dans un
état
de demi-lucidité : « Allons tra-vailler, je veux
eures du soir, il a até pris de convulsions avec rires et pleurs. Cet
état
était accompagné d'une hyperesthésie extraordinai
iné par une détente générale, et le malade a ouvert les yeux dans son
état
habituel, sans fatigue aucune. 11 paraît qu'il a
marche, s'agite, parle. l\ n'y a pas de chute au début de l'accès. L'
état
peut durer plusieurs heures, une journée entière,
sieurs heures, une journée entière, quelquefois on la couche daus cet
état
. La nuit, elle se relève souvent dans le même é
couche daus cet état. La nuit, elle se relève souvent dans le même
état
, se promène dans l'ap-partement. Toujours en pare
le des hôpitaux de Paris. Deuxième fascicule, p. 223. le retour à l'
état
normal spontané ou provoqué était toujours si-gna
uvent immobile, sans mot dire, les yeux fixes, et puis sortait de cet
état
d'extase pour pleurer. Le plus souvent elle demeu
t toujours plus ou moins uni à celui de son grand-père. Le retour à l'
état
normal, spontané ou provoqué, était toujours sign
à coup, elle était tombée sur le carreau sans connaissance et dans un
état
de rigidité inflexible, les membres supérieurs et
Enfin je désire rapprocher les hallucinations provoquées pendant l'
état
de somnambulisme, chez la malade de M. Ghambard,
z nos hystériques de la Salpêtrière et décrit plus haut sous le nom d'
état
de suggestion. Les accès de condition seconde p
quelconque des moyens que nous énumérerons plus loin, le passage de l'
état
normal à l'état de somniation se fait avec une gr
oyens que nous énumérerons plus loin, le passage de l'état normal à l'
état
de somniation se fait avec une grande rapidité, e
ition seconde, dont elle ne doit conserver aucun souvenir. Dans cet
état
, Armandine II... semble dormir, mais elle entend
ion. Ses réponses sont seulement plus lentes, plus traî-nantes qu'à l'
état
de veille, et elle a si peu la notion de l'état d
us traî-nantes qu'à l'état de veille, et elle a si peu la notion de l'
état
dans lequel elle se trouve qu'elle repousse alo
égeait de son mieux ses yeux contre nos tentatives. D'autre part, à l'
état
de veille, elle se laissait hypnotiser sans aucun
s déterminer de plaintes ni de mouvements de défense. Le retour à l'
état
normal se fait soit spontanément au bout d'un tem
ement et aussi prompte-ment qu'il avait été possible de l'endormir. L'
état
de condition seconde cesse aussi brusquement et d
u la gaieté, elle riait ou versait des larmes et traduisait ainsi des
états
psychiques divers qui pouvaient se manifester spo
és plus haut sous la dénomination d'hallucination provoquée pendant l'
état
de somnambulisme. J'ai insisté sur ce fait que la
'estomac. Elle nous raconte enfin dans les mêmes termes que pendant l'
état
normal les sensations qui, chez elle, précèdent l
vers la fenêtre et se jetterait en bas, si on ne l'arrêtait. y Cet
état
dure depuis novembre dernier, et ne s'est pas sen
nvulsives. Depuis sa seconde entrée à la Pitié, il s'est ajouté à l'
état
ordinaire des at-taques de catalepsie qui la surp
'hui, 15 juillet 1875, Emilie J. est toujours à peu près dans le même
état
. L'attaque cataleptique n'a reparu qu'une fois de
avec une vivacité et un esprit qu'on ne lui voyait ja-mais tiors cel
état
; elle changeait quelquefois de propos, et semblai
a journée, ne sachant d'ailleurs rien de ce qu'elle avait fait en cet
état
. ».....Jusqu'au 10 février je la perdis de vue,
affections, comme la défiance ou le retour des sentiments passés à l'
état
de souvenir. T Impulsions irrésistibles. 8° E
t je m'approchai de lui; je l'embrassai comme si j'eusse été dans mon
état
naturel. Craignant quelque crise, on m'éloignade
t enfm le violet. ^ Dans l'amblyopie hystérique ces caractères de l'
état
normal se modifient dans ce sens, que les divers
nt le degré de la maladie, mais conformément à la loi reconnue pour l'
état
normal. S'il s'agit d'une malade chez laquelle le
t normal. S'il s'agit d'une malade chez laquelle le rouge est, dans l'
état
normal, la couleur dont le champ offre le plus d'
thésie de retour, de Burq), après quoi la malade se retrouve dans son
état
primitif. La durée totale de l'expérience, compre
couvrer sa sensibilité, et rétablissant en somme les chosesdanslemême
état
qu'avant l'expérience. Mais il arrive souvent que
à une diminution de la sensibilité de l'autre côté, et le retour à l'
état
normal s'ef-fectuait toujours par l'intermédiaire
ions faites sur les hystéro-épileptiques, l'on pouvait prévoir qu'à l'
état
physiologique il devait exister quelque chose d'a
inées, la malade de-meure, au point de vue de la sensibilité, dans un
état
de stabilité relative qui peut durer plusieurs he
re pour quelque temps la sensibilité totale ; 2" la malade demeure en
état
de transfert, c'est-à-dire que si elle était hémi
nstants hé-mianesthésique droite ; peut-être ne doit-on voir dans cet
état
qu'une oscillation qui se prolonge et dont la fin
n n'a pas été ob-servée; 3° enfin, la malade se retrouve dans le même
état
qu'avant l'expérience. VIII. — Le transfert et
ent sain. La malade est revenue au point de départ, elle est dans l'
état
où elle se trouvait au début de l'expérience, mai
llations, le résultat final varie. La malade se retrouve dans le même
état
qu'avant l'expé-rience, ou bien pendant plusieurs
du jaune. La notion du rouge persiste. Voici la malade revenue à l'
état
premier ; mais les choses n'en restent pas là, et
généralisée. Elle n'est plus ni anesthésique ni achromatopsique. Cet
état
durait encore 45 minutes après la fm de cette exp
lerons dans un instant. Le métal neutre immobilise en quelque sorte l'
état
de l'innervation qui existait dans la partie au m
mais chez laquelle la diathèse hystérique existe en quelque sorte à l'
état
latent, l'anesthésie provoquée peut être obtenue
a force musculaire des membres anesthésiés (amyosthénie de Burq). Cet
état
peut être considéré comme le premier degré de la
ls je me propose d'insister. Ils relient la paralysie hystérique à un
état
musculaire tout opposé dont ils sont en quelque s
racture permanente des hémiplégiques. Thèse de Paris, 1880. riser l'
état
de contracture, et parmi lesquels il convient dér
n l'ensemble, au moins certains des signes les plus caractérisés de l'
état
de contrac-ture; et parmi ces signes les plus pré
n autre côté, « le phénomène du genou » existe à un certain degré à l'
état
normal, c'est un fait d'ordre physiologique, et s
e, et son exagération seule ou sa disparition complète, relèvent d'un
état
pathologique. Il est donc d'une appréciation plus
en certitude diagnostique, puisque ce dernier ne s'observe jamais à l'
état
sain. L'hémiplégie hystérique rentre dans cette
ineux et la trépidation spontanée soient symptoma- tiques d'un même
état
morbide, celle-ci révèle un degré assez avancé d'
onstater que, du côté sain, celle-ci n'a pas tous les caractères de l'
état
normal. La percussion du tendon rotulien déterm
cture permanente hystérique s'accompagne toujours d'un trouble dans l'
état
de la sensibilité. Le plus souvent, le membre con
orales vives ou sans cause appréciable — laissant le membre dans un
état
d'intégrité fonctionnelle parfait, quelle qu'ait
s et peuvent y être l'objet d'une étude plus facile. Dans l'espèce, l'
état
de contrac-ture latente révélé par l'exagération
e bras par exemple, peuvent, dans certains cas, l'immobiliser dans un
état
de con-tracture permanente en extension forcée. L
vu la contracture se déve-lopper à la suite d'un traumatisme ; et cet
état
de contracture latente, dont il vient d'être ques
pendant longtemps l'unique symptôme, en ce sens qu'ils subsistent à l'
état
d'isolement, sans adjonction d'autres phéno-mènes
ppliqué sur l'avant-bras gauche qui présente tous les caractères de l'
état
normal. On voit au bout de dix mi-nutes à un quar
t le tonus musculaire. Les muscles môme au repos sont dans un certain
état
d'activité que l'on a désigné sous ce nom. Les ex
saires à la production et au maintien de la contracture réside dans l'
état
d'intégrité organique des cellules motrices de la
ondition nécessaire des contractures de ce genre, dit Brissaud, est l'
état
d'opportunité spasmodique engendré par l'hy- pe
PNOTISME Je ne reviendrai pas ici sur la description des différents
états
nerveux provoqués dont j'ai longuement parlé plus
vue, acquérir une importance capitale chez les malades qui sont, à l'
état
normal, anesthésiques partielles (hémianesthésiqu
c) \Jattitude cataleptique ne saurait être gardée par un homme à l'
état
normal au-delà d'une durée facilement appré-ciabl
talepsie qui, par la simple occlusion des paupières, se transforme en
état
léthargique avec hyperexcitabilité musculaire, l'
argie d'un côté du corps et de Y hémicatalepsie de l'autre, suivant l'
état
d'ouverture ou d'occlu-sion des yeux (voy. p. 371
s inattendus qu'une malade ne saurait imaginer. é) L'influence de l'
état
cataleptique, provoqué à droite par l'ac-tion de
onnues et toujours les mêmes; la façon, dont chacun de ces différents
états
nerveux est susceptible de se limiter à une moiti
érence de degré, l'hystérie vulgaire ou petite hystérie n'étant que l'
état
rudimentaire de l'hystéro-épilepsie ou grande hys
e nom lui-même indique que les auteurs ont entendu désigner par là un
état
mixte tenant à la fois des deux névroses, une sor
vons rien vu qui s'en rapproche. b) Marche de la température dans l'
état
de mal épileptique et dans l'état de mal hystéro-
b) Marche de la température dans l'état de mal épileptique et dans l'
état
de mal hystéro-épileptique. — Ce point, d'une imp
eler ici que les températures élevées (40° et plus) appartiennent à l'
état
de mal épileptique seul, et que, dans l'état de m
plus) appartiennent à l'état de mal épileptique seul, et que, dans l'
état
de mal hystéro-épileptique, quelles que soient la
gues séries elles-mêmes ne laissent le plus souvent après elles qu'un
état
de lassitude insignifiant, nulle-ment en rapport
malades sont au dernier jour comme au premier. Il en est de môme de l'
état
mental qui demeure toujours le même, et, à part l
ne pourrait en citer que bien peu d'exemples » Au point de vue de l'
état
mental, Reynolds admet quatre classes d'épileptiq
uatre classes d'épileptiques : i" Il n'existe aucune déviation de l'
état
mental. 2° On remarque un peu d'affaiblissement
sitif en pathologie du système ner-veux, à propos des phénomènes de l'
état
auesthésique et hyperestliésique, de l'extase, de
s, erotiques. L'hypochondrie a aussi été invoquée, ainsi que tous les
états
névropathiques en rapport avec l'a-nesthésie, l'h
tch..., comme chez Ler..., malgré la longue jlurée de l'af-fection, l'
état
intellectuel n'a pas varié. CHAPITRE II trait
ilepsie, il en modifie les accès et devient un palliatif utile dans l'
état
de mal hystéro-épileptique. Mais voici une mani
sance ne revient pas, et la malade passe directement dans une sorte d'
état
comateux, où elle demeure jusqu'à ce que survienn
: a si la compression prolongée continuerait d'être efficace; h si l'
état
de mal hystéro-épileptique céderait devant cette
plusieurs heures, a suffi pour produire la cessation momentanée de l'
état
de mal, sans qu'on ait été obligé de recourir à u
r celle malade, pendant 12, 24 el même 48 heures, pour interrompre un
état
de mal. Jamais les attaques ne se sont présentées
re qui succède chez elle à l'attaque et on peut graduer le retour à l'
état
de raison en établissant gra-duellement la compre
la presque certitude en administrant ce métal à l'intérieur, soit à l'
état
de poudre (comme le fer réduit), soit à l'état d'
l'intérieur, soit à l'état de poudre (comme le fer réduit), soit à l'
état
d'oxyde ou de sel, d'ob-tenir des effets curatifs
t alors l'idée de s'adresser à l'é-lectricité elle-même, non plus à l'
état
de courant, comme on a cou-tume de l'employer hab
e courant, comme on a cou-tume de l'employer habituellement, mais à l'
état
de tension. Les résultats confirmèrent ses prévis
les différents effets d'une action aesthésiogénique locale, suivant l'
état
de la sensibiHté. 1° Simple diathèse hystérique
nsmise ayant, de môme que l'action ocale, pour résultat de produire l'
état
inverse de celui qui existait dans la partie. L
convulsives et la grande hystérie que nous observons de nos jours à l'
état
sporadique, se fondent sur la contagion ner-veuse
ossédés faisaient des discours et pro-féraient des menaces. « Dans un
état
qui tenait du sommeil magnétique », ils déclaraie
vulsifs terribles qu'ils présentaient, les dan-seurs jouissaient d'un
état
mental dont le trait saillant était la bizarrerie
us montre une analogie singulière entre ces maladies convulsives et l'
état
des animaux furieux, mais qui, chez ces frénétiqu
faits de ce que nous avons vu se produire chez nos malades, dans cet
état
d'automatisme hypno-tique dont nous avons parlé p
ans les flots, comme des danseurs de Saint-Guy dans les torrents. Cet
état
... se traduisait chez d'autres malades par la jou
r d'autres phénomènes qui, par leur infinie variété, révèlent tous un
état
d'excita-tion nerveuse contre nature. » (Ibid. lo
marquable de la sensibihté; d'autres, au contraire, tombaient dans un
état
de torpeur. La plupart étaient fatigués par des n
que temps, d'autres avoir des élourdissements, ou bien tomber dans un
état
complet de folie accompagnée d'insomnie opiniâtre
tout son corps, comme si, de bref, elle eût dû retomber en ce premier
état
. » (Gou-lard, loc. cit.) L'heureuse influence d
: J'enrage ! » Le mardi saint au matin, le diable Carreau, qui fait
état
d'endurcir les cœurs, empêcha Magdaleine de se vo
père, lui dit cette pauvre fille, que venez vous faire ici ? En quel
état
étes-vous ? 1. Pilet de la Ménardière, La démon
spectre répond, ne vous mettez point en peine de moi, je suis en tel
état
que désormais je n'ai pas besoin d'assistance de
oncevait pas quel avantage il aurait pu en recevoir, surtout dans son
état
présent, il se contenta de lui demander pourquoi
ête, avec une corde au cou, et un cierge à la main, et demeura en cet
état
l'espace de deux heures, au mdieu de la cour, où
fréquemment les victimes, la conviction de la réalité de leur affreux
état
, on comprend l'impression que devaient faire la s
ostie, a tiré la langue sur laquelle elle était, 1. C'est bien là l'
état
d'une hystérique dans cette période d'excitation
Ursulines où étant à la grille, et s'informant à elles-mêmes de leur
état
, la sœur » Agnès parut un peu troublée, fit quelq
gueur, épaisseur et 2 grosseur tout à fait extraordinaire : qu'en cet
état
elle alla se roulant et serpentant » jusques aux
ie lancée contre lui par une des possédées. Il fut réduit dans un tel
état
, « que depuis on ne l'a jamais vu rétabli dans so
étruire, ce qui était proprement diviser son royaume, et le mettre en
état
de ne plus subsister, selon que parle l'Évangile,
e pauvre fdle en de terribles et affreuses figures, comme quoi en cet
état
il se tenait toute la nuit dans sa cellule, immob
ne voix lamentable disait : « Haye, baye, baye. » On le laissa en cet
état
pour aller faire l'exorcisme, où je n'entrai pas
our prendre une plus exacte connaissance de leur constitution et de l'
état
présent de leur santé et trouvèrent à toutes la f
lusieurs fois des quarts et des demi-heures; voire et se jeter en cet
état
de toute sa hauteur et tout d'un coup. Une fois p
out ce corps demeura ainsi plié... quelque espace de temps, et en cet
état
le démon vomit force blasphèmes par la bouche de
er aucune douleur et sans qu'il paraisse ni sang, ni contusion. » L'
état
du corps dans une posture extrêmement violente, s
enoux et les bras croisés sur l'estomac, quelquefois, et dans le même
état
, la tête renversée tournant à l'entour du corps,
ste demeurait en l'air tenu comme une table. EUes marchaient dans cet
état
sans le secours des mains, n {Manuscrit anonyme d
a plante des pieds, tout le reste du corps en l'air et marcher en cet
état
, que toutes ou presque toutes demeu-rant à genoux
riette ; je le conjurai de dépêcher promptement, parce que je faisais
état
de partir ce jour-là; il commença en cette sorte
s un autre exorcisme rapporté par le même auteur, on retrouve le même
état
décrit avec les mêmes expressions. «... Elle (l
ine, et n'en pouvait-on tirer aucun mot. Le diable la retenait en cet
état
pour empêcher sa confession » Enfin l'attitude
heures après elle tombe comme morte; on la rapporte chez elle et cet
état
dure plusieurs heures. Elle éprouva quelques jo
c elle, cefle-ci tomba de son mal ordinaire. Marie tomba dans le même
état
. On les trouva étendues par terre serrées l'une c
ises ne débutèrent plus, comme chez les deux premiers enfants, par un
état
extatique; mais, comme eWes,plusieurs eurent des
les malades qui, le plus souvent, se cachaient ou dissimulaient leur
état
, m'exprimaient leurs regrets de me voir inutileme
la grande hystérie d'aujourd'hui, l'épidémie de Morzines est comme un
état
intermédiaire qui facilite les rap-prochements.
uleur gas-tralgique, de simples borborygmes déterminent tour à tour l'
état
convulsiL l. Voici, au sujet de la vertu qu'ont
dont l'aspect avait d'abord paru exprimer la frayeur entrent dans un
état
de fureur qui va toujours croissant, comme si l'i
la tenais plus. » {Ibid., p. 56.) Chez les possédées de Morzines l'
état
de la sensibilité était à peu près nor-mal dans l
es hystériques en général. » Le goiàt et l'odorat m'ont paru à leur
état
normal; deux ou trois malades seu-lement font exc
circonstances analogues â la pré-cédente, â la suite de laquelle son
état
s'aggrave. Vers Pâques 1730, un médecin qui ent
sang clair tirant sur le violet, et extrêmement écumeux. » IjC même
état
se prolonge. "En 1731, apparaissent « des attaq
it assise dans sonlit depuis plus de quatre ans, et elle se trouva en
état
découcher dans son lit comme une autre personne.
demoiselle Fourcroy est l'entrée subitement dans le repos et dans son
état
naturel. Environ un demi quart heure après, elle
sens dessus dessous : en avait gonflé et contourné les os : et en cet
état
les avait soudés à ceux de la jambe, ce qui renda
énérales qui marquent le début des accidents, et par la longueur de l'
état
de mal, qui ne dura pas moins de quatre jours.
euve Thévenet présenta tous les signes de l'extase; pendant ce nouvel
état
, elle récite les propositions du livre de Quesnel
hanoine Mariette, son frère, lui ayant fait des représentations sur l'
état
affreux dans lequel elle était depuis plusieurs j
s tressaillements de son corps. Après être resté longtemps dans cet
état
, la pâleur de la mort couvre entière-ment son vis
figurés ; ils paraissent tout autres. Ceux mêmes qui en dehors de cet
état
ont quelque chose en eux de bas et de rebutant, c
'édide, rien qui n'inspire de la piété, rien qui ne porte à Dieu. Cet
état
sur-naturel représente vivement, dans la personne
. « En convulsion, leur âme est bien plus dégagée des sens que dans l'
état
naturel... Il est de notoriété publique que les c
tration et d'intelligence lorsqu'ils sont en convulsion que dans leur
état
ordinaire. On voit jusqu'à des filles extrêmement
e de Montgeroa, loc. cit., Paris, 17-il, t. II, deux. part. Idée de l'
état
des con-vulsionnaires, p. 48. 2. Carré de Montg
roles annoncent 'K » Ce délire revêtait parfois les caractères de l'
état
d'enfance que les Appe-lants considéraient comme
s pieds seulement, la tête de la croix posant sur le plancher. En cet
état
, on lit la passion de l'évangile saint Jean au li
tre le mur à peu près de quatre pieds ou quatre pieds et demi. En cet
état
, elle présente sa poitrine à douze épées nues; on
'épuisement survient, les patients s'évanouissent et res-tent dans un
état
de torpeur et d'immobilité jusqu'à la fin de l'ac
ee, les sujets paraissaient s'évanouir, et après être restés dans cet
état
quinze à vingt minutes,étaient pris de convulsion
ns plus ou moins longues et plus ou moins violentes; au sortir de cet
état
, elle éprouve une prostration phy-sique très marq
re divine n'est pas complète et prieraient pour retomber dans le môme
état
. » Ces visions sont naturellement toutes de même
ur son nom à elle gravé. Quelques-unes tombent en e.xtase et dans cet
état
indiquent Je moment de leur retour à l'état nor
en e.xtase et dans cet état indiquent Je moment de leur retour à l'
état
normal. On rapporte un cas de clair-voyance. l\ e
à haute voix que les pécheurs cherchent la délivrance d'un semblable
état
. D'ordinaire l'angoisse morale et la prostration
sont mouil-lés. Il en est qui passent plusieurs fois par cet affreux
état
, d'autres ne l'éprouvent qu'une fois. L'appétit e
uissent avoir les yeux clos. Lorsqu'ils sont en partie revenus à leur
état
normal, ils ne peuvent prendre qu'une quantité de
nte et de là vient, je présume, pour un certain nombre d'entre eux, l'
état
de faiblesse et d'impuissance qui les met dans un
sans y avoir été prédisposées par les terreurs religieuses ou par cet
état
mental obligé qui prend sa source dans le sentime
uvoir déclarer positivement que lesdits paroxysmes appardennent à cet
état
. Les discours ou sermons roulaient toujours sur d
ysmes les plus intenses. Le degré le plus élevé, dit Sonden, serait l'
état
oii se trouvent les malades après une attaque de
s'ils avaient le mal caduc, et restent plus ou moins de temps dans un
état
d'assoupissement ou d'absence des sens; et pendan
s en la loi de N. S. ; ils vivaient justement et saintement dans leur
état
, et loyalement gar-daient et remplissaient les ma
oute sain-teté, et par exemples de vérité resplendirent et allumèrent
état
de saintfe pénitence. La seconde lumière non moin
mplation qu'ede était ravie par l'espace d'un jour, et sentant en cet
état
surhumains senti-ments, elle ne connaissait ni ne
terre pour servir Dieu à l'exemple de la sainte mère, et être de son
état
; et elle affirmait par vérité qu'elle avait mes
elle était restée dans cette position. 11 entreprit de remédier à cet
état
qui pouvait devenir habituel. Il fit intervenir,
éclara que la maladie de Marie ne cons-tituait point par elle-même un
état
de sainteté, mais aussi que la piété bien reconnu
pour la rappeler aussitôt à la vie réelle, sans qu'elle passe par un
état
intermédiaire. II ne lui faut qu'un instant pour
le peut, une fois revenue à elle-même, rester plus longtemps dans cet
état
; mais on sent qu'il lui faut faire de grands effo
ucinations dont l'extatique conserve après l'accès un vif souvenir. L'
état
de la motilité varie suivant les dilTérentes phas
xtase. L'extase est donc établie. Tâchons de décrire exactement cet
état
. Pendant la plus grande partie du ravissement, Lo
glacées, le pouls est absolument imperceptible, elle râle. .....Cet
état
dure de dix â quinze minutes, puis la vie se réve
les saintes femmes et les Juifs. Nous avons maintenant à exposer l'
état
des différents organes et de leurs fonctions pend
at des différents organes et de leurs fonctions pendant l'extase. Cet
état
n'est pas tout à fait le même dans les diffé-rent
res du matin à deux heures après-midi, Louise Lateau est assise, et l'
état
organique et fonctionnel varie peu : la peau est
ntion pour en suivre les mouvements; la circulation se fait comme à l'
état
de veille : le pouls est régulier, souple, sans a
emment des impressions de fàme. Il importait d'étudier avec soin, l'
état
de l'innervation, et spécialement la moti-lité et
une personne de sa chaise comme pour la mettre debout, on constate un
état
général de relâchement musculaire, et elle re-tom
de déterminer la moindre manifestation de la sensibihté. Tel est l'
état
des fonctions organiques, pendant la première par
... 385 Deuxième observation. — Iladucinations provoquées pendant l'
état
ca-taleptique....................................
........... 394 Troisième observation. — Des différents degrés de l'
état
catafeptique.. 401 Quatrième observation. — Des
01 Quatrième observation. — Des hallucinations provoquées pendant l'
état
de léthargie ou de somnambulisme. — État des sens
ystérogènes............... 583 b) . Marche de la température dans l'
état
de mal épileptique et dans l'état de mal hystéro-
) . Marche de la température dans l'état de mal épileptique et dans l'
état
de mal hystéro-épileptique.......................
ve ; 3° de la puissance qu'il confère aux suggestions faites dans cet
état
; 4° du fait qu'il constitue par lui-même, la pre
n ne prévaudra jamais contre cette vieille vérité. Comme isolant, cet
état
est l'adjuvant le plus précieux de la suggestion
rtifice de suggestion, dans une foule de cas. ne remplacera jamais un
état
physiologique où l'on se replonge tous les jours
onner. » Le dernier article du Dr Liébeault parut sous le titre : L'
état
de veille et l'état d'hypnose. Il y résume très n
r article du Dr Liébeault parut sous le titre : L'état de veille et l'
état
d'hypnose. Il y résume très nettement son opinion
« On a beaucoup parlé, dans ces derniers temps, de la suggestion a l'
état
de veille, et les quelques disciples du professeu
l, rayer de notre vocabulaire le mot hypnotisme, puisqu'il exprime un
état
physique qui favorise la suggestion en aug- (1)
état physique qui favorise la suggestion en aug- (1) Liébeault : L'
état
de veille et l'état d'hypnotisme. (Rerue de l'Hyp
avorise la suggestion en aug- (1) Liébeault : L'état de veille et l'
état
d'hypnotisme. (Rerue de l'Hypnotisme, 12- année,
l'Hypnotisme, 12- année, niai 1898. (2) l iébeault : a travers les
états
passifs : le sommeil el les rêves (Revue de l'Hyp
aleur thérapeutique. « Quelque théorie que l'on veuille donuer de l'
état
du cerveau dans l'hypnotisme, quelque doctrine qu
isme dans la pratique de certains cas déterminés où la suggestion à l'
état
de veille se trouve insuffisante. » Et il conclua
ve insuffisante. » Et il concluait par ces mots : » La suggestion à l'
état
de veille a une action thérapeutique indéniable :
elle. De mes recherches comparatives sur la tension artérielle dans l'
état
de veille et dans l'état de sommeil provoqué, il
omparatives sur la tension artérielle dans l'état de veille et dans l'
état
de sommeil provoqué, il résulte nettement que l'h
conditions qui le rapprochent le plus possible du sommeil normal. Cet
état
ne peut-être obtenu qu'en s'abstenant rigoureusem
Que l'hypnotisme confère aux effets des suggestions faits dans cet
état
une intensité plus marquée, cela n'a été discuté
capables d'aboutir à la rééducation de l'attention. Substituer à l'
état
d'activité mentale, comme cela se passe dans la p
té mentale, comme cela se passe dans la production de l'hypnotisme, l'
état
diamétralement opposé de la passivité et dn repos
mporte l'administration de doses variables selon les symptômes et les
états
dans le traitement desquels il est indiqué. Selon
etard ; elle logera à l'hotel et ira vous voir autant de fois que son
état
l'exigera ». Devant quitter Paris pour plusieurs
t d'autant plus accessible à la suggestion qu'il a été plongé dans un
état
plus accentué d'hypotaxie, et le sommeil hypnotiq
état plus accentué d'hypotaxie, et le sommeil hypnotique constitue l'
état
d'hypotaxie le plus favorable a la pleine réussit
uleux : l'homme, en proie à son paroxysme, rentre subitement dans son
état
normal, comme si rien ne s'était passé. SOCIÉTÉ
la dernière main à son ouvrage si intéressant sur le • Sommeil et les
états
analogues » et Bernheim se livrait dans sa cliniq
ine est pour ainsi dire sans limites. Par la condition seconde et les
états
analogues, par la suggestion à l'état de veille,
ar la condition seconde et les états analogues, par la suggestion à l'
état
de veille, par le somnambulisme naturel, Liégeois
rimes et délits imputés à des somnambules, la responsabilité dans les
états
hypnotiques sont analysés minutieusement par lui
i leur sont faites et de leurs effets, cela provoque déjà chez eux un
état
de réceptivité qui favorise les suggestions. Je
ment. Je lui fais alors les suggestions d'usage pour le remettre en
état
normal, et je l'éveille. Il s'éveille avec les
sommeil, car le souvenir lni revient, peu à peu. d'une partie de son
état
d'hypnose. Il se souvient très bien avoir vu dé
arriver à cette recherche plus difficile, il a dû être placé dans un
état
de somnambulisme plus profond, état qui. comme je
icile, il a dû être placé dans un état de somnambulisme plus profond,
état
qui. comme je l'ai démontré ailleurs, exclut tout
pour le fait du travail cérébral qu'il est possible d'obtenir dans un
état
profond d'hypnose, que pour le procédé de rétro-g
mmeil calme et reposant, aussi reposant que l'opérateur le désire, un
état
de veille dans lequel on obtient l'insensibilité,
e douleur, une dent extrêmement sensible chez une malade suggérée à l'
état
de veille. Ces observations sont des observatio
on hypnotique convient donc parfaitement lorsque l'on veut désigner l'
état
d'hypnotisme ou un des états analogues. Il y aura
parfaitement lorsque l'on veut désigner l'état d'hypnotisme ou un des
états
analogues. Il y aurait donc intérêt a y recourir
avant le début de l'expérience. L'inhibition hypnotique est donc un
état
expérimental essentiellement physiologique. Cet é
ique est donc un état expérimental essentiellement physiologique. Cet
état
ne saurait devenir pathologique que par le fait d
me, devenu indifférent au milieu extérieur, tombe de lui-même dans un
état
passif, il suffit qu'il laisse orienter sa pensée
un que de rencontrer des gens dont l'esprit demeure dans un perpétuel
état
de fascination. Cet état psychologique devient ha
gens dont l'esprit demeure dans un perpétuel état de fascination. Cet
état
psychologique devient habituel : seuls varient, e
matiques, les habitudes sociales qui aboutissent nécessairement a de?
états
de conscience analogues a l'état d'hypnose. Dès q
ui aboutissent nécessairement a de? états de conscience analogues a l'
état
d'hypnose. Dès qu'un certain nombre de personnes,
mbre de personnes, par suite de circons. tances fréquentes dans notre
état
social se trouvent réunies en troupeau, on consta
t exacte de la réalisation spontanée d'un hypnotisme collectif. Ces
états
de conscience ne nous intéressent ici que parce q
rvenant fortuitement, à son insu ou malgré lui. que le clinicien fait
état
, A tout instant de son intervention, le médecin d
s. Il arrive fréquemment qu'ils commettent là une erreur manifeste, l'
état
hypnotique ayant été réalisé dans une certaine me
arition du sommeil et certains qui peuvent faire de la suggestion à l'
état
de veille, le font quand le malade est dans un ét
la suggestion à l'état de veille, le font quand le malade est dans un
état
hypnoïde ou dans un des premiers degrés de l'hypn
notisme. Je considère comme inexacte l'expression de suggestion à l'
état
de veille : dans un grand nombre de cas on devrai
e veille : dans un grand nombre de cas on devrait dire suggestion à l'
état
de veille apparente. En effet, le prestige du méd
l'hypnotisme (1). Le malade se trouve placé spontanément dans un
état
d'inhibition hypnotique. La personne à laquelle o
hypnotique. La personne à laquelle on croit faire une suggestion à l'
état
de veille est déjà monoïdeisée. Son pouvoir de co
sa suggestibilité s'en est exaltée. Elle est tombée dans un véritable
état
d'hypnose fortuit. C'est ce que j'ai exposé en 19
mé qu'ils avaient obtenu un résultat thérapeutique par suggestion à l'
état
de veille, on démontrerait d'une façon évidente q
presque certitude d'être curable. C'est donc dans la réalisation de l'
état
d'hypnotisme, poursuivie avec patience, que résid
posait presque uniquement sur l'utilisation des agents physiques. Les
états
profonds n'apparaissent (1) Bérillon : Psyeholo
tué chez les personnes soumises aux tentatives d'hypnotisation. Les
états
profonds de l'hypnose correspondent a certaines i
ermettent seuls d'exercer une action assez profonde pour modifier des
états
de conscience anormaux, en particulier pour effac
e puisse établir des règles fixes et immuables pour le traitement des
états
neurasthéniques. Et d'abord, est-on bien fixé s
iture, la dyslexie et la dgsgraphîe, sont des indices de gravité de l'
état
maladif et la persistance des aptitudes à ces exe
posée une heure ou deux •chaque jour, même des formules adaptées à l'
état
mental du sujet, pour voir disparaître les troubl
gestive. Est-ce à dire que la psychothérapie soit le spécifique des
états
neurasthéniques ? Non certes, et le médecin ne de
« café, de tabac, le système nerveux se trouve tellement excité que l'
état
« sédatif indispensable â la production de l'hypn
— Mlle X... âgée de 18 ans. entre le 5 novembre 1908. On constate un
état
de maigreur extrême, avec cyanose des extrémités,
son vase de nuit. Ces larcins, commis depuis deux ans, passèrent à l'
état
d'habitude, puis a l'état de manie, à tel point q
cins, commis depuis deux ans, passèrent à l'état d'habitude, puis a l'
état
de manie, à tel point que même pendant son traite
lade et il sait par expérience, puisqu'il l'a traitée, quel était son
état
psychique et les mobiles qui la faisaient agir.
e paraissant pas d'ailleurs en être autrement altérée. C'est dans cet
état
qu'elle me fut confiée. Après quelques mois de so
ette abstinence presque complète d'aliments. L'idée fixe qui domine l'
état
mental des anorexiques est surtout constituée par
s réputé pour son économie quelque peu sordide ou pour son avarice. L'
état
mental de ces anorexiques n'est que la résultante
anorexie des adolescents est. pour moi. la manifestation précoce de l'
état
mental qui aboutit a l'avarice. Le traitement d
au lavage à la sonde et à l'alimentation forcée que dans le cas où l'
état
d'inanition l'imposerait. Cette intervention a so
nce ou d'éducation et d'entraînement abritèrent, de ces principes, un
état
démentiel admiré de leurs contemporains et propos
s en exemple. A qui fera-t-on croire quelles ne dérivaient pas d'un
état
mental pathologique très net les pratiques d'un S
Thérèse nous a donné, avec une précision absolue, la description de l'
état
mental qui nous intéresse lorsqu'elle écrivait :
s nn compte-rendu historique rapide, II expose la nature des nombreux
états
hypnotiques, variés, qui se présentent dans la pr
e et les méthodes de rééducation : Le sophisme de la « suggestion à l'
état
de veille » (1) par M. le D* Bérillos, professe
rétendus effets physiologiques ou thérapeutiques de ln suggestion à l'
état
de veille ne correspondent à aucune réalité effec
ur de l'hypnotisme., avait très bien reconnu que la production de cet
état
a pour effet de rendre les sujets p!us accessible
s admis, à aucun moment de son existence, qu'une suggestion faite ? l'
état
de veille eut la moindre valeur, thérapeutique ou
à un sujet préalablement hypnotisé ou. tout au moins, plongé dans un
état
analogue à l'hypnotisme qu'il désigne sons le nom
ongé dans un état analogue à l'hypnotisme qu'il désigne sons le nom d'
état
passif Tel était également l'opinion formelle d
l'opération mcsmérique ou braidique. qui doit créer dans l'individu l'
état
préalable de suggestion-nabilité. Dans le langage
à substituer la conception, absolument erronée, que la suggestion à l'
état
de veille, c'est-à-dire une parole exprimée à un
enons de mettre en lumière, nous permettraient de tenir désormais cet
état
mental comme suffisamment distinct et établi, et
importe : que le témoignage qu'ils en donnent so t l'expression d'un
état
fréquent ou seulement une confidence toute person
et provoquée! » Cette joie dans la douleur, a paru tellement liée à l'
état
de sainteté, que Benoit XIV fait de sa présence c
ofonde sans brisement de cœur... » Amori et Dolori sacrum (préf.| L'
état
psychique qui nous intéresse est encore plus sens
ovoquons dans la conscience, une inhibition plus ou moins notable, un
état
de suspension, de sommeil plus ou moins profond,
Xotre organisme, comme notre sensibilité, ne se peuvent concevoir en
état
de repos, d'inergie, d'indifférence ; ils sont, a
e pendant le sommeil le plus profond, alors que l'organisme parait en
état
de recueillement, d'atonie, les circonstances de
otion » de la sensibilité, aboutissent au plaisir et à la douleur: un
état
moyen d'indifférence, d'ataraxie. n'étant qu'une
e plaisir, soit comme douleur. Combien ne devons-nous pas entrevoir d'
états
de plaisir ou de douleur si nous acce, tons la th
i-lité-plaisir. Cette rééducation sera l'œuvre de la suggestion, en
état
de veille, ou en état de sommeil provoqué. A. l'A
e rééducation sera l'œuvre de la suggestion, en état de veille, ou en
état
de sommeil provoqué. A. l'Algomanie constituée, l
Quand le malade n'est accessible à aucune suggestion, même faite « en
état
d'hypnose, il devient nécessaire d'inhiber son ps
ans le fonctionnement cérébral de l'homme par l'hypnotisme et par les
états
analogues. Avant Liébeault. d'autres avaient re
ité de réaliser artificiellement chez l'être humain l'apparition d'un
état
de sommeil provoqué analogue a celui dans lequel
ans aucun inconvénient pour leur santé, de réaliser l'apparition de l'
état
d'hypnotisme chez un grand nombre de personnes.
'influence de certains procédés, en un être absolument passif. Dans l'
état
d'hypnotisme, la personnalité devient parfois si
euvent être les déductions d'un pareil fait. Par lui, la médecine des
états
nerveux devient capable de modifier les états név
ar lui, la médecine des états nerveux devient capable de modifier les
états
névropatbiques les plus divers. Le clinicien peut
— oh ! le nom vénéré — publia son livre célèbre : « Le sommeil et les
états
analogues ». Cette publication sonna le réveil
pie et les méthodes de rééducation Le sophisme de la a suggestion à l'
état
de veille » (1), par M. le Dr Béroxos, professe
t le droit de baptiser. Grâce a lui, nous possédons la suggestion à l'
état
de reille. Par les effets de cette grande décou
t, et ne mettent pas au premier plan la tendance unitaire qui, dans l'
état
d'incohérence de nos méthodes, apparaît seule cap
ables précurseurs ; et la belle conception de Lamarck se retrouve à l'
état
rudimentaire chez Heraclite, qui disait que tout
émettrait la prétention de consulter le thermomètre pour connaître l'
état
hygrométrique, la-montre pour la pression atmosph
sa conscience, en y concentrant tonte son attention, en en faisant un
état
fort, prépondérant, exclusif ? Réaliser cet état
on, en en faisant un état fort, prépondérant, exclusif ? Réaliser cet
état
fort serait alors faire choix entre l'un des deux
, mais aussi la plus rapide pour le traitement des aboulies et de ces
états
d'impuissance motrice contre lesquels, livrés à l
pie et les méthodes de rééducation Le sophisme de la « suggestion à l'
état
de veille » (1). par M. le Dr Bérillon. profess
le Sommeil (6) consacre le point capital, que si l'homme dispose, à l'
état
de veille, d'un pouvoir de contrôle qui lui perme
vention psychologique exercée sur l'homme hypnotisé, ou placé dans un
état
passif, le nom de suggestion. Pour lui, la thér
l et des étals analogues. Paris, 1800. (7) Charcot : Sur les divers
états
nerveux provoqués chez les hystériques. (Académie
t l'étude expérimentale de l'hypnotisme. Plaçant les sujets clans des
états
d'hypnose beaucoup plus profonds que ceux qui ava
s extrêmes la réalisation des phénomènes quel'on peut observer dans l'
état
d'hypnotisme. Il en résulta la démonstration que,
ogie creuse qu'on a prétendu prouver qu'il y a dans la suggestion à l'
état
de veille, c'est-à-dire ex abrupto et sans prépar
mes contenus dans la définition qui considère « la suggestion comme l'
état
par lequel nue idée est introduite dans le cercea
nécessaire d'en faire à nouveau la démonstration, c'est que tous nos
états
de conscience influeut sur l'organisme et tendent
e moral. A une époque plus rapprochée de nous, Ribot a écrit : « Tout
état
intellectuel est accompagné de manifestations phy
estations physiques déterminées. La pensée est une parole ou acte à l'
état
naissant, c'est-à-dire un commencement d'activité
oit, pour vérifier l'action réelle que peut exercer la suggestion à l'
état
de ceille sur l'esprit d'un malade, j'ai pu const
panacées anciennes. Le soi-disant utilisation de la suggestion à l'
état
de veille ne correspond à rien de réel. Ce serait
ur les effets physiologiques ou thérapeutiques de la « suggestion a l'
état
de veille. » (A suivre) A propos du libre arb
à nos contemporains un héroïsme sans bornes. Je sais bien que. dans l'
état
social actuel, dans cet état de transition où se
me sans bornes. Je sais bien que. dans l'état social actuel, dans cet
état
de transition où se heurtent deux classes, deux m
hamp de sa conscience, telle représentation, de manière à en faire un
état
fort et. pat-conséquent, un motif ou un mobile dé
lame d'eux que le minimum de travail, d'où la rapide amélioration des
états
dyspeptiques. Etant pen toxique et pauvre en pois
famille, d'altruisme, d'utilité, d'égoïsme que comportent le cas et l'
état
psychologique du sujet, ne pas se contenter de do
sive, provoquer le désir de s'amender, faire naître le bon vouloir, l'
état
d'attente, même une sorte de prosélytisme qui réa
ux que si l'on a eu soin de plonger, au préalable, le patient dans un
état
plus ou moins profond d'hypotaxie. IV* Le patie
rouges et d'hypnotisme j'ai ressenti une grande amélioration dans mon
état
de santé. Aujourd'hui les bourdonnements, les peu
comme « un organisme psycho-physiologique et non comme un agrégé des
états
élémentaires ». Nous avons résumé les principal
qui participent en même temps que le noyau coudé à la production des
états
de conscience effectifs et par suite de l'Emotion
i participent, en même temps que le noyau eau dé. à la production des
états
de conscience affectifs ; c'est dans le sommeil p
Le cas suivant est un exemple a l'appui de mon travail critique sur l'
état
de veille apparente comparé à l'état de veille ré
ui de mon travail critique sur l'état de veille apparente comparé à l'
état
de veille réelle. J'ai soigné par la suggestion
ie et les méthodes de rééducation. Le sophisme de la « suggestion à l'
état
de veille » par M. le Br Bérlllox, professeur à
ologiques ou thérapeutiques chez un sujet préalablement plongé dans l'
état
d'hypnotisme. Mais j'affirme que cette même sugge
ue cette même suggestion, quand elle s'adresse a un sujet adulte, à l'
état
de veille, doué de son pouvoir habituel de contrô
ou de simples améliorations par le seul emploi de « la suggestion à l'
état
de veille ». En réalité, les illusions de ces aut
tendus effets Physiologiques et thérapeutiques de « la suggestion a l'
état
de veille > ne sont que le résultat d'observat
suivantes : Io La méconnaissance de l'hgpnotisme fortuit ; 2° Les
états
hypnoïdes fréquents chez les hystériques des deux
nt ne pas avoir été hypnotisés ont, au contraire, été plongés dans un
état
d'automatisme très marqué. Dans ces conditions, s
vateur superficiel ne manquera pas de l'attribuer a la suggestion a l'
état
de veille. (1) Le Menant des Chesnais : * Du so
ecteur et ses compresses constamment renouvelées. Pour faire cesser l'
état
d'hypnose le Dr Desplats n'eut qu'à souffler sur
enu des effets thérapeutiques par le seul emploi de la suggestion à l'
état
de veille, il n'est pas difficile de reconnaître
s'étaient adressés, avaient été préalablement plongés par eux dans J'
état
d'hypnose. Dans un grand nombre de ces observatio
sa à la Revue de l'Hypnotisme et qui y fut publié sous le titre : « L'
état
de veille et l'état d'hypnose. » (2) « On a bea
ypnotisme et qui y fut publié sous le titre : « L'état de veille et l'
état
d'hypnose. » (2) « On a beaucoup parlé, écrivai
coup parlé, écrivait-il dans ces derniers temps, de la suggestion à l'
état
de veille, et les quelques disciples du professeu
'Hypnotisme. Vi' année.X*ï. Juillet 1897, P. 5). (*2) Liêheaclt : L"
état
de veille et l'étui d'hypnose (Hevue de l'Hypnoti
démontrent jusqu'à l'évidence, que des guérisons par « suggestion à l'
état
de veille » avaient, au contraire, été réalisées
tion à l'état de veille » avaient, au contraire, été réalisées dans l'
état
hypnotique » j'y énonçais des considérations qu'i
dividu sans qu'il y ait chez autrui aucune intention de provoquer cet
état
. En un mot, un homme peut s'auto-hypnotiser invol
sprit que l'on a désigné sous le nom d'expec-tant attention, certains
états
affectifs ou émotifs, la fatigue, peuvent favoris
otisation chez des individus prédisposés ou simplement ignorants. Les
états
psychiques que l'on désigne sous le nom de timidi
l'on désigne sous le nom de timidité ne sont le plus souvent que des
états
d'auto-hypnotisation incomplète . Les états hypno
t le plus souvent que des états d'auto-hypnotisation incomplète . Les
états
hypnoïdes spontanés sont fréquemment le résultat
es du milieu jouent aussi nn rOle considérable dans la production des
états
hypnoïdes. De plus, la suggestibilité des individ
parait plus singulier, c'est qu'elles puissent être provoquées dans l'
état
de veille apparente aussi bien chez des sujets qu
er d'hypnotisme. Or, il est inadmissible de considérer comme étant en
état
de veille complète un être qui, tout à coup ne pe
ence si merveilleuse, de ce que l'on appelle a tort la suggestion à l'
état
de veille. En réalité, la puissance de la suggest
mé qu'ils avaient obtenu un résultat thérapeutique par suggestion à l'
état
de veille on démontrerait d'une façon évidente qu
laquelle il prétendait avoir obtenu une guérison par « suggestion a l'
état
de veille », alors qu'en réalité ses procédés l'a
bien de faits de prétendue influence thérapeutique par suggestion à l'
état
de veille pourraient résister à une analyse quelq
7, le Dr Paloque ne va-t-il pas jusqu'à considérer comme étant dans l'
état
de veille, les nombreux sujets chez lesquels le D
'est après avoir employé une série de manœuvres propres à provoquer l'
état
d'hypnose que le docteur Paloque déclare qu'il a
pnose que le docteur Paloque déclare qu'il a fait ses suggestions à l'
état
de veille. Enfin, comprenant qu'il va peut-être u
e un peu loin il se décide, non sans quelque hésitation, à donner à l'
état
qu'il a obtenu par tous ces procédés le nom contr
e que la plupart de ceux qui ont (1) Paloque : De la suggestion à l'
état
de veille. Thèse, Lyon 1897. décrit des obser
des observations d'action thérapeutique réalisés par suggestion à. l'
état
de veille, aient obéi à des motifs peu recommanda
noncer. Tout en leur affirmant n'avoir recours qu'à la suggestion à l'
état
de veille, je mets en œuvre tous les procédés cap
ar l'hypnotisme sans qu'ils sans doutent. » Je n'insisterai ras sur l'
état
d inconscience que révèle une telle manière d agi
a l'illusion de l'influence attribuée à une prétendue suggestion à l'
état
de veille, c'est qu'il est arrivé a. un certain n
ement d'une simple lassitude de l'attention. Ils ignorent aussi qu un
état
d hypnotisme fortuit peut survenir au cours d'un
illeurs c'est une grave erreur de vouloir plonger les malades dans un
état
de sommeil profond. Il suffit souvent de les hypn
eil profond. Il suffit souvent de les hypnotiser an minimum. Dans cet
état
les raisonnements porteront qni, tout à l'heure,
m. Dans cet état les raisonnements porteront qni, tout à l'heure, à l'
état
de veille, étaient impuissants. Car, j'insiste su
a maladie. Dans ce cas, vous le voyez, on a fait de la persuasion à l'
état
d'hypnotisme. « La considération qui trouve cho
l'Hypnotisme, janvier 1906 et brochure in-8°). psychothérapie à l'
état
de veille et cela sans résultat. Ils viennent nou
u moins complètement la personnalité de l'individu et de le mettre en
état
passager d'automatisme, dès l'instant que la guér
si marquée qu'ils en ressentent une véritable souffrance morale. Cet
état
se reproduit dans un grand nombre de circonstance
e de personnes qui les intimident. La reproduction fréquente de cet
état
de malaise les incite à rechercher les moyens de
ique. (Congrès des aliènistes et neurologistes, Nancy, 1896). les
états
d'anxiété que ressentait un jeune soldat, doué d'
es, affronter des scènes, qu'un trac indescriptible la mettait hors d'
état
d'aborder. TJn seul verre de cognac a. pendant qu
ents « par le mépris » : et, actuellement, mes mâchoires sont dans un
état
lamentable. J'ai eu de nombreux abcès ; des carie
rès versé dans les questions de psychothérapie, l'a suggestionné, à l'
état
de veille comme on dit. sans aucun résultat bien
rdre d'aller chez son dentiste, il avait besoin d'être plongé dans un
état
profond d'hypotaxie. Son sommeil nocturne a excel
il normal constitue, pour la réceptivité aux suggestions directes, un
état
d'hypotaxie aussi favorable que le sommeil hypnot
a beaucoup recommandé, à titre auto-suggestif, l'entraînement à 1' *
état
de veille passif », quand on va s'endormir ou que
amène une sédation marquée. Les maximes ou pensées en rapport avec l'
état
du malade, écrites à main posée, surnagent, pour
bulle par brûlure Imaginaire, déterminée par la suggestion verbale en
état
de sommeil provoqué. Travaux de la Société des na
ne table, plusieurs chaises. On se proposait d'abord de laisserB en l'
état
d'hypnose. Dans les deux expériences précédente
s lequel les suggestions contraires sont abolies, parait constituer l'
état
le plus favorable pour obtenir les phénomènes en
(suggestionnables). ces phénomènes peuvent être obtenus aussi à l'
état
de veille, réel ou apparent. 5° La vésicule par
uire qne si le sujet a déjà eu une brûlure réelle de ce genre. 6° L'
état
de sommeil paraît accélérer la « maturation » des
n de l'objet, et tout le processus, en tant qu'il s'était déroulé à l'
état
de veille, avait subi un retard manifeste, avait
une impulsion a produire la brûlure par un moyen quelconque pendant l'
état
post-hypnotique, de telle sorte que B., comme nou
ire à son action, mais parce qu'il a été momentanément jeté hors de l'
état
de docilité, d'obéissance acquis par le dressage,
ilité, d'obéissance acquis par le dressage, et il a été jeté dans cet
état
par la mise en jeu d'un réflexe violent qui a dom
l'articulation atloïdo-occipilale ; la tête se trouve, alors, dans un
état
de naturelle souplesse et cette souplesse a toujo
de bonheur. TRAVAUX ORIGINAUX Le sophisme de la « suggestion à l'
état
de veille » par M. le Dr Bérillox, professeur à
isme fortuit, est que habituellement l'on constate chez les sujets un
état
d'inhibition plus accentuée que lorsque le so
ns lesquelles les sujets se sont trouvés soudainement plongés dans un
état
profond d'hypnotisme, après avoir fait-quelques i
les réflexes, à part le réflexe pharyngien qui est très diminué. Son
état
psychique parait aussi absolument normal, à part
ient été soumis au procédé par lequel il est possible de réaliser les
états
les plus profonds de l'hypnose. En effet, que dem
l'associe aux autres procédés d'hypnotisation j'obtiens également des
états
d'hypnose plus accentués. La conclusion de ce c
de de l'esprit, sur la pente du sommeil et réalise spontanément l'
état
d'hypnose fortuite. C'est à une influence indir
t point l'influence que l'imitation peut jouer dans la production des
états
hypnotiques. Il est probable que le médecin du th
tent spontanément une telle suggestibilité que la comparaison de leur
état
psychologique collectif avec celui d'un sujet hyp
ses manifestations, exactement comme le ferait un sujet plongé dans l'
état
d'hypnose. C'est qu'en réalité l'hypnose de la
groupées en troupeau, n'en est-on pas autorisé k admettre que le même
état
; pourra se reproduire chez ces mêmes sujets, pour
ables à son développement se trouvent réalisées. L'existence de ces
états
d'hypnotisme fortuit n'avait été reconnue ni par
rler k tout propos de l'influence thérapeutique «de la suggestion à l'
état
de veille » ils auraient été amenés à se demander
été amenés à se demander s'ils n'opéraient pas sur des sujets dans un
état
d'hypnotisme, qui pour être fortuit, était cepend
at de procédés mis en œuvre par un expérimentateur exercé. H. — Les
états
hypxoïdes Alors que Y hypnotisme fortuit résult
e et indépendantes de l'intervention volontaire d'un hypnotiseur, les
états
hypiioïdes sont au contraire constitués par des d
l est le cas de sujets, plus nombreux qu'on ne croit, chez lesquels l'
état
de veille complet ne se trouve réalisé que dans d
tances exceptionnelles. L'existence de ces individus se passe dans un
état
de somnolence, d'apathie intellectuelle qui n'est
urs desquelles les individus parlent, causent, mais sont incapables d'
état
intellectuel. Leurs facultés psychiques semblent
culière ». (1) Cette différence lient an monde de production de ces
états
. Tandis que les premiers résultent des émises de
que présentent les nègres des pays tropicaux à être plongés dans des
états
d'hypnose ou d'auto-hypnose. M. le Dr Matignon
miner a sortir de la somnolence dans laquelle ils se complaisent. L'
état
de far-nîenle dans lequel se délectent certaines
esque toujours on a cette réponse: «Arien. * — llya donc un véritable
état
d'inertie ou plutôt de repos intellectuel, ce qui
eur a pas été fait de suggestions. » H n'est pas douteux qu'entre l'
état
de veille active et consciente, et l'état de somm
'est pas douteux qu'entre l'état de veille active et consciente, et l'
état
de sommeil complet, il y ait de nombreux états in
ive et consciente, et l'état de sommeil complet, il y ait de nombreux
états
intermédiaires. Quand ces états sont plus manifes
sommeil complet, il y ait de nombreux états intermédiaires. Quand ces
états
sont plus manifestement rapprochés du sommeil que
ectuelle, c'est alors qu'ils méritent le nom d'étals hypnoides. Ces
états
apparaissent chez certaines populations sous la f
reproduire : « Dans les districts frappés de mauvaises récoltes à l'
état
chronique, la population a élaboré un moyen de s'
ns « hivernants » ont une température et les fonctions cérébrales à l'
état
normal, ou si, comme chez les animaux ayant les m
chez les animaux ayant les mêmes habitudes, ils sont dans un certain
état
de torpeur avec température abaissée, dans de cer
des excitants. Une des conditions indispensables à la production de l'
état
d'hypnotisme et par suite à l'utilisation de la s
tiels de la doctrine que je professe en matière d'hypnotisme (1). L'
état
d'abstinence prolongé, joint à l'immobilité dans
n en diminuant l'activité intellectuelle, de rapprocher le sujet de l'
état
hypnoïde et d'augmenter sa suggestibilité. C'est
médecins les amènent d'une façon détournée, mais absolument sure, aux
états
d'hypnose les plus favorables aux succès de leurs
ux succès de leurs suggestions. C'est ce que, dans leur ignorance des
états
hypnoïdes. ils désignent, selon les cas, sons le
om de psychothérapie par « la persuasion » ou par la « suggestion à l'
état
de veille. » (A suivre.) Observations sur le
roduites par l'aimant sur la motilité : et ils vérifièrent que dans l'
état
hypnotique, l'application de l'aimant sur un musc
accentuent l'excitabilité neuro-musculaire et qu'on obtient « dans l'
état
d'hypnose avec l'aimant, se réalisent également e
riences étant toujours poursuivies sur des hystériques plongés dans l'
état
d'hypnotisme, cette conclusion exclurait l'idée q
Si l'opérateur laisse le sujet livré à lui-même, il restera dans son
état
léthargique sans qu'aucun phénomène ne se réalise
lèvres interrompit la contracture spasmodique et replaça le sujet à l'
état
normal. Dans cette expérience, ce qui est frapp
ait déjà essayé et obtenu M. le professeur Tamburini sur un sujet à l'
état
hypnotique : je pris comme sujet le même M. Gugli
eïdo-mastoïdien. Toici quel fut le résultat : 1° Le sujet étant à l'
état
de veille, présente une sensibilité cutanée norma
le premier cas, où il s'agit d'un sujet hystérique qui, pendant l'
état
de veille, présentait du coté droit une hypersens
é (où une suggestion faite sur un bras paralysé à une personne dans l'
état
de somnambulisme, entraîne à l'état de veille une
as paralysé à une personne dans l'état de somnambulisme, entraîne à l'
état
de veille une aphasie); Cbarcot et d'autres auteu
mblables. Ces auteurs ont donc démontré le phénomène intime entre l'
état
d'hypnose et l'hystérie (faits expliqués d'ailleu
res fonctions ou d'autres régions. Il donne donc une explication de l'
état
d'hypofonction des centres de l'écorce et de Thyp
olument muet et n'attire en rien l'attention ; il y a même souvent un
état
de bien-être, comme en éprouvent les personnes en
e sommeil est troublé accidentellement. L'esprit, aussi lucide qu'à l'
état
de veille, entre en activité, reprend le fil de l
faisant apparaître au point faible les sensations pathologiques de l'
état
de veille. Discussion M. Paul Parez. — Une au
s'explique chez les jeunes enfants par l'extrême variabilitéde leurs
états
affectifs, aussi l'éparpillement mental est-il l'
bilitéde leurs états affectifs, aussi l'éparpillement mental est-il l'
état
normal de la première enfance. On ne peut lui att
. L'éparpillement mental ne doit pas être confondu avec deux autres
états
mentaux chez lesquels on observe également de la
udividusdestinésàdemeurer, au point de vue de l'adaptation sociale en
état
permanent d'infériorité. En effet, toujours por
projets, ces sujets n'arrivent à en réaliser pratiquement aucun. Leur
état
mental se rap- proche des primitifs, des noma
À ce point de vne, l'hypnotisme par lequel se trouvent réalisés les
états
de conscience diamétralement opposés à l'éparpill
ance respective permettra aux nouveaux députés ou aux jeunes hommes d'
état
de prévoir et par conséquent de gouverner, et aid
et que les variations dt leur fonctionnement se traduisent par divers
états
d'âme. « Ces connaissances modifient nos idées
ogie des organes et les troubles mentaux qui peuvent résulter de leur
état
pathologique. « Si le psychologue doit connaîtr
p de sang et s'évanouit. La maîtresse de la maison la trouva dans cet
état
et fil conduire la martyre hystérique a l'hôpital
t ces êtres singuliers dominant par la puissance de la suggestion a l'
état
de veille ou pendant le sommeil, la volonté d'aut
ra de ces épreuves avec une réputation endommagée. En le mettant en
état
d'arrestation préventive, le juge d'instruction a
cultés, le moyen pour le condamné de faire réviser son procès. En l'
état
actuel les lois de 1895 et 1899 autorisent la rév
est pas curable, il est nécessaire de le mettre définitivement hors d'
état
de nuire. Pour la solution de ce problème, l'admi
initiatives. TRAVAUX ORIGINAUX Le sophisme de la « suggestion à l'
état
de veille » par M. le Dr Bérillox. professeur à
par M. le Dr Bérillox. professeur à l'Ecole de psychologie II. — Les
états
hypnoïdes (1) (Suite) Les états hypnoïdes se ra
à l'Ecole de psychologie II. — Les états hypnoïdes (1) (Suite) Les
états
hypnoïdes se rangent naturellement en deux groupe
pnoïdes se rangent naturellement en deux groupes distincts : 1° Les
états
hypnoïdes dans lesquels on ne retrouve aucun cara
1) V. les de Juillet, août. septembre, octobre et Janvier. 2e Les
états
hypnoïdes qui sont manifestement, au contraire, s
es ou psycliopathiques, 1° États hypnoïdes non pathologiques. — Ces
états
résultent de dispositions habituelles de l'esprit
ans l'inaction. C'est dans ce premier groupe que se rencontrent ces
états
si divers, mais analogues par le trait commun d'ê
tomatique par lequel s'effectuent les opérations de l'esprit dans ces
états
hypnoïdes : « Dans la rêverie, écrit-il, on n'est
e sommet/, sans le concours de la volonté » Ce sont également à ces
états
hypnoïdes que correspondent, dans d'autres langue
rès les glossaires il s'applique à l'assoupissement, c'est-à-dire à l'
état
où l'on est à moitié éveillé et à moitié endormi.
ait rien d'étonnant. Nos ancêtres connaissaient aussi fort bien les
états
de somnolence dans laquelle l'audition de mélodie
renciers en vogue et de prédicateurs admirés. La prédisposition aux
états
hypnoïdes se rencontre aussi fréquemment chez les
pensée des soucis qui s'alimentent de préoccupations personnelles. L'
état
hypnoïde de la rêverie ne saurait comporter d'eff
our'que je tente de les suivre sur ce terrain. Il est certain que les
états
intermédiaires entre la veille et le sommeil s'ac
e qu'il avait reconnu l'utilité, et peut-être aussi l'agrément de ces
états
de conscience dans lesquels la sensation du somme
n but, comme il le déclare, était « de se sentir dormir. » Dans les
états
hypnoïdes non pathologiques, stades de stationnem
tain nombre de personnes, à la longue, la rêverie, la rêvasserie, les
états
d'extase et de contemplation deviennent,.par l'ha
claraient impuissantes à s'arracher, de leur propre initiative, à ces
états
de conscience qui n'ont rien de désagréable, mais
l avait la sensation de vivre comme dans un rêve et ne sortait de cet
état
que lorsqu'il était dans l'obligation d'accomplir
ait eu l'idée de recourir au traitement psychothérapique. Quand les
états
hypnoïdes atteignent cette intensité ils se rappr
pnoïdes atteignent cette intensité ils se rapprochent évidemment de l'
état
pathologique ; tant il est vrai qu'il n'est pas d
tendrait à prouver que la rêverie habituelle, de même que les autres
états
hypnoïdes analogues, ne doit pas être rangée dans
lier à l'intervention de quelques séances de suggestion faites dans l'
état
d'hypnotisme. ii. — Etats hypnoïdes pathologiqu
d'hypnotisme. ii. — Etats hypnoïdes pathologiques. En dehors des
états
de rêverie, de rêvasserie, de somnolence prolongé
ls l'intervention de sa complaisance n'a pins aucune part Ce sont les
états
hypnoïdes pathologiques. Quelle que soit la cau
l que soit le degré de confusion auquel arrivent les perceptions, ces
états
se rattachent à l'hypnotisme par un caractère com
Il est donc facile de reconnaître si on se trouve en présence d'un
état
hypnoïde, par la seule constatation de la docilit
l'hgpersuggeslibililê fait défaut, il ne saurait plus être question d'
état
ligpnoïde. Les états hypnoïdes pathologiques so
fait défaut, il ne saurait plus être question d'état ligpnoïde. Les
états
hypnoïdes pathologiques sont d'une extrême fréque
onstater les analogies étroites qui permettent de rapprocher certains
états
nerveux et mentaux dans les diverses modalités qu
il normal et dans le sommeil provoqué. Le caractère fondamental des
états
hypnoïdes étant Thypersuggesti-bilité. c'est dans
'on pourra trouver les éléments d'une classification naturelle de ces
états
. C'est par ce moyen que j'ai été conduit à cons
ces états. C'est par ce moyen que j'ai été conduit à considérer les
états
hypnoïdes pathologiques dans leurs rapports avec
tigmates, accidents mentaux, accès de sommeil hystérique). 2. — Les
états
seconds, les somnambulismes et les noctambulismes
s et les noctambulismes. 3. — Les névroses traumatiques. 4. — Les
états
de médiumnité. 5. — Les hallucinations hypnagog
ippaales, folies post-opératoires, délires oniriques, etc. 7. — Les
états
mentaux spéciaux (état mental des mourants, des p
ératoires, délires oniriques, etc. 7. — Les états mentaux spéciaux (
état
mental des mourants, des paludéens, de l'inanitio
etc.) Il n'est pas douteux que dans la grande majorité des cas. les
états
hypnoïdes pathologiques relèvent de l'hystérie. A
giques relèvent de l'hystérie. A mon avis, Y hystérie ne serait qu'un
état
hypnoTde caractérisé par une inégalité fonctionne
ter des confirmations. L'hystérique étant constamment placé dans un
état
d'hypnotisme partiel, on comprend dès lors que l'
l'hypersuggestibilité soit la manifestation la plus apparente de son
état
psychologique. On conçoit également, puisqu'il es
evoir et à réaliser des suggestions. C'est la méconnaissance de cet
état
d'hypnotisme permanent qui a donné, chez certains
à l'illusion qu'ils avaient obtenu des résultats par « suggestion à l'
état
de veille », alors qu'ils s'adressaient, en réali
qui ait bien observé ces dispositions des hystériques à vivre dans un
état
permanent d'auto-hypnotisation spontanée. U l'a e
nt psychiques que somatiques de Fhgpnotisme peuvent se rencontrer à l'
état
de veille, sans qu'il soit nécessaire de faire in
re de faire intervenir tes pratiques d'hypnotisafion. Il semble que l'
état
d'hypnotisme qui, pour d'autres, est un état arti
isafion. Il semble que l'état d'hypnotisme qui, pour d'autres, est un
état
artificiel, soit pour ces singulières créatures l
autres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures l'
état
ordinaire, l'état normal, si tant est qu'en parei
t artificiel, soit pour ces singulières créatures l'état ordinaire, l'
état
normal, si tant est qu'en pareille circonstance,
l, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse être question d'
état
normal. Ces gens-là, passez-moi le mot, dorment,
'on n'ait employé aucune manœuvre d'hypnotisation, par conséquent à l'
état
de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la c
insisté sur ce fait, que les accès d'hystérie se continuaient par des
états
analogues à l'hypnotisme qu'il désigne sous le no
le de reproduire les considérations par lesquelles il établit que ces
états
relèvent bien de l'hypnotisme (1). « Le fait ca
l,est de savoir si pendant la durée de cette période la malade est en
état
de sommeil hypnotique. Or, je crois qu'il ne saur
ons à réalisation immédiate que ce/tes à échéance lointaine. Mais cet
état
hypnotique diffère notablement de celui qu'on pro
n'y a rarement de grandes crises, il y a toujours la disposition à l'
état
hypnoïde et l'hypersuggestibilité. Aussi, est-ce
ibilité. Aussi, est-ce le plus fréquemment par la méconnaissance de l'
état
hypnoïde des hystériques que certains observateur
prétendent exercer sur ces malades une influence par « suggestion k l'
état
de veille ». [A suivre). SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE E
l défini, qu'ils ne peuvent caractériser et qui consiste plutôt en un
état
d'irritation gastrique. Et, en admettant même q
sième plan les modifications chimiques, pour mettre au premier rang l'
état
de sensitivité gastrique ; c'est cette sensitivit
natomiquement semblable deux jours de suite. Les observations sur l'
état
de leurs sens sont aussi curieuses et intéressant
n discours les lignes suivantes dans lesquelles il analyse les divers
états
d'Ame des chirurgiens : « On a beaucoup écrit s
D'accord avec Meige et Felndel il montre que tous les liqueurs ont un
état
mental inf«utile, et que chez eux c'est surtout d
re d'immobilisation et cure de mouvement ; alors, fait remarquable, l'
état
mental s'améliore en même temps que le tic : la d
de prison due a sa conduite antérieure : le tle réapparaît bleniot, l'
état
mental redevient ce qu'il était avant le traiteme
souffrances de l'aine, et dans sa seule préoccupation à ne faire
état
que des souffrances physiques. Mais depuis la fai
ne peut tarder à pratiquer cette méthode générale sans se placer a l'
état
de schisme vis-à-vis des sciences naturelles et d
s les périodes d'un devenir indivisible. Aussi ne la mettrons nous en
état
de remplir sa tache éducative qu'en tenant compte
1). c'est bien un caractère acquis d'être « manchot >. Inscrit à l'
état
permanent dans le patrimoine héréditaire de certa
rencontre que des fous. Tout à côté d'elle il convient de placer un
état
morbide constitué par les diverses perturbations
moraliste impeccable doublé d'un cli- nicien consommé désigne cet
état
morbide par le mot de demi-psychose . Les malad
ernières semblent liées à des rêves nocturnes qui se renouvellent à l'
état
de veille; on leur donne le surnom d'oniriques. Q
urement nerveuse, la mélancolie de nature bénigne et enfin ces divers
états
nerveux mal définis, caractérisés par des stigmat
e vais tout d'abord vous signaler ce qu'on appelle le nervosisme. Cet
état
nerveux a des caractères imprécis qui, dans cette
, dans leurs transcriptions, des traits particuliers qui révèlent son
état
d'ftme au moment même où il les a écrites et expr
s de défaillances. (A suivre.) Le sophisme de la « suggestion à l'
état
de veille » par M. le Dr Bêrillox, professeur k
ar M. le Dr Bêrillox, professeur k l'Ecole de psychologie II. — Les
états
hypxoïdes pathologiques {Suite) Dans tous les
ologiques {Suite) Dans tous les temps on a observé, sous le nom d'
états
seconds, d'altérations de la personnalité, des ca
t spontanément, et au plus haut degré des dispositions à réaliser des
états
hypnoïdes très nettement caractérisés. Je n'ent
e ici l'histoire des somnam -bulismes et des noctambulismes. Dans ces
états
, de même que dans les états seconds, le somme
ismes et des noctambulismes. Dans ces états, de même que dans les
états
seconds, le sommeil partiel d'une partie des acti
t bien que les somnambulismes naturels et les noctambulismes sont des
états
hypnoïdes. car l'hypersuggestibilité en reste, av
mentales supérieures qu'il en est résulté l'apparition d'un véritable
état
hypnoïde. Devenu de ce fait hypersuggestible. le
nstitue un dommage comportant réparation » est bien l'expression d'un
état
mental fréquent chez les traumatisés. Il est cert
accident, des sujets prédisposés pouvaient se trouver placés dans un
état
hynoïde les livrant sans contrôle à l'influence d
ais esprits qui le soumettent aux vexations les plus pénibles. Dans l'
état
de subjugation l'influence pernicieuse des mauvai
é recueillis par 31. Gilbert-Ballet : La médiumnité se rattache à l'
état
pathologique par de nombreux caractères et il est
encontrer qui dans le cours des séances tombent spontanément dans des
états
de sommeil provoqué. Dans son livre sur VOccultis
ond. Le médium était devenu Napoléon, c'est-à-dire était passé de son
état
de médium à un de ces états de somnambulisme avec
Napoléon, c'est-à-dire était passé de son état de médium à un de ces
états
de somnambulisme avec transformation de la person
relle, sur la pente de l'hypnose. Tandis que les uns arriveront à des
états
d'automatisme et d'inconscience très accentués, l
sme et d'inconscience très accentués, les autres ne franchiront pas l'
état
intermédiaire entre la veille et le sommeil qui c
as l'état intermédiaire entre la veille et le sommeil qui constitue l'
état
hypnoïde. Par ce fait, ils présenteront tous, bie
Dans la pratique, ces séances de spiritisme au cours desquelles les
états
d'hypnose apparaissent fortuitement, ne présenter
la pratique du spiritisme seraient moins exposés à demeurer dans des
états
hypnoïdes dont la persistance ne peut qu'exercer
me, est de l'automatisme ambulatoire. » Cela revient à dire que les
états
de médiumnité offrent la plus grande analogie ave
que les états de médiumnité offrent la plus grande analogie avec les
états
d'hypnotisme, avec la différence essentielle que.
dera comprendre le mécanisme par lequel se trouvent réalisés certains
états
hypnoïdes. « L'hallucination hypnagogique est u
et se place dans un demi-état de torpeur. Or, le commencement de cet
état
est précisément celui qui est nécessaire pour l'a
tarde pas à s'emparer de nous. ».....•.................- « Bans cet
état
de non-attention, les sens ne sont point encore a
ransmettre la sensation n'est plus aussi vive, aussi nette que dans l'
état
de veille. Quant à l'esprit, il cesse d'avoir une
science reprend ses droits. On peut donc dire avec raison que, dans l'
état
intermédiaire entre la veille et le sommeil, l'es
puisse parfaitement se souvenir de ce qu'il a éprouvé, qu'il soit en
état
de le décrire. » De la description même qu'Alfr
ition à demeurer plus longtemps que cela n'arrive d'ordinaire, dans l'
état
intermédiaire entre la veille et le sommeil. Celu
de l'ensemble des moyens employés dépend entièrement, selon moi. de l'
état
mental du malade, ce qui à son tour dépend de l'a
tance d'une qnantité moindre d'albumine, il était revenu à un parfait
état
de santé. Après une visite en Angleterre il est r
nt de la force motrice qui est presque toujours dominé ou créé par un
état
mental auquel se rattachent des défaillances psyc
engendrées par les pseudo-psychoses, à vous dire quelques mots de ces
états
pathologiques mal définis qui représentent ce
impression de vague tristesse, d'inquiétude, de demi-angoisse. Et cet
état
ne s'amendait qu'aux approches du repas du soir.
nes, soit de l'inconscience somnique, soit même de la conscience de l'
état
de veille, et y reproduire, surtout à la seconde
que, que l'on me concédera, je t'espère du moins, comme relevant de l'
état
normal, et qui, pour être recueilli, réclamait qu
es sensations de piqûres et de tiraillements dans tout le corps et un
état
de trouble général que je ne savais à quoi ra
é quelquefois accompagnées de rêves pénibles, etc. » Plus pies de l'
état
pathologique est cette autre observation, déjà me
ant d'arriver, il tombait à terre, se débattait convulsivement et son
état
nécessitait son transport au lit. A 8 heures et d
ique d'effroi avec gestes de défense contre un ennemi imaginaire. Cet
état
d'agitation convulsive persista toute la nuit. Le
ation convulsive persista toute la nuit. Le lendemain, 24 avril, même
état
d'inconscience et mêmes crises séparées par des i
t des rythmes périodiques. Prennd. scrutant la pathogénie de maints
états
névrosiques et plus spécialement des obsessions e
on — ; puis, aux jours d'échéance périodique, les faisant émerger à l'
état
de phénomènes capables de s'imposer à la conscien
itifs, et plus ott moins obsédants, en temps de veille : et aussi ces
états
de conscience insolites, dont nos (1) Improprem
calme arrivent plus commodément à constater une périodicité dans leur
état
de santé (2i ». Et ailleurs : « A tout moment de
é. Mais jusqu'à quel point en a-t-il conscience *? Cela dépend de son
état
présent. Le présent et le passé sont continuellem
mblait soustraite à l'action des centres supérieurs qui constituent l'
état
de conscience, plus elle se manifestait snivant d
signaler que l'inertie fonctionnelle de ces mêmes centres supérieurs
état
somnique. hypnotique, rêverie, distraction, etc.)
tions plus ou moins nettes et régulières dans le psychisme inférieur (
états
inconscients, subconscients, rêves, etc.), plus o
u passé sur le présent. 3° Grâce à l'automatisme qui y préside, les
états
de sommeil et d'inconscience sont les plus aptes
s communes est la réminiscence en cours de rêve. 4° Par contre, les
états
de conscience et de veille tendent à s'opposer à.
pports avec les circonstances du moment, soit d'étranges tendances, d'
états
plus ou moins obsédants, de dispositions ou d'apt
ecin réussisse, soit par hasard, soit par méthode, à bien connaître l'
état
d'Ame de son malade, il voit que toutes ces m
utérine. L'hérédité nulle. L'examen objectif, eu dehors d'un certain
état
de dé-Ci) Pevnizky. Troubles obsédants traités pa
e dans le traitement de ces phobies. Mais on peut rendre inoffensif l'
état
moral d'un pareil malade, on peut régulariser sa
u par des souvenirs subconscients qui entretiennent le malade dans un
état
émo • tionnel. Un artifice assez ingénieux consis
émo • tionnel. Un artifice assez ingénieux consiste à évoquer dans l'
état
hypnotique les souvenirs qui. à l;état de veille,
ieux consiste à évoquer dans l'état hypnotique les souvenirs qui. à l;
état
de veille, demeurent dans le domaine du subconsci
er ainsi toute cause capable d'entretenir la cellule nerveuse dans un
état
anormal d'Irritabilité. II est surpre- nani a
t le faire sortir de chez lui : il restait constamment plongé dans un
état
de tristesse invincible aussi déprimé physiquemen
puis lors, chaque année vers le mois de février, il fut repris de cet
état
de dépression qui s'établissait peu à peu pour ar
ments quatre et cinq fois par jour. Dans l'intervalle des crises, l'
état
général laissait beaucoup à désirer, et. si l
fus appelé à donner mes soins à M. X... à la fin de l'été dernier, l'
état
de crise persistait depuis près d'un an malgré le
'hypnose : je me préoccupais avant tont de réaliser chez mon malade l'
état
sédatif. Les premières séances faites avec les
ète marquée par l'abolition du réflexe cornien. A partir de ce jour l'
état
de M. X.. changea du tout au tout comme par encha
e considéraient comme fou sont frappés du changement survenu dans son
état
. Ce n'est plus cette fois une atténuation de symp
ministration et les avantages. Le fait de plonger les malades dans un
état
d'inhibition qui les rend plus accessibles aux su
a prié près d'un malade, une telle amélioration se manifeste dans son
état
que le peuple s'imagine qu'il émane de lui une so
sommeil et sans repos. La description que l'auteur nons donne de son
état
en fait une malade atteinte de grande hystérie.
térique raisonneuse, au fonctionnement nerveux déséquilibré et dont l'
état
mental a été compliqué par le doute et le raisonn
sons harmonieux ou agréables, des personnes tomber dans un véritable
état
d'extase. Le même phénomène s'observe chez les oi
qu'un dérangement inopportun vient troubler lorsqu'ils sont dans cet
état
. Les bruits de la nature s'imposent à notre att
notre intelligence s'engourdit dans cette contemplation oisive. Notre
état
de conscience se réduit à une suite de sensations
as le seul agent qui puisse plonger les hy6téro-épileptïques dans les
états
de catalepsie et de léthargie ; les mêmes expérie
rgie possède tons les caractères décrits précédemment. Au milieu de l'
état
léthargique, de nouvelles vibrations du diapason
it par le fait seul de sa prolongation, trois formes différentes de l'
état
hypnotique. Dans la première, qu'on appelle l'éta
s différentes de l'état hypnotique. Dans la première, qu'on appelle l'
état
cataleptoïde les geux ouverts, la malade ressembl
une personne endormie ; dans la troisième qu'on désigne sous le nom d'
état
léthargique, elle estdevenue inerte comme un cada
tance de l'oreille ou appliqué sur le crâne, il provoque rapidement l'
état
cataleptoïde les yeux ouverts, puis l'état catale
, il provoque rapidement l'état cataleptoïde les yeux ouverts, puis l'
état
cataleptoïde les yeux fermés, puis l'état I éthar
de les yeux ouverts, puis l'état cataleptoïde les yeux fermés, puis l'
état
I éthargoïde. « Dans le cas, ajoute-t-iL où le
vre la sonorité décroissante de l'instrument ne tarde pas à amener un
état
de fatigue favorable a la réalisation de l'hypnos
'est d'ailleurs par l'association des divers agents physiques que les
états
profonds de l'hypnose indispensables au traitemen
aves, peuvent être obtenus. C'est également par la réalisation de ces
états
que les études sur l'hypnotisme retrouveront l'in
oser brièvement une seule observation, qui montre combien souvent des
états
très connus, pouvant être rapportés tantôt à la n
8 ans il avait été plusieurs fois pris, la nuit, par sa grand'mère en
état
d'ivresse, celle-ci lui faisait avoir avec elle d
e est également applicable au traitement de l'hystérie ; mais comme l'
état
d'Ame de l'hystérique est très compliqué, cette m
ivatif (Aussprachefcur, talking cure) ; les voua enfin soulagés ! Les
états
psychiques, tels que ceux que je viens de décrire
s centres nerveux supérieurs, dans une sorte de se mi-hypnotisme ou d'
état
hypnoïde dont l'interrogatoire ne se rend pas ass
'ils étaient véritablement hypnotisés. Les agents provocateurs de ces
états
hypnoïdes sont le plus souvent : la monotonie d'u
motion n'est pas assez précise pour systématiser et individualiser un
état
niorbrde. Dr BEHLLLoy. — En effet l'émotion peu
elle est inhibitrice ou productrice de trouble psychonévrotique et d'
état
hypnoïde, suivant qu'elle agit sur des gens fragi
e même le mieux conduit ; c'est que cette cause est oubliée pendant l'
état
de veille. (1) D' Salser (Munchen) 'Ceber Erwar
le subconcient et, pour l'en tirer, il faut plonger le malade dans un
état
hypnotique profond, grâce auquel les souvenirs so
et neurologistes. Marseille, IS99). Dr Raffegeau. — Les sujets à l'
état
hypnoïde doivent pouvoir être mis facilement dans
que plus profond. Dr Bêbillos. — Cela est tout à fait exact. Dans l'
état
hypnoïde, ils sont en quelque sorte à moitié chem
aboutir. Ce qui les intéresse les psychothérapeutes c'est que. dans l'
état
hypnoïde, les sujets se conduisent exactement com
liganbulisme. C'est également ce qu'en décrit Liébeault sous le nom d'
état
de charme et le professeur Beaunis sous celui de
tous, au printemps, font la saillie ; ils vivent donc plus près de l'
état
normal. Mais, même dans ces conditions, le cheval
on roulerait ainsi indéfiniment. La direction a si bien compris cet
état
de quasi-hypnotisme par mono-tomie du geste qu'el
fait un devoir, à intervalles répétés, de tirer son cliont de cet
état
d'engourdissement par la mise en branle de sonner
ces moments que surviennent les ohntes, par brusque cessation de cet
état
d'apathie favorable à un bon équilibre. Il est
tation d'abord puis une période de résolution, un certain abandon, un
état
de béatitude et d'hébétement. C'est du reste la
r. Discussion : Dr Bérillon. — L'abus du patinage sportif crée un
état
mental particulier, comme dans la plupart des spo
s évolutions tournoyantes et le brait monotone provoquent une sorte d'
état
hypnoïde, avec abandon, béatitude, suspension des
la façon dont nous avons procédé. 1° Nous avons laissé le sujet à l'
état
de veille, en repos sur sa chaise, (1) Bérillox
pour l'habituer à la température de la chambre. 2° Sur le sujet à l'
état
de veille, nous avons observé et consigné tous le
rès quoi nous avons procédé de nouveau, aux mêmes observations qu'à l'
état
de veille. Enfin nous avons suggéré, une émotio
ces. éléments sont soumis à des influences multiples et variées de l'
état
psychique. 2° Que le sommeil hypnotique débarra
sion artérielle est venue confirmer-cette opinion. Chez les sujets en
état
d'hypotension, s'hypnotisme relève la tension art
nay (SeineJ Dans la classe des appréhensions morbides parvenues à l'
état
d'obsessions pathologiques, il en est une, assez
lle ou telle affection dont 1 idée fixe finit par créer chez elles un
état
particulièrement angoissant, et même, chez quelqu
un état particulièrement angoissant, et même, chez quelques unes, un
état
de délire permanent, systématisé, qui ne laisse c
xaminé à plusieurs reprises ; il pourra donner son appréciation sur l'
état
mental de ce malade, sur l'esprit duquel, par un
à des confrères envoyés par la famille pour rendre compte de son
état
, il se départ de son mutisme : il manifeste le mô
fois l'accès terminé, l'obsession disparait, le calme revient avec l'
état
normal, jusqu'au prochain accès. Dans le cas prés
faire dormir, l'hypnotiser, c'est déjà considérablement atténuer son
état
. Dr Bérillon. — Et pour obtenir le sommeil si l
umoff se trouvait, par le fait de son amour pour la comtesse, dans un
état
de suggestibilité maladive qui l'a placé sous la
du Code atténuant sa responsabilité, parce qu'elle se trouve dans un
état
mental qui diminue beaucoup sa force de caractère
lter le peuple ou ses délégués 'T l'équilibre se maintient tant que l'
état
, petit ou grand, demeure une simple amplification
ai relief, il s'est, contenté de dire qu'il plaçait l'hypnose entre l'
état
de veille ot le sommeil. « Tout en rendant un j
provient de ce que le sujet qu'on cherche A Influencer est laissé en
état
de veille. SI on le place dans cet état relativem
he A Influencer est laissé en état de veille. SI on le place dans cet
état
relativement passif que provoque l'hypnose, on es
le snjet dans un sommeil profond, il suffit de l'engourdir. Dans cet
état
presque inconscient, il perd 6a résistance et se
it faible et étroit. Que présente maintenant, avec ces tendances, l'
état
physiologique de notre sujet. C'est hélas, un hom
t en tirer des déductions relatives aux changements survenus dans son
état
mental, mais on ne saurait y trouver de sérieuses
pouvions donc compter que sur des suggestions renouvelées, faites à l'
état
de veille, ou tout au plus de somnolence un peu a
la suggestion porterait sur un instant favorable, c'est-à-dire sur un
état
pas assez léger pour arriver à la fin sans sommei
tre principal desideratum qui était de créer, chez un réfractaire, un
état
« de rapport » indéniable pour une suggestion, qu
et jouissant pleinement de sa volonté directrice — à un sujet mis en
état
de détente, de résolution, de quiétude, d'indiffé
hypnotique et maladie de Basedow, par Preda, p. 150. Suggestion à l'
état
de veille (Le sophisme de la), par Bérillon,
rection inefficace de la partie rationnelle. Il se peut donc que leur
état
, en hypnose, soit un sommeil vrai, quoique incomp
nose, soit un sommeil vrai, quoique incomplet : en tout cas, c'est un
état
fort semblable au sommeil. Cela supposé, nous p
Cela supposé, nous pouvons dire que l'hypnose est un sommeil ou un
état
analogue au sommeil, dans lequel l'activité psych
lade dans l'exercice de sa profession qui est le point de départ de l'
état
d'angoisse caractéristique de cette affection.
e et d'anxiété : il balbutiait sans pouvoir articuler une parole. Cet
état
durait depuis quelques mois, il en fit part à ses
i conseille de recourir au traitement- Il sel laissa plonger dans l'
état
d'hypnotisme avec la plus grande facilité. Pendan
pres un certain nombre de ces représentations mentales, faites dans l'
état
d'hypnose, il sentit qu'il éprouvait un changemen
hypnose, il sentit qu'il éprouvait un changement appréciable dans son
état
d'émotivité. La guérison s'est maintenue. Dans
es extrêmes limites : tels étaient les traits les plus saillants de l'
état
mental de la malade. Mais ce qui dominait tout, c
septembre, en cinq séances prolongées de psychothérapie intensive à l'
état
de veille, j'obtins la disparition successive des
in. — Manie intermittente catanémiale suspendue par la suggestion à l'
état
de veille. 5. M. P. Hartenberg. — Un cas de neu
de suggestion mentale. 10. M. Bourdon (de Méru). — Suggestion à l'
état
de veille. 11. M. Bernard Leroy. — Extériorisat
utes les suggestions. De plus, les mêmes sujets peuvent être mis en
état
d'hypnose à distance, c'est-à-dire que, par une l
loureux, pesait encore un peu à droite quand elle y pensait, mais son
état
n'était plus comparable à ce qu'elle n'avait cess
ire h la malade: Dormez, dormez, pour qu'elle entrât immédiatement on
état
d'hypnose, sans qu'il fût besoin d'avoir recours
aque jour visite ù Mme X..., et toutes choses se maintenaient dans un
état
entièrement satisfaisant: digestions faciles, pro
it l'habitude, sur ma recommandation, de se reposer et rie dormir .en
état
d'hypnose, quelques minutes, sur sa chaise longue
. J'ai revu Mme X... le 18 juillet, et toutes choses restent dans l'
état
susmentionné : très bon état général, signes rati
juillet, et toutes choses restent dans l'état susmentionné : très bon
état
général, signes rationnels et objectifs d'une gro
née dernière, de pratiquer une laparotomie dans le but de constater l'
état
des ovaires et des trompes utérines. Un des chiru
s d'elle. Comme je l'ai déjà dit, un examen attentif, minutieux, de l'
état
général et de l'état local, me permit d'affirmer,
ai déjà dit, un examen attentif, minutieux, de l'état général et de l'
état
local, me permit d'affirmer, dès ma première visi
changement à vue ; et les jours suivants, les semaines suivantes, cet
état
de santé parfaite se maintint et ne fut momentané
me jour d'une conception possible. Vous savez, d'après mon récit, l'
état
dans lequel se trouve aujourd'hui cette jeune fem
vous communiquant ce que sera devenu cette grossesse inespérée, et l'
état
nerveux de mon intéressante malade. Je termine en
jour, ont soutenu l'opinion contraire. Or, la question de savoir si l'
état
de sommeil provoqué est doué, per se, d'une actio
modifications qui surviennent, sous l'influence de l'hypnose, dans l'
état
physiologique des sujets. Déjà des examens sphy
mparant, chez un grand nombre de sujets, la tension artérielle dans l'
état
de veille et dans l'état de sommeil provoqué. Pou
mbre de sujets, la tension artérielle dans l'état de veille et dans l'
état
de sommeil provoqué. Pour ces examens nous nous s
s condions qui le rapprochent le plus possible du sommeil normal. Cet
état
ne peut être obtenu qu'en s'abstenant rigoureusem
ué et prolongé nous a donné les résultats les plus frappants sont les
états
pathologiques-caractérisés par des sensations d'é
e des lésions locales, en même temps qu'une amélioration marquée de l'
état
général. Chez les neurasthéniques, les séances
théniques, les séances de sommeil provoqué amènent la disparition des
états
d'anxiété, le relèvement des forces, la suppressi
force utilisée pour leur fonctionnement. C'est ce qui se passe dans l'
état
de sommeil provoque pendant lequel, à l'inhibitio
er, de la circulation générale. L'examen comparatif des sujets dans l'
état
de veille et dans l'état d'hypnose nous fournit d
érale. L'examen comparatif des sujets dans l'état de veille et dans l'
état
d'hypnose nous fournit donc une interprétation ra
ovoqué. ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ Tic facial guéri par suggestion à l'
état
de veille. Par m. te Dr Henry Aimé, de Nancy.
pératif, dura une demi-heure. Pareil entrainement psychique actif à l'
état
de veille fut continué pendant douze jours. L
édecin. RECUEIL DE FAITS Astasie-abasie guérie par suggestion à l'
état
de veille.1 M. Ginestous. J'ai l'honneur de pré
iété d'Anato-mie un cas d'astasie-abasie guérie par la suggestion à l'
état
de veille. V... (Jeanne), domestique, dix-sept
ot ordonne de l'endormir après la visite et de lui suggestionner, à l'
état
de sommeil, qu'elle peut marcher. Maïs ses voisin
usqu'au 8 février. On décide de traiter la malade par suggestion, à l'
état
de veille, au moyen du bleu de méthylène; mais, à
ur. Je l'endormis avec la plus grande facilité, et je profitai de son
état
pour calmer ses douleurs de tête et obtenir de lu
e de s'endormir et do se réveiller fortuitement, soit toujours dans l'
état
que je viens de dire, en accuse les malaises et e
toujours parfaitement docile et ne mérita jamais de reproches. Son
état
général s'étant beaucoup amélioré, il n'avait plu
te aucune lésion, sauf un certain degré de dilatation d'estomac et un
état
général défectueux. L'eau de Vichy, les reconstit
symptômes douloureux dont elles manifestent l'existcnce. Dans leur
état
de conscience, où de prime abord parait régner ex
t à ce principe que l'attitude physique détermine par association des
états
psychiques correspondants, je commandais à mon su
t, je prescrivis contre la dyspepsie un régime sévère et je relevai l'
état
général par une hygiène appropriée. Au bout de
autres procédés de suggestion, et qu'on doit avoir recours à d'autres
états
psychologiques, de ceux que Liébeault appellerait
ervation m'en parait un exemple significatif. La photographie des
états
hyper vibratoires de la vitalité humaine Méthode
dans une zone périphérique au corps humain, lorsque nous sommes en un
état
lujpervibratoire de contraction do resserrement,
l'oiseau. (Sans électricité.) B) Ether en tourbillon, lorsque notre
état
d'àmc est angoissé, très impressionné (n° 1). C
, des différentes ,aura de la force courbe qui sont produites par dos
états
d'âme différents, angoissés compatissants, élevée
ations vitales extériorisés du corps humain lorsque nous sommes en un
état
hypervihratoire d'expansion ou de décondensalion
eil photographique. Il faut nécessairement que cette personne soit en
état
vibratoire, volontaire ou émotif. Ce procédé de
urbillons de l'Ether de la force Cosmique. Les clichés prouvent ces
états
hypcrvibratoires, qu'ils soient pris à la tète ch
la physionomie qu'elles revêtent, les phobies décèlent toutes le même
état
mental sous-jacent, c'est-à-dire émotivité excess
cadre de la neurasthénie les laits dans lesquels les phobies sont à l'
état
rudimen-taire ». Ces phobies, de nature neurasthé
nviction que « l'obsession n'est, en quelque sorte, que la phobie à l'
état
chronique » ; et il affirme à nouveau que, « suiv
être beaucoup moins préoccupé de la théorie que de la pratique. « Ces
états
, écrit-il, sont caractérisés par un ensemble de s
ment distinguée. Ainsi comprises, les phobies se présentent comme des
états
physiologiques en réalité très complexes, où se m
ffectif, l'autre au typû intellectuel — il y a place pour une foule d'
états
intermédiaires, non pas indemnisables, comme on l
e aura /occasion de faire valoir celte connaissance particulière de l'
état
mental JURISPRUDENCE MÉDICALE 57 des psyc
onnel, est justiciable de la suggestion. L'entraînement psychique à l'
état
de veille, doublé d'une plaidoirie appropriée à l
uestion de savoir si l'on peut, après avoir placé une personne dans l'
état
d'hypnose, lui impeser sa volonté de telle sorte
stion de savoir si l'on peut, après avoir placé « une personne dans l'
état
d'hypnose, lui imposer sa volonté de telle • so
ou « les effets du magnétisme n'existent pas ; o Attendu, qu'en cet
état
, le Tribunal ne saurait, sans une certaine « inqu
colère ni aucune action impure ne s'est spontanément produite dans l'
état
hypnotique, » Mes propres observations sur cett
ion de quelques opérations dentaires, que j'exécutai en 1890 durant l'
état
d'anesthésic hypnotique, j'attirais l'attention s
2° Toute idée acceptée est une suggestion. L'hypnotisme n'est pas un
état
particulier, c'est !a mise en activité de la sugg
minelles. 8° Un acte dôlicucux ou criminel peut être commis dans un
état
de condition seconde ou vie somnambulique, d'orig
Pitres et Régis ont consacré plusieurs pages à la psychothérapie à l'
état
de veille et dans l'état d'hypnose. Dans son rapp
acré plusieurs pages à la psychothérapie à l'état de veille et dans l'
état
d'hypnose. Dans son rapport sur le traitement du
eil analogue à celui de la nuit. Ils lui vantent les avantages de cet
état
de repos, de passivité. Lorsqu'ils jugent que le
e repos, de passivité. Lorsqu'ils jugent que le sujet est arrivé à un
état
de somnolence appréciable, ils s'appliquent par d
le sommeil provoqué le même langage que d'autres lui adressaient à l'
état
de veille. La suggestion faite, ils ne négligent
ands hystériques les expériences les plus capables de déséquilibrer l'
état
mental. Ceux qui soulèvent également cette object
tique qui repose uniquement sur la persuasion employée pour créer des
états
de conscience conformes au besoin manifeste du ma
vorisé par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'
état
mental se modifie, mais les troubles spasmodiques
érimentales pour se limiter aux suggestions nettement indiquées par l'
état
du malade, surtout lorsqu'on ne néglige pas de pr
at-doceot à l'Université de Moscou. 1) Le sommeil hypnotique est un
état
physiologique spécial qui se caractérise par l'ab
nication faite au Congres de Moscou. 2) Dans beaucoup de cas, cet
état
est accompagné de la plus grande suggestibilité.
cet état est accompagné de la plus grande suggestibilité. 3) Mais l'
état
hypnotique et la suggestibilité ne dépandent pas
mmeil hypnotique et vice versa. 4) Au point de vue thérapeutique, l'
état
hypnotique a autant de valeur que la suggestion.
tique, l'état hypnotique a autant de valeur que la suggestion. 5) L'
état
hypnotique ne peut produire que l'abaissement de
e courte durée. 8) Par conséquent, au point de vue thérapeutique, l'
état
hypnotique et les suggestions négatives ayant car
me à la thérapeutique donne les meilleurs résultats au traitement des
états
d'excitation générale du système nerveux, quelle
xcitations du système nerveux chez les neurasthéniques, dans tous les
états
affectifs, dans tous les cas d'irritabilité exagé
die mentale se manifeste que sous la condition de l'amélioration de l'
état
général du système nerveux. Par exemple : la disp
gnée par la disparition de l'excitation générale, de l'insomnie, de l'
état
affectif, inappétence, etc. 18) A l'application
ons probables, parce que la plupart des suggestions indirectes et à l'
état
de veille rentrent dans le domaine de l'influence
par uue crainte excessive do rougir, déterminant des troubles dans l'
état
général et des idées de suicide. (1) Communicat
tuelle. Rapprochant ces deux faits, nous croyons qu'il s'agit là d'un
état
mental particulier dont la place se trouve nettem
e connivence avec celui ou ceux qui avaient commis cet acte. Mais son
état
ne tardait pas à empirer. Entrait-il dans la mais
e cet homme est mon amant, et lui-même, cet homme, va conclure de mon
état
que si je me trouble ainsi à sa vue, c'est que je
rs temps, le mari et les enfants avaient prêt é peu d'attention à cet
état
, lorsqu'il y a environ 2 mois, la plus jeune des
ation I, nous voyons que tout a été employé sans succès pour calmer l'
état
gastrique de cette femme ; seule la suggestion hy
t sa grossesse et elle s'était montrée difficilement hypnotisablc. En
état
de grossesse, il a suffi de quelques secondes pou
me qu'Esdailc, reconnaissait une analogie entre l'hypnose et certains
états
produits par le Cannabis Indica. La référence à c
ue quelconque qui se propose à notre observation est, dans le présent
état
de la médecine, une pure absurdité et une simple
s actuels, le second voyait son classique ouvrage : Du sommeil et des
états
analogues, demeurer sans aucun succès (six exempl
nologie et de psychologie, dont il avait suivi les séances tant que l'
état
de sa santé le lui avait permis, etc. Chevaiier d
e 1897. LA QUESTION DES SUGGESTIONS CRIMINELLES ses origines, son
état
actuel (1). Par M. Liégeois, professeur à l'Unive
produire, par suggestion verbale, un véritable automatisme. Dans cet
état
, le patient, soumis à l'expérimentateur, aussi bi
dans laquelle il avait produit, chez une jeune fille, Mlle E. P.-, un
état
de somnambulisme si profond, d'automatisme si com
— Qu'elle a été mal organisée, et qu'ainsi elle ne prouve rien. Que l'
état
de J... n'était pas le degré profond de somnambul
e écartée définitivement. § 2. La femme violée sans le savoir. En
état
de somnambulisme, soit spontané, soit provoqué, d
voir se procurer des observations personnelles exactes, faites dans l'
état
hypnotique. La difficulté venait de ce que le som
t masquer le phénomène principal ; enfin, en plaçant le sujet dans un
état
qui, s'il n'est pas l'état de veille normal, n'es
cipal ; enfin, en plaçant le sujet dans un état qui, s'il n'est pas l'
état
de veille normal, n'est pas non plus un état prof
at qui, s'il n'est pas l'état de veille normal, n'est pas non plus un
état
profond d'hypnose, tout au moins dans lequel il c
isse tomber les bras en disant qu'il ne sent plus rien et reprend son
état
normal. Je m'approche de lui et je lui fais de
lui et je lui fais de nouveau quelques passes pour le remettre en
état
de suggestionabilité. Après avoir repris ma place
du plus grand intérêt, dans ces expériences, de rechercher dans quel
état
se trouvent les sujets au moment où ils reçoivent
exécutent les suggestions mentales. En apparence, les sujets sont en
état
de veille, et de fait, si vous les interrogez apr
ont pas dans un sommeil profond, mais ils ne sont pas non plus dans l'
état
de veille normale. Pour le prouver, il suffira de
début des expériences. Us constatent qu'ils éprouvent un changement d'
état
, quelque chose qui les isole de tout ce qui les e
indiquent des fourmillements. Le sujet se trouve placé là dans cet
état
que j'ai décrit sous le nom d'état médianique pas
sujet se trouve placé là dans cet état que j'ai décrit sous le nom d'
état
médianique passif. Son attention pour tout ce qui
xaltée à un point qu'elle ne pourrait pas atteindre s'il était dans l'
état
normal, s'il ne se trouvait pas, comme il le dit,
ation du sujet qui permet d'établir entre lui et le suggestionneur un
état
de communication ou de rapport, grâce auquel il p
er un fait anormal ni même spécial à cet élat d'hypnose. Mais, dans l'
état
médianique, qui est un veritablo état d'hypnose,
et élat d'hypnose. Mais, dans l'état médianique, qui est un veritablo
état
d'hypnose, il y a une orientation particulière de
les périodes menstruelles. — Arrêt de ces accès par la suggestion à l'
état
de veille. Par M. le Dr Auguste Voisin, médecin
elle est maniaque et que je dois noter qu'elle est maniaque. Dans cet
état
d'excitation, elle dérobe à ses camarades différe
satisfaire ses besûins et pour faire sa toilette. La sortie de cet
état
a été obtenue par le toucher du menton suivant la
Le résultat a été aussi satisfaisant qu'en mars, avril et juin, et l'
état
mental de la malade est absolument normal dans l'
qui ont pu à plusieurs reprises être arrêtées par une suggestion à l'
état
de veille. Criminels aliénés. par ie Dr Henry
yme d'aliéné. Quoi qu'il en soit, dire qu'il y a des aliénés dont l'
état
mental est méconnu par la justice et que chaque j
e * chargé à nouveau ». Or, au bout de ce temps, il est revenu dans l'
état
où nous l'avions trouvé quinze jours plus têt, av
nifestes des phénomènes psycho-sensoriels qui resteraient latents à l'
état
de veille. Les hallucinations auditives ont bes
ne lésion de l'oreille si commune à l'âge avancé. La suggestion à l'
état
de veille permet souvent de faire renaître ou d'a
nce bienfaisante de la suggestion; elle a amélioré considérablement l'
état
de la malade, ot je suis d'avis qu'on peut commen
un homme de bonne éducation qui souffrait d'une fistule urinaire. Un
état
mental était survenu, qui rendait la guérison à p
cutifs, j'en comptais 22 réfractaires ; et 29 seulement passèrent à l'
état
de somnambulisme. La difficulté d'hypnotiser et
e traitement. A l'heure qu'il est (Juillet 1897), elle est en parfait
état
. Je n'ai jamais vu le moindre inconvient résulter
meil ; et il énuméra les nombreuses différences qui séparent ces deux
états
, différences que ne reconnaît pas l'école de Nanc
t pas l'école de Nancy. Selon Braid, la condition hypnotique est un
état
de concen: tration, de monoidéisme, tous les phén
tion essentielle dans l'hypnose n'est pas la méthode employée, mais l'
état
spécial qui permet aux phénomènes de se manifeste
e personne déterminée ; il est possible de créer par la suggestion un
état
artificiel dans lequel le sujet n'est en rapport
facultés diverses et nouvelles qu'on ne retrouve pas en dehors de cet
état
, mais il n'a pas perdu sa volonté et son sens mor
qu'ils appellent automatisme mérite cette désignation, considérons l'
état
voiilionnel et moral du sujet. Au commencement,
t, et je les ai tous trouvés en possession d'une connaissance de leur
état
mental et du monde extérieur, aussi claire qu'à l
ssance de leur état mental et du monde extérieur, aussi claire qu'à l'
état
de veille. Je suggérai à une hypnotisée de soustr
distinction aussi subtile n'aurait pas été possible au sujet dans son
état
normal. Il est à espérer que dans l'avenir on p
at normal. Il est à espérer que dans l'avenir on parlera moins de l'
état
mental * automatique », et que les crimes du soi-
ypnotisme. Peu, depuis Draid, ont eu une conception aussi claire de l'
état
mental et moral du sujet et ont plus fait pour dé
; souvent il donne signe de vie; il peut faire des réflexions sur son
état
, etc. (1). » a Les somnambules pendant leur som
uide magnétique, aucune force mystérieuse émanant de l'hypnotiseur. L'
état
hypnotique et les phénomènes qu'il comporte ont l
e sans influence extérieure, par sa propre tension d'esprit. Dans cet
état
, son imagination devient si vive que toute idée d
membres étendus pendant cinq minutes serait beaucoup plus grande à l'
état
d'hypnotisme que pendant le même effort normaleme
t le même effort normalement. Si l'on fait reprendre aux muscles leur
état
flaccide pendant que le sujet est encore en hypno
ar fixation du regard; quelques sujets, rendus analgésiques, dans cet
état
, peuvent subir, comme dans l'anesthésie chlorofor
89 et suivantes. ques; l'hypnose continua à être étudiée comme un
état
anormal» pathologique, comme une névrose provoqué
is le jour où parut ma première publication : De la suggestion dans l'
état
hypnotique et dans l'état de veille; et surtout d
mière publication : De la suggestion dans l'état hypnotique et dans l'
état
de veille; et surtout depuis l'année 1886, où je
e dans les considérations théoriques de son livre : Du sommeil et des
états
analogues considérés surtout aupointdevue de l'ac
ous les sujets, on peut, par simple affirmation, sans les remettre en
état
d'hypnose, réveiller les souvenirs momentanément
es à un point de vue un peu différent. J'ai cherché à démontrer que l'
état
dit hypnotique avec suggestibilité, hallucinabili
hypnotique avec suggestibilité, hallucinabilité, etc..., n'est pas un
état
spécial, anormal, artificiellement provoqué par l
ènes dits hypnotiques ou des effets thérapeutiques ; ils existent à l'
état
do veille chez certains sujets, ce que Braid avai
réalisent aussi par affirmation simple ou entraînement suggestif à l'
état
de veille ; j'ai établi, d'autre part, que la sug
logique du cerveau, la sug-gestibilité- Il n'y a pas, je le répète, d'
état
spécial méritant le nom d'hypnotisme ; il n'y a q
vent être suggérés des idées, des actes, des hallucinations. Certains
états
d'âme susceptibles de se produire spontanément ou
inabilité, l'analgésie, les vertus thérapeutiques, etc., il crut à un
état
nouveau de l'organisme, créé par ses manipulation
t nouveau de l'organisme, créé par ses manipulations, et qu'il appela
état
magnétique. Braid remplaça l'ancien magnétisme
montré que les phénomènes dits hypnotiques ne sont pas fonction d'un
état
particulier de l'organisme artificiellement créé,
ajouterait tout simplement que certains sujets peu suggestibles à l'
état
de veille le deviennent davantage quand on peut l
t; je remercie notre confrère anglais de lui avoir rendu justice. L'
ÉTAT
PHYSIQUE DES ALIÉNÉS. - LE SOMMEIL. Par le Dr P
t des viscères des aliénés, n'est pas moins utile que de déterminer l'
état
de leur activité mentale ; car, non seulement cet
il en est d'autres cependant où, manifestement, le malade est dans un
état
de somniation, de rêvasserie persistante; exemple
êves comme s'ils avaient pensé ou agi les choses dont ils parlent à l'
état
de veille; ils passent, en définitive, de longues
mmeil est en général bon signe, mais à la condition que le reste de l'
état
mental s'améliore parallèlement. Sinon le pronost
énonomène psychologique objet de cette note est probablement rare à l'
état
complet, car nous n'en avons trouvé la descriptio
allucinations anto-hétérotopiques », ne paraissent pas très rares à l'
état
isolé, c'est-à-dire sans aucune impression de déd
le d'urine est un phénomène d'origine psychique ; c'est le signe d'un
état
mental incorrect. Je vais plus loin et je pose en
llicitude intempestive ne fait que confirmer le jeune malade dans son
état
. 3° Au point de vue du diagnostic, la nature hy
nce infantile d'urine. Son succès dépend de la gravité du cas et de l'
état
mental du sujet. Je crois donc pouvoir conclure
ci fort rares. Là question est cependant si importante, étant donné l'
état
actuel de nos connaissances, qu'il est tout natur
muscles entrepris. Aucun changement favorable ne se produisant dans l'
état
du malade, on procéda le 2 i juin à l'élongation
Un an après, nos expériences nous ayant appris qu'on pouvait, dans l'
état
d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant; tra
de faire le diagnostic de la suggesiibilitè. Pour cela, il faut, à l'
état
de veille, leur faire la suggestion d'exécuter, m
enfant létal d'hypnose ou tout au moim un ètalpatsif, c'est-à-dire un
état
physiologique caractérisé par la suppression et l
tion del'au!.jmatisme. Le troisième principe, le sujet étant dans l'
état
d hypnose ou dans l'état passif, est d'associer à
Le troisième principe, le sujet étant dans l'état d hypnose ou dans l'
état
passif, est d'associer à il suggestion teibalcune
dans le cerveau du sujet. — Dans les cas où il s'agira de modifier un
état
d'inertie mentale, on arrivera par l'image du mou
de vue médico-légal, dans deux conditions absolument différentes: à l'
état
passif, comme victime d'un attentat ; à l'état ac
ument différentes: à l'état passif, comme victime d'un attentat ; à l'
état
actif, comme auteur d'une action coupable. (1)
un attentat commis sur sa personne ou sur ses biens, à la faveur de l'
état
d'inconscience et d'impuissance dans lequel il s'
nant d'une action coupable. 3° La possibilité d'obtenir du sujet en
état
d'hypnose des révélations ou des renseignements q
d'hypnose des révélations ou des renseignements qu'il refuserait à l'
état
de veille ou de lui arracher des secrets de toute
t le sommeil hypnotique. 3° Crimes ou actes délictueux suggérés à l'
état
de veille. 4° Crimes ou actes délictueux suggér
rimes ou actes délictueux suggérés pendant le sommeil et exécutés à l'
état
de veille, à une époque plus ou moins éloignée ;
nement hypnotique suffisant, ou qui se trouvait préalablement dans un
état
pathologique, subit un asservissement qui peut s'
ui peut s'étendre non seulement au sommeil hypnotique, mais aussi à l'
état
de veille; il peut exister non seulement pour les
entourant de toutes les précautions nécessaires pour étudier à fond l'
état
mental du sujet qui lui est soumis, ne manque pas
, ne manque pas de données certaines pour éclairer la justice sur son
état
de responsabilité, L'ÉTAT PHYSIQUE DES ALIÉNÉS
ertaines pour éclairer la justice sur son état de responsabilité, L'
ÉTAT
PHYSIQUE DES ALIÉNÉS - LA SENSIBILITÉ Par le Dr
utes, sauf à tenir compte, quant à l'appréciation seméiologique, de l'
état
mental du patient. Dans les limites du cadre
l'action des agents extérieurs aux centres nerveux, déterminent, à l'
état
normal, la sensibilité cutanée, douloureuse, ther
s de la sensibilité générale de la peau que nous avons relevée dans l'
état
mental des aliénés. En revanche, on constatera
'). Ces expériences de sensations fantastiques nous font pressentir l'
état
mental de ces aliénés dont la sensibilité spécial
les sur l'activité fonctionnelle des organes, sur leurs besoins, leur
état
de santé, leur état de maladie. Il est probable q
onctionnelle des organes, sur leurs besoins, leur état de santé, leur
état
de maladie. Il est probable que c'est par cette v
d'allumettes; tels les disent changés en bois, en métal ; de là leur
état
de stupeur, leur délire intense, simultanément en
s névropathes. A ce titre l'aliéniste doit les chercher et en noter l'
état
pour formuler un diagnostic complet, mais nous ne
l'éducation et soumise à l'influence du milieu, elle peut rester à l'
état
rudiraentaire ou acquérir une puissance extrême.
erveuses, elle en partage toutes les vicissitudes. Très active dans l'
état
de santé, la fonction d'inhibition volontaire s'a
fonction d'inhibition volontaire s'abolit ou s'éteint dans les divers
états
pathologiques qui intéressent le cerveau. L'aboli
que lumière sur le mécanisme intime de l'émotion. SuggestibLUtè à l'
état
de veille et dans l'hypnose. Faits cliniques. P
à réaliser toute idée acceptée par lui. L'hypnotisme n'est pas un
état
particulier, c'est la mise en activité de la sugg
I. — Affection rhumatismale ancienne, guérie par la suggestion k l'
état
de veille. Jules C. est un Breton de 34 ans, fo
. Mais i) ne voulait pas être endormi. Je songeai à la suggestion à l'
état
de veille, et prenant gravement un pinceau que je
II. — Hystéro-neurasthénie ancienne, guérie par la suggestion à l'
état
de veille. Mme D., âgée de 37 ans, mariée à 18
e nous savons que la suggesti-bilité est singulièrement exallée par l'
état
hypnotique, pour avoir un effet plus complet, j'e
it jamais été malade. Ce résultat est plutôt dû à la suggestion à l'
état
de veille, qu'à la suggestion hypnotique, tout en
insignifiant. III. — Tumeurs diverses guéries par la suggestion à l'
état
de veille. Il y a quelques années, à l'aide des
sédante, guérison par la suggestion dans le sommeil hypnotique et à l'
état
de veille. Madame B., 42 ans, mariée en seconde
pour la première fois, il y a cinq ou six mois environ, dans un grand
état
d'agitation, les cheveux quelque peu en désordre,
vec la confiance qui augmentait, avec la suggestion qui s'opérait à l'
état
de veille. Mais si Ton s'avisait de l'interroger
res et Régis (de Bordeaux), l'obsession peut être considérée comme un
état
ou syndrome morbide intermédiaire entre la névrop
les détails de son histoire, il faut éviter de lui en parler à l'
état
de veille, sans quoi, elle ne tarde pas à s'anime
endait ici la tâche plus difficile et insuffisante, la suggestion à l'
état
de veille, c'est l'auto-suggestion pour ainsi dir
s, il faut conclure au rôle puissant de la suggestion en général, à l'
état
de veille comme dans l'hypnose, suggestion s'exer
uefois même à notre insu? Mais ce que ne fait pas la suggestion à l'
état
de veille, la suggestion dans le sommeil hypnotiq
uys fit de nombreuses et retentissantes expériences sur des sujets en
état
d'hypnose. Quelques-unes de ses recherches et d
s accusés. « Dans ces conditions, le phénomène se produit, même à l'
état
de veille somnambulique, chez un certain nombre d
norait, c'est que cette sensibilité s'extériorise; il se forme, dès l'
état
de rapport, autour de son corps une couche sensib
ci, que, en même temps que l'anesthésie se produit par suite de l'
état
hypnotique, la sensibilité, qui a disparu de la s
ssions étaient directement parties au contact de son propre corps à l'
état
normal. Le sujet qui a bien voulu se prêter à s
ypnotisable. La première fois que je l'hypnotise j'obtiens d'emblée l'
état
léthargique, puis, par les procédés habituels, il
Mon sujet arrive très rapidement au somnambulisme du troisième degré,
état
dans lequel il est insensible à toutes les excita
ètement disparu ; enfin il sera amnésique à son réveil. Tel étant l'
état
du sujet, je constate d'abord son insensibilité a
dire. Dans une expérience, après avoir placé le sujet dans le même
état
de somnambulisme et lui avoir d'abord, comme préc
j'ai recouverte de velours. Le sujet étant mis comme précédemment en
état
de somnambulisme et anesthêsié, la plaque préparé
ètement anesthésiée, je fais placer devant lui une autre personne à l'
état
de veille tout à fait normale et celle-ci prend d
. Je pique alors avec une épingle la jambe droite de la personne en
état
de veille, le sujet me dit aussitôt : Vous me piq
rs cette remarque, que, sous l'influence de la piqûre, la personne en
état
de veille fait un mouvement involontaire ; le suj
qu'on aurait pu tirer des mouvements inconscients de la personne à l'
état
de veille, communiqués au sujet endormi, c'était
riences suivantes. Après avoir fait passer la sensibilité du sujet en
état
de somnambulisme au sujet à l'état de veille, je
passer la sensibilité du sujet en état de somnambulisme au sujet à l'
état
de veille, je fis lâcher les mains du sujet endor
ience qui a été aussi bien intéressante. Après avoir mis mon sujet en
état
de somnambulisme, je le conduisis devant un mur e
re est un phénomène assez rare, soit qu'il ne se témoigne que dans un
état
d'hypnose auquel peu de sujets sont succeptibles
êchant de tomber dans le mono'idéisme, essentiel à la production d'un
état
favorable aux suggestions d'actes — viciaient, pa
nitiateur des études hypnotiques, compare, avec beaucoup de raison, l'
état
mental dans lequel nous avons pu mettre M"' E.. P
pu mettre M"' E.. P.. transformée expérimentalement en parricide, à l'
état
que la nature a malheureusement produit d'elle-mê
t si peu de compte des conditions essentielles, et bien connues, de l'
état
de somnambulisme profond. Th... était à ce point
mnambulisme profond. Th... était à ce point suggestible que, môme à l'
état
de veille, je lui faisais voir, entendre, dire et
s, un sommeil artificiel ; il ne veut pas nier davantage que dans cet
état
de sommeil provoqué, on puisse faire exécuter par
onnel et unique en son genre, et que ce sommeil lui-même n'est pas un
état
extraordinaire antiphysiologique, pathologique mô
oujours vrai et un sujet n'est pas nécessairement plus suggestible en
état
de sommeil qu'en état de veille. Je vois en ce
et n'est pas nécessairement plus suggestible en état de sommeil qu'en
état
de veille. Je vois en ce moment nne malade, sui
ré le plus profond, la malade est infiniment moins suggestible qu'à l'
état
de veille. De sorte que c'est à son réveil seulem
n'ayant pas recours au sommeil, on aurait utilisé sans doute d'autres
états
qui possèdent aussi la propriété d'exalter la sug
ommeil, en effet, n'est pas le seul à jouir de ce privilège. Tous les
états
que Liébeault a appelés des « états analogues au
à jouir de ce privilège. Tous les états que Liébeault a appelés des «
états
analogues au sommeil, en sont également pourvus :
existe encore beaucoup d'autres. Dans tous « ces étals analogues »,
états
physiologiques, qui appartiennent à la vie psycho
en d'exaltation de la suggestibilité, parce que le sommeil est un des
états
les plus faciles à produire, qu'il est familier à
te, toujours bien comprise, et enfin, parce que le sommeil esL un des
états
qui exaltent le mieux la suggestibilité. Mais i
des états qui exaltent le mieux la suggestibilité. Mais il est un a
état
analogue a qui a fait et pourrait encore actuelle
c'est-à-dire, qu'au lieu de faire leurs suggestions à la faveur de l'
état
de fascination, ils ne profitaient de celui-ci qu
, etc. Ils faisaient ainsi passer l'esprit du sujet par une série d'
états
, dont la réalisation de chacun était facilitée pa
e pour prodairo les hallucinations et les autres phénomènes. Tous ces
états
ne sont, en somme, que des états équivalents, au
s et les autres phénomènes. Tous ces états ne sont, en somme, que des
états
équivalents, au point de vue théorique au moins,
qui est la condition de la suggestibilité. Le sommeil provoqué est un
état
de monoidéisme. Dans le sommeil naturel profond
u monde extérieur. Le sommeil naturel profond pourrait être appelé un
état
d'anidéisme (1). II Mais si la thèse du profe
es crimes, autrement nombreux et dangereux, commis par suggestion à l'
état
de veille ; tels ceux des anarchistes qui sont po
pas d'ailleurs le premier qui ait mis en valeur les propriétés des «
états
analogues au sommeil » ? M. Bernheim est très é
est très éclectique dans ses opinions: il traite certains malades à l'
état
de veille, lorsqu'il pense que leur suggestibilit
l'affection dont ils sont atteints lui permettent de les traiter à l'
état
de veille. Mais, s'il juge nécessaire de les endo
tation pratique, si M. Bernheim préfère l'emploi de la suggestion à l'
état
de veille, tandis que M. Liôbeaul préfère celui d
de veille, tandis que M. Liôbeaul préfère celui de la suggestion à l'
état
de sommeil, tous deux pensent absolument de même
rs de sa communication à la Société de Biologie sur la Suggestion à l'
état
de veille. S'il n'en était pas (1) Voyer. Littr
parole, pour que nous fussions tous suggérés. Non, la suggestion à l'
état
de veille n'est pas douée de cette puissance. C
il soit si facile d'obtenir la réalisation des suggestions faites à l'
état
de veille, qui nous répondra que notre collègue n
en que moi qu'il est des sujets, hommes, femmes ou enfants qui dans l'
état
de sommeil provoqué sont plus suggeslibtes qu'à l
nts qui dans l'état de sommeil provoqué sont plus suggeslibtes qu'à l'
état
de veille. Donc, au point de vue pratique, thérap
as rayer de notre vocabulaire le mot hypnotisme, puisqu'il exprime un
état
physique qui favorise la suggestion en augmentant
achez les réveiller ». Quelque théorie que l'on veuille donner de l'
état
du cerveau dans l'hypnotisme, quelque doctrine qu
isme dans la pratique de certains cas déterminés où la suggestion à l'
état
de veille est souvent insuffisante. Certes, je
ade n'avait retiré qu'une amélioration passagère de la suggestion a l'
état
de veille, mais rapidement la suggestion dans l'é
a suggestion a l'état de veille, mais rapidement la suggestion dans l'
état
d'hypnose lui permit de marcher, de se servir de
re observation, j'ai été malhabile dans l'emploi de la suggestion à l'
état
de veille, et que lors de l'usage de l'hypnose, j
ui nous en seront reconnaissants. Et je conclus : la suggestion à l'
état
de veille a une action thérapeutique indéniable;
rester des doutes quand ils eurent pu se convaincre que le sujet, en
état
de somnambulisme provoqué, était, lorsqu'il l'ava
nce, elle persiste souvent plusieurs jours; la rapidité du retour à l'
état
primitif dépend de l'énergie de l'action productr
, je suppose que chaque grain est entouré par une gaine d'éther ; à l'
état
normal, pour une épaisseur convenable du milieu i
mes les plus épouvantables, et que l'on n'exécute que dans certains «
états
de folie (1). » V Le moment est venu maintena
vait que de choses qu'il eût été plus ou moins disposé à exécuter à l'
état
de veille! Toutetois, je ne m'en suis pas tenu
prison, pour le soutenir de mes conseils, et me rendre compte de son
état
, au point de vue de sa liberté morale et de sa re
t des raisons suffisantes d'admettre l'innocence de N.., à cause de l'
état
de somnambulisme si facile à produire en lui — un
mettre de nouveau dans le sommeil provoqué, et l'interroger, dans cet
état
, sur les circonstances qui avaient amené cette ma
oint parler mal ; nous ne dirons pas l'encombrement qu'on y trouve, l'
état
défectueux des dortoirs et des cellules, l'organi
s au lit ou dans « la chambre delà paille. II les traitera selon leur
état
d'agitation et de " calme. « Il ne se séparera
de l'anesthésie chlorofor-mique ; mais on ne peut le faire passer à l'
état
de catalepsie, et pour le réveiller cela coûte qu
première intention, et nous permîmes que le malade se levât, car son
état
général était bon. Deux jours après avoir été o
itre suivant: La méthode expérimentale psychologique directe dans les
états
hypnotiques conscients. Ces cinq derniers trava
nts : i° L'hypnotisme rend impossible l'observation subjective de l'
état
de conscience présent, car le sujet est un automa
ont ; 2e L'hypnotisme rend impossible l'observation subjective de l'
état
de conscience passé, car l'amnésie existe toujour
rce. Non seulement îl est possible que l'hypnotisé conserve pendant l'
état
de veille le souvenir des suggestions à lui faite
croître du môme coup l'intensité de cette dernière ; il crée certains
états
hypnotiques conscients parmi lesquels il dislingu
certains états hypnotiques conscients parmi lesquels il dislingue les
états
de dissociation systématique partielle et les éta
il dislingue les états de dissociation systématique partielle et les
états
de veille systématique partielle ; puis, interrog
ne finesse et une acuité qu'elle ne saurait guère atteindre pendant l'
état
de veille. En ce qui me concerne, j'estime que M.
il sera presque sans défense et n'essayera guère de résister. Or cet
état
favorable existe, il est physiologique, il est no
diverses représentations qui se rapportent à nos séries successives d'
états
de conscience ne possèdent pas un égal degré de c
e l'énergie psychique, à se constituer enfin comme exclusives- Chaque
état
de conscience se ramène donc à une sorte de cbmpl
usciter et maintenir les unes, éloigner et repousser les autres ? l'
état
normal, nbus possédons ce pouvoir que les Grecs d
ait. Qu'un individu soit fortement attentif ou qu'il soit obsédé, l'
état
psychologique est le même dans les deux cas. Dans
s'attaquer aux symptômes morbides : chez l'obsédé on suscitera des «
états
forts », des images vivaces, intenses, exclusives
sensations réelles, d'autre part qu'elles n'apparaissent que dans un
état
anormal ou pathologique. II LE RAISONNEMENT ET
Richet(*) ont montré que beaucoup de sujets étaient suggestibles à l'
état
de veille. Les analgésies, les hallucinations et
vent d'une transformation brusque, sous des influences diverses, de l'
état
général et particulièrement de l'état nerveux d'u
s des influences diverses, de l'état général et particulièrement de l'
état
nerveux d'un sujet, transformation au cours de la
idée, à laquelle nous arrivons, comme le dit Ribot, en ajoutant o des
états
de conscience les uns aux autres ». Infini, étern
ts suivent deux gammes. « L'une, dans le ton de la peur, se compose d'
états
pénibles, dépressifs : la terreur, l'effroi, la c
le respect... L'autre, dans le ton de l'émotion tendre, se compose d'
états
agréables etexpansifs: admiration, confiance, amo
tarxtxr, professeur à l'Université de Nancy. (suite) VII Divers
états
hypnotiques sont de nature à favoriser certains a
ave, parles les terribles conséquences qu'ils peuvent entraîner. En
état
de somnambulisme provoqué ou spontané, ou de cond
le sen'-ir, sans en garder le moindre souvenir une fois revenues à l'
état
normal. En dehors de ces crimes, plus odieux enco
lisme, des aveux et « des déclarations, qu'elle ne faisait pas dans l'
état
de veille parce « qu'elle était honnête, se vit,
occulte. Cette pauvre femme, qui s'était livrée à son médecin dans un
état
psychologique — l'un de ceux que je m'efforce de
douleur inexprimables, se prononcer, chaque jour de plus en plus, un
état
de grossesse dont elle ignorait la cause!!! En l'
son esprit, la rupture de la mémoire, entre la condition seconde et l'
état
normal ! Ah ! nous ne sommes plus ici en présence
, sur le danger que peuvent présenter certaines manœuvres ou certains
états
hypnotiques, pour les femmes ou les jeunes filles
'aimer, ni de l'épouser. Elle n'est jamais, selon lui, tombée dans un
état
hypnotique tel qu'il ait pu annuler sa volonté et
— Rép * Tout était très clair ¦ pour moi, même quand j'étais dans un
état
voisin du sommeil. A « Luga, Czynski me traita au
de contracture. — Guérison d'une contracture par le transfert dans l'
état
d'hypnotisme. Par M. le D' Bérrillon. Charcot
iellement ces contractures chez les sujets hystériques plongés dans l'
état
d'hypnotisme. Dans certains cas la suggestion peu
est que les contractures provoquées chez les hystériques, soit dans l'
état
d'hypnose, soit à l'état de veille, ne disparaiss
provoquées chez les hystériques, soit dans l'état d'hypnose, soit à l'
état
de veille, ne disparaissent pas toujours sous l'i
nt à des séances répétées d'hypnotisation profonde. La suggestion à l'
état
de veille s'était montrée complètement impuissant
e fut plongée facilement dans le sommeil hypnotique profond. Dans cet
état
, nous lui fîmes sans succès la suggestion de la d
s l'avions eu sous les yeux. Sous l'influence de la suggestion dans l'
état
d'hypnose, nous pûmes constater que, à mesure que
e serait réveillée au moment précis où les deux pieds seraient dans l'
état
de parallélisme. C'est ce qui fut fait. Après le
té de l'intervention chirurgicale et principalement sur la part que l
état
nerveux de la malade pouvait avoir dans la persis
diagnostic fut que les douleurs éprouvées étaient la conséquence de l'
état
nerveux ; que l'habitude do l'idée de la douleur
cations du diable par les sujets de la clinique. La suggestion dans l'
état
d'hypnose en fait tous les frais. Le cercle magiq
Programme des cours de Vannée Í898. 1re Partie : Physiologie des
états
hypnotiques. Causes et formes de l'hypnotisme. Su
Somnambulisme provoqué. Suggestion. Suggcstionabilité. Suggestion à l'
état
de veille. Suggestion à l'état de sommeil. Sugges
ion. Suggcstionabilité. Suggestion à l'état de veille. Suggestion à l'
état
de sommeil. Suggestion post-hypnotique. EiTct de
Avril. — Introduction à l'étude de l'hypnotisme. — Le sommeil et les
états
analogues.— Le somnambulisme et les états passifs
otisme. — Le sommeil et les états analogues.— Le somnambulisme et les
états
passifs. — L'hypnose et le sommeil provoqué, — L'
ose et le sommeil provoqué, — L'inhibition et la dynamogénie dans les
états
hypnotiques. Samedi 23 Avril. — L'œuvre psychol
e et les agents physiques. — Action spécilique de la musique dans les
états
hypnotiques. Samedi 30 Avril. — Etude physiol
que de l'hypnotisme. — Les lois de la suggestion. — Les degrés et les
états
profonds de l'hypnotisme. — La circulation et la
it. En 1806, il publia son merveilleux traité sur le « Sommeil et les
états
analogues considérés surtout au point de vue de l
talepsie et de lithargie, de fascination et de somnambulisme Dans cet
état
hypnotique, la volonté du( sujet disparaissait, o
tion qui règle les sociétés animales et humaines. Il expliquait par l'
état
hypnotique les tables tournantes, la baguette div
itement contre lequel, d'ordinaire, il se sera déjà insurgé pendant l'
état
de veille. Admettons cependant que nous avons p
ussi faudra-t-il s'en rendre maitre avant même de songer à agir sur l'
état
mental lui-même. Donc, nous devrons, au préalab
s encore de créer en lui, en éloignant les images du rêve, un certain
état
de docilité et de réceptivité, sorte de terrain f
tenue et régulièrement accrue ; la sensation persiste donc comme un «
état
fort » et, de plus en plus vivace, elle ne tarde
s à devenir prépondérante ; elle « réduit » donc peu à peu les aulres
états
qui auparavant occupaient toute « l'aire de la co
ditive causée par le dor—mes....., d>r—mes.....; tous les autres
états
antagonistes ont disparu devant ce seul état ré
....; tous les autres états antagonistes ont disparu devant ce seul
état
réducteur des précédents. Ce n'est pas tout. On
ychique est, pour ainsi dire, vide de tout contenu ; elle réalise cet
état
de réceptivité et de malléabilité dont nous avons
nt circonscrit. . Mais est-on jamais sûr d'avoir obtenu un pareil
état
? A quel caractère peut-on le reconnaître ? Afin d
, au préalable, la psychologie du malade ; on analysera avec soin son
état
mental ; et alors seulement on fera les suggestio
agir, afin de le modifier utilement. Notre sujet se trouvant dans l'
état
décrit plus haut, n'est distrait par aucune repré
ais fort de ne pas réussir et, pendant tous ces essais infructueux, l'
état
mental eût menacé de s'aggraver. Or, désireux de
pendant une nouvelle période de quinze jours. Au bout de ce temps, l'
état
de la malade était devenu tel que son entourage l
je n'avais pas, comme bien on pense, entrepris de modifier d'emblée l'
état
mental de ma malade, car des suggestions trop nom
ur effeclus. La mère de notre malade, interrogée à cette époque sur l'
état
de sa fille, se montre enchantée et fait cette
mmuniquent leur émotion par les voies ignorées de la transmission des
états
d'âme, où la foule, enfin, s'individualise, et n'
, une hallucination ou une impulsion (jj... Il est possible, dans « l'
état
de somnambulisme provoqué, de suggérer des idées
-même, il s'agissait d'une personne fort honnête, qui eût été, dans l'
état
normal, incapable de se livrer à une démonstratio
(4 ou 5 pour 100). soit dans le somnambulisme provoqué, soit dans des
états
hypnotiques spontanés, des suggestions pouvant am
eux anciens soldats, que M. Déjerine a trouvés suggeslibles, même â l'
état
de veille, la première fois qu il Us a vus ! C'
e la même chose ei obtenir le même résultat, pour les suggestions à l'
état
ae veille. Et voilà comment j'aurais pu — si j'
ambulisme par un homme honnête et compétent. Si l'on arrive alors à l'
état
de somnambulisme profond, il eut abiulumeni India
t complètement dépourvue. Après quelques séances de suggestion dans l'
état
d'hypnotisme, ce résultat était obtenu. Parallèle
vorisé par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'
état
mental se modifie, mais les troubles spasmodiques
EXPÉRIMENTAL DE THÉRAPEUTIQUE -- 12e annEe. — N° 11 Mai 1898 L'
ÉTAT
DE VEILLE ET LES ÉTATS D'HYPNOSE Par M. le Dr L
PEUTIQUE -- 12e annEe. — N° 11 Mai 1898 L'ÉTAT DE VEILLE ET LES
ÉTATS
D'HYPNOSE Par M. le Dr Liébkault, do Nancy. L
omplètement. Le sommeil naturel est l'expression la plus parfaite des
états
passifs qui dépendent de cette dernière manière d
motifs : joie, colère, tristesse, crainte, amour, etc. ; et parmi les
états
passifs les plus généraux, on remarque les sommei
it pendant la veille, et des signes de sa grande activité pendant les
états
passifs, la cause en est due certainement à ce qu
le, et dont l'autre, d'augmentation des signes du sommeil. Dans les
états
passifs, l'attention, plus ou moins ralentie, et
ve de l'esprit, au moyen d'un procédé psychique particulier. Dans ces
états
, il devient possible, grâce à l'accumulation de l
lation de l'attention (1) Lo sommeil artificiel ou provoque est uii
état
passif expérimentai. Le nom d'hypnotisme sert à d
uii état passif expérimentai. Le nom d'hypnotisme sert à désigner ces
états
passifs expérimentaux et à les distinguer des éta
rt à désigner ces états passifs expérimentaux et à les distinguer des
états
pa i ' spontanés. amenée par ce ralentissemen
n actionne autrui, et autosuggestion quand on s'actionne soi-même. Un
état
de sommeil artificiel bien établi est la conditio
On a beaucoup parlé, dans ces derniers temps, de la suggestion à l'
état
de veille, et les quelques disciples du professeu
opposé et tout différent. L'esprit ne peut rien créer ainsi. Dans cet
état
l'esprit reste inerte, sans initiative; mais pour
aveugle. C'est ainsi que se trouve réalisé, grâce à la production des
états
passifs, et en particulier de l'état d'hypnotisme
lisé, grâce à la production des états passifs, et en particulier de l'
état
d'hypnotisme, le mécanisme de la suggestion.
cours à la suggestion directe ou à la suggestion indirecte, pendant l'
état
de veille ou pendant le sommeil provoqué) rencont
aits de perversion du jugement sont des conséquences nécessaires de l'
état
pathologique proprement dit. Cependant, sur le pr
ute: « Les études anatomiques, his-tologiques ou même chimiques sur l'
état
des centres corticaux, dit M. Pierre Janet, ne so
quand il s'agit de dissocier minutieusement puis de réédifier tout un
état
mental? Pour paraphraser le similia similibus cur
essais de redressement psychique que l'on tente d'ordinaire pendant l'
état
de veille, au prix de quelle abnégation et de que
période qui comprend, en somme, le tiers de notre vie psychique ; des
états
de conscience pourront être (1) Pour ce qui con
devoir les livres qu'on jugeait qui leur avait servi à parvenir à cet
état
. Ce fut donc alors qu'ils commencèrent tous à pre
ueline, l'un vraimenl malade, l'autre maladive, tous les deux dans un
état
mental particulièrement favorable à la réceptivit
'anatomie les talents d'un mime consommé. D'après l'exposition de l'
état
du malade, il se dispose à jouer une farce, dont
ra être non seulement indirecte, mais surtout directe ; en effet, les
états
de dissociation et de veille partielles systémati
ux éléments du couple psycho-physiologique, l'analyse élémentaire des
états
de conscience (*). L'insomnie par idée fixe sub
endormie, un rêve, toujours le même, qu'elle ne se rappelle plus à l'
état
de veille, s'empare do son esprit ; elle assiste
oinl de vue pratique, elle permet de prédire l'imminence d'un certain
état
émotif ou la fin prochaine d'un autre, comme auss
ont formulée M. Lang, M. Ribot et M. Dumas lui-même. D'après eux, les
états
organiques précédent les états mentaux, le phénom
et M. Dumas lui-même. D'après eux, les états organiques précédent les
états
mentaux, le phénomène de l'émotion est donné objo
otrice y est primitive et antérieure à la variation psychique; donc l'
état
émotionnel est l'expression directo et immédiate
luctable une variation vaso-motrice antérieure à toute variation de l'
état
mental ? MM. P. Parr et Marcel Drouin répondent r
causer les désordres do la pensée; sans doute encore, en modifiant l'
état
organique, on modifie par contre-coup l'état émot
e encore, en modifiant l'état organique, on modifie par contre-coup l'
état
émotionnel, mais l'inverse est vrai aussi. Les ca
qu'il y a concomitance constante de certaines émotions eL de certains
états
circulatoires; convenons même que l'émotion, plei
et temporairement dans les cas do névrose, ne se renconlie jamais à l'
état
permanent chez un individu en pleine santé comme
urs mœurs, leurs sentiments religieux, leur manifestation d'art, leur
état
psychique. Mais ce qu'on n'a peut-être pas suffis
des suggestions indirectes, lesquelles n'avaient de valeur que par F
état
psychique produit, lesquelles aussi étaient facil
est vrai que par la suggestion on peut toujours, dans n'importe quel
état
d'hypnose, exciter l'activité mentale et, en agis
ppelée, il décrit dans son ouvrage {Suggestive Thérapeulics, p. 8) un
état
que je n'ai jamais observé, et dont ¡1 nie mainte
qu'on pouvait postuler comme un premier principe, qu'un sujet dans l'
état
de sommeil magnétique est à la merci de l'opé
l n'a pas le droit de dire qu'il n'a jamais décrit l'hypnose comme un
état
d'automatisme. Par exemple, dans Suggestive Tkera
des changements physiques extraordinaires, sans affecter à la suite l'
état
moral ? » Existe-t-il cependant une relation néce
in ? Ne serait-il pas également justifié de supposer, qu'un sujet à l'
état
normal, qui à votre demande ferait de la musique
et hypnotisé a donné un consentement qu'il aurait également donné à l'
état
normal. Le défaut radical de tous les crimes de
défaut radical de tous les crimes de laboratoire consiste en ce que l'
état
mental du sujet n'a pas été étudié par des questi
cette notion. Il esta espérer qu'à l'avenir on parlera moins de cet
état
soi-disant automatique et que les crimes qualifié
'après M. Bernheim, la suggestion est tout, et il n'y a au fond aucun
état
spécial qui mérite le nom d'hypnose. Tl considère
contribué. Et pourtant des suggestions pressantes sont repoussées à l'
état
de veille, alors qu'elles sont immédiatement acce
ant l'hypnose; dans d'autres cas, la guérison n'est obtenue quo si un
état
hypnotique prolongé a été obtenu. Je ne connais
647. Pascal s'y révélait fanatique. Peu de temps après, au reste, l'
état
général de Pascal devint des plus mauvais. La neu
écutés pour la justice, et dont plusieurs points s'appliquaient à son
état
présent, la remua encore Plus que jamais détermin
ade sur laquelle il a étudié l'action spécifique de la musique dans l'
état
d'hypnotisme. La Société se forme en comité sec
cret. La séance est levée à 6 h. 1/2. La prise du regard dans l'
état
de fascination. Par le Dr Bérillon. Un des ph
ains sujets, on constate une disposition particulière à tomber dans l'
état
de fascination sous l'influence de l'action du re
action analogue à ce qui se passe chez certains animaux placés dans l'
état
de fascination. Tel est le cas de la malade que j
uverts. Les pupilles se dilatent, et les yeux présentent un singulier
état
de fixité. On dirait qu'il n'y a plus dans le cer
s confirme dans l'opinion que les sujets susceptibles d'entrer dans l'
état
de fascination et de présenter le phénomène de la
a celle des hypnotisés ordinaires; cela s'obtient, grâce au jeu des *
états
forts » et des états faibles n et conformément au
s ordinaires; cela s'obtient, grâce au jeu des * états forts » et des
états
faibles n et conformément aux lois delà n dégrada
tout à fait réfrac-taires au sommeil provoqué ou à la suggestion à l'
état
de veille ; — 2* chez ceux .qui, par pusillanimit
miques excités d'une manière continuelle ne tardent pas à présenter l'
état
de tétanisation que l'on constate, par exemple, d
ion du cerveau, laquelle se traduit par de la tétanisation. Pendant l'
état
de veille, la suggestion est rendue plus confuse,
ccomplira avec exactitude parce que les prolongements neuroniques, en
état
de contracture, seront très fortement influencés.
s, à Nancy, â Zurich et à Vienne ; l'auteur y expose en particulier l'
état
actuel de la thérapeutique psychique d'après des
s du cœur, etc., nous renseignent autant que les tremblements sur les
états
psychiques. Us sont donc, à ce titre, eux aussi d
stion (le traitement des), 94. Aliénés criminels, 114. Aliénés (l'
état
physique des), par le Dr Keraval. 145, 170. Ane
que des aliénés, par le Dr Kéraval. 145, 170. Etat de veille et les
états
d'hynose (l'), par le Dr Liébeauit, 321. Expé
e suggestive (les), par le Dr Bérillon, 161. Prise du regard dans l'
état
de fascina-nation (la), par le Dr Bérillon, 369.
pendant le) par le Dr Parez, 257, 292, 324. 370. Suggestibilité a l'
état
de veille ot dans l'hypnose, par le Dr Bourdon, 1
le Dr Bourdon, 182. Tumeurs diverses guéries par la suggestion à l'
état
de veille, par le Dr Bourdon, 181. Valeur théra
et de la suggestion, par lo Dr Milne Braimwell, 129. Veille et les
états
d'bypnoso (l'état de) par le Dr Liébeault, 321.
n, par lo Dr Milne Braimwell, 129. Veille et les états d'bypnoso (l'
état
de) par le Dr Liébeault, 321. Vogt (rapport sur
autre part, il est pourtant certain que le médium est parfaitement en
état
, en opérant habilement, de mettre ses mains dans
é que son client désire bien réellement guérir, il le rassure sur son
état
, lui démontre que les expériences auxquelles il v
suivant les circonstances. Voici le fumeur endormi, plongé dans un
état
d'hypnose plus ou moins profonde. Sa volonté est
stérie et de la diathèse de contracture. Plongée facilement dans un
état
profond d'hypnose, elle restait quelque temps tra
me variable de lettres. Ainsi le cerveau n'est pas toujours dans un
état
normal et peut être dans un état d'irritation par
e cerveau n'est pas toujours dans un état normal et peut être dans un
état
d'irritation particulier, suivant les natures ; c
ture pour lui donner la variété ; mais il est tout naturel qu'un môme
état
du cerveau, de l'activité musculaire, devra produ
liquide, employé surtout par les pauvres, et celui que l'on fume à l'
état
de poudre dans une espèce de nargbilch ou, comme
tes les sécrétions, précipite ou diminue la circulation sanguine. Ces
états
se rencontrent souvent chez le môme individu, suc
gination, l'homme, ou le sujet, est-il endormi ? Est-il même dans cet
état
inconscient qui est la frontière qui sépare la ve
ofond ! Nullement. Le sujet est bien éveillé, complètement dans l'
état
de veille. Non seulement il ne dort pas, mais i
lement il ne dort pas, mais il n'a pas le désir de dormir. Dans cet
état
il n'y a, messieurs et chers collègues, ni temps,
Une sensation peut sembler durer des siècles ou une seconde. C'est l'
état
présent qui est tout. C'est la sensation vive, ar
us dire de plus? Quand les crises cessèrent, quand jo revins dans mon
état
normal, je savais, à n'en pas douter, tout ce qu'
t intéressant de savoir : 1° A quelles formules correspondaient les
états
de crédulité et de suggestion facilement obtenus;
élargies,les cordes. faute de l'élasticité ne revenaient plus a leur
état
primitif, quand les jambes et le* bru reprenaient
spéciale sur cette donnée capitale qui peut se résumer ainsi : A l'
état
de rapport dit « magnétique », il n'y a pas seule
ggérée de prendre du calme et de la force. Menée au biomètre dans cet
état
, sa formule est complètement changée 0/0 + Rep 5.
de crédulité Att 33/ Att 10, et est resté sous l'influence du nouvel
état
psychique : poli, obéissant, il tient les premier
. DE L'ÉLECTRICITÉ APPLIQUÉE SIMULTaNEMENT avec la suggestion A l'
état
de veille Le sommeil hypnotique répugne à bien
passionnelles, à tourner la difficulté en associaut la suggestion à l'
état
de veille, au courant galvane'-cérébral descendan
psychopathies. la galvanisation cérébrale jointe 1 la suggestion à l'
état
de veille rend de grands services, sans avoir à e
t aux centres cérébraux sous-jacents, et cela durant l'hypnose ou à l'
état
de veille (1885). Au Congrès de l'Association d
les membres du côté opposé chez le sujet hystérique en léthargie. A l'
état
de veille, le même courant ne provoquait aucune c
une hystéro-épileptique au plus haut point hypnotisable, mais dans l'
état
de veille, — et après avoir sillonné la tête d'éc
ous avez fait de vos malades autant de miroirs fidèles de vos propres
états
d'auto-suggestion ; ils n'ont pu que refléter l'é
de vos propres états d'auto-suggestion ; ils n'ont pu que refléter l'
état
de vos connaissances anatomiques et physiologique
ie. Ainsi Rainaldi aurait constaté une fois de plus, après Charcot, l'
état
d'hyperexci-tabilité spécial du cerveau pendant l
xcitabilité réflexe est naturellement exagérée, sont suggealibles à l'
état
de veille I Pour ceux-là, « il n'y a pas d'hypnot
n a pas davantage pour les autres, et. par ce mot,. on n'entend qu'un
état
physiologique d'hyperexcitabilité réflexe du syst
siologique d'hyperexcitabilité réflexe du système nerveux, parlant un
état
de suggestibilité mentale plus ou moins intense,
tion d'images est provoquée ou évoquée dans l'écorce cérébrale. A l'
état
de veille, dans le sommeil provoqué ou dans le so
est pas un étal pathologique, une névrose experimentale. c'est un des
états
les plus communs de l'intelligence dans toute la
adition religieuse ou morale d'une société, les préjugés de castes, d'
états
ou de nation», l'esthétique d'un peup!e ou d'une
elopper chez lui une hallucination et la provoquer par suggestion à l'
état
de veille chez un autre sujet facilement impressi
e» aberrations de la vie sexuelle, en se servant de la suggestion à l'
état
de veille, mais surtout à l'état de sommeil provo
, en se servant de la suggestion à l'état de veille, mais surtout à l'
état
de sommeil provoqué. Pour l'auteur comme pour l
'etiologie. la symptomatologie, le diagnostic et le prognostic de ce»
états
, puis il fait passer la revue aux méthodes de gaé
anesthésie sexuelles. Après* l'étude sommaire de la pathologie de ces
états
, l'auteur décrit le rôle de la psychothérapie dan
prépondérante de l'hérédité et de l'éducation dans l'étiologie de ces
états
pathologiques, puis il traite du diagnostic et du
it se contenter que ces images palissent et te trouvent réduites à un
état
rudimentaire inoffensif et que le malade a abstie
te sans critique les idées suggérées, soit que le sujet se trouve à l'
état
de veille, soit qu'il dorme ou bien qu'il soit na
à réaliser les suggérions, c'est-à-dire l'entrée en hypnose ; 3° L'
état
d'hypnose se greffant sur la narcose médicamenteu
it éprise follement de M. Z..., et celle passion, toujours restée a l'
état
platonique, avait pris une telle acuité que Mme X
onique, avait pris une telle acuité que Mme X... en était arrivée à l'
état
décrit ci-dessus. Je proposai séance tenante, l
e son intérieur. Elle affirme qu'elle se trouve actuellement dans son
état
normal antérieur, comme le prouve la petite noto
enue indifférente aux distractions de toute nature, je tombai dans un
état
de prostration physique et morale absolue. « Je
nerveux d'ordre moteur ou sensitif, qui sont sous la dépendance de l'
état
hystérique, que le sommeil hypnotique et la sugge
s, certaines aptitudes hypnotiques qu'ils possèdent plus ou moins à l'
état
latent. C'est ce problème que M. Luys a résolu
st agite de tremblements marqués, presque rythmés, qui persistent à l'
état
de repos et qui s'accentuent quand le malade veut
La malade, endormie au moyen du miroir rotatif, tombe rapidement en
état
de grand hypnotisme. Pendant le sommeil, on lui
r. Ce fait nous fut raconté plus tard par la malade qui, oubliant à l'
état
de veille les suggestions qui lui avaient été fai
suggestion qui, aussitôt commencée, serait facilement développée. A l'
état
de veille, nous communiquions avec ce malade par
je me trouvais ci posé, en lui ouvrant les yeux, à le faire passer en
état
de catalepsie, étal dans lequel la suggestion eût
'appétit, selles rares (tous les huit jours). Elle était arrivée à un
état
de faiblesse extrême, d'impressionnabilité excess
lle, de tous les organes (poumons, tête, cœur, foie, vessie, etc.) ».
état
causé sans doute par les troubles gastriques rete
elque temps après ; le profond chagrin que j'en ressentis aggrava mon
état
. On consulta un autre médecin, qui ne fit pas plu
aitement ad'abord été celui de la dilatation, de la constipation de l'
état
de l'utérus, de la neurasthénie : cachets antisep
professeur Th. Ribot. Le but de cette enquête a été de rechercher l'
état
immédiat de l'esprit au moment où un concept est
t de l'esprit au moment où un concept est pensé, de déterminer si cet
état
diffère suivant les individus et d'essayer une cl
venir de mon dessein) des termes abstraits ou généraux et en notant l'
état
de conscience immédiat que ces termes ont évoqué.
dans l'esprit. » Il y a donc quelques concepts auxquels correspond un
état
inconscient. Espérant pénétrer dans la nature d
elques hystériques de la Salpêtrière. Il les a interrogées d'abord en
état
d'hypnotisme, puis en état de Teille, ce qui perm
lpêtrière. Il les a interrogées d'abord en état d'hypnotisme, puis en
état
de Teille, ce qui permet de comparer leurs répons
puis en état de Teille, ce qui permet de comparer leurs réponses. A l'
état
de somnambulisme, elles sont plus nettes, plus ab
isme, elles sont plus nettes, plus abondantes, plus explicites qu'à l'
état
de veille. J'ai recommercé le même interrogatoi
ats pour chaque individu. L'auteur se propose d'étudier, non plus l'
état
momentané qui répond à la présence du concept, ma
non plus l'état momentané qui répond à la présence du concept, mal* l'
état
permanent, les habitudes d'esprit (et leurs varié
heures. Au réveil de cette crise terrible. Mme D... se trouva dans un
état
intellectuel fort singulier caractérisé surtout p
arrivée, et d'ailleurs pendant tout l'hiver, elle resta dans le même
état
, racontait sa vie en grands détails jusqu'au 14 j
elles où pourra être reconnue et constatée l'influence des différents
états
hypnotiques et de la suggestion, soit dans le som
de la suggestion, soit dans le somnambulisme provoqué, soit même à l'
état
de veille. Il a semblé à l'auteur que cette que
le rouge et le vert; la teinte de cette substance doit être verte à l'
état
isolé; mais il est facile de comprendre qu'on ne
stème nerveux, sur la moelle épinière en particulier, sans modifier l'
état
dynamique du système nerveux soit dans le sens de
isées. On sait que les émotions et les impressions psychiques sont en
état
de produire des modifications très étendues et co
effets se produisent chez des personnes parfaitement normales et à l'
état
de veille. Seulement, pour la grande minorité des
ection aussi propre que possible a renseigner sur les caractères de l'
état
mental et physiqne des aliénés et des criminels,
ré. 4° Sous la dénomination « hypnotisme » je comprends un nombre d'
états
anormaux, d'ordre spontané, c'est-à-dire patholog
Il est connu de tout le monde qu'on peut produire par suggestion les
états
les plus anormaux. Mais je soutiens que la sugges
l. Je sous-entends que la suggestion visera dans chaque cas spécial l'
état
normal. Cela est-il possible? Voilà la question
alysent par compression du nerf. Cela ne pourrait pas se produire à l'
état
de veille sans exciter de la douleur. De même,
la voix de son médecin sans s'éveiller se trouve par ce fait dans un
état
anormal. Cependant, il est difficile de poser i
ouvrir les yeux pendant son sommeil, je conviens qu'on ait produit un
état
anormal. Et j'ajoute que, en thérapie, il faut ce
N'est-il pas évident qu'en agissant de la sorte, on puisse produire l'
état
pathologique de somnambulisme nocturne ? Cepend
e des mouvements, ceux qui souffrent des yeux exerceront leur vue à l'
état
de sommeil. Car les suggestions produisent leur m
ximum d'énergie et l'effet thérapeutique obtenu est le plus grand à l'
état
de sommeil. On peut cependant quand même respec
de sommeil. On peut cependant quand même respecter les limites de l'
état
normal et se restreindre, de sorte qu'on évite de
ire le somnambulisme complet. Il faut, afin d'éviter la création d'un
état
vraiment anormal, s'appliquer à rendre le rapport
e le rapport du dormeur avec le dehors aussi minime que possible. L'
état
anormal, le somnambulisme est créé du moment que
sprit désagrégé par le sommeil s'associe de nouveau et forme un autre
état
de conscience. Ceci relève de la pathologie ou
ant souvent les suggestions, cette ataxie peut aussi se présenter à l'
état
de veille. Et personne ne contredira que voilà un
qn'on les voit dans le service de M. Bernheim, réalisant d'emblée à l'
état
de veille chaque suggestion, sont des personnes n
venue permanente. Je ne me sens pas avoir le droit de produire un tel
état
chez mon prochain. Il en est de même quant au d
ne soit aucunement nuisible pour la personne. Cependant, cela crée un
état
anormal qu'on n'est pas autorisé à produire sans
s pendant son sommeil hypnotique, sans qu'elle s'en rendit compte à l'
état
de veille. Un beau jour, je réveillai les souve
ion, vous leur montrez qu'il est possible de dominer et de guérir des
états
pathologiques par des fonctions psychiques, par d
ous comprendrez que le siège du gouvernement doit se trouver dans les
états
psychiques conscients et que la direction executi
ut servir de principe capital dans le traitement de quantité d'antres
états
morbides, dans la plupart des névroses et même da
pulmonaire (f) par des agents psychiques, amélioration portant sur l'
état
général. Quand on admet l'existence et le pouvo
ont : Si vous endormez vos malades et si vous les traitez pendant cet
état
de sommeil, comment pouvez-vous parler alors d'un
dans beaucoup de cas je m'efforce à ne produire chez le malade qu'un
état
somnolent, qui n'est pour ainsi dire qu'un état d
chez le malade qu'un état somnolent, qui n'est pour ainsi dire qu'un
état
de passivité dans lequel se tient la personne cou
t psychique. — Dans d'autres cas, dans la mélancolie, l'insomnie, les
états
d'anxiété et d'angoisse, nous nous efforçons au c
e l'effort de volonté conscient fait avant le sommeil agira pendant l'
état
de repos. Il va sans dire qu'on doit s'attendre
ante; même la doctrine de la suggestion, l'idéoplastie et l'étude des
états
somnambuliques me paraissent absolument incompréh
orel. On entend par la le pouvoir inhérent aux idées d'Influencer des
états
phytiques. Par exemple, la production de stigmate
sible après chaque séance. Le résultat favorable s'est conservé, el l'
état
du malade reste stationnaire. Que peut-on désir
ir des actes utiles i sa guérison. On peut faire do ta suggestion à l'
état
de veille, tans sommeil, car la suggestion thérap
pour exalter la suggestibilité; il ne modifie rien : ce n'est pas on
état
pathologique, comme on l'a dit, c'est un phénomèn
ttre que nous n'avons rien produit chez lui et qu'il est dans le même
état
psychique que précédemment. II y a un moment où
ésapprouver qu'on ait ainsi posé la question : L'hypnotisme est il un
état
de sommeil normal physiologique ou un état anorma
n : L'hypnotisme est il un état de sommeil normal physiologique ou un
état
anormal, pathologique? M. Bernheim prétend que c'
ue ou un état anormal, pathologique? M. Bernheim prétend que c'est un
état
normal ; d'antres affirment le contraire. De quel
la vérité 1 Nous ne connaissons même pas le sommeil naturel dans ses
états
profonds et dans ses modifications individuelles;
érapeutique qui ne serait pas basée sur l'observation rigoureuse de l'
état
mental du malade, sera vouée a l'impuissance. C
e, sera vouée a l'impuissance. Ce qui caractérise essentiellement l'
état
psychique du morphinomane, c'est l'engourdissemen
ntent les personnes atteintes de luxation congénitale de la hanche. L'
état
général était des plus défectueux et la faiblesse
fut de courte durée, au mois de septembre de la même année, étant en
état
de grossesse, son médecin lui exprime la crainte
rt avec les troubles mentaux que présentent les malades, ni avec leur
état
de faiblesse au moment du début du traitement. El
les mouvements imprimés à la tête pendant le sommeil de suggestion, l'
état
anormal disparut au bout de dix minutes et la gué
e que je n'avais pu faire, la religieuse de celle section le fit. a l'
état
de veille, en s'y prenant avec plus de douceur et
existe pas dans le second et se trouve ici remplacée uniquement par l'
état
de crise hystérique bien déterminé. Ces conditi
es suggestions, elle peut rester un certain temps dans le cerveau a l'
état
latent, pour ne se développer que plus tard, sous
, consistant surtout en certaines zones d'hyperes-thésie cutanée. A l'
état
de repos, il a fréquemment les muscles supérieurs
s hystériques DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE L'amaurose hystérique et l'
état
hypnotique. Un récent article de M. Pierre Jaue
i faits pour reproduire les résultats de l'expérience sur l'homme à l'
état
de veille. Dominé pendant longtemps par l'idée qu
alisée des centres percepteurs qui en prennent connaissance, soit à l'
état
d'isolement, soit a l'état de combinaison ou de f
urs qui en prennent connaissance, soit à l'état d'isolement, soit a l'
état
de combinaison ou de fusion, suivant la diversité
enter moi-même dans une prochaine note. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
ÉTAT
MENTAL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DÉNONCIATION DE CRI
oiture qui pourrait receler un cadavre. Mettre les trois personnes en
état
d'arrestation. Après avoir envoyé cette dépêche
armerie où il me fit demander, à onze heures du soir, pour examiner l'
état
mental de la fillette. Angélina interrogée par
t la demande de notre rapport, et étant donné que l'appréciation de l'
état
mental exige souvent des examens répétés et une l
cutanée ou des organes des sens, nous n'hésiterions pas à ranger cet
état
mental dans celui qui caractérise l'hystérie, mai
iques, pour les raisons que nous avons données, présente cependant un
état
psychique en rapport avec celui de ces dernières.
t menteuse. CONCLUSIONS Nous nous trouvions donc en présence d'un
état
mental tout particulier et de manifestations inte
rer sur elle l'attention publique? M. le Dr Huchard (I) a fait de l'
état
mental des hystériques une étude très complète, e
ns troubles physiques et confirmée par les seules manifestations de l'
état
mental. Assurément, ce genre d'hystérie est à sui
er et de quinquina n'ont modifié que tres peu et très passagèrement l'
état
de la malade, et, depuis une année, la mère de l'
in penchant. RECUEIL DE FAITS Chorée guérie par la suggestion A l'
état
de veille. M. Gibert (du Havre) a publié, dans
enfant de douze ans. guérie d'une chorée grave par la suggestion à, l'
état
de veille. Voici comment s'exprime notre distingu
visage est agité par des grimaces incessantes. Le regard est atone. L'
état
mental en tel que les parents croient que leur fi
tout au moins une hypnose passagère? Cela n'est il pas indiqué par l'
état
d'immobilité dans laquelle elle est plongée et au
et peut être profondément hypnotisé, tout en gardant l'apparence de l'
état
de veille? ' De la suggestion dans le sommeil c
ntrée par la clinique et par les expériences faites sur des sujets en
état
d'hypnotisme. Rappelons le malade du professeur C
J.-B. Charcot. Deux jeunes hystériques furent placées par lui dans l'
état
de somnambulisme. On leur suggéra que, tout en po
vaille, va et vient, tout en délirant; mai» comme le délire, dan» cet
état
, est très cohérent, sans hallucinations, sans idé
stinct. (Progrès medécal, n° 25, 1892.) minutes le 18 septembre, eu
état
de condition, seconde, ayant des attaques eon-vul
e, le temps écoulé depuis celte époque étant comme non avenu pour son
état
conscient habituel. Nous n'entreront pas dans l
er l'usage de ses sens. demeurant aveugle, sourde et muette. Dans cet
état
, non seulement elle est aphasique, mais encore l'
ue convnlsive qui interrompt l'entretien. La crise passée, sans que l'
état
antérieur ail été modifié, la malade fait signe q
, ce qui n'a rien de contradictoire; pourtant, elle l'est moins qu'en
état
hypnotique, ou si ce mot ne parait pas suffisamme
i ce mot ne parait pas suffisamment justifié, lorsqu'elle est dans un
état
artificiel qui se produit quand nous lui commando
'effet. Que se passe-t-il ? La malade entre-t-elle réellement dans un
état
hypnotique au sens propre du mot ? Elle change to
n état hypnotique au sens propre du mot ? Elle change tout au moins d'
état
somnambulique, car pendant cette période de cinq
r les yeux et après vous pourrez voir ». pour que ces suggestions à l'
état
simple fussent suivies d'un plein effet. Quoi q
is a pu recevoir les suggestions appropriées a son mal et sortir d'un
état
dont on a peine a se figurer les tortures morales
a mort, si on ne savait que les hystéro-épileptiques ont des grâces d'
état
pour supporter les misères de leur lamentable exi
stifier cette manière de voir, notamment celle sur l'Analogie entre l'
état
hypnotique et l'état normal (avril 1888), et réce
de voir, notamment celle sur l'Analogie entre l'état hypnotique et l'
état
normal (avril 1888), et récemment (novembre 1891)
e la puissance de l'esprit sur le corps. Certes, nous savions que des
états
psychiques sont provoqués par des états corporels
Certes, nous savions que des états psychiques sont provoqués par des
états
corporels, que nous voyons par les yeux, que nous
u siècle dernier, nous avons ignoré que l'idée pouvait faire surgir l'
état
corporel correspondant, que nous pouvions voir ce
ouver un tel et un tel. Ils n'ont réussi qu'à me mettre dans tous mes
états
et à me donner grand mal de tète. Mon médecin, qu
en aviez pas sur vous-même. Je viens de vous prouver que vous êtes en
état
, non pas seulement de surmonter la douleur, mais
été. Son cerveau, qui avait été ai ébranlé, est maintenant en parfait
état
; elle est allée dernièrement voir sa sœur à B...
nt m'a dit que c'était de la dépression. Cette syncope, ou plutôt cet
état
(car il n'y avait pas évanouissement) lui était e
lution. Ainsi donc, cette personne, — dirons-nous qu'elle était à l'
état
d'hypnose? — subissait un ascendant normal, l'asc
de la réalisation de mes prédictions optimistes. Tout en soignant son
état
mental, je régularisai ses fonctions menstruelles
rde-robes, et par là ses digestions; en un mot, l'amélioration de son
état
physique vint corroborer l'amélioration de son ét
élioration de son état physique vint corroborer l'amélioration de son
état
psychique, c'est ce qui résulte du reste do la le
droit qui n'avait pas cessé depuis lors. Il faut dire aussi que cet
état
morbide avait été précédé d'uu allaitement qui av
ide par submersion dan» te canal Saint-Martin. Voici quel était son
état
fin juin 1888 : Physionomie triste, souffrante.
horéiforme lorsque je l'ai vue pour la première fois, en 1888, et cet
état
s'était récemment compliqué de troubles mentaux g
ui prévaut aujourd'hui. Les attaques convulsives, les émotions, les
états
morbides sont des causes ordinaires des contractu
intint quelques heures durant, mais, les douches et la suggestion a l'
état
de veille par de continuelles recommandations : «
malade en sommeil profond ou eu somnam-bulisme, c'est-à-dire dans un
état
allant de pair avec l'anaigésie complète et dans
ur de la Faculté constate en effet une affection organique du cœur en
état
de compensation. Aussi dut-on répondre par l'affi
dre? C'était une fausse émeute ! Ces gens sont du reste dans un tel
état
de surexcitation nerveuse que le moindre bruit le
u prodige. Cet empressement gestion inconsciente, de suggestion à l'
état
de veille! Le problème, comme on le volt, se comp
it livre où M. Cullerre a essayé d'exposer, d'une façon impartiale, l'
état
de la thérapeutiqne suggestive. Après avoir étu
s l'homme, réduit à ses propres forces, ne vivrait pas ou vivrait à l'
état
sauvage ; il formule les règles, les principes, l
une collection d'instruments, photographies, cartes, livres, etc., l'
état
actuel de la psychologie expérimentale. » On es
Steenske bogtrykkeri, 1892) Longbois. — Contribution à l'étude de l'
état
mental des hysteriques. (Une brochure in-8° de 25
res entières à guetter un trou de souris, etc. (4). L'existence à l'
état
physiologique de l'imitation chez des animaux de
lle se montra triste, distraite, éprouvant le matin, à son réveil, un
état
d'enervement difficile à dissiper. Au commencem
-épilepsie ; l'écume lui vint à la bouche. Cet accès fut suivi d'un
état
de délire qui dura quatorze jours. Pendant son dé
entendu réciter l'alphabet jusqu'à la lettre P. Dans cette séance, l'
état
de somnambulisme est obtenu. La suggestion faîte
écrivons : » Je ne puis vous donner que de bonnes nouvelles, car mon
état
de santé est excellent ». 28 décembre 1892. — L
emps-la elle s'est sentie toute transformée, tandis qu'auparavant son
état
s'aggravait malgré l'emploi de tous les médicamen
a certitude de sa suggestibilité motrice, je lui suggère ensuite, à l'
état
de veille, que ses jambes vont fléchir et qu'il v
ourrait l'endormir. Il fut cependant assez influencé et plongé dans l'
état
de somnolence. Comme le précédent sujet, il se mo
ce qui concernait la motilîté. Sur une simple suggestion, faite à l'
état
de veille, ce malade, qui ne tombait que dans un
je remontai auprès de la jeune V... el cherchai à m'éclaîrer sur son
état
. Je coustatai en premier lieu une auesthésie a
La Lueue. L'enfant avala ainsi une bonne lasse de lait. Tel était l'
état
de la jeune V... en arrivant au Vésînet. Le soir,
a soumettre chaque jour au massage des membres cl à la douche, mais l'
état
général était resté stationnai re. Vers la fin
nomme post-hypnotique. Quand on suggère quelque chose à un sujet, à l'
état
de veille, avant la production de l'hypnosc, et q
ction de l'hypnosc, et que l'idée suggérée doit se réaliser pendant l'
état
d'hypnose subséquent, on doit se réaliser sous l'
hyp-notaxie ; troisième degré, profond sommeil (somnambulisme). A l'
état
de somnolence, la personne peut facilement repous
térise, doit au moins supporter une réduction, car une suggestion à l'
état
de veille peut être plus efficace qu'une hypnotiq
dans un sommeil assez profond, il ne se manifesta cependant dans son
état
normal aucun changement appréciable. C'est pourqu
vec l'aide du chloral. Les suggestions qui lui furent faites dans cet
état
hypnotique restèrent sans sucess parce que. comme
omme le malade le dit lui-même, il était convaincu que seulement en l'
état
de complète hypnose, avec amnésie, une suggestion
eux chutes de cheval successives, et il en était résulté chez elle un
état
pathologique grave. Une première période avait ét
entée de E... Cette note contribuera à fixer ses antécédents et son
état
pathologi-qoe avant l'événement possible qui reje
sur la personne de son enfant, envoyé à l'hôpital pour examen de son
état
mental, a eu hier une crise épileptiforme dans te
cclusion des paupières aussitôt pratiquée change en somnambulisme cet
état
de fascination, et l'insufflation sur les yeux am
alors sentir plus vivement la triste situation où il se trouve. A l'
état
de veille. E... accepte toutes les suggestions: o
: elle lui en donne. (Nous avons omis de dire que, couturière de son
état
, elle travaillait beaucoup, suffisamment pour avo
elque* instants dans la chambrée avant d'être mené en prison. Or, à l'
état
de veille, il prétendait avoir perdu connaissance
nt ouverts. Il y a donc eu là une manifestation nette, d'un véritable
état
second sur l'importance duquel nous aurons à reve
ales ont été faites de la façon suivante : d'abord le malade étant en
état
d'hypnose, puis le malade étant éveillé. Ces deux
ensité possible, et de permettre à l'observateur de suivre la série d'
états
de conscience du sujet à l'eut de veille, le suje
s sont typiques, les papiers qu'il écrivait chaque jour, pour noter l'
état
de son âme. Il craint jusqn'à l'acquittement, de
ade est la droite), sans gonflement. La contracture n'existe pas; l'
état
des poumons est excellent. Nous nous demandons
ma ade est mise en observation. Le 5 mai, l'enfant est eu très bon
état
. L'examen de la région, pratiqué plusieurs fois
déformation de la fesse peut être causée par certaines attitudes. L'
état
général du malade doit être aussi examiné. La neu
ctère. Il est permis de se demander s'il n'existe pas, chez elle, cet
état
mental particulier que Dufestel a signalé chez le
doit accepter ce genre de témoignage qu'après s'être bien enquis de l'
état
psychique de son auteur, et aussi après avoir su
i puissent faire songer à ce que l'on pourrait appeler l'hystérie à l'
état
naissant. (1) Motet : Ann. d'hyg. pub. et med.
pire. Elle était dans une période menstruelle et il en est résulté un
état
hémorrhagique qui a duré plusieurs mois. Depuis,
bilité et de la contractilité musculaire (courants induits) pendant l'
état
de sommeil. — Insensibilité de la moitié droite d
se coucher d'elle-même. A dix heures et demie, nous la trouvons en
état
cataleptique; elle est étendue sur son lit toute
endance a l'arc de cercle. La pression des ovaires ne modifie pas cet
état
A ce moment le thermomètre donne 36. 3 sous l'ais
ées |«ar des tribus de toute la presqu'île arabique (l), existait à l'
état
de coutume générale. L'histoire de la circoncisio
. Je l'ai déjà reçu une dizaine de fois. J'ai assez bien adouci son
état
par suggestion. Il va mieux et se guérira, j'en a
étudier plus facilement ces symptômes si complexes; il a établi trois
états
hypnotiques fondamentaux : l'état léthargique, l'
es si complexes; il a établi trois états hypnotiques fondamentaux : l'
état
léthargique, l'état cataleptique et l'état somnam
a établi trois états hypnotiques fondamentaux : l'état léthargique, l'
état
cataleptique et l'état somnam-bulique. L'état l
pnotiques fondamentaux : l'état léthargique, l'état cataleptique et l'
état
somnam-bulique. L'état léthargique est caractér
l'état léthargique, l'état cataleptique et l'état somnam-bulique. L'
état
léthargique est caractérisé par la résolution mus
une pression modérée sur un muscle, il se contracte et reste dans cet
état
tant que dure l'excitation. L'état cataleptique
l se contracte et reste dans cet état tant que dure l'excitation. L'
état
cataleptique se reconnaît à la fixité du regard,
ns croisées, pour que «on visage prenne une expression extatique. L'
état
somnambulique se caractérise par l'analgésie cuta
lité de certains sens et la suggestibilité des sujets : l'individu en
état
de somnambulisme parait endormi, il répond aux qu
et exécute aveuglément les ordres qu'on lui suggère. Chacun de ces
états
peut être primitivement ou secondairement, suivan
rocédés hypnogènes ou qu'il provienne de la transformation d'un autre
état
. Voilà, en résumé, la doctrine de Charcot, qui
ni exagération des réflexes tendineux. Est-ce la léthargie? dans cet
état
comme dans tous les états hypnotiques, et j'insis
xes tendineux. Est-ce la léthargie? dans cet état comme dans tous les
états
hypnotiques, et j'insiste sur ce fait, l'hypnotis
si on insiste et si on lui dit qu'il peut parler... Le sujet dans cet
état
est apte a manifester les phénomènes de catalepsi
pnotique suggestive. » Se basant sur ces idées, Bernheim divise les
états
hypnotiques en neuf degrés : Dans le premier degr
tiques et post-hypnotiques. Fig. I. — Schéma représentant les trois
états
du sommeil hypnotique-. (D'apres Luys.) Résumon
les Écoles hypnotiques de Paris et de Nancy. Pour la première, trois
états
caractéristiques se produisent : le somnambulisme
ces idées premières. Ainsi, tandis que cet auteur considère les trois
états
hypnotiques comme pouvant se développer primitive
e : somnambulisme, catalepsie, léthargie; la léthargie serait ainsi l'
état
le plus profond de l'hypnotisme. Certains sujets
l'état le plus profond de l'hypnotisme. Certains sujets « brûlent les
états
somnambuliques et cataleptiques », comme dit Luys
mme dit Luys, c'est-à-dire qu'ils tombent tellement rapidement dans l'
état
léthargique, qu'on ne peut pour ainsi dire pas ap
argique, qu'on ne peut pour ainsi dire pas apercevoir les deux autres
états
par lesquels ils ont passé. Nous avons entendu
té : il y montrait deux beaux sujets qui tombaient au commandement en
état
léthargique; on pouvait facilement les faire reve
ment en état léthargique; on pouvait facilement les faire revenir aux
états
précédents par certaines manœuvres. Voir ci-dessu
uys a fait faire à ce sujet. Richet (2) a appelé l'attention sur un
état
qu'il appelle cataleptoïde et qu'il ne faut pas c
que n'est plus susceptible d'être divisé en deux périodes distinctes:
état
léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculai
stinctes: état léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculaire et
état
cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui pa
excitabilité neuro-musculaire et état cataleptique. C'est une sorte d'
état
mixte qui paraît tenir des deux à la fois, et qui
ations les symptômes cataleptoïdes dont il est question ». Dans cet
état
cataleptoïde, il n'y a généralement pas hyperexci
croquis hypnologique dressé par Charcot : il étudie un grand nombre d'
états
hypnotiques mixtes et frustes, tels qu'on les ren
isme. tranchés qui se trouvent rarement réalisés dans la nature à l'
état
de pureté parfaite. « On les rencontre de loin
. - « En revanche, on observe très souvent, chez les hystériques, des
états
hypnotiques mixtes et frustes ressemblant par que
mixtes et frustes ressemblant par quelques-uns de leurs symptômes aux
états
typiques décrits par Charcot, mais en différant p
les variétés sont indiquées dans le tableau ci-après : Variétés des
états
hystéro-hypnotiques. ÉTATS TYPIQUES 1o État l
ans le tableau ci-après : Variétés des états hystéro-hypnotiques.
ÉTATS
TYPIQUES 1o État léthargique... 2° Étal catal
° Étal cataleptique... 3° État somnambulique. 4° États frustes.
ÉTATS
MIXTES OU FRUSTES ?. État léthargoïdo les yeux
que. d. État onéirique. e. État de veille somnambulique. Dans l'
état
léthargoïde, il n'y a pas. comme dans la grande l
ès le réveil, il l'exécute, la surdité n'était donc qu'apparente; cet
état
léthargolde peut exister les yeux fermés et les y
r les yeux fermés et les yeux ouverts, d'où deux formes distinctes. L'
état
lélhargoïde lucide est caractérisé par une stupeu
érale avec conservation de la conscience et souvenir au réveil. Les
états
cataleptoïdes diffèrent de la catalepsie véritabl
on leur donne; malgré cela, les membres conservent les attitudes. Cet
état
catalepiolde peut se produire les yeux ouverts où
e des contractions, la pression des nerfs ne produisant rien. Enfin l'
état
d'extase, que l'auteur considère encore comme app
, se produit facilement en faisant de la musique devant les sujets en
état
cataleptique. Les états hypnotiques dérivés du
n faisant de la musique devant les sujets en état cataleptique. Les
états
hypnotiques dérivés du somnambulisme sont plus no
bulisme sont plus nombreux encore que ceux qui appartiennent aux deux
états
précédents. Dans l'état de fascination, le sujet
x encore que ceux qui appartiennent aux deux états précédents. Dans l'
état
de fascination, le sujet imite servilement et aut
te servilement et automatiquement tous les gestes de l'hypnotiseur; l'
état
paraphrenique est caractérisé par une sorte de dé
es, de paroles en rapport avec les corruptions délirantes du sujet; l'
état
onéirique diffère du précédent parce que le délir
ue le délire est purement et simplement un délire de paroles; enfin l'
état
de veille somnambulique est celui dans lequel les
ssant éveillés, accomplissent les suggestions qu'on leur donne. Les
états
frustes de l'hypnotisme diffèrent A peine de l'ét
eur donne. Les états frustes de l'hypnotisme diffèrent A peine de l'
état
normal, le sujet est engourdi, somnolant mais non
vent servir de point de repère, mais on ne peut, avec son tableau des
états
hypnotiques, caractériser tous les états qui peuv
e peut, avec son tableau des états hypnotiques, caractériser tous les
états
qui peuvent se présenter: c'est qu'en effet, tous
er de toutes les manières imaginables, et créer ainsi une multitude d'
états
hypnotiques nouveaux. Que devons-nous penser en
les nombreux étals transitoires qui existent entre cette névrose et l'
état
normal. Observation 1. — Jeanne U... possède en
inrent, au bout de trois à quatre minutes, à mettre la malade dans un
état
d'engourdissement manifeste : les yeux étaient ou
eilla bientôt. Sa migraine avait disparu, elle avait donc bien été en
état
do soggestibitité sans pour cela avoir présenté d
motilité et le sens musculaire sont intacts. Fig. 1 - Jean S... à l'
état
de veille. Fig. 5. — Jean S... en état somnanbu
ts. Fig. 1 - Jean S... à l'état de veille. Fig. 5. — Jean S... en
état
somnanbuloïde, 2e degré- Par la fixation d'un o
s. On ne peot obtenir le somnambulisme les yeox ouverts ; aucun autre
état
ne se manifeste, même en répétant fréquemment l'h
ses, Célesttne ferme les yeux au bout de quelques secondes : dans cet
état
, elle entend et obéit, sa sensibilité est normale
d'un objet brillant, l'hypnotisation est complétée par des passes ; l'
état
dans lequel elle se trouve se rapproche du somnam
voisines. En soulevant. les paupières d'Eudoxie, on transforme son
état
somnambuloïde les veux fermés, en état somnambulo
s d'Eudoxie, on transforme son état somnambuloïde les veux fermés, en
état
somnambulolde les yeux ouverts ; elle a les appar
s jeux se ferment et ses muscles son: en résolution; elle présente un
état
absolument semblable A celui de la malade précéde
ésente un état absolument semblable A celui de la malade précédente :
état
somnambuloide avec conserva-tion de la sensibilit
s efforts sans y parvenir. En soulevant les paupières, on détermine l'
état
somnambulolde les yeux ouverts que nous a présent
senté la malade de l'observation VI. Il a été impossible d'obtenir un
état
de sommeil plus profond. Observation VIII. — Mm
au somnambulisme véritable. L'élévation des paupières transformait l'
état
somnam-bulique les yeux fermés en état somnambuli
n des paupières transformait l'état somnam-bulique les yeux fermés en
état
somnambulique les yeux ouverts, tous les autres p
n. le calme revint bientôt. Jamais nous n'avons pu déterminer d'autre
état
que ces deux variétés de somnambulisme. Observa
ques, caractères qui tous appartiennent au somnambulisme véritable. L'
état
somnambulique les yeux fermés peut se transformer
éritable. L'état somnambulique les yeux fermés peut se transformer en
état
analogue les yeux ouverts. L'hynotisa-tion répété
ouverts. L'hynotisa-tion répétée ne parvint pas i provoquer un autre
état
hypnotique. Fig. 13. — Champs visuels de Louise
erts. En répétant l'hypnotisation, nous n'avons pn amener aucun autre
état
. Observation XI. — Adrienne C....agée de vingt
d'ouvrir les yeux, elle se réveille. Au bout de quelques séances, cet
état
somnambuloïde est remplacé par le somnambulisme v
i, et cela en continuant les pa»ses alors que la ma!ade était déjà en
état
somnambulolde. La sensibilité disparut et le somn
s onze observations que nous venons de rapporter, on voit combien les
états
hypnotiques dérivant du somnambulisme sont variab
bservation II. et Mme M ... de l'observation III. se trouvent dans un
état
un peu plus profond, leurs yeux sont fermés, mais
ervation IV, et Célestine B.... de l"observation V. sont dans le même
état
que les malades précédents, mais elles ne peuvent
rvation VI. et Julie M..., de l'observation VII. présentent encore un
état
somnambuloïde avec conservation de la sensibilité
vrir spontanément les yeux; mais, si on soulève leurs paupières, leur
état
somnambuloïde les yeux fermés se transforme en ét
s paupières, leur état somnambuloïde les yeux fermés se transforme en
état
somnambuloïde les yeux ouverts. Enfin Mme B...,de
les mêmes phénomènes; d'après cela, nous pouvons admettre, parmi les
états
se rapportant au somnambulisme, deux variétés fon
ats se rapportant au somnambulisme, deux variétés fondamentales : tes
états
somnambu-loides et tes états somnambuliques propr
lisme, deux variétés fondamentales : tes états somnambu-loides et tes
états
somnambuliques proprement dits. Les états somna
ts somnambu-loides et tes états somnambuliques proprement dits. Les
états
somnambuloïdes sont ceux que nous ont présentés l
risés par la conservation de la conscience et de la sensibilité : les
états
somnambuliques nous ont été offerts par les quatr
conscience, d'automatisme et de perte de la sensibilité. Parmi les
états
somnambuloïdes, nous devons admettre quatre varié
es : 1° Engourdissement sans perte de conscience ni de sensibilité,
état
cessant aussitôt que les moyens hypnogènes sont s
les yeux, il fait de vains efforts. Si on soulève les paupières, cet
état
somnambuloïde les yeux fermés, se transforme en é
s paupières, cet état somnambuloïde les yeux fermés, se transforme en
état
analogue les yeux ouverts (observations VI et VII
t analogue les yeux ouverts (observations VI et VII). Dans tous ces
états
somnambuloïdes la conscience et la sensibilité pe
, mais il n'exécute pas les ordres contraires à son sens moral. Les
états
somnambuliques véritables se caractérisent par la
ent par la perte de la conscience et rie la sensibilité : le sujet en
état
somnambuloïde n'exécutait pas l'ordre qui lui rép
en état somnambuloïde n'exécutait pas l'ordre qui lui répugnait ; en
état
somnambulique il agit automatiquement, sans contr
voit dans les observations VIII, IX. X. et XI. il y a deux variétés d'
états
somnambuliques : ° État somnambulique les yeux
formes se rapportant au somnambulisme peuvent trouver place dans ces
états
types. Voici, en regard l'un de l'autre le tablea
n regard l'un de l'autre le tableau donné par Pitres pour classer ces
états
, et le nôtre : TABLEAU DE PITRES État somnamb
EUR a. Engourdissement, sans perte de conscience ni de sensibilité,
état
cessant aussitôt que les moyens hypnogènes sont s
es paupières, cet étal somnambuloïde les yeux fermée se transforme en
état
analogue les yeux ouverts. perte de la conscien
ôpital de Molenbeck, elle avait journellement plusieurs crises. Son
état
général était boa, elle se plaignait de douleurs
touillement, le pincement, la piqûre, Fig. 16. — Josephine D... » l'
état
de veille. Fig. 17, — Joséphine D... en somnamb
L'œil droit est plus clairvoyant que le gauche, ce qui correspond à l'
état
des champs visuels L'ouïe, l'odorat, le goût, s
e période épileptoïde pendant laquelle Fig. 18. — Joséphine D... en
état
cataleptoïde les yeux fermés. Fig. 19. — Joseph
en état cataleptoïde les yeux fermés. Fig. 19. — Josephine D... en
état
cataleptoïde les yeux ouverts. la malade se rai
riode cloniqne accompagnée de cris ; après racées, elle tombe dans un
état
de sommeil comateux pendant plus ou moins longtem
anée, suggestibilité, etc.; en relevant les paupières, on provoque un
état
somnambulique les yeux ouverts, la sensibilité re
la troisième séanee nous avons obtenu, en prolongeant le sommeil, un
état
cataleploïde spécial, non pas la catalepsie vérit
, mais ses membres conservaient les attitudes qu'on leur donnait. Cet
état
catalep-toïde les yeux fermés pouvait être transf
Cet état catalep-toïde les yeux fermés pouvait être transformé en un
état
analogue les yeux ouverts, en relevant les paupiè
t l'expression de la prière. Nous n'avons jamais pu obtenir d'autre
état
que celui que nous venons de décrire. Observati
Par la fixation du regard, la malade s'endort bientôt et passe a l'
état
de somnambulisme avec perte de sensibilité et sug
ond aux questions et l'on peut, en lui ouvrant les yeux, provoquer un
état
somnambulique les yeux ouverts. A la seconde sé
ns continué les passes lorsque la malade était en somnambulisme et un
état
cataleptique s'est déchue : les yeux étaient ferm
e monde extérieur ; en maintenant les yeux ouverts quelque temps, est
état
cataleptique les yeux fermés se changeait en un
que temps, est état cataleptique les yeux fermés se changeait en un
état
cataleptique les yeux ouverts, correspondant au v
en un état cataleptique les yeux ouverts, correspondant au véritable
état
cataleptique de Charcot. Nous avons pu depuis r
ais jamais la léthargie ne s'est montrée. Fig 21. Collette H... à l'
état
de veille. Fig, 22 — Collette H... en somnambul
g, 22 — Collette H... en somnambulime- Fig. 23. — Collette- H... en
état
cataleptique les yeux fermés. Fig- 24. — Expres
t, au bout de quelques minutes, à produire le sommeil hypnotique. L'
état
qui se présente alors ne ressemble plus à ceux qu
, jusqu'ici, le somnambulisme se produisait toujours avant tout autre
état
, chez Alice, l'état léthargique se montre d'emblé
ambulisme se produisait toujours avant tout autre état, chez Alice, l'
état
léthargique se montre d'emblée. Immédiatement il
voque une contracture très manifeste, enfin les muscules sont dans un
état
de relâchement complet et les yeux sont dirigés f
ntient les yeux de ta malade quelques instants ouverts, on produit un
état
léthargique les yeux ouverts, absolument analogue
produit un état léthargique les yeux ouverts, absolument analogue à l'
état
léthargique les yeux fermés : alors le regard se
25. — Alice V... en Fig. 26, — Alice V... en Fig. 27. — Alice V... à
état
léthargique les état lethargique les l'état de ve
Fig. 26, — Alice V... en Fig. 27. — Alice V... à état léthargique les
état
lethargique les l'état de veille, yeux ouverts.
n Fig. 27. — Alice V... à état léthargique les état lethargique les l'
état
de veille, yeux ouverts. yeux fermes. Pour ré
faut souffler éner-giquement à différentes reprises sur les yeux. Ces
états
léthargiques se sont manifestés dès la première s
En résumé donc, dans l'observation XII, nous avons obtena d'abord l'
état
somnambulique véritable, les yeux fermés et les y
n rendant l'hypnose plus profonde, nous avons va se produire les deux
états
cataleptoïdes décrits par Pitres, avec conservati
. Collette H..., de l'observation XIII, présente également les deux
états
somnambuliques véritables que nous avons décrits
its précédemment; en poursuivant l'hypnose, cette malade tombe dans l'
état
cataleptique les yeux fermés, caractérisé par la
ence d'audition et de suggestibilité; en soulevant les paupières, cet
état
se tranformait en catalepsie les yeux ouverts : l
ques très caractérisées, dont les crises nombreuses sont suivies d'un
état
de sommeil comateux rappelant un peu les états ca
euses sont suivies d'un état de sommeil comateux rappelant un peu les
états
cataleptiques et léthargiques; nous n'avons pu ob
phases chez des sujets ordinaires, ce qui semblerait prouver que ces
états
cataleptiques et léthargiques ne sont que des som
us ou moins profond. D'après ces observations, on voit qu'outre les
états
bien définis de catalepsie et de léthargie décrit
catalepsie et de léthargie décrits par Charcot, il faut admettre des
états
incomplets sur lesquels Pitres a attiré l'attenti
s sur lesquels Pitres a attiré l'attention. Nous avons observé quatre
états
différents se rattachant à la catalepsie : 1° É
ur. b. Les yeux ouverts. Pour la léthargie, nous avons observé deux
états
, mais en prenant en considération les cas observé
s yeux ouverts. Pour terminer ce qui concerne la classification des
états
hypnotiques, nous devons mettre en regard l'un de
'un de l'autre le tableau donné par Pitres et le notre. variété Des
ÉTATS
HYSTÉRO-HYPNOTIQUES D' a près PITRES 1° État lé
d. État onéirique. c. État de veille somnambulique. TABLEAU DES
ÉTATS
HYPNOTIQUES D'APRÈS L'AUTEUR Etats se rattachan
nt influencés par ces pratiques. Les premiers ne présentèrent que des
états
incomplets du somnambulisme, les autres montrèren
ésenté ni la catalepsie, ni la léthargie. Il semble donc que depuis l'
état
de veille jusqu'au véritable somnambulisme, il y
mnambulisme, il y ait une série de transitions parmi lesquelles les
états
cataleptiques et léthargiques ne trouvent pas pla
s avons observé la catalepsie, nom avons vu passer successivement les
états
somnambuliques puis cataleptiques : les malades d
, la malade qui nous l'a présentée ne permettait pas d'apercevoir les
états
somnambuliques et cataleptiques intermédiaires, c
mmunément : les personnes peu sensibles à l'hypnotisme présentent des
états
somnambuliques plus ou moins atténués, celles qui
thargiques ; ces derniers sujets passent, en général, d'abord par les
états
somnambuliques, puis par les états cataleptiques,
ssent, en général, d'abord par les états somnambuliques, puis par les
états
cataleptiques, enfin par les états léthargiques.
états somnambuliques, puis par les états cataleptiques, enfin par les
états
léthargiques. C'est pourquoi nous nous rangeons
à l'opinion de Luys, nous croyons que le somnambulisme est le premier
état
, la catalepsie le second et la léthargie le trois
ement. Un cas de contracture psychique guérie par la suggestion à l'
état
de veille, Par le Dr GOROMCHZE. Le 27 décembr
es contracturée. « Après lui avoir expliqué la différence de ces deux
états
et affirmé, en partant, que le lendemain elle pou
l. C'est surtout à partir de ce moment-là que l'amélioration de son
état
général était sensible. Impressionnable à l'excès
de Nice, MM. les Drs Fighiera, Moriez et Planai, avaient rédigé sur l'
état
mental de Valroff un rapport qui trahissait assez
n de médecins qui ne sont qu'occasionnellement appelés a anaty«er l'
état
psychique d'un aceusé. C'est pour cela quo la déf
cins compétents avaient formulé, à la demande de ion défenseur, sur l'
état
pathologique de l'accusé Valroff. « L'émotion d
son, il est permis à on médecin de se faire une opinion précise sur l'
état
mental d'au accusé lorsqu'il a sous les yeux le r
observé que la pression du vertex était susceptible de transformer l'
état
léthargique en état somnambulique ; Dumontpallier
sion du vertex était susceptible de transformer l'état léthargique en
état
somnambulique ; Dumontpallier a vu que cette pres
ier les phases du sommeil artificiel, soit de ramener brusquement à l'
état
de veille, les sujets préa-lablement hypnotisés »
méro précédent. 1° Les zones hypnogènes simples qui, comprimées à l'
état
de veille, déterminent invariablement une phase c
pnogènes a effets incomplet», dont la compression ne produit rien à l'
état
de veille, mais peut modifier les phases du somme
il le sache et sans qu'il le veuille. III. — De la mémoire dans les
états
hypnotiques. L'étude de la mémoire chez les suj
ant leur sommeil et qu'elles s'en rappellent lorsqu'on les replace en
état
de sommeil hypnotique. Plus récemment, Richet, Be
ions suivantes : 1° Les personnes hypnotisées se rappellent, dans l'
état
de sommeil, tout ce qu'elles ont appris antérieur
, tout ce qu'elles ont appris antérieurement lorsqu'elles étaient à l'
état
de veille. 2° Les personnes qui ont été hypnoti
ouvenir de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en
état
de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en état
qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en
état
de somnambulisme spontané ou provoqué se souvienn
u provoqué se souviennent de tout ce qu'elles ont appris, soit dans l'
état
de veille normale, soit dans les états hypnotique
u'elles ont appris, soit dans l'état de veille normale, soit dans les
états
hypnotiques antérieurs. Ces propositions repose
on. Il est évident que la mémoire ne peut être étudiée que dans les
états
hypnotiques dans lesquels le sujet entend, c'est-
les états hypnotiques dans lesquels le sujet entend, c'est-à-dire les
état
somnam-buloïdes, somnambuliques et certains états
nd, c'est-à-dire les état somnam-buloïdes, somnambuliques et certains
états
cataleptoïdes et léthargoïdes. Dans les cas que n
il se rappelait toujours de ce qu'il avait appris antérieurement, à l'
état
de veille ; cela aussi bien pour les deux états d
is antérieurement, à l'état de veille ; cela aussi bien pour les deux
états
dérivés du somnambulisme que pour les états catal
aussi bien pour les deux états dérivés du somnambulisme que pour les
états
cataleptoldes. Joséphine, en état cataleptoïde se
ivés du somnambulisme que pour les états cataleptoldes. Joséphine, en
état
cataleptoïde se rappelle tout ce qu'elle connaît
séphine, en état cataleptoïde se rappelle tout ce qu'elle connaît à l'
état
de veille. Une seule condition paraît nécessair
ons; ceci nous conduit à penser que la mémoire des choses connues à l'
état
de veille est conservée dans tous les états hypno
ire des choses connues à l'état de veille est conservée dans tous les
états
hypnotiques, mais que nous ne pouvons nous en con
gée. Comme nous l'avons établi, le somnambulisme comprend une foule d'
états
intermédiaires le reliant à l'état de veille; pou
omnambulisme comprend une foule d'états intermédiaires le reliant à l'
état
de veille; pour tous ces états, le sujet ne se ra
e d'états intermédiaires le reliant à l'état de veille; pour tous ces
états
, le sujet ne se rappelle-t-il pas au réveil de ce
vations précèdent. Jeanne U..., qui a présenté le premier degré des
états
somnambuloï-des, se rappelait parfaitement au rév
sommeil. Au contraire, tous les autres sujets, qui ont manifesté des
états
somnambuliques véritables, avec perte de conscien
de tout ce qui avait eu lieu pendant leur sommeil. Notre division en
états
somnambuloïdes et somnambuliques trouve ici encor
mmeil, un phénomène capital qui sépare complètement ces deux ordres d'
états
. Nous concluons donc, pour la seconde propositi
éveil, des faits écoules pendant le sommeil, se produit dans certains
états
hypnotiques que nous appelons somnambuloïdes. dan
utres auteurs : ici encore nous devons faire la distinction entre les
états
somnambuloïdes et les états somnambuliques : pour
ous devons faire la distinction entre les états somnambuloïdes et les
états
somnambuliques : pour les premiers, puisqu'il n'y
t passé pendant son sommeil précédent, comme il s'en rappellerait à l'
état
de veille. Dans les états somnambuliques véritabl
il précédent, comme il s'en rappellerait à l'état de veille. Dans les
états
somnambuliques véritables, ainsi que dans les éta
veille. Dans les états somnambuliques véritables, ainsi que dans les
états
plus profonds, nos sujets n'ont généralement pas
la troisième proposition émise- à propos de la mémoire des sujets en
état
de sommeil hypnotique : d'après nos recherches, l
en état de sommeil hypnotique : d'après nos recherches, les sujets en
états
somnambuloïdes sont les seuls qui se soient const
faits écoulés pendant une hypnotisât. :; antérieure: les personnes en
états
somnambuliques et cataleptoldes ne nous ont génér
orait, c'est que cette sensibilité s'extériorise : il se forme, dès l'
état
de rapport, autour de (l) De Rochas : Les états
: il se forme, dès l'état de rapport, autour de (l) De Rochas : Les
états
profonds de l'hypnose. Paris. 1892, p. 57. son
é, ainsi que nous l'avons dit, trois étals distincts : somnambulisme,
état
cataleptique les yeux fermés et état cataleptique
étals distincts : somnambulisme, état cataleptique les yeux fermés et
état
cataleptique les yeux ouverts. Dam l'état somnamb
leptique les yeux fermés et état cataleptique les yeux ouverts. Dam l'
état
somnambolique. Collette présentait, dès la premiè
e l'extériorisation de !a sensibilité est la règle chez les sujets en
état
somnambulique. Quant à la possibilité de charger
à la précédente. Joséphine D.... de l'observation XII, présente trois
états
distincts : état somnambulique, état cataleptoïde
oséphine D.... de l'observation XII, présente trois états distincts :
état
somnambulique, état cataleptoïde les yeux fermés
observation XII, présente trois états distincts : état somnambulique,
état
cataleptoïde les yeux fermés et état cataleptoïde
distincts : état somnambulique, état cataleptoïde les yeux fermés et
état
cataleptoïde les yeux ouverts : dans ces trois ét
es yeux fermés et état cataleptoïde les yeux ouverts : dans ces trois
états
, la malade reste en communication avec le monde e
tées pour véritables, sont certainement les plus fréquentes, soit à l'
état
de production purement fantaisiste et artificiell
à l'état de production purement fantaisiste et artificielle, soit à l'
état
d'exagération notable d'un symptôme vrai mais for
térique simule pour cette raison qu'elle est hystérique. C'est dans l'
état
mental, qui résulte de sa maladie et qui eu est u
ement transparent. Lui ayant montré la feuille pendant qu'elle est eu
état
d'hypnotisme, je lui dis qu'elle y verra encore s
ons aucune réaction; la main retombe inerte ou reste maintenue dans l'
état
où nous l'avons placée, mais les nerfs et les ten
rt du sujet et duperie pour l'observateur. L'existence de plusieurs
états
hypnotiques différents, les règles auxquels sont
ypnotiques différents, les règles auxquels sont soumis ces différents
états
et leur symptomalologie spéciale, peuvent donner
urnées entières, telle quelle, après le réveil. Mais, tant que dure l'
état
léthargique, on la (ait céder presque instantaném
imple contraction qui s'efface dès que l'excitation a cessé. Daus l'
état
somnambulique, au contraire, Fhyperexcilabilité n
de d'un souffle léger dirigé sur la peu, développer daus ce membre un
état
de rigidité qui diffère de la contracture liée à
u me renseigner. J'ai appliqué les deux formes de la suggestion a l'
état
de veille et a l'état de sommeil hypnotique j'ai
i appliqué les deux formes de la suggestion a l'état de veille et a l'
état
de sommeil hypnotique j'ai taché de stimuler un p
nature psychique de l'). par Bernheim. 84. Amaurose hystérique et l'
état
hypnotique (1). par Bernheim. l36. Amaurose hys
l'état hypnotique (1). par Bernheim. l36. Amaurose hystérique et l'
état
hypno-tiqne (l'). par Pierre Janet. 157. Amblyo
estive, par Dumontpallier, 173. Choree guérie par la suggestion a l'
état
de veille. 178. Circoncission envisagée comme u
e, necrologie, 352. Médecine et confession. 185. Mémoire dans les
états
hypnotiques (de la), 358. Minimum perceptible d
Soury, 46. Veille (opération sous l'influence de la suggestion à l'
état
de;, 215. Vision des couleurs (théorie de la),
ES CONTENUES DANS LE VOLUME Fig. 1. — Schéma représentant les trois
états
du sommeil hypnotique, 324. Fig. 2, 3, 6. 7, 8. 9
8, 19. 21. 22, 23. 24. 23, 26, 27. — Sujets plongés dans les divers
états
hypnotiques, 329 et suiv. Fig. 28, 29, 30. 31. —
ort impressionnée, dit-elle, d'en voir quelques-unes placées dans « l'
état
de catalepsie ». Elle éprouva néanmoins le vif
s elle est tombée à la renverse. On la tirait assez facilement de cet
état
en lui soufflant sur les yeux. Bien qu'elle n'eût
'autres 0: suggestions » que celles qui peuvent être communiquées a l'
état
de veille, elle est retournée chez ce même magnét
Plusieurs fois le magnétiseur ayant eu grand'peine à la tirer de l'
état
où il l'avait plongée, elle l'a entendu prononcer
s lors, en effet. les attaques continuent à paraître fréquemment et l'
état
mental est resté a peu de chose près ce qu'il éta
de catalepsie, voir également Richer,l oc. cit., chap. Catalepsie et
états
cataleptoïdes. ils sont presque devenus chose b
on de ce fait que j ai bien des fois répété : Rien ne se casse dans l'
état
hypnotique qui n'ait son analogue dans l'état de
Rien ne se casse dans l'état hypnotique qui n'ait son analogue dans l'
état
de veille. L'hypnose démontre des phénomènes ps
elle. Toutes les perturbations nerveuses qui modifient profondément l'
état
de conscience peuvent, dans certaines circonstanc
endant des moments où il se restreint au point de nous mettre dans un
état
analogue à celui de l'individu suggestible et hal
son esprit est réduit. Un léger bruit, une lueur, un pli du drap, un
état
du corps: provoquent la suggestion ; la dispositi
xpérimentale, j'ai diné chez le chancelier, je me suis trouvé dans un
état
de trouble, d'embarras, de surdité momentanée...
u ou chez l'hys-térique qui a reçu une suggestion ? Chez eux aussi un
état
dr faiblesse momentanée de la conscience a permis
la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les
états
hypnotiques. Rapporteur : M. le Professeur Liégeo
Dr Bérillon ;de Paris). — Les attentats à la personne morale dans l'
état
d'hypnotisme. 8. MM. les Dr Hubert et Bérillon (d
n des images. — III. L'attention est-elle toujours déterminée par des
états
affectifs ? — IV. Etude statistique des hallucina
une opération qu'il se proposait de faire sur un sujet plongé dans l'
état
de somnambulisme. H s'agissait d'une jeune femm
ussi une histoire connue de tous les psychologues. Une étude de son
état
psychologique et physiologique fut écrite, il y a
t des actes humains ont pour point de départ une suggestion reçue à l'
état
de veille, il est possible après tout que le roi
ollineau, en colligeant et condensant ces précieux documents, livre l'
état
exact et complet de la science sur la matière.
ée de fumer. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Le sommeil provoqué et les
états
analogues, par le Dr A. Liébeault. — Paris. Octav
ation de symptômes, ne pourra amener une transformation complète de l'
état
général du système nerveux. Cependant plusieurs
. Une troisième occupe de délicates fonctions administratives que son
état
de santé antérieur ne semblait jamais devoir lui
nifestations convulsives ; mais, en attendant, elles bénéficient de l'
état
d'excellente santé relative dans lequel elles se
convulsive. Est-ce à dire que nous nous abstiendrons de modifier l'
état
général des hystériques par un traitement hygiéni
un grand service à l'hystérique et à son entourage s'il obtient qu'un
état
d'équilibre de l'esprit succède à ces perversions
pris d'un hoquet et rend, sans effort, quelques gorgées de sang. Cet
état
dure deux minutes et les grandes convulsions se p
ente à la fin de chacune de ses attaques, revient identique pendant l'
état
de somnambulisme. Il revoit l'homme armé d'un cou
stionnable pendant son sommeil, mais la suggestion peut persister à l'
état
de veille. J'ai fait les expériences qu'on répète
homme était dans ma main et que j'étais absolument maître de lui a l'
état
de sommeil comme a l'état de veille. Or L... av
et que j'étais absolument maître de lui a l'état de sommeil comme a l'
état
de veille. Or L... avait subi plusieurs condamn
la main sur un brasier. Mois la vérité? Impossible de la démêler. L'
état
de nos connaissances actuelles ne nous permet pas
gouroux, Hanot. Landolt, Constantin Paul. Debove, établissent en tout
état
de cause la relation qui existe entre l'empoisonn
t à interrompre son travail. Admis A l'hôpital Laennec. il présente l'
état
suivant : Tremblement à grandes oscillations, fac
s-thésie sous l'influence des courants électriques. Ajoutons a cela l'
état
moral d;s sujets, leur caractère bizarre qui cadr
e réapparaître ce hoquet et avec l'intensité qu'on désirait. Dans l'
état
de somniation, il suffisait de placer une main su
la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les
états
hypnotiques. Rapporteur .- M. le Professeur Liége
Dr Bérillon (de Paris-. — Les attentats à la personne morale dans l'
état
d'hypnotisme. 3. M. le Dr Burot (de Rochefort).
estion à l'école. 6. M. Émile Yung (de Genève). — La suggestion à l'
état
de veille. 7. M. le Dr Paul Magnin (de Paris).
a loi française est restée muette sur la question d'excuse tirée de l'
état
d'ivresse de l'auteur d'un crime ou d'un délit; e
jours la capacité de contracter ont été annulées par les tribunaux. L'
état
d'ivresse a été, dans ces conditions, assimilé à
tribunaux. L'état d'ivresse a été, dans ces conditions, assimilé à l'
état
de démence. Il y a donc une lacune dans nos loi
e comblée. Pour y arriver, il y a lieu de considérer que les divers
états
sous lesquels se présentent les alcoolisés répond
end toutes les formes de l'ivresse pathologique, d'une part, tous les
états
de trouble mental subaigus, aigus ou chroniques d
s le traitement suggestif. dans ses accès de somnambulisme, ni dans l'
état
second de sa double personnalité. Son mariage qui
agit tout au plus comme cause occasionnelle. L'hystérie existait A l'
état
latent chez tous les intoxiqués, soit qu'ils y fu
erveux en particulier? L'hypothèse est plausible, c'est celle en tout
état
de cause, qu'émet et détend Guinon. Ces considé
hystériques lut découverte par le docteur Burq : Une jeune femme en
état
de somnambulisme provoqué, venait de poser sa mai
phénomène constaté? Le lendemain l'expérience est recommencée, mais l'
état
cataleptique ne se manifeste pas ; on avait eu so
». On ne saurait nier l'action des agents physiques pour produire les
états
somnambulique, calaleptique et léthargique et la
à des récidives, il laut en accuser non pas la thérapie mais plutôt l'
état
morbide même. Comme contre-indications principa
ujet en traitement, certaines formes d'aliénation mentale et ausssi l'
état
de que'ques hystériques chez lesquelles il peut a
e, en souhaitant la bienvenue aux délégués étrangers et en exposant l'
état
de la psychologie physiologique en 1889. M. Cha
étiques produisent le sommeil magnétique. Le sommeil magnétique est 1
état
de somnambulisme provoqué : le sommeil hypnotique
état de somnambulisme provoqué : le sommeil hypnotique serait le même
état
provoqué par une cause un peu différente, c'est-à
istance de quelques phénomènes de la vie de relation. Il diffère de l'
état
de la veille normale par une modification de la p
. Il prétend ne s'adresser qu'aux gens sains, mais qui sera juge de l'
état
de santé parfait des individus questionnés? J '
els vous envoyez vos questionnaires, eussent été a même d'apprécier l'
état
de la sensibilité et le rétrécissement du champ d
s en la matière ; et 2° que l'on soit plus large au point de vue de l'
état
de santé des sujets, tout en notant en regard de
elle ne cherche pas à s'en débarrasser d'un coup de patte, comme à l'
état
de veille. Ce n'est qu'au moment où l'asphyxie co
les deux hémisphères cérébraux, on obtient l'hypnose, c'est-à-dire l'
état
cataleptoïde, la perte du mouvement volontaire, m
es jours de plus en plus. Autrefois, l'absence de conscience de son
état
de maladie était considérée comme le critérium ab
idérée comme le critérium absolu permettant de distinguer nettement l'
état
de raison, et figurait même comme caractère essen
listes, depuis le commencement de ce siècle, que la conscience de son
état
excluait nécessairement l'idée de maladie mentale
signées dans les auteurs mentionnaient quelquefois la conscience de l'
état
de maladie comme symptôme de certaines variétés d
ecine mentale. _ (2) Delasiauve a même fait de la conscience de son
état
un caractère essentiel de la pseudomanie; conte
ique et irrésistible. Les malades ont parfaitement conscience de leur
état
; ils reconnaissent la nature maladive des phénomè
nies instinctives, homicides, du vol. de l'incendie, etc.. etc. Ces
états
pathologiques variés doivent-ils être décrits sép
ment. Le premier degré de l'obsession intellectuelle est presque un
état
physiologique. Chacun de nous, dans certains mome
entalement un mot, de coprolalie, d'écholalie, etc., etc. Ouand ces
états
psychiques, évidemment anormaux et pathologiques,
r son existence tout entiere, on peut les considérer comme de simples
états
nerveux et non comme l'expression d'une véritable
n'est pas d'entreprendre ici la description, même sommaire, de ces
états
psychiques variés. Elle nous entraînerait beaucou
mer ainsi : 1° Elles sont toutes accompagnées de la conscience de l'
état
de maladie; 2° Elles sont ordinairement hérédit
ntermittentes ; 4° Elles ne restent pas isolées, dans l'esprit, à l'
état
monomaniaque, mais elles se propagent à une sphèr
urs. Nous étudierons successivement: 1° L'action de la pensée à l'
état
de veille sur les vaso-moteurs en général. 2° L
eille sur les vaso-moteurs en général. 2° L'action de la pensée à l'
état
de veille sur les vaso-moteurs utéro-ovariens.
es vaso-moteurs utéro-ovariens. 3° L'action de lu suggestion dans l'
état
hypnotique sur les vaso-moteurs en général. 4°
ur les vaso-moteurs en général. 4° L'action de la suggestion dans l'
état
hypnotique sur les vaso-moteurs utéro-ovariens.
-ovariens. On ne saurait nier l'influence exercée par la pensée à l'
état
de veille sur les vaso-moteurs en général. Le sen
anique. L'action de cette force psychique qui s'appelle la pensée à l'
état
de veille sur la circulation ovarique, est multip
ée. J'arrive maintenant aux métrorrhagies psychiques en dehors de l'
état
puerpéral. On trouve çà et là dans les différents
age aux influences psychiques. Si donc l'influence de la pensée à l'
état
de veille sur les vaso-moteurs, en général est si
t de cherche à utiliser l'action vaso-motrice de la suggestion dans l'
état
hypnotique sur les vaso-moteurs utérine et de l'a
tement : des troubles menstruels après avoir préalablement provoqué l'
état
psychique le plus favorable. Dans le livre de B
la vaso-constriction de la catalepsie, la suggestion- verbale dans l'
état
somnambulique de l'hypnotisme faisant tous les fr
tion, hypnotique. M. Liébeault, dans son Traité sur le sommeil et les
états
analogues. cite trois observations de gué-risons
alors à l'hôpital Saint-Antoine, elle: est facilement plongée dans un
état
de somnambulisme profond. Cette malade étant en m
tre départ. Nous allons lavoir et nous, la trouvons dans un excellent
état
. Elle est restée ensuite une longue période de te
e signes de grossesse ni de tumeur. Sachant qu'il n'y avait ni dans l'
état
local ni dans l'état général de cette malade aucu
ni de tumeur. Sachant qu'il n'y avait ni dans l'état local ni dans l'
état
général de cette malade aucune lésion pouvant exp
es fois, me donne carte blanche. Je la plonge assez facilement dans l'
état
somnambulique Je lui suggère alors de dormir tout
en particulier, à l'étal de veille, de même que la suggestion dans l'
état
hypnotique, une influence manifeste. Mais il ne f
de l'hystérie confirmée et dont les accidents utérins relèvent de cet
état
pathologique. Chez ces dernières, on pourra sans
suggestion. Quant au procédé d'élection, si la léthargie vraie est l'
état
qui doit être recherché pour l'analgésie obstétri
es menstruels par l'hypnothérapie, la période de somnambulisme sera l'
état
le plus favorables aux suggestions post-hypnotiqu
mon appréciation. Avant tout, il importe de définir le mot hypnose ou
état
hypnotique. Sommeil provoqué est une définition t
t les diverses étapes de suggesubilité et finissent, après un premier
état
douteux, par devenir de vrais somnambules, montra
teux, par devenir de vrais somnambules, montrant ainsi que,ces divers
états
correspondent à un mécanisme psychique unique, qu
ofondément par l'encéphale sur les fonctions organiques diverses. L'
état
hypnotique est cet état psychique particulier, su
le sur les fonctions organiques diverses. L'état hypnotique est cet
état
psychique particulier, susceptible d'être pro-voq
suggestibilité profonde, mais il n'est pas nécessaire pour obtenir l'
état
de suggestion, l'état hypnotique.Il y a hypnose,
de, mais il n'est pas nécessaire pour obtenir l'état de suggestion, l'
état
hypnotique.Il y a hypnose, sans sommeil. pour l
s il ne peut se soustraire. Toutes ces suggestions sont réalisées à l'
état
de veille parfaite ; le sujet en conserve le souv
efois, cela ne réussit que chez les très suggestibles et qui sont à l'
état
de veille. Beaucoup ne deviennent très suggestibl
i cherche-l-on en général dans l'hypnose à provoquer le sommeil ou un
état
aussi voisin que possible du sommeil, pour rendre
utiques fréquents que d'attendre le sommeil profond pour suggérer des
états
salutaires. Ceb pose, quelle est la valeur rela
merait en catalepsie, et l'attouchement du vertex en somnambulisme. L'
état
cataleptique peut aussi être provoque d'emblée, p
douteux qui ne les satisfait pas. J'arrive parfois à transformer cet
état
en sommeil profond, en disant ausujet : « Je vous
as entendre! Ils n'ont pas d'initiative pour sortir spontanément de l'
état
hypnotique. J'accentue, je dis : c Vos yeux s'ouv
ugges-tibilité et de mettre le système nerveux cérébro-spinal dans un
état
tel que la suggestion l'incite à accomplir des ac
it physiologique qu'est basée la psycho-thérapeutique suggestive. L'
état
hypnotique créé lui-même par la suggestion, en su
le seul efficace de la suggestion thérapeutique. La suggestion a l'
état
de veille, par la parole, ou par des pratiques ma
I, 11, p.322. Leipiz 1889. LIÉBEAULT : Le sommeil provoqué et les
états
analogues. Paris, 1889. In-12, 310 p. lopez alons
les qu'il n'a jamais dépensées qu'en rêve, il a toujours vécu dans un
état
voisin de la misère. Cette histoire de faux bille
itants du milieu. Il ne s'agit pas bien entendu, d'une suggestion à l'
état
de sommeil ou de simple engourdissement ; il s'ag
sommeil ou de simple engourdissement ; il s'agit d'une suggestion à l'
état
de veille, d'une suggestion à froid, si vous voul
permettre cette expression. Sans doute son action est moindre qu'à l'
état
de somnombulisme, mais qui oserait cependant nier
el de la madone. N'est-ce point là une suggestion, une suggestion à l'
état
de veille ? Le prêtre qui lui a donné la foi, ne
es suggestions faites pendant le sommeil conservaient leur action a l'
état
de veille. Supposez qu'un autre détenu l'ait secr
si personne n'en doute, pourquoi ne cherche-t-on pas à remédier à cet
état
de chose ? Et c'est pourquoi j'ai tenu. Messieurs
mais seulement quelques fourmillements. Sommeil conservé; appétit;
état
moral et intellectuel satisfaisant. Je donne de
s parler d'hypnotisme. Première séance. — A ce moment (35e jour), l'
état
étant peu différent de celui que Je viens d'indiq
uvais pavés, sans souffir ni de la Jambe, ni de la région lombaire. L'
état
général s'améliore aussi beaucoup. Cinq ou six sé
té par une invasion aiguë et qui persiste aujourd'hui sous forme d'un
état
chronique. Quand je la vis pour la première foi
oite, avec sensation d'un nuage central se plaçant devant la vue. Cet
état
est assez récent, mais D... a éprouvé il y a dix
s de quelques reliquats de paralysie, peuvent être réellement dans un
état
de guérison anatomique, sans avoir guéri tout à t
s après, de juger par comparaison de l'influence de la suggestion à l'
état
de veille. Le fait est trop précis pour le passer
uscles conservent toutes les positions qu'on leur donne, comme dans l'
état
cataleptique. Il ne voit rien, il ae sent rien, i
int de vue hypnotique elle était un sujet remarquable; mais aussi à l'
état
de veille, il était très facile de lui faire tout
en Russie, j'ai rencontré cette hypéracuité sensorielle suggérée à l'
état
de veille, à un degré plus ou moins développé.
uments. J'ai entendu parler de suggestion tous toutes les formes, t l'
état
de veille, pendant le sommeil physiologique et je
ouver. Il se contente d'une affirmation de leur part. Il suffit que l'
état
qu'il détermine chez eux se caractérise par une e
t le sommeil hypnotique lequel ne serait pas une névrose mais bien on
état
physiologique ; les contractures, les anesthésies
ault, que je me suis aperçu que j'avais pratiqué la suggestion dans l'
état
de veille. L'n des précédents orateurs a déclar
ois à les guérir par le massage, l'hydrothérapie et la suggestion a l'
état
de veille. M. Guermonprez (de Lille). — Quand u
e Biologie, en 1883, de son remarquable mémoire sur la suggestion à l'
état
de veille. Mais qu'il me soit permis de dire à
suggestion hypnotique dans le traitement des maladies mentales et dés
états
connexes. Rapport de M. le docteur Auguste VOIS
ont je me sers. j'ai étendu successivement ce traitement à tous les
états
connexes, à l'aliénation mentale, aux troubles mo
les suggestions données en trop grand nombre à la fois déterminent un
état
de malaise évident qui se traduit par des crispat
ts de syphilis celébrale, qui ne sont nullement hystériques et dont l'
état
a été déjà sensiblement amélioré par la suggestio
ces manifestions mentales qui sont sous la dépendance d'un véritable
état
pathologique, le plus souvent héréditaire, et, en
et progressivement, nous amenons l'enfant à sentir la gravite de son
état
et la nécessité d'y porter remède. Nous martelons
choc local, suivi d'une esquisse de paralysie. Puis, i la faveur de l'
état
d'asthénie nerveuse créé par un surmenage récent,
ant déjà que sa jambe gauche était affaiblie, il a pu, dans un pareil
état
d esprit compléter par auto-suggestion sa paralys
en arrière sur son siège, et finalement fut emporté chei lui dans un
état
de torpeur. Il n'avait bu aucun liquide spiritueu
hors de propos ; et finalement, il fallut la porter à son lit dans un
état
de torpeur. Les yeux de la malade ressemblaient a
çut la nouvelle, il vint me faire part de celte bonne chance, dans un
état
de joie extrême. Après avoir parlé pendant quelqu
fus appelé en hit* auprès de lui. je le trouvai inconscient, dans un
état
de torpeur, et je ne pus obtenir aucune réponse d
ne manière presque identique, j'ai constaté les faits suivants : Un
état
d'abattement, de dépression mentale, plus ou moin
es incohérentes, peut devenir tout à fait inconscient, et sort de cet
état
tremblant et nerveux, ne sachant rien de ce qui s
considération parce qu'elle est propre i favoriser le diagnostic. L'
état
d'un homme qui. pouvant rendre un compte exacte d
êmes expressions, devient subitement comme un mort pour lui-même, cet
état
, dis-je, dénote une condition de l'économie encor
e l'esprit, sous l'influence desquels le patient paraît être dans son
état
normal, seulement un peu nerveux. Le troisième
t. La question qui se présente est celle-ci : le passage subit d'un
état
de l'esprit a un état différent peut-il produire
e présente est celle-ci : le passage subit d'un état de l'esprit a un
état
différent peut-il produire un tel enchaînement de
perte de la sensibilité pour le froid et le chaud, suggérée dans l'
état
hypnotique. Compt. rend. Soc. de but., Ser. IX,
rosnier et Babé, in-8°, 178 pages, 1888. La sommeil provoqué et les
états
analogues, par le Dr. A. Liébeault. — Paris, Doui
s de rêves, et on conserve dans certains cas une demi conscience de l'
état
où l'on se trouve. Je citerai, comme exemple pa
t voulais diriger mon réve. II. AUTO-SUGGESTION. L'hypnose est un
état
qui se rattache au sommeil. Le rêve est un état h
N. L'hypnose est un état qui se rattache au sommeil. Le rêve est un
état
hypnotique spontané, naturel, non provoqué Si on
rêve, on fera de l'auto-hypnotisme parfait, et on pourra utiliser cet
état
pour le même but que celui de l'hypnose provoquée
on. Moments favorables à l'auto-suggestion. On peut provoquer des
états
plus ou moins profonds de l'hypnose pour donner d
st de même dans la pratique de l'autosuggestion. On peut utiliser des
états
de somnolence ou de sommeil plus ou moins profond
gestion d'avoir chaud aux pieds. Je reste à cheval, je me mets dans l'
état
le meilleur possible pour favoriser l'auto-sugges
ion, car le lendemain, dans la matinée, j'ai eu des hallucinations. L'
état
dans lequel je me suis trouvé est difficile à déf
ations sociales un tableau que je ne m'étais pas fait auparavant. Cet
état
, que je n'ai pas voulu faire disparaître pour l'o
on d'avoir les hallucinations. Le lendemain, dans la matinée, le même
état
hallucinatoire se présente, mais plus accentué. J
e sont pas des hallucinations proprement dites que j'ai eues, mais un
état
particulier qui n'est pas l'état normal, que je n
prement dites que j'ai eues, mais un état particulier qui n'est pas l'
état
normal, que je n'ai eu que ces deux jours, qui ne
vant et que je n'ai pas cherché à reproduire dans la suite. (c) Cet
état
hallucinatoire, provoqué par l'auto-suggestion, é
ment au bout de deux minutes, et je n'ai pas cherché à reproduire cet
état
hallucinatoire mal défini, mais qui est très péni
tater, c'est que l'auto-suggestion a suffi pour faire disparaître cet
état
crée par l'auto-suggestion. 6° Excitation génés
cet état crée par l'auto-suggestion. 6° Excitation génésique. Cet
état
nerveux a été supprimé très facilement en quelque
ts. Il faut ajouter que je recherche le rêve comme critérium d'un bon
état
pour l'auto-suggestion. Il est certain que c'est
e ou un fait, y pense également dans le recueillement de la nuit. Cet
état
, par lequel tout le monde est passé, et qui consi
une nuit blanche sous l'influence d'une émotion, joie ou chagrin, cet
état
est très favorable à l'auto-suggestion. L'insom
spec-tateurs de tel drame; cl la scène, le souvenir suggéré, soit à l'
état
de veille, soit à l'état de sommeil, se présente
; cl la scène, le souvenir suggéré, soit à l'état de veille, soit à l'
état
de sommeil, se présente dans leur esprit comme si
inis quelquclois d'une façon humoristique que le sommeil : « C'est un
état
dans lequel on croit que c'est arrivé ». Et j'ajo
gles avaient même eu lieu sans douleurs, mais il s'était développé un
état
d' énervement général et de légères crises convul
es maladies deson enfance, R... n'a pas eu de maladies sérieuses. Son
état
physique et nerveux est satisfaisant. Jusqu'à c
ndément malheureux. La vie lui devint un tardeau. Il était dans cet
état
de dépression psychique lorsqu'il vint me trouver
sans exception avec une grande précision, que le malade ait été en
état
de somnambulisme ou de somnolence. Le traitemen
dis de s'endormir ; en moins d'une minute, elle était plongée dans un
état
d'hypnose assez profond, avec catalepsie suggesti
de cette excitation très lorte et unique, ou faible main répétée, un
état
anatomique particulier, quelque chose comme une m
e matérielle, qui lait que toute excitation nouvelle les remet dans l'
état
même où elles se sont trouvées lors de la grande
is. A quinze ans, il quitta le cirque et se mit polisseur sur métaux,
état
qui lui rapportait de cinq à six francs par jour.
la jurisprudence et la médecine légale. — La responsabilité dans les
états
hypnotiques (1). Par M. Liégeois, professeur I
hez certains sujets, on peut produire, par des moyens très variés, un
état
de somnambulisme protond ; que, dans cet état, on
moyens très variés, un état de somnambulisme protond ; que, dans cet
état
, on peut suggérer a la personne endormie, non-seu
eur Gilles de la Tourette sous le titre suivant : L'hypnotisme et les
états
analogues au point de vue medico-légal (2). La te
ent. —on l'a parfois trop oublie. — qu'à ceux qui peuvent être mis en
état
de somnambulisme profond. Four ceux-là. l'automat
rectionnels, un certain nombre d'affaires, djns lesquelles les divers
états
hypnotiques ont présenté une importance et joué u
en appel ; 4° Affaire Ulysse X...., Elève dentiste à Paris; X...., en
état
, somnambulisme ou de « condition seconde ». avait
naturel (qu'on peut guérir au moyen du somnambulisme provoqué) ; L'
état
intermédiaire entre la veille et le sommeil ; Les
édecine légale, comment un expert pourra-t-il établir la réalité de l'
état
sugge-tible chez l'accusé? C'est là qu'intervie
est là qu'intervient la question des stigmates physiques et des trois
états
. Elt-il nécessaire de retrouver les signes du gra
nécessaire de retrouver les signes du grand hypnotisme pour établir l'
état
de suggestiblité ? Je ne le crois pas et on peut
ment aux frictions de la brosse, il sortit de l' affaire en si piteux
état
qu'il fut obligé de garder le lit pendant plusieu
ns le même article, M. Block montre aussi fort justement que certains
états
hystériques, et le somnamoulisme hypnotique en pa
point de se confondre avec la disposition psychique qui caractérise l'
état
de médium. Ces sujets sont rares ce qui prouve
vent résister, par tous les moyens imaginables, a être placés dans un
état
dans lequel le mensonge est impossible. Malgré
resthésie. Dès qu'on lui parlait de dormir il tombait d'emblée dans l'
état
de somnambulisme. Il présenta plus tard des phé
ontrariété, je pensai alors d lui dire qu'il allait se trouver dans l'
état
où il était quelques jours auparavant et après un
ans des conditions semblables et qu'il faut toujours te demander si l'
état
nerveux n'a pas varié. La seconde remarque, est
1889 dans le service de M. Auguste Voisin, à la Salpètrière, dans on
état
de mélancolie anxieuse. , Antécédents héréditai
digestions étaient mauvaises. Depuis le commencement de l'hiver, son
état
de mélancolie anxieuse avec gémissements s'accent
té de son haleine indiquant un commencement d'inanition et le mauvais
état
de la muqueuse des premières voies digestives et
5 26 m Morphine 0,007 Atropine 0.0006 bis bis bis 28 » Même
état
. Pas de sommeil. Mon interne essaie d deux repris
Morphine 0,02 Atropine 0,001 bis bis bis bis bis bis L'
état
de mélancolie anxieuse, les gémissements sont les
ussi. 1er Mai. La malade a engraissé et a bonne mine Le 15 Mai. son
état
est si satisfaisant que je lui ai accordé la perm
blanc des yeux. La femme obéit, et elle ne tarda pas a tomber dans un
état
d'invincible somnolence ; elle en sortit cependan
tion, agités entre eux, et soient au moins, en quelque façon, dans un
état
différent que lorsqu'elle est mise en action par
pe. Si on ne rétablit par un prompt repos ces filets dans leur ancien
état
, ils causent l'affaiblissement des sens internes
vant, publié dans l'Eclair, et qui nous parait résumer parfaitement l'
état
de la question : — « Qui sollicite l'interdicti
nt l'opinion publique, on n'avait pas été sans remarquer le singulier
état
mental présenté par une des personnes les plus gr
a raconté qu'un jour qu'il voulait obtenir d'elle l'explication d'un
état
de tristesse qui l'intriguait, il l'avait hypnoti
intéressantes sur la suggestion. Le caractère psychologique de cet
état
, d'après le professeur de la Salpétrière, est la
ière. Voici un exemple entre mille : « Je présente a une femme en
état
d'hypnotisme dit M. Charcot, une feuille de papie
norable Dr Liébeault, de Nancy, dans son livre sur Le sommeil, et les
états
analogues. Quand un sujet, sur une injonction,
la pensée suggérée peut laisser sur le cerveau ; puisque de même à l'
état
normal, dans la vie ordinaire, cette impression p
cole de Paris et celle de Nancy, à l'égard des sujets plongés dans un
état
réel d'hypnotisme, cette différence d'opinions qu
Dieu, également consulté par un rédacteur du Gaulois a répondu que l'
état
mental de Gabrielle Bompard lui semblait le résul
ourrait, a mon avis, en être considérablement diminuée ; d'ailleurs l'
état
de nos connaissances actuelles ne nous permet pas
, le suggestionneur ne se démasque pas, et le suggestionné ignore son
état
. Mais on retrouverait la suggestion dans la plupa
plexe qu'on peut désigner sous le nom de neurasthénie hystérique. Son
état
ordinaire était caractérisé par de la torpeur et
'autres part, remarquons ce qui se passe en nous quand nous Sommes en
état
de suggestion, ce qui est assez fréquent. Il arri
souvent un mouvement vibratoire d'un ordre spécial, en rapport avec l'
état
du (1) Voy. Comptes rendus du Premier Congrès i
tres par seconde et qui se produit chaque fois qu'une force modifie l'
état
du nerf, et par conséquent met en jeu son activit
e produit ; c'est la vibration musculaire. Les nerveux sont dans un
état
vibratoire anormal, leur potentiel nerveux est ch
'hypnotisme et la suggestion doit se modifier. L'hypnotisme serait un
état
nerveux spécial, analogue au sommeil, dans lequel
tous à la grande névrose. La reproduction par l'hypnose de certains
états
que les hystériques peuvent réaliser spontanément
ter cependant, pour permettre de comprendre l'étrange complexité de l'
état
de notre malade, qu'ucune des provocations, aucun
n somnanm-bulisme. Pendant trois mois consécutifs elle reste dans cet
état
avec des retours très-courts à l'état normal, (1
consécutifs elle reste dans cet état avec des retours très-courts à l'
état
normal, (1 à 2 h. par jour). Les attaques de so
aques de sommeil et les attaques convulsives se produisent dans cet
état
, comme à l'état normal. A partir du mois d'avri
il et les attaques convulsives se produisent dans cet état, comme à l'
état
normal. A partir du mois d'avril, les périodes
at, comme à l'état normal. A partir du mois d'avril, les périodes d'
état
normal deviennent de plus en plus longues et le s
ammes); elle fait usage de la morphine. La belladone est employée à l'
état
d'extrait pur en applications sur le col pour cal
se présentent chez cette malade avec deux types bien distincts : les
états
périodiques, quotidiens et les étais intermittent
r d'elle. Les sens de l'ouïe et de l'odorat acquièrent même, dans cet
état
, une accuité excessive; les moindres bruits sont
s sa chambre pendant l'attaque. Elle est souvent incommodée, dans cet
état
, par des odeurs qu'elle ne percevait pas à l'état
ncommodée, dans cet état, par des odeurs qu'elle ne percevait pas à l'
état
normal. Du mois de Novembre 1885 jusqu'au mois
écrire. Elles doivent cependant prendre place dans la description des
états
quotidiens, en ce sens que, presque toujours, une
ail commencés et reste immobile dans la position qu'elle occupe ; cet
état
dure de quelques secondes â deux minutes environ,
se inaperçue et que la malade parait être passée sans transition de l'
état
normal à l'état second (1). Dans ce cas, les pe
que la malade parait être passée sans transition de l'état normal à l'
état
second (1). Dans ce cas, les personnes qui sont
plus vive ; elle cause et rit avec plus d'animation. Très docile à l'
état
normal, elle devient, en état second, volontaire
avec plus d'animation. Très docile à l'état normal, elle devient, en
état
second, volontaire et capricieuse. Elle s'occupe
ond, volontaire et capricieuse. Elle s'occupe de préférence, dans cet
état
, à des ouvrages de broderie ou de couture minutie
nière faculté est surtout manifeste. Le souvenir de faits oubliés à l'
état
normal se réveille et se présente à son esprit av
enfance et dont elle ne sait plus le premier mot une fois revenue â l'
état
normal. Pendant l'attaque de somnambulisme, la
a description, nous désignerons, comme l'ont fait certains Auteurs, l'
état
de somnambulisme sous le nom d'état second, par o
me l'ont fait certains Auteurs, l'état de somnambulisme sous le nom d'
état
second, par opposition à l'état prime ou normal.
l'état de somnambulisme sous le nom d'état second, par opposition à l'
état
prime ou normal. venir de tout ce qui s'est pas
l'état prime ou normal. venir de tout ce qui s'est passé pendant l'
état
normal et les attaques de somnambulisme précédent
tes. Quelquefois cependant la malade paraît avoir oublié, pendant l'
état
second, les faits qui ont immédiatement précédé l
'état second, les faits qui ont immédiatement précédé le début de cet
état
. C'est ainsi, qu'étant entrée un jour en somnambu
e souvenant plus qu'on avait auparavant servi le dîner. Revenue à l'
état
normal, la malade a complètement oublié tout ce q
ériode de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubliés pendant l'
état
normal. Comme nous l'avons dit plus haut, la ma
somnambulisme chaque soir entre six et sept heures et reste dans cet
état
toute la soirée. C'est en état second qu'elle se
e six et sept heures et reste dans cet état toute la soirée. C'est en
état
second qu'elle se couche et s'endort, non sans av
sommeil. En effet, au moment où la malade va s'endormir et dans cette
état
indéterminé qui sépare la veille du sommeil, elle
r trouver un peu de repos. Notre malade se réveille le lendemain en
état
normal pour recommencer au bout d'un moment, par
place pour d'autres manifestations. Il n'en est rien cependant et les
états
périodiques, ne dispensent point la malade d'autr
de, isolément ou par séries, sans périodicité bien marquée, pendant l'
état
normal ou l'état second. Presque toujours, quand
par séries, sans périodicité bien marquée, pendant l'état normal ou l'
état
second. Presque toujours, quand l'attaque convuls
nd. Presque toujours, quand l'attaque convulsive se produit pendant l'
état
normal, la malade ne tarde pas à entrer en état s
se produit pendant l'état normal, la malade ne tarde pas à entrer en
état
second et ce dernier se prolonge parfois fort lon
de délire qui suit, la malade voit des chats, (qui sont pour elle à l'
état
ordinaire l'objet d'une répugnance invincible), s
tous les phénomènes de l'asphyxie. Si elle n'est pas retirée de cette
état
, l'asphyxie complète parait imminente. Une excita
son entourage n'avaient rien trouvé de mieux, pour la retirer de cet
état
, que de lui appliquer un fer rouge sur la peau. A
sous l'influence des excitations, autant que peut le lui permettre l'
état
de son système musculaire. C'est donc la contract
prime abord, faire croire à l'existence de l'anesthésie. Quant à l'
état
des sens spéciaux, nous avons vu aussi, dans la d
'avons jamais pu cependant constater d'une façon bien nette, dans cet
état
, l'existence de l'hyperexcitabilité neuro-muscula
us, observé jusqu'ici Notre malade, comme celle d'Azam, présente un
état
second qui se distingue de l'état normal par des
de, comme celle d'Azam, présente un état second qui se distingue de l'
état
normal par des modifications de la personnalité a
a mémoire ; qui s'en distingue surtout par l'oubli complet, pendant l'
état
normal, de tout ce qui s'est passé pendant cet ét
omplet, pendant l'état normal, de tout ce qui s'est passé pendant cet
état
second. On peut dire que, par suite du retour p
état second. On peut dire que, par suite du retour périodique de l'
état
second, notre malade vit de deux vies distinctes
ée en deux individualités différentes. On pourrait même ajouter que l'
état
second est en somme, de ces deux vies, la plus ag
la plus agréable pour la malade et la plus complète, puisque dans cet
état
elle a conservé le souvenir de son existence tout
onservé le souvenir de son existence toute entière, tandis que dans l'
état
normal, toutes les périodes d'état second en sont
e toute entière, tandis que dans l'état normal, toutes les périodes d'
état
second en sont complètement effacées. Nous ne f
édico-légal, de pareilles Situations pathologiques. Il y a, entre cet
état
spontané et le somnambulisme provoqué par l'hypno
tiques. Notre malade réalise donc spontanément les trois principaux
états
du grand hypnotisme, décrits par l'école de la Sa
t dans sa chambre les yeux ouverts ; elle cause et s'occupe comme à l'
état
normal, mais elle ne voit ni n'entend les personn
in reconquis sur la névrose. En somme et malgré la persistance de l'
état
local, la situation de cette malade est au point
le, si un traitement approprié, rendu aujourd'hui possible par le bon
état
général, vient modifier heureusement la situation
les troubles digestifs qui se sont déclarés deux, trois ans après cet
état
psychique qui persistait depuis en tonnant comme
cune affection. Depuis ce mariage cl surtout depuis sa grossesse, son
état
mental s'est singulièrement aggravé. Actuelleme
inspirée analogue à celle qu'on trouve chez certaines hystériques en
état
d'extase. Ses yeux excavés expriment une profonde
sthésie. Troubles digestifs consécutifs très probablement dus à son
état
lypé-maniaque et à la grossesse. Les poumons ci l
e monde » La seconde lettre qu'elle a écrite sous l'impression de l'
état
maladif de son pére qui soutire d'une affection c
e la façon la plus normale. OPÉRATION CHIRURGICALE PRATIQUÉE DANS L'
ÉTAT
D'HYPNOTISME Par le Dr Edward WOOD (de Minnéapo
nt se faire avec une grande facilite, parce que le patient, encore en
état
cataleptique, pouvait se tourner, se lever, s'ass
de subir. Cependant le malade resta complètement insensible, dans, l'
état
d'hypnotisation pendant toute la durée de l'opéra
le réserver pour des sujets » compromis par l'hystérie, la folie, l'
état
vicieux ou dégénéré. » Nous sommes avec ces hom
ré-hypnotisant le sujet et en lui faisant divulguer le secret dans l'
état
de somnambulisme. Toutefois un critique, dans l
r son spectacle. un dompteur a eu l'idée de placer une jeune fille en
état
de sommeil hypnotique dans la cage où évoluaient
ggestions qui leur sont agréables. Une femme ne se laissera violer en
état
de somnambulisme que si elle veut bien ne pas rés
oi! » Je crois que la suggestion peut réaliser sur certains sujets un
état
psychique semblable, une impulsion instinctive av
ue l'hypnose existe sans sommeil, que la suggestion peut se faire à l'
état
de veille, que certaines personnes sont normaleme
perdu la conscience, et que, pendant toute Il durée de cette sorte d'
état
de condition seconde, — qui peut se prolonger pen
ence des périodes de condition seconde. Ainsi, Emile X..., dans son
état
normal, ignore ce qu'il a fait pendant les périod
ation, mais n'émet aucun son. Pas d'anesthésie. _. » Elle passe à l'
état
de catalepsie par l'ouverture des paupières. Le r
ucune conversation n'est possible et n'a jamais été possible dans cet
état
. Réveil en souillant sur les paupières. » 20 se
mnambulisme par pression sur le vertex. .» 35 septembre. — Hypnose en
état
de somnambulisme, par pression des globes oculair
eut conscience, cette enfant dont la conception avait eu lieu dans l'
état
d'inconscience. Nos dispositions furent prises
ur cet enfant que le colporteur avait réussi à faire concevoir dans l'
état
d'inconscience. Une surprise, puisque cet enfan
e, porte à l'exagération et à la simulation. Elle entraine souvent un
état
mental particulier, qui porte la malade à faire o
le de mon histoire. RECUEIL DE FAITS Réveil d'une mélancolique en
état
léthargique. La femme Drouilhou... habitant un
onnaissant la nature hystérique de sa malade. Le 3 décembre 1889. l'
état
s'aggravant de plus en plus, M. Boutiron conseill
des sur l'hypnotisme. Celte femme aurait pu rester longtemps dans son
état
léthargique et peut être ne pusse réveiller. Dr
e l'étal post-hypnotique. Il a réussi à obtenir que la malade vint en
état
post-hypnotique dans une société médicale pour y
post-hypnotique dans une société médicale pour y être présentée. Son
état
avait beaucoup d'analogie avec le somnambulisme n
rafft-Ebing explique ce lait intéres-sant pazu auto-hypnose. Dans cet
état
, ta volonté la spontanéité et la perception clair
nt le rêve. Quelque fois même la malade tombait spontanément dans l'
état
de l'auto-hypnose; cela se produisait par la vue
avail. M. Krafft-Ebing admet l'existence chez cette malade de trois
états
mentaux distincts. (« Bewusslscinzusände ») 1 l'é
malade de trois états mentaux distincts. (« Bewusslscinzusände ») 1 l'
état
normal 2° l'état produit par l'hypnose expériment
tats mentaux distincts. (« Bewusslscinzusände ») 1 l'état normal 2° l'
état
produit par l'hypnose expérimentale 3° l'état pro
») 1 l'état normal 2° l'état produit par l'hypnose expérimentale 3° l'
état
produit par l'autohypnose. La malade a un étal me
produit par l'autohypnose. La malade a un étal mental triple, chaque
état
reposant sur un mécanisme particulier des système
nt sur un mécanisme particulier des systèmes nerveux. Ces cercles des
états
mentaux ne se superposent jamais, chaque état men
rveux. Ces cercles des états mentaux ne se superposent jamais, chaque
état
mental ayant sa mémoire particulière. - K. E. a
tal ayant sa mémoire particulière. - K. E. a réussi de tranformer l'
état
1 en état il par la vue des objets brillants, par
sa mémoire particulière. - K. E. a réussi de tranformer l'état 1 en
état
il par la vue des objets brillants, par la compre
des objets brillants, par la compression des globes oculaires etc. L'
état
III était produit par la suggestion dans l'étal :
r l'auto-hypnose. Par les mêmes moyens qui reussisent à transformer l'
état
1 en 11, on peut transformer l'étal 111 en 11.
alade regarde dans un livre et en tricotant il se produit chez elle l'
état
de l'auto-hypnose. Elle ne réagit pas par les d
aires sans que la malade les en empêche. M. Kralfl-Ebing transforme l'
état
11 en état 1. La malade est tout à fait étonnée,
que la malade les en empêche. M. Kralfl-Ebing transforme l'état 11 en
état
1. La malade est tout à fait étonnée, elle ne sai
malade à fixer une montre brillante. Immédiatement elle passe dans l'
état
11 et alors il observe desphénomènes caractéristi
ors il observe desphénomènes caractéristiques de la continuation de l'
état
mental 111 dans lequel elle était la veille. El
court. M, Krafft-Ebing la réveille. D'après M. Kralfl-Ebing, dans l'
état
1, les fonctions psychiques sont normales, le suj
rmales, le sujet n'est malade à aucun point de vue. Elle est dans cet
état
une personne très honorable. Dans l'élat 11 les
perleclîon admirable. La personnalité 11 ressemble tout-à-fait à l'
état
du somnambulisme et est provoquée par des idées d
u somnambulisme et est provoquée par des idées de rêve, pendant que l'
état
11 est produit par l'hypnose expérimentale. La
l'hypnose expérimentale. La spontanéité manque complètement dans l'
état
II, la malade est devenue un automate : « l'homme
'inhibition des actes psychiques est beaucoup moins développée dans l'
état
ni. Il y a la une variété spéciale : l'auto-hypno
e. L'aspect extérieur du malade ne révêlait aucune anomalie quand à l'
état
soma-tique. Il était très légèrement atteint de n
utre âge. Le penchant au suicide s'observe le plus souvent dans les
états
de dépression mentale qui sont fréquents chez le
çoit d'autant mieux que l'homme avancé en âge réagit moins contre les
états
de douleur mentale. Son moi est plus faible et la
avec l'aie- ¦ 1', le dégénéré avec ses irois grands caractères : son
état
mental, ses impulsions, sa propension A délirer p
outume d'observer chez les buveurs non tarés. Après avoir analyse l'
état
mental dus buveurs, des buveurs conscients et inc
sition, mais elle met surtout en relief les caractères habituels de l'
état
mental, qui n'est, en somme, psychologiquement pa
int. un chapitre est consacre aux raprorts de l'alcoolisme avec les
états
con-vulsifs. Pour l'auteur, l'épilepsie alcooliqu
Nils Posse. Co.. New York. GIGEOT (P.) : Le sommeil provoqué et les
états
analogues, (Revue gén, de clin.et de thérap, 16
orme convulsive avec aptitude à l'hypnotisme et aux suggestions à l'
état
de veille. Arch. de méd. et pharm. mil,, I. XI, p
ile et conséquemment pratique. Je veux parler de la suggestion dans l'
état
hypnotique, et c'est à cette méthode de traitemen
r, vous penserez à ce qui a été fait ce malin. » Les hystériques en
état
d'hypnotisme, ont une conscience du temps que je
'esprit. —Je la sais très suggestible, hypnotisable, hallucinable à l'
état
de veille. Je vais faire sur elle une expérience
s que cette folie amoureuse suggestive n'existait qu'à la faveur d'un
état
de conscience nouveau que son ascendant provoquai
vivre à son déshonneur, c'est le sens moral survivant dans son nouvel
état
de conscience comme une suggestion ancienne, héré
le indestructible qui pouvait être dominée, mais non éteinte dans son
état
somnambulique. Mais la suggestion possède son êtr
lle facilité chez certains sujets se constitue spontanément ce second
état
, qui n'est autre chose qu'un état de somnambulism
se constitue spontanément ce second état, qui n'est autre chose qu'un
état
de somnambulisme ou de vie somnambulique. Ce qui
une veille somnambulique : la conscience existe : mais c'est un autre
état
de conscience dans lequel les facultés de raison
z la somnambule Hélida, si bien étudiée par le docteur Azam. Dans son
état
normal, le caractère est sérieux, triste. Félida
normal, le caractère est sérieux, triste. Félida se préoccupe de son
état
maladif : la parole est rare, les sentiments affe
ui n'est pas en rapport avec le mal dont elle souffre. Dans le second
état
, le caractère est vif, gai, enjoué : la physionom
ts affectifs sont surexcités : la volonté est moins arrêtée. Dans cet
état
Félida se laisse séduire par un homme qui l'a épo
et sans tristesse, tandis que quelque temps après, se trouvant dans l'
état
de condition première, elle éprouve, quand on lui
teur X. devint l'amant de madame de B. pendant, bien entendu, le seul
état
somnambulique. Dans son état normal, elle n'ava
e de B. pendant, bien entendu, le seul état somnambulique. Dans son
état
normal, elle n'avait souvenir de rien. Devenue en
alogues. joue. Puis quand subitement, par une sorte de changement d'
état
, il revient à sa condition première, il ignore ab
targuant d'une qualité imaginaire. Tous ces souvenirs, effacés dans l'
état
normal, redevenaient conscients dans l'état de so
souvenirs, effacés dans l'état normal, redevenaient conscients dans l'
état
de somnambulisme provoqué. Ces états variables
redevenaient conscients dans l'état de somnambulisme provoqué. Ces
états
variables de conscience sont peut-être plus fréqu
commet des actes repréhensibles. Cela dure un certain temps : puis l'
état
normal reparait. C'est un vicieux par intermitten
toutes les maladies mentales à répétition ne sont en réalité que des
états
de conscience modifiée. Les degrés extrêmes seule
attribuons à l'humeur capricieuse des sujets ce qui peut être dû à un
état
maladif de la conscience. Vous avez vu avec que
'est étrangère, a compris ce sujet avec sa sagacité habi-tuelle : « L'
état
spontané d'automatisme et de dédoublement de la c
s trois ans deux sujets, un jeune homme et une femme, chez lesquels l'
état
de conscience varie avec une rapidité vraiment in
sit, le regarde avec complaisance, etc. On le ramène dans son premier
état
, en lui touchant le front. Il voit le ver et s'en
qu'avec un peu d'entraînement. je suis parvenu à la taire passer d'un
état
dans l'autre successivement un nombre indéterminé
nnalité conserve nettement son indépendance et malgré le changement d'
état
ne perd pas le fil de la conversation : tout se s
criminelles peuvent-elles naître ou être provoquées a la faveur de l'
état
de conscience modifiée ? Cela ne me parait pas do
un phénomène physiologique, et si elle peut exister en dehors de tout
état
de nervosisme, préparant le terrain, n'a pas enco
ininterrompue de phénomènes reliés entre eux par un lien commun : l'
état
de dégénérescence des sujets. Cette thèse trouve
, aussi bien de la suggestion posthypnotique que de la suggestion à l'
état
de veille. Nul doute que les sujets les plus sugg
les simples névropathes. Mais, en ce qui concerne les suggestions à l'
état
de veille, l'école de Nancy reprend toute son aut
s, en un mot tous les prédisposés du système nerveux, les dégénérés à
état
mental faible sont plus aptes que tous autres à s
ujet observé, émotivité qui est un des caractères fondamentaux de son
état
mental. Ainsi donc, émotivité du sujet trouvant s
et qui le font rentrer mieux encore dans le cadre des dégénérés. Ces
états
de souffrance, parfaitement conscients, ont surto
il s'acharnerait après lui et qu'il lui ferait toujours du mal. Cet
état
dura quelques mois; l'anxiété devînt peu a peu mo
mélancolique, L... était tour a tour conscient et inconscient de son
état
, parfois franchement mélancolique, d'autrefois pe
d'autrefois persécuté, affectant l'attitude en rapport avee ces deux
états
bien différents. Son délire fut surtout remarqu
sé. Au mois d'octobre 1888 peu à peu. en quelques jours, on vit son
état
se modifier sans cause intercurrente notable. T
'ailleurs, qui se mani-festat mieux alors au dehors grâce à ce nouvel
état
d'érethisne cérébro-spinal n'était en réalité que
'érethisne cérébro-spinal n'était en réalité que l'exagération de son
état
habituel, une poussée aiguë succédant d'un état s
l'exagération de son état habituel, une poussée aiguë succédant d'un
état
subaigu. L... assiste maintenant pendant le jou
a que je voulais te faire, c'est cela que je voulais te dire. * Cet
état
se prolonge pen tant une huitaine de jours avec l
.. n'est plus angoissé. ni hallucine. mais, encore inconscient de son
état
, il ne croit pas avoir été l'objet d'hallucinatio
s'accentue de jour en jour. L... redevient peu à peu conscient de son
état
, travaille d'une façon suivie, et apprécie a leur
considérer comme guéri de son accès mélancolique, mus il a repris son
état
émotif d'autrefos; son équilibre mental est toujo
ouche, il le dénature et le marque au coin de son étal mental. Dans l'
état
émotif de notre malade réside ici la seule cause
le mise au service d'une émotivité qui est la base immanquable de son
état
mental. Notre malade réagit à la façon d'un mél
la disparition non moins rapide, reliées entre elles par une série d'
états
de conscience qui ne diffèrent que bien peu de l'
ar une série d'états de conscience qui ne diffèrent que bien peu de l'
état
habituel du malade. Notons encore les particula
tre, le plus souvent, plutôt une série d'illusions, de cauchemars à l'
état
de veille, qu'une véritable hallucination ; elle
11 est figé dans cette sorte de réprésentation mentale qui reste à l'
état
de représentation mentale. Comme la conscience es
ces représentations s'incorporent à son délire, au lieu de rester à l'
état
de conceptions imaginaires, et c'est ainsi que le
ainsi : 1° Jeune âge du sujet; 2° Cause première résidant dans l'
état
mental du sujet, témoin de la tare héréditaire do
e qui le fera reconnaître, et dont on trouvera l'explication dans son
état
mental originel. ENCORE L'INTERDICTION DES REPR
e, el on la fait en-« core servir à la démonstration des fameux trois
états
. » A la page 66 (et non pas 99, comme l'imprime
u point de vue psychologique et clinique. III. De la suggestion a l'
état
de veille et dans l'état d'hypnose.—De l'auto-
que et clinique. III. De la suggestion a l'état de veille et dans l'
état
d'hypnose.—De l'auto- suggestion et de l'automa
s fabriques, que la presque totalité des ouvrières semblaient dans un
état
perpétuel d'ébriété. On lessur-veilla et l'on fut
tua ; un autre passant fut également tué : une dame qui était dans un
état
intérressant a eu la jambe cassée d'un coup de fu
a plu à l'expérimentateur de tracer de sa main. Indépendant de tout
état
organique appréciable, étranger à la diathèse art
ctime. S'il voit l'infortuné plongé dans la misère. Gémir sur ton
état
avec douleur amère, S'il l'aperçoit épris d'un
, lombaires, et de vomissements à répétition fréquente. Tel était l'
état
de cette malade au moment où nous constatâmes pou
es des facultés intellectuelles et affections qui appartiennent à cet
état
, et réalisait l'hypnotisme dans toute son intensi
présente à nous, le bras droit allongé le long du corps, non pas à l'
état
de paralysie flasque, mais avec une certaine rigi
(excepté de l'ouïe qui le laisse en rapport exclusivement avec moi),
état
cataleptoïde des membres. La démonstration était
était d'autant plus grande que la concentration de mon malade dans l'
état
hypnotique devenait de plus en plus exclusive sur
adie dans la nécessité de quitter le service. M. F..., commandant d'
état
major, âgé de 40 ans. marié, pére de trois enfant
légers troubles dyspepsiques. Jusqu'à ce qu'il eut été attaché à l'
état
major d'un corps d'armée, il se livrait à un cert
mois de mai 1889, il présente les manifestations les plus graves de l'
état
névropathique. Sa nutrition est profondément alté
r. En un mot il présente au plus haut degré les maniféstations de l'
état
nerveux chronique que presque tous les neuropatho
'hui pour désigner sous le nom de neutrasthénie. Ce qui donne à son
état
un certain caractère de gravité, c'est que le mal
En moins de deux minutes, il tombe dans un sommeil profond. Dans cet
état
, il présente les phénomènes habituels d'automatis
t aussi par disparaître complètement. En moins de trois semaines, l'
état
général de M. F... était complètement modifié. So
ait déjà augmenté d'une façon très appréciable. L'amélioration de l'
état
mental avait marché parallèlement avec celle de l
lioration de l'état mental avait marché parallèlement avec celle de l'
état
physique. Les dernières suggestions furent cons
mates permanents, présentent la série des accidents variés: attaques,
état
de mal, etc. constituant la pathologie de l'hysté
lus, l'élude de la courbe des excréta urinaires, pendant la durée des
états
de mal. montre qu'au début il y a chute des éléme
ires. puis plateau, et relèvement quelques jours avant la sortie de l'
état
du mal. Ce sont là des phénomènes dus a l'hystéri
'étude de 1a courbe des excréta permet donc de prédire le retour de l'
état
normal. Quelque soit l'état de mal observé, le
a permet donc de prédire le retour de l'état normal. Quelque soit l'
état
de mal observé, le poids des sujets diminue journ
ilepsie vraie et d'epilepsie partielle symptomatique. de même que les
états
de mal correspondants, se jugent par une élévatio
le des principes constitutifs de l'urine. L'attaque d'hystérie et les
états
de mal, quelque forme qu'ils revêtent. se jugent
s avons pu, chez deux sujets, établir chimiquement la cœxistence, à l'
état
isolé, de l'attaque d'hystérie et de l'accès d'ép
iences que nous avons entreprises sur des hystériques plongées dans l'
état
hypnotique que. pendant les périodes de léthargie
squ'à se confondre avec ceux que nous avons notés dans l'attaque et l'
état
de mal hystériques, de même d'ailleurs que, clini
se des suggestions, de la volonté des sujets. Nous ajouterons que l'
état
dit second observé chez deux malades ne donne, au
ion peut développer et développe souvent une hystérie jusqu'alors a l'
état
latent. « Or, l'hystérie — que nous savons reco
is nous montre l'influence toute puissante de la suggestion, même à l'
état
de veille; il nous rappelle ses observations et c
nt constatés par les médecins de Nancy. La condition seconde et les
états
analogues sont également magistralement étudiés.
s suggestions d'actes et distingue en outre la condition seconde de l'
état
hypnotique ordinaire. Les suggestions à l'état
ndition seconde de l'état hypnotique ordinaire. Les suggestions à l'
état
de veille constituent également un important chap
u sommeil hypnotique quelque chose d'analogue au sommeil naturel. Les
états
de rêves analogues ne sont pas pour nous des preu
somnambulisme provoqué sont consciencieusement étudiés. de même que l'
état
intermédiaire entre la veille et le sommeil ordin
t le sommeil ordinaire et les crimes qui peuvent être commis dans cet
état
intermédiaire Tout le monde connait d'ailleurs l'
des crimes ont été commis par les somnambules ou par des personnes en
état
de condition seconde; ce qui l'amène à étudier la
ondition seconde; ce qui l'amène à étudier la responsabilité dans les
états
hypnotiques. II rappelle a ce sujet les divergenc
comme la pierre qui tombe. Pour lui, les somnambules et les sujets en
état
de condition seconde ou de somnambulisme provoqué
e lui refuseront pas leur concours, puisqu'ils se seront ainsi mis en
état
de le lui prêter utilement, qu'ils seront aptes à
onné communication à la société de médecine légale d'un rapport sur l'
état
mental d'un employé d'une cran de administration
ré par le séjour de l'asile, reviendrait probablement assez vite à un
état
cérébral normal m isp^tute. Dès lors, a-t-ildlt.
t qu'on a pu, après cette longue immersion, la rappeler à la vie. Son
état
n'inspire aucune nquiétude. Interdiction de l'h
rsuade être un parfum délicieux? Cette suggestion s'exerce même à l'
état
de veille. J'ai soigné pendant quelque temps un
es psychologiques. » Et lui même raconte comment, par le seul jeu des
états
de conscience, il a pu faire disparaître des cris
lus simples. C'est une psychologie complète de l'hypnose, et même des
états
analogues. Elle ne laisse en dehors de ses recher
m par MM. Despine, Charcot. Binet, etc. se rencontrent aussi dans des
états
qui n'ont rien de commun avec celui-là. C'est don
de réveil soit impropre) et la renaissance du souvenir quand le même
état
pathologique se reproduit. Le somnambule possède
et la base de toutes les complications ultérieures présentées par les
états
hypnotiques plus complexes. — Le phénomène en lui
nt aussi bien les images que les perceptions correspondantes (2). A l'
état
normal, le sujet serait donc incapable de faire n
ment; a qu'elle depend de la persistance et de la liaison de certains
états
de conscience ; 3° qu'ele est une ap-plication de
ons reçues par un certain centre se présentent à nous sous la forme d'
états
de conscience qualitativement différents les uns
pulsions instinctives, en tendances inexplicables par le seul jeu des
états
qui sont conscients pour celle-ci. D'où vient c
ui-même; c'est une seconde personnalité formée par l'organisation des
états
de conscience que son premier moi n'avait pas la
pas un rôle prépondérant dans sa formation? Peut-être en principe les
états
de conscience désagrégés restent-ils isolés et ne
rmission (1). Les médiums sont intéressants à ce point de vue : leurs
états
de conscience désagrégés, ne vont point reformer
à unifier son moi d'une manière très normale en disant, pour rendre l'
état
particulier qu'il éprouvait : « Je réponds, mais
tout l'air de se moquer. — El enfin, dans un moi normal le nombre des
états
de conscience perdus est toujours considérable pa
éorie classique, qu'il y a malgré l'apparente antinomie des mots, des
états
de conscience inconscients: c'est-à-dire une infi
le physiologique: il n'y a rien là d'obscur ni de mystérieux : - un
état
inconscient est seulement un processus cérébral a
n realité ne rien expliquer, que de ramener au mécanisme cérébral les
états
inconscients : cela est d'un autre ordre. Mais l'
cients : cela est d'un autre ordre. Mais l'erreur vient des mots. Ces
états
sont inconscients pour celui qui parle et s'analy
pas moins une conscience qu'ils peuvent manifester: ce sont bien des
états
psychiques. Il n'y a pas de phénomène cérébral pu
t que le résultat d'un consensus et d'une organisation entre tous les
états
de conscience élémentaires dont il se compose, et
é d'un moi parfaitement centralise ; l'autre analyse au contraire les
états
pathologiques les plus complexes de l'esprit huma
nse pouvoir resteindre mon rôle à vous offrir un résumé succinct de l'
état
présent de la question en appuyant sur les points
régnante en science hypnologique à une cause première. Notamment les
états
divers auxquels on accorde le nom d'hypnose sont
tout ce qui s'est pissé. Cependant cette personne aura été dûment en
état
d'hypnose. Elle s'est trouvée dans un état de con
ersonne aura été dûment en état d'hypnose. Elle s'est trouvée dans un
état
de conscience autre, duquel on a pu la faire sort
on a pu la faire sortir par suggestion. La différence entre les deux
états
, n'est presque pas appréciable pour un tiers non
uggestion. Comparez a celle-ci une malade de la Salpêtrière, dans l'
état
de léthargie et voyez la différence énorme : supp
n ne puisse tomber d'accord du moment qu'on accorde le même nom â ces
états
si différents et qu'on parle de l'origine et des
rès Meynert. dans la dernière édition de son manuel. C'est dans cet
état
dliystéro hypnose qu'on peut observer et produire
ant une valeur réelle pour la science psycho-physiologique. Les trois
états
de Charcot, l'hyperexcitabilité névro-musculaire,
Janét (3) qu'on peut à loisir feire entrer dans deux, même dans trois
états
de conscience différents — qui possèdent ainsi un
ble de l'hypnose en général. Puisqu'cntin dans la grande majorité des
états
d'hypnose, ils ne se présentant pas. Aussi la pro
e qu'on ait plutôt le droit à qualifier d'hypnose vraie et normale un
état
qu'on puisse susciter chez 80 0/0 des individus e
'hypnose sans qu'il y ait sommeil ou une modification quelconque de l'
état
de conscience du moment que la suggestibilité est
nose—pour ce qui est de la valeur de l'application thérapeutique de l'
état
hypnotique — doit être différent de celui d'une a
on de l'hypnose —qu'on ne peut provoquer qu'exceptionnellement : d'un
état
qui produit des perturbations psychiques si grave
n Suède: Wetterstrand etc..etc. Comme un signe caractéristique de l'
état
présent de d'histoire de l'hypnotisme, nous tenon
ve de Charcot, médecin de la Salpètriere, quoique admettant les trois
états
classiques de Charcot. préconise la suggestion 'h
ins profond avec ou sans amnésie complète ou partielle au réveil — un
état
qui ne se distingue du sommeil normal qu'en tant
l'hypnotismee.Paris. 1890. (3) Gilles de Tourette L'hypnotisme et les
états
analogues 1887. (4)P. Regnard. Les maladies épi
n plus à accepter les images imposées; bientôt on peut se passer de l'
état
de sommeil et le sujet est devenu plus sug-gestib
mmeil et le sujet est devenu plus sug-gestible qu'auparavant même à l'
état
de veille. Cet état de choses doit paraître un
Il me semble cependant peu avantageux de transférer de la sorte a l'
état
de veille, une imperfection du dynamisme psychiqu
'état de veille, une imperfection du dynamisme psychique existant à l'
état
normal pendant le sommeil seulement. On crée ains
s reprouvable en effet de provoquer ou de favoriser chez celles-ci un
état
permanent dans lequel leur dynamisme psychique es
ez elle, je la trouvai en proie à un de ses accès de furie — dans cet
état
elle vociférait, promulgant des injures pendant d
l'hypnotisme. Nous réussîmes au contraire, parfaitement à guérir l'
état
de lypémanie, d'hyperalgie psychique consécutif o
ons intellectuelles, émotives et impulsives de Falret, les différents
états
anxieux : la claustro-l'agoraphobic, l'onomatoman
eux : la claustro-l'agoraphobic, l'onomatomanie, la coprolalie et les
états
correspondants comme favorables a être traités pa
ouvent ces malades, mêmes quand on ne réussit qu'à les mettre dans un
état
de somnolence, bénéficient la suggestion. La peur
nom de spirites, simulent le sommeil hypnotique et donnent, dans cet
état
, des consultations médicales. L'an dernier déjà
s par Charcot : ni hyperexcitabilité neuro-musculaire, m passage d'un
état
dans un autre ; pas d'automatisme ; au réveil il
, de la relation avec le monde extérieur, de la transition aux divers
états
, comme sans valeur aucune. Mais, comme l'ont fait
hypnotisme (les) 188. Cabrielle Bompart (opinion des médecins sur l'
état
mental de) 227, 266. Genèse des idées délirante
stion dans le développement Opération chirurgicale pratiquée dans l'
état
d'hypnotisme, par E. Wood 246. Paralysie organi
e, 23 Réglementation de l'hypnotisme, 82. Responsabilité dans les
états
hypnotiques, par Liégeois, 184 Réveil d'une mél
s états hypnotiques, par Liégeois, 184 Réveil d'une mélancolique en
état
léthargique, par P. B , 277. Rôle de la suggest
RAPEUTIQUE LES LOIS DE L'IMITATION(l) Le Somnambulisme Social L'
état
social, comme l'état hypnotique, n'est qu'une for
DE L'IMITATION(l) Le Somnambulisme Social L'état social, comme l'
état
hypnotique, n'est qu'une forme du rêve, un rêve d
uple en catalepsie! La torpeur, on le sait, n'est qu'apparente dans l'
état
somnambulique : elle masque une surexcitation ext
ais un rural débarqué à Paris, sont frappés de stupeur comparable à l'
état
cataleptique. Leur attention, à force de s'attach
enue toute paralysée, dépourvue de toute spontanéité propre. Dans cet
état
singulier d'attention exclusive et forte, d'imagi
lus en plus, son esprit, je le répète, se fait somnambule. C'est là l'
état
mental propre à beaucoup de citadins. Le mouvemen
r reconquérir son impulsion propre. On m accor-dera peut-être que cet
état
singulier, par lequel nous avons tous plus oui mo
ous avons tous plus oui moins passé à un certain âge. présente avec l'
état
somnambulique les plus grands rapports. Mais, qua
récède le sommeil profond où le somnambule parle et se meut. C'est un
état
social naissant, qui se produit toutes les fois q
de Nancy. J'ai maintes fois dit et écrit : Rien ne se passe dans l'
état
hypnotique qui ne se passe à l'état de veille. La
t écrit : Rien ne se passe dans l'état hypnotique qui ne se passe à l'
état
de veille. La suggestion sans hypnotisme peut se
r les deux dans la même catégorie : deux femmes très-suggestibles à l'
état
de veille et n'ayant pas le ses moral nécessaire
er ainsi des faux témoins de bonne foi. (1) De la suggestion dans l'
état
hypnotique et dans l'état de veille, Paris 1884 R
de bonne foi. (1) De la suggestion dans l'état hypnotique et dans l'
état
de veille, Paris 1884 Revue Médicale de l'Est 188
l'obligea â s'arrêter. Après quelques heures de ????? elle reprit son
état
habituel, mais à partir de ce moment, elle accuse
e durée plus longue qui va jusqu'à 5 heures. A partir de ce moment, l'
état
général périclite:. la fièvre est permanente, la
ce extrême et la régularité de cette res-piration hachée indiquait un
état
spasmodique, nerveux. J'essayai d'arrêter la cr
'associait à ce silence solennel. L'intelligence restait normale. Cet
état
de cécité et de surdité, avec respiration précipi
t ce qui suit : « Je crois pouvoir me tenir pour guéri, puisque mon
état
est resté essentiellement le même depuis que j'ai
que j'ai quitté votre traitement. Bienque les souvenirs de mon ancien
état
me reviennent de temps à autre, ce ne sont que de
nt physique dans ce mariage. Ma conviction n'a pas changé pendant mon
état
de fiancé, qui dure depuis huit mois. J'ai le des
chose. Les images de fantaisie à sujets sexuels qui m'obsédaient à l'
état
de veille aussi bien que dans mes rêves, sont ext
ouhait parviendront à faire absolument disparaître les résidus de mon
état
antérieur, qui. du reste, ne me gênent plus guère
yage de noces, je me permets de vous envoyer un court rapport sur mon
état
actuel. La semaine qui précédait mes noces, je me
hute me paraît tout-à-fait impossible; ce qui distingue peut-être mon
état
actuel, c'est qu'en effet j'ai rêvé la nuit derni
iques purement intellectuels » et « le traitement moral du malade à l'
état
de veille - ne servent à rien. Mais le résultat t
et se réveillaient â la moindre émotion; elles se terminaient par un
état
syncopal qui n'allait pas jusqu'à la perte de con
la perte de connaissance. Pleurs et rires sans motif et sans que l'
état
émotif put être régularisé par la volonté. Ces
nviron, ces crises gastriques disparaissent et sont remplacées par un
état
nauséeux et angoissant qui se termine par des vom
gastriques, sont, depuis leur disparition, redevenues normales. Cet
état
se prolonge jusqu'au mois de janvier 1889 avec ex
nté de la malade lui paraît assez rétablie pour qu'elle se marie. L'
état
satisfaisant se maintint pendant deux mois après
fut obtenu rapidement par la fixation du regard, mais aucun des trois
états
décrits par l'école de la Salpétrière ne fut atte
au réveil, la malade reste en communication avec le monde extérieur:
état
intermédiaire entre le premier et le second degré
x ou trois questions; après quoi elle se rendormait. A part cela, son
état
ne présentait rien d anormal. Vers la fin de la s
doptées par le Congrès dans son assemblée générale du 19 juin: !• L'
état
d'ivresse considéré èn lui-même ne saurait consti
vidus manifestement Ivres; 4° En cas d'infraction pénale commise en
état
d'ivresse: A. L'état d'ivresse non complète ne
es; 4° En cas d'infraction pénale commise en état d'ivresse: A. L'
état
d'ivresse non complète ne peut en aucun cas exclu
té; comme circonstance ayant influence sur la mesure de la peine, cet
état
ne peut être défini par le législateur, ni comme
n influence sur celte mesure dépend de chaque cas particulier; B. L'
état
d'ivresse non complète exclut la responsabilité e
cas des actions libeœ in causa, quand l'auteur s'enivre sachant qu'en
état
d'ébriété. ii doit ou peut commettre une infracti
ofondément notre droit actuel, les buts suivants : a) Mettre hors d'
état
de nuire, et cela préventivement, les natures cri
toujours, selon lui, être arrêtées par la simplesuggestion. Pendant l'
état
d'inconscience apparente de la crise, la conscien
é, j'arrive en général, sans les endormir, par simple suggestion, à l'
état
de veille, en concentrant leur attention pendant
vement médical, et en déduire quelques considérationsd'ensemble sur l'
état
mental des régicides, pouvant intéressera la fois
era fournie par une expérience d'hypnotisme. Mettez un sujet dans l'
état
de somnambulisme, les yeux ouverts, présentez-lui
Oui, je le répète et le maintiens, l'amour morbide est un véritable
état
(1) Extrait du livre qui va paraître prochainem
une volonté inégale, et l'on voit ces individus mobiles arriver â cet
état
contradictoire : mobilité et idées fixes. Ce sont
arition l'emporte sur tout le reste de l'activité cérébrale. Dans cet
état
, l'idée fixe se répète sous forme d'obse sion. qu
e angoisse concomitante si pénible, de cette conscience complète de l'
état
, et enfin ds cette satisfaction consécutive à l'a
belles espérances. Mais c'est un héréditaire, et il a déjà révélé son
état
mental par quel- ques excentricités qui n'ont été
uelques excès de travail pour passer des examens ou des concours, son
état
de déséquilibration a rapidement augmenté. Le voi
lupart des auteurs qui ont écrit sur la dipsomanie ne voient dans cet
état
qu'une des nombreuses manifestations de la folie
n à boire le phénomène est analogue. Il a son point de départ dans un
état
de dégénérescence mentale et il consiste essentie
ge avec succès une industrie importante. Jusqu'à ces derniers temps l'
état
de sa santé avait toujours été satisiaisant. Il
re, personne ne veut être en reste de politesse avec ses voisins. L'
état
physique et mental de M. X----s'est tellement mod
Huit mois après sa guérison. il se croyait autorisé par son excellent
état
de santé à atténuer un peu la rigueur du régime d
conscience légale, on le séquestre, on le place dans un asile. Là son
état
s'améliore. il semble guéri, mais c'est un malade
de la désharmonie et de l'instabilité morale qui forment la base des
états
de dégénérescence héréditaire. Le délire ambitieu
base des états de dégénérescence héréditaire. Le délire ambitieux, l'
état
hypochondriaque lui fournissent une serie de fait
-jiques et des signes somatiques qui. dit-on. caractérisent ces trois
états
. Il a dit que l'hypnose n'était pas spéciale
ent aveugle et automatique entre les mains de celui qui la mis dans l'
état
hypnotique. Il a ainsi ouvert au coté médico-léga
DAnS L'ÉTAT HYPNOTIQUE (1) Par le docteur L. STEMBO, de Wilna. L'
état
d'excitabilité des nerfs et des muscles sert, com
s muscles sert, comme on le sait, a h distinction somatique des trois
états
du grand hypnotisme décrits par Charcot. D'aprè
onnaire au moins en présence des excitations mécaniques, enfin dans l'
état
somnambulique elle est exaltée dans des proportio
de Charcot et de l'école de la Sapètrière tient-elle réellement à un
état
spécial des nerfs et des mus-cles ou n'est-elle q
és ne m'ont pas donné entre l'excitabilité j pendant l'hypnose et à l'
état
de veille une différence plus grande que celle qu
constater plus loin comment se comporte l'excitabilité-électrique à l'
état
normal et pendant les périodes de léthirgie, de c
s sensiblement plus excitables pendant le « grand hypnotisme » qu'à l'
état
de veille. par le Dr Journée. LE DÉVELOPPEMEN
s ; cependant le Danemark et la Suède seuls ont dressé, à propos de l'
état
de santé des enfants, des écoles, des statistique
tébrale. Il est à remarquer que, pour les jeunes filles suédoises, l'
état
de santé, qui s'aggrave avant la puberté et au co
les trois premières classes des écoles secondaires, n'étaient pas en
état
d'en suivre les cours. les-quels sont cependant a
En effet, quelques jours après, M. M.... était déjà rentré dans son
état
normal. Au bout de dix jours de traitement par la
tement par la suggestion. Dés la première séance, elle est plongée en
état
de somnambulisme et ne se souvient de rien au rév
sieurs reprises â la clinique. Sons l'influence des suggestions son
état
nerveux et son état mental se sont promptement am
clinique. Sons l'influence des suggestions son état nerveux et son
état
mental se sont promptement améliorés. Elle a eu
enrayer le développement de l'accès. 15 juin 1890. — Actullement l'
état
de la malade est aussi satifaisant que possible.
y a en réalité que des manifestations variées et très nombreuses d'un
état
névropa thique spécial, parfaitement déterminé, q
évropa thique spécial, parfaitement déterminé, qu'on pourrait appeler
état
épileptique. Les récentes découvertes de M. Cha
ire, mises en jeu par des causes diverses, mais relevant' toutes d'un
état
névropathique particulier, habituellement hérédit
ment, le milieu dans lequel il se produit : il peut se manifester à l'
état
aigu, ou chronique, être partiel c'est à dire lim
formes et qui en font une seule et même manifestation épisodique de l'
état
somatique et névropathique particulier qui produi
odique de l'état somatique et névropathique particulier qui produit l'
état
épileptique. H y a toujours en effet à la base
s que le syndrome épileptique] surgit ; la cause des causes, c'est un
état
névropathique transmis par l'hérédité. Pour êtr
ie n'est pas rare, contrairement à l'opinion de quelques auteurs. L'
état
névropathique sans lequel il n'y a pas d'état épi
e quelques auteurs. L'état névropathique sans lequel il n'y a pas d'
état
épileptique possible peut d'ailleurs être acquis
tigation de tous les carac-téres qui peuvent déceler l'imminence de l'
état
épileptique. C'est ainsi qu'il a constaté chez la
qu'avec peine, faire encore quelques pas, puis s'affaisse et tombe en
état
de paraplégie complète. Pendant qu'il exécute u
nt, céphalalgie, syn-cope, que viennent dès le lendemain renforcer un
état
saburral avec fiévré et tout le cortège des sympt
chie qui les tient croisés sur la poitrine. Soudain, disparition de l'
état
de contracture, plus lentement toutefois du côte
ésordres qui accompagnent la dite sclérose ne s'est produit), ni à un
état
tétanique, puisqu'on n'a relevé ni opisthotonos,
xamen. Les développements auxquels elle se prête ne sauraient en tout
état
de cause trouve; place ici. Bornons-nous à dire q
ions (certainement très superficielles), qu'un trouble cérèbral et un
état
psychique anormal. L'hypnotisme est-il un procé
répétitions peuvent causer des troubles nerveux; 3° L'hypnose est un
état
morbide ; 4° Cest une véritable névrose comprenan
se est un état morbide ; 4° Cest une véritable névrose comprenant les
états
léthargique, cataleptique et somnambulique. et s'
onise chez un certain nombre de malades l'emploi de la suggestion à l'
état
de veille. Chez un patient doué d'une certaine do
e de traitement doit être appliqué lorsqu'un peut espérer modifier un
état
anormal. Le Dr J.-E. Eddisom constate que depui
e délire chronique. Facile à distinguer du délire hypocondriaque, des
états
mélancoliques et ces délires hallucinatoires aigu
dort peu, est enclin à la tristesse et se plaint de palpitations. Cet
état
dure de un mois et demi à trois mois. 2° Premie
issaud). Dans certains cas, l'astasie-abasie ne se présente pas i l'
état
de pureté, et les malades peuvent offrir divers s
ire différencié. Sur l'excitabililé des nerfs et des muscles dans l'
état
hypnotique, par le docteur Stemho (de Wilna). — (
la puberté ;7° les démences des maladies aiguèes, fièvre typhoïde et
états
puerpé raux auxquels il joint la misère, le surme
ès mal de tête, quoique caissière. Les auteurs font ressortir que l'
état
puerpéral n'a été que l'occasion de développement
se suicider pour échapper à cette idée fixe. M, Boucher rapproche cet
état
particulier des différentes tares observées cher
rophobie, la dipsomanie, la kleptomanie, la bèlénophobie, etc., etc.,
états
bien mis en relief par M. Magnan. (A suivre).
qui n'ont pas reçu d'autre traitement que la suggestion faite dans l'
état
d'hypnotisme. Ces malades peuvent être divisés
et qu'elle soit incapable d'amener une transformation com-plète de l'
état
général du système nerveux, dans la majorité des
rsqu'elle fut hypnotisée. Dés la première séance, elle fut plongée en
état
de somnambulisme, avec amnésie au réveil. Dans ce
ut plongée en état de somnambulisme, avec amnésie au réveil. Dans cet
état
, par des suggestions répétées on la stimula à par
imprimer aux jambes des mouvements de flexion et d'extension, dans l'
état
d'hypno-tisme. A la quatrième séance, nous la fai
es suffirent pour le rétablir complètement. Et. en même temps que son
état
physique, ses aptitudes intellectuelles, un insta
pal effet d'abréger la durée de la maladie, d'empêcher le passage à l'
état
chronique, de diminuer les chances de récidive et
inuer les chances de récidive et de modifier dans un sens favorable l'
état
du choréique. Paralysie agitante. — (Maladie de
paru pendant une année à la suite du traitement par lasuggestion. Son
état
mental et son aspect physique se sont aussi très
séances ont amené dispari-tion complète des attaques et le retour à l'
état
intellectuel antérieur.I Dans celle dernière ob
d'urine. Nous avons noté aussi l'amélioration de la mémoire, et de l'
état
mental. Enfin. chez dix autres, les résultats ont
alades traités par la sug- gestion, environ cinq ou six autres dont l'
état
nous a paru trop grave pour que l'emploi de la su
é ave beaucoup de persévérance, améliorer dans une certaine mesure, l'
état
général et l'état mental du malade. Asphyxie lo
persévérance, améliorer dans une certaine mesure, l'état général et l'
état
mental du malade. Asphyxie locale. — Plusieurs
d'affections chroniques du système nerveux peuvent être déjà dans un
état
de guérison anatomique sans être guéris physiolog
s contractures hystériques et désespérée de se voir, par suite de son
état
maladif, incapable de subvenir à ses besons, a ét
omissant à tous les carrefours. Des paysans la rencontrèrent dans cet
état
et, après lui avoir donné quelques soins, la rame
, elle avala un flacon de 30 gr. de laudanum. Elle est tombée dans un
état
de prostration qui a inquiété sa propriétaire. Tr
stion, il est bien certain que la fascination décrite par Luys est un
état
de sommeil artificiel d'ordre suggestif obtenu pa
harité : tout comme l'hyperexcitabilité neuro-musculaire et les trois
états
hypnotiques furent pendant quelque temps une spéc
emble autant que possible au sommeil normal, qu'il évite de créer des
états
psycho pat niques étrangers et qu'il ait soin de
à la sensation du bien-être procuré par l'ivresse et a prétendu que l'
état
du malade est aggravé par le traitement. Les soi-
ce congrès sur la valeur thérapeutique de la suggestion faite dans l'
état
d'hypnotisme. Contrairement à l'opinion de M. le
hystéro-épilep-tiques que j'si hypnotisés lorsqu'ils n'étaient pas en
état
d'excitation avant l'hypnose et surtout lorsqu'il
constaté l'arrêt des tremblements de la paralysie agitante pendant l'
état
de sommeil hypnotique- _ Je regrette que E. Bér
de huit à vingt jours, la nutrition s'effectuait mieux que pendant l'
état
de veille. Cette conclusion est absolument contra
urette et Cathelineau, l'hypnotisme ne saurait êre considéré comme un
état
pathologique. On peut conclure en disant : 1°
as troublée dans le sommeil hvpnotique ; 2° L'hypnotisme n'es: pas un
état
pathologique : 3° L'hypnotisme est un moyen thé
e, à l'entrée. un examen plus complet rigoureux et plus détaillé de l'
état
mental de chaque détenu, prolonger pour les doute
es quérir, et qu'il ait par cela mis les médecins de tous les pays en
état
d'en tirer avantage et d'en acquérir de la renomm
e psycholigique et légal. Annales méd-psych. 1853 T, IV p.363, 5 De l'
état
de facultés dans les délires partiels ou monomani
ta, en Mars 1868. a la Société médico-psychologique de Berlin sur Iun
état
psychopathique peu connu ", démontrent clairement
obsession, selon Westphal, c'est qu'elle n'est jamais produite par un
état
émotif ou passionnel. C'est un trouble originel
n apparaît pour la première fois chez un malade, il peut être dans un
état
de tranquilité parfaite, d'indifférence. sans tra
la mélancolie, l'hypocondrie, l'épilepsie. S'il existe d'emblée un
état
émotif avec l'obsession, cet état n'estjH en rapp
pilepsie. S'il existe d'emblée un état émotif avec l'obsession, cet
état
n'estjH en rapport intime avec elle, c'est simple
e. Il considère la folie du doute et ses congénères comme une sorte d'
état
intermédiaire entre les névroses et les psychoses
hvsiq'ues, décrit par Morel. Ils représentent les aspects variés de l'
état
mental des héréditaires et de la dégénérescence.
e crises mentales dont le malade donne la description suivante. - Cet
état
mental consiste en mauvaises pensées dont je suis
pendant deux mois en 1886, mais malgré cela elle était dans un triste
état
. Pendant l'automne de 1887, les vomissements aque
s en temps aussi de douleurs nerveuses. A la fin de février 1888. son
état
s'améliora un peu. elle Se passa de morphine pend
aitement jusqu'au bout et il v eut récidive. Je trouvai M. B. dans un
état
complet d'abattement, poids plat et mince, le fac
i. L'espoir de guérison des morphinomanes est en raison directe de l'
état
de faiblesse dans lequel le malade se trouve au c
raux, de là une hyper-hémie assagère, a bquello il faut attribuer cet
état
moral d'anesthesie et d'excitation qui caractéris
::; et .a figure animée. Elle est allée se faire une piqûre. 'Voilà l'
état
psvch ¡que des morphinomanes: c'est un état physi
aire une piqûre. 'Voilà l'état psvch ¡que des morphinomanes: c'est un
état
physiologique du à l'hyper hernie du cerveau. Un
impuissance absolue. Mab» lorsqu'il se réveille, il se trouve dans un
état
d'érection incomplète, d'érection molle, qui peut
nse son argent, on n'en saurait trop prendre pour son argent, a Ccl
état
, qui dure indéfiniment, sans être jamais complet,
ut plus la réveiller. Dans le sexe opposé, la morphine détermine un
état
analogue, une semi-anesthésie voluptueuse qui fai
qui s'est passe pendant le sommeil, si Ion peut déjà désigner ainsi l'
état
vague dans lequel elle est demeurée pendant 4 ou
mpliquée que le 31 décembre. Le 4 janvier 90 pendant qu'elle est en
état
suggestif, elle est absolument insensibilisée : à
ent, la patiente couchée en position horizontale, inconsciente de son
état
, prend à chaque contraction la plus commode et la
était point encore délivrée, elle ne se rend réellement compte de son
état
que lorsqu'on l'invite a se palper le ventre. Alo
ettons que les hystériques seules peuvent l'être de façon â tomber en
état
hypnotique, il est incontestable que la femme enc
hypnotique, il est incontestable que la femme enceinte étant dans un
état
hystérique passager, ce qui est "démontré par les
oux. Jamais je n'ai vu à la première séance un sujet être d'emblée en
état
complet d'insensib lité. Ce n'est que progressi
: 1.1 catalepsie n'est complète qu'après un entraînement prolongé ; l'
état
somnambulique lui même n'atteint toute son accuit
rès avoir indique l'action constante du eboréoptisme sur la femme à l'
état
de gestation et son innocuité, je veux m'applique
même, que des symptômes inquiétants se manitestent, la suggestion à l'
état
de veille suffira bien souvent pour les dissiper.
instantanément, d'autres fois dans l'espace de huit a dix minutes, un
état
de sommeil spécial et progressif qui diffère du s
ujets tombent en catalepsie avec anesthésie du tégument cutané. Cet
état
de sommeil engendré par l'excitatiou lumineuse es
la tète que Moïse et Aaron changeaient les serpents en bâtons. A l'
état
pathologique, l'aitaque de catalepsie a été obser
que c'est un Français dont on ignore le nom qui, le premier, étudia l'
état
d'extraordinaire immobilité obtenue chez les poul
trait de craie. Ce trait n'est donc pas nécessaire- Pour obtenir l'
état
hypnotique et le maintien de l'animal dans une po
ais il diffère de Czermack dans ieu- inierpretition. Pour Crermack, l'
état
hvpnotique csi voisin et proche pare;*. Ju sommei
s grenouilles, les pigeons, les poules. etc.. ont fait admettre que l'
état
hypnotique est un phénomène physiologique entière
cataplexie n est donc ni du somm-ii dans le sens propre du mot, m un
état
hypnotique. Dans un dernier chapitre, M. Jo'.y
i n'ont rien de commun avec le magnétisme, comme étant "seulement des
états
particuliers du système nerveux. CHRONIQUE ET C
mente dé volume. Il s'agissait donc d'une laussc grossesse^ d'un
état
ncne-ix spéciale hystérique, où la suggestion du
mesure, grâce à la crédivité inhé- rente à l'esprit humain. Mais à l'
état
normal, celle-ci est limitée, la cré- divité qui
le plus efficace est l'hypnotisme. Nous avons défini l'hypnose : un
état
psychique particulier, susceptible d'être provoqu
t-à-dire l'aptitude à être influencé par une idée et à la réaliser. L'
état
hypnotique n'est autre chose qu'un état de sugges
une idée et à la réaliser. L'état hypnotique n'est autre chose qu'un
état
de suggestibilité exaltée; nous avons vu que cet
tre chose qu'un état de suggestibilité exaltée; nous avons vu que cet
état
peut être produit avec ou sans sommeil. Nous av
mployés pour obtenir artificiellement cette suggestibilité exaltée ou
état
hypnotique et nous avons conclu que tous se rédui
us avons établi une classification schématique des divers degrés le l'
état
hypnotique, depuis l'engourdissement simple jusqu
is automate : la conscience est toujours présente, les souvenirs de l'
état
hypnotique peuvent toujours être réveillés: c'est
acultés d'imagination sur les facultés de raison engourdies, c'est un
état
physiologique tel qu'il existe normalement, sous
sprit humain, qu'elle n'est pas "dévolue aux névropathes seuls, que l'
état
hypnotique n'est pas un •Symptôme de l'hystérie.
ors de la perpétration de cet acte, privé de connaissance ou clans un
état
mental qui excluait le libre exercice de la volon
ulgue en 1878 : «Un acte n'est pas imputable à celui qui le commet en
état
d'inconscience ou dont les facultés intellectuell
s aient agi sous l'influence d'une suggestion étrangère, faite dans l'
état
d'hypnotisme, ces derniers déclarent que ces sugg
iminel. Dans le dernier chapitre de son livre Sur le sommeil et les
états
analogues, paru en :û66. il écrivait les lignes s
ences que je tentai sur une jeune fille très intelligente, cl qui, en
état
de sommeil profond, était la plus revéche et la p
utile d'en bien connaître: les frontières; A ce litre, l'etude des
états
voisins du sommeil morbide. qui peuvent objective
n, dont il est ici question est. au premier chef, la conséquence d'un
état
morbide. J'arrive immédiatement au fait. Le sam
ts faits dans ce sens étant restes sans résultat, on avait redouté un
état
grave et Ton s'était décidé â transporter le mala
rvice hospitalier. Lors du premier examen, nous trouvions G... dans l'
état
suivant : il était étendu au lit. le corps reposa
Il en était de même des membres. Il n'y avait donc ni contracture, ni
état
cataleptique des muscles. Toutefois. les masséter
t ensemble symptomatique ne permettait pas de s'arrêter à l'idée d'un
état
comateux consécutif à une lésion cérébrale (embol
les lambeaux de phrases que je viens de rapporter, peignent mieux son
état
mental que n'eût pu le faire une simple descripti
pèce, qu'un intérêt secondaire. Je tenais toutcfois à bien préciser l'
état
mental de G... Or. on peut caractériser cet état
is à bien préciser l'état mental de G... Or. on peut caractériser cet
état
de la façon suivante : G... est un débile intelle
ntrairement à ce qu'on eût pu supposer, à un examen superficiel, ni d'
état
comateux, ni d'état somnambulique, mais simplemen
on eût pu supposer, à un examen superficiel, ni d'état comateux, ni d'
état
somnambulique, mais simplement d'un sommeil simul
irations s'élevait de 24 à "S, et le pouls descendait de 72 à 58. Cet
état
persista peudant plusieurs mois, et i! durait enc
. Il s'agissait d'un jeune malade entré h Charenton, en 1868, dans un
état
de mélancolie profonde et qui, par l'aggravation
ces divers cas. c'est que. chez certains aliénés, on peut observer un
état
fort analogue au sommeil, mais qui n'a du sommeil
analogue au sommeil, mais qui n'a du sommeil que les apparences. Cel
état
, de durée fort variable, comme on l'a vu, peut pe
es d sommeil hystérique. LES VARIATIONS DE LA PERSONNALITÉ DANS LES
ÉTATS
HYPNOTIQUES Par le professeur A. Pitres, doye
se méprennent pas sur leur identité physique ct morale ; le moi de l'
état
de sommeil reconnaît pour sien le moi de l'état d
morale ; le moi de l'état de sommeil reconnaît pour sien le moi de l'
état
de veille : la personnalité n'est pas changée.
souvenir du passé aux impressions du présent est rompu ; le moi de l'
état
de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de
; le moi de l'état de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de l'
état
de veille; la notion de l'identité morale est alt
rsonnalité qui se produisent dans le sommeil hypnotique. .,u dans les
états
analogues, peuvent être rangés sous trois types s
rite, et quand on lui fait de la peine, cela m'attriste. » Dans cet
état
, elle reconnaissait toutes les personnes avec les
ennes : mais elle ne leur parlait pas avec la même familiarité qu'à l'
état
de veille. Elle ne tutoyait plus ses parents. Son
somme, elle conservait ses idées, ses penchants, ses sentiments de l'
état
de veille; sa personnalité seule était aliénée. U
onséquence. —Un pauvre apprenti se croyait, aussitôt qu'il tombait en
état
de sommeil, père de famille, riche, sénateur, et
u un general ne se contente pas, ainsi que le ferait une personne à l'
état
normal, ce concevoir idéalement le type dont on l
alement une physionomie spéciale,particulière à chacun des nouveaux
états
de conscience. En un mot, le geste du scripteur s
mois pendant lequel, de temps en temps, j'employai la suggestion à l'
état
de veille pour éloigner les symptômes qui alarmai
uand le malade croit avoir trompé le médecin et obtenu du fait de son
état
une atténuation de sa peine; ils se prolongent as
complicité. Ayant été plusieurs fois commis a l'effet d'examiner l'
état
mental de sujets avant survécu a un double suicid
l'on ne se trouve pas en présence d'un désarroi moral, d'un véritable
état
de mélancolie. J'en prendrai pour preuves deux ob
elles j'ai conclu à une irresponsabilité complète, en me basant sur l'
état
mental qui a accompagné la tentative de suicide.
ait antérieurement éprouvé de grands chagrins a la suite desquels son
état
moral s'était profondément troublé. Avant l'acte
ant lesquels elle éprouvait un entraînement invincible à boire. Cet
état
!a préparait à réagir plus vivement que d'autres
de réagir contre les duretés du sort, elle a versé peu à peu dans un
état
de mélancolie qui a fini par vicier son iugement.
des dégénérées et qu'elles sont victimes des lois de l'hérédité. Leur
état
est la conséquence ocs excès alcooliques, de la s
... l 1 0 36 Total de la 1re liste...... 634 francs Un vol dans l'
état
d'hypnotisme. Ou lit dans le Hirlap, de Pesth,
odifications très appréciables et caractérisant parfaitement les deux
états
quotidiens de veille et de sommeil. Si ces modula
hésiterait pas à révéler à un malade impressionnable la gravité de un
état
Société d'antropoligie.. — Le comité central de
p-ed. UV.-vr n* 5. 1S90. EOLARD : Aphonie guéri- p.' *ii2-e*t:oa J l'
état
lie veile. GiT/Ut -it h'-;.¦.'.::* ; U juillet
n de défense. Le rapport des experts, malgré leurs constatations de l'
état
d'hystérie, se termine par les conclusions suivan
et que cinquante, au moins, sont susceptibles d'être plongées dans l'
état
de somnambulisme. Pour elle, le fait d'être très
Pour Paris, l'hypnotisme est un eut pathologique; pour Nancy c'est un
état
psvchologique. Or, les experts concluent comme Na
quc, cette personne se rappellera toute son existence; mais, durant l'
état
de veille normal, clic ne se souviendra absolumen
nt alternativement. A la longue, il en résultera qu'elle aura, dans l'
état
de sommeil, des souvenirs, des idées, des sentime
des souvenirs, des idées, des sentiments qu'elle ne connaîtra pas à l'
état
de veille. Sa manière d'être sera différente dans
veille. Sa manière d'être sera différente dans l'un ou l'autre de ces
états
; sa personnalité ne sera plus la même. La suppo
r; elle n'avait aucune idée délirante, aucune hallucination; mais son
état
intellectuel était modifié. Au lieu d'être sombre
gaie, souriante, causeuse, aimable, turbulente. Elle restait dans cet
état
pendant trois ou quatre heures, puis, tout à coup
rée. Dans la crise, au contraire, ou, comme l'appelle M. Azam, dans l'
état
de condition seconde, elle se souvenait de toute
es plus longues et plus fréquentes. Elles ont peu à peu empiété sur l'
état
normal, au point de l'envahir presque complètemen
es, elle-assista à ses funérailles et prit le deuil; mais revenue à l'
état
normal, il fallut qu'on lui expliquât pourquoi el
de : elle le soigna, l'éleva, s'attacha à lui. Quand elle repassa à l'
état
de condition première, et qu'elle aperçut l'anima
comble de prévenances et de bonnes paroles la femme que, dans Pautre
état
, elle accuse d'être la complice de son mari. En
me spontané. 11 est probable que sa condition première correspond à l'
état
normal, et que sa condition seconde est une forme
forme particulière de l'hypnose spontanée. Ce n'est pas assurément l'
état
hypnotique vulgaire. Ce serait plutôt un état ana
n'est pas assurément l'état hypnotique vulgaire. Ce serait plutôt un
état
analogue à celui dans lequel les sujets éveillés
s sujets éveillés accomplissent les suggestions qu'on leur a données,
état
que M. Liégeois, qui en a le premier étudié les s
ambulique (2). Il est caractérisé par les apparences extérieures de l'
état
de veille et par la perte du souvenir des actes a
es actes accomplis pendant sa durée. Il se rapproche certainement des
états
hypnotiques francs; mais il ne saurait être légit
es meilleures preuves qu'on en puisse donner, c'est que les sujets en
état
de veille somnambulique peuvent passer à l'état d
est que les sujets en état de veille somnambulique peuvent passer à l'
état
de sommeil hypnotique vulgaire quand on les soume
essant de savoir ce que donnerait lTiypnotisation pratiquée, dans les
états
de condition première et de condition seconde, su
leurs intervalles, et qu'une fois endormie, elle était dans un autre
état
que dans si condition première et dans sa conditi
le sommeil provoqué, elle présentait d'antres symptômes que dans les
états
alternants qui se succédaient chez elle par le se
é, dans laquelle le sommeil somnambulique vulgaire est remplacé par l'
état
de veille somnambulique. Des deux états qui se su
ue vulgaire est remplacé par l'état de veille somnambulique. Des deux
états
qui se succèdent alternativement chez ces malades
alternativement chez ces malades, l'un, la condition première, est l'
état
de veille normal; l'autre, la condition seconde,
re, est l'état de veille normal; l'autre, la condition seconde, est l'
état
de veille somnambulique. Cette interprétation n
de tout ce qui s'était passé pendant l'intervalle; en un mot. dans l'
état
atteint, elle ignorait l'état nouveau. Cest ainsi
pendant l'intervalle; en un mot. dans l'état atteint, elle ignorait l'
état
nouveau. Cest ainsi qu'elle nommait ses deux vies
e dame a présenté a peu prés périodiquement ces phénomènes. Dans un
état
ou dans l'autre, elle n'a pas plus souvenance de
n'en ont de leurs natures respectives; par exemple, dans là période d'
état
ancien, elle possède toutes les connaissances qu'
aissances qu'elle a acquises dans son enùncc et sa jeunesse; dans son
état
nota-eau, elle ne sait que ce qu'elle a appris de
son premier sommeil. Si une personne lui est présentée dans un de ces
états
, elle est obligée de l'étudier et de la connaître
n avoir 1a notion complète. Il en es: de même de toute chose. Dans un
état
ancien, elle a une très belle écriture, celle qu'
n'avait pas, comme la malade de M. Azam. une mémoire commune aut deux
états
et une mémoire propre a l'un deux. Les deux mémoi
eux mémoires étaient limitées chacune aux événements accomplis dans l'
état
correspondant; elles s'ignoraient réciproquement
rattachée à sa manière d'être ancienne par une série ininterrompue d'
états
intermédiaires qui se relient entre eux de façon
encontrent assez fréquemment chez les hypnotisés. Quelques sujets, en
état
de somnambulisme spontané ou provoqué, perdent co
ique par trois procédés différents : 1° En affirmant à la malade en
état
de sommeil hypnotique, qu'après son réveil elle a
qu'elles démontrent, dans une certaine mesure, la liaison intime d'un
état
physique déterminé avec un état mental concomitan
rtaine mesure, la liaison intime d'un état physique déterminé avec un
état
mental concomitant. Je vous ai déjà dit que, chez
choses. expliquer pourquoi le même individu n'est point toujours en
état
de suggestibilité; du reste, si la suggestion suf
meil somnambulique, elle est généralement impuissante pour amener les
états
profonds fi). La conception d'un agent physique s
ant sa pensée sur ce qu'il désin- et en se mettant, en même temps, en
état
de crédulité par l'un quelconque des procédés pro
at de crédulité par l'un quelconque des procédés propres a amener cet
état
, qui sont a sa disposition. — Inversement, il peu
et ù échéances diverses. Quelques sujets, sur rio're ordre, pendant l'
état
hypnotique, se sont tiré des coups de revolver, s
n avait été intimé. II est très intéressant, dans ce cas, d'étudier l'
état
de l'esprit dans lequel se trouve le sujet lorsqu
ant elle. L'action est ponctuellement exécutée par 1..... revenue à l'
état
do veille, et nous feignons d'emporter iisi cad
t faire commettre de faux témoignages, même par simple suggestion à l'
état
de veille, par des sujets très sensibles. Si no
\ent être provoquées, mais aussi naître spontanément à la faveur de l'
état
de conscience modifiée. Nous nous trouvons donc
ité avec laquelle un grand nombre de sujets se trouvaient mis dans un
état
d'automatisme absolu, nous n'avions pas été tenté
outes les contractures spéciales à ses différentes phases. - « Dans l'
état
de somnambulisme, il provoqua aussi, chez ce suje
quences qui en découlent au point de vue de la caractéristique d- son
état
névropathique. « Il résulte pour nous des faits
el la question de la suggestion criminelle est posée et l'examen de l'
état
mental de Gabriette Bompard magistralement traité
idus hypnotisés. Pour M. Charcot et ses élèves, l'hypnotisme est un
état
pathologique, ne se rencontrant pas en dehors de
erture des yeux chez l'individu endormi. On fait passer le sujet de l'
état
précédent dans l'état de léthargie par la simple
'individu endormi. On fait passer le sujet de l'état précédent dans l'
état
de léthargie par la simple occlusion des yeux. Da
de ce genre. Pour l'École de Nancy, enfin, l'hypnotisme n'est pas un
état
pathologique, mais s'observe aussi bien chez les
e à celte question. Ce n'est certainement pas à une différence dans l'
état
psychologique des sujets sur lesquels on opère, c
a parole ou les gestes de l'expérimentateur, agissant sur un sujet en
état
de somnambulisme, c'est-à-dire dans un état où le
agissant sur un sujet en état de somnambulisme, c'est-à-dire dans un
état
où les fonctions psychiques et sensorielles acqui
ans un état où les fonctions psychiques et sensorielles acquièrent un
état
d'hype recuite extraordinaire? Ce qui vient à l'a
caractères des trois périodes regardées comme caractéristiques de cet
état
ne sont guère nets en général dès le début, qu'on
portance, — actuellement surtout où l'on étudie la suggestibilité à l'
état
de veille, — que j'ai observé deux sujets n'ayant
sujets n'ayant jamais été hypnotisés, qui étaient suggestibles à l'
état
de veille à un degré aussi prononcé que peut le r
'autres termes, j'obtins chez eux le premier jour, par suggestion à l'
état
de veille, les mêmes résultats que j'obtins le le
négative. Pour moi, l'hypnotisme n'est pas une névrose spéciale ou un
état
ne se rencontrant que chez des hystériques ou des
. Enfin, elle ne croit pas que l'on puisse violer une femme pendant l'
état
somnambulique. si celle-ci n'est pas consentante.
de personnalité, de volonté et de liberté, les réduire en un mot à l'
état
d'automates, obéissant aveuglément et fatalement
est vrai, on peut obtenir les mêmes résultats, par la suggestion à l'
état
de veille. La démonstration du crime par sugges
ation de ce fait principalement à l'Ecole de Nancy. La suggestion à l'
état
de veille suffit dans bien des cas. et il est plu
ant un nervosisme à un autre et que le malade retombe bientôt dans un
état
pire que le précédent. Je publie ces nouvelles ob
séances qu'elle atteignit le second degré du sommeil hypnotique. Son
état
commença à s'améliorer presque immédiatement, et,
rès hypnotisable, à la troisième séance, il se trouva dans un profond
état
de somnambulisme. Je l'hypnotisai tous les jours
sement, après avoir été soumise à l'hypnotisation. Il me semble que l'
état
de sujets hvpno-tisés au moins deux fois par jour
il de fer de 8 toises de Ion- guenr et 3 lignes d'épaisseur, dans l'
état
où le livrent les fabricants. On le plaça sur le
es proportions, on ne comprenait guère comment il avait pu passer à l'
état
• d'événement sensationnel ¦. Eyraud, sorle d'a
vu Gabrielle Bompard venir d'elle-même se constituer prisonnière. Son
état
mental devait dés les premiers interogatoires, pa
laquelle MSI. Brouardel, Motel et Ballet étaient chargés d'examiner l'
état
mental de l'inculpée. Les savants experts se mi
e; c'est un étal physiologique et le sommeil provoqué ne diffère de l'
état
normal qu'en ce qu'il rend le sujet plus apte à r
i, en frappant un coup de gong à l'improviste : suggestion; pendant l'
état
léthargique, vous faites contracter les muscles d
nde satisfaction que de guérir par suggestion plusieurs sujets dout l'
état
est resté stationnai» (3) Fontan et Segard (Tou
ue M. Liégeois établit sans cesse pour soutenir ses théories avec les
états
spontanés (états seconds ou accès spontanés do so
ablit sans cesse pour soutenir ses théories avec les états spontanés (
états
seconds ou accès spontanés do somnambulisme hytér
t absolument rien A. faire avec l'hypnotisme et la suggestion, et'les
états
provoqués, les seuls dout il devrait légitimement
« el je suis, dit-il, je crois le premier (4) qui s'en soit aperçu, l'
état
spécial dans lequel des crimes ont pu être commis
e M. Liégeois, dans gestion hypnotique, soit dans la suggestion à l'
état
de veille (1). » Gabrielle Bompard a été mise en
suggestion à l'état de veille (1). » Gabrielle Bompard a été mise en
état
second par Eyraud, c'est pourquoi elle ne se souv
i lui est si particulière, mais, puisque vous avez si bien étudié cet
état
, vous ne devez pas ignorer que c'est un véritable
colorés, s'échapper de la plupart des corps lorsqu'il est mis dans un
état
déterminé de l'hypnose qui a été désigné sous le
s dans un état déterminé de l'hypnose qui a été désigné sous le nom d'
état
de rapport (1). M. de Hochas rappelle que ces l
vue de l'Ecole de Nancy, le sujet ne présentait aucun caractère de l'
état
hypnotique. M. Delbœuf soutenait le contraire.
nérale. — De la catalepsie. — Théorie physiologique de l'épilepsie et
état
mental des épileptiques. — Troubles du langage et
atria e di medicina legale, t. VII, fasc. 3. 1890.) ?ender. — Sur l'
état
actuel de la question de rhypnotisme. (Med. Corr.
. Paris, 1890. BouarDEL, Mottet et Ballet (D"). — L'Affaire Gouffé,
état
mental de Gabrielle Bompard (Annales d'hygiène pu
196-206.) Osgood (H.). — Valeur thérapeutique de la suggestion à l'
état
hypnotique. (Med. suro. j. Boston, 1890, CXXII,
les conclusions sont : 1° Que l'hypnotisme est incontestablement un
état
pathologique provoqué; 2° Qu'aux points de vue
. Les résultats sont consignés dans les tableaux ci-joints. Pendant l'
état
de veille, nous n'avons pu nous procurer les urin
ingt-quatre heures. L'alimentation, qui n'a pas varié dans les deux
états
, se composait en moyenne de : bouillon. 25 centil
grammes. L'urine de la malade, aussi bien pendant le sommeil qu'à l'
état
de veille, était limpide, d'odeur nulle, d'une co
mais, néanmoins, loin de présenter une diminution sur la moyenne de l'
état
de veille de la malade, ils accusent, au contrair
ide phosphorique total. La seule différence à noter, c'est que, à l'
état
de veille, les phosphates terreux (chaux, magnési
cette malade, à savoir que la nutrition s'est mieux opérée pendant l'
état
de léthargie hypnotique qu'à l'état de veille, c'
tion s'est mieux opérée pendant l'état de léthargie hypnotique qu'à l'
état
de veille, c'est-à-dire à l'état normal. M h u
'état de léthargie hypnotique qu'à l'état de veille, c'est-à-dire à l'
état
normal. M h u -w a 3 ¦u S MM»! PHOSPHORIQUE S 8
es périodes menstruelles. En dehors de ces accès, elle recouvre son
état
physique normal et, chaque mois, elle va passer q
niaques, du sommeil hypnotique. Je fais durer le sommeil trois jours (
état
léthargique). Les accès passés, la malade repre
pnotisée, elle était atteinte d'embarras gastrique, déterminé par son
état
de manie qui durait depuis trois jours. Aussi,
est. comme dans les deux autres analyses, en quantité supérieure à l'
état
de veille: Eut de veille. Sommeil. Volume....
de ces chiffres, c'est que la nutrition s'est mieux opérée pendant l'
état
de léthargie hypnotique que pendant l'état de vei
est mieux opérée pendant l'état de léthargie hypnotique que pendant l'
état
de veille; cette conclusion est absolument contra
heure ou huit heures. Si le sommeil hypnotique avait dû produire un
état
pathologique, c'eût été assurément bien autrement
pas troublée dans le sommeil hypnotique; 2* L'hypnotisme n'est pas un
état
pathologique; 3* L'hypnotisme est un moyen thérap
vaient qu'il est facile de faire commettre un vol par un sujet mis en
état
de somnambulisme, M. Mesnet acceptait donc la pos
ion du Dr Li^beaalt, qui considère que, chez l'individu plongé dans l'
état
de somnambulisme, la conscience, ce flambeau divi
s suggestions criminelles (1) : c D est possible, disait-il, dans l'
état
de somnambulisme provoqué, de suggérer des idées
un certain degré de similitude sociale entre les deux personnes. Si l'
état
ordinaire d'un homme n'est en rien semblable à l'
personnes. Si l'état ordinaire d'un homme n'est en rien semblable à l'
état
ordinaire de la moyenne de ses coassociés, il y a
rlier a soumis à mon examen. Il est, à mon avis, tres suggestible à l'
état
de veille et hypnotisable ; il ne simule pas ; il
tat de veille et hypnotisable ; il ne simule pas ; il se comporte, en
état
hypnotique, comme presque tous nos sujetse. « D
rte, en état hypnotique, comme presque tous nos sujetse. « Dans cet
état
, qui n'est qu'un état de seconde conscience, il m
e, comme presque tous nos sujetse. « Dans cet état, qui n'est qu'un
état
de seconde conscience, il m'a paru présenter une
efois par de l'anxiété qui le fait demander à être réveillé. Dans cet
état
, il se croit le pouvoir de diagnostiquer et de tr
de diagnostiquer et de traiter les maladies. Quand je lui ai dit, en
état
hypnotique, de renoncer a ses consultations et de
prend un a«pect comme extatique: Il s'exalte dans sa foi 1 C'est, à l'
état
hypnotique, un visionnaire, un fou (de bonne foi)
l' auto-suggestion d'une imagination délirante. 11 m'a dit, dans cet
état
, que son frère, je crois, l'a endormi pour la pre
estive, son mécanisme; Propriétés diverses du sommeil provoqué et des
états
analogues : in-8°, 308 pages. — Octave Doin. édit
quelques mois auparavant, de ??? Intention de Ut faire accoucher a l'
état
d'hypnotisme. Je crois bien qu'elle y comptait. M
t d'appui, et elle poussait quand la matrice entrait en action. Cet
état
persista jusque neuf heures moins le quart. La
nalé. Dans les quelques faits qui onl été rapportés d'accouchement en
état
hypnotique, on s'est borné à constater quelle éta
e prolonge pas trop, l'accoucheur ne s'en inquiète guère. Mais si cet
état
de repos continue, il excite directement la fibre
ployés dans les accouchements naturels. — Paris, 18». écrasa dans l'
état
hypnotique, en même temps que je lui annonçais qu
tes. La malade, ayant recules soins antiseptiques que nécessitait son
état
, je l'éveillai à onze heures en lui soufflant sur
forceps cl j'aurais pu ainsi déchirer le périnée. Tandis que, dans l'
état
d'hypnotisme, la malade resta parfaitement tranqu
sa respiration, sortait de son bec une Lohée visible. Plongée dans l'
état
de somnambulisme, Mrae Rueff voyait s'accroître b
érie normale — les excréta urinaires rapportées au poids étaient, à l'
état
de veille, indentiques a ce que l'on observe chez
tes avec inversion de la formule de ces derniers. La catalepsie est l'
état
où ces phénomènes sont le plus accentués. Ces rés
ons donc fondés à admettre comme conclusion : que l'hvpnotisme est un
état
pathologique, lorsque MM. A. Voisin et Harani, da
troublée dans le sommeil hypnotique; 2" que l'hypnotisme n'est pas un
état
pathologique». Désireux de vérifier nos investiga
, dans un service consacré au traitement de l'aliénation mentale. L'
état
, dit normal par M. A. Voisin, n'était donc — nous
al par M. A. Voisin, n'était donc — nous le saurons désormais — qu'un
état
mental fort troublé, et les recherches de'ilaircl
ta urinaircs sont loin d'être normaux dans ces conditions. Dans cet
état
dit normal, jamais tes urines ne purent être recu
que, dans les conditions où ont été faites les premières expériences (
état
normal] de MM. Voisin et Harant. ce rapport des p
excrétée dans les vingt-quatre heures. Reste le fait que, pendant l'
état
somnambulîque, le résidu fixe, l'urée et les phos
u fixe, l'urée et les phosphates semblaient augmentés par rapport à l'
état
sain. Nous répondrons que, les urines n'ayant pu
ir qu'aux caractères tirés des excrétions urinaires, esl un véritable
état
pathologique. Depuis cet article, MM. A. Voisin
ables entre eux chez des sujets qui, comme les n" 2 et 3, donnent à l'
état
de veille les chiffres pathologiques de 10 gr. 30
, dont il n'y axait pas moyen de la faire sortir pour l'amener dans l'
état
aomnambulique, seule période, disaient-ils, dans
olsky. Suite et fin (1) VI. — accouchement isdolore. SUOOBSTfOX a l'
état
de veille C. R., 21 ans, Genevoise, première gr
me gémissait, criaii. L'enfant est né virant, la mère est en très bon
état
. Le lendemain, elle m'a dit que depuis mon arrivé
es auquel l'auteur a consacré un chapitre à part, par analogie avec l'
état
mental des hystériques. Ces phénomènes capitaux
Quant aux sigtuis objectifs, il faut avouer qu'ils sont encore à l'
état
embryonnaire ; mais c'est déjà un progrès qu'on d
s oreilles comme des termes équivalents. L'hypnose est une névrose; l'
état
hypnotique est une maladie artificielle. On suppr
gestive n'est, au fond, que de la persuasion facilitée par un certain
état
psychique qui existe naturellement chez quelques-
tive qu'on n'a pas su maintenir, parce que le sujet, suivant dans cet
état
de conscience nouveau l'hésitation de l'opérateur
tendent, en vertu de notre organisation, à reconstituer sans cesse l'
état
physiologique, quand rien ne s'y oppose. En conna
nifestations de la vie génitale peut de même être lèse par suite de l'
état
d'éréthisme de tel ou tel centre et dans l'espèce
nt dans ce groupe. . 3° Les spinaux cérébraux antérieurs. Comme à l'
état
normal, c'est une influence psychique, idée, sent
a établi l'existence de centres préposés aux fonctions sexuelles. A l'
état
normal, ces centres de l'érection et de l'éjacula
pant. éclatent les crises génitales en question qui sont suivies d'un
état
de dépression mélancolique et de troubles neurast
t amène une surexcitation très vive des organes génitaux, ainsi qu'un
état
d'énervement. La crise se montre souvent quand M™
ois au lit, n'ayant pas l'énergie suffisante pour s'habiller, dans un
état
de malaise qui dure tout le jour. Notons qu'elle
ique, qui, pour tous les auteurs, semble être la caractéristique de l'
état
hypnotique. Les conclusions de l'éminent profes
s énergique, suivant la nature de l'acte suggéré et surtout suivant l'
état
même du somnambule. Quand le sujet a été souvent
bservé un fait analogue sur MBÏ H. A... Il lui avait été suggéré (à l'
état
de veille) qu'elle irait prendre le porte-monnaie
sistance tout différent : Lorsque je lui faisais une suggestion à l'
état
de veille, il lui arriva plusieurs fois, soit que
antes au point de vue de la question obscure du somnambulisme et de l'
état
mental qu'on appelle la double personnalité. Pour
qu'on appelle la double personnalité. Pour bien faire comprendre cet
état
singulier, il est nécessaire d'entrer dans des dé
utieux. Voici une jeune fille qui se présente avec l'apparence d'un
état
absolument naturel, travaillant, parlant, réponda
ependant, il y a en elle deux personnalités séparées; elle est dans l'
état
qu'on a appelé condition seconde, état que pour l
ités séparées; elle est dans l'état qu'on a appelé condition seconde,
état
que pour la facilité de l'étude on peut appeler l
ition seconde, état que pour la facilité de l'étude on peut appeler l'
état
B pour l'opposer à l'état A qui est l'état nature
ur la facilité de l'étude on peut appeler l'état B pour l'opposer à l'
état
A qui est l'état naturel et qu'on peut faire repa
l'étude on peut appeler l'état B pour l'opposer à l'état A qui est l'
état
naturel et qu'on peut faire reparaître par certai
tificiels, ainsi qu'on le verra un peu plus tard. Cette malade dans l'
état
où elle est (état B) marche très bien, sans boite
u'on le verra un peu plus tard. Cette malade dans l'état où elle est (
état
B) marche très bien, sans boiter; elle est hystér
elle a oublié son âge et ne sait plus où elle a été élevée. Dans cet
état
, elle est un peu engourdie; et bien qu'elle trava
riées qu'elle conserve indéfiniment. On la fait ensuite sortir de cet
état
cataleptique en lui soufflant sur les yeux. Elle
l de reproduire celte contracture. Les caractères psychiques de cet
état
B sont aussi exactement ceux que tl) Journal de
saisir dans le papier les moindres défauts qui lui échapperaient à l'
état
normal et qui font alors corps, en quelque sorte,
que se passera-t-il chez celte malade si on peut la faire passer à l'
état
A, c'est-à-dire à l'état normal, à l'état de cond
celte malade si on peut la faire passer à l'état A, c'est-à-dire à l'
état
normal, à l'état de condition première? Ce passag
on peut la faire passer à l'état A, c'est-à-dire à l'état normal, à l'
état
de condition première? Ce passage, qui dans quelq
attentivement. Le tableau est alors changé du tout au tout. Dans l'
état
A, la malade, qui tout à l'heure marchait parfait
ue. En revanche, elle a complètement oublié ce qui s'est passé dans l'
état
B. Lorsqu'on lui montre la personne à qui elle fa
e tout à l'heure, on ne fait que l'irriter. Cependant, chez elle, cet
état
A ne dure pas longtemps et, au bout d'un quart d'
ure à vingt minutes, elle a une tendance invincible à retomber dans l'
état
B qui parait lui être plus agréable et dont on ne
dont on ne la tire pas sans qu'elle proteste. Une fois revenue à cet
état
B, tous les phénomènes précédents se déroulent de
u, en même temps qu'elle oublie entièrement ce qui s'est passé dans l'
état
A. Telle est la double condition dans laquelle
ille généralement le matin dans l'étal A, mais, bientôt, passe dans l'
état
B, où elle reste toute la journée; lorque vient l
où elle reste toute la journée; lorque vient le soir elle repasse à l'
état
A avant de s'endormir. On voit qu'il s'en faut de
posée, car elle n'a nullement l'aspect d'une personne endormie. Les
états
de ce genre, si bizarres qu'ils soient, ne sont p
qu'on n'avait pas trouvé de procédé pour laire passer la malade de l'
état
B à l'état A; ce passage ne se faisait que sponta
ait pas trouvé de procédé pour laire passer la malade de l'état B à l'
état
A; ce passage ne se faisait que spontanément et à
à la Salpêtrière il y a dix ans et qui vit presque constamment dans l'
état
B depuis 1885. Dans cet état, elle présente une a
ns et qui vit presque constamment dans l'état B depuis 1885. Dans cet
état
, elle présente une anesthésie générale absolue, e
moins fortes et moins fréquentes qu'autrefois. Cette malade dans l'
état
B, son état maintenant habituel, ne sait son nom
s et moins fréquentes qu'autrefois. Cette malade dans l'état B, son
état
maintenant habituel, ne sait son nom que parce qu
passé depuis 1885. Elle a appris à lire, écrire et calculer dans son
état
B et c'est une jeune malade qui lui a servi d'ins
nne lui a appris, non sans difficulté, à faire du crochet. Dans cet
état
qui, comme chez la précédente malade, a tous les
Tels sont les principaux caractères présentés par celte malade dans l'
état
B. On arrive maintenant à la faire passer dans l'
e malade dans l'état B. On arrive maintenant à la faire passer dans l'
état
A par une sorte d'objurgation, et la transition s
tence; sa vie s'est arrêtée en 1885, moment où elle est passée dans l'
état
B. et elle donne alors tous les détails sur le li
pris dans l'étal B a disparu de son cerveau et elle est revenue à son
état
normal d'autrefois, l'état A, dans lequel elle ne
u de son cerveau et elle est revenue à son état normal d'autrefois, l'
état
A, dans lequel elle ne savait ni lire ni écrire.
Enfin, on ne peut pins produire ni catalepsie ni suggestion. Dans cet
état
À, cependant, il est bien remarquable que certain
u service un casque surmonté d'une plume rouge; or, aussi bien dans l'
état
A, que lorsqu'elle est revenue à l'étal B, celte
t si ridiculement accoutrée. Tout cela s'est fait instantanément. L'
état
A, d'ailleurs, ne dure pas longtemps chez elle et
chez elle et au bout d'un quart d'heure environ, elle repasse dan» l'
état
B à la suite d'une petite attaque d'une durée de
écédente malade, celle-ci résiste lorsqu'on veut la faire passer de l'
état
B à l'étal A ; elle parait se complaire dans la p
A ; elle parait se complaire dans la première de ces conditions. Cet
état
exceptionnel est devenu en quelque sorte normal c
à la suite d'une série d'attaques violentes qu'elle est passée dans l'
état
de condition seconde en 1885. Ce sont des cas ext
nnaissant la part de l'idée dans l'étiologie et la guérison de divers
états
morbides. Cabanis et beaucoup d'autres médecins a
de tout temps on avait reconnu la pari do l'âme, de l'esprit avec les
états
physiologique et pathologique du corps. Mais c'es
du professeur Bernheim sur la suggestion à l'eut de veille et dans l'
état
d'hypnose, oit, pour mieux dite, dans l'clat somn
a fait souffrir ses bienfaiteurs, nous nous sentons heureux d'être en
état
de réparer l'injustice dont un de ces bienfaiteur
puis qu'elle avait quitté l'établissement elle n'était plus tombée en
état
de somnambulisme. Ceci était certainement très pr
ue son dernier accouchement s'était accompli pendant qu'elle était en
état
de somnambulisme et qu'elle ne s'était pas du tou
était au monde. La femme Fay est complètement anesthésiée, tant en
état
de somnambulisme spontané qu'en état de somnabuli
omplètement anesthésiée, tant en état de somnambulisme spontané qu'en
état
de somnabulisme provoqué. Enfin, pendant sa pré
ommeil et le réveil eurent lieu comme auparavant. La femme Fay, à l'
état
de veille, ne s'est pas décidée à me demander de
l'état de veille, ne s'est pas décidée à me demander de la mettre en
état
de sommeil somnambuliquc; cela doit provenir de l
que vous m'avez posées par votre honorée du 10 courant, relatives à l'
état
mental de la femme Madeleine Fay, de Badenweuler
llement, de neuf heures à trois heures, en sommeil somnambulique; cet
état
remonte & sa quinzième année, mais dès son en
Une seule fois son mari la vit debout près de lui. A la suite de cet
état
particulier, elle fut souvent examinée et questio
visible,. u. 2^ Interrogée dans son sommeil sur la nature de son
état
, elle répond qu'elle est somnambule, qu'elle est
emment. Une fois, un pasteur de Bâle a essayé de la délivrer de son
état
de sommeil; ce fut en vain, il la surexcita au co
e cinq ou six malades fussent assis dans la salle) et était tombée en
état
de sommeil somnambulique. Les bras étaient en é
était tombée en état de sommeil somnambulique. Les bras étaient en
état
de contractions, les globes oculaires convulsés p
goriquement à la femme Fay (endormie), comme je l'avais déjà fait à l'
état
de veille, qu'il fallait que son sommeil m'appart
qu'on lui reproche ne compense pas pour elle le tort que lui fait son
état
nerveux. Elle se montre inquiète, et l'injuste ac
cide d'esprit et tout à lait bien portante; ce sommeil nerveux est un
état
de maladie et n'a jamais fait qu'être nuisible à
ables faits ne se produisent que lorsqu'elle se trouve dans le second
état
de lucidité. Le pasteur von Brum, à Bâle, s'est
t que les gens sont guéris par son traitement somuambulique, et qu'en
état
de sommeil soranambnlique elle voit à travers des
ne périodicité prolongée et par suite de l'amnésie totale qui, dans l'
état
de veille, domine l'état de somnambulisme, se son
et par suite de l'amnésie totale qui, dans l'état de veille, domine l'
état
de somnambulisme, se sont condensées en nn moi qu
a timidité, la modestie et la simplicité de la femme Fay examinée à l'
état
de veille. Que cette seconde personnalité, désign
pants, que toute personne, tant soit peu au courant de ces différents
états
, peut avec sûreté exclure toute idée de simulatio
e somnambule, et il est souvent guéri par l'action suggestive, ou son
état
en est amélioré subjectivement, si toutefois son
té avec laquelle je réussis, avec le consentement de la femme Fay à l'
état
de veille, à amener sa seconde personnalité sous
répondu à diverses questions qui lui ont été posées sans pouvoir, à l'
état
de veille, se rappeler les demandes et les répons
gestion. Ses facultés intellectuelles ne sont nullement troublées à l'
état
de veille. 3" Par contre, dans l'état de somnam
sont nullement troublées à l'état de veille. 3" Par contre, dans l'
état
de somnambulisme, les facultés intellectuelles de
, contenue dans le paragraphe 44 du code pénal zurichois, relatif à l'
état
de sommeil somnambulique, est absolument logique.
est absolument logique. En général, selon mon opinion, le véritable
état
somnambulique n'est pas susceptible d'une respons
is mois au lit, mais ne peut donner des renseignements précis sur son
état
d'alors. État actuel. — Constitution affaiblie.
ur quotidien de pareils accès la plonge dans le désespoir et amène un
état
neurasthénique : elle mange à peine, elle est inc
les et nerveuses, 254. Excitabilité de- nerfs et des muscles dans l'
état
hypnotique, par Stembo, 67. Femmes diplômées en
rceptions olfactives, par Henry Charles, 315. Personnalité dans les
états
hypnotiques (les variations de la), par A- Pitres
n de l') par A. Voisin. 257. Variations de la personnalité dans les
états
hypnotiques, par Pitres, 175. Vol dans létal d'
illes hallucinations puissent être déposées dans le cerveau pendant l'
état
hypnotique et persister à I état de veille, ceci,
e déposées dans le cerveau pendant l'état hypnotique et persister à I
état
de veille, ceci, aujourd'hui, est accepté par tou
gestibles peuvent, sans être hypnotisés, par simple affirmation, à l'
état
de veille, subir des hallucinations rétroactives.
connais qu'il est très hypnotisable, hallucinable, et suggestible à l'
état
de veille. En une séance, il est guéri par sugges
somnambulisme spontané. Il est très suggestible et hallucinable à l'
état
de veille et de sommeil. II est intelligent, sait
sez intelligent, il lit et écrit correctement. II est suggestible à l'
état
de veille et de sommeil. « Tu étais là, lui dis
ur V... et je trouvai en lui un excellent somnambule, suggestible à l'
état
de veille et de sommeil. Quelque temps après, l
une insuffisance mitrale, sans trouble nerveux, très suggestible à l'
état
de veille et de sommeil. Je l'interpelle à distan
te). On dirait que l'hallucination rétroactive créée est latente, à l'
état
normal, et ne se réveille que lorsque je l'évoque
ne véritable suggestion qui provoque l'hallucination en développant l'
état
de conscience spécial dans lequel le sujet la per
expériences sont hypnotisables (par notre procédé),; suggestibles à l'
état
de sommeil et de veille ; chez la plupart on peut
idées plus saines: elle refuse tout aliment et tombe bientôt dans un
état
de faiblesse extrême ; la fièvre s'allume, l'inso
cin de la famille, j'offris d'essayer d'endormir la malade et, dans l'
état
hypnotique, d'agir par suggestion sur ce cerveau
irecte, affirmant aux parents qui assistaient à la visite que, dans l'
état
où se trouvait la malade, elle était absolument i
re d'idées. On sait qu'elles étaient restées infructueuses. Grâce à l'
état
de sommeil dans lequel était plongée la malade, c
n jaune d'œuf. Ce léger repas terminé, je laissai Mme B... dans son
état
de sommeil et continuai à agir par suggestion
damnation éternelle ne reparurent plus, les scrupules religieux sur l'
état
de mariage disparurent complètement : la santé mo
erveuse d'origine alcoolique paraissant prédisposer a l'hypnotisme, l'
état
particulier du malade semblait devoir motiver un
ppelé et aux parents présents, j'annonçai une analgésie complète et l'
état
cataleptoïde du système musculaire. Une piqûre au
était la le moment critique, car il était impossible de méconnaître l'
état
de plus en plus précaire de la situation industri
La convalescence s'affermit donc et j'ai pu revoir M. D... en plein
état
de santé reprendre sa vie habituelle et la direct
loin ; ils supposent que la suggestibilité des sujets n'est point un
état
permanent et qui leur soit spécial; ils affirment
int un état permanent et qui leur soit spécial; ils affirment que cet
état
peut se développer chez un grand nombre de person
, il est vrai, aussi bien applicable aux uns qu'aux autres et, dans l'
état
rudimentaire de nos connaissances sur ce sujet dé
bservation tout à fait accidentelle. J'avais mis une jeune fille en
état
de somnambulisme, et, pendant que je réfléchissai
nt qui défait est le même que celui qui fait. Le sujet, étant dans un
état
détermine, juge inconsciemment qu'il doit en chan
pe dont la fable nous a laissé le modèle sous le nom do Ganyméde. Cet
état
anatomique est définitif. On a invoqué, pour
entré à l'hôpital, une amélioration sensible s'est produite dans son
état
. Cet exemple regrettable démontre les dangers d
déjouer les supercheries des morphinomanes, il eut l'idée d'étudier l'
état
du coeur et du pouls au moyen du sphygmographe. C
s, est relative aux diverses phases d'un accouchement pratiqué dans l'
état
de somnambulisme provoqué, chez une primipare.
tant de Karl Braun. à Vienne, chez une femme accouchée par lui dans l'
état
léthargique, le 7 novembre 1885 ; L'autre de Du
et des organes génitaux fait par le toucher et par le spéculum dans l'
état
d'hypnose, sans que la malade en ait jamais eu co
'état d'hypnose, sans que la malade en ait jamais eu connaissance à l'
état
de veille. Sortie de mon service en avril 1885,
telle chose, elle s'endormira... En quelques secondes, Alice est en
état
de somnambulisme : les paupières closes, les glob
les membres inertes en repos sur son lit, ou relevés et fixes dans 1
état
cataleptoïde si bien décrit par Lasègue : elle se
ent momentanément toute communication de la malade avec le dehors ; l'
état
somnambulique étant le seul qu'il nous importe de
res closes, les globes oculaires convulsés en bas, les membres dans l'
état
cataleptoïde conservant les positions qu'on leur
partir de ce moment, souffrir autant que toute autre parturiente à l'
état
de veille, si nous mesurons l'intensité de la dou
t — fait important à noter— la malade n'est pas sortie un moment de l'
état
somnambulique dans lequel nous l'avions placée; l
une convulsion ne s'est montrée, aucune menace de transformation de l'
état
somnambulique en l'état léthargique n'est apparue
montrée, aucune menace de transformation de l'état somnambulique en l'
état
léthargique n'est apparue. A 4 heures, la tète
Immédiatement après l'accouchement, !a malade étant toujours dans l'
état
de somnambulisme, demande quel est le sexe de son
onvaincant peut-on trouver de la scission de la mémoire dans les deux
états
de veille et de sommeil ! ! La contre-épreuve f
troubles dynamiques, fonctionnels ou organiques qui caractérisent son
état
pathologique; tel est le but que je me suis propo
, avec les exagérations propres à sa constitution nerveuse. Mise en
état
de somnambulisme, et suggestionnée, elle cesse im
tions, mais qu'elle ne souffre pas... qu'elle se trouve bien dans cet
état
.' A partir de la dernière heure, pendant la pér
gestes. ses impatiences, aussi violentes que chez une parturiente à l'
état
de veille, bien que le sommeil n'ait point été in
re, tant de fois constatée chez elle, dans la comparaison de ses deux
états
de veille et de sommeil, de même que sa revivisce
e fille, et réciproquement, etc. DÉROULEMENT SPONTANÉ OU PROVOQUÉ D'
ÉTATS
SUCCESSIFS DE PERSONNALITÉ CHEZ UN HYSTÉRO-ÉPILEP
, soit par des agents mécaniques, soit par suggestion, à produire des
états
de personnalité divers et à démontrer qu'il exist
l existe « des relations précises, constantes et nécessaires, entre l'
état
somatique et l'état psychique, ou plus simplement
ions précises, constantes et nécessaires, entre l'état somatique et l'
état
psychique, ou plus simplement entre l'état physiq
ntre l'état somatique et l'état psychique, ou plus simplement entre l'
état
physique et l'étal mental, telles qu'il est impos
t dans la relation de MM. Bour-ru et Burot de la production d'un seul
état
de personnalité qu'on peut] faire varier à volont
oujours de lui-même à sa personnalité vraie, sans passer par d'autres
états
intermédiaires. Nous voudrions à notre tour déc
roduit soit spontanément, soit artificiellement chez notre malade des
états
de personnalité successifs de durée et de nombre
qué a la personnalité vraie. 1° Déroulements spontanés de plusieurs
états
de personnalité. Ces déroulements ont toujours
épilepsie. soit pendant la crise elle-même. C'est en effet dans cet
état
que nous observâmes pour la première fois chez V.
taque, mais encore pardes changements successifs de personnalité avec
état
somatique correspondant à la personnalité. Cest
ndant à la personnalité. Cest d'ailleurs en observant avec soin les
états
de paralysie ou de contracture des divers membres
du malade que nous avons pu découvrir, pendant cette même crise, les
états
de personnalité décrits par les auteurs précités
hypnotique. Pour éviter les répétitions, nous décrirons seulement l'
état
de V... dans une de ses grandes attaques, et cela
égique, sans contracture». V... reste cinq minutes dans une sorte d'
état
hallucinatoire, puis s'écrie qu'il ne veut pas al
val ; il apprend le métier de tailleur ; il est paraplégique (1er
état
de Bonneval). De nouveaux spasmes se succèdent
il a eu une paralysie de la jambe gauche; il parle de M. Camuset (2e
état
de Bonneval). Sa paralysie disparaît tout i cou
oup; il vient de s'évader; on le rattrape, il est très malheureux ,3e
état
de Bonneval.. Enfin, il va sortir de Bonneval. Il
a mère, la voit. Il est alors pris de crises nouvelles, revient a l'
état
de Luysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet
s, revient a l'état de Luysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet
état
, il se plaint de sa mère. Il ira à Mâcon: il mont
ntre le médecin, M. Lacuire ; il a mal à la jambe droite, qui est à l'
état
de paralysie flasque (1er état de l'asile de Bour
l a mal à la jambe droite, qui est à l'état de paralysie flasque (1er
état
de l'asile de Bourg). Quelques minutes après, d
ns le service de M. Lacuire avec lequel il a de vives discussions (2e
état
de Bourg). La paralysie gauche disparaît peu à
ontre M. Besançon, interne du service de M. Voisin (il est à Bicêtre,
état
de Bicêtre). Un transfert s'effectue et V..., q
V..., qui est toujours à Bicêtre, devient paralysé du côté droit (2e
état
de Bicêtre). Cette paralysie s'évanouit, mais a
Lafond, après une grande crise, V... reste pendant un jour et demi en
état
d'hémiplégie droite. Il est à Rochefort. Une autr
s tendons, provoque telle contracture systématique correspondant à un
état
déterminé. Ainsi, pressant les tendons des jambes
lle a duré; en un mot, tout est semblable à ce qui a été décrit au 4°
état
: paraplégie, état de Bonneval. » Par un procéd
ot, tout est semblable à ce qui a été décrit au 4° état : paraplégie,
état
de Bonneval. » Par un procédé analogue, M. Mabi
tendons rotuliens. produit la contrac-ture des deux jambes et amené l'
état
dit de Bonneval. nous nous attendions, comme d'ha
al. nous nous attendions, comme d'habitude, à voir V... revenir à son
état
de conscience; normal, quand nous observâmes ce q
isparut, et V... se réveilla paralysé de la jambe. Il est à Bourg (2e
état
de Bourg). Il nous donne les renseignements corre
état de Bourg). Il nous donne les renseignements correspondants à cet
état
de personnalité, état décrit trop souvent pour qu
s donne les renseignements correspondants à cet état de personnalité,
état
décrit trop souvent pour que nous en donnions une
ie droite. V... se trouve à Bicêtre, dans le service de M. Voisin (2e
état
de Bicêtre). Au lieu de revenir, à son réveil, a
ralysie ni anesthésie; il est à Saint-Urbain. Après avoir passé par l'
état
de Rochefort (hémiplégie et hémi-anesthesie droit
de la vipère. Mais cette zone n'existe que dans un certain nombre d'
états
de personnalité du malade, comme aussi il n'est p
distinctes de sa vie. Or, il est toujours facile, V... étant en ,l'
état
de grande crise, après avoir comprimé la zone hys
on du testicule. Immédiatement alors, on peut faire passer V... i l'
état
de somnambulisme par la pression des yeux, l'ouve
que lorsque V... se déroute, telle paralysie motrice correspond à tel
état
de personnalité avec ou sans conservation de la z
ables. L'attaque est, chez notre sujet, comme la manifestation d'un
état
morbide pendant lequel, par suite d'une révivisce
anie est une sorte de monomanie d'ivresse et qu'il est des cas où cet
état
est l'effet du trouble accidentel de la sensibili
amène de la dépression morale. Le dipsomane arrive fatalement à un
état
de débilité mentale qui frise la démence, à m
ndent. L'imposition des mains, qui provoquait chez certains sujets un
état
où ils étaient susceptibles de re- (1) Les Forc
has s'occupe spécialement des phases intermédiaires et surtout de cet
état
qu'on a peine à dénommer et que les auteurs appel
out de cet état qu'on a peine à dénommer et que les auteurs appellent
état
intermédiaire, fascination, charme, mais qu'il ap
appellent état intermédiaire, fascination, charme, mais qu'il appelle
état
de crédulité. Les procédés pour produire l'hypnos
hypnotisé par ce seul fait qu'il a consenti à se trouver placé dans l'
état
d'inconscience Í Graves questions dont l'ensemb
endant l'hypnose. Si l'acte n'est pas en conformité parfaite avec l'
état
moral qui est habituel au sujet, sa sanction péna
ns possibles auront été mis en œuvre pour reconnaître la réalité de l'
état
hypnotique, et les manifestations évidentes de la
otisé, quelle doit-elle être chez l'enfant, déjà très suggestible à l'
état
de veille ? Le récit de nombreux exemples d'hab
séance, suffisamment édifiés. Il suffira de nous rappeler que, dans l'
état
hypnotique, le sujet obéit à la suggestion verbal
habitude de vivre ensemble ; l'hyperesthésie qui caractérise certains
états
hypnotiques ; l'idéoplastie, qui est une action n
e peu et savoir que la suggestion mentale n'est pas possible dans les
états
divers du magnétisme et de l'hypnotisme. Au point
de l'hypnotisme. Au point de vue de l'activité psychique, ces divers
états
peuvent être divisés en trois grandes sections re
e. Le vrai moment de la suggestion mentale, c'est la limite entre l'
état
aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet
limite entre l'état aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet
état
, le sujet a le cerveau assez réveillé pour n'être
e .qu'est le sympathisme organique : transmission des sensations, des
états
émotifs, transmission nerveuse physique des malad
lus avoir de » céphalalgie. » Le 3 août, je reviens voir Mme X... L'
état
est satisfaisant; elle n'a plus rien bu en dehors
heur ; vous m'avez guérie; c'est-à-dire que vous m'avez remite dans l'
état
normal où j'aurais dû me trouver, si je n'avais e
de cette excitation très forte et unique, ou faible mais répétée, un
état
anatomi que particulier, quelque chose comme une
e matérielle, qui fait que toute excitation nouvelle les remet dans l'
état
même où elles se sont trouvées lors de la grande
es conditions de notre éducation, conditions qui ont créé en nous cet
état
anatomique dont parle le Dr Bordier, cette mémoir
me éveillé, disposant de toutes ses facultés, libre, en un mot, et en
état
de se défendre. L'objection n'a qu'une valeur a
ssons au point de vue intellectuel et moral. Notre corps, parvenu à l'
état
adulte, se trouve composé, dans toutes ses partie
SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES SUJETS EN
ÉTAT
D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J, LUYS mem
et la possibilité de solliciter expérimentalement, chez des sujets en
état
d'hypnotisme, des émotions variées, de joie, de t
e, il est un groupe tout spécial de phénomènes nerveux, qui joue, à l'
état
de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêv
pécial de phénomènes nerveux, qui joue, à l'état de veille, comme à l'
état
de sommeil dans nos rêves, un rôle de premier ord
-rium, en présence d'une impression extérieure qui met ses réseaux en
état
d'ébranlement. Et je ne vous apprendrai rien en
rveau se trouvent, grâce à elle, éclairés d'un rayon de lumière ! A l'
état
normal, en effet,ce sont ces mêmes régions émotiv
par des troubles respiratoires anxieux, par des larmes discrètes, les
états
d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l'
discrètes, les états d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l'
état
pathologique, dans ce domaine spécial de la patho
écial de la pathologie mentale qui touche aux lypémanies anxieuses, l'
état
d exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions é
exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions émotives est porté à un
état
d'hyperexcitabilité tel. qu'elles arrivent à domi
is en œuvre chez lui tous les signes somatiques qui carectérisent cet
état
, tels que rhyperexcitabilité neuro-musculaire, l'
hénomènes dont nous poursuivons en ce moment l'étude, un changement d'
état
bien notable dans la manière d'être de son systèm
ion expérimentale des émotions. On sait, en effet, combien dans cet
état
spécial les sujets sont aptes à conserver les att
icitation réelle d'émotions provoquées d'une façon centripète par les
états
divers de la sensibilité périphérique. Il est c
par suggestion verbale, soit par la préhension des mains. Dans cet
état
, il n'entend, no voit et ne sent que moi et les r
jusqu'à ce jour avec lesquelles L.., endormi, ne s'est pas trouvé en
état
de rapport, scion l'expression de M. le commandan
échéance, durant le sommeil ou plus ou moins longtemps après, dans l'
état
de veille qui va suivre. Si je lui ordonne de s
l les voie. les entende et les sente comme s'il était réveillé. Cet
état
de rapport peut être obtenu de diverse? manières:
toutes les fois que je cesse de la viser ainsi, L... cesse d'être en
état
de rapport avec elle. Si, dans ces diverses exp
..., qui ne les voit pas, ne les entend pas et ne les sent pas dans l'
état
de sommeil, sera en état de rapport complet avec
ne les entend pas et ne les sent pas dans l'état de sommeil, sera en
état
de rapport complet avec eux toutes les fois que j
ils peuvent être le siège, peut être mis, par les mêmes procédés, en
état
de rapport avec eux. Placé derrière L... endorm
ferais moi-même directement; mais seulement pendant le temps que cet
état
de rapport est maintenu par moi. Elle peut, dans
s 398 et 568 de mon ouvrage déjà cité. Nous y voyons cette force, à l'
état
de circulation (force neurique circulante), passe
.. le souffle a en plus une propriété très remarquable, qu'il soit en
état
de sommeil ou qu'il soit en état de veille. Ainsi
iété très remarquable, qu'il soit en état de sommeil ou qu'il soit en
état
de veille. Ainsi, toute personne ou tout objet, t
re à l'abri de tout phénomène de suggestion possible, j'ai, pendant l'
état
de veille, soufflé sur divers corps ou portions d
lque sorte de toute part. Voila le vrai surmenage, voilà le véritable
état
pathologique avec lequel il faut sérieusement com
ur la transmission de la pensée. (Id. May 1887.) Edmund Gurney: Les
états
de la mémoire dans l'hypnotisme. (Id. May 1887.)
SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES SUJETS EN
ÉTAT
D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS membr
le de médecine de Rochefort, ont donc constaté que chez les sujets en
état
d'hypnotisme, il se développe un tel état d'hyper
taté que chez les sujets en état d'hypnotisme, il se développe un tel
état
d'hyperesthésic qu'ils deviennent impressionnable
ènes réactionnels évoluent en silence. Le sujet étant maintenu dans l'
état
léthargique, tous les phénomènes se développent e
réactions coordonnées il donne les illusions de la vie réelle et d'un
état
de conscience très nettement accusé. C'est ains
t unilatérales, et la même substance qui. du côté droit, détermine un
état
de souffrance et de malaise, appliquée du côté ga
môme croisés, qui se révèlent. Dans d'autres circonstances, c'est un
état
de résolution générale des forces musculaires qui
xiété dans les muscles inspirateurs supérieurs, puis il tombe dans un
état
d'abattement profond quasi-comateux, la bouche bé
quelque sorte la photographie du sujet en expérience, qui est dans un
état
d'année complet. fortement secoué dans tout s
iode de détente qui se manifeste. La photographie exprime en effet un
état
d'abandon et de sérénité parfait. Le sujet repose
regard est vague et langoureux, et sa physionomie reposée exprime cet
état
de béatitude spéciale éprouvé par toutes les pers
d'abord, et, sur la face, une expression de gaieté allant jusqu'à un
état
de jubilation extrême. Le sulfate d'atropine pa
sur la figure photographique, reste affaissé sur le fauteuil, dans un
état
d'accablement extrême. 11 est anhélant, les trait
de son visage sont tirés ; son regard vague, fixe, éteint, exprime un
état
d'épuisement et d'atonie générale qui plane sur t
ous l'action d'une dose modérée de cognac de 10 grammes, a passé de l'
état
normal représenté dans la figure ci-jointe, à l'é
es, a passé de l'état normal représenté dans la figure ci-jointe, à l'
état
d'ébriété la plus complète avec agitation, physio
sens, expurger l'excitation alcoolique, et sortir de lui-même de cet
état
quasi-comateux dans lequel il a été plongé, pour
ues, il entre en conflit avec les assistants et expose avec netteté l'
état
spécial d'émotivité dans lequel il se trouve inci
mulateur: un changement subit et profond s'opère incontinent dans son
état
général. Vous le voyez alors, s'il marche, s'ar
race de contrariété, d'émotion ou de souffrance. Lorsque, suivant l'
état
des forces du sujet et suivant l'intensité des ré
ésence de ces faits étranges et de bien d'autres inexplicables dans l'
état
de nos connaissances, un courant s'établit dans l
ournent pas assez longtemps et retombent tôt ou tard dans leur triste
état
. M. le docteur Ladame (de Genève) rapporte quel
eulan. On commençait à désespérer de sa vie. et le duc, averti de son
état
, demanda aussitôt à se confesser. Lorsqu'il eut a
élevées et le galvanisme (Id.) Petrazzani :. k : La suggestion a l'
état
de veille et d'hypnotisme. (Rivista sperimentale
eurologie, juillet 1887.) PSYCHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L'
état
mental des épileptiques. (L'Homme, août 1887.)
de manière d'être: ils devinrent calmes et sérieux; un seul, malgré l'
état
somnambulique favorable aux suggestions, résista
ds complètement le respect de moi-même, je me montre en public dans l'
état
le plus abject, je vends mes vêtements pour boire
de me réveiller, il a fallu que je fasse un effort pour sortir de cet
état
. J'étais comme quelqu'un tiré d'un profond sommei
souvient de tout ce qu'on lui a dit après son réveil. Il est dans un
état
léthargique complet, avec résolution musculaire,
que vous me donnez vos soins, je m'aperçois d'un mieux réel dans mon
état
. Je ne suis plus constamment en fièvre comme par
entes crises épileptiformes. La menstruation ne modifie nullement son
état
pathologique. A l'hôpital, on constate que tout l
lents accès convulsifs. On a recours a l'hypnose. La malade, dans l'
état
de décubitus dorsal, regarde fixement un objet br
ait de vingt jours, n'avait fait qu'augmenter, jusqu'au moment où son
état
alarmant avait nécessité son entrée a l'hôpital.
urraient risque de contracter lu paralysie du cœur. De même, dans cet
état
, il peut s'éveiller des émotions vives susceptibl
xpérimenté qui l'emploie comme moyen thérapeutique à l'égard d'autres
états
nerveux beaucoup plus graves; mais, d'autre part,
ent de crampes vives, sont précédées pendant deux et trois jours d'un
état
d'énervement avec mauvaise humeur, antipathie pou
uggestions, prendre quelque nourriture. Elle était enfin en aussi bon
état
que possible et pouvait même — elle presque moura
En même temps il me fut possible, par le même procédé, de modifier l'
état
psychique et empêcher le retour de semblables acc
x fois par semaine pendant un mois, je parvins à la remettre dans son
état
normal. Ce qui frappe assurément le plus les pe
ter sur les phénomènes d'inhibition qui peuvent être provoqués dans l'
état
d'hypnotisme. M. Certes (de Paris). — Vous pouv
vous agissez par des médicaments placés a distance et vous créez des
états
pathologiques fictifs ; ne pouvez-vous, par exemp
'existe plus, les réflexes sont augmentés et il peut se produire, à l'
état
ordinaire, comme une suggestion pathologique de t
ent existait, puisqu'elle était séparée de sa famille, et cependant l'
état
ne s'est pas amélioré. Il m'a semblé que le tra
i m'a permis de combattre une à une toutes ses mauvaises habitudes. L'
état
s'est beaucoup amélioré; il existe bien encore un
r les sensitifs, mais à des degrés variables, les mêmes changements d'
état
dynamique que déter-minent les pôles de la pile,
leur sommet et négatifs par le côté de leur racine. Les minéraux a l'
état
amorphe n'ont qu'une polarité, mais les métaux so
se de celui du sujet : 2° qu'il est résolutif des contractures et des
états
de même nature en direction ascendante sur le côt
ntes augmentent d'abord la contraction musculaire, puis déterminent l'
état
tétanique des fibres lisses des artères et ainsi
sang, tandis que les actions décontracturantes rétablissent d'abord l'
état
physiologique quand elles sont appliquées a la su
seront employées dans les manifestations morbides caractérisées pnr l'
état
spasmodique à tous les degrés, la contracture, l'
anémie cérébrale sans lésion organique. L'analogie qui existe entre l'
état
d'individus réalisant une suggestion et celui de
ts. Ce qui le prouve, c'est que des personnes mises par des passes en
état
somnambulique et imparfaitement réveillées ensuit
-dire les plus communes de ces affections, et comme modificateur de l'
état
général. Ils repoussent, pour ces cas, d'accord e
a supprimé la vision, arrêté la conversation et rendu le sujet à son
état
normal. Observations d'onanisme guéries par la
, ne nous ont révélé aucune anomalie. Les organes génitaux sont à l'
état
normal. Rien du côté des grands appareils splanch
Deuxième séance d'hypnotisme : le résultat obtenu a toujours été un
état
mixte léthargo-somnambulique avec souvenir au rév
il de ce qui lui a été recommandé; il lui est impossible, pendant cet
état
, de soulever les paupières,dc remuer les membres
le se souvenait au réveil de ce qui lui avait été suggéré pendant cet
état
mixte. II faut, en effet, pour que la réussite
tte nouvelle preuve de l'influence de la suggestion hypnotique sur un
état
aussi désespérant que l'onanisme. SECTION D'H
st pas encore tranchée. Pour certains auteurs, toute personne mise en
état
de somnambulisme devient, entre les mains de l'ex
ofondie de cette science. Le viol, presque impossible à accomplir à l'
état
normal, comme l'a maintes fois démontré M. le pro
is démontré M. le professeur Brouardel, le devient tout à fait dans l'
état
d'hypnotisme. On sait. en effet, combien il est f
te que l'on pouvait aussi très facilement suggérer, aussi bien dans l'
état
d'hypnotisme que dans l'état de veille, l'idée d'
s facilement suggérer, aussi bien dans l'état d'hypnotisme que dans l'
état
de veille, l'idée d'un taux témoignage. Le jour
s, parce que tous ces phénomènes peuvent se produire, dans un certain
état
, sous l'action du cerveau du sujet aussi bien que
le premier degré observable de l'hypnose ; j'ai montré que, dans cet
état
, les nerfs moteurs et sensitifs peuvent vibrer in
le frein de la volonté était déclanché. Ainsi, je mets un sujet en
état
de crédulité par une action quelconque qui. d'apr
ation polaire en hétéronomie sur le cerveau, le sujet reviendra à son
état
normal. Il résulte de là que si une contracture
motivité spéciale que présentent au plus haut degré les sujets mis en
état
d'hypnotisme. — Les leçons cliniques de M. le d
Bordeaux, 1885, 1886. 1887.) Luys : Les émotions chez les sujets en
état
d'hypnotisme. Etudes de psychologie expérimentale
aire au buveur. En l'hypnotisant, on place seulement celui-ci dans un
état
cérébral qui favorise l'efficacité de ses vœux.
laquelle nous avons constamment recours pour mettre les sujets dans l'
état
d'hypnotisme est celle que les leçons de MM. les
soins. Bien que les procédés par lesquels on arrive à déterminer l'
état
d'hypnotisme chez les jeunes sujets soient d'une
Si on lui soulève les bras, souvent on les voit rester en l'air, en
état
de catalepsie suggestive. Parfois, pour obtenir c
'une simulation rare, mais possible, et pour plonger l'enfant dans un
état
d'hypnotisme dont la constatation ne laisse aucun
la régularité et toutes les apparences du sommeil naturel. C'est l'
état
que nous jugeons le plus favorable pour faire les
itement; la classer parmi les bonnes élèves de la classe. Cependant l'
état
moral de cette enfant était tellement perverti qu
ie complètement qu'après deux mois de traitement. Chez toutes deux, l'
état
général, très défectueux avant le traitement, s'e
re exécuter au malade des mouvements gymnastiques réguliers pendant l'
état
d'hypnolisme, les accidents choréiques peuvent di
ues séances pour le rétablir complètement, mais en même temps que son
état
physique s'améliorait, ses aptitudes intellectuel
résumé, d'après les observations qui précèdent, la suggestion, dans l'
état
d'hypnotisme, trouve son application surtout lors
Au contraire, l'enfant, qui constate l'amélioration survenue dans son
état
, n est pas le dernier k l'apprécier. Il est très
ns le sommeil provoqué ne difiere pas en réalité de la suggestion a l'
état
de veille : seulement elle est plus efficace, par
n. Si les- admonestations qu'on fait à l'enfant pendant qu'il est a l'
état
de veille ne sont pas acceptées, qu'on les fasse
ice, voilà ce que nous demandons. Il n'y a ni fluides magnétiques, ni
état
contre nature. C'est un état psychologique, un ét
ons. Il n'y a ni fluides magnétiques, ni état contre nature. C'est un
état
psychologique, un état de conscience particulier
s magnétiques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un
état
de conscience particulier qui se produit spontané
ment ou qu'on peut produire artificiellement ; et, à la faveur de cet
état
de conscience, des guérisons physiques et morales
Beaucoup d'esprits se refuseront a croire que la suggestion faite à l'
état
de veille, ou même pendant le sommeil hypnotique,
à en tirer tout le parti possible. Puisque la suggestion faite dans l'
état
de sommeil peut modifier la direction imprimée au
longuement un corps animé ou inanimé, il survient assez rapidement un
état
analogue au sommeil. A cet état il donna le nom d
nimé, il survient assez rapidement un état analogue au sommeil. A cet
état
il donna le nom d'hypno- tisme. Cet état prés
alogue au sommeil. A cet état il donna le nom d'hypno- tisme. Cet
état
présente sans aucun doute une grande analogie, si
ne le nom de suggestion aux actes que l'on peut commander au sujet en
état
d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer a un su
loses. Le sujet a l'apparence d'une personne qui dort. Pour obtenir l'
état
léthargique, on peut employer divers procédés; il
s paupières closes. 2° La phase cataleptique est caractérisée par l'
état
indiqué par ce nom. Les muscles ont perdu leur hy
de l'hypnotisme, on les trouve non seulement dans les névralgies, les
états
émotifs, les diverses céphalées, l'insomnie. On a
e, le sujet éternue ou produit un bruit analogue à l'éternuement ; un
état
analogue à l'ivresse apparaît quand on fait naîtr
t qu'en fait d'hypnotisme et de magnétisme, tout le monde se croit en
état
d'avoir une opinion. Etrange mirage! S'il s'agiss
truction avait suffisamment établi, disait-on, que rien ne prouvait l'
état
d'insanité d'esprit de l'accusé. Quelques semai
it en novembre 1886. M. Max-Simon, dans sa déposition, fit voir qu'un
état
mental profondément perturbé pouvait être soupçon
er degré et perversion des instincts. 2° C'est sous l'empire de cet
état
mental morbide que l'accusé a commis les actes qu
doit pas être laissé en liberté. En septembre dernier, à cause de l'
état
de maladie d'un des experts, l'affaire fut renvoy
, à notre tour, si, dans une situation mentale semblable, si, avec un
état
de maladie cérébrale reconnu par tous, un aliéné
avec un état de maladie cérébrale reconnu par tous, un aliéné est en
état
de se défendre. Les débats, nous n'avons pas be
rent lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de savoir l'
état
mental du docteur Lamotte, mais quel était cet ét
t pas de savoir l'état mental du docteur Lamotte, mais quel était cet
état
au moment où certains actes incriminés avaient eu
tout âge, de tout sexe, de tout tempérament. Ils s'imaginaient que l'
état
hypnotique est l'apanage exclusif de quelques rar
ien plus considérable, et nous arrivons quelquefois à mettre dans cet
état
la moitié, si ce n'est plus encore, de nos client
Non! le sommeil hypnotique n'est pas un sommeil pathologique ! Non! l'
état
hypnotique n'est pas une névrose analogue à l'hys
sychique et non une influence physique ou fluidique qui détermine cet
état
. Chose singulière, ce sont des psychologues comme
ion médicamenteuse à distance. Certains sujets hypnotisés ou même à l'
état
de veille auraient une aptitude singulière à être
passible, entend tout, se rend compte de tout. Quelques-uns, dans cet
état
de concentration d'esprit spécial, ont une acuité
et son application à la thérapeutique. La suggestibilité existe à l'
état
de veille, mais elle est alors neutralisée ou ref
nsations, mouvements, images. La modalité psychique ainsi modifiée, l'
état
de conscience nouveau qui se constitue rend le ce
de l'ancienne ; elle contient une nouvelle classification des divers
états
en degrés de l'hypnose, classification qui est en
A première vue, le docteur déclare qu'il n'y a rien de grave dans l'
état
de Mme Chassinet qu'elle dort tout simplement d'u
t été prise à 9 heures 45 de douleurs de tête et était restée dans un
état
de somnolence et de torpeur jusqu'à 1 heure 3o, h
u'ils faisaient agir les médicaments à distance, leur sujet était à l'
état
de veille, tandis que le mien était en léthargie
andis que le mien était en léthargie ou en somnambulisme. » Or, cet
état
de veille, quel est-il ? Ils font remarquer que l
le, quel est-il ? Ils font remarquer que leur sujet se trouve dans un
état
où toute suggestion est impossible. Parfois on se
carter toute idée de suggestion. On voit que le sujet n'est plus en
état
de veille, au contraire, quand on fait les expéri
de coma. Mais il est bien rare qu'une femme se trouve seule dans cet
état
. Or la question médico-légale se pose ordinaireme
d'intéressantes observations d'accouchements ayant eu lieu pendant l'
état
d'hypnotisme ont été recueillies par MM. Mes-net,
ce phénomène? A mon sens il s'agît simplement d'un eut pathologique,
état
très compliqué, très obscur, il est vrai, et qui
e de l'hysterie, pour tous ceux qui ont en l'occasion d'approfondir l'
état
mental des hystériques, l'événement de Granges se
nes les plus invraisemblables. En un mot, elles sont atteintes d'un
état
mental particulier et le livre de Legrand du Saul
c (il fumait jusqu'à 60 cigarettes par jour), était tombé dans un tel
état
de cachexie, que l'on pouvait éprouver des craint
qu'au bout de deux séances. Le malade ne put pas être plongé dans un
état
qui dépassât la demi-léthargie, il ne pouvait ouv
En tête des circonstances propres à déterminer le passage du mal de l'
état
latent à l'état ostensible, il faut inscrire la p
onstances propres à déterminer le passage du mal de l'état latent à l'
état
ostensible, il faut inscrire la peur, l'imitation
e. (Progr. Méd., 15oct.) Luys (J.): Les émotions chez les sujets en
état
d'hypnotisme. In-8°. 98 p. avec fig. Baillière et
chiatria, t- VIII-, n° 4, 1887.) Reymond : Halluc inations dans l'
état
de crédulité. (Id.) G. Marinescu : Action médic
ondu. » Cette première expérience était donc un insuccès, puisque l'
état
somnam-bulique n'avait pas été obtenu ; mais c'ét
essailli quand il s'est approché d'elle. Elle lui a répondu comme à l'
état
normal, mais elle paraissait tout à fait hébétée
je ne vais chez M. X... qu'à 5 h. 10. Je trouve Mme B... endormie, en
état
de somnambulisme, et voici ce qu'elle me raconte
out étonné quand, vers 1 h. 35, on la voit descendre dans le salon en
état
som-nambulique. Elle prétend que c'est moi qui l'
sidérée comme un succès incomplet. Elle aurait été irréprochable si l'
état
somnambulique avait été obtenu d'emblée à 9 h. 20
monstration du sommeil a distance et la production chez Mme B... de l'
état
somnambulique. Ce qui donne, en outre, une réel
et, en effet, à 6 h. 55, j'arrive près de Mme B... et je la trouve en
état
de somnambulisme. Elle me dit : « Pourquoi n'avez
0 a 6 h. 52, et, quand elle l'a vue à 6 h. 52, Mme B... était déjà en
état
de somnambulisme. Elle n parlé une fois à C..., m
dans la petite pièce attenant à la salle ù manger, où Mme B... est en
état
de somnambulisme. Elle peut cependant répondre, m
u'elle ait prononcée ; mais elle l'a dite les yeux fermés et étant en
état
de somnambulisme. A 2 h. 20, je sors du cabinet
je sors du cabinet où j'étais caché, je lui parle et je la trouve en
état
de somnambulisme. Elle me dit que c'est moi qui l
amais à 2 heures ; de plus, que Mme X..., en allant voir quel était l'
état
de Mme B.... la trouvée endormie. Cette expérie
peu artificielle — du moment où l'action a commencé. Enfin, quoique l'
état
de somnambulisme ait été bien caractérisé par l'a
ir Mme B.... j'arrive chez Mme X... a 3 heures. Je trouve Mme B... en
état
de somnambulisme. Mais cet état était tout à fait
... a 3 heures. Je trouve Mme B... en état de somnambulisme. Mais cet
état
était tout à fait spécial. Elle ne me répondait p
ent échoué ; mais un fait négatif ne prouve rien, d'autant plus que l'
état
de réveil récent est peut-être une condition défa
vons chez elle à 4 heures précises. A ce moment, elle est endormie en
état
de somnambulisme et elle dit à M. Janet : « Vous
s expériences d'un tout autre genre, j'avais, au préalable, examiné l'
état
de sa sensibilité. La malade était, à l'état de v
au préalable, examiné l'état de sa sensibilité. La malade était, à l'
état
de veille, hémianesthésique gauche. La sensibilit
e. N'a pas eu ses idées et ses sensations depuis le mois d'avril. L'
état
général est bien meilleur aussi. La malade a engr
ande et, malgré ce régime, éprouve des défaillances continuelles. Cet
état
dure un mois, pendant lequel le poids du corps s'
e en apparence, nouvelles crises qui éclatent après chaque repas. Cet
état
dure trois jours. La boulimie reparait alors et
le est guérie. Au réveil (si l'on peut appeler ainsi la sortie d'un
état
aussi léger d'hypnose), au réveil, je dis à la ma
e tient difficilement sur la chaise, elle oscille constamment dans un
état
d'équilibre instable. Elle n'est ni paralytique,
lésion médullaire: on ne trouve qu'un seul élément saillant, c'est l'
état
d'hyperesthésie et d'hyper-excitabilité de l'orga
cessives et prendre les moulages de ces 17 couches superposées. A l'
état
de ramollissement, la substance cérébrale est en
deuils telle ou telle région difficile à examiner ou même à voir à l'
état
normal. En durcissant, la région ainsi préparée c
is cessé ; ils se renouvelaient même assez fréquemment. Elle apprit l'
état
de couturière et se plaça à Vienne, en Autriche,
ent. Bientôt on s'aperçut que la malade se réveillait parfois dans un
état
bien différent de son état normal et avec un cara
ue la malade se réveillait parfois dans un état bien différent de son
état
normal et avec un caractère qu'on ne lui connaiss
t avec un caractère qu'on ne lui connaissait pas. C'était une sorte d'
état
second, pour nous servir de l'expression du docte
inze jours. En général, les attaques de sommeil et le réveil dans « l'
état
second » se répétaient coup sur coup pendant quel
t, se renouvelaient comme nous venons de le dire. On comprend qu'un
état
pathologique semblable était intolérable pour la
s. Mlle X... était dans sa crise, mais réveillée (c'est-à-dire dans l'
état
second). Au bout de quelques instants, elle se ré
orsque Mlle X... s'endort d'elle-même et qu'elle se réveille dans son
état
second, son fiancé n'a aucun pouvoir sur elle ; c
d'une discussion avec son fiancé, et resta une journée entière dans l'
état
second. Je la vis alors pour la première fois dan
re dans l'état second. Je la vis alors pour la première fois dans cet
état
. Ce fut seulement le matin après la deuxième nuit
eulement le matin après la deuxième nuit qu'elle se réveilla dans son
état
normal. Pendant l'état second, Mlle X... change
a deuxième nuit qu'elle se réveilla dans son état normal. Pendant l'
état
second, Mlle X... change complètement de caractèr
change complètement de caractère.) Douce, aimable et un peu molle à l'
état
normal, elle devient impatiente, méchante, impétu
. Elle mange avec un meilleur appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'
état
normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle cha
s marier de suite, pour que je puisse te faire marcher. » Revenue à l'
état
normal, elle ne se rappelle absolument rien de ce
ne se rappelle absolument rien de ce Qu'elle a dit ou fait pendant l'
état
second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s
à la main, parce qu'il voulait l'empêcher de sortir. En effet, dans l'
état
second, elle résiste vigoureusement lorsqu'on ess
le venait à commettre un délit ou un crime pendant qu'elle est dans l'
état
second, devrait-on lui en faire porter la respons
cé de Mlle X... ne la considère pas comme absolument imputable dans l'
état
second, bien qu'il la trouve fort désagréable. En
Elle vint donc chez moi le matin du 3 novembre. Elle était dans son
état
normal, mais pâle et défaite, le regard éteint, s
e 7, elle arrive chez moi avec son fiancé. Elle est de nouveau dans l'
état
second depuis une attaque de sommeil qui l'avait
as et veut s'en aller. La journée du 7 tout entière se passe dans l'
état
second. Elle joue aux dames, touche du piano, cha
e avec grand appétit et travaille activement. Quand elle est dans son
état
normal, elle perd toujours au jeu de dames, mais
rmal, elle perd toujours au jeu de dames, mais lorsqu'elle est dans l'
état
second, elle gagne au contraire toujours, me disa
n fiancé. Le lendemain, je lui rends visite. Elle est encore dans l'
état
second. Elle ne me reconnaît pas, et me demande c
fre rien de particulier, et, si je ne savais pas qu'elle est dans son
état
second, je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est
on état second, je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est pas dans son
état
normal. Sa mémoire est entière pour tout ce qui l
oire est entière pour tout ce qui lui est arrivé auparavant, dans les
états
seconds antérieurs comme dans l'état normal. Maïs
est arrivé auparavant, dans les états seconds antérieurs comme dans l'
état
normal. Maïs il lui arrive souvent, dans l'état s
térieurs comme dans l'état normal. Maïs il lui arrive souvent, dans l'
état
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa connaissance dans l'
état
prime. Elle me parle du Dr Ladame comme si elle s
roteste vivement. Le 9 novembre, elle se réveille au matin dans son
état
normal! après une .nuit plus calme. Elle ne peut
t qu'elle se sent « drôle ». Elle retombe en effet, peu après, dans l'
état
second. Dès lors, jusqu'au 18, elle a plusieurs c
evient chez moi, avec son fiancé, le 18 au matin. Elle est dans l'
état
second depuis quelques heures. Je la fais asseoir
fet. Il m'est alors facile de la réveiller et de la ramener ainsi à l'
état
normal. Elle consent enfin à tenter l'hypnotisme,
le 21. Elle arrive le 21, à l'heure convenue, avec son fiancé. Son
état
est toujours le même ; ses nuits très mauvaises.
ir, ne font que l'exaspérer. Sous l'influence d'un froid intense, l'
état
de contraction du système vasculaire périphérique
ar les latitudes élevées; irrégularités qui elles-mêmes engendrent un
état
congestif passif des plus dangereux. Tous ces d
n douloureuse, l'impression prolongée du froid humide fait passer à l'
état
chronique la phlogose des extrémités et avec l'ép
l de l'autre. Loin de se limiter. la gangrène envahit la jambe. L'
état
général ne tarda pas à s'aggraver, et le malade à
re que ce soit, dans ces régions inhospitalières, est. par suite de l'
état
congestif permanent des centres nerveux et de la
troubles de l'intelligence, dans les régions polaires, consiste en un
état
de nervosisme aigu, d'irritabilité excessive. P
IQUE Un livre italien. Le Magnétisme animal la fascination et les
états
hypnotiques, tel est le titre d'un livre publié p
jà été hypnotisés, l'hypnose ne suit plus cette marche graduelle. L'
état
magnétique pendant la veille, état dont la limite
t plus cette marche graduelle. L'état magnétique pendant la veille,
état
dont la limite est si difficile à établir, soulèv
elles obtenues sur des sujets hypnotisés, c'est-à-dire soustraits à l'
état
normal ? Tous les sophismes ne pourront jamais ri
s'est endormie et elle est pour ainsi dire condamnée à rester dans l'
état
où vous la voyez jusqu'au moment où elle se révei
ra pas, — quelques-unes de ses voisines, alors qu'elle était dans son
état
de sommeil, l'ont vue se lever, tendre les mains
t dans ceux qui frappent le plus l'imagination, est très analogue a l'
état
hypnotique. C'est, si l'on veut, un état sub-hypn
ation, est très analogue a l'état hypnotique. C'est, si l'on veut, un
état
sub-hypnotique, et la plupart des paralysies prod
équence d'une action personnelle de l'opérateur sur l'opéré, et que l'
état
dans lequel se trouvaient les prétendus magnétisé
l'état dans lequel se trouvaient les prétendus magnétisés n'est qu'un
état
subjectif, indépendant de tout fluide magnétique
raitement des maladies. Dans ce volume, il définit l'hypnotisme: « un
état
nerveux déterminé par des manœuvres artificielles
n caractère physique spécial. Un vol de billets de banque pendant l'
état
d'hypnotisme. Nous trouvons dans un des dernier
y », où il trouva dans la salle d'attente un gentleman plongé dans un
état
complet d'inconscience. Le docteur Hamett fut app
L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DE L'ANALOGIE ENTRE L'
ÉTAT
HYPNOTIQUE ET L'ÉTAT NORMAL Par M. J. DELBŒUF
IMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DE L'ANALOGIE ENTRE L'ÉTAT HYPNOTIQUE ET L'
ÉTAT
NORMAL Par M. J. DELBŒUF PROFESSEUR A L'UNIVE
Il est impossible de ne pas les prendre pour des personnes dans leur
état
normal. Ils resteront des heures entières hypnoti
aisant: « M'avez-vous oublié ? » Du reste, ils ne peuvent définir cet
état
, si ce n'est par des termes vagues, par exemple,
uvoir d'abolir le souvenir, et j'en use parfois. En résumé, entre l'
état
de veille hypnotique et l'état de veille naturell
j'en use parfois. En résumé, entre l'état de veille hypnotique et l'
état
de veille naturelle, il va tous les degrés imagin
naturelle, il va tous les degrés imaginables ; on peut restreindre l'
état
hypnotique à une trace imperceptible, par exemple
sonne ne pourra apercevoir en lui rien d'anormal. J'étends donc à l'
état
de veille et, dans la même mesure, l'identificati
la même mesure, l'identification que l'Ecole de Nancy établit, pour l'
état
de sommeil, entre l'hypnotisme et la condition no
d'un mois. Cette dame nous a raconté que Jeanne est arrivée dans un
état
de surexcitation extrême, en poussant des cris, s
raisonnement: pas de lamentations ni de récriminations exagérées. Cet
état
persistant, M. Briand juge possible de la rendre
é. Depuis l'âge de 22 ans, les attaques ont complètement disparu. L'
état
puerpéral pourrait expliquer à lui seul les accid
use à effet entre la séance d"hypnotisme et le délire consécutif. L'
état
puerpéral, joint au chagrin causé par l'enlèvemen
al réveillés ou réveilles sous une impression pénible restent dans un
état
de demi-conscience qui dure plus ou moins longtem
érapeutique, et c'est à elle qu'on doit la description classique de l'
état
hypnotique divisé en trois périodes bien connues
cole de Paris, ne sont donc pas exclusives ni caractéristiques de cet
état
particulier, mais on les voit dans toute autre es
procédé quelconque à l'endormir plus profondément, on transforme cet
état
en léthargie, et voilà com-ment : on presse avec
il y en a 50 hyp-notisables. 15 somnambules, 4 ou 5 suggestibles à l'
état
de veille. Cette proportion doit être, d'après le
je n'ai pas pu hypnotiser par les procédés usuels, est tombé dans un
état
tout à (ait semblable à l'hypnotisme, à la suite
jambe sans le réveiller, nous nous apercevons que ses muscles sont en
état
de contraction. 3. Dans le.sommeil nerveux, rie
dination volontaire. Or il est évident que la cause qui amène cet
état
particulier du cerveau est complètement indiffére
ines conditions particulières on peut faire de la suggestion môme à l'
état
de veille. Je suis même convaincu que l'accès d
mbulique de son attaque, m'ayant entendu dire à son entourage que cet
état
pouvait durer jusqu'à 40 jours, s'est laissé sugg
issé suggestionner par mes paroles, et est restée pendant 40 jours en
état
de somnambulisme; mais un seul fait ne suffit pas
coordination volontaire. 2. Quelle que soit la cause qui amène cet
état
particulier du cerveau, on peut voir se dérouler
endant l'accouchement, mais d'habitude avec plus de difficulté qu'à l'
état
normal. » 2° Pendant le travail, l'hypnotisme p
tement acceptée, ou à ce que la douleur utérine fait passer soit de l'
état
léthargique ou de l'état somnambulique â l'état d
que la douleur utérine fait passer soit de l'état léthargique ou de l'
état
somnambulique â l'état de veille. En d'autres ter
fait passer soit de l'état léthargique ou de l'état somnambulique â l'
état
de veille. En d'autres termes, la contraction uté
d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant en souffrant dans l'
état
second ne se rappellent plus leurs douleurs dans
ffrant dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l'
état
premier : on peut conclure à tort de cette absenc
on, on laissera l'hypnotisme de côté et la parturiente, ramenée a son
état
normal, sera soumise, s'il y a lieu, aux anesthés
e. » 10° A côté de l'hypnotisme véritable, il y a la suggestion à l'
état
de veille, l'emploi du pseudo-chloroforme ou autr
sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les sujets en
état
d'hypnotisme. M. Dujardin-Beaumetz donne lectur
ver de différence. Six autres tubes renfermaient des substances à l'
état
de poudre; ils étaient enveloppés de papier blanc
accentué que celui-ci des Européens. Les Aïssaouas, qui se mettent en
état
de somnambulisme en secouant la tête d'avant en a
ctivité mentale et d'excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un
état
de prostration nerveuse qui faisait craindre l'an
font défaut. Il est d'abord certains malades qui se trouvent dans l'
état
de veille jour et .nuit; il leur est parfaitement
omettre leur sommeil de nuit. Inutile précaution : la nuit suivante l'
état
de ehoses est précisément le même, et ces malades
Symptôme commun à tous ces malades : si vous vous informez de leur
état
de santé antérieur, tous ont été affectés sans ex
e Dr Chazarain, de l'élude des agents physiques sur les sujets mis en
état
d'hypnotisme. 11 avait publié plusieurs mémoires
pparente; le sujet entend et a conscience pendant toute la durée de l'
état
hypnotique. Les trois prétendues phases de l'état
toute la durée de l'état hypnotique. Les trois prétendues phases de l'
état
hypnotique sont suggérées. 2° Chez les grandes
caprices de son individualité suggestive, qui l'obscurcissent. 4° L'
état
hypnotique n'est pas une névrose : les phénomènes
être obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel. 5 L'
état
hypnotique n'est pas particulier aux névropathes,
ie au réveil. Ce n'est pas un assoupissement douteux, ce n'est pas un
état
hypnotique fruste que j'obtiens chez eux, mais un
de résistance plus ou moins complète, etc. » Et. plus loin : t Dans l'
état
de sommeil comme dans l'état de veille, l'individ
omplète, etc. » Et. plus loin : t Dans l'état de sommeil comme dans l'
état
de veille, l'individualité morale de chaque sujet
ure : le sujet pense, raisonne, discute, accepte plus aisément qu'à l'
état
de veille, mais n'accepte pas toujours, etc. »
les phénomènes hypnotiques. Pour avoir une conception bien nette de l'
état
hypnotique, il ne suffit pas d'avoir assisté à qu
, c'est parce que nous savons manier la suggestion et reconnaître les
états
hypnotiques par leurs caractères psychiques, alor
: bromure de potassium, 2 grammes, et bains de Barèges. Le 11 mars, l'
état
antérieur restait le même, mais il s'est compliqu
u.., 55 ans, est entrée dans mon service, le 15 janvier 1888. dans un
état
de lypémanie avec hallucinations et agitation par
Traitement. — Bains, injections de morphine. 28 février 1888. — L'
état
étant resté le même, j'essaie de l'hypnotiser par
âgée de 31 ans, est entrée le 3 janvier 1888 dans mon service pour un
état
de dipsomanie remontant a plusieurs années. Pas
menstruelle, en raison de l'agitation maniaque, des violences et de l'
état
exotique qu'elles présentaient à ce moment. Le su
.., âgée de 20 ans, est entrée dans mon service il y a un an, dans un
état
d'agitation indescriptible. Elle était d'une viol
on cataméniale par une habitude de calme qui me parait influencer son
état
pendant le reste du mois, si j'en juge par la dif
t qu'elle irait au bout du monde pour ne pas retomber dans son ancien
état
. Depuis que le mieux s'est bien dessiné, elle est
. On m'a dit aussi que dans sa famille, elle reviendrait a son ancien
état
et que les vieilles habitudes reparaîtraient. Or,
on de bruits ou de mots ou l'exécution d'actes de circonstance. A l'
état
normal le cerveau travaille tout entier : c'est u
e produit des décharges d'un groupe cellulaire a un autre groupe. A l'
état
morbide, quelques éléments nerveux sont seuls act
ici quatre fois). Il suffoque bientôt, ses tempes se gonflent, son
état
fait mal. Enfin il roule à terre en catalepsie, e
quée et saccadée. Les tours qu'exécutent les Aïssaoua arrivés a cet
état
névropathique aigu ont été trop souvent décrits p
au moment où j'ai parlé de la jeune malade qui en était atteinte, son
état
était déjà beaucoup amélioré, mais elle n'était p
de, je m'étais borné i lui faire très fréquemment des suggestions à l'
état
de veille. Ce traitement avait surtout consisté d
n trois séances ; 4° Une dipsomanie datant de plus de dix ans, avec
état
mélancolique, guérie par la même méthode. M. Gr
ion du sommeil: Souvent, du reste, on peut agir par la suggestion à l'
état
de veille; M. Burot nous en a fourni un exemple h
irritables. Il n'y a aucun inconvénient à les laisser plongés dans l'
état
d'hypnotisme pendant plusieurs heures consécutive
en le vit, il reconnut immédiatement, quoique le malade ne fût pas en
état
de faire le moindre mouvement avec ses membres, q
se soucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'
état
mental de leurs sujets. Quelques-uns faisaient pr
âte, un court extrait du chapitre que je consacre aux suggestions à l'
état
de veille; encore n'en serez-vous sans doute guèr
ai été amené peu à peu à m'occuper des suggestions d'actes faites à l'
état
de veille. Je n'avais jamais vu faire ces sortes
vais en elle moins de résistance quand je réitérais la suggestion à l'
état
de veille. Même, plusieurs suggestions faites exc
lle. Même, plusieurs suggestions faites exclusivement dans ce dernier
état
furent exactement réalisées, tandis que Mme T...
s éveillée sur ce point, je fis de nombreuses suggestions d'actes à l'
état
de veille et il me semble de plus en plus que. co
sistance chez le sujet mis en expérience, quand je le laissais en cet
état
, que quand je l'avais mis préalablement en somnam
ommunication avec tous les assistants, sans que rien révèle en lui un
état
psychique particulier. C'est encore à l'état de
rien révèle en lui un état psychique particulier. C'est encore à l'
état
de veille que. à la fin de 1883, (et, ce me sembl
rin, prima donna du théâtre de Nancy, etc.. etc. C'est dans le même
état
encore que je persuadai, un jour, à M. Th..., jeu
blé déjà, à la fin de 1883, que pour faire réussir une suggestion à l'
état
dit de veille, il y avait un certain changement d
e fixation du regard très énergique. Chez Mme D..., le changement d'
état
eût pu, si je l'avais voulu et si elle y eût cons
llement. Lorsque nous étions ainsi convaincu que notre sujet était en
état
de suggestibilité hypnotique, nous lui avons sugg
histoire ». de ne se jamais coucher sur le ventre et de rester dans l'
état
où nous l'avons mis jusqu'à ce qu'on lui touchât
logique. Déjà nos expériences nous ont appris qu'on pouvait, dans l'
état
d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant ; tr
re varier l'intensité et la modalité de ses perceptions; créer divers
états
d'inconscience, etc... Il est certain qu'il ne
ar une véritable gymnastique psychique qu'il devient possible, dans l'
état
d'hypnotisme, d'imprimer en peu de temps à l'espr
nstante terreur. A peine est-il sorti des lisières: à peine est-il en
état
de balbutier quelques mots, d'aligner quelques ph
y trompe pas. les terreurs dites spirituelles mènent tout droit à cet
état
spasmodique propre à la seconde enfance, et qu'on
ue (guérison par l'hypnotisme d'un), par Brémaud, 19. Déroulement d'
états
successifs de personnalité, par Mabille et Ramadi
ique en gynécologie, 223. Emotifs (phénomènes) chex les sujets en
état
d'hypnotisme par Luys. 75, 99. Enfants vicieux (t
ique. par Baréty, 22. Magnétisme animal (le), la fascination et les
états
hypnotiques, par Morselli.268. Maladies épidémiqu
Ollivier, 211. Pelade (la) et l'école, par Hardy, 213. Personnalité (
états
successifs de), par Mabille et Ramadier. 42. Pe
Sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les sujets en
état
d'hypnotisme, par Luys. 75, 99, ?06. Sommeil à
illes hallucinations puissent être déposées dans le cerveau pendant l'
état
hypnotique et persister à I état de veille, ceci,
e déposées dans le cerveau pendant l'état hypnotique et persister à I
état
de veille, ceci, aujourd'hui, est accepté par tou
gestibles peuvent, sans être hypnotisés, par simple affirmation, à l'
état
de veille, subir des hallucinations rétroactives.
connais qu'il est très hypnotisable, hallucinable, et suggestible à l'
état
de veille. En une séance, il est guéri par sugges
somnambulisme spontané. Il est très suggestible et hallucinable à l'
état
de veille et de sommeil. II est intelligent, sait
sez intelligent, il lit et écrit correctement. II est suggestible à l'
état
de veille et de sommeil. « Tu étais là, lui dis
ur V... et je trouvai en lui un excellent somnambule, suggestible à l'
état
de veille et de sommeil. Quelque temps après, l
une insuffisance mitrale, sans trouble nerveux, très suggestible à l'
état
de veille et de sommeil. Je l'interpelle à distan
te). On dirait que l'hallucination rétroactive créée est latente, à l'
état
normal, et ne se réveille que lorsque je l'évoque
ne véritable suggestion qui provoque l'hallucination en développant l'
état
de conscience spécial dans lequel le sujet la per
expériences sont hypnotisables (par notre procédé),; suggestibles à l'
état
de sommeil et de veille ; chez la plupart on peut
idées plus saines: elle refuse tout aliment et tombe bientôt dans un
état
de faiblesse extrême ; la fièvre s'allume, l'inso
cin de la famille, j'offris d'essayer d'endormir la malade et, dans l'
état
hypnotique, d'agir par suggestion sur ce cerveau
irecte, affirmant aux parents qui assistaient à la visite que, dans l'
état
où se trouvait la malade, elle était absolument i
re d'idées. On sait qu'elles étaient restées infructueuses. Grâce à l'
état
de sommeil dans lequel était plongée la malade, c
n jaune d'œuf. Ce léger repas terminé, je laissai Mme B... dans son
état
de sommeil et continuai à agir par suggestion
damnation éternelle ne reparurent plus, les scrupules religieux sur l'
état
de mariage disparurent complètement : la santé mo
erveuse d'origine alcoolique paraissant prédisposer a l'hypnotisme, l'
état
particulier du malade semblait devoir motiver un
ppelé et aux parents présents, j'annonçai une analgésie complète et l'
état
cataleptoïde du système musculaire. Une piqûre au
était la le moment critique, car il était impossible de méconnaître l'
état
de plus en plus précaire de la situation industri
La convalescence s'affermit donc et j'ai pu revoir M. D... en plein
état
de santé reprendre sa vie habituelle et la direct
loin ; ils supposent que la suggestibilité des sujets n'est point un
état
permanent et qui leur soit spécial; ils affirment
int un état permanent et qui leur soit spécial; ils affirment que cet
état
peut se développer chez un grand nombre de person
, il est vrai, aussi bien applicable aux uns qu'aux autres et, dans l'
état
rudimentaire de nos connaissances sur ce sujet dé
bservation tout à fait accidentelle. J'avais mis une jeune fille en
état
de somnambulisme, et, pendant que je réfléchissai
nt qui défait est le même que celui qui fait. Le sujet, étant dans un
état
détermine, juge inconsciemment qu'il doit en chan
pe dont la fable nous a laissé le modèle sous le nom do Ganyméde. Cet
état
anatomique est définitif. On a invoqué, pour
entré à l'hôpital, une amélioration sensible s'est produite dans son
état
. Cet exemple regrettable démontre les dangers d
déjouer les supercheries des morphinomanes, il eut l'idée d'étudier l'
état
du coeur et du pouls au moyen du sphygmographe. C
s, est relative aux diverses phases d'un accouchement pratiqué dans l'
état
de somnambulisme provoqué, chez une primipare.
tant de Karl Braun. à Vienne, chez une femme accouchée par lui dans l'
état
léthargique, le 7 novembre 1885 ; L'autre de Du
et des organes génitaux fait par le toucher et par le spéculum dans l'
état
d'hypnose, sans que la malade en ait jamais eu co
'état d'hypnose, sans que la malade en ait jamais eu connaissance à l'
état
de veille. Sortie de mon service en avril 1885,
telle chose, elle s'endormira... En quelques secondes, Alice est en
état
de somnambulisme : les paupières closes, les glob
les membres inertes en repos sur son lit, ou relevés et fixes dans 1
état
cataleptoïde si bien décrit par Lasègue : elle se
ent momentanément toute communication de la malade avec le dehors ; l'
état
somnambulique étant le seul qu'il nous importe de
res closes, les globes oculaires convulsés en bas, les membres dans l'
état
cataleptoïde conservant les positions qu'on leur
partir de ce moment, souffrir autant que toute autre parturiente à l'
état
de veille, si nous mesurons l'intensité de la dou
t — fait important à noter— la malade n'est pas sortie un moment de l'
état
somnambulique dans lequel nous l'avions placée; l
une convulsion ne s'est montrée, aucune menace de transformation de l'
état
somnambulique en l'état léthargique n'est apparue
montrée, aucune menace de transformation de l'état somnambulique en l'
état
léthargique n'est apparue. A 4 heures, la tète
Immédiatement après l'accouchement, !a malade étant toujours dans l'
état
de somnambulisme, demande quel est le sexe de son
onvaincant peut-on trouver de la scission de la mémoire dans les deux
états
de veille et de sommeil ! ! La contre-épreuve f
troubles dynamiques, fonctionnels ou organiques qui caractérisent son
état
pathologique; tel est le but que je me suis propo
, avec les exagérations propres à sa constitution nerveuse. Mise en
état
de somnambulisme, et suggestionnée, elle cesse im
tions, mais qu'elle ne souffre pas... qu'elle se trouve bien dans cet
état
.' A partir de la dernière heure, pendant la pér
gestes. ses impatiences, aussi violentes que chez une parturiente à l'
état
de veille, bien que le sommeil n'ait point été in
re, tant de fois constatée chez elle, dans la comparaison de ses deux
états
de veille et de sommeil, de même que sa revivisce
e fille, et réciproquement, etc. DÉROULEMENT SPONTANÉ OU PROVOQUÉ D'
ÉTATS
SUCCESSIFS DE PERSONNALITÉ CHEZ UN HYSTÉRO-ÉPILEP
, soit par des agents mécaniques, soit par suggestion, à produire des
états
de personnalité divers et à démontrer qu'il exist
l existe « des relations précises, constantes et nécessaires, entre l'
état
somatique et l'état psychique, ou plus simplement
ions précises, constantes et nécessaires, entre l'état somatique et l'
état
psychique, ou plus simplement entre l'état physiq
ntre l'état somatique et l'état psychique, ou plus simplement entre l'
état
physique et l'étal mental, telles qu'il est impos
t dans la relation de MM. Bour-ru et Burot de la production d'un seul
état
de personnalité qu'on peut] faire varier à volont
oujours de lui-même à sa personnalité vraie, sans passer par d'autres
états
intermédiaires. Nous voudrions à notre tour déc
roduit soit spontanément, soit artificiellement chez notre malade des
états
de personnalité successifs de durée et de nombre
qué a la personnalité vraie. 1° Déroulements spontanés de plusieurs
états
de personnalité. Ces déroulements ont toujours
épilepsie. soit pendant la crise elle-même. C'est en effet dans cet
état
que nous observâmes pour la première fois chez V.
taque, mais encore pardes changements successifs de personnalité avec
état
somatique correspondant à la personnalité. Cest
ndant à la personnalité. Cest d'ailleurs en observant avec soin les
états
de paralysie ou de contracture des divers membres
du malade que nous avons pu découvrir, pendant cette même crise, les
états
de personnalité décrits par les auteurs précités
hypnotique. Pour éviter les répétitions, nous décrirons seulement l'
état
de V... dans une de ses grandes attaques, et cela
égique, sans contracture». V... reste cinq minutes dans une sorte d'
état
hallucinatoire, puis s'écrie qu'il ne veut pas al
val ; il apprend le métier de tailleur ; il est paraplégique (1er
état
de Bonneval). De nouveaux spasmes se succèdent
il a eu une paralysie de la jambe gauche; il parle de M. Camuset (2e
état
de Bonneval). Sa paralysie disparaît tout i cou
oup; il vient de s'évader; on le rattrape, il est très malheureux ,3e
état
de Bonneval.. Enfin, il va sortir de Bonneval. Il
a mère, la voit. Il est alors pris de crises nouvelles, revient a l'
état
de Luysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet
s, revient a l'état de Luysan, décrit plus haut. Puis, sorti de cet
état
, il se plaint de sa mère. Il ira à Mâcon: il mont
ntre le médecin, M. Lacuire ; il a mal à la jambe droite, qui est à l'
état
de paralysie flasque (1er état de l'asile de Bour
l a mal à la jambe droite, qui est à l'état de paralysie flasque (1er
état
de l'asile de Bourg). Quelques minutes après, d
ns le service de M. Lacuire avec lequel il a de vives discussions (2e
état
de Bourg). La paralysie gauche disparaît peu à
ontre M. Besançon, interne du service de M. Voisin (il est à Bicêtre,
état
de Bicêtre). Un transfert s'effectue et V..., q
V..., qui est toujours à Bicêtre, devient paralysé du côté droit (2e
état
de Bicêtre). Cette paralysie s'évanouit, mais a
Lafond, après une grande crise, V... reste pendant un jour et demi en
état
d'hémiplégie droite. Il est à Rochefort. Une autr
s tendons, provoque telle contracture systématique correspondant à un
état
déterminé. Ainsi, pressant les tendons des jambes
lle a duré; en un mot, tout est semblable à ce qui a été décrit au 4°
état
: paraplégie, état de Bonneval. » Par un procéd
ot, tout est semblable à ce qui a été décrit au 4° état : paraplégie,
état
de Bonneval. » Par un procédé analogue, M. Mabi
tendons rotuliens. produit la contrac-ture des deux jambes et amené l'
état
dit de Bonneval. nous nous attendions, comme d'ha
al. nous nous attendions, comme d'habitude, à voir V... revenir à son
état
de conscience; normal, quand nous observâmes ce q
isparut, et V... se réveilla paralysé de la jambe. Il est à Bourg (2e
état
de Bourg). Il nous donne les renseignements corre
état de Bourg). Il nous donne les renseignements correspondants à cet
état
de personnalité, état décrit trop souvent pour qu
s donne les renseignements correspondants à cet état de personnalité,
état
décrit trop souvent pour que nous en donnions une
ie droite. V... se trouve à Bicêtre, dans le service de M. Voisin (2e
état
de Bicêtre). Au lieu de revenir, à son réveil, a
ralysie ni anesthésie; il est à Saint-Urbain. Après avoir passé par l'
état
de Rochefort (hémiplégie et hémi-anesthesie droit
de la vipère. Mais cette zone n'existe que dans un certain nombre d'
états
de personnalité du malade, comme aussi il n'est p
distinctes de sa vie. Or, il est toujours facile, V... étant en ,l'
état
de grande crise, après avoir comprimé la zone hys
on du testicule. Immédiatement alors, on peut faire passer V... i l'
état
de somnambulisme par la pression des yeux, l'ouve
que lorsque V... se déroute, telle paralysie motrice correspond à tel
état
de personnalité avec ou sans conservation de la z
ables. L'attaque est, chez notre sujet, comme la manifestation d'un
état
morbide pendant lequel, par suite d'une révivisce
anie est une sorte de monomanie d'ivresse et qu'il est des cas où cet
état
est l'effet du trouble accidentel de la sensibili
amène de la dépression morale. Le dipsomane arrive fatalement à un
état
de débilité mentale qui frise la démence, à m
ndent. L'imposition des mains, qui provoquait chez certains sujets un
état
où ils étaient susceptibles de re- (1) Les Forc
has s'occupe spécialement des phases intermédiaires et surtout de cet
état
qu'on a peine à dénommer et que les auteurs appel
out de cet état qu'on a peine à dénommer et que les auteurs appellent
état
intermédiaire, fascination, charme, mais qu'il ap
appellent état intermédiaire, fascination, charme, mais qu'il appelle
état
de crédulité. Les procédés pour produire l'hypnos
hypnotisé par ce seul fait qu'il a consenti à se trouver placé dans l'
état
d'inconscience Í Graves questions dont l'ensemb
endant l'hypnose. Si l'acte n'est pas en conformité parfaite avec l'
état
moral qui est habituel au sujet, sa sanction péna
ns possibles auront été mis en œuvre pour reconnaître la réalité de l'
état
hypnotique, et les manifestations évidentes de la
otisé, quelle doit-elle être chez l'enfant, déjà très suggestible à l'
état
de veille ? Le récit de nombreux exemples d'hab
séance, suffisamment édifiés. Il suffira de nous rappeler que, dans l'
état
hypnotique, le sujet obéit à la suggestion verbal
habitude de vivre ensemble ; l'hyperesthésie qui caractérise certains
états
hypnotiques ; l'idéoplastie, qui est une action n
e peu et savoir que la suggestion mentale n'est pas possible dans les
états
divers du magnétisme et de l'hypnotisme. Au point
de l'hypnotisme. Au point de vue de l'activité psychique, ces divers
états
peuvent être divisés en trois grandes sections re
e. Le vrai moment de la suggestion mentale, c'est la limite entre l'
état
aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet
limite entre l'état aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet
état
, le sujet a le cerveau assez réveillé pour n'être
e .qu'est le sympathisme organique : transmission des sensations, des
états
émotifs, transmission nerveuse physique des malad
lus avoir de » céphalalgie. » Le 3 août, je reviens voir Mme X... L'
état
est satisfaisant; elle n'a plus rien bu en dehors
heur ; vous m'avez guérie; c'est-à-dire que vous m'avez remite dans l'
état
normal où j'aurais dû me trouver, si je n'avais e
de cette excitation très forte et unique, ou faible mais répétée, un
état
anatomi que particulier, quelque chose comme une
e matérielle, qui fait que toute excitation nouvelle les remet dans l'
état
même où elles se sont trouvées lors de la grande
es conditions de notre éducation, conditions qui ont créé en nous cet
état
anatomique dont parle le Dr Bordier, cette mémoir
me éveillé, disposant de toutes ses facultés, libre, en un mot, et en
état
de se défendre. L'objection n'a qu'une valeur a
ssons au point de vue intellectuel et moral. Notre corps, parvenu à l'
état
adulte, se trouve composé, dans toutes ses partie
SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES SUJETS EN
ÉTAT
D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J, LUYS mem
et la possibilité de solliciter expérimentalement, chez des sujets en
état
d'hypnotisme, des émotions variées, de joie, de t
e, il est un groupe tout spécial de phénomènes nerveux, qui joue, à l'
état
de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêv
pécial de phénomènes nerveux, qui joue, à l'état de veille, comme à l'
état
de sommeil dans nos rêves, un rôle de premier ord
-rium, en présence d'une impression extérieure qui met ses réseaux en
état
d'ébranlement. Et je ne vous apprendrai rien en
rveau se trouvent, grâce à elle, éclairés d'un rayon de lumière ! A l'
état
normal, en effet,ce sont ces mêmes régions émotiv
par des troubles respiratoires anxieux, par des larmes discrètes, les
états
d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l'
discrètes, les états d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l'
état
pathologique, dans ce domaine spécial de la patho
écial de la pathologie mentale qui touche aux lypémanies anxieuses, l'
état
d exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions é
exaltation fonctionnelle de ces mêmes régions émotives est porté à un
état
d'hyperexcitabilité tel. qu'elles arrivent à domi
is en œuvre chez lui tous les signes somatiques qui carectérisent cet
état
, tels que rhyperexcitabilité neuro-musculaire, l'
hénomènes dont nous poursuivons en ce moment l'étude, un changement d'
état
bien notable dans la manière d'être de son systèm
ion expérimentale des émotions. On sait, en effet, combien dans cet
état
spécial les sujets sont aptes à conserver les att
icitation réelle d'émotions provoquées d'une façon centripète par les
états
divers de la sensibilité périphérique. Il est c
par suggestion verbale, soit par la préhension des mains. Dans cet
état
, il n'entend, no voit et ne sent que moi et les r
jusqu'à ce jour avec lesquelles L.., endormi, ne s'est pas trouvé en
état
de rapport, scion l'expression de M. le commandan
échéance, durant le sommeil ou plus ou moins longtemps après, dans l'
état
de veille qui va suivre. Si je lui ordonne de s
l les voie. les entende et les sente comme s'il était réveillé. Cet
état
de rapport peut être obtenu de diverse? manières:
toutes les fois que je cesse de la viser ainsi, L... cesse d'être en
état
de rapport avec elle. Si, dans ces diverses exp
..., qui ne les voit pas, ne les entend pas et ne les sent pas dans l'
état
de sommeil, sera en état de rapport complet avec
ne les entend pas et ne les sent pas dans l'état de sommeil, sera en
état
de rapport complet avec eux toutes les fois que j
ils peuvent être le siège, peut être mis, par les mêmes procédés, en
état
de rapport avec eux. Placé derrière L... endorm
ferais moi-même directement; mais seulement pendant le temps que cet
état
de rapport est maintenu par moi. Elle peut, dans
s 398 et 568 de mon ouvrage déjà cité. Nous y voyons cette force, à l'
état
de circulation (force neurique circulante), passe
.. le souffle a en plus une propriété très remarquable, qu'il soit en
état
de sommeil ou qu'il soit en état de veille. Ainsi
iété très remarquable, qu'il soit en état de sommeil ou qu'il soit en
état
de veille. Ainsi, toute personne ou tout objet, t
re à l'abri de tout phénomène de suggestion possible, j'ai, pendant l'
état
de veille, soufflé sur divers corps ou portions d
lque sorte de toute part. Voila le vrai surmenage, voilà le véritable
état
pathologique avec lequel il faut sérieusement com
ur la transmission de la pensée. (Id. May 1887.) Edmund Gurney: Les
états
de la mémoire dans l'hypnotisme. (Id. May 1887.)
SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES SUJETS EN
ÉTAT
D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LUYS membr
le de médecine de Rochefort, ont donc constaté que chez les sujets en
état
d'hypnotisme, il se développe un tel état d'hyper
taté que chez les sujets en état d'hypnotisme, il se développe un tel
état
d'hyperesthésic qu'ils deviennent impressionnable
ènes réactionnels évoluent en silence. Le sujet étant maintenu dans l'
état
léthargique, tous les phénomènes se développent e
réactions coordonnées il donne les illusions de la vie réelle et d'un
état
de conscience très nettement accusé. C'est ains
t unilatérales, et la même substance qui. du côté droit, détermine un
état
de souffrance et de malaise, appliquée du côté ga
môme croisés, qui se révèlent. Dans d'autres circonstances, c'est un
état
de résolution générale des forces musculaires qui
xiété dans les muscles inspirateurs supérieurs, puis il tombe dans un
état
d'abattement profond quasi-comateux, la bouche bé
quelque sorte la photographie du sujet en expérience, qui est dans un
état
d'année complet. fortement secoué dans tout s
iode de détente qui se manifeste. La photographie exprime en effet un
état
d'abandon et de sérénité parfait. Le sujet repose
regard est vague et langoureux, et sa physionomie reposée exprime cet
état
de béatitude spéciale éprouvé par toutes les pers
d'abord, et, sur la face, une expression de gaieté allant jusqu'à un
état
de jubilation extrême. Le sulfate d'atropine pa
sur la figure photographique, reste affaissé sur le fauteuil, dans un
état
d'accablement extrême. 11 est anhélant, les trait
de son visage sont tirés ; son regard vague, fixe, éteint, exprime un
état
d'épuisement et d'atonie générale qui plane sur t
ous l'action d'une dose modérée de cognac de 10 grammes, a passé de l'
état
normal représenté dans la figure ci-jointe, à l'é
es, a passé de l'état normal représenté dans la figure ci-jointe, à l'
état
d'ébriété la plus complète avec agitation, physio
sens, expurger l'excitation alcoolique, et sortir de lui-même de cet
état
quasi-comateux dans lequel il a été plongé, pour
ues, il entre en conflit avec les assistants et expose avec netteté l'
état
spécial d'émotivité dans lequel il se trouve inci
mulateur: un changement subit et profond s'opère incontinent dans son
état
général. Vous le voyez alors, s'il marche, s'ar
race de contrariété, d'émotion ou de souffrance. Lorsque, suivant l'
état
des forces du sujet et suivant l'intensité des ré
ésence de ces faits étranges et de bien d'autres inexplicables dans l'
état
de nos connaissances, un courant s'établit dans l
ournent pas assez longtemps et retombent tôt ou tard dans leur triste
état
. M. le docteur Ladame (de Genève) rapporte quel
eulan. On commençait à désespérer de sa vie. et le duc, averti de son
état
, demanda aussitôt à se confesser. Lorsqu'il eut a
élevées et le galvanisme (Id.) Petrazzani :. k : La suggestion a l'
état
de veille et d'hypnotisme. (Rivista sperimentale
eurologie, juillet 1887.) PSYCHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L'
état
mental des épileptiques. (L'Homme, août 1887.)
de manière d'être: ils devinrent calmes et sérieux; un seul, malgré l'
état
somnambulique favorable aux suggestions, résista
ds complètement le respect de moi-même, je me montre en public dans l'
état
le plus abject, je vends mes vêtements pour boire
de me réveiller, il a fallu que je fasse un effort pour sortir de cet
état
. J'étais comme quelqu'un tiré d'un profond sommei
souvient de tout ce qu'on lui a dit après son réveil. Il est dans un
état
léthargique complet, avec résolution musculaire,
que vous me donnez vos soins, je m'aperçois d'un mieux réel dans mon
état
. Je ne suis plus constamment en fièvre comme par
entes crises épileptiformes. La menstruation ne modifie nullement son
état
pathologique. A l'hôpital, on constate que tout l
lents accès convulsifs. On a recours a l'hypnose. La malade, dans l'
état
de décubitus dorsal, regarde fixement un objet br
ait de vingt jours, n'avait fait qu'augmenter, jusqu'au moment où son
état
alarmant avait nécessité son entrée a l'hôpital.
urraient risque de contracter lu paralysie du cœur. De même, dans cet
état
, il peut s'éveiller des émotions vives susceptibl
xpérimenté qui l'emploie comme moyen thérapeutique à l'égard d'autres
états
nerveux beaucoup plus graves; mais, d'autre part,
ent de crampes vives, sont précédées pendant deux et trois jours d'un
état
d'énervement avec mauvaise humeur, antipathie pou
uggestions, prendre quelque nourriture. Elle était enfin en aussi bon
état
que possible et pouvait même — elle presque moura
En même temps il me fut possible, par le même procédé, de modifier l'
état
psychique et empêcher le retour de semblables acc
x fois par semaine pendant un mois, je parvins à la remettre dans son
état
normal. Ce qui frappe assurément le plus les pe
ter sur les phénomènes d'inhibition qui peuvent être provoqués dans l'
état
d'hypnotisme. M. Certes (de Paris). — Vous pouv
vous agissez par des médicaments placés a distance et vous créez des
états
pathologiques fictifs ; ne pouvez-vous, par exemp
'existe plus, les réflexes sont augmentés et il peut se produire, à l'
état
ordinaire, comme une suggestion pathologique de t
ent existait, puisqu'elle était séparée de sa famille, et cependant l'
état
ne s'est pas amélioré. Il m'a semblé que le tra
i m'a permis de combattre une à une toutes ses mauvaises habitudes. L'
état
s'est beaucoup amélioré; il existe bien encore un
r les sensitifs, mais à des degrés variables, les mêmes changements d'
état
dynamique que déter-minent les pôles de la pile,
leur sommet et négatifs par le côté de leur racine. Les minéraux a l'
état
amorphe n'ont qu'une polarité, mais les métaux so
se de celui du sujet : 2° qu'il est résolutif des contractures et des
états
de même nature en direction ascendante sur le côt
ntes augmentent d'abord la contraction musculaire, puis déterminent l'
état
tétanique des fibres lisses des artères et ainsi
sang, tandis que les actions décontracturantes rétablissent d'abord l'
état
physiologique quand elles sont appliquées a la su
seront employées dans les manifestations morbides caractérisées pnr l'
état
spasmodique à tous les degrés, la contracture, l'
anémie cérébrale sans lésion organique. L'analogie qui existe entre l'
état
d'individus réalisant une suggestion et celui de
ts. Ce qui le prouve, c'est que des personnes mises par des passes en
état
somnambulique et imparfaitement réveillées ensuit
-dire les plus communes de ces affections, et comme modificateur de l'
état
général. Ils repoussent, pour ces cas, d'accord e
a supprimé la vision, arrêté la conversation et rendu le sujet à son
état
normal. Observations d'onanisme guéries par la
, ne nous ont révélé aucune anomalie. Les organes génitaux sont à l'
état
normal. Rien du côté des grands appareils splanch
Deuxième séance d'hypnotisme : le résultat obtenu a toujours été un
état
mixte léthargo-somnambulique avec souvenir au rév
il de ce qui lui a été recommandé; il lui est impossible, pendant cet
état
, de soulever les paupières,dc remuer les membres
le se souvenait au réveil de ce qui lui avait été suggéré pendant cet
état
mixte. II faut, en effet, pour que la réussite
tte nouvelle preuve de l'influence de la suggestion hypnotique sur un
état
aussi désespérant que l'onanisme. SECTION D'H
st pas encore tranchée. Pour certains auteurs, toute personne mise en
état
de somnambulisme devient, entre les mains de l'ex
ofondie de cette science. Le viol, presque impossible à accomplir à l'
état
normal, comme l'a maintes fois démontré M. le pro
is démontré M. le professeur Brouardel, le devient tout à fait dans l'
état
d'hypnotisme. On sait. en effet, combien il est f
te que l'on pouvait aussi très facilement suggérer, aussi bien dans l'
état
d'hypnotisme que dans l'état de veille, l'idée d'
s facilement suggérer, aussi bien dans l'état d'hypnotisme que dans l'
état
de veille, l'idée d'un taux témoignage. Le jour
s, parce que tous ces phénomènes peuvent se produire, dans un certain
état
, sous l'action du cerveau du sujet aussi bien que
le premier degré observable de l'hypnose ; j'ai montré que, dans cet
état
, les nerfs moteurs et sensitifs peuvent vibrer in
le frein de la volonté était déclanché. Ainsi, je mets un sujet en
état
de crédulité par une action quelconque qui. d'apr
ation polaire en hétéronomie sur le cerveau, le sujet reviendra à son
état
normal. Il résulte de là que si une contracture
motivité spéciale que présentent au plus haut degré les sujets mis en
état
d'hypnotisme. — Les leçons cliniques de M. le d
Bordeaux, 1885, 1886. 1887.) Luys : Les émotions chez les sujets en
état
d'hypnotisme. Etudes de psychologie expérimentale
aire au buveur. En l'hypnotisant, on place seulement celui-ci dans un
état
cérébral qui favorise l'efficacité de ses vœux.
laquelle nous avons constamment recours pour mettre les sujets dans l'
état
d'hypnotisme est celle que les leçons de MM. les
soins. Bien que les procédés par lesquels on arrive à déterminer l'
état
d'hypnotisme chez les jeunes sujets soient d'une
Si on lui soulève les bras, souvent on les voit rester en l'air, en
état
de catalepsie suggestive. Parfois, pour obtenir c
'une simulation rare, mais possible, et pour plonger l'enfant dans un
état
d'hypnotisme dont la constatation ne laisse aucun
la régularité et toutes les apparences du sommeil naturel. C'est l'
état
que nous jugeons le plus favorable pour faire les
itement; la classer parmi les bonnes élèves de la classe. Cependant l'
état
moral de cette enfant était tellement perverti qu
ie complètement qu'après deux mois de traitement. Chez toutes deux, l'
état
général, très défectueux avant le traitement, s'e
re exécuter au malade des mouvements gymnastiques réguliers pendant l'
état
d'hypnolisme, les accidents choréiques peuvent di
ues séances pour le rétablir complètement, mais en même temps que son
état
physique s'améliorait, ses aptitudes intellectuel
résumé, d'après les observations qui précèdent, la suggestion, dans l'
état
d'hypnotisme, trouve son application surtout lors
Au contraire, l'enfant, qui constate l'amélioration survenue dans son
état
, n est pas le dernier k l'apprécier. Il est très
ns le sommeil provoqué ne difiere pas en réalité de la suggestion a l'
état
de veille : seulement elle est plus efficace, par
n. Si les- admonestations qu'on fait à l'enfant pendant qu'il est a l'
état
de veille ne sont pas acceptées, qu'on les fasse
ice, voilà ce que nous demandons. Il n'y a ni fluides magnétiques, ni
état
contre nature. C'est un état psychologique, un ét
ons. Il n'y a ni fluides magnétiques, ni état contre nature. C'est un
état
psychologique, un état de conscience particulier
s magnétiques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un
état
de conscience particulier qui se produit spontané
ment ou qu'on peut produire artificiellement ; et, à la faveur de cet
état
de conscience, des guérisons physiques et morales
Beaucoup d'esprits se refuseront a croire que la suggestion faite à l'
état
de veille, ou même pendant le sommeil hypnotique,
à en tirer tout le parti possible. Puisque la suggestion faite dans l'
état
de sommeil peut modifier la direction imprimée au
longuement un corps animé ou inanimé, il survient assez rapidement un
état
analogue au sommeil. A cet état il donna le nom d
nimé, il survient assez rapidement un état analogue au sommeil. A cet
état
il donna le nom d'hypno- tisme. Cet état prés
alogue au sommeil. A cet état il donna le nom d'hypno- tisme. Cet
état
présente sans aucun doute une grande analogie, si
ne le nom de suggestion aux actes que l'on peut commander au sujet en
état
d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer a un su
loses. Le sujet a l'apparence d'une personne qui dort. Pour obtenir l'
état
léthargique, on peut employer divers procédés; il
s paupières closes. 2° La phase cataleptique est caractérisée par l'
état
indiqué par ce nom. Les muscles ont perdu leur hy
de l'hypnotisme, on les trouve non seulement dans les névralgies, les
états
émotifs, les diverses céphalées, l'insomnie. On a
e, le sujet éternue ou produit un bruit analogue à l'éternuement ; un
état
analogue à l'ivresse apparaît quand on fait naîtr
t qu'en fait d'hypnotisme et de magnétisme, tout le monde se croit en
état
d'avoir une opinion. Etrange mirage! S'il s'agiss
truction avait suffisamment établi, disait-on, que rien ne prouvait l'
état
d'insanité d'esprit de l'accusé. Quelques semai
it en novembre 1886. M. Max-Simon, dans sa déposition, fit voir qu'un
état
mental profondément perturbé pouvait être soupçon
er degré et perversion des instincts. 2° C'est sous l'empire de cet
état
mental morbide que l'accusé a commis les actes qu
doit pas être laissé en liberté. En septembre dernier, à cause de l'
état
de maladie d'un des experts, l'affaire fut renvoy
, à notre tour, si, dans une situation mentale semblable, si, avec un
état
de maladie cérébrale reconnu par tous, un aliéné
avec un état de maladie cérébrale reconnu par tous, un aliéné est en
état
de se défendre. Les débats, nous n'avons pas be
rent lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de savoir l'
état
mental du docteur Lamotte, mais quel était cet ét
t pas de savoir l'état mental du docteur Lamotte, mais quel était cet
état
au moment où certains actes incriminés avaient eu
tout âge, de tout sexe, de tout tempérament. Ils s'imaginaient que l'
état
hypnotique est l'apanage exclusif de quelques rar
ien plus considérable, et nous arrivons quelquefois à mettre dans cet
état
la moitié, si ce n'est plus encore, de nos client
Non! le sommeil hypnotique n'est pas un sommeil pathologique ! Non! l'
état
hypnotique n'est pas une névrose analogue à l'hys
sychique et non une influence physique ou fluidique qui détermine cet
état
. Chose singulière, ce sont des psychologues comme
ion médicamenteuse à distance. Certains sujets hypnotisés ou même à l'
état
de veille auraient une aptitude singulière à être
passible, entend tout, se rend compte de tout. Quelques-uns, dans cet
état
de concentration d'esprit spécial, ont une acuité
et son application à la thérapeutique. La suggestibilité existe à l'
état
de veille, mais elle est alors neutralisée ou ref
nsations, mouvements, images. La modalité psychique ainsi modifiée, l'
état
de conscience nouveau qui se constitue rend le ce
de l'ancienne ; elle contient une nouvelle classification des divers
états
en degrés de l'hypnose, classification qui est en
A première vue, le docteur déclare qu'il n'y a rien de grave dans l'
état
de Mme Chassinet qu'elle dort tout simplement d'u
t été prise à 9 heures 45 de douleurs de tête et était restée dans un
état
de somnolence et de torpeur jusqu'à 1 heure 3o, h
u'ils faisaient agir les médicaments à distance, leur sujet était à l'
état
de veille, tandis que le mien était en léthargie
andis que le mien était en léthargie ou en somnambulisme. » Or, cet
état
de veille, quel est-il ? Ils font remarquer que l
le, quel est-il ? Ils font remarquer que leur sujet se trouve dans un
état
où toute suggestion est impossible. Parfois on se
carter toute idée de suggestion. On voit que le sujet n'est plus en
état
de veille, au contraire, quand on fait les expéri
de coma. Mais il est bien rare qu'une femme se trouve seule dans cet
état
. Or la question médico-légale se pose ordinaireme
d'intéressantes observations d'accouchements ayant eu lieu pendant l'
état
d'hypnotisme ont été recueillies par MM. Mes-net,
ce phénomène? A mon sens il s'agît simplement d'un eut pathologique,
état
très compliqué, très obscur, il est vrai, et qui
e de l'hysterie, pour tous ceux qui ont en l'occasion d'approfondir l'
état
mental des hystériques, l'événement de Granges se
nes les plus invraisemblables. En un mot, elles sont atteintes d'un
état
mental particulier et le livre de Legrand du Saul
c (il fumait jusqu'à 60 cigarettes par jour), était tombé dans un tel
état
de cachexie, que l'on pouvait éprouver des craint
qu'au bout de deux séances. Le malade ne put pas être plongé dans un
état
qui dépassât la demi-léthargie, il ne pouvait ouv
En tête des circonstances propres à déterminer le passage du mal de l'
état
latent à l'état ostensible, il faut inscrire la p
onstances propres à déterminer le passage du mal de l'état latent à l'
état
ostensible, il faut inscrire la peur, l'imitation
e. (Progr. Méd., 15oct.) Luys (J.): Les émotions chez les sujets en
état
d'hypnotisme. In-8°. 98 p. avec fig. Baillière et
chiatria, t- VIII-, n° 4, 1887.) Reymond : Halluc inations dans l'
état
de crédulité. (Id.) G. Marinescu : Action médic
ondu. » Cette première expérience était donc un insuccès, puisque l'
état
somnam-bulique n'avait pas été obtenu ; mais c'ét
essailli quand il s'est approché d'elle. Elle lui a répondu comme à l'
état
normal, mais elle paraissait tout à fait hébétée
je ne vais chez M. X... qu'à 5 h. 10. Je trouve Mme B... endormie, en
état
de somnambulisme, et voici ce qu'elle me raconte
out étonné quand, vers 1 h. 35, on la voit descendre dans le salon en
état
som-nambulique. Elle prétend que c'est moi qui l'
sidérée comme un succès incomplet. Elle aurait été irréprochable si l'
état
somnambulique avait été obtenu d'emblée à 9 h. 20
monstration du sommeil a distance et la production chez Mme B... de l'
état
somnambulique. Ce qui donne, en outre, une réel
et, en effet, à 6 h. 55, j'arrive près de Mme B... et je la trouve en
état
de somnambulisme. Elle me dit : « Pourquoi n'avez
0 a 6 h. 52, et, quand elle l'a vue à 6 h. 52, Mme B... était déjà en
état
de somnambulisme. Elle n parlé une fois à C..., m
dans la petite pièce attenant à la salle ù manger, où Mme B... est en
état
de somnambulisme. Elle peut cependant répondre, m
u'elle ait prononcée ; mais elle l'a dite les yeux fermés et étant en
état
de somnambulisme. A 2 h. 20, je sors du cabinet
je sors du cabinet où j'étais caché, je lui parle et je la trouve en
état
de somnambulisme. Elle me dit que c'est moi qui l
amais à 2 heures ; de plus, que Mme X..., en allant voir quel était l'
état
de Mme B.... la trouvée endormie. Cette expérie
peu artificielle — du moment où l'action a commencé. Enfin, quoique l'
état
de somnambulisme ait été bien caractérisé par l'a
ir Mme B.... j'arrive chez Mme X... a 3 heures. Je trouve Mme B... en
état
de somnambulisme. Mais cet état était tout à fait
... a 3 heures. Je trouve Mme B... en état de somnambulisme. Mais cet
état
était tout à fait spécial. Elle ne me répondait p
ent échoué ; mais un fait négatif ne prouve rien, d'autant plus que l'
état
de réveil récent est peut-être une condition défa
vons chez elle à 4 heures précises. A ce moment, elle est endormie en
état
de somnambulisme et elle dit à M. Janet : « Vous
s expériences d'un tout autre genre, j'avais, au préalable, examiné l'
état
de sa sensibilité. La malade était, à l'état de v
au préalable, examiné l'état de sa sensibilité. La malade était, à l'
état
de veille, hémianesthésique gauche. La sensibilit
e. N'a pas eu ses idées et ses sensations depuis le mois d'avril. L'
état
général est bien meilleur aussi. La malade a engr
ande et, malgré ce régime, éprouve des défaillances continuelles. Cet
état
dure un mois, pendant lequel le poids du corps s'
e en apparence, nouvelles crises qui éclatent après chaque repas. Cet
état
dure trois jours. La boulimie reparait alors et
le est guérie. Au réveil (si l'on peut appeler ainsi la sortie d'un
état
aussi léger d'hypnose), au réveil, je dis à la ma
e tient difficilement sur la chaise, elle oscille constamment dans un
état
d'équilibre instable. Elle n'est ni paralytique,
lésion médullaire: on ne trouve qu'un seul élément saillant, c'est l'
état
d'hyperesthésie et d'hyper-excitabilité de l'orga
cessives et prendre les moulages de ces 17 couches superposées. A l'
état
de ramollissement, la substance cérébrale est en
deuils telle ou telle région difficile à examiner ou même à voir à l'
état
normal. En durcissant, la région ainsi préparée c
is cessé ; ils se renouvelaient même assez fréquemment. Elle apprit l'
état
de couturière et se plaça à Vienne, en Autriche,
ent. Bientôt on s'aperçut que la malade se réveillait parfois dans un
état
bien différent de son état normal et avec un cara
ue la malade se réveillait parfois dans un état bien différent de son
état
normal et avec un caractère qu'on ne lui connaiss
t avec un caractère qu'on ne lui connaissait pas. C'était une sorte d'
état
second, pour nous servir de l'expression du docte
inze jours. En général, les attaques de sommeil et le réveil dans « l'
état
second » se répétaient coup sur coup pendant quel
t, se renouvelaient comme nous venons de le dire. On comprend qu'un
état
pathologique semblable était intolérable pour la
s. Mlle X... était dans sa crise, mais réveillée (c'est-à-dire dans l'
état
second). Au bout de quelques instants, elle se ré
orsque Mlle X... s'endort d'elle-même et qu'elle se réveille dans son
état
second, son fiancé n'a aucun pouvoir sur elle ; c
d'une discussion avec son fiancé, et resta une journée entière dans l'
état
second. Je la vis alors pour la première fois dan
re dans l'état second. Je la vis alors pour la première fois dans cet
état
. Ce fut seulement le matin après la deuxième nuit
eulement le matin après la deuxième nuit qu'elle se réveilla dans son
état
normal. Pendant l'état second, Mlle X... change
a deuxième nuit qu'elle se réveilla dans son état normal. Pendant l'
état
second, Mlle X... change complètement de caractèr
change complètement de caractère.) Douce, aimable et un peu molle à l'
état
normal, elle devient impatiente, méchante, impétu
. Elle mange avec un meilleur appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'
état
normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle cha
s marier de suite, pour que je puisse te faire marcher. » Revenue à l'
état
normal, elle ne se rappelle absolument rien de ce
ne se rappelle absolument rien de ce Qu'elle a dit ou fait pendant l'
état
second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s
à la main, parce qu'il voulait l'empêcher de sortir. En effet, dans l'
état
second, elle résiste vigoureusement lorsqu'on ess
le venait à commettre un délit ou un crime pendant qu'elle est dans l'
état
second, devrait-on lui en faire porter la respons
cé de Mlle X... ne la considère pas comme absolument imputable dans l'
état
second, bien qu'il la trouve fort désagréable. En
Elle vint donc chez moi le matin du 3 novembre. Elle était dans son
état
normal, mais pâle et défaite, le regard éteint, s
e 7, elle arrive chez moi avec son fiancé. Elle est de nouveau dans l'
état
second depuis une attaque de sommeil qui l'avait
as et veut s'en aller. La journée du 7 tout entière se passe dans l'
état
second. Elle joue aux dames, touche du piano, cha
e avec grand appétit et travaille activement. Quand elle est dans son
état
normal, elle perd toujours au jeu de dames, mais
rmal, elle perd toujours au jeu de dames, mais lorsqu'elle est dans l'
état
second, elle gagne au contraire toujours, me disa
n fiancé. Le lendemain, je lui rends visite. Elle est encore dans l'
état
second. Elle ne me reconnaît pas, et me demande c
fre rien de particulier, et, si je ne savais pas qu'elle est dans son
état
second, je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est
on état second, je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est pas dans son
état
normal. Sa mémoire est entière pour tout ce qui l
oire est entière pour tout ce qui lui est arrivé auparavant, dans les
états
seconds antérieurs comme dans l'état normal. Maïs
est arrivé auparavant, dans les états seconds antérieurs comme dans l'
état
normal. Maïs il lui arrive souvent, dans l'état s
térieurs comme dans l'état normal. Maïs il lui arrive souvent, dans l'
état
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa
second, de ne pas reconnaître les personnes de sa connaissance dans l'
état
prime. Elle me parle du Dr Ladame comme si elle s
roteste vivement. Le 9 novembre, elle se réveille au matin dans son
état
normal! après une .nuit plus calme. Elle ne peut
t qu'elle se sent « drôle ». Elle retombe en effet, peu après, dans l'
état
second. Dès lors, jusqu'au 18, elle a plusieurs c
evient chez moi, avec son fiancé, le 18 au matin. Elle est dans l'
état
second depuis quelques heures. Je la fais asseoir
fet. Il m'est alors facile de la réveiller et de la ramener ainsi à l'
état
normal. Elle consent enfin à tenter l'hypnotisme,
le 21. Elle arrive le 21, à l'heure convenue, avec son fiancé. Son
état
est toujours le même ; ses nuits très mauvaises.
ir, ne font que l'exaspérer. Sous l'influence d'un froid intense, l'
état
de contraction du système vasculaire périphérique
ar les latitudes élevées; irrégularités qui elles-mêmes engendrent un
état
congestif passif des plus dangereux. Tous ces d
n douloureuse, l'impression prolongée du froid humide fait passer à l'
état
chronique la phlogose des extrémités et avec l'ép
l de l'autre. Loin de se limiter. la gangrène envahit la jambe. L'
état
général ne tarda pas à s'aggraver, et le malade à
re que ce soit, dans ces régions inhospitalières, est. par suite de l'
état
congestif permanent des centres nerveux et de la
troubles de l'intelligence, dans les régions polaires, consiste en un
état
de nervosisme aigu, d'irritabilité excessive. P
IQUE Un livre italien. Le Magnétisme animal la fascination et les
états
hypnotiques, tel est le titre d'un livre publié p
jà été hypnotisés, l'hypnose ne suit plus cette marche graduelle. L'
état
magnétique pendant la veille, état dont la limite
t plus cette marche graduelle. L'état magnétique pendant la veille,
état
dont la limite est si difficile à établir, soulèv
elles obtenues sur des sujets hypnotisés, c'est-à-dire soustraits à l'
état
normal ? Tous les sophismes ne pourront jamais ri
s'est endormie et elle est pour ainsi dire condamnée à rester dans l'
état
où vous la voyez jusqu'au moment où elle se révei
ra pas, — quelques-unes de ses voisines, alors qu'elle était dans son
état
de sommeil, l'ont vue se lever, tendre les mains
t dans ceux qui frappent le plus l'imagination, est très analogue a l'
état
hypnotique. C'est, si l'on veut, un état sub-hypn
ation, est très analogue a l'état hypnotique. C'est, si l'on veut, un
état
sub-hypnotique, et la plupart des paralysies prod
équence d'une action personnelle de l'opérateur sur l'opéré, et que l'
état
dans lequel se trouvaient les prétendus magnétisé
l'état dans lequel se trouvaient les prétendus magnétisés n'est qu'un
état
subjectif, indépendant de tout fluide magnétique
raitement des maladies. Dans ce volume, il définit l'hypnotisme: « un
état
nerveux déterminé par des manœuvres artificielles
n caractère physique spécial. Un vol de billets de banque pendant l'
état
d'hypnotisme. Nous trouvons dans un des dernier
y », où il trouva dans la salle d'attente un gentleman plongé dans un
état
complet d'inconscience. Le docteur Hamett fut app
L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DE L'ANALOGIE ENTRE L'
ÉTAT
HYPNOTIQUE ET L'ÉTAT NORMAL Par M. J. DELBŒUF
IMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DE L'ANALOGIE ENTRE L'ÉTAT HYPNOTIQUE ET L'
ÉTAT
NORMAL Par M. J. DELBŒUF PROFESSEUR A L'UNIVE
Il est impossible de ne pas les prendre pour des personnes dans leur
état
normal. Ils resteront des heures entières hypnoti
aisant: « M'avez-vous oublié ? » Du reste, ils ne peuvent définir cet
état
, si ce n'est par des termes vagues, par exemple,
uvoir d'abolir le souvenir, et j'en use parfois. En résumé, entre l'
état
de veille hypnotique et l'état de veille naturell
j'en use parfois. En résumé, entre l'état de veille hypnotique et l'
état
de veille naturelle, il va tous les degrés imagin
naturelle, il va tous les degrés imaginables ; on peut restreindre l'
état
hypnotique à une trace imperceptible, par exemple
sonne ne pourra apercevoir en lui rien d'anormal. J'étends donc à l'
état
de veille et, dans la même mesure, l'identificati
la même mesure, l'identification que l'Ecole de Nancy établit, pour l'
état
de sommeil, entre l'hypnotisme et la condition no
d'un mois. Cette dame nous a raconté que Jeanne est arrivée dans un
état
de surexcitation extrême, en poussant des cris, s
raisonnement: pas de lamentations ni de récriminations exagérées. Cet
état
persistant, M. Briand juge possible de la rendre
é. Depuis l'âge de 22 ans, les attaques ont complètement disparu. L'
état
puerpéral pourrait expliquer à lui seul les accid
use à effet entre la séance d"hypnotisme et le délire consécutif. L'
état
puerpéral, joint au chagrin causé par l'enlèvemen
al réveillés ou réveilles sous une impression pénible restent dans un
état
de demi-conscience qui dure plus ou moins longtem
érapeutique, et c'est à elle qu'on doit la description classique de l'
état
hypnotique divisé en trois périodes bien connues
cole de Paris, ne sont donc pas exclusives ni caractéristiques de cet
état
particulier, mais on les voit dans toute autre es
procédé quelconque à l'endormir plus profondément, on transforme cet
état
en léthargie, et voilà com-ment : on presse avec
il y en a 50 hyp-notisables. 15 somnambules, 4 ou 5 suggestibles à l'
état
de veille. Cette proportion doit être, d'après le
je n'ai pas pu hypnotiser par les procédés usuels, est tombé dans un
état
tout à (ait semblable à l'hypnotisme, à la suite
jambe sans le réveiller, nous nous apercevons que ses muscles sont en
état
de contraction. 3. Dans le.sommeil nerveux, rie
dination volontaire. Or il est évident que la cause qui amène cet
état
particulier du cerveau est complètement indiffére
ines conditions particulières on peut faire de la suggestion môme à l'
état
de veille. Je suis même convaincu que l'accès d
mbulique de son attaque, m'ayant entendu dire à son entourage que cet
état
pouvait durer jusqu'à 40 jours, s'est laissé sugg
issé suggestionner par mes paroles, et est restée pendant 40 jours en
état
de somnambulisme; mais un seul fait ne suffit pas
coordination volontaire. 2. Quelle que soit la cause qui amène cet
état
particulier du cerveau, on peut voir se dérouler
endant l'accouchement, mais d'habitude avec plus de difficulté qu'à l'
état
normal. » 2° Pendant le travail, l'hypnotisme p
tement acceptée, ou à ce que la douleur utérine fait passer soit de l'
état
léthargique ou de l'état somnambulique â l'état d
que la douleur utérine fait passer soit de l'état léthargique ou de l'
état
somnambulique â l'état de veille. En d'autres ter
fait passer soit de l'état léthargique ou de l'état somnambulique â l'
état
de veille. En d'autres termes, la contraction uté
d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant en souffrant dans l'
état
second ne se rappellent plus leurs douleurs dans
ffrant dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l'
état
premier : on peut conclure à tort de cette absenc
on, on laissera l'hypnotisme de côté et la parturiente, ramenée a son
état
normal, sera soumise, s'il y a lieu, aux anesthés
e. » 10° A côté de l'hypnotisme véritable, il y a la suggestion à l'
état
de veille, l'emploi du pseudo-chloroforme ou autr
sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les sujets en
état
d'hypnotisme. M. Dujardin-Beaumetz donne lectur
ver de différence. Six autres tubes renfermaient des substances à l'
état
de poudre; ils étaient enveloppés de papier blanc
accentué que celui-ci des Européens. Les Aïssaouas, qui se mettent en
état
de somnambulisme en secouant la tête d'avant en a
ctivité mentale et d'excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un
état
de prostration nerveuse qui faisait craindre l'an
font défaut. Il est d'abord certains malades qui se trouvent dans l'
état
de veille jour et .nuit; il leur est parfaitement
omettre leur sommeil de nuit. Inutile précaution : la nuit suivante l'
état
de ehoses est précisément le même, et ces malades
Symptôme commun à tous ces malades : si vous vous informez de leur
état
de santé antérieur, tous ont été affectés sans ex
e Dr Chazarain, de l'élude des agents physiques sur les sujets mis en
état
d'hypnotisme. 11 avait publié plusieurs mémoires
pparente; le sujet entend et a conscience pendant toute la durée de l'
état
hypnotique. Les trois prétendues phases de l'état
toute la durée de l'état hypnotique. Les trois prétendues phases de l'
état
hypnotique sont suggérées. 2° Chez les grandes
caprices de son individualité suggestive, qui l'obscurcissent. 4° L'
état
hypnotique n'est pas une névrose : les phénomènes
être obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel. 5 L'
état
hypnotique n'est pas particulier aux névropathes,
ie au réveil. Ce n'est pas un assoupissement douteux, ce n'est pas un
état
hypnotique fruste que j'obtiens chez eux, mais un
de résistance plus ou moins complète, etc. » Et. plus loin : t Dans l'
état
de sommeil comme dans l'état de veille, l'individ
omplète, etc. » Et. plus loin : t Dans l'état de sommeil comme dans l'
état
de veille, l'individualité morale de chaque sujet
ure : le sujet pense, raisonne, discute, accepte plus aisément qu'à l'
état
de veille, mais n'accepte pas toujours, etc. »
les phénomènes hypnotiques. Pour avoir une conception bien nette de l'
état
hypnotique, il ne suffit pas d'avoir assisté à qu
, c'est parce que nous savons manier la suggestion et reconnaître les
états
hypnotiques par leurs caractères psychiques, alor
: bromure de potassium, 2 grammes, et bains de Barèges. Le 11 mars, l'
état
antérieur restait le même, mais il s'est compliqu
u.., 55 ans, est entrée dans mon service, le 15 janvier 1888. dans un
état
de lypémanie avec hallucinations et agitation par
Traitement. — Bains, injections de morphine. 28 février 1888. — L'
état
étant resté le même, j'essaie de l'hypnotiser par
âgée de 31 ans, est entrée le 3 janvier 1888 dans mon service pour un
état
de dipsomanie remontant a plusieurs années. Pas
menstruelle, en raison de l'agitation maniaque, des violences et de l'
état
exotique qu'elles présentaient à ce moment. Le su
.., âgée de 20 ans, est entrée dans mon service il y a un an, dans un
état
d'agitation indescriptible. Elle était d'une viol
on cataméniale par une habitude de calme qui me parait influencer son
état
pendant le reste du mois, si j'en juge par la dif
t qu'elle irait au bout du monde pour ne pas retomber dans son ancien
état
. Depuis que le mieux s'est bien dessiné, elle est
. On m'a dit aussi que dans sa famille, elle reviendrait a son ancien
état
et que les vieilles habitudes reparaîtraient. Or,
on de bruits ou de mots ou l'exécution d'actes de circonstance. A l'
état
normal le cerveau travaille tout entier : c'est u
e produit des décharges d'un groupe cellulaire a un autre groupe. A l'
état
morbide, quelques éléments nerveux sont seuls act
ici quatre fois). Il suffoque bientôt, ses tempes se gonflent, son
état
fait mal. Enfin il roule à terre en catalepsie, e
quée et saccadée. Les tours qu'exécutent les Aïssaoua arrivés a cet
état
névropathique aigu ont été trop souvent décrits p
au moment où j'ai parlé de la jeune malade qui en était atteinte, son
état
était déjà beaucoup amélioré, mais elle n'était p
de, je m'étais borné i lui faire très fréquemment des suggestions à l'
état
de veille. Ce traitement avait surtout consisté d
n trois séances ; 4° Une dipsomanie datant de plus de dix ans, avec
état
mélancolique, guérie par la même méthode. M. Gr
ion du sommeil: Souvent, du reste, on peut agir par la suggestion à l'
état
de veille; M. Burot nous en a fourni un exemple h
irritables. Il n'y a aucun inconvénient à les laisser plongés dans l'
état
d'hypnotisme pendant plusieurs heures consécutive
en le vit, il reconnut immédiatement, quoique le malade ne fût pas en
état
de faire le moindre mouvement avec ses membres, q
se soucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'
état
mental de leurs sujets. Quelques-uns faisaient pr
âte, un court extrait du chapitre que je consacre aux suggestions à l'
état
de veille; encore n'en serez-vous sans doute guèr
ai été amené peu à peu à m'occuper des suggestions d'actes faites à l'
état
de veille. Je n'avais jamais vu faire ces sortes
vais en elle moins de résistance quand je réitérais la suggestion à l'
état
de veille. Même, plusieurs suggestions faites exc
lle. Même, plusieurs suggestions faites exclusivement dans ce dernier
état
furent exactement réalisées, tandis que Mme T...
s éveillée sur ce point, je fis de nombreuses suggestions d'actes à l'
état
de veille et il me semble de plus en plus que. co
sistance chez le sujet mis en expérience, quand je le laissais en cet
état
, que quand je l'avais mis préalablement en somnam
ommunication avec tous les assistants, sans que rien révèle en lui un
état
psychique particulier. C'est encore à l'état de
rien révèle en lui un état psychique particulier. C'est encore à l'
état
de veille que. à la fin de 1883, (et, ce me sembl
rin, prima donna du théâtre de Nancy, etc.. etc. C'est dans le même
état
encore que je persuadai, un jour, à M. Th..., jeu
blé déjà, à la fin de 1883, que pour faire réussir une suggestion à l'
état
dit de veille, il y avait un certain changement d
e fixation du regard très énergique. Chez Mme D..., le changement d'
état
eût pu, si je l'avais voulu et si elle y eût cons
llement. Lorsque nous étions ainsi convaincu que notre sujet était en
état
de suggestibilité hypnotique, nous lui avons sugg
histoire ». de ne se jamais coucher sur le ventre et de rester dans l'
état
où nous l'avons mis jusqu'à ce qu'on lui touchât
logique. Déjà nos expériences nous ont appris qu'on pouvait, dans l'
état
d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant ; tr
re varier l'intensité et la modalité de ses perceptions; créer divers
états
d'inconscience, etc... Il est certain qu'il ne
ar une véritable gymnastique psychique qu'il devient possible, dans l'
état
d'hypnotisme, d'imprimer en peu de temps à l'espr
nstante terreur. A peine est-il sorti des lisières: à peine est-il en
état
de balbutier quelques mots, d'aligner quelques ph
y trompe pas. les terreurs dites spirituelles mènent tout droit à cet
état
spasmodique propre à la seconde enfance, et qu'on
ue (guérison par l'hypnotisme d'un), par Brémaud, 19. Déroulement d'
états
successifs de personnalité, par Mabille et Ramadi
ique en gynécologie, 223. Emotifs (phénomènes) chex les sujets en
état
d'hypnotisme par Luys. 75, 99. Enfants vicieux (t
ique. par Baréty, 22. Magnétisme animal (le), la fascination et les
états
hypnotiques, par Morselli.268. Maladies épidémiqu
Ollivier, 211. Pelade (la) et l'école, par Hardy, 213. Personnalité (
états
successifs de), par Mabille et Ramadier. 42. Pe
Sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les sujets en
état
d'hypnotisme, par Luys. 75, 99, ?06. Sommeil à
re en doute l'existence des phénomènes fondamentaux qui constituent l'
état
d'hypnotisme. Tous ont été d'accord pour accept
rticulier par la suggestion, de provoquer chez les sujets une série d'
états
nerveux spéciaux, essentiellement différents de l
s une série d'états nerveux spéciaux, essentiellement différents de l'
état
de veille normal, et qu'il convient de ranger ces
le des actes délictueux et criminels qu'il accomplira, soit pendant l'
état
d'hypnotisme, soit après son réveil, â une époque
on a pu dire — je l'ai dit moi-même — que, en remettant le prévenu en
état
de somnambulisme, on renouera en lui la chaîne du
mnambulisme, on renouera en lui la chaîne du souvenir, interrompu à l'
état
normal, et qu'on lui demandera de donner tous les
'il ne s'agit point de suggestion, etc., etc. Réveillée et dans cet
état
que je crois pouvoir assimilera la condition seco
: « C'est fini, tout est » bien ! » Alors Mme M... reviendra à son
état
normal et n'éprouvera aucun malaise. Tout se pa
ouille les narines avec un corps dur, elle ne sent rien. Rendue à son
état
normal, elle a tout oublié. M. le professeur Be
ation négative ; Enfin, elle est anesthésique, parce qu'elle est en
état
de condition seconde, pendant la réalisation des
l'hypnotisme, et il a condamné le magnétiseur qui avait provoqué cet
état
par ses manœuvres. La certitude du fait est donc
t plus que les augmenter. Il fut forcé d'abandonner sa fille dans cet
état
et elle passa la nuit suivante dans des convulsio
et elle passa la nuit suivante dans des convulsions continuelles. Cet
état
se prolongea pendant huit jours. Ce fait n'est pa
ans ce cas particulier; mais combien d'autres se sont trouvés dans un
état
de subordination plus complète et n'avaient même
seil, pour chercher une garantie contre les déplorables effets de cet
état
de subordination ! Voici un autre fait relaté p
ses spontanées ; elle n'en » put venir à bout et l'abandonna. » Cet
état
dura plus de six mois, pendant lesquels la jeune
tées de somnambulisme. Elle n'aurait jamais osé pareille chose dans l'
état
de veille... ; un jour, cette femme s'est trouvée
le dessus. Ce qui caractérise la simulation, chez lui, c'est, en tout
état
de cause, la fixité du mobile, et surtout son ext
REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE UN NOUVEL
ÉTAT
PSYCHOLOGIQUE(1) Par M. Jules LIÉGEOIS PROFES
té coupable. Au cours de cette expérience, j'ai été amené à étudier l'
état
du sujet pendant que je réalise pour lui l'halluc
re ne fait aucune attention à mes paroles. D'abord je m'assure de l'
état
de la sensibilité : chose curieuse, celle-ci exis
à peu près toute la série des suggestions qui peuvent être faites à l'
état
de veille. Je les résume, ainsi qu'il suit, d'apr
à développer le thème que je lui ai donné. Elle paraît être dans un
état
absolument normal et tient tête à tous les assist
la suggestion opère ; Camille passe, sans transition apparente, de l'
état
d'hallucination négative dans lequel l'avait plon
'hallucination négative dans lequel l'avait plongée M. Liébeault. à l'
état
normal qui, pour elle, naturellement, s'accompagn
euvent être déduites. D'abord, on se trouve en présence d'un nouvel
état
hypnotique, et l'on constate que les phénomènes d
e véritable importance au fait de la suggestibilité des hypnotisés en
état
d'hallucination négative, c'est la considération
érapeutiques produisant tout l'effet qu'on en obtient dans les autres
états
hypnotiques ? Si le délire lui-même donnait au mé
ient y gagner : je ne vois pas ce qu'elles y pourraient perdre. LES
ÉTATS
PROFONDS DE L'HYPNOSE Par le Comt A. de ROCHAS
TATS PROFONDS DE L'HYPNOSE Par le Comt A. de ROCHAS I Les trois
états
de l'hypnose décrits par M. Charcot sont devenus
er des phénomènes qu'elle n'avait point découverts la première. Ces
états
sont : la léthargie, la catalepsie et le somnambu
médecins de la Salpêtrière semblent ne pas être allés plus loin que l'
état
somnambulique, puisqu'ils n'ont jamais signalé d'
qu'ils n'ont jamais signalé d'autres phases de l'hypnose que certains
états
secondaires reliant les étapes principales que no
arriver d'emblée à une phase ou à une autre de ce que l'on appelle l'
état
hypnotique, et cela en quelques secondes. Les m
Je suis parvenu à constater ainsi que le sujet passait par tous les
états
que j'ai décrits dans mon livre sur Les forces no
tes, mais il me fut impossible de constater de nouveaux changements d'
états
, parce que j'ignorais alors les phénomènes qu'il
rches (1) J'accepte le terme consacré de léthargie pour designer un
état
dans lequel le sujet présente une apparence de pr
e prostration beaucoup plus accentuée que dans les étais voisins. Cet
état
ou ces états (car on verra qu'il y en a toute une
n beaucoup plus accentuée que dans les étais voisins. Cet état ou ces
états
(car on verra qu'il y en a toute une série) sont
s figures 1 et 6 représentent Benoist dans la léthargie qui précède l'
état
de rapport et dans celle qui la suit; la figure 2
celle qui la suit; la figure 2 le montre au moment où il entre dans l'
état
de rapport. (1) Il y a des sujets facilement hy
imposant la main droite sur le front, je détermine en premier lieu l'
état
de crédulité, puis l'état léthargique caractérisé
ur le front, je détermine en premier lieu l'état de crédulité, puis l'
état
léthargique caractérisé par la con-tractibiliié m
l'état léthargique caractérisé par la con-tractibiliié musculaire, l'
état
cataleptique avec ses deux phases de rigidité et
c ses deux phases de rigidité et d'imitation automatique, un deuxième
état
léthargique sans contractibilité musculaire, et e
ans la période non encore étudiée scientifiquement, avec un troisième
état
de léthargie. Cette léthargie (fig. 1) n'est autr
'hypnose par l'application de la main gauche sur la tète, je ramène l'
état
somnambulique; si au contraire j'emploie la main
mnambulique; si au contraire j'emploie la main droite, je détermine l'
état
suivant que j'appelle l'état de rapport. Dans cet
j'emploie la main droite, je détermine l'état suivant que j'appelle l'
état
de rapport. Dans cette phase léthargique, la cont
ctibilité neuro-musculaire existe à peu près au même degré que dans l'
état
normal. ÉTAT DE RAPPORT. Le sujet n'est en ra
-musculaire existe à peu près au même degré que dans l'état normal.
ÉTAT
DE RAPPORT. Le sujet n'est en rapport qu'avec l
et n'est en rapport qu'avec le magnétiseur, quel qu'il soit (2) ; cet
état
, comme la catalepsie, présente deux phases. Dan
raiterai de l'effet des actions électriques, et je montrerai que si l'
état
de rapport est déterminé par un courant galvaniqu
plupart des sujets voient le fluide de l'opérateur quand ils sont à l'
état
de rapport ; je reviendrai également sur ce phéno
u'elle ne soit trop forte. Un caractère commun aux deux phases de l'
état
de rapport est un sentiment de béatitude extrêmem
te toujours si on veut le réveiller ou l'endormir davantage. Dans l'
état
de rapport, les phénomènes psychiques provoqués p
r suite du renversement de la tête en arrière; ils sont eux-mêmes à l'
état
de rapport, c'est-à-dire qu'ils ne voient que le
e est suspendue et où le pouls est sensiblement ralenti: puis vient l'
état
de sympathie. état de sympathie au contact. L
le pouls est sensiblement ralenti: puis vient l'état de sympathie.
état
de sympathie au contact. Le sujet continue a n'
ur et les personnes que touche celui-ci ; mais ce qui différencie cet
état
du pré- (i) Le Dr Baréty à fait, sur cet établi
on fait éprouver à ce tiers, et qui sont trop légères pour modifier l'
état
de son organisme, mais il ressent les symptômes d
mment il m'a répondu qu'il n'éprouvait rien de particulier. Après l'
état
de sympathie vient encore une période de léthargi
sympathie vient encore une période de léthargie dont le sujet sort en
état
de lucidité. état de lucidité. Le sujet voit
re une période de léthargie dont le sujet sort en état de lucidité.
état
de lucidité. Le sujet voit alors en plus les or
en rapport ; il les décrit avec les termes qui lui sont familiers a l'
état
de veille, surtout quand ces organes sont malades
ien il indique des remèdes provenant évidemment de ses souvenirs de l'
état
de veille: ainsi, dans une seconde expérience rel
it fausse et a recommandé des boissons rafraîchissantes. Dans cet
état
, le sujet acquiert une faculté nouvelle, c'est de
le plus simple par la concentration de la pensée, aussi bien dans cet
état
que dans les autres. Benoist n'arrive pas toujo
ans cet état que dans les autres. Benoist n'arrive pas toujours à l'
état
de lucidité; quelquefois je ne parviens pas à le
je ne parviens pas à le faire sortir de la léthargie qui précède cet
état
; dans ces cas-la, il ne tient pas l'hypnose pour
les seuls. A mesure qu'on avance dans l'hypnose, les souvenirs de l'
état
de veille, surtout ceux qui ont trait aux individ
s, ni aucun détail sur eux. L'aptitude a la suggestion commence à l'
état
de crédulité ; elle parait atteindre son maximum
ambulisme, pour disparaître presque complètement dans les débuts de l'
état
de rapport. (1) Depuis que cet article a été éc
(1) Depuis que cet article a été écrit, pu déterminer chez Benoist l'
état
suivant que j'appelle Etat de sympathie à distanc
rmez-vous davantage. Au réveil vous ferez telle chose. REPONSES
ÉTAT
DE RAPPORT Oh oui! (Avec quelque hé-Benoist .
sais bien comme cela. (La suggestion ne s'exécute qu'en partie.)
ÉTAT
DE SYMPATHIE ÉTAT DE LUCIDITÉ Un peu lourd. (
ela. (La suggestion ne s'exécute qu'en partie.) ÉTAT DE SYMPATHIE
ÉTAT
DE LUCIDITÉ Un peu lourd. (Avec beaucoup d'hé
extrêmement sensible à la polarité, passe régulièrement par tous les
états
décrits plus haut (1) et va au delà. J'ai détermi
s, trois ou quatre séries de léthargies et de réveil apparent après l'
état
de lucidité; mais, ignorant les phénomènes qui le
ercher la suggestion mentale et je lai obtenue une fois a l'un de ces
états
extrêmes. J'ai pensé: « Leyez le bras droit. » il
gine à tel point les sentir lui-même, qu'il se lamente sur son triste
état
, lui, si jeune!— Il indique volontiers les remède
ans, forgeron, ancien chasseur à pied, a passé nettement par tous les
états
, jusqu'à la sympathie, et n'a pas été poussé au d
ent par deux personnes différentes, a donné les mêmes résultats ; à l'
état
de sympathie, il ressent les piqûres faites sur l
des inhalations qui marquent nettement chez Benoist les changements d'
état
. Mme X. ., 35 ans; Louise et Maria, 19 ans, lin
pour reconnaître les phases, aussi bien de l'aller que du retour. A l'
état
de somnambulisme, Mme X... a les yeux ouverts et
les et elle se continue avec une certaine intensité, jusque pendant l'
état
de rapport. Mme X..., R... et Maria ne se lèvent
lus que très difficilement de leur chaise après le réveil, quand, à l'
état
de rapport, ils en ont reçu l'ordre de ne pas pou
le commandement, jusqu'au somnambulisme, et, par exception, jusqu'à l'
état
de rapport, mais que lorsqu'on veut aller plus lo
faut employer des agents physiques. L'action de ces agents, dans les
états
profonds, montre bien que, dans les états inférie
ion de ces agents, dans les états profonds, montre bien que, dans les
états
inférieurs, ils agissent aussi, et que la théorie
i arrive. (1)Mme X... peut être poussée très loin et, dans tous les
états
autres que les états léthargiques, elle a les yeu
.. peut être poussée très loin et, dans tous les états autres que les
états
léthargiques, elle a les yeux ouverts, mais ne vo
c lesquels celui-ci la met en rapport. Les caractères spécifiques des
états
n'ont été détermines avec précision que jusqu'à l
écifiques des états n'ont été détermines avec précision que jusqu'à l'
état
de Sympathie à distance. Mme X... peut être rév
r cessé d'exister, comme force directrice. Déformé, pétri, réduit a l'
état
de pâte molle, il subit toutes les compressions,
al. Voyez comme on pourrait lui retourner tout ce qu'il écrit sur l'
état
de conviction des hypnotisés : « Il importe de
suggestion.» L'application qu'on pourrait faire de ces paroles à l'
état
psychologique de celui qui les a écrites n'est-el
t un certain temps. — Mais dès lors elle est retombée dans son ancien
état
. 5° Femme âgée de 28 ans. Cas de manie puerpé
aturel revient dans une certaine mesure. — Elle nous a quitte dans un
état
de santé très satisfaisant. SOCIÉTÉS SAVANTES
epsie franche, les membres gardant leurs attitudes, et tantôt dans un
état
de sommeil, naturel en apparence, et profond. A
onsidérer. Tout à l'heure, dans le deuxième groupe, nous démêlions un
état
mental particulier, un état mental qui, plaçant l
ans le deuxième groupe, nous démêlions un état mental particulier, un
état
mental qui, plaçant le sujet sur les limites de l
itre, désigné sous le nom d'exfra-phj-siologique. A présent, c'est un
état
mental décidément morbide que force est bien d'ad
cas, regardés comme autant de candidats à l'hystérie; si, encore à l'
état
latent, la névrose convulsive n'attend que l'occa
e que, au bout de peu de temps, ces suggestions artificielles sont en
état
de vaincre des causes organiques très puissantes.
DE BELOIQUE Bien que l'hallucination soit parfois compatible avec l'
état
de raison, elle n'en est pas moins l'expression d
ible avec l'état de raison, elle n'en est pas moins l'expression d'un
état
anormal de l'activité cérébrale^ bien qu'elle ne
péculatif qui. suivant une heureuse expression, est le critérium de l'
état
de raison. Chez l'aliéné, pourquoi Thallucination
s, comme il le dit fort justement, souvent dues à une inertie ou a un
état
spastique, inconnu dans sa nature, de certaines r
t spastique, inconnu dans sa nature, de certaines régions cérébrales,
état
qui aurait la plus grande analogie avec les modif
ble pour le but que nous poursuivons, par une suggestion faite dans l'
état
hypnotique. Ces paralysies, dit le docteur Lobe
tant psychiques que somatiques de l'hypnotisme peuvent s'obtenir à l'
état
de veille er sans qu'il soit nécessaire de faire
reux qu'on ne le pense, dit Charcot ; ¡1 semble, ajoute-t-il, « que l'
état
hypnotique qui, pour d'autres, est un état artifi
mble, ajoute-t-il, « que l'état hypnotique qui, pour d'autres, est un
état
artificiel, soit, pour ces singulières créatures,
tres, est un état artificiel, soit, pour ces singulières créatures, l'
état
ordinaire, si tant est qu'en pareille circonstanc
e, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse cire question d'
état
normal. Ces gens-là dorment, 3lors même qu'ils se
ble a la production des phénomènes hypnotiques, constitue seulement l'
état
favorable à l'établissement d'une aptitude qui do
u. 2* C'est en forçant encore l'analogie qu'on arrive à assimiler l'
état
mental dans l'hypnose avec un rêve ordinaire. Dan
es prémisses, si ce n'est celle-ci : que ce qui ressemble le plus à l'
état
mental de l'hypnotisé suggcstiblc, c'est l'état m
ressemble le plus à l'état mental de l'hypnotisé suggcstiblc, c'est l'
état
mental de l'halluciné morbide, et qu'en conséquen
on, comparer l'hvpnosc a une psvcbose, différant seulement des autres
états
de même espèce par la cause occasionnelle qui lut
nclure que les second* sont devenus hystériques ou l'étaient déjà a l'
état
latent. Cette conclusion est forcée, assurément,
e une déduction beaucoup plus simple et surtout plus logique, te même
état
mental che\ les uns et che^ les autres a suffi à
l'hypnose, ce qui par conséquent la caractérise nett.-ment, c'est un
état
mental particulier qui, sous le rapport psvcholog
eul, donne la clef de tous les phénomènes et domine la situation. Cet
état
mental particulier, c'est la suggestibilité, c'es
urs; je me suis borné à les constater de nouveau et à les classer par
états
en indiquant d'autres traits spécifiques; c'est c
nification absolue du mot extase (de statu dejicio, renversement de l'
état
ordinaire) semble légitimer cette manière de voir
ondre. Le bruit l'incommode et il désire le plus profond silence. Cet
état
est souvent suivi immédiatement de la crise compl
êve ce qu'il peut avoir entendu pendant le temps qu'il était dans cet
état
. Le bruit le réveille et l'incommode. $• degré.
que provoque un sommeil doux et léger; le magnétisé se trouve dans un
état
de bien-être qu'il ressent encore quelqu.- temps
quelqu.- temps après le réveil, 7* degré. Le magnétisé est dans un
état
apparent de sommeil ; ses paupières et tout son c
les suivants : Le magnétisé ne peut ouvrir les yeux ; ¡1 est dans an
état
apparent de sommeil; il est entièrement isolé et,
Le magnétisé roif. de plus, de* choses éloignées et étrangères à son
état
. Il prévoit des événements qui n'ont aucun rappor
a demi-crise. La sensation de bien-être si caractéristique de notre
état
de rapport semble cependant signalée dans le sixi
nc particularité que j'ai remarquée dans mon petit traitement, est un
état
de plaisir extrême que ressentent certains hommes
plaisir extrême que ressentent certains hommes, c'est une extase, un
état
extatique de plaisir qui surpasse tout autre conn
vu dans cet ciat-la. Je ne sais. Monsieur, si vous en avez vu dans l'
état
que je vous décris : // ne m'a jamais fallu p
il n'y remarque ordinairement que les parties qui ne sont pas dans l'
état
naturel et qui troublent l'harmonie. » c Sî une
rapportait et je voulus éprouver 1s somnsmbule sur une malade dont l'
état
me fût connu d'avance. Je la mis en conséquence e
e : ce fut M. Marc. Mlle Céline fut priée d'examiner avec attention l'
état
de la santé de notre collègue ; elle appliqua la
riences faites par ce dernier comité, que le sujet n'est pas dans son
état
normal, mais se trouve plongé dans le svmm meil m
hyperesthésie du sens du toucher que j'ai signalée pour Benoit dans l'
état
de lucidité, mais j'ai été, pour ainsi dire, témo
précède, on doit conclure que certains sujets peuvent, dans certains
états
de l'hypnose, éprouver les symptômes de la maladi
. Par conséquent, cette Symptomatologie serait plutôt artribuable à l'
état
de maladie provoquée du sujet en expérience, qu'à
u'on avait dû envoyer à l'hôpital de Rochefort. On prétendait qu'en
état
de somnambulisme, ce jeune homme répondait avec j
uction. Voici un autre fait plus fort que les précédents : étant en
état
de somnambulisme, le soldat révélateur déclara qu
grande facilité, mais aussi de réaliser chez lui des suggestions à l'
état
de veille. Après l'avoir mis dans l'état de som
ez lui des suggestions à l'état de veille. Après l'avoir mis dans l'
état
de somnambulisme, il ne restait plus cju'à vérifi
s dans l'état de somnambulisme, il ne restait plus cju'à vérifier son
état
de lucidité. Diverses expériences nous ont permis
auteur émet l'avis que la svmptomatologie est plutôt attribuable à l'
état
de maladie provoquée du sujet en expérience qu"à
respiration profonde, pénible et deux fois plus fréquente qu'à l*
état
normal : palpitations, pouls accéléré ; températu
'une même excitation d'un nerf donne des résultats opposés, suivant l'
état
où cette excitation surprend le centre. Le savant
de ces actes instinctifs, c'est leur prédominance qui constitue l'
état
magnétique ou hypnotique. A cette manière de vo
able. Mais il est non moins certain qu'on peut jeter quelqu'un dans l'
état
hypnotique, absolument sans son intervention, san
sme de la production du somnambulisme ? Nous savons qu'en dehors de l'
état
d'hypnotisation, le système nerveux est susceptib
sations viscérales: ces sensations agissent sur certains individus en
état
de sommeil, de façon à meure leur système nerveux
ux et mettant en jeu son activité, donnent naissance aux rêves dans l'
état
ordinaire, et aux phénomènes du somnambulisme nat
st pas autre chose qu'un acte réflexe dons lequel très probablement l'
état
vaso-moteur du cerveau, c'est-à-dire son état vas
uel très probablement l'état vaso-moteur du cerveau, c'est-à-dire son
état
vasculairc, est modifié de façon à le rendre anal
dans le sommeil spontané. .Mais pendant que l'individu est ainsi en
état
de somnolence, de sommeil, que son intelligence e
st l'hypnotisme convulsif, pouvant présenter toutes les variétés de l'
état
convulsif ; ainsi, il peut être tonique, catalept
le somnambulisme, c'est commettre une grave erreur; le sommeil est un
état
passif, un état d'inertie; le somnambulisme est,
, c'est commettre une grave erreur; le sommeil est un état passif, un
état
d'inertie; le somnambulisme est, au contraire, un
tat passif, un état d'inertie; le somnambulisme est, au contraire, un
état
éminemment actif, pendant lequel le sujet sent bi
questions qu'on lui pose, et il peut vivre pendant longtemps dans cet
état
. On a vu des individus agir avec suite dans cet
temps dans cet état. On a vu des individus agir avec suite dans cet
état
, se rappelant parfaitement ce qu'ils faisaient, d
état, se rappelant parfaitement ce qu'ils faisaient, de façon que cet
état
chez eux ne différait presque pas de leur état no
ient, de façon que cet état chez eux ne différait presque pas de leur
état
normal; et cela peut se prolonger pendant des sem
étouffant en quelque sorte tout le reste; et les actes posés dans cet
état
échappaient à la conscience, a la mémoire et auss
Il y a la forme suggestive, lasuggesùqn, non pas la suggestion dans l'
état
somnambulique, où l'individu qui est en cet état
la suggestion dans l'état somnambulique, où l'individu qui est en cet
état
devient en quelque sorte la chose de celui qui l'
tisme, cela nous suffit. Nous savons aussi que l'on produit les trois
états
de léthargie, de catalepsie et de somnambulisme a
at, une sorte d'élancement. Ces élancements ne se produisent qu'a l'
état
de veille, jamais pendant le sommeil, ei ne r
C'est alors que le malade vit le Df Tillaux qui, en piésence de son
état
nerveux, l'adressa au Dr Mesnet. L'n examen min
par suggestion. Un engourdissement notable est déterminé. — Quoique l'
état
d'hypnotisme obtenu soit peu profond, on lui sugg
Les 11 et 18 mars, on renouvelle les mêmes suggestions, dans le même
état
. Le 18, le malade accuse du mieux. Les élancement
rvice de l'Hôtel-Dieu. On constate sur lui les divers phénomènes de l'
état
d'hypnotisme. Depuis lors, nous avons souvent r
des qu'il les faut traiter. Quant aux nerveux proprement dits, leur
état
purement et simplement extra-physiologique se rec
r des images visuelles ou auditives anciennement perçues par lui. a l'
état
de veille, il possède au plus haut degré l'hyperm
nous cherchons a rappeler. Nous possédons une série de souvenirs a l'
état
latent que nous n'avons pas eu l'occasion d'évoqu
gaces réapparaissent. Comme le fait justement observer M. Ballet, l'
état
de ce malade trouve son analogue dans un et a: qu
ngés dans un des degrés de l'hypnotisme, tandis que cet homme es: u l'
état
de veille. A ce sujet, M. Ballet a rappelé un fai
it qu'a eux. Un jour, pendant qu'on montrait une femme plongée dans l'
état
de somnambulisme a une réunion de médeoins, l'un
de médeoins, l'un d'eux dit qu il serait curieux de savoir si. en cet
état
, il serait possible de faire deviner j la femme e
. ordinaire, elle n'avait pas gardé son souvenir, et il avait fallu l'
état
spécial-pathologique du somnambulisme pour ravive
r.c lucidité spé-: cïole, tandis quil s'agissait tout simplement d'un
état
dnypermric'sie qui sel manifeste dans un certain
t d'un état dnypermric'sie qui sel manifeste dans un certain nombre d'
états
nerveux et, en particulier, dans le somnambulisme
l'extraction qui lui était faite, il fallait qu'il fût plongé dans un
état
de sommeil exceptionnel. L'hypnotisme pourrait se
Med. Obosr., t. XXX. p. 433. Moskwa. 1888. de lagrave : Hypnotisme,
états
intermédiaires entre le sommeil et la veille. Par
générale de Droit, mai- juin 1888.) lombroso: L'hypnotisme et les
états
voisins. (Archiv, di psichiatria, 1888.) Luys : D
tion d'hrstérie avec aptitude à l'hypnotisme et aux suggestions à l'
état
de veille- (Arch. de médecine militaire, juin 188
ite d'attirer sérieusement notre attention, à nous, médecins, c'est l'
état
morbide qui lui est particulier et encore peu étu
ais il est facile d'en provoquer et môme de les faire durer pendant l'
état
de veille. Une paralysie dn bras et de la jambe g
à plus complète et rhvperexcitabilité musculaire exagérée. C'était un
état
de léthargie que je venais de créer à mon insu. C
e le somnambulisme comme la oata- I lepsîc et la léthargie sont des
états
particuliers du système nerveux qui peuvent se dé
directement et spontanément, par une cause subite, dans un des trois
états
, l'idée n'a été pour rien: c'est la rupture de l'
re nerveux dans un certain sens qui les a placés dans l'un ou l'autre
état
, la léthargie étant un eut d'engourdissement céré
ns être fatigué, comme s'il venait de se promener dans la cour. A l'
état
de somnambulisme, F... a la mémoire complète: il
out ce qui s'est passé dans les périodes analogues, mais encore à son
état
normal: c'est ainsi qu'il a pu fournir des rensei
i qu'il a pu fournir des renseignements qu'il ignorait absolument à 1
état
dé] veille. A ce point de vue. il n'a pas été p
t, que l'on tienne compte de cette loi physiologique, et l'on sera en
état
de peser ce que vaut l'intrusion du surnaturel da
e céphalo-rachidien n'ont pas pour effet bientôt, soit d'engendrer un
état
congestif des méninges avec son lugubre cortège d
l'irritabilité maladive qu'entraîne, comme conséquence, un semblable
état
nerveux, que Ton veuille bien ne pas perdre de vu
nstatation, le professeur Kwald ne pourra se refuser à accepter que l'
état
névropathique de la population de la Lorraine se
ée avec tant de satisfaction par M. Nussbaum, tombe d'elle-même. Ni l'
état
nerveux spécial, ni la différence du sexe ne sont
surpasse même en quelque, points, au moins dans l'exposé complet de l'
état
actuel de 1 hypnotisme en Belgique, en Hollande,
éfia la population de Paimbœuf par ses expériences • d'hypnotisme ù l'
état
de veille (?) «. dans lesquelles il semblait obte
Je suis convaincu que le viol pourrait être commis sur elle dans cet
état
, sans qu'elle oppose la moindre résistance. Cel
l'esprit, effaçait, a pu être reconstitué. Rien ne se passe dans l'
état
hypnotique qui ne puisse se pro-: duire à l'état
n ne se passe dans l'état hypnotique qui ne puisse se pro-: duire à l'
état
de veille ! Ne sommes-nous pas sujets, dans une c
vue médico-légal. Certaines femmes, j'en ai ;u conviction,! dans cet
état
d'hallucination négative, se laisseraient violer
personnes, et ce qui l'a le plus impressionnée, c'est de les voir en
état
de catalepsie. Aussi n'osa-r>ellc pas se faire
et elle est même tombée une fois a la renverse. 0:i la tirait de cet
état
en lui soufflant sur les yeux. Elle est retournée
tiseur a cru qu'elle dormait, et même, comme elle ne sortait pas de l'
état
où l'avaient plongée les tentatives d'hypno-
lle dormait. On lui appuyait sur la tetc et elle tombait dans le même
état
que chez le magnétiseur: on lui faisait des sugge
sait seulement qu'elle était très impressionnée. Elle ne sort de cet
état
que pour tomber dans des sortes de crises, que pr
ères restent fermées et sont agitées d'un clignotement continuel. Cet
état
de raideur dure environ une à deux minute*, pour
lade reste toujours, cependant, immobile et les yeux termes. Dans cet
état
, on peut, en insistant, obtenir d'elle quelques r
ssi a plusijurs reprises et voyant que la malade était suggcstibleà l'
état
de veille, je lui 6s plusieurs suggestions, lui d
de défaillance, mais sans raideurs. L'amélioration survenue dans l'
état
mental se maintint, mais au bout de ces huit jour
uggestion, un caractère spécial, leur donnant l'apparence de certains
états
hypnotiques. Nous croyons, d'ailleurs, avoir suff
t d'autant plus possible que la malade est très suggesiible. même à l'
état
de veille ; d'un autre côté, si l'emploi de la su
l'état de veille ; d'un autre côté, si l'emploi de la suggestion à l'
état
de veille peut avoir ici quelque action curative,
vait plus digérer ses aliments sans les assaisonner de fi% naigre. Un
état
d'à languisse ment ne tarda pas à se manifester a
desquelles In malade aurait atrocement souffert, si elle eût été à l'
état
de veille. Avec l'hypnotisme, plus de surveillanc
montre une fois de plus que l'hystérie peut exister chez l'homme à l'
état
virtuel et ne se manifester que par des stigmates
ts, après quelques mois d'expériences consécutives, tombaient dans un
état
de cachexie profonde. Je suis donc d'avis qu'il e
parfois a cette malade de s'endormir subitement et de rester dans cet
état
pendant plusieurs heures et même plusieurs jours,
stituer la théorie. Il est bien vrai que l'idée que l'on se fait de l'
état
hypnotique doit avoir une certaine influence sur
notiques puisse être considérée comme définitive; mais, même dans cet
état
provisoire de la science et quelle que soit l'exp
survenant dans !e cours du* sommeil ordinaire. Si, par le fait de cet
état
anormal, de ce trouble nerveux passager, des acci
persistante, d'une somnolence invincible. Il. se déclara chez lui un
état
d'affaiblissement et de torpeur intellectuels qui
eprésentations théâtrales peuvent développer immédiatement différents
états
morbides, dont quelques-uns du moins ont un carac
se soucier des conséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'
état
mental des sujets. Quelques-uns faisaient preuve
le nombre des individus facilement hypnotisables, et je considère cet
état
comme une véritable infirmité, comme une complica
tudes, à leur expérience, réussiront mieux que d'au-, à .cvcloppiri l'
état
hypnotique. On pourra donc les utiliser, et l'on
que l'écriture dans l'hypnose se distingue aisément de l'écriture à l'
état
de veille. Le saccadé, si caractéristique, des mo
uguré son service par une conférence publique sur l'hypnotisme et les
états
analogues. C'était la première fois que l'hypnoti
initiative prise par M. le professeur Preyer. m. d. Vols dans l'
état
de somnambulisme. Nous trouvons dans un journal
a à son dégradant métier sur l'injonction qui lui en fut faite dans l'
état
de sommeil artificiel. En même temps j'apportais
le d'un jeune idiot dont j'avais, par le même procédé et dans le même
état
, excité le peu d'intelligence qu'il possédait pui
léger que de sommeil profond, n'ont amené aucune amélioration dans l'
état
de cette per- ; sonne, sans doute parce que les s
apprendre. — Malgré de nombreuses séances de suggestion, pendant les
états
de sommeils léger et profond, je ne suis arrivé à
fruits: mais dès qu il a cessé d'être hypnotisé, il est revenu à son
état
intellectuel ordinaire. 13. — 8 décembre. — P..
telligence de cette jeune fille est médiocre. — 7 suggestions dans, l'
état
de somnolence ont abouti à un résultat nul. 19.
. Il n'y a pas une action d'Elise B... qu'elle n'eût pu accomplir ù l'
état
de veille. Tout ce qu'elle fait ou se laisse fair
nicnl "•Pressant Jc M. lier^ion, sur La Simulation inconsciente dans "
état
dTtypnotisme, fcptrtage absolument l'aride M. B«r
tion qui remplira le cône de vide. C'est ainsi que nous-mêmes, dans l'
état
de veille, savons voir, à travers la cloison qui
pour autre chose qu'une faculté merveilleuse de notre être. C'est un
état
particulier du système nerveux, susceptible, comm
t un état particulier du système nerveux, susceptible, comme tous les
états
psychiques, d'une minutieuse et rigoureuse analys
e rappeler des noms, des figures, mille incidents de sa vie dont, à l'
état
de veille, elle ne garde nul souvenir? N'est-il p
parut cette description si précise, si nettement objective des trois
états
hypnotiques, la léthargie, la catalepsie et le so
e* attitudes varices qu'on leur imprime; enfin, le somnambulisme. Cet
état
s'obtient, on le sait, en exerçant un léger frôle
ègue, M. le professeur Charcot, eut tracé la description de ces trots
états
, on put dire que l'hypnotisme avait conquis son d
es doutes au récit des particularités qu'on observe dans le troisième
état
ou état de somnambulisme. Les manifestations de c
s au récit des particularités qu'on observe dans le troisième état ou
état
de somnambulisme. Les manifestations de cet état
le troisième état ou état de somnambulisme. Les manifestations de cet
état
sont celles, en erTci, qui ont longtemps défrayé
l. Mlle X... est endormie ci, tandis qu'elle est au plus profond de l'
état
hypnotique, on lui suggère l'ordre d'aller, deux
souvenir de l'ordre suggéré. Mais cet ordre est dans son cerveau â l'
état
de souvenir latent, et, à l'heure dite, poussée p
prudent pour eux d'opérer directement et sans intermédiaire. Mais l'
état
hypnotique n'est pas la condition obligée de la s
l'ai dit, la condition indispensable. D'ailleurs, la suggestion à l'
état
de veille ne jouc-t-e)Ie pas un rôle considérable
ée du mardi 5 avril 1887, 1j malade nous est apportée à l'hôpital, en
état
complet d'ivresse et en pleine attaque d'hystérie
ystériques de la grande espèce, et qu'il n'y a rien de grave dans son
état
. Cette femme, en effet, a des attaques d: somme
e une paraplégie dont elle ne guérira évidemment pas. On a appelé l'
état
dans lequel est cette femme crise de sommeil : le
e ce que nous appelons une salutation incomplète. Eh bien ! c'est cet
état
de tension et d'agitation si différent de ce que
assique. Mais, nous dira-t-on, pourquoi ne s'agirait-îl pas la de l'
état
de mal cpileptique où l'on vibre aussi, où l'on n
se ; les symptômes que je viens d'indiquer manquent absolument dans l'
état
de mal. l.'état de mal est un état très grave, qu
ndiquer manquent absolument dans l'état de mal. l.'état de mal est un
état
très grave, qui souvent se termine par la mort; i
es.trahissant par la l'intime union, ou mieux l'intime parenté de ces
états
connexes, l'hystérie, les attaques de sommeil et
ien un peu d'amaigrissement dû ù l'autophagic, mais sans gravité. L'
état
de sommeil hystérique ne peut être confondu en au
sir lm nomenclature, déjà si chargée, des phénomènes hystériques. L'
état
de raideur de notre malade rappelle aussi l'attaq
uels la névrose fût peut-être toujours restée en germe, passaient à l'
état
d'hystériques eomulsifs ou hallucinés, incapables
français ou éirangers, dans notre publication sur rHyp-noiisme et les
états
analogues au point de tue médico-légal. Parfois
ofession, mais autrefois magnétiseur, n'avait pas hésité à violer, en
état
d'hypnotisme, une malheureuse jeune fille qui éta
ve le malade et, le i" novembre 1886. le revoit toujours dans le même
état
. Il est typique avec son bas de corps inerte, son
aisés; la force reviendra dans vos membres inférieurs, qui seront en
état
de vous supporter; la sensibilité va renaître aux
tous les degrés d'un étage, pour aller se promener dans la cour. L'
état
des réflexes rotuliens ne s'est pas néanmoins mod
nulle à droite et très affaiblie à gauche, atteint rapidement 1/10. L'
état
général, au moral et au physique, s'améliore de j
pas de suivre à partir de la fin de février 1887, reste dans le même
état
jusqu'à la lin de mai, conservant tout le bénéfic
aigri. Très fatigué depuis deux semaines, il a dû s'aliter... Son
état
>'aggrave rapidement pendant le peu de temps q
lendemain, et l'examen microscopique soigneusement fait a confirmé l'
état
de sclérose en Îlots dissémines dans presque tout
fût de l'appareil nerveux optique, ni plaques de sclérose, ni même un
état
d'atrophie partielle do nerf qui avait été réputé
ines malades, ¦boique aucun symptôme n'ait, pendant la vie, trahi cet
état
. En résume, les principales paralysies notées p
méronnuc ouvertement. L'aigreur déborde. %tt hostilités s'ouvrent, L'
état
de guerre devient permanent. S'agit-il par occurr
et les immenses services qu'on attend d'eux. La morosité chagrine, l'
état
d'irritation sourde, l'aigreur qui parfois percen
n'est dans les écoles de la Faculté de théologie. Ils sont rivaux par
état
de la puissance séculière, et la morale de ces ri
pathiques.au cou. dorment comme si la circulation cérébrale était à l'
état
normal, c'est-à-dire lorsqu'elle peut cesser par
rébrale par contraction vasculairc. mais encore peut exister malgré l'
état
inverse, c'est-à-dire une hyperhémie même notable
irritation quelque part et peut-être en plusieurs points, pendant cet
état
périodique de cessation de l'activité intellectue
cette conclusion, que Ha* mental dt ce» malade» peut dire compare à 1
état
mental de 1 h? pno us*. M. le Dr Lober avait su
es successives de sa maladie hypnotique, rapprochées de l'examen de l'
état
actuel comme terme de comparaison. Dès 188;. el
ait été •acile. pendant toute la durée du travail, de la maintenir en
état
somnambuiique continu, et. par ce moyen, de lui f
yperesthésic neuro-musculaire étaient très manifestes sur les bras en
état
cataleptique. — la plus légère pression, le moind
es d'impression médullaire, qui ne se manifestent chez eUe que dans l'
état
cataleptique. L'exercice des organes des sens,
sur les questions qu'on lui adresse, la rapprochent à tel point de l'
état
normal, qu'on pourrait mettre en doute la réalité
statation des faits physiques persistants et patho-gnomoniques de son
état
mental, de même qu'à la perte complète de la mémo
venir au réveil, et de le lui représenter pour la troisième fois, à l'
état
de veille, comme un objet nouveau qu'elle n'avait
la scission qui s'opère dans l'exercice de la mémoire, d'une part à l'
état
de veille, d'autre part à l'état de sommeil hypno
ercice de la mémoire, d'une part à l'état de veille, d'autre part à l'
état
de sommeil hypnotique, soit aujourd'hui vérité dé
ant de rechercher si le temps écoulé avait modifié en quelque chose l'
état
de ma malade et de constater, de visu, si je la r
de distance. A ce moment. Alix était immobile, silencieuse, dans l'
état
de calme et de quiétude que donne le somnambulism
vir que très incomplètement de sa main gauche, qui est à ce moment en
état
de parésie et presque sans mouvemenl. R. — Ce s
ublié. — elle n'a rien vu, ne sait rien. Je lui présente alors, à l'
état
de veille, ces mêmes étrennes qu'elle ne connaît
le souvenir au réveil, et le lui présenter pour !a troisième fois à l'
état
de veille, comme un objet nouveau, qu'elle n'avai
pêcher de choir de sa chaise; die était, du somnambulisme, passée à l'
état
léthargique. Revenue quelques minutes après au
avec le monde extérieur, réalise son maximum de développement dans l'
état
de fascination. Le malade fasciné, devenu instrum
rvation, qui n'a jamais été publiée, les quelques pages relatives à l'
état
spécial des organes des sens, et je vous les prés
crie fort, qu'on la secoue violemment, rien n'y fait, elle reste à l'
état
de corps inerte. — Entendez-vous ces messieurs
d et qui peut être considéré comme constant chez les fascinés, dont l'
état
représente le summum de puissance de la concentra
degré d'obtusion de ces mêmes facultés quand la malade, toujours à l'
état
d'hypnotisme, abandonnée à elle-même, restait sur
étermine dans l'ensemble des facultés mentales, chez ces malades, à l'
état
de somnambulisme complet, ou de fascination, tels
e choc de l'acte hvpnotique. Vous l'avez devant vous immobile dans un
état
d'abandon personnel qui le laisse sous la dépenda
itée. Il en est de même, quoique à un moindre degré, chez i'homme à l'
état
de veille. Je considère les hallucinations produi
de rappeler quelques faits bien connus. Les perceptions dans certains
états
mentaux, dus à une surexcitation des centres perc
4. pour la réussite des expériences dont il va être question. Ces
états
d'esprit sont provoqués par l'opérateur. Ce derni
s auditeurs à admettre tout ce qu'ils leur racontent et. dans cet
état
de crédivité. à sentir tout ce qu'ils leur suggèr
s méthodiques. Continuons donc l'expérience. Toutes choses étant en
état
, je prie mon sujet émerveillé, et encore quelque
oint, je ne parle ici que d'expériences tentées sur des personnes à f
état
de veille et que je n'avais, personnellement, jam
lucidité d'esprit. Chaque lois qu'il m'est arrivé de tomber dans l'
état
que je viens de décrire, j'ai pu ouvrir les yeux
ataleptique, envoyer chercher le médecin, car je ne me sentais pas en
état
de lui faire sentir son erreur. De là, en parti
omie du système nerveux de Thomme, par Zernoff. i8S5. Rapport sur l'
état
des asiles d'aliénés de VEmpire russe, par Archan
in-8a, 92 pages, 1888. Gilles de la Tourette. — L'Hypnotisme et les
états
analogues, au point de vue médico-légal, 2« éditi
ME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DES HALLUCINATIONS SUGGÉRÉES A L'
ÉTAT
DE VEILLE Par Chili YUNG Résultats. — Voici l
llucination par suggestion ne me parait pas être le résultat d'un
état
pathologique (1), je la considère comme un fait n
'ailleurs, ai l'hallucination provoquée est en correspondance avec un
état
mental particulier, il faut convenir que nous pou
mental particulier, il faut convenir que nous pouvons considérer cet
état
comme normal, puisqu'il se rencontre cher la gran
xiste un langage écrit, parlé, mimé et d attouchement, qui réagit à l'
état
de veille sur notre âme et modifie son état consc
ouchement, qui réagit à l'état de veille sur notre âme et modifie son
état
conscient et inconscient). (i) Nous conserveron
ble conscient et inconscient, soient, au moins momentanément, dans un
état
d'activité moins concentrée que ceux de A, dans u
ment, dans un état d'activité moins concentrée que ceux de A, dans un
état
plus ou moins dissocié relativement à eux. Dès qu
suivant la manière dont on les suggère. L'amnésie, la suggestion à l'
état
de veille, le sommeil hypnotique, ne sont que des
érer à mes hypnotisés que mes suggestions produiraient leur effet à l'
état
de veille comme pendant le sommeil, tous mes hypn
pendant le sommeil, tous mes hypnotisés sont devenus suggestibles à l'
état
de veille. L'action de souffler sur le visage n
général, avec un peu de patience et d adresse. Ce sont en général des
états
affectifs, des émotions, la perte de la confiance
if et du côté objectif un des faits intellectuels que nous appelons «
états
de conscience » (une pensée abstraite, une percep
er l'éclairage objectif et sommaire que nous appelons conscience. Les
états
de conscience successifs sont donc simplement le
de conscience successifs sont donc simplement le miroir subjectil des
états
successifs de notre attention, c'est-à-dire des c
endantes, mais soit leur intensité, soit leur qualité diffère. Dans l'
état
de sommeil, dans le rêve, les représentations ont
entations ont la qualité subjective (consciente) des perceptions de l'
état
de veille, c'est-à-dire celle d'hallucinations, p
irritation sensorielle périphérique correspondante. La perception à l'
état
de veille n'en est pas moins, comme on le sait, u
ons d'abord ce qui se passe lors d'une de ces suggestions simples à l'
état
de veille que tout le monde a éprouvées; je prei:
e). Il y a là deux faits : une dissociation dans l'enchaînement des
états
de conscience et un phénomène de dynamogénie céré
dépendra aussi du degré de sommeil ou de veille. On sait que tous les
états
intermédiaires se produisent et que la veille som
r hypnotiser par le docteur Von Speyr et par moi. Il rend compte de l'
état
éprouvé par lui d'une façon qui confirme entièrem
compli conformément àia suggestion. La malade, très satisfaite de son
état
, a quitté la ville. REVUE DE LA PRESSE fLes p
le récipient arec les mains. Il est intéressant de constater qu'un
état
morbide ancien et réputé incurable a été rapideme
traitées le plus {rapidement possible. En même temps qu'on agît sur l'
état
général par les reconstituants, il faut aussi agi
sir, il est nécessaire de commencer ce traitement de bonne heure. L'
état
mental des mourants M. Féré a dernièrement comm
nièrement communiqué à la Société de biologie une note curieuse sur l'
état
mental des mourants. Il n'est personne qui n'ait
es Hypnotismus. 2e éd.. Stuttgart, 1889. In-8. 9s p. luys : Sur l'
état
de fascination déterminé chez l'homme a l'aide de
e petit hypnotisme c'est l'hypnotisme de Nancy), comprend une série d'
états
encore mal définis et mal classés : on pourrait m
es à ce paragraphe : « Nous n'irons pas plus loin dans l'étude de ces
états
si mal définis et si mal classés, vu l'absence de
note intitulée : a Essai d'une distinction noso-graphique des divers
états
nerveux compris sous le nom d'hypnotisme », M. Ch
servent chez les sujets hypnotisés ne répondent pas à un seul et même
état
nerveux. En réalité, l'hypnotisme représente clin
sme représente cliniquement un groupe naturel, comprenant une série d'
états
nerveux différents les uns des autres, chacun d'e
acher à bien définir, d'après leurs caractères génériques, ces divers
états
nerveux avant d'entrer dans l'étude approfondie d
le du moins. Une analyse littérale semblerait indiquer que les divers
états
nerveux dont il s'agit ne font pas partie d'une m
ne font pas partie d'une même unité morbide ; qu'ils constituent des
états
morbides noso-graphiquement différents. Il n'en e
variétés de l'hypnose sont des formes morbides distinctes et non des
états
noso-graphiquement différents ; au fond, il n'y a
e l'hystérie et l'épilepsie, pour prendre un exemple opposé, sont des
états
morbides bien distincts. Les divers modes de l'hy
tiques. On doit donc interprêter les termes de Charcot dans le sens d'
états
nerveux svmptomatologiquement différents. Le gr
différents. Le grand hypnotisme peut se traduire par l'un des trois
états
suivants: la catalepsie, la léthargie, le somnamb
ts suivants: la catalepsie, la léthargie, le somnambulisme. Ces trois
états
, qui peuvent se succéder dans le cours d'une même
ens procédés du braidisme. On peut aussi faire passer un sujet de l'
état
de léthargie à l'état de catalepsie, en lui ouvra
sme. On peut aussi faire passer un sujet de l'état de léthargie à l'
état
de catalepsie, en lui ouvrant les yeux devant un
— Ceci prouve bien, comme je le disais plus haut, que ces divers
états
nerveux ne sont pas des maladies distinctes et pe
r des termes de passage les uns par rapport aux autres. Un sujet en
état
de catalepsie est immobile, fasciné, les yeux ouv
oquer des hallucinations et déterminer des impulsions. C'est dans l'
état
de rigidité cataleptique que l'on peut maintenir
ans possibilité pour lui de s'en détacher, malgré ses cfForts. 2° L'
état
de léthargie est développé par la fixation d'un o
une certaine distance. — On peut aussi le déterminer chez un sujet en
état
de catalepsie par l'occlusion des paupières ou le
gé, ou bien il monte aux lèvres un peu d'écume. Les caractères de l'
état
léthargique sont les suivants : le sujet a l'air
in degré d'activité sensorielle. On a cru quelque temps que, dans cet
état
, toute suggestion était impossible ; mais cette o
lexes tendineux sont exagérés. Tels sont les signes principaux de l'
état
de léthargie : mais le phénomène capital, essenti
cien magnétisme. On l'obtient aussi en exerçant, chez un sujet en
état
de catalepsie ou de léthargie, une friction légèr
appréciation d'un élément suggestif. C'est là, en effet, le véritable
état
de suggestibilité, le vrai sommeil magnétique ; o
ins. Nous venons de voir, en passant rapidement en revue les divers
états
hypnotiques, qu'il est possible de faire passer s
ed absolu des théories de la Salpêtrière: on n'est plus en présence d'
états
nerveux distincts, mais bien d'un même état nerve
n'est plus en présence d'états nerveux distincts, mais bien d'un même
état
nerveux offrant des degrés variables. La léthargi
ables. La léthargie, la catalepsie. le somnambulisme ne sont plus des
états
nettement séparés et différenciés, ce ne sont plu
térise l'hypnotisme de Nancy, ce n est plus la production de certains
états
nerveux symptomatologique-ment différents; c'est,
états nerveux symptomatologique-ment différents; c'est, d'un mot, un
état
de suçgestibilité à des degrés divers. Les troubl
ises, par des suggestions réitérées, soit pendant l'hypnose, soit à l'
état
de veille, d'obtenir un sommeil sans contractures
i8Si, elle lut atteinte de suette miliaire, affection qui régnait à l'
état
d'épidémie dans sa localité. Sa convalescence fut
elle se calma, devint très concentrée, parlant peu, et tomba dans un
état
voisin de l'idiotisme. Après quatre mois de séjou
s époques. Apres un mois et demi de traitement par 1a suggestion, l'
état
s'était amélioré. L'appétit était revenu; le somm
evint paralytique, et son émaciation devint extrême. C'est dans cet
état
qu'elle entra à la Pitié dans le service de M. le
d, car elle en gardait une petite quantité après chaque gavage. Son
état
s'aggravait tous les jours et l'on pouvait se dem
ans le cas présent nous n'avons pu nous en défendre. C'est dans cet
état
misérable que je la vis pour la première fois le
veillée, il lui était impossible d'avaler une gorgée d'eau ; dsns cet
état
clic n'avait fait aucun progrès. J'eus l'idée d
ssivement pendant ses repas et de la faire manger chaque jour dans un
état
de plus en plus voisin de la veille. Ce traitem
se sondant toujours, mais mangeant bien, et, somme toute, dans un bon
état
. Jusqu'au mois de mai 1888, tout alla bien, mai
tte époque la dysphagic reparut, et la malade retomba bientôt dans un
état
aussi grave que celui qui avait nécessité son ent
un de ses repas, je pris le parti de la laisser indéfiniment dans son
état
somnambulique. Je ne pus obtenir ce résultat que
Mais cette fois je n'étais pas arrivé à la guérir de la dvsphagie à l'
état
de veille, et, une fois réveillée, il lui était i
e du reste fort bien et ne songe pas à s'en plaindre, vu que dans cet
état
elle mange bien. Le seul inconvénient de ce mod
supplier elle-même de la rendormir, d'autant plus que, dans ce nouvel
état
, la dvsphagie avait reparu aussi violente qu'autr
ssions, oppose celles-ci aux émotions; les émotions, dit-il, sont des
états
normaux et réguliers qui résultent de l'exercice
insensés de ma femme et qu'ii me délivrât un certificat constatant l'
état
de son esprit, et au moyen duquel il *"C serait p
donc fort important de reconnaître qu'il v a un nombre considérable d'
états
mentaux constituant une région intermédiaire entr
s maladies mentales véritables, en d'autres termes qu'il y a, entre l'
état
sain et l'insanité, une sorte de terrain neutre,
idus anormalement déprimés. * portés à la mélancolie ou atteints d'un
état
habituel de surexcitation ! » Que de pessimistes,
dront pas fous, mais tous y tendent de plusieurs manières, soit que l'
état
normal de leur intelligence s'exagère jusqu'au dé
ofession, mais autrefois magnétiseur, n'avait pas hésité à abuser, en
état
d'hypnotisme, d'une malheureuse jeune 611e qui ét
es observations. Il est important pour le lecteur de connaître leur
état
après plusieurs années ; le résultat est encourag
mme il suit (page 266) l'opinion de son école : « L'hypnotisme est un
état
pathologique et non physiologique : c'est une man
. Les sujets hypnotisables sont toujours des nerveux, des névrosés en
état
ou en puissance, ils font partie de la famille né
ceux de la Salpêtrière. D'abord, on n'observe pas chez elle les trois
états
successifs qui caractérisent le grand hypnotisme
lus, les caractères de son sommeil ne sont pas ceux de l'un des trois
états
de la Salpêtrière pris isolément; ce n'est ni de
c. cit., p. 3iû. les caractères Jes phases intermédiaires, de ces
états
intermédiaires si bien étudiés par Dumontpallier
trent plus ou moins dans la catégorie de l'un ou de l'autre des trois
états
types (léthargie, catalepsie, somnambulisme) que
iaires, en qualifiant toutefois qu'ils relient les uns aux autres les
états
types, par suite du mélange des signes qu'ils peu
alpêtrière, et s'il n'offre le tableau bien net de l'un des trois
états
qui caractérisent ce dernier, il doit tout au moi
y a qu'une hystérie. Nous n'admettons pas, je vous l'ai déjà dit, des
états
foncièrement distincts dans l'hypnotisme; il faut
des états foncièrement distincts dans l'hypnotisme; il faut y voir un
état
nerveux unique, particulier, caractérisé par un g
ypnotisme ne correspond donc à l'atténuation d'aucun des trois grands
états
pris à part et isolément. Pour les mômes raisons,
re formé par l'association de divers signes empruntés à chacun de ces
états
. Le petit hypnotisme ne possède, en effet, les si
es autres. Serait-il légitime d'admettre que, pour l'atténuation d'un
état
dont la caractéristique est de présenter des cara
omatiques fixes, supérieurs à toute suggestion, on aboutit à un autre
état
dont la caractéristique est de ne pas présenter c
omènes somatiques et de tout subordonner à la suggestion : Non ; deux
états
à caractéristique opposée ne peuvent jamais être
e le grand n'est la réduction du petit. Donc, l'hypnotisme étant un
état
nerveux un. ce que l'on appelle le grand et le pe
d et le petit hypnotisme ne sont que des formes symplomàtiques de cet
état
nerveux, formes symptomatiques distinctes, qu'il
uver un fond commun aux deux hypnotismes. ce terrain d'entente sera l'
état
de suggestibilité. Or, l'état do suggestibilité,
ypnotismes. ce terrain d'entente sera l'état de suggestibilité. Or, l'
état
do suggestibilité, que l'on rencontre à titre sec
nombreux. Donc, la condition de l'hypnotisme thérapeutique, c'est l'
état
de suggestibilité ou petit hypnotisme. Celui-ci p
s résultats satisfaisants, même à son degré le plus atténué, même à l'
état
de veîlle et sans qu'il soit nécessaire ae cherch
à endormir le sujet : il suffit que le malade soit suggestible en cet
état
. Ce fait indéniable vous explique pourquoi les
onférences dans les propositions suivantes : 1» L'hypnotisme est un
état
nerveux un à manifestations variées; le'grand hyp
if ou un dérivé du grand hypnotisme pris comme prototype universel. L'
état
de suggestibilité qui caractérise l'hypnotisme de
lus on avance dans l'étude de l'hypnotisme, plus on reconnaît que les
états
décrits sous ce nom ne sont que les premiers degr
essent un soufHe frais lorsqu'elle s'approche de l'extrémité qui, à l'
état
naturel, est tournée vers le haut. Pour les aim
tentés lorsqu'on peut prévoir une décharge, et en particulier dans l'
état
de mal. Les rapports qui existent entre les par
de n'a pas été déchargé par un accès récent. Ce caractère, commun à l'
état
émotionnel et au paroxysme épileptiquc. justifie
e un infirmier: elle était de 1000 grammes, au lieu de 85o, comme à l'
état
normal. L'exploration ayant eu une action hyposth
vision est donc toujours monoculaire pendant cette circonstance. A l'
état
ordinaire, sa vision est binoculaire et parfaite.
lumière possible; on lui administra un régime tonique approprié à son
état
, et, six semaines après, il ne restait plus qu'un
Je distingue trois degrés d'hypnotisme. Le premier comprend tous les
états
qui précèJent l'occlusion complète des paupière
puisse y entrer, et que l'obtention d'un emploi confère des grâces d'
état
pour l'occuper dignement. Félix Hkmbnt. Lea c
nse à M. Delbœuf, par Bernheim, 225. Hallucinations suggerées a l'
état
de veille (des), par Yung, 271, 290. Homœopathi
ermnésie dans la veille (l') et le somnambulisme. 125. Hypnose (les
états
profonds de l'), par de Rochas. 41, 76. Hypnoti
ule séance de suggestion, 173. Morphinomanie (la), 156. Mourants (
état
mental des, 317. Myélite chronique diffuse, trait
tisme. par Mesnet et Roux, 112. Veille hallucinations suggérées à l'
état
de). 371, 290. Vision (troubles guéris par la s
uéris par la suggestion hypnotique), par Chiltoff. 309. Vols dans l'
état
de somnambulisme, 195. TABLE DES AUTEURS ET D
- CTT11 : IP VISUEL. A. Champs constamment RETRÉCIS. 1 DCtl2S les
états
délirants. x. Systématisa avec hallucinations de
tion 'qui accompagne toujours comme nous le verrons plus loin, les
états
dépressifs. ; . D'interprétation avec hallucina
ent pour les 2 yeux. Le 11. Nouvel abaissement du champ visuel avec
état
dé- pressif. Elévation le lendemain. Le 19. Aba
La figure 7 est rétrécie en haut, comme il arrive toujours dans les
états
dépressifs. 2 Dans les étais s' accompagnant de
Etats mé- lancoliques anxieux. . Pour n'importe quel malade tout
état
de dépression est annoncé par un rétrécissement
sement du champ visuel cons- tant en haut (1). Il est parallèle à l'
état
même du sujet, et cesse d'exister avec le troub
t, et cesse d'exister avec le trouble. On le trouve dans tous les
états
- mélancoliques ; mais il b'y rencontre rarement
906 (fig. 8 et 9). Ce tracé présente en haut le rétrécissement de l'
état
dépressif, ainsi qu'un léger rétrécissement en
idées), travaille. 2 nov. Continue à être bien, etc.. 3° Dans les
états
démentiels congénitaux, z. Imbécillité simple ;
ion des sujets était telle que nous n'avons pas cru devoir en tenir
état
, malgré l'in- sistance apportée et les précauti
OEIL CHEZ LES ALIENES. 17 B. Champs constamment élargis. - Dans les
états
s'accompagnant de troubles de l'activité généra
e à 60 et s'y maintient. C. Champs visuels A oscillations. Dans les
états
dits maniaques dépressifs d'après Iiroepelin (f
Elle est un peu déprimée. Le 15 novembre. Même champ vi- suel, même
état
, commence à travailler. 2° Etat maniaque interm
* 2. Dépression. 2S septembre 1900. Le champ n° 1 correspondant a l'
état
d'excitation, est sensiblement normal. On trouv
es observations complètes que nous pos- sédons actuellement sur ces
états
est trop restreint pour que nous puissions en t
e. On ne peut pas prendre le champ visuel du malade qui est dans un
état
d'agitation in- quiète ; le lendemain iL, novem
us a pas paru être fonction de la névrose elle-même, mais bien de l'
état
surajouté. Quant à la perception des couleurs,
ivisé l'é- tude du système oculaire en deux parties : d'un côté l'
état
des pupilles, de l'autre l'état du fond de l'oeil
laire en deux parties : d'un côté l'état des pupilles, de l'autre l'
état
du fond de l'oeil. La réfraction a fait l'objet
eux des aliénés, sans connaître ni le genre de leur maladie, ni l'
état
de leur champ visuel. Ainsi nous croyons-nous êtr
is plus ou moins étroit, que chez ceux dont la pupille se trouve en
état
de mydriase ou de dilatation moyenne. Nous avon
que dans la paralysie générale. Les pupilles sont très rarement en
état
de myosis, plus sou- vent en mydriase, générale
ment en état de myosis, plus sou- vent en mydriase, généralement en
état
de dilatation moyenne. Nous les avons très rare
avec démence et hallucinations r, qui représente assez exactement l'
état
que nous décrivons ici. Bouchut explique cet as
s n'avons constaté de myosis ; les pupilles étaient généralement en
état
de dilatation moyenne. Dans aucun cas nous n'av
il nous avec un caractère de fréquence très remarquable, c'est l'
état
de flexuosité des vaisseaux du fond de l'oeil (50
du trouble hallucinatoire ou de l'activité géné- rale. 4° Dans l'
état
hallucinatoire la variation du champ vi- suel e
t constant en haut) très fréquent en haut et en dehors. 5° Dans l'
état
de dépression la variation de l'étendue du cham
t constamment en haut quelquefois en haut et en dehors. 6° Dans l'
état
d'excitation, la variation du champ visuel se t
igne clinique ne laissait entrevoir une modification prochaine de l'
état
'mental, il nous a été facile de prévoir à l'ai
s de l'activité générale qui précèdent, accompagnent et suivent les
états
d'excita- tion et de dépression. La répétition
e, 1876. Briciie, RAVIAIiT et CAUDRON. Contribution il l'étude de l'
état
du fond de l'oeil dans la paralysie générale (Rés
raly- tiques généraux. Arch. neur., 1904.-K>;nnvnr, etRAviART. L'
état
du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
n médical Presse, 1887, N° 3. KORNFELD et BIKELES. Recherches sur l'
état
des pupilles chez les paralytiques généraux. Ja
ervenheilk. N. F. 1er oct. 1890. 1 PAILLAS. Dépression kératique et
états
encéphalopathiques graves. Arch. de neurol., 19
de Bombay, sans savoir comment il y était venu, avaiL évidemmenL,en
état
second, voulu gagner les Indes et vécu sur le p
s deviennent de plus en plus in- signifiantes et il en résulte « un
état
habituel de fugues morbides », autrement dit de
iques ou hystériques. L'alcool, en effet, développe fréquemment des
états
de conscience tout à fait sembla- bles à ceux d
agité, violent, parle avec abondance sur un ton déclamatoire. Cet
état
maniaque cède au bout de quelques jours. 11 prése
ial. On est forcé de conclure à une fugue accomplie en un véritable
état
second développé sous l'influence de l'alcool.
alcooliques en LES FUGUES DANS LES PSYCHOSES ET LES DÉMENCES. 45
état
d'ivresse et complètement oubliés dans l'état nor
S ET LES DÉMENCES. 45 état d'ivresse et complètement oubliés dans l'
état
nor- mal. On trouvera dans une communication de
des premières périodes de l'ivresse et celles qui sont exécutées en
état
second ap- pellent deux remarques intéressantes
ade peut passer successivement de l'agitation à l'abattement ou à l'
état
normal. Il part pour Bordeaux, par exemple. et
« fugues d'instabilité » du début de l'ivresse, et les fugues de l'
état
second alcoo- lique. Plutôt que sur les constat
songera, pour élablir le diagnostic différentiel des premières, aux
états
maniaques des circulaires, frustes ou non, aux
ce, janvier 1905.) Voici les déductions de l'auteur : 1° dans les
états
de dépression l'excrétion de l'indoxyl est en e
par l'auteur, la guérison mentale a été précédée par le retour à l'
état
normal du taux de l'indoxyl. Il n'est pas doute
mestibles. Ces sensations gus- tatives restent presque toujours à l'
état
de simple représentation mentale, quelquefois c
. Le véronal donne ici un sommeil semblable au sommeil naturel. l'
état
de langueur qui peut lui succéder est de la vraie
eurs : ceux qui tout en donnant le sommeil modifient sensiblement l'
état
des vaisseaux sanguins s'accompa- gnent de mala
ns tous partiel- lement- ignorante de sa propre vie dans les autres
états
. Avant t sa maladie de Pâques 1895 elle était s
apparence saine de corps et d'esprit. 3° Dans quelques-uns de ces
états
elle perdait complètement les notions acquises
es notions acquises et facilement mises en pratique dans les autres
états
(dessin, écriture, nomenclature). 4° Dans d'aut
s autres états (dessin, écriture, nomenclature). 4° Dans d'autres
états
son sens de la différenciation était con- sidér
du toucher dans ses rapports avec la copie de dessins ou de mots en
état
de cécité. 5° Dans ces différents états, quelqu
pie de dessins ou de mots en état de cécité. 5° Dans ces différents
états
, quelques-unes de ses facultés ou gaz REVUE DE
on estime que la faculté qu'elle a récemment acquise de dessiner en
état
de cécité, particulièrement avec l'aide du touc
e à droite. a 7° Ses dispositions, son caractère, présentaient d'un
état
à un autre des différences considérables. Dan
ient d'un état à un autre des différences considérables. Dans son
état
actuel, qui est anormal, elle est bienveillante e
excellents principes, et il en est de même dans un ou deux au- tres
états
. Au contraire, dans certains autres états, elle
ans un ou deux au- tres états. Au contraire, dans certains autres
états
, elle ressemble à une enfant très méchante et t
ile. 8° Son écriture est nettement modifiée dans quelques-uns des
états
par où elle passe, et l'on peut y distinguer troi
toutes les circonstances et sur toutes les périodes afférentes à un
état
donné. Quand elle est dans tel ou tel de ses ét
s afférentes à un état donné. Quand elle est dans tel ou tel de ses
états
, elle se souvient de tout ce qui s'est passé da
de ses états, elle se souvient de tout ce qui s'est passé dans cet
état
soit actuellement soit dans tous les états semb
qui s'est passé dans cet état soit actuellement soit dans tous les
états
semblables passés. Mais le vide de la mémoire e
. Mais le vide de la mémoire est absolu dès qu'il s'agit des autres
états
. Au bout de sept mois elle demande à finir le r
bout de sept mois elle demande à finir le repas qu'un changement d'
état
a interrompu. 10° Au point de vue sensoriel on
sie, il y avait de l'hypersthésie. A noter aussi que dans un de ses
états
elle était très sujette aux maux de dents et que
ses états elle était très sujette aux maux de dents et que dans l'
état
suivant elle n'avait ni souvenir ni conscience de
e de la douleur. 11° Sa santé générale variait selon les différents
états
: on l'a vue passer en quelques minutes d'un ét
n les différents états : on l'a vue passer en quelques minutes d'un
état
de collapsus en appa- rence inquiétant à un éta
lques minutes d'un état de collapsus en appa- rence inquiétant à un
état
de réelle vigueur et de surprenante ac- tivité.
commission pour désigner les diverses phases : elle a appelé A l'
état
normal et B, B2, B'1, etc. la série des états ano
es : elle a appelé A l'état normal et B, B2, B'1, etc. la série des
états
anormaux, tout en reconnaissant qu'il y a entre
re eux d'assez étroites relations : 130 Jamais, dans aucun de ses
états
, la malade n'a été mal- propre. 14 Bien qu'au
ses états, la malade n'a été mal- propre. 14 Bien qu'aucun de ces
états
ne puisse être considéré comme appartenant au «
lles elle ne s'est mordu la langue. 150 La durée maxima d'un même
état
a été de dix semaines; d'autres ont duré de qua
de deux à trois minutes : on l'a vue une fois changer trois fois d'
état
en cinq minutes. Elle passait d'un état anormal à
e fois changer trois fois d'état en cinq minutes. Elle passait d'un
état
anormal à l'état normal, puis de l'état normal
s fois d'état en cinq minutes. Elle passait d'un état anormal à l'
état
normal, puis de l'état normal à un autre état ano
minutes. Elle passait d'un état anormal à l'état normal, puis de l'
état
normal à un autre état anormal. L'apparition d'
d'un état anormal à l'état normal, puis de l'état normal à un autre
état
anormal. L'apparition d'une période intercalair
anormal. L'apparition d'une période intercalaire normale entre deux
états
anormaux a été notée plus d'une fois. 16° La
rmaux a été notée plus d'une fois. 16° La succession des différents
états
n'obéissait à aucune règle; cependant on les a
dans l'ordre de leur progression initiale. 17° Cette succession d'
états
différents dura environ trois ans, au bout desq
la malade se fixa dans l'un d'eux, où elle est demeurée, sans que l'
état
normal ait paru jamais reprendre sa place. En
r à l'histoire de la manière dont les maladies aiguës affectent l'
état
mental ; par LEwis BRUCE. (The Journal of Mental
u début primitivement intellec- tuel) ou même peuvent succéder à un
état
de délire ou de confu- sion mentale. 5° Sauf
tale. 5° Sauf cette exception, la folie confusionnelle aiguë et les
états
délirants aigus doivent être considérés étiolog
proposé par Mercier, de « délusions fixes » doit être appliquée aux
états
consécutifs à des formes aiguës de folie dans l
font quelques au- teurs, que la démence ne survient jamais dans cet
état
, et l'auteur considère comme discutable l'opini
octobre avait eu 282 attaques épi- leptiformes : elle était dans un
état
fort grave : des injections de morphine calmère
la pie-mère et l'arachnoïde sont plus adhérentes à l'écorce qu'à l'
état
normal, mais les érosions lors de leur enlève-
d'aspirations sexuelles, mais elles sont vagues et imprécises. Cet
état
d'indétermination sexuelle persiste le plus sou
par des idées se rapportant à cette sensation. L'explication de ces
états
mentaux se trouve dans la suggesti- bilité souv
On peut aussi admettre que les actes commis l'avaient été dans un
état
d'attente affective réalisant un véritable état
avaient été dans un état d'attente affective réalisant un véritable
état
d'hypnose, de monodéisme ou tout au moins d'exp
ÉS SAVANTES. une mauvaise initiation à la vie sexuelle, que dans un
état
de dégénérescence. 11 y a à ce sujet un exemp
M. Forel est divisé en trois parties : 1° âme cerveau et nerfs à l'
état
normal ; 2° pathologie nerveuse ; 3° hy- giène.
s rapports de nos acti- vités psychologiques intropectives avec les
états
d'irritation de notrecerveau. Il établit, à l'a
localisations, et les divers sens. Enfin, l'élude du cer- veau à l'
état
normal est complétée par quelques notions sur la
s noyaux libres du tissu ner- veux sont uniquement névrogtiques à l'
état
normal ; et, à l'état pathologique, quelques-un
su ner- veux sont uniquement névrogtiques à l'état normal ; et, à l'
état
pathologique, quelques-uns sont des lymphocytes
réïques », « nature du processus morbide de l'hys- térie », et «les
états
psychopathiques typiques », est tracée par l'au-
des d'exploration des contacts entre les neuromes aussi bien dans l'
état
phy- siologique que dans l'état pathologique. L
ntre les neuromes aussi bien dans l'état phy- siologique que dans l'
état
pathologique. La manière dont se pro- duisent l
ace à faire la lumière sur ce sujet. La 4''leçon est consacrée aux'
états
psychopathiques typique ? , c'est-à-dire aux sy
dire des maladies mentales ; l'auteur est d'avis que l'étude de ces
états
typiques, est non moins indispensable pour la p
pour la pathologie interne. La classification psychologique de ces
états
qui est don- née par l'auteur et qui diffère en
res. est comme suit : Au premier groupe, c'est-à-dire au groupe des
états
psychopathiques dépendant de l'affection primai
primaire de tout l'or- gane phychique in-toto, se rapportent : 1° l'
état
maniaque ; 2° l'état mélancolique ; 3° l'état a
gane phychique in-toto, se rapportent : 1° l'état maniaque ; 2° l'
état
mélancolique ; 3° l'état amentif, dans ses formes
se rapportent : 1° l'état maniaque ; 2° l'état mélancolique ; 3° l'
état
amentif, dans ses formes variées ; a) simple ét
lancolique ; 3° l'état amentif, dans ses formes variées ; a) simple
état
amentif (conclusion' mentale], b état amentif hal
es formes variées ; a) simple état amentif (conclusion' mentale], b
état
amentif hal- lucinatoire et délirant ; c) état
clusion' mentale], b état amentif hal- lucinatoire et délirant ; c)
état
amentif de défense primitif et de stupeur; dl é
if de défense primitif et de stupeur; dl élit amentif maniaque ; e)
état
amentif mélancoli- que ; f) état amentif d'abas
eur; dl élit amentif maniaque ; e) état amentif mélancoli- que ; f)
état
amentif d'abasourdissement) ; 4° l'état de démenc
amentif mélancoli- que ; f) état amentif d'abasourdissement) ; 4° l'
état
de démence atrophique ; 5° l'état de dégénéresc
mentif d'abasourdissement) ; 4° l'état de démence atrophique ; 5° l'
état
de dégénérescence psychique ; tic l'état d'auto
démence atrophique ; 5° l'état de dégénérescence psychique ; tic l'
état
d'automatisme. Au second groupe caractérisé par
concernant la sphère d'émotion, se rapporte seulement une espèce d'
état
psychopathique ; 7° l'état d'affectivité patholog
tion, se rapporte seulement une espèce d'état psychopathique ; 7° l'
état
d'affectivité pathologi- que. Au troisième grou
ortent les altérations primaires de la sphère intellectuelle ; 8° l'
état
paranoique ; 9° l'état de raisonnement patholog
primaires de la sphère intellectuelle ; 8° l'état paranoique ; 9° l'
état
de raisonnement pathologique ou l'état d'exclus
8° l'état paranoique ; 9° l'état de raisonnement pathologique ou l'
état
d'exclusivisme pathologi- que. Enfin, au quat
maire de la sphère motrice de la vie psychique se rapporte ; 1 Go l'
état
impulsif. La description de chaque état psychop
chique se rapporte ; 1 Go l'état impulsif. La description de chaque
état
psychopathique est faite avec une concision, un
nt un cas jHdiciaire-ps¡¡- chiatrique (tentative de meurtre dans un
état
d'affectivité patho- logique) s'arrête sur les
cas de psi/chose mixte dégénératif, ayant pour élément principal l'
état
d'exclusivisme pathologi- que. La leçon sert d'
e évident de l'utilité de la connais- 90 BIBLIOGRAPHIE. sance des
états
psychopathiques typiques pour s'orienter parmi le
ssez malades pour être enfermés, mais que leurs proches, mieux en
état
de constater leurs méfaits, cherchent à faire a
concéder, au con- traire, le maximum de liberté compatible avec son
état
. Nos asiles modernes ne sont plus des « renferm
it au traitement et aux soins dans un établissement approprié à son
état
mor- bide. » Puisqu'on tient tant, et avec ra
r plus ou moins prolongé à l'asile, où le médecin apprécierait leur
état
avant de les confier soit à .leur propre famill
t les temps, car une séparation des aigus et des chroniques, dans l'
état
ac- tuel de nos asiles, est impossible. Avec
s. Les aigus, en effet, sont sous le coup d'accidents somatiques, d'
états
confusion- nels qui masquent le délire futur qu
dé que la séquestration est justifiée, qu'il laisse.les choses en l'
état
, comme cela se pratique actuellement ; un jugem
es auto-placements. Les, malades de cette catégorie devront être en
état
de payer directe- ment leur pension. L'art. 1
streignant le médecin à consigner les changements survenus dans l'
état
du malade. Une modification temporaire dans la
es nerveuses », n'a-t-il pas reçu le traitement qui convenait à son
état
? A moins que l'on ne veuille ad- mettre qu'il
e incohérent. 11 se calme rapidement, a nettement conscience de son
état
mental, présente à nouveau un accès maniaque, s
(mars 1905). Il est, dès son entrée, déprimé, avec quelques raptus,
état
qui persiste jusqu'en juillet 190u, où le ma- l
odes d'excitation sui- vent sans transition, durent de à à 4 mois :
état
maniaque avec langage caractéristique, actes dé
rrive la nuit, monte sur un bateau en partance pour Newhawen où son
état
d'excitation le fait remarquer et remettre à terr
fugues, ses explications sont différentes selon qu'il est dans son
état
normal de débilité intellectuelle ou dans la phas
. Lorsque les paralytique généraux font des fugues à la période d'
état
de leur maladie,ces fugues frappées au coin dém
ugues des accès maniaques frustes des circulaires. 2° Fugues de l'
état
second alcoolique. L'état de la conscience n'es
frustes des circulaires. 2° Fugues de l'état second alcoolique. L'
état
de la conscience n'est pas connu, mais bien que
ittente (maniaque dépressive, circu- laire, psychique). Fugues de l'
état
maniaque ; conscien- tes, mnésiques, bien condu
ons dit, est généralement secondaire : les convulsions et parfois l'
état
comateux ouvrent la scène. Ils sont accompagnée
ve à 42° le matin et 44° le soir, les convulsions continuent mais l'
état
général reste bon'; après une discussion très'lon
out d'une année, elles sont totalement effacées, et font place à un
état
qui est même pire que l'état antérieur : on a été
otalement effacées, et font place à un état qui est même pire que l'
état
antérieur : on a été bru- talement et douloureu
é psychologique apparaîtra encore plus nettement si l'on observe un
état
transitionnel entre l'idéation et l'hallu- crna
sation de l'idée obsédante, elle se manifeste chez le sujet avec un
état
toujours conscient ; elle ne lui apparaît pas com
'2" Les hallucinations obsédantes qui se rencontrent dans certains
états
pathologiques. (Hystérie, état épileplique. Ce so
es qui se rencontrent dans certains états pathologiques. (Hystérie,
état
épileplique. Ce sont des hallucinations vraies,
nettes, détail- lées. Elles ne son ! pas sous la dépendance d'un
état
itléo-obsessif. Elles sont primitives, et n'app
rapport avc les associations obsédantes de contrarie dans certains
états
mélancoliques aiyuî. Ces sortes d'hallucina- ti
gmen- tation de poids très accentuée accompagne l'amélioration de l'
état
mental; 6° l'extrait de capsules surrénales don
ulière aussi bien que le mode respiratoire, souvent influencé par l'
état
des amydales ou par la présence de végétations
sultats obtenus que beau- coup de ces malades peu veut arriver à un
état
suffisam- ment normal pour subvenir à leurs pro
dant la première et la seconde enfance, des soins appropriés à leur
état
. R. de IUSGRAVIr CLAY. XLVIII. Sur la nécessité
ésentée. M. Thivet ne nie pas la coexistence de la sclérose avec un
état
manifestement démentiel, mais il ne voit dans c
cusée, qui n'a pas cessé de progresser. M. VIGOUROUX expose que l'
état
démentiel doit être en rapport avec le nombre e
le de paranoïa qui a, en français, son équivalent dans l'expression
état
men- tal des dégénérés. M. ARNAUD ne croit pa
volontiers le terme paranoïa, qui convient pour désigner certains
états
congénitaux caractérisés par des anomalies de la
tres. « Non, répond-il, cela n'est pas plus exact que de dire que l'
état
de santé ne diffère pas de l'état de maladie pa
pas plus exact que de dire que l'état de santé ne diffère pas de l'
état
de maladie parce qu'il y a des degrés de maladi
ophique, mais physiopathologique : le système nerveux est ou non en
état
d'intégrité, et l'individu peut ou non peser le
ques, et que le rôle de l'expert consiste uniquement à déterminer l'
état
et le fonctionnement des neurones psychiques (o
ones psychiques (on avouera que c'est là une ingrate besogne dans l'
état
de la science). Il adopte, en l'adaptant aux de
malheu- reux qui a besoin d'implorer son appui, se trouvant dans un
état
de suspicion, d'isolement, de séquestration for
eur. Mais les propos qu'elle tint ne laissèrent aucun doute sur son
état
mental. Comment avait-elle déterré les trois mo
ur, âgée de trente-cinq ans, ancienne institu- trice en Savoie. Son
état
ne paraissait pas dangereux et il avait été lai
e inférieur droit et le membre inférieur gauche. « De même pour les
états
cataleptique et somnambulique.... La malade étant
et celles qui s'y rattachent (attribution de chaque personnalité ou
état
de conscience à l'un des hémisphères, etc.) ont
rtains moments, un hémisphère fournirait certains des éléments d'un
état
de cons- cience,'et l'autre certains autres, ch
aux leurs, ou enfin s'ajoute simple- ment,avec ou sans soudure des
états
de conscience : les hy- pothèses ne manquent pa
e psychique et lui donne le caractère de l'unité de conscience- à l'
état
normal -, a naturellement des attri- buts supér
la » (Carlf.t, 1896, p. 127) c'est-à- dire à peu près sphérique à l'
état
adulte, quoique lasymétrie bi- latérale prédomi
e aucun organe propre. Enfin lorsqu'elle est en souffrance dans les
états
pathologiques où se démasque la bi-individualit
bue chaque moitié et qui entretiennent entre celles-ci un continuel
état
de guerre. Nous n'avons pas à répondre pour lui
n faire une idée exacte puisqu'elles ne se manifestent jamais à l'
état
normal : chez l'adulte, en effet, gouverné par le
ns compara- bles aux alternances que l'on observe chez l'adulte à l'
état
pathologique, et où l'Auteur voit une manifesta
té des tendances ? Non, car il y aurait alors un 208 PSYCHOLOGIE.
état
prime et un état second analogues à ceux de l'hyp
? Non, car il y aurait alors un 208 PSYCHOLOGIE. état prime et un
état
second analogues à ceux de l'hyp- nose, et c'es
la préface (p. XII), tout en notant que cette faculté, latente à l'
état
normal, ne peut guère être prise pour indice d'
and ils veulent ? Alors', encore une fois, que devient ce continuel
état
de guerre auquel l'Auteur fait si sou- vent all
s tiède par la main engourdie par le froid. La teinte affective des
états
neutres en eux-mêmes, due au réveil d'un souven
édominance alternative se traduit par l'apparition de deux séries d'
états
de conscience. Il est évident, d'autre part, qu
Il est évident, d'autre part, que la synthèse de sensa- tions ou d'
états
'de conscience qui implique les formes de temps e
ticipe aux sensations et actes de l'autre, niais encore connaît ses
états
de conscience primitivement et à mesure qu'ils
PSYCHOLOGIE.' très, ne sont accessibles à notre observation qu'à l'
état
centralisé, c'est-à-dire unies à d'autres fonct
ent : est-il juste de n'en pas tenir compte au condamné lorsque son
état
mor- bide a été découvert ? J'estime que tout c
moins que la Cour ne prétende "serez- dre compte par elle-même de l'
état
mental du prévenu : dès lors, à quoi aura servi
sujet, de même que sur l'art. 49. Pour ce dernier, qui exige qu'un
état
de la fortune do l'aliéné soit remis annuelleme
vendre le mobilier de l'aliéné après avis du médecin traitant sur l'
état
du malade. Cet avis est toujours très délicat à
iences ont porté sur la dose. Conclusions : la réaction propre de l'
état
actuel se distingue, à égalité de doses, de la
actuel se distingue, à égalité de doses, de la réaction propre de l'
état
ancien par une plus longue durée du temps d'att
cellulaire : la capacité d'adaptation varie grandement sui- vant l'
état
de l'individu et suivant l'action spéciale biolog
ment de la réaction, les caractères des réactions déterminées par l'
état
et l'adaptation. Enfin, l'auteur termine par qu
t les différentes altérations cellulaires que l'on observe dans les
états
pathologiques de 250 REVUE D ? \.1«ATOMIE ET DE
chromatiques volumineuses représentent probablement des éléments en
état
de modification progressive, tandis que les cel
ntroduire dans l'organisme ani- mal, elle peut, tout en restant à l'
état
de spore, élaborer et mettre en liberté sa subs
l'évanouissement ne comporte pas, tout d'abord, la cons- cience à l'
état
pur, la conscience inhabitée pourrait-on dire, la
ée pourrait-on dire, la simple conscience de soi, en dehors de tout
état
affectif ou intel- lectuel et de toute tendance
'il n'a encore été fait jusqu'à présent sa puissance persuasive à l'
état
de veille. Psychothérapie graphique : importanc
boulies. M. Les aboulies sont constituées par une associa- tion d'
états
de conscience parmi lesquels les plus apparents s
e les meilleurs résultats. L'attention pourra Cire rééduquée il l'
état
de veille et avanta- geusement aussi à l'état d
a Cire rééduquée il l'état de veille et avanta- geusement aussi à l'
état
d'hypnose qnand faire se pourra ; mais il faut
ue ce sont surtout les degrés du som- meil les plus rapprochés de l'
état
de veille qu'il faudra chercher à provoquer, le
pprochés de l'état de veille qu'il faudra chercher à provoquer, les
états
d'inhibition légers dans lesquels la résis- tan
838, mais nous y avons recours toutes les l'ois que s'y prê- tent l'
état
de l'interné en voie d'amélioration el le milieu
boisson habituelle qui paraît la plus directement responsable de l'
état
du malade ; on indiquera, en particulier, si l'
il y a des maladies mentales dont le début est caractérisé par un
état
spécial de suractivité organique et d'exalta- t
pa- ralysie générale. Il n'y a chez les déments précoces au- cun
état
d'optimisme ni d'exaltation des facultés avant
s. 3° sério, 1007, l I. 18 '274 clinique mentale. En étudiant ces
états
dépressifs prodromiques, j'ai pu isoler une for
al de la démence précoce toutes les variétés psychosiques connues :
états
mélancoliques; états maniaques ; états mixtes (
oce toutes les variétés psychosiques connues : états mélancoliques;
états
maniaques ; états mixtes (mélanco- lico-maniaqu
iétés psychosiques connues : états mélancoliques; états maniaques ;
états
mixtes (mélanco- lico-maniaques) : états conjll
oliques; états maniaques ; états mixtes (mélanco- lico-maniaques) :
états
conjllsiomzels : délires pseudo- systématisés,
d'augment), de 29 malades. . , 10 cas : mélancolies. 8 cas :
états
délirants et hallucinatoires. < 7 cas : mani
) a bien .voulu nous envoyer la statistique suivante : - Il cas :
états
dépressifs, 4 cas : états confusionnels. ' 2
la statistique suivante : - Il cas : états dépressifs, 4 cas :
états
confusionnels. ' 2 cas : états mixtes 111a111aC
Il cas : états dépressifs, 4 cas : états confusionnels. ' 2 cas :
états
mixtes 111a111aC0-(ll)l'PSSIf. 1 cas : stupeur.
her- ches portant sur 20 malades. li cas : mélancolies. 6 cas :
états
maniaques. 5 cas ! confusion mentale. 2 cas !
r ainsi : 7 cas : mélancolies, n cas : étals maniaques. 4 cas :
états
mixtes (mélancolie et agitation). (1) Trepsat.
r 10 catatoniques nous trouvons : 7 cas : mélancolies . (icas :
états
maniaques. 5 cas : états mixtes. 1 cas : conf
ouvons : 7 cas : mélancolies . (icas : états maniaques. 5 cas :
états
mixtes. 1 cas : confusion mentale. Notre étud
cons- tater les faits suivants : Période prodromique. 65 cas :
états
dépressifs (neurasthénies 1 et mélancolies). '
as : états dépressifs (neurasthénies 1 et mélancolies). ' ' , cas
états
neurasthénico-hystérifOl'me". 4 cas : états psy
lancolies). ' ' , cas états neurasthénico-hystérifOl'me". 4 cas :
états
psychasthéniques (neurasthénies avec obsessions
s et phobies.) Période initiale. 35 cas : mélancolies. 21 cas :
états
mixtes (maniaco-dépressifs ou états de stupeur
5 cas : mélancolies. 21 cas : états mixtes (maniaco-dépressifs ou
états
de stupeur suivis d'agitation). 13 cas : états
iaco-dépressifs ou états de stupeur suivis d'agitation). 13 cas :
états
maniaques. 4 cas : états confusionnels. 2 cas
de stupeur suivis d'agitation). 13 cas : états maniaques. 4 cas :
états
confusionnels. 2 cas : délires pseudo-systémati
d'interprétation délirante. Tous ces faits nous démontrent que les
états
dépres- sifs prédominent non seulement à la pér
mélancolique succède souvent une période d'agitation maniaque. Ces
états
mixtes se trouvent à la période initiale de tou
t pas spéciaux à la catatonie, comme l'avait établi Kahlbaum. Les
états
mélancoliques symptomatiques de la démence préc
de ces malades pour expliquer les modifications survenues dans leur
état
mental. Griesinger écrit : La loi de causalité
nement moins bien marqué. Le ma- lade sent les modifications de son
état
psychique, mais il ne les explique pas avec la'
cime tendance à l'adaptation rationnelle. M. Masselon (4) décrit l'
état
d'anxiété des déments pré- coces mélancoliques,
coce. N. Tanzi, professeur il Florence, insiste sur ce fait que l'
état
mental des déments p-,»-coces se manifeste mieux
ofonde est interrompue par des réac- tions morbides non adéquates l'
état
de tristesse et d'abattement. Parmi ces réactio
ion générale est plus compromise que -dans la neurasthénie, d'où un
état
cénesthésique plus pénible et un délire hypocon
ntes du degré de la dépression morale, on les trouve même, dans les
états
neurasthéniques légers. Une malade de Ville-Evr
a douleur morale comme dans la mélancolie. Des idées étrangères aux
états
dépressifs s'insinuent parmi les idées tristes
grandeur des déments précoces : elles ne s'accompagnent pas de cet
état
de cé- nesthésie agréable, d'euphorie béate, de
ciès passif, indifférent (souvent pâle), dépourvu d'émo- tion et un
état
de cénesthésie pénible. Les idées de persécutio
ion. Dans la démence précoce, l'humilité et la résignation sont des
états
transitoires et le malade passe facilement de l
tes et toutes les réactions de ces malades portent l'empreinte de l'
état
mental démentiel. Les tentatives de su : cide m
ique du nerf facial,ce symptôme nous a paru assez fréquent dans les
états
toxiques aigus (agitation, stupeur etc). Quan
t comparative d'un cata- tonique et d'un mélancolique, tous deux en
état
de stu- peur. L'auteur met en évidence avec bea
it des journées entières enfermée. Malgré ses idées morbides, son
état
général se maintenait. Elle mangeait bien. Pas
scaliers. Elle consulte un médecin qui la traite pour l'anémie. Son
état
ne s'améliore pas. Elle en xoif un autre, qui lui
vvoiï. Ce qui frappe tout d'abord à l'examen de la malade c'est son
état
d'anxiété profonde. Elle se plaint de ne pas av
ÉLANCOLIQUES DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 287 lilli», A cclà s'a,juule un
état
d'asthénie complète. Elle ne peut plus se tenir
ve une attitude triste penchée ; elle aies mains sur son estomac. L'
état
général reste bon. La malade ne maigrit pas. El
este 288 CLINIQUE MENTALE. comme obnubilée el inconsciente de son
état
. Elle répond par monosyllabes. Son intelligence
onceptions délirantes mélan- coliques. Il est très conscient de son
état
et demande lui-même à èlre soigné dans un asile
aison de santé de Ville-Evrard, en 159fi, il se trouve dans le même
état
de mélancolie. Il demande à aller en cellule ca
ou quatre fois de suile. Les manifestations caractéristiques de son
état
mental résident dans les phrases suivantes :
l sera mort. l'en- dant son séjour à la clinique, il l'l"te dans un
état
de dépression prolonde-avec aoecÙs d'angoisses
déprimé et triste ; il pleure souvent. 11 est très conscient de son
état
« .le suis perdu. Õe vais mourir, je sens que j
poison pim ils Négativisme. Février 1900. Stupeur. Catatonie, Cet
état
alterne depuis G an a avec des phases de demi-s
- idjoiiil à l'asile de BI'3qllevilk II. VALEUR PSYCHOLOGIQUE A l'
état
normal « la coordination entre les deux activi-
ns psy- chologiques des troubles de synthèse mentale observés à l'
état
normal ou pathologique, par exemple chez certains
persistance du fond ceenes. thésique, ou, en d'autres termes, de l'
état
affectif, des sensations internes : et de l'éta
utres termes, de l'état affectif, des sensations internes : et de l'
état
des organes sensitive -sensoriels : si la coene
définiment indépendante de la première : le lien de chaque série ou
état
de conscience est représenté par le sentiment q
brusque des principales conditions organiques et psychiques de l'
état
rappelé : modification de la coenesthésie,de la s
solidement et exclusi- vement associée dans l'esprit du sujet à un
état
de conscience donné. On dit avec raison que d
sciences, voire même des personnalités successives : quoique chaque
état
comprenne nécessairement beaucoup d'éléments co
oup d'éléments communs à tous, il ignore le plus souvent ces autres
états
; lorsqu'il les connaît, c'est ordinairement in
t affective, riche en associa- tions de toutes sortes, survivre à l'
état
de conscience au cours du- quel elle a été reçu
onscience au cours du- quel elle a été reçue et se prolonger dans l'
état
suivant, dans la veille : elle est alors active
représentent se mêlent ou s'adjoignent à la plupart de celles de l'
état
de veille, et,sans que le sujet s'en rende comp
ne cause étrangère. Celle-ci est le plus souvent la création de « l'
état
fort » au cours duquel les sensations en questi
çu, à peine senti au cours d'une pré- occupation, crée cependant un
état
sous-jacent qui survit au pre- 290 PSYCHOLOGIE
impulsion à peine consciente ou inconsciente survenue au cours d'un
état
d'atten- tion profonde, un acte est commencé ou
que les manifestations motrices puissent coïncider, avec ceux de l'
état
conscient. Ce cas conduit au groupe très impo
t. Ce cas conduit au groupe très important des associations entre
états
ou syndromes organiques et états de conscience. D
s important des associations entre états ou syndromes organiques et
états
de conscience. Dans tous les cas de synthèse me
ble de ces groupements soit entre eux, soit avec une série donnée d'
états
de conscience, c'est-à-dire une personnalité. Ain
souvent et pour des causes multiples, avec une série synthétique d'
états
de conscience suc- cessifs, c'est-à-dire une pe
avec persistance de quelques idées et souvenirs communs à plusieurs
états
. Plusieurs conjonctures sont alors possibles :
emps. L'exemple est aussi bien connu du rappel d'une série donnée d'
états
de conscience par la suggestion de l'in- capaci
ion quelquefois très difficile. L'alliance entre certaines séries d'
états
de conscience etcertams troubles organiques dép
rnes, que le change- ment s'accompagne ou non de modifications de l'
état
mental. La thèse de Lebar (Paris 1906) (d'après
peut avoir son « caractère » et régir à lui seul une longue série d'
états
de conscience. Le lien est évident; nul besoin
(le droit),en même temps que la persistance et la réapparition d'un
état
de conscience donné, des trou- bles (aphasiques
ganisme, il faudrait avant tout démontrer que les im- pressions et
états
de conscience anciens, dont le réveil- constitu
thèse : « Dans beaucoup d'étals pathologiques et peut-être même à l'
état
normal dans les processus psychiques com- pliqu
actes commencés et facilement exécutés par la main gauche seule à l'
état
normal.Les actes commencés « sous.la direction
ient être menés à bonne fin malgré l'intervention de la gauche. « L'
état
de conscience correspondant (die aktuelle Psyché)
e l'Itémis- phère gauche) n'aurait (halle) aucune influence sur les
états
de conscience dont lesubslratum est dans l'hémi
dont dérive tardivement l'indépendance fonctionnelle, complète il l'
état
sain, des deux membres de chaque ceinture. Les
Il n'y a rien dans son allure qui ressemble à la suc- cession d'un
état
second il un état prime : ses pensées se sui- v
s son allure qui ressemble à la suc- cession d'un état second il un
état
prime : ses pensées se sui- vent sans la moindr
co-êtres se modifient, il y a trouble moral en nous» (p. 47). Or l'
état
- ou les états - dans lesquels il n'y avait pas
odifient, il y a trouble moral en nous» (p. 47). Or l'état - ou les
états
- dans lesquels il n'y avait pas de trouble mor
des hémisphères cérébraux ? i Du reste, avant de passcspar les«six
états
» sur lesquels 30S PSYCHOLOGIE. \ se porte l'
moment en effet de la paraplégie. Cette paraplégie reparaît dans un
état
observé ultérieurement, le sixième. A ce moment
autre et à lui démontrer, non seulement que la coexistence de tel
état
mental avec un trouble donné de la senso-mo- ti
rtains détails (parole, opposition ici par la malade elle-même de l'
état
affectif créé par un récit à l'état affectif cr
par la malade elle-même de l'état affectif créé par un récit à l'
état
affectif créé par l'autre), on peut conclure que
ssociation mimique, montrent d'ailleurs une fois de plus que chaque
état
affectif, avec sa cause (récit provo- quant une
ce de la conscience, ou au moins de certains souvenirs récents de l'
état
de veille,* indéniable dans certaines ex- périe
thalamiques, soit par l'inhibition créée par l'hypnose ou certains
états
émotifs intenses. Dans tous les cas où la natur
s manifestations extérieures ; inversement, la mani- festation d'un
état
de conscience peut persister alors que la consc
ent la synergie des deux hémisphères dans chaque 312 PSYCHOLOGIE.
état
affectif : elle n'a pas été notée après des excit
ir qu'à une seule de nos deux individua- lités... »;il y aurait à l'
état
normal deux consciences co- existantes pouvant
eux interlocuteurs, deux correspondants ne représentent-ils pas cet
état
? Il est même probable que c'est à cela que l'A
ît d'affir- mer que chez lui, comme chez certains hypnotisés, les
états
de conscience s'intégrassent en deux sériesparall
son n'a jamais non plus rien observé qui rappelât l'alternance d'un
état
pri- me et d'un état'second. La communication d
conscience. Or, ce cas n'existe pas : une intégration, un système d'
états
de conscience peut se manifester seul, avons-no
alité habituelle, et telles aussi qué leur réintégration avec les
états
de conscience antérieurs soit à jamais impossible
que dans tout ce passage il s'agisse réellement des coêtres et de l'
état
normal. Il en est pourtant ainsi. Laconsrience
contrôle par les souvenirs complexes qui guident l'entendement à l'
état
de veille. Si dans le rêve « les co- êtres sont
ontrent particulièrement combien la conscience ne peut comprendre d'
états
divers : le dormeur,en effet, constate l'opposi-
e ces trois consciences ? Le problème n'est même pas posé. Dans les
états
pathologiques où le Moi ne se manifeste, pas ce
e normal de la loi. On constate dans une famille un changement de l'
état
mental d'une per- sonne, on s'inquiète autour d
ISLATION. où il relate les constatations qu'il vient de faire sur l'
état
du malade (art. 8). Dans les trois jours de l
qu'il désignera. L'Inspecteur rédige un rapport où il constate l'
état
du malade et conclut à son maintien ou à sa sor
donc trois médecins au moins qui examinent le malade, jugent son
état
, et doivent conclure d'une manière identique au
0 du Code civil ; 2° Un rapport au procureur de la République sur l'
état
mental de la personne à placer.signé d'un docte
nés. ART. 15. Toute personne majeure qui, ayant conscience de son
état
d'aliénation mentale, demande à être placée dans
d'origine de tout étranger résidant ou de passage en France, dont l'
état
d'aliénation aurait exigé le place- ment, confo
la personne désignée dans ce bulletin, à l'effet de cuiibtatei- son
état
mental et d'en faire un rapport sur-le-champ à
t tenu de consigner sur ce registre les changements survenus dans l'
état
mental de chaque malade, au moins chaque semain
édecin constate également sur ce registre la date de la sortie et l'
état
mental au moment où elle a lieu, la date et les
nde d'admission. Néanmoins, si le médecin traitant est d'avis que l'
état
mental du malade pourrait compromettre la sécur
re le nom, la résidence des personnes qui ont retiré le malade, son
état
mental au moment de la sortie et, autant que po
s convulsives (formes morales et impulsives de folie) et quel- ques
états
délirants systématisés sont les premiers fruits d
V. Observations et considérations sur un homicide commis dans un
état
second d'Azam » ; par M. BIANCONE et 1\IARAN. (
ables habitudes d'alcoolisme. On' les voyait alors rentrer dans des
états
que je ne veux pas décrire J'ai facilement obte
conduit à tantes et interné dans un asile d'aliénés. Ajoutons que l'
état
de la fillette est désespéré. Liberté du 8 avri
t nature de l'hystérie (1), et qui est basée sur l'association de l'
état
hystérique à un état d'engourdissement, d'inhib
(1), et qui est basée sur l'association de l'état hystérique à un
état
d'engourdissement, d'inhibition du cerveau, à une
; il est donc lui-même fonction de ce centre ? Dans ce cas, c'Est l'
état
de ce centre qui importe, et non pas le phénomè
but secondaire dépendant,comme le trouble somatique lui-même, d'un
état
des centres fonctionnels, dont la na- ture est
lobes frontaux le nom de cerveau psychique. Que se passe-t-il à l'
état
normal ? Toutes les impres- sions venues du deh
utissent aux centres du cerveau organique. Elles y déterminent un
état
moléculaire particulier, correspondant à chaque
que impression. C'est là le phénomène de la perception brute. Cet
état
moléculaire réagit à son tour sur le cerveau psy-
t à son tour sur le cerveau psy- chique et y détermine également un
état
moléculaire particulier. C'est alors seulement
ation. Chaque fois que le centre psychique se trouvera dans le même
état
moléculaire, il déterminera dans le centre orga
e état moléculaire, il déterminera dans le centre organique un même
état
molé- culaire. Celui-ci ayant été déterminé ant
ion et de l'évocation de ces mêmes images, ou pour mieux dire des
états
qui leur correspondent. Sous quelle forme se co
les excitations parties de la périphérie n'y déter- mineront qu'un
état
insuffisant pour provoquer le mou- vement et la
j'ai étudiées ailleurs (1). Il reste en quelque sorte figé dans cet
état
momentané; fatalement la représentation qui lui
nge pas. Nous avons alors l'idée fixe qui varie et disparaît avec l'
état
soma- tique, lié lui-même à l'état moléculaire
xe qui varie et disparaît avec l'état soma- tique, lié lui-même à l'
état
moléculaire du'centre inhibé. Mais,en même temp
il n'est que secondaire ; ce qui est primitif, fondamental, c'est l'
état
physiologique, disons même physique du centre m
sous diverses influences, ils présentent des varia- tions dans leur
état
, nous comprendrons facilement les aspects si mu
ré plus que personne, la merveilleuse analyse qu'il a su faire de l'
état
mental des hystériques. Où j'ai toujours différ
roubles psychiques de l'hystérie sont conséquence et non cause do l'
état
hys- térique, dont il s'agit maintenant de défi
ssement, d'inhibition du cerveau. Déjà l'aspect des malades, leur
état
de somnolence, de rêverie qui aboutit si souvent
t pas du sommeil naturel, c'est qu'el- les étaient plongées dans un
état
d'engourdissement, de sommeil pathologique. Pou
paraissent éveillées, dorment en réalité et sont plon- gées dans un
état
de vigilambulisme.Et,pour le prouver, il en pre
e, entre autres particularités nombreuses de la modification de son
état
. Quoiqu'il se servît do cet exemple de réveil p
omparables au délire de la grande attaque. Et il ne voyait dans cet
état
de vigilambulismo qu'une sorte d'attaque d'hyst
que à laquelle allait se produire le réveil que jo provoquais. En
état
d'hypnose, j'appris en interrogeant les mala- d
motion le plus souvent ou une maladie intercurrente, ciui a amené l'
état
hystéri- que, que d'autres incidents n'ont fait
sont substituées les unes aux autres, liées qu'elles étaient à des
états
cérébraux nouveaux provoqués par ces causes. On
nes idées fixes. En réalité, ces idées disparaissent par ce que l'
état
cérébral qui amenait ces troubles les entrete-
a vraiment alors le sentiment de se trouver en présence d'un autre
état
, d'un autre individu. Il a lui-même l'impressio
t que par leur intensité et leur durée, de celles qu'on observe à l'
état
normal quand'on a un arrêt de fonctionnement d'
ré est atteint le centre de l'or- gane intéressé, ou,étant donné un
état
somatique déter- miné,de prévoir quelles sont l
ment, s'il est partiel, on voit souvent à leur suite reparaître des
états
anciens du sujet, s'il est complet, la guérison
forme des manifestations hystériques, ce sont les varia- tions de l'
état
d'engourdissement des centres cérébraux atteint
s sans voir qu'elle contredit son système : « La Conscience est l'
état
de.l'Homme qui se sent en jouissance de ses fa-
pas une interprétation ac- ceptable des données du duplicisme ; les
états
psychiques dans lesquels interviendrait la cons
drait la conscience supérieure ne se soudent pas entre eux comme un
état
premier se soude à un état premier antérieur :
e ne se soudent pas entre eux comme un état premier se soude à un
état
premier antérieur : ils continuent simplement l
à un état premier antérieur : ils continuent simplement le dernier
état
de conscience, quel qu'en aît été le con- tenu
: ils appartiennent donc à la même conscience. Bien plus, tous les
états
de conscience ne diffèrent pas essen- 37li PSYC
onnées du duplicisme : supposons que la syn- thèse mentale qui, à l'
état
normal, forme la personnalité, soit tou- jours
tes, sauf au moment précis de la volition : à ce moment, les deux «
états
seconds», second et tierce, si l'on permet, se
tats seconds», second et tierce, si l'on permet, se souderaient à l'
état
premier, puis la volition achevée, la synthèse
nu de plusieurs consciences. Si je supposais, au contraire, que les
états
supérieurs, ceux de la série appelée plus haut l'
ire, que les états supérieurs, ceux de la série appelée plus haut l'
état
pre- mier, se soudent seulement entre eux et ré
ut l'état pre- mier, se soudent seulement entre eux et récusent les
états
infé- rieurs, je laisse la porte ouverte au dup
tions formées,peuvent prendre naissance, soit un mouvement, soit un
état
de conscience, soit les deux à la fois, et commen
ions complexes : les composants coenes- thésiques et affectifs de l'
état
de conscience,au moment de la déli- bération, p
nt tout comme les éléments de pure connais- sance à l'évocation des
états
de conscience antérieurs qui ont con- tenu les
part, se répartissent pres- que toujours et naturellement entre des
états
de conscience de teinte affective opposée. De
délibération, les uns vont donc avoir le même signe affectif que l'
état
évocateur, les autres un si- gne contraire : ce
ois causé, ou rempli, par une sensation intercurrente ou tout autre
état
de conscience complètement étranger à l'objet de
celles qui sont pro- pres à la théorie ? C'est la simultanéité des
états
affectifs (conscients ! ) différents créés par
plus, le moi doit né- cessairement connaîtra et connaît en fait ces
états
affec- tifs divers, ce qu'il ne peut faire qu'e
ne peut les éprouver que successivement. Si maintenant, au lieu des
états
af- fectifs, on envisage spécialement les motif
tie aux impulsions des coêtres. Je sais bien que dans nom- bre d'
états
pathologiques, « l'Etre complet » ,la «Raison »,
araît ou du moins est subordonnée à un coêtre ou aux deux. Mais ces
états
dont il fit sa seule preuve directe, le duplici
longue descrip- tion de l'évolution psychique, de la naissance à l'
état
adulte,où l'Auteur mêle à des conseils aux jeun
de surveillance qui leur convient, à l'hygiène ré- clamée par leur
état
. » « L'immortel Pinel, considérait un hospice d
rsonne dont le maintien en liberté compromettrait, en raison de son
état
d'aliénation, dû- ment constaté par un certific
airement ou sur la demande des particuliers, et dans le cas où leur
état
mental pourrait compromettre la sécurité, la dé
leptiques ou aliénés pendant qu'ils subissent leur peine, et dont l'
état
d'épilepsie ou d'aliénation a été constaté par un
. ART. 36. - Tout inculpé, prévenu ou accusé qui, à raison de son
état
d'aliénation mentale au moment de l'action, a été
ssement d'aliénés, soit dans un asile ou quartier de sûieté, si son
état
est de nature à compromettre la sécurité, la dé-
laration en ces termes : « A la majorité, l'accusé, à raison de son
état
d'aliénation mentale au moment de l'action, est i
ivent communiquer à l'ad- ministrateur ,au moins une fois par an un
état
sur la situation fi- nancière de l'entreprise.
au curateur, qui le communique au procureur de la République, un
état
de la situation de la fortune de l'aliéné, une pr
la même autorisation, précédée de l'avis du mé- cin traitant sur l'
état
de l'aliéné, l'administrateur peut vendre propo
nouvelés qu'après que ledit administrateur a fourni au curateur les
états
de,situation prescrits par la présente loi. 1
o-épileptique de l'un ou de l'autre sexe, et avec connaissance de l'
état
de cette personne, est puni de la réclusion. AR
s non encore internés ou pour les ex- pertises médico-légales sur l'
état
mental des inculpés ; 5° Les con- ditions dans
par KLIPPEL. (L'Encéphale, 1906, n° 3.) Des modifications dans l'
état
du sang peuvent accompagner des états Yesanique
3.) Des modifications dans l'état du sang peuvent accompagner des
états
Yesaniques simples. L'observation rapportée conce
normale à la fin de l'accès. 11 est vraisemblable que dans de tels
états
, qui sont la marque d'une constitution psychi-
Observation dont l'intérêt clinique réside dans l'association d'un
état
onirique très prolongé avec cet optimisme aveugle
continus qui caractérisent l'euphorie délirante des phtisiques. Cet
état
mental semble manifestement en rap- port avec l
l'intoxica- tion thyroïdienne ; c'est à elle qu'il faut rapporter l'
état
mental des haserlowiens, les troubles psychique
ncéphalopathio addisonnienne (flip p pcl), du délire (Addison), des
états
neurasthéniques (Dufour et Dogues de Fursac). L
somme d'une série de phénomènes psychiques, et qu'elle comprend un
état
physique, une série de conditions physiques don
doctrine de Jackson sur la con- comitance ou le parallélisme : Les
états
de conscience sont abso- lument différents des
llélisme : Les états de conscience sont abso- lument différents des
états
nerveux, mais se rencontrent concur- remment av
ts nerveux, mais se rencontrent concur- remment avec eux. Pour tout
état
mental il y a un état nerveux corrélatif mais s
ncontrent concur- remment avec eux. Pour tout état mental il y a un
état
nerveux corrélatif mais sans interférence connu
tisans de cette doctrine ne peuvent évidemment pas admettre que les
états
psy- chiques soient l'effet des états physiques
idemment pas admettre que les états psy- chiques soient l'effet des
états
physiques corrélatifs, mais ils peu- vent conce
états physiques corrélatifs, mais ils peu- vent concevoir entre ces
états
une coïncidence nécessaire. Les phénomènes phys
olie se rencontrent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 423 0 dans les
états
ou dans les rapports de celles des cellules céréb
cellules cérébrales dont les activités normales sont accompagnées d'
états
de cons- cience qui, dans la folie, sont ou abs
° les phénomènes psychiques : mais nous ne pouvons pas observer les
états
de conscience chez les autres ; nous ne pouvons c
comme l'expression physique des élé- ments nerveux concomitants des
états
conscients ; 2° les phéno- mènes physiques esse
cel- lules dont les effets sont en corrélation avec le désordre des
états
de conscience, et en faisant la supposition, qu
osition, qui n'est après tout ni démontrée, ni démontrable, que les
états
de conscience qui, pour nous-mêmes, sont en cor
conscience qui, pour nous-mêmes, sont en corrélation avec certains
états
nerveux, ayant une expression physiologique déf
, ayant une expression physiologique définie, sont identiques aux
états
de conscience qui chez les autres,sont en corréla
tats de conscience qui chez les autres,sont en corrélation avec des
états
nerveux ayant en fin de compte une expression ide
ne d'as- pect réniforme». Mais il faut se rappeler que la somme des
états
de conscience qui, chez un individu sain d'espr
vrables par la mémoire. Et il se peut que l'on puisse concevoir ces
états
psychiques comme accompagnant des états fonctio
l'on puisse concevoir ces états psychiques comme accompagnant des
états
fonctionnels et dynamiques de tous les centres ne
els et dynamiques de tous les centres nerveux, ou tout au moins ces
états
de conscience qui accompagnent des états nerveu
veux, ou tout au moins ces états de conscience qui accompagnent des
états
nerveux inférieurs dans des conditions qui ne s
ne grande mesure, l'étude de l'ordre qui persiste dans la somme des
états
psychiques qui constituent pour chacun de nous
is il fait remarquer que, dans la folie progressive, les totaux des
états
de conscience parais- sent se succéder dans un
ordre qui n'est pas seulement aussi net et aussi inexorable qu'à l'
état
sain, mais qui est effectivement le même. Clo
t pas en contradiction avec l'ordre ci-dessus énoncé de l'ordre des
états
de conscience, mats qu'elle en est au contraire
nce, mats qu'elle en est au contraire la conséquence, ainsi que des
états
qui le déterminent, et qu'elle trouve -des anal
ations est déter- miné par l'extension et la régularité (ou par les
états
inverses) du processus de dissolution. Il est
ndispensable de considérer non seulement les différentes sor- tes d'
états
conscients, mais l'ordre suivant lequel ils appar
es moyens physiques, sachant par expérience que la restauration des
états
physiques (nerveux) s'accompagne nécessairement
siques (nerveux) s'accompagne nécessairement de la restauration des
états
psychiques. R. DE MUSGRAVE CLAY. LlIL- Note s
n sur l'écholalie signalée par Lichtheim comme pathognomonique de l'
état
dont il s'agit. Il faut rappeler ici que l'écho
me un symptôme aphasique : elle se rencontre en effet dans d'autres
états
mentaux où l'aphasie n'est pas signalée. L'échola
consécutive aux crises d'épilepsie ; on la trou- ve aussi dans les
états
confusionnels épileptiques, sans que ceux-ci pu
e l'alcool-; 4° variations dans la marche de la maladie suivant les
états
mentaux concomitants; 3° renseignements fournis
vincible (car il s'agit bien ici d'un sommeil véritable et non d'un
état
comateux). Comme autres symptômes importants il y
s siègent du côté droit : or chez cet homme ce côté du corps est en
état
d'infériorité mani- feste au point de vue dynam
nostic et de pronostic des plus regrettables. D'après 11. Crocq les
états
neurasthéniques comprennent trois choses bien d
ns, les chagrins prolongés, les traumatis- mes, etc. <, 2° Les
états
neuraslhéniformes constitutionnels indélébiles et
t relatifs d'abord à l'examen du malade et à la constatation de son
état
bacillaire à son entrée, et ensuite aux mesures
vrir et les interpréter. L'amaigrissement et les modifications de l'
état
mental sont des si- gnes d'une grande importanc
d'une malade de 17 ans frappée soudainement, après quelques jours d'
état
fé- brile, de paralysie totale avec douleurs vi
parties de l'encéphale, cause de la mort, sexe, race, pro- fession,
état
mental etc.). La méthode employée fut celle de \V
es. Les hystériques con- firmés ne sont que des vigilambules dont l'
état
de sommeil est plus ou moins profond, plus ou m
es cas plus légers il n'y a pas de vigilambulisme, il n'y a que des
états
d'inhibition, de sommeil, par- tiels, atteignan
en effet, un centre cérébral quelconque et supposons-le frappé d'un
état
d'inactivité présentant toute une gamme de degr
aque centre fonctionnel individuellement dans l'ap- préciation de l'
état
hystérique général qui n'est que la sommation,
stérie on comprend que l'on peut voir certains centres présenter un
état
permanent et certains autres présenter des vari
e : que l'hystérie, dans son ensemble, n'est qu'une agglomération d'
états
hystériques locaux. Faute de cette notion, on e
d'au- tres présentent de très gros troubles psychiques. Si donc l'
état
hystérique consiste dans un trouble loca- lisé
ue la plus grande hystérie ne soit jamais que la généralisation d'
états
locaux, si, comme je le soutiens, ce trouble hys-
si, comme je le soutiens, ce trouble hys- térique consiste dans un
état
d'engourdissement, d'in- hibition, de sommeil e
i tant est qu'il y ait jamais une hystérie moriosymptomatique et un
état
de vigilambùlisme complet avec toutes les manif
ble hysté- rique est toujours la même naturellement. Je dis que l'
état
hystérique est une sorte de sommeil des centres
eint par une émotion morale, avec une idée fixe concomitante de son
état
somatique fixe,pourra se réveiller sous l'influ
e fixe née au même titre que la con- tracture ou la paralysie. Si l'
état
est plus ancien, si l'hys- térie est plus génér
ou tel point d'autant qu'il faut tenir compte non seulement de l'
état
actuel, mais de l'évolution anté- rieure de s'a
nt : mais les phénomènes psychologiques étant la conséquence de l'
état
cérébral et non sa cause,et n'étant pas constants
vigilambules. Je ne sais comment appe- ler autrement que sommeil, l'
état
où se trouve plongé un individu présentant une
lorsqu'en enjoignant à cet individu de se réveiller, \\ sort de cet
état
et cesse de présenter ces trou- bles,- je ne sa
u- bles,- je ne sais pas comment appeler autrement que sommeil, l'
état
dans lequel cet individu était plongé quand, ap
a, en effet, là qu'une question de différence dans la durée de son
état
, entre un dormeur qui serait resté endormi pend
thésiques et psychiques. Je dis qu'un individu qui,plongé dans un
état
anormal, redevient normal quand on lui ordonne
du qui dort. Et comme, en étudiant toutes les dégradations de cet
état
, toutes ses variétés, on constate que l'on passe
ions de ma part, en conti- nuant toujours à croire que j'assimile l'
état
de sommeil des centres neryeux dans l'hystérie
e sur le cerveau et détermine des pertes de connaissance, amène des
états
d'inertie du cerveau, une inhibition des foncti
nertie. C'est ce qui se produit si souvent chez des hystériques à l'
état
latent, quand on immobilise un de leurs membres
ral. Ces arrêts peuvent persister, et l'écart entre la normale et l'
état
d'arrêt se traduit à un moment donné par des ma
'épuisement ainsi produit ne se fasse pas, le cerveau reste dans un
état
d'activité diminuée et par conséquent sa percep
s en étudiant les émotions localisées (1). A ce moment je dis que l'
état
hystérique est constitué, non pas parce qu'il y
ouble, mais parce que ces troubles sont le témoignage objectif de l'
état
d'engourdissement du cer- veau, soit dans son e
ET SOMMEIL. 461 soutenu depuis longtemps que ce qui caractérisait l'
état
hystérique c'était la tendance qu'avaient les c
tait la tendance qu'avaient les centres céré- braux à rester dans l'
état
où ils étaient mis quand leur activité était di
Il me semble que dire, comme M. Claparède,que l'hys- térie est un
état
de sommeil parce que c'est un état de distracti
laparède,que l'hys- térie est un état de sommeil parce que c'est un
état
de distraction, et que le sommeil est psycholog
n état de distraction, et que le sommeil est psychologiquement un
état
de désintérêt, de distraction totale de la situat
rie, et que, au point de vue clinique, l'assimila- tion de ces deux
états
de sommeil est un peu hasardée, après m'avoir r
le moi du sujet ne peut avoir aucune prise. Com- ment dès lors cet
état
d'engourdissement cérébral tout (1) Ce réveil a
ribue à une diminution de l'irrita- bilité cérébrale, produisant un
état
de vie latente qui se traduit par des altératio
ression de leur personnalité et une transformation complète de leur
état
,leur réveil cérébral et leur guérison de ce fai
surprise pour moi de voir des sujets à qui je disais simplement en
état
d'hypnose « réveillez-vous » ou « sentez-vous »
istance, se mettent, quelque temps après la séance, à rêver dans un
état
de demi-conscience à tous les événements d'une
nsiste essentielle- ment en ceci : l'hystérie est constituée par un
état
d'activité moindre - depuis la légère diminutio
n'est donc que l'exagéra- tion de ce qui se produit constamment à l'
état
nor- mal, avec cette différence seulement que l
définiment. Qu'on appelle engourdissement, sommeil,irihibition, cet
état
de l'écorce, peu importe (1). L'essentiel est d
trospection de lui-même sans que rien l'autorisât à conclure de son
état
de cons- cience à l'état de conscience d'autrui
ans que rien l'autorisât à conclure de son état de cons- cience à l'
état
de conscience d'autrui » (p. 155). De ce que la c
conque ? Les motifs ont-ils une va- leur appréciable en dehors de l'
état
social, et tous les hommes qui partagent cet ét
le en dehors de l'état social, et tous les hommes qui partagent cet
état
n'ont-ils pas le droit d'apprécier les motifs et
e valeur évidemment toute relative qui assurent la sta- bilité de l'
état
social ? Le duplicisme veut asseoir le droit à
inné,mais antérieur ou tout au moins étranger dans son origine à l'
état
.social, fondé sur la seule organi- sation de l'
entiment de non responsabilité dans les cas ou les causes internes (
états
affectifs, états morbides etc.) auront agi. Che
esponsabilité dans les cas ou les causes internes (états affectifs,
états
morbides etc.) auront agi. Chez tous, d'ailleurs,
le de fibres nerveuses terminées par des massues de croissance, à l'
état
pathologique et à l'état normal ; lésions tabét
rminées par des massues de croissance, à l'état pathologique et à l'
état
normal ; lésions tabétiques des racines médulla
ode embryonnaire. Ces fibres à massues ne sont point l'apanage de l'
état
pathologique, elles existent à l'état normal :
ne sont point l'apanage de l'état pathologique, elles existent à l'
état
normal : Cajal en a décrit dans les ganglions r
prouve qu'en gé- néral les actes ne suffisent pas pour apprécier un
état
mental, qu'un diagnostic ne peut être posé qu'à
nce favorable du traitement thyroï- dien sur l'obésité, nulle sur l'
état
des organes génitaux et sur les fonctions sexue
es organes génitaux et sur les fonctions sexuelles, ainsi que sur l'
état
mental. F. T. XXX.- La spondylose rhizomélique
aru être plus foncée au mo- ment de l'entrée, c'est-à-dire dans les
états
plus ou moins aigus ; mais il faut se souvenir
s états plus ou moins aigus ; mais il faut se souvenir que même à l'
état
sain la coloration de l'urine est extrêmement v
LAY. YXXV.-Une réaction du sérum appparaissant chez des sujets en
état
d'infection ; par M. Lewis C. BRUCE. (The Journal
éresse. 512 bibliographie. Le D' Régis donne ensuite brièvement l'
état
des organisations scolaires à l'étranger et fai
s ; celle de Royat s'en rappro- che ; c'est d'ailleurs l'étude de l'
état
général, de la nature des symp- tômes et des co
sures du docteur ne paraissent pas devoir être mortelles ; mais l'
état
général de l'infortuné praticien est très sérieux
Observations et considé- rations sur un homicide com- mis dans un
état
second d'- par Piancone et Maran, p. 343. Bac
le de ner- veuses terminées par des mas- sues de croissance, iL J'
état
pa- thologique et à l'état normal ; lésions t
par des mas- sues de croissance, iL J'état pa- thologique et à l'
état
normal ; lésions tabétiques des racines médul
à l'his- toire de la manière dont les maladies aiguës affectent l'
état
mental ; par Lewis Bruce, p.6 1. 4. Marche. V
. 351. Sérum. Une réaction du ap- paraissant chez des sujets en
état
d'infection ; par Lewis et Bruce, p. 492. -. V.
'utiliser les certitudes acquises en les appliquant au traitement des
états
morbides de ta volonté, de la conscience, de l'in
n améliorer le fonctionnement. La réalisation, chez un individu, de l'
état
d'hypnotisme et des modifications nerveuses ou me
costale et diaphragmatique des sujets plongés successivement dans des
états
différents du grand hypnotisme. Enûn. MM. Beaun
ont permis d'obtenir un grossissement considérable des phénomènes à l'
état
normal, les modifications qui surviennent dans la
peuvent qu'être très limitées ; il n'en est pas de même dans certains
états
pathologiques qui offrent à l'influence de la sug
nctionne d'une façon normale. Elle est très hypnoti-sable, et, dans l'
état
d'hypnotisme, présente de l'automatisme et réalis
automatisme et réalise des hallucinations suggérées. Nous jugeons son
état
favorable à des recherches expérimentales. Pour
reil ait quitté le pouls. Expérience. — Le pouls du sujet, pris à l'
état
de veille, marque 78 pulsations à la minute. Le d
r secondairement des modifications dans la tension artérielle, dans l'
état
des vaso-moteurs et ainsi exercer une influence s
ns. La malade, après quelques difficultés, fut hypnotisée. Dans cet
état
, on lui suggéra le calme, le repos, le ralentisse
mographe employé fut le sphygmographe de Dudjeon. Expérience. — A l'
état
de veille, le pouls marque 132 pulsations par min
hypnotique sont très peu marquées. Conclusions. — L'existence d'un
état
pathologique, une tachycardie très accentuée, nou
explications et à des lois vitales qui comprennent tes rapports de l'
état
pathologique avec l'état normal ou physto logique
is vitales qui comprennent tes rapports de l'état pathologique avec l'
état
normal ou physto logique. De l'utilité des Ra
à un étroit conduit. La jeune fille grandit, se marie, reste dans cet
état
jusqu'au moment d'accoucher. Alors, on tranche la
e a fait pendant la journée, et, le matin, au réveil, elle est dans l'
état
d'une personne qui n'a pas dormi. Elle ne se rapp
ants Malades. seurs ne s'en inquiétèrent pas trop, en raison de l'
état
général excellent, mais l'affection persistant, o
Le larynx non plus n'est pas atteint, la voix est claire. Quant à l'
état
général il est aussi satisfaisant que possible :
nt l'intégrité absolue du larynx, des fonctions respiratoires et de l'
état
général, vient confirmer cette impression premièr
demain, en une seule séance, une guérison complète. La suggestion à l'
état
de veille n'ayant rien donné, on le plaça parles
plaça parles moyens habituels (pression des globes oculaires) dans un
état
de demi-sommeil particulièrement favorable pour l
Rapporteur: M. Noguès (de Toulouse) ; 2° Pathologie mentale: Des
états
anxieux dans les maladies mentales. — Rapporteur
ci même à ce sujet un détail tout à fait actuel qui peint très bien l'
état
de nos mœurs à cet égard. « Les religieuses se
l'afflux de sang au système nerveux central, lequel entrerait dans un
état
plus ou moins anémique. Les narcotiques, par exem
e la peau uniformes (2). Ainsi. l'attention passive qu'excitent à l'
état
de veille les impressions reçues par l'intermédia
nos rêves ne soit point essentiellement empruntée aux choses qui, à l'
état
de veille, nous intéressent ou nous occupent le p
produites en lui si ces circonstances se fussent présentées dans son
état
de veille. Les souvenirs aussi, d'où découle la m
e la matière d'un rêve, sont tout autres que ceux qui prédominent à l'
état
de veille. Une foule de souvenirs, tellement enfo
redeviennent conscients. On connaît le cas de cette servante qui, en
état
de narcose, se mit tout à coup à réciter en hébre
t d'énergie. Nous mentionnerons un autre trait caractéristique de l'
état
de rêve, qui consiste en ce que nous y avons un s
après, cette même jambe se paralyse. Ainsi, le rêve peut prédire un
état
pathologique plus ou moins prochain. 11 le prédit
leur souvenir reste vivace ou latent, ces rêves s'imposent aussi à l'
état
de suggestions: il commandent à l'organisme ; il
; il en modifient les diverses fonctions. Ce n'estpas ici parce que l'
état
pathologique va se produire qu'on le voit en rêve
ement. Le rêve est la cause déterminante, la cause génératrice de cet
état
; le rêve crée l'accident morbide; il est propreme
tes ne conservent point la forme subjective qu'ils revêtent pendant l'
état
de veille. Ils ont pour porte-parole des personna
é. Mais l'oubli n'est que relatif : une certaine mémoire subsiste à l'
état
latent dans la sphère subconsciente. D'autre pa
notre insu, s'emmagasinent et s'amoncellent avec la somme énorme des
états
de conscience en apparence oubliés. Ce sont ces s
? Du reste, les exemples ne sont pas rares de forces qui existent à l'
état
de fonction de la matière, sans la modifier quant
anomalies de la motricité ou de la force. Dans le premier groupe, l'
état
normal existe lorsque les facultés psychiques sup
e nous trouverons bien des degrés d'exagération ou de diminution de l'
état
normal, et nous allons voir que ces modifications
excitation plus violente ou plus prolongée. Nous pouvons appeler cet
état
hypoesthésie pour le mettre en regard de l'hypere
tion de la sensibilité nous conduit à l'autre point extrême. C'est un
état
tel qu'une excitation quelle qu'elle soit, ne pro
livrait difficilement au travail, était constamment essoufflé, et son
état
empirait tous les jours. Mardi soir, après un bai
lise Flamant s'est levée, a pu marcher. Les douleurs ont disparu. Son
état
s'est beaucoup amélioré. Mme Jeanne Turban, de
ient qu'elle a de diminuer la volonté. En revanche, la suggestion à l'
état
de veille peut produire d'excellents résultats. »
fidèle est la rééducation de la volonté, faite par suggestion dans l'
état
d'hypnotisme. L'hypnotisme a également été l'ob
t de la suggestion. Chez les animaux aussi se manifestent parfois des
états
analogues, dont quelques-uns étaient déjà connus
ux poison africain, entre périodiquement avec la saison sèche dans un
état
de léthargie, dans lequel il se dessèche avec le
ux manières de voir et parlait de kataplexie ou paralysie de terreur,
état
dans lequel certains centres d'enraiement seraien
avorables à la catalepsie. La suggestibilité est caractéristique de l'
état
hypnotique et est absente dans l'état cataleptiqu
bilité est caractéristique de l'état hypnotique et est absente dans l'
état
cataleptique. Malgré ces nombreuses objections,
de la suggestion, parce que nous ne savons pour ainsi dire rien de l'
état
de conscience de l'animal et que nous connaissons
connaissons moins encore la nature des modifications subtiles que cet
état
subit. Un médecin vitaliste et psychologue : J.
chrétienne par le stoïcisme ; mais incapable de vouloir — au fond cet
état
pathologique est de l'aboulie — il a sa première
es visites et remarque avec regret l'insuffisance, l'incertitude et l'
état
conjectural de la médecine. « Je savais, dit-il,
prendre et de se réveiller le lendemain matin, l'estomac dans le même
état
que la veille. Une odeur désagréable — par exem
ra d'apprécier plus loin. Pour le moment, revenons à l'homme, à son
état
nerveux, à ses crises, à ses hallucinations qu'il
à dédaigner. D'ailleurs, je me propose de noter par la photographie l'
état
de la verrue à chacune de nos séances de suggesti
lle contracte la rougeole. Il semble que celle-ci améliore un peu son
état
, car Mlle E. 0... peut, au commencement d'avril,
re. Vers le milieu de mai, les mains et les jambes sont en meilleur
état
; la malade peut monter et descendre un escalier,
keniki. Là on la traite par les bains, le massage et l'électricité. L'
état
de la malade s'améliore à vue d'œïl. Les articula
ée. Lorsque je la vois pour la première fois, le 28 février 1897, l'
état
de la malade est le suivant: Mlle E. O... est g
e bien plus grande importance. La vue du tabes du père a influé sur l'
état
psychique de la malade. (1) Sammlung Klin. Vort
. Deux ou trois fois, j'essaie, sans résultat, de la plonger dans l'
état
hypnotique. Alors j'ai recours à la suggestion pe
dans l'état hypnotique. Alors j'ai recours à la suggestion pendant l'
état
de veille. Je dis à la malade qu'elle va être tou
on estime que l'hypnotisme n'a pas été obtenu. C'est là une erreur. L'
état
hypnotique a été réalisé dans une certaine mesure
l'apparition du sommeil et lorsqu'on croit faire de la suggestion à l'
état
de veille on la fait dans un état hypnoide ou dan
on croit faire de la suggestion à l'état de veille on la fait dans un
état
hypnoide ou dans un des premiers degrés de l'hypn
ott, est une petite fille de cinq ans. Elle claudique encore mais son
état
général parait meilleur. M11e G. Precz est enco
n du T.-S. Sacrement, elle court, se meut, mange sans difficulté. Son
état
s'est bien amélioré. Plus loin, on trouve deux
-Marc (Pas-de-Calais), est arrivée à Lourdes Vannée dernière, dans un
état
de prostration alarmant. Atteinte de neurasthénie
ie Morel ne conservait plus la moindre trace de cette maladie, mais l'
état
neurasthénique n'avait subi qu'une amélioration p
suite d'un abcès situé au pli de l'aine. Dès l'arrivée à Lourdes, l'
état
général s'est amélioré sensiblement : l'appétit e
ifs. Mais la place du Rosaire garde tous ses pèlerins insoucieux de l'
état
du ciel et de nouveau clamant à la Vierge, de tou
roit de faire sortir ces faits de ce que je me permettrai d'appeler l'
état
anecdotique. Aussi n'en ai-je jamais tenu compte
nts sur cet acte important, qui joue un si grand rôle dans la vie à l'
état
normal et à l'état pathologique. Etudiant ensui
portant, qui joue un si grand rôle dans la vie à l'état normal et à l'
état
pathologique. Etudiant ensuite la formation des
and on suspend l'usage de la boisson en mangeant, ou encore pendant l'
état
fébrile ; enfin il pèse l'urine d'une jeune fille
e produite par un ferment acide ; la synovie qui est transparente à l'
état
normal devenant acide par te fait de la goutte, s
asion de rattacher à une cause psychique l'aggravation passagère de l'
état
général aussi bien que de la toux ou de l'aphonie
ce corps superbe que l'artiste fit chastement nu, fut adoré dans cet
état
par la foule des hommes. Alors chacun pouvait adm
à exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un
état
d'hallucination. un squelette l'accompagnant
Parlons des hallucinations de l'ouïe qui jouent un grand rôle dans l'
état
de Marie Alacoque. Le plus souvent ces hallucin
ce sont des cris, des injures, des vociférations ; enfin produisant l'
état
de manie aiguë, c'est le bruit d'une foule hurlan
le malade, l'intensité des hallucinations décroît en même temps que l'
état
aigu fait place à l'état chronique ; si la guéri-
s hallucinations décroît en même temps que l'état aigu fait place à l'
état
chronique ; si la guéri-son survient, les voix de
lucinations terrifiantes du diable et des feux éternels produisant un
état
de manie aiguë, qu'elle nous décrira dans son mém
le lui a dit, on s'est trompé. Récemment, elle présente un mauvais
état
général et digère mal. Elle va à l'hôpital. Au bo
écisent assez pour permettre d'amener les personnages d'autrefois à l'
état
de sujets de clinique ». En fait, rien n'est pl
e que grâce aux patientes recherches de l'auteur nous connaissons des
états
de cette femme que les révélations posthumes sont
des pratiques de sorcellerie dont le récit donne une idée exacte de l'
état
d'inhibition dans lequel devaient se mettre les m
la suggestion hypnotique. Dr Bérillon : La suggestibilité dans les
états
délirants d'origine infectieuse. Dr Paul Magnin
r admettre que : « La suggestion est l'opération par laquelle, dans l'
état
d'hypnotisme, et même dans certains états de veil
ération par laquelle, dans l'état d'hypnotisme, et même dans certains
états
de veille apparente (états hypnoïdes), on peut, à
l'état d'hypnotisme, et même dans certains états de veille apparente (
états
hypnoïdes), on peut, à l'aide de certaines sensat
on récente à la Société d'hypnologie et de psychologie (1), révèle un
état
d'aboulie nettement caractérisé. Ce syndrome abou
ractérisé. Ce syndrome aboulie est ordinairement caractéristique de l'
état
psychologique individuel du sujet. Il est un des
se manifeste essentiellement par l'apparition ou l'accentuation de l'
état
d'aboulie. L'individu semble, depuis ses ennuis o
rofessionnelle connue sous le nom de trac des acteurs. En résumé, l'
état
mental du malade est essentiellement caractérisé
n ne seront utilement faites que lorsque les malades ne seront pas en
état
d'ivresse, même légère. Dans l'état d'excitation
sque les malades ne seront pas en état d'ivresse, même légère. Dans l'
état
d'excitation alcoolique, les sujets les plus sugg
1), à l'arc protecteur d'Apollon. Sa crise apaisée, Oreste, dans un
état
de vague et de confusion où cependant il se rend
mi Hector et se tue en se jetant dessus. Il y a donc dans Ajax deux
états
psychopathiques qui se succèdent, plus ou moins l
ucinatoire nocturne, un accès de dépression mélancolique. De ces deux
états
, le grand tragédien a tracé un tableau aussi exac
ure, c'est que Hercule sort de sa crise absolument comme on sort d'un
état
de somnambulisme ou, ce qui revient au même, d'un
omme appartenant exclusivement à l'épilepsie. Il indique seulement un
état
cérébral d'intoxication. Telle est la pièce d'H
jours identiques a été souvent considéré comme l'indice habituel d'un
état
morbide. Mais, comme le dit fort bien M. Dubuisso
, le dédoublement de la personnalité sont les causes principales de l'
état
mental des hystériques. Au contraire, dans ces
extension, accolés l'un contre l'autre. Je demande depuis quand cet
état
dure et comment il a débuté. Voici les renseignem
a pendant toute sa vie et elles contribueront à la maintenir dans cet
état
de chloro-anémie si favorable à la production des
, « je tombai malade, dit-elle, dune « maladie qui me réduisit à un
état
si pitoyable que je fus quatre ans « environ sa
elle, quelques-uns des principaux bien caractérisés, par exemple, les
états
d'extase, les attaques petites et grandes de conv
un quart d'heure après quoi elle se réveille et sort lentement de son
état
; elle déclare dans un endroit du récit, que penda
aient rien d'extraordi- « naire et que, si je ne me retirais de cet
état
, on ne me recevrait pas à « la profession ». Ma
e jour ni la nuit. Marie Alacoque arrive à ce moment à un véritable
état
d'érotomanie et elle attribue à Jésus un véritabl
un véritable état d'érotomanie et elle attribue à Jésus un véritable
état
de priapisme : on lui fait garder une ânesse et s
é-« trèrent si fort, qu'il me semblait que je brûlais avec elle ; son
état
« pitoyable dans le purgatoire me fit verser des
uction juridique spéciale. De la sorte, le criminel sera mis hors d'
état
de nuire et s'il est possible, amendé. On ne verr
nnée 1902-1903 Première partie 19 Novembre. - - L'Hypnotisme et les
états
qui s'y rattachent. Sommeil. Rêves. 26 Novembre
26 Novembre. — Etats hypnotiques superficiels. Suggestion dite à l'
état
de veille. Auto-suggestion. 3 Décembre. — Etats
à la pratique de la psychothérapie, de rencontrer des malades dont l'
état
mental est carac-térisé par une prédisposition à
ons simplement vous montrer un sujet qui réalise au plus haut degré l'
état
d'hyper-hypnotisme. Chez lui, dès qu'il est hypno
st aussi suggestible que parce qu'il est facilement hypnotisable. A l'
état
de veille, M. D... est capable d'exercer ses facu
decin le désarme, l'hypnotise en un mot et réalise secondairement cet
état
d'hyper-suggestibilité que vous constatez. D'au
vous constatez. D'autres influences réalisent également chez lui un
état
hypnoïde, absolument analogue à l'état d'hypnose.
éalisent également chez lui un état hypnoïde, absolument analogue à l'
état
d'hypnose. L'émotion, la peur exercent une action
sa variabilité et sa curabilité, être plutôt sous la dépendance d'un
état
d'irritabilité passagère du système nerveux. La
tat d'irritabilité passagère du système nerveux. La disposition aux
états
vertigineux s'est manifestée de bonne heure. Leje
it tombé s'il n'avait été soutenu par un camarade. Actuellement ses
états
d'anxiété ont abouti à une véritable agoraphobie
circuler. Il doit être atteint d'hèméralopie, car il note que ses
états
d'anxiété augmentent à la chute du jour, au momen
e à laquelle il a été soumis a exercé son influence salutaire sur son
état
mental. Nous avons, par un entraînement progressi
. Nous avons, par un entraînement progressif, traité son aboulie, ses
états
d'émotivité morbide, ses phobies. Nous complétero
mique et d'un rythme particulièrement monotone et apte à produire cet
état
psychique que nous appelons « l'ataraxie ». Ils
udra faire entendre au sujet une tonalité mélancolique adéquate à son
état
mental et je partage absolument là-dessus l'opini
emps de durée nécessaire pour chaque tonalité. b). Le sujet est à l'
état
de veille. C'est à ce cas que nous aurons le plus
renversant la proposition, commencer par faire entendre au sujet, à l'
état
de veille, puisque l'état d'hypnose sera le plus
commencer par faire entendre au sujet, à l'état de veille, puisque l'
état
d'hypnose sera le plus souvent irréalisable, des
lades qui présentent des dissociations de la personnalité et dont les
états
de conscience se rapprochent par là de ceux des C
mais, loin d'y trouver le soulagement attendu, le malade, voyant son
état
s'aggraver davantage, fut obligé de tout abandonn
us souvent la convulsion était finie et je trouvais la malade dans un
état
de catalepsie, étendue sur son lit, sans connaiss
it jours. En moins d'une demi-heure, cette fille passa de cet étrange
état
à une santé parfaite ; elle se leva seule, s'habi
ggestion. Plus loin, comme si elle voulait mieux prouver encore son
état
hystérique et le rôle de la suggestion dans la gu
ièrement. Sa santé générale n'a pas été atteinte; mais elle a gardé l'
état
psychique particulier des traumatisés; elle est t
ncentrée, vit à l'écart, dort très mal et rêve perpétuellement de son
état
. Aujourd'hui encore, tout lui paraît trouble, e
complète à droite, moins étendue à gauche, lanes-thésie faciale et l'
état
mental, tout cela nous montre qu'il s'agit non pa
t de cette femme, un rapport médico-légal. J'exposerai l'évolution, l'
état
actuel et mon diagnostic sera : perte de la visio
BIBLIOGRAPHIE Influence de l'estomac et du régime alimentaire sur l'
état
mental et les fonctions psychiques, par M. le Dr
ges et je te dirai qui tu es » (Cabanis). En effet, le caractère et l'
état
psychique des divers peuples et des individus var
i, sous le nom de Polyzoisme, fut exposée, il y a un demi-siècle, à l'
état
non pas d'ébauche ou de rudiment, mais de synthès
sphérique, élaboraient 50 à 60 % de matières vivantes en moins qu'à l'
état
normal. Mais aussi un certain nombre d'expérime
es graines vivaces sont des graines endormies. Leur vie latente, leur
état
de « vitalité dormante », comme disent les Anglai
adif, notre remarque restera exacte, car on peut appliquer à tous les
états
pathologiques l'aphorisme « Krank-heit schafft ni
eau). Partant de là, Bernheim a pu dire : « Rien ne se passe dans l'
état
hypnotique qui ne se passe à l'état de veille »;
dire : « Rien ne se passe dans l'état hypnotique qui ne se passe à l'
état
de veille »; et, de leur côté, Moll et Leh-mann o
. Même si nous découvrons maint point de comparaison entre elle et un
état
normal de l'esprit, cela ne signifie pas qu'elle
normal de l'esprit, cela ne signifie pas qu'elle ne constitue pas un
état
très particulier et spécial. Par exemple la catal
ie n'est pas un simple phénomène physiologique ; mais elle suppose un
état
très anormal de la conscience et des agents moteu
elle devait se trouver, sans que cela le gênât en écrivant ; c'est un
état
que l'on pourrait appeler la dysgraphie. L'effet
entrée sur un objet unique le met dans ce que l'on pourrait appeler l'
état
de monoïdéisrne, de même que l'on pourrait peut-ê
que l'on pourrait peut-être considérer le sommeil ordinaire comme un
état
à'anidéisme, du moins pour ce qui concerne le som
t a signalé la chose (1) D'après lui l'hypnose débute toujours par un
état
d'inconscience complète, par l'absence de toute r
ète, par l'absence de toute représentation quelle qu'elle soit. A cet
état
d'anidéisme succède celui de monoïdéisme; dans le
fait, mais parce que nous l'avions prévu ; en revanche nous sommes en
état
de réprimer cette inclination en évoquant une pen
terme d'hypnotisme pour les procédés mis en usage afin de provoquer l'
état
d'hypnose et pour la science qui s'en occupe. (
ffrance. Par rapport aux actes suggérés, mais accomplis après que l'
état
d'hypnotisme s'est dissipé, il faut signaler le r
ne hypnose antérieure, quoique elle ne s'en souvienne pas du tout à l'
état
de veille. C'est comme si son cerveau était organ
rganise-en vue d'une double mémoire, une pour l'hypnose et une pour l'
état
de veille. On voit que la suggestion qui a été fa
ence de la cause vraie de son action, mais que, ramenée plus tard à l'
état
d'hypnose et ainsi à ce que l'on pourrait appeler
ions faites à quelqu'un pendant l'hypnose sont conservées par lui à l'
état
de souvenir latent, capable de se transformer plu
caniques fortes ou faibles, rapides ou lentes sur les hystériques à l'
état
de veille et d'hypnotisme. Or j'ai montré le pr
ieurs, secousses qui se propageaient ensuite à tout le corps. Cet
état
durait depuis plusieurs mois; et le malade ne pou
it en voulant prendre un tramway électrique de l'Est Parisien que cet
état
se développa. La secousse fut si vive que cet hom
pas, fait des imprudences. Il n'y a aucun danger à l'avertir de son
état
; l'avertissement sauf de rares exceptions, ne le
s avancée, ils sont extrêmement égoistes. Un malade me traduisait son
état
mental par ces mots : « Je suis anarchiste de la
ctés et épuisés. J'estime qu'il ne faut pas cacher au tuberculeux son
état
, mais, au contraire, le lui révéler; en lui prome
os jours se préoccupent de l'opportunité d'éclairer le malade sur son
état
. En révélant la vérité au tuberculeux, en lui app
, je suis également d'avis qu'un tuberculeux doit être prévenu de son
état
; mais je pense qu'il y faut des formes et des mén
'ils ont d'ordinaire très bon appétit. sinon, on les gave. Quant .à l'
état
mental de ces malades, il faut distinguer ceux qu
ession. C'est sous l'empire de ces fausses sensations, soit pendant l'
état
de veille, soit pendant la période d'extase ou so
n, M1le X... se fâche, élève la voix et ne rerient que lentement à un
état
de calme. Bien loin de cacher sa faute, elle la p
déformées, déprimées et qui, dans la plupart des cas, seraient hors d'
état
d'affronter la vie sauvage et libre avec tous ses
chaque cas particulier, il convient d'avoir plongé son malade dans un
état
plus ou moins accentué d'hypotaxie. Le sommeil
s tournantes, liseurs de pensées, médiums... 1. Pour comprendre l'
état
de suggestibilité et par suite pour analyser, au
lors il parle avec son seul polygone sans intervention de 0. 2. A l'
état
normal et physiologique, tous ces centres intervi
e qui est aux ordres du psychisme supérieur. Il faut donc trouver des
états
physiologiques dans lesquels il y ait une certain
ent réalisées dans la distraction et le sommeil, qui sont de bons
états
psychologiques pour étudier l'activité automatiqu
rai l'entraîne-ment grégaire, dont certains font de la suggestion à l'
état
de veille. Nous en reparlerons dans notre dernier
donc la première preuve de l'existence de l'automatisme supérieur à l'
état
physiologique et en même temps c'est le premier e
aux plaies intérieures; que pendant la veille, mais elles sont à l'
état
de tension dans un cas, de relâchement dans l'aut
qui leur pèsent sur la poitrine. Les rêves peuvent ainsi révéler un
état
somatique particulier. De là, dérivaient, pour le
t même une source capitale de renseignements, non seulement sur notre
état
psychologique, mais même sur notre état physiolog
ents, non seulement sur notre état psychologique, mais même sur notre
état
physiologique le plus intime, qui se réfléchit en
un bateau, naviguant vers Ténériffe : c'était un vertigineux avec un
état
nauséeux. Les sensations sont vraies dans leurs
i de cette thèse. Un côté curieux de la psychologie sommeil est l'
état
de la "mémoire. -I1 y a des rêves qu'on se rapp
us curieux de sujet retrouvant dans le rêve des souvenirs déposés à l'
état
de veille dans le polygone, inconsciemment, à l'i
ons inconsciemment reçues et emmagasinées. Ceci établit bien qu'à l'
état
physiologique l'activité de 0 inhibe, en quelque
es actes reprehensibles, dont 0 n'aurait pas autorisé l'exécution à l'
état
de veille. « J'ai mes défauts et mes penchants
veille. « J'ai mes défauts et mes penchants vicieux, dit Maury; à l'
état
de veille, je tâche de lutter contre eux, et il m
eux et agissant sur l'articulation de deux neurones sensitifs selon l'
état
d'attention commandé par le cerveau. Pupin (6)
que la distraction et le sommeil permettent déjà de bien analyser à l'
état
physiologique, chez des sujets bien portants, app
lades, ont leur centre 0 plus faible, plus facile à désagréger qu'à l'
état
normal. Ainsi le rêve peut, chez certains sujet
ions de l'activité polygonale, chez des sujets qui, sans être dans un
état
absolument normal, ne sont pas encore des malades
'ontpas seulement de la désagrégation suspolygonale, ils ont aussi un
état
spécial de leur polygone qu'il est indispensable
aître bien plus nettement dans l'étude de ' l'activité polygonale à l'
état
pathologique. (à suivre) Le sommeil chez les êt
'ailleurs, dans tous les cas, il est probable que la température et l'
état
hygrométrique de l'air agissent concurremment ave
olution. II. — Mouvements chimiques. — Il existe pour les fleurs un
état
hygrométrique optimum de veille. La fleur de So
On sait combien les enfants sont faciles à suggestionner, même à l'
état
de veille, et, comme un grand nombre de médecins,
un jeune garçon qui ne mangeait presque plus depuis un mois et dont l'
état
de faiblesse et d'amaigrissement avait alarmé sa
le renvoya au collège, et malgré une grande tendance aux phobies, son
état
reste assez satisfaisant. L'observation suivant
se trouva bien sans doute dé l'hydrothérapie, mais la. suggestion à l'
état
de veille, d'après la méthode Liébeault lui a été
i était consulté pour les enfants paresseux ou névrosés et dont l'
état
n'a jamais été amendé par les retenues et les pen
suggestion n à l'étal de veille »; on devrait dire : suggestion « à l'
état
de veille apparente ». En effet, le prestige du m
t une sorte d'intimidation c'est-à-dire qu'ils produisent chez lui un
état
d'inhibition, un état passif analogue à l'état d'
tion c'est-à-dire qu'ils produisent chez lui un état d'inhibition, un
état
passif analogue à l'état d'hypnose. Tel sujet qui
produisent chez lui un état d'inhibition, un état passif analogue à l'
état
d'hypnose. Tel sujet qui n'est pas suggestionnabl
ination d'un autre. L'enfant auquel on croit faire une suggestion à l'
état
de veille n'est plus à l'état de veille propremen
uquel on croit faire une suggestion à l'état de veille n'est plus à l'
état
de veille proprement dite; il est déjà monoidéisé
mise en jeu de l' « expectant attention », il tombe dans un véritable
état
d'hypnotisme fortuit. C'est à la faveur d'un « ét
traitement psychothérapique, il vaut mieux provoquer délibérément un
état
passif. Grâce à l'hypnotisme, la suggestion gagne
tteint de vices, de troubles nerveux, si après plusieurs tentatives l'
état
d'hypnotisme n'est pas obtenu, c'est que l'attent
chimiquement provoquée, nous sommes réduits à la suggestion pendant l'
état
de veille. Or celle-ci est, d'ordinaire, fort peu
des et fabriquent des toxines; leur nutrition générale est en mauvais
état
. Pour les guérir il suffit de rétablir chez eux c
les suggestions religieuses. Plus cette fraction est petite, plus l'
état
mental du groupe familial se rapproche de la norm
éo. » Les victimes de. l'hérédité. On a pu produire à New-York, l'
état
social, de la descendance d'une certaine Mme A.,
Dans la terminologie médicale, le mot hypnotisme sert à désigner l'
état
psychologique qui résulte d'une influence exercée
ement par un individu sur le système nerveux d'un autre individu. Cet
état
psychologique est caractérisé par l'apparition de
classiques. Nous nous bornerons à dire que les manifestations de l'
état
d'hypnose peuvent varier de la simple diminution
l se souvienne cependant lorsqu'il est de nouveau plongé dans le même
état
. Cette opinion de Braid a exercé au point de vu
urs l'oubli au réveil a été considéré comme le signe fondamental de l'
état
d'hypnotisme. La définition de Braid avait cepe
nomème qui marque d'une façon plus précise la limite qui sépare l'
état
normal de l'état hypnotique, c'est celui qui a ét
d'une façon plus précise la limite qui sépare l'état normal de l'
état
hypnotique, c'est celui qui a été désigné sous le
e que Durand de Gros s'assurait que ses sujets étaient plongés dans l'
état
d'hypnose. Il les considérait commehypnotisés, lo
s et cette inhibition constitue essentiellement le premier degré de l'
état
d'hypnotisme. La production de la paralysie psy
ysie psychique constitue donc une limite beaucoup plus naturelle de l'
état
d'hypnotisme que l'oubli au réveil. Or l'appari
ue n'est pas toujours le résultat d'une intervention expérimentale. L'
état
d'hypnotisme, qui consisté primitivement dans l'i
dividu sans qu'il y ail chez autrui aucune intention de provoquer cet
état
. En un mot, un homme peut s'auto-hj'pnotiser invo
esprit que l'on a désigné sous le nom d'expectant attention, certains
états
affectifs ou émotifs, la fatigue, peuvent favoris
otisation chez des individus prédisposés ou simplement ignorants. Les
états
psychiques que l'on désigne sous le nom de timidi
l'on désigne sous le nom de timidité ne sont le plus souvent que des
états
d'auto-hypnotisation incomplète. Les états hypnoï
nt le plus souvent que des états d'auto-hypnotisation incomplète. Les
états
hypnoïdes spontanés sont fréquemment le résultat
es du milieu jouent aussi un rôle considérable dans la production des
états
hypnoïdes. De plus la suggestibilité des individu
parait plus singulier, c'est qu'elles puissent être provoquées dans l'
état
de veille apparente aussi bien chez des sujets qu
er d'hypnotisme. Or, il est inadmissible de considérer comme étant en
état
de veille complète un être qui, tout à coup ne pe
rence si merveilleuse, de ce que Ton appelle à tort la suggestion à l'
état
de veille. En réalité, la puissance de la suggest
mé qu'ils avaient obtenu un résultat thérapeutique par suggestion à l'
état
de veille on démontrerait d'une façon évidente qu
uatre ans, je soutenais à mon ami, M. P. Janet, que la suggestion à l'
état
de veille était capable de faire disparaître même
peuvent plus être fléchis, et qu'en réalité l'enfant est réduit à un
état
d'infirmité complet. « Je réunis au dispensaire
ru, sauf deux ou trois qui semblaient être restées comme témoins de l'
état
intérieur. Je pris le bonhomme comme la première
e forte intimidation, et il prétend qu'il a fait de la suggestion à l'
état
de veille. En réalité, cet enfant se trouvant e
t ont complété l'influence et il s'est trouvé placé dans un véritable
état
d'hypnose fortuite. Cela a été réalisé d'autant p
enfant l'inhibition du pouvoir de contrôle, c'est-à-dire un véritable
état
d'hypnotisme, il n'aurait obtenu aucun résultat t
rs résultats thérapeutiques à la seule influence de la suggestion à l'
état
de veille. Lorsqu'on parle d'hypnotisme, il imp
bservations de résultats thérapeutiques obtenus par la suggestion à l'
état
de veille, la démonstration que les suggestions o
par des manœuvres capables de provoquer l'hypnotisme fortuit- cet
état
sous deux aspects : 1° l'hypnotisme expérimental
isme fortuit est d'une observation difficile. Régi par le hasard, cet
état
nerveux laisse celui qui le présente à la merci d
n améliorer le fonctionnement. La réalisation, chez un individu, de l'
état
d'hypnotisme et des modifications nerveuses ou me
et. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (1) (suite) II L'hypnose ou
état
de suggestibilité Par M. le Dr Grasset professe
ne peuvent pas servir à la carac- tériser; seule caractéristique :
état
de suggestibilité. 2. Il ne faut pas confondre
cte ou d'image et toute persuasion. 3. Analyse psychologique de l'
état
de suggestibilité : éléments consti- tuants, ca
actéristiques et distinctifs. 4. Objections à cette conception de l'
état
de suggestibilité : exposé et discussion. 5.
t conclusions. I. Nous allons appliquer à l'analyse de l'hypnose ou
état
de suggestibilité les quelques données de physiol
e un sujet, bien disposé, en hypnose complète. En quoi consiste cet
état
, qu'est-ce qui le caractérise essentiellement?
ssentiellement? Nous ne trouverons pas cette caractéristique dans l'
état
de la motilité du sujet endormi. (1) Voir le n°
l'hypnose on peut indifféremment observer, suivant les cas, tous les
états
de la motilité, du relâchement, de l'atonie et de
t aujourd'hui comme en 1889 et tout le monde admet actuellement que l'
état
de la motilité ne peut pas donner la caractéristi
donner la caractéristique de l'hypnose (3). Il en est de même de l'
état
de la sensibilité. Beaucoup de sujets sont insens
ptômes psychiques de l'hypnose, il est facile de voir encore que ni l'
état
de la mémoire, ni (1) Paul Richer et Gilles de
Leçons de clin. médic.,t.I,p.261. la profondeur du sommeil, ni l'
état
de la conscience ne nous fourniront la caractéris
, mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est plongé dans le même
état
. Et, de fait, l'oubli au réveil a été considéré p
été considéré par beaucoup d'auteurs comme le signe fondamental de l'
état
hypnotique (1)». Il n'en est rien. Car, s'il y a
squ'à la fascination et à un sommeil si léger qu'on le confond avec l'
état
de veille. Et si la plupart des sujets n'ont pas
sion que le seul caractère constant, spécifique de l'hypnose, c'est l'
état
de suggestibilitè : un sujet en hypnose est, par
pose maintenant ainsi : qu'est-ce qu'une suggestion? qu'est-ce que l'
état
de suggestibilite? 2. Synthétiquement, dans l'é
qu'est-ce que l'état de suggestibilite? 2. Synthétiquement, dans l'
état
de suggestibilite et dans la suggestion, il y a b
e, il y a des analogies, mais il n'en reste pas moins, entre les deux
états
, cette différence capitale, que la distraction es
tinguer la maladie mentale, qui est pourtant une triste réalité, de l'
état
psychologique normal ». La distinction est si r
conséquence pratique, la grande distinction classique reparait : à l'
état
physiologique, nous avons la liberté et la respon
est que tout le monde n'est pas hypnotisable, ne peut pas être mis en
état
de suggestibi-lité. Je dois insister un peu sur
isme... Pour beaucoup de médecins, le sommeil hypnotique constitue un
état
anormal, antiphysiologique, si ce n'est pathologi
erveau, la suggestibilité. Il n'y a pas d'hypnotisme ; il n'y a pas d'
état
spécial méritant ce nom... » Et ailleurs, parla
inonde n'est pas hypnotisable, tout le monde ne peut pas être mis en
état
de suggestibilité ; donc, l'hypnose et la suggest
e paragraphe un peu long mais capital) en disant que l'hypnose est un
état
particulier, extraphysiolo- (1) Bernheim consid
aspère le système nerveux. Peu importe que cette souffrance dénote un
état
grave ou non. Qui ne connaît l'égoisme du phtisiq
e de gestes cl de phrases qui laissent de la lassitude après eux. Cet
état
de dépression habituel s'accompagnant de sentimen
d'ouvrages qui traitent de leur mal. Non qu'ils ne s'occupent de leur
état
morbide ; seulement, ils s'attachent encore à aut
goutteux. Seulement cette mollesse de volonté se double chez eux d'un
état
anxieux liéaux premiers accidents de l'hypertensi
sychothérapie préventive consisterait, après les avoir placés dans un
état
psychique particulier, dans un état de passivité
t, après les avoir placés dans un état psychique particulier, dans un
état
de passivité mentale, à leur énumérer toutes les
ilà ce qu'elle réclame. La nuit, elle ne dort pas et présente le même
état
que pendant la journée. Au bout de quelques jours
met à manger, reprend ses occupations et ne tarde pas à revenir à son
état
normal. C'est, du moins, ainsi que les choses se
cence coutumière ; depuis plus de six mois, notre malade souffre d'un
état
pathologique qui parait s'être installé d'une man
ant. Sombre, taciturne, amaigrie, décharnée, elle se présente dans un
état
de prostration profonde. Disons quelques mois d
tions achèvent de la désemparer et accroissent le déséquilibre de son
état
mental. Impressionnable, exagérée, enthousiaste
ourrait l'exprimer par des images visuelles ou motrices. C'est d'un
état
délirant qu'il s'agit : ce que les esprits lui di
s de persécution il n'y avait qu'un pas; il a cherché la cause de son
état
et il l'a trouvée dans l'intervention de la tireu
és, à délivrer le malade de ses obsessions, n'a que peu de valeur à l'
état
de veille, étant donné que le cerveau de ce derni
donné que le cerveau de ce dernier, non seulement ne se trouve pas en
état
de réceptivité, mais en état de défense. Nous ne
rnier, non seulement ne se trouve pas en état de réceptivité, mais en
état
de défense. Nous ne voulons pas dire que l'on doi
lui attribuer qu'une très faible valeur curative... La suggestion à l'
état
de sommeil provoqué peut rendre et a rendu des se
'aliéné n'est pas accessible à l'hypnose. II faudrait donc trouver un
état
tel « que la suggestion ait prise sur l'aliéné, q
il sera presque sans défense et n'essayera guère de résister. Or, cet
état
favorable existe, il est physiologique, il est no
osition des aliénés tous les moyens de distraction compatibles avec l'
état
d'internement. _ H. L. Essai sur les causes m
nos soins les plus assidus, si nous voulons que le corps soit en bon
état
. » h. l. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Sociét
lui-même finit par y croire. Par la suite, Mahomet tombait dans un
état
extatique toutes les fois qu'il récitait des vers
éloquents, leur geste, leur voix, leur mode de parler diffèrent de l'
état
normal; après l'excitation, ils tombent dans le s
ent dans le sommeil et au réveil ne se rappellent plus de rien. Cet
état
se retrouve chez les prophètes, et prouve pour le
'ailleurs la (1) On donne aussi le nom de prophète à celui qui, a l'
état
d'extase, révèle l'avenir. S'il s'agit de révélat
ns. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (l) (suite) II L'hypnose ou
état
de suggestibilité Par M. le Dr Grasset profes
upérieur on voit que deux éléments sont nécessaires pour constituer l'
état
de suggestibilité. C'est d'abord la désagrégati
e moi », c'est-à-dire 0. Mais ce n'est pas tout. Dans bien d'autres
états
il y a ainsi désagrégation suspolygonale et il pe
il y a ainsi désagrégation suspolygonale et il peut ne pas y avoir d'
état
suggestible : ainsi chez beaucoup de cataleptique
l'action de leur 0. Il faut donc un second élément constitutif de l'
état
de sug-gestibilité. Ce second élément nécessair
if de l'état de sug-gestibilité. Ce second élément nécessaire est l'
état
de malléabilité du polygone ; c'est l'obéissance
e dans ses parties normalement « réservées ». Preuve nouvelle que l'
état
de suggestibilité et de suggestion n'est pas un é
e nouvelle que l'état de suggestibilité et de suggestion n'est pas un
état
normal. Le polygone garde d'ailleurs son activi
spolygonales centrifuges sont seules nécessairement supprimées dans l'
état
de suggestibilité : le centre 0 n'a plus aucune i
te très obscur], mais la conception psychologique la plus simple de l'
état
de suggestibilité C'est un polygone émancipé de s
critique. » Oui, c'est dans 0 que réside l'esprit critique et dans l'
état
de suggestibilité 0 est réduit à l'impuissance; c
systématisation totale des énergies du moi ». C'est très juste. A l'
état
normal, 0 et le polygone collaborent et leurs act
collaborent et leurs activités sont inextricablement unies. Dans les
états
anormaux (l'état de suggestibilité notamment;, il
urs activités sont inextricablement unies. Dans les états anormaux (l'
état
de suggestibilité notamment;, il y a au contraire
entale suspolygonale, qui est pour nous la base de la conception de l'
état
de suggestibilité. Cependant, immédiatement après
et de psychol., 1900, p. 11 et 12. est réduite temporairement à l'
état
d'automate, c'est en outre une personne qui subit
une sorte de psychose, d'un genre particulier, ou mieux, une sorte d'
état
pathologique spécial, plus fréquent chez les indi
le sommeil trop profond et l'absence de rêve constituent également un
état
morbide. Or, cela nous amènerait à étudier le rôv
classification : a) Tantôt le rêve musical peut avoir pour cause un
état
physiologique "particulier qui donne naissance à
Tantôt le rêve musical" est la suite de préoccupations éprouvées à l'
état
de veille (tel est l'exemple de Tartini) L'espr
veille (tel est l'exemple de Tartini) L'esprit fortement tendu à l'
état
de veille est occupé d'idées-sons ou d'images mus
rence du rêve. d) Il y a. enfin, les rêves suggérés à des sujets en
état
d'hypnose, mais nous n'en étudierons pas aujourd'
s à considérer les origines du rêve musical chez un individu sain à l'
état
de sommeil ordinaire et laisserons aussi de côté
rdinaire et laisserons aussi de côté l'étude de l'extase musicale à l'
état
de veille et des rêves chez les sujets malades.
lle de l'idée créatrice, d'une représentation purement psychique. A l'
état
normal, on ne peut pas confondre entre eux ces di
s toutes différentes; mais chez l'individu dont la mentalité offre un
état
pathologique même peu accentué ou seulement dont
psycho-physiologie, on pourrait attribuer les rêves musicaux dus à un
état
physiologique à différentes causes. Suivant Schrœ
ques au point de vue des causes du rêve musical : Le sujet qui, à l'
état
de veille, n'aura pas cessé de vouloir réaliser c
n de cette harmonie pour « nourrir » leur esprit ; ce même sujet, à l'
état
de rêve, pourra sentir cette appétition subsister
les de chacune des autres fonctions cérébrales qui paraissent être en
état
de repos, n'ont fait, en réalité, que se combiner
e Dr Rouby écrit : « Marie Alacoque arrive à ce moment à un véritable
état
d'érotomanie, et elle attribue à à Jésus un vérit
véritable état d'érotomanie, et elle attribue à à Jésus un véritable
état
de priapisme : on lui fait garder une ânesse et s
n'offre rien de particulier ; tous les organes phonateurs sont en bon
état
. Quant à la parésie du facial inférieur, c'est un
t point l'influence que l'imitation peut jouer dans la production des
états
hypnotiques. Il est probable que le médecin du th
11 mai. — Introduction à l'étude de l'hypnotisme. — Le sommeil et les
états
analogues. — L'hypnose et le sommeil provoqué. —
ose et le sommeil provoqué. — L'inhibition et la dynamogénie dans les
états
hypnotiques. — La théorie du neurone. — L'hypotax
e du neurone. — L'hypotaxie et l'idéoplastie de Durand de Gros. — Les
états
hypnoïdes. Vendredi 15 mai. — La technique de l
edi 5 juin.—Applications de la psychothérapie à la psychiatrie. — Les
états
hypocondriaques. — Les obsessions. — Les idées fi
ises, sur le caractère essentiellement professionnel que revêtent les
états
d'anxiété, les peurs morbides, désignés sous le n
eur profession que les malades voient apparaître les angoisses et les
états
d'anxiété dont l'intensité est telle qu'elle se t
. Sur les instances de sa famille, nous arrivâmes à la plonger dans l'
état
d'hypnotisme, et ce fut réellement sous l'influen
ner la carrière théâtrale. Quatre séances de suggestion faites dans l'
état
d'hypnotisme profond, l'ont complètement guéri de
plus grande peur de l'hypnotisme. Trois séances de suggestion dans un
état
d'hypnose très légère, ont amené la disparition d
e répétition. La veille de la répétition générale, elle était dans un
état
de dépression des plus accentués et avait pris la
odi- (1) Médecine moderne et Revue médicale. Mai 1897. fier son
état
. Une seule suggestion lui fut faite, clans l'hypn
lus reproduit dans cet opéra. Elle a conservé, lorsqu'elle chante, un
état
d'émotivité qui ne l'abandonne jamais, mais qu'el
vité qui ne l'abandonne jamais, mais qu'elle distingue nettement de l'
état
du trac, qui paralyse ses moyens. Ce qui l'avai
Observation IV Trac des chanteurs. — Guérison par la suggestion à l'
état
d'hypnose légère. Mlle X..., élève du Conservat
lève du Conservatoire, à la veille du concours d'opéra, éprouvait des
états
d'anxiété qui s'accompagnaient de tics nerveux de
tics nerveux de la tête et du cou. Quelques séances de suggestion à l'
état
de veille lui permirent d'affronter les difficult
s très satisfaisantes. Elle put même conquérir une récompense que son
état
névropathique ne lui eût pas permis d'espérer.
otisable, il a vu à la suite de quelques séances de suggestion dans l'
état
d'hypnose s'amender tous les troubles vaso-moteur
ypnose s'amender tous les troubles vaso-moteurs qui compliquaient ses
états
d'anxiété et les lui rendaient intolérables. No
méthode rigoureuse dont voici les temps principaux : 1° Provoquer l'
état
d'hypnotisme, c'est-à-dire un état physiologique
emps principaux : 1° Provoquer l'état d'hypnotisme, c'est-à-dire un
état
physiologique caractérisé par la diminution des d
e trac. 4° Lorsque ces suggestions ont reproduit artificiellement l'
état
anxieux, neutraliser les images mentales génératr
océdés psychologiques, en y associant les médications indiquées par l'
état
général du sujet, amène des guérisons remarquable
ée. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (1) (suite) II L'hypnose ou
état
de suggestibilité Par M. le Dr Grasset profes
on des facultés subliminales. » De même, pour Magnin (2), « c'est l'
état
d'automatisme qui est caractéristique de l'hypnos
la suggestibilité, dans cette conception, n'est plus tout à fait de l'
état
normal, puisqu'il y a ici « inertie des centres m
des centres modérateurs et du contrôle intellectuel », tandis qu'à l'
état
normal « l'étage supérieur du cerveau » c'est-à-d
conscience » qui, dit-il, « a été appliquée d:abord par H. Taine aux
états
hypnotiques et approfondie plus tard par Pierre J
Il me parait ressortir de cette discussion que notre conception de l'
état
de suggestibilité et de la suggestion ne m'est en
Je résume, une dernière fois, cette théorie d'un seul mot : dans l'
état
de suggestibilité, le polygone est séparé de son
ntrer en quoi la suggestion se rapproche d'un certain nombre d'autres
états
, plus ou moins similaires, et ensuite en quoi ell
moins similaires, et ensuite en quoi elle se différencie de ces mêmes
états
; en d'autres termes, je vais essayer de préciser
mêmes états ; en d'autres termes, je vais essayer de préciser, pour l'
état
de sug-gestibilité, les caractères de la famille
enir un savant réputé dans son art, le travail n'est pas terminé. L'
état
psychique du stomacal. par M. le Dr de Bourgade
us grand charrieur de germes de notre économie. La description de l'
état
psychologique du stomacal reviendrait donc à fair
ue la faculté la plus atteinte est la motilité. Le malade est dans un
état
de semi-hémiplégie. Voilà un fait très instruct
'épouvante. Nous pouvons maintenant nous expliquer la raison de cet
état
: Ses centres moteurs sont Atteints. Avec ses c
à-dire qu'ils n'ont plus de volonté. Ce sont des abouliques. Et cet
état
se déduit le plus naturellement du monde de celui
fait un reproche d'avoir souligné les phrases où est mis en relief l'
état
mental de Marie Alacoque ; nous sommes coupable d
son par la suggestion hypnotique. Dr Paul MaGnin : Interprétation d'
états
hypnotiques survenus spontanément chez des hystér
de : Influence des fermentations digestives sur le caractère et les
états
mentaux. D-Prosper van Velsen (de Bruxelles) : 1°
in : Présentation d'un appareil pour l'hypnotisa-tion. D" Doyen : L'
état
mental des opérés. Dr Demonchy : Paralysie vési
Bourgade La Dardye, p. 367. Estomac et du régime alimentaire sur l'
état
mental et les fonctions psychiques (Influence de
00. Somnoforme et suggestion, par Paul Farez, p. 254. Stomacal (L'
état
psychique du), par de Bourgade La Dardye, p. 36
vant. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (1) (fin) II L'hypnose ou
état
de suggestibility Par M. le Dr Grasset profes
ntpellier 5. La famille de l'hypnotisme est constituée par tous les
états
dans lesquels il y a désagrégation suspolygonale
us ou moins complète. Dans cette famille, nous trouvons d'abord des
états
physiologiques comme l'état de distraction et l'é
cette famille, nous trouvons d'abord des états physiologiques comme l'
état
de distraction et l'état de sommeil avec rêve.
ons d'abord des états physiologiques comme l'état de distraction et l'
état
de sommeil avec rêve. « Les rêves, dit Macario
alogie avec les distractions, qui sont, pour ainsi dire, le rêve de l'
état
de veille. Les uns et les autres découlent d'une
est précisément basée sur ces analogies de la suggestion avec divers
états
physiologiques : nous en avons combattu la généra
s. Grandes encore sont les analogies de la suggestion avec certains
états
extraphysiologiques, dont j'ai déjà parlé, le cum
dresse directement au polygone du sujet qui obéit. Enfin il y a des
états
nettement pathologiques dans lequels on observe é
ale, de l'émancipation polygonale. Ce n'est pas à dire que tous ces
états
soient identiques et doivent être confondus. A cô
haque espèce. Ces caractères, particuliers à l'espèce, se tirent de l'
état
du polygone et de son activité propre. Ainsi da
l'état du polygone et de son activité propre. Ainsi dans aucun des
états
physiologiques dont je viens de parler, le polygo
mpuissance. Dans le spiritisme, comme dans l'hystérie et les autres
états
pathologiques (catalepsie, somnambulisme...) il y
tats pathologiques (catalepsie, somnambulisme...) il y a très souvent
état
de suggestibilité : dans ces cas nous n'avons nat
nt pas de caractères différentiels à rechercher. Mais dans ces divers
états
morbides il y a d'autres caractères distinctifs q
pas malléable du tout. Dans la catalepsie, le polygone est dans un
état
tout spécial d'inertie, qu'on ne peut pas confond
s assez spéciaux pour empêcher de confondre l'hypnose avec les autres
états
faisant partie de la même famille physiopathologi
ces idées, mon distingué collègue Vires (2) dit : « il existe donc un
état
du système nerveux qui ne se distingue nullement
système nerveux qui ne se distingue nullement du sommeil naturel. Cet
état
, c'est l'hypnotisme... » Et cependant Vires ajo
pour n'avoir pas besoin d'insister davantage: pour moi, l'hypnose ou
état
de suggestibilité n'est pas un phénomène physiolo
. cit., p. 93 et 91. certains cas, la suggestion est possible à l'
état
de veille, c'est-à-dire que l'état de suggestibil
as, la suggestion est possible à l'état de veille, c'est-à-dire que l'
état
de suggestibilité ou une certaine forme d'hypnose
ommeil naturel, le sujet présentant au contraire tous les signes de l'
état
de veille. Donc l'hypnose ne peut pas être confon
tre la léthargie, la catalepsie et le somnambulisme hypnotique et les
états
de même nom appartenant à l'hystérie, il n'existe
Gilles de la Tourette que cette différence, à savoir que les premiers
états
sont provoqués, les autres spontanés (2)... Une s
z les sujets hypnotisés peuvent se rencontrer sur des hystériques à l'
état
de veille et font éventuellement partie du cortèg
acun d'eux peut exister isolément chez des hystériques en dehors de l'
état
d'hypnose provoquée, n'est-on pas en droit de les
grand argument de Gilles de la Tourette et de Pitres est que ces deux
états
nerveux (hystérie et hypnose) sont faits des même
. Rien de plus juste; mais cela ne prouve en rien l'identité des deux
états
. Charcot a, depuis longtemps, rappelé, à propos
autre, montré que l'hystérie ne doit pas être confondue avec tous les
états
morbides qu'elle peut simuler. Certes, les hyst
e ferai seulement remarquer que si l'hypnotisme ne peut simuler aucun
état
organique du système nerveux et ne peut reproduir
hypothèse de certains neurasthéniques hypnotisables (p. 197). Donc, l'
état
de suggestibilité et l'hystériene doivent pas êtr
sitions suivantes : La caractéristique de l'hypnose n'est ni dans l'
état
de la motilité, ni dans l'état de la sensibilité,
éristique de l'hypnose n'est ni dans l'état de la motilité, ni dans l'
état
de la sensibilité, ni dans le degré de profondeur
la sensibilité, ni dans le degré de profondeur du sommeil, ni dans l'
état
de la mémoire ou de la conscience — mais uniqueme
ans l'état de la mémoire ou de la conscience — mais uniquement dans l'
état
de suggestibilité. (1) « J'ai déjà développé ce
e à ses divers degrés et qui ne s'observe pas chez tout le monde. L'
état
de suggestibilité est caractérisé par la désagrég
ale et la sujétion complète du polygone au centre 0 de l'hypnotiseur (
état
de malléabilité du polygone) : c'est un polygone
entre ? étranger. Il faut rapprocher, mais distinguer, l'hypnose ou
état
de suggestibilité des états suivants : distractio
rapprocher, mais distinguer, l'hypnose ou état de suggestibilité des
états
suivants : distraction, sommeil naturel, cumberla
Une première tentative d'hypnotisation fut suivie de succès. Dans cet
état
, je lui fis la suggestion de se lever le lendemai
tique ainsi que d'une gymnastique appropriée et graduée, faite dans l'
état
d'hypnotisme, la guerison fut promptement obtenue
sse ! La première et la plus claire manifestation extérieure de cet
état
psychologique, qui ressemble fort à une petite fo
aque cas particulier; c'est de plonger tout d'abord le malade dans un
état
rie réceptivité telle que cette suggestion curati
ue l'on n'est point parvenu à hypnotiser peuvent être plongés dans un
état
de passivité plus ou moins accentué; toutes leurs
bjection suivante : « Les sujets que vous somnofor-misez sont dans un
état
analogue à celui que produit le chloroforme. (1
ement. Il est faux que les chloroformisés présentent nécessairement l'
état
qu'on vient de décrire. Même sous le chloroforme
apparitions qui surviennent chez un grand nombre d'individus, à l'
état
tout à fait normal ; elles constituent une sorte
affirmations il a présenté un certain degré de vie psychique. • L'
état
psychologique au moment du réveil est souvent for
cette hilarité. Le souvenir, en tant que représentation, a disparu; l'
état
émotionnel subsiste alors même que sa cause a dis
nifiera le malade, on le raisonnera, on lui fera de la suggestion à l'
état
de veille ou pendant l'hypnose, si c'est nécessai
othérapie conjointement avec la suggestion a notablement amélioré son
état
avant qu'elle fui devenue enceinte. Dès les pre
nt, la face rutilante, le verbe haut. Jamais personne ne les a vus en
état
d'ivresse Pourtant ils boivent: oh! ce sont des a
gais, brillants, pleins d'entrain et sortent de chez eus dans un
état
d'excitation qui n'est au fond que le premier deg
ue n'était point absolument suspendue. Quoi qu'il en soit, dans cet
état
d'hypernarcose, le sujet est peu impressionnable,
directe, bien entendu. A l'extrême opposé, nous pouvons obtenir un
état
d'hypoxarcose, si je puis ainsi dire Contrairemen
de même qu'on dit conscience subliminale); et notre sujet sera dans l'
état
que je vais décrire. Au point de vue musculaire
* ¦ * En résumé, l'on peut, avec le somnoforme, produire trois
états
psychologiques nettement tranchés: 1° L'hyperna
conscience et quelques caractères qui permettent de la rapprocher des
états
seconds ou des états d'automatisme ; 3° L'hvpon
s caractères qui permettent de la rapprocher des états seconds ou des
états
d'automatisme ; 3° L'hvponarcose ou narcose sub
de la suggestionnabilité. Au point de vue psychologique, ces trois
états
sont qualitativement distincts ; il n'en saurait
que, par contre, ils ne comportent que des différences de degré ; des
états
intermédiaires surviennent qui servent, pour ains
iaires surviennent qui servent, pour ainsi dire, de passage entre les
états
nettement définis que nous sommes obligés de sché
on avant que la narcose ait pu s'installer, le sujet ne dépasse pas l'
état
d'hyponarcose aussi longtemps que dure la suggest
éveil, la narcose ne survient pas et le sujet reste dans un continuel
état
d'hyponarcose. Il y a plus. Etant donné que, ch
vera que, en dépit d'une dose double, cet individu ne dépassera pas l'
état
d'hyponarcose, si la suggestion est faite, sans a
fidèlement les termes mêmes par lesquels mes sujets traduisaient leur
état
. Loin de tromper l'espérance que j'avais fondée l
ont. Ce qui en tout cas est certain, c'est qu'il existe de nombreux
états
intermédiaires entre la conscience et l'inconscie
ats intermédiaires entre la conscience et l'inconscience ; il y a des
états
demi et sous-conscients^ et souvent la vie psychi
oulues, il n'y a pas une conscience existant en soi, mais une série d'
états
conscients. Nous ne connaissons pas la conscience
e représente pas non plus une force spéciale, puisqu'elle n'est qu'un
état
fie mouvement ne se transforme pas en conscience,
un sentiment d'identité qu'éprouve l'individu à l'égard d'une série d'
états
conscients, qui ont laissé chez lui des traces de
is on sait combien il est difficile au médecin de se renseigner sur l'
état
de son malade et même sur les manifestations de l
s manifestations de la maladie. D'abord il est bien peu de malades en
état
de décrire avec quelque exactitude, même les sens
linguistiques suivants: a Le frein de la langue, lorsqu'il est à l'
état
normal ou un peu prolongé de manière à embarrasse
ici venir la mode d'absorber de l'eau camphrée ou même dû camphre à l'
état
solide. La camphoromanio est spéciale aux élégant
née. L'examen de cet homme ayant révélé, dans son passé et dans son
état
actuel, des stigmates manifestes d'hystérie, l'au
degré des hommes qui s'arrogent le droit d'apprécier et de définir l'
état
mental des autres, se désintéressent de tout ce q
que l'esprit de routine est surtout la caractéristique de leur propre
état
psychologique. En réalité, le dédain qu'ils profe
à jeter une vive lumière sur le mécanisme intime delà production des
états
de l'hypnotisme et nous nous ferons un devoir de
roît sa réceptivité; on suspend ses résistances; on le plonge dans un
état
de passivité, d'inertie, de torpeur, de somnolenc
talle dans la conscience ou dans la subconscience suivant les cas, un
état
de monoîdéisme, lequel développe efficacement ses
cho-sensorielles, je réalise tantôt l'un, tantôt l'autre de ces trois
états
psychologiques : narcose proprement dite, hyper-n
euil mais ne le franchit pas; c'est une narcose subliminale. Dans cet
état
, la conscience est restreinte, mais exaltée; elle
rendre certaines idées-fixes ignorées (lu malade lui-même pendant son
état
de veille. II y a là, on le voit, une nouvelle fo
L'hyponarcose, surtout si elle est très légère, met le malade dans un
état
qui rappelle la lucidité de certaines somnambules
rnarcose peut suffire à le mater et à le rendre, à l'avenir, même à l'
état
de veille, très docile à la direction du praticie
se laisser suggestionner par les moyens ordinaires. Quand, pendant l'
état
de veille, on veut modifier leurs conceptions dél
leur cas. C'est donc, pour ainsi dire, malgré eux, qu'on modifie leur
état
mental, en agissant sur leur subconscient. Pend
mposée soit par un particulier, soit par une collectivité. Dans cet
état
de narcose doivent être également suggestionnés c
à l'hypnotisme. D'autre part, toute suggestion faite chez eux dans un
état
insuffisant d'hypotaxie glisse ou s'émousse. Plon
i imposent en quelque sorte une sourdine; ils se maintiennent dans un
état
moral très satisfaisant et, dès lors, la vie leur
endorment pas du tout, mais ils sont très faciles à suggestionner à l'
état
de veille. Les malades se réveillent eux-mêmes
, il présentait celle qui convient au crime. En effet, il abandonna l'
état
ecclésiastique et se mit à la tête d'une troupe d
e suggestibilité comme il y a anesthésie et hyperesthésie. . Dans l'
état
normal la faculté de suggestibilité présente des
t-il trop peu de suggestibilité, on arrive à l'entêtement, qui est un
état
anormal. Y a-t-il trop de suggestibilité, on ar
anormal. Y a-t-il trop de suggestibilité, on arrive de nouveau à un
état
anormal comparable à l'hyperesthésie. En d'autr
at anormal comparable à l'hyperesthésie. En d'autres termes : A l'
état
normal : le cerveau accepte avec jugement. A l'ét
es termes : A l'état normal : le cerveau accepte avec jugement. A l'
état
d'entêtement : le cerveau n'accepte pas. A l'état
avec jugement. A l'état d'entêtement : le cerveau n'accepte pas. A l'
état
d'hypersugestibilité, de nature hystérique, ou au
n'ait pu intervenir. Pour cela il faut ramener la suggestibilité à 1
état
normal, et ceci exige souvent beaucoup de diploma
étantcelle de voyageur de commerce, il est bientôt réduit presque à l'
état
de misère. Je lui donne la suggestion de ne plus
ulement j'ai pu maintenir ce malade pendant près de trois ans dans un
état
de calme d'esprit étonnant, vu que le patient se
x volumineux à la levre inférieure. Par suggestion, elle tombe dans l'
état
de sommeil profond avec anesthésie complète. Un c
is trois semaines 24 hoquets par minute. Elle arrive chez moi dans un
état
très inquiétant. Je lui dis de fermer les yeux et
t il m'est arrivé il y a 6 ans de tenir une grande hystérique, dans l'
état
somnambulique, pendant cinq mois sans la réveille
de songer à l'internement, il est naturel que l'on fasse constater l'
état
mental du malade par un eminent spécialiste et si
France, les cardiaques deviennent aisément émotifs : déjà vibrant à l'
état
normal, le système nerveux du Français se trouve
ire, elle a entraîné tout aussitôt une amélioration considérable d'un
état
sanitaire, depuis cette époque, en progression co
n, hypnotisme et suggestion, tout celà constitue pour eux ou bien des
états
identiques, que l'on doit cacher, ou bien des pra
ldats et des marins reconnus comme susceptibles de suggestibilité à l'
état
de veille. Or, tous les suggestibles ne sont pas
surveillance constante, l'action du* pouvoir qui les mettra à hors d'
état
de se nuire à eux-mêmes. Vous citerai-je encore
l n'est pas de médecin militaire qui n'ait eu à connaître de certains
états
ou symptômes absolument inexplicables en dehors d
? Nous ne le pensons guère. On ne peut pas soutenir qu'un individu d'
état
psychique normal soit capable de tromper à ce poi
giques, neurasthéniques ou hystériques sont souvent des hommes dont l'
état
n'est pas absolument incompatible, avec le servic
st pas absolument incompatible, avec le service armé. Ils ont tous un
état
psychique fâcheux, mais tous ne sont pas au même
ent très difficilement suggestionner. Tout d'abord, ils présentent un
état
subjectif, qui n'a rien de commun avec l'état des
bord, ils présentent un état subjectif, qui n'a rien de commun avec l'
état
des hystériques. Nous les voyons au point de vue
autres aussi — se présentent à nous comme des auto-hypnotisé s ; leur
état
psychique est semblable par certains côtés à l'ét
ypnotisé s ; leur état psychique est semblable par certains côtés à l'
état
psychique des hypnotisés et les phénomènes que l'
hystérie légère, à un degré relatif, nous avons facilement constaté l'
état
mental particulier —, l'hystérie étant, d'une faç
ale du soldat. Ceux qui en sont atteints, et par l'effet même de leur
état
psychique essentiellement constitué par la faible
j'ai cru pouvoir imputer à l'amour-propre excessif, poussé jusqu'à l'
état
morbide, la création de cette phobie. En effet, l
terpréter par la jeune femme et à rattacher à sa véritable cause. Cet
état
s'accentuant chaque jour peut devenir la cause de
caractère et son attitude, et craint des conséquences somatiques d'un
état
qui n'est que psychopathique, mais dont la persis
ne présente aucune affection ; tous ses appareils sont en parfait
état
, et les fonctions en sont régulières. Peut-être u
rison de symptômes hystériques spasmodiques graves par suggestion à l'
état
de veille Par M. le Dr Stadelmann (de Wurtzbour
alla se cacher derrière un buisson où il resta des heures. Dans cet
état
d'émotion, l'insignifiante sensation de heurt, d'
la thérapeutique suggestive. En un jour et demi, la suggestion à l'
état
de veille guérit complètement notre malade de son
e, de coudre et de se livrer à aucune occupation de cette nature. Cet
état
subsistait déjà depuis cinq mois. Il avait pour c
e nombreux ouvrages fins à l'aiguille. Par une seule suggestion à l'
état
de veille, ce symptôme disparut. Après ce cou
Une petite cause provoqua pendant une émotion ou après une fatigue l'
état
de spasme. Quoique la suggestion ne puisse anéa
'un pareil symptôme, on peut regarder le succès par la suggestion à l'
état
de veille comme une guérison complète. Les deux
l'impression que son cuir chevelu se détache. Tout cela exerce sur l'
état
général une répercussion qui se traduit par de la
travailler; celle-ci en est devenue incapable; elle se trouve dans un
état
très marqué d'amoindrissement physique et intelle
bsédante et c'est cette rougeur qu'elle accuse d'être la cause de son
état
. La seconde a un père brutal qui la reçoit très
ecin de la Salpètrière. Communications inscrites : Dr Doyen : L'
état
mental des opérés. Dr Pau de Saint-Martin: Prés
, la patiente éprouvait de grandes douleurs et se trouvait en fâcheux
état
. On lui avait annoncé que sa vie ne pouvait êtr
craignait le chloroforme, et il était évident, pour moi, que, dans l'
état
de la malade, il n'y fallait pas songer. La dam
E, Ancien chef de clinique médicale à ia Faculté de Lille Parmi les
états
pathologiques d'observation courante, il en est p
chorée la sedation des mouvements, nous croyons en outre que dans les
états
nerveux spasmodiques, et, en général dans toute m
moins gros et moins congestionné, il restait peu à faire pour avoir l'
état
normal. Il y avait donc un mieux notable réel, in
gie suggestive, d'orthopédie morale obtenue par suggestion dite « à l'
état
de veille ». Jules D-, 12 ans, est. avec des ap
est-à-dire d'essayer de faire ce qu'on appelle de la « suggestion à t'
état
de veille », comme il m arrive souvent de le fair
, soutient que, dans ce qu'on a l'habitude d'appeler « suggestion à l'
état
de veille », il y a autre chose que la simple sug
uggestion hypnotique, ces sujets se trouvent placés dans un véritable
état
d'hypnose fortuite et « la possibilité de cette h
parence si merveilleuse, de ce qu'on appelle à tort la suggestion à l'
état
de veille. En réalité la puissance de la suggesti
e, comme le dit le Dr Bérillon, « dans ces cas de suggestion dite à l'
état
de veille, la production préalable de l'influence
ez lui l'inhibition du pouvoir de contrôle, c'est-à-dire un véritable
état
d'hypnotisme. Toujours est-il que notre jeune s
illeurs à considérer le sommeil hibernal de certains animaux comme un
état
hypnotique causé par le milieu et la situation sp
e d'animaux, surtout en présence du danger, ne serait pas toujours un
état
volontaire, mais dans un grand nombre de cas, l'é
pas toujours un état volontaire, mais dans un grand nombre de cas, l'
état
cataleptique produit par la frayeur. En somme, il
intelligente, et qui en arrivait assez facilement à erre mise dans un
état
d'hypnose peu avancé, mais qui n'en existe pas mo
alices. Dans d'autres cas, au contraire, elle tombe dans un véritable
état
d'abrutissement et de coma quand elle a une fraye
très peureuse sous des dehors braves et décidés. Les cas de mise en
état
d'hypnose chez les animaux sont certainement plus
l que soit son caractère, pour que cet animal soit rapidement dans un
état
tel que l'on peut, tout à loisir, le prendre, le
à de petites opérations douloureuses. Il parait bien évident que cet
état
passif est déjà un degré de l'hypnose. J'ai remar
exes. En somme, si l'on veut bien tenir compte que l'homme n'entre en
état
d'hypnotisme parfait qu'autant qu'il a confiance
onfiance dans l'hypnotiseur et qu'il veut bien se prêter à sa mise en
état
passif, on comprendra que les animaux, et surtout
eront lentement et peu profondément, et ne seront jamais mis dans cet
état
par le premier venu. Il ne faut pas oublier non p
ier venu. Il ne faut pas oublier non plus que pour mettre un sujet en
état
d'hypnose, il n'est pas toujours besoin de lui fi
chez le cheval, donner confiance d'abord et le mettre ensuite dans un
état
de calme favorable à la réception de nos suggesti
plus de la même façon. Il semble en effet dans sa critique faire des
états
différents de l'hypnotisme et de la fascination;
notisme et de la fascination; il semble penser que l'on n'obtient ces
états
que par la fixation d'un point brillant ou par l'
ard. La fascination est une forme de l'hypnose et, encore une fois, l'
état
hypnotique, quel que soit son degré, peut être ob
nette, il s'est servi de la musique pour mettre le cheval dans un
état
d'hypnose, dans un état passif qu'il appelle à ce
la musique pour mettre le cheval dans un état d'hypnose, dans un
état
passif qu'il appelle à ce moment le charme. Chez
oment le charme. Chez l'homme aussi on a appelé, pendant longtemps, l'
état
particulier dans lequel le met la musique, un éta
ndant longtemps, l'état particulier dans lequel le met la musique, un
état
de charme et de plaisir, qui cependant n'en a pas
ependant n'en a pas moins été considéré par les psychologues comme un
état
d'hypnose, qu'ils se sont empressés d'utiliser po
nous voulons nous persuader que les animaux peuvent être mis dans un
état
d'hypnose ; si nous nous mettons d'accord sur les
nose ; si nous nous mettons d'accord sur les termes qui désignent ces
états
, et si, surtout, nous ne cherchons pas à interpré
ssage. Certainement, comme je l'ai dit plus haut, l'hypnotisme ou ses
états
analogues, sont déjà venus à l'aide des dresseurs
Elle montrerait qu'il existe actuellement, dans la série animale, des
états
psychiques gradués, suffisamment caractérisés et
dués, suffisamment caractérisés et qu'ils doivent être semblables aux
états
transitoires par lesquels les facultés psychiques
ychologie de l'entraînement dans la course en flexion. Dr Doyen : L'
état
mental des opérés. M. Edouard Crûs : Rapport en
e peut plus ouvrir la bouche du tout; l'orbiculaire des lèvres est en
état
de contracture, ainsi d'ailleurs que les masséter
laboratoires les gi*enouilles d'été et les grenouilles d'hiver. Leur
état
physiologique est différent dans chacune de ces d
ue l'animal fournit une somme d'énergie différente, en rapport avec l'
état
de ses muscles, qui s'épuisent petit à petit en h
it depuis longtemps que les animaux peuvent tomber subitement dans un
état
de torpeur dès qu'on les place dans une position
ologiste Czermak (') reprend ces expériences et s'attache â étudier l'
état
physiologique pendant la torpeur provoquée chez l
s cette position pendant une minute environ pour qu'elle entre dans l'
état
d'immobilité. Dès lors, on peut la laisser libre,
époques, présentent une disposition inégale pour être plongés dans l'
état
de torpeur, et que le phénomène lui-même peut êtr
peut être plus ou moins intense et durable suivant les cas. Parfois l'
état
d'immobilité est très fugitif, dit-il, à peine ap
allumette, qu'on collait à la racine de leur bec. Chez les poules, l'
état
d'immobilité était également facilité par l'objet
chait de leurs yeux. La découverte de cette circonstance favorisant l'
état
de torpeur chez les oiseaux était une véritable r
igmati-ques phénomènes que nous observons ne sont que « de véritables
états
hypnotiques chez les animaux_». L'auteur, aya
n opinion. Il admet donc une analogie entre l'hypnose de l'homme et l'
état
de torpeur provoqué chez les animaux. Bientôt a
te impression visuelle. Preyer cherche donc à expliquer autrement cet
état
d'immobilité. Pour lui, la peur serait la cause v
vent les animaux, Preyer croit, par analogie, pouvoir admettre dans l'
état
en question une action inhibitrice, dont la cause
est pas peu curieux de considérer que cette suggestion d'un sujet à l'
état
de veille peut être pratiquée par une « somnambul
oites qui existaient entre les troubles psychiques qui résultent de l'
état
d'intimidation et les troubles.de ('elocution.
es.de ('elocution. Dans cette conférence, nous montrions que dans l'
état
d'intimidation les centres nerveux se trouvent da
e dans l'état d'intimidation les centres nerveux se trouvent dans des
états
d'inhibition analogues à ceux que produit l'hypno
l'hypnotisme. Pour nous, l'intimidation n'était pas autre chose qu'un
état
d'hypnose fortuite. Depuis lors, celte opinion
primée, que l'intimidation est une véritable manifestation d'un léger
état
d'hypnose provoquée fortuitement. Les nombreux bè
té et qu'ils étaient extrêmement faciles à intimider. L'examen de l'
état
mental des bègues revêt aussi d'intéressantes par
. En un mot, on peut dire que les deux manifestations dominantes de l'
état
mental des bègues sont l'émotivité excessive et l
t l'aboulie. On peut dire de beaucoup d'entre eux qu'ils présentent l'
état
d'infériorité mentale désigné sous le nom de puér
ge et dans l'émission des sons. Les vers fameux de Boileau passés à l'
état
de proverbe, expriment une vérité indéniable :
es et par conséquent très suggestibles. 2e Suggestions concernant l'
état
psychologique. — Pendant l'état hypnotique, le su
tibles. 2e Suggestions concernant l'état psychologique. — Pendant l'
état
hypnotique, le sujet reçoit les suggestions desti
cices variés et, en particulier, par des suggestions réalisées dans l'
état
post-hypnotique, à exécuter des actes avec décisi
les sujets et que nous nous sommes bornés à faire des suggestion à l'
état
de veille, nous D'avons obtenu que des résultats
nous D'avons obtenu que des résultats incomplets. La production de l'
état
hypnotique offre le double avantage de diminuer n
as, bien que pendant ces crises l'appétit fit constamment défaut. Cet
état
durait déjà depuis 2 ans et s'améliorait puis emp
consulter pour un ptosis complet de la paupière supérieure gauche. L'
état
durait déjà depuis une dizaine de jours. En l'abs
sa mère. Le 30 avril seulement, la mère amena le petit malade. Son
état
s'était beaucoup amélioré et il ne subsistait qu'
tôt l'air apathique etsonhabihis est la contradiction totale avec son
état
réel. En avril 1898, l'enfant s'était réveillé
omplètement guéri. Le 28 mai, c'est-à-dire quatre semaines après, l'
état
du petit malade est le suivant : VOD = 0,6. Le
urs amaurotique. A partir de ce jour, je commence la suggestion à l'
état
de veille sur l'œil droit (sain) de façon à amene
4. L'œil gauche, dont je ne m'occupe pas, est toujours dans le même
état
stationnaire, VOG = 0. Le 14 juin, le champ vis
ans la suite. En outre, il faut remarquer l'association à ce double
état
de l'amblyo-pie partielle de l'œil droit. Enfin
double état de l'amblyo-pie partielle de l'œil droit. Enfin dans l'
état
même de ces troubles, on constate l'immobilité re
uée d'amblyopie de l'autre œil. Dans de tels cas, la suggestion à l'
état
de veille doit être, à notre avis, le procédé de
normales VOD = 0, VOG = 1, champ visuel OG normal. La suggestion à l'
état
de veille aidée de l'instillation de quelques gou
ion, quelques gouttes de cocaine associées à une forte suggestion à l'
état
de veille ramenèrent en une demi-heure V égale à
apitre très intéressant sur les écrits des aliénés), l'automatisme, l'
état
hypnotique, le somnambulisme, l'assoupissement, l
ur chaque cas particulier, l'auteur s'attache à démontrer comment cet
état
normal, se dévie comment il arrive progressivemen
mment cet état normal, se dévie comment il arrive progressivement à l'
état
pathologique et quelles modifications subit penda
ssivement il passe en revue les névroses et psychoses traumatiqucs, l'
état
puerpéral, la gestation, la parturition, les suit
à laquelle sont soumises les fonctions organiques, et, l'Opposant à l'
état
d'anarchie qui caractérise l'état de maladie, il
ions organiques, et, l'Opposant à l'état d'anarchie qui caractérise l'
état
de maladie, il appelait névrarchie l'ordre et l'é
de laisser paraître sur nos traits les craintes que nous inspire son
état
; appliquons-nous au contraire à le rassurer. Evi
périr. » Les faits qui précèdent jettent une certaine lumière sur l'
état
de suggestibilité que manifestent un grand nombre
absolue pendant une à six heures. Heubel observe que la durée de cet
état
est certainement très différente chez les différe
la grenouille. Les phénomènes caractéristiques qui accompagnent cet
état
sont les suivants : les hémisphères cérébraux et
ortement pâlie. Heubel a observé aussi chez de telles grenouilles les
états
cataleptiques, toujours au commencement de l'expé
fférente de celle que lui donnèrent ses prédécesseurs. Selon lui, cet
état
d'immobilité n'est autre chose que le sommeil ord
re, en effet, que l'immobilité provoquée chez les animaux est un vrai
état
hypnotique, car on peut produire le sommeil par l
nferme donc la description des faits principaux qui caractérisent cet
état
d'immobilité chez la grenouille. Ces données géné
l à ce phénomène, car des expériences nombreuses m'ont démontré que l'
état
général de la nutrition de l'animal joue ici le r
essemblance éloignée. B. Danilewsky a également beaucoup étudié cet
état
de torpeur chez les grenouilles. De même que Czer
e torpeur chez les grenouilles. De même que Czermak, il considère cet
état
comme comparable à l'hypnose chez l'homme ; les a
psychologie physiologique. Paris, 1890.) saisi et vaincu, et cet
état
de peur provoque chez lui l'inhibition des réflex
ontraire, après l'ablation des hémisphères, la peau se trouve dans un
état
d'hyperex-citabilité réflexe, même pendant l'hypn
ficielle. Il y a donc une double réaction entre l'agent physique et l'
état
physiologique. Quant à l'atropine, son action irr
anilewsky, que pendant l'hypnose la moelle épinière se trouve dans un
état
de dépression ou d'excitabilité amoindrie. L'hypn
notique. Au contraire, le cerveau se trouve pondant l'hypnose dans un
état
d'excitabilité augmentée ; l'irritation chimique
t plutôt admettre que le cerveau dans l'hypnose se trouve non dans un
état
de surexcitation, mais qu'il est inactif ou, tout
'il est nécessaire de stimuler son activité. L'âge de l'animal et l'
état
de santé ont aussi une grande influence sur l'app
ition que prend le corps de l'animal pendant l'hypnose, et 2° Sur l'
état
des muscles pendant l'immobilité de l'animal. Per
cette étude, qui jette une lumière nouvelle sur la physiologie de cet
état
. (à suivre) Ces chiffres permettent de se f
n cabinet de consultation), elle n'a eu non plus aucune angoisse et l'
état
moral est bon. Je revois ma malade le 21 septem
. Elle ne se réveille pas pendant la séance et j'obtiens facilement l'
état
de catalepsie suggestive. La séance dure 20 minut
t j'y vois plutôt le résultat d'une suggestion directe subie dans' un
état
posthypnotique de suggestionnabilité exagérée.
ents. I" partie. Charkow, 1887. (Texte russe} . Transmission de l'
état
maternel Une femme devenue folle par suite d'ab
elèrent « l'enfant du jubilé ». (Lucas. IL, 504.) Transmission de l'
état
patebnel Un auteur anonyme rapporte dans Cornhi
le cours de toute leur vie certains symptômes caractéristiques de cet
état
, la torpeur des sentiments et une absence à peu p
ojeté, pour un avenir plus ou moins lointain, existant uniquement à l'
état
potentiel ou latent doit avoir son équivalent dan
ychique celui qui se montre le plus efficace. Nous avons vu que les
états
psychiques sont transmis par la mère aussi bien q
st tout particulièrement vrai en ce qui concerne la transmission de l'
état
psychique du père à l'enfant (par l'intermédiaire
sion ne se transmet que rarement et d'une manière très restreinte à l'
état
de veille. Pour qu'elle se manifeste, il faut qu'
asé comme le miroir rotatif de Luys, le cube de Bérillon, etc., sur l'
état
d'hypotaxie ou d'inhibition cérébrale que produit
La thérapeutique de l'émotivité morbide : la timidité, la peur et les
états
d'anxiété. Les lundis à cinq heures, à partir du
ection morale, mais aussi les traitements les mieux appropriés à leur
état
. La suggestion hypnotique, destinée à assurer la
élévation de température. Puis, la maladie s'installe à la période d'
état
. Le malheureux nègre atteint du « sino comme on d
inaire, on fait de ces cas des récits fantaisistes ; on insiste sur l'
état
cadavérique, squelettique de ces malades ; on les
amen bien superficiel, une ignorance bien coupable pour confondre cet
état
avec -la mort réelle et permettre une inhumation
le met, et cela jusqu'à ce que la fatigue physiologique le ramène à l'
état
de repos. Les muscles présentent une disposition
aines, sans accomplir aucune des évacuations qu'exige l'organisme à l'
état
normal. L'hystérie est, avant tout, une ouvrièr
ercée. Tous les signes positifs de la vie ont disparu, S'agit-il d'un
état
de mort apparente ou de mort réelle ? Le vérita
métropolite grec orthodoxe de Méthymne, âgé de 84 ans, s'alite ; son
état
s'aggrave et bientôt le médecin constate la mort.
action générale, le métropolite se lève ! Il était donc simplement en
état
de mort apparente. S'il eut été un simple laïc, o
t le bonheur de se réveiller, ils ne conservent aucun souvenir de-cet
état
. Ce sont des hystériques qui, gravissant un degré
eil syncopal. D'autres, au point de vue psychologique, sont dans un
état
analogue au sommeil naturel; ils peuvent avoir de
ui se passe autour d'eux, ils ont donc des rêves en rapport avec leur
état
de mort apparente. Et, suivant leurs croyances re
lement pour avoir ressuscité des morts : ils réveillaient des gens en
état
de mort apparente. L'apôtre Paul n'a-t-il pas dit
à haute voix, près de son lit, que ses forces sont épuisées, que son
état
ne laisse aucun espoir, qu'elle n'a plus que quel
ller en disant : « Je suis trop jeune pour mourir ». « Ces divers
états
d'immobilité, d'insensibilité, d'inconscience et
, il lutte et résiste, au point que cela peut provoquer le retour à l'
état
de veille normale. Cet individu n'est pas, à prop
ses dernières recommandations, reçoit les sacrements et tombe dans un
état
analogue à celui d'Eudoxie ou de Marguerite B....
l'on sait, son enseignement et ses recherches sur l'hypnotisme et les
états
analogues. Là encore, Oreste et Pylade, je veux d
que très respectable, en raison de son antiquité, ne répond plus à l'
état
actuel de nos connaissances. Au temps où la str
es de leurs membres et du corps, et cette contraction persiste dans l'
état
d'immobilité qui est survenu subitement. De là ce
dé, à l'aide de la méthode graphique, que quand l'animal entre dans l'
état
d'immobilité, l'arrêt dans la position de correct
ont point diminués, ou plutôt que la diminution des réflexes dans cet
état
provient uniquement de l'effet de la fatigue. De
lus, Verworn conclut que les organes des sens sont éveillés pendant l'
état
d'immobilité et qu'on ne peut même constater aucu
immobilité et qu'on ne peut même constater aucune modification dans l'
état
de leur excitabilité. Je ne puis souscrire à cett
opinion, car de très minutieuses expériences m'ont montré que, dans l'
état
de torpeur profonde, les réflexes sont toujours t
dit ne s'est pas encore établi, tandis que dans l'hypnose profonde, l'
état
physiologique de l'animal est complètement changé
rn diffère aussi dans l'interprétation de ce phénomène. Pour lui, cet
état
d'immobilité chez les animaux ne peut être compar
ent non seulement inactives, suivant cet auteur, mais de plus dans un
état
d'inhibition plus ou moins prononcé. Il résulte
lement chez la grenouille. Or nous avons des preuves nombreuses que l'
état
physiologique général de cet animal varie énormém
enouille. D'autres expérimentateurs ne donnent point de détails sur l'
état
physiologique des grenouilles qu'ils ont utilisée
ci une parenthèse pour s'entendre sur le sens que j'accorde aux mots:
état
hypnotique chez la grenouille. Nous trouvons souv
ensuite dans sa position habituelle. Or, selon mes observations, cet
état
d'immobilité momentanée ne constitue pas encore «
ale, ou quelque peu abaissée, mais cela peut provenir simplement de l'
état
de fatigue de l'animal, occasionné par les mouvem
es se trouvent alors dans les meilleures conditions physiologiques, l'
état
de liberté et la nutrition abondante ayant pour e
a sixième injection. II était temps car le malade était tombé dans un
état
comateux, et la température s'était abaissée à 35
tions dans un volume remarquable ayant pour titre : Du sommeil et des
états
analogues considérés surtout au point de vue de f
on les soumettait aux expériences hypnotiques, afin de comparer leur
état
avec celui des grenouilles qui avaient séjourné p
ètement perdu la voix. Il va sans dire que les grenouilles dans cet
état
extrême d'épuisement ne présentent plus aucun int
ypnose chez les grenouilles en inanition. Caractères : Respiration;
état
des pupilles : état des organes des sens; analgés
ouilles en inanition. Caractères : Respiration; état des pupilles :
état
des organes des sens; analgésie cutanée; sens kin
nts de déglutition. C'est le signe que le sommeil arrive. En effet, l'
état
d'hypnose profonde est toujours caractérisé par u
ires sont très forts, on a la certitude que l'animal ne dort pas. L'
état
des pupilles.— L'état des pupilles est un second
on a la certitude que l'animal ne dort pas. L'état des pupilles.— L'
état
des pupilles est un second signe extérieur qui ca
réveille, ses pupilles s'élargissent instantanément et reviennent à l'
état
normal. J'insiste sur ce changement de pupille,
garde alors sa forme arrondie, seule l'ouverture en est diminuée. L'
état
des organes des sens pendant la grande hypnose. —
un bout de papier sans provoquer une réaction. La grenouille dans cet
état
ne réagit pas non plus aux bruits les plus forts
ésie cutanée à la douleur. — L'analgésie est surtout prononcée dans l'
état
hypnotique. On peut pincer et piquer les parties
iqûre, qui est très douloureuse pour nous. De même une grenouille à l'
état
de réveil réagit énergiquement à la plus légère p
acte. Sens kinesthésique. — Le sens kinesthésique est absent dans l'
état
de sommeil provoqué, l'animal n'a aucune notion d
s plus bizarres et les moins équilibrées : il ne se réveille pas. Cet
état
d'inertie complète, on dirait de mort apparente,
e, jusqu'à une heure dans les conditions favorables. Profitant de cet
état
léthargique, j'ai pu prendre plusieurs clichés ph
uillement, sans changement des positions, les muscles se trouvant à l'
état
de relâchement complet. Pareil relâchement des mu
cataleptiques. Ainsi l'hypnose chez la grenouille se compose de deux
états
qui (1) Loc. cit. alternent entre eux penda
rouve aucune résistance à fléchir les membres et à les étendre ; 2° l'
état
de catalepsie, pendant lequel le sujet est immobi
attitudes même les plus difficiles à maintenir ; les muscles sont en
état
de contraction partielle. V. — Effets de la per
n partielle. V. — Effets de la perte d'eau sur les grenouilles. L'
état
de léthargie profonde, si facile à provoquer chez
llée et faisant des bonds dans la cage autant que le lui permettait l'
état
de ses membres émaciés par soustraction d'eau. Or
meil des grenouilles desséchées se distingue encore par ce fait que l'
état
cataleptique manque : les muscles se trouvent dan
fait que l'état cataleptique manque : les muscles se trouvent dans un
état
de résolution (I) Ce fait, que j'ai communiqu
1901.) constante et tout le corps est flasque, comme il l'était à l'
état
de veille. De ces expériences, on est autorisé
echercher l'influence des excitants thermiques sur les grenouilles en
état
d'hypnose. Les grenouilles hypnotisées réagissent
l'amène, il y a un an, nous n'eûmes pas de peine à reconnaître que l'
état
mental devait être rattaché à l'existence de la m
ents convulsifs et l'émission des cris ont diminué progressivement. L'
état
mental s'est transformé et la malade est devenue
lère. Bien qu'elle fut de faible complexion, lorsqu'elle était dans l'
état
de colère plusieurs personnes robustes n'étaient
té obtenue par l'application des moyens pédagogiques. Bien entendu, l'
état
mental de cet enfant présente toujours une grande
i aussi, je le confesse. Finalement, nous cessons de nous voir; son
état
mental n'est guère modifié. Un an se passe; je su
l'hyponarcose, surviennent les caractéristiques psychologiques de cet
état
: à savoir : persistance de la conscience, hyperac
ême où la suggestion vient de lui être formulée, il se trouve dans un
état
d'euphorie toute spéciale : très certainement, il
toute la ligne ! » La suggestion n'a pas seulement mis cet homme en
état
de contracter le mariage qu'il désirait ; elle
ents qui le concernent. On lui fait alors une première suggestion à l'
état
de veille, ainsi que l'indique le Dr Bérillon dan
on alcoolisme est bien défini il reçoit un régime en rapport avec son
état
individuel. Tout les matins le malade se friction
nt graphique et son traitement psychothérapique. 12. En dehors de l'
état
d'ivresse, comment sont le sommeil, l'appétit et
aux études, qui devaient l'illustrer, sur le sommeil provoqué et les
états
analogues, sur l'anesthésie par suggestion, sur l
ptaient que partiellement. Le docteur Liébeault assurait que certains
états
du sommeil provoqué, permettent au cerveau d'agir
éminent professeur de la Salpétrière, estimait que l'hypnose était un
état
possible chez tous les sujets. Nous estimions, au
possible chez tous les sujets. Nous estimions, au contraire, que cet
état
n'était propre qu'à certains individus et témoign
à réveiller la sensibilité. Il s'agit donc d'hystériques qui ont un
état
particulier des centres nerveux tel que ces centr
s suivantes : « La malade est une hystéro-épileptique plongée dans un
état
léthargique dont les caractères se rapprochent su
ie. ? II est possible qu'elle vive encore un certain temps dans cet
état
, étant donné qu'elle absorbe quelques aliment
révélée par la diathèse de contracture, peut laisser espérer que son
état
s'améliore un jour, soit spontanément, soit sous
pérature paraît même avoir une action favorable sur l'apparition de l'
état
hypnotique. Pareille conclusion se dégage des exp
s place dans la position dorsale. Aussitôt les grenouilles tombent en
état
d'hypnose profonde, précédée d'une phase de catal
ommeil hypnotique, car le réveil srin-terpose toujours entre les deux
états
. Cela parait d'autant plus frappant que ces deux
ues. Cependant nous voyons qu'il existe un antagonisme entre ces deux
états
. Cet antagonisme trouve son explication dans ce f
nc démontrer que le cerveau dans l'hypnose ne se trouve point dans un
état
de surexcitation, comme certains auteurs l'ont av
teurs l'ont avancé; bien au contraire, le cerveau semble être dans un
état
d'assoupissement; il est inactif. Mais dès qu'une
it comme un excitant général énergique, réveille les grenouilles de l'
état
d'hypnose profonde, tandis que le froid n'interro
urné pendant quelques minutes dans les vapeurs d'éther conservent cet
état
de dépression consécutive assez longtemps à l'éta
her conservent cet état de dépression consécutive assez longtemps à l'
état
de veille. Or, chez de telles grenouilles étourdi
lité exagérée, il persiste encore quelque chose dans l'organisme de l'
état
précédent; le système nerveux parait ne pas encor
Il existe encore une autre preuve qui démontre la persistance d'un
état
particulier après l'hypnose. Très souvent, ainsi
puis vient à Nancy ou 11 se livre à ses études si passionnantes sur l'
état
organo-psychique déterminé par le sommeil et les
ionnantes sur l'état organo-psychique déterminé par le sommeil et les
états
analogues, études intéressant aussi bien le philo
nes du Dr Liébeault. Disons simplement qu'il avait pensé que certains
états
du sommeil provoqué permettent au cerveau d'agir
des nombreuses études du regretté défunt : Du sommeil provoqué et des
états
analogues » (136G). — « Ebauche de psychologie t
op... En 1866, il publia son lumineux traité, sur le Sommeil et les
états
analogues, qui fait aujourd'hui autorité. C'éta
nerveux, grand maître de nos muscles et de notre physiologie. Par l'
état
hypnotique, Liébault expliquait aussi les tables
gestion. En 1866, il publia son premier livre : « Du sommeil et des
états
analogues considérés surtout au point de vue de l
théories, exposées des 1s66 dans son livre: Du sommeil et de quelques
états
analogues, antérieures aux travaux de Charcot sur
même, mais sans passer par la cure de repos, de ceux qui sont dans un
état
moins grave.' Pour tous, il importe que l'exerc
urir sans s'essouffler des asthmatiques ou des emphysémateux qui, à l'
état
habituel, ne peuvent même pas marcher. b) En su
ux questions qu'on leur adresse sur leur âge, leurs occupations, leur
état
social ; et tout le temps que dure le procès, ils
mutisme uésa-nique. Le mutisme serait le symptôme fondamental de son
état
mental qui comporte également d'autres manifestat
er. On les renvoie de l'atelier dès les premières manifestations d'un
état
mental anormal et ils n'ont pas d'autres ressourc
n sur ce point, que dans l'ignorance du passé de mon malade et de son
état
nerveux spécial qu'on m'avait caché, chose très c
éhensible de la part d'un jeune marié, je suis arrivé à connaître son
état
en trouvant chez lui des régions d'insensibilité
e en avait huit, dix, et môme jusqu'à quinze par jour ; elle était en
état
de crises subintrantes et présentait un véritable
ssait pas seulement là d'une manifestation de la peur, mais bien d'un
état
d'inhibition nerveuse, provoqué par un choc physi
ls restèrent quelque temps comme hébétés, engourdis dans un véritable
état
de stupeur. L'explorateur nous déclara- que pour
véritable état de stupeur. L'explorateur nous déclara- que pour lui l'
état
dans lequel avaient été plongés ces nègres était
l'état dans lequel avaient été plongés ces nègres était un véritable
état
d'hypnotisme, car ils étaient comme cataleptisés,
es-uns du bout de sa botte, sans les réveiller. Il s'agissait là d'un
état
d'hypnotisme provoqué par un bruit soudain, par u
contact avec des mouvements intérieurs que lui-même ne serait pas en
état
d'exprimer, de sorte que, quoique ils lui soient
sentiment que l'artiste a voulu provoquer, même s'ils ne sont pas en
état
de l'exprimer clairement au moyen de mots. Le d
'il faut satisfaire. Si l'on décrit par le menu les situations et les
états
d'âme, si l'on analyse les sentiments et les sens
nous étreindront seront si affreux que nous serons absolument hors d'
état
de jouir. La jouissance esthétique ne peut non
ette hyponarcose, ainsi que je l'ai montré ailleurs i1), constitue un
état
psychologique extrêmement favorable à la suggesti
à la suggestion. En effet, par la seule suggestion faite pendant cet
état
, j'obtiens que cette femme redevienne calme, qu'e
première fois et en plein travail, une femme qui, de plus, présente l'
état
d'exaspération dont j'ai parlé plus haut, c'est c
ifestât aucun signe de douleur. Au réveil, elle était dans un parfait
état
de bien-être au physique et au moral. Tout indi
oles qu'on prononce auprès de lui ; au réveil, il présente parfois un
état
de malaise, de prostration, de souffrance morale
ement prolongé. Les malades qui ont pleinement connaissance de leur
état
se jettent, à corps perdu, vers ce qui leur parai
uer la moindre douleur. La malade est plongée assez rapidement dans l'
état
d'hypotaxie, mais plusieurs séances sont nécessai
exécutée exactement et la malade accepte facilement la suggestion ù l'
état
de veille. Le traitement continue comme auparavan
l'hypnotisme, on n'aurait jamais pu obtenir un tel changement dans l'
état
général de la malade, vu l'obligation où elle se
cas. C'est une demoiselle de 26 ans. II y a deux ans, à la suite d'un
état
fébrile, elle tombe malade d'une meningo-encéphal
parce que ceux-ci y ajoutent foi, c'est-à-dire, sont suggestibles à l'
état
de veille. Pourquoi donc borner notre traitement
er notre traitement à une méthode si imparfaite que la suggestion à l'
état
de veille? Pourquoi recourir à la suggestion armé
estion hypnotique. Dr Paul Magnin : L'hypnotisme et la suggestion à l'
état
de veille. Dr Bêrillon : L'onanisme mental et son
, par Lux, p. 112. Hystériques spasmodiques graves par suggestion à l'
état
de veille (Guérison de symptômes), par Stadelmann
ulis subjecta fidelibus. (IIor.Ax.) lre livraison. d géant vers l'
état
de perfection où nous la voyons aujourd'hui. En a
s à un petit nombre de types fondamentaux ; les étudier non dans leur
état
parfait, mais dans leur évolution, dans leur état
udier non dans leur état parfait, mais dans leur évolution, dans leur
état
embryonnaire d'abord, puis dans leur état fœtal;
s leur évolution, dans leur état embryonnaire d'abord, puis dans leur
état
fœtal; déterminer l'élément organique primitiveme
s à la confection d'un ouvrage que réclamait si impérieusement (37) l'
état
actuel de la science, que j'ai formé le projet de
ne peuvent pas réussir sans rupture. Il paraîtrait même que dans l'
état
normal il existe, à une certaine époque de la ges
ement le soir, précédé ou non de frisson; un dépérissement rapide, un
état
assez analogue à la fièvre dite de résorption; j'
i de ce ganglion, est néanmoins beaucoup plus considérable que dans l'
état
naturel. i°. De son extrémité supérieure partent
rocher, dans l'épaisseur duquel je n'ai pu les suivre, vu le mauvais
état
de la pièce. 20. C'est par son bord externe que
x Gobelins, entre à la Maison royale de santé, le 9 juin 1828, dans l'
état
suivant : Emaciation sans teinte jaune de la peau
le rectum jusqu'à la moitié droite de l'arc du colon qui était dans l'
état
naturel. Réflexions. — Voilà une des formes com
le demande sa sortie. On la rapporte quatre à cinq jours après dans l'
état
comateux le plus profond. Elle succombe. Je trouv
ppé. Pour tous commémoratifs, je recueille que la malade est dans cet
état
depuis quatorze jours; qu'elle a été émétisée une
, et néanmoins la face, bien loin d'exprimer le bien-être, peint un
état
de malaise, d'angoisse extraordinaire. La malade,
la face pâle et décolorée exprimant une douleur sourde et profonde, l'
état
d'angoisse, la prostration extrême dénotent manif
plis de mucosités teintes en jaune; les gros intestins étaient dans l'
état
le plus naturel, sauf encore du pointillé rouge.
partie du volume de l'autre rein, qui d'ailleurs ne dépassait guère l'
état
naturel. La capsule surrénale droite était consid
ômes suivans : vomissemens bilieux continuels, que n'explique point l'
état
de l'estomac; douleur concentrée dans la région d
epuis un an de vomissemens continuels, souvent noirs, succomba dans l'
état
d'adynamie le plus complet, après avoir rendu des
la pression, dont on présuma q«© le siège est dans le rein gauche. L'
état
de ce malade paraiaaoïns d^cpere, on se contente
les à une époque assez éloignée. Le 3i mai, il succombe dans un grand
état
de faiblesse. A l'ouverture du cadavre, on trouve
tement vide ; mais, dans ce cas, le volume du rein ne dépassait pas l'
état
naturel. D'ailleurs le rein représenté fig. i et
MATION. Planche I. VICES DE CONFORMATION. Artère pulmonaire a l'
état
de vestige. — Plusieurs artères se rendent de l'a
ne grande quantité de méconium; néanmoins l'enfant reste dans le même
état
, froid, décoloré, immobile, rendant par le nez le
i et 2. Le cœur C (fig. i ), examiné à l'extérieur, paraissait dans l'
état
normal. L'artère aorte A A présente sa crosse à d
BC la remplace à gauche. L'artère pulmonaire AP existe seulement à l'
état
de vestige. Son volume ne dépasse pas celui d'une
plume de corbeau; du reste • elle se comporte absolument comme dans l'
état
naturel (fig. 2), c'est-à-dire qu'elle se divise
ion. Les reins R et les capsules surrénales CS, fig. 1, sont dans l'
état
naturel. Peut-être les capsules surrénales sont e
, qui nous fait trouver dans les vices de conformation d'une espèce l'
état
normal d'une espèce inférieure , nous serons arrê
nous voyons expliqué d'une manière aussi satisfaisante que possible l'
état
de l'enfant pendant les neuf jours de sa vie végé
anique en elle-même : or nous ne pouvons nullement l'expliquer par un
état
morbide éprouvé par le fœtus dans le sein de sa m
iie livraison. £ l'une de l'autre. Le bassin était dans le même
état
que s'il avait été soumis à une double force qui
Les figures que contient la planche 3 sont destinées à représenter l'
état
des parties molles et dures de la jambe et du pie
s les jours un assez long trajet à pied. Je voulus connaître à fond l'
état
des parties molles. Une injection assez ténue fut
e par son côté externe. Tous les muscles sont passés complètement à l'
état
graisseux; le jambier antérieur (1), l'extenseur
face postérieure et son côté interne : 5 jumeau ex terne passé à l'
état
graisseux, à l'exception de quelques libres rouge
plantaire ayant moins d'épaisseur et un aspect moins nacré que dans l'
état
naturel. J'ai voulu voir si cette aponévrose étai
le et à peu près leur volume : aucun de ces muscles n'avait passé à l'
état
graisseux, si ce n'est l'accessoire du long fléch
s autres os du tarse sont parfaitement distincts et m'ont paru dans l'
état
naturel. Ce cas prouve manifestement que la défor
pas postérieure à la naissance, et que les os du pied-bot encore à l'
état
de cartilage sont configurés d'une manière récipr
reste, il est facile de se rendre compte de cette disposition. Dans l'
état
ordinaire, la tête de l'astragale est reçue dans
seux \ac sépare a quatre fois au moins la longueur qu'il offre dans l'
état
naturel. Enfin on conçoit qu'une conformation s
tion que cette usure. La tête de l'astragale, si volumineuse dans l'
état
naturel, est réduite aux deux tiers, à la moitié
frottantes. Ainsi la nature se rapproche-t-elle invariablement dans l'
état
morbide des lois qui régissent l'état sain. J'ai
he-t-elle invariablement dans l'état morbide des lois qui régissent l'
état
sain. J'ai expliqué tout à l'heure l'atrophie de
jumeau externe et du jumeau interne, le premier ayant seul passé à l'
état
graisseux. Les nerfs musculaires, les nerfs sciat
férence entre le pied-bot de l'enfant et celui de l'adulte gît dans l'
état
cartilagineux de l'astragale qui, chez le premier
manière qu'elles ne s'opposent pas à la contraction musculaire. De l'
état
graisseux qu'ils acquièrent constamment par le dé
ent constamment par le défaut d'exercice, ils repasseront bientôt à l'
état
de fibre musculaire, car la charpente, le parench
à mon avis, un caractère d'incurabilité bien plus insurmontable que l'
état
des os, des ligamens et des cartilages. Je pens
rapide, qu'en trois mois les pieds étaient à peu près revenus à leur
état
naturel, et au bout de neuf mois il ne restait pa
que, parce qu'en effet les tendons nous ont paru dans le plus parfait
état
d'intégrité. Nous ne concevons pas qu'on puisse f
Maison royale de Santé par M. le docteur Jacquemin; elle était dans l'
état
suivant : Face très-colorée; langue rouge, lisse,
orte qu'à la visite du matin la malade était à peu près revenue à son
état
habituel. J'explore vainement de nouveau et ave
s symptômes. Sulfate de quinine en lavement et pour pansement. Même
état
jusqu'au 19. Les nausées et les vomissemens persi
résumer. A l'ouverture, j'examinai d'abord le foie qui était dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Aussitôt mes recherc
'en est pas la cause matérielle) les accès fébriles, ne passe pas à l'
état
inflammatoire. cependant l'analogie qui existe en
is localisée, vous aurez le temps d'agir ; la nature, rentrée dans un
état
voisin de l'ordre, pourra opérer la résorption de
par plaques, ou bien dans la totalité des membranes d'enveloppe. Cet
état
constitue bien plutôt une hypertrophie qu'une inf
e qui ne l'empêche pas de sortir, me fait appeler le 12 et présente l'
état
suivant : Violente céphalalgie ; mal au cœur sa
; pouls vif, fréquent; langue rouge; soif; vives inquiétudes sur son
état
. L'abdomen exploré avec la plus grande attention
n état. L'abdomen exploré avec la plus grande attention parait dans l'
état
naturel. La malade dit que son mal est au niveau
a malade, pour me rendre compte de ce qu'elle éprouve, me dit que son
état
ressemble à celui d'une personne qui a mangé quel
ons rudes sur les membres supérieurs , faute de quoi elle est dans un
état
lypothimique permanent : le moindre mouvement, l'
ement, l'action de parler amènent des défaillances. Le contraste de l'
état
actuel à celui de la veille, l'invasion brusque d
is; agitation, force musculaire qui contraste singulièrement avec son
état
antérieur. Hoquet. Mort à neuf heures du soir.
e son mal était là, et que je devais y trouver quelque chose. Enfin l'
état
lipothymique presque continuel, la décoloration d
suis appelé en consultation auprès de madame A., que je trouve dans l'
état
suivant : coma profond; immobilité; insensibilité
aient jeté la malade dans une syncope qu'avait immédiatement suivie l'
état
comateux. De nouvelles questions me donnèrent la
ongé jusqu'au moment de l'invasion de l'accès, d'où les syncopes et l'
état
grave où nous la trouvions. Déjà des vésicatoir
pris par la voix publique qu'elle était sortie comme par miracle d'un
état
aussi fâcheux. Quinze jours après, je fus appelé
n ordinaire; voici ce qui s'était passé depuis ma première visite : l'
état
comateux où nous avions laissé la malade avait ai
aiapu*u 0„K;tfsment au je vnlgt_ quatre heures pour faire place â un
état
d'apyrexie presque complète ; mais, à la suite d'
t sans pouls; la respiration courte et fréquente; les membres dans un
état
de résolution complète. Ces symptômes firent prés
it dans le cerveau : l'embonpoint de la malade dénotait d'ailleurs un
état
aigu. Elle mourut deux heures après son entrée.
Le chiasma était très-allongé; le nerf optique droit NO était dans l'
état
naturel; le nerf optique gauche NO' étaitcomme ép
onsidérable, surtout à droite. Les corps striés CS, CS sont dans leur
état
d'intégrité. Du reste, même aspect qu'à la face i
ainsi, il n'y a point de matière grasse dans la bile, au moins dans l'
état
ordinaire, et cependant quoi de plus fréquent que
réglée, entre à la Maison royale de Santé, le 3i octobre 1828, dans l'
état
suivant : face violacée; crachement de sang pur,
apoplexie pulmonaire circonscrite. La malade ne se croit pas dans un
état
grave. Elle nous paraît à toute extrémité. Trai
même pas le mot commencé : elle n'a d'ailleurs aucun sentiment de son
état
et de ses besoins. On dirait un animal dont le ce
n noir de jais, leur densité, leur frangibilité, contrastaient avec l'
état
parfaitement sain des couches pulmonaires adjacen
tés du sang doivent aussi souvent contribuer à ces hémorrhagies que l'
état
des parois vasculaires ; les hémorrhagies spontan
comme dans l'observation que j'ai rapportée. Une violente dyspnée, un
état
de somnolence, de demi-asphyxie, la petitesse ext
urs une contre-indication. Il faudra donc toujours faire la part de l'
état
de spasme ou, mieux, du trouble général occasioné
poumon rendue inutile assez considérable pour expliquer la mort. Cet
état
de spasme surmonté, la maladie pourra s'organiser
ffeur, entre à la Maison royale de Santé, le 21 décembre 1828, dans l'
état
suivant : oppression; toux; expectoration purulen
s cinq à six mois, et qui le laissent pendant plusieurs jours dans un
état
d'hébétude et d'engourdissement; que, depuis dix
sonore.Persuadé qu'il y a gangrène du poumon, mais circonscrite, vu l'
état
général et surtout l'état du pouls, je prescris d
gangrène du poumon, mais circonscrite, vu l'état général et surtout l'
état
du pouls, je prescris des pilules de chlorure de
r au moins un litre par jour: sans cela, disait-il, il serait dans un
état
de défaillance continuelle. Les 25, 26, la faible
cutive à la pneumonie, évidemment cette assertion est combattue par l'
état
du poumon autour des foyers récens. Il n'y a là q
s. Il n'y a là que l'œdème de la gangrène. La gangrène constitue un
état
, un élément morbide qui peut se manifester primit
iénés de Limoges, la gangrène du poumon chez un autre épilep-tique. L'
état
de torpeur où laisse 1 epilepsie pendant plusieur
de rien, jouit de toute sa raison, n'a nullement la conscience de son
état
: la gêne continue de la respiration, la petitess
la gangrène du poumon la saignée est formellement contre-indiquée. L'
état
du pouls, l'état des forces doivent être pour ain
oumon la saignée est formellement contre-indiquée. L'état du pouls, l'
état
des forces doivent être pour ainsi dire combinés
pouls, l'état des forces doivent être pour ainsi dire combinés avec l'
état
local pour diriger dans l'application des moyens
at local pour diriger dans l'application des moyens thérapeutiques. L'
état
antérieur du malade ne sera pas non plus négligé.
vint à plusieurs reprises passer quelques mois à la Maison royale. L'
état
général était excellent : point d'oppression ; et
rophie avec ou sans dilatation du ventricule gauche du cœur. Dans l'
état
naturel, il y a équilibre parfait entre la force
pèce. Comment se fait-il que dans le cas actuel le cœur soit dans son
état
naturel? Je ne connais pas de dilatation artériel
ue, le cœur n'a plus de résistance à surmonter; il doit revenir à son
état
naturel ; on conçoit même qu'il pourrait s'atroph
ient la perforation, et c'est à ces concrétions sanguines qu'est du l'
état
stationnaire d'un grand nombre d'anévrysmes ; mai
pigastre sont fréquemment appliquées, mais sans résultat. Du reste, l'
état
général est excellent. Cette indisposition l'inqu
. La pression sur cette région n'augmente pas la douleur; du reste, l'
état
général est aussi satisfaisant que possible : emb
ieures et la tuméfaction de l'abdomen font des progrès au milieu d'un
état
général aussi satisfaisant que possible. Je renon
cesse des scarifications : d'ailleurs le malade est gai, satisfait. L'
état
général est excellent. Tremblement toute la nui
e. Je crains une péritonite. Douze sangsues sur l'abdomen. Le 3i,
état
d'immobilité, de stupeur analogue au narcotisme.
eux sur moi, semble vouloir me répondre, et retombe de suite dans son
état
de stupeur. Le Ier novembre, râle, hoquet; poul
à volume égal, la moitié des grains glanduleux qu'il présente dans l'
état
naturel. Le cerveau et ses enveloppes, les orga
thétérisme. Le malade se plaignait d'un peu de céphalalgie. Tel est l'
état
où le trouva M. Corsin, médecin à la Villette, au
llette, aux soins duquel il fut d'abord confié ; tel était encore son
état
le jour de son entrée à la Maison royale de Santé
n dut être abandonné, et l'on s'en tint à la médecine expectante. L'
état
de M. Mansard demeura à peu près stationnaire jus
siblement, sans cependant concevoir la plus légère inquiétude sur son
état
; d'énormes escharres détachées du sacrum avaient
r, morcelé, décomposé, au-dessous duquel on trouve les parois dans un
état
complet d'intégrité, soit pour la couleur, soit p
une expérience bien convaincante à ce sujet : je mis un chien dans l'
état
comateux, par l'injection d'un peu d'alcool dans
ongeait le long des cuisses, des jambes et des pieds. Il attribua cet
état
à la fatigue du voyage , attendu qu'il avait été
te était pesante, mais sans douleur; point d'étourdissement. Dans cet
état
, le malade se plaignait d'un sentiment général de
« sang. » « Thorax. Tous les organes de cette cavité étaient dans l'
état
naturel. « Abdomen. Les intestins étaient très-
que par la tête et les extrémités supérieures. Voici quel était son
état
au moment de son entrée : paralysie aussi complèt
r ne tarda pas à disparaître. Du reste, tranquillité parfaite sur son
état
, qui nous rappelle en tous points celui du malheu
, qui nous rappelle en tous points celui du malheureux Mansard. Cet
état
fut le même jusqu'à la mort : des moxas appliqués
quatre-vingt-trois ans est apporté à la Maison royale de Santé dans l'
état
suivant : nulle douleur; il n'en accuse aucune so
graduellement, mais sans garder le lit, au point qu'on regardait son
état
plutôt comme une suite nécessaire de l'âge avancé
ractères que l'eschare de l'estomac. Jusque-là nous ne voyons qu'un
état
gangreneux, et, sans un cercle de tissu grisâtre,
itué, entre à la Maison royale de Santé, le 28 septembre 1828, dans l'
état
suivant : prostration; découragement; air de souf
gi^os intestin sont donc le siège de la maladie. — Le ifr octobre , l'
état
du malade s'est aggravé d'une manière extraordina
e plus en plus et s'aggrave. Y a-t-il inflammation proprement dite? L'
état
inflammatoire aurait-il passé à l'état de gangrèn
nflammation proprement dite? L'état inflammatoire aurait-il passé à l'
état
de gangrène? La petitesse du pouls et l'état géné
oire aurait-il passé à l'état de gangrène? La petitesse du pouls et l'
état
général contre-indiquent les évacuations sanguine
sensible à la pression. Le malade n'a nullement la conscience de son
état
et se croit guéri ; il demande à manger. Soif trè
angreneux. Contre toute prévision, le malade se soutient dans le même
état
jusqu'au 12. La face est moins altérée. Sentiment
ires de la main droite et de la main gauche étaient la plupart dans l'
état
naturel ; quelques-uns très-légèrement encroûtés.
24; Flouris entre à la Charité (service de M. Fouquier) le i4, dans l'
état
suivant : dévoiement; soif; fièvre*, grande maigr
des doigts. Articulations coxofémorales. Têtes des fémurs dans leur
état
naturel. Dans la cavité cotyloïde gauche, matière
mulante ; le goutteux reconnait l'invasion prochaine d'un accès à son
état
de bien-être, au retour de son embonpoint. Il sem
rus. Fig. i et i' Utérus bifide dans son corps, col et vagin dans l'
état
normal. — Ces figures offrent un utérus bifide da
s deux moitiés aboutissaient à un col et à un vagin communs et dans l'
état
normal. Le sujet de cette observation est une fem
ig. 5. Utérus cloisonné dans son corps seulement, col et vagin dans l'
état
normal. — Cet utérus a été successivement figuré
e une série de transformations successives, dont chacune représente l'
état
permanent des espèces inférieures. Un de ces état
hacune représente l'état permanent des espèces inférieures. Un de ces
états
est la séparation complète des deux moitiés du co
oint de se faire; l'autre, que l'orifice de l'utérus est dans le même
état
où il se trouve chez une vierge. Un nouvel examen
jusqu'au 12 février, que la malade fut apportée à l'Hôtel-Dieu dans l'
état
suivant : Décoloration générale de l'habitude d
etira immédiatement. (Injections vaginales avec l'oxicrat froid.) L'
état
adynamique va toujours croissant jusqu'au 16. Il
le foie, la rate, les reins, tous les viscères abdominaux sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. L'utérus, développé
e tumeur fibreuse de l'utérus, ou, mieux, au tissu de l'utérus dans l'
état
de vacuité, qu'un testicule ( représenté figure 3
eaux. Son poids est énorme eu égard à son volume, qui est double de l'
état
naturel. La tunique albuginée n'adhère nullement
l'air. La glotte, la partie sous-glottique du larynx , étaient dans l'
état
le plus naturel. La muqueuse incisée m'a permis d
voir en partie, par une exploration convenable, et qui révèle par son
état
de rougeur, de pâleur ou d'infiltration, la rouge
tre renseignement sur ce malade, si ce n'est qu'il était mort dans un
état
de suffocation analogue au croup. Enfin, je vie
x mois pour une fièvre putride, se présenta à l'hôpital Cochin dans l'
état
suivant : enrouement très-considérable, que le ma
a suffocation devient imminente au moindre effort. Le lendemain, même
état
: à dix heures du soir, agitation qui oblige le m
qui paraît en effet inévitable. Son pouls est presque insensible. Cet
état
effrayant se calme un peu pendant la nuit. Le jou
d'une autre part, elle était maintenue par ses constricteurs dans un
état
d'occlusion plus ou moins complet. L'individu se
soixante-neuf ans, entre à l'Hôtel-L)ieu, le 6 lévrier 1829, clans l'
état
suivant : abdomen très-volumineux, tout-à-fait in
une grande épaisseur de parties : membres abdominaux très-infiltrés ;
état
général peu satisfaisant ; pouls petit ; émaciati
ssement tel que la malade ne peut donner aucuns renseignemens sur son
état
et qu'on est obligé d'aller aux informations aupr
ifs que l'hydropisie enkystée de l'ovaire se concilie souvent avec un
état
général excellent, tandis que l'ascite est presqu
squirol entre l'imbécillité et l'idiotie. Les imbéciles, réduits à un
état
d'ilotisme, travaillaient comme des bêtes de somm
la seconde et donnant celui de démence à la première. Certes ces deux
états
ne sauraient être confondus ; mais, analogues sou
encontre dans l'idiotie, lésions qui rendent parfaitement compte de l'
état
de dégradation intellectuelle et morale où se tro
ssise, reste constamment couchée sur le dos ou sur les côtés, dans un
état
d'immobilité absolue. Elle ne parle pas et pousse
l'hémisphère gauche HGN ( planche iv, fig. 1) est tout-à-fait dans l'
état
naturel; l'hémisphère droit HDA, au (*) Observa
nutrition, rétrogradation de la presque totalité d'un hémisphère à l'
état
celluleux, atrophie en un mot portée à son dernie
nt au chiasma, mais entrecroisement partiel. Il est à regretter que l'
état
précis des organes des sens, de la vue en particu
e l'état précis des organes des sens, de la vue en particulier, que l'
état
précis des membres n'aient pu être notés. Il est
Ouverture du cadavre.— Crâne sensiblement moins volumineux que dans l'
état
naturel, déprimé en avant; plus de traces de font
ble par sa consistance, qui est beaucoup plus considérable que dans l'
état
naturel. Le cervelet est un peu moins développé
turel. Le cervelet est un peu moins développé qu'il ne l'est dans l'
état
normal. Protubérance annulaire en rapport avec le
et le crâne, bien qu'il soit sensiblement moins volumineux que dans l'
état
naturel, est loin de traduire à l'extérieur le vo
t coïncide avec celui du cervelet, qui est à peu de chose près dans l'
état
naturel. Ce n'est pas la première fois que j'obse
sposition des lamelles cérébelleuses diffère d'ailleurs beaucoup de l'
état
sain. 6°. Le cerveau ouvert, nous avons vu, dans
e 7 avril 1829 : c'était au moment de ma visite. Voici quel était son
état
: paralysie complète du sentiment et du mouvement
en manière de bottine : saignée du pied le soir. — Le lendemain, même
état
de stupeur, d'immobilité; toujours émission invol
catoires aux jambes.—Le troisième et le quatrième jour, toujours même
état
*, les yeux sont ouverts, fixes; les muscles sourc
n, la respiration était un peu accélérée, le pouls un peu fréquent; l'
état
général paraissait d'ailleurs le même. Je pronost
uelque temps après sans agitation, sans mouvemens convulsifs, dans un
état
d'immobilité. Ouverture du cadavre. — Un foyer
droite CO, les tubercules quadrijumeaux TQ, le cervelet C sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. La figure 2' repré
est apportée à la Maison royale de Santé, le i3 octobre 1828, dans un
état
d'hémiplégie incomplet du côté gauche. Huit jours
té naturelle ; les facultés intellectuelles sont à peu près dans leur
état
d'intégrité ; léger délire gai; la malade répond
tent d'un consensus local entre la peau et les muscles. Tel était son
état
lorsqu'il fut transporté à la Maison royale de Sa
mes aux pieds qu'on renouvellera dans la journée.)—Le lendemain, même
état
. (Vingt sangsues aux jugulaires; tartre stibié en
nte-cinq ans, peintre, est apporté à la Maison royale de Santé dans l'
état
suivant : hémiplégie complète du mouvement ; sens
roite ; le septum lucidum deux à trois fois plus développé que dans l'
état
naturel ; les deux ouvertures de communication de
fort, large et fréquent. (Saignée abondante.) — Les jours suivans, l'
état
du malade ne présente rien de particulier; seulem
u malade ne présente rien de particulier; seulement il paraît dans un
état
de torpeur qu'on attribue à la pléthore et à la p
e manière spéciale; et, bien qu'on ne les regarde pas encore comme un
état
pathologique, on prescrit une saignée de quatre p
é. Les viscères contenus dans le thorax et dans l'abdomen sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Le crâne ouvert, la
llet arachnoïdien qui revêt la dure-mère ne participe nullement à cet
état
. Réflexions. — Un état de torpeur, sans altérat
êt la dure-mère ne participe nullement à cet état. Réflexions. — Un
état
de torpeur, sans altération aucune des fonctions,
la manière de petits flocons. Sur ce sujet, j'ai voulu m'assurer de l'
état
des circonvolutions. La figure i représente l'asp
uestion. (Vésicatoire à la nuque. ) Il meurt le cinquième jour dans l'
état
comateux et adynamique le plus prononcé. A l'ou
rieure est infiltrée de sérosité. Tous les autres organes sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Observation IV. —M
rniers jours; mais elle n'a dû se manifester par aucun symptôme, vu l'
état
du cerveau. Sans doute la sérosité aura été résor
Pendant six semaines, depuis le ier janvier jusqu'au i5 février, même
état
. L'enfant est taciturne ; elle ne se plaint pas ;
uérie; mais la céphalalgie ne tarde pas à reparaître. Le 18 mars, son
état
empire d'une manière effrayante. Face alternative
fant, âgé de six ans, est apporté à la Maison royale de Santé, dans l'
état
suivant : face tout-à-fait naturelle, peau fraîch
je porte un pronostic fort grave. Trois jours se passent dans le même
état
. (Lavemens purgatifs; sangsues aux jugulaires; gl
pouls est toujours lent et la peau naturelle. — Le sixième jour, même
état
des yeux; un peu de chaleur à la peau et de fréqu
gé de vingt-neuf ans, est apporté à la Maison royale de Santé dans un
état
de stupeur. La face est étonnée. Le malade ne rép
piration devient haute, suspirieuse, inégale. Le quatrième jour, même
état
. Le cinquième jour, la respiration est courte, ha
Le crâne ayant été ouvert, la convexité du cerveau nous a paru dans l'
état
le plus parfait d'intégrité, seulement les circon
moins épaisses, creusées elles-mêmes de petites cavités ou kystes à l'
état
rudimentaire. Bien que la substance du rein sembl
pement d'un enfant de deux mois et demi à trois mois : il est dans un
état
de dessiccation qu1 annonce une mort déjà ancienn
t sur le même intestin. Quelquefois on rencontre ces lésions à divers
états
qui attestent qu'elles ne sont point contemporain
nt dans l'histoire anatomique de l'entérite folliculeuse, ce sont les
états
divers des vaisseaux de la muqueuse et du péritoi
tour de la granulation, de la pustule, ou au limbe de l'ulcération. L'
état
du péritoine n'est pas moins digne d'intérêt. Lor
nnaît-il, à l'inspection de la surface externe de l'intestin grêle, l'
état
de la surface interne; de même qu'à l'inspection
la surface interne; de même qu'à l'inspection du mésentère on juge l'
état
des ganglions contenus dans son épaisseur. Dans d
es de l'ensemble de l'organisation : les premières, dans lesquelles l'
état
local domine manifestement l'état général, ont ét
: les premières, dans lesquelles l'état local domine manifestement l'
état
général, ont été appelées symptomatiques ; ou plu
mmées d'après la lésion locale; quant aux secondes, dans lesquelles l'
état
général paraît au contraire dominer l'état local,
econdes, dans lesquelles l'état général paraît au contraire dominer l'
état
local, on leur a réservé le nom de fièvres, comme
visite ; observé par l'interne (M. Sestié), à dix heures du soir, son
état
lui parut à peu près le même qu'à la visite du ma
nt moins prononcés que les symptômes cérébraux sont plus intenses : l'
état
ataxique est porté au plus haut degré, la périton
ni diminution, pendant vingt-un, vingt-huit, quarante jours ; c'est l'
état
de prodrome des maladies aiguës à l'état permanen
it, quarante jours ; c'est l'état de prodrome des maladies aiguës à l'
état
permanent, d'où le nom de fièvre lente nerveuse,
estion, je reste convaincu que, dans l'entérite folliculeuse aiguë, l'
état
général, que l'on comprend sous le nom collectif
e folliculeuse aiguë, comme d'ailleurs dans toutes les phlegmasies; l'
état
local et l'état général: or dans les phlegmasies
iguë, comme d'ailleurs dans toutes les phlegmasies; l'état local et l'
état
général: or dans les phlegmasies avec douleur, c'
ocal et l'état général: or dans les phlegmasies avec douleur, c'est l'
état
local qui est la source ou plutôt le régulateur d
apeutiques; dans les phlegmasies sans douleur, c'est principalement l'
état
général, ou plus exactement l'état du système ner
ns douleur, c'est principalement l'état général, ou plus exactement l'
état
du système nerveux cérébro-rachidien. XXVI. Cep
ment l'état du système nerveux cérébro-rachidien. XXVI. Cependant l'
état
local, bien que consécutif (mais consécutif à la
and nombre des cas, ne doit pas être dédaigné : s'il n'explique pas l'
état
général, si dans le principe il ne peut être cons
diverses, les degrés, la marche et les phases de la maladie. Alors l'
état
de l'intestin rendra un compte aussi satisfaisant
t de l'intestin rendra un compte aussi satisfaisant que possible de l'
état
général. Le système nerveux ganglionnaire, qui se
erveux central au désordre par la torpeur, la stupeur et le délire. L'
état
du cœur, que je regarde en général comme le therm
. L'état du cœur, que je regarde en général comme le thermomètre de l'
état
du système nerveux ganglionnaire, de même que l'é
thermomètre de l'état du système nerveux ganglionnaire, de même que l'
état
des muscles de la vie de relation est le thermomè
que l'état des muscles de la vie de relation est le thermomètre de l'
état
du système cérébro-spinal, donne en général assez
t; quel quefois cependant un pouls presque naturel coïncide avec un
état
excessivement grave. Lorsque l'inflammation désor
r le péritoine, soit sur la muqueuse, qui sont si souvent funestes. L'
état
général, l'énergie de la réaction et surtout la d
ive bien souvent qu'elle est essentiellement contre-indiquée et par l'
état
des forces, et par l'état du pouls, et par l'exas
st essentiellement contre-indiquée et par l'état des forces, et par l'
état
du pouls, et par l'exaspération de tous les sympt
itement antiphlogistique. XLIII. Ce problème me parait résolu par l'
état
général du sujet; je m'explique : l'entérite foll
a vie; ne craignez point d'irriter ; votre malade ne périra pas par l'
état
local, il périra par l'état général. C'est alors
rriter ; votre malade ne périra pas par l'état local, il périra par l'
état
général. C'est alors que réussit quelquefois comm
quelque sorte conciliatrice, qui diminue d'une part les ravages de l'
état
local et qui, d'une autre part, soutient la force
as décidée, car le premier malade nous arriva au plus haut degré de l'
état
d'ataxie; céphalalgie, soubresauts dans les tendo
. L'entérite folliculeuse aiguë plongeant souvent les malades dans un
état
assez analogue à celui de l'ivresse, il e. Livr
'énormes ulcérations; car, ainsi que je ne saurais trop le répéter, l'
état
local persiste long-temps après la chute des phén
l'ouverture du cadavre nous trouvons tous les organes centraux en bon
état
, mais seulement, dans un petit point de l'économi
est apporté à la Maison royale de Santé, le 27 septembre 1828, dans l'
état
suivant : délire tranquille et incomplet; réponse
ous trouvons i° celles de Peyer qui, bien qu'il ait cru représenter l'
état
naturel, a figuré l'entérite folliculeuse sous fo
décoction de tamarins qui provoque des selles copieuses.—Le 3o, même
état
; la région iliaque droite paraît douloureuse. Di
ques. La figure première représente les plaques agminées de Peyer à l'
état
naturel, et ces auteurs la regardent comme le pre
domestique, âgé de vingt-un ans, est apporté le 26 avril i83o, dans l'
état
suivant : État typhoïde; enduit fuligineux très-é
de place dans son lit, et tombe en faisant effort pour se lever. Même
état
le 4 et le 5. Il meurt pendant la nuit du 5 au 6
nt de son pied à l'hôpital, le 12 avril. Observé le i3, il présente l'
état
suivant : face naturelle ; les yeux vifs ; léger
raît mieux. —Le 20, il est apporté à la Maison royale de Santé dans l'
état
suivant : légère divagation dans les idées ; répo
Entérite folliculeuse suraiguë sous une forme extrêmement grave.—21,
état
ataxique porté au plus haut degré ; tremblement d
domestique, âgé de vingt-quatre ans, est porté à l'Hôtel-Dieu dans l'
état
suivant : prostration musculaire; stupeur; langue
fréquent; respiration fréquente : point de comméniui atifs exacts. L'
état
du malade ne permet d'avoir aucune confiance en s
ndent gommé; lavemens , cataplasmes émolliens ; diète.) — Le 20, même
état
. — Le 21, menace de délire ; grincement de dents.
est faible et peu fréquent. Les facultés intellectuelles sont dans un
état
parfait d'intégrité. Diagnostic. Entérite follicu
ntinuelles du malade. Je ne conservais plus aucune inquiétude sur son
état
; le pouls était naturel. Le malade employait à la
atrice. Les ganglions mésentériques étaient à peu près revenus à leur
état
sain ; quelques-uns contenaient une matière sembl
urs dans la pleurésie, la pneumonie, dans toutes les inflammations, l'
état
local persiste à peu près au même degré d'intensi
er, est apporté le 9 octobre 1828 à la Maison royale de Santé dans un
état
de délire violent avec fièvre. Point de renseigne
e délire violent avec fièvre. Point de renseignemens positifs sur son
état
; seulement on nous dit qu'il était malade depuis
forcé, de convuisif; du reste, langue naturelle; aucune douleur. Cet
état
se maintient presque identiquement le même jusqu'
ar des questions répétées, et lui avoir affirmé itérativement que son
état
n'est pas grave, que je puis obtenir quelque répo
partir. ( Sinapismes aux pieds, vésicatoires aux jambes.) Le 19, même
état
. Le 20, la langue est sèche; l'abdomen météorisé,
urs de sa maladie. Ouverture du cadavre. Cerveau et méninges dans l'
état
naturel; thorax sain; dans l'abdomen, un très-gra
été curieux de pouvoir faire l'histoire médicale d'un sujet d'après l'
état
de ses organes. Ici l'altération portait au moi
rmal de l'ongle abandonné à lui-même, mais il me paraît constituer un
état
morbide qui est la conséquence moins du défaut de
ible à la fois et de la faire rentrer et de la faire sortir, et sur l'
état
du péricrâne qui se continue par sa face interne
t à l'occasion d'un seulfait, a tracé de la manièrela plus complète l'
état
actuel de nos connaissances sur cette matière. Il
celle de tous les tissus fibreux, que cette fluxion tend à passer à l'
état
chronique; et de la fluxion chronique d'une membr
augmentèrent, et le malade mourut le 16 août 1829. » « autopsie. L'
état
général du corps offrait des signes de putréfacti
et en dehors de la précédente. C'était une tumeur carcinomateuse a l'
état
naissant. La figure 2' représente la coupe vertic
aisait tomber de sa chaise. Le 28 septembre, je voulus m'assurer de l'
état
de la myotilité. Je la fis lever et soutenir par
augmentèrent, et le malade mourut le 16 août 182g. » « Autopsie. L'
état
général du corps offrait des signes de putréfacti
et en dehors de la précédente. C'était une tumeur carcinomateuse à l'
état
naissant. La figure 1' représente la coupe vertic
ansportée à la Maison royale de Santé le 27 juillet, elle présente un
état
général excellent; seulement hémiplégie gauche co
par M. Ribes dans un cas particulier (*), fidèlement représentée à l'
état
de suppuration par Hooper (**), cette inflammatio
est apportée à l'hôpital des enfans malades, le 17 mars 183o, dans l'
état
suivant : pupilles dilatées ; plaintes, gémisseme
levé une fois pour s'en aller. La sensibilité de la peau est dans son
état
d'intégrité. Le malade n'accuse aucune douleur, b
nq ans, est apporté à la Maison royale de Santé le a3 mai i83o dans l'
état
suivant : Assoupissement ; les yeux sont à demi o
allé à Bercy. Sa maladie a débuté pendant la nuit du 21 au 22 par un
état
fort singulier : il semblait avoir perdu la mémoi
un cas existait-il de la fureur, de la loquacité, et dans l'autre un
état
d'hébétude ? Est-ce parce que, dans le premier ca
œur, qui a un volume trois à quatre fois plus considérable que dans l'
état
normal. Il enfonce sa convexité dans le ventricul
che amincies, aplaties, plus consistantes et plus blanches que dans l'
état
naturel, laissent entre elles des anfractuosités
lle a eu lieu après la naissance, ne peut donc pas être résolue par l'
état
des os du crâne. Il n'y a pas eu arrêt de dévelop
évoiement chronique. Voici les détails qui ont été recueillis sur son
état
pendant les deux dernières années de sa vie : L
ubérance annulaire AP et ses prolongemens, le cervelet C, sont dans l'
état
naturel. Il en est de même des lobes moyen et pos
térieure est la grosse extrémité des corps striés CS, CS, qui, dans l'
état
naturel, se trouve recouverte par les circonvolut
ns son développement; le diploë « est la limite, non-seulement dans l'
état
sain, mais encore dans l'état morbide. Ce fait an
ë « est la limite, non-seulement dans l'état sain, mais encore dans l'
état
morbide. Ce fait ana-« tomique si simple sappe da
urs manquaient, et cependant la région frontale du crâne était dans l'
état
naturel. Dira-t-on que l'existence de cette régio
leur et de la dureté. Chez tous deux, extirpation. Voici quel était l'
état
du testicule. Celui représenté figure i a été div
elques petits tuoercules grisâtres, deini-tra nspar en s qui sont à l'
état
, appelé de crudité. Le canal déférent est dans l'
s qui sont à l'état, appelé de crudité. Le canal déférent est dans l'
état
normal. Le testicule représenté fig. 2 a été divi
sion. L'épididyme et le cordon des vaisseaux spermatiques sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Dans des cas sembl
roit depuis dix-huit mois environ. L'organe avait doublé de volume, l'
état
général était excellent. Plusieurs praticiens con
complète. Cependant le testicule conserve plus de volume que dans l'
état
naturel. Au bout d'un mois et demi à deux mois, p
ule est urgente : le malade s'y décide avec peine. Voici quel était l'
état
de l'organe : son volume est double de celui qu'i
temps qu'il semblait atrophié. J'ai estimé sa longueur au double de l'
état
naturel. La cicatrice déprimée de la peau adhér
fois un aspect fongueux et tuberculeux. Je ne puis mieux comparer cet
état
qu'à celui des synoviales et des ligamens articul
. Enfin, les surfaces articulaires, de contiguës qu'elles sont dans l'
état
naturel, peuvent devenir continues ; ixe livraiso
athologique devra comprendre : i° les rapports des parties dures et l'
état
des parties molles, ligamens, tendons, muscles, t
médiatement après la luxation; i° les rapports des parties dures et l'
état
des parties molles, huit, quinze jours, un mois,
jours, un mois, deux mois, trois mois après la luxation; 3° enfin, l'
état
des parties molles et des os lorsqu'une articulat
longueur; aussi le corps du radius est-il plus volumineux que dans l'
état
naturel, ses lignes d'insertion et ses apophyses
on bien remarquable, surtout dans la rangée antibrachiale qui est à l'
état
de vestige. S est le vestige du scaphoïde ; SL, l
ascension de cet os : la tubérosité bicipitale, qui n'est plus qu'à l'
état
de vestige, et par conséquent l'insertion du bice
cause. Un des « effets très-probables de cette luxation doit être un
état
de pronation forcée de l'avant-« bras. » Je ne
te tête de l'humérus, la même situation relative qu'il affecte dans 1
état
naturel. Luxation ancienne du coude non réduite
mmobilité absolue de la mâchoire inférieure, peut se concilier avec l'
état
de santé le plus florissant, Anne Faure, âgée d
ins usée que celle de la clavicule droite, et l'acromion était dans l'
état
naturel. Les articulations coxo-fémorales du mê
du travail digestif, et d'étudier l'influence que le genre de mort, l'
état
de plénitude ou de vacuité de l'estomac exerçaien
e la formation d'une plus grande quantité d'acide acétique que dans l'
état
naturel: or, cette formation, il l'attribue à un
iguës, suite de ramollissement. Cette espèce de rétrogradation vers l'
état
gélatineux, muqueux, est une maladie de la premiè
qui se manifeste dès les premiers momens de la maladie cérébrale, à l'
état
de la face, des pupilles, au grincement de dents,
nt et destruction de la muqueuse gastrique, et qu'il regarde comme un
état
pathologique qui n'avait pas encore été signalé (
faut huit jours au moins pour qu'elle soit aussi complète que dans l'
état
de maladie. XIX. De là je conclus que le ramoll
dus morts pendant le travail de la digestion, l'estomac étant dans un
état
de réplétion, j'ai rencontré ce ramollissement, e
ier juillet i83o, treize jours avant sa mort, la malade était dans un
état
voisin du marasme, sa face était jaunâtre ; elle
, discute volontiers des affaires; il n'a aucune inquiétude sur son
état
, n'éprouve aucune douleur, accuse seulement un se
ir; il me demanda dans son langage arithmétique s'il y avait dans son
état
un centième de mieux que la veille. Il imagina un
us commodément le bassin sous lui ; mais l'oppression considérable, l'
état
misérable du pouls m'annonçaient une fin prochain
he 4) a appartenu à une vieille femme morte à la Salpêtrière, dans un
état
de marasme dont la cause fut impossible à découvr
tait telle, que, lorsqu'on s'approchait d'elle pour s'informer de son
état
, elle priait de la laisser tranquille. Si on insi
ment indispensable pour l'accomplissement des phénomènes digestifs. L'
état
de morosité, de mauvaise humeur continuelle, s'ex
ément affecté, tous les autres points de l'organe se trouvant dans un
état
parfait d'intégrité? Voilà ce qui paraît bien dif
s. — Je regarde ce cas comme un exemple d'ulcère aigu de l'estomac. L'
état
aigu me paraît démontré : i° par le caractère de
bdomen. Dès-lors le teint devint pâle et les digestions pénibles. Cet
état
durait depuis six mois, lorsqu'après un dîner for
iacode ; diète.) Le soir, hématémèse assez considérable. Le 2, même
état
, point de selle. (Vingt sangsues à l'anus, sinapi
liens, la diète lactée améliorèrent notablement tous les symptômes. L'
état
aigu disparaît, et M. G. ne tarde pas à reprendre
, de sinapismes et de frictions sur les membres. Les jours suivans, l'
état
du malade est moins désespéré; mais les boissons
igastre, et souvent des douleurs aiguës. A la constipation, qui est l'
état
habituel, succède quelquefois un dévoiement abond
le encore confirmer ce diagnostic. Trois semaines se passent dans cet
état
; enfin, le ig janvier 182g, survient une hématémè
ment des solutions de continuité, les chirurgiens modernes étudient l'
état
général aussi-bien que l'état local, et ne voient
té, les chirurgiens modernes étudient l'état général aussi-bien que l'
état
local, et ne voient dans les diverses qualités du
s sa quantité, dans la coloration des chairs, que le thermomètre de l'
état
des viscères. IL Ce fait une fois bien établi,
on avait appris qu'un grand nombre de lésions organiques existent à l'
état
latent ; en outre, les abcès viscéraux par leur m
goureux, les symptômes les plus formidables succédant tout-à-coup à l'
état
général le plus satisfaisant, elle nous dévoile l
us ou moins graves, qui ne trouvent nullement leur explication dans l'
état
de la plaie. i° L'absence de symptômes locaux du
einules, le tissu musculaire était rouge, fragile, en un mot dans cet
état
d'induration rouge qui précède la suppuration. To
ppressé et succomber en douze, dix-huit, vingt-quatre heures, dans un
état
assez analogue à l'asthme ou au catarrhe suffoqua
on, le foie, et autres viscères, prouve que si on n'a point examiné l'
état
du canal médullaire ou du tissu spongieux des os
ongs chez les nombreux amputés qui succombaient à l'Hôtel-Dieu dans l'
état
typhoïde, et qui présentaient des abcès dans les
sson intense, et bientôt suivis de la mort. Souvent on trouve dans un
état
désespéré le malade qu'on avait laissé très-bien
veaux phénomènes; oppression, toux, expectoration difficile; anxiété,
état
nerveux, fréquence extrême du pouls; l'hypogastre
icatoire sur le côté; infusion pectorale ; look.) Les 4 et 5 , même
état
; face altérée, oppression , toux, angoisse , pou
monie diffuse), le tissu de l'organe était infiltré de pus, et dans l'
état
connu sous le nom d'induration grise. Les foyers
cuisse. Tout se passe à merveille pendant les douze premiers jours; l'
état
général est excellent; à peine léger mouvement fé
rs; l'état général est excellent; à peine léger mouvement fébrile : l'
état
local ne laisse rien désirer. Déjà on permettait
s devint lent et irrégulier, et le malade succombe le 28 août dans un
état
de maigreur très-considérable, un mois après la b
e cerveau, le cervelet et les tubercules quadrijumeaux sont dans leur
état
d'intégrité. Réflexions. I. Du fait précédent i
s pendant la grossesse , pendant et après l'accouchement. i° Dans l'
état
de grossesse, la présence de ces tumeurs peut don
. De U expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de V utérus hors V
état
de grossesse. L'expulsion spontanée des tumeurs
at de grossesse. L'expulsion spontanée des tumeurs fibreuses hors l'
état
de grossesse n'est pas fort rare, je viens de don
décris. Le tissu du foie est également beaucoup plus dense que dans l'
état
naturel. La surface du foie n'est pas lisse, ma
fibro-celluleux, lequel occupe une place qui lui est étrangère dans l'
état
naturel. Si on examine au microscope la coupe d'u
à la moelle du jonc. Considérations générales sur la cyrrhose. I. L'
état
granuleux du foie peut être partiel ou général. S
presque toujours avec une ascite; aussia-t-on émis l'opinion que cet
état
du foie devait être considéré comme une des cause
de la Société médicale d'Émulation (tom. ix, pag. 170), considère cet
état
du foie « comme une » dissociation des deux éléme
r naissance aux granulations, la substance rouge peut rester dans son
état
naturel, et qu'alors le foie est augmenté de volu
issu cellulaire ou cellulo-fibreux; d'où la diminution de volume et l'
état
de ratatinement du Sole. VI. Il est positif que
foie malade, ne sont pas contemporaines ; mais que les unes sont à l'
état
embryonnaire, d'autres à la période d'accroisseme
tat embryonnaire, d'autres à la période d'accroissement, d'autres à l'
état
de développement complet, d'autres, enfin, à leur
ême pour les abcès du foie et du poumon, suite de phlébite. IX. Les
états
divers sous lesquels se présentent les cancers du
liquide couleur lie de vin. XIV. Les différences qui résultent des
états
divers sous lesquels le tissu du foie peut se pré
sion, n'excluait pas son siège dans le tissu du foie lui-même; i° à l'
état
naissant, la tumeur cancéreuse du foie représente
malades et pleines de matière cancéreuse; les artères étant dans leur
état
d'intégrité, ont dû être perméables à l'injection
et, pendant deux mois, on le* traita uniquement pour Cette maladie. L'
état
de tristesse et de morosité fut attribué à une
cinq semaines, vint me consulter le 15 octobre 1820. Il présentait l'
état
suivant : La peau de la face et de toute la sur
e exercice, et qui cessent après un instant de repos. La cause de cet
état
morbide est inconnue : l'exploration de l'abdomen
l'emploi d'un vomitif que le malade sollicitait avec instance. Cet
état
résiste. Le 15 novembre, aux amers je substitue l
au milieu du jour. Le malade continue à se livrer aux travaux de son
état
; il se trouve bien du lait; je l'engage à continu
trouve bien du lait; je l'engage à continuer. La persistance de cet
état
morbide commence à m'inquiéter. Jusqu'au 10 avr
lésion, ni sensibilité'. Ne pouvant me rendre un compte exact de son
état
, persuadé que nous avions affaire à une maladie "
e le voyage de Paris (j'habitais alors Limoges). Voici quel était son
état
au moment du départ : point de douleur ; mouvemen
rate, le cœur, les poumons et tous les autres organes étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. 12e. Livraison. Pl
incipes, sinon étrangers à la bile, au moins plus abondans que dans l'
état
normal, lesquels principes étant peu solubles, se
calculs à facettes, et avaient une capacité triple ou quadruple de l'
état
naturel. Les parois de ces canaux avaient acquis
prenait une grande quantité d'alimens. L'amaigrissement fut porté à l'
état
squélettique; soif, douleur d'estomac. Elle s'éte
l'on considère: i° les changemens organiques et vitaux qu'entraîne l'
état
de grossesse dans l'économie de la femme; i° ceux
gnation ; hypertrophie physiologique, il est vrai, mais qui confine l'
état
morbide; sur le dédoublement des ligaments larges
tat morbide; sur le dédoublement des ligaments larges employés dans l'
état
de grossesse à recouvrir l'utérus , et sur l'attr
aies, sont par leur qualité et par leur quantité, le thermomètre de l'
état
général. VIL Si l'on examine la surface interne
s de cet organe jouissent d'une notable fragilité. IX. Voilà pour l'
état
régulier; mais combien d'accidents ne viennent-il
us rariidement funeste que la péritonite dite puerpérale. Funeste à l'
état
sporadique, elle acquiert à l'état épidémique une
onite dite puerpérale. Funeste à l'état sporadique, elle acquiert à l'
état
épidémique une gravité telle, qu'elle semble atta
nant du sang noir, ce sont les veines, V V, lesquelles étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Je ferai remarquer
ol. La même figure 1 représente les trompes et les ovaires, dans un
état
particulier. Les trompes, TT, sont volumineuses
ture puisse être une cause de péritonite. La figure 4 représente un
état
de l'ovaire dans lequel le volume de cet organe e
ut de cet ordre de vaisseaux, et nous avons vu d'ailleurs que, dans l'
état
de grossesse, les vaisseaux lymphatiques ont part
l'évacuation du pus qu'ils contiennent est moins complète que dans l'
état
naturel. i° J'ai eu occasion d'ouvrir le corps d'
J'ai eu occasion d'ouvrir le corps d'un individu qui succomba dans l'
état
typhoïde, à un phlegmon érysipèlateux de la jambe
-concret. Or, n'est-il pas évident que cette altération présuppose un
état
pathologique, et qu'un liquide pathologique physi
1831, époque où régnait le typhus puerpéral dans toute son intensité:
état
satisfaisant les trois jours suivants. On me fait
oides ; lèvres violettes ; point de pouls; point de conscience de son
état
. L'abdomen était volumineux, mais la malade ne ma
, les yeux sont largement ouverts ; elle n'a pas la conscience de son
état
et sourit en me regardant; je vais aux renseignem
out hypogastriques. Je vis la malade à huit heures; elle était dans l'
état
suivant : Pouls extrêmement fréquent à 180, et
rhée ; soif vive; respiration bonne ; facultés intellectuelles dans l'
état
le plus parfait d'intégrité ; les lochies sanguin
isseaux lymphatiques superficiels. Les veines utérines étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Un des ovaires éta
général la même transparence, la même absence d'injection que dans l'
état
naturel. Ce sont sans doute des vaisseaux lymph
ovembre 1851, de son second enfant; la montée du lait s'effectue. Son
état
ne paraît avoir aucune gravité; le 9 seulement, l
ains de siège. Cataplasmes émollients. Le 11, la malade est dans un
état
désespéré. Face altérée; narines pulvérulentes; r
rès un travail de neuf heures (l'épidémie avait complètement cessé) ;
état
très satisfaisant le 5 et le 4, matin : le soir d
les entre les diverses couches de l'utérus. Les veines étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. La face interne de
tous les organes de l'abdomen du thorax et le cerveau, étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. L'observation qu'o
, auprès d'un malade logé rue de la Jussienne , que je trouvai dans l'
état
de choléra bleu, sans pouls, algide, et qui succo
ières. X. Le dévoiement cholérique a été funeste, i° en passant à l'
état
chronique et en dégénérant en entérite, i° en se
n se transformant en choléra. XL Le dévoiement cholérique passé à l'
état
chronique ou dégénéré en entérite , doit être com
e femme avait été portée à l'ambulance, dix jours auparavant, dans un
état
de syncope qui l'avait surprise dans la rue. Cett
ers jours, puis en bouillon avec fécules. Guérison complète. XVI. L'
état
typhoïde succède quelquefois au dévoiement cholér
qui furent portées à l'ambulance du trésor. Dévoiement cholérique;
état
typhoïde. Guérison. Gabrielle Valère, âgée de 8
rfaitement guérie. Dévoiement cholérique ; crampes ; vomissements ;
état
thyphoïde porté au plus haut degré. Guérison.
vant jamais de vin, est portée à l'ambulance le 27 avril 1832, dans l'
état
suivant: Faciès naturel langue sèche et rouge à
u glacée avec addition de x gouttes de laudanum de Sydenham. Le 30,
état
typhoïde aussi prononcé que possible; selles invo
diascordium 1/2 gros. Du 1er au 9 mai, la malade me paraît dans un
état
désespéré : face très altérée, typhoïde : langue
uquel s'ajoutèrent quelques vomissements et des crampes légères : cet
état
persévéra jusqu'au 12 avril, jour où il entra à l
t dans les orbites et se cernent. Le malade succombe, le 18, dans cet
état
adynamique, poussant des plaintes continuelles, e
aient à la fois le siège d'une inflammation. Dévoiement cholérique;
état
adynamique ; gastro-entérite. Mort. Veuve Bâton
e de soixante ans, entra à l'ambulance du Trésor, le 14 avril, dans l'
état
suivant : Face peu altérée ; soif vive dirigée
emblables à une bouillie sanguinolente, nullement fétide. Cependant l'
état
général s'améliorait, la fièvre était tombée, lor
par de nouvelles évacuations alvines qui emportent la malade dans un
état
de marasme aigu difficile à décrire. Il est extrê
te beaucoup, dans l'appréciation des symptômes, de faire la part de l'
état
spasmodique, qui joue presque toujours un si gran
tat des mouvements désordonnés, des soupirs, une indifférence sur son
état
, le sentiment et souvent le désir d'une fin proch
pe ou un vomissement, pour se relever au bout de quelques instants. L'
état
du cœur est le thermomètre le plus sûr de ces for
ien décrites par Lacaze et Bordeu, forces qui attestent elles-mêmes l'
état
des viscères. C'est par le pouls que commence à s
a échappé qu'à une partie des dangers de sa position. XX. Souvent l'
état
adynamique ou typhoïde remplace l'état cholérique
e sa position. XX. Souvent l'état adynamique ou typhoïde remplace l'
état
cholérique. Les malades peuvent encore résister à
on équivoques d'inflammation dans la muqueuse gastro-intestinale. Cet
état
adynamique ou typhoïde qui a enlevé un si grand n
a autant de sérum que de coagulum ). Le 24, à la visite du matin, l'
état
de la malade est de beaucoup plus grave. La face
s depuis six mois, est apporté à l'ambulance le 17 avril 1832, dans l'
état
suivant : Face cholérique, mais non violette; n
mités. Bain que le malade ne peut supporter. A la visite de midi, l'
état
du malade s'est aggravé. Vomissements répétés de
es cuisses. Appelé à sept heures du soir, je trouvai la malade dans l'
état
suivant : Face profondément altérée, cholérique
inaires. ) Eau de poulet pour boisson. Les 21, 22,23, 24, 25 et 26,
état
à peu près le même. Toujours la face est anxieuse
usieurs chirurgiens, n'a pas été suivie d'hémorrhagie. VL Lorsque l'
état
cholérique est à son summum, le malade parait réd
rsque l'état cholérique est à son summum, le malade parait réduit à l'
état
de cadavre; les yeux, en partie découverts, s'aff
son lit avec une vigueur qui étonne tous les assistants. VIII. Cet
état
de mort apparente peut se prolonger plusieurs heu
ne sorte de résurrection, après un jour, et même plusieurs jours d'un
état
désespéré. IX. Chez un grand nombre, la réactio
re, la réaction commence, mais elle s'éteint presqu'immédiate-ment; l'
état
asphyxique reprend le dessus. Chez d'autres, la r
la réaction a lieu , elle est complète , salutaire ; puis succède un
état
typhoïde ou comateux auquel le malade succombe. E
ent. X. Je n'ai jamais vu la convalescence succéder rapidement à un
état
cholérique très prononcé : tous les malades que j
le malade n'a pas encore pu être réchauffé. Ignorance complète de son
état
: il dit se trouver assez bien et espère sortir l
noires apparaissent sur la sclérotique au-dessous de la cornée. Cet
état
résiste aux soins empressés que lui prodiguent le
grossesse , est apportée à la Maternité, le 6 avril, à midi , dans l'
état
suivant * xive livraison. 6 Cyanose; froid dé
sueur froide aux extrémités; sueur chaude sur le tronc ; apparence d'
état
comateux , interrompu par des gémissements que pr
e, mais réponses difficiles à arracher; indifférence complète sur son
état
: crampes et coliques , voilà toutes les douleurs
ud. Frictions ; briques chaudes ; synapismes. A trois heures , même
état
; deux moxas ci la nuque, qui retirent ci peine la
me état; deux moxas ci la nuque, qui retirent ci peine la malade de l'
état
de stupeur dans lequel elle est plongée. Décoctio
de mucosités jaunâtres ; les follicules isolés et agminés sont dans l'
état
naturel : les gros intestins distendus par une én
. II, pl. 2. Pûen de particulier dans les autres organes. XVII. L'
état
de grossesse ne préserve pas du choléra : il est
n; par cela même qu'une cholérique éprouve des douleurs utérines, son
état
n'est pas désespéré; joignez à cela l'apparence d
cie avec effusion des soins qui lui sont prodigués. Je crains que cet
état
ne soit du narcotisme. 6 heures. La réaction n'
fiel distendue par une bile épaisse: les autres appareils sont dans l'
état
où on les trouve chez tous les cholériques. XIX
altation d'idées qui allait jusqu'à l'enthousiasme, se trouva dans un
état
de bien être extraordinaire, qui fit croire aux a
t pas pressante, et il prenait avec délices des boissons chaudes. Cet
état
de bien être était interrompu de temps à autre pa
nes intérieures ne sont donc pas un phénomène constant du choléra : l'
état
violacé ou la cyanose n'a donc pas nécessairement
ai vu entre autres une cholérique qui était restée cinq jours dans un
état
d'agonie, et dont les intestins ne m'ont offert a
ssement des extrémités. Porté à l'ambulance à minuit, il présente l'
état
suivant : Faciès cholérique; cyanose; sueur froid
, sont remplis d'un sang noir. Les autres appareils sont dans le même
état
que chez tous les cholériques. XX. Certes, aucu
rares. Porté à l'ambulance, à deux heures après midi, il présente l'
état
suivant : Froid algide; cyanose; langue violett
elques calculs de choleslérine. Tous les autres organes sont dans l'
état
commun aux cholériques. Le plexus solaire et tous
tes, occupent toute la longueur de ce viscère; la muqueuse est dans l'
état
naturel, excepté le long du bord libre de deux ou
qui appartient cependant à un autre sujet, représente parfaitement l'
état
de cet intestin; les follicules n'étaient pas not
rononcé que chez le nommé Wendel qui fut apporté à l'ambulance dans l'
état
asphyxique. Ce malheureux, qui n'accusait d'autre
it pour se mettre sur la chaise percée. Il resta trois jours dans cet
état
de cadavérisation, qui se conciliait avec un cour
é en croissant toute la nuit. A son entrée, la malade nous présente l'
état
suivant : Faciès cholérique porté au plus haut
s par monosyllabes : la malade parait n'avoir pas connaissance de son
état
. Altération profonde des traits; face colorée; le
te, intelligence parfaite ; la malade rend parfaitement compte de son
état
. Un besoin pressant d'aller à la selle se fait se
Quart lav. à 36'! avec six gouttes laud. de Rousseau. Le soir, même
état
; plusieurs selles. Je reviens aux lavements glac
e besoin de sommeil ; elle me répond que cela lui est impossible. Cet
état
m'alarme et me rappelle des cas analogues dans le
rappelle des cas analogues dans lesquels la mort a suivi de près cet
état
comateux. Saignée au bras, de huit onces. Compres
nces. Compresses froides sur la tête. Sinapismes aux pieds. Le 22 ,
état
à peu près le même ; expectation ; la malade ne v
omènes de chorée. Convalescence assez rapide. XXVII. C'est dans l'
état
comateux ou typhoïde qu'ont succombé le plus gran
s oublier qu'insensible aux médications les plus énergiques, dans cet
état
de mort apparente, l'économie, au moment du révei
eau, doit nous rendre circonspect sur la médication à apporter dans l'
état
comateux : gardons-nous d'une funeste précipitati
s phénomènes choréiques succédant, dans l'observation précédente, à l'
état
comateux, attestent les lésions profondes portées
gastre. Bains. Lavements avec amidon et laudanum. Du 16 au 22, même
état
. Plusieurs applications de sangsues. Plusieurs ba
tant et peu cohérent a la manière de la gelée de pommes. Le soir, l'
état
du malade s'est beaucoup aggravé. Pouls extrêmeme
gastre de temps à autre. Vésicatoire le long du rachis. Le 4 matin,
état
à peu près le même. Sangsues avec ventouses sur l
ude a donné lieu à de déplorables erreurs. Les muscles sont dans un
état
de rigidité, telle, que je l'ai comparée à celle
ement affectée que la muqueuse intestinale; souvent elle était dans l'
état
le plus naturel. Dans d'autres cas, les follicule
e bile très épaisse et comme poisseuse. Les reins m'ont paru dans l'
état
naturel; la vessie est aussi contractée que possi
é un peu de sérosité dans le péricarde. Le cœur est absolument dans l'
état
où se trouve cet organe chez les individus asphyx
a gelée de groseille trop cuite, et par conséquent moindre que dans l'
état
naturel, ont été signalées avec beaucoup de vérit
ultats purement négatifs. Les organes de la respiration sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité : les poumons, secs,
out entier m'a paru, dans les cas nombreux où je l'ai examiné, dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Et je ne puis concev
ont succombé dans la période asphyxique. 4° Que le sang présente un
état
particulier à peu près constant dans le choléra a
ctions fondamentales, l'innervation et la circulation; en sorte que l'
état
syncopal algide, asphyxique, surviendrait en même
épare les cas où la maladie est purement locale et se concilie avec l'
état
d'équilibre de toutes les fonctions, de ceux où l
ment supprimées, au moins notablement modifiées et en harmonie avec l'
état
actuel des lumières et de la civilisation. La m
règles hygiéniques propres à maintenir le système nerveux dans un bon
état
de réaction. (1) Les cas de dysenterie observés
, est contre-indiqué dans le choléra asphyxique, par la somnolence, l'
état
comateux au moins apparent dans lequel sont plong
n, il a paru s'opposer à la réaction , ou plonger les malades dans un
état
comateux dans lequel ils ont succombé. Néanmoins
vomitu curatur. D'autres, plus méthodiques en apparence, consultent l'
état
de la langue, et restreignent l'emploi du vomitif
, bien loin de produire la syncope, la saignée améliore constamment l'
état
du pouls, et amène presque toujours la cessation
e le pouls se relève, les joues se colorent, que la face recouvre son
état
naturel, et que le malade se croit complètement g
ptômes. On aurait guéri par cette méthode trois malades sur cinq. L'
état
désespéré du malade me paraît seul justifier de p
trois, quatre heures en chemin, et ne sont arrivés à l'hôpital qu'à l'
état
de cadavre. Bien pénétré de cette vérité, je soll
vers points des inflammations qui peuvent amener la mort, soit dans l'
état
aigu, soit dans l'état chronique; d'où la nécessi
ations qui peuvent amener la mort, soit dans l'état aigu, soit dans l'
état
chronique; d'où la nécessité de n'user qu'avec un
s et des vomitifs. D'autres fois le malade meurt dans la stupeur et l'
état
typhoïde, et plus d'un praticien s'est repenti d'
i peuvent se présenter : le traitement doit être le même que dans les
états
morbides du même ordre développés sous toute autr
tinués. Plusieurs vivent 24, 4°* heures, trois, quatre jours, dans un
état
de faiblesse, de torpeur, d'immobilité, de refroi
ent au tissu de la rate. La coupe faite au poumon droit, PD, montre l'
état
de l'organe dans son épaisseur. Fig. 5. Indurat
mevariable, très denses, disséminées dans l'épaisseur du poumon : cet
état
semble tenir le milieu entre la pneumonie et les
ient immobile et froid le quatrième jour*, on me le présente dans cet
état
; je crois qu'il est né faible, et je lui prescris
ions qu'on vient de lire. Dans le dernier cas, la femme était dans un
état
de cachexie, suite, à la fois, et de la syphilis
curiel. Dans le premier cas, la malade était depuis longtemps dans un
état
valétudinaire. Le peu de volume du foie? dans les
me jour de la naissance. Un enfant naît à huit mois et demi dans un
état
de faiblesse excessive; la respiration ne s'établ
ré; l'artère pulmonaire et ses divisions étaient d'ailleurs dans leur
état
d'intégrité. La fosse ovale était très considér
dans leur presque totalité. Cet enfant né faible, resta dans le même
état
de faiblesse pendant vingt-quatre heures ; il s'é
nnent pas la plus petite bulle d'air; leur tissu est induré et dans l'
état
qu'on désigne sous le nom de pneumonie des enfant
s autres organes étaient sains. La mort ne peut être attribuée qu'a l'
état
des poumons. La couleur vert-olive du sérum est u
lation. Le poids des poumons était de trois onces , tandis que dans l'
état
naturel, les poumons d'un enfant qui a respiré, n
t relatives i° à la quantité de liquide et au volume du crâne, i° à l'
état
du cerveau. Sous le premier point de vue , le c
, le crâne peut présenter, i° un volume plus considérable que dans l'
état
naturel, i° un volume égal, 3° un volume moindre.
cation du forceps, ne puisse amener la sortie de la tête intacte. L'
état
du cerveau dans l'hydrocéphalie n'est pas moins v
is voilés (4 sangsues sur les parties latérales du col) ; le 15, même
état
; mort le 16\ Ouverture du cadavre, vingt-quatre
corps calleux, CC; les tubercules quadrijumeaux, TQ, qui sont dans l'
état
naturel; la face postérieure du bulbe raehidien,
que des détails plus circonstanciés n'aient pas été recueillis sur l'
état
antérieur de cette enfant. L'affaiblissement des
orrélation qui existe entre l'altération observée dans le placenta, l'
état
du fœtus et les symptômes éprouvés à une époque p
ent du placenta, qu'il compare à l'hépatisation des poumons ; i° à un
état
qu'il appelle avec la plupart des observateurs, é
oumons ; i° à un état qu'il appelle avec la plupart des observateurs,
état
squirrheux, et qu'il regarde comme une suite de l
alogue à celle qu'on observe si souvent dans le cordon ombilical. Cet
état
coïncidait avec une infiltration pseudo-membraneu
En un mot le placenta se trouve réduit à sa trame fibreuse. C'est cet
état
du placenta qu'on trouve décrit dans les auteurs,
ation chirurgicale, le frisson qui survient plusieurs jours après , l'
état
adynamique ou typhoïde porté au plus haut degré,
et de l'ensemble des moyens dirigés contre l'infection miasmatique. L'
état
local, les lésions d'organes ne sont évidemment q
Mais le jour même, la face s'altère, le pouls devient petit, inégal;
état
de prostration; peau froide; vomissements, hoquet
ration; peau froide; vomissements, hoquets; ignorance complète de son
état
, stupeur; aucune douleur. Les jours suivants les
-cuanha : hoquets; le troisième jour, deuxième saignée; le quatrième,
état
typhoïde, prostration; langue sèche, pouls peu fr
lequel il me fait appeler, le 18 décembre 1818. Je le trouvai dans l'
état
suivant : teint pâle, face amaigrie, dégoût génér
de, purgatif léger qui console son moral sans influer en rien sur son
état
. Petite toux sèche qui cède à une potion calmante
était cependant levé suivant sa coutume et se croyait mieux. Le soir,
état
très grave. Supination; face décomposée; langue n
il ne répond plus; les yeux sont agités de mouvements convulsifs. Cet
état
se prolonge pendant quatre jours, au bout desquel
pect granitique de la coupe. Les veines hépatiques sont saines. Cet
état
du foie est identiquement le même que celui que j
ai vu deux cas de spina bifida, dans lesquels le cerveau présentait l'
état
le plus normal. Dans l'observation que j'ai pub
Un médecin consulté lui ayant dit de ne rien faire, mais de changer d'
état
, il entra dans une maison de roulage où il fut em
eines iliaques et pelviennes, la veine cave ascendante étaient dans l'
état
naturel : les veines des extrémités inférieures n
ain; la rate presque aussi volumineuse que le foie, avait éprouvé cet
état
d'hypertrophie avec induration qui est ordinairem
-mêmes, qu'elles acquièrent une longueur quadruple, décuple même de l'
état
naturel, et deviennent méconnaissables. Ce phéno
s veines sous-cutanées abdominales, veines extrêmement petites dans l'
état
ordinaire, qui commencent dans le tissu cellulair
du sang ; aussi n'est-il pas rare de voir ces veines acquérir, dans l'
état
de grossesse, un développement considérable. M.
des rameaux déliés , je me suis demandé s'il n'existerait pas dans l'
état
normal entre les veines sous-cutanées et la veine
e pour avoir fixé l'attention. Or^ l'étude de ces veines, soit dans l'
état
normal, soit dans le cas de dilatation rapporté p
et à l'autre mâchoires. On n'a pu se procurer aucuns détails sur son
état
antérieur. Voici les symptômes qu'il a présenté
ersement du tronc et delà tète en arrière. Rien de particulier dans l'
état
des muscles de la face (1) Observation et pièce
esse brusquement à l'articulation des pariétaux. L'enfant est dans un
état
complet d'idiotisme : rien de ce qui se passe aut
isme : rien de ce qui se passe autour de lui ne paraît l'occuper. Cet
état
contraste singulièrement avec celui des autres en
rte à admettre que cette altération est un des nombreux effets de cet
état
si complexe, qu'on est convenu d'appeler inflamma
depuis le noyau central médullaire jusqu'à la surface du cerveau. L'
état
d'idiotie complète auquel était réduit cet enfant
causalité entre l'articulation des sons et les lobes antérieurs. L'
état
de flexion forcée des membres thoraciques et abdo
tre autre chose que cette végétation commençante et par conséquent un
état
anormal; et je m'étonne qu'après une argumentatio
brement qu'avant la rétention d'urine. Six mois se passèrent dans l'
état
le plus satisfaisant. Les forces et l'embonpoint
s l'espérance qu'un peu d'exercice influerait avantageusement sur son
état
général : le lendemain , à la visite, ce malheure
Apopi.exif.. xviie livraison. 1 ration du rhumatisme puerpéral. L'
état
puerpéral imprime à toutes les maladies un caract
miasmatique vient s'ajouter à toutes les influences qui naissent de l'
état
puerpéral lui-même. La suppuration est déjà formé
vive , pouls à 120; point d'oppression ; point d'envie de vomir. Cet
état
m'alarme, parce qu'il me fait redouter des accide
férieur du même côté ; l'abdomen est toujours ballonné, indolent. Cet
état
semble meilleur, mais je ne me fais pas illusion,
uestions, et se croit en voie de guérison; narines pulvérulentes. Cet
état
me paraît excessivement grave. Sinapismes ; potio
la coloration et l'expression¦ délire vague; aucune conscience de son
état
. La malade demande à manger. Vomissements; douleu
épigastre. Potion avec 12 gr. de camphre ; lavement camphré. Le 13,
état
ataxique , oppression , pouls plus fréquent; abdo
ses, qui m'a toujours paru plus rebelle que celui qui survient hors l'
état
de grossesse, mais beaucoup moins grave que celui
blait repousser toute idée d'inflammation des synoviales. Au reste, l'
état
général annonce une maladie fort grave. La face e
; frictions avec axonge une once, onguent napolitain un gros. Même
état
jusqu'au 20 mars. L'oedème commence à diminuer; l
plus particulièrement la jambe. La respiration est plus libre, mais l'
état
de la face et la fréquence du pouls, qui est parf
ontinué à la dose d'un gros depuis le commencement de la maladie. L'
état
général est toujours très grave et toujours le mê
xiété; envies de vomir; vomissements; pouls grêle, intermittent. Même
état
le 31. Mort, dans la nuit du 31 mars au 1er avril
xcessivement nerveuse, je prescris une potion calmante. Le 22, même
état
; un peu de désordre dans les idées ; les mamelles
uelles; agitation. L'abdomen est un peu moins ballonné. Le 26, même
état
: 20 sangsues autour du poignet. Onction avec axo
'avant-bras dans une infusion de fleur de sureau. Les 27, 28, 29, l'
état
de l'abdomen va s'améliorant, l'état du poignet v
r de sureau. Les 27, 28, 29, l'état de l'abdomen va s'améliorant, l'
état
du poignet va s'aggravant; 20 sangsues sont appli
e y ressent des élancements douloureux ; l'abdomen paraît en très bon
état
, et cependant le mouvement fébrile persiste. L'ap
muscles de la région postérieure de l'avant-bras. D'une autre part, l'
état
général est bien peu satisfaisant: sueurs; mouvem
st infiltrée de pus, PI, jusqu'à sa partie inférieure, qui est dans l'
état
naturel, indiquent les degrés divers auxquels les
coliques très vives mais passagères, est portée à l'infirmerie dans l'
état
suivant : froid algide; cyanose; absence du pouls
ses d'intestin grêle IG, le gros intestin G O (fig 2), étaient dans l'
état
naturel; les autres offraient une couleur lie de
ce correspondante au collet du sac ; partout ailleurs il était dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Cette
Bonin (Nie. Charles), 49 ans, se présente, le 13 mars 1833, dans l'
état
suivant : altération et pâleur des traits, infilt
ême matière. L'artère rénale et ses divisions étaient vides et dans l'
état
naturel. L'uretère était sain, de même que la ves
époque que datent les renseignements qui manquent totalement sur son
état
antérieur. Pendant les deux années de réclusion
ids et infiltrés. Le 21 décembre, l'enfant entra à l'hôpital dans l'
état
suivant : maigreur générale ; pâleur de la face e
res droits ; déviation plus grande de la bouche; intelligence nette ;
état
très variable des pupilles. Céphalalgie occipital
vier. Ouverture du cadavre. Le cerveau et ses membranes sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité, sérosité gélatinifor
ir le retour apparent à une santé complète, succéder brusquement à un
état
qui donnait les plus vives inquiétudes; de même q
voit l'enfant passer subitement de la santé la plus florissante à un
état
désespéré. Dans presque tous les cas, les tubercu
. On conçoit combien il importe dans le traitement, d'avoir égard à l'
état
des autres organes et en particulier à cette diat
êts, d'ailleurs à s'alarmer, n'eurent pas l'idée de consulter sur son
état
. Quinze jours avant l'apparition de l'hémiplégi
us fréquente que l'alongement de ce col, généralement indiqué comme l'
état
normal : le petit pertuis O M T que présente le m
parois. Comment expliquer la formation des kystes pileux ? Dans l'
état
sain , les poils sont une production épidermique
matrice ainsi que l'ovaire et la trompe du côté gauche étaient dans l'
état
naturel, ce qui explique la possibilité des deux
se dissipèrent. L'abdomen diminua de volume, mais sans revenir à son
état
naturel. Son mari étant mort, elle se remaria, et
la mère, et notamment la matrice, » étaient très saines et dans leur
état
naturel. » Je crois qu'indépendamment des faits
rents volumes, qu'on pourrait considérer comme des acéphalocystes à l'
état
naissant. Cette membrane était régulièrement pl
une structure fibreuse. Leur surface interne se présentait sous deux
états
bien différents. xixe livraison. 1 Généralement
1 et 2, pl. 3. Les mouvements de flexion de la main étaient libres. L'
état
générai était excellent. Les commémoratifs appr
se. Le doigt ne put pas être introduit dans le vagin, pour explorer l'
état
de ce conduit et celui du col utérin. Les ganglio
igmentum forme le plus souvent une boue noire; quelquefois il est à l'
état
liquide; d'autres fois enfin , il se présente sou
agment de rate soumis à la même opération. Lorsque le pigmentum à l'
état
liquide est sécrété en quantité très considérable
peut être primitive dans d'autres cas. Lorsque le pigmentum est à l'
état
concret, les mailles fibreuses qui le traversent
llissement admises dans la mélanose, doivent être remplacées par deux
états
, celui de mélanose avec pigmentum liquide , et ce
liquide , et celui de mélanose avec pigmentum solide : on voit que l'
état
de mélanose avec pigmentum solide ne suit pas néc
celui de mélanose avec pigmentum liquide; que l'un et l'autre de ces
états
peuvent exister primitivement ; que dans le cas o
rimitivement ; que dans le cas où l'un vient à succéder à l'autre , l'
état
de pigmentum liquide qui répond à la période de r
nd à la période de ramollissement de quelques auteurs peut précéder l'
état
de pigmentum solide qui répond à la période de cr
uvé, au moins pour un certain nombre de cas, que le tubercule dit à l'
état
de ramollissement pouvait précéder le tubercule d
dit à l'état de ramollissement pouvait précéder le tubercule dit à l'
état
de crudité. B. Des colorations mélaniques.— i°
on, et la coloration des ganglions bronchiques qui se concilie avec l'
état
d'intégrité de ces organes. Les vaisseaux lymphat
bronchiques noirs : car leur tissu est presque toujours alors dans l'
état
d'intégrité. Seulement ils sont pénétrés d'une qu
présenter une couleur d'un noir de jais ou ardoisée très foncée. Cet
état
, que j'ai si souvent occasion devoir chez les vie
ion devoir chez les vieilles femmes de la Salpêtrière, n'estliéàaucun
état
morbide des organes digestifs, et se concilie ave
du tissu cancéreux mélanique, c'est d'être presque toujours lié à un
état
d'infection générale, soit qu'il y ait simple coe
s ganglions lombaires, le canal déférent du côté opéré étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Le cancer, par mas
e Ier octobre i833, pour un cancer volumineux de la mamelle gauche. L'
état
général de la malade, qui présentait tous les att
hôpital et couchée salle Saint-Jean, n° 19 : elle était dans un grand
état
de prostration, et donna pour motif de son entrée
t les parties molles environnantes étaient identiquement dans le même
état
du côté droit et du côté gauche ; une assez grand
e ramollissement complet. Le tissu du foie intermédiaire était dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Des tumeurs de mêm
ur offraient l'image assez exacte de l'intérieur d'une orange dans un
état
de putré-cc faction commençant : les lamines qui
-Marcel (Louise), âgée de soixante-six ans, entre le 3 avril, dans un
état
de maigreur porté jusqu'au dépérissement. Depuis
anté pour une amaurose complète. Elle rend parfaitement compte de son
état
, n'accuse aucune espèce de douleur et meurt imméd
s parois des différentes cavités du cœur était un peu au-dessous de l'
état
normal. Le tissu de cet organe était fragile, mai
lieu dans l'épaisseur de l'organe au voisinage de la rupture; mais l'
état
graisseux, admis par quelques-unes des personnes
nes qui virent la pièce, ne me parut nullement constaté; d'ailleurs l'
état
graisseux du cœur ne favorise pas la rupture de c
é droit. Les jours suivans, morosité, indifférence complète sur son
état
et sur tous les objets extérieurs. Douleur à l'ép
t; les cuisses fléchies sous le ventre; tous les muscles sont dans un
état
de contraction tonique. Si l'on essaie de faire a
x sangsues le long des jugulaires, sinapismes aux jambes.) 11 mai :
état
comateux. Cris plaintifs continuels; respiration
baissées ; pupilles dilatées; les membres du côté gauche sont dans un
état
de rigidité permanente, mais ils ne sont point ag
l'hémisphère droit. (Vessie remplie de glace sur la tête.) 12 mai :
état
toujours comateux. La malade essaie, sans le pouv
e temps la bouche paraît déviée à gauche; le bras droit est dans un
état
de rigidité, et n'exécute aucun mouvement, tandis
soulagea beaucoup la malade. Appétit, mais point de changement dans l'
état
des membres. Pesanteur de tête; céphalalgie. Se
dans la commissure des lèvres. Le membre supérieur droit est dans un
état
complet de résolution : soulevé, il retombe comme
lentement. Les membres inférieurs étaient respectivement dans le même
état
que les supérieures : de temps en temps, quelques
elques cuillerées de petit lait. Le 25^ à la visite, je constatai l'
état
suivant : perte complète de connaissance, râle, i
un pareil désordre, les deux côtés du corps auraient présenté le même
état
de flaccidité. Des nuances insensibles dans les
la malade peut marcher à l'aide d'une béquille; mais elle est dans l'
état
d'hébétude le plus complet : les urines et les ma
ransférée dans la division dite des gâteuses. Elle est restée dans un
état
d'idiotisme. Elle est rapporté à l'infirmerie d
ce. Portée à l'infirmerie, salle Saint-Antoine, n° 4, elle présenta l'
état
suivant : paralysie du membre supérieur droit; so
le porte la langue hors delà bouche. Je la vis le 17 janvier dans l'
état
suivant : abolition complète de l'intelligence; p
e. Le pouls est presque naturel pour la fréquence. Au milieu de cet
état
, je reconnais quelque chose d'hémiplégique. Je di
u lobule de la scissure de Sylvius. Ce ramollissement présente deux
états
bien distincts : il est exclusivement limité à la
pour la précipiter ensuite: de là ces alternatives d'amélioration, d'
état
stationnaire et d'exacerbation. En outre, le foye
les figures annexées qui représentent aussi fidèlement que possible l'
état
des organes, sont pleinement confirmatives des fa
omac était le point de départ des symptômes tout-à-fait étrangers à l'
état
du cerveau et je mis la malade au régime le plus
qui se renouvelle plusieurs jours de suite et le jette dans un grand
état
de faiblesse : en même temps, selles sanglantes a
-un ans, demoiselle, est restée pendant un an dans mes salles, dans l'
état
suivant : douleurs épigastriques extrêmement viol
et réflexions...... --Vices de conformation. Artère pulmonaire à l'
état
de vestige; plusieurs artères sí rendent de l'a
rsonne ne touchait, s'éleva et retomba. Eusapia se trouvait alors à l'
état
d'hypnose. Elle ne se souvenait point le lendemai
ais Eusapia s'assombrit, a déjà le hoquet et est sans aucun doute à l'
état
de trance. Je me mets contrôleur de gauche, Swien
éance Eusapia, fortement irritée par le manque de table, tomba dans l'
état
de trance plus profond et parlait au nom de John;
saisons à Néris n'ont pu amener de modifications importantes dans son
état
nerveux. Depuis 10 mois elle vomit tous ses repas
oërcibles qu'aucun traitement antérieur n'avait pu arrêter. De plus l'
état
général a été aussi très favorablement modifié, a
ts même les plus faciles à digérer tels que le lait, le bouillon. Cet
état
gastrique a résisté aux traitements employés et e
l'hydrothérapie et a disparu, il y a un an, pour être remplacé par un
état
plus grave. En effet, à cette époque cette jeun
gnements manquent dans 10 cas (fait qui s'explique suffisamment par l'
état
de démence de certains de nos malades et par le f
atouages professionnels sans importance : mais il est tatoueur de son
état
et comme tel a tatoué autrefois alors qu'il avait
es sensations subjectives ont disparu et constituer à elles seules, l'
état
de besoin. Ce qui le prouve, c'est que le sujet p
e Traitement comprend quatre indications principales : 1o combattre l'
état
névropathique; 2° combattre la cause présumée; 3°
ignés par Beard sous le nom de phobies, et par Bouveret sous le nom d'
états
d'anxiété neurasthénique. Ces états sont caractér
es, et par Bouveret sous le nom d'états d'anxiété neurasthénique. Ces
états
sont caractérisés par un ensemble de sensations é
difficultés de l'examen clinique résultent de l'instabilité môme de l'
état
mental des sujets. Alors qu'ils s'étendent avec c
leurs troubles cérébraux. C'est également chez eux qu'on retrouve cet
état
d'indécision qui les empêche de prendre la déterm
miliation à faire l'aveu de leur faiblesse morale, et racontent leurs
états
d'anxiété à tout le monde. Mais ce sont de rares
se rassure peu à peu, se met à sourire et revient insensiblement à l'
état
normal. Sous l'influence de suggestions faites da
lement à l'état normal. Sous l'influence de suggestions faites dans l'
état
hypnotique, son état s'est promptement amélioré e
l. Sous l'influence de suggestions faites dans l'état hypnotique, son
état
s'est promptement amélioré et les phobies ont dim
ouvait une angoisse extrême à la vue de quelques gouttes de sang. Son
état
fut promptement modifié à la suite de quelques sé
ongtemps attribuées à une timidité exagérée, ne sont en réalité qu'un
état
d'anxiété neurasthénique, car il n'est pas timide
us. Sous l'influence d'un traitement hydrothérapique et suggestif son
état
s'est progressivement amélioré et il est rentré d
estif son état s'est progressivement amélioré et il est rentré dans l'
état
normal. Nous pourrions multiplier les exemples.
asthénie : lorsque la névrose n'est point passée depuis longtemps à l'
état
chronique, un traitement rationnel aboutit généra
position » (M. Loth). M. Al. Rajchman ajoute que « lorsque Eusapia en
état
de catalepsie s'appuya sur son épaule, il sentit
n l'air au milieu de la chambre, sans aucun appui. Il était alors à l'
état
de trance, et s'élevait graduellement, lentement
de l'éclat et le nombre de points lumineux, semblaient dépendre de l'
état
psychique du médium » (Matuszewski). — « J'ai obs
ne façon normale, 82 membres ont déjà acquitté leurs cotisations. L'
état
de la société est actuellement des plus prospères
uai que cette jeune fille pouvait être très facilement plongée dans l'
état
hypnotique. Je l'endormis en quelques secondes, à
ent indurés, ce qui me prouvait que la malade n'était pas infectée. L'
état
général du reste était bon, et comme hérédité il
ate les surprises occasionnées de temps à autre par les sujets mis en
état
hypnotique, je me méfiai cependant, et avec raiso
ue lorsqu'on se sera parfaitement assuré à plusieurs reprises du réel
état
de cette anesthésie. On sait que tout le monde
suffit pour me convaincre que l'opération pourrait avoir lieu dans l'
état
d'insensibilité le plus complet. Le 28 novembre
malade un lavage au sublimé au 6/1000e La patiente, entièrement en
état
de somnambulisme, se mit aussitôt à dire : « c'es
anées. Il y aurait eu également de l'hyperesthésie de la jambe. Cet
état
resta stationnaire jusqu'au mois d'août ; lorsque
st-à-dire que, par l'application d'un aimant puissant, je modifiais l'
état
nerveux qui, il faut bien le remarquer, est plus
la reviviscence de la sensibilité du membre amputé chez un sujet en
état
hypnotique. M. J. Luys. — Je vous présente un s
nce des impressions sensitives dans un membre amputé chez un sujet en
état
d'hypnotisation. Cet homme, âgé de vingt-huit ans
'il était très aisément hypnolisable et que, au moment où il était en
état
hypnotique, la région correspondant au moignon du
rce cérébrale de notre sujet, sous l'influence des perturbations de l'
état
hypnotique, se dégage comme un courant centripète
, et il se montrait plein d'égards pour eux et de déférence pour leur
état
; si l'expression de sa physionomie était grave, e
aturée des os du crâne, chez les microcéphales, sur l'importance de l'
état
intermédiaire à la veille et au sommeil, sur la p
ctes dangereux; le nom de mélancolie avec stupeur qu'il donnait à cet
état
, dans ses leçons, lui est resté. Les leçons de
ommeil hypnotique est-il toujours dû à la suggestion ? 3° Les trois
états
de Charcot existent-ils ? 4° Quel procédé d'hyp
es ? 6° Quelle est la cause du sommeil hypnotique ? 7° Quel est l'
état
de la sensibilité et des fonctions intellectuelle
es hallucinations suggérées entrainent-elles des modifications dans l'
état
physique de l'organe des sens ? (Féré). 18° Inv
es. Avec Foville, nous comprendrons, sous la dénomination de folie, l'
état
de toutes les personnes qui ne jouissent pas de l
qui l'occasionne. Il semble que, contrairement à ce qui se passe à l'
état
normal, où les réactions individuelles s'adaptent
aux exagérations, aux doléances excessives. A noter encore certains
états
de confusion mentale. Après cette rapide revue
yants, lors de la première séance. IX. Le Dr Higier, en examinant l'
état
pathologique du médium, nommé par les spirites l'
en examinant l'état pathologique du médium, nommé par les spirites l'
état
de transe, écrit entre autres (4) : « Chaque fois
uves curieuses, quoique pas décisives, de la réalité de la transe. En
état
de veille, et en général à l'état normal du médiu
ves, de la réalité de la transe. En état de veille, et en général à l'
état
normal du médium, je n'ai jamais constaté ce phén
a suggestion, la question des modifications de la conscience dans les
états
hypnotiques et somnambu-liques (divison de la per
e à l'hôpital. Amnésie complète après son réveil. D'après l'auteur, l'
état
second persiste dans le somnambulisme hystérique
idée ou un certain genre d'idées. Dans le deuxième groupe de cas, l'
état
de délire hallucinatoire est encore nettement mar
ent dans les cas, du troisième groupe. L'attitude du malade pendant l'
état
de somnambulisme ne présente rien de particulier
é ou qui ne connaît pas l'individualité mentale des malades. Dans son
état
pathologique (second) le malade ne fait rien qu'i
e (second) le malade ne fait rien qu'il n'ait pu faire aussi dans son
état
normal (premier). Comme le fait remarquer Gilles
pourrait être embarrassée pour décider si ce n'est peut-être pas l'
état
morbide qui est l'état de santé, et inversement.
sée pour décider si ce n'est peut-être pas l'état morbide qui est l'
état
de santé, et inversement. » Ces états pathologi
e pas l'état morbide qui est l'état de santé, et inversement. » Ces
états
pathologiques peuvent se montrer d'une façon tout
chez des personnes qui sont atteintes d'accès hystériques. Le second
état
peut cependant aussi avoir une durée et une impor
'autre. On trouve décrits dans la littérature des cas dans lesquels l'
état
second a duré des semaines et des mois, sans inte
cultés mentales et des souvenirs de leur vie normale. Dans le premier
état
il y a amnésie complète pour ce qui s'est passé e
ns le premier état il y a amnésie complète pour ce qui s'est passé en
état
second. Parfois, dans l'état second, il se produi
ésie complète pour ce qui s'est passé en état second. Parfois, dans l'
état
second, il se produit des actes sans but et irrég
tique reviennent à la mémoire. Il y a une parenté étroite entre les
états
de conscience double et les expériences pour repr
émonstration clinique. II suggère aussi avec succès à une patiente, l'
état
d'un enfant de 7 ans, mais il ne peut se prononce
stifiés et fondés, si l'on pouvait reconnaître comme « typiques » les
états
d'excitation produits sous forme d'hypnose. Cer
hypnose. Certainement, comme le rapporte Ziemssen, il a provoqué un
état
anormal du cerveau, certainement on peut appeler
tre l'hypnose et le sommeil ! A son avis, on n'a jamais observé à l'
état
normal l'analgésie et la catalepsie, et cependant
rtant avec soin les irritations des sens excitantes ou fatiguantes. L'
état
de repos passif qui se produit d'abord n'arrive q
uggestion inconsciente, on arrive parfois aussi par la suggestion à l'
état
de veille ou même, à l'aide de la méthode que nou
ès de sommeil, des spasmes, du délire. Ces symptômes caractérisent un
état
pathologique et sont la contre-partie directe de
sions à l'action, qui forment l'idée. La précision ainsi obtenue et l'
état
complet de l'idée, amènent à de véritables actes
éfaut d'imitation ainsi que par l'impossibilité de se délivrer de cet
état
. Beaucoup de cas de la forme aboulique du délire
e Lowenfeld, sur le dédoublement de la conscience. Le délire de cet
état
a lecaractère du monoxdèisme;\\ semeutdans un cer
rièveté dont il faut lui savoir gré, présente une vue d'ensemble de l'
état
de la science. Nous pouvons indiquer seulement,
à 13 ans furent atteintes, pendant l'année 1891, d'accidents nerveux,
états
de sommeil, vertiges, maux de têtes, convulsions.
es symptômes se produisirent, sans exception, par imitation. Dans les
états
de sommeil existait la faculté de réagir aux sugg
vendent tous leurs biens, ne travaillent plus, et se trouvent dans un
état
anormal de caractère, éprouvent un bien-être part
temps des processus psychiques chez les personnes qui se trouvent à l'
état
d'hypnose. » Ces recherches ont été faites sur tr
4. — Résultats : 1° Ceux qui ont été obtenus chez les personnes à l'
état
de veille et avec une sensation de bien-être, pou
notablement plus grandes que chez les gens bien portants. 2° Dans l'
état
hypnotique, le temps de réaction simple d'apercep
us ou moins notable chez toutes les personnes, par comparaison avec l'
état
de veille. Dans la plupart des cas le temps du ca
i de l'association des idées ont été plus courts dans Vhypnose qu'à l'
état
de veille. 3° La durée de tous ces processus ps
ur suggérai; de les accomplir plus rapidement, qu'elle ne l'était à l'
état
hypnotique sans cette suggestion. 4° Le temps d
déduction faite du temps de simple réaction aux paroles) était dans l'
état
hypnotique avec suggestion d'accomplir ces actes
idement, beaucoup plus court dans tous les cas, que les processus à l'
état
de vcîUe.Tandis que le temps de réaction simple e
toujours plus courts par comparaison avec les mêmes processus dans l'
état
de veille avant l'hypnose. .5° Toujours, et san
(à suivre) Effets physiologiques de la musique sur des sujets en
état
d'hypnotisme. Un médecin américain, le Dr Alfre
agner à Munich et à Vienne, que les auditeurs étaient plongés dans un
état
fort analogue, sinon identique, à l'état hypnotiq
eurs étaient plongés dans un état fort analogue, sinon identique, à l'
état
hypnotique, il a pensé que, pour apprécier avec p
ogiques du corps, il était préférable de mettre d'abord les sujets en
état
d'hypnotisme afin de mieux les abstraire de toute
de la musique, mais sans posséder un sens médical bien développé. A l'
état
normal, la musique ne produisait pas grande émoti
piano, étaient endormis par les procédés ordinaires, et, une fois en
état
d'hypnotisme, M. Warthin leur inspirait les sugge
te de sueurs profuses. Il est à noter que le même morceau, joué à l'
état
de veille, n'a produit aucun effet comparable aux
, n'a produit aucun effet comparable aux résultats observés pendant l'
état
hypnotique et n'a déterminé aucune modification p
a pu être décrite. M. Warthin a observé encore que, pour produire l'
état
hypnotique, la musique est bien supérieure à tout
mais par eux-mêmes les sons musicaux sont incapables de provoquer un
état
d'éréthisme génital. La psychologie de l'anarch
SOffireiL - HYPNOTISME Par le D- Lié beau lt, de Nancy. Veille ou
état
psychique actif. — Sommeil ou état psychique pass
Lié beau lt, de Nancy. Veille ou état psychique actif. — Sommeil ou
état
psychique passif. — Etats passifs physiologiques
pnotisme, il n'y a que de la suggestion. » I On appelle veille, l'
état
actif de l'esprit dans lequel l'homme sain se tro
emps, de ses sens et de ses muscles fatigués ; il entre dans un autre
état
, celui de repos, pendant lequel l'ordre renaîtra
ment chez les extatiques religieux, sont des indices que si, dans des
états
psychiques, certaines personnes peuvent, sur un p
cela même le plus souvent inconsciente. Par ce côté d'inactivité, cet
état
est donc le contraire de la veille : il est, sans
e qu'il se développe après une affirmation acceptée d'entrer dans cet
état
, au moins dans quelques cas, démontre que, dans s
ême dormeur de pouvoir et de vouloir. La preuve encore que ces deux
états
obtenus par une semblable concentration d'esprit
aussi les procédés en apparence différents pour obtenir chacun de ces
états
, —c'est qu'ils permettent tous deux aux forces de
r cas. La preuve enfin de leur similitude, c'est ensuite que ces deux
états
sont convertibles l'un dans l'autre. Ainsi, un do
rasser de cette idée, et alors cette idée maintient et fait durer ces
états
. S'il n'y avait pas dans l'esprit des dormeurs, d
e la même façon, à la distribution des forces nerveuses dans tous les
états
passifs dont le sommeil est le type. Et cette d
ion de l'action pensante se retrouve très distinctement dans certains
états
analogues au sommeil, et particulièrement chez le
i que l'esprit des dormeurs a perdu, tout le temps de la durée de cet
état
, la propriété d'avoir à sa disposition assez d'at
e leur reste, à leur service, pour diriger encore la pensée comme à l'
état
de veille, qu'une attention réfléchie, diminuée,
mal ou est supprimé. Du reste, beaucoup de faits se passant dans des
états
ana-logues(au sommeil confirment cette notion.
ir,-est avec la propriété passive que, de l'autre côté, on a dans cet
état
de ramener, dans la distribution des forces, l'ha
fflue et se concentre dans le cerveau au siège de l'idée qui fixe cet
état
, et cela pour un certain temps et par un mouvemen
les faits incontestables de réveil à heure convenue, ce retour à l'
état
de veille montre que le som meil suit le même che
e sommeil, que l'on s'éveille à l'heure fixée d'avarice. Tant que cet
état
dure, on ne peut, pour cela, faire par soi-même a
t n'a jamais vu d'effets consécutifs fâcheux. Il poussait seulement l'
état
hypnotique, jusqu'au point où les sujets savaient
Robertson53,54 a employé l'hypnose, comme moyen de sédation, dans des
états
d'excitation de cause épileptique et hystérique.
vaux de Brunschwig 67 et de Gibert 68 s'occupent de la suggestion à l'
état
de veille, tandis que Tonoli 58, lWilliam Lee 60,
érapie suggestive. C'est un disciple de Bernheim et il a pu mettre en
état
hypnotique 83 0/0 de ses patients. Les résultats
Stadelmann 63 (comme Bebnheim et beaucoup d'autres auteurs) regarde l'
état
hypno- tique comme une modification de l'état d
es auteurs) regarde l'état hypno- tique comme une modification de l'
état
de la conscience ; une pluralité de conscience da
que Krapelin regarde comme indispensable le traitement psychique à l'
état
de veille (d'après les règles de Griesinger), il
cédé de traitement. Franke 71 dans ses recherches sur l'étendue des
états
d'irritation dans le corps humain, a pris aussi u
que par leur plus grande régularité dans leur marche, de celles de l'
état
normal du corps à l'état de veille et de repos, m
régularité dans leur marche, de celles de l'état normal du corps à l'
état
de veille et de repos, mais que par leur nature o
rps (abstraction faite des symptômes de mouvement du corps, hors de l'
état
de repos et de ce qu'on appelle les activités men
ires du cerveau) se comportent dans l'hypnose de la même façon qu'a l'
état
normal de la veille, et sont seulement plus régul
ans rêves, les manifestations vitales observées sont les mêmes qu'à l'
état
de veille,seulement plus régulières dans leur for
gnostik der Geisteshrankheiten, fait un court exposé de la nature des
états
hypnotiques et de leur importance pour le traitem
la suggeslibilité exige trois conditions; elles résident : 1° Dans l'
état
des processus psychiques, qui est désigné sous le
tre des idées. » La séparation d'une partie de notre conscience à l'
état
de veille et la dissolution des complexus des idé
suite de la tendance aux manifestations. motrices, qui caractérise l'
état
hypnotique, se produit dans le cas spécial la tra
s un but curatif que si le traitement mécanique et la suggestion, à l'
état
de veille, sont restés infructueux. « On doit rej
vaisseaux sanguins en général, sécrétions, innervation des intestins,
états
spasmodiques, etc.), des circonvolutions cérébral
urs avoir sous les yeux l'importance de l'influence psychique et de l'
état
psychique de son malade. Nous arrivons, mainten
ai vainement essayé, pendant quinze séances successives, de mettre en
état
d'hypnose ; il n'est doué d'aucune émoti-vité ; c
thérapeutique. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Un cas de mort dans l'
état
d'hypnotisme. L'opinion publique en Autriche-Ho
tout est dit. Mais si cette mort se produit sur une bicyclette ou à l'
état
de sommeil hypnotique, voilà une grosse affaire,
sseur Bernheim : « Je ne crois pas à la mort résultant du fait de l'
état
d'hypnotisme. « Tout ce qu'on peut dire, c'est
er la mort. « Que cette émotion se produise, le sujet étant soit en
état
d'hypnotisme, soit en état de veille, le résultat
motion se produise, le sujet étant soit en état d'hypnotisme, soit en
état
de veille, le résultat sera identique, mais l'hyp
responsable que de s'être livré à des expériences dangereuses dans l'
état
où se trouvait la patiente. Un rédacteur de la
e 11 ans est récemment demeurée pendant cinquante-quatre jours dans l'
état
de léthargie. Comme on avait failli l'enterrer to
; trou béant dans son existence, dont elle n'a aucune notion, ni à l'
état
de veille ni à l'état d'hypnose provoquée, qu'ell
existence, dont elle n'a aucune notion, ni à l'état de veille ni à l'
état
d'hypnose provoquée, qu'elle ne soupçonne que par
, elle entre salle VII. Nous l'examinons alors, et nous constatons un
état
actuel que je vais vous tracer en quelques mots.
d. En quelques secondes ses paupières se ferment et elle se trouve en
état
somnambulcide, sans hyperexcitabilité cuta-no-mus
at somnambulcide, sans hyperexcitabilité cuta-no-musculaire. Dans cet
état
, elle répond parfaitement aux questions qu'on lui
st mort... il est mort! » Puis, le délire cessant, elle revient à son
état
normal, ne se souvient ni de son attaque, ni de s
rfaitement exact. Mais il est à remarquer, dans le cas actuel, qu'à l'
état
de veille aussi bien qu'à l'état d'hypnose provoq
emarquer, dans le cas actuel, qu'à l'état de veille aussi bien qu'à l'
état
d'hypnose provoqué, la malade sait très bien qu
Par le D' Liébeault, de Nancy. III Il est des individus qui, à l'
état
de veille, pour peu que l'on dirige leur esprit s
tion de la pensée la plus simple, celle dans laquelle tous les autres
états
de dissociation sont en germe, qu'ils soient natu
aire élection de domicile : une scission se fait entre la pensée de l'
état
de veille qui continue ses mouvements et la pensé
le qui continue ses mouvements et la pensée actuelle qui se fixe : un
état
passif se forme. Il est aisé de trouver des fai
forme. Il est aisé de trouver des faits à, l'appui de cette sorte d'
état
passif physiologique dont je parle. Autrefois, lo
de force. Dans ces faits appartenant à une forme peu compliquée des
états
passifs, on remarque que les individus fascinés c
e qui avait abouti à l'idée fixe qui les dominait. Il est un mode d'
état
passif très rapproché du précédent et qui s'y rel
a été révélé par les expériences dont Braid a été le promoteur. « Cet
état
, ai-je dit dans mon livre du Sommeil (»), n'est p
lles n'ont pas plus qu'elles de caractères pathologiques. Ce sont des
états
franchement revêtus de l'élément émotif, élément
: passions essentiellement répulsives. Ces manifestations de divers
états
passionnels de l'esprit humain en idée fixe, que
plus élevées, les rapproche de leur type physiologique : le sommeil,
état
dans lequel on peut facilement les reproduire tou
ont mis, car le chemin en reste toujours ouvert. Tant que, dans les
états
passifs analogues au sommeil, cette disposition d
on dure peu, on dit que les personnes qui la partagent sont encore en
état
physiologique de santé. Mais, s'il arrive que la
e solitairement entourées de l'auréole de l'émotivité, on dit que les
états
qu'elles suscitent, la volonté étant continuellem
uellement diminuée ou absente, sont anormaux ou morbides. Parmi les
états
passifs qui restent, en général, contradictoires
ifs qui restent, en général, contradictoires à ce qui se passe dans l'
état
normal de santé, veille ou sommeil, il en est peu
olent, leur peu de fermeté pour se décider à agir disparait, et, de l'
état
physiologique où elles étaient inassurées, elles
at physiologique où elles étaient inassurées, elles descendent vers l'
état
pathologique et s'y laissent glisser jusqu'au bou
e rarement à ces premiers degrés sur la route des formes morbides des
états
passifs. Dès que les sujets sont sous le coup d'u
bles de s'arrêter sur la pente où ils sont disposés à glisser. Et ces
états
pathologiques passifs, plus haut nommés, découlen
lus haut nommés, découlent eux-mêmes, ce que nous avons constaté, des
états
passifs physiologiques qui en sont des formes tou
eut renfermer, dans ses manifestations, la plupart des phénomènes des
états
passifs, naturels et morbides. Par son caractère
ductible, l'accomplissement ou l'anéantissement de la volonté que ces
états
présentent tous, le sommeil se les relie, et par
De même, dans ce qui précède, on constate aussi que le sommeil et les
états
passifs, à leur tour, sont des effets du ralentis
la par la présentation à l'esprit des idées qui sont à la base de ces
états
et les forment; on constate que cette présentatio
du moral sur le physique, non seulement le sommeil et quelques autres
états
passifs, mais encore un moyen, pendantle cours de
res états passifs, mais encore un moyen, pendantle cours de ces mêmes
états
, pour produire, par une semblable réaction de l'e
ainsi qu'il arrive à tous ceux qui tombent d'eux-mêmes dans certains
états
passifs naturels ou morbides, on la nomme auto-su
ortent rien de nouveau sous le soleil de la science : le sommeil, les
états
passifs se sont toujours formés par les mêmes pro
de la suggestion, il est aussi raisonnable dédire, àproposdes autres
états
idéaux passifs, qu'il n'y a, en ce qu'ils sont, q
isonnable, à propos de la veille, d'affirmer encore qu'il n'y a pas d'
état
de veille, chez les gens éveillés, mais uniquemen
tique, auto-suggestion dans la production du sommeil ordinaire et des
états
passifs, eclosión auto-suggestive de la pensée pe
s ordinaires et provoqués, et à la base des phénomènes psychiques des
états
passifs autres et de l'état de veille. Et les mot
à la base des phénomènes psychiques des états passifs autres et de l'
état
de veille. Et les mots : hypnotiser, faire l'affi
her. En généralisant, on peut dire qu'à chaque pensée A corresdond un
état
A de l'éther; à cette corrélation M. Ochorowicz d
tion exceptionnelle, nécessaire pour la réalisation de Tidée, c'est l'
état
pathologique d'une personne, nommée « médium », l
Tidée, c'est l'état pathologique d'une personne, nommée « médium », l'
état
, connu dans le spiritisme sous le nom de la trans
connu dans le spiritisme sous le nom de la transe, et qui n'est qu'un
état
particulier de l'hypnose, se distinguant par les
troitement liés avec la conscience de l'homme, et le fait que, dans l'
état
mondidêique chez un hypnotisé — l'idée perdant se
dée, à cause de l'insensibilité passagère du corps, qui caractérise l'
état
de transe, perd même ses associations organiques,
s : la forme charnelle et la forme éthérique, coïncident, mais qu'à l'
état
de trance la deuxième peut se détacher de la prem
se livre à une danse particulière. Elle ne tarde pas à entrer dans un
état
d'exaltation difficile à décrire, prononce des pa
bac qui amène des vomissements sanguinolents. Alors il est arrivé à l'
état
de convulsionnaire et mérite la confiance. Souven
ument l'opium et le haschich, et cette pratique les maintient dans un
état
extatique. Nos ancêtres les Aryas avaient déifi
oivent être désinfectés, secoués à l'air, et entretenus dans un grand
état
de propreté. La chemise de nuit est obligatoire;
écifique, consistant dans une variation plus ou moins permanente de l'
état
affectif et mental d'un sujet, à l'occasion de la
se contenter d'une amélioration plus ou moins considérable dans leur
état
; que nés avec une constitution nerveuse, cette di
tions identiques et pûmes nous assurer que la malade se souvenait à l'
état
hypnotique des rêves qu'elle avait faits la nuit
s qu'elle avait faits la nuit et dont elle n'avait aucun souvenir à l'
état
de veille. Il en faut conclure que certains rêv
lure que certains rêves ne laissent aucune trace dans la mémoire de l'
état
de veille, bien que leur souvenir soit très préci
e de l'état de veille, bien que leur souvenir soit très précis dans l'
état
d'hypnose. Ces rêves ont-ils lieu dans le sommeil
icatrice disgracieuse que vous avez au cou. « Le lendemain matin, à l'
état
d'hypnose, elle nous raconta avec force détails q
elle à au cou ; elle avait résisté, mais elle avait eu très peur. A l'
état
de veille, elle n'avait aucun souvenir d'avoir rê
plus. Il me fait peur. » Ainsi, Messieurs, voilà un rêve ignoré à l'
état
de veille, et qui a eu pour effet de modifier tel
ne douleur dans le genou gauche, nous lui suggérâmes, toujours dans l'
état
hypnotique, que M. Escande, externe du service, l
u bien, il lui ferait au contraire beaucoup de mal. Le lendemain, à l'
état
de veille, ignorant complètement son rêve, elle e
ions essayé de l'en débarrasser par la suggestion directe, soit à l'
état
de veille, soit à l'état hypnotique, et, jamais,
rasser par la suggestion directe, soit à l'état de veille, soit à l'
état
hypnotique, et, jamais, la suggestion directe n'a
événement antérieur et amenant la reviviscence de toute la série des
états
émotifs qui se sont succédé au moment de sa produ
ifs qui se sont succédé au moment de sa production, — bien que dans l'
état
de veille et dans l'état d'hypnose provoqué la ma
u moment de sa production, — bien que dans l'état de veille et dans l'
état
d'hypnose provoqué la malade sache parfaitement q
t dans l'état d'hypnose provoqué la malade sache parfaitement que ces
états
émotifs sont injustifiés — constitue déjà un fait
rs étudié quelques faits de ce genre dans ces belles recherches sur l'
état
mental des hystériques. Beaucoup plus intéressa
ences des modifications dans les sentiments conscients des sujets à l'
état
de veille. Cette particularité fournit probableme
entre le membre et l'objet, et je passerai à d'autres rapports sur l'
état
physiologique du médium pendant les expériences e
es et sur la tromperie inconsciente de sa part, qui est liée avec cet
état
. Je puise les données sur l'état psycho-physiolog
te de sa part, qui est liée avec cet état. Je puise les données sur l'
état
psycho-physiologique d'Eusapia Palladino dans l
u'Eusapia subit dès sa huitième année une hallucination obsédante à l'
état
de veille : on ne sait quels yeux expressifs, la
Eusapia Palladino est âgée de 38 ans, et n'a pas l'air plus vieux à l'
état
normal ; elle a la constitution régulière. Les mu
matisme) à celle du cerveau (sphère de conscience). Ajoutons un léger
état
paré-tique de la moitié droite du corps, qui expl
rs indiens se servent d'un moyen analogue pour entrer dans un certain
état
de l'hypnose (l'auto-hypnose). II faut noter pour
aveu, les craintes et sensations des acteurs. Le plus curieux est son
état
pendant la durée des phénomènes médianiques; ces
nts et donner à chacun un côté des phénomènes à observer. Lorsque cet
état
physiologique spécial commence, Eusapia soupire t
e sueur. Les jambes et les bras sont, pendant les phénomènes, dans un
état
de forte tension, presque de raideur, ou bien épr
, erotique ; cette extase sensuelle se manifeste non seulement dans l'
état
des yeux brillants, mouillés et largement ouverts
alors son attention en est trop occupée. La séance terminée, tout l'
état
change complètement : l'excitation est remplacée
cause du milieu défavorable au spiritisme. » Cette description de l'
état
psycho-physiologique d'Eusapia est confirmée, ave
Higier et Watraszewski ( « Compte-rendu », pages 8 et 12). Quant à l'
état
intellectuel d'Eusapia, le Dr Harusewicz ajoute :
ir un bon sujet de recherches scientifiques. » La connaissance de l'
état
psycho-physiologique d'Eusapia, surtout pendant l
un assistant. D'autre part, la caractéristique citée ci-dessus de son
état
intellectuel fait comprendre quelle ait parfois,
rés souvent comme conditions sine qua non, à l'aide de persuasion à l'
état
de veille ou de suggestion pendant le sommeil hyp
i ne peut être obtenue que par l'emploi de la suggestion faite dans l'
état
hypnotique. La suggestion à l'état de veille ne d
ploi de la suggestion faite dans l'état hypnotique. La suggestion à l'
état
de veille ne donne que des résultats isolés. L'
nd hypnotisme décrit par Charcot avec ses trois phases, m'a semblé un
état
artificiel, ou tout au moins le produit de l'hyst
naissance de cause. Après un chapitre ayant trait au transfert, à l'
état
normal, de goûts, de douleurs, de sons et d'image
ré aux cas des personnes qui ont éprouvé les mêmes phénomènes dans un
état
d'hypnose. L'auteur aborde ensuite certains faits
nfin Charcot, saisissant les rapports de l'hysté- rie avec certains
états
ou phénomènes qui relèvent de l'hypnotismci entre
et Cie, 20, rue Gambetta. Besançon, 1889. « Dr Georges Dumas. — Les
états
intellectuels dans la mélancolie. Un volume in-86
janvier et février 1880. Elle part pour Lourdes le 17 août 1881. Son
état
empire tellement pendant le trajet qu'à Poitiers
istinctes -dans tout phénomène de dynamique : les lois générales et l'
état
initial. En faisant varier celui-ci, on obtient a
générales qui sont fidèlement suivies ; il a disposé en même temps un
état
initial des atomes en vue des . phénomènes inte
ite des temps. Or, ce qui a déterminé le choix providentiel entre les
états
initiaux, c'est la prévision des actes libres. Le
iller général de Sézanne. A propos d'un prétendu cas de mort dans l'
état
hypnotique A propos de la mort de Mlle Elsa Sal
e: » En 1866, le Dr Liébeault, dans son livre sur le Sommeil et les
états
analogues, dont, à cette époque, il ne fut pas ve
ne mise en somnambulisme est à la merci de celui qui l'a amenée à cet
état
... Ce que j'avance résulte, pour moi, d expérienc
ences que je tentai sur une jeune fille très intelligente, et qui, en
état
de sommeil profond, était la plus revêche et la p
pêtrière prit naissance. Elle crut découvrir dans le somnambulisme un
état
pathologique. En même temps faisait son apparitio
t saine jeune fille dont je reparlerai plus loin. C'est elle qui, à l'
état
de veille, se laissait percer la langue avec une
resse, leur mémoire dépassent les bornes où elles sont renfermées à l'
état
normal. Ne parle-t-on pas d'écoliers qui, dans de
tat. Dans l'entourage on parle déjà d'une tuberculose. C'est dans cet
état
que la malade me revient. M™ G... est, en effet
Dr A. Voisin. M. X... âgé de 45 ans, est venu me consulter pour un
état
hypocondriaque et une diminution notable de la mé
ce morale. M. X... a des tendances manifestement hypocondriaques. Cet
état
maladif ne l'empêche pas cependant de s'occuper d
qu'au bout de deux séances. Le malade ne peut pas être plongé dans un
état
dépassant la demi-léthargie ; il ne peut ouvrir l
r l'œil. Mais il était, après cette semaine d'insomnie, dans un tel
état
d'excitation qu'on a pu craindre qu'il ne devint
es prétendent ne pas dormir du tout, mais ils sont en réalité dans un
état
de demi-assoupissement où il y a repos, bien que
diffère du sommeil ordinaire que par sa durée plus prolongée, avec un
état
d'hypnose et d'hypothermie beaucoup plus profond.
d'oxygène contenu dans le sang artériel est à peu près la même dans l'
état
de veille et dans l'état de torpeur; son chiffre
sang artériel est à peu près la même dans l'état de veille et dans l'
état
de torpeur; son chiffre est toujours élevé : on e
adémie des Sciences, le 25 février 1895. moyenne, de 0 ce 87 dans l'
état
de sommeil et de 0 ce 60 dans l'état de veille. L
95. moyenne, de 0 ce 87 dans l'état de sommeil et de 0 ce 60 dans l'
état
de veille. L'écart de ces chiffres est dû à l'aci
s de l'acétone, et l'acétonémie est notablement plus accentuée dans l'
état
de torpeur profonde que dans le réveil. Cela n'a
le réveil. Cela n'a rien de surprenant, puisqu'il s'agit d'animaux en
état
déjeune absolu et d'autopha-gie prolongée, consom
ctes qu'il lui arriverait d'exécuter en rêve. Si l'on me mettait en
état
de somnambulisme, on pourrait sans doute me faire
ser en morceaux par des promeneurs maladroits, se refuse dans le même
état
d'hypnose à s'emparer d'un porte-monnaie sans maî
n garde contre l'abus de la morphine. Je lui fis un tableau noir de l'
état
où elle pourrait tomber en s'entraînant de la sor
laises qui vous indiquent d'ordinaire une crise, vous tomberez dans l'
état
hypnotique, et vous vous ferez, à vous-même, la d
Depuis, je suis retourné la voir et je retrouvai la malade en parfait
état
de santé. La crise, non seulement est enrayée dès
ial du système nerveux comme la suggestion, une action directe sur un
état
pathologique aussi caractérisé que les coliques h
cédées. Ces leçons n'étaient pas seulement des exposés fidèles de l'
état
des malades mêlés à des vues géniales, .elles éta
sances suffisantes, .ce n'est pas seulement pour qu'ils soient hors d'
état
de tuer, c'est surtout pour qu'ils puissent guéri
t superficielle, et une suture put être pratiquée séance tenante. L'
état
de notre confrère est actuellement aussi satisfai
os) de démontrer la similitude qui existait : entre la formation de l'
état
de folie de Blanco, qui, par l'affirmation qu'il
aient ses sujets d'expérimentation, lesquels croyaient, quoique en un
état
encore physiologique, être transformés en tout ce
prit presque encore intact et réagissant avec rage. II Si, dans l'
état
de fascination, cette forme amoindrie du sommeil
au moins par gradation descendante à ses formes inférieures et à ses
états
analogues, il est bon de faire bien connaître qu'
reposer. Si, en principe, les phénomènes caractéristiques de ces deux
états
s'excluent l'un l'autre, en réalité ils se pénètr
écanique qui s'arrête et voire même du temps écoulé, etc. Entre ces
états
tout opposés, veille et sommeil, on constate donc
crimes les plus épouvantables et que l'on n'exécute que dans certains
états
de folie. Quant à ne parler que du sommeil ordi
ives de ce genre de crimes conçus et effectués sur autrui pendant cet
état
, il y en eut 2 sans résultats; 2 suivis de blessu
la nuit mis des gants très épais à fin de l'empêcher de se gratter. L'
état
de l'enfant était pitoyable, et la nécessité de s
fréquemment la nuit avait beaucoup fatigué la mère. La cause de cet
état
était un eczéma apparu pour la première fois lors
lassification de Bernheim). Je ne le retins que cinq minutes dans cet
état
, et aux séances suivantes, je ne prolongeai pas l
evelu l'empêchait, non seulement de dormir, mais travaillait même son
état
mental. L'eczéma du cuir chevelu était dû au gr
ait venue me trouver, désespérée. Elle ne dépassa jamais le premier
état
de somnolence, mais dès la première suggestion, l
isite. Je la traitais trois fois par semaine. Après quatre séances, l'
état
des mains s'était tellement amélioré que je crus
nt qu'elle cessât ses visites, tout signe d'eczéma avait disparu et l'
état
général de la malade semblait normal. Avant de
'assura que pendant un grand nombre d'années il n'avait pas joui d'un
état
aussi bon que celui dont il jouissait dans l'inte
it croire, en présence d'une habitude automatique si invétérée, que l'
état
mental de celui qui en est atteint doit présenter
d'être hypnotisé, je lui proposai de le traiter par la suggestion à l'
état
de veille, ce qu'il accepta avec empressement.
j'ai appliqué la même action mécanique, renforçant la suggestion à l'
état
de veille, avec un égal succès dans quatre cas d'
tions habituelles et un volume de M. G. Dumas, ayant pour titre : Les
états
psychiques dans la mélancolie. _ Le pouvoir d'a
s lesquelles il n'y a pas de bon psycho-thérapeute. Quel est donc l'
état
psychique du sujet dans les conditions spéciales
pouvoir dynamique de ses réflexes.Et cependant il a conscience de son
état
puisqu'il sait, et quand l'idée vient, il a consc
e. Ce n'est pas tout à fait cela, car le patient n'était pas dans l'
état
d'aboulie. — Cette expérience mérite, on le voit,
tion. — 11 en résulte des différences d'impressions perçues : c'est l'
état
conscient. Etat fugace le plus souvent, car il co
ation qui n'a quelquefois pas de durée appréciable; mais, ce sont ces
états
de conscience fugaces qui forment le fond de notr
forment le fond de notre personnalité psychique sur lequel s'édifie l'
état
de conscience intensif et prépondérant qui accomp
t prépondérant qui accompagne tout acte volontaire. Tous ces petits
états
de conscience font mieux comprendre encore la néc
it entrevoir. L'acte volontaire serait de plus une concordance de l'
état
de conscience intensif et prépondérant avec tout
stitue notre personnalité psychique. C'est ainsi qu'on peut appeler l'
état
de conscience intensif et prépondérant volonté né
sens le cas de notre sujet. Nous savons qu'il avait conscience de son
état
, il y avait donc dans le processus psychique qui
sus psychique qui le constituait, un arrêt ou une comparaison avec un
état
autre. — Il n'était pas soumis au pouvoir dynamiq
is au pouvoir dynamique de ses réflexes; car alors l'idée première, l'
état
conscient primitif — il savait que c'était mal —
l'idée première subissait un nouvel arrêt qui constituait chez lui un
état
conscient plus intense, une conscience prépondéra
l'accomplissement de l'acte, et il l'accomplissait. Il y avait deux
états
conscients successifs : le premier qui constatait
ment, par une démonstration physique tangible, déterminé un arrêt, un
état
de conscience intensif et prépondérant, une volon
personnalité psychique du sujet, qui s'est substitué à un arrêt, à un
état
de conscience intensif et prépondérant, à une vol
mais qu'elle n'est qu'une prise de possession par la conscience d'un
état
ou d'une succession d'états d'un mouvement en mar
prise de possession par la conscience d'un état ou d'une succession d'
états
d'un mouvement en marche vers une solution nécess
t conforme à la fin présumée et alors, par une action en retour sur l'
état
conscient, se produit l'illusion d'une volonté li
e par la marche ou lorsqu'on touche les membres affectés. Voici son
état
au moment de son admission à l'hôpital. Système a
1894, les bords de la pupille optique sont égaux et la rétine en bon
état
. 11 y a encore de l'analgésie du pied gauche et l
. Il faut aussi prendre en considération le sexe, l'âge du sujet et l'
état
de ses appareils cardio-pulmonaire et rénal. Chez
na ; et ce mot, dont l'origine est Henjana (raide, tendu), rappelle l'
état
extérieur du malade aux heures de souffrance, où
près de trois jeunes filles atteintes de crises, il les trouva dans l'
état
suivant : « Les trois enfants étaient couchées à
chés ne permettaient pas de croire a un repos réparateur ; c'était un
état
de prostration profonde, qui les rendait insensib
le jettent dans une sorte d'ivresse, il perd toute conscience de son
état
. Ahuri du tumulte et des scènes étranges qu'il vo
quatre ou cinq fois sur cent des sujets que l'on hypnotise, ces deux
états
étant caractérisés par ce signe commun : l'absenc
r le remettre, au moins une fois, dans le sommeil, pour que, dans cet
état
, il puisse nous éclairer sur ce qui nous avait pa
apable d'en avaler une goutte. Les trois jours suivants j'obtins un
état
d'hypnose un peu plus profond (4me degré d'après
s curatifs qui ne se produisent pas à la suggestion directe, soit à l'
état
de veille, soit pendant l'hypnose. Mon cas confir
us facilement acceptée par la malade que ma suggestion, faite dans un
état
d'hypnose plutôt superficiel, alors que le contrô
l'ordre de ne jamais boire de spiritueux. Cette unique suggestion à l'
état
de veille suffît: depuis quatre ans il est incapa
d'un coté le plus souvent ; les globes oculaires portes e.i haut. Cet
état
convulsif produit, s'il se prolonge, une asphyxie
epsie que l'on trouve du reste sur les poumons des individus morts en
état
de grand mal. L'hystérique a bien des convulsions
qu'auparavant. Surdi-mutité hystérique guérie par la suggestion à l'
état
de veille Xavier Francotte : Communication à la
pitations, de la syncope, qui peuvent tout aussi bien se produire à l'
état
de veille. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Sociét
ue, tel qu'il est pratiqué habituellement, une étude approfondie de l'
état
mental et des ressources psychologiques du malade
tion. — Somnambulisme provoqué. — Suggestions pendant le sommeil, à l'
état
de veille, post-hypnotiques. — Effets des suggest
itement par l'isolement et les influences morales qui modifient non l'
état
physique, mais l'état mental pathologique de l'hy
t et les influences morales qui modifient non l'état physique, mais l'
état
mental pathologique de l'hystérique. Peu à peu, a
n dehors de la volonté du malade (1). Mme A..,, tout en déplorant son
état
, savait très bien qu'elle pensait tout le temps a
culier qui, à mon avis, a permis le développement de l'idée fixe. Cet
état
, qui se caractérisait surtout par la suggestibili
mblait analogue à une attaque extatique. Très souvent, au milieu de l'
état
le plus normal, elle s'arrêtait en fixant un obje
dont nous avons déjà constaté les vertiges et les peurs, présente un
état
somnambulique très facile à provoquer, c'est une
tion de ces somnambulismes naturels autrefois si importants. Dans cet
état
elle se souvient des attaques, des somnambulismes
certaines rêveries qu'elle fait à tout moment de la journée, dans un
état
de demi-sommeil, et dont elle semble pendant la v
dont elle semble pendant la veille avoir perdu le souvenir. Dans cet
état
, elle nous raconte très bien ce qui l'obsède depu
bsession déterminant chaque fois le vertige consécutif Dans le même
état
somnambulique, elle nous raconte aussi que ses pe
mprendrons encore mieux si nous interrogeons la malade dans un de ces
états
si faciles à reproduire chez elle. Pendant le som
sujet. Elles ne se manifestaient plus que dans des rêves ou dans des
états
somnambuliques et restaient au-dessous du seuil d
res, le D' Laurent (de Bordeaux), dans une thèse intéressante sur les
états
seconds, 1893, confirmer mon interprétation et do
erlandistes. Chez ces derniers on se trouve toujours en présence d'un
état
plus ou moins anormal. Dans le cas le plus rudime
former le terme de cette série avec les phénomènes télépathiques, les
états
pathologiques de sensibilité à distance, le mé-di
est réduit de supposer, sont toutes imperceptibles pour un homme à l'
état
normal de conscience. Pour qu'il puisse les appré
des limites de la conscience ; ce qui le guide c'est, il est vrai, l'
état
de l'attention du sujet, mais cet état il ne l'ap
le guide c'est, il est vrai, l'état de l'attention du sujet, mais cet
état
il ne l'apprend qu'indirectement par l'intermédia
nué. De nouvelles suggestions furent faites. Et à partir de ce jour l'
état
de la peau est devenu normal, et tout traitement
orsure d'un chien. Guérison en une seule séance par la suggestion à l'
état
de veille. Par M. le Dr David, de Narbonne. *
Morphinomanie (le traitement de la), par Bérillon. 28. Mort dans l'
état
d'hypnotisme (un cas de). 121. Mort dans l'état
. 28. Mort dans l'état d'hypnotisme (un cas de). 121. Mort dans l'
état
d'hypnotisme (à propos d'un cas de), 220. Musiq
d'hypnotisme (à propos d'un cas de), 220. Musique sur les sujets en
état
d'hypnotisme (effets physiologiques de la), Warth
'insiste, et finalement, je parviens à la décider. Je la mets dans un
état
de résolution, puis je lui suggère de ne plus pen
stions semblèrent avoir plus de prise et nous la vimes tomber dans un
état
de sommeil assez manifeste. Par ce sommeil, il no
ypnotisables. Tant qu’ils n’étaient traités que par la suggestion à l’
état
de veille, aucune amélioration ne se manifestait
n à l’état de veille, aucune amélioration ne se manifestait dans leur
état
. La suggestibilité chez les neurasthéniques n’est
des tics convulsifs de la face et des habitudes d’ony-chophagie; cet
état
général défectueux et ces désordres nerveux se so
sais, l’expression de la physionomie était calme, plus reposée qu'à l'
état
de veille et saijs les tics habituels. Satisfai
e. Après avoir répété et comme renforcé les suggestions données à l'
état
de sommeil, je lui affirme nettement ma croyance
océdés hypnotiques, je me proposais d’étudier plus minutieusement son
état
physique et mental pour retrouver, si possible, l
e cœnesthésique soit de cette sensibilité viscérale en rapport avec l’
état
anatomique des organes et l’exercice des diverses
itabilité excessive ou une disposition à l’émotion, en résumé, par un
état
de malaise psychique. * En raison de ces vues t
semblé disparaître du champ de la conscience, il existait encore à l'
état
subconscient, et modifié, rapproché inconsciemmen
s du traitement devenaient de plus en plus manifestes: suggestion à l'
état
de veille et à l’état de sommeil, entrainement ps
ient de plus en plus manifestes: suggestion à l'état de veille et à l’
état
de sommeil, entrainement psychique et rééducation
rès une sorte d’assouplissement préalable, le malade était amené à un
état
de torpeur et même de sommeil pendant lequel il p
l se souvienne cependant lorsqu'il est de nouveau plongé dans le même
état
. Cette opinion de Braid a exercé au point de vu
li au réveil a été toujours considéré comme le signe fondamental de l’
état
d’hypnotisme. La définition de Braid avait cepe
mène qui marque d’une façon plus pré- cise la limite qui sépare l’
état
normal de l’état hypnotique, c’est celui qui a ét
’une façon plus pré- cise la limite qui sépare l’état normal de l’
état
hypnotique, c’est celui qui a été désigné sous le
parait plus singulier, c'est qu'elles puissent être provoquées dans l’
état
da veille apparente aussi bien chez des sujets qu
s et cette inhibition constitue essentiellement le premier degré de l’
état
d'hypnotisme. La production de la paralysie psy
ysie psychique constitue donc une limite beaucoup plus naturelle de l’
état
d’hypnotisme que l’oubli au réveil. Les états hyp
coup plus naturelle de l’état d’hypnotisme que l’oubli au réveil. Les
états
hypnotiques peuvent être conscients ou inconscien
ainte produit une surexcitation mentale qui jette l’organisme dans un
état
fiévreux. » « Les gens à préjugés, qui ne voien
e fièvre. Ces divers symptômes : immobilisation, douleur, gonflement,
état
fébrile font penser au rhumatisme. Or, dans le ca
e fléchie et devient le siège d'une douleur hors de proportion avec l’
état
local ; cette douleur ne tarde pas à gagner la ha
u médecin, lui dit tout bas à l’oreille : « I! ne se doute pas de son
état
. Mais dès que je l’ai vu avec son visage pâle, se
l’hystérie et de la neurasthénie par l'isolement et la suggestion a l’
état
de veille, par M. le Dr Font (de Barcelone),Heu.
ez le bègue que l'on a hypnotisé. Tous ces exercices, faits pendant l’
état
de veille, exigent un temps considérable et ne ri
Bellemanière (Paris) : Recherches sur la tension artérielle dans les
états
hypnotiques. — Applications de la méthode graphiq
T Bianchi : Applications de la phonendoscopie cérébrale à l’étude des
états
hypnotiques. Bianchi (de Parme) : La phonendosc
s délires oniriques toxi-infectieux, analogie de ces délires avec les
états
somnam-buliques. Tambüiuni (Reggio Emilia) : Ra
). III. — Dans certains cas, on influence aussi expérimentalement l’
état
général de la conscience du sujet. Ad. I. — Con
éhensible ; 7. Garder ou retrouver pendant les expériences, le même
état
général de sa conscience afin que les analyses so
méthode expérimentale sera parfaite. Ad. III. — On peut modifier l’
état
général de la conscience du sujet afin d’étudier
ins phénomènes psychologiques. Plus on pourra modifier exactement cet
état
général de la conscience, plus les résultats donn
le et sa valeur. L’hypnose partielle que nous avons en vue est un a
état
de veille partiel systématisé », dans lequel, d’u
t, tous les éléments psychiques, nécessaires à l’analyse, restent à l’
état
de veille. Si l’on réussit à bien produire ce
, restent à l’état de veille. Si l’on réussit à bien produire cet
état
, on constate chez le sujet les faits suivants :
anie; 8. Est plus suggestible pour des suggestions spéciales. Cet
état
d’hypnose est donc, pour certaines classes d’anal
t d’hypnose est donc, pour certaines classes d’analyse, supérieur à l’
état
de veille. 6° Différentes sortes d’effets spéci
roduction des phénomènes à analyser ; III. — A la modification de l’
état
général delà conscience, qui sertde base à l'expé
ntrospection. Ad. III. — Il y a un grand nombre de changements de l’
état
général de la conscience que l’on ne peut produir
et divers procédés de Yhypotaxie, le sujet est d’abord plongé dans un
état
de torpeur, d’inertie, de passivité ; son activit
offre des nuances qui ne pourraient être saisies ni observées dans l’
état
de veille. Or, le sujet lui-méme peut prendre p
s phénomènes étonnants produits par expérimentation directe. Dans l’
état
de veille normale, le moi principal, le moi en ch
il dirige et se subordonne les moi secondaires, les sous-moi. Dans l'
état
d’hypotaxie, le pouvoir directeur du moi principa
us en soyons aperçus. 2° Il éclaire le mécanisme intime de certains
états
expérimentaux en apparence inexplicables, tels qu
formique, médicamenteux. 4" Il reconstitue la trame des fugues, des
états
seconds, des somnambulismes naturels. i»" Il dé
ces idées fixes qui, à l’insu des malades, sont si souvent la cause d'
états
pathologiques. Dans cette œuvre si féconde en d
rrêt. On augmente la suggestibilité de l'individu en le mettant à l’
état
d'hypnose: cet état peut être plus ou moins inten
la suggestibilité de l'individu en le mettant à l’état d'hypnose: cet
état
peut être plus ou moins intense depuis la sommati
isme, mais il n'est pas le seul. L'hypnotisme détermine une série d’
états
cérébraux très particuliers, dont l’étude n’est d
, dont l’étude n’est d'ailleurs pas encore complètement terminée. L'
état
cataleptique est caractérisé par ce fait que l’at
tion et les contractions qu’elle détermine restent inconscientes. L’
état
cataleptique peut exister chez certains sujets en
rgie spontanée de certains sujets, notamment des fakirs de l'Inde : l’
état
, ainsi provoqué, parait semblable à celui des ani
nt des jours, accomplissent des séries d’actes, puis, revenant à leur
état
naturel, ne se rappellent plus de rien. Nous po
t de nouvelles données sur la conscience : Panesthèsie étant due à un
état
d'inconscience du sujet. Les modifications et l
sent que la production de l’hypnose n’est pas chose indifférente. Cet
état
s’accompagne chez le sujet de phénomènes réaction
ires et circulatoires qui résultent de l'hypnose ? La production de l’
état
hypnotique comporte une véritable posologie, chaq
rce, mise en œuvre par un homme et capable de modifier profondément l’
état
physiologique d'un autre individu. On peut d'abor
d'un autre individu. On peut d'abord par l’hynoti-sation provoquer un
état
de sommeil qui s’accompagne d’insensibilité, d'an
sibilité, d'anesthésie absolue. On peut, en second lieu, provoquer un
état
dans lequel le sujet perd, à des degrés divers, s
s, sa volonté, son libre arbitre, sa conscience, sa mémoire. Dans cet
état
, qui est le somnambulisme, l’hypnotiseur peut sub
tentat commis contre sa personne ou contre ses biens à la faveur de l’
état
d'inconscience et d’inertie où il s’est trouvé pa
il provoqué. Ces faits se rapporteront surtout à des sujets placés en
état
de léthargie ou de catalepsie, plus rarement en s
peut agir sans le savoir et sans le vouloir par supposition, dans cet
état
superficiel d’hypnose que l’on appelle la veille
délictueux en eux-mêmes, mais qu’il n’accomplirait pas s’il était à l'
état
normal. On pourrait lui faire signer des engageme
opriété naturelle appelée suggeslibilitc est une caractéristique de l’
état
normal. Pour que le sérum réussisse, ajoute-t-on,
le, sommeil et hypnotisme, les suggestions criminelles hypnotiques, l'
état
de veille et les étals d'hypnose, etc. Enthousi
stion faite à la faveur du sommeil provoqué ou, tout au moins, d'un «
état
passif. » • Duiund (de Gros) L’exposé des m
qu'a le malade d'être guéri ; 2° de la nature de son milieu ; 3° de l’
état
de sa santé ; 4°de sa sensibilité à l'hypnotisme.
as, la satisfaction irrésistible de l’impulsion alcoolique a amené un
état
mental voisin de la folie, ctde fait, deux ou tro
ombera de nouveau tôt ou tard. Les mêmes remarques s’appliquent à son
état
de santé, s’il est neurasthénique ou s’il souffre
t qui autrement seraient aliénés. Dans ces cas je garde le malade à l'
état
d’hypnose pendant plusieurs heures de suite, et c
tisfaisant de sa physionomie. Il y a 18 mois, elle est tombée dans un
état
de mélancolie caractérisée par les symptômes suiv
e recommande, cette malade est aujourd’hui complètement guérie el son
état
mental n’a jamais été aussi satisfaisant. DISCU
ander, car elle préjuge une solution touchant l’erreur que comporte l’
état
aeluel de notre ignorance {') D. J’acquiesce à
araissent, en réalité, prodigieuses, qu’à ceux qui se trouvent hors d'
état
de les partager. Un enfant, un primitif, un ani
i datent de ly 10, la fameuse division du sommeil hypnotique en trois
états
ou phases. Despine disait déjà : catalepsie-, som
e la présidence du congrès a, dans un intéressant discours, indiqué l’
état
des recherches qui ont pour objet l'étude des phé
e, c'est ici qu'il la faut. Il est nécessaire de mettre le patient en
état
de recevoir la bonne parole, celle qui doit dével
e de la profondeur de son sommeil, soit qu’elle accomplisse l’acte en
état
de somnolence. Un cas curieux de ce genre est r
istence de ces prétendus phénomènes extraordinaires. Un symptôme de l’
état
d esprit du public est la façon dont la découvert
de l’existence des choses occultes ! Il est certain qu’en ce moment l’
état
des esprits, on général, n’est pas bon. La diffus
'ayant pas obtenu de résultats satisfaisants, me pria de le mettre en
état
d’étudier ma méthode d’endormir et de suggérer et
plication rationnelle, causale de la suggestion hypnotique l’a mis en
état
de faire disparaître dans des cas d’hystérie grav
ans de nombreux cas de neurasthénie, réfractaires à la suggestion à l’
état
de veille et à l’influence psychique ordinaire du
s nerveuses. Ils ajoutent qu'ils appliquent surtout la suggestion à l’
état
de veille. Je dois arrêter ici mes citations de
Brouwer, reconnaissent l'utilité de la suggestion (hypnotique et à l’
état
de veille) dans le traitement des aliénés. Auss
t. De plus, dans certains cas, on influence aussi expérimentalement l’
état
général de la conscience du sujet. Ainsi donc, da
oduits méthodiquement et expérimentalement dans sa conscience, dont l’
état
général est aussi déterminé. Pour remplir ces c
hensible ; 8. Garder ou retrouver, pendant les expériences, le même
état
général de sa conscience afin que les phénomènes
s la méthode expérimentale sera parfaite. Enfin, on peut modifier l’
état
général de la conscience du sujet, afin d’étudier
ins phénomènes psychologiques. Plus on pourra modifier exactement cet
état
général de la conscience, plus les résultats donn
ns, sans avoir à constater en même temps le moindre changement dans l’
état
général de la conscience. Mais, c’est surtout mon
d’un seul mot ou d’un seul système d’idées; et tout cela, sans que l’
état
général de la conscience soit changé, et par cons
’idées est possible, ne pourrait-on pas produire par la suggestion un
état
de veille partielle systématisée dans lequel, d’u
tous les éléments psychiques nécessaires à l’analyse, resteraient à l’
état
de veille ? L’expérience m’a montré qu’il est pos
eille ? L’expérience m’a montré qu’il est possible de produire un tel
état
. Si l'on réussit à le bien produire, on constate
de refouler et supprimer les autres, est beaucoup plus grande dans l’
état
d’hypnose partielle systématisée dont je parle.
ans l’état d’hypnose partielle systématisée dont je parle. Dans cet
état
, le sujet peut, par exemple, supprimer complèteme
it sous rinlluence d’une suggestion dont il ne se rend pas compte à l'
état
de veille; mais, dans cet état d’hypnose partiell
tion dont il ne se rend pas compte à l'état de veille; mais, dans cet
état
d’hypnose partielle, il réussit à rendre couscien
onstate en lui un sentiment qu'il ne peut pas du tout s’expliquer à l’
état
de veille; c’est dans l’hypnose partielle qu'il r
t d’établir, comme loi générale, qu’on est toujours capable, dans cet
état
de veille partielle systématisée, de reconnaître
° De cette augmentation de concentration de l'attention, propre à cet
état
d’hypnose partielle, résulte de plus une hypermné
mes sujets, des expériences sur les associations. Le sujet étant à l’
état
de veille, je lui dis un mot et il doit me répond
poids o, et le sujet me répondit a mesure. » Après avoir réfléchi à l’
état
de veille, le sujet m’expliqua son association ai
u simple rappel des mots : « Vérificateur des poids et mesures. » À l'
état
hypnotique, l’explication devint beaucoup plus dé
pparence, entrent librement dans la conscience, après une analyse à l’
état
hypnotique. Ce sont de simples associations dont
dont les intermédiaires échappent à notre analyse rétrospective, à l’
état
de veille. Nous dirons enfin, que de telles analy
e, à l’état de veille. Nous dirons enfin, que de telles analyses, à l’
état
hypnotique, éclairent, d’un jour inattendu, la ge
ciale que le sujet pouvait dire, dans un laps de temps déterminé, à l’
état
de veille et à l'état d’hypnose partielle. J’ai t
vait dire, dans un laps de temps déterminé, à l’état de veille et à l'
état
d’hypnose partielle. J’ai trouvé toujours dans ce
même façon la capacité d'additionner et l’a trouvée augmentée dans l'
état
de veille partielle systématisée. Cette augmentat
se manifeste encore d’une autre façon : 5° Le sujet plongé dans cet
état
d’hypnose partielle n'a pas seulement la faculté
a faculté de se souvenir des faits pour lesquels il est amnésique à l’
état
de veille, mais ces souvenirs eux-mêmes, sont plu
e constellation psycho-physique plus constante ; 9° Enfin, dans cet
état
d’hypnose partielle, le sujet est plus sugges-tib
ggestions spéciales. Tels sont les faits qui me font croire que cet
état
de veille partielle systématisée est supérieur à
roire que cet état de veille partielle systématisée est supérieur à l'
état
normal pour certaines classes d'analyses psycholo
scopique sur l'examen à l'œil nu. Après avoir réussi à produire cet
état
, je l’ai montré à quelques psychologues. Ceux-ci
pour l’introspection, elles peuvent arriver aux mêmes résultats, à l'
état
de veille, après un entrainement suffisamment lon
Naturellement, je ne sais pas à quels résultats peuvent arriver, à l’
état
de veille, des sujets que je n'ai pas examinés. T
ontré une facilité et une capacité d’introspection augmentées, dans l’
état
d’hypnose partielle systématisée. Une autre obj
ces, fut celle-ci : certainement. m'a-t-on dit, ce que vous appelez l'
état
de veille partielle systématisée est bien fait po
bien fait pour l’introspection ; mais ce n'est pas autre chose que l’
état
de concentration volontaire de l'attention. Rien
un tel acte volontaire a manqué. Certainement, pour produire en eux l'
état
d'hypnose partielle, mes sujets aident par leur v
isamment exercés, ils peuvent par leur simple volonté, reproduire cet
état
j mais l'idée efficace qui produit celui-ci reste
celui-ci reste toujours une vraie suggestion laquelle est celle-ci: l’
état
d'hypnose partielle viendra spontanément comme le
l'introspection. On la tire des phénomènes objectifs caractérisant l'
état
d'hypnose partielle. Cet état, pris à un moment o
es phénomènes objectifs caractérisant l'état d'hypnose partielle. Cet
état
, pris à un moment où le sujet n’a pas à faire d’a
ris à un moment où le sujet n’a pas à faire d’analyses et comparé à l’
état
de veille correspondant, est caractérisé par une
u réflexe palellaire. Il s’agit donc bien d'un vrai changement de l'
état
général de la conscience. Enfin, on m'a dit : c
ngement de l'état général de la conscience. Enfin, on m'a dit : cet
état
est bien un état spécial, mais ce n’est pas une h
général de la conscience. Enfin, on m'a dit : cet état est bien un
état
spécial, mais ce n’est pas une hypnose, étant don
nières d’employer les suggestions spéciales, le sujet étant, soit à l’
état
de veille, soit à l'état d’hypnose partielle. i
gestions spéciales, le sujet étant, soit à l’état de veille, soit à l'
état
d’hypnose partielle. i°Xouspouvons nous en serv
nfin, nous pouvons employer des suggestions spéciales pour modifier l’
état
général «le la conscience, qui sert de base à l’e
de base à l’expérience. 11 y a un grand nombre de changements de cel
état
général que l’on ne peut produire exactement que
de de suggestions, j’ai très bien réussi à produire toute une série d'
états
intermédiaires, entre une grande gaîté et une gra
tations périphériques déterminées, sous l’influence de ces différents
états
de gaité ou de tristesse. De plus, j’ai pu prod
. De plus, j’ai pu produire, par la suggestion, un certain nombre d’
états
de sommeil de profondeur diiïérente et j’ai pu ét
le est endormie, se réveille au moment où elle commence à passer de l’
état
de sommeil naturel dans le sommeil chloroformique
défendre. Tardieu se rangea à l'avis de Devergie (2) Tel était l'
état
de la question, lorsque je fus commis pour une af
tais-je en droit de conclure ? Il m'était impossible d’affirmer que l’
état
de sommeil provoqué, pendant lequel l’attentat su
crouler la plaque sous elle. Pour achever de vous faire connaître l’
état
mental de notre malade, il me suffira de vous rap
elle a ajouté a il a raison d’en rire ». Elle est consciente de son
état
, mais ne parvient pas à le modifier, si ridicule
. L’instinct admet également des degrés; parfois il n'existe qu'à l'
état
de tendance et une éducation préalable est nécess
ent absolument aux suggestions orales ou écrites. D’ailleurs, qu’un
état
maladif survienne qui diminue la réflexion et la
qui entraînaient, au Moyen-Age, des populations entières. Même à l’
état
normal, la volonté est parfois forcée de céder à
roles. Le moindre mot de doute sur leur maladie, et iis croiront leur
état
extrêmement grave ; ils discourront sans fin sur
le était religieuse, elle se rendit à Lourdes (1) Du sommeil et des
états
analogues, Félix Alean, 1S66. (2) Il faut disti
ain (*). v 4 » Nous avons expliqué par l’hypnotisme produit à l’
état
de veille ou par l’intermédiaire du sommeil suggé
nsation musculaire ; car si on soulève le bras il retombe inerte. Cet
état
psychique s'accompagne de certains phénomènes phy
la léthargie expérimentalement obtenue par les Fakirs de l’Inde. Cet
état
est semblable à la léthargie spontanée que subiss
n excitation et amène la permanence de la contraction musculaire. L’
état
cataleptique existe chez certains sujets en dehor
ire. L’état cataleptique existe chez certains sujets en dehors de l'
état
hypnotique : tel est l’état décrit sous la forme
xiste chez certains sujets en dehors de l'état hypnotique : tel est l’
état
décrit sous la forme de catatonie ou catalepsie p
e catatonie ou catalepsie partielle. J'ai pu avec Azoulay obtenir cet
état
chez bon nombre de paralytiques généraux au début
ant des jours, accomplissent des séries d'actes, puis revenant à leur
état
naturel ne se rappellent plus rien. (I) D'« Azo
de nouvelles données sur la conscience : l’anesthésie étant due à un
état
d’inconscience du sujet. Les modifications et l
sujets, les manifestations de l’automatisme le plus intense. Dans ces
états
d’hypnose profonde, les réactions sont différente
profonde, les réactions sont différentes de ce qu’elles sont dans les
états
que l’on provoque communément aujourd'hui par l'e
s paiTAcadémie des Sciences. Lesgrandes hystériques plongées dans les
états
profonds de l’hypnose présentaient une telle hype
’influence de suggestions d'ordre religieux, ils se plongent dans des
états
d’anesthesic qui leur permettent de se donner des
d’expérimenter sur des sujets normaux qui réalisent parfaitement des
états
appartenant en propre à l’hypnose, sans y ajouter
és. L’attaque de grande hystérie provoque spontanément 1 apparition d’
états
psychologiques et de phénomènes somatiques qui n’
ai. Mais, il importe de distinguer les manifestations hystériques des
états
hypnotiques. Des premières, on peut donner comme
aises, la chorcc hystérique et les tics des chevaux, etc. Parmi les
états
hypnotiques auxquels les animaux peuvent être sou
des animaux, du charmeur de serpent vis-à-vis de cet animal ; — 2° L’
état
cataleptiforme provoqué par une lumière vive avec
simulation de la mort que pratiquent de nombreux animaux est due à un
état
cataleptique causé par la frayeur et l’anes-thési
a frayeur et l’anes-thésie peut être si absolue que l'araignée en cet
état
se laisse disséquer et brûler sans faire le moind
ndre mouvement (Darwin) ; plus rarement il s'agit d'une ruse; — 3° Un
état
de contracture généralisée; les psylles de l’Egyp
brise comme verre. En dehors des manifestations hystériques et des
états
hypnotiques signalés ci-dessus, il faut mentionne
es et des états hypnotiques signalés ci-dessus, il faut mentionner un
état
normal dit d'hibernation qui rappelle la léthargi
et que le docteur, en la traitant au corps thyroïde frais, a mise en
état
de travailler, comme elle le fait actuellement, d
s qu'elle croit devenir très légère et s’élever au-dessus du sol. Cet
état
mental dure depuis trois ans. Sous les efforts qu
ès abaissées ou nulles; elles n’ont pas le pouvoir d’appeler d'autres
états
de conscience pour contrebalancer les entraînemen
portés à la suite des visions ou hallucinations, à l’aliénation, aux
états
de la conscience où l’imagination, la mémoire, l’
mais en même temps sa conscience est très tendue et très érectile; l’
état
d’attente se prolonge dans les séries représentat
aits de perversion du jugement sont des conséquences nécessaires de l’
état
pathologique proprement dit. Cependant, sur le pr
ominantes, exclusives et ainsi remédie aux vertiges. Mais souvent « l'
état
spécial de l'aliéné le ferme à toute influence et
Ton profite de ses moments de sommeil naturel pour le plonger dans un
état
d’hypotaxie qui permette de le suggestionner; com
il sera presque sans défense et n’essayera guère de résister. Or cet
état
favorable existe, il est physiologique, il est.no
oiïre des nuances qui ne pourraient être saisies ni observées dans l’
état
de veille. Or, le sujet lui-même peut prendre p
us en soyons aperçus. 2° Il éclaire le mécanisme intime de certains
états
expérimentaux en apparence inexplicables, tels qu
formique, médicamenteux. 4° Il reconstitue la trame des fugues, des
états
seconds, des somnambulismes naturels. 5° Il dév
ces idées fixes qui, à l’insu des malades, sont si souvent la cause d’
états
pathologiques. Dans cette œuvre si féconde en d
’ordre même où ils étaient apparus pendant le sommeil. Plongée dans l’
état
d’hypnose, elle se rend compte que le souvenir de
nbucos la poursuit et menace de provoquer de nouvelles crises. Dans l’
état
de veille, elle n’a pas la moindre notion de ce r
trée aussi peu efficace que les médicaments. Pendant qu’elle est en
état
de veille, on lui demande si elle a rêvé pendant
e par la fenêtre, s’était fracturé le crâne sur le trottoir. Dans l’
état
de veille, elle n’a aucun souvenir de cette image
mblance, l’hypnotisc sans qu’il s’en aperçoive. Interrogé pendant l’
état
de veille, M. X... ne sait pas du tout si cette f
ubir une certaine préparation qui transforme mon sommeil normal en un
état
spécial et tout autre. Il n'y a pas de brusque pa
la fin de la saison sèche qui dure 9 mois, le protopterus sort de 1
état
de torpeur pour reprendre la vie aquatique (*}.
l’hiver. Des moutons perdus sous la neige, auraient pu vivre dans un
état
voisin de l’hibernation et auraient été retrouvés
0 fois moindre. Le rapport de l’oxygène à l’acide carbonique qui, à l’
état
de veille, s’élève à I, n’est plus que de 0. 5: i
et abandonnés de mes confrères. Reviviscence du souvenir dans les
états
hypnotiques. par le Dr E. Béiullox 11 arrive
u par des souvenirs subconscients qui entretiennent le malade dans un
état
émotionnel. Un artifice assez ingénieux consiste
tat émotionnel. Un artifice assez ingénieux consiste à évoquer dans l’
état
hypnotique les souvenirs qui, à l’état de veille,
ieux consiste à évoquer dans l’état hypnotique les souvenirs qui, à l’
état
de veille, demeurent dans le domaine du subconsci
er ainsi toute cause capable d’entretenir la cellule nerveuse dans un
état
anormal d’irritabilité. Il est surprenant alors d
traduisent par une sorte d’inhibition et d’anesthésie temporaires, un
état
d'indifférence idéoplastique, de torpeur et d’eng
s concourent ù un même résultat, à savoir : placer le cerveau dans un
état
de monoïdéisme qui ne peut que favoriser la sugge
uites de simultanéités concordantes. » Elle est un art d’exprimer les
états
d'âme du type affectif ou émotionnel. Dans la p
Allemagne on appelle la « musique pure », la musique sans parole, en
état
de produire des altérations ou dans la physionomi
es phénomènes de conscience échappent à la loi d'impénétrabilité, les
états
affectifs peuvent se mêler les uns aux autres, no
al comporte plusieurs interprétations différentes. La dialectique des
états
affectifs reste à faire ; elle aurait pour objet
t pour objet l'étude composée des phénomènes du type irascible et des
états
du genre concupiscible. L’analyse des textes musi
l’hypnotisme soit avancée au point de ne plus laisser de doute sur l'
état
de sommeil des patients. Où est le critère de ce
efforcèrent de l’en dissuader. Heureusement il résista et analysa des
états
pathologiques qui ont toujours vivement préoccupé
ut temps la passion de la chasse. Un jour le fusil du futur chef de l'
état
JJoer lit explosion cl blessa violemment le pouce
Wateau, professeur. Objet du cours : De la responsabilité dans les
états
hypnotiqnes. Les mardis et vendredis a cinq heu
se révèle de plus en plus comme importante. En ce qui concerne les
états
névropathiques, cette influence du rêve a été mis
mais du rêve subconscient ou inconscient, du rêve somnambulique, d’un
état
second, accompagné de la perte partielle ou total
ue elle même. Le rêve a également des relations nombreuses avec les
états
psychopathiques. Depuis longtemps déjà des alié
ante constatation qu’il s'agit là de délires de rêve somnambulique, d’
état
second, de ce qu’on péut appeler délires onirique
de l'hystérie et de la folie. Le délire onirique de l’hystérie et des
états
toxi-infectieux. 5me congrès des aliénistes et ne
Les délires systématisés secondaires. —Idées fixes post-oniriques des
états
toxi-infectieux. (10me congrès, Marseille, 1899).
choréique. (Thèse de Bordeaux, 1897.) Dr Lassignardie : Essai sur l'
état
mental dans l'abstinence. (Thèse de Bordeaux, 189
plus ou moins complète. L’analogie évidente de ces délires avec les
états
somnambu-liques m’avait amené à penser dès le déb
ive. L’hypnose peut s’exercer dans les périodes les plus aiguës des
états
toxiques et infectieux. J’ai endormi, par la simp
ntanée. Il n’en est pas de même dans les phases moins aiguôs de ces
états
, et en particulier après la cessation de la fièvr
btient souvent alors par la suggestion, une amélioration marquée de l’
état
cérébral. Mais c’est surtout au moment de la co
soient, sont essentiellement des délires oniriques, c’est-à-dire des
états
seconds. Les monomanies ou délires systématisés
rimitive de nature hystérique, et prenant naissance à l’occasion d'un
état
fébrile, d’une infection, d'une intoxica- lio
part, toute maladie infectieuse peut également donner naissance à un
état
hystérique, à titre d’agent provocateur. Mais i
dmettre, ce qui serait vraiment excessif, que dans tous leseas où les
états
toxi-infectieux s’accompagnent de troubles cérébr
iarrhées, hydropisie, rétention d'urine... et à plusieurs reprises un
état
agonique. En 1731, le 11 août, après une neuvai
ller consulter à l’hôpital Saint-Antoine, où elle arrive dans le même
état
que la veille c’est-à-dire avec un œdème très acc
on est inévitable, car non seulement le membre se trouve dans le même
état
qu'au 8 avril, mais le creux de l'aisselle est re
and nombre de maladies; soit que les troubles vaso-moteurs créent des
états
pathologiques à apparence organique, soit qu’ils
luence du traitement médical, des bains, des douches et du temps, son
état
finit par s'améliorer. Le calme revint ainsi que
Il avait pendant ce temps repris, apparemment pour son entourage, son
état
normal. Pourtant il était à la veille d'accidents
de devient dangereux. Aucune amélioration ne se produisant dans son
état
, il sort de Vaucluse pour rentrer dans sa famille
ourd’hui il a repris ses occupations et est revenu sensiblement à son
état
normal. * * Cette observation est très incomp
Wateau, professeur. Objet du cours : De la responsabilité dans les
états
hypnotiques. Les mardis et vendredis à cinq heu
il eût à peine tolérées. Il est probable que les hystériques, dont l’
état
mental offre tant d’autres singularités, acquière
La disposition à cette dissociation et en même temps à la formation d'
états
de (!) Sydemiam : Œuvres. Bdil. de J.-B. Th. Ba
. conscience anormaux, que nous proposons de réunir sous le nom d’
états
hypnoïdes, constitue le phénomène fondamental de
ausepremièredel’hystérie est un engourdissement, ou, si l’on veut, un
état
de sommeil des centres cérébraux. L’anes-thésie,
iques, 1893. plus ou moins les fonctions des centres cérébraux. L'
état
de sommeil, à partir d’un certain degré, amène pa
ance les stigmates et les accidents permanents; les variations de cet
état
de sommeil provoquent des réactions spéciales qui
elle seule, vaut tout un chapitre de dialectique. « À quoi est dû cet
état
de sommeil ? Dans la majorité des cas, c'est à l’
hologie physiologique, tS^-liîOO). substance a:’ peut revenir à l’
état
de substance x, en restituant de l’énergie sous f
trotropisme), des réactions chimiques (chimiotaxie). Une gromie à l'
état
de rétraction se présente sous l’aspect d’une pet
il. (Société de biologie, 2 février ‘.895, p. 74.) (Gj J. Havet : L'
état
moniiiforme des neurones chef les invertébrés ave
ève 1898.) (8) Jean. Demoor : Le mécanisme et la signification de l'
état
moniiiforme des neurones. (Trav. du labor. de l'i
Les appendices terminaux des dendrites cérébraux et leurs différents
états
physiologiques. (Trav. du labor, de l’institut So
aiblie par des soins qu’elle donnait à ses parents. Voici dans quel
état
se trouvait cette malade, lorsqu’elle vint à la c
us sommes, que la suggestion acquiert son maximum d’efficacité dans l’
état
d’hypnose. La thérapeutique suggestive nous ava
atteints de maladies nerveuses. Neurasthénie, hypocondrie, hystérie,
états
névropathiques divers et môme aliénation mentale
J’ai une flamme dans l’œil droit, tout me semble couleur d'or. » Cet
état
singulier se prolongeait pendant plusieurs minute
fixe qui la poursuit; 2° Ou par absence, petit mal épileptique. Cet
état
diffère de l’autre en ce que le sujet n’a plus au
tance des sentiments affectifs* L'attention a toujours pour cause des
états
affectifs. Ace sujet, M. Ribot s’exprime ainsi :
'à ce qui le touche, à ce qui l’intéresse, à ce qui produit en lui un
état
agréable, désagréable ou mixte. » Ce qui est vr
ndrons l’exposé de quelques faits expérimentaux. L’intervention des
états
affectifs se manifeste dans les trois conditions
s trois conditions suivantes : 1° Dans la production primitive de l’
état
d’hypnotisme. 2° Dans la réalisation des sugges
es ou post-hypnotiques. 3° Dans la transformation expérimentale des
états
d’affectivité. Il est hors de doute que la symp
e plus de succès dans sa pratique et obtiendra le plus facilement les
états
profonds de l’hypnose sera celui qui réunira au p
La notion de l’intérêt personnel, qu’il faut considérer comme un des
états
affectifs les plus capables de stimuler l’attenti
sidérations permettent donc d’affirmer le rôle important joué par les
états
affectifs dans la production de l’hypnotisme. 2
hystériques très hypnotisables, susceptibles d’être plongés dans les
états
les plus profonds de l’hypnose. Ils présentaient
iments affectifs existants. Le sujet, Mlle M. C., est plongé dans l'
état
de somnambulisme. Dans cet état, elle présente sp
sujet, Mlle M. C., est plongé dans l'état de somnambulisme. Dans cet
état
, elle présente spontanément de l’anesthésie génér
timents contraires simultanés. Le sujet, MH* M. C..., plongé dans l’
état
de somnambulisme présente, dans cet état, une dis
, MH* M. C..., plongé dans l’état de somnambulisme présente, dans cet
état
, une disposition à refléter sur chacun des côtés
stérie convulsive. Elle est profondément hypnotisable. Plongée dans l'
état
de somnambulisme, elle exécute automatiquement le
oignerez votre reconnaissance avec la plus grande effusion. Ce nouvel
état
durera également trois jours ; il prendra fin le
avec lequel nous avons, après l’expérience, remis toutes choses en l’
état
primitif. Il nous a paru équitable de laisser à M
et égard. Les expériences ci-dessus suffiraient à démontrer que les
états
affectifs spontanés peuvent être influencés par d
homme était un scrupuleux, fils de scrupuleux ; toutefois, chez lui l’
état
d'obsession a précédé et amené le délire de persé
ne cellule quelconque dans un corps d’enfant est plus près du premier
état
cellulaire, de l’état mono-plastidaire, de l’état
dans un corps d’enfant est plus près du premier état cellulaire, de l’
état
mono-plastidaire, de l’état de l’amibe, que la ce
lus près du premier état cellulaire, de l’état mono-plastidaire, de l’
état
de l’amibe, que la cellule correspondante dans un
oit des cellules haut placées dans l’échelle histoiogique revenir à l’
état
embryonnaire. Il se prolu duit un phénomène a
ue est un neurone qui s'est rapproché, dans une certaine mesure, de l'
état
monoplastidaire, de l'état de l'amibe, et dont, p
rapproché, dans une certaine mesure, de l'état monoplastidaire, de l'
état
de l'amibe, et dont, par ce fait même, la motrici
donc plus un tout polyplas-tidaire, mais une colonie de plastides en
état
de régression, à motricité développée, et présent
tendance constante à rétracter leurs pseudopodes, et à les laisser en
état
de rétraction. Ce n’est plus une nation fortement
une nation fortement organisée, mais un groupement instable de petits
états
indépendants rappelant l’Italie du xme siècle, co
es yeux (fixation prolongée), suffira à faire entrer un hystérique en
état
d’hypnose. Ce qui s’explique assez bien depuis qu
s. Et c’est ainsi qu’il suffit pour mettre certains de ces malades en
état
d’hypnose de les plonger dans l’obscurité ou de l
les prolongements du neurone s ou, si l'on veut, le neurone s est en
état
de rétraction, de telle sorte qu'il existe, entre
urones de sensation peut se produire aussi chez l’homme normal et à l’
état
Schéma I. sp, protoneurone centripète. s’p'.
nts ou monotones, qui peuvent suffire à faire entrer un hystérique en
état
d’hypnose, provoquent aussi, chez le sujet normal
ans le ventre ; j’éprouve une irritation extrême et me trouve dans un
état
intolérable. Au lit, je mords mes draps ; le jour
ue; son père était irritable, passionné, violent. Sa mère présente un
état
mental analogue à celui de sa siile et toutes deu
orce de patience et de ténacité, je suis parvenu à la plonger dans un
état
suffisant d’hypotaxie. Elle n'a jamais dormi, h p
, le malade conscient de l'amélioration qui s’est manifestée dans son
état
mental, accepte facilement l’idée de la démorphin
en soutenant l'énergie du malade et en atténuant les sensations de l’
état
de besoin. La durée de cette période varie de deu
de suppression, le malade sera, autant que possible, maintenu dans l'
état
de sommeil provoqué. Les narcotiques, employés pa
pnotique un moyen d’une très grande valeur, parce qu’elle nous met en
état
de diminuer les doses de morphine jusqu’à l’absti
iété de laryngol. de Vienne, 7 décembre 1809. Une femme présente un
état
convulsiforme des constricteurs de la glotte ains
stions qui lui sont posées. L’examen laryngos-copique ne révèle qu’un
état
d’adduction des cordes vocales qui forment une pe
s aiguilles qu'on lui enfonce profondément dans la peau ; pendant cet
état
, on a même pu lui enlever des polypes du nez, san
l’enfant et recherches pédagogiques b, qui a pour mission d’étudier l’
état
physique et mental des élèves des écoles. L’exa
obtenus conduisent à cette conclusion qu’il y a une relation entre l’
état
-physique et la précocité chez l’enfant. Les enfa
ement des aboulies, des obsessions, des idées fixes, des phobies, des
états
d’anxiété, des habitudes automatiques (onychophag
produit pas, c’est que le neurone qui contient cette empreinte est en
état
de rétraction. On sait que les hystériques perd
se rétracter que les autres, et qu'ils sont plus longs à revenir à l’
état
d’extension (amnésie rétrograde). Cela tient à ce
nombre de leurs neurones de mémoire non encore impressionnés sont en
état
de rétraction. Ces malades sont des photographes
supérieurs de mouvement. On conçoit que ces neurones puissenl être en
état
de rétraction, alors quo les neurones inférieurs
n. Suivant le nombre des neurones supérieurs de mouvement qui sont en
état
de rétraction, on a une paralysie s’étendant à to
urs neurones supérieurs de mouvement non encore impressionnés sont en
état
de rétraction. J’ai signalé un phénomène analogue
n muscle. Si dans un centre donné tous les neurones moteurs sont en
état
de rétraction, on a une paralysie. S’ils ne le so
il existe toujours chez F hystérique un certain nombre de neurones en
état
de rétraction, et que le réservoir central en est
ces préliminaires. — Avant de s'y livrer, les derviches se mettent en
état
¿’anesthésie : il existe deux méthodes. Les der
trop vite, car le choc de la main contre le métal chaud détruirait l’
état
sphéroïdal et produirait le contact, ni trop lent
rs spéciaux les opinions les plus diverses, dépend exclusivement de l’
état
des organes génitaux de la femme considérée. Il y
rales et sociales. Par son étiologie, car son existence implique un
état
psychique spécial; par ses symptômes, car ceux-ci
e, il ne faudra pas compter sur l’accouchement pour guérir ce navrant
état
, car l’expcrience a malheureusement prouvé que le
e lésion initiale, petite le plus souvent, mais indispensable ; 2° Un
état
nerveux spécial. C'est cet état nerveux qui me
souvent, mais indispensable ; 2° Un état nerveux spécial. C'est cet
état
nerveux qui me parait le plus important facteur d
ement dans l’affection qui nous occupe, qu’un spasme nerveux lié à un
état
psychique spécial. Nous en avons la preuve dans
pas forcément le vaginisme. Et te qui prouve que celui-ci dépend d’un
état
psychique, c’est sa disparition même dans les cas
et nous ne le nions pas, car si la contracture dépend uniquement de l’
état
psychique des malades, celte contracture peut dis
s malades, celte contracture peut disparaître avec l’évolution de cet
état
psychique. Si nous examinons maintenant, au poi
qu’il importe donc le plus de corriger dans cette affection, c’est l’
état
psychique qui engendre la maladie, et de réserver
uti à une exagération de la contracture qui existait probablement à l’
état
latent, puisqu’il y avait du spasme anal et que l
lement, cherchant à éveiller quelque jalousie et à faire regretter un
état
évident d'infériorité, j’évoquais dans son esprit
le d’injecteur pour prendre des injections émollienles et détruire un
état
inflammatoire qu’une absence de soins hygiéniques
l résulte : Io Que le vaginisme reconnaît comme cause principale un
état
psychique, consistant soit en une absence totale
e chien sc glisse furtivement dans le cimetière. On le trouve dans un
état
d’ennui, d’abattement, de véritable désespoir et
uelque chose d’analogue en la voyant, sans motif plausible et sans un
état
maladif grave, refuser obstinément toute nourritu
ement des aboulies, des obsessions, des idées fixes, des phobies, des
états
d’anxiété, des habitudes automatiques (onychophag
omme ils ont toujours un certain nombre de neurones de mémoire en
état
de rétraction, leur intelligence n’est jamais aus
'autant plus marquée qu’il y aura un plus grand nombre de neurones en
état
de rétraction. Aussi est-elle à son maximum dans
ment). En général des neurones de divers ordres sont en même temps en
état
de rétraction, et l’on constate à la fois des tro
nous dormons pendant toute la durée de notre vie. En effet, dans cet
état
socialiste qu’est le cerveau, tout ie monde trava
e normale, le plus grand nombre des neurones de chaque centre sont en
état
de rétraction. Or, dans la veille hystérique, ce
étractés pendant le jour, se trouvant reposés le soir, reviennent à l’
état
d’extension au moment où se rétractent ceux qui s
nent à l’état d’extension au moment où se rétractent ceux qui sont en
état
d’extension pendant le jour. De telle sorte que l
nie la nuit, dit-il, parce qu’elles sont constamment plongées dans un
état
de sommeil pathologique qui empêche le sommeil na
t des idées actuellement conscientes ou susceptibles de le devenir. L’
état
de la personnalité dépend ainsi du nombre de neur
a personnalité dépend ainsi du nombre de neurones impressionnés et en
état
d’extension ou susceptibles d’v entrer. La person
régner ce peuple de neurones, en fit régresser les individus vers les
états
inférieurs, et déterminât cette dislocation que n
écédente. Ainsi diminution et régression de la personnalité quand l’
état
s'aggrave, réagrandissement et progression de la
nalité première et l’ctat de l’organisme, alors qu'il lui est soumis,
état
premier. L’autre personnalité seconde et l’état d
qu'il lui est soumis, état premier. L’autre personnalité seconde et l’
état
de l’organisme étal second. Si N est beaucoup p
ète, nous l’avons vu), et, lorsque N’ fonctionne, que le sujet est en
état
de somnambulisme. On comprend pourquoi le sujet p
On comprend pourquoi le sujet peut, lors de chaque nouvelle période d’
état
second ou de chaque nouvelle crise de somnambulis
ssent de l’un à l’autre. C’est alors que le sujet peut retrouver, à l’
état
de veille, des souvenirs du somnambulisme, et, da
irs du somnambulisme, et, dans lo somnambulisme, des souvenirs de l’
état
de veille. La soudure complète de N et de N: déte
nno divisée en quatre agrégats N, N’, N”, N’” correspondant, l'un à l’
état
de veilie, les trois autres à trois états somnamh
N’” correspondant, l'un à l’état de veilie, les trois autres à trois
états
somnamhuliques (schème ¡3). Supposons que N se re
uliques (schème ¡3). Supposons que N se ressoude à N'. Daus le nouvel
état
qui appa- -Scboaie 12. ai. a'b', neuro-diélectr
rra exprimer des souvenirs de N et des souvenirs de N\ De même dans l'
état
N + N* + N' il pourra exprimer des souvenirs de
dans l'état N + N* + N' il pourra exprimer des souvenirs des trois
états
composants; et enfin dans l'état N-+ N' + N” + N”
ra exprimer des souvenirs des trois états composants; et enfin dans l'
état
N-+ N' + N” + N”’ des souvenirs des quatre états
ants; et enfin dans l'état N-+ N' + N” + N”’ des souvenirs des quatre
états
composants. Tout état supérieur prend alors à l’é
tat N-+ N' + N” + N”’ des souvenirs des quatre états composants. Tout
état
supérieur prend alors à l’égard de l’état inférie
atre états composants. Tout état supérieur prend alors à l’égard de l’
état
inférieur le nom de somnambulisme dominateur. Les
l’égard de l’état inférieur le nom de somnambulisme dominateur. Les
états
considérésdansleur ensemble constituent des somna
nt. En effet, dès la !r‘ séance, elle s’endort facilement et tombe en
état
de sommeii profond (avec anesthésie, catalepsie,
ir se contenter d’une amélioration plus ou moins considérable de leur
état
; que nés avec une constitution nerveuse, cette di
x. En pareil cas, le médecin doit prendre en sérieuse considération l’
état
normal du petit malade et les indications de trai
e mental, par Paul Parez, p. 193. Reviviscence du souvenir dans les
états
hypnotiques, par Bérillon, p. 213. Richer (Paul
er lbV9. ? IN au ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. DE L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPERIEUR ET UU MOTEUR OCULAIRE COMMU
e la paralysie faciale périphérique. Cette intégrité est passée à l'
état
de dogme, si bien que l'on a demandé à l'auatom
a participation du facial supérieur à l'hémi- plégie faciale. L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 3 Hallopeau a vu que « plu
ale de 11'azles, 1898-1899, plusieurs observations anciennes. L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 5 se montre paralysé, tand
llu employer le moyen suivant : quand on met le thorax du malade en
état
d'inspiration maxima et qu'on mesure comparativ
ments est en d'autres termes diminuée. La para- lysie incomplète, l'
état
parétique n'est donc pas niable, et cependant i
r nous avons éliminé systématiquement tous les hémiplégiques dont l'
état
mental était trop affaibli pour obtenir des ren
était trop affaibli pour obtenir des renseignements précis sur leur
état
ancien et permettre un examen sérieux de leur éta
précis sur leur état ancien et permettre un examen sérieux de leur
état
actuel. Aux autres nous avons demandé s'ils éta
sourcil avec le pouce d'une secousse brusque, se rendre compte de l'
état
de tonicité et de force des muscles des deux cô
er parfois des différences appréciables. Le malade tenant les L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 7 yeux fermés et résistant
ns, attaque d'apoplexie il y a trois semaines. L'hémiplégie gauche,
état
subcomateux. Le facial inférieur est paralysé ;
rieur est aussi touché : la paupière supérieure gauche est plus l'
état
du FACIAL SUPÉRIEUR. 9 tombante que la droite ;
he. Observation XV. R... Joséphine, cinquante ans. Hémiplégie L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 11 gauche en janvier 1896.
e par secousses. Quand les muscles des sourcils sont contractés L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 13 ils présentent aux mouv
plus accentuées de ce côté, le sourcil est relevé et presque L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. ' 15 immobilisé. La malade
es cas : tantôt presque indemne, tantôt nettement frappé, suivant l'
état
du facial inférieur. Quand le facial inférieur
ouce on cherche par une secousse brusque à se rendre compte de leur
état
de tension, on reconnaît que du côté paralysé l
baissement du sourcil sont très diminués 1 Thèse Paris, 1897. L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 19 et n'existent pour ains
aris. Juin 1898. Anal, in Ileviie neurologique, 1898, p. 786. L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 21 inférieur et semble res
intient ouvert la fente palpébrale, le releveur de la paupière. A l'
état
normal que l'équilibre soit détruit, et les dim
cissement de la fente palpébrale du côté hémiplégie est plus L'
ÉTAT
DU FACFAL SUPÉRIEUR. 23 apparent que réel. Quan
à ce que l'hypothèse de NI. Bris- saud puisse être admise : c'est l'
état
de la fente palpébrale dans la paralysie facial
du côté sain, et le malade est dans l'impossibilité de fermer L'
ÉTAT
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 25 ' l'oeil paralysé. Or,
sion de la localisation corticale du ptosis que l'on trouvera l'
état
DU FACIAL SUPÉRIEUR. 27 dans la thèse de Surmon
de l'activité de la couche corticale et des centres ner- veux. Cet
état
peut être aussi symptomatique ci d'autres affec
et hypochondriaque. Le point de départ, l'origine, la cause de cet
état
de dépression de l'activité cérébrale paraissen
rpeur des forces et de l'activité intellectuelle ; conscient de cet
état
le malade arrive au découragement le plus compl
les indispose et les fait souffrir. Ils arrivent à ne plus être en
état
de faire quoi que ce soit. Le début de cette ma
r l'idée mélancolique; elles entretiennent la marche du délire ou l'
état
d'angoisse. Les organes des sens paraissent sou
d'un pouls à forte tension. Chose explicable si on se rap- pelle l'
état
de contraction dans lequel se trouve le système
qui est bien réelle au moins au point de vue psychique. Dans les
états
d'agitation comme on les observe dans la mélanc
toutes les for- mes et manifestations d'activité cérébrale dans un
état
de LES MÉLANCOLIQUES. 37 stupeur complète.
lle nous répond qu'elle a commis des péchés, mais elle n'est pas en
état
de nous donner des renseignements sur les faits
anvier, survient un affaiblissement marqué, la malade n'est plus en
état
de se tenir debout, et couchée, elle n'est pas en
'est plus en état de se tenir debout, et couchée, elle n'est pas en
état
de se lever. Les facultés intellectuelles sont
ltés intellectuelles sont aussi amoindries, la malade n'est plus en
état
de donner une réponse, quelque insistance que nou
diminuée et retardée. La sensibilité spéciale paraît bonne, mais l'
état
mental du malade ne permet pas de s'en rendre u
issent suspects. Le patient mange bien, sans modifier toutefois son
état
de dénutri- tion très avancée. Incontinence des
du côté physique; la marche est un peu difficile, ce qui tient à l'
état
psychique de la malade, comme nous le verrons d
e dans les régions inguinales. Les autres organes se trou- vent à l'
état
normal. Etat psychique. L'attitude de la malade
possibles ; ainsi que, nous ne pouvons pas nous rendre compte de l'
état
de la mémoire, de la perception et du raisonne-
ses facultés intellectuelles, puis graduellement s'est installé un
état
de stupeur avec mutisme, interrompu de temps en
état de stupeur avec mutisme, interrompu de temps en temps par des
états
d'agi- tations impulsives. Etat physique. Con
sique. Constitution faible, les muscles les os et les téguments à l'
état
normal, peu développés. Les pupilles sont dilua-
sistances possibles. Il est donc impossible de rien apprendre sur l'
état
de ses facultés intellectuelles et sur son état
ien apprendre sur l'état de ses facultés intellectuelles et sur son
état
moral. Ce mutisme est de temps en temps interro
e, il ne manifeste aucun désir, rien ne peut le faire sortir de son
état
de torpeur. Observation Vlf. Le nommé Jeau-Tu
l'hospice, un beau jour très agité et sous l'empire d'un délire, en
état
de raptus melancolicus, le malade vole un coute
e de son mutisme relatif, nous ne pouvons nous faire une idée sur l'
état
de ses facultés intellectuelles et sur sa mémoire
sur sa mémoire. La mé- moire pour le calcul paraît bonne, il est en
état
de faire des petits calculs, surtout des opérat
les mêmes symptômes que la première fois, en exceptant pourtant les
états
catatoniques, qui paraissent cette fois beaucoup
; dort bien. 31 juillet. - Le malade est dans l'immobilité, dans un
état
de mutisme absolu; inconscient, très sale; on n
ent, très sale; on ne remarque rien de nouveau. 3 août. - Le même
état
. On n'arrive à avoir un mot de lui que par des
ongtemps et nous donne des réponses, quoique bien courtes. 15. Même
état
. 5-20 octobre. Il parle plus, n'est plus si ret
ment à quelques questions, surtout à celles qui se rapportent à son
état
moral; elle nous dit alors : c qu'elle est une pé
les mains pendantes. z 48 PATHOLOGIE MENTALE. La malade est en
état
de rester des heures entières dans cette positi
ntérieur étant éclairé, elle s'est effrayée ; depuis ce moment, son
état
mental devient anormal, en présentant les sympt
nce, frappe et abime tout, ditdcs injures, finalement tombe dans un
état
de dépression et ne prononce plus aucun mot à hau
flexes rotuliens sont normaux. Il n'est pas possible de constater l'
état
du réflexe pharyngien, ni si la malade présente d
les draps de son lit sont humides. Il est impossible de juger sur l'
état
de sa mémoire, de ses idées, de son intelligenc
sont conservés, de même que la mé- moire ; la sphère morale, en bon
état
. L'affectivité, pourtant, est un peu diminuée.
de l'attitude plus ou moins anormale qu'elle imprime aux membres. L'
état
pseudo-parétique des muscles hypotoniques pourr
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. , intéressante à noter, amélioration de l'
état
mental. (lnzer ican jour- nal of insanity, janv
lire. 2° Frère du précédent malade, plus jeune, même aspect, même
état
, irritabilité, agitation suivie de psychose calme
situation de ses membres avant le début du mouvement, puis sur leur
état
pendant chaque phase du mouvement ; c'est ainsi
tions et les impres- sions différentes et multiples. Il s'ensuit un
état
d'excitation qui se continue encore quelque tem
étaient jumeaux et par l'opération pratiquée pour améliorer leur
état
consistant dans une transplantation musculaire. *
lires post- opératoires sont faciles à reconnaître ; ce sont ou des
états
transi- toires d'excitation, ou plus rarement d
s. Dans la psychose post-opéra- toire vraie, on retrouve encore les
états
d'excitation qui caractéri- saient les formes p
saient les formes précédentes, mais on trouve, d'autre part, des
états
dépressifs qui lui sont propres et qui, contraire
pré- cédents, semblent porter plus facilement à la chronicité. Les
états
d'excitation sont caractérisés surtout par des
'opération. Contraire- 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ment aux
états
d'excitation, les formes mélancoliques ou anxieus
, taille hypogastrique, éta- blissement d'anus contre nature. Ces
états
dépressifs surviennent parfois peu de jours après
es cas d'excitation, mais bien le médecin aliéniste, à l'asile. Ces
états
dépressifs s'accompagnent souvent de tendance a
sifs s'accompagnent souvent de tendance au suicide. A côté de ces
états
d'excitation et de dépression, il existe une fo
; quelque temps avant sa mort elle en était arrivée à un véritable
état
de démence. A l'autopsie on trouve la dure-mère
ère leçon. Diagnostic et pronostic de Vhémorrhagie cérébrale et des
états
ahohlectifonmes. Traitement des hémiplégiques L'a
rmants. L'auteur insiste ensuite sur le diagnostic différentiel des
états
apoplectiques ou comateux qui peuvent simuler l
peuvent simuler l'ictus de l'hémor- rhagie cérébrale et divise ces
états
apoplectiques en : 1° état apo- plectique lié à
l'hémor- rhagie cérébrale et divise ces états apoplectiques en : 1°
état
apo- plectique lié à une lésion organique des c
t apo- plectique lié à une lésion organique des centres nerveux; 2°
état
apoplectique sous la dépendance d'un simple tro
nombreux. Dans les seconds qu'il vaut mieux désigner sous le nom d'
états
coma- teux, nous trouvons au contraire un abais
igitale, l'aconit, la jusquiame et la belladone caractérisées par l'
état
du cojur et, pour la dernière, la dilatation perm
toujours longue, minutieuse et souvent ingrate. Deuxième leçon. Les
états
neurasthéniques et leur traitement. Il faut ava
et leur traitement. Il faut avant tout faire la différence entre l'
état
neurasthénique vrai et celui qu'avec Charcot l'
sse en revue avec beaucoup de détails les principaux symptômes de l'
état
neurasthé- nique vrai, insistant sur les stigma
ai, insistant sur les stigmates, céphalée, craquements de la nuque,
état
des pupilles, plaque sacrée, vertige, sur les tro
ngine de poi- trine qui ne se distingue guère de la vraie que par l'
état
du pouls, sur l'état mental, et montre comment
ui ne se distingue guère de la vraie que par l'état du pouls, sur l'
état
mental, et montre comment ces symptômes se groupe
ations morbides, d'hystéro- neurasthénie en particulier, et enfin d'
états
neurasthéniques secon- daires ajoutés. A cet
er, et enfin d'états neurasthéniques secon- daires ajoutés. A cet
état
neurasthénique vrai, il faut opposer une calégori
. A cet état neurasthénique vrai, il faut opposer une calégorie d'
états
qualifiés de neurasthéniques qui doivent être com
nombreuses ressemblances dans la forme entre ces deux affections :
état
neurasthénique vrai et neurasthénie constitutionn
ronostic d'ailleurs pour le neurasthénique vrai dépend souvent de l'
état
social du malade. Le diagnostic différentiel do
malade. Le diagnostic différentiel doit se faire d'abord entre les
états
neurasthéniques, puis avec les états mélancoliq
oit se faire d'abord entre les états neurasthéniques, puis avec les
états
mélancoliques ou hypochou- driaques, enfin, et
e dans l'en- semble symptomatique. L'importance du diagnostic des
états
neurasthéniques est d'autant plus important qu'
t de ses occupations habituelles et des causes provocatrices de son
état
morbide. Dans l'hystéro-neurasthénie plus que p
eptionnelles, si par exemple l'iutoxcication est de date récente, l'
état
général satisfaisant et le taux quotidien ne dépa
bécillité et l'épilepsie symplo- matiques de méningite récente avec
état
chagriné des circonvolu- tions ; l'idiotie et l
hique dés deux lobes frontaux; l'idiotie hydroccphaiique acquise; l'
état
de mal épileptique ; l'épilepsie consécutive à
d'un escalier. La pauvre femme gisait sur une paillasse en mauvais
état
et était vêtue sommairement d'une chemise et d'
est encore de 30/100 chez les délirants chroniques ; mais dans les
états
de manie, il tombe à 19/100; à''l0/100 chez les
questions. On ne peut pas découvrir un délire, ni rien savoir sur l'
état
de ses facultés iutellec- tuelles, à cause du m
u traitement par l'opium, on observe une légère amélioration dans l'
état
de ses facultés mentales. Il reste pourtant tou
s'il se levait debout. Il n'a pas d'auto-accusations. 25 octobre. L'
état
mental est complètement rétabli. Il parle et ré
ses scarifiées et on applique le traitement décongestif habituel. L'
état
comateux dure jusqu'à trois heures de l'après-m
lements de la langue, des lèvres ni des doigts. Il y a tendance aux
états
-catatoniques. Le réflexe rotulien très augment
ort très peu. Elle contracte une stomatite infectieuse intense, son
état
général empire beaucoup, on la traite par des l
re beaucoup, on la traite par des lavages antiseptiques, etc. Comme
état
psychique, elle se trouve dans un état d'inquiétu
es antiseptiques, etc. Comme état psychique, elle se trouve dans un
état
d'inquiétude continuelle, demandant à partir ch
nt; les extrémités froides. Des réflexes et la sensibilité sont à l'
état
normal. La malade pré- sente de nombreuses cica
cée. Elle dort bien. Après quelque temps de séjour à l'hospice, l'
état
de la malade parait un peu amélioré, elle dit q
as comment cela lui est venu. Etat psychique. La malade est dans un
état
d'inquiétude con- tinuelle, son regard est.inte
ils sont incompréhensibles. Il est bien difficile déjuger sur son
état
psychique, et s'il a un délire d'auto-accusatio
hique, et s'il a un délire d'auto-accusation caractéristique de son
état
mélancolique, délire qui parait exister, mais q
le malade garde la même immobilité, humilité, mu- tisme. Malgré cet
état
grave de mélancolie, le malade mange assez bien
t des doigts. Le signe de Biernacki existe à droite et à gauche à l'
état
commençant. Le réflexe pharyngien est bien dimi
persécution et qui dura pendant cinq ans, le patient tomba dans un
état
de dépression, sa figure exprime la tristesse et
aucune douleur, mais dit qu'il est souffrant, malade et dans cet
état
de mélancolie depuis six ans. 128 PATHOLOGIE
ste cinq jours, jusqu'à une semaine, sans aller à la selle; que cet
état
allerne avec de la diarrhée. Autrement il mange
avant que le médecin ne soit appelé à constater officiellement son
état
mental; mais par contre, l'autorité administrativ
elèvent les aliénés en France, n'est pas moins mise au courant de l'
état
du malade par les certificats médicaux de vingt-q
nt, il signale au Comité tous les cas de malades reçus à l'asile en
état
de restreint mécanique, s'ils présentent des bl
tent des blessures, etc... Il fait tous les six mois un relevé de l'
état
physique et mental des indi- gents et chaque an
tions brillantes et la membrane nucléaire est plus apparente qu'à l'
état
normal ; le nucléole n'est pas élargi. Est-ce à
3° l'urée et. l'acide urique sont en plus faible proportion qu'à l'
état
normal ; 4° la diminution des excrétions nitrog
t de l'acide urique à l'urée n'est pas en relation constante avec l'
état
mental (American Journal of insanity, avril 189
ion sociale qui se désintéresse trop du passage des jeunes gens à l'
état
de citoyens et de l'initiation nécessaire aux d
nt. L'unique préparation sociale qui marque encore le passage à l'
état
pubère confirmé tend à se réduire à l'épreuve de
sitives sur lesquelles repose la vie sociale moderne si complexe, l'
état
n'a aucun moyen réel d'initia- tive et s'en rem
ion favorable de la suggestion se manifeste par l'amélioration de l'
état
général, la dis- parition de l'abattement, de l
à peu près complète. Deux mois après la cessation du traitement, l'
état
de la malade continuait à être très satisfaisan
rale sont dues à une toxine et que nous constatons l'existence d'un
état
infectieux, pourquoi ne pas admettre que la syp
vec l'arrivée des règles. Une laparatomie rendue nécessaire par son
état
physique a été pratiquée le 19 juin sans incide
é la persistance de l'agitation et du délire. L'amélioration dans l'
état
mental est survenue par degrés, sui- vant pas à
ait appris ce qui se passait, vint relater à ce magistrat dans quel
état
elle avait trouvé, la veille, la défunte. Un mé
rie post-paroxystique existe dans la moitié des cas, surtout dans l'
état
de mal. 1 Seyfert. Dublin quarterly Journal, 18
les observations étaient très délicates, on ne pouvait rechercher l'
état
des pupilles ni prendre la température, et surt
ux, noirâtre et se coagule très facilement, surtout à la suite de l'
état
de mal. Cette particularité avait été remarquée
en, la tête sur le plancher, les yeux fermés. Elle demeure dans cet
état
comateux pendant longtemps. Quand nous la quitt
de la respiration avec un arrêt momentané. Température 34°8. Cet
état
comateux a duré 1 h. t/2. Pendant tout le temps l
ses. La respiration est lente. Nous le quittons à 7 h. 1/2 dans cet
état
. Il est mort dans la nuit. Autopsie faite le 26
fai- blissement, 21 soit 30 p. 100 seulement coïncidaient avec un
état
anormal de la personnalité physique, seulement un
ives ; or, des premières 364 existaient et des secondes 162 avec un
état
normal du tact. Ainsi donc, sans conteste, le t
sives ou dépressives de la personnalité physique existent avec un
état
normal du tact et de ne pas incliner à croire q
te dans les formes agitées et que dans celles-là il y a toujours un
état
anormal de cette personnalité. D'ailleurs le fa
l'entendre, déflorer cinq cents vierges au moins par nuit et dans l'
état
d'érection son gland était aussi volumineux que
qui d'ailleurs ne reparut plus après le retour du sens tactile à l'
état
normal. 192 PATHOLOGIE MENTALE. Que prouven
rurent au sur et à mesure que le tact, très affaibli, revint à l'
état
normal. Quelques mois après, retour de l'affaibli
ts qui se généralisèrent par tout le corps et parurent influencer l'
état
mental, car le malade passait une grande partie
se déshabillent sans savoir pourquoi ; même ceux qui sont encore en
état
de renseigner ne fournissent sur ce point aucun
s a été impossible d'arriver à vérifier avec assez de cer- titude l'
état
de ce sens. Or, nos 9t< résultats se décompo
i dans 70 p. 100 de nos recherches relatives à la constatation de l'
état
du tact. Nos échecs ovni, été d'autant plus nom
t le retard (1,8 p. 100) ; ce dernier, le plus souvent associé à un
état
normal du tact, plus rarement avec de l'affaiblis
lus rares. VII. Nous avons vérifié la progression croissante de l'
état
anormal du tact avec les progrès de la maladie; r
us. XI. Contrairement à notre attente, nous avons toujours noté l'
état
normal du tact dans les formes purement dépres-
ation, tandis que l'affai- blissement a été constaté quel que fût l'
état
des malades. XIII. C'est dans la forme expansiv
t à fait exceptionnel qu'un rapport a été constaté entre ces divers
états
délirants et les altérations du sens tactile.
XV. Il ne nous a pas été possible de constater un rapport entre les
états
du tact et l'habitude qu'ont beaucoup de paraly
spéciales aux premiers et celles en plus aux seconds, tandis que l'
état
normal fut habituel chez les sujets porteurs de c
- taux externes, celle qui engendre le plus souvent des phobies ; l'
état
mental des malades qui en sont atteints, est ca
és, l'obsession cutanée n'apparaît que comme un épi- phénomène d'un
état
psychique grave, relevant de l'aliénation menta
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 213 dermatophobies, il faut signaler l'
état
psychique de l'entourage des malades; cet éléme
oubles fonctionnels réels, au traitement moral, à la suggestion à l'
état
de veille par le raisonnement seul ou aidé de l
ieu, l'auteur insiste sur les difficultés que peuvent présenter ces
états
atténués, au point de vue médico-légal. (TAe ca
de la dégénérescence simple, tantôt incons- ciente, en raison de l'
état
vertigineux du sujet. Le troisième cas présente
n connue qu'un homicide peut être commis dans le somnambulisme et l'
état
épileptique, la conscience de l'individu étant
premier cas, il s'agit d'un homme de cinquante ans, interné pour un
état
mélancolique, après deux tentatives de suicide.
ibition ayant disparu, fut instantanément réalisée par un malade en
état
subconscient. (American jourrzal o/' 212SCLJ2lG
ccès d'aliénation ou dont 224 4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'
état
de folie ne serait pas encore confirmé, pourraien
énieuse hypothèse de M. Branly, l'auteur de l'article pense qu'en l'
état
actuel de la science les éléments manquent à l'
ment remplacée dans certains cas par un entraînement suggestif, à l'
état
de veille, de la volonté du sujet. C'est ce q
i a paru exister entre les symptômes de cette affection et ceux des
états
myxoedé- mateux et crétinoïdes. Le malade a suc
on sur la violence du traumatisme, cause de l'affection, mais sur l'
état
de l'excitabilité électrique des nerfs et des mus
emblables. XXXVI. L'alcoolisme; ses conséquences pour l'individu, l'
état
et la société; par AL le professeur DEuovE. (Pr
on augmente chez nous, tandis qu'elle diminue dans plusieurs autres
états
; il déplore aussi que les femmes et les enfants
bservations permettront d'établir si les névrites avec amnésie de l'
état
puerpéral, de la fièvre typhoïde, de la 231 I
effet, parait différer par un plus Ion" stage prémonitoire et par l'
état
de faiblesse psychique et soma- tique dans lequ
s plantes, de 13 p. 100. Le mont de Vénus s'est couvert de poils. L'
état
psychique a subi également un chan- gement très
l'aspect de gouttelettes ; en même temps les petites épines qui à l'
état
normal garnissent les prolon- gements des deux
ment celles où régnèrent au moyen âge les psychoses religieuses à l'
état
endémiques. Comme on l'a dit', l'ignorance es
; pour lui il y a une paranoïa secondaire (née le plus souvent d'
états
mélancoliques) et une paranoïa primitive; il en é
maires de délires systématisés et d'autres secondaires, surtout aux
états
mélan- coliques décrit les délires religieux du
élancolique, on l'a dit, le délire est secondaire et consécutif à l'
état
affectif ; chez le délirant chronique, le délir
n'est pas un délire systé- matique. Lorsque cette vésanie passe à l'
état
chronique et qu'un délire systématisé vient se
l'état chronique et qu'un délire systématisé vient se greffer sur l'
état
primitif, ce délire est secondaire. La mélanc
, pour base un trouble du fond émotionnel qui change absolument l'
état
moral du sujet. Les idées délirantes par suite, l
ourrait distinguer encore parmi les délires dits secon- daires, aux
états
mélancoliques, selon la variété de mé- lancolie
dées de persécution : Des psychoses décrites comme secondaires à un
état
mani- que n'étaient que consécutives à un état
mme secondaires à un état mani- que n'étaient que consécutives à un
état
anxieux de mélan- colie agitée. Aussi, sans ent
n fatidique. L'objectivation délirante qui constitue le fond de cet
état
menlal de l'aliéné n'est que l'extériorisation
y avoir deux ordres de systématisation opposés bien que partis d'un
état
initial identique en apparence. Donc dans un gr
re groupe, viennent les délires religieux à systé- matisation (sans
états
mélancoliques ou hypocondriaques vrais antérieu
délirantes religieuses peuvent encore s'observer comme symptômes d'
états
maniaques ; dans les états démentiels, elles pe
nt encore s'observer comme symptômes d'états maniaques ; dans les
états
démentiels, elles peuvent être consécutives à la
Calmeil. De la folie, p. 81. MYSTICISME ET FOLIE. 267 Parmi les
états
congénitaux, l'idiotie et l'imbécillité pré- se
tisés types. Manie. Nous avons vu les idées religieuses, dans les
états
mélancoliques, et dans les délires systématisés p
es conceptions délirantes, il nous reste à dire quelques mots des
états
maniaques. « Il n'est aucune forme de maladie m
sychiques un antagonisme qui rapproche ces formes de la manie des
états
impulsifs et hallucinatoires, et aussi, de la mél
e les analogies et les différences des idées religieuses dans les
états
aigus, maniaques ou mélancoliques. Quant à la m
fuites d'idées et les autres symptômes classiques ordinaires de ces
états
suffisent d'ordinaire à établir le diagnostic.
s éléments positifs en seront fournis par l'âge, les antécédents, l'
état
somatique (motilité), l'émotivité si spéciale d
le des circonscrits 3. Quant aux démences séniles gref- fées sur un
état
délirant, elles présentent aussi des carac- tèr
, par suite de complication progressive de son délire, arrivée à un
état
de pseudo-démence, comme dit M. Christian4, où
s que les éléments moins atteints de la mentalité. ' Thivet. De l'
état
mental des vieillards. (Thèse, Paris, 1889.) Sé
cal, 1888, n« 43. Psychoses séniles et la ? -- dives. Lwoff. De l'
état
mental dans les lésions circonscrites du cerveau.
tout-puis- sant. « Il semble que ce délire soit développé sur un
état
mala- dif des centres moteurs ou volitionnels.
ie. » M. Klippel a, depuis, donné comme substratum organique de ces
états
, la vaso-dilatation généralisée. Ce caractère
Dieu puissant et con- cierge du Trocadéro 2. On le voit, tous les
états
exubérants ont entre eux un trait commun qui es
ggestion imitatrice. « Il y a, dit M. Gilles de la Tourette, dans l'
état
mental des hystériques, quelque chose d'absolum
en oeuvre par la suggestibilité, qui est la caractéristique de leur
état
mental (p.S`3). L'hystérique peut être, à ce po
he et terminai- son brusque. Pendant l'accès, le malade est dans un
état
anxieux avec panophobie, il voit le démon dans
eptions délirantes sont demeu- rées frustres, malgré le passage à l'
état
périodique et chro- nique ; il n'en est pas tou
conceptions délirantes systématisées paraît en raison inverse de l'
état
dégénératif congénital. Mais entre les deux typ
hoses des héréditaires des formes de délire pathognono- miques d'un
état
non dégénératif. C'est ainsi que Greidenberg on
conceptions délirantes systématisées paraît en raison inverse de l'
état
dégénératif congénital. Mais entre les deux typ
chi- mique non seulement nous renseigne donc sur la réalité d'un
état
d'auto-intoxication dans les psychoses, mais enco
ler 282 PATHOLOGIE MENTALE. l'attention sur la possibilité d'un
état
toxique, en particulier d'une infection, ou d'u
péciales à l'auto-intoxication rénale. L'inégalité pupillaire, avec
état
variable des réflexes lumi- neux et accommodati
sie générale. Signalons enfin : les troubles gastro- intestinaux (
état
saburral, inappétence, constipation, fétidité d
n l'hypert7aernae ou, par une sorte de contraste avec l'acuité de l'
état
, l'hypothermie, surtout dans l'insuffisance hép
fluence d'une narcose toxique. Avec la torpeur cérébrale, existe un
état
particulier des facultés qu'on ne peut mieux dé
sieurs fois, sans se rendre compte. 11 y a là, comme on le voit, un
état
à part, qui n'est pas seulement la perte de mém
n est ce que nous appelons l'oni- vrai dire, il s'agit plu tôt d'un
état
que d'un symptôme. Nous entendons par onirisme
plu tôt d'un état que d'un symptôme. Nous entendons par onirisme un
état
d'automatisme céré- bral analogue au rêve, mais
c'est que, à un degré léger, le sujet passe alternativement d'un
état
et l'autre suivant qu'il ouvre ou ferme les yeux;
e maintenant à prouver que ce type a pour caractéristique d'être un
état
de rêve ou onirique. Cette opi- nion, qui s'éta
rrache à son sommeil ou l'alcoolique à son délire, « Or, tous ces
états
, remarquons-le, sont des empoisonne- ments par
ves délirants des alcooliques et des infectieux peut être perdu à l'
état
de veille et recouvré dans le sommeil ordinaire
élires toxiques sont identiques; ils présentent les caractères de l'
état
de rêve. a) Le délire est d'abord et surtout no
normal, mais d'un rêve pathologique, som- nambulique, d'une sorte d'
état
second, analogue à celui de l'hypnose. C'est po
s d'auto-intoxication gastro-intestinale, pour mettre les sujets en
état
d'hypnose et conformément à nos espérances, cha
ances, chaque fois le souvenir perdu de l'accès reparaissait dans l'
état
hypnotique, pour disparaître à nouveau au révei
imes de sa maladie ; et alors que déjà il ne répondait plus, dans l'
état
délirant, à aucune question, tellement son obtu
nt, à aucune question, tellement son obtusion était extrême, dans l'
état
hypnotique, plus actif et plus éveillé, s'il es
nne foi qu'il avait été victime d'un accident professionnel. Mis en
état
d'hypnose, il se rappela tout ce qui s'était pa
t facile, chez cet individu, de provoquer artificiellement ces deux
états
et nous le faisions passer ainsi successivement
s donc pouvoir dire que le délire toxi-infectieux n'est autre qu'un
état
second, un délire somnambulique, analogue aux a
tre qu'un état second, un délire somnambulique, analogue aux autres
états
de somnambulisme, spontanés ou provoqués. - D
toxi-infectiew. Il va sans dire que c'est surtout dans la période d'
état
ou de déclin se prolongeant outre mesure, bien
abituellement, disparaît dans l'hypnose. Nous pensons aussi que cet
état
de rêve existe dans tous les étals de confusion
l fait une variété de mélancolie, n'hésite pas à déclarer que cet
état
parait avoir beaucoup d'analogie avec l'état de r
pas à déclarer que cet état parait avoir beaucoup d'analogie avec l'
état
de rêve. Et il développe les raisons qui milite
passage suivant : « Ce qui me fait insister sur cette analogie de l'
état
de rêve et de l'état morbide que j'ai décrit, c
qui me fait insister sur cette analogie de l'état de rêve et de l'
état
morbide que j'ai décrit, c'est surtout la manière
net que la manière dont quelques conva- lescents caractérisent leur
état
mental antérieur. Il me semble, dit une femme à
de la quatrième observation, et qui a si bien rendu compte de son
état
, me dit qu'elle ne peut mieux comparer ce qu'el
uestions qu'ils font, mais surtout des détails qu'ils donnent sur l'
état
dont ils sortent. Ils éprouvent, mais plus lent
et en disant : « Je ne signale ici que les analogies ; car à part l'
état
morbide, il y a entre la stupidité et les rêves
une théorie onirique. On sait, en effet, que Meynert attribue cet
état
pathologique à un affaiblissement de l'écorce ave
grande partie aux étals physiologiques du rêve 2. Mayer rapproche l'
état
de demi-rêve qu'on observe chez certains sujets
, délire de collapsus, démence aiguë. Le délire de collapsus est un
état
de confusion profond à développe- ment excessiv
sion mentale, pour ainsi dire intermédiaire aux deux autres, est un
état
de confusion en forme de rêve avec perversion p
êve avec perversion par illusion ou hallucination de la perception,
état
aigu développé par suite de l'atteinte portée p
toplasuuques qui se rétracteraient dans le sommeil et dans certains
états
d'intoxication (Pupin, Hegcr) sont au fond asse
mentale et le rêve, parait rapprocher à diverses reprises ces deux
états
. Au chapitre de la Psychologie pathologique, à
ir de relations entre elles. La suite est facile à prévoir, c'est l'
état
de rêve à tous ses degrés. Çà et là on trouve e
t plus entre eux de rapports appréciables ; le malade est dans un
état
analogue à celui du rêveur '. » M. Marandon de
au choc moral, au surmenage physique, rappelle que dans ces divers
états
, il existe une auto-intoxication due à des subs
ogie et cl'llp2oloie, 5 et 20 décembre 1897), dis- tingue parmi les
états
intermédiaires entre la veille cons- ciente et
rmédiaires entre la veille cons- ciente et le sommeil complet : les
états
de Traùmerei, de rêverie, étals hypnoïdes voisi
t : les états de Traùmerei, de rêverie, étals hypnoïdes voisins des
états
hypnagogiques, se rapprochant du sommeil physio
ux de confusion mentale, amentia, paranoïa aiguë, qui désignent des
états
analogues. Nous avons gardé, pour en parler en
eut, dans certains cas, être assimilé à un rêve se produi- sant à l'
état
de veille et se mélangeant à des doses diverses à
trouvé, surtout comme moyen de calmer l'agitation et de préserver l'
état
général, souvent très précaire dans les cas de
au bout de cent jours, période à laquelle s'effectue le retour à l'
état
normal. Ils se manifestent tout d'abord par la
qué à la Société de Biologie un travail établissant l'existence à l'
état
normal d'un réflexe ischio et bulbo-caverneux s
ilité du malade est normale, exagérée ou absente ou résultante d'un
état
morbide du centre génito-spinal ou de l'âge. ,
ébut a été lent. La paralysie flasque' a toujours été précédée d'un
état
spasmodique, et s'est toujours accompagnée d'un
ons, il n'y a pas de parallélisme entre l'évolu- tion clinique et l'
état
anatomique. (Revue neurologique, oct. 1898.) '
dant à paraître incomplète. Et pourtant il faut reconnaître que cet
état
incomplet de la con- ception était nécessaire :
es l'épigastre est moins sensible à la pression et aux coups qu'à l'
état
normal et que, dans un cinquième environ des ca
e trois mois, la conso- lidation paraît parfaite et notre malade en
état
de marcher. Vaine- ment, on essaie de le souten
'immobilisation ont particulièrement porté leur action. De plus, un
état
psychique spé- cial vient se greffer sur ces di
s cette importance est beaucoup moindre que les particularités de l'
état
mental du sujet, observé avant l'apparition des
sept ans, sans anté- cédents connus, a été reçu à l'hôpital dans un
état
demi-comateux. La température est de 38° 5-380
prend également, il devient douloureux et gonflé, mais revient à l'
état
normal au bout de six semaines. A noter encore
e alcoolique polymorphe avec hallucinations de l'ouïe et de la vue,
état
de rêve diurne, hyperesthésie psychique et sens
ques et cloniques. Les mouvements terminés, la malade tombe dans un
état
de sommeil profond dans lequel elle se montre i
a plus grande facilité, car tout le sys- tème musculaire est dans l'
état
de flaccidité cireuse caractéristique de l'état
sculaire est dans l'état de flaccidité cireuse caractéristique de l'
état
cataleptique-franc. Daus ce cas, la crise d'hysté
ces de l'écorce 1 VARIA.. 335 cérébrale, place le sujet dans un
état
analogue à l'état d'hypno- tisme provoqué. L'
1 VARIA.. 335 cérébrale, place le sujet dans un état analogue à l'
état
d'hypno- tisme provoqué. L'exercice illégal d
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE.
ÉTAT
1VÉYROPA1'IIIQUE. APPOINT ALCOOLIQUE. DÉLIRE HA
ement. L'après-midi du 27, la nuit qui suit et le len- demain 28, l'
état
d'agitation se maintient sans interruption, très-
sons, de serpents qui rôdent sur son lit. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE.
ÉTAT
NÉVROPATHIQUE. 339 Dans les jours qui suivent,
eil, mais celui-ci dure régulièrement cinq à six heures par nuit. L'
état
général est redevenu satisfaisant, la températu
de ses hallucinations, elle répond assez DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE.
ÉTAT
NÉVROPATHIQUE. 34'1 correctement : « Ça va un p
- rément abondantes, sans apporter de modification notable dans l'
état
de la malade. Le 26 mai, dans un moment de calm
n d'effroi : Oh ! non, je ne veux pas, je ne veux pas ! ... » Cet
état
persiste avec des périodes plus ou moins longues
, quatre à cinq heures ; l'alimentation est toujours suffisante ; l'
état
géné- ral satisfaisant, la température oscille
son point de départ. Nous nous trouvons donc ici en présence d'un
état
baltuci- natoire non systématisé ou très imparf
l ... présente une attitude déprimée, voire même demi- stupide, cet
état
cénesthétique n'est, de toute évidence, que le
mentale primitive, idiopathique, est une DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE.
ÉTAT
N1 : VROPATÜIQUE. 343 affection habituellement
ènes mentaux ; le fond essentiel de ceux- ci, résultat premier de l'
état
somatiquc, est constitué par une forme d'affaib
contraire, d'inertie motrice, avec ou sans variations marquées de l'
état
émo- tionnel'. » Reste alors ce qui a été déc
sche ireî-ivii-iilieit). Kreepelin2 range celle affection parmi les
états
aigus d'épui- sement, à la suite de Collapsdeli
itaires ne sont pas impossibles, elles n'existent, du moins, qu'à l'
état
latent, le cerveau est seulement facile à affec
n. oeil, sur Psych. Bd. XLII, 1, 1885.) DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE.
ÉTAT
NÉVROPATHIQUE. 348 Schûle 1, s'il fait rentrer
s, où l'on notait, en particulier, du trem- blement des mains et un
état
légèrement saburral des voies digestives, puis,
émotivité exagérée, jouissant, en un mot, DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE.
ÉTAT
NÉVROPATHIQUE. 347 de cet état mental, que l'on
un mot, DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 347 de cet
état
mental, que l'on sait être si souvent le substrat
l'emblée, l'aspect du délire chez les dégé- nérés : ce n'est pas un
état
maniaque franc, ni ce qu'on a décrit sous le no
plus un délire alcoolique pur, mais bien un mélange de ces trois
états
. Au bout de quelques jours, l'appoint alcoolique
, s'imaginant qu'elle lave son linge (elle est blanchisseuse de son
état
), qu'elle tient la République entre ses mains,
dairement chez les dégénérés alcoolisés. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE.
ÉTAT
NÉVROPATHIQUE. 349 Du même coup, nous pouvons a
is d'indiquer en quelques mots cette terminaison. Après une phase d'
état
qui s'étend du mois de juin au mois d'octobre,
très tourmentée, très décevante aussi par les sautes brusques de l'
état
mental. Il y a, par exemple, des journées entiè
tre point sur lequel nous voulons insister, c'est l'embon- point, l'
état
de santé florissant de la malade, au soi tir d'un
s mouvements de flexion et d'extension dont il ne jouissait pas à l'
état
de veille. Dans le mois suivant elle commença à
abdomen. Le malade succombe aux progrès de la phtisie, parvenu à un
état
d'émaciation squelettique. L'autopsie montre un
t échoué, on eut recours à des séances de suggestion pratiquées à l'
état
de veille et pendant le sommeil hypnotique, et
ée par le cerveau tend à se faire acte : toute idée est un acte à l'
état
naissant (Bernbeim, Liébault). Elle comprend un
d'autre part, dont l'auto-suggestion verbale, sans préparation, à l'
état
de veille, est l'élément le plus simple. L'auto
ement et l'utilisation de l'élément affectif. Par le recueillement,
état
analogue à l'état de « charme » de Lié- bault,
tion de l'élément affectif. Par le recueillement, état analogue à l'
état
de « charme » de Lié- bault, le sujet met à pro
on attention sur l'idée de dormir. Le sujet se trouve alors dans un
état
analogue au demi-sommeil du soir, quand on comm
prit sera tou- jours capable d'une concentration plus grande qu'à l'
état
de veille. La répétition de ces exercices de so
les maladies nerveuses qui n'altèrent pas, du moins en apparence, l'
état
intellectuel et mental de l'individu. Vous aurez,
du Congrès. il existe des délires systématisés, développés sur des
états
secon- daires aux principales formes d'aliénati
ent à la démence, ce n'est qu'après être demeurés longtemps dans un
état
stationnaire. 2° Délires systématisés secondair
s post-mélancoliques. Si l'élément psychonévrotique l'emporte sur l'
état
paranoïen, le délirant sera plus mélancolique q
ntale. Les auteurs étrangers qui l'ont signalé, ont surtoutvisé les
états
passagers de confusion qui surviennent au début d
ne sont autre chose que des reliquats monoïdéiques de ce véritable
état
second qu'est la confusion mentale tonique, en
rvation sur un cas de délire systématisé secondaire consécutif à un
état
neuras- thénique. Pour lui il n'y a pas de si g
au bout de peu de temps, ils nous reviennent dans le plus pitoyable
état
. Il en est de même des jour- naux illustrés. Le
e-même de nature hystérique, et prenant naissance à l'occasion d'un
état
fébrile, d'une infection, d'une intoxication qui
e professeur Ballet fait, en ces termes, un remarquable exposé de l'
état
actuel de la question : M. Ballet. Lorsqu'en 18
peut-être plus logique de renverser les termes et de comprendre les
états
hystériques parmi les états infectieux ou toxiq
nverser les termes et de comprendre les états hystériques parmi les
états
infectieux ou toxiques. M. Régis accepte complè
ychose n'est pas une entité morbide, mais bien un syndrome lié à un
état
infectieux. Le D1' Anglade demande à poser quel
, absence absolue de volonté; la malade tombait dans un véritable
état
de stupeur. Huit mois après le début des accident
terrifiant, toujours le même, oublié au réveil mais persistant à l'
état
subconscient et susceptible d'être retrouvé pen
TÉS SAVANTES. 401 lui aussi, pendant la veille normale et resté à l'
état
subconscient; une circonstance de peu d'importa
stitution du traitement par les bromures, le malade entrait dans un
état
de fureur redoutable qui nécessitait son isolem
ité cutanée; 8° L'ablation du cervelet a une grande influence sur l'
état
général de l'animal et entraîne une cachexie rapi
faible dans ces cas. Même si le divorce devait porter atteinte à l'
état
du malade, il serait difficile de mesurer exact
res années de son existence. Depuis le commencement de la maladie l'
état
psychique n'a pas changé. Observation 11.- lial
; la dipsomanie est une véri- table psychose toujours précédée d'un
état
dépressif et mélanco- lique. M. Bérillon. Pou
pressentiment avant la crise, l'aura; la crise proprement dite ; l'
état
de mal; les crises épileptiques sous forme de psy
ses épileptiques sous forme de psychoses; les crises incomplètes; l'
état
des épileptiques dans l'intervalle des crises;
lant de la torpeur intellectuelle à la stupidité complète. C'est un
état
morbide de l'esprit mais non un délire. Il y a
ées délirantes, elle n'est plus qu'un syndrome, faisant partie d'un
état
plus complexe comme les délires associés. La conf
ires associés. La confusion men- tale pouvant se retrouver dans les
états
diver=, a cependant une sorte de personnalité c
que. La symptomatologie permet de la considérer indépendamment de l'
état
délirant ou névrosique qui l'accompagne. L'anat
t évoluer vers la démence, associée à des idées délirantes ou à des
états
psychiques particuliers, elle peut disparaitre
tats psychiques particuliers, elle peut disparaitre seule ou avec l'
état
mental morbide qu'elle accom- pagne pour enfin
centre unique, rapports qui constituent l'unité de l'individu. Tout
état
de conscience est une synthèse irréductible à des
, et que ce dernier emporte un reflet de celui qui l'a précédé. Ces
états
de conscience dans leur succession présentent une
rée une pure hétérogénéité, pas plus qu'une pure conti- nuité. Tout
état
de conscience a une durée et des limites. Le fa
nce a une durée et des limites. Le fait d'admettre entre les divers
états
de conscience le bien psychique qui unit leur d
ister dans une affirmation identique ; mais comme tous ces divers
états
tendent à la réalisation d'un système unique, la
re à la fré- quence des hiatus et à l'éloignement psychologique des
états
successifs. Toute psychopathie caractérisée e
ance, parce qu'elle repose sur l'établissement d'un rapport entre l'
état
présent et un état à venir, crée un lien entre
repose sur l'établissement d'un rapport entre l'état présent et un
état
à venir, crée un lien entre les moments conscient
venir, crée un lien entre les moments conscients et coor- donne les
états
successifs. Après s'être transformée peu à peu et
stabilité est émotionnelle. Le plaisir et la douleur produisent des
états
affectifs instables de leur nature; on comprend'q
comprend'que la plus légère modification les puisse transformer en
états
patholo- giques. De l'instabilité émotionnelle
nt pas être con- sidérés isolément, ils doivent être rattachés à un
état
morbide de la personnalité entière, à des maniè
nulle en apparence, et il y a cata- lepsie quand le sujet semble en
état
de monoïdéisme. Charcot attribué ce dernier éta
le sujet semble en état de monoïdéisme. Charcot attribué ce dernier
état
à l'isolement dans lequel se trouvent les idées
de s'arrêter aux impressions du dehors qui pourraient modifier son
état
pathologique ; cette stabilité morbide a débuté
e anesthésie à l'égard de toutes les impressions extérieures et ces
états
de monodéisme ne sont-ils pas la conséquence d'
udier les faits psychiques chez.l'enfant, le vieillard et l'être en
état
de sommeil, mais encore recourir à la psycho- p
son même de son irritabilité nous ne pouvons créer chez lui que des
états
passagers, et si nous réussissons à lui donner
e méfier de la suggestion hypnotique, la suggestion pédagogique à l'
état
de veille a plus de chance de réussir. La musiq
ez puissante, on n'observe que les épisodes caractéris- tiques de l'
état
mental des déséquilibrés ; mais dès que cette ré-
dépression mélancolique, les idéos de : ui- cide ; 2° la période d'
état
caractérisée par la persécution et les hallucin
urrir, de la vêtir et de lui donner tous les soins réclamés par son
état
en attendant son admission dans un asile. (L'Au
ades. Une discussion futile commença, qui s'envenima par suite de l'
état
d'ébriété où se trouvaient tous ces individus.
re d'auto-accusation; et pour peu que ce délire s'accompagne d'un
état
de dépression ou d'anxiété plus ou moins accentué
ullement la possibilité de leur existence. Lorsque l'on examine l'
état
mental sur lequel repose ce délire, on n'y retr
u mélancolique. Tout au plus peut-on noter dans les paroxysmes, à l'
état
passager, un peu de dépression ou d'agitation a
comme au point de vue psy- chique, on ne retrouve encore rien de l'
état
mélancolique. L'état général reste bon, les fon
psy- chique, on ne retrouve encore rien de l'état mélancolique. L'
état
général reste bon, les fonctions organiques s'acc
délire, l'absence de tout symptôme, somatique ou psy- chique, d'un
état
mélancolique fondamental, ces cas diffèrent de
ysique, au moment même où il nous est amené, ne trahit nullement un
état
de souffrance de l'organisme. Sa physionomie, s
l'analyse subjective de son moi moral, dans la contemplation de son
état
d'infériorité et d'abjection. Mais, malgré les
ique de la part du malade, opposé à l'ana- lyse qu'il fait de son «
état
d'àme et qui pourrait en imposer. Nous avons ém
ssi bien que de lui-même. Plus lard, il fit preuve d'un véritable
état
d'instabilité mentale, changeant de métiers sans
rt, on ne retrouve pas chez le sujet les traits fon- damentaux de l'
état
mélancolique vrai. C'est ainsi que du côté psyc
n des symp- tômes qu'on rencontre d'ordinaire dans la mélancolie. L'
état
général est excellent. La circulation, la respi
'affection considérée dans son ensemble et dans ses rapports avec l'
état
mental antérieur du sujet, le tableau clinique
e d'un délire, quelle qu'elle soit, ne suffit pas à caractériser un
état
morbide, que le délire d'auto- accusation, en p
moment, même au début de la maladie, il n'y a eu de symptômes d'un
état
mélancolique. Il se manifeste au contraire comm
'arguments qu'il avait raison et ne se rendait à aucune preuve. L'
état
physique restait bon, l'appétit convenable, les d
e retrouver avant elles ces troubles particuliers qui constituent l'
état
mélancolique pro- prement dit et qui, dans la m
caractères particuliers, l'absence des signes pathognomoniques de l'
état
mélancolique, ne pouvaient nous autoriser à con
lancolie délirante. Rien non plus ne pouvait nous faire admettre un
état
mélancolique symptomatique de l'alcoolisme par
ne fit que confirmer ce dia- gnostic. Pendant un mois environ, l'
état
de M. B... reste stationnaire. La santé physiqu
es ou d'autres fois se met à pleurer, à se lamenter sur son triste-
état
. Mais ce sont là manifestement de simples réact
éressent ; il les étudie, les observe et fait même souvent sur leur
état
des remarques très fines et très spirituelles.
ne corticale, n'est parfois que la prolon- gation oulre mesure de l'
état
physiologique, mais le plus souvent il est dû à
DE FAITS. - HYSTÉRIE MALE. MUTISME. AMAUROSE. ACCÈS MÉLANCOLIQUE.
ÉTAT
SECOND; Il.% f Cn. VALLON, Médecin de l'Asi
t accès mélancolique amenant le placement ci l'Asile de Ville juif,
état
second pendant cinquante-sept jours, troisième
e épis- taxis, plyalisnze, amnésie, portant sur toute la durée de l'
état
second. Sortie de l'Asile après un séjour de pl
on lui pose des questions sur les faits actuels, par exemple sur l'
état
de sa santé, il répond sans trop de difficulté
, sans cause appréciable il se produit un changement brusque dans l'
état
de P... Tout d'un coup il déclare aux employés
tisme. Il nous exprime son étonnement de ne pouvoir pas paller. L'
état
reste le même jusqu'au 1 ? mai. Ce jour-là à deux
la rachial- gie ; de plus il est resté pendant près de deux mois en
état
second comme nous allons le démontrer; or, l'ét
s de deux mois en état second comme nous allons le démontrer; or, l'
état
second n'est autre chose qu'un état hystérique;
nous allons le démontrer; or, l'état second n'est autre chose qu'un
état
hystérique; enfin il a présenté des phénomènes
n en effet dans la dépression mélancolique mais il était de plus en
état
second. Dès l'arrivée, jusqu'au jour où, suiv
ti comme d'un rêve, P... était capable de nous ren- seigner sur son
état
présent, mais, de sa vie passée, il n'avait gar
l'interroge, mais il reste muet, que les questions portent sur son
état
présent ou qu'elles aient trait à sa vie antéri
de la mélancolie, comme celle présentée par P..., le malade est en
état
de ren- seigner aussi bien sur ses antécédents
en état de ren- seigner aussi bien sur ses antécédents que sur son
état
actuel. C'est là un premier fait, en voici un d
le souvenir de toute sa vie anté- rieure momentanément disparu. L'
état
de P...... pendant toute la période qui s'étend
s'étend du 8 décembre 1896 au 3 février 1897, n'était donc pas un
état
mélancolique, il ne saurait recevoir d'autre qual
ancolique, il ne saurait recevoir d'autre qualification que celle d'
état
second; pendant ces cinquante-sept jours en efl
être un jour, si pour une raison quelconque, P.... retombe dans son
état
second. L'activité intellectuelle du sujet es
ctivité intellectuelle du sujet est généralement plus grande dans l'
état
second que dans l'état prime; chez P..., il en
du sujet est généralement plus grande dans l'état second que dans l'
état
prime; chez P..., il en a été tout autrement, l
ond que dans l'état prime; chez P..., il en a été tout autrement, l'
état
second s'est accompagné de dépression mélancoli
pression mélancolique. Il est à remarquer que P... est entré dans l'
état
second, à HYSTÉRIE MALE. 1169 la faveur d'u
M. Gille» de la Tourette a émis, comme on sait, cette opinion que l'
état
second n'est qu'une attaque délirante prolongée
sont survenus seu- lement quinze jours après le début du mutisme (l'
état
mélan- colique avait alors complètement disparu
fin que ce troisième accès de mutisme s'est développé au cours de l'
état
second, et que malgré le retour à l'état prime,
développé au cours de l'état second, et que malgré le retour à l'
état
prime, il a persisté encore pendant quatre-vingt-
notre malade par un grand nombre de syndromes : amaurose, mutisme,
état
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
la membrane néoformée, parvenue dans le premier cas à la période d'
état
, dans le deuxième cas à la période initiale. D'
aitement médical amélioration puis aggravation progressive, mort en
état
de mal. Hémisphère gauche pesant 115 grammes de
les condamnations pour infractions nettement symptomatiques d'un
état
quelconque d'aliénation mentale et à faciliter la
futurs avocats ou magistrats instructeurs, de façon à les mettre en
état
de mieux reconnaître les cas dans lesquels un d
re. Si ce soi-di-ant indiscipliné est, par hasard, un cérébral, son
état
sera méconnu, car les fugues et les impulsions
sera méconnu, car les fugues et les impulsions des épileptiques, l'
état
second des hystériques, les actes extravagants
les corps de troupe, jamais je n'ai été appelé à me prononcer sur l'
état
men- tal d'individus traduits en conseil de gue
des conseils de guerre ou de discipline. On mettrait donc fin à cet
état
anormal, en construisant le barrage en question
édical appro- priés à leur situation physique et mentale et où leur
état
s'aggrave au lieu de s'améliorer. Leur place es
lle que les déhanchements automatiques deviennent spontanés, puis l'
état
de conscience venant à disparaître complètement
tant d'actes qui provoquent chez lui une manifestation bruyante, un
état
maniaque. C'est la forme qui prédomine habituel
ges l'out attéré, épouvanté, terrorisé, il reste immo- bile dans un
état
complet de stupeur. De ces trois formes stupide,
intervenaient, on le trouvait haletant, couvert de sueurs, dans un
état
d'affolement extrême, et pour lui procurer quelqu
ahier de rapport avec les divers renseignements des veilleurs sur l'
état
du malade la nuit, le sommeil, la température,
érées et chaque jour, presque tous les malades passent suivant leur
état
, de i à 4 heures en plein air dans les jardins.
raphique. M. Bérillon. Le dicrotisme apparaît sous l'influence de l'
état
hypnotique : si le pouls est fréquent, il baiss
hypnotique : si le pouls est fréquent, il baisse en fréquence. A l'
état
de veille, par exemple, si l'on voit le pouls à 1
· SOCIÉTÉS SAVANTES. 498 Délires systématisés secondaires ci un
état
neurasthénique ; ' par Lalanne. Méningite tub
nir. Pas de convulsions. Fonctions normales et régulières Excellent
état
général ; il pesait près de 7 kilogrammes à sa na
usions, il conviendrait de réserver le nom de maladie de Litile aux
états
paréto-spasmodiques survenant chez des enfants
itié gauche du corps était paralysée et fortement contracturée. Cet
état
comateux dura vingt-quatre heures ; le malade r
sacrée médiane gagnant rapidement en surface et en pro- fondeur. L'
état
général s'aggrave, coma, mort. Autopsie. La fac
érieur et inférieur gauches ; enfin le côté droit est le siège d'un
état
parétique analogue à celui qui avait atteint, q
ines rares, chargées de pus, diarrhée fétide. Au bout de deux mois,
état
général mauvais, escarre au niveau du sacrum, q
issements fréquents, diarrhée incessante. Cinq jours plus tard, cet
état
infectieux devient très accusé, subdélirium. L'
- nomènes infectieux s'accroissent, et la malade succombe dans un
état
comateux, trois mois et vingt et un jours après a
nt, dans les mêmes conditions, que dans l'écorce de sujets morts en
état
de mal épi- leptique. On serait tenté de leur a
nvestigation. L'au- teur poursuit par les recherches modernes sur l'
état
gastrique, l'urine, le sang des épileptiques av
blessure péné- trante du cerveau, par Mike. 232. Hémiplégie. De l'
état
facial supé- rieur et du moteur oculaire com-
rinaire - par Sépet, 486. Délire systéma- tisé secondaire dans un
état
. J)a ! LIlaill)e, 491. Neurone. Validité de
on livre intitulé Neurypnologr, James Braid définit l'hypnotisme « un
état
particulier du système nerveux délep-' miné par d
isme représente cliniquement un groupe naturel comprenant une série d'
états
nerveux différents les uns des autres» chacun d'e
tre la léthargie, la catalepsie et le somnambulisme hypnotique et les
états
de même nom appartenant à l'hystérie, il n'existe
Gilles de la Tourette que cette différence, à savoir que les premiers
états
sont provoqués, les autres spontanés. Or, la diff
' Jules Siuo.s, 1883. p. 19. (t) J. M. Charcot: Note sur les divers
états
nerveux déterminés par Vhypnotisation sur les hys
et de ses applications à la thérapeutique, 2* édition, 1888. les
états
dits hypnotiques peuvent apparaître spontanément
z les sujets hypnotisés peuvent se rencontrer sur des hystériques à l'
état
de veille et font éventuellement partie du cortèg
acun d'eux peut exister isolément chez des hystériques en dehors de l'
état
d'hypnose provoquée, n'est-on pas en droit de les
même enfin, pour MM. Gilles de la Tourelle et Cathelineau, les divers
états
hypnotiques se jugent par une formule clinique id
découverte antérieurement par les mêmes auteurs pour l'attaque et les
états
de mal hystérique. a Entre l'hypnose provoquée
s sont parfois tout comme les somnambules hystériques plongés dans un
état
psychique second. — L'influence thérapeutique de
qui, ou préexistent (dans la veille même), ou sont chez le malade à l'
état
latent. L'hypnotisme ne représente ici qu'un réac
ation en général considérable de la suggestibilité. En somme, c'est l'
état
d'automatisme qui est caractéristique de l'hypnos
t, explique tout, est leprimus moyens de tous les faits observés. L'
état
hypnotique n'est pas un état spécial, anormal, ar
s moyens de tous les faits observés. L'état hypnotique n'est pas un
état
spécial, anormal, artificiellement provoqué par l
saire pour obtenir les phénomènes dits hypnotiques ; ils existent à l'
état
de veille chez certains sujets. Tous les sujets,
réalisent aussi par affirmation simple ou entraînement suggestif à l'
état
de veille. La suggestion ne produit que rarement
ropriété physiologique du cerveau, la sugges-tïbilité. Il n'y a pas d'
état
spécial méritant le nom d'hypnotisme, il n'y a qu
t pense que les phénomènes dits hypnotiques ne sont pas fonction d'un
état
particulier de l'organisme artificiellement créé,
s aussi grandes que les suggcstibilités normales et pathologiques à l'
état
de veille. « Si, dit M. Crocq, l'hypnose n'est
a suggestibiîité, il faudrait croire que ceux seuls qui possèdent à l'
état
de veille une hypcrsuggestibilité très accentuée,
erexcitabilité neuro-musculaire vraie. Quoi qu'il en soit, depuis l'
état
de veille jusqu'à l'état hypnotique le plus compl
ulaire vraie. Quoi qu'il en soit, depuis l'état de veille jusqu'à l'
état
hypnotique le plus complet, depuis l'hypnose la p
tain moment se sont trouvésmultipliés par les divers observateurs les
états
décrits dans la sommation provoquée. Si nous av
up d'auteurs. Dans les cas où il nous a semblé mettre les sujets en
état
apparent de sommeil nous avons conservé de très g
t tels, il est réellement souvent bien difficile de savoir où finit l'
état
de veille, où commence le sommeil. Braid consid
, mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est plongé dans le même
état
. Et de fait, l'oubli au réveil a été considéré pa
été considéré par beaucoup d'auteurs comme le signe fondamental de l'
état
hypnotique. M. Bérillon a fait justement remarq
érales sur l'hyjmotisme. G. R. Soc. Biologie, 15 décembre 1883. — Les
états
mixtes de l'hypnotisme. Revue scientifique, 12 ju
Revue scientifique, 12 juin 1886. précise la limite qui sépare l'
état
normal de l'état hypnotique, c'est celui qui a ét
ue, 12 juin 1886. précise la limite qui sépare l'état normal de l'
état
hypnotique, c'est celui qui a été désigné sous le
l'a dit justement M. Barth, que les manifestations d'un seul et même
état
morbide, la diathèse nerveuse (3). Si nous igno
re de cette débilité fonctionnelle du système nerveux qui constitue l'
état
névropathique, nous ne la voyons pas moins, trans
ceux de sa famille, on découvre toujours la même tache originelle, l'
état
névropathique et c'est encore ce même état qui ex
a même tache originelle, l'état névropathique et c'est encore ce même
état
qui existe plus ou moins latent chez les sujets i
avec raison que chacun des organes de la vie de relation peut être en
état
de sommeil pendant que d'autres organes du même o
il général, dit-il, est l'ensemble des sommeils particuliers. » Les
états
de conscience que l'on comprend sous le nom d'hyp
stérie (strangulation, envie de pleurer, émo-tivité très grande). Cet
état
durait depuis deux mois, époque h laquelle cette
es sur un seul œil ne peuvent en aucune façon permettre de préjuger l'
état
de la sensibilité de l'autre œil, qui peut être n
En dépit des douches, du bromure, du chloral et du régime lacté, son
état
, loin de s'améliorer, se perpétue et même s'aggra
n motrice, l'intcllectualité est touchée. M"' Y. G. se trouve dans un
état
spécial d'obnubilation ; son cervenu, dit-elle au
ourd'hui, était comme endormi ; peut-ôtre s'est-il agi d'une espèce d'
état
second pendant lequel c elle avait tout à fait l'
fois, le 2 août 1883, et voici, de mémoire, quel était à peu près son
état
. Etat cataleptique très manifeste, raideur muscul
gardés. Il y a aussi des urines involontaires en petite quantité. Cet
état
de vie végétative persiste jusqu'au '25 décembre,
re sa classe après les vacances de Pâques. Elle en est empêchée par l'
état
de ses forces et envoie sa démission pour raison
ur, d'une attaque d'hystérie convulsive qui la fait retomber dans son
état
primitif avec aphasie, akinésie, état hypnotique,
e qui la fait retomber dans son état primitif avec aphasie, akinésie,
état
hypnotique, etc. Sur mes conseils, Emilie L....en
re dans mes salles, à l'hospice de II., le 10 mars 1885. Cette fois l'
état
hypnotique cesse après 60 jours ; l'amaigrissemen
nos enfants, et les générations qui les suivront restent dans le même
état
mental? Trouvons-nous, au contraire, que celte or
ans une situation d'engourdissement et d'ignorance les mettant hors d'
état
de penser par eux-mêmes; et, sous prétexte d'inst
ependant, l'appétit et les fonctions digestives se maintinrent en bon
état
. Les pupilles étaient dilatées; elles réagissaien
lules et les fibres nerveuses, ainsi que lanévroglio, étalent dans un
état
d'intégrité relative. L'ensemble du processus rap
ssaire sans laquelle je n'entreprends pas le traitement hypnotique. L'
état
des malades avant le traitement était très souven
la dépression, des idées gaies aux] idées tristes et désespérées. Ces
états
d'excitation cl de dépres-^ sion se développent d
ent en pareil cas que les prefl niïères gorgées d'alcool bues dans un
état
de dépression | font disparaître cette dernière,
tueuses, les j recherchent consciemment comme un soulagement de leur
état
j dépressif, loin de penser qu'ils deviennent peu
a assez souvent chez des malades atteints de. la folie circulaire, en
état
maniaque. Quelquefois l'abus de l'alcool dissimul
on favorable de la suggestion hypnotique se manifeste même dans l'
état
d'empoisonnement aigu par l'alcool où les narcoti
é en général de la manière suivante a On hypnotise le malade dans l'
état
où il se trouve. 11 est préférable cependant qu'i
jour suivant, l'hypnôjl tisation se répèle avec la même suggestion. L'
état
du malade-s'améliore habituellement après deux su
oyens d'action sont d'inégale valeur. La suggestion directe pendant l'
état
do veille et la suggestion (I) Traduction d'un
En effet, l'individu que l'on vient d'hypnotiser est plongé dans l'
état
àlypotaxie, selon l'expression de Durand de Gros
spection. Rappelons-nous cette vérité ; psychologique, à savoir que l'
état
d'hypotaxie est réalisé le plus aisément par le m
rogressivement accrue; la sensation auditive persiste donc comme un c
état
fort » ; de plus en plus vivace, elle devient pré
sychique est, pour ainsi dire, vide de tout contenu ; elle réalise un
état
très favorable de docilité, de malléabilité, de r
ue cas particulier. Mais, est-on jamais certain d'avoir réalisé cet
état
de réceptivité ? A quel moment en est-on averti ?
ant, faute do pouvoir les suggestionner. Or, si un aliéné, pris à l'
état
de veille, se montre ouvertement hostile à toute
différents. Prenons des exemples. Imitation. — Certains sujets en
état
de fascination ou de somnambulisme, imitent servi
matiques, nombreux chez le sujet normal, sont également fréquents à l'
état
hypnotique. Les somnambules exécutent des actes
ent ces dernières suggestionneront l'entourage. Le médium est dans un
état
hypnotique qui rappelle celui du somnambule. Chez
sculait les gens et s'attirait des ennuis. La suggestion améliora son
état
sans le guérir. Le jeune violoniste Kun Arpad
Cette jambe gauche présente un raccourcissement très net; elle est on
état
permanent de contracture et le malade marche tout
ans qui parait jouir de toute son intelligence et ne présenter aucun
état
délirant quelconque. D'autre part, sa sensibilité
et gestes ; elle se ment avec la plus grande facilité et est dans un
état
romanesque permanent. Deviendra-t-ellc une hyst
ic de phlegmon, môme chronique, car celui-ci ne va pas sans toucher l'
état
général. Néanmoins ce faux diagnostic de phlegmon
où l'on ne ramasse par les rues de trois à quatre cents personnes en
état
d'ivresse cocaînique complète. Tous prisent avec
quet, M. Jules Bois a soumis aux assistants un projet d'enquête sur l'
état
actuel des études psychologiques. A ce sujet une
de jardi n — il est extrêmement diffìcile d'examiner les animaux à l'
état
de liberté et de les suivre dans leurs pérégrinat
antérieurement dans le sommeil hypnotique suffit pour neutraliser les
états
d'anxiété, comme si le malade se trouvait en prés
ur répondre à cette question, il me faut préalablement vous exposer l'
état
de la législation régissant actuellement l'hypnot
ter à ces expériences, et que, par conséquent, nous ne saurions faire
état
du consentement donné par le sujet? Je répondrai
à mon avis, de l'acte consenti par un hypnotisé, car l'hypnose est un
état
de folie momentanée. Malheureusement la théorie d
e donation, soit pendant le sommeil hypnotique, avec l'apparence de l'
état
de veille, soit par suggestion post-hypnotique, a
tion post-hypnotique, au réveil, soit enfin par simple suggestion à l'
état
de veille, et cela, sans que le sujet eût cessé d
té donnée en présence d'un notaire, et même si le sujet avait agi à l'
état
de veille. Il suffirait à mon avis de démontrer q
a servi, soit du sommeil hypnotique, soit de la simple suggestion à l'
état
de veille, que comme adjuvants de ses raisonnemen
le, surtout quand l'opérateur aura provoqué le sommeil, car, dans cet
état
, les raisonnements équivalent en général a des or
st formel : « 11 n'y a ni crime ni délit, lorsque le prévenu était en
état
de démence au temps de l'action, ou lorsqu'il a é
médité?.. ......« Si l'acte n'est pas en conformité parfaite avec l'
état
moral qui est habituel au sujet, sa sanction pé
coercition augmente la disposition des troubles mentaux à passer à l'
état
chronique. L'emploi de moyens de coercition dan
ens moral. Il est évident, dans ces cas-là, que l'on devra utiliser l'
état
d'hypnotisme non seulement pour procéder à la réé
On ne saurait s'imaginer à quel point la provocation préalable de l'
état
d'hypnose augmente la puissance de la suggestion.
guérison est la règle. Sans l'hypnotisme, la suggestion pratiquée à l'
état
de veille ne donne que des insuccès. C'est pourqu
e qui joue le rôle prépondérant dans la guérison de l'onanisme et des
états
mentaux qui s'y rattachent. La durée du traitem
Deux ans n'étaient pas encore accomplis, « que je me trouvai en tel
état
, qu'encore que mes souffrances ne fus-« sent pas
e l'arrachait avec des « ongles de for : et il me mettait dans un tel
état
que l'on appréhendait « que l'excès d'une douleur
tait toute déchirée à force de l'avoir mordue, et mon « gosier en tel
état
, tant pour mon extrême faiblesse qu'à cause que j
ectant attention » et de légers massages, la main était revenue à son
état
normal. La gué-rison persista le lendemain et les
nt d'un trouble d'idéation. En guérissant ce trouble, on supprimait l'
état
organique-Dans ces deux observations, comme dans
c vaso-constriction périphérique (leurs plaies ne saignent pas', de l'
état
cataleptique, des convulsions. Les marabouts save
es musicales autant de temps que ses camarades, et la mettent dans un
état
d'infériorité évidente pour le concours. Deux m
evant créer un rôle dans une œuvre nouvelle. Elle se trouvait dans un
état
de surexcitation nerveuse développée par le trava
en elle-même, elle n'était plus sûre de sa voix ni de sa mémoire. Son
état
était tel qu'il y avait sérieusement à craindre p
notique; je pus d'emblée l'endormir profondément et la placer dans un
état
de somnambulisme du second degré, c'est-à-dire bi
eu de jours, à la grande satisfaction de son directeur, elle était en
état
déjouer et le faisait d'une façon très brillante.
arrivée permettent tout au moins l'hypothèse sinon l'affirmation d'un
état
éclamptique. Aussi me suis-je cru autorisé à vo
me des mois. L'hystérique se comporte alors comme s'il était dans son
état
normal ; personne ne se doute qu'il fait une fugu
retrouve la mémoire de certains faits dont il n'a pas conscience à l'
état
normal. Il se rappelle, par exemple, qu'un jour i
de Port-Royal, Anne-Geneviève de Bourbon, duchesse de Longueville.
état
géxéral. — Henriette-Marie d'Angennes du Fargis n
ne se fit pas attendre : « Lorsqu'elle fut en âge de faire choix d'un
état
de vie, elle forma la résolution d'être Religieus
evenue inabordable et que j'en suis réduit à tenter la suggestion à l'
état
de veille qui devient illusoire et d'ailleurs aus
quelle il est endormi assez facilement par le regard et la parole, en
état
de somnambulisme (anesthésie. etc.) Je lui suggèr
de le répéter, étant donné le bien énorme qui pourrait résulter d'un
état
de chose différent. Nous ajouterons que les méd
vosité est comparable à la nôtre, et que nous retrouvons chez eux des
états
pathologiques analogues, aux nôtres, tout aussi b
t l'animal atteint de troubles aussi graves que ceux provoqués par un
état
hystérique, est inutilisable et rapidement sacrif
liénation mentale sont multiples; mais le plus souvent c'est d'un
état
pathologique de l'appareil digestif (estomac, int
ux premiers jours du mois de janvier 1885. A partir de ce moment, son
état
s'aggrava. La sitophobie devint presque continue,
uicide, mais refus complet d'aliment, délire vague et insomnie. Son
état
est resté pendant quatre années et demie à peu pr
core longtemps. Dans les deux cas, la sitophobie ne dérive pas d'un
état
morbide de l'appareil digestif, car alors la dénu
ener sinon la guérison totale, au moins une amélioration notable de l'
état
mental. Mais lorsque la maladie dure depuis quelq
e l'état mental. Mais lorsque la maladie dure depuis quelque temps, l'
état
général de l'organisme peut s'améliorer sans qu'i
nisme peut s'améliorer sans qu'il en résulte aucune modification de l'
état
psychique. Dans le premier cas, la mort a été c
i, presque cinq ans et probablement restera encore longtemps dans cet
état
. Cette différence de réaction dé l'organisme à la
lamait que jamais personne ne pourrait l'endormir. Pour obtenir cet
état
particulier chez son fils, M. D. le conduisit che
'opération. Alors seulement il me parut se réveiller et revenir à son
état
normal. Cette observation est intéressante à de
s deux théories paraissent également insuffisantes pour expliquer cet
état
morbide. ha théorie intellectuelle néglige pres
l'obsession, appartient aux troubles de la volonté. Si l'on étudie l'
état
des obsédés, en dehors de leurs crises angoissant
mais avec moins de violence » ('). Elle était dès lors « dans un tel
état
, que son père eût eu assez de peine à trouver un
it... beaucoup, et elle devint vers le mois de juin (10GO, 17 ans) en
état
qu'elle... ne pouvoit plus descendre pour communi
» « Je lui dis, dit Angélique, que j'avais désiré qu'elle la vît en l'
état
où elle était, parce qu'il est utile aux enfants
s » p). • Toutefois «Dieu l'éprouva les six dernières semaines par un
état
intérieur tout-à-fait pénible » (s). En effet, «
nous insistions sur l'utilité de faire exécuter au malade, pendant l'
état
d'hypnose, des exercices de gymnastique réguliers
a production du sommeil. En un mot, il faut obtenir l'apparition d'un
état
d'automatisme accentué dont l'utilisation sera fa
es actions qui se montrent impuissantes Iorsquelles sont exercées à l'
état
de veille, deviennent d'une (1) Bérillon.— Acti
cacité remarquable, lorsqu'elles le sont chez le malade plongé dans l'
état
d'hypnotisme. Le monoidéisme qui caractérise l'
e plongé dans l'état d'hypnotisme. Le monoidéisme qui caractérise l'
état
psychique de l'hypnotisé pourrait suffire à donne
rapeuti-quement. Le sujet atteint de choréc ou de tics étant dans l'
état
d'hypnotisme, l'action mécanique consistera essen
imprimera, au commandement, des mouvements réguliers bien rythmés. L'
état
de passivité du sujet, développé par la productio
le représentation virtuelle. Il en résulte l'apparition d'un nouvel
état
de conscience en rapport avec le besoin du sujet
pper des centres d'arrêt auront été faits à plusieurs reprises dans l'
état
d'hypnose, ils pourront être exécutés alternative
s l'état d'hypnose, ils pourront être exécutés alternativement dans l'
état
d'hypnose et à l'état de veille. Ensuite, ils n
s pourront être exécutés alternativement dans l'état d'hypnose et à l'
état
de veille. Ensuite, ils ne le seront plus qu'à
ypnose et à l'état de veille. Ensuite, ils ne le seront plus qu'à l'
état
de veille. C'est ainsi que l'automatisme du début
C'est ainsi que l'automatisme du début fait progressivement place à l'
état
conscient. Dans certains cas les résultats du t
en une seule séance, après l'exécution de mouvements passifs dans l'
état
d'hypnose ('). Le but de cette. communication e
z des chattes et chez des vaches; (1) Les mouvements passifs dans l'
état
d'hypnose peuvent porter mieux sur les muscles de
, nous avons, en une ou plusieurs séances, obtenu la gué-rîson de ces
états
pénibles en exécutant tes tractions rythmées de l
venues. II avait donc suffi d'enlever « par une simple suggestion à l'
état
de veille l'obsession qui jouait le « rôle d'arrê
es sangsues, le repos au lit, ainsi qu'un traitement médicamenteux. L'
état
aigu ne tarde point à s'améliorer : la malade peu
les vomissements ne sont point supprimés pour cela ; ils passent à l'
état
chronique. Cependant, au bout de deux .mois, ils
issement, est, à chaque repas, suscité dans l'esprit de la malade à l'
état
de représentation obsédante ;... et, par cela môm
scrupuleuse qui, à force de faire vibrer son émotivité l'a amenée à l'
état
d'équilibre instable. Chez l'homme de tout à l'
e rêve une source précieuse de renseignements non seulement sur notre
état
psychologique, mais aussi sur notre état physiolo
ents non seulement sur notre état psychologique, mais aussi sur notre
état
physiolo- . CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Les
ement la pathologie nerveuse qui est la plus intéressée à connaître l'
état
du rêve ; mais la pathologie générale ne doit pas
ologie de Paris. (1 novembre 1901.) nette de ce qui distingue cet
état
névropathique, ce qui revient à dire qu'il doit a
'ils ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'
état
mental des malades qui en sont atteints. Mais e
qui ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'
état
mental des malades ; la neurasthénie peut durer d
même de la maladie du doute, qui n'apporte aucune perturbation dans l'
état
général et n'affaiblit pas les facultés intellect
repos qui lui est indispensable et l'on accélère ainsi le retour à l'
état
normal. En réalité, la psychothérapie a rendu ser
En résumé, voici la définition que je propose :¦ ? hystérie est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve capable
définir l'hypnotisme de la manière suivante : .L'hypnotisme est un
état
psychique rendant te sujet qui s'y trouve suscept
actement semblablesàcelles de l'hypnotisme. Ce qui distingue ces deux
états
c'est que dans le premier les troubles sont le ré
le d'exagérer par suggestion les réflexes tendineux et de ramener à l'
état
normal, par la persuasion, des réflexes tendineux
ssable », le néologisme « pithiatisme • pourrait fort bien désigner l'
état
psyclnr[uc qui se manifeste par des troubles guér
oge de Port-Royal. Observation IV, — MàGdelaine-Claude BAUDRAND
état
général. — Magdelaine-Claude Baudrand, peut-être
de ladite tumeur, enflure et dureté, son ventre étant rétabli en son
état
naturel » De plus elle « avoit la voix fort cla
ssesse assez avancée. Par places, il y avait comme de la submatité. L'
état
général est du reste excellent. Dans la journée,
scussion M. Jules Voisin- — L'onanisme se rencontre fréquemment à l'
état
périodique chez les idiots et les imbéciles. Le c
t chez une personne intelligente. Le rapprochement qu'il fait entre l'
état
mental de la malade et celui d'une dipsomane est
ellement intermittente et paroxystique. La malade a conscience de son
état
, mais elle ne peut faire autrement. Elle se sent
it, toutefois, est à noter : pendant qu'elle me parle et m'expose son
état
, son ptyalisme est comme suspendu ; elle a craché
d'heure qu'a duré notre entrelien. Sans méconnaître le très mauvais
état
de son tube digestif, je ne puis tout de même pas
antiputrides, antiseptiques, absorbants, laxatifs, lavements, etc.) L'
état
du tube digestif n'est redevenu normal qu'après p
t demie, M. le Dr Paul Joire, de Lille, fera une conférence sur : Les
états
tnédiumniques de l'hypnose.—Etats hypnotiques pro
'utiliser les certitudes acquises en les appliquant au traitement des
états
morbides de la volonté, de la conscience, de l'in
érimentation, suivant la méthode de Claude Bernard, il comprend que l'
état
de maladie n'est qu'une déviation de l'état physi
ernard, il comprend que l'état de maladie n'est qu'une déviation de l'
état
physiologique, et il inscrit au fronton de son éd
d légèrement modifiée par M. Richer L'hypnotisme est l'ensemble des
états
particuliers du système nerveux déterminé par des
on peut provoquer à l'aide de manœuvres artificielles sans modifier l'
état
général primitivement obtenu. Tout spécialement
influence de la cause la plus minime, sans raison apparente même, les
états
obtenus peuvent se modifier subitement et se tran
la nécessité de différencier nettement les uns des autres ces divers
états
et il n'est que juste de dire que sa classificati
es sujets hypnotisés ne répondent pas, dit Charcot, à un seul et même
état
nerveux. L'hypnotisme représente cliniquement u
isme représente cliniquement un groupe naturel comprenant une série d'
états
nerveux, différents les uns des autres, chacu
ar une symptomatologie qui lui appartient en propre. Ces différents
états
, dont l'ensemble représente toute la symptomatolo
l'hypnotisme, peuvent se ramener à trois types fondamentaux : i° L'
état
cataleptique; 2° L'état léthargique ; 3° L'ét
ramener à trois types fondamentaux : i° L'état cataleptique; 2° L'
état
léthargique ; 3° L'état somnambulique. Chacun
amentaux : i° L'état cataleptique; 2° L'état léthargique ; 3° L'
état
somnambulique. Chacun de ces états jouit d'une
2° L'état léthargique ; 3° L'état somnambulique. Chacun de ces
états
jouit d'une autonomie réelle en ce sens qu'ils pe
affection. Rappelons très sommairement les caractères de ces divers
états
: ift Etat cataleptique. — Le sujet cataleptiqu
ns variées. 2° Etat léthargique. — L'hystérique en léthargie est en
état
de résolution générale de tous ses muscles. Les m
° Etat somnambulique. — Ici l'hyperexcitabilité neuro-musculaire de l'
état
léthargique n'existe plus, mais il est possible d
ne la vie ordinaire d'un chacun, on peut formuler cette loi qu'à tout
état
psychologique (c'est-à-dire intellectuel, mental,
oup d'hypothèses possèdent ces caractères et restent indéfiniment à l'
état
d'hypothèses, à moins qu'elles ne soient, un jour
qui pratiquent ces sortes d'expériences ne sont pas tous dans le même
état
psychologique. Au début, ils exercent, pour ainsi
ui se soumirent à cette règle. Mais alors, qui nous dirait jamais les
états
d'âme des infortunées créatures devenues les suje
t demie, M. le Dr Paul Joire, de Lille, fera une conférence sur : Les
états
médiumniques de Vhypnose. —Etats hypnotiques prof
lui, dans son cerveau, elle prend ses racines vraies surtout dans les
états
passifs dont le sommeil et les rêves sont le terr
ans le monde de l'Inconnu. Les croyances religieuses, nées dans les
états
passifs de la vie, me paraissent devoir se transf
caractère commun de ne pas faire partie de l'enchaînement ordinaire d'
états
de conscience que nous identifions avec notre moi
rêve jusqu'à l'écriture automatique, depuis l'hallucination jusqu'à l'
état
de trance, le champ est vaste. Personne ne l'a
est obtenu sans engourdir ou disloquer le système nerveux général. L'
état
de trance n'est même plus nécessaire. Soit qu'on
n'est même plus nécessaire. Soit qu'on se serve de la suggestion à l'
état
de veille, soit qu'on se serve de la suggestion p
ions du pouvoir ordinaire que certaines personnes peuvent exercer à l'
état
de veille; 2° Les effets non spécialisés de l'é
isoiabiiitê de ce phénomène qui ordinairement indique si exactement l'
état
de l'organisme entier. Ici, M. Myers reproduit
re, a-t-on dit, est une hystérie de culture. La description des trois
états
est une création purement artificielle, résultant
qui, ou préexistent (dans la veille même) ou sont chez le malade à l'
état
latent. L'hypnotisme ne représenterait donc qu'un
s déjà, ce que pouvait avoir d'un peu absolu la description des trois
états
envisagés isolément et je me suis efforcé de mett
es et les fonctions persistantes ou excitées. D'ailleurs, outre les
états
qu'on a appelés francs (somnambulisme, catalepsie
phénomènes qui caractérisent les divers degrés de la sommation. Ces
états
mixtes ne sont que des phases intermédiaires, des
es traits d'union entre les périodes franches et, en somme, tous, les
états
différents décrits dans l'hypnose ne "sont que de
re envisagé comme un processus essentiellement progressif et depuis l'
état
de veille jusqu'à la léthargie qui nous semble êt
ne même excitation suffisamment prolongée, faire passer le sujet de l'
état
de -veille à l'état somnambulique, puis insensibl
uffisamment prolongée, faire passer le sujet de l'état de -veille à l'
état
somnambulique, puis insensiblement à l'état catal
de l'état de -veille à l'état somnambulique, puis insensiblement à l'
état
cataleptique et enfin à l'état léthargique. Dan
somnambulique, puis insensiblement à l'état cataleptique et enfin à l'
état
léthargique. Dans une série de communications f
de biologie en 1883, M. Brémaud (de Brest), attira l'attention sur un
état
spécial, l'état de fascination qui, pour lui, rep
883, M. Brémaud (de Brest), attira l'attention sur un état spécial, l'
état
de fascination qui, pour lui, représentait pour a
ibilité trop grande des sujets les avait fait tomber de suite dans un
état
plus profond du sommeil provoqué. Et même chez
riences étant multipliées, l'impressionnabilité du sujet croissant, l'
état
de fascination disparaissait ; l'état établi d'em
nnabilité du sujet croissant, l'état de fascination disparaissait ; l'
état
établi d'emblée était la catalepsie. Chez les s
r les diverses malades soumises à l'hypnotisation dépendent soit do l'
état
du sujet avant l'expérience, soit des moyens empl
vertex suffisamment prolongée, je pouvais faire passer mon sujet de l'
état
de veille à l'état som-nambulique, puis du somnam
prolongée, je pouvais faire passer mon sujet de l'état de veille à l'
état
som-nambulique, puis du somnambulisme en cataleps
sur l'hystérie, le professeur Pitres ne distingue pas moins de douze
états
dérivés du somnambulisme, de la catalepsie et de
observateurs de Nancy. Le fait de cette multiplication possible des
états
de l'hypnose est particulièrement évident, précis
lus long, le sujet deviendra cataleptique. Mais ce passage du premier
état
dans le second ne se fera pas brusquement et tout
à supprimer l'action hypnogénique, on pourra laisser le sujet dans un
état
, arrêter le malade pour ainsi dire à un degré qui
lisme franc, qui ne sera pas encore la catalepsie vraie, mais bien un
état
mixte qui présentera mélangés et réunis les phéno
tre multiple à l'infini au gré de l'expérimentateur. En haut serait l'
état
de veille, en bas la léthargie ; aux principaux é
alepsie, chaque marche représentant pour ainsi dire un degré dans les
états
intermédiaires. Certains sujets, rares il est vra
dans les états intermédiaires. Certains sujets, rares il est vrai, en
état
parfait d'équilibre physique et psychique, ne s'y
plus bas mais resteront encore cantonnés dans les degrés supérieurs (
états
de fascination, de somnambulisme léger, etc.) Les
sion-nabilité, leur moindre degré de résistance à la suggestion, leur
état
de névrosisme plus ou moins prononcé. Et dans cet
fait jusqu'alors. Il y avait plusieurs mois qu'elle était dans cet
état
, lorsqu'elle vit notre collègue le Dp Manfroni, v
e a des insomnies rebelles pendant lesquelles elle se lamente sur son
état
et entretient son émoti-vité. Elle n'ose môme plu
. Aussi étant donné ce qu'a présenté cette femme depuis deux ans, son
état
mental et son hyperesthésie psychique actuelle, j
st incomplète au point de vue scientifique puisqu'elle caractérise un
état
où la grossesse n'existe pas. Il en est de même d
une et l'autre, après le neuvième mois, tout est revenu peu à peu à l'
état
normal. L'imagination a donc eu chez ces deux f
ue la disparition des phénomènes anormaux ont bien correspondu à deux
états
psychiques opposés, celui de l'illusion et celui
s le premier cas, de deux dans le second. Une habile suggestion à l'
état
de veille, fit presqu'aussitôt reparaître les règ
it aucune douleur. Dès la première visite, nous la plongeons dans l'
état
d'hypnose par fixation des yeux et suggestion du
che soulevé reste encatalepsie. Le membre droit retombe lourdement en
état
de léthargie. Après le réveil, qui n'est obtenu q
'acte de souffler avec insistance sur les yeux, la malade revient à l'
état
antérieur. Ainsi la même cause, (fixation des y
Ainsi la même cause, (fixation des yeux et suggestion) a provoqué un
état
d'hypnotisme différent pour chaque côté du corps,
ns aucune intention de l'expérimentateur, provoquer l'apparition d'un
état
d'hypnotisme "de degré différent, pour chaque côt
détruisent certaines légendes admises depuis toujours et passées à l'
état
d'axiomes qu'on ne discute et ne vérifie plus ; l
e point de départ primitif, en n'employant plus que la suggestion à l'
état
de veille, ou plus exactement à l'état de conscie
ant plus que la suggestion à l'état de veille, ou plus exactement à l'
état
de conscience parfaite. Ce procédé présente un av
• A l'appui de notre théorie sur l'influence -de la suggestion à l'
état
de veille, il nous parait intéressant de reprodui
les ne s'appliqueront qu'à certains cas. 2° lleidenham attribuait l'
état
hypnotique à une inhibition de l'action des cellu
forment un département dans un vaste royaume de communications entre
état
et état, entre conscience et conscience, entre pe
un département dans un vaste royaume de communications entre état et
état
, entre conscience et conscience, entre personnali
vidu normal les deux consciences ne sont presque pas dissociables à l'
état
de veille et souvent le sommeil artificiel hypnot
dre sous forme de communication. Vous avez vu sur cette malade deux
états
de l'hypnose, différents pour chaque côté du corp
périphériques les plus diverses peuvent, chezl'hystéro-épileptiquc en
état
d'opportunité, déterminer la production des phéno
'ils accompagnent pas à pas dans toutes ses phases, en rapport avec l'
état
des centres encéphaliques. Aussi l'examen de la
é primitivementsensible;lec6té anesthésique reste, au contraire, en l'
état
. Il y a hypnose unilatérale. Remarquons cependa
nérale que spéciale des deux côtés du corps. Dans ces conditions, les
états
somnambulique, cataleptique, léthargique peuvent
orsqu'elle n'occupait qu'une des moitiés du sujet. Dans le cas où l'
état
de la sensibilité est différent pour chaque côté
offrent, pour chacun de ces côtés, un développement en rapport avec l'
état
de la sensibilité. II se produit alors, le plus g
at de la sensibilité. II se produit alors, le plus généralement, deux
états
différents et simultanés sous l'influence de la m
lité est la plus marquée avant l'expérience, se trouve placée dans un
état
plus profond, plus complet, dans un degré plus av
sme, l'intensité des phénomènes qui les caractérisent dépendent de' l'
état
de la sensibilité (générale et spéciale). Elles l
spéciale). Elles lui sont en quelque sorte proportionnelles. Mais l'
état
de la sensibilité ne fait que traduire au dehors
les. Mais l'état de la sensibilité ne fait que traduire au dehors l'
état
de fonctionnement des hémisphères cérébraux. On p
du sujet avant l'expérience, on peut, presqu'à coup sûr, juger de son
état
d'après le degré et l'intensité des phénomènes ob
, quel qu'il soit, qui soit capable de ramener ces deux fonctions à l'
état
normal. » Tout métaphorique que soit parfois le
hériques, à la fois sensitifs et vaso-moteurs, avec modification de l'
état
mental. Toutes les fois que, pour une cause ou po
à la malade : « Qu'avez-vous donc ? Vous ne paraissez pas dans votre
état
normal ! — Mais, je n'ai rien, rien du tout...
j'avais peur, si je revenais vous voir, de me retrouver dans le même
état
et surtout d'être obligée de vous demander les ca
est quelquefois regrettable. Le sujet ne connaît point la cause de l'
état
spécial dans lequel l'a mis la suggestion ; il se
s corps. Vers la même époque, le baron de Reichembach affirma que l'
état
somnambulique n'était pas nécessaire pour détermi
vé. Les deux sujets se trouveraient alors respectivement dans le même
état
psychique et éprouveraient simultanémentla même s
la même sensation. Cherchons la cause de l'antévision dans d'autres
états
cérébraux définis. Est-ce purement un effet de
' Enfin ce qui distingue essentiellement l'antévision de ces divers
états
, c'est que l'image réelle suit toujours, à courte
ortement contestée, n'aurait été observée que chez certains sujets en
état
d'hypnose. D'ailleurs, dans l'antévision, le phén
ner le cerveau de l'antévoyant, qui se trouverait a ce moment dans un
état
favorable, et y réveillerait une image déjk reçue
de réceptivité nous échappe comme, du reste, celle de la plupart des
états
psychiques anormaux et transitoires dont la const
le couloir et y tombe la face contre terre ; son mari est dans un
état
comateux. La grille de la cheminée, que l'on remp
revient rapidement à elle. Le mari reste pendant quatre jours dans un
état
semi-comateux. Au bout de quatre jours, il commen
conscience de lui-même, mais non pas de la situation; il conserve son
état
d'hébétude et de torpeur intellectuelle; sa mémoi
qués au coin d'une autre personnalité; ils sont la manifestation d'un
état
second. Notre homme, jusque-là intelligentetactif
e déraisonne pas, mais a seulement de la torpeur intellectuelle ; son
état
ressemble à ceux que-produit le choc cérébal. C
ressemble à ceux que-produit le choc cérébal. C'est précisément cet
état
de torpeur intellectuelle qui en a imposé aux méd
e chronique, non pas le délire de persécution proprement dit, mais un
état
délirant avec accès de mélancolie, chez des sujet
lication intempestive à la phlébite ; l'électricité ne mettra plus en
état
de contracture les membres de certains paraplégiq
l. . La technique de l'hypnotisme. —Les procédés pour provoquer les
états
profonds de l'hypnose. Lundi 28 Avril, . La sug
Phénomènes rèactionnels marquant la transition de Vétat de veille à l'
état
d'hypnose. Prennent part à la discussion : MM. Pa
ditions nécessaires à la pratique de l'auto-suggestion. Le meilleur
état
pour pratiquer l'auto-suggestion est la somnolenc
suggestion de s'endormir et se réveiller de nouveau, pour fixer l'
état
de somnolence le plus voisin du sommeil. 2° S'e
e caractère et la volonté Les phénomènes réactionnels du début de l'
état
d'hypnose. Par le Dr Bébillon. Chez un assez
Bébillon. Chez un assez grand nombre de personnes, le passage de l'
état
de veille à l'état de sommeil normal, de même que
n assez grand nombre de personnes, le passage de l'état de veille à l'
état
de sommeil normal, de même que le retour à l'état
'état de veille à l'état de sommeil normal, de même que le retour à l'
état
de veille après le sommeil, s'accompagne de phéno
lit. L'apparition de ces phénomènes marque une limite entre les deux
états
si différents de veille et du sommeil. Quand il
déterminer souvent d'une façon précise la limite qui sépare les deux
états
et connaître le moment où s'effectue le passage d
e les deux états et connaître le moment où s'effectue le passage de l'
état
de veille à l'état de sommeil. M. le Dr Liébeau
connaître le moment où s'effectue le passage de l'état de veille à l'
état
de sommeil. M. le Dr Liébeault, auquel on doit
nes avant-coureurs et leur cessation brusque marque l'apparition de l'
état
de résolution. M. Liébeault donnait de ces fait
serions plus disposés à les considérer comme sous la dépendance d'un
état
émotif et liés à l'existence d'un état d'hystérie
comme sous la dépendance d'un état émotif et liés à l'existence d'un
état
d'hystérie plus ou moins accentué. Ce qui me conf
met de pronostiquer que le sujet ne tardera pas à être plongé dans un
état
profond de l'hypnose. Discussion. M. Paul Mag
ecin compétent en la matière. D'ailleurs, comme l'hystérie est un des
états
qui sont le plus justiciables du traitement de l'
e, on constate ces mouvements réflexes. Réflexes généraux pendant l'
état
d'hypnose Par M. le docteur Corisin La malade d
lade certains phénomènes réactionnels qui marquent la transition de l'
état
de veille à l'état d'hypnose et qui, en règle gén
mènes réactionnels qui marquent la transition de l'état de veille à l'
état
d'hypnose et qui, en règle générale, ne se produi
es phénomènes réactionnels et émotionnels marquant la transition de l'
état
de veille à l'état d'hypnose que nous avons pu ob
ionnels et émotionnels marquant la transition de l'état de veille à l'
état
d'hypnose que nous avons pu observer chez elle mi
e est retombée depuis deux mois. Les conditions dans lesquelles son
état
s'est constitué sont intéressantes. Son père étai
et lui raconte ses peines. Dès les premières manifestations de cet
état
, à 20 ans, elle est soignée à Bordeaux par m. Pit
après ces malheurs, des peines morales; il a fallu qu'elle acquit un
état
spécial de sugges-tibilité. Il y a des distrait
faut un rétrécissement de la mentalité. Pour qu'un sujet arrive à un
état
tel que celui de cette jeune femme, il faut que l
Cela l'effraya et elle rapporta ces phénomènes anormaux à un mauvais
état
de ses yeux, comme jadis elle avait été amenée à
s nous. Elle ne présente aucun stigmate d'hystérie ; elle n'a pas l'
état
mental de l'hystérie ; on l'a endormie jadis, mai
dis, on lui a enlevé son utérus ; j'ai connu un homme de 30 ans, avec
état
mental semblable au sien et à qui on u coupé succ
art, elle est intelligente, on lui expliquera quel est exactement son
état
et comment lui sont venues ses douleurs et elle g
hypnotisme, ù mon sens, est une science qui s'applique à l'étude d'un
état
particulier des êtres vivants, dont le système ne
nt de troubles de l'organisme (menstruation, intoxications). Dans cet
état
, la volonté, le moi est atténué ou même supprimé,
re la porte, et dont elle est consciente, l'a fait résister. Mais son
état
de santé actuel rendrait l'hypnotisme plus diffic
embre. Désirant me rendre compte si la conscience persistait dans cet
état
, et après avoir averti la mère, j'impose à mon hy
e moment. Ces toxines ont sans doute produit cet ensemble simulant un
état
typhoïde. L'utilité de l'hypnotisme et de la su
nt substituer à un état de choses producteur de criminalité, un autre
état
qui ne Je soit pas. Je rattache aussi à cette par
llon. Un fait qui nous a souvent frappé lorsque nous avons étudié l'
état
mental des buveurs d'habitude, c'est que dans la
dans la vie de l'individu et déterminent l'apparition d'un véritable
état
d'aboulie, il faut noter : 1° Les émotions dépr
se manifeste essentiellement par l'apparition ou l'accentuation de l'
état
d'aboulie. L'individu semble, depuis ses ennuis o
uis lors; la présence de ce supérieur provoque chez lui de véritables
états
d'anxiété : quand il est interrogé par lui, il se
le, il tremble, il balbutie. Il s'est aperçu que le seul remède à cet
état
était l'absorption d'une certaine quantité d'alco
abitude que nous avons observés, nous avons constaté l'existence d'un
état
d'a&oufie très manifeste. II est vrai que cet
ccidents montrent qu'il s'agit d'autre chose : ce délire reproduit un
état
émotionnel dans lequel elle s'est trouvée placée.
ue temps elle a des crises de nerfs, puis elle revient à peu près à l'
état
normal. Il y a un an, elle fait la connaissance
t malfaiteur, en effet, porte en lui un germe d'amendement moral, à l'
état
plus ou moins potentiel et latent ; c'est comme u
i injuste et immoral que de dire à un malade : « Tu es incurable, ton
état
est sans espoir, il est inutile de rien tenter po
ur l'avenir. » C'estdonc folie de faire la révolution avant d'être en
état
de l'utiliser ; c'est courir au devant d'un désas
» Le plus grand obstacle à l'émancipation des prolétaires, c'est l'
état
lamentable de leur mentalité, leurs désordres, le
r le corps social actuel de sa phase embryonnaire, pour l'amener de l'
état
larvaire à l'état d'organisme achevé, il ne faudr
actuel de sa phase embryonnaire, pour l'amener de l'état larvaire à l'
état
d'organisme achevé, il ne faudra peut-être pas mo
n fait d'abord un homme résistant. Quand le médecin juge qu'il est en
état
de travailler, le'directeur le fait venir et lui
Voyons ce que les Américains ont imaginé pour l'amélioration de leur
état
moral. Notre homme, je l'ai dit, a été. dès son
lui assurer du pain jusqu'à ce qu'il ait trouvé de l'ouvrage. Si l'
état
moral du condamné ne s'améliore pas, si au lieu d
ours de) p. 287. Hypnose (Les phénomènes réactionnels du début de l'
état
d'), par Bérillon, p. 337. Hypnose (Réflexes gé
t d'), par Bérillon, p. 337. Hypnose (Réflexes généraux pendant l'
état
d'), par Corinin, p. 310. Hypnotiseur de serpents
e dia- gnostic. - TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 3 Cet
état
persiste pendant plus d'un mois. Puis les vomis-
la malade sans fièvre, et avec conservation relativement bonne de l'
état
'général; mais néanmoins, presque dès le début,
ce le 24 novembre 1902. Je vais maintenant examiner devant vous son
état
actuel (12 décembre 1902). Voici la malade de
es est rendue, il est vrai, difficile par l'amaurose et aussi par l'
état
d'hébétude actuel de la malade; mais par un exa
is elle sentait très bien les diverses odeurs. Cette recherche de l'
état
de l'odo- rat, on la néglige un peu en général
ndant un nouveau symptôme très intéres- sant. Voyons maintenant l'
état
des différents muscles : j'ob- serve au niveau
sif de tous les muscles, sans atrophies musculaires localisées. L'
état
intellectuel de la malade, qui était resté longte
à eau heureusement modifié par M. IIallion. Vous savez bien qu'à l'
état
normal, l'espace sous-arachnoï- dien se continu
s des membres supérieurs sont assez souvent diminués. Par contre, l'
état
des réflexes cutanés ne parait pas avoir de val
t sur le point de vue de Kahl- baum et définit la catatonie comme «
états
particuliers d'excitation, passant dans la stup
et sa soeur. Deux' ans de cela, pendant un ou deux jours, il eut un
état
passager 'du- trouble p.ychique suivant : il av
ussi; il parlait d'une voix ! qu'on entendait à peine. Concernant l'
état
psychique on constata line, confusion mentale,
ombinaison, sa sphère psychique est si affaiblie qu'il n'est pas en
état
d'entretenir aucune conversation. Il existe chez
a au mois de juin de l'année 1900. En comparant la description de l'
état
du malade faite par le Dr Protopopoff et son él
genoux et le tendon du muscle gastro-cnémien reste tendu. Tel est l'
état
de sa mobilité locomotrice. On remarque un néga
t remplie de quelque chose. Les muscles mimiques de la face sont en
état
de tension tonique. Souvent le malade rit et mê
cérébrale d'association, si même elle existe chez lui, se trouve en
état
d'inhibition. Toute la conduite du malade prouve
élan- colique cherche ordinairement dans lui-même la cause de son
état
dépressif. Quant à notre malade, outre l'autu-acc
e. Donc, la psychose initiale de notre malade, s'exprimant par un
état
de mélancolie avec délire épisodique, parfois a
e. . En nous basant sur tout ce que nous venons de citer et sur l'
état
actuel du malade, nous nous comptons en droit,
binaison. Mange et dort bien. Graduellement le malade passe dans un
état
de démence de plus en plus profonde. Actuelleme
s en plus profonde. Actuellement (1900), le malade se trouve dans l'
état
que nous allons décrire à l'instant et qui, d'a
l'hôpital . de l'Empereur Alexander et de l'asile de réception, cet
état
a été déjà constaté encore avant, à savoir, au
cours suivant de la maladie on pouvait observer chez le malade deux
états
, état de dépression et état d'exci- 28 CLINIQUE
uivant de la maladie on pouvait observer chez le malade deux états,
état
de dépression et état d'exci- 28 CLINIQUE MENTA
n pouvait observer chez le malade deux états, état de dépression et
état
d'exci- 28 CLINIQUE MENTALE. tation, mais tou
ance d'un fond basi- laire de démence. Ces symptômes, tantôt d'un
état
maniaque, tantôt d'un état mélancolique, pouvai
de démence. Ces symptômes, tantôt d'un état maniaque, tantôt d'un
état
mélancolique, pouvaient donner lieu à présumer ic
ut à fait bien portants et présentent certaines particu- ; larités (
état
dépressif, irritabilité, des positions forcées) ;
énomènes psycho-mo- teurs nous remarquons et même actuellement deux
états
: état d'altonité et état d'excitation motrice
psycho-mo- teurs nous remarquons et même actuellement deux états :
état
d'altonité et état d'excitation motrice uniform
ous remarquons et même actuellement deux états : état d'altonité et
état
d'excitation motrice uniforme. Pour la plupart de
n motrice uniforme. Pour la plupart de temps la malade se trouve en
état
proche de la stupeur, reste assise conservant u
pas une pose d'un mélancolique stupeureux ; si on la retire de cet
état
, elle commence à parler et à rire. Avec un sou-
t « un péché », qu'elle est jeune et son mari vieux. Fixée de son
état
d'attonité elle manifeste des phénomènes d'une ex
l'excitation habituelle avec mouvements stéréotypes. En septembre l'
état
de la malade était sans modifications visi- ble
uniforme de certains centres, tandis que d'autres, 1 se trouvent en
état
d'inhibition. On peut donner la même significat
l'un d'eux, à savoir, sur la flexibilité de cire (catalepsie). Vu l'
état
con- temporain des renseignements concernant ce
t nerveuses, elle peut même être provoquée artificiellement dans un
état
hypnotique, et, nous croyons que sa pathogénie
ral commun, mais un symptôme local. Chez les malades se trouvant en
état
de stupeur ou en état comateux malgré 38 CLINIQ
mptôme local. Chez les malades se trouvant en état de stupeur ou en
état
comateux malgré 38 CLINIQUE MENTALE. le phéno
lexes psychiques qui exi- gent des actes psycho-moteurs qui sont en
état
d'inhibition chez les catatoniques. Ainsi, par
ttant la possibilité de l'enlèvement des périodes iso- lées. Dans l'
état
contemporain des choses nous aurions pu donner
nance des phénomènes cata- toniques. Dans le cours progressif cet
état
passe immédiatement dans la démence catatonique
arait toutefois être due à une fixation im- parfaite plutôt qu'à un
état
pathologique. Les lésions décrites par Marinesc
Marinesco dit que les lésions signalées sont très communes dans les
états
morbides des ganglions spinaux, et qu'il n'a ri
ltérations subies par le tissu cortical. Il y a évidemment d'autres
états
, les folies aiguës par exemple, où il est à peu
Au bout de vingt-six jours, signes de collapsus brusque et mort en
état
de dyspnée et de cyanose. A l'autopsie : fontan
ivantes : ' 1. Les préparations de cerveau emprunté aux animaux à l'
état
de veille montrent les prolongements proloplasm
allure vivante, à raison des phénomènes colorés correspondants, à l'
état
normal ainsi qu'aux états pathologiques. P. KER
des phénomènes colorés correspondants, à l'état normal ainsi qu'aux
états
pathologiques. P. KERAVAL. IX. De la localisa
drites lisses cons- tituent le stade intermédiaire entre le premier
état
et le second. 4. Les gros épaississements variq
s gros épaississements variqueux des dendrites correspondent à leur
état
pathologique d'atrophie dégénérative. P. KERAVA
on acromiale du bras et sur l'apo- physe coracoïde, on obtient, à l'
état
normal, un léger mouvement de flexion de l'avan
s gauchers dont l'éducation n'a pas faussé la tendance naturelle. L'
état
d'arriération de cet enfant est, en effet, la c
e parésie. La lente évolu- tion de cette atrophie musculaire et son
état
pour ainsi dire sta-' tionnaire font croire à l
des malades atteints de paraphasie, il est utile d'élucider : 1° l'
état
des centres intellectuels supérieurs ; 2° le fo
Après quelques considérations sur le fonctionnement du cerveau à l'
état
normal et dans les délusions, l'auteur fait remar
a normale : l'ar- ticulation de la parole un peu lente mais nette ;
état
mental meil- leur que depuis bien des mois. La
rto foncé, contient un peu d'albumine et de l'hé- matoporphyrine. L'
état
s'aggrave. Une paralysie flasque atteint d'abor
enne. Le recours à l'intervention chi- rurgicale, qui, pourvu que l'
état
général soit favorable, est essentiel dans les
extrêmement violentes ame- nèrent la malade en quelques heures à un
état
de déshydratation tel que l'issue fatale parait
he. En dehors des accès on n'ob- serve aucun trouble gastrique et l'
état
général est excellent. Pen- dant leur cours on
ilité se trouve notablement dimi- nuée dans sa durée, dans tous les
états
morbides des cordons pos- térieurs : tabès, mal
; il contient générale- ment de l'albumine (globuline), souvent à l'
état
de traces, quelque- : fois en quantité notable
(petits lymphocytes, grands lymphocytes, albumine ; pgp. période, d'
état
stationnaire) ; c) accentuée; 7 cas : (grands lym
M. BCRILLON. Sous le terme d'aboulie, on englobe un grand nombre d'
états
de conscience dans lesquels on constale, à un deg
s effets de la suggestion sont assez faibles chez les sujets dans l'
état
normal, car son action est neutralisée par les
ée par les facultés mentales de contrôle, par contre, dans certains
états
pathologiques, l'action de la suggestion est ex
plus haut degré, les malades étant hypersuggestibles. Dans d'autres
états
, toute suggestibilité est abolie. M. Jules Vois
t qu'un syndrome que l'on peut observer dans le cours de différents
états
d'aliénation men- tale. 11 ressort également
'auteur étudie alors la question des relations entre l'amnésie et l'
état
de la conscience : sans doute, dans certains cas,
a ? n- 88' CORRESPONDANCE. nésie n'indique nullement quel a été l'
état
de la conscience, tandis qu'au contraire elle e
à coups de tisonnier Georges Ragot, vingt-deux ans, son ami, dont l'
état
est désespéré. Roubeau est spirite et les espri
et des troubles psy- chiques pendant les périodes d'ascension et d'
état
de la ma- ladie infectieuse, ne pouvait être at
nvalescence de la fièvre typhoïde. Mais la convalescence arrivée, l'
état
antérieur, accès d'épilepsie, hébétude, etc., r
les autres 1, qu'elles ne sont pas sujettes aux accès subintrants (
état
de mal) comme les autres, que l'épileptique pré
qua- rante-cinq sont en démence ; seize sont constamment dans cet
état
; les autres ne le sont qu'après l'accès, deux ont
en suis convaincu, bien de la peine à se rappeler quelque exemple d'
état
de mal, d'accès subintrants chez un épileptique
ès grand nombre d'épileptiques et je ne me rappelle pas avoir vu en
état
de mal une épileptique affectée d'une altératio
ngt-trois ans de pratique spéciale, vu d'épileptiques goitreuses en
état
de mal, que les attaques convulsives diminuent
ressive, rapide et seul accès dans toute l'année 1900. Du côté de l'
état
mental : reste de l'affaiblissement intellectue
d'accidents, qu'il est le plus exposé aux accès subin- trants, à l'
état
de mal. (Nous dirons encore plus loin com- ment
héance intellectuelle et physique devint complète et lit place à un
état
paralytique et cachectique qui emporta le malad
Suggestion 2, nous croyons utile de rappeler que l'hystérie est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve capab
était pas inutile de le définir avec précision : L'hyp- nose est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve suscept
e M. Grasset), en admettant que ce centre se trouve alors dans un
état
de faible activité. A une grande activité physiol
e de l'hypnose ainsi que l'ont établi Liébault et Bernheim, c'est l'
état
de suggesti- bilité (l'état de celui à qui on p
nt établi Liébault et Bernheim, c'est l'état de suggesti- bilité (l'
état
de celui à qui on peut faire des suggestions).
ns, avec notre maître Babinski, quitte à y revenir plus loin, que l'
état
d'hypnose présuppose la suggestion. Il est exac
présuppose la suggestion. Il est exact de dire que l'hypnose-est un
état
de suggestibilité, pourvu qu'il soit entendu qu
u qu'il soit entendu que le fait seul d'être hypnotisé, nécessite l'
état
de suggestibilité. La première suggestion prati
tre 0 de l'hypnoti- seur. »' D'où cette définition schématique de l'
état
de suggestibi- lité : « C'est un' polygone éman
'acte fait-on ? On essaye de convaincre un être dese placer dans un
état
différent de celui où il se trouve, état qui cons
n être dese placer dans un état différent de celui où il se trouve,
état
qui consiste d'abord 1 Voir notre premier artic
Babinski a développé dans son travail 1. Si le sujet tombe dans cet
état
d'inertie apparente, peut-on dire que son moi,
'hypnotiseur, d'accomplir des actes commandés par lui, nécessite un
état
mental (ou psychique) un état du « moi » spécia
actes commandés par lui, nécessite un état mental (ou psychique) un
état
du « moi » spécial, le même d'ailleurs qui cara
le même d'ailleurs qui caractérise les sujets hystériques. Mais cet
état
particulier, pathologique du moi, n'exclut nullem
prouvent que l'intelligence (le centre 0) est aussi éveillée qu'à l'
état
normal. Ceux-là manieront avec fruits la thérap
otiseur a pu guérir un malade hypnotisé sans succès auparavant. L'
état
mental du sujet hypnotisable, loin d'être inconsc
igent accepte avec son moi (son centre 0) une chose absurde comme l'
état
d'hypnose. Nous répondrons que même si on ne po
de l'hypnose : « Je vais vous endormir et je vous guérirai. » Si l'
état
mental d'une femme atteinte de monoplégie brachia
du corps. Cette transformation, résultat de l'acceptation par son
état
mental pathologique de votre suggestion, la conva
objets inanimés ou ima- ginaires un pouvoir sur leur destinée. Cet
état
psychologique de croyance à votre puissance per
guéris sans hypno- tisme, par la seule suggestion ou persuasion à l'
état
de veille. Nous répondrons qu'avant les pratiqu
enfin il ne faut pas oublier que les sujets hypno- tisables ont un
état
mental spécial, caractéristique de l'hystérie ',
ractéristique de l'hystérie ', du pitltiatisrne comme dit Babinski,
état
pathologique du moi. De même que certains cheva
avec tel cavalier et le sautent aisément avec tel autre, de même l'
état
de suggestibilité présente des variétés qui son
ude nous convainc au contraire, avec Babinski, que l'hypnose est un
état
mental particulier, dans lequel la personnalité d
ifs de l'hypnotiseur 1 Grasset n'admet pas l'identification entre l'
état
de suggestibilité. caractéristique de l'hypnose
terons, encore une fois, que l'hypnose présuppose nécessairement un
état
psychique spécial, pathologique, et que s'il n'
nous étendrons pas sur les degrés et les nombre classifications des
états
hypnotiques. Ici, comme dans tout. -- pathologi
ité du moi, jusqu'à la réalisation, toujours par sugges- tion, de l'
état
hypnotique le plus complet. Tel sujet fait preuve
isément compte de la différence de nature qui existe entre ces deux
états
: l'épilep- 132 REVUE CRITIQUE. tique, au sor
lité pour un sujet d'être hypno- tisé prouve précisément chez lui l'
état
de suggestibilité. Etre hypnotisé c'est subir u
pnotisable ne sont pas deux termes synonymes, ils représentent deux
états
mentaux séparés par une nuance seule. Les troub
plus importants : 1° Dans l'hypnose comme dans l'hystérie, c'est l'
état
mental du'sujet qui n'est pas normal ; c'est su
hénomènes que la volonté et l'imagination pour- raient réaliser à l'
état
normal. Aussi les paralysies, les contrac- ture
ète; cette cause est d'ailleurs puissamment secondée par un mauvais
état
général de la nutrition (lequel est du à l'action
ation consen- suelle ; c) à l'excitation cutanée ou sympathique; 6°
états
irido- moteurs liés à l'accomodation ou à la co
internes de l'oeil paraît être un index très sensible du degré de l'
état
toxémique. R de iUSGRA VE-CLA Y. VI. Remarques
Mental Science. Janvier 1902). Lorsqu'on se trouve en présence d'un
état
hallucinatoire, l'un des premiers points à exam
gistes parce que, en réalité, il est à peu près sans importance à l'
état
normal. Ordinai- rement, nous faisons usage de
LE. 139 cette activité,nous sommes ordinairement sur la limite d'un
état
anor- mal. Dans la paranoïa où nous observons b
le : elle cause intelligemment, mais quand on l'in- terroge sur son
état
, ses réponses révèlent de nombreuses hallu- cin
mme, constituant un sens particulier. Nous ne les percevons,pas à l'
état
normal, mais nous en prenons conscience lorsque l
n son, la compréhension du langage; ils sont corrélatifs aux divers
états
que l'on observe dans une autre série pathologi
était atteinte de surdité auditive ou labyrinthique à droite; avec
état
assez satisfaisant de l'audition à gauche. L'as
parent, sombre, déprimée, pour arriver peu à peu, en une année, à l'
état
de mélan- colie profonde où elle se trouve aujo
re tous des circulaires, la psychose n'étant que l'exagération d'un
état
physiologique normal. R. LEROY. X. Contribution
changes thaï accompany viscéral diseases. Brain XCV. Head décrit un
état
de soupçon vague, inhérent à des malades attein
atteint depuis 1869 de folie circulaire. Le 22 août 1898 il est en
état
d'agitation maniaque consécutive à une période de
laire, tranchant nettement sur la plaque blanche qui l'entoure. Cet
état
est comparable à celui que l'on observe sur la
session. Cette perversion sexuelle était donc la manifestation d'un
état
de dégénérescence que venaient encore affirmer
sez souvent qu'on a pris pour un retour complet à la santé un léger
état
de dépression qui dans certains cas peut être a
estnik psichiati-ii, II, 1884, u 2). - Il ne faut pas confondre cet
état
avec la passion provoquée par une personne plus
nce bienfaisante en l'espèce de la suggestion, par l'hypnose et à l'
état
de veille. L'hypnose se produisait chez lui par t
le début des troubles cer- tains. Depuis les accidents cérébraux, l'
état
morbide a progressé lentement mais sans arrêt.
1'Ctlbl., XX, 1901). 152 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Ce sont des
états
anxieux caractérisés par la crainte de déglutir
ois la dysphagie est presque le seul complexus symp- tômatique de l'
état
morbide. La dysphagie psychique se développe so
t incident devient le choc psychique qui donne le coup de fouet à l'
état
mental. Dès lors le sujet s'observe en mangeant
sculaires de la région. La dysphagie psy- chique en rapport avec un
état
nerveux rétrocède, s'aggrave, réci- dive, etc.
x rétrocède, s'aggrave, réci- dive, etc. suivant les allures de cet
état
nerveux. La dysphagie psychique autonome est pl
uarante-neuf ans qui entre à la clinique psychiatrique de Moscou en
état
de dépression, d'angoisse, de peur, avec idées
de dépression, d'angoisse, de peur, avec idées hypochondriaques; l'
état
mélan- colique chez elle était accompagné d'agi
vingt-huit ans, L..., entre à Bicêtre au mois de mai 1900, dans un
état
de violente agitation survenue à la suite d'un
a seule permis d'arriver à un diagnostic précis. En deux années, l'
état
mental, loin de s'aggraver, est devenu meilleur
i permettent de le reconnaître. Bien plus, on voit se greffer sur l'
état
lypémaniaque de véritables bouffées de mégalo-
te surtout sur la nécessité d'examiner avec le plus grand soin tout
état
neurasthénique. Le diagnostic peut être fait av
con- traste qui existe entre les signes qui relèvent seulement d'un
état
de fatigue chronique, et les signes au contrair
: qu'il y a peut-être moins d'opposition qu'il ne semble entre les
états
maniaques et mélancoliques ; que les premiers n
en- tale, que souvent de complications résultant d'ailleurs de leur
état
. Parmi les maladies qui les emportent, il y a à
observation ayant trait à une malade qui présenta simultanément un
état
de confusion mentale profonde, des phénomènes n
nique l'observation d'un homme mort de syphilis cérébrale et dont l'
état
démentiel rappelait celui de la paralysie génér
que les conditions sont fort différentes, il est bien évident que l'
état
émotionnel n'est pas le même chez tous ces suje
e cette dée fectuosité. SOCIÉTÉS SAVANTES. - 169 2° Que c'est l'
état
émotionnel du blessé au moment et à la suite de
ouvement de flexion de la cuisse sur le bassin plus prononcé qu'à l'
état
normal. Cette flexion peut être mise en évidenc
on de la plante du pied provoque une flexion des orteils, comme à l'
état
normal; les orteils ne s'écartent pas les uns d
opinion de M. Babinski. M. BRISS.1UD, après quelques réserves sur l'
état
plus ou moins i chatouilleux » des sujets se ra
uggestion hypnotique les a fait disparaître. Cette'ma- lade, dans l'
état
de léthargie, présentait à un degré tout à fait
de Paris à Cherbourg. Ces innovations diminuentconsidérablement l'
état
de nervosité que présentent de nombreux voyageurs
proviste et injustifiées. L'intelligence est, au contraire, dans un
état
d'hyperexcitabilité (mémoire excel- lente, sens
r prolongé à l'hôpital pour péri- tonite tuberculeuse et voyant son
état
empirer, devint rebelle et batailleur, fut cond
es de gymnastique, les exercices respiratoires et la suggestion à l'
état
de veille. Quelle est l'influence des professio
r est responsable de ses actes, mais qu'il mérite, en raison de son
état
maladif, quelque indulgence. Après une intére
I. Mars 1904. N° 99. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L'
état
du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
à gauche. Nous en donnons les observations résu- mées et quant à l'
état
mental et quant à l'état ophthalmos- copique.
s les observations résu- mées et quant à l'état mental et quant à l'
état
ophthalmos- copique. Observation I. - Vauder.
rée le 8 juillet 1903. Présente le 7 septembre de la. même année un
état
loi/- Keraval et Itaviart. L'état du fond de l'
7 septembre de la. même année un état loi/- Keraval et Itaviart. L'
état
du fond de l'oeil chez les paralytiques Qenerau
s anatomiques initiales et terminales. Nou- relle contribution il l'
état
du fond de 1 oeil chez les paralytiques géné- r
complète ; aucun trouble intellectuel; conscience très nette de son
état
. Atténuation très grande des signes physiques.
lésions indéniables. Voici d'ailleurs les traits principaux de leur
état
mental au moment de l'examen et le relevé corre
nte-six ans, entrée le 29 mai 1903. Examen du 14 septembre 1903. En
état
de démence complète, cette malade est, de temps
ectuel, avec idées de satisfaction, euphorie, incons- cience de son
état
. Les Signes physiques qui étaient très prononcés
avec sa maîtresse. Examen du 8 septembre 1903. Persistance du même
état
men- tal ; hallucinations de l'ouïe et de la se
e dépression mélanco- lique, La patiente se rend bien compte de son
état
; elle éclate en sanglots quand on lui rappelle
des troubles intel- lectuels. La malade est très consciente de son
état
. . Signes physiques très marqués : mouvements d
risâtre ou plutôt gris rosé, mais les bords en sont assez nets et l'
état
des vaisseaux est normal. Nous croyons à une di
tique, on obtient, en chiffres ronds, une proportion de 38 p. 100 d'
états
du fond de l'oeil normaux, et de 61 p. 100 de l
aucun développement, de même les ovaires, qu'ils n'existent qu'à l'
état
de rudiments ; la con- clusion qui vient immédi
compagne d'une augmen- tation de l'impressionnabilité, d'un certain
état
d'éréthisme émotif, d'une modification passagèr
on encéphalique, éma- nant en quelque sorte des organes génitaux en
état
de réplétion, n'est-elle pas attestée par les r
très manifeste de l'épilepsie; accès en séries, accès subintrants,
état
de mal. - Epilepsie grave plus fréquente chez l
épileptogène, mais sans lésions anatomiques des centres nerveux, un
état
chimique encore inconnu de la cellule ner- veus
abondantes et de la moiteur de la peau, des sueurs profuses même. L'
état
de mal des épileptiques permet les mêmes ' Cett
uantité des urines pouvant aller jusqu'à l'anurie au paroxysme de l'
état
de mal, sécheresse relative de la peau, fréquem
r facilement à déterminer la pathogénie des accès en séries et de l'
état
de mal. D'où des indications thérapeuti- ques q
plus grande fré- quence de l'épilepsie la plus grave chez la femme (
état
de mal plus rare chez l'homme), alors que l'épi
, que l'on a englobé sous cette dénomination « idiotie » maints -
états
d'origines différentes et en apparence seulement
gènes originelles et autres persistant, on observe habituellement l'
état
mental lié aux lésions devenues indé- lébiles e
produit les troubles lents du métabolisme menant graduellement à l'
état
cachectique appelé myxoedème, tandis que la par
ule, il les considéra comme des portions de la thyroïde restées à l'
état
embryonnaire et se développant alors pour compe
yroïdectomie. Pour ces recherches sur le rôle des parathyroïdes à l'
état
nor- mal, l'auteur pratiqua l'extirpation, de c
res se relâchent et l'animal reprend sa marche. Mais d'ordinaire, l'
état
tétanique s'établit graduellement, depuis la ma
vaisseaux sanguins, son extrait suffit à assurer la fonction; car l'
état
tétanique peut être prévenu ou arrêté par l'inj
omplète de la'jambe, les muscles de cette jambe, lors- qu'apparut l'
état
tétanique ne présentèrent aucune contraction. D
rieures et du cortex, analogues aux dégéi cences aiguës de nombreux
états
toxiques. Dans un autre ordre d'idées, l'auteur
ainsi que la tachycardie, constante dans la maladie, manque dans l'
état
expé- rimental : le tremblement de la première
opération brusque et totale. Donc, ressem- blance générale des deux
états
, mais aussi dissemblances, celles-ci peut-être
Dans' tous les autres cas, elle était nettement plus petite qu'à l'
état
normal. Au point de vue histologique, dans deux
e second est d'ordre moteur, centrifuge, exprime une variation de l'
état
du tonus musculaire (rupture de l'équilibre de
t pas obligatoire, elle reste presque toujours dans la pratique à l'
état
de lettre morte; et ces enfants, simplement fai
ns à ces mesures. R. de M.-C. III. Jugement, exécution, autopsie et
état
mental de Léon Czolgosz alias Fréderic Nieman,
s ont été conduits par des voies différentes, l'un par l'étude de l'
état
mental, l'autre par l'examen nécrospique du cer
sable de ses actes. . . ' lt. M.-C. iv. Rapport sur l'examen de l'
état
mental de Machetto Charles; ' par les Dr Weber
dépourvues de tout caractère de systématisation et greffées sur un
état
démen- tiel mauifeste, les auteurs ont conclu à
é aux affections nerveuses et mentales, qui a accompli son crime en
état
de mala- die. Acquitté par le jury, dans un pro
Science. Janvier 1903.) La folie ne s'observe que rarement dans les
états
les plus accu- sés d'amence ; mais elle est loi
u'une prédisposition soit nécessaire. On trouve souvent chez eux un
état
qu'on peut définir par le mot instabilité menta
me dans le premier cas. Il peut être une étape, une épisode dans un
état
mental grave comme dans le second cas. Il perme
SOCIÉTÉS SAVANTES. aller plus loin quelque effort qu'il fasse. Cet
état
serait comparable à la claudication intermitten
inin- telligible, on prescrivit du natrium jodatum (4,0 pro die) l'
état
de la malade commença lentement à s'améliorer ;
duite et une faiblesse de mémoire. Point de dé- mence marquée, et l'
état
psychique continue à s'améliorer. Le rap- porte
de la corne postérieure ont des contours raboteux, sont souvent en
état
variqueux, se ramifient beaucoup et sont pourvu
ut, de préciser la nature de cette redoutable affec- tion; dans les
états
mélancoliques, où elles marquent l'affaiblisse-
u'elles se relient aux idées de persécution, ou la coexistence d'un
état
mélancolique si elles sont purement concomitant
tat mélancolique si elles sont purement concomitantes. - Dans les
états
d'obnubilation intellectuels, elles se retrouvent
r leur physionomie diverse, elles peuvent servir à différencier ces
états
, souvent transitoires et curables, des états d'
vir à différencier ces états, souvent transitoires et curables, des
états
d'affaiblissement intellectuel définitif. A l'a
is depuis la mort de sa femme, survenue le 18 décembre dernier, son
état
semblait s'être aggravé. Eugène lllallet, qui lai
écis, et d'emblée être fixé sur la nature de la maladie, partant en
état
de fixer sur sa gravité les membres de la famil
ent que cette pauvre femme entra dans notre service, et, depuis son
état
a été loin de s'améliorer. Vous voyez l'état de
ervice, et, depuis son état a été loin de s'améliorer. Vous voyez l'
état
de cachexie profonde dans lequel elle se trouve
tonicité de la peau et désqua- mation exagérée. La recherche de l'
état
de la sensibilité est délicate dans l'espèce et
l'impotence et la douleur augmentent chaque jouren même temps que l'
état
général évolue parallèlement vers la cachexie p
le processus cancéreux. Quoi qu'il en soit le pronostic d'un tel
état
ne saurait être que fort sombre et c'est la mor
ut, d'autre part, « agir sur eux indirectement, comme entraînant un
état
de « dyscrasie et d'intoxication complète. »
ssons aucun cas où « une métastase se soit faite directement ou à l'
état
isolé « dans un nerf sans localisation préalabl
e mai, entrait à la clinique Charcot, une malheureuse femme dans un
état
des plus précaires. Rien d'intéressant dans s
lcooliques de kola et de quinquina. Malgré cette thérapeutique, l'
état
ne s'améliore pas ; les crachements de sang son
ntuent. Il survient de l'incontinence de l'urine et des matières, l'
état
mental, déjà très précaire, caractérisé par de
u subdélire ; d'ailleurs notre malade ne tarde pas à entrer dans un
état
comateux, la température s'élève, et, le décès
avant tout constituées par un élut l'ranen- taire de la myéline, un
état
poussiéreux de celle-ci mi, sur- tout eu éviden
consistent comme vous le savez en une z chromatolyse centrale avec
état
vésiculeux du protoplasma cellulaire et excentr
l. Nous ne voyons qu'exceptionnellement le plexus cervical pris à l'
état
isolé. Les plexus lombaire et sacré sont surtou
présentait une induration au niveau de la cicatrice opératoire, un
état
cachectique avancé, de l'oedème des membres inf
objectives ne présentaient pas de modifica- tions importantes. L'
état
ne tarda pas à s'aggraver par les progrès de la
radiculaire. Vous serez aussi le plus souvent mis sur la voie par l'
état
général, par la connais- sance des antécédents
sphère du médian et du cubital. Ce sont là des faits rares; en tout
état
de cause; le dia- gnostic serait toujours basé
érieurs atrophiés. Au mois de juin 1901, époque de la fracture, l'
état
physique est le suivant : membres supérieurs :
phiques osseux. La radiographie a montré à MM. Rénon et Heitz un
état
très spé- cial du squelette du bras fracturé :
glande thyroïde, insuffisance tantôt ancienne, mais aggravée par l'
état
de grossesse, tantôt récente, produite par l'ét
is aggravée par l'état de grossesse, tantôt récente, produite par l'
état
de grossesse même et le surmenage momentané qui
OLOGIE NERVEUSE. 32] constaté chez des chattes thyroïdectomisées en
état
de gestation des lésions rénales et hépatiques.
ints en même temps et quelques-uns peuvent se trouver normaux ou en
état
d'hyperexcitabilité à côté d'autres qui sont en
simulé l'urémie délirante ; plus chronique chez le deuxième dont l'
état
général était resté bon, on aurait pu le rappro
éréditaire ou acquise, et leur caractère dépend de la nature de cet
état
du cerveau : délire alcoolique chez les alcooli
étudier le méca- nisme des accès de folie, l'influence sur eux de l'
état
mental, des accidents psychopathiques et somati
le qui produit, par l'intermédiaire d'un pro- cessus anatomique, un
état
spécial permanent du système nerveux dont l'exp
mes atténuées ou incomplètes, ce syndrome se rencontrerait dans les
états
vésaniques les plus divers, imbécillité, hystér
ériode aiguë indique^ une toxémie virulente. A la dernière période,
état
de stupeur avec résistance des muscles aux mouv
par la voie sanguine, avec le streptocoque, on provoque chez eux un
état
de malaise, avec irrégularité de la température,
ie tend il se terminer dans un espace d'environ six semaines, et un
état
d'immunité est ainsi créé dans leur organisme.
i fut admis à l'asile comme étant atteint de manie aiguë, et dont l'
état
ne fit que s'aggraver progsessivement. Il était
pendant la phase d'expansion, ce qui est la caracté- ristique d'un
état
démentiel. M. Vallon rappelant que les hallucin
e, les crises gastriques, les troubles vésicaux et surtout créer un
état
mo- ral excellent qui fait que le traitement sp
ques- tions qu'on leu adresse sur leur âge, leurs occupations, leur
état
social; et tout le temps que dure le procès, il
gulée. Pen- dant Ja période d'hyponarcose qui précède le retour à l'
état
de veille, je fais des suggestions, grâce auxqu
ssomma un vieillard à coups de tisonnier. Elle se trouvait alors en
état
de stupeur à la suite d'un accès. A l'arrivée d
decin, peu après le meurtre, ses idées étaient encore confuses et l'
état
de stupeur continuait. Il en fut de même à l'asil
e stupeur et d'irritabilité; la mort survint alors qu'elle était en
état
soporeux. A l'autopsie, on trouva une exostose
ment de l'iris est lui aussi très fréquemment atteint. L'iris à l'
état
normal est constamment mobile et ses mou- vemen
ue placée à cette même distance. L'accommodation se trouve ainsi en
état
de relâchement. L'observateur se tenant en avan
beaucoup de paralytiques généraux de se rendre un compte exact de l'
état
dupouvoiraccommodateur; l'intelligence des mala
e de la maladie où il est impossible de la constater à cause de l'
état
démentiel des malades. Ainsi donc nous faisons
nuant sans interruption et discontinuité, moment correspondant à un
état
de contracture ou phase tonique à laquelle fait
cette griserie motrice, qui, arrivée à son summum se traduit par un
état
vague et flou de la conscience, véri- table dis
de son objet qui est l'image motrice dans sa rapide évolution. L'
état
moteur particulièrement instable et changeant tra
le même sens. L'influence de la musique, sur l'image motrice et l'
état
moteur est manifeste. L'entraînement provoqué d
e banale, et ont montré que la musique est un tonique efficace de l'
état
moteur. D'un autre côté, la musique a une actio
lles du rapprochement sexuel. La diffé- rence portait surtout sur l'
état
local de l'appareil génital. Car ici, il n'y av
vaginal. La similitude résidait surtout dans la vie psychique et l'
état
mental dû très probablement à l'évolution paral
rès probablement à l'évolution parallèle et similaire dans ces deux
états
de l'image motrice. L'état oculaire est sou- ve
on parallèle et similaire dans ces deux états de l'image motrice. L'
état
oculaire est sou- vent d'un précieux secours po
laire est sou- vent d'un précieux secours pour la connaissance de l'
état
mental d'un sujet. , Dans un précédent travai
scles des yeux est en rapport avec un défaut de conver- gence et un
état
d'indépendance des deux yeux dans leurs 1 VASCU
« en dedans » sont les plus forts, il en résulte un strabisme : cet
état
tra- duit ainsi la contracture musculaire des m
re des muscles de l'oeil qui elle-même n'est que la traduction de l'
état
mental du sujet « et par suite est l'expression
tteté et un éclat qui leur donnent l'apparence de l'immobilité. L'
état
de lassitude et de faiblesse qui suit l'acte sexu
ique. La force musculaire était prise au dynamomètre Régnier, à l'
état
normal et pendant l'excitation génitale. Voici le
ions dynamométriques est la suivante pour chaque main dans ces deux
états
psychobiologiques différents : Pendant l'état n
e main dans ces deux états psychobiologiques différents : Pendant l'
état
normal, pour la main droite de 31,1, pour la ma
ssions par rapport à leur moyenne brute respective était, pendant l'
état
normal, de 0, pour la main droite et de 1,4 pou
s dynamométriques. L'observation courante directe et grossière de l'
état
musculaire dans l'excitation génitale parle d'a
ar conséquent pas se manifester avec son inten- sité normale dans l'
état
moteur général, ainsi qu'en témoi- gnent des ex
l'épuisement moteur nous dési- gnons, s'entend, l'image motrice; l'
état
psychique, et non la fatigue organique, l'épuis
les autres processus psychiques. Lorsque le sujet est revenu à l'
état
soi-disant normal, il en résulte un état d'épuise
ue le sujet est revenu à l'état soi-disant normal, il en résulte un
état
d'épuisement de l'état mental et principalement
l'état soi-disant normal, il en résulte un état d'épuisement de l'
état
mental et principalement des impressions et repré
éclairer et même de trancher, si possible, la question suivante : l'
état
de l'anémie cir- culatoire pendant une excitati
ente des axes oculaires provoquant un véritable strabisme traduit l'
état
de tonicité et d'hyperactivité du système muscu
puis clonique. 4° Une autre preuve consiste dans l'abattement et l'
état
de lassitude musculaire qui suit l'acte génital
bilité manifestée par de l'immobilité et du vague de la pensée. Cet
état
semblé la conséquence de l'épuisement temporair
te génital consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'
état
moteur qui, arrivé à son maximum, présente une
une période d'adynamie et de repos. b) Dans la production de cet
état
et de ces différentes phases, l'image motrice j
est intéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un
état
d'excitation et de potentiel tel qu'il ne peut se
tion et à la tendance au déclan- chement de l'image motrice et de l'
état
moteur. Tous les préparatifs, tous les accessoi
, selon chaque individualité, présenter une action excitatrice de l'
état
moteur, plus ou moins développée et accentuée s
il le faille charger par des excitations extérieures adoptées.' Ces
états
témoignent d'un état d'affaiblissement moteur d
ar des excitations extérieures adoptées.' Ces états témoignent d'un
état
d'affaiblissement moteur dont le type est donné
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. d'indican dans tous les
états
de dépression, de quelque psychose qu'ils relèv
quelque chose près, pour l'acé- tone ; l'inverse s'observe-dans les
états
d'excitation; il est actuelle- ment impossible
l sont exactes, elles démontrent pratiquement que la manie est un
état
infectieux aigu, et que lorsque la guérison s'eff
t un état infectieux aigu, et que lorsque la guérison s'effectue un
état
d'immunité s'établit. 2° Elles prouvent que l
s, M. Blachford conclut que l'on peut admettre comme probable que l'
état
granuleux de l'épen- dyme a pour cause primitiv
de gangrène qui se sont momifiées et se sont détachées, laissant un
état
de la peau qui rappelle la sclérodermie. Le s
pas soluble dans le plasma vivant, mais se trouve dans le sang à l'
état
latent, incorporé dans les éléments cellulaires d
scendants; par le D' C. CENI. (Riv. Sp. difren. fasc. 4, 1903). L'
état
morbide qui se produit chez les procréateurs, à l
êt. ' R. ni.-C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 391 XXXIX. Un cas d'
état
de mal compliqué de scarlatine; par George WATT
rent des troubles psychiques, modification du carac- tère, apathie,
état
de stupeur progressivement croissant; puis cépa
en effet suivant la durée du contact et de son étendue, sui- vant l'
état
des parties en contact et suivant la situation du
nt en quatorze jours, sans complications pulmonaires ou autres avec
état
pyrétique durant la dernière semaine. ' - - . R
n qu'il faudrait, si l'on songe que chez elle la condition seconde (
état
anormal) se subdivisait en au moins 12 sous-con
ns intéressantes : la première concerne un homme qui avait avalé en
état
de démence REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 401 d
usqu'à la périphérie, jetant ainsi tous les trajets nerveux dans un
état
d'activité anormale. L'auteur entre ensuite dan
ocuments. nE lIlUSGRAVE-CLAY. - - R. DE Musgrave-Clay. L11VI. Les
états
mentaux qui aboutissent à l'homicide; par G.-T.
fs ordinaires, la jalousie, la misère, la terreur, agissant sur des
états
pathologiquement émotifs, sont la cause des crime
s suivantes tirées d'un discours de M. Robertson : « Les différents
états
toxiques qui tendent à altérer les cellules ner
d'entre elles. L'opinion générale que la « maladie mentale » est un
état
primitif et que 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
cteur étiologique des maladies men- tales. 2° La conscience- et les
états
mentaux peuvent se modifier considérablement da
les états mentaux peuvent se modifier considérablement dans divers
états
physiologiques (sommeil, rêve, état hypnotique,
considérablement dans divers états physiologiques (sommeil, rêve,
état
hypnotique, etc.). Pourquoi l'exagération de ces
ues, mais très bien avec l'exagération ou la perversion de certains
états
physiologiques. i° L'énergie de réaction de la
ctivité ou son inactivité déterminent ou combattent précisément ces
états
de non résistance par lesquels les bactéries nu
e cette théorie permet d'attribuer à la toxémie, dans la genèse des
états
mentaux, un rôle non pas primordial mais second
om de prédisposition héréditaire à'la folie comprend au moins trois
états
très différents : 1° les anomalies cérébrales;
ividuels de la réaction du cerveau à l'égard du milieu ambiant. Ces
états
ne sont pas nécessairement caractérisés par une
-CLT. LXXX. Etude clinique sur les troubles de la conscience dans l'
état
post-épileptique ; par le Prof. A. PicK (de Pra
; par le D1' Vallon. Longue et intéressante étude du suicide et des
états
patholo- giques dans lesquels on l'observe, gro
rait ainsi de faire voyager des malades fébriles et d'aggraver leur
état
. Comme nous prenons la température de nos malades
Americntz Jour- nal of Insanily, juillet 1902, p. 91-101). XI. L'
état
actuel de la cocaïnisation spinale sous arachnoïd
utre que les injections de persulfate de soude semblaient relever l'
état
général. Les injections sont peu douloureuses à
d'oedème observées chez les hémiplégiques : oedème blanc typique et
état
succulent de la main. Conformément à la règle,
écocité du début, l'hyperthermie locale et la conservation d'un bon
état
général sont des particula- rités qu'il n'est p
urs insistent surtout sur la précocité du début et le maintien de l'
état
général : ces deux caractères permettent d'éli-
hypnotique. Finalement elle a été, par la suggestion, guérie de son
état
cataleptique. , Le merveilleux et la sorcelleri
iques; l'auteur, allant du simple au composé, a recherché d'abord l'
état
des cel- lules nerveuses dans l'alcoolisme chro
e étant le facteur essentiel. Il se caractérise cliniquement par un
état
de confusion mentale hallucinatoire suraiguë ac
dés individus héréditairement pré- disposés. Cliniquement, c'est un
état
de confusion hallucinatoire suraiguë avec fièvr
ui peuvent prendre une part très grande dans le déterminisme de nos
états
de conscience, leslois d'association constituen
ses idées semblent fuir, et il lui arrive d'avoir conscience de son
état
. ' L'incohérence de ses idées ne doit pas être
hez eux par l'effondrement soudain de leur intelligence, dans leurs
états
de conscience, qui se succè- dent avec la même
ngement dans l'influx nerveux a pu produire cet affaiblissement des
états
de conscience. L'histologie patho- logie s'est
nombreux rapports avec ceux qui se succèdent chez l'être normal en
état
de rêverie. Les associations systématiques sont
sont les mêmes dans l'aliénation mentale et la débilité que dans l'
état
normal. L'affaiblissement des processus psychique
es processus psychiques porte chez le maniaque et le débile sur les
états
de conscience ; mais tandis que chez le maniaqu
ande sera accompagnée de l'acte de naissance du pos- tulant, de ses
états
de services, d'un exposé de ses titres, d'un ré
cet affaiblissement peuvent apporter une contribution à l'étude des
états
d'indifférence et d'aboulie. Il s'agit d'un hom
s incidents de son délire. A l'infirmerie du dépôt, il éuit dans un
état
de marasme au cours duquel il refusa toute nourri
es conceptions extrême- ment peu précises, qu'il y eut à la base un
état
de frayeur et d'an- xiété commandant des idées
e son- grand- père. Je tâcherai d'élucider plus loin quel était l'
état
mental de )1. N... à cette époque, état mental
ider plus loin quel était l'état mental de )1. N... à cette époque,
état
mental qui a déterminé son mode de vie depuis 1
ses repas, encore bien souvent ne descen- dait-il pas déjeuner. Cet
état
va croissant ; le malade ne sort plus, - mange
ent sans volonté, ne fait rien, sem- ble en partie conscient de son
état
: il pense alors qne si on venait l'attaquer il
e premiers jours qui suivent son entrée, M. N... reste dans le même
état
. Spontanément, il n'adresse la parole à personn
minent chez lui aucune réaction. On voit qu'il s'agit en somme d'un
état
de confusion mentale, d'imprécision extrême des
e recon- naissance, extrêmement vagues, d'ailleurs elles aussi. L'
état
de confusion disparaît progressivement et avec lu
es renseignements fournis par la famille ; mais M, N... compare son
état
d'alors à son état présent, et nous pouvons con-
ournis par la famille ; mais M, N... compare son état d'alors à son
état
présent, et nous pouvons con- clure de son état
état d'alors à son état présent, et nous pouvons con- clure de son
état
présent à son état d'alors, les actions et réacti
état présent, et nous pouvons con- clure de son état présent à son
état
d'alors, les actions et réactions de M. N... en
donc ici une réduction considérable des besoins et des désirs et un
état
accentué d'aboulie; cette aboulie n'est d'ail-
ès cohérent, ses idées bien systématisées, il analyse très bien son
état
, il est capable de remarques justes et fines su
indiffé- rent. » Habituellement il ne pense à rien, il n'a pas d'
états
de rêverie, sa Pensée ne se fixe spontanément s
airement, pour penser à quelque chose, pour ne pas persister dans l'
état
de vide cérébral qui lui est habituel. Expéri
elle du sujet ; nous avons vu que le vi le intellec- tuel était son
état
habituel. Le malade ne croit pas qu'il serait ca-
temps d'étudier l'attention ; mais on l'observe d'autant mieux à l'
état
pur que l'intelligence intervient moins pour l'ac
du sujet. Ce qui domine la symptomatologie de ce malade, c'est l'
état
d'aboulie et d'indifférence : c'est là ce qui fra
lésions élémentaires qui constituaient ce trouble : j'ai observé un
état
de déficit lorsqu'il s'agit d'émotions-senti- m
oire confus survenu à l'âge de vingt- quatre ans, s'est installé un
état
d'affaiblissement intellec- tuel que nous venon
ie; autrefois, on rangeait dans la dépression mélancolique tous les
états
dans lesquels le ma- lade présentait de l'obnub
lancolie est avant tout le résultat d'un trouble affectif, c'est un
état
de conscience doulou- l'eux; la mélancolie est
uvant des sujets de craintes dans les moindres modifications de son
état
physique et mental. A cause du retour de plus
? Non, sans doute, puisque le premier accès a laissé après lui un
état
d'affaiblissement intellectuel, que cet état d'af
a laissé après lui un état d'affaiblissement intellectuel, que cet
état
d'affaiblisse- ment n'a fait que progresser dan
accès, que les derniers accès sont évidemment conditionnés par cet
état
de déficit. Ces diagnostics étant éliminés, n
rmi les délires des dégénérés que ceux qui sont l'expres- sion de l'
état
de deséquilibre fonctionnel congénital des facu
de commun entre un délire à base de confusion hallucinatoire et l'
état
mental des dégénérés. La maladie de M. N... scind
inde sa vie en deux périodes bien tranchées; son mode de vie, son
état
mental, son activité intellectuelle sont changés,
on ou son contraire entraînent. Ce sont bien là les caractères de l'
état
mental de 111. N... Nous avons vu que, chez lui
rou- bles plus accentués que présentent les malades parvenus à un
état
plus avancé de démence; il s'agit d'une diminutio
plus avancé de démence; il s'agit d'une diminution des désirs, d'un
état
d'indifférence à tout ce qui l'entoure et à son
s, d'un état d'indifférence à tout ce qui l'entoure et à son propre
état
, et d'une diminution de la spontanéité intellec
ux troubles de l'évocation spontanée des images qui caractérisent l'
état
de sa mémoire; elles se résu- ment en cette for
es, les attitudes catatoniques ne sont que les formes extrêmes d'un
état
intellectuel dans laquelle la vie mentale se ré
pour une cause quelconque (cause que nous igno- rons d'ailleurs), l'
état
de torpeur augmente, l'aboulie croît dans des p
augmente, l'aboulie croît dans des proportions identiques; sur cet
état
s'installent des combinaisons d'idées assez fix
empêché de reprendre la place qu'il occupait dans la société. Cet
état
durant depuis treize ans; il n'est pas hasardé de
ffet, depuis les formes frustes, comme celle de NI. N..., jusqu'aux
états
de démence profonde; les moins affaiblis peuven
dans ses propos, une certaine satisfaction et l'inconscience de son
état
. Il a été malade, il est vrai, mais maintenant
te qu'il ne fait pas droit à ses revendications. 190t Janvier. Même
état
, il insulte, il traite le médecin de canaille,
st resté huit jours sans parler et sans reprendre conscience de son
état
. Il s'est remis ensuite à ses occupations penda
e peu à ses camarades, mais beaucoup tout seul et à voix haute. Cet
état
reste absolument identique durant toute l'année
ièrent de l'intensité lorsque le malade s'excite. - Avril. ? l\Iême
état
. Observation III. C... Marie, cultivatrice, mar
de même d'une façon alter- native. Elle n'est pas consciente de son
état
; la mémoire est assez bien conservée si l'on t
t cela confirme l'évolution de la paralysie générale. Avril. - Même
état
; est taciturne et s'isole des autres malades.
UN CAS DE DELIRIUM TREMENS. q ï'1 taxe elle-même de « délire » l'
état
grave par lequel elle a passé. Comment expliq
tout entier peut être considéré comme composé d'unités nerveuses en
état
de corrélation physio- logique, et dont chacune
es stimulés; et le facteur personnel lui-même peut varier suivant l'
état
de santé ou de maladie du sujet, et suivant la
ment atteints, l'idéation est gro- tesque, confuse et anormale. Ces
états
mentaux relèvent surtout des stimulations visue
aussi ne pren- nent-elles ce caractère que lorsque, par suite d'un
état
patholo- gique, les nerfs sont anormalement irr
s processus de désintégration l'emportent sur ceux d'intégration. L'
état
de nutrition des neurones dépend de diverses circ
sont absorbés comme stimulants pour activer des neu- z roues dont l'
état
de nutrition est défectueux, ils émoussent les.
dernières ramifications de leurs dendrites sont entre elles dans un
état
de continuité organique par REVUE D'ANATOMIE ET
Cette démence consiste en une lenteur des idées, une indolence, un
état
nuageux de l'intellect avec dimi- nution du pou
rémie, les symptômes mentaux et physi- ques pouvant dans ces divers
états
pathologiques ressembler à ceux des tumeurs du
dique et son action de contrôle sur les centres sous-corticaux de l'
état
normal. Supposons maintenant que 1 élasticité d
peut servir à expliquer quelques-uns des principaux phénomènes des
états
post-épileptiques. L'écorce Rolandique est l'or
Troubles généraux communs à diverses maladies (perte de l'appétit,
état
saburral de la langue et constipation, nausées et
du sommeil, sur la nature du sommeil et ses rapports avec d'autres
états
d'inconscience. Un point sur lequel tous les obse
ervateurs sont d'accord c'est l'anémie artérielle du cerveau dans l'
état
de sommeil ; elle est consécutive à la dilatati
t de la comparaison laite par l'auteur entre le sommeil et d'autres
états
d'inconscience se résume ainsi : dans le sommei
ns le coma narcotique, il y a inconscience et insensibilité; dans l'
état
mesmérique (l'auteur préfère ce mot qui ne préc
la fois de la conscience et de la sensibilité. Il y a donc là trois
états
psychiques qu'il faut se garder de confondre. D
illerées à soupe de la solution à 10 p. 100. Dans le traitement des
états
névropathiques simples on peut en général se co
NTES. 49& Le chiffre peut subir des modifications dans certains
états
patho- logiques. Comme on pouvait s'y attendre
t avait été rapide, fébrile, accompagné de troubles importants de l'
état
général et d'albuminurie, comme un début de par
sensibilité. A la période aiguë du début avait succédé une phase d'
état
très pro- longée, le malade était resté infirme
é le diagnos- tic de méningite, avec pronostic fatal. En réalité, l'
état
mental est sous la dépendance d'un trismus, ave
infection buccale permet de triompher rapide- ment du trismus, et l'
état
mental disparait. L'hypnotisme en Russie. M.
l n'en résulte pas SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 que, pendant ce dernier
état
, elle fut totalement inconsciente. Son état sec
que, pendant ce dernier état, elle fut totalement inconsciente. Son
état
second, seul, était impressiouné. Au réveil, c'es
ente. Son état second, seul, était impressiouné. Au réveil, c'est l'
état
prime qui reparaît; et l'on comprend qu'il igno
raît; et l'on comprend qu'il ignore le contenu psycholo- gique de l'
état
second. M. Voisin. Il est curieux de constater
hysiquement et mentalement funeste. Je disais expressément ceci : L'
état
d'incapacité, d'inertie mentale de cette malade
rt du temps, des abouliques. D'autre part, si l'hétéro-suggestion l'
état
de veille donne de si merveilleux résultats, po
ersuggestibilité pathologique que présente cette personne, même à l'
état
de veille. Hommage A LILBEAULT.- La Société pre
s rapporteurs auraient dû, pour la même raison, y inclure aussi les
états
mélancoliquesdes para- lytiques généraux, etc.
patronage n'avait point d'influence bienfaisante, et même souvent l'
état
de ces mala- des empirait. L'amélioration chez
évolution clinique qui évolue à travers des épisodes variés vers un
état
de démence plus ou moins profond; l'affaiblisseme
de. La forme catatonique est essentiellement caractérisée par des
états
de stupeur ou d'agitation où dominent les manifes
e la répétition d'un même mouvement (mouvements stéréotypés). Les
états
de stupeur catatonique sont caractérisés par un e
es, tentatives de suicide. La forme hébéphrénique est un ensemble d'
états
de dépression et d'agitation caractéri-és par d
vertiges, accidents convulsifs. La démence précoce évolue vers un
état
d'affaiblisssement intel- lectuel plus ou moins
formes frustres, on peut observer tous les intermédiaires entre cet
état
et la démence profonde : ce dernier mode de ter
celle de savoir si une modification de la structure du corps, ou un
état
constitutionnel quelconque acquis par un individu
l s'agit de la syphilis dite héréditaire. Ici encore il s'agit d'un
état
constitutionnel acquis, qui influera sur la pro-
de vue de l'héré- dité, directe ou collatérale, de la folie et des
états
connexes. C'est une loi connue que le semblable
n peut dire que l'élément mâle et l'élément femelle sont alors en
état
d'incompatibilité physiologique, mais c'est plutô
de parCdbertUatiet.etDettHH. 9. Nerfs entamés. Voir Menthol. L'
état
des -uculo nlot"urs dalls l'I1pmi- plégie rie
Hotcfl : is, 33R. - ne la main chez un hémiplégique, 418. OEil. L'
état
du fond de 1'- citez les paralytiques généraux,
LFP11QU ? Etude clinique sur les troubles de la conscience dans l'
état
-, par l'IC[¡, 411. PoTT. Cavités médullaires e
ppareils circula- toire et respiratoire, et les organes génitaux. L'
état
général est bon ; le sommeil s'accomplit normal
r; mais la retenue qu'elle s'impose n'est pas sans occa- sionner un
état
de fatigue, d'énervement, qui ne prend fin que
a fatigue ou à la suite de tout effort musculaire. En dehors de ces
états
, on note simplement trois, quatre mouvements géné
ue, qui se transforme presque aussitôt en ligne ondulée. Ce dernier
état
de la contraction répond à la position du pied
ésentent pas de signe d'une lésion quelconque. Non encore réglée. L'
état
mental n'offre aucune particularité; pas d'idées
que les mouvements se produisent sans trêve ni repos, du moins à l'
état
de veille. Cette permanence des mouvements peut
ge électrique, mais aussitôt elle s'éternise, rappelle le muscle en
état
de tétanie, et prend fin d'une manière progress
au, légèrement accidentée, qui rappelle la contraction du muscle en
état
de tétanie (fig. 6, 7); enfin, pour les muscles
e aux prépara- tions ferrugineuses, fait de l'hydrothérapie, et son
état
ne s'est nullement amélioré. Le seul bénéfice d
superposition de deux maladies, de même chez J... elle a créé deux
états
morbides différents : les tics et l'hystérie. E
moins pour ses caractères intrinsèques que pour sa relation avec l'
état
mental du malade. Dans tous les cas une grande
ence des phénomènes persistants des maladies orga- niques ; -4° à l'
état
mental des malades. '1° L'étude du développemen
manifestations très vagues et des phénomènes peu accentués. 4" L'
état
mental de nos quatre malades est bien celui qui
tance et une intensité qui sont tout à fait carac- téristiques de l'
état
mental hystérique. Faut-il voir, dans leur réve
ines circonstances qui démontrent dans nos malades l'existence d'un
état
mental, croyons-nous, très caractéristique et q
s'empara de lui, et pendant trois ou quatre mois il resta dans un
état
très proche de l'aliénation mentale, il avait per
tra- vailler, et ces conditions mentales et physiques revinrent à l'
état
normal. Sa santé se maintint bonne jusqu'au moi
u toucher; en palpant le biceps du bras gauche pour cons- tater son
état
de nutrition, il se produit une flexion brusque d
labié, sur la faiblesse et absence des réflexes tendineux, malgré l'
état
spasmodique des muscles para- lysés ; sur la pr
n patron et ayant vainement cherché une oc- cupation conforme à son
état
physique, la crainte de la misère s'empara de l
bsence absolue de toute atrophie dans les mem- bres paralysés; 2° l'
état
dans lequel se trouve la peau de sa main gauche
plégie hystérique lorsque les membres sont contractures ou dans l'
état
d'opportunité de contracture (Charcot). Du reste,
stériques; de plus, la façon dont ils se sont établis nous révèle l'
état
mental de B..., et comme cet état mental est tr
ils se sont établis nous révèle l'état mental de B..., et comme cet
état
mental est très intéressant à connaître pour no
précision pour ainsi dire 62 PATHOLOGIE NERVEUSE. mathématique l'
état
mental de B...; en outre des stigmates physique
légie con- sécutive. En d'autres termes, en connaissant à présent l'
état
mental de B..., nous avons une puissante raison
vec une de ses mani- festations les plus typiques; à savoir avec un
état
mental très caractéristique, qui a donné origin
u traumatisme. Or, qui pourrait nier que ces deux paralysies et les
états
morbides qui leur ont donné origine sont de la
sme n'a pas d'impor- tance ; c'est l'impression qu'il produit sur l'
état
psychique du malade qui détermine l'apparition
ain que les mé- decins ont dû examiner avec beaucoup de fréquence l'
état
de la motilité dans ses membres gauches, afin d
souffert, occasion favorable pour achever de dominer complètement l'
état
mental de B... Quoi qu'il en soit, nous croyons
ômes, mais il faut les interpréter, en étudiant leur rapport avec l'
état
mental des malades. Seulement, à cette conditio
et M. A. PERON, interne des hôpitaux'. III. ÉPILEPTIQUES DANS UN
ÉTAT
PLUS OU MOINS NORMAL. 18 mai 1892. - Vilm... Po
ant et calculant passablement, était tombée progressivement dans un
état
proche de la démence en dépit du traitement. Il
de janvier dernier, un changement considérable s'est fait dans son
état
. Ses attaques journalières sont devenues des at
ues renseignements, l'expression de la physionomie est animée : l'
état
général est meilleur. Nous avons voulu recherch
s malades, en particulier, les malades gravement atteints dans leur
état
mental paraissent avoir une hypotoxicité consta
t ce ne sont pas les moins atteintes au point de vue mental, dont l'
état
normal est l'hypotoxicité. 6° Le trouble ment
INIQUES, PATHOGÉNIQUES ET THERAPEUTIQUES. Nous venons de voir que l'
état
des urines est différent avant, pendant et aprè
tat des urines est différent avant, pendant et après les accès.-Cet
état
de la sécrétion urinaire au moment des paroxysm
pas tous en revue, mais nous attirerons seulementl'attention sur l'
état
des voies diges- tives. Tous les malades ont la
Les malades sentent qu'ils vont avoir leur accès, et pour eux, cet
état
gastrique est un indice certain de l'imminence
Ils viennent trouver le médecin et lui réclamer une purgation. Cet
état
gastrique a déjà été signalé par plusieurs aute
ons annoncé plusieurs fois à l'avance des accès en cons- tatant cet
état
. Cet état saburral accompagnant l'hypotoxicité
é plusieurs fois à l'avance des accès en cons- tatant cet état. Cet
état
saburral accompagnant l'hypotoxicité des urines
écurseurs et concomi- tants de l'accès convulsif ou du trouble de l'
état
mental ? En tenant compte de l'état urinaire, o
ès convulsif ou du trouble de l'état mental ? En tenant compte de l'
état
urinaire, on doit penser que tous ces troubles
lique la période paroxystique avec son hypotoxicité urinaire et son
état
gastrique. A la fin de cette période paroxystiq
nfin une exagération de la toxicité urinaire avec diminution de l'
état
gastrique. C'est ce qui constitue la fin de la cr
de. Si l'albuminurie complique la sécrétion urinaire comme dans l'
état
de mal, cette élimination des toxines est plus lo
a mort peut survenir dans un laps de temps plus ou moins court. L'
état
du rein dans ces cas, joue un rôle capital. S'il
que certaine. Si sa fonction urinaire a été très troublée pendant l'
état
de mal et si ce trouble fonctionnel persiste lo
sang. Nous avons vu que cette élimination ne s'effectue pas dans l'
état
de mal, qu'elle est retardée par l'albuminurie
-on tenir grand compte de cette albuminurie chez les indi- vidus en
état
de mal. Dans certains cas, elle peut être une c
ns. C'est ainsi qu'elle nous donne l'explication des séries et de l'
état
de mal. L'élimination ne s'effectuant pas, le m
ent avec ferveur et implorent leur guérison. Dans ces conditions, l'
état
mental ne tarde pas à dominer l'état physique.
érison. Dans ces conditions, l'état mental ne tarde pas à dominer l'
état
physique. Le corps rompu par une route fatigant
ce que l'esprit possède sur le corps. Les hystériques présentent un
état
men- tal éminemment favorable au développement
ion indi- quée sur son billet, causer sensément, etc. Le retour à l'
état
cons- cient dans ces crises, d'une durée de sei
efficient urotoxique était d'abord plus élevé chez ce malade qu'à l'
état
normal, puis qu'il avait diminué au sur et à me
e générale, ona- nisme avec les signes habituels du myxoeJème et un
état
de perturbation intellectuelle, l'idiotie. L'au
uantité d'acétone contenue dans l'urine n'est pas en rapport avec l'
état
psychique du malade (dépression, agitation, peu
tente, une relâche bienfaisantes ; comme exemple,;on peut prendre l'
état
psychique des candidats à un concours, à un exa
les idées tendront huit fois sur dix au suicide. Etant admise, à l'
état
normal, l'existence de l'appétence anxieuse, il
ite comment par une exagération tout entière attribuable au mauvais
état
psychique du sujet, cette appétence induit ce d
antité d'acétone contenue dans l'urine, n'est pas en rapport avec l'
état
psychique du malade (dépression, agita- tion, p
relation n'est pas suspendu, ou le malade mâche et avale comme à l'
état
normal, où l'émission des sons est conservée, o
rri- vée à une période avancée et que ne pouvait faire soupçonner l'
état
de rémission dans lequel se trouvait le malade.
fiévreuse reparurent ; la température s'éleva vivement à 42u5. Cet
état
calo- rique dura environ deux heures, puis une
ion étonnée et murmurait invariable- ment « Raiiber » (Robber). Cet
état
durait ordinairement de dix il trente minutes e
suite d'une attaque, est restée plongée pendant trois jours dans un
état
somnambulique. Le premier jour elle a erré dans
ntale différente de sa vie normale. Lorsqu'on met cette malade en
état
d'hypnose, elle revient brusquement à son état
met cette malade en état d'hypnose, elle revient brusquement à son
état
de condition seconde et le souvenir de sa fugue
. 100 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .Lorsqu'on la fait sortir de l'
état
léthargique dans lequel on l'a plongée, elle re
uel on l'a plongée, elle rentre dans l'existence ordinaire avec son
état
mental spécial et tout différent de celui où el
tout différent de celui où elle est quand elle est endormie. Chaque
état
de conscience ne conserve le souvenir que de lu
t de conscience ne conserve le souvenir que de lui-même et ces deux
états
s'ignorent réciproquement. (Annales médico-psya
hyperesthésie, une hyperexcitabilité musculaire et auditive et à un
état
de convulsi- bilité qu'on ne retrouve pas avec
de convulsi- bilité qu'on ne retrouve pas avec l'urine normale. Cet
état
est poussé si loin que, dans l'intervalle des a
urine des malades atteints de stu- peur lypémaniaque, présentent un
état
de stupeur avec inquiétude et apeurement, qui n
ale. L'urine des lypémaniaques donne naissance non seulement à un
état
de résolution plus marqué qu'à l'état normal, mai
naissance non seulement à un état de résolution plus marqué qu'à l'
état
normal, mais encore à de l'inquiétude et àde l'
elle ne se sépare pas de l'atrophie latérale, et on la retrouve à l'
état
de fascicule scléreux dans la pyramide du bulbe
elles sont moins abondantes dans le premier que dans le second. Cet
état
se constate surtout dans la protubérance; la dé
qui les distingue nettement des autres fous; 9° leur conduite à l'
état
libre dans la société; ce qui les distingue des g
'apparaît qu'après les hallucinations, c'est-à-dire, à la période d'
état
de la maladie. L'opinion n'est pas encore fixée
e qui rappelle la démence aiguë), par la mort ou par le passage à l'
état
chronique du reste lui-même curable. Il n'est p
4 De l'indication et du mode d'emploi de l'hydrothérapie dans des
états
d'agitation psychique. Rapporteurs : MM. FUERSTNE
sous-cutanée de chlorure de sodium chez les aliénés sitiophobes en
état
de collapsus. Mémoire publié. Discussion : M. S
. Depuis quatre ans, excitations paroxystiques avec hallucinations,
état
mé- lancolique, dégoût de la famille. Cet état
avec hallucinations, état mé- lancolique, dégoût de la famille. Cet
état
a empiré depuis une maladie intercurrente. L'ex
mène facial. Anesthésie du pharynx. Diagnosis : la combinaison d'un
état
tétanoïde avec l'hystérie qui est cause de cette
lade s'est faite, sans s'en aperce- voir, il y avait trois jours. L'
état
de la malade s'améliora très vite à l'hôpital,
, où il y a combinaison de pied plat avec contracture musculaire. L'
état
de la malade s'améliora de beaucoup après farad
athétérisme journalier, excrétion urinaire libre. Pas d'eschares. L'
état
de santé de la malade n'est pas satisfaisant, ell
a résultante de la représentation men- 1144 BIBLIOGRAPHIE. tale d'
états
agréables ou pénibles, et sont, par conséquent d'
bre de sen- sations actuelles ou naissantes, propres à rappeler ces
états
. Dès lors, les émotions n'étant que des représe
ces états. Dès lors, les émotions n'étant que des représentations d'
états
de cons- cience provoqués par des excitations e
s conditions physiologiques des émotions présentent, aussi bien à l'
état
normal qu'à l'état pathologique, une grande analo
logiques des émotions présentent, aussi bien à l'état normal qu'à l'
état
pathologique, une grande analogie, sinon une si
. Par suite, les agents physiques, qui sont capables de modifier un
état
de conscience d'origine périphérique, sont auss
science d'origine périphérique, sont aussi capables de modifier les
états
de conscience d'origine cen- trale : les signes
nscience d'origine cen- trale : les signes extérieurs de ces divers
états
de conscience peu- vent être étudiés par les mê
ultent des agents physiques et de prouver que les émotions sont des
états
somatiques s'accompagnant d'états de conscience
prouver que les émotions sont des états somatiques s'accompagnant d'
états
de conscience que l'on peut voir se développer
phénomènes physiolo- giques et pathologiques, qui accompagnent les
états
de conscience d'origine soit externe, soit inte
e de l'air, de la pression atmosphé- rique, de la température, de l'
état
hygrométrique, de la tension électrique des ing
effets et est la condition indispensable de la sensation comme des
états
de conscience : interne, même lorsqu'il est purem
t passif, peut s'accompagner des mêmes effets généraux et des mêmes
états
de conscience auxquels il est indissolublement
déterminant, comme toutes les excitations internes ou externes, un
état
particulier de tension musculaire préralable, qui
ui ne sont pas les effets mais bien les conditions physiques de ces
états
de conscience, et qui consistent dans des modif
s de provoquer les mêmes phénomènes généraux et d'épuise- ment, des
états
pathologiques analogues. Sous le coup des condi-
s d'expérimentation. Un point digne de remarque, c'est que dans les
états
d'excitation l'accélération du processus d'asso-
on est toujours peu marquée relativement au ralentissement dans les
états
de dépression. Par suite, l'imagination se trouve
ion avec douleur morale, elles sont l'expression physiologique d'un
état
émotionnel unique, la douleur. La manie dans se
les hémisphères sont indispensables à la production des sensations,
état
de conscience d'origine externe, ils sont bien
otivités sys- tématiques ; aussi importe-t-il d'étudier avec soin l'
état
somatique du sujet pour chercher à découvrir d'
ste pas une cause de dépression étrangère au' système nerveux ou un
état
dépressif curable de ce système, Considérer tou
eux ou un état dépressif curable de ce système, Considérer tous les
états
émotifs comme des stigmates de dégénérescence,
nfant au moment où sa mère cherchait à l'étrangler. L'enfant dont l'
état
est très grave, a été conduite à l'hospice des
supérieurs, dont l'évolution plus ou moins progressive, jointe à l'
état
spasmodique des membres inférieurs, à certains
-Duchenne, soit à la sclérose latérale, si elle s'accompagne d'un
état
spasmodique suffisamment accentué. Jetez les ye
c'est-à-dire huit jours après. Il était alors exac- tement dans l'
état
où nous le voyons aujourd'hui. L'a- Fig. 15 et
ut rejeter tout d'abord l'hypothèse d'une lésion né- vritique que l'
état
des réflexes tendineux et la con- tractilité él
othèse et poursui- vons l'examen de notre sujet. Si nous étudions l'
état
des différentes régions et en particulier des m
par le médecin du régiment qui ne remarqua rien d'anormal dans son
état
de santé. Histoire DE la maladie. Il y a deux m
de la phonation ni de déglutition. Les lèvres et la langue sont à l'
état
normal. Pas de troubles du côté des sphincters.
anesthésie tactile et musculaire » . Et Pierre Marie 2 : « Dans cet
état
, la vue est d'un grand secours au malade pour r
oscillations. » Toutes ces constatations de terreur, d'anxiété, d'
état
moral, tout cela n'indique-t-il pas cette sensa
ement, de façon à présenter un rebord assez volumineux. Face. A l'
état
de repos, le front se présente assez lisse sans
de ce muscle entre l'acromion et la tête de l'humérus et, même à l'
état
de repos, on constate une dépression. Nous avon
ls- chewnikoff, losenlieim, Arnold, Stadelmann et Nonne) dans des
états
pathologiques différents. ' Il est d'avis, et K
aient échappé à d'autres, de ce que M. Renaut les a rencontrées à l'
état
physiologique chez les solipèdes, enfin de ce q
ipèdes, enfin de ce que les observateurs les ont signalées dans des
états
patho- logiques qui n'ont rien de commun, il es
de cellules), constitueraient un appareil organique qui existe, à l'
état
normal, dans les nerfs de l'homme, et qui dériv
s étant devenues adultes, les noyaux des cellules passeraient à l'
état
de cellules invisibles ou cellules sommeillantes
a musculaire perdant ses qua- lités de différenciation, revient à l'
état
de protoplasme ordi- naire, et aussitôt les cel
des lésions pour- rait être interprété de la façon suivante. A l'
état
normal, le tissu conjonctif des muscles est remar
arcoplasma et le tissu interstitiel qui possèdent en raison de leur
état
de moindre différenciation - une énergie de nu-
t ce que j'appelle le labyrinthisme. ,)Il) pathologie nerveuse. L'
état
de souffrance de l'oreille interne, que j'appelle
ariés, depuis le grand accès' de vertige, dit de Ménière, jusqu'à l'
état
subvertigineux, qui ne reconnaît qu'un mode d'é
migraine, des angoisses et des terreurs au moindre ébranlement, un
état
d'émotivité remarquable, d'anxiété pénible, ave
ardive, antécédente ou consécutive aux attaques, aux malaises; un
état
de dépression mentale, d'incapacité intellectuell
résistait. Né de la lésion voisine, il durait sous l'influence de l'
état
neurasthénique créé par l'épidémie. L'observation
ai, retour de l'écoulement léger, et la surdité revient totale. L'
état
général, au lieu de s'améliorer, s'aggrave rapide
llet même année, l'audition primitive se rétablit, tout renaît et l'
état
général se relève. En janvier 1892, nouvelle éc
ups, ces oscillations brusques sont absolument caractéristiques des
états
névropathiques et il m'est arrivé fréquemment d
x ans et plus, maux d'es- tomac et diarrhée continue, maux de fête;
état
amélioré par le Dr Tapret, au moyen du régime l
par les douches froides suivi d'une excellente amé- lioration de l'
état
général, de la disparition des battements, des
es troubles subjectifs de l'ouïe s'observent encore dans les divers
états
dyscrasiques, cachectiques (albuminurie, diabète,
s symptômes auditifs per- sistent et progressent, entretenus par un
état
neurasthénique, soit par une affection utérine
te et à gauche. La quinine est reprise, mais reste insuffisante; un
état
utérin (pertes, écoulements, douleurs, etc.) tr
il de conduction et la fonction auditive n'avaient pas gardé leur
état
normal. L'otite ancienne a laissé ici un point fa
au début, il n'y avait aucun signe objectif. J'ai déjà dit que ces
états
d'éréthisme sont fréquem- ment des signes prémo
prémonitoires de la surdité par sclérose, plus ou moins rapide. Ces
états
spasmodiques, véritables névroses labyrinthique
86 est un cas de ces névroses labyrinthi- ques associées à tous les
états
de souffrance de la neuras- thénie, l'ouïe rest
une émotive, et une épuisée dont tous les centres ner- veux sont en
état
de souffrance. Un traitement général, les prise
ée, violacée, noirâtre par places. La figure 18 donne une idée de l'
état
de la lèvre à ce mo- ment, mais une idée incomp
). Celte affection avait été précédée du- rant plusieurs jours d'un
état
mental tout particulier et bizarre. « Il s'arrê
quemment sur ' lui-même. Il reconnaît ses parents, mais est dans un
état
intellectuel des plus bas. Gâteux jour et nuit,
et tourne plusieurs fois sur lui-même lorsqu'il veut avancer.. Son
état
intel- lectuel est très bas. Il ne parle pas, c
des mains. ' . , 1888. Juillet. Pas de modification notable de son
état
. Déve- loppement physique peu accentué. Léger d
cules sont de la grosseur d'un oeuf de pigeon. 1890. Juillet. - Son
état
intellectuel n'est pas sensiblement modifié. Se
se masturbait continuellement. Au bout de quelques semaines, son
état
s'est amélioré, il sourit, obéit à quelques ordre
naissance avant terme, sont plus que suffisants pour expli- quer l'
état
psychique de notre malade. Les accidents convulsi
ningite chronique ou sclérose des circonvolutions). D'autre part, l'
état
rudimentaire de son intelligence, les mou- veme
olonté est fréquent chez les idiots, il offre une similitude avec l'
état
des hypnotisés, qu'il serait intéressant de com
r à nombre de nos malades, que l'on peut si facilement suggérer à l'
état
de veille. Nous nous réser- vons du reste, à pr
imbécillité et la folie morale, diminution de la toxicité. Dans les
états
.consécutifs aux accès épileptiques, ce fut la di
veux suffit chez lui à provoquer l'organe vénérien. G. D. XXV. DE l'
état
sain DE L'ESPRIT ; par le D'' 13UCRE. L'auteur
e la vérité objective que ne le sont les soi-disant conditions de l'
état
mental sain. M. Bucke cite quatre points sur le
s aux aliénés; par le Du GoDDING. A propos de la récente loi de l'
état
de New-York, qui déclare les aliénés pupilles d
ue la première condi- tion dans les effets hypnotiques doit être un
état
mental personnel au sujet : par suite d'un trou
soit guidée et surveillée par une force influente supérieure : à l'
état
de veille, un acte de volition stimule l'activi
s par la capacité automatique de l'attention organique aussi dans l'
état
mental normal de l'homme, beaucoup de mouve- me
t le raviver pourvu qu'une impulsion exacte lui soit donnée. Dans l'
état
hypno- tique dans lequel l'attention rationnell
ipp, dont 130 exécutées par Bechterew lui-même, sur trois femmes en
état
de suggestion hypnotique amhulatoire (deux gran
une petite hystérique). Conclusions. 1° Les malades en question à l'
état
de veille, se sentant en bonne santé, présentai
êmes opérations intellectuelles chez les individus sains. 2° Dans l'
état
hypnotique il faut, par rapport à l'état de veill
individus sains. 2° Dans l'état hypnotique il faut, par rapport à l'
état
de veille, un temps plus grand pourla réaction
es et celui de l'association des conceptions est moindre que dans l'
état
de veille chez les mêmes individus. 3° Chez ces
opérations intellec- tuelles sus-désignées se font plus vite dans l'
état
hypnotique quand on leur suggère de se presser
t de l'association conceptuelle, elle le rend plus court que dans l'
état
de veille. Elle abrège le temps de la réaction si
temps d'élection mais ne le rend pas toujours plus court que dans l'
état
de veille, avant l'hypnotisme. 5° Invariablement,
ns l'état de veille, avant l'hypnotisme. 5° Invariablement, quand l'
état
nerveux des sujets s'aggrave (accès d'hystérie an
nt naturellement la part des complications, de la sitiophobie, de l'
état
de la digestion, de la constitution, de l'âge,
ispensables, une certaine contraction musculaire plus marquée que l'
état
de tonicité ordinaire. G. D. XX. DE LA PACHYM
re le linteau d'une porte. Quelques jours après, il tombait dans un
état
mélancolique avec périodes d'exci- tation par i
un état mélancolique avec périodes d'exci- tation par intervalles,
état
qui nécessita son placement dans un asile d'ali
ut être tenue pour un exemple particulièrement caractéristique d'un
état
de faiblesse psychomotrice. Or voici trois fait
de symptômes appartenant à cette maladie, il vaut mieux attribuer l'
état
des phalangettes à une stase produite par des l
qu'ici démontré l'existence de l'atrophie dégénérative des muscles (
état
graisseux), de la dégénérescence des racines an
l la névroglie a proliféré à un degré extrême. On a déjà décrit cet
état
anatomique sous le nom de gliose. M. J. STEINER
extenso '.) M. FREUND présente des schémas destinés à enregistrer l'
état
de la sensibilité. On les trouve chez Hirschwal
téguments externes cons- tatée en même temps que ce symptôme, et l'
état
du pouls (petit et contracté), on peut en concl
lors ont forcé l'auteur à le revoir pour le mettre au courant de l'
état
actuel de nos connaissances. Mais le fond est r
BIBLIOGRAPHIE. 305 d'un autre symptôme hystérique, celle de divers
états
morbides, tels que les fièvres graves, celle du
ure hystérique permanente se subdivisant en deux variétés suivant l'
état
d'anesthésie ou d'hy- péresthésie de la peau; 2
umée de la sortie de l'alcoolique, l'asile adresse un rapport sur l'
état
du malade aux fonctionnaires qui l'ont fait séq
ation n'ait été avertie du fait qu'après l'accouchement; mais, en l'
état
actuel des choses, il croit qu'il n'y a qu'à la
suite d'affaires d'amour, les autres, à ce que l'on croit, dans un
état
de démence momentanée causée par la chaleur. LE
uel. Malade d'apparence vigoureuse, fortement mus- clé. d'excellent
état
général. Intelligent, renseigne bien sur les di
de de ce malade (tendon du tri- ceps) sont un peu plus forts qu'à l'
état
normal, mais égaux des deux côtés, sans qu'on p
nsi améliorée, il sort au moins de mars de la Salpêtrière, mais cet
état
ne dura pas longtemps, car d'après une lettre q
de sorte que M. Charcot a pu montrer le malade, dans une leçon, en
état
complet de pa- ralysie, et dans la leçon suivan
leçon, en état complet de pa- ralysie, et dans la leçon suivante en
état
d'amélioration très considérable. C'est là un f
re pendant plus de six mois n'ont produit aucun changement dans l'
état
du malade. Les mouvements de l'articulation du po
chambre ou sur son lit, faisait quelques promenades au dehors. Cet
état
de faiblesse dura trente jours environ. Eut-il
tit un liquide séreux presque clair. Au bout de trente jours de cet
état
de malaise et de faiblesse générale, il voulut es
19 mai 1892, sans qu'un notable changement se fut produit dans son
état
, a quitté le service. Les limites de la zone an
n survint, n'é- pargnant dans sa marche que la face; c'est dans cet
état
que ce jeune garçon succomba à seize ans, La pl
ères; signalons aussi des épis- taxis fréquentes et abondantes. Cet
état
continue à s'aggraver durant l'année 1890, et a
r-là (fig. 45 et 46). Un simple coup d'oeil suffit pour constater l'
état
d'amaigrisse- ment considérable que montrent le
maintenir sa position verticale les mêmes liens dont elle jouit à l'
état
normal, puisse se déformer, et cette déformatio
chez ce myopa- thique, ou bien n'est que la conséquence du mauvais
état
de nutrition que la maladie a peu à peu entraîn
uvoir donner à ces considérations une base anatomique, rechercher l'
état
des rachis et des centres ner- veux ; des circo
cependant que son champ visuel reste comme auparavant rétréci. L'
état
d'une santé relative dure jusqu'à trois semaines
pour céder à une contracture généralisée après laquelle suivait un
état
d'af- faiblissement et perte de conscience. Sou
ement général des facultés, autrement dit le dynamisme mental; 2° l'
état
des mouvements volontaires. Tout d'abord s'impo
s mouvements volontaires. Tout d'abord s'impose la distinction de l'
état
mental général et des symptômes plus en relief
maux, et qui exigent l'emploi de moyens accessoires. Au-dessus de l'
état
général, qui est à peu près fixe et constant, a
rification immédiate. En fait toutes ces obsessions sont liées à un
état
émotif, s'accompagnent des mêmes phénomènes d'a
ons, les idées tardives de suicide ne font partie intégrante de cet
état
morbide, les tentatives de suicide de ces ma- l
ment puériles et saus résultat. - Tous ces symptômes surajoutés à l'
état
général fondamental va- riant avec chaque malad
tres fois, le début est graduel et le malade entre d'emblée dans un
état
qui ressemble à celui du délire alcoolique subaig
mble à celui du délire alcoolique subaigu. Il peut y avoir aussi un
état
de stupeur très marqué avec ou sans phéno- mène
maladie; 2° guérison avec léger airai- blissement des facultés; 3°
état
chronique de démence; 4° mort après marche aigu
uë ou chronique, le plus souvent par pneumonie, phtisie, marasme ou
état
de délire aigu. Au point de vue de l'aaa- tomie
gu. Au point de vue de l'aaa- tomie pathologique, on trouverait des
états
d'anémie, d'oedème céré- bral avec trouble des
les qui paraissent reliés plus ou moins aux hallucinations. Sur cet
état
de stupidité viennent se greffer des accès d'ag
s'accordent pour reconnaitre que cette maladie csttaconséqucnced'un
état
d'épuisement cérébral qui amène un état de faib
aladie csttaconséqucnced'un état d'épuisement cérébral qui amène un
état
de faiblesse irritable du système nerveux centr
ir un rôle étiologique. Les auteurs les plus récents attribuent cet
état
au résultat intime d'une infection ou auto-into
monde extérieur, il y a d'abord toujours un parallélisme entre l'
état
d'agitation motrice et l'idéorrhée ; les hallucin
un trouble aussi profond de la conscience ni de perturbation dans l'
état
somatique ; le délire d'emblée est le plus souv
e diagnostic. Pour le délire aigu, le moment de son apparition, l'
état
grave, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 la te
r le Dl' E. LOURENT. Il existe chez certains criminels, à côté d'un
état
de débilité intel- lectuelle, un état de débili
rtains criminels, à côté d'un état de débilité intel- lectuelle, un
état
de débilité volitiouuclle qui les met dans un éta
l- lectuelle, un état de débilité volitiouuclle qui les met dans un
état
d'infériorité notoire, lequel ne leur permet pa
classification des criminels en deux grandes catégories, d'après l'
état
de leur vo- lonté : les inertes et les impulsif
e la volonlé, et le rôle de la suggestion soit hypnotique, soit à l'
état
de veille, l'auteur reste persuadé qu'on peut,
e, soit à l'état de veille, l'auteur reste persuadé qu'on peut, à l'
état
de veille, aveugler la raison et abuser la volo
laisser le champ libre à l'au- tomatisme, et de rendre possible à l'
état
de veille de véritables auto-suggestions crimin
r¡IlC8 , déc. 1892.) E, B. XXXV. Modifications 013SERN iES dans l'
état
mental DE certains ALIÉNÉS ATTEINTS DE CHOLÉRA;
le D1' Camuset de faire plusieurs observations intéressantes sur l'
état
mental des aliénés atteints. 1° Etats maniaques
s maniaques. - L'attaque cholérique a toujours fait dis- paraître l'
état
maniaque quelle que fût l'intensité, quelle que f
exception : le choléra a toujours fait disparaître temporairement l'
état
maniaque ainsi que les délires non systématisés
Etats mélancoliques. - L'influence de l'attaque de choléra sur les
états
mélancoliques, n'a été ni aussi profonde, ni surt
s, n'a été ni aussi profonde, ni surtout aussi générale que sur les
états
maniaques. Dans un cas de mélancolie chronique,
roduit un effet semblable à celui qu'elle produit toujours dans les
états
maniaques. Mais, en général, la maladie tendait
s. Mais, en général, la maladie tendait plutôt à accroître encore l'
état
de dépression. Les malades tombaient vite en pr
etc. - Un seul para- lytique général fut atteint du choléra et son
état
mental, déjàtrès mauvais, ne fut nullement modi
es. L'attaque cholérique fait disparaître temporaire- ment tous les
états
maniaques, modifie peu les états mélanco- lique
paraître temporaire- ment tous les états maniaques, modifie peu les
états
mélanco- liques, fait disparaître les délires v
s et les déments avancés, se rendaient compte de la gravité de leur
état
et envisageaient la mort avec résignation, sauf
ions délirantes cessent. Mais la cessation du délire et l'excellent
état
de ses facultés intellectuelles, n'empê- chent
f. Il est difficile dans les cas nombreux où elle n'apparaît qu'à l'
état
d'intervention; on a pu la confondre avec la lé
et la mieux caractérisée, ou bien succéder, pour le terminer, à un
état
mental pathologique antérieur. Parmi les formes
orme cependant une classe à part. Il lui faut pour se développer un
état
d'invalidité cérébrale, résultant d'un épuiseme
ut non seulement par un trouble de l'aperception, mais aussi par un
état
émotionnel (peur) qui petit à petit envahit tout
des criminels éventuels. On les traite, cependant, et on les met en
état
de jouir, sans inconvénient pour personne, d'un
'insuffisance des doses prescrites. 3° L'action du médicament sur l'
état
général somatique a con- sisté dans le relèveme
nt de la nutrition et la production du som- meil normal. 4° Sur l'
état
mental, le médicament a agi en modifiant et en
uant les symptômes pénibles ou violents et en hâtant le retour à un
état
analogue à un commencement de convalescence. 5°
maladie : tout d'abord, il n'y a que des secousses accompagnant un
état
émotif; puis le malade passe à la manie ou il l
ection intercurrente à laquelle l'a singulièrement prédis- posé son
état
de paralysie : la plus commune de ces maladies te
blée. Depuis deux ans il ne s'est produit aucun changement dans son
état
. Cette jeune femme n'a pourtant que vingt-cinq
hiatrie, de Saint-Pétersbourg. L'auteur s'est atta- ché à étudier l'
état
des fibres d'associalion dans l'écorce cérébrale
juin 1892. - Présidence de 11. ZIXN, aîné. M. Zirrrr explique què l'
état
de santé de M. Loehr aîné a engagé le bureau à
et essentiellement clinique, présente l'histoire de la manie et des
états
maniaques dans les di- verses formes mentales.
ns, il n'y a jamais de fièvre, à moins de complication organique. L'
état
de fureur maniaque, signalé parles auteurs comm
Outre la guérison, qui est très fréquente, la manie peut passer à l'
état
chronique qui se termine par la démence. Rarement
le signe extérieur par lequel ce trouble se manifeste : c'est à ces
états
qu'il faut attacher la dénomination d'état maniaq
manifeste : c'est à ces états qu'il faut attacher la dénomination d'
état
maniaque : ces manies secondaires sont à la man
manies secondaires sont à la manie franche aiguë ce que sont les
états
symptomaliques aux états idiopathiques. Les éta
t à la manie franche aiguë ce que sont les états symptomaliques aux
états
idiopathiques. Les états maniaques, dont le tab
ce que sont les états symptomaliques aux états idiopathiques. Les
états
maniaques, dont le tableau rappelle de plus ou mo
e des services pour calmer l'agitation. Enfin, il faut surveiller l'
état
général et par suite l'alimentation du malade.
sans données psychologiques dif- férentes et sans s'inquiéter de l'
état
mental provoquant la sugges- tibilité, peut agg
de l'état mental provoquant la sugges- tibilité, peut aggraver cet
état
mental tout en semblant modifier avantageusemen
ie a ouvert une enquête, et plu- sieurs paysans ont déjà été mis en
état
d'arrestation. (Petit TroyenT 8 février 1893.)
ets; 50 ils n'ont habituellement pas sur la santé générale et sur l'
état
mental des sujets qui en sont atteints le reten
ol psyclological medicine de Hack Tuke, 1892. si L. Laurent. -Des
états
secozds, Variations pathologiques du champ de l
ent par l'isolement et les influences morales qui modifiaient non l'
état
physique mais l'état mental pathologique de l'h
les influences morales qui modifiaient non l'état physique mais l'
état
mental pathologique de l'hystérique. Cette conc
e est une psychose et que la modification qui la caractérise est un
état
maladif de l'esprit'. » Mais ces modifications
inon chez toutes au moins chez la plupart des hystériques, et ces
états
artificiels peuvent présenter tous les caractères
u phénomène essentiel qui caractérise les somnambulismes; comme ces
états
sont extrêmement nombreux et variés, on constat
pas dans l'autre. Nous avons essayé de montrer autrefois que « l'
état
somnambulique ne présente pas de caractères qui l
déterminé que par rapport à un autre moment de la vie du sujet, à l'
état
normal ou l'état de veille ». L'oubli de tout c
rapport à un autre moment de la vie du sujet, à l'état normal ou l'
état
de veille ». L'oubli de tout ce qui s'est passé p
qui s'est passé pendant le somnambulisme quand le sujet revient à l'
état
normal, malgré toutes les complications que ce
erdus réap- paraissent quand le sujet se retrouve de nouveau dans l'
état
anormal et cette amnésie, suivie d'un retour pé
iodique des souvenirs, établit une sorte de scission entre les deux
états
. Un individu qui est vraiment somnambule vit de
ultat, la manifestation d'un dédoublement de la personnalité. Cet
état
est provoqué de diverses manières : quelquefois,
nambulisme de tel ou tel malade : l'une entrera rapidement dans cet
état
parce que je lui touche le front, une seconde p
n seulement les longues pé- riodes de la double existence, mais des
états
de durée très courte pendant lesquels le malade
de l'hystérie, ce sont les rap- ports étroits qui existent entre l'
état
somnambulique et l'at- taque hystérique proprem
Salpêtrière. Les sujets, disions-nous, passent très facilement d'un
état
à l'autre, de la crise au somnambulisme ou réci
nt =. La mé- moire qui est ici si importante présente dans ces deux
états
un caractère essentiel, elle est réciproque : l
qu'il retrouve nettement les sou- venirs de l'attaquer Ce sont deux
états
dont les caractères généraux sont tout à fait c
t provoquée par un phénomène psychologique qui est associé avec l'
état
émotif, l'idée fixe, le rêve constitutif de la se
u nom que je leur ai donné pendant le somnambulisme pour amener l'
état
de somnambulisme complet 1. On pourrait faire l
aptitudes, les mêmes paroles, il obéit aux mêmes signes, change d'
état
suivant qu'on le touche ici ou là. Si l'opérateur
l'attaque d'hystérie vulgaire est la reproduction automatique d'un
état
émotionnel ancien. On peut le constater en exam
question ici des va- riétés, ni des difficultés de détail, « de ces
états
de somnam- bulisme variés dont chacun amène le
us souvent encore, nous avons constaté que le sujet dans tel ou tel
état
hypnotique retrouvait complète- ment la mémoire
psychologique assez délicate qui était alors très peu comprise. « L'
état
incomplet de la personnalité première, dit-il, co
c- toral 3, montre le grand rôle que jouent chez l'hystérique les
états
secondaires et les phénomènes subconscients, et l
oujours. Il faut cependant constater que souvent le malade dans son
état
normal ignore cette idée provocatrice qui ne se
vocatrice qui ne se retrouve net- tement que pendant les périodes d'
état
second naturelles ou provoquées et c'est précis
e de son idée ' Jules Janet, op. cil., p. 622. s L. Laurent. De l'
état
mental des hystériques d'après les théories psy
rchives cliniques de Bordeaux, septembre 1892.) 3 L. Laurent. Des
états
seconds, variations pathologiques du champ de l
de conscience anormaux qucnous proposons de réunir sous le nom ^d'
états
hypnoïdes constitue le phénomène fondamental de c
es nou- velles peu rassurantes qu'il reçoit ne font qu'aggraver son
état
; aussi souvent « se trouvet-il à pleurer ». C
in gauche. Le tremblement est ici très net. La figure 5, répond à l'
état
du malade, lors de son arrivée à Bigorre, la li
ordiale dont les modalités sont régies par l'âge des malades ? En l'
état
de nos connaissances, il serait téméraire de co
llent sédatif, recommandable surtout chez les femmes, dans tous les
états
d'excitation psychique ou motrice accompagnant
e dans.la manie aiguë. Dans les formes de manie chronique, dans les
états
d'agitation, aux arrêts de développement ou à la
iode, il y eut pendant deux mois une amélioration très marquée de l'
état
mental en même temps que les troubles de la mot
ont activées et, par suite, l'élimination des produits toxiques ; l'
état
général de la nutrition s'améliore notablement.
cence, aucun antécédent héréditaire. Il croit pouvoir rattacher son
état
pathologique à un affaiblissement gé- néral rés
tion du développement de l'intelli- gence, on peut admettre que les
états
convulsifs, en entravant l'attention, favorisen
tés intellectuelles s'est terminé assez rapidement par un véritable
état
de démence. G. D. 458 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
durée très courte, ayant disparu brusquement pour faire place à un
état
d'automa- tisme mental, avec amnésie complète d
culaire. Plusieurs formes d'aliénation mentale se sont montrées à l'
état
de conséquence de la grippe épidémique, et il e
s confrères la communication de nouveaux faits. R. M.-C. LXXIX. DES
états
asymétriques QUI SE RENCONTRENT dans la face DE
tômes de paralysie du mouvement qui produi- sent l'asymétrie et les
états
pathologiques cérébraux qui, dans cer- tains ca
complissement des modifications physiques qui accompagnent certains
états
émotifs et qui peuvent éventuellement se manifest
raient pas « gorie, ils indiquent du moins qu'il y a entre ces deux
états
de « nombreux points de contact. C'est ainsi qu
et les lésions de la sensibilité. It faut-remarquer toutefois que l'
état
de démence de la malade a pu faire passer inape
ode d'excitation; le coeur était hypertrophié, gras, le myocarde en
état
de dégénérescence. La rupture occupait la paroi
onnaître que si le milieu ambiant paraît agir défavorablement sur l'
état
mental, si les ressources du traitement à domic
hypnotisme et il m'a montré comment on peut provoquer brusquement l'
état
cataleptique au moyen d'un bruit violent et sou
résultat. Mais on a vu des cas où le même phénomène s'observait à l'
état
de veille, sans intervention hypnotique. Aussi Ta
s intervention hypnotique. Aussi Tamburini pense-t-il que, dans ces
états
hystériques très accusés, l'hypno- tisme déterm
mplexité et de perfectionnement des phé- nomènes qui accompagnent l'
état
hypnotique. En partant de ce point de vue, on v
; mais il n'est guère possible de ne pas admettre la réa- lité d'un
état
psychique provoqué lorsqu'on voit les succès que
tifique de l'école de la Salpêtrière, et mériterait plutôt le nom d'
état
cataleptoïde ; et quant à l'action de l'aimant, l
ecins dans un but thérapeutique. R. DE Musgrave-Clay. LXXXVIII. L'
ÉTAT
DE RÊVE ET LES FAITS PSYCHIQUES QUI L'ACCOMPAGNEN
ENT ; - - par le Henry SlIfITH-`V1LLIAM. 11 faut distinguer trois
états
d'âme : l'état de veille, l'état de som- meil p
le Henry SlIfITH-`V1LLIAM. 11 faut distinguer trois états d'âme : l'
état
de veille, l'état de som- meil profond et l'éta
V1LLIAM. 11 faut distinguer trois états d'âme : l'état de veille, l'
état
de som- meil profond et l'état de rêve interméd
is états d'âme : l'état de veille, l'état de som- meil profond et l'
état
de rêve intermédiaire entre les deux autres. RE
entre les deux autres. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 467 - Dans l'
état
de sommeil profond, les vibrations du cerveau qui
if sont assez faibles pour ne pas affecter la mé- moire. - Dans l'
état
de veille, au contraire, les vibrations sont cons
ions sont conscientes et peuvent être rappelées à notre esprit. L'
état
de rêve ne diffère de l'état de veille que par le
uvent être rappelées à notre esprit. L'état de rêve ne diffère de l'
état
de veille que par le faiblesse de certaines vib
Si le rêve, à première vue, diffère des opérations de l'esprit à l'
état
de veille, ce n'est pas que l'esprit manque d'u
c'est que les idées intermédiaires dont nous sommes conscients à l'
état
de veille nous échappent pendant le rêve. Si no
caractères du cheval puis de l'oiseau. Une autre différence de l'
état
de rêve et de l'état de veille, c'est que, pend
puis de l'oiseau. Une autre différence de l'état de rêve et de l'
état
de veille, c'est que, pendant celui-ci, certain
t que nous pouvons en rêve perdre notre personnalité. En somme, l'
état
de rêve est en tous points comparable à l'état de
nnalité. En somme, l'état de rêve est en tous points comparable à l'
état
de veille sauf que certaines vibrations du cerv
ent toutes les autres. Certaines folies ne sont autre chose que l'
état
de rêve prolongé pendant la veille; telles sont
llusion. Le génie est une rup- ture partielle d'équilibre, c'est un
état
anormal. La tendance de la race doit être vers
ersti- tielle : oedème considérable, coeur très hypertrophié. Comme
état
mental : stupidité avec des périodes d'excitati
le, les cy- lindres épithéliaux avaient disparu de son urine et son
état
phy- sique et mental était excellent. 3° Méla
un petit nombre de cylindres hyalins. Pas d'cedème. Un an après,
état
mental très amélioré et plus de signes de néphr
hyalins. Coeur normal. En quelques mois, l'oedème dis- paraît et l'
état
mental se guérit. 6° Mélancolie avec idées de s
lut à la dégénères-, cence mentale, c'est-à-dire à l'existence d'un
état
psychopathique qui doit être considéré non comm
un jour, elle était déprimée, un autre jour, elle était en parfait
état
. L'ensemble de la maladie dura ainsi deux ans e
v à l'ouverture de la so- ciété. Ce discours est intitulé : « Sur l'
état
actuel des connais- sances neurologiques et sur
r les documents de l'expertise, prétendaient que l'inculpé a agi en
état
de somnambulisme hystérique ou épileptique, ce qu
immédiatement prévenu, on ne put parvenir à la faire sortir de son
état
léthargique qui a duré pendant toute la journée d
une affection des canaux semi-circulaires, par Ioos, 276. Esprit,
état
sain de l'- par Bucke, 25 f. Face, asymétrie
sistance éleotrique du corps, par Frey et Windscheid, 108. RÉI E,
état
de-, par Smith William, 466. Rumination chez
r 15. Tout le pénil est couvert de poils noirs et assez longs. Même
état
de la vulve. 1900. Janvier. Puberté. Le sein dr
e 20 sur 17, aréoles bien dessinées, mamelons bien développés. Même
état
du système ', pileux. Grandes lèvres un peu plu
aiblissement de la mémoire depuis qu'elle a ses vertiges. Tel est l'
état
de la malade au moment et dans les premiers temps
paisses. Petites le-, vres normales. Clitoris assez développé. Même
état
de l'hymen et de la région anale. Décembre. E
appris la'] Ï mort de son père. ' ' 1900. JetKUte ? Pu6e ? ? Même
état
des aisselles. Seins, 25 sur' 18 à droite, 24 s
1 - La valériane a été vantée comme un remède à une infi-, nité d'
états
morbides; mais le grand nombre de ses échecs a
que seconde un poids de 3 kilogrammes. Rappelons qu'en général, à l'
état
normal, une première série faite après repos co
ment très vif et virevol- tant constamment sur eux-mêmes, puis, à l'
état
d'unités ou en plus ou moins grand nombre, des
sont localisées ces soi-disant sensations mus- culaires. Il y a des
états
pathologiques du muscle, atrophie, etc., mais,
a des états pathologiques du muscle, atrophie, etc., mais, dans ces
états
, bien qu'il puisse exister de la rigidité, il n
'exemples de sens musculaire proprement dit ; 3° des muscles mis en
état
de tension par un choc électrique, par des irri
vision ; jamais il n'a manifesté la moindre émotion à ce sujet. Son
état
morbide n'avait, semblait-il, pas pénétré dans sa
s farces des garçons cordonniers de Berlin. Ceci contrastait avec l'
état
piteux du malheureux. Il avait en réalité conse
l était devenu d'une douceur, d'une insouciance remar- quables. L'
état
des yeux est tout aussi intéressant. L'étude anat
ite optique bilatérale compli- quée d'hémorragies. La cécité et l'
état
du fond de l'oeil qui, au début, pouvait fort b
ollissement siégeant très probablement dans le cerveau antérieur. L'
état
des yeux ne s'y rattachait plus. On opina pour
gnement puisqu'il permet de mettre en évidence la différence dans l'
état
des réflexes sur un même malade de chaque côté
et des encéphatites déjà décrites. Elle doit être différenciée de l'
état
criblé du cerveau de Durand Fardel qui est un a
comme telles ? Un arriéré, même un arriéré placé au voisinage de l'
état
normal, est souvent devenu ainsi parce que une lé
eureusement pas rare que des sujets qui étaient en bas- âge dans un
état
de déchéance navrante présentent dix ans après
sensitifs et ataxie ; 2° le syndrome des cordons antéro-latéraux :
état
paréto- spasmodique, contractures et tremblemen
el ; 3° le syn- drome associé des cordons postérieurs et latéraux :
état
ataxospa- smodique ; 4° le syndrome des cornes
ureau. 70 VARIA. Discussion de la 110 question du programme : Des
états
anxieux' dans les maladies mentales. Rapporteur
ande sera accompagnée de l'acte de naissance du pos- tulant, de ses
états
de service et d'une note résumant ses titres et
à bras au bureau central où il reçut les soins que récla- mait son
état
. Le pauvre malheureux, ayant enfin recouvert l'us
point découvert. Le journalier a été transporté à l'hôpital dans un
état
très grave. (Bonhomme Normand n° G, 1902). Dans
son arrivée, une sensible amélioration s'étant pro- duite dans son
état
, il est rentré à l'hôtel. (Petit Var du 21 novem-
la contraction muscu- laire ; enfin ils ne sont pas superposés à un
état
de spasmo- dicité latent ou patent du bras et d
ur au niveau du noyau rouge. Un dernier point reste à analyser, l'
état
du tonus muscu- laire. D'après une théorie réce
ment les con- ditions de la deuxième supposition. Quel était donc l'
état
du tonus musculaire chez lui ? Nous l'avons tro
bien tendue, la tête est recouverte de petits cheveux bruns. A l'
état
de repos, l'enfant a la tête agitée d'un petit tr
nd par des crises épileptiformes survenues de bonne heure et par un
état
de faiblesse relative qui permet le facile enva
dents méningi- tiques mortels sont les seules manifestations de cet
état
morbide si apparent chez quelques membres de la
ment se font dans le sens transver- sal. On constate aussi un léger
état
de spasticité et de la trémuia- tion des mains.
es présentés par les précédents malades, il, est loin d'exister à l'
état
isolé. Den... a de l'instabilité motrice au dir
réflexes des membres supérieurs sont également plus marqués qu'à l'
état
normal. Il n'a pas de tremble- ment fibrillaire
de malades' chez lesquels le tremblement bien loin d'exister à l'
état
isolé, occupe seulement la première place d'un sy
LOGIE NERVEUSE. qu'il existe parfois à titre de symptôme isolé, à l'
état
congé- nital, et que ce nystagmus congénital pe
soit par excès : ce phéno- mène semble pouvoir être lié tantôt à un
état
de dépression ' Cité par Mosny. Manuel de médec
2 Loc. cil., p. 600 : 118 PATHOLOGIE NERVEUSE...* ' . tantôt à un
état
d'excitation des centres nerveux. La pre- mière
ine 'de myéline est en voie de destruction. Charcot a comparé cet
état
à celui des fils électriques mal isolés et a cher
s mal isolés et a cherché à expliquer le tremblement par le mauvais
état
des conduc- teurs qui ne laissent passer le cou
la naissance et que ce n'est que plus tard - qu'ils arrivent à leur
état
de développement parfait. Si sous l'influence d
ets hospitalisés que l'on pourra quelque jour se rendre compte de l'
état
des centres nerveux au cours d'une affection so
que le délire épileptique est le produit de deux fac- teurs : 1° l'
état
cérébral ; 2° l'ictus épileptique. Ce dernier p
et autres, saines et morbides ». C'est ce que Respault a appelé « l'
état
cérébral », état indépendant de l'épilepsie, an
et morbides ». C'est ce que Respault a appelé « l'état cérébral »,
état
indépendant de l'épilepsie, antérieur au paroxy
, l'ictus qui provoque l'acte inconscient épileptique, mais c'est l'
état
cérébral antérieur de l'individu qui en fait le
er à un nouvel internement ; cette crainte l'obsède et augmente son
état
de tris- tesse. Le 14 octobre 1901, il est pris
alement sur le certificat des habitudes alcooliques. C'est dans cet
état
que J. Ch... est transféré à l'Admission (ser-
12 octobre 1901. Depuis quelques jours cepen- dant, inquiet de son
état
, il parlait de se faire soigner. Mais il ne se
ile, ne sachant pas comment il y est venu. Le malade reste dans cet
état
pendant tout son séjour dans le service, ne con
de documents pour affirmer que J. Ch... est un épileptique, dont l'
état
comitial a été provo- qué par l'influence récip
ir. En dehors de sa manifestation épileptique, ce malade avait un «
état
cérébral » qui le fai- sait se préoccuper et à
e en apparence inexplicables, mais qui puisent leur origine dans un
état
cérébral patholo- gique, au lieu que dans l'obs
cérébral patholo- gique, au lieu que dans l'observation actuelle, l'
état
mental subconscient n'a jamais fait naître que
RIE DE SAINTE THERESE 127 moins graves de la maladie, elle le nomme
états
plus ou moins grands de la grâce ou Communion p
t beaucoup souffrir; elle mourut à trente-trois ans. » Notons cet
état
maladif et cette mort prématurée : si Thérèse e
lettres, qui, très goûtées, furent imprimées plus tard. Mais dans l'
état
de trouble et 'd'angoisse morale où la maladie
u Château inté- rieur, une de ses oeuvres, Thérèse décrit ainsi son
état
phy- sique et moral tel qu'il était le jour de
e réveillent sans cesse pour accom- plir de dures besognes que leur
état
languissant ne semble pas devoir permettre ? il
choses surprenantes; on trouvera souvent chez les hys- tériques ces
états
de langueur et de fausse faiblesse accompa- gné
L'hystérie. Nous connaissons maintenant le sujet, c'est-à-dire l'
état
physique et moral de Thérèse ; voyons ce que l'
acles hystériques. Il est très important d'en parler, car c'est cet
état
dont il s'agit dans la plupart des grands mirac
laquelle les malades, généralement des jeunes filles, arrivent à un
état
de mai- greur extraordinaire et ne sont plus qu
nourri- ture, j'avais si, peu de force et mon corps était dans un
état
tel que mes nerfs commencèrent à se retirer avec
me tenaient depuis les pieds jusqu'à la tête, et bientôt je fus en
état
de mort î. 4a Des contractures dont elle vient
de nouveau complètement incapable de se lever. « Je restai dans cet
état
jusqu'au dimanche des Rameaux de l'année suivan
peu de cire d'une bougie qu'on avait apportée pour mieux juger mon
état
». Enfin, ne trouvant plus aucun signe de vie d
le la messe des morts. - Observations -de sommeil hystérique. Cet
état
de mort apparente chez des personnes hystérique
certain degré de mensonge et de fourberie accompagnait souvent. cet
état
. Je vais citer trois cas de ce sommeil : - 1
riques après les crises étaient fréquents. Comme je connaissais son
état
depuis de longues années, et comme trop souvent
simulant la mort, avec un réveil de deux jours dans l'intervalle; l'
état
était tel que plusieurs fois les infirmiers vin
et ne retomba plus dans le sommeil. Comme on le voit, malgré leur
état
de demi-conscience, et bien qu'ils puissent sup
ents dans les manifestations hystériques. Si Thérèse entra dans cet
état
de sommeil' et laissa croire à sa mort, sans av
ones. Dans les maladies cérébrales d'ailleurs comme dans les autres
états
mor- bides, on se trouve souvent en présence d'
ier l'anatomie pathologique du cerveau doit compter avec ces divers
états
, et le clinicien doit s'attacher, dans la mesur
alalgie ; on la fait recoucher et peu d'heures après, elle tombe en
état
d'inconscience, puis de coma et meurt. A l'auto
pect qui varie suivant la date à laquelle ils ont été atteints. L'
état
des vaisseaux atteste aussi des processus de date
s. Les premiers sont en rapport avec les objets ; ils tiennent à un
état
pathologique des nerfs cen- tripètes chargés de
tes chargés de conduire les excitations émanées des objets, ou à un
état
pathologique des centres de ces nerfs. Les second
nerfs. Les seconds, indé- pendants des objets, sont produits par l'
état
maladif du sujet; ils naissent dans les affecti
l'automatisme cérébral pur et on doit les rencontrer dans tous les
états
passagers ou défi- nitifs où l'intelligence est
s complexes (impulsions, crises) et dans un ordre opposé de faits :
état
cataleptique. néga- tivisme, oppositions divers
donné la mort de leur père. Toutes deux sont demeurées dans le même
état
depuis leur entrée à l'asile et paraissent marc
ne excitation, il se produit une réaction qui est proportionnée à l'
état
congénital et évolutionnaire de l'or- ganisme.
ce du facteur 0, c'est-à-dire les causes capables de déterminer des
états
neuro-pathologiques et particulièrement la foli
tiendrait de repren- dre et de compléter. La symptomatologie de l'
état
mental des aliénés avec conscience de leur état
ymptomatologie de l'état mental des aliénés avec conscience de leur
état
, l'étude des signes physiques de la folie raisonn
rolongés ; l'opium eti> ses alcaloïdes dans la thérapeutique des
états
mélancoliques ; les médicaments hypnotiques, vo
sance hépatique a servi de guide au point de vue thérapeutique. L'
état
mental de ces malades présente une grande diversi
ie non seulement des paralysies centrales sur- venant aux cours des
états
logiques, mais aussi de leur caractère habituel
utanée de la région périneo-anale. 11 est mort en 1900 sans que son
état
se soit modifié. A l'autopsie les auteurs ont t
dans cette première partie et qui se les sera assimilés, sera en
état
de faire utilement de l'électrothérapie pratique.
ns dans un cabaret situé dans les environs du cercle, était dans un
état
d'ivresse assez accentué. Il entra subitement dan
trouvait la femme Any dans les bois et la . VARIA. 189 mettait en
état
d'arrestation après lui avoir fait avouer qu'elle
rentrant ivre, a tiré deux coups de revolver sur sa femme dont l'
état
est désespéré. (Bonhomme Normand, du 3 au 9 janvi
uellement résidant à l'Hôtel-Dieu de ladite ville a été déclarée en
état
d'interdiction. Dans un asile d'aliénés. M"10 W
icot et sa broderie ; sa mauvaise humeur conti- nuait. En automne l'
état
psychique de la malade resta le même. En hiver
es pupilles, on nota : CLINIQUE NERVEUSE. Dépression kératique et
états
encéphalopathiques graves ; Par le D, B. PAIL
ait à quelques mois avant l'internement, s'était caractérisé par un
état
de surexcita- Archives, 2' série, t. XIV. 14
ient plus que jamais inerte, gâteuse, baveuse, stupide. Tel est son
état
, quand, le 23 juillet 1901, je constate aux deux
entent des dépressions très apparentes de leur face anté- rieure. L'
état
général est mauvais. A la date du 18 juillet, l
ses yeux caves. Le 20 juillet. Yeux de plus en plus caves ; même
état
de la cor- née. Etat général progressivement ma
Le malade est toujours l'objet de soins d'infirmerie, bien que son
état
général paraisse meilleur ; sa physionomie devien
de démence, ne se maintienne à titre de réalité ». Depuis lors l'
état
du malade n'a guère subi de modification et son
airement alité, tant sa faiblesse est grande. - Le 28 octobre, même
état
psychique avec affaiblissement croissant des fo
phologie. Le 31, rejet de toute nourriture, respi- ration bruyante,
état
comateux. A la visite du matin, je constate sur
s apparente manifestation des relations psycho- organiques qui, à l'
état
normal comme à l'état morbide, mettent en commu
ion des relations psycho- organiques qui, à l'état normal comme à l'
état
morbide, mettent en communication l'activité me
le regard, donnant à celui-ci son expression qui si bien décèle les
états
d'âme et souvent s'accompagne, dans les cas ext
ien encore dans le marasme dénouant une affection encéphalique, les
états
stupides, le délire aigu. Même, avec cette in
blement aggravé, soit au point de vue du danger de mort dans les
états
d'encéphalite, de délire aigu ou de traumatisme
n, soit au point de vue de l'incurabilité et de la démence dans les
états
psychopathiques dépressifs. RECUEIL DE FAITS.
énervée, excitée progressivement, puis peu à peu est tombée dans un
état
d'agitation marquée. Justement inquiètes, ses c
on motrice simple avec abolition ou diminution de la cons- cience ;
état
convulsivant. La compression prolongée des ovai
une heure après, étaient au moins trois fois plus volumineux qu'à l'
état
habituel et la malade paraissait éprou- ver une
Les époques continuent, tou- tefois la perte sanguine est minime. L'
état
mental est à peu près normal, à part un certain
est minime. L'état mental est à peu près normal, à part un certain
état
de torpeur ou de fatigue cérébrale avec accès d
eu plus gros que le droit. Même Pig. 3. 234 ' RECUEIL DE FAITS.
état
général; s'alimente cependant mieux. 2G janvier.
is l'accès d'agita- tion que nous avions en perspective demeure à l'
état
d'ébauche. 15 février. Persistance du gonflemen
E SEIN HYSTÉRIQUE 225 5 Appélit meilleur. Du 20 au 28 février, même
état
. Du 28 février au 4 mars, l'amélioration s'acce
phénomènes morbides. Les seins ne sont le siège d'aucun gonflement;
état
mental satisfai- sant ; appétit bon. Les règles
e ou elle vit avec les yeux de l'âme. Cela la mettait dans un grand
état
L HYSTERIE DE SAINTE THERESE 2 j I de perplex
verrait composée de diamants ; facile à la sug- gestion, de par son
état
hystérique, sainte Thérèse voit la croix telle
disparais- sait ou bien son regard si puissant me faisait tomber en
état
de ravissement. Ce divin Sauveur se montrait pr
corps léger comme une plume, de se retrouver à terre en très piteux
état
. Sainte Thérèse eut une hallucination de cette
ux par l'exposé et la discussion du rapport de M. Lalanne sur les «
états
anxieux dans les maladies men- tales » : DES
anne sur les « états anxieux dans les maladies men- tales » : DES
ÉTATS
ANXIEUX DANS LES MALADIES MENTALES M. Gaston La
s net qui tend à unir la psychologie à la clinique. La question des
états
anxieux dans les maladies mentales vient donc bie
ade l'éprouve sans savoir pourquoi, il est. anxieux malgré lui. Les
états
anxieux furent longtemps confondus dans les malad
mélancolie anxieuse, puis on finit par reconnaître qu'à la base des
états
émotifs on rencontre presque toujours l'anxiété o
is c'est surtout dans ces dernières années, qu'en étudiant certains
états
qui tiennent à la fois delà névrose et de la psyc
AVANTES. à lui assigner son véritable rôle dans la constitution des
états
anxieux. La question des états anxieux dans l
able rôle dans la constitution des états anxieux. La question des
états
anxieux dans les maladies mentales se réduit do
e la personnalité. Nous arrivons maintenant à la constitution des
états
anxieux. Le terme de passage entre les névroses
oïa rudimentaire ou délire systé- matisé raisonnant. 1 A côté des
états
que nous venons d'examiner et qui, à cause du r
ns lesquels l'anxiété intervient à titre de symptôme important. Ces
états
sont beaucoup plus fré- quents qu'on ne le pens
anxiété nous fait supposer que, par suite des lois de l'atavisme, l'
état
affectif qui fut pendant de longues pério- des
r et estime que, si les douches froides peuvent produire un.certain
état
d'angoisse chez l'homme sain, il est certain qu
le faire après une torsion éner- gique dudit drap, devenu alors en
état
de pratiquer un premier emmaillotement complété
e : Contribution clinique à l'étude des auto-intoxications dans les
états
anxieux. sociétés savantes. ' 253 Au sujet de
M. Samuel GARDER envoie une note intitulée : La médecine légale des
états
anxieux. RÉCEPTION A L'HÔTEL DE VILLE Le soir
sautier ». Les tiqueurs présentent, d'après MM. Meige et Feindel, l'
état
mental de l'infantilisme; le rapporteur n'adopt
mental de l'infantilisme; le rapporteur n'adopte pas cette idée, l'
état
mental du tiqueur ne rappelle celui de l'enfant
elle celui de l'enfant que par certains côtés; c'est z en réalité l'
état
mental du déséquilibré simple; la tendance con-
'on pourrait appeler objectif, l'autre ayant pour but de modifier l'
état
mental (traitement subjectif). 1° Le traitement
le tiqueur étant le plus souvent un abouli- que. La suggestion à l'
état
de veille est au contraire très recom- mandable
bilité, la versatilité de la volonté sont les caractéristiques de l'
état
mental du tiqueur. Cette manière d'être témoign
est l'indice d'un arrêt partiel du développement psychique; aussi l'
état
mental du tiqueur peut-il être qualifié d'infan
adulte le développement psychique a subi un arrêt partiel, que son
état
mental a conservé une partie des attributs qui
ibuts qui appartiennent à celui de l'enfant. La constatation de l'
état
mental infantile des tiqueurs nous a paru utile
articipation de 0 (quand il y 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. · a vraiment
état
mental, aliénation) et les tics polygonaux (quand
iment état mental, aliénation) et les tics polygonaux (quand il y a
état
psychique, mais pas état mental). M. Cruciiet (
tion) et les tics polygonaux (quand il y a état psychique, mais pas
état
mental). M. Cruciiet (de Bordeaux) part de cett
remplacés par d'autres symptômes plus accentués. Dans la période d'
état
, chez un fou hypochondriaque ayant des crises o
uvais jours. Le chaud et le froid, les maladies intercurrentes, les
états
émo- tifs actuels, ont une influence non douteu
a seule catégorie de liqueurs, et qu'il y en avait d'autres, dont l'
état
, encore mal connu, avait besoin d'être étudié :
e sorte d'accès transitoire de tic avec une symptomatologie et un
état
physique bien différents de ceux dont parle le ra
s. 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. La guérison s'accentuait à mesure que l'
état
physique général s'amendait lui-mêmc. ' Que p
es, je suis tout a fait de l'avis de M. Noguès en ce qui concerne l'
état
mental des tiqueurs ; comme lui, je crois que c
i concerne l'état mental des tiqueurs ; comme lui, je crois que cet
état
mental se confond avec celui des dégénérés, et qu
'exagération de cette tendance qui constitue le côté infantile de l'
état
mental du tiqueur; mais il y a chez lui, en plu
me de trente ans à anté- cédents héréditaires peu chargés et dont l'
état
nerveux est resté 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. parf
cependant quand on les met, par des manoeuvres hynoptiques dans cet
état
de bon vouloir de toute personne se prêtant volon
omplexes que suscite la question des tics, il en est un, celui de l'
état
mental dss tiqueurs, à propos duquel je désire
loppement des psychopa- thies et à plus forte raison dans'celui des
états
convulsifs auxquels il convient. de rattacher l
ravail publié en 1896 par la Semaine Médicale, la pathogénie de ces
états
con- vulsifs ; je n'y reviendrai donc pas, et j
i qu'une de ses fillettes; son mari et un autre enfant sont dans un
état
désespéré; on conserve quelque espoir de sauver
re la fourche. A Cannes, un Italien, Voila Dalmasso, se trouvant en
état
d'ivresse, a allumé une cartouche de dynamite d
plomb fut tiré sur lui et il fut atteint dans le flanc gauche. Son
état
est grave. On a arrêté un nommé Lauzéral, qui a
La sépara- tion n'a généralement aucune influence heureuse sur leur
état
mental. Telle est la folie simultanée 1. La d
pas le sou. Elle ne peut nous renseigner d'une façon positive sur l'
état
de la mémoire ni sur le niveau mental exact. Jusq
même temps, la parole est embarrassée, « il avale sa langue ».'Cet
état
persistant, G... entre le 26 mai à l'hôpital Sain
ans ». * Loin de s'améliorer dans les jours qui suivent l'entré^' l'
état
mental semble plutôt s'aggraver : l'agitation e
s, la droite plus grande, avec paralysie de l'accommodation. Puis l'
état
s'améliore; l'agitation décroil, mais le malade
de sa femme qu'il croit dans la misère. Nouvelle amélioration de l'
état
mental. Le 20 octobre G ? part en congé de huit j
e reconnaissable. -Le 14 février, au matin, G... est trouvé dans un
état
marqué d'obtusion : il reste étendu sur le dos,
ure monte à 39°,5 le matin pour redescendre le soir à 37°,5; nouvel
état
semi-comateux faisant supposer un ictus passé i
ux faisant supposer un ictus passé inaperçu. Jusqu'au 23 février, l'
état
général est assez inquiétant : des alternatives
s accidents qu'il met sur le compte du parquet glissant. Pourtant l'
état
géné- ral s'améliore ; le malade engraisse. (Le
e 26 à 39°,4 4 pour retomber le 27 à la normale et s'y maintenir. L'
état
mental est le même : période de lucidité avec p
seulement le réflexe rotulien est diminué à droite. C'est dans cet
état
que le 25 mars, le malade est transféré à l'asi
s épilepti- lormes à droite avec participation de la face; le 10, l'
état
subdéli- rant persiste avec inconscience absolu
rs suivants, la température monte et atteint le 15 juillet 39,06. L'
état
général s'aggrave ; le malade ne reconnaît plus
a partie posté- rieure du lobe occipital. Hydropisie ventriculaire,
état
chagriné de l'épendyme, surtout dans le quatriè
. Hallucination DE l'ange. « Quelquefois lorsque j'étais dans cet
état
, il plut à Notre-Seigneur de me favoriser de la
r il ne faut rien moins que Dieu même. Dans le temps que durait cet
état
, j'étais comme hors de moi et j'aurais voulu ne
zarre occupation dont son dard ne pouvait guère revenir que dans un
état
extraordinaire ! 1 Pour mieux montrer combien
lus des modèles ordinaires de prières, mais la description de trois
états
hystériques, éprouvés et regardés par elle comm
es, éprouvés et regardés par elle comme choses pieuses et divines ;
états
hystériques si bien décrits que les médecins de
sorte que dans les cou- vents qui suivent sa règle, plus on est en
état
d'hystérie, plus on est en état de sainteté.
ui suivent sa règle, plus on est en état d'hystérie, plus on est en
état
de sainteté. Dans les deux premières oraisons,
les qui ne sont autre chose qu'une jouissance de Dieu. L'âme en cet
état
ne sait si elle parle ou si elle se tait ; si e
ence, la volonté, la mémoire ne sont pas perdues, mais sont dans un
état
de paralysie ou de demi-sommeil dont on ne peut
e croyez pas que les mystiques seuls peuvent se donner ou subir cet
état
, phase de maladie ou oraison d'union, non, d'au
quart d'heure environ, tout était fini. Chez cette personne, cet
état
n'était ni précédé, ni accompagné, ni suivi d'une
SAINTE THERESE 319 syncope, mais, d'après'son mari, c'était le même
état
hysté- rique. 40 L'oraison d'extase. - Nous a
uis- sance totale pour s'expliquer sur leur jouissance ; dans cet
état
toute application étrangère serait un embarras et
mais une demi-heure. « Voyons maintenant ce que sent l'âme dans cet
état
; c'est à celui qui le sent à le dire : l'âme r
Que lisons-nous dans nos livres classiques sur l'extase ? C'est un
état
symptomatique de l'hystérie qui présente les ca
le corps est moins maître de lui. » Pendant la longue durée de cet
état
nerveux, les périodes d'extase et d'union vienn
cipal, à l'oraison de ravissement ; faire une comparaison entre les
états
d'hystérie et ces diverses enceintes serait, av
ndicité, maison de correction, maison de refuge pour les aliénés en
état
de fureur, les filles-mères parvenues au terme
nce. Une première intervention opé- ratoire peul, sans compliquer l'
état
mental ou nerveux, rester sans action curative
ont encore actuellement en ' traitement; le cinquième a succombé en
état
de mal. De l'utilité de la ponction lombaire po
de la paralysie générale, puis après une période d'amélioration son
état
est resté station- naire. Deux ponctions faites
bsence des éléments soit constante, car chez un autre malade dont l'
état
reste stationnaire depuis treize ans, une premi
élirante succé- der au simple scrupule conscient et obsédant. Les
états
de confusion mentale peuvent être plus ou moins a
us ou moins accen- tués : ils représentent comme l'exagération de l'
état
d'aboulie. d'impuissance intellectuelle habitue
s délires oniriques représentent l'exagération de l'autre face de l'
état
mental des obsédés constituée par l'automatisme d
la forme de l'obsession, mais du complexus symptomatique et de l'
état
mental sous-jacent dans chaque cas particulier :
hives, 2c série, t. NIV. - 21 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. aggrave leur
état
mental et les rend plus aptes à contracter des
on plus écrire et avait peu de notions sur les choses usuelles. Son
état
s'est bien amélioré, les colères sont moins fré
certain goût. En résumé l'enfant se rapproche de plus en plus de l'
état
normal (4 photographies = 1897-1900). Gtidef.
berté arrive, des impulsions, des habitudes mauvaises compliquent l'
état
pri- mitif. Ces retards ont diminué les 'chance
système nerveux central ; or, l'influence du système nerveux sur l'
état
général de l'organisme ne saurait être contesté
ait être contesté, et-ses lésions placent ainsi les malades dans un
état
d'infériorité vitale et de moindre résistance man
on n'a pu les garder assez long- temps à l'asile pour modifier leur
état
mental de buveurs, pour leur faire perdre l'hab
aux troubles psychiques de l'hystérie et constituent de véritables
états
seconds ou de somnambulisme. On a pu m'objecter
t nosolo- gique du syndrome ; à l'énumération successive des divers
états
pathologiques au cours desquels il apparaît; à
énique, des allures cliniques et évolutives qui, dans chacun de ces
états
morbides, 346. SOCIÉTÉS ..SAVANTES. - caracté
uccessivement considérés, selon leur, origine éliologique, dans les
états
mélancoliques, dans la dégénérescence mentale,
dans les psychoses toxiques, dans les état- démentiels et dans les
états
névropsychopathiques. Au début de cette étude s
on active. - Presque tous les mélancoliques réalisent le deuxième
état
; beau- coup atteignent le troisième ; une infi
eux délires de persécution et d'auto-accusation : en pareil ca, les
états
de mélancolie, d'hypo- chondrie et d'obsession
psychoses toxiques s'observe également chez les typhiques; dans les
états
d'inanition et dans certaines crises oniriques
rime, se pose presque toujours avant le second : démonstration de l'
état
d'aliénation ou de non-aliénation de l'autoaccu
. Le problème qui se pose à l'expert est celui du diagnostic de l'
état
mental de l'autoaccusateur, lequel se déduit, non
bien au-dessous de ces deux catégories psychiatriques, figurent les
états
mélancoliques, l'hystérie et, enfin, les états dé
riques, figurent les états mélancoliques, l'hystérie et, enfin, les
états
démentiels. L'as- sociation de ces différents p
. Il faut tenir compte, aussi, de certaines imaginations qui, à l'
état
de veille, construisent certains romans dont ils
les héros, et qui, quand ils se ressaisissent, les laissent dansuu
état
de doute. Les persécutés mélancoliques devienne
re et garder le vol secret. Ce récit ayant éveillé des doutes sur l'
état
mental de cet individu, ou le soumit à une expe
initiales. 1111. Ianv.vr, et G. IiAVIInT. Les publications sur l'
état
du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
tiques géné- raux francs. Cinquante et un seulement étaient dans un
état
mental compatible avec ce genre d'examen. Nous
dite postérieure bilatérale sans myopie. On rencontrait encore un
état
de la papille pâle, comme lavée, chez treize pa
bords indécis. Chez vingt-deux malades, ces deux aspects sont des '
états
préliminaires de l'atrophie papillaire. Chez le
pour le plexus brachial. Ils se rencontrent d'ailleurs rarement à l'
état
de pureté ; presque tou- jours ils sont incompl
éressants sur des frottis ou sur des dissociations pra- tiquées à l'
état
frais que sur des coupes. Le carmin en masse av
microscope montra une végétation considérable de la névroglie avec
état
vési- culeux des gaines de myéline, gonflement
mes; dans la plupart des cas, l'endolhélioma, au lieu d'exister à l'
état
de néoplasme pur, fait partie d'une tumeur dont
ifestations mentales très diverses. L'auteur responsable du mauvais
état
cérébral de la famille entière parait être le g
ers sur cette dernière circonstance. Je pense que nous avons dans l'
état
de la mémoire un réactif d'une très grande sens
ide desquelles le juge d'ins- truction pourrait rapidement jauger l'
état
menlal du prévenu. Il est évident que ces règle
signe 2° dans le fait que l'extension du gros orteil est, dans les
états
cérébraux, un accident de contracture susceptib
'aulres phénomènes du même ordre, mais pouvant aussi se montrer à l'
état
isolé et de façon à indiquer la tendance aux co
Maurice Ducosté (Bordeaux). M. Ducosté fait une classification des
états
névrosiques actuellement rassemblés sous l'étiq
ues actuellement rassemblés sous l'étiquette de neurasthénie. Les «
états
neurasthéniques » et la « neurasthénie constitu
és cliniques. Mais il faut bien s'entendre sur la signification des
états
neurasthéniques. Ce ne sont que des symptômes d
ment importante à connaître pour établir un pronostic ferme. Ces
états
neurasthéniques et mieux neurasthéniformes peuven
est inutile d'insister. C'est un type clinique très net. A côté des
états
neurasthéniformes et de la neurasthénie constitut
st de règle, les stigmates neurasthéniques disparaissent d'abord, l'
état
mental avec sa systématisation pessimiste ne céda
psychiques intéressants. En somme, pour M. Ducosté, il y a : 1° des
états
neurasthéni- que ? , symptômes d'affections div
e classique ses stigmates physiques, mais qui s'en distingue par un
état
mental spécial. C'est ce que l'auteur appelle l
cité et crises épilep- tiformes jaclcsonieunes; 4° l'évolution de l'
état
mental, qui a été caractérisé par l'état transi
eunes; 4° l'évolution de l'état mental, qui a été caractérisé par l'
état
transitoire de l'oblusion intellectuelle, du gâ
ajoutés, sous l'influence d'un surmenage récent, les symptômes d'un
état
temporaire de confusion mentale, d'hébétude et
déterminer, on peut toujours intervenir sans s'exposer à aggraver l'
état
du patient. Le danger d'augmenter les contractu
t de la portion non différen- ciée. Le sarcoplasma, très réduit à l'
état
normal, réagit sous l'in- fluence du moindre ét
, très réduit à l'état normal, réagit sous l'in- fluence du moindre
état
pathologique et prolifère. Le processus conduis
ur de fibres en tuméfaction trouble, le protoplasma jusque- là, à l'
état
de plasmode indivis, s'individualiseen cellules d
dans la gaine. C'est la régression cellulaire véritable retour à l'
état
embryon- naire. Les fibres les plus grêles, pro
erminent la morphologie cellulaire. La fibre striée est revenue à l'
état
plus indifférent de cellules musculaires embryo
rses dégénérescences des organes. M. Pichenot conclut que c'est à l'
état
démentiel plus ou moins précoce de ses malades
rattachée la dégénérescence graisseuse des myocardes et le mauvais
état
des coronaires. Trois d'entre eux avaient moins
paralysie générale. Au contraire, ils ont pu le constater soit en l'
état
isolé (5 cas), soit en association avec d'autre
once un tabes ou une paralysie générale initiaux évoluant, soit à l'
état
isolé, soit en association avec d'autres mala-
écithines, qui entrent dans la substance nerveuse, contiennent, à l'
état
physiologique normal, un composé toxique qui n'es
ar ce principe de Cl. Bernard. « Aucun composé toxique ne peut, à l'
état
nor- mal, faire partie de l'organisme »; et cet
e de celui qui les a fournis, on pourra admettre leur existence à l'
état
normal; mais s'ils sont toxiques il faudra les
s biologiques a changé le résultat. La choline n'existe plus qu'à l'
état
de traces dans les extractions à froid et ne pe
es en salution alcoo- loéthérée. 3° et 4° bases synthétiques. - 1 l'
état
de chlorures, elles se présentent sous la forme
nger, continue à nous rendre de précieux services, surtout dans les
états
mélancoliques survenant chez les malades épuisé
s, écrit encore M. Bonnet, nous ont été amenés des hôpitaux dans un
état
physique à peu près désespéré. Il serait préfér
e de culpabilité n'existait pas préalable- ment pour ainsi dire à l'
état
latent chez elle, ne serait-elle pas amenée, co
lement une influence originelle. C'est de l'idée de culpabilité à l'
état
latent que procède l'obsession, besoin impulsif
n, conséquence elle-même de cette tare et de l'idée préexistant à l'
état
latent, joue le rôle d'auxi- liaire dans l'affi
r l'éclosion et l'évolution, l'idée de culpabilité préexistant, à l'
état
latent, et constituant ainsi un des éléments fo
soigné. » Depuis quelque temps, en effet, J... était tombé dans un
état
mélancolique qui semble avoir été la conséquenc
s, les malades eux-mêmes présentent souvent des manifestations de l'
état
de dégénérescence allant de l'affaiblisse- ment
it de la plus légère émotion pour faire retomber la malade dans son
état
antérieur. Cette substitution de l'hémianopsie
constipa- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 433 tion). En somme, cet
état
est caractérisé par une sorte d'affaiblis- seme
xceptionnels dans la période préataxique ; ils sont la règle dans l'
état
ataxique. 7° Il résulte des observations des aute
branche externe du spinal. E. B. XL. Contribution à l'étude de l'
état
et du développement des cel- lules nerveuses de
sont peu développées en général et se trouvent en grande partie en
état
embryonnaire ; d'un autre côté, la structure de
es corticales chez les choucas nouveau- nés se caractérisent par un
état
embryonnaire très marqué ; mais la structure de
ésultats expérimentaux obtenus, cet extrait parait indiqué dans les
états
d'excitation et d'exaltation, dans lesquels ou
ets, tout au moins lorsque l'excitation est violente; 5° Bien que l'
état
de la pression sanguine fournisse, en règle gén
ent, si l'on a des raisons de penser qu'elle n'est pas associée à l'
état
mental, car une pression anormalement élevée pe
ent cela coïncide avec une influence favorable de l'alitement sur l'
état
mental et physique; 19° tout ce qui vient d'êtr
résultats avaient donné des améliorations, mais sou- vent aussi des
états
stationnaires et des aggravations. Dernière- me
ême qu'elle est engendrée et propagée ». Pour remédier à ce fâcheux
état
de choses, l'auteur indique et propose une séri
c'est que les voyages constituent un traitement précis de certains
états
morbides précis : l'auteur laisse de côté les mal
états morbides précis : l'auteur laisse de côté les malades dont l'
état
somatique rend un voyage utile pour ne s'occuper
r que - de ceux à qui le voyage est conseillé comme traitement d'un
état
mental, et il est d'avis que le groupe formé pa
efforcent de traiter les malades les plus variés, sans égard à leur
état
psychique, dans les salles communes; les autres
circulation, ce qui peut de même produire un effet favorable sur l'
état
mental du malade. L'auteur applique la méthode
ohtenue parait devoir être attribuée plutôt à la modification de l'
état
mental du sujet, de son état affectif fondamental
ttribuée plutôt à la modification de l'état mental du sujet, de son
état
affectif fondamental, qu'à la production d'une
ante du malade, à la suite de la réussite de ses premiers essais. L'
état
affectif du sujet marqué d'abord par la tristes
faveur de ces émotions stliéniclues. « C'est à la modification de l'
état
mental, écrit M. Hartenberg, que nous devons at
utile aux médecins de l'armée, qui ont à juger il chaque instant l'
état
mental de jeunes soldats traduits devant les trib
vent au milieu même de nos occupations journalières, sinon dans l'
état
d'oisiveté, tranquillité ou même rêverie, elle s'
s'impose à l'esprit, en dehors de la volonté, mais sans malaise à l'
état
normal, avec au contraire une angoisse douloure
u contraire une angoisse douloureuse qui la ' rend irrésistible à l'
état
pathologique. » cc Pour que cette idée angoissa
précautions puériles constituaient chez un individu prédisposé, un
état
psychique anormal. Il avait conscience de cet é
u prédisposé, un état psychique anormal. Il avait conscience de cet
état
, et un effort de sa volonté pouvait encore le s
influence modératrice sur les centres psycho- moteurs, le jour où l'
état
morbide s'est insidieusement installé, où l'obs
, Morselli sous celui de paranoïa 1'udimentah'e qui peut rester à l'
état
italique : paranoia rudimentaria ideativa, ou p
e idée, bien que l'intelligence reste intacte, sans qu'il existe un
état
émotif ou passionnel, idée qui appa- rait à la
nes survenant aussi au cours des symptômes morbides ne sont que des
états
réaclionnels dont l'intensité est précisément d
ien des circonstances démontrent 'que le syndrome est avant tout un
état
cérébral. L'ouuluatonomie, la folie du doute, l
'angoisse qui joue le rôle principal, représentant un symptôme de l'
état
neuras- thénique qui est à l'origine de toute o
session reste dans son fondement, dans son essence. Tels sont ces
états
d'anxiété diffuse. Il y a encore des obsédés, e
une classification des obsessions. Il admet trois classes : 1° L'
état
obsédant à anxiété diffuse ou panophobique ; 2°
ses : 1° L'état obsédant à anxiété diffuse ou panophobique ; 2° L'
état
obsédant à anxiété systématisée ou monopho- biq
° L'état obsédant à anxiété systématisée ou monopho- bique ; 3° L'
état
obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. On dis
si ses concomitants physiques ont une intensité extraordinaire. L'
état
d'anxiété diffuse ou panophobique est un état per
ité extraordinaire. L'état d'anxiété diffuse ou panophobique est un
état
per- manent de lension émotive qui éclate par p
er parce que tout ce qui l'entoure l'eflraye. On distingue dans l'
état
panophobique, l'attente anxieuse et l'attaque a
L'attaque de, frayeurs nocturnes ; 10° L'attaque du vertige. A l'
état
d'angoisse vient se greffer une idée fixe ou phob
ces, qui, à un degré' plus élevé dans^ l'échelle .morbide,, forme l'
état
obsédant avec anxiété systématisée ou monophobi
ette peur spéciale isolée n'est sou- vent qu'une manifestation d'un
état
constitutionnel dé neu- ropathie. Les caractè
n première, reproduction qui se reconstitue intégralement soit il l'
état
de veille, soit dans le sommeil, DES OBSESSIONS
te sous forme de pensée plus au moins obsé- dante. Les phobies ou
états
obsédants avec anxiété systématisée, les phobie
prement dites. Les premières seraient dues à la prédomi- nance de l'
état
émotif, anxieux (névrose anxieuse), les der- ni
rose anxieuse), les der- nières dues à la prédominance de l'idée, l'
état
émotif restant 't toujours le même, la nouvelle
motif restant 't toujours le même, la nouvelle idée se mésallie à l'
état
émo- tif, ce qui nous rend compte du caractère
ptée et non douloureuse. D'après Séglas, l'attention est voulue à l'
état
physiologique, tandis que chez l'obsédé, elle e
sidère comme paraissant née hors de' notre cerveau; Séglas comme un
état
particulier de la désagrégation psychologique,
à l'obsession c'est d'être consciente. D'après Séglas pourtant, l'
état
de conscience personnelle ne serait pas. conservé
l'obsession. Ces faits ont été bien étudiés par P. Janet dans les
états
de dualité hystérique ou encore dus à ces rêves d
surtout chez les hystériques, sans qu'ils en aieut conscience, à l'
état
de veille. L'obsession se manifeste habituellem
ous publions nous a paru intéressante à plusieurs points de vue : l'
état
mental du malade dont il s'agit, d'une part, et
l'asile public d'aliénés de Maréville. Nous réservons l'étude de l'
état
mental pour la fin : Observation. Phlegmon du t
0 série, t. XIV. 31 482 RECUEIL DE' FAITS. Une particularité de l'
état
physique très importante à signaler, comme nous
g- . mon, En bas, persistait un suintement de pus et de sérosité. L'
état
général était devenu. satisfaisant à cette époq
seulement un suinte- ment séreux qui finit lui-même par tarir. L'
état
général, fortement débilité par toutes- ces suppu
15, elle se relève à 36°4, pour revenir à 35°8 le matin du 16. L'
état
général, déjà peu satisfaisant au début de la mal
onses satisfaisantes. Ce qui est évident tout d'abord, c'est que, l'
état
de sensibilité très amoindrie qui était le sien
s est connue, c'est l'amoindrissement de la sensibilité. 1 En cet
état
, T... a peut-être obéi à une voix ? Peut-être a
ition de ces réflexes, mais alors, en môme temps que se développe l'
état
morbide, il s'accentue de plus en plus jusqu'à
qui précède, suit ou remplace les attaques, se rattache surtout à l'
état
de mal, et se termine, non soudain, mais gradue
s graduellement, en passant, par une phase de demi-conscience : cet
état
-là n'est pas l'équivalent psychique du sommeil
e patient, mais produisent des modalités variées. Le passage de cet
état
méntal inconscient à l'état mental ordinaire s'
modalités variées. Le passage de cet état méntal inconscient à l'
état
mental ordinaire s'accomplit néanmoins tout à cou
l a fait pendant son automatisme. L'importance médico-légale de cet
état
saute aux yeux. Le malade peut commettre, sans le
ertaines relations entre la région centrale du lobe pariétal et les
états
de mélancolie. 1° Cela est démontré par plus de
rances pariétales est due à un trouble trophique qui accom- pagne l'
état
de mélancolie du malade ; 6° les maladies du crân
uteur avance qup, à l'origine de la mélancolie simple, on trouve un
état
pathologique de l'émotion de la-peur. Cette émo
ques qui indiquent : 1° Que l'expression physique dé la peur et les
états
qui s'y rat- tachent peuvent être produits chez
troubles de la vision et la cécité corticale peuvent accompagner l'
état
mélan- colique. R. de IUSGIi : IVE-CL.aY. XXX
parties centrales ne possèdent pas, même après la naissance et à l'
état
adulte, des éléments chromatopliiles bien dével
à celui du côté de l'excitation. Ce réflexe ne se rencontre pas à l'
état
normal chez l'homme adulte; il parait, au contr
unes sur les autres. L'absence de ce contrôle sensoriel, jointe à l'
état
de distraction favorise l'appari- tion des hall
ent que la cécité psycho-physique des couleurs est le reliquat d'un
état
antérieur de développement du centre de percept
. von Biervliet pendant le cours du développement de l'embryon d'un
état
de chromolyse physiolo- gique analogue à la chr
bord, paraissent lui appartenir soit par leurs actes, soit par leur
état
mental, et qui sont tout simplement des épileptiq
ivres consacrés aux maladies mentales accordent peu d'attention aux
états
psychologiques inter- médiaires entre l'état no
t peu d'attention aux états psychologiques inter- médiaires entre l'
état
normal et des états désespérés et désespé- rant
ux états psychologiques inter- médiaires entre l'état normal et des
états
désespérés et désespé- rants comme l'idiotie et
désespérés et désespé- rants comme l'idiotie et l'imbécillité. Ces
états
intermédiaires existent pourtant ; on en trouve
cause de la solidarité manifeste des facultés mentales. Mais dans l'
état
pathologique ou nettement anormal la dissociati
ttention de l'enfant normal, tandis qu'il en est tout autrement à l'
état
pathologique. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 509
sens spéciaux ou de la faculté d'attention, mais par l'absence ou l'
état
maladif de la volonté. Les maladies de la volon
au com- plet, ne perçoivent pas; sous sa forme la plus légère, cet
état
510 REVUE DE PATHOLOGIE. MENTALE. caractérise
rme extrême il constitue la démence. 13. nE \fuscn.wE CLnr. XI. L'
état
présent de la science mentale (le premier d'une s
ie, c'est la confusion mentale et la stupidité qui font penser à un
état
d'auto-intoxication. Le pronostic est favorable d
t le mer- cure qui ait contracté la syphilis pendant qu'il était en
état
de mcrcurialisme. Cette observation suggère la
rès grande majorité des cas, elle paraît être le développement d'un
état
analogue ayant débuté dans l'enfance, et elle e
ent en rapport, comme Havelock Elles l'a démontré le premier avec l'
état
qu'il a désigné sous le nom d'auto-érotisme. En
s les plus variées depuis le jeu actif de l'ima- gination jusqu'aux
états
de rêve délirant de l'hystérie. Il y a aussi d'
Feré. (Noitv. Iconogr. de la Salpélrière, n° 4, 1899.) , Soit à l'
état
aigu, soit à l'état chronique, les troubles troph
r. de la Salpélrière, n° 4, 1899.) , Soit à l'état aigu, soit à l'
état
chronique, les troubles trophiques de la peau s
é de reconnaître ce prurit chez les paralytiques, en raison de leur
état
mental et l'obscurité qui entoure la pathogénie d
encore, à proprement parler, une psychose, mais elle repose sur un
état
mental fétichique qui mène fatalement certains
'obsession tyrannique, angoissante à un premier degré. Puis, de cet
état
, la conscience disparaît à son tour, le malade
spect, du fait d'une auto-intoxication intercurrente, au cours d'un
état
d'aliénation mentale préexistant, à titre d'épi
gine gastro-intestinale et des troubles mentaux caractérisés par un
état
de mélancolie anxieuse d'abord, de confusion me
nue, qui est la prédisposition. Quand la maladie est à la période d'
état
, le seul élément de diagnostic certain réside d
antécédents : l'idiot et l'imbé- cile ont toujours été dans le même
état
depuis leur naissance; au contraire, le dément
mauvais. Notons aussi que le pre- mier diagnostic qu'on pose sur l'
état
mental d'un enfant est sou- vent trompeur et qu
Sa vue devint si mauvaise qu'il dut renoncer à la lecture; mais son
état
s'améliora et il conçut le plan d'étudier les s
ment les meil- leurs, sont rendus meilleurs par la maladie... « Son
état
était celui qu'on décrit sous le nom de folie d
champ de la conscience. Ce vertige rentre dans la catégorie des.
états
émotifs et des obsessions propres aux dégénérés.
des divers tissus hépatique, cérébral, stomacal, etc., comparés à l'
état
normal de ces mêmes tissus (8 figures). A. M.
uivie en ce moment par M. Launois sur les rapports existant entre l'
état
de la glande pituitaire et l'état d'atrophie ou
sur les rapports existant entre l'état de la glande pituitaire et l'
état
d'atrophie ou l'absence des testicules (animaux
sous la dépendance l'un de l'autre, ce sont deux effets d'un même
état
du système nerveux central. ' Un cas de paralys
ute qui, au bout de six semaines, fut encore suivie d'un retour à l'
état
normal ; la guérison paraissait donc de nouveau
ent Itypersuggestihje, que l'on peut mettre très facilement dans un
état
cataieploïde avec contractures. Il démontre à n
omment il convient de les varier et de les combiner dans les divers
états
mentaux, en particulier dans la mélancolie et la
4 paralytiques n'étaient-ils pas tous galeux. Au point de vue de l'
état
général, les transférés de cette année sont donc
mis depuis quelques jours à peine et qui nous sont amenés dans un
état
de cachexie très prononcée. En 1901, nons avons p
té spéciale, et d'autre part qu'au premier stade de la maladie, les
états
émotionnels pathologiques et les formes déliran
ent le premier plan, si bien que ce n'est que plus tard, au stade d'
état
, que la maladie se caractérise par des symptôme
ment, manifestations hallucinatoires et délirantes, trou- bles de l'
état
émotionnel (mélancolie, manie, stupeur); 3° enfin
t émotionnel (mélancolie, manie, stupeur); 3° enfin les symptômes d'
état
durant la v : e entiéfe, à savoir l'affaiblisse-
une tendance à la guérison. Six d'entre eux, sans anomalies dans l'
état
émotionnel, sont des cas plutôt légers qui corr
formes morbides hébé- phrénique et calatonique, fait intervenir un
état
émotionnel dans la conception de la catatonie,
ement, ou bien après des rémis- sions plus ou moins sensibles, à un
état
caractéristique et tout à fait spécial d'affaib
main un garçonnet de six ans à peine, qui, lui aussi, était dans un
état
d'ivresse avancée. Et la mèic c chantait, batta
, par - Méeus, 542. ' (le Grèzes, -10 i Dépression KÉnATtOCE et
états
encri pliii lol)at Iiitlues gi-aves,pai Pti 1 l
RVLE. Voir Pie-mère. Voir Histologie. Contribution à l'étude de l'
état
et du développe- ment des cellules nerveuses de
, introduction à l'étude de la folie, par Mac Pher- son, 186. Des
états
anxieux dans les -, par Lalanne, 249. men- ta
minal par Souques, 433 . radial. Voir hypnotisme. Neurasthénie et
états
neurasthéni- ques, par Ducosté, 3S1. XËvnn'E
r le dia- gnost ! cde-Ia généralR. pai Jotfroy et Mercier, 331. L'
état
du fond de l'oeil dans - générale et ses lési
n et Oboi tlitir, 361. Scuoefer. Voir Réflexe. Science mentale. L'
état
présent de la -, par llollaucler, 51u. Scléro
evient à dire qu'il faut toujours employer, pour faire disparaître un
état
produit, l'agent même qui a servi à le déterminer
inations bilatérales simultanées dans l'hypnotisme. — Persistance à l'
état
de veille, avec M. Bérillon. (Société de Biologie
reçues, mais lutta avec l'école de Nancy contre la théorie des trois
états
de l'hypnotisme : catalepsie, léthargie, somnambu
ification spéciale des plus singulières et des plus profondes — mon «
état
hypota-nique », — qu'aucun signe extérieur ne tra
it toutefois, et continuant d'offrir toutes les marques visibles de l'
état
de veille le plus complet, je lui dis sur un ton
dit et qui en rit sous cape, et votre suggestion tombera à plat. Un
état
comparatif des différentes catégories de personne
résultat annoncé ainsi que de la façon dont il s'effectue ; car, à l'
état
normal, ses membres obéissent à sa volonté, e
osité et la discrimination d'un psychologue professionnel, les divers
états
de son âme par lesquels il a passé dans le cours
s il est impossible de l'exécuter. Cette aboulie existe dans certains
états
morbides et maladies mentales. L'opium le donne,
qu'elle dormait. Je lui fis alors les suggestions que nécessitait son
état
, et je la réveillai. o Vous avez dormi quand mê
s. Elle dormait donc déjà à ce moment, et je me demande dans quel
état
je l'aurais laissée, si, me fiant à sa parole, je
n danger, mais il ne peut s'en défaire. Elle crée chez le malade un
état
d'angoisse résultant de la contradiction qui es s
ntégrale. D'après lui, au contraire, l'appareil mental est en mauvais
état
aussi bien chez l'obsédé que chez le malade aidée
te, des lois très sévères contre l'ivresse. Toute personne trouvée en
état
d'ivresse, dans un lieu public ou dans la rue, es
sprit, et n'avoir éprouvé à aucun degré quelconque ce qu'il appelle l'
état
d'extase. Acceptons provisoirement cette déposi
ers le but à atteindre, et une pleine confiance dans le résultat. Cet
état
de l'âme détermine une effluence biomagnétique, o
ce sombre domaine ; mais en outre qu'elle reste encore elle-même à l'
état
de sphynx et de protée, eussions-nous deviné son
émiquc. Un peu plus tard, elle éprouve une grande peur : son père, en
état
d'ivresse, ayant mis en joue avec un fusil, son b
rine s'échappait. Je lui ordonnai de cathétériser régulièrement, et l'
état
de la blessure s'améliora. Un jour, il lui arri
e d'excellent vin coûtant en ce temps-lâ 15 à 20 centimes. Tenir en
état
deux pièces de canon ne se faisant entendre qu'un
Il tomba aussitôt sans connaissance et resta plusieurs heures dans un
état
cataleptique. Il décrit ainsi les sensations du
uve dans le suc gastrique, sous deux formes différentes : d'abord à l'
état
de liberté, puis à l'état de combinaison. Ces dém
sous deux formes différentes : d'abord à l'état de liberté, puis à l'
état
de combinaison. Ces démonstrations sont indiquées
istant sur la possibilité de provoquer chez les sujets plongés dans l'
état
de somnambulisme des variations de la personnalit
n'avait démontré que les mêmes phénomènes peuvent être provoqués à l'
état
de veille, chez un certain nombre de personnes. E
assisté et qui n'ont jamais existé en réalité. La constatation de cet
état
psychologique était de nature à préoccuper les ma
uggestibles peuvent, sans être hypnotisés, par simple affirmation à l'
état
de veille, subir des hallucinations rétroactives.
ans laquelle il était possible d'arriver chez eux, par suggestion à l'
état
de veille, à la réalisation d'un faux témoignage.
amais assisté à des faits semblables, n'avaient jamais été mis dans l'
état
de sommeil hypnotique et ne se doutaient pas de l
aliser irrésistiblement la suggestion-d'un acte quelconque, faite à l'
état
de veille, est en rapport direct avec le développ
l l'expression d'une impulsion existant dans beaucoup de cerveaux à l'
état
latent? 11 faut croire que le législateur l'a pen
s: 1° Un assez grand nombre d'individus présentent normalement, à l'
état
de veille, et sans manœuvres préalables d'hyp-not
issant à la constitution d'un faux témoignage existant aussi bien à l'
état
de veille qu'à l'état d'hypnotisme, ces faits ren
on d'un faux témoignage existant aussi bien à l'état de veille qu'à l'
état
d'hypnotisme, ces faits rentrent dans le domaine
tures, aux questions ordinaire et extraordinaire. La connaissance des
états
psychologiques analogues à l'hypnotisme nous a ap
sque sans valeur et dont le nombre ou l'inutilité témoignent comme un
état
maladif particulier chez les auteurs de semblable
. 50. De l'interprétation de certains phénomènes psychiques par les
états
médianiques de l'hypnose. Par le D' P. Joibe, d
d'hallucinations ; mais dans tous les cas elles ont lieu dans un des
états
médianiques que nous avons fait connaître il y a
veux seulement les rapprocher de ce que j'ai dit l'année dernière des
états
médianîques de l'hypnose, et vous montrer qu'on p
n les expliquer par la coexistence, chez deux sujets différents, de l'
état
médianique actif et de l'état médianique passif.
ence, chez deux sujets différents, de l'état médianique actif et de l'
état
médianique passif. Je vais pour cela vous rappe
cela vous rappeler quelques-uns des caractères spéciaux des nouveaux
états
hypnotiques que j'ai décrits il y a un an, et aux
ques que j'ai décrits il y a un an, et auxquels j'ai donné les noms d'
état
médianique actif et d'état médianique passif. D
a un an, et auxquels j'ai donné les noms d'état médianique actif et d'
état
médianique passif. Dans l'état médianique passi
es noms d'état médianique actif et d'état médianique passif. Dans l'
état
médianique passif, le sujet est apte à recevoir d
peuvent lui cire données à distance. J'ai aussi démontré que dans l'
état
de médianisme passif on observe la transmission d
on observe la transmission de la pensée et la suggestion mentale. L'
état
de médianisme actif se caractérise en ce que :
e quelque nature que ce soit; il n'en faut pas plus pour le placer en
état
de médianisme actif; l'autre sujet perçoit l'hall
. II y a bien là une analogie frappante avec ce qui se passe dans les
états
médianiques, où nous avons vu un des sujets capab
raison à notre pensée que le sujet qui reçoit l'hallucination est en
état
médianique passif. En effet, dans la plupart des
bservations, ces hallucinations arrivent, pendant la nuit, ou dans un
état
de demi-sommeil du sujet; dans quelques cas, le s
un état de demi-sommeil du sujet; dans quelques cas, le sujet est en
état
de veille, mais il est formellement mentionné qu'
meil normal aux différentes phases du sommeil hypnotique, et pour les
états
média-niques en particulier, nous savons combien
de la deuxième catégorie sont encore plus faciles à expliquer par les
états
médianiques, car ils se rapportent uniquement à d
a pensée qui sont très fréquents, ainsi que nous l'avons vu, dans les
états
médianiques. Quant à la seconde subdivision des
ur autoriser cette déduction. J'ajouterai, de plus, que dans tous les
états
hypnotiques et surtout les états média-ni[ues, l'
jouterai, de plus, que dans tous les états hypnotiques et surtout les
états
média-ni[ues, l'isolement dans lequel se trouve l
mmencement d'exécution au moment où ils sont annoncés par le sujet en
état
médianique. En effet, de toutes les observations
r pour démontrer que si un acte est projeté dans l'esprit du sujet en
état
de médianisme passiF, il s'agit là d'une simple t
la pensée. Je rappellerai enfin que les sujets peuvent passer de l'
état
normal à l'état médianique actif ou passif et rev
rappellerai enfin que les sujets peuvent passer de l'état normal à l'
état
médianique actif ou passif et revenir ensuite à l
tat normal à l'état médianique actif ou passif et revenir ensuite à l'
état
normal sans en avoir conscience, et sans même que
pas exercés puissent s'en apercevoir. Enfin, la superposition de l'
état
médianique actif et de l'état média-nique passif,
rcevoir. Enfin, la superposition de l'état médianique actif et de l'
état
média-nique passif, qui s'observe quand le sujet
ctif et de l'état média-nique passif, qui s'observe quand le sujet en
état
de médianisme actif influence un sujet en état de
erve quand le sujet en état de médianisme actif influence un sujet en
état
de médianisme passif, multiplie pour ainsi dire à
ervice de M. A-Voisin, à la Salpêtrière, le 16 novembre 1805, dans un
état
de lypêmanie avec idées de suicide et céphalée.
rmait mal parce qu'elle cessait d'entendre dès qu'elle entrait dans l'
état
hypnotique. 7 décembre- — Dès l'occlusion des p
e sa sensibilité. Elle a ses règles depuis ce matin. Elle est dans un
état
de prostration intense : pas d'appétit; envies de
morale ; pour cela, une prédisposition est indispensable, à savoir l'
état
de réceptivité émotive, pathologique, que réalise
sile n'aurait été rendu à la vie civile que guéri ou amélioré, hors d'
état
de nuire, le plus souvent. Et si nous demandons
étaire général fait un exposé de la situation morale de la Société. L'
état
de la Société est des plus prospère. L'activité d
es très autorisés, ont été considérés comme étant la conséquence d'un
état
nerveux. Ces troubles oculaires ont duré plusieur
s pourrez monter mes trois étages.» Cette affirmation suggestive, à l'
état
de veille. produisit l'effet prévu par moi, e
dans son acception la plus large, depuis l'entraînement psychique à l'
état
de veille jusqu'au sommeil hypnotique profond.
lui en faire, et je joins à chaque injection une forte suggestion à l'
état
de veille. Après un mois de traitement hypodermiq
es forces reviennent, la digestion et le sommeil s'améliorent: mais l'
état
mental est à peine modifié, les idées mélancoliqu
oindre déplacement de l'air ambiant suffit à mettre la malade dans un
état
d'agitation considérable. Mobilité d'humeur extrê
comme impossible le retour de sa neurasthénie. C'est .en excellent
état
qu'elle quitte Paris, le 28 février 1896. Le 15 j
gulier, une digestion à peu près normale, des selles quotidiennes, un
état
général assez satisfaisant, en somme, pour écarte
à l'isolement. Il ne reste donc plus qu'à employer la suggestion à l'
état
de veille, en la masquant, pour la faire accepter
â fait tranquillisé. Le traitement par l'entrai ne ment suggestif à l'
état
de veille avait duré près de trois mois. Tout e
Tout en comprenant qu'il a involontairement exagéré de beaucoup son
état
, X... est reste persuadé qu'il a couru un grand d
ée par le malade, devait ne pas réussir. Seule, la psychothérapie à l'
état
de veille a été couronnée de succès, parce qu'ell
rence sur : Le râle du sommeil dans les cures psychothérapiques : Les
états
passifs. Jeudi 10 Décembre, à cinq heures, M. l
omnambulisme {Somnus, le sommeil, ambulo, je me promène), on entend l'
état
d'un individu qui agit d'une façon en apparence n
it, ou du moins, n'en garde pas le souvenir. Comme chacun sait, cet
état
se rencontre, ou bien, à titre d'accident en quel
car, si, d'une part, l'inconscience, l'amnésie des actes posés dans l'
état
somnambulique constitue un motif d'exonération, d
etc. Actuellement, on ne constate point d'anomalie notable dans son
état
mental. Une de ses sœurs a été internée à l'asi
te : elle était folle et avait des attaques de nerfs. Voilà donc un
état
d'inconscience, d'amnésie, provoqué par l'alcool
ses. Sous le nom de vertige alcoolique, le Dr Crothers1 a décrit un
état
qui mérite, à juste titre, la désignation de somn
cellente monographie' sur l'alcoolisme, admet également l'existence d'
états
somnambuliques. « La science, dit-il, n'est pas
r abord, le résultat de combinaisons intellectuelles déterminées. Des
états
analogues peuvent se^présenter chez les ébrieux,
manifestations. Bruxelles, 1884, p. 184. (2) Meurtre commis dans un
état
d'ivresse ou accès de monomanie. Condamnation. An
anomalies de la conduite, du caractère, etc., ayant existé pendant l'
état
somnambulique. Sans doute, le sujet aurait révélé
u somnambulisme. Ceux qui ont eu l'occasion d'observer" des sujets en
état
de somnambulisme hypnotique auront été frappés de
ubissent la physionomie, l'allure générale, au moment du passage de l'
état
hypnotique à l'état de veille. Il n'en reste pa
mie, l'allure générale, au moment du passage de l'état hypnotique à l'
état
de veille. Il n'en reste pas moins vrai que les
ne façon raisonnée, d'une façon vraiment consciente : il peut être en
état
de somnambulisme, Cette vérité semble parfois m
clusions. 1° Il existe un somnambulisme alcoolique, c'est-à-dire un
état
provoqué par l'alcool, dans lequel le sujet agit
nce, ou du moins, sans en garder le souvenir. 2° En réalité, dans l'
état
somnambulique, la conduite, la. manière d'être pr
malies échappent facilement à une observation superficielle. 3* Cet
état
parait ne se présenter que chez des dégénérés'ou,
ntécédents psychopathiques héréditaires. 4° Les actes commis dans l'
état
de somnambulisme alcoolique doivent bénéficier de
raitement psychothérapique, nous la voyons tomber brusquement dans un
état
de sommeil profond, et nous sommes surpris de con
me temps le tremblement s'arrête instantanément dès l'apparition de l'
état
d'hypnose. Après avoir constaté par un examen c
areils enregistreurs. Les tracés 1 et 2, pris successivement dans l'
état
de veille et de sommeil, montrent les modificatio
égularisation survenue dans le pouls dès l'apparition du sommeil. A l'
état
de veille Cœur : V (veille) S (sommeil) (trac
uls est absolument irrégulier, le dicrotisme à peine sensible. Dans l'
état
d'hypnose, le dicrotisme s'est accentué. On a pu,
la tension artérielle prise avec le sphygmomètre de Verdin, qui, à l'
état
de veille, était de 500 grammes (11 centimètres d
ent l'accomplissement de la fonction qui en dépend. Chez l'homme en
état
d'équilibre parfait, le centre spinal peut entrer
ans le cas précédent ('}. C'est ainsi, pour citer un exemple, que l'
état
de répéltion de la vessie provoque le réflexe gén
serait produite par le consensus des centres corticaux et spinaux à l'
état
physiologique. Mais que l'un de ces éléments fo
es désordres graves apparaissent dans les zones qui en dépendent et l'
état
pathologique est constitué. * * * Pour ne p
ces deux strictures assez prononcées tenaient sous leur dépendance l'
état
de déséquilibrement de ce malade, et l'indication
l ne s'est plus levé la nuit et que le jour il urine plus rarement. L'
état
général est excellent, l'appétit très bon et les
tobre 1895} les particularités que présentent chez lui les différents
états
du sommeil. J'ai fait avec lui plusieurs séries
a présentation de la main et montrai les particularités de ses divers
états
de sommeil, après avoir exposé la plus grande par
ines consécutives, et à plusieurs reprises pendant quelques jours, un
état
fort remarquable à divers points de vue. En eff
er mais inattendu confirment entièrement cette façon de concevoir son
état
. En effet, s'il n'était pas prévenu par le sens d
nitial). Le malade, en juillet 1894, avait quitté notre service, en
état
de somnambulisme (si l'on peut désigner ainsi un
tre service, en état de somnambulisme (si l'on peut désigner ainsi un
état
qui n'est pas identique avec l'état de somnambuli
e (si l'on peut désigner ainsi un état qui n'est pas identique avec l'
état
de somnambulisme classique), il y est rentré cett
et dans l'espace de vingt mois aurait eu de nombreuses alternatives d'
état
somnambulique et d'état normal. Lors de sa rentré
t mois aurait eu de nombreuses alternatives d'état somnambulique et d'
état
normal. Lors de sa rentrée, il était en état norm
'état somnambulique et d'état normal. Lors de sa rentrée, il était en
état
normal, et pendant les quelques semaines de son s
s semaines de son séjour, il est tombé plusieurs fois spontanément en
état
somnambulique. Une fois, M. le DT Tournier, en lu
en lui faisant fixer un objet brillant, reproduit assez exactement l'
état
où nous l'avions vu il y a deux ans. Pour l'ouïe
oche. Pour la vue, on peut dire qu'elle se rapprochait davantage de l'
état
normal. Il y avait aussi, quant aux paupières, un
nous nous disposions à le faire, il y eut une aggravation subite de l'
état
général du malade qui, très rapidement a succombé
e rénale et de l'hypertrophie cardiaque. Quant à leur relation avec l'
état
de somnambulisme, je me propose de la discuter ul
ence .sur : Le role du sommeil dans les cures psychothérapiques : Les
états
passifs. Jeudi 10 Décembre, à cinq heures, M. l
7 et 614. (4) Taine. De l'Intelligence, préface de la 2« édition.
états
par lesquels il a passé, tout ce qui serait arriv
ts par lesquels il a passé, tout ce qui serait arrivé, entre ces deux
états
semblables, aurait été tiré de rien.... Sans do
s pour retomber immédiatement. La vision est d'ailleurs normale, et l'
état
des yeux eux-mêmes ne comporte rien de particulie
onfirmer. Ce traitement a été tellement bénin en l'espèce, qu'en tout
état
de cause il ne peut être préjudiciable de l'essay
émorragie ne reparut pas. Je changeai le pansement en annonçant que l'
état
des yeux était très satisfaisant, et je remis un
emanda le sujet de la leçon, il répondit qu'il voulait traiter « de l'
état
mental des maniaques pendant les attaques périodi
is celui qui rend au malade « les services les mieux appropriés à son
état
. Pénétrés de l'idée que la bonne confraternité
22 décembre 1869, à expliquer par un phénomène d'auto-suggestion les
états
physiologique et psychologique si curieux présent
elles, Librairie Maquardt. dit-il, je fus témoin des fameux trois
états
, léthargie, catalepsie, somnambulisme ; là, je vi
ux trois états, léthargie, catalepsie, somnambulisme ; là, je vis les
états
dimidiés et les stupéfiants états composés ; là,
sie, somnambulisme ; là, je vis les états dimidiés et les stupéfiants
états
composés ; là, on me montra en action l'hyperesth
a duré cinq jours. en 1884, par un simple ordre verbal donné à l'
état
de veille, envoyé Mlle II... chez le dentiste, qu
seur Nuel et le Dr Leplat, a entrepris d'améliorer, par suggestion, l'
état
de la vision, chez deux sujets devenus presque av
riminelles, la plus grave assurément que soulève le rapprochement des
états
hypnotiques avec le droit civil et criminel. J'ai
es expériences personnelles, est la suivante : Toute personne mise en
état
de somnambulisme profond devient, entre les mains
te sur l'hypnoscope et les aimants, p. 370 ; 4° De l'analogie entre l'
état
hynotique et l'état normal, 11, 289 ; 5° De l'ori
et les aimants, p. 370 ; 4° De l'analogie entre l'état hynotique et l'
état
normal, 11, 289 ; 5° De l'origine des effets cura
ai uni par me convaincre qu'avec l'alcoolisme nous avons affaire à un
état
complexe, et que, tandis que quelques malades son
emple ; 5° Prédisposition héréditaire qui constitue souvent un réel
état
de dipsomanie. Pour assurer le succès, il est n
sée, photophobie, hypochondrie légère, traitées par la suggestion à l'
état
de veille. Par M. Renoux, élève de la Faculté d
ar le médecin traitant. Le malade est soulagé mais retombe dans son
état
primitif au bout de peu de jours. A ce momenl-là
ndrie fréquents. 14 août. — Première séance de suggestion faite à l'
état
de veille. Soulagement immédiat : l'hypércsthésie
le malade, malgré une suggestion forte, tend à retomber dans son
état
psychique antérieur ; il s'Observe, se scrute, es
eurasthéniques, arriver à provoquer la guérison par la suggestion à l'
état
de veille, mais il est bien plus fréquent d'être
l'expression des idées, la question médico-légale est de décider si l'
état
mental du sujet est suffisant pour rendre valable
rvice sur l'albuminurie post-paroxystique, la toxicité uri-naire et l'
état
du sang, expériences dont il a déduit une concept
et elles changeront graduellement votre être pensant et agissant. Les
états
positifs tels que la santé, la joie, l'harmonie,
rmonie, la force, la spiritualité s'installeront dans voire âme ; les
états
négatifs tels que la faiblesse, le désordre, la p
rères trouveront un chapitre où il est assez longuement question de l'
état
hypnotique provoqué par lu musique. La capacité
t fait des testaments et jamais aucun arrêt n'est venu déclarer que l'
état
de morphinomanie pouvait-être invoque comme un ét
cocaïne à celles de la morphine. Ce traitement ne fit qu'aggraver son
état
. Des abcès multiples en furent la conséquence. Su
tateur était morphinomane. Il argue que la morphinomanie constitue un
état
incompatible avec la santé d'osprit requise pour
morphinisés dans des catégories très diverses au point de vue de leur
état
mental. Il y a des périodes où Ils sont absolumen
ine est même utile chez certaines gens qui doivent a ee médicament un
état
montai capable de leur permettre de vaquer à leur
igence que lorsqu'ils sont privés de morphine, lorsqu'ils sont dans l'
état
d'abstinence. Dans ce cas, Lis perdent toute init
eux termes peuvent être Indifféremment employés pour désigner le môme
état
. La distinction entre l'alcoolisme et la dipsoman
uvent parfaitement sobre. L'habitude de la morphine est continue et l'
état
de besoin revient avec périodicité constante. Si
vec sommets suspects, des ganglions sous-maxillaires et inguinaux, un
état
sabrinal de la langue, de la dilatation gastro-in
oduits par les centres d'action placés dans l'hémisphère droit. A l'
état
habituel, les deux hémisphères fonctionnent ensem
l'autre oreille doit se livrer à un acte d'audition différent. A l'
état
habituel, les deux oreilles concourent au même bu
gts, développent aussi la dualité cérébrale, qui existe chez tous à l'
état
latent ; il faut qu'ils habituent leur cerveau à
ote sur un cas de coliques intestinales guéries par la suggestion à l'
état
de veille (imposition des mains) Par MM. Mongou
lle, à tout traitement par les analgésiques. Seule, la suggestion à l'
état
de veille (notre malade n'étant pas hypnotisable)
nion de bleu de méthylène, a eu raison de ces accidents graves, car l'
état
général de cette femme, qui ne s'alimentait plus,
guérison miraculeuse soit obtenue, il faut que le malade soit dans un
état
particulier, il faut que son esprit soit dans l'é
ade soit dans un état particulier, il faut que son esprit soit dans l'
état
de crédulité, de suggestibilité qui, seul, peut i
Sang, celui-là. par sa seule présence, détermine en notre] esprit un
état
d'engourdissement, de somnolence. Nous subissons
taine débilité d'esprit. Bien au contraire, cette aptitude suppose un
état
plutôt normal. Les individus les plus normaux son
e dont l'instabilité mentale se prête mal à l'influence suggestive. L'
état
de grande hystérie de cette malade est nettement
à la manie raisonnante, à l'irrésolution qui constituent le fond de l'
état
mental des hystériques. Dans ces conditions,
atténuer par le contact de la vie en commun et il est rare que dans l'
état
de mariage l'un des conjoints puisse se vanter d'
dive d'impressions sensorielles subjectives réelles ; mois jamais ces
états
pathologiques de l'appareil récepteur et du nerf
nent lieu à des phobies. La phobie acoustique, en effet, n'est pas un
état
périphérique, elle est un état central, comme du
bie acoustique, en effet, n'est pas un état périphérique, elle est un
état
central, comme du reste toutes les autres phobies
femme et qui appartiennent presque tous à la famille nosologîquc des
états
de dépression psychique : mélancolie, idées de pe
tes comme la folie circulaire et la folie erotique, et de rares cas d'
états
d'excitation, manie subaiguë ou aiguë avec impuls
Samedi 13 Mars. — La technique de l'hypnotisme expérimental. — Les
états
profonds de l'hypnose. — Les anesthésiques et les
e type visuel, le type auditif. — Division du travail mental dans les
états
hypnotiques ; dissociation des phénomènes psycho-
hallucinations, variations de la personnalité. — La mémoire dans les
états
hypnotiques : amnésies, hypermnésies. — Appréciat
— Psychologie des mouvements. — Modifications de la motllité dans les
états
hypnotiques. — Les mouvements inconscients. — L'é
ions de la vie organique. — La respiration et la circulation dans les
états
hypnotiques. — Action de la suggestion sur les ph
aines. Il n'est nullement nécessaire de provoquer l'apparition de l'
état
de somnambulisme, bien que la constatation de cet
pparition de l'état de somnambulisme, bien que la constatation de cet
état
constitue une circonstance particulièrement favor
ion de ses traits, qu'il se rétablit et rentre progressivement dans l'
état
de santé. Après le réveil, il éprouve parfois u
, Eugénie B... présentait des zones d'aneslhésie caractéristiques, un
état
mental propre aux hystériques, et je n'insisterai
lle rien. Ces1 encore là un fait caractéristique de la suggestion à l'
état
d'hypnose» l'amnésie complète au réveil. Je rec
e malade, la guérison du blépharo-spasme s'est maintenue. Quant à son
état
général, sous l'influence do l'hydrothérapie et d
s trop spéciales pour y insister outre mesure, me convainquirent de l'
état
absolument normal des yeux de mes deux malades. E
mal ne peuvent être obtenus qu'avec la plus extrême difficulté, vu l'
état
de dépression de ses facultés intellectuelles.
n'y remarque pas d'écume. Le bras droit, et la jambo droite sont en
état
de contracture complète. Le pouce et l'index de
e la tète. Parallèlement, M. le professeur Spehl fit observer que l'
état
intellectuel de Léopold L... s'améliorait d'une f
s un grand nombre d'affections nerveuses: la suggestion indirecte à l'
état
de veille. Il commença par prescrire, pro forma
e conviction que le phénomène mesmérique reposait sur le changement d'
état
des centres cérébraux spinaux et des systèmes cir
rdant avec la fixité de l'attention. Je faisais dépendre le tout d'un
état
physique et psychique du patient déterminé par le
le préfixe « neuro », il donna les termes suivants : Hypnotique : l'
état
ou la condition du sommeil nerveux. Hypnotiser :
tes les conditions requises, est de placer le système nerveux dans un
état
de somnolence qui permet à l'opérateur de produir
ons, les uns et les autres, soit dans le sommeil naturel, soit dans l'
état
de veille. 2° « Qu'il y a, premièrement, une gr
diminuer à volonté, localement ou généralement. 4° « Que, dans cet
état
, nous avons, à un degré surprenant, le pouvoir d'
tion, localement ou généralement. 5° « Que, aussi longtemps que cet
état
est maintenu, nous possédons, d'une manière remar
ement le pouvoir d'opérer de rapides et importants changements dans l'
état
de la circulation capillaire et dans toutes les s
fois obtenir des guérisons par de semblables méthodes appliquées en l'
état
de veille. D'après la description de sa manière d
ignorance de sa valeur. Braid découvrit qu'il pouvait déterminer l'
état
hypnotique par le moyen des courants d'air froid.
ns la rigidité et dans la torpeur; faire enfin passer le patient d'un
état
général de rigidité musculaire et d'inaction sens
ndépendant du corps. » En opposition à la théorie qui rapprochait l'
état
d'hypnotisme de l'état de rêve, Braid disait : «
En opposition à la théorie qui rapprochait l'état d'hypnotisme de l'
état
de rêve, Braid disait : « Le réve provient d'un r
ntales à un degré que ne peuvent atteindre les mêmes individus dans l'
état
de veille. Et, quelle que soit la véritable origi
quoiqu'elle fût ignorante de la grammaire de sa propre langue dans l'
état
de veille, elle prouverait elle-même que durant l
leux pouvoirs qui peuvent être acquis par quelques patients, durant l'
état
de somnambulisme artificiel ; elle dit qu'elle se
faire naître une condition ressemblant si peu que ce soit au sommeil,
état
populairement nommé « électro-biogical », nom que
à ses patients durant l'hypnotisme, étaient exécutées par eux dans l'
état
de veille, démentant, par cela, le fait que celle
immédiate de reconnaissance, portant sur le total des perceptions et
états
affectifs de l'instant considéré, (quelque court
e le phénomène se produisit de prélé-férence quand vous étiez dans un
état
de 14. — De préférence quand vous étiez dans un
étiez dans un état de 14. — De préférence quand vous étiez dans un
état
de tension morale ou émotionnelle occasionnée par
es où vous vous trouviez [ou par toute autre cause) ? 15. — Dans un
état
de tension intellectuelle proprement dite, (Par
, le temps écoulé entre son ingestion et l'apparition du phénomène, l'
état
mental général dans lequel on se trouvait et les
de la maladie, la période de son évolution, les traitements suivis, l'
état
mental général où l'on se trouvait, et les divers
était la durée totale de la série ? 24. — Quels sont chez vous les
états
émotionnels qui accompagnent le phénomène : Ver
timent de bien-être ? etc., etc. 25. — Avez-vous jamais éprouvé des
états
émotionnels sensibles, survenant inopinément et s
souvenir ? b. Par un effort d'attention volontaire portant sur les
états
affectifs ou les perceptions en eux-mêmes ? c.
si la Revue neurologique: La bêtise n'est pas une maladie, c'est un
état
de l'homme sain, caractérisé par une perception i
aternité Avec rappel immédiat de la menstruation par suggestion à l'
état
de veille Par M. le Dr E, Marandos de Monthyel,
la menstruation a reparu dans ces deux cas par simple suggestion à l'
état
de veille les rend encore plus intéressants. Voic
en effet. Il avait donc suffi d'enlever par une simple suggestion à l'
état
de veille, l'obsession qui jouait le rôle d'arrêt
ait advenu de cette jeune et jolie femme qu'une simple suggestion à l'
état
de veille a rendu à la joie de vivre, si elle n'a
t y renoncer. Quand elle se fut un peu remise de son émotion, et en
état
de continuer sa confession, voici ce qu'elle me r
gonflement des seins. Que risquait-on en tentant une suggestion à l'
état
de veille ? de retarder de quelques jours la conf
ble pour servir de base au mensonge qui allait être ma suggestion à l'
état
de veille, au mensonge qui, quelque vilain et odi
se de toute fausse grossesse. Enfin, l'une et l'autre présentaient un
état
anormal des organes de la génération. La première
e : pour ramener les règles chez Emma X..., je l'ai suggestionnée à l'
état
de veille, je ne SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE P
e polydipsie excessive guérie, en cinq séances, par la suggestion à l'
état
d'hypnose », donne lieu entre MM. Dumontpallier,
portaient sur les bras des tatouages variés. l'aurais pas fait à l'
état
de sommeil ou alors sous la réserve : « Si vous n
us si merveilleuses, que dans le doute, il est sage de s'abstenir. En
état
de veille, je ne pense pas qu'une telle action so
e, en errant sur les fortifications, le long de la Seine, en étant en
état
de vagabondage, qu'ils ont été invités par des ca
té très peu douloureuse. Ce fait dénoterait chez les jeunes sujets un
état
d'insensibilité cutanée. Loin de faire de cette i
ate de tendance à la criminalité, je la considérerais plutôt comme un
état
physiologique normal. Dans une thèse de la Facu
terré présentant toutes les apparences d'un cadavre, puis rendu à son
état
normal, après un quart d'heure environ de manipul
erses. Braid établissait également une ressemblance marquée entre l'
état
produit par le hashisch et certains états hypnoti
ressemblance marquée entre l'état produit par le hashisch et certains
états
hypnotiques. Il citait à l'appui les expériences
vantes. « .Te devins de plus en plus convaincu », dit-il, « que l'
état
hypnotique était essentiellement un état de conce
convaincu », dit-il, « que l'état hypnotique était essentiellement un
état
de concentration mentale durant lequel les facult
édés employés pour déterminer l'hypnose est évidemment de produire un
état
de concentration, d'abstraction ou d'attention, a
état de concentration, d'abstraction ou d'attention, autrement dit un
état
de monoidéisme..... Quant aux phénomènes physio
r, celui qui monoidéise : « Monoidéise, condition de la personne en
état
de monoidéisme. Le mot « Monoideo-Dynamique » i
somnambules artificiels tendent à rester en repos et à tomber dans un
état
de sommeil profond, à moins qu'ils ne soient exci
ivie par un épuisement correspondant. Il y a môme quelquefois, dans l'
état
hypnotique, une excitation semblable à l'ivresse,
meil hypnotique ou nerveux et le sommeil ordinaire est compatible à l'
état
ou à la condition de l'esprit. En passant dans le
lir aucune action exigeant beaucoup d'effort de volonté. un complet
état
de passivité est donc manifesté durant le sommeil
es procédés employés pour provoquer le sommeil nerveux, engendrent un
état
actif et concentré de l'esprit du sujet qui peut,
cours du semestre d'été 1891. 1re Partie. — Etude préliminaire des
états
physiologiques et pathologiques connexes de l'hyp
pnotisme. 2e Partie. — L'hypnotisme, causes et formes. Différents
états
hypnotiques. Suggestion. Auto-hypnotlsation. 3e
entin communique un cas de dermographisme provoqué par suggestion à l'
état
de veille chez une hystérique. M. le Dr IL Leme
ui s'est passé. Enfin, si les accès étaient en série, si un véritable
état
de mal se produisait, il faudrait avoir recours à
grossesses avec rappel immédiat de la menstruation par suggestion à l'
état
de veille. M. le Secrétaire général propose de
pper, avec l'anémie, son hystérie latente, à créer enfin chez elle un
état
de misère psycho-physiologique éminemment favorab
anne F... quittait la Polyclinique pour rentrer chez elle en fort bon
état
, entièrement tranquillisée, ainsi que les siens,
sthésie considérable de la paroi abdominale. Une forte suggestion à l'
état
de veille, doublée d'une légère potion chloroform
es nerveux, l'indication formelle du traitement par la suggestion à l'
état
d'hypnose. La mère, prévenue, souscrit d'avance à
tions somatiques et psychiques. En cinq séances de psychothérapie à l'
état
d'hypnose, non seulement toute trace de malaise a
nce, elle a encore contribué dans une large mesure au relèvement de l'
état
général. Nous ne saurions donc mieux terminer c
telle intensité, qu'on peut la considérer comme la manifestation d'un
état
névropathique réel. Chez les enfants, il est ex
hez les adultes atteints de phobies et dont la peur est accompagnée d'
états
d'anxiété et de troubles généraux aussi pénibles
ainsi qu'en témoignent les deux observations suivantes, à guérir ces
états
d'émotivité morbide, par l'emploi de la suggestio
rère ainé, qui accomplit son service militaire, n'a jamais présenté d'
états
d'émotivité analogues ; trois sœurs, très bien po
guérison est complète. Mais en même temps que la peur a disparu, son
état
mental s'est modifié dans un sens favorable, sa p
uence très fâcheuse sur sa santé. Il dépérissait à tel point, que son
état
inspirait de sérieuses inquiétudes. Quand on l'
traordinaires qu'il avait obtenus en faisant usage des aimants dans l'
état
mesmérique, et, avec bonté, il s'offrit à me démo
ions que la patiente m'avait entendu faire, agissant sur elle, dans l'
état
particulier du sommeil nerveux, comme des impulsi
elle-même entraînée par la vivacité de son imagination qui, dans cet
état
, la déterminait à croire comme réel ce qui était
une partie de son corps, soit de son corps tout entier. En altérant l'
état
de la circulation, en retranchant les idées préal
d'exciter ou de déprimer les fonctions, d'augmenter ou de diminuer l'
état
de sensibilité existant; cela, localement ou géné
ectement, aux effets de l'attention dirigée sur eux ou détournée de l'
état
morbide... Une impression mentale est nécessairem
leur permet de se souvenir de choses depuis longtemps oubliées dans l'
état
de veille. « 4° Le remarquable effet de contact
ition de double conscience et de double personnalité, « 6° L'ardent
état
de l'imagination qui fait qu'instantanément, chaq
du pouvoir des influences mentales sur les différents phénomènes de l'
état
hypnotique, l'amenèrent bientôt à n'avoir aucune
les idées avec lesquelles ceux-ci étaient ordinairement associés à l'
état
de veille. Je considère même ce dernier mode comm
on ou émotion) à laquelle ce dernier est ordinairement associé dans l'
état
de veille ; en un mot, dans les circonstances ord
ontinu, extrêmement rapide des paupières. Le corps a la rigidité de l'
état
cataleptique; les membres, soulevés, gardent plus
ganiques cèdent à la dynamogénie suggestive. L'entrainement actif à l'
état
de veille a donné des succès à l'auteur. NOUVEL
cours du semestre d'été 1897. 1re Partie. — Etude préliminaire des
états
physiologiques et pathologiques connexes de l'hyp
hypnotisme. 2e Partie. — L'hypnotisme, causes et formes. Différents
états
hypnotiques. Suggestion. Auto-hypnotisation. 3e
ors, l'image de la cause émotionnelle surgit et suggère à son tour un
état
psychique particulier, avec ses conséquences, l'é
st-à-dire que plusieurs idées naîtront d'une seule, et avec elles des
états
psychiques voisins ; exemple : phobie ou idée de
tre, est la parole. Mais celle-ci n'est qu'un symbole conventionnel d'
états
de conscience, et, en cela, gît une grande diffic
été combinée dans aucun cerveau. Comment tentera-t-il d'exprimer cet
état
nouveau et particulier de conscience, et de le re
ole est établie par une convention. Elle rend perceptible aux sens un
état
de conscience connu auparavant. Elle éveille chez
ir de la langue qu'il trouve toute faite, c'est-à-dire des symboles d'
états
de conscience antérieurs d'autres individus, il a
juger le vin que d'après l'aspect du réceptacle, et qu'il est hors d'
état
d'ouvrir l'outre et de goûter de son contenu. L
ique pour les rendre propres tant bien que mal à désigner de nouveaux
états
de conscience, est un puissant obstacle de la tra
Peut-être notre organisme se développera-t-il encore au point que les
états
de conscience ne s'exprimeront plus par des symbo
e au moment de la puberté ? Saurat-il supporter le choc que ce nouvel
état
physiologique va imprimer à tout son organisme ?
jeune Otto présente une tare neuropathologique, laquelle explique son
état
cérébral anormal. Dès lors, le développement inte
de la suggestion intelligible. Dangers. Braid pensait que, dans l'
état
hypnotique, il y avait, premièrement : décroissan
stent une grande docilité, il n'en reste pas moins vrai que, dans cet
état
de facultés perspectives et de jugement, ils deme
ssi capables de la plus scrupuleuse correction de conduite que dans l'
état
de veille. Il n'y a là, selon moi, ni plus ni moi
évérantes destinées à corrompre une personne vertueuse plongée dans l'
état
hypnotique, car je ne condescendrai jamais à témo
sont que le même individu peut être plus facilement démoralisé dans l'
état
de veille que dans l'état de double conscience du
peut être plus facilement démoralisé dans l'état de veille que dans l'
état
de double conscience du sommeil nerveux. Durant c
t les plus spontanés effets d'érotisme pouvaient se produire durant l'
état
d'éthérisalion chez des sujets de la plus haute r
époser sur les faits relatifs à une action commise contre elle dans l'
état
de veille, la personne ainsi offensée pourrait êt
ses expériences, tant publiques que privées, et il ajoutait : « L'
état
hypnotique ne peut être déterminé, à aucun degré,
ée des sentiments les plus élevés, conservant toute conscience dans l'
état
som-nambulique, fera preuve d'autant de délicates
e d'autant de délicatesse et de circonspection de conduite que dans l'
état
de veille. J'ai prouvé, en outre, qu'aucune perso
e soutenait l'opinion contraire en se basant sur ce fait que, dans un
état
de torpeur, d'insensibilité et de cataleptique ri
). — II. La question des suggestions criminelles. Ses origines, son
état
actuel. Rapporteur: Pc Liégeois, de Nancy (France
ringthorpe, 61. Coliques intestinales guéries par la suggestion à l'
état
de veille (imposition des mains), par Mongour et
x cas de), avec rappel immédiat de la menstruation par suggestion a l'
état
de veille, par le Dr E. Marandon de Monthyel, 289
sée, photophobie, hypochondrie légère, traitées par la suggestion à l'
état
de veille, par Renoux, 217. Hypnotisme (applica
n, 233. Parole en miroir (la), 189. Phénomènes psychiques par les
états
médianiques de l'hypnose (de l'interprétation de
8, 19. — Tracés de la respiration, du pouls, du cœur, des muscles à l'
état
de veille et de sommeil, 139, 140, 141. TABLE
ttachées à l'hérédité : son père, François Soubi-rous. meunier de son
état
, après avoir mal fait ses affaires, avait dû quit
des depuis quinze jours, elle était gardée à la maison à cause de son
état
maladif et il fallut force supplications pour que
amasser du bois mort le long du Gave. L'asthme hystérique. — Or cet
état
maladif, dont nous connaissons la nature, il est
tanée, enfin des troubles du sommeil, on peut dire de l'insomnie. L'
état
psychologique qui constitue cette personnalité pa
ue qui constitue cette personnalité parait être, au premier abord, un
état
de conscience complet. Marie-Louise se rappelle t
roubles physiques qu'elle présente on ne penserait pas à examiner son
état
mental. Dans cet état mental la défectuosité la p
lle présente on ne penserait pas à examiner son état mental. Dans cet
état
mental la défectuosité la plus apparente est une
lument pas l'émotion qu'elle a eue le 20 décembre 1901. Cependant cet
état
de conscience est de pure apparence. En effet il
la malade en est réduite aux réflexes élémentaires; tandis que dans l'
état
de sommeil, comme il existe des perceptions visue
t cela nous pouvons dire que la personnalité de Marie-Louise dans son
état
de sommeil est constituée par un rétrécissement d
lle-ci sera réveillée et qu'elle nous donnera ses impressions sur son
état
de sommeil elle nous dira entre autres : « Dans c
ions sur son état de sommeil elle nous dira entre autres : « Dans cet
état
j'y voyais, mais je n'y voyais pas clair, j'y voy
que des perceptions visuelles; c'est donc que Marie-Louise, dans son
état
de sommeil, avait des perceptions multiples mais
point de vue psychologique par deux caractères bien tranchés : 1° un
état
de conscience complet; 2" une amnésie rétro-antér
roduit dans la physionomie générale de Marie-Louise dès son réveil; l'
état
psychologique qui la caractérise à ce moment est,
sensitivo-sensorielles et anesthésiques sont abolies; et si dans son
état
second Maric-Lotiise a toutes les apparences d'un
es sensations ne peuvent réveiller que des souvenirs antérieurs à son
état
second, elle est ramenée à la période de sa vie o
ie où ces sensations ont disparu. Marie-Louise se trouve dans le même
état
que le dormeur qui. ayant dormi trente-six heures
evraient réveiller non seulement les souvenirs visuels antérieurs à l'
état
second, mais encore ceux qui ont marqué cet état.
suels antérieurs à l'état second, mais encore ceux qui ont marqué cet
état
. Mais, nous l'avons dit en analysant la personnal
tionnels à cette intensité, c'est-à-dire des souvenirs antérieurs à l'
état
second. Il en est de même des autres centres sens
suite. Et il en est ainsi pour tous les événements qui ont marqué son
état
second : les souvenirs visuels viennent les premi
r maintenant je ne le supporterais pas >. Elle se rend compte de l'
état
de malaise dans lequel elle se trouvait : « J'ava
ión de la personnalité, comme il était facile de la faire passer d'un
état
dans l'autre, elle disait : « Je mène deux vies d
e la personnalité, que s'engrènent et s'amalgament les souvenirs de l'
état
second avec l'état de réveil, la conscience de Ma
que s'engrènent et s'amalgament les souvenirs de l'état second avec l'
état
de réveil, la conscience de Marie-Louise tend ver
e la progression de la personnalité montre que Marie-Louise, dans son
état
second, avait non seulement des perceptions visue
ésiques. Ces perceptions n'ayant aucun lien associatif entre elles, l'
état
psychologique qui en résultait était constitué pa
it au déshonneur, à la ruine, au suicide. Je me propose d'étudier l'
état
mental des joueurs en laissant aux médecins le so
; ils sont à la merci de l'ambiance. Par là même ils font preuve d'un
état
d'hypersuggestibilité excessif; étant hypersugges
urs plus parfaite de la conscience sociale caractérise les aspects et
états
sociaux à mesure qu'ils se succèdent. Des initiat
lus ample explication, mais il est probable qu'un jour, étant dans un
état
maladif, ce magistrat vit à sa porte une mendiant
ais, ses fonctions de magistrat, et que personne ne se doutait de son
état
maladif. 3* Observation : M. le D' Pitres (1) d
extatique qui veut, et le plus grand saint du monde ne peut entrer en
état
d'extase malgré tout son désir, s'il n'est préala
e temps, le malade aperçoit une image merveilleuse qui le met dans un
état
de bonheur et de ravissement inexprimable : Son â
(de Marseille) [suite et fin) (ij Vus dans leur ensemble, les deux
états
que Marie-Louise a présentés montrent quelle rela
s phénomènes psychiques et les phénomènes physiques. En effet, dans l'
état
second, à une diminution profonde de la capacité
plus exactement, sans rien préjuger, des fonctions organiques. Dans l'
état
de réveil, au contraire, au fur et à mesure que l
r et à mesure que les fonctions organiques tendent vers la normale, l'
état
psychologique tend lui-même vers un état de consc
s tendent vers la normale, l'état psychologique tend lui-même vers un
état
de conscience de plus en plus parfait. Ce parallé
on cérébrale : délire polymorphe avec excitation et, à leur suite, un
état
de faiblesse générale se manifestant dès le début
vant : au début du traitement le sommeil hypnotique ne différait de l'
état
de veille ou plus exactement de pseudo-veille que
aire, ce sommeil s'obtint rapidement et se différencia nettement de l'
état
de veille; cette différenciation fut encore accus
ervation de Marie-Louise présente des analogies très grandes avec les
états
psychiques décrits sous le nom de rêves prolongés
urones corticaux produisent chez l'individu un mode de vie propre, un
état
diathésique, neuropathique spécial, c'est-à-dire
lément nerveux. De sorte que, en dernière analyse, on peut dire que l'
état
de maladie ne diffère de l'état créé par l'intoxi
dernière analyse, on peut dire que l'état de maladie ne diffère de l'
état
créé par l'intoxication que par le degré d'intens
uffit à changer sa détermination; en somme, la caractéristique de son
état
psychologique est de l'instabilité mentale. Ce so
t parler déviation nutritive, mais simplemen trupture d'équilibre, un
état
d'affaiblissement fonctionnel qu'on pourra toujou
t répondent à un cycle suivant l'heure, le jour, le mois, l'année. Un
état
d'éloignement exagéré et constant est un phénomèn
nement exagéré et constant est un phénomène pathologique, ainsi qu'un
état
de rapprochement exagéré et constant. Le premier
si qu'un état de rapprochement exagéré et constant. Le premier de ces
états
est prémonitoire ou symptomalique des formes d'ex
diminue graduellement jusqu'au moment où le cerveau ayant repris son
état
d'éréthisme nécessaire, a lieu le réveil. En outr
gnes frontales s'éloigner davantage. Ainsi lorsqu'on veut produire un
état
d'effacement et de fatigue cérébrale il faut de l
brale il faut de la chaleur; lorsqu'au contraire, on veut produire un
état
d'éréthisme et d'excitation cérébrale il faut du
— ou surtout — les graines débiles, à vitalité faible ; Comme si l'
état
de santé de l'opérateur avait une influence sur l
t plus forte que la santé de l'opérateur est meilleure ; Comme si l'
état
de maladie de l'opérateur produisait un changemen
atigantes. Qui oserait prétendre que ces assistants sont encore à l'
état
de veille ? Non certes, c'est de l'hypnose, dans
le plus large du mot, il est vrai ; mais, c'est bien de l'hypnose. L'
état
de défense de l'individu est réduit, la maîtrise
usion avec les autres sortes d'hypnose. Du reste les preuves de l'
état
d'hypnose vont abonder ; voici les principales :
le poignet, l'épaule, et se frotte vigoureusement pour remédier à cet
état
douloureux. Nous n'agissons pas autrement pour dé
nomènes moindres, on ne s'en inquiète pas ; on les croit toujours à l'
état
de veille ; on ne se doute même pas qu'ils sont e
toujours à l'état de veille ; on ne se doute même pas qu'ils sont en
état
d'hypnose. Aussi les phénomènes d'hypnose spiri
rte que l'Idée de finalité persiste, comme certains le réclament, à l'
état
virtuel, sous forme d'énergie potentielle initial
s divera et d'une intervention d'un ordre particulier, appropriée à l'
état
nerveux de l'enfant Indiscipliné, et basée sur l'
a phobie de l'eau n'avait rien de simulé. Elle était le résultat d'un
état
pathologique, lié très probablement à de la dégén
ait passage de la vie habituelle à une autre vie, comme on passe de l'
état
de veille à l'état de sommeil. Bernadette deven
ie habituelle à une autre vie, comme on passe de l'état de veille à l'
état
de sommeil. Bernadette devenait immobile, notez
ion, car c'est elle qui fit croire à la foule émerveillée d'un pareil
état
que la petite voyante était en présence de la Sai
egard n'apercevait... Celte pauvre petite paysanne « si vulgaire en l'
état
habituel semblait ne plus appartenir à la « terre
ans se douter qu'il nous donne par cette constatation la preuve que l'
état
de Bernadette était bien le résultat d'une crise
us grand recueillement à un doux sou-- rire et tomber ensuite dans un
état
extatique des plus prononcés ; des « larmes s'éch
mère comme tous les assistants vit le petit visage, si chétif dans l'
état
naturel, s'illuminer tout à coup et se transfigur
nous considérons l'hypnose à ses différents degrés, depuis le simple
état
d'attention jusqu'au sommeil et à la catalepsie,
ment physiques impressionnant l'un quelconque de nos sens. Ainsi, l'
état
d'expectante-attention est finalement provoqué ch
ou la fixation fascinatrice d'un objet lumineux amènent simplement un
état
de passivité relative, un engourdissement plus ou
s qu'à l'œuvre qu'il écoute ; il oublie ses soucis, ses affaires, son
état
de santé ; il arrive à l'état de monoïdéisrne. Se
il oublie ses soucis, ses affaires, son état de santé ; il arrive à l'
état
de monoïdéisrne. Second stade. Alors, les sens
la pensée de l'auteur s'impose alors facilement à lui; il est en bon
état
de réceptivité pour une suggestion. Mais tandis q
us général, chacun l'adapte à son tempérament, à son caractère, à son
état
actuel ou habituel, normal ou morbide, physique o
l'objet qui a causé l'impression et la difformité consécutive entre l'
état
du parent à l'époque de l'impression et l'anomali
édé et de ceux qui ont suivi celui dont il s'agit. 12. Quel était l'
état
de santé des divers membres de la famille? Adre
France, est « un chapitre de la psychologie du mouvement ? » Voilà un
état
de chose que l'auteur a l'ambition d'expliquer et
les troubles de l'écriture évoluant parallèlement à ceux de certains
états
pathologiques donneraient pour ainsi dire la cour
ans, nous a remis en mémoire, le passage dans lequel Briquet décrit l'
état
mental des petites filles hystériques : « A de tr
uffaient, sanglottaient, fuyaient au loin ou se trouvaient mal ». Cet
état
pourrait se définir par un mot : La susceptibilit
i résulte d'attentes savamment graduées, mettent le néophyte dans des
états
de conscience qui correspondent aux étals les plu
peu barbues dont .le caractère était irritable ou acariâtre ou dont l'
état
mental présentait quelques dispositions pathologi
tase et qui, à lui seul, pourrait prouver la nature non divine de cet
état
. Rappelons pour mémoire l'émission involontaire
ait dans plusieurs endroits. M. Henri Lasserre prétend qu'un jour cet
état
surhumain dura au moins une heure : peut-être n'a
les représentations, malgré le plaisir inouï qu'il en ressentait, son
état
de fortune ne lui permettant pas de m'en rembours
la maladie terminée, le système nerveux de l'enfant est revenu à son
état
normal. Elle arrive trop à propos pour les besoin
e on le fait aux hypnotisés ordinaires. Il suffit de leur répéter à l'
état
de veille, d'une façon précise et autoritaire, ce
ute la lumière et le discernement qu'elle avait eus jusqu'alors sur l'
état
de son âme ; ce qui la jettait dans d'extrêmes pe
, où elles resteraient, par suite d'un phénomène de court-circuit, en
état
de vibration, de luminosité constante, donnant li
difications que subit la force nerveuse extériorisée relativement à l'
état
de santé des sujets. Par M. le Dr Joire. Préside:
tons à l'aide du sthénomètre, se rencontre, chez les personnes en bon
état
de santé normale, plus considérable de lu main dr
u sujet et qui peuvent aussi être influencées accidentellement par un
état
de fatigue passagère et par différentes influence
gère et par différentes influences qui s'exercent momentanément sur l'
état
psychique du sujet. Quoique ces chiffres n'aien
de la main droite, ce qui est un caractère diamétralement opposé à l'
état
normal. Nous n'insisterons pas, bien entendu, s
. Main gauche -f- 3°. Le mois suivant, amélioration considérable de l'
état
général et disparition de la névralgie. Examen au
bilité, hyperesthésie, diminution générale du réflexe pharyngien. Son
état
s'est aggravé à la suite d'ennuis de famille,
lent, mémoire totalement obnubilée, il a l'air tout à fait hébété Cet
état
, dû à l'intoxication bromurée, donne à l'examen a
ns vides... C'est là, semble-t-il, un programme assez hardi, dans l'
état
des mœurs françaises. Or, s'il faut en croire la
ies furent exposées à ce propos, et M. le D' Bérillon soutint que « l'
état
hypnotique prolongé suffisait, souvent à lui seul
, dans ma pratique, que la suggestion ne réussit que rarement sans un
état
profond d'hypnose, et que l'état hypnotique prolo
tion ne réussit que rarement sans un état profond d'hypnose, et que l'
état
hypnotique prolongé parvient, quelque léger qu'il
vement, elle alla s'accen-tuant jusqu'à 12 ans; depuis cette époque l'
état
est resté complètement stationnaire : il est tel
n phénomène morbide. Dans l'exagération, on peut souvent constater un
état
pathologique ; mais les plaintes de la victime en
ilement disposée à exagérer plus ou moins dans la crainte de voir son
état
considéré comme meilleur qu'il n'est. Ce dernier
épend... C'est selon la tête ». ¦ Selon la tête » signifie selon un
état
psychique d'obsession, où dominent les réminiscen
rassick (). Déjà se dégage, de ce qui précède, la présomption que l'
état
maladif se résume à une forme relativement simple
effort pendant lequel les groupes musculaires considérés restent à l'
état
de relâchement complet. A. C. * Il s'agit b
le Juge des conciliations, le 4 mai 1904, il ne s'est produit dans l'
état
de M. Mullot, aucune modification vraiment import
affaires. M. Mullot, visiblement ¦ monté d. nous répondit que, dans l'
état
où l'avait mis l'accident, il lui avait été impos
son cerveau — assez opiniâtre, assez absorbante pour caractériser un
état
morbide. 11 faut môme attribuer à cette sorte trè
ent consistant en figures faites sur le dos du pied avait aggravé son
état
. Or, ce traitement n'avait jamais été pratiqué, e
les qui sont de véritables mouvements automatiques. Ce qui domine l'
état
mental, c'est une extraordinaire suggestibilité ;
t le traitement découlent du diagnostic ; on la suggestionnera dans l'
état
d'hypnose et on la débarrassera de ses hallucinat
: a Tu ne me trompes pas, esprit impur ». L'enfant resta dans le même
état
. « Lorsqu'il devait passer devant une église ou d
ez remarquable vient à l'appui de cette supposition. La France, par l'
état
de ses institutions politiques, par l'éclat de sa
nt bien distincte) survient secondairement, elle aussi. non plus à un
état
mental spécial, mais à une asynergie (congénitale
de fait, un de nos confrères l'hypnotise,... mais sans améliorer son
état
. C'est que la pychologie de notre jeune homme n'a
parviendra à réveiller ou à exalter les groupes d'images demeurés à l'
état
rudimentaire et, pour ainsi dire, inculte. Le mei
usa, tolliiur effectus. Toutefois, chez la plupart, il subsistera à l'
état
de simple habitude morbide; la suggestion hypnoti
les yeux d'un animal, comme on les fixe chez l'homme pour produire l'
état
d'hypnose, on n'obtient rien ou peu de chose, ce
- dation non seulement le sommeil profond, mais encore beaucoup d'
états
intermédiaires, qui bien souvent ressemblent à s'
tats intermédiaires, qui bien souvent ressemblent à s'y méprendre à l'
état
de veille parfait; lentement il y a déjà hypnose
nt il y a déjà hypnose quand l'être sur lequel on agit est sorti de l'
état
de veille complet, et qu'un certain nombre de ses
veille complet, et qu'un certain nombre de ses fonctions sont dans un
état
passif. Mais ces états passifs sont nombreux chez
un certain nombre de ses fonctions sont dans un état passif. Mais ces
états
passifs sont nombreux chez les animaux, quand on
e, de môme des animaux, qui bien entendu ne dorment pas, sont dans un
état
passif quand nous avons pu prendre sur eux ce que
istance naturelle, se résigne, se tranquillise, il l'aura mis dans un
état
passif, dans un certain état d'hypnose et alors i
, se tranquillise, il l'aura mis dans un état passif, dans un certain
état
d'hypnose et alors il pourra facilement lever le
rs faire du redress&ge, le dominer à nouveau, le remettre dans un
état
passif pour lui faire accepter votre domination e
e recourir pour provoquer volontairement cette hypnose et en faire un
état
propice au dressage et à l'utilisation des animau
bandonné comme inutile, voire même dangereux. La psychothérapie à l'
état
de veille constitue la seule méthode vraiment dig
res. Mais dans tout ceci que devient la suggestibilité au moins à l'
état
de veille. Elle n'a plus sa raison d'être. Car to
us ou moins développée soit, mais elle est. On devra donc dire qu'à l'
état
de veille, chacun de nous possède une plus ou moi
n ou de la persuasion, quand ce ne serait qu'avec ces sujets qui, à l'
état
de veille, ont une faculté de contrôle à peu près
ordre idées, il nous a appris à utiliser la suggestion pratiquée à l'
état
de veille, en tant que gymnastique rationnelle, p
, quel qu'il soit, qui soit capable de ramener ces deux fonctions à l'
état
normal a Le langage de Burq nous apparait aujou
omme l'expression exacte de la vérité. Cela se comprend d'ailleurs, l'
état
de la sensibilité ne faisant en somme que traduir
ttente mais prolongée) l'avant-bras d'une malade hémianesthésique à l'
état
de veille. Au bout d'un temps relativement court,
sonnement approprié à la cure entreprise. Il y a là production d'un
état
psychologique spécial qui a, ce me semble, la plu
ologique spécial qui a, ce me semble, la plus grande analogie avec un
état
très léger d'hypnose ou tout au moins d'inhibitio
nent systématiquement dans la pratique exclusive de la persuasion à l'
état
de veille. A cette influence persuasive pour laqu
ombattre l'auto-sugges-tion que se fait chaque malade au sujet de son
état
morbide. Mais cette faculté d'auto-suggestion,
594, à dix-neuf ans, il trouva le temporel de son évéché en si triste
état
qu'il renonça pour toujours à la résidence, se co
e Rome pour l'avancement de sa fortune. Il porta la parole au roi aux
états
de 1615, et demanda, au nom du clergé, le rétabli
nstruire dans la religion. Aussi l'un d'eux, Nicolas, embrassa-t-il l'
état
ecclésiastique. Nicolas Choart de Buzanval naqu
nneur et de Religion, qui lui ont depuis servi de règle dans tous les
états
de sa vie (2) ». Son éducation terminée, il alla
avec une attention soutenue. Selon Mlle Joteyko, « La douleur est un
état
de conscience qui révèle un conflit entre la forc
physiologique, par l'orthopédie mentale, sous forme de suggestion à l'
état
d'hypnose ; cet enfant présente déjà une améliora
le traitement. Comme vous le voyez, j'endors mon malade. Le voici en
état
d'hypnose légère, ce qui nous suffit. Je pose sur
t naître aussitôt l'idée d'impuissance. Elle existe fréquemment à l'
état
d'ébauche chez les sujets normaux qui présentent,
uissance. On peut rattacher à la fatigue suggérée avant l'effort, l'
état
du neurasthénique au réveil qui, après une nuit d
tardivement ses études universitaires. Ses parents le destinaient à l'
état
ecclésiastique ; mais ce fut contre son gré, qu'à
M&gnêtiseur du Dr Teste, il essaya de plonger quelques sujets en
état
de catalepsie et de somnambulisme. A son grand ét
tions dans un volume remarquable ayant pour titre : Du sommeil et des
états
analogues, considérés surtout au point de vue de
levue, l'y trouva au milieu d'une vingtaine de malades plongés dans l'
état
d'hypnotisme. La singularité de ce spectacle, a
3° Enfin, par l'injonction de se réveiller, les sujets sortent de l'
état
passifoùon les a mis. Pour Liébeault, et c'est là
tes qui se sont occupés du sommeil ordinaire ont déjà observé que cet
état
ne peut se manifester sans un consentement préala
il ordinaire et d'avoir exposé les signes caractéristiques des divers
états
hypnotiques. Sa classification des degrés de l'
tation des mêmes phénomènes. Liébeault a également expliqué, parles
états
hypnotiques, les tables tournantes,- la baguette
n ne prévaudra jamais contre cette vieille vérité. Comme Isolant, cet
état
est l'adjuvant le plus précieux de la suggestion
rtifice de suggestion, dans une foule de cas, ne remplacera jamais un
état
physiologique où l'on se replonge tous les jours
re ïe dormeur et l'y suggestionner. » (1) Liébeault : A travers les
états
passifs : le sommeil et les rêves. Revue de Thyp-
ier article que nous envoya le ! )* Liébeault parut sous le titre : L'
état
de veille et l'état d'hypnose. II y résume très n
envoya le ! )* Liébeault parut sous le titre : L'état de veille et l'
état
d'hypnose. II y résume très nettement son opinion
« On a beaucoup parlé, dans ces derniers temps, de la suggestion à l'
état
de veille, et les quelques disciples du professeu
sur la possibilité d'obtenir, chez un assez grand nombre de sujets, l'
état
d'hypno-tisme fortuit, ce qui se rencontre surtou
né l'illusion de l'influence exercée par une prétendue suggestion à l'
état
de veille, c'est qu'il est arrivé à un certain no
extrémités sensibles vers les centres pour laisser f organisme en un
état
passif plus ou moins profond. » « Cette théorie
éside précisément dans la production préalable de l'hypnotisme ou des
états
passifs. — Ils useront leurs dents contre nous.
chothérapie méthodique, telle que la concevait le (1) Liébeault : L'
état
de veille et l'état d'hypnotisme. {Revue de VHypn
ue, telle que la concevait le (1) Liébeault : L'état de veille et l'
état
d'hypnotisme. {Revue de VHypnotismet 12* année, m
e, d'une façon irréfutable, l'influence que le cerveau exerce, dans l'
état
d'hypnotisme, sur les fonctions organiques ordina
lui, dans son cerveau, elle prend ses racines vraies surtout dans les
états
passifs dont le sommeil et les rêves sont le terr
ans le monde de l'inconnu. Les croyances religieuses, nées dans les
états
passifs de la vie, me paraissent devoir se transf
plie sur elle-même et s'accumule dans certains centres cérébraux. Cet
état
ne peut évidemment se réaliser que dans le calme
orée héréditaire qui, en outre des mouvements choréiques, comporte un
état
mental spécial ; c'est la chorée de Huntington ou
aison, que la chorée est toujours accompagnée (et même précédée) d'un
état
mental. Or notre jeune fille est une grande sugge
ite et Jin) ('} Dans un travail paru en 1888 sur Vhypnotisme et les
états
intermédiaires entre le sommeil et la veille, M.
nne n'est pas encore endormie, mais est bien près de l'être. Dans cet
état
, elle ne veut pas, elle ne sent pas, elle ne voit
rimée, le sommeil se produit. Et M. Coste de Lagrave montre que cet
état
qui précède le sommeil est particulièrement intér
favorable aux suggestions. Celles-ci bien que moins puissantes qu'à l'
état
d'hypnotisme auront encore assez de force pour se
ncore assez de force pour se faire sentir pour produire un effet. Cet
état
est le meilleur état de veille pour imprimer à se
pour se faire sentir pour produire un effet. Cet état est le meilleur
état
de veille pour imprimer à ses facultés cérébrales
s cérébrales un mouvement vers le bien. M. Coste de Lagrave l'appelle
état
passif de veille par opposition à l'état actif de
. Coste de Lagrave l'appelle état passif de veille par opposition à l'
état
actif de veille dont la volonté, la domination, l
t la volonté, la domination, l'énergie sont les caractéristiques. L'
état
passif peut donc être utilisé ; il amène le perfe
u. Nous nous trouvons dans les différentes heures de !a journée à l'
état
de veille passive ou active. A l'état passif, nou
rentes heures de !a journée à l'état de veille passive ou active. A l'
état
passif, nous recevons toutes les impressions; les
.. Il est important de réglementer les suggestions qui ont lieu à l'
état
de veille passive puisque leur ensemble modifie n
chacun est son propre guide. Il est en effet facile de se mettre à l'
état
de veille passive ou active, il ne s'agit que de
a un avantage à retirer des impressions extérieures, on se mettra à l'
état
de veille passive ; quand les exemples ou impress
d les exemples ou impressions reçues seront mauvais, on se mettra à l'
état
de veille active.. L'adulte peut régler les sug
hez lui l'idée de veille passive. Quand il s'y trouve, il utilise cet
état
pour se donner des ordres. Le meilleur moment est
lque chose, mais l'elTortest si petit que le sujet reste toujours à l'
état
de veille passive. Quand il s'endort, il pense à
s'éveillant, l'après-midi quand on fait la sieste, on est encore à l'
état
de veille passive très propre à l'auto-suggestion
ié. Vous vous souvenez que Charcot et Richet ont montré que, dans l'
état
cataleptique, les mouvements imprimés aux diverse
ques inférieurs (polygone de M. Grasset) ». Intimement associés à l'
état
normal, ces centres se désunissent à l'état de so
Intimement associés à l'état normal, ces centres se désunissent à l'
état
de sommeil et de distraction comme à l'état d'hyp
entres se désunissent à l'état de sommeil et de distraction comme à l'
état
d'hypnose et leur fonctionnement se fait séparéme
séquent avec lui-même, M. Grasset n'admet pas la suggestion vraie à l'
état
de veille complet. Le sujet suggestionné soi-disa
e complet. Le sujet suggestionné soi-disant éveillé est en réalité en
état
d'hypnose partielle (sans présenter de signe de s
érillon ou ailleurs, l'examen psychologique nous a toujours révélé un
état
d'aboulie nettement caractérisé. « Ce syndrome ab
, comme l'a dit M. Bérillon, est ordinairement la note dominante de l'
état
psychologique individuel du sujet. Il est un des
e fait de son engourdissement cérébral, l'hypnotisé ne change pas son
état
mental. II obéit aux mômes incitations qu'un suje
on état mental. II obéit aux mômes incitations qu'un sujet normal à l'
état
de veille, il a simplement moins de résistance, m
estions qui lui sont faites ». M. Crocq a fort bien démontré qu'à l'
état
de veille, le degré de suggestibilité dépend, pou
ont que très difficilement, sinon même jamais, par psychothérapie à l'
état
de veille. Ils ne guériront que par psychothérapi
iront que par psychothérapie hypnotique. L'hypnotisme est, depuis l'
état
de veille, jusqu'à la léthargie la plus complète,
ement progressif. Il suffit de lire les descriptions qu'ont donné des
états
de l'hypnose les divers auteurs pour juger combie
illeurs c'est une grave erreur de vouloir plonger les malades dans un
état
de sommeil profond. 11 suffit souvent de les hypn
eil profond. 11 suffit souvent de les hypnotiser au minimum. Dans cet
état
, les raisonnements porteront qui, tout à l'heure,
. Dans cet état, les raisonnements porteront qui, tout à l'heure, à l'
état
de veille, étaient impuissants. Car, j'insiste su
i s'adressent à nous, beaucoup ont été soignés par psychothérapie à l'
état
de veille et cela sans résultat. Ils viennent nou
u moins complètement la personnalité de l'individu et de le mettre en
état
passager d'automatisme, dès l'instant que la guér
renseigner sur l'efficacité possible du traitement. 3* Provoquer l'
état
d'hypnose ou tout au moins un état passif, c'est-
le du traitement. 3* Provoquer l'état d'hypnose ou tout au moins un
état
passif, c'est-à-dire un état physiologique caract
uer l'état d'hypnose ou tout au moins un état passif, c'est-à-dire un
état
physiologique caractérisé par la suppression et l
le, c'est que les exercices, impuissants lorsqu'ils sont exécutés à l'
état
de veille, deviennent d'une efficacité remarquabl
d'une efficacité remarquable lorsqu'ils le sont chez le sujet dans l'
état
d'hypnotisme. C'est sur cette constatation que re
évidemment d'avoir recours à l'agent même qui a servi à le mettre en
état
d'hypnose. Nous avons développé les raisons pou
quelles il vaut mieux, d'une façon générale, employer pour défaire un
état
produit l'agent qui l'a déterminé. Le souvenir
nhibition) le sens de l'effet dépendant de Y étal du système nerveux (
état
dynamique s'entend) au moment où l'excitation se
ider, dans chaque cas particulier si le traitement doit être fait à l'
état
de veille ou d'hypnotisme; quel procédé, quelle m
aite au congrès international de méiecine. Liège, sept. 1905. Cet
état
de passivité, de sédation, étant la condition pré
traduit pas la moindre sensibilité. Des suggestions faites dans cet
état
se réalisent après le réveil, exactement comme ce
t se réalisent après le réveil, exactement comme cela se passe dans l'
état
d'hypnotisme. De plus quelques injections suffise
nous ont appris l'influence des diverses couleurs du prisme sur l'
état
mental elle tonus nerveux. Sans m'étendre sur l
du doigt qu'il pousse un profond soupir et qu'il renverse la tête, en
état
d'hypnose complète. Mais il n'y a pas là une acco
ttre au juge d'apprécier la culpabilité réelle du prévenu d'après son
état
mental au moment de l'action; mais son insuffisan
atière les deux questions suivantes : 1» Dire si l'inculpé était en
état
de démence au moment de l'acte, dans le sens de l
médecine. Il y démontrait le rôle des aboulies, des timidités, des
états
émotifs dans la pathogénie des troubles fonctionn
timidité n'étaient pas aulre chose que la réalisation d'un véritable
état
d'hypnotisme, provoqué d'une manière involontaire
st légitime d'établir entre ces phénomènes et ceux qui consliltient l'
état
d'intimidation. Dix années d'observations pours
t. être intimidé, c'est être hypnotisé. La seule différence entre l'
état
d'hypnotisalion réalisé sur un sujet par un hypno
se mouvoir, de parler et même de penser. On peut donc comparer cet
état
aux phénomènes d'inhibition partielle, aux paraly
sies psychiques si faciles à provoquer chez les sujets plongés dans l'
état
d'hypnotisme. Ce qui justifie cette appréciatio
er-hypnolisables. D'ailleurs ia démonstration de l'analogie entre l'
état
d'intimidation et l'état d'hypnotisme résulte de
leurs ia démonstration de l'analogie entre l'état d'intimidation et l'
état
d'hypnotisme résulte de ce fait que l'interventio
nces psychologiques extérieures sont très inégales. Chez les uns, les
états
d'intimidation sont superficiels, révèlent un car
s ne parviennent pas à se déshypnoliser eux-mêmes et demeurent dans l'
état
d'intimidalion tanl que la personne étrangère n'a
in, chez certains sujets, la timidité semble affec ter le passage à l'
état
chronique. Ces timides vivent dans la crainte per
leur évolution normale. Il convient donc de ne pas confondre tous les
états
d'intimidation sous le nom trop général de timidi
ent les effets de l'intimidation. L'admiralion place l'esprit dans un
état
d'attente essentiellement favorable à la producti
périence, d'une volonté peu cultivée, elle ne constitue pas en soi un
état
névropathique. On n'est pas un malade parce qu'on
simplement au traitement psychologique de les mettre à l'abri de ces
états
d'intimidation dont ils éprouvent les plus sérieu
débilite l'organisme comme la répétition de celte crise nerceuse. Un
état
neurasthénique succède à cet orage : omne animai
mme nous, que l'auteur traite le coit de crise nerveuse produisant un
état
neurasthénique. C'est bien là sa pensée comme nou
— écrit-il, en parlant de la femme pendant la menstruation, — c'est l'
état
psychique et l'on voit apparaître, môme chez le
Tout est matière à psychonévrose. Toute fonction normale produit des
états
anormaux ! Alors le sommeil de l'animal qui digèr
états anormaux ! Alors le sommeil de l'animal qui digère est aussi un
état
neurasthénique ? Nous notons à la page 203 encore
la confusion d'idées et les études durent être interrompues ». ¦ «L'
état
me parut d'abord très inquiétant, car le mulade s
cieL, émis avec une arrogance autoritaire qui dit : La suggestion à l'
état
de veille, la psychothérapie, c'est une question
ulier et concret de l'idéal moral c-tsans doute toujours relatif à un
état
donné de la société; mais l'idéal moral, par son
on. Je ne veux plus aller à St-Raphaël parce que j'ai peur, n A cet
état
mental (lequel comporte, on vient de le voir, des
nir de ce qu'elle a fait pendant ces huit jours; elle les a passés en
état
second ; même, dans cette condition seconde, elle
elles, toujoui-s à l'occasion d'un reproche. Lorsqu'elle est dans l'
état
de mal hystérique, le reproche joue le rôle de tr
nt qui suffit à mettre en branle certaines machines puissantes. Cet
état
de mal hystérique est signalé par quelques phénom
it dormir. » Pendant qu'elle dort, elle a le teint coloré comme à l'
état
normal ; sa respiration est calme, suivant le ryt
e subconscient ; elles établissent une sorte de pont mémoriel entre l'
état
second qui touche à sa fin et l'état prime qui va
e sorte de pont mémoriel entre l'état second qui touche à sa fin et l'
état
prime qui va reparaître à nouveau ; elles dévoile
auto-suggestions tyranniques que le sujet oublie, une fois revenu à l'
état
normal, mais qui président subconsciemment à la r
ieu. Ceux-ci, pour jouir de cette communication, doivent être dans un
état
d'extase où ils deviennent indifférents à tout ce
Dans ces conditions nul mieux que les fous inoffensifs ne réalisent l'
état
d'extase avec les caractères indiqués. Il n'est
er ma malade. Sa timidité même faisait qu'au moment de glisser dans l'
état
second, elle recouvrait pleinement possession de
lisser dans l'état second, elle recouvrait pleinement possession de l'
état
prime. Pour vaincre cette résistance, pour obteni
ux phénomènes de l'hypnotisme (Grasset), mais alors la suggestion à l'
état
de veille n'existerait plus. Dans la suggestion
u fait de son engourdissement cérébral, l'hypnotisé ne change pas son
état
mental, il obéit aux mêmes incitations qu'un suje
on état mental, il obéit aux mêmes incitations qu'un sujet normal à l'
état
de veille, il a simplement moins de résistance.
un cas seulement, celui d'une des personnes tombées en enfance. L'
état
hypnotique s'est produit, sans intention, dans pl
de l'alimentation et de la digestion (normale ou pathologique) sur l'
état
moral, le caractère, les mœurs, les passions, l'i
e les degrés de l'hypnose varient de la somnolence la plus légère aux
états
de sommeil les plus profonds, les modalités de la
leur volonté suffit pour les en dégager: par contre, chez d'autres, l'
état
de stupeur dans lesquels ils sont plongés par l'i
ables de la légitimer, nous ne pouvons assigner le même caractère aux
états
d'intimidation qui surviennent sans qu'aucune rai
valeur personnelle et de ses moyens d'action, constitue assurément un
état
anormal. Il en est de même lorsque les phénomènes
on est tout à fait fondé à la considérer comme la manifestation d'un
état
pathologique. Ribol a établi d'une façon très j
ue naturellement; il n'y a donc pas de différence essentielle entre l'
état
de conscience des malades préparés >!e M. Dubo
l. Dubois, sous l'influence de ce que nous appelons la suggestion à l'
état
de veille. Or ce point est très important. Bien d
sait très bien mettre en jeu I'auto-suggestibilité de ces malades à l'
état
de veille mais si cette auto-suggestibilité n'exi
ous ces cas if. Dubois fait ce que nous appelons de la suggestion à l'
état
de veille et nous en avons la preuve dans le
d'hypnose au début mais nous arrivons presque toujours à obtenir des
états
hypnotiques au bout d'un certain temps et alors n
firmer avec force ; pour les autres insinuer avec douceur. Car dans l'
état
de sommeil, l'individualité morale de chaque suje
érer son livre comme une contribution à l'action de la suggestion à l'
état
de veille mais non pas comme un*» étude fondament
irectement ces symptômes, et « qu'ayant pour but la guérison de l'
état
nerveux, il faut que ses « malades prennent patie
nnent patience d'ici là ». Nous ne doutons pas que la guérison d'un
état
nerveux amène avec elle la disparition des douleu
n question : Il s'agissait d'une femme de 47 ans, cuisinière de son
état
, qui avait été amenée à l'Hôrel-Dieu, salle Ste-J
pu la tirer de son sommeil. Elle resta ainsi plusieurs jours dans un
état
de somnolence dont on ne la faisait sortir que tr
jour dans la rue sans connaissance et fut ramenée chez elle dans cet
état
. Le 7 février 1899, elle entra à l'hôpital Te
e était tombée dans la rue sans connaissance et était restée dans cet
état
jusqu'au moment de l'arrivée des agents qui l'ava
it à une distance normale le tic-tac d'une montre. En dehors de l'
état
nerveux, cette femme ne présentait aucune lésion
l ne dura que trois à quatre jours; elle revint progressivement à son
état
normal et quitta l'Hôtel-Dieu au bout de huit jou
ée sans connaissance dans la rue; des agents l'ayant trouvée dans cet
état
, l'avaient transportée à St-Louis. Cette nouvelle
ique qu'elle présentait, alors que tous les autres muscles étaient en
état
de détente complète. Ce spasme, dû à la contractu
s suggestives sont intervenues dans la création et l'entretien de ces
états
pathologiques. Quand on se trouve en présence d'h
eu près complète de signes somatiques : ainsi Àrgentïna était dans un
état
permanent de résolution musculaire aussi .bien qu
e, sa première guérison par la suggestion hypnotique, la cause de son
état
actuel, la conservation parfaite de l'intelligenc
a nuit par sa voisine de chambre ; ils existaient donc aussi bien à l'
état
de sommeil qu'à l'état de veille. Dans la rue,
e chambre ; ils existaient donc aussi bien à l'état de sommeil qu'à l'
état
de veille. Dans la rue, dans les magasins, ils
et profondément dès cette première séance. Mais je constatai qu'en
état
d'hypnose avec anesthesic assez marquée et automa
et automatisme des mouvements, les borborygmes continuèrent comme à l'
état
de veille jusqu'au moment où. plaçant ma main sur
es d'un nouveau sommeil hypnotique pour obtenir une prolongation de l'
état
normal. Pourquoi? Je ne veux pas donner ici un av
de toute suggestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'
état
mental. Un vieil adage enseigne que « la nuit p
réalité, ce n'est pas la nuit qui rend ce service : ce sont certains
états
intermédiaires entre la veille et le sommeil prof
veille et le sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un
état
passif assez accentué, nous acquérons le pouvoir
ints de vue, la sédatîon qui résulte du sommeil provoqué constitue un
état
favorable pour l'accomplissement des fonctions de
ige mental, ce qui lui est représenté fortement, en l'absence de tout
état
de conscience réducteur. Ea suggestion hypnotique
Pitié, il y a trente-six ans. Or les modifications survenues dans son
état
depuis cette époque permettent d'affirmer la natu
s'ennuie; alors apparaissent devant elle des êtres fantastiques. L'
état
de la santé générale est très bon. Au premier a
e commence à dormir que son délire se manifeste, c'est-à-dire dans un
état
d'automatisme cérébral. Autrement dit, elle tombe
rgique dura vingt ans. Lorsqu'on peut examiner les malades dans cet
état
, on retrouve certains indices, comme les battemen
s. Cette femme a été présentée par LàSèGUE comme une hystérique, en
état
de délire hystérique. C'est un cas extrêmement in
la synthèse mentale oscillante de Janet, phénomène en rapport avec un
état
physiologique particulier de la couche corticale,
amique cérébrale, la texture du cerveau n'est pas modifiée ; c'est un
état
particulier qui survient brusquement et peut cess
oit le point de départ, il y a toujours à côté de l'influence et de l'
état
suggestif, une influence et un état organiques co
urs à côté de l'influence et de l'état suggestif, une influence et un
état
organiques correspondants, de môme qu'il y a touj
s correspondants, de môme qu'il y a toujours derrière le braidisme un
état
psychique ou moral proportionnel à l'intensité du
ion et n'aient va se modifier favorablement, sous son influence, leur
état
général et leur état mental. Nous voudrions aussi
modifier favorablement, sous son influence, leur état général et leur
état
mental. Nous voudrions aussi qu'on nous indiquât
e trouvent altérés dans l'obsession. Le point de départ de beaucoup d'
états
d'angoisse, par exemple, n'est nullement une « Zw
on », choisi par les auteurs français, est bien celui qui définit ces
états
avec le plus de précision. L'obsession revêt de
pour le malade et très intéressante pour le psychiatre. Cependant ces
états
psychopathiques sont rares dans les asiles; beauc
me règle que les patients de cette espèce voient dans leur maladie un
état
exceptionnel, puisque jamais ils n'ont entendu pa
té et la variété de ces psychoses. Je veux essayer, en groupant ces
états
psychopathiques, de contribuer à une nomenclature
domine la volonté et la raison. Le point essentiel caractérisant cet
état
est que tes malades ne savent pas dire de quoi il
arres ou malséants. Ces déviations psychiques côtoient de très près l'
état
sain, et le côté pathologique réside moins dans l
souvent que l'agoraphobie, et l'on ne saurait faire de chacun de ces
états
psychopathiques une maladie distincte. Ce sont de
ogique. Parmi toutes ces psychoses, il faut distinguer cependant un
état
psychopalhique présentant une .combinaison de sym
ondrie dans laquelle les malades croient être syphilitiques. C'est un
état
psycho-pathique très différent. Je pense que le m
ue celui qui est obsédé par la pensée d'être syphilitique. Le dernier
état
constitue un délire hypocondriaque, le premier es
dité que je l'ai touché pour tirer ainsi vengeance de ma femme? » Cet
état
psychique fit naître un tourment continuel et une
symptôme secondaire; elle se greffe sur le délire du toucher dans un
état
avancé et dans ses formes graves; elle doit être
une variété d'obsession très intéressante, qui déviant très peu de l'
état
normal, nous fait jeter un coup d'œil sur le modu
ière lettre. Il parait que des excès vénériens ont fait empirer son
état
. Une com- I plication est survenue. Pour se débar
ggestif ne sont guère brillants. D'après ce que le malade me dit. son
état
a continué d'empirer malgré mes soins. Cependant
sédantes et ses impulsions ; la suggestion agit salutairement sur son
état
général, elle diminue ses angoisses et sa nervosi
écente. Dans les autres cas. on réussit à enlever les maux de tôte, l'
état
nerveux, les palpitations ; surtout on arrive à a
e des obsessions. Mais il est important de penser que l'anomalie de l'
état
psychique réside moins dans les idées obsédantes
les plus chers du malade ne réussissaient guère mieux à améliorer son
état
, à lui faire abandonner ses habitudes vicieuses.
s malades chez lesquels il a provoqué devant les auditeurs, les trois
états
: léthargie, catalepsie et somnambulisme, qui con
le de la Salpétrière le privilège d'avoir étudié scientifiquement les
états
de l'hypnotisme. Là où les auteurs de Nancy n'ont
r, Permettez-moi de vous signaler une observation de suggestion à l'
état
de veille, qui ne manque pas d'intérêt, d'autant
i était intimé, N'est-ce pas là un fait intéressant de suggestion à l'
état
de veille? Ce fait ne peut-il être rapproché de c
estive, son mécanisme, propriétés diverses du sommeil provoqué et des
états
analogues, par le douleur a. Liébbault. — Paris,
reconnu sain d'esprit, dans un asile d'aliénés s'il a été prouvé son
état
de délire ou d'imbécilité. Congrès d'ethnologie
res termes, l'usage de l'hypnoscope produit l'effet de suggestion à l'
état
de veille (suggestion sans hypnose). L'essai de l
t entendu toute ma conversation avec elle. II est donc évident qu'à l'
état
de veille elle n'avait aucune idée de s'être trou
de la face n'obéissent point encore à la volonté de la malade, dans l'
état
hypnotique ils se contractaient parfaitement à mo
dépendaient de causes matérielles; 2* Les muscles paralysés qui, à l'
état
de veille, ne pouvaient être mis en contraction p
uer cela par l'excitabilité des muscles et des nerfs augmentée dans l'
état
hypnotique, en vertu de laquelle l'impulsion de l
l'état hypnotique, en vertu de laquelle l'impulsion de la volonté à l'
état
normal ne serait pas capable de provoquer d'excit
s muscles ne fonctionnant pas depuis longtemps, mais le serait dans J'
état
hypnotique; expliquer cela ainsi n'est pas légiti
arcot et ses élèves Paul Block, Tyssen, Ladame et autres décrivent un
état
maladif consistant en ceci, que le malade ne peut
sens musculaire, la coordination du moral et du physique sont dans un
état
parfait. D'après Block, le principe de la maladie
s pour la station droite et la marche normale. Biswanger explique cet
état
par une altération psychique, mais cela subsidiai
que nous lui pratiquons à la peau des bras, mais if ne passe pas à l'
état
cataleptique quand nous lui relevons les paupière
i relevons les paupières; des frictions sur le vertex n'amènent pas l'
état
somnambutique. » P. 238 : « Nous malaxons les m
l'hyperexcitabitité neuro-musculaire. ce symptôme quasi constant de l'
état
léthargique, etc. » Ainsi, M. Masoin n'a pas ob
éthargique, etc. » Ainsi, M. Masoin n'a pas obtenu les fameux trois
états
que, p. 246, il appelle « les phénomènes classs
t de l'Ecole de Nancy, S. Vandevoir ne présentait les caractères do l'
état
hypnotique ». Nous avons essayé, des amis et mo
er le contrôle scientifique des faits observés journellement dans l'
état
d'hypnotisme ou dans les éuta analogues, il a été
érie, une névrose, une maladie véritable. Les malades mis par nous en
état
d'hypnose étaient, de ce fait, placés dans un éta
es mis par nous en état d'hypnose étaient, de ce fait, placés dans un
état
pathologique comparable à ta crise d'hystérie.
s adversaires que l'hypnose et l'hystérie constituent un seul et même
état
, il faut admettre en même temps que nous sommes t
t de vous rappeler à ce propos certaines amblyopies unilatérales. A l'
état
habituel, le sujet ne voit que d'un œil, mais met
ériques sont des phénomènes que l'on provoque chez les hypnotisés : l'
état
psychique des hystériques est semblable par certa
que l'hypnotisme n'a aucune relation avec l'hystérie et que c'est uu
état
physiologique. Contrairement à cette opinion, e
i-même. 3* Les somnambules hypnotiques sont parfois plongés dans un
état
second et les somnambules hystériques peuvent se
s hystériques peuvent se trouver dans une situation semblable. 4* L'
état
hypnotique influe sur les excréta urinaires de vi
choisir des femmes qui, de même que Mme L...., peuvent tomber dans un
état
analogue au somnambu- lisme le plus profond, c'
suggestions inutiles pour se limiter aux suggestions justifiées par l'
état
du malade, surtout lorsqu'on procède avec soin au
les contre-suggestions possibles, auxquelles donnent toujours lieu l'
état
psychique ou Tétai mental du malade. De même qu'i
peutiques de l'hypnotisme, Par le Dr TOKARSKY (de Moscou). 1. — L'
état
hypnotique et la suggestion sont des agents théra
actuellement pour permettre d'apprécier leur valeur exacte. 3. — L'
état
hypnotique et la suggestion {comme tous les autre
e du système nerveux. 14. — En dehors des cas de guérison totale, l'
état
hypnotique et la suggestion peuvent être utilisés
me sont : l'insomnie, la douleur, le refus des aliments, la peur et l'
état
d'inquiétude intérieure. 16. — La question de l
séder des notions de psychiatrie suffisantes pour pouvoir apprécier l'
état
psychique de son malade et les changements qui pe
que de son malade et les changements qui peuvent se produire dans cet
état
psychique. 25. — L'application de l'hypnotisme
fois chez les personnes qui se sont laissé « plonger souvent dans l'
état
d'hypnose, ou qui fréquemment ont pratiqué la « m
été rapidement épui'ée, est un exposé très complet et très clair de l'
état
actuel de la science sur cette affection à la foi
nt joué par la dilatation de l'estomac dans la production de certains
états
nerveux morbides, beaucoup d'auteurs ont pu confi
ur attention, trop préoccupés, trop obsédés que sont ces malades de l'
état
de leur santé. Mais de 14 à admettre arec Ziemmse
ces, et, je le répète, n'est pas plu* dangereux que la suggestion à l'
état
de veille dont M. Boureret préconise l'emploi dan
ents inducteurs. Si l'inducteur fermait les yeux et n'était plus en
état
de suivre les mouvements du lecteur des pensées e
it pas, suivant les investigations de ces savants, plus élevée qu'à l'
état
normal, ils en conclurent que cette faculté de li
philologue me reproche ensuite d'avoir tenu compte des « fameux trois
états
* et de l'hyperexcitabilité meuro-musculaîre. Mai
se « que le sujet n'est en rapport qu'avec la personne qui l'a mis en
état
de somnambulisme, pourvu que le sommeil soit asse
inaire, il pe vante d'avoir reconnu « par une sorte de divination • l'
état
réel de la stigmatisée. Dès lors, il est impossib
t fort sensibles a la suggestion et tombaient pour la plupart dans un
état
profond de somnambulisme. C'est alors que je fis
béit directement et complètement aux suggestions. En hypnose comme en
état
de veille, on peut provoquer chez lui avec la plu
ullement un caractère absolument dislinctif de l*hystério ou d'autres
états
neuro ou psychopathiques; je préfère néanmoins em
t connus dans la psychopathologie sous le nom d'idiots moraux. Dans l'
état
hypnotique, obtenu facilement sur l'injonction qu
uite d'un saignement de nez qui venait de s'arrêter, il était dans un
état
de grande faiblesse. Les yeux sont fermés. A mes
issance. Je me sauvais en lui disant que pour le moment, à cause de l'
état
de faiblesse, ne pouvant rien faire pour l'enfant
pour eux des manifestations étranges, hyslériformes, qui dénotent un
état
normal, pathologique, monstrueux, un détraquement
tres idées, j'ai fait une suggestion. Nous parlons, par exemple, de l'
état
de la France, de la considération dont elle jouit
la période hypnagogique qui précède le sommeil, et même dans certains
états
de concentration d'esprit, à l'étal de veille, no
suggestibilité soit exallée, il faut que le cerveau soit mis dans un
état
particulier qu'on appelle état hypnotique et que
l faut que le cerveau soit mis dans un état particulier qu'on appelle
état
hypnotique et que je préfère appeler état de sugg
t particulier qu'on appelle état hypnotique et que je préfère appeler
état
de suggestibilité exaltée. C'est là la définition
s rêves hallucinatoires. Dans le sommeil, le cerveau est donc dans un
état
de suggostibilité exaltée qui permet au dynamisme
jeu. De là l'idée d'endormir les sujets pour créer artificiellement l'
état
de suggestibilité exaltée. De là la définition du
xpérience apprend que le sommeil n'est pas nécessaire pour obtenir un
état
psychique ttvorable à la production de tous les p
sommeil, ou du moins sans que le sujet ail conscience du sommeil, un
état
psychique qui crée la suggestibilité aussi profon
ypnotiques puissenl être réalisés chez eux par simple affirmation à l'
état
de veille. Chez eux l'idée reçue actionne suffisa
er de l'hallucinor d'emblée, autrement dit, de lui donner un rêve à l'
état
de veille. Je lui dis : « Où êtes-vous? — A l'hôp
l se frotte les yeux, l'expression de sa figure se modifie, un nouvel
état
de conscience s'y peint: « Tiens! je suis couché.
suis-je? — Je ne vous connais pas. » Il n'est pas encore revenu à son
état
normal. Après quelques instants : Eh ! noo, non.
peut être ensuite accompli inconsciemment par cette même personne a l'
état
de veille. L'École de Nancy affirme, en outre,
tement excité, tandis que l'autre patte A demeurera tout le temps à l'
état
de repos. Ce fait prouve clairement que l'excitat
e l'excitation nerveuse suivant les centres et les filets nerveux à l'
état
intact, et le caractère, la propagation et la dir
bulbes pileux de la peau et qui, par leur contraction, provoquent cet
état
particulier de l'épiderme. Nos vaisseaux sangui
e idée définie et bien conçue, pendant que le sujet se trouve dans un
état
à'attente intense de sa réalisation par un acte c
personnes bien équilibrées et bien portantes, et qui se trouvent à l'
état
de veille parfait. Pendant l'attente intense de l
il, que c'était la réalité I Jamais l'idée ne lui est venue, dans cet
état
, que ce pouvait être un rêve ! Chez ces deux ho
que tous les bons somnambules sont dans ce cas, sont suggestibles à l'
état
de veille, sans avoir jamais été mises eu sommeil
suggestion; que ces idées se transforment plutôt en actes, lorsqu'un
état
psychique particulier est provoqué, qui exalte la
ion. Dy a à ce point de vue une série de cas intermédiaires entre l'
état
d'hypnotisme parfait et l'état de veille. Néanm
ne série de cas intermédiaires entre l'état d'hypnotisme parfait et l'
état
de veille. Néanmoins il me parait essentiel d'i
hypnotisme à l'étal naissant, mais qui peut aussi être assimilé à cet
état
d'obnubilalîon plus ou moins prononcée qui précèd
M. Bernheim, est beaucoup trop large. Pour lui, l'hypnotisme est un «
état
psychique particulier, qui met en activité ou exa
Je ne vois pas comment celle définition peut permetre de distinguer l'
état
de veille de l'étal hypnotique. La suggestibili
vant lui ei d'en tirer profil ? L'hypnose sérail tout simplement un
état
dans lequel celle aptitude serait exaltée. L'état
tout simplement un état dans lequel celle aptitude serait exaltée. L'
état
do veille ne se distinguerait donc de l'état hypn
titude serait exaltée. L'état do veille ne se distinguerait donc de l'
état
hypnotique que par le degré do suggestibilité! Ma
ou plutôt aussi vague revient presque à contester l'existence de cet
état
psychique spécial. Pour M. Bemheim, le sommeil
une raison pour soutenir que l'hypnotisme bien constitué n'est pas un
état
morbide? Autant dire que la pathologie n'existe
ent arrivés à se tormer sur les relations qui existent entre ces deux
états
une opinion toute différente de celle que nous av
l'idée de lui Caire respirer un peu de chloroforme afin de diminuer l'
état
hallucinatoire et l'agitation; de cette façon je
reprises réveillée; aussi je la trouvais à ma visite suivante dans un
état
maniaque aussi violent que possible et identique
inatoire et maniaque a cédé et lorsque les sujets ont été mis dans un
état
qui les rapproche le plus de l'état normal. Leu
ue les sujets ont été mis dans un état qui les rapproche le plus de l'
état
normal. Leur suggestibilité est donc une conséq
doses fortes chez des épileptiques, chez des bystéro-épîleptiques en
état
d'hypnose, arrête les préludes et la première pér
ait capital, c'est que certains sujets, hypnotisés ou plongés dans un
état
analogue, sont susceptibles d'accomplir, malgré e
ait être tentée sur elles. Chez les unes, la suggestion, faite dans l'
état
d'hypnose, devait être réalisée dans l'état post-
suggestion, faite dans l'état d'hypnose, devait être réalisée dans l'
état
post-hypnotique ; chez d'autres, la suggestion ét
-hypnotique ; chez d'autres, la suggestion était faite simplement à l'
état
de veille. Ces expériences nous ont permis de con
la condition de créer, par des manœuvres antérieures et répéiéc», un
état
cérébral spécial. Il laul provoquer chez ces suje
nt ; je pense qu'il faut tenir très grand compte de la suggestion à l'
état
de veille et qu'il faut, avant tout, s'assurer si
en dehors de toute hypnolisation, une très grande suggestibililé à l'
état
de veille. Cela est parfaitement exact, a été adm
iner minutieusement l'hypnotisme et la suggestibilité, même celle à l'
état
de veille, à laquelle je croîs comme M. Bernheim,
t qu'on prête à ses coreligionnaires d'aimer le dieu Plutus. Dans cet
état
, jo lui offris un florin d'or, l'invitant à le pr
lue, l'exhibition, en public, d'une personne hypnotisée, soit que cet
état
ait été produit chez elle par celui qui la donne
'il m'avait été donné de voir pour la première fois un somnambule à l'
état
de veille, en ce sens qu'il n'avait pas été, au p
s qu'on lui donnait (1). De retour à Liège, je me mis à étudier cet
état
. J'en vins à me persuader que le sujet était réel
té mise dans le commerce. à un signe quelconque, chez mes sujets, l'
état
normal et l'état hypnotique, et & mesure que
ommerce. à un signe quelconque, chez mes sujets, l'état normal et l'
état
hypnotique, et & mesure que j'avançais dans c
froidement: « Certainement; je vois chez vous des muscles en parfait
état
de santé. — Eh bien ! je vais vous montrer où j'e
s médecins pour un rhumatisme général avec complication, ayant vu son
état
s'aggraver d'année en année, était tombé dans un
et le sens musculaire, et jette quelques lecteurs des pensées dans un
état
qui rappelle beaucoup les phases premières de l'h
n général s'accentue d'une manière bien nette. La similitnde de cet
état
avec l'hypnose se manifeste, chez quelque lecte
ns, ce n'est que d'une manière inconsciente ; il ressent seulement un
état
tout spécial, une espèce de rêverie pendant laque
ur lui-même, puisqu'il est aisé d'admettre que sa rêverie n'est qu'un
état
d assombrissement de sa conscience, résultat de l
res à toute suggestion. Nous avons vérifié ces mêmes résultats dans l'
état
hypnotique de plusieurs de nos femmes hystériques
qui ne constitueraient pas seulement des divers phénomènes d'un même
état
nerveux, mais représenteraient, pour me servir de
eraient, pour me servir des mêmes expressions de Charcot, une série d'
états
différents les uns des autres, pourvus chacun d'u
provoqués par des stimulations différentes qui, loin de produire des
états
nouveauz et tout particuliers, ne servent qu'à me
otal des membres, et que nous considérons comme l'unique et véritable
état
fondamental de l'hypnotisme) le phénomène de Vhyp
stimulants, et, lorsque celte action cesse, le patient retombe dans l'
état
léthargique. Or, peut-on dire que cet étal nerv
n musculaire intense et prolongée. Ici encore il ne s'agit pas d'un
état
nerveux nouveau et distinct, mais plutôt de simpl
rale (résistance des membres quand on veut les mouvoir ou les plier),
état
qu'on doit considérer comme provoqué par l'excita
citation employée. Par conséquent, nous ne voyons pas ici non plus un
état
nerveux spécial, mais seulement une nouvelle mani
ode. Ainsi, la contracture dite somnambulique a été rencontrée dans l'
état
léthargique aussi bien que dans le cataleptique,
léthargique a été aussi observée dans l'étal somnambulique et dans l'
état
cataleptique [Gilles] (4) ; et Richer a été oblig
la forme cataleptique, ou seulement de somnambulisme, ou seulement d'
état
léthargique, avec ses propres phénomènes somatiqu
nifestations provoquées par la condition unique, caractéristique de l'
état
hypnotique, surtout dans la grande hystérie, qui
eux essenliellemonl, mais ils ne sont pas mime caractéristiques de l'
état
hypnolûpie lui-même. • (1) Mus». Élude critique
af. 40 et soir. (î) «iiLLiv in. :.k Twirette. L'hypnotisme et tes
états
analogues; Paris, 1S87. (S) fumes. Études cliniqu
bilité cutano-musculaire, la contraction musculaire paradoxale dans l'
état
de veille. Et chez notre hystérique, aussi bien q
lpêirière, le même élat de rigidité cataleptique qu'on obtient dans l'
état
hypnotique lorsque, pendant la période dite létha
(1) avaient aussi remarqué chez une hystérique, pendant la veille, un
état
des muscles analogue a celui de l'hypnose, soit u
la veille, un état des muscles analogue a celui de l'hypnose, soit un
état
intermédiaire entre la catalepsie et la contractu
agnin relate plusieurs cas de grande hystérie, où l'on vérifiait, a l'
état
de veille, une hyperexcîtabilité neuro-musculaire
gnalé dans les Lesionî, recueillies par le 1> Melotti, offrait à l'
état
de veille, les deux contractures : la léthargique
cite un cas où il a vérifié, chez la femme hystérique Ilabillon, à l'
état
de vetlle, l'existence de tous les phénomènes neu
grande hystérie, dans la plupart desquels on les rencontre aussi à l'
état
de veille, cela veut dire nécessairement que, lor
es manœuvres hypnotiques provoquent l'attaque convulsive au lieu de l'
état
hypnotique. Dans un cas d'accès hystérique caract
tion, au moyen de l'hypnotisme, on reproduisait seul et exact le même
état
. Ce fait a déjà, d'autre part, été mis en évidenc
t dépendre : 1« Soit parce qu'ils ont été cherchés seulement dans l'
état
hypnotique, ou, pour mieux dire, parce que seulem
ne présentent pas les phénomènes de l'hystérie, ni en action, ni à l'
état
latent, et. d'autant plus, chez les individus qui
us l'avons déjà dit, rentrer dans l'autre comme ensemble produisent l'
état
d'automatisme, qui est caractéristique de l'hypno
s. Par conséquent, l'hypnotisme ne doit pas être cousidéré comme un
état
pathologique ; il n'a ni le mérite, ni la faute d
s soient couronnés de succès. 4° Quoique, en règle générale, plus l'
état
d'hypnotisme produit est profond, plus énergique
heures, un cours tor l'évolution littéraire dans tes rapporte avec l'
état
social et politique. Clinique psycho-thérapique
t M. le conseiller Proal, et il ajoute : « Mais, me dira-t-on, si l'
état
d'ivresse ne produit pas rirresponsa-4 bilité, la
passion. Mais n'est-ce pas « par sa faute qu'il est tombé dans cet
état
? Est-ce qu'il n'est pas res-« ponsable de cotte d
morale où la « passion les a fait tomber n'est pas le résultat d'un
état
morbide, mais « de la dépravation volontaire. «
avation volontaire. « De ce que le criminel présente quelquefois un
état
de dégradation « intellectuelle et physique qui
e respon-« sable moralement de ses crimes? Non, encore, parce que cet
état
« d'abrutissement moral et intellectuel est la co
e moins, en quelque sorte, à l'agent toxique provoca- « teur qu'à l'
état
sous-jacent. c'est-à-dire à l'excitabilité morbid
sent des insomnies qu'aucun médicament n'a pu jusqu'ici atténuer. Son
état
général est extrêmement défectueux. Le malade n'a
suggestions. Un fait important à noter, c'est que pour arriver à l'
état
de guérison, nous n'avons pas fait moins de soixa
ants dans l'application du traitement. A la date du 1er décembre, l'
état
du malade est des plus satisfaisants. L'incoordin
borné son effet à activer l'assimilation du médicament, à améliorer l'
état
mental et l'étal général du malade ; elle a aussi
e, et cela sans qu'aucune suggestion spéciale ait été faite, même à l'
état
de veille. Pourquoi ces vomissements ont-ils cess
1888. Depuis trois années, il s'était adonné â l'intempérance et son
état
empirait rapidement. Il avait des crises où la pa
hez lui, guéri selon toute apparence. C'était en janvier 1889, et cet
état
subsista jusqu'en juillet- Se trouvant a cette ép
r vint tous les jour» me voir do la campagne qu'elle habitait. Ce bon
état
persista pendant trois semaines, mai» alors &
onduisit à de nouveaux excès et, pendant deux jours, il resta dans un
état
d'ivresse stupide. Quand on me l'amena, il sembla
ant le lit de la parturiente, il constatait qu'elle était toujours en
état
d'hypnose. Quelques instants après, je fus rapp
'elle jusqu'à la naissance de l'enfant. Je lui suggérai alors, dans l'
état
de veille, de ne pas souffrir. Elle déclarait ne
pendant son sommeil, en dépit de sa volonté. La suggestion faite à l'
état
de veille, sous forme d'intimidation et de menace
volonté plus puissante. H est possible qu'une suggestion faite à l'
état
de veille, mais autrement faite, conforme au méca
ne, eût été efficace. J'avais dit à l'enfant ce que je lui ai dit à l'
état
de sommeil : 0 Mon ami, je sais que lu veux guéri
r, ta bonne nature a repris le dessus, etc. ». Cetie suggestion à l'
état
de veille, répétée plusieurs fois, eût peut-être
été impossible chex lui, je crois qu'une suggestion bien faite à l'
état
de veille eût pu, avec de la persévérance, triomp
sur ce fait que les urines d'une malade, la nommée R..., pendant son
état
normal, n'ont pu être recueillies en totalité pen
ote (page 4) commniquée au Congrès de Rouen, à propos des urines de l'
état
de veille : « Nous ne les avons analysées que lor
ée, le résidu sec el l'acide phosphorique total des urines émises à l'
état
de veille présentaient une diminution sur les chi
pas dans la catégorie des aliénées ordinaires. J'ajouterai que dans l'
état
de sommeil el que dans l'état de veille, ralimenl
nées ordinaires. J'ajouterai que dans l'état de sommeil el que dans l'
état
de veille, ralimenlaiion était identique. D'acc
ées dans le sommeil, c'est-à-dire à un moment où l'accoutumance à cet
état
de léthargie était complète. En résumé, nous ma
emps. Il a été possible, a l'aide de la suggestion pratiquée dans l'
état
hypnotique, de faire disparaître celle polyurie,
le enfin que tous les phénomènes hystériques peuvent se présenter à l'
état
d'isolement (hystérie moaosymptomalique}, on est
ons eu recours à l'hypnotisation chez trois femmes hystériques dont l'
état
cérébral a été très amélioré par ce moyen thérape
ment peinée de la ruine de ses parents, qui l'a forcée d'apprendre un
état
manuel pour vivre, et on attribue sa maladie à ce
1° Il n'est plus permis de douter qu'on peut produire réellement un
état
d'hypnose variable en intensité, chez la pluralit
lité des personnes qui se soumettent aux procédés hypnotiques; 2° L'
état
hypnotique est caractérise par une plus grande di
on pathologique chez les dégénérés; étude sur le passage graduel d'un
état
psychologique normal à un symptôme pathologique -
ncieux, à modifier le caractère, les défauts d'un enfant, à changer l'
état
cérébral d'un aliéné. C'est ici que les parquets
oppement manifestées par un arrêt de l'organisme au commencement de l'
état
embryologique, mais plutôt des cas dans lesquels
mandés. Ces actes, qui peuvent être exécutés, non seulement pendant l'
état
d'hypnose, mais aussi après le réveil, sont très
y, en démontrant que les mêmes phénomènes peuvent être provoqués, à l'
état
de veille, chez un certain nombre de sujets, d'ai
excessive, qui permet d'influeucer k un tel degré certains sujets à l'
état
de veille, sans qu'ils aient été préalablement l'
e presque la règle chez les enfants. En soi,l'analyse de ces divers
états
de conscience, qu'il est si facile de provoquer a
apparence normale, étages de six à quinze ans, de provoquer, soit à l'
état
de veille, soit dans l'état de sommeil, des illus
six à quinze ans, de provoquer, soit à l'état de veille, soit dans l'
état
de sommeil, des illusions de la perception, des i
m'ont prouvé que rien n'était plus facile, par simple suggestion à l'
état
de veille, de déformer les souvenirs chez les enf
ion sur la facilité avec laquelle on peut, par simple affirmation à l'
état
de veille, créer dans le cerveau de certains suje
hez lui quelques amnésies partielles, puis je raconte devant lui, à l'
état
de Teille, qu'il a été témoin, le mercredi précéd
Caire. 4* La possibilité de provoquer ces phénomènes aussi bien à l'
état
de veille qu'à l'eut d'hypnotisme, chez on grand
e, la loi ne vise qu'une chose : défendre La société et mettre hors d'
état
de lui nuire tous ceux qui La menacent, les crimi
é soient soumis à un régime spécial et mis, comme les aliénés, hors d'
état
de nuire. Si, au contraire, nul ne peur être endo
eurtre, au suicide, etc., en un mot à des impulsions pathologiques? L'
état
de besoin créé par la morphine n'est pas une impu
nt autre chose que des rêves, des cauchemars, qu'on observe dans tout
état
toxique, mais des vraies hallucinations diurnes,
e dans tout état toxique, mais des vraies hallucinations diurnes, à l'
état
de veille, à l'inanité desquelles le malade ne cr
n, à moins qu'il n'y ail coexistence d'une autre intoxication ou d'un
état
vésanique. Il en est de même des conceptions dé
de même des conceptions délirantes. C'est à la longue seulement que l'
état
mental pcul être atteint et des troubles dans la
être atteint et des troubles dans la sphère intellectuelle amener un
état
dénienlal. Tous ces développements nous conduis
les psychoses impulsives qu'elle est créée artificiellement et que l'
état
de besoin peut être développé chez le premier ven
sation à domicile est impossible, dit-on, à cause de l'intensité de l'
état
de besoin, des souffrances intolérables que provo
u Tribunal de première instance de la Seine, M. M..., pour examiner l'
état
mental d'une nommée B..., inculpée de vol. Cett
répétées d'hypnotisme avaient créé en une suggestibilité telle qu'à l'
état
de veille elle ajoutait foi à toutes les billeves
à ses parents au bout de six mois de séjour à la Salpêlrière, dans un
état
de guêrison aussi complète que possible. J'en a
contemporaine, sous le titre de : Les Maladies de l'esprit, résume l'
état
actuel de la scienee sur cette question si troubl
la névralgie générale de Valleix, la névrose protéiforme de Cerise, l'
état
nerveux de Sandras, le nervosisme de Bouchut, la
eprendre, me semble plus approprié que tous les autres à désigner ces
états
divers. U ne préjuge rien, il n'implique aucune i
lement: fonctionnement pathologique du système nerveux. Nervosisme,
état
nerveux, sont des mots qui désignent plutôt un te
, troubles digestifs, etc. Alors une névropathie s'est greffée sur un
état
nerveux, sur une diathèse nerveuse générale préex
lle, des troubles digestifs, une apathie, une dépression physique, un
état
hypochondriaque plus ou moins défini compliquent
ne; la névropathie locale s'est généralisée, et dans ce cas, c'est un
état
nerveux général héréditaire qui, presque toujours
ants se battre; il a même conservé un tremblement léger persistante l'
état
habituel. Sauf cela, il se portait à merveille, s
marche moins bien; il voudrait s'en retourner chez lui. Il y a là un
état
psychique que j'ai observé fréquemment chez certa
uggestion. La sœur du service procédant avec douceur, suggérant à l'
état
de veille le retour graduel de la mobilité et la
erminée, la malade se plaignait d'une cécité à peu près complète; cet
état
durait un quart d'heure environ, et puis les obje
s'étendait de plus en plus, sans cependant revenir complètement à son
état
normal. Pendant la crise, après la période bruyan
s des personnes quelle avait vues. Si, pendant qu'elle était dans cet
état
de somnambulisme, on l'interrogeait, elle réponda
avec amnésie complète au réveil. Sous l'influence de ce traitement, l'
état
général s'améliora rapidement, mais à cause de la
on ne la retrouve plus et qu'on ne la voie plus. En présence de cet
état
cérébral, j'ai pratiqué la suggestion avec plus d
que je provoquais sans la moindre crise, ni avant ni après. Dans l'
état
de somnambulisme hystérique, la malade entendait
avoir été au ciel et des personnes qu'elle y avait vues. De plus, cet
état
durait deux jours, quelquefois davantage. Dans
t toutes les sensations désagréables qu'elle me disait ressentir. Cet
état
cessait quand je voulais. De plus, chaque fois
rtébrale ou spinale, entretenant les douleurs, mais simplemement d'un
état
névropathique, dans lequel tout était dynamique e
rs commencé par appeler f nervous exhaustion », épuisement nerveux, l'
état
moibide dont il est question; c'est qu'il avait v
état moibide dont il est question; c'est qu'il avait voulu décrire un
état
clinique sans faire d'hypothèse d'interprétation
tout effort continu. El c'est la la caractéristique dominante do tout
état
neurasthénique, c'est l'infériorité dynamique, L'
rale. Et c'est ainsi que Béard a trouvé le mot juste el vrai de cel
état
morbide. Pourquoi * parce que, en clinicien consc
excitations antérieures, jusqu'à ce que toutefois on arrive a un tel
état
d'affaissement que les réactions de l'excitation
plus se faire. Eb bien, toute l'étiologie et toule la pathogénie des
états
neurasthéniques estlà. Observez avec soin vos n
ont fini. En somme, U ne peut fournir aucun renseignement sur leur
état
psychique, sur leurs facultés mentales, leur degr
our sa part, quatre cas de terminaison fatale, et, pour combattre cet
état
morbide, il recommande surtout l'isolement. San
ystérique, la suggestion, qu'elle soit faite pendant l'hypnose ou à l'
état
de veille, doit agir sur le cœur du malade. 11 ne
jours, avait cessé de prendre le moindre aliment et qui était dans un
état
de délabrement complet. La malade refusait de voi
ou huit mois, avait cessé peu à peu de manger et était tombée dans un
état
d'inanition presque complet. Elle avait maigri de
t que des pommes. En quelques minutes, cette femme fut plongée dans l'
état
hypnotique profond. Je fi» apporter les éléments
ans les cas que nous avons traités, comme les malades étaient dans un
état
de stupeur ires marqué, qu'elle* tenaient les yeu
n'avions pas tenté de provoquer l'hypnose. Nous arions donc agi à l'
état
de veille, ce qui prouve que la valeur thérapeuti
b. — La suggestion peut donner des résultats favorables dans tous les
états
d'anorexie, alori même qu'ils ne sont pas de natu
gré une résistance assez apparente, fermer les yeux et tomber dans un
état
profond d'hypnose avec perte de la sensibilité cu
e et se maintenir avec persistance. « Les choses restèrent dans cet
état
le 28, le 29 et le 30. • Le \" décembre, M. le
nts hémorrhagiques. Chez notre malade, un ordre, une suggestion à l'
état
de veille permettait de reproduire le phénomène m
potogie, 15 octobre 1891.) Liébault. — « Le sommeil provoqué et les
états
analogues ». (In-18,1889.) Liîiiaclt. — Thérape
estive, son mécanisme, propriétés diverses du sommeil provoqué et des
états
analogues (In-18. 1891.) Lucas-Championnière (P
12.) Prioleau. — • Epilepsie. Tentative d'assassinat en dehors de l'
état
épileptlque. Condamnation à trois ans de prison (
l'autre. Autre curiosité. La peau étant revenue en apparence à son
état
normal, si je frottais vivement l'endroit où avai
uvent à h mort, il y a quelques siècles, les sujets chez lesquels ces
états
se manifestaient « sous l'influence du démon », d
stigmatodermie polychrome ou stigmasie (10). M Chambanl donna à cet
état
de la peau le nom de dermatoneurose stéréographiq
observations remarquables de ce fait fort intéressant sous le titre d'
état
dermographique de la peau. Nous avouons qu'aucu
tigmatodermie, de der-matoneurose stéréographique, de dermographie, d'
état
dermographique de la peau, nous semblent meilleur
peu à peu ensuite avec la teinte ordinaire du tégument cutané. Cet
état
persiste pendant plus d'une demi-heure, puis la b
diététique sévère institué (Paul Raymond a constaté la cessation de l'
état
dermographique de la peau chez des alcooliques do
longtemps, l'astuce, le mensonge et la ruse caractéristiques de leur
état
. Il n'est pas rare que ces aliénées commettent
par leur laisser-aller et par leur dépravation, elles tombent dans un
état
d'abrutissement absolument animal. La thérapeut
ncipe. Le titre devra faire connaître que tout ce qui se rapporte à l'
état
psychique, alors même qu'il n'y aurait pas interv
'hypnotisme affirment que les phénomènes somaliques observés dans cet
état
sont des créations artificielles dues à l'imitati
ystériques seraient seuls susceptibles, selon eux, de tomber dans des
états
spéciaux, nettement '-aractérisés par des symptôm
expérimentale. La léthargie, ta catalepsie, te somnambulisme sont des
états
distincts dont la réalité clinique ne saurait êtr
la réalité clinique ne saurait être légitimement contestée. Mais ces
états
ne se montrent avec toute leur netteté que dans l
procédés appropriés les trois périodes de l'hypnotisme, ainsi que les
états
somatiques correspondant à ces périodes. La Socié
de l'influenza. La convalescence fui longue. La malade resta dans un
état
d'anorexie, d'inappétence et d'anémie qui l'empêc
nce et d'anémie qui l'empêcha de reprendre ses travaux habituels. Cet
état
persista jusqu'au mois d'août 1890, époque à laqu
mière de magnésium, ni la pression du vertes ne venaient modifier cet
état
. La malaxation des muscles, des tendons, l'excita
ssible, le malade restant pendant toute la durée de l'hypnose dans un
état
d anesthésie profonde portant sur toute ? peau et
isée. Mais, bien que présentant de l'amnésieau réveil, elle offre cet
état
particulier qu'elle ne cesse en dormant de se ret
sitôt je vois apparaître l'hyperexcitabililé neuro-musculaire. Dans l'
état
de catalepsie, j'ai provoqué chez elle la suggest
us l'influence de la suggestion, j'ai pu développer chez elle, dans l'
état
de catalepsie, le phénomène de l'extase, auquel l
ses. Je l'endors et cherche vainement à provoquer chez elle les trois
états
. J'ai alors recours a la suggestion; immé- diat
me lorsque nous avons eu fait, devant le sujet, la description de ces
états
. Immédiatement rhypcrcxcilabilité s'est manifesté
contractures, paralysie. On peut aussi provoquer chez ces sujets des
états
différents, comme la léthargie, la catalepsie, le
talepsie, le somnambulisme, mais les phénomènes qui caractérisent ces
états
sont artificiellement créés par l'imitation, l'in
l rendu coupable de pratiques généralement employées pour provoquer l'
état
d'hypnose, sans qu'on ail à s'occuper autrement d
'écrire que l'effet pratique de la loi serait nul à cause de l'actuel
état
de la science? Prenons un prévenu quelconque vo
éfendra très certainement en disant : • J'ai certes voulu provoquer l'
état
d'hypnose ; je ne sais s'il y a ou non simulation
at atteint par les expériences ». On a voulu trop faire, plus que l'
état
de la question ne le permettait; c'est pour cela
a pauvre malade s'était fracturé le col du fémur. A cet âge et dans l'
état
de démence, une telle fracture ne guérit qu'excep
ours. Or, cette immobilité forcée produisit un effet surprenant sur l'
état
mental de notre malade, qui fut prise pendant les
prenait pour des prières. La première fois que Je la trouvai dans cet
état
, la diaconesse me prévint qu'un grand changement
divine dans les manifestations délirantes. « La folie, dit-il, est un
état
de souffrance de l'organisme, c'est une maladie.
sens arrive, quand le menton, par exemple, ou le nez, voient, dans l'
état
d'hystérisme, le centre cortical de la vision qui
ient même pas dignes d'un élève de lycée, ce médium travaille dans un
état
semi-somnambulique pendant lequel il est à la mer
édiums arrivent, c'est vrai, chez des personnes normales, mais dans l'
état
d'une passion profonde, chez les mourants, qui pe
pensent à la personne qui leur est chère avec toute l'énergie de cet
état
préagonique, et alors il arrive que la pensée se
est probable que, dans des temps très anciens où le langage était à l'
état
embryonnaire, la transmission de la pensée arriva
. Il revint me voir et, au bout de deux séances, se retrouva dans son
état
normal. En dix jours, son poids avait augmenté de
ctes délictueux ou criminels, les choses se passent différemment. A l'
état
normal, quand une pensée mauvaise surgit en nous,
n seconde provoquée, comme on a appelé condition seconde spontanée, l'
état
de Féiida. Recherchant ensuite si, dans certain
ériences sur un clairon de son régiment. Par diverses suggestions à l'
état
de veille, ce clairon s'est cru nommé sous-lieute
a vus pour la première fois, il a obtenu chez eux, par suggestion à l'
état
de veille : contractures, paralysies, anesthésies
eptibles d'être mises en somnambulisme profond, de recevoir, dans cet
état
, et d'exécuter fatalement et inconsciemment des a
'empêcher un sujet très suggeslible d'être mis, par n'importe qui, en
état
de somnambulisme, et l'on pourrait évidemment, je
is pas le moindre doute, faire la même chose pour les suggestions à l'
état
de veille. Et voilà, tout trouvé, le remède que
Papa, maman, Adèle, bonjour ». Elle les répéta comme elle le fait à l'
état
de veille, quand elle voit les mouvements des lèv
ésie, puisqu'elle ne nous entend pas. Pour plonger le sujet dans un
état
de sommeil plus profond, nous lui comprimons les
rs les yeux du sujet et nous ne constatons aucune modification dans l'
état
cataleptoîde observé précédemment dès le début du
parence de M11" M... Elle reste endormie et la physionomie exprime un
état
de repos profond. Ne pouvant provoquer chez le
tte l'influence de limitation. Pour cela nous ferons devant elle, à l'
état
de veille, des expériences sur un autre sujet.
coup son attention sur ce que nous faisons, nous provoquons les trois
états
du grand hypnotisme sur une jeune hystérique qui
es avec une grande netteté. Nous la mettons, en particulier, dans l'
état
de léthargie et, par la malaxation des extenseurs
l'avant-bras. De plus, les membres soulevés, au lieu de rester dans l'
état
cataleptoTde, retombent comme cela se faisait che
madrid, celui-ci propose d'arracher la dent, étant don-ié son mauvais
état
et l'étendue de la carie qui avait causé l'abcès.
umettre à une nouvelle extraction; seules, nos suggestions faites à l'
état
de veille et dans le sommeil somnam-buhque, parvi
té lu: faisait perdre complètement le sommeil. L'insomnie rendait son
état
critique, ainsi que celui des siens. Un jour, s
n ne constate * chez lui, ni la transition aux diverses phases de l'
état
magnétique, ni « lliyperexcilabilité neuro-muscul
rideut et inattendu de chemin de fer avait plongée malgré elle dans l'
état
cataleptique, sur le banc d'une de nos promenades
ur être transportées ». Et M. Voisin ajoute que cette femme était À l'
état
de veille d'une suggestibilité excesssive, que se
itiques ne visent pas les conclusions de l'expert. Je pense que, vu l'
état
maladif très accusé de l'inculpée et la nature du
s, et ils se sont rapprochés, sous ce rapport, très sensiblement de l'
état
normal. Cette présentation donne lieu à un écha
plus satisfaisant. Mais, malgré ce mieux inespéré eL assez rapide, l'
état
général laissait fort à désirer : l'appétit persi
elte première séance, j'apprends avec plaisir que ces suggestions à l'
état
de veille ont déjà eu un commencement de succès.
au qui vient justifier les doctrines de Nancy, sur la suggestion et l'
état
de suggestibilité, soutenues par M. le D' Liébeau
faciale, voulait se faire plomber deux molaires, et en raison de son
état
nerveux, désirait être endormie. Elle m'assura à
'on avait discutés, de la Salpétrière qu'elle ne connaît pas dans son
état
normal, etc. En un mot, on a eu la preuve qu'elle
ssions et de montrer qu'elles ont été perçues consiste à la mettre en
état
d'hypnotisme. Elle parle alors de tout ce qui l'i
bien lorsqu'esl arrivé l'événement qui a si profondément modifié son
état
. Un inconnu s'est présenté chez elle le 23 août e
quer qu'on ne connaît ce détail que parce qu'elle a pu le raconter en
état
d'hypnotisme, car personne n'avait assisté à cett
uite de cette attaque dont la nature hystérique n'est pas douteuse, l'
état
actuel a été constitué, c'est-à-dire que toute la
it auparavant, et les faits s'étaient enregistrés comme d'habitude, l'
état
psychique et intellectuel étant à ce moment absol
en effet, on assiste à une transformation complète. Une fois dans cet
état
, lorsqu'on l'interroge, on coa-laie alors qu'ello
, de son séjour chez ses amis, de ses promenades dan* Pari*, etc. Cet
état
se maintient tant qu'elle est endormie, mais elle
at se maintient tant qu'elle est endormie, mais elle retombe dans son
état
primitif aussitôt qu'on la réveille. Il s'agit,
at primitif aussitôt qu'on la réveille. Il s'agit, on le voit, d'un
état
très particulier qui diffère beaucoup de certains
le voit, d'un état très particulier qui diffère beaucoup de certains
états
analogues, lesquels s'en rapprochent pourtant par
gir dans le même sens et peut-être arrivera-l-ou à modifier aio»! cet
état
dont le pronostic ne peut être considéré comme tr
d'ajouter qu'en outre du véritable tarentulisme, on observe aussi des
états
psychopathiques qui le simulent et qui sont dus à
ins une douzaine de jours. Elle ne s'effraierait cependant pas de cet
état
si, depuis la veille, sa fille ne s'était mise à
effet, est debout, se promène et ne paraît nullement affectée de cet
état
qui, a première vue, m'a paru, à moi, si grave. L
onner de l'appétit, assurer le sommeil parfait de la nuit, modifier l'
état
nerveux. La malade a bien voulu M pré 1er à ces h
nerveox demeuré latent juique-là, de créer, chez certains sujets, un
état
névropathique durable et d'altérer, à la longue,
sé peut ainsi se trouver vis-à-vis de son maître d'un moment, dans un
état
de suggestion dont les effets se font même sentir
ression du froid qu'elle avait ressentie pendant son sommeil, dans un
état
de demi-inconscience. Il en est exactement de mêm
o-cpilepsie. « Mais, ajuute-t-il, est-ce une raison pour que ces deux
états
soient identiques ? A notre sens, cela ne prouve
matières l'illusion, la supercherie, certaines ressemblances arec des
états
morbides peuvent induire les exorcistes dans l'er
84. Névropathie avec persécution délirante guérie par suggestion à l'
état
de veille [cas de), par Andrieu, 322. Névropath
rt l'épuisé, que son intelligence est ébranlée, qu'il n'est plus en
état
de suivre un raisonne- ment, que sa mémoire est
é d'exa- miner ce sujet sera dans l'impossibilité d'émettre sur son
état
une opinion scientifiquement fondée, s'il n'a p
omissements. De quoi s'agit- il ? d'une affection organique ou d'un
état
purement névropathique, de neurasthénie, d'hyst
donnent naissance à du strabisme qui apparaît déjà généralement à l'
état
de repos, vraisemblablement en raison de l'acti
alysies des nerfs moteurs, à la dissociation de mouvements qui, à l'
état
normal, s'opèrent d'une manière synergique. Cet
e hystérique. Vous pouvez voir que la commissure labiale droite à l'
état
de repos est à un niveau plus élevé que la commis
figure sont très marqués à droite, comme s'il y avait de ce côté un
état
spasmodique des muscles. Mais on doit se demand
du myosis et à une conservation du mouvement de la pupille, qui à l'
état
normal coïncide avec la convergence et avec l'ac-
donner à une période de la maladie où le traitement mercuriel est en
état
d'agir efficacement, et, chose essentielle, il
nt de l'importance à l'inégalité pupillaire ; mais, en réalité, à l'
état
mono-symp- tomatique ce signe ne semble pas avo
n clinique neurologique; il est essentiel, en effet, de connaître l'
état
dans lequel ils se trouvent, parce qu'ils subisse
'épilepsie que le visage soit congestionné pendant l'accès, car cet
état
peut résulter d'un simple effort volontaire; il f
stique par elle-même le malade dit qu'il souffre, mais sans être en
état
de définir ses souffrances; il en résulte que dan
nt pas appréciées à leur valeur et sont considérées comme dues à un
état
simplement névro- pathique. Les conséquences de
elé d'anormal, on avait été conduit à attribuer cette céphalée à un
état
neurasthénique ou hystéro-neurasthénique ; ce q
es et, quand il s'en produit, elles sont généralement étouffées à l'
état
naissant. Vous penserez peut-être qu'en vous pa
itue une paraplégie complète avec anes- thésie. Je le vois dans cet
état
6 mois après le début des troubles. Ne constatant
ûre de la plante du pied provoque, comme cela a lieu d'habitude à l'
état
normal, une flexion de la cuisse sur le bassin, d
je dois vous dire quelques mots sur le réflexe cutané plantaire à l'
état
normal chez l'adulte dont je m'oc- cuperai excl
orteil qu'il faut avoir ici spécialement en vue. Or, dans certains
états
pathologiques, l'excitation de la plante du pied
Il importe que les muscles du pied et de la jambe ne soient pas en
état
de contraction, et pour obtenir ce résultat il
résoudre, car il est à peine besoin de faire remarquer que si, à l'
état
normal, le réflexe cutané plantaire ne se manif
r mes assertions en ce qui concerne le réflexe cutané plantaire à l'
état
physiologique. Voici maintenant quelques sujets
nt atténués, et actuellement cet homme est, comme vous le voyez, en
état
de se tenir debout et de faire quelques pas ; tou
ce signe chez un sujet dont le système pyramidal fut sûre- ment en
état
d'intégrité. Mes observations montrent qus le p
uer que sa valeur sémiologique est surtout grande dans les cas où l'
état
des réflexes tendineux ne permet pas de déceler
les cas où l'état des réflexes tendineux ne permet pas de déceler l'
état
du système pyramidal. C'est ainsi que dans l'hémi
si, depuis assez longtemps, sur ce phéno- mène que j'ai observé à l'
état
normal ainsi qu'à l'état pathologique (voir fig
s, sur ce phéno- mène que j'ai observé à l'état normal ainsi qu'à l'
état
pathologique (voir fig. t et 2). Mais chez les
à une extension du gros orteil. Ce fait seul qu'il peut exister à l'
état
normal m'empêche d'attribuer à ce phénomène l'i
tractent pas volontairement, qu'ils soient, autant que possible, en
état
de relâchement. Cette condition est parfois trè
lâche lorsqu'il est couché. Par la palpation on se rend compte de l'
état
musculaire, et au besoin on attend avec patience
. Je considère donc l'absence du réflexe achilléen comme signe d'un
état
pathologique. » Albert Charpentier ayant exam
cinq principaux réflexes sont pour ainsi dire toujours présents à l'
état
normal, il n'en va pas de même de quelques autres
duction, d'adduction de la main, etc. En réalité, leur absence, à l'
état
normal, n'est peut-être qu'une apparence : en e
que nous venons de dire sur les réflexes inconstants montre qu'à l'
état
normal il existe des variétés individuelles. Mais
in d'avoir la même amplitude chez tous les sujets. Bien plus, à l'
état
normal, les réflexes osso-tendineux forts se dist
re toute la gamme des réflexes nouveaux avant d'aborder l'étude des
états
pathologiques. Pour ne pas s'être familiarisé s
du côté droit sont égaux ri ceux du côté gauche. Sans doute, à l'
état
normal, comme je l'ai dit, le réflexe de flexion
manque d'un côté tandis qu'il existe de l'autre, on a affaire à un
état
pathologique. SUR LA LOCALISATION DES CENTRES D
as dans une pareille méprise : le mouvement réflexe de défense, à l'
état
pathologique, est généralement plus lent et d'u
urs minutes à la recherche d'un seul réflexe pour être fixé sur son
état
. Je ne saurais donc trop recommander à ceux auxqu
nt constatée, on peut affirmer immédiate- ment qu'on a affaire à un
état
anormal ; cela ressort des données fournies par
étation d'un pareil cas est simple. En effet, l'asymétrie dénote un
état
pathologique. Il reste à savoir si cette asymétri
culaires de plus en plus faibles on n'hésitera pas à reconnaître un
état
pathologique. La faiblesse est-elle moins accen
vateur a fait une étude plus approfondie des réflexes tendineux à l'
état
normal. Mais il faut reconnaître que, le plus ord
xe paradoxal du coude. Voici comment j'interprète ce phénomène. A l'
état
normal, la percussion de l'extrémité inférieure
rs sur ceux qui résultent de l'ébranlement de l'os sous-jacent. A l'
état
patho- logique, lorsque le réflexe d'extension
rcussion de l'extrémité inférieure du radius provoque toujours, à l'
état
normal, une flexion de l'avant-bras sur (1) Voi
la diminution ou l'abolition du réflexe de flexion de l'avant-bras,
état
pathologique, peut avoir cette conséquence que
ou la suivent, ou bien elle représente la seule manifestation d'un
état
patho- logique. En effet, sauf l'hypotonie qui
n considérait l'absence du réflexe achilléen comme très commune à l'
état
normal. Or, ayant montré que ce réflexe est pou
are de constater dans les névrites la réapparition et le retour à l'
état
normal de réflexes tendineux qui avaient été abol
ous les réflexes tendineux des membres supérieurs ; en pareil cas l'
état
des réflexes des membres inférieurs dépendra de
émérité à localiser les frontières de la lésion en se fondant sur l'
état
des réflexes tendineux. Admettons que le réflex
s, parmi lesquels Margouliès, Balint et Lapinski, soutiennent que l'
état
des réflexes dépend surtout de la modalité de l
après Jackson et Bastian, par le rôle excitateur qu'exercerait, à l'
état
normal, le cervelet sur les centres médul- lair
marquer que des mouvements volontaires sont capables de masquer cet
état
pathologique. Ils peuvent être cause d'une erre
être cause d'une erreur inverse et faire admettre l'existence d'un
état
pathologique, d'une surréflectivité tendineuse ch
X ET REFLEXES OSSEUX 61 Il est plus délicat de fixer la limite de l'
état
normal. Nous avons dit pré- cédemment qu'au poi
ut être malaisé dans un cas donné, d'affirmer que la frontière de l'
état
normal a été franchie. Cependant, j'estime que
de la loi de symétrie, nous dirons qu'il s'agit manifestement d'un
état
anormal et, tenant un raisonnement analogue à cel
une confusion. Le qualificatif « exagéré » doit, être réservé à un
état
pathologique. 6a SÉMIOLOGIE Le clonus du pied
droit de considérer la trépi- dation comme parfaite et dénotant un
état
pathologique. Si non, on peut avoir affaire à u
as, une trépidation identique dans sa forme à celle qui dépend d'un
état
pathologique. Je ferai remarquer que le phéno-
mettant, quand on les y invite, leurs muscles dans le relâchement,
état
dans lequel la trépidation épileptoïde ne peut pl
e est un phénomène patholo- gique et que la fruste peut exister à l'
état
physiologique. Il est à retenir que la trépidat
ils qu'on obtient par la percussion de la face dorsale du pied. A l'
état
physiologique cette excitation provoque une exten
re, etc., mais elle peut se présenter aussi comme signe unique d'un
état
pathologique. Cela est pourtant beaucoup plus r
a-latéral des adducteurs » décrit par Pierre Marie réflexe qui, à l'
état
normal, fait souvent défaut est parfois très fr
ondaire est constituée, s'accompagne de surréflectivité. Quel est l'
état
des réflexes osso-tendineux dans la phase initial
apsule externe ou d'hémorragie méningée. Le retour des réflexes à l'
état
normal coïncide aussi avec la guérison des troubl
dique, entre autres une surréflectivité très notable, généralement l'
état
des réflexes tendineux aux membres supérieurs e
ra sur les réflexes tendineux une action qui sera subor- donnée à l'
état
où ils se trouvaient avant l'apparition de la par
'hémiplégie, une exagération du réflexe rotulien contrastant avec l'
état
du réflexe achilléen qui est resté aboli. Le type
se pyramidale ne modifie donc pas nécessairement, tant s'en faut, l'
état
des réflexes tendineux troublés par le tabès. L
sujet atteint déjà d'hémiplégie avec dégéné- ration descendante, l'
état
des réflexes tendineux subit presque toujours u
suite l'amyotrophie, deviennent intenses ; la transforma- tion de l'
état
des réflexes est d'une interprétation très simple
la réflectivité cutanée. Quelques mots d'abord sur ces réflexes à l'
état
normal. On sait que l'excitation de la peau à l
a constate des deux côtés, ne constitue pas un signe cer- tain d'un
état
pathologique. Je signale encore un réflexe cuta
thologique ils puissent atteindre un degré dépas- sant en hauteur l'
état
normal. Pour le deuxième groupe il en va autrem
e de contracture transitoire. Quant à la zone réflexogène, qui, à l'
état
normal, est ordinairement circonscrite à la pla
rement ces mouvements s'accomplissent avec plus de len- teur qu'à l'
état
normal ; ils sont, à cet égard, comparables aux m
d'extension et d'abduction des orteils. Je dois dire encore qu'à l'
état
pathologique les réflexes de défense peuvent être
inspection, elle est douteuse, car la ligne de démarcation entre l'
état
physiologique et l'état pathologique n'est pas
uteuse, car la ligne de démarcation entre l'état physiologique et l'
état
pathologique n'est pas d'une netteté parfaite.
fléchit, parfois très énergiquement, ce que l'on n'observe jamais à l'
état
physiologique. Ce procédé est peut-être le plus
la jambe et de la cuisse s'associent à la flexion des orteils, et à l'
état
pathologique, comme M. van W oerkom le reconnaî
a acquis une certaine intensité. Nous avons étudié précédemment l'
état
des réflexes tendineux dans les cas où le tabes
aire parais- sant entièrement conservée, l'impotence était liée à l'
état
spasmodique, s'il ne serait pas légitime de che
es l'insuffisance des notions concernant les réflexes tendineux à l'
état
normal, la pénurie des données sémiologiques et
ur ne pas avoir déterminé toute la gamme des réflexes tendineux à l'
état
physiologique préliminaire indispensable à l'étud
siologique préliminaire indispensable à l'étude de ces réflexes à l'
état
pathologique qu'on a attribué à l'hystérie la f
tement, et, en tout cas, elle ne fait subir aucune modification à l'
état
des réflexes tendineux. Pourtant, comme l'expér
ques psychothérapiques. on fasse constater le retour des réflexes à l'
état
normal : je serai obligé de reconnaître que je
dant on ne peut pas soulever le bras malade aussi facilement qu'à l'
état
normal, ce mouvement provoquant une légère doul
arrêté, avoir subi des oscillations à la manière d'un pendule. A l'
état
normal l'activité musculaire trouble presque touj
ibère les mouve- ments passifs des entraves qui leur sont mises à l'
état
normal par l'acti- vité musculaire. En résumé
é- sente au préalable les divers modes de l'activité musculaire à l'
état
normal, la tonicité, la contractilité volontair
dions d'abord la paralysie faciale dans l'hémiplégie organique. A l'
état
de repos, dans la période de flaccidité, la face
l'on s'en rapportait aux traités classiques, l'asymétrie faciale à l'
état
de repos et dans la période de contracture sera
al s'accentue du côté normal, même chez des hémiplégiques dont, à l'
état
de repos, la commissure labiale est plus élevée e
. de la Soc. de biol., 1896, p. 17f. z (2) Voir à ce sujet : ce L'
état
des réflexes et la contracture dans l'hémiplégie
able et c'est là le point essentiel. Je dois faire remarquer qu'à l'
état
normal l'immobilisation de la cuisse parait êtr
ents du mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc. L'
état
des réflexes tendineux et des réflexes osseux fou
exes tendi- neux. Je dois faire remarquer que l'appréciation de l'
état
des réflexes tendi- neux n'est pas sans présent
répéter l'examen à plusieurs reprises pour être fixé exactement sur l'
état
des réflexes. Les difficultés sont encore plu
ussion d'une région qui avoisine le tendon, soit encore parce que l'
état
de ces réflexes subit à de courts intervalles d
décisif si l'hémiplégie hystérique ne se manifestait jamais qu'à l'
état
de pureté. Mais il n'en est pas ainsi et l'on s
ération sa forme. J'ai montré, il y a déjà plusieurs années, qu'à l'
état
normal, chez l'adulte, l'excitation de la plant
ection. Sa valeur sémiologique est surtout grande dans les cas où l'
état
des réflexes tendineux ne fournit pas le moyen
l'état des réflexes tendineux ne fournit pas le moyen de déceler l'
état
du système pyramidal. C'est ainsi que, dans l'h
ec détails comme je l'aurais voulu, n'étaient peut-être pas dans un
état
d'intégrité parfaite ; mais, d'après ce que j'a
malade finit par succomber, après être restée quelque temps dans un
état
démentiel. Une autre malade, que j'ai observé a
est, je crois, permis de se servir d'un néologisme pour désigner cet
état
et de l'appeler anosognosie. , J'ai observé a
ortance, comme s'il se fût agi d'un malaise insignifiant. Un pareil
état
pourrait être dénommé anosodiaphorie ((x3 ! <x
xemple, un sujet atteint de paraplégie par compression de la moelle
état
dans lequel les réflexes de défense sont générale
fléchi (Marie et Foix). Habituellement, le mouvement réflexe, à l'
état
pathologique, s'accomplit avec une certaine len
précède s'applique aux réflexes de défense qu'on peut observer à l'
état
pathologique. Ces réflexes existent-ils aussi à
observer à l'état pathologique. Ces réflexes existent-ils aussi à l'
état
physiologique ? Chez l'individu normal, en exci
on du réflexe de défense physiologique. Comment donc distinguer l'
état
pathologique et sur quels signes se fondera-t-o
dans les mêmes conditions un pareil mouvement ne se produit pas à l'
état
normal. Je rappellerai ici comment fut découver
t l'extension des orteils du côté paralysé, ce qui n'a pas lieu à l'
état
physiologique. Schaefer considérait ce phénomène
nt la voix pyramidale. Nous les examinerons tour à tour dans divers
états
pathologiques où ils ont été l'objet de travaux
ue les réflexes de défense, souvent plus forts, il est vrai, qu'à l'
état
normal, ne sont pas nécessairement exagérés. «
la précédente par les traits suivants : elle est indépendante de l'
état
des réflexes tendineux qui sont tantôt forts, t
le à faire ; or, j'ai pu, chez certains sujets se trouvant dans cet
état
, constater d'une manière incontestable l'affaibli
ues-unes d'entre elles peuvent-elles au contraire être obtenues à l'
état
physiolo- gique ? y a-t-il des caractères perme
cuisse. Ce sont là les mêmes mouvements que ceux qu'on observe à l'
état
pathologique. Mais chez le sujet normal, la con
t suf- fisantes pour établir une ligne de démarcation nette entre l'
état
physio- logique et l'état pathologique. Toutefo
ir une ligne de démarcation nette entre l'état physio- logique et l'
état
pathologique. Toutefois, en se fondant uniquement
ite. Un autre caractère plus important et conduisant à distinguer l'
état
physiologique de l'état pathologique est le sui
plus important et conduisant à distinguer l'état physiologique de l'
état
pathologique est le suivant : chez l'homme normal
je le répète, sans autres moyens distinctifs, la confusion entre l'
état
physiologique et l'état pathologique pourrait êtr
es moyens distinctifs, la confusion entre l'état physiologique et l'
état
pathologique pourrait être malaisée à éviter. A
région que la plante du pied permet d'affirmer qu'on a affaire à un
état
morbide. Ce signe à lui seul me paraît donc déc
Ce signe à lui seul me paraît donc décisif; c'est le criterium de l'
état
pathologique. Il va sans dire que la conviction
on encore plus importante peut-être que les précédentes, à savoir l'
état
du réflexe cutané plantaire. Pendant les six mois
faisait des deux côtés en flexion plantaire, c'est-à-dire comme à l'
état
physiolo- gique. » Je rappelle aussi l'Observ
plantaire, inca- pable de produire une flexion réflexe du pied à l'
état
normal, peut en déterminer une dans l'hémiplégi
ie interne de la jambe provoquée par le frottement ne détermine à l'
état
normal aucun réflexe, ou seulement une flexion
pasme cesse, il est ordinairement possible de se rendre compte de l'
état
de la réflectivité tendineuse. Si j'ai bien com
moteurs des plus marqués n'est pas nécessairement l'expression d'un
état
incurable. Entre autres faits à l'appui de cett
e à reprendre ses chaînes, ce qu'atteste le retour des réflexes à l'
état
physiologique.. Mais il y a plus : daus certain
à la période qui précède la mort. J'ai été amené à vous indiquer l'
état
des réflexes de défense dans les sections spina
es à la phase terminale, à la phase moyenne. Je dois vous exposer l'
état
de ces réflexes à la première phase, après le tra
cette première phase, la zone réflexogène serait limitée, comme à l'
état
phisiologique, à la zone plantaire, et ce n'est
iddoch qui ont cherché à établir le parti qu'on pourrait tirer de l'
état
des réflexes de défense au point de vue du diag
mmes maintenant en mesure d'indiquer les caractères em- pruntés à l'
état
des réflexes de défense et qui permettent, d'aprè
n est pas toujours ainsi. A la page 63, où il est fait mention de l'
état
des réflexes 52 jours après l'examen précédent, n
Elle est ensuite endormie à l'éther avec l'appareil d'Ombredanne. L'
état
des réflexes tendineux et des réflexes de défen
igidité musculaire, elle a complètement disparu. En présence de cet
état
de shock, on met fin à l'opération. Une heure a
Toujours la victoire de la flexion implique une aggra- vation de l'
état
du malade. « Y a-t-il seulement libération de l
on encore éprouvée, insolite et occasionnant ainsi une surprise, un
état
d'anxiété que traduit la physionomie du malade,
rington, est que ces réflexes de flexion tels qu'on les observe à l'
état
pathologique traduisent la libération de la moell
serait alors qu'une libération relative aux réflexes de défense. L'
état
pathologique de ces réflexes ne se comprendrait
ntaire et que les mouvements sont plus rapides et moins amples. A l'
état
pathologique, la triple flexion (seule mode de ré
OGIE ici) semble bien pouvoir être interprétée comme un retour à un
état
ancestral : la partie excitée fuit l'objet vuln
n peut être provoquée par excitation de l'abdomen ou du thorax. A l'
état
physiologique, ces réactions ancestrales se son
u de rester lente. On saisit ainsi les raisons pour lesquelles, à l'
état
physiologique, les réactions motrices qui me pa
maintenant le réflexe des orteils aux réflexes précédents.. Si à l'
état
pathologique la réaction habituelle des orteils,
rochée, en ce qui concerne son mécanisme, de la triple flexion, à l'
état
physiologique le mouvement des orteils, la flexio
e la cuisse, de la jambe et du pied. Mais il est à remarquer qu'à l'
état
physiolo- gique chez l'homme, l'excitation de l
'attaque avec la fuite. On saisirait ainsi la quadruple flexion à l'
état
physiologique : la flexion de la cuisse, de la ja
s orteils, le réflexe de fuite l'emportera, ce qui est la règle à l'
état
pathologique, sur ce que nous appelons le réflexe
la vie intra-utérine pour remplir une fonction de préhension ». Cet
état
qui, chez les autres primates est perpétuel, es
mmence à marcher, ce qui s'explique quand on se rappelle quel est l'
état
du système pyramidal à cette époque de la vie ;
j'ai dit précédemment sur la possibilité de provoquer parfois, à l'
état
pathologique, des réflexes des orteils et du pi
elâchement fait défaut, comme cela a lieu quand ces muscles sont en
état
de contraction ou de contracture, ou lorsqu'il
Il est à remarquer que les mouvements conjugués existent aussi à l'
état
physiologique : il est plus facile de fléchir l
contraire, chez certains animaux, les mouvements conjugués sont à l'
état
normal aussi marqués que chez l'homme à l'état
s conjugués sont à l'état normal aussi marqués que chez l'homme à l'
état
pathologique. Cela est particulièrement évident c
rapportent à des malades présentant le syndrome de Brown- Séquard,
état
qui semble particulièrement favorable à la mise e
embre inférieur gauche avec troubles sen- sitifs du côté droit. Son
état
s est rapidement amélioré ; il a pu reprendre son
ucune réaction homo ou contralatérale. Quelques mois plus tard, l'
état
du blessé s'étant notablement amélioré, la réacti
cousses d'une intensité et d'une brusquerie qu'on n'observe pas à l'
état
normal, nous dirons qu'il s'agit d'une surréfle
it trop chercher à pré- ciser les conditions capables de modifier l'
état
des pupilles ; aussi, j'espère que la Société t
tire brusquement la main ; or à ce moment, dans ces conditions, à l'
état
normal, la ^pupille se contracte très nettement
e serait pas capable de renforcer le réflexe à la lumière, même à l'
état
normal; or, des expériences faites sur une vingta
est faible; en faveur de cette conception on peut encore invoquer l'
état
des pupilles dans l'héméralopie, affection prod
llègues à examiner, chez les aortiques qui se présenteront à eux, l'
état
du réflexe à la lumière des pupilles, et à faire
ensions se modifient sous l'influence de l'accommodation, comme à l'
état
normal. Du reste, cette malade, comme la précéd
a une importance pratique très grande. Elle décèle l'existence d'un
état
qui est souvent le précurseur de troubles fort gr
fait attendre au tronc le degré de courbure qu'on peut obtenir à l'
état
normal sans perdre l'équilibre. Ce phénomène dé
a flexion de la cuisse sur le bassin est bien plus prononcée qu'à l'
état
nor- mal, ce qui a pour conséquence un soulèvem
es, les opinions sont encore partagées. Nous ne nous croyons pas en
état
de résoudre ce problème. Nous avouerons que nou
une hypothèse, que tout se passe comme si le cervelet exercait à l'
état
normal sur les mouvements une action frénatrice
ttire légèrement au moment où il soulève la cuisse. Il est aussi en
état
de marcher, sans l'assistance d'autrui, si, renco
buer à l'impossibilité où se trouve le malade d'associer, comme à l'
état
normal, dans l'acte de la marche, la translatio
un des traits propres à des symptômes déjà catalogués. A de pareils
états
on aurait tort d'appliquer une désignation précis
ationnel de se servir de termes tout différents pour dési- gner des
états
tellement dissemblables ; mieux vaudrait ne pas é
stituent l'ataxie radiculaire ou tabétique. S'il en est ainsi à l'
état
dynamique, cinétique, nous estimons que la diff
croît encore lorsqu'on considère les deux catégories de malades à l'
état
statique. Nous allons le montrer en étudiant la
avons donné le nom de catalepsie cérébelleuse se présente, dans son
état
de pureté, sous un aspect saisissant. , A en
équilibre. « Mais ce vocable a aussi cette autre signification : «
état
d'un corps « maintenu au repos sous l'influence
re envisagé sous deux faces, suivant que le corps se trouve dans un
état
d'immobilité active, ou bien qu'il est en mouve
que d'une affaire de convention et il suffit de s'entendre. « A l'
état
normal, l'équilibre volitionnel cinétique est réa
isance et de spontanéité qu'avant l'opération ; mais, au total, son
état
est consi- dérablement amélioré. Luciani soup
N SUR LE COBAYE (En collaboration avec Cl. Vincent et Barré.) A l'
état
normal quand on applique une électrode derrière c
e chaque côté sur le point d'élection, on obtient généralement, à l'
état
normal, une inclination de la tête avec un cour
ocié à l'incli- nation ; il est aussi plus ou moins prononcé. A l'
état
normal, si la situation des pôles est inversée, l
nclination qui domine. ÉPREUVE GALVANO-CALORIQUE Chez l'homme à l'
état
normal, une irrigation de l'oreille avec de l'eau
re évidente la déviation angulaire vol- taïque est très faible; à l'
état
normal un milliampère suffit. Un courant trop f
uvements contre-réactionnels. Mouvements contre-réactionnels. A l'
état
normal, tous les mouvements réactionnels, toutes
laire à ce mouvement, sensibilité qui peut varier beaucoup même à l'
état
normal, et d'un sujet à l'autre, on observera s
ieu à une contraction mais celte dernière est bien moins forte qu'à l'
état
de vie, et de plus la contraction est lente, pa
nsi que le ÉLECTROLOGIE n3 nerf facial à son origine sont dans un
état
d'intégrité anatomique et que la lésion occupe
, il est à noter que la secousse de fermeture est plus lente qu'à l'
état
nor- mal. Il y a aussi, principalement dans l
nski et Froment ont fait ressortir l'intérêt qu'il y a à examiner l'
état
de l'excitabilité du muscle, quand le membre est
veux. Les organes thoraciques et les organes abdominaux sont en bon
état
. Pas d'albumine. Pas de sucre. Il me paraît imp
a lumière est aboli. La marche, pénible il est vrai, à cause de l'
état
de faiblesse générale, et difficile à cause de
s de la sensibilité. En raison de la cécité complète, et du mauvais
état
général, la crâniectomie me paraît contre-indiq
la région frontale et prédomine à gauche. Malgré la gravité de l'
état
dans lequel se trouve le malade, j'estime qu'il y
e région. Le 25 février, M. Chaillous constate que du côté droit, l'
état
de l'oeil n'est pas sensiblement modifié, mais
s loin la précision. Dans l'observation I, je ne m'étais pas cru en
état
de déterminer le côté de la lésion. En raison d
vrite oedémateuse bilatérale. Le malade, d'ailleurs, est dans le même
état
si ce n'est que la céphalée a augmenté. Une p
. Huit jours après le début de ce traitement, le malade sort de son
état
de demi-prostration, il se lève et marche sans so
ce dure-mérien. On ne voit ni ne sent aucune tumeur. Le 4 juin, l'
état
des réflexes et celui du fond de l'oeil sont stat
orsqu'on envisage la série des conditions nécessaires au retour à l'
état
normal. Pour cela, en effet, l'existence du néopl
a lieu souvent, même dans les néoplasies nullement syphilitiques, l'
état
du malade paraît quelque peu s'améliorer sous l
ntervenir chirurgicale- ment sans tarder davantage. Admettons que l'
état
ophtalmoscopique de l'oeil ne se soit pas modif
s bien moins intenses, au membre inférieur gauche. Depuis trois ans l'
état
serait à peu près stationnaire. Etal actuel.
plus tôt possible l'attitude dans laquelle le spasme s'atténue. A l'
état
de veille les mouvements spasmodiques ne disparai
Rien d'anormal dans les organes des sens; dans les viscères, dans l'
état
intellectuel. Ajoutons, en terminant, que le ma
en particulier, à ce point de vue, l'attention de la Société sur l'
état
du réflexe cutané plantaire ; l'excitation de la
e dans une autre séance. Je me contenterai de dire à ce sujet que l'
état
du malade, entré tout récemment dans mon servic
de la maladie, il dut quitter l'atelier et depuis cette époque son
état
ne s'est plus guère modifié. État actuel. On
éogéniques multiples. Antécédents personnels : Il est né à terme en
état
de mort apparente (asphyxie par compression du
Vers l'âge de 10 ans, après une période de deux années environ de bon
état
relatif, l'enfant fut pris de spasmes marqués d
ordres de phénomènes permanents, constatés déjà en mars 1921. ° Un
état
spasmodique de tout le côté gauche prédominant au
'il soit couché, assis ou debout. Ce qui les modifie, c'est surtout l'
état
émotif du sujet : si celui-ci se sent observé,
malade. Par l'examen des mouvements passifs, on met en évidence un
état
de spasme permanent des muscles adducteurs du b
r les autres. Les mouvements actifs de l'épaule rendent manifeste l'
état
de spasme dont nous venons de parler. Mais on o
s spasmodiques de l'extrémité semblent alors moins prononcés qu'à l'
état
de repos. Le malade boite, mais il est à remarque
la raison. Ces troubles subissent particulièrement l'influence de l'
état
émotif du sujet et ils disparaissent dans le somm
bsolument immobile et elle paraît tout à fait guérie. Le retour à l'
état
normal n'est pas complet, il est vrai, car, sou
ction complète de ces nerfs ; je dis qu'en pareil cas le retour à l'
état
normal chez l'adulte est exceptionnel. ' ' .. v
té de Neurologie à cette époque (2). Je la présente de nouveau; son
état
n'a subi aucune modifi- cation ; la guérison se
dant plus de 10 ans, avait perdu un peu de terrain ; néan- moins, l'
état
du malade était sensiblement meilleur 15 ans aprè
15 ans après l'opéra- tion qu'avant celle-ci, il était toujours en
état
de travailler et de gagner sa vie, ce dont il é
pratiquée par le 1) Baumgartner. La malade sortit de l'hôpital, son
état
s'étant amélioré, et je la perdis complè- temen
anière progressive, qu'au bout de six mois il y avait eu retour à l'
état
normal et que la guérison s'est maintenue depuis,
attire notre attention sur les variations que l'on observe dans son
état
. Tantôt elle mange, s'habille toute seule, s'occu
e simplement un « oui » ou un « non » à une question concernant son
état
. Il est à remarquer que ce mutisme absolu peut
rt avec nous. Voici par exemple ce qu'elle écrit pour expliquer son
état
. Nous trans- crivons fidèlement : Si je ne pa
cette hypothèse, c'est que ce mutisme si spécial a été observé à l'
état
fruste chez d'autres parkinso- niens, qu'il a é
scendre jusqu'à six par minute. (') Troubles respiratoires dans les
états
parkinsoniens liés il l'encéphalite épidémique, p
ES En pareil cas, on observe à la fin de l'inspiration, une sorte d'
état
spasmodique qui interrompt l'acte respiratoire
e a ajouté que, « par la volonté, elle pouvait améliorer un peu son
état
pendant un laps de temps assez court ». Son mari
nsouciant. Toutefois son intelligence reste normale. Depuis lors, l'
état
du malade s'est peu modifié, sauf en ce qui conce
ensiblement modifiée ; dès cette époque le malade aurait été dans l'
état
dans lequel nous l'avons vu à son entrée à l'hô
ena la fonte. État actuel (novembre t 8gg). Aspect extérieur. L'
état
général du malade paraît satisfaisant, il a un
n- traction musculaire est approxi- mativement aussi forte qu'à l'
état
normal, un peu moins pourtant à gauche qu a d
deux aides. 2)O AFFECTIONS DU CERVELET manière plus nette qu'à l'
état
normal en mouvements élémentaires des divers se
e, très faible à gauche. Il est impossible de se rendre compte de l'
état
du réflexe crémastérien en raison de l'existenc
e chatouillement de la conjonctive du côté gauche provoque, comme à l'
état
nor- mal, une occlusion de l'oeil gauche et en
l on devra se reporter. Je rappelle seulement que cet homme, dont l'
état
ne s'est guère modifié depuis, est doué aux mem
on seulement n'est pas affaibli, mais paraît même plus parfait qu'à l'
état
normal. Aux membres supérieurs il y a du trem
e trait essentiel de la catalepsie. Le caractère fondamental de cet
état
, c'est la propriété que présentent les muscles
tilité graves, ainsi que d'une grande gêne dans la déglutition. Son
état
ne s'est guère modifié, dit-il, depuis le début
uement dans une syncope. Étude anatomique. Après avoir pratiqué à l'
état
frais la coupe de Meynert, on a fait durcir dan
, ce dont je le remercie, explorer comparativement des deux côtés l'
état
de la vasomotilité de ce malade, à l'aide du pl
de l'organe d'autant plus marquée que les vaisseaux étaient dans un
état
plus marqué de turgescence initiale. Quant aux
n, qui peuvent être exagérées, affaiblies ou abolies. Tandis qu'à l'
état
normal, avec un courant peut intense, de 1 à 3 mi
res l'inclination de la tète fait totalement défaut, au lieu qu'à l'
état
normal elle est généralement perceptible avec un
ée par le passage du cou- rant. Tantôt la tête s'incline, comme à l'
état
normal, du côté du pôle positif, mais le mouvem
ure de l'intensité de la lésion. Enfin, le nystagmus provoqué à l'
état
physiologique par le courant électrique peut ma
quer. Telles sont les principales variétés du vertige voltaïque à l'
état
patholo- gique. D'après ce qui précède je cro
e déviation sont bien épuisés. Leur persistance indique du reste un
état
pathologique ; la sensibilisa- tion produite pa
; le réflexe des pupilles à la lumière est faible. La malade est en
état
de circuler dans la salle, mais elle ne peut le f
ds donne lieu à de la flexion des orteils sur le métatarse. ' . L'
état
de L. Michel s'aggrave rapidement. La céphalée de
rieurs devient beaucoup plus forte. Des deux côtés la cuisse est en
état
de flexion, d'adduction et de rotation en dedan
ête qu'on a beaucoup de peine à redresser. Les muscles sont dans un
état
d'hyperexcita- bilité remarquable ; à la face,
cuisses sont fortement fléchies sur le bassin et les jambes sont en
état
de flexion forcée sur les cuisses. Il y a une c
ade quitte l'hôpital après y être restée plusieurs mois, sans que son
état
se soit modifié. ' ' - Elle revient dans le m
d'extension des orteils sur le métatarse. Pendant plusieurs mois,
état
stationnaire. Au commencement de 1897, la contr
ialement de ces points, sur l'hyperexcitabilité musculaire et sur l'
état
cataleptoïde des membres supérieurs, mais j'ins
PASMODIQUE 323 dans ce cas entre l'intensité de la contracture et l'
état
des réflexes ten- dineux qui n'ont jamais paru
om- mun, une forme de paralysie crurale caractérisée à sa période d'
état
par une contracture très intense amenant une fl
si cette forme clinique de paralysie spasmo- dique correspond à un
état
anatomique particulier. Mon éminent maître Char
à ce sujet le très intéressant travail du pr van Gehuchten sur : « L'
état
des réflexes et la contracture de l'hémiplégie
manque complètement ; dans l'observation II : elle n'existe qu'à l'
état
de traces et n'a commencé à se produire que dan
vrait, ce qui n'est pas, se manifester par des modifications dans l'
état
des réflexes et en particulier par une exagérat
ompt seulement lorsque se manifestent des signes d'intolérance. Son
état
présente des alternatives en bien et en mal et no
e alternativement plusieurs fois ; il lui arrive de tomber dans des
états
d'aplatissement, de dépression, d'indifférence qu
d'indifférence qui durent plusieurs semaines, puis de revenir à un
état
plus satisfaisant dans lequel il se lamente sur s
nne un résultat absolument négatif. D'octobre 1905 en mai igo6, l'
état
du malade subit les mêmes alternatives que par
degré très marqué la forme de paraplégie en question, sont dans un
état
de raideur qui rend l'explora- tion des réflexe
aissement de la température, qui, étant très mar- quées, doivent un
état
de méiopragie plus ou moins prononcé. V HÉYII
ce d'un malade atteint de tabes, je m'informe, s'il est marié, de l'
état
de son conjoint, je demande à l'examiner si cela
le remercie, de me l'adresser. Le 27 juin, elle se trouve dans l'
état
suivant. Du côté gauche, cécité presque complèt
oite ; au contraire en éclairant l'oeil droit on obtient, comme à l'
état
normal, une contraction bilatérale des pupilles.
vrai, l'excitation lumineuse de l'oeil atteint provoque, comme à l'
état
normal, la contraction de la pupille de l'autre o
odure de potassium). Je l'ai revue pour la deuxième fois hier ; son
état
s'est transformé ; à la suite du traitement la
utilement ce travail, nous joignons simplement aux champs visuels l'
état
de l'acuité visuelle. Il suffit de parcourir ce
bonne conservation de l'acuité visuelle et du sens chromatique. Cet
état
persiste des années. On peut, tout au moins, su
abolie. Fig. 3o. Obs. I. Tact. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 363 L'
état
des réflexes tendineux et cutanés est le même qu'
rcher, en dehors de l'anesthésie, des éléments de localisation. L'
état
des réflexes tendineux donne parfois à cet égard
mpagnés de douleurs épigastriques. Le malade tomba rapidement dans un
état
de faiblesse profonde se sentant sans cesse éto
mittents mais ne cédèrent complètement qu'au bout de six mois ; son
état
général s'améliora alors toutefois, les vertige
urs fréquemment au cathétérisme. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 38t 1 L'
état
de cette malade malgré un traitement hydrargyriqu
ortie de la Salpêtrière la malade est trans- portée à la Pitié, son
état
s'étant considérablement aggravé. On a dû la po
ate, des os du coude et de la partie supérieure du cubitus qui, à l'
état
normal, donne lieu à une flexion de l'avant-bras.
ion de Wassermann est positive dans le liquide céphalo-rachidien. L'
état
général de cette malade est très précaire du fait
ait conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la moelle (
état
clair, dégéné- rescence ascendante du faisceau
mandarine. Nous revoyons Mme B... au commen- cement de rg24. Son
état
général est excellent, mais la plupart des trou
rès limitée, et ce n'est que de temps en temps que la malade est en
état
de mouvoir un peu son pied ; il existe toujours d
es des corps vertébraux. Plus d'un an après notre premier examen, l'
état
de la malade n'ayant subi aucune amélioration,
sieurs mois, une amélioration se produit, et depuis l'été de ig23 l'
état
de la malade reste stationnaire. ' Nous l'exami
trouve une anesthésie à tous les modes. Pendant quelques jours l'
état
de la malade ne fait que s'aggraver : la paraplég
avec peine, et au point de vue fonctionnel elle est encore dans un
état
inférieur à celui où elle se trouvait avant l'i
illet, au moment où nous vîmes la malade pour la dernière fois, son
état
s'était très notablement amélioré et le bénéfice
percevoir. A partir de ce moment jusqu'à son entrée à l'hôpital son
état
, dit-elle, ne subit pas de modification appréci
semaines après l'opération, la malade est pour la première fois en
état
d'esquisser, sous l'action du courant faradique,
mars 1912. Voici comment elle relate l'évolution ultérieure de son
état
. Le premier mouvement volontaire qu'elle ait pu
er igi4, elle est capable d'abandonner la canne. Ultérieurement son
état
s'améliore encore d'une manière progressive. De
dination que nous signalons plus haut. Depuis la fin d'octobre, l'
état
de la malade s'est encore notablement amélioré.
la paraplégie joints aux troubles de la sensibilité objective, à l'
état
des réflexes de défense et à l'évolution de l'a
tténuent petit à petit et finissent par disparaître. C'est dans cet
état
que la malade entre à l'hôpital le 9 février 19
hinctériens, ni escarre. La malade succombe en novembre 1926 à un
état
infectieux, hyperthermique, consé- cutif à une
des modifications qu'on observe habituellement en pareil cas dans l'
état
de la réflectivité tendineuse et de la réflecti
défense diffèrent-ils de ce qu'on voit d'habitude en pareil cas ? L'
état
des réflexes tendineux peut s'expli- quer par l
niciens qui considéraient le réflexe achilléen comme inconstant à l'
état
normal ; il n'était pas signalé dans les traités
vives particulièrement sur le trajet des deux sciatiques, et dont l'
état
s'est très notablement amélioré à la suite de la
nue, sans doute parce qu'ordinai- rement on néglige de rechercher l'
état
du réflexe du triceps brachial, et qu'en présen
uction et accolé le long du bord externe de l'index, il dessine à l'
état
normal deux angles, tous deux obtus, de 160" en
, de très courte durée, se succédant rapidement et aboutissant à un
état
spasmodique qui persiste plusieurs secondes ; c
et se suivent sans interruption en donnant lieu ainsi à une sorte d'
état
de mal qui, d'ailleurs, ne s'accompagne d'aucun
- lysie faciale périphérique, à la paralysie musculaire succéder un
état
spas- modique ayant une grande analogie avec l'
par exemple, que chez le nommé Gai., le long supinateur est en bon
état
, alors que les radiaux et les extenseurs des do
bilité musculaire s'affaiblissent en général ? simultanément et que l'
état
des réflexes tendineux et de l'exci- tabilité i
n'y a pas de troubles de sensibilité. Les viscères sont en parfait
état
. Quelles sont les notions qui se dégagent de l'
au préa- lable une idée plus ou moins nette de ce qui distingue cet
état
névropa- ! i58 HYSTÉRIE-PITHIATISilfE thique,
ls ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'
état
mental des malades qui en sont atteints. Mais e
qui ne retentissent pas gravement sur la nutrition générale et sur l'
état
mental des malades ; la neurasthénie peut durer
me de la maladie du doute, qui n'apporte aucune perturbation dans l'
état
général et n'affaiblit pas les facultés intelle
repos qui lui est indispensable et on accélère ainsi le retour à l'
état
normal. En réalité, la psychothérapie a rendu ser
En résumé, voici la définition que je propose : L'hystérie est un
état
psychique rendant le sujet (qui s'y trouve capabl
définir l'hypnotisme de la manière suivante : L'hypnotisme est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve suscept
ment semblables à celles de l'hypnotisme. Ce qui distingue ces deux
états
c'est que dans le premier les troubles sont le ré
d'exagérer par suggestion les réflexes tendineux et de ramener à l'
état
normal par la persuasion des réflexes tendineux e
sable », le néologisme « pithiatisme » pourrait fort bien désigner l'
état
psychique qui se manifeste par des troubles gué
aux autres et n'exerçant ordinairement aucune action notable sur l'
état
général. Telle est la conception classique de l
été en face de « professionnels » de l'hystérie, pour lesquels cet
état
est un gagne-pain, et qui sont plutôt des simul
e, les questions qu'on lui pose ordi- nairement, quand on explore l'
état
de la sensibilité, peuvent suffire pour éveille
s son inconscience n'est pas réelle, que l'on a affaire plutôt à un
état
de subconscience et que ce qui se dit alors dev
e de procéder est insuffisante et défectueuse ; en effet, comme à l'
état
normal, dans les conditions spécifiées, la visi
a seule maladie qui, d'habitude, n'amène aucune perturbation dans l'
état
général ; les individus atteints de la maladie
ouleur de tête en forme de casque, etc., et l'on créerait ainsi des
états
névropathiques qui pourraient être pris, par un o
repos qui lui estindispensable et l'on accélère ainsi le retour à l'
état
normal. En réa- lité, la psychothérapie a rendu
des phénomènes hystériques primitifs et indépendants de tout autre
état
pathologique. Vous me direz peut-être que, ju
nir l'hystérie elle- même. Je pourrais vous répondre que c'est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve susce
résumé, voici la définition que je vous soumets : L'hystérie est un
état
psychique spécial qui se manifeste principalement
rement à la suggestion, le processus mental qui aboutit au retour à l'
état
normal est raisonnable, sinon rationnel, ou, to
exes tendineux chez l'homme sain et qu'ils prennent souvent pour un
état
pathologique ce qui est physiolo- gique. Si l'e
t plus souvent encore dans bien des cas où elle existe, non pas à l'
état
de pureté, mais associée à d'autres affections,
sont peut-être amenés à se demander si l'hystérie est réellement un
état
pathologique et si les manifestations dites hysté
ystérique vrai, sincère, n'est jamais absolument inconscient de son
état
; a-t-il, par exemple, pendant une attaque, une
il n'est pas non plus complètement conscient, il se trouve dans un
état
de subconscience. - Après cet exposé, Messieu
longuement ma manière de concevoir l'hypnotisme. On a donné de cet
état
diverses définitions fondées, la plupart, sur les
on. Voici comment je définis l'hypnotisme : « L'hypnotisme est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve susce
le de paralyser ses autres membres et de les ramener ensuite à leur
état
normal ; il se tient sans doute, consciemment ou
phéno- mènes qui relevaient de la simulation ; 3" on a confondu des
états
nerveux qui doivent être distingués les uns des
ne fausse voie, les neurologistes n'avaient pas su tirer parti de l'
état
des réflexes tendineux qui étaient pourtant l'o
ille de laquelle il n'y avait pas d'antécédents bacillaires, dont l'
état
général était satisfaisant et chez qui on ne cons
par le môme mécanisme et leur différence réside seulement dans les
états
d'âme de ceux qui mettent ce mécanisme en jeu :
rovoquée expérimentalement, conformément à ma fantaisie, je suis en
état
de l'arrêter lorsque je le désire. La suggestion,
ra pas trouvé immédiatement dans son entourage quelqu'un qui fut en
état
de le reproduire dans les conditions spécifiées
question de convention. Mais ce qui est inconteslable, c'est que l'
état
psychique de l'homme qui admet, serait-ce sans un
s ou suggestives dont il est permis de faire dépendre le retour à l'
état
normal. Prenons un autre exemple, celui d'un ma
ut ce qui est nécessaire pour lui permettre de se persuader que son
état
était curable. Il ne me semble donc pas prouv
tiques et les phénomènes émotifs qui, par parenthèse, existent à l'
état
normal et ne peuvent être considérés comme path
u l'un d'entre eux seulement. L'hystérie ainsi définie constitue un
état
névropathique bien délimité, se distinguant net
ces grandes attaques avec les quatre fameuses périodes, ces grands
états
hypnotiques carac- térisés par la léthargie, la
ne peut manquer d'être frappé par les différences qui séparent ces
états
. Envisageons la maladie du doute, et, si je cho
contribue à établir une ligne de démarcation tranchée entre les deux
états
nerveux que nous comparons, c'est que, contrair
de comprendre que les phénomènes pithiatiques puissent exister à l'
état
de pureté ou s'associer à d'autres affections qu'
rationnel de soutenir, en se fondant sur de pareils faits, que les
états
nosologiques en question se composent de deux o
une part, il ne commettra pas l'erreur d'attribuer à l'hystérie des
états
se manifestant par des caractères que la volonté
ure. Procédons en cliniciens : énonçons les caractères assignés à l'
état
ou aux états que l'on dénomme « sommeil hypnoti
ns en cliniciens : énonçons les caractères assignés à l'état ou aux
états
que l'on dénomme « sommeil hypnotique ». Lors
'un qui, d'après son sens étymologique, rappellerait de bien loin l'
état
de mort, l'autre dans lequel le sujet endormi ou
quel le sujet endormi ou plutôt plongé, les yeux ouverts, dans un «
état
second », conserverait la faculté de déambuler
cond », conserverait la faculté de déambuler et de parler. Ces deux
états
hypnotiques sont, au fond, ana- logues, mais il
mmeil hypnotique. Charcot, dès ses premières investigations sur les
états
dits hypnotiques, avait été frappé par la valeu
musculaire. Quant à la plasticité des muscles, elle caractérisait l'
état
cataleptique. Il suffit de provoquer un bruit v
uggesti- bilité. Or, comme certains troubles fonctionnels, certains
états
morbides peuvent céder sous l'influence de la s
ande, simulaient la catalepsie : les tracés ont été identiques* Les
états
hypnotiques ne possèdent donc pas de caractères s
induire le médecin en erreur, par- viendraient à simuler de pareils
états
, au moins temporairement. Mais il serait évidem
onc ma profession de foi. Je déclare que l'existence effective d'un
état
qu'on peut appeler « sommeil hypnotique » différa
s, au réveil, ce qui aurait eu lieu pendant le sommeil. c) Dans l'
état
léthargique, il serait inconscient. d) Dans l'é
eil. c) Dans l'état léthargique, il serait inconscient. d) Dans l'
état
somnambulique, sa propre volonté n'existerait plu
onstater par les propos de ces sujets-femmes, par leur altitude à l'
état
de veille, qu'elles se souviennent parfaitement d
inis presque toujours par obtenir une réponse parfaite. c) Dans l'
état
dit léthargique, le sujet est-il inconscient ? A
s, est en mesure de sortir spontanément de son sommeil. d) Dans 1
état
somnambulique le sujet perd-il tout contrôle volo
us pouvez, il est vrai, faire exécuter à un individu placé dans cet
état
des actes singuliers qui paraissent déraisonnable
hez simple- ment, par suggestion, à faire adopter par une femme, en
état
de somnam- bulisme, une toilette ou une coiffur
r l'influence de la persuasion. Des pratiques de psychothérapie à l'
état
de veille les auraient tout aussi bien débarrassé
guérir : il est plus facile de faire disparaître par persuasion à l'
état
de veille une paralysie ou une contracture hyst
la santé, et ne sont pas accessibles à la psychothérapie pendant l'
état
de veille. Le médecin ne prendra de l'ascendant
le problème de l'hypnotisme en médecine légale. Des sujets qui, à l'
état
de veille, auraient repoussé des suggestions crim
légitime d'un sommeil simulé. L'expert, en effet, ne sera jamais en
état
d'affirmer la réalité de l'hypno- tisme chez le
viennent maîtres de leurs actions dans la mesure où ils le sont à l'
état
de veille. Je rappellerai à ce propos que l'Éco
que-là n'avaient été soumis à aucun examen médical ; j'ai exploré l'
état
de leur sensibilité et de leur vision, avec la
nous avons réservé le nom d'émotion et nous avons appelé la seconde
état
affectif. Nous avons défini l'émotion de la faç
mier groupe comprend toutes les émotions proprement dites et certains
états
affectifs comme la tristesse vague non motivée.
ifs comme la tristesse vague non motivée. Au second appartiennent les
états
affectifs organisés dont les types principaux s
s types principaux sont les sentiments d'espérance et de crainte, ces
états
possédant le pouvoir d'entrer dans des complexu
ats. Il est à noter en particulier que Neri examina soigneusement l'
état
de la sensibilité et mesura au périmètre le champ
uns souffraient de troubles nerveux divers constituant un véritable
état
morbide, une « névrose émotive » ; il ne trouva
rovoquer des commotions morales. Une nouvelle question se pose. Les
états
affectifs, que nous avons dis- tingués de l'émo
qu'elle a suscités. Semblablement, l'hystérique saisit l'idée d'un
état
pathologique et le réalise lorsque cette idée s'i
l'intervention d'une idée suggérée, soutenue, il est vrai, par des
états
all'ectifs systématisés, idée dont ils ne sont
térique, ni de rétrécisse- ment du champ visuel lorsqu'on explore l'
état
de la sensibilité et de la vision d'un sujet av
oncentriques du champ visuel par anesthésie rétinienne, relevant d'un
état
névropathique. J'en dirai autant de la dischr
tifs, dont les plus fréquents sont : les larmes, le tremblement, un
état
d'hébétude dans lequel l'homme ne remue pas, ne
s de l'émotion, immédiatement après l'accident et en dehors de tout
état
comrnotionnel. Nous avons vu les phénomènes pithi
ez les hommes secoués par de grandes émotions, on trouve souvent un
état
de suggestibilité anormale liée à un syndrome c
- chiatrique à la ire armée, dans une très remarquable analyse de l'
état
mental de l'émotionné. Il y aurait ainsi à te
to suggestionner facilement. On peut soupçonner ou même constater cet
état
confu- sionnel intercalaire dans beaucoup d'obs
es qui suivaient. Il y a des chances pour que, dans certains cas, l'
état
confusionnel ait passé inaperçu. Les violentes
blis- sant le sens critique et en développant parfois de véritables
états
de confusion mentale légère. Les faits de guerr
nsécutivement à une plaie par balle, qu'elle s'associait à un léger
état
de contracture et que les résultats de la psycho-
ce qui se passe autour de lui, entend tout ce qui se dit, comme à l'
état
normal. Il est donc essentiel d'éviter tout propo
été donné d'observer et qui ont fait leurs preuves, il s'agissait d'
états
rappelant en tous points des contractions volon
l'avons montré, de déceler parfois certaines particularités dans l'
état
des réflexes tendineux et de la tonicité musculai
formulions précédemment à savoir que l'hystérie ne modifie jamais l'
état
des réflexes tendineux et des réflexes pupillai
cutané plantaire paraissait aboli, les muscles étaient également en
état
de contracture. En résumé, sur les cinq cas rel
ts nouveaux dont on s'est servi pour soutenir que l'hystérie est en
état
d'abolir les réflexes cutanés ne sont rien moins
PHIQUES ,. PRÉTENDUS HYSTÉRIQUES. Aucun neurologiste ne put faire
état
, au cours de la discussion de 1908, d'un seul c
pétons, s'applique aux cas dans lesquels l'hystérie se présente à l'
état
de pureté ou constitue l'élément prédominant.
s'agit de contractures ou d'hypertonies, de paralysies ou plutôt d'
états
parétiques qui se développent consécutivement à
vant exprimer l'idée que, d'une part, ni l'hystérie, ni aucun autre
état
psychopathique ne peuvent les produire ; que, d'a
Elle est généralement localisée aux extenseurs et s'accompagne d'un
état
parétique d'intensité variable. Les troubles de
s et à la suite de traumatismes du genou se développent parfois des
états
parétiques du pied. On peut observer en pareil
usculaire avec l'absence de R. D., la parésie et la contracture à l'
état
isolé ou à l'état associé, les modifications de l
bsence de R. D., la parésie et la contracture à l'état isolé ou à l'
état
associé, les modifications de la réflec- tivité
elle peut même faire complètement défaut. On pouvait encore faire
état
des troubles vaso-moteurs et thermiques. Dès 19
vité était contestable, nous avions l'impression qu'il s'agissait d'
états
organiques, impression qui était fondée sur la
surréflectivité tendineuse dans des cas où elle était douteuse à l'
état
de veille. Chez quelques-uns de ces malades le
des accidents nerveux à l'hystéro-traumatisme et que l'absence, à l'
état
de veille, de surréflectivité tendineuse bien c
atique ; ils attirent l'attention sur l'existence dans ces cas d'un
état
psychopathique spécial qui serait venu se greffer
eurologie militaire, on a été frappé par la fré- quence de certains
états
, attitudes figées ou contractures, différant des
e présentent sous des aspects divers : contractures ou hypertonies,
états
paralytiques et hypotoniques, états parétiques
: contractures ou hypertonies, états paralytiques et hypotoniques,
états
parétiques ou simples méiopragies et, fréquemment
e degré d'asymétrie ne dépasse pas celui que l'on peut observer à l'
état
normal, c'est toujours du côté malade que. le c
excitation élec- trique, sur les différents muscles et obtenir, à l'
état
de pureté pour ainsi dire, le mouvement qui cor
ssi marqué, il est des plus caractéristiques, car d'ha- bitude, à l'
état
normal, on obtient seulement un mouvement ébauché
obtenu est analogue. La percussion légère du gastrocnémien qui, à l'
état
normal, ne détermine pas de contraction nette,
'eau tiède. Cette surexcitabilité mécanique correspond souvent à un
état
paréticlue des plus manifestes, qui est transit
trie est nette. Rappelons à ce propos que, dans l'appréciation de l'
état
d'un réflexe tendineux, il y a à considérer non
au début ; mais le réflexe cubito-pronateur, à peu près normal à l'
état
de veille, subit parfois une exagération élective
troubles vaso-moteurs, l'amyotrophie avaient été très accentués, un
état
de méiopragie caractérisé par une réduction de
ués ne puissent guérir complètement à la longue et qu'un retour à l'
état
nor- mal ne puisse être obtenu si ces troubles
ent des paralysies et des contractures se présentaient toujours à l'
état
de pureté, le diagnostic serait relativement si
auxquels le malade a été soumis réchauffent le membre auparavant en
état
d'hypothermie. Frappé par un pareil résultat, o
pathologie, de dissocier ces divers éléments et de les étudier à l'
état
d'isolement, il ne faut pas oublier qu'en cliniqu
dant la narcose la décèle dans certains cas où elle est latente à l'
état
de veille. Parfois, alors même que la surréflec
possible que les troubles de motilité puissent dépendre tantôt d'un
état
d'excitation ou de stupeur des centres moteurs sp
sse. Au deuxième mécanisme semblent répondre particu- lièrement ces
états
parétiques ou hypertoniques si communs qui prédo-
dans des cas de contracture des mus- cles pelvi-trochantériens avec
état
parétique du pied. Une dernière remarque avant
es vaso-moteurs bien caractérisés s'accompagnent pour le moins d'un
état
de méiopragie, mais n'entraînent pas nécessaire
résistance ne se modifie en rien. De plus on peut voir le retour à l'
état
normal ou à un état voisin de la normale d'un v
fie en rien. De plus on peut voir le retour à l'état normal ou à un
état
voisin de la normale d'un vertige voltaïque carac
r compte de ce que la plupart de ces sujets étaient dans un mauvais
état
général et qu'à l'époque où l'opération a été p
e malade, malgré l'énucléation de la tumeur, est resté dans le même
état
que précédemment. Dans un autre cas, il y a eu
oelle. Pendant les quatre semaines consécutives à l'intervention, l'
état
de la malade ne s'améliora pas du tout ; il y e
la sensibilité cutanée a en partie reparu, surtout du côté gauche ; l'
état
général est bien meilleur qu'avant l'opération
nce à exécuter quelques mouvements volontaires des pieds. Puis, son
état
resta très longtemps stationnaire. D'une lettre -
ue m'a adressée le Dr Séjournet, j'extrais le passage suivant : « L'
état
de la malade s'est consi- dérablement amélioré
, et qu'on la revoit aujourd'hui assise dans un fauteuil et avec un
état
général parfait, on ne peut qu'ad- mirer le rés
uelques jours, il y a une légère amélioration portant surtout sur l'
état
de la sensibilité, mais le premier mouvement volo
vement plus marquée et, à partir d'octobre, la malade n'est plus en
état
de marcher sans aide. A son entrée à la Pitié,
les troubles de la sensibilité deviennent mani- festes ; et voici l'
état
que je constate vers la fin de juin : Abolition
s, et on ajouta à ce traitement des bains statiques pour agir sur l'
état
général. En janvier 1906, les petites crises ét
e sa tentative avait échoué. Depuis cette époque jusqu'à présent, l'
état
du malade ne s'est guère modifié. En résumé, C.
ent plus que tous les dix ou quinze jours. Comme conséquence de cet
état
de bien-être, C... a engraissé de quatre kilogram
de cet état de bien-être, C... a engraissé de quatre kilogrammes, son
état
général et son moral sont très satisfaisants ;
il y avait une petite plaie qui ne tarda pas il se cicatriser. L'
état
de l'enfant, jusqu'à son entrée à l'hôpital de la
ussion de l'extrémité inférieure du radius ne provoque pas, comme à l'
état
normal, et ainsi que cela a lieu du côté opposé
supérieur droit, que le côté gauche est resté à peu près dans le môme
état
, que des troubles sphinctériens sont venus s'as
membre supérieur droit sont exagérés. Au membre supérieur gauche, l'
état
des réflexes est semblable à ce qu'il était il
adiographie, je m'aperçois en examinant de nouveau l'enfant que son
état
s'est sensiblement amélioré ; son cou est beauc
séant, de tourner la tête, de porter ses aliments à la bouche. L'
état
des réflexes tendineux et des réflexes cutanés, l
umis alors systématiquement à des pratiques de radiothérapie. Son
état
continue à s'améliorer rapidement : la contractio
ngtaine de mètres; la marche, il est vrai, est lente, pénible, et l'
état
des réflexes dénote la persistance d'une perturba
ns X ont ont joué un rôle thérapeutique, on peut faire valoir que l'
état
du malade qui, jusqu'alors n'avait fait qu'empi
sur le bassin s'opéraient des deux côtés beaucoup moins bien qu'à l'
état
normal. Les réflexes tendineux étaient normaux.
sur elle trente injections quotidiennes de biiodure d'hydrargyre. L'
état
continue sans cesse à s'aggraver et dans le coura
motilité, comme d'ailleurs à tous les autres points de vue, dans un
état
normal. L'examen des réflexes rotuliens n'est p
six semaines, c'est-à-dire jusque vers le milieu du mois de mai. L'
état
de la malade ne se modifie pas. Il faut noter seu
pie a été commencée, on constate une amélioration très nette dans l'
état
de la malade qui est devenue capable de fléchir
songer à un mal de Pott, car la colonne ver- tébrale est en parfait
état
. Je ne crois pas non plus que la syphilis soit
iolentes. En juillet igo6, le malade, qui n'était jamais revenu à l'
état
normal, se trouva pris d'une crise aiguë. La
1892). 3. Des crampes musculaires dans le choléra et dans d'autres
états
pathologiques (Id., 2 décembre 1892). 38. Par
e est latente (Société de Neurologie, 15 janvier tgo3). 89. Sur l'
état
des réflexes tendineux dans l'hystérie (Société d
s arriérées, «»n prétend c|uc, pour mettre immédiatement quelqu'un en
état
d'ivresse et provoquer elle/ lui «les vomissement
hnges sont généralement atteints de troubles gastro-intestinaux. Leur
état
général n'est jamais absolument satisfaisant. Ce
pulsion et automatisme ne sont-ils pas les termes qui caractérisent l'
état
psvchologiquc du dégénéré ? L'ouvchopliagie. co
e longueur. Les séances suivantes ont été consacrées â modifier son
état
mental, qui s'est prompleinenl amélioré. Il est a
e d'Alsace (c'est peut-être paire qu'il est en Alsace . Pendant son
état
hypnotique, nous avons essayé de la confesser. No
ulier celle de se ronger les ongles (onvcliopliagic: sont-ils dans un
état
d'infériorité appréciable aux divers points de vu
lisme. M. Charcol a montré, à sa clinique, une malade présentant un
état
de somnambulisme singulier, survenu dans les circ
sme qui se produisait généralement il In même heure. Cependant, son
état
s'améliora et elle put reprendre son travail ; ma
l particulier, elle est complètement ancstliésiée. lundis «pie dans l'
état
normal où on la fail revenir; en In réveillant un
yeux ouverts et passe ainsi dans une condition toute différente de l'
état
normal, bien que son 12. Quelle est IclBcacité
de l'hystérie, car ces malades sont certainement très souvent dans un
état
analogue, quoique à un moindre degré. On les accu
la tendance à la dislocation du moi. ce qui les fait entrer dans ces
états
de rèverir où la personnalité se dédouble. Ces mo
ouvenir de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en
état
de sommeil hypnotique. » L'auteur n'a. Évidemme
l'Origine des effets curatifs de l'hypnotisme 2. je disais que dans l'
état
ordinaire, la vie de relation distrait notre atte
uelque temps aux médecins île la localité qui ne purent améliorer son
état
. En désespoir de cause, elle s'adressa à nu forge
ue» jours après, je lui persuadai, dans son sommeil, qu'elle était en
état
de reprendre ses occupations ordinaires que le jo
va très— bien. Ici aussi je m'abstiens de commenter. A TRAVERS LES
ÉTATS
PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES Par M. le •
cy AVANT-PROPOS L'article qui suite je l'intitule : A travers les
états
passifs, le sommeil et tes rêves. S'il est homogè
is, parée que je liens avant tout à être bien compris. Je parle des
états
passifs en général, et particulièrement du sommei
nd ou léger. Je parle au long surtout des rêves qui ont lieu dans eel
état
, et prennent pendant le sommeil profond, tantôt s
fs des sens el de la mémoire : appliquant largement au sommeil et aux
états
analogues la loi do balances ment organique dos f
vec la même liberté d'esprit. Delà encore le nom généralement accepté
états
passifs, donné à tous les phénomènes divers dont
l soient bienfaisants ou nuisibles: contrairement à la dénomination d'
états
arctifs, donnée aux phénomènes psychiques de non-
veille où l'esprit équilibré possèilc son libre fonctionnement. Les
états
passifs sont physiologiques ou morbides., naturel
tels que l'admiration, la m ou r, la joie, l'enthousiasme, etc.. tous
états
, moins le sommeil et l'abstraction, tous états ém
thousiasme, etc.. tous états, moins le sommeil et l'abstraction, tous
états
émotifs différents d'expression et d'intensité, s
es, des conceptions délirantes de la folie, l'hypocondrie, etc., tous
états
qu'on se suggère avec émotion, involontairement e
n rapport avec le momie extérieur; le uiouves (1) Du Sommeil et des
états
analogues. Paris, V. Masson, 1866. mont de la
rte du sommeil donné déjà à ce point d'arrêt ; et de là. dans le même
état
. le nom île pôle actif donné aux autres parties d
que l'on peut produire à volonté, faits qui sont des analogues de cet
état
. Je choisis le plus simple. Lorsque, par exemple,
oui re la concentration d'esprit si favorable a la produclioii de cet
état
, il y a encore pour cela, un autre facteur bien d
ttention sur une idée, est le phénomène essentiel de la formation des
états
passifs, quels qu'ils soient, cl du sommeil eu pa
dnpl~es la distribution des forces nerveuses et pensantes durant cel
état
, il s'ensuit qu'il y a nécessairement deux classe
succès par la suggestion. Je veux vous entretenir aujourd'hui d'un
état
cerchral fort analogue, quonpic eu apparence tout
e par jour, de plus douleurs du dos, de l'épigastre à la gorge et
état
hallucinatoire: vue d'araignées et de figures eff
de mes malades actuellement encore internée à la Salpélrière dans un
état
de manie chronique incurable que j'aurais peut-ét
par l'expression de tristesse qui trahit la forme lypémaniaque de son
état
mental. L'examen physique ne- montre aucune irr
ée, mis en sommeil profond ou en somnambulisme, c'est-à-dire slans un
état
où existe l'analgésie complète et dans les|ucl le
REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ÉT THÉRAPEUTIQUE A TRAVERS LES
ÉTATS
PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES Par M. le d
s malades, et dire que la suggestion négative des signes morludes à l'
état
de veille suffit pour cela? Mystère! En tout cas,
n ne prévaudra jamais contre celte vieille vérité. Comme isolant, cet
état
est l'adjuvant le plus précieux de la suggestion
ifice île suggestion, dans une foule île cas. ne remplacera jamais un
état
phvsiolngjque où l'on se replonge tous les jours
fices de langage pendant Pétai de vrille? Le sommeil est, parmi les
états
passifs, celui qui se forme avec le pins île
; mais encore je le continue parer qu'en plongeant ce sujet dans cet
état
, on favorise grandement les ell'cts suggestifs do
l parctè Simples autosuggestions faites pendant la veille ou dans des
états
analogues au sommeil, principalement s'il s'y mêl
l immobilisée sur L'idée fixe de dormir, celte cheville ouvrière de l'
état
de sommeil ; et quoique par suite de ce cumul au
issaient entièrement isolés, comme pour le vulgaire on l'est dans cet
état
, je les ai vus et entendus répéter tout ce qui av
ciation de l'action pensante â deux pôles opposés, et par suite l'
état
île repos des organes, celte disposition, à son t
il ne leur en reste rien, à tel point que ce qu'ils ont fail dans cel
état
, ils l' attribuent parfois à d'autres, comme cert
y retrouvait durant le sommeil. IV Ce n'es! pas seulement dans l'
état
do sommeil que l'on trouve à deux pôles opposés,
ction pensante avec des marques d'inconscience. C'est aussi flans les
états
passifs qui onl de l'analogie avec le sommeil, qu
fois, elles ne le sont jamais qu'en petit nombre. Toutes, surtout à l'
état
de veille, moins quelques-unes d'entre elles, res
reuve de l'action divisée et multiple de la pensée cérébrale dans les
états
passifs, et aussi implicitement de l'action spéci
érieurement que. dans le domaine de la vie de relation concernant les
états
passifs et surtout le sommeil, les phénomènes pen
un rôle dansée domaine de la vie. On peut dire que. dans le cours des
états
passifs, les mouvements dits inconscienls sont po
ais parallèlement â ces mouvements inconscients qui ont lieu dans les
états
passifs, il en est d'autres se passant dans le sy
du grand svmpathïque sont parfois perçues au su du cerveau, même à l'
état
de veille. C'est ensuite chez des dormeurs somnam
se qui s'est portée, de ces organes sur l'idée fixe qui maintient cet
état
? Chez moi. les sens cèdent nécessaireinent ici la
, à quelles lois secondaires ils obéissent, a pour cause primitive un
état
d'inertie de l'esprit caractérisé par l'absence d
obtenu ces résultats au point de vue physique, j'essayai d'agir sur l'
état
mental, ce que je trouvai bien plus dillicile. Qu
xtrême. La malade fui facilement hypnotisée et tomba immédiatement en
état
cataleptique, mais sans amnésie au réveil..Je lui
e temps, puis une fois par semaine pendant un mois. Après ce temps, l'
état
général s'était fort amélioré, les digestions se
ois il y avait peu on poiut de spasmes, maïs simplement incapacité. L'
état
général était bon. L'hypnotisme essayé à nouveau
té excessive joignent un nihilisme non moins excessif. — Il y a la un
état
psychique spécial qui pourra tenter lu plume de q
est nécessaire, pour que la caféine ait ce résultat, qu'il existe un
état
névropathique spécial, jouant le role de cause pr
, ses sentiments contre lui ne s'apaisèrent pus et sa haine resta à l'
état
aigu. La vue de l'assassin lorsqu'il rentra dan
son rétablissement d'abord et aussi pour éviter les accidents que son
état
mental pourrait occasionner ». Au montent de qu
ait été condamné à une peine des plus graves. Mais si l'examen de son
état
mental par un médecin allénïstc avait été ordonné
seulement du médecin : ce sont de véritables aliénés. A TRAVERS LES
ÉTATS
PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES l'ar M. la
ment quand je dors, et sous quelque rapport je me suis trouvé dans un
état
voisin de celui des rêveurs somnambules chez lesq
lé. Une telle dureté de l'ouïe n'accompagncrail-elle pas toujours cet
état
lorsqu'il se prolonge plus que d'habitude, et sa
les, des crimes même dont nous ne nous rendrions jamais coupables à l'
état
de veille. J'ai mes défauts et mes penchants vici
s à l'état de veille. J'ai mes défauts et mes penchants vicieux : à l'
état
de veille, je tâche de lutter contre eux, et il m
nté, il devient le jouet de toutes les passions contre lesquelles à l'
état
de veille, la conscience, le sentiment d'honneur.
a veille continuée dans le sommeil : suggestion qui, flans ce dernier
état
, quand il est provoqué, leur est transmise par un
e sommeil que les rêveurs profonds du sommeil ordinaire; comme si les
états
de conscience et d'esprit du rêve somnainbulique
e, etc.. je réussis à guérir cette maladie par la suggestion faite en
état
d'hypnose. Ce qui est digne de remarque daus ce
a suggestion. Cette suggestion agît chez la petite malade pendant son
état
de veille, mais l'auto-susgestion du rêve réappar
auses, l'anatomie pathologique, les symptômes et le traitement de ces
états
complexes qu'on est convenu d'appeler du terme gé
vn-132 pares. Etudes religieuses 31 mai 1893 gibert. — Saffcallon à l'
état
de veille. (Normandie médicale.14 avril 1893. p.1
asion pour tenter de m'emparer de son secret par suggestion pendant l'
état
hypnotique, mais ce fut en vain: elle ne voulut p
s l'hypnose. aussi bien qu'à l'élat de vrille. Un jour, elle était en
état
d'hypnose: après la suggestion, avait été laissée
estions se réalisent immédiatement chez le malade qui, plongé dans un
état
de légère hypnose, se souvient parfaitement à sou
elle résistait a d'autres du même caractère, si je l'interrogeais à l'
état
de veille : Pourquoi accomplissez-vous telle chos
gérés ne dépendrait pas de la volonté propre du sujet, mais bien de l'
état
de conductibilité des voies d'association de son
'y parvins point. Je me résolus à opérer une suggestion graduelle à l'
état
de veille. Je massai la jambe paralysée, lui pers
ng tomberait-il à côté d'eux, impuissant, sans connaissance et hors d'
état
de servir sa patrie ? Je l'ignore, mais j'en dout
constatations intéressantes au point de vue de l'hyperesthésic dans l'
état
d'hypnotisme. Mme Cl..., âgée de 35 ans, a eu t
résoluts cherchés ils ont. à leur insu, suggéré leurs sujets soit à l'
état
de veille, soit à l'état de sommeil hypnotique, e
. à leur insu, suggéré leurs sujets soit à l'état de veille, soit à l'
état
de sommeil hypnotique, en parlant, par exemple, à
malades, leur démarche sont typiques. On ne prendra pas non plus l'
état
mental des névropathes errants pour une manifesta
st la condition d'une émotion. De même que toute sensation éveille un
état
émotionnel particulier, de même elle peut être pr
état émotionnel particulier, de même elle peut être provoquée par cet
état
: c'est-à-dire chaque phénomène est capable de pr
pparentes que réelles, ne sont que les diverses expressions d'un même
état
dans lequel chaque individualité apporte son Cttr
s artistiques et littéraires incompatibles avec les capacités de leur
état
normal. Ces accès de grand somnambulisme sont r
n n'imagine et le met parfois — on le verra tout a l'heure —- dans un
état
fort singulier. L'acte peut-être assez complexe
ur ni contre le magnétisme ou le somnambulisme. M. de Levita agit à l'
état
de veille. Sans doute, il a la respiration haleta
u moins accusés. « Dansccsconditïons.lephénomènc se produit, même l'
état
devcille, chez un certain nombre de sujets, et se
onnaissent parfois des objets à unr distance à laquelle personne, à l'
état
normal, ne pent les distinguer ; ou bien sur des
s, datant de plus de trois ans. Je lui suggérai la disparition de cet
état
, fort ennuyeux, reliquat, disait-elle, de l'épidé
, c'est que. ainsi que l'a fort bien montré le professeur Bernheim. l'
état
de suggestibilité domine les choses de l'hypnotis
tion qu'on lui fait. Mémoire, intelligence, volonté assez bonnes. Son
état
général ne laisse rien a désirer. Il ne présente
même dire qu'il n'a jamais éléeudormicoiiiplètementet cependant ce '
état
entre la veilleet le sommeil a sulli pour rendre
de treize ans. Cette enfant prêtait peu d'attention aux conseils à l'
état
de veille. Dans l'état d'hypnose elle devenait tr
nfant prêtait peu d'attention aux conseils à l'état de veille. Dans l'
état
d'hypnose elle devenait très attentive. La gué ri
s-ci. j'y ajoute la suggestion à l'étal de veille (par suggestion à l'
état
de veille, j'entends que le sujet â qui est faite
é faites que pour l'expérience n° 2, en y ajoutant une suggestion â l'
état
de veille, de telle sorte que son bras droit et s
spositions relatives à l'expérience n° .1, j'ajoute la suggestion à l'
état
de veille, de telle manière que Lucv m'écrive un
ntré les résultats des expériences 4 et 5, elle fut absolument hors d'
état
de comprendre comment sa main avait pu agir i
i plus d'entrain ; les idées ne me viennent pas. C'est une aflsairc d'
état
pour moi que d'expédier mon courrier; moi qui écr
leurs, de la liberté admise par le sens intime, se trouve réduite à l'
état
d'attribut inconcevable d'un substratum non moins
ice, puisque nous ne connaissons directement que la succession de nos
états
de conscience. Sensation, motifs divers, délibéra
motifs divers, délibération, choix et décision, voila exprimée comme
états
successifs de conscience, la chaîne psycho-motric
ue impression intimement unie à la précédente, alors il se produit un
état
de conscience qui. quand il aboutit finalement à
ontaire, considéré sous sa forme la plus simple, étant mis â pari ces
états
île conscience agrégés qui constituent la plus gr
titres, et notamment parce qu'elle est liée a une élude approfondie d'
états
pathologiques : « La volition. dit-il. n'est po
pathologiques : « La volition. dit-il. n'est pour nous qu'un simple
état
de conscience. Elle n'est qu'un effet de ce trava
avail psycho-physiologique de la délibération aboutit d'une part à un
état
de conscience, la volition. d'autre part à un ens
hologues intérieurs « et cette volonté est considérée comme un simple
état
de conscience. Cet état de conscience est considé
cette volonté est considérée comme un simple état de conscience. Cet
état
de conscience est considéré lui-même comme un sim
issons bien, il y aurait deux faits distincts dans la volonté : 1° un
état
de conscience pur et simple traduisant en quelque
sus phvsiologique lui-même qui aboutit d'une part à la formation de l'
état
de conscience et qui. d'autre part, est la seule
qui. d'autre part, est la seule elliciente de l'acte â accomplir. L'
état
de conscience volonté ainsi envisagé ne pourrait
fluence appartient, exclusivement aux processus physiologiques dont l'
état
de conscience volonté ne serait lui-même qu'un ef
qui, après avoir été soumis à une impulsion produite par un groupe d'
états
psychiques réels et a l'état naissant, accomplit
une impulsion produite par un groupe d'états psychiques réels et a l'
état
naissant, accomplit une certaine action, affirme
et en partant de lui comme «le quelque chose de distinct du groupe d'
états
psychiques qui a produit I impulsion, il tombe da
l'impulsion seule qui a déterminé l'action. Mais le groupe entier des
états
psychiques qui constituaient l'antécédent de l'ac
déterminée, vu que, pendant qu'elle existe. Cimpulsion constitue son
état
île conscience qui n'est autre chose que lui-même
é au point de vue psychique, il n'est en ce moment rien de plus que l'
état
de conscience composé parlequel l'attention est e
u libre arbitre, du moi. c'est dire qu'il determine les cohésions des
états
psychiques par lesquels l'action est excitée; et
des états psychiques par lesquels l'action est excitée; et comme ces
états
psychiques constituent le moi en ce moicent. c'es
que dont il serait un simple accompagnement. Mais s'il est vrai que l'
état
de conscience et le processus physiologique qui c
rante d'un processus physiologique moteur constituant par lui-même un
état
de conscience. Dès lors la volonté n'est plus ine
vention active, dans les actes d'un animal doué de conscience, de cet
état
de conscience qui n'existe pas dans la pierre ni
e la conscience d'avec les processus actifs constituant eux-mêmes les
états
de conscience, théorie que me parait impliquer ce
usage, me parut très commode pour classer non métaphysiquemenl un pur
état
de conscience auquel je ne trouvais aucune place,
ure. De même il est naturel qu'au point de vue de l'explication des
états
pathologiques affectant la volonté. la manière de
deux espèces d'éléments moteurs : « ceux qui servent à constituer un
état
de conscience et ceux qui servent à le dépenser:
eux est le résultat d'une désintégration moléculaire, du passage d'un
état
moléculaire très instable à un état relativement
tion moléculaire, du passage d'un état moléculaire très instable à un
état
relativement stable. Considérons d'autre part que
ce ne peut ni naître ni se maintenir sans qu'il se produise tlans son
état
des changements. ¦ V. II. Spencer, op. cit., t. I
ctivité cérébrale et celles de la conscience. Différenciation de leur
état
, telle est la condition nécessaire de la producti
ble une désintégration ou une dépeuse nouvelle. Si la production d'un
état
de conscience est une dépense d'énergie, ce qui n
dans la conscience comme il y en a dans le désintégration. Il v a des
états
de conscience faibles et des forts. Tout se passe
un courant nerveux, alors il n'y a aucune difficulté a admettre qu'un
état
de conscience et un processus moteur soient un se
érangement de l'esprit. Ces symptômes marquaient le commencement de l'
état
maladif qu'on appelle : folie hystérique. Par sui
t marqué, ou que le sujet endormi s'était indiqué lui-même. Pendant l'
état
somnambulique et consécutivement après, les libre
bondant : audition redevenue normale: inflammation moindre destissus;
état
de eéciléde I osil droit resté le même et aucun c
tion précédente en ces points : 1° lucidité extraordinaire pendant un
état
de sommeil hystérique; 2° diminution, puis dispar
ébeault. œuvre qui n'a paru qu'en l'année ISOG. sur le sommeil et le»
état
» analogues: qu'avant l'œuvre de Bernhcim (de Nanc
chaque hémisphère cérébral: sur les carartr-rrs différentiels des
états
somnambulique,. cataleptique et léthargique de l'
e tendance au passage ;"i l'étal actuel du mouvement représenté par l'
état
de conscience résultant de la désintégration du g
eurs groupes excités, plusieurs désintégrations naissantes, plusieurs
états
de conscience naissants par là même, plusieurs mo
s, quoique non habituelles, pour constituer antre chose 9 qu'un
état
subconscient, d'autres qui sont assez fortes pour
son association avec des groupes synergiques, alors elle constitue un
état
de conscience prépondérant qui est à la fois la r
erveux, a constitué une volonté faible ou naissante. Ce sont tous ces
états
île conscience naissants à un moment donné, toute
n puisque c'est le résultat même de cette cohésion. Dans la série des
états
de conscience qui précèdent les actes. la vol
s'agit simplement de traduire phvsio-logiquemcnl et mécaniquement cet
état
de conscience appelé volonté donl la distinction
ce qu'il possède une netteté toule particulière comme succédant â un
état
complexe et relativement obscur constitué par cet
éral. Aussi la force de la volonté est-elle liée à celle des autres
états
de conscience qui la précèdent et qui sont, eux a
e l'on peut appeler neurasthénie (sthe-nos, force, vigueur). Dans l'
état
opposé, ou neurasthénique astheneia. faiblesse),
if comme s'il ne voulait pas. Les nerfs, du reste, doivent partager l'
état
de faiblesse des centres nerveux. Ainsi peuvent ê
raît devoir acquérir une très grande importance en psychologie, car l'
état
de vigueur ou de faiblesse des modifications molé
volonté, présence d'esprit, imagination, tout cela est atteint dans l'
état
neurasthénique, tout cela croit en vivacité ou en
t neurasthénique, tout cela croit en vivacité ou en complexité dans l'
état
neurasthénique. Je n'ajouterai rien aux remarques
ôler par l'observation de soi-même, car tout homme passe par les deux
états
en question qui se produisent successivement pend
- (I) Op. cit.. r. I, p. 635 et suiîv. raient pour produire cet
état
qui, dans certains cas, pourrait résulter d'altér
eurs tels que le froid, l'abaissement de la pression atmosphérique, l'
état
électrique de l'atmosphère, etc., et puis par les
osthénie et la cérébraslhénie. quant aux effets produits par ces deux
états
sur l'intensité et même sur la forme du fonctionn
l'intensité et même sur la forme du fonctionnement intellectuel. L'
état
neurasthénique est simplement l'opposé de Pélat n
tion «lu café, du thé, de la coca, par exemple, fournit facilement un
état
neurasthénique passager durant lequel on se trouv
sager durant lequel on se trouve psychologiquement, par rapport à son
état
moyen, dans des conditions qui peuvent donner une
son état moyen, dans des conditions qui peuvent donner une idée de l'
état
où sont normalement, certains individus bien doué
circonstances qui semblent indiquer que Mme G... n'était pas dans un
état
normal et en pleine possession d'elle-même, quand
it tomber en somnambulisme; évidemment, clic est très suggesliùle à l'
état
de veille et, peut-être, comme chez, plus d'un su
d'un sujet que je pourrais nommer, la transition de l'êtat normal à l'
état
second est insensible. Donc, elle écoule son dang
mment comprendre autrement, que Mme G... ait pu vouloir mourir dans l'
état
de nudité où l'on a trouvé son cadavre, elle, une
umer, que la victime de Chambigc était, quand elle l'a suivi, dans un
état
hypnotique, véritable condition seconde, qui lui
un degré, responsable des actes qu'elle a accomplis ou subis dans cet
état
! Pauvre femme ! Et dire qu'il eût sans doute s
ignés par Beard sous le nom de phobies, et par lîouveret sous celui d'
états
danxiété neurasthénique. Ce qui augmente la dif
sthénique. Ce qui augmente la difficulté du diagnostic, c'est que l'
état
des malades n'est pas toujours révélé par leur as
re, il en est un assez grand nombre qui s'ingénient A dissimuler leur
état
d'anxiété. Le type le plus fréquent de ces états
ent A dissimuler leur état d'anxiété. Le type le plus fréquent de ces
états
est (I) A. l.£vir : Un cas singulier de ncurasl
Les trois observations suivantes montrent quelles aggravations â leur
état
peuvent résulter, pour «les sujets atteints de ph
en déshabitua promptement. Actuelle-ment, il continue son droit : ses
états
d'angoisse ne l'ont pas abandonné. Il souffre pre
la plus moral que d'avoir des relations avec une femme en dehors de l'
état
de mariage. Observation III. — M. M.... négocia
evillain. Voici les renseignements qu'il nous donne sur son singulier
état
psychologique. Il accuse de bons antécédents héré
de commerce cl ses! créé une situation sédentaire compatible avec son
état
. On peut dire de lui que. lorsque rien ne le so
ffroi et surtout leurs chutes témoignent assez de l'intensité de leur
état
d'anxiété. Dans un certain nombre de cas. il s'ag
chloral. bromure. Je la vois le lendemain, aucune amélioration ; l'
état
va s'aggra-vant. A bout de ressources et avant
à travers le monde, un certain nombre de liseurs de pensées. C'est un
état
particulier, mais seulement dans le sens de profe
ire pour être fixé sur ce que l'on veut de lui. Le liseur opère à l'
état
de veille: mais il assure être inconscient pendan
dier utilement la scission et la reviviscence de la mémoire l:ins les
états
de veille et d'hypnose. Dans le premier chapitr
e de condamner des sujets irresponsables d'actes qu'ils ont commis en
état
de somnambulisme ou de fascination, c'est-à-dire
nt commis en état de somnambulisme ou de fascination, c'est-à-dire en
état
de personnalité seconde complètement étrangère à
est parfaitement établi aujourd'hui que le viol étant accompli dans l'
état
hypnotique, la jeune fille, une fois réveillée, i
s mouvements du fœtus lu! révéleront qu'elle est devenue mëre. Dans l'
état
de veille elle n'aura aucun souvenir de l'attenta
entat commis, mais ce souvenir revivra entier, complet dans un nouvel
état
de somnambulisme provoqué et elle dira quel a été
l'avocat et le magistrat ont intérêt â bien connaître ces faits. En
état
de somnambulisme, une femme peut accoucher et se
tables sur l'irresponsabilité : l'observation du chef de gare qui. en
état
de fascination, est écrasé par une locomotive, fe
manque d'avertissement dans l'étal de fascination. Mais si. dans l'
état
de somnambulisme, il est possible d'établir l'irr
métaphysique ou autre mise à part, représentent aillant défaits ou d'
états
réels distingués aua-lytiquemeut dans l'ensemble
u libre arbitre, mais elle confirme par la même la distinction de cet
état
d'avec la coordination dont il résulte et qu'il n
oup pins rarement que le» forme» plus simple» d'arlivilé. parce qu'an
état
complète a beaucoup moins de chances de se produi
complète a beaucoup moins de chances de se produire cl de durer qusua
état
aimple. Ainsi vont le» chou» en réalité; si 1 on
est pas moins une volonté parfaitement caractérisée. La lutte enlre
états
afTectifs est très fréquente et la volonté résult
st souvent en opposition plus ou moins nette avec la raison, même à l'
état
normal. Cependant les motifs do l'ordre affectif,
ordre purement iulcllecliiel à moins d'être excités outre mesure. Des
états
affectifs peuvent mémo entrer synergique ment dan
jour il en est peu qui. lotit en étant dictés principalement par des
états
affectifs. 110 soient pas d'accord plus ou moins
acles, parfaitement volontaires, succédant à des délibérations où les
états
affectifs ne sont pas entrés en jeu avec ce degré
ement rares, les idées les plus .abstraites arrivent à constituer des
états
affectifs, et même à un très haut degré. Dans les
y a pas moins volonté au sens le plus propre, quand deux ou plusieurs
états
affectifs sont en concurrence ou lorsqu'un état a
nd deux ou plusieurs états affectifs sont en concurrence ou lorsqu'un
état
affectif est en concurrence avec un état non affe
en concurrence ou lorsqu'un état affectif est en concurrence avec un
état
non affectif on moins affectif, quel que soit d'a
utomatiques peuvent être elles-mêmes contrariées par l'intervention d'
états
de conscience de l'ordre affectif ou même puremen
est-à-dire réduite à elle seule, la volonté n'est autre chose que cet
état
du conscience exprimé par le « je veux », consist
er, dit qu'il veut ou qu'il ne veut pas et que l'effet indiqué suit l'
état
de conscience ainsi exprimé, cet individu fait un
s la créer; cependant son « je veux » a été l'expression verbale d'un
état
de conscience qui n'est pas la pure consta- t
représentée par quelque chose de plus qu'une simple constatation d'un
état
de conscience, s'il est vrai, comme nous l'avons
st avec raison puisqu'en somme nous n'avons pas d'autres indices de l'
état
intellectuel et moral d'un homme que ses actes, c
rs associations, leur valeur relative. Pour apprécier, toutefois, l'
état
intellectuel et moral d'un indi- vidu d'après
, la volonté no sera plus qu'une pure abstraction, un mot exprimant l'
état
et la valeur dynamique de l'individu tout entier.
ération, pas de volonté par conséquent. On distingue parfaitement cet
état
de celui où l'acte a été voulu, c'est-à-dire repr
de conscience résultant de faits île conscience antécédents, c'est un
état
nerveux conscient résultant de processus antécéde
la volonté au sens physiologique sont une seule et même chose. Si l'
état
de conscience volonté n'est pas l'étal nerveux mê
doptant la doctrine de l'inséparabi lité (§2 et 3) . on reconnaît à l'
état
de conscience exprimé par le je veux ou le je ne
in, par conséquent, de donner plus de consistance à la volonté simple
état
de ronscicncc, ou plus de dignité à la volonté si
moteur. La fusion des deux étals indûment séparés en un seul et même
état
physio-psychologique indivisible rend superflue t
es suggères au premier. Je l'influençais indirectement. Tombée dans l'
état
de passivité absolue dans lequel se trouvent la p
profond ne disparaît pas ; même si celte sensibilité fait défaut à l'
état
de veille, elle revient pendant le sommeil provoq
peuvent être influencées par suggestion indirecte, non seulement à l'
état
de sommeil hypnotique maïs encore en étal de veil
e bonbon contient beaucoup d'idems! vous serez grise, en voyant votre
état
déplorable vous regretterez ce que vous venez de
z les trois jeunes filles et cependant en m'adressant à une seule ù l'
état
de veille, je les ai rendues toutes les trois com
s de province, autorisés par l'administration de Lourdes, indiquent l'
état
du malade avant son transfert au lieu saint. Parf
te mauvaise pensée, ajoute-t-il naïvement par une exacerbation de mou
état
. Mais la foi revint je fis d'autres pèlerinages e
nt été exécutées par les membres de la commission, ont établi que cet
état
'.hypnotique) est accompagné de phénomènes psychi
de produire de courtes illusions et des hallucinations fugitives, un
état
il attention poussé jusqu'à l'excès, et des sugge
e médecine générale et spéciale et d'hygiène qui intéressent tous les
états
: 2° Le francais osi l'une des langues ofliciol
omissions de l'Index bibliographique. BRUNSCHVIG.— Sue,i;eslion à l'
état
de veille (Xormandie mêd., 18). DELMAS.— Du tremb
12. 14 et 15, des aphonies nerveuses sont guéries par suggestion, à l'
état
hypnotique ou même à l'état de veille. Dans l'o
erveuses sont guéries par suggestion, à l'état hypnotique ou même à l'
état
de veille. Dans l'observation 17. des douleurs
etaient de côté et d'autres, parlaient haut pendant leur sommeil. Ces
états
constituaient la transition vers l'auto-hypnose,
elle fixai! le robinet de laiton du tuyau à gaz et s'hypnotisait. A l'
état
de veille, les jours île séance, elle.marchait en
uées pendant le sommeil, deviennent suggestihles et hallucinables â l'
état
de veille. Leur cerveau réalise avec une extrême
ant 20 longues minutes, l'oreille lixée sur le bruit d'une montre, un
état
hypnotique, puis tenir son bras en catalepsie pen
z beaucoup pour que en une ou deux minutes, au plus, le sommeil ou un
état
voisin du sommeil se manifeste. Si le sujet ne do
alors je le fais mettre debout. en le soutenant, et lui suggérant à l'
état
de veille, qu'il peut se tenir seul, qu'il ne tom
Beaunis, Pitres, l.uys et bien d'autres ont cru pouvoir représenter l'
état
de la mémoire pendant le somnambulisme par les 3
ions suivantes : 1° Les personnes hypnotisées se rappellent, dans l'
état
de sommeil, tout ce quelles ont appris antérieure
l, tout ce quelles ont appris antérieurement lorsqu'elles étaient à l'
état
de veille. 2° Les personnes qui ont été hypnoti
ouvenir de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en
état
de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en état
qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en
état
de somnambulisme spontané ou provoqué se souvienn
u provoqué se souviennent de tout ce qu'elles ont appris, soit dans l'
état
de veille normale, soit dans les états hypnotique
u'elles ont appris, soit dans l'état de veille normale, soit dans les
états
hypnotiques antérieurs. Dans un article paru, e
surtout un point de vue juridique, c'est que l'on peut produire :i l'
état
de veille, par suggestion, le souvenir des faits
ue l'on puorrait dans bien des cas. soît â l'élat de veille, soit à l'
état
de sommeil, obtenir du sujet la révélation de» fa
ambule pcut-il, malgré la défense de son hypnotiseur, se rappeler à l'
état
de veille, ce gui s'est passé pendant son sommeil
t, malgré la défense de son hypnotiseur, se rappeler spontanément à l'
état
de veille ce qui s'est passé pendant son sommeil.
lisme. On comprend a priori que. s'il est possible de l'obtenir à l'
état
de veille, la révélation des faits écoulés pendan
que nous rencontrerons dans la suite. Si nous nous trouvons dans tel
état
que nous n'ayons aucune raison de bâiller, et que
e son auditoire. Le suggestionné, le succube, présente lui aussi un
état
d'à me particulier. Ce n'est pas au premier venu
a dignité et son honneur, commettre un crime quelconque. En un mot. l'
état
de réccplmté sera préparé ou determiné par tout c
cplmté sera préparé ou determiné par tout ce qui provoque une sorte d'
état
de désagrégation, suivant l'expression de Janet,
on de chose», comme ou dit aujourd'hui, pénétrant chez un individu en
état
de réceptivité agit d'une façon absolument compar
cause occasionnelle et commune et créant, augmentant tout au moins l'
état
de réceptivité. Les tourmentes politiques créent
ement de celles que M. Pierre Janet a exprimées dans ses études sur l'
état
mental des hystériques, disait notamment : « En
ment : « En me basant sur les modifications de la mémoire suivant l'
état
de guérison ou de maladie, sur le parallélisme de
es, sur les phénomènes que j*ai observés chez les sujets auxquels, en
état
d'hypnose, on enlève et on rend les divers modes
e des hystériques n'était due qu'à ce que ces malades étaient dans un
état
de vigilambulisme plus ou moins profond. « Quan
bulisme plus ou moins profond. « Quand on plonge ces sujets dans un
état
d'hypnose profonde et qu'on leur ordonne de se ré
ordonne de se réveiller complètement, au lieu de se réveiller dans l'
état
de personnalité où elles étaient avant d'être end
les étaient avant d'être endormies, on constate qu'elles sont dans un
état
de personnalité antérieure, qui les reporte à plu
lusieurs années en arrière... « Les hystériques ainsi ramenées à un
état
de personnalité antérieure, à un état prime, dans
hystériques ainsi ramenées à un état de personnalité antérieure, à un
état
prime, dans lequel elles ont encore des stigmates
ensibilité, ou des troubles moteurs ou viscéraux, peuvent revenir à l'
état
normal. Il suffit pour cela de les plonger dans u
t revenir à l'état normal. Il suffit pour cela de les plonger dans un
état
d'hypnose profonde, et de leur ordonner alors par
erment, et aussitôt M"! G. entre dans un profond sommeil et passo à l'
état
de parfait automate : j'avais entre les mains un
ésordre danti sa chevelure : « Regardez, regardez, docteur, dans quel
état
sont mes cheveux, ils ne veulent pas qu'on les co
vec le mari n'a cessé d'avoir pour but de maintenir sa femme dans cet
état
passif. Enfin quand la chevelure a été débrouil
dans un rève, ce qui se disait ou qui se passait autour de lui. Cet
état
particulier qui,avec des chefs indulgents,ne prés
eption de co qui l'entoure est confuse et enfin, dernier termo de cet
état
anervique, il dort pendant quelques minutes. Ce c
on écriture est régulière et ne présente plus de traces de son ancien
état
neurolylique, jadis quand il persistait à écrire,
étant souvent forcé de s'absenter, il avait certainement amélioré son
état
, mais a-t-il guéri complètement? Je l'ignore, éta
au point de vue littéraire, il étudie surtout d'une façon nouvelle l'
état
psychique des auteurs au moyen de leurs œuvres mê
yen de leurs œuvres mêmes dont il fait des manifestations de certains
états
pathologiques nouvellement décrits. Dans une co
ines? Pardon, repartit M. Nordau, les couleurs effacécs répondent à l'
état
de fatigue et d'épuisement des hystériques. Alors
a pas d'effet sans cause, et, l'effet pusse, la cause demeure dans un
état
latent et comme inactive, jusqu'à ce qu'une occas
erminer je dirais que mon client me parait a l'heure qu'il est dans l'
état
d'un homme qui n'aurait jamais pris de morphine,
it pas possible de rencontrer, soit le sentiment, soit la pensée, à l'
état
isolé. L'homme normal n'offre rien de semblable,
s. Il existe, a dit M. Bouveret. des formes légères atténuées, de l'
état
anxieux qu'il est plus facile de ciler. denumérer
érique manque à la science pour désigner chez les neurasthéniques ces
états
particuliers de l'esprit que caractérise un senti
, en réalité, les faits se passent beaucoup plus simplement. Dans l'
état
normal l'urine est maintenue dans la vessie par l
i d'autres médicaments correspondant à des indications fournies par l'
état
général du sujet atteint d'incontinence nocturne
la nosophobie ou pathophobie Par M. le Dr Antoine Mavroukakis A l'
état
normal la peur est une conséquence de l'instinct
eint de la maladie dont il a peur. Mais, aussitôt que le malade ou en
état
de veille ou en état de sommeil hypnotique subit
nt il a peur. Mais, aussitôt que le malade ou en état de veille ou en
état
de sommeil hypnotique subit une influence supérie
u, ces symptômes imaginaires disparaissent et le malade revient à son
état
normal. La nosophobie n'est pas la seule obsess
née par une sueur qui a inonde tout son corps. L'ne fois revenu à son
état
normal, il nous n affirmé que c'était la peur qui
e 10 ans. Agoraphobie très nette dès l'âge do 23 ans. Tel était son
état
de santé jusqu'à l'âge de 38 ans, lorsqu'un jour
vertiges se sont multipliés. Au moment où il est venu nous voir, son
état
était le suivant : Marche difficile, mais la marc
e de Romberg existe chez lui mais par une suggestion assez forte, à l'
état
de veille je l'ai persuadé qu'il ne tombera pas e
ement un nosophobe, â part les accidents de la paralysie infantile. L'
état
général du malade nous mène ù ce diagnostic, l'ag
is. Je n'ai jamais pu endormir le malade, mais par la suggestion en
état
de veille j'ai pu l'améliorer en lui faisant en m
Les journaux politiques rapportent le cas suivant de suggestion à l'
état
de veille : Il y a quelques semaines, une march
x porteurs de pièces dentaires non seule ment de les maintenir en bon
état
, mais encore et surtout de les relirer la nuit.
94, 283. Association neurologique américaine, 191. A travers les
états
passifs, le sommeil et les rêves, par Liébault. 4
, 234, 265, 301, 318, 324, 351. Sommeil et les rêves (à travers les
états
passifs. le),. 41, 65, 106, 135. Sommeil suggér
er 1903. N" 85. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANAT0M1E PATHOLOGIQUE. L'
état
du fond de l'oeil chez les paralytiques géné- r
roite, mais à limites nettes ; les vaisseaux étaient nor- maux. Cet
état
indicateur d'une affection scléreuse et atro- p
géné- rale qui s'affirma par la suite. Uhthoff en 1883 observe un
état
de trouble (Trubung) plus ou moins intense et s
p. 100 des paralytiques observés (-180). Dans 8 p. 100 des cas, cet
état
se compliquait d'une hyperémie de la papille. E
s dû en éliminer une trentaine, alités, gâteux, arrivés dans un tel
état
de marasme qu'il était impossible d'attirer leu
ffisante pour se diriger, pour lire même, autant toutefois que leur
état
mental le permet- tait. Chez 22 autres malade
ute son étendue, tantôt blanchâtre en quelques points présentait un
état
flou de ses bords interne, externe, inférieur o
ite franchi, et un de nos malades chez qui nous avions constaté cet
état
flou de la papille, présentait, un mois plus ta
étudié la période de début de cette atrophie, période marquée par l'
état
flou, lavé, de la papille tel que nous l'avons
de la simple pâleur à l'atrophie blanche totale en passant par l'
état
flou, le manque de netteté de ses bords, l'aspect
heur de la papille, tandis que l'autre S... présentait simplement l'
état
flou que nous avons décrit; comme chez l'un et
s pu nous livrer à des comparai- sons des plus profitables, entre l'
état
des quatre papilles soumises à notre examen. (D
ormal. Examen ophtalmoscopiqtze : oeil droit : légère atrophie avec
état
vascularisé intense de la papille. Demi-sphère
ement entourées de nombreux éléments conjonctifs. Ces derniers, à l'
état
de cellules conjonctives adultes, sont tous dir
rtie de'la lame criblée d'origine sclérotique est formée, comme à l'
état
normal, par de nombreux faisceaux de fibres con
lique soit plus intense à mesure qu'on remonte vers le cerveau. L'
état
des fibres nerveuses du nerf optique nous intéres
e postérieure bilatérale sans myopie. III. - On rencontre encore un
état
de la papille pâle, comme lavée, chez 13 paraly
eur, soit supérieur, avec bord indécis. Ces deux aspects sont des
états
préliminaires de l'atrophie papillaire. V. Enfi
ntes auxquelles elles donnaient lieu, ont fini par faire place à un
état
d'anxiété continuelle, jour et nuit. La malade n'
n état d'anxiété continuelle, jour et nuit. La malade n'est plus en
état
de discuter ses obsessions et bientôt apparaissen
n pareille occurrence, il importe de distinguer soigneu- sement ces
états
mélancoliques des crises d'obsessions subin- tr
emblent empiéter les unes sur les autres et déterminer un véritable
état
de mal obsédant dont la durée peut se prolonger
éjaculer sur ses vêtements. - Les choses étaient restées dans cet
état
, lorsqu'il y a deux ans, à la suite d'une pério
t dans un cercle de plus en plus restreint; rabâ- chage monotone; l'
état
de la malade rappelle celui des gémis- seurs de
. Il n'est pas exceptionnel de voir l'obsession déterminer certains
états
délirants auxquels on pourrait appliquer l'épit
re de ces deux éléments qui prédomine dans le tableau clinique. L'
état
de torpeur intellectuelle peut être plus ou moins
elles et indifférent aux choses extérieures, a fini par verser de l'
état
de distraction, presque habituel aux obsédés, d
ser de l'état de distraction, presque habituel aux obsédés, dans un
état
de stupeur complète, avec troubles vaso-moteurs,
s il retombait immédiatement dans son immobilité silencieuse. Cet
état
dura plus de deux mois. Schuele a bien étudié l
ncieuse. Cet état dura plus de deux mois. Schuele a bien étudié l'
état
d'excitation intellectuelle auto- matique, de m
amtchatka, et cela n'a pas de rai- son de s'arrêter. » C'est là l'
état
habituel et nous sommes encore dans le domaine
rt avec l'obses- sion, et les analogies profondes que présente leur
état
mental fondamental avec celui des malades chez
et Régis, les formes qui aboutissent au délire systématisé sont les
états
obsédants à symptômes sur- tout intellectuels,
tellectuels, et celles qui versent dans la mélancolie anxieuse, les
états
obsédants à symptômes surtout émotion- nels, c'
l'obsession, mais du complexus symp- tomatique et de l'analyse de l'
état
mental sous-jacent On se borne généralement à n
e et beaucoup plus importante pour le clinicien, c'est l'étude de l'
état
mental sous-jacent, interparoxystique 1, et l'a
z d'importance. Même chez les obsédés qui se rendent compte de leur
état
, cette division de la conscience n'en existe pa
n'en existe pas moins déjà dans l'intervalle des crises, comme à l'
état
latent, constituant une sorte de diathèse menta
léments psychiques semblent se grouper en une seule synthèse, en un
état
de con- science unique. Mais celui-ci n'est jus
uelque sorte aiguë, et nous assistons alors, suivant les cas, à ces
états
de stu- peur, de confusion mentale, à ces délir
ntale, à ces délires de rêve que nous avons signalés, ou bien à des
états
à forme de mélancolie anxieuse. Mais le bouleve
l'esprit humain, provoquant l'interprétation, la justification d'un
état
de conscience contre lequel le malade ne lutte pl
ourtant pas entre eux d'équa- tion absolue, que l'appréciation de l'
état
organique ne donne qu'une mesure très imparfait
ès imparfaite de la fonction correspondante, chez un sujet donné, l'
état
anatomique d'un organe restant le même, son ren
pécialisa- tion et par suite de perfectionnement de nos organes à l'
état
normal. Il serait intéressant de la montrer se
ulaire étant supposée intacte, on tiendra le plus grand compte de l'
état
du tonus musculaire, puisque toute ano- malie d
e même mot d'incoordination, souvent employé pour désigner tous ces
états
, correspond à des syndromes très différents, ai
riedreich ne se ressemblent que d'assez loin. Il y a en réalité des
états
d'incoordination qui n'ont guère de commun entr
avec les troubles moteurs, des troubles sensitifs par exemple, de l'
état
des forces, de l'intelligence et de la bonne vo
t à discuter la pathogénie de chacun, elle supposerait à tort que l'
état
actuel de nos connaissances ne nous laisse rien
uis plusieurs années a. cette question 'dont nous voulons exposer l'
état
actuel. Le temps n'est plus où le traitement de
ration des éléments nerveux ou, à défaut, par leur rééducation. L'
état
de relâchement des muscles, habituel chez les tab
le à l'intéressé. De ces contre-indications les unes tien- nent à l'
état
général, ce sont par exemple la cachexie du suj
grande causée par les exercices. Il nous suffira de rappeler que l'
état
cachectique et la fragilité osseuse sont en effet
let des fonctions-motrices, conséquences de ce rétablissement sur l'
état
moral, l'état général et certaines paresthésies
ons-motrices, conséquences de ce rétablissement sur l'état moral, l'
état
général et certaines paresthésies douloureuses.
'abri des soucis maté- riels, s'en contentent ordinairement, et cet
état
suffit d'ail- leurs pour l'exercice de bien des
avec les fonctions de capitaine d'habil-' lement. S'il n'est pas en
état
de monter à cheval et d'accepter sans réserves
ndyioépiphysaire. 13. C. VIII. De la réaction des pupilles dans les
états
d'ivresse et de son importance médico-légale; p
iellement la mémoire des événements qui se sont passés pendant leur
état
d'ivresse, pour une période de temps embrassant
hez le second les troubles ont persisté, laissant le membre dans un
état
d'impotence fonctionnelle. A noter que l'inject
qui présentait tous les signes d'une pachy-méningite hémorrhagique (
état
comateux, rétrécissement des pupilles, pouls le
lles, pouls lent et dur, strabisme, vomisse- ments, etc., et dont l'
état
semblait désespéré lorsqu'on lui fit à la cuiss
ires supérieur et inférieur du côté gauche. La douleur, modérée à l'
état
de repos, était intolé- rable au moindre effort
aliments est rede- venue possible. Six mois après l'opération, l'
état
du malade est prospère : il a engraissé de 4 ki
M. BRISSAUD depuis la dernière séance a observé quatre malades en
état
d'apoplexie peu de temps après l'ictus. Chez les
ll sans lymphocytes, donc pas d'Argyll sans qu'il y ait au moins un
état
méningitique spécifique spécial, point de dépar
te. Cette dernière portion est généralement seule modifiée dans les
états
pathologiques. Traitement spécifique de lésions
ussi est-il salutaire de tou- jours éclairer un tuberculeux sur son
état
; quand il connaît la vérité, il ne s'en trouve
ébriles. La tuberculose peut ajouter un ou plusieurs caractères à l'
état
mental préexistant ; elle ne le modifie pas de
avancée, ils sont extrêmement égoïstes. Un malade me traduisait sou
état
mental par ces mots : « Je suis anarchiste de l
et épuisés. J'estime qu'il ne faut pas cacher au tuberculeux son
état
, mais au contraire le lui révéler; en lui promett
ours se préoccupent de l'oppor- tunité d'éclairer le malade sur son
état
. En révélant la vérité au - tuberculeux, en lui
je suis également d'avis qu'un tuberculeux doit-être prévenu de son
état
; mais je pense qu'il y faut des formes et des
s ont, d'ordinaire, très bon appétit ; sinon on les gave. Quant à l'
état
mental de ces malades, il faut distinguer ceux
ent des secousses qui, bientôt, se pro- pagent à tout le corps. Cet
état
dure depuis plusieurs mois ; le malheureux est
inemment femmes par la 1 BIBLIOGRAPHIE. 109 structure physique, l'
état
mental, les sentiments, la moralité, la sexuali
a quantité d'énergie potentielle de l'organisme, qui peut tenir à l'
état
plus ou moins florissant des fonctions de nutri
i déclare qu'il n'y a ni crime ni délit lorsque le prévenu était en
état
de démence au moment de l'action, ou qu'il a ét
exercées contre des aliénés dont le délit était un symptôme de leur
état
d'aliénation mentale. Ce livre est non seulemen
portant toute la barbe, taches sur la figure, vêtements en mauvais
état
, facultés intellectuelles très affaiblies, attein
. Grâce à des soins dévoués, une amélioration se produisit dans son
état
, et ses proches crurent à sa guérison et ils se
noncer sur la gravité de cette blessure ; ils ne pensent pas que l'
état
du commissaire de police, M. Dezombes, qui, outre
alement perdu la raison et l'usage de la parole. Elle était dans un
état
de malpropreté repoussant, marchait sur ses mai
riture qu'un peu d'herbe. Le malheureux était presque nu et dans un
état
de pros- tration lamentable. Son père et sas de
ive, jusqu'à la manifestation délirante sous toutes ses formes. Cet
état
, créé par suggestion, a été dénommé dans le cad
tte suggestibilité dépend essentiellement du terrain récepteur. A l'
état
sain, tout individu est soumis plus ou moins à
e et du bon fonctionnement des facultés mentales, en un mot, de l'
état
du système nerveux central. Si le système nerveux
obser- ver encore de nos jours. Dans les lypémanies, ce sont les
états
anxieux et le délire démonomaniaque qui sont les
xieux et le délire démonomaniaque qui sont les plus contagieux. Les
états
maniaques le sont plus rarement. Les folies con
sujet passif, l'acuité des phéno- mènes délirants suffit à créer l'
état
suggestif. Le sujet passif est un individu dont
t même de l'imposition d'idées délirantes à un sujet le met dans un
état
suggestif, un état de dépendance, qui lui aliène
ion d'idées délirantes à un sujet le met dans un état suggestif, un
état
de dépendance, qui lui aliène en partie, dans c
sposition. Mais cesimpressions répétées ébranlent petit à petit son
état
cérébral instable, puis réveillent l'état vésan
ranlent petit à petit son état cérébral instable, puis réveillent l'
état
vésanique latent qu'il avait en puissance et au
ne pas ses persécuteurs, c'est toujours on\ ou ils ! C'est dans cet
état
qu'elle quitte le service de l'admission, le 16 f
Malgré ses affirmations, ses idées de persécution persistent. Son
état
général est resté bon, mais elle présente des tro
i les persécutions ne cessent pas. » ' Jusqu'au mois de décembre, l'
état
morbide ne fait qu'augmenter, jusqu'au moment o
'on l'interroge elle se met à pleurer, mais avec instabilité dans l'
état
émotif. Il est facile de la distraire de ses pr
it facilement car elle conserve toujours la même instabilité dans l'
état
émotif. Elle écrit souvent à Maison-Blanche pou
ce sujet, elle n'en parle plus guère spontanément comme avant. Son
état
intellectuel semble avoir baissé, la mémoire es
imposées, les sujets passifs doivent être considérés comme étant en
état
suggestif, état qui aliène pendant le temps seu
jets passifs doivent être considérés comme étant en état suggestif,
état
qui aliène pendant le temps seulement où ils so
dico-légal, les sujets passifs des folies impo- sées comme étant en
état
suggestif et par conséquent irres- ponsables ta
gestif et par conséquent irres- ponsables tant qu'ils sont dans cet
état
. PATHOLOGIE MENTALE. Des obsessions et impuls
vie de l'individu dégénéré, mais faisant cepen- dant corps avec son
état
mental. M. Magnan leur a, ajuste titre, donné l
treront d'une façon indubitable le rapport de ces phénomènes avec l'
état
de déséquilibre mental, et la manière dont ces
au contraire, une angoisse douloureuse qui la rend irrésistible à l'
état
pathologique; d'autre part l'impul- sion est l'
gine des délires proprements dits, n'est pas plus l'obsession que l'
état
mélan- colique n'est la mélancolie, De même l'a
st une tendance à l'acte, un ordre donné par les centres moteurs en
état
d'éréthisme, mais sans pour cela que l'acte soi
e irritation plus grande du cerveau, à la faveur, par exemple, d'un
état
spécial du sujet tel qu'un état d'émotivité, et
eau, à la faveur, par exemple, d'un état spécial du sujet tel qu'un
état
d'émotivité, et qu'enfin en outre le taux nor-
e degré, mais cette question de degré est sous la dépen- dance d'un
état
défectueux du cerveau : la dégénérescence. Plus
la cause à la suite de laquelle elle apparaît, plus elle indique un
état
dégé- nératif grave. L'obsession et l'impulsi
ieu soulagement à la suite de la satisfac- tion donnée au centre en
état
d'éréthisme. Mais dans cet enchaînement des man
ce due à l'exa- aération d'un ou de plusieurs centres psychiques en
état
d'éréthisme. La série des phénomènes morbides
manifestations des syndromes. Reste un fait capital : la présence d'
états
névro- pathiques : hystérie, épilepsie, neurast
chiques précédentes, mais seulement une coïncidence de ces mêmes
états
développés sur un même terrain. Et si les névro
des dégénérés, prin- cipalement avec les innombrables couleurs des
états
déli- rants. L'explication de toutes ces mani
erronées. Nos observations, qui ont porté sur un certain nombre d'
états
syndromiques : idées homicides, idées de suicide,
s la cause efficiente de la maladie, dont elle souffre. Outre cet
état
mental instable, cependant déjà dès l'âge de douz
t : douleurs à l'estomac, bouche pâteuse et d'autres sensations à l'
état
d'ébauche, toutes de nature à faire soupçonner
orme mouvement de recul. A dater de ce moment, elle tomba dans un
état
déplorable ; sa santé physique était profondéme
ents et tremblements muscu- laires généralisés. Parallèlement à cet
état
physique, l'idée obsé- dante d'homicide qu'elle
ente, se réveille encore la crainte de toucher à tout ce qui est en
état
de donner la mort. A la cuisine, la vue d'un inst
la classe. Après quelque temps d'intervalle, on s'aperçut de son
état
d'inquiétude et on lui donna congé. Tout, rentra
ladives. Des distractions et des promenades améliorèrent encore son
état
, elle ne conserva que des douleurs dans les ova
ment, soit d'empoisonner ses aliments. Elle avait conscience de cet
état
et en souffrait ; finalement, pour éviter tout dé
lle se trouve de nouveau sous l'empire des idées noires, et dans un
état
physique déplorable, elle part pour Lourdes, cr
partir dans ce but, un matin sans cause apparente, en dehors de son
état
physique maladif, éclatent les idées obsédantes;
s impulsions sont plus fortes, et la malade se trouve alors dans un
état
d'anxiété 164 PATHOLOGIE MENTALE. extrême, ma
ougeur de la face, pouls rapide (118), respiration accélérée, grand
état
émotif, maux de tête, etc. Il y a des jours au co
cessaire à l'endormir a été plus longue (quinze minutes). Pendant l'
état
d'hypnose, surtout au début, elle était excitée
l,calme qu'on prolongea environ une heure. La sugges- tion dans cet
état
l'a rendue à son réveil plus gaie et moins inqu
ez abondante, joints au traitement moral journa- lier, amendent son
état
, de sorte qu'actuellement il ne lui reste que q
tendent certains cliniciens ; 2° A côté du syndrome prin- cipal, un
état
hystérique, et tous deux suivent une marche dis
n'y donne pas suite. Elle n'a pas présenté d'hal- lucinations. Son
état
mélancolique ne s'expliqne que par le trouble m
e, moins inquiète, est envoyée à l'asile de Maison-Blanche, dans un
état
d'amélioration sensible. Chez cette seconde mal
son cerveau et marquent dès lors l'idée obsédante principale de son
état
maladif. Comme contre-partie de ce doute et cra
e la maladie dont elle souffre du côté des yeux. A la longue, des
états
secondaires alternatifs de dépression et d'exci
tifs de dépression et d'excitation apparurent graduellement, et son
état
allait s'aggra- vant. Elle ne voulait plus mang
e faiblesse et de douleur le long de la moelle épinière. Dans cet
état
, la malade est amenée à Sainte-Anne. A l'asile,
ctive du début n'étant que la première manifestation saillante de l'
état
psychopa- tique plus marqué et plus tenace, qu'
anxieuse; le traitement moral du médecin influence énormément sur l'
état
de la malade; enfin, au bout de seize mois elle a
hystériques firent leur appari- tion. Elles étaient précédées d'un
état
d'énervement, de sensations de fourmillements d
dies fébriles surtout la fièvre typhoïde qui viennent renforcer cet
état
dégénératif héréditaire. OBs. V. Coexistence
réditaires sont incomplets, mais son histoire trahit suffisamment l'
état
dégénératif manifeste. Le début de sa maladie r
tta l'asile. Après un intervalle de onze ans, en juin 1901, dans un
état
de parfaite santé, elle fut prise d'une bouffée
érents des premiers ce qui causa son second internement. C'était un
état
de dépression mélancolique avec hallucinations
e, elle accuse des douleurs dans le rectum et qu'elle n'est plus en
état
d'aller à la selle. Ces troubles diminuent sensib
lsions morbides : doutes, craintes, scrupules. Dans le second, un
état
de dépression mélancolique avec hallucinations,
équates aux trois périodes, car dans ce cas il faudrait créer trois
états
différents qui seraient liés à chacune de ces p
préférence seulement, car on peut la rencontrer aussi avec d'autres
états
syndromiques. Le pronostic est habituellement f
gonflement. s'exagère sous l'influence des émotions, diminue dans l'
état
de calme et sous l'action d'une simple bande de
u palais, de la voix, de la déglutition; il n'y a de bulbaire que l'
état
du maxil- laire inférieur, et il ne s'y joint q
éaction anormale aux courants faradiques peut- même faire place à l'
état
normal. La réaction myasthénique de Jolly décel
ssement du champ visuel. Le saturnisme ne semble pas étranger à cet
état
. Il s'agirait alors d'unehystérie symptomatique,
ent spécifique qui eut un très heureux résultat : amélioration de l'
état
général, apparition de la puberté, disparition
de l'aérophagie et des troubles qui en dépen- dent. 1° Traiter l'
état
général hystérique. 2° Faire cesser le spasme d
orés du médecin. Il ne s'inspirera, dans sa détermination, que de l'
état
mental de l'aliéné et de la gravité des lésions
sabilité restait applicable quand la partie lésée établissait que l'
état
de folie sous l'empire duquel a été commis l'ac
il s'agissait d'une épileptique ayant commis son double meurtre en
état
de parfaite inconscience et sans en ensuite auc
re avec délire, ce qui nécessite son internement. Il meurt enfin en
état
de mal sans avoir jamais pré- senté de phénomèn
s, et seulement du côté de la lésion (fibres déjà entrecroisées). L'
état
des faisceaux dégénérés viendrait en outre à l'ap
il s'agit de tics et de mouvements stéréotypés en relation avec un
état
mental parti- culier, obsession nosophobique qu
e normale ; les réflexes sont impossibles à trouver, par suite d'un
état
de raideur presque cata- tonique des membres ;
n, avec des phénomènes de catatonisme. 200 SOCIÉTÉS SAVANTES. . L'
état
mental de cette femme est manifestement troublé p
s dystrophique qu'inflammatoire. -D'après M. Nageotte, ce serait un
état
inflammatoire des racines postérieures à la sor
rimitivement. Inutile d'insister sur la différence énorme entre cet
état
et le caractère tout à fait diffus des localisati
nt un syringomyélique qui depuis deux mois à des hallucinations, un
état
d'excitation cérébrale très spécial. Les trou
éniables de tuberculose pulmonaire il la période cavitaire, dans un
état
tel que tout examen devient impossible.- Il meu
pli d'ailleurs d'aperçus judicieux, Gallois dans^ son article sur l'
état
mental des ovariolomisées, n'ont pu se mettre e
ître dans certains cas, comme nous avons essayé de le prouver, d'un
état
neurasthénique, il est pratiquement préférable
par l'un de nous, où les troubles psychiques se sont greffés sur un
état
neurasthénique post-opératoire, il est évident
conduit les auteurs à admettre cette relation. On voit souvent des
états
neurasthéniques réveillés à la suite ÉTUDE DES
cueil des Tra- vaux, 2e volume), la psychose peut se greffer sur un
état
neu- rasthénique, elle reste, même dans ce cas,
s, ne se décide ensuite que par crainte de la sonde. A ce moment, l'
état
physique est très précaire, elle est pâle, amai
premiers jours d'avril, on note une améliora- lion très rapide de l'
état
mental et de l'état physique ; la malade engrai
il, on note une améliora- lion très rapide de l'état mental et de l'
état
physique ; la malade engraisse. Le 20 avril,
n maître.» Les senti- ments affectifs sont toujours très marqués. L'
état
physique est excellent. Réflexions. Il s'agit
e jours après son entrée à l'asile. A son arrivée, elle est dans un
état
d'obnubilation intellec- tuelle qui empêche tou
st restée quelque peu affaiblie; la mémoire présente des lacunes. L'
état
physique commence à s'améliorer; mais la malade e
oment, la femme revoit son mari chaque semaine, et constate que son
état
allait plulôt en empirant d'une façon continue.
venir chercher son mari sans lui donner aucun renseignement sur son
état
. 4 mars 1898. La femme ramène le malade chez lu
emme ramène le malade chez lui, mais presque aussitôt elle voit son
état
empirer brusquement. Désordres dans les idées e
personne... je ne sais pas... je ne sais pas. » 28 avril 1898. - L'
état
du malade a été en s'améliorant de jour en jour
ès au sur et à mesure de leur production très rapide; à ce moment l'
état
delà jeune fille était des plus précaires d'aut
ns affaire à une psychose post-opératoire chez une prédisposée. L'
état
de la jeune fille alla en s'améliorant, et après
L'état de la jeune fille alla en s'améliorant, et après deux mois l'
état
mental était redevenu normal. Actuellement, après
besoin. Mais c'est un taciturne, un hypochondriaque qui malgré son
état
de santé à peu près normal et une situation par
, de son avis même ; mais quelques jours après son opération, son
état
de dépression mentale avait considérablement augm
certificat : « elle est atteinte de mélancolie caractérisée par un
état
de dépression extrême amenant le découragement
nostic du foie suppuré le 28 septembre 1898. Entrée à la Pitié, son
état
général était mauvais, elle ne man- geait plus,
persisté jusqu'au mois d'août. A l'heure actuelle, octobre 1900, l'
état
physique autrefois si mau- vais est devenu exce
tat physique autrefois si mau- vais est devenu excellent, quant à l'
état
mental, si les idées mélan- coliques hypochondr
ours par ses paro- les et ses actes, ses gestes, la délibité de son
état
mental sur laquelle parait avoir évolué un déli
après s'être trouvée très bien une quinzaine de jours. Plus tard, l'
état
changea ; tantôt, elle se portait bien, tantôt ma
mie fut faite. Le sac foetal se trouve, comme je l'avais prévu , en
état
de décomposition; c'était impossible de le sutu
ièveté du délire. Il n'y a malheureusement que peu de détails sur l'
état
mental et la nature des troubles intellectuels
zona ophtalmique nous ont conduit à admettre Y indépendance de cet
état
morbide par rapport à la névralgie faciale. L
ÉVRALGIE FACIALE. 247 bien en main, de vérifier de temps en temps l'
état
de la peau, de constater les progrès accomplis,
que les électrodes soient convenablement appliquées et toujours en
état
d'humidité parfaite. On n'oubliera pas de recom
emarque que la peau du côté élec- trisé est congestionnée, mais cet
état
ne tarde pas à dispa- raître après quelques heu
ie. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XIV. De l'
état
actuel de la théorie de l'inflammation dans le sy
rticularité que ces débris peuvent demeurer sur place longtemps à l'
état
de cellules calcifiées, de mottes hyalines, de
it considérés comme des actes impulsifs probablement commis dans un
état
d'inconscience : on avait invoqué les antécéden
conclut de ces faits : que la crise laryngée est fréquente, qu'à l'
état
d'isole- ment, elle est rare; que, le plus habi
ses gastriques ; très exceptionnellement, de crises de diarrhée à l'
état
isolé; assez fréquemment, de crises gastriques
un com- plexus symptomatique d'origine bulbaire, caractérisé par un
état
parétique des releveurs des paupières et de la
palais et du larynx, des muscles de la nuque et des extrémités; cet
état
parétique augmente avec le fonctionnement des m
Villejuif, sur un sujet mélancolique présentant par intervalles des
états
anxieux avec hallucinations multiples suivant d
nxieux avec hallucinations multiples suivant des tableaux donnant l'
état
des courbes respiratoires pendant la durée de l
eaux donnant l'état des courbes respiratoires pendant la durée de l'
état
émotif. . M. H : 1NEL. LII. Un cas de névrite
fonctionnel parait être sous la dépendance d'une imperfection, de l'
état
mental, en particulier de la volonté dont l'act
gauche et des membres gauches. Après quelques semaines, retour à l'
état
normal jusqu'en 1892. A cette époque, spasme de
mes en 1895. De 1895 à 1901, c'est-à-dire pendant plus de cinq ans,
état
normal. En 1901, réapparition des accidents, cett
runecek. Pendant toute la durée du traitement, l'auteur a examiné l'
état
mental des malades, leur nutrition générale, le
plus rapide ; la force dynamométrique a notable- ment augmenté ; l'
état
des réflexes est resté le même. Ce traitement p
cellules nerveuses, par une meilleure irrigation du cerveau. Des
états
mélancoliques au cours des granulies tuberculeuse
es ont présenté, depuis le début de l'affection jusqu'à la mort, un
état
mélancolique grave, une dépression profonde avec
rveux de la toxine ou d'une des toxines du bacille tuberculeux. Cet
état
de dépression, simple chez les indi- vidus norm
igurie excessive. Il était abstinent depuis plusieuts années et son
état
mental s'améliora au moment oùl'oligurie fut re
e délire par insuffisance hépatique. Je désirerais savoir dans quel
état
se trou- vait le foie des malades qui en font l
ention est instable et l'automatisme joue un rôle plus grand qu'à l'
état
nor- mal. Paralysie double du pneumogastrique
déjà par Phi- lippe et Cestan, Babinski, Schulze et montrent que l'
état
spasmo- dique n'est pas exclusivement et nécess
ez des enfants paresseux ou névrosés, au moyen de la suggestion à l'
état
de veille, associée à l'hydrothérapie et aux agen
Je considère comme très inexacte l'expression de : suggestion « à l'
état
de veille » ; on devrait dire : suggestion « ci
estion « à l'état de veille » ; on devrait dire : suggestion « ci l'
état
de veille apparente ». En effet, le prestige du m
ation d'un autre. L'enfant auquel on croit faire une suggestion à l'
état
de veille n'est plus à l'état de veille propremen
uel on croit faire une suggestion à l'état de veille n'est plus à l'
état
de veille proprement dite; il est déjà monoidéi
n réussit. Dès lors ne vaut-il pas mieux provoquer délibérément cet
état
passif ? Grâce à l'hypnotisme, la suggestion ga
imiquement provoquée, nous sommes réduits à la suggestion pendant l'
état
de veille. Or, celle-ci est, d'ordinaire, fort
et fabriquent des toxines ; leur nutrition générale est en mauvais
état
. Pour les guérir, il suffit de rétablir chez eu
te que, quatre mois après le début delà maladie, il n'était plus en
état
de marcher. Outre l'ataxie on pouvait noter chez
ouvrier de fabrique, fut amené à l'hôpital le 17 juillet de 1901 en
état
d'inconscience. Sur les antécédentes on parvint
pour les lésions syphilitiques (céphalalgies, analgésies cutanées,
états
épileptiques équivalents). 5. Présence des lési
ine. Ces malades, tous âgés, sont arrivés, pour la plupart, dans un
état
d'affaiblissement très grand ; beau- coup sont
sions de la section. ' . , A. M. 318 faits divers. Une IDIOTE A l'
état
sauvage Sous ce titre : Un être mystérieux, la
ormée d'une corne épaisse, et la malheureuse, retournée presque à l'
état
sauvage,.rampe et marche à quatre pattes comme
uerite Dupré entra au monastère de Port-Royal, elle était « dans un
état
d'in- firmité qui visiblement devoit durer tout
du 4 juillet, qui était environ le dixième jour de la maladie, son
état
s'aggrava. « Les douleurs ne lui donnoient point
ait sans forces, et avait grand peine à parler. Elle resta dans cet
état
de onze heures du soir à deux heures du matin.
ris de se rendre, « elle passa cinq jours à pleurer, désolée de l'
état
où elle se trouvoit, partagée entre la crainte d'
mal... Vers les onze heures elle perdit connoissance et fut en cet
état
environ pendant deux heures... enfin... elle jo
t suivis de larmes ° ». Lorsqu'elle eût signé, « des doutes sur son
état
devinrent pour elle une espèce de tourment d'au
« n'ayant jamais été curieuse de s'instruire que des devoirs de son
état
et s'en remettant pour le reste sur les lumière
e due peut- être à la constipation intense, ou peut-être encore à l'
état
du temps particulièrement mauvais à cette époqu
ffecté. La langue parait épaissie et tuméfiée à la malade, mais cet
état
diminue au déclin des crises. La face du côté
ement de la sous-maxillaire qui n'a pas tardé à disparaître. V, L'
état
de la malade reste satisfaisant en août et septem
es séances sont de quarante-cinq minutes à une heure. En octobre, l'
état
reste très satisfaisant. Nous revoyons la malad
1902 ont été marqués par des douleurs assez intenses. En février, l'
état
s'améliore à nouveau. Depuis cette époque l'éta
ses. En février, l'état s'améliore à nouveau. Depuis cette époque l'
état
reste très amélioré, sauf peut-être au moment d
rs deviennent plus courtes et plus rares, et à la fin de novembre l'
état
est de nouveau parfaitement satis- faisant. E
opposé » mais qui ne l'inquiètent aucunement. Depuis cette époque l'
état
se maintient absolument satisfaisant. Obs. V. M
. Revu six mois après, en février, le malade est toujours dans un
état
très satisfaisant. En mai 1902, il a ressenti que
eval. Cet accident, toutefois, n'amène aucune modification dans son
état
. Enfin en septembre de la même année, les doule
ouleurs. Le malade présente en outre du tic vrai, c'est chez lui un
état
de spasme intermittent qui donne l'impression d
ands froids. En mai le malade déclare être depuis deux mois dans un
état
très satisfaisant, n'avoir plus que quelques se
elle nous déclare qu'il n'y a aucune comparaison à faire entre son
état
actuel et les atteintes antérieures. En juin 1902
ndre encore de-ci de-là quelques séances, elle nous déclare que son
état
avoisine presque la guérison, tellement elle es
elà des premiers jours de janvier et à partir du 10 janvier 1902, l'
état
de la malade ne s'améliore plus. Elle cesse le
s douleurs passagères. A partir de juin la malade se trouve dans un
état
très satisfai- sant et cesse de suivre le trait
lades ont été amélio- rés dans une très notable proportion, et leur
état
actuel est jugé comme très satisfaisant. Nous
intellectuel; tentative de suicide et d'incendie pendant un accès ;
état
physique bon ; peut être trans- férée ». Le cer
cil gauches; abaissement de la commissure labiale du même côté. L'
état
mental est caractérisé par une hébétude profonde
cter la véracité, car elle n'a jamais varié sur ce point malgré son
état
de démence, et de la péri-encéphalite, maladie
hanger d'opinion. 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Observation d'
états
psychiques anormaux survenant pério- diquement
sible au monde extérieur, la patiente, en deux à trois jours de cet
état
, devient stupide et calaleptoïde. Peu à peu, el
). Il s'agit d'un jeune homme conduit l'asile de Santiago dans un
état
de manie aiguë avec agitation extrême. Le traitem
itement ordinaire n'amena qu'un calme relatif laissant persister un
état
de 36C REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. confusion
accidents somatiques qui menacèrent encore sa vie. Après un au l'
état
mental restant mauvais la malade est internée ave
GIE MENTALE. 367 mémoire, la perte de tout sentiment affectif et un
état
d'euphorie remarquable. A l'autopsie, on trou
psychologiques, juin 1901). Les troubles mentaux consécutifs aux
états
infectieux avec albu- minurie sont fréquents. I
fait de la diète lactée, a eu trois rémissions très nettes dans son
état
mental ; elle a pu sortir de l'asile une fois p
la disparition du délire et de l'agitation par l'installation d'un
état
fébrile est d'observation très ancienne. le fait
entales. L'effet incontestable d'une infection très virulente sur l'
état
mental pourrait servir d'amorce à des recherche
tructive et criminelle a atteint son maximum d'intensité, le simple
état
suggestif se transforme en un vrai délire plus
riminels reconnus et dangereux, auquel cas, qu'ils soient ou non en
état
de foule, une répression énergique sera toujours
ttention qu'il fixe et dérive à son profit, en engendrant ainsi cet
état
de distraction qui porte atteinte à l'intégrité
latérales, il importe de tenir compte d'autres facteurs, tels que l'
état
de l'or- gane sensoriel périphérique, l'existen
ne sensoriel périphérique, l'existence de sensations subjectives, l'
état
mental du sujet, et des divers facteurs psychique
e. II. La musique exerce une influence manifeste aussi bien sur l'
état
moteur général, dont elle est un tonique, que sur
tion de la musique. SOCIÉTÉS SAVANTES. 379 III. L'abattement et l'
état
de lassitude musculaire, qui suit l'acte génita
te génital consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'
état
moteur. Dans sa production et ses différentes p
r est intéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un
état
d'excitation et de potentiel tel qu'il ne peut
volution et la tendance au déciauchement de l'image motrice et de l'
état
moteur. Tous les préparatifs, tous les accessoi
nt selon chaque individualité présenter une action excitatrice de l'
état
moteur, plus ou moins développée et accentuée s
le pied gauche et le pose sur le bord externe de la plante. Dans l'
état
de nutrition des muscles, on remarque une certa
de l'avant-bras du côté gauche; le membre inférieur gauche était en
état
de pied bot. Les réflexes tendineux sont un peu
sque tout à fait et les auteurs la comptaient presque guérie. Cet
état
dura jusqu'au mois de juillet, lorsque, sans aucu
issaient seulement après 2-3 jours. La petite commença à marcher; l'
état
général était satisfaisant. Le 20 septembre, la
seulement par des tiraillements delà face et du membre supérieur. L'
état
général s'améliora aussi. Actuellement, les ner
nt des interrogations, et les renseignements qu'il a donnés sur son
état
ont été d'autant plus précieux qu'il était étra
e et d'homicide sont survenues tour à tour, et ce tiqueur a gardé l'
état
mental infantile que conservent toujours les liqu
t supprimée. Elude pathogénique. La genèse du tic tient surtout à l'
état
mental du liqueur. Le tic a son origine dans un
urbation fonc- tionnelle est la conséquence d'une imperfection de l'
état
mental et en particulier de la volonté. ' J.
éciles et les idiots itli. de Paris 1893). 396 BIBLIOGRAPHIE. L'
état
mental du tiqueur est bien analysé par 1111. llei
s, obsessions, phobies, etc., sont les principaux caractères de cet
état
mental. MM. Meige et Feindel font remarquer, et
t les crampes professionnelles. Le pronostic dépend absolument de l'
état
mental du tiqueur. Le traitement est un chapitr
ou après l'accès de la ma- nie on pouvait noter chez les malades un
état
dépressif, tant soit peu prolongé, en rapportan
ne sont pas entrés dans notre matériel, de même que les cas, où l'
état
maniaque est accompagné de confusion mentale (a
'il souffre souvent d'une véritable hyperesthésie auditive; 2" Un
état
habituel d'attente anxieuse, dans lequel le suj
épuisement du système nerveux cérébro-spinal. Ce qui caractérise l'
état
neurasthénique, c'est non l'attente anxieuse, n
rs lui arri- veront ? Comment y échapper ? » Ainsi vit-elle dans un
état
d'at- tente anxieuse continuelle, dans l'appréh
élivrera de son martyre. Des troubles somatiques accompagnent cet
état
mental. Céphalée intense, en forme de casque. D
lit, lécithine en injections hypo- dermiques, frank ini : ation. L'
état
dépressif s'améliore progressi- vement : la sen
t. Tous les symptômes neurasthéniques s'amen- dent. Seul subsiste l'
état
anxieux, qui, malgré le traitement, per- siste
intégralement avec des alternatives d'atténuation et de rechute. L'
état
somatique est excellent ; une analyse d'urine ne
née, suffocation, larmes, désespoir, idées de suicide. Néanmoins, l'
état
général reste satis- faisant. Il n'y a ni asthé
ur, qui ne relève aucune lésion, et attribue tous les accidents à l'
état
gastrique. Le malade rassuré une fois encore, r
ontre à en faire une névrose distincte et n'y veulent voir qu' « un
état
inter- médiaire, un terme de passage entre les
i qu'il se présente des cas où le tableau de l'affection existe à l'
état
pur, sans aucune parti- cipation de neurasthéni
e chsz la femme, in Presse Médicale. 10 juillet, 1897. Lalanne. Des
états
anxieux dans les maladies ment/des. Rapport au
de mes parens ». Le parti qu'il lui pro- posait était d'embrasser l'
état
ecclésiastique. Gentien Thomas Il mit encore tr
r en quel lieu j'étois, mais ce que je sais c'est que j'étois en un
état
de souffrances bien pénibles. Cela dura tout le
t d'un mal de côté, et en deux jours de tems je me trouvai en tel
état
que j'envoyai prier le curé de la paroisse de me
immobiles les nerfs et les muscles du larynx, me réduisit à un tel
état
, que je croyois fort souvent ne pouvoir pas résis
, il en fut « pénétré de douleur »3. Son père, qui le destinait à l'
état
ecclésiastique, le fit tonsurer à sept ans, à l
ne de Singlinet LeMaistre de Saci, l'engagèrent alors à embrasser l'
état
ecclésiastique et à entrer au couvent. Mais, dit-
lui « donna un baume qui calma peu à peu ses douleurs et la mit en
état
de pouvoir guérir de ce mal si furieux. Mais qu
es membres les uns après les autres, la réduisit à la fin en un tel
état
qu'elle ne pouvoit plus se rendre aucun service
uranne sur le sacerdoce, « il comprit combien il étoit indigne de l'
état
où il se trouvoit engagé, et il eut une telle f
ente. La fatigue et l'anesthésie conduisent la matière vivante à un
état
d'inertie, qui exige pour être vaincu, l'emploi
fermeture faradique à l'ouverture, subirait une diminution dans les
états
de débilité, relativement à ce qu'il pré- sente
dans les états de débilité, relativement à ce qu'il pré- sente à l'
état
normal ou du côté sain. G. Deny. XXIX. De la se
paralysie faciale, à un relâchement du releveur de la paupière. Cet
état
de relâchement du releveur correspond à une hyp
muscles des yeux est en rapport avec un défaut de convergence et un
état
d'indépendance des deux yeux dans leurs rapport
s réciproques. V. Le défaut de convergence oculaire coïncide avec l'
état
de « distraction » qui caractérise le sommeil.
jets amène un trouble de l'attention et jette la distraction dans l'
état
mental du sujet {Revue neurologique, sept. 1902
médullaire et de la queue de cheval : il peut servir de signe de l'
état
des fonctions sexuelles. (Bévue neurologique, oct
s divers dortoirs selon le degré de surveillance nécessité par leur
état
. On objectera qu'il suffit d'un malade bruyant
et même d'homicide sont réduits à leur minimum. Si l'on com- pare l'
état
actuel à l'état ancien, le calme des salles et de
de sont réduits à leur minimum. Si l'on com- pare l'état actuel à l'
état
ancien, le calme des salles et des dor- toirs e
un sommeil réparateur leurs journées deviennent meilleures, et leur
état
mental et physi- que va s'améliorant. Les narco
des orteils est accentué. La cause 472 SOCIÉTÉS savantes. de cet
état
échappe complètement aux auteurs qui par éliminat
ine est constante dans ces deux maladies. L'ébullition ne donne à l'
état
normal qu'un louche léger, dans le tabes et la
u plexus brachial d'origine traumatique remontant à quatre ans. L'
état
du membre, excessivement atrophié, dont l'impoten
rêve musical. M. G1LLLT. Le rêve musical q pour origine, tantôt un
état
phy- siologique spécial qui donne naissance à d
rique. Une tentative d'hypnotisation fut suivie de succès. Dans cet
état
, je lui fais la suggestion de se lever le lende
e ainsi que d'une gymnastique appropriée et gra- duée, faite dans l'
état
d'hypnotisme, la guérison fut promptement obten
scence coutumière ; depuis plus de six mois, la malade souffre d'un
état
pathologique chronique avec de courtes rémissio
. Dans la terminologie médicale, le mot hypnotisme sert à désiger l'
état
psychologique, qui résulte d'une influence exer
par un indi- vidu sur le système nerveux d'un autre individu : cet
état
psycho- logique est constitué essentiellement p
ne sont pas toujours le résultatd'une intervention expérimentale. L'
état
d'hypnotisme qui consiste primitivement dans l'
sans qu'il y ait chez autrui aucune intervention de pro- voquer cet
état
. En un mot, un homme peut s'auto-hypnotiser inv
prit que l'on a désigné sous le nom d'expectant attention, certains
états
affectifs ou émotifs, la fatigue, la timidité,
isation chez des individus prédisposés ou simplement ignorants. Les
états
hypuoïdes spontanés sont fréquemment le résultat
CIÉTÉS SAVANTES. jouent un rôle considérable dans la production des
états
hypnoïdes. L'ensemble des conditions qui concou
ce si merveilleuse, de ce que l'on appelle à tort la suggestion à l'
état
de veille. En réalité, la puissance de la sugge
l est grisé; alors naissent en lui des sentiments qu'il n'a pas à l'
état
normal : l'orgueil, la combativité, la colère,
nt, de l'amélioration de la parole et de la démarche, et aussi de l'
état
général du malade. Lorsque les injections étaie
avec artériosclérose très prononcée, surtout une amélioration de l'
état
général. Cette communication a été l'objet de p
ent déjà de bonne heure à l'auto-observatiou et à l'analyse de leur
état
mental ; rarement on remarque chez eux une crua
ndance de phénomènes vaso-moteurs. D'' V. Vot3oBlFr.r insiste sur l'
état
émotionnel mobile particulier chez de tels mala
n trouble à base idéative. Ils résument les caractères généraux des
états
obsédants dans la définition suivante : L'obses-
dées fixes pures sans émotion angoissante. Les auteurs séparent les
états
obsédants en deux grands groupes, suivant que l
une crainte, idées obsédantes phobiques (phobies), ou par une idée (
états
obsédants idé(itifs). Les phobies se subdivisent
et en phobies particulières ou spéciales (monoplaoLies). Quant aux
états
obsédants idéatifs, c'est-à-dire ceux dans lesq
ant aux états obsédants idéatifs, c'est-à-dire ceux dans lesquels l'
état
anxieux se produit sous forme intellectuelle ou
ue et psychologique. Les sujets qui en sont atteints vivent dans un
état
permanent d'attente anxieuse (Freud), de tensio
greffer comme une sorte d'objectivation plus ou moins durable sur l'
état
d'angoisse qui constitue le fond de la maladie
dies, de la mort; 3° phobies des êtres vivants. Comme les autres
états
obsédants, les phobies systématisées d'origine se
ion ne sont pas deux choses différentes, mais deux degrés d'un même
état
neuro-psychopa- thique, différant simplement pa
ont des émotions morales, des pratiques sexuelles irrégulières, des
états
maladifs divers; leur importance est secondaire
seulement que MM. Pitres et Régis considèrent l'obsession comme un
état
mixte, neuro-psycho- pathique et comme un sympt
e toutes les plus fréquentes. Le diagnostic doit être fait avec les
états
physiologiques (idées fixes. passions), avec le
ait avec les états physiologiques (idées fixes. passions), avec les
états
pathologiques (psychoses, névroses). Il faut en
ulsives, les auteurs examinent les impulsions dans les princi- paux
états
psyctiopatliiques : dégénérescence, épilepsie, hy
ité, mais avec précision, l'auteur donne dans sa thèse un assez bon
état
actuel de nos connaissances sur les localisatio
sole de force pour l'em- pécher d'attenter de nouveau à sa vie. Son
état
est désespéré. Quant à Marie Bérou, elle a été
ne retentis- sant pas gravement sur la nutrition générale ni sur l'
état
mental des malades... » ne contenaient pas quoi
anifestations hystériques » par leur définition : L'hystérie est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve capab
ette fois avec précision la définition de l'hypnotisme : « C'est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve susce
er que l'auteur, depuis dix ans déjà, considère l'hystérie comme un
état
psychique particulier, le plus souvent comme un
- heim. Pour ce dernier, nous le savons déjà, l'hypnotisme est un
état
physiologique, comme le sommeil naturel. M. Bab
ue la sug- gestion hypnotique, absolument comme la persuasion à l'
état
de veille (procédé plus ancien) ne guérit complèt
pto- « matiques dus à l'émotivité et pouvant se greffer sur des «
états
morbides divers » ne sont pas hystériques. Un d
e grands alcooliques. Les symptômes qu'il présente s'associent à un
état
mental parti- culier, à une instabilité singuli
er, à une instabilité singulière, de manière qu'on doit classer son
état
dans l'ordre des psychasthénies. (Journal de méde
aisceaux descendants (faisceau pyramidal, de Monakow, etc.) mise en
état
d'excitabilité des myoneurones, de sorte que, l
t aussi en évidence l'important phénomène de la dis- sociation de l'
état
du tonus musculaire et des réflexes tendineux.
symptômes cliniques; l'atro- phie respecte les avant-bras. 2° Un
état
remarquable de la peau de la main qui est rose
au toucher, se laissant difficilement pincer entre les doigts. Cet
état
se prolonge sur la face dorsale au niveau des d
dans quelques cas au moins elles pourraient ne modifier en rien l'
état
de la conductibilité électrique. R. C. 530 REVU
fixation pen- dant plusieurs minutes de la pupille à son plus fort
état
de con- traction, c'est-à-dire la contracture,
rès l'é- masculation). Si l'affection somatique chronique passe à l'
état
aigu, il y a délire ou perte de la connaissance
en tout point analogues à ceux que l'on observe chez les médiums. L'
état
mental des « alié- nés » de ce genre semble n'ê
de ce genre semble n'être que l'exagération, le grossissement de l'
état
mental propre à tous les médiums. Lorsqu'on étu
étudie, en effet, au point de vue de sa physiologie pathologique l'
état
mental d'un médium, on voit qu'il restez d'une
ont l'observation a été présentée, aux phénomènes ordinaires de l'
état
médiumnique (communication avec les esprits, écri
but que de rechercher comment nous, médecins, pouvons interpréter l'
état
mental des médium*. Il y a des degrés divers de
s de calibre menu étaient pourvues de df-iilli ites, se trouvant en
état
variqueux. Chez d'antres petites cellules toutes
a corne antérieure, étaient pauvres en appendices collatéraux, et l'
état
variqueux n'était observé que préférenciellemen
ré sensitif. M. Alax EGGER. La méthode des relevés périodiques de l'
état
des sensibilités a montré que les anestbésies o
'elles sont au contraire sujettes à de grandes oscillations de leur
état
intensif et extensif. Des périodes de régressio
est présent dans tous les autres cas. Je ne l'ai jamais trouvé à l'
état
normal sur les 45 sujets que j'ai examinés, au
au moins avec les caractères bien définis qui le caractérisent à l'
état
pathologique. Sur 16 enfants nouveau-nés, je n'ai
orteil. Par contre il est de règle chez les enfants nouveau-nés à l'
état
de sommeil. On peut le retrouver parfois chez l
fois chez les enfants d'un certain âge et même chez les adultes à l'
état
de sommeil. La région plantaire excitée n'est p
ion que l'exagération des réflexes et le clonus du pied. Différents
états
pathologiques et le sommeil chloroformique peuv
ement, une phase que l'auteur cherche à mettre en relief. C'est cet
état
qui sans être manifestement pathologique témoig
nifestement pathologique témoigne d'une modification organique. Cet
état
purement transi- toire, devient définitif. 111.
nt, ho urgeoi.-e ment, sans jamais s'enivrer qu'on arrive ainsi à i
état
mob de. Un s'accoutume au poison et ce poison d
ce poison devient un besoin ; les deux étais sont engendrés par un
état
corrélatif de la cellule nerveuse. De déduc- ti
er, était interné depuis peu à l'asile d'aliénés de Saint-Pierre. L'
état
du malheureux s'étant aggravé, il fut, ce soir, t
se blesser lui-même avec l'arme qu'il tenait toujours à la main. L'
état
de Navel est considéré comme déses- péré. Lauti
tion Céré- brule et - par vVill-Noes, 280. IDIOrE. Une idiote à l'
état
sauvage, 318. Image motrice. Du rôle de l'- d
La chez les aliénés, Par (,al latia, 97. ]'%IIILYSIE générale. L'
état
du fond de l'oeil chez les paralytiques gé- n
avec le mécanisme fonctionnel, par Vaschide et Vur- pas, 89. De l'
état
actuel de la théorie de l'inflammation dans le
liénés auxquels il manque le gros symptôme albuminurie, et dont l'
état
mental seul attire toute l'attention du médecin.
ions, nous verrons que parfois la lésion rénale parait réagir sur l'
état
mental. Enfin si l'étiologie rénale peut échapp
les grandes lignes le même délire hallucinatoire, délire onirique,
état
de rêve prolongé avec confusion mentale profond
gastriques d'origine éthylique peuvent développer et entretenir des
états
déli- rants, véritables rêves prolongés, que M.
tifs les plus propres à mettre sur la voie de son origine réelle, l'
état
ma- ladif est méconnaissable. » Il est des ca
qu'il ignore peut-être. Il peut constater aussi la coexistence d'un
état
démentiel pro- fond et d'une albuminurie sympto
observations semblent bien démontrer la réalité d'un lien entre l'
état
psychique et la lésion viscérale éloignée (Du Cai
étées diminuait, nous avons constaté souvent des modifications de l'
état
mental. En dehors même du changement d'alimenta
e la quantité d'albumine semble coïncider avec l'aggrava- tion de l'
état
mental. Il est vrai que le régime alimentaire '
ai que le régime alimentaire ' -Moreau de Tours, De l'identité de l'
état
de rêve et de la folie (An- nales : ëico-/)c/t0
e céphalalgies violentes et eut des pertes de connaissance. - Cet
état
aigu ne dura que quelques jours, mais depuis le m
coeur ». Pourtant il est capable de donner quelques détails sur son
état
de santé anté- rieur. Il nous dit qu'il est suj
Du le' au 8 juin, le malade est laissé au régime ordinaire, et son
état
ne se modifie pas sensiblement. Moins calme que l
ours. Cette excitation fit place à son arrivée dans le service à un
état
de dépression très prononcé, mais le délire per-
Il était sur- tout confus et avait une conscience peu nette de son
état
. Au bout de quelques jours il est devenu moins
cle. b. Un certificat du maire fournissant les renseignements sur l'
état
civil, le domicile, le domicile de secours, la
t transférés dans les asiles d'aliénés du Grand-Duché, lorsque leur
état
exige encore des soins spéciaux. Le corresponda
iate- ment son examen somatique. Gustave se tient constamment à l'
état
de veille, dans la situation indiquée par la ph
tour négatives, le père ayant nié formelle- ment avoir été, soit en
état
d'ivresse, soit en état patholo- gique quelconq
ayant nié formelle- ment avoir été, soit en état d'ivresse, soit en
état
patholo- gique quelconque à l'époque de la féco
il existe encore sur la tête une éruption papulo-pustuleuse. même
état
des organes génitaux. Août. Passe à la petite é
es pieds et roulant la langue dans la bouche. 1894. 16 juin. Même
état
des organes génitaux (Fig. 6). Parole toujours
u'à neuf mois. Surviennent à ce moment des convulsions sous forme d'
état
de mal (2 heures), qui se 1'ir, tl. Lem.... Geo
ère améliora- tion, légère toutefois et portant exclusivement sur l'
état
phy- sique : l'espèce de paralysie de l'un des
Dr GoMAn. L'auteur a constaté que non seulement l'hystérique dans l'
état
d'hypnose pouvait éprouver plus nettement que d
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. même qu'en passant de l'
état
d'anesthésie totale à l'état de sensi- bilité p
PATHOLOGIQUES. même qu'en passant de l'état d'anesthésie totale à l'
état
de sensi- bilité parfaite, elle assiste chez el
la conscience, que celui-ci est rétréci; de là la ressemblance de l'
état
hypnotique et de l'état ca<a<0)ttMe. Appl
-ci est rétréci; de là la ressemblance de l'état hypnotique et de l'
état
ca<a<0)ttMe. Applications. On lève le bra
l'étroi- tesse du champ en question, ils ne sont point arrêtés. L'
état
de négativisme consisterait simplement, d'après S
de Bergmann, soit dans celles de la théorie d'Adamkiewicz ; 3° à l'
état
, du fait de cette pression, de la substance bla
eur n'insiste pas, et se borne à poser la question suggérée par cet
état
cérébral, et par l'état mental du malade - de sav
borne à poser la question suggérée par cet état cérébral, et par l'
état
mental du malade - de savoir s'il y a un rappor
les bizarreries dans l'aspect de l'affection, dans son évolution, l'
état
mental particulier des malades qui per- mettron
rale chez un arabe syphilitique, instruit et civilisé. Note sur l'
état
des réflexes tendineux et des réactions électriqu
z douze malades, aux différents degrés de la maladie on a examiné l'
état
des réactions électriques : pas de modification
ivant les doses employées, on peut obtenir avec le somnoforme trois
états
psychologiques nettement tranchés : 1" L'hypernar
cience at quelques caractères qui permettent de la rappro- cher des
états
seconds ou des états d'automatisme; 3° L'hyponar-
ractères qui permettent de la rappro- cher des états seconds ou des
états
d'automatisme; 3° L'hyponar- cose ou narcose su
n pas une conscience absolue sans contenu, en soi, mais une série d'
états
conscients. Nous ne connaissons pas la conscien
rançois de Rohaii. M. Félix l3ECrrAOtT. Parmi ceux qui embrassent l'
état
reli- gieux, certains le font par simple intérê
uvait croire les réflexes rotuliens abolis; il n'en était rien ; un
état
de vigilance musculaire exces- sive et une exag
a pas, en apparence au moins, de lésions profondes de structure ; l'
état
de la moelle encore très rudimentaire chez nos
ts qui subsistent, les plus constants et les plus rappro- chés de l'
état
normal sont ceux de la partie interne de la corne
11° Il existe des relations certainement très impor- tantes entre l'
état
de la moelle et l'apparition des régénérations.
alades de chercher à les guérir ou tout au moins à amé- liorer leur
état
. Il convient de les soumettre à ce que notre émin
urgi- cal sans lésion anatomique, ayant leur point de départ dans l'
état
mental particulier des hystériques. Les simulat
une intervention sanglante que par la gravité des lésions. IV. L'
état
mental chez les blennorrhagiques; par le De Ducas
accidents cérébraux. Mais ce qu'il y a de fort intéressant c'est l'
état
mental des individus atteints de cette affectio
l'état mental des individus atteints de cette affection. - · Cet
état
mental, le plus fréquemment observé, semble ordin
, caractéristique de la tête limousine, sont sans conséquence sur l'
état
mental de ceux qui en sont atteints. IX. bu t
éclaré que, sa femme ne s'occupant pas de son fils en raison de son
état
d'imbécillité, il ne pouvait remplacer la mère
taire. 1897-1901. Evolution à peu p ! '9s nulle de la puberté. Même
état
général. 1902. Hydropisie pleurale et péricar
longs et plus abondants. Verge : long. 7 cm., circonf. 9 cm. ; même
état
des testicules. Hémor- rhoides persistantes.
hez notre sujet le retard de l'ossifi- cation a laissé persislercet
état
foetal. Il existe sur toute la surface endo-cra
s extrêmes, interne et externe, sont simplement plus épais qu'à l'
état
normal ; toutefois, ces feuillets se soudent inti
fficile de distinguer les couches qui apparaissent si nettement à l'
état
normal, dans la région rolamlique par exemple.
ces dernières ressem- blent-elles plutôt à des neuroblastes. Cet
état
de dy-génesie est plus évident, quand on examine
- ches de l'écorce cérébrale coiitioni2ent moins de cellules qu'à l'
état
normal; en outre, les cellules encore existante
es fibres nerveuses, exami- nées isolement, sont plus grêles qu'à l'
état
normal, même quand il s'agit des fibres relativ
que immédiatement sous-pie-mérienne est épaissie, plus dense qu'à l'
état
normal; ses fibrilles, finement ondulées, contr
. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nouvelle contribution à l'étude de l'
état
du fond de l'oeil chez les paralytiques générau
rne de la cho- roïde de sorte que la papille (3 fig. 1) présente un
état
de sclérose déjà avancé; il n'est plus possible
-jqtie avéré, depuis six mois il suivait un régime approprié au cet
état
. 138 CLINIQUE NERVEUSE. Il arrive dans le ser
es, etc. Il se porte très bien et veut reprendre son travail. Cet
état
d'excitation persiste pendant la première quinzai
confirmée par une analyse d urine pratiquée ulté- rieurement. Même
état
ju-qu'au milieu du mois de mars; le 21 mars il
épuisé physiquement, se plaignant du froid. 11 semble bien que éet
état
psychique a coïncidé avec une poussée rénale, c
part qui revient à l'insuffisance rénale dans la pathogénie de cet
état
mental, d'autant plus que malheureusement l'aut
ent colorées indique laprésence d'une petite quantité d'albumine. L'
état
mental est celui d'un homme fortement affaibli, g
albumine diminua de quantité ; le coeurdevint plus régulier. Mais l'
état
démentiel ne subit aucune modification. Seules le
ques s'effacèrent du tableau clinique et lais- sètent la place à un
état
euphorique constant. La parole demeura très emb
'albumine reparait en quantité plus abondante (0,50 par litre) et l'
état
mental subit d'intéressantes modifications. Les
reviennent; le malade pleure continuellement, manifeste un certain
état
d'anxiété. Quelques idées délirantes de persécu
. Du mois de mai au mois d'octobre, il n'y eut pas à noter dans l'
état
du malade de modifications importantes. A deux re
nterrompie à cause de la mauvaise influence qu'il parut avoir sur l'
état
mental. Au régime lacté, le malade est resté euph
ment. Elles sont en outre déformées et globuléues; les unes sont en
état
de chru- matolyse, d'autres ont leur noyau très
spéciale (type Klippel). Chez ce malade, sur le fond démentiel de l'
état
mental, apparaissaient des alternatives d'enpho
xamen clinique des urines fut négatif au moment de l'admission et l'
état
d'agitation conti- nuelle avec gâtisme que prés
es attaques épileptiformes, il est exceptionnel* d'observer le même
état
d'une façon continue, durant jusqu'à la mort surv
ble lésion rénale ne permet-elle pas d'invoquer, pour expliquer cet
état
anormal, l'automtoxication par insuffisance rén
e Dr Weeks, directeur médical du village pour les épileptiques de l'
état
de Kew-Jersey, dit que quand vient l'hiver, et
en un effet négatif, ou une intoxication aiguë qui vient aggraver l'
état
pathologique de cet épileptique. Si l'on inject
symptômes moteurs, psychosensoriels et psychiques dont on a suivi l'
état
encore deux ans à la suite des injections et de
avec augmentation de poids de 29 kilog. Chez les 2 malades dont l'
état
s'aggrava, les crises et accidents épileptiques
tées. Une seule fois il y a eu aggravation légère et passagère de l'
état
général. Souvent le sérum sanguin provenant du
s, contenues dans le sérum sanguin de l'épileptique, qui, suivant l'
état
de la constitution intime de celui qui le reçoi
réaction physiolo- giques, on obtient amélioration ou guérison de l'
état
pathologique. Quand, au contraire, ces cellules
ons, déjà altérées, s'éloignent de plus en plus de la normale; leur
état
pathologique s'aggrave. 150 REVUE DE THÉRAPEUTI
chez l'épileptique dans les conditions ordinaires, y circule à l'
état
d'inertie. Ce doit être une substance soluble qui
nce commencée le 26 juin 1901 dure jusqu'au 10 août et détermine un
état
extrêmement pénible. Néanmoins le premier sujet
ance normale, et qui, abandonnés à eux-mêmes n'atteignent jamais un
état
convenable de développement physique. Le nombre
s précis font leur apparition Si l'on veut remédier utilement à cet
état
névropathique, il faut s'y prendre de bonne heu
lade, estl'un des plus sûrs moyens d'aboutir à une aggravation de l'
état
nerveux. Au point de vue de l'instruction, il 3
rielle et chez eux la disparition de la dépression nerveuse et de l'
état
men- tal particulier qu'ils présentent ne s'obt
ie générale rentrerait donc dans le grand problème de l'origine des
états
affectifs dans cette maladie. Bien des solution
s qui agissent défavorablement mu1 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE 151 l'
état
de la loi organique. Inversement, si ces influenc
lle de l'allaitement. Clouston donne six semaines comme limite de l'
état
puerpéral; BattyTuke ne donne qu'un mois en règ
utre part la réaction myasthénique, les changements observés dans l'
état
de la malade le matin et le soir ne permettent
s'y arrêter. La tare héréditaire tuberculeuse de la patiente et son
état
d'hys- térie (hyperesthésie droite transférable
de claquement du second bruit, pas d'hyperpression sanguine, pas d'
état
général correspondant. Les intei mittences du p
o-rachidien; par A. Sicno (Presse médicale, 25 janvier 1902). A l'
état
normal, le liquide céphalo-rachidien de l'homme e
alo-rachidien de l'homme est clair comme « de l'eau de roche ». A l'
état
pathologique, il peut présenter des aspecls bie
ements physiologiques et surtout à conserver certaines attitudes. L'
état
général est bon, les organes fonctionnent bien.
'ingestion d'un extrait de capsules surrénales, le patient a vu son
état
s'améliorer considéra- blement durant quelques-
it le terrain névropathique. Le professeur dit quelques mots de l'
état
de besoin de la dé- morphinisation par les méth
uvoir se passer du poison. Il éprouve l'euphorie caractéristique, l'
état
de besoin avec ses angoisses, la perte de l'app
cès cérébelleux ou tumeur cérébelleuse. L'intégrité de l'oreille, l'
état
normal de la température, l'examen cytologique né
ge de 18 ans, chute grave; lésions de la tête; plusieurs semaines d'
état
inconscient. Deux ans plus tard, attaques d'épi-
décroissante. Il est dangereux. Physiquement il est robuste et son
état
général n'est pas mauvais. Il y a de l'oedème des
njuguée des yeux vers le même côté. Les crises étaient suivies d'un
état
de stupeur, auquel succédait une grande irritabil
rteils en éventail. Cet écarternant est très rare et peu marqué à l'
état
normal; il est au contraire très commun et très
re avait montré beau- coup de cellules polynucléaires. Note sur l'
état
des fibres A myléine du plexus cardiaque chez les
e du plexus cardiaque chez les tabétiques. M. HEITZ a recherché l'
état
du plexus cardiaque chez douze tabétiques. Il a
pour le malade tous les symptômes qui relè- vent chez lui soit de l'
état
digestif, soit une hystérie, soit du tabes. Les
ulière altération de la personnalité, que caractérise le retour à 1
état
mental de l'enfance : la malade a vécu, pendant
n avoir trop on troppeunommeilyaanesthésjeethype- resthésie. Dans l'
état
normal, le cerveau accepte avec jugement. Dans
hésie. Dans l'état normal, le cerveau accepte avec jugement. Dans l'
état
d'entêtement, le cerveau n'accepte pas, car il n'
au n'accepte pas, car il n'y a pas assez desucgestibilité. Dans l'
état
d'itypersuggestibilité, de nature hystérique ou a
ation à la chirurgie; le cas d'une jeune fille hystérique, tenue en
état
de somnanbulisme pendant cinq mois, sans réveil,
autres ; il veut aussi paraitre supérieur aux yeux de sa femme; son
état
résulte d'un amour propre excessif porté jusqu'
femme; son état résulte d'un amour propre excessif porté jusqu'à l'
état
morbide. Guérison de symptômes hystériques spas
ite de surmenage et d'émotions et guéries par simple suggestion à l'
état
de veille. La thérapeutique suggestive en ophth
: « Succèssur toute la ligne. » La suggestion somnoformique, dans l'
état
d'hyponar- cose ou de narcose subliminale, trio
'il a faites sur l'hypnotisme chez le cheval; il expose surtout les
états
de charme et les effets thérapeutiques produits
etc. Très intelligente, elle avait la conscience très claire de son
état
morbide et de l'absurdité de ses phobies, mais
jolie et très riche, elle ne manquait pas de prétendants malgré son
état
mental qu'elle parvenait encore, il est vrai, à
ns après, qu'elle était toujours aliénée. Cette complication de l'
état
obsédant par une crise de manie ou de lypémanie
e sait, la jalousie pathologique peut être l'un des symptômes des
états
psychopatiques les plus variés; bien souvent on o
t dites, la jalousie pathologique se rencontre quelquefois dans les
états
mélan- coliques séniles chez les femmes et chez
conjugale, alors pour quelque temps elle se tranquillise, mais cet
état
de tranquillité ne dure pas longtemps; les idées
taue sont accompagnées d'une anxiété mentale très accentuée et d'un
état
d'angoisse, qui atteint parfois un degré très g
ée que, peut-être, dans de pareils cas existe une combinaison des
états
psychopathiques ; la malade, dont il s'agit, prov
rie : C..., a de l'incontinence d'urine, mais n'est pas gâteux, L'
état
de démence, d'mconscience, avec perte absolue de
actuelle. Depuis son entrée, ce malade reste alité. Il est dans un
état
de torpeur presque complète, indifférent à tout
l'influence du régime lacté. Le malade devient moins triste, mais l'
état
démentiel ne subit aucune modifi- cation. En
nt on ne retrouve que 13 gr. 50 eu vingt-quatre heures. Depuis, l'
état
est devenu stationnaire ; on note au point de vue
terets semble bien prouver que ces excès sont de date ancienne. L'
état
du malade est sensiblement le même après un séjou
s'occuper tant à cause de sa faiblesse musculaire qu'à cause de son
état
démentiel relatif, se plaint chaque matin de sa
quelques purgatifs drastiques eurent une influence heureuse sur cet
état
. Toutefois, les symp- tômes ne rétrocédèrent qu
ant deux heures. Elle était soumise à une sorte de suggestion à l'
état
de veille. Les tics persistaient, atténués par se
ion changerait de face et nous ne serions plus en présence que d'un
état
dégénératif qui prendrait naturellement place a
que de ces stéréotypies démentielles, c'estqu'onles observe dansles
états
pas- sagers où définitifs où le pouvoir inhibit
(de Paris). Les anomalies de la fonction motrice signalées dans les
états
catatoniques revêtent deux modalités 224 4 SOCI
formes de psychoses et de névro- ses, et même au cours de certains
états
pathologiques aigus (infections, intoxications)
hénomènes chez tous les sujets, de même qu'on explore aujourd'hui l'
état
de la réflectivité ou de la sensibilité. On peu
es malades de la section et y inscrit les modifications que subit l'
état
physique ou mental de l'aliéné. Il tient, enfin,
comparaison avec les poids antérieurs, est toujours renseigné sur l'
état
de nutrition de l'a- liéné. Quand un aliéné m
fférents délires des alcooliques, delirium tremens, rêve prolongé l'
état
de veille, etc. Telle est aussi la paralysie géné
nt l'hyper-excitabilité de faiblesse à laquelle il faut rapporter l'
état
de suggestibilité et particulièrement celui qui
1 700. Ces diverses modifications se rencontrent dans de nombreux
états
physiologiques et pathologiques ; elles ne parais
es et pathologiques ; elles ne paraissent pas caractéristiques de l'
état
infectieux. Il n'existe donc pas, en réalité, d
Ils rendent ainsi leurs malades moins aptes à être soignés, car à l'
état
mental dû aux lésions cérébrales, viennent s'aj
ce qu'elle savait très bien que cet exercice était nécessaire-à son
état
(rachitisme). Vu les progrès réalisés, on a pu
rmer sans crainte d'erreur que le rachitisme et l'idiotie sont deux
états
qui peuvent avoir entre eux des rapports étroit
très irrégulières. Les prémolaires et molaires sont en très mauvais
état
. En bas, les quatre incisives et deux camnes exis
. Des observations dans la clientèle me montraient, dès 1890, que l'
état
de veille rele- vait des mêmes phénomènes et en
Les rayons X sont égale- ment puissants comme sédatifs de certains
états
douloureux; il en est de même des effluves viol
Les parap)<'gi'es'=pasmo- diques.sout, incontestablement, un des
états
paralytiques qui ont SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 l
ces indéter- minées, restent indéfiniment stationnaires, sans que l'
état
général du sujet s'altère, et sans qu'il appara
pas d'atrophies, pas de véritables para- lysies, mais seulement un
état
de contracture plus ou moins accen- tué, intére
ésente les signes classiques de paraplégie spasmodique. Ce sont ces
états
qu'il est possible d'améliorer dans des proportio
ur la pau- pière inférieure. Le même fait se produit d'ailleurs à l'
état
nor- mal, quand les yeux sont clos, mais il est
tives, le désir de recommencer. Par la répétition, l'acte passe à l'
état
d'habitu- de ; le besoin de l'exécuter devient
constaté des diffé- rences qui nous ont paru être en rapport avec l'
état
du tonus. i° Chez les sujets sains et pour un m
es cas présenter des écarts et que ceux-ci sont en rap- port avec l'
état
du tonus : ce nombre augmente quand le tonus di
e toutes les opérations psychiques, diffi- culté d'attention, léger
état
de rêve, mal de tête, angoisse, anxiété et idée
intellectuelle, pensée pénible, asthénie très prononcée. Retour à l'
état
normal par gué- rison de l'empyème. , IV° Ces
id. Mal de tête, sensation de plénitude du crâne, angoisse, parfois
état
de demi-rêve, impossibilité de diriger la pensé
IÉTÉS SAVANTES. 271 1 bration automatique qui détermine une sorte d'
état
de rêve. Une sensation de dépression physique e
e sensation d'angoisse constante qui, chez l'adulte, détermine, à l'
état
de veille, de l'anxiété et de l'irritabilité, une
passent très dillérem- ment et se rapprochent de ce qui a lieu à l'
état
normal. AI)rès 'e trace d'épuisement (dont le n
ntre que le relèvement de la courbe est rapide et soutenu comme à l'
état
sain. Ces résultats constituent un nouvel argumen
ré de difficulté insurmontable ni brisé de dents, même en mau- vais
état
. L'introduction de la sonde est des plus simples,
peuvent étie observées des aggravations, sous l'influence de divers
états
physiologiques (période de pubeité, période d'inv
sédants symptomatiques, qui peuvent être observés dans diffé- rents
états
psychopathiques (hystérie, épilepsie, démence pré
eille à celle qui existe, par exemple, entre la mélan- colie et les
états
mélancoliques. La constitution idéo-obsessive se
lie, remontait déjà à une période éloignée, et comme d'autre part l'
état
de conservation parfaite des foetus indiquait q
en tout point analogues à ceux que l'on observe chez les médiums; l'
état
mental des « aliénés » de ce genre semble n'êtr
de ce genre semble n'être que l'exagération, le grossissement de l'
état
mental propre à tous les médiums. Lorsqu'on étu
étudie, en effet, au point de vue de sa physiologie pathologique, l'
état
mental d'un médium, on voit qu'il résulte d'une
dont l'observation a été présentée, aux phénomènes ordinaires de l'
état
médiumnique (communication avec les esprits, éc
méthode rigoureuse dont voici les temps principaux : 1° Provoquer l'
état
d'hypnotisme, c"est-à-dire un état physiolo- gi
emps principaux : 1° Provoquer l'état d'hypnotisme, c"est-à-dire un
état
physiolo- gique caractérisé par la diminution d
e trac. 4° Lorsque ces suggestions ont reproduit artificiellement l'
état
anxieux, neutraliser les images génératrices de
'est-à-dire du langage écrit et le bégaiement du langage parlé. L'
état
de conscience dans lequel se manifestent ces trou
est mental avant d'être moteur. Le seul traitement rationnel de ces
états
de conscience est la suggestion hypnotique tend
ison par la suggestion hypnotique. M. PAUL Magnin. Interprétation d'
états
hyonotiques survenus spontanément chez les hyst
u de Présentation d'un appareil pour l'hyp- notisation. M. Doyen. L'
état
mental des opérés. M. DEMOVCHY. Paralysie vésic
de. Influence des fermentations diges- tivessur le caractère et les
états
mentaux. BIBLIOGRAPHIE. XV. Psychopathologie
et dont il a été très longuement parlé dans les Archives. XXII. L'
état
mental des parricides (étude médico-légale); par
étudie un grand nombre de faits médico-légaux qui font ressortir l'
état
mental des parricides, caractérisé par l'irres-
s d'un sommeil léger ; leurs rêves sont fréquents et influent sur l'
état
de veille. 11 peut arriver que chez certains ma
. N, 94. ARCHIVES DE NEUROLOGIE MEDECINE LÉGALE. Rapport suri
état
mental du nommé D..., inculpé d'outrages ; 1*
izaine de confrères sans qu'il ait été possible de le mettre hors d'
état
de nuire par suite des défectuosités de la loi
ment d'Orléans, en date du 18 décembre 1902, à l'effet d'examiner l'
état
mental du nommé D.. , représentant de commerce,
e de ses méfaits, afin de faire ressortir la caractéristique de son
état
mental et d'étayer mes conclusions sur des bases
laignant de la mesure qui a été prise ii son égard. rapport SUR l'
état
mental DU nommé D... 291 ment recommandé par so
sécuté alcoolisé avec pé- riodes d'excitation. Il admettait que son
état
ne nécessitait pas un internement immédiat, mai
s voitures, un tapissier pour refaire son salon, puis rapport SUR l'
état
mental DU nommé D... 293 un gazier, un maître d
assisté d'agents en bourgeois, mercredi prochain. Je rapport SUR l'
état
mental DU nommé D... 295 « pleure, je pleure to
dans les rues de Versailles le directeur de la maison rapport sur l'
état
mental du nommé d... 297 centrale de Poissy. Un
on opinion mérite d'être citée : « D..., dit-il, est un dégénéré eu
état
à peu près constant de déséquilibratiou mentale
déséquilibratiou mentale. Les excès de boisson aggravent encore son
état
et il existe de fortes présomptions pour qu'il
constituer prisonnier, il trouve le moyen d'outrager rapport SUR l'
état
mental DU nommé D... 299 M. Tomps, commissaire
« actuellement un malade irresponsable et séquestrable, mais son «
état
mental est de nature à le faire bénéficier de l'i
nal jugeant que sa responsabihlé était atténuée par suite de son
état
habituel de surexcitation, réduisit la peine à 15
e un bon tour aux agents. Le 26, nouvelles cattes in- rapport SUR l'
état
mental DU NOMMÉ D .. 301 jurieusesà M. Temps ;
t-elle varier sur son compte, soit que l'on considère rapport SUR l'
état
mental DU nommé D... 303 l'état précis dans leq
que l'on considère rapport SUR l'état mental DU nommé D... 303 l'
état
précis dans lequel il se trouve au moment de l'ex
; 2° Il est irresponsable des actes qui lui sont reprochés ; 3° Son
état
mental nécessite son internement ; 4° De plus,
ILEPTIQUES EN ANGLETERRE. 309 peut contenir dix épileptiques dont l'
état
exige des soins médicaux. La direction en est c
asse de malades dont le traitement promet de bons résultats et leur
état
est susceptible d'une grande amélioration. Ils
er l'école. Il y a sans doute un grand nombre de ces enfants dont l'
état
exigerait l'envoi dans des colonies d'épileptiq
âge possible, qu'il a admis 24 jeunes gar- çons de quatorze ans. L'
état
de ces derniers s'est amélioré TRAITEMENT DES É
es auto- rités scolaires de Londres (London School Board), dont l'
état
exige des soins dans un établissement d'épileptiq
C'est ainsi que Pochon nous a donné une bonne définition des divers
états
d'agitation, et avec lui on peut décrire l'excita
excitation extérieure, de toute douleur, l'on reste vigile, et cet
état
peut durer des nuits et des nuits; les neurasth
ls ressentent. Tous les hallucinés, en général, dorment mal; dans l'
état
d'atten- tion expectante où ils se trouvent, ce
du sommeil, la plus grande profondeur du sommeil étant atteinte à l'
état
normal, d'une façon rapide dès les premières he
l y a une diminution anormale du besoin de sommeil, d'où résulte un
état
d'exhaustion nerveuse qui peut être grave; 2° les
à l'insomnie, comme conséquence grave au point de vue psychique, un
état
de confu- sion mentale. Ces observations de Jan
de vue des applications thérapeu- tiques contre l'insomnie. C'est l'
état
de la circulation sanguine. On sait le rôle qu'
st bien évident que le sommeil médi- camenteux est indépendant de l'
état
de la circulation, car il sur- vient, comme on
l'on a faites jusqu'ici au sujet de l'action des médicaments sur l'
état
vaso-moleur de la circulation cérébrale. C'est
si encore un point qui nous intéresse ici particulièrement. c'est l'
état
de la circulation générale dans ses rappotts avec
ression san- SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 "uine moyenne correspond à un
état
normal du sommeil, qu'au- dessus et au-dessous
n- sion. Chez les neurasthéniques, il s'agirait spécialement d'un
état
habituel d'hypotension exagérée, De Fleury a ob
ervé un de ces malades chez qui la pression, déjà souvent basse à l'
état
de veille (100 à 140 millimètres), tombait, le
Ce phénomène parait être un phénomène très général dans tous les
états
d'épuisement (fatigue, inanition, etc.) ; mais il
ut dire que la moitié de nos malades sont amenés dans les asiles en
état
d'agitation : la statistique de M. Magnan, que
rejeter dans tous les cas où l'on peut craindre l'exagération d'un
état
spasmodique. Il n'en est pas moins un hypnotique
oses frac- tionnées ont pu être employées comme sédatif dans divers
états
d'agitation. Le chlorétozze, très peu répandu e
n ne devra l'employer dans ce but qu'en cas de nécessité et quand l'
état
physique ne s'y oppose pas. D'autres, d'ailleur
ie agitante où elle procure sou- vent un véritable soulagement de l'
état
de raideur si pénible. Trénel rappelle pour mém
e dire qu'ou l'ordonne sans discernement. On considère que tous les
états
d'ex- citabilité névropathique en sont justicia
dans les cas de grande excitation, de façon à obtenir, comme dans l'
état
de mal, un état permanent de sommeil bromique,
grande excitation, de façon à obtenir, comme dans l'état de mal, un
état
permanent de sommeil bromique, suivant l'expres
age pas ici à ce point de vue. Comme mode de traitement de tous les
états
d'agitation, avec quelques exceptions spéciales (
fisante. Mais de l'avis de ceux qui ont expérimenté l'alitement les
états
aigus d'agitation évoluent d'une façon bien moins
somnie, surtout chez les neurasthéniques, les hystériques, dans les
états
nerveux des adolescents, nous devons citer le b
la dose de 300 à 1.000 grammes. En même temps qu'elles améliorent l'
état
général, elles atténuent et parfois font dispar
e 34° à 26° et d'une demi-heure de durée. Chez les mala- des dont l'
état
de la fonction cardio-vasculaire ne peut plus uti
raitre ces accidents. L'orateur ajoute que c'est seulement dans les
états
d'excitation qu'il a recours à la scopolamine,
ur-Yon). La sitiophobie des alié- nés est communément attribuée à l'
état
saburral des voies diges- tives, à des hallucin
iment. Absence de troubles digestifs; modification progressive de l'
état
mental par la diminution des fonctions psychiqu
es à 1 gramme d'iodothyrine a amené une grande amélioration de leur
état
et, même chez certains, l'absence complète des
contracturer, surtout à droite. J'arrivai alors, par suggestion à l'
état
de veille et application de la main sur la régi
meil peut penser et travailler consciemment; mais c'est un autre
état
de conscience. Réveillé, le sujet ne se rappelle
dégénérés. ,)111" le Dr lOTB1&0 (Bruxelles). Les muscles mis en
état
de dé- générescence (section du nerf) présenten
sensibles au courant galvanique. Il ressort de mes recherches que l'
état
variable du courant galvanique (fermeture et ou
les. Mor- phologiquement, le muscle dégénéré présente un retour à l'
état
em- bryonnaire : diminution ou disparition de l
otoplasmi- ques renfermant un cylindraxe central caractéristique. L'
état
embryonnaire de ces éléments permet d'affirmer
démence est double : il consiste : 1° à distin- guer la démence des
états
qui la simulent (stupeur, troubles anec- tifs)
s dans l'affaiblis- sement psychique et n'existant dans aucun autre
état
. Il faut donc réunir plusieurs symptômes et exc
ngénitale. Chez le dément précoce , l'inhibition forme la base de l'
état
psychique; le dément précoce est un inhibé (Meeus
s mouvements sans signification propre) se présentent dans tous les
états
passagers ou définitifs où le pouvoir inhibiteu
hibiteur cortical est atteint, en d'autres mots dans la plupart des
états
de stupeur cérébrale (traumatisme, délire aigu,
s variées (tumeurs et abcès encéphaliques ; alcoo- lisme, hystérie,
états
démentiels organiques et vésaniques) une altéra
une sorte de régression de la mentalité ou stade de l'enfance. Cet
état
morbide se marque par une série concordante et
ue, le puérilisme représente une modalité clinique particulière des
états
démentiels. Quelle que soit l'étiologie de ce
iels. Quelle que soit l'étiologie de ce syndrome, il s'agit là d'un
état
psychopathique spécial qui n'est, à proprement
ication sur le Puérilisme de M. le D'' Duphé, M. Marie rappelle les
états
d'enfance spirituelle des auteurs mystiques don
dans les Archives de Neurologie en 1897. M. Marie rapproche de ces
états
de pué- rilisme paroxystiques, ceux permanents
myélie. Schlesinger et Kienbock des premiers, ont été frappés par l'
état
mental spécial présenté par certains malades, n
ellectuelles. Ce sont là en somme les premières manifestations d'un
état
mélancolique qu'on pourra rencontrer beaucoup p
re en effet considérés comme indépendants de la syringomyélie car l'
état
de dépression dans lequel fut plongé le malade
miné la production de la syringomyélie ont placé le cerveau dans un
état
de moindre résistance favorable à l'éclosion de
ciées à la syrin- gomyélie, on peut observer à des degrés divers un
état
mental caractérisé par un état de dépression mé
peut observer à des degrés divers un état mental caractérisé par un
état
de dépression mélancolique plus ou moins pronon
quer d'idées déli- rantes de persécution et d'idées de suicide. Cet
état
mental naîtrait sous l'influence de la perturba
s sphinctériens par exemple), sa production serait favorisée par un
état
de moindre résistance du cerveau lésé par les fac
ient per- manente, involontaire, chez des sujets prédisposés par un
état
psy- chopathique spécial. Le tic de léchage c
dence DE M. LE professeur Masoin. De la suggestion matérialisée à l'
état
de veille. M. L. PEETEas (de Bruxelles. L'aclio
elles. L'aclion thérapeutique de la sugges- tion, hypnotique ou à l'
état
de veille, n'est plus contestée actuelle- ment
hypuothérapie, tous cependant em- ploient la suggestion verbale à l'
état
de veille. A cette dernière nous ajoutons, depu
er de la suggestion religieuse ? Nous pensons que la suggestion à l'
état
de veille, sous forme ma- térialisée, doit entr
dorment pas du tout, mais ils sont très faciles à suggestionner à l'
état
de veille. Les malades se réveillent eux-mêmes,
osensorielles, je réalise avec ce produit l'un ou l'autre des trois
états
psychologiques suivants : I. Narcose confirmée.
eine conscience, mais seu- lement subconscience ; c'est une sorte d'
état
d'automatisme. Les diverses sensibilités peuven
tent un certain degré d'activité onirique. III. Hyponarcose. Cet
état
avoisine la narcose confirmée, sans l'atteindre
ticularités pathologiques qu'il refusait obstinément de révéler à l'
état
de veille. Au point de vue thérapeutique, chacu
'état de veille. Au point de vue thérapeutique, chacun de ces trois
états
compo : te des indications spéciales : I. L'h
suggestions appropriées à son cas, le malade qui les repoussait à l'
état
de veille. Cette narcose convient, en particuli
sion morbide les harcèle et empêche l'invasion de l'hypnose. Mis en
état
d'hyponarcose, ils ont la notion que tous les o
, arguant qu'il leur enlèvera'leur libre arbitre et les réduira à l'
état
de machine ; ils acceptent sans répugnance cette
opération capable de libérer l'organe prisonnier et de le mettre en
état
de fonctionner plus normalement. Mon excellen
2- série, t. XVI. 21 370 SOCIÉTÉS SAVANTES. térie, en aggravant l'
état
d'engourdissement des centres nerveux, caractér
git ordinai- rement, dans les cas d'hystérie dite morphinique, d'un
état
hysté- rique méconnu ou latent, qui se développ
e. La morphinomanie au cours de l'hystérie primitive constitue un
état
très grave au point de vue de la récidive. La per
nt de vue de la récidive. La personnalité hystérique se combine à l'
état
morphinique, de sorte qu'il y a un rapport diff
vésanies sur la réparation des plaies, parfois ralentie dans les
états
dépressifs, parfois aussi accélérée au cours de l
respiratoires à 40 environ). Au huitième jour, l'amélioration de l'
état
général, l'in- dolence et les bonnes apparences
taines dys- trophies n'ont pas une origine poiygiandutaire. En tout
état
de cause il y a lieu de rechercher les cas où,
subintrantes. Toute une moitié du visage présente sans rémission l'
état
de contracture fré- 7nissctzzle : sur un fond d
n Nahlosky, pour qui les changements organiques n'exis- tent qu'à l'
état
de réflexes. rad 1 Pour W. James, les causes gé
x et Natrium lodatum en dedans. Sous l'influence de ce traitement l'
état
du malade ne s'améliora pas, bien au contraire,
et CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA CACATONIE. 409 d'espérer que leur
état
s'améliorera. Nous nous en félicitons d'autant
élancolie qui ne fut évidemment pas sans influer fâcheusement sur l'
état
physique. En mai 1903, à l'arrivée dans le serv
race d'idée délirante, mais elle déclare ne rien com- prendre à son
état
habituel. Le lendemain cet état habituel a repa
déclare ne rien com- prendre à son état habituel. Le lendemain cet
état
habituel a reparu. Puis commence à s'écorcher l
occupations, d'idées tristes, et 412 ) CLINIQUE MENTALE. après un
état
intermédiaire de confusion mentale. (Si l'on aj
ne parente malade. Puis elle reprend son service habituel, mais son
état
général est altéré par suite des fatigues qu'el
interrup- 414 r CLINIQUE MENTALE. tiens) et une amélioration de l'
état
physique, l'activité cérébrale reparait peu à p
s, confuses. Aucun souvenir de ses impulsions vio- lentes. Puis l'
état
mental semble s'améliorer, et. le 6 juillet 1902.
encore démente et que l'on peut pour ainsi dire à volonté mettre en
état
catatonique ; ce n'est pas une hystérique. Voic
tions, elle fait un signe de tête affirmatif ou négatif. Malgré cet
état
n'est pas gâteuse. Ainsi nous la voyons pendant
écrit à sa famille, mais elle n'a pas la moindre conscience de son
état
, ne s'explique pas sa présence dans le ser- vic
dont la paralysie générale n'a pas évolué présente toujours le même
état
flou des papilles. Six autres malades chez lesq
tandis que la gauche était normale ; Onze malades présentaient l'
état
flou des deux papilles, la droite seule était a
e M. 7.aniétosl;y, noter très exactement la moindre exacerbation, l'
état
latent momentané des phénomènes morbides, l'ins
termine presque toujours; pour les autres régions, cela dépend de l'
état
de l'excitabilité réflexe et non seulement selon
de Reinliold (Deutscbe Zeitschr. f. Kervenbeitk. X. 1897). Dans l'
état
actuel de nos connaissances il est impossible d'a
potasse à 0,25 ou 1 p. 100 : on atténue par l'acide sulfurique à l'
état
naissant. Enfin, on lave rapidement à l'eau, on
s muscles des extrémités du tronc, du cou, de la face présentent un
état
de tension très marqué. La physionomie a l'aspe
signes objectifs des troubles de la sensibilité suggérés pendant l'
état
hypnotique, par W.-M. Bechterew et 1'. N.ui- HO
1e suggérées sur la respiration et le pouls avant, pendant, après l'
état
hypnotique : effet sur la courbe respiratoire e
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 437 Pupille.- A l'
état
de veille les pupilles se dilatent sous l'influen
-de l'épingle pour que ses pupilles se dilatent. La suggestion d'un
état
d'hypéresthésie ne présente pas de phénomènes d
e ne présente pas de phénomènes différents de ceux qui ont lieu à l'
état
de veille. Il est difficile chez les personnes
me des ondes respiratoires est diminuée ; quand le sujet passe de l'
état
de veille à l'état hyp- notique, il fait quelqu
atoires est diminuée ; quand le sujet passe de l'état de veille à l'
état
hyp- notique, il fait quelques excursions respi
de la respiration et du pouls, tandis que ces fonctions offrent à l'
état
de veille, dans les mêmes conditions, des oscil
ème circulatoire réagit aussi notablement moins alors que pendant l'
état
de veille, tandis que si l'on suggère l'hypéres
granuleux. II. Homme de trente et un ans, atteint de paralysie :
état
ma- niaque avec idées de persécution, alcoolism
lisse; reins granuleux. R. de Musgrave-Claï. XXXIX. Sur quelques
états
de la moelle dans les anémies graves, par ARCII
dix REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. iI fois un
état
de dégénérescence de la moelle, sur lequel dans d
ères à souffrir les altérations dont il s'agit se traduisent par un
état
de sclérose. La preuve que l'anémie est le fact
- nicieuse classique, mais qu'elles se rencontrent aussi dans les
états
cachectiques de longue durée dans la genèse desqu
dinairement obscurs, et souvent masqués aux yeux du praticien par l'
état
général grave sur lequel ils se greffent. Dans
n de volume des muscles ne dépasse pas le degré qui concorde avec l'
état
d'émaciation des anémiques, ordinairement aussi
uentes. La durée de ces troubles dépend naturellement de celle de l'
état
anémique qui les a provoqués. L'auteur termine
servations sur le traitement, qui doit être surtout dirigé contre l'
état
du sang, et il relate six observations intéress
que l'on ait observé chez ce malade est un sommeil persisatnt. Cet
état
de somnolence fut constaté pour la première foi
le génératrice de la neurasthénie sans s'occuper en même temps de l'
état
général, et que, d'autre part, le résultat n'es
n'est pas plus satisfaisant si l'on se préoccupe exclusivement de l'
état
nerveux sans soigner simultanément les causes acc
MENTALE. 443. que la castration a été proposée pour remédier à cet
état
de cho- ses, et que cette proposition n'est pas
cas, sans phénomènes moteurs bien accusés et qui n'aboutit pas à un
état
démentiel aussi grave que les autres variétés d
; par une certaine lucidité : le sujet a quelque conscience de son
état
mor- bide et, si, sous l'influence des rêves du
xcellente. P. Keraval. IV. Contribution à l'analyse clinique de l'
état
de négation (négativisme) chez les aliénés; par
H. Lcnuosc. Cecttral6l. f. Nervenlieith. XXV. N. F. XIII, 1902. L'
état
de négativisme n'est certainement pas un symptôme
ements du REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 445 tout comme en certains
états
de stupeur où coexiste le syndrome du négativis
é mentale d'exécuter un mouvement voulu ou demandé est le fond de l'
état
de négativisme de certains cata- toniques. Ob
réotypée de raideur qui s'accroît encore lorsqu'on la manipule. Cet
état
de mutisme, de négation, de stéréotypie us-a-vi
obéit pas à sa volonté. On aurait donc grand tort de croire que l'
état
de négation suppose invariablement que les mala
resque toujours déjà disparu; mais son existence est attestée par l'
état
de la peau qui Teste dénudée après l'exfoliatio
urones, par l'intermédiaire du reti- culum péricellulaire, entre un
état
de vibration associée ou corres- pondante, le r
ent les plus usités à Meerenberg contre les psychoses aiguës et les
états
d'agitation sont l'alitement et les ba5as prolo
d'idées, il nous a appris a utiliser la sug- gestion pratiquée à l'
état
de veille, en tant que gymnastique rationnelle,
alade, est un excel- lent moyen d'observation de son délire, de son
état
mental réel. On n'a plus à compter alors avec l
te que de la fatigue de l'organe vocal, soit, au con- traire, qu'un
état
émotionnel transitoire plus profond, une excita
ment des repas et aussi la nuit dans l'insomnie qui résulte de leur
état
maladif. Ces états sont, en général, aigus et
ssi la nuit dans l'insomnie qui résulte de leur état maladif. Ces
états
sont, en général, aigus et, par conséquent, dur
sionomie, leur gesticu- lation désordonnée sont plutôt le fait d'un
état
d'excitation psycho-motrice connexe que les cor
e, je le ? tiens. Voleurs, assassins. » Dans d'autres cas, c'est un
état
émotionnel intense qui provoque le monologue.
tre troublé le plus beau jour de sa vie... » Enfin l'épileptique en
état
de démence ou de déchéance complète monologue a
fférentes conditions psychologiques du monologue n'existent pas à l'
état
isolé, mais s'associent, pour le pro- duire, le
ns les plus diverses. Tel est par exemple le cas de F..., malade en
état
de démence alcoolique avec excitation constante
s les formes chioniques, il nous a paru se montrer surtout dans les
états
de démence et dans les délires systé- matisés c
es systé- matisés chroniques, mais tout particulièrement dans les
états
désignés sous le nom de délires systématisés seco
rien d'étonnant si l'on se rappelle que pour beaucoup d'auteurs ces
états
correspondent à une affec- tion chronique en ma
tout en rapport avec les délires systématiques, le décousu avec les
états
d'excitation générale ou de démence. Si décousu
.. on l'est malade, mais on ne le croit pas. La force physique, l'
état
nerveux ; l'être n'a pas d'autre chose que l'acte
t les vésanies d'accès ou un paroxysme passager au cours d'un autre
état
vésanique. Les monologues d'origine hallucinato
uivi ; ils indiquent alors une forme systéma- tique chronique ou un
état
démentiel. Ils se rapprochent alors des monolog
nt, en général, graves, et, d'autant plus graves qu'on arrive aux
états
d'inconscience si accentués propres aux formes ch
guës ou des périodes d'agitation. Le se- cond se rencontre dans les
états
chroniques, qui, contrai- rement aux premiers,
turne et dans ce cas il est le plus souvent la manifestation d'un
état
maniaque, d'une excitation passagère. Le mode d
maniaque et chez le persécuté. Le premier soliloque en vertu de son
état
d'excitation générale, le second sous le coup d
alité de ses hallucinations et leur localisation unilatérale. Cet
état
anxieux, avec son éclosion peu après la méno- p
ttention qu'il fixe et dérive à son profil, en engendrant ainsi cet
état
de distraction qui porte atteinle à l'intégrité
rvenue, et, s'emparant du phénomène primordial, resté jusque là à l'
état
rudimentaire en a fait la conception délirante
lumière par le professeur Joffroy : la prédisposition : « C'est l'
état
llallucinogénique du sujet et non la lésion céréb
mmédiatement que la malade de Pick est une aliénée chronique dont l'
état
hallucinatoire remonte probablement à une date
bles de l'observation sont l'abaissement de la pression sanguine, l'
état
à peu près sain des reins et l'absence de toute
à peu près sain des reins et l'absence de toute arlério-sclérose. L'
état
du foie serait de nature à faire penser à l'alc
e céré- brale et insiste sur l'utilité de soigner attentivement les
états
pathologiques capables de lui donner naissance.
maintient de la façon la plus naturelle aussi longtemps que dure l'
état
de distraction. (Revue neurologique, février 1901
nt le pouvoir excito-muteur de^ cornes antérieures, déter- minent l'
état
spasmodique des paraplégies d'évolution progres-
beaucoup d'épileptiques, des paralytiques généraux, des ivrognes en
état
de démence, épuisés 'par de longues années d'al
années d'alcoolisme, des imbéciles et des idiots, des maniaques en
état
de récidive, des fous circulai ! es, des sujets
rmerie ; il y a près de 400 épi- leptiqii( ? répartis, suivant leur
état
, entre l'infirmerie et les quartier.- ordinaire
et même d'homicide sont réduits à leur minimum. Si l'on com- pare l'
état
actuel à l'étal ancien, le calme des salles et de
un sommeil réparateur leurs journées deviennent meilleures, et leur
état
mental et physi- ASILES D'ALIÉNÉS. 521 que va
és guéris et aux aliénés au début de leur maladie men- tale, dont l'
état
permet, ne fût-ce que temporairement, le place-
médecin de la cour de justice, on y place aussi les inculpés dont l'
état
mental a besoin d'être étudié. La salle a la form
co-légal, les élèves trouvent là une oc- ccasion rare d'apprécier l'
état
mental et la responsabilité des in- culpés, sus
ont été nuls. Il. DE IUSGRAVE-CL.1Y. VU. Les mesures prises par l'
état
à l'égard des aliénés; par L.-J. Morton (The Ve
t bien d'une lésion organique. Cette femme était donc atteinte d'un
état
organique qu'étaient venus compliquer transitoi-
r.r.I>; et DESCf,U ? avec leur méthode spéciale, ont exa- miné l'
état
de la musculature oculaire de trois tabétiques. L
le traitement thyroïdien qui amena une amélioration sen- sible de l'
état
mental. Les états oedémateux fréquents chez les d
roïdien qui amena une amélioration sen- sible de l'état mental. Les
états
oedémateux fréquents chez les dé- ment* ! préco
(ancien chef de clinique médicale à la Faculté de Lille). Parmi les
états
pathologiques d'observation courante, il en est
ves, le désir de recom- mencer. Par la répétition, l'acte passe à l'
état
d habitude ; le be- soin de l'exécuter devient
e llruxelles. 2 jmllet 1900. La chorée mentale des enfants est un
état
psychique sur lequel on n'a pas jusqu'ici suffi
de l'attention et de la volition, et greffée le plus souvent sur un
état
d'insuffisance psy- chique peu prononcé. L'in
un état d'insuffisance psy- chique peu prononcé. L'intérêt de cet
état
mental cou iste surtout dans l'efficacité du tr
ice du quartier du Pout-de-1'iandre, prévenu par des voisins, que l'
état
de surex- citation de leur co-locataire avait i
Voir Pavillon d'isolement. Contribution à l'analyse clinique de l'
état
de négation (négntiusme) chez les aliéné», pa
5. Ppi1\1.lTIQt'ES généraux. Nouvelle contribution à l'étude de l'
état
du fond de l'oeil chez les -. Atro- phie papi
eur méctullane, par Ravmond et Cestan, 519. Parkinson. Noie sur l'
état
des ré- flexes tendineux et des réactions éle
on, par Huet et Alquier,7S. 552 TABLE DES MATIÈRES. Parricides. L'
état
mental des -, par Asselin, 8,ï. En(ant-, 38f
é. Les signes objectifs des troubles de la - suggérés pen- dant l'
état
hypnotique, par Brclr Lerew, IE36. - Voir Troub
ance génitale. - 1'u,r Troubles utérins De la - mate- mallsrr a l'
état
de veille, par I)ee- ters. 3ti. - Voir Crises h
ostic du -, par Faute, 259. Voir Roentgen. TABETIQUES. Note sur l'
état
des fi- bres à myéline du plexus card.a- que
t, 268. - psychiques, voir Sclérose. - de la sensibilité dans les
états
neurasthéniques et mélancoliques, par Dubois, 2
vail automatique et aux fantaisies délirantes qui caractérisent son
état
physique actuel. Sa pensée était toujours absen
ènes dans la suite. 0 6 CLINIQUE MENTALE. '- Au printemps 1901, l'
état
nerveux du ménage était précaire, celui de M. S
re- nait si bien sa défense était l'esprit de sa belle-mère. Dans l'
état
d'éréthisme nerveux où elle était,elle la senta
re passée au second plan disparaisse jamais tout à fait. Vision.- L'
état
nerveux de Cam... s'aggrava encore, elle devint
s. En par- lant de son séjour en Suisse, elle mentionnait souvent l'
état
nerveux grave pendant lequel elle disait avoir
ortnaturel, car, au moment de ces acquisitions, elle était en plein
état
de psychasthénie et dans des conditions excellent
, qu'elle avait mis de soin à nous les cacher la première fois. Son
état
physique est mauvais, elle ne dort pas, l'appét
in n° 2 par exemple, après une conversation banale, Cam... entre en
état
d'inspiration, elle ferme les yeux. Son crayon
, avec jambages allongés. L'inspiration cesse, elle revient à son
état
ordinaire et continue la conversation; il s'agi
le). PAR G. PAUL-BONCOUR. Dans les encéphalopathies infantiles, l'
état
du crâne né doit pas rester inaperçu : il n'est
tude de la craniolbgie a mis en évi- dence : la boîte cranienne à l'
état
normal permet au cerveau de prendre le développ
- logie « sur la morphologie crânienne dans ses rapports avec les
états
pathologiques du cerveau ». Nous avons présenté
expression de cet arrêt de développement. C'est la persistance d'un
état
cranien infantile, dont l'étrangeté tient souve
que certains caractères ne sont pas le fait de la persistance d'un
état
infantile : l'épaisseur des parois craniennes,
du liquide. On voit sur les Planches VIII et IX les hémisphères à l'
état
naturel' et après leur incision. Le crâne (fig.
de IilUSGnAVE-CLAY. II. L'épilepsie ne peut pas être causée par des
états
toxémiques ; par W. HAMILTON Hall. (The Journal
sus d'irritation. Le polynucléaire seul, traduit par sa présence un
état
congestif ou inflammatoire, car il ne peut veni
ude d'un malade ayant présenté d'abord un syndrome céré belleux à l'
état
de pureté, puis devenu plus complexe par suite de
émianopsie latérale homonyme. Ce phénomène se présente rarement à l'
état
isolé, comme dans les hémorrhagies et les ramol
e une certaine rotondité; les os sont ramollis, épaissis, il y a un
état
spongieux vasculaire du diploë, les sutures dis
pêche l'excitation indéfinie de la réponse efférente, laquelle, à l'
état
normal, ne se fera que de la manière habituelle
é mentale congénitale où l'intervention chirurgicale ait rétabli un
état
mental normal. D'ailleurs l'inutilité de ces opér
considérable des travées vasculo- conjonctives que l'on trouve à l'
état
normal entre les faisceaux nerveux. Les nerfs d
une diffé- rence et par produire ainsi l'anidéisme, c'est-à-dire un
état
psy- chologique très favorable à l'invasion de
à l'invasion de la suggestion. Dans la pratique, pour provoquer cet
état
de suggestionnabilité, je me sers d'un métronom
ujet. M. Paul MAGNIN. Il y a quelques jours, un malade tombait en
état
d'hypnose, dans mon cabinet, sous l'influence du
inrent deux nouveaux accès épilep- tiques ; le malade était dans un
état
très lourd; la température était un peu plus ha
expression vive des yeux et de la face. Dans le cours ultérieur, l'
état
du malade s'améliora ; les phé- nomènes névriti
a psychose de Korsakotf, le plus souvent, laisse des défauts dans l'
état
psychique des malades, qui concernent principal
s antirabiques, il a été amené à l'hôpital le 1. or mars de 1901 en
état
d'excitation très marquée, et mourut quelques h
titatives des urines nous est d'une réelle utilité pour connaître l'
état
du métabolisme dans l'acromé- galie ; pourtant
, ce traitement devant avoir pour but de ramener le métabolisme à l'
état
normal. L'opothérapie thyroï- dienne ou pituita
nrent point à l'éveiller. Le médecin constata qu'elle était dans un
état
cataleptique com- plet. Tous les moyens' employ
pital Lariboisière. M. Robert, a la tête affreusement brûlée et son
état
laisse peu d'espoir. (Radical 24 mai). ' Le c
on absence, sa malheureuse compagne, qui se ren- dait compte de son
état
, n'attentât à ses jours. . Comment Mme Justier
t sujet à des hallucinations. Il fut transporté à l'hôpital dans un
état
désespéré. (Le Matin, 18 septembre). Sous ce
à l'épaule, au bras et à l'avant-bras, ce n'est qu'à la main que l'
état
est demeuré à peu près iden- tique. Procédons
que montrait alors l'examen. Ce qui frappait tout d'abord c'était l'
état
d'amaigrissement surtout prononcé au niveau des
aler.. ; i 1 .. , L'ir. ? * I LG CLINIQUE NERVEUSE. Tel était l'
état
de la malade lors de son entrée à l'hôpital, ce
Tel était l'état de la malade lors de son entrée à l'hôpital, cet
état
s'est peu modifié pendant son séjour. Je dois pou
sisté. Ces symptômes ont été les seuls qui .soient venus modifier l'
état
clinique de notre malade. Si vous comparez entr
l'extension pour les symptômes locaux et avec retentissement sur l'
état
général : quant aux symptômes cliniques eux-mêm
l convienne de penser de cette opinion, l'existence de la lèpre à l'
état
endémique dans nombre de régions de l'Afrique,
adie a-t-elle été reprise simultanément par les médecins des divers
états
européens justement désireux de prévenir le ret
dermatologiques les plus variées, la desquamation, l'ichtyose avec
état
cyano- tique, la pigmentation dont la- valeur d
érieurs sont trop analogues à celles que l'on observe dans tous les
états
ca- chectiques, ainsi que mon collègue Déjerine
- riques,etces expériences semblent démontrer l'indépendance, à l'
état
normal, de ces deux groupes d'espaces ; toutefois
nes aux autres, certaines se produisant plus spécialement selon les
états
d'esprit ou les états de calme et d'éréthisme ner
nes se produisant plus spécialement selon les états d'esprit ou les
états
de calme et d'éréthisme nerveux par lesquels pa
la consonnance l'enthousiasme et l'exalte. Elle met eu stances ses
états
d'âme et ses impressions. Voici, par exemple, une
orgasme vénérien complet. Elle les décrit : « Deus s'annonce par un
état
de bien-être particu- « lier et lui fait ce qu'
- ralement appeler par Deus dans ces moments-là. Elle compare cet
état
à l'attente d'une mort imminente et désirée, la m
la copie et qui retrace avec beaucoup de vérité le caractère de son
état
psychique dans ces moments-là. Assez long- temp
observa- tion ont duré pendant toute la marche décroissante de cet
état
vésanique. Cette évolution a été complètement r
tions MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 137 spéciales étant l'expression de l'
état
de ses centres automatiques au moment où renaît
t toute cette évolution, la mémoire a suivi les fluctua- tions de l'
état
mental lui-même. Les souvenirs de tout ce qui s
tre ces groupes de souvenirs un peu comme l'auraient fait ceux.d'un
état
second, mais avec moins-de netteté et moins brus-
t on voyait les manifestations délirantes disparaître de la vie à l'
état
de veille et alimenter les rêves du sommeil nor
Spiritisme. - Si l'on peut appeler « tempérament média- nimique » l'
état
psychique qui consiste en la tendance au dédoub
e théo- mane. Bien que chez elle l'élément affectif rapproche son
état
mental de celui des mystiques purs, elle est auss
t la théoma- nie raisonnante. Tous les sujets atteints de semblable
état
ayant pu vivre de la vie extérieure normale dan
sent d'expier ses fautes par des, pratiques religieuses assidues. L'
état
d'incertitude sur sa personnalité qu'il ressent
arrive au sanatorium le 8 avril. Il s'y montre très inquiet de son
état
, il a peur de devenir fou et supplie qu'on le r
onte tout ce qui précède. Bientôt il s'améliore et à mesure que son
état
se rapproche de la normale, il oublie son ancie
e spirite n'a été qu'un épisode établissant la transition entre son
état
de névrose antérieur, caractérisé ho CLINIQUE M
point en solution dans le plasma vivant; il existe dans le sang à l'
état
latent; il adhère aux éléments cellulaires du san
ne et son introduction dans le sang sont de faible quantité, on a l'
état
de mal épileptique et les attaques d'épi- lepsi
dino) en ont éprouvé des effets favorables. , P. Kehaval. XXIX. L'
état
actuel de l'anatomie pathologique du système ne
naît pas de dégénérescence graisseuse de la cel- lule nerveuse. Les
états
dits de tuméfaction trouble ne se voient ni dan
mal par les vibrations n'exerce pas d'influence essentielle sur son
état
général, ni sur le tonus muscu- laiie. Malgré l
, ou narcose, au sens étendu de ce mot, peut être regardée comme un
état
d'éréthisme original, persévérant et sta- hle,
ar des éréthismes d'autre source, tandis que la parabiose serait un
état
plus ou moins durable d'inhibition qui possède
es. Ce n'est pas un réflexe mécanique. Il existe constant. ment à l'
état
normal et échappe à l'influence mentale du sujet.
sions se trouvent inscrites sur le ruban sans fin de l'appareil à l'
état
de courbes dont l'examen et la comparaison fourni
rès difficile, et cependant important pour l'expert, de connaître l'
état
psychique antérieur du blessé, les fa- milles i
UNIÉ rapporte l'observation d'une malade qui, sous l'influence d'un
état
hypocondriaque et à l'occasion de trou- bles de
la préoccu- pation continuelle qu'éprouve la malade au sujet de son
état
phy- sique, ces mouvements par obsession ont un
ain retentissement en exagérant les troubles de la sensibilité et l'
état
hypocondriaque. Ainsi sont nées des idées de su
cette observation plusieurs points sont à noter : 1° La genèse de l'
état
obsédant : dans ce cas il s'agit d'une obsessio
l'obsession s'est présentée sous une forme continue, traduisant un
état
aboulique très prononcé. Partant, cet état ne p
continue, traduisant un état aboulique très prononcé. Partant, cet
état
ne paraît pas susceptible de rétro- céder ; ,
de rétro- céder ; , 2° L'influence exercée par l'obsession sur l'
état
mental : l'idée de suicide et les idées de néga
nts ne cessent point. Le début aigu de la maladie, son évolution, l'
état
du malade, tout cela ne laisse aucun doute que no
autant, qu'il ne pouvait marcher qu'avec l'aide d'nn bâton. Dans l'
état
psychique du malade on ne remarquait aucun change
hoïde, la pyohé- mie, etc., et au début de la maladie on observe un
état
de con- fusion mentale. Un état stable et unifo
u début de la maladie on observe un état de con- fusion mentale. Un
état
stable et uniforme avec oubli et fausses rémini
e reste plus ou moins régulière. Dans les formes plus graves et les
états
plus lourds les fausses réminiscences portent par
psychose de IORSAKOFF est absolument nécessaire la coexistence d'un
état
psy- chique particulier (amnésie avec fausses r
ulier (amnésie avec fausses réminiscences ou sans ces dernières, un
état
psychique comparativement vif) avec des phéno-
es Sociétés d'abstinence ou de tempérance afin qu'ils subissent à l'
état
de veille et d'une manière continue, l'influenc
urs une origine psychique ; aussi convient-il d'étudier avec soin l'
état
psychique de chaque malade, pour combattre effi
le s'adressait à un individu profondément hypnotisé. Suggestion à l'
état
de veille et suggestion hypnotique. M. BOURDON
suggestion hypnotique. M. BOURDON (de Méru). - Si la suggestion à l'
état
de veille est efficace, il n'en résulte pas que
lin. Ce sthénomètre donnera d'utiles renseignements dans les divers
états
morbides et il guidera le praticien dans ses pr
oeuvre d'orthopédie suggestive. L'hypnotisme et la suggestion à l'
état
de veille. . M. Paul Magniez Les fanatiques de
at de veille. . M. Paul Magniez Les fanatiques de la suggestion à l'
état
de veille proclament la supériorité de cette de
nos suggestions ne sont point subies passivement mais acceptées à l'
état
de veille, préalablement à toute manoeuvre hypn
ontrôle persistant qui met obstacle à la guérison du malade. Si à l'
état
normal l'impressionnabilité (ou suggestion- nab
lité) est représentée par 1 et la résistance par 2, dans cer- tains
états
pathologiques l'impressionnabilité tend vers zéro
de suggestibilité ; et aucun isolement, aucune psycho- thérapie à l'
état
de veille ne sauraient influencer le malade. Mais
n'ont retiré de l'isolement que, quelquefois, l'aggravation de leur
état
. Ils viennent nous trouver pour être hypnotisés à
teur. Quant à ceux qui prônent les résultats qu'ils ont obtenus à l'
état
de veille, ils ont fait de l'hypnotisme sans le
e bizarre prescription guérissent par auto-suggestion en vertu de l'
état
d'attente et de croyance, de la faith healing, en
sur ses yeux et rencontrant ses propres regards le mettent dans un
état
de trouble intense. - La conséquence naturell
rd. Celle-ci représente, en somme, une peur morbide, greffée sur un
état
mental de timidité, à la façon de la phobie de
. - Sous le nom de démences vésaniques, on désigne généralement les
états
d'affaiblissement permanent, progressif et défi
, de même que, sous le nom de démences névro- siques, on réunit les
états
démentiels qui succèdent à l'épilepsie, à la ch
offrant néanmoins certains caractères particuliers. A sa période d'
état
, la maladie s'affirme par un affaiblissement cara
lles , auquel se surajoutent , dans la grande majorité des cas, des
états
de dépression, d'excitation, de confusion, de s
des caractères spéciaux qui le différencient nette- ment des autres
états
démentiels. Le premier de ces caractères est d'
ui seul la condition nécessaire et suffisante. Lorsqu'il existe à l'
état
isolé pendant tout le cours de l'affection, san
roubles psychiques variés : conceptions délirantes, hallucinations,
états
d'excitation, de dépression et de stupeur que n
OCIÉTÉS SAVANTES. phrénie et surtout dans la démence paranoïde, les
états
d'excita- tion, de dépression ou de stupeur peu
, ces malades diffèrent totalement de celles qui sont réellement en
état
de dépression ou de stupeur, parce que, à l'enc
série des extra- vagances signalées plus haut. Leurs compagnes en
état
de stupeur, gardent, au contraire, invariableme
Insensibles à toutes les excitations extérieures, les malades en
état
de stupeur voient, entendent, comprennent, et cep
sage, comme dans les cas d'abo- lition du sens stéréognostique. Cet
état
d'indifférence et d'incurio- sité de la main né
automatique persiste, la psyt : ho-7-éflectitité est absente. Ces
états
de stupeur, comme ceux d'excitation décrits plus
onstaté une exagé- ration des réflexes tendineux chez les sujets en
état
de stupeur ou de demi-stupeur. Par contre, les
e dans la forme paranoïde. Ils appartiennent surtout à la période d'
état
de la mala- die et diminuent en nombre et en in
le même, une significa- tion absolue, qu'on l'observe dans tous les
états
démentiels et même dans beaucoup de psychoses.
, militent encore les accès fébriles, les crises con- vulsives, les
états
cataleptoïdes, etc., et, dans le même ordre d'i
les états cataleptoïdes, etc., et, dans le même ordre d'idées, les
états
de confusion, d'engourdissement, de torpeur, d'
Pour cela, nous examinerons séparément les trois grands groupes d'
états
démentiels consécutifs : 1° aux folies généralisé
me des entités morbides et que, par ces mots, on désigne de simples
états
syndromiques pouvant tou- jours être rattachés
S SAVANTES. des processus organiques d'involution sénile et que les
états
mé- lancoliques observés pendant la jeunesse ou
ncoliques. Y a-t-il lieu de conserver les démences consécutives aux
états
dits dégénératifs décrits sous le nom de délire
. ? De l'avis de tous les auteurs, la terminaison habituelle de ces
états
serait la guérison. Nous n'y contredirons pas,
on méconnaît ordinairement, du reste, les liens de parenté que l'
état
démentiel éclate à tous les yeux; ou bien les acc
çon catégorique, ces auteurs hésitent cependant à faire rentrer les
états
d'affaiblissement intellectuel consécutifs aux dé
nce de loca- lisation des lésions respectives de ces deux groupes d'
états
démen- tiels. D'après cette théorie, « les dé
démence précoce, simple, non délirante, est une forme fruste où les
états
obsédants et impulsifs semblent remplacer les h
éflexes tendineux, diminution de réflexes cutanés, variabilité de l'
état
moyen de la pupille. Il faut mentionner encore
ndant cinq mois, n'a apporté que d'insignifiantes modifications a l'
état
mental. Les guérisons signalées résultent proba
e des élé- ments de l'esprit avec vie autonome de ces éléments. Les
états
de confusion que l'on voit survenir au cours de
tentation ; les centres hypniques et tonostatiques régulateurs de l'
état
du som- meil, de la tonicité générale et des ré
servation d'une femme de trente-six ans avec double ptosis, myosis,
état
somnolent parti- culier. Le neuvième jour, accé
Les amputations de régénérations influent, mais influent peu sur l'
état
de la moelle ; elles n'arrêtent guère la réparati
apprécier par un chiffre le degré d'acuité sensible. Pour mesurer l'
état
de la sensibilité profonde, il est le plus simp
de Bruxelles. Les phénomènes d'habitude extrê- mement fréquents à l'
état
physiologique le sont plus encore à l'état path
- mement fréquents à l'état physiologique le sont plus encore à l'
état
pathologique. Si le système nerveux normal se lai
de.la cornée est ressentie, en tant que piqûre (ce qui constitue l'
état
normal) dans 75 à 80 p. 100 des cas. Dans d'autre
aliéné qui a com- mis un crime ou un délit sous l'influence de son
état
mental et qui, pour ce motif, a été reconnu irr
'aliéné dangereux difficile, vicieux, dépravé, est un aliéné dont l'
état
mental fait courir aux aliénés avec lesquels il e
octeur Raoul Leroy, le médecin en chef de Gaillon, un mémoire sur l'
état
pré- sent de Gaillon et sur son utilisation éve
su- jets chez lesquels il y a superposition pour ainsi dire de deux
états
, l'un morbide, l'autre criminel, il existe une
uellement considéré comme un facteur banal. Après avoir rappelé l'
état
de nos connaissances actuelles sur les réflexes
se rencontrant dans un grand nombre d'autres affections et même à l'
état
normal, constitue un facteur banal peu propre à
dans un grand nombre d'affections toxiques infectieuses et même à l'
état
normal ne lui permet cependant pas d'avoir une
antaire combiné. Ces réflexes étant d'une constance remarquable à l'
état
normal leur abolition présente une importance t
tant plus intéressants qu'ils sont conscients de la gravité de leur
état
et aussi qu'ils ne présentent pas encore de tro
con- sistent dans des malformations, des troubles intellectuels, un
état
de déséquilibration particulier. Stigmates ph
téressant de constater que les enfants indociles et insociables à l'
état
de veille, deviennent immédiatement malléables
médiatement malléables et éducables, dès qu'ils sont plongés dans l'
état
d'hypnotisme. Pour Magnan, les impulsions irrés
Pour Magnan, les impulsions irrésistibles ont leur cause dans un
état
de déséquilibration de l'axe encéphalo-médullaire
un mot, faire le diagnostic de la suggestibi- lité ; 2° Provoquer l'
état
d'hypnotisme, ou tout au moins un état de passi
stibi- lité ; 2° Provoquer l'état d'hypnotisme, ou tout au moins un
état
de passivité qui s'en rapproche ; 3° Le sujet é
un état de passivité qui s'en rapproche ; 3° Le sujet étant dans l'
état
d'hyp- . SOCIÉTÉS SAVANTES. 267 nose, lui imp
n véritable phlegmon suppuré de l'orbite, reste le plus souvent à l'
état
d'in- flammation plastique, cliniquement caract
e d'irriter violemment les filets nerveux, nous le trouvons ici à l'
état
de phénomène saillant, chez des neurasthé- 270
ez grand nombre de malades atteints de psychoses dépressives ou d'
états
délirants ou confus, ils ont constaté la présence
ent établie ; comme dans les psychoses post-opératoires fébriles, l'
état
infectieux grave constitue la vraie maladie ; le
gaiement, n'est pas douteuse ; elle a sa raison d'être dans un même
état
mental ; les mêmes principes de discipline psyc
sujet cherche à atténuer. L'acte moteur passe, par répétition, à l'
état
d'habitude, et continue à se produire, alors mê
le entraine sont, comme la fièvre, des conséquences parallèles d'un
état
géné- ral infectieux dont il faudra préciser, u
térieurement, la nature et l'origine. Contribution à l'étude de l'
état
du fond de l'oeil dans la paralysie générale. (
Contribution à l'étude du diagnostic et du traitement de quelques
états
vertigineux. Le Dr RoYET. Le diagnostic de la c
ues états vertigineux. Le Dr RoYET. Le diagnostic de la cause des
états
vertigineux et de certains troubles de l'équili
ut que de ce moyen résulte un procédé pratique de traitement. Les
états
vertigineux qui proviennent de troubles de'l'orei
erches anatomiques et cliniques j'ai reconnu que, très souvent, les
états
vertigineux sont sous la dépendance d'une lésio
n de ces lésions amène la dispari- tion, en général immédiate, de l'
état
vertigineux. Il y a donc là un moyen précieux d
récieux de diagnostic et de traitement d'une catégorie importante d'
états
vertigineux. D'autre part, dans plusieurs cas,
e crois qu'on ne peut juger avec certitude de l'origine réelle d'un
état
vertigineux et de sa signification sans tenir c
des Phtisiques. Elude analomo-clinique. M. E. DUPRÉ. (de Paris). L'
état
mental des tuberculeux a déjà fait l'objet d'ét
ongrès l'histoire d'un cas dans lequel l'observation- clinique de l'
état
mental ayant été suivie de l'étude histologique
et des explications quelconques relatives à ses malaises, etc. Cet
état
d'illusionisme euphorique se marque, comme on le
r le péni- ble contraste qui existe entre les manifestations de cet
état
mental et la douloureuse réalité des choses. Le
et sous cette forme chez les tuberculeux qui n'ont pas pré- senté d'
état
mental particulier (Nissl.) Cet état mental, d'
x qui n'ont pas pré- senté d'état mental particulier (Nissl.) Cet
état
mental, d'ordre démentiel, se rapproche par ses c
et rapidement croissantes du poison. Cette analogie, entre ces deux
états
psycho- pathiques démentiels subaigus chez des
te parce qu'elle établit claire- ment le substratum anatomique de l'
état
mental si spécial de cer- tains phtisiques dans
catégorie d'enfants, créations qui ne sont encore en France qu'à l'
état
de projet lointain, malgré la vigoureuse campag
t Régis ne croient pas à cette origine exclusi- vement sexuelle des
états
obsédants. D'ailleurs, les faits par eux observ
e d'assez nombreux excès sans jamais varier le procédé. Vite, son
état
nerveux habituel s'accrut dans de grandes pro-
i produit le mal. Nos trois observations ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET
ÉTATS
MÉLANCOLIQUES. 305 démontrent que cette dernièr
Sur les associations psychiques obsédantes de contraste dans les
états
mélancoliques. Par le D' SERGE SOUKHANOFF, Pr
, s'exprimant par l'apparition chez un individu donné de différents
états
psychiques obsédants (idées, représentations, d
-obsessive. Lorsque l'on observe chez le malade une aggravation des
états
psychi- ques obsédants, lorsqu'ils sont abondan
que chose, alors nous aurons devant nous un cas de psychose, où les
états
psychiques obsédants font l'essentiel de la mal
nts et où on ne peut parler d'aucun autre trouble mental. Outre les
états
obsédants essentiels, exis- tent des idées et d
titution idéo-obsessive est très portée à se combiner avec certains
états
psychopathiques ou nombreux, il est vrai; chez
opathiques ou nombreux, il est vrai; chez les personnes souffrant d'
états
psychopathiques obsédants se rencontre souvent
e génie, c'est-à-dire dans la mélancolie ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET
ÉTATS
MÉLANCOLIQUES. 307 avec états psychiques obsess
lancolie ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES. 307 avec
états
psychiques obsessifs, on pouvait noter dans l'a
n que nous avons en vue, favorise la manifestation plus marquée des
états
psychiques obsédants ; parfois il arrive d'obse
; parfois il arrive d'observer une com- binaison particulière de l'
état
mélancolique très accusé avec la constitution i
s étaient plus courts. Dans les intervalles entre les périodes de l'
état
maniaque, parfois d'assez longue durée, le mala
niaque, parfois d'assez longue durée, le malade se trouvait dans un
état
de légère dépression. Il se plaignait ordinaireme
xuelle et parfois de pollutions fréquentes. L'une des périodes de l'
état
dépressif s'était manifestée dans une forme très
y avait même trouble de conscience ; le malade se trouvait dans un
état
de peur et d'inquiétude. Lorsque la conscience
nt il tâchait de retenir ses excréments, ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET
ÉTATS
MÉLANCOLIQUES. 309 quoi qu'il comprenait que to
s. Premièrement, chez notre malade on doit noter l'existence d'un
état
de dépression, se combinant avec une masse de r
llucinations, par exemple auditives qui étaient en liaison avec son
état
mélancolique. Si dans ce cas il aurait eu des h
ces associa- tions psychiques obsédantes ; d'après notre avis, les
états
psychiques obsédants se développent sur le terr
es derniers ont surnagé et se sont développés sous l'influence de l'
état
mélancolique, qui, relativement à ces processus
apparaît comme moment provocateur. Il est intéressant que dans les
états
maniaques que le malade a supporté il n'y avait
'idées obsessives, ni des représentations obsédantes; évidemment, l'
état
d'excitation avec le cours exagéré des idées in
'état d'excitation avec le cours exagéré des idées influait sur les
états
obsé- dants d'une manière dépressive. Dans le
très instructive pour l'investigation de ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET
ÉTATS
MÉLANCOLIQUES. 311 la question abordée par nous
avoir, des associations psychiques obsédantes de contraste dans les
états
mélanco- liques. Bien des malades, chez qui on
la manifestation des associations obsédantes (de contraste) dans l'
état
mélanco- lique. Et dans d'autres cas, s'y rap
es cas, s'y rapportant, c'est-à-dire, là, où nous constatons dans l'
état
mélancolique des associations psychiques obséda
ctère scrupulo-inquiet, c'est-à-dire, dans l'existence chez eux des
états
obsédants rudimentaires. Sans doute, chez les m
mettons de faire les conclusions suivantes : 1. Dans certains cas d'
états
mélancoliques on observe des associations obséd
ymp- tôme complexus s'observe dans la mélancolie récidivante avec
états
psychiques obsédants. 2. Dans les cas où existe
la constitution idéo-obsessive. 3. Parfois dans la coexistence de l'
état
mélancolique et des associations psychiques obs
e et des fantômes se précipitent sur elle et l'étranglent. Dans cet
état
, la malade gémit, pousse des cris d'effroi, se so
et que j'ai décrits, se reproduisent. Il est impossible, dans cet
état
, de faire une suggestion quelconque à la malade :
on des yeux, on arrête sa vie tant physique que psychique. Dans cet
état
elle n'obéit à aucune sugges- tion, ou, si elle
acile, on obtient alors toutes les réactions qu'on obtient dans cet
état
, mais il est un point très important pour ce qu
'entourent, continue à obéir aux suggestions ; il ne retourne à son
état
normal que si on le réveille et alors il ne gar
rêves ne sont que le résultat de cette, absence de perception. A l'
état
normal, la sensation de bien-être est déterminé
ant qu'elle ne dort pas.. Il n'y a qu'une chose qui différencie son
état
de pseudo-veille de son pseudo-sommeil c'est, d
es yeux ouverts, dans l'autre, les yeux fermés ; mais dans ces deux
états
les trou- bles qu'elle présente sont identiques
eil, il y a un engourdissement des centres corticaux et c'est à cet
état
que il. Sollier a donné le nom de vigilambulism
ur se soustraire à ces cau- ses de mort. Elle ne peut sortir de cet
état
qu'en ouvrantles yeux, elle a alors la preuve v
mps mis à l'exécution de ce mouvement est beaucoup plus long qu'à l'
état
normal. De plus ce membre se raidit d'une façon
malade. De même lorsque le membre fléchit ou mieux revient à son
état
de repos, la flaccidité musculaire est exagérée e
e chose pour les paupières. Ouvertes elles sont maintenues dans cet
état
par un vérita- ble spasme au point que la malad
phénomène qui tient bien plutôt à la modification du tonus qu'à un
état
psychique spécial caractéristique du somnambuli
étroite des troubles de la sensibilité, troubles qui déterminent un
état
spécial, état de défiscience psychique et somat
oubles de la sensibilité, troubles qui déterminent un état spécial,
état
de défiscience psychique et somatique qui ne pe
hystérie, il peut être provo- qué plus facilement que dans d'autres
états
par suite de l'ins- 318 ' RECUEIL D'E FAITS.
tabilité psychique de ces malades, mais il n'en est pas moins un
état
différent de l'hystérie, et n'a avec elle aucune
ni des rêves liés au sommeil normal, mais des manifestations d'un
état
psychique spécial créé de toute pièce par l'anes-
e du parallélisme moderne, c'est-à-dire de la théorie qui dit que l'
état
physique n'est qu'une manifestation de l'état p
théorie qui dit que l'état physique n'est qu'une manifestation de l'
état
psychique, que ce dernier seul possède les cara
, 1901.). Long travail dans lequel l'auteur étudie successivement l'
état
normal et les affections dans lesquelles on ren
attaque, la pression du sang tombe dans le cerveau, celui-ci est en
état
d'anémie tandis que l'excitabilité de l'écorce
s mouvements convulsifs plus ou moins permanents que dans celui des
états
paroxystiques de nature hys- térique, qui sont
ystérie. Il faut, par suite, toujours rechercher, en pareils cas, l'
état
de la sensibilité, des organes des sens, des ré
ivants : début rapide ou soudain, parfois consécutif à tels ou tels
états
hystériques, ou émotifs; invariabilité du type; r
ement foetal (figure à l'appui). P. KERAVAL.. Lit. Influence de l'
état
mental des parents sur là formation du sexe de
conçues au moment où le protoplasma de leurs parents se trouvait en
état
d'effort, où il était stimulé par la pénurie des
our le cheval suffisantes pour provoquer dans le système nerveux un
état
de tension et d'excitomotricité qui fait concev
que interne. Et celle exagération de l'auto- activité mentale est l'
état
du système nerveux qui constitue la con- dition
lon les différents individus, au prorata des particularités de leur
état
mental et des conditions de leur existence ordi
zrénié psichiatrii, VIII, 1903). Expériences propres à déterminer l'
état
du développement des ramifications terminales d
leptique et assez souvent aussi chez l'hystérique, il se produit un
état
mental particulier pendant lequel, tout en restan
e ne lui soit- de rien, il éprouve une sensation bizarre vague. Cet
état
est dû à la déchéance de ce sentiment de la péné-
la pénétration consciente. (le trouble d'emblée produit parfois un
état
d'angoisse assez fort. M. Pick a retrouvé cet a
e la marche de côté vers le côté sain est défectueuse. Supposons un
état
spasmodique de l'extrémité droite, l'hémiplé- g
e tour de la périphérie du corps de la cellule et des dendrites à l'
état
de larges raies noires, dépourvues de détails p
eur émotive, devenue une obsession pour le sujet, avait engendré un
état
syn- revue d'anatomie ET DE physiologie patholo
re des symptômes d'exci- tation cérébrale. P. Keraval. XXXVI. Les
états
d'obnubilation psychique des hystériques et leur
de l'idéation. ' , Le mécanisme en est du reste différent. Dans les
états
d'ob1w- bilation crépusculaire des hystériques,
e est la suite ou l'escorte de certaines pertubations mentales de l'
état
hystérique dont la nature est pour nous tout au
nique. Ici pas de trouble de la conscience, pas de sommation, pas d'
état
crépusculaire; les réponses absurdes sont extra
osition de la pupille entière sont l'expression de la combinaison d'
états
d'excitation, de parésie ou de paralysie des di
. Sans hypnose ni délire, les malades passent sans transitions de l'
état
convulsif à l'état normal. M. II. \11V. Sur un
élire, les malades passent sans transitions de l'état convulsif à l'
état
normal. M. II. \11V. Sur un cas de paramioclonu
éditaire, et, tout en étant modérément douée, sem- blant jouir d'un
état
mental normal jusqu'alors. L'âge constitue une
graduellement en un ou deux jours. Calme, luci- dité, souvenir de l'
état
morbide antérieur. Dans l'appendice, l'auteur c
tai de nouveau le même malade. Un changement remar- quable dans son
état
est résulté de l'administration d'extrait pan-
ussi enfantine, est devenue rude et d'une tonalité basse. On voit l'
état
du malade avant et après le traitement,'sur les
ministration d'un extrait glycériné de pancréas. Je crois que cet
état
est une entité clinique distincte, une nouvelle m
et par laquelle elle peut être guérie. Comme je l'ai déjà dit, cet
état
est tout à fait distinct du crétinisme sporadiq
ou sans délire de Requin. Il peut, 'en effet, procéder tantôt d'un
état
dépressif délirant asso- cié, tantôt d'une dépr
t en toute hâte à l'hôpital Tenon où il fut admis d'urgence dans un
état
désespéré. (Le Journal). Evadé d'un hospice. Un
ise, d'où il a été dirigé sur le Dépôt. Quant à Mme Baumain, dont l'
état
est grave, elle a été transportée à l'hôpital T
NS THÉRAPEUTIQUES. 377 Î Mettre l'épileptique, ou le prédisposé, en
état
de se mieux connaître d'apprécier lui-même son
ïde, suspendent l'épilepsie pendant leurs phases d'as- cension et d'
état
, on oublie que la castration ovarique, qui supp
à tel point que, en janvier 900, un ami de la famille m'écrit : « l'
état
de la malade a empiré, « elle devient méchante,
abord, assez difficile à remplir; comment, en effet, modérer, en l'
état
actuel de nos connais- sances, la fonction du c
nes dans la partie avoisinant la papille. La malade ne peut, vu son
état
intellectuel rien prendre de la main et l'on es
n seulement on comprend qu'elle se sent le besoin d'uriner. , Cet
état
a duré-pendant six jours, puis les symptômes se s
oté une tendance irrésistible au rire (abstraction faite des autres
états
pathologiques de 1 encéphale qui peuvent présen
si : « La gaieté et le bavardage du malade font l'impres- sion d'un
état
pathologique. Cependant le rire continuel et ex
c idées de persécution basées sur des hallucinations de l'ouïe. Son
état
ne.s'améliore pas, toujjurs triste, taciturne, in
, malpropre, sans être cependant gâteux, il finit par tomber dans l'
état
démentiel où il se trouve actuellement. En 18
ile, D. B... n'était pas méry- cole, ses dents étaient en excellent
état
, les digestions paraissaient s'accomplir normal
nous en assurer par des recherches spéciales. Quoi qu'il en soit, l'
état
général est bon. D. B... ne souffre pas de son
chez bon nombre de mérycoles, le système dentaire était en mauvais
état
; de nombreuses dents étaient gâtées, il manquait
uite d'indigestions dues à leur voracité, favorisées par le mauvais
état
de leur appareil dentaire. Le phénomène se mont
relief, qu'ils sont drôles, étranges, etc. Janet qui a fait de ces
états
une étude particulière prétend qu'ils sont dus
uchant la différenciation des diverses maladies qui déterminent les
états
d'idiotie. On connaît bien, grâce à l'observati
t pas de même au point de vue de la description clinique des autres
états
d'idiotie. Au point de vue anatomo-pathologique
t C¡OENAI5. (Journ. de Neurologie, 1902, n° 14.) De l'examen de l'
état
du réflexe du fascia lata dans 12 cas de lésion
Au moment où le réveil se produit, le sujet passe brusquement de l'
état
de personnalité où il était au moment où il s'est
dont chaque élément conserve une indépendance relative, tant à l'
état
normal qu'à l'état pathologique. G. DENY. REVUE
ent conserve une indépendance relative, tant à l'état normal qu'à l'
état
pathologique. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE MENT
er et d'une tristesse excessive, » ou bien elle peut apparaître à l'
état
fruste. Etat de peur, irritabilité, indécision,
émotif a été longuement analysé dans les processus psychiques des
états
dégénératifs. Il est étudié successivement chez l
jets qu'on a appelé dégénérés supérieurs. en donnant le nom à ces
états
émotifs de stigmates de dégénérescence. Mais c'es
ec de simples dégénérés. Pour le moment on ne peut guère ranger ces
états
émotifs que parmi les psychopathies qui ne relè
nt d'halluci- nations sensorielles en d'autres organes au moins à l'
état
épisodi- que. Les malades de ce genre, le plus
r ou guérir. P. Keraval. XIV. Troubles de la sensibilité dans les
états
neurasthéniques et r mélancoliques; par M. DUBO
-patholo- gique autonome; par le Dr SOUHI1ANOF. L'auteur décrit l'
état
mental des sujets obsédés. Il étudie les rappor
rit l'état mental des sujets obsédés. Il étudie les rapports de cet
état
morbide avec les délires et avec le syndrome ne
c coprolalie. L'Ano% n'est pas une espèce clinique; il comprend des
états
d'excitation divers avec tendances à des actes
chez les sujets normaux. Cette lenteur de l'iris à revenir à son
état
normal constitue une des premières manifestatio
r à son état normal constitue une des premières manifestations de l'
état
morbide du système ner- veux et permet le diagn
upposer a l'auteur que l'irritation corticale, point de départ de l'
état
comi- tial, prédomine au niveau du centre du la
es plutôt légères de la maladie et n'of- fraient aucun trouble de l'
état
émotionnel; l'auteur les considère comme appart
récoce serait caractérisée, dans l'immense majorité des cas, par un
état
de torpeur ou d'agita- tion, des moments de luc
ie, c'est-à-dire l'immobilité, le mutisme, la flexibilitas æ1'ea, l'
état
cataleptique, la suggestibilité; plus tard, la
me, la raideur par- ticulière avec flexion difficile des membres, l'
état
cataleptique, etc. Mais la physionomie, le main
nomie, le maintien du malade n'étaient nullement en rapport avec un
état
mélancolique; ce n'était pas davantage un hysté
tés, les attitudes catatoniques; enfin chez les deux plus anciens l'
état
démentiel est définitivement constitué. - « Cet
. elle ne constitue qu'un symptôme pou- vant se rencontrer dans les
états
morbides les plus variés ». G. D. XXVII. La p
nvulsions dans son enfance. Aucun signe physique de dégénérescence,
état
général très bon. Début de l'affection à douze
, que l'amplifica- tion d'un mouvement normal très peu apparent à l'
état
physiolo- gique ; il n'en constitue pas moins u
leurs l'appréciation est laissée au jugement de la cour, qui fait l'
état
des circonstances dans les- quelles la syphilis
ense que ces prétentions ne tendent à rien moins, dans les cas où l'
état
mental est douteux, qu'à transformer le mé- dec
niste. Lorsque la conduite d'un détenu donne lieu de suspecter son
état
mental, le directeur de la prison en avertit le m
A. Un traitement sudorilique mesuré n'exerce aucune action sur l'
état
morbide des épileptiques; une sudation plus inten
nheilk. XXVI. N. F. XIV 1903.) Expériences avec le véronal dans les
états
d'agitation des paralytiques généraux; par K. A
ne pour 8 ou 9 malades. Les pensionnaires sont classés d'après leur
état
d'agitation ; les agités sont placés dans des p
avec d'autres aliénés. L'expérience montre que dans les colonies, l'
état
de la plupart des malades se modifie avantageus
ore que celle des autres aliénées et d'un examen fréquent . de leur
état
puerpéral. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Clvrck (
rmule Motet dans son article Pyromanie du Dictionnaire Jaccoud. L'
état
mental des incendiaires est, en effet, tout spéci
maternel. Ce fait a une très grande importapce pour expli- quer son
état
mental.'Elle a trois soeurs âgées de neuf'ans, si
Emilienne G... présente du fait de sa lourde hérédité mor- bide un
état
de dégénérescence mentale caractérisé par des sti
13. CLINIQUE NERVEUSE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie;
état
de mal mort; atrophie considérable de l'hémisph
pied en extension sur la jambe. Le membre entier est paralysé et en
état
de contracture. La sensibilité y est diminuée au
Vers 2 heures de l'après-midi, nouvel accès, qui est le début d'un
état
de mal : 7 accès se succè- dent, à intervalle d
ises : « Cela va me reprendre, dit-il, les IMBÉCILLITÉ, HÉMIPLÉGIE.
ÉTAT
DE MAL ÉPILEPTIQUE. 469 doigts me piquent », et
soir. 470 RECUEIL DE FAITS. Tableau des accès et des vertiges.
ÉTAT
DE MAL, MORT. 471 I ques dizièmes de degré sous
e lave, mange seul, Tous ses actes sont lents partie à cause de son
état
mental, partie à cause de sa paralysie. Les not
passim. 476 RECUEIL DE FAITS. Hémiplégie. - Mens ! l1'((tions.
ÉTAT
DE MAL EPILEPTIQUE, TEMPÉRATURE. 477 mence épil
re. Les épileptiques hémiplégiques, comme Ham..., sont sujets à des
états
de mal épileptique, de même que les épi- septiq
s à un certain âge, vingt-cinq, trente ans, s'ils ont survécu aux
états
de mal, on voit les accès s'éloi- gner et enf
dans les divisions de l'hospice comme infir- mes incurables. L'
état
de mal épileptique n'a offert, ici, que la pre-
gitiques disparaissent, Fig. 16. - Tracé de la température - de l'
état
de mal de Il ... 478 . RECUEIL DE FAITS. la t
sa vie en danger, par des actions dénuées de sens. Autopsie. - L'
état
général des organes n'appelait aucune remarque
ce daus son intérieur ne semblait pas avoir donné naissance à aucun
état
inflammatoire, bien qu'elle dût y avoir été de
de l'un et des autres tend à confirmer la théorie qui considère cet
état
comme le résultat possible d'un développement r
cercles, chacune étant diminuée en volume, si bien qu'il y avait l'
état
complexe de la microgyrie et de l'ulégyrie ; le
uvelle sur les erreurs fondamentales qui produisent celle-ci et les
états
alliés, et si nous ne pouvons pas guérir l'idio
c des tu- meurs intramédullaires qui, surtout lorsqu'il survient un
état
phieg- riratique intercurrent, peuvent en impos
utre part, un accroissement de poids accompagne l'amélioration de l'
état
mental. ' Simon, ', REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
de frein à la cérébration auto- matique qui déterminera une sorte d'
état
de rêve. Une sensation de dépression physique e
sensation de dépression physique et morale très accentuée. Enfin un
état
d'angoisse constant qui, chez l'adulte à l'état
accentuée. Enfin un état d'angoisse constant qui, chez l'adulte à l'
état
de veille, détermine de l'anxiété et de l'irrit
e parésie spasmodique des vieillards atheromateux. A la période d'
état
, la démarche parêto-spasmodique coïncide avec l
os que pendant les différents mouvements. Il présentait en outre un
état
propulsif, et un besoin incessant de mouvement.
ant de mouvement. Il y avait absence de spasmes, de contractures; l'
état
intellectuel était normal. ' REVUE DE PATHOLOGI
ur 100 femmes internée de quinze à quarante-cinq ans, 75 environ en
état
de grossesse, d'accouche- ment, de puerpéralité
nt M. Vallon a été victime. J'ai le plaisir de vous apprendre que l'
état
de notre collègue est devenu meilleur et je vou
précoce. MM Rodbinowitch et Piiulpin dans une étude spéciale sur l'
état
de l'appareil circulatoire chez 31 sujets attei
ions. Des séances successives de sommeil améliorent assez vite leur
état
, et alors, la suggestion les impressionne. A ce
eint d'accès de confusion mentale; il sortait complète- ment de son
état
de confusion après une demi-heure de sommeil pr
ions, de clia- grins et de surmenage, elle a de nouveau présenté un
état
névro- palhique dont je l'ai débarrassée par la
dié sous peu, etc., etc. Le docteur Bahuaud, appelé à constater son
état
, délivra un cer- tificat et E... fut conduit à
docteur Biaute ordonna aux gardiens de remettre toutes choses en l'
état
et fut convaincu alors que ses prescriptions habi
s. - A. Manzoni,' dans Ses Fiancés, a décrit avec un grand soin l'
état
mental des foules durant les émeutes. Nous croyon
-condamnations que ses actes dangereux entraînaient, mais dont son
état
psychique morbide le fit déclarer indemne. .
nt relevés, des personnes qui de santé excellente jadis ont vu leur
état
général physiologique et mental pérécliteretlamor
Léri. 77. .1w·cLIE. Voir Anencéphalie . Anatomie pathologique. L'
état
ac- tuel de l ? du système nerveux central, p
e. -Voir Délire. Epilepsie. L'- ne peut pas être causée par des
états
toxémiques, par Holl, 50. Pathologie et traite-
en -. par Geijerslam, 510. Hypnotisme. L'- et la sgugestion à l'
état
de veille, par Magnin. Les dangers de l ? 51 !
Hystérique Voir Chorée. - Voir Anesthésie. Voir Convulsions. Les
états
d'obnubilation psychi- que des - et leur paralo
ide et Vurpas, 411. 1.IBÉCILITÉ; hémiplégie gauche : épi- lepsie;
état
de mal; mort; atro- phie considérable de l'hémi
énérale et le ta- bès, par Léri, 248. Contribution à l'étude de l'
état
du fond de l'oeil, dans la générale, par Bric
cerveau et des méninges, par Bechterew, 350. Sexe. Influence de l'
état
mental des parents sur la formation du - de l
e me1'. La impéra- live, par Bérillon, 83. - voir Alcoolique. à l'
état
de veille et - hypnotique, par Bourdon, 178.
es avec le -, par Spielmeyer, 432. Expériences avec le dans les
états
d'agitation des paralytiques généraux, pal Abra
dans les assertions de ces persécutés, que beau- coup d'hommes à l'
état
normal se font illusion sur la valeur de leurs
rt il n'est pas non plus un héréditaire, n'en présente pas moins un
état
mental particulier qui le place sur les frontiè
atteinte d'hys- térie avec crises de sommeil, qui a été violée à l'
état
de léthargie par quatre individus. Mais ce rapp
s et terrifiantes de l'ouie et de la vue. Etat actuel : Ilubifus et
état
mental ; fonctions scazsilives, motrices, génit
n temps qui est quelquefois considérable. État actuel. flexbitus et
état
mental. R... âgé de vingt-neuf ans à son entrée
accessibles à l'exploration clinique paraissent être en 'excellent
état
: il boit, mange et dort bien, ses digestions son
se par les espaces lymphatiques de la peau et retour progressif à l'
état
normal. (Phase de résorption lympha- tique.) .)
tait déjà descendu en scaphandre, le 29 janvier, puur reconnaître l'
état
du chaland et était resté pendant trois quarts
moment de l'accident, il a perdu connaissance et est resté dans cet
état
pendant trois semaines; il n'a eu absolument cons
ndre symptôme; au bout de ce temps, il est pris tout d'un coup d'un
état
qu'il appelle bizarre et qui consistait en ce q
s de symptômes, ni gastriques, ni respiratoires, ni douloureux. Cet
état
, après avoir duré trois quarts d'heure, dispa-
, et dans quelques heures, le dégagement s'est tout à fait opéré. L'
état
de ses membres inférieurs n'a pas du tout chang
intes de feu, l'iodure de potassium et une hygiène appropriée à son
état
. Notre malade a fidèlement suivi le traitement
entée de volume, il fallut scier le casque pour le lui enlever. Cet
état
de la tête coexis- tait avec d'autres symptômes
'étude de ce syndrome qui existe dans les trois cas et qui domine l'
état
des malades à cette période. C'est le caractère
ndrome tabétoïde persiste, s'ag- grave même, et peu à peu, domine l'
état
du malade; tandis que l'élément paralytique rét
rétrograde et diminue considérablement d'intensité.. Finalement, l'
état
mala- dif ne cessant pas un instant de changer
paraît complètement, le syndrome tabétoïde dominant tout à fait l'
état
du malade. A ce moment, le tableau cli- DES ACC
vait des érections incomplètes suivies d'éjaculation immédiate. Cet
état
général s'est beaucoup amélioré après le traite
après son accident, il est venu me consulter; pendant ce temps, son
état
n'a pas été sensiblement modifié. Etat actuel (
on sensitive; une fois la sensation perçue, elle durait plus qu'à l'
état
normal. Le sens musculaire est à son tour altér
our de; réflexes rotuliens, crémastériens et plantaires presque à l'
état
normal. Pas de pico- tements d'aiguille. Nous
résiné par jour). Malgré ces conditions absolument défavorables, l'
état
du malade ne s'est pas empiré; il est resté sta
lus colorée, les lèvres plus livides encore qu'elles ne le sont à l'
état
normal, enfin le sujet serait souffrant et mang
ls sont sains et ne présentent rien de particulier. Le coeur, que l'
état
cyanosiquo des muqueuses pouvait faire supposer
- ques. Comme nous l'avons dit au début, Amélitia F... présente l'
état
crétinoïde au degré le plus avancé. Aucun des sig
es ont une physionomie tout à fait semblable et caractéristique ; l'
état
du cou, des membres et, en particulier, des pie
l était pos- sible de produire chez certains sujets prédisposés, un
état
ner- veux spécial caractérisé par des contractu
actures, des paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet
état
nerveux, décrit avec soin par un médecin anglai
pouvaient affecter dans certains cas un groupement spécial en trois
états
distincts. Nous ne pouvons mieux faire que de r
et à l'Académie. « Essai d'une distinction nosographique des divers
états
tzer- veux compris sous le nom d'hypnotisme. Le
ent chez les sujets hypno, tisés ne répondent pas à un seul et même
état
nerveux. En Téalité, l'hypnotisme représente cl
représente cliniquement un groupe na- turel, comprenant une série d'
états
nerveux, différents les uns dus autres, chacun
cher à bien définir d'après leurs caractères génériques, ces divers
états
nerveux, avant d'entrer .dans l'étude plus appr
e des phénomènes qui relèvent de chacun d'eux. - « Ces différents
états
, dont l'ensemble représente toute la symptomato
és, suivant M. Charcot, à trois types fondamentaux, à savoir : 1° l'
état
cataleptique; 2° l'état léthargique, et, 3° l'éta
à trois types fondamentaux, à savoir : 1° l'état cataleptique; 2° l'
état
léthargique, et, 3° l'état de somnambulisme pro
à savoir : 1° l'état cataleptique; 2° l'état léthargique, et, 3° l'
état
de somnambulisme provoqué; chacun de ces états
léthargique, et, 3° l'état de somnambulisme provoqué; chacun de ces
états
comprenant d'ailleurs un certain nombre de form
un certain nombre de formes secondaires et laissant place pour les
états
mixtes, peut se présenter d'emblée, primi- tive
en couvre de certaines pratiques. Dans ces derniers cas, les divers
états
signalés plus haut représentent en quelque sort
gée des yeux sur un sujet quelconque, etc.; b). Consécutivement à l'
état
léthargique lorsque les yeux, clos jusque-là, s
s provoquées. Abandonné à lui-même, le sujet retombe bientôt dans l'
état
où il était placé au moment où on l'a impressio
ur un objet placé à une certaine distance. ; ), consécutivement à l'
état
cataleptique, par la simple occlusion des paupi
lieu parfaitement obscur. Fréquemment, au moment où il tombe dans l'
état
léthargique, le sujet fait entendre un bruit la
, bien qu'à degrés divers. « 3^ Etat de somnambulisme provoqué. Cet
état
peut être déterminé directement, chez certains
produit à volonté chez les sujets plongés au préalable soit dans l'
état
léthargique, soit dans l'état cata- leptique, e
jets plongés au préalable soit dans l'état léthargique, soit dans l'
état
cata- leptique, en exerçant sur le vertex une s
rçant sur le vertex une simple pression ou une friction légère. Cet
état
parait correspondre plus particulière- ment à c
ut à déterminer, autant que possible, les caractères qui séparent l'
état
de somnambulisme des états léthargique et catal
e possible, les caractères qui séparent l'état de somnambulisme des
états
léthargique et cataleptique, et à mettre en évi
, et à mettre en évidence la relation qui existe entre ce troisième
état
et les deux autres. « Les yeux sont clos ou dem
ion des membres n'est pas aussi prononcée que lorsqu'il s'agit de l'
état
léthargique. L'hyperetcitabilité neuro-muscu- l
opriétés de la catalepsie. « L'hypnotisme caractérisé par les trois
états
que nous 100 REVUE CRITIQUE. venons de décrir
sa description, a laissé de côté à dessein les formes frustes, Les
états
mixtes, pensant qu'il était préfé- rable de s'a
études sur ce sujet. Le grand hypnotisme peut se présenter dans son
état
de complet développement dès la première tentat
ns'd'autres cas, le grand hypnotisme ne se constitue dans ses trois
états
qu'après un certain nombre d'expériences. Le mo
n ne trouve pas la division en trois périodes. Un ou deux des trois
états
peuvent manquer, d'où plusieurs variétés possib
es. M. Pitres a décrit une dé- viation dans laquelle il a observé l'
état
cataleptoïde les yeux fermés 1. Toutes ces fo
malade s'endort en léthargie et présente tous les caractères de cet
état
. On cherche alors, en lui ouvrant les yeux, à l
uel elle ne pouvait s'attendre, détermina immédiatement chez elle l'
état
cataleptique. Depuis cette époque, l'état catal
immédiatement chez elle l'état cataleptique. Depuis cette époque, l'
état
cataleptique a pris définitivement place dans l
, ou encore du sommeil simulé. L'aspect sous lequel se présente l'
état
hypnotique est donc variable et il y a lieu de
variable et il y a lieu de reconnaître l'existence d'une série d'
états
^ intermédiaires entre la forme type et la forme l
que l'hypnotisme est considéré à la Salpètrière comme un véritable
état
pathologique, comme une névrose artificielle, q
mènes hypnotiques peuvent affecter un grou- pement spécial en trois
états
distincts. C'est là la forme la plus parfaite d
sme doit être considéré dans ses formes les plus parfaites comme un
état
pathologique. Nous devons maintenant exposer la
cet égard. Si nous prenons, par exemple, un sujet qui présente cet
état
de torpeur qui caractérise le pre- mier degré d
uestion de preuve reste la question capitale. Si la réalité -de l'
état
hypnotique est devenue aujourd'hui une vérité i
point de vue médico-légal de l'immunité que peut lui con- férer cet
état
. Or, comment peut-on démontrer à des juges la r
u d'en faire bénéficier les malades qui ne peuvent être amenés à un
état
d'hypnotisation plus parfait. Mais ces sujets n
istent ces phénomènes : , Si par exemple on présente à uu malade en
état
de suggestion une feuille de papier divisée en
nsation du vert complémentaire (Parinaud). - On dit à une malade en
état
de somnambulisme de regarder fixement un carré de
uxième proposi- tion. Le grand hypnotisme caractérisé par les trois
états
, lé- thargie, catalepsie et somnambulisme, n'es
la vi- sion mentale de certains individus normaux (\"tin1t), mais l'
état
hypno- tique exalte celte propriété physiologiq
u participe à l'altération. Tel est le rajeunissement ou retour à l'
état
embryonnaire des cellules. Pour que le noyau se
sseuse et les extrémités sont froides, livides ou même enflées. Cet
état
est surtout fréquent dans les cas chroniques ou a
uelques considérations sur la structure des vaisseaux cérébraux à l'
état
sain et dans quelques formes particulières d'al
t fracturé les côtes, dont le tissu osseux était d'ailleurs dans un
état
de' dégénérescence très accusé. L'auteur a pensé
es. Nous estimons qu'elle peut représenter dignement à l'étranger l'
état
de la science française et af- firmer une fois
18 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. J. Séglas présente l'observation tombée en
état
de mal hys- térique à la suite de tentatives d'
ait est très évident chez cette malade qui est tombée alors dans un
état
mental particulier et dont les attaques débutan
ossible à un examen superficiel que la malade était suggestihie à l'
état
de veille. D'un autre côté, si la suggestion à
ggestihie à l'état de veille. D'un autre côté, si la suggestion à l'
état
de veille a pu avoir ici quelque action curaliv
écoles, au point de vue du développement de leur cerveau et de leur
état
intellectuel. Cet examen se déduirait de la con
atif d'autant de régimes que d'individus, selon les nécessités de l'
état
mental. 10° La dépense générale se multiplie qu
C'est en modifiant la circulation que la fièvre typhoïde agit sur l'
état
mental. La phtisie détermine souvent la résolut
exercé finit par exécuter mécaniquement. 3° Il y a encore quelques
états
convulsifs par lesquels peut débuter la maladie
t tenu de consigner sur ce registre les changements survenus dans l'
état
mental de chaque malade, au moins chaque semain
édecin constate également sur ce registre la date de la sortie et l'
état
mental du malade au moment où elle a lieu, la d
élablissement ou le médecin inspecteur des aliénés est d'avis que l'
état
mental du malade pourrait compromettre la sécur
le nom, la résidence des personnes qui ont retiré le malade, son
état
mental au moment de la sortie et, autant que poss
ement d'aliénés de toute personne interdite ou non interdite dont l'
état
d'aliénation, dûment constaté par un certificat m
semestre, un rapport rédigé par le médecin de l'établissement sur l'
état
de chaque personne qui y est retenue, sur la natu
tairement ou sur la demande de particuliers, et dans le cas où leur
état
mental pourrait compro- mettre la sécurité, la
t pour le dépôt des aliénés de passage que, pour l'observation de l'
état
mental des prévenus ou des accusés présumés ali
ces civils ordi- naires que le temps nécessaire pour constater leur
état
d'aliéna- tion mentale et pourvoir à leur trans
i deviennent aliénés pendant qu'ils subissent leur peine, et dont l'
état
d'aliénation a été constaté par un certi- ficat
us frappés par la loi pénale, et non de simples épileptiques dont l'
état
réclame l'assistance. La commission du Sénat qu
pris évidemment que pour constater l'aliénation ; du moment où cet
état
aura été ainsi établi, la translation dans un q
ur être placé dans un établissement d'alié- nés, dans le cas où son
état
mental compromettrait la sécurité, la décence o
ont jugées nécessaires : -. « 1" Tout inculpé qui, par suite de son
état
mental, a été consi- déré comme irresponsable e
rectionnelle qui a été acquitté comme irresponsable à raison de son
état
mental; 148 SÉNAT. ? 3° Tout accusé ou prévenu,
, si la défense a soutenu qu'il était irresponsable à raison de son
état
mental ou si le ministère public a abandonné l'
due sur le motif que l'accusé était irresponsable à raison de son
état
mental ; cet accusé ainsi acquitté sera remis à l
décide en propres termes que l'aliéné ou le prévenu est dans un tel
état
habituel de démence ou d'imbécillité, qu'il ne
lui a été commis ou qu'il aura choisi, et elle aura pu porter sur l'
état
mental de l'accusé. La décision du jury non mot
e plusieurs manières. C'est quelquefois l'aliénation habituelle, un
état
mental tel, qu'on puisse réellement considérer
s mêmes de l'article 39 du pro- jet, irresponsable, à raison de son
état
mental au moment même 150 SÉNAT. où le fait a
es yeux de l'observateur. 1° De quoi se plaint-il ? 2° Quel est son
état
psychique, son faciès, son attitude, son habitus;
u'il faut connaître; de même qu'il importe de se rendre compte de l'
état
des organes de l'économie entière; 8°Diagnostic E
modifications physiologiques qui se produisent sous l'influence des
états
émo- tionnels, modifications caractérisées par
ous le mettions au défi, dans notre travail snr l'Hypnotisme et les
états
analogues au point de vue médico-légal de nous
dort véritablement. C'est, nous répond-il, avec M. Bernheim, qu'en
état
d'hypnose il est suggestible. Vraiment, dans la
-mus- culaire. Et voilà encore que d'autres stigmates physiques «
état
des pupilles rendues insensibles à une lumière
e est une auto-suggestion, le somnambulisme dit naturel n'est qu'un
état
physiologique à l'instar de Hypnotisme : tout p
ire la sug- gestion, le bouc émissaire de tous les crimes commis en
état
d'hypnotisme ne nous parait pas devoir être fav
soit comme interne nommé au concours dans un hôpital ; 3° diplômes,
états
de services, distinctions obtenues. En vertu
, Westphal en Allemagne et Nothnagel et Leyden à Vienne. Vu cet
état
de la question, il nous semble que de nouvelles
uver d'hérédité de famille. A l'âge de vingt-deux ans et en parfait
état
de santé, la malade épousa un ivrogne atteint p
amélioration considérable dans les dou- leurs lancinantes après un
état
de fièvre assez aigu que la malade eut à suppor
es autres nerfs crâniens et les extrémités supérieures sont dans un
état
normal. Dans les jambes, douleurs lancinantes e
. Le père de la malade, qui a soixante-quinze ans, est en excellent
état
de santé; sa mère est morte à l'âge de soixante
ause du peu de renseignements que ces malades peuvent fournir sur l'
état
de santé, non seulement de leurs frères et soeu
en que les écrits de ces auteurs aient mis en plus grand relief ces
états
mor- bides, le D'' Bastian avait, auparavant, r
tait pas de l'amblyopie; c'était distinctement de l'hé- miopie. Cet
état
dura seulement quatre ou cinq jours et disparut
alysie complète. Il ne peut pas nous donner de renseignements sur l'
état
de la sensibilité. Il n'y aurait pas eu d'autre
otilité de ces membres. Les membres inférieurs restent dans le même
état
. Le 17 et le 18 mai, pas d'amélioration. ; Le
bien-que la sensibilité de ses membres inférieurs étant revenue à l'
état
normal. Nous avons vu le malade le 16 juillet 1
ni paralysie des membres, ni autres troublées cépha- liques. Cet
état
a duré une heure et demie au bout de laquelle le
rs enfin pas d'autres symptômes soit cépha- liques soit autres. Cet
état
a duré 2 heures au bout desquelles il a disparu
u bout d'un quart d'heure environ le sens de Toute était revenu à l'
état
normal. Etat actuel, 28 juillet 1886. - (18 j
ènes paraly- tiques, enfin pas d'autres troubles quelconques. Cet
état
de cophose complète n'a duré que cinq heures à pe
ar entendre, toutefois d'une façon très confuse. Dès ce moment, son
état
s'est fort amé- lioré, mais son ouïe n'est jama
état s'est fort amé- lioré, mais son ouïe n'est jamais revenue à l'
état
normal, ses bourdonnements étaient moins forts
ut agitée; fièvre, céphalalgie intense, insomnie. Le 13 juin, son
état
n'avait pas changé ; il avait des frissons, pas
d'une douleur à la région gastrique avec sensation d'angoisse. Cet
état
, qui n'était accompagné d'au- cun autre symptôm
as de troubles urinaires ou génitaux ou rectaux, enfin rien. -- Cet
état
a duré de 3 à 5 heures. Depuis 1882, étant pers
par éliminer tous les sujets présentant, à un degré quelconque à l'
état
de veille, de l'hyper- excitabilité neuro-muscu
ples vulgaires, la sécrétion des larmes est provoquée tantôt par un
état
moral déprimant, un chagrin, tantôt par un corp
supposer qu'il existait un grand hypno- tisme caractérisé par trois
états
distincts ? S'il a constaté les trois états, ce
e caractérisé par trois états distincts ? S'il a constaté les trois
états
, ce n'est donc pas en vertu d'une idée préconçue,
st donc pas en vertu d'une idée préconçue, mais parce que ces trois
états
se sont présentés naturellement à son observati
r au début de ce travail que chez les grandes hypnotiques les trois
états
pouvaient se dévelop- per dès la première tenta
tentative d'hypnotisation on a pu cons- tater l'existence des trois
états
avec toutes les particularités qui les caractér
sent, mais au début les phénomènes somati- ques n'existaient qu'à l'
état
d'ébauche. Nous devons faire remarquer que chez
notiques et ne pré- sentant pendant toute cette époque que les deux
états
, léthar- gie et somnambulisme, qu'on avait cons
soumise à aucune expérience d'hypnotisme, qu'elle était occupée à l'
état
de veille à un travail manuel, un violent bruit
téristique de la cata- lepsie. Ces auteurs reproduisaient les trois
états
de la grande hypnose sur une hystéro-épileptiqu
son frère et du professeur Bianchi, tous les phé- nomènes des trois
états
admis par l'École de la Salpêtrière. Je ' Revis
très facilement provoquer des contractures chez mon sujet, soit à l'
état
de veille, soit pendant son som- meil hypnotiqu
ui ont été indiqués par M. Charcot comme caractéristiques des trois
états
du grand hypnotisme. Il ne pouvait être questio
attention sur la fin du passage qui a trait à l'existence des trois
états
, à la production de la griffe cubitale, de l'hémi
J'arrive maintenant à la quatrième proposition. L'hypnotisme est un
état
pathologique et non physiolo- gique. C'est une
' se rencontrer en dehors de l'hystérie; la coexistence de ces deux
états
n'est donc qu'une coïncidence. » - Nous repou
iques elle est beaucoup plus accentuée que chez les hysté- riques l'
état
de veille. 2° Nous avons fait remarquer au comm
hysté- rique et qu'il y avait une véritable analogie entre ces deux
états
. 3° Il existe entre l'hypnotisme et les manifes
s les centres nerveux et n'a aucun rapport avec les fonctions.- A l'
état
pathologique on trouve aussi d'autres substance
ditions physiologiques et dans des conditions patholo- giques : à l'
état
physiologique elles servent de réservoir aux al
éservoir aux aliments non utilisés ou aux sécrétions inutiles ; à l'
état
patho- logique ce sont des pertes de substances
ment parle carmin. Les circonvolutions sont plus aplaties qu'à l'
état
normal. Les cellules y sont rares, quelquefois ab
le face ni de la langue, quelques groupes musculaires étaient à l'
état
de rigidité. Réflexes cutanés et tendineux abolis
ert une autre loi, non moins importante : « Pour chaque moment de l'
état
du nerf et du muscle, existent un optimum et un
tion n'est pas suivie d'une augmentation de la contraction est dile
état
de pessimum. (Le professeur Marey, en France, a
. (Le professeur Marey, en France, avait déjà signalé ce fait.) A l'
état
de pessimum, le muscle consomme une certaine qu
muscle consomme une certaine quantité de force; en effet, dans cet
état
, un muscle récupère ses forces contractiles moi
un muscle récupère ses forces contractiles moins que s'il était à l'
état
de repos. Dans cet état l'excitabilité du muscl
orces contractiles moins que s'il était à l'état de repos. Dans cet
état
l'excitabilité du muscle est seulement diminuée
vu se produire de mouvements cloniques en cherchant ce réflexe à l'
état
de santé. Application de la méthode graphique c
momentané, le maximum est atteint plus lentement et le retour à l'
état
normal se fait graduellement. La dilatation dir
dilatation directe arrive rapidement à son maximum ; le retour à l'
état
normal est plus court; le rétrécissement mo- me
augmentation de tension, mais la pupille se rétrécit encore et cet
état
de contraction persiste. La respira- tion et le
ambe. P. K. III. Des modes d'examen ET D'L'TEltl'ttl.r'AT10\ de l'
état
de la SE1SI- bilité DANS LE TARES ET LA PARALYS
de l'examen (exercice delà fonc- tion), transforment à vue d'oeil l'
état
de la sensibilité (une obser- vation), ainsi qu
a cessé de fonction- ner ; dans la maladie de Basedow, elle est eu
état
d'activité patho- logique, activité qui préexis
point, ils ne se trouvent pas fatigués. C'est ce qui distingue cet
état
de la distraction commune. L'aprosexie peut enc
ls, les chagrins et les soucis, rentrent encore. dans le cadre de l'
état
normal. Ils émanent de modifications de la nutr
ctuelle, la. mémoire, émoussen fia force de volonté, l'énergie. Cet
état
peut, après avoir persisté sous une forme vague
e la dépression mélancolique, en un mot la psychasthénie primitive (
état
de fatigue psychique). Malgré cela, si les cond
ra évidente. Observation I. Mégalomanie avec manie aiguë furibonde,
état
congestif, parésie hémifaciale. Sangsues à la t
nant un paralytique général, absolument sourd, et paraphasique. Cet
état
a déjà été assez sou- vent observé, à la suite
thiques, la folie étant la maladie d'un système nerveux fatigué, en
état
de faiblesse irritable, de langueur se terminan
'aliénation mentale. On lui demande alors si cette malade serait en
état
de délibérer sur les suites de ses actes; cela co
axé précisément parce qu'il n'était pas responsable à raison de son
état
mental. Un sénateur au centre. Habituel ! - )
la juridiction même qui a prononcé l'acquittement. On me dit : «
état
mental habituel ». Il peut en effet, se produire
deux hypo- thèses : la première, c'est que l'individu soit dans un
état
habituel d'aliénation mentale. Tout le monde re
onnance ou d'un arrêt de non- lieu, non pas parce qu'il est dans un
état
habituel d'aliénation mentale, mais parce que,
incriminé, il n'était 316 SÉNAT. pas responsable à raison de son
état
mental. Il a eu un accès de folie et c'est dans
de cette question délicate, que cet individu qui n'est pas dans un
état
habituel d'aliénation, peut cependant être suje
il dit sim- plement qu'il y aura lieu, dans ce cas, d'examiner son
état
men- tal ; et c'est précisément la justice qui
'est précisément la justice qui sera appelée à se prononcer sur cet
état
et à décider s'il n'y a pas péril pour la sécurit
commis par l'accusé, celui-ci n'est pas responsable, à raison de l'
état
mental où il se trouvait au moment du crime. Pa
devrait poser au jury la question d'irresponsabilité à raison de l'
état
mental de l'accusé. . Cette proposition n'a pas
fait déposer au jury la ques- tion d'irresponsabilité à raison de l'
état
mental de l'accusé était dénature à provoquer d
, en ce qui concerne l'irresponsabilité de l'accusé à raison de son
état
mental, un avertissement analogue à celui qui e
s circonstances qui sont de nature à faire supposer qu'il existe un
état
d'aliénation mentale, dans ce cas-là... M. de G
bord que le ministère public renonce à l'ac- cusation à raison de l'
état
mental qu'il reconnaît avoir existé chez l'accu
t atteint de folie au mo- ment où le crime a été commis, et que cet
état
mental le décharge de toute responsabiltié. Il
oser qu'en effet il a existé au moment du crime sinon plus tard, un
état
d'aliénation men- tale. 'M. Lacombe. Je deman
me de défense. D'après le projet de la commission, il suffira que l'
état
mental de l'accusé ait été mis en doute ou que
ent d'aliénés de toute personne, interdite ou non interdite, dans l'
état
d'aliénation, dûment constaté par un certificat
ait sommaire et ne présentant plus les mêmes garanties, alors que l'
état
du conflit au moins apparent entre la magistrat
prendre une mesure provisoire à laquelle succéderait l'examen de l'
état
mental de l'accusé acquitté ; cet examen serait,
e l'irresponsabilité de l'accusé et, de l'autre, la négation de cet
état
mental par l'organe de l'accusation. Ne voyez-v
de l'autorité admi- nistrative, si les magistrats estiment que son
état
mental le cocs- SÉNAT. 323 titre l'état d'ali
gistrats estiment que son état mental le cocs- SÉNAT. 323 titre l'
état
d'aliéné dangereux. La cour d'assises peut en agi
éficiera d'un verdict de non- culpabilité, lorsque la preuve de cet
état
mental lui parait résulter des débats. L'autori
juridiction qui l'a. relaxé en vertu d'une décision motivée par son
état
d'aliénation mentale est naturellement celle qu
suffisant. La défense invoque l'irresponsabi- lité à raison de son
état
mental. On ne peut se faire une arme contre l'a
éfense a soutenu que le prévenu était irresponsable à raison de son
état
mental, ou si le ministère public a abandonné l'a
ous alors que la défense a soutenu l'irresponsabilité à raison de l'
état
mental du prévenu ? La plaidoirie de l'avocat d
venu qui aura bénéficié d'un verdict d'acquit- tement, mais que son
état
mental constituera à l'état dangereux. La cour
verdict d'acquit- tement, mais que son état mental constituera à l'
état
dangereux. La cour d'assises aura cette faculté
ux. La cour d'assises aura cette faculté lorsque la preuve d'un tel
état
mental « lui paraîtra résulter des débats ».
ice le placement dans une maison d'aliénés de toute personne dont l'
état
d'aliénation compromet la sécurité publique. A
sur plusieurs bancs.) , (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE V. Différents
états
de délire dans l'alcoolisme; par le Dr Crotiier
r Crotiiers. La plupart des auteurs se sont contentés d'étudier les
états
déli- rants aigus et graves des alcoolique ? ,
Un chapitre fort important, et qui abonde en faits, est celui de l'
état
intellectuel des héréditaires, que ces troubles s
e-Anne pour reconnaître aux dégé- nérés trois aspects cliniques : l'
état
mental, l'état syndromique, l'état délirant. Po
onnaître aux dégé- nérés trois aspects cliniques : l'état mental, l'
état
syndromique, l'état délirant. Pour lui aussi, c
érés trois aspects cliniques : l'état mental, l'état syndromique, l'
état
délirant. Pour lui aussi, ce délire est brusque,
t pas le sommeil; à dose plus forte cette substance donne lieu à un
état
de somnolence léger passager, inconstant et qui
côté de la motilité; à dose toxique enfin l'acétophénone produit un
état
comateux qui n'a rien de commun avec le sommeil
stérique n'est pas une malade, c'est une per- sonne chez laquelle l'
état
d'hypnose latent est perpétuel, » : mascotte, l
latent est perpétuel, » : mascotte, la mascotte est une personne en
état
d'hypnotisme latent, avec certaines facultés tr
ans cette anatomie, la cou- naissance des fonctions du cerveau, à l'
état
normal ou pathologique, serait encore plongée d
connues, il devien- drait possible d'en déduire les conditions de l'
état
pathologique, celui-ci ne pouvant être qu'une m
ne pouvant être qu'une modifi- cation plus ou moins prononcée de l'
état
normal, sans l'intervention de lois nouvelles'.
ue les organes homonymes du cerveau demeurés intacts ont été hors d'
état
de suppléer ». Objecte-t-on que la disparition
ont été rapportés par Munk, et avec raison, à la cécité psychique,
état
dans lequel, on le sait, l'animal continue à vo
ta surtout en bains sulfureux ; quand, à la suite de ces bains, son
état
se fut un peu amélioré, il se remit de nouveau
on retour a Moscou, I... commença à remarquer en lui des accès d'un
état
fébrile, qui commençaient par un acca*' blement
GIE NERVEUSE. tomber dans l'obscurité. En octobre, il tomba dans un
état
fébrile (à ce qui semble, accès de fièvre inter
se)'e)/omt ? «;«) ! HO<')'Kei<. Examen du système nerveux. L'
état
psychique et la parole du malade sont parfaitem
lmoscopique, fait parle très honoré M. le D''AdeIheim, a démontré l'
état
normal des papilles des nerfs optiques et de l'
velle dose de quinine, la température tombe le lendemain à 3605 ; l'
état
général s'améliore, mais les douleurs térébrant
quatre heures et de ce moment jusqu'à maintenant, il n'y eut plus d'
état
fébrile si l'on ne compte pas un jour de fièvre a
le croire. C'est pourquoi nous devons bon gré mal gré attribuer son
état
nerveux aux causes qui ont amené une déchéance
uses qui ont amené une déchéance si rapide et si prononcée de son
état
général; il n'y en a que deux : l'intoxication
es font défaut dans un certain nom- bre de cas, » et plus loin; « l'
état
de l'iris est très variable : tantôt les pupill
des symptômes existant chez notre malade, nous aurions, malgré l'
état
normal des muscles oculaires et du fond de l'oe
male; nous voyons donc que le symptôme qui nous troublait le plus l'
état
normal des yeux dans notre cas, n'est pas une p
ent pas, d'ordinaire. Une seconde coïncidence intéressante, c'est l'
état
de la sensibilité chez quelques-uns des malades
iblissement de la sensibilité à la douleur-dans tout le corps, avec
état
tout à fait nor- mal des yeux et de la sensibil
ertain degré d'hyperesthésie pour qu'il veuille se promener dans un
état
de nudité complète. En effet, c'est dans ce but
pitre de Physiologie pathologique, sur le mode de production de cet
état
morbide, et nous tâcherons d'expliquer alors le
rier ceux qui l'entouraient de ne pas le secouer ou le toucher. Cet
état
qui était si effrayant a duré au total trois he
es nausées. L'accès de vertige, une fois dissipé, a fait place à un
état
vertigineux permanent accompagné de bour- donne
t pas si bien. Toutes les quinze ou vingt minutes, au milieu de cet
état
vertigineux se dessinaient des accès qui, sauf
te, comme si, d'après son récit, il avait pris beaucoup de vin. Cet
état
a duré un moN sans le moindre amendement, mais
alade est pris du même accès de vertige et d'une aggravation de son
état
vertigineux permanent. Fort heureusement cette
ée, à peine de trois heures, au bout desquelles il est revenu à son
état
anté- rieur. Depuis ce moment, son état s'attén
quelles il est revenu à son état anté- rieur. Depuis ce moment, son
état
s'atténuait d'une semaine à l'autre, lentement
ement. Etat actuel (17 novembre 1886). Il est très amélioré : son
état
vertigineux permanent n'existe plus que deux ou t
arquer que le malade est venu nous consulter non seulement pour son
état
vertigineux et ses crises, mais encore et surto
ps, le malade vint me remercier pour la disparition complète de son
état
vertigineux. Plus de crises de vertiges, il peu
uits auriculaires, fusillade, vertige de translation, nausées ; son
état
vertigineux permanent, accompagné des bourdonne
paroxysmes établir par leur rap- prochement, par leur confusion, un
état
vertigineux permanent. A ce moment, nous nous t
A ce moment, nous nous trouvons , on le sait, en présence : 1° d'un
état
vertigineux per- manent ; et 2° de crises qui é
ineux per- manent ; et 2° de crises qui éclatent au milieu de cet
état
, ayant absolument les mêmes caractères que cell
e pour l'autre malade de l'O.BSrRVATION II. (Dès le premier moment,
état
ver- tigiiieux- permanent au milieu duquel écla
en- viron depuis l'invasion de son accident, au lieu d'avoir son
état
vertigineux d'une manière perma- nente, il n'eu
raitement quinique,, n'a pas tardé en définitive à mettre fin à son
état
. La guérison a été complète, absolue et sans su
n de la paralysie complète du nerf auditif, la cophose, met fin à l'
état
effrayant des sujets en proie depuis longtemps
bientôt après il perd complètement connaissance, il reste dans cet
état
sans avoir conscience de rien pendant vingt- qu
un tremblement rythmique. Depuis cette époque, jusqu'à présent, son
état
n'a pas beaucoup changé. - État actuel (15 sept
ctuel (15 septembre 488'r). Symptômes spinaux. Le fait qui domine l'
état
maladif, c'est une paralysie des. membres infér
t pas le bruit de la chaîne qu'on traînait. II est resté dans cet
état
de surdité complète qui existait à ce moment à
esté dans cet état de surdité complète qui existait à ce moment à l'
état
d'isolement pendant trois jours ; il n'avait pas
ue de l'accident; tous ces symptômes., dis- je, dont la plupart à l'
état
de simplicité, d'isolement, constituent les for
c ses mains. Au bout de ce laps de temps, le malade revient à son
état
normal, parfaitement bien portant et ne se plaign
plexes sont composés par des symptômes divers et multiples qui, à l'
état
de simplicité et d'iso- lement, constituent les
eur du côté gauche, ne pouvaient exécuter le moindre mouvement. Cet
état
, accompagné d'un certain degré de céphalalgie a
ndre ses urines ni ses selles. A 5 heures du soir, il revient à son
état
normal. Pas trace de paralysie. La sensibilité
ion de ces troubles, comme toujours du reste, est redoutable, car l'
état
général s'aggrave, le marasme se prononce et le
tait évidemment de la fièvre hectique. L'appétit est presque nul, l'
état
général s'aggrave encore; une eschare gangreneu
ar jour et que je provoquais des éva- cuations par des lavements. L'
état
du malade s'améliora par ces soins, la peau à l
'améliora par ces soins, la peau à la région du sacrum revint à son
état
normal et le malade sembla pendant quelque temp
emploi du calomel comme purgatif; ainsi pendant quelques jours, son
état
semblait s'améliorer : le mouvement des doigts
. La veille, étant retiré du fond de la mer, il était tombé dans un
état
comateux ; lorsque je l'ai vu, il était aux der
uspendues pour le monde réel; il y a, en un mot, stupeur. Le même
état
existe plus tard, mais avec cette différence que
se privant de manger et faire pénitence pour aller à Dieu ! - Même
état
plus tard; la malade prétend que les prières et
e à apparaître par le fait d'une alimentation in- «- complète et un
état
nerveux toujours en émoi, toujours en éréthisme
'éréthisme nerveux ontpour couronnement de leur effort incessant un
état
général qu'on peut caractériser par ces mots : de
u corps qui sont sous l'empire de la volonté. La malade est dans un
état
d'inertie complète par elle-même; elle ne manif
ns un certain degré de maigreur, dans la flaccidité des muscles à l'
état
de repos et dans une diminution de la chaleur a
sans qu'il soit tou- jours facile de préciser quel est celui de ces
états
qui domine '. ' Voir pour ce qui concerne les t
des cylindres-axes est quatre à dix fois plus considérable qu'à l'
état
normal ; parfois ils sont détruits. La myéline se
minue peu à peu si l'on continue l'usage du tabac, puis arrive à un
état
stable qui dure tant que le sujet continue à fu
u coeur étaient moins prononcées et dépendaient probablement de l'
état
de la circulation. Névrite multiple consécutive
escence granuleuse, qui se propage du centre à la périphérie. A cet
état
, la cellule se désagrège et ses granulations re
s dans la paralysie générale qu'en raison des soins que réclame l'
état
de ces malades. Altérations du système nerveux
. Il est arrivé à cette conclusion qu'il existe chez les animaux un
état
spécial, com- parable, sinon analogue à l'état
chez les animaux un état spécial, com- parable, sinon analogue à l'
état
d'hypnotisme chez l'homme. Cet état est caracté
- parable, sinon analogue à l'état d'hypnotisme chez l'homme. Cet
état
est caractérisé par : la diminution de l'activité
re de vapeurs d'éther, au lieu de chercher à s'échapper comme à l'
état
normal, reste indifférente; puis elle est narcoti
Si elle est privée des deux hémisphères, elle arrive très vite à l'
état
hypnotique, et y reste plus longtemps. La sensi
reste plus longtemps. La sensibilité cutanée ne diffère pas dans l'
état
de veille ou de sommeil; il n'y a pas d'anesthé
nt une électivité spéciale pour certains colorants. La cellule, à l'
état
de repos, se colore autrement que la cellule en v
Le nerf doit être enlevé encore vivant, et pour chaque moment de l'
état
du nerf, il existe une forme déterminée de la s
ur la qua- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 473 3 trième fois et son
état
était des plus graves; il présentait en- core l
touchement provoquait une crise. Ce sujet était suggestionnable à l'
état
de veille, et lors- qu'on imitait le son de-la
on de la physionomie, chez les aliénés, dépend souvent non pas d'un
état
mental, mais d'une atrophie ou d'une hypertro-
t de M. Vallon, propose aux concurrents la question suivante : De l'
état
mental et du délire chez les idiots et les imbéci
, que l'empoisonnement morphinique n'agisse défavorablement sur l'
état
mental, il est contestable qu'il puisse provoquer
GEAU rapporte l'observation d'un mari et de sa femme tombés dans un
état
de démence plus ou moins accu- sée à la suite d
r et de la difficulté de la déglutition. Il est actuellement en bon
état
. M. le 1)' Welber cite un cas de fracture de la
e dans un chapitre très éloigné qu'il définit l'ivrognerie « est un
état
particulier de l'organisme ou de la totalité du
mes de neurasthénie alcoolique héréditaire l'au- teur mentionne des
états
d'ébriété sans alcool, survenant chez les enfan
homme ivre, le neurasthénique alcoolique héréditaire deviendrait en
état
d'ébriété sans alcool ; l'auteur cite de vieux
société de tempérance qui, quoique très sobres, tombaient dans cet
état
rien qu'en dépeignant dans leurs discours le dé
, le sexe, l'âge, la religion (rareté chez les juifs), le climat, l'
état
de l'air (influence marquée des vents d'ouest),
léments de tout acte volontaire, le 496 BIBLIOGRAPHIE. premier, l'
état
de conscience, n'a aucuile efficacité, taudis que
res à la naissance, de l'éducation, de l'expérience, c'est-à-dire l'
état
de l'organisation tel que l'ont fait les conditio
e nouveau-né le réflexe agit seul d'abord, et, en l'absence de tout
état
de conscience, il n'y a point chez lui d'acte v
première esquisse du caractère individuel, marquent le passage de l'
état
purement réflexe à l'élat volontaire. Accompagn
ge de l'état purement réflexe à l'élat volontaire. Accompagnés d'un
état
de conscience souvent très intense, ils ont une
e transformer en actes, en -trois groupes : le premier comprend les
états
intellectuels extrêmement intenses, passant à l
ion plus ou moins longue. La tendance à l'acte est modérée, comme l'
état
affecté. Enfin viennent les idées abstraites, a
par consé- quent, la spontanéité témoigne simplement d'un excellent
état
de la nutrition des tissus appelés à agir ; ell
des impressions qui fappent l'individu à un moment donné ; c, de l'
état
dans lequel se trouvent, à ce moment-là les cen
n. Les auteurs de ces rapports ont surtout pour mission d'exposer l'
état
actuel de la science sur la question dont ils s
es tendineux sont conservés. A la main droite la peau pré- sente un
état
lisse au petit doigt. Il y a des sueurs exagérées
insidieusement, sans cause occasionnelle apparente, au milieu d'un
état
général satisfaisant, par des troubles de la sens
l peut y avoir des sueurs, des sensations de froid au Loucher, de l'
état
lisse de la peau. Electriquement, on constate
but caractérisée par des troubles de la sensibilité, la seconde ~ d'
état
avec de la paralysie atrophique, la troisième ter
déformations qui s'accentuèrent de plus en plus, jusqu'à produire l'
état
actuel. Pendant le cours de celte évolution, au
de toute protec- tion, à des pressions et des' chocs réitérés, d'où
état
irritatif et névrite. Quoique, dans notre cas,
vraient alors être considérées que comme secondaires. Aussi, en l'
état
de la question en général, est-il permis d'hésite
de le voir, dans les intervalles interparoxystiques, s'établir à l'
état
de symptôme per- manent. Nous avons eu l'occasi
re de la part qui revient aux masses musculaires de la nuque dont l'
état
de contraction ou de raccourcissement augmente
eux-mêmes, parfaitement appréciable à la main, et occasionné par l'
état
de contracture dans lequel se trouvaient ces mu
sur des orteils que des troubles nerveux préalables avaient mis en
état
d'infériorité nutritive. Nous allons d'ailleurs
début de l'accident, coïncidant avec la période la plus forte de l'
état
spasmodique des muscles, il s'était produit un
depuis un mois, il s'est t produit une amélioration sensible dans l'
état
de sa fille; celle-ci, tout en boitanl et en pr
nt toute la région latérale du cou. - Le malade n'a pas présenté un
état
de shok très prononcé. Céphalalgie. Le facial e
gauche. Amélioration des signes fonctionnels. 1er décembre. - Même
état
au point de vue des phénomènes médullaires : le
mbre. -Atrophie du membre inférieur droit. Du côté de la plaie, bon
état
. Coloration ccchymotique de tout le cou et d'une
ION, . Chirurgien des hôpitaux. Interne îles hôpitaux. NOTE SUR L'
ÉTAT
DES FORCES ET SUR LE TREMBLEMENT CHEZ LES ÉPILE
de Verdin, et le tremblement à l'aide d'un tambour à 1. Note sur l'
état
des forces chez les épileptiques (Bull. Soc. biol
te l'élat normal (le tracé se lit de droite à gauche). . NOTE SUR L'
ÉTAT
DES FORCES. 3 ! ) réaction chargé de poids que
abilité des mains du sujet, l'avant-bras en demi-flexion, aussi à l'
état
normal; la ligne supérieure fournie par la main d
main droite, FIG. 6. - Courbe dynamographique de la main gauche à l'
état
normal (le tracé se lit de droite à gauche).
de droite à gauche). FIG. 7. -a. 1remb[emeul de la main droite à l'
état
normal; b. tremblement de la main gauche. .10 .
plus étendues que sur la figure 7 qui représente le tremblement z l'
état
normal. Les oscillations de la main droite, la pl
me dans les, différentes écritures du même individu dans ses divers
états
: 'les fioritures, les traits ter- minaux, etc.
ter- minaux, etc., sont plus ou moins atténués ou exagérés dans tel
état
de dépression ou d'excita- tion, mais ils persi
hémichorée, j'ai étudié les mouvements anormaux comparativement à l'
état
normal et à la suite des attaques, àl'aided'un
culier sur le biceps. La figure 11 a donne un tracé de ce genre à l'
état
normal, la figure 12 donne deux tracés du même
iquo du biceps gaucho chez G. atteint d'hémiathatose gauche. a. à l'
état
normal ; b. dix minutes après un choc sur le tend
épilepsie chez G..., atteint d'hémiathétose gaucho. ' , NOTE SUIt L'
ÉTAT
DES FORCE ? -13 111 pas seulement d'ailleurs le
ic. 13. - Courbes myographiques chez un sujet hémichoréique. a. à l'
état
normal; b. sous l'influence d'une excitation audi
e. La figure 13 donne la courbe myographique d'un hémichoréique à l'
état
normal (a), et (b) sous l'in- fluence d'une exc
yeux montra que la conjonctive, la cornée et l'iris étaient dans un
état
normal. Les mouvements des yeux étaient bons. A d
s'être agi d'une attaque de rhumatisme. - Celte femme attribue son
état
actuel à la fièvre scarlatine, bien qu'elle rec
ne grandeur (104 centimètres), paraît anémique, se trouve dans un
état
de nutrition satisfaisant. Dès le premier coup
MÉGALIE. 55 est au moins le double de largeur de ce qu'elle est à l'
état
sain. Amygdales larges, crevassées. Larynx as
(15 à 25 mm). ' La musculature de l'épaule et du bras est en bon
état
, au contraire les flé- chisseurs et les extense
ués à l'honnê- DOCUMENTS SATIRIQUES SUR MESMER. 63' teté par leur
état
, eussent seuls le droit et le privilège d'exercer
tablissement n'a pu nous donner que quelques renseignements sur son
état
à ce moment. On ne connaît que très peu de chos
e n'a pu non plus se frotter les pieds sur les barreaux du lit. Son
état
indique d'ailleurs nettement un ralentisse- men
ant ce temps, le pouls reste lent, la teinte cyanique persiste et l'
état
mental reste le même; alternatives d'hébé- tude
dit n'avoir jamais eu d'attaques de nerfs autrefois. En juin, même
état
: tantôt se cache dans un coin, résiste éncrgi-
étant ainsi placés, ceux-ci retombent pendant qu'elle répond. Son
état
général reste d'ailleurs le même; ses mains sont
autrement» répond-elle (l' kann nil cca clcs) . Le lendemain, cet
état
cataleptoïde persiste (pi. X). Le 30 juillet, A
s doigts, la notion des poids, de leur différence, est conservée. L'
état
cataleptoïde peut être provoqué et si, par exem
Cliché A. LONDE PHOTOTYPfE BER7HAU0 MELANCOLIE CATALEPTIQUE (
état
CATALEPTOtDE) .... S.I...1 BABÉ, ÉctTb.tJRS S
peur consécutifs pendant lesquels elle présenterait l'aptitude il l'
état
cataleptoïde, et un troisième (phase d'activité
mmobile sur sa chaise, la tête fléchie, les yeux fermés. Le 13, l'
état
cataleptoïde reparaît. Le 18 il cesse, pour repar
les. , , '15 octobre : crachottement continuel. - Décembre : même
état
; alternatives d'excitation plus fréquentes avec
u cloniques, ou sous forme de raideurs musculaires, ou sous forme d'
états
cataleptoïdes. Il faut noter aussi le mutisme, de
e mu- tisme, la résistance systématique, une attaque de raideurs, l'
état
cata- leptoïde, et du côté physique des trouble
période de stupeur. A dif- férentes reprises Marcéb a insisté sur l'
état
des fonctions circulatoires et respiratoires ch
la malade sur un point quel- conque, de quelque façon que ce fut, l'
état
cataleptoïde cessait immé- 1 : Rail. Leçons sur
ravail sur la catatonie2. Mais si l'attention joue un rôle dans ces
états
cataleptoïdes s'en suit- il qu'il y ait un effo
ificatifs. Sur un sujet normal, dont la respiration est figurée à l'
état
de repos dans la figure27, nous voyons, si les
iste chez notre malade. La figure 29 nous montre sa respiration à l'
état
normal : c'est un type de respiration de mélan-
ompensatrice. Il résulte en somme de l'examen de ces tracés que cet
état
catalep- toïde provoqué chez notre malade ne tr
es plaques d'anesthésie plantaire redevinrent sen- sibles. Enfin, l'
état
général s'améliore, le sommeil devient meilleur,
sujette au rhumatisme avant la maladie, mais non depuis. Quant à l'
état
actuel : mâchoire inférieure très augmentée de vo
'une façon précise, cette notion générale, du lien commun tiré de l'
état
des troubles de sensibilité - qui réunit les spas
pouvait, parla pression sur les globes oculaires, la mettre dans l'
état
désigné sous le nom de petit hypnotisme. Dans cet
mettre dans l'état désigné sous le nom de petit hypnotisme. Dans cet
état
on pouvait, par suggestion, calmer pour un mome
ise de sa toux rauque. Lorsqu'on examine la face de la malade à l'
état
de veille, on remarque que l'ceil gauche est co
re, on lui enlève tous les matins cette aphonie par suggestion dans l'
état
somnambulique, et elle peut alors parler à haut
ES TROUBLES. Dans la dernière quinzaine du mois de décembre 1887, l'
état
de la malade est toujours sensiblement le même.
inférieurs, qu'on enlève ensuite faci- lement par suggestion dans l'
état
hypnotique. Le 18 décembre 1887, on constate un
lement douloureuse. En même temps, on constate un changement dans l'
état
de la sensibilité cutanée de la malade : il y a
traction, une légère pression ou percussion. Le 29 décembre, même
état
. Le 30 décembre, l'hyperalgésie persiste toujou
ériode somnambulique ces douleurs provoquées sont plus vires qu'à l'
état
de veille alors que la sensibilité a disparu dans
reste du corps, ainsi que cela s'observe ordinairement pendant cet
état
hypno- tique. Dans les premiers jours du mois
dessus du poignet. Pendant tout le cours du mois de janvier 1888, l'
état
de la malade reste sensiblement le même : il y
s arthralgiques qui persistent, même pendant toutes les phases de l'
état
hypnotique* Les autres accidents se reproduisent
t de nouveau faire dis- paraître l'aphonie par suggestion pendant l'
état
hypnotique; dès lors, cette aphonie ne se repro
i les accom- pagnent n'ont subi aucune modification, non plus que l'
état
de la sensibilité. La malade a toujours en moye
incessamment agité de mouvements malléatoires de chorée rhythmée. L'
état
de la sensibilité de ce membre n'est aucunement m
ux. Le 11 décembre la malade demande son exeal. Persistance du même
état
. Cette observation présente, en dehors du bléph
ilepsie, hémianesthésique droite' et susceptible d'être mise dans l'
état
appelé grand hypnotisme. L'ayant fait passer da
hypnotisme. L'ayant fait passer dans la phase somnambulique de cet
état
nous lui suggérons que son oeil gauche se ferme
t de légers mouvements palpé- braux. Ces constatations faites à l'
état
de veille, nous remettons la malade en somnambu
s avons donc reproduit artificiellement, sur deux sujets mis dans l'
état
hypnotique, un étal pathologique en tous points s
tracture des muscles qui entourent l'articulation de la hanche. L'
état
de santé général est devenu très satisfaisant. -
antérieure par un gland conoïde que ne recouvre pas le prépuce à l'
état
normal. Au sommet du gland on aperçoit le méat
e qne la verge présente une déviation en baïonnette peu accusée à l'
état
de repos, mais devenant très manifeste pendant
re avoir de l'influence sur la famille Bonaparte. 10 septembre. - L'
état
s'est amélioré. L'excitation est moins forte, il
coup moins surexcité. 16 septembre. - Le malade est revenu il son
état
normal. j, 20, 21, 24 septembre. - Un accès par
obre. Le délire a cessé complètement, le malade est rentré dans son
état
normal. 6 novembre. - Un accès de jour. 8 nov
re malade est microrchide. Cette anomalie ne paraît pas exister à l'
état
d'isolement, elle est par conséquent moins bénign
s au sommet du gauche; coeur d'un volume double de ce qu'il est à l'
état
normal, aorte un peu rétrécie. Dans le ventre r
circonstances fait place un véritable délire des grandeurs, et son
état
mental s'aggravant de jour en jour, on se décid
il la tète ». 11 juin. Le délire mélancolique continue toujours; l'
état
de sa santé paraît surtout le préoccuper, il se
es jours, il fait sous lui et ne paraît pas avoir conscience de son
état
. Poids riz Idiogr. 500. 8 décembre. On remarq
aré par un sillon humide des parties voisines. 25 février 1889. L'
état
ichtyoique de la peau est de plus en plus marqué,
rtion supérieure du petit zygomatique du côté droit. Les lèvres à l'
état
de repos ne sont le siège d'aucun mouvement, mais
totypie BER1'HAUn TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GENERALE (
ÉTAT
ICHTHYOSIQUE DE LA PEAu) E C n OS NIMR & ÉD
ndant on le voit sourire lorsqu'on lui parle de ses enfants. ' Vu l'
état
mental de notre malade, l'examen de la sensibilit
ît occasionner aucune sensation pénible. On ne peut dire quel est l'
état
de la vision. La pupille est contractée, petite,
nettement sur plusieurs points dans la planche XXV.' ' ' ' . Cet
état
squameux de la peau donne au toucher une sensatio
taire au début (pl. XXVII). Rien de semblable au pied droit. .Cet
état
. ichtyosique de la peau s'accompagne d'une absenc
es des cuisses et des bras paraissent diminuées de volume, même à l'
état
de contraction, elles présentent un certain degré
L'arthrite de la phalange parait augmentée de volume. Toujours même
état
de la peau. Même'état mental. Mendel * signal
. Pas d'idées de grandeur ou de satisfaction; la malade est dans un
état
de tristesse assez marquée sans délire ni halluci
re membres forment comme des barres rigides. Pendant la marche, cet
état
d'extension persiste; . les membres supérieurs
ncopal se dissipe spontanément, et la malade se trouve dans le même
état
qu'avant. Pendant l'état syncopal, la déviation f
ément, et la malade se trouve dans le même état qu'avant. Pendant l'
état
syncopal, la déviation faciale persista. Durant
rande hypnotique, est immédiatement mise en somnambulisme. Dans cet
état
nous ne tardons pas à lui enlever par suggestio
s attaques d'hystérie. Dans la nuit du 10 au 17 juin 1888 débute un
état
de mal hystérique pré- sentant ceci de particul
ute celte période il est impossible, dans le but de la tirer de cet
état
, de déterminer une attaque complète (ordinai- r
d'hémianesthésie scnsitivo-sensorielle. Pendant toute la durée de l'
état
de mal, le côté droit n'avait pas semblé paraly
onjointement, tout rentra dans l'ordre du côté hémaniesthésique à l'
état
normal. OBs. IX. - Clés..., 20 ans, hystéro-épi
ec peine, ainsi qu'il arrive lorsqu'elle se trouve plongée dans cet
état
d'excita- tion assez souvent prémonitoire des a
. 58). La malade qui est facilement hypnolisable est plongée dans l'
état
sonlnaul- Indique pendant lequel nous faisons d
à quelques points seule- ment, tandis que dans d'autres existait un
état
tout opposé. Weber est le seul auteur qui dans
tère permanent. Ces contractures peuvent être reproduites pendant l'
état
hypnotique avec les caractères qu'elles présent
à l'aide de diverses excitations périphériques, les reproduire à l'
état
de veille. Ce dernier fait a son importance. En
es expériences permettra d'étudier ces contractures provoquées cc l'
état
de veille, alors qu'en dehors des cas spontanés
n'importe lequel des dia- pasons de Kônig, non seulement pendant l'
état
hypnotique, comme je l'avais cru tout d'abord,
ypnotique, comme je l'avais cru tout d'abord, mais encore pendant l'
état
de veille les phé- nomènes suivants. Si l'on
la bouche se dévie vers la droite, se contracture et reste dans cet
état
pendant 55 à 80 secondes; elle est dure au touc
stériques produire des contractures typiques de la langue, soit à l'
état
de veille, soit pendant l'état hypnotique, par
ures typiques de la langue, soit à l'état de veille, soit pendant l'
état
hypnotique, par l'excitation du nerf acoustique
tracture, je rappellerai qu'elles trouvent leurs analogues dans les
états
expérimentaux hypnotiques longue- ment décrits
à toute autre cause. Le souvenir des douleurs endurées détermine un
état
de célébra- tion inconscient qui se traduit par
quées par les maneuvres thérapeutiques; elle est entretenue par un
état
de célébration inconsciente ; l'attitude vicieuse
sement épidermique pour marquer la place des an- ciens durillons. L'
état
général est excellent, le malade engraisse, et le
sans perte de connaissance dans la journée. 17 mai, plaie en bon
état
, trépidations beaucoup moins fortes. Poids : 63
e du nez, je crois que, en grande partie, il faut l'attribuer à cel
état
d'irrigation san- guine exagérée dans laquelle,
ès élargies; elles présentent beaucoup moins d'épaisseur que dans l'
état
ordinaire, elles sont complètement déjetées en ar
les saillies qu'ils présentent sont beaucoup plus indiquées qu'à l'
état
normal. La main et le pied avaient été plongés
ndibulum est ré- sistant, il est beaucoup plus développé que dans l'
état
normal. La glande pinéale a au moins le double
astrique sont très accentuées. En l'absence de renseignements sur l'
état
de la face intérieure du crâne dans la descript
e nutrition somblait plutôt appartenir aux parties supérieures. L'
état
des dents, de la mâchoire, du foie, semble nous f
imaginer ce que dut être, dans ces conditions, la vie physique et l'
état
mental de cette malheureuse « d'un tempérament
fait une véritable peine à tous ceux qui la voient. «Tel étoit l'
état
déplorable où la paralysie avoit alors réduit la
l'église, lui firent quelque tems après trouver des secours que son
état
lui refusoit... Son génie lui fournit enfin l'i
horreur à tous ceux qui la voyoient... « C'est dans ce déplorable
état
que la Couronneau, mettant toute sa confiance d
u reste, sa main et sa jambe gauche restèrent toujours dans'le même
état
sans aucun mouvement et sans aucune sensibilité
d on y enfonçoit des épingles... Elle est restée dans ce déplorable
état
jusqu'au 13 juin suivant. » , Sur ces entrefa
ce fait, elle est transportée à l'IIôtel-Dieu, où l'on con- state l'
état
suivant : Paralysie incomplète du bras gauche ;
s les circonstances que voici : un soir son père rentra chez lui en
état
d'ivresse, furieux, criant et frappant à tort e
lit. Après cette scène de colère il passa plusieurs heures dans un
état
d'agitation très grande. Il finit cependant par
nnaissance; il mangeait, buvait et dormait comme à l'ordinaire. Cet
état
de contracture persista pendant trois mois. Un
s parcnts qui le croyaient perdu, l'ont fait photographier dans cet
état
. 54 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAH'ËTR ! ËRË
Clinique, le 0 juin 1889. Il était, alors comme aujourd'hui, dans l'
état
suivant. État actuel. 10 juin.- 25 octobre 1889
l'accident que nous avons décrit. Une fois entré Li l'hôpital, l'
état
persista tel qu'après la chute; les bras restèr
l'appareil qui resta en place pendant un mois. Quand on l'enleva, l'
état
du membre inférieur n'avait pas changé. Depuis
ement connaissance pendant plusieurs heures. Une fois sortie de cet
état
, elle est restée paralysée de tout le côlé gauc
sparu, la guérison s'est effectuée, les muscles sont revenus à leur
état
normal. Quelque temps après, il a pu prévoir qu
, cramoisi, violacé. Parfois les personnes qui le voyaient dans cet
état
croyaient qu'il avait bu. Cet état de congestion
rsonnes qui le voyaient dans cet état croyaient qu'il avait bu. Cet
état
de congestion à la face ne s'accompagne pas de
une ser- rure, il était obligé de tou ner la clef à deux mains. Cet
état
a persisté jus- qu'en février 1888. Un matin,
270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1'l : TltII : RE. 23j'm('h. L'
état
de la main s'est amélioré au point de vne de la s
du même jour, nausées. 25 juin. La main est exactement dans le même
état
de bouffissure et de paralysie qu'elle présenta
ement de la main reparaît, et la paralysie également. Dyn. = 0. Cet
état
per- sisle jusqu'au 1" juillet, époque à laquel
nt a persisté plus de 5 minutes. 2 juillet. - L'amélioration dans l'
état
de la main s'est accentuée : Dyn. = 15 kilos. T
= 15 kilos. Tous les mouvements sont possibles. 3-4 juillet. - Même
état
. Dyn. = 18 kilos. Le 7 août. - Durant la nuit,
dans le décubitus dorsal, les yeux fermés, les membres souples. Cet
état
de calme dure une minute au plus. Phase de déli
Le mardi 17 septembre, à huit heures du matin, se sentant dans son
état
normal et entendant le coup de canon de l'Expos
reste la même. Lundi 30. Main droite un peu plus forte. Main gauche
état
stationnaire. Elles sont de nouveau anesthésiqu
généralement sur les membres, parti- culièrement lorsqu'ils sont en
état
de contracture ou de paralysie. lien a été ains
eu ou point l'empreinte du doigt. Il était complètement indolent. L'
état
général était parfait ; il n'y avait pas de fiè
our montrer jusqu'à quel point ces gonflements' hystériques, avec l'
état
congestif, la teinte violacée de la peau qui pr
érêt pratique qu'ils comportent. Sans doute, l'absence de fièvre, l'
état
général du malade sont en ces circonstances des i
l s'agit vraisemblablement là d'une manière d'être de la peau, d'un
état
permanent. Seul, Zunker1 a noté sa disparition
CHÉ A. LONDK PHOTOTYPIE HiRTHAUD ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTERIQUE (
état
normal) LIi.CROSNI8 ET ¡¡¡ADÉ, ÉDITIiIUJI NOU
E . / CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTION ? \ dans l'
état
de mal de sommeil hystérique depuis le 31 mais'18
à droite. Le pouls était ce matin, au début de mon examen, à 120. L'
état
de contracture est toujours le même, avec anesthé
ion, nous en tenant exclusivement à ce qui regarde l'attaque et les
états
de mal. Nos malades, hommes et femmes à l'encon
bservation que les stigmates physiques nécessaires pour établir à l'
état
permanent le diagnostic de la névrose; les seco
es permanents, présentent la série des accidents variés : attaques,
états
de mal, vomissements, etc., constituant la path
re; c'est elle qui crée la polyurie lorsqu'elle existe. L'étude des
états
de mal hystérique à forme épileptoïde, à forme
nelles), délirante, nous a démontré, qu'au point de vue chimique, l'
état
de mal hystérique n'était autre chose qu'une at
s, l'étude de la courbe des excréta urinaires pendant là durée de l'
état
de mal montre qu'au début il y a chute des élémen
es; puis plateau; et relèvement quelques jours avant la sortie de l'
état
de mal. Le relèvement des éléments constitutifs,
nanition. L'étude de la courbe permet donc de prévoir la durée de l'
état
de mal et de prédire le retour à l'état normal.
nc de prévoir la durée de l'état de mal et de prédire le retour à l'
état
normal. Quel que soit l'état de mal observé, le
t de mal et de prédire le retour à l'état normal. Quel que soit l'
état
de mal observé, le poids des sujets diminue jou
iminue journellement d'une quantité variable, suivant la durée de l'
état
de mal. Le retour à l'embonpoint est très rapid
ès rapide après le réveil. Nous voulons démontrer aujourd'hui que l'
état
de mal léthargique ne diffère pas des autres ét
aujourd'hui que l'état de mal léthargique ne diffère pas des autres
états
de mal hystérique et que la courbe des excréta
des excréta nous permettra encore une fois de prévoir la durée de l'
état
de mal et de prédire le retour à l'état normal;
is de prévoir la durée de l'état de mal et de prédire le retour à l'
état
normal; ce qui est dans la circon- stance d'une
circon- stance d'une importance qui n'échappera à personne. Dans l'
état
de mal à forme épileptoïde, par exemple, la fré
accès, leur diminution, peuvent faire préjuger la continuation de l'
état
ou du retour il a l'état normal; de même a-t-on
euvent faire préjuger la continuation de l'état ou du retour il a l'
état
normal; de même a-t-on des indications assez préc
l'état normal; de même a-t-on des indications assez précises dans l'
état
de mal délirant par l'état même du sujet. Dans l'
on des indications assez précises dans l'état de mal délirant par l'
état
même du sujet. Dans l'état de mal de sommeil au
écises dans l'état de mal délirant par l'état même du sujet. Dans l'
état
de mal de sommeil au contraire, rien qui indiqu
de manger. » (Empereur.) III Nos expériences, en ce qui regarde l'
état
de mal léthargique ou attaque de sommeil, ont p
attaque de sommeil, ont porté sur G malades donnant un total de 11
états
de mal pour lesquels il a été fait 91 analyses de
91 analyses des 2-1. heures de sommeil sans compter les périodes d'
état
normal. L'état de mal le plus court que nous ay
s 2-1. heures de sommeil sans compter les périodes d'état normal. L'
état
de mal le plus court que nous ayons observé a é
yse. Il ne faut pas oublier en effet, comme nons l'avons dit, que l'
état
de mal de sommeil peut se prolonger pendant beauc
s, il nous a paru intéressant de donner tout d'abord l'analyse d'un
état
de mal, d'une attaque de sommeil n'ayant pas dé
ersion caractéristique de la formule de ces derniers. En effet, à l'
état
normal Will., 19 ans, poids 48 kilo- grammes, e
ÈRE.. Dans le troisième cas (Mono. femme, 19 ans, 51 kilogrammes) l'
état
de mal dure 3 jours et se rapproche à un tel po
car, ainsi qu'il arrive quelquefois, il y a incontinence pendant l'
état
de mal. Nous ne voulons en retenir que ceci : c'e
absolument rien, pesait 57 kilogrammes le 29 juin 1888, début de l'
état
de mal, et 52 kilogrammes le 3 juillet, jour du
kil. 420. On voit combien peut être grande la dénutrition pendant l'
état
de mal léthargique lorsque les malades n'absorb
fois, le 23 janvier 1889, ses vomissements sont entrecoupés par un
état
de mal de sommeil qui dure 3 jours, les 23, 24
uvons établir, étant donné les vomissements, une comparaison avec l'
état
normal qui n'existait pas à proprement parler à
caractéristiques que celles des cas précédents au point devue de l'
état
demal léthargique. Chez Saint-Den., âgée de 15 an
nnent à ce taux inférieur. La malade, qui sort le 25 au soir de son
état
de mal par une attaque convulsive, a maigri de
plus que 36 kil. 950 au lieu des 37 kil. 760 du jour du début de l'
état
de mal léthargique, soit 270 grammes par jour.
ue le montre le tableau C l'inversion de la formule. TABLEAU C. -
ÉTAT
DE JIAL LÉTHARGIQUE St.-Bon..., le, ans. CONS
s excrétions urinaires. Le lendemain, il y a; comme pour les autres
états
de mal, oscillation autour de la normale. L'uré
naire que le 7 et les jours suivants. TABLEAU C. MOYENNES DE CINQ
ÉTATS
DE MAL DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Biz... 17 ans... S
mois. A partir de cette date, jusqu'en avril 1888, Biz... a eu cinq
états
de mal léthargique, pour lesquels M. Charcot l'
t inutile, croyons-nous, d'insister désormais. ` Pendant les cinq
états
, le sommeil fut des plus caractéristiques : lél
ours artifi- cielle fut variable suivant les attaques; dans un même
état
de mal il existait des séries de deux ou trois
(i00 grammes de lait avec 2 ou 3 oeufs battus. Pendant le dernier
état
de mal, du 23 mars au 1 ? avril 1888, l'alimentat
mmeil hystérique (Les traits pointillés indiquent les période> d'
état
normal avant l'attaque. Les traits supérieurs son
ONS. 301 du résidu fixe, de l'urée et des phosphates. En effet, à l'
état
normal, excrète 1,100 c. c. d'urine, 44gr.50 de
Outre ces considérations qui se rapportent indifféremment aux cinq
états
de mal, l'étude des deux derniers états - pour ne
ent indifféremment aux cinq états de mal, l'étude des deux derniers
états
- pour ne prendre que ceux-là - est à envisager
trition, de prévoir la durée de l'accès et de prédire le retom il l'
état
normal. ' Si l'on considère les figures 79 et 8
considère les figures 79 et 80, on note en effet, dès le début de l'
état
de mal, la chute du volume de l'urine et de l'uré
sommeil hystérique (Les traits pointillés indiquent les périodes d'
état
normal avant et après l'attaque). , 302 NOUVELL
scillations que suivent d'ordinaire le réveil. On peut donc, dans l'
état
de mal léthargique, comme dans les autres états
On peut donc, dans l'état de mal léthargique, comme dans les autres
états
de mal, en se fondant sur le tracé fourni par le
ar le volume de l'urine et le taux de l'urée, prévoir la durée de l'
état
de niai et prédire le retour à l'état normal. P
l'urée, prévoir la durée de l'état de niai et prédire le retour à l'
état
normal. Plus que dans les autres états de mal hys
niai et prédire le retour à l'état normal. Plus que dans les autres
états
de mal hystérique cette action a une importance
cette action a une importance capitale dans la circonstance. Dans l'
état
de mal épileptoïde, par exemple, on peut voir q
s de calme devenir plus étendus. On pensera alors que le retour à l'
état
normal est proche. Il n'en est pas de même, on
normal est proche. Il n'en est pas de même, on le comprend, dans l'
état
de mal léthargique; le réveil est forcément brusq
il est réveillé. Cette courbe particulière des excrétions pendant l'
état
de mal léthar- gique et pendant tous les autres
ions pendant l'état de mal léthar- gique et pendant tous les autres
états
, courbe qui mérite, comme l'a montré M. Charcot
vement que nous observons et qui nous permet de prédire la fin de l'
état
de mal ne se montre pas dans l'espèce sous l'infl
et, nous avons noté avec insistance que, pendant tout la durée de l'
état
de mal jusqu'au moment précis du réveil, l'alim
d'en doubler ou d'en tripler, les deux ou trois derniers jours de l'
état
de mal, le volume et les matériaux solides, si
typhoïde, par exemple. Résumant nos recherches sur les différents
états
de mal hystérique, nous pouvons donc conclure :
ifférents états de mal hystérique, nous pouvons donc conclure : L'
état
de mal hystérique, quelle que forme qu'il revête,
osphates avec inversion de la formule de ces derniers ; Pendant l'
état
de mal, les excrétions suivent une marche dont la
marche dont la courbe permet à elle seule de prévoir la durée de l'
état
de mal et d'en prédire la terminaison; Pendan
durée de l'état de mal et d'en prédire la terminaison; Pendant l'
état
de mal, l'amaigrissement quotidien est constant.
stant. Il varie de 200 à 300 grammes par jour suivant la durée de l'
état
de mal et la quantité des aliments absorbés lor
s sont exactes. L'urée on le sait, est accompagnée dans l'urine à l'
état
normal par d'autres produits également azotés à
ir alors, à plusieurs reprises, au dosage de l'azote total tant à l'
état
normal hystérique que dans diverses mani- festa
e Carrier, p. -138. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA NUTRITION dans l'
état
normal ET dans la FIÈVRE du goitre exophtalmiqu
avait pas eues depuis deux mois. Ces douleurs s'accompagnaient d'un
état
gastrique marqué : inappétence, constipation, s
s disparurent. Le thermomètre révéla pendant toute-cette période un
état
fébrile subcontinu, allant de 89°, 2 maxima à 3
8, 89, 90, 9'1, 92, 93). Le malade, âgé de 23 ans, menuisier de son
état
, commença son service militaire le 5 novembre 1
effet, vers la fin de janvier 1889, le malade, qui avait quitté son
état
de menuisier pour se vouer à l'agriculture, nous
lon dont la pression pro- voque l'accès ,1' -J, 6l. Epileptiques (
état
des forces et tremblements chez les - après les
chez un -), par Féré et Perruchet, 130. Epileptiques (note sur l'
état
des forces et sur les tremblements chez les- ap
Goitre exophtalmique (contributions àl'étude de la nutrition dans l'
état
normal et dans la fièvre du -), par Gilles de l
digestions régulières. Pas de fièvre. Poumons et coeur en par- fait
état
. Lorsque la malade est entrée dans le service l
ent, au niveau du poignet, des reliefs très marqués, par suite de l'
état
de contracture des muscles ; les mouvements d'é
us fortement, et un peu plus en haut que la commissure gauche ; à l'
état
de repos, les lèvres restent entr'ouvertes et l
trophie musculaire manifeste avec déformation caractéristique ; à l'
état
de repos, elles sont toujours placées tout près
examen électrique de la malade les notes suivantes ; par suite de l'
état
assez grave où se trou- vait la malade, et de l
. 13 1a· PATHOLOGIE NERVEUSE. Les membres supérieurs sont dans un
état
de rigidité bien caractérisée. Les muscles de
Les muscles de l'éminence thénar sont un peu moins rouges qu'à l'
état
normal, ceux de la région hypothénar semblent en-
nt à peu près complétement défaut ou, quand il en existe, c'est à l'
état
pour ainsi dire isolé. Dans le reste de la circ
elles des autres paires semblent un peu moins volumineuses qu'à l'
état
normal, presque toutes sont plus rouges et semble
esque toutes sont plus rouges et semblent plus vascularisées qu'à l'
état
normal ; à l'examen microsco- pique on ne const
ceaux de Goll présentent une coloration un peu plus foncée qu'à l'
état
normal. Les faisceaux cérébelleux directs sont in
t saines, seul le groupe antéro-interne semble plus pauvre qu'à l'
état
normal. Avec la coloration de Weigert (hématoxy
s radiculaires antérieures semblaient aussi moins abondantes qu'à l'
état
CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPH1QUE. 19 no
is tout cet aspect ne diffère pas assez de ce que l'on constate à l'
état
normal, pour affirmer qu'il soit pathologique.
t entendre un gémissement 1 Les notes prises par M. Vigoureux sur l'
état
électrique des muscles et des nerfs ont été per
ement la contraction de ce muscle et avec plus d'in- tensité qu'à l'
état
normal. Le réflexe cutané de la plante du pied
la destruction de l'une d'elles; mais c'est, nous le répétons, à l'
état
complètement isolé. Les corps granuleux se retr
par la face antérieure des cornes antérieures, mais ils sont à l'
état
isolé ou par groupes de deux ou trois seulement,
mais ne semblent pas cependant tout à fait aussi abondantes qu'à l'
état
normal. Quelques-unes ont des bras très longs e
uses de la substance grise paraissent aussi moins abondantes qu'à l'
état
normal, mais cela est beaucoup moins net que da
ces cellules n'étaient pas aussi volumineuses, aussi belles qu'à l'
état
nor- Archives, t. X. 3 3t ' PATHOLOGIE NERVEU
EXPERIMENTALE. description histologique détaillée et précise sur l'
état
de la moelle, consécutif ou traumatisme violent
mois après l'opé- ration. Les nerfs sciatiques étaient observés à l'
état
aussi frais que possible ; nous les traitions p
eurs et d'une instabilité dans la marche. « Le 19 avril 1875, son
état
était comme il suit : nystagmus, strabisme conv
strabisme convergent, diplopie, sauf un certain amaigrissement; son
état
général n'était pas mauvais, sensibilité normale
ssantes, suivies de vomis- sements ; parésie vésicale et rectale. L'
état
de la malade, soumise à diverses médications, e
médecins d'Athènes; et voici ce que nous avons constaté. Outre cet
état
psychique spécial accompagné d'une insomnie com
s ce moment là, c'étaient les symptômes psychiques qui dominaient l'
état
du ma- DE LA CURABILITÉ DE LA SCLÉROSE EN PLAQU
4, j'ai visité bien des fois ce malade, et toujours j'ai constaté l'
état
suivant : nystagmus, paralysies associées des y
pontané que provoqué, faiblesse des membres inférieurs, et enfin un
état
psychique bizarre qui consistait à une tendance
flexes, l'épilepsie spinale, la faiblesse des membres inférieurs, l'
état
psychique, enfin tout a disparu d'une façon compl
sous du taux normal, paraît suffire pour rétablir les choses à leur
état
physiologique. Nous sommes nécessairement amené
nc sert un nombre si considérable de tubes nerveux qui existent à l'
état
normal ? Il est certes très difficile à répondr
publier. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A l'
état
PHYSIOLOGIQUE ET pathologique 1 Par le Dr A. MA
la journée. Cette étude nous a démontré que le sommeil, en tant qu'
état
de repos, diminue l'élimination de l'azote et de
t), chez des individus dont nous avons examiné les urines pendant l'
état
de repos. L'élimination de 1 Voy. t. IX, p. 232
alimentation est restée la même en quantité et en qualité pendant l'
état
de repos et pen- dant l'état d'activité intelle
me en quantité et en qualité pendant l'état de repos et pen- dant l'
état
d'activité intellectuelle; de plus, quand l'alime
conditions de repos musculaire abso- lument semblables, pendant les
états
de repos et de travail intellectuels. La dimi
vidus en expérience sont soumis à ce travail ou lorsqu'ils sont à l'
état
de repos, nous ne pouvons rattacher cette augme
e cerveau, en travaillant, absorbe moins de ces phosphates qu'à l'
état
de repos ? Les mêmes raisons qui nous ont obligé
'acide phosphorique uni aux alcalis et l'azote chez un individu à l'
état
de travail intellectuel, comparative- ment à ce
lectuel, comparative- ment à ce qu'il est chez ce même individu à l'
état
de repos. Il est certain en effet que si, sous
i,' chez l'individu qui fait le sujet du tableau I, tandis que, à l'
état
de Voir, pour toutes les expériences relatives
ses sous- cutanées. Dans quelques-uns, l'arthritisme se combine à l'
état
névropathique. Les émotions violentes, surtoutr
de Keller disait souvent à son mari que « si on la voyait dans cet
état
, on pourrait croire qu'elle avait le plus mécha
une grande abondance de matériaux alimentaires non absorbés. Cet
état
n'est que l'expression de l'affection générale av
autre, alterner l'une avec l'autre, mais jamais elles ne passentà l'
état
de délire systèmatique ni inversement; elles se
les névroses graves hysté- ro-épileptiques, avec la menstruation, l'
état
gravide et puerpé- 10"2 L) REVUE DE pathologie
tés ; inversement le courant galvanique rétracte les vais- seaux en
état
de dilatation active. Par conséquent, on observe
nné, de choi- sir exactement le genre de courants nécessaire. 8° Un
état
patholo- gique des ganglions spinaux peut, par
onnaît l'espèce de courants qui convient à un cas spécial on est en
état
d'indiquer lacondnite halnéothérapique appli- c
en décelant un dixième pour cent dans l'eau); elle n'agit pas sur l'
état
psychique ; mais, en pro- duisant le repos de l
u Saule demande si la malade n'est pas diabé- tique. M. Magnan. L'
état
général de la malade étant satisfaisant, il m'a
endant les quel, ques jours qui suivent la chute de la température (
état
d'inani- tion) et disparaissent dès que l'améli
cerne la prédominance de conceptions irrésistibles (obsessions), Un
état
instinctif de la vie psychique : la connaissance
ennent de plus belle à l'occasion des mouvements intentionnels; cet
état
cesserait pendant le sommeil. L'asymétrie, au p
les phases du sommeil t artificiel, soit de ramener brusquement à l'
état
de veille les sujets préalablement hypnotisés.
onnue est le vertex, dont la pression fait passer l'hystérique de l'
état
de léthargie dans l'état de somnambulisme provo
la pression fait passer l'hystérique de l'état de léthargie dans l'
état
de somnambulisme provoqué (Charcot et Richer),
dans l'état de somnambulisme provoqué (Charcot et Richer), et de l'
état
de veille dans l'état hypnotique (Dumont- palli
bulisme provoqué (Charcot et Richer), et de l'état de veille dans l'
état
hypnotique (Dumont- pallier). On sait aussi que
s hypnogènes simples, dont la pression pratiquée sur des suJEts à l'
état
de veille détermine une phase, toujours la même
pendant il n'y a aucun rapport entre la distribution des zones et l'
état
de la sensibilité, car le transfert de l'hémian
ente les mêmes phénomènes que dans une phase du sommeil provoqué, l'
état
cataleptoïde les yeux fermés. Ce qui ajoute à l
le sommeil, sa mémoire embrasse les faits de la veille et ceux des
états
hypnotiques antérieurs. Guidé par ces analogies
était placée artificiellement. Ainsi la malade étant placée dans l'
état
cataleptoïde,les yeux fermés, l'attaque la met en
e. Chapitre III. Direction générale et surveillance exercée par l'
état
sur le service des aliénés. Ce chapitre cemprend
nons enfin le placement très économique des aliénés indigents par l'
état
chez des nourriciers. Quant au système des asil
ces phénomènes une inter- prétation exacte; il montre que tous ces
états
s'accompagnent d'une abolition de la conscience
tiné aux affections intercur- rentes du quartier des femmes, dont l'
état
hygiénique était défectueux ; dans sa cinquième
c. Une grande partie de ces ressources a été employée à améliorer l'
état
sanitaire; on a assuré l'épuration du sous-sol,
sidère comme la manifestation la plus faible ou, pour ainsi dire, l'
état
naissant des 1 Fcchner.- Elemenle der psyc/¡op/
e en ce que le suggesteur se trouve continuellement dans un certain
état
d'équilibre musculaire, prêt à tout moment à pa
ment du lec- teur, guidé par le suggesteur, entre bientôt dans un
état
de dépendance, vu que l'attention du suggesteur
pas de mouvements; il ne fait que remettre ses membres dans le même
état
d'équilibre, dont les mou- vements du lecteur v
er à droite ou à gauche, comme si j'avais affaire avec un membre en
état
de contracture. Il était évi- dent quelle bras
n choisir un, que je parvenais à deviner. Il me reste à parler de l'
état
psychique des per- sonnes prenant part à l'expé
Il y a des personnes, en effet, que ces expériences mettent dans un
état
d'agi- DE LONOMATOMANIE. 157 tation, surtout
., ne peut se développer que chez les seuls prédisposés. Tous ces
états
si nombreux, si variés, confondus sous les titr
ement. Dans tous ces cas, le malade a une entière conscience de son
état
; il re- grette et déplore, dit-il, ces idées ab
le est l'objet. Elle a, d'ailleurs, parfaitement conscience de son'
état
, et par instants/ elle déplore son impuissance
our la revoir et il a pu de la sorte éviter une grande crise. Cet
état
a duré deux ans, avec des alternatives d'aggravat
. ' ' \ ' . , -, Les deux faits suivants montrent le syndrome à l'
état
de simplicité ; mais l'obsession du mot était-e
pouvait pas immédiatement en. dire le ,nom, il. surviendrait un tel
état
d'anxiété, qu'il se verrait décidé, à, reprendr
nt, indirectement par exemple, et ces mots, dit-il, passaient à l'
état
d'idée fixe. ' Voici encore une observation trè
à la recherche du mot effacé du souvenir. Exami- nons maintenant l'
état
tout opposé, ce.lui dans lequel e mot, loin de
pouvons affirmer que cela soit pathologique, les variations de l'
état
normal étant à'ce sujet assez étendues. Nous n'
à l'un' qu'à l'autre système'. Ces apparences correpondent-ëHes à l'
état
ordinaire des choses, c'est-à-dire' à une' diss
e autre remarque est à faire à propos des lésions médullaires sur l'
état
des fibres nerveuses au niveau des faisceaux py
est bien certain qu'il serait préférable de constater directement l'
état
de celles-ci, mais malheureusement dans l'état
ent un lacis inextricable s'il y en a quelques-unes de moins qu'à l'
état
normal. Quelque précis que soient les renseigne
, dans ces deux observations, il ne soit même pas fait mention de l'
état
des réflexes tendineux; leur étude eût certaine
e » ; aussi l'auteur, tout en avouant que « à part l'évolution et l'
état
spasmodique dans le domaine des nerfs bulbaires
u clinique n'est que peu marqné, et n'existe pour ainsi dire qu'à l'
état
d'esquisse. Aussi voit-on peu à peu le cadre de
le fait de dégénérescence, sa marche sont encore plus évidents, l'
état
d'hérédité morbide plus net, plus accentué et ses
: blésité assez accentuée. Dynamomètre : M. G. 105; M. D. 110. L'
état
intellectuel de cet enfant s'est considérablement
. |.r ? J ... ? ? 1...'....- ? . ? >< z jamais plaint de son
état
et ne consentira a se laisser soigner que lorsq
ès manifeste. Les muscles du thorax sont également plus gros qu'à l'
état
normal. Au cou, lessterno-cléïdo-masloïdiens, d
orsque l'excitation cesse, il revient avec une grande lenteur à son
état
de repos physiologique /Ti. 3). Au contraire, lor
vul- sives, anesthésies, contractures passagères, etc. En résumé,
état
prime jusqu'en mai 1879; de mai 4879 à mai 1880
En résumé, état prime jusqu'en mai 1879; de mai 4879 à mai 1880,
état
second coïncidant avec la contracture des membres
, et se terminant quand elle disparaît ; après mai 1880, retour à l'
état
prime, amnésie des douze derniers mois, change-
le. R. 45. La voix est entre- coupée ; le malade est effrayé de son
état
. L'hématose parait bien se faire; pas de cyanos
sommet droit. - -Traitement. Ipéca à dose nauséeuse. Le 21, même
état
. Nouvelle hémoptysie. UN CAS DE GRANDE HYSTERIE
le avec une solution alcoo- lique d'acide borique. - Soir. - Même
état
. Sensation de constriction à la gorge. 21 janvi
lade reste alors hypnotisé, pour reprendre sa crise dès que cesse l'
état
hypnotique. Il faut qu'il ait sa crise complè
racture. , 10 février. Pour le convaincre, on le fait s'habiller en
état
d'hypnotisme,- on lui ordonne de marcher, et on
lisait cesjours derniers, à Bicêtre même. Après quelques minutes d'
état
hypnotique, il prend sa crise comme d'habitude.
morte ! » Aussitôt sa physionomie se rassure. 14 février. - Même
état
. - V... garde toujours le lit pour sa contractu
Ce qu'il offre de plus spécial, ce sont les modifications de son
état
mental. Il a, en effet, de véritables accès de fo
oit est revenue. Le malade est resté plusieurs heures au lit dans l'
état
où il était du mois de janvier au mois d'avril.
omme alors. Ce matin la contracture a dis- paru, et V... est dans l'
état
prime. Pendant les six derniers mois de l'année
l'aide d'un petit marteau sur ces tendons, quand le malade était en
état
de veille ou en somniation, amenait la phase ép
e malade entrait de nouveau dans la période de somniation ou dans l'
état
de veille. L'attaque était donc quelquefois mor
amnésie pério- dique. Quand il est entré à Bicêtre, V... était en
état
prime. Il 1 Yoy. Debove. Congestion pulmonaire
Cl RECUEIL DE FAITS. n'avait encore présenté qu'une seule période d'
état
second, à savoir : les douze mois (mai 1879, ma
rs. Au mois de janvier 1884, il tombe dans une deuxième période d'
état
second, coïncidant encore avec une contracture, e
is. Le 17 avril, la contracture disparaît, et le malade revient à l'
état
prime. Pour la commodité du langage, nous nous
prime. Pour la commodité du langage, nous nous servons des termes
état
prime et état second. D'après lui, à l'époque o
la commodité du langage, nous nous servons des termes état prime et
état
second. D'après lui, à l'époque où 11. Camuset
olue avec l'hystérique de M. Azam. Cette femme, en effet, pendant l'
état
prime, avait autant de lacunes dans la mémoire
dans la mémoire qu'elle avait présenté de périodes antérieures d'
état
second. Pour user de la phrase de M. Azam, c'étai
am, c'était autant de pages arrachées du livre de sa vie. Pendant l'
état
second, au contraire, ces lacunes se comblaient
alors de tout l'ensemble de son existence, à la fois des périodes d'
état
prime et des phases antérieures d'état second.
ce, à la fois des périodes d'état prime et des phases antérieures d'
état
second. ' Or, notre malade en état prime a perd
me et des phases antérieures d'état second. ' Or, notre malade en
état
prime a perdu, il est vrai, la mémoire de l'éta
r, notre malade en état prime a perdu, il est vrai, la mémoire de l'
état
second, et, à ce point de vue, il est l'ana- lo
'ana- logue du sujet de M. Azam. Mais, dans la deuxième période d'
état
second que nous avons observée (janvier-avril 188
nvier-avril 1884), il ne s'est pas souvenu de la première période d'
état
second (mai 1879, mai 1880). Le malade savait b
80). Le malade savait bien qu'il avait habité Saint-Urbain, mais en
état
de santé et quand il travaillait à la culture.
lus d'étendue que dans la condition prime. Les phases précédentes d'
état
second paraissent définitivement rayées de son
ar, et ceci est le point essentiel de l'observation, ses périodes d'
état
second ont exactement coïncidé avec des contrac
ors de cette condition. Nous ferons remarquer aussi que, dans cet
état
second, le malade présente un aspect bien diffé
vue intellectuel qu'au point de vue moral, de celui qu'il a dans l'
état
prime. Quand il est contracturé, en effet, ou en
u'il a dans l'état prime. Quand il est contracturé, en effet, ou en
état
second, le malade est doux, enfantin, et a un l
aquin, indis- cipliné et voleur. Cette manière d'être dans ces deux
états
est bien intéressante, et pour compléter dans s
us montrerons que chez lui il y avait en quelque sorte un troisième
état
, celui pendant lequel il était quand on l'a end
ant lequel il était quand on l'a endormi artificiellement. Dans cet
état
, le malade avait un véritable délire de mémoire
ès de Paris; du reste, il n'était jamais venu à Paris. Donc, dans l'
état
d'hypnotisme, V... perdait constamment le souve
nt ainsi le ton général de l'organisme et par suite la mémoire ? Un
état
du système vasculaire ? Une action inhibitoire
cer la fonction du langage. 1 >n En effet citez notre malade à l'
état
prime; le langage est correct et cependant il e
s cellules qui servent au substratum de la mé- moire puisque dans l'
état
prime et dans l'état second, la mémoire n'est p
t au substratum de la mé- moire puisque dans l'état prime et dans l'
état
second, la mémoire n'est pas entière. Cette mod
s qui fut atteint d'une hémiplégie de la face du côté droit et d'un
état
parétique des membres supérieur et inférieur du
érite syphilitique de la sylvienne gauche. G. D. XXIV. EVEIL d'un
état
DE MAL HYSTÉRO-ÉI'ILEPTIQUE A la SUITE D'UNE op
hloroforme qu'il faut rapporter dans ce cas l'éclosion du véritable
état
de mal présenté par cette malade. G. D. XXV.
t jusqu'à l'épaule. Tous les muscles du membre supérieur étaient en
état
de parésie, mais l'anesthésie dépassait les lim
CH. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE IV. SUR QUELQUES phénomènes d'
états
épileptiques ET coma- TEUX ; par L. WITKOR'SKI,
cutif varient plus qu'on ne croit chez un individu donné. Quant à l'
état
de la pupille , tout sopor pur s'accompagne de
eux d'une précision régulière qu'on observe pendant le sommeil et l'
état
de rêve et, par suite, du supposer que les proc
SSIVE DES ALIÉNÉS; par E. MENDEL. (Neurol. Centralbl., 1884). A l'
état
normal, la cellule corticale est entourée d'un es
ions extrêmement pro- noncées, quant à leurs cellules. VII. Sur l'
état
des aliénés en RussiE;parM.KowALE\vsKY. (Archives
opathologie légale, Khar- kow, 488, nn 1.) Avant la fondation des
états
provinciaux en Russie (zemstwa), c'était le « C
uses de Berlin. Déc. 1884. 234 ! REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. les
états
provinciaux, qui en ont soin. Quoique la situatio
reux se soit beaucoup améliorée, on trouve encore, cepen- dant, des
états
provinciaux dans lesquels : 1° l'administration
rême et à l'absence de lois, précises et obligatoires pour tous les
états
provinciaux, sur les aliénés. C'est pourquoi l'
a été jadis affectée, il s'agit de détermi- ner au moment actuel l'
état
des facultés, car nous n'avons pas assisté au p
tion chimique du sang, troubles de nutrition en rapport avec cet
état
) met souvent les femmes affaiblies et fatiguées à
n'en clÙlsidérerllis' pas moins soit impulsion comirie un Véritable
état
Mental pathdlti- gique. Car la malade souffrait
ez lui à la suite d'attaques répétées, n'a été que le résultat de l'
état
cérébral pathologique dans lequel se trouvait h
yait,depuis quelque,temps diminuer le nombre,, de ses, crises; son,
état
, meiit1 ? élaii a'1é- lioré ; mais il est, mort
e elle, il en était devenu tout d'abord très mélancolique, puis son
état
mental s'était de plus en plus rapproché de cel
ervation est.cette d'un héréditaire,' 'dont ? là' ! folie resta à l'
état
latent tant qué'l;épilépsié dôniilétâitilttéintni
malies. poussée induire les autres en erreur (Richc : l). Tel est l'
état
psychique caractéristique de l'hystérie. 11 y a d
tiU'I·l,t tr ¡ ..1111 '(, , MOfIBIDES TOTAUX RIÍSULTAT, RIÍSULTAT
ÉTATS
MORBIDES TOTAUX Cl)111'LE'f T DEMI-IIESULTAT. 1Nu
dministrant la quantité voulue dans- un verre d'eau. Il a, dans les
états
mor- bides les plus divers où il l'a administré
. \ M. EUEnSTVEIG.C'est chez les mélancoliques agités et dans les
états
aigus en général qu'il a enregistré les menteurs
de préférence en jeu les conceptions visuelles. En effet pendant l'
état
de veille les mou- vements des yeux, coordonnés
aveur, de l'existence de processus intracérébraux en rapport avec l'
état
de rêve. En tout cas n'est-ce que par l'étude d
te soit en un affaiblissementsintellec- tuel progressif, soit en un
état
permanent d'irritabilité, soit, enfin en la sim
f, lorsqu'elle doit être ténue pour incurable , 1 4v. l'examen de l'
état
mental aura lieu;' comme 'dans le1' cas d'intëa'v
era un curateur; 4 (bis) autre rédaction proposée : l'exa- men de l'
état
mental afin (l'établir ¡'incurabilité 1 aura lieu
l, 1, [ ? 1-, 9. .1 ' SOCIÉTÉS 'SAVANTES. 265 '' 3° L'examen de l'
état
mental comportera les mûmes errements que ceux
pupille gauche réagit bien, là pupille droite réagit très peu. Cet
état
est le même en juin 1883, mais au point de vue me
pendant ! la vie, exercé une. pression qui permet de comprendre, l'
état
mental.. A la tumeur du nerf optique droit, qui
r- d'hui. L'auteur a cible mérite de reconnaître l'existence d'un
état
maladif dans un rand nombre de manifestations que
qu'il était le seul homme de Paris et même de la France, qui fût en
état
de remédier à tant de maux. « Quel homme, en ef
voyant que les troubles de l'esprit pouvaient conduire à un pareil
état
d'ab- jection et appelaient en quelque sorte de
ésultats de cet acte philanthrophique ne se firent pas attendre : l'
état
d'effervescence, entretenu par l'emploi, des pr
mois d'un tel régime, que de malades tombaient dans le plus complet
état
de stupeur, pré- sentant tous les symptômes de
mis de former un capital pour malades congédiés. Alsace-Lorraine,
état
immédiat de l'empire. -Asile de Sa1' ? 'e ! }lIe-
Au mois de novembre de la même année, il se déclara tout- à-coup un
état
fiévreux et des douleurs dans le bas du dos qui
'hôpital, oùl'on employa l'électricité pendant quel- ques mois. Son
état
s'améliora de façon qu'elle put retourner au vi
varus. Les adducteurs des hanches sont fortement contractés même en
état
de repos, leurs con- tours se dessinent netteme
est certain qu'à l'examen macroscopique de la moelle épinière à l'
état
frais, on remarqua une nuance grisâtre dans la pa
ccom- DES FAUSSES SCLEROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 309 pagné d'un
état
fiévreux, d'après le dire de la malade, mais, q
des tendons. A la compression de la colonne dorsale on remarqua un
état
maladif à la région lombaire. Le malade mourut
on caractère, ni ses relations avec les faisceaux sclérosés. De l'
état
du cerveau on ne dit mot. Considérant tout cela
an- gement quelconque de la moelle ne fut pas constaté etqui, à l'
état
actuel de nos connaissances, ne peuvent pas êtr
faveur del'impulsion. Que prouve, en effet, cette futilité ? ou un
état
d'irrita- bilité émotive amenant une réaction d
orale avide du moindre prétexte à mal faire. Eu dehors de ces trois
états
morbides, on chercherait en vain une explicatio
es mul- tiples à mobiles futiles relèvent de toute nécessité d'un
état
psychique autre que les incendies multiples sans
motive. Or, la clinique, c'est-à-dire l'analyse psychologique des
états
mentaux de ces deux catégories d'incendiaires,
x anté- cédents personnels et de famille, aux conditions d'âge, d'
état
mental habituel, aux circonstances des incendies,
de réunir en un seul groupe ces deux catégories d'incendiaires à
états
mentaux si différents ? Voir dans les incendiaire
lsion une idée morbide isolée, susceptible de surgir au milieu d'un
état
psychique par ailleurs sain, doctrine réprouvée
es ressemblances, qui ont induit en erreur taut d'auteurs, avec des
états
men- taux au fond radicalement différents ? Tou
veur. Mais il est d'opinion commune qu'en médecine légale ces trois
états
n'entraînent pas de plein de droit l'irresponsa
influence de l'alcool, dans le premier degré de l'ivresse, dans cet
état
caractérisé par la surexcitation des instincts
e extrêmement nerveuse, qui, à la moindre contrariété, entrait en
état
de surexcitation, et était contrainte de garder l
me convainquis que ce résultat n'était pas dû à la paresse mais à l'
état
psychique de l'enfant. Etran- gère, pour ainsi
s; cepen- dant on l'a encore surpris quelquefois se masturbant. L'
état
intellectuel de Désob... s'est aussi considérable
e.' (Poids : 20 kil. 320.) 27 février. On suspend les injections. L'
état
est toujours le même. 12 mars. La stomatite est
- Bouillon, potage, lait, un oeuf, vin de quinquina. 12 mai. Même
état
; quelques râles à la base gauche; pas de gêne d
en de nouveau. 18 mai. L'étal général est beaucoup meilleur, mais l'
état
local le modifie très peu. Le souffle persiste,
CLINIQUE MENTALE. tion est normale ; les gencives sont en assez bon
état
, mais recou- vrent légèrement les dents. Le c
fuse toute alimentation; il survient un amaigrissement rapide et un
état
de marasme nerveux qui amènent rapidement la mo
NIQUE MENTALE. génitale, ne dit guère que papa et maman; gâtisme. L'
état
in- tellectuel de l'enfant ne s'améliore pas, '
celle-ci et auquel on pourrait attribuer aussi une influence sur l'
état
des descendants : c'est la consanguinité des pa
t, .t effet, pour nous, une double action sur le produit, suivant l'
état
des parents. Il est évident, en effet, que si c
c'est par suggestion que l'on agit sur la maladie, et cela même à l'
état
de veille et sans qu'il ait été besoin souvent
tudié les modifications que les suggestions peuvent apporter dans l'
état
mental d'un névropathe jouissant de la plénitud
qu'est, en somme, la folie hystérique, et des modifica- tions que l'
état
hypnotique imprime à la manière d'être des suje
nvulsives suivies d'une période très longue de délire loquace. Même
état
maniaque. 30. -Ne veut pas s'habiller parce que
. -Ne veut pas s'habiller parce que ses habits sont empoi- sonnés ;
état
maniaque, cris, jurons, violences, 2 août. Une
nt.produit aucun effet. Seulsles aimants ont semblé, en modifiant l'
état
cynesthétique (le rétrécissement du champ viaue
s la suite de l'observation, comment nous avons pu ainsi modifier l'
état
de notre malade. Comme nous nous sommes toujour
d'hypnotisme. Nous dirons aussi que nous avons toujours agi dans l'
état
somnambulique et après nous être préalablement
mnambulique et après nous être préalablement assuré aussi bien de l'
état
hypno- tique que de la bonne foi de la malade p
phase est moins nette que la précédente, nous avons plutôt alors un
état
cataleptoide; les membres n'ont pas la flexibil
ît alors : les zones hype- resthésiques sont douloureuses comme à l'
état
de veille, le phéno- mène d'excitabilité cutano
mène d'excitabilité cutano-musculaire est très évident. Dans cet
état
, nous avons fait de temps en temps une des expéri
nt de vue particulier. Dès la première séance (18 août) et malgré l'
état
d'agitation très grande de la malade, le sommei
taleptiformes ; les frictions amènent la résolution musculaire. Cet
état
dure deux heures et demie, et la malade réveill
tions antérieures : d'ailleurs, la malade devenant suggestible ci l'
état
de veille, nous avons pu rapidement n'user de l
lectrisation par les courants faradiques aidée de sug- gestions à l'
état
de veille. Les idées hypochondriaques qui commen-
la crise et durent toute la journée, résistant aux suggestions à l'
état
de veille. Les suggestions antérieures persistent
ments affectifs se réveillent sous l'influence des suggestions à l'
état
de veille ; elle demande des nouvelles de ses par
'existe plus. 1° ? . - Attaque de léthargie sans contracture : même
état
, très calme, affectueuse, mais je ne puis lui f
lucinations; même refus de nourriture résistant aux suggestions à l'
état
de veille. Sonde oesophagienne. Les anciennes s
les catacombes. A 8. -Attaques de léthargie avec contracture. Même
état
mental que le 15 durant jusqu'au 24. 21. - Ce
te. A ce niveau, hyperesthé- sie notable; comme les suggestions à l'
état
de veille restent impuissantes, j'ai recours au
la paralysie par suite de l'électrisation aidée de» suggestions à l'
état
de veille. Les impulsions au suicide persistent
des auxquelles elle résiste grâce à nos suggestions renouvelées à l'
état
de veille et tous les jours en lui disant que n
gauche, le sein gauche et dans le. jarret de ce côté. 2 avril. Même
état
, idées d'empoisonnement, hallucinations du sens
persiste pendant le sommeil. , La malade s'affecte beaucoup de son
état
et est convaincue qu'elle est atteinte d'épilep
urer, puis s'excite, se met en colère, et finalement en arrive à un
état
d'excitation assez accentué, elle délire même u
, car elle veut tout faire pour ne pas retomber malade. Juin. Cet
état
persiste : aucun trouble somatique ni psychique.
lles. Elle rit maintenant de ses erreurs passées. Juillet. - Même
état
: un peu soucieuse par suite d'affaires de fami
ique n'a jamais pu que guérir l'accès d'un aliéné sans modifier son
état
mental anté- rieur et d'ailleurs rien n'empêche
s renouvellera, comme nous l'avons fait nous- même, qu'autant que l'
état
de la malade semblera l'exiger, et que les sugg
e l'état de la malade semblera l'exiger, et que les suggestions à l'
état
de veille ne réussiront plus. En cas d'insuccès
t l'affection mentale. D'un autre côté si l'on ne peut modifier l'
état
mental on agira au moins sur l'état somatique e
côté si l'on ne peut modifier l'état mental on agira au moins sur l'
état
somatique et sur l'agitation, et l'on pourra ai
vateurs sur ce mode de traitement (suggestions hypno- tiques et à l'
état
de veille), qui nous semble rationnel et qui pe
du compas de Weber, que l'écart était le double de ce qu'il est à l'
état
sain. Voici d'ailleurs les chiffres précis que
mise. Deux fois nous avons observé la crainte de la mort passée à l'
état
d'idée fixe (OBs. X, LVII). Une de nos malades
oucher. Sa démarche était en outre vacil- lante. Elle tomba dans un
état
comateux qui, au bout de vingt-quatre heures, s
intéressantes qu'elles soient, ne changent malheureusement pas l'
état
de la question. P. K. XL. Contribution A la loc
tion dans les mouve- ments des mains. Le 27 août 1882, sans que son
état
se soit en rien modifié jusque-là, le veilleur
oit en rien modifié jusque-là, le veilleur de nuit le trouve dans l'
état
suivant : perte de connaissance, écume à la bou
le refoule en avant et àgauche l'organe central, qu'elle réduit à l'
état
de ruban (ramollissement). Aplatissement, mais
entre eux, (tant au point de vue du nombre qu'au point de vue de l'
état
somatique et mental des malades admis), pour qu
mpêcher de s'arracher l'oeil gauche. Deux ans après son entrée, son
état
ne s'est nullement amélioré; elle a la camisole
améliora- tion, qui augmente progressivement, malgré le déplorable
état
do sa santé physique. En 880, on obtient d'elle
on des noyaux. Dans les premiers stades, les vaisseaux, rarement en
état
d'hypergenèse nucléaire, pré- sentent la dégéné
oduit de force dans l'estomac d'un malade dépend beaucoup plus de l'
état
même du malade que du mode d'administration ou
la vie, paraissait due à un relâchement musculaire gé- néral et à l'
état
aslhéuique du malade. Enfin les centres corti-
t aussi fils d'aliénés. L'épilepsie héréditaire a son empreinte : l'
état
convulsif est moindre, le ver- tige plus accent
ptions délirantes qui surgissent d'un jour à l'autre au milieu d'un
état
général qui ne parait pas comporter un tel élém
vril dernier, M. Jules Falret a exposé avec sa netteté habituelle l'
état
de la question sur la folie héréditaire. Il a i
folie des actes et conservent toute leur lucidité. C'est bien là l'
état
mental de l'héréditaire, mais qu'il me soit per
défaut d'équilibre des facultés. Pour se faire une idée nette de l'
état
mental des héréditaires, il est indispensable de
omme étendue et c'est ce qui explique la multiplicité d'aspect de l'
état
mental de l'idiot dont les aptitudes s'étendent,
des idiots et non pas une entité morbide répondant à chacun de ces
états
. Un fait qu'on ne peut pas passer sous silence,
es, les phénomènes sont plus complexes, c'est toute la mimique d'un
état
passionnel nettement déterminé, le rire ou les
volonté; et cette manifestation extérieure est en désaccord avec l'
état
cénesthétique du sujet, qui tantôt est indifféren
nique médicale de l'école * de Rochefort. Le lendemain, il tombe en
état
de mal hystéro- épileptique, qui laisse à sa su
la sensibilité; en même temps, le sujet se trouve dans un nouvel
état
de conscience. Il se réveille à l'âge de quatorze
ns de sensibilité et de mouvement, et, du même coup, a transporté l'
état
de conscience à cette époque très éloignée de l
adie. Une série d'expériences analogues nous a fait connaitre des
états
multiples dont l'ensemble embrasse toute la vie d
es états multiples dont l'ensemble embrasse toute la vie de V...,
états
que nous devons décrire en détail. - PREMIER ét
a vie de V..., états que nous devons décrire en détail. - PREMIER
état
. Hémiplégie et hémianesthésie sensitivo-senso1'ie
'il était paraplé- gique, lui sont totalement étrangers. Deuxième
état
. -- Hémiplégie et hémianesthésie scnsitivo-senso1
- Hémiplégie et hémianesthésie scnsitivo-senso1'ielle à gauche. Cet
état
s'obtient par application d'un barreau d'acier
on souvenir est borné à cette courte période de sa vie. Troisième
état
. - Variété du précédent. Cet état n'en diffère qu
urte période de sa vie. Troisième état. - Variété du précédent. Cet
état
n'en diffère que par l'hémiplégie faciale; il s
courte période de sa vie, lui est totalement étranger. Quatrième
état
. - Paraplégie avec contracture. Obtenu par l'ap
maladie, tout ce qui a suivi l'attaque et le changement spontané d'
état
survenus à Bonneval lui sont absolument inconnu
'état survenus à Bonneval lui sont absolument inconnus. Cinquième
état
. - Absence de toute paralysie et anesthésie. Ob
e infailliblement une grande attaque d'hystéro-épilepsie. Sixième
ÉTAT
. - Absence de toute paralysie et anesthésie. Obte
'hallucinations, de grandes salutations rhyth- miques. Comme dans l'
état
précédent, le malade est débarrassé de tous les
amais été tail- leur, et ne sait-il point coudre. Voilà donc six'
états
différents de la conscience; chacun d'eux est l
mbrasse sa vie entière. Les détails qu'il nous a donnés dans chaque
état
se sont trouvés conformes aux rensei- gnements
Cette conformité ne laisse pas d'avoir une grande importance. Ces
états
ont tous été obtenus par des agents physiques par
et de la motilité, si bien que l'expérimentateur, en agissant sur l'
état
somatique, peut, à son gré, obtenir tel ou tel
agissant sur l'état somatique, peut, à son gré, obtenir tel ou tel
état
connu de la conscience, état complet pour l'épo
peut, à son gré, obtenir tel ou tel état connu de la conscience,
état
complet pour l'époque qu'il embrasse, c'est-à-dir
ous avons dû alors faire l'épreuve opposée : agir directement sur l'
état
de conscience et constater si les transformations
sur l'état de conscience et constater si les transformations de l'
état
somatique seraient parallèles. Pour agir sur l'
rmations de l'état somatique seraient parallèles. Pour agir sur l'
état
psychique, nous n'avions d'autre moyen que la s
nt exacte- ment telles que nous les avons décrites dans le deuxième
état
. En même temps,'il se trouve hémiplégique et hé
re, la zone hysthérogène, toul est transféré comme dans le deuxième
état
. Dans une autre suggestion, nous lui commandons
commandons de se trouver à Bonneval, alors qu'il était tailleur. L'
état
psychique obtenu est semblable à celui décrit a
. L'état psychique obtenu est semblable à celui décrit au quatrième
état
, et simultanément est apparue la paraplégie ave
ieures du corps. De la même manière peuvent être obtenus les autres
états
. La démonstration nous parait ainsi complète :
La démonstration nous parait ainsi complète : 1° En agissant sur l'
état
somatique par les moyens physiques, l'expérimen
e par les moyens physiques, l'expérimentateur place le sujet dans l'
état
concordant de sa conscience; 1° En agissant s
jet dans l'état concordant de sa conscience; 1° En agissant sur l'
état
psychique, il fait apparaître l'état somatique
nscience; 1° En agissant sur l'état psychique, il fait apparaître l'
état
somatique concordant. Ce ne sont donc plus le
sont ici des relations précises, constantes et nécessaires entre l'
état
psychique et l'état somatique, telles qu'il est i
ons précises, constantes et nécessaires entre l'état psychique et l'
état
somatique, telles qu'il est impos- sible de mod
re parallèlement. M. Féré fait remarquer que les modifications de l'
état
psychique sous l'influence d'agents physiques o
ées par lui et M. Binent', et qu'il a pu établir qu'au changement d'
état
psy- chique correspond un changement d'état dyn
blir qu'au changement d'état psy- chique correspond un changement d'
état
dynamique=. M. Delasiauve a remercié la société
ur de l'hype- rémie cérébrale; il y a aussi des cas dans lesquels l'
état
psychique ne se modifie point pendant que la fi
privés de l'autoconscience, etc... (suivent les caractères de ces
états
). La simulation et l'illusion sont impossibles, c
ze malades, sept présentaient de la récep- tivité a entrer dans cet
état
, réceptivité qui suppose forcément une prédispo
n abondance et pendant longtemps. Il importe de tenir compte de ces
états
nécroscoptques. Malheureusement on -n'a pas sou-
cesse, sans repos, les vociférations de paroles stéréo- typées. Cet
état
continue. Ces cas opiniâtres, insolites, ont rap-
nourris longtemps artificiellement restent après cette épreuve à l'
état
d'automates végétants, à raison de l'affaiblissem
'individu en deux moitiés, dont chacune présente les symptômes d'un
état
particulier de J'hypnotisme.. 1\1. Dumontpallie
ression. BIBLIOGRAPHIE. 459 Braid avait déjà constaté que. dans l'
état
cataleptique, en impri- mant aux membres du suj
, M. Bérillon, partant de ce principe d'après lequel un individu en
état
de somnambulisme présente une aptitude spé- cia
Epilepsie (bromuration), 108. Epileptique (délire post-), 213; (
états
), 257. Epileptiques dangereux, 255. Epileptiq
nt gynécologique de l'), par Flesclrsi" 110. Hystéro-épileptique (
état
do mal à la suite d'une opération chirur- g'i
Richter, 267. , Paratdehyde,parDenda,t07,249. Paralysie générale (
état
des cellules nerveuses dans la), par \Iendel,
e), 226 j - (cérébrale), 226. Système nerveux (nutrition du), A l'
état
physiologique et 'patltulo- gique, par Jfatret,
érenciation que la durée du trouble favorise, et, d'autre part, à l'
état
démentiel très vite accentué dans lequel tomben
ces verbales pendant plus d'un an. Leur association étroite avec un
état
d'éréthisme des centres mas- ticateurs : l'hall
otrices verbales, kinesthésiques, visuelles, auditives, gustatives,
état
de confusion hallucinatoire. Pneumonie ; mort.
teurs. c) Leur apparition au cours 'd'une période de rémission il l'
état
de symptôme isolé sans association d'autres tro
es que les hallucinations psycho-motrices observées dans les divers
états
vésaniques. Elles influent sur le délire des ma
vent très malaisé, soit à cause de leur fugacité, soit à cause de l'
état
de démence du sujet ; parfois aussi ces hal- lu
sure fonctionnelle qui résulte du phénomène normal se répare dans l'
état
de maladie, l'altération morbide des neuro- nes
l'altération morbide des neuro- nes centraux les fait passer par un
état
analogue suscitant le courant cellulifuge sans
est violent, déchire' et brise, et aucun calmant n'a prise sur son
état
. Septembre, octobre, novembre se passent ainsi,
st pas la », et il parle de lui à la troisième personne. Malgré son
état
d'affaiblissement et-son gâtisme, l'agitation per
cohérence. - Voici les lettres qu'il a écrites et où il traduit son
état
par deux sortes d'écritures, l'une émanant de l
nsemble auparavant (délire rétrogade). 12 CLINIQUE MENTALE. Cet
état
n'a persisté que quelques semaines; l'état généra
12 CLINIQUE MENTALE. Cet état n'a persisté que quelques semaines; l'
état
général est actuellement bon et l'affection est
ouls est rapide, bat à 120. Mais il n'y a aucune lésion au coeur, l'
état
général est assez bon, le malade pèse 85 kilos ;
rappant la tête contre les murs, s'arrache les moustaches, puis cet
état
s'amende un peu. Le 12 avril, a un ictus avec p
umis aux injections de sérum ioduré et à l'hypochloruration. Même
état
pendant septembre, octobre; le 12 novembre 1900,
on monotone monologue de propos désagréables. Le malade conserve un
état
général assez ^satisfaisant et paraît tirer pro
A PARALYSIE GENERALE. 15' Il résulterait de nos constatations que l'
état
normal du sens génital se trouve surtout dans l
e et de sa valeur, il est donc intéressant de rechercher dans quels
états
s'est trouvé cet instinct lors des diverses tra
ce sens passera successivement et alter- nativement par les quatre
états
de normalité, d'exaltation, d'affaiblissement e
e sujet continuant à avoir la même idée de lui-même quel que soit l'
état
de ses organes génitaux. Ces faits, très nombre
le tableau qui suit, fourni par 144 constatations dans lesquelles l'
état
du sens génital a pu être relevé, le sens tacti
sens des rapports étroits ? Dans '1 080 cas nous avons pu relever l'
état
du sens génital, le sens algésique étant altéré
a de la boulimie avec vol d'aliments : de même il se lamente sur l'
état
piteux de ses organes génitaux qui ne sont plus
à base physique, est sans rapport autre que de coïncidence avec l'
état
des organes génitaux. Emile Turb... dans la premi
nc pleinement autorisé à conclure qu'il n'y a aucun rapport entre l'
état
des organes génitaux et les conceptions déliran
E GÉNÉRALE. 23 Nous n'avons trouvé non plus aucune relation entre l'
état
du sens génital et les sensations subjectives r
2 de nos constata- tions nous avons réussi à connaître exactement l'
état
de l'ins- tinct génésique en même temps que les
subjectives peuvent se trouver associées successivement à tous les
états
du sens génital. La question est dès lors jugée.
ous avons eu, en effet, toutes les évolutions du mal avec les trois
états
aux phases initiales de normalité, d'altération
ns réussi dans 95 p. 100 de nos cons- tatations à nous assurer de l'
état
du sens génital. Nos échecs ont été en diminuan
is parmi eux quelques-uns seulement pouvaient encore éjaculer à l'
état
flasque. VI. Aux troubles énumérés ci-dessus, i
e que l'altération en plus; mais il est assez habituel que les deux
états
alter- nent entre eux avec prédominance toutefo
ues et première les pertes séminales, l'éjaculation précipitée et l'
état
normal. XI. D'un côté l'impuissance totale sans
calme. XIV. Nous n'avons jamais trouvé d'altération en plus, ni d'
état
normal avec les formes dépressives, calmes ou agi
uante ans. XVII. Nous n'avons noté aucun rapport entre les divers
états
du sens génital et les transformations de la pers
ystème nerveux dans la série des vertébrés. Sur- prendre, comme à l'
état
naissant, les premières formes orga- niques des
lement l'existence d'un. substratum anatomique, mais varie avec l'
état
de ce substratum, avec la qualité et la quantité
s, elle se tuerait sans hésiter Quelques mois après, cependant, son
état
moral s'était complè- tement modifié, et comme
effet. Il avait donc suffi d'enlever, par une simple suggestion à l'
état
de veille, l'obsession qui jouait le rôle d'arr
t advenu de cette jeune et jolie femme qu'une simple suggestion à l'
état
de veille a rendue à la joie de vivre, si elle
e basant sur ce fait, distinguer les manifestations hystériques des
états
dus à l'épilep- sie. Karplus, montre. en s'appu
uvements est soustraite â la volonté, on doit admettre que certains
états
d'excitation de l'écorce peuvent déterminer un
profonde dans l'épilepsie et le tabes ; et sur ses rapports avec l'
état
des réflexes superficiels. Il a cependant trouv
resthésie, plus 'fréquente, se rencontre souvent dans l'anémie, les
états
dyscra- siques, les cachexies, la convalescence
brillaires localisées dans la plupart des muscles du corps; 3° Un
état
d'incoordination spasmodique qui se manifeste à
e 4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. folie : c'est une modification de l'
état
physiologique, un état anti- social, naturel ou
LÉGALE. folie : c'est une modification de l'état physiologique, un
état
anti- social, naturel ou acquis, mais non pas u
d des doigts, ensuite de la main, enfin de tout le côté gauche. Cet
état
dure trois jours, puis survient une crise convu
t dangereux pour lui-même et pour les autres. Puis il revient à son
état
normal, ne se souvenant de rien si ce n'est qu'
, et, pour la résoudre, il faut faire l'analyse quantitative de son
état
mental et moral; et cette analyse est nécessaire,
du genou droit. En août 1898 accès de goutte avec tophus. Assez bon
état
jusqu'au 10 juillet 1899. Ce jour là nouvel ict
y. (Médical Record.) Conformément à la loi de 1889 les aliénés de l'
état
de New-York sont traités dans onze asiles répar
lbany devrait être généralisé systématiquement non seulement dans l'
état
de New-York mais dans le reste du monde civilisé.
seule- ment à désennuyer les malades, elles ont paru utiles à leur
état
mental 1. A la fin de l'année, on a fait une ve
lus éloigné, qui pourtant se trouvait dans les , mêmes conditions d'
état
préopératoire et de soins locaux. Rien ne prouv
es il faut mettre au premier plan les conditions qui soutiennent un
état
de sensibilité exagérée, le plus souvent l'état
qui soutiennent un état de sensibilité exagérée, le plus souvent l'
état
d'attente anxieuse, les chagrins et les émotion
ail physique) et calmante (bromures avec codéine). En présence d'un
état
hysté- rique bien prononcé, il faut essayer le
maniaques et mélancoliques; ce qui facilite l'étude ultérieure des
états
mentaux survenant comme symptômes ou épiphénomène
BIBLIOGRAPHIE. 69 de maladies infectieuses ou diathésiques où ces
états
ne jouent qu'un rôle effacé et non constant. No
forme du beau; notre volonté est faite pour vouloir le bien. Dans l'
état
primitif les troubles pro- fonds produits par d
eut être faussé par des circonstances individuelles (tempé- rament,
état
de l'organisme, maladies aiguës), il est indispen
erculose et on voit s'affirmer de jour en jour cette doctrine qu'un
état
infectieux peut engendrer de toutes pièces des tr
s'était tailladé lagorge et les deux poignets avec un couteau. Son
état
est désespéré. (Le Bonhomme Normand, du 28 févrie
inconvénient de le condamner à une immobilité qui peut aggraver son
état
mental. L'un de nous se propose prochainement d
ratiquer que chez des malades sains d'esprit, qui attristés de leur
état
, sollicitent une opération nouvelle dont ils sa
dans cette situation, à Saint-Louis, pendant vingt-un jours; puis l'
état
demeurant stationnaire, il sortit, mais pour êt
d'une façon générale, il y a une amélioration appré- ciable dans l'
état
du malade pendant son séjour àl'asile, puisqu'en
car- bone portant sur la tentative de suicide elle-même, avec un
état
passager de confusion mentaleégalement classique;
relativement court. que lorsque la faim ou l'in sexuel, ou encore l'
état
de la température ou de l'a phère réveille leur
maux inférieurs parce qu'on les a presque toujours observés dans un
état
où le train de vie de l'animal était troublé, e
les réactions des vers à la division de leur corps en segments. Les
états
que l'on appellerait doulou- reux s'ils étaient
rojection. Que l'élaboration des sensations soit accompagnée de ces
états
internes que nous connaissons directement, état
accompagnée de ces états internes que nous connaissons directement,
états
suscepti- bles de tous les degrés de clarté ou
comme l'a fait Edinger après Descartes, l'intervention d'un simple
état
de l'orga- nisme, non d'une force ou d'un être,
rofesseur de médecine légale donna des résultats nuls, à cause de l'
état
de putréfaction du cadavre. Ce cas présente un
is qui, comme tous les mouvements physiques sont influencés par les
états
physiques. On a toujours dit de la sensation qu
s ainsi. En fin de compte, c'est au substratum physique, et non à l'
état
mental lui-même que s'atta- quent les mensurati
HOLOGIQUES. cellules géantes, des myocaryocytes rencontrés dans des
états
pathologiques d'autres tissus. Le début du proc
issent les mêmes phéno- mènes et vice-vcrsc2. G. Deny. Hill. De l'
état
des réflexes chez les syphilitiques ; par le D r
é. (./0 : ;ni. de neurologie, 1901, nul 9.) Une enquête faite sur l'
état
des réflexes de 13 syphilitiques appartenant à
ns des centres nerveux, l'auteur reconnaît qu'il est difficile en l'
état
d'en donner une interprétation satisfai- sante.
l n'y a donc aucun rapport intime entre la tonicité musculaire et l'
état
des réflexes, ceux-ci pouvant être très exagéré
iés et aussi l'absence du phénomène des orteils en même temps que l'
état
stationnaire de la maladie depuis un an lui ont
aiie.tout son service, de sorte que 'personne' ne s'aperçoit de son
état
, d'autant qu'il a l'air de jouir encore de' l'i
de la partie; il est persécuté, mais pas au point qu'au début, cet
état
^attire l'attention de ceux qui l'entourent ; il
et exa- minées par l'auteur lui ont permis en outre d'établir, à l'
état
de variété spéciale, le type du suicide alcooli
pilepsie, ensuite de la chorée, affections qui sont rares pendant l'
état
puer- péral, et rares aussi (surtout la chorée)
opinion qui cherche la cause de la chorée et de l'épilepsie dans un
état
toxique ou microbien du sang. La grande fréquence
tant que les .activités, cellulaires spéciales qui accompagnent les
états
d'aliénation .mentale,, doivent retentir sur l'
s actes bien : anisés (volontaires). L'auteur étudie ensuite quelques
états
mus- aires, puis il va au-devant de quelques ob
son sans com- plication. An bout d'environ un an, amélioration de l'
état
mental; le malade obtient sa sortie, et continu
ite, et réapparition des troubles mentaux : il rentre à l'asile, en
état
d'hémiplégie droite, d'aphasie partielle, et d'
t le séjour à l'asile, est restée sans retentisse- ment aucun sur l'
état
mental; d'autre part l'hémorragie cérébrale sur
entre eux, et cependant divers suivant les sujets, et que lorsque l'
état
mental normal se rétablit, après une de ces exp
accusées; 2° que lorsqu'il existe de l'excitation émotive, ces deux
états
se modifient proportionnellement à cette excita
modifient proportionnellement à cette excitation; 3° que lorsque l'
état
mental habituel a reparu et lorsque la tension
arque qu'elle dépend en grande partie des sensations spéciales, des
états
émotifs parti- culiers (bonheur, colère, etc.)
susceptibilité du sujet. R. DE uIUSGRAVE-CL.1YE. s - XI. Sur l'
état
mental' d'Auguste Comte; par William-W. IRELAND,
G. Dumas, dans la Revue Philosophique), un ac ticle intéressant à l'
état
mental d'Auguste Comte. Il résume tout d'abord
tout lorsqu'il mourut, d'un cancer, en 1857, que la question de son
état
mental fut soulevée à propos de son testament d
ause immédiate est la compression des nerfs intéressés bien que des
états
autotoxiques et diathésiques puissent REVUE DE
la lésion du rire et du pleurer spasmodique. Elle montre différents
états
existant du cerveau, et leurs conséquences clin
comme les auteurs ont pu encore'le constater en étudiant surtout l'
état
des pédoncules cérébelleux. Elle est égale- men
ndifférence à l'égard de sa famille qu'il aban- donne dénote bien l'
état
affeclil' typique en pareil cas ; la convic- ti
dénomination très heureuse de Théomanie raisonnante. Il compare cet
état
à celui des régicides étudiés par Régis : même
rganisme et par suite du cerveau, et aussi chez les épileptiques en
état
de crises subin- trantes. ? ° En exercant une a
n particulier les cellules nerveuses. Elles sont indiquées dans les
états
de dépression mélancolique, dans les états épilep
sont indiquées dans les états de dépression mélancolique, dans les
états
épileptiques avec ralentissement des fonctions
sistante qui n'est point modifiée par la guérison de la cécité. Cet
état
est stationnaire jusqu'au mois de juin 1900 ; le
se conduire elle-même, mais ne parait nullement s'inquiéter de son
état
: elle semble même enchantée qu'on s'oc- cupe d
. Mais environ un mois après, le 18 août, elle retombe dans le même
état
d'amaurose double à la suite d'une légère contr
évrier, et leur disparition n'a entraîné aucune modification dans l'
état
du sujet. Notons encore que ce même 6 février a
ouche est petite, les lèvres sont un peu éversées, les dents en bon
état
: les deux inci- sives supérieures et médianes
examen à l'otoscope montre un canal auditif externe et un tympan en
état
tout à fait sain. 11 n'y a jamais eu à aucun mo
pareil visuel qui semble, au premier abord, complètement revenu à l'
état
normal et qui, en réalité, nous présente il con
lui prescrivit des pilules de mica punis avec forte suggestion a l'
état
de veille ; le lendemain elle distinguait déjà
Cette guérison peut être complète et durable : c'est le retour à l'
état
normal ; mais elle peut être incomplète et pass
rmittente et généralement pervertie de la vision binocu- laire. Cet
état
est de beaucoup le plus fréquemment observé; c'
ut ou partie de savision, suivant l'intensité de cette cause et son
état
de suggesti- bilité 2. f ! . 1 Et alors : 1°o
ger passé, la suggestion envolée. Voici Marthe, par exemple ; à l'
état
ordinaire elle ignore, pour ainsi dire, son oei
efois et après des incitations répétées, presque une suggestion à l'
état
de veille, qu'il pouvait voir par exemple la se
ent constante : nous arrivons au troisième stade qui correspond à l'
état
normal de la vision : c'est le stade de guériso
nir ce résultat. Il arrivait aussi a la malade de tomber dans un
état
d'être, à de certains moments, en proie à un état
de tomber dans un état d'être, à de certains moments, en proie à un
état
soporeux particulier, état très différent par l
re, à de certains moments, en proie à un état soporeux particulier,
état
très différent par les sensations qu'il provoquai
sente aucun trouble mental. Elle se rend parfaitement compte de son
état
, convient de l'état maladif, de ses hallucinati
mental. Elle se rend parfaitement compte de son état, convient de l'
état
maladif, de ses hallucinations et demande à ce
ultats auxquels nous sommes arrivés. Nous devons distinguer trois
états
différents dans les descriptions qui vont suivr
enses; c) le passage du trouble hallucinatoire de la conscience à l'
état
normal. a) La faible intensité de l'hallucinati
s à certaines impressions, réactions qui d'ailleurs sont rares, l'
état
de distraction le plus,absolu règne chez notre ma
expérimentale. En effet, ici ce que nous pouvons provoquer c'est l'
état
mental, qui dans le cas particulier est principal
par du désordre dans les idées et les actes, est le résultat de cet
état
mental. Il se passe donc à peu pi es le contrai
, quand nous inférons des désordres présentés par un malade à son
état
mental et surtout aux causes génératrices de ce d
e. Ce qui caractérise ce tableau symptomatique, c'est en résumé l'
état
de distractions mentales du sujet joint à de l'
idées et hallucinations. D'autres auteurs propo- seraient pour cet
état
le diagnostic de confusion mentale hallucinatoi
hez notre malade il n'y a pas d'idées persistantes ni fixes, tout l'
état
mental est sous la dépendance de nombreuses hal
succèdent comme en une véri- table fantasmagorie kaleidoscopique. L'
état
mental de G... indépendamment des réactions mot
t comparé la confusion mentale hallucinatoire. La connaissance de l'
état
mental de notre sujet, peut donc assez bien nou
vient de se passer, sa.cons- cience est de nouveau normale. ' Cet
état
de réveil, pendant lequel malgré la disparition d
repère qui, les avaient engendrées, existe également à la suite des
états
de confusion mentale hallucinatoire. La.- durée
e de tout ce qui se présente à lui et arrive à le reconnaître. Un
état
analogue, quoique d'une durée un peu plus rapide,
à laquelle i a succédé cette disposition spéciale de la malade à un
état
\ hallucinatoire. Elle présente en somme une suc
? cette évolution, fait d'autant plus difficile à étudié que les'
états
antérieurs de : la malade nous étaient totalement
canisme de la psychologie de la distractioni et de l'attention. A l'
état
soi-disant normal l'état mental'de^ G... présen
de la distractioni et de l'attention. A l'état soi-disant normal l'
état
mental'de^ G... présente à peu près la puissanc
y adapte. Cette image im- posée occupe la conscience et provoque un
état
de distraction, lorsque l'hallucination est d'i
cination est très intense, à la distraction fait place un véritable
état
de confusion mentale. Le rapproche- 220 PSYCHOL
GIE MORBIDE. ment, que cette expérience naturelle permet entre deux
états
psychiques, semble jeter quelque lumière sur le
ue lumière sur le mécanisme et la structure mentale qui préside à l'
état
de confusion. L'idéation provoquée est rapideme
e est rapidement adaptée et à mesure que la distraction grandit, un
état
de croyance en la réalité de l'image accompagne
ne d'intensité, la distraction grandit pour bienlôt évoluer vers un
état
de confusion, qui n'en est que la plus haute ex
rs un état de confusion, qui n'en est que la plus haute expression,
état
dans lequel les images se succèdent rapide- men
is que l'éréthisme psychique va en augmentant. 3° Le passage de cet
état
à la vie psychologique normale est intéressant,
tribuer, pensons-nous, à l'etude de la génèse et de l'évolution des
états
de conscience provoqués par des hallucinations.
es fèces. L'auteur a observé ce fait dans 4 cas sur 12. Plus qu'à l'
état
anatomique des reins, la fonction rénale est li
de l'élimination. Le bleu de méthylène ne peut servir à contrôler l'
état
anatomique et fonctionnel des reins chez lesalién
on de leur disposition. Pour reconnaître avec exactitude cer- tains
états
dégénératifs des cylindraxes de la moelle épinièr
udinales de la moelle, parce que dans les coupes transversales, ces
états
dégénératifs peuvent échapppr ou en tout cas ne
igneuses recherches des auteurs sur le signe de Babinski : 1° A l'
état
de santé, la recherche du réflexe plantaire peut
,dans la moelle; 4° Le réflexe de Babinski ne se voit jamais à l'
état
de santé et nos observations nous conduisent- à
n sens oppo-é, et déterminant, suivant leur énergie respective, les
états
de tonicité, de contraction ou d'inhibition.
volution progres- sive d'aptitudes organiques qui existent déjà à l'
état
élémentatre chez l'actinie et le lombric, n'éta
s la genèse de la plupart des myélites, de beaucoup de délires ou d'
états
de confusion mentale, n'ignorons-nous pas encor
le place à côté du \ délire toxique et fébrile, et en 1898 dans les
états
toxi-infectieux. D'autre part, les travaux réce
ur, et qui ne manque-presque jamais. Il serait dû, d'après lui, à l'
état
défectueux des voies digestives supérieures, pr
stipation est habituelle. Elle peut être considérée, comme dans les
états
infec-' tieux et toxiques, comme une conséquenc
à s 1 sionomie caractéristique, doit être fait cependant avec deux
états
: dâus'1 ôr râ é p`syclngue, avec les$tts mapia
gue, avec les$tts mapiaques aigus; dans l'ordre somatique, avec les
états
typhoïdes^ Le delirium tremens est un'delire"ai
ouvrent de fuliginosités, ce qui donne à l'aspect général celui des
états
typhoïdes. Ils refusent toute inges- tion de so
osition névropathique nécessaire, ont déterminé dans l'organisme un
état
de réceptivité pathologique particulier, en agi
la céphalalgie, les attaques hysté- riformes ou épileptiformes, les
états
cataleptiformes ou catato- niques, les troubles
NTES. période prémonitoire et qui persiste encore dans la période d'
état
. Elle s'observe dans le délire aigu, comme en t
ces que j'ai tentées sur l'animal, je ne suis arrivé à obte- nir un
état
maladif qu'on puisse scientifiquement comparer au
it preuve d'une indifférence peu en harmonie avec la gravité de son
état
et qui est un signe précurseur de la mort proch
nier que ce tableau ne se rapproche ''de celui qu'offrent tous les
états
infectieux. Est-ce à dire pour cela, que la tox
eulement dans la période prémonitoire, mais aussi dans la période d'
état
. On dirait des maniaques par leur extrême agita
nalés n'étaient non seulement pas hémophiles, mais jouissaient d'un
état
général parfait : De plus le purpura qu'ils ont
t le suivant : un fond de confusion mentale sur lequel se greffe un
état
délirant onirique constitué par des association
t pris de nostalgie, manifestant le désir de quitter l'hôpital. Son
état
mental alla en s'aggravant jusqu'au 268 ' SOCIÉ
ucinations de la vue et de l'ouïe, et des impulsions homi- cides. L'
état
délirant apparaissait surtout la nuit. Rentré dan
après sa sortie de l'hôpital. Depuis son entrée, il a pré- senté un
état
mental caractérisé par de la confusion mentale, d
un véritable accès mélancolique, suivi quelques jours après d'un
état
hallucinatoire, nocturne surtout. La psychose' es
sur le tissu nerveux en particulier : c'est seulement en relevant l'
état
général du malade que la lécithine améliore l'éta
nt en relevant l'état général du malade que la lécithine améliore l'
état
nerveux. Elle ne saurait donc être considérée c
une amélioration très rapide des symptômes soma- tiques énumérés, l'
état
psychique ne tarda pas à être modifié. Néanmoin
les observation ? de torticolis mental publiées jusqu'à présent, l'
état
mental, ne parait pas aussi modifié et aussi pr
bsorbés par leur délire. Une autre difficulté se présente lorsque l'
état
d'affaiblissement du sujet est tel qu'il est im
plus de chance de réussir que l'affection physique dépen- dra d'un
état
mental moins atteint. La prolongation du traite-
orticolis mental ne serait qu'une variété de cette affec- tion et l'
état
mental des malades atteints de torticolis mentaux
es malades atteints de torticolis mentaux. rentre dans l'étude de l'
état
mental des tiqueurs. Comme l'a dit . M. Martin,
e la gymnastique et de la rééducation des mou- vements amène dans l'
état
mental des modifications salutaires. Il a toujo
e chute de bicyclette. Il ne présentait aucun signe d'hystérie. Cet
état
durait depuis deux ans sans amélioration lorsqu
tre admis, faisant l'éducation de sa volonté et des suggestions à l'
état
de veille et en employant les moyens habituels,
un stigmate plutôt psychique que physique de la dégénérescence. L'
état
mental de ceux qui en sont porteurs est celui des
ien pu remarquer que l'amé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 273 lioration de l'
état
mental a été précédée de l'amélioration de l'état
73 lioration de l'état mental a été précédée de l'amélioration de l'
état
physique. M. Briand met en relief le caractèr
x chez ies dégénérés atteints de torticolis mental. Il assimile cet
état
psychique à l'état mental des liqueurs. Tous ce
s atteints de torticolis mental. Il assimile cet état psychique à l'
état
mental des liqueurs. Tous ces malades ont une i
ent un certain degré d'incohérence dans leurs actes. C'est sur cet,
état
mental bien particulier que viennent se greffer
rappelle que c'est à M. Magnan que l'on doit la descrip- tion de l'
état
particulier des dégénérés. Quelques membres rap-
nt aggravés depuis cette époque. A vingt ans, à son entrée, voici l'
état
physique et mental : Tremblement fébrillaire de
Cet exercice peut avoir une influence utile pour combattre certains
états
morbides : quelques affections nerveuses trouve-
ource toxique. Dès lors, la thérapeu- tique de la céphalée dans ces
états
deviendra une thérapeutique pathogénétique et n
ront alors un bloc caractéristique rendant évident, indiscutable, l'
état
dégénératif du sujet observé. 11 ne faut donc pas
au secours de leur collègue, mais l'un d'eux fut encore mis dans un
état
pitoyable par le fou, brandissant toujours son
it. L'un des blessés a été transporté à l'hôpital de Bédarieux. Son
état
serait grave. On s'accorde à dire que le dément
mettre un assassinat, il s'est logé une balle dans la poitrine. Son
état
est très grave. (Bonhomme Normand, 31 janvier 1
son ivresse et de son impru- dence a été littéralement réduite à l'
état
de charbon sanguinolent et a expiré dans d'atro
aux réflexes tendineux par la rachicocaïnisation varient suivant l'
état
antérieur de ces réflexes. Si les réflexes sont
diminuer, s'abolir même quelquefois, puis revenir lentement à leur
état
primitif et reprendre leurs caractères antérieu
ns affirmer cependant qu'elle n'affecte aucun rapport direct avec l'
état
des réflexes tendineux : elle n'accompagne pas
lle parait au contraire affecter des relations plus étroites avec l'
état
général du malade ; on la voit souvent en effet
du malade ; on la voit souvent en effet précéder immédiatement l'
état
nauséeux, disparaître avec les vomissements et ré
st survenue suivant les cas avec l'exagération des réflexes, avec l'
état
nauséeux, elle a suivi enfin la trépidation épi
ice des membres inférieurs. Les deux tabétiques précédents qui, à l'
état
normal ne présentaient aucune trace d'ataxie, n
tion pendant la marche. Mais tous ces malades étaient en proie à un
état
nauséeux très intense. Phénomènes VASO-MOTEURS.
es faites dans le territoire analgésié dans le but de rechercher- l'
état
de la sensibilité n'ont presque jamais saigné.
la soustraction du liquide cépha- lo-rachidien modifient toujours l'
état
des réflexes. Mais ces modifications sont bien
ation évidente du tissu libreux avec une hypertrophie modérée et un
état
vacuolaire des fibres musculaires. L'examen du
r- cation qui sépare en deux ordres de lésions. Il étudie ensuite l'
état
des vaisseaux dans la syphilis du cerveau : tou
stion est si net qu'il n'a besoin d'aucune démonstration ; dans les
états
toxémiques la suggestion a toutes les raisons pos
'exercice est un facteur bien plus puissant dans la création de ces
états
névro- pathiques. Les symptômes sont nombreux
otif suffisant, ou même absolument sans motif, la simula- tion d'un
état
de maladie, la recherche excessive de la sympathi
et bien d'autres phénomènes qui se rencontrent égale- ment dans les
états
névropathiques des adultes. Quant au trai- teme
te qu'elle soit, - de la définition de Mobius : « L'hystérie est un
état
dans lequel les idées commandent au corps et dé
imentaires : crises cardiaque, respiratoire, vertige, etc.... Cet
état
d'augoisse est le plus souvent concomitant de pho
t souvent été suivis aussi bien chez l'homme que chez la femme d'un
état
syndromique d'angoisse. La pathogénie doit en ê
scléroses combinées, compressions médullaires, sclérose en plaques,
états
paréto-spasmodiques infantiles, nécroses, para-
i constant des contractures dépend de raisons histolo- giques ; à l'
état
normal, certains groupes musculaires sont pré-
ans la grande majorité des cas, il existe un rapport étroit entre l'
état
des réflexes tendineux et celui du tonus muscu-
a moelle cervicale déterminent une paraplégie flaccide, soit par un
état
de shock, soit par un trouble circulatoire par
exe achilléen dont la recherche est toujours facile et positive à l'
état
normal. J'ai étudié les réflexes cutanés des ma
tonicité du muscle, qui elle-même, serait sous la dépendance de l'
état
du système nerveux. Tumeurs gazeuses de l'abdom
paralytiques généraux. M. JOFFROY rappelle d'abord les principaux
états
morbides dans lesquelles on a noté de basses te
chronique du père ou de la mère, ou des deux; - 2° l'alcoolisme à l'
état
d'ivresse au moment de la conception; 3° durant
leur recommandons d'éviter tout rapport sexuel avec leurs maris en
état
d'ivresse. Il en est qui comprennent l'impor- t
théories nous paraissent également insuffisantes pour expliquer cet
état
mor- bide. La théorie intellectuelle néglige pr
ssion morbide, appartient aux troubles de la volonté. En étudiant l'
état
des obsédés en dehors de leurs crises angoissan
celle de l'illustre More], nous considérons l'obsession comme un
état
pathologique à base essentiellement émotive, comm
teur. La cellule nerveuse et le neurone ; structure et fonction à l'
état
normal et pathologique (Revue générale). Gazette
il a constaté pendant la vie les symptômes suivants : pouls rapide,
état
saburral du tube digestif, faciès hagard, perte
s, très peu fréquents, où l'on se trouvera en .présence d'un de ces
états
de crise douloureuse, périphérique ou viscérale,
on plus écrire et avait peu de notions sur les choses usuelles. Son
état
s'est bien amé- lioré, les colères sont moins f
goût. En résumé l'enfant se rapproche de plus en plus en plus de l'
état
normal. Maur... (Pierre), 10 ans, enfant atte
l douze, treize ans, sans motif fondé. Cet âge arrive aussi, mais l'
état
s'est aggravé : à la maladie nerveuse et mental
tuel et au point de vue physique, afin de modifier profon- dément l'
état
nerveux fondamental, la diathèse nerveuse si l'on
1900. SOCIÉTÉS SAVANTES. 353 a décrit, comme on sait, en 1874, un
état
pathologique constitué à la fois, cliniquement,
citation désordonnée avec bouffées délirantes variées. Bientôt, son
état
prend un aspect fran- chement mélancolique, à t
a composition en redevint de plus en plus normale; parallèlement, l'
état
catatonique s'amenda par degrés, les attitudes
e de ce cas, dont nous n'avons donné ici qu'un simple résumé, que l'
état
pathologique désigné sous le nom de Catatonie p
l'amnésie de fixation. L'auteur pense que l'insolation provoque un
état
d'intoxication ainsi que l'aspect clinique des
eront discutées à Grenoble : Question de pathologie mentale : Des
états
anxieux dans les maladies mentales, M. le Dr La
ection abdominale aiguë est passée, les vomissements subsistent à l'
état
chronique ; ils se maintiennent en vertu d'une
itre des suggestibilités, l'auteur croit que la suggestibilité il l'
état
de veille est toujours indépendante de la sugge
il l'état de veille est toujours indépendante de la suggestion il l'
état
d'hypnose. Des sujets dont la suggestibilité à
ggestion il l'état d'hypnose. Des sujets dont la suggestibilité à l'
état
de veille est minime peuvent devenir par l'hypn
tion de véritables machines. Les nevrosés très suggestionnables a l'
état
de veille sont souvent très rebelles à l'hypnot
ont pu être réalisées en laboratoire et sont possibles même dans l'
état
posthypnotique, mais dans la pratique il est pr
oins évidente. BIBLIOGRAPHIE. 301 C'est surtout la suggestion à l'
état
d'hypnose qui semble avoir des résultats. Contr
s. Contrairement à l'opinion de l'école de Nancy, la suggestion à l'
état
de veille est utile dans certains cas, elle n'est
ndignité, de persécution. Ces délires sont souvent consécutifs à un
état
infectieux (grippe, affections broncho-pulmonai
é suffisante pour entraîner la mort, ne laissant derrière eux que l'
état
mental sénile antérieur parfois un peu aggravé.
ue, de l'influence de la menstruation, de l'ivresse du sommeil, des
états
passionnels normaux font entrer dans la médecine
qne dès que l'explosion d'un premier symptôme le trahit. Tant que l'
état
mental le permet, il doit autant que possible con
lace. C'est dans les colonies pour épileptiques qu'ils trouveront l'
état
le plus favorable. Encore faudra-t-il que celle
larme. Les trois malheureux blessés, l'enfant surtout, sont dans un
état
désespéré. Quant à Blondeau, il s'était tué sur
actions se succèdent nécessairement suivant îa dose et sui- vant l'
état
du sujet; les excitants sensoriels fatiguent d'au
les expériences de M. Dèstrée montrent qu'il estfavorable soit à l'
état
de repos, soit à l'état de fatigue'. Celles de
èstrée montrent qu'il estfavorable soit à l'état de repos, soit à l'
état
de fatigue'. Celles de M. Frey indiquent que ce
s'agit là vraisembla- blement d'une manière d'être de la peau, d'un
état
perma- nent et à ce propos ils rappellent que l
us paraît donc établi par ces résultats qu'il ne s'agit pas là d'un
état
permanent de la peau, mais bien d'un état trans
'il ne s'agit pas là d'un état permanent de la peau, mais bien d'un
état
transitoire apparaissant et. disparaissant RÉAC
s même au bout de trois et quatre heures chez des sujets qui, à l'
état
normal, ont de la dermographie très accusée il n'
unis, épileptiques et hystériques. Si nous envisageons maintenant l'
état
normal nous consta- tons que dans toutes les va
tons que dans toutes les variétés mentales il a été inférieur à l'
état
anormal, toutefois c'est surtout dans l'hystérie
c une formidable proportion. Pour les autres aliénations mentales l'
état
normal a été plus fréquent. Après l'hystérie, c
épi- leptiforme. Démence simple, sans euphorie. Cons- cience de l'
état
maladif. Troubles de la motilité à droite. Duré
plus intense que la première fois. Jusque-là il avait continué son
état
de marinier. Pendant l'année 1857, les attaques
nt peu précis, et il a conscience, jusqu'à un certain point, de son
état
démentiel. Il nous dit qu'il a les idées brouil
tionnée. 1 CI' août 1864. Tout le temps qu'il a passé à l'asile son
état
cérébral a toujours été à peu près le même. Il
rès injec- tés. Il ne peut plus prendre que de la soupe. - 18. Même
état
. L'embonpoint se maintient. Trois soupes. 19. L
en diminuant chaque joui'. Ce matin, il est encore levé. 20. Même
état
. Il reste assis, comme d'habitude, sur son banc.
s os du crâne sont excessivement épais, au moins moitié plus qu'à l'
état
normal. Leur épaisseur est plus grande à gauche
rès une nouvelle école était ouverte par le Dr Wilbur, dans le même
état
. En 184G, le Dr Backus avait fait une tentative
dans les asiles, et la première mesure prise pour amé- liorer leur
état
consista à les en séparer. Il indique les modific
elle tombait au chiffre de 120 à 130 millimètres. On étudia alors l'
état
physique des malades dans ses rapports avec la
, peau souple et moite. Etat aigu : pouls de 90 Il 120 par minute :
état
subaigu de n0 à 80. Le fonctionnement mécanique e
chimique de l'estomac s'ameliore à mesure que le malade passe de l'
état
aigu à l'état subaigu. Dans tous les cas aigus, o
'estomac s'ameliore à mesure que le malade passe de l'état aigu à l'
état
subaigu. Dans tous les cas aigus, on a trouvé l
es membres à être pris de tremblement fibrillaire incoordonnés. Cet
état
s'atténue dans la période subaiguë. Les hallucina
lée pratiquement nul : activité motrice faible : 6° peau sèche. L'
état
subaigu est caractérisé par les 'phénomènes suiva
x indications thérapeutiques suivantes chez les mélan- coliques à l'
état
aigu : 1° diminution de la pression sangnine; 1
andes destructions de cellules nerveuses corticales succèdent à des
états
convulsifs. Il est encore trop tôt pour donner un
ort guéri. Il. de i\IUSGIà.1\'E-CLaT. XXI. Une théorie relative aux
états
physiques du système ner- veux qui sont nécessa
iques du système ner- veux qui sont nécessaires à la production des
états
de mélan- colie, de manie, etc.; par John i'URV
en pathologie mentale que celle de savoir comment se produisent les
états
d'exaltation et de dépression, et, physiquement
et, physiquement, à quelles modifications du sys- tème nerveux ces
états
correspondent, si leurs localisations sont diff
que, la mélancolie et la manie étant toutes les deux associées à un
état
de dissolution du système nerveux, la réduction
il en est de même des inculpés en observation au point de vue de l'
état
mental, malgré qu'en pratique il soit passé out
amélioration alors que le séjour à l'asile n'eût pu que prolonger l'
état
morbide ou favoriser le passage à l'incurabilit
tant en malades les sujets qui ont conscience plus ou moins de leur
état
maladif. 8° Pour les villes dont la population
biles, les imbéciles et même les persécutés ou mégalomanes que leur
état
permet d'en- voyer dans une colonie ; ce genre
ment combinées. Elle - peut encore être la conséquence d'un mauvais
état
des reins ou même d'une néphrite méconnue et da
sur-I'on est évacuée sur l'asile, le 27 mars 1897, en raison de son
état
mental, caractérisé, d'après le certificat d'ad
compliquée de délire ai,r¡u; adynamie profonde, fièvre, diarrhée,
état
typhoïde des plus graves ». Sous l'influence d'
Chéron i, je constate, le 27 avril, une légère amélioration dans l'
état
général avec dimi- nution de la confusion des i
e de toute activité proprement volitive, en servant de décharge aux
états
d'excitation de l'organe céré- bral. » Nous c
ts habituels aux gymnastes. Nous avons vu plus haut sa position à l'
état
de repos. Ajoutons qu'il met constamment sa ves
l y a eu un motif ; mais ce motif a disparu et l'acte est passé à l'
état
d'habitude automatique que le malade n'explique
ce suffi- sante pour expliquer la finalité de ses actes. Mais cet
état
ne dure pas. A la phase de délire systématisé s
une vie intellectuelle de plus en plus restreinte, ils n'ont plus d'
états
de conscience complète : l'habitude, seconde na
s stéréotypies apparaissent. Il faut donc qu'il existe un certain
état
d'affaiblissement des facultés psychiques pour qu
tion incline déjà à faire penser qu'on peut les rencontrer dans des
états
vésaniques autres que les délires systématiques
lade a tou- jours été très réticent et se trouve maintenant dans un
état
de démence manifeste. A propos des démences p
entité morbide, on peut pourtant étudier les stéréotypies dans les
états
catatoniques. Pour la plupart, des psychiatres,
u nom de délires systématisés secondaires, indiquant le passage à l'
état
chronique e t l'acheminement à une démence plus
uicide ». Peu à peu, il s'est mis à gémir et actuellement voici son
état
: Lorsqu'il est au repos, on le trouve blotti d
i toniques, ni clo- niques, méfiez-vous, quand ils font preuve d'un
état
mental défectueux, de quelque chose de bien plu
e variation' dans la fermeture de ses fenêtres la plongeait dans un
état
émotif des plus pénibles, qui prenait seulement
ent les stéréo- typies se montrent en dehors de la démence dans des
états
d'asthénie, de déséquilibration psychique tels
servent de substratum aux obsessions. Enfin on les ren- contre à l'
état
normal dans les tics d'habitude. - IV. Considér
diminuent de fréquence, mais une fois. qu'elles sont passées à l'
état
d'habitude, elles persistent d'une façon indéfini
ns toutes les directions de façon à souffler, siffler, comme dans l'
état
normal, il lui est désormais impos- sible d'art
on, de l'appétit et faisait bien toutes les autres fonctions. Cet
état
dura trois mois malgré tous les remèdes qu'on put
nctionnel ; 3° la nature de l'excès de développement, dans ces deux
états
pathologiques, appartient pri- mitivement à l'o
gane ait une part étiologique dans la dystrophie qui accompagne les
états
adé- noïdes du pharynx; 6° il semble que le cor
es grandes cellules nerveuses des aliénés, avec étude spéciale de l'
état
connu sous le nom de,« réaction à distance » ;
u.,Les remarques de l'auteur sur ce fait rare se résument ainsi : l'
état
curieux des vaisseaux de la pie-mère, observé d
affectées viennent à l'appui de l'opinion du D'' Ohlmacher que cet
état
débute par les membranes molles; mais dans le c
l y avait une hémiplégie antérieure, en sorte qu'il se peut que cet
état
prenne naissance au siège d'une vieille hémorrh
octobre 1900.) Dans ces deux cas on a pu étudier non seulement les
états
his- tologiques, mais encore les états bactério
pu étudier non seulement les états his- tologiques, mais encore les
états
bactériologiques ; dans tous les deux, il y ava
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Observation I. -A. Deux
états
pathologiques coexistaient au mo- mentde la mor
gérer la possibilité d'une leptoméningite. OBSERVATION II. -A. Deux
états
pathologiques coexistaient dans la pie-mère et
taient épaissies et infiltrées de cel- lules à cytoplasme abondant,
états
qui sont communément asso- ciés à l'atrophie ch
- C. Pendant la vie les symptômes que l'on aurait pu rapporter à l'
état
de la pie-mère ont été obscurcis par ceux qui a
icales de la circonvolution fron- tale ascendante gauche étaient en
état
de dégénérescence granulo- graisseuse. Les paro
très faible. Il fut pris de somnolence habituelle et mourut daus un
état
semi-comateux, sans avoir eu de convul- sions.
vision du côté malade est limitée à la perception de la lumière. L'
état
de la pupille n'est pas modifié. . R. DE iIIUSG
b. Ce réflexe achilléen paradoxal serait dû, d'après l'auteur, à un
état
hyperto- nique, vis-à-vis de ceux de la région
t leur antagonisme avec les réflexes tendineux. G. D. LYYVI. De l'
état
des réflexes chez les syphilitiques; par le Dr Bi
ourn. de Neurologie, 1901, n° 14.) Voici un tableau comparatif de l'
état
des réflexes chez 13 sujets sains et chez 13 su
aient modifiés, souvent exagérés, d'autrefois diminués ou-abolis, l'
état
normal était conservé dans les formes bénignes.
uit heures, et le malade est rendu à la santé, en ce qui concerne l'
état
hystérique ; quant à la débilité et aux phénomè
ogie, 1901, n° 10.) Le traitement que l'auteur préconise contre les
états
vertigineux chroniques dépendant de l'oreille c
te der- nière indication, et un troisième tableau enfin indiquant l'
état
du sang avant et après le traitement. De l'étud
olie avec accès prolongés, foires puer- pérales ou du retour d'âge,
états
de stupeur et démence primaire, particulièremen
avec agitation anxieuse, idées de négation et pachydermie, dont l'
état
s'améliorait dès qu'elle était soumise à la médic
qu'elle était soumise à la médication thyroï- dienne, alors que son
état
s'aggravait quelques jours après la ces- sation
, chez laquelle les symptômes de démence avaient été attribués à un
état
d'imbécillité congénitale compliqué d'épilepsie
uberculeuse et qui; plusieurs mois avant sa mort, avait présenté un
état
mélancolique d'une forme clinique un peu spécia
équence d'une action personnelle de l'opérateur sur l'opéré, et que l'
état
dans lequel se trouvent les prétendus magnétisés
rmes dont il se sort des définitions précises. Voulant indiquer que l'
état
d'hypnotisme est essentiellement un état expérime
ises. Voulant indiquer que l'état d'hypnotisme est essentiellement un
état
expérimental, il te définit ainsi : « L'hypnotism
ent un état expérimental, il te définit ainsi : « L'hypnotisme est un
état
nerveux déterminé par des manawvres artificielles
enne qu'il s'airit de la provocation expérimentale chez un sujet d'un
état
psychologique quelque peu différent de l'état/pag
tale chez un sujet d'un état psychologique quelque peu différent de l'
état
/page> page n="6"> normal. Par extension
page n="6"> normal. Par extension, le mot peut s'appliquer à des
états
présentés spontanément par le sujet en dehors de
suffrages. M. Bernheim proposa la suivante : « L'hypnotisme est un «
état
psychique particulier susceptible d'être provoqué
it arrivé aux mêmes conclusions : « L'hypnotisme, disait-il, est un
état
expérimental extra-physiologique du système nerve
que l'hypnotisme est un processus essentiellement progressif depuis l'
état
de veille jusqu'à la léthargie, en passant par de
uis l'état de veille jusqu'à la léthargie, en passant par de nombreux
états
intermédiaires. Parallèlement à ceux qui voyaie
ire. En effet, pour M. Liébeault, le sommeil artificiel n'est qu'un
état
passif expérimental analogue au sommeil normal. C
t qu'un état passif expérimental analogue au sommeil normal. C'est un
état
physiologique dans lequel l'esprit est en monoidé
lement favorable à la réalisation des suggestions, par opposition à l'
état
de veille où il e&ten polyidéisme. MM. Li
et Liégeois attachent à la production expérimentale du sommeil et dos
états
passifs une importance prépondérante. M. Bernheim
de Nancy peuvent se résumer dans les propositions suivantes : 1° L'
état
hypnotique n'est pas une névrose ; les phénomènes
tre obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel- 2e L'
état
hypnotique n'est pas particulier aux névropathes,
es procédés d'hypnotisation se réduisent à la suggestion. 4° Dans l'
état
de sommeil, comme dans l'état de veille, l'indivi
réduisent à la suggestion. 4° Dans l'état de sommeil, comme dans l'
état
de veille, l'individualité morale de chaque sujet
ntre ces deux opinions extrêmes, dont l'une voit dans l'hypnotisme un
état
extra-physiologique et l'autre un état physiologi
'une voit dans l'hypnotisme un état extra-physiologique et l'autre un
état
physiologique, où se trouve la vérité. Comme il f
, selon les susceptibilités particulières, peut être primitivement un
état
physiologique puis devenir un élatexlra-physiolog
les manifestations physiologiques de l'organisme. Le sommeil naturel,
état
physiologique par excellence, devient un état ext
me. Le sommeil naturel, état physiologique par excellence, devient un
état
extra-physiologique s'il se complique de rêves, d
inations visuelles, auditives, gustatives, vous le faites passer d'un
état
physiologique dans un état extra-physiologique.
es, gustatives, vous le faites passer d'un état physiologique dans un
état
extra-physiologique. Lorsque Ton provoque chez
qu'il puisse subir, sans douleur, une grave opération chirurgicale, l'
état
dans lequel vous l'avez placé n'est pas plus phys
que, selon l'expression de Paul Richer ; s'appliquaient à obtenir les
états
de l'hypnose; avaient constamment recours à l'act
ncy observaient des sujets plutôt normaux; ne s'éloignaient guère des
états
superficiels et surtout employaient la suggestion
si l'on avait adopté la lumière verte cela était surtout à cause de l'
état
mental des ouvriers, . « Autrefois, dil-il, quand
o trois semaines dans cet asile il sortit un peu amélioré quant à son
état
général. Ses phobies, bien qu'atténuées persistai
ation apparente, il eut un alourdissement et retomba dons son premier
état
. Ainsi il a traîné misérablement su vie ne pouvan
t désespoir affligeants. Des idées de suicide vinrent s'ajouter ù son
état
, une mélancolie profonde lo gagne, il ne fait que
es et uliénisles. Ni lo bromure, ni les douches, ni la suggestion à l'
état
de veille ne lui furent d'aucune utilité. Trait
mercier do tout mon cœur du changement que vous avez su opérer dans l'
état
de mon mari ; il est complètement changé. La prés
s les plus distingués du barreau de Paris à lui donner mon avis sur l'
état
mental d'un homme de 32 ans, marié, père de famil
'influence d'une impulsion automatique irrésistible, survenue dans un
état
d'abolition passagère de la conscience. Kn effet,
n effet, lorsque l'inculpé avait été arrêté il semblait éire dans, un
état
d'hébétude tel qu'il était resté indifférent aux
mpressement à ce double traitement. La transformation opéréo dans son
état
mental me dispose à le considérer comme guéri et
e grippale laquelle est maintenant guérie, mais a laissé après elle l'
état
mental actuel. Aucun signe ne permet do penser sé
oilà le point délicat. 11 ne suffit pas de dire à une famille : cet
état
n'est pas grave, il guérira un jour ou l'autre. C
ente, monotone, uniforme, en même temps que persuasive, je produis un
état
passif pendant lequel je fais à cette malade les
'une ou de deux séances ; il no suffit pas, en effet, de supprimer un
état
morbide ; il faut rendre cette suppression stable
l y a cinq ans elle s'est reconnu un don naturel, lui permettant, à l'
état
de sommeil somnambulique, de découvrir les affect
rticle 18 de cette loi ; Attendu quo la femme Guertiau se trouve en
état
de récidive légale, aux lermes de l'article 24 de
même jamais, mais qui, cependant, sont enveloppés dans ses lois, à l'
état
de possibilités certaines; c'est dans un autre se
" année) de la Revue de l'Hypnotisme des détails circonstanciés sur l'
état
de cette malade. NOUVELLES Enseignement de 1
avec raison que chacun des organes de ia vie de relation peut être en
état
de sommeil, pendant que d'autres organes du même
artiel ou local de certaines parties pendant que d'autres restent à l'
état
de veille, c'est-à-dire demeurent aptes à fonctio
meil général, dit-il, est l'ensemble des sommeils particuliers. » Les
états
de conscience que Ton comprend sous le nom d'hypn
nt, désirant qu'une expérience au moins fût faite pour s'assurer de l'
état
de la sensibilité chez cette malade, Brown-Séquar
ait été soumise à une attaque de l'espèce décrite. Elle était dans un
état
d'épuisement extrême et presque incapable pendant
e ses attaques d'extase. Comme il n'est possible à personne, dans l'
état
de santé, de rester debout sur la pointe des pied
fait capital que l'acte initial par lequel un sujet est plongé dans l'
état
d'hypnotisme n'est que le résultat d'une irritati
'encéphale. A 'notre avis, l'interprétation la plus rationnelle des
états
d'hypnotisme est celle qui établit une assimilati
s états d'hypnotisme est celle qui établit une assimilation entre ces
états
et entre les phénomènes d'inhibition et de dynamo
lonté, on constate l'apparition des deux phénomènes fondamentaux de l'
état
d'hypnotisme: L'automatisme et l'hallucination.
t le monde suit en effet que, chez certains sujets, on peut, même à l'
état
de veille, provoquer une contracture ou une anest
et repassent par la période de paralysie et reviennent ensuite à leur
état
norma!. Je me borne à citer ces quelques expéri
océdé plus compliqué quand on pourra employer la suggestion, soit à l'
état
de veille, soit pendant l'hypnose, car on obtiend
n'aura pas pu être obtenu par le médecin. Le sommeil naturel est un
état
passif que nous n'avons pas besoin de produire et
sé. A nous donc de savoir en tirer parti. La suggestion pendant cet
état
est une sorte de succédané de la suggestion hypno
une tendance à accepter l'inexplicable, et les proches eux-mêmes, en
état
de débilité émotive, peuvent favoriser parfois l'
-delà des images du rêve dont parlait Anatole. On pourrait comparer l'
état
mental de ces rêves avec le travail inconscient d
êve 11 y ?? comme dans" tout phénomène, une question de relativité. L'
état
comateux ou do syncope est loin de répondre, eoo'
prétend, au sommeil profond, quoique nous soyons loin de connaître l'
état
mental dans ces conditions pathologiques. En somm
et malades spéciaux n'étaient pas accessibles aux manifestations de l'
état
hypnotique ; mais il parait maintenant indiscutab
ours être employés et qui ne sont en somme que de la suggestion à à l'
état
de veille à laquelle chacun de nous est plus ou m
ysés dans le sommeil profond, tandis que ces groupes d'idées qui, à l'
état
de veille, se trouvent plus ou moins en subconsci
s (cas de régression de Ribot). Si l'on considère le sommeil comme un
état
psychique dont le caractère est la suppression de
avant le début de l'expérience. L'inhibition hypnotique est donc un
état
expérimental essentiellement physiologique. Cet é
ique est donc un état expérimental essentiellement physiologique. Cet
état
ne saurait devenir pathologique que par le fait d
ont : 1° La lumière agissant sur l'appareil visuel et déterminant l'
état
do fascination (Braid, Charcot, Bremand) ; 2° L
sommeil normal pouvait être transformé en sommeil hypnotique. Dans l'
état
de sommeil les facultés de contrôle sont suspendu
périmentale. A notre avis, le mot hypnotisme devrait être réservé aux
états
d'inhibition psychique ou phy-/page> page n=
un but expérimental. En dehors de toute manœuvre expérimentale.des
états
analogues à l'hypnose peuvent se manifester spont
ts. Les excitations d'ordre psychique susceptibles de provoquer des
états
d'inhibition ou de dynamogénie non expérimentaux
u) ; 4o L'imitation (somnambulisme social de Tarde) ; 5° Certains
états
affectifs et émotifs; 6° Les rêves. Tous les
s rêves. Tous les agents physiques peuvent également déterminer des
états
d'inhibition ou de dynamogénie. On peut mentionne
tabac, opium, hachich, etc.) plongent ceux qui s'y adonnent, dans des
états
analogues àKinhibi-tion hypnotique et facilitent
e la maladie des tics, ni l'imitation des gestes (échokinésie), ni un
état
mental particulier (tic psychique), qui constitue
s paroles plus profondément vraies qu'on ne croit, « La maladie est l'
état
/page> page n="79"> naturel des chrétien
us le préceptorat de Mgr de Rebergues. Giiberte, qui lesdestinait à l'
état
ecclésiastique, les ramena à Paris où, d'octobre
de nous apprend que si on l'emmène tandis qu'elle estplongéc dans cet
état
second, elle marche sans savoir où elle est ni où
Son lils, dans une note qu'il nous fait remettre, dit que sa mère, en
état
de crise, marche comme une personne normale, caus
ns a des accès particuliers pendant lesquels elle est plongée dans un
état
second. Dans cette situation, elle est capable de
ui arrive d'être incorrecte. Elle revient enfin à elle et sort de cet
état
second comme d'un profond sommeil ; elle ne sait
déshabille tout-à-coup et urine sur eux, on le saisit; il sort de cet
état
second, s'excuse des actes qu'on lui reproche, ma
uai de la gare. Un autre malade étant sur un pont à Brest sort de son
état
second : il était parti de Paris, avait fait inco
! Il avait fait toute la traversée, alors qu'il était plongé dans son
état
second; pendant toute la traversée, sa conduite a
sa conduite avait été régulière et ce fut au moment où il revint à l'
état
normal, qu'on le prit pour un fou. On admet gén
faire reproduire tout ce qu'ils ont fait lorsqu'ils étaient dans leur
état
second. Les malades hypnotisés se souviennent des
ut une crise très forte et quand elle se réveilla, eile était dans un
état
singulier. Elle croyait être dans l'année 1882 et
lle avait donc été plongée pendant huit années de 1882 à 1890 dans un
état
second dont elle était sortie par une attaque d'h
comitial. La femme de la Salpétriere qui est restée huit ans dans un
état
second/page> page n="87"> était une hys
inément, elle répond un peu lentement, elle parait plus sombre qu'à l'
état
normal, mais tous ces détails ne sont pas très ap
e chaise. Si je ne l'avais point réveillée, elle eût pu rester dans l'
état
second où je l'avais placée pendant un jour, une
aise ; eiie se souviendrait en outre des actes accomplis par elle à l'
état
normal. A ce point de vue les malades soat supéri
à l'état normal. A ce point de vue les malades soat supérieurs dans l'
état
de sommeil à ce point qu'ils sont dans l'état de
soat supérieurs dans l'état de sommeil à ce point qu'ils sont dans l'
état
de veille. Qu'un pareil état se développe spont
sommeil à ce point qu'ils sont dans l'état de veille. Qu'un pareil
état
se développe spontanément et persiste pendant vin
mais totalement abolie. De plus, il y a toujours parallélisme entre l'
état
de la mobilité et de la sensibilité ; c'est le me
t limitée à une moitié du corps ; elle peut être totale et absolue. L'
état
de la inutilité n'est pas toujours parallèle avec
ant de manœuvres frauduleuse, avaient fait croire à la malade, dont l'
état
s'était aggravé, à leur compétence médicale. Un
; les jours suivants, il perd peu à peu les sourciïs et les elle. Cet
état
demeure définitif. A î8 ans, la barbe apparaît bl
60, il publiait son premier ouvrage, chez Doin ; Du Sommeil et de ses
états
analogues. C'était la théorie de la suggestion
croscope. Et il voit l'importance de ce groupement par systèmes'à l'
état
morbide comme à l'état normal : il crée ainsi du
l'importance de ce groupement par systèmes'à l'état morbide comme à l'
état
normal : il crée ainsi du même coup Tanatornie gé
us l'influence de l'attention, ne constituaient pas chez ce malade un
état
analogue à celui d'une personne qui médite, c'est
un état analogue à celui d'une personne qui médite, c'est-à-dire à l'
état
d'une personne qui, attentive à un seul point, es
fut ainsi amené à admettre que certaines cellules cérébrales ont à l'
état
normal la faculté de rompre leurs communications
ue par le contact des prolongements de ces éléments nerveux. Dans cet
état
, les neurones seraient en activité fonctionnelle
rusquement, expliquerait la soudaineté extraordinaire du passage de l'
état
de veille au sommeil qu'on observe chez certains
veille au sommeil qu'on observe chez certains sujets. Les différents
états
de l'hypnotisme résulteraient de la suppression d
erposant leurs prolongements entre les terminaisons des neurones. A l'
état
de repos cérébral, cette interposition des cellul
do la névroglie. Avec cette théorie, le repos mental, le sommeil, les
états
de l'hypnotisme s'expliqueraient par interpositio
De même, le sommeil hypnotique fait nettement renaître la mémoire des
états
de conscience survenus pendant une anesthésie chi
u'il puisse être placé rapidement et sans en avoir conscience dans un
état
de somnambu-lisme profond. Si ce cas se présent
ntroverses. Citons-en quelques extraits qui feront mieux comprendre l'
état
d'àme de notre héros : « La maladie dont notre ép
e main, de nombreuses fortunes? a Dans son organisation actuelle, l'
état
civilisé est une machine qui travaille avec un ga
rent un auditoire aussi empressé que sympathique au professeur. Les
états
mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnot
des interprétations différentes. D'après Bernheim, l'hypnose est un
état
conscient caractérisé par la concentration mental
aient incapable de calculer avec assez d'exactitude pour le faire à l'
état
normal. Gurney considère que l'explication de B
gt; page n="137"> n'est-il pas raisonnable d'admettre aussi un
état
mental correspondant? Ainsi il existerait un cont
st écoulé de jours et combien il en reste encore ; de plus, pendant l'
état
de veille, il n'a aucun souvenir ni de la suggest
a suggestion ; 4° Ce souvenir ne lui revient à aucun moment pendant l'
état
de veille ; 5° Il ne lui vient même pas quand e
lle ; 5° Il ne lui vient même pas quand elle passe spontanément à l'
état
d'hypnose ; 6° Quelques instants avant l'accomp
psychique général des asthmatiques; depuis la simple exhortation à l'
état
de veille jusqu'à la suggestion répétée, faite da
tation à l'état de veille jusqu'à la suggestion répétée, faite dans l'
état
d'hypnotisme. Tous les asthmatiques, vieux ou jeu
e du Martynia est souveraine contre la blessure du serpent (Birmanie,
états
Shans), parce qu'elle ressemble au crâne de cet a
é, il est arrivé à boire (de l'eau-de-vie, surtout) et à se mettre en
état
d'ivresse, d'autant plus facilement qu'il est fai
lieu le 2 mai 1899. L'ayant déjà guéri de verrues parsuggestion à l'
état
de veille, je n'eus pas grand'peine à l'endormir,
tout, vin, eau-de-vie, absinthe, etc., sans se mettre bien souvent en
état
d'ivresse. Je l'ai déjà guéri deux foisd'une cirr
J'ai endormi un sujet hypnotisablc, puis je l'ai réveillé. Dans cet
état
de veille hypnotique, je lui ai ordonné de regard
ucoup de méfaits qui ne sont pas dénoncés par crainte de vengeance. L'
état
mental du vagabond et de l'homme errant ne tarde
Vergier de Hauranne. {A suivre.)/page> page n="168"> Les
états
mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnot
terait mes ordres au moment déterminé par son calcul mental pendant l'
état
d'hypnose. Quelques jours après ces diverses éché
de ce qui s'était passé pendant le sommeil provoqué. 2.— Pendant l'
état
de veille, elle était incapable de résoudre menta
lques-unes des suggestions qui ont réussi se sont réalisées pendant l'
état
de veille, quelques autres pendant le sommeil ord
une certaine quantité de force nerveuse ou d'activité cérébrale. A l'
état
de veille,cette force se trouve concentrée dans l
durant l'hypnose s'effacent. Quand on produit de nouveau l'hypnose, l'
état
antérieur de concentration reparait et, en même t
production du premier phénomène? Quant au fait que deux sujets à l'
état
d'hypnose ont déclaré que chacun d'eux avait rêvé
conclusion que les somnambules passent aisément et spontanément de l'
état
normal à l'état hypnotique. De plus, bien que l
les somnambules passent aisément et spontanément de l'état normal à l'
état
hypnotique. De plus, bien que les souvenirs à l
tat normal à l'état hypnotique. De plus, bien que les souvenirs à l'
état
d'hypnose, spontanée ou provoquée, disparaissent
nt les évoquer a nouveau par des questions posées pendant de nouveaux
états
d'hypnose. Ainsi, des sujets qui avaient passé
ats d'hypnose. Ainsi, des sujets qui avaient passé spontanément à l'
état
hypnotique et qui avaient pensé aux suggestions,
t pu faire par la simple méthode d'interrogation pendant les nouveaux
états
d'hypnose: Même en admettant la concentration p
n spontanée, la difficulté est loin d'être résolue. S'il né reste à l'
état
normal aucune trace de la mémoire hypnotique, que
temps écoulé de la même façon que la conscience arrive à le faire à l'
état
de veille. La conscience hypnotique sait exacteme
'asseoir dans le fauteuil pour subir une extraction se trouve dans un
état
psychique particulier, il est très propre à être
I:t narcose. Il faut éviter soigneusement toute question concernant l'
état
du patient, et surtout celte/page> page n="1
st suggestionnée. Ce procédé, qui ne présente aucun des dangers des
états
profonds de l'hypnose, peut être aisément appliqu
a mort, Hodg-e?? rendait de nouveau visite à M™' Pipers. Celle-ci, en
état
de transe, dit : — Votre ami, George Pelham, a
us, George, là où vous êtes? lui demanda-t-on — Je ne suis guère en
état
de faire grand'chose... répliqua le revenant. Je
t ne sont qu'un seul et même individu; il faut donc qu'il présente un
état
menial particulier. C'est surtout chez les hystér
uardel et bien d'autres. Nous nous bornerons ici à une remarque sur l'
état
mental des hystériques dans les cas qui nous inté
e simule pour cette seule raison qu'elle est hystérique. C'est dans l'
état
mental qui résulte de sa maladie et qui en est un
ouve bien que le mensonge et la simulation sont dus, chez elles, à un
état
mental particulier et à une impulsion irrésistibl
estion. Sans doute, il ne faut pas trop généraliser, car, malgré leur
état
menial spécial, il peut/page> page n="202"&g
ici que le sujet n'est pas malade, qu'il ne présente aucun signe d'un
état
mental anormal. Dans les cas que nous avons étudi
cas il était facile de trouver chez lui des symptômes spéciaux de son
état
nerveux. Ici au contraire le sujet ne se distingu
ait possible d'arriver chez beaucoup d'entre eux, par suggestion, à l'
état
de veille, à la réalisation d'un faux témoignage.
abilité légale d'un témoignage, on pouvait, par simple suggestion à l'
état
de veille, obtenir des déclarations aboutissant à
s que de temps à autre. Cette moiteur ne dure pas ce fait place ii un
état
de sécheresse très satisfaisant. M. Paul Farez.
: il existe, entre l'homme et l'animal, ce trait commun, un certain a
état
de conscience » qui fait que, sous le coup des mê
plaisir, de bien-être. De son maître il se dégage de l'hypnotisme à l'
état
de veille : il y cède irrésistiblement, il veut ê
li! Sous cette réserve prudente que l'animal ne possède encore qu'à l'
état
rudi-mentaire ie sens du comique et, quoi qu'en a
si, l'un des parents de M. Foustanos pariait fort mal le français à l'
état
de veille, mats, une fois endormi, le parlait cou
28"> On sait qu'il suffit de faire prendre â certains sujets, en
état
d'hypnose, certaines attitudes expressives, pour
mimer. Ce phénomène parait se produire aussi, d'ailleurs atténué, à l'
état
de veille et chez un grand nombre de sujets. Biai
à demander un examen médico-légal fait par un médecin compétent de l'
état
de suggestion-nabilité de certains témoins. ll&
e ïe mois dernier, je vous ai dit que, pour plonger le malade dans un
état
profond d'bypnose, je me suis servi d'un procédé
Salpétriùre attribuait à ce mot. Cependant, ce malade, placé dans un
état
intermédiaire entre l'état de veille et l'état d'
e mot. Cependant, ce malade, placé dans un état intermédiaire entre l'
état
de veille et l'état d'hypnose, dans cet état que
malade, placé dans un état intermédiaire entre l'état de veille et l'
état
d'hypnose, dans cet état que Durand de Gros appel
at intermédiaire entre l'état de veille et l'état d'hypnose, dans cet
état
que Durand de Gros appelait Î'rt/poiaxie, n'est p
és et vous vous demandez si ie malade, plus profondément endormi, à l'
état
de léthargie ou de somnambulisme ('), ne bénéfici
le masque et je constate que le malade peut facilement entrer dans un
état
profond d'hypnose. 11 n'entend plus les bruits
t on peut lui donner une suggestion thérapeutique très intense. Cet
état
dure assez longtemps, lorsque le masque est enlev
ds qu'il n'offre pas do dangers si l'on s'enquiert au préalable, de l'
état
du cœur. Nous savons, en effet, que les chances d
passe un malade endormi à l'éthcr une phase primordiale analogue à l'
état
hypnotique et à laquelle' celui-ci puisse succéde
et démontrée par les faits. Car le sujet est d'abord placé dans un
état
d'hypnose légère, puis il respire les vapeurs de
bituelle, sans présenter aucun phénomène qui put faire distinguer son
état
de l'état de veille des autres jours. Eue ne s'ét
sans présenter aucun phénomène qui put faire distinguer son état de l'
état
de veille des autres jours. Eue ne s'était pas ré
conter à haute voix tout un roman passionnel qui donnait la clef d'un
état
psychopathique dont elle souffrait beaucoup et po
urir à des doses relativement élevées de narcotiques pour produire Un
état
suffisant de sug-gestibilité chez des malades réf
quelques observations concluantes à l'étude puthogénique de certains
états
mentaux plus obscurs en leur origine, parfois obs
s, le patient continue à s'occuper très activement de ses affaires. L'
état
général a été, du reste, satisfaisant jusqu'en 18
e absence totale de ressort. En même temps, il y a dépérissement de l'
état
général. 11 peut y avoir ou non des symptômes pul
d'une rémission ou de la guérison des phénomènes psychiques; 3° Cet
état
pathologique double n'est pas une simple coïncide
mélancolique, d'un maniaque ou d'un délirant,de se préoccuper de son
état
thoracique, surtout quand le sujet maigrit, touss
oujours être fait après une séance d'hypnotisme. Il en est résulté un
état
mental particulier qui se manifeste par des phéno
claquer ses doigts. On éprouve beaucoup de peine . à faire cesser cet
état
quand il a été provoqué. Lorsque la malade est da
cesser cet état quand il a été provoqué. Lorsque la malade est dans l'
état
d'excitation, ses mouvements automatiques et ses
, d'une hystérique très dégénérée qui s:au-tohypnotise, tombe dans un
état
de somnambulisme spontané, puis extériorise les r
, puis extériorise les rêves qui surgissent dans son esprit. Tous ces
états
ont pu être reproduits expérimentalement : ils di
a déclare qu'un grand médium venait d'éclore. Mais, actuellement, son
état
lui est devenu insupportable et elle désire beauc
9. M. Glorieux résume sous une forme concise, originale et claire l'
état
actuel de celte question./page> page n="255"
rer que des manifestations uniquement somatiques, avec intégrité de l'
état
mental. L'état mental dit hystérique est bien u
estations uniquement somatiques, avec intégrité de l'état mental. L'
état
mental dit hystérique est bien une maladie à part
vêques, ou comme Du Verifier de Hauranne qui comptait des ministres d'
état
parmi ses disciples. U. — ADJUVANTS PROPRES AUX
s fugues lui revenait pendant le sommeil hypnotique; plongée dans cet
état
, elle racontait qu'en descendant de chez elle, le
ent et il ne s'est plus livré aux. mômes actes d'auto-mutilatiou. Son
état
mental s'est modifié dans le sens le plus favorab
ier; a La syphilis devient la raison nécessaire d'un certain nombre d'
états
morbides qui, dans leur épanouissement deviennent
ment et il no s'est plus livré aux mêmes actes d'auto-mutilation. Son
état
mental s'est modifié dans le sens le plus favorab
sées. Il semble en effet que les sites de cette nature déterminent un
état
émotif particulier. Cet état voisin de celui qu'o
les sites de cette nature déterminent un état émotif particulier. Cet
état
voisin de celui qu'on éprouve au milieu d'une for
umait son mari. L'atmosphère opiacée fut suffisante pour constituer l'
état
de besoin et pour le satisfaire plus complètement
ents d'intoxication compliqués de troubles convulsifs d'hystérie et d'
états
d'anxiété neurasthénique. Son aboulie était si ma
une bonne qui vivait dans l'appartement présentèrent des signes de l'
état
de besoin, lorsqu'ils ne furent plus soumis à l'a
ne, uniforme, continue, exclusive, je mets assez aisément Mme ? .. en
état
d'hypolaxie; puis je lui suggère la croyance en l
s qui m'éclaireront de plus en plus sur les modalités diverses de son
état
mental. Pour la commodité de l'exposition, je vai
suivant l'automatisme de ses associations morbides. Sans doute, cet
état
est fort complexe. Par dessus le délire de perséc
tif au traumatisme psychique que l'on sait, est venu se superposer un
état
de plus en plus délirant ; de jour en jour, la dé
: la moyenne des dosages donne 3 gr. 85 de sucre par litre ('}. Vu l'
état
de la malade, on n'avait pas osé espérer qu'elle
itement médicamenteux, si le régime ne suffit pas. • Revenons à l'
état
mental lui-même. Avant de reconstruire une mais
ie sur le ß syndrome lévulosurique » {'}. Il existe, dit M. Marie, un
état
mélancolique avec prédominance des idées de ruine
ique et urologique se montrant dan* le liiabète et caractérisé par un
état
mélancolique. av*c insomnie et impuissance, Bull,
ns objet. Vers le 4 décembre, j'estime que Mme B... est en très bon
état
. Cependant, je désire la garder encore pendant qu
ailleurs, l'hypnotisme est l'arme thérapeutique qui convient dans les
états
mentaux en rapport avec les maladies infectieuses
térisent l'individu elle différencient des autres. Sous l'influence d'
états
morbideson voit survenir des aliéra-tions de la p
ntes ; les dispositions affectives étant abolies. ¦ En résumé, dans l'
état
de morphinisme ce qui la caractérise essentiellem
e par le retour de la personnalité d'émotionnelle et affective. Cet
état
de guérison durait depuis huit mois, lorsque la m
la personnalité et Mme X... semble se souvenir exactement dans chaque
état
de ce qu'elle fait dans l'autre. En parlant de so
ordre affectif ou sentimental. Discussion. M. Jules Voisin. — A l'
état
habituel, d'après cette observation, la malade pr
le devient économe, rangée, calculatrice, sédentaire. Ce changement d'
état
ne serait-il pas dû à une action curative exercée
serait-il pas dû à une action curative exercée par la morphine sur l'
état
d'hystérie? Plusieurs auteurs ont prétendu avoir
effet, on peut se demander si la personnalité qu'elle présente dans l'
état
morphinique n'est pas supérieur.au point de vue m
nt de vue de l'équilibre fonctionnel, à celui qu'elle présente dans l'
état
d'abstinence, alors même que cette abstinence se
ucoup plus que par les médicaments qu'il sera possible d'agir sur cet
état
singulier »./page> page n="316"> Zoophi
do suicide. Développée à ce point, la zoophilie est sans contredît un
état
maladif,'car'cette femme que In mort de son chat
u'il lui était très difficile de rester dans son lit sans tomber; son
état
s'est modifié peu à peu et la guérison est venue
page n="319"> La colère et la tristesse sont en relation avec un
état
tie vaso-eonstriction spasmodique qui ne peut êtr
t observations./page> page n="322"> 30 Mai. — Influence des
états
psychiquee sur les sens. Sur les organes de la se
Biométrie. 20 Juin. — La responsabilité humaine dans les différents
états
psychiques. Considératians sur les témoignages su
suggérés. 27 Juin. — La responsabilité humaine dans les différents
états
psychiques. Appréciation médico-légale de la resp
articulière. 11 semble qu'elle puisse revenir en partie â son premier
état
de substance a-, et ce, en restituant de l'énergi
que la substance a-' ne revenait qu'en partie seulement à son premier
état
de substance a-. En effet, sauf dans l'hallucinat
s à propos desquels notre malade fut harcelé sans relâche par le même
état
angoissant; la vie, en somme, lui est devenue ins
ne fille n'est pas une vicieuse, mais une hystérique qui tombe dans l'
état
second et accomplit des actes coordonnés qu'elle
rdonnés qu'elle oublie complètement, une fois qu'elle est revenue à l'
état
normal. L'hypnotisme nous fournira le moyen delà
vent lire, écrire, calculer; ils sont alertes et agiles. ? la suite d'
états
de mal répétés, d'accès sériels prolongés, noctur
par un ressort, en même temps que la bouche se ferme. » Notons que l'
état
spasmodique et la démence s'établissent en bloc,
f du verdict. Et, cependant, la surdi-mutité est, par elle-même, un
état
pathologique susceptible d'amener la non-responsa
, 1899). Il propose d'étendre l'article Ci du Code pénal à tous les
états
pathologiques susceptibles d'amener la non-respon
e l'hypnotisme. Il a fourni une théorie ingénieuse pour expliquer les
états
hystériques, le somnambulisme et l'hypnotisme par
tisme. — Le sommeil et les étals analogues. — Le somnambulisme et les
états
passifs. — L'hypnose et le sommeil provoqué. — L'
ose et le sommeil provoqué. — L'inhibition et la dynamogénie dans les
états
hypnotiques. — La théorie du neurone. — L'hy-/pag
page n="353"> potaxic et l'idéoplastie de Durand de Gros. — Les
états
hypnoides et les états analogues à l'état d'hypno
axic et l'idéoplastie de Durand de Gros. — Les états hypnoides et les
états
analogues à l'état d'hypnose. Vendredi ii mai. —
e de Durand de Gros. — Les états hypnoides et les états analogues à l'
état
d'hypnose. Vendredi ii mai. — Les maîtres de l'hy
iques d'hypnologie. — La technique de l'hypnotisme expérimental. —Les
états
profonds de l'hypnose. —Choix des sujets réactifs
et les agents physiques. — Rôle de l'attention dans la production des
états
hypnotique (Liébeault). — L'induction psychique.
psychologique de l'hypnotisme. — Division du travail mental dans les
états
hypnotiques: dissociation des phénomènes psycho-m
ogique de l'hypnotisme. — Les lois delà suggestion.—Les degrés et les
états
profonds de l'hypnotisme. — Les phénomènes somati
ique au traitement de certaines formes de l'aliénation mentale. — Les
états
hypocondriaques. — Les obsessions. — Les idées fi
e, si l'on veut, influence, mais je nie refuse à appeler sommeil tout
état
quelconque à la faveur duquel on persuade un cerv
ue à la faveur duquel on persuade un cerveau. L'hypnotisme n'est un
état
ni anormal, ni antiphysiologique, ni pathologique
que, soit élastique, soit rigide, présentent le même phénomène dans l'
état
de veille parfaite. Je prends dans mon service un
son cerveau à ne plus l'avoir. Ce qui agit, c'est la suggestion à l'
état
de veille; celle-ci est la mise en action d'une p
durée plus ou moins prolongée dans le traitement d'un grand nombre d'
états
nerveux. La durée des séances de sommeil à notre
est d'environ une heure. Les malades considèrent ce sommeil comme un
état
réparateur. comme un sédatif puissant, et nous so
océdé psychothérapique consiste à utiliser la suggestion faite dans l'
état
d'hypnose. Enfin, dans certains cas, on aura simp
in, dans certains cas, on aura simplement recours â la suggestion â l'
état
de veille. Xous devons reconaître que la suggesti
tion â l'état de veille. Xous devons reconaître que la suggestion à l'
état
de veille est un procédé qui ne donne pas satisfa
nt aucune efficacité. Si nous nous bornions à faire la suggestion à l'
état
de veille, notre clinique serait bientôt désertée
est indispensable de préparer le terrain, de plonger le sujet dans un
état
qui ne comporte ni discussion ni résistance, de c
dans un état qui ne comporte ni discussion ni résistance, de créer un
état
passif, en un mot de réaliser l'inhibition et le
un mot de réaliser l'inhibition et le monoidéisme. La suggestion à l'
état
de veille s'est montrée parfois puissante, mais l
ction ? la suggestion vigile. Traiter un malade par la suggestion à l'
état
do veille, c'est ce que tous les médecins font da
tude sans un entraînement spécial. Tenter de faire de la suggestion l'
état
de veille, c'est à la portée de tout le monde. Pr
ion l'état de veille, c'est à la portée de tout le monde. Provoquer l'
état
d'hypnotisme constitue une intervention qui, comm
pnose ce qu'il me refuse systématiquement quand je le lui suggère à l'
état
de veille. D'ailleurs, la simple contemplation d'
ns pas profondément endormi notre malade, nous l'avons plongé dans un
état
particulier, et, ainsi, rendu plus suggestible.
maire faisait savoir que le malade se trouvait toujours dans le même
état
, sans fièvre, avec toute sa lucidité, mangeant et
smettre, le jour même, par la sous-préfecture. Vu la persistance de l'
état
relativement satisfaisant du malade, il y avait l
ace d'un aliéné dont la justice lui a donné la mission d'examiner l'
état
mental, doit, en toutes circons- tances, se pré
re qui, pour obtenir sa réforme, réussit à donner le change sur son
état
véritable en simulant un accès d'excitation man
laissées dans la pièce. Malgré ses dénégations, il fut maintenu en
état
d'arrestation et il déclara aussitôt « que si o
général, se plaignant qu'on l'inter- rogeait sans égard « pour son
état
alarmant et sa raison ébranlée » ; puis, quand
ient de nature à faire dou- ter, chez l'inculpé, de la réalité d'un
état
actuel de folie, cependant le dossier de cet in
ième nourricier sur Cing... : « Je n'ai jamais rien remarqué dans l'
état
mental de cet enfaut, il m'a paru jouir de tout
dit, trois jours avec Cing..., je n'ai fait aucune remarque sur son
état
mental, j'ai seulement vu qu'il était d'une har
éléments suffisants pour porter un jugement motivé sur lui. IV. L'
état
mental de cet individu ne laissait pas que d'être
é, je dus néanmoins examiner subsidiairement quel avait pu être son
état
mental à l'époque de sa séquestration, car au c
de positif sur lui, ni même par l'expertise faite autrefois sur son
état
mental, en avançant que cette folie ne pouvait
Pour démontrer cette dernière thèse, j'aurais pu faire d'a- bord
état
des aveux très explicites et très circonstanciés
ur moi une superfétation, car mon siège était fait et je n'en fis
état
que pour démontrer l'erreur dans laquelle était t
e la vie végétative la plus com- plète, et qu'espérer modifier leur
état
physique et mental c'est se tromper et tromperi
s de liberté possible aux malades, en tant que compatible avec leur
état
mental et la sécu- rité publique. Or, il n'est
s complexes d'où résultent les sensations complètes et vives de l'
état
normal. III. - Du toucher actif. On doit ente
ations cli- niques, qu'il n'existait aucun rapport constant entre l'
état
de la perception stéréognostique et celui des d
physiologie pathologique de la grande névrose sont encore trop à l'
état
d'hypothèses. Un fait cependant ressort clair
t au génie : seuls les fanatiques religieux ont été servis par leur
état
plus ou moins complet d'aliénation plus ou moin
xes, du tremblement. Mal- gré un traitement spécifique énergique, l'
état
empiie peu à peu, la démence apparaît, il survi
risée par des crises furieuses d'excitation maniaque suivies d'un
état
demi-comateux de durée variable. L'observation
auteur, qui se sont atténuées à leur tour et ont cédé la place à un
état
mélancolique avec affaiblissement de la mémoire
moire, incohérence des propos et lé- ger embarras de la parole. Cet
état
persistait encore sept mois après l'opération.
a sensibilité par action centrale (inhalations) ; neurasthénie avec
état
aigu et prédominance dans les extrémités inféri
oison, ils se confondent souvent avec les troubles nerveux (voyez l'
état
neurasthénique et hypochondriaque aigu) et rappel
ocessus émotionnels et mentaux; de lui dépend la détermination de l'
état
mental et moral autrement dit, dans un cas donn
oïa constatée chez son malade l'auteur se base sur l'existence d'un
état
d'intoxication alcoolique bien avéré, sur l'abs
squement un délire mélancolique, auquel n'a pas tardé à succéder un
état
maniaque avec hallucinations de la vue revêtant
s spéciales, ou s'il n'est pas praticable sans causer préjudice à l'
état
de santé de l'individu à interdire (§ 654). L
l'internement, après avis médical : a) soit demandé pour établir l'
état
mental, b) soit praticable sans préju- dice pou
s travaux sur ce sujet il n'y a pas plus de chances de maladie ou d'
état
anormal pour les enfants issus de parents consa
e, se trouve en contradiction flagrante avec le critérium tiré d'un
état
pathologique. L'apparence de l'intégrité de l'esp
paralytique général peuvent donner lieu à une expertise : 1 dans l'
état
de maladie, 2° pendant les périodes de lucidité
, 2° pendant les périodes de lucidité et 3° après sa mort. Dans l'
état
de maladie il faut distinguer la période prodromi
de maladie il faut distinguer la période prodromique, la période d'
état
et la période de démence. Pendant la période pr
ellement responsable des actes qu'il parait avoir accomplis dans un
état
de parfaite conscience, et, comme entièrement irr
résentent un caractère de morbidité plus accentué. A la période d'
état
ainsi qu'à celle de démence il va de soi que l'
servé en outre une REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 61 1 amélioration de l'
état
intellectuel et chez une malade une suppres- si
sse, véritable obsession mo- trice systématisée, manifestation d'un
état
anxieux fondamental, il est d'une ténacité dése
ues spontanées de somnambulisme naturel. Indépendamment de ces deux
états
où le sommeil est réel, il en existe un autre dan
nt placés, par ce fait qu'ils ont accepté l'idée de dormir, dans un
état
de passivité consentie de tout l'organisme qui me
sme cérébral, qui se produit, selon l'ex- pression consacrée, « à l'
état
d'exercice », et dépend tout entier d'un bon fo
procédés de la psychothérapie, principalement par la suggestion à l'
état
de sommeil provoqué, 488 malades. Sur ce nombre
rasthénie, on doit recourir à la thérapeutique suggestive, tant à l'
état
de veille qu'à l'état- de sommeil. Son expé- ri
hem attribue au traitement moral prolongé aidé de la suggestion à l'
état
de veille et à l'état de sommeil, la guérison d
ment moral prolongé aidé de la suggestion à l'état de veille et à l'
état
de sommeil, la guérison de 6 mélancoliques ou lyp
nt les organes doivent être le siège. » De simples affirmations à l'
état
de veille, ont la propriété de provoquer des ef
sent d'autant mieux et plus vite que les sujets sont plus près de l'
état
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 65 somnambulique prof
nt trois ans n'a produit aucun résultat. La suggestion directe, à l'
état
de veille, a déterminé au contraire la guérison a
d'agoraphobie, la contracture tendait à disparaître complètement. L'
état
physiqne et psychique était excellent. L'état des
aître complètement. L'état physiqne et psychique était excellent. L'
état
des réflexes des membres inférieurs n'avait jam
bitoire au pouvoir dynamogène de la volition, provo- quant ainsi un
état
de lutte susceptible de s'accompagner d'une vér
vaso-dilatation qui a pour consé- quence subjective, le retour des
états
émotifs slhéniques : la joie, la confiance, le
qui lui lait perdre les idées et les mots et la rend ridicule. Cet
état
s'est amélioré, et à l'heure actuelle, elle con
adie s'atténuent ou disparaissent. Le myxoedème facial s'atténue, l'
état
d'anémie s'améliore, la langue diminue de volume
fondée. Les cas où la suppression radicale du médicament produit l'
état
du mal ou augmente le nombre des crises sont ré
s, la diminu- tion brusque ou même progressive des doses améliore l'
état
du malade, diminue dans une mesure importante l
'avis de la famille, la considérer comme équivalent à un retour à l'
état
normal. La médication fut continuée à doses trè
Quelle que soit l'idée que l'on se fait de la véritable nature de l'
état
hypnotique, on est obligé d'admettre que l'hypnos
l'état hypnotique, on est obligé d'admettre que l'hypnose est un
état
normal, qu'elle n'implique aucune maladie du corp
volonté soit affaiblie ni asservie, et qu'elle ne constitue pas un
état
spécial à un petit nombre de sujets. Elle est t
at spécial à un petit nombre de sujets. Elle est tout simplement un
état
psychologique appartenant à la mutualité uormal
fait, que le sentiment de bien et de mal n'est pas affaibli dans l'
état
hypnotique (il serait même plutôt aiguisé et af
hypnotisme se montrera particulièrement utile : évidemment dans les
états
moi bides du système nerveux qui intéressent pl
de ces maladies à la condition d'y avoir recours pour remédier aux
états
morbides mentaux et moraux qui accompagnent et
hystériques, la psychothérapie est un agent très utile. Dan divers
états
moraux, accompagnés ou non de symptô- mes nerve
ndre et à parler normalement ; il retombe ensuite à peu près dans l'
état
antérieur. Le pouls présente quelques intermitt
t au micioscope une lésion quelconque capable de rendre compte de l'
état
convulsif, alors même que les convulsions se so
ation : elle sert à déterminer la pression du liquide spinal dans l'
état
de santé et dans l'état de maladie : à l'état n
rminer la pression du liquide spinal dans l'état de santé et dans l'
état
de maladie : à l'état normal en se servant d'un
liquide spinal dans l'état de santé et dans l'état de maladie : à l'
état
normal en se servant d'un manomètre à mercure,
qui ont une valeur diagnostique : il contient presque toujours à l'
état
normal des traces d'albumine. On n'est pas d'ac
s injections de s'as- surer que les dents du malade sont en parfait
état
, et de constater aussi l'absence de toute lésio
nations de la vue ; la tumeur continuait à grossir, mais en somme l'
état
s'est amélioré puisqu'il n'y a plus de céphalal
me nature on jugea que ce devait être un gliome. Après avoir vu son
état
s'aggraver et ses souffrances devenir into- lér
n, l'hémiplégie soit très faible. Ces cas sont rares au moins à cet
état
de netteté. Discussion : M. MARIE a vu assez fr
atoire stationnaire. Au point de vue pathogénique, je remarquerai l'
état
nettement variqueux du nerf chez un de mes mala
e mieux faite, et à des moeurs de plus en plus incompatibles avec l'
état
même de vagabondage ? C'est possible. Mais des
scures. Et d'ailleurs, si les communes rurales ne sont pas mises en
état
et en demeure de mieux garantir leur sécu- rité
en Russie sont donc d'une criminalité spéciale en rapport avec son
état
de civilisation et la très faible culture de ses
') 08 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE. trait essentiel et fondamental de l'
état
psychique des malades atteints de chorée hérédi
quoique Iluet le dise plus tard (1. c., p. f7G) lorsqu'il discute l'
état
mental des choréiques. Voici ce passage : « Che
- taires névropathiques. Il avait un caractère gai, déplorait son
état
, mais en avait pris son parti et le supportait av
euses et par suite une compression qui réduit les nerfs voisins à l'
état
de fibres minces et de fibres 144 REVUE D'ANATO
HOLOGIQUES. extrêmement minces. Régénérescence, dit l'auteur, car l'
état
des foyers scléreux ne se peut allier à l'idée
tater la tuméfaction de quelques cylindraxes, leur éclatement, leur
état
ondulé. Ce qui veut dire que quelques cylindrax
lules à peine visibles ou complètement disparues, se présentent à l'
état
d'éléments pâles, atrophiés, dont le protoplasm
ubstance fondamentale amorphe ; c'est celle-ci qui, dans les divers
états
pathologiques, est colorable; et cette colorabili
la quantité d'acide urique à la quantité d'acide phosphorique (à l'
état
de sel bisodique) montre constamment un excès d
e ; et 3° que cette théorie préjuge la question de l'étiologie de l'
état
anatomique, et qu'elle ne dit pas si les cellules
journée, l'aspect du malade rappelait plu- tôt la démence, avec un
état
soupçonneux. Une fois interné, le malade s'amél
ns toutes les expertises litigieuses, imposeraient, comme science d'
état
, leurs idées personnelles sur la pathologie menta
présentait une augmentation de 61 à 183 grammes dans 27 cas. A l'
état
normal les hémisphères cérébraux sont à peu près
autres.-Dans les 30 cas où le cerveau était plus volumineux qu'à l'
état
normal (l'auteur l'a constaté 21 fois), la femm
du pied et parfois aussi une flexion des orteils. Or, dans certains
états
pathologiques, chez des malades atteints d'hémi
évation. Puis, par un effort de volonté, il peut les ramener dans l'
état
d'équilibre normal. Il déclare avoir, dans la par
yopie, mais aucune autre altération fonctionnelle ni organique. L'
état
mental est affaibli sans qu'aucun trouble psychiq
la rémission ou de la guérison des phénomènes psychiques. 3° Cet
état
pathologique double n'est pas une simple coïncide
ncolique, d'un maniaque on d'un délirant, de se préoc- cuper de son
état
thoracique, surtout quand le sujet maigrit, tou
z des sujets réfractaires. M. Albert Charpentier. Pour produire l'
état
somnambulique chez des sujets réfractaires, je
s doses relativement considérables de nar- cotique pour produire un
état
suffisant de suggestibilité chez des malades ré
bonne qui vivait dans l'appartement présen- tèrent des signes de l'
état
de besoin lorsqu'ils ne furent plus soumis à l'
u bout de trois, quatre ou cinq séances, on n'arrive pas à créer un
état
suffisant de suggestibilité. .Archives, 2'série
les centres moteurs et vaso-moteurs qui détermine secondairement l'
état
de cénesthésie correspondant. M. Soury étudie
re dans l'impossibilité de lui nuire, et de tâcher d'améliorer leur
état
mental. L'expert ne doit se préoccuper actuelle
s, il y avait une trentaine de femmes qui étaient habituellement en
état
d'ivresse; et l'instituteur m'a affirmé qu'une
a affirmé qu'une bonne moitié des enfants arrivaient à l'école en
état
d'ébriété. Les hommes boivent chez eux et au caba
La mort remontait à plusieurs heures. Le père respirait encore. Son
état
n'a pas permis de l'in- terroger. On en est don
s nette, sa mémoire intégralement con- servée. Il s'inquiète de son
état
, s'informe des moyens susceptibles de le guérir
et fonctionnent par- faitement. L'appareil digestif est en parfait
état
. L'appétit est bon, les digestions sont faciles
ine 1 litre d'eau ou de limonade dans une journée. Malgré cela, son
état
général est excellent, elle est forte et fraîche
litres, disons-nous, pour lui fixer un point de repère. Revenue à l'
état
normal, elle ignore la sug- gestion. Les urines
habituelle. Elle n'a éprouvé aucune gêne, aucun changement dans son
état
, elle est seulement surprise de cette exagérati
voir le besoin se reproduire. Nous l'avons pour cela interrogée à l'
état
de veille, et dans le sommeil hypnotique, sans
litres. Aucun changement vraiment appréciable n'est survenu dans l'
état
de la malade en expérience, si ce n'est des mod
de persécution, se demandant qui peut la faire souffrir ainsi; cet
état
mental fait place à un excès de religiosité, sans
rt très bien, est d'une gaieté folle et, à l'heure actuelle, si cet
état
persiste, je puis être en droit de considérer Z
et de la moitié interne de l'oeil droit. Malgré tous les soins son
état
oculaire persiste le même aujourd'hui. Sorti de
ement, un mois après la publication, les crises réapparaissent et l'
état
de l'enfant redevient le même qu'avant l'opérat
ette amélioration ne se maintint pas et peu à peu l'oeil revint à l'
état
primitif. Le malade rentré au service des épile
e. Dans le songe l'aura existe, même lorsqu'elle est insensible à l'
état
de veille, la période tonique est une phase d'i
u-dessus du point de départ d'une aura périphérique, insensible à l'
état
de veille et révélée simplement par le songe :
squelles une seule récidive et sept guérisons ou améliorations de l'
état
mental. Les psychoses ainsi traitées furent quatr
lysie générale. L'excès d'urates se rattachait ordinairement à un
état
dyspeptique. On a trouvé de la peptonurie deux fo
re existent chez un malade, il convient de soigner, non seulement l'
état
local s'il y a une lésion, mais encore de trait
catégorie des maladies par dégénérescence, et les stigmates de cet
état
s'y ob- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 243 serv
e, et à l'heure actuelle nous désignons par cette dénomi- nation un
état
particulier, analogue par beaucoup de ses traits
cas était remarquable par trois particularités très accentuées : l'
état
myxoedémateux, la macroglossie, et l'abaissemen
perpétuelle, mais il n'a pu aboutir à la restauration parfaite de l'
état
psychique. Des cas pouvant simuler le crétinism
une forme d'idiotie partielle avec accumulation graisseuse) ; 4° un
état
spécial d'bydrémie anémique qu'il faut distinguer
égénérescence graisseuse. 4° Le dernier ordre de faits renferme les
états
d'anémie hydré- mique, dans lesquels le gonflem
cas publiés on n'a trouvé d'albuminurie. En somme l'analogie avec l'
état
myxoedémateux est tout à fait superfiéielle. Il
st intéressant. R. M. C. XXXVII. Sur la limite scientifique entre l'
état
sain de l'intelligence et la folie ; par Edward
ychiques du cerveau; par conséquent la ligne de démarcation entre l'
état
sain et la folie se trouve au point précis où l
cation entre l'état sain et la folie se trouve au point précis où l'
état
pathologique du cerveau diverge de l'état sain du
ouve au point précis où l'état pathologique du cerveau diverge de l'
état
sain du cerveau, le mot cerveau étant pris dans
inations de « folie » et de « fous » doivent être appliquées à tout
état
dans lequel se manifestent des déviations du ty
les aliénés à admettre qu'il existe toujours chez ces malades un
état
fibreux, très accusé chez les dégénérés primitifs
'ordinaire, mais qu'elles passent souvent inaperçues en raison de l'
état
mental du malade. Lorsque la maladie débute par d
ts spasmodiques apparaissent à tout instant quand le malade est à l'
état
de veille ; ils se reproduisent jusqu'à huit et
nel-du cou. J'attire en particulier l'attention de la Société sur l'
état
du réflexe cutané plantaire; l'excitation de la p
main prend souvent l'attitude d'une main qui fait les « cornes ». L'
état
des réflexes diffère dans l'athétose ; je ne ni
s ont diminué ; le genou gauche est seul tou- jours très atteint. L'
état
sensitivo-moteur est stationnaire. Il y a de la
ans, accès d'épilepsie psychique. Psychose épileptique. Mort dans l'
état
de mal épilep- tique. A l'autopsie, on constate
re l'ataxie des mem- bres, faiblesse générale et peut être aussi un
état
parétique léger des jambes. Parésie légère du n
plutôt exagérés. On institue un traitement mercuriel et ioduré et l'
état
de la malade s'améliore rapidement (en dix jour
ue intacte. La température monte jusqu'à 39,2. Pendant huit jours l'
état
du malade est variable. Finalement ilmeurt de par
la même maladie. Le malade, le plus âgé de huit enfants ,est né en
état
d'asphyxie. 11 y a dix ans, brû- lure indolore
-péda- gogique et orthophrénique, les seuls rationnels et qui, en l'
état
actuel de nos connaissances, permettent d'obten
r dans de notables proportions tout au moins l'amélioration de leur
état
. Je suis encore à voir un seul épileptique ou u
thique cervical et deux trépanations; or, après chaque opération, l'
état
266 BIBLIOGRAPHIE. s'est aggravé si bien, qu'
t d'y ajouter lesodéâénérés amoraux. Ces derniers, en effet, dont l'
état
mentol est fort bien et fort soigneusement décr
t qu'avec ce signe il pourrait chasser le mauvais esprit. Singulier
état
psychologique que celui de ce missionnaire catho-
sept heures, Paul Laurent rentrait, rue des Quatre- Vents, dans un
état
de surexcitation extraordinaire. « J'ai peur de
ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE.. , - i *' Sur l'
état
variqueux des dendrites cortica : la. : Par le
artinotti) ; les dendrites de ces dernières cellules se trouvent en
état
vari- queux et diffèrent très nettement des pro
pensons que chez les animaux nouveau-nés qui viennent au monde en
état
de faiblesse (comme par exemple, la souris, le
con- cerne non seulement le degré de développement du corps SUR l'
état
variqueux DES DENDRITES corticales. 275 cellula
ches superficielles de l'écorce cérébrale, se trouvent par place en
état
perlé; mais ce dernier n'est point très marqué.
cations portent différents noms chez différents auteurs, à savoir :
état
variqueux des dendrites, atrophie variqueuse, é
eurs, à savoir : état variqueux des dendrites, atrophie variqueuse,
état
perlé, état moniliforme, atrophie moniliforme,
: état variqueux des dendrites, atrophie variqueuse, état perlé,
état
moniliforme, atrophie moniliforme, etc. Le proces
hie moniliforme, etc. Le processus morbide se manifeste parce que l'
état
moniliforme, qu'on observe dans l'écorce cérébr
osent à une distance inégale l'une de l'autre. Il faut penser que l'
état
moniliforme se développe ainsi : avant tout sur
formes qui plus tard se transforment en gonflements sphériques. L'
état
variqueux ou moniliforme des prolongements proto-
actéristique, à savoir : dans les endroits de la dendrite, où SUR l'
état
variqueux DES DENDRITES corticales. 277 Î exist
où SUR l'état variqueux DES DENDRITES corticales. 277 Î existe un
état
perlé plus ou moins marqué, les prolongements c
basant sur nos recherches nous sommes arrivés à la conviction que l'
état
moniliforme dans diverses condi- tions patholog
sur diverses intoxications nous ne parvînmes jamais à constater un
état
variqueux des dendrites de l'écorce cérébrale p
e l'écorce cérébrale peu- vent se modifier, donnant un tableau d'un
état
moniliforme, qui n'est pas toujours également e
at des modifications cadavériques. Par exemple, Havet indique que l'
état
variqueux des prolongements protoplas- matiques
s, faites pour éclaircir la question con- cernant l'apparition de l'
état
moniliforme cadavérique, ont démontré que l'éta
l'apparition de l'état moniliforme cadavérique, ont démontré que l'
état
variqueux des prolongements protoplas- matiqnes
vec une vitesse inégale, ce qui dépend de diverses conditions, et l'
état
moniliforme dans ces cas porte tout de même un
s, cobayes, lapins). La température basse empêche l'apparition de l'
état
mo- niliforme post-mortem des dendrites cortica
dont le cadavre resta sans autopsie quelques heures, on observa un
état
moniliforme des den- drites très marqué, et dan
drites très marqué, et dans l'écorce d'un cobaye normal, dont SUR l'
état
variqueux DES dendrites corticales. 279 l'autop
orticales. 279 l'autopsie eut lieu dix-huit heures après la mort, l'
état
vari- queux des dendrites n'atteint point à un
animal se modifient comparativement vite, donnant le tableau d'un
état
moniliforme plus ou moins marqué. En terminant
moins marqué. En terminant la revue-des conditions qui provoquent l'
état
variqueux des dendrites des cellules nerveuses
s den- drites à changer rapidement leur forme et à passer dans un
état
variqueux sous l'influence des narcotiques et c'e
r cela que nous ne pouvons pas être d'accord avec l'opinion que l'
état
moniliforme des prolongements protoplasmatiques
NATOMIE PATHOLOGIQUE. plasma nerveux et présente un substratum d'un
état
phy- siologique. M. Mathias Duval, se basant
iences de M. Manoué- lian, faites dans son laboratoire, pense que l'
état
monili- forme des dendrites sert de preuve immé
vec quoi non plus nous ne pouvons être d'accord. Nous croyons que l'
état
moniliforme des prolongements protoplasmatiques
ysiologiques très marqués. Nous sommes arrivé à la conviction que l'
état
moniliforme des prolongements protoplasmatiques
d'expression du procès physiologique, mais on l'observe dans divers
états
patholo- giques. En comparant les résultats reç
nées analogues des autres auteurs, nous nous sommes assuré que l'
état
variqueux des dendrites est une indication sur
ssuré que l'état variqueux des dendrites est une indication sur l'
état
pathologique de la cellule nerveuse développée. L
érébrale dans diverses conditions patho- logiques réagissent par un
état
moniliforme des dendrites, qui est le même du c
lles apparaissent aussi comme organes prenant une vive part SUR l'
état
variqueux DES DENDRITES corticales. 281 dans la
tion provoqué d'un moyen ou d'un autre, se reflète sans doute sur l'
état
des organes aussi délicats que les prolongement
forme du trouble de nutrition dans l'écorce cérébrale qui mène à l'
état
moniliforme des prolongements protoplasmatiques
. Certaines intoxications plus facilement que d'autres provoquent l'
état
moniliforme des prolonge- ments protoplasmatiqu
s les prolonge- ments protoplasmatiques des cellules nerveuses. L'
état
variqueux des dendrites, même très marqué, ne peu
eux des dendrites, même très marqué, ne peut être envisagé comme un
état
qui mène absolument au dépé- rissement du corps
s en convaincre, en nous basant sur des expériences personnelles, l'
état
moni- liforme des prolongements protoplasmatiqu
s'effacer graduellement. Plus il y a de dendrites intéressées par l'
état
variqueux et plus ce dernier est rapproché du c
nt servi de la méthode de Golgi (par exemple, Ceni), même lorsque l'
état
variqueux est très marqué, la cellule nerveuse
assent déjà sur le corps cellulaire. Venant à la conclusion que l'
état
perlé des prolongements protoplasmatiques des c
de l'écorce céré- brale chez les animaux adultes sert à démontrer l'
état
pathologique des éléments nerveux, nous devons
auteurs pourl'indicationdel'état monili- forme des dendrites, comme
état
pathologique, employent des termes différents ;
et compréhensible pour marquer la dégénérescence en ques- tion. L'
état
perlé des prolongements protoplasmatiques des c
de l'activité mentale ; en même temps on fait attention à ce que l'
état
variqueux des dendrites s'accom- pagne toujours
spécialement à la discussion de la question de ce que présente l'
état
moniliforme, applique à l'explication des phénomè
e, ainsi que de la région de la psychopathologie, son opinion sur l'
état
va- riqueux des dendrites. SUR l'état varique
thologie, son opinion sur l'état va- riqueux des dendrites. SUR l'
état
variqueux DES DENDRITES corticales. 283 Anglade
riqueux DES DENDRITES corticales. 283 Anglade dit qu'il a observé l'
état
perlé des dendrites dans certaines maladies psy
f (Russie) a constaté chez les paralytiques généraux de pair avec l'
état
moniliforme des dendrites corticales une diminu
onnées que nous venons de citer on voit que les faits, concernant l'
état
moniliforme des prolongements protoplas- matiqu
itives. Pourtant des combinaisons obliques nous font penser qu'un
état
moniliforme, tant soit peu répandu, des dendrites
s jeunes animaux, qui les premiers jours de leur vie se trouvent en
état
de faiblesse et ne peuvent pas marcher, les cel
nd nombre de prolongements protoplasmatiques qui se trou- vent en
état
variqueux. Ainsi par exemple dans l'écorce céré
considérable de cellules ner- veuses, dont les dendrites étaient en
état
variqueux. Par conséquent, l'insuffisance de dé
eurones de l'écorce èérébrale, se manifestant dans l'existence d'un
état
perlé des prolongements protoplasma- tiques et
rce cérébrale des animaux nouveau-nés qui viennent au monde dans un
état
de faiblesse, il est facile, une fois qu'on est
on est déjà habitué, de dire à quoi nous avons affaire, puisque l'
état
moniliforme comme dégénérescence variqueuse des
que l'atro- phie variqueuse des dendrites signifie leur retour à l'
état
embryonnaire peut être admise avec certaines ex
alogie existe seulement relativement à ce que dans le premier cas l'
état
moniliforme des prolongements protoplas- matiqu
iblissement des capacités mentales, tandis que dans le second cas l'
état
moniliforme, ressemblant à un cet tain degré à
quelques mammifères. (La Cellule. 1891, t. VII, fascicule 1.) SUR l'
état
variqueux DES DENDRITES corticales. zizi CAJAL
1890, t. XIV.) DEMOOR (Jean). Le mécanisme et la signification de l'
état
moniliforme des neurones. (Bulletin de la Socié
ous doses of potassi bromidum. (Brain, Summer, 1898.) Havet (J.). L'
état
moniliforme des neurones chez les inverté- brés
gy of the cortical Nervecells (specielly in relation to insa- SUR l'
état
variqueux DES DENDRITES corticales. 287 Î nity)
n° 4.) PARASCONDOLO (Carlo). Recherches histo-pathologiques sur l'
état
des centres nerveux dans la commotion thoracique
appendices terminaux des den- drites cérébrales et leurs différents
états
physiologiques. Travaux de Laboratoire de l'Ins
2" fasci- cule.) . SOUKllAN01'F (S.). Contribution à l'étude de l'
état
et du dévelop- pement des cellules nerveuses de
889, p. 6a9.) Soukhanoff (S.). Documents pour servir à l'étude de l'
état
moniliforme des dendrites des cellules de l'éco
jours et à la suite duquel elle est restée, pendant un an, dans un
état
d'équilibre mental ins- table ; la moindre cont
nemis menaçants, elle croit que le diable va l'emporter en enfer. L'
état
panophobique est tel qu'elle n'a plus conscienc
é un sort et était cause de son tourment. 24. Hier dans la journée,
état
stuporeux avec obtusion intel- lectuelle profon
es couvertures, une criminelle comme elle ne devant pas être vue. L'
état
saburral a disparu. Les jours suivants, le déli
rticulés. 12. Plus calme, moins délirant. 27. L'amélioration de l'
état
physique se poursuit sous l'in- fluence d'injec
ours derniers elle était un peu plus calme sans modi- fication de l'
état
mental mais aujourd'hui l'agitation réparait avec
'appartenir au démon. » 2 janvier 1900. Vers quatre heures du soir,
état
nauséeux avec efforts de vomissements : elle re
cauchemars. Le malade, très impressionnable, pleure faci- lement ;
état
habituel de tristesse, tendance marquée à l'hypo-
re malade ce qu'aurait fait le trépan du chirurgien. Si l'on note l'
état
du malade avant, pendant et après l'accident, i
nnes normales, et les modifications notées se doivent attribuer à l'
état
d'hyperhémie ou d'anémie, à la distribution dif
f sont déjà redevenues conductrices, mais pas aussi aisément qu'à l'
état
normal, la résistance aux incitations en est pl
arce que les impressions sensorielles antérieures ont laissé divers
états
et que, par suite, la même impression sensorielle
e, par suite, la même impression sensorielle ramène chez chacun ces
états
divers qui engendrent réactionnellement, des im
la grille des ^ fibrilles, la mémoire en un mot. La mémoire est un
état
; qu'une onde excitatrice vienne iL parcourir l
ommence à s'éparpiller et se perd dans la formation réticulaire à l'
état
de tubercule quadrijumeau; un petit nombre de s
estion. C'est là qu'on voit des fibres de la calotte arciformes à l'
état
de trousseaux lâches se rendre au ruban de Reil
ène des orteils faisant défaut) et l'on est obligé de soupçonner un
état
spécial d'irritation des téléneu- rones sensibl
inte de chorée de Syden- ham dont le rythme respiratoire normal à l'
état
de veille. deve- nait intermittent pendant le s
plutôt l'opinion de l'auteur ; mais l'hérédité produit seulement un
état
d'équilibre instable qui peut se maintenir indé
ins durables, guéri- sons seulement apparentes. Pour conclure : les
états
infectieux déterminent souvent l'hystérie chez
nsi provoqué n'est nullement un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 33S
état
exceptionnel du système nerveux, mais une simple
aussi grandes que les suggestibilités normales et pathologiques à l'
état
de veille. Cer- tains sujets sont des automates
son de la profondeur du sommeil, c'est que, ou bien la formule de l'
état
de veille n'est pas normale (hyper-sugges- tibi
13°Si l'on admet qu'il n'y a pas d'hypnotisme, qu'il n'y a que des
états
variables de suggestibilité, on ne comprend pas
suggestibilité, il faudrait croire que ceux seuls qui possèdent à l'
état
de veille une hyper-suggestibilité très accentu
hallucinabilité, etc., ne sont pas l'apanage exclusif des sujets en
état
de sommeil provoqué; ils peuvent être réalisés
être réalisés par suggestion pendant le sommeil naturel ou même à l'
état
de veille chez certains individus. Bien plus, R
eim affirme que tous les sujets hallucinables et sugges- tibles à l'
état
de sommeil ou au moins après la suggestion préala
uggestion préalable du sommeil le sont d'emblée, sans celle-ci, à l'
état
de veille; la suggestibilité est indépendante d
n somme, la suggestion faite pendant le sommeil provoqué ou dans un
état
voisin et la suggestion à l'état de veille ont de
ant le sommeil provoqué ou dans un état voisin et la suggestion à l'
état
de veille ont des indi- cations distinctes, au
vocable et la chose. Il reconnaît volontiers que la suggestion, à l'
état
de veille présente de nombreux avantages; il ac
son expérience personnelle lui a démontré que la suggestion dans l'
état
d'hypnose, a une action thérapeutique plus gran
ans l'état d'hypnose, a une action thérapeutique plus grande qu'à l'
état
de veille, et, par suite, il estime qu'il est s
bien qu'il effraye certaines gens, le mot hypnotisme qui désigne un
état
psychique qui favorise la suggestion en augmentan
oses dues à la suppression de l'innervation de la septième paire; l'
état
paralytique qui entraine les troubles de la phona
ébelleuse, noyaux bulbaires, cellu- les de la moelle). Le mauvais
état
général peut à la vérité causer ces altérations
général, sans délire, chez lequel la surdité verbale se montre à l'
état
isolé, sans cécité verbale,- ni aphasie motrice
iture seule qu'on peut entrer en communication avec le patient. Cet
état
de surdité ver- bale, presque complète, qui ava
e provocatrice. M. Jules Voisin. Cette femme est une hystérique à l'
état
habi- tuel ; elle devient sérieuse, économe, ra
s'acquittait dans nos réunions de son devoir de rendre compte de l'
état
de notre société, des besoins de nos sociétaire
de l'acte de naissance du postu- lant ainsi que de ses diplômes et
états
de services quelconques. Les candidats seront l
ment, sans aucune excitation périphérique, en simple suggestion à l'
état
de veille. , Parmi tous les alcooliques, nous
elle prend du vin et du cognac jusqu'à ce qu'elle soit en complet
état
d'ivresse. Pendant tout le temps que durent ses r
énographes » qui reviennent sans cesse dans son délire. S --nlême
état
. Transférée il l'Asile clinique. Voilà donc une
re après chaque repas. Le malade, qui prétend n'avoir jamais été en
état
d'ivresse, ren- trait souvent tellement ivre qu
porter un homme de son âge. Il va sans dire que si le malade est en
état
de joindre au traitement mercuriel les eaux sul
ue cela soit, il faut avouer que la principale cause, en est dans l'
état
comtempo- rain de la syphilologie, et de messie
onjonctif de la moelle épinière, laquellese trouverait sans cela en
état
d'irritation sous l'inlluence du virus syphi- l
l - ce sont les troubles de la circulation qui sem- blent dominer l'
état
physique des mélancoliques et cet état doit êtr
ion qui sem- blent dominer l'état physique des mélancoliques et cet
état
doit être attribué sans aucun doute à une cause
é infime de ce que nous voyons au suprême degré chez les malades en
état
de stupeur ». Au Congrès international de méd
les heureux effets des lavages d'estomac et des purgatifs dans les
états
mélancoliques. Nous arrêterons là cette revue r
r les physiologistes contraction locale qui s'exagère dans certains
états
pathologiques. En voici la description d'après
le système nerveux, soit sur l'ensemble de l'économie (ménin- gite,
états
infectieux). Nous l'avons trouvé chez 32 mélanco-
Il se présente sous deux formes : 1° une forme subaiguë passant à l'
état
chronique ordinaire ou tabes confirmé qui, à rai-
t de 119, chez lesquels on constate une amélioration à la fois de l'
état
général et de l'état pathologique. Vient ensu
ls on constate une amélioration à la fois de l'état général et de l'
état
pathologique. Vient ensuite le Meath Home pou
cialement dans les actes criminels de violence commis dans ces deux
états
et dans les phénomènes mentaux qui précèdent ce
conduisent à leur accomplissement. L'analogie existe aussi bien à l'
état
chro- nique qu'à l'état aigu ; mais l'auteur se
lissement. L'analogie existe aussi bien à l'état chro- nique qu'à l'
état
aigu ; mais l'auteur se borne ici aux formes ai
ur se borne ici aux formes aiguës, et par là il entend d'une part l'
état
aigu d'alcoolisme ou de manie alcoolique et d'a
re démontrer qu'il existe souvent dans la manie alcoolique aiguë un
état
identique à l'état dit d'automatisme mental qui e
existe souvent dans la manie alcoolique aiguë un état identique à l'
état
dit d'automatisme mental qui est caractéristiqu
ique à l'état dit d'automatisme mental qui est caractéristique de l'
état
post-épileptique, et une période durant laquell
nce d'une « lésion de décharge » analogue à celle de l'épilepsie. L'
état
où sont placés les centres nerveux les plus élevé
ance que II. Jackson a formulée dans les termes suivants : « 1° les
états
de conscience diffèrent totalement des états ne
suivants : « 1° les états de conscience diffèrent totalement des
états
nerveux des centres nerveux les plus élevés ; 2°
s états nerveux des centres nerveux les plus élevés ; 2° les deux
états
sont simultanés, parce que tout état mental impli
les plus élevés ; 2° les deux états sont simultanés, parce que tout
état
mental implique un état nerveux corrélatif; et
deux états sont simultanés, parce que tout état mental implique un
état
nerveux corrélatif; et 3° malgré le parallélism
e un état nerveux corrélatif; et 3° malgré le parallélisme des deux
états
, il n'y a entre eux aucune interférence. » L'
étant coupées entre les centres moyens et inférieurs, alors dans un
état
très accentué d'instabilité, et les centres sup
nt cas pris au hasard, l'auteur n'a pas rencontré une seule fois un
état
normal de la nutrition : dans 40 p. 100 des cas
ongtemps, on a défini l'épilepsie « une perte de la conscience avec
état
con- vulsif » et il est certain que, dans une a
e et le degré du trouble mental ont une bien autre importance que l'
état
convulsif; et il serait plus juste, au point de
serait celle-ci : « L'épilepsie est une maladie caractérisée par un
état
périodi- « quement désordonné de la conscience,
e la tonicité des centres supérieurs aboutit à une exagération de l'
état
de conscience, en sorte que la conscience ainsi
l'on rencontre dans certains cas rares de somnambulisme et dans les
états
connexes d'épilepsie somnambulique. Un des poin
bulique. Un des points les plus difficiles à expliquer, c'est qu'un
état
d'in- hibition ou d'exagération de la conscienc
un épileptique sans être suivi de convulsions apparentes. Dans cet
état
le malade peut se livrer à toutes sortes de vio
ortes de violences même homi- cides. Peut-être l'explication de cet
état
d'inhibition - dans lequel il y a une tendance
qui n'ont plus que de légères décharges des centres corticaux. Les
états
qui relèvent de la troisième forme tendent au s
la difficulté et la lenteur avec lesquelles le malade revient à son
état
normal, difficulté et lenteur qui vont en aug-
oubles mentaux, et particulièrement de ceux qui se rattachent à des
états
convulsifs. On considère trop volontiers l'épilep
il faudrait aussi observer soigneusement le mécanisme du retour à l'
état
de conscience nor- male. 11 y a'encore un sujet
sifications de la folie. M. TOULOUSE propose d'appeler psychies les
états
mentaux, fon- damentaux et psychoses les formes
ychoses les formes morbides. La psychie peut se présenter sous deux
états
différents : la faiblesse intellectuelle (meiop
ce d'un malade atteint de tabes, je m'informe, s'il est marié, de l'
état
de son conjoint, je demande à l'examiner, si ce
ieuse affection ; toute excita- tion (pincement, coup) détermine un
état
de crampe dans les muscles du membre supérieur
int de la sclérose, décrite plus haut dans sa variété diffuse ; cet
état
anatomique réalise, à n'en pas douter, le mécanis
décrit, sous le nom de folie SOCIÉTÉS SAVANTES. 451 délirante, l'
état
psychopathique qui se manifeste par des repré-
olie (trouble général de la reconnaissance des objets) constitue un
état
psychique des plus graves ; c'est presque une d
cesser, voici quelques semaines, de se rendre à son bureau, et son
état
empirant inspirait de vives inquiétudes aux hab
voulaient à sa vie, que pour lui don- ner les soins qu'exigeait son
état
. Quand les voisins accoururent à ses appels, el
q ans, ils avaient faits de tels progrès que le malade était hors d'
état
de travailler. D'abord cantonnés aux bras, les mo
tait facile- ment et pour un rien battait femme et enfants. Mais un
état
men- tal ne commença à se constituer qu'après s
ans, célibataire, est entré à l'asile le 1 ? septembre 1899 dans un
état
de misère phy- siologique très avancée. La maig
l'emporte en énergie sur l'extension, car le malade n'est jamais en
état
de résolution complète. Les cuis- ses sont fléc
le dos, les pattes en l'air pour se faire caresser. . Etant donné l'
état
de déchéance mentale du malade, les mou- vement
yant le carac- tère assez morose et taciturne. Progressivement, son
état
moral devint plus inquiétant, il s'aigrit, devi
ades de salle de dormir. A son arrivée à l'Asile, il semble que cet
état
d'agitation soit pourtant un peu calmé, mais Br
tion soit pourtant un peu calmé, mais Brout... parait être en plein
état
de démence. '" 16 septembre 1899. Le malade n
lade gâte. On l'envoie au quartier spécial Leuret. Toujours le même
état
mental de démence, mais aussi de calme. La prem
e se passe assez bien ; rien ne vient ajouter une note nouvelle à l'
état
mental et physique de Brout... Cependant le 18
t oppose une résistance aussi brutale que le permet son misé- rable
état
physique aux infirmiers qui le soignent et le cha
au même degré. Le tremblement et l'hyperesthésie ont diminué. Même
état
des réflexes. Rien aux différents appareils. 26
ses de la tête et du tronc, revenant deux ou trois fois par jour. L'
état
intellectuel n'aurait pas été modifié par la ma
trace de cica- trices vaccinales on la vaccine; résultat négatif. L'
état
de l'enfant ne s'est pas amélioré ; elle ne prê
Comme alimentation, elle ne prend que du lait. 1899. Janvier. Même
état
. La santé physique parait bonne. Même régime; W
Avril. - L'enfant conserve son appétit ordinaire; malgré cela, son
état
s'aggrave, l'amaigrissement s'accentue, il y a un
late de bismuth par jour. Mai. - L'enfant présente toujours le même
état
général mau- vais, l'amaigrissement progresse p
tervalles de peau saine (éruption papuleuse des gâteux). Juin. Même
état
général. Depuis quelques jours, la diarrhée a c
x sont complètement guéris. La diarrhée s'est établie de nouveau, l'
état
général est de plus en plus grave, la cachexie
ianopsie du quart inférieur gauche ; elle est morte dans ce dernier
état
. L'observation a duré du 9 juin 1889 à fin avri
r examine les modifications de ces fuseaux dans un certain nombre d'
états
morbides où il a pu les retrouver. Dans la para
les autres cas on trouve d'ordinaire une anémie très marquée ou un
état
cachectique. Souvent, sinon toujours, cepen- da
Méningite séreuse aiguë qu'on rencontre dans l'alcoolisme et autres
états
toxiques analogues, appelée « cerveau humide »,
agité, hébété, en divagation. D'autres fois, le malade passe en cet
état
sans avoir débuté par du delirium. Au bout de q
e névrite optique. Après cinq ou six jours d'excitation : hébétude,
état
semi-comateux. Cou moins rigide, extrémités moi
rouve 17 fois une augmentation, 21 fois une diminution et 5 fois un
état
station- naire. Sauf dans un seul cas l'excré
le malade vomit, semble plus abattu. On se préoc- cupe surtout de l'
état
de son urèthre, on trouve du rétrécissement. Le
er ainsi : Des désordres de la marche, qui dépendent à la fois d'un
état
de parésie et d'un état de rigidité spasmodique
de la marche, qui dépendent à la fois d'un état de parésie et d'un
état
de rigidité spasmodique des membres inférieurs.
terme; il n'était pas né à la suite d'un accouchement laborieux, en
état
d'asphyxie apparente; il était normalement conf
ies de la réfraction sont capables de pro- voquer un grand nombre d'
états
névropathiques, et il semble tout à fait logiqu
ent l'accommodation est susceptible, à la longue, de provoquer un
état
réflexe du sympathique aboutissant à un paroxysme
Liébeault, le fondateur de l'école de Nancy. L'hypnotisme n'est un
état
ni anormal, ni antiphysiologique, ni pathologiq
ndant l'hypnose peuvent être reproduits par la suggestion pendant l'
état
de veille, principalement la catalepsie Archive
ion curative, il faut préparer le terrain, plonger le sujet dans un
état
qui ne comporte ni discussion ni résistance, cr
dans un état qui ne comporte ni discussion ni résistance, créer un
état
passif, comme dit Lié- beault, réaliser l'inhib
ser l'inhibition et le monoidéisme. Sans doute, la sug- gestion à l'
état
de veille est parfois puissante, mais souvent aus
e ce qu'il me refuse systéma- tiquement quand je le lui suggère à l'
état
de veille. D'ailleurs, la simple contemplation
pas profondément endormi notre malade, nous l'avons plongé dans un
état
particulier et, ainsi, rendu plus sugestilVe. i
d'entrer dans la vie. Pendant près d'une semaine il demeura en cet
état
, luttant, de toute sa robuste constitution, con
uprès des dégénérés supérieurs. Ces der- niers présentent dans leur
état
psychique et moral, plutôt un déve- loppement d
randisse et qu'on punisse sévèrement les parents indifférents. Si l'
état
d'infériorité intellectuelle empêche l'enfant d
z donc que des modèles parfaits. On fait ainsi de la suggestion à l'
état
de veille, suggestion qui du reste a de tout te
efficacité de ces créations. Pour mettre le lecteur au courant de l'
état
actuel de la question, M. Thulié nous donne in
ement des aliénés, par Lyon, 216. Limite scienti- f ! qli entre l'
état
sain et la -, 550 TABLE DES MATIÈRES. parHung
hanges organiques, par Varozzi. 308. Intelligence. Limite entre l'
état
sain de l' - et de la folie, par Hunge, 246.
signer, en somme, par cette expression, la science considérée dans un
état
en-core imparfait et à l'époque où les faits ne s
és de sa vie ; le » jour où elle aurait dévoilé tous les secrets de l'
état
patho-» logique et compris toutes les modificatio
siècle de Périclès i. L'anatomie, à cette époque, n'existait qu'à l'
état
le plus rudimentaire ; on n'avait pas encore dist
t établie la doctrine des constitutions médicales correspondant à des
états
particuliers de l'atmosphère, doctrine qui a subs
impressionne le plus vivement, c'est l'impor-tance qu'il attribue à l'
état
général, et l'indifférence qu'il té-moigne à l'ég
ue à l'état général, et l'indifférence qu'il té-moigne à l'égard de l'
état
local. Ce point de vue paraîtrait singulièrement
les y régnaient au temps d'Hip-pocrate. Or, il faut reconnaître que l'
état
fébrile constitue toujours un mode à peu près ide
-ce pas à peu près dans le même but que nous cherchons à appré-cier l'
état
des forces, le degré de tension du système artéri
el, et les oscillations de la température centrale, dans les cas où l'
état
local ne fournit pas d'indications utiles ? 11
solue, puisque la forme aiguë et la forme chronique d'un seul et même
état
pathologique se confondent souvent par des transi
. On a reconnu encore, par des observations multipliées, que divers
états
morbides coexistent ou se succèdent, chez le même
issant, exerçant les fonc-tions qui lui sont propres, modifiées par l'
état
morbide, qu'il lui faut reconstruire à la lumière
e, s'efforçant de saisir jusqu'aux moindres transitions qui relient l'
état
pathologique à l'état nor-mal. Par ce côté, vou
ir jusqu'aux moindres transitions qui relient l'état pathologique à l'
état
nor-mal. Par ce côté, vous le voyez, Vanatomie
uire les instruments au moyen desquels elle s'effectue. Le muscle à l'
état
de repos présente une réaction alcaline; il devie
ules du sang ne peut-elle pas être au moins soupçonnée, dans certains
états
graves de l'organisme, où une dyspnée intense se
tho-logie. Il nous est donné, en effet, de créer chez les animaux des
états
morbides variés, soit en leur faisant subir certa
de pathologie expérimentale, p. 11. Paris, 1866. généralisation des
états
morbides. On lui doit cette belle étude analytiqu
une conception vraiment rationnelle et presque com-plète de certains
états
morbides. Mais le temps presse, et je dois conclu
e atmosphère 2. Pendant ce temps, la médecine en était réduite à un
état
dé- 1. « La pratique sans rénovation scientifiq
maladies chroniques réputées incurables, et qui les ont réduites à un
état
d'infirmité per-manent. Sous ce rapport, nous p
lesse im-prime à l'organisme s'accusent parfois à un tel degré, que l'
état
physiologique et l'état pathologique semblent se
isme s'accusent parfois à un tel degré, que l'état physiologique et l'
état
pathologique semblent se con-fondre par des trans
t externe, et dans la pro-fondeur des cavités splanchniques. Mais cet
état
est en géné-ral transitoire, et ne tarde pas à fa
rthropie chez plusieurs vieillards (2) : c'est là, ce nous semble, un
état
pa-thologique consécutif à l'altération dite séni
'elles ont atteint un degré aussi prononcé dépassent les limites de l'
état
physiologique, puisqu'elles sont capables de prod
manifestations morbides, nous étudierons, dans la prochaine séance, l'
état
fébrile chez les vieillards, en nous attachant à
Œuv. compi, t. vu. Malad, des Vieillards. 2 DEUXIÈME LEÇON De l'
état
fébrile chez les vieillards. Sommaire. — Défaut
foie, ainsi que la tuberculisation pulmonaire (3) peuvent rester à l'
état
un nombre plus ou moins grand de calculs dans l
it plus spécialement nous occuper aujourd'hui. Nous voulons étudier l'
état
fébrile chez le vieillard, comparé sous ce rappor
défaut, ainsi que les sueurs. Les autres phéno-mènes accessoires de l'
état
fébrile sont tous, selon le même auteur, plus ou
une discussion préalable? Qu'est-ce que la fièvre? qu'entend-on par
état
fébrile? Il est à peine nécessaire de vous prév
naturam (1), telle est pour ce grand méde-cin la caractéristique de l'
état
fébrile. La tradition, pendant une longue série d
l'exaltation de la chaleur animale est bien le fait fondamental de l'
état
fébrile. Parmi les autres phénomènes qui l'accomp
ur ainsi dire permanente, et qui persiste pendant toute la durée de l'
état
fébrile. John Hunter est, dans le siècle passé,
nous ferons allusion cependant plusieurs fois aux autres formes de l'
état
fébrile. 1. Les vieillards frissonnent peu, a
ieillards l'exploration thermométrique dans la période de déclin de l'
état
fébrile, ou, comme on dit en Allemagne, pendant l
ce. Tantôt l'abais-sement de la température qui signale le retour à l'
état
nor-mal s'accomplit par degrés successifs pendant
, pour reprendre ensuite défi-nitivement le niveau qui correspond à l'
état
de santé par-faite. Le but est alors dépassé, si
les gangrènes séniles, le marasme, et diverses formes de cancer. Cet
état
d'algidité est un symp-tôme grave et qui réclame
la goutte sont composés d'urate de soude. — L'acide urique existe à l'
état
normal dans le sang. — Il se trouve en excès dans
nstitutionnelle, le plus souvent héréditaire, et toujours liée à un
état
dyscra-sique particulier ; en effet, la présence
ines. Mais indépendamment de ces affections articulaires, et de cet
état
particulier du sang, la goutte peut donner lieu à
u reste, quand la maladie se pro-longe, on voit à la fin survenir cet
état
cachectique qui termine volontiers toutes les gra
ies, l'anémie et le ma-rasme; c'est alors que le malade tombe dans un
état
d'atonie presque complète et que la nature ne sem
en sont le cortège obligé ; et comme dans cette affection générale l'
état
du sang semble dominer toute la situation, nous a
t l'honneur d'en avoir fourni la démonstration positive (1848). A l'
état
normal, il existe des traces d'acide urique dans
assez sensible pour indiquer les traces d'acide urique qui existe à l'
état
normal, suffit ample-ment aux besoins de la prati
Que la proportion des globules se maintient dans la goutte aiguë à l'
état
normal, contraste évident avec l'anémie rhuma-tis
e oxalique. Comme complément de cette étude, nous devons examiner l'
état
des urines dans la goutte ; il s'agit de savoir s
es ving-quatre heures est presque toujours moins consi-dérable qu'à l'
état
normal (Or 25 au lieu 0^r, 50). Il y a donc dimin
de la synoviale. A une période plus avancée de la maladie, quand l'
état
chro-nique a succédé aux accès aigus, la synovial
ons-nous avec un soin particulier, après avoir rapide-ment esquissé l'
état
de nos connaissances, pour ce qui louche aux autr
cté-risée par des infarctus de sable, d'acide urique, quelquefois à l'
état
cristallin : il peut exister aussi des graviers p
econd degré, on trouve une atrophie de la substance corticale, et cet
état
granuleux du rein, qui appartient en propre à la
ophiée. Jamais, dans cette affection, on ira vu les reins présenter l'
état
lardacé. Ces altérations, d'après Garrod, se mo
spepsie est souvent aggravée, sinon créée de toutes pièces, par cet
état
pathologique du rein; l'œdème en est souvent une
forme convulsive ou comateuse ; elle se rattache bien évidemment à l'
état
du rein. L'apoplexie cérébrale, l'hypertrophie du
chronique : mais l'accès aigu a une physionomie bien différente de l'
état
permanent. — thèse urique. — Ensemble symptomatiq
onique. En effet,le premier accès est la manifestation primitive d'un
état
constitutionnel, qui, par la suite, peut rester l
aigu est si différente de celle que présente la maladie envisagée à l'
état
permanent, que nous sommes forcés de respecter ce
vant d'aborder ce sujet, il convient d'appeler votre attention sur un
état
morbide, qui se manifeste quelquefois avant l'app
é la diathèseurique. Occupons-nous, pendant quelques instants, de cet
état
général, que les Anglais ont principa-lement cont
de l'amertume de la bouche, avec de la sécheresse de la langue et un
état
saburral ; on observe presque toujours de la cons
souvent les malades tombent dans l'hypocondrie. Chez les femmes, cet
état
peut se compliquer de manifestations hystériforme
ui les accompagnent. Mais ce qui caractérise le plus spécialement cet
état
particulier, c'est qu'il s'aggrave pé-riodiquemen
manifes-tations locales sont la fièvre, des frissons erratiques ; un
état
nerveux, une extrême irritabilité ; enfin, une di
mptômes s'amendent, pour reparaître le soir, ou pendant la nuit ; cet
état
se prolonge cinq à six jours, lorsque la médecine
certaine quantité d'acide urique. A côté de cette modification de l'
état
général, nous devons signaler les modifications q
énéral, nous devons signaler les modifications qui surviennent dans l'
état
local. Le plus souvent, à la suite d'un premier a
e pronostic est en général peu favorable, et qui passe volontiers à l'
état
chronique. Mais la goutte, ainsi que nous l'avo
reviennent tous les trois ou quatre mois ; c'est déjà le passage à l'
état
chronique. Il faut se rappeler d'ailleurs que d
ques auteurs. En effet, un affaiblissement prononcé, une tendance à l'
état
cachectique se montrent toujours, à des degrés di
nière spéciale. En môme temps, le changement qui s'est opéré dans l'
état
constitutionnel se traduit par une réaction moins
le nombre et la fréquence des transfigu-rations que peuvent subir les
états
pathologiques : et, de nos jours, cette étude aut
s : le premier comprend les troubles fonctionnels qui relèvent de cet
état
général ; le second embrasse les lésions organiqu
sième lieu, il est des cas où l'affection des jointures se montre à l'
état
rudi-mentaire, et se manifeste par des élancement
ge du bol alimentaire. Un accès de goutte amène la ré-solution de cet
état
. B. Occupons-nous maintenant de la goutte gastr
quée de l'es-tomac, avec des vomissements souvent incoercibles, et un
état
général plus ou moins grave : on voit alors surve
ébrile plus ou moins intense, et, la suite de tous ces phénomènes, un
état
de prostration générale. Mais ici les stimulants
er ces résultats par des observations personnelles ; ce serait là cet
état
de paralysie et d'affaiblissement de l'estomac qu
e agir ici en déter-minant la crise cardiaque. Ajoutons enfin que l'
état
athéromateux des artères, qui souvent coïncide av
de la vie doivent s'accomplir avec bien plus de difficulté que dans l'
état
normal. Mais lorsqu'il n'existe point de cachex
ma-tion d'un sédiment composé d'urates amorphes ou d'acide urique à l'
état
cristallin, dans les urines, peu de temps après l
considérable d'acide urique. Pour connaître à cet égard le véritable
état
des choses, il serait donc indispensable d'ana-ly
tantôt elle lui succède, ce qui est plus rare; tantôt enfin, ces deux
états
coïncident, ce qui est plus exceptionnel encore.
s le principe, que la pathogénie de la diathèse urique est encore à l'
état
rudimentaire, et que, par conséquent, il est impo
éminemment constitutionnelle, et qui se rattache essentiellement à l'
état
général de l'individu, il est indispensable, pour
actères sympto-matiques de cette affection. Du ine au vi6 siècle, l'
état
des choses paraît être resté le même, si nous en
ome et à Gonstanti-nople. Il est donc évident que, sous ce rapport, l'
état
des choses a beaucoup changé. Voilà pourquoi, san
rend qu'elle n'existe aujourd'hui que sur un seul point du globe, à l'
état
de maladie généralement répandue ; vous avez déjà
tions fondamentales de cette diathèse ; or, l'acide urique existe à l'
état
normal dans le tor-rent circulatoire ; et pour pe
apperont sans doute pendant longtemps. Mais, pour bien comprendre l'
état
actuel de la question, il faut suivre les phases
trouvé, dans le tissu fibreux normal, de l'acide inique (1) ; aussi l'
état
pathologique n'est-il, pour lui, qu'une simple ex
ue n'est-il, pour lui, qu'une simple exagération de ce qui existe à l'
état
de santé. Il s'ex-plique de cette manière pourquo
urique dans les tissus. Mais, pour l'urée, le fait n'est vrai qu'à l'
état
morbide : dans les conditions normales, on ne tro
ahies, et au degré de l'inflam-mation locale. Tel est, messieurs, l'
état
de nos connaissances sur ce sujet. J'ai cru devoi
isme noueux n'est autre chose que le rhumatisme poly-arti-culaire à l'
état
chronique, mais qu'ils se refusent à reconnaître
oint, qu'en une simple exagération des dis-positions qui existent à l'
état
rudimentaire dans les conditions normales. On s
e franges qui présentent elles-mêmes des appendices (1). On voit, à l'
état
pathologique, ces petits prolongements augmenter
ombre et présenter une vascularisation plus intense. Il existe, à l'
état
normal, des cellules de cartilage dans ces append
e d'He-beden. Ici les altérations de l'arthrite sèche se trouvent à l'
état
rudimentaire ; mais dans l'arthrite partielle, el
ation plus ou moins prononcée des franges synoviales qui existent à l'
état
normal ; 2° d'une dilatation variqueuse de leurs
oli, la coloration bleue et la consistance qui les carac-térisent à l'
état
sain. MM. Ollivier et Ranvier ont montré en outre
ent qu'en pareil cas, les éléments histologïques peuvent revenir; à l'
état
normal; mais à un degré plus élevé, il y a une se
la substance fondamentale dans le sens horizontal; c'est une sorte d'
état
velvétique caractérisé par des sillons qui pénètr
des altérations analogues (2). Ces lésions se rencontrent encore à l'
état
de 1. Kussmaul. —Arch. fur physiol. Heilkunde,
ar, dans l'état actuel de la science, nous ne connaissons aucun autre
état
diathésique auquel on puisse attribuer de pareils
, mais seulement de deux manifestations différentes d'un seul et même
état
diathésique ; et vous reconnaîtrez aisément les t
cul^Piigu. 11 s'yjoint une réaction d'ensemble, qui se traduit par un
état
général très caractéristique, par une altération
et. — Thèse de concours pour le professorat, 1851, p. 51. B. — De l'
état
général dans le rhumatisme articulaire aigu. Le
l'étude des détails, et occupons-nous des phénomènes accessoires de l'
état
fébrile. Le pouls, dont la fréquence, d'après M
dans l'excrétion sudorale, ce qui, d'après lui, n'aurait pas lieu à l'
état
normal ; mais Schottin a fait voir que, même à l'
it pas lieu à l'état normal ; mais Schottin a fait voir que, même à l'
état
de santé, la sueur renfermait non seulement de l'
rticulaires, quelquefois acides, sont aussi quelquefois alcalins. L'
état
des urines doit tout particulièrement nous occupe
la présence d'un excès d'acide lactique. Un dernier caractère de l'
état
général dans le rhumatisme articulaire aigu, c'es
abondantes, et n'ont point cette acidité que nous avons signalée. L'
état
des urines diffère de ce que nous avons constaté
tisme articulaire subaigu se présente encore avec les caractères de l'
état
aigu : seulement le mouvement fébrile est moins i
neuses du cœur. Par contre, on observe dans plusieurs cas graves un
état
tout opposé. On trouve alors, à l'autopsie, le sa
'endocarde : vascularisation de cette membrane. — Conséquences de cet
état
patholo-gique. — Embolies capillaires. — Lésions
ologique de la mem-brane interne du cœur ; nous serons alors mieux en
état
de comprendre les altérations dont elle peut deve
mitrale ; mais, sur les valvules sigmoïdes, il n'en existe jamais à l'
état
normal. Or c'est précisément sur les valvules,
xté-rieure. En quoi consiste donc le processus pathologique ? A l'
état
aigu, le travail morbide débute par la tuméfactio
du sang) est une conséquence habituelle du rhumatisme, ainsi que de l'
état
puerpéral et de certaines cachexies particulières
ontrer au pourtour des lésions du cœur (1). Les conséquences de cet
état
pathologique sont importan-tes à étudier. Voyons
diopathies rhumatis-males. On voit alors survenir les phénomènes de l'
état
typhoïde, de Y ictère grave, de la fièvre intermi
ations de la maladie, et lorsqu'on se rapproche en quelque sorte de l'
état
aigu. Au reste, ces maladies ont en général un ca
re aigu, mais sans épanche-ment synovial dans la jointure, et avec un
état
velvétique beaucoup plus prononcé des surfaces os
sme articulaire d'abord aigu, puis subaigu, qui a fini par passer à l'
état
chronique. La coïncidence de l'asthme chez cette
cette affection, en second lieu, les symptômes qui se rattachent à l'
état
général. Arthropathies. A la première période
de déformations consécutives ? Le membre reste, au contraire, dans un
état
de flaccidité complète. Les déformations que no
contraire, il existait quatre fois plus de phosphate de chaux qu'à l'
état
normal. Il paraît que le taux normal de l'acide u
ellement de jeunes sujets, âgés de seize à trente ans ou de femmes en
état
de grossesse ou depuerpéra-lité; les émotions mor
emblée, mais dont la marche présente quelques-uns des caractères de l'
état
aigu. Après un certain temps, il se développe u
, les déformations de chaque jointure sont plus accusées. Quant à l'
état
général, il ne s'accompagne que rarement d'un mou
ccès. Enfin, le pronostic est, à tout prendre, moins grave que dans l'
état
précédent. Nous avons comparé entre elles les d
t leurs différences, mais entre ces deux points il existe une foule d'
états
intermédiai-res qui établissent entre eux une tra
igine du rhumatisme partiel, lorsque l'affection s'est constituée à l'
état
chronique, c'est plutôt une infirmité qu'une mala
tés sont intéressantes pour l'observateur, parce qu'elles révèlent un
état
constitutionnel, qui n'est autre que la diathèse
'apparition des règles, la ménopause, la grossesse, l'accouchement, l'
état
puerpéral, l'allaitement, voilà, pour les femmes,
une base commune, un fond commun, une prédisposition articulaire, un
état
arthritique d'où l'une et l'autre tire leur origi
aïac.— Topiques. —Sangsues.— Vésicatoires. — Moxas. — Traitement de l'
état
constitutionnel. — Alca-lins. — Leurs diverses pr
e de l'organisme, et la goutte peut, sous cette influence, passer à Y
état
atonique. 4° Le colchique ne doit pas être empl
la goutte que dans le rhumatisme aigu. Dans les exacerbations de l'
état
chronique, le sulfate de quinine est encore utile
ême, chaque fois qu'il avait un accès de goutte. C. Traitement de F
état
constitutionnel. — L'indication par excellence se
pas non plus le dissou-dre, comme on l'a prétendu, car il existe à l'
état
d'urate de soude. Mais, en rendant les tissus alc
(Aix-la-Chapelle) ou simple-ment salines (Wiesbaden) conviennent à l'
état
torpide, aux cas atoniques. Il existe des eaux
stituants. Ils ont une action indirecte sur la goutte, en modifiant l'
état
de l'estomac, en combattant l'atonie et en releva
orue, peuvent avoir indirectement une influence utile, en modifiant l'
état
général. Les moyens lacaux les plus usités sont
rie rectale. De la température du corps chez les vieillards, dans l'
état
pathologique. — Limites extrêmes de la températ
r locale, mais encore tout l'ap-pareil des phénomènes extérieurs de l'
état
fébrile, tels que chaleur de la peau, prostration
a lieu assez sou-vent chez l'adulte, occupe ici la scène, mais bien l'
état
apo-plectique. Le malade se présente à vous endor
ent dans la plupart des maladies qui ont pour caractère de susciter l'
état
fébrile. On peut d'ailleurs observer des irrégula
e peut présenter chez les gens âgés, atteints de maladies aiguës, l'
état
général, et plus spécialement l'état fébrile. J'a
atteints de maladies aiguës, l'état général, et plus spécialement l'
état
fébrile. J'ai, en effet, le projet de consacrer c
aux lésions locales, celle-là s'adresse au phénomène fondamental de l'
état
fébrile dont elle donne pour ainsi dire la mesure
retrouvé, depuis lors, cette température de 38° comme représentant l'
état
normal, môme chez des sujets parvenus aux dernièr
'émeut d'une manière un peu sensible, même temporairement, que dans l'
état
pathologique. Comment comprendre que chez les v
évidemment affaiblies? Il faut, sans doute, invoquer ici, sur-tout l'
état
de la peau qui, chez les vieillards, présente un
un degré moin-dre, une mobilité extrême. Mais c'est surtout dans l'
état
pathologique, et en particulier dans l'état fébri
Mais c'est surtout dans l'état pathologique, et en particulier dans l'
état
fébrile, que se révèle dans tout son jour le désa
ce côté. C. De la température du corps chez les vieillards, dans l'
état
pathologique, a. Limites extrêmes de la températu
car sous le rapport du taux que la température peut atteindre dans l'
état
fébrile , ceux-là peuvent ne le céder en rien à c
ps, et que mes recherches ultérieures n'ont fait que confirmer. (De l'
état
fébrile chez les vieillards). (Voir plus haut p.
alides, ou autrement dit, libres de toute maladie antérieure, de tout
état
cachectique, au moment où l'état fébrile s'est dé
de toute maladie antérieure, de tout état cachectique, au moment où l'
état
fébrile s'est développé, car il est certain que c
umonie lobaire observés à la Salpêtrière, et où, pendant la période d'
état
, les maxima ont plusieurs fois dépassé 40°, 5, la
-que organe, une lésion grossière qui explique la mort. C'est alors l'
état
général, et dans l'espèce, l'état fébrile qu'il f
qui explique la mort. C'est alors l'état général, et dans l'espèce, l'
état
fébrile qu'il faut accuser; mais quel est, au mil
tout incriminer ? Ceci nous conduit à entrer dans une digression. L'
état
fébrile, avec son cortège de symptômes, les uns f
par des symptômes spéciaux qui n'appartiennent pas nécessairement à l'
état
fébrile, même le plus intense. Reste donc l'élé
ificiellement la température centrale, et produire par conséquent, un
état
au moins fort analogue à l'état fébrile. Les trou
trale, et produire par conséquent, un état au moins fort analogue à l'
état
fébrile. Les troubles cpii se produisent, lorsque
rappelle ce que nous observions, tout à l'heure, chez l'homme, dans l'
état
pathologique. Vous ne l'avez pas oublié, vers 42
rature, est survenue rapide-ment, le sang a été trouvé tantôt dans un
état
de fluidité extrême, tantôt, au contraire, coagul
lus ou moins long, la température centrale, et même au plus fort de l'
état
fébrile. Ainsi agissent la digitale ou la vératri
marquable abaissement de la température centrale, une algidité vraie,
état
bien digne de fixer l'attention, et dont je me pr
pyrogénétique, l'ascension est lente et sac-cadée. Dans la période d'
état
, les oscillations diurnes sont as-sez grandes, et
jour, survint-un accès épilep-tiforme intense et prolongé, suivi d'un
état
apoplectiforme ; deux heures après le début la te
esoins de la cause, que certaines parties du système nerveux ont, à l'
état
normal une influence modératrice sur les foyers d
ielles. Messieurs, Je ne me suis occupé jusqu'ici que de quelques
états
patho-logiques dans lesquels la chaleur s'élève a
peler au-jourd'hui votre attention. S'il existe des maladies dont l'
état
fébrile constitue un ca-ractère constant, obligat
elle sorte que Valgidité centrale (c'est ainsi que nous désignerons l'
état
qui nous occupe), ne figure en général dans l'his
s les parties centrales du corps. Il y a d'ailleurs un bon nombre d'
état
pathologiques en dehors du choléra dans lesquels
e voit dans certaines paralysies, ou encore dans le cours de certains
états
fébriles, dans la pneumonie par exemple, toujours
principalement aussi lorsqu'ils sont admi-nistrés dans le cours de l'
état
fébrile, que l'action de ces médicaments se montr
ivant les recherches de MM. Voisin et Liouville, produit un véritable
état
fébrile dans lequel la température centrale peut
r effet d'élever la température centrale, et de produire un véritable
état
fébrile avec frisson, accélération du pouls, pert
eines, et se mêleraient au sang. C'est ainsi qu'ils développeraient l'
état
fébrile, en raison de ce pouvoir pyrogène, dont l
un court espace de temps,, ne produisent consécutivement un véritable
état
fébrile. Par suite de la diminution de tension su
ta-ble du taux de la température, suivie ordinairement peu après d'un
état
fébrile plus ou moins intense, mais persistant; d
s avec fièvre, d'autres avec algidité centrale. Parfois même ces deux
états
, en appa-rence opposés, peuvent se succéder chez
e immé-diatement à l'infirmerie, où nous la trouvâmes plongée dans un
état
lipothymique, lequel persista à peu près toute la
l cependant. Ainsi, une péricardite se surajoute à une pneu- t De l'
état
fébrile dm les vieillards (Voir p. 18), monie l
tion permanente de la force du cœur, et ainsi se produira une sorte d'
état
lipothymique plus ou moins durable, avec abaissem
es grandes commotions du système nerveux se traduisent d'abord par un
état
lipothymique avec algidité centrale, suivi ou non
rature centrale. Le même mécanisme peut être invoqué pour expliquer l'
état
lipothymique, qui, suivant la remarque d'un bon n
; la tem-pérature est à 3!) ou 40° et les phénomènes extérieurs de l'
état
fébrile sont bien développés. Brusquement, dans l
peut se montrer à toutes les époques de la maladie. Dans la période d'
état
, l'apparition du collapsus résulte le plus souven
ns long-temps après les petites, et les membres, alors placés dans un
état
de demi-flexion permanente, sont gênés dans leurs
ccomplissement des fonctions des viscères, E. Rolin était réduite à l'
état
d'infirmité où nous la voyons. Elle n'avait jamai
Tableau, des jointures le plus souvent affectées pendant la période d'
état
, sur 40 cas. Articulations des phalanges entre
e ces dix-neuf jours, pendant lesquels la malade continue à manger, l'
état
des membres inférieurs s'amende au point qu'elle
nstater de craquements. Les deux membres supérieurs sont dans le même
état
à peu près ; la main gauche est un peu moins diff
ois ans sans pouvoir se lever. Jamais, même au début, de la période d'
état
elle n'a eu de fièvre ; elle n'a pas cessé de man
as percevoir de bruits morbides. Tous les viscères parais-sent en bon
état
, et, malgré son âge, la malade est vigoureuse. De
issu des extrémités osseuses peut-être plus dur, plus compacte qu'à l'
état
normal, et en même temps privé de vascularité. Da
ions et de maux de gencives qui ne tardaient pas à survenir. Dans Y
état
actuel, nous avons à étudier chez le malade, 1° l
e, de rémission ; 2° une affection pectorale. Voici d'abord dans quel
état
nous trouvons les diverses articulations. Pied
eur-gauche s'applique exactement au membre supérieur droit. Tel-est l'
état
des diverses articulations ; mais, nous l'avons d
rondis ; oppression assez forte ; fiè-vre. — Les jours suivants, même
état
. (Pot. gomm., diète.) Les 10 et 11, pot. stibiée,
malade meurt le 16 mars. Autopsie. — i° Etat des articulations; .2°
état
des viscères. ses articulations présentent tous l
aisse, très vis-queuse, remplit la cavité articulaire. C'est dans cet
état
que se trouvent les articulations fémoro-tibiales
même, tous les mouvements s'exécutèrent dans l'articulation, même à l'
état
normal ; c'était donc non pas dans l'articulation
ie, râle crépitant, crachats rouilles, etc. La malade est dans un tel
état
de prostration qu'il est impossible de savoir d'e
er à interrorger la malade elle-même , à cause de la gravité de son
état
. M..... avait eu pour mari un employé de la mai
l'éther. Rein gauche. Son volume est à peu de chose près celui de l'
état
normal. L'organe est mou, flasque ; sa surface, à
es), paraissent légèrement opaques. Ces tubes, plus larges que dans l'
état
normal, examinés à un plus fort grossissement (30
dans l'intérieur même des tubes urinifères où elle paraît exister à l'
état
de masse amorphe, tandis qu'une autre partie du d
ités des cartilages du pavillon de l'oreille, ni les tophus I. De l'
état
du rein chez les goutteux. Parmi les lésions du
ais nous croyons utile d'exposer, en quelques mots, l'historique et l'
état
actuel de nos connaissances, sur ce sujet. se r
oite que les pyramides touchent presque la surface de l'organe. Cet
état
du rein s'accompagne quelquefois pendant la vie,
iés, endurcis et granuleux à leur surface ; mais d'un autre côté, cet
état
du rein et les symptômes qui en résultent peuvent
indres fibrineux) granulées ou cireuses (wazy casts. Mais peut-être l'
état
atrophique et granuleux du rein tenait-il uniquem
néphrite albumineuse de M. Rayer),et il est impossible de ranger cet
état
du rein, dans le gouty kydney de Todd. Les dépô
du thorax où la pointe bat en dehors du mamelon et plus bas qu'à l'
état
normal; les bruits du cœur sont précipités, tumul
jours ; mais son affection cardiaque et pulmonaire resta dans le même
état
. Dans le milieu du mois de mars, on s'aperçut q
ons, les accès d'oppression s'aggravèrent, et le malade tomba dans un
état
de cachexie hydrémique complet; les extrémités su
vre qui était assez vive, disparaissent pour laisser le malade dans l'
état
d'infirmité où il était avant l'accès. Examen l
aucune nodosité, non plus que les orteils; on y observe seulement un
état
scléreux de la peau qui, surtout au gros orteil,
de devenir sujet, depuis un an, à ce qu'il appelle des attaques. Cet
état
est annoncé par un chatouillement qui existe au-d
de rémission ; 2° une affection pectorale. Voici d'abord dans quel
état
nous trouvons les diverses arti-lations : Pied
r gauche s'applique exactement au membre supérieur droit. Tel est l'
état
des diverses articulations. Mais, nous l'avons di
arrondis ; oppression assez forte ; fièvre. Les jours sui-vants, même
état
(Pot. gom. ; diète). — 10, 11 : Potion stibiée, 0
paisse, très visqueuse, remplit la cavité articulaire. C'est dans cet
état
que se trouvent tes articulations fémoro-tibiales
ême, tous les mouvements s'exécu-tèrent dans l'articulation comme à l'
état
normal. C'était donc, non pas dans l'articulation
i complètement la transformation graisseuse, ce qui con-traste avec l'
état
des autres muscles de la main qui ont conservé, à
e bourgeons char-nus ; mais le liquide qu'elle exhale ne diffère de l'
état
normal que par sa viscosité plus grande, et, dans
ie. « Il y a, sans doute, une arthrite puerpérale spéciale ; mais l'
état
puerpéral est propre à développer le rhumatisme c
i, ont mis à découvert des ossements humains, pour la plupart dans un
état
de conservation parfaite, et dont la provenance n
ticulaire chronique. Voici d'ailleurs, en peu de mots, quel était l'
état
des diverses jointures. —Aux membres supérieurs,
périeurs, les articulations scapulo-humérales étaient toutes deux à l'
état
normal ; — au coude droit, le dépôt blanc occupe
ent rouges et enflammées. Voici d'ailleurs l'indication sommaire de l'
état
des diverses articulations : Les articulations sc
p. 103). Anémie de la fièvre rhumatismale. — Il est de règle, qu'un
état
anémique plus ou moins prononcé et marqué par la
cidité des urines, tel qu'on le rencontre, par exemple, dans certains
états
dyspeptiques (Prout, Brodie, Budd), sont, entre a
t élevé, abaissé, ou si enfin il s'est maintenu dans les limites de l'
état
normal. Il importerait même, suivant en cela le p
s où siègent les altérations goutteuses, peut présenter, comme dans l'
état
normal, une réaction franchement alcaline. Il e
cellulaires qu'ils renferment ne sont pas en plus grand nombre qu'à l'
état
physiologique ; enfin, il n'y a pas trace de segm
ée par des amas cy-lindriques d'urate de soude, vraisemblablement à l'
état
amor-phe, lesquels se dissolvent à leur tour par
ait que chez les oiseaux et chez la plupart des reptiles, l'urine à l'
état
normal, ainsi que l'ont démontré John Davy et d'a
substance tubuleuse, oblitérés et distendus par des amas d'urates à l'
état
concret; tandis que leurs origines, dans la subst
xpériences dont il est ici question étaient, sans aucun doute, dans l'
état
normal ; par conséquent, tout porte à croire que
de l'acide urique dans l'hypertrophie de la rate. — En dehors de tout
état
fébrile, dans certaines affections -qui s'accompa
de quelques recherches nouvelles qu'il a entreprises relativement à l'
état
du sang dans l'intervalle des accès de goutte : «
e deux jours, les urines se montrèrent abondantes et en même temps, l'
état
comateux disparut. Il faut sans doute rapprocher
ires du cartilage. C'est là le premier vestige, et pour ainsi dire, l'
état
embryonnaire des corps étrangers qui, plus tard,
e dans ces stalactites ne diffèrent pas notabfement des procédés de l'
état
physiologique. Ces altérations dont nous n'avon
ticulaire chronique. Seulement, souvent à peine accusées et comme à l'
état
rudimentaire dans le rhumatisme généralisé à évol
quelquefois assez prononcé, qui semblent indiquer une tendance vers l'
état
aigu. Même dans les cas du dernier genre, malgré
y a évidemment une corrélation plus ou moins intime entre ces divers
états
pathologiques se reproduisant ainsi, à divers deg
scorbutique. Lorsque la goutte est récente et qu'il n'existe pas d'
état
ca-chectique, les maladies intercurrentes sont lo
tes, les autres anciennes, con-solidées avec ou sans déplacement. Cet
état
morbide se traduit habituellement, pendant la vie
tte histoire pleine d'étranges événements. C'est la deuxième enfance,
état
d'oubli profond ou l'homme est sans dents, sans y
: ces auteurs ne décrivent même pas le tremblement sénile, à titre d'
état
pathologique. Quelques cliniciens, du reste, ont
dont les mouvements étaient excessivement exagérés, succomber dans un
état
typhoïde avec une élévation notable de la tempéra
des vieillards affectés de chorée ont paru à M. Charcot, être dans un
état
de démence plus ou moins prononcé. Uétiologie s
pas con-fondre la chorée vulgaire chez les vieillards, avec un autre
état
pathologique qu'on désigne quelquefois sous le no
on vue de côté. — Comparez la figure 4 à la figure 6 qui représente l'
état
normal. ^-^TTTc^rv^T-x . _ VA.UVJC5 ÑÎÏ1 u leie
e imprime à la plupart des maladies........ 1 DEUXIÈME LEÇON de l'
état
fébrile chez les vieillards. Défaut de réaction
la goutte sont composés d'urate de soude. — L'acide urique existe à l'
état
normal dans le sang. — Il se trouve en excès dans
chronique ; mais l'accès aigu a une physionomie bien différente de l'
état
permanent. — Diathèse urique. Ensemble symptomati
'endocarde : vascularisation de cette membrane. — Conséquences de cet
état
pathologique. —Embolies capillaires. — Lé-sions d
opiques extérieurs.— Sangsues.—Vésicatoircs.— Moxas.— Traitement de l'
état
constitution-nel. — Alcalins.— Leurs diverses pro
rie rectale. De la température du corps chez les vieillards, dans l'
état
patholo-gique. — Limites extrêmes de la températu
spécialement du rein chez les goutteux................. 363 De l'
état
du rein chez les goutteux........................
-culation, 249: — fongueuse et scro-fuleuse, 249, 192. Arthritique (
état
), 271. Arthropathies : goutteuses, 47, 59, 161,
e: Causes, 46,47; — observations, 503 ; — caractères généraux, 46 ; —
état
du sang, 47; — irrégulière, 48; rétrocédée, remon
anguins dans la —, 52; — fibrine, albumine, alcalinité du sang, 52; —
état
du sang dans l'intervalle des accès, 538; — état
inité du sang, 52; — état du sang dans l'intervalle des accès, 538; —
état
des urines dans la —, 53, 518 ; — albuminurie dan
philis, 114; — critique, 115; — intra-articulaire, 162: — passage à l'
état
atonique, 277; — action du plomb, du mercure, 115
153; — traite-ment ; — de l'accès par le colchique, 274, 457 ; — de l'
état
constitutionnel dans la —, 279 ; — potasse, soude
78 ; — desquamation consé-cutive à l'accès, 78 ; — modifications de l'
état
local après l'accès, 78 , — ankyloses, 79, 508 ;
culaire, 358 , 396 ; — rougeur, 360, 396 ; — gonflement, 360, 396 ; —
état
des jointures, 361, 396 : — rétraction musculaire
sculaire sur les dévia-tions, 369 ; — fièvre, 375 ; — sueurs, 375 ; —
état
des urines, 375 ; — ordre d'envahissement succe
; — sexe, 391 ; — absence de rhuma-tisme articulaire aigu, 390 ; —
état
des extrémités osseuses, 390, 398 ; — végétatio
62; — arthropathies multiples, 196, 197;— altérations du sang, 197; —
état
gé-néral dans le —, 199; — fièvre, 199; — pouls,
eurs, 201,205; — salive, 201 ; — urines, 202, 203 ; — anémie, 203 ; —
état
du sang, 205 ; — acide lactique dans le sang, 205
dite, 219, 222 ; — embolies, 218, 219; —lésions encéphaliques, 228; —
état
typhoïde 219; — ictère grave, 219; — fièvre inter
34 — variations par les poisons morbides, 335; — va-riations dans les
états
pathologiques, 336 ; — élévation expérimentale de
étourdissements sans perte de connaissance, ni chute consécutive. L'
état
vertigineux durait quelques minutes environ ; e
légèrement mamelonnée, sa consis- tance est ferme et la coupe (à l'
état
frais) se montre régulière et semée de nombreus
avec tentative de suicide impulsive motivant l'internement, eten un
état
de torpeur cérébrale s'accentuant de plus en pl
LA THÉORIE DES NEURONES EN RAPPORT AVEC L'EXPLICATION DE QUELQUES
ÉTATS
PSYCHIQUES NORMAUX ET PATHOLOGIQUES 3 ; Par l
sme psychique. La substance protoplasmique des neurones est dans un
état
de vibration continuelle, qui est tantôt plus f
t du dehors, elles seront par cela même condamnées à rester dans un
état
de repos relatif, et dans ces condi- tions tout
is effectué, le contact reste continuel. Si nous admet- tions qu'en
état
du repos et d'inaction, il pût se faire dans un
e sommeil, alors que l'écorce cérébrale entière est plongée dans un
état
de repos relatif, il ne s'opère pas d'interruptio
ns les éléments pyramidaux, qui devient par- tout plus faible qu'en
état
de veille ; et bien qu'il ne se pro- duise pas
s'opère une interruption du con- tact, ce qui n'a lieu que dans les
états
morbides, et ne se produit guère dans un état n
'a lieu que dans les états morbides, et ne se produit guère dans un
état
normal. Le degré de l'influence tonique du prol
s loin, en appli- quant la théorie des neurones à l'explicatin de l'
état
patho- logique connu sous le nom de confusion d
tandis que chez d'autres individus les den- drites entrent dans un
état
actif très lentement et possèdent une certaine
ns riche en contacts avec d'autres neu- rones, qu'elle ne l'est à l'
état
normal et devient en outre, moinsimpressionnabl
ble et ne suffit pas pour soutenir les dendrites terminales dans un
état
de certaine tension et de certain tonus. La fon
veaux ramuscules instables, qui sont incapables de rester dans un
état
de tension, qui est nécessaire pour que le contac
n. Si nous appliquons la théorie des neurones à l'explication des
états
maniaques et mélancoliques nous devons supposer
terminaux s'accroît, et ils acquièrent la fa- culté de passer d'un
état
à un autre avec une rapidité telle- ment exagér
e nouveau avec peine. Nous ne pouvons, comme de raison, expliquer l'
état
d'an- goisse uniquement par cette rapidité des
les proto- LA THÉORIE DES NEURONES. 7 7 plasmiques terminaux. Cet
état
est, d'après l'opinion de Meynert, en rapport a
sque ce n'était pas de la pri- vation de l'ouïe ? II. Examen de l'
état
physique et intellectuel du jeune D... Il nous
nous fut bientôt facile de répondre à cette question. L'examen de l'
état
physique et intellectuel de cet enfant nous eut b
ent défectueux au double point de vue physique et intellectuel. L'
état
physique présentait de nombreuses anomalies : la
d'ajouter le manque de flexibi- lité des organes, conséquence de l'
état
de dégénérescence dont était également affligé
u l'existence de goitre durant la vie, mais 'ce qui importe c'est l'
état
de la glande, la tumeur goitreuse pouvant ne pl
tion des idées, faiblesse du pouls, sécrétion d'une sueur froide. L'
état
du pouls et de la température indique le degré de
le choc traduit une dépression de l'activité vitale, causée par un
état
d'épuisement des centres nerveux et surtout du
le temps le permet, le malade doit être préparé à l'opé- ration. L'
état
moral a une grande importance. L'anesthésie doit
malade vient de subir un grand traumatisme et se présente déjà en
état
de choc, il faut prendre soin de ne pas aggraver
e déjà en état de choc, il faut prendre soin de ne pas aggraver cet
état
. Arrêter les hémorrhagies et désinfecter la pla
rrhagies et désinfecter la plaie. Il ne faut pas opérer avant que l'
état
de choc ne soit diminué. Il est bon d'ad- minis
l'électricité. Le lésion d'un neurone plus élevé ne change rien à l'
état
des nerfs, et des muscles, et par conséquent le
fleuriste, née avant terme, au huitième mois, et venue au monde en
état
d'asphyxie. Dès l'âge de deux mois se montrent
ig. I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 49 la résistance qu'oppose l'
état
spasmodique varie dans des limites assez étendu
nes. La rigidité spas- modique, la nais- sance avant terme, l'
état
d'asphyxie ap- parente comme con- tre-coup d'
rd que certains sympt8meslaissés au deuxième plan par Little, l'
état
paréti- que des membres supérieurs, les trou-
ure posthémiplégique le faisceau latéral du côté contracturé est en
état
de dégénération, donc la contracture est une co
e, diagnostic clinique n'impliquant pas anatomiquement, malgré leur
état
spasmodique, l'existence d'une dégénération de
ionnelles ; par 1\ ICOLLE et Halu'rc. (ibis" na 19, 1SOG.) 1° A l'
état
normal, l'une des pupilles étant seule exposée à
Elles durent plusieurs heures et s'accompagnent parfois d'un léger
état
syncopal. L'apparition et la disparition brusqu
62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VU. Assistance DES aliénés par l'
état
, dans l'état DE NE ? YoR6; par le docteur MACDO
PATHOLOGIE NERVEUSE. VU. Assistance DES aliénés par l'état, dans l'
état
DE NE ? YoR6; par le docteur MACDONALD. L'ass
inue pas moins les errements surannés qui sont fort en retard sur l'
état
relativement avancé de la science. M. Ëscuder s
la mer, dans un pays riant; les malades y seraient occupés dans un
état
de liberté aussi complète que leur état pourrait
y seraient occupés dans un état de liberté aussi complète que leur
état
pourrait le per- mettre, ils subiraient le plus
obtenir la sortie d'individus dont ils ne sont pas aptes à juger l'
état
mental. M. Charpentier regrette aussi qu'il se
ce dont il s'agit. Le D1' Samuel Garnier a été chargé d'examiner l'
état
mental d'un individu qui avait commis un meurtr
facultés en même temps qu'elle amoindrit ou perturbe les autres. L'
état
normal est l'état de tout le monde, ou état moyen
temps qu'elle amoindrit ou perturbe les autres. L'état normal est l'
état
de tout le monde, ou état moyen, ce n'est que p
perturbe les autres. L'état normal est l'état de tout le monde, ou
état
moyen, ce n'est que par cette déséquilibration
vier de l'année 1894 il entra de nouveau à la même clinique dans un
état
encore plus grave et pour cette fois tous les p
ès fort, ayant la fente laryngienne fermée et le diaphragme dans un
état
d'affaiblissement; alors les entrailles paraiss
ond part de cas cliniques, rappro- chés et discutés, pour établir l'
état
actuel de diverses questions de la'neuropatholo
l présente une autopsie confirmative. Un enfant, venu au munde en
état
d'asphyxie apparente, a pré- senté d'abord de l
e lui-même qui, dans une lettre au juge d'instruc- tion, dresse ces
états
de service, et je ne sais rien de plus tragique
abandonner à son abject destin et de demander qu'il soit mis hors d'
état
de nuire. C'est la faillite, devant une force inc
fession et s'installe comme patron à la tête d'une boulangerie. L'
état
continue à s'aggraver : l'amaigrissement général
les nerfs oculomoteurs commun et externe « pas aussi blancs qu'à l'
état
normal » ; G° des anévrismes miliaires sur les
u rôle, des infections et des intoxications dans l'étiologie de ces
états
. Vous savez qu'il est classique de dire que les
A propos du n° 33 de la salle Fouquet je vous exposerai bientôt l'
état
actuel des connaissances sur les lésions du tabcs
franchement et directement inflammatoires. Donc, il s'agit de deux
états
morbides absolument différents, et il n'y a pas
stion plus ou moins doctrinale à soutenir ou à défendre. Les deux
états
morbides doivent être séparés, sans aucun doute ;
ette moyenne d'âge supérieure parait suffisante pour différencier l'
état
, plus commun, de dépression de l'état de démence;
uffisante pour différencier l'état, plus commun, de dépression de l'
état
de démence; car tandis que, dans le premier de
ession de l'état de démence; car tandis que, dans le premier de ces
états
, la dissolution mentale, à la fois plus lente d
vingt ans plus âgés que les maniaques, ils étaient probablement en
état
plus avancé de dégénérescence, et par conséquent
l'on admet que toule modification psychique éveille ou implique un
état
corporel particulier, il en découle naturellement
femme qui avait été très impressionnée de l'accident présentait un
état
mélancolique avec idées de persécution, halluci
expliquer ici par la prédisposition plus grande, chez l'homme par l'
état
d'af- faiblissement dans lequel l'avait plongé
(rVortlc-1V. Lancet, le,* jan- vier 1897.) L'auteur réclame que l'
état
prenne les épilepfiques sous sa tutelle REVUE D
otie, afin de comprendre que la pro- tection des épileptiques par l'
état
est une mesure économique autant qu'humanitaire
Flechsig, avec les symptômes négatifs, ambitieux, et l'absence de l'
état
de confusion. Ce cas, d'un autre côté, ne corre
tre côté, ne correspond pas à la manière de voir de Flechsig, que l'
état
hypocondriaque dépendrait spécialement des alté
e tout soupçon de partialité. Il a pu noter avec soin l'hérédité, l'
état
physique du sujet, le mode de dévelop- pement d
t pas qu'il faille aller jusqu'à la faire rentrer dans le cadre des
états
dégénératifs et la considérer comme le fait Magna
and nombre d'individus chez qui l'inversion existe probablement à l'
état
latent et ne s'est pas développée parce que les
is et scissures corticales au point de vue de leurs rapports avec l'
état
de dégénérescence héréditaire. Pour établir net
rconvolutions et scissures de la substance corticale en dehors de l'
état
pathologique. L'auteur dé- nonce d'ailleurs la
ras gauche. Ensuite successivement : douleurs occi- pito-frontales,
état
vertigineux, photophobie, somnolence, intelli-
te de l'attention de la mémoire et de toute initiative, somnolence,
état
semi-comateux (64 p. 100); quelque- fois satisf
atorze mois après l'opération et un an après cette dernière attaque
état
très satisfaisant et pas d'autres troubles post
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 155 coupes à l'
état
normal, puis celles que l'on rencontre dans l'éta
. 155 coupes à l'état normal, puis celles que l'on rencontre dans l'
état
de lactescence et d'opacité des membranes : les
nal of Mental Science. Janvier 1897.) Homme de trente-trois ans, en
état
de démence : bonne santé générale sauf des trou
constaté chez ce malade qu'une rigidité des muscles trapèzes : son
état
mental ne lui permettait de donner aucun ren- 1
comme le montrent les observations citées, modifier favorablement l'
état
général, et c'est ainsi peut-être que peut s'ex
de la femme, M. Ellis estime que chez tout inverti sexuel existe un
état
neurasthénique qu'il faut d'abord traiter et gu
bord traiter et guérir par une médi- cation appropriée. Lorsque l'
état
neurasthénique est amélioré ou a disparu, com-
l'étude de ces deux cas il tire les conclusions suivantes : 1° Les
états
caractérisés par l'inhibition de l'activité sensi
l suivait ce régime depuis près de sept ans et en était arrivé à un
état
de cachexie complète. Ayant enfin consenti à su
que l'usage modéré du chanvre indien ne détermine absolument aucun
état
fâcheux, physique, intellectuel ou moral. L'abu
quotidiennement, que des ivrognes sortent d'un public-house dans un
état
qui rend indispensable l'interven- tion de la p
. Le cabaretier y regardera à deux fois avant de servir un homme en
état
d'ivresse, s'il sait que son bénéfice de quelqu
, âgé de quinze ans et un peu idiot. Le pauvre garçon était dans un
état
lamentable lorsque, au cours des perquisitions,
la théologie, qui décidé- ment influait d'une façon néfaste sur son
état
cérébral. Mais \III° M... ne tint aucun compte
ixième racine cervicale). La virgule de Schulze (6) n'existe plus à l'
état
de faisceau compact. radiculaire. Au niveau d
r ou l'éosine, nous avons pu apprécier la sclérose névroglique, l'
état
des vaisseaux, etc. L'étude des lésions parench
nglions rachidiens choisis à différents niveaux, nous ont donné l'
état
des cellules d'origine des racines postérieures.
paru passer par plusieurs phases. Au début, la myéline présente un
état
granuleux spécial ; elle est poussiéreuse et se
s centrales de certains nerfs volumineux ; nous croyons plutôt à un
état
moléculaire spécial de la myé- line malade. Pui
tent pas de nombre; le protoplasma n'est guère plus abondant qu'à l'
état
normal ; on trouve souvent, dans son épaisseur,
e myéline. Nous ne pouvons donner aucun renseignement positif sur l'
état
du cylindre-axe au cours du processus tabétique
tera inconnu, on ne pourra, croyons-nous, être renseigné *sur son
état
dans le tabes médullaire. Cependant, quelques pro
it déjà sur ce sujet pour y revenir. Le médecin adjoint qui, dans l'
état
actuel, dit le Dr Dubief, est pour la plupart d
éunion des services se trouvera conservée, pour se soustraire à cet
état
d'infériorité et être à même d'appliquer leurs
es mêmes mains. Dans tous les cas mieux vaut mille fois conserver l'
état
de choses existant qui permet au moins de se co
pensable de l'inscrire dans la loi, mais elle créera le conflit à l'
état
permanent et confiera à la Commission de sur- v
affec- tions mentales sont sous la dépendance directe de certains
états
maladifs physiques qu'il faut savoir discerner, m
teurs-administrateurs n'ont aucune connaissance de l'hygiène d'où l'
état
déplorable des hôpitaux au point de vue de l'hygi
s vénériennes anti-humains, etc., etc. Pour remédier à un semblable
état
de choses, indigne d'un gouvernement républicai
u trijumeau. Aujourd'hui, seize ans après le début des accidents, l'
état
de la malade est le même : elle conserve une pa
génères, cet automatisme débute brusquement et se termine par un.
état
de sommeil et d'épuisement plus ou moins profond
s qui ne sont pas toujours les mêmes, avec pleine conscience de cet
état
par le patient et parfaite intelligence des lettr
ci élimine la préten- due paralysie générale sans aliénation et les
états
psychopathiques sans substratum anatomique appr
n véritable stig- mate paralytique. Dès le début de la maladie, l'
état
démentiel commençant se trahit par l'impuissanc
et, tout au moins, il y a certitude d'une association avec un autre
état
pathologique. M. Régis (de Bordeaux). - Je n'in
conde, c'est qu'il est beaucoup trop variable et trop inconstant. L'
état
démentiel des paralytiques généraux ne leur perme
ne satisfait personne et correspond par sa signification même à un
état
clinique complexe lié à des lésions nécropsiques
quelques pathologistes irréduc- tibles qui persistent à voir en ces
états
deux maladies distinctes sont obliges de reconn
ricéré- brites d'origine toxique (alcoolisme, syphilis, saturnisme,
états
infectieux à lésions plus ou moins graves ou ét
uce très long. Dénucé a rapporté des cas analogues, insistant sur l'
état
nerveux causé par l'état préputial, et qui disp
apporté des cas analogues, insistant sur l'état nerveux causé par l'
état
préputial, et qui disparaissent quand le chirur
ine, ou tout autre phénomène épisodique de même genre, existant à l'
état
isolé et se manifestant pour la première fois, il
stérie. J'ai déjà insisté ailleurs sur les analogies que présente l'
état
mental, des enfants atteints d'incontinence d'u
laquelle cet accident a complètement disparu par la suggestion à l'
état
de veille. M. Régis pense, comme M. Pitres, que
de l'hystérie, quelquefois même coexistant avec elle, il existe un
état
de dégénérescence mentale très favorable à l'éc
inctives, accès de colère, frayeurs nocturnes, etc., etc.). Or, cet
état
de dégénéres- cence se reconnaît à un certain n
l analogue à celui de la nuit. Ils lui vantent les avantages de cet
état
de repos, de passivité. SOCIÉTÉS SAVANTES. 259
CIÉTÉS SAVANTES. 259 Lorsqu'ils jugent que le sujet est arrivé à un
état
de somnolence appréciable, ils s'appliquent par
sommeil provoqué le même langage que d'autres lui adresseraient à l'
état
de veille. La suggestion faite, ils ne négli- g
ds hystériques les expériences les plus capables de déséquilibrer l'
état
mental. Ceux qui soulèvent également cette obje
que qui repose uniquement sur la persuasion employée pour créer des
états
de conscience conformes au besoin manifeste du
risé par la faiblesse et la complaisance du milieu, non seulement l'
état
mental se modifie, mais les troubles spasmo- di
entales pour se limiter aux suggestions nette- ment indiquées par l'
état
du malade, surtout lorsqu'on ne néglige pas de
e M. Bérillon au sujet de l'innocuité de la suggestion pratiquée en
état
d'hypnose. Je connais plusieurs enfants atteint
a été ici le même que chez les adultes. La suggestion pratiquée à l'
état
de veille a amené une guérison très rapide dans
men du sang et des urines ; 3° dans ces trois cas la suggestion à l'
état
de veille a réussi d'une façon parfaite à produir
u'il a vu, en Belgique des malades traités en liberté s'être mis en
état
d'ivresse pendant une ker- messe. M. LE FILLI
remonter dans les antécédents d'un accusé, mais encore rechercher l'
état
mental des ascendants. Quant à apprécier le fai
ou cela signifie que les aliénés qu'on nous amène arrivent dans un
état
qui permet- trait de les guérir; que s'ils ne g
plus de travailleurs. Le traitement de la médecine mentale est à l'
état
embryonnaire. Nous ne savons pas ce que ça donn
Il essaie de montrer que la neurasthénie est la souche de tous les
états
dégénératifs. La conviction ne ressort pas de c
ne allure diffé- bibliographie. 285 rente de celle que comporte l'
état
psychique, elle ne réussit qu'à la fausser, à l
donné un pei.it tableau résumant ce que doit être l'expression des
états
psychiques chez l'homme sain et chez l'aliéné.
sser cette crise et laisser en même temps ignorer à ses maîtres son
état
maladif. Au moment où l'ordonnance est descendu
agner à pied le fiacre qui l'a conduite à l'Hôtet-Dieu. Ce matin, l'
état
de cette fille s'est amélioré, et elle a même p
ité de les séparer, par voie de diagnostic différentiel, des divers
états
mentaux avec lesquels on les a confondus. Il exam
uvent revêtir, eu passant par tous les degrés qui séparent ces deux
états
extrêmes. Il recherche leurs rapports avec les
r des passants, a élé transporté à l'hôpital Lariboisière' dans. un
état
désespéré. D'où la nécessité d'hospitaliser l
ppée de plusieurs coups de couteau dans la poitrine par un fou. Son
état
est grave. Le parquet est sur les lieux. Ce f
mandent, des bulletins rédigés par le médecin en chef, constatant l'
état
physique et moral des malades. Mais transmettre
peu agité quoique la température fut normale; tube digestif en bon
état
, langue rosée, selles régulières, appétit excelle
lle est per- manente; de plus, il n'y a pas de modifications dans l'
état
général du petit sujet; la déglutition se fait
lendemain, 17 juin 1894, j'allais voir chez lui le petit malade : l'
état
était le même, l'enfant s'amusait dans sa chamb
, etc., et ordonne un lave- ment purgatif. Le lendemain matin, même
état
, la constipation assez tenace cède après un sec
vingt-quatre heures les vomissements cessent pour faire place à un
état
plus alarmant : la perte de connaissance est co
ineté du début et l'histoire de cette malade qui avait traversé des
états
analogues et qui avait guéri. La respiration de
a respiration est assez régulière, pupilles dilatées et égales. Cet
état
dura huit jours, puis la guérison survint. En m
le seul cas d'hystérie infantile où j'ai réussi par suggestion à l'
état
de veille à supprimer les accidents. Il n'en es
dans l'article Hystérie en Vendée. Chez eux la suggestion même à l'
état
de veille est très efficace. Observation Il Dia
e la jambe droite; cette paralysie survient en deuxjours sans que l'
état
général de l'enfant paraisse s'aggraver, il march
ction diabétique, sur les caractères de cette hydrurie, enfin sur l'
état
général du petit sujet qui se maintient excelle
myoclonie doit être considérée comme l'expres- sion extérieure d'un
état
neuroclonique des nerfs moteurs. Elle ne doit p
du coeur, comme la rupture des autres muscles, est favorisée par un
état
morbide antérieur. Cette dernière condition peu
omatique qu'on pourrait appeler le syndrome spas- modique..Tous ces
états
pathologiques ont été réunis par Freud dans un
nce à la guérison. C'est pour bien marquer l'origine spinale de ces
états
spasmo- diques ainsi que les conditions étiolog
Un second groupe d'affections spasmodiques pourrait comprendre les
états
spasmodiques survenant chez les enfants pendant l
pyramidaux ; on pourrait les réu- nir provisoirement sous le nom d'
états
spasmodiques infantiles d'origine cérébrale. (R
cérébrale, se demande si la moelle ne peut pas être elle aussi, en
état
de mau- 326 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vai
ée dans le sérum sanguin d'épileptiques idiopathiques, comparée à l'
état
normal. Secondement, il ne parait y avoir que p
trique, pas de troubles sensitifs, pas de troubles trophiques. Cet
état
porte surtout sur les homnes (2T sur 30 cas) de p
dédoublement de la conscience à la suppression du Moi normal (ICI'
état
) et à son remplacement par un Moi patho- logiqu
ues ; cette modification psychique se produit sous l'influence d'un
état
parti- culier d'épuisement cérébral engendré pa
st-à-dire mal ce qu'il lit mal, mais exactement comme il lit. Cet
état
s'est manifesté il la suite d'une attaque apoplec
e cas d'une jeune fille ayant présenté des borborygmes rythmés. Cet
état
d'origine gastrique était favorisé par l'état n
borygmes rythmés. Cet état d'origine gastrique était favorisé par l'
état
névropathique du sujet. Guérison au moyen de la c
e antérieure de la région frontale. Troubles mentaux consécutifs,
état
maniaque, mort en état de mal épileplique. A l'au
gion frontale. Troubles mentaux consécutifs, état maniaque, mort en
état
de mal épileplique. A l'autopsie adhérence du c
l'influence vespérale, il fonde un élément de dif- férenciation des
états
hypersthéniques et hyposthéniques dans les affe
matinée entraîne un abaissement de la vitalité propre à décéler les
états
hyposthéniques : tels par exemple, la neurasthé-
res) accuse un surcroît de cette vitalité de nature à accentuer les
états
hypcrsthéniques, aux- quels paraît se rattacher
réactions respec- tives vis-à-vis du nycthémère, il semble que les
états
nerveux, vésaniques ou autres, puissent se diff
890 et de laquelle il découlerait que cette névrose, loin d'être un
état
hypersthénique, serait l'expression d'un affais
l'occasion d'une intoxi- cation paludique aiguë, ont été pris d'un
état
mélancolique avec stupeur : quelquefois il y a
e peut se remettre rapidement; mais chez d'autres les troubles de l'
état
mental per- sistent et nécessitent leur envoi d
réquentes. Cependant, chez quelques-uns, les trou- bles passent à l'
état
chronique, ce sont alors des prédisposés; le dé
que le retour des accès de fièvre amène une aggravation dans leur
état
mental où même une récidive. Nous devons égalemen
evons également signa- ler que les paludiques peuvent présenter des
états
analogues à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 339 paralys
M. Aug. Vosix. M. Rey a-t-il fait l'examen du sang ? Quel était l'
état
de la rate ? M. REY. L'examen du sang a permis
un cas d'acromégalie à évolu- tion lente, sans retentissement sur l'
état
général et n'ayant amené aucun trouble encéphal
ion thyroïdienne, le corps thyroïde était administré en nature, à l'
état
frais, à la dose de 4 grammes pendant deux mois e
festes des phénomènes psycho-sensoriels qui resteraient latents à l'
état
de veille. Les hallucinations auditives ont bes
lésion de l'oreille si commune à l'âge avancé. La suggestion à l'
état
de veille permet souvent de faire renaître ou d
ure, ainsi que la postérieure, sont deux fois plus fines que dans l'
état
normal ; une arachnite locale très prononcée. S
e en ce que le système nerveux des enfants se trouve encore dans un
état
d'évolution. M. le professeur 1\0RSAKOFF. De l'
musculaire du membre supérieur droit, qui en outre était encore en
état
de contracture; ces phénomènes se développèrent
ique. Il vint au monde sans intervention chirurgicale, mais dans un
état
d'asphyxie pénible. Bientôt après sa naissance fu
lus souvent. Dans les der- nières cinq années s'observait parfois l'
état
épileptique. Avec l'ap- parition de ces accès s
. Joffroy à l'intoxication aiguë et chro- nique de l'alcool. Duns l'
état
actuel de nos connaissances, l'expéri- mentatio
le rit, elle parle avec une plus grande facilité d'élocution qu'à l'
état
nor- mal1. Si un sujet la préoccupe à l'état de
ité d'élocution qu'à l'état nor- mal1. Si un sujet la préoccupe à l'
état
de veille, c'estce sujet qu'elle abordera tout
ment comment, en frappant sur l'épaule d'un hystérique, qui est à l'
état
de veille, et en lui déclarant qu'il ne peut pl
le système nerveux, à le surexciter au point de produire bientôt un
état
patholo- gique qui sera l'hystérie ou la neuras
hypnotisables; chez les sujets non hypnotisables, la suggestion à l'
état
de veille doit être uti- lisée, car elle donne
re la valeur d'un ordre, d'un commandement, c'est la suggestion à l'
état
de veille; il faut convaincre son petit malade
étant donné le carac- tère vaso-paralytique, congestif, le mauvais
état
dans lequel se trouve la nutrition générale des
alytiques généraux est fréquemment onc- tueuse, gluante, glissante,
état
dû à une abondante sécrétion de sébum, qu'on po
on est presque constamment suivie d'une amélioration notable de l'
état
psychique antérieur du malade ainsi que des autre
t, chose notable, leur consolidation est rapide et solide, malgré l'
état
cachectique avancé du malade. Signalons encor
timètres pour les membres supérieurs. Les sens spéciaux sont en bon
état
. La perception des couleurs, du goût, odorat, etc
on et défécation, etc. 1897. Mai : s. Le malade se trouve dans un
état
d'excitation et d'irritabilité extrême, il parl
1 Cf. pour l'étude de l'épaisseur de l'écorce du cerveau humain/à l'
état
normal et pathologique, par Conti et par Cionin
e générale, mais avec conservation très nette.de la conscience de l'
état
morbide par le sujet; plus les troubles symptom
érale avancée, plus le malheureux a conscience de la gravité de son
état
, ce qui est l'inverse dans la paralysie générale
il resta sans pouvoir parler ni comprendre ce qu'on lui disait. Cet
état
d'aphasie motrice et de surdité verbale persista
it est celle du repos et de la récupération. Au jour, correspond un
état
d'éléva- tion, de confiance naturelle et de bon
ity, octobre 1896.) E. B. XXVI. LES lavements d'eau chaude dans LES
états
d'agitation CHEZ LES aliénés; par R. Fronda. (I
saire et qu'on se propose d'empêcher indirectement ou de traiter un
état
d'hyperhéruie cérébrale, active ou passive. J. S.
. Conception psycho-pathologique de l'obsession. L'obsession est un
état
morbide à base émotive.-Sans entrer dans de lon
2e série, t. IV. 27 418 sociétés savantes. S'il en est ainsi à l'
état
physiologique, il ne peut en être autre ment à
est ainsi à l'état physiologique, il ne peut en être autre ment à l'
état
pathologique. Considérons par exemple l'impulsion
on. » A la base de toute activité physique, déclare Féré, il y a un
état
émotionnel en rapport avec une excitation local
ore l'obsession dans son fondement, dans son essence. Tels sont ces
états
d'anxiété diffuse qui ne se précisent que d'une
ixe et sans impulsion ; il n'y en a pas sans émotion, et, dans tout
état
obsédant, on retrouve, plus ou moins marqués, l
'intellectualiser. L'obsession est donc, comme l'avait vu Morel, un
état
morbide foncièrement émotif. Classement nosol
, un état morbide foncièrement émotif. Classement nosologique des
états
d'obsession. Cette conclusion n'est pas seuleme
rationnelle. Si l'émotion est, en effet, l'élément fondamental des
états
d'obsession, c'est évidem- ment elle qui doit s
e sont les obsessions proprement dites. On a donc ainsi une série d'
états
obsédants, qui, partis de la forme la plus élém
rmédiaire ou de transition. Nous étudierons successivement : i° L'
état
obsédaut à anxiété diffuse ou panophobique ; 2°
ement : i° L'état obsédaut à anxiété diffuse ou panophobique ; 2° L'
état
obsédant à anxiété systéma- tisée ou monophobiq
2° L'état obsédant à anxiété systéma- tisée ou monophobique ; 3° L'
état
obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. ' C'
progressif plus complet, au point de vue clinique, la division des
états
obsédants en phobies et obsessions vraies, adop
emier cas, celui que nous avons en vue ici, les sujets sont dans un
état
permanent de tension émotive, qui éclate brusque-
, de Mac Farlane). Attente anxieuse. Le symptôme prédominant de cet
état
pano- phobique est ce que Freud appelle très ju
'attaque en elle-même, elle est essentiellement t constituée par un
état
d'angoisse, soit simple, soit associé à une sen
andulaire. Cas d'anxiété diffuse ou panophobique. Les exemples de l'
état
anxieux panophobique ne sont. pas rares. On en
matisée, ou monophobique (phobie proprement dite). Comme les antres
états
obsédants, mais d'une façon plus nette encore,
et cinquante ans surtout, comme l'avait déjà remarqué Morel, mis en
état
d'opportunité morbide par des fatigues, du surm
es, du surmenage, une maladie, qui ont créé ou accentué chez eux un
état
névropatique, hystérique ou hystéro-neurasthé-
e notre cerveau. Séglas dit : « L'obsession n'est, en résumé, qu'un
état
particulier de la désagrégation psychologique, un
vue de l'idée, l'obsession du délire, c'est que, dans lèpre-, mier
état
, la conscience se révolte contre l'invasion de la
e plus mauvais moment de lajournée. D'autres, au contraire, dans un
état
supportable durant le jour, sont pris tous les
t chez les hystériques, sans qu'ils en aient souvent conscience à l'
état
de veille. L'obsessionse manifeste habi- tuelle
re moyen de protection, l'impulsion reste heureusement chez lui à l'
état
statique. 1 Si l'obsession impulsive aboutit pa
incompatible avec la libre déter- mination. Mais lorsqu'il s'agit d'
états
comme l'obsession, dans lesquels les facultés i
oujours alors sous forme de phobie diffuse ou systématisée, avec un
état
anxieux permanent et très intense. Elle dure un
il était dans la période d'accès ; il se souvient parfaitement de l'
état
d'anxiété dans lequel il se trouvait ; il en dé
e début brusque moins sérieux que le début lent et insidieux. Les
états
obsédants sont, en principe, d'autant moins grave
sont ici de véritables hallucinations du sentiment. Et, parmi les
états
purement émotionnels, les phobies diffuses sont
dans la maladie au point de vue de la symptomatologie clinique : 1°
état
obsédant panophobique ou phobie diffuse; 2° éta
ogie clinique : 1° état obsédant panophobique ou phobie diffuse; 2°
état
obsédant mono- phobique ou phobie systématisée;
diffuse; 2° état obsédant mono- phobique ou phobie systématisée; 3°
état
obsédant monoïdéique ou obsession, se trouve co
IL La forme psychique de l'obsession est un concept con- nexe à l'
état
psycho-moral de la personnalité. III. L'obses
l'émo- tivité morbide, exagère, par l'autonotion de sa qualité, l'
état
émotif jusqu'à l'angoisse. Idées fixes. I.
sentation psychique élémentaire, n'ayant pas de re- lation avec l'
état
psycho-moral de la personnalité. III. L'idée
. Idées fixes. IV. L'idée fixe n'est en action que pendant les
états
aprosexi- ques ; lorsque la personnalité est
VIII. L'idée fixe est, un trou- ble fonctionnel observable à l'
état
physiologique aussi bien qu'à l'état pathologiq
e fonctionnel observable à l'état physiologique aussi bien qu'à l'
état
pathologique, des individus dégénérés ou non dé
e des éléments chromatophiles et de ces altérations dans les divers
états
pathologiques. La grande -découverte qui a été
, mais, une chose essentielle à noter, c'est, que le noyau qui, à l'
état
normal, occupe le centre de la cellule, émigré
rte d'étudier. Or, cette étude du noyau des cellules nerveuses, à l'
état
normal comme à l'état pathologique, est général
te étude du noyau des cellules nerveuses, à l'état normal comme à l'
état
pathologique, est généralement laissée au secon
s dans la .Nouvelle Iconographie de la Salpétrière (1897), étudié l'
état
des ,cellules nerveuses médullaires dans la rag
it d'une solution alcolisée d'arséniate de sodium et de mercure à l'
état
métallique. Dès la première dose, notre malade
alysie et une anesthésie des mains et des pieds. Voici d'ailleurs l'
état
de notre malade le 7 avril 1897, jour de notre
ré, mais ouvert; sa lumière est souvent beaucoup plus grande qu'à l'
état
normal (tendance à l'hydromyélie); sa configurati
15 et 26 grammes. Après chaque injection, l'animal tombait dans un
état
de sono- lence, et, au réveil, présentait les p
l'innerva- tion cardiaque, jusqu'à la réintégration complète dans l'
état
nor- mal ; c) Soulagement corrélatif des altéra
ent du tabes. La principale indi- cation dans le tabes doit viser l'
état
général du malade et tâcher de relever 'par un
nt pour excipient la mie de pain, qui réduit une portion du sel à l'
état
métallique ; une autre portion est transformée en
rayons électriques (2° mémoire) ; par M. B. Danilewshy ; Action des
états
variables du courant galvanique sur les nerfs s
observateurs ont éta- bli que l'alcalinité du sang diminue dans les
états
diathé- siques (diabète, rhumatisme, cachexie,
de réduction avec diminu- tion de l'oxyhémoglobine, comme dans les
états
d'épuise- ment consécutifs aux traumatismes, au
ation dans le sang de carbamide acide d'ammoniaque qui devrait, à l'
état
normal, se transformer en acide urique (Krauski
taques n'était pas l'indice d'une relation de cause à effet entre l'
état
de l'alcalinité du sang et le phéno- mène convu
vulsif. Et nous nous sommes crus autorisés à tenter de modifier cet
état
par une intervention thérapeutique. Tandis que
Etat général satisfaisant. T. 37° à 37,5. Pas de modification de l'
état
mental. Les attaques reparaissent isolées. Le
Le sommeil et l'ap- pétit sont réguliers. Pas de modification de l'
état
mental. Les attaques ont repris leur fréquence
très nombreuses (voir tableau plus loin). Pas de modification de l'
état
mental. Poids de la malade avant les injections
124 grammes de sels alcalins. Les modifications produites dans l'
état
physique ont été une élévation peu considérable
nué à s'émacier, son alimentation est devenue insuffi- sante et son
état
très inquiétant. Au bout de deux mois elle a ét
ue depuis plus de sept ans. L'excila- tion est tombée subitement. L'
état
physique s'est restauré. L'état mental est sati
la- tion est tombée subitement. L'état physique s'est restauré. L'
état
mental est satisfaisant. Les attaques sont devenu
mois après la cessation des expériences, D... se maintient dans un
état
satisfaisant. Elle continue à mar- cher. Les at
s 5, 6, 7. 8, injections de 40 cent, cubes. Sans modifications de l'
état
général. · Le 10, injection de 40 cent. cubes s
ons, sueurs, anurie. T. 38°. Au bout de quelques heures retour il l'
état
habituel. ' ' Le 11, injection de 30 cent. cube
novembre, à la suite d'une série très nombreuse, B... est tombée en
état
de mal et est morte dans le coma. OnSFRYATJO :
disparu. Les séries épileptiques sont de plus en plus nombreuses. L'
état
physique est restauré. L'état mental est amélio
es sont de plus en plus nombreuses. L'état physique est restauré. L'
état
mental est amélioré. Il se produit en moyenne d
de 4 à 5 heures ; elle est annoncée par des coliques et suivie d'un
état
de dépression mélancolique. Du 1er au 7 juill
u'à 5 il 10 par mois. toujours nocturnes, très violente^, suivies d'
état
impulsif. Affaiblissement intellectuel, irritab
njections. Trois mois après, la malade a repris son embonpoint. Son
état
physique et mental est tel qu'il a été résumé p
lement. Un peu d'amaigrissement. Aucune modification notable dans l'
état
physique et men- tal. Augmentation du nombre de
e courte période de subexcitation et suivies d'une aggravation de l'
état
mé- lancolique avec idées de suicide. S'occupe
ile à la suite des premières injections. Aucune modification dans l'
état
physique. Très légère augmentation du nombre de
l'alcalescence sanguine à la suite des injections. Aggravation de l'
état
dépressif post- paroxystique. Observation VIL
riles à la suite des premières injections. Pas de modification de l'
état
phy- sique. Augmentation du nombre total des at
emières injections seulement. Aucune modi- fication importante de l'
état
physique et mental. Diminution du nombre des at
u poignet. Les avant-bras, les bras, tout en étant plus gros qu'à l'
état
normal sont cependant loin d'être aussi hypertr
es sont augmentées de volume. La langue est plus volumineuse qu'à l'
état
normal. Thorax. Notre malade présente aussi une
séjourné quarante-huit heures, arrive signalée comme présentant un
état
maniaque aigu, n'offre à l'entrée qu'un état de
ée comme présentant un état maniaque aigu, n'offre à l'entrée qu'un
état
de confusion mentale probablement consécutif. E
progressivement, et au bout de la quinzaine cette femme sort de son
état
d'apathie et demande à s'occuper. Sans avoir be
un mois de calme absolu, eile est visitée parle mari^qui trouve son
état
très satisfaisant et déclare que sa femme est r
son état très satisfaisant et déclare que sa femme est revenue à l'
état
normal. Sa sortie lui est alors accordée et ell
xions. Si l'on veut bien maintenant se rappeler la description de l'
état
physique du sujet de notre observation, on sera
blement presque disparu; la digestion était devenue assez facile, l'
état
de vacuité de l'estomac ne déterminait plus de se
ne déterminait plus de sensa- tion angoissante ou syncopale. Cet
état
persista un an et demi. » Au mois d'août 1890,
luence de ces hallucinations et de l'insomnie, il e=t tombé dans un
état
de tristesse excessive qui lui fait désirer la
a teinture thébaïque est continuée, mais à dose décroissante. 18. L'
état
mental persiste bon. Suppression de l'opium. Le
almie. Urines : ni sucre ni albumine. Traite- ment bromure. 25. L'
état
mental est bon. Persistance des accès de suffocat
n. Persistance des accès de suffocation. Insomnie très tenace. Même
état
du corps thyroïde. 1er juin. Traitement thyroïd
n- dant ce long intervalle, de vingt-cinq à quarante-trois ans, l'
état
mental du malade actuel n'est point celui des' ba
e qu'à la gaîté, sans qu'on puisse le considérer comme maladif. Cet
état
psy- chique était plus accentué pendant les pér
ciation morbide temporaire, ou plutôt comme une forme spéciale d'un
état
mental propre au goitre exophtal- mique ? C'est
de thyroïdienne, soit créés par nne hypersécrétion thyroïdienne, un
état
psy- chique caractérisé et par les symptômes de
'encontre des psychoses à forme dépressive, alors que logiquement l'
état
cérébral de cette affection semble conduire nat
phtalmique a dimi- nué jusqu'à disparaître complètement, sans que l'
état
mental en subisse un amoindrissement. Le malade
dire : 3° Le syndrome maladie de Basedow est capable de créer un
état
psychique spécial qui peut se transformer en foli
e, inconvenante, et elle se croit au même moment vue dans le même
état
par sa vis-à-vis, etc. M. Freud apprend en outre
gérés par l'émotion, avec addition de cris qui rappellent l'oie. Un
état
psy- chique préside à ces convulsions faciales
ments, sous des influences psychiques bien moindres, par suite de l'
état
de tension où se trouvent les centres. La volon
ié gauche du visage. La complète déchirure de certains muscles et l'
état
électrique de ceux qui sont respectés indiquent
estructions osseuses très étendues, auxquelles contredit en effet l'
état
de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 507 l'oreill
naire, qui succombe à l'epilepsie même, est généralement tué par un
état
de mal dans lequel on distingue un stade convulsi
té insuffisant. Ce qui fait que cette thérapeutique échoue, c'est l'
état
général insuffisant du malade, les lésions trop
iL l'énergie des effluves odigues de l'opérateur. Du traitement d'
états
d'angoisse et de contrainte. M. OTTO DORNBLUTH.
t la codéine donne les meilleurs résultats quand on a affaire à des
états
graves et invétérés d'angoisse et de contrainte;
l'innervation cardiaque, jusqu'à la réintégration complète dans l'
état
normal; c) soulagement corrélatif des altérations
riminelles. Un acte délictueux ou criminel peut être commis dans un
état
de condition seconde ou vie somnambulique, d'or
ntales; par A.-A. TOKARSKY (Moscou). Le sommeil hypnotique est un
état
physiologique spécial, qui se caractérise par l
presque complète de l'activité psychique. Dans beaucoup de cas cet
état
est accompagné de la plus grande suggestibilité
as cet état est accompagné de la plus grande suggestibilité. Mais l'
état
hypnotique et la suggestibilité ne dépen- dent
sommeil hypnotique et vice versa. Au point de vue thérapeutique l'
état
hypnotique a autant de valeur que la suggestion.
que de courte durée. Par conséquent au point de vue thérapeutique l'
état
hypnotique et les suggestions négatives, ayant
hé- rapeutique donne les meilleurs résultats dans le traitement des
états
d'excitation générale du système nerveux, quell
mentale se manifeste que sous la condition de l'amélioration de l'
état
général du système nerveux. Par exemple, la dispa
ée par la disparition de l'excitation générale, de l'insomnie, de l'
état
affectif, inappé- tence, etc. Dans l'applicat
s probables, parce que la plupart des suggestions indirectes ou à l'
état
de veille ren- trent dans le domaine de l'influ
quatre jusqu'à quarante-huit heures, et le malade tom- bait dans un
état
de mal épileptique chaque fois qu'elles arrivaien
AVANTES. 521 attaques était grand; il était, de plus, tombé dans un
état
voisin de l'idiotisme. Aussi M. Voisin pensa qu
é, ni du côté du globe oculaire ni ailleurs. Il en est de même de l'
état
général des opéréss qui reste parfait et même s'a
upart des troubles oculaires et diminuer les autres (goitre, pouls,
état
ner- veux, etc.), prouvent que le traitement de
, évolutionné par le milieu. Le milieu, cause déter- minante de ces
états
de caducité en évolution. est un élément bio- l
favori- sant les régénérations, et ne doit pas tendre à guérir des
états
pathologiques qui sont toujours la manifestatio
aissé de côté l'étude du rôle que joue le tissu musculaire dans les
états
physiologiques et pathologiques de l'appa- reil
s fibres musculaires lisses de l'appareil digestif en présence de l'
état
pathologique de la muqueuse et de ses sécrétions,
ne susceptibilité, une irrita- bilité de la fibre musculaire lisse (
états
moraux, fatigues, surine e nage, névropathie, h
s nerveux gastro-intestinaux, exercent une influence fâcheuse sur l'
état
général de la constitution. Il se crée ainsi de
âcheuse sur l'état général de la constitution. Il se crée ainsi des
états
morbides qui varient suivant la localisation des
aliénés qui entrent à l'asile, 80 au moins sont déjà tombés dans un
état
de complète incurabilité. Ce n'est pas à dire q
adjoint visite, au moins une fois par semaine, et plus souvent si l'
état
de l'aliéné l'exige, les curables, et une fois
s qu'une seule dans le cours d'un épisode délirant, et à cause de l'
état
mental parliculier du malade, en raison aussi d
ion ner- veuse héréditaire ou personnelle, par l'anémie, le mauvais
état
général, par l'âge, le sexe et par toutes les c
le sexe et par toutes les causes qui mettent le système nerveux en
état
de moindre résistance. DUCAUP. VARIA. Traitem
pre- miers soins lui furent données, et de là, à l'Hôtel-Dieu. Son
état
est désespéré. « Duchesne a été arrêté. Il pr
montré que les magistrats ont le devoir, en dehors de l'examen de l'
état
intellectuel de l'enfant, de s'assurer de son d
i constituent une charge pour une société égoïste et retournant à l'
état
sauvage. Pour nous, nous pensons que le devoir
oubles de l'écri- ture, par Maack, 230. Angoisse. Traitements des
états
d' - , par Dorubluth, 512. ANTI-ALCOOLIQUE. C
ones. Théorie des - eu rap- port avec l'explication de quel- ques
états
psychiques, par Sou- manoir, 15. NE 0 lOl YCI
la formation ammonique telle qu'on la trouve chez les rongeurs à l'
état
adulte. C'est ce que montre les figures 16 et 1
ouvée dans les plexus choroïdes ; jamais elle ne fut rencontrée à l'
état
de liberté dans les ventricules. (Voy. M. Sée,
Pour ce qui est des fibres nerveuses de cette portion du nerf, à l'
état
dissocié et traitées par l'acide osmique 42 ) A
est im- possible de s'y arrêter. Il a, du reste, conscience de cet
état
. Les phénomènes intellectuels sont accompagnés
é une maladie nouvelle. Confondue pendant longtemps avec d'autres
états
morbides, particulièrement avec la poly- sarcie
t qui constitue l'un des traits les plus caractéristiques du nouvel
état
morbide. C'est ainsi qu'il compare la forme des
tions se rapportent à des femmes et que ces dernières présentent un
état
intellectuel voisin du cré- tinisme. Aussi 'pro
- tinisme. Aussi 'propose-t-il d'appeler l'affection nou- velle :
état
crétinoïde pouvant subvenir chez les femmes à l
nou- velle : état crétinoïde pouvant subvenir chez les femmes à l'
état
adulte. L'auteur se borne à décrire très nette-
en soit, il s'agit d'une petite fille de quatre ans, présentant un
état
de crétinisme très accusé, avec embonpoint cons
ellec- tuelle, engraissement considérable, sécheresse de la peau,
état
pachydermique de la paume des mains et de la pl
ient en même temps ». En résumé, l'auteur voit dans le myxoedème un
état
mor- bide affectant l'ensemble de l'organisme.
fonde, altérations remarquables de la- peau et du tissu cellulaire,
état
cérébral particulier. La fin de ce travail comp
lentement et n'est pas complète à 7 ans. Actuellement on observe :
état
d'inertie avec obtusion intellectuelle et apath
ût 1880, n° 35.) DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 69 ment renversée (
état
dû en partie à une rétraction cicatricielle de
enté de se suicider en pre- nant une grande quantité d'opium. A cet
état
de mé- lancolie, qui cesse au bout de trois moi
illeurs mauvais goût aux aliments. Enfin , le patient tombe dans un
état
de léthargie très prononcé et on note à côté d'
es sont affai- blies. Au bout de deux ans, il survient un véritable
état
de manie qui nécessite l'entrée dans un asile.
'attention est affaiblie, le jugement faux, la mémoire en assez bon
état
. Elle est affectueuse à l'égard de ses enfants.
dans la gauche, 97 ? F. (3G ? C). Le traitement n'a pas modifié l'
état
cachectique de la malade. Dans la même séance d
ations fréquentes des sens spéciaux, pouvant entraîner un véritable
état
de manie (Savage). Cependant, l'état habituel e
pouvant entraîner un véritable état de manie (Savage). Cependant, l'
état
habituel est plutôt un état de lassitude, de st
le état de manie (Savage). Cependant, l'état habituel est plutôt un
état
de lassitude, de stupidité qui rappelle assez b
igner à entrer à l'hôpital. A cette époque, 2G juillet, voici son
état
: L'amaigrissement est considérable et porte no
naître que le foie est diminué de volume. Les jours suivants, même
état
, le liquide de l'ascite se reproduit rapidement
e en l'air, retombent lourdement comme des masses inertes. Malgré l'
état
de stupeur du malade, on peut apprécier la sensi-
a projeter au dehors. On se rend facilement compte aujourd'hui de l'
état
de la sensi- bilité ; l'hémianesthésie persiste
s de la bouche. 7 sept. Les forces diminuent; l'appétit est nul ; l'
état
général s'aggrave. 12 sept.L'hémiplégie, avec
uelques mots à sa disposition; il remue la langue en tous sens. Cet
état
reste le même jusqu'à la mort qui arrive sous l
au sujet de la rigidité de la char- pente musculaire qui passe à l'
état
de permanence durant le dernier mois en même te
e ( Verneuil Si comme tend à le croire l'auteur, il est vrai qu'à l'
état
normal on peut constater sur les nerfs périphér
do suppuration qui succède à la; lésion.'Plusieurs malades, dont,,l'
état
paraissait 1 désespéré, Ont été sauvés par ce tra
femmes. - . - " Si l'on recherche' quelles sont les maladies ou les
états
anor- maux qui existaient chez les' sujets que
amment, dans le processus réticulaire. Dans plusieurs endroits, cet
état
avait amené de petites hémorrhagies. Les vaisse
oisin estime, dans ce cas, que le délire fébrile pouvait tenir a un
état
congestif des'centres- nerveux, 'comme r'b'iit'eà
e'crois - qu'il faudrait réserver l'antonomasie pour dé- terminer l'
état
d'un malade qui, sans employer un terme impropre,
le demande si les individus dont il est question mani- festent leur
état
dansée langage écrit comme .ils le manifestent
on. V. - 11, Le Dr LÉo lit deux rapports médico-légaux concernant l'
état
mental d'unjournaherde trente-deux anset d'un m
un grand esprit ouvert aux aspirations les plus nobles. Navré de l'
état
de délaissement où se trouvaient, dans son pays
en revue les différents mots usités pour caractériser les nombreux
états
d'aliénation, il n'a pas de peine à montrer leu
r constate du reste que le plus souvent l'aliénation mentale est un
état
composé de différentes formes élémentaires plus
lique à la première période. « Dans le plus grand nombre des cas, l'
état
mélancolique s'annonce par des phénomènes précu
mpressions le fatiguent, tout lui devient une charge. » C'est cet
état
de souffrance qui marquerait, du reste, pour Gu
les phénomènes que nous venons de décrire comme se rattachant à cet
état
nerveux spécial désigné sous le nom d'hyperexci
, ce qui n'a pas lieu pour le côté droit. La malade est toujours en
état
de veille et cette expérience est faite presqu'
ar l'action d'une lumière très intense. Elle entre d'abord dans l'
état
cataleptique qui persiste indéfiniment, et alors
ous avons vu plusieurs fois dans le cours de nos expériences, cet
état
musculaire spécial disparaître tout d'un coup pou
musculaire spécial disparaître tout d'un coup pour faire place à un
état
paralytique localisé à un seul côté du corps et
is sans manifester le mécontentement qu'un réveil dans un semblable
état
semblerait devoir lui causer. Elle fait quelque
ndant sans dilficulté par la pression des globes oculaires. Le même
état
hémi- paralytique persiste. Au bout de quelques
fait qui précède, l'expé- rience suivante dans laquelle, pendant l'
état
somnam- bulique, alors que, suivant la règle, l
a tête dans le sommeil sans hyperexcitabilité neuro-mus- culaire ou
état
somnambulique. L'excitation mécanique directe o
aite. La catalepsie n'est plus possible par l'ouverture des yeux. L'
état
de la motilité est le même par tout le corps.
de la motilité est le même par tout le corps. Nous recherchons l'
état
de la contractilité électrique que nous trouvon
exes tendineux aux deux bras sont manifeste- ment exagérés. Le même
état
persiste un quart d'heure environ avec quelques
minée. Mais aussitôt les yeux se ferment et la malade tombe dans un
état
de résolution tel que nous n'en avons jamais ob
'un côté sur l'autre suivant qu'on cherche à la redresser. Dans cet
état
les réflexes tendineux sont fort exagérés. Le c
ères se ferment d'elles-mêmes. Pendant que les yeux sont ouverts, l'
état
mus- ' culaire ne change pas, pas de catalepsie
at mus- ' culaire ne change pas, pas de catalepsie possible, même
état
des réflexes, même résolution, Bientôt la malad
s yeux sont fermés, et lorsqu'ils sont ouverts, aucune tendance à l'
état
ca- taleptique. Enfin la résolution musculaire
ocalisation précise soit possible. Ce n'est en somme qu'une sorte d'
état
rudi- mentaire de l'hyperexcitabilité neuro-mus
état rudi- mentaire de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, et l'
état
cataleptique qui suit l'ouverture des yeux ne p
montrent le sommeil hypnotique à un degré fort incomplet, sorte d'
état
rudimentaire. Les phénomènes psychiques sont nu
sorte d'état rudimentaire. Les phénomènes psychiques sont nuls, l'
état
cataleptique n'existe pas, pas plus que l'aptit
à la contracture, est le lien qui rattache ces faits incomplets à l'
état
de léthargie hyp- notique entièrement développé
ugineux, nourriture substantielle, lait d'ànesse pendantun mois), l'
état
général ne tarda pas à s'amen- der. Le teint re
gré quelques dou- leurs gastralgiques, Honorine se trouvait dans un
état
de santé relativement bon, se livrant sans diff
l'asile sur ces entrefaites, elle resta quelque temps dans le même
état
psychique, prenant les gardiennes pour des homm
es mains et à la plante des pieds, en même temps que s'amen- dait l'
état
psychique et que disparaissaient progressivement
ême journée; on aurait dit une véritable action purgative. Enfin, l'
état
psychique finit par s'améliorer à un point tel
On constate simplement un peu de diminution de l'acuité visuelle. L'
état
mental est excellent : la malade est raisonnabl
: la malade est raisonnable. Pour tout ce qui est en dehors de l'
état
psychique ou sensoriel, il existe, d'après notre
sensiblement de ceux d'une personne ordinaire, si l'on né- glige un
état
de sécheresse particulier de la peau. L'améliora-
oursouffléo. Les dents ont toujours été et sont encore en assez bon
état
(il ne manque qu'une incisive); elles déter- mi
saillie du mollet, la jambe va s'amincissant beaucoup moins qu'à l'
état
normal. D'ailleurs, dans quelque partie du corp
e coloration blanchâtre, un peu cireuse dans certaines régions ; un
état
de sécheresse et de rudesse très marqué. La séc
i ne présente au microscope aucun caractère bien par- ticulier. Cet
état
de l'urine est dû probablement à un peu de cata
er, etc.). Il en résulta promptement une amélioration réelle dans l'
état
général de la malade. Cette observation présent
t et arriver à une guérison complète, à mesure que s'amé- liore l'
état
des téguments. Une particularité non moins inté
31. Charcot, parce qu'elle nous paraît de beaucoup la meilleure. L'
état
de cachexie que présentent tous les malades, es
udat muqueux. Dans quelques cas, les dents se trouvaient en mauvais
état
, étaient fragiles, cariées, tombaient. Au cou
ion mucoïde'détermine des rides profondes sur la nuque. En avant, l'
état
du corps thy- roïde est très intéressant. Presq
un hémiplégique ou l'articulation embarrassée de l'épileptique. Cet
état
du langage s'accompagne de lenteur corporelle e
ux d'exercer leur esprit ou leur corps, ils restent plongés dans un
état
de somnolence presque continuel. Le moindre eff
gue. Cepen- dant, lorsqu'on les met en colère, ils sortent de cet
état
d'inertie : la parole et les actes prennent une
l'arithmétique (Hammond). Enfin on peut voir survenir un véritable
état
d'aliéna- tion mentale avec ou sans illusions e
es sens spéciaux, ('/est ainsi qu'on a observé de la mélancolie, un
état
de manie avec violence et inco- hérence du lang
cution, qui disparaissent lorsque la muqueuse digestive revient à l'
état
normal. Des faits identiques Ll : L.1 C.ICHls11
o- gique nettement définie et que l'on distingue facile- ment des
états
morbides tels que les affections car- diaques o
pas à porter le diagnostic ». Quelle place doit occuper le nouvel
état
morbide dans le cadre nosologique ? Ici nous re
abilité de la peau fermée à toute excrétion ? ou bien est-ce dû à l'
état
de dyspepsie, si fréquent chez ces malades ? Il
rêves. Il nous est arrivé un joui', pendant qu'elle était dans cet
état
, de provoquer un accès par pression sur un de s
vrir la pupille, et par conséquent provoquer de catalepsie dans cet
état
. Description de l'attaque. Que l'attaque soit s
jusqu'à la fin do l'at- taque ; elle revient ensuite lentement à l'
état
normal. Cette observation présente plusieurs fa
e violet qui est w grs et le jaune clair qui est vu blanc sale. L'
état
de la sensibilité oculaire est en rapport avec ce
morbide dans tout le côté, cependant elle est oppressée. 25. Même
état
. Trente ventouses sèches. 26. Douleurs dans l'é
gion pré- cardiale. Salicylate de soude, 6 grammes. Lait. 4. Même
état
. T. 10°, 1 le matin, 40°, 4 le soir. Même trai-
bour- donnements d'oreilles, battements dans les tempes) malgré l'
état
du coeur, on administre de l'éther avec précautio
77 à la garde-robe, il est tombé sur le sol et est resté dans cet
état
, ayant gardé, dit-on, toute sa connaissance ( ? )
s'est produit, parait-il, un amaigrissement considérable. A part l'
état
parétique dépendant de l'ictus primitif, le mal
sion et pansement de Lister. 1881. 10 juin. - Le malade présente un
état
d'agitation considérable, cherche à sortir du l
Un accès hier. Ce matin l'excitation maniaque est remplacée par un
état
de torpeur très prononcé ; la respiration est r
23 juillet. Le malade, qui depuis quelque temps était revenu à son
état
normal, retombe aujourd'hui dans la stupeur et
ec rhum et extrait de quinquina.) Soir : T. R. 39°,2. 24 juillet. L'
état
adynamique s'accentue. Les lèvres et la langue
is, ainsi que nous l'avons observé nous-mêmes on juin dernier, un
état
de torpeur qui persistait deux ou trois jours. Il
ésions du lobule de l'insula. REVUE CRITIQUE CARACTÈRE, MOEURS,
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES' Par le Dr Henri HUCHARD
roduire ; mais aucun d'eux n'insiste d'une façon particulière sur l'
état
des facultés mentales ou affectives ; aucun d'e
et taciturnes, gardent un mutisme complet, restent plongées dans un
état
de rêverie, de dépression mentale dont on peut
qu'au- i Annales d'hygiène publique et de médecine légale, 1863.
ÉTAT
MENTAL DES HYSTERIQUES. 189 jourd'hui elles ne
ans l'Iconographie photographique de la Salpdt;,iè,e (1876-1880).
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 191 leur absence de con
soutiennent. Elles sont surtout affectées de ce subdélire ou de cet
état
malicieux (ainsi désigné par M. Daily) qui les
es préparatifs en silence, loin de tout regard indis- 1 Dally. De l'
état
et du délire malicieux (Ann. med. psych. 1877,
u- Mlaminond. Maladies du système nerveux. Trad. française, 1879.
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 193 vent vaniteuse et o
comme pour l'anorexie hystérique, qui est plutôt le résultat d'un
état
mental que d'un état gastrique, l'entourage est
ie hystérique, qui est plutôt le résultat d'un état mental que d'un
état
gastrique, l'entourage est l'obstacle à la guér
édico-légale sur la folie, Paris, 1880. Morel. Éludes cliniques.-
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 195 d'une hystérique, q
, 1858. Duponchel et Chabrun, thèses de Paris, 1874 et 1878; etc.
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. t97 Î Quelquefois elles
cahier XLVI des Causes célèbres de tous les peuples, par Fouqumr.
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. M 99 convulsivement ses
ans laquelle les laissent toutes les affections d'une durée plus ou
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 201 moins longue dont e
é de, leurs accidents morbides ; elle est due aussi et surtout à un
état
.-cérébral singulier qui mérite de nous arrêter
conversation animée, ce qui a pu faire dire avec raison que même
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 203 avec ces profondes
HYSTÉRIQUES. 203 avec ces profondes aberrations du sens moral, cet
état
diffère de lafolie réelle, et qu'il constitue p
t, pour- rait-on dire encore. Toutes les diverses modalités de leur
état
mental que nous avons cherché à étudier, peuven
ncelante ou défaillante, c'est parce qu'elle est sans cesse dans un
état
d'équilibre instable, c'est parce qu'elle tourn
norexie invincible, elle se refusait à manger depuis des mois, et l'
état
était devenu très grave, voisin de la cachexie
de gré ou de force, plusieurs verres d'eau froide coup sur coup.
état
mental DES HYSTÉRIQUES. 205 pouls petit' et mis
etit' et misérable, jambes légèrement infiltrées ? En présence d'un
état
si menaçant, M. Charcot prend' une' grave déter
nts, vous m'avez parlé d'une grosse voix ; j'ai senti alors que mon
état
était réellement grave, j'ai voulu manger, et j
. En terminant ces considérations sur le caractère, les moeurs et l'
état
mental des hystériques, il est nécessaire de dé-
otte mobilité de caractère qui est l'un des^ traits principaux de l'
état
mental des hystériques. IX. Cette étude présent
tort l'hypocondrie à l'hystérie ; nous ne confondons pas ces deux
états
morbides si différents, mais nos observations nou
tôme précurseur de l'hystérie qui va naître à un âge plus avancé.
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 207 D'autres fois, on r
s et thérapeutiques sur les mala- dies des enfants, 1880, p. 135.
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES. ' 209 lalgie très inten
on '. Dans ces cas, ajoute si judicieusement M. West, c'est moins l'
état
du corps que celui de l'esprit qui doit éveiller
es jeunes épileptiques. En est-il de même chez les adultes, et leur
état
mental a-t-il son reflet sur leur physionomie;
naître des hystériques. Nous avons suffisamment dé- montré que leur
état
mental est surtout formé de contrastes, qu'une
ts allemands un nouveau procédé juridique à suivre pour déclarer en
état
d'aliénation (démencedu Code français) et frap-
h. u. Nex·venlc., 1880.) L'enfant dont il s'agit, venu au* monde en
état
de microcé- phalie, ainsi qu'on peut s'en conva
cet arrêt de développement, indiquée par le rapprochement entre l'
état
à peu près parfait des organes visuels et le, man
angoisse extrême des prodromes, marche impétueuse, hallucinations,
états
exta- tiques, justifieraient la comparaison ave
on de l'anthrax on put remarquer une amélioration considérable de l'
état
intel- lectuel, et en particulier de la mémoire
vateur : quant à la vérifier, il n'en fut pas question. Tel était l'
état
des choses en Angleterre, en la4z, relativement a
e, que les accès fussent forts ou faibles. On observa même un cas d'
état
de mal sans perte de poids; 3° L'ensemble des
me ventricule par une hypertro- phie cérébelleuse considérable. A l'
état
normal la moelle allongée de la grenouille beye
jour décèle de la dilatation des veines, de la tuméfac- tion et un
état
trouble de la rétine en bas et en dedans. Ces phé
légère diminution à l'acuité visuelle centrale, coïncidant avec un
état
trouble de la rétine étendu, l'orateur rappelle q
il, d'une commotion de la rétine ayant pour substratum anatomique l'
état
local de cette membrane. Or, une grande série d
étant hygroscopique s'oedématie de ce chef par imbibition ; de là l'
état
de trouble et de tuméfaction décelé par l'ophtalm
uvements automatiques et l'excitation de l'humeur. Il en exclut les
états
d'agitation qui, par exemple, se montrent dans
vouer que le symptôme clinique en question est extrêmement rare à l'
état
de pureté, ren- voyant pour la description déta
es névralgies iléo-lombaires. CH. F. VII. Etude expérimentale sur l'
état
du pouls carotidien pendant le travail intellec
quelquefois des troubles cardio-pulmonaires se traduisant par un
état
syncopal, avec ralentissement, puis accélération
leine forte des hystériques et l'odeur qu'elles exhalent dans leurs
états
de mal /i))'o-<7)M. 47 Fig. 15. , 258
be, après percussion du tendon rotulien, est-elle plus ample qu'à l'
état
ordinaire. La contrac- tilité faradique est con
ien du côté de la pupille. Le lendemain 15 mars, nous notons dans l'
état
du malade les modifications suivantes : la para
tement la jambe. Le 29 avril, le malade quitte 1'llôtel-Dieu dans l'
état
suivant : le membre abdominal gauche reste très
in, les yeux restent fixes, sans clignement de paupières ; dans cet
état
, on peut toucher impunément la conjonctive, san
nes externes de l'oeil sont donc insensibles pendant l'attaque. L'
état
de la pupille pendant l'attaque a été peu obser
s incomplètes, qui augmentent les difficultés de l'observation de l'
état
de la pupille, surtout pour la contraction du d
térêt par- ticulier. Ainsi, chez une de nos malades qui, dans ses
états
de mal, a des attaques incomplètes constituées
sisté sur ces signes fournis par la sen- sibilité oculaire et par l'
état
de la pupille, qui nous paraissent avoir une gr
ation ; car, à ce point de vue, ils ont une grande valeur, même à l'
état
d'isolement. En outre, ces phénomènes oculo-pup
arrête l'attaque. Il serait très important de pouvoir comparer l'
état
de la pupille pendant l'attaque dans l'épilepsi
plu- sieurs égards, et on n'en peut tirer de conclusions. Dans l'
état
de mal épileptique, on semblerait se trouver da
les modifications que peuvent éprouver cer- tains organes, qui, à l'
état
normal, ne sont pas sou- mis à la volonté. La p
soumis DE L'HYSTàPO-LPILEPSIE. 295 nos malades à l'expérience à l'
état
de veille, mais sans succès. Une autre expéri
a physique. Deux de ces sujets peuvent répondre conformément dans l'
état
cataleptique ; ils n'ont aucune notion des prop
de l'image, suivant qu'on le place devant l'oei) le plus près de l'
état
normal, ou devant l'oeil le plus amblyope. Du r
de l'état normal, ou devant l'oeil le plus amblyope. Du reste, à l'
état
de veille, on observe le même phénomène dans la
roforme. A aucun moment, entre l'anesthésie totale et le retour à l'
état
normal, on ne peut, par aucun moyen, déter- min
ques ne se sont pas renouvelées depuis qu'elle est enceinte, mais l'
état
de la sensibilité ne s'est pas modifié. Elle dé
it et exclusivement dans sa partie externe. Rien de changé dans l'
état
de la sensibilité. Depuis le bain, les douleurs
'ovaire, puis au terme de la grossesse, après l'accouchement et à l'
état
de vacuité. Aussi nous nous croyons fondé à con
que pour cette raison nous avons proposé de désigner sous le nom d'
état
catalepti forme. Pour l'intelligence de ce qui
des phases du sommeil nerveux désigné sous le nom d'hypnotisme. L'
état
cataleptique survient d'emblée à la suite de l'
pour la rendre immédiate- ment cataleptique. Les caractères de cet
état
catalep- tique sont les suivants : ' 1° Les y
a envahi, le plus souvent, la conjonctive et jusqu'à la cornée. L'
état
de la pupille varie; 3° Les membres gardent les
ic- tion des masses musculaires ne les modifient pas. En- fin cet
état
cataleptique est uniformément développé sur tou
s pas à insister ici : automatisme, hallucinations provoquées,. L'
état
cataleptique dont nous venons d'indiquer les pr
n'est plus susceptible 'd'être divisé en deux périodes distinctes :
état
léthargique avec hyperexcita- bilité neuro-musc
es : état léthargique avec hyperexcita- bilité neuro-musculaire, et
état
cataleptique. C'est une sorte d'état mixte qui
bilité neuro-musculaire, et état cataleptique. C'est une sorte d'
état
mixte qui paraît tenir des deux à la fois, et q
est caractérisé par un délire spontané ou provoqué. Il s'y joint l'
état
musculaire spécial sur lequel nous insistons ic
musculaire spécial sur lequel nous insistons ici. 1 En résumé cet
état
cataleptique, à cause de la fixité du regard, de
pas à être interrompu par une nouvelle crise de spasme laryngien. L'
état
de sommation ainsi produit se compose de deux p
uer chez elle des hallucinations variées. Pendant tout ce temps l'
état
musculaire est intéressant à noter et c'est sur
des membres à conserver les attitudes communiquées. Il semble que l'
état
cataleptique et l'état d'hyperexcitabilité neur
es attitudes communiquées. Il semble que l'état cataleptique et l'
état
d'hyperexcitabilité neuro-musculaire soient ici c
pendant il est facile de se convaincre qu'il ne s'agit pas ici de l'
état
cataleptique véritable ; mais d'une sorte d'éta
ant les paupières de la malade et en maintenant ses yeux ouverts, l'
état
cataleptique véritable ne saurait être obtenu.
es exemples. Il ressort des faits que nous avons pu étudier que cet
état
, qui paraît tenir à la fois et de la léthargie
isposés, ce n'est que dans les premières expériences, avant que l'
état
hypnotique, par la répétition des séances, se soi
t générale- ment ni l'hyperexcitabilité neuro-musculaire dans son
état
complet de développement, tel que nous l'avons
état complet de développement, tel que nous l'avons décrit, ni l'
état
cataleptique parfait, dont nous avons rappelé l
re provoquée fut pour cela diminuée. En résumé, les caractères de l'
état
cataleptiforme sont les suivants : 316 H PHYS
tendineux sont exaltés. 4° Que les yeux soient ouverts ou fermés, l'
état
mus- culaire reste le même, présentant toujours
e, présentant toujours ce double caractère d'hyperexcitabiiité et d'
état
cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir
cataleptiforme. Il nous paraît facile de saisir de quelle manière l'
état
cataleptiforme se rattache au phénomène de l'hy
vante qui met bien en relief et les différences qui sé- parent l'
état
cataleptiforme de l'état cataleptique véri- tab
relief et les différences qui sé- parent l'état cataleptiforme de l'
état
cataleptique véri- table et les liens qui ratta
de l'état cataleptique véri- table et les liens qui rattachent cet
état
cataleptiforme au phénomène de l'hyperexcitabil
ement par la pression sur les globes oculaires et sur les tempes. L'
état
de somniation ainsi produit se caractérise par
nérale. Elle n'existe pas à la face'. Nous essayons de produire l'
état
cataleptique par l'ouverture des yeux. Les paup
, mais les globes oculaires sont convulsés en haut et à droite. L'
état
cataleptique que nous obtenons ainsi est imparfai
es réflexes ten- dineux persistent. Il est aisé de reconnaître là l'
état
catalepti- forme. - En effet, en insistant sur
. Ce qui précède montre bien les différences qui existent entre l'
état
cataleptique vrai et l'état cataleptiforme. Dans
en les différences qui existent entre l'état cataleptique vrai et l'
état
cataleptiforme. Dans le cours de la même séance
face chez cette malade. 318 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. relient cet
état
cataleptiforme au phénomène de l'hyper- excitab
. Cette expérience consiste à produire sur un segment de membre l'
état
cataleptiforme pendant la phase de léthargie. I
intre dont parlent les auteurs. Il semble alors que cette sorte d'
état
cataleptique est bien due à un léger degré d'hy
pour faire cesser toute roideur et en même temps toute apparence d'
état
catalep- tique. E. L'hyperexcitabilité neuro-
-musculaire pouvait être observée chez nos malades en dehors de l'
état
hypnotique, pendant la veille. . Ce n'est ordin
UEIL DE FAITS. 319 j gâtent jamais ceux qui sont observés pendant l'
état
de sommation. Nous ajouterons que ces phénomène
la contracture musculaire, peut n'en présenter pas moins, pendant l'
état
de som- mation, les signes les plus complets de
eure du côté droit présente au contraire toutes les apparences de l'
état
normal, les cellules nerveuses y sont en grand
re. (Archives de Physiologie, 1S74, p. 586). ' Déjerine. Note sur l'
état
de la moelle épinière dans un cas de pied bol v
EIL DE faits. 323 la tête s'exécutaient avec une certaine gêne. Cet
état
s'aggrava insensiblement et quelque temps avant
ations ponctuées tous les huit jours. VA juillet. Du côté gauche, l'
état
de la sensibilité au contact, à la piqûre et au
le cou est moins raide, la nuque est moins large, moins empâtée. L'
état
général est excellent, le malade engraisse visi
main, comme son assiette, sa cuiller. 27 novembre. F... se sent en
état
de reprendre son travail ; M.Vùlpian.qui a repr
itives dans la moelle épinière. Nous avons exploré bien souvent l'
état
de la sensibilité du côté droit ; jamais nous n
ves redevinrent mensuelles. Vers l'âge de huit ans, il eut un autre
état
de mal qui dura 67 heures, dans lequel on const
. 38° ; nuit tranquille. Ce matin, abattement, refus de manger. Cet
état
est la règle chez lui à la suite des accès. 1
r 40 gr. ; sinapismes. - Soir : T. R. 39°, 2. 2 mai. T. R. 391,2; l'
état
local esL excellent, la plaie a bon aspect, le
at local esL excellent, la plaie a bon aspect, le pus est bien lié;
état
général médiocre. Soir : t. R. 39". 3 mai. - T.
. 38°. Malgré son aspect cachectique, le malade ne tousse pas; tout
état
inflammatoire a disparu autour de la plaie. Soi
4 gr. de sous-nitrate de bismuth. 4 totit. Moins de diarrhée ; l'
état
cachectique s'accentue de jour en jour : pas de
La seconde phase débute par des convulsions, revêtant la forme d'un
état
de mal et prédominant dans la moitié gauche du
de là, on note le retour des convulsions mensuelles; puis un autre
état
de mal, offrant les mêmes carac- tères que le p
ommence en juin 1880. De même que la seconde, elle s'annonce par un
état
de mal. Les convul- sions prédominent toujours
prédominent toujours à gauche. Autrefois, quelques jours après les
états
de mal, D... se levait, semblant revenu à sa si
douleurs de tête, a de la fièvre, etc. ; et, tandis que le premier
état
de mal n'avait pas intéressé la motilité, que l
nd n'avait produit qu'une parésie elle-même transitoire, ce dernier
état
de mal se termine par une hémiplégie gauche et
les était déjà mise en lumière par ce fait qu'on la ren- contre à l'
état
typique, pour ainsi dire, dans l'hémianesthésie
t se retrouver comme en germe dans les cerveaux des animaux. Dans l'
état
actuel de nos connaissances, il est impossible
endi- neux ; mais bientôt (i-0-45 secondes) elle les abolit, et cet
état
d'inertie persiste d'autant plus longtemps aprè
rier), l'auteur passe à la connexion supposée qui, existant entre l'
état
de l'in- telligence et celui de la pupille en g
d'un « centre de dépression » dont l'initiative provo- querait les
états
intellectuels qui se dessinent dans la mélan- c
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XV. Rapport médico-légal concernant l'
état
mental DU SIEUR M. K. B., ACCUSÉ DE TENTATIVE D
pithélium pigmenté de la rétine, ainsi qu'en une décoloration et un
état
trouble de la rétine. , E. C. SOCIÉTÉS SAVANT
n peu violemment les articulations douloureuses, pour en explorer l'
état
. Il rapporte l'observation d'une malade non hys
nscience, la fatigue légère qui suit l'at- taque aussi bien que les
états
de mal hystéro-épileptiques les plus prolongés
s prolongés ne permettent la confusion ni avec l'accès, ni avec l'
état
de mal épileptiques. Ces descriptions parfaitem
IE. 373 gnostiques physiques, et facilement appréciables des divers
états
nerveux, ont été recherchées à la Salpêtrière.
éthargie dans laquelle fuit défaut l'lryper- excitabilité. Ces deux
états
si divers, léthargie et catalepsie, peuvent d'a
nément par les voies buccale et rec- tale, 6 grammes), guérissent l'
état
de mal ou les accès graves en ramenant la tempé
si dans l'épilepsie verti- gineuse, le délire postepitcptique, et l'
état
de mal. Au bromure de zinc, il faudrait réserve
Charcot et Richer, L ? 9, 310. Hystériques (caractères, moeurs,
état
mental des), par Hucbard, 187. 111'SLet'O-i'1
t, 2'ili. Paralysie générale (Hallucinations dans la), 217 ; - (
état
mental et pupille dans la), 356 ; - Décoiti-
thérique du), 216. Pouls carotidien (étude expérimen- tale sur l'
état
du - pendant le travail intellectuel), par Glcy
dedépressionextrême, cette dernière phase formant pour ainsi dire l'
état
permanent. Excitée, elle gesticule, fait des gr
qui débute, et qu'il nomme initiale, lui semble correspondre à l'
état
d'anéantissement et de mort apparente. Quand ar
it, immobile, pour écouter les paroles de son démon familier. Cet
état
, qui durait chez lui une demi-heure, cesse avec
celui de la simple extase, il ya des intermédiaires nombreux. Ces
états
mixtes, que j'ai décrits sous le nom d'extato-
en moins d'une minute, il re- tombe dans sa demi-catalepsie. Cet
état
a duré de vingt-quatre à quarante-huit heures.
he ascensionnelle. Chez Justine, on ne voit aucune trace du premier
état
. Les hallucinations signa- lées par le D' Ancel
aire, elle voulait se substi- tuer à lui et prêcher à sa place. Cet
état
, d'origine ancienne, n'avait point varié. Que
, des données de notre nomenclature. CLINIQUE NERVEUSE NOTE SUR L'
ÉTAT
DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES; Par le Dr A.
résigne. Elles passent en habitude, mais guérissent très rarement.
ÉTAT
DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 27 Î paralys
leur a donnée leur auteur, elles suggèrent une idée inexacte sur l'
état
de la molilitéchez les hémiplégiques, et cela,
epuis quelques années de nombreuses recher- ches comparatives sur l'
état
des forces et de la motilité volontaire chez le
exploration est imparfait, car il ne fournit d'indication que sur l'
état
des forces de certains groupes musculaires, mai
très précises et comparables sur la force du groupe exploré. A l'
état
normal, chez l'homme adulte, la force de pres-
idéveloppée dans les conditions que je viens d'indi- quer égale :
ÉTAT
DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 29 Chez la f
; la moyenne est : 30 CLINIQUE NERVEUSE. Hémiplégies, droites.
ÉTAT
DES 1·'OKCGS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 3t Hémiplé
si je ne me trompe, tirer un certain nombre de conclusions. - 1.
ÉTAT
DES FORCES DANS LES MEMBRES DU COTÉ OPPOSÉ A L'
du côté opposé à F hémiplégie sont toujours plus faibles zc'ci l'
état
normal. Il ne s'agit pas ici d'un phénomène dou
trouve que les membres supérieurs du côté opposé à l'hémiplégie '
ÉTAT
DES FORCES CHEZ LES HEMIPLEGIQUES. 33 ont perdu
acun 20 kilogr. de pres- sion. Or, le- membre supérieur donnant à l'
état
normal une pression notablement plus forte que
légie droite avec aphasie. L'exploration dynamométrique fournit :
ÉTAT
DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 35 fonctionn
possible. Il y a bien évidemment dans ce cas une différence entre l'
état
de la motilité des deux membres inférieurs, pui
es cas, bien entendu, où la lésion cérébrale est unilatérale. II.
ÉTAT
DES FORCES DANS LES MEMBRES DU CÔTÉ CORRESPONDA
ES FORCES DANS LES MEMBRES DU CÔTÉ CORRESPONDANT A L'HÉMIPLÉGIE L'
état
des forces dans les membres du côté hémi- plégi
NERVEUSE. à établir des moyennes pour les comparer à celles de l'
état
normal ou du côté non paralysé. Dans les hémi-
amomètre s'élèvera à x + n. Il semble qu'il y ait un entraînement
ÉTAT
DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 37 dont la v
té de marcher chez les hémiplégiques, n'est pas en rapport avec l'
état
des forces dans les membres inférieurs. Beaucou
pression très modérée dans les membres inférieurs , tandis qu'au
ÉTAT
DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 39 contraire
qu'ils le faisaient sanspeinesur lajambedu côté opposé. En fait, l'
état
des forces est secondaire. Ce qui est essentiel
nergiques qui sont nécessaires au maintien de l'équilibre dans la
ÉTAT
DES FORCES CHEZ LES HEMIPLEGIQUES, 41 station v
prétation anatomo-physiologique. Fig. 1. Schéma destiné a montrer l'
état
des forces dans les quatre membres dans un cas
e membres dans un cas d'hémiplégie droite. (Début 7 février. - A,
état
des forces le 17 février; B, le 2 mars; C. le 3 a
ier; B, le 2 mars; C. le 3 avril.) PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR L'
ÉTAT
DE LA PUPILLE CHEZ. LES ÉPILEPTIQUES EN DEHORS
inions les pupilles par cette méthode, nous recherchions aussi leur
état
à la lumière du jour. La 4Î ! , PATHOLOGIE NERV
, nous nous bornons à signaler le fait, n'étant actuelle- ment en
état
d'en tirer aucune conclusion. MÉDECINE LÉGALE
tte sortie. » Depuis cette époque seize mois se sont écoulés et l'
état
mental de G... n'a subi aucune atteinte; entré
rdiction prononcée par le tribunal soit levée, ce que permettrait l'
état
mental actuel de G..., s'il croyait devoir en f
sième accès urvint en 1872 alors qu'il retravaillait de son premier
état
, et fut suivi d'un 4c quelques heures après. Ce
issait un peu et que la jambe gauche était un peu moins solide. Cet
état
s'accentua peu à peu; il rit une saison à Néris
difficulté, et la marche était devenue très pénible. C'est dans cet
état
qu'il est venu trouver M. le professeur Charcot
do brusques soubresauts de ses membres inférieurs. il en résulte un
état
d'affaiblissement général. Sur l'avis de M. Cli
et paraplégie spasmodique. 65 Sous l'influence de ce traitement, l'
état
général s'améliora rapi- dement, l'excitabilité
membres inférieurs s'amenda. Quand il vint nous voir le 23 mars, l'
état
spasmodique avait subi une recrudescence depuis
e inférieur droit (côté hémiplégique) était à peu près dans le même
état
où il se trouvait avant l'accident, c'est-à-dire
ade nous affirme que son membre inférieur droit se maintient dans l'
état
où il était autrefois quand il se considérait c
s. Procédé pour la conservation et la momification des cerveaux à l'
état
sec. Journal l'Encéphale, n» 1) s'est utilement
nce grise plus ou moins diffuse dans le centre ovale, invisible à l'
état
frais, mais devenue appréciable grâce à l'actio
s pour plusieurs sens, eussent révélé une légère différence entre l'
état
des sensibilités spéciales du côté sain et du c
d sympathique. Elle fait défaut dans le goitre 'suffocant même. L'
état
du coeur non moins que les considérations précéde
senthal a trouvé un nombre de cellules plus considérable que dans l'
état
normal, ce qu'il attribue ci la segmentation de
i joue le plus grand rôle dans l'étiologie de l'ataxie, ce sont les
états
névropathiques des ascendants; et il ne manque
ensibilité du début de l'accès complet. Un premier degré qualifié d'
état
d'obnubilation postépileptique embrasse trois e
ts du délire. Selon que domine- ront en lui la préoccupation de son
état
, la méfiance, l'irrita- bilité, les sentiments
n'est d'ailleurs qu'après des années que l'épilepsie se double de l'
état
d'obnubilation mentale continue, la psychose au
r- phine pour obtenir les mêmes effets; ils tombent alors dans un
état
cachectique qui les mène plus ou moins vite à la
sychique, et une anorexie complète. On peut réussir à combattre cet
état
par des excitants et des analeptiques, parfois
nc pas inoffensive. Le morphinisme étant caractérisé surtout par un
état
d'épuisement du système nerveux central, il n'e
'a jamais vu survenir d'accidents .graves, tels que le collapsus. L'
état
général s'amé- liore peu à peu; la langue se ne
ie intercostale gauche. En 1 8 G 9 , après une fièvre typhoïde, cet
état
s'aggrava tellement qu'on dut remplacer le traite
ltat de mon examen : taille moyenne, amaigrisse- ment considérable,
état
squelettique, aspect cadavéreux. La face antéri
ssipée, le réflexe tendineux a reparu des deux côtés du corps, et l'
état
physique et psychique s'est considérablement am
, troubles cardiaques, alté- ration des globules sanguins, etc. Cet
état
physique et mental dont le début remonte à envi
le. 1 Variole. Quelle que soit la part réelle ou idéale prise par l'
état
fébrile, la conges- tion encéphalique, l'infect
es des sinus. Dans les cas favorables, les accidents cessent avec l'
état
fébrile, à moins qu'une prédisposition ne les p
délires initiaux (formes de pas- sage) ; puis ceux de la période d'
état
de l'affection : c'est alors qu'interviennent p
,8 p. 100 malades en proie aux accidents psychiques de la période d'
état
. Les symp- tômes défavorables sont : les convul
CIÉTÉS SAVANTES. leur longueur et leur intensité ; il était dans un
état
constant de surexcitation qui altérait sa santé
s. Ce travail concerne à la fois les aliénés criminels qui, vu leur
état
mental, sont innocents de tout crime, à la fois
'autorépres- sion du délire, la nature alcoolique des phénomènes, l'
état
des habitudes antérieures; tels sont les élémen
a le danger des hallucinés en proie au délire des persécutions, des
états
impulsifs, des phénomènes d'angoisse, d'une agi
par rapport à 2o d'urée) en un cas de catatonie et dans les divers
états
d'agitation maniaque (1 : 22); la quantité en é
té accompagnée d'une agita- ion modérée, d'un mutisme prononcé. Cet
état
progresse modé- rément; mais au bout de trente-
ntre l'entourage, malpropreté. Après trente-six heures de durée cet
état
cède la place à une nouvelle période de moyenne
exemple qu'il y a dix ans il avait été trouvé gisant dans la rue en
état
d'ivresse. M. Rock apporte à ce propos une obse
serva d'idées délirantes ni aucune manifestation de cet ordre. Cet
état
durait treize ou quatorze jours, se terminant aus
ubles mentaux quelques années plus tard et se trouve aujourd'hui en
état
de dé- mence avec agitation périodique... Ai. R
néphrite exige le concours des oedèmes rapides, des douleurs, de l'
état
trouble carac- téristique d'une urine fréquemme
vue de leurs caractères et de leur évolution, puis de considérer l'
état
de la pupille. Très souvent les troubles de la
itement a une action persistante sur le tabes qu'il immobilise en l'
état
avec ou sans amendement de quelques-uns des sympt
e présente, NI. Gray, malgré la gravité de la blessure, est dans un
état
satisfaisant et nul doute que, dansquelque temps,
quatre minutes à gauche (hyperesthésie), en neuf minutes à droite (
état
normal); la différence entre les deux lignes di
ui, et leur changement objectif ou réel, est le commencement d'un
état
de rêve dans lequel, lorsqu'il arrive à un degr
ver. » Je hasarde le nom de délire de négations pour dési- gner l'
état
des malades auxquels Griesinger fait allu- sion
la négation systéma- tisée. Il n'est pas rare, toutefois, dans les
états
de chronicité avancée, que le délire de négatio
rédominent l'anxiété (une anxiété intérieure effroyable constitue l'
état
fondamental de la mélancolie avec stupeur, dit
rd les DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 159 principaux caractères de leur
état
mental. Dans leur forme la plus atténuée, ces c
ans délire, sont eu effet atteints d'un délire triste portant sur l'
état
de leurs facultés morales et intellectuelles,'
drie morale repose sur le fonds commun de la mélan- colie et sur un
état
d'anxiété vague et indéterminée, « les malades
d'une manière confuse; tout lui paraît transformé. A - mesure que l'
état
maladif devient plus intense, ce voile s'épaiss
est alors, comme le fait justement remarquer M. Baillarger, dans un
état
voisin du rêve. Non seulement à ce point de v
égards, il semble n'y avoir qu'une différence de degré entre ces
états
d'hypochondrie morale et les affections mélanco
possibilité de leur guérison, d'un soulagement quelconque dans leur
état
de souffrance; c'est une des premières négation
térieur et leur propre existence. Il importe de bien distinguer cet
état
d'hypochondrie morale de l'hypochondrie ordinai
s dont il est ici question. Le véritable mélanco- lique est dans un
état
de dépression générale... Rien de pareil n'a li
ne pouvoir mourir, suivant leurs n 162 L> CLINIQUE MENTALE.
états
alternatifs d'agitation anxieuse ou de dépression
, à une période plus avancée et surtout quand la' maladie passe à l'
état
chronique, à la fois moral et physique. Des mal
"L "" "a ' 1 Ces hallucinations sont fréquentes surtout dans les
états
de stupeur, mais on les observe aussi dans la y
; , partout des flammes, des incendies. 166 CLINIQUE MENTALE. L'
état
hallucinatoire 'des mélancoliques anxieux, stup
urables. La mélancolie dite sans délire, l'hypochondrie morale, les
états
anxieux avec idées de ruine, guérissent habitue
négations est' I 70 CLINIQUE MENTALE. DU DEHRb DES NÉGATIONS. un
état
de chronicité spécial à certains mélancoliques
quelques-uns doués des qualités morales les plus distin- gués. Leur
état
maladif, leur délire d'humilité ne con- trasten
rnants comme les circulaires et comme certains intermittents dont l'
état
considéré comme sain contraste absolument avec
rches ne portent que sur certaines formes de folie liées à quelques
états
particuliers de la femme, comme la grossesse, l
r dix-neuf, taudis que dans huit les organes génitaux étaient à l'
état
normal et que dans cinq l'état était inconnu. S
uit les organes génitaux étaient à l'état normal et que dans cinq l'
état
était inconnu. Skene2 compta, sur cent quatre-v
es données sui- vantes : 1° âge; 2° forme de la maladie mentale; 30
état
physiologique du système sexuel (vierge ou non,
a'mala- 180 PATHOLOGIE MENTALE. die sexiielle. Le diagnostic de l'
état
de la sphère sexuelle a toujours eu lieu au spé
e-quinze ans, au nombre de soixante. Les malades réglées, d'après l'
état
physiolo- gique de leur sphère sexuelle, se div
sur les indications des ma- lades, qui pouvaient, en raison de leur
état
psychique particulier', donner'un renseignement
e par les formes des maladies sexuelles accompagnant diffé- rents
états
physiologiques de la sphère sexuelle des aliéné
in ou le psychologue désireux d'étudier dans tous leurs détails les
états
de conscience dans la folie devrait donc, pour
e RECHERCHES SUR LA POLIE AVEC CONSCIENCE. 191 I scientifique des
états
de conscience dans la folie, mais je ne veux pa
nes variés. Il résulte de cette étiologie et de ce mode de début un
état
ordinaire de conscience, à la naissance des vés
hallucinations n'apparaissent pas tout d'abord avec la netteté de l'
état
confirmé. Ce sont des bruits vagues, des chucho
s'il n'est pas le jouet de son imagination en délire. Au début, les
états
d'excitation et de dépression viennent aussi se
vaincu leur résis- tance. Ainsi, en réalité, c'est précisément cet
état
de conscience à la naissance. des vésanies, éta
st précisément cet état de conscience à la naissance. des vésanies,
état
de conscience permettant la lutte et la dissimu
une assez longue période, ces infortunés ont la perception de leur
état
physique et intellectuel pour lequel ils vont s
s médecins. II y a un second groupe de paralytiques chez lesquels l'
état
de conscience au début est un fait constant. La
cérébrale, dans le stade précédent ils ont la notion claire de leur
état
* dépressif. Il est enfin un troisième mode de d
e coup de troubles d'une acuité telle que toute appréciation de son
état
lui est d'ordinaire impossible. Mais il est une
uels datent de deux ans. Mme C... a la conscience très nette de son
état
; elle est dominée par une frayeur, une anxiété
e courir dans sa chambre et de pousser des cris. Désolée d'un tel
état
, de ne pouvoir surtout surmonter ses craintes jug
ut plus ou moins longue, la folie progresse et passe à sa période d'
état
. D'ordi- naire la conscience est vaincue à ce m
ans tous leurs détails. D'autres fois, il y a durant la période d'
état
comme des éclaircies de raison ; la conscience
es et que c'est trop absurde pour y croire. Vivement affecté de son
état
, il priait en grâce de le guérir. Le soir toute
rt de rémission, et l'inconscience a été absolue. Par contre, les
états
de conscience sont rares à la terminaison des v
ignorante, en avoir trouvé si peu qui eussent connaissance de leur
état
, n'est-ce pas la preuve que dans cette catégori
u'à ce jour, sauf chez une femme, il ne m'a pas été donné de voir l'
état
que nous étudions chez les personnes à instruct
émité. Cette surface est d'ailleurs rugueuse et ne présentait à l'
état
frais aucune trace de fibro-cartiiago. Le condyle
d'une usure. 5° Hanche droite. A. Os iliaque. Avant de décrire l'
état
de la surface articulaire de cet os, nous diron
sujet ataxique est ramené, parle pro- cessus de la dissolution, à l'
état
d'un enfant qui apprend à se tenir debout et à
ainsi combattu, mais tous les autres symptômes, en même temps que l'
état
général du malade s'améliorera d'une façon sens
ion horizontale calme seule la sen- sation vertigineuse continue, l'
état
d'instabilité constante qu'é- prouve le malade,
malade dans les horribles sensations du paroxysme. D'autres fois, l'
état
vertigineux est moins marqué et permet la vie ac-
ment et parallèlement, et la dose de sulfate de quinine donnée et l'
état
des symptômes chez les malades observés par MM.
. Les bruits quiniques s'ajoutent au début aux bruits morbides et l'
état
s'aggrave tant que, sans l'espoir de la gué- ri
sans l'espoir de la gué- risou, le malade préférerait revenir à son
état
ordinaire de souffrance. Amélioration dès la pr
a constaté une fois seulement des bourdonnements d'oreille. Vue : l'
état
des pupilles est très variable : elles sont tan
imple prédisposition indivi- duelle en vertu de laquelle, comme à l'
état
normal, toute pensée donne rapidement naissance
on délirante émerge, c'est-à-dire la folie proprement dite avec ses
états
émotils, ses altérations morales profondes (Leg
urait rien à voir avec la campagne; outre qu'on ignore quel était l'
état
des soldats et des populations avec lesquels le
qui existent déjà en An- gleterre, pour soigner les malades dont l'
état
d'aliénation dure encore après l'expiration 'de
s commémora tifs, avec un simple certificat médical indiquant son
état
mental, mais ne faisant nullement mention du crim
mais ne faisant nullement mention du crime qu'il avait commis. Son
état
était si peu douteux qu'il n'y avait même pas eu
ge et autres simples délictueux irresponsables par le fait de. leur
état
intellectuel. 2 le le sociétés savantes. ' M.
s parties en question. Confir- mation de l'examen nécroscopique à l'
état
frais, par M. Birch- Hirschfeld, qui a pratiqué
- tions vasculaires. M. 131NSwnrrcclt, qui a examiné les pièces l'
état
frais, a ren- contré des cellules granuleuses,
té gauche, en même temps que le droit interne du côté opposé est en
état
du parésie, symptômes dont la réunion, aux term
-mère, il le place dans'de l'alcool plus ou moins concentré selon l'
état
du tissu nerveux, changeant 250 SOCIÉTÉS SAVANT
tion irrésistible dont la répétition a fini par greffer à demeure l'
état
pathologique en question. Il s'agit, pour M. 'V
itive qui s'est développée sous la forme aiguë en rêve ou pendant l'
état
de veille (Arch. f. Psych. u. Neraezali., 1111.
dème et de l'inflammation. Le diagnostic différentiel de semblables
états
repose : anatomique- ment, sur l'adhérence des
e attention aux mouvements passifs qu'on leur imprime, sans être en
état
de prendre ou de conserver des poses pénibles.
ransformations de la douleur psychique ou même physiologique en des
états
mentaux tout différents. Telles ces formes d'abou
stérie viscérale, aux rapports de l'hystérie en général avec divers
états
morbides, aux troubles vaso-moteurs et sécré- t
utique, aux troubles intellectuels, au caractère, aux mceurs et à l'
état
mental des hystériques. Cette dernière étude si
ntation doit être surveillée avec la plus grande sollicitude, car l'
état
de la nutrition est de la plus haute importance
n. Leur température est la même que celle des régions voisines. L'
état
de la sensibilité à leur niveau n'est pas constan
. 188t. JonissEN,çE (G.). Les mouvements de l'iris chez l'homme à l'
état
pli y- siologique. Brochure m-8° de 52 pages, P
entable anarchie des mouvements et des efforts d'équilibration. Cet
état
vertigineux cruel aboutit à la chute ou bien lu
ou bien lui succède. Si l'accès est subit et terrasse le malade, un
état
nauséeux, demi- syncopal, précède souvent de lo
ertige, auriculaire. En DU ? El'l'IGE DE )rLNiLRr. 275 J effet, l'
état
vertigineux durable, l'état nauséeux cons- tant
? El'l'IGE DE )rLNiLRr. 275 J effet, l'état vertigineux durable, l'
état
nauséeux cons- tant, bien que d'aspect beaucoup
orine par attaque, peuvent être des manifestations incontestables d'
états
anatomo-pathologiques auriculaires identiques o
d'hui, la trilogie symptomatique de Ménière indiquerait toujours un
état
pathologique des canaux semi-circulaires. On sa
ar une légère commotion du labyrinthe. Il est très admissible qu'un
état
névrosique particulier, préexistant, est nécess
susceptible d'être,modifié, dans son intensité, quand on, change l'
état
;, de tension, par 282 CLINIQUE NERVEUSE. infl
remière je range les cas où le délire des négations se présente à l'
état
de simplicité; dans la seconde, un cas où il es
avoir fait plusieurs tentatives de suicide. Mnle E... est dans un
état
d'agitation anxieuse avec des idées de culpabil
orter aucune modification à ce délire. M-0 E... en est arrivée à un
état
de démence avec grognements, cris inarticulés,
t dès qu'on a procédé à la réduction. Elle succombe en 1878 dans un
état
de cachexie générale. DU DÉLIRE DES NÉGATIONS.
gée de soixante-trois ans, placée à Vanves en mai 1868, est dans un
état
de grande agitation anxieuse; elle s'imagine qu
est amenée à Vanves, à la fin de l'année 1876. M-0 S... est dans un
état
d'agitation anxieuse extrême; elle se croit cou
nées dans le mutisme et l'im- mobilité. Actuellement (mai 1883) son
état
reste absolument stationnaire. - Observation
s elle fut reprise des mêmes accidents et amenée à Vanves dans un
état
d'agitation anxieuse intense avec gémissements et
inquante-huit ans, placée à Vanves au mois d'août 1879, est dans un
état
de mélancolie anxieuse qui date déjà de plusieu
fils ne devint aveugle par suite de l'opération du strabisme. Cet
état
anxieux se dissipa au bout d'un mois. A la fin de
inistré. A son arrivée à la maison de santé, M-e C... est dans un
état
de mélancolie anxieuse avec paroxysmes d'agitatio
is de mars 1879, à la suite d'une tentative de suicide, est dans un
état
d'agitation anxieuse intense. Il cherche par to
n et du reste il va mourir. En mai 1882, M. C... en est réduit à un
état
de démence paraly- tique ; il peutàpeinemarcher
eut faire une confession publique de ses péchés. Elle sort dans cet
état
de rémission à la fin de l'année 1876. L'anné
e de la môme année, Mme IL.. quitte la maison de santé dans le mémo
état
d'aliénation chronique, pour être transférée da
io. Annales ? ndico -2)s ! lcho log iqztes, t. I. l3an ? né.n. De l'
état
clésiné sous le nom de stupidité, 4843. La théo
'onanisme et l'exaltation de l'imagination amenant à la fois un tel
état
de faiblesse et d'éréthisme génital que l'érect
ne invincible frigidité. Tout cela avec une entière conscience de l'
état
maladif. Telle est cette anomalie sexuelle bien
nous devons le répéter, ce serait une étrange erreur d'en faire des
états
morbides distincts. Du reste, chez quelques man
c- tive qui nous occupe n'est qu'une manifestation saillante d'un
état
psychopathique beaucoup plus profond. Pour comp
« Il y aurait, dit-il, une attention plus sérieuse à don- ner à l'
état
mental de certains individus convaincus de pédé
tudes honteuses des pédérastes. Mais il ne faut pas confondre cet
état
, en quelque sorte secondaire, avec les excès de
, est-ce avec la plus grande attention que devrait être examiné l'
état
mental des inculpés, dès qu'apparaîtrait quelqu
as, ainsi que le fait remarquer Westphal, apprécié exac- tement l'
état
mental du héros de cette affaire qui, d'après l
égénéré. Mais il n'est pas toujours facile de se rendre compte de l'
état
mental, à en juger par le fameux Karl Heinrich
al '. Pour notre malade également, dont on ne saurait contester l'
état
névro-psychopathique, est-ce qu'il ne passe pas
INVERSION DU SENS GENITAL. 305 sexuel est un syndrome enté sur un
état
psychopathique plus étendu. Krafft-Ebing, dan
xuels ont toujours été normaux. Il est bon dénoter que l'enfant t l'
état
de nudité INVERSION DU SENS GENITAL. 307 ï le
- sionnant pas. Ici encore ce syndrome n'est qu'un épi- sode d'un
état
maladif qui prend sa source dans l'hé- rédité,
siste en dehors des idées obsédantes. C'est donc toujours le même
état
psychopathique avec des couleurs différentes dans
s été et est encore, 308 PATHOLOGIE MENTALE. aujourd'hui, dans un
état
presque permanent de surexcitation nerveuse et
rmés, il cherchait tous les moyens de calmer ses sens ; puis, à cet
état
violent succédait, tout à coup, une prostration
ait de l'his- toire, à celui que l'éjaculation lui procurait. Cet
état
ne subit pas de variations notables pendant que
i habitaient dans le voisinage, et il passa ces quinze mois dans un
état
incessant de surexcitation : lorsqu'il était se
e. Vers 1868, des modifications notables se produisirent dans son
état
et, depuis, cet état est resté à peu près le même
odifications notables se produisirent dans son état et, depuis, cet
état
est resté à peu près le même. A la vue des obje
saillant de cette observation ; mais ce n'est là qu'un épisode d'un
état
maladif, que démontrent les antécédents hérédit
voit naître un motif nouveau d'angoisse et de perplexité. Voilà l'
état
maladif. Comment pourrait-on le soup- çonner si
été l'objet de ses premiers désirs, sa vue, . lailt lait ( 1 Il,),
état
d'excitation extrême, elle éprouvait des sensa-
lures de bénignité, sont, au contraire, les ,3nâ ? festiôs l >,n
état
, toujours grave. 'Il faut dés ! terrains' de i ch
re dL',s 'ordre. 1 »b -,1,, 1 ,,f , t t | ^5 as : r ' Par contre, l'
état
psychique du malade étaiï keW il était surexcit
t P ? t oun lepi·gia4 ? iççs accès maniaques violents succédait un
état
de repos, pendant lequel le patient répondait a
e' composée dé' jeunes cellules de tissu conjonctif, un fibrome à l'
état
jeune bà'tin'Sdi- corne vrai. , Il.. , ' i 11·W
constaté que la lésion maté- rielle d'un organe est la cause de cet
état
pathologique. Pour le clinicien qui doit interp
res capables de modifier l'irrigation des centres nerveux. Dans l'
état
actuel de nos connaissances, on serait tenté de l
erte do connaissance. Quelquefois elle est précédée par une sorte d'
état
vertigineux. Ces hémiplégies peuvent présenter
de toute sensation spéciale, et doit appeler notre attention sur l'
état
des urines. Nous avons souvent entendu notre ma
ie complète est rarement notée dans les cas de diabète, surtout à l'
état
isolé. Une large plaque d'anesthésie se voyait
bonne santé et aucun autre symptôme diabétique que la glycosurie. L'
état
de cette der- nière n'a jamais influé sur ces s
froid peut être générale (Fritz), alter- ner avec celle de chaleur,
états
à distinguer des véritables fris- sons de la pé
caractéristiques de l'asthénopie accommodativc, variables avec l'
état
de la réfraction de l'aeil, plus marqués chez l'h
rhagies, les flux séreux abondants'. On a fait jouer un rôle à l'
état
chimique des milieux de l'mil. Leur appauvrisse
e. Rares sont les amendements qu'on peut observer dans son cours. L'
état
de la vue va s'aggravant sans cesse, jusqu'à la
après Galezowsky, le glaucome hémorrhagique, peuvent compliquer cet
état
. IIeyl publiait récemment une observation des p
Z LES DIABÉTIQUES. 353 nales (Desmarres.) et dans un grand nombre d'
états
cachec- tiques (saturnisme, alcoolisme, nicotin
fois, sans trouble mental caractérisé, le malade se trouve dans un
état
de défaillance morale, redoutant l'ac- tion ; i
influence du traite- ment, une amélioration portant à la fois sur l'
état
physique et sur l'état mental (Legrand du Saull
nt, une amélioration portant à la fois sur l'état physique et sur l'
état
mental (Legrand du Saulle), il faut bien admettre
77. Loc. cit., p. 217. Il. Leroux. - 1'lt. l'arts, 1881. 5 De l'
état
mental chez certains diabétiques, 1878. a Cotar
spé- ciale, car le coma dyspnéique ne s'obsprve pas dans d'autres
états
, où la déshydratation du sang est également très
e foetus, prédominance retrouvée par Broca sur un singe adulte. Cet
état
est transitoire chez l'enfant, car après la nai
de ses blessures et quittait l'hôpital. Le 25 mai, il présentait l'
état
suivant : Systèmes osseux et musculaire bien dé
douleur en un point quelconque, on porte toute son attention sur l'
état
de la sensibilité du point symétrique de l'autr
rsqu'il s'agit de névralgies non plus commençantes, mais liées à un
état
pathologique déjà établi, tel par exemple 372 R
t de la tète et du corps, et perdit connaissance. Il resta dans cet
état
pendant soixante-douze heures ; néanmoins, on p
Les pupilles étaient contractées et paresseuses, mais revinrent à l'
état
normal à mesure que la réaction se prononça. Il n
coutume juive. Sept jours avant son admission, étant alors dans son
état
de santé habituel, et pendant qu'il se promenait,
sible et des convulsions fibrillaires à la langue, accompagnées d'
état
sabural et de tremblement des doigts en ce qui co
résulte des études qui ont été, faites sur la folie morale que cet
état
se rencontre surtout dans deux cas : tantôt, en
tre surtout dans deux cas : tantôt, en effet, il précède ou suit un
état
démolie plus manifeste, tantôt il constitue un
uvent se produire, soit des associations d'idées anormales, soit un
état
d'insensibilité morale. » L'étude des lésions
ts à son malade ; il se borne à les choisir, à les appro- prier à l'
état
de l'organe, cherchant surtout à utiliser les fon
la méthode de l'éduca- tion à l'amélioration ou au soulagement de l'
état
des malades atteints d'affections mentales; 4°
jours, disparition des mouve- ments choréiformes, amélioration de l'
état
mental. Pendant plus de dix mois reste à l'asil
peresthésie qui avait paru exister sur les membres du côté droit. L'
état
de la moelle tou- tefois fournit quelques expli
u des garanties les plus élémentaires relativement à l'étude de son
état
mental. Sans doute, il arrive parfois; souvent
onstate que, dans les autres pays, on étudie, lorsqu'il y a lieu, l'
état
mental de l'accusé avant les débats, tandis qu'
rie comme sym- tôme de l'accès d'), 224. Epileptiques (note sur l'
état
de la pupille chez les en dehors des attaques
188. Folies (classificaton des), par Dela- - siauve, 1. Forces (
état
des) chez les hémiplé- giques, par Pitres, 26.
') avec paraplégie spasmodique, par Féré, 61, 1, Hémiplégiques (
état
des forces chez les), par Pitres,26. Hyoscyam
de quinine et de bromure de potassium), 386. Pupille (note sur l'
état
de la), chez les épileptiques en dehors des a
r fait sentir ses effets dans les systèmes musculaire et osseux. Tout
état
morbide des muscles exerce une influence sur le s
durée des phénomènes produits , une étonnante facilité à passer d'un
état
quelconque à l'état contraire. Le centre cérébr
s produits , une étonnante facilité à passer d'un état quelconque à l'
état
contraire. Le centre cérébral est, comme toute
accroissement organiques. Avec de pareilles données, fournies par l'
état
physiologique, on s'explique aisément pourquoi l'
organisation générale de l'enfant, son mode de vitalité propre et les
états
pathologiques qui en dépendent, impriment encore
ital. MM. Rilliet et Barthez(l) ont décrit avec beaucoup de soin un
état
cachectique de l'enfance, surtout commun dans les
temps, s'affaissent de plus en plus, sont réduits pour ainsi dire à l'
état
de momie, et s'éteignent ou sont enlevés par la m
l'excavation et s'organisant en tissu osseux, après avoir passé par l'
état
fibreux et par l'état fibro-cartilagineux. La c
nisant en tissu osseux, après avoir passé par l'état fibreux et par l'
état
fibro-cartilagineux. La colonne vertébrale, div
maladie, si l'ulcération reste superficielle. Comment reconnaître cet
état
latent? C'est à l'aide des symptômes. Vous fonder
symptômes. Vous fonderez le diagnostic sur la douleur, l'attitude, l'
état
des mouvements, l'existence des abcès, la paralys
positions. Ces signes sont équivoques; ils se rencontrent dans des
états
morbides autres que le mal de Polt. Les abcès, la
période. Dans tous les cas, on devra s'éclairer des antécédents, de l'
état
général. 2e période. — Les signes sont encore p
point de paralysie ni d'abcès par congestion. Le seul symptôme dans l'
état
fonctionnel est une douleur, quand on cherche à r
vre une petite pointe d'apophyse épineuse. Ce cas se rapporte non à l'
état
latent, mais à cette période de déformation équiv
on, par la douleur produite dans les efforts de redressement, par l'
état
général du sujet, etc., qu'il s'agissait d'un mal
t je viens de parler; beaucoup de médecins confondent à tort ces deux
états
. Le rachitisme est propre à l'enfance ; c'est u
ui offrent quelques traits de ressemblance avec le mal de Pott dans l'
état
latent : le lumbago, les maladies des reins, de l
a pourtant décrit un mal vertébral sec. Tant que le tubercule est à l'
état
de crudité, on n'observe pas d'abcès, et alors, s
i l'on veut, le mal sera sec; mais je ne sache pas qu'il présente cet
état
dans d'autres cas. Le pus existe en quantité va
, tandis que le physiologiste anglais n'a voulu désigner par là qu'un
état
dans lequel les nerfs sont privés de l'influence
uter aux grenouilles dans les expérimentations physiologiques. Dans l'
état
sain, ces attouchements auraient un effet bien mo
l'existence du mouvement réflexe, plus ou moins marqué en raison de l'
état
de la sensibilité et de la motilité. Une de ces
z que je n'ai pas voulu dire que les malades se trouvent dans le même
état
physique, matériel, que ces reptiles; il n'y a pa
aire. Les différentes nuances du troisième degré répondent à divers
états
de l'altération nerveuse. Il existe un rapport co
perte complète de l'irritabilité musculaire; mais il ne dit rien de l'
état
réflexe. On observe encore, dans ce troisième d
ar des contractures, qui compliquent quelquefois la paralysie , par l'
état
des viscères du petit bassin, lesquels peuvent pa
l vertébral. Elle provient d'un jeune homme de dix-huit ans, ayant un
état
pénible, —il était mécanicien,—adonné de plus à l
er. Ier cas : Absence de paralysie et d'abcès par congestion. — Cet
état
peut durer de longues années. Il faudrait, pour a
de réparation, pour empêcher une fâcheuse difformité et améliorer l'
état
général. En un mot, on agit ici dans l'unique but
uérison. Ce qu'on peut faire se rapporte à deux points : 1° soigner l'
état
général ; 2° soigner l'étal local. Sous le rapp
gner l'état général ; 2° soigner l'étal local. Sous le rapport de l'
état
général, il y a des diathèses qui peuvent empêche
limitation s'opérera d'autant mieux, que vous améliorerez davantage l'
état
général. Les frictions sont encore un bon moyen
re qu'on puisse redouter les effets de la compression du thorax, si l'
état
de station n'augmente pas sensiblement la courbur
furent les moyens employés. Ces deux bustes en plâtre représentent l'
état
de la colonne avant et après le traitement ; il y
plusieurs mois s'écoulèrent sans amener un changement notable dans l'
état
de la motilité, lorsqu'au mois de janvier dernier
vec facilité. Aussitôt qu'une amélioration se fait remarquer dans l'
état
des mouvements, on peut souvent cesser tout trait
t fâcheux qu'ils entraînent, surtout dans l'enfance, relativement à l'
état
général des sujets. Je puis appuyer ici le juge
collection volumineuse existe dans la fosse iliaque du côté gauche. L'
état
général est excellent. Ce fait vient à l'appui de
s plus haut, que l'abcès, tant qu'il n'est pas ouvert, n'altère pas l'
état
fonctionnel. On n'a encore rien tenté pour la gué
rs par congestion; mais il en est d'autres prenant leur source dans l'
état
général des sujets, dans la douleur vive que caus
ive souvent embarrassante. U faut peser toutes les circonstances de l'
état
des malades, balancer les chances bonnes et mauva
ès dont le pus offrait une extrême fétidité au moment de sa sortie. L'
état
général de cet enfant s'est maintenu bon depuis c
xistence d'un point gangreneux des parois de l'abcès. On sait que l'
état
fistuleux des abcès par congestion se prolonge en
ules. Ce produit existait dans le corps de la 8e vertèbre dorsale à l'
état
d'infdtration caractérisée par la présence, dans
aissie ; elle sécrète des liquides en plus grande quantité que dans l'
état
naturel et plus ou moins altérés. Cette synoviale
e; nous verrons comment le diagnostic peut être établi entre ces deux
états
. Mais ce n'est pas toujours sous forme de torti
ent. La résolution laisse ordinairement les articulations dans leur
état
normal ; mais, si la maladie a duré plusieurs moi
qu'il y ait un obstacle au glissement des surfaces articulaires. Cet
état
était plus prononcé lors de son entrée à l'hôpita
oint de difficulté de la déglutition. Pour bien se rendre compte de l'
état
des parties, il faudrait explorer le pharynx, voi
naître, c'est la position des os. On peut souvent, en ayant égard à l'
état
des parties, présumer qu'il y a luxation ou sublu
e force inégale. b. Le torticolis volontaire est lié aux différents
états
de l'âme. Le cou, en effet, concourt avec la tête
d'une maladie articulaire. Celle-ci laisse quelquefois après elle un
état
des os qui maintient l'attitude pathologique : de
éveloppement des deux moitiés de la tête et du cou. Nous avons vu cet
état
être la conséquence des torticolis musculaire et
a dirige; elles sont surtout utiles quand le torticolis est passé à l'
état
chronique, ou à son début. Mauchard avait déjà in
p qu'il soit applicable à toutes les articulations du corps. Dans l'
état
chronique, aux manipulations il faut ajouter des
velle articulation. I. Capsule fibreuse. — Elle peut présenter deux
états
différents : Io un état d'allongement; 2° un état
Capsule fibreuse. — Elle peut présenter deux états différents : Io un
état
d'allongement; 2° un état de perforation. A. Al
eut présenter deux états différents : Io un état d'allongement; 2° un
état
de perforation. A. Allongement de la capsule. —
llongement de la capsule. — Il doit être considéré au début ou dans l'
état
imparfait de la fausse articulation, et à une épo
t de la fausse articulation, et à une époque plus avancée ou dans son
état
parfait, si je puis ainsi dire. L'allongement est
gues; ce sont les seules qui renferment une description complète de l'
état
de l'articulation. M. Jules (1) Exercitationes
retrouve pas de rigidité des muscles après la naissance. Rien, dans l'
état
des muscles, n'indique ces contractions énergique
ne doit pas nous arrêter, parce qu'il est démontré aujourd'hui que l'
état
du cotyle est toujours consécutif, et qu'il est p
e présente dans les luxations anciennes et congénitales du fgmur deux
états
distincts : l'état d'allongement et l'état de per
luxations anciennes et congénitales du fgmur deux états distincts : l'
état
d'allongement et l'état de perforation. Le premie
ongénitales du fgmur deux états distincts : l'état d'allongement et l'
état
de perforation. Le premier se rencontre dans deux
erforation. Le premier se rencontre dans deux phases des luxations, l'
état
imparfait et l'état parfait; nous avons examiné c
er se rencontre dans deux phases des luxations, l'état imparfait et l'
état
parfait; nous avons examiné ce qui se passe dans
mparfait et l'état parfait; nous avons examiné ce qui se passe dans l'
état
imparfait. Pour résumer ce que j'ai dit relativem
es par plusieurs causes. Dans la deuxième période, c'est-à-dire à l'
état
parfait de la luxation , la capsule allongée se p
la luxation , la capsule allongée se présente sous deux aspects : à l'
état
de simple allongement, sans déplacement des inser
ment, sans déplacement des insertions normales, ou bien à la fois à l'
état
d'allongement et de déplacement des attaches. La
x les plus remarquables par leur organisation et leur influence sur l'
état
des mouvements sont ceux que j'appellerai faiscea
que j'appellerai faisceaux en X; ils ont leur point de départ dans l'
état
naturel. La capsule, en effet, dans l'état normal
eur point de départ dans l'état naturel. La capsule, en effet, dans l'
état
normal, est renforcée par des trous seaux fibre
les mêmes que chez les sujets sains. Dans la station verticale et à l'
état
normal, les fémurs se trouvent compris dans le pl
é. Je vous laisse à déduire plus complètement les conséquences de l'
état
anatomique de la jointure par rapport à la mobili
, et je passe à la seconde forme des altérations de la capsule dans l'
état
parfait de la pseu-darthrose; je l'appelle, cette
lle se produit souvent dans un âge plus avancé. On peut confondre cet
état
avec la luxation par refoulement de la capsule. E
gloire d'avoir découvert les luxations congénitales du fémur (1). L'
état
de la capsule est ordinairement analogue, sinon i
congéniale du fémur présente des caractères qui le différencient de l'
état
normal ; il est irrégulier, asymétrique, même lor
existe, en effet, entre ces deux sections du membre inférieur, dans l'
état
sain, une différence de 1 centimètre à l'avantage
eints de luxation congéniale, par une distance plus grande que dans l'
état
normal. Cet écartement est le plus ordinairement
ère de la luxation se tire de la position de la tête du fémur. Dans l'
état
physiologique, elle est profondément située et éc
te rouler sous les doigts. Mais on ne la sent guère davantage clans l'
état
sain; le déplacement des muscles qui recouvrent l
mouvements. — Tels sont les signes de la pseu-darthrose fémorale à l'
état
de repos; ce sont les signes anatomi-ques ; nous
mi-ques ; nous avons aussi des symptômes physiologiques, déduits de l'
état
des mouvements. Parmi ceux-ci, les uns sont moins
des mouvements. Parmi ceux-ci, les uns sont moins étendus que dans l'
état
normal, les autres le sont autant. La flexion de
rthrose, est fort étendue ; elle l'est autant et même plus que dans l'
état
sain. Les mouvements opposés, par contre, sont fo
s de longueur que l'autre. Examinez alors avec soin l'articulation, l'
état
général du sujet. La déformation du fémur est ord
anifestée dès que l'enfant a marché ; il n'a existé à aucune époque d'
état
douloureux du membre, suivi de raccourcissement e
oient point aperçues des douleurs et de l'impotence inséparables d'un
état
pathologique ou traumatique du membre. Morgagni
vement à l'origine de la luxation, si le commémoratif n'établit pas l'
état
antérieur du sujet. Cette pièce est un exemple de
, si l'on ne possède d'autres caractères que ceux qui sont tirés de l'
état
anatomique; elle provient du service de M. Chassa
. Le diagnostic doit encore faire reconnaître, s'il est possible, l'
état
anatomique de l'articulation sur le vivant, comme
ar un examen attentif. On doit aussi essayer de déterminer quel est l'
état
de la tête et du col fémoral, s'il y a syndesmose
ation se reproduit fréquemment. Dans la deuxième période, alors que l'
état
inflammatoire est passé, il reste une luxation, e
symptomatiques de l'articulation ilio-fémorale. Paris, 1835, in-8°.
état
primitif, ou s'il a produit d'autres déplacements
. M. Ferdinand Martin assure avoir produit de l'amélioration dans l'
état
des sujets qu'il a soumis à un traitement mécaniq
e. Dans ces cas, on peut, avec des moyens mécaniques, amé- liorer l'
état
des sujets, diminuer la claudication, accroître l
ouvements. Les deux dessins que je place sous vos yeux représentent l'
état
des membres avant et après le traitement. J'ai re
la laxité des ligaments, ce qu'on peut reconnaître en ayant égard à l'
état
des mouvements, on doit chercher à remédier aux d
rétraction des muscles antérieurs et internes de la cuisse; c'est un
état
qu'il faut traiter par les moyens qu'on oppose gé
Cette affection est le strabisme. ARTICLE IV. STRABISME. Dans l'
état
physiologique, il doit y avoir, et il y a en effe
l'adduction ou de l'abduction. Le premier de ces mouvements étant à l'
état
physiologique plus habituel que le second, et le
contraction ne laisse pas de traces sur le cadavre ; il est dû à deux
états
principaux des agents du mouvement : dans un cas,
; cette faiblesse pourrait plutôt être rapprochée de l'amblyopie. L'
état
de la vue doit aussi être examiné dans les deux y
ous savez comment on explique la vue simple avec les deux yeux dans l'
état
physiologique : les images se peignent sur des po
dère des objets plus ou moins volumineux, plus ou moins éloignés. L'
état
des yeux date de la première enfance; le malade a
ts, précautions indispensables pour arriver à la notion complète de l'
état
de la vision. Je n'insiste pas sur les moyens d
le. Mais ordinairement alors la déviation passe du côté opposé , et l'
état
de la vision reste le même; cependant, dans quelq
ent et divergent ne sont pas maintenus par des liens de même force. L'
état
du muscle opposé à celui qui produit la déviation
oup de réserve, et on examinera de nouveau la direction des yeux et l'
état
de la vision. Une condition essentielle de succès
ement, avec persistance de la très-légère convergence qui constitue l'
état
normal, le succès est à peu près assuré. Il faut
u muscle droit externe fut pratiquée sans amener de changement dans l'
état
de l'œil; de larges débridements eurent pour résu
e interne; il n'en est distant que d'une demi-ligne. Aujourd'hui, l'
état
des yeux est satisfaisant; seulement le gauche es
cès dans deux autres cas ; et qu'enfin elle a laissé les yeux dans un
état
très-imparfait chez les deux derniers malades. Ce
seuls se meuvent quelquefois dans une direction opposée. Mais, dans l'
état
pathologique, la rangée antérieure du tarse peut
ien de celte attitude. Mais ces contractures peuvent se présenter à l'
état
chronique et amener de véritables pieds bots. M
n du pied bot congénital. D'une part, il peut être la suite de divers
états
pathologiques, surtout d'affections du système ne
igine du pied bot natif, non-seulement par l'examen du membre et de l'
état
général de l'enfant, mais encore à l'aide du comm
tend à accroître la déviation, et la station est moins solide qu'à l'
état
normal, ce qui expose le sujet à des entorses, à
marchait d'abord sur le bord externe. L'autre pied était dans le même
état
, mais il a guéri seul, et il s'est fait un grand
ue, elle fut atteinte d'un rhumatisme articulaire aigu, qui passa à l'
état
chronique. 11 en est résulté une déformation des
ennent la forme de griffes , suivant l'expression de M. Duchenne. Cet
état
s'explique, comme à la main, par un excès d'actio
. Pour moi, je préfère ne donner le nom de rétraction qu'à ce dernier
état
. Or ce raccourcissement permanent ne s'établit qu
ccourcissement, la contraction et la rétraction des muscles. Ces deux
états
sont, à la vérité, généralement associés. Us se t
un mot des muscles allongés dans le varus. Ils se présentent dans un
état
de tension dû à cette tendance continuelle des mu
Il en résulte que le triceps sural devient plus adducteur que dans l'
état
normal, et qu'il tend à augmenter encore la dévia
r toutes les parties de ce membre, os, muscles, vaisseaux, nerfs. Cet
état
persiste toute la vie et s'aggrave même avec l'âg
rps. La cause de cet arrêt de développement se trouve, tantôt dans un
état
pathologique antérieur, dans une lésion nerveuse
nce. De plus, le pied, qui était tourné en dedans et probablement à l'
état
de varus équin, est devenu un pied équin simple.
les jeunes apprentis qui travaillent debout; elle finit par amener un
état
très-douloureux du pied par la distension des lig
ension est limitée, tandis que la flexion est plus étendue que dans l'
état
nor- (1) Sixième leçon, 27 juin 1856. (2) W.
us au pied gauche; les os du talus ne diffèrent pas sensiblement de l'
état
normal ; ceux du varus sont très-notablement défo
liée à la circonstance qui l'a fait naître, au lieu de représenter un
état
permanent, local. Au commencement de ma pratiqu
les éléments qui constituent le pied bot. Ainsi, il faudra explorer l'
état
de la contractilité des différents muscles, l'éta
faudra explorer l'état de la contractilité des différents muscles, l'
état
de leur nutrition ; s'assurer de la conformation
é d'une manière permanente, si l'articulation de la hanche est dans l'
état
normal. § II. — Traitement du pied bot. Jusqu
gravent le mal; il peut même survenir des ulcères , des caries. Cet
état
fonctionnel du membre pied bot prive les pauvres
e trop célèbre ïalleyrand fut condamné par son pied bot à embrasser l'
état
ecclésiastique, pour lequel il avait, je crois, p
t, jour et nuit. Seulement on doit le visiter souvent, s'assurer de l'
état
de la peau dans les points où elle supporte le pl
aitement mécanique capable d'amener une guérison aussi parfaite que l'
état
des parties le permet. Je n'ai guère rencontré ce
océdés de ténotomie ont parcouru plusieurs phases avant d'arriver à l'
état
où ils sont aujourd'hui. D'abord, on a coupé si
animaux, dans des conditions diverses, des recherches nouvelles sur l'
état
anatomique et physiologique des muscles divisés c
forcément la suite du traitement. Elle peut aussi s'accompagner d'un
état
fébrile qui, surtout chez les jeunes enfants, est
inflammation suppurative. Il en est de même d'une idiosyncrasie, d'un
état
cachectique, de la scrofule, d'une maladie aiguë
st âgé de dix-neuf jours, et affecté d'un varus congenial gauche. Son
état
général est très-satisfaisant. Vous voyez que son
les plus complètes, le pied réunit rarement tous les caractères de l'
état
normal, surtout si la déviation était congénitale
la déviation était congénitale. Sa forme conserve quelque chose de l'
état
primitif, ou s'altère par l'effet même des moyens
pointe du pied. La flexion atteint un angle un peu moins aigu qu'à l'
état
normal; la plante du pied a sa concavité naturell
onnais toutes les analogies signalées depuis longtemps entre ces deux
états
et invoquées de nouveau par MM. Stanski et Beylar
n début, et qui, dans le cas contraire, constituent des formes ou des
états
différents. Je rattacherai toutes les nuances d
différents. Je rattacherai toutes les nuances du rachitisme à deux
états
des os qui caractérisent les deux périodes princi
uérison a lieu, j'établirai en tout trois périodes, répondant à trois
états
distincts, bien que ceux-ci ne se succèdent pas n
que ceux-ci ne se succèdent pas nécessairement. Première période :
état
atrophiquc, ou résorption interstitielle des os.
atrophiquc, ou résorption interstitielle des os. Deuxième période :
état
fibroïde ou cartilaginiforme, ou de ramollissemen
broïde ou cartilaginiforme, ou de ramollissement. Troisième période :
état
éburné. A. Première période.—La première périod
irurgien distingué. Le tissu spongieux, incessamment produit dans l'
état
normal entre le corps des os longs et leurs extré
ongoïde sont très-minces et se voient difficilement à l'œil nu dans l'
état
normal; mais dans le rachitisme, leur épaisseur d
os, les rendent à la fois plus flexibles et plus fragiles. Aussi cet
état
des os, dans le rachitisme, joint à leur soupless
sme. B. Deuxième période. — La deuxième période a pour caractère un
état
fibroïde des os. J'emploie ce mot fibroïde, pour
neux, qui n'ont point été acceptés. Par transformation d'un tissu à l'
état
fibroïde, il faut entendre que ce tissu devient s
i perdent leur matière calcaire. Ces os s'épaississent en passant à l'
état
fibroïde ; le tissu spongieux augmente de volume
lles preuves par M. Flourens (3), le périoste sécréterait l'os dans l'
état
normal; beaucoup d'auteurs ont pensé qu'il avait
t, M. Vir-chow (4), qui a décrit, après MM. Kœlliker, Mayer, Broca, l'
état
microscopique des os rachitiques, a reproduit la
s. Il ne faudrait pas prendre, comme on l'a fait quelquefois, pour un
état
graisseux dû au rachitisme l'état gras observé su
me on l'a fait quelquefois, pour un état graisseux dû au rachitisme l'
état
gras observé sur les os des vieillards gibbeux et
gnée à l'étranger sous le nom un peu dur d'ostéopsathyrosis. Dans cet
état
, le moindre effort, une chute légère, une faible
mie impériale de médecine, t. XVI, p. 378, 1851. lettes offrant cet
état
particulier avec d'autres atteints de fractures r
rable à celle de l'ivoire ; d'où les noms de 'période d'éhurnation, d'
état
ébumé, que j'ai adoptés plus haut. Cet état se vo
'période d'éhurnation, d'état ébumé, que j'ai adoptés plus haut. Cet
état
se voit surtout là où le tissu cartilaginiforme é
blement la nature des os dans l'enfance ; après les avoir ramenés à l'
état
fœtal, il en fait, avant l'âge, des os d'adultes
es points transparents qui se voient sur ce crâne de jeune sujet. L'
état
d'imperfection des os du crâne peut aller encore
pu, cette année, diagnostiquer souvent un rachitisme en considérant l'
état
des fontanelles relativement à l'âge de l'enfant.
ne couche de tissus chondroïde et ostéoïde un peu plus épaisse qu'à l'
état
normal. A un degré plus avancé, les articulatio
t interne. Pour moi, cet enfant est un rachitique qui a passé par l'
état
d'éburnation dans le ventre de sa mère, au moins
tique mesure treize centimètres, c'est-à-dire deux de plus que dans l'
état
normal. Bùchner (1) cite une jeune fille rachitiq
al, du lieu où le mal sévit avec le plus d'intensité ; ce sont : 1° l'
état
de l'ossification au moment du début de la maladi
lus grande activité de développement aux époques correspondantes de l'
état
physiologique, tandis que les os dont le plus gra
ueur et produire la claudication. Certains individus sont réduits à l'
état
de cul-de-jatte par l'énorraité de leurs déformat
èces acquièrent plus de densité. Or, le rachitisme crânien prolonge l'
état
fœtal et l'exagération du développement cérébral.
sme crânien, et par conséquent excès de développement cérébral. Cet
état
du cerveau a pour conséquence physiologique la pr
ne couleur plus foncée ; il est aussi plus dense et moins aéré qu'à l'
état
normal. Cette altération s'étend plus ou moins lo
iennent emphysémateux dans d'autres points. Les conséquences de cet
état
des voies aériennes se comprennent facilement : l
paroi abdominale. On a dit que le foie était plus développé qu'à l'
état
normal, et Glisson (2) ajoute que, quoique plus v
s flexuosités comparables à celles des vaisseaux du même ordre dans l'
état
de vacuité des organes creux ou très-mobiles, sus
i, en effet, la débilité joue un grand rôle dans la production de cet
état
pathologique, elle n'en est pas l'élément unique.
à trois ans; il était noué. Cette petite fille, venue au monde en bon
état
, était maigre, débile en sortant de nourrice, à n
lésions de l'innervation, douleurs, exaltation de la sensibilité; un
état
fébrile; la perturbation des fonctions respiratoi
u'ils laissent tomber de côté et d'autre. C. Pujol (2) a parlé d'un
état
aigu du rachitisme ; cet état est réel et paraît
et d'autre. C. Pujol (2) a parlé d'un état aigu du rachitisme ; cet
état
est réel et paraît lié à la période de ramollisse
tres, 1802, et Boyer, Maladies chirurg., t. III, p. 626, 1814. D. L'
état
aigu est accompagné d'une fièvre d'abord passagèr
ennes sont saines d'ailleurs. Les fonctions digestives sont dans un
état
variable. L'appétit est souvent diminué, mais que
mes généraux, qu'on doit être porté à croire à l'influence d'un autre
état
morbide qui constitue l'affection principale. I
tiques suivant l'époque à laquelle elles se manifestent, et suivant l'
état
général du système osseux. J'en dirai autant de
ait avoir guéri plus de cent enfants « réduits par le rachitisme à un
état
désespéré , » en leur administrant chaque jour qu
nt vous expliquer cette singularité : « Quand la maladie est dans son
état
, dit J. L. Petit, l'art a moins de part à sa guér
se présenteront. On s'attachera, pardessus tout, à entretenir le bon
état
du tube digestif. La nutrition générale, celle de
. En général, il ne faut les employer que lorsque les enfants sont en
état
de marcher. Quand il y a indication d'employer
érosion du tissu des vertèbres ou des ligaments intervertébraux. Cet
état
du rachis est moins une maladie, dans le sens ord
on combinée de plusieurs causes, qui presque toutes se rattachent à l'
état
de station propre à l'homme. L'équilibre de la
la colonne vertébrale. Elles disparaissent avec leurs causes, quand l'
état
de station vient à être remplacé par le décubitus
e, qui augmente avec l'âge , est pour ainsi dire un commencement de l'
état
pathologique. Nous l'avons trouvée le moins prono
On a fait des recherches intéressantes pour déterminer dans ce cas l'
état
anatomique des pièces du rachis. MM. Wcber (1) on
igure de MM. Weber montre l'exactitude de leurs assertions, quant à l'
état
des ligaments. Elle a été faite d'après une pièce
tuantes ; 2° L'activité normale des muscles qui le meuvent ; 3° L'
état
physiologique des autres sections du squelette, q
a rectitude, restent droits fort longtemps ; tandis que ceux qui, par
état
, se sont tenus habituellement penchés en avant, c
ions; cependant il devient quelquefois général. La courbure tient à l'
état
douloureux des jointures; Delpech a rapporté un b
e sorte qu'il est difficile de dire quelles sont ici les limites de l'
état
normal, et où commence la courbure réellement pat
ses réprimandes. L'espèce de lordose physiologique déterminée par l'
état
de grossesse ne laisse pas ordinairement de trace
rale donne peu de résistance aux systèmes osseux et ligamenteux, si l'
état
de grossesse est accompagné de travaux pénibles ,
o-sacrée , la colonne lombaire décrit un arc plus prononcé que dans l'
état
normal ; sa différence de hauteur en avant et en
a jeunesse, par une bonne hygiène, par les médicaments appropriés à l'
état
général des sujets, par les forces de la nature e
nt qu'un rôle très-secondaire. Cette contracture se montre-t-elle à l'
état
chronique sous la forme permanente? La chose est
ieures. La contracture du dos et des lombes est fort rare, même à l'
état
aigu, lorsqu'elle ne dépend pas du rhumatisme; je
leurs antagonistes, les fléchisseurs, restent sains. Chacun de ces
états
opposés donne lieu à une attitude spéciale. Les
, et les extenseurs sont déchargés d'une fonction qu'ils sont hors d'
état
de remplir. De là la lordose. Mais ce genre de
ure par flexion ; mais cette flexion paraît dépasser les limites de l'
état
normal, et elle pourrait, à la longue, être suivi
lordose congénitale est en général une circonstance très-accessoire d'
états
fort complexes ; on l'a principalement rencontrée
des auteurs plus anciens. Cependant ces observations sont restées à l'
état
de faits isolés, bien qu'elles constituent réelle
r Dugès (5); il est difficile de ne pas voir avec ces auteurs, dans l'
état
d'imperfection du crâne et du rachis, les suites
es muscles, rejetés sur les côtés avec les lames vertébrales, et leur
état
de relâchement comparé à la tension des muscles a
audrait peut-être réserver pour la courbure permanente qui se lie à l'
état
anatomique du rachis. Cette fausse scoliose n'e
res de cette classe sur le sacrum. C'est une attitude anormale dans l'
état
physiologique ; mais elle joue un rôle important
e dans l'état physiologique ; mais elle joue un rôle important dans l'
état
pathologique. C. Ajoutez à une légère flexion l
instinctif et par la prédominance d'action des muscles de ce côté. L'
état
du membre inférieur influe aussi, dans ce cas, su
ble, et partant aussi la déformation; mais le père, cordonnier de son
état
, a eu l'heureuse idée de mettre une semelle de pl
sise. Voici deux enfants qu'on peut regarder comme des modèles de l'
état
normal, quoique l'un d'eux ait une scoliose très-
en garde contre ces méprises, guidés par l'anatomie pathologique. L'
état
actuel de nos connaissances permet de suivre Xévo
olution de la gibbosité ou bosse produite par la scoliose, depuis son
état
rudimentaire jusqu'à son développement le plus av
t le plus avancé, le plus considérable. Ce que je considère comme l'
état
rudimentaire de la scoliose, c'est la courbure la
seulement du côté où elle existe : aussi ne séparerai-je pas ces deux
états
dans la description. Le siège ordinaire de l'un
rieure du corps vertébral éprouve alors un déplacement sensible : à l'
état
tout à fait normal, et dans les dorsales moyennes
courbures secondaires voisines. De ces deux circonstances résulte un
état
mixte, un mélange de petites déformations apparte
orti-ques et sous-aortiques. J'ai rapporté toutes ces courbures à l'
état
physiologique; on pourrait y voir des courbures p
thologiques. La dépression aortique superficielle est certainement un
état
normal ; mais j'accorderai que l'existence, à peu
a scoliose spontanée ou essentielle, qui n'est que l'exagération de l'
état
normal ; c'est la plus commune. 2° La scoliose
ès de la difformité. Nous ne sommes pas encore arrivés, en effet, à l'
état
du rachis qui constitue la gibbosité ou bosse. L'
liose due au rachitisme que le crâne peut conserver les traces de cet
état
pathologique. La face porte au contraire, tôt o
Sterne, que cette longueur n'était pas augmentée comparativement à l'
état
normal. Le peu de volume des membres dépend des p
qu'elle ne se rattache nullement à une modification primitive dans l'
état
des muscles. La plupart des changements que les
on partielle des fibres mus- culaires, qui finissent par passer à l'
état
graisseux. Vous voyez sur ces planches coloriées
ors, dans ses contractions, un effort dirigé dans le même sens qu'à l'
état
normal. G. Viscères. — a. Moelle, épinière. — P
r de ce canal. Le canal vertébral n'est pas symétrique comme dans l'
état
nor mal; nous avons vu que les trous des vertèb
st fort élargi (2). Il est quelquefois en partie graisseux ; mais cet
état
ne m'a pas paru plus fréquent chez les sujets gib
partie moyenne et sa face convexe, le foie paraît peu s'éloigner de l'
état
normal, ainsi que vous le remarquez sur ces dessi
et les côtes. Voici pourtant un cas où les reins -sont à peu près à l'
état
normal, malgré une forte déviation du rachis (3)
re explication. Fleischmann (4), qui malheureusement ne dit rien de l'
état
des muscles, suppose que l'éventralion , (1) Hi
de l'accroissement est lésé sans qu'on en trouve l'explication dans l'
état
anatomique; les forces seules qui président à cet
t anatomique; les forces seules qui président à cet acte dévient de l'
état
normal. Il est des cas où l'on est tenté de cro
oppée : c'est une scoliose. Cette influence de l'aorte, qui, dans l'
état
normal, n'est pas sensible pendant les premières
courbure latérale de l'épine se présente, pendant la vie, sous trois
états
ou à trois degrés différents qui constituent, lor
pas dans sa marche, autant de périodes successives, savoir : 1° A l'
état
latent, période latente; 2° A l'état de déviati
successives, savoir : 1° A l'état latent, période latente; 2° A l'
état
de déviation visible, période de déviation confir
l'état de déviation visible, période de déviation confirmée; 3° A l'
état
de déviation assez avancée pour produire une véri
duire une véritable gibbosité, période de gibbosité. a. Pe période,
état
latent. — Cette période se confond par des nuance
rection des omoplates diffère : la gauche est plus oblique que dans l'
état
naturel ; son angle inférieur est relevé en dedan
qui ajoute tant à la difformité, semblent rétrograder et repasser à l'
état
d'S verticale qui caractérise la seconde période,
nt à droite et à gauche dans la station sur les deux pieds, comme à l'
état
normal, ils sont, de toute nécessité, inégalement
ale, sont plus tendus et se contractent avec énergie pour maintenir l'
état
de station ; ils forment souvent une espèce de co
n des lombes sur le sacrum par l'action musculaire peut, comme dans l'
état
naturel, se produire en sens inverse de la flexio
deuxième période n'apportent toutefois que peu de changements dans l'
état
des fonctions; ce n'est qu'au degré qui constitue
u'une réunion d'effets qui peuvent dépendre d'une cause commune, d'un
état
général constitutionnel, de la chloro-ané-mie, et
ères abdominaux pressent de bas en haut avec plus de force que dans l'
état
naturel. L'inspi- (1) Traité du Rakitis, p. 122
s inspirations qui rétablit à peu près l'équilibre fonctionnel dans l'
état
de repos. Mais au moindre mouvement actif, dans t
. naire de la gibbosité, et il s'explique facilement par le mauvais
état
des fonctions nutritives. Après la respiration,
sont une des causes de mort les plus fréquentes dans la scoliose. L'
état
habituel de la respiration et de la circulation,
ralement coïncidence de deux effets dépendants d'une même cause, d'un
état
constitutionnel des sujets. Dugès et Delpech (1
d'essoufflement, de faiblesses, qui dépendent peut-être autant de son
état
général que de sa difformité. Ve cas. — Fille d
t jouissent les individus bien conformés. Vous avez pu en juger par l'
état
fonctionnel que nous ont présenté plusieurs scoli
de lésion fonctionnelle sensible; tous ses viscères paraissent dans l'
état
naturel. Le foie ne dépasse pas les fausses côtes
bure latérale du rachis. Il me reste à passer en revue les différents
états
que l'on peut confondre avec la scoliose, à établ
ue par une altitude vicieuse, en grande partie volontaire, passée à l'
état
d'habitude. On distingue de la même manière les c
qu'elle existe, distingue suffisamment la scoliose de tous les autres
états
. Il ne peut donc y avoir de doute qu'à l'égard de
ystème musculaire. f. La situation de l'épaule peut s'éloigner de l'
état
normal sans qu'il y ait scoliose. C'est ce qu'on
e pulmonaire, l'asthme, les maladies du cœur, etc. Cependant certains
états
complexes réclament un examen attentif pour évite
me une maladie : on n'y voit qu'une difformité. Et cependant c'est un
état
plus grave que beaucoup de maladies réputées tell
que, de faiblesse de constitution, de croissance disproportionnée à l'
état
des forces., après les maladies longues, pendant
ire à celui que vous voulez obtenir. Proportionnez les mouvements à l'
état
des forces, et, sous prétexte de fortifier les mu
t que possible. Il n'y a point à cela d'utilité spéciale eu égard à l'
état
des parties dans la scoliose ; ces exercices rent
ette affection, que sur quelque indication particulière, et lorsque l'
état
de station droite qui les accompagne ne paraîtra
es exercices spéciaux, la force d'occlusion des mains, qui les met en
état
de rester cramponnés aux supports sans les lâcher
convexe, et que les formes s'améliorent ou reviennent à peu près à l'
état
normal. On a prétendu que l'extension du rachis
compatible avec la tolé rance des organes, avec les exigences de l'
état
fonctionnel, qui, pour le médecin, doivent domine
lus forte du côté de la tête. L'enfant se remonte alors et le premier
état
se reproduit. On a soin de régler l'inclinaison d
rcice pour entretenir le (i) Quatorzième leçon, 21 août 1857. bon
état
des forces et de la nutrition. La durée du couche
de circonstances. En général, le maximum de la traction continue, à l'
état
de repos, ne doit pas dépasser huit à dix kilogra
début, il faut s'enquérir de sa marche, considérer les antécédents, l'
état
général, et proportionner les moyens au danger, à
rture à la peau, par la méthode sous-cutanée. Ce que l'on sait de l'
état
des muscles dans la scoliose, des véritables obst
u se passent des phénomènes actifs de formation osseuse. Tant que cet
état
persiste, on a plus de chances de voir la nutriti
ourbure au moindre degré possible, et qu'à maintenir ce degré dans un
état
stalionnaire le reste de la vie de l'individu.
t, d'un tiers ou tout au plus de moitié , contrastent moins avec leur
état
primitif que la courbure dorsale principale de la
ement achevé, des formes robustes, y apporte plus d'obstacles. Mais l'
état
général exerce encore un autre genre d'influence.
ui accomplit seule la restauration des formes, et, sous ce rapport, l'
état
fonctionnel joue un grand rôle dans les changemen
l'épine est très-souvent accompagné d'une amélioration générale de l'
état
fonctionnel, qui se montre ordinairement dès les
peut-être un peu oublié de nos jours, en tracer les rapports avec l'
état
mental normal et les princi- pales formes psych
mais erronée et exagérée en rapport avec les idées en question. L'
état
de l'humeur correspondant à ces idées, qu'il les
rvention du contrôle psy- chique, du sens critique. Or, c'est sur l'
état
de l'humeur que '\VERNICIOE appuie principaleme
actère de la fixité. Elle devient alors le centre d'irradiation des
états
de cons- cience, sans cependant.en entraver le
que les gens du monde classent souvent encore dans le domaine de l'
état
normal, sont, parfaitement et à juste titre, au
iation de la valence normale des conceptions, est déjà troublée à l'
état
normal, lorsqu'on est en proie à de certaines c
idées fixes. - L'idée fixe pathologique reflète, en certains cas, l'
état
d'es- prit habituel du malade et ses tendances;
i ont été mises en éveil par une fabrication pathologique. Dans l'
état
de poly-idéisme physiologique, il y a, pour ainsi
aussi les hallucinations. Elles ont pour origine les changements d'
état
de la conscience, les sensations morbides, et c
forme-t-elle, géné- ralement par suite d'essais d'explications d'un
état
quelcon- que qui n'est pas forcément conforme à
s ce caractère ; ses croyances mystiques s'il en a, resteront à l'
état
platonique, en ce sens qu'il ne subordonnera pas
sent ce qui se passe en lui. On a quelquefois des obsessions à l'
état
normal. Qui n'a été hanté en pleine réflexion p
bserve chez les héréditaires. L'idée obsédante émotive procède d'un
état
nerveux anté- rieur dépressif. Exemples : les m
un coin, dans le champ de l'idéalion, troublant le cours normal des
états
de conscience, lui esl , l'idée fixe. , 23 ét
lade s'identifie. » (Magnan et LEGR.11N. La pleine conscience de l'
état
représente le grand caractère de l'obsession. Mai
ne se contente point du rôle de phénomène isolé dans le sein des
états
psychopathiques, elle finit par se répéter et par
morale de l'idée de son impuissance, retentissement phy- sique de l'
état
réactionnel, soulagement. consécutif à la satis
ée aux.centres surexcités, - voilà les signes de l'obsession dont l'
état
lucide de la conscience est à lui seul pathogno
aux suppositions quant à l'événement qui a pu la provoquer. En cet
état
pas de gué- rison possible. 26 CLINIQUE menta
ou recueillie des obser- vations péremptoires d'idée fixe dans les
états
suivants : l° Idée fixe greffée sur la débilité
ment. Pour comble, il avait encore cette préoccupation que dans cet
état
il ferait des bévues et s'attirerait des amende
ils ne font que restaurer des idées abandonnées. L'analyse de cet
état
mental se ramène à un excès de sub- jectivité ;
férents, stades de l'évolution mentale normale; il passe ainsi de l'
état
positif à l'état abstrait et de là à l'état ficti
e l'évolution mentale normale; il passe ainsi de l'état positif à l'
état
abstrait et de là à l'état fictif. Il est en ef
le; il passe ainsi de l'état positif à l'état abstrait et de là à l'
état
fictif. Il est en effet curieux de retrouver le
es, les considère comme innées, immanentes chez l'homme normal, à l'
état
inconscient. Elles apparaissent et passent au p
fonctions corticales sont supprimées. La superstition existe à l'
état
d'élément inconscient dans le cerveau normal oi
passés dans une étroite réclusion, et les apparences soutenues d'un
état
calme et tranquille déterminèrent à lui accorde
ns et à des déterminations véritablement pathologiques. C'est cet
état
mental qui produit les régicides vrais, les sauve
es premiers travaux de Charcot) : les contractures permanentes et l'
état
pariéto-spasmodique d'origine médullaire sont e
t démontrée la corrélation cons- tante entre les contractures (et l'
état
spasmodique) d'une part et la lésion du faiscea
faisceaux pyramidaux entraine-t-elle la contracture permanente ou l'
état
pariéto-spasmodique ? Depuis Vulpian, Charcot e
contracture ne tardèrent pas à apparaître. Pendant un an environ, l'
état
de la malade resta stationnaire. Lors de son entr
ctionnelle s'amende graduellement et disparaît vers avril 1896 et l'
état
men- tal s'améliore. Mais pendant plusieurs sem
porte sur 34 cas, et se décom- pose ainsi : 11 guérisons complètes (
état
physique et état mental), 9 améliorations, il é
et se décom- pose ainsi : 11 guérisons complètes (état physique et
état
mental), 9 améliorations, il états stationnaire
isons complètes (état physique et état mental), 9 améliorations, il
états
stationnaires, 3 morts opératoires. La statisti
; 18 améliorations, soit 22 i/2p.100; 62 SOCIETES SAVANTES. et 28
états
stationnaires, soit 35 p. 100, 4 morts, soit 5 p.
rgicales et suivies, l'une de guérison, l'autre d'amélioration de l'
état
men- tal. Ces cas sont restés isolés. Aucun aut
s, sur le cerveau, et qui doit dispa- raître pour faire place à des
états
intellectuels bien définis, liés ou non à la dé
chez des épileptiques ou des hystériques en vue de remédier à leur
état
de nervosité. Des installations particulières
z 22 malades, et nous avons constaté par la suite : 11 guérisons, 3
états
stationnaires, 7 améliorations, 1 mort. Les o
es physiques en supprimant si possible ces dernières. Sans guérir l'
état
antérieur d'aliénation mentale, l'acte opératoire
ntérieur d'aliénation mentale, l'acte opératoire met l'organisme en
état
de lutter efficacement contre le délire et contre
à des lésions de peu d'importance mais susceptibles dé prolonger un
état
de malaise indéfinissable, avec répercussion su
n simple curettage, une opé- ration de Schroeder, triomphent de cet
état
de lassitude, dont l'ori- gine est alors trouvé
uentes, tellement pénibles, elles ont un tel retentissement sur son
état
général, qu'il est, de toute nécessité d'en emp
et l'imbécillité en général avec les renseignements spéciaux à ces
états
chez les enfants norvégiens. Il a trouvé, que 2
et d'imbéciles 5 : 39 - il a trouvé le rachitisme comme cause de l'
état
morbide. L'auteur a fait des examens sur l'hygi
Pans, 1899. Librairie G. Basson. PL.\1G1\.\HD-FL.\ISSIInEs (IL). L'
état
mental dans le goitre exophtal- tique. Volume m
est rendu. Voici la lettre qui édifiera amplement le lecteur sur l'
état
mental de P... et sur la nature de son délire.
er à Marseille, une maison très importante. Je suis horloger de mon
état
, et je vais travailler chez lui. » « Le connais
mbre. il conserve la même attitude. Il n'a aucune conscience de son
état
. Parfois, on le surprend dans un coin, en compa
à coeur de leur annoncer. » 11 est dirigé sur Vaucluse dans le même
état
. Observation VIII (Krafft-Ei>11ng). Dégénéré
phies obscènes. Voilà pourquoi on l'a mise à l'hôpital pour que son
état
mental fût observé. Là aussi, les annonces du jou
lle a cinq enfants tous bien portants. Tous ses organes sont en bon
état
. Elle ne présente pas la moindre tare physique.
impossible de connaître l'ascendance. « Ceci était resté dans cet
état
pendant quelque temps, lorsque ayant eu besoin
rnai et enfin à Armentières où il se trouve depuis trois ans. Son
état
actuel est celui du délire chronique à son comple
'en ces termes : « L'appelé X..., ou la personne appelée X... » Cet
état
est entre- tenu par des illusions de la vue qui
qu'il a accaparé toutes ses affaires. 110 CLINIQUE MENTALE. Son
état
actuel est celui du délire de persécution à son c
uniquement 11 des idées obsédantes d'ordre intellectuel, mais à des
états
émotifs persistants, à des états de la per- son
s d'ordre intellectuel, mais à des états émotifs persistants, à des
états
de la per- sonnalité qui restent immuables, en
s états de la per- sonnalité qui restent immuables, en un mot à des
états
psy- chologiques, qui, une fois constitués, per
ner naissance, en passant de l'idée fixe pri- mitive consciente à l'
état
d'idée fixe subconsciente, àdessymp- 1 Xévroses
efois dans la poliomyélite antérieure aiguë des enfants'. '. Mais l'
état
actuel des muscles, moins atrophiés qu'arrêtés
é maternel. Pas d'épilepsie dans sa famille. 1 Troisier. Sole sur l'
état
de la moelle épillière dans un cils d'héllli- J
s'énerve ; il a des tremblements de tout le corps ; c'est dans cet
état
qu'arrive l'accès. Lorsque celui-ci est terminé,
upérieure de l'occipital gauche (avril 18cl6). Après l'opération, l'
état
du malade semble amélioré, il ne voit plus repa
tiques, et le malade put sortir de la maison de santé, en excellent
état
au physique et au moral, deux mois après son en
rapidement la cachexie et eût maintenu longtemps le malade dans un
état
de faiblesse dont il n'eût pu faire les frais.
omanes et les petits morphinomanes ; les premiers, qui doivent leur
état
à une prédisposition plus accentuée, à une morp
ctions portent leur effort respectivement et toutes à la fois sur l'
état
mental du sujet, car un tic, simple ou complexe,
la solution de chlor- hydrate de morphine de 0,003 p. 100 d'eau. L'
état
s'améliore, l'enfant commence à avaler du pain.
uérison. On avait pris du sérum pendant douze jours ; une semaine l'
état
de l'enfant fut satisfaisant, mais après, les c
opos de l'examen médico-légal du meurtrier C.... et rapport sur son
état
mental; par le Dl' S. Garnier. Le maire d'une
une irresponsabilité complète. Dans l'alcoolisme chronique, c'est l'
état
de conservation ou de déchéance des facultés in
modifier la responsabilité des malades. Il en est de même dans les
états
délirants, convulsifs, somnambuliques, etc., qui
LOGIE MENTALE. 1. Les phénomènes de la distraction cérébrale et les
états
dits de dédoublement de la personnalité ; par l
énue lors du sommeil normal, pour devenir minima ou nulle lors de l'
état
hypnotique et des états analogues, ' peut, même
rmal, pour devenir minima ou nulle lors de l'état hypnotique et des
états
analogues, ' peut, même à l'état de veille chez
lors de l'état hypnotique et des états analogues, ' peut, même à l'
état
de veille chez certains sujets, se trouver en d
érents actes souvent bien combinés, sans en avoir conscience. Cet
état
se rencontre fréquemment : on l'observe surtout c
tant ou ayant existé, Ilobespierre, Danton, 13onapa'rle, etc... A l'
état
de veille cet état est appréciable chez les médiu
é, Ilobespierre, Danton, 13onapa'rle, etc... A l'état de veille cet
état
est appréciable chez les médiums; il n'est autr
s leur mémoire est riche, plns et mieux elle a été meublée dans les
états
habituels par l'intelligence, plus aussi on peut
urobiline et l'hématoporphyrine peuvent se trouver dans l'urine à l'
état
normal mais c'est seulement dans les états morb
trouver dans l'urine à l'état normal mais c'est seulement dans les
états
morbides qu'elles y apparaissent en grande quan
ale ne serait qu'une des nom- breuses manifestations nerveuses de l'
état
diatMsÏlfue c'est-à-dire d'un état morbide émin
es manifestations nerveuses de l'état diatMsÏlfue c'est-à-dire d'un
état
morbide éminemment héréditaire caractérisé par un
sistance, devient plus pressante, plus impérieuse et fait naître un
état
de malaise de plus en plus pénible, accompagné de
es qui le regardent et souvent, contrairement à ce qui se passe à l'
état
de veille, il a une érection suivie de pollutio
ble de l'outrage public à la pudeur qu i lui est reproché, mais son
état
mental exige la continuation du traitement dans
vue psychique, entre cet exhibitionniste qui présente sa verge à l'
état
flasque et les autres qui se montrent ordinaire
mots leur échappe. La plus âgée est 'SOCIÉTÉS SAVANTES. dans cet
état
depuis neuf ans, la plus jeune depuis dix mois. L
VANTES. - minutes de repos, et ainsi de suite. Depuis quinze mois l'
état
est le même qu'au premier jour. Au niveau du
guéri par la suggestion pendant le sommeil naturel. Celui-ci est un
état
passif que nous n'avons pas besoin de produire
e met en relief un certain nombre de faits correspondant aux divers
états
psychiques. 1° Les phénomènes intellectuels tel
ement est une affection gênante qui met celui qui en est atteint en
état
d'infériorité au pomt de vue social en l'annihi-
rra s'ad- joindre la psychothérapie. Dans tous les cas surveiller l'
état
men- tal du bègue, raffermir sa volonté, lui do
la neurasthénie, l'hystérie, l'aliénation mentale. 8. Essai sur l'
état
mental dans l'abstinence; par le Dr LASSiGKAMOE.
ompa- gnons, dans le naufrage de la « Ville-de-Saiut-Nazaire ». L'
état
mental créé par l'abstinence peut se résumer ains
sychiques et de leur gravité. On peut 'établir un parallèle entre l'
état
mental de l'abstinence et celui des intoxicatio
dépression, mais dont la pre- mière seule est caractéristiqne. Ces
états
peuvent donc être rappro- chés des états neuras
e est caractéristiqne. Ces états peuvent donc être rappro- chés des
états
neurasthéniques ou hystériques. Naturellement l
s suivant les personnes qui en sont atteintes, leur éducation, leur
état
de santé habituel et aussi suivant les moments.
nts. Ce qu'il y a de vrai, c'est que l'éner- vement peut résulter d'
états
neurasthéniques et hystériques, comme il peut a
t une petite neurasthénie. , Quant au pronostic, il dépendra de l'
état
de santé habituel du sujet, de ses tendances pa
ental préalable qui leur a préparé la voie, tels que : idées fixes,
état
émotionnel persistant ; enfin les aboulies pério-
par un coup de hache. Le fils, qui habitait avec lui, était dans un
état
complet d'ivresse. Il a été arrêté comme auteur
e; en fait, ces troubles exis- tent, mais sont très légers. ' A l'
état
normal il nous est possible de fermer et d'ouvrir
ont contesté la valeur clinique de ce symptôme, en observant qu'à l'
état
normal un certain nom- bre d'individus n'ont pa
moins de force. Enfin, très souvent, il y a une modification de l'
état
sta- tique, du tonus musculaire : tantôt un rét
mit le plus souvent, et quelquefois mais non toujours tombe dans un
état
syncopal avec refroidissement de la peau et un
alade ne tombe pas, la douleur de tète ne s'accompagnant que d'un
état
de confusion passager. Dans les deux cas, ces sym
eille vers les 2 heures de l'après- midi, notre malade jusque-là en
état
de santé convenable, a éprouvé un fort mal à la
La connaissance persiste mais elle est obnubilée.. Le malade est en
état
de somnolence avec une respiration inégale et r
ESSIVE 203 Dans la soirée surviennent des vomissements abondants. L'
état
s'aggrave progressivement : la torpeur s'accent
té droit qui demeurent con- tracturés ; les membres gauches sont en
état
de paralysie flasque et les paupières sont abai
nâtre. Température axillaire, 38° à gauche. Le lendemain 14, même
état
de résolution; paupières'abaissées, léger nysta
sentant pas très solide ; celui de son observation III est dans un
état
d'ivresse apparente. Nous retrouvons cet état d
ation III est dans un état d'ivresse apparente. Nous retrouvons cet
état
dans notre observation 1 : la malade marche dev
gauche, des convulsions à droite, des pupilles ponc- tiformes et un
état
comateux. Il est vrai que ce coma primitif disp
'à la fin dans le côté paralysé. Dans la plupart des observations l'
état
des réflexes n'a pas été noté ; dans les cas où
vraie. Broadbent signale fréquemment comme phénomène de début un
état
de confusion cérébrale qui fait ressembler ces
fusion cérébrale qui fait ressembler ces malades à des personnes en
état
d'ivresse. Cet état peut manquer dans les cas o
fait ressembler ces malades à des personnes en état d'ivresse. Cet
état
peut manquer dans les cas où le malade est frap
itement conservée, mais ces malades ne tardent pas à tomber dans un
état
de somnolence qui s'accuse de plus en plus. Ils
ion du foyer hémorragique. Les ventricules latéraux sont tantôt à l'
état
de vacuité, tantôt remplis par une quantité plu
nerf lésé. Dans le cas où elle a lieu. les cellules reviennent à l'
état
normal; dans le cas contraire, après ce retour
iennent à l'état normal; dans le cas contraire, après ce retour à l'
état
normal, elles s'atrophient et disparaissent. M.
s aliénés : fractures spontanées et accidentelles, l'ostéoporose, l'
état
des os du crâne dans la paralysie générale, les
porencéphaliques; 4° Partout l'on suit les membranes des trous, à l'
état
de travées de tissu conjonctif jusqu'au corps c
es à des ombres au milieu desquelles le noyau disparait presque à l'
état
de silhouette dans laquelle un point obscur rep
t les parois épaissies et sont dilatées. En résumé -après 6 heures,
état
flou des granulations de Nissl, avec accumulati
ne contre-indica- tion. L'hypnose peut alors améliorer à ce degré l'
état
subjectil' du patient qu'il obéisse à la sugges
une hypnose assez profonde. Ceci fait, on passe à la suggestion à l'
état
de veille et à l'état de demi-sommeil ; on a au
onde. Ceci fait, on passe à la suggestion à l'état de veille et à l'
état
de demi-sommeil ; on a auparavant annoncé au pa
'on lui suggère. Cela donne du courage au malade; la suggestion à l'
état
de veille est plus aisée, le résultat cherché a
S SAVANTES. 235 faible et irrégulier. A partir du 6 janvier 1898, l'
état
s'améliore sensiblement; la parésie faciale dis
particulier, Régis, la suggestion est le traitement de choix de ces
états
mentaux . post-infectieux. L'agent infectieux,
s, sous l'influence de l'irritation de l'urèthre, il tombe dans des
états
d'éréthisme génital qui entraine l'exécution d'
ibles. Le traitement devra être doublé ; il portera à la fois sur l'
état
local et sur l'état mental ; il suppri- mera la
devra être doublé ; il portera à la fois sur l'état local et sur l'
état
mental ; il suppri- mera la cause des impulsion
Sous ce titre l'auteur nous donne une sorte de revue rapide de l'
état
de la science à l'heure actuelle. Suivant son exp
ou la castration est réelle. En même temps qu'une amélioration de l'
état
local, se produit toujours une amélioration de
ioration de l'état local, se produit toujours une amélioration de l'
état
général. C'est même un des premiers résultats o
Les diverses préparations d'ovaires ont la même action tant sur l'
état
local que sur l'état général. L'ovairine, en pilu
ations d'ovaires ont la même action tant sur l'état local que sur l'
état
général. L'ovairine, en pilules, paraît plus pr
gée à son tour de cet ensemble. Les impulsions, dans les principaux
états
mor- bides ont, en effet, des caractères propre
a convalescence peuvent présenter tous les degrés, depuis un simple
état
de stupeur rêveuse jusqu'à la confusion BIBLIOG
antes, c'est ce qui explique les fugues des malades. Parfois, à cet
état
, se joint un vrai délire avec idées hypochondri
me d'angoisse. Mais la jalousie affective ne reste pas toujours à l'
état
de simple passion : elle peut franchir un degré
plus et devenir morbide. Entre les deux existent comme toujours des
états
de transition difficiles à classer, surtout che
s qui présentent à certains moments, soit le jour, soit la nuit, un
état
particulier difficile à définir, tenant le mili
e de rêve somnambulique, ou comme on dit, de subsconcient. Dans cet
état
, la cérébration automatique s'exerçant en pleine
itions des phéno- mènes analogues qu'on peut rencontrer dans divers
états
morbides, et en particulier de l'aboulie des mé
le de subir des transformations qui sem- blent la faire dévier de l'
état
premier. En se transformant, l'héré- dité a le
se d'angoisse atteint une grande intensité. La psychothérapie à l'
état
de veille entendue daus son sens le plus large
IE. 219 ' ques et les hystéro-neurasthéniques, elle échoue dans les
états
obsédants constitutionnels, qu'on les envisage
ose pulmonaire . - Martin (Georges). Elude sur la neurasthénie et l'
état
mental des neurasthéniques. Maynaud (Armand). L
es du jugement et du raisonnement, les altérations périodiques de l'
état
général, constituent un tableau assez complet d
de l'affaire Dreyfus et que les gendarmes vont venir l'arrêter. Son
état
est très grave. (Petit Parisien du 15 août.) L'
L'incendie de alancillcac. La femme Veilleraud est main- tenue en
état
d'arrestation. Alcoolique incorrigible, elle aura
Les représentants de la police ont tous été très malmenés ; mais l'
état
de Grandjean, qui a dû interrompre son service,
erniers cas les troubles cérébraux - se manifestent sous la'forme d'
états
d'excitation ou de dépression. Les premiers de
la'forme d'états d'excitation ou de dépression. Les premiers de ces
états
apparaissent avec une fréquence spéciale chez l
es les opéra- tions chirurgicales, même les plus simples. Quant aux
états
de dépression, surtout fréquents chez les héréd
tale. Sur ce fond de confusion mentale survient très fréquemment un
état
déli- rant qui se présente avec tous les caract
t du mois de mars. Pen- dant les premiers jours qui la suivirent, l'
état
mental de C... n'attira nullement l'attention;
de nature terrifiante. Dans les derniers jours du mois de mais, l'
état
physique s'amé- liora sensiblement; la cicatris
le de Naugeat. 6 avril 1898. A son entrée dans cet établissement, l'
état
phy- sique de notre malade attire tout d'abord
rê- mement amaigri, le teint pâle, terreux même, C... est dans un
état
de faiblesse tel qu'un dénouement fatal nous para
es ne sont pas moins accentués. Un élément semble prédominer dans l'
état
mental du malade : c'est la confusion des idées
pas, malgré l'absorption de deux grammes de chloral. 22 avril. L'
état
du malade ne s'est pas sensiblement modifié. La
on puisse se dispenser de recourir au cathétérisme oesophagien. L'
état
physique s'améliore lentement; la plaie de l'aiss
me dit l'année exacte de sa naissance. 11 est donc manifeste que l'
état
mental n'a guère changé ; la désorientation d'e
a, du reste, après sa guérison, com- paré spontanément à un rêve l'
état
dans lequel il se trouvait alors. A cause de
Malgré cette affection incidente, qui, du reste, parait bénigne, l'
état
général tend à s'améliorer; C... recouvre ses for
ès cicatrisée, et ne donne que quelques gouttes de pus. Juin. - L'
état
mental ne subit aucune modification. L'amélio-
bruyant la nuit. Mauvaise tenue. Malpro- preté. Amélioration de l'
état
physique; le malade se nourrit bien; l'amaigris
seul changement qui se soit produit, en ces derniers temps, dans l'
état
du malade, consiste en une diminution très nota
recoupée, cependant, de quelques instants de lucidité relative. - L'
état
physique s'améliore de jour en jour. Les ulcéra
mportantes lacunes ; l'étendue de ces dernières ne peut guère, en l'
état
actuel, être déterminée avec précision, à cause
et que le travail de la pensée devenait de plus en plus facile, sou
état
actuel lui est apparu plus nettement, et ses so
upart du temps, il ne pensait à rien ». Au point de vue physique, l'
état
de notre malade est actuelle- ment aussi satisf
t leur intensité n'a commencé à décroître qu'à dater du jour où l'
état
physique s'est amélioré. De .plus, la folie a rev
particulier M. le D'' Régis, considèrent comme caractéristique des
états
toxi-infectieux : nous voulons parler de la con
vant l'intensité de l'intoxication et son ancienneté. Peut-être l'
état
de faiblesse préexistant à l'opération et aggra
Pendant toute la durée de la maladie, le symptôme fondamental de l'
état
psychique du sujet a consisté en une désorienta
LINIQUE MENTALE. moments, faire prendre pour des vésanies pures ces
états
maniaques et mélancoliques symptomatiques. Il
elle fut atteinte d'une congestion pulmo- naire des deux bases; son
état
fut grave pendant une semaine ; après avoir pré
ion de la sensibilité générale sur les deux moitiés de la langue. L'
état
de la sensibilité spéciale n'a pu être recherch
dans les troubles de sensibilité. 19. En recherchant de nouveau l'
état
de la sensibilité chez la malade, on constate q
é les mêmes résultats que l'on peut considérer comme exacts, dans l'
état
intellectuel de cette malade. Les douleurs sponta
ettement aux questions qu'on lui adresse ; il se rend compte de son
état
et cause avec facilité. Motilité. Membre supé
eraient par l'anémie ou va.so-constriction' des centres nerveux les
états
mélancoliques et par l'hyperhémie ou vaso-dilat
lancoliques et par l'hyperhémie ou vaso-dilatation paralytique, les
états
congestifs ou mania- ques. Nous laissons de c
ase-dilatation. Ces phénomènes ne se produiraient pas dans certains
états
nerveux où les fonctions des centres sont troub
mestique, origi- naire du Tarn-et-Garonne, entre le 16 juin dans un
état
d'excita- tion intense. C'est sa troisième séqu
rveuse, réagissait vive- ment à toutes les impressions morales; cet
état
paraît attribuable à l'anémie pour laquelle on
de manie. Cette suppression peut être attribuée à trois causes : l'
état
d'anémie; la congestion cérébrale ; les troubles
dent sans modification. Nous ne croyons donc pas à l'influence d'un
état
d'anémie hypothétique. Peut-on attribuer l'amén
es, 20 série, t. VIII. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. d'imaginer qu'un
état
congestif du cerveau soit assez pro- noncé pour
me normale. De plus, nous avons observé la même aménorrhée dans des
états
mélancoliques, c'est- à-dire d'anémie cérébrale
r la tonicité des vaisseaux. Cette mo- dification consisterait, à l'
état
normal dans une excitation des vaso-dilatateurs
rs, d'où congestion génitale et hémorragie. Supposons maintenant un
état
psychique anormal, entraî- nant une perturbatio
aî- nant une perturbation dans les centres encéphaliques. Que cet
état
soit accompagné de congestion ou d'anémie central
ntres, en particulier sur ceux des vaso-moteurs. En effet, dans les
états
psychiques, nous observons toujours une modi- f
ujours avec les accès de manie et les fonctions rétablissant avec l'
état
mental ; ensuite par l'inefficacité du traiteme
peu grande ; la voûte palatine est ogivale, la dentition en mauvais
état
; beaucoup de dents manquent, cependant les inc
nsions. IDIOTIE CONGÉNITALE ET HYPOSPADIAS. 295 III. Fonctions. L'
état
général de notre malade à son entrée est très '
et sans pouvoir donner, même par geste, une indication sérieuse. L'
état
général est relativement satisfaisant ; rien au
tout intéressante de l'examen physique de 11..., c'est évidemment l'
état
de l'appareil génital. 11 s'agit manifestement
s caractères sexuels secondaires, qui sont tous ceux non tirés de l'
état
des parties génitales, est très complexe, et il
ontenait-elle des spermatozoïdes dissous. 5° En ce qui concerne l'
état
psychique de notre malade, il est permis de se
estion est anologue à celle que nous avons discutée à pro- pos de l'
état
physique; mais ici le problème est singulière-
fois sur 260 sujets, débiles, idiots ou épileptiques, alors qu'à l'
état
normal il ne se rencontre guère qu'une fois sur
icina y ccrugia, n° 553.) On ne recherche pas assez en pathologie l'
état
des fonctions du sympathique; il ne suffit pas
ion res- piratoire ou par interprétation vicieuse inconsciente d'un
état
anor- mal de la muqueuse pituitaire, se plaigna
n des sensibilités est généralisée. A. M. XXXIX. D'un remarquable
état
de sommeil pathologique; par F. Holzinger. (Neu
ellement fatigué, depuis deux ans. Le mouvement seul le tire de cet
état
, sans l'en débarrasser. En revanche, la nuit son
petit palmaire, en outre de l'influence exercée sur lui, comme à l'
état
normal par l'excitation électrique du cubital. C'
s ou un peu anguleuses, le corps de la cellule res- tant, comme à l'
état
normal contigu à la couche endothéliale. Il n'y
es abdominaux et crémastériens faibles. Bien de cer- tain quant à l'
état
de la sensibilité. L'agitation augmentant vers
uisent d'une façon périodique au moment des époques menstruelles, l'
état
de la malade restant normal dans l'intervalle d
l'intervalle des accès. Reste à savoir quelle est la valeur de cet
état
normal et jusqu'à quel point nous pouvons le co
rable après un séjour de onze mois à l'Asile. La transition entre l'
état
normal et la stupeur ou récipro- quement était
beau-frère. Quelque temps après son incarcération, il tomba dans un
état
de dépression mélanco- lique qui retarda son ju
la paralysie générale la vigueur du délire soit conditionnée par l'
état
de la lésion alors que son existence ne l'est q
face et à la langue du côté droit avec aphasie simultanée. Mort en
état
de mal épilep- tique qui a duré six heures. A l
du doigt ou du marteau percuteur un petit coup sec sur un muscle en
état
de relâchement, il se forme parfois à l'endroit
tions organiques et fonctionnelles du système nerveux, et dans les
états
d'épuisement général. Le rapport de ce phénomène
pupillaire, trouble paralytique de la parole, assymétrie faciale. L'
état
de . démence apathique est rarement remplacé pa
partenant en propre aux enfants nés avant terme, caractérisée par l'
état
spas- modique plus que par la paralysie, ne se
, un ou- vrier maçon nommé Joseph Erny, âgé de trente-trois ans, en
état
d'ébriélé, voulut monter sur un tombereau en ma
het qui dépassait. L'infortuné a été transporté à l'hôpital dans un
état
désespéré. (Petit Parisien, 25 août). Tentati
e Parquet de Saint-Brieuc s'est trans- porté à Pléhedel et a mis en
état
d'arrestation le nommé Yves Boscher, journalier
us dilatée. Il est difficile, à cause de la paralysie de juger de l'
état
de la sensibilité cutanée qui paraît diminuée.
ondissant. Rien d'anormal au coeur, ni aux poumons. Le 8 avril, l'
état
est considérablement aggravé. Persistance de la
; la peau est chaude, la figure colorée et couverte de sueurs. Même
état
des réflexes. Le malade a vomi ce matin. La res
pide, ample mais dépressible (120 par minute). Pendant la journée l'
état
continue de s'aggraver, la température monte à
es degrés de piknomorphisme et de chromatophilie s'échelonnant de l'
état
de lati=ue à l'état de repos complet au temps o
rphisme et de chromatophilie s'échelonnant de l'état de lati=ue à l'
état
de repos complet au temps ou Nissl et l3enda di
importantes et dont la signification est beaucoup plus claire : l'
état
hyalin, l'apparence vitreuse se retrouvent dans u
es modifications dans la répartition du pigment que l'on trouve à l'
état
normal dans la plupart des grandes cellules de
les lésions de la moelle cervicale et consistaient uniquement en l'
état
hyalin, la coloration diffuse d'un petit nombre
time qui l'éloignent du type généralement admis comme indice de l'
état
sain, type qui n'est lui-même qu'une moyenne. Ain
'une cellule nerveuse prise dans un ganglion spinal et examinée à l'
état
frais, avec ou sans coloration au hleu de méthy
e et leur répartition ; corpuscules cliromatophyles de Nissl. A l'
état
frais les cellules d'un même ganglion spinal ne
que employée, n'a fait qu'accentuer des différences invisibles il l'
état
frais ? Et surtout peut-on avancer que cette mo
oup considèrent aujourd'hui comme étant le substratum de nombre d'
états
pathologiques ou fonctionnels. Seules des lésions
tionnels. Seules des lésions pour ainsi dire grossières : vacuoles,
état
hyalin, modifications du noyau, perte de l'affi
protoplasma est beaucoup plus voisin de l'aspect qu'ils offrent à l'
état
frais ; un chagriné fin et uniforme remplace le
t des modifications artificielles ou pathologiques de celle-ci. A l'
état
normal, les grains formant en effet un ou plusi
sse et Ramond '. Dans notre observation le microbe causal était à l'
état
de pureté dans le liquide méningé, et ce dernier
eut répondre que dans la grande majorité des cas on n'a relaté ni l'
état
ni la quantité du liquide céphalo- rachidien et
vement motrice. On sait en effet que rien n'est plus variable que l'
état
du système nerveux central ou périphérique dans
allucinations de l'ouïe, qui se rendent parfaitement compte de leur
état
et ne délirent point. Brierre de BoismonL', pou
oreilles », et c'est ce qu'elle fait. Relevée dans la rue dans un
état
pitoyable, on la transporte à l'hôpital Beaujon
rs, les lobules des oreilles sont adhé- rents, les dents en mauvais
état
. A des hallucinations de l'ouie, quoique bien m
suivants tout trouble hallucinatoire a disparu, M... est revenu à l'
état
nor- mal et nous promet de ne plus boire. 1
peut plus digérer. Régime lacté pendant cinq jours. Le 5 août, son
état
mental est meilleur, mais B... est toujours un
Il est indispensable de voir ce qui se passe dans notre esprit à l'
état
physiologique, pour pouvoir donner une expli- c
ieur; c'est là notre forme d'images vives à nous moteurs 2. » A l'
état
pathologique, l'hallucination motrice verbale n'e
ent remuer sa langue à l'instant où la voix se fait entendre. A l'
état
normal, quand nous prononçons des mots menta- l
mal, quand nous prononçons des mots menta- lement, nous sentons à l'
état
d'ébauche, des mouvements musculaires d'articul
ar un système de fibres anastomotidues. » (P. Raugé .) Ainsi, à l'
état
pathologique, l'hallucination motrice verbale n
(Bulletin médical, 2U juin ]89 ? ) 390 CLINIQUE MENTALE. ou des
états
faibles d'innervation périphérique qui, sans qu
Généralement, ces hallucinations déterminent chez les malades un
état
de dépression mélancolique ; souvent elles entr
le fait travailler en classe aussi régulièrement que le permet son
état
. Mars. Même traitement. - Onze attaques en tout
iteur.) Travail du plus haut intérêt où l'auteur estime que, dans l'
état
actuel de la science, il est nécessaire, pour l
es, à la suite d'une compression médul- laire, est explicable, en l'
état
actuel de la science, par la seule interruption
ou projeté en rameaux touffus se détache de la zone en question à l'
état
de noyau beaucoup plus foncé. En réalité ce son
t, qui, par suite paraissent enlacées dans cette membrane ténue à l'
état
d'entrelacement rétiforme. Ces tractus membrane
x supérieurs au moins, leur source dans la multiple variation des
états
d'éréthisme de ces éléments, accompagnés de la pa
pouvaient tout aussi bien tenir à une carie verté- brale. Bientôt l'
état
général devenait inquiétant. Insuccès du traite
is, trois mois, trois mois et demi. On prend des animaux en parlait
état
de santé. Ils gagnent du poids pendant les prem
imaux. On put constater nette- ment également chez deux patients un
état
de stupidité consécutif à l'agitation de la pér
ment et des taches de vitiligo persistèrent. Huit mois plus tard, l'
état
du malade continuait à être très satisfaisant,
e diag- nostic était rendu douteux par des fractures multiples et l'
état
mental du malade. Aucune amélioration de l'atax
ement simples, son étiologie est souvent un problème complexe : les
états
goutteux, arthritiques, névropathiques, syphili
. Tarde pense que chez eux et chez toutes les nations anciennes à l'
état
de clan, le crime était conçu non comme un acte
ollectivité, famille ou clan, un résultat de 428 BIBLIOGRAPHIE. l'
état
de guerre qui existait en permanence entre les cl
re réprimés. Il est bien évident qu'une masse de délits dépend de l'
état
de civilisation et des moyens de les com- mettr
nalité qu'elles peuvent réduire à rien celle des changements dans l'
état
de civilisation. La criminalité est comme nulle
bles intellectuels qu'on observe le plus souvent consistent dans un
état
de stupeur ou d'affaiblissement progressif des
dans les cas de ramollissement cérébral en foyer consistent dans un
état
de stupeur ou d'affaiblissement pro- gressif et
igus ou chroniques, d'évolution ou d'invo- lution. Existe-t-il un
état
mental, un enchaînement de troubles psychiques
CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 437 A l'admission la malade est en
état
de démence complète. Elle se meut encore assez
voies digestives supérieures, odeur fétide. Le lendemain : aphasie,
état
dysplégique plus accentué à droite. Gémissement
à six jours. Douleurs céphaliques. A l'admission, on constate un
état
d'agitation avec réactions très violentes, hype
côté. A l'admission, on constate un affaiblissement physique, avec
état
parétique des membres droits, plus accentué au
iser hâtivement et de chercher à dresser le tableau clinique de l'
état
mental qui accompagne les foyers de ramollissemen
quelques jours à quelques semaines après leur internement, dans un
état
de démence absolument inoffensif. En présence d
la chute très rapide de cette agitation et son remplacement par un
état
d'affaiblis- sement intellectuel progressif. Qu
il se termine après quel- que temps par la mort, ou qu'il dure, cet
état
ne nécessitera pas ou au moins ne rendra pas ur
r sur cetle base fondamentale. Très peu d'aliénés, même dans leur
état
de fureur, doivent êlre éloignés de toute occupat
résultats du traitement des psychoses est justifié dans beaucoup d'
états
chroniques, il n'en est plus de même quand il s
ndiqués chez les malades atteints d'affections mentales aiguës. Ces
états
sont en effet toujours associés étroitement à d
pérales, les délires post-convulsifs (hystérique, épileptique), les
états
maniaques et mélancoliques, les psy- choses pér
aut y ajouter aussi les épisodes aigus qui surviennent au cours des
états
chroniques (paralysie géné- rale, démences, dél
s une panacée universelle ; il ne peut guérir, à lui seul, tous les
états
aigus d'aliénation; du moins estimons-nous, d'a
it en effet retenir avant tout l'attention du thérapeute, c'est l'
état
d'épuisement du cerveau et de l'organisme. Ces su
sement, le refus d'aliments, la faiblesse générale, l'âge avancé, l'
état
puerpéral, la chlorose, les anémies, les troubles
chlorose, les anémies, les troubles circulatoires, sans parler des
états
fébriles ou subfébriles. Or ces divers symptôme
s sont constantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'
états
d'excitation, ou de dépression, ou de confusion
motrices (étals maniaques), sensitives (mélancolie), sensorielles (
états
hallucinatoires), ou que son activité soit susp
oser l'organe intoxiqué ou surmené, afin de permettre le retour à l'
état
normal des mutations nutritives du neurone. Or
naison de ces psychoses par la mort, la démence ou le passage à l'
état
chronique. Il permet en outre de restreindre l'em
elle catégorie restreinte de malades : presque toujours il s'agit d'
états
mélancoliques ou neuras- théniques, plus rareme
is, Conolly, recommande, d'après Brosius, le séjour au lit dans les
états
maniaques et les autres formes avec excitation.
dans les hôpitaux, cette réaction a été excessive. « Dans certains
états
maniaques aigus semi-fébriles, dit-il, de même
états maniaques aigus semi-fébriles, dit-il, de même que dans les
états
mélancoliques caractérisés parmi profond sentimen
uses, in LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES. 433 Dans ces divers
états
d'épuisement nerveux, le neurologue américain s
men- tale. Hitti. Traitement de la mélancolie. Blin. Traitement des
états
nuniaques. 3 Alagnan. Traitement de la manie.
t, à leur tour et dans certaines cir- constances, se manifester des
états
délirants. L'hérédité psychopathique ne perd pa
, mal ourlées, voûte palatine rétrécie, asymétrique. Il est dans un
état
d'agitation extraordinaire et se met, dès son a
dit : « fais 7 pas, crache 7 fois et tu guériras ta vérole ». Cet
état
hallucinatoire avec agitation et gâtisme se calme
tourdissements avec engourdissements passagers du bras droit. Cet
état
de rémission se maintient pendant deux mois et
décembre 1897. L'excitation s'apaise et est remplacée par un grand
état
de confusion mentale, le malade est inconscient,
méabilité rénale considérablement diminuée. L'année 1899 amène un
état
démentiel complet, le malade reste toute la jou
e- ment de l'activité des centres bulbaires ; le cerveau exerce à l'
état
normal une influence régulatrice sur ces centre
ond pli doit tenir à la place où le bord inférieur du couturier, en
état
de spasme, contourne le vaste interne, au mveau d
sme et robuste, le sang con- tenait deux fois plusde fibrine qu'à l'
état
normal ; il en était de même chez un homme hyst
de troubles vésicaux, rectaux, sexuels ; enfin la continuité de cet
état
, depuis dix-huit mois. tel est le ré- sumé du c
gine l'affection rénale commençante qui, se greffant sur un mauvais
état
général, a altéré le sang, en a aug- menté la c
ale, car la malade avait dès sa naissance l'aspect myxoedémateux. L'
état
mental (idiotie) du myxoedème est donc expliqué p
ps calleux ont été plus légèrement affectés. Ainsi s'explique que l'
état
mental de l'enfant ait plus à souffrir que celu
) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 501 d'auraprae-épileptique ou à l'
état
d'accès complèlementautouomes, qui alternent av
; raideur de la nuque; strabisme divergent. T. 40°, 7. Mort en cet
état
le o. Autopsie. Bronchopneumonie récente en foy
! unopAiC bitempontle, mais il est rare que les choses restent en l'
état
, aussi nettement limitées, c'est pourquoi l'on
ré des zones motrices (manie), sensitive (mélancolie), sensorielle (
état
halluci- natoire), ou que son activité soit sus
oser l'organe surmené ou intoxiqué, afin de permettre le retour à l'
état
normal des mutations nutritives du neurone. Ajo
mal des mutations nutritives du neurone. Ajoutons que sous le nom d'
états
aigus d'aliénation, nous com- prenons à la fois
n rapide et de date récente (délire toxique, délire hallucinatoire,
états
maniaque et mélancolique) et les épisodes aigus
jours être fait après une séance d'hypnotisme. Il en est résulté un
état
mental particulier qui se manifeste par des phé
d'une hystérique très dégénérée qui s'auto-hypnotise, tombe dans un
état
de somnambulisme spontané, puis extériorise les
puis extériorise les rêves qui surgissent dans son esprit. Tous ces
états
ont pu être reproduits expérimentalement ; ils
a déclaré qu'un grand médium venait d'éclore. Mais actuellement son
état
est devenu insupportable et elle désire beaucou
dans les milieux qu'elle fréquente. SOCIÉTÉS SAVANTES. 517 7 Les
états
mentaux impliqués dans l'appréciation post-hypnot
-à-dire des enfants qui pour des raisons variables en arrivent à un
état
identique. C'est donc une erreur grossière de d
milieu familial : mais comme il est impossible de bouleverser notre
état
social pour mettre les jeunes Français dans des
ressa de le dépendre et de lui prodi- guer les soins nécessaires. L'
état
de Pinson ne présente aucune in- quiétude. (Le
ral et méningite aiguë, par Klippel, 514. Abstinence. Essai sur l'
état
mental clans l' -, par Lassignardie, 167. ACR
. Dédoublement. Les phénomènes de la distraction cérébrale et les
états
dits de de la personnalité, par Laupts, 139.
par Looft, 73. Distraction. Les phénomènes de la cérébrale et les
états
dits de dédoublement de la personnalité, par
tises à propos de l'examen - du meurtrier C... et rapport sur son
état
mental, par Garnier, 137. Consultation au suj
ns d'esprit et chez les aliénés, par Pilez. 142. D'un remarquable
état
de - pathologique, par llolzinger, 314. Sous-
rdit complètement connaissance, et resta environ une heure dans cet
état
. A son entrée, nous constatons un peu de renver
Les accidents de la veille ont disparu, le malade est revenu à son
état
antérieur ; il y a cependant plus de raideur da
ras ni aux jambes. Température du soir, 39°,la. 104° jour. - Même
état
. Dépôt purulent dans l'urine. Ce liquide, exami
i persiste longtemps. Température du soir, 40°,1. 121° jour. Même
état
, la douleur est très vive au creux épigastrique
ur. Le malade qui, depuis le dernier accès, n'était pas revenu à un
état
aussi calme qu'après les accès précédents, a ét
jonctif y sont plus épais ; ces travées conjonctives présentent un
état
grenu particulier qui n'existe pas dans les autre
semble au contraire faire de nou- veaux progrès. Voici quel est son
état
actuel : les contractions spasmodiques sont con
ut de la langue quand elle ne peut plus la maîtriser. Du reste, l'
état
général de sa santé parait se ressentir fortement
s n'aient pas notablement souffert. L'influence de la maladie sur l'
état
du moral est encore plus sensiblement marquée e
iers se dessinaient de plus en plus. A cette époque il présentait l'
état
suivant : dix-sept ans, grand, assez maigre, jo
lle il entra en correspondance régulière. A. partir de ce moment, l'
état
que nous avons décrit s'aggrava devant les entr
endu à sa famille le 1 Il juillet 1883. Il revint au Havre dans cet
état
, éprouvant un chagrin tel qu'à plusieurs repris
iblement, ces phénomènes portés à leur acmé s'amendèrent et voici l'
état
dans lequel nous trouvons S... le 15 juillet 18
l nous trouvons S... le 15 juillet 1885., au Havre dans sa famille,
état
dont nous complétons l'exposé au moyen des docu
ioration soit considérable il n'a encore pu reprendre son emploi. L'
état
général est excel- lent ; l'intelligence nette
eut, dit-elle, une grossesse ordinaire, mais qui s'accompagna d'un
état
mental particulier, causé par le désir de régul
sa maladie, et qui passe son temps à lire des récits de voyages. L'
état
général est satisfai- sant, l'intelligence vive
frappé. Il s'ennuie beaucoup et voudrait bien retourner au Havre. L'
état
général est toujours très satis- faisant. Ajout
ué qu'un bruit soudain, une surprise exagérassent momentanément son
état
; il n'a jamais éprouvé le besoin irrésistible d
e à la Salpêtrière prendre un bain d'électricité statique, mais son
état
ne semble pas s'améliorer, car au 24 juillet, d
tation chez M. Charcot, qui confirme le diagnostic. Etant donné l'
état
relativement favorable du sujet, qui n'a plus que
nt empruntés au vocabulaire le plus grossier, le plus ordurier. Cet
état
a persisté à peu près sans modifications jusqu'
fille de dix-sept ans, épileptique depuis huit ans. Les crises, à l'
état
de vertiges pendant un an, ont ensuite pris le
convul- sions s'est amendée aussi d'une manière très notable, et l'
état
général s'est sensiblement amélioré. Ainsi l'ap
té nettement rachitique et scrofuleuse et ce n'est qu'alors que son
état
s'améliore de plus en plus. Dans la suite, une
eurs, l'auteur arrive aux conclusions suivantes : ' Io Les divers
états
que l'on comprend sous le nom d'hystérie représ
perémie est secondaire ; c'est l'hyperémie de tous les or- ganes en
état
de suractivité. En résumé, pour M. Wigtesworth,
a montré à la vérité que les hallucinations sont compatibles avec l'
état
de raison ; mais si quelques personnes ont pu a
ES LES CIRCONSTANCES ENVIRONNANTES LORS- QU'IL s'agit d'apprécier l'
état
mental d'un I\L1D1. ; par SAMUEL Wilks. (Journa
tenants et aboutis- sants d'un malade avant de se prononcer sur son
état
mental. En effet, « le vrai peut quelquefois n'
ignement sur les causes qui avaient pu réduire son mari à ce triste
état
. Quelque temps après, un parent du malade alla
ras gauche, et existant à peine à la jambe gauche; elle est dans un
état
de semi-inconscience et parait avoir une sorte
la faiblesse à gauche est alors marquée. Depuis cette époque, même
état
qu'avant J'attaque peut-être avec une très légè
ue ou répétée, ou même parfois à l'aide d'influences mécaniques, uu
état
de mal épileptique qui, tantôt se calme spontan
pei-ilieriiiie de un à deux dixièmes de degré. C. On aurait, dans l'
état
^le mal, noté 44o l'; le thermomètre monterait en
à 34° S', on n'entrave ni l'excitabilité corticale, ni la genèse de l'
état
de mal; 14" L'anémie n'a d'influence sédative s
xyène dans le sang fait disparaitre les pauses mterconvulsives de l'
état
de mal; les pupilles deviennent étroites; 15- La
tère tonique; 17o L'extirpation de la zone corticale motrice dans l'
état
domalépileptique réduit au silence les convulsion
semblable; elle augmente simple- ment l'excitabilité des muscles en
état
de catalepsie expérimentale. P. K. IV. Contri
r a l'inconvénient de faire tomber facilement l'orga- nisme dans un
état
de prostration plus ou moins profonde, ce qui n
période de moins de quinze jours, j'ai été commis, pour constater l'
état
mental de trois aliénés, à la suite de tentativ
gé sur l'asile Sainte-Anne. Quand il y arrive, S... est dans un tel
état
de dépression qu'on ne peut réveiller SOCIÉTÉS
lors se demande si cet homme n'est pas un et s'il n'est pas dans un
état
de stuleurconsécutice à une crise comitiale. Une
nt plusieurs jours permet d'écarter cette opinion; S... sort de cet
état
, les souvenirs redeviennent nets, précis, et il n
qu'on avait crus sans importance, et, d'un seul coup, se révèle un
état
pathologique, ancien, profond, irrémédiable. Te
aintenant un second fait non moins intéressant que le précédent : l'
état
mental de l'individu dont il s'agit avait passé
s, j'étais commis par le procureur de la République pour examiner l'
état
mental d'un nommé ))..., inculpe de tentative '
forte, un constant besoin d'air (le thorax présente en permanence l'
état
d'inspiration); cette dyspnée s'exaspère au max
larynx comme étant le siège d'un obstacle. Elle ne peut parler. Cet
état
dure toute la nuit tel quel. On a recours, non
M. JoLLY (de Strasbourg). Sur la paralysie Ce nom s'applique à des
états
dans lesquels les muscles de la parole. de la d
rveau dans lequel les altérations macroscopiques consis- tent on un
état
trouble avecépaississemenl delà pie-mère, accom-
évident dans l'accrois- cement : elle peut, aux divers stades de l'
état
embryonnaire, pro- (Iiiii-c en I)ieii de; ot ?
xe des muscles du squelette d'un homme normal peut se présenter à l'
état
de contrac- tion minima, et que c'est à peine s
lade se frappe'aux murs, gémit, supplie son mari de la tuer : à cet
état
succède une période de sopor. Elle entre à la C
asse; l'encéphale a manifesté sa souffrance par les céphalalgies, l'
état
maniaque et la stupeur. Puis, il s'est accoutum
bunal, les uns attestant la simulation tandis que M. Zinn affirme l'
état
de maladie : de là désordre dans l'esprit des j
l'élégant salon de conversation était aux mains des divers corps d'
état
du bâtiment, le professeur Muguenin de Zurich é
qui résultent d'un épuise- ment somatique. M. 0. Millier ajoute les
états
de dépression psy- chique au début (mélancolie
e légères), tandis qu'il ne saurait y avoir qu'aggravation pour les
états
d'excitation ac- compagnés de manifestattons ir
s irrésistibles, d'angoisse, d'halluci- nations, ainsi que pour les
états
en rapport avec des pertes de substance (paraly
t sou traitement là-bas. M. ICNt : ctlr. Longue durée insolite d'un
état
d'o6tattLilution psy- chique de nature épilepti
lance attentive et des soins assidus aboutissent au relèvement de l'
état
général; avec lui se montre une période d'accal
culaire; elles disparaissent au stade de parfait dévelop- pement, d'
état
, pour revenir au stade de repos ou de dépression
'éviter ces tortures. Aucun des assistants n'a observé de pareils
états
pathologiques. Bien des fois ils ont vu des mél
tes ou commençantes qui permettent un traitement au logis, sont des
états
de dépression simples se traduisant par une mau
(pouls accéléré, dur, tendu, dicrote). Le regard reflète ces divers
états
. La parole paresseuse, traînante, peut être égale
des intervalles lucides plus ou moins longs avec conscience de leur
état
. L'héré- dité occupe dans l'espèce une large pl
et doit être imposée lorsque le malade n'a plus conscience de son
état
de maladie. Les narcotiques doivent, avant tout,
e collapsus avec diarritéeprofuse, douleurs vagues, empirement de l'
état
psychique. L'opium agit au début sur l'appareil
siège nosofogiquo à l'affection les ganglions spermatiques, dont l'
état
de souffrance agit de la même manière que celui d
et l'histologie générales, de mettre sous les yeux des étudiants l'
état
actuel de nos connaissances relatives à la dispos
es étaient faits les examens stéréognos- tiques : 1" influence de l'
état
de mouvement des corps sur la fa- cilité à les
du mouvement des jointures, sens d'orientation); 3° influence de l'
état
de l'intelligence (jeunes enfants, maladies du
. 0[tscH.sKY.(Cttarkoii', 1884.) L'auteur nous fait ressortir que l'
état
de la fatigue des muscles et des nerfs soumis à
physiologie expérimentale) ne peut pas être considéré comme tel. L'
état
produit par cette irritation ne serait donc pas
at produit par cette irritation ne serait donc pas assimilable à« l'
état
de ta fatigue » produit par une « innervation»
amométriques des muscles « fatigués », elles ne nous montrent pas l'
état
propre aux muscles isolés, puisque le système n
scles et nerfs en question pourrait seulement nous renseigner sur l'
état
delà fatigue. Prenant comme point de départ de se
ts obtenus par ses expériences le font considérer comme propre à un
état
des muscles mais pas comme réflexe nerveux. ' F
. A défaut d'examen direct, ces lésions seraient révélées par les
états
variables de la langue, par la présence dans les
ué Y TusET. (Barce- lone, 1884). Recherches dynamomélriques sur l'
état
des forces chez les hémiplé- giques ; par Drcaa
ce, ni des dents. En somme, on peut dire que ce qui domine dans son
état
général, ce sont les caractères à' infantilisme
concierge dans une maison très importante; il est mieux nourri, son
état
général est meilleur. Les circonstances ont m
est meilleur. Les circonstances ont montré du reste la valeur de l'
état
général, du repos et de la bonne alimentation.
, t. 1(, p. 264. Nous ajouterons que cet auteur dit en parlant de l'
état
physique et des faits et gestes de t'enta).t,« «t
rnée sera plus mauvaise qu'à l'ordinaire : ils se sentent dans un
état
tout spécial, ils éprouvent, disent-ils, un éne
eparurent avec leur violence ordinaire qu'après la disparition de l'
état
fébrile. Indépendamment de ces étals fébriles,
riode. Il nous faut encore, avant de passer outre, insister sur l'
état
physique et moral du sujet, état qui ne variera
nt de passer outre, insister sur l'état physique et moral du sujet,
état
qui ne variera pas du reste dans les périodes u
érieures. Disons-le de suite, pendant toute cette première étape, l'
état
phy- sique du sujet est aussi satisfaisant que
a marche lorsqu'elle siège dans les membres inférieurs. Quant à l'
état
mental, il est parfaitement régulier et normal
ppellent ceux des aliénés ; ils ont parfaitement conscience de leur
état
; la plupart sont fort intelligents. Quant à l'
science de leur état ; la plupart sont fort intelligents. Quant à l'
état
moral, il est va- riable suivant l'âge de l'ind
l'instar de personnes plus âgées, s'affliger outre mesure de leur
état
: ils prennent des habitudes de paresse si chères
Obs 11) : « S... est dans la cour de la Salpêtrière, en proie à son
état
habituel ; il est agité par ses contorsions var
d'une convulsion et chez des personnes que leur édu- cation et leur
état
mental sembleraient devoir mettre à l'abri de p
spéciale (Obs. II). . DE L INCOORDINATION MOTRICE. 185 Quant à l'
état
physique, moral et mental des malades, lorsque
auf bien entendu à tenir compte des inconvénients que peut créer un
état
aussi anormal. §111. La marche de cette affec
caractère tout spécial , celui de ! 'oee/7e (col)ï,o- lalie); 4° l'
état
physique et mental des sujets est en pleine int
quilles et soucieux de leur dignité : ils sont intelligents. » Leur
état
physique est satisfai- sant : l'affection sembl
u gestes de ceux qui les entourent, tout en paraissant jouir d'un
état
mental parfaitement régulier dans l'intervalle de
rt par la race juive ? M. O'Brien a observé en Malaisie, mais cet
état
, fréquent chez les Malais, l'est éga- lement ch
ré à d'autres actes de même nature, le sauteur revient aussitôt à l'
état
normal. Son explosion, comme celle du revolver,
guère confondre les deux affections que lorsque la chorée passe à l'
état
chronique, puisque celle que nous avons décrite
notisme, le sujet peut être échola- lique, mais quelle différence d'
état
! et même, si cette écholalie persiste par sugg
llucitzn- tions et accès de manie avant et après les accès. Séries;
états
de mal. - Affaiblissement intellectuel. Pliimos
t ivre que tous les enfants ont été conçus ; c'est surtout dans cet
état
qu'il avait des rapports sexuels. Grossesse acc
ite; muqueuse du pharynx assez rouge; langue large. Gencives en bon
état
. Organes génitaux : la verge est relativement l
ent dilatées, la langue est entre les dents, il y a de l'écume. Cet
état
dure en- viron 4 minutes, puis le ttcrlor cesse
" juin. Hier, à trois heures de l'après-midi, Cr... a été pris d'un
état
de mal; à 8 heures, il avait eu 20 accès et 10 ve
it eu 20 accès et 10 vertiges. A 8 heures du soir, il était dans un
état
comateux. T. A. 39°, 8. Ce matin , il est- asse
lus calme. - 46 avril. Il est revenu aujourd'hui complètement à son
état
normal. : .t9 tnui. - Daus la uuit, I accès; T. 1
l9 nouetnbz·c. -C... est complètement revenu à lui et a repris son
état
normal.'l'. li. 38°, ? . - Soir : 1'. 11. 3S°.
Les accès se montrent par séries. Nous avons même noté un véritable
état
de mal. Ils ont été plus nombreux en 1883, et l
thèse. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX .1 L'
ÉTAT
PHYSIOLOGIQUE El" l'ATIOLOGIQUI : . Parle D 1.
mme ma- lade, il faut connaître la nutrition du système nerveux à l'
état
physiologique. Ce n'est qu'en comparant l'état
système nerveux à l'état physiologique. Ce n'est qu'en comparant l'
état
de maladie à l'état dû santé qu'on peut dire qu
tat physiologique. Ce n'est qu'en comparant l'état de maladie à l'
état
dû santé qu'on peut dire que dans tel cas il y a
n travail ayant pour but d'étudier la nutrition de ce système -il l'
état
physiolo- gique. Dans l'état actuel de la sci
e eu cet acide, c est même le seul où l'on rencontre ce dernier à l'
état
libre. Si donc, faute de données chimiques suff
s y existe soit sous tormedeseis.'soitHntt tiès laible quantité à l'
état
Lbte. Longtemps la présence dans les urines de
èlre DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 2 : ! 5 relativement à l'
état
de repos ou à l'état de santé ; et, on le sait,
N DU SYSTÈME NERVEUX. 2 : ! 5 relativement à l'état de repos ou à l'
état
de santé ; et, on le sait, la chimie nous fourn
nous sommes arrivé relativement à la nutrition de ce système à l'
état
physiologique et pathologique. Pour cela nous inv
utrition du système nerveux n'a pas encore été laite. Dans certains
états
nerveux ou à la suite de l'administration de médi
tion de l'excrétion du phosphore incomplètement oxydé dans certains
états
nerveux ne. suppose pas néces- sairement un gra
eux parties consacrées, l'une à la nutrition du système nerveux à l'
état
physiologique; l'autre à la nutrition de ce sys
ux à l'état physiologique; l'autre à la nutrition de ce système à l'
état
pathologique, dans l'aliénation mentale, l'épil
'épilepsie et l'hystérie. 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A L'
ÉTAT
PHYSIOLOGIQUE. Historique. Les recherches r
ent l'élimination de l'acide phosphorique chez un individu sain à l'
état
de repos et chez ce même individu soumis à un t
U h;rr divers. 4 13yassun.-Lsscti sur la relation qui existe il l'
état
physiologique entre l'activité cérébrale et la
, était défectueux, et cela non seulement parce qu'il produisait un
état
de répugnance tel que Byasson, ainsi qu'il le d
étudié comparativement cette élimination chez un même individu à l'
état
de repos et à l'état de travail intellectuel. P
nt cette élimination chez un même individu à l'état de repos et à l'
état
de travail intellectuel. Pendant un certain nom
se produisent dans l'élimination de l'acide phosphorique, pendant l'
état
d'activité cérébrale, attribuer ces modificatio
le travail intellectuel, l'individu en expérience soit, pendant l'
état
de repos et pendant l'état de travail, dans des c
l'individu en expérience soit, pendant l'état de repos et pendant l'
état
de travail, dans des conditions biologiques abs
ce sujet (loc. ca't., p. 100), l'exemple suivant : Un individu à l'
état
de repos, soumis à un régime mixte tou- jours l
on de l'acide phosphorique et de l'azote, alors que nous étions à l'
état
de repos, nous nous sommes ensuite soumis penda
nsécutifs l'éli- mination de l'acide phosphorique et de l'azote à l'
état
de repos, nous avons étudié pendant trois autre
encore comparativement l'élimi- nation de l'acide phosphorique à l'
état
de repos et à l'état de travail intellectuel.
nt l'élimi- nation de l'acide phosphorique à l'état de repos et à l'
état
de travail intellectuel. 1'uL ? u III. Influe
est resté le même sous l'influence de l'activité céré- brale qu'à l'
état
de repos. Consécutivement aux modifications pro
ous avons expérimenté étaient placés, nous l'avons dit, pendant les
états
de repos et de tra- vail intellectuels dans des
RVEUSE. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 253 En faisant la part de l'
état
de l'appareil oculaire et de ses milieux, l'aut
striées ont simplement diminué de volume; peu d'entre elles sont en
état
de dégénéres- cence parenchymateuse. Comme, cin
stât : mais les facultés et les fonctions étaient en rapport avec l'
état
ru- dimentaire du développement histologique. L
n, s'addi- tionnent et placent les organes nerveux centraux dans un
état
d'irritation croissante. Une longue action de c
e la sensibilité à la douleur dans les mêmes régions. Longtemps cet
état
persiste à peu près tel quel. En juillet 1880 s
P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XIII. De la conscience dans LES
états
connus sous LE nom d'états d'inconscience; par
MENTALE XIII. De la conscience dans LES états connus sous LE nom d'
états
d'inconscience; par A. PicK (Arc7a. f. Psych.,
assertions de Gnauck, d'après lesquelles il y a, dans l'espèce, un
état
anormal de la conscience analogue à celui du rê
essaie l'explication d'une pathogénie somatique. Ainsi, il est des
états
1 Voy. Archives de Neurologie. Revues analytiqu
te une conscience avec amnésie, une conscience sans amnésie, et des
états
intermé- diaires de la connaissance. Ces partic
insuffisance soit moindre que dans l'idiotie. Il étudie ensuite l'
état
mental des imbéciles au point de vue de leur ca
uïe (le malade voit martyriser des animaux et les entend crier), un
état
de dépres- sion profonde accompagné de désordre
e la motilité. Relations homologues entre les réflexes cutanés et l'
état
de la sensibilité, c'est-à-dire que le réflexe cu
e choc du ventre musculaire même ne produit jamais, quel que soit l'
état
d'hyperexcitabilité mécanique de ce dernier, des
ire; il suffit, pour s'en convaincre, de contrôler les allures de l'
état
somatique et de l'état psychique. 9'' Ce refus
en convaincre, de contrôler les allures de l'état somatique et de l'
état
psychique. 9'' Ce refus résulte, dans la plupar
es stcechiologiques de ces patients. Il n'est donc qu'un symptôme d'
états
morbides de l'économie. 30 Aussi l'organisme de
riquu après lésion cephatique. Les premières sont de préférence des
états
d'exaltation ; les secondes se traduisent presque
altation ; les secondes se traduisent presque aussi souvent par des
états
de dépression. 6o Le pronostic est dans les psych
ar la rétention de produits destinés à être éliminés. Dans tous ces
états
, la séni- lité précoce est fréquente et les tro
formes mélancoliques, hypocondriaques, anxieuses ou panophobiques;
état
conscient des malades, sauf dans certains cas d
igner et tous eussent préféré une maladie comme explication de leur
état
. Ces sujets nous ont paru se rattacher aux form
faire fortune, soit de conquérir des lionneurs, soit de réformer l'
état
politique, social et moral de leur époque ou de l
ieuses, ou panophohiqnes de la folie; il = peuvent consister dans l'
état
d'affaiblissement intellectuel ; 4° Ces trouble
e de cette destruction, quand elle vient à disparaître de ces mêmes
états
et espèces; cette incapacité d'adaptation appar
re, il constate un soulagement de courte durée, dans la seconde l'
état
du malade empire. Elongations du nerf Trijumeau
résultat d'un simple ébran- lement de la colonne vertébrale, dans l'
état
d'intégrité parfaite des os et de la dure-mère
se termine par la mort. Elle éclate brus- quement avec violence, un
état
fébrile des plus accen- tués et amène tous les
s devons dire cependant ici, que l'observation ne mentionnant pas l'
état
antérieur de la contracture très prononcée des
forme de myélites systématiques; 4° La commotion peut exister à l'
état
latent et ne se révéler que par des troubles se
édominant à gauche. De quatre ans et demi ci sept ans, dix ci douze
états
de mal convulsifs. A sept ans, nouvelles convul
dant. Alliétose. Modifications de l'intelligence. A dix ans, nouvel
état
de mal : nouvelle din21 ? zutio ? z de l'intelli-
torze mois, il ne se tenait pas sur les jambes; il était en mauvais
état
; la nourrice était devenue enceinte; il fut alo
la droite ainsi que l'avant-bras correspondant; elle présente un
état
qui se rapproche de l'alhélose; lorsqu'elle est a
er les doigts dans la demi-flexion, ils reviennent d'eux- mêmes à l'
état
précédent; mais si on les place dans la flexion
n- servé son aspect normal, l'autre est très atrophiée, réduite à l'
état
membraneux. Tout le pli courbe est très atrophi
état membraneux. Tout le pli courbe est très atrophié et réduit à l'
état
membraneux, ainsi que la partie postérieure du
ents nombreux. b) De quatre à douze ans, Lef... a eu une douzaine d'
états
de mal convulsif, débutant le matin vers quatre
pt ans, sans prodromes, ainsi que c'est à peu près la règle, nouvel
état
de mal plus long que les précédents, dans leque
faiblie par ces convul- sions. Elle diminua encore après un dernier
état
de mal sur- venu à dix ans. La situation intell
expliqué ni par des condi- tions extérieures défavorables, ni par l'
état
physique des malades, la plupart des auteurs on
s grossesses et les couches furent normales et sans influence sur l'
état
mental de la malade. - Mais elle ne fut pas heu
Elle fut conduite delà gare à l'établissement, camisolée, dans un
état
d'exaltation extrême. DE L1 TEMPÉRATURE D\NS LE
ger prétexte pour provoquer un violent accès de colère. Tel était l'
état
de la malade à son arrivée à l'asile. Elle mangea
yés. 358 RECUEIL DE FAITS. ' 34 mars. Assez faible physiquement :
état
d'excitation comme la veille. Bon sommeil. La t
mmeil sont meilleurs; une amélioration sensible se produit dans son
état
physique et psy- chique. Avril. 1-3. L'appéti
à 38° C'. Cet abaissement thermique est d'autant plus notable que l'
état
général de Mmo W... ne ressemblait guère à 1 Ji
e, la température est tombée plusieurs fois à 34°, 4 C., sans que l'
état
général du malade ait été sensiblement modifié.
ssertion. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A l'
état
physiologique LT pathologique3. Par le D' A. MA
PATHOLOGIQUE Nos recherches sur la nutrition du système nerveux à l'
état
pathologique ont porté sur trois groupes de mal
REVUE CRITIQUE. ditions déterminées, en soumettant un individu à l'
état
de repos, à une alimentation toujours la même e
élimination de l'acide phosphorique chez l'aliéné, relativement à l'
état
sain, mais de cette élimination dans deux pério
tion de ce problème d'une autre manière. Supposons un individu en
état
de santé vivant constamment dans le même milieu
urs périodes alimentaires dix individus sains, vivant à l'asile à l'
état
de repos et mangeant le régime ordi- naire de l
iode alimentaire chez dix individus sains, vivant ci l'asile et à l'
état
de repos 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX.
et minima au-dessus et au-dessous des- quels on puisse dire qu'à l'
état
pathologique, lorsque le malade observé est pla
une alimentation régulière. Par conséquent, pour pouvoir comparer l'
état
pathologique à l'état physiologique au point de
ière. Par conséquent, pour pouvoir comparer l'état pathologique à l'
état
physiologique au point de vue de l'élimination
e, qu'à comparer chez lui l'élimination de l'acide phosphorique à l'
état
de santé et à l'état de maladie. . Interprétati
lui l'élimination de l'acide phosphorique à l'état de santé et à l'
état
de maladie. . Interprétation des modifications
ueillir toute l'urine rendue dans les vingt-quatre heures, et que l'
état
des malades réclame une alimentation et un trai
limentaire) ren- dait en moyenne par vingt-quatre heures : 1» A l'
état
de guérison : ' Azote, 22,58 ; acide phosphoriq
ant un accès d'agitation, alors que la maladie était à sa période d'
état
et l'intelligence du malade très embrouillée :
sphorique rendu par vingt-quatre heures est augmenté. Tandis qu'à l'
état
sain, ce chiffre est de 1 gr. 85, il atteint al
é différente sur chacun d'eux suivant les cas. Pendant la période d'
état
de la maladie, alors que les troubles cérébraux
V. J..., 42 p. 100 et 69 p. 100 au lieu de 35 p. 100 qu'il est à l'
état
normal. Pendant les périodes de déclin de la ma
phates alcalins tombe à 30 p. 100 au lieu de 35 p. 100. Pendant l'
état
de dépression, alors que, à part l'agitation, l
terres, 0,64; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,38. Car..., à l'
état
de calme, rend par vingt-quatre heures : Azote,
acide phosphorique uni aux alcalis, 0,91. 1. Sous l'influence d'un
état
d'agitation, il rend : Azote, ? 41; acide phosp
6 ; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,60. Sous l'influence d'un
état
de dépression, ce même malade rend : Azote, 1
ination de l'acide phosphorique et de l'azote. A ce point de vue, l'
état
maniaque peut être divisé en quatre périodes :
nt superficiels. Dans le premier cas, qui correspond à la période d'
état
de la maladie, l'agitation produit les modifica
cides que sur le second; de sorte que les rapports qui existent à l'
état
physiologique entre les phos- phates neutres et
ports qui existent entre ces deux acides sont diminués. Pendant l'
état
de dépression, état généralement passager, prél
ntre ces deux acides sont diminués. Pendant l'état de dépression,
état
généralement passager, prélude d'un nouvel accè
ni aux alcalis. Pour rendre plus saillantes les modifications que l'
état
ma- niaque imprime à l'élimination de l'azote e
ons dans le tableau suivant : Tableau VIII. Influence exercée par l'
état
maniaque sur l'élimi- nation de l'azote et de l
iodes de dépression, tandis que cet acide est diminué pendant les
états
de rémission et de convalescence. Le fait de l'au
tion. Et si on remarque, d'une part, que c'est dans la période d'
état
, alors que les troubles cérébraux sont le plus in
, alors que les troubles cérébraux sont moins marqués que pendant l'
état
de dépression, on est obligé de rattacher à ces
sein de la substance nerveuse. En effet, elle n'existe plus dans l'
état
de dépression, alors que ces échanges sont cepe
ote et de l'acide phospho- rique pendant l'agitation des périodes d'
état
et des périodes de déclin de la manie, on retro
arrive sous l'influence du travail musculaire; dans les périodes d'
état
, au contraire, alors cepen- dant que le système
sement de la nutri- tion générale. Par suite, nous pouvons dire : l'
état
de délmes- sion maniaque retentit sur la nutrit
forme d'aliénation mentale. Nous pouvons, considérant seulement les
états
d'agitation et de dépression, résumer comme sui
., l'élimination de l'azote et de l'acide phosphorique diffère de l'
état
normal par les trois points suivants : a) Dim
encore, pour rendre plus précis les résultats qui précèdent, que l'
état
mental de Gib... restant le même, nous avons ex
ésultats trop peu précis pour nouspermettre, en nous basant sur ces
états
morbides, de nous rendre compte des rapports qu
ont peu influencés et peuvent même être di- minués relativement à l'
état
ordinaire. Notons encore que Lépine et Jacquin
e l'acide phosphorique dans l'épilepsie a porté sur des malades à l'
état
de repos, vivant à l'asile, soumis au régime or
n dehors des attaques, l'influence des attaques, et enfin pendant l'
état
de mal épileptique. Dans ces divers cas, nos re
par vingt-quatre heures pendant les jours où cet individu est à son
état
ordinaire, ades attaques, ou bien est dans sa p
un ans, épileptique, rend en moyenne par vingt-quatre heures. A l'
état
ordinaire : Azote, 16,54 ; acide phosphorique t
ans, épileptique, rend en moyenne par vingt- quatre heures : A l'
état
ordinaire : Azote, 17,47; acide phosphorique to
dément épileptique, rend en moyenne par vingt-quatre heures : A l'
état
ordinaire : Azote, 15,33; acide phosphorique to
vons dire : A. Sous l'influence des attaques et comparativement à l'
état
ordinaire : 1° L'azote rendupar vingt-quatre
° L'acide phosphorique total est augmenté. B. Sous l'influence de l'
état
de mal épileptique : 10 L'azote rendu par vingt
ue nous avons obtenus chez les épileptiques qui précèdent pendant l'
état
or- dinaire, c'est-à-dire en dehors des attaque
ant l'état or- dinaire, c'est-à-dire en dehors des attaques et de l'
état
de mal épileptique, avec les résultats que nous
tats que nous afournisThomme sain en général, on voit que pendant l'
état
ordinaire, l'élimination de l'azote et de l'aci
es modifications produites par les attaques d'é- Epilepsie et par l'
état
de mal épileptique sur l'élimination de l'acide
du système nerveux les phosphates terreux éli- minés en plus qu'à l'
état
ordinaire sous l'influence des attaques d'épile
t pas en dehors des attaques, sous l'influence des vertiges et de l'
état
de mal épileptique, c'est ailleurs que dans le
nce ner- veuse. B. Etal de mal épileptique. Sous l'influence de l'
état
de mal épileptique, l'azote, l'acide phosphoriq
s, de sorte que les rapports qui existent entre ces substances et l'
état
ordinaire ne sont pas ou très peu modifiés. Par
s- phorique : 1° Dans l'épilepsie, en dehors des attaques et de l'
état
de mal épileptique, l'élimination de l'azote et
sphorique par les urines n'est pas modifiée; 2° Les attaques et l'
état
de mal épileptique augmentent l'éli- mination d
te revue consacrée à l'étude de la nutrition du système nerveux à l'
état
physiologique et pathologique, nous avons dû, p
à cette manière de voir et professa à la charité de Berlin que ces
états
morbides pou- vaient surgir d'emblée (de là le
er, n'admettent pas du tout qu'un délire systématisé puisse être un
état
secondaire. 392 .REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ,
réelle de la couleur. Si, par exemple, on présente à une malade en
état
de suggestion une feuille de papier divisée en
s, l'affaiblissement intellectuel prématuré est la conséquence d'un
état
pathologique déterminé et non de la sénilité. I
e cérébrale antérieure; c'est une influence psychique, comme dans l'
état
normal, qui agit sur le centre génito-spinal ;
n plus accentuée, que nous ne l'avons trouvée dans la brochure, à l'
état
d'Inisdea dans la journée du 13 avril. 11 est c
on trouve presque continuellement dans la démence paralytique à son
état
de parfait développement et, cliniquement, para
u qu'après une longue observation préalable permettant d'affirmer l'
état
1 Voy. Archives de Neurologie, t. V, p. 125 et
ui unit le malade à l'éta- blissement. On s'inquiète notamment de l'
état
sanitaire de la maison du nourricier; une seule
i concerne le lobe temporal opposé, toute la pointe était dans un
état
d'hypérémie extrême. Confirmation orale de M. ScB
nèse par la moelle, et de songer à l'existence, dans l'espèce, d'un
état
d'excitation chronique des noyaux moteurs des c
rmaux. Intégrité psychique, à part un certain degré d'euphorie. Bon
état
général. Absence de phénomènes paralytiques, si
âne, les méninges, le cerveau, les muscles de la tête et du cou, un
état
d'hyperémie très prononcé, avec hémorrhagies ca
utre, qui, depuis trois mois, n'a pas subi de rotation, présente un
état
prononcé de démence, avec parésie des quatre ex
lasie vascu- laire) ; en un mot, il y a concordance complète avec l'
état
habituel de l'écorce des aliénés paralytiques g
ien des cas, une émotion de l'âme les a précédées, mais souvent ces
états
sont consécutifs. Les expres- sions d'imprégnat
nastique, les accès diminuent de fréquence. Lorsqu'il s'agit d'un
état
habituel 3')aypocoztdrie, il faut suivre le goû
ouvelle Société a pour but l'élude des phé- nomènes psychiques, à l'
état
normal et à l'état pathologique, d'après la mét
our but l'élude des phé- nomènes psychiques, à l'état normal et à l'
état
pathologique, d'après la méthode d'observation
ité philosophique et physiologique de l'hérédité naturelle dans les
états
de santé et de maladie du système nerveux (2 vol.
ori- gine bulbaire), par Semmola, 433. Conscience (de la dans les
états
connus sous le nom d'état d'in- conscience),
mmola, 433. Conscience (de la dans les états connus sous le nom d'
état
d'in- conscience), par Pick, 261. Congrès des
és pendant l'abstinence), 106. Nutrition du système nerveux à l'
état
normal et n l'état pathologi- que, par llairet,
ence), 106. Nutrition du système nerveux à l'état normal et n l'
état
pathologi- que, par llairet, 231, 360. Z comm
sque le 20 il tomba brusquement dans le coma. Behr le trouve dans l'
état
suivant : face pâle, yeux fixes, carphologie, f
cilement pris pour une méningite, si on n'avait été renseigné par l'
état
du tes- ticule. On trouve de même dans la thèse
uve de même dans la thèse de Lemar- chand', un cas de Laveran, où l'
état
général était si grave qu'on hésitait entre une
us aurons à revenir sur ce point, qu'il existe dans les deux cas un
état
inflammatoire des méninges, mais dans le premie
ment, voit le malade quelques ins- tants après et le trouve dans un
état
de stupeur voisin du coma. Toutefois, en l'exci
u'à rendre des sons inintelligibles; il retombe rapidement dans son
état
primitif d'assoupissement. Le corps est dans la
Sulfate de soude, dix sangsues aux apophyses mastoïdes. Le 30, l'
état
est le même mais un peu amélioré; la paralysie
abaisse, 38°,5 le matin, 38°,7 le soir. Pendant quelques jours, l'
état
se maintient stationnaire et il faut arriver au
de s'appuyer sur sa béquille ou sur sa canne; il se fatigue vite. L'
état
général est excellent. A la date du ler avril 1
mentent d'intensité pendant cinq ou six jours, restent dans le même
état
pendant une huitaine de jours, puis diminuent.
nt fermé, en même temps que les douleurs cessaient entièrement; cet
état
dura quelques semaines, puis peu à peu de léger
mâle ; la langue se tire bien droite ; il marcheparfaitement, pas d'
état
vertigineux. Les viscères, notamment l'estomac, n
ont subi la dégé- nération graisseuse. L'examen microscopique, à l'
état
frais, des granulations montre un nombre assez
cause, fuir la maison paternelle) ; en 1871, un jour qu'il était en
état
d'ivresse, il a fait une chute sur la tête, laq
n aborde l'examen plus INVERSION DU SENS GÉNITAL. 43 général de l'
état
mental habituel à ces prétendus mo- nomanes, on
nomanes, on remarque que celui-ci est loin d'être simple. Outre un
état
de déséquilibration bien carac- téristique qui
t la vie des membres de la famille. Certains n'ont présenté que l'
état
desimpicdéséquiiibration, sans que jamais vienn
retrouver la trace, mais peut-on dire que l'on connaît exactement l'
état
mental d'individus avec qui l'on n'a 44 RECUEIL
ants dans la vie intellectuelle des membres d'une même famille. Cet
état
mental qui se transmet, cet ensemble de syndrom
il était en érection pendant des heures entières. Sa mère, que cet
état
inquiétait, se relevait souvent, et constatait
inquiétait, se relevait souvent, et constatait chaque fois le même
état
d'érection. Il n'a jamais pu être guéri de ces
ces syndromes et dans l'espèce, ils sont bien caractéristiques de l'
état
mental que notre malade tient de ses ascendants
puis la publication de notre Traité du diabète, où nous exposions l'
état
de la science sur cette question, l'histoire de
cerveau, c'est sortir de la question; le diabétique, en raison de l'
état
de ses vaisseaux, est exposé, tout comme un aut
bral, que signifient des lésions aussi disparates pour expliquer un
état
symptomatique qui a son autonomie et sa caracté
n, de Kratschmer, de Paschutin, d'Abeles lui-même, le cerveau à l'
état
normal ne contient pas de glycogène. Chez deux au
ec le coma diabétique ? Cliniquement, de l'aveu général, ces deux
états
ne présentent pas une analogie qui autorise la co
. l'urémie ? Et lorsque le clinicien fait la différence des deux'
états
, comment admettre que le pathogéniste fasse la co
oment donné, aboutit à une véritable insuffisance cardiaque et à un
état
syncopal rapidement mortel. Frerichs admet auss
DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 55 organes. Voit et Hertz ont constaté cet
état
lipémiquedu sang dans deux autres cas de coma d
ier cas, les malades tombent progressivement ou brusquement dans un
état
de torpeur, de faiblesse générale, d'anéantisse
ransfor- mations successives a passé la matière pour se trouver à l'
état
d'acétone dans les tissus; il suffit au patholo
ie proprement dite. Comme l'acétonémie, ils se caractérisent par un
état
d'anéantissement et un coma terminal plus ou mo
us- quement d'une sensation de faiblesse extrême; rapidement, cet
état
de faiblesse devient tel que le malade ne peut se
somnolence, d'où il est, en général, facile de tirer le malade, un
état
de torpeur intellec- tuelle analogue à la torpe
laire. Les pupilles sont dilatées, mais sensibles à la lumière. Cet
état
ne mérite pas, en réalité, le nom de coma, mais
urine par jour, contenant 40 à 50 grammes de sucre par litre. Son
état
s'était sensiblement amélioré sous l'influence de
urinaire, car la dyspepsie n'est pas rare chez les diabétiques à l'
état
de complication accidentelle et sans aucune relat
u'une chose, c'est qu'on les laisse tranquilles. Puis survient un
état
de somnolence, une torpeur irrésis- tible ; on
s, progressivement ou brusquement, cette somnolence fait place à un
état
coma- TBOUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES
t pas la force de tenir les objets qu'elle essayait de prendre. Cet
état
persista quelque temps, s'aggravant ou s'amélio
jour à l'autre, jusqu'au moment où l'affais- sement fit place à un
état
comateux, accompagné de quelques mouvements con
ques de convulsions généralisées. Eu même temps que la gravité de l'
état
général s'accentuait, la quantité de sucre dimi
eurs semaines avant-d'amener le coma mortel. Ce qui domine, c'est l'
état
d'accablement, d'affaissement, commun à toutes
une irrita- bilité ou une vivacité anormale, plus habituellement un
état
de somnolence diurne avec sensation d'affaissem
ction et l'odeur acétonique disparaissent, et le malade reprend son
état
de santé antérieur. Mais, après une succession
albuminurie. Existe-t-il une con- nexion, un rapport entre ces deux
états
? En tout cas, la con- nexion, est loin d'être
- ticulier ; quelques-uns cependant (biceps) sont souvent dans un
état
de rétraction très prononcé. Les contractions fib
es - La paralysie pseudo- hypertrophique s'accompagne toujours d'un
état
hypertrophique de quelques muscles; elle respec
n'est pour rien dans la pathogénie de l'affection. D'autre part, l'
état
général des sujets permet d'établir que le rhumat
nsorielle est, dans la plu- part des ras, directement parallèle à l'
état
psychique; dans certains cas, elle vient et s'e
epsie, l'alcoolisme, le nervosisme, la neurasthémie, la chorée, les
états
d'angoisses, le railway-spine. Les lésions céphal
gère : à la suite de l'attaque, quand l'attaque se com- plique d'un
état
de dépression ou d'excitabilité de la sphère affe
parole lente et embarrassée, paresse intellectuelle très prononcée,
état
habituel de somnolence : tels sont les autres s
nations avec excitation, qui forme une phase de transition ; dans l'
état
maniaque en effet (hypérémie cérébrale), les ne
nt à la concep- tion, à la connaissance du monde extérieur) et de l'
état
d'impres- sionnabilite irritalive des nerfs et
let 1883.) Dans ce travail, auquel de brèves considérations sur les
états
pathologiques qui sont associés à la folie chez
andes fonctions viscérales sont intactes. Pendant six semaines, son
état
ne change pas ; mais ensuite il s'aggrave ; ell
tétanique, et dont chacune dure de quatre à cinq minutes. Puis son
état
mental s'améliore un peu ; mais une escharre co
mais une escharre commence à se former au siège. Le 3 février, son
état
mental s'aggrave de nouveau ; en même temps ell
l'impuissance de travail et d'exécution psychique tient à un léger
état
d'épuisement psycho-somatique. La plupart de ce
nence d'alcool, il s'effectua une amélioration de la motililé, de l'
état
des muscles, voire des contractures M. Skixigmu
en commun avec de nombreux incurables agit défavorablement sur l'
état
psychique des aliénés curables; 50 parce que les
ce des conditions atmosphériques et en particulier de l'ozone sur l'
état
des névropathes chroniques. Depuis décembre 188
0 observations individuelles (neurasthénie, hystérie, hypochondrie,
états
d'excitation ou de faiblesse, maladies de coeur,
ent des troubles déjà perceptibles, surtout quand, en même temps, l'
état
hygros- copique s'éloigner de la moyenne; 4° un
traîne souvent des troubles tout a fait remar- quables du côté de l'
état
général ; une réascension rapide déter- mine so
excitabilité hysté- rique, les idées de persécution ; mais tous les
états
d'affaiblis- sement, d'affaissement purement ph
'ozone a prédominé pendant la nuit au dehors ? M. 1 r.ESCa. Sur l'
état
anatomique de la moelle épinière de deux microc
site, on la trouve toujours dans 1"étitt second, qui est devenu son
état
habituel. Les personnes qui n'ont pas l'habitud
illés qu'en condition normale. Un symptôme caractéris- tique de cet
état
, c'est qu'elle ne sait absolument pas avaler les
r les liquides et difficilement les solides. Au contraire, dans son
état
physiologique régulier ou condition première, l
lui fait. Elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant son
état
antérieur, son état second; de même que, durant
ucun souvenir de ce qui s'est passé pendant son état antérieur, son
état
second; de même que, durant ce dernier état, el
son état antérieur, son état second; de même que, durant ce dernier
état
, elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé
ier état, elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant son
état
premier. M. Verriest a, tour à tour, provoqué l
premier. M. Verriest a, tour à tour, provoqué l'apparition des deux
états
; il a présenté d'abord cette malade dans son ex
tte malade dans son existence seconde, et l'a ramenée ensuite à son
état
normal. Pour cela, il suffit de lui commander d
rieurs; puis, la malade s'éveille en souriant et se trouve dans son
état
normal. Alors elle ne sait plusoù elle est; sa
s sont les personnes qui l'entourent, etc., et profite de ce nouvel
état
pour boire avide- ment plusieurs verres d'eau.
is peu, il est devenu possible de la faire entrer dans une espèce d'
état
tioisième en appuyant légèrement etrapidement s
ant légèrement etrapidement sur les globes oculaires : ce troisième
état
diffère essentiellement de l'hypnotisme par le
t de l'impos- sibilité de provoquer la moindre suggestion. Dans cet
état
, la paralysie de la jambe droite disparaît, mai
tition. Il est donc possible de faire passer cette malade par trois
états
de conscience distincte. Il est impossible, dan
oupçonnés d'aliénation mentale; B, à tout individu ayant commis, en
état
de folie reconnue un crime quelconque ; C, aux
iquement les malades et à les isoler selon les fluctuations de leur
état
mental. 11 a été construit pour une population
tention ne peut être fixée. L'intelligence est très' embrouillée. L'
état
physique est mauvais ; les narines sont fuligin
ues moments de calme, puis elle devient continue, et c'est dans cet
état
que B... est conduit à l'Asile. L'accès d'ali
tion du début diminue bientôt, disparait même pour faire place à un
état
d'affaissement très marqué. B... mange peu et c
d'une pendule. Cet homme mange aujourd'hui régulièrement, aussi l'
état
physique s'est-il amélioré; la sécheresse des lèv
demment considérable. B... se rend compte à certains moments de son
état
, et alors il se met à pleurer « parce qu'il est
de ce côté que de l'autre. Pendant les mois de mai et de juin, l'
état
mental de B... reste stationnaire. On constate
générale. Puis, les symptômes somatiques disparaissent et, àpart un
état
d'obnubilition intellectuelle plus con- sidérab
ement, les troublescérébraux s'atténuent et disparaissent; seul, un
état
de torpeur intellectuelle et somatique persiste
érison se maintient depuis quatre ans, et tout, depuis lors, dans l'
état
psychique de B..., semble indi- quer que l'alié
cas actuel aucune autre cause susceptible d'être incri- minée que l'
état
physique dans lequel était B..., au moment où a
lieu l'émotion morale, on arrive naturellement à se demander si cet
état
n'a pas joué un rôle dans le développement de l
de l'aliénation men- tale. B... était alors sous l'influence d'un
état
fébrile consécutif à un refroidissement, sous l
eu m'importe. Aussi, pour que nous puissions dire que, chez B..., l'
état
fébrile dont il était atteint a joué un rôle da
lus les mêmes raisons de doute que pour les troubles psychiques l'
état
fébrile sous l'influence duquel' était B... en ce
me temps à l'extérieur et à l'intérieur du crâne, donnant lieu à un
état
conges- tif et irritatif, qui a surtout porté s
issent en effet, la maladie revêt le caractère maniaque, et seul un
état
d'obnubilation intellectuelle plus considérable
uits, il était agité, bruyant et privé de sommeil. C'est dans cet
état
qu'il entra à l'hôpital. Au bout de quinze jour
tif, puisqu'un évacuant beaucoup plus doux avait si fort empiré son
état
. Neuf semaines passèrent ainsi dans un transpor
lumière sur le caractère exact du réflexe rotulien... Quel est l'
état
du réflexe rotulien dans un cas d'ataxie qui s'
arche encore beau- coup et vient à Paris à pied de Saint-Mandé. L'
état
s'aggrave progressivement et, en février 1882, il
vers cette époque que débute l'anesthésie. A partir de ce moment, l'
état
actuel s'est graduel- lement développé, comme n
cas, on a l'habitude et il est préférable de ne pas s'occuper de l'
état
de la rétine, c'est-à-dire de l'hémiopie et de
t-à-dire de l'hémiopie et de décrire l'hémianopsie, c'est-à- dire l'
état
du champ visuel déterminé par le campimètre ou
Les deux premières variétés sont exclusivement causées, d'après l'
état
actuel de nos connaissances, par une lésion du
s antérieur, postérieur ou latéraux. La dernière variété, d'après l'
état
actuel de nos connais- sances, est toujours pro
n. Pas de lésions du fond de l'oeil. Il n'est pas fait mention de l'
état
des pupilles. Mort le 34 décembre 1884. L'autop
ntermittents furent les principaux phénomènes de cette période. Son
état
général était meilleur, mais le coeur était très
à quelques millimètres dans l'intérieur de la substance blanche. L'
état
de la capsule interne, des couches optiques, et
é- gie et d'anesthésie nette, je puis affirmer avec certitude, en l'
état
actuel de nos connaissances, qu'il n'existait p
lit, elle se mord la langue et a des convulsions. En revenant à l'
état
normal, ou, après avoir passé par un état qui ne
vulsions. En revenant à l'état normal, ou, après avoir passé par un
état
qui ne laisse pas de présenter une analogie plu
, impatiente, dysorexique et se remet plus tardivement. Pendant l'
état
dont nous venons de faire la description, les o
s ou par la traction des membres. A ces mo- ments, elle présente un
état
mental excitable, en partie conscient dont ses
n peut s'exprimer ainsi. Elles s'expliquent très probablement par l'
état
de dyscrasie où est resté le sang à la suite de
quel trois périodes principales sont nette- ment observables : 1° l'
état
léthargique; 2° l'état cataleptique et 3° l'éta
ncipales sont nette- ment observables : 1° l'état léthargique; 2° l'
état
cataleptique et 3° l'état somnambulique. Nous n
observables : 1° l'état léthargique; 2° l'état cataleptique et 3° l'
état
somnambulique. Nous ne pouvons mieux faire, pour
lgré l'intérêt des phénomènes si remarquables qui caractérisent les
états
hyp- notiques, nous ne nous en occuperons pas e
diaques un peu assourdis, pas 1 J.-M. Cliarcot. Note sur les divers
états
nerveux déterminés par l'hypnolisation chez les
ord couchée. 10 léthargie : la face se contracteun peu moins qu'à l'
état
ordinaire, le sterno-mastoidien, pressé, ne rép
dans l'attitude particulière, à cettepériode moins nettement qu'à l'
état
ordinaire les membres gauches l'ont perdue et,
aurait alors une sorte d'épui- sement des symptômes, tandis qu'à l'
état
qu'on peut appeler normal, en vertu de sa const
diminuées ; le poignet n'en offrait presque pas. Aujourd'hui, où l'
état
lésionnel des jointures gauches est manifesteme
ours de ce mois époque où l'amen- dement des arthrites et même de l'
état
général est considérable. Le 23, contracture' g
he, n'étaient pas modifiées. Par contre, les caractères des trois
états
de l'hypnose ont été très notablement influencés
actères hypnotiques était évident; on pour- rait presque conclure l'
état
de ceux-ci du degré des lésions articulaires. U
our, tandis que le corps de la cellule lui- même passe lui-même à l'
état
granuleux. On a, en somme, sous les yeux la str
K. V. Etudes sur les attitudes considérées comme indicatives des
ÉTATS
MORAUX ET ENVISAGÉES DANS LES OEUVRES D'AIIT; par
s spécialement les attitudes de la main, dans leurs rapports avec l'
état
moral ; les muscles, en effet, n'étant que des in
ar un mécanisme nerveux central, leurs attitudes doivent refléter l'
état
du centre nerveux. Dans le court travail qui no
nt conformes à celles que l'auteur a décrites comme appartenant aux
états
d'esprit qui doivent en effet appartenir aux pe
t son minimum chez les animaux supérieurs; chez ces « derniers, à l'
état
normal, la conscience spinale n'est jamais - ap
tres, cette « activité n'est pas réduite, comme pour la moelle, à l'
état
de « mécanisme purement automatique et que, par
des périodes sans limites et à « l'abri du risque d'être réduit à l'
état
d'automate intellectuel. « Deux conditions tout
ne importance pour nos études. Les muscles d'une grenouille sont en
état
de tenir une articulation dans l'immobilité pen
e de la fatigue ; nous devons, en outre, prendre en considération l'
état
relatif de repos ou de fatigue dans lequel on t
Nous avons plus de mille courbes entre nos mains, des notes sur l'
état
dans lequel se trouvait le sujet au moment de l'e
sclé, mais d'une faiblesse intellectuelle telle, qu'il n'est pas en
état
de répondre par une phrase à la question la plu
nous en concluons que nous avons affaire à un malade. Dans certains
états
mentaux que l'on pourrait désigner de « maladie
hes sur des jeunes filles hystériques qui se trouvaient dans un tel
état
de surexcitation qu'on les avait mises à l'hôpita
aliénés; nous ne pouvons obtenir de courbes à ce moment, vu leur
état
d'agitation; grâce à la faradisation, nous finîme
dans leurs discours. La méthode sert à laisser une image fixe de l'
état
de la malade, image qui a plus de valeur que l'
enir la volonté. Jusqu'à quel point la volonté est influencée par l'
état
de la malade ? nous pourrons en juger facilemen
ent à la même jeune fille; sur la première, elle se trouve dans son
état
normal ; la seconde est faite au moment où elle
érêt tout particulier. Chez ces derniers, les modifications de leur
état
se constatent sur leurs courbes, comme nous avo
avec rigidité : la contraction locale n'est point altérée dans ces
états
. 3" Les paralysies atrophiques s'ac- compagnent
a substance contractile qu'un excitant mécanique fort place dans un
état
voisin de la dégéné- rescence semblable à celui
situde. P. K. XVII. Sur LES limites DU sens DE la température A l'
état
sain . ET A l'état malade ; par J. Donath (Arch
I. Sur LES limites DU sens DE la température A l'état sain . ET A l'
état
malade ; par J. Donath (Arch. f. Psych., XV, 3).
s l'observation m'amène plutôt à penser que nous avons affaire à un
état
mélancolique voisin de la stupeur et peut- être
ez lui très effrayé. Cette frayeur ne suffit-elle pas à expliquer l'
état
de stupeur dans laquelle il est resté vingt ans
nce de courants électriques ou de toute autre cause, il sort de cet
état
de stupeur, et parle. Mais il n'y a rien d'éton
. J'admets, avec lui, la même distinction entre ces deux derniers
états
, mais je crois que nous ne mettons pas au même ni
éréditaire, comme ces dégénérescences reconnaissent à l'origine des
états
morbides chez les ascendants, il reste à déduir
années. Sera publié in extenso. Discussion : M. OTTO. Quel était l'
état
microscopique des lobes temporaux ? -Réponse. R
amen révélât autre chose que de l'acide diacétiquedans l'urine. Ces
états
se dis- siperaient en général promptement; fréq
art des phases de la maladie ou pour chacune de ces phases, quand l'
état
clinique variait. La conclusion est que, à l'ex
tion d'un cas, ces réactions ne se montrent que chez des malades en
état
d'abstinence complète ou partielle. Sur huit ma
klin. Aled. VI, 5). Tuczek rattacha impérieusement l'acétonurie à l'
état
d'inanition, il l'observa chez les sitiophobes
ident et les phénomènes psychopathiques, un spécialiste est seul en
état
d'apprécier avec le soin et la compé- tence vou
asies névro- tiques) ; c) ceux dont on peut rattacher la cause à un
état
d'irri- tatioit aigu, généralement inflammatoir
ns les oplithalmies dites neuroparalyliques. On n'est pas encore en
état
de décider si la gangrène symétrique des extrém
ndiquées. Chaque exci- tant détermine dans la substance nerveuse un
état
anormal d'au- tant plus accusé que l'excitant e
xcitant est plus intense. Mais la substance nerveuse supportera cet
état
anormal jusqu'à une certaine limite. Plus un ex
est intense, plus vite cette limite sera atteinte ; à ce moment, l'
état
de la substance nerveuse change : d'actif il de
ormant par leur com- binaison autant de signes pathognomoniques des
états
patholo- giques suivants. Sous le nom de compre
roit lésé. La rubrique de commotion cérébrale englobait une foule d'
états
coma- teux engendrés par des traumatismes viole
duits, par conséquent, par action réflexe ; on les distinguerait en
états
de surexcitation et états de paralysie' cérébrale
action réflexe ; on les distinguerait en états de surexcitation et
états
de paralysie' cérébrale. En résumé, ' . SOCIETE
ses à forme spé- ciale. Il faut enfin tenir pour des dyscrasies ces
états
du sang qui se forment dans le corps lui-même o
idement à un traitement mé- dical ; en même temps, aggravation de l'
état
général, parfois sen- sation de fatigue et de l
KBr; les bouillons à l'extrait de viande et le vin rouge relèvent l'
état
de ses forces. Cette fois, l'état psychique, sa
viande et le vin rouge relèvent l'état de ses forces. Cette fois, l'
état
psychique, sans être modifié, témoigne d'un grand
cidents du cas de Griesinger (névralgie de la cinquième paire). Les
états
d'excitation des nerfs sensibles se propagent à
tition et delà respiration, mais ces accidents rétrocèdent bientôt;
état
stationnaire quant à la pa- ralysie des extrémi
cinq ans. Dans tous les cas on a trouvé des anomalies du crâne, un
état
trouble diffus de la pie-mère (on put cependant,
ut d'abord se rappeler que la paralysie générale ne possède pas d'
état
anatomo-pathotogique spécifique. En effet, l'atro
gomyélie, de la sclérose multiloculaire de la moelle, et cer- tains
états
qui se montrent chez des gens qui, antérieurement
ans l'écorce des paralysés généraux. Il n'a jamais prétendu que cet
état
fût pathognomonique; la publication de son observ
méthode qu'exige cette question. Il convient donc de soumettre les
états
nécroscopiques de Zacher à une confirmation ult
comme l'ergotine, il anéantissait certaines espèces de fibres. Les
états
nécroscopiques de l'idiotie montrent nettement
l'importance qu'il y a à vérifier l'existence des rêves pendant les
états
d'incons- cience. Les hallucinations que l'on p
ève contre la tendance générale à regarder comme des sommations les
états
mentionnés par Tuczek. Les phéno- mènes du deli
qu'avant tout, ce qui importe, c'estle caractère des rêves dans les
états
d'interruption de la conscience, qu'il s'agisse
ribution à l'étude du sopor et des mouvements automatiques dans les
états
d'hébétude. Si l'on prend comme type, le sopor
; diminution de la sensibilité cutanée; c'est au beau milieu de cet
état
que sur- vient un soir le sommeil; alors cessen
de quelque temps, nouveau sommeil; le joursuivantper- sistance de l'
état
d'obnubilation (comparer avec les mémoires de S
316 SOCIÉTÉS SAVANTES. pendant des jours entiers à la suite d'un
état
de Inal épileptique. 11 se distingue du sopor,
dite. Les mouvements soporeux des yeux ' peuvent se joindre à ces
états
. Dans l'état de mal épileptique où le retour au f
uvements soporeux des yeux ' peuvent se joindre à ces états. Dans l'
état
de mal épileptique où le retour au fonc- tionne
u centre voisin. (Voy. le mémoire d'Unverricht) i. Le sopor elles
états
qui lui ressemblent (certains stades de la narcos
de nouveaux excès qui engendrent les accidents sus-énoncés. Enfin l'
état
de nutrition générale SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 j
ux jours après les excès. Lasègue, en t88l, montre l'importance des
états
de sommation initiaux; son terme d'alcoolisme s
nfirmer, ne prouve rien, carRajewsky(1875)-a trouvé de l'alcool à l'
état
normal. En somme : 1° Grande ressemblance ent
. Toute plainte ne cessera que lorsque ces établissements seront en
état
de recevoir 2 malades pour 1,000 habitants. On a
eux d'une petite excavation localisée au sommet du poumon gauche. L'
état
général est alors satisfaisant, l'appétit intac
s le poumon droit, quelques rares tubercules crus vers le sommet;
état
normal dans les autres parties. Coeur et péricard
s ont conservé leur apparence habituelle et ne diffèrent enriende l'
état
normal. Denombreuxfragments ont été recueillis,
x. Ses fibres sont légèrement Juméfiées et plus appréciables qu'à l'
état
habituel. Il est en outre infiltré d'éléments c
fficile d'y rencontrer quelques tubes conservant les attributs de l'
état
normal. Les formes de la lésion sont d'ailleurs
les paralysés. Les centres nerveux, cerveau et moelle, sont dans un
état
de parfaite inté- 352 PATHOLOGIE NERVEUSE. gr
re, indépendante, et les considère comme un incident secondaire, un
état
deutéropathique, consécutif à une altération de
portions altérées font suite des segments qui ne s'éloignent de l'
état
normal que par la tuméfaction du noyau et la pl
ues en groupe, elles présentent le plus souvent les caractères de l'
état
normal; la méprise est facile, et c'est seuleme
eut- être les expérimentateurs ont une certaine influence sur cet
état
? Je veux essayer de répondre à cette question,
r ensuite mieux pénétrer dans la connaissance du mécanisme de cet
état
. Les hypothèses sur l'hypnotisme abondent, mais
ait pas avec la rupture du courant, mais au contraire, pareille à l'
état
catalep- tique, elle restait au même degré. C
ritation cesse immédiatement, je ne saurais entrevoir pourquoi, à l'
état
normal, cela n'au- rait pas lieu dans le systèm
e Bubnoff et Heidenhain, dont j'ai fait mention, prouve que, dans l'
état
produit par le poison, l'irritation du centre c
lent une petite partie des cellules de l'écorce; enfin, pendant l'
état
somnambulique la partie éveillée est un peu plus
meil ordinaire. Cette irritabilité est à peu près éteinte pendant l'
état
de veille, elle change toujours de siège. Ce ch
eau, sans impressions du monde extérieur, ne peut pas se tenir en
état
de veille, ceja est aussi prouvé par des observa-
rconstances), parce que, comme j'en veux parler plus tard, dans cet
état
l'irritation ne peut pas s'étendre normalement
lus étendue. La pro- priété commuas de toutes les trois phases de l'
état
hypnotique est que la contraction une fois prov
dorsal spasmodique) ; en troisième lieu, nous parlerons à part de l'
état
des réflexes rotuliens qui ont une importance t
lons relever maintenant les renseignements. Dans 14 observations, l'
état
des réflexes rotuliens n'est pas expressément i
a maladie (du moins avec une précision suffisante pour indiquer l'
état
des réflexes rotuliens dans les phases initiales)
n posera les diagnostics de bonne heure, on pourra recueillir sur l'
état
de ces réflexes rotuliens des renseignements pl
aussi simples; et, n'ayant aucun renseignement qui l'éclairât sur l'
état
mental de la prévenue qui ne présentait aucun m
de Saint-Lazare, dut être placée à l'infirmerie, elle était dans un
état
singulier, et l'on s'aperçut immédiatement qu'o
ait condam- née à trois mois d'emprisonnement. La cause vint en cet
état
devant la cour. Annette G... eut une attaque d'
it par le mot de suggestion, faisant valoir, d'ailleurs, le fâcheux
état
de santé d'A. G..., il demanda qu'il plût à la
emanda qu'il plût à la cour de nommer des experts pour exa- miner l'
état
mental d'Annette G..., dire si cette fille n'avai
mbre des appels de police correctionnelle, à l'effet de constater l'
état
mental de la fille G...'(Annette), appelant d'u
e nom de sa soeur Suzanne. Nous avons voulu savoir quel était son
état
pendant « ses crises ». Sa mère nous les décrit
. Elle restait de quatre à six heures ainsi, et elle sortait de cet
état
sans convulsions. En 187o, à la fin de l'année,
t, après avoir 'épondu aux premières questions, elle est prise d'un
état
synco- pal, de courte durée d'ailleurs. Une foi
il en fut encore question dans la salle d'infirmerie; et, dans un
état
qui ne rappelle en rien l'état de suggestion hypn
s la salle d'infirmerie; et, dans un état qui ne rappelle en rien l'
état
de suggestion hypnotique, Annette G... descendi
jeté avec le concours du greffier de la pri- son. Mais, il reste un
état
mental particulier sur lequel nous avons le dev
; et quand celte femme arrive à Saint-Lazare, elleétait dans un tel
état
de dépres- sion, de faiblesse, qu'elle avait pu
tions, le vol pour lequel elle est poursuivie, commis au plein d'un
état
de désarroi intellectuel et moral, sous la pres
n et de résistance suffisantes. La culpabilité disparaît derrière l'
état
pathologique, RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPIT
cérébraux et de l'épais- sissement de leurs parois, ainsi que de l'
état
plus hyperhémié de la moitié inférieure du bulb
ce la nuit. La malade passe trois ans à la Teppe de 1879 à882 ; son
état
, sans s'être amélioré, reste stationnaire. A
du délire. Quinze jours après, sa mère la retire de l'asile, où son
état
n'avait fait qu'empirer. Reçue à l'hospice de l
e ne cesse de répéter : « Eh bien Eh bien ! » Au mois de juillet,
état
de mal pendant une semaine, avec subdélirium et
males. Le 24 du même mois, faux besoins de défécation, moeléna et
état
catarrhal. -- Pas de fièvre. Douleurs abdominales
ance d'un côté, avec morsure de la langue, perte de connaissance et
état
soporeux à la fin de l'accès. Etat actuel. Pe
té ni de motilité. RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 415 5 L'
état
général est bon. Les urines sont normales. Le 2 j
47 au 18 février et mort le 18 février à 8 heures du matin dans un
état
de prostrationcomplète. L'autopsie est pratiqué
ons furent absolument négatives. ^ ( ' ., ... - -. De plus si cet
état
crémeux, puriforme était un effet de dé- compos
te, in-omnie, accidents du décubitus; mort. Au- topsie. Congestion,
état
trouble et adhérences en dedans et en dehors de
en disant que ce qu'il a de mieux à faire c'est de se tuer, car son
état
est tellement anlinaturel que son désir serait
ment intacte. M. Savage lui a donné des conseils appropriés à son
état
; mais il n'a eu depuis aucune nouvelle de ce ma
LOGIE MENTALE. 429 » faits rapportés dans ce travail, c'est que les
états
anormaux « de l'utérus sont beaucoup plus fréqu
ute d'avoir reconnu une affection uté- « rine, on laisse passer à l'
état
incurable une affection primiti- « vement curab
r elle- « même une cause de folie, il n'en est pas moins vrai que l'
état
ané- « mique du sang est incontestablement, dan
110 11 y a, dans tous les cas, une amélioration bien nette « dans l'
état
du sang, pendant la convalescence mentale, mais
our le service des incendies, d'exercer ces hommes et de vérifier l'
état
du matériel au moins une fois par mois; enfin i
ait tellement violent qu'il fallait l'attacher; il commit, dans cet
état
, une tentative de suicide dont il ne se souvena
la durée de celle-ci, autorisant à mettre sous la dépen- dance de l'
état
syncopal ou de l'arrêt momentané du coeur, l'ap
lant, chez un sujet dont les facultés subjectives sont en perpétuel
état
d'obsession ? Ce sont là des conditions fondame
érience de Weber. L'hypothèse de l'iden- tité de siège cérébral des
états
de conscience semblables expli- que bien commen
du même livre (B), provenant d'une vision antérieure; et ce second
état
de conscience (B) suscite par la force de la co
arues actuellement et qui s'accolent à l'image actuelle du livre* L'
état
(B), intermédiaire, est inconscient par fusion
ir le raisonnement : « l'établissement d'une association entre deux
états
de conscience, au moyen d'un état de cons- cien
ent d'une association entre deux états de conscience, au moyen d'un
état
de cons- cience intermédiaire qui ressemble au
en d'un état de cons- cience intermédiaire qui ressemble au premier
état
, qui est associé au second, et qui, en se fusio
iques et en particulier la contracture, la secousse musculaire et l'
état
cataleptoïde. La BIBLIOGRAPHIE. 453 même méth
ucinations et une étude nouvelle sur les phénomènes hypnotiques à l'
état
de veille, l'auteur tente heureusement un essai
'auteur ne cite aucun cas de suicide accompli par des sujets dont l'
état
d'intégrité mentale soit nette- ment établi, il
acrée à ['étude clinique, l'auteur, après avoir résumé brièvement l'
état
des connaissances actuelles, relate douze obser
es idées; - Dès FAITS DIVERS. 463 aliénés avec conscience de leur
état
; Des effets comparatifs de la chronicité et de
'), par Kast, 3-20. Attitudes considérées comme indi- catives des
états
moraux et envi- sagées dans les oeuvres d'art,
291. Sénile (folie), par Savage, 92. Sens de la température à l'
état
sain et a l'état morbide, par Donatli, 255.
lie), par Savage, 92. Sens de la température à l'état sain et a l'
état
morbide, par Donatli, 255. Sens génital (inve
ent, sans diminution de l'acuité auditive. Le malade resta dans cet
état
, pendant les mois de septembre et d'octobre.
able du cerveau et ordonna un traitement approprié. Depuis lors l'
état
du malade alla toujours en s'aggravant. La 4 PA
t de jour en jour. Lors de son entrée, le 4 février, nous notâmes l'
état
suivant : ' Etat actuel. C'est un homme dans
es. Mais vers le 15 février, on vit survenir une aggravation dans l'
état
du malade. En effet, dès ce moment les forces dim
ment sous lui. Le 12 mars, survint une brusque aggravation dans son
état
. On constata ce jour là que tout le côté droit
nt purgatif, et on lui mit un vésicatoire à chaque mollet, mais son
état
, au lieu de s'améliorer, alla en s'aggravant, e
les séparent étaient moins sinueux et surtout moins profonds qu'à l'
état
normal; nous avons cherché à représenter cette di
Salpètrière; et Raymond PETIT, interne des hôpitaux. DU SANG. L'
état
du sang a déjà été l'objet de plusieurs recherche
parition de globulins ou hématoblastes. Chez plusieurs malades en
état
de mal, nous avons voulu remplir l'indication d
nous avons tenté cette intervention, nous avons échoué à cause de l'
état
tout particulier du sang. Les veines sont assez
paul range sous quatre chefs les hypothèses tendant à expliquer cet
état
: 1° congestion cérébrale ; 2° névrose; 3° lési
eux chez lesquels il n'y a pas de troubles gastro-intestinaux, ni d'
état
saburral de la langue, et ceux chez lesquels ce
e dans ces deux espèces d'épi- lepsie. Dans l'épilepsie réflexe l'
état
de l'intelligence reste très longtemps normal,
nt. Au contraire, dans l'épilepsie générale qui s'accompagne de l'
état
gastrique sur lequel nous avons tenu à insister,
curseurs que décrivent tous les auteurs sont toujours accompagnés d'
état
gastrique, d'état saburral de la langue. Nous d
vent tous les auteurs sont toujours accompagnés d'état gastrique, d'
état
saburral de la langue. Nous devons soigner cet
at gastrique, d'état saburral de la langue. Nous devons soigner cet
état
gastrique par des laxa- tifs et par une hygiène
ne parviendrons à l'empêcher que si nous dirigons nos moyens sur l'
état
général du malade, sur son état gastri- que d'a
e si nous dirigons nos moyens sur l'état général du malade, sur son
état
gastri- que d'abord. Cette distinction de l'é
istinction de l'épilepsie réflexe à aura, ne s'accompa- gnant pas d'
état
gastrique et de l'épilepsie réflexe à aura s'ac-
'état gastrique et de l'épilepsie réflexe à aura s'ac- compagnant d'
état
gastrique, par conséquentdevenant épilepsie ord
mme distingué n'avait pas attiré l'attention des praticiens sur cet
état
saburral concommitant des voies disgestives. Pour
ileptique vrai tombait tout d'un coup sans prodrôme et sans aura; l'
état
gastrique pour lui passait inaperçu et il s'ap-
e disons plus haut, pour nous le signe capital différentiel est l'
état
gastrique du sujet accompagnant généralement les
es différences dans le nombre des accès et nous ne constatons pas d'
état
de mal produit par la suppression d'un de ces t
s à démontrer qu'une attaque épi- leptique peut se derouler dans un
état
de conscience plus ou moins parfait. E. B. IV
sieurs particularités peu fréquentes montre toute l'importance de l'
état
névropathique, héréditaire ou acquis, dans le d
tacher l'hébéphrénie; 4° la neurasthénie constitutionnelle avec les
états
anxieux et les ob.-essions ou impulsions; 5° le
laire. Ceci ne dura que quelques jours pendant la durée même de l'
état
délirant et rétrocéda sans laisser de traces. Il
s de ses soeurs tout en louvoyant, quant à son appréciation de leur
état
mental : 2° exemples de transmission de concept
OGIE MENTALE. 45 XVI. SUR UNE sensation SUBJECTIVE de l'ouïe dans l'
état
HYPNAGO- GIUE; par L. Daraskiewicz. (Ne1l1'olúg
l y a d'une part une idée qui s'impose au malade et d'autre part un
état
émotif associé, que ce soit l'anxiété, le doute
associé, que ce soit l'anxiété, le doute, le remords, la colère; l'
état
émotif est la chose principale et persiste inal
ée varie. Une analyse psychologique des différents cas montre que l'
état
émotif, comme tel, est toujours justifié. Seule
dans ces deux caractères que consiste l'empreinte pathologique : l'
état
émolif s'est éternisé, alors que l'idée associé
incon- ciliable par une autre idée mal appropriée à s'associer à l'
état
émotif qui, de son côté, est resté le même. C'e
rs et qui maintenant se trouvent en associa- tion grotesque avec un
état
émotif qui ne leur convient pas, mais qui est r
e entre les obsessions et les phobies est que dans ces dernières, l'
état
émotif est toujours l'anxiété, la peur. Il y
idée inconciliable remplacée; on ne trouve jamais autre chose que l'
état
émotif anxieux qui, par une sorte d'élection a
re. La maigreur augmenta de plus en plus et la malade tomba dans un
état
lamentable. A son arrivée dans le service, ma
l'ont vu alors " sont unanimes sur ce point. Sa femme exposant son
état
mental pendant les mois de juillet et d'août 18
pas aujourd'hui dans un accès aigu de son affection, il est dans un
état
raisonnant qui, pour lui, représente l'état d'é
fection, il est dans un état raisonnant qui, pour lui, représente l'
état
d'équilibre mental. 2° S... était dans un accès
t le viol qui lui sont reprochés; 3° il était, à ce moment, dans un
état
pathologique qui le privait complètement de son
Lorsqu'elles ne se terminent pas par la guérison, elles passent à l'
état
chronique et aboutissent même à de véritables p
ité, etc.). Le plus souvent la psychose confirmée se traduit par un
état
d'affaiblissement intellectuel progressif avec
éiformes dans la moitié droite du corps, symptômes révélateurs d'un
état
de dégénérescence, sur lequel viennent en outre
xtrême et se manifeste par des troubles vaso-moteurs de la face, un
état
d'obnubilation psychique qui empê- che la malad
la période prémenstruelle. Il faut tenir compte aussi des fréquents
états
vertigineux, présentés par l'inculpée, états qu'a
te aussi des fréquents états vertigineux, présentés par l'inculpée,
états
qu'accompa- gnaient des troubles visuels et une
tions psychiques. L'auteur termine en constatant chez l'inculpée un
état
de dégénérescence héréditaire, accompagné de ch
ure sous la dictée étaient conservées. Puis elle ne put copier; son
état
général ne lui permettait du reste que difficil
opie disparaît, plus de céphalée et la mémoire redevient normale. L'
état
général est bon, les douleurs ne se font plus s
à savoir le dommage infligé directement à l'individu par suite de l'
état
psychique qui a présidé chez lui à l'acte crimi
ont jamais suffisantes par elles-mêmes pour permettre d'affirmer un
état
maladif. Ces criminels endogènes doivent être e
ladie psychique 'sont deux concepts différents. La folie morale à l'
état
isolé doit être rejetéé. C'est, ajoute Sommer,
0 SOCIÉTÉS SAVANTES. multiples : le fait de la nature endogène d'un
état
psychique ne suffit pas pour démontrer qu'il s'
el. Il montre que les tendances criminelles sont déjà contenues à l'
état
embryonnaire (mensonge, cruauté) chez les indiv
leur durée n'ont pas été sans attirer rapidement l'attention sur l'
état
de la nutrition dans les paroxysmes; les recherch
les chlorures, les sulfates sont diminués d'un tiers par rapport l'
état
normal. Le rapport de l'acide phosphorique terr
. 83 alcalin (les deux formant l'acide phosphorique total) qui, à l'
état
normal, est en chiffres ronds comme 1 est à 3 t
iques survenant sous forme d'accès, soit simples, soit prolongés ou
états
de mal. Ces faits consacrent d'une façon irréfrag
rt au cours du paroxysme hystérique simple ou prolongé sous forme d'
état
de mal ; l'attaque de spasme paraît avoir surtout
L'auteur s'occupe ensuite de quelques variétés de l'attaque et de l'
état
de mal hystérique revêtant plus particulièremen
est qu'une attaque hystérique transformée. Dans l'attaque et dans l'
état
de mal du sommeil hystérique, il ne s'agit en r
ère, p. 58-78. (B.) 84 bibliographie. buliques de l'hystérie, aux
états
seconds de l'amnésie rétro- antérograde et à l'
e somnambulisme dit naturel dans le cadre de l'hystérie. Tous les
états
décrits dans ce chapitre ne sont en somme que les
it être assimilée à un paroxysme ordinaire, à sa forme prolongée ou
état
du mal. Le second volume de la seconde partie d
porté à la Morgue aux fins d'autopsie. Quant à Julia Martin, son
état
mental va être soumis à l'examen de médecins alié
ecin de l'asile d'aliénés de la Roclie-sur-Yon, L'appréciation de l'
état
mental des femmes qui commettent un crime au mo
ence normale et présentant tout au plus quelques signes vagues d'un
état
mental peu caractérisé. En pareille occurrence
nd du Saulle', l, qu'en pareil cas, on est en droit de soupçonner l'
état
mental. En admettant avec l'auteur que nous ven
ntal. En admettant avec l'auteur que nous venons de citer que cet
état
d'excitation nerveuse quasi délirante qui s'empar
oger. C'est alors qu'il nous commit pour procéder à l'examen de son
état
mental et dire si elle devait être considérés c
vrent sous le traversin du lit de Marie C... un enfant mâle dans un
état
de décomposition avancé. L'autopsie du foetus
s de son avant-dernière instruction, elle est revenue dans un grand
état
de surexcitation et toute boule- versée... Dans
ime, les accès reviennent plus forts et le malade est enlevé par un
état
de mal. Le patient, dit Legrand du Saulle, paie
son administration est par trop prolongée nous avons remarqué que l'
état
saburral de la langue ne peut plus dis- paraitr
eut plus dis- paraitre malgré les purgatifs. Il entretient donc cet
état
quand les individus sont arrivés à saturation e
nisons. Nous n'avons jamais vu sa suppression amener à ce moment un
état
de mal et la mort du malade. Cet état de torpeu
ression amener à ce moment un état de mal et la mort du malade. Cet
état
de torpeur accompagné de vertiges incessants a
xcitation ne sont pas dues plutôt à cet empoisonnement que décèle l'
état
gastrique concomitant signalé plus haut. L'indi
e de cette saturation chronique, présentait indé- pendamment de cet
état
gastrique des vertiges et de la folie furieuse
duisaient et l'excitation disparaissait ainsi que les vertiges et l'
état
gastrique. Nous avons pu constater quatre ou cinq
e médicament et de purger le malade; on le voit alors revenir à son
état
habituel. La guérison n'est donc pas complète s
le profonde. On peut reprocher à ce médicament aussi d'entretenir l'
état
gastrique. M. Féré pour obvier cet inconvénient
nt qu'il doit ici être administré de bonne heure, dès le début de l'
état
gastrique. Quand une série d'accès est com- men
Nous les avons essayés dans plusieurs cas et spécialement dans des
états
de mal ou dans des périodes d'excitation ou de tr
, une fois chez la première, deux fois chez la seconde, à arrêter l'
état
de mal. Tous ces moyens d'action sur le tube di
. C'est DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 129 surtout lorsque l'
état
saburral de la langue est très accentué avant l
ccès, ou bien lorsque les accidents sont déjà com- mencés et dans l'
état
de mal que cette médication nous paraît devoir
dans les cas qui nous intéressent. En même temps qu'elle agit sur l'
état
géné- ral, elle est un bon moyen de sédation qu
nistrées à plein jet sur la tête '. Chez les malades qui sont en
état
de mal épileptique avec élévation croissante de
La malade Lep... que nous avons soumise à ce traitement dans deux
états
de mal et une période d'excitation, a pu échapper
deux états de mal et une période d'excitation, a pu échapper à ces
états
graves qui entraînent si fréquemment la mort. Nou
Chez plusieurs malades nous les avons employées avec succès dans l'
état
de mal, dans les accès sériels et lorsque les s
épileptique commence à présenter les symp- tômes prémonitoires avec
état
saburral des voies digestives, nous le faisons
artificiel à doses progressivement croissantes chaque jour, et si l'
état
saburral persiste très accentué, laver l'estoma
ès accentué, laver l'estomac plusieurs jours de suite. Enfin dans l'
état
de mal et dans l'agitation, nous joignons à tou
ires font leur apparition. On les continue tout le temps que dure l'
état
gastrique. Les douches seules peuvent être cont
Le 3 août 1893 elle entre dans une série d'accès, dans un véritable
état
de mal avec une température élevée, 40°. Hébétu
n véritable état de mal avec une température élevée, 40°. Hébétude,
état
saburral des voies digestives très prononcé; on
ie réflexe ne s'accompagne pas de troubles gastro-intestinaux, ni d'
état
saburral. Elle est moins grave; 4° L'épilepsi
sa terminaison ; 7° Dans l'épilepsie par intoxication, lorsqu'un
état
de mal s'accompagne d'hémiplégie corticale, on
myéline et de toutes les fibres périphériques est très voisin de l'
état
parfait des fibres de l'adulte, mais il ne l'a
e, la formation myélinique s'est notablement accrue par rapport à l'
état
postembryonnaire du premier âge. Aussi voit-on le
l, on ne saurait nier qu'il n'y ait un accord remarquable entre les
états
anatomiques des cerveaux de personnes très inte
nt les uns sur les autres, doivent cependant être maintenus dans un
état
d'extension réciproque. On a fait plusieurs thé
réquente que la manie; 2° les fluctua- tions qui surviennent dans l'
état
des affaires, les grèves, etc., l'ap- pdrition
tielles du traitement consistent à ramener l'organisme physique à l'
état
normal, et à substituer aux conceptions morbide
use déterminante, la précocité du traitement, la forme du délire, l'
état
physique de la malade. Dans les cas héréditaires,
aisons pos- sibles sont la guérison, l'amélioration, le passage à l'
état
chronique et la mort; les chiffres recueillis à
ur 120 cas, on compte 49 guérisons (40,8 p. 100), 41 pas- sages à l'
état
chronique (34,1 p. 100), 14 améliorations (11,6 p
aitement varie naturellement suivant la forme de folie et suivant l'
état
de santé de la malade; mais il a pour base et pou
'affaiblissement mental à début insidieux et à progrès réguliers. L'
état
émotif des périodes de début était généralement
éguliers. L'état émotif des périodes de début était généralement un
état
de douce satisfaclion, modérément accusé. Les t
somatiques de la paralysie générale faisaient absolument défaut. L'
état
du malade s'aggrava subitement, la prostration
autres et qui a abouti à une méningite aiguë et à la mort était un
état
analogue au status epilepticus qui se termine si
d lieu il fera de la bonne thérapeutique en mettant l'enfant hors d'
état
de se livrer à ses excès, soit en frappant sa j
itique où l'individu commence à prendre les caractères sexuels de l'
état
adulte. Une des caracté- ristiques de l'hébéphr
Je regrette beaucoup d'entendre un rapport aussi décourageant de l'
état
de santé de notre bambin, et quand son excellen
, pro- duisaient une fatigue excessive. Les choses étaient dans cet
état
lorsque, le 26 janvier au matin, elle éprouva d
la malade entre à la Salpêtrière. Le 20 février, elle était dans l'
état
suivant : La paralysie est absolue. Le réflexe ro
. Il est facilement reconnaissable, même quand il n'apparaît qu'à l'
état
d'ébauche. Mais d'autres états délirants qui do
le, même quand il n'apparaît qu'à l'état d'ébauche. Mais d'autres
états
délirants qui doivent présenter dans leur mode de
ge du sujet et sont facilement reconnaissables cliniquement quand l'
état
intellectuel leur ' Magnan. -- Leçons cliniques
délire doivent faire éliminer du premier coup la démence sénile. L'
état
de la mémoire en particulier est caractéristiqu
e reste très frappée de cette perte, très triste, mais sans que son
état
de tris- tesse ait paru morbide aux personnes d
ffaiblissement intellectuel qui a assez rapidement fait suite à cet
état
dépressif a préparé le terrain pour l'éclosion
re largement entrer en ligne de compte la notion de l'hé- rédité, l'
état
des facultés intellectuelles, au début de l'affec
oute .problématique et l'affection chez l'un et l'autre a passé à l'
état
chronique. - SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES
t constater qu'en aliénation mentale l'organisation n'existe qu'à l'
état
d'é- bauche. Ce n'est pas un réquisitoire que
271 et natu- rellement il est amené à rechercher le remède à un tel
état
de choses. Pour ma part, je n'hésite pas à di
ar une bronchite aiguë ou par une bronchite chronique repassant à l'
état
aigu. Cette bronchite des grosses bronches n'a ce
eu que du délire de persécution. Ce délire alterne et se mêle à un
état
de pleine conscience, il diminue ou disparaît l
urs de la maladie. Les malades ont conscience de la gravité de leur
état
, annoncent leur fin prochaine et la désirent po
l'accès maniaque de certains intermittents. Ce qui caractérise cet
état
mental, c'est la surexcitation générale de tout
ruinent en spécu- lations ridicules. Telle est la physionomie de l'
état
mental du malade dont M. Cullerre rapporte l'ob
un élément capital et établit une distinction tranchée entre cet
état
et la folie chronique systématisée ambitieuse dés
partielle du corps thyroïde et il paraissait exister entre ces deux
états
d'une part (ralentissement du pouls, torpeur phys
SAVANTES. 227 deux côtés, soit d'un seul côté du corps thyroïde, un
état
d'irrita- tion vaso-motrice etvaso-sécrétoirequ
s'il n'y avait pas là l'indication d'un traitement particulier. A l'
état
normal, et c'est là l'hypothèse la plus vraisem
la lymphe ses transformations normales, créait dans l'organisme un
état
d'intoxication dont la fièvre était un signe ré
couche de cellules plates endothéliformes qu'on ne retrouve pas à l'
état
sain. De plus, le stroma interacineux n'est plu
est représenté par une substance que j'appellerai thyromucoïne. A l'
état
adulte, le corps thyroïde sécrète par contre un
glandulaire réalisée par chaque grain thyroïdien ; elle répond à l'
état
de maturité de la sécrétion thy- roïdienne. Ell
oïdien agit en retour sur la glande thyroïde qui tend à revenir à l'
état
foetal, ainsi que l'ont démontré MM. Ballet et
définitive ce que nous pouvons, je crois, affirmer seulement dans l'
état
actuel de nos connaissances, c'est qu'il existe u
us rapportons peuvent servir à étayer cette théorie. Bien que, en l'
état
actuel des choses, elle nous paraisse la moins
ette théorie justifie les tentatives thérapeutiques suivantes : à l'
état
normal, et c'est l'hypothèse la plus vraisemblabl
Le tour du cou est resté le même, ainsi que le tremblement. Quant J'
état
mental et à l'agitation, ils n'ont présenté aucun
depuis son enfance, on est porté plutôt à chercher la genèse de cet
état
morbide dans une intoxication initiale qui a fait
éta. La malade a présenté, comme beaucoup d'hystériques, un léger
état
fébrile qui, à certaines époques, a été marqué pa
jours derniers, alors que les autres symptômes s'amendent et que l'
état
général s'améliore. L'émotion parait exercer une
gativement. Cette dyspnée serait donc purement nerveuse, bien que l'
état
du coeur puisse contribuer à sa production. Nou
bles digestifs profonds, selles et urines bilieuses, etc.; enfin un
état
mental particulier tout à fait anormal. Je prés
résistibles des épileptiques. Bien qu'on la rencontre dans d'autres
états
morbide=, dans d'autres formes impulsives, nota
onfondre avec les impulsions qui peuvent se présenter dans d'autres
états
morbides. La connaissance des accidents convuls
e à rechercher maintenant ce qui, par rapport aux impulsions ou à l'
état
impulsif, permet de déterminer l'irresponsa- bi
me et, par conséquent, ne point le rendre irresponsable. Il y a des
états
d'impulsion franche, irrésistible, où la volonté
s hallucinations, puis reste pendant un temps plus ou moins long en
état
de délire; dans ce dernier cas, le souvenir fai
up trop court. M. Jules Voisin a dans son service une malade dont l'
état
mental reste quinze jours incompatible avec tou
incontestés ont accompli desactes criminels sans rapport avec leur
état
maladif; l'un d'eux a même simulé une crise peu
Les centres moteurs le sont aussi, puisqu'un homme qui souvent, à l'
état
normal, se fatiguait très vite, parcourt une ro
on trouve l'observation d'un hystérique, bien connu (D...), qui à l'
état
de somnambulisme a fait des fugues multipliées,
Proust, Raymond, etc. Dans ces derniers cas, les malades sont en
état
second, ne se souviennent de rien après la fugue;
malades se fixent un but, peuvent résister, mais s'ils passent à l'
état
second, immédiatement ils partent. c) Impulsi
connus. Les cas publiés jusqu'ici prêtent le flanc à la critique. L'
état
de conscience du malade en état de fugue n'a ja
i prêtent le flanc à la critique. L'état de conscience du malade en
état
de fugue n'a jamais été observé. Il est très di
leur fugue. Cela cadre-t-il avec l'idée que nous nous faisons de l'
état
mental des épileptiques ? Peut-être porte-t-on
put être hypnotisé dans un but criminel, et resta six mois dans un
état
second. M. Régis. - Il faut poser la question e
et disparaissent avec les alcools supérieurs pour faire place à un
état
comateux subit; il insiste sur les phé- nomènes
point de vue clinique. on observe une variabilité des symptômes, un
état
parti- culier d obnubilation intellectuelle pas
e la folie présénile, ne peut- on la considérer comme relevant d'un
état
d'infériorité intellec- tuelle ? M. ALZHEIMEA
rtrophie des éléments de la névroglie; ces derniers présentaient un
état
de division du noyau. Les vaisseaux étaient peu
ébut a été subit, signalé par un ictus apoplectique. A la période d'
état
on constate une augmentation de la faiblesse de
de raisonner dont ils font preuve. Dans quelques cas on constate un
état
de démence apathique, une amnésie notable coïncid
peut observer dans cette forme clinique des idées délirantes et des
états
hallucinatoires. La mobilité des symptômes au d
er que, si l'on peut constater chez les malades qu'il a étudiés des
états
d'agitation, des accès hallucina- toires, il s'
raîtra pas possible. Le pa- ragraphe 150 spécifie que les sujets en
état
d'inconscience ou dont le libre arbitre aura ét
aves modifications de l'humeur que l'on peut par- fois constater un
état
accusé de confusion, d'ailleurs passager. Le re
ts jusque-là normaux. Parmi les facteurs éliologiques, on note : un
état
physique défectueux (anémie, embarras gastrique
ne se termine'jamais par un délire systématisé, mais parfois par un
état
de faiblesse psychique secondaire. P. Sérieux.
c'est un procès-verbal ou du moins un compte rendu fort exact de l'
état
du jeune enfant au moment où M. Séguin s'est char
arfaitement senti à quel point il importait d'abord d'amé- liorer l'
état
physique des idiots, avant de chercher à développ
mené a l'Hôtel-Dieu de Caen. Bazain était à peine nourri et dans un
état
d'émaciation épouvantable. Les voisins connaiss
t accident, son peu de connaissance de là langue fran- çaise et «on
état
mental rendant l'interrogatoire difficile. Il n'a
mémoire faiblit, la parole s'embarrasse, les mains tremblent et cet
état
affecte beaucoup le malade, qui se sent incapab
st considérée comme possible. Évolution ultérieure de la maladie. L'
état
du malade reste à peu près stationnaire pendant
e. Apporté le lendemain dans la salle J. Boulay, Wek... est dans un
état
comateux, les sphincters sont paralysés; la tem
rales sont saines. De nombreux points de l'écorce sont examinés à l'
état
frais; il n'existe de corps granuleux nulle par
proliféré. Tout l'intérêt que présente cette moelle se rapporte à l'
état
des vaisseaux et surtout des méninges. La pie-m
compatible avec une circulation régu- lière. En un mot il y a là un
état
tout spécial, qui n'est certaine- ment pas arti
Les petites artères présentent une endartérite énorme, en plus de l'
état
spécial des tuniques externes décrit plus haut.
ser la paralysie générale. Cette lacune s'explique sans doute par l'
état
mental du sujet et la difficulté qu'il éprouvai
hares au sacrum, s'affaiblit et s'émacie; dans le courant de 1892 l'
état
général s'amende un peu, les eschares sacrées se
es eschares sacrées se cicatrisent, mais bientôt il retombe dans un
état
de marasme profond. Les pieds sont tombants, le
es douloureuses particulière- ment dans le territoire du cubital. L'
état
mental est affaibli, la crédulité est extrême,
i des ulcérations des orteils. Autopsie. - Le cadavre est dans un
état
d'émaciation extrême; les muscles sont grêles,
erne, sunt manifes- tement plus nombreux et plus volumineux ,qu'à l'
état
normal. Entre ces faisceaux on aperçoit une inf
du gyrus rpctns, où elles sont certainement moins nombreuses qu'à l'
état
normal. La né- vroglie ne parait pas épaissie.
épaisseur des muscle', sont complètement atrophiées et réduites à l'
état
d'une gaine remplie de noyaux. Quelques fibres
urs mois déjà. Il n'y a pas d'atrophie musculaire. Les pupilles, en
état
de myosis, sont égales et présentent le signe d
signe d'lrgyll-Rohertson ; il n'y a pas eu de paralysie oculaire. L'
état
mental et le caractère ne paraissent pas altéré
le malade au lit. Au mois de janvier 1893, W... est arrivé dans un
état
de cachexie profonde; il contracte, le 18 janvier
Romberg. Quelques signes de satisfaction attirent l'attention sur l'
état
mental; on constate des lacunes dans sa mémoire
ement des mains. Tous ces signes vont en s'accentuant rapidement; l'
état
mental tourne à l'hypocondrie avec délire triste
rsure de la langue, sueurs profuses, suffocation, parésie du coeur,
état
de mal). Ces accès ne présentent aucun des cara
edevient normale : les autres symptômes s'amendent. Au dixième jour
état
semi-comateux, suivi le lendemain de signes de
s mouvements coordonnés; les globes oculaires, tournés à droite à l'
état
de repos, sont entraînés à gauche par des secouss
sses rappelant le nystagmus. Le douzième jour, au coma succède un
état
de somnolence, de la tachycardie (80-100) ; des p
ail après chaque accès de névrite. Actuellement l'affection est à l'
état
chronique : les symptômes moteurs prédominent; pl
) Il s'agit d'un homme de vingt-trois ans, apporté à l'hôpital en
état
de coma, et dont on ne sait rien si ce n'est que
raumatisme portant sur une articulation dont les nerfs sont déjà en
état
de dégénérescence. L'observation de faits récen
utres symptômes qui ont été signalés plus haut. Malheureusement cet
état
satisfaisant n'a duré que six semaines, au bout
alternantes d'excitation et d'abattement. On constate chez lui deux
états
, l'un dans lequel il parle gallois et se souvie
à ce qu'il a fait dans ce pays. Ecriture en miroir. Dans le premier
état
il est gaucher, dans le second il est droitier. V
re et de la sensibilité générale et des sens spéciaux dans les deux
états
. P. S. XXXVI. SUR LES TROUBLES DE la sensation
e, faisceau pyramidal, cornes anté- rieures et fibres motrices avec
état
spasmodique et en même temps atrophie progressi
teux continuent à suivre le traitement; d'autres ma- lades, pour un
état
polysarcique,ont été mis au même traitement, et
t que dans l'hystérie est plus tenace, l'amal- grissement rapide. L'
état
mental consiste en apathie aboulique et dégoût
puberté serait une cause très importante pour la production de ces
états
, en faisant intervenir des idées mystiques géni
est atteinte de mélancolie avec obnubilation intel- lectuelle. Son
état
général est mauvais. Elle est soumise au traite-
colie anxieuse avec tendance à la stupeur et pseudo-catalepsie. Son
état
s'est maintenu sans modification aucune depuis
on. Elle prétend qu'elle n'a pas de bouche, pas d'estomac, etc. Son
état
s'est aggravé depuis quelque temps, il marche v
d'hypocondrie, causée par l'ennui d'être atteinte de syphilis. Cet
état
ne l'empêchait pas d'exercer sa profession de c
vies de rémissions incomplètes de courte durée. A partir de 1890, l'
état
mental s'est transformé, et actuelle- ment la m
tent les unes les autres et for- ment une sorte de gradation dans l'
état
mélancolique qui aboutit à la démence. Il se di
voir dans les asiles des aliénés transférés de la prison, et dont l'
état
mental avait été méconnu au moment de leur con-
flagrants délits. Ces condamnations ne seraient pas prononcées si l'
état
mental de l'aliéné était reconnu à temps et le ma
ient prises pour annuler toutes les condam- nations dues à ce que l'
état
du malade a été méconnu. Ce serait peut-être ac
t le voeu que la flétrissure imméritée subie par les aliénés dont l'
état
menlal a été méconnu au moment de la 328 SOCIÉT
. Gi- raud. De la paralysie vaso-motrice dans ses rapports avec l'
état
affectif des paralytiques généraux, par MM. KLI
du tracé persiste et ne se transforme pas en ligne droite comme à l'
état
phy- siologique. Ainsi donc, contrairement à ce
un fait important qui est la caractéristique psycho- physique de l'
état
mental affectif du paralytique général : la dou-
uatorze ans, époque du début de son affection, jusqu'à présent, son
état
n'a fait que s'affirmer et s'accentuer. Actuell
tion, par douche et bain statique combinés traitement de choix de l'
état
général il faut ajouter pour les symptômes loca
neurasthénie cède ainsi lentement, par transitions insensibles de l'
état
morbide à l'état sain. La galvanisation est rés
ainsi lentement, par transitions insensibles de l'état morbide à l'
état
sain. La galvanisation est réservée aux sympôme
ues variés, aluminium, nickel, argent. M. A. Marie. Remarques sur l'
état
mental de quelques séniles. A propos de trois c
ancolie ab miseria). Il s'attache à montrer l'extrême diversité des
états
mentaux catégorisés démence sénile : il étudie
ssive accumulation qui est l'avarice, peut arriver à constituer des
états
morbides à la fois embarrassants pour la justic
tion de la justice, la persistance et surtout l'aggravation de leur
état
morbide. 6) Ceux que l'appareil judi- ciaire et
usieurs mois sont nécessaires au médecin expert appelé à juger de l'
état
mental d'un individu. Il est aussi absolument u
accoutumé d'occuper jusqu'alors; toutefois elle existait encore à l'
état
indé- pendant. Si modeste qu'elle fût, cette
n à l'étude du tatouage. D'ANDRADE NEVES. Essai sur l'influence des
états
utérins sur le déve- loppement de la folie. - M
r l'alcool. Heroguelle. Contribution à l'étude du traitement de l'
état
de mal épileptique. BÉZIAT. De la sciatique hysté
maladie de Breard avec les mala- dies infectieuses. LE Maître. Des
états
cataleptiques dans les maladies mentales- Moric
soumis à son examen, « étaient atteints d'une manie provenant de l'
état
des instruments physiques ». Dans ces cas excep
met cependant encore, en 1602, l'influence des démons dans certains
états
de délire. Sennert (1572-1637), dont la Pî,acti
s : sauf quelques exceptions, on se contentait de les mettre hors d'
état
de nuire, de les enfermer. La troisième période
a On devra, dit-il, accorder aux malades autant de liberté que leur
état
le permet..., on les , 4 ' Griesinger. Traité
à l'influence favorable du travail, rester plusieurs années dans un
état
de santé passable, alors que sans cette mesure,
uës, et pour l'isolement et la surveil- lance de ceux auxquels leur
état
mental ne permettait pas de bénéficier de la vi
n d'en être,ainsi. C'est là, certes, un aveu pénible, mais celer un
état
d'infériorité n'est point le faire disparaître,
point de sédatifs du système nerveux; 5° Le meilleur remède dans l'
état
de mal épileptique est la sai- gnée. Comme médi
et un ans, sans antécédents héréditaires ou personnels chez qui un
état
myxoedémateux s'était peu à peu développé : lor
u côté de la peau, du tissu cellulaire, de la température, que de l'
état
général et dans la sphère intellectuelle. Au cour
prend un aspect grenu, ses prolon- gements tombent et la voilà à l'
état
de cellule nue. Puis c'est le noyau qui se liqu
et que le tonus vasculaire se maintient : tel est le cas pendant l'
état
de veille ou d'activité intellectuelle; au cont
ité quel- conque du corps est en rapport direct avec le nombre et l'
état
plus ou moins sain des cellules ganglionnaires
ocalisée; par le Dr PROUT. Chez un épileptique de onze ans, mort en
état
de mal, l'auteur trouva une atrophie marquée de
faits précis qui doivent être examinés un à un. P. S. XLIX. SUR l'
état
DES réflexes dans la section TRANSVERSE totale DE
nose pupillaire; par le D1' Muni. L'auteur estime avec raison que l'
état
de la pupille peut, dans certains cas, donner d
civilisation. On ne peut signa- ler toutes les différences entre l'
état
actuel de la civilisation et celui du passé. Il
uel de la civilisation et celui du passé. Il faut tenir compte de l'
état
d'infériorité au point de vue neurologique d'un
ence du Professeur KR.EPFLIN. M. NISSL (rrancfort-sur-le-llfein). L'
état
actuel de l'anatomie et de la pathologie des ce
ns la coloration des cellules nerveuses tiennent probablement à des
états
fonctionnels différents de ces cellules (repos,
sentants du type brun de l'Alle- magne du Sud, sont plus sujets aux
états
maniaques. L'auteur donne sur ce sujet une stat
20 ou 25 cas p. 100, et agissent en déterminant habituellement un
état
d'excitation motrice ou psychique, accompagné de
uestion des pénalités applicables aux délits et crimes accomplis en
état
d'ivresse. M. L ! EB6fANN. Une famille de quéru
ÉTÉS SAVANTES. le traduit dans ses écrits d'une façon qui révèle un
état
de débilité mentale. - Enfin deux autres enfa
ique (la fille). Apparition d'idées de grandeur. Terminaison par un
état
d'affaiblissement intellectuel. Discussion :
faire écarter l'hypo- thèse d'un acte commis sous l'influence d'un
état
comitial. M. STEINER a vu le sujet deux fois en
-on voir dans la simulation bizarre inventée par W....l'indice d'un
état
de débilité mentale. M. PELSIA1V.- Sans doute
lors que W... était au service militaire. M. FLUGGE. Sur certains
états
spéciaux d'affaiblissement intellec- tuel (KR.E
parfois dans l'exécution de leurs travaux. D'après Kroepelin, cet
état
psychopathique se développerait parfois dès la je
ression accompagnée d'idées de persécution et suivie plus tard d'un
état
d'excitation avec idées de grandeur. Les concep
intellectuel avec une incohérence très accusée dans le langage. Cet
état
dure pendant des dizaines d'années sans modific
nations et à une foule de sensations pénibles, qui entretiennent un
état
d'excitation. En 1876, les troubles sen- soriel
ion d'idées dont on puisse retrouver le fil. L'auteur admet que ces
états
d'affaiblissement psychique dans lesquels il y
générescence psychique. Il n'est pas encore possible de dire si ces
états
sont toujours secondaires à la paranoïa. Paul S
édico-psychologique mettait au concours la question suivante : De l'
état
mental et du délire chez les imbéciles et les i
tle cas le plus fréquent, elle n'apporte aucune modification dans l'
état
physique ou mental du malade. La durée de cette
oxiques. Cette hypotoxicilé coïncidant avec une amé- lioration de l'
état
mental, l'auteur pense à une corrélation. Il s'
le lit, mais encore durant leur convalescence et aussi ceux dont l'
état
de faiblesse sans exiger un repos absolu nécess
s deux dis- 442 asiles d'aliénés. - positions sont imposées par l'
état
maladif des gens qui y sont conduits, le plus s
as quand, trop faible encore pour descendre, il sera néanmoins en
état
de se lever, un fauteuil confortable et une cuvet
des tranquilles. Les malades qui l'habitent, en effet, sont dans un
état
intermédiaire qui ne comporte rien de spé- cial
t iiiédico-pédaqogiqtie, on note une amélio- ration croissante de l'
état
général de la malade : les spasmes musculaires
e malade à une piqûre et s'accom- pagnent de défaillances. - En cet
état
, il entre au bout de quatre ou cinq jours à l'i
s fréquents (de cinquante-cinq à soixante environ). Le 12 mars, l'
état
général parait s'améliorer; l'appétit renaît; l
à la parésie des membres inférieurs, peu de modifications. Le 15,
état
général satisfaisant; mais le malade essaie vaine
al satisfaisant; mais le malade essaie vaine- ment de marcher. Même
état
des réflexes tendineux. Les mains restent viola
rasser. - De l'infirmerie Tr... passe le 16 juin à l'hôpital où cet
état
, ébauche de sa précédente atteinte du mois de f
me clinique bien définie. Il est essentiellement caractérisé par un
état
menlal particulier, où domine l'amnésie, accomp
les événements les plus récents ; il peut se présenter presque à l'
état
isolé. Dans d'autres cas, en même temps que l'a
aire, généralement favorable dans les formes chroniques alors que l'
état
général du patient est relativement satisfaisan
conscience sont suivis de symptômes de dépression et d'un véritable
état
typhique grave. Il n'est vraiment reconnaissabl
atoire, soit dans celle de stupeur. J. Séglas. L. La SUGGESTION A l'
état
DE veille dans QUELQUES affections oculaires; p
même rechute, parfois en s'en rendant compte, d'autres fois dans un
état
d'abolition complète de la conscience, mais tou
vient un nouvel accès, alors la personnalité change. Dans le nouvel
état
morbide, le malade oublie la vie normale et les
était des faibles d'esprit sans trace aucune d'hystérie ou d'autres
états
voisins. Le traitement de la démonopathie, lors
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. atrophie complète du sens moral : cet
état
de perle complète du sens moral n'est pas sans
lan- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. j5 5 colique ; dans un autre un
état
d'excitation maniaque : dans ces deux cas, la b
s l'affaiblissement intellectuel s'accompagne de la conscience de l'
état
maladif. On voit les sujets atteints de névrose
ntraire, dans la paralysie générale, la perte de la conscience de l'
état
maladif est caractéristique, dès la période de
euse ayant duré un mois se trouvait depuis quel- ques jours dans un
état
de profonde confusion. Elle ne s'orientait plus
ger degré de paralysie du facial droit. Au point de vue psychique :
état
de confusion; la station et la marche sont poss
n outre il a manifesté à diverses reprises du refus d'aliments; des
états
cataleptiformes furent constatés; plus tard il pr
bre de cellules normales, d'autres éléments présentant diffé- rents
états
de dégénération. Dans les premiers stade5, les al
es corpuscules bleu foncé caractéristiques qui se ren- contrent à l'
état
normal, on voyait les parties entourant le noyau
'anxiété qui tourmente le SOCIÉTÉS SAVANTES. 483 patient, que cet
état
d'anxiété ne survienne que par accès ou qu'il s
s diieclenient la folie, il en prépare et facilite l'éclosion par l'
état
d'excitation dans lequel il entretient l'écorce
,), - Il s'agit d'un homme âgé de cinquante-deux ans, buveur, qu'un
état
de « faiblesse » générale rendait depuis deux a
remblement et de délire. Tout en se présentant avec les dehors d'un
état
d'euphorie, il se plaint de céphalée, de vertig
ent provoquées par l'alcool. M. 1\oNIG. - Quelques réflexions sur l'
état
actuel de l'assistance des aliénés en Angleterr
auteur aurait pu ranger dans les causes dues aux modifications de l'
état
civil. Les causes biologiques : longévité, na
sse et la ménopause mettent aussi indiscutablement la femme dans un
état
psychique anormal. Les causas morales ont été c
qu'aucune mesure ne soit prise pour mettre ce fou dangereux hors d'
état
de nuire. (Le Petit Parisien, 19 septembre.) Da
oe- deker, 491. Onc. Sur une sensation subjective de l ? dans l'
état
hypnogogique par Daraskewicz, 45. Pachyméning
inswanger, 258. Paralysie vaso-motrlce dans ' ses rapports avec l'
état
affectif de la -, par Klippel et Dumas, 328.
r. modes de chez l'homme sain, par P. Bicher, 146. SUGGESTION à l'
état
de veille dans quelques affections oculaires, p
nt pour un rien, par la peur même de rougir, très malheureux de cet
état
; si malheureux qu'ils appréhendent tout contact
pathologique. Nous les citons uniquement comme point de départ des
états
plus caratérisés qui vont suivre. Deuxième degr
fois seulement, de la confusion. Il se tourmente par moments de son
état
, mais peu, et cela ne l'empêche aucunement aprè
que ces variations de nuances aient une influence quelconque sur l'
état
de l'esprit, et à cet égard on peut dire que l'
delà de quelques instants. - Dès le début, les sujets sont dans un
état
de trouble et d'an- goisse inexprimables. Plusi
haut quelles sont les influences qui les favorisent. En dehors de l'
état
mental de la crise ou du paroxysme, que nous ve
e ou dans un couvent au lieu de faire des enfants ». Tel est leur
état
mental dans l'interparoxysme. Telles sont les p
se, en particulier de la médication psychique, de la suggestion à l'
état
de veille, l'hypnose étant restée impossible. C
e ne passe pas à l'ombre. Les temps gris, doux, me mettent dans des
états
impossibles. (Il est vrai qu'il y a autre chose
u 1,580 grammes, quantité normale, à 500, 600 ou 700 grammes. Cet
état
dure un temps variable, un, deux, trois, cinq, di
sur d'autres points ont été unanimes à me dire : * Cela tient à un
état
nerveux prononcé. » Une particularité : si j'en
st arrivé de rougir étant seul. Je le répète, je ne suis arrivé à l'
état
dans lequel je suis que peu ci peu. Ma propre f
au point de vue moral et psychique. a) Influence sur le moral. Cet
état
peu commun a eu puur effet de déterminer chez m
sychologie, relativement à la théorie de l'émotion. D'une part, les
états
affectifs, généralement regardés jusqu'ici comm
énéralement regardés jusqu'ici comme secondaires et subordonnés aux
états
intellectuels, tendent à être considérés comme
à rattachées à une névrose du système nerveux ganglionnaire 1. L'
état
actuel de nos connaissances ne permet pas de se
qui est évident déjà, c'est que le rôle de l'émotion dans certains
états
psychopatiques. comme l'obsession, est plus con
, plus considérable môme que celui de l'idée fixe, et que, dans ces
états
, les phénomènes vaso-moteurs ne font jamais déf
bsédés, soit durant la crise paroxys- tique de rougeur, soit dans l'
état
interparoxystique. Nous pouvons néanmoins tirer
Dumas. Des paralysies uaso-mnlrices dans leurs l'U]J- ports avec l'
état
affectif des paralytiques généraux (Comptes rendu
tc. Il ne s'agit donc pas d'une idée simple, ordi- naire, mais d'un
état
psychique complexe, dans lequel l'idée et l'émo
duction de l'émotion pre- mière. Il en est ainsi également dans l'
état
interparoxystique, où l'idée de la rougeur, bie
de l'idée fixe. Il peut même arriver ce fait curieux que lorsque l'
état
atmosphérique n'est pas favorable àlarougeur, l
xes vaso- 26 . CLINIQUE MENTALE. moteurs dans la série des divers
états
psychiques qui caracté- risent l'éreuthophobie.
-482, DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 33 Ailleurs, la sainte décrit un
état
qui est à rapprocher de l'automatisme graphique
arde pas à les franchir et à entrer en possession de ce bienheureux
état
dont parle le philosophe inconnu dans son Nouve
» ; leur âme tombait alors dans une sorte d'extase qu'il appelle l'
état
de mort. « L'âme, se trouvant entièrement absor
ns, et d'autrefois seulement en partie. » , Le dernier terme de l'
état
pathologique, qui dans une partie des cas se tr
e donc dans une inhibition complète, qui est l'extase. « Dans cet
état
de ravissement, mon corps devient si léger qu'i
les maladies mentales en cinq groupes : étals de dépression mentale
états
d'excitation mentale folies inter- mittentes ét
pression mentale états d'excitation mentale folies inter- mittentes
états
d'affaiblissement intellectuel maladies céré- b
ncipaux caractères diagnostiques qui carac- térisent ces différents
états
et leurs subdivisions. (The alienist and neurol
réfute les idées enonées qui considèrent comme des critériums de l'
état
sain de l'esprit le but dans l'ac- complissemen
érent. Les symptômes de névrite périphérique furent très nets, et l'
état
parétique très marqué. Les symptômes physiques
a fin de la, période dépressive, à remonter au chiffre des phases d'
état
nor- mal : 1,73 - 1,79. On remarque même que le
duquel l'acide phosphorique esi éliminé en quantité moindre qu'à l'
état
normal, qui a pour conséquence la diminution de
s doute, plus le délire du malade est absurde. plus se remarque son
état
morbide ; mais parfois le délire du malade pren
ologistes de Bordeaux, le docteur Pailhas a décrit sous le nom de «
états
monomaniaques liés à une déviation de l'instinc
une déviation de l'instinct de conservation de la propriété », cet
état
mental de certains individus qui, expropriés de l
on l'observe presque uniquement chez une caté- gorie de malades en
état
de dépression mélancolique, chez qui la mélanco
gravité de ce cas en quelque sorte foudroyant peut tenir au mauvais
état
général du malade, à l'irrégularité du traiteme
ngourdissement du bras gauche avec dyses- thésie très marquée, même
état
du côté gauche de.la face. Troubles de même ord
gique. Les cellules des connus intérieurs des épileptiques morts en
état
de mal montrent ce qui suit : la substance fondam
ines, ou plus vivement colorés que d'ordinaire (exagération de leur
état
granuleux) se rappro- chent du bord. Les nucléo
lations y ont conservé la forme et la disposition habituelles. Même
état
chez les paraplé- giques, les lapins dont on a
ent pas ces symptômes. Quand ils apparaissent, pendant la période d'
état
, on peut prévoir avec une grande vraisemblanceq
Halhaum ne correspond pas chez nous à une entité morbide; c'est un
état
dans lequel on observe successi- vement la dépr
s ou les maisons d'aliénés. Pour remédier à cet état de choses, l'
état
de New-York vient d'installer dans la vallée du
nouveau où il a été placé, de toute la liberté compatible avec son
état
mental et vivre le plus possible de sa vie habi
nséquence, il conviendra d'y con- duire tous les aliénés valides en
état
de s'y rendre, les inconvénients signalés du gr
t systématiquement tout permis, du moment que l'aliéné n'est pas en
état
d'être visité au parloir, il en résulte que cer
matiquement le permis à tout aliéné non allié qui, par suite de son
état
mental ou physique, est dans l'impossibilité de
lettre, n'autorise à visiter hors des quartiers que les aliénés en
état
de se rendre au parloir ou dans les jardins de
conséquent dans la Seine, en dehors du bien qu'elles procurent à l'
état
mental de l'aliéné et du plaisir qu'elles lui a
ses, et à supposer des différences dans leurs processus internes. L'
état
interne des cellules nerveuses, c'est l'aptitud
craint de voir s'éta- blir un processus de sclérose latérale ou un
état
d'aliénation men- tale, inquiet de l'apathie et
siens. Il pense avec Jaccoud que l'hystérie se caractérise par un
état
d'alaxie cérébrospinale dans lequel l'innelvalion
e rythme moyen occupait surtout le côté droit du corps; continu à l'
état
de veille, il cessait pendant le sommeil et s'e
, 1896.) Chez de jeunes chiens de quatre à six semaines, en parfait
état
, on détruit la moelle, en la liant sans ouvrir
apportés par le tabes dans la nutrition de la cellule nerveuse. (Un
état
gastrique particulier, se manifestant un peu av
ent un chapitre sur l'influence des opérations gynécologiques sur l'
état
mental des opérés. Simple confirmation de ce fa
ravaux récents des auteurs, est passée en revue l'influence sur ces
états
du tempé- rament individuel, du milieu, de l'ét
nfluence sur ces états du tempé- rament individuel, du milieu, de l'
état
social, du climat, de l'édu- cation, de l'oisiv
ceux que l'on trouve dans les rêves des sujets normaux. Certains
états
, les délires des intoxications entre autres, peuv
analogies avec le sommeil et les délires hypno- tiques, ces divers
états
ne sont cependant pas identiques; car, outre- d
eur souvenir est perdu au réveil, il peut être retrouvé pendant les
états
subconscients (hypnose, somnambu- lisme, etc.).
air de famille » emprunté à l'hystérie. Leur indé- pendance avec l'
état
général du sujet, leur distribution sans rela-
l, est à signaler ici parce qu'elle contient quelques données sur l'
état
men- tal des châtrés, aussi bien des adultes ch
mon, consécutive à la section du pneumogastrique, met l'or- gane en
état
de réceptivité et permet, dans la suite, à l'infe
us loin amènerait à la formation d'énormes fibromes ; le retour à l'
état
embryon- naire constituerait un sarcome. Témoin
es ou non aux visuelles communes pour donner plus de vivacité à cet
état
panophobique qui pousse si facilement les alcoo
s ensembles énormes de représentations évoquées incessamment dans l'
état
normal, et qui remplissent tout le centre d'art
eux sont classiques, tous les ouvrages qui ont été publiés sur cet
état
, si pareil à l'aliénation mentale en général, e
in ces paroles de Chaslin, qui résument une étude qu'il fit sur cet
état
: « L'analyse que nous avons faite plus haut de
ns lésion en foyer, la lésion pouvant ou non être en rapport avec l'
état
pathologique antérieur. Pour nous résumer nous
he et termi- naison brusque. Pendant l'accès, le malade est dans un
état
anxieux avec panophobie, il voit le démon dans
conceptions délirantes sont demeurées frustes malgré le passage à l'
état
périodique et chronique; il n'en est pas toujou
choses des héréditaires des formes de délires pathognomoniques d'un
état
dégénératif (délire chronique de M. Magnan).
ELIGIEUSES. 183 s'agit ici d'une dame qui croyait avoir communié en
état
de péché mortel. Le délire religieux était ince
oir, ces syndromes peuvent s'observer à 184 . CLINIQUE MENTALE. l'
état
permanent et incorporés à un délire mystique chro
sions. ? Cyanose à la naissance. Premières convulsions sous forme d'
état
de mal à 5 ans avec prédominance à droite. Hémipl
ut pris d'une nouvelle crise, qui dura jusqu'à minuit, sous forme d'
état
de mal. Les secousses convulsives, qui étaient tr
sont très fréquents, ainsi que le montre le tableau ci-devant. L'
état
d'idiotie prononcée de Doue... rend impossible la
884. Hydrothérapie du le, avril au 1er septembre. 1er juillet. Même
état
. D... passe son temps à flâner dans la cour de
mange pas. Le pouls est petit. 2. D... a encore eu six accès. Son
état
reste le même. 23. Depuis hier quatre accès. Pr
e malin. 18 accès hier. T. R. 38°. - Soir : T. R. 38°, 3. 6. Même
état
.- K. Br. Bouillon et lait. Dans les trois dernier
ié, étoiles de Ver- rheyen. - Rein droit (130 grammes) lobulé, même
état
. Capsules surrénales normales. Vessie pleine, s
capital les convulsions qui se sont pré- sentées sous la forme d'un
état
de mal. Elles ont duré sept heures sans arrêt e
arrêt et ont porté uniquement sur le côté droit. Souvent, après cet
état
de mal, les malades de cette catégorie ont un r
loppés. Tous les efforts faits pour obtenir une améliora- tion de l'
état
intellectuel ont échoué. Le traitement, d'ail-
ns cérébrales encéphalite - qui s'était traduite cliniquement par l'
état
de mal convulsif, a débuté l'épilepsie. Dans le
'elle était à l'origine, ces malades n'en sont pas moins sujets à l'
état
de mal épileptique. Donc... nous en fournit un
ère céré- bral gauche, fournit l'explication du syndrome clinique :
état
de mal convulsif, hémiplégie et idiotie, épilep
nsible que la moindre impression extérieure déter- mine chez eux un
état
d'excitation. Enfiu M. Clouston constate en ter
urmenage mental. M. Tuke pense que dans ce dernier cas il existe un
état
congestif de la substance corticale, et il en d
troubles men- taux et à des troubles somatiques. Si, au moment où l'
état
cérébral agit d'une manière si fâcheuse sur l'o
rânes sur lesquels on a tenté cette intervention, mais encore sur l'
état
men- tal des petits malades et sur les résultat
esquels les violences et la répétition des tentatives entraînent un
état
de lutte perpétuelle absolument épuisant pour l
30 mai 1896.) L'auteur débute par des considérations étendues sur l'
état
d'hyp- notisme et sur la conception différente
relève de l'anémie, de la chlorose ou de la dyspepsie, ce sont ces
états
pathologiques qu'il faudra soigner, mais la sug
sécrétion du lait; mais il faut aller jusqu'au sommeil profond. Les
états
neurasthéniques génitaux (impuissance psychique,
perversions sexuelles et notamment dans l'homosexualité. Certains
états
neurasthéniques spéciaux tels que Yaslrophobie,
piqûre ' d'apomorphine, et on le maintenait ainsi dans un perpétuel
état
nauséeux, aboutissant fina- lément au vomisseme
ALE. 221 traitement thyroïdien détermine incontestablement un léger
état
fébrile qui, par son action et la réaction qu'i
une sorte, être considérée comme le caractère de distinction de cet
état
de l'esprit comparé aux autres altérations ment
'un type clinique d'un des nombreux intermédiaires qui sépa- rent l'
état
normal de l'idiotie, en passant par la débilité m
dans les cas de démence alcoolique avec symp- tômes paralytiques, d'
états
séniles avec prterio-sclérose et signes paralyt
. Cette empreinte caractéristique se traduit le plus souvent par un
état
d'excitation, d'irrégularité et d'inquiétude qu'i
les et qu'il voulait les tuer. L'attaque est précédé ou suivie d'un
état
de stupeur plus ou moins long et est souvent te
Indes Orientales et parce qu'elles ont une grande influence sur l'
état
mental des indigènes, et 2° l'état émotif, la sus
s ont une grande influence sur l'état mental des indigènes, et 2° l'
état
émotif, la susceptibilité nerveuse des indigène
sion sexuelle est une anomalie congénitale, parfois fonc- tion d'un
état
dégénératif. Cette anomalie, ou prédisposition à
tèmes d'association. La diminution de cette faculté engendrerait un
état
de tristesse et d'anxiété, son augmen- tation u
e. On ne peut pas attribuer une action étiolo- gique spécifique à l'
état
puerpéral, grossesse, état puerpéral pro- preme
une action étiolo- gique spécifique à l'état puerpéral, grossesse,
état
puerpéral pro- prement dit ou allaitement; ce s
ses occasion- nelles. Les maladies mentales se développant durant l'
état
puer- péral n'ont pas de caractères particulier
ions épi- leptoïdes, telles que nous les connaissons, et arrive à l'
état
psy- chique des idiots hydrocéphaliques; on tro
ry HEAD. (Tfec Jourlaal of Mental Science, janvier 1896.) Parmi ces
états
, il en est qui sont pour ainsi dire directs, c'es
, seulement des troubles sensoriels et émotifs. Le premier de ces
états
est une mélancolie survenant avec une extrême r
pour en tenter l'exécution suffisent à dissiper. Le second de ces
états
est l'état d'hallucination : ces hallucina- tio
nter l'exécution suffisent à dissiper. Le second de ces états est l'
état
d'hallucination : ces hallucina- tions portent
rtent sur la vue, l'ouïe et l'odorat, peut-être sur le goût, mais l'
état
de la bouche ne permet guère de s'assurer de leur
penser que l'améliora- 234 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tion de l'
état
mental survient plus souvent à la suite de la sca
n et d'épuisement rapide, sont dues à l'auto-intoxication. - 5° Les
états
paranoïques, ou ceux qui se caractérisent surto
noïques, ou ceux qui se caractérisent surtout par des concepts, les
états
de stupeur chro- nique, et certaines formes de
tique primitive. Il y a cependant lieu de faire exception pour l'
état
mental particulier qui accompagne les paralysies
et rapidement perdue, et qui avait succombé à l'âge de deux ans en
état
de marasme. Quatre ans plus tard, M. Sachs a cons
us les enfants dont il s'agit sont morts vers l'âge de deux ans, en
état
de marasme. Le diagnostic différentiel est à fa
nir). Interné dans un asile, il peut à peine marcher et est dans un
état
de demi- stupeur : pouls rapide et faible. Il s
me d'une cuiller et de la feuille de papier comme d'une assiette. L'
état
cataleptique persiste, et se rapproche par plus
sive, et par instants totale, parallè- lement à l'amélioration de l'
état
mental. R. DE MUSGRAVE-CLAY. SOCIÉTÉS SAVANTES.
es exper- tises d'hommes compétents lorsqu'ils ont des doutes sur l'
état
mental d'un inculpé; d'où leur désir de voir de
Tels sont : a) les hallucinations ; b) les idées délirantes; c) les
états
affectifs pathologiques. Ces derniers sont géné
dépressive, rarement à forme expansive. Le plus important de ces
états
affectifs est l'angoisse . Certains aliénés veule
bles de la conscience. Des incendies sont commis parfois au cours d'
états
d'inconscience, sans motifs apparents, d'une fa
éfaut de jugement (paralytiques et imbéciles), d'autres par suite d'
états
affectifs pathologiques (angoisse), ou d'idées
ons et idées de persécution systématisées. Pas de cons- cience de l'
état
maladif. Mémoire excellente, langage très cohé-
plus suffisantes pour faire disparaître les symptômes pénibles de l'
état
de besoin. Les descendants des buveurs sont des
s qui auront subi de nombreuses condamnations pour délits commis en
état
d'ivresse ; b) les buveurs atteints d'accès con
sés par une dose minime d'alcool, l'ivrognerie habituelle, tous ces
états
psychiques anormaux ont nécessité des mesures d
de protection, éparses jusqu'ici dans les codes civils "des divers
états
allemands, dans le code pénal. On s'occupe actu
des symptômes. Le sujet avait alors une conscience parfaite de son
état
et, bien que sa mémoire fût dimi- nué, il pouva
nt le tableau clinique de la démence secondaire. En novembre 1895 l'
état
général devient mauvais, des vomissements se pr
la conduite criminelle considérée comme l'aboutissement de certains
états
de mentalité, elles sont également applicables à
eet intéressante étude AI. Ireland examine d'après ses biographes l'
état
mental du grand poète ; on a beaucoup discuté s
sont là des manifestations insolites auxquelles on ne saurait, en l'
état
des choses, attribuer une grande importance. »
substances sapides placées dans la bouche provoquent également à l'
état
normal une action réflexe sur la sécrétion sali
e. Cependant il y a parfois dans la joue droite, mais seulement à l'
état
d'ébauche, le même trouble qu'à gauche. Aucune
n toujours, de sensations de chaleur à la face et probablement d'un
état
congestif vaso- moteur et dans ce cas il y a to
ions persistent ou se reproduisent si souvent qu'elles deviennent l'
état
habituel du sujet qui les subit. Il est intér
al pour l'interprétation des faits, de rapprocher de ces troubles l'
état
physique de la langue 268 CLINIQUE NERVEUSE.
troubles l'état physique de la langue 268 CLINIQUE NERVEUSE. et l'
état
des fonctions digestives. Incontestablement celle
le. Le goût peut donc être profondément atteint sans catarrhe, sans
état
saburral de la langue. Il en est quelquefois de
terre, d'amer- tume, etc., des tabétiques, nous avons constaté deux
états
de la langue. Le premier est caractérisé par un
mentée. Ces modalités sont le plus souvent chroniques. Est-ce là un
état
gastrique chronique dans lequel persistent natu
s d'intensité les sensations subjectives du goût ? A notre avis cet
état
de la langue', compatible d'ailleurs avec d'ass
dans le tableau précédent. Ainsi que nous le dirons plus loin, cet
état
de la nutrition de la langue dépend du trijumea
tions dans l'aspect de la muqueuse correspondante, consistant en un
état
catarrhal de la langue, en un trouble trophique
persistent avec leur enveloppe' de myéline, sont plus grêles qu'à l'
état
normal. Le ganglion d'Andersch qui se trouve su
ses correspondantes ; ? ° la sécré- tion de ces muqueuses ; 3° leur
état
trophique. On connaît en effet l'influence dila
rat et du goût. C'est dans ce dernier cas qu'on observe parfois cet
état
particulier de la trophicité de la langue, dési
goût ou d'odeur de putréfaction, ne serait pas sans rappeler les
états
primitifs de tristesse ou d'euphorie donnant nais
blir les principales phases de ce processus de différenciation : a)
état
de diffusion des granules chro- matiques dans l
es chro- mophiles représentent sans doute, comme Nissl le croit, un
état
fonctionnel de la cellule nerveuse, peut-être e
tade d'activité, chaque élément psychique se trouve dans un certain
état
THÉORIE DES NEURONES. 299 vibratoire ou chimi
sur le mécanisme histologique de l'association. du sommeil et de l'
état
de veille. III. Théorie de l'attention. I. En
sation ou perception déterminée ; la perception y est conservée à l'
état
latent, et la « pléiade de pyramides corti- cal
ent avec une cellule sensorielle d'un organe des sens conserve, à l'
état
latent, les diverses images, ou mieux les unités
t tou- jours le même aspect, que les organes fussent plongés dans l'
état
de repos au moment de la mort (animaux sacrifié
rpendre l'existence de variations mor- phologiques corrélatives à l'
état
de repos ou d'activité des cellules nerveuses,
econdaires et tertiaires, elles présentent dans l'intervalle de ces
états
toutes les transitions possibles. Ces formes, qui
maux : ces cellules, contractiles, étendent leurs expansions dans l'
état
de repos, les rétractent dans l'état contraire.
endent leurs expansions dans l'état de repos, les rétractent dans l'
état
contraire. Ces cellules de la névroglie abondent
ara- vant séparées. En vertu de ce mécanisme, le cerveau passe de l'
état
de repos à l'état d'activité. Ces contractions
. En vertu de ce mécanisme, le cerveau passe de l'état de repos à l'
état
d'activité. Ces contractions pseudopodiques de la
lle de * matière isolatrice des courants nerveux. L'hypothèse des «
états
latents » des principaux processus mentaux, si
si par ces mots Cajal entend autre chose que les conditions de ces
états
, paraîtra sans doute hors de saison. Il en faut
abstraction est allé retrouver l' « apperception » de Wundt, avec l'
état
de prétendu « mono- idéisme » de l'attention, d
éthode de Weigert permet d'étudier la névroglie, chez l'adulte, à l'
état
normal et pathologique. Elle colore en bleu uni-
sma de ces cellules, dont elles sont émancipées, chez l'adulte, à l'
état
normal, la substance de ces éléments ne soit pas
laire; 3° parce que ces fibres et leurs cellules se comportent, à l'
état
pathologique, tout à THÉORIE DES NEURONES. 307
omme, suivant Weigert, que pour la période embryonnaire et pour les
états
pathologiques du système nerveux : à l'état nor
bryonnaire et pour les états pathologiques du système nerveux : à l'
état
normal, et quand le développement est achevé, l
muqueuse olfactive, etc., où la névroglie épithéliale demeure à cet
état
embryonnaire, les prolon- gements centraux et p
rga- nique des vertébrés. Ces traces anciennes, attestant encore un
état
antérieur de développement du système nerveux,
ieure est responsable, est aussi absurde que de dire qu'un homme en
état
de crise convulsive est, puisqu'il a toute sa f
cette abstinence n'était possible que si l'ivrogne était mis hors d'
état
de retomber dans ses habitudes alcooliques : qu
à prouver qu'il existe un somnambulisme alcoolique, c'est-à-dire un
état
provoqué par l'alcool, dans lequel le sujet agi
nscience, ou du moins, sans en garderie souvenir. En réalité dans l'
état
somnambulique, la con- duite, la manière d'être
ent que chez des psychopathes héréditaires. Les actes commis dans l'
état
de somnambulisme alcoolique doivent bénéficier
nts : le médecin est appelé pour une crise convulsive téta- nique :
état
d'opisthotonos, bras serrés contre la poitrine, m
ts,étouffements et inquiétantes irrégularités du coeur. Depuis, son
état
sensiblement amélioré. Un point importnntà noter,
mes) de whisky pur : pen- dant plus de deux mois il demeura dans un
état
de stupeur plus ou moins profond : il présenta
, l'épilepsie rele- vait bien réellement et bien exclusivement de l'
état
diabétique, Archives, 2e série, t. III. 21 j"
origine aucune allure particulière. Il en est autrement de certains
états
mentaux, qui ne vont pas jusqu'à la folie, qui
es phénomènes d'agitation nerveuse qui viennent d'être décrits et l'
état
d'apathie mentale des myxoedémateux : une autre
VANTES..)2 1 ressés), des troubles de la parole qui est scandée, un
état
d'imbé- cillité, des accès de rire impulsif. L'
fmann comme un complexus symptomatique spécial ; combinai- son d'un
état
de débilité mentale avec une atrophie musculaire
ystrophie progressive. A ces altérations s'associe assez souvent un
état
d'imbécillité. 3° M. Bruns 'présente un hémisph
de l'albumine et des pigments biliaires. Hypothermie. Pouls 88. Cet
état
se maintient durant quelques jours sans modific
pilles; légère parésie des mem- bres inférieurs. L'ictère augmente,
état
comateux dont le malade ne sort que rarement po
marquer qu'il a observé maintes fois chez des épileptiques morts en
état
de mal des hémorragies analogues à celles décri
elquefois, par la narcose cliloroformique, à entraver le cours de l'
état
du mal. M. Weber (Uchtspringe) La méthode de Go
orragies dans la substance grise centrale des épileptiques morts en
état
de mal, son hypothèse sur l'étiologie toxique d
LA THÉORIE DES NEURONES EN RAPPORT AVEC L'EXPLICATION DE QUELQUES
ÉTATS
PSYCHIQUES NORMAUX ET PATHOLOGIQUES ; Par te'
estions, appliquons les résultats reçus à l'explication de quelques
états
peychiques normaux et pathologiques. En faisa
ef du laboratoire de chimie '. L'usage si répandu du plomb soit à l'
état
pur, soit dans ses composés, explique la fréque
FAITS. étant assez délicate, nous avons préféré doser ce métal à l'
état
de sulfate de plomb, en le précipitant par l'ac
celer des traces de plomb très appréciables et les caractériser à l'
état
de sulfure, puis de chromate. 11 ne nous para
a substance grise de la corne antérieure de la moelle épinière. Cet
état
spasmodique marche naturellement vers la guéris
ale, la moelle lombaire et la moelle sacrée on voit parallèlement l'
état
spasmodique disparailre des membres supérieurs
naissance la faculté de se tenir debout et de marcher, il montre un
état
de développement avancé. Les relations qu'il est
icularité DE structure DES CELLULES DE la COLONNE DE CLAME ET SUR L'
ÉTAT
DE CES CELLULES DANS LE TABES SIMPLE OU ASSOCIÉ
s atteints de para- lysie générale et de tabes, pour y rechercher l'
état
des cellules des colonnes de Clarke. Dans la
ie un solide appui. L'aliéné dont il s'agit se présentait sous deux
états
différents : tantôt il raisonnait bien, était d
t il était dément, gaucher, et ne parlait que le gallois. Dans un
état
intermédiaire enfin, il était ambi-dexlre et parl
t ambi-dexlre et parlait un mélange d'anglais et de gallois. Dans l'
état
de raison, il n'avait aucun souvenir de ses éta
de gallois. Dans l'état de raison, il n'avait aucun souvenir de ses
états
de folie, mais il se rappelait très bien ce qui
de folie, mais il se rappelait très bien ce qui se rapportait à ses
états
de raison antérieurs. L'auteur a recours à une
i tendent à prouver que l'insula de Reil dépourvue de fonctions à l'
état
normal est susceptible de suppléer le centre du l
pra- tique, relatives à l'examen de la fontanelle chez l'enfant. L'
état
de la fontanelle est d'un précieux secours dans
sée soit par de la diarrhée, soit par des hémorrhagies, soit par un
état
cachectique. Dans la thrombose des sinus, la font
ychologique, des conditions génératrices suffisantes dans le simple
état
maniaque ou mélancolique. Il en existe d'autres,
e est démontrée par les observation^ inverses de modifications de l'
état
mental, à la b74 REVUE DE pathologie mentale.
les avec les troubles intellectuels; ainsi crue M. H. Head, sur les
états
mentaux liés d certaines affections viscé- 1'al
liés d certaines affections viscé- 1'ales. A. M. L. SUR certains
états
du système circulatoire chez LES aliénés; par S
ntes et très propres à démontrer les relations qui existent entre l'
état
du système circulatoire et les anomalies des pr
s un cas comme dans l'autre, comme le cerveau ne peut recouvrer son
état
normal qu'avec le concours du système vasculair
é pen- dant trois ans dans un asile, où le diagnostic porté snr son
état
mental fut celui de GO paranoïa». Son examen ph
physique à l'asile et plus récemment donne les résultats suivants :
état
normal des sens spéciaux; testicules anormaleme
técé- dents héréditaires; syphilis; autres facteurs étiologiques;
état
mental et développement intellectuel avant l'appa
ue fout encore défaut, on peut constater par intervalles un certain
état
d'obnubilation intellectuelle. qui se traduit plu
psychoses qui présentent des conceptions délirantes, tels sont les
états
de confusion et l'amentia. Il faut encore citer l
sujets les injections déterminèrent des phénomènes d'excitation. L'
état
mental des individus soumis au traitement ne fu
é dans le même membre, de l'insommie, de la perte de, l'appétit, un
état
d'épuisement. Il devient incapable de continuer
en, qui détermina une perte de connais- sance passagère suivie d'un
état
d'obtusion durant quelques jours (vomissements,
lement les actes de violence accomplis par les aliénés et aussi à l'
état
d'excitabilité nerveuse qui se rencontre chez c
absurdes ou violents coïncidant parfois avec des allures correctes;
état
d'anxiété ; répétition d'accès analogues ou ide
aralytiques et les déments séniles, par un sentiment assez vif de l'
état
maladif, par des lacunes murales. La démence ép
ent leur service (désertion etc.). Les troubles consécutifs sont un
état
d'obtusion, de stupeur, d'irasci- bilité au cou
. 391 équivalents. Au point de vue clinique, on observe surtout des
états
de stupeur ou de délire hallucinatoire aigu ; l
surtout des états de stupeur ou de délire hallucinatoire aigu ; les
états
de confusion, de fureur maniaque sont plus rare
s impulsifs, d'amnésie partielle ou totale. Les actes commis dans l'
état
de stupeur sont des vols, des attentats à la pu
cides, des meurtres, etc. 4° Les psychoses chroniques épileptiques,
états
d'excitation ou de stupeur pouvant durer des mo
acher l'acte incriminé à ces troubles psychiques. On cherchera si l'
état
mental habituel du sujet présente les caractères
e humeur épileptique qu'il a maintes fois constatée, après certains
états
de confusion, et qui constituait le seul signe
TaczEK fait remarquer que certaines conceptions, nées au cours de l'
état
de rêve épileptique, peuvent se continuer au delà
cette période et faire partie des acquisitions du sujet revenu à l'
état
normal. Ces faits ont une importance au point de
e que dans son rapport il a considéré la modification spéciale de l'
état
de conscience comme caractérisant avant tout le
llance continuelle pendant la nuit. ' M. Siemerling insiste sur l'
état
de la conscience et le souvenir consécutif; il
roubles peuvent se rencontrer dans toutes les psychoses et tous les
états
de faiblesse intellectuelle. Contraire- ment à
l'on ne tient compte que des observations complètes. Ces formes des
états
épileptoïdes sont la source de grosses difficulté
produire des désertions et autres actes délictueux. Au cours de ces
états
d'excitabilité anormale, un épileptique peut ré
'eau-de-vie. M. THOMSEN relève quelques particularités concernant l'
état
de la mémoire daus les formes d'obnubilation tr
attaques sont fréquentes : deux et davantage par jour, tendance à l'
état
de mal, parfois avec élévation de tempéra- ture
grande fréquence, physionomie variable des symptômes, tendance à l'
état
de mal, inefficacité du bromure, évolution identi
ortie. Sur 10 sujets en rémission dont la famille a suivi et noté l'
état
mental, un seul a été considéré par son entoura
rapports remarquables (rémissions survenant de préférence dans les
états
d'excitation). On observe également, dans la ca
SOCIÉTÉS SAVANTES. 397 des phénomènes convulsifs qui dénotent un
état
d'excitation du cerveau. L'auteur résume ains
on admission, pré- senta quelques attaques syncopales, suivies d'un
état
de dépression et d'un certain degré d'amnésie.
iparésie droite, vertige, vomissements, perte de l'équilibre. Enfin
état
comateux et mort. A l'autopsie, tumeur dure, sp
, manifeste des idées^d'empoisonnement. A l'asile, somnolence, puis
état
fébrile, sans cause appréciable, (39°, b pouls;
s caractéristiques des tumeurs cérébrales (Jastrowitz, Oppenheim) :
état
maniaque spécial (moria) avec euphorie. Dans le
e était beaucoup moins atteinte qu'on aurait pu le croire d'après l'
état
de stupidité apparente. L'humeur était habi- tu
ent déprimée, mais toujours très variable; parfois se mon- trait un
état
d'euphorie. Il n'y avait pas, à proprement parler
--). Les rapports de la substance des cellu- les nerveuses avec les
états
de repos, d'activité et de fatigue des élé- men
, l'activité physiologique n'a rien produit. D'après Mann, durant l'
état
de repos, des matériaux de réserve, qui se colo
de la rétine, du corps genouillé externe, delà sphère visuelle. A l'
état
d'activité, des matériaux sont utilisés,- tandis
lement quelles sont les modifications anatomiques correspondant à l'
état
d'activité, de repos et d'épuisement de la cell
te analgésie à la suite de l'atta- que ne se trouvaient pas dans un
état
d'obnubilation accentuée, mais pouvaient donner
n est plus fréquente chez les enfants et se développe peut-être à l'
état
embryonnaire, restant inaperçue tant qu'elle ne
nquait bibliographie 419 donc un ouvrage d'ensemble établissant l'
état
actuel de la science, en ce qui concernait cett
umogastrique peuvent être intéressés; le fonctionnement des sens, l'
état
psychique sont modifiés par les troubles 'diges
es théories sur l'hérédité, des notions générales sur la vie, sur l'
état
de santé et des maladie ; sur la mort, la naiss
re). II. La question des suggestions criminelles. Ses origines, son
état
actuel. Rapporteur : professeur Liégeois, de Na
possible ... Le patient, forcé de garder le lit, s'é- teint dans un
état
de profond marasme... ; il n'est pas rare de le
). - A la période ultime..., sensibilité, mou- vements volontaires,
états
psychiques conscients, toutes les manifestation
rès diverses : la termi- naison la plus fréquente est causée par un
état
de cachexie profonde... Viennent ensuite, par o
paralytiques généraux. Je laisserai de côté tout ce qui concerne l'
état
mental pour m'occuper seule- ment de l'état gén
tout ce qui concerne l'état mental pour m'occuper seule- ment de l'
état
général des malades et, plus particulièrement,
ment de l'état général des malades et, plus particulièrement, de l'
état
des fonctions motrices. J'indiquerai ensuite, d'a
s par la crise finale alors qu'ils conservaient encore, avec un bon
état
général, l'intégralité de leurs mouvements, et
résulté d'un ictus cérébral, d'une affection intercurrente ou d'un
état
de marasme. 1. Le premier groupe est de beaucou
Si nous examinons rapidement les rapports qui ont existé entre l'
état
des malades avant la mort, entre la durée de la
et un régime individuels, variables avec chaque malade et suivant l'
état
de ses forces, de ses fonctions digestives, etc
die aurait habituellement une durée plus longue. Dès la période d'
état
, on peut prévoir la terminaison future, d'après
stingué a étudié surtout les rap- ports des signes physiques avec l'
état
mental et le délire, et il conclut aussi à l'ex
on de tout traitement moral et médical ; c'est la consécration d'un
état
morbide, d'antipathies que rien ne justifie le
éâtre pendant plusieurs jours de suite. L'enfant naquit à terme, en
état
de mort apparente et avec le crâne si tendre qu'i
alcoolisme du père, la différence d'âge entre lui et sa femme, et l'
état
de mort apparente de l'enfant quand il est venu
ons dans la région sacrée explique l'intégrité des sphincters; et l'
état
à peu prèsnormal des cornes postérieures, des t
ée par le langage articulé ou écrit, par suite de l'oubli des mots,
état
qui est probablement dû à une dégénérescence ce
rent en s'aggravant pendant huit ou dix ans. Depuis cinq ou six ans
état
stationnaire; il y a un arrêt de développement;
L'exagération du réflexe d'un seul côté indiquera généralement un
état
d'hypertonicité ou de contracture active commença
par des causes, ayant toutes cela de commun, qu'elles produisent un
état
de faiblesse physique. On range ici par exemple
t ce qui l'entoure, mais ne perd pas complètement connaissance. Cet
état
dure trente à soixante secondes. Il n'est pas a
miplégie droite et la paralysie du moteur oculaire commun gauche. L'
état
athéromateux très prononcé de l'hexagone, du tron
ur fixer avec plus de précision qu'on ne l'a fait jusqu'à présent l'
état
mental dans les paroxysmes hystériques, que les
e, et le souvenir de ce qui s'est passé pendant sa durée, aboli à l'
état
de veille normal, est susceptible de reviviscen
veille normal, est susceptible de reviviscence complète dans les
états
hypnotiques ultérieurs, spontanés ou provoqués. (
vons affaire ici à une forme de narcolepsie pure, en contraste de l'
état
narcoleptique, qui accompagne quelquefois l'hys
patholo- gique. M. SCIIATALOFF fit mention d'un malade chez qui l'
état
narco- leptique existait depuis dix-huit ans et
de mettre en lumière la grande importance des sentiments d'anxiété (
états
dépressifs de concentration, d'expecta- tion) d
TÉS savantes. 487 7 voquer la neurasthénie. Il est nécessaire qu'un
état
affectif de concentration de nature dépressive
. 100, se traduit en général par une impressionnabilité extrême, un
état
d'inquiétude, de poltronnerie. Mais parmi toute
is parmi toutes les causes occa- sionnelles de la neurasthénie, les
états
affectifs de nature dépres- sive, d'anxiété et
ces facteurs est plus difficile à déceler; il en est ainsi quand l'
état
d'anxiété est provoqué par des troubles physiqu
tose, etc.); 3° Avant tout, les signes physiques qui accompagnent l'
état
d'anxiété sont absolument identiques avec les s
algie des neurasthéniques n'a pas d'ana- logue dans les signes de l'
état
d'anxiété; 4° Il n'y a pas de neurasthéniques q
d'anxiété; 4° Il n'y a pas de neurasthéniques qui ne présentent des
états
d'anxiété, de concentration pénible. Bouveret s
aide du sphygmomanomètre de v. Basch. Il est intéressant de noter l'
état
de la pupille dans la peur; la constric- tion d
qui veulent s'imposer à la majorité par la violence. L'étude de l'
état
mental des anarchistes montre qu'il faut grou-
Marie, est excellente. Paul Sérieux. XII. Elude médico-légale de l'
état
mental des vieillards ; par le Dr SCIlAEFFER. (
gie générale exposé toute l'importance de la prédisposition et de l'
état
mental, « les deux jalons directeurs de l'étude
à évolution systématique. Le diagnostic de ce délire est basé sur l'
état
mental primordial et sur l'évolution de la mala
mentale, mais n'offre plus les mêmes caractères. M. Magnan étudie l'
état
mental des dégénérés qui est surtout caractéris
iables, sans évolution régulière ce qui permettra avec l'étude de l'
état
m'entai antérieur de faire le diagnostic avec le
nie raisonnante et la folie morale ne sont que l'exagération de cet
état
mental : l'une dans la sphère intellec- tuelle,
sée par l'affaiblissement des facultés et la disparition rapide des
états
de conscience. Ils existent cependant au début de
des -, par Tromner, 404. Rapports de la substance des - avec les
états
de repos d'acti- vité, etc., des éléments nerve
ur la - cérébrale, par Giannelli, 140. Circulatoire. Sur certains
états
du système - chez les aliénés, par Edgerley,
de Bech- terew, 127. Théorie des - avec explications de quelques
états
psychiques, par Soukhanoff, 337. \rDLoowuE. R
s suivantes qui ont été votées à l'unanimité : « La production de l'
état
hypnotique permet d'obtenir la réalisation d'acte
et qu'ils étaient extrêmement faciles à intimider. L'examen de leur
état
mental révèle d'intéressantes particularités; ils
. En un mot, on peut dire que les deux manifestations dominantes de l'
état
mental des bègues sont l'émotivité excessive et l
t l'aboulie. On peut dire de beaucoup d'entre eux qu'ils présentent l'
état
d'infériorité mentale désignée sous le nom de pué
ge et dans l'émission des sons. Les vers fameux de Boileau passés à l'
état
de proverbe, expriment une vérité indéniable: C
ement de sa pensée et l'articulation de sa parole se rapprochent de l'
état
normal. Quand il est en présence d'autrui, il per
les Psychonévroses ». ( suite j l4) C'est donc seulement dans des
états
hypnotiques que la douleur ne peut parvenir à 0,
ique des maladies nerveuses. Nous connaissons bien des malades dont l'
état
nerveux ne guérira jamais entièrement mais qui so
tre la douleur, nous n'aurions jamais obtenu même l'amélioration de l'
état
général. Or cette amélioration a eu lieu et elle
ait des troubles oculaires, des phobies diverses, était enfin dans un
état
déplorable analogue à celui de l'avocat de M. Dub
ce qui au point de vue psychologique revient à dire la suggestion à l'
état
de veille, (et nous savons combien souvent l'état
e la suggestion à l'état de veille, (et nous savons combien souvent l'
état
de veille de ces malades sans l'influence de la c
ce de la confiance ou de leur propre suggestibilité est analogue à un
état
hypnotique) nous admettons que la suggestion sans
ennent pas. * Cette dépression mentale le rend furieux, aggrave son
état
général et sucite un profond découragement. Cet é
eux, aggrave son état général et sucite un profond découragement. Cet
état
persistant, il se voit dans la nécessité d'interr
senter pas même un jour, de ?on bureau. Après la troisième séance son
état
mental et sa lucidité intellectuelle sont tels qu
n magistrale le rapport annuel de Lord Cromer. En moins d'un mois l'
état
général est complètement modifié. Le traitement,
uprès de laquelle je suis employé depuis plusieurs années, voyant mon
état
s'aggraver de jour en jour, m'a fait examiner par
stration s'est décidée à me retirer mon emploi. » Réellement, son
état
est grave ; il a la figure pâle et amaigrie, les
ion, de volonté, changement du caractère, impressionnabilité, colère,
états
mélancoliques et hypochondriaques. sont arrivés a
deux semaines les séances sont répétées chaque jour. A ce moment son
état
généra! s'est manifestement transformé. Son aspec
transformé. Son aspect physique dénote une amélioration frappante. L'
état
mental a marché parallèlement à l'état physique.
une amélioration frappante. L'état mental a marché parallèlement à l'
état
physique. Le 25 mars, c'est-à-dire le quinzième j
de toute suggestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'
état
mental. Un vieil adage enseigne que, « la nuit
n réalité, ce n'est pas la nuit qui rend ce service: ce sont certains
états
intermédiaires entre la veille et te sommeil prof
veille et te sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un
état
passif assez accentué, nous acquérons le pouvoir
nts de vue, la séda-tion qui résulte du sommeil provoqué constitue un
état
favorable pour l'aecomplissement des fonctions de
te. par M. le professeur Lionel Dauriac. r Le sommeil est-il un
état
pendant lequel la vie de l'esprit se continue? L'
ience. La suggestion pourrait être définie : l'action de provoquer un
état
de conscience (sensation, idée, sentiment, voliti
un état de conscience (sensation, idée, sentiment, volition), que cet
état
de conscience soit accompagné ou non d'un acte ex
le projectile et la blessure. Autant le mot hypnotisme caractérise un
état
nettement défini, celui de sommeil provoqué (à de
ous nous appliquons à démontrer le peu de valeur de la suggestion à l'
état
de veille, lorsqu'elle repose seulement sur des p
On peut trouver dans Vexpectant attention qui n'est, en somme, qu'un
état
d'hypnotisme et réalise une sorte de fascination,
digestif fonctionne bien, il n'y ni a infection ni intoxication; cet
état
n'a point été précédé de période préparatoire. Il
rez présente les excuses de M. le professeur Berlhelot, empêché par l'
état
de sa santé, et qui la veille, dans son laboratoi
x médecins s'ils ne sont pas préparés par leurs études à analyser des
états
d'esprit ou des phénomènes impondérables, qui res
états d'esprit ou des phénomènes impondérables, qui ressemblent à des
états
de veille de façon à s'y méprendre. J'ai vu deu
Cela ne prouve pas que le viol ne soit pas possible dans de profonds
états
hypnotiques mais dans la question qui nous occupe
nose elle-même mais de la suggestion pendant l'hypnose; et, lorsque l'
état
du malade nécessite un état hypnotique prolongé p
ggestion pendant l'hypnose; et, lorsque l'état du malade nécessite un
état
hypnotique prolongé pendant une heure ou deux, il
auvres tout en accordant à chacun consciencieusement le temps que son
état
nécessite. Voilà pour le spécialiste. Dans la p
le à nous hypnotiseurs, puisqu'elle démontre ce que la suggestion à l'
état
de veille permet d'obtenir en particulier dans le
tion chez un lycéen. 5° Dr Bérillon. — Diverses particularités de l'
état
d'aboulie. M. le Président met aux voix la cand
sommeil, avant tout repos appréciable. Ne bénéficiais-je pas ici d'un
état
particulier de monoïdéisrne favorisé par le somme
st pas seulement en raison du repos somnique. C'est aussi parce que l'
état
de monoidéisme s'établit alors facilement. Dans l
l, frais et dispos, n'aurait pu mouvoir? C'est ce qui se passe dans l'
état
d'hypotaxie ou dans un état de réve ; c'est une d
pu mouvoir? C'est ce qui se passe dans l'état d'hypotaxie ou dans un
état
de réve ; c'est une des raisons qui expliquent la
e de toute pédanterie. « Nos Universités ne sont pas entièrement en
état
de remplir cette double fonction. Elles sont enco
ades ; 3° édifier la science du fonctionnement du système nerveux à l'
état
mental et à l'état pathologique. La psychiatrie e
a science du fonctionnement du système nerveux à l'état mental et à l'
état
pathologique. La psychiatrie et la neurologie ne
ue d'imprimer à son corps de violentes secousses et... d'aggraver son
état
. (Rires.) Comme on incriminait le séjour dans l
ier. Dès la première séance, il provoqua chez notre jeune malade un
état
d'hypnose profond et s'adressant à elle avec auto
; il semble l'avoir fait d'une manière automatique, dans une sorte d'
état
subconscient, tout comme on fait, par simple réfl
un petit galibot. » (Journal, 5 avril 1906), p. 2, col. 1. Dans l'
état
pitoyable où se trouvait Berthon, ce rêve n'est p
méthode hypno-pédagogique afin de bien marquer que la production de l'
état
d'hypnotisme est la condition fondamentale de son
nce de la mère qui est une hystérique. Elle présenté à son entrée l'
état
suivant : Enfant d'une apparence gracile ; peau d
ne. Les clignotements cessent pendant la nutrition avec la sonde. Cet
état
dure jusqu'à décembre. A la mi-décembre elle co
ieuses expériences de Mesnet, qui plaçait des hommes vigoureux dans l'
état
de fascination et les transformait en véritables
tisme. Les excitations périphériques chez es hystèro-épileptiques à l'
état
de veille et d'hypnotisme ; l'autre par moi sous
différentes méthodes que l'on emploie favorisent la production de cet
état
d'abstraction ou de fixité d'attention, dàn„ lequ
ivie, et la santé physique se rétablit, en même temps que subsiste un
état
mental suffisant pour justifier une surveillance,
s qu'ils ont bu la plus petite quantité d'alcool, ils entrent dans un
état
d'excitation qui supprime la suggestibilité. Si M
enté d'expliquer le mécanisme du sommeil, de l'hypnotisme, des divers
états
hystériques. De nombreuses discussions ont été so
affirmations. Il a cité une longue série d'observations démontrant l'
état
de dépression morale aussi bien que physique, de
ion de sommeil. On pouvait y lire, en quelque sorte à livre ouvert, l'
état
de surmenage de celui qui avait écrit. On y lisai
ssance de résistance intellectuelle et physique et ils attribuent cet
état
déplorable au surmenage et à l'insuffisance du re
ditions indiquées, a pour effet de plonger le système nerveux dans un
état
nouveau accompagné d'une somnolence et d'une tend
elobre 1906. IL, '^H 2) Braid : « II se produit tout d'abord un
état
très sensible d'excitation de tous les organes de
er sommeil dorment ordinairement avec une sorte d'inquiétude sur leur
état
. » (S. LM p. 179.) 3) Braid : « Dans cet état,
d'inquiétude sur leur état. » (S. LM p. 179.) 3) Braid : « Dans cet
état
, nous avons le pouvoir de diriger ou de concentre
la déprimer à volonté, localement ou généralement. » 4) « Dans cet
état
nous avons le pouvoir d'exciter ou de déprimer la
des années entières... Etant éveillés au commandement, il décèlent un
état
d'imbécillité, ne connaissent rien de ce qui les
s, ils ne se remettent que ce qu'ils avaient vu dans le temps de leur
état
habituel de veille. » (S. L., p. 174.) * 2) Sym
* 2) Symptômes : Développement des plus variables symptômes dans l'
état
hypnotique. Braid : « Dans différentes périodes
es dans l'état hypnotique. Braid : « Dans différentes périodes de l'
état
hypnotique les symptômes les plus variables peuve
. 236.) L'imagination mentale et la concentration de l'esprit, dans l'
état
Ivypnotique, suffisent chez quelques individus po
ssant for- tement et par suggestion sur l'esprit des patients à l'
état
de veille, modifier l'activité physique des organ
id, que la même influence (suggestive sur l'esprit des patients à l'
état
de veille) peut s'exercer par rapport au son, à l
suggestion. 9) Veille : Certains sujets peuvent être gouvernés à l'
état
de veille. Braid : Après avoir observé qu'il y
d : Après avoir observé qu'il y a des patients qui sans.entrer dans l'
état
proprement hypnotique, peuvent être gouvernés et
ue, peuvent être gouvernés et contrôlés comme s'ils se trouvaient à l'
état
de dédoublement de la conscience, Braid dit : « I
assez grand nombre qui peuvent être influencés et contrôlés pendant l'
état
de veille et en pleine conscience d'eux-mêmes. »
pent, non seulement pendant le sommeil lucide, mais même aussi dans l'
état
de veille des époptes, lorsqu'ils ont été du moin
vec laquelle M11* X... est hypnotisée autorise la supposition que cet
état
, qui est le principal élément de son succès auprè
ulte nullement l'apparition d'une aptitude spéciale à interpréter des
états
ou des phénomènes physiologiques ou pathologiques
onnel (flanelle, foulard, etc.), ou une mèche de leurs cheveux. . L'
état
hypnotique même le plus développé ne confère à ce
t du sommeil, exécuter un acte qu'il serait incapable de réaliser à l'
état
de veille. ^ A plus forte raison, il ne saurait
ésions, de leur étendue, de leur ancienneté, de leurs rapports avec l'
état
général antérieur et actuel, de l'état relatif de
neté, de leurs rapports avec l'état général antérieur et actuel, de l'
état
relatif des autres organes, etc. Nous devons aj
réalisées par son père et son frère. A cet égard, existe chez elle l'
état
mental décrit par tous les auteurs qui se sont oc
balle de revolver restée dans la téte). Grâce à l'amélioration de son
état
, il était rentré dans sa famille. Il eut la malen
a voyante : que Mlle X... a une médiumnité bien nettement établie à l'
état
de sommeil provoqué. C'est une psychomètre incons
vibrations pathogènes émanées de la radio-activité de nos organesà l'
état
maladif. D'autre part, c'est un instrument qui
t placée dans une maison de santé, qui leur a dû l'aggravation de son
état
. A l'aide d'une mèche de cheveux envoyée en cache
d au vœu formulé tout à l'heure par M. Rocher: « La production de l'
état
hypnotique permet d'obtenir la réalisation (Tac-t
ypnotique; et la première chose pour cela c'est de placer le sujet en
état
d'hypnose. Souvent il suffira de produire un état
placer le sujet en état d'hypnose. Souvent il suffira de produire un
état
hypnotique léger, comme cela se pratique du reste
ggestions thérapeutiques; il n'en est pas moins indispensable que cet
état
hypnotique soit produit. Certains auteurs en pa
roduit. Certains auteurs en parlant des suggestions faites dans les
états
hypnotiques superficiels, que nous appelons le pr
ats hypnotiques superficiels, que nous appelons le premier degré de l'
état
somnambulique, les ont improprement appelées sugg
de l'état somnambulique, les ont improprement appelées suggestion à l'
état
de veille. La suggestion à l'état de veille n
prement appelées suggestion à l'état de veille. La suggestion à l'
état
de veille n existe pas : le mot même est un vérit
un véritable contre-sens pour quiconque a pris la peine d'étudier les
états
hyp-Botiques et se rend compte de ce qu'est la su
n sujet reçoive une suggestion, il faut évidemment qu'il soit dans un
état
de suggestionnabilité.Or, la suggestionnabilité e
Or, la suggestionnabilité est un phénomène qui ne se présente pas à l'
état
de veille normale. On peut persuader un sujet à l
ésente pas à l'état de veille normale. On peut persuader un sujet à l'
état
de veille ; on ne peut pas le suggestionner; et l
que nous faisons pour nous entendre en français. Quand, ayant mis en
état
d'hypnose, un individu atteint de paralysie des j
nabilité se développe, il faut nécessairement que le sujet passe de l'
état
de veille dans un état d'hypnose. Cet état d'hypn
il faut nécessairement que le sujet passe de l'état de veille dans un
état
d'hypnose. Cet état d'hypnose peut être très lége
nt que le sujet passe de l'état de veille dans un état d'hypnose. Cet
état
d'hypnose peut être très léger, le passage peut m
erceptible pour les personnes qui n'ont pas une grande expérience des
états
hypnotiques, il n'en est pas moins réel c'est ce
otiques, il n'en est pas moins réel c'est ce qui se présente pour les
états
les plus superficiels du premier degré du somnamb
gestion à distance, comment allons-nous faire pour placer le sujet en
état
d'hypnose. Tout d'abord il faut considérer deux
11 suffit alors de lui rappeler la suggestion faite antérieurement, l'
état
d'hypnose est facilement produit comme une suite
de suggestibilitédu sujet et suivant que l'on veut le mettre dans un
état
d'hypnose plus ou moins profond pour obtenir la r
ances extérieures les plus favorables pour obtenir la production d'un
état
hypnotique. Pour cela on lui ordonnera de se reti
n utile. Ceci bien établi on peut par différents moyens provoquer l'
état
d'hypnose. Il est bon d'en avoir un certain nombr
ui conseiller de s'exercer à plusieurs reprises, à se placer dans cet
état
, avant de lire les suggestions, afin de 1 habitue
nt par le malade sur l'ordre qu'il en a reçu par écrit, produisent un
état
d'hypnose suffisant pour lui donner la uuggestion
nt, il s'éveillera de lui-même complètement et se retrouvera dans son
état
normal. Cette dernière partie est une suggestio
ra dans l'esprit, s'imposera au cerveau du sujet, en même temps que l'
état
d'hypnose se produira et qu'il deviendra suggesti
ent utile. Le premier effet sera de bien replacer le sujet dans son
état
normal et d'éviter les désagréments que j'ai vus
de bien éveiller leur malade et l'ont laissé sans s'en douter dans un
état
d'hypnose auquel ils ne comprenaient absolument r
t faites. Cette suggestion pour amener le réveil sera faite en tout
état
de cause, quel que soit le procédé que l'on aura
duire l'hypnose. Il arrivera quelquefois que, soit pour produire un
état
d'hypnose plus profond, soit parce que l'on sait
tiendra les regards fixés sur le même point, cela produira un premier
état
d'hypnose. Les cinq minutes suivantes il regard
aine difficulté à faire réaliser les suggestions par le malade. Car l'
état
d'hypnose est assez profond et les suggestions, a
est un Italien que je n'ai jamais vu, mais je connais assez bien son
état
psychique par la correspondance assez longue que
us haut relativement aux prescriptions destinées à mettre le sujet en
état
d'hypnose. A cela j'avais ajouté, sur une feuille
règles : Placer le sujet dans de bonnes conditions pour être mis en
état
d'hypnose. Bien l'hypnotiser en choisissant le
eux. Prendre les précautions voulues pour bien assurer le passage à l'
état
d'hypnose et le passage de l'état d'hypnose à l'é
es pour bien assurer le passage à l'état d'hypnose et le passage de l'
état
d'hypnose à l'état de veille. Faire des suggestio
r le passage à l'état d'hypnose et le passage de l'état d'hypnose à l'
état
de veille. Faire des suggestions courtes, précise
séances de rééducation de la volonté, réalisée par suggestion dans l'
état
d'hypnotisme. Les parents du jeune homme sont d'a
nt des obstacles attribués à la malveillance; de plus, par suite de l'
état
rudi-mentaire des wagons de marchandises, les piè
t diverses : le milieu dans lequel les enfants vivent (Decroly), leur
état
physiquo, otc. Aussi appellerons-nous ces enfants
moins éloignés, présente des accès d'excitation ou de dépression, un
état
toul-à-fait distinct de l'état habituel, avec tro
ccès d'excitation ou de dépression, un état toul-à-fait distinct de l'
état
habituel, avec troubles de la mémoire, actes impu
cas plus rares, la démence survient chez des épilepti-ques, après des
états
de mal fréquents ou des séries d'accès ; sa march
mentale. Il faudrait donc essayer de prévenir les résultats de cet
état
de chose et tâ'cher de reconstituer le foyer fami
e, s'enquérir de sa nature intime, de sa sensibilité morale et de son
état
physique. On doit connaître ses penchants et touj
esse surveillés et soumis à un régime de discipline particulier. Si l'
état
mental dégénératif du sujet ne s'améliore pas, ou
es et dans les appartements resserrés des grandes villes aggrave leur
état
, aussi les institutions médico-pédagogiques desti
ns distinctes selon leur âge, leurs aptitudes intellectuelles et leur
état
nerveux sont soumis ù une surveillance constante,
nt interrompue le poursuit; la crainte de ne pas bien jouer le met en
état
d'infériorité, dès qu'un public l'écoute ; il hés
t bleu au lieu d'être quelconque. II y a donc anesthérîc suggérée à l'
état
d'hypnose, ou tout au moins d'hypotaxie. Pour v
aient sous l'influence de la moindre dose d'alcool, et même de vin. L'
état
d'hypnose étant en relation directeavec l'état de
ool, et même de vin. L'état d'hypnose étant en relation directeavec l'
état
de l'attention, on peut conclure de ce qui précèd
(et, en particulier, chez ceux qui nous approchent le plus) certains
états
de somnolence ou de sommeil qui, mutatis mutandis
réduits à ce sommeil spécial. Certains animaux, non hibernants à l'
état
habituel, le deviennent sous la pression de certa
60 jours ne sont point morts, parce qu'ils restèrent plongés dans un
état
voisin de l'hibernation. De même, chacun sait que
e et non pas un sommeil pathologique. J'en dirai autant de certains
états
de mort apparente, par exemple chez les poissons
le, laquelle comporte finalement la cachexie et, avant elle, tous les
états
intermédiaires qui y mènent, torpeur, hébétude, e
el et la force de la volonté jouent nécessairement leur rôle dans cet
état
. M. Lépinay, médecin-vétérinaire. — Les animaux
Je me rends à son désir, et lui donne les suggestions appropriées, en
état
de sommeil léger. Arrivé à Batavia, il me décri
dire depuis trois semaines. La pauvre malade, exténuée, présentait un
état
d'amaigrissement effrayant. Le médecin du transat
ussite mettre la dame en sommeil profond. La suggestion donnée en cet
état
arrêta les vomissements et rendit l'appétit et la
29 août, les 2, 5, 9 et 15 septembre. Dès la 3' séance, elle tombe en
état
de charme; dès la 1", elle fait le voyage de Deve
r BérillOx, professeur à l'Ecole de Psychologie. La timidité est un
état
psychologique que l'on retrouve toujours à la bas
issance des effets de l'hypnotisme. L'être intimidé se trouve dans un
état
psychologique analogue à celui de l'être hypnotis
qu'ils sont exposés à ressentir se joint celle d'être constamment en
état
d'infériorité dans leurs entreprises, aussi progr
rogressivement se crée en eux l'indécision, l'irrésolution et enfin l'
état
d'aboulie confirmé. Chez d'autres, à l'aboulie ne
ins la disposition à se laisser intimider est même si marquée que cet
état
psychologique peut être considéré comme la manife
t d'agir conformément à ses intentions, signes pathognomo-miques d'un
état
anoimal, morbide, ainsi que l'a très judicieuseme
sité d'une occupation et peut-être aussi par le besoin d'une espèce d'
état
de somnolence. Nous avons remarqué que les pri-se
résentent fréquemment des troubles diges-gestifs, ils sont en mauvais
état
et il a été dit avec vraisemblance que le tic éta
un temps aussi long se balançait au point d'entrer dans un véritable
état
d'hypnose. Nous avons pensé que le tic, qui con
-motrice » se développant exclusivement chez des sujets présentant un
état
mental spécial, un état d'infantilisme psychique
t exclusivement chez des sujets présentant un état mental spécial, un
état
d'infantilisme psychique caractérisé par une impe
exclusivement chez les sujets présentant, si on peut ainsi parler, un
état
psychique comparable à celui des tiqueurs humains
, un état psychique comparable à celui des tiqueurs humains. Dans cet
état
, le cheval offre tout au moins des tares physique
s cas, trop peu nombreux ou d'une façon trop peu suivie pour en faire
état
, mais cependant nous avons observé que par exempl
procédant ainsi, l'auteur a pu reconnaître que lorsque l'abeille a l'
état
de « chercheuse n (de rôdeuse, comme disent les a
le va signaler cette pâture à la ruche. Elle-même revient passant à l'
état
de butineuse, accompagnée de quelques recrues et
mais à la condition de leur appliquer des méthodes appropriées à leur
état
. Vous avez résolument abordé ce grave sujet et mo
d'aspirations sexuelles, mais elles sont vagues et imprécises. Cet
état
d'indétermination sexuelle persiste le plus souve
uvent l'occasion de le faire, l'hypersuggestibilité qui caractérise l'
état
mental des adolescents. Chez les adolescents et
é est si développée qu'ils se placent facilement d'eux-mêmes dans des
états
de conscience analogues aux états d'hypnotisme. C
ent facilement d'eux-mêmes dans des états de conscience analogues aux
états
d'hypnotisme. C'est lorsqu'ils se trouvent dans c
alogues aux états d'hypnotisme. C'est lorsqu'ils se trouvent dans ces
états
d'attente affective, de désir, de monoïdéisme, d'
s par l'initiateur se comportent comme des suggestions faites, dans l'
état
d'hypnotisme, à un sujet très hypnotisable. De là
bien plus dans une mauvaise initiation à la vie sexuelle, que dans un
état
de dégénérescence. A cette notion il conviendra
r M. le Dr Fernand LaGRange, Médecin consultant à Vichy. On appelle
état
d'entraînement, l'ensemble des perfectionnements
ence d'un exercice corporel régulièrement pratiqué. Chez l'homme, l'
état
d'enlrainement se produit souvent sans qu'on le r
s mouvements d'une certaine énergie. Mais souvent la recherche de cet
état
est l'unique objectif du travail corporel que l'h
fait défaut, doit se-porter au poumon en plus grande abondance qu'à l'
état
de repos ; et c'est le cœur qui doit l'y pousser.
curculionides ou charançons, et au genre B&laninus, et vivent à l'
état
larvaire dans les noisettes, les châtaignes, les
balle. « Une seule passion dominait mon père, celle de son nom. Son
état
habituel était une tristesse profonde que l'âge a
nement agit pour augmenter la résistance de l'homme à la fatigue. L'
état
de fatigue est caractérisé par deux symptômes pri
l'homme continue son exercice intensif, il risque de tomber dans cet
état
qui l'expose au surmenage inconscient et qu'on ap
ans cet état qui l'expose au surmenage inconscient et qu'on appelle l'
état
de surentraînement. Dans l'état de surentraînem
nage inconscient et qu'on appelle l'état de surentraînement. Dans l'
état
de surentraînement, les forces baissent sans que
xplique une foule d'autres qu'on observe journellement sur l'homme en
état
d'entraînement. Le souvenir 1 un effort couronné
soit acquise; sous la seule condition d'entretenir les muscles en bon
état
de nutrition, par la répétition quotidienne d'eff
. M* B... se met alors à l'hypnotiser. La première fois, il le met en
état
de somnolence. Pendant la séance, il lui suggère
ndant deux mois avec trois séances par semaine. Au bout d'un mois son
état
général est tout à fait modifié, bien que, de tem
s sans en avoir conscience, mais ces actes n'ont pas été commencés en
état
de conscience, ils sont tout entiers compris dans
« — Je ne crois pas, répond Mme R... J'ai dû avaler cet animal à l'
état
d'œuf ou d'embryon avec les aliments ou les boiss
bservations, de la main même de la malade. On peut juger par lui de l'
état
dans lequel était cette malheureuse. Que devion
rchant la cause de ce fait, je m'apercevais d'un changement dans leur
état
de santé. Si ces timides ne forment p;is la class
e qui l'accompagne. Or, plus l'impressionnabilité chez un sujet à l'
état
de veille ou à l'état d'hypnose, est forte, plus
Or, plus l'impressionnabilité chez un sujet à l'état de veille ou à l'
état
d'hypnose, est forte, plus facilement s'accomplis
la nutrition des régions mêmes qui sont l'objet de cette confiance. L'
état
de confiance qui surgit chez le malade remonté pa
effets physiologiques, auxquels donnera lieu l'apparition d'un pareil
état
de confiance, sont par suite plus ou moins analog
u moins analogues aux actions somatiques qui caractérisent les divers
états
de joie avec tout leur cortège d'émotions et d'id
e très peu perceptible tout d'abord. Nous pouvons donc conclure : L'
état
de confiance ne vient pas seulement combattre l'i
l eût assurément éprouvé la plus grande humiliation en constatant son
état
de malpropreté, ainsi que l'odeur infecte, due au
le ou d'une surprise agréables, d'un étonnement joyeux, tout homme en
état
de sentir et de vibrer, lèvera spontanément ses b
ascenlionnel vertical, qui traduit l'aspiration involontaire vers un
état
plus parfait. A l'annonce d'un malheur, d'un désa
débraillé. Fort bien, mais les ivrognes deviennent dans leur triste
état
des êtres particulièrement batailleurs et agressi
s résultats. L'attention est susceptible d'être ainsi rééduquée à l'
état
de veille et avec avantage également à l'état d'h
tre ainsi rééduquée à l'état de veille et avec avantage également à l'
état
d'hypnose, quand faire se peut. Mais il faut bien
.\géiêraies dehnêdeciiie, 1905,' p. -10. les plus rapprochés de l'
état
de veille qu'il faudra chercher à provoquer, les
rapprochés de l'état de veille qu'il faudra chercher à provoquer, les
états
d'inhibition légers dans lesquels la résistance p
de psychologie. Les aboulies sont constituées par une association d'
états
de conscience parmi lesquels les plus apparents s
caractère d'aboulie confirmée et une disposition à l'aggravation de l'
état
pathologique. Au contraire, le retour progressi
ée, des exercices d'écriture appliquée. Les progrès réalisés dans l'
état
mental du malade s'enregistrent d'eux-mêmes sur l
ychothérapeutes qui, jusqu'à ce jour, sous les noms de suggestion à l'
état
de veille, ou de persuasion, se sont cantonnés da
nous l'a démontré mon maître, le Dr Bérillon, n'est autre chose qu'un
état
d'hypnotisme à un certain degré), toutefois pour
e du Caire, âgé de 24 ans, vint me consulter le 20 mars 1906. dans un
état
d'anxiété extrême. * Docteur, me dit-il, mon av
tes les psycho-névroses. L'être intimidé par une personne est dans un
état
analogue à l'être hypnotisé. L'intimidation provo
émotionnel et en souffrent; ils perdent confiance en eux-mêmes, d'où
états
progressifs d'indécision, d'irrésolution, d'aboul
sion, d'irrésolution, d'aboulie. Lorsque l'anxiété se joint à ces
états
, le malade éprouve des phobies, dont la plus péni
lité ne soient pas synonymes. Quelle est la différence entre ces deux
états
? Je me contente de rapporter les opinions de que
née dernière, écrivait dans la Presse Médicale (') ; « La vieillesse,
état
physiologique, manque de la régénération qui est
Congrès des médecins aliénistes et neurologistes, la sénilité est un
état
pathologique que l'on rencontre presque toujours
s; ce qui rend impossible une séparation nette et précise de ces deux
états
. » C'est aussi notre avis. Il est facile d'établi
ique des faits. Et, au lieu de chercher la vieillesse normale dans un
état
imaginaire ou dans un état qui, même s'il existe,
de chercher la vieillesse normale dans un état imaginaire ou dans un
état
qui, même s'il existe, constitue une extrême rare
vraiment la règle et d'ériger en portrait de la vieillesse normale l'
état
habituel de l'individu quand il a dépassé une cer
dus dont le déficit intellectuel serait très prononcé par rapport à l'
état
de la majorité des vieillards ayant le môme âge.
ce cérébrale, qu'elle soit jusqu'à un certain point indépendante de l'
état
des vaisseaux (comme atrophie ou sclérose primiti
de la régression psychique du vieillard, cela serait sans doute, vu l'
état
actuel de nos connaissances, un rapprochement -&g
s son mérite incontestable, était incapable d'aborder l'examen de ces
états
mentaux * que le plus grand métaphysicien et pres
mémoire et il est conscient de sa faiblesse organique ; c'est tout. L'
état
de son affectivité, ses extravagances, son instab
à des illusions de souvenirs et croit reconnaître dans son passé son
état
actuel qui n'est que l'effet de la vieillesse.
ntion : la joie qu'éprouvent les hommes, surtout les primitifs, par l'
état
d'extase, fait qu'ils désirent se mettre en cet é
primitifs, par l'état d'extase, fait qu'ils désirent se mettre en cet
état
par des moyens religieux. C'est ainsi que religio
ment [dans notre cas c'est le sentiment religieux) sur Pâme. Dans cet
état
, notre réceptivité pour les autres impressions es
anse était partie intégrante de la fête religieuse ; j'ai pu noter 1 "
état
d'extase, la joie extatique qu'ils cherchaient et
es et dans la solitude et la contemplation éternelle ils arrivent à l'
état
extatique, ne sentant plus leur situation grotesq
ce n'est plus l'extase religieuse proprement dite, mais c'est le même
état
psychologique sous formes nouvelles crées par l'é
t que les préoccupations professionnelles jouent dans l'étiologie des
états
d'anxiété qui compliquent fréquemment les manifes
ât au traitement avec une bonne volonté manifeste, la production de l'
état
d'hypnotisme ne fut pas tout d'abord facilement r
ent réalisée. Plusieurs séances furent nécessaires pour réaliser un
état
d'automatisme assez accentué. Dès lors, l'amélior
r un état d'automatisme assez accentué. Dès lors, l'amélioration de l'
état
nerveux fut obtenu assez rapidement. En lui dem
us rigoureusement cor.for-mé à la méthode suivante : 1° Provoquer l'
état
d'hypnotisme, c'est-à-dire un état physiologique
éthode suivante : 1° Provoquer l'état d'hypnotisme, c'est-à-dire un
état
physiologique caractérisé par la diminution des d
océdés psychologiques, en y associant les médications indiquées par l'
état
général du sujet, amène des guérisons remarquable
e recherchera de nouveau chez le même sujet, étudié celte fois dans l'
état
d'abstinence, le réflexe de la suggestibilité red
n sujet auparavant très hypnotisable, l'aptitude à être plongé dans l'
état
d'hypnotisme. Dans la recherche du réflexe de l
in The Practionner, dit que dans les insomnies sans relation avec un
état
morbide défini, il devient nécessaire d'administr
vient nécessaire d'administrer un hypnotique, il faut se guider sur l'
état
de la pression sanguine. Si la pression est aba
.Aus, si quatre jours après nous fut elle rendue.A l'infirmerie son
état
ne litclu'emliirer. Le service n'étant point or
er des escapades fâcheuses et si nous avions laissé les choses en l'
état
, celles-ci, gros- sies par les mauvaises langue
icières ont elles-mêmes cons- taté une certaine amélioration dans l'
état
mental. Cinq d'entre elles notamment, enfants r
'immense majorité de nos malades ne sont plus ces « démentes dont l'
état
mental nejustifiait pas d'une façon absolue le
ls n'ont jamais convenu pour l'hospitali- sation d'aliénés que leur
état
mental ne permet pas de 12 ASSISTANCE. placer
conservantune auto- rité suffisante. Or ceci, qui s'est manifesté l'
état
aigu pour la petite Germaine est également vrai
et celles qui s'y rattachent (attribution de chaque personnalité ou
état
de conscience à l'un des hémisphères, etc., ont
reconnaître la du- plicité, ou suffira- t-il de la constater, comme
état
secondaire, chez l'être pleinement formé ? J'
e il n'existe aucune sorte'd'observation. Con- cluons donc -qu'en l'
état
actuel de la science il y a lieu de croire que
premiers globes vitellins demeurent à peine quel- ques instants à l'
état
tangent. Sitôt individualisés, ils se rappro- c
ment par le Duplicisme la vie psychologique de l'Homme et aussi ses
états
psychologiques anormaux,sa liberté, son unité d
ie qui attribue à chaque hémisphère une personnalité distincte, à l'
état
normal ou à l'état pathologique. J'ai rappelé d
haque hémisphère une personnalité distincte, à l'état normal ou à l'
état
pathologique. J'ai rappelé dans l'historique qu
siste, et quoiqu'il se vante de connaître, outre la sociologie, « l'
état
actuel de la science zoologique »(p. 36), que sa
ait un éloge exa- géré des personnes qui l'entourent. Toutefois cet
état
s'améliore et la sortie est signée le z9 septem
s jours, les phé- nomènes bruyants s'atténuent, mais il persiste un
état
assez ac- centué de confusion mentale avec déso
a dans l'urine ni sucre ni albumine. Ni lièvre ni modification de l'
état
général. Du 10 aul7,la situation est sensibleme
nique de la maladie. Klippel et Dumas ont signalé les rapports de l'
état
affec- tif des paralytiques généraux avec leur
idérer la vaso-dilatation péri- phérique comme entièrement liée à l'
état
de satisfaction dans la variété expansive. On o
le un certain nombre de symptômes qu'il faut en- core attribuer à l'
état
des centres vaso-moteurs ; tels sont les attaqu
ticulations temporo-maxillaires). Sa croissance est moindre qu'à l'
état
normal mais ne subit pas d'arrêt complet (diamètr
ne cause jamais le moindre trouble dans ses mouve- ments ni dans l'
état
apparent de ses divers tissus. Pourtant,après l
as. 9, p. 391 à 401, 6 fig.) Trois cas de paralysie générale avec
état
variable des réflexes : 1° Femme de 50 ans; dou
le à forme hémiplégique ou de rachitisme grave. En général tous les
états
spastiques s'opposent à sa production. L'A. se
nfluence de la section expérimentale des racines postérieures sur l'
état
des neurones périphériques. Contribution à l'ét
génitale,soit involutionnelle, et chez lesquels il existe aussi un
état
anormal du sang, caractérisé par une tendance s
as de Joffroy, mais bien dans tous, que l'on aurait vu apparaître l'
état
convulsif. L'auteur pense que cet autre facteur
aître l'état convulsif. L'auteur pense que cet autre facteur est un
état
approprié des cellules nerveuses, et pro- bable
est un état approprié des cellules nerveuses, et pro- bablement un
état
d'extrême instabilité, tel qu'on peut s'attendre
t une structure défectueuse, et 90 %, sous la forme de thrombus, un
état
du sang capable d'agir à la manière d'un facteu
pourrait aboutir à la formation d'angiomes, et cliniquement, que l'
état
particulier du sang qui crée cette tendance à la
u- tre elle donnera naissance à une série de crises, voire même à l'
état
de mal. Sauf dans les cas qui se compliquent
ls a indiqués comme générateurs de l'épilepsie, quelquefois c'est l'
état
indispensable du système nerveux qui man- que ;
ans l'épilepsie idiopathique, et ces deux facteurs sont, d'abord, l'
état
d'instabilité des cellules nerveuses, la dissol
nerveuses, la dissolution sénile du système nerveux, et ensuite un
état
de stase ou d'anémie cérébrale résultant des lé
n 1906.) L'hypoesthésie périphérique, seule étudiée jusqu'ici à l'
état
nor- mal ou pathologique,serait en quelque sort
urvivants examinés par l'A. 9 seule- ment furent trouvés en parfait
état
de santé ; 7 étaient atteints de 72 REVUE DE PA
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tétanie chronique ; 19 présentaient des
états
tétanoïdes ; 6 étaient dans un état rappelant l
hronique ; 19 présentaient des états tétanoïdes ; 6 étaient dans un
état
rappelant le myxoedème. Ch. Bonne. VII. Epileps
s gauches respectées par la poliomyélite de l'enfance, mais déjà en
état
de moindre résistance, et que,dans ces conditio
Par contre l'usage de l'ovarine amena d'heureuses modifications : l'
état
psychique fut grandement amélioré l'hypophyse ne
pit. L'inexécution des actes ou des gestes n'était donc pas due à l'
état
démentiel mais à cette incapacité spéciale à mo
G. Deny. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. - Sur la combinaison des
états
dépressifs aigus avec pro- cessus psychiques ob
es hallucinations. L'auteur voit dans ce cas la combinaison de deux
états
psychopathologiques dont chacun aurait pu exist
dépendamment de l'autre et il pose le diagnostic de mélancolie avec
états
psychiques obsédants. En France,nous dirions to
tats psychiques obsédants. En France,nous dirions tout simplement :
état
mélancolique chez un dégénéré ; en effet,le mal
ce terrain ne paraît pas être de la mélancolie vraie, mais bien un
état
de dépression en rapport avec la nature des tro
) - Les caractères jusqu'ici attribués à la fugue (irrésistibilité,
état
de la conscience et du souvenir) sont loin d'êt
fication a peu de valeur diagnostique, car elle est diffuse et, à l'
état
normal, la sensibilité à la douleur est très va
z les soldats lusses. La grande majorité d'entre eux se trouvait en
état
de dépres- sion : ils présentaient la forme stu
ments de la vie courante peuvent prendre place dans le tableau de l'
état
délirant d'halluci- natoire. En somme la guer
la confusion mentale aiguë, à ]'amentia de lfeynert,la plupart des
états
psychopathiques ob- servés chez les soldats ram
mment émise par P. Marie, l'apraxie de Liepmann n'est pas liée à un
état
démentiel. Sur 1'1 malades pris au hasard et qu
mentiel. Sur 1'1 malades pris au hasard et qui étaient tous dans un
état
de démence profonde un seul était apraxique. En
jouta les aliénés criminels en atten- dant la création d'un asile d'
état
spécial. Comment se fera l'ad- mission de ces m
joies que procure l'extase. M. Bérillon. L'extase est une sorte d'
état
de charme, de fascination ; elle réalise un éta
se est une sorte d'état de charme, de fascination ; elle réalise un
état
superficiel de l'hypnose, avec monoidéisme et,
rteun cas de ce genre, en particulier sur la production fictive, en
état
d'hypnose,des conditions dans lesquelles le tra
misme;ni amoindrissement des facultés intellectuelles. 1 - Les
états
affectifs neutres M.Lionel I)AUacAC.-Les états
tuelles. 1 - Les états affectifs neutres M.Lionel I)AUacAC.-Les
états
affectifs sont, d'ordinaire, définis en fonctio
'autre deces phénomènes ils paraissent s'évanouir. Or il existe des
états
affectifs, sans plaisir et douleur, qui ne sont p
desquels il faut placer la suggestion hypnotique. Par elle, dans l'
état
d'hypnose il devient possible de cultiver le ré
vec qu'elle intensité le reflexe d'obéissance se ma- nifeste dans l'
état
d'hypnotisme chez des sujets qui à l'état de ve
nce se ma- nifeste dans l'état d'hypnotisme chez des sujets qui à l'
état
de veille en paraissaient dépourvus. A la cultu
bilia- tion psychique à peu près complète, consécutive à un certain
état
mental, accompagnée des seules manifestations p
M. Picot appela aussitôt des agents qui mirent ce malheureux hors d'
état
de nuire. C'est un négociant de la rue de Hivoli,
E NEUROLOGIE MEDECINE LEGALE Une hystérique incendiaire pendant l'
état
- somnambulique ; , Par 1(3 Dr A. CULLERRE
la Roclie-sur-7 ou. Les actes délictueux ou criminels accomplis en
état
de somnambulisme hystérique ou de condition sec
orales le cas d'un jeune homme condamné pour escroqueries faites en
état
de vie somnambulique. 13ernhcim relate le fait
e le fait d'un jeune hystérique de seize ans qui. en 1898, étant en
état
second, s'approprie un chèque, qu'il avait été
ou criminels com- mis par des hystériques ont été exécutés dans un
état
de subconscience crépusculaire ou dans un accès
quelles s'ajoutent, dans la suite, des crises de somnambulisme ou d'
état
second pendant lesquelles elle se livre à des f
icié d'une ordonnance de non-lieu. HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT l'
ÉTAT
SOINAN113ULIQUE. 99. Enfin, un troisième ordre
de son mari, qu'elle n'est point folle, mais que, en raison de son
état
de santé, elle se résigne à la séques- tration
ns. Bien qu'elle refuse à peu près conti- nuellement de manger, son
état
physique s'améliore néanmoins, car on profite d
it étouffée dans les bras du fantôme. Elle est parfois une heure en
état
d'apnée; les tissus violacés, la langue tuméfié
Revue de l'hypnotisme, lb'J;3).. HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT l'
ÉTAT
SOMNAMBULIQUE. 10L se plaint de quelques troubl
f et s'en empare et on ne la lui arrache qu'avec peine. Revenue à l'
état
prime, elle est heureuse d'apprendre que l'inlirm
state la disparition de toute crise, comulsive ou délirante. Seul l'
état
neurasthénique se révèle par des phénomènes nom-
, s'efforça, par diverses manoeuvres d'hypnose, de la ramener à l'
état
normal. Elle n'y réussit qu'au bout de plusieurs
18 septembre, à la suite d'une attaque convulsive, elle revient à l'
état
prime, très étonnée d'apprendre qu'on n'est pas
y fait remarquer : un certain nombre d'entre elles, commencées il l'
état
normal, ont été conlinul'esdans 1 ? laL de déli
idées fixes : celle du suicide et de la vengeance..Mais alors qu'en
état
de délire parlé, elle est surtout hantée' par l'i
out hantée' par l'idée du suicide, HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT L'
ÉTAT
SOMNAMBULIQUE. 103 dans l'état de délire écrit,
, HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT L'ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 103 dans l'
état
de délire écrit, elle exprime de préférence avec
, après m'avoir exposé d'une façon correcte pendant deux pages, son
état
physi- que et moral et avoir beaucoup insisté p
t retirée par son mari. Au bout de sept ans. Rechute et incendie en
état
somnam- bulique.- Après un intervalle de sept a
iller; il est vrai que je travail- HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT l'
ÉTAT
SOMNAMBULIQUE. 105 « lais dans du rouge, qui me
très nettement des écrits de la malade que c'est dans une période d'
état
second, de somnam- bulisme délirant en un mot,
epsie, anorexie, vomissements, myasthénie cryesthésie elc. Dans cet
état
, la mentalité ne semble pas foncièrement altéré
; la malade devient, à la vérité, morphinomane, ce qu'explique son
état
de souffrance habituel et sa déséquilibration n
'homicide, et les impul- sions nuisibles les plus variées. Dans cet
état
, qui est toujours un état second, un élat de cr
ions nuisibles les plus variées. Dans cet état, qui est toujours un
état
second, un élat de crise avec vie som- nambuliq
une véritable mentalité criminelle. Pour comprendre quel était l'
état
de notre malade au moment où elle a commis l'in
exclusive, la mère de leurs petits enfants. Soudain, du fait de cet
état
émotif intense et systéma- tisé, aidé sans dout
e, dans un amoin- drissement suprême de sa personnalité réduite à l'
état
d'automate, elle succombât enfin à l'obsession.
ndrissement progressif de la cons- cience personnelle,d'une sorte d'
état
monoïdéique amené par l'angoisse, que l'impulsi
éclanche Le terme de folie avec conscience, employé pour désigner l'
état
mental de ces malades, est donc assez impropre,
provoque, directement responsable HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT L'
ÉTAT
SOMNAMBULIQUE. 1os des actions criminelles et e
estations psychiques de l'hystérie, crise délirante, somnambulisme,
état
second, doit être considérée comme exclusive de
idérée comme exclusive de toute responsabilité. Dans ces di- vers
états
, la conscience est altérée,pervertie ou réduite
du jugement et de la volonté sont aussi im- possibles que dans les
états
crépusculaires de l'attaque épileptique. On p
On pourrait objecter, à la vérité, que la personnalité, dans les
états
seconds ou somnambuliques, loin de se présenter
ble parfois accrue, élargie et forti- fiée. Certains sujets, dans l'
état
second ont une mémoire plus complète, une sensi
able. Certaines hystériques sont positivement plus intelligentes en
état
de sommeil qu'en ce qui pa- raît être chez elle
ligentes en état de sommeil qu'en ce qui pa- raît être chez elles l'
état
de veille et quand il existe des personnalités
t normales pour dis- cuter et décider cet acte ? Etait-il ou non en
état
de démence» JI au sens actuel de l'article 64,
moire, ses maladies anté- rieures, etc. ? Nous essayons d'établir l'
état
normal ou ma- ladif de ses neurones psychiques.
desquelles 13 sens com- mun et la pratique ont toujours compris les
états
intermé- diaires entre la santé mentale et la f
nt de vue de la sécurité sociale. Mais il y a un moyen, même dans l'
état
actucl de la législation, do parer, dans une ce
. L'intérêt social exige absolument qu'on cesse de ne voir dans les
états
dits intermédiaires à la raison et à la folie q
stic, un traitement. Le diagnostic comprend la détermination de l'
état
mental de l'inculpé et du rôle joué par les lac
implement qu'il n'y a ni crime ni délit lorsque le prévenu était en
état
de démence au moment de l'action; que le moL«re
êtes, et tous, comme un seul homme, ne consentiraient pas qu'un tel
état
de mépris général continuerait d'exister. La fa
ancolie récidivantes, englobant ainsi dans une même entité tous les
états
d'excitation et de dépression qui n'appartenaie
a permis de montrer que la manie et la mélancolie, loin d'être des
états
contraires comme on le croyait généralement, so
tre des états contraires comme on le croyait généralement, sont des
états
homologues caractéri- sés l'un et l'autre par l
ésentent à la fois des symptômes de ma- nie ou de mélancolie, des «
états
mixtes ». La folie maniaque-dépressive peut don
r la répétition, l'alternance, la juxtaposition ou la coexistence d'
états
d'excitation et dépression ». (Deny et Camus).
in a enrichi cette psychose de la description des étals mixtes. Ces
états
mixtes se rencontrent principalement au moment
ts mixtes se rencontrent principalement au moment du passage d'un
état
mélancolique à un état maniaque, ou inversement ;
ent principalement au moment du passage d'un état mélancolique à un
état
maniaque, ou inversement ; ils peuvent encore s
n état maniaque, ou inversement ; ils peuvent encore se montrer à l'
état
isolé et constituer tout l'accès du malade.Dans
ontrer à l'état isolé et constituer tout l'accès du malade.Dans ces
états
, les symptômes jusqu'ici rapportés à la manie e
e de l'excitation et de la dépression ». Kraepelin a décrit les six
états
mixtes suivants : la manie coléreuse ; la manie
xcitation et de dépression de la démence précoce. Le diagnostic des
états
mixtes peut être très difficile. Le pronostic s
ciles de la pathologie mentale, à cause des fréquentes variations d'
état
chez le même individu d'un moment à l'autre, à
iable que dans cette maladie il y a des rémissions, des retours à l'
état
normal. J'appuie cette affirmation sur une stat
abord l'existence des étals mixtes si bien étudiés par M. Krâpelin,
états
de beaucoup les plus nom- breux, dans lesquels
simples récidives. Il faut distinguer aussi avec soin d'a- vec les
états
vraiment périodiques les affections mentales do
rent bien le rapport intime existant entre la maladie du coeur et l'
état
psychique. Chez nos deux premiers malades, des
pressifs sont cependant les plus fré- quents et peuvent exister à l'
état
isolé. Quelle que soit la forme revêtue.par les
at isolé. Quelle que soit la forme revêtue.par les perversions de l'
état
mental, excitation ou dépression, il ne s'agit
me alimentaire chez l'homme, la clinique, permettent de rattacher l'
état
de santé à la maladie de Basedow par toute une
acher l'état de santé à la maladie de Basedow par toute une série d'
états
intermédiaires de ner- vosisme : hyperthyroïdie
r les manifestations qualifiées d'hystériques. En se basant sur l'
état
constitutionnel et les aptitudes psychiques du su
sidérée comme une diathèse prenant, en général, son origine dans un
état
constitutionnel du système nerveux, le nervosis
sociales des individus (hystérie infantile, hystérie féminine). Les
états
hystériques dérivent par des transitions insen-
er montre l'importance des causes morales pour le développement des
états
hysté- riques et considère même l'hystérie comm
elé près d'une jeune fille de ferme, qui présentait de la fièvre. L'
état
général était satisfaisant, je pensai à la grip
nce de l'hystérie. Il est im- possible de modifier par suggestion l'
état
des réflexes tendi- neux, cutanés, pupillaires.
es réactions qui ne sont plus usitées chez l'individu normal qu'à l'
état
ru- dimentaire ; quelques-unes d'entre elles ne
t-être plus intenses, mais non différentes de ce qui se produit à l'
état
normal. Seulement il s'y ajoute quelque chose e
s'y ajoute quelque chose et c'est ce quelque chose qui constitue l'
état
hystérique. C'est qu'une fois produit il a tend
produit il a tendance à persister (idée ou accident somatique), Cet
état
ainsi fixé amène, suivant le degré de l'ac- CON
de sommeil d'inhibition, d'engour- dissement peu importe le mot cet
état
hystérique es- sentiellement caractérisé par de
de l'amoindrissement de l'ac- tivité cérébrale, en ajoutant que cet
état
a une tendance à res'er le même une fois produi
ment de l'écorce cérébrale, qui a tendance à rester fixé dans les
états
de moindre activité où il se trouve amené par dif
é des antécédents héréditaires de Rousseau, \I. Régis insiste sur l'
état
neurasthénique constitutionnel dont Rousseau a
quel s'associait un assez fort degré d'artério- sclérose. Voilà son
état
pathologique fon- damental. Mais il y a eu autr
uni- cations très intéressantes sur la pression sanguine dans les
états
épileptiques et sur les moyens de rappeler à la v
n en- fant né à terme et ayant survécu deux ans, en présentant un
état
de contracture permanente des membres et du tronc
ar d'une part il existe dans l'iiitérieui du ganglion des fibres en
état
de dégénérescence et plus lard régénérées telle
connaissabbles. C'est ainsi que la couche moléculaire, tapissée à l'
état
nor- mal par quelques fibrilles à peine visible
ces psychoses; qu'en tout cas,la méthode a l'avantage d'éclairer l'
état
mental du mala- de et exerce sur la maladie une
'alcoolisme ou de l'hystérie est bien un trouble pro- dromique de l'
état
de mal. Pour noter les troubles visuels colorés
de laquelle se trouve une figure grimaçante. Motet rapporte qu'à l'
état
de symptômes précurseurs ce sont les hallucinat
épilepsies larvées mais elles peuvent aussi, sous l'influence de l'
état
hallu- cinatoire, se montrer comme symptôme pré
chniques histologiques nouvelles, il nous semble difficile de faire
état
des recherches anté- rieures à la conception de
nées déjà acquises, avec des différences provenant sans doute de l'
état
de délire aigu dans lequel sont morts les malad
Leroy les auteurs disent que « l'aspect de l'écorce rapprochée de l'
état
de dégénérescence grais- seuse massive du foie,
immédiates développées au. moment même et au cours de la période d'
état
de la maladie ; atrophie du neurone avec évolut
compte du receveur central de la Seine. Le mandat sera appuyé d'un
état
nominatif des fonc- tionnaires au nom desquels
le préfet, au nom du trésorier général, à des époques fixes, avec
états
détaillés à l'appui..... Le Directeur général de
égimes impossibles, on leur a in- culqué des idées fausses sur leur
état
. La psychothérapie peut les guérir très vite' :
lorhydrate de morphine mériterait donc d'être consi- déré, dans les
états
anxieux qui masquent le fond psychique et rende
des observations récentes,par lesquelles il est démontré qu'entre l'
état
mental normal et l'état mental mor- bide les di
s,par lesquelles il est démontré qu'entre l'état mental normal et l'
état
mental mor- bide les différences ne sont souven
utre côté la psychiatrie apprend à connaître des symptô- mes et des
états
psychiques dans de telles proportions et dans une
ines déviations mentales du délinquant ou du moins se rattache à un
état
mental morbide ? Et bien, que les doc- CONGRÈS
ns leur forme primitive, que..peu de défenseurs, la législation des
états
mo- dernes civilisés admet de nos jours à peu p
discipline sont tous des psychiatres. La descendance, le milieu, l'
état
mental et phy- sique de l'enfant criminel ou mo
s existent chez beaucoup d'au- tres malades qui n'ont pas du tout l'
état
mental hystérique, je crois qu'ils peuvent se d
er la même analyse non plus sur les symp- tômes isolés,mais sur les
états
hystériques, sur les périodes de la vie pendant
eler suggestion mais qu'il faut une modification générale de tout l'
état
nerveux CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. 2
Du reste, les exemples ne sont pas rares de forces qui existent à l'
état
de fonction de la matière, sans la modi- fier q
disponible. C'est cette proposition que nous' allons démontrer.A l'
état
normal, le potentiel du système nerveux est rép
soit dans la sensibilité cutanée du sujet. Si nous considérons l'
état
psychique des hystériques, nous ver- rons égale
ns l'état psychique des hystériques, nous ver- rons également que l'
état
psychique peut être troublé par des va- riation
er proportionnées pour que l'individu soit normal. Nous avons à l'
état
normal, comme régulateurs de l'état psychi- chi
u soit normal. Nous avons à l'état normal, comme régulateurs de l'
état
psychi- chique, deux grandes fonctions qui doiv
consiste essentiellement en ceci : l'hystérie est constituée par un
état
d'activité moindre depuis la légère diminution ju
e n'est donc que l'exagération de ce qui se produit constamment à l'
état
normal, avec cette différence seulement que l'i
définiment. Qu'on appelle engourdissement, sommeil, inhibition, cet
état
de l'écorce, peu importe (1), l'essentiel est de
tion s'arrête, il semble au sujet qu'il tourne en sens inverse, ces
états
anesthésiques sont en relation avec des variation
les nerfs de la huitième paire. Ces troubles s'accompagnent, dans l'
état
normal, de nystagmus dit de rota- tion. Lorsque
ge de la cavité et des parties molles. Malgré cette intervention, l'
état
général de la malade s'aggrava elle présentait
chro- matolyse. Pour les fibres, les gaines myéliniques étaient à l'
état
vacuolaire et les cylindraxes irréguliers et dé
nne. Mme Lachize, modiste, âgée de quarante-cinq ans, était dans un
état
de santé mentale que son internement dans une m
ans la tête et se jeta par la fenêtre de lepr appartement commun. L'
état
de la mère et du fils est désespéré. (L'Aurore
- tata une fracture du lémur gauche et du bassin et déclara que l'
état
était très grave. (Bonhomme normand, juin.) Un
s elle cher- che toujours à les justifier ; elle les attribue à son
état
temporaire d'inconscience ou à la « faiblesse d
elle se trouve à la campagne ; mais après, tout revient au premier
état
; la malade va dans une grande ville et y mène
ce que les résultats immédiats ob- tenus parla coquetterie même - l'
état
d'excitation se- xuelle chez l'homme - donnent
d'origine différente. On observe ce phénomène très souvent dans les
états
d'excitation psychique générale (état maniacal)
nomène très souvent dans les états d'excitation psychique générale (
état
maniacal); le même phénomène se produit sous l'
e rien concernant les anomalies sexuelles en général. L'examen de l'
état
psychique et physique du malade a donné les rés
r à la Sibérie, aux forçats qui y travaillent et c'était toujours l'
état
intérieur, psychique des CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
tes) ; au bout de quelques minutes,le malade se trouvait dans un
état
très agréable d'excitation sexuelle qui s'augment
ten- dances sexuelles normales très intenses. La description de l'
état
psychique dans lequel se trouvait le malade pen
s ins- tructive à ce point de vue ; elle montre nettement que cet
état
est bien conforme à celui d'un adolescent pas-
ligotés. Faire descendre une femme de sa haute position sociale à l'
état
d'un détenu ligoté, dont on peut disposer libre
raits d'une comtesse, comme femme. Nous avons comparé plus haut l'
état
psychique du malade à un état érotique très exa
mme. Nous avons comparé plus haut l'état psychique du malade à un
état
érotique très exagéré d'un adolescent normal. P
n'aurait pu manquer d'être- frappé par ce fait que pour apprécier l'
état
du cerveau, c'est bien souvent à l'ensemble des
us d'un concours commun. Tout le monde trouvera son compte à un tel
état
de choses ; les chaires de psychiatrie y recrut
ilité du médecin et dont le plus grand nombre est et restera hors d'
état
d'acquérir une véritable instruction. Si ces an
ants arriérés et des instables. Les arriérés, sont, il est vrai, en
état
de débilité mentale, ils ne possèdent qu'une in-
let 1893. 288 LÉGISLATION. pourrait le plus souvent les mettre en
état
de ne pas être, durant leur vie d'adulte une ch
rtout PROJET DE LOI. 291 dans certaines régions en raison de leur
état
de débilité et d'instabilité. " On pourra tou
n, couché sur un drap ten- du au travers de la baignoire. Exitus en
état
de marasme le 26 février 1905. L'autopsie nou
'intermédiaire d'images représenta- tives ; elles se représentent l'
état
qu'elles désirent reproduire. M. Paul Fartez.-
pondance se fait par son intermédiaire Chaque année, il présente un
état
de la caisse, et ses comptes de gestion sont vé
port aux mobiles qui entraînent l'homme pourqui ils constituent à l'
état
normal des moyens de délense suffisants. Ces
a coupe aux lèvres et rien ne permet d'espérer qu'aujourd'hui, vu l'
état
actuel do nos finances françaises, nos législateu
y a quinze ans, une période vaguement délirante, réduction de son
état
actuel. Un amant, d'un rang supérieur au sien, et
ontact de l'actif pourvu de son imminence morbide. La genèse de l'
état
délirant s'est donc faite, chez le sujet passif,
psychique héréditaire, mais encore de cette même dia- thèse dans un
état
d'activité. II. Marie Forel est restée au servi
nes d'au- tomatisme se sont emparés d'elle et la font vivre dans un
état
de passivité. « Elle a toujours été beaucoup pl
y suis plus. » La malade dit ceci avec hésitation, par suite de son
état
de doute et de malaise, mais sans réticence.
environ un tiers de litre d'alcool à brûler, elle est jetée dans un
état
de nar- cose dont elle estime la durée à trois
é. 7° Le plus curieux de ses changements consiste dans un certain
état
de doute au sujet de ses tourments passés. 346
utre part ne pouvait se tromper en la conduisant chez les folles, l'
état
de doute avait été préparé par l'optimisme et l
ur favoriser mo- mentanément, grâce aux conceptions énoncées, cet
état
de doute. 8. Nous avons dit que le délire nous
la- cement. C'est une femme assez grande, bien constituée, en bon
état
de santé générale ; d'une mise très correcte, e
venger ou se tuer parce qu'elle n'a plus rien à espérer.Le premier
état
émotif semble être, d'une ma- nière générale, c
retenu par la multiplicité de ses interprétations, qui engendre cet
état
. En vain donc on chercherait chez elle l'idée p
L'affection a débuté vers 1902, nous a dit la soeur, et, depuis, l'
état
délirant n'a fait que s'aggraver. D'ailleurs, l
ïncidence ? ou bien y a-t-il une relation quelconque entre les deux
états
,comme le pense con- jecturalement le Prof. Recl
elle est la pathogénie d'une telle affection, ne serait-ce point un
état
congénital ? L. VA II L. XXVI. Le mécanisme d
ut donner de l'hystérie, la définition suivante : l'hystérie est un
état
psycho-pathologique caractérisé par l'hyperimpr
s ; démence progressive.Deux ans avant la mort (à 41 ans), après un
état
de crises, hémiplégie gauche qui présenta const
lle est associée avec des lésions dégénératives de la glande dont l'
état
des cellules révèle le non fonctionnement (Observ
des praticiens des plus distingués eussent commis des erreurs. Ces
états
semblent. eux aussi,dus à une absence de contrô
autrefois s'accumuler dans les hô- pitaux se rencontrent encore à l'
état
sporadique chez des prédispo- sés. L'isolement
une rééducation psychique et physique soit par la suggestion à l'
état
de veille soit, pour détruire l'idée fixe, à la s
nt,cette faiblesse devrait également se manifester au même taux à l'
état
de veille. Neuf fois sur dix, c'est à un sommei
d sommeil,en éliminant l'action des centres cérébraux qui pendant l'
état
de veille règlent les fonctions vésicales, tran
evra affirmer l'exis- tence de l'exagération de réflexe et en faire
état
pour le diagnos- tic que si on constate d'autre
e ne serait que pour éviter de confondre la neurasthé- nie avec les
états
qui lui ressemblent et dont le pronostic est tout
fonctions de l'audition et celles du sens de l'es- pace ainsi que l'
état
de la région mastoïdienne, du fond de l'oeil et
de la position des membres; céphalée à gauche. Accès d'angoisse ;
état
cachectique. Pas d'hystérie. II. Femme : 29 ans
e ne pouvait être mise en cause, d'après l'anamnèse, l'évolution, l'
état
psychique,tant dans le cours que dans l'interva
ar Etienne. (L'Encéphale, 1907, n° 7.) Hémiplégique présentant un
état
permanent de contracture ac- tive, d'hypertonis
laire s'est produite à la faveur de cette contraction continue. Cet
état
s'écarte complètement de la contracture post-hé
ïdienne sur le développement de la polysarcie. F. T. LV. Note sur l'
état
actuel de la pellagre dans les Landes. Un cas d
observer, impossibles à simuler. Dans l'épilepsie larvée, dans les
états
hystéro-épilepti- ques, la recherche de ces sym
a terminaison par le sommeil, le retour plus ou moins brusque à l'
état
de santé, la fréquence de l'absence de récidive.
sification bien établie, que les auteurs estiment prématurée,' en l'
état
actuel de nos connaissances, on peut, en utilis
ggestibilité, d'automatisme, comme les sujets hypnotisés. Entre cet
état
d'hypnose et le moment où le cerveau reprend se
ccompa- gnent et que l'on croyait être des effets. La colère est un
état
psychique où domine l'exaltation du tonus vital
es (af- fection, bonté, pitié) ; ils agissent tous à l'inverse de l'
état
psy- chique et des forces dégagées par les mobi
e fonction, qu'il est responsable. Le fatalisme le nie ; mais notre
état
social et nos lois sont basés sur le libre arbitr
dé- veloppement). Les effets de ces altérations ont trait : 1° à l'
état
de la responsabilité, irresponsabilité dans le
tre tout leur.soin à laisser créer ou rétablir et entretenir en bon
état
les modestes pelouses et parterres qu'on a pu i
amen objectif (8 octobre 1903) a donné les résul- tats suivants : l'
état
généra ! de la nutrition est bon ; pas de trou-
urs, j'ai reçu du malade une lettre dans laquelle il me dit que son
état
s'est aggravé ; qu'il marche avec peine et qu'il
OISONNEMENT PAR LES HOMARDS CONSERVÉS EN BOITE. 405 suivants dans l'
état
du malade par rapport aux examens précé- dents
esthésie vibratoire. L'ataxie et le signe de Romberg ont disparu. L'
état
général du ma- la(le est tout à fait satisfaisa
on de la température, l'affaiblis- sement des forces, troubles de l'
état
général) et s'accom- pagne d'une hémorragie int
de ses accidents gastro-intestinaux, bien que le deuxième jour, son
état
eût été si grave que les médecins craignirent p
ZlIr pellclo-tabe, f)eufs rncctic.l'ochcnsclu ? 1S91, p.1 007. DE l'
état
de MAL épileptique. 41U Quant à notre malade,
infectieuse ait pu provoquer tiès facilement la polynévrite. De l'
état
de mal épileptique ? Idiotie congénitale aggrav
tant sur lecôté droit. Signes de méningite. Epilep- sie. Mort en
état
de mal. Sclérose atrophique et mé- ningo-encéph
le père cbL mort d'une fluxion de l, poitrine, en 1902. < DH l'
état
de MAL épileptique. 421 Pas de consanguinité ;
nte de paralysie infantile. - L'enfant n'a présenté aucun accès, ni
état
de mal jusqu'à son entrée à la Fondation (3 ans
avant les premières convulsions, il s'agit vraisemblable- ment d'un
état
congénital aggravé par des convulsions. Ce n'es
. Elle ne reconnaissait à ce moment que son père et sa mère. DE l'
état
de MAL épileptique. 423 Elle fut alors examin
s de mai après une coqueluche bénigne. Etat actuel (17 mai 1901). L'
état
général est bon, pas de pâleur, ni adipose, ni
l'accommodation. L'examen fonctionnel est impossible étant donné l'
état
in- tellectuel de la malade. Nez droit, petit
'inférieure. Palais à voûte arron- die, voile normal ; dents en bon
état
, pas de caries, maxillaires normaux, articulati
on anale glabres. Membres supérieurs et inférieurs glabres. DE. L'
ÉTAT
DE MAL ÉPILEPTIQUF. 4.2Î I Traitement : Bains s
sme ; exercices de la marche ; douches et bains. En juillet 1901, l'
état
de l'enfant reste stationnaire. Son vocabulaire
ne poupée ou un chiffon. 1902. Janvier. L'enfant reste dans le même
état
; la parole n'a fait aucun progrès ; les jambes
aines.Les accès sont moins fréquents qu'au printemps der- nier et l'
état
général est relativement satisfaisant, mais ce-
prouvent de violentes secousses cloniques et se recroducvil- . de l'
état
DE MAL l : l'ILI'l'1QUG. 42'.) lent ; les paupi
u le dernier soupir, sans râles, ni cris. Pendant la durée de son
état
de mal, c'est-à-dire en 18 heu- res la malade a
ccipital ; en arrière les circonvolutions sont plus maigres. de l'
état
de MAL 1 : 1LG1'rIQIiC. 431 Hémisphère gauche :
ant, qui n'avait pas eu d'accès d'épilepsie chez elle a une sorte d'
état
convul- sif ; l'épilepsie véritable semble débu
et en 1906. V. Au mois de sep- tembre 1JU(i il est survenu un
état
de mal épileptique qui va nous permetlrc d'en
va nous permetlrc d'entrer dans quelques considérations. VI. L'
état
de mal épileptiqtte, nous le rappe- lons, est
e reparait pas, un second accès apparaît, la température s'élève, l'
état
de mal est-constitué et la mort peut arriver. (
s'élève de nouveau, ces deux circonstances peuvent se produire : l'
état
de mal se termine par la mort avec unélévation
e s'est abaissée 3 3-1. La mort est survenue après 229 accès. Ici l'
état
de mal ne s'est com- posé que d'une période con
aux « formes cliniques de la folie » et à l'étude médico-légale des
états
mentaux douteux. La première partie passe succe
s mentaux : les seules formes intermédiaires connues sont certains «
états
psychologiques qui se développent sur un fond n
nctive et appétitive, l' « insuffisance dans la persévérance » de l'
état
maniaque est opposée, un peu schéma- tiquement,
eu schéma- tiquement, à l' « insuffisance dans la résolution » de l'
état
mélan- colique. L'historique est très sommair
ils n'igno- raient aucun des caractèles psychologiques communs aux
états
extrêmes ; ils n'ont pas non plus méconnu les p
amen des malades à distance des accès et par la reconstitution de l'
état
psychique habituel antérieur à la première manife
manie et dépression son toujours conjuguées, pour quelles causes, l'
état
dépressif est-il, dans certains cas, assez cour
de la femme,... trouble affectif à début lent, mani- festé par des
états
d'agitation et d'angoisse qui soumettent la mal
raits les moins ' caractéristiques qui- distinguent cette forme des
états
dépressifs de la psychose mani-dépressive. La
qui conduisit à rapprocher les troubles mentaux par obsessions des
états
différenciés par Krse- pelin sous le nom de « f
lles ; le diagnostic est alors difficile, d'une part, avec certains
états
hystériques et épilep- tiques, d'autre part, av
ertains états hystériques et épilep- tiques, d'autre part, avec des
états
catatoniques et paranoïaques. La définition sui
és. finir par conclure ainsi : « Y avait-il, au moment de l'acte, l'
état
psychique auquel la conception populaire du dro
n posée par le législateur. » Dans les`deux derniers chapitres, l'
état
mental au point de vue pénal, au point de vue c
naissances psychiatriques étendues leur permettant t de constater l'
état
mental des condamnés au moment de leur arri- vé
ment serait abrégée ou prolongée selon l'amendement constaté dans l'
état
du détenu. Il ne prendrait fin que par une déci
n culot de centrifugation suffisant). * G. DENY. II 1. - Un cas d'
état
de mal épileptique traité par la ponction lomba
L'hypertension du liquide céphalo-racliidien étant la règle dans l'
état
de mal épileptique,les ponctions lombaires répété
ner à Maréville, ils auraient donc eu affaire dans ces formes à des
états
para-dysentériques d'après la nomenclature de L
quelques-uns des réflexes tendineux sont encore conservés, même à l'
état
faible, ils s'accentuent et peuvent même devenir
le trau- matisme a occasionné la P. G. sans qu'il puisse être fait
état
d'une prédisposition impossible à affirmer avan
urs normal des idées, très tenaces ; elles constituent un véritable
état
de besoin psychologi- que ; elles sont conscien
ion forcée se rattacheraient t les « manies » les plus diverses, un
état
général de revue de pathologie mentale. 11J3
plus peut- être en relation avec la mentalité dU'sujet qu'avec son
état
physi- que. La maladie débute à tout âge; mais
guérir. Trois théories ont cherché jusqu'à présent à expliquer cet
état
: celle de l'idée obsédante, presque abandonnée
te dernière est inconsciente. Le psychasténique a conscience de son
état
; le mélancolique ne l'a généralement pas ; l'hys
eule, comme l'alcoolisme ou la syphilis, d'engendrer les différents
états
d'idiotie chez les des- cendants. Sur 14 cas d'
ujours curables, constituant un syndrome bien défini, lié soit à un
état
fonctionnel, soit à une maladie organique défin
essée à un de ses camarades,est sujet à des crises consistant en un
état
d'inquiétude générale avec crainte de tomber, e
alternants ou maniaques-dé pressifs prendrait place l'ensemble des
états
qui représentent les plus saillantes manifestat
riosus, démens, insanus, mente cap- tus, alienatus mentis. Tous ces
états
impliquaient, au point de vue pénal, une seule
ence de la sec- tion expérimentale des racines postérieures sur l'
état
des neu- rones périphériques. Contribu- tion
Charpentier, p. : n6. Hystériques. L'ne - incendiai- re pendant l'
état
, somnambu- lique, par Cullerrc, p. 97. Ictus.
ortant sur le côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en
état
de mal. Sclérose atro- phique et méninge-encéph
ment des sciences, par Béril- lnn, p. 307. Pellagre. Note sur l'
état
actuel de la dans les Landes. Un cas de - ave
importance de la numération, par Lamelle, p. 454. Un cas <; d'
état
de mal épileptique, trai- té par la par Picheno
Cette nouvelle série de conférences sera consacrée à l'étude des
états
psychopathiques encore communé- ment désignés s
périodiques, de folies à double forme, alterne , circulaire , etc.,
états
que l'on tend aujourd'hui, à la suite des trava
clat ; La 3° période est caractérisée par la synthèse de tous les
états
habituellementdécrits sous les termes de ma- ni
eux étals en apparence aussi disparates, aussi discordants, que les
états
maniaques et les états mélancoliques, les ancie
aussi disparates, aussi discordants, que les états maniaques et les
états
mélancoliques, les anciens nmnigraphes, y compr
'évolution peut être annoncée et prédite à l'avance, la plupart des
états
syndromiques, considérés jusqu'alors comme de v
tes la même évolution, il était plus logique de considérer tous ces
états
comme les manifestations, les équivalents d'une
dies mentales, comme forme clinique indépendante, et que tous les
états
d'excitation décrits sous ce nom relevaient de
lui de la mélancolie d'involution sénile ou présénile. Quant aux
états
dépressifs de la jeunesse ou de l'âge mur, qui
duit Kroepelin à réunir et à grouper sous une seule étiquette, les
états
psychopathiques considérés avant lui comme auta
s communément dé- crits sous les noms de «manie simple» et tous les
états
mélancoliques qui ne sont pas des mélancolies d
, la manie et la 2%élaico- lie intermittentes, etc.,ne sont pas des
états
spéciaux et qu'elles ne diffèrent en rien de la
reconnaître, d'après l'examen des diverses for- mes isolées de ces
états
, si l'on se trouve en présence d'une manie ou d
effet, de nous objecter que, même s'il était démontré que tous les
états
d'excita- tion et de dépression sont suivis de
itation du maniaque et la dé- pression du mélancolique existent à l'
état
d'ébauche chez tous les sujets. Comme l'a trè
si nous n'étions pas tous, quelque degré, des circulaires, et si l'
état
patho- logique qui constitue la folie périodiqu
ieurement, je me borne à les signaler : c'est d'abord l'existence d'
états
maniaques-dépressifs nzix. tes entrevus autrefo
fois par Guislain,mais décrits pour la première fois par Kraepelin,
états
dans lesquels les phénomènes d' excitation et d
ux de ces derniers qui appartiennent à la mélancolie d'involution),
états
qui sont encore décrits séparément sous les rub
folie maniaque-dépressive, qui comporte seu- lement trois groupes d'
états
différents, reliés, il est vrai, entre eux, par
vrai, entre eux, par de nombreuses formes intermé- diaires : des
états
maniaques, des états dépressifs et des étais mi
ar de nombreuses formes intermé- diaires : des états maniaques, des
états
dépressifs et des étais mixtes. Dès maintenan
RIE PAR LA LIGATURE ÉLASTIQUE. 10 juxtaposition ou la coexistence d'
états
d'excitation et de dépression. Ainsi que l'in
es alternatives d'amélioration et d'ag- gravation. Quant au reste,l'
état
général est satisfaisant, le sujet est grand, f
n du liquide céphalo- rachidien est généralement augmentée dans les
états
d'irritation, dans les paralysies générales et
Devay. (Lyon médical, 8 au'il 1900. p. 715.) Pour JI. I)evay,lcs
états
compulsifs ne seraient que des phéno- mènes de
ales, ne se traduisant clini- quement. par aucun symptôme. Dans ces
états
, on a cherché, le Prof. Pierret entre autres, à
itial, les colères, les accès de mauvaise humeur, de tristesse, les
états
crépusculaires comme l'automatisme ambulatoire,
erve, avant d'arriver à cette forte dose, une modification dans les
états
crépusculaires de la conscience. La médication co
(Boston med. surg. journ., 15 juin 1905.) Les auteurs ont soigné l'
état
de mal par des injections hypoder- miquescl'une
n'est applicable que lorsque les accidents aigus sont calmés, que l'
état
est devenu stable : il faut d'abord une premièr
sion cellulaire ré- parallle, qui leur a paru liée, d'une parla a l'
état
cuto-toxiqne ré- ARCIllVES,2- série, 1POG, L. X
s rapportés, soit que les signes subjectifs aient été masqués par l'
état
démentiel, soit que les signes physiques aient
les fonctionnels de l'hypophyse (lrowUich-L'uchs/ ;8° dans tous les
états
mor- bides susceptibles de produire l'hypérémie
pophyse accompagnées des graves faits ,légénératif ? surtout dans l'
état
de cachexie acromégalique dans lequel la glande
de chromatolyse surtout diffuse, des corps cellulaires re\ enus à l'
état
rond, d'autre'- surchargés de pigment jaune ; les
seraient les plus nombreux ; ils rattacheraient insensiblement cet
état
à la poliencéphalile et autres malades du bulbe
- Contribution à l'étude des troubles physiques particuliers dans l'
état
de stupeur ; par les 0" Sou- KANOFF et PETROFF
s, idées de persécution, confu- sion etc.) bientôt remplacés par un
état
de stupeur qui dura 18 mois. Pondant cette phas
plus de l'affaiblissement intellectuel qui vient d'être signalé, un
état
délirant vague, peu retentissant, mais pro- voq
aisemblable ou à l'absurde. Le délire d'interprétation n'est pas un
état
démentiel : les erreurs de jugement ne sont pas
Iéchlomlisalion definitivequelors- que le malade a été mis ainsi en
état
de la supporter. P. Tissot. X. Les ivresses dél
que chronique. Si, au point de vue pénal, les actes commis dans un
état
d'ivresse volontaire excluant l'imputabililé doiv
nt être considérées comme pénalement irresponsables des suites d'un
état
délirant dont elles n'ont en rien déterminé ou
s (dysarthrie, tremblement de la langue, troubles de l'écriture). L'
état
maniaque a disparu, mais les autres troubles on
cles autres affections de l'organisme. L. WAUL. XV -Psychose de l'
état
puerpéral ; par M. Georges CAR- RIER. (Soc. Méd
lIop, de Lyon 11 avril 1905.) Observation d'un cas de psychose de l'
état
puerpéral, chez une femme de 38 ans. Les phénom
fOl'll1ediniljlWCOil- fusion mentale hallucinatoire caractérise les
états
anlitoxiques. 3° Dans une terminaison qui corro
ératif. Au point de vue de la pathogénie de ce cas de psychose de l'
état
puerpéral, l'auteur pense que l'élément essenti
ent essentiel est ici l'épuise- ment qui a créé dans l'organisme un
état
anliloxique spécial, dé- terminé suivant Kraepe
ermique et celle du pouls. Celle-ci, en effet, pendant la période d'
état
delà maladie a montré le tracé d'une véritable
entaire se différenciant en son milieu pour former la fibrille. A l'
état
pathologique, la différenciation disparaît, mai
nd auweu formulé tout à l'heure par M. Rocher. La production de l'
état
hypnotique permet d'oblenirla réalisa- tion d'a
s : 1° placer le sujet dans de bonnes condi- tions pour être mis en
état
d'hypnose : "° bien l'hypnotiser en choisissant
IÉTÉS SAVANTES. précautions voulues pour bien amener le passage à l'
état
d'hy- pnose et le passage de l'état d'hypnose à
pour bien amener le passage à l'état d'hy- pnose et le passage de l'
état
d'hypnose à l'état de veille : 4° laire les sug
passage à l'état d'hy- pnose et le passage de l'état d'hypnose à l'
état
de veille : 4° laire les suggestions courtes, p
savoir quelle place on doitattribuer,dans une classifica- tion aux
états
mélancoliques qui ne peuvent rentrer dans aucune
tituent-ils une forme morbide spéciale ou sont-ils symptomatiques d'
états
organiques mal connus pour lesquels le terme «
que les auteurs ont en vue, qu'ils parlent de mélancolie pure ou d'
état
mélancolique dans lequel le syndrome mélancolie
France par Sérieux et Capgras, pour rattacher la mé- lancolie à un
état
organique déterminé, l'involution sénile, dont
en prennent certains sujets. Pour la description des symptômes, les
états
mélancoliques sont réduits à deux formes : sans
e l'image mentale ; ce senties « idées autochtones » de Werniele, -
état
faible, -qu'il il fautséparer de l'hallucinatio
Werniele, - état faible, -qu'il il fautséparer de l'hallucination,
état
fort. Les signes physiques sont ensuite passés
on analyse les troubles élémentaires de l'esprit communs à tous les
états
mélancoliques. Il s'adresse pour cela il des méla
mélancolie : le malade soutire. Mais il faut considérer dans cet
état
deux choses : l'anxiété,paroxystique,et la dépres
parce que BIBLIOGRAPHIE. b7 le délire croît d'autant plus que l'
état
affectif est plus puissant ; il apparaît lorsqu
plus que l'état affectif est plus puissant ; il apparaît lorsque l'
état
affectif accapare toute la personnalité. Ce qui
persécution ; ces dernières sont rares. Elles naissent toutes de l'
état
affectif ; l'es- prit relie ces conceptions sec
irement, et secondairement le délire vient renforcer et justifier l'
état
affectif. Le chapitre IV traite du diagnostic.
e se résigne ou réa- git par lesuicide. L'auteur passe en revue les
états
qui simulent la mélancolie : par la dépression
s délirantes. Au point de vue il il convient d'envisager : 1° les
états
mélancoliques liés à des affections mentales ; 2°
, mais hien le résultat de 2 facteurs : un cerveau prédisposé et un
état
organique réa- lisé à la suite des causes énumé
puisement cérébral. Et ces troubles somatiques peuvent engendrer un
état
psychique, ce n'est pas seulement parce qu'ils
état psychique, ce n'est pas seulement parce qu'ils produisent « l'
état
coenesthésique pé- nihlo" ; la possibilité du d
rmet de ne plus voir dans la mélancolie une entité morbide, mais un
état
dû à de nombreux facteurs et réalisable dans de
ndifféremment d'un côté ou de l'autre. Mort le 2 septembre 1905, en
état
de mal. 11 z-asanas dire qu'aucune des .multipl
ieur est en outre beaucoup plus éten- due d'avant en arrière qu'à l'
état
normal ; sa paroi su- périeure est formée, en d
e l'asymétrie de développement : un espace plus considérable qu'a l'
état
normal était ainsi réservé à l'hémisphère gauch
mment observé que le vrai Argyll- Robertson, surtout à la période d'
état
. Les déformations et irrégularités pupillaires
e se rendre compte de l'existence de ce trouble visuel à cause de l'
état
du malade. La isolé, sans ictus, au début de la
mes de moin- dre importance comme Venophtalmie qui accompagne les
états
cachectiques. Même it ce moment, les r,énzis- s
altérations sans importance diagnostique et qui se rencontrent à l'
état
normal, avec les états patholo- giques. Il n'es
rtance diagnostique et qui se rencontrent à l'état normal, avec les
états
patholo- giques. Il n'est pas moins nécessaire
ion classique en trois stades se succédant régu- lièrement : début,
état
, terminaison, division que nous avons adoptée p
ous 1 unité de la science du système nerveux de l'homme, étudié à l'
état
normal et pathologique, l'unité de la neurobiol
il : Le poids spécifique du sang est légèrement augmenté dans les
états
démentiels. Dans l'épilepsie,on note,au contraire
très vite à la normale. L'alcalacence du sang s'abaisse dans les
états
toxi-infectieux el dans l'épilepsie au moment de
on ou d'une infec- tion ; 2° L'hyperglobulie est la traduction d'un
état
de con- centration moléculaire du sang ; 3" Il
tose s'observe au début des psychoses toxi-infectieuses et dans les
états
d'agitation ; 5° La mono- nucléose avec augment
tuellement pathogènes peuvent circuler dans le sang des aliénés à l'
état
de saprophytes. C'est un fait nouveau sur leque
e identiques peuvent être trouvés dans le sang des aliénés soit à l'
état
de saprophytes, soit à l'état d'agents pathogèn
vés dans le sang des aliénés soit à l'état de saprophytes, soit à l'
état
d'agents pathogènes,en sorte qu'on en arrive à
eut appeler les manifestations mé- tatoxi-in/'ectieuses. Dans les
états
mentaux chroniques de ce groupe, la même pathog
ratum anatomi- que s'édifie lentement et on conçoit que ce sont des
états
mentaux dépendant non seulement de la sénilité
ou l'exercice, le régime lacté ou mixte, les troubles vasomoteurs (
états
émotifs, hallucina- tions), etc. Il faudra teni
s je pense qn'il faut, pour édifier une formule leucocytaire d'un
état
psychopatique, étant donné les contingences, les
nventionnel, l'âge de 60 ans par exem- ple ; la sénilité indique un
état
pathologique, que l'on rencontre presque toujou
lus tard, soit beaucoup plus tôt que le début de la vieillesse. Cet
état
peut aussi se constater à un degré très variabl
diminuée que la substance grise. Des dilatations périvascu- laires (
état
criblé ou dilatations isolées) paraissent tenir
nile » ; 4. des foyers de désintégration lacunaire. 5. des foyers d'
état
vermoulu ; 6. de gros foyers de ramollissement
e des cellules nerveuses seraient ainsi la conséquence de multiples
états
patholo- giques plutôt que l' « involution » ph
rès exclusives à la sénilité : les lacunes de désintégra- tion et l'
état
vermoulu. ZD Les lacunes ont toujours une origi
oblitération artério-scléreuse ou fibro-liyaline d'un vaisseau. L'
état
vermoulu est une ulcération corticale, qui s'en-
de la prolifération névro- glique dans ces cas explique pourquoi l'
état
vermoulu coïncide d'ordinaire avec un état déme
cas explique pourquoi l'état vermoulu coïncide d'ordinaire avec un
état
démentiel assez pro- noncé et parfois avec l'ép
. Elle paraît pouvoir recon- naître aussi pour cause déterminante l'
état
vermoulu ou surtout la sclérose miliaire de l'é
itaire ou acquise,d'une aptitude convulsive. B. Psychiatrie. - 1° L'
état
mental des vieillards. - On trouve toute une sé
e. - 1° L'état mental des vieillards. - On trouve toute une série d'
états
de transition entre la conservation parfaite de
sont conservées et le malade garde très longtemps conscience de son
état
. Ces diverses variétés de troubles mentaux de l
c. Il est vrai qu'il y a dans le rapport une brève indication sur l'
état
de la réflectivité : le réflexe des or- teils s
G'est par un processus identique, mais superficiel,que se réalise l'
état
vermoulu, qu'il faut rap- procher d'une lésion
sie intermittente ; à la para- lysie générale sénile. Tandis qu'aux
états
lacunaires corres- pondent plus particulièremen
la sensibilité, de la réflectivité. Ce qui ne veut pas dire que l'
état
lacunaire n'occasionne pas la démence. Je crois p
ce propos, une distinction : pour qu'il y ait une démence dans les
états
lacunaires il faut que l'écorce soit atteinte.
s formes pa- raplégiques par ces lacunes, il faudra s'enquérir de l'
état
du cervelet. 11 n'a rien été dit de ce cervelet
troubles sensitifs, mu- tisme, accidents viscéraux, somnambulisme,
état
crépuscu- laire, etc. Le diagnostic posé, le
ssociés aux attaques : hallucinations, idées délirantes, agitation,
états
extatiques, etc., il est évident que l'expert doi
e jouet de son idée fixe. Les mêmes considérations s'appliquent à l'
état
se- cond qui n'est qu'un état somnambulique pro
mêmes considérations s'appliquent à l'état se- cond qui n'est qu'un
état
somnambulique prolongé. Danscette double vie, d
es une mentalité différente. Une hystéri- que timide à l'excès, à l'
état
normal, peut se montrer bruyante, hardie et tém
l'état normal, peut se montrer bruyante, hardie et téméraire dans l'
état
second. L'inculpé ne sera, en tous cas, déclaré
aré irresponsable que si le délit a été réellement commis pendant l'
état
somnambulique. Plus délicate est la recherche d
e est la recherche de la responsabilité dans les actes accomplis en
état
de subconscience. Ces « états cré- pusculaires
onsabilité dans les actes accomplis en état de subconscience. Ces «
états
cré- pusculaires » marquent parfois le prélude
vulsifs, réalisant ainsi un équivalent psychi- quede l'attaque. Ces
états
de subconscience avec ou sans trou- bles sensor
re acquise à tous les actes, vols ou homicides,exécutés pendant ces
états
. Si, comme cela est assez fréquent, l'expert ne
z fréquent, l'expert ne peut arriver à démontrer l'existence de cet
état
de subconscience au mo- ment del'acte, le probl
ions épileptiques, il est fréquent de rencon- trer simultanément un
état
de débilité ou de dégénérescence mentale plus o
ent l'alcool, la morphine et l'éther. L'in- toxication réagit sur l'
état
mental du malade, mais il est tou- jours possib
rticulière qu'elle diminue un peu la fréquence des attaques, mais l'
état
mental n'en demeure pas moins ag- gravé. L'expe
tout le monde est d'accord pour reconnaître que le crime commis en
état
de crise entraîne fir· responsabilité ; mais si
ectuel, l'impulsivité dans le domaine volontaire, et enfin d'autres
états
morbides, toxiques, obsédants, etc., etc., re-
crises ou de syndromes somati- ques, accessoirement à la création d'
états
psychiques qui n'ont guère de conséquences médi
tions de la force : contractures et paralysies,etc. De même leur
état
mental a toujours pour cause un manque d'équilibr
e la mobilité excessive de leur esprit, de leur passage facile de l'
état
nor- mal dans, les états seconds ; enfin de leu
de leur esprit, de leur passage facile de l'état nor- mal dans, les
états
seconds ; enfin de leur extrême sugges- tibilit
très grave. Les impulsions qui résultent,pour les hystériques,des
états
seconds dans lesquels elles se trouvent, les po
s, soit comme prévenus, il est indispensable de faire examiner leur
état
mental par un médecin spécialiste. De l'emplo
t des déplace- ments de l'aiguille que l'on constate à mesure que l'
état
du malade s'améliore. Les nombreuses formules i
et de l'anesthésie du larynx lui-même. Les muscles glottiques, en l'
état
où sont les muscles des jambes chez un grand at
ion de l'émotion primitive, ou s'il y a eu intervention d'un nouvel
état
mental. Dans le pre- mier cas, on trouve une no
depuis long- temps : à plus forte raison, leur retentissement sur l'
état
général doit-il intéresser l'aliéniste..1. Ségl
descendants, en ce qu'elle détermine directe- ment chez ceux-ci un
état
de débilité générale (arrêt de dé\clop- pement
débilité générale (arrêt de dé\clop- pement complet, mort précoce),
état
qui n'est que la conséquence des arrêts partiel
ques de la pellagre aiguë ou su- baigué. quoique restant toujours l'
état
de spores, lesquelles dé- terminent une grave e
pendant plus de 8 mois. Au boul de ce temps, la malade est mise en
état
d'hypnose et on constate aussitôt l'atténuation
d'un choc moral, mais pour disparaître encore après suggestion à l'
état
d'hypnose. Dans le second cas il s'agit d'une h
se reconnaissance, dans la seconde observation, était associée à un
état
de fatigue et a disparu avec lui. G, 1). 156
que, s'est porté plusieurs coups de couteau lans le has-venLne. Son
état
est grave. (Bonhomme Kormand, 2 juin\. - D'oit
ts, lorsqu'on peut contrôler leur diète. Ponction lombaire dans l'
état
DE MAL. Cette ponction diminue la gravité de l'
lombaire dans l'état DE MAL. Cette ponction diminue la gravité de l'
état
,s'il a hypertension du liquide cuphalorachidien
rachidien, hypertension qui s installe aussitôt après le début de l'
état
de mal. 1 au : ur : L. NÉCESSITÉ DE L'ASSISTANC
t par un docteur appelé en il il lui transporté à l'hôpital dans un
état
désespéré. En roule, il déclara que, s'il guéri
rprétation plus difficile ; d'autres, enfin, de nature épileptique,
états
de mal, dont la symptomatologie avait été modif
s sujets. A ce propos, nous insisterons sur ce dernier diagnostic d'
état
de mal, appliqué à des accidents caractérisés p
le traitement sans sel avec 4 grammes de bromure de potassium. L'
état
général des malades ne fut pas sensiblement mod
es VOIS[ ? Roger Voisix el A. Ilcyou.-I3romisme,lrouhlcc mentaux et
état
de mal épileptique au cours de la dcehtoruration
signalées en décembre. Cette fois encore, une malade fut atteinte d'
état
de mal, trois jours après cessation du régime,
tures des membres inférieurs se font avec difficulté par suite d'un
état
de contracture très exagéré. La résistance musc
fin UN CAS DE COMPRESSION DE LA MOELLE 173 qu'il est revenu à l'
état
de santé antérieur il l'accident. Si on l'exami
on médullaire consécutive à une coin-- pression », autrement dit, l'
état
spasmodique n'est pas exclusivement et nécessai
de la clinique, en raison de la diversité de . pronostic des divers
états
et de la nécessité qu'il y a, en matière d'obse
e autre, faute de quoi les éléments combinés et embrouillés de deux
états
dis- tincts pourront faire croire à l'existence
confession, d'où terreurs religieuses, peur obsédante de mourir en
état
de péché mortel, et d'èti'e assassiné au cours
re de la bière et se couche. Il passe quelques jours chez lui ; son
état
semble s'améliorer. du moins, le délire est moi
ite remarquable d'hallucinations queje présentai étant couché et en
état
de veille », dit le malade : . En octobre 1899,
net, que le malade ait été bien réel- lement, comme il l'a dit, en
état
de veille. Peu après, la scène d'éventrement pr
et de même elles dis- paraissent sans déterminer l'apparition d'un
état
nou- veau. Il ne nous reste donc plus, en deh
AITS. Réflexes. Ils ont été difficiles à rechercher, on raison de l'
état
de spasme de tout le corps : les réflexes réfut
leurs, sauf une hémianesthésie gauche. Lelendemain nous trouvâmes l'
état
de la malade très amélioré, mais nous aperçûmes
DLS MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 107 crises, ou bien si l'
état
nerveux (par hérédité) de son or- ganisme fit a
tasique-abasique, d'ago- raphobique, et l'on met sur le compte d'un
état
névropa- thique surajouté cette appréhension qu
ues de la démence précoce. La forme mélancolique se distingue par l'
état
mental parli- culier : douleur morale mal justi
es précédents. Suture sagittale. Bien que ces sutures présentent un
état
plus avancé d'ossification que les précédentes,
toujours un substratum morbide. La nymphomanie se ratta- che à un
état
constitutionnel, hystérique ou dégénératif ; il y
ant plus que les épileptiques meurent le plus souvent au cours d un
état
de mal et que les diagnostics n'indiquent pas s
e sera « détraquée » ; il s'établira aussitôt dans l'orga- nisme un
état
pathologique qui ne cessera que lorsque l'or- g
due plus ma- nifeste par l'etude de l'histoire clinique de certains
états
pa- thologiques. Elle est éminemment congestive
dans les cas où l'irri- tation spinale est sous la dépendance d'un
état
anémique, le traitement hydrothérapique devra ê
accompagnant d'ané- mie, traitées et guéries par les ferrugineux, l'
état
anémique n'a jamais été bien accentué, incapabl
n'a jamais été bien accentué, incapable par lui-même d'a- mener un
état
sérieux de dépression physique ou psychique. Le
Bussang, de Spa. Les eaux minérales qui conviennent le mieux à ces
états
neurasthéniques sont sans conteste celles de Sa
t de la colonne, ensellure lomhaire, déviations diverses du rachis,
état
normal des organes génitaux, exagéra- tion du s
e des ma- ladies. G. D. X. Paraplégie infantile, début insidieux,
état
station- naire, puis aggravation; par le Dr Bou
Dans ce dernier cas, les réflexes réapparaissent rapidement. Dans l'
état
de mal les réflexes sont souvent très actifs. D
cès, tantôt d'une façon continue. Quelques séancesde suggestion à l'
état
de veille firent disparaître très rapidement ce
s qu'il nous a été donné de recueillir d'épileptiques succombant en
état
de mal peu de temps après leur lièvre typhoïde, a
emande sera accompagnée de l'acte de naissance du postulant, de ses
états
de services, d'un exposé de ses titres, d'un ré
t pour l'application de cette dernière règle, il ne sera , pas fait
état
du juré visé au paragraphe 2 du présent article.
», ils se proposent d'étudier la contagion des actes réflexes, des
états
émotifs, des per- ceptions,des sentiments,des m
érait chez les deux malades ; de temps en temps, ils sortaient de l'
état
de stupeur qui leur était habituel et insistaie
r ce détail, qu'il trouve très intéressant et très curieux, que cet
état
de ranimation coïncidait toujours chez l'un et
pas. La maladie mentale fut la suivante chez toutes les deux ; un
état
maniaque qui,après une certaine amélioration, se
Après quoi, une période proche de la normale à laquelle succéda un
état
de dépression avec refus déman- ger. Cette phas
ger. Cette phase de dépression fut de nouveau rempla- cée par un
état
maniaque ; et deux fois les mêmes alter- native
ssait complète. Elles passaient ainsi alternativement par le double
état
diabolique et céleste ou les deux se combinaien
uvenirs des choses apprises jadis et l'agitation violente étaient l'
état
habituel ; néanmoins, il y avait, comme chez fo
s'était bien passé et que les deux jumelles se maintenaient dans un
état
très satisfaisant. Ici est notre unique cas, pe
cause de l'imperfec- tion de la technique. Pour le côté central des
états
psy- chiques, les expériences faites ont porté
- zaines. Cette méthode a cela de propre qu'elle fait appel à des
états
psychiques encore plus simples, puisqu'on emplo
les apportés par une distraction. On a voulu expérimenter sur des
états
psychiques les poisons de l'intelligence. 283
sons de l'intelligence. 283 qui se rapprochent le plus possible des
états
pathologi- ques bien connus à cause de l'influe
rritabilité émotionnelle exa- gérée. On devait expérimenter sur des
états
psychiques comparables : artificiellement provo
les jours de brome on pourrait déduire l'influence du brome sur les
états
psychiques correspondants. As Mémorisation DE
pro- priété de produire des effets très spécifiques; il laisse en
état
normal toute unesérie de phénomènes expérimentés
eizième rapport sur la situation des asiles d'aliénés du royaume, l'
état
de la mortalité générale et spéciale pendant le
ues montrent au point de vue de la tuberculose un bien meil- leur
état
sanitaire. Celles de la colonie de Gheel sontpar-
nt ce dernier auteur, les meilleurs moyens de traite- ment pour les
états
d'agitation sont : 1° un complexus de salles, g
inu- tieux pour m'édifier aussi complètement que possible sur son
état
mental et contrôler ses allégations en ce qui con
urée du congé d'essai ou il son expiration, l'aliéné pourra, si son
état
l'exige, être réintégré à l'Etablisse- ment san
ndant qua- tre mois et demi, sans aucune rémission, demeura dans un
état
de profonde dépression avec mélancolie de l'orm
de neuf ans et une fil- lette de six ans. On attribue cet acte à l'
état
neurasthénique (le Jlme Gallou. Terrible dram
a ni anesthésies ni hyper- esthésies. Pendant la journée du 8, l'
état
reste stationnaire, le ma- lade ne parle pas.
ous était pos- sible de rechercher assez minutieusement chez lui, l'
état
des diverses fonctions du langage. Pour plus de
avons fait suivre d'un court aperçu du langage intérieur, puis de l'
état
mental provoqué chez le sujet par l'apparition
ME, APHONIE, AMNÉSIE, APHASIE. 343 l'influence de la suggestion à l'
état
de veille une amé- lioration progressive des ph
bligé de le répéter en route pour ne pas le perdre ». 8 mai. Même
état
, il ne se souvenait pas ce matin du rendez-vous
tions, pas d'illusions. 7 mai. D ? est toujours très affecté de son
état
: « il y a des moments, je suis comme saisi, j'
du front. Les muscles de la joue gauche étaient également dans un
état
spasmodique plus accusé encore lorsque le malade
. Jusqu'au mois de décembre 1903, c'est à dire durant huit ans, l'
état
du bras reste stationnaire, lorsqu'une nuit, à
n temporo pariétale gauche. Non délirant, il présente simplement un
état
de dépres- sion mélancolique en rapport avec le
e disparurent progressivement sous l'influence de la suggestion à l'
état
de veille et de l'isolement. Sept mois après le
fficulté s'augmente, chez les aliénés, de la superposition des deux
états
physique et psychique et de leur retentissement
re et cardiaque, qui serait un signe prémonitoire caractéristique d'
état
de moindre résistance, a précisément été signal
e à l'existence d'une déminéralisation excessive, est commune aux
états
de déchéance qui précèdent la tuberculisation p
ires, conservent leur valeur normale aussi bien au début que dans l'
état
de tuberculose confirmée, et la nature de ces c
r- tains tuberculeux de fâcheux résultats au point de vue de leur
état
mental. Il est peut-être difficile d'isoler en-
es indiscutables (service du Dl' Boudrie) et une infirmière, dont l'
état
général, après une pleurésie bacillaire, a été
et nuit, été comme hiver, soumises au traitement approprié à leur
état
physique et entourées de tous les soins désirable
voie digestive, soit en introduisant les toxiques spécifiques il l'
état
isolé. Les toxiques sont extraits par l'eau ou
s jours l'explo- sion des symptômes cliniques caractéristiques d'un
état
de mal grave. 6° Les principes toxiques épile
plus grande partie de ce principe circule dans le plasma vivant à l'
état
latent. .1. SÉGLAS. XLVII. Quelques détails s
F. T. Ll. Ueber Fibrillenbilder der progressiven Paralysen (Sur l'
état
des neurofibrilles dans la paralysie générale) ;
) Homme de 36 ans, « qui, outre une psychose caractérisée par des
états
d'excitation el de la faiblesse intellectuelle pr
LOGIE PATHOLOGIQUES. 397 corps de Nissl,suivie de l'apparition d'un
état
vésiculeux du corps de lacellule. r1u Marchi, l
hant d'un délire systématisé parannique. Ce délire dépend donc de l'
état
mental plus ou moins élevé, plus ou moins restr
ent épaissies et renfermaient un plus grand nombre de noyaux qu'à l'
état
normal. Autour des vaisseaux il existait en out
on de l'accommodateur ne s'observe qu'à la première période, et les
états
différents à un oeil et l'autre, qu'aux phases
us de la moitié pendant les deux premiers mois. 11 suffit de voir l'
état
de misère. d'affaiblissement, de malpropreté, d
ou chaude, qui nous a donné de meilleurs résultats. « Contre les
états
d'agitation à forme maniaque, nous avons usé de
rmettent de BIBLIOGRAPHIE. 411 diagnostiquer avec précision les
états
morbides constatés chez nos malades et de mettr
un coup au sein n droit de Frances, (lui fut tué instantanément. L'
état
des trois bles- sésest grave. (« l.eJournal » ?
nterrogé Richard et sa femme et, finalement, il a mis le premier en
état
d'arrestation laissant en liberté la seconde qu
il faudrait que cet instrument nous renseignât non seulement sur l'
état
de la force, mais aussi sur le siège de la lési
multiples et compliqués, qui se combinent entre eux pour produire l'
état
de fatigue ? La fatigue physio- logique est-ell
para- mètres a, b et c, et une augmentation de //par rapport à l'
état
d'inanition,dans lequel ont été prises les courbe
'alcool, mais il diminue dans la courbe-glucose compa- rativement l'
état
d'inanition,ce dernier s'accompagnant d'excitat
, elle pèse seulement 25 kil. le 15 août. A partir de ce moment l'
état
de l'enfant s'aggrave rapi- dement ; elle maigr
limente l'enfant, lait, oeufs, côtelettes, et viande crue. 111ai. L'
état
de Cott.. est sensiblement stationnaire ; elle a
ée et tousse Loti- jours beaucoup, mais ne crache jamais. Juin. L'
état
de l'enfant ne s'améliore pas; elle a encore pe
résente comme un tissu blanc, nacré, lardacé, plus résistant qu'à l'
état
sain, et cela, d'une façon uniforme sur toutes
sme (un an). De 3 à 9 ans, arrêt de développement phy- sique. L'
état
anormal de l'enfant a été relevé par la mère dè
anique et faradique, de ces muscles. Quelques semaines plus tard, l'
état
s'était beaucoup amélioré. les réactions électr
isme d'origine psy- chique est a rapprocher des autres mutismes des
états
dépressifs; 3" Le diagnostic de ce mutisme volo
yrinlhiques. L'asthénie neuro-musculaire qui est la traduction d'un
état
d'hypotonus musculaire se rencontre chez les ve
de l'hypotonus des libres musculaires se rencontre souvent dans les
états
vertigineux et dans les maladies du cavum. C
résie droite récente, tu- berculose pulmonaire. Albuminurie légère,
état
fébrile, délire. A l'autopsie ; on ne trouve ri
e le rhumatisme chronique et la paralysie agitante est dans ce même
état
de rigidité, de soudure, d'immobilité relative et
isme semblent de- venir de plus en plus étroits. Pour l'auteur, l'
état
neurasthénique fait partie de la symptoma- lolo
sique ou mental. Parmi les psychoses, c'est à la mélancolie que l'
état
neurasthé- nique des rhumatisants a le plus de
nèse du délire hypochondriaque de négation. Pour l'auteur enfin, un
état
arthritique peut parfois être seul responsable
les variétés de rhumatismes aigus, subaigus ou chroniques, c'est l'
état
géné- ral de la nutrition qui est l'élément pri
pathogénie des psycho-névroses. M. PRII.1 on. - La timidité est un
état
psychologique quo l'on retrouve toujours il la
sance des effets de l'hypnotisme. L'être intimidé se trouve dans un
état
psychologique analogue à celui de l'être hypnot
ils sont exposés à ressen- tir se joint celle d'être constamment en
état
d'infériorité dans leurs entreprises.aussi prog
e créent en eux l'indéci- sion, l'irrésolution, le doute et enfin l'
état
d'aboulie confirmé. Une enquête minutieuse, pou
ains la disposition à l'intimidation est même si développée que cet
état
psychologique peut être con- sidéré comme la ma
GLOU (du Caire). En Turquie et en Egypte la timi- dité constitue un
état
mental endémique et héréditaire. Elle a pour ca
Toute séquestration qui ne serait pas en- tièrement justifiée par l'
état
mental de l'interné qui en est l'ob- jet, const
de réparer l'erreur etde rendre à la liberté des malheureux dont l'
état
ne comporte pas la nécessité d'un internement : i
suite de guérison, ou en raison d'améliorations survenues dans leur
état
, ou à titre d'essai) depuis le 1er novembre 1905
aiblie, qui ne sont point, à proprement parler, des aliénés, dont l'
état
ne réclame pas de soins médicaux particuliers, et
modé- rateur ou rectificateur. La superstition existerait donc à l'
état
d'élément inconscient dans le cerveau normal et
l voisine. Ainsi s'expliquent nos réminiscences, nos refrains, nos'
états
passionnels : le fils du mélancolique devient mél
, la conscience n'est pas une. Celte dislocation se montre dans les
états
d'obsessions et d'impulsions, l'automatisme, la
thologique. M. le 1)'' Paul FAREZ, professeur. Objet du cours : Les
états
de mort apparente. Les samedis à cinq heures à
, Hystériques. La lesponsabll1té des -, par Leroy, p. 124. De l'
état
mental des -, par Joire, p 133. Mutisme, aphoni
es cel- lules spinales des vertébrés, par Fragnito, p. 146. Sur l'
état
des dans la paralysie générale, par Schaffer,
p. 29. infantile, début insi- TABLE DES MATIERES. 503 dieux,
état
stationnaire, puis aggravation, par Bouchaud,
lombaire. La en médecine mentale, par Derou- baix, p. 23. dans l'
état
de mal, par Friedel. p. 158. Les - - en série
origine toxi- que, par Ballet et Laignel-La- vastiue, p. 31. de l'
état
puerpéral, par Carrier, p. 46. Contribution à
460. Troubles. Contribution à l'é- tude des - physiques dans l'
état
de stupeur, par Souka- noff et Pétroff, p. 39.
ures. Chez les vieilles femmes, en effet, surtout chez celles qu'un
état
habituel d'infirmité condamne au défaut d'exercic
up plus considérable et des parois beaucoup moins épaisses que dans l'
état
naturel : encore les parois amincies offrent-elle
ouvelle peut être distinguée du tissu «de l'os, ils sont dans le même
état
que si la fracture venait d'être opérée; que, dan
u musculaire. » (2) (1) Dans quelques cas, le ligament rond est à l'
état
de vestige; dans d'autres cas, il y a absence com
s à la formation du cal, et que ce cal est produit par le passage à l'
état
cartilagineux, puis à l'état osseux des parties m
ue ce cal est produit par le passage à l'état cartilagineux, puis à l'
état
osseux des parties molles qui sont en contact ave
ter et de la crête iliaque ; saillie du grand trochanter. Quant à l'
état
général de la malade, il est peu satisfaisant : d
e malade, je fus éloigné de l'idée d'un ramollissement du cerveau : l'
état
d'hébétude et de somnolence me parut purement sym
adducteurs, et en dehors par le couturier n'est plus applicable. L'
état
général annonce une fin prochaine : diarrhée abon
premier comme dans le deuxième cas, une cavité cotyloïde ancienne à l'
état
de vestige, une cavité cotyloïde nouvelle plus ou
eurs années d'ancienneté. La cavité cotyloïde ancienne, déformée, à l'
état
de vestige, n'est pas beaucoup plus apte à recevo
ord antérieur de l'os ilion avec le corps du pubis, tandis que,dans l'
état
naturel,cette union se fait à angle très obtus. C
, bien loin d'être atrophiée, m'a paru plus épaisse encore que dans l'
état
naturel, ce qui tient sans doute aux tractions co
vision dite des gâteuses), observée le i3 octobre i832, me présente l'
état
suivant : Hémiplégie du côté droit ; évacuation
blir le côté gauche. La malade, qui rend parfaitement compte de son
état
, assure que depuis l'invasion de la maladie, elle
nt endolorie; la malade porte une hernie inguinale du côté droit. L'
état
de la malade reste stationnaire jusqu'au 20 janvi
articulations atloïdo-axoidienne et atloïdo-occipitale étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Il en était de même
en sorte que cette malheureuse était condamnée à garderie lit dans un
état
d'immobilité presque complet et à recourir à autr
t dans le deuxième et le troisième doigts. La figure 4 représente l'
état
des os d'une main appartenant à un autre sujet, a
individus, qui, sans le secours de l'art, auraient été condamnés à un
état
permanent d'infirmité. Mais il ne faut s'attend
s'établissent entre les extrémités osseuses; les muscles passent à l'
état
graisseux; les nerfs musculaires s'atrophient, et
ison , plusieurs os du carpe étaient soudés. Quelques-uns étaient à l'
état
de vestige. La rigidité articulaire me paraît d
devant toutes les parties qui étaient malades. Le cerveau était à l'
état
normal, excepté les lobes antérieurs qui présenta
la même espèce, preuve évidente que l'économie vivante obéit, dans l'
état
morbide, à des lois aussi régulières et par consé
régulières et par conséquent aussi facilement observables que dans l'
état
physiologique. Je ferai suivre la description des
pugne nullement d'admettre que, dans le développement de la tumeur, l'
état
cartilagineux a précédé l'état osseux. On peut en
dans le développement de la tumeur, l'état cartilagineux a précédé l'
état
osseux. On peut encore supposer que plus tard tou
offre une grande ressemblance avec celle du tissu de l'utérus dans l'
état
de grossesse. Les vacuoles représentent assez bie
é en consultation, en juin i838, pour madame Rigot, qui me présenta l'
état
suivant: Fièvre très vive ; battemens du pouls, d
près cet accident le 16 juin, que je fus appelé et que je constatai l'
état
ci-des3us. Sur la fin de juin, une nouvelle tum
cerveau et tous les organes du thorax et de l'abdomen étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Réflexions. On ne
e être si parfaiteque tous caractères morbides disparaissent et que l'
état
anormal s'élève en quelque sorte jusqu'à l'état n
isparaissent et que l'état anormal s'élève en quelque sorte jusqu'à l'
état
normal; on conçoit que la moindre pression exercé
n primitivement vicieuse des germes, non comme la représentation d'un
état
normal permanent appartenant à d'autres espèces,
vices de conformation peuvent s'expliquer par une lésion éprouvée à l'
état
fœtal, un grand nombre doit remonter jusqu'à l'ét
sion éprouvée à l'état fœtal, un grand nombre doit remonter jusqu'à l'
état
embryonaire, et il ne répugne nullement d'admettr
rière. Il est malheureux que nous n'ayons aucun renseignement sur l'
état
des parties molles de ces deux sujets. Sur celui
tivement démontrée. Les nerfs encéphaliques et spinaux étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. La figure 3 représ
és, tantôt les yeux sont parfaitement développés, tantôt ils sont à l'
état
rudimentaire, d'autres fois ils manquent complète
ert, naissant entre les deux sourcils. Le reste du corps était dans l'
état
normal : seulement il y avait six doigts aux pied
Fig. 3. i° Viscères. Estomac, foie, rate, intestins grêles dans l'
état
régulier. L'état anormal commence à l'embouchure
scères. Estomac, foie, rate, intestins grêles dans l'état régulier. L'
état
anormal commence à l'embouchure de l'intestin grê
les trompes et les ovaires droits et gauches. Ces organes sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Les ovaires présente
ne et interne. A la jambe, JR représente les jumeaux et soléaires à l'
état
de vestige. Comme les muscles grands fessiers et
a ligne médiane, on trouve d'arrière en avant, le sacrum, qui est à l'
état
normal ; l'orifice inférieur du bassin OIB, qui e
confondus. Les phalanges et les os métatarsiens ne diffèrent pas de l'
état
normal. Il est bon de remarquer que le mouvement
m'ont pas paru enflammées. L'estomac et les intestins étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Les reins ont appelé
ui a précédé la mort du sujet, et il ne m'a pas été donné d'étudier l'
état
des nerfs laryngés, du pneumo-gastrique, du bulbe
hidien et du cerveau; je dois même dire que je n'ai songé à étudier l'
état
des nerfs intrinsèques du larynx que lorsqu'il n'
d usage de liqueurs fortes, au point qu'on le surprit souvent dans un
état
complet d'ivresse. Son pouls était petit et lent;
re de poche dont la capacité était double de celledece conduit dans l'
état
ordinaire. x Un rétrécissement « subit percé d'un
raient pas sensiblement de ceux qu'on a coutume d'y rencontrer dans l'
état
sain. Les parois de ce conduit avaient augmenté d
sans perdre aucune des qualités physiques qui les constituent dans l'
état
normal. Le long de l'œsophage, on voyait un pet
muqueuse. Celles de ces végétations qui étaient, pour ainsi dire, à l'
état
naissant, n'étaient pas pédiculées. La longueur d
outre à côté du pylore, une multitude de mamelons ou végétations à l'
état
naissant implantés sur une por* tion de muqueuse
ntes de toute solution de continuité. On doit l'inférer au moins de l'
état
d'intégrité des fonctions digestives avant et apr
ent imperforées, ce qui n'étonnera pas, si l'on considère que, dans l'
état
normal, les follicules de l'intestin grêle sont c
de l'imperfo-ration , qu'un de'Jeurs caractères différentiels dans l'
état
sain , c'est la présence d'un pertuis visible à l
ité assez prononcée. « Les organes contenus dans le thorax sont à l'
état
normal : il n'y a pas de toux. L'abdomen est tend
de 1 epiglotte est rouge; le larynx,la trachée et l'œsophage sont à l'
état
normal ; l'estomac présente une altération bien r
erte d'un mucus épais et grisâtre. Les deux autres membranes sont à l'
état
normal. « La muqueuse des intestins grêles est
ses encéphaloïdes prêtes à se ramollir ; enfin il en est qui sont à l'
état
de pulpe rougeâtre. Les ganglions correspondans à
de consistance comme cartilagineuse. Les reins et la vessie sont à l'
état
normal; mais la prostate volumineuse, dure et bla
x ; le ventricule gauche est un peu épaissi ; les testicules sont à l'
état
normal ; les ganglions lymphatiques des aisselles
à la lésion des follicules. «Quelles peuvent être les suites de cet
état
kysteux et quel traitement y aurait-il à faire? C
e a été qu'ils pouvaient bien n'être que le sommet des villosités à l'
état
d'hypertrophie. » J'ai peu de chose à ajouter a
, dans des cas où la muqueuse intestinale correspondante était dans l'
état
le plus parfait d'intégrité ? J'ai eu occasion
es encéphaloïdes prêtes a se ramollir; enfin il en est qui sont « à l'
état
de pulpe rougeâtre ». Il serait difficile de ne p
x mois de séjour. Couchée aun. 33, salle Ste-Anne, elle me présente l'
état
suivant : maigreur excessive, sans coloration par
epuis deux mois, est entrée dans mon service le 9 octobre 1836 dans l'
état
suivant : maigreur extrême et par conséquent ride
on : les eschares qui tapissaient les parois du trajet fîstuleux et l'
état
aigu survenu dans les derniers temps, ne permette
professeur Moreau : c'était dans l'été de i83i. Voici quel était son
état
. Marasme porté au plus haut degré, abdomen très v
cuité de l'utérus, et d'une autre part, à la présence d'une ascite. L'
état
de la malade paraît d'ailleurs désespéré. Douleur
ruptures ni cicatrices. « L'ovaire gauche est plus petit que dans l'
état
naturel, il est ramolli, et une légère pression s
conservés et n'offrent rien d'extraordinaire. — Le diaphragme est à l'
état
sain. 6° Dans le bassin est un utérus rouge, bi
Dans le bassin est un utérus rouge, bien conformé U, ayant, comme à l'
état
normal, ses ligamens, ses trompes T et ses deux o
nies, sont cependant plus fortement appliquées au corps des os qu'à l'
état
normal. Réflexions. Ce cas doit être placé à cô
ait également deux pieds-bots. Quant à la conservation parfaite à l'
état
de mollesse, de flexibilité des viscères thora-ci
malade ne se plaint d'aucune douleur, et n'a pas la conscience de son
état
. Il succombe le 5e jour. A l'ouverture de l'abd
rosité lactescente; d'autres foyers, qui étaient en quelque sorte à l'
état
naissant, présentaient des points blancs séparés
. Poumons, cœur sains.— Tête. Le cerveau et ses membranes sont dans l'
état
d'intégrité. Réflexions. — Les abcès du foie, d
douloureux. Spino n'entra à l'hôpital que le 11 mai. Il était dans l'
état
suivant : Face altérée, grippée; extrémités pre
nt : urines rares. ( 20 sangsues, fomentations, bains.) Le 12, même
état
(i5 sangsues). Le i3, éructations; deux vomisseme
cordon ombilical, et qui entrent successivement dans l'abdomeu dans l'
état
régulier, n'effectueraient qu'incomplètement leur
ait en opposition avec cette manière de voir : chez l'embryon, dans l'
état
régulier, les viscères abdominaux occupent la cav
ui ont eu beaucoup d'enfans, on trouve la cicatrice ombilicale dans l'
état
naturel et les aponévroses voisines amincies et é
é était emphysémateux. Dupuytren n'ose pas tenter d'opération, tant l'
état
de la malade lui paraît désespéré. Elle mourut la
en se demande quelle aurait été la conduite à tenir, à supposer que l'
état
de la malade eût permis l'opération : la méthode
ement. (Sans doute qu'on ne fit pas l'opération parce qu'on croyait l'
état
de la malade désespéré.) Le 20, même état : pot
ion parce qu'on croyait l'état de la malade désespéré.) Le 20, même
état
: potion thériacale. Le 21, septième jour de l'
r exactement aux couches qui recouvrent le cordon testiculaire dans l'
état
naturel. Ces couches augmentent, diminuent, se dé
esoin était, attester l'exactitude de mes paroles. Voici quel était l'
état
de l'enfant : « Peau froide et livide, pouls à pe
onite visible à Texte-ce rieur. — Même prescription. ce Le 26, même
état
. Je fais remplacer l'eau de gomme par du lait cou
nsi dire sur les os. « Le Ier septembre, la tumeur est dans le même
état
; mais le dévoiement a cessé : les selles sont « d
faim , il cesse de crier lorsqu'on lui donne du lait. « Le 3 , même
état
physiologique. La tumeur se déterge et suppure. I
ue cette lésion. Une lésion par arrêt de développement, c'est donc un
état
normal temporaire devenu permanent. Dans toute
livraison, Hernies ombilicales, pl. 5 et 6): « Chez l'embryon, daus l'
état
« régulier, les intestins occupent la cavité abdo
, est apportée à l'hôpital Necker le 28 février i835, au soir, dans l'
état
suivant : l'abdomen est le siège de vives douleur
ale tuméfaction de l'abdomen : à l'hypogastre, l'abdomen était dans l'
état
naturel : la tuméfaction commençait à gauche et u
filiforme, extrémités froides, face terreuse, supination, immobilité,
état
d'agonie qui se prolonge jusqu'à dix heures du so
s évacuations alvines continuent, et avec elles l'amélioration dans l'
état
du malade. Le 28, un purgatif minoratif provoqu
te tumeur était également formée par l'intestin renversé. Du reste, l'
état
général était excellent, et l'appétit naturel. —
râtre, une épaississement notable, une fétidité extrême, en un mot un
état
gangreneux, sans diffluence, avec escarification,
assigner « des symptômes, tant leur existence a peu d'influence sur l'
état
des fonctions. Il est même « probable qu'elles s'
ors, on conçoit que la désinvagination de l'intestin pourrait, dans l'
état
d'altération où sont les tuniques intestinales, r
lques-unes de consistance assez dure. Abdomen souple et indolent. L'
état
général annonçait d'ailleurs une fin prochaine. L
ive. Je vis la malade pour la première fois le 6 juillet : le 12, l'
état
adynamique était porté au plus haut degré, la tum
acquis le volume du poing. Le i3, je trouvai la malade plongée dans l'
état
comateux le plus profond. Perte de myotilité, per
us donner aucun éclaircissement positif sur le mode d'invasion de cet
état
; seulement on nous dit que la malade avait été p
inales qui a été représentée sur la figure. Le cerveau était dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Réflexions. — i° L
u était dans l'état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. — i° L'
état
comateux avec perte complète et générale du senti
nt, à dix-huit pouces de cette valvule. Le gros intestin était dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Considérations gén
i souvent cette coloration qu'on est habitué à la considérer comme un
état
à-peu-près normal. C'est surtout dans les poumo
ment de ces taches noires qui semblent ne pas dépasser la limite de l'
état
régulier, le poumon présente très souvent des col
s cette malade, accouchée douze jours auparavant, qui me parut dans l'
état
le plus grave : elle était exsangue, la face d'un
e, qui me demanda à manger avec une insistance qui contrastait avec l'
état
général, insistance qui est d'ailleurs commune à
é, à la manière des érysipèles erratiques ; voyant d'une autre part l'
état
de prostration excessive de la malade, et ne donn
ultitude de petites granulations piquetées de noir à leur centre. Cet
état
ne peut pas être normal, il est probablement le r
ien, très bien et je le crois hors de danger. Le huitième jour de cet
état
apyrétique, une parotide se développe à gauche ;
arotide se développe à gauche ; elle est excessivement douloureuse. L'
état
ady-namique si bien décrit par Pinel, se manifest
l'hôpital de Limoges. Un paysan athlétique entre à l'hôpital dans l'
état
suivant : Douleur très vive à l'épigastre, abdome
pas superficielle, mais occupe toute l'épaisseur de la membrane; cet
état
me paraît être de la gangrène, bien que le tissu
ts : sur les malades guéris ou convalescens, il y en a eu deux dont l'
état
paraissait aussi grave que celui des malades qui
r convalescence ne soit qu'apparente, et que la dysenterie passée à l'
état
chronique ne laisse des traces ineffaçables(i). V
l'anus et prescrit l'eau de riz gommée. Observé le 4, il présenta l'
état
suivant : besoin continuel d'aller à la garde-rob
avait envoyé pour refaire sa santé, s'il était possible. Le 5, môme
état
, môme prescription, quinze sangsues seulement. Le
; faiblesse extrême ; faciès dysentérique ; pouls petit, fréquent. L'
état
de faiblesse du sujet ne permit pas d'avoir recou
i pénètre toute l'épaisseur de ces plis, et pourrait bien indiquer un
état
gangreneux : il est possihle cependant que cette
e de laquelle le malade succomba dans l'affaissement le plus complet (
état
adynanique de Pinel); point de douleur; prostrati
excessive. 6. La dysenterie aiguë tend essentiellement à passer à l'
état
chronique, et je ne connais rien de grave, rien d
n du plus grand nombre des maladies aiguës ou chroniques. 7. Dans l'
état
chronique, la dysenterie est essentiellement apyr
ais incomplètement guérie, comme la source de plusieurs formes de ces
états
de langueur générale, de dépérissement, avec dige
ur la quantité que sur le choix des alimens, et les proportionner à l'
état
des forces diges-tives. On est souvent obligé de
suit que cette maladie doit être traitée avec le plus grand soin à l'
état
aigu, pour prévenir les graves accidens qu'elle e
st a une dysenterie négligée ou incomplètement traitée, que remonte l'
état
valétudinaire , ï état de souffrance, dhypochondr
ligée ou incomplètement traitée, que remonte l'état valétudinaire , ï
état
de souffrance, dhypochondrie presque permanent d'
e la partie inférieure du rectum avec hypertrophie très considérable,
état
variqueux des veines, phlébolithes, sans aucune t
e, de toux, d'oppression très considérable, et succomba dans un grand
état
d'angoisse et comme suffoquée. Ouverture du cor
, admise à la Salpêtrière sous le nom de cancer du rectum, présente l'
état
suivant : Face décolorée, bouffie, infiltrée, c
'œdème séro-sanguinolent, dans lequel le tissu pulmonaire est dans un
état
voisin de l'apoplexie comme tenant plus souvent à
M , et sur le tissu cellulaire extérieur à la tunique musculeuse. Cet
état
hyper-trophique de l'intestin, suite de phlegmasi
nt. J'ignore ce qu'elle entend par opération. Diagnostic. D'après l'
état
actuel rapproché des commémoratifs, je diagnostiq
, à l'utérus, à l'ovaire et à la trompe gauches, tous organes dans un
état
d'atrophie complet, tels qu'ils sont chez une enf
ons. Ainsi, inflammation de la membrane muqueuse du rectum passée à l'
état
chronique ; destruction par ulcération de cette m
mptes d'induration. Cette malade étant morte, je dus m'assurer de l'
état
de l'intestin rectum, et je vis que les cinq dern
u'on ne pouvait les guérir. Voici une description plus détaillée de l'
état
local : Sur la marge de l'anus étaient un grand
n fluide s'épanche-t-il hors des réservoirs qui le contiennent dans l'
état
naturel, la nature forme sur-le-champ une membran
ès aisément passer la phlébite, d'adhésive qu'elle était d'abord, à l'
état
de phlébite suppurative. Relativement à la natu
malade était alors en proie à une sixième crise. Je la trouvai dans l'
état
suivant. Abdomen très volumineux, météorisé ; les
nération que je supposais s'être étendue de l'utérus au rectum. Cet
état
se prolongea jusqu'au mois de mai i838. Je ne vis
tion d'urine, et j'engageai M. Sobaud son chirurgien à s'assurer de l'
état
de la vessie. L'idée d'une grossesse ne me vint j
se ne me vint jamais à l'esprit, je ne la croyais pas possible dans l'
état
où se trouvait la malade. J'étais d'ailleurs cert
ille secousse, elle succomba le quatrième jour de l'accouchement. L'
état
de grossesse que nous n'avions pas reconnu avait
remarquable par une couleur brun foncé. Plusieurs tubercules sont à l'
état
naissant, et entourés d'un tissu induré. Les fi
à la manifestation de la phthisie pulmonaire, et pouvant demeurer à l'
état
latent pendant un grand nombre d'années. Consid
ieurs années à une jeune femme dont la rate énorme se concilie avec l'
état
de santé le plus florissant. Je redoutais pour el
jamais observé cette coloration, lorsque les kystes étaient dans leur
état
d'intégrité, si l'on peut parler d'intégrité à l'
importantes. Il est des tumeurs cancéreuses qui restent toujours à l'
état
, de tubercules; il en est dont l'accroissement es
le rapport du volume, les uns ayant à peine le volume du foie dans l'
état
normal, et par conséquent ne débordant pas le reb
péritoine les niasses carcinomateuses superficielles du foie. X. L'
état
des veines du foie mérite de fixer toute l'attent
lente, tantôt rapide; dans quels cas les cancers du foie restent à l'
état
latent pendant un temps plus ou moins long, et qu
titude de masses et de tubercules cancéreux, dont un grand nombre à l'
état
naissant, en sorte que l'on pouvait y étudier le
lus grande partie de ces masses et tubercules était très dense et à l'
état
qu'on désigne ordinairement sous le nom de squirr
plèvre, soit aux dépens du tissu du poumon. La malade vécut en cet
état
pendant deux mois environ, et succomba épuisée pa
plus grande quantité de suc cancéreux. Plusieurs tumeurs étaient à l'
état
naissant, et j'ai constaté de la manière la plus
ovaires et les trompes adhéraient intimement entre eux. Cancer a l'
état
liquide ou abcès cancéreux enkystés dans le foie
répétés furent associés aux moyens déjà prescrits. Le 12 et le 13,
état
stationnaire, toujours mêmes angoisses, même sent
ous de l'hypocondre droit. La malade, qui n'a nulle conscience de son
état
, sollicite une saignée, qui fut suivie d'une long
une constitution grêle et éminemment nerveuse, que je trouvai dans un
état
de malaise, d'angoisse extraordinaires : il se pl
hépatite aiguë : l'indication était un traitement antiphlogistique. L'
état
du pouls, la disposition syncopale s'opposant aux
s nous contentâmes de dix-huit sangsues sur la région douloureuse. Un
état
syncopal plus prononcé en fut le résultat. Nous d
a mèche, pour prévenir le retour de l'hémorrhagie. Pendant la nuit, l'
état
syncopal fut moindre. Le i/j au matin, pour la
brile continue, le pouls est plein, fort , à 120. Le contraste de cet
état
avec celui des jours précédens est vraiment extra
malade faiblit, il est couvert de sueur, son pouls devient filiforme:
état
syncopal permanent. Quelle est la source de cette
est vidée sans hémorrhagie nouvelle. Du 29 décembre au 6 janvier, l'
état
local est parfait; le foyer se vide; le volume du
abdomen n'occasionne aucune douleur. L'ictère a complètement cessé. L'
état
général n'est pas tout-à-fait aussi satisfaisant
urtout pendant le redoublement ; sueurs nocturnes ; amaigrissement, L'
état
local du foie ne rend nullement compte de l'état
; amaigrissement, L'état local du foie ne rend nullement compte de l'
état
général : il n'existe plus à l'épigastre qu'une p
t groupés par masses. On voyait çà et là quelques petites cavernes. L'
état
du foie devait appeler toute notre attention. Or,
par la dimension du foyer GAH représenté figure 1 , et l'acuité de l'
état
inflammatoire, expliquent la gravité des accidens
u par une plainte. Je diagnostiquai donc un abcès chronique du foie L'
état
de la malade restant stationnaire, je l'engageai
anières, qu'un soulagement passager. Elle sortit de nouveau , dans un
état
de langueur, d'inappétence absolue, de pâleur, de
sieurs fois tà ma consultation particulière, et toujours dans le même
état
. Un jour, cinq mois environ après l'accident, je
anger, il continua à les suivre jusqu'à ce qu'il fût rassuré sur leur
état
, et s'alita le 29 avril. Le foie s'accrut gradu
de ne sé plaignait que d'un léger ressentiment à l'épaule gauche. L'
état
des organes digestifs suivit les diverses phases
es facultés intellectuelles conservèrent jusqu'au dernier moment leur
état
d'intégrité. Certain de sa fin xxiie livraison.
er se montre par masses isolées, au milieu de parties qui sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. La phlébite du foie,
traumatique, affectent absolument le même mode de développement. L'
état
latent de la maladie du foie s'explique par l'ind
t que nous avions affaire à une dégénération encéphaloïde, passée à l'
état
de désorganisation. La partie superficielle de
t de sa flétrissure, pour l'épiploon, pour le poumon lui-même dans un
état
de gangrène, et comme tel, il a été lié et excisé
e qui la caractérise chez l'adulte; plus souvent elle se présente à l'
état
latent. Il faut, en quelque sorte, la deviner. Or
s d'obtenir la résolution. N'oublions pas que, dans la pneumonie, l'
état
local n'est qu'une partie de la maladie, que l'ét
s la pneumonie, l'état local n'est qu'une partie de la maladie, que l'
état
général est la source d'indications non moins imp
est porté, le 22 septembre 1828 , à la maison royale de Santé, dans l'
état
suivant: Face décolorée , livide; sentiment de
qu'il n'y avait pas eu de convalescence, mais seulement passage de l'
état
aigu à l'état subaigu, et qu'on n'avait été révei
it pas eu de convalescence, mais seulement passage de l'état aigu à l'
état
subaigu, et qu'on n'avait été réveillé de la sécu
r le haut ni par le bas. Les 24, 25, 26 et 27, même prescription: l'
état
général du malade parait meilleur. Le pouls s'éta
re. — Le mieux se soutient; mais il est aisé de voir qu'il y a plutôt
état
stationnaire que tendance prononcée vers la guéri
lade se trouve bien, trop bien: il n'a nullement la conscience de son
état
et se croit en convalescence. Ce qui m'étonne le
pour moi. La respiration est à peine un peu plus fréquente que dans l'
état
naturel. Du reste, le malade tousse à peine: c'es
ions sont remplies de concrétions sanguines qui présentent les divers
états
qui constituent les différens degrés de la phlébi
ns de texture sans retentissement, si je puis m'exprimer ainsi, sur l'
état
général. La phlébite de l'artère pulmonaire, co
n plusieurs kystes remplis de matière crétacée. Je regarde les divers
états
sous lesquels se présente la matière contenue dan
urs fonctions accoutumées. On ne tient pas un assez grand compte de l'
état
de ces ganglions dans les ouvertures cadavériques
ion des symptômes. La malade dont il est question était morte dans un
état
d'anasarque. Je regarde comme un fait démontré
le, accidentel, tissu caverneux ou spongieux qui se présente sous des
états
divers, lesquels peuvent être considérés comme le
rveux. Le malade passe presque tout-à-coup et sans intermédiaire d'un
état
qui n'inspirait aucune inquiétude sérieuse à un é
termédiaire d'un état qui n'inspirait aucune inquiétude sérieuse à un
état
de stupeur, de prostration et de mort, comme un a
n se rappeler que la phlébite adhésive ne passe pas ordinairement à l'
état
de phlébite suppurée, ou que si elle y passe, c'e
du cancer utérin, guérit souvent spontanément. On conçoit que, dans l'
état
d'anémie où se trouvent quelquefois réduites les
pouvait atteindre le museau de tanche et par conséquent constater son
état
. Dans les derniers temps de la vie, infiltratio
ve Mallard, âgée de 75 ans, est entrée salle Saint-Luc, n° 10, dans l'
état
suivant : Hémiplégie gauche. Le membre supérieu
épaisseur, et il faut bien distinguer cette participation des os à l'
état
variqueux de l'érosion que les tumeurs sanguines
on était plus ancienne; le tissu variqueux était en quelque sorte à l'
état
sénile; mais le système musculaire n'avait pas ét
tous les autres points de la circonférence de la veine étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Ce cas
ge-violet des jambes de ce sujet, et je fus curieux de m'assurer de l'
état
des veines. Je ne pus d'ailleurs recueillir sur l
son observation avait été publiée sous ce titre. Voici d'ailleurs l'
état
des membres inférieurs : couleur lie-de-vin viola
ussi bien qu'hémorrhagie cutanée. La phlébite (car je considère cet
état
comme une phlébite) était limitée aux veines sous
té respectés: aussi la peau et le tissu cellulaire étaient-ils dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. La phlébite occupa
ffet, tous les caractères du scorbut), coïncide assez souvent avec un
état
fongueux des gencives, lesquelles sont, dans d'au
cives, lesquelles sont, dans d'autres cas, parfaitement intactes. Cet
état
s'accompagne rarement d'une fièvre de réaction. L
ît mieux dénommé phlébite capillaire hémorrhagique. Il y avait dans l'
état
local quelque chose d'actif, qui appelait une méd
le lieu. Pansement avec l'acétate de plomb liquide étendu d'eau. L'
état
local s'améliore ; mais l'état général s'aggrave,
ate de plomb liquide étendu d'eau. L'état local s'améliore ; mais l'
état
général s'aggrave, la respiration devient plus gê
che de sang et ecchymose superficielle. Il était aisé de voir que cet
état
tenait à un épanchement de sang sous-cutané, mais
nsion très douloureuse du membre, qui est considérablement tuméfié. L'
état
général est excellent. Point de réaction fébrile.
anatomiques de cette lésion hémorrhagique, qui tantôt coexiste avec l'
état
fongueux des gencives, tantôt est indépendante de
ste avec l'état fongueux des gencives, tantôt est indépendante de cet
état
fongueux. Les caractères anatomiques sont exactem
ambe, siège de la douleur et de l'application des sangsues. Le 14-)
état
local toujours le même; mais à la suite d'atroces
ros orteil, elle s'étendit ensuite aux autres orteils du même pied. L'
état
général était d'ailleurs excellent. Le malade s'e
même un sentiment général de bien-être, n'a aucune inquiétude cle son
état
: assoupissement. Le pincement, la piqûre, le cha
dépouillées d'épiderme par le pincement de la veille étaient dans un
état
de dessiccation semblable à celle qu'on observe s
se décomposer comme le membre d'un cadavre. La malade vécut dans un
état
de stupeur jusqu'au 5 mai. Ouverture du cadavre
upérieur du poumon droit était le siège d'une inflammation passée à l'
état
de suppuration infiltrée. Le pus est exprimé du p
ysie du sentiment et du mouvement de la main : la malade rapporte cet
état
à la saignée et croit qu'on lui a piqué un nerf.
e quinquina pour boisson. — Potion avec camphre x grains.) 26, même
état
. — 27, momification du membre; la malade demande
à la main était vide et desséchée. Du reste, la main était dans un
état
de dessiccation semblable à celui qui résulterait
ines, les vaisseaux lymphatiques conservant encore quelque temps leur
état
d'intégrité, celles-ci doivent pomper en quelque
morte et la dessécher avec une extrême rapidité. On conçoit combien l'
état
des veines doit influer sur le mode de décomposit
anévrysmes, car, à leur niveau, les tuniques artérielles sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité , et le sang n'est nu
ans, employé, couché au n° 16, salle Saint-Ferdinand, m'a présenté l'
état
suivant, le 25 septembre i84o, jour de son entrée
ration très fréquente, dont le malade n'a nullement conscience dans l'
état
de repos au lit, mais qui s'accompagne d'une oppr
ent constituées par une dilatation de l'aorte. Du reste, bon appétit,
état
moral excellent : gaîté, espérance de guérison :
es crises, car, hors de là, il est aussi bien qu'en pleine santé. L'
état
de ce malade se maintint identiquement le même de
onservé toute son intelligence, et qui n'est nullement effrayé de son
état
, se plaint d'éprouver un malaise général en même
liformes et donnent une impulsion très faible; et cependant, dans cet
état
de mort, l'impulsion est encore très forte en bas
'aspect extérieur. Les trois tuniques artérielles existent, dans leur
état
d'intégrité, au niveau de la partie simplement di
ce besoin ne dure que quelques jours.—Du 28 septembre au 21 décembre,
état
stationnaire. Du reste, même état des membres. Le
rs.—Du 28 septembre au 21 décembre, état stationnaire. Du reste, même
état
des membres. Le malade ne peut dormir ni jour ni
étruit par l'usure. Du reste, Partère carotide primitive était dans l'
état
le plus naturel, et la circulation ne devait y ép
et la sous-clavière gauche étaient plus grosses d'un tiers que dans l'
état
naturel. Les branches qui partaient de ces troncs
onsidérables ; les autres branches de l'aorte ventrale étaient dans l'
état
naturel. 2° Observation de M. Reynaud. Elle a p
de structure particulières au cœur lui-même, nous verrons que, dans l'
état
normal, tous les points des ventricules du cœur s
atation sur 48 faits observés : encore dans les huit faits restans, l'
état
du cœur n'a pas été noté. (1) Archives générale
plus facilement des adhérences avec son enveloppe, qu'un cœur dans l'
état
normal. Je sais bien que M. Beau a essayé d'établ
e du péricarde. — Infiltration générale. — Dévoiement. — Mort dans un
état
demi asphyxique. Delaunay, i5 ans, vigneron, es
mbre i84o, salle Saint-Ferdinand, n° 8, hôpital de la Charité, dans l'
état
suivant : Voussure bien manifeste de toute la m
depuis quelque temps. Les fonctions digestives sont dans le meilleur
état
. Nulle douleur. Point d'œdème. Le jeune malade n'
Point d'œdème. Le jeune malade n'a pas la moindre inquiétude sur son
état
. Diagnostic. J'hésitai un instant, pour le diag
té. — L'estomac , l'intestin grêle, le foie et les reins, sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. (i) Une expérience
dans mon service, à la Salpêtrière, le ier mai 1838, voici dans quel
état
: lèvres violacées, variqueuses; mains et pieds c
ier le pouls aux carotides, où je le trouve lent et faible; du reste,
état
intellectuel parfait : la malade ne me demande, d
ns, est entré à l'Hôpital de la Charité, le i5 septembre i84o, dans l'
état
suivant: face (1) Voyez Grisolle, Traité pratiq
lement en montant les escaliers; il y a quinze jours qu'il est dans l'
état
de suffocation où je le vois. Traitement. Vento
roduite le 20 ; le malade est resté sur son séant toute la nuit. Même
état
du cœur, léger claquement que je rapporte à un ép
son entrée. Le malade rentra à l'hôpital, le 26 septembre, dans un
état
de cyanose et d'algidité aussi complet que possib
et l'algidité me parurent venir de la gêne de la respiration ; mais l'
état
du malade ne me permit pas d'explorer sa poitrine
mbres inférieurs, des vésicatoires aux jambes, le retireraient de cet
état
asphyxique et me permettraient d'avoir recours au
e, dans les cas de rupture spontanée du cœur, on ne trouve pas dans l'
état
du tissu de cet organe la raison suffisante de la
eu occasion d'observer un certain nombre de faits qui conduisent de l'
état
normal du cœur à cet anévrysme partiel vrai : ain
a région du cœur, était d'ailleurs permanent. Le malade exprimait son
état
habituel en disant qu'il lui semblait que son cœu
itrine, et, d'autre part, les poumons souvent explorés étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Lorsque le malade ét
uellement très dur, plein, et un peu intermittent. Je n'ai pas noté l'
état
du cœur; l'auscultation méthodique et la percussi
s, je l'ai vue amener directement la mort en jetant le malade dans un
état
syncopal dont il ne put se relever. Il faut, en e
eût dit que le cœur avait été soumis à une ébullition prolongée. Cet
état
du cœur permettait la séparation facile des fibre
d'un bruit de râpe extrêmement fort, se conciliait d'ailleurs avec un
état
de santé très satisfaisant et a occasioné une mor
arla circulation veineuse collatérale, qui tend toujours à rétablir l'
état
régulier; de même, à plus forte raison, les caill
ioux m'ont adressé, il y a plusieurs années, un cœur qui présentait l'
état
suivant : Près de la pointe de ce ventricule exis
r que les dimensions des cavités gauches ne dépassent pas celles de l'
état
régulier. La coupe delà fig. 2' montre dans tou
, tome ni) que la valvule tricuspide est véritablement bivalve dans l'
état
normal, et que i épaississement de cette valvule
ulanger, terrassier depuis quelques mois, entre à l'Hôtel-Dieu dans l'
état
suivant : face bouffie, lèvres violacées, membres
Il mourut pendant la nuit, le cinquième jour de son entrée, dans un
état
de suffocation. Ouverture. — Deux ou trois litr
s, entre à l'infirmerie de la Salpêtrière le i " janvier 1833, dans l'
état
suivant. La respiration est fréquente : elle n'es
; sensation permanente de suffocation qui met la malade dans un grand
état
d'angoisse; pouls presque insensible aux radiales
e organisée comme dans la péricardite. Je ferai remarquer que, dans l'
état
normal, la membrane interne de l'oreillette gauch
parce qu'il prenait pour de l'entêtement et de la mauvaise volonté un
état
de torpeur, prélude d'une méningite granuleuse de
mon service à l'hôpital de la Charité, le 23 mai i84i Voici dans quel
état
: décoloration et bouffissure de la face ; membre
s. Diagnostic. — Hydropéricardite. L'orthopnée, l'infiltration et l'
état
du pouls, sont les conséquences de l'épanchement
es saignées l'ont beaucoup affaibli. Les voies digestives sont en bon
état
, et le malade demande à manger. Traitement. Ven
currence le thermomètre des forces du sujet ; il n'exprime plus qu'un
état
local, savoir, la gêne des contractions du cœur é
culation scapulo-humérale, au coude et au genou du côté droit__Même
état
le 25 : la fréquence du pouls ne dépasse pas qu
il était extrêmement bègue, on pouvait difficilement s'assurer de son
état
intellectuel. Du reste, la constitution est loin
, agitation , délire, oppression , palpitation, angoisses. J'étudie l'
état
du cœur que j'avais exploré de temps en temps dep
c, un gramme. Le 3o juin et les jours suivans jusqu'au 6 juillet, l'
état
du malade paraît meilleur ; la douleur et la tumé
; la douleur et la tuméfaction articulaires ont cessé complètement. L'
état
du cœur me préoccupe par la matité de la région q
péricarde, et cette manière de voir était d'ailleurs confirmée par l'
état
régulier du pouls et par l'absence de trouble not
étention d'urine persiste et nécessite le cathétérisme. 19 juillet,
état
général stationnaire; mais l'épanchement dans la
son volume ordinaire. Les orifices et les cavités du cœur sont dans l'
état
le plus régulier. Le poumon droit, qui a un grand
t toutes les surfaces frottantes, qui étaient pour ainsi dire dans un
état
d'orgasme ou de surexcitation, sont menacées ; d'
es agonisantes , et les malades, transportées à l'infirmerie dans cet
état
extrême, succombent d'ordinaire dans l'intervalle
r mes conseils, elle était âgée de 26 ans et 3 mois, et me présenta l'
état
suivant : Amaurose complète; perte non moins co
, pendant lequel elle est restée constamment couchée, à raison de son
état
de faiblesse générale. Pendant ce dernier mois
dées, la netteté de l'articulation des sons; et c'est à la suite d'un
état
de calme plus prolongé que de coutume, qui donnai
ieu, où les moxas et îelectro-poncture sont inutilement employés. Son
état
s'aggrave même sensiblement, les contractions x
l'hôpital, décidée à ne rien tenter de nouveau. Pendant deux ans, son
état
est stationnaire: la santé générale est très bonn
itaire était percée de part en part. Les sinus frontaux étaient à l'
état
de vestige. Les trous optiques très rétrécis, apl
tume, elle gagne son lit de son pied, et à peine couchée tombe dans l'
état
suivant, que M. Boullet, appelé un quart d'heure
sur le mouvement et sur le sentiment. Le membre supérieur est dans un
état
de demi-flexion avec rigidité. Le membre inférieu
rétrécie des corps genouillés externes qui d'ailleurs sont dans leur
état
naturel : cette dégénération grise ne présente au
lectuelles. — Affaiblissement général de la myolilité. — Mort dans un
état
d'adynamie. ( i ) Une femme de 55 à 60 ans mour
lle ne peut articuler plusieurs syllabes de suite. Je n'ai noté, ni l'
état
de la myotilité, ni l'état de la sensibilité ; ce
eurs syllabes de suite. Je n'ai noté, ni l'état de la myotilité, ni l'
état
de la sensibilité ; ce qui suppose qu'elles ne pr
urs du mercure, entre à la Salpêtrière en juin ï834 : voici dans quel
état
: Articulation des sons lente, laborieuse ; dégl
débuté par un affaiblissement graduel des membres inférieurs, par un
état
de titubation semblable à celui d'une personne iv
rance et le bulbe rachidien, la protubérance surtout, avaient subi un
état
de compression tel, qu'il est difficile de compre
ont-ils été libres, alors que les membres inférieurs étaient dans un
état
de rigidité paralytique? pourquoi la contraction
pulpe molle, comme si la substance grise ne se présentait pas dans l'
état
normal sous l'aspect d'une pulpe molle. Ne serait
trière, en remplacement de M. Rostan. Je trouvai cette femme dans l'
état
suivant : jambes fortement fléchies en arrière su
ux; car les muscles des jambes et des pieds sont au contraire dans un
état
de flaccidité remarquable. La rigidité est telle
ysmes, en atténua l'intensité. L'eschare du sacrum amena bientôt un
état
adynamique. Pouls faible d'abord, puis impercepti
tion. Pour commémoratifs, je recueille que la malade n'est dans cet
état
que depuis un an : elle l'attribue à un refroidis
pectés, ne tardèrent pas à être envahis. (1) (1) Je n'ai pas noté 1
état
de la sensibdité tactile sous l'influence du pinc
s rationnels d'une pneumonie aiguë, parvenue à sa dernière période. L'
état
de la malade me parut désespéré : elle refusa de
pé à la paralysie. La gaîté enfantine de la malade contraste avec son
état
de paralysie presque générale. Les urines sont vo
ntellectuelles sont entières. La malade n'a aucune inquiétude sur son
état
. Quatre saignées ont été successivement pratiqu
ettre la malade dans l'attitude obligée du cathétérisme. J'étudie l'
état
de la colonne vertébrale, qui était d'abord doulo
t que le cerveau est sain. Il y a un contraste bien singulier entre l'
état
général et l'état de la face, qui est calme et ex
st sain. Il y a un contraste bien singulier entre l'état général et l'
état
de la face, qui est calme et exprime la gaîté.
intelligence est entière; la face est bonne. Nulle inquiétude sur son
état
. J'avais épuisé, par rapport à cette malade, les
u sentiment et du mouvement du membre inférieur droit. Du reste, même
état
,contraste toujours frappant entre l'expression
de la face, la gaîté, la sécurité la plus complète, la causerie et l'
état
de paralysie douloureuse. Elle raconte qu'elle a
la malade a été réveillée par des secousses. Il est évident que cet
état
ressemble à celui de l'invasion. Il y a tendance
ité, tel est le résumé qu'il donne lui-même à plusieurs reprises de l'
état
de son malade. Or, voici les détails: on veut s
et le pincement, sans qu'il y ait pour cela sensibilité. D'ailleurs l'
état
des facultés intellectuelles de son malade, altér
is le 11 avril 1829, entre à l'infirmerie le 9 septembre i832, dans l'
état
suivant. La malade a toute son intelligence : sa
ntement purulent fétide, comme aux parties contiguës qui sont dans un
état
habituel de malpropreté. Indépendamment du tort
sur un fauteuil ; mais son corps, recourbé sur lui-même, est dans un
état
de rigidité tel qu'il ne peut se prêter à l'attit
e des deux substances. Le volume de la moelle était d'ailleurs dans l'
état
naturel. Réflexions. Ainsi, rigidité, immobilit
de noix vomique , qui détermina des mouvemens convulsifs. Voici son
état
le 2 décembre, jour de son entrée. Paralysie pr
xtrémités supérieures; mais la sensibilité des mains est dans le même
état
que celle des pieds. La malade dit que le petit d
'ombilic. J'ignore quel en est le siège. Contre toute espérance , l'
état
de la malade s'améliore: point de fièvre, appétit
âgée de 60 ans , est entrée à l'infirmerie de la Salpêtrière, dans l'
état
suivant : Membres inférieurs très affaiblis. Po
ailleurs, jamais de crampes , jamais de secousses. Je n'ai pas noté l'
état
de la sensibilité, ce qui suppose qu'elle ne prés
vision dite des Gâteuses, observée le 15 décembre i832, me présenta l'
état
suivant: Rigidité des membres inférieurs qui so
uand on la touche. Urines et selles involontaires. Je n'ai pas noté l'
état
de la sensibilité tactile. Des eschares se formen
on de l'influence de l'hémorrhagie et autres lésions du cerveau sur l'
état
de la moelle, et réciproquement de l'influence de
elle, et réciproquement de l'influence des lésions de la moelle sur l'
état
du cerveau. Je puis donner comme positif ce fait,
amenés à la demi-flexion. La malade ne tarda pas à succomber dans un
état
d'assoupissement, que je rapportai à une très gra
te époque que la peau des membres a perdu sa sensibilité. Voici son
état
le i5 février i833 , jour de son entrée. Paralysi
ses convulsives : urines et matières fécales toujours involontaires ,
état
parfait de l'intelligence : absence de fièvre : l
autres modes de traitement qui furent complètement sans succès. Son
état
est resté stationnaire pendant le trois dernières
uement le même depuis le moment de son entrée. Voici quel était cet
état
. Intelligence parfaite ; mais la conversation f
ppellent exactement la danse de Saint-Guy. Tous les sens sont dans un
état
complet d'intégrité. Urines et selles retenues et
rale. Sous le rapport de ïa myotilité générale, la malade est dans un
état
qui représente très exactement la danse de Saint-
Le cerveau, le cervelet, le bulbe rachidien, étaient également dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Ici le
ce réciproque des faisceaux ou cordons de la moelle est établie par l'
état
morbide aussi bien que par l'état sain. Voici d
dons de la moelle est établie par l'état morbide aussi bien que par l'
état
sain. Voici d'ailleurs deux autres faits dans l
La malade resta dans mes salles la dernière année de sa vie, et son
état
fut complètement stationnaire. Voici quel était
ie, et son état fut complètement stationnaire. Voici quel était cet
état
: sensibilité obtuse, qui ne se manifeste que tard
ent de la paraplégie, cette femme est extrêmement oppressée et dans l'
état
qu'on désigne ordinairement sous le nom d'asthme.
une péricardite. La malade mourut avec toute son intelligence,dans un
état
de suffocation. Ouverture. Moelle petite; adhér
son entrée, il y a deux ans: elle rendait parfaitement compte de son
état
, bien que l'articulation des sons fût embarrassée
des sons beaucoup plus difficile que lorsqu'elle était revenue de cet
état
de trouble. Du reste, elle finissait par se faire
re, ni au moment de sa production , ni pendant le traitement. Voici l'
état
de la malade le i5 septembre i838, au moment de s
de l'ouie, de la vue, de l'odorat et du goût. La malade est dans un
état
de dépérissement tout-à-fait étranger à sa parapl
eure du corps à l'empire de la volonté. Voici d'ailleurs quel était l'
état
des membres paralysés : paralysie complète des me
garder le lit, elle se décida à entrer à l'Hôtel-Dieu. C'est dans cet
état
qu'elle entra dans le service de M. Récamier, qui
ent, et la malade fut dirigée comme incurable sur la Salpétrière. L'
état
de la malade resta stationnaire pendant une quinz
dienne, et par conséquent exercer toute son action sur la moelle. L'
état
des acéphalocystes contenus dans la poche fibreus
ade est très affaiblie depuis quelque temps. Pour mieux apprécier son
état
, je la fais lever : elle se soutient et marche av
ible que le membre inférieur droit. Voici d'ailleurs l'analyse de l'
état
des membres quant au sentiment et quant au mouvem
is je n'ose faire mettre la malade sur son séant pour l'explorer, son
état
me paraît d'ailleurs sans espérance.— Eschare con
uille. L'intelligence est parfaite. Je n'ai pas tenu note écrite de l'
état
du membre atrophié sous le rapport du sentiment;
les parens que j'ai interrogés avec beaucoup de soin à ce sujet. L'
état
de la malade reste stationnaire quant au cancer d
us développé que le membre inférieur gauche, n'était pourtant pas à l'
état
normal, qu'il offrait une atrophie et une faibles
de la Charité, salle Saint-Joseph, n° 20, le 23 novembre i84o, dans l'
état
suivant: Paraplégie complète du sentiment et du
évidemment des débris du corps des vertèbres. Pour mieux étudier l'
état
de la colonne vertébrale, je l'ai fait diviser pa
douleur dans les reins. Arrivé à New-York, il veut travailler de son
état
, mais il lui est impossible de rester les jambes
depuis ce moment, il lui a été impossible de faire un pas. Voici l'
état
dans lequel j'ai trouvé ce malade, le 24 janvier
x moxas d'abord, puis deux autres de chaque côté de la déviation. L'
état
du malade reste stationnaire jusqu'au 20 mars. A
et cinquième vertèbres dorsales : la paraplégie une fois consommée, l'
état
du malade resta stationnaire; or, voici cet état
ne fois consommée, l'état du malade resta stationnaire; or, voici cet
état
: Paralysie complète du sentiment dans les memb
e vapeur sur la colonne vertébrale furent successivement employées Un
état
nerveux général, l'insomnie, des souffrances into
pour en prévenir le retour. Quatorze mois se sont passés clans cet
état
. La tête était parfaitement libre; mais Sanson ne
enterie très intense, qui résista à l'opium, seule médication que son
état
put comporter. A l'ouverture qui fut faite par
perte absolue du sentiment et du mouvement; les membres sont dans un
état
de résolution complète; la bouche n'est pas dévié
ble. Transférée le 18 au matin à l'infirmerie, elle nous présenta l'
état
suivant : décubitus sur le dos ; immobilité compl
ciaux, à la manière d'une personne qui comprendrait la gravité de son
état
. La malade tire la langue hors de la bouche, mais
ion (paralysie avec rigidité), lue membre supérieur droit est dans un
état
complet de résolution; il tombe comme une masse i
ide que le jour précédent; le membre supérieur droit est dans le même
état
; sensibilité des membres inférieurs, qui se retir
t à peine la saisir ; pouls fréquent et dur; chaleur de la peau : cet
état
fébrile consécutif me paraît indiquer un travail
fut portée à la Salpêtrière le 3 mai 1829, à l'âge de 52 ans, dans un
état
d'hémiplégie dont les caractères n'ont pas varié
qui datait d'un an ou deux au moment de son entrée : voici dans quel
état
je la trouvai en octobre i832. Hémiplégie adroi
i adresser quelques paroles, de faire une prescription relative à son
état
, pour provoquer une sécrétion de larmes abondante
n la transporta à l'infirmerie le 28 avril, et nous constatâmes que l'
état
cérébral était identiquement le même que celui pr
ain pour les arracher; pouls petit et fréquent; dépérissement rapide;
état
obtus de l'intelligence. Mort le 3 juin. Ouvert
figure qui, terminée en mon absence, se rapproche beaucoup trop de l'
état
normal. Les corps olivaires sont volumineux, in
servent aussi dans les fortes apoplexies du cerveau et du cervelet; l'
état
apoplectiforme sympathique d'une lésion grave exi
emme affectée de cancer de l'utérus, étant tombée tout-à-coup dans un
état
apoplectiforme semblable de tout point au précéde
u, le cervelet et la protubérance étaient parfaitement intacts, que l'
état
cérébral était sympathique de l'affection de l'ut
TUBERANCE ANNULAIRE. Un enfant, âgé de 4 ans, m'est présenté dans l'
état
suivant: faiblesse générale, telle que la station
ait même assez considérable. Je recueillis pour commémoratifs que cet
état
datait de trois ans, époque où il avait été pris
qu'on avait jugé que cet enfant était épileptique. Je regardai cet
état
comme tout-à-fait au-dessus des ressources de l'a
s d'induration rouge et d'induration grise de la pneumonie, mais deux
états
bien distincts ; que le ramollissement blanc est
intact, ainsi que le nerf optique. Aussi la vision était-elle dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Le corps strié inter
vent. La femme dont l'observation précède offrait le maximum de cet
état
; car elle n'articulait aucun son, bien qu'elle co
bstance grise, les symptômes de paralysie sont rarement persistans. L'
état
de démence est souvent le résultat de ramollissem
dite des gâteuses, nous ont présenté , comme cause matérielle de leur
état
mental, une ou plusieurs cicatrices de ramollisse
atrice brunâtre de la protubérance. Femme Demousseau, 63 ans, sur l'
état
antérieur duquel je n'ai aucun renseignement posi
atin,elle était hémiplégique ; on la transporta à l'infirmerie dans l'
état
suivant: XXXIIIe LIVRAISON. 3 Hémiplégie à ga
-la-fois, et la substance cérébrale intermédiaire est toujours dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. A quels symptômes
représenté fig. i,une vieille femme de la Salpétrière mourut dans un
état
comateux, vingt-quatre heures après son entrée da
qu'à ces cris, provoqués par des élancemens douloureux, a succédé un
état
comateux. La paralysie de la moitié gauche du cor
auche, de même que tous les sinus de la base du crâne, étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. La surface du cervea
et l'inflammation des sinus ? Cela est difficile à expliquer ; mais l'
état
puerpéral prédispose tellement à l'inflammation e
ites, qui avaient laissé pendant un certain temps les malades dans un
état
de langueur qu'on rapportait à toute autre cause.
reins, ce qui l'empêchait de se lever. Elle s'afflige beaucoup de son
état
. Elle n'avait pas eu de céphalalgie. Je diagnosti
ômes précurseurs, on ne sait à quel moment précis, elle tombe dans un
état
comateux avec abolition complète de tout mouvemen
lles déterminent un léger mouvement de déglutition. Diagnostic. Cet
état
d'abolition complète des fonctions cérébrales peu
e trace de nerfs olfactifs; mais tous les autres nerfs étaient dans l'
état
d'intégrité. —CC sont les circonvolutions cérébra
s qui avoisinent le cervelet et la protubérance; elles sont dans leur
état
naturel. MC, MC, MC est la membrane mince en laqu
les circonvolutions cérébrales qui les avoisinent, présentaient leur
état
normal; il ne manquait, à proprement parler, que
passait pas en volume les tubercules quadrijumeaux qui étaient dans l'
état
normal. Les pyramides antérieures peu développées
trouvés, dans le service de M. Baron, et observée le i5, présentait l'
état
suivant : Crâne très petit; voûte déprimée; fro
frontal, aplatissement des pariétaux, développement plus grand qu'à l'
état
normal de l'occipital, qui, de son angle supérieu
nullement douloureux; la locomotion de tous les membres était facile;
état
général excellent, et pourtant je pronostique une
dant huit jours dans l'eau-de-vie camphrée, je n'ai pas pu juger de l'
état
de l'arachnoïde dite spirale. On a trouvé, m'a-t-
l y a maladie irritative, inflammation. Saignée du pied. Le 2, même
état
, douze sangsues dont six à l'apophyse mastoïde et
i. Le 5, le malade a la conscience d'un mieux-être ; cependant même
état
de tout point : l'impression de la lumière est to
pulpeux ou pultacé de la muqueuse gastrique; et je disais (i) : « Cet
état
« diffère essentiellement du ramollissement gélat
llissement pultacé de la muqueuse gastrique qui a été décrit comme un
état
pathologique par quelques auteurs, et que j'ai vu
ment, en sorte que le tissu propre de la dure-mère est souvent dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Plus tard, la dure-m
umonie. La veille de sa mort, elle rendait parfaitement compte de son
état
, et, comme elle avait éprouvé une fracture de cui
mps elle cesse de parler. Observée le 19 décembre, elle me présente l'
état
suivant: Hémiplégie du côté droit avec difficul
ile de ricin, deux onces. Le 19 décembre et les jours suivans, même
état
; décubitus dorsal immobile; pleurs continuels à t
, ipécacuanha six grains. xxxviie livraison. 1 Les jours suivans,
état
stationnaire. Le 28 décembre, je trouve les membr
mbre, je trouve les membres supérieur et inférieur fléchis et dans un
état
de rigidité. La flexion est portée aussi loin que
coction dans trois verres d'eau ; miel scillitique deux onces. Même
état
jusqu'au 3i. Le membre supérieur de rigide qu'il
, salle Saint-Michel, n° 9, le 19 décembre 1833. Voici quel était son
état
: affaiblissement des facultés intellectuelles ;
istance comparables à celles de l'albumine fortement concrétée. Cet
état
du cerveau m'a paru appartenir, non à une dégénér
uchée salle Saint-Michel, nG 2, hospice de la Salpétrière, présente l'
état
suivant : évacuations alvines involontaires ; idi
uche du corps. Il y avait plusieurs mois qu'elle était dans le même
état
. Cependant elle dépérit : des eschares au sacrum
remières traces d'une transformation médullaire. Si j'en juge par l'
état
de la peau qui supporte et avoisine la tumeur (fi
e-même, composée de stries ou filets de nature cornée. C'est dans cet
état
qu'il fut présenté à la Société royale de médecin
Une jeune femme d'une trentaine d'années entre à l'Hôtel-Dieu dans un
état
d'affaissement porté au plus haut degré, et meurt
Les points noirs ou gris qu'on voit çà et là sont des tubercules à l'
état
naissant. La couleur noire est donc primitive ; e
plit l'excavation, et cependant tous les organes pelviens sont dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Dans le grand bassin
de la loi, qui tend à établir que tout cancer mélanique est lié à un
état
général de l'économie, en sorte que, lorsqu'on re
-fait différente de la couleur blanc-de-lait, du tissu nerveux dans l'
état
d'intégrité. Il est bien difficile de dire si cha
sonde était sorti de la vessie. L'incontinence reparut. Cependant l'
état
général du malade s'altéra : perte de l'appétit;
lade s'altéra : perte de l'appétit; diminution des forces, et bientôt
état
adynamique très prononcé. Tous les matins on sond
ation du rectum, l'hypertrophie de la vessie, l'atrophie des reins, l'
état
tuberculeux du testicule, sont probablement la su
ton, les calculs prostatiques sont composés de phosphate calcaire à l'
état
neutre teint par une matière colorante. Une pro
cellulaire du périnée ; il existait en outre une pneumonie passée à l'
état
d'hé-patisation grise. Ne serait-il pas possible
ions ne sont autre chose que des follicules muqueux invisibles dans l'
état
sain de cet organe. 4° Oblitération complète du
ous possédons trop peu de faits d'anatomie pathologique, relatifs à l'
état
du canal de l'urètre dans la blennorrhagie, pour
reuse de la région lombaire droite. — Mort en quelques heures dans un
état
comateux.—Calcul dans le bassinet.—Transformation
rès colorée; beaucoup d'embonpoint; gaîté; point d'inquiétude sur son
état
. J^a malade souffre dans l'attitude assise, et su
outre l'anneau ombilical dilaté peut admettre l'extrémité du doigt. L'
état
de bien-être de la malade est souvent interrompu
extrêmement intense lui parut un résultat et non point une cause. Cet
état
se prolongea depuis quatre heures jusqu'à huit he
ssait tout ce qu'il ingérait. M. Vallerand et moi nous crûmes que cet
état
syncopal tenait à une indigestion. .Nous prescriv
ue je rapporte la céphalalgie atroce, les vomissemens continuels et l'
état
syncopal du début de la maladie. Quelles sont l
dans la première période, la seule indication, c'est de remédier à l'
état
syncopal. Il serait bien peu rationnel d'avoir im
t rapidement,et, au bout de quelques jours, la malade sortait dans un
état
de santé très satisfaisant, si bien que l'explora
, depuis quinze ans, gravelle, coliques néphrétiques, séparées par un
état
de santé parfaite. En octobre i83g, coliques néph
uvé des reins petits, granuleux, jaunâtres, représentant assez bien l'
état
du foie, qu'on désigne sous le nom de cyrrhose. C
trente à quarante fois plus considérable que celui de l'organe dans l'
état
sain. L'incision de la tumeur donna issue à sep
les points les plus ténus; dans les autres points, elles offraient un
état
d'engorgement qui participait dusquirrhe non ulcé
, et je suis porté à croire que ce rein ne dépasse pas la limite de l'
état
normal. (i) M. le docteur Bouvier vient de publ
ue aisément par le rôle que joue la glande mammaire, qui n'est qu'à l'
état
de vestige dans le sexe mâle. Or, bien qu'il n'y
on n'y trouve pas vestige de tissu osseux. Les omoplates sont dans l'
état
de plus parfait d'intégrité. Les cotes droites
ration; car les muscles, la glande mammaire et la peau étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. Le tibia n'a éprou
des parties saines; bien que les glandes de l'aisselle fussent dans l'
état
le,plus parfait d'intégrité, la maladie repullula
embres inférieurs et un amaigrissement rapide : c'est dans ce fâcheux
état
que le malade quitta Paris pour retourner dans sa
trique ou intestinale, se voyait du sang qui se présentait sous trois
états
bien distincts : i° ici des gouttes globuleuses,
séeuse, jaunâtre, granulée à la manière du riz cuit. Je considère cet
état
comme constituant la suppuration des tissus cancé
généralement décrites. On l'a appelée, je crois, cancer colloïde a l'
état
de crudité ; mais le cancer colloïde, c'est-à-dir
ïde, c'est-à-dire le cancer aréolaire gélatiniforme ne présente pas d'
état
de crudité : l'observation m'a prouvé depuis long
une augmentation de volume dans ces tumeurs, l'époque du changement d'
état
approchait: on lui avait suggéré des craintes trè
es membres inférieurs, demoiselle, est entrée à la Salpêtrière dans l'
état
suivant : (voyez fig. i.) Mamelle droite déform
es et cutanées aurait daté d'une époque beaucoup plus rapprochée. L'
état
général était d'ailleurs excellent. La malade ne
é de tissu, car les muscles intercostaux et les côtes étaient dans un
état
parfait d'intégrité. Frappé du volume du genou
furent remplacées par une bonne cicatrice. La malade parut guérie. L'
état
général était excellent. Deux petites masses canc
opiacé.—Les progrès furent extrêmement lents et au bout de 18 mois, l'
état
général de la malade n'était pas sensiblement alt
, si bien que, au premier abord, on dirait une glande mammaire dans l'
état
normal. La peau qui recouvre la mamelle offre une
pouls ; toux très forte, survenant par quinte ; oppression. Du reste,
état
stationnaire des tubercules cancéreux, dont aucun
e est emportée. A son entrée, le 29 septembre 1837, elle présente l'
état
suivant : à la place de la mamelle droite, surfac
membres inférieurs ; un peu d epanchement dans l'abdomen; d'ailleurs
état
presque stationnaire jusqu'au 6 janvier i838. A c
urs, et surtout du bras droit, ce qui l'avait forcé de renoncer à son
état
de couturière. (Potion éthérée;— saignée de seize
e. Tout le reste de l'encéphale et la moelle épinière, étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. La tumeur qui étai
ucture, nous verrons qu'elles sont identiquement les mêmes que dans l'
état
de grossesse, pourvu toutefois que le corps étran
rtrophie partielle de l'utérus, le reste de l'organe peut être dans l'
état
naturel, ce qui est rare, parce que si l'utérus n
uivre les veines cancéreuses depuis le point où elles présentent leur
état
d'intégrité le plus absolu jusqu'au réseau veineu
die. Je ne soupçonnai même pas la gangrène de l'utérus. Le 10, même
état
; le 11, absence complète du pouls, froid algide;
ard, les caractères locaux propres à cette gangrène humide. Quant à l'
état
général, il varie suivant que la gangrène se fait
utérus et le vagin n'est pas à beaucoup près aussi marquée que dans l'
état
naturel. Je ferai remarquer, bien que cette cir
oblique de haut en bas, la concavité légère en bas, tandis que dans l'
état
naturel, sa concavité est dirigée en haut et sa d
ement ; pouls misérable : métrorrhagie. La malade a été réduite à cet
état
par des pertes extrêmement abondantes : elle s'ét
outume, cet organe présente à la coupe un aspect fibreux comme dans l'
état
naturel, et cependant la compression en fait suin
e. Il eût été désirable que le sac herniaire n'eût pas été en mauvais
état
, pour déterminer ses rapports avec les parties dé
s qui ont lieu pendant la grossesse, et en celles qui ont lieu hors l'
état
de grossesse. Relativement aux hernies de l'uté
ois abdominales prodigieusement distendues, comme cela se voit dans l'
état
de grossesse, surtout chez les femmes qui ont eu
a présence. Si la hernie de l'utérus ne peut pas s'effectuer dans l'
état
de grossesse, on conçoit que l'utérus déplacé pui
rconstance se soit jamais rencontrée. La hernie de l'utérus, hors l'
état
de grossesse, est un fait acquis à la science (i)
porté au dessus de la tumeur, reconnaissait l'anneau inguinal dans l'
état
naturel. Immédiatement au dessous , on sentait l'
l'hôpital de la Charité, dans les premiers jours de mai 184o, dans l'
état
suivant : vomissemens indomptables, froid algïde
s, je soupçonne une dégénération cancéreuse de l'utérus, et d'après l'
état
actuel, je soupçonne la"gangrène de cet organe.
érique, et se concilier avec l'intégrité de toutes les fonctions. L'
état
du rein me paraît digne de fixer l'attention. J'a
masse, l'invasion subite des symptômes les plus graves au milieu d'un
état
qui paraissait compatible avec une vie plus ou mo
r, que nécessitent les grandes modifications de texture amenées par l'
état
de grossesse et par l'accouchement. Cette gangrèn
ens des couches internes dont il est constitué. Existe-t-il, hors l'
état
de grossesse, une gangrène primitive de l'utérus,
es fonctions de la menstruation , ni dans les fonctions digestives. L'
état
général paraissait excellent. Les sangsues appliq
? J'ose à peine l'avouer, il ne me vint pas dans l'idée de vérifier l'
état
de l'utérus. A cet œdème douloureux du membre i
ues. Depuis l'invasion de l'œdème et de la gangrène des gencives, l'
état
général avait fléchi, la face était devenue jaunâ
ble, avec détritus gangreneux ; érosion qui représentait exactement l'
état
des gencives. Je suis persuadé que toute l'épaiss
avec les indurations ordinaires, suite de phlegmasies chroniques. L'
état
des ganglions lymphatiques correspondans, qui si
us, vu à l'extérieur, avait son volume naturel et paraissait dans son
état
d'intégrité. Mais ayant incisé cet organe, je vis
C'est un des cas qui m'ont le mieux appris que la distinction entre l'
état
de crudité et l'état de ramollissement dans le ca
m'ont le mieux appris que la distinction entre l'état de crudité et l'
état
de ramollissement dans le cancer encéphaloïde éta
rès cinq mois de séjour dans mon service, à la Salpétrière, dans un
état
presque stationnaire, elle fut prise d'hérnorrhag
par une traînée de points tuberculeux. Je ne pus reconnaître dans cet
état
aucun des caractères du tissu cancéreux; le ramol
ration des germes l'un par l'autre dans un cas de grossesse double. L'
état
embryonnaire du fœtus et surtout l'état de l'ovai
un cas de grossesse double. L'état embryonnaire du fœtus et surtout l'
état
de l'ovaire me paraissent des argumens sans répli
us porteur se révèle toujours par quelque coté. Dans le cas actuel, l'
état
de l'ovaire ne permet pas le moindre doute à cet
toutes les terminaisons observées de ces singulières déviations de l'
état
normal. Les grossesses extra-utérines ovariques
e quelques remèdes insignifians, se décida à entrer à l'Hôtel-Dieu. L'
état
général était bon : la face n'était pas notableme
nt; la langue sèche. La malade est dans une ignorance complète de son
état
, bien qu'elle ait la plénitude de ses facultés in
que, depuis un mois environ : elle avait si peu d'inquiétude sur son
état
, qu'elle n'a consulté M. INauche, son médecin,que
onsécutivement envahis ; le tissu de l'utérus était d'ailleurs dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. On voyait la végétat
7 ans, entra le 1e1 août i838,à l'infirmerie de la Salpétrière dans l'
état
suivant dévoiement; abdomen très volumineux , mét
dévoiement, qui, du reste, s'arrête de suite, ne pouvait expliquer l'
état
de l'abdomen. L'exploration la plus attentive ne
nse et brune. Du reste, tous les viscères abdominaux étaient dans l'
état
le plus parfait d'intégrité. La muqueuse du gros
héorie de l'infection cancéreuse. 23e liv., pl. v, p. 4- — Cancer à l'
état
liquide, ou abcès cancéreux enkystés dans le foie
e grise des circonvolutions. = Influence des lésions du cerveau sur l'
état
de la moelle. 32e liv., pl. 1, n,p. / 6.— Il est
opium. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 6. — Dévoie ment cholérique ;
état
typhoïde. Guérison.= Dévoiement cholérique; cramp
tat typhoïde. Guérison.= Dévoiement cholérique; crampes; vomissemens;
état
typhoïde porté au plus haut degré. Guérison. 14e
Dévoiement cholérique; gastro-entérite. Mort.= Dévoiement cholérique;
état
adynamique; gastro-entérite. Mort. 14e liv., pl.
n, m, iv, v, p. 7. — Dévoiement cholérique ; crampes ; vomissemens ;
état
typhoïde porté au plus hauldegré. Guérison. 14cli
ntellectuelles. Affaiblissement général de la myotilité. Mort dans un
état
d'adynamie. 26e liv., pl. 11, p. 6. — Tumeur canc
fatale des longues maladies ; elle tend essentiellement à passer à l'
état
chronique. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie pa-
é des diverses formes. = Entérite pseudo-membraneuse,- importance des
états
divers des vaisseaux de la muqueuse et du péritoi
thérapeutique. — Cancer du foie. 23e liv., pl. v, p. 4- — Cancer à l'
état
liquide ou abcès cancéreux enkystés du foie. 23é
nterie incomplètement guérie est la source de plusieurs formes de ces
états
de langueur générale avec digestion laborieuse, a
sang doit aussi souvent contribuer aux hémorrhagies spontanées que l'
état
des parois vasculaires. 3e liv., pl. x,p. /. — To
même. 21e liv., pl. vi,p. /. — Chute du rectum. Réduction laborieuse,
état
adynamique. Mort. Abcès multiples dans le foie (p
fatale des longues maladies : elle tend essentiellement à passer à l'
état
chronique. 40e liv., pl. v, p. 3. — Anatomie path
nterie incomplètement guérie est la source de plusieurs formes de ces
états
de langueur générale avec digestion laborieuse, a
laies, sont, par leur qualité et leur quantité, le thermomètre de l'
état
général de l'accouchée. 13e liv., pl. 1, n, m,
. 11,12. — Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée à l'
état
chronique. 17e liv., pl. m, p. 3. — Le pus peut e
au. 32e liv., pl. 1, n, p. — Influence des lésions de la moelle sur l'
état
du cerveau. 32e liv., pl. 1, 11, p. 6. —Paraplégi
hérence du péricarde. Infiltration générale. Dévoiement. Mort dans un
état
à demi asphyxique. 39e liv., pl. vi, p. 3. PERI
hydatides placentaires. = Existence de vésicules dans le placenta à l'
état
normal, m La transformation vésicu-leuse du place
, p. 1. — La pneumonie des vieillards se présente le plus souvent à l'
état
latent ou sous la forme adyna-mique. 29e liv., pl
l dans le typhus puerpéral. 13e liv., pl. 1, 11, ni, p. 10, 42. —De l'
état
du pouls dans le choléra asphyxique. 14e liv., pl
v,p. — La pneumonie des vieillards se présente le plus souvent à l'
état
latent ousous la forme adynaniique. 29e liv., pl.
oureuse de la région lombaire droite. Mort en quelques heures dans un
état
comateux. Calcul dans le bassinet. Transformation
te sous-arachnoïdienne à leur début. 6e liv., pl. 1, 11, p. 6. — De l'
état
de la respiration dans le choléra. 14e liv., pl.
elà jambe. Inflammation des vaisseaux lymphatiques utérins passée à l'
état
chronique. Inflammation communicante des veines i
Ses qualités doivent contribuer aussi souvent aux hémor-rhagiesque l'
état
des parois vasculaires. 3e liv., pl. 1, ». 3. — L
p. /. — Expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de l'utérus hors l'
état
de grossesse. 11e liv., pl. v, p. 2. — Caractères
l ; vagin double. = Utérus bifide dans son corps, col et vagin dans l'
état
normal. 4e liv., pl. v, p. /. — Utérus bifide d
. 2. — Utérus cloisonné dans son corps seulement, col et vagin dans l'
état
normal. = Utérus biloculaire. = Considérations gé
p. /. — Expulsion spontanée des tumeurs fibreuses de l'utérus hors l'
état
de grossesse. 11e liv., pl. v, p. 2.— Polypes; di
u moins accentuée de l'élément, du tissu, de l'organe préexistants, l'
état
pathologique, sur ces divers points, ne saurait ê
état pathologique, sur ces divers points, ne saurait être dégagé de l'
état
normal que par le rap-prochement minutieux des de
on, être mis à même de reconnaître avec certitude les caractères de l'
état
pathologique dans les di-verses parties de cet or
agérant, des dispositions de structure qui, à peine accentuées dans l'
état
physiologique, pourraient passer inaperçues ou êt
ésentent les dernières expansions des rami-fications bronchiques, à l'
état
fœtal. Pour rendre cet exposé plus clair, je plac
très simple reproduisant» à peu de chose près, les dispositions de l'
état
fœtal et qui ne s'éloigne pas foncièrement, vous
nullement entourés de granula-tions. Cette membrane, si délicate à l'
état
normal, n'en acquiert, pas moins, dans l'état pat
mbrane, si délicate à l'état normal, n'en acquiert, pas moins, dans l'
état
pathologique, une épaisseur considé-- Fig. 8. —
éliale — ou endothéliale ainsi qu'on l'appelle quelquefois — qui, à l'
état
normal, revêt dans toute son étendue, la cavité d
ar personne. Il y a longtemps qu'on sait aussi que, chez l'homme, à l'
état
fœtal, et chez le nouveau-né, ce revêtement s'obs
lial continu, mais polymorphe, que nous décrivons tout à l'heure. À l'
état
fœtal, au contraire, chez cet animal, comme chez
me, objet spécial de nos études. En premier lieu, nous envisagerons l'
état
fœtal, époque de la vie où le revêtement épithéli
ervait des alvéoles dans lesquels il était loisible de reconnaître un
état
pour ainsi dire intermé-diaire. Sur une portion
ois, ayant respiré deux heures. II. Alvéole non distendu, resté à Y
état
fœtal. III. Alvéole distendu ; la plupart des c
ence du revêtement épithélial pulmonaire dans l'espèce humaine, à l'
état
normal, pendant la vie extra-utérine et où nous d
ithélial à la surface des canali-cules respiratoires chez l'homme à l'
état
normal. On peut, d'a-près ces données, affirmer q
er ce qu'il appelle, à tort ou à raison, Yirritation nutritive. Cet
état
est caractérisé par un gonflement de l'élément ce
de la tuberculose. Ce mode de multiplication, très vulgaire dans l'
état
physio-logique, ainsi que l'a montré Remak dans l
as du développe-ment embryonnaire, l'est aussi, vous le savez, dans l'
état
pa-thologique. Or, Messieurs, ces phénomènes de
à plusieurs noyaux. — Chez l'homme, dans la péritonite rele-vant de l'
état
puerpéral, M. Kundrat1 a observé des faits ana-lo
lvéole, il se forme des petits noyaux d'induration lobulaire qui, à l'
état
frais, se distinguent, sur une surface de section
l'épithélium propre-ment dit. La cellule plate qui, chez l'adulte à l'
état
normal, tapisse la paroi interne du canalicule re
ïdes, dispo-sitions qui reproduisent, on le voit, les caractères de l'
état
fœtal. A l'appui de ce que j'avance, je citerai
ui, ainsi que j'aurai l'occasion de vous le démontrer, représente à l'
état
subaigu ou chronique la broncho-pneumonie aiguë s
s for mes de la broncho-pneumonie subaîguë ou chronique. — Retour à l'
état
embryonnaire du revêtement épithélial et des paro
, décrite par Legendre et Railly, et qui représente, suivant moi, à l'
état
chronique, la broncho-pneumonie vulgaire. J'aurai
morpholo-giquement, qui répond, chez l'homme, après la naissance, à l'
état
normal. Maintenant, Messieurs, veuillez vous re
, l'épithélium glandulaire sombre, granuleux, à bâtonnets qui, dans l'
état
normal, tapisse cette partie des * Charcot, loc
damental est mutalis mutandis, le même au fond, à savoir : Retour à l'
état
embryonnaire des éléments nés du mésoblaste et, e
revêtement épithélial, tendance à la reproduction des caractères de l'
état
fœtal. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons
mment dilatés. Ils possèdent un épithélium cubique moins élevé qu'à l'
état
normal. — Leur cavité est remplie par de petits é
u intersti-tiel, production exubérante de ce tissu, B, B, tantôt à un
état
d'organisation plus ou moins avancée, tantôt comp
. ment rempli par un epithélium granuleux, comme cela s'observe à l'
état
normal (F/g. 25), on a sous les yeux un tube pour
ithélium possédant encore plus ou moins nettement les caractères de l'
état
normal. A part les petits vais-seaux, qui, plongé
, il est difficile de décider s'ils sont plus riches en noyaux qu'à l'
état
normal. Seulement l'endothélium de la capsule de
épithéliales cubiques, en tout semblables à celles qui existent, à l'
état
normal, dans les canaux inlerlo-bulaires. En même
ologie, 1870, p. 771). sorle, substitué au réseau que forme, dans l'
état
normal, l'a-nastomose des colonnes de cellules hé
es nodules péribronchiques. — Terminaisons : résolution ; passage à l'
état
subaigu et chronique. I. Messieurs, Pendant
nt de distinguer ces deux lésions. Pour la pneumonie lobaire, c'est l'
état
très manifeste-ment granuleux de la surface de se
dans les portions centrales du lobule. Si j'ajoute à ces lésions l'
état
des bronches et des bronchioles remplies de muco-
ar la phlegmasie ; et enfin une altération parti-culière du poumon, Y
état
fœtal ou carnification dont je ne veux pas parler
aisseuse et sont résorbés ; — 2° La broncho-pneumonie peut passer à l'
état
chronique et aboutir à la cirrhose du poumon. D
les et altérations lobulaires consé-cutives. — Rôle accessoire de l'
état
fœtal dans la broncho-pneumonie. — L'irritation è
eut constater facilement la tendance qu'elles présentent à passer à l'
état
chronique, en voyant se produire la périartérite
réelle du poumon qu'on désigne avec Legendre et Bailly sous le nom $
état
fœtal, de carnification ou de collapsus pulmonair
aire, et de vous indiquer sommairement les relations que présente cet
état
qui n'a rien d'inflammatoire avec la splénisation
série, t. IV. p. 55, 184, 235, 1844). c'est en 1884 seulemenl que l'
état
fœtal a été l'objet d'une description en règle da
cerlain nombre de lobules qui restent affaissés après la naissance. L'
état
fœtal de Legendre et Bailly résulte au contraire
t, par suite de la disparition de l'air con-tenu dans les alvéoles, l'
état
anatomique qu'il présentait avant l'établissement
it avant l'établissement de la respiration : c'est donc un retour à Y
état
fœtal. Celle lésion, ainsi que l'a montré Gaird
airdner et Béhier3 sont allés trop loin lorsqu'ils ont prétendu que l'
état
fœtal doit être substitué à la pneumonie lobulair
le simple examen macroscopique. Voici d'ailleurs la description de l'
état
fœtal telle qu'elle a été donnée par Legendre et
de l'état fœtal telle qu'elle a été donnée par Legendre et Bailly: l'
état
fœtal peut être lobulaire ou lobaire et occupe en
pus; enfin l'insufflation rend au parenchyme tous les caractères de l'
état
normal. En somme, l'état fœtal ne diffère de la s
rend au parenchyme tous les caractères de l'état normal. En somme, l'
état
fœtal ne diffère de la splénisation que par l'abs
ho-pneumonique, mais il n'y a pas filiation nécessaire entre ces deux
états
. Tous deux procèdent de la lésion bronchique. Cel
ssaire pour la progression du processus inflammatoire. En résumé, l'
état
fœtal et la splénisation sont deux éléments disti
tion péribronchique semble en quelque sorte accessoire et presque à l'
état
de complication. Mais c'est une complication très
nt par diverses variétés d'induration pulmonaire, et représentant à l'
état
chronique la forme aiguë de la pneumonie lobaire
mmation parenchymateuse aiguë du poumon qui se trouve représentée à l'
état
chronique. Des foyers tuberculeux, 1 Je prie me
eur développement et permettent ainsi de saisir la transition entre l'
état
aigu et l'état chronique proprement dit. A. Ind
nt et permettent ainsi de saisir la transition entre l'état aigu et l'
état
chronique proprement dit. A. Induration rouge :
et là les diverses espèces de corps granuleux qu'on rencontre dans l'
état
aigu; mais, en outre, il existait un certain nomb
mêmes qualités chimiques ou microscopiques qu'on leur connaît dans l'
état
aigu. Dans l'induration grise que nous devons mai
e l'hépatisation rouge aiguë et les indu-rations diverses propres à l'
état
chronique. — L'induration grise est en général pe
lus avancés de l'induration. Nous avons nous-même examiné avec soin l'
état
du poumon dans un cas où la métamorphose fibreuse
tit nombre de ces corps fusiformes. La couche èpithéliale, qui dans l'
état
normal sépare le contenu des canalicules (vésicul
es épithéliums cylindrique et pavirnenteux sont plus granuleux qu'à l'
état
normal, surtout les derniers; on les rencontre so
ltération, d'ailleurs fort rare suivant lui, se présente toujours à l'
état
lo-baire et consiste en une induration rouge-gris
ette dernière partie des antécédents des détails bien précis. Voici l'
état
dans lequel nous le trouvons : maigreur très pron
e couverte d'un enduit blanc très épais. Etat local : le cœur est à l'
état
normal, résonnance naturelle et même peut-être un
à tomber et, au bout de huit jours, cet homme était à peu près dans l'
état
où il se trouvait lors de sa dernière rechute. Il
régnaient les grandes chaleurs). Pendant les huit jours que dure cet
état
, le malade s'affaiblit rapidement, maigrit de plu
cent à se gonfler; cependant les urines ne sont point albumineuses. L'
état
local de la poitrine, constaté à plusieurs repris
e. Le malade succombe le 2 oclobre, sans que rien ait pu modifier son
état
. Autopsie faite le -4 octobre. — Thorax. A l'ou
ut à fait sains. Ce lobe est environ moitié moins volumineux qu'à l'
état
normal, il est pesant et paraît à l'extérieur d'u
ouls à 140 ; la respiration est gênée, 32 inspirations péni-bles. L'
état
de la malade est exactement le même les jours sui
hénomènes qui marquent d'une manière particu-lière la transition de l'
état
aigu à l'état chronique : « On voit d'abord, dit
marquent d'une manière particu-lière la transition de l'état aigu à l'
état
chronique : « On voit d'abord, dit M. le professe
vations de M. le professeur Grisolle, qu'un lent retour du poumon à l'
état
normal est un fait commun, sinon même ha-bituel,
toire. Quoi qu'il en soit, lorsque la pneumonie doit se perpétuer à l'
état
chronique, les phénomènes généraux, s'ils se sont
tôt, au contraire, il y a préala-blement réapparition momentanée de l'
état
aigu ou, autre-ment dit, rechute. Au bout d'un
de délire ; crachats rouilles caractéristiques. — Le Ier avril, même
état
local : 100 pulsations ; délire la nuit. — Le 2 a
ril, même état local : 100 pulsations ; délire la nuit. — Le 2 avril,
état
adynamique très prononcé, cra-chats rouilles très
ès foncés ; le souffle bronchique gagne le lobe in-férieur. — Le 3, l'
état
typhoïde persiste ; dans les deux tiers su-périeu
s le tiers inférieur. — Le 4, 92 pulsations, amendement prononcé de l'
état
général ; cra-chats muco-purulents, non rouilles.
ns, la température de la peau tout à fait normale. — Du 8 au 11, même
état
général. Ce-pendant le souffle persiste au sommet
u souffle bronchique à la fin de l'inspiration. — Du 12 au 17, même
état
général, même état local ; le souffle et la matit
e à la fin de l'inspiration. — Du 12 au 17, même état général, même
état
local ; le souffle et la matité persistent au som
de force, il mange à peine; un peu de fièvre le soir ; toujours même
état
local; le 29 le malade a eu du frisson le matin.
abondant, mais il devient de plus en plus séreux; pendant ce temps l'
état
général est toujours fâcheux ; fièvre hectique, a
a portion d'aliments qui lui est ac-cordée. — Du 1er au 19 juillet, l'
état
général s'aggrave graduel-lement, la fièvre hecti
à deux reprises; quinquina en potion et kermès, pendant la durée de l'
état
typhoïde. — Le 11 avril, on applique un vési-cato
poumon en lobules manifestement plus petits qu'ils ne le sont dans l'
état
normal. Ces cloisons celluleuses sont pâles, blan
n'ont présenté aucune altération. Symptômes locaux. — A. Lorsque l'
état
chronique est con-stitué, la douleur de côté est
rs points d'un même poumon, sinon les deux organes, et y existe à des
états
différents, en rapport avec les époques différent
ependant on ne les a pas vues, pour cela, passerplus commu-nément à l'
état
chronique. Lorsque la pneumonie aiguë passe à l'é
commu-nément à l'état chronique. Lorsque la pneumonie aiguë passe à l'
état
chronique, c'est surtout, sans doute, parce qu'el
comme l'ont vu Requin et M. le professeur Grisolle. L'existence d'un
état
cachectique, déterminé pardes maladies antérieure
n'avaient jamais, à proprement parler, dépouillé les caractères de l'
état
aigu. Thérapeutique. — S'il s'agissait d'un cas
donné, par exemple, d'assister au passage de la pneu-monie aiguë à l'
état
chronique, on pourrait peut-être, les for-ces du
l'application de larges vésicatoires sur le côté affecté. — Lorsque l'
état
chronique est constitué, même indication de la mé
e plusieurs cautères sur la poitrine, ou en-core d'un large selon.— L'
état
des forces dans une maladie de ce genre devrait
tères que nous lui avons assignés, elle appartient ex-clusivement à l'
état
aigu. Ce serait donc par un double abus du terme
me chez ceux- B. Carnisation. — Sous ce nom, Legendre 1 a décrit un
état
particulier du poumon qu'il a rencontré deux fois
rhales à évolution lente. C'est pour ainsi dire la carnifica-tion à l'
état
chronique. Voici avec quels caractères la camisa-
aux tissus carnifiés, en grande partie du moins, les caractères de l'
état
normal. Rien de semblable n'a lieu dans les cas d
asque, privé d'air, évidem-ment comprimé, et tout à fait dans le même
état
que celui d'un poumon refoulé vers la colonne ver
trouver le parenchyme intermédiaire doué de tous les caractères de l'
état
normal3. Cependant, le docteur Corrigan a pensé
sposition en amas ou mamelons séparés par des interstices presque à l'
état
normal. — Les premières phases de cette lésion on
une étude spéciale et un nom particulier. Les unes, représentant à l'
état
chro-nique la péripneumonie aiguë, ont pour siège
adulte, les signes locaux persistent ; bientôt la fièvre reparaît, un
état
typhoïde s'établit, et des es-charres se forment.
on et au même point; 2° parce que l'autopsie a permis de con-stater l'
état
des parties qui avaient été le siège de ces inva-
é. La malade a succombé à une pneumonie droite : peut-on croire que l'
état
du poumon gauche n'a plus permis, dans les dernie
pe 2, Forster 3), Yhépa-tisation indurée (Lebert), est le pendant à l'
état
chronique de l'hépatisation rouge de l'état aigu.
bert), est le pendant à l'état chronique de l'hépatisation rouge de l'
état
aigu. La lésion est lobaire ; le tissu pulmonaire
n la distinguer delà carnifica-tion, laquelle n'est autre chose que l'
état
fœtal. Avant eux cependant, Corrigan avait, en 18
Quelquefois elle se résout, quelquefois elle se prolonge et passe à l'
état
chronique. Bartels cite un cas qui a duré sept mo
arnisées, roses et lisses, correspon-dant aux parties splénisées de l'
état
aigu, on trouve les altéra-tions de la pneumonie
s complètes, t. v, Poumons. 13 spéciaux qui n'appartiennent pas à l'
état
aigu : a) épaississe-ment des parois des alvéoles
plè-vre pulmonaire ; il a reconnu l'existence d'orifices remplis à l'
état
normal par quelques cellules lymphatiques, et il
uelques cellules lymphatiques, et il a même pu voir, assure-t-il, à l'
état
pathologique, les filaments fibri-neux de la surf
l'étendue du lobe supérieur. Mêmes lésions dans le lobe inférieur à l'
état
moins avancé. Bronches un peu dila-tées, cylindri
Mais, avant d'en aborder l'étude, il convient d'examiner brièvement l'
état
du poumon qu'on peut désigner sous le nom d'anthr
tiennent en abondance de la matière charbonneuse. Le plus souvent cet
état
du poumon est compatible avec une intégrité fonct
distingués des particules charbonneuses conte-nues dans l'organe, à l'
état
physiologique. 1 Robin et Yerdeil.—Traité de ch
'est transformé petit à petit, sur une épaisseur va-riable, et est en
état
d'inflammation chronique: c'est déjà une caverne
fait point ailleurs d'autre travail de ramollissement tuberculeux, l'
état
général s'amé-liore ; c'est une quasi-guérison. L
he où tout le tissu embryonnaire pariétal est devenu tissu fibreux, l'
état
fébrile s'est complètement éteint. Dans vingt cas
e Cruveilhier. Il peut arriver aussi que le tubercule, parvenu à un
état
de parfait développement, reste pour ainsi dire s
eilhier montra que le tubercule peut s'arrêter dans son évolution à l'
état
de tuber-cule cru, à l'époque où la mortification
reuse est faite ici au moment où. le tubercule tout entier est dans l'
état
qu'il présente à l'ordinaire : zone em-bryonnaire
: elle dé-termine la forme aiguë ou chronique. C'est elle qui règle l'
état
général, qui détermine la fièvre ; c'est elle qui
uable surtout par des symptômes généraux très graves consistant en un
état
typhoïde et une sorte de diathèse hémorrhagique.
vec soin les observations et on verra qu'il n'en est pas ainsi, que l'
état
général est proportionné à l'étendue non pas de q
foyers pneumoniques. Dans bon nombre de cas, il faut bien le dire, l'
état
général paraît lié à d'autres conditions encore p
des hôpitaux. ment ce tubercule élémentaire, en quelque sorte, à l'
état
d'isolement, dans diverses circonstances, et, en
ront représentés dans le tubercule. Seulement, ils s'y montreront à l'
état
rudimentaire, arrêtés dans leur dévelop-pement et
matière tuberculeuse, dans l'organe, elle se présente là, ou bien à l'
état
de corps isolés, arrondis (tubercules miliaires),
les miliaires), simples ou agglomérés, gris ou jaunes ; ou bien à l'
état
de masse infiltrée dans un nom-bre variable d'alv
mis facilement en relief. Si, maintenant, on s'arrête à considérer l'
état
que présente Fig, 39. — Alvéoles de la pneumoni
r réunis en amas pour constituer une granulation, être rencontrés à l'
état
d'isolement plus ou moins parfait et leur constit
és plus haut et ils consistent dans le gonflement du protoplasma, son
état
grenu, sa tendance à l'accolement, sa réfringence
ppel, formée par un élément cellulaire unique, dont le protoplasma en
état
d'ac-croissement actif donnerait naissance par vo
revêtu la forme typhoïde, le sang se présente habi-tuellement dans un
état
de dissolution, de fluidité extrêmes. Comme consé
nnement des fosses nasales. Le 31, à la visite, on le trouve dans l'
état
suivant : décubitus dorsal, prostration extrême,
a eu un peu de délire, hier, dans la soirée et pen-dant la nuit. Môme
état
du reste. L'hémorragie nasale ne s'est pas renouv
duit fuligineux. Constipation. Ré-tention d'urine. Coma profond. Même
état
de la paupière et de l'œil droit. 6 août. — Le
e caillots. Abdomen. — Les reins sont un peu plus volumineux qu'à l'
état
normal. On trouve disséminées à leur surface un c
is jours seulement après le début, les malades étaient restées dans l'
état
comateux. Encore chez un sujet atteint de cance
nerveux et irritable et se voit enfin bien-tôt incapable de faire son
état
; il n'a pas travaillé depuis bientôt environ six
t actuel. — A son entrée à l'hôpital, nous trouvons le ma-lade dans l'
état
suivant: amaigrissement assez prononcé des membre
nt quelques heures ; jamais de vomissements, Rien de notable dans l'
état
des sécrétions ; le malade va à la selle deux foi
, qui paraît dû à son poids, et qui est surtout remarquable pendant l'
état
de plénitude de l'es-tomac. — Prescription : lodu
précipite du haut du premier étage de l'escalier. On le relève dans l'
état
le plus grave. L'interne de garde, immédiatement
tivement; toutefois, ils existent en bien plus grande quantité qu'à l'
état
normal. Ainsi, on en rencontre de 10 à 15 dans le
on en rencontre de 10 à 15 dans le champ du microscope, tandis qu'à l'
état
normal on en rencontre tout au plus 1 ou 2. Us on
gorie conservent un caractère important et qui distingue surtout l'
état
normal, c'est-à-dire qu'ils manquent de noyau. Le
imètre. 2° Globules blancs différant de ceux que l'on rencontre à l'
état
normal par la présence du noyau. Les globules de
s que nous venons de décrire et ceux qu'on rencontre dans le sang à l'
état
normal, c'est l'existence, au centre des premiers
près l'action de l'eau. Il faut noter, en outre, comme caractère-de l'
état
morbide, le grand volume des globules blancs et d
un jaunâtre ou même rouge. Ces granulations exis-tent quelquefois à l'
état
de liberté ; mais, le plus souvent, elles s'agglo
te récente , elle est au contraire, petite, plus petite même qu'à l'
état
normal, et d'une consistance très dure, si la mal
ulaires de la rate: c'est tout ce qu'on pouvait faire, en raison de l'
état
peu avancé de nos connais-sances concernant l'his
tamorphoses des globules du sang ; elle renferme souvent, même dans l'
état
physiologique, des corpuscules de pigment analogu
qui circulent avec ce liquide, arriver à préjuger assez exactement l'
état
des viscères en géné-ral, et en particulier celui
es. Toutefois, quels que soient les résultats obtenus jus-qu'ici, cet
état
morbide si complexe est assurément loin d'être co
res. — Nombre considérable de globules rouges, plus petits que dans l'
état
normal, etc. La nommée Laure Weiss, âgée de cin
e, est amenée, le 20 septembre 1860) à l'hôpital de la Pitié, dans un
état
très grave, et succombe quelques heures après son
dissolvent pas dans l'acide acétique. Ce sont des éléments passés à l'
état
gras, en voie de destruction. Tous ces globules
es contenaient des globules graisseux en plus grand nombre que dans l'
état
normal; elles ren-fermaient en outre une quantité
avons conslalée dans le sang. Cette matière, qui se voyait aussi à l'
état
libre, dans le liquide ambiant, peut être par sui
qui nous paraissent avoir un certain intérêt : l'une est relative à l'
état
des globules rou- ges, et l'autre à la présence
rouges? Il n'est guère possible de s'en faire une idée exacte, car l'
état
du sang dans la leucémie, l'abondance des globule
le sang, et elle paraît demander un temps assez long pour passer à l'
état
de cristaux. Il est clair que si ces cristaux s
le 10 juin 1851, à l'hôpital delà Charité, où nous le trouvons dans l'
état
suivant : Constitution profondément détériorée
ript. : Potion, laudanum, 10 gouttes, diminution des aliments. — Même
état
les jours suivants. Le 24 juin, des caillots de
s, sou-vent redoublé, quelquefois intermittent; extrémités froides. L'
état
de l'urine n'est pas modifié. Même état les jou
tent; extrémités froides. L'état de l'urine n'est pas modifié. Même
état
les jours suivants, si ce n'est que l'oppression
our; le malade ne dit pas éprouver de palpitations. 30 juin. — Même
état
général, même nombre de selles ; elles contiennen
ript. : Un vésicatoire sur la région précordiale. {"juillet. — Même
état
que la veille. Quelques frissons errati-ques; pas
veille. Quelques frissons errati-ques; pas de chaleur cutanée ; même
état
des selles et de l'urine. — Rien de nouveau à not
e heure du matin. Le malade était depuis deux jours dans un véritable
état
d'agonie. Le frottement péricardique a persisté j
rougeâtres, contiennent très peu de matière puriforme. Tubercules à l'
état
crétacé au sommet du poumon. Le poumon gauche n
s, et qui ont le même mode de connexion que ces derniers, indiquent l'
état
par lequel ils ont dû préalablement passer avant
ues qui se sont succédés, et en l'absence de tout renseignement sur l'
état
antérieur des fonctions circulatoires. Ces phén
. 25. Pouls très petit, à 108; peau très chaude, langue très sèche,
état
typhoïde, coma vigil, urines et selles involontai
ce point. Rien au cœur, pas de toux, pas d'expectoration. 26. Même
état
. Le pouls est si fréquent qu'on ne peut le comp-t
n. — Le foie présente la coloration, la consistance et le volume de l'
état
normal. Il renferme trois noyaux blanchâtres, du
met du poumon droit. Le cœur est à peine plus volumineux que dans l'
état
normal. Il n'a pas contracté d'adhérences avec le
-rieure. — B, la paroi du kyste. — C, les parois du cœur réduites à l'
état
d'une mince lamelle d'aspect fibreux ; point d'ad
rt et M. Davaine, paraissent essentiellement composées de fibrine à l'
état
amorphe, contenant des granula-tions de caractère
à propos d'un cas d'affection ulcéreuse de la valvule tricuspide avec
état
typhoïde et formation d'abcès multiples dans les
évelopper surtout chez des sujets débilités, principalement pendant l'
état
puerpéral *, qu'elle a plusieurs fois été rencont
lle paraît s'être établie d'emblée, sans avoir été précédée par aucun
état
morbide apprécia-ble. A mesure qu'on apprendra
survient assez fréquemment pendant le cours de la grossesse ou dans l'
état
puerpéral proprement dit où elle revêt parfois la
oc. cit. — Simpson, Obstetric Memoirs, t. II, p. 67, 70. — Lotz, De l'
état
puerpueral considéré comme cause d'endocardite (B
Je malade ayec soin, mais on ne prit pas une note dé-taillée sur son
état
. On constata toutes les apparences d'une affec-ti
r la chaleur). On prescrit deux verres d'eau de Sedlitz. Le 6. Même
état
à peu près que la veille. Le bruit de souffle par
eur très prononcée, cependant l'ensemble de la physionomie indique un
état
typhoïde. La peau est chaude et couverte d'une su
orte de frottement confus. La respiration est plus fréquente qu'à l'
état
normal. Mêmes ré-sultats de la percussion et de l
'intestin. Les plaques de Peyer et les follicules isolés sont dans un
état
tout à fait normal. — L'estomac n'a pas été exami
sont suffisantes. On achève d'ouvrir les ventricules pour examiner l'
état
de ces val-vules et des orifices auriculo-ventric
ule Iricuspide. Cette végétation est constituée par de la fibrine à l'
état
fibrillaire, au milieu de laquelle on trouve quel
t eu aucun trouble du côté de l'or-gane central de la circulation, un
état
typhoïde concomittant très accusé, la constipatio
e se tromper sur le moment exact de chacun des bruits de souffle. L'
état
typhoïde s'est manifesté trois ou quatre jours ap
idus cachectiques, atteints de ma-ladies chroniques, ou encore dans l'
état
puerpéral. Or, chez ces sujets, le sang présente
a recouvre de vésicatoires volants. Le 1er août, la malade est dans l'
état
suivant : la tumeur iliaque a diminué de volume e
inte de phlegmatia alba dolens, dépendant en partie, sans doute, de l'
état
puerpéral, mais déterminée surtout par la pres-si
son travail, d'ailleurs si riche de faits, Sur la mort subite dans l'
état
puerpéral. Paris, 1858. 2 Traité des accoucheme
ulement du pseudo-pus? Nous penchons pour cette dernière opinion. l'
état
d'induration rouge et plaques purulentes quelques
o-sées à ce dernier genre d'accident. IL Mais ce n'est pas dans l'
état
puerpéral seulement qu'il sera donné de rencontre
nt, dans un intéressant mémoire de Simp-son sur la mort subite dans l'
état
puerpéraldeux observa-tions qui paraissent contra
; il était par conséquent important de noter tout parti-culièrement l'
état
dans lequel les veines crurale et iliaque du côté
xpectoration; la percussion et l'auscultation n'apprennent rien sur l'
état
de la poitrine ; seulement, dans quelques cas, on
i lui sont propres, ou même, en l'absence de ceux-ci, l'existence des
états
pathologiques ou physiologiques qui prédisposent
es de respiration et de con-naissance commençaient à se manifester. L'
état
de la malade ne leur parut pas moins des plus ala
e heure et demie après le début de l'accident, la malade était dans l'
état
suivant : immobilité dans le décubitus dorsal, la
e pouls seul disparaissait. A dater de minuit, il s'était fait dans l'
état
de la malade une amélioration sensible et qui se
alade une amélioration sensible et qui se soutenait. C'est dans cet
état
que M. Barlh, appelé en consultation, vit la mala
ressive, soutenue, mais lente, et la malade res-tait toujours dans un
état
grave. A dater du sixième jour, elle fit des prog
s veines de l'économie. Il y aurait donc d'abord paralysie du cœur et
état
syncopal, puis, secondairement, asphyxie. Les mou
rusion des yeux, etc., devraient, en par-ticulier, être rattachés à l'
état
asphyxique. Le docteur Panum 2, t Loc. cit., p.
t allé plus loin, et on s'est demandé si, dépourvue de vaisseaux, à l'
état
normal, la membrane interne des artères était sus
arde pas à s'épaissir et à prendre un aspect laiteux ; parvenue à cet
état
, elle est apte à subir la dégénération athéromate
terreuse de la peau. Enfin, l'arc sénile, dont la coïncidence avec l'
état
graisseux du cœur a été depuis longtemps signalée
n le point de vue auquel on se place, peuvent être divisés, d'après l'
état
des parois, en anévrismes vrais, mixtes externes
suivrons dans le cours de cette description. — Pour ce qui touche à l'
état
des parois artérielles, nous ren-voyons le lecteu
forme de ¡cochea collet, suivant l'expression de M. Cruveilhier. L'
état
des tuniques artérielles est ici très variable. Q
externe indurée adhère à la membrane interne régénérée. Enfin, dans l'
état
le plus avancé, la tunique moyenne a com-plètemen
Aucune description ne sau-rait ici suppléer aux effets du dessin. L'
état
des tuniques artérielles mérite dans ce cas une a
e secondaire. D. Il est, au contraire, très intéressant d'étudier Y
état
des parois anévrismales, au point de vue de la ré
ence d'un anévrisme de l'aorte: mais la malade ayant succombé dans un
état
de ma-rasme prononcé, on découvrit à l'autopsie u
ent les pulsations des deux artères radiales, dont les battements à l'
état
normal sont iso-chrones et d'une égale intensité.
La compression de la veine cave inférieure ou supérieure produit un
état
variqueux des branches afférentes de ces deux gra
x manque souvent. 2° Stridor, sans aphonie. 3° Variabilité dans l'
état
de la voix. 4° Stridor venant d'en bas. '6° R
ent, de part et d'autre, les symptômes se manifestent du même côté. L'
état
du pouls, les accidents localisés au bras ou à la
lus an-guleuses. Stokes fait observer avec raison que l'ascite et l'
état
vari-queux des veinules abdominales sous-cutanées
e qu'une artère aussi volumi-neuse que l'aorte ne saurait revenir à l'
état
normal, sans offrir au moins quelques traces des
elà de quelques mois. Les malades succombent presque toujours dans un
état
d'asphyxie. Dans un seul cas (Wade) la mort a eu
hez lesquels l'aorte présente un diamètre deux fois plus grand qu'à l'
état
nor-mal. Hunier a vu, en pareil cas, des fiexuosi
ssem-blance extérieure avec les enfants. La petitesse du pouls et l'
état
de l'appareil sexuel sont les principaux indices
l'anomalie qui nous occupe n'est autre chose que la persis-tance d'un
état
fœtal. En effet, à une période peu avancée de la
se développera inévi-tablement pour suppléera ce défaut ; et comme l'
état
des pou-mons pendant la vie fœtale s'oppose à ce
supplémentaire maintiendra pour toujours l'isthme de l'aorte dans un
état
d'infériorité relative. Mais ce n'est pas tout ;
te, les autres de la portion descendante de l'aorte, et qui, même à l'
état
normal, s'anastomosent si largement entre elles,
symptômes de cette anomalie sont presque exclusive-ment fournis par l'
état
de la circulation. On constatera un dé-veloppemen
puriforme ; sa rupture fut suivie d'accidents apoplectiques et d'un
état
typhoïde, qui se ter-mina par la mort. Nous sav
l reste au pas, sa démarche assurée présente tous les caractères de l'
état
normal ; mais àpeinea-t-i trotté pendant quelques
interne droites. Celles-ci présentent à peu près les rapports de 1
état
nor-mal, mais leur calibre paraît très manifestem
oces, insomnie absolue, inappétence, modifications inquié-tantes de l'
état
général, tel a été le tableau que le malade nous
t privé de son membre, c'est bien entendu, mais il ne souffre plus. L'
état
général est devenu excellent. Tout fait espérer q
le Mémoire, p. 572. l'impuissance motrice douloureuse, nulle dans l'
état
de repos, survient seulement par accès, évidemmen
endant cette période on assiste successivement au rétablissement de l'
état
normal : 1° la circulation se rétablit dans les m
mencé, on enlève la ligature, on voit, au bout de quelques minutes, l'
état
normal reparaître et la rigidité cesser. Si, au c
t prescrite. Cette saignée n'est suivie d'aucune modi-fication dans l'
état
du malade: notons, en passant, que le sang est un
l de Bon-Secours. Une vieille chiffonnière, âgée de 70 ans, dans un
état
de mai-greur extrême, présentant une teinte jaunâ
térée, elle ne pouvait, en un mot, donner aucun renseignement sur son
état
antérieur. De temps à autre, elle avait des synco
u-lier encore que par le passé. Il se manifeste un peu de délire et l'
état
adynamique se prononce. Le membre inférieur gauch
agulé. Ses parois ont une épaisseur normale. Les valvules sont en bon
état
. Le cœur gauche est manifestement hypertrophié :
r, c'est que les vaisseaux sanguins du réseau capillaire sont dans un
état
de plénitude extrême. Cependant, malgré cette ext
urs nets ; ils sont tous devenus éminemment granuleux et sont dans un
état
de véritable dissolu-tion. Dans certains points m
ct de l'in-farctus hémoptoïque véritable. La confusion entre ces deux
états
anatomiques, si différents au fond, sera cependan
érés, devenues vésiculeuses, trois ou quatre fois plus grandes qu'à l'
état
normal et à surface bosselée. a, c, d, Noyaux d
es ; ces cellules sont quelquefois deux à six fois plus larges qu'à l'
état
normal et renferment de deux à douze noyaux envir
nuleux. d, e, f, Degré plus avancé d'hypertrophie et de passage à l'
état
gra-nuleux. G fiar cot QBT1VP8S completes. í.
s for-mes de la broncho-pneumonie subaiguë ou chronique. — Retour à l'
état
embryonnaire du revêtement épithélial et des paro
nodules péri-bronchiques; — Terminaisons : résolution; passage à l'
état
subaigu et chronique... 98 DIXIÈME LEÇON bron
hronique... 98 DIXIÈME LEÇON broncho-pneumonies expérimentales. —
état
foetal et son rôle dans la broncho-pneumonie. — i
éoles et altérations lobulaires consé-cutives. Rôle accessoire de l'
état
fœtal dans la broncho-pneumonie. — L'irritation é
propos d'un cas d'affection ulcéreuse de la valvule tricuspide avec
état
typhoïde et formation d'abcès multiples dans les
sacciforme, 482; — an. vrai, 482; — an. en poche à collet, 483 ; —
état
des parois,485, — compression des organes voi-s
dichotomique, 18; — de 2e ordre, 18 ; —de 3° et 4e ordres, 19; — à l'
état
fœtal, 22; — intra-pulmonaires, 29; — struc-ture
ouloureuse par accès, 574, 577, 582; — trou-bles fonctionnels, £S2; —
état
du système nerveux, 581, 583; — physiologique pat
74, 559; — siège, 561; — pédi-culisation, 552; — conséquences, 562; -
état
typhoïde, 563; — bi-bliographie, 563; — vers dans
essen, 31. Fièvre intermittente, ?27; — épi-démie de —, 328, 337; —
état
des reins dans la —, 344; — dyspnée, hémoptysie,
amène ce jeune homme de dix-neuf ans, très amaigri, plongé dans un
état
de dépression intellectuelle voisin de la stupe
itons pas à considérer ce fait comme en concordance complète avec l'
état
diffus des lésions étu- diées aux étages inféri
ération des fibres endogènes. Dans le même sens, il faut invoquer l'
état
du faisceau de Goll qui apparaît sain, à quelqu
t tout d'abord très important de constater cette opposition entre l'
état
presque sain des racines (caractère le plus net
nes antérieures que dans les colonnes de Clarke ; nous avons noté l'
état
granuleux d'un certain nombre de ceux qui persi
sparition des éléments endogènes s'explique sans dif- ficulté par l'
état
des cellules des cornes : Le centre trophique s
OLOGIE MENTALE Depuis son entrée à l'asile elle est restée dans cet
état
de dépres- ion mélancolique, se reprochant d'av
Elle ne se faisait qu'une idée inexacte de l'heure et du jour. Cet
état
ne dura que peu de jours et dans une lettre que
d'autre que des idées mélancoliques. Au point de vue physique son
état
général est assez satisfaisant. Mais on remarqu
Il y a amaurose complète de l'oeil gauche ; la pupille est dans un
état
de dilatation moyenne et elle ne réagit pas direc
e l'éclairage de la pupille droite, la pupille gauche revient à son
état
de dilatation primitif. A la convergence il y a
DE NÉGATION. 27 Cet examen est d'ailleurs difficile en raison de l'
état
de dépression de la malade. Avril 1898. - Auj
e l'état de dépression de la malade. Avril 1898. - Aujourd'hui, l'
état
de M110 A... est amélioré, elle a pleine consci
ruine. Ce qui donne un aspect un peu particulier à ce cas, c'est l'
état
men- tal qu'a présenté la malade au moment de s
ques de sa mère et les combattait tout en présentant elle-même un
état
semblable. Premier accès.- Les premiers acciden
solue. A son entrée, elle est très déprimée, puis elle passe par un
état
d'agitation considérable de quelques jours de dur
accès débute soudaine- ment, et elle entre en novembre 1887 dans un
état
d'excitation maniaque qui dure deux à trois moi
89. Troisième accès. -- Elle est réintégrée un mois après dans un
état
de grande anxiété avec refus de nourriture, déses
août 1893 ; à la suite d'une grippe, elle tombe rapidement dans un
état
de stupeur très profonde avec gâtisme. A la fin d
s la voyons pour la première fois (décembre 1893), elle est dans un
état
d'angoisse énorme avec hallucinations multiples,
général à la suite d'une question qu'on lui a posée. C'est dans un
état
d'anxiété indeseriptihie qu'elle émet avec loqunc
sme d'anxiété elle refuse de s'entretenir avec nous. Cependant, son
état
s'améliore rapidement, elle se rend compte qu'e
alade est calme, s'occupe très activement; elle a conscience de son
état
morbide et a gardé le souvenir très net de tout
e, au mois d'août après une attaque de grippe et est restée dans un
état
d'engourdissement jusqu'à la fin de décembre. E
es autres, etc. (avril 1897). '- Avril 1898. Depuis un an le même
état
persiste et le même état persiste et les idées
97). '- Avril 1898. Depuis un an le même état persiste et le même
état
persiste et les idées mélancoliques sont très act
ccès proprement dits (treize ans); il est d'ailleurs possible que l'
état
mélancolique date de l'enfance. Depuis l'année
et sur le monde extérieur. Délire hallucinatoire poly- morphe avec
état
anxieux et idées de persécution. Consécutivement,
t; 1111ll0 H... ne se nourrit que de lait et de bouillon. Aussi son
état
général périclite surtout à lasuited'un anthrax
ille la reprend en novembre 1895. A sa sortie elle est dans le même
état
, se livre chez elle à toutes sortes d'actes ins
s'occupe avec la plus grande régularité de travaux de couture. Cet
état
persiste jusqu'en décembre 1896, sans aucun cha
ntradiction avec les faits expérimentaux et doit être rejetée. En l'
état
actuel de la science, on ne peut non plus admettr
ait soudainement le reste de l'appareil, c'est-à-dire la glande, en
état
de déchéance fonctionnelle. Il y aurait entre l
ans fait une chute sur la tête. On l'ap- porte à l'hôpital dans un
état
semi-romateux avec des troubles moteurs et sens
ningée à gauche. Trois jours plus tard, devant l'aggravation de son
état
, on pratique la trépanation de la région temporo-
'appeler l'attention sur l'apparition précoce des troubles mentaux (
état
démentiel progressif) et les phénomènes de paré
cendante pouvant durer plusieurs mois, puis s'établit une période d'
état
qui n'a aucune tendance à rétrocéder naturellem
our sur son épaule gauche un fardeau de 50 kilogr., abandonne cet
état
et presque aussitôt il présente un spasme par leq
rs que les autres symptômes de tabes sont il peu près nuls et que l'
état
gé- néral du malade s'est maintenu excellent ;
ue l'ataxie est en voie d'évolution croissante et rapide; lorsque l'
état
général, les symptômes viscéraux, les troubles ti
rait à son tour et le malade, absolument [guéri, se trouve dans son
état
normal. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 63 Il s'e
enses et aussi prolongés que dans le cas rapporté par l'auteur. L'
état
du sujet était tel que la mort semblait imminente
e ces vésicules, la subs- tance colloïde est moins abondante qu'à l'
état
normal. Le tissu interstitiel, à peine existant
s les cas difficiles, repose sur la déter- mination rigoureuse de l'
état
de démence ; cette démenée si pro- fonde dès le
des caractères particu- liers qui la distinguent de tous les autres
états
démentiels ; elle constitue un véritable stigma
s à part. En terminant, M. Mouratow émet l'opinion que l'étude de l'
état
de la substance chromatophile de la cellule n'a
le n'a pas autant d'importance, par elle- même, que par rapport à l'
état
général de la cellule, et surtout en tant qu'un
at général de la cellule, et surtout en tant qu'une indication de l'
état
de sa nutrition. A la discussion qui a suivi ce
SOCIÉTÉS SAVANTES. ciennes brûlures. L'annulaire droit se trouve en
état
de contrac- ture (flexion forcée) par suite d'u
ons et des cornes présentent une pigmentation plus prononcee qu'à l'
état
normal, pas de bacilles. Pas d'altérations lépreu
des facteurs étiologiques rencontrés dans d'autres observations à l'
état
isolé, permet de présager l'impor- tance du rôl
de la sénilité anti- bibliographie. 75 cipée, comme l'indique l'
état
du système circulatoire, et comme l'indique la
ique de ces faits réside dans l'action de la diathèse produisant un
état
dégénératif, régressif de l'ensemble de l'éco-
eux, comme dans l'hérédité cérébrale, ou bien est l'expression d'un
état
général, d'une sénilité en voie d'évolution pro
ussitôt au visage. Puis le meurtrier prit la varia. 79 fuite. L'
état
de Gigan est assez grave, mais non désespéré. Qua
mate de potasse, et la coloration est moins facile à obtenir qu'à l'
état
normal'. » Qu'il s'agisse ou non d'une dégénéra
ral X..., dont elle menaçait de solliciter l'intervention, etc. Cet
état
persista pendant plusieurs mois sans se modifier;
lègue du service des hommes, appelé pendant un intérim à examiner l'
état
mental de celte malade, commençait ainsi son ce
PHOÏDES CHEZ DES ALIÉNÉS. 103 montait à plusieurs années, que, en l'
état
actuel de nos connaissances psychiatriques, j'a
de scarlatine et arrive à cette conclusion, que l'amélioration de l'
état
men- tal survient plus souvent à la suite de la
observé avec soin dix ma- lades atteints de dothiénenterie grave. L'
état
mental n'a été modifié d'une façon certaine que
yphoïde à furme ady- namique grave se déclare. Pendant la période d'
état
, dispa- rition brusque et complète des symptôme
ition brusque et complète des symptômes maniaques durant un mois. L'
état
maniaque antérieur revient bientôt suivi d'une
rôtie, presque tous les signes d'une fièvre typhoïde à la période d'
état
. La malade est devenue plus calme, mais elle ré
elle-même qu'elle va très bien. Et de fait l'amélio- ration de son
état
mental persiste; le 18 septembre, la fièvre est
inci- dente guérit, Mye B... se lève au mois d'août sans que son
état
mental ait jamais changé. Ainsi donc, dans l'ob
ne pas répondre à l'excitation. Lorsqu'on a poussé la fatigue à un
état
voisin de l'épuisement, le muscle continue à mou-
iant l'action physiologique du courant galvanique dans sa période d'
état
variable de fermeture, a démon- tré : 1° que l'
au congrès de Moscou ses recherches expérimentales sur l'action des
états
variables du courant galva- nique sur les nerfs
ion forte quelle sera l'attitude du pied après la myotomie, enfin l'
état
de l'innervation. Si le muscle n'obéit plus à l
T d'électrothérapie. pondant. Elle est absolument indépendante de l'
état
de santé ou de maladie de toutes les parties de
acher surtout aux caractères du pouls examiné au sphygmographe, à l'
état
des pupilles, au caractère du malade et enfin à
confiance de son malade, il exerce sur lui une forte suggestion à l'
état
de veille, il continue le bromure de quinine et l
et l'électricité; 4° la fièvre était simplement nerveuse puisque l'
état
général et la nutrition n'en furent que légèrem
aître que la coexistence fré- quente chez le même individu des deux
états
pathologiques, gigan- tisme et acromégalie, n'e
t plus violents que d'habitude, le malade tombe brusquement dans un
état
coma- teux et meurt. On croit qu'il s'agit d'un
ports intimes de la syphilis et du tabès, l'auteur professe qu'en l'
état
actuel de la science la meilleure explication e
voit que des maladies bien caractérisées arrivées à leur période d'
état
. A tous égards, dans l'intérêt des malades, pou
umet au Comité de direction à qui il communique, à chaque séance, l'
état
de la caisse et la situa- lion financière de la
patronnés par tous les membres de la Société. Ils s'informent de l'
état
moral des patronnés, font connaître aux médecin
la suite d'une violente scène de ménage dans laquelle son mari, en
état
d'ivresse, l'avait battue, la nommée Pauline Bour
ato, et natif de Sicile, rentrait l'autre soir à la caserne dans un
état
d'ébriété tel que le sergent de garde lui adres
nviron six mois. Il fut interné dans une maison de santé, mais, son
état
s'étant amélioré, il fut bientôt rendu à la liber
Fontainebleau. Sur ces indices, les agents purent mettre, hier, en
état
d'arrestation six gamins, qui constituaient à eux
e des membres inférieurs s'étant accentuée, la malade n'est plus en
état
d'écrire et ne manie que difficilement la cuiller
profond dans le pli inguinal droit. 164 CLINIQUE NERVEUSE. L'
état
général de la malade a beaucoup empiré vers la mo
urer en anneau les capillaires et les vaisseaux de calibre ; et à l'
état
normal, on trouve à ces endroits un cndothélium
gaines lymphatiques des vaisseaux, on les nomme périthé- lium); l'
état
morbide consiste en une prolifération abondante
es en série, et au moment des espaces intercalaires. Ces différents
états
sont quelquefois difficiles à distinguer. Il fa
efois difficiles à distinguer. Il faut tenir compte exactement de l'
état
des voies digestives de la malade, de la qualit
pendant plusieurs jours de suite. Les malades présentant ce dernier
état
sont des sériels dont l'intervalle lucide est l
-dire au moment où comme nous l'avons montré, la malade présente un
état
saburral, indice d'une prochaine série d'accès.
intercalaire. Mais, dansée cas, nous avions noté chez la malade un
état
saburral très prononcé, indice d'une série d'at
iéna- tion mentale, est surtout de rattaclier l'acte incriminé à un
état
pathologique antérieur, de montrer qu'il est to
cachexie, intoxication ou quelque autre cause plaçant l'individu en
état
de réceptivité . Après avoir suivi leur évoluti
tiqueter folie post-opératoire. On trouve signalés presque tous les
états
pathologiques du cer- veau, manie avec tous ses
ire de persécution, démence, paralysie générale, puis neurasthénie,
états
neurasthéniformes, hypocondrie, SOCIÉTÉS SAVA
certains mots ou certaines phrases pendant des heures entières. Cet
état
la désespère, mais si elle cherche à se retenir e
rand nombre. : l'impression morale, une action nerveuse réflexe, un
état
de shock ; l'opération en elle-même, la nature
es post-opératoires étaient dus à une action nerveuse réflexe, à un
état
de shock. Dans cet ordre d'idées, Vène, Le Dent
agit d'un cas véritable d'intoxication iodoformique, la notion de l'
état
cérébral antérieur doit intervenir pour expliqu
isons normaux. . C'est par l'auto-intoxication qu'on s'explique l'
état
démentiel qui survient à la suite de la thyroïd
on très secondaire, ce sont les anesthésiques, les antiseptiques, l'
état
d'anémie ou de cachexie du sujet, la nature de
s et c'est là, sa caractéris- tique, ce délire est un rêve vécu, un
état
second, un état somnam- Mique. Quand il dispara
a caractéris- tique, ce délire est un rêve vécu, un état second, un
état
somnam- Mique. Quand il disparaît, il y a perte
o-scléreux, chez ceux dont les émonctoires naturels sont en mauvais
état
. M. Régis cons- tatelesbons résultats que donne
lle B..., âgée de vingt-un ans, présente à partir d'octobre 1892 un
état
de confusion mentale auquel se joint un mois aprè
usa- tion. A son entrée à la Salpêtrière, en juin, elle est dans un
état
typhoïde avec carphologie, raideur des membres,
Après une rémission de deux mois, elle tombe brusque- ment dans un
état
méningitique qui l'emporte en trois semaines. O
plus, il n'existe pas de symptômes psychiques ou soma- tiques d'un
état
mélancolique fondamental. L'exercice des facultés
, trépidation épileptoïde, paralysie des sphincters, etc., etc. Cet
état
persista durant trois à quatre mois, puis on s'
ui en sont atteints se trouvent, au point de vue psychique, dans un
état
de déchéance notable. Les observations de tabes
opos, je veux, en terminant, rappeler qu'étudiant la pathogénie des
états
convulsifs en général et ayant en vue ce fait r
sme latent : isolé, le segment médullaire est amené rapidement à un
état
de potentialité exagé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 229
M. Vallon étudie tous les troubles mentaux transitoires, tous les-
états
passagers d'aliénation mentale, qui sont de natur
tème nerveux; 9° troubles mentaux liés à des troubles du sommeil :
état
intermédiaire à la veille et au sommeil, somnambu
i l'ont précédé, accompagné et suivi ; 2° l'inculpé étudié dans son
état
présent, dans ses antécédents personnels, dans
grande signification : nul souci de fuir de la -part de l'inculpé,
état
d'hébétude, sommeil, torpeur, etc. Enfin, les c
l'interrogatoire des témoins, à celui de la victime, si elle est en
état
de s'expliquer, en un mot, il s'entourera de tous
de l'épilepsie qu'un très petit nombre méritant d'être qualifiés d'
états
d'aliéna- tion mentale transitoire. Tous, sans
sitoire. Tous, sans exception, relevaient manifes- tement soit d'un
état
de dégénérescence mentale, soit surtout de l'in-
nt. Pour les auteurs allemands, la folie transitoire est liée à des
états
congestifs du cerveau. Krafft-Ebing, nous l'avo
nt les indi- vidus chez lesquels on observe le plus communément des
états
congestifs transitoires du cerveau ? C'est préc
nge que la folie transitoire, qui reconnaît pour base anatomique un
état
congestif du cerveau, se développe précisément
réserve l'aliénation mentale transitoire, symptoma- tique de divers
états
morbides, je ne puis me défendre d'un doute à l
dehors de toute prédisposition héré- ditaire, en l'absence de tout
état
pathologique antérieur, tels que l'épilepsie, l
carrière de cas de folie transitoire qu'il n'ait pu rattacher à un
état
pathologique antérieur. Souvent il a fallu un e
is en vue de l'examen médico-légal, fut considéré comme accompli en
état
de demi-responsabilité, l'émotion passionnelle
udication intermittente bien étudiée par Charcot; l'or- gane est en
état
de méiopragie d'origine artérielle. Si le calib
de ce ramollissement devait être recherchée naturelle- ment dans l'
état
du système artériel ; or, fait particulier, les b
ue dans notre observation les faits étaient de date récente. De l'
état
du facial supérieur et du moteur oculaire commun
ienne voit, à la suite de son traitement électrique qui aggrave son
état
, se développer une phobie de la marche. Tandis
ns un placard pour limiter ses mouvements et étouffer ses cris. Cet
état
était' absolu- ment continu, et dans les moment
ontinu, et dans les moments d'accalmie, il subsistait quand même un
état
spasmodique généralisé des muscles. Maints traite
ge du début de la maladie. Au bout de cinq mois, la malade était en
état
de quitter le sanatorium, de se livrer à toutes l
e fut extrait qu'à la troisième application du forceps. Il était en
état
de mort apparente et les jours suivants eut des c
- sions. A l'examen les membres inférieurs paraissent normaux à l'
état
de repos, mais si l'enfant est mis debout ils de\
NGLADE (de Toulouse), rap- portent l'observation d'un sujet mort en
état
de mal épileptique, après avoir présenté toutes
se promène dans la propriété de l'établissement, si elle est en hon
état
d'entre- tien ; mais ces notions sont courtes e
être complétées que par quelques notes, les modifica- tions de leur
état
mental sont moins nombreuses et les rares guéri-
es malades, d'augmenter leurs chances de guérison, aggraverait leur
état
mental. M. Marandon de Montyel propose de suppr
eillées avec soin par le service médical pour ne 'pas aggraver leur
état
mental, comme je l'ai vu arriver quelquefois.
e malades à l'asile sont assez nombreuses ; la plus fréquente est l'
état
d'excitation des malades; ensuite vient l'impos
s dans les quinze jours) les trois quarts des malades présentent un
état
de nutrition tout à fait bon; dans le quart qui
ttention à ce départ, car ils étaient habitués à voir L... dans cet
état
anormal. Chez lui, il se mit à table. Il dérais
uf ans, lois de sa naissance s'est présenté par la fesse et dans un
état
de mort appa- rente. Pas d'antécédents névropat
d'où il n'a pu être retiré qu'après un certain temps et dans un tel
état
d'asphyxie que pour arriver à rétablir sa respira
s rétabli de cet accident, rien d'anormal ne s'est produit dans son
état
de santé jusqu'à l'âge de neuf ans, époque à la
-brachial de la moelle ; et il est impossible d'admettre qu'avec un
état
si avancé d'atro- phie dans ces muscles, ceux d
nt à l'hôpital général de Nancy, service de M. le Pl' Spilmann. Son
état
mental est absolument normal. Elle entend dire
t arriver en sep- tembre pour remarquer une amélioration nette de l'
état
physique et une modification favorable parallèl
tte de l'état physique et une modification favorable parallèle de l'
état
mental. M... arrive peu à peu à se rendre compt
on, on constate tout d'abord qu'elle parait avoir conscience de son
état
, mais, si l'on retient trop longtemps son atten
errifiantes. Ces troubles se sont dissipés sans amé- lioration de l'
état
physique, en trois ou quatre jours ; il a suffi,
de lui faire remarquer qu'elle se trouvait absolument dans le même
état
et que, par con- séquent, elle verrait aussi sa
a la satisfaction de constater elle-même une amélioration de son
état
physique, c'esl-à-dire dès qu'elle retrouve de l'
ion apportée par l'exemple de la pre- mière, sans amélioration de l'
état
physique, ce qui prouve bien qu'il ne peut réel
re heures avant la mort de la malade. Jusqu'aux dernières heures, l'
état
général est resté excel- lent, el. les fonction
e des noyaux correspondant au nerf vestibu- )aire'2° Intégrité de l'
état
général et des fonctions organiques,, absence d
des images visuelles, auditives et autres. Ils examinent ensuite l'
état
mental particulier des aphasiques et leur capacit
sse est à la mélancolie. ' LWOFF, LXHI. Auto-observations PENDANT l'
état
hypnotique ; par Ollo-G, WETTERSTRAND (de St0ck
e sur l'hypno- tisme, mais il croit aussi à l'autonomie de ces deux
états
. LworF. LXV. Parésie transitoire ET récurrente
s idées se trouvant entravée par la lenteur des perceptions. Si cet
état
d'ar- riéralion intellectuelle s'accentue, il y
e et agréable. , Dans la paralysie infantile d'origine cérébrale, l'
état
mental pré- sente des degrés divers en rapport
ducation. La paraplégie spasmodique est le symptôme dominant de cet
état
. tD Une catégorie distincte d'imbéciles est for
ropres à établir l'origine commune des traces qu'on y rencontre à l'
état
normal. L'observation em- bryologique permet à
ile de faire un diagnostic et surtout de localiser la lésion. Cet
état
dura huit mois environ. Il présenta alors de la t
uls et des accidents d'oedème pulmo- naire, le tout accompagné d'un
état
fébrile très marqué. Devant la gravité de cet é
accompagné d'un état fébrile très marqué. Devant la gravité de cet
état
, on tenta d'intervenir et l'application d'une c
rimante pour faire disparaître les douleurs, comme pour prévenir un
état
de mal d'où peut résulter la mort. > R. C. I
des variétés individuelles qui dépendent de la constitu- tion, de l'
état
de la nutrition, de l'âge, etc., et que nous ne c
préciser, dans l'avenir, les lésions anatomiques en relation avec l'
état
électrique. On a montré que, dans la réaction d
ilité du courant électrique peut-elle enriéhir la symptomatologie d'
états
patholo- giques ? Nous avons déjà indiqué les e
une influence purement psychique - auto-suggestion, suggestion à l'
état
de veille ou de sommeil -une vésication d'une r
les suites opératoires semblaient devoir être excellentes, dans un
état
mélancolique avec anxiété très vive, idées de sui
r du sein gauche, d'un délire mélancolique qui a cédé la place à un
état
maniaque avec idées de grandeur et érotiques, e
cerne la première question, l'auteur admet qu'en dehors de certains
états
aigus caractétisés par de la confusion, de l'inco
de simple analogie; mais d'après lui il existerait entre ces deux
états
un rapport d'équivalence, c'est-à-dire que certai
produites par l'épui- sement ; 2° en pénétrant l'essence même de l'
état
de veille, et en y arrêtant, suspendant ou trou
nt ou troublant le cours régulier de l'associa- tion des idées. Les
états
psychopatiques, postoniriques sont habituel- le
ndant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 32S 5 le mouvement, soit à l'
état
de veille, soit à l'état de sommeil, il appert
OGIE MENTALE. 32S 5 le mouvement, soit à l'état de veille, soit à l'
état
de sommeil, il appert que ni l'activité, ni le
sexuels, sans qu'on puisse en espérer une influence heureuse sur l'
état
névropathique des malades. - On n'en peut tirer
admis, en principe, que toute phobie a pour élément fondamental un
état
d'anxiété, et que cet état d'anxiété consiste e
ute phobie a pour élément fondamental un état d'anxiété, et que cet
état
d'anxiété consiste essentiellement en un phénom
agnent, dans la conscience, d'un sentiment d'angoisse, de peur. Cet
état
d'angoisse devient permanent dès lors, tandis que
urvenu sans aucune représentation psychique préalable, détermine un
état
d'anxiété, à la faveur duquel les phobies pour-
tion, au choc trauma- tique, etc. Chez la plupart de nos patients l'
état
est resté slation- naire. Trois ont été aggravé
augmenté de fréquence, soit parce qu'il s'est produit un véritable
état
de démence ou de torpeur intellectuelle très mani
l pas incriminer uniquement l'inter- vention, car le sujet était en
état
de mal et présentait d'ailleurs une grave lésio
s mois; accès d'abord rares, maintenant deux ou trois par semaine ;
état
d'idiotisme et de démence à peu près complet. T
nt aux questions posées et ne peut donner de renseignements sur son
état
. Pendant la quinzaine, M. le Dr Brunet constate
, et même parfois d'anesthésies (Obs.III). Des modifications dans l'
état
des réflexes cutanés et tendineux peuvent être
ellement un morceau de papier buvard, ce qui lui parut soulager son
état
d'angoisse. Dès lors elle eut souvent recours à
déshabitue l'or- ganisme des poisons (Entwohnungskuren), à savoir :
état
d'an- goisse et d'inquiétude, sensation de brûl
des cornes antérieures, examinées d'après Nissl, se trouvent dans l'
état
de développement embryonnaire. Les cel- lules d
ttribuaient au foie dans la mélancolie. Esquirol signale le mauvais
état
de cette glande chez les suicidés. Les arthriti
1880, constatait que les abcès du foie peuvent s'accompagner d'un
état
plus ou moins marqué de mélancolie et d'hypocondr
e, déprimé, ne répond que par monosyllabes en versant des larmes; l'
état
général est bon; cependant il y a de l'anorexie
reparait, t. s. 39° 2. Du 26 au 30, il y a une amélioration dans l'
état
général ; pas de fièvre : le malade recommence
s sont claires et abondantes, sans albumine ni sucre; néanmoins l'
état
gastrique laisse toujours à désirer. Ce même soir
nce, tout cet ensemble symptômatique fait songer exclusivement à un
état
bilio-septique que nous ne chercherons pas à ca
intoxication de cause interne créée par l'insuffisance hépatique. L'
état
infectieux fébrile qui s'est manifesté longtemp
ue l'on eût pu attendre, n'est pas nettement caractéristique d'un
état
d'intoxication. Les symptômes psychiques fondamen
crise panophobique transitoire signalée au début de la période d'
état
et les rêves terrifiants dont le malade s'est p
on l'observe dans tous les cas où le foie fonctionne mal, dans les
états
bilieux, hémorrhoïdaires, dyspeptiques, transit
nt pour antécédents l'uricémie, la migraine, le rhumatisme vague,
états
qui résultent de troubles nutritifs auxquels le f
e malade se révèle néanmoins d'une façon bien significative par cet
état
de cépha- lée ou plutôt d'hébétude et de somnol
phénomènes nerveux les plus fréquents parmi ceux qui résultent d'un
état
de souffrance du foie, est en effet la somnolen
a somnolence et la narcolepsie. Elles se manifestent au début des
états
graves, mais peuvent aussi se rencontrer dans les
chaque instant, ou du moins tombait, selon son expression, dans un
état
indéfinissable de pesanteur et de lourdeur cra-
, que le délire qui survient après abstinence chez un alcoolique en
état
de maladie aiguë diffère du véri- table délire
nts. Peu de temps après, des phénomènes nerveux compli- quèrent son
état
: elle devint sujette à des crises qualifiées de
onnerre (astrophobie), achevèrent de jeter la perturbation dans son
état
mental et une violente crise maniaque éclata. L
nte au point de vue clinique, nous retrouvons la coïncidence d'un
état
de souffrance du foie et d'un trouble mental, ce
sorption partielle de la bile, conséquence de l'obstruction et de l'
état
de souffrance des voies biliaires. Au cours de
pagnent la confusion mentale primitive font complètement défaut : l'
état
général est plutôt florissant, il n'y a pas d'em-
e étable où elle s'isole pendant plusieurs années. Elle vit dans un
état
d'exaspération con- tinuel, en proie aux halluc
L'influence de l'ictère grave terminal a été absolument nulle sur l'
état
mental ; aucune complication délirante n'est su
droit. Céphalalgie, vomissements répétés, toux, fièvre. Le 28, l'
état
fébrile persiste à un degré modéré, la douleur hé
out le corp une faible teinte ictérique. Rien de particulier dans l'
état
mental, sauf de l'hébétude. Le 2 mars, pendan
ani- feste les mêmes idées délirantes, sans que la physionomie de l'
état
mental soit en rien modifiée. 374 CLINIQUE
us complet marasme, ayant conservé jusqu'à la fin conscience de son
état
et du monde extérieur. A l'autopsie, cancer mas
l'influence de cette prédisposition, le cerveau, tout en étant, à l'
état
normal, d'un fonctionnement bien équilibré, n'e
rte prédisposition à délirer, peuvent créer, du côté du cerveau, un
état
d'imminence morbide. Dans ces conditions, 376
résignant à mettre une constatation impossible pour celles que l'
état
physique ou mental des sujets ne nous permettait
'étranger contiennent les travaux les plus récents relativement à l'
état
du tact dans la paralysie générale. Nous serons
ns durables ont été signalées à la période initiale. A la période d'
état
, dit-il, la sensibilité aussi peut être troublée
constatation exacte du tact chez les paralytiques par suite de leur
état
mental. Dans les phases initiales, c'est la vio
soit le même expérimentateur qui, à chaque constatation, apprécie l'
état
de la sensibilité tactile. Et maintenant, lais-
ues chez lesquels nous avons recherché à de fré- quentes reprises l'
état
du sens tactile depuis le jour de leur entrée j
Le tableau suivant répond à cette question. Nous avons pensé que l'
état
de calme et d'agitation du sujet était suscepti
leau met bien en évidence six faits intéressants. En premier lieu l'
état
constamment normal du tact durant les périodes
nos paralytiques au moment de nos constatations étaient dans cet
état
et pas une fois nous n'avons pu relever la moindr
ors de nos cons- tatations nos sujets se trouvaient dans ce dernier
état
et nous avons relevé seulement 56 altérations,
e fait mis encore en évidence par notre tableau qui étonne, c'est l'
état
constam- ment normal du tact dans les formes pu
n est rien et comme 56 fois nos constatations ont coïncidé avec cet
état
, le chiffre en est assez important pour établir
mort par suicide, on peut citer certains morts par submersion, où l'
état
du corps est identique dans l'hypothèse du suic
La malade présenta de la fièvre dès son entrée à l'hôpital, puis l'
état
devint infectieux et la mort survint dans le coma
parole, de la mimique, de l'ecriture, de l'audition des mots, de l'
état
intellec- tuel, l'absence de troubles moteurs p
eut servir d'exemple à cet égard : Un homme de trente-sept ans, à
état
mental bizarre, surmené peut être intellectuell
toute une moitié de la musculature du visage. En tenant compte de l'
état
psychique du malade qui témoigne d'une réelle d
Ce jour-là cependant un changement capital surviendrait dans son
état
: une sévère discipline imposée à sa volonté pour
ourant nerveux étant quelquefois accélé- rée par comparaison avec l'
état
normal. Par l'effet de la convulsion épileptiqu
u bromure de potassium, le temps de réaction subit, par rapport à l'
état
intercalaire, un léger allon- gement, en rappor
Il s'agit d'une petite fille de cinq ans amenée à l'hospice dans un
état
comateux profond. On apprend par les renseignemen
ir repris conscience, à la façon des malades qui succombent dans un
état
de mal épileptique. Ce cas, qui par sa nettet
onner la substance corticale de ce jeune cerveau, donnant lieu à un
état
convulsif suivi de mort. L'interprétation la pl
mettre que REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 413 l'alcool a provoqué un
état
convulsif, qui comme tout état convulsif chez l
E LÉGALE. 413 l'alcool a provoqué un état convulsif, qui comme tout
état
convulsif chez l'enfant s'est terminé par la mo
nfant. Quelle est la nature de la dyspnée, observée au cours de cet
état
? 1 Elle est due en partie à l'intensité des co
chite continuent à l'augmenter. Il faut enfin penser, au cours d'un
état
comateux, à la pénétration possible d'aliments
ur fréquence et leur grand nombre, de même que par l'intensité de l'
état
de dépression qui suit l'accès épileptique. Aux
iques mêmes, en partie les périodes précédant et suivant l'accès, l'
état
de démence épileptique, ainsi qu'en partie la p
atténuée, l'auteur fait les remarques suivantes : 1° L'examen de l'
état
mental d'un criminel devant un grand nom- bre d
erches plus approfondies soient t faites sur la dégénérescence et l'
état
mental des dégénérés. (Ame- j'ican journal of i
rent les mêmes troubles délirants qu'il avait prétendu simuler; cet
état
ne s'est guère amélioré et, depuis huit ans que
e, mais l'idée criminelle est liée à une perception dé- formée de l'
état
réel des choses; le crime est le résultat d'un éq
L'expérience a cependant montré que la punition d'un acte commis en
état
d'ivresse n'avait jamais servi d'exemple et emp
nation du siège de la volonté, sont lises. L'alcoolique est dans un
état
d'automatisme cérébral. C'est un malade ; il y
de crimes qu'ils commettent dans des accès de folie intermittente,
état
ma- ladif plutôt que volontaire, et tout ce qu'
effrayés par une maladie intercurrente ef craignant son passage à l'
état
chronique, ont renoncé définitivement à la bois
nsidérations relatives à l'espérance d'influer éventuellement sur l'
état
névropathique des sujets à opérer. Dans ces cas
ues des organes sexuels pour tenter d'exercer une suggestion sur un
état
névro- pathique coexistant. Enfin, mais seuleme
s elle puisse être considérée comme un fait secondaire, aggravant l'
état
mental, dans tous ces cas, si l'on soupçonne un
variété hystérique, mélancolie périodique. Quand le diagnostic de l'
état
mélancolique a été fait, il reste à établir le
ère anxiété. Si, traitée de la sorte, la maladie parait tourner à l'
état
chronique, alors s'impose l'éloipnement dans une
enu devrait être, dès son admission, examiné au point de vue de son
état
psychologique, de ses parti- cularités mentales
rtement vers la lumière du vaisseau. Quelques cellules même sont en
état
de pro- lifération évidente. Ce sont là les pri
x ambiants. A part les agglomérations, ces ceilules s'observent à l'
état
isolé dans une large étendue de la substance bl
tissu cortical normal, n'était les quelques cellules ner- veuses en
état
de dégénérescence. Nous faisons remarquer, à pro-
le où la cellule nerveuse possédant deux noyaux se trouve déjà en
état
de dégénérescence avancée. Nous n'avons pas gra
bsence complète d'hématies, de l'hémaloïdine soit amorphe, soit à l'
état
de cristaux d'hématine dans les tissus. D'autre
capillaires et les petits vaisseaux. Certaines de ces cellules, en
état
de modifications progressives, sont en effet ac
ts des cellules névrogliques, fait que l'on observe communément à l'
état
normal et surtout dans les foyers d'encéphalite
es, globules blancs du sang, les cellules névrogliques sont déjà en
état
de prolifé- ration assez avancée, phénomène sui
leur passage une certaine résis- tance, qui est variable suivant l'
état
de ces articulations. Dans l'attention intervie
remarquer que le réflexe irien lumineux se produit quel que soit l'
état
psychologique du sujet. Le réflexe accom- modat
deux neurones sensitifs ! Mais ce ne peut être que pour modifier l'
état
de cette articu- lation à un certain moment, po
me de ces prolongements des contacts plus ou moins intenses selon l'
état
d'attention commandé par le cerveau. » A notre
. Nosographie. Ce genre d'obsessions qui peuvent se produire, à l'
état
passager et peu marqné, chez des individus bien p
t de la vie, mais d'ordinaire, elle ne dure que quelques heures à l'
état
d'intermède épisodique. Presque toujours ce sen
onde en raison d'une dilatation d'estomac. - Toutes les deux ont un
état
mental de nature convulsive; seul le degré diff
près à toutes les affections organiques, de plus près encore à ces
états
que l'on rangeait c daus le vieux cadre des név
le. La première, c'est l'épilepsie vraie ; la seconde représente un
état
épileptiforme ou épileptoïde ; 2° les causes de
n des néolo- gismes incompréhensibles accompagnent l'émotion. A cet
état
cor- respond vraisemblablement une congestion i
les difformités congénitales DU cerveau dans leurs RAPPORTS AVEC L'
ÉTAT
DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE ; par N. SO
lules motrices de la moelle épinière. Ces dernières restent dans un
état
de développement embryonnaire. R. C. XXXV. SU
ui suit immédia- tement le paroxysme, en rapport avec la durée de l'
état
post- épileptique. Les accès survenus chez le m
, du mésencéphale et du cer- veau terminal, et cela quel que soit l'
état
de la sensibilité. G. D. LVI. De l'influence de
BREGMAN. (iV6M)'00 ? Centralbl., XVI, 1897.) Après avoir résumé l'
état
de la question clinique dans ses rap- ports ave
e, la plupart des cellules ont des granulations plus petites qu'à l'
état
normal. Une partie du proto- plasma présente un
. Cette association d'alhétose et de myolonieest peut-être due à un
état
d'excitation tout particulier du neurone corticom
tal. 2° Fonctionnelle. - Cas dans lesquels le malade n'est pas en
état
de donner à l'objet qu'il se représente dans l'es
urasthénie n'est pas une maladie, mais le nom donné à une réunion d'
états
qu'il faut savoir différencier, et qui a donné li
thénie M'aie que l'auteur décrit avec une précision parfaite est un
état
acquis, frappant un sujet valide et guérit faci
passer de cause occasionnelle pour apparaître : elle comporte un
état
mental beaucoup plus accusé que la neurasthénie v
ent plus rebelle, paroxystique et en tout cas sujette à rechutes. L'
état
neurasthénique accompagne souvent d'autres affec-
e petit ouvrage est une excellente mise au point de la question des
états
neurasthé- niques, tous les points de vue y son
oyés spéciaux, les juges, fait qui constitue la véritable base de l'
état
actuel des choses dans les états civilisés. » '
ui constitue la véritable base de l'état actuel des choses dans les
états
civilisés. » ' M. Makarewicz ne voit donc pas u
ec ceux de la tribu. Mais jusque-là même, jusqu'à la naissance de l'
état
, c'est bien le droit de vengeance qui apparaît
r 1898. 528 VARIA. a Quand cet homme a bu, il se trouve dans un
état
morbide tel qu'il est complètement irresponsabl
et Haute, 189. Etat des cellules ner- veuses chez les - morts en
état
de mal, pa : 'llispal et.\nglaUe, 259. Rapidi
1301clipique - de Fa- rel, par Bauer, 62. Auto-observa- tion de l'
état
-, par Wetters- transi. 294. Hypnoiisme. Somn
y. faisant ressortir les avantages du procédé par lequel il réalise l'
état
d'hypnotisme, déclare : « Mon procédé a encore ce
sser hypnotiser et celui qui l'hypnotise. Dans le fait de provoquer l'
état
d'hypnotisme chez une personne il ne saurait
n'y aura pas de cas où un sujet ne se placera pas de lui-même dans un
état
analogue à L'état d'hypnotisme. Il s'agira alors,
s où un sujet ne se placera pas de lui-même dans un état analogue à L'
état
d'hypnotisme. Il s'agira alors, non d'hypnotisme
s d'hypnotisme fortittt, et la volonté de celui qui aura provoqué cet
état
ne sera pour rien dans les effets d'inhibition qu
moindre malaise. Elles ont pu également s'assurer que la sortie de l'
état
d'hypnose, le réveil en un mot, s'est toujours ré
as été inutile de commencer par leur apprendre que la production de l'
état
d'hypnotisme constitue par lui seul un puissant a
café, de tabac, le système nerveux se trouve tellement excité, que l'
état
sédatif indispensable à la production de l'hypnot
age du tabac, je sais que je vais me heurter, pour la production de l'
état
d'hypnose, à des difficultés plus grandes que
ence organique, constitue un obstacle invincible à la production de l'
état
d'hypnotisme. Chez les individus doués d'une ém
individus doués d'une émotivité exagérée, le sentiment de la peur, l'
état
d'anxiété, ou même simplement une contrariété un
e mettre spontanément et volontairement les muscles de ses membres en
état
de résolution complète. La constatation de cette
faits analogues en a conclu que l'activité cérébrale qui constitue l'
état
de veille ne peut se maintenir qu'à la faveur des
de cet appareil est un moyen précieux pour produire l'hypnose ou les
états
analogues et, en fermant le malade aux excitation
de aux excitations extérieures, assurer ensuite la persistance de ces
états
. L'occlusion des yeux est parfaite, l'occlusion
Des paragraphes semblables existent en Autriche, en Hongrie, dans ¦l'
état
de New-York, eu Norwège,en Suède,en Russie, en Bu
out leur but. La liberté de l'individu est ainsi lésée, parce que l'
état
punit aussi les actes sexuels des invertis qui ne
homosexuelles. En stigmatisant les homosexuels comme des infâmes, l'
état
en pousse un grand nombre au suicide. Moll, Hirsc
ure on eut pu croire que l'amour normal, l'amour hétérosexuel était l'
état
anormal. Mais si vous songez que les médecins c
ne parait pas disposé à recommencer. Avulsions dentaires pendant l'
état
d'hypnotisme Le Popular Science Siffings de Lon
Science Siffings de Londres mentionne le fait suivant: Etant dans l'
état
d'hypnose une jeune femme de vingt-quatre ans s'e
de l'Hypnotisme des faits d'avulsions dentaires sans douleurs dans l'
état
d'hypnose. C'est une des applications de l'hypnot
moyen d'éviter la propagation de l'homosexualité, mais il n'est, vu l'
état
actuel des choses, ni applicable, ni appliqué. En
, à caractère défensif, de cette diathèse, l'obésité, le diabète, l'
état
migraineux. Beaucoup souffrent également de troub
rmation et de contrôle, suffisamment précis pour que nous en fassions
état
, à la condition que le régime alimentaire soit co
aire. La diététique et l'hygiène sont à peu près celles de tous les
états
psy-chasthéniques. En ce qui concerne le régime,
ions sexuelles. La guérison est d'autant plus facile à réaliser que l'
état
hypnotique a été obtenu plus promptement et plus
c la pierre de touche de la curabilité. Les suggestions faites dans l'
état
d'hypnose doivent exercer une influence profonde
l une satisfaction nor- male sont doués d'un sens olfactif en bon
état
de fonctionnement. C'est un point essentiel sur l
l et pour subir l'attrait du sexe opposé est d'avoir un bon odorat, l'
état
contraire prédispose certainement à l'homosexuali
à la rééducation de l'olfactif, par l'emploi de la suggestion dans l'
état
d'hypnolisme, en l'aidant de l'intervention des d
ns l'appréciation d'une œuvre musicale, juge aussi d'après son propre
état
psychique et se laisse guider par ses tendances d
vre fait naître dans l'âme humaine, dans un sujet mis dans un certain
état
d'hypnose. Dans cet état, en effet, le sujet pe
humaine, dans un sujet mis dans un certain état d'hypnose. Dans cet
état
, en effet, le sujet perçoit, d'une manière infini
rectement chez lui les sentiments correspondants. Chez ce sujet à l'
état
d'hypnose, il n'y a plus ni préjugés, ni modifica
de milieu, toutes les conventions et réticences volontaires qui, à l'
état
de veille, viennent, le plus souvent, modifier le
avons reproduites par la photographie, nous montrent l'expression à l'
état
le plus pur de tous les sentiments : La douleur,
vraie et l'expression sincère des sentiments, c'est chez le sujet à l'
état
d'hypnose que l'artiste peut les provoquer et les
t à étudier le développement et l'expression des sentiments daus leur
état
le plus vrai et le plus naturel, chez les sujets
ts daus leur état le plus vrai et le plus naturel, chez les sujets en
état
d'hypnose. Un cas d'application de l'hypnotisme
de en pareil cas. D'ordinaire, lorsqu'une femme veut accoucher dans l'
état
hypnotique, on l'hypnotise plusieurs fois avant l
1904.) (2) Travaux du 8• Congrès en l'honneur du D' Pirogoi. un
état
de sensibilité extrême, coudition des plus favora
e supporterait pas l'accouchement. Elle resta près d'un mois dans cet
état
de désespoir et sous l'influence de ces idées noi
un fait curieux d'opèralion chirurgicale faite sans douleur, à l'
état
de veille, sous l'influence d'une suggestion fait
, à l'état de veille, sous l'influence d'une suggestion faite dans un
état
d'bypnolismc antérieur. Meyzieu, le 29juillet 1
un journal de Londres, d'une jeune femme qui a subi sans douleurs, en
état
d'hypnose, l'avulsion de 14 racinesdentaires. 11
ilement hypnotisable. Après l'avoir endormie et lui avoir suggéré, en
état
d'hypnose, qu'une fois éveillée je lui enlèverais
t pondérale de la croissance ont chacune leur individualité et qu'à l'
état
pathologique cette indépendance peut s'pccentuer
ompréhensible. Le plus minutieux examen préalable du cœur a accusé un
état
parfait ; ni l'autopsie, ni l'examen microscopiqu
el ou artificiel (hypnotique ou narcotique) nous apprend que c'est un
état
psychique propice aux suggestions de tous genres.
as morte elle enregistre mécaniquement les excitations extérieures. L'
état
de sommeil est même particulièrement favorable à
e neutraliser les suggestions, si elles ne visent que la production d'
états
temporaires, par exemple une anesthésie. On con
our obtenir un résultat très positif. Eappelons encore une fois que l'
état
de sommeil, quand le raisonnement est absent, est
fois que l'état de sommeil, quand le raisonnement est absent, est un
état
favorable par excellence pour la fixation de tout
terreur et amène la mort. C'est que les émotions vives produisent un
état
de grande réceptivité aux impressions, en somme u
produisent un état de grande réceptivité aux impressions, en somme un
état
analogue au sommeil hypnoptique, ou à la snbeonsc
l hypnoptique, ou à la snbeonscience. quand l'activité cérébrale de l'
état
de veille est suspendue. Il n'est cependant pas
st suspendue. Il n'est cependant pas facile de tuer par frayeur à l'
état
de veille et il (1) Medical Timer and Gazette,
ne saurait aller plus loin. Le sujet tressaillit, et se raidit dans l'
état
cataleptique, mais ne mourut pas malgré la sugges
ber et vous vous endormirez » Quant à moi j'ai dit à mon sujet dans l'
état
post-hypnotique : « cette sensation n'est pas obl
ychique une action psychique. Si vous voulez laisser se développer un
état
naissant, votre arme est le silence ; si vous vou
fit déjà pour livrer l'esprit du dormeur à l'inconnu hasardeux ; et l'
état
psychique qui sen suit peut avoir des suites fune
sommeils artificiels — hypnotique et narcotique — sont avant tout des
états
psychiques où la suggestion est possible. La fray
encement d'asphyxie qui provoque une terreur et des palpitations, Cet
état
psychique, si l'on y prête nne attention sérieuse
ent augmenter le danger. H se peut que l'on doive chercher dans les
états
psychiques subjectifs les causes du 1/80 pour cen
ormir comporte des éléments psychologiques ; 2° Chaque sommeil est un
état
propice aux suggestions ; 3° Celui qui se sert de
chloro-formation il faut tâcher d'obtenir, par suggestion directe, un
état
psychique qui exclut la possibilité d'autosuggest
s, le ehloroformi6ateur aura la maîtrise de son-sujet et dirigera ses
états
psychiques à son gré, éliminant la part du hasard
lui donna un choc si violent qu'il succomba aussitôt. * ß * Des
états
de conscience divers survenus à l'occasion de col
s soumis à la seule influence des centres médullaire ou bulbaire. Cet
état
a particulièrement frappé tous les contemporains
nuit il dormit mal. Le lendemain, il me dit qu'il se trouvait dans un
état
d'excitation cérébrale extrême, qu'il se rendait
ent presque partout- et combler ainsi une lacune qui nous met dans un
état
de grande infériorité vis-à-vis de l'Allemagne.
fforts convergent vers un but unique, la réalisation rationnelle d'un
état
moral et physique conforme aux capacités du genre
faire apprentissage de souplesse, n'est-ce pas enfin s'élever vers un
état
de beauté, la beauté de l'homme a cheval — point
s de soi-disantes guérisons miraculeuses, et exposent véridiquement l'
état
véritable de ces prétendues guérisons. Ils pourra
ts, on constate, en effet, une disposition particulière à réaliser un
état
psychologique dans lequel la fonction visuelle se
uence fascinatrice d'animaux d'espèces différentes, je désignerai cet
état
sons le nom d'état de fascination. Le nombre de
d'animaux d'espèces différentes, je désignerai cet état sons le nom d'
état
de fascination. Le nombre des sujets présentant
est capable, je ne tarde pas à-observer dans son regard un singulier
état
de fixité. Ses yeux, grands ouverts, présentent u
andé de fixer. La fascination visuelle n'est, pas autre chose qu'un
état
de monoïdéisme accentué survenant chez un individ
mine de détourner son regard. ? semble donc que l'être plongé dans l'
état
de fascination subisse un charme qui n'est pas sa
as sans attrait, et qu'il trouve dans la prise du regard un véritable
état
de satisfaction. Cette impression résulte netteme
logie et de Psychologie, ayant pour titre : La prise du regard dans l'
état
de fascination, je faisais remarquer que les suje
ion, je faisais remarquer que les sujets susceptibles d'entrer dans l'
état
de fascination et de présenter le phénomène de la
r à fixer un instant mes yeux pour qu'elle se trouvât plongée dans un
état
de fascination visuelle très marqué, se traduisan
ne de la prise du regard, n'est que' l'exagération expérimentale d'un
état
qui leur est familier. Le phénomène de la prise
on visuelle et on s'explique qu'ils se prêtent a la production de cet
état
, puisqu'il aboutit â la mise en jeu d'une aptitud
e qui placent l'animal dans des conditions absolument comparables à l'
état
d'hypnotisme. Certains faits observés journelle
s en l'air comme le ferait un sujet humain soudainement plongé dans l'
état
de catalepsie. Un chasseur qui connait bien les
monoïdéisme olfactif, analogue au monoïdéisme visuel du sujet mis en
état
de fascination. Cette systématisation de l'atte
ements graves qui tirent leur importance des conditions voisines do l'
état
de guerre, au milieu desquelles ils se sont dérou
est un instinct chez le médecin ; je cherche à me rendre compte de l'
état
psychologique de tous ceux qui m'entourent. Si je
officiers de l'état-major, avec lesquels je vis. me semblent dans un
état
très analogue au mien. Ce qui domine chez eux, c'
hagie est toujours accompagnée d'une amélioration très marquée dans l'
état
mental. L'instabilité, l'irascibilité dont font
ment vicié l'enseignement dans nos facultés et u produit peu ft peu l'
état
morbide que nous combuttonn. Mais, 11 y a autre
t qu'il s'endormait au moment des affaires les pins importantes : cet
état
insupportable se prolongea pendant? ans. L'exam
O hémoglobine, poids spécifique 1065, viscosité 60,5, par conséquent,
état
presque chlorotique, avec un nombre d'érythrocyte
ue apportée dans les conditions de la circulation. C'est pourquoi Y
état
antérieur de l'appareil circulatoire devra toujou
essivement. 2° L'une et l'autre syncope réalisent parfois un simple
état
de mort apparente ; on devra lutter avec énergie
de soumettre un malade à la chloroformisation. on examine avec soin l'
état
de son cœur et de ses poumons. Or ce qui importe,
qui importe, bien plus que sa circulation ou sa respiration, c'est l'
état
de sa « réflectivité ». Certains nerveux ont des
doit s'appliquer, surtout par la suggestion, à inhiber ou diriger les
états
psychiques du sujet, tout comme on le fait pour l
s caractères particuliers du suicide que l'on rencontre dans d'autres
états
névropathiques, si, en somme, le suicide hystériq
ne qu'elle va soigner a Salis de Béarn. Cette névralgie entretient un
état
d'excitation psychique, d'angoisse d'abord diffus
e d'abord diffuse et sans objet et qui, par la suite, se résout en un
état
panophobique (claustrophobie, agoraphobie, dromop
urasthénie. Malgré plusieurs cures d'isolement et d'hydrothérapie cet
état
ne s'amende pas. Depuis déjà longtemps Madame X..
e sensation est si nette qu'elle produit un changement complet dans l'
état
de la malade : l'éréthisme. l'angoisse disparaiss
e pensée ramène tout le cortège de phobies que nous avons décrites, l'
état
de mal être, d'anxiété et d'angoisse qui avait di
t d'exécntion. Par la suggestion hypnotique, par la psychothérapie, l'
état
de la malade s'améliore progressivement, et vers
es mêmes ennuis qui ont contribué à Téclosion et à l'évolution de son
état
morbide, aussi au bout de quelques jours elle épr
ée névropathique, chez une scrupuleuse. Et. en effet, ce qui domine l'
état
mental de cette malade est le scrupule. C'est lui
et règle l'idée du suicide. Cette prédisposition névropathique, cet
état
de dégénérescence mentale est bien mis en lumière
la malade dans la période de sa vie qui peut être considérée comme l'
état
de santé. Dans cette période la personnalité de l
, à cause de la faiblesse de leurs organes.de la vue, de l'ouïe, de l'
état
général des centres nerveux. A ce compte, que d'e
e conservateur et propulseur des actes reflexes caractéristiques de l'
état
d'amour. - > Des Courtïlz remarque à ce suje
gré d'anomalie, anomalie qui va devenir d'autant plus apparente que l'
état
de dépression psychique, de neurasthénie sera plu
ession psychique, de neurasthénie sera plus prononcé. En effet dans l'
état
morbide dont le début remonte à une vingtaine d'a
dont le début remonte à une vingtaine d'années, ce qui domine dans l'
état
mental de" la malade c'est une aboulie absolue, u
le en elle un sentiment d'indignité, de honte de soi; autant dans son
état
de santé elle était prompte à se décider, à conce
ut plus être qu'une charge, qu'un embarras. La caractéristique de son
état
mental, tant dans la période de sa vie où elle ét
ent inutile, mais nuisible. Ces idées entretiennent et déterminent un
état
d'émotivité, d'éréthisme; d'angoisse, de douleur
qu'éprouve son mari, la blessant dans son orgueil, la mettent dansun
état
d'éréthisme tel qu'elle ne peut plus voir personn
oire et qu'elle en arrive à ne plus aimer sinon à haïr les siens. Cet
état
mental se traduit objectivement au fur et à mesur
vement au fur et à mesure que se déroulent les événements pour un
état
panophobïque avec psychasténie, de la neurasthéni
tout autre. Nous nous trouvons là en présence d'un cas typique de cet
état
nerveux que Freud a isolé du cadre de la neurasth
é par nos rapports, en était exagéré. Et ainsi j'en suis arrivée à un
état
d'excitation constant, à un besoin presque perman
la phobie primitive, l'hydrophobie qui a été le premier symptôme d'un
état
mental défectueux et nous dirons alors que c'est
de cette idée ou bien si elle n'est elle-même qu'une conséquence d'un
état
mental originairement taré. Revenons k l'examen d
fonctionnel, ralentissement qui est lui-même sous la dépendance d'un
état
cérébral défectueux soit constitutionnel, hérédit
mande. Des individus très impressionnables, peuvent être mis dans l'
état
somnambulique du « Latah » par un mot, un regard,
un geste. Le • Latah » ressemble, dans sa forme la plus intense, k l'
état
d'hypnose très profonde. Les malades peuvent être
chercher sur leur figure une expression particulière, indice de leur
état
de grossesse ; elle leur trouve les traits fatigu
prouver, dit-elle. Tout k coup, tandis que je la questionne sur son
état
physique, elle se lève précipitamment et s'approc
pent mettre en somnambulisme. Il partage l'ancienne croyance que cet
état
n'existe que chez les hystériques. Cette opinion
c certaines précautions et en tenant compte des circonstances et de l'
état
moral du malade ». Il espère donc quelquefois obt
ain s'ouvre, le porte-plnme tombe encore. Dans d'autres cas, c'est un
état
parétique, une sorte de paralysie qui envahit les
inés dans un geste concerté deviennent impossibles, par ce fait qu'un
état
psychique concomitant se met de la partie. Ces ma
M. Bagukr, directeur de l'Institut départemental des Sourds-Muets : L'
état
actuel de l'Instruction publique pour les anorm
tif chez l'homme ne constituaient pas des faits indifférents pour son
état
psychologique. L'abolition ou la diminution du
Nancy,& savoir l'existence d'une série de transformations entre l'
état
de veille complète et le plus profond somnambulis
; je lui montre la grande différence psychologique qui existe entre l'
état
d'un esprit qui s'applique k un travail et l'état
qui existe entre l'état d'un esprit qui s'applique k un travail et l'
état
passif que je viens de provoquer. J'ajoute que l'
t la phase primitive de l'hypnose et elle a tendance k glisser dans l'
état
d'engourdissement après un temps plus ou moins lo
dans l'état d'engourdissement après un temps plus ou moins long. Cet
état
devient lui-même de plus en plus profond et final
n résultat thérapeutioue en dehors d'une hypnose profonde ; le simple
état
passif, bien, employé par le médecin, peut guérir
ont été suggérées dans cette direction, se mettre elles-mCmes dans un
état
d'hypnose aussi intense que celui qui a été réali
i les malades réfractaires essayaient tout seuls de se mettre dans un
état
passif ils échoueraient complètement. Ils ne pour
fficile et très laborieuse. La manière dont l'hypnotiseur maintient l'
état
passif a une très grande importance. II doit form
de dans l'engourdissement, il n'est guère difficile d'approfondir cet
état
ou tout au moins de l'entretenir par des suggesti
uelque chose qui se présente toute réalisée sitôt que l'on a obtenu l'
état
hyp- notique. Ou peut développer une telle su
'ont pas su lui prescrire. H quitte l'Amérique dans un très mauvais
état
moral ; peut-être est-il trop profondément imprég
omie. Entre temps, je lui ai fait subir un traitement approprié à l'
état
de son tube digestif. En particulier, l'effluvati
riques des Ecoles de Paris et de Nancy). Déplus, la symptomologie des
états
hypnotiques se trouve trop touffue et trop comple
peut-être l'explication des facultés qu'on rencontre chez l'homme en
état
d'hypnose. TJne faculté qui sortirait de rien s
l'affaiblissement et la chute successive finissent par constituer les
états
de sommeil et d'hypnose, l'ouïe qui est celui qui
malade soumis k ses soins. Mais il existe ù côté ou au-delà de ces
états
légers, très communs d'après les déclarations de
s les déclarations de Nancy et d'après l'expérience usuelle, d'autres
états
plus accentués mais aussi plus rares, soit parce
ur les confins de la physiologie et de la pathologie ; qui touche aux
états
pathologiques dont il nous reste à parler, et qui
es dont le faisceau est toujours moins tendu et un peu relâché dans l'
état
de sommeil, centres qui, sons le coup d'un réveil
saut avant la présence de leurs chefs. Ce désordre, peu durable a l'
état
naturel, devient plus habituel, plus prolongé et
eux débile qui, le matin au réveil, restent un certain temps, dans un
état
de confusion, à reprendre leurs esprits, se deman
ditions cosmiques, et au bénéfice du perfectionnement de la race, des
états
hgpnoldes se sont produits comme une forme de som
s, si divergents, du sommeil commun ou ordinaire des civilisés et des
états
hypnotiques artificiels produits par l'interventi
I. Baguer, directeur de l'Institut départemental des Sourds-Muets : L'
état
aetnel de l'instruction publique pour les anormau
ages. Dr G-. d'HOTEL, de Foix-Terrons : Essai sur la suggestion à l'
état
de rêve et dans la vie normale : étude de signe p
forçons également de mettre nos auditeurs en garde contre ces mauvais
états
de conscience qui, tels que la veulerie, le mysti
ions victorieuses contre les Musulmans Kachgars et Dzoun-gars ! Cet
état
de pacifisme systématique dure trois siècles. On
En dehors de oes hyperesthésies, certaines personnes présentent à l'
état
normal une sensibilité olfactive si délicate qu'e
ion et en général sur le fonctionnement des organes des individus à l'
état
normal. Us en ont tiré la conclusion que les acti
ttais à converser avec eux en leur causant de leur amnésie et de leur
état
actuel. Avec des personnes sensitives les phénomè
nrent victimes d'insomnies qui les forcèrent à quitter l'endroit. L'
état
de notre malade ne s'améliore pas, elle se plaint
it morbide. Elle n'était heureuse que lorsqu'elle pouvait décrire l'
état
pathologique de ses amies et elle avait collation
M. Bagukk. directeur de l'Institut départemental des Sourds-Muets : L'
état
actuel do l'instruction publique pour les anormau
res. Les tendances à ces rapprochements familiaux persistent dans l'
état
de domesticité, et c'est un fait bien connu que l
it pas, on a recours à l'hypnotisme ; on endort le sujet et, dans cet
état
de sommeil provoqué, on outille son esprit, on lu
qu'au bout de deux séances. Le malade ne peut pas être plongé dans un
état
dépassant la demi-léthargie ; il ne peut ouvrir l
'arriver à un bon résultat. Voici le fumeur endormi, plongé dans un
état
d'hypnose plus ou moins profonde. Sa volonté est
longue, j'ai vu beaucoup de neurasthéniques ; il m'a semblé que leur
état
d'inconscience relative jouait un plus grand role
a recherche du ¦ signe de la détente musculaire » nous a appris que l'
état
neuro-musculaire normal se révèle également par G
avec laquelle le sujet peut faire passer ses muscles volontaires de l'
état
de contraction à celui de résolution. Par contre,
empérament brûlai et autoritaire de sou mari entretenait chez elle un
état
de crainte perpétuelle. Elle avait peur. Du gen
commerce et du caractère du mari, nous pouvons facilement déduire un
état
émotif permanent, entretenant chez cette malheure
ur-Moselle). — TJn grand suggestionneur allemand. 8. M. Baguer. — L'
état
actuel de l'instruction publique pour les anormau
uscles abdominaux ont disparu. A la vérité, tous ces muscles sont à l'
état
de flaccidité complète et la malade ne peut les c
5. Parallèlement, une amélioration considérable est survenue dans l'
état
de Zénona : les zones d'anesthésie ont diminué de
rbidité des centres nerveux. Dans l'un comme dans l'autre cas,il va
état
pathologique des cellules, des neurones. Votre
ra à supprimer la cause de tous ces désordres, remettra les choses en
état
et les neurones en action ; vos suggestions seron
t. Après quelque jonrs d'affaiblissement ces messieurs reprirent leur
état
normal et, bientôt, cette cure d'antlsonuneil leu
a fonction du contre du réveil. h'état de reit/e. encore plus que l'
état
do sommeil, dépend donc de l'intégrité de ce cent
e veille ne peut plu* >*tre maintenu. Le sujet reste alors dans un
état
de sommeil artificiel partager ou de sommeil path
d'où résulterait non seulement le réveil, mais aussi le maintien de l'
état
de veille. L'homme, dont le centre du réveil sera
tton carbonique ches les marmottes, out provoqué chez les malades des
états
de sommeil, dans lesquels ils restaient plongés j
rgane spécial, dont la fonction serait de maintenir le sujet dans cet
état
de veille. Dans ce cas, cette action ne pourrai
psychique ou d'une action physique. Le réveil ou la terminaison de l'
état
d'hypnose résulterait d'un processus analogue, ma
tre cérébral dont le retour à l'activité semble marquer le retour à l'
état
de veille. Cette disposition à être hypnotisé o
prévenue, qui sont disposés à no voir, dans l'hypnotisme et dans les
états
qui s'y rapportent, que des phénomènes très simpl
ans la moindre difficulté ; l'hypnotisation l'a fait rentrer dans son
état
second. Réveillée à nouveau, elle est frappée d
bles, il l'a arrachée, petit à petit, a la personnalité parasite de l'
état
second ; il s'est appliqné à rééduquer la fonctio
ique, puis hypnotique, Zénona paraissait sortir petit à petit, de son
état
maladif, reprendre peu a peu conscience et s'ache
reprendre peu a peu conscience et s'acheminer progressivement vers l'
état
normal. On croyait d'autant plus au retour de l'é
ssivement vers l'état normal. On croyait d'autant plus au retour de l'
état
prime que les diverses fonctions psychiques s'éta
éveillées et allaient en s'améliorant. Or. elle était encore en plein
état
second : et la suggestion n'avait fait que modifi
it fait que modifier, heureusement, il est vrai, les modalités de cet
état
second. Le jour du réveil, en février 1900. on vi
que, jusqu'alors, en dépit des apparences, elle était restée dans un
état
de sommeil hystérique. Son étonnement au réveil s
l souligna le conflit entre les deux personnalités successives. Cet
état
second,antérieur à février 1906. avait été tellem
llement organisé et discipliné par la suggestion qu'il avait simulé l'
état
prime. On comprend tonte l'importance médico-léga
e, en apparence. Zénona vivait, en somme, dans une sorte de rêve ou d'
état
onirique. Un acte délictueux, commis dans ces cir
autre» circonstances, ne parvient pas, d'ordinaire, à influencer ces
états
seconds. Or. ici, l'état second a été considérabl
parvient pas, d'ordinaire, à influencer ces états seconds. Or. ici, l'
état
second a été considérablement modifié, précisémen
de l'Hypno-tisme, septembre 1906. suggestion, éthyl-méthylique, l'
état
second a été tellement transformé qu'il a pu simu
at second a été tellement transformé qu'il a pu simuler le retour k l'
état
presque normal. Quelque peu différent du sommei
de de terminaison, et aussi sa période d'invasion. Si le retour à l'
état
normal, au lieu d'être brusque et instantané, a é
d'un organisme où l'intoxication avait préparé un terrain propice ; l'
état
infectueux avait causé un de ces délires onirique
de chez le Dr Gota, ce psoriasis a suivi toutes les vicissitudes de l'
état
mental, dont, à chaque instant, il fut, en quelqu
ravant, lestant stationnaire ou s'améliorant de la même manière que l'
état
psychologique lui-même ; il s'est atténué progres
ténué progressivement, au fur et à mesure que Zénona s'éloignait de l'
état
second ; il a disparu complètement, dès que la ré
nt, dès que la rééducation fonctionnelle fut pleinement réalisée et l'
état
second complètement inhibé. Ce fait prouve, une f
itation génitale. En 1901, à propos de l'influence de l'estomac sur l'
état
mental, je disais que ce n'était qu'à la faveur d
e, de la suggestion et de la psychothérapie en Allemagne. En effet, l'
état
des choses en matière d'hypnotisme était à ce tem
rincipale de l'hypnotisme se restreindra à son rôle historique. « A l'
état
d'hypnose > dit-il « l'influence psychique par
-il « l'influence psychique paraît comparativement plus grande qu'à l'
état
de veille. Dans ce fait nous relovons la cause qu
'état de veille. Dans ce fait nous relovons la cause que c'est dans l'
état
de sommeil provoqué qu'on a le premier remarqué l
z un nombre restieint de malade nerveux. Dans la pluralité des cas, l'
état
de veille suffira pour réaliser la suggestion. &g
s hypnoses profondes, que les résultats obtenus par la suggestion à l'
état
do veille, mariée aux différents autres modes de'
la physiologie ne lui pouvaient suffire. Le domaine-frontière entre l'
état
pathologique et l'état physiologique de l'esprit
ouvaient suffire. Le domaine-frontière entre l'état pathologique et l'
état
physiologique de l'esprit montre des relations no
ale, nous rappelons encore la pathographie introduite par Mœbius. les
états
anormaux de l'esprit tels que la double-personnal
. les états anormaux de l'esprit tels que la double-personnalité, les
états
de transe et les troubles de la conscience analog
nt du langage comme des autres mouvements de l'expression, celui de l'
état
de rêve, des instincts et autres, la psychologie
xquelles on a ajouté la psycbasténie. terme sous lequel on groupe des
états
mentaux indéfinissables, (aboulies, obsessions, d
s la préface de la seconde édition de son livre sur Le sommeil et ses
états
analogues. il exprime, en termes positifs, le déd
cations diverses qui peuvent être légitimement conseillées contre ces
états
nerveux. Je suis le premier à affirmer qu'il est
animation, d'intérêt réel.aboutissent le plus souvent à la création d'
états
d'indolence et d'apathie intellectuelle, dont les
r leur manière d'être, et je puis ainsi me faire une opinion sur leur
état
physique et mental, sur leur degré de responsabil
; 3° Xévrosee. La quatrième division comprend les enfants dont l'
état
général altéré influe sur la capacité intellectue
ligentes, mais, parmi celles-ci, 8 0/0 avaient un trouble marqué de l'
état
général. Récidivistes. — 77 enfants sorties amé
/0), normales plutôt au point de vue de feur développement et de leur
état
intellectuel, responsables. Elles sont vicieuses
le ; aussi, relevons-nous chez S 0/0 de nos enfants une atteinte de l'
état
général. Ces accidents passés, on n'a plus aucun
mender les enfants délinquants doivent évidemment varier suivant leur
état
physique et intellectuel. Pourtant, le fait de le
, il n'avait pas cinq ans et déjà l'onanisme était passé chez lui à l'
état
d'habitude chronique, automatique, violente même,
s en bas-Age ne sont guère accessibles k la suggestion raisonnée de l'
état
de veille et aussi parce que, chez eux, on peut r
rmi par le docteur Galtier et d'avoir été mis. par suggestion, hors d'
état
de se livrer durant un jour à l'onanisme, qu'à da
et des inégalités pupillaires multiples. Pensant à la suggestion à l'
état
de veille, j'ai observé, j'ai mesuré de l'œil des
implement. 1° Le signe pnpillaire, dans la vie courante, indique un
état
de réceptivité de l'individu, une suggestion d'au
t plus puissante que cet individu est plus jeune ou prédisposé par un
état
d'anie antérieur qui fait prédominer I sur B. 2
parties. Dans la première il nous apprend ce qu'on a entendu par l'
état
hynop-tique, par la suggestion et comment ils opè
succinct de l'historique, l'auteur procède à analyser l'essence de l'
état
hypnotique. Il s'appuie dans cette analyse sur le
uit cet auteur à admettre que dans son essence l'hypnose constitue un
état
de sommeil. L'étude des états de sommeil reconn
ans son essence l'hypnose constitue un état de sommeil. L'étude des
états
de sommeil reconnaît un côté physique comprenant
e Ventrée en sommeil, met bien en vue les principales propriétés de l'
état
de sommeil, considéré de ce point de vue psychiqu
fantasiastes peuplant nos rêves et régnant sans entraves alors qu'à l'
état
de veille le contrôle sait refréner la fantaisie
le réel de l'irréel. A la nuit tombante ? quand l'homme se trouve en
état
de sommeil) la lumière est différemment distribué
oits de la réalité. Le demi-sommeil, autre propriété étonnante de l'
état
de sommeil, est constitué par un mélange de somme
onviendrait plutôt de nommer sommeil partiel, est dans son essence un
état
de veille faisant trait d'union entre le sommeil
nion entre le sommeil qui précède et celui qui suit immédiatement cet
état
mitoyen. Dans l'espèce on ne pourrait sérieusemen
s entre les deux extrêmes de la veille au sommeil complet. L'homme en
état
de sommeil partiel reste en certain rapport avec
que la définition psychologique suivante s'impose : V hypnose est un
état
de sommeil se caractérisant par l'existence du ra
risant par l'existence du rapport, cela veut dire : elle constitue un
état
de sommeil dans lequel l'hypnotiseur et l'hypnoti
ymptômes accompagnant l'entrée du sommeil. Quant l'homme se trouve en
état
d'excitation : tels le soldat dans la mêlée du co
lade qui était médecin et bien un courant delà sciencehynpnotique ; l'
état
hypnotique rappelle l'état de recueillement de l'
ien un courant delà sciencehynpnotique ; l'état hypnotique rappelle l'
état
de recueillement de l'a me en dévotion. ? La
s. De même que l'éducation scientifique vise à mettre l'étudiant en
état
de poui'suivre seul ses études, l'éducation moral
de renforcer sa volonté. L'hypnose dans ce cas peut servir a créer l'
état
de concentration de l'Ame nécessaire A favoriser
a valeur du sommeil provoqué en tant que remède calmant dans nombre d'
états
d'éréthisme nerveux, la danse de St-Guy. certaine
ugles (La vie psychique des), p. 127. Avulsions dentaires pendant l'
état
d'hypnotisme, p. 30. Bandeau hypnogène (Un), pa
n constate que les muscles sont plus sensibles à la pression qu'à l'
état
normal et que cello-ci cause au malade une doul
a est notablement au-dessus du niveau A qui est celui du muscle à l'
état
de repos; puis le malade cessant ses efforts d'
nt D, et par conséquent le biceps est encore bien plus éloigné de l'
état
de repos qu'il ne l'était en D; puis en G nouve
, nous voyons que la durée totale du phénomène, c'est-à-dire de l'
état
de spasme musculaire, a été de cinq secondes et d
pas toujours le même. Nous devons encore dire quelques mots de l'
état
psychique de notre malade, les faits observés d
sez forte, produit même de petites on- dulations dans les mucles en
état
de contraction to- nique. Les muscles^des extré
tte sensation, mais bien l'impotence fonc- tionnelle causée par cet
état
spécial du muscle ; nous ne reviendrons pas ici
ue ces variations sont comprises dans les limites qui constituent l'
état
normal, et que, comme nous l'avons vu chez notr
le-même, soit de bourrelets ou d'ondes musculaires qui indiquent un
état
actif du muscle pen- dant quelques instants.
c ainsi une sorte de gamme de sensations correspondantes aux divers
états
de l'appareil transmetteur et surtout de la pla
humide. Depuis cinq ans, tourmenté par des bourdonnements, et un
état
vertigineux constant, entrecoupé d'accès de verti
e. A droite : l'expérience donne le résultat normal. Un mois après,
état
amélioré ; épreuve des pressions à gauche, au p
ne. lésion auriculaire comme explication du vertige. Il s'agit d'un
état
vertigineux chez une jeune fille de seize ans ;
'agit d'un état vertigineux chez une jeune fille de seize ans ; cet
état
fut jugé purement nerveux tout d'abord, l'oreil
ccrus ces jours-ci, après la venue régulière des règles. De plus un
état
d'obnubilation avec léger bourdonnement d'oreille
les phases diverses 38 CLINIQUE NERVEUSE. de l'affection, et des
états
organiques qui accompagnent une otite aiguë sup
nc analyser au moyen de ces résultats de l'épreuve des pressions, l'
état
anatomique des par- ties auriculaires, aux deux
ablit tout en sa place ; et les rémit- tences caractéristiques de l'
état
normal reparaissent. Certains traumatismes ou a
'une chute. A la suite de ce malheur, elle resta trois mois dans un
état
de dépression lypémaniaque. Guérie, elle fut à
cet homme lui était devenue insupportable. Elle se désolait de cet
état
, voulait réagir contre et n'en pouvait mais. El
tentative d'asphyxie par le charbon. Transportée à l'asile dans un
état
assez alarmant, elle sortit guérie au mois de j
s ses renseignements, elle a toujours conservé la conscience de son
état
durant sa maladie. Au moment de la crise, en dé
nte- nir en public au point que personne ne se doutait du bizarre
état
de son esprit; et se livrait même à des études sé
i à son mari, ni à ses enfants ; elle a pourtant conscience que son
état
s'aggrave : l'attrait du suicide augmente; la mal
nt toujours inconscientes ? Je le crois. J'ai indiqué plus haut les
états
de conscience qui se produisent soit au début,
soit dans le cours de la para- lysie générale, mais ce sont là des
états
fugitifs, de simples épisodes de la maladie, et
les se concilierait-elle avec la conservation de la réflexion ? Les
états
transitoires que j'ai décrits se comprennent à
nos passions, tout la fois elle apprécie sainement quelques-uns des
états
de notre être et est trompée sur d'autres. Se c
ix mois la marche était à peine possible à l'aide de béquilles. Cet
état
dura jusqu'en 1870, époque à laquelle le malade
ume de la façon suivante : il survint peu de modifications dans son
état
général pendant trois ou quatre mois à dater de s
idents semblables; mais dans cet intervalle, il se produit dans son
état
un grand chan- gement, dont il a conscience. Sa
ependant, puisqu'il y a un lien générale- ment admis entre ces deux
états
, nous pouvons faire remarquer que chez un très
tion appréciable à l'oeil nu 1. Ainsi nous voilà en présence d'un
état
moral qu'on peut à peine considérer comme patho
tre donc nettement qu'il n'y a pas de relations nécessaires entre l'
état
moral et intellectuel et la morpholo- gie gross
de la Salpêtrière, n'avaient rien présenté de particulier dans leur
état
mental. Un seul autre exemple de cette anomalie
s et en bas (strabisme divergent, les pupilles sont rétrécies). Cet
état
de tétanisne persiste pendant cinq à dix minutes;
le relâchement [phase de résolution), mais la malade reste dans un
état
comateux ; la face est cyanosée, la respiration
te période est peu accentuée chez notre malade. Elle consiste en un
état
de torpeur, pendant lequel la ma- lade n'entend
ncore l'expres- sion de la colère, parfois elle se met pleurer. Cet
état
disparaît au bout d'une demi-heure, mais la mal
ement continuel dans le gosier, par- fois une toux spasmodique. Cet
état
dure quelques heures, et même jusqu'à vingt-qua
uche ou s'appuie contre un objet quelconque, et tombe alors dans un
état
d'anéantis- sement qui ressemble au sommeil. Bi
uelque temps de mal de tête et de fatigue dans les membres ; mais l'
état
s'améliore rapidement, et souvent elle retourne
lus lents et plus faibles, et la malade se trouve dans une espèce d'
état
léthargique que je ne pouvais pas regarder sans
pas regarder sans craindre de le voir se terminer par la mort. Cet
état
dure de une à trois heures. Des convulsions, du
uccédaient de façon à constituer ce qui a été désigné sous le nom d'
état
de mal hystéro-épileptique. Enfin l'influence de
oduit un double résultat opposé : l'arrêt des convulsions pendant l'
état
de crise et au contraire le développement des con
ise et au contraire le développement des convulsions en dehors de l'
état
de crise. C'est ce que le médecin américain a pu
a langue, et perte momenta- née de connaissance. Ensuite survint un
état
de délire avec illusions et hallucinations terr
e et deux- enfants. Elle en eut un violent chagrin et tomba dans un
état
voisin du désespoir. Le soir elle allait fréque
quitté l'hôpital, elle y rentra de nouveau le 9 juin 1880, dans un
état
d'inconscience ou de demi-inconscience. Elle av
es générales. Je vais essayer de donner un aperçu de ces différents
états
et de leur mode de succession, tels que je les
eloppement éloignant l'idée de l'idiotie, M. Pollak se basant sur l'
état
congestif prodromique, les attaques apoplectifo
ntinue du processus, de l'excellence de la santé anté- rieure, de l'
état
d'induration de certaines artères périphériques,
es sciences de Caen, M. Duret a fait un exposé clair et précis de l'
état
de la science sur la question des localisations
tifs, fibres d'association. 106 SOCIÉTÉS SAVANTES. Il mentionne l'
état
de nos connaissances au sujet du cerve- let et
entir me semble devoir être rattaché à ce que j'ai désigné du nom d'
état
malicieux. Pour ma part, il m'est impossible d'
tence à laquelle on les observe. Pour caractériser enfin d'un mot l'
état
de cet enfant, on peut dire de lui que c'est un
urnir. M. Motet propose démettre à l'ordre du jour de la Société, l'
état
mental des enfants et s'engage à développer lui
décrite de la mélancolie anxieuse. Le signe caractéristique de cet
état
est dans le titre même sous lequel M. Cotard l'
s tracés sont identiques chez l'homme et chez la grenouille, dans l'
état
de santé et dans l'état de maladie ; mais quand
chez l'homme et chez la grenouille, dans l'état de santé et dans l'
état
de maladie ; mais quand le muscle est atteint d
Dr Bard fait une communication sous ce titre : Des symp- tômes de l'
état
de santé intellectuelle el de son diagnostic avec
difications de fonction d'un organe, il faut d'abord en connaître l'
état
normal, 11 en énumère quatre : 1° l'instinct de
ent être classés dans la même catégorie, car tous deux sortent de l'
état
intellectuel ordinaire. SOCIÉTÉS SAVANTES. 117
ent atro- phiée et'ne contenait plus qu'une ou deux cellules en bon
état
; mais à droite les groupes de cellules étaient
cins ou deux rapports distincts au procureur de la République sur l'
état
mental de la personne à placer. Ces rapports se
tenu de consigner sur ce registre les change- ments survenus dans l'
état
mental de chaque malade, au moins chaque semain
VARIA. Néanmoins, si le médecin de l'établissement est d'avis que l'
état
mental du malade pourrait compromettre l'ordre
nom et la résidence des personnes qui auront retiré le malade, son
état
mental au moment de la sortie, et, autant que p
nt d'aliénés, de toute personne interdite ou non inter- dite dont l'
état
d'aliénation compromettrait l'ordre ou la décence
semestre, un rapport rédigé par le médecin de l'établissement sur l'
état
de chaque personne qui y sera retenue, sur la n
sonnes dont le placement aura été volontaire et dans le cas où leur
état
mental pourrait compromettre l'ordre public, la
et hospices ordinaires que le temps nécessaire pour constater leur
état
d'aliénation mentale et pourvoir à leur transfère
parce qu'elle l'aura considéré comme irresponsable par suite de son
état
mental; 2° Tout inculpé poursuivi pour délit qu
d'une ordonnance de non-lieu comme irrespon- sable, à raison de son
état
mental. Si la sortie d'un de ces internés est d
malités pres- crites par l'article 15, les aliénés indigents dont l'
état
mental ne compromettrait pas l'ordre public, la
ministrateur légal devra soumettre au procureur de la République un
état
sur la situation financière de l'aliéné. ART. 4
ont communiquer à l'ad- ministrateur, un an après l'internement, un
état
sur la situation de l'aliéné. ART. 50.-Les pa
tions. Il sera tenu de présenter tous les trois ans au curateur, un
état
de la situation de fortune de l'aliéné. ART.
ouvelés qu'après que ledit administrateur aura fourni au curateur l'
état
de situation prescrit par l'article 52. AnT. 5G
gence et celui de la divergence, ou plus exactement du retour à l'
état
parallèle. Le second pourrait être con- sidéré
mpagné d'aucun autre symptôme céphalique. Le 25 mai je constate l'
état
suivant : Le malade éprouve toujours de la diff
Le 17 juillet la voix est nasonnée. Le 19, le Dl Girou trouve que l'
état
dynamométrique est de 28 kilog. à droite, de 48
log. à droite, de 48 kilog. à gauche. Le 2-2 juillet, je constate l'
état
suivant : la paralysie conju- guée est plus pro
éprouvé de diplopie et l'on n'en cons- tate pas actuellement. A l'
état
de repos il n'y a pas de déviation des yeux, ni d
i observé le ma- lade pendant un mois et demi environ, sans que son
état
se soit modifié. Le traitement a consisté en
cette direction, elle accuse une douleur frontale, du vertige et un
état
nauséeux. Diplopie croisée, persistant dans tou
te de l'ac- commodation sans mydriase. Les pupilles sont égales, en
état
de contraction modérée. La réaction est faible
examen, le malade, admis dans le service de M. Charcot, est dans un
état
qui ne permet pas de pratiquer l'examen fonctio
convergence et de l'accommodation. Donders a démontré que, dans l'
état
normal, le mou- vement de convergence et l'effo
mais toujours moins prononcée le matin. Le 12 avril je constate l'
état
suivant : Les mouvements des yeux se font avec
mouvements parallèles, lesquels ayant une grande amplitude dans l'
état
physiologique, produisent toujours, dans leur p
nées. Cette forme de diplopie parait donc habituellement liée à l'
état
vertigineux. Je n'ai pas besoin de rappeler le
fréquemment observé dans le vertige de Ménière, mais surtout dans l'
état
verti- gineux. L'absence complète de variation
ervée et l'audition par la voie de l'air fort amoindrie. Dans cet
état
anatomo-pathologique, on n'observe ni vertige n
laquelle il est allé consulter M. le Dl Rondeau, qui, frappé de l'
état
de l'audition, m'envoie le malade à examiner. Le
'a pas eu de nouvel accès à tomber, mais il est constamment dans un
état
vertigineux, qui l'em- DU VERTIGE DM MÉNIÈRE. 1
se mettre au lit, tout tournait autour d'elle; elle était comme en
état
de syncope, assourdie, hébétée, vomissant au mo
ope. A droite : au premier coup, choc extrême, pâleur de la face,
état
demi-syncopal, la face se porte du côté opposé;
pason frontal que celui-ci perçoit, sont donc en rap- port avec l'
état
de mobilité et de conductibilité du tympan. D'u
dont la mobilité peut désormais être étudiée et appré- ciée. A l'
état
normal, il y a concordance complète entre ce qu
al, et aussitôt le vertige. De ce parallèle, on doit conclure que l'
état
de la paroi labyrinthique du sujet, et de l'art
onduction du son du diapason par la voie crânienne, enfin avec un
état
fluxionnaire très accusé de la muqueuse de la g
ont : le relâche- ment tympanique, l'obstruction des trompes, et un
état
(luxionnaire congestif, subiuflammatoire, du ph
c sur le labyrinthe a lieu. J'ai observé le vertige de Ménière et l'
état
verti- gineux, quarante-six fois. Dans ces quar
t guéri depuis longtemps (trois cas). On a donc pu diagnostiquer un
état
pathologique des fenêtres ovale et ronde, et de
Il y a là, dans cette pathogénie, affaire de proportions entre les
états
anatomo-pathologiques et les causes d'ébranleme
en définitive recevoir qu'une certaine somme de liquide sanguin à l'
état
sain, se trouve dans l'impossibilité 188 CLINIQ
lle de l'étrier, et de comparer les résul- tats de l'épreuve. A l'
état
sain il y a concordance complète entre les sens
. Elle se montre à titre de complication dans le cours de plusieurs
états
morbides des centres nerveux. Elle provoque, se
oyaux des segments tubulaires sont gonflés, et plus nombreux qu'à l'
état
normal. Le proto- plasma a végété, etse montre
goutte- lettes myéliniques. Ces gaînes vides, ainsi décrites à l'
état
isolé, se dis- socient mal d'ordinaire et reste
s altérations que nous venons de décrire se présentent rarement à l'
état
d'isolement absolu. Il peut arriver que toutes
ons trouvé à côté de fibres profondément dégénérées, réduites à l'
état
de gaînes vides, des fibres nerveuses grêles, à c
il s'agit là de fibres régénérées et présentant les caractères de l'
état
embryonnaire. On observe du reste des fibres to
eux; le protoplasma qui les entoure était gonflé plus sombre qu'à l'
état
normal et parsemé des mêmes granulations. Tel
s. La fesse du côté opposé' ne présente rien d'anormal. 26 mai. L'
état
de la malade s'est aggravé. Il est impos- sible
e la paume de la main, sans décollement épidermique. 27 mai. Même
état
général. L'eschare fessière gauche mesure sept
rares. 11 n'y a pas une seule fibre présentant les apparences de l'
état
normal. Les racines et les nerfs autres que les f
Saint-André, salle 10, service de M. Démons. Cet homme est dans un
état
de coma absolu ; la respiration est stertoreuse,
u pied est exagéré à droite. Relâchement des sphincters. 24. Même
état
. Le malade exécute cependant quelques mouvement
lables par leur aspect, leur diamètre, et paraissant répondre à des
états
bien différents. Les unes, les plus nombreuses,
quelques fibres cependant présentent le type 3 ou sont réduites à l'
état
de gaines vides (type 5). Les autres sont des
cellules plates ont paru plus nombreuses, plus volumineuses qu'à l'
état
normal et gonflées par la présence de granulati
t de la mémoire, délire hypochon- (lî,2*aque, idées de persécution,
état
cachectique. Phtlaaisie pulmonaire avancée. - A
idées, du délire hypochondriaque, de la faiblesse musculaire, et un
état
cachectique. Nous ne pouvons nous procurer aucu
n propre nom et répond Présent; dit qu'on veut le faire mourir. Cet
état
persiste jusqu'à la fin du mois avec quelques i
quelques intervalles de calme. Pas de changement appréciable dans l'
état
général. J;i ! 'H. Stupeur. Le malade gémit, il
supérieur. Pas de caverne à droite; tubercules ramollis au sommet,
état
granuleux MÉNINGITE TUBERCULEUSE CERÉ13RO-Sl'lN
e. Le sujet, déjà porteur de lésions avancées, a d'abord présenté l'
état
mental qu'on observe fré- quemment chez les ind
sensation d'une boule remontant à la gorge. A partir de ce jour, l'
état
général s'est sensiblement modifié. L'anémie s'es
ué ; la salade, les fruits verts étaient les aliments préférés. Cet
état
dura près de deux ans. Il y a environ un an (
t fixes, les membres roidis. On ne peut obtenir aucune réponse. Cet
état
dure environ deux minutes ; après quoiJ... nous
er à la pêche. Elle venait de tomber presque instantanément dans un
état
semi-cataleptique. Ses membres conservent la po
ier, et de l'eau froide projetée sur le visage font disparaître cet
état
qui a duré environ quinze mi- nutes. La malade
cet état qui a duré environ quinze mi- nutes. La malade revient à l'
état
cataleptique d'avant l'attaque : réapparition d
la vue, visions sombres. ,18 aoùt. - La nuit s'est passée dans cet
état
, la malade n'a pu dormir. Elle a prononcé quelq
d'environ cinq à six minutes. La malade n'en reste pas moins dans l'
état
semi-cataleptique qui avait précédé la crise. L
de la malade dans l'intervalle des attaques, et qui ont traita cet
état
cataleptique singulier, pour arriver au récit d
ésie ont persisté, et à partir de ce moment la malade entre dans un
état
de mal absolument analogue à celui qui a existé d
analogue à celui qui a existé du 17 au 23 août ; c'est-à-dire que l'
état
cataleptique persiste non seu- lement pendant l
ou moins éloignés et sont tantôt isolées, tantôt subintrantes. Cet
état
de mal a persisté depuis le 5 octobre à onze he
période de calme et passe la nuit dans 230 REVUE CRITIQUE. - cet
état
que j'ai précédemment décrit ; elle a des halluci
points anesthésiés et tout s'est terminé par le retour complet à l'
état
normal. Pendant toutes les attaques la 'compres
ennes qui engendrent spontanément l'hystérie. Celle-ci résulte d'un
état
d'irritation particulier de certains départemen
ent et de l'excitabilité du sys- tème nerveux utéro-ovarien et de l'
état
local des organes sexuels, en ayant soin d'asso
ite auront répondu durant la vie des symptômes indépendants de tout
état
coma- teux, l'auteur rapporte une observation q
GIE NERVEUSE. 2H pu sur leurs sujets reproduire expérimentalement l'
état
léthar- gique, l'état cataleptique et l'état so
r leurs sujets reproduire expérimentalement l'état léthar- gique, l'
état
cataleptique et l'état somnambulique. Les carac-
re expérimentalement l'état léthar- gique, l'état cataleptique et l'
état
somnambulique. Les carac- tères vraiment distin
t somnambulique. Les carac- tères vraiment distinctifs de ces trois
états
nerveux différents consistent dans des modifica
embres, qui gardent long- temps les positions communiquées, enfin l'
état
somnambulique, d'après eux, parun état de rigid
itions communiquées, enfin l'état somnambulique, d'après eux, parun
état
de rigidité générale de tous les muscles. Les a
ions suivantes. Les modifi- cations musculaires qui caractérisent l'
état
léthargique, l'état cataleptique et l'état somn
modifi- cations musculaires qui caractérisent l'état léthargique, l'
état
cataleptique et l'état somnambulique ne diffère
ires qui caractérisent l'état léthargique, l'état cataleptique et l'
état
somnambulique ne diffèrent en somme que sous le
gmentation de l'excitabilité de l'appareil neuro-musculaire. Dans l'
état
léthargique, cette augmentation de l'excitabili
mme des moda- lités différentes d'un seul fait vraiment spécial à l'
état
hypno- tique et qui consiste dans une augmentat
strer ces réactions, au moyen de la myogra- phie ; on a ainsi sur l'
état
du muscle des renseignements bien autrement sér
ires l'augmentation rapide du volume de la masse encéphalique et un
état
tel des sutures qu'elles ne se laissent plus di
nt la mort, sans participation de la dure-mère. Ils distinguent cet
état
de la péripachy méningite spinale de Traube et
, et parallèlement par l'abais- sement de la température ; ' 2° L'
état
oedémateux, solide, de la peau et du tissu con-
uis guéri et veux reprendre ma place dans la société. » Tel est son
état
actuel. Evidemment, on ne peut baser sa mainten
le degré de perfectionnement que nous allons exposer. Né en 1836 en
état
de surdité complète, il était, sept ans plus ta
iculation. Aujourd'hui, ce sauvage instruit etéduqué, habile dans l'
état
de tourneur en bois, communique constamment ARC
nnaissance. A une époque plus avancée, accès de petit mal, suivis d'
états
de sommation d'une durée de quinze à vingt minu
réaction électrique, ne doivent pas être tenues pour le signe d'un
état
pathologique du muscle, et par suite, elles ne
lucide qui sépare chaque accès ne se manifeste pas toujours par un
état
intellectuel parfai- tement satisfaisant. Chez
usieurs années, les périodes de rémission sont caractérisées par un
état
psychique anormal, mais sans manifestations dél
uite do cette première attaque les choses sont restées dans le même
état
où elles se trouvaient antérieurement, c'est-à-
méningée localisée au niveau du lobule paracentral . 2 mars. -,Même
état
de la motilité~et de la sensibilité. Les réflex
au niveau du lobule paracentral qui est pour ainsi dire réduit à l'
état
de' masse tuberculeuse. Il est très remarquab
.nf;)frf;r< ! .ttt . 1 , IftM I CI p U 1 . 5 avril ? 1 ? - Même1
état
.' La iaco est toujours indemne, quant aux troüb
mpossible de'constater'un trouble quel- conque de la sensibilité. L'
état
de la sensibilité du membre inférieur est le mê
ct, parait un peu plus obtuse qu'à'droite; mais il faut noter que l'
état
intellectuel de, la malade's'obnulüleysérieusem
la malade rapporte 1 excitation a la face interne du bras, mais son
état
intellectuel ne nousparait t pas permettre d'ac
ne grande confiance à ses déclara- tions. EUeest, en effet, dans un
état
de prostration considérable : la face cyanosée
immersion dans l'alcool'absolu et il n'est pas faitmen- tion de l'
état
des racines. L'opinion 1 qui' 'rattache;, le 1
stée jusqu'à pése-ntil à "l'étati"d ? hylôthèsel'p'ure;18'ét dans l'
état
actuel'de la'science,' on ne'serait pas* autori
oh U, 8noil^riG<j , . Etat au moment de l'entrée (15 iuillet). L'
état
générai est ... mauvais, d apparence cachectiqu
1· ? 1, ,9t'r 1 .. Ru·l- ! y'Ir. .,·'1·' 30. Le malade,est dalisuii
état
,(1'affaissement et, de,.fai- t, blesser eYtre",
éjèrementyri-'j satre, presque exsangue-*et plus consistante qu a 1
état
normal. z Le spongieuxisonf également moins rou
'Ur," a5tendon a..provoquefunc secousse très .brusque suivie d,un.
état
tétanique qui maintenait la jambe étendue penda
membres inférieurs, de l'incontinence d'urine, c'est-à-dire dans un
état
qui rendait l'examen difficile et ne laissait auc
J''t | /t ? f)t.h ? i i ( | z tion dynamique qui, dans le cas de. l'
état
léthargique, se traduirait par une exaératioll
OTISME CHEZ -LES HYSTÉRIQUES. 313 3 excitabilité plus grande qu'à l'
état
normal. La plupart des raisons que nous» avons
e la'face'une grimace beaucoup plus'vive et plus accusée que dans l'
état
léthargique ordinaire. Les muscles''d'u' front,
sance la malade demeure dans un t ,n · f - 1, "' ·11 '1 -J ti I 1
état
d'ébriété dû à ·1 action chloroformique. Elle tut
s, modifications neuro- musculaires ? que,(li'on i observeldaiis, l'
état
somnambu- lique.,Eii dehors,delétat,lélharique-
1,11 ",( ? n, ,.izi h ? si Lorsque la jinalade est iptongée, dans l'
état
somnam- bulique,t,lespropriétés d'excitabilité
5 rv(r-tr1 ! ·1 rn v t "' ' membre qui, tout à l'heure -7 pendant l'
état
léthargique 0 ? 1rt`m `(t in'Rt'nt sf/poi-p» pq
RnYjl V" ? h ? i'w : H facilement appréciable, caractéristique de l'
état
de le- rt riltl(,rj t.rty r : ;f'r i ``31 'tI ?
>l t ? (tf;It `1'Srt')(i'ltirrt ) faits de contracture pendant 1
état
somnambuhque ont lçrnftrtf5rv '1tt 'it.rr;fT %`
. I .. , , ' ? . i ' '. ' Pour la production de la contracture de l'
état
léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11 ' ' % 1 '
ï J ' 11 «i.l, . - , , ,am·t ? t'i | contraire, la contracture de l'
état
somnambulique ne -MI' ! Il t m > ? if "'1 "t
- ? l.. ,IL] * ) 0 '« ' Il rit 9 0 susceptible la contracture de l'
état
léthargique. Pendant agit-4 ,tt ...l, , 1 £ , .
thargique. Pendant agit-4 ,tt ...l, , 1 £ , . . ? , 1 .ni ? - , l'
état
somnambulique, la contracture est plus diffuse, ,
mbre.. ,.ltl 1 , ? »* ...' · I ' ni . - 't I...' ? ll.JI w Dans l'
état
léthargique, les réflexes tendineux sont .' y &
- . t ! Il' i : » - . . , .. , i ? . ' - "I contracture., Dans l'
état
somnambulique, les réflexes. I 1 i 1 " i i ? ..
à la contracture. ( ., 1 1 1 . . , l . . Enfin la contracture de l'
état
léthargique ne se résout ,. ! > Hl La )-Il#,
1 ., 1 ., ' , t " I ' - I . ' ' . M - 1 I ! Nous rappellerons que l'
état
léthargique est . pro ? voqué d'emblée par l'em
- f 1 ,··1 f n n¢ r ·' ! wenin , rr i- vrfi rr 1. r.l,·· cède a 1
état
cataleptique pari occlusion des'paupieres, où q
t laryngé spécial et par la montée d'un peu d'écume aux lèvres. L'
état
somnambulique, au contraire, est provoqué d'emb
<)' 1 . menés psychiques nuls ou très incomplets, tandis que l'
état
somnambulique, en outre des faits de contracture
é;Jç ést latdih ? mu;)<Fc ? â propreJ,éx(lçsslon., Sortie de son
état
., d'inconscience, elle, conserva, u.nc.,pa''ab'si
j ? t"Q)'f"f ? t ? tt'of'r,rt ? ttl'jt ? "f paraît inquiète de son
état
? contrairement aux hystériques que nélp'éucerï
lunll.Jt : f '1Ul ? KI" ji'"n 2lLlr.tl nL idiot i,l Le'2'2,J'mêmc ?
état
;f,'cmislipatiori'' depuis deux ? jours; cinquante
lèvre. ' )n9n ? ? -j JM (bi311""4 ? »' I : isummib 'ddmaa 2o, même
état
. Cependant la,lé51on trophŸquesignalée la.veille
iiiala'dè*'iié's'eii"tio'u-ve""p'o'intm.odifié'll" J-1 ucLe 3, même
état
? La : %a)ade,nia)g'r6 les'dangers que pe'ut'd-
s jours' de' courants continus," la1 contracture semble diminuer; l'
état
général est excellent. ,'1 ? 1' L' <1" z en'
rw «1 i'â 21o'e" ... ? i ? i- », - -- ca8 ^, ' Troisier. Note sur l'
état
de la moelle épinière dfins,un\cas d'Jiémi^.0'^
térés ! des accès précurseurs eux-mêmes' d'une aggravation dans l'
état
ànesthésique' de l'achromatopsie : tels après un
a- vant'et' pendant 'lés pauses,' le 'fond de 1 aell rëprésentait l'
état
normal" ·1 1 ? r ? n'fn ' ,nt . r tt ? n ,'1, c
sée par une dilatation aiguë, des, vaisseaux sanguins delà peau, en
état
d'hyperthermie, contrastant avec, une .températ
anspiration, puis d'une sensation defroidsubjective ayeCjCyanosp et
état
blafard des extrémités, qui précède l'accès^ ,J
l'autre. Puis les centres d'innervation vasculaire récupérant leur
état
pathologique primitif graduellement, le transfert
ctilité électrique, l'absence de troubles trophiques cuta- nés et l'
état
normal des sphincters, qu'on ne saurait retrouver
Les vomissements non douloureux surviennent plus fréquem- ment à l'
état
isolé ou par petites crises, alors que leur indé-
rtrophie; 2° la mul- tiplication des noyaux intracellulaires ; 3° l'
état
vacuolaire ; 4° l'altération pigmentaire et l'a
cellule, dont le protoplasma est plus clair, plus réfringent qu'à l'
état
nor- mal. Les prolongements sont conservés ains
t que d'une hypertrophie véritable. En effet, si on l'exa- mine à l'
état
frais, on constate que son contenu se colore fai-
e la série des accidents, y compris l'aphasie et la polydipsie, à l'
état
général engendré par l'insuffi- sance rénale. D
même période et au même appareil (nerveux), doivent être reliés à l'
état
des reins. Ces psychoses seraient à l'urémie cé
ie') de disposi- tion des poils, la coloration,de.l'iris, jusqu'à l'
état
deslanneaux aponévrotidues,(hernie) ? des,,orif
n des qualités transmissibles adhérentes aux générateurs, mais de l'
état
dynamique de la puissance con- ceptuelle de la
nfin, les accès de sommeil s'acctoissentctscprolongent. Tel est son
état
à son arrivée. Les crises d'hypnotisme ne se res-
lectuelles n'ont, au reste, subi aucune perturbation qualitative. L'
état
général est celui d'une chlorotiquc. L'évolution
mois de maladie. Les renseignements postérieurs ont appris que l'
état
mental était redevenu normal bien que la fillette
apathie. En effleurant légèrement son visage, on provoque un nouvel
état
d'hypnotisme profond. Puis la guérison s'effectue
ypnotisme. La parole et l'ouïe sont abolies pendant la durée de cet
état
; ces fonctions ne se rétablissent point dans l'
rua- tion irrégulière. Signalons la dilatation pupillairo pendant l'
état
de sommeil dans ces trois observations. L'aut
on sait, progresse d'avant en arrière. P. K. DE H. sollicitude DE l'
état
A l'égard DES épileptiques; par F..IOLL1'. (Arc
ique où on leur délivre des médicaments gratuits ; 20 Ceux dont l'
état
nécessite l'admission temporaire dans des établ
raitement des maladies des femmes, exercent une action nocive sur l'
état
mental.des aliénées, même quand-ils n'engendrent
dégénérescence mentale ; 4° Le résultat de cet examen décidera de l'
état
névropathiquo particulier de , l'inculpé ou, du
t;"J«n'»«p,-» ? tat'oif de vides intellectuels' et éthiques dans I,
état
, mental ? ...'.PV v W , yiii ? 11 .a·,·y J41111 ,
usuels; l'opium et les.lavements ont leurs indications tirées de l'
état
local de l'intestin. La maniaque qui'manipule s
donner de-, preuves. Les convulsions se rencontrent dans plusieurs
états
diffé- rents de l'épilepsie; d'ailleurs le mala
ons résumées ici, ajoutait à l'adoption de la pénalité concernant l'
état
d'ivresse publique : « Dans les cas où « l'incu
années de la vie. 2o L'idiotie complète est incurable. Mais, cet
état
, se rapportent L maintes/ormes d'épuisement ner
l appartient ; 396 SOCIÉTÉS SAVANTES. (1) De relever le nombre, l'
état
, les conditions de ces malheureux par les soins
e l'or- gane. Plusieurs séances avaient considérablement amélioré l'
état
du malade, et l'on avait résolu d'employer déso
uffisants ; la première loi prescrivant un placement con- forme à l'
état
mental du criminel (1800) ; la loi de 1816 ordon-
re saisir, en médecine légale, si l'individu que l'on étudie est en
état
de réflé- Cllir sur les suites de ses actions,
u'on doit le transférer dans un asile d'aliénés ; 'aussitôt cesse l'
état
aigu et apparaît l'imbécillité congénitale. ' S
kow) et Tic"es sont d'avis que la détermination pure et simple de l'
état
mental suffit, sans qu'on soit obligé de pénétr
stérie, de la folie hystérique, de la clinique médico-légale de cet
état
morbide, et de son diagnostic, sans oublier un
es en trois degrés : 40 troubles légers des facultés affectives; 2°
état
mental envisagé dans l'enfance, à l'âge adulte
e présenter avec des degrés très divers : 10 tantôt c'est un simple
état
de dépression mélancolique; 2° tantôt il existe
d'excitation offre aussi des degrés différents. 4° Ce peut-être un
état
de simple exaltation mentale; 2° d'autres fois
se présente dans ses deux phases 'avec une intensité variable : 1°
état
mélancolique et simple exaltation mentale; 2° m
e anxieuse ou avec stupeur et simple exaltation mentale ; 3° simple
état
mélancolique et manie aiguë ; 4° mélancolie ave
et d'un délire vésanique est de nouveau mise en lumière : ces deux
états
morbides conservent chacun leur évolution spéci
ut d'abord l'auteur expose les motifs qui l'ont amené à penser à un
état
infectieux du sang ; ils sont puisés dans l'analy
l'analyse des symptômes analogues et communs au délire aigu et aux
états
typhoïdes. « Cette analogie dans les symptôme
irection (le Quinquaud et Malassez ; il a toujours tenu compte de l'
état
elilorolique et anémique antérieurs et des autres
compte de l'état elilorolique et anémique antérieurs et des autres
états
morbides capables d'engendrer des causes d'erreur
eur possibles. « Ces modifications se rencontrent au maximun dans l'
état
de col lapsus, d'où cette première conclusion q
n de ces organismes parasitaires ne se rencontrent dans le sang à l'
état
normal. L'auteur, sur sept cas de délire aigu, a
els les mi- crobes ont été constamment constatés, et il rapproche l'
état
de surexcitation du délire aigu, l'état du surm
onstatés, et il rapproche l'état de surexcitation du délire aigu, l'
état
du surmenage cérébral de l'état du surmenage de
de surexcitation du délire aigu, l'état du surmenage cérébral de l'
état
du surmenage des hôpitaux. Enfin il insiste sur
a·icaz nervousness) : si Beard n'a pas été le premier à décrire cet
état
qui avait déjà fait l'objet de plusieurs travau
e la), par Flint, 233. Santé intellectuelle (des symptômes de l'
état
de et de son diagnostic avec la folie), 116. Z&
n. Maladie de Raynaud à la deuxième période, affec- tant la forme d'
état
de mal asphyxique, survenue et la suite d'une é
e une. sensation de pesanteur accompagnée d'une légère douleur. L'
état
de santé fut bon jusqu'au mois de décembre 1891.
alomnieuses. La malade éprouva alors de continuelles insomnies. A l'
état
de veille, et dans ses rêves, lorsqu'elle venai
e commença se montrer. La malade vit alors pour la première fois un
état
d'asphyxie suc- céder sur ses doigts à l'état d
r la première fois un état d'asphyxie suc- céder sur ses doigts à l'
état
de syncope. Les phénomènes se repro- duisirent
des doigts. La paume de la main conserve sa coloration normale. A l'
état
de syncope, les doigts sont d'un blanc de cire
t dans tous les doigts de la main. Parfois un doigtreste encore à l'
état
de syncope alors que l'asphyxie a déjà envahi l
rictions faites sur les doigts paraissent augmenter la durée de cet
état
. La malade éprouve une sensation de chaleur en pl
ocale, rarement d'asphyxie. , 10 CLINIQUE NERVEUSE. En outre, à l'
état
de veille, la malade ne se souvient plus de sa
e son ennemie de Chaumes. Bien plus, elle n'y pense plus, même en
état
d'hypnose. Elle refuse même d'y penser. Quand nou
e qu'elle nous décrivit d'ailleurs. Cette idée, elle l'a gardée à l'
état
de veille. L'examen du tableau des crises montr
re autour des paupières et du nez. Néanmoins elle se trouve dans un
état
relativement satisfai- sant et peut travailler.
habituelles. Au bout d'un certain temps s'est installé un véritable
état
de mal avec dix à douze crises par jour d'une d
t son idée fixe rappelant ses crises, il s'établit un cercle dont l'
état
de mal est l'expression symptomatiqne. C'est
ANS LES PSYCHOSES. 47 De même qu'une infection antérieure diminue l'
état
de résis- tance et d'immunité antérieures d'org
érieures d'organes spéciaux comme l'urèthre et l'utérus, et crée un
état
de réceptivité de ces orga- nes pour des infect
. femme Ch ? 53 ans. Pas d'antécédents héréditaires. Intégrité de l'
état
mental jusqu'à 39 ans. Première période dure 3
lait-il pas dire clairement qu'elle avait pour mari un cochon ? Cet
état
de pénible malaise, d'incubation, dure trois ans.
u nom de démence; ce terme s'adressant, d'une manière générale, aux
états
intellectuels en voie de déclin. Cette évolut
essayerai d'atteindre en vous exposant dans les leçons prochaines l'
état
mental des dégénérés. LES DÉLIRES PLUS OU MOI
rent en outre des hallucinations sans nombre, peut-être dues à un
état
de faiblesse irritable des éléments anatoiniques
cet auteur, le Wahnsinn, aigu ou chronique, a pour caractère que l'
état
de l'humeur correspond au genre des hallu- cina
hronique, acquise ou d'origine dégénérative, ce qui veut dire que l'
état
de désordre intellectuel aigu (verwirrtheit), n
ution ou autres, plus ou moins cohérentes suivant qu'il s'agit de l'
état
aigu ou de l'état chronique. M. Kroepelin, de
lus ou moins cohérentes suivant qu'il s'agit de l'état aigu ou de l'
état
chronique. M. Kroepelin, de son côté, n'emploie
umeur varie, mais l'ensemble de la sensibilité affective reflète un
état
d'angoisse. Le Wahnsinn de Kroepelin a pour élé
est avant tout insuffisant, et les facultés mentales sont dans un
état
d'infirmité qui préside à l'évolution de la malad
tre ques- tion de Verrùcktheit. Dans cette dernière, il s'agit d'un
état
de faiblesse mentale ayant pour symptômes cardi
qui est caractérisée par des hallucinations pressées et mobiles, l'
état
d'humeur des malades variant avec la même rapid
icité irrépa- rable. Quelques-uns de ces malades en meurent dans un
état
d'agitation permanent, c'est pourquoi il en fau
'épilepliques que l'on rencontre aux États-Unis (douze mille pour l'
état
de New-York seul), et énuméré tous les obstacle
téristique de l'hystérie (ceci est à craindre chez les individus en
état
d'hynoptisme). Dès lors la par- ticipation des
lessure céphalique grave, d'autant plus qu'il était phthisique; cet
état
physique a une grande importance dans l'es- pèc
ion de certaines séries de conceptions. Mais avant de qualifier cet
état
de pathologique, il faut tenir compte de l'ensemb
omaine même. L'assistance libre des femmes est pratiquée quand leur
état
la comporte ; dans ce but un a modifié l'ancien
on soutenue, appréciant les moindres changements survenus dans leur
état
. Rien ne lui échappait, aussi bien dans l'état me
s survenus dans leur état. Rien ne lui échappait, aussi bien dans l'
état
mental des malades que dans leur santé générale
e aigu, de la para- lysie générale ou péri-encéphalite diffuse, à l'
état
simple ou com- pliqué, du ramollissement cérébr
ord, puis trépané et guéri de son amnésie primitive. Il persiste un
état
mental curieux, consistant en une tendance à la
ette forme du délire des persécutions, ce persécuteur n'est plus en
état
de s'occuper de ses affaires et que par suite il
mais pour cela il faut qu'ils déterminent, précisent, établissent l'
état
mental de la personne qu'ils examinent. Les pre
ental de la personne qu'ils examinent. Les preuves à l'appui de cet
état
mental sont nécessaires, or celles qu'ils appor
une lésion ou quasi-lésion, de la paralysie ? Puis-je améliorer mon
état
ou seulement retarder la marche toujours ascend
able, il ne pourrait y être soumis sans un préjudice sérieux pour l'
état
géné- ral de sa santé. En résumé, il s'agit d
transitoire, à la suite d'une émotion minime, le même phénomène à l'
état
d'ébauche. Enfin à en croire le malade, cette p
tervention d'une cause occasionnelle. Chez les neurasthéniques, l'
état
mental exerce, comme on sait, une grande influe
. Mais elle se distingue de la folie systématique (paranoïa), par l'
état
de la lucidité constatée dans cette dernière qu
conscience (Wille). On voit la confusion men- tale se présenter à l'
état
intercurrent dans les psychopathies les plus di
issent, pour un instant, à déchirer le voile qui les couvre. En cet
état
, le malade a encore un léger souvenir, quoique
mot dans les formes violentes de manie; quand celles-ci passent à l'
état
chronique, la confusion mentale, géné- ralement
sion des idées qui, sous la forme de galop, se produit d'emblée à l'
état
de symptôme intercurrent dans la folie systématiq
conscience. Très fréquent dans la paranoïa, il masque tout à fait l'
état
du sentiment qui ne paraît pas atteint. Mais il
natoire aiguë; de même les hallucinations peuvent apparaître à l'
état
intercurrent dans la forme de paranoïa où domine
aveur du sommeil. Elle éprouvait seulement des cauchemars. Malgré l'
état
de suggestibilité des femmes à cette époque, le
nt dans l'im- paludisme, les néphrites chroniques, la glycosurie, l'
état
sclé- reux des artères, et enfin certaines affe
n mémoire intitulé : Sur une névrose vaso-motrice se rattachant à l'
état
hystérique, entièrement guérie par l'emploi des
ntervalle des accès la vascularisation rétinienne était revenue à l'
état
normal. Les vaisseaux avaient repris leur calib
cuisinière, ne paraît pas éthy- lique. Elle est très nerveuse. Son
état
névropathique s'est considérablement accentué d
elle s'était rendue coupable d'une maladresse plus grande. Dans un
état
d'énervement très grand (elle était litté- rale
s accès, apparaître spontanément. Il cite un cas de Volfius où un
état
semblable apparut à la suite d'un violent accès d
ne fut con- damné qu'à cinq jours de prison en considération de son
état
d'in- toxication alcoolique pour lequel il étai
nité de l'internement propre- ment dit comme de la déclaration de l'
état
d'aliénation pour la mise en surveillance du pl
type criminel une dénomination qui exprime la cause prochaine de l'
état
de criminalité. Cette cause prochaine est l'att
l'attention se borne exclusivement aux stigmates physiques. De l'
état
psychopathique et du milieu où se meut l'individu
e particulier. La société serait mieux protégée. E. B. X. Sur LES
états
psychiques douteux devant LES tribunaux; par M.
de voir comparaître devant les tribunaux des inculpés présentant un
état
mental douteux. Liemann, Kasper, Loran, Krafft-
Sa conduite bizarre, ses propos ont fait songer immédiatement à l'
état
anormal de ses facultés intellectuelles. Soumis à
embre 1892.) L'auteur rapporte des expériences personnelles sur les
états
som- nambuliques provoqués ou spontanés et le p
és par lui se sont trouvés particu- lièrement marqués, à savoir : l'
état
de dépression apathique, l'affaiblissement musc
S. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 137 1 XX. CENT cas .d'épilepsie;
état
DE la réfraction ET traitement par DES VERRES;
térique. La suggestion, faite pendant le sommeil hypnotique, ou à l'
état
de veille, ou encore par voie d'il- lusion médi
athiques qui guérissent, il en est d'autres qui s'éta- blissent à l'
état
permanent. E. B. - XXXII. Sur un cas DE syndrom
visage les lésions des nerfs péri- phériques, soit qu'on envisage l'
état
de la moelle épinière, les faits jusqu'ici conn
améliorent, dans certaines circonstances, les épileptiques vrais en
état
de mal. Enfin il a, depuis plusieurs années, co
. Les paralytiques généraux, dit-il, sont, le plus souvent, dans un
état
physiologique trop précaire pour qu'on leur ret
M. Briand il a toujours trouvé leurs urines hypotoxiques pendant l'
état
de mal et hypertoxiques après. Il croit, à une
et bromure et, depuis le 8 août 1893, elle n'a plus d'attaques. Son
état
mental s'est modifié; elle a récupéré la nettet
ment toutes les sensations du corps collaborent à cette faculté à l'
état
normal. Mais il n'est pas moins certain que des
tre qu'à la période prodromique de toute maladie mentale, il y a un
état
sentimental particulier, mais il est pas- sager
maladie, on peut, dans l'immense majorité des cas, déterminer si l'
état
de l'humeur, gai ou triste, est primitif, ou s'
ver une indépendance absolue et de ne me préoccuper jamais que de l'
état
mental de l'individu que j'exa- minais. De tout
ts genres d'aliénation : paralysie générale, infirmités cérébrales,
états
mélancoliques, états maniaques, folie puerpérale,
n : paralysie générale, infirmités cérébrales, états mélancoliques,
états
maniaques, folie puerpérale, folies toxiques, f
rs. L'enquête a établi, au sujet de ce meurtrier inconscient, que l'
état
physique de ses ascendants n'a pas été sans inf
'état physique de ses ascendants n'a pas été sans influence sur son
état
moral. Son père est mort dans une maison de san
lle, d'ailleurs, il n'avait pas bu, le fait est prouvé. Quant à l'
état
physique de l'inculpé, il est satisfaisant. Dans
e Raynaud. La différence tient-elle à la nature de l'émotion ou à l'
état
du système vaso-moteur. Nous n'avons aucun élém
de l'émotion, et suivant la période de la maladie (début, période d'
état
, période d'amélioration). D'ailleurs maladie de
ualités propres, mais la signification clinique d'un grand nombre d'
états
patholo- giques susceptibles d'impressionner pr
réflexions sont applicables à notre cas d'affection de Raynaud. L'
état
de mal asphyxique en rapport avec une idée fixe s
e menstruelle, Vulpian pense qu'elle met le système nerveux dans un
état
d'excitabilité tout à fait exagérée pendant laq
nger à tout ce qui l'entoure et reste un temps considérable dans un
état
d'hé- bétude profonde. On est autorisé à craind
sé dégénératif d'un délire chronique pur il faut envisager : < l'
état
mental du sujet, les syndromes épisodiques déve
'état mental du sujet, les syndromes épisodiques développés sur cet
état
mental, enfin l'évolution, l'allure particulièr
s de la Paranoïa, c'est le récent travail de Chaslin qui présente l'
état
de la question en France. Toutes les psychoses
circonstances dans lesquelles, d'après l'analyse psychologique de l'
état
du malade, sa maladie doit être rangée dans la pa
tia. De même le délire asthénique est précisément à la limite des
états
psychopathiques passagers et des maladies psychiq
délire et hallucinations; la période aiguë dis- paraît emportant l'
état
dépressif et l'angoisse, le délire de- meure et
n enregistre des idées délirantes de grandeur et de persécution, un
état
mélan- colique ou maniaque, des accidents hysté
il existe à un degré plus ou moins accentué, et, pour le moins, à l'
état
épisodique, des idées obsédantes, ou telles et
ter l'opinion des psychia- tres qui tiennent le délire aigu pour un
état
particulier pou- vant se joindre à diverses mal
moraux. Je dois dire que cet événement n'eut aucune influence sur l'
état
mental du malade, dont le délire mélancolique e
e rencontre donc à la base et comme expression dominante des divers
états
toxiques, depuis l'alcoolisme et ses analogues
elle perdit imédiatement connaissance et resta trois jours dans cet
état
. Cette jeune fille resta ensuite alitée pendant
es vaso- moteurs, etc. Ces signes de névroses s'accompagnaient d'un
état
de dépression mélancolique. Se fondant sur ses
de boissons. A son entrée à son entrée à l'asile, il présentait un
état
de dépression qui aboutit bientôt à une mélancoli
phine, les idées délirantes de négation s'effacèrent et peu à peu l'
état
mélancolique disparut à son tour. G. D. II. Un
citait l'onanisme. Ces diverses perversions paraissent relever d'un
état
de dégéné- rescence, le sujet qui en a été atte
lennorrha- gique n'est pas suffisamment connue pour être admise à l'
état
de donnée indiscutable, aussi n'est-ce qu'avec
qui, atteinte de vaginite blennorrhagique, tomba peu à peu dans un
état
de stupeur panophobique avec confusion hallucinat
orité des cas, est une toxine spécifique. Cette toxine existant à l'
état
latent dans l'organisme, du fait de la syphilis
ie psy- chique de la parole intérieure normale et pathologique. A l'
état
normal, les centres d'articulation des mots (ré
parole (parole intérieure). Toutefois cette audi- tion n'a pas à l'
état
normal l'intensité, le retentissement qui impose
s génitales répétées. 7° A ces différents symptômes correspond un
état
de désagréga- tion psychique, plus ou moins mar
écessaire de leur demander un avis. M. Garnier appelé à constater l'
état
mental d'un sieur B..., inculpé de tentative de
eur rendit, sans hésitation, une ordonnance de non-lieu basée sur l'
état
mental de B... ; celui-ci fut placé dans un asi
le épouse contre laquelle il s'était trouvé, lors de l'attentat, en
état
de légitime dé- fense. A trois reprises différe
suite de cet interrogatoire, commit le D''Magnan pour examiner son
état
mental. L'éminent aliéniste de Sainte-Anne conc
t; qui a affirmé qu'au- cun des hommes de l'art appelé à examiner l'
état
mental de l'in- terné n'était allé jusqu'à dire
sorielles (de préférence de l'ouïe); ils s'agitent et présentent un
état
d'humeur en rapport avec ces hallucinations. Te
quatre semaines la lucidité progresse en même temps que se relève l'
état
de la nutrition matérielle, finalement la compl
rvation très complète montre, chez une couturière de trente ans, un
état
d'agitation incessante avec désordre dans les i
ns; inquiétude, angoisse, parfois des violences, en d'autres cas un
état
de demi-stupidilé, en sont les conséquences. Il
tance chromogène et d'une substance chroma- tique ; il apparaît à l'
état
d'organe pâle un peu gonflé dans lequel on peut
a employé la méthode des coupes macroscopiques pratiquées soit à l'
état
frais, soit après durcissement. Mais pour l'ana
emarquable- ment fait et fournit les données les plus exactes sur l'
état
actuel de ces questions encore à l'étude. La
quelconque d'anatomie du système nerveux, se contentant d'exposer l'
état
actuel de nos con- naissances sur ce sujet, mai
eux mé- moires, est un essai de classification qui semble résumer l'
état
actuel de la question. Le rôle des auto-intoxic
s en relief : Cette théorie géné- rale de l'origine infectieuse des
états
délirants est, du reste, expo- sée depuis longt
S asiles d'aliénés DE la Saxe; par Tri. GUNZ.. Voici le résumé de l'
état
actuel de l'assistance publique des aliénés en
qu'un épileptique est en imminence d'accès, on observe chez lui un
état
saburral de la langue, des plus pro- noncés. Pl
Au début, la langue est seulement un peu sale, puis chaque jour, l'
état
saburral augmente, jusqu'à l'apparition des acci-
893. 260 PHYSIOLOGIE pathologique. d'une façon très différente. L'
état
saburral apparaît et s'accroît progressivement,
mière attaque éclate; mais la langue au lieu de revenir ensuite à l'
état
normal, reste couverte de son enduit saburral q
se termine. Ce moment est d'ailleurs marqué par la disparition de l'
état
sabur- ral de la langue. Mais s'il y a un inter
e, , comme on peut facilement s'en rendre compte en surveillant l'
état
de la langue. Malgré l'interruption des accès, l'
riables ; il est intéressant de voir ce que devient dans ces cas, l'
état
saburral de la langue. Ici comme tout à l'heure l
le mental qui s'établit. La langue devrait donc rester dans le même
état
. C'est ce que l'on constate invariablement; tan
ue l'on constate invariablement; tant que dure le trouble mental, l'
état
saburral persiste et il augmente s'il doit surv
langue se rapproche de DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 261 l'
état
normal et parallèlement le délire épileptique s'a
la raison reparaît. Lorsque enfin le malade est redevenu lucide, l'
état
saburral a complètement disparu. Ce parallélism
tat saburral a complètement disparu. Ce parallélisme absolu entre l'
état
de la langue et les acci- dents épileptiques a
ble mental ou accidents larvés, est annoncée et accompagnée par l'
état
saburral de la langue; c'est que la durée de cet
mpagnée par l'état saburral de la langue; c'est que la durée de cet
état
est égale à celle des accidents, et que sa disp
à celle des accidents, et que sa disparition annonce le retour à l'
état
normal. Les anciens considéraient la langue com
idèle de l'estomac, toute modification de celle-là répondant à un
état
particulier de celui-ci. L'estomac doit donc être
r de celui-ci. L'estomac doit donc être atteint dans l'épilepsie, l'
état
de la langue l'atteste à priori, et les faits l
prouvent; dans la migraine ophtalmique d'origine épilep- tique cet
état
est des plus manifeste. Lorsque nos malades son
sujets qui n'éprouvent qu'un goût amer sans perte de l'appétit. Cet
état
s'accompagne ordinairement d'une constipation a
me temps qu'ils nous réclament une purgation. Ils ont raison, cet
état
gastrique, dont l'enduit de la langue n'est qu'
par nous jusqu'à ce jour. Il parait à première vue évident que cet
état
gastrique doit suivre les mêmes variations que
araître. Ces expériences nous ont apporté la certitude que, comme l'
état
saburral de la langue, les troubles gastriques
s. Les modifications de la langue, indiquant la manière d'être et l'
état
des fonctions de l'estomac et de tout le tube d
ntensité dans les périodes d'agitation prolongées et surtout dans l'
état
de mal épileptique dont la gravité est bien con
as; . 2° Elle se rencontre dans tous les modes d'épilepsie ; 3° L'
état
de mal épileptique parait toujours accompagné d
marquer, cette albuminurie peut, quand elle se manifeste pendant un
état
de mal épileptique, être la source d'erreurs de
mptomatique pour établir un rappro- chement frappant entre les deux
états
. Sans vouloir l'aire de l'éclampsie et de l'épi
rsque'les accès sont nombreux, intenses et subintrants comme dans l'
état
de mal. Il n'est pas jusqu'au moment de l'évacu
i- fient,, tout comme les expressions allemandes et étrangères; l'
état
symptomatique. · A côté de cette forme, il en e
me les idées délirantes de grandeur et de persécution parvenant à l'
état
par- fait dans la folie systématique chronique,
ntia) des deux autres types, puisque celle-ci peut s'introduire à l'
état
épisodique ou symptomatique (que nous appelons
llucinations sensorielles, idées délirantes, incohé- rence) ; 2° un
état
des sentiments consécutif à cette altération in
s simple, dans cette paranoïa, de se préoccuper tout bonnement d'un
état
aigu et d'un état chronique, car vraiment la Ve
te paranoïa, de se préoccuper tout bonnement d'un état aigu et d'un
état
chronique, car vraiment la Verwirrtheit n'est q
.première- enfance ; s elles ont, créé unjétattmental spécial..Cet,
état
mental( est-il grossier et témoigne-t-il d'un a
dit que'la'confusion' mentale,' tantôt' épisddiqué, tan- " tôt à l'
état
d'accès,' peut également constituer un'stade de'd
folie systématique révèlent toujours une anomalie du senti- ment, l'
état
de gaîté avec exaltation cadrant avec les idées d
eur; ont pour élément' prédominant, pri-t mitif, admis par tous ? l'
état
du sentiment. » '('' ? ''\lajnan''et ses élèves
de cette étude. Nous avons eu personnellement pour but d'exprimer l'
état
de la terminologie appuyée par le gros des cons
et la malade entrait dans des convulsions générales, suivies d'un
état
comateux. Quand elle se réveillait après quelque
iques puis cloniques. L'attaque était d'intensité modérée. Après un
état
comateux de courte durée, elle put quitter mon
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.- 301 du Michigan dans un
état
de démence qui ne permettait pas d'en tirer de
hale ne fût terminé, vers la fin de la vie foetale (ce que prouve l'
état
des racines spinales). Par suite de l'arrêt de dé
ion. Figures. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXII. Les
états
affectifs ET la mémoire; leçon de M. le Pr RIBOT,
enir, la mémoire de rappel ou d'évocation s'applique-t-il aussi aux
états
affectifs ? Pour rendre. les «recherches plus f
ppel ou d'évocation existe bien pour chacun de ces quatre groupes d'
états
affectifs, niais se rencontre plus ou moins net
é, il y a lieu de considérer dans toute mémoire ou repro- duction d'
états
affectifs d'une part, des conditions cérébrales a
érales de réponse dont l'ensemble provoque le rappel en retour de l'
état
affectif. (Revzceazeu'olopiqié, janvier, 1894.)
ignes qui peut être de quelque.valeur diagnostique, et démontrer un
état
cérébral inférieur. Combien 'donc de ces stigma
ux de dégénérescence sera toujours suspect pour ce qui concerne son
état
mental, nerveux ou moral; il pourra devenir plus
judiciaire ou d'erreur dans le diagnostic et dans le pronostic de l'
état
mental et moral des malades. (The alie- nist an
organisées, ne s'effectuent qu'avec peine, et il en ré-, z suite un
état
douloureux; une altération plus étendue, plus pro
p. 100 d'associations phonétiques et par asso- nance, tandis qu'à l'
état
normal, il n'y en a que S p. 100. 'Les mêmes mo
ez les premiers, tandis que la répétition n'est que de six fois à l'
état
nor- mal, dans les pires, conditions du travail
e poser un diagnostic. Il mourut le 19 dé- cembre 1892 dans le même
état
; pendant les derniers jours qui pré- cédèrent s
dans le somnambulisme, en un mot pen- dant,,Ia durée -de- certains
états
dans lesquels la conscience normale. du malade
me en- voyé la malade à M. Potherat qui a bien voulu examiner son
état
. Il n'a observé aucune lésion sérieuse et quoique
nctions.des itroublés fort graves «' vK 1 i 1 t * ! 1 t, 1 w avec l'
état
. ,».' , Le'pld ' 0 et est en'rapportTcependait
avec l'état . ,».' , Le'pld ' 0 et est en'rapportTcependait, avec 1
état
hystériqilé. Lé plus. net est le resserrement d
mp;lW suq ahsq nfi . s'te'1(s· y,rrs.,t .1 J Tension' vasculaire. L'
état
du système circulatoire et parti- ..(1·, ·aqurl
gime. Ceci n'est pas sans importance : ,l'exercice,, le rgpos, l'
état
de digestion ou de jeûne influent ^beaucoup sur l
. otc^ei(^.'j - i.U plii ? IV of9o ou Etat de Ja sensibilité. g L'
état
de,, la sensibilité chez les épil'ptique "s" do
une absence, de sensibilité qui rappelle celle desr alcooliques en
état
d'ivresse où plutôt des alcooliques chro- nique
t'épileptlques ! Cés troublés nutritifs apparaissent surtout'dans l'
état
demal.11 La' cicatisàti-ow des plaies est suspe
é' rapidement ét'surtout'quànd'il''v''a''eù de grandes séries ou un
état
de mal ? ) .. ' -, t. - ...0 tnn .· ? < rr oq)
e. Nous,verrons plus tard, quelle peut être- la pathogénie de ces
états
passagers, maistil nousjest permis de;nous demand
nt rare, se produit généralement pendant une série d'accès, dans un
état
de mal le plus souvent. Elle a déjà été signalé
e persister pendant un mois et demi ; il est vrai que dans ce cas l'
état
de mal a duré lui-même à peu près un mois. D'au
il). Eu février 1893, elle a 238 accès épileptiques ; elle reste en
état
de mal avec forte élévation de température pend
orte élévation de température pendant tout ce mois. Au cours de cet
état
de mal elle devient hémiplégique droite et apha
t en inten- sité. En 1891 vers le mois de décembre, cette malade en
état
de mal est frappée d'hémiplégie droite avec aph
droite avec aphasie passagère. Cet, 374 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
état
dura à peu près quinze jours; les accès disparus,
mouvements- convulsifs se produisent cependant du côté atteint. Cet
état
est d'une durée variable; ensuite il rétrocède
sous l'influence de nouveaux accès en séries surtout ou d'un nouvel
état
de mal, comme d'ailleurs la démence épileptique
'est le tableau que présente actuellement la malade Cir... Plus cet
état
s'aggrave par poussées successives, 376 PHYSIOL
chez les épileptiques ayant fait une hémiplégie corticale dans un
état
de mal, et l'hémiplégie semble avoir marqué le dé
s logique. Nous verrons tout à l'heure dans la patho- , génie que l'
état
de mal avec son élévation de température et son
spasmodique que nous voyons chez les malades précédemment cités. L'
état
de mal agirait donc comme la rougeole, la vario
rieur droit, depuis le coude jusqu'aux extré- mités des doigts. Cet
état
qui survenait aux mêmes moments que la crise ap
ir ce malade : son faciès traduit la fatigue, voire même un certain
état
d'anxiété avec dypsnée et fréquence du pouls. L
ment et péni- blement sous la dictée quelques mots révélateurs d'un
état
d'agra- phie manifeste et paraissant, tout comm
due et que du souffle et des râles fins occupentle sommet gauche. L'
état
général est de plus en plus mauvais, bien que l
la revois une fois par semaine pen- dant le mois de février; le bon
état
s'est maintenu tel que depuis la fin de janvier
hémiauesthésie, mais le malade tombe dans l'assoupissement, dans un
état
demi-conscient, il ne répond qu'à peine et aux
e rouge, le vert et le bleu). Le blessé est devenu très gras. Son
état
mental présentait quelques particularités intéres
vienne l'ennuyer REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 385 pour cela. Cet
état
mental s'accuse de plus en plus, d'abord il n'y
psule n'a pas été touchée. Il est difficile, pour ce qui touche l'
état
de la mémoire, de faire autre chose que des sup
ns le tabes, décrits par les auteurs, on n'a pas fait attention à l'
état
des nerfs périphériques, quoique, à en juger .p
moelle entière fut examinée ; d'après les symptômes cliniques et l'
état
de la capsule interne ainsi que des pyramides, il
les chroniques. Cette allure presque sans exception est l'apanage d'
états
psycliopatliiques déter- minés qui sont caracté
re incriminée; s'il y a hyperthermie, on se trouve en présence d'un
état
congestif. , M. Charpentier objecte que c'est l
, et des plus émineuls, auraient reconnu la parfaite intégrité de l'
état
men- - tal de Feldmann. C'est inexact. Personne
attesté cela, ne sont nullement aliénistes. Finkelnbourg attesté l'
état
de raison de M. Feldmann. Mais il · parle d'err
nt des accidents cliniquement autonomes, qui peuvent se montrer à l'
état
d'accès accompagnés de signes phy- siques. Di
scussion. M. QCHULTZE. 11 ne faut pas confondre les obses- sions et
états
anxieux avec la neurasthénie; ils n'en sont pas
grand qu'on ne leur en attribue actuellement. Elles comprennent des
états
très différents, il serait à désirer qu'on mit
et aux courants faradiques. En cinq mois on réussit à améliorer cet
état
;*la malade reprit l'usage de ses mem- bres à pe
ttre en pratique. M. MERCKDN lit son travail sur la conscience de l'
état
morbide dans la paranoïa. Publié in extenso 1.
causes les plus variables, mais reposant en définitive sur un même
état
, la confusion mentale, c'est-à-dire l'affaiblisse
gnées, les bains et les douches. Un grand nombre arrivèrent dans un
état
de faiblesse, d'atonie et de stupeur tel que pl
e, avec idées incohérentes, sans force et sans énergie : « Dans cet
état
, disait un de ses mala- des, mon intelligence e
complissent en eux ; ce sont chez eux des rêves en rap- port avec l'
état
d'oppression cérébrale dont ils sont atteints et
e la démence aiguë avec ses variétés agitée et stupide ; si c'est l'
état
somatique qui prédomine, on a les formes qui si
tend plus particulièrement sur la théorie de Meyneft, qui admet à l'
état
sain l'hypérémie par- tielle au niveau de certa
exprimer avec Fechner en disant que les centres hypérémiés sont en
état
de veille alors que le reste du cerveau est à l
rémiés sont en état de veille alors que le reste du cerveau est à l'
état
de sommeil. b - M. Chaslin résume aussi les thé
umé, ce qui fait le fond de la psychose que nous analysons, c'est l'
état
de confusion se manifestant sous les formes les p
confusion se manifestant sous les formes les plus variables. Si cet
état
est très peu marqué, il donne lieu aux con- fus
ux malades tous les après-midi et les promener au dehors quand leur
état
mental le permet; je considère ces relations fr
t qu'il sorte avec eux pour villégiaturer toutes les fois que son
état
le permettra. Les petits services ont été compl
ait naissance à l'épi- lepsie, et l'on verrait ensuite paraître les
états
mentaux, les vésanies, l'idiotie, et finalement
s de l'ivresse au moment du coït sur le produit de la conception. L'
état
mental des parents au moment de la conception j
e.ait le contre-coup de tout ce que la mère éprouve. Comme tous les
états
que nous avons signalés entraînent des modifica
uchements difficiles, l'arrêt prolongé dans la filière pelvienne, l'
état
de mort apparente, l'asphyxie par cir- culaires
laissant, au moins au début, le sujet qui en a été atteint dans un
état
de santé parfaite. Tantôt, c'est un accès isolé
ainsi de même que tout rentre dans l'ordre, et qu'il revient à son
état
normal, dès qu'il élimine suffisamment ce poiso
ans l'épilepsie, les accès sont précédés la plupart du temps par un
état
prémonitoire spécial qui tantôt est plus ou moi
que cette accumulation progressive d'un produit toxique entraine un
état
de malaise général avant que les accidents n'éc
cette étude rapide, DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 447 sur l'
état
gastrique et l'enduit saburral de la langue; c'es
e manifestent; les lavages de l'estomac viennent rendre compte de l'
état
de cet organe; l'appétit disparaît, la bouche e
e que bientôt les manifestattons convul- sives vont apparaître. Cet
état
saburral de la portion supérieure du tube diges
écrétion de la toxine du microbe. Mais suivons dans son évolution l'
état
saburral, prenons le cas où les attaques se pré
nt tout le temps que durent les accès, la langue reste dans le même
état
, ou bien parait de plus en plus chargée. Les ac
u qua- rante-huit heures, il survient de nouveaux paroxysmes. Cet
état
saburral de la langue est un signe que la série n
cès convulsifs, comme pendant le délire consécutif et l'agitation l'
état
saburral ne disparaît pas. C'est seulement qu
que s'accumule, la quantité absorbée par l'organisme augmente, et l'
état
gastrique comme l'aspect de la langue s'accentu
se fait, la quantité de poison retenue dans l'organisme diminue, l'
état
saburral s'amende, et bientôt les accidents réf
vons recueilli les urines des vingt-quatre heures physiolo- giques (
état
de veille et 'sommeil). Pour ce faire, nous com-
tômes gastriques, mais en sens inverse. On pourrait objecter que l'
état
saburral commence à dispa- ' Jules Voisin. Cong
ue en soi, il faut pourtant avouer qu'elle vient ici se joindre à l'
état
saburral et parler dans le' même sens. Chez l
ment et d'une façon moins complète. Enfin, ils peuvent arriver à un
état
de déchéance physique et intellectuelle qui con
ainsi qu'il veut voler dans l'espace, et qu'il se croit souvent en
état
d'accomplir des travaux gigantesques. Nous voyo
a essayé de déterminer la durée de cette hyperexcitabilité due à l'
état
inflammatoire, sa marche et d'autres questions
ue de la ligature. 3° Nerf écrasé. La résistance du nerf réduit à l'
état
de simple conducteur est notablement plus faibl
ctionnement habituel de leur circulation. S'agit-il d'individus à l'
état
dit physiologique, qui présente encore pour l'h
s des résistances initiales et finales obtenues dans les différents
états
morbides que l'auteur à soumis à l'examen. Il con
t à l'autre. Les variations sont encore en relation avec certains
états
patho- logiques. On trouve la résistance diminu
rce élec- tro-motrice doit être constante; on doit s'assurer du bon
état
des contacts des électrodes de toutes les parti
ie. Les réactions polaires sont à peu près identiques à celles de l'
état
phy- siologique. Cependant pour la réaction min
la maladie, il faut rechercher jour- nellement, en même temps que l'
état
de la circulation et de la respiration, les mod
intéressantes. Il note surtout comme résultat, l'amélioration de l'
état
général, la diminution de la sensation de chale
et terminé par la mort : on trouva les cellules corticales dans un
état
de dégénérescence très accusé et très avancé, ave
accusé et très avancé, avec des cellules étoilées et des noyaux en
état
de prolifération autour des vaisseaux et de la
nd usage au Bengale des drogues tirées du chanvre : on les fume à l'
état
de chunus et de ganja; on les boit à l'état de
anvre : on les fume à l'état de chunus et de ganja; on les boit à l'
état
de Lhang et de siddhi, ,et on les mange à l'état
a; on les boit à l'état de Lhang et de siddhi, ,et on les mange à l'
état
de majune; toutefois l'habitude de fumer le chu
du tabac, ou avec une très petite quantité de datura détermine un
état
qui peut varier entre un effet exhilarant et une
uler la manie, ou bien aboutir à la mélancolie et à la démence. Cet
état
est généralement de courte durée, et la termina
éressants sur la technique du massage, technique variable suivant l'
état
patho- logique auquel on veut remédier. R.1V1.
d'avoir toujours recours à l'atro- pine avant de se prononcer sur l'
état
de la réfraction. Je pense aussi que, chez les
quelconque, latente ou mani- feste, peut être démontrée, en tant qu'
état
oculaire, chez quatre- vingt-quinze sujets sur
res dégénérés qui ne veulent pas s'apercevoir de l'anomalie de leur
état
, et que leur existence se passe précisément dan
acer dans un établissement de tempérance. C'est d'après M. Smith un
état
épileptique et épileptoïde alcoolo- gène. Le se
particulier, la théorie de l'aperception dans ses applications à l'
état
patholo- gique est combattue avec énergie d'un
guïté. Mais ce sont là les degrés inférieurs de l'association; à l'
état
normal, lorsque la pensée se déroule dans un or
é et d'attention ne sont pas autre chose que le côté conscient de l'
état
physiologique qui accompagne l'appari- tion dan
nombre de gouvernements, d'une administration' autonome confiée aux
états
provinciaux « semslmo ». On trouvera dans des t
son, qu'il y laissa dans l'espoir de l'y retrouver quelque jour à l'
état
sauvage. Samuel Tuke, son père, était un Quaker
des directeurs médecins du pays; il correspondrait tout à fait à l'
état
actuel de la science. 486 asiles d'aliénés. a
térêt. La discipline et la routine ont été les facteurs de l'ancien
état
de choses dans les asiles; mais l'application d
ts et de les classer par un examen approfondi physique et mental. L'
état
de la nutrition générale et l'hygiène alimentai
mental. L'état de la nutrition générale et l'hygiène alimentaire, l'
état
des divers ordres de sensibilité, la conformati
uardel. Le tréso- rier, M. Masson, a donné des renseignements sur l'
état
de la souscription. Les sommes qu'il à reçues s
' , par Bechterew, 42; traitements récents de l' par Collins, 42;
état
de la réfraction dans l' -. par \\'orlc-Dood, l
Massage sur la gymnastique et le , par Sandblom, 466. Mémoire,
états
affectifs de la -, par Ribot, 309. Menstruel,
; ni syncopes, ni constriction du ventre. Elle a fait connaître son
état
de grossesse à ses patrons et, comme le soldat
baissement très marqué de la voûte pala- tine, semblant indiquer un
état
pathologique des fosses nasales postérieures.
ilité générale semble légèrement obtuse, ce qui tient peut-être à l'
état
intellectuel de l'enfant. Elle est très sensibl
e de la fontanelle antérieure, la déformation des os des membres, l'
état
particulier des os 2, etc.), sur le système cut
ns l'interroger au sujet de l'argent de M. Quesneville et il est en
état
de nous répondre. « Le matin nous dit-il, j'avais
a subi aucun traumatisme ; il n'est pas épileptique : rien dans son
état
présent, rien dans son passé ne peut faire sup-
ction, augmentation notable du volume de la myéline par rapport à l'
état
normal et par rapport aux éléments voisins ; tr
me (oedème inflammatoire). Il semble hyper- trophié par rapport à l'
état
normal et aux éléments qui l'en- tourent. Il ne
e et perd, en ce point, les cercles concentriques qu'elle offre à l'
état
normal; quelquefois elle se transforme en boule
ltérée au niveau du centre, prend une coloration plus foncée qu'à l'
état
normal, mais cependant pas assez forte pour que
t le cylindraxe est flexueux et contourné, mais qu'il est encore en
état
de dégénérescence. Mais il y a plus : dans les
. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cellules multipolaires la tuméfaction, un
état
globuleux, une transformation en corps opaques
par conséquent le réactif qui les colore et les fait apparaître à l'
état
normal. Tout récemment des lésions de ce genre
qui nous intéresse c'est le gonflement des éléments nerveux. Cet
état
pseudo-hypertrophique qui loin de représenter .un
qu'il est par un étroit cercle de myéline. Mais dans le début de l'
état
chronique on peut voir aussi cette tuméfaction
la lésion prise dans son début offre de frappantes analogies avec l'
état
chronique. C'est pourquoi on est en définitive
cation capitale s'impose pour éclairer le pronostic ; l'examen de l'
état
du rein, la recherche du signe de Cheyne-Stokes
heyne-Stokes et de celle de l'hyperpyrexie. Des trois, l'étude de l'
état
du rein est la plus importante. Dans un cas d'apo
is symptômes ne peut être constaté, le malade peut se rétablir. Les
états
toxiques ou infectieux équivalent à l'altératio
. Examen de 24 malades dont 17 atteints d'hystérie, neurasthénie et
états
semblables (tableau). A la tendance d'excréter
alexie totale littérale et ver- bale pour l'écrit et l'imprimé. Cet
état
dure sans modifications appréciables jusqu'à la
ssion intra-cranienne (céphalées, vomissements, névrite optique). L'
état
mental commençait à s'altérer ainsi que la sens
leux ou syphilitiques. Le traitement spécifique ne fit qu'empirer l'
état
du malade qui guérit par le trépan (méthode de
qu'inégales au point de vue des résultats obtenus relativement à l'
état
mental. La préparation employée dans les deux cas
volumi- neux. Au bout de quinze jours, amélioration marquée de l'
état
mental et du goitre. Au bout d'un mois l'amélio
une teinte plus naturelle ; la transpiration devient appréciable. L'
état
myxoedémateux des tissus sous-cutanés devient moi
que les petits malades revenaient plus ou moins lentement vers leur
état
antérieur, mais cette régression était plus lente
is plus lente. C'est sur deux données : la température du soir et l'
état
de la nutrition générale, qu'il faut se baser p
se baser pour régler les doses, avec cette réserve toutefois que l'
état
de la nutrition est plus impor- tant des deux s
ème a monlré dans quelle large mesure la glande thyroïde agit sur l'
état
tro- phique de la peau et influence le système
HÉRAPEUTIQUE. Le traitement thyroïdien est spécifique dans tous les
états
patho- logiques relevant d'un défaut ou d'une i
t d'un défaut ou d'une insuffisance d'action du corps thyroïde; ces
états
pathologiques sont : 1° le myxoedème acquis des
, avec rapidité et faiblesse du pouls, et prostration extrême ; cet
état
de faiblesse peut durer plusieurs jours. Mais l
d'une intervention qui modifie sûrement et d'une façon profonde l'
état
de la circulation intracranienne et par suite de
a tension cérébrale. La mentalité étant visiblement dépendante de l'
état
de tension vaso-molrice plus ou moins grande du
r cessation, il redevint à demi conscient, demeul rant toutefois en
état
de somnolence et ne répondant que fort mal aux
nouveau tamponnement, elle était à peu près complètement effacée. L'
état
mental du malade s'était rapidement 'amélioré dès
t, ni les membres inférieur et supérieur gauches ne participent à l'
état
convulsif. Il est arrivé quelquefois, cependant,
quelques jours après l'accident sa vue s'affaiblit notablement. Cet
état
dura environ quatre jours. eut plusieurs attaqu
nt de la langue. A l'entrée de la malade à l'asile on noie un léger
état
de dépres- '-ion et d'irritabilité : on ne cons
ses reparurent bientôt, mais moins fréquentes et moins intenses : l'
état
mental était sensiblemenl amélioré. La céphalal
et la convalescence était con- firmée. A cette date on constate l'
état
suivant : la parésie de la face, l'état de la j
A cette date on constate l'état suivant : la parésie de la face, l'
état
de la jambe ne sont pas modifiés; le bras gauche
Caillé, qui, ne peut par conséquent donner de renseignements sur l'
état
actuel des malades. Dans le troisième cas, le mal
as, le malade est de l'aveu de l'opérateur, à peu près dans le même
état
qu'avant l'opération. Et quant au quatrième cas
sque l'on peut sans exagération dire que tous les malades y sont en
état
de réceptivité bacillaire plus ou moins accusée
- damnés par les tribunaux pour délits ou crimes commis pendant l'
état
de maladie. Il manquait à ces faits des cas de co
table irresponsabilité. 11 manque une corré- lation directe entre l'
état
mental de l'individu et l'acte incriminé. M. LE
alade n'a pas toute sa conscience; sa personnalité et par suite son
état
de conscience sont entamés. Ainsi, dans le cas pa
uand la crise a été terminée, alors, seulement, il est revenu à son
état
de conscience habituelle, a eu regret de ce qu'
-à- dire quand l'aliéné n'a pu échapper à la prison que grâce à son
état
mental, le magistrat devrait pouvoir tenir au c
ait pouvoir tenir au criminel le raisonne- ' ment suivant : « Votre
état
mental vous rend irresponsable, par con- séquen
en face d'un individu ayant com- mis un crime sous l'influence d'un
état
mental pathologique, prendra une mesure tempora
ègne la liberté de la femme. Nous y notons de grands progrès daus l'
état
social, dans le bien-être général, une diminuti
reuse, ils ont reculé de dégoût; ses habits étaient dans un affreux
état
de malpropreté, et son appar- tement, où séjour
éné habituellement dangereux : l'amélio- 'ration constatée dans son
état
l'avait même fait attacher au service du médeci
s, fait preuve de bon sens et montre une parfaite conscience de son
état
. Il sait par exemple que ces voix sont des hall
c'est la prédisposition vésanique, acquise ou originelle, c'est l'
état
d'infériorité fonctionnelle des centres cérébraux
la rende en quelque sorte réelle, vivante el- objective, il faut un
état
mental particulier, assez rare puis- qu'en somm
onctuées au niveau de la région mastoïdienne, on améliora enfin l'
état
local et les hallucinations disparurent avec l'ot
es sensations rapportées à la périphérie, et le malade qui est en
état
hallucinogénique, les interprète et les transform
les interprète et les transforme en hallu- cinations. C'est donc l'
état
hallucinogénique du sujet et non la lésion céré
oreille droite; puis tout dis- parut, et le malade retomba dans son
état
habituel. Deux mois après il survint une nouvel
oires par la méthode de Marchi. Partout aussi les vaisseaux sont en
état
de dégénérescence granulo-graisseuse. Dans les
sont de plus eux-mêmes presque tous des neurasthéniques. C'est cet
état
qui déterminerait chez eux un affaiblissement g
e le crime est l'aboutissant naturel et la conséquence logique d'un
état
mor- bide, il ne saurait avoir d'autre punition
, et on a trouvé que le chiffre de ceux qui ne s'étaient pas mis en
état
de récidive était de 78,5 p. 100. La règle de l
ne organisation militaire ; les ateliers comprennent trente- quatre
états
différents, et, bien qu'ils n'aient pas été créés
ns crimi- nelles ou vicieuses sont bien réellement le résultat d'un
état
d'alié- nation mentale aigu, chronique ou pério
e véritables explosions et ne sont pas seulement l'exagération d'un
état
normal. Par exemple, si une personne très irasc
a pas, en règle générale, être admise pour un crime commis dans cet
état
de fureur. Mais lorsque sans motif objectif ou
ne anomalie paroxystique de con- duite n'est que l'exagération d'un
état
psychologique habituel, la culpabilité subsiste
fluence de la musique que les sujets sains. Les mélancoliques, en
état
de dépression, ne jouent que rare- ment, et la
olie, sauf peut-être dans la convalescence, si le malade était, à l'
état
normal, sensible aux impressions musicales. '
incurables, suivant le cas, et à la manière de faire constater leur
état
d'aliénation et de curabilité, est étroite- men
ans celles des névrites toxiques où le virus, autant du moins que l'
état
de la science nous permet de l'affirmer, a pris
mment de toute affection morbide définie ou connue. Il ajoute qu'un
état
de ce genre du liquide sanguin nous fournit une
devient bruyant et de nouveau silencieux. L'alternance de ces deux
états
continue pendant plusieurs années. Quand il par
d, au point de vue mental, le passage brusque, presque violent d'un
état
prolongé d'excitation maniaque avec idées d'exa
ation, d'une conduite des plus bizarres et des plus fantasques à un
état
de profonde dépression aboutissant à une tentat
n peut se demander si cette dépression constituait véritablement un
état
mental de mélancolie, ou bien et l'auteur incli
pas le résultat d'un retour à la santé mentale mettant le malade en
état
de se rendre un compte exact de sa misérable si
ion de la trépana- tion se posait tout naturellement. Le déplorable
état
de santé du malade a fait écarter l'hypothèse d
bral, ne pouvait être que fort incertain. Pendant les paroxysmes, l'
état
mental du malade est assez sin- gulier, et corr
malade est assez sin- gulier, et correspond assez exactement à 1' «
état
de rêve » décrit parHuphlings Jackson ; il est
ort : ceci indiquerait pour employer la terminologie de Jackson, un
état
de dissolution des couches les plus supérieures
alysies passagères qui succèdent aux convulsions épileptiformes : l'
état
manifeste de parésie est démontré par la diplopie
XXIV. Contribution A l'étude clinique DES idées obsédantes ET DES
états
psychiques analogues ; par ÏHOMSEN. (fi1'C%li'D s
oute, etc. L'auteur pense qu'il vaudrait mieux se servir du terme «
états
psychiques obsédants » dont le cadre est plus lar
celui « d'idées obsédantes ». Il considère comme appartenant aux
états
psychiques obsédants : I. Les états obsédants d
nsidère comme appartenant aux états psychiques obsédants : I. Les
états
obsédants deutéropatiques,nés le plus souvent sur
lus souvent sur un terrain neurasthénique : a) Les phobies - 6) Les
états
dési- gnés sous la rubrique Il, mais survenant
Il, mais survenant dans l'hystérie, neuras- thénie, etc. II. Les
états
psychiques obsédants idiopathiques formant une
s vaisseaux sanguins et fréquemment aussi le coeur, restent dans un
état
d'infantilisme, l'aorte et les autres vaisseaux
changement de tension du pouls coïncidant avec un changement dans l'
état
mental peut être observé dans certains cas de s
on des médicaments qui dilatent les vaisseaux est favorable sur l'
état
mental. P. S. XXVII. Fréquence DES TROUBLES FON
nt à ce que les vétérinaires ont désigné, sous le nom d'immobilité,
état
morbide qui parait jusqu'à présent n'avoir été
écutive à une maladie aiguë, une chute, etc., et alors curable. Cet
état
, caractérisé par l'abolition de l'excitation et l
voulu, dans le* prin- cipe, l'incoordination musculaire. En tout
état
de cause, ce qui décide du diagnostic dans le tor
e, ce qui décide du diagnostic dans le torti- colis mental, c'est l'
état
mental du malade toujours plus ou moins débile
B. XXXII. INTRODUCTION D'UN TESTICULE artificiel ET GUÉRISON D'UN
état
mental morbide chez un SIONO-CIiYPTORCIIIDE; par
ui la constatation qu'il n'avait qu'un testicule avait développé un
état
d'anxiété profonde de dépression mélancolique e
xiété profonde de dépression mélancolique et de l'idée fixe que cet
état
le con- damnait à l'impuissance. Après un ess
aie se cicatrisa très vite et le malade guérit immédiatement de son
état
mélancolique et perdit si bien ses idés d'impui
des conditions de moindre résistance dans lesquelles les place leur
état
mental, les malades trouvent en général, dans l
roubles psychiques dans la fièvre typhoïde ; Kraepelin a séparé les
états
délirants qui se montrent après l'infection typhi
'excitation maniaque passent au premier plan. Tantôt il s'agit d'un
état
de simple exci- tation intellectuelle, tantôt d
s'agit d'un état de simple exci- tation intellectuelle, tantôt d'un
état
de confusion délirante avec hallucinations ; le
? ; 1 : : ° 1S3 J REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. : ' ;t : t ; plus,(
états
maniaques), soiten moins (états dépressifs). A un
HOLOGIE MENTALE. : ' ;t : t ; plus,(états maniaques), soiten moins (
états
dépressifs). A un degré plus accentué on observ
contraire le diagnostic vers un autre sens. Le diagnostic avec les
états
délirants accompagnés de confusion et de désori
nstruction géné- rale soit moins solide et qu'ils ne soient dans un
état
d'infé- riorité relative= 2 '. Nous ne voulons
de l'épi- lepsie, il contient encore une description complète de l'
état
per- manent des épileptiques et des paroxysmes
our à tour l'hérédité, les stigmates physiques de dégénérescence, l'
état
mental, la coexistence des psychoses liées à la
leur influence sur un terrain prédisposé qui constitue proprement l'
état
perma- nent des épileptiques. On peut dire, e
ileptiques doit répondre à deux grandes indications : 1° modifier l'
état
permanent des malades ; 2° prévenir les paroxys
es tranquilles et inoffensifs ou dans les infir- meries, quand leur
état
exige des soins assidus. Le nombre des enfants
ni se tenir sur les pieds. Le côté droit de son visage se trouve en
état
de légère parésie comparativement au côté gauche;
ntité est très diminuée ; elle ne contient ni albumine, ni sucre. L'
état
mental du malade présente quelqups singularités
de grandes affections de la mémoire, mais cependant, en examinant l'
état
mental du ma- lade scrupuleusement, on voit qu'
faiblesse des muscles abdominaux s'accroissait. L'observation de l'
état
mental du malade indiquait qu'il avait des sing
s faible et encore moins nette. 11 ne faisait guère attention à son
état
dangereux et sa principale pensée était de dema
ées, et il s'adressait avec la même prière à certaines personnes. L'
état
physique du malade s'empirait pro- gressivement
, les symptômes cliniques du côté du cerveau (les vomissements et l'
état
men- tal très caractéristique), tout cela indiq
ux que l'on constatait chez les myxoedémateux. Reverdin désigna cet
état
pathologique sous le nomdeA/yoe- dème opératoir
es et de l'irritabilité ne ? veuse. - Amélioration progressive de l'
état
moral. - Guérison. Camille C..., né à Paris en
vait imparfaitement de la langue du pays de Galles. Dans le premier
état
, qui était le plus normal, son pouls était fort e
ryngé ; les muscles du larynx participaient plus légère- ment à cet
état
convulsif. Le côté droit de la face demeurait p
disparu, mais les muscles qui en avaient été le siège étaient en
état
de parésie, et la langue était légèrement déviée
sclérose, restes de la résolution d'hémorragies périvasculaires. L'
état
criblé décrit par Durand-Fardel est commun chez
re est souvent atrophié surtout dans sa moitié supérieure. Enfin, l'
état
athéromateux du cerveau des vieillards détermin
ivasculaires sont ordinairement dilatés, ce qui donne naissance à l'
état
criblé déjà indiqué. Altérations de ta moelle é
e, dissé- minées dans la substance blanche, des fibres nerveuses en
état
de dégénérescence, que l'acide osmique colore e
niformément qu'elles l'étaient. Un autre point intéressant, c'est l'
état
mental de la malade; c'était une imbécile, prés
hiées, ont un volume et un aspect qui se rapprochent davantage de l'
état
normal. Les circonvolutions de l'hémisphère dro
écessairement aboli dans tous les cas de tabes. Il étudie ensuite l'
état
du réflexe du genou dans un certain nombre de m
ente le diagnostic différentiel des traumatismes cérébraux avec les
états
morbides intra-craniens, en même temps qu'il si
mais les cloniques sont rares, sauf le cas de lésion complicante. L'
état
des pupilles est ordinaire- ment modifié, mais
des changements qu'il présente n'est caractéristique; d'ailleurs un
état
pupillaire normal est compatible avec toutes le
ste et brusque de température et par une modification évidente de l'
état
général. Les températures ultérieures sont irré
ormes de traumatismes intra-craniens, mais elle existe rarement à l'
état
de lésion mortelle isolée : ses symptômes sont ir
tion. La perte pri- mitive de conscience peut être remplacée par un
état
de léthargie ou d'affaiblissement des perceptio
ration ne changent de caractère, si bien que la persistance de leur
état
normal au milieu des désordres concomitants prend
t qu'un degré plus ou moins avancé de déchéance sénile, relève de l'
état
de nutrition des tissus, ou, en d'autres termes
des tissus, ou, en d'autres termes, des caractères du sang et de l'
état
des vaisseaux qui le distribuent. Chez beaucoup
harge graisseuse. La fréquence dans les asiles du mal de Bright, un
état
particulier de refroidissement et de cyanose des
ils soulèvent le revêtement épaissi, donnant ainsi l'illusion d'un
état
granuleux. Les états signalés dans les artère
tement épaissi, donnant ainsi l'illusion d'un état granuleux. Les
états
signalés dans les artères de moyenne taille se re
e s'écarte un peu du sujet, l'auteur tient à signaler en passant un
état
pigmenté de la pie-mère qui revêt la moelle all
de longtemps l'apparition des troubles mentaux. Il pense donc que l'
état
vacuolé et la dégénérescence des cellules nerve
aire. Us ont depuis longtemps été reconnus comme caractérisant un
état
de dégénérescence, et ont été l'objet des recherc
les affections des or- ganes pelviens chez la femme, ainsi que les
états
morbides qui se rattachent à la gestation. Le
OLOGIQUES. bien le son est conduit; mais il faut faire la part de l'
état
des parties molles qui recouvrent les os, leur
tous les modes, la mobilité ne s'exer- Ç âlién 1-1-às', .domine à l'
état
normal, d'une façon continue, mais présentaient
corps thyroïde comme étant la règle dans la maladie de Basedow : l'
état
des vésicules et de leur contenu, des travées c
ours à la castration : il s'agit, le plus souvent, de femmes dont l'
état
physique et psychique était très compromis et p
'appareil génital n'étaient que la conséquence d'une psychose, d'un
état
de souffrance du système nerveux central, qui d
ions, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 239 des idées de persécution et des
états
passagers d'excitation. Chez l'une on constatai
t. La guérison d'un ulcère du col déter- mine une amélioration de l'
état
psychique : la malade est mise en liberté guéri
tion : (ovaires atrophiés et salpingite). Amélioration notable de l'
état
mental, disparition des accès maniaques. Dans la
ce sur la marche ordinaire de l'épilepsie, mais il est ulile dans l'
état
de mal, ainsi que le chloral. Les bromures sont
té, ne seraient-ils pas, après examen de « leurs titres et de leurs
états
de services, appelés à des fonctions « plus act
de Vincennes et du Vésinet. 3 D'éminents aliénistes émettent sur l'
état
actuel de notre science spé- ciale dans notre p
par lui compte 250 pensionnaires répartis suivant le sexe, l'âge, l'
état
mental, l'éducabilité, et une colonie de 50 suj
tous les sujets atteints de maladies mentales caractérisées par un
état
de faiblesse intellectuelle congénitale ou acquis
physique ou mentale. Quelques périodes d'excita- liou. 1884. Même
état
. Hallucinations de la vue, de la sensibilité gé-
alomaniaques. L'eczéma a envahi toute la face et le cuir chevelu. L'
état
de la nutrition est mauvais : amaigrissement. R
ent repliée sur elle- même, indifférente à tout. 1886-87-88. Même
état
de cristallisation. Embonpoint progressif. 1889
point progressif. 1889. Erysipèle de la face sans modification de l'
état
mental. Adipose généralisée. 1890-91-92-93-9
e, elle est tombée peu à peu dans l'espace de quelques mois dans un
état
d'inertie physique et psychique profond, qui a
à sa mort après avoir entrainé la démence. Cette évolution dans l'
état
mental de B... avait paru singu- 362 REVUE DE P
de son travail : 1° tout ce que nous savons sur la pathogénie de l'
état
décrit sous le nom de compression cérébrale - a
énéraux d'expérience - semble indiquer que l'on peut remédier à cet
état
par l'intervention chirurgicale; 2° dan, l'état
peut remédier à cet état par l'intervention chirurgicale; 2° dan, l'
état
actuel de nos connaissances, il est désirable que
he, puis ceux du - bras et enfin ceux de la jambe du même côté. Cet
état
convulsif dura cinq heures pendant lesquelles l
uisque, à l'âge de douze ans, il s'était déjà mis plusieurs fois en
état
d'ivresse. Dès qu'il commença à gagner de l'arg
r eu la syphilis. Il y a trois ans et demi, il commença à exercer l'
état
de peintre, et l'exerça dix-mois : c'est alors
avec des béquilles, après quatre mois de séjour au lit. Pendant l'
état
paralytique, il remarqua que ses deux jambes ét
ur, plaie rebelle et dont la guérison a été lente. Actuellement son
état
général est satisfaisant, il dort bien, il a bo
e de la mémoire et l'affaiblissement intellectuel. Pendant un an, l'
état
de la malade resle stationnaire, puis elle est
l'épilepsie sensorielle, pL l'épilepsie larvée, aussi bien que les
états
décrits sous le nom d'équivalents psychiques de
excès de tabac ni d'alcool. Il était très déprimé moralement par un
état
pathologique qui datait d'environ deux ans, et qu
clamait une opé- ration, préférant même un anus contre nature à son
état
actuel. Une opération fut en effet pratiquée pa
très favorable et s'est maintenu plus de deux ans. Retombé dans son
état
pathologique antérieur, le malade reçut le consei
et de soupapes qu'il est manifeste qu'il avait reconnu le véritable
état
névropathique du malade et qu'il avait surtout
e la région où il se trouvait, l'élé- ment psychique joue encore un
état
important, puisque la simple idée qu'il allait
es actes de : violence peu en harmonie avec leur manière d'être à l'
état
de veille et tantôt poussés à se livrer à des a
te non dans la substitution d'un réflexe à un autre, mais bien d'un
état
de faible tension à une condition de haute tensio
ions des deux échappements on peut reconstituer l'image de tous les
états
émotifs ou réflexes imaginables. F. BOISSIER.
alienist and zze2crologist., avril 1895.) E. B. III. Rapport SUR l'
état
mental DU SIEUR A..., inculpé d'outrage aux MOE
: i.) E. 13. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 293 VI. DE l'évidence DE l'
état
S11V de l'esprit dans LES affaires criminelles;
la crainte d'être découvert, ne sont des témoignages certains de l'
état
sain de l'esprit dans un cas donné. , Souvent
e et de la science demandent que, dans chaque affaire criminelle, l'
état
sain de l'esprit de l'accusé soit établi sans qu'
pèce d'hallucinations). Mais le symptôme le plus impor- tant de cet
état
morbide est l'illusion de déjà vu, qui dure depui
vu doit être cherchée dans le mécanisme de la perception et dans l'
état
de la mémoire. Elle pourrait être trouvée dans
giénique, ni au point de vue du groupement des malades d'après leur
état
mental. En outre la possibilité d'ac- cidents t
faire un classement meilleur des alié- nés en tenant compte de leur
état
mental et de leur situation sociale. L'auteur c
ces catégories de malades ne reçoit en réa- lité les soins que leur
état
réclame. La séquestration ne convient en effet
s, le traitement des aliénés par toute la liberté que comporte leur
état
: absence de mur extérieur et intérieur, dévelo
res enfants. Leur caractère s'irrite, ils deviennent violents, leur
état
mental s'aggrave. Quant au dernier groupe com
litaire; il prétend que sa main était déjà à ce moment dans le même
état
qu'à son entrée à l'hô- pital, c'est-à-dire ble
ologique du côté du coeur; l'organe semble un peu plus petit qu'à l'
état
normal ; l'aorte semble plus étroite. Hypérémie
humérale, radiale, cubitale, ont un calibre beaucoup moindre qu'à l'
état
normal. Ainsi, par exemple, l'hu- mérale présen
poraire, présentent maintenant une contracture permanente. Dans cet
état
, les conditions qui favorisent le reflux du san
). L'influence salutaire des maladies graves intercurrentes sur l'
état
mental des aliénés est depuis longtemps reconnue
d'environ z50 aliénées indiquent des modifications favorables de l'
état
mental au cours des maladies suivantes : érysip
, il se manifeste de l'excita- tion intermittente, puis peu à peu l'
état
d'excitation devient per- manent avec des parox
nutrition. Incohérences continuelles des actes et des paroles. Cet
état
dure depuis plus de trois ans. Les facultés int
is plus de trois ans. Les facultés intellectuelles semblent comme l'
état
physique profondément atfai- blies et il parait
se promène, commence à s'occuper et prend soin de sa personne. Cet
état
dure pendant trois semaines. Le foyer de suppur
t dans l'espace de quelques jours notre malade est retombée dans un
état
absolument analogue à celui que nous avons noté
Guérison apparente pendant trois semaines. Retour presque subit à l'
état
maniaque antérieur. Observation II. - F... Fl
perthermie. Hérédité névropalhique et vésanique très chargée. Cet
état
ne présente aucune modification jusqu'au 20 mai,
ève, s'occupe, écrit à ses parents, aide aux soins des malades. Son
état
physique se restaure et elle peut être considér
tion brusque de l'exci- talion. Le 15 juillet F... est dans le même
état
qu'au moment de son entrée : agitation maniaque
s. Fièvre typhoïde à forme adynamique grave. Pendant la période d'
état
, disparition brusque et complète des symptômes ma
34' RECUEIL DE FAITS. ques durant un mois. Retour presque subit à l'
état
maniaque antérieur puis amélioration progressiv
non affaiblis, par une amélioration plus ou moins considérable de l'
état
mental. Près des deux tien de nos malades étaie
ns certains cas (obs. 1 et II) jusqu'à la disparition complète de l'
état
maniaque, qu'il s'agisse de manie chronique ou
ents, et, dans les deux seuls cas où nous l'avons vu se produire, l'
état
mental normal ne s'est maintenu que pendant tro
maintenu que pendant trois semaines et un mois. Ce retour subit à l'
état
normal suivi d'une rechute presque aussi subite
ble guérison, mais comme une guérison apparente, une éclipse de l'
état
psychopathique antérieur. Cette éclipse serait-
on, reconnue réellement folle. Il s'agissait de savoir quel était l'
état
mental de cette femme pendant les années qui on
notisé toute mémoire des circonstances ou actes accomplis pendant l'
état
hypnotique ; 3° Si le pouvoir de l'hypnotiseur
ependant se sont refusés à admettre qu'un individu ordinaire dans l'
état
hypnotique puisse commettre un crime et que, d'
emple dans le cas où un homme commettrait un crime en se croyant en
état
de légitime défense : dans ce cas seulement il
non de succès, constitue par elle-même la preuve suffi- sante d'un
état
dangereux d'aliénation mentale et un motif non
e une période d'incubation, une période d'invasion et une période d'
état
. La première période peut être précoce et très
ériode peut être précoce et très longue ; elle est constituée par l'
état
d'anxiété (Magnan) et les interprétations délir
peuvent s'ajouter celles de la sensibilité générale. A la période d'
état
le délire se systématise et il comporte trois é
evient dangereux. Enfin, aux idées de persécu- tion, à la période d'
état
du délire, peuvent s'ajouter des idées de grand
topsie a été faite. R. M.-C. XXXI. Recherches expérimentales SUR l'
état
mental dans LE VERTIGE, ET SUR LE VERTIGE CONSI
comme relevant essentiellement d'une modification corticale ; 4" l'
état
d'instabilité et de paresse psychiques qu'engendr
ver- tige favorise les manifestations de l'hypnose; 5° un sujet en
état
de vertige devient anormalement accessible à l'
ype clinique bien accusé ; mais en comparant cette maladie avec des
états
cérébraux connexes, j'ai essayé de montrer que
yé de montrer que son identité essentielle avec quelques-uns de ces
états
a été obscurcie par la manie de diagnostic diff
outes les variétés de la paralysie générale, mais beaucoup d'autres
états
que l'on a à tort, essayé jusqu'à présent de di
la seconde qui est aussi la plus grave, n'est proba- blement qu'un
état
plus avancé de la première. Dans la première va
esthésie et amaurose de l'oeil droit ; il existait en même temps un
état
mélan- colique avec cauchemars, hallucinations.
rveau était pâle et, à cause de la tardiveté de l'autopsie, dans un
état
de semi-dégénérescence telle qu'il était difficil
étaient plus ou moins atrophiés. Les os étaient spongieux, dans un
état
d'ostéoporose. On pouvait facilement enlever le
te la perte correspondant de la parole (mutilé, aphasie). Quand cet
état
s'est dissipé, la parole revient. Généralement
chez un garçon de huit ans. Trabécule solitaire du chiasma, avec un
état
de confusion mentale aiguë fébrile, sans hémian
s coups d'aiguille superficiels, extrêmement vifs et rapides. A l'
état
ordinaire la sensibilité à la douleur est exagéré
pupillaire, les vaso-moteurs de la peau de la face et de la tête, l'
état
de la respiration, du coeur, du pouls, etc. P.
et quelques gouttes de créosote. L'excès de matières colorantes à l'
état
nuageux est enlevé à l'aide du papier buvard, o
malade ne cesse de percevoir des fragments des objets ambiants. Cet
état
dure dix à quinze minutes, la perception parfai
-sug- gillatious à la moindre pression, du côté droit. En mars, cet
état
. subsistant, légère fièvre, marasme, mort. On
yphilitique pure. L'auteur a pu faire une recherche minutieuse de l'
état
des vais- seaux de la moelle, dans un cas de pa
par le Dr LANP1S. (Annales médico-psychologiques, décembre 1895.) L'
état
de veille est l'état normal de fonctionnement psy
nales médico-psychologiques, décembre 1895.) L'état de veille est l'
état
normal de fonctionnement psychogé- nique des ce
ique des centres cérébraux. L'auteur considère comme nécessaire à l'
état
de veille le fonctionnement d'un centre de coordi
on et d'élaboration des matériaux fournis par les autres centres. L'
état
de cessation du fonction- nement psychogénique
rent les sommeils partiels accompagnés de rêves et constitués par l'
état
de repos du centre supérieur en même temps que pa
ntres (rêves partiels ou généralisés). Le sommeil hypnotique est un
état
de sommeil pro- fond et durable du centre supér
est un état de sommeil pro- fond et durable du centre supérieur; l'
état
des autres ne différant de l'état normal que pa
et durable du centre supérieur; l'état des autres ne différant de l'
état
normal que par la cessation de leurs communicatio
aines maladies (dans certains genres de dé- mence ? ) ou inhibé à l'
état
normal, surtout chez des prédisposés ou sous l'
ermet de décrire, outre la disposition d'ensemble correspondant à l'
état
normal, cer- taines modifications constantes, d
influx nerveux en- gendre de l'énergie, celle-ci demeure en lui à l'
état
de potentiel maintenue par les forces identique
n de ces énergies qui la contrebalancent. Cet équilibre constitue l'
état
de repos, et l'ac- tivité consiste dans la répo
II. LAEIIR. 1° La discussion sur la communication de M. Këni- De l'
état
actuel de l'assistance des aliénés en Anglete7,
la mélancolie, la confusion mentale, les folies périodiques et les
états
de faiblesse intellectuelle congé- nitaux ou ac
faiblesse intellectuelle congé- nitaux ou acquis. Il montre que les
états
cataleptiques s'y peuvent observer sous une for
e et ne serait que phénomènes catalep- tiques chez les dégénérés en
état
de stupeur. L'auteur termine par les applicatio
les applications du myographe au diagnostic de la simulation des
états
cataleptoïdes. Dr A. Marie. X1. Hystér ie ; par
s d'autres maladies, et aussi les associations morbides avec divers
états
pathologiques. Quelques considérations sur l'ét
ides avec divers états pathologiques. Quelques considérations sur l'
état
mental l'amènent à définir la nature de cette n
tiques (hommes et femmes) qui ont besoin d'être isolés, ou que leur
état
d'excitation empêche de vivre dans les pavillon
inférieure de l'humérus. 1894-1895. Amélioration progressive de l'
état
intellectuel et phy- sique. 1896. Mars-avril.
-Malades, le diagnostic était au départ : Coxalgie avec appa- reil,
état
général bon; et, au retour, coxalgie améliorée. L
laire, contusion très légère à l'oeil gauche. Ce malade est dans un
état
mental qui exige son placement dans un asile d'
Décembre. Grossièreté, trivialité, indocilité. Aucun progrès dans l'
état
mental. Janvier 1888. Panaris ostéomyélitique d
n rangées. L'arti- culation est naturelle. Les gencives sont en bon
état
. Cou assez long; circonférence, 28 centimètres.
ité supérieure du radius dont on ignore et la date et la cause. L'
état
des mains mérite une description détaillée. a)
niveau de la face dorsale des doigts, ' Nous avons rédigé tout cet
état
actuel d'après les notes recueillies par notre
dans le coude. Malin : T. R. 38°. Soir : 39°. 16 janvier. - Même
état
. Pe"sistance du gonflement et de la 4154 RECUEI
1896. Janvier. Mêmes lésions trophiques de l'aisselle droite. Même
état
de la puberté, si ce n'est que la moustache se de
du même côté, descendent tout droit dans le sillon longitudinal à l'
état
de cordon antérieur des pyramides. Ces fibres-l
qui se terminent dans la couche granuleuse interne de la rétine à l'
état
de ramuscules terminaux. P. KERAVAL.. LXXXII.
DR. G.LDI. 1. (Il manicomio, fasc. 3, 4, 1894.) La suggestion à l'
état
de veille, plus que l'hypnotique, est d'une trè
s les cas où il présente une indication formelle. La suggestion à l'
état
de veille ne doit pas être faite avec routine, ma
e typhoïde consécutive au choléra n'apporta aucune modification à l'
état
psychopathique antérieur : seule une maniaque t
ès agitée présenta, durant cette seconde période de l'infection, un
état
transitoire de calme et de lucidité, qui dispar
e l'excitation du symphatique. Le fait se rencontre plutôt dans les
états
d'exaltation que dans ceux de dépression, comme
rement à ce que l'on observe à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 483 l'
état
normal. Les stimulus périphériques ne peuvent qu'
on de Fournier, trouve que d'après ses observations personnelles, l'
état
intellectuel, celui de la motilité, le mode de
de salutation). Bruus a relevé aussi des cas de grande chorée, des
états
qui rappellent la période de clownisme (Charcot
ée, des états qui rappellent la période de clownisme (Charcot), des
états
de somnambulisme, des cas typi- ques de possess
ment moins grave de prendre une manifestation hystérique pour un
état
organique, mais la confusion est néanmoins fâcheu
nt, au point de vue du pronostic, de séparer l'hystérie de certains
états
relevant de la dégénérescence mentale (tics et
maladies mentales, et cherche si à chacune d'elles cor- respond un
état
humoral déterminé. Les recherches expérimen- ta
Flint, 117. Analyse du -, par Bauer, 335. Criminel. Evidence de l'
état
sain des esprits dans les affaires, - par Kie
s enfants en justice, 90. TESTICULE artificiel et guérison d'un
état
mental morbide chez un mo- no-cryptorcliide, pa
t de l'admission. de ce malade, je le retrouve à mon retour dans un
état
de calme avec légère dépression men- tale sans
qspéciale"beaucoup plus profonde que celle de l'alcoolique, même'en
état
de stupidité. '"* ' Brissaud et Lamy : l«ayMesM
ui était présente, elle tomba « comme pasmée » pour demeurer en cet
état
depuis dix heures jusqu'à mi- 1 Manuscrit ne 18
e psychique ou somatique; concomitant. Passant- en revue les divers
états
morbides dans lesquels peut se rencontrer * ce
, ambulatoire accompli par une' femme de cinquante-deux ans dans un
état
de somnambulisme,' terminé par des attaques d'h
précédente (amnésie rétrograde), àpeu près complètement perdu à l'
état
de veille, sauf quelques incidents surnageants; r
dents surnageants; reparaissait, de la façon la plus nette dans t l'
état
hypnotique. A propos de ce ' fait; M., Pitres e
ï0Arhélio- ration progressive eri'jàilvier," sans'chan.ereiit'de' l'
état
mental. (Amenicun journal of itisanity, 1893.)
. I J' il- ' f. ? "t ? j .t .& . . V Rapport médico-légal SUR l'
état
morbide DU mécanicien DE LOCO- motive W. B. mis
de Marshall EWELL, Etude micrométrique des globules sanguins ci l'
état
de" santé où de maladie.^ " ^v-A 1 'z < ™- * .
. ? natj-q .l,I' 9.iy IfII n 'Après avoir tout d'abord considéré l'
état
d'alcoolisme au moment du crime comme une aggra
n1estvicieuse. Si l'on prescrit l'eau froide sans tenir compte de l'
état
général des organes, si, par engoûment ou par,
aînant; ces procédés sont surtout indiqués lorsqu'on a affaire à un
état
d'affaiblissement imminent du système nerveux c
cueils de psychiatrie. Il faut espérer, que l'avenir améliorera cet
état
. 1. 1 '«.tiunn nuv .fit"" "ui"- <»; <i-&g
e constitutionnel désigne un processus pathologique exis- tant -à l'
état
latent chez l'individu et se -développant, «sans,
otivité. Désordre des actes, souvent dangereux en rapport avec. cet
état
mental. Accidents somatiques multiples; lassitude
délit, pourra-t-on lui appliquer une pénalité quelconque dans son
état
actuel de maladie ? M. Charpentier. , Dans ma c
lle, transitoire; la manie subaiguë, chronique, le délire aigu, les
états
maniaques symptomatiques. Puis la mélancolie ty
Vient ensuite la slupidité psychoasthénique, cataleptiforme et les
états
de stupidité sympto- matiques. Enfin sont étudi
ptième les démences primitive, secondaire, sénile ; la huitième les
états
congénitaux, imbécillité) idiotie; crétinisme.
vait de l'embarras de la parole depuis le mois de février 1892, cet
état
est intermittent. Il y a dix-huit mois, il est
cles. Conservation du réflexe plantaire. Le malade est arrivé à cet
état
graduellement sans attaques congestives ni épil
qu'on les observe au niveau des grandes cellules pyramidales dans l'
état
normal et au niveau de certaines cellules polyg
es cellules rondes de l'écorce sont plutôt en voie d'atrophie qu'en
état
de prolifération. Il serait difficile de dire que
u-dessous les fins réseaux qu'ils forment sont moins fournis qu'à l'
état
normal et les tubes qu'ils forment paraissent t
forme de la cellule nerveuse qui, de triangu- laire qu'elle est à l'
état
normal, devient ronde ou ovale en perdant ses a
stés jusqu'ici invisibles par toutes les autres méthodes. C'est cet
état
moni- liforme des prolongements protoplasmiques
corps de la cellule, cette atro- phie de saillies épineuses qui à l'
état
normal hérissent les prolongements cellulaires,
sparition des nombreuses épines, des saillies innombrables qui, à l'
état
normal, recouvrent les NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 9
larvé et la plus commune qui n'a épargné personne, consiste en un ,
état
apathique, en un malaise psychique. On se sent
Parfois on a la tête et les mains plus chaudes que d'habitude. Cet
état
reconnaît souvent pour cause l'impaludisme larvé.
il pleure sans cause. Le malade a toujours pleine conscience de son
état
morbide. b) Amyosthénie. Elle accompagne en gén
e de son état morbide. b) Amyosthénie. Elle accompagne en général l'
état
psy- chique. Son intensité est variable et elle
tre ces amyosthéniques présentent sensiblement la même force qu'à l'
état
normal. c) Troubles vaso-moteurs. Ces troubles,
ndu pour troubler la pression sanguine générale et donner lieu à un
état
demi-syncopal, par abaissement de la pression s
et 0,023. C'est sur ces trois ordres de troubles, et surtout sur l'
état
psychique, que la neurasthénie palustre est bas
rsale est douloureuse, soit à la pression, soit spontanément. Cet
état
coïncidait toujours avec une névralgie générale.
et les récidives alors se mani- festent par une aggravation de leur
état
; ou, d'autres fois, quelques troubles isolés pe
0, m'ont fourni d'aussi nombreux cas de neurasthénie que l'été. L'
état
constitutionnel des malades ne joue qu'un rôle
e temps en temps nerveux et sujet à des mauvaises humeurs; mais cet
état
passait vite. Il y a quinze jours qu'il commenç
rt du paludisme. Toujours bien portante, et sans aucune névrose, ni
état
névropathique anté- cédent. Un mois avant elle
des inspirations profondes, sa vue s'obscurcit, elle tombe dans un
état
vertigineux, la tête tourne, Elle a des alterna
résente tous les troubles de la neu- rasthénie palustre, à savoir :
état
psychique, amyosthénie, troubles 'vaso-moteurs.
, mais cette fois ils consistaient en une faiblesse générale, en un
état
lipo- , thymique avec battements artériels et t
pas de midi, même le plus indigeste, était parfaitement toléré. Cet
état
dura à peu près quatre ans. Les troubles subjec
n, ainsi que tous les troncs nerveux sur leurs points de Valleix. L'
état
psychique s'est complètement transformé. Celt
fusaient rapidement la nourriture et finissaient par mourir dans un
état
cachectique avancé. Nous les avons suivis de pr
excellents, à en juger par les photographies, en ce qui concerne l'
état
phy- sique du moins. Quant à l'état mental, ajo
ographies, en ce qui concerne l'état phy- sique du moins. Quant à l'
état
mental, ajoute M. Railton, on ne sau- rait prét
nce d'un épileptique dont rien n'explique la maladie, de penser à l'
état
oculaire. E. Régis. V. Cas de folie consécutive
e surtout par l'affaiblissement ou la perte de la mémoire et par un
état
général d'indifférence, et qui est due à un aff
ation mentale débute quelque temps après une fausse couche. D'abord
état
maniaque, ensuite état dépressif avec délire. P
elque temps après une fausse couche. D'abord état maniaque, ensuite
état
dépressif avec délire. Puis les deux états d'ex
rd état maniaque, ensuite état dépressif avec délire. Puis les deux
états
d'expansion et de dépres- sion se remplacent et
DE PATHOLOGIE MENTALE. observations ; alimentation insuffisante et
état
de stupeur avec refus de nourriture chez deux m
ition et on peut considérer l'hypothermie chez les aliénés comme un
état
d'inhibition diffuse provoquée par des causes d
de Poppelsdorf, expériences qui doivent montrer que l'individu en
état
d'hypnose peut pendant longtemps, voire une demi-
tplial. Il commande à la malade d'ouvrir les yeux ; la voilà dans l'
état
somnambulique; activité psychique très intense,
ggestion (scènes de toute nature fabriquées de toutes pièces) ; cet
état
est prolongé pendant près de deux heures et, du
prises, éner- giquement suggéré verbalement d'avoir à sortir de cet
état
. M. Scautz communique l'histoire de deux faits
a question examinée par ce congrès relative à la culpabilité dans l'
état
d'ivresse. Sur la proposition de lt.OEuEeE cett
délirantes fixes mais complètement nouvelles qui dans leur premier
état
étaient des idées de persécution puis se sont t
e tremblement relatif de la main tenant le tambour (c'est-à-dire en
état
de contraction musculaire). Je dis que le tremb
esante, ne se trouveront pas enregistrées. Quant au tremblement à l'
état
de repos il n'est pas permis d'en avoir le grap
phé- nomènes pathognomoniques, tels que la reproduction, dans des
états
hypnotiques, des souvenirs disparus. Il m'a donc
nt elle avait conscience et dont elle souffrait, elle présentait un
état
général de dépression et de tris- tesse qui en
cise. ' Un point semble établi, c'est que l'incendie a provoqué cet
état
d'amnésie et d'aboulie que l'on constate encore
e avec soin. Je n'ai jamais constaté de changement notable dans l'
état
de sa mémoire, si ce n'est qu'elle paraît s'affai
t tant en rapport avec le développement de la musculature qu'avec l'
état
de lucidité et de conscience du malade. Mme B..
nt de douleur, très légère; ceci est probablement en rapport avec l'
état
d'asthénie psychique. , Pour terminer avec ce
L'étude de la mémoire de \Ie 13... doit comprendre trois parties :
état
des souvenirs de la période de temps contemporain
e si le dernier qu'elle se rappelle est visuel ou auditif, lié à un
état
émotif ou autre, attendu surtout qu'il n'y a pa
onnaissances apprises à l'école, sont demeurées dans son esprit à l'
état
de souvenirs, parce que, d'un usage plus fréque
a connu. C'est d'ailleurs un fait que je constate souvent dans des
états
de confusion mentale, où il existe une certaine
exemple, me cite les vertes et les brunes. , J'expérimente alors l'
état
de la mémoire verbale. Je lui cite des mots fam
ctement la saison ni l'heure actuelle. Elle se fie en général sur l'
état
du ciel. " * 'li- .' ' - ^Le 3 février à 10 heu
e, non 180 ' CLINIQUE NERVEUSE. pas dans les détails, mais dans l'
état
émotif désagréable qui les accompagne et les su
peuvent-ils . revenir un jour, c'est-à-dire existent-ils encore à l'
état
latent dans une mémoire inconsciente ? Cette de
iente ? Cette dernière hypothèse n'est pas probable; dans aucun des
états
, de distraction, il n'a été possible de ranimer
t pas encore 'assez comment les sen- sations f s'emrriâgâsinent à l'
état
de résidus dansées- cellules nerveuses^' quelle
aissent à mesure qu'elles sont perçues. Cependant celles liées à un
état
émotif paraissent être susceptibles d'une plus
ules nerveuses à rete- nir les sensations qui les ont irritées ? Un
état
d'épuisement chronique comme le pense M. Féré ?
à un choc moral ou à un traumatisme physique, comme aussi dans des
états
de fatigue, la perception deviendrait'moins int
mais que bien peu de dépar- tements consentiraient à faire, dans l'
état
de nos moeurs rou- tinières. e Ce qu'un seul
ablissements à la fois pédagogiques et médicaux, en harmonie avec l'
état
de la science actuelle. Mais tant que les cho
chancelier autre chose qu'un ordre au parlement, de lui envoyer un
état
sommaire des preuves. En même temps qu'ils intr
oux chargé de satisfaire à l'ordre du chancelier, de lui envoyer un
état
sommaire des preuves de la procé- dure, s'était
la dite Buvée, procès-verbaux dressés par le dict commissaire de l'
état
du dict couvent et des personnes des religieuse
sixiesme novembre de la recog- noissance de la longueur, largeur et
état
de choeur du coup vent des dittes religieuses ;
diplopie et symptômes de ménin- ' gite basilaire coïncidant avec un
état
cblorolique et disparaissant avec luisanstraite
le pied sur la jambe. Dans la station sur les talons, en effet, à l'
état
normal, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 211 ? les
éduqués, tels la plupart des malades des hôpitaux, qui restent à l'
état
infantile, en ce sens qu'ils ne peuvent écrire
ôté droit ayant progressé, le masticateur du côté droit présente un
état
de parésie marqué; le facial droit est atteint,
s déterminations différentes de celles du commun; pour Foville, l'
état
de toutes les personnes qui ne jouissent pas de l
relief ce fait que les troubles de nature hystérique tiennent à un
état
mala- dif de l'esprit; ils auraient pour point
e de ce'que nous avançons, il suffit d'observer ce qui se passe à l'
état
physio- . logique quand notre intelligence vive
unir, de grouper, de synthétiser le même ensemble de notions qu'à l'
état
physiologique; elle laisse hors de son do- mari
a ter- rasse et l'annihile momentanément. Ainsi sont constitués les
états
de condition seconde ou de somnambulisme sur le
u. Les notions qui précèdent résument, si nous ne nous abusons, l'
état
actuel de nos connaissances sur la nature de l'hy
spositions : elle se manifeste dans d'autres cas, on lésait, par un
état
durable et permanent, par une déviation indélébil
type physiologique à laquelle on a donné le nom de dégénérescence,
état
caractérisé par des malformations physiques, par
fférences, et si la dégé- nérescence et l'hystérie constituent deux
états
très voisins, ils n'en sont pas moins distincts
'en sont pas moins distincts, ..Il nous faut maintenant étudier l'
état
mental des hystériques et 224 SOCIÉTÉS SAVANTES
qui dépendent de la dégénérescence mentale. Ce qui caractérise l'
état
mental des hystériques, c'est, dans l'ordre int
elles qu'il faut rattacher à l'hystérie. Ces considérations sur l'
état
des hystériques montrent qu'on avait été trop l
a cuvette du thermomètre, etc. Ces quelques exemples montrent que l'
état
mental des hysté- riques est susceptible de dév
sserons de côté dans cette esquisse. Cette réserve admise, tous les
états
som- nambuliques (exception faite pour l'automa
nambulisme revêt sa forme la plus complète. Il constitue alors un
état
second au cours duquel l'individu présente les ap
des actes. Mais au réveil où, si l'on préfère, après le retour à l'
état
habituel, le souvenir de toutes les pensées, de
férentes. Aussi le mot dédoublement de la personnalité appliqué aux
états
dont il s'agit n'est-il pas parfaitement exact.
st indispensable si l'on veut saisir la caractéristique de certains
états
mentaux observés au cours de l'hystérie et s'ex
our qu'au premier abord on puisse penser qu'on est en présence d'un
état
maniaque d'autre nature. Mais dans ces cas, la
ancoliques ne sont pas rares chez '.les hystériques. En dehors de l'
état
d'habituelle tristesse, dont nous avons déjà pa
n que les limites de l'hystérie sont dif- ficiles à préciser et les
états
qui lui confinent sont précisément des manifest
prédispositions, dans d'autres cas elle se mani- festerait « par un
état
durable et permanent, par une déviation c indél
cence Et plus loin : « la dégénérescence s'entend actuellement d'un
état
caractérisé par des malformations physiques, pa
sentée. La prédispo- sition, en un mot, c'est la dégénérescence à l'
état
latent. Et dire que le facteur étiologique prin
al, j'assistai à diverses reprises à ce délire de reviviscence. A l'
état
de veille aussi 232 SOCIÉTÉS SAVANTES. bien q
ence. A l'état de veille aussi 232 SOCIÉTÉS SAVANTES. bien qu'à l'
état
d'hypnose provoquée, la malade se souvenait de
d'une tem- pérature au-dessus de 41°. Devant la persistance de cet
état
qui résistait à tous les traitements, on commen
prouver, c'est celui qui a trait à l'analogie du rêve avec certains
états
hystériques. Je crois, pour ma part, que le rêv
qu'on arrache à son sommeil ou l'alcoolique à son délire. Tous ces
états
sont des empoisonnements par des voies dîne- re
e la conscience, de la lucidité, du retour brusquement possible à l'
état
normal, qui paraissent ne jamais se perdre, pou
lusieurs attaques de manie aiguë rémittente, l'affection passer à l'
état
chronique. Dans la manie habituelle la guérison
ible de s'entendre. Que l'hystérie et la dégénérescence soient deux
états
voisins, d'ac- cord, mais affirmer que c'est la
égénérescence. Comme la prédisposition, celle-ci peut exis- ter à l'
état
latent. En effet, lorsque sur vingt femmes qui so
ne prédisposée chez laquelle la dégénérescence mentale existait à l'
état
latent. SOCIÉTÉS SAVANTES. 237 M. BRISSAUD(de
e-là bien portant présenter des manifestations hystériques. Mais un
état
dégénératif dont la connaissance est fondée sur
riels, ainsi que cela s'observe dans les délires toxiques; 20 sur l'
état
de semi-conscience des sujets ^««"interpellatio
s troubles moteurs ou sensitifs propres à la polynévrite. C'est cet
état
que les nombreux auteurs qui s'en sont occupés
périodiques. Il faut parfois de longues années pour se guérir de l'
état
neurasthénique que produit l'alcoolisme. Crothers
remplacer les prisons et les maisons de correction qui aggravent l'
état
phy- sique et moral des ivrognes qui y sont pla
e profession ; - 2° ensuite les alcooliques délirants (aliénés) à l'
état
subaigu, aigu ou suraigu;-3° enfin les aliénés
n est tout à fait d'accord sur les caractères symptoma- tiques de l'
état
mental dans la polynévrite périphérique, en rev
t sur sa pathogénie. Certains auteurs, comme Korsakoff, font de cet
état
mental une manifestation spé- ciale à la polyné
rougeole, qui, dès la période d'incubation, aggrava notablement son
état
psychique en y ajoutant un élément mélancolique
lui fait désirer la mort plutôt que de rester indéfiniment dans cet
état
d'infériorité mentale. Tel est, depuis près de
et état d'infériorité mentale. Tel est, depuis près de huit mois, l'
état
psychique du malade, ce qui prouve combien sont
maladies infectieuses sur le système nerveux. Or, ce malade, dont l'
état
mental est manifestement l'état men- tal caract
tème nerveux. Or, ce malade, dont l'état mental est manifestement l'
état
men- tal caractéristique de la psychose polynEv
s troubles oculaires, la faiblesse des membres. , E. Régis VL Des
états
seconds; variations pathologiques du champ de la
ue d'ensemble, les diverses théories relatives à la psychologie des
états
seconds. En voici les conclusions : . Il existe
s états seconds. En voici les conclusions : . Il existe une série d'
états
psychiques, désignés sous le nom d'états second
: . Il existe une série d'états psychiques, désignés sous le nom d'
états
seconds, caractérisés, dans les cas les plus ne
éritable altération de la personnalité, le sujet étant autre qu'à l'
état
de veille et perdant, lors de son retour à l'ét
tant autre qu'à l'état de veille et perdant, lors de son retour à l'
état
normal, le souvenir de tout ce qui s'est passé
nir de tout ce qui s'est passé pendant la période pathologique. Ces
états
ne doivent pas être étudiés séparément, mais bi
ours le même,- fait bien prouvé par la faci- lité avec laquelle ces
états
peuvent se transformer l'un dans l'autre et la
période de la grande attaque), il faut joindre un certain nombre d'
états
frustes, caractérisés par la prédominance des p
et le souvenir partiel et souvent vague au moment du retour à ' l'
état
normal; ce sont : les états frustes de Bernheim,
souvent vague au moment du retour à ' l'état normal; ce sont : les
états
frustes de Bernheim, de distraction de P. Janet
qui, mieux que tout autre, permet d'expliquer les troubles de leur
état
men- tal et certains de leurs stigmates physiqu
nt sain, à conscience large, on ne pourra jamais déterminer que des
états
frustes d'hypnose. . Cet état particulier de dé
e pourra jamais déterminer que des états frustes d'hypnose. . Cet
état
particulier de débilité mentale, qui peut coïncid
entale et la répétition peut amener la production artificielle d'un
état
mental analogue à celui de l'hystérique. E. Rég
itaire dans les diverses psy- choses. Délires systématisés dans les
états
maniaques et . mélancoliques, dans la folie int
ompte de ces différences. La même influence se fait sentir dans les
états
mixtes tenant a à la fois de la pathologie et d
i bien que ce délire partiel ne vous semblera plus que l'effet d'un
état
général. - En somme, la teneur du délire ne fou
int de vue de la genèse vésanique, exagérer l'influence de certains
états
diathésiques et décrire avec Berthier des névrose
dents expliquaient la prédisposition qui faisait le fonds même de l'
état
maladif et en était la véritable cause efficien
syphilis, démontrerait que la manie et la syphilis étaient ici deux
états
coexistants, avec une étiologie différente, et
te de la marche et de la périodicité des accès, de l'intégrité de l'
état
mental dans la période intercalaire, de l'ap- p
. C'est au sommet d'une vie de travail que sourdement se modifie un
état
men- tal jusque-là parfait. A ce moment la lutt
eur forme, ne sont le plus souvent que la traduction d'un côté de l'
état
men- tal que nous apprendrons à connaître : l'o
'esprit n'est pas réduite aux psy- choses ; elle comprend aussi les
états
mixtes tenant à la fois de la pathologie et de
moindre dans la genèse des troubles intellectuels survenus dans ces
états
mixtes. Passons rapidement en revue ces nouvell
es je viens d'en- trer tendent à prouver que la prédisposition et l'
état
mental sont les deux jalons directeurs dans l'é
laissés chez eux et ne reçoivent pas les * soins qu'exigerait leur
état
. . D'abord, pour les idiots et les imbéciles, l
dressa, en outre, une sorte de mémoire réca- pitulatif, en faisant
état
de toutes les affirmations des reli- gieuses. I
cadre de l'hys- térie convulsive et délirante, dont la réalité, à l'
état
épidé- mique, a été scientifiquement établie de
ons obscènes, de la réalité desquelles elles ne doutèrent pas à l'
état
de veille, et dont elles racontèrent les moindres
ènes se produisaient, une connaissance parfois assez complète, leur
état
mental ne fut pas profondé- ment troublé, car c
ait été compliquée de nymphomanie. Mais le caractère commun de leur
état
mental, intercalaire aux crises, fut sans conte
elles de Deiters de la substance blanche semblent être restées à un
état
de développe- ment antérieur; les cellules-arai
ensorielle ou sensitive (oeil, oreille, larynx, épiderme) pendant l'
état
hypnotique : « 1° Quand on excite le plan verti
itation, les longues prières, l'extase, etc., c'est-à-dire dans les
états
comparables au rêve : c'est pour cette raison q
rvent rarement à un si haut degré dans le tabes, mais surtout par l'
état
des racines dont les altérations sont minimes s
nze jours, et depuis lors les maux de tête ont disparu, ainsi que l'
état
neurasthénique. M. Duret pense que la trépanati
ers *. Elle a donc parcouru la période que représente aujourd'hui l'
état
de son frère. Ces observations diffèrent, pourt
t fixés, les vaisseaux sanguins et lympha- tiques le sont aussi à l'
état
de déploiement; toutes les formations épithélia
elles sont au moment même de la mort. Voyons maintenant dans quel
état
sont fixés les nerfs normaux engagés dans les t
nt en de l'eau plus ou moins chargée de sels minéraux. ' - Dans l'
état
normal, la cavité vaginale des troncs et des tron
debout, marchant et devenus propres. Parallèlement au progrès de l'
état
physique on voit la physionomie s'éveiller de plu
sorielle, mais toutefois dans des limites plus res- treintes qu'à l'
état
normal. On pourrait croire que tout processus p
eur de la nature toute psychique de l'anesthésie hystérique. Dans l'
état
hypnotique (somnambu- lisme, léthargie), les ph
qu'on nous a fait voir étaient en général bien tenus, étant donné l'
état
des bâtiments. Mais on n'a pas conduit les con-
ement deux ou trois fois. Il n'y aurait rien de particulier sur son
état
mental antérieur ; mais il est au moins prudent
ns et délire, sur lesquels nous reviendrons. La malade ne garde à l'
état
de veille aucun souvenir de ces atta- ques, fai
es-uns, très rares, seulement dans leurs détails, restant ainsi à l'
état
défaits vagues, isolés, sans signification préc
ique, sans pensera rien, dit-elle. De fait, par l'examen direct à l'
état
de veille, on ne peut retrouver chez elle aucun
ez elle aucun délire, aucune idée fixe, et l'on ne cons- tate qu'un
état
de confusion mentale assez accentué. Depuis son
que que nous venons de signaler et que l'on observe directement à l'
état
habituel, vient à se modifier dans des circonst
e à qui on enlève la faculté de voir et d'entendre, tombe dans un
état
particulier, sur lequel les auteurs ne sont pas d
e ces cas particuliers, pense que les malades entrent alors dans un
état
de sommeil qui se rapproche du sommeil normal,
sommeil hypnotique. -, Pour M. Pierre Janet, ce serait également un
état
somnam- bulique ; pour M. Pronier, une manifest
olongée, ne produit rien de particulier, aucune modification dans l'
état
somatique ou psychique de la malade qui comprend
pour recevoir nos ordres et nous per- mettre de nous assurer de son
état
psychique. Nous continuons donc ainsi à fixer s
issement des paupières qui persiste tant que la malade est dans cet
état
. Le pouls est accéléré (108), la respiration l'
r ; les paupières se relerment de suite, et tout reste dans le même
état
. Mais si on les maintient ouvertes 358 CLINIQUE
s phénomènes les plus apparents qui caractérisent objectivement cet
état
. Sans rien préjuger de la question, ce sommeil
plus grande et d'un champ de conscience beaucoup plus étendu qu'à l'
état
de veille. 1 Si nous recherchons ce que sont
, mais encore d'autres qui l'ont précédé et qu'elle a oubliés à l'
état
de veille; enfin, tous ceux qui se produisent au
ntre sept et huit heures. Cette visite du gendarme semble être, à l'
état
de veille, le point de départ de l'amnésie qui,
as totalement perdus pour elle, mais qu'ils existent en réalité à l'
état
subconscient. De même, les faits qui ont suivi l'
conservés de la même façon subconsciente. C'est ainsi que, dans cet
état
, la malade donne les renseignements les plus pr
exacts des lieux, des objets, des dates, de la durée; alors qu'à l'
état
de veille, elle semble n'avoir rien compris et
r la malade abandonnée à elle-même. La seule différence est que cet
état
particulier se produit moins rapidement que dan
ectifs restent les mêmes.) Interrogée sur ce qu'elle éprouve dans l'
état
que nous ve- nons de décrire. M... déclare sans
sans hésitation qu'elle se trouve très bien, beaucoup mieux qu'à l'
état
de veille. Elle n'est pas énervée, n'a pas mal
s mal à la tête. D'autre part, elle nous dit for- mellement que cet
état
ne ressemble pas à son. sommeil de la nuit, par
s mêmes phé- nomènes objectifs précédemment signalés au sortir de l'
état
déterminé par l'expérience de Strumpell. Et dan
Strumpell. Et dans un cas comme dans l'autre, une fois revenue à l'
état
de veille, M..., est parfaitement inconsciente
ne fait elle même aucune différence entre ce sommeil provoqué et l'
état
qui succède à l'expérience de Strumpell, qu'ell
e l'opinion qui rattache l'anesthésie et l'amnésie hystériques à un
état
de désagrégation mentale particulier, de double c
yens ordinaires ou par l'expérience de Strum- pell, et aussi dans l'
état
de simple distraction si facile à déterminer ch
d'un phénomène psychologique survenu à l'origine de l'amnésie, de l'
état
aboulique, de la confusion mentale, et dont la
, la présence d'une idée fixe subconsciente. En effet, alors qu'à l'
état
de veille l'inter- rogatoire de la malade ne me
u la chercher; et découvre même qu'elle y pense dans la journée à l'
état
de veille, mais « sans s'en rendre compte, sans
ême pendant la HYSTÉRIE. EXPÉRIENCE DE STRUMPELL. 363 veille, à l'
état
subconscient, absorbant le peu d'attention que
le peu d'attention que M... a de disponible, la maintenant dans un
état
de distrac- tion perpétuelle, et par suite augm
remarquer, à ce propos, que M... n'est nullement suggestible dans l'
état
somnambulique provoqué soit par les moyens ordi
s deux conditions défavo- rables. Toutefois, M... présente d'autres
états
, voisins du pré- cédent, où le développement in
plus suggestible et où elle l'est en effet. C'est ainsi que dans l'
état
de distraction simple provoquée pendant l'état de
est ainsi que dans l'état de distraction simple provoquée pendant l'
état
de veille, et avec écriture automatique et inco
idée fixe du gendarme. M... est également suggestible dans un autre
état
somnam- bulique, intermédiaire en quelque sorte
en quelque sorte à la distraction avec écriture inconsciente et à l'
état
somnambulique que nous avons décrit chez elle,
es reprises multipliées, nous avait toujours mis en présence de cet
état
dont nous avons exposé tout à l'heure les parti
nditions d'anesthésie et d'am- nésie. Elle tombe rapidement dans un
état
de sommeil sem- blable en apparence aux précéde
dans les autres expériences, M... a conservé, absolument comme à l'
état
de veille, son anesthésie sensitivo-sensorielle
poursuite. Malgré ces différences, il est à remarquer que dans cet
état
somnambulique particulier, elle conserve la not
bulismes précédents et se trouve, dit-elle, à peu près dans le même
état
. Dans ce somnambulisme, car c'est bien en fait
eil. Nous avons pu, dans les conditions précédentes, comme dans l'
état
de distraction provoquée, nous attaquer à l'idée
s, et il s'est produit dès lors une très légère amélioration dans l'
état
mental, jusqu'à ce qu'une nou- velle attaque, e
lant le délire, vint tout remettre en question. Ces variations de l'
état
somnambulique constatées une fois dans l'expéri
voqué, et c'est là un argument de plus en faveur de l'identité de l'
état
succédant à l'expérience de Strumpell avec les
qui pour la plupart ont avec elle de grandes analogies : 1° Que l'
état
particulier qui succède à l'expérience de Strum-
nce de Strum- pell n'est nullement un sommeil naturel, mais bien un
état
somnambulique. 2° Que cet état somnambulique,
t un sommeil naturel, mais bien un état somnambulique. 2° Que cet
état
somnambulique, comme tout autre du même genre d
jours d'un grand intérêt d'étudier la nutrition dans les différents
états
pathologiques, mais cet intérêt croît encore 1
lume de vingt-quatre heures est un peu diminué si on le compare à l'
état
physiolo- gique ; mais qu'au contraire il est a
l'acétone ne fournissait aucun signe pathologique en rapport avec l'
état
psychique ; il a constaté qu'on pouvait trouver
psychique ; il a constaté qu'on pouvait trouver cette substance à l'
état
de santé comme de maladie et qu'elle n'avait au
suite de la maladie de leurs pro- priétaires, sont toujours dans un
état
de malpropreté révol- tante et lorsque nous avo
fection, on devra apporter un soin tout particulier à cons- tater l'
état
du faisceau solitaire, du corps restiforme et des
ganisme : maladies, excès, vices débilitants, intoxications, et les
états
d'origine psy- chique si fréquents chez la femm
e de Zola la Bête humaine; chaque épisode du roman lui remémore son
état
et lui fait faire des comparaisons entre l'impu
dos ; son dos se décompose, etc. La malade se rend compte de son
état
: elle est persuadée de l'ineptie de ses parest
ement n'a amené de soulagement. Cette observation, qui montre qu'un
état
délirant n'est pas une condition sinequa non po
uelle la produc- tion pileuse anormale coïncida avec le passage à l'
état
chronique de la psychose. (Bi-ilish JIccl. Jozi
tion), ou par l'ensemble confus d'hallucinations de tous les sens (
état
de confusion ayant quelque analogie avec le délir
ire aigu). G. DENY. XXXV. LE czar Jean LE Terrible DE RUSSIE ET son
état
mental; par le Dr P. Kowalewsky. (liull. de la
AVANTES. chronique. On se déterminera d'après l'humeur du malade, l'
état
de sa connaissance, le degré de confiance qu'on
ères d'un sentiment obsédant. Eclairé sur la nature spéciale de cet
état
mental, il redevient plus calme et finit par êt
Eh bien ! chacun de ces phénomènes peut se mon- trer isolément à l'
état
d'accès fruste chez les neurasthéniques, ou à l
isolément à l'état d'accès fruste chez les neurasthéniques, ou à l'
état
de symptôme chronique, sans qu'il se produise auc
ique et psychologique des fugues morbides dans les trois principaux
états
où on les ob- serve en dehors de la folie propr
sation délirante. Conception du délire chronique basée : 1° sur l'
état
mental primordial ; 2° sur l'évolution de l'affec
; il rapproche, en sa lente et fatale évolution, toute une série d'
états
psychopathiques, considérés jusqu'ici comme des
fixer un type morbide, l'évolution de la maladie tout entière et l'
état
mental sur lequel elle est née. Ces deux élémen
re alors de tous les bruits extérieurs, et les rejette aussitôt à l'
état
d'images tonales, qui empruntent au délire nais
endre le sens. » A ce moment le centre auditif cortical est dans un
état
d'éréthisme tel qu'à chaque vibration de l'écor
nt même qu'elle ait fini d'en comprendre le sens ». L'idée qui, à l'
état
physiologique accompagne l'acte, suffit de même
surmenage de ses centres sensoriels ont eu leur contre-coup sur l'
état
général. Malgré tout, la mémoire persiste, l'in
uelquefois cette attente se prolonge outre mesure et le met dans un
état
de surexcita- tion extrême : Le 29 mai, malgré
riens. Les désirs et les aptitudes génésiques n'ont pas faibli. L'
état
général est satisfaisant. Le malade est pâle ; il
, comme avant l'injection. En outre, les animaux étaient en parfait
état
de santé et augmentaient même de poids. Il est, c
uvée attirée sur cette pollakiurie transitoire et éliminatrice. A l'
état
de veille, il n'en était pas trop ému, mais il
es années après. Ce trouble urinaire n'indique dans l'enfance qu'un
état
névropathique précurseur de l'hystérie, mais sa
lus rationnel d'admettre la première hypothèse qui est conforme à l'
état
actuel de nos connais- sances anatomiques et ph
aurait y avoir qu'unanimité. L'interprétation ne peut varier. A son
état
de parfait développement c'est une dislocation,
ns de l'affaiblissement des facultés, et de DE LA PANAROIA. 479 l'
état
du sentiment (dépression, excitation), qu'ils ont
nchaînés comme dans cette dernière ; tout au contraire, ils sont en
état
de perpétuelle mobilité et ne peuvent, par suit
Il est vrai que c'est la raison pour laquelle on a identifié à cet
état
deconfusioii mentale déjà mis en relief par Wes
l mourut même dans un accès de suffocation, non sans rapport avec l'
état
de paralysie des muscles inspirateurs. (Britisl
ts dans les écoles de réformes ou de correction pour ces différents
états
, en Amérique. (British bled. Joum., 24 février 18
ion d'Altmann, et dans deux conditions physiologiques déterminées :
état
de repos et état d'action. . Dans le premier
dans deux conditions physiologiques déterminées : état de repos et
état
d'action. . Dans le premier cas (V. fig. 18,
plique en bien des cas rien, et obs- curcit plus qu'il n'explique l'
état
des choses. Mais je ne puis souscrire à la défi
le délire. Il est indubitable que ces symptômes-là se montrent à l'
état
passager dans toutes les folies fonctionnelles
nt de maladies infectieuses, de traumatismes, tient aussi bien à un
état
physique qu'à un état mental; on la désigne sous
euses, de traumatismes, tient aussi bien à un état physique qu'à un
état
mental; on la désigne sous le nom de démence ai
es sur la description de quelques tableaux morbides momentanés ou d'
états
morbides qui se prolongent pen- dant quelque te
e s'applique à l'ameuta considérée comme forme morbide et aussi aux
états
mentaux les plus différents auxquels la langue
cès d'agitation, procéder par poussées qui généralement aggravent l'
état
mental. En revanche, s'il ne se produit pas d'ag-
hallucinatoire. J'ai assez souvent vu de tels malades arrivés à un
état
remarquable de lucidité éprouver peu après une
hallucinés, ils tombent alors dans le désordre chronique des idées,
état
de dissociation intellectuel (Verworrenheit) do
et des hystériques. Il ne nous est pas possible de croire que les
états
d'obnubilation intellectuelle, de rêvasserie, d'a
ons d'énumérer de l'amentia ont pour signes distinctifs communs : l'
état
de trouble de la connais- sance qui peut aller
a folie systématique aiguë (para- noia acuta) passe directement à l'
état
de folie systématique chro- nique (paranoia chr
theit). Le polymor- phisme des conceptions délirantes est, dans ces
états
, la règle ; ja- mais en tout cas, il n'y a orga
usion mentale, l'humeur des malades correspond surtout à celle de l'
état
maniaque, mais, réciproquement, chez le vrai ma
n mentale, tandis que dans l'autre, les conceptions délirantes de l'
état
de confusion mentale ont provoqué une cénesthés
t pour quelques cas de folie systématique aiguë caractérisés par un
état
céneslliétique mania- que, très marqué et très
re part, il existe des cas de paranoïa et de confusion mentale avec
état
mélancolique marqué et persistant. Il est don
que souvent pendant quelque temps une sensation d'étouffement, un
état
d'agitation intérieure vague. Ils n'émettent pas
r la bibliographie et les traités ne reflètent point actuellement l'
état
présent de nos connaissances, aussi chaque savant
mment Snell n'admettait pas la théorie actuelle d'après laquelle un
état
mélancolique pouvait servir de base à l'édificati
e de début de l'affection, l'absence de fièvre, la persistance de l'
état
général et surtout par l'évolution favorable de
nt qu'en apparence, la maladie presque sûre- ment existant déjà à l'
état
latent. Théories bulbaires. La théorie de la né
e « akinesia algera » et dont le symptôme dominant consiste dans un
état
douloureux de tous les organes actifs et passif
ntiments affectifs, des impulsions, etc., sont les symptômes de cet
état
sénile, qui marche lentement vers la démence. J
cain où l'on a cru pouvoir interroger l'accusé mis préalablement en
état
d'hypnose pour lui faire avouer son crime et ce
as plus qu'il ne faut ajouter de créance aux soliloques des gens en
état
de rêve. A. Marie. X. Essai sur la neurasthén
'il n'y a qu'une différence de degré dans les symptômes de ces deux
états
morbides. De nombreuses observations, minutieus
s asiles et que l'assistance du médecin ne soit requise que quand l'
état
physique de l'aliéné, atteint d'une maladie de
ns les rapports médico-légaux de divers médecins spécialistes sur l'
état
mental des personnes examinées par eux. L'on n'
gique du -, par Schalfer, 316. Czar, le Jean le Terrible et son
état
mental, parKowalewsky, 413. Dmtwwsue, liar Hayc
lE. llAL1'RACTRICE, par Cl. Bell, 5G. Médico-légal, rapport sur l'
état
morbide d'un mécanicien, W. B., par Oppenheim
Smirnoff, 486. Sang, examen microchimique du , par J. Joues, 55;
état
du poids spécifique du sang chez les alié- né
au plus , ne manifeste suffisamment le changement qui s’opère dans l’
état
habituel do son existence. Pour obtenir ce chan
’agitation qu’il éprouve. Ceci fait, je le laisse retomber dans son
état
de repos, et, m’éloignant à cinq ou dix pas, je r
s sur des hommes placés dans les mêmes circonstances, c’est-à-dire en
état
de sommeil naturel. Je trouve qu’il n’en est en
s, gêne dans la respiration, sommeil plus profond ou réveil. Dans l’
état
d’ivresse les mêmes phénomènes ont lieu. Dans l
uvent, pour m’assurer du sommeil de personnes qui me disaient être en
état
de somnambulisme, il m’est arrivé de diriger sur
u éclairer mon esprit. Rarement j’ai rencontré quelque être humain en
état
de sommeil naturel sans essayer aussitôt l’action
tit était très-susceptible d’entrer en somnambulisme, et que dans cet
état
, lui, M. Du Potet, pouvait, à sa volonté, et sans
un sommeil naturel assez léger; et quelqu’un lui ayant parlé dans cet
état
, il s’éveilla comme en sursaut. Peu d’instants ap
t tel nombre de bandeaux que l’on voudrait et d’agir sur lui dans cet
état
. On lui couvrit en effet la figure jusqu'aux nari
bientôt après l’opération magnétique, et le patient retombe dans son
état
habituel jusqu'à ce qu’une nouvelle magnétisation
nétisme augmente le mal et replace l’individu qui y est soumis dans l’
état
aigu; c’est le plus favorable des symptômes. Souv
nt ces parties fussent complètement insensibles. Je la laissai dans l’
état
que je viens de décrire. Mais bientôt après elle
rire. Mais bientôt après elle reperdit connaissance et retomba dans l’
état
où je l’avais trouvée. J’y allai de nouveau, la r
ballonné, chaleur sèche et âcroà la peau. Je la magnétisai dans cet
état
. Ehabien, la nuit qui suivit, elle eut quatre h
é, ayant les yeux ouverts, mais fixes; les muscles de la face dans un
état
de repos parfait; le pouls était petit, fréquen
duisis ainsi comme il était venu, mais à reculons et toujours dans un
état
d’impassibilité que je n’avais vu de ma vie. Je
rie, mon cher ami, calmez les inquiétudes quej’ai, premièrement sur l’
état
de votre santé et de votre bien-être, et puis sur
, tous les moyens échouaient. Un soir cette malheureuse était dans un
état
de rigidité générale qui rappelait le tétanos, et
l est indécent, combien il est scandaleux qu’une femme, vouée par son
état
à la vertu de charité, ordonne de me faire saisir
de plus de faire du bien à mes semblables, dont je suis appelé, par l'
état
que j’embrasse, à soulager les misères, et ce m
ans scs consultations elle a eu le bonheur d’indiquer les causes et l’
état
de bien des maladies. L’exactitude de ses observa
t ponctuellement. .Une fois le docteur Brownell la laissa chez lui en
état
de somnambulisme et en communication avec beaucou
eu d’attaque épileptique depuis le commencement du traitement. Dans l'
état
magnétique elle déclare qu’elle est complètement
ouvements dans les fluides. Il faut que le malade soit replacé dans l’
état
aigu , c’est-à-dire dans la disposition où la mal
’ils ont entre eux, et nous chercherons une explication de ces divers
états
du cerveau et de l’intelligence. De la surdi-mu
tion royale des Sourds-Muets de Paris. Examen de l’Académie. De l’
état
actuel du magnétisme en France, en Allemagne et e
reconnois 1 existance ; lui seul peut rétablir cette harmonie dans 1
état
naturel (I). » Qu’est-ce donc que cet agent gén
et communiquer toutes les impressions du mou#-ment (2). » Quoique l’
état
de fluidité de la matière soit un état relatif, i
u mou#-ment (2). » Quoique l’état de fluidité de la matière soit un
état
relatif, il est évident qu’après avoir épuisé par
il sans fatigue et jouissant d’un bien-être qui n’eût pas existé si l'
état
de somnambulisme eût été rompu immédiatement aprè
sme eût été rompu immédiatement après le travail d’exploration. Cet
état
de calme, que je me gardais d’interrompre par des
, elle souffrait dans l'estomac et les intestins. Je fis cesser cet
état
que je croyais un désordre de ses idées; redevenu
ifacial étaient devenues douloureuses, et, ne pouvant rester dans cet
état
, cette personne me fit appeler pour obtenir quelq
meil. Je le magnétisai encore deux ou trois fois, et cet homme fut en
état
de reprendre ses travaux ordinaires. Dans ce cas,
ieux et les aliments difficilement digérés. Je la magnétisai dans cet
état
. Le sommeil apparut bientôt; puis une abondante t
iras esl amendé beaucoup. Il y a quelques jours elle s’examina dans l’
état
magnétique et dit que le magnétisme lui avait été
ratoires du somnambulisme magnétique. II n'est aucun des singuliers
états
que nous allons d’abord décrire qui soit lucide o
énements passés ou futurs, dont on ne peut avoir cennaissan.ce dans l’
état
de veille, parce qu’ils ne s’enchaînent, soit com
-GUÉaiSOM d’i’NE GASTRO-ENTÉIIITE AIGUË AVEC CONGESTION CÉRÉBRALE (
ÉTAT
DÉSESPÉRÉ.) Pendant l’hiver Je 1830, M""' F...,
se puisse voir. Bientôt les fâcheux symptômes qui caractérisaient son
état
se compliquèrent de violentes douleurs de téte qu
araissait plus possible de tenter de nouvelles saignées, à cause de l'
état
de faiblesse où se trouvait la malade. Nous jugeâ
uvai sensiblement mieux; elle n’avait qu’un souvenir très-confus de l’
état
où elle s’était trouvée la veille; seulement elle
ence de la garde toute ébahie; la malade ne tarda pas à enlrer dans l’
état
de somhambul'snte complet ; quelques instants apr
n faire, mais agissaient trop. Dans toutes les maladies passées à l'
état
chronique, une heure de magnétisation suffit pour
de douleurs intolérables, j’ai fait cesser ces douleurs et rétabli l’
état
naturel par celle seule pratique. Dans tons les
emble de la matière la plus divisée par le mouvement intestin. En cet
état
, il remplit les interstices de tous les fluides,
sant tous les espaces, il opère la cohésion sans êtro lui-méme en cet
état
. Je démontrerai de même que l’attraction est un m
êtent dans des canaux dont la capacité est impropre à les contenir. L’
état
des vaissaux dans lesquels le cours des humeurs e
uissance de se contracter; la seconde, lorsqu’un vaisseau est dans un
état
d’irritation qui l’empêche d’être dilaté. Ainsi,
ièrement neutralisé la substance. • On avait négligé de constater l’
état
du pools au début de l’expérience ; son accélérat
du pools au début de l’expérience ; son accélération plus tard et l’
état
de la pupille ont suffisamment démontré les effet
termes pour exprimer ce qu’ii sent; il ne voudrait pas sortir de cet
état
; il est si heureux ! « Que je remercie celui qui
... dit qu’il voulait faire prendre un antidote pour le ramener à son
état
naturel; suivant lui, ce sentiment de bien-être d
t moi. » 11 se lève ensuite en disant : « Tout cela est un rêve ; cet
état
d’aberration a donné une impulsion plus vive à me
re délicieuse des sensations qu’élles éprouvent ; mais en voyant leur
état
d’excitation, tout le monde a été'd’avis que ces
vérifier, et s’il en est ainsi, il serait facile de faire cesser cet
état
par un quart d’heure de magnétisation. Cet aper
suffocation, quelquefois un épanouissement de la sensibilité avec un
état
de bien-être inaccoutumé. Le foie, que l’on pou
in numéro.) OPÉRATIONS CHIRURGICALES FAITES SAN8 DOULEUR, DANS UN
ÉTAT
MAGNÉTIQUE. Rapport lu à l’Académie royale de M
ait magnétiser ladite malade, et la mettre, par ce moyen, dans un tel
état
d’insensibilité que l’extraction de la dent carié
avant de procéder ù la magnétisation, il nous a engagés à constater l'
état
de la dent. L’examen nous a fait voir la dent,
ent qui avant la magnétisation produisait de vives douleurs. Dans cet
état
, M. Cohen a procédé à l’extraction de la dent; il
magnétisme, se proposa lui-même poür cette expérience. Il fut mis en
état
de sommeil magnétique complet, en moins de .cinq
uit pas, par un ami qui l’avait magnétisé plusieurs fois déjà. En cet
état
, il trouva que la chambre était trop éclairée, et
ativement. « On convint de le laisser encore quelque temps dans cet
état
, et, quand on jugea devoir l’éveiller, le magnéti
le magnétisé fit un mouvement des yeux, mais ne put les ouvrir, et l’
état
magnétique dura trois minutes de plus. « Bientô
, étant appelé auprès d’une femme qui avait les dents en très-mauvais
état
, imagina d’essayer le magnétisme pour rendre poss
on sur le bras gauche, mais en vain. Le magnétisé, interrogé dans cet
état
, dit qu’il entend tout, qu’il ne dort pas, qu’il
ort pas, qu’il ne peut ouvrir les yeux, qu’il est engourdi et dans un
état
singulier d’assou pissement; il sent aussi un fou
dem. Séance du 2 avril. — MM. NVinenn el Millet rendent compte de l’
état
de deux pauvres malades que la société a confiés
s heures et demie sans lu moindre clignottcment, et affirme qu’en cet
état
il n entend rien de ce qui se passe autour de lui
té, le fixe avec son regard fascinateur. Nous avons observé qu’en cet
état
M. Divet a la pupile notablement dilatée; c’est l
le magnétisme produit le somnambulisme, l’être qui se trouve dans cet
état
acquiert une extension prodigieuse dans la facult
l n’y remarque, ordinairement, que les parties qui ne sont pas dans l’
état
naturel et qui en troublent l’harmonie. Il retrou
ve dans sa mémoire le souvenir des choses qu’il avait oubliées dans l’
état
de veille. 11 a des prévisions et des présensatio
c sagesse; il s’égare, s’il est mal dirigé. Lorsqu’il rentre dans l'
état
naturel, il perd absolument le souvenir de toutes
r de toutes les sensations et de toutes les idées qu’il a eues dans l’
état
de somnambulisme; tellement que ces deux états so
ées qu’il a eues dans l’état de somnambulisme; tellement que ces deux
états
sont aussi étrangers l’un à l’autre que si le som
ant, il ajoute : « Des observateurs modernes assurent que, dans cet
état
de somnambulisme, dont nous venons d’exposer anal
ouvertes qui se feront successivement auront pour point de départ cet
état
moral où rien n’est inconnu. Lo sommeil, et tou
aise? 11 est bien difficile de conserver le sommeil lucide dans son
état
de pureté. Ceux qui consultent les somnambules n’
issance; car, voici ce qui arrive : les magnétisés qui tombent dans l’
état
extraordinaire de sommeil lucide, ne pouvant, éve
lut le retour de ces visions auxquelles l’enfance seule ou les grands
états
d’irritabilité sont sujets. La nuit, lorsque j’ét
de créer dans mes yeux, une espèce de sympathie s’établissait entre l’
état
de rêve et l’état réel où je me trouvais. « Tou
yeux, une espèce de sympathie s’établissait entre l’état de rêve et l’
état
réel où je me trouvais. « Tous les objets qu’il
eux qui ont écrit sur cette matière, il nie suffit d’avoir établi l'
état
de la question que je veux traiter. Et d’ailleurs
gé dans la terre. Notre ami a essayé la clairvoyance de son sujet à l’
état
de veille et a découvert plusieurs sources à la m
la Mouche de Saône-et-Loire.) OPÉRATIONS CHIRURGICALES PENDANT L’
ÉTAT
MAGNÉTIQUE. A Monsieur le Directeur du Journal
ile et insensible au toucher. Le jeune Mirra passait facilement à l’
état
somnam-bulique. Je proposai donc à la mcrc de l’o
vations qui ont été toiles, il parait que, pendant qu’il est dans cet
état
de somnambulisme, le sens du lact est profondémen
succès, cl il csl impossible de l’éveiller. Un soir qu’il était en
état
Je somnambulisme, après avoir fait plusieurs chos
it indiquer la propriété de médicaments qu’elle ne connaii pas dans l’
état
de veille. Il a essayé sur le platine et l'aconit
Il m’a paru que le magnétisme animal, n’étant pas encore parvenu à l’
état
de science, ne pouvait faire l’objet d’un enseign
ent avec soin. Mais nous ne sommes pas au bout des découvertes; cet
état
nouveau nous en fournira bien d’autres encore.
ails nouveaux; car maintenant ce n’est plus qu’un jeu de produire cet
état
si singulier ; chaque magnétiseur possède une mas
lexibilité des muscles est la même, et n’offre aucune différence de l’
état
ordinaire. Vous voyez que nos grands physiologi
n le malade ne donna aucun signe de douleur : il était assis clans un
état
do tranquillité parfaite, mais quand les médeci
in devenue inévitable. 11 est bien rare que l’on n’abuse pas de cet
état
d’insensibilité : c’est un si bon moyen de convic
meurtries par des expériences de pure curiosité, sont douloureuses en
état
de veille, et ne reviennent à l’état primitif q
curiosité, sont douloureuses en état de veille, et ne reviennent à l’
état
primitif qu’en parcourant la période inflammato
ilité alors semble doublée; on sent, on perçoit ce qui échappe dans l’
état
d’équilibre des forces. C’est un nouveau sujet d’
venir sensibles à des impressions qu’ils n’apercevaient pas dans leur
état
ordinaire, ou môme recevoir des impressions étran
ais faire la moindre recherche, vous convaincront, que, dans certains
états
magnétiques et dans certaines exaltations morales
ce déplorable excès. Je passe les trois quarts de la «journée dans l’
état
de torpeur où vous m’avez vu. « Incapable de me m
n-« nés qui veillent sur moi avec un soin religieux. Dès « que, par l’
état
de mon pouls, ils reconnaissent que « mon cœur
usage sont lourds, hébétés, stupides, et finissent par mourir dans un
état
d'idiotisme complet. Pour les Malais, au contrair
riodes bien distinctes dans 1 ivresse de l'opium : la première est un
état
assez doux; on tombe dans une somnolence agréable
versent, lui attachent fortement les mains, puis le laissent dans cet
état
cuver tranquillement son opium. Ce sont les Chino
ogue, je n’ai pas « rencontré une aussi grande étendue de terrain à l’
état
d’ébou-«leinent que coin i sur lequel est située
rciements h la société tout entière et à M. Simon en particulier. Son
état
de maladie a été consulté par le docteur Penoyée,
lacour et Millet en sont chargés. M. Winen entretient la société de l’
état
d’un épileptique qu’il magnétise depuis trois sem
par l’ivresse, lui a confessé qu’hier, s’étant mis dans ce déplorable
état
, il n’avait, à son grand étonnement, point éprouv
éprouvé d’accès. Séance du 28 mai. — M. Simon, rendant compte de l’
état
d’une dame paralytique qu’il magnétise à Auteuil,
le gauche et la mâchoire supérieure. L'expérimenté tombe vile dans un
état
de torpeur et d’abattement; la tôle se penche et
ogresse. Scance du 15 mai. — SI. Courant entretient la société de l’
état
d’un enfant qu’il a magnétisé. M. Dupont a obte
ateurs de tant de souffrances, sans pouvoir les abréger. Si, dans cet
état
, des paroles s’échappent, c’est pour vous instrui
t sentie par l’autre malade , et bientôt on vient nous avertir de son
état
de convulsion. Je laisse cellè ei calme; mai$ nu
de l’autre, celle que je viens de quitter retomberiiiiis son premier
état
; il nie faut y revenir. Les crises que je fais Hà
acëdmpagné tic perceptions. Plus tard cëpëHdant Füftë avance dans cet
état
, et peut prédite les crises qit’felfe doit encore
x étaient difficiles à ouvrir, et les muscles, quoique revenus à leur
état
habituel, conservaient une sensibilité douloureus
sentiment ne cédit que, le. dernier jour du traitement. baris leur
état
de maladie, rapprochées ou éloignées, elles s’acc
orte. 11 csi extrêmement rare que le magnétiseur n’abuse point de l'
état
magnétique qu’il a développé; si c'est du somnamb
é sur les yeux un triple bandeau. Je ne m’étendrai pas non plus sur l’
état
tétanique des jambes du magnétisé, devenues roule
jugé à propos de te dire de quelle manière je bus, pour le mettre en
état
de mieux juger ce qui m’arriva la nuit du vendred
ais vouloir entrer en goguette. Car je puis dire que j’étais alors en
état
de peindre sur les murailles toutes les figures q
te-deux ans, agriculteur, portant au genou une tumeur blanche dans un
état
fort avancé. L’opération fut faite à son insu et
administrai des opiacés, du quinine, du vin, etc., pour le mettre en
état
de supporter l’opération, que je jugeais inévitab
bsentai alors, el quoique je reçusse journellement un rapport sur son
état
, ù mon retour je lus aussi étonné qu’heureux de l
pouvait lui arriver aucun mal, et que je le visse auparavant dans cet
état
. « M. Topliam le magnétisa, et je fus surpris d
, gémissement. « La levée du premier appareil eut aussi lieu dans l’
état
magnétique, et le malade est maintenant (18 novem
son enterrement correspond exactement à celui où, très-inquiet de son
état
, j’allais de maison en maison demander de ses nou
le magnétisme dans son ordre du jour. La question est celle-ci : De l'
état
du Magnétisme en France. C est là une belle occas
, vous êtes pâle comme un mort ; il faut vous laisser un peu dans cet
état
, mais lorsqu’il me plaira de faire revenir la vie
é, plus aussi il y avait de lucidité. J’entends par sommeil profond l'
état
où il y a insensibilité, où les sens sont fermés
ons. Ici la seule approche d’une personne étrangère dérange, altère l’
état
régulier du sommeil. Votre trouble augmente les d
de la veille, et qui venait pour la première fois de tomber dans cet
état
heureux de crise magnéti-qiie; je dis à ce jeune
0. (2) Dénomination primitive du somnambulisme. qui était flans l’
état
naturel. Ce jeune homme m’obéit sur-le-champ; mai
s sèuhc et une fièvre lente ne quitta plus la malade. Tel était son
état
lorsque j'entrepris son traitement. On avait pres
sprit qui est en nous acquiert quelquefois, bien positivement, dans l'
état
de sommeil et aussi dans l’état de veille, l’intu
uelquefois, bien positivement, dans l'état de sommeil et aussi dans l’
état
de veille, l’intuition de mots, de faits même, do
tateur, pour nous offrir la preuve de Vinfluence de la musique dans l'
état
de somnambulisme. Après avoir été endormies par l
ordinaires du magnétisme, elles ne tardèrent pas â se trouver dans l’
état
de lucidité désirable. Alors un savant instrument
en ce moment captivaient leur esprit possédaient loul leur être; cet
état
attendrit l'auditoire et le loucha même jusqu’aux
eux, ei que d’ailleurs 011 ne voudrait pas les croire. Ramenées à I
état
normal, elles ne gardèrent pas la moindre souvena
au préalable par M. le président. Celle opération continuée amène l'
état
de roideur cataleptique des membres. Les bras, in
ne à la mourante, line autre personne plus auguste encore est dans un
état
nerveux qui inspire la pitié et vous donne à vous
enfance. Mais nous leur répondrons que les peuples qui ont vieilli en
état
de civilisation sont plus près de l’enfance que l
nnues comme efficaces, les procédés que j’employais pour diminuer cet
état
ne faisaient que l’augmenter. Le plus sûrestefe v
e cesser ce mal, que je croyais passager. Après plusieurs heures, son
état
persistant, nous fûmes obligés de la descen- dr
cace. Endormis, ils n’onl aucune peur du mal qui leur arrive dans cet
état
; réveillés, ils ont les mômes craintes que si le
(Im suite au prochain numéro.) OPÉRATIONS CHIRURGICALES PENDANT L’
ÉTAT
MAGNÉTIQUE. g I. — INTRODUCTION D’UN SÉTON. J
lté par M. Ward avant d’entreprendre l’opération qu’il a faite dans l’
état
magnétique (I). Originairement consulté sur la po
nairement consulté sur la possibilité et la sûreté d’opérer, durant l’
état
mesmérique, sans douleur, je donnai mon opinion f
érique, sans douleur, je donnai mon opinion formelle que produire cet
état
et y exécuter les opérations les plus douloureuse
rescrivis un séton. N’en ayant été nullement prévenue, elle était (en
état
mesmérique) debout, devant moi et d’autres person
ibilité. Le docteur Perrier, après s’être assuré de la réalité de cet
état
en pinçant inopinément le patient, constata cent
de souj- fiance! Au bout d’un instant je ramenai la patiente à son
état
normal; et quand 011 lui dit que ses dents étaien
, je l’avoue, d’èlre certain comment ou si je pourrais faire cesser l’
état
que j’avais produit, el plus l’on me poussait plu
(Vosges), un jeune domestique d’environ dix-sepl ans se lève dans un
état
de somnambulisme, ouvre la fenêtre de sa chambre,
ont chacun appréciera la justesse : « Les chutes qui se font dans l’
état
de somnambulisme sont beaucoup moins dangereuses
ns l’état de somnambulisme sont beaucoup moins dangereuses que dans l’
état
normal, parce que la sensibilité a disparu complè
rganisation la plus timide, la plus nerveuse, la plus délicate dans l'
état
de veille. Comment se fait-il que les effets du
RAITEMENTS MAGNÉTIQUES. Question délicate aujourd’hui, à causo de l’
état
actuel des croyances. 11 est rare, en effet, de t
inet voisin, j’entendais scs discours, la description minutieuse de l’
état
du malade, et porter un pronostic dont j’apprécia
gnétisme sont d’un ordre tout différent, et qu’appartenant à un autre
état
de l’homme ils ont leurs lois propres et distinct
étonnés qu’ils ne nous apparaissent pas de la môme manière? Dans cet
état
si spécial, la forme et les dimensions des objets
aire à un organe qui se trompe, à un sens qui a ses illusions. Dans l’
état
de veille, et cela est certain, ce ne sont pas le
11 pourra peut-être avoir des données certaines sur la cause ou sur l’
état
qui lui permet de voir à nu les objets eux-mômes.
c’est que leurs perceptions par la vue sont absolues, et que, dans l’
état
ordinaire, l’état de veille, elles sont relatives
erceptions par la vue sont absolues, et que, dans l’état ordinaire, l’
état
de veille, elles sont relatives, dépendantes de l
sentir et de connaître, et s'il y a en nous ou chez quelques-uns deux
états
différents, bien caractérisés, faut-il les confon
ée, que le temps et l’espace n’existent pas pour le somnambule dans l’
état
de lucidité. C’est là, assurément, quelque chose
blerait même que c'est une vocation chez eux, qu’ils ne sont dans cet
état
que pour cela seulement. Nous ne prétendons pas d
t pour ré|iondre 5 la question du programme ainsi conçue : Quel est l'
état
actuel du magnétisme en France? mais non pour fai
orange le fut, en effet, lorsque cessom-« nambules furent rendues à l’
état
normal. En vain j'aflir-« mais que le plateau por
e laissé dans un élat semi-magnétique, ne différant en apparence de l’
état
normal que par une extrême dilatation de pupilles
l’enfant et la décapitée, fit disparaître ce trouble, et, ramené à l’
état
normal, le patient n’eut plus aucun souvenir de l
r Comelin agit sur des patients démagnétisés graduellement jusqu’à un
état
singulier, voisin du normal, dont ils accomplisse
M. Wailly. M. le docteur Mathieu, pour s’assurer de la réalité de cet
état
, enfonce des épingles dans les chairs, sur la fac
xprime en ces termes : « Miss*** fut plongée instan-« tanémcnl dans l'
état
mesmérique parM. Vernon, qui assura « pouvoir par
s organisés auxquels revenaient sans cesse mes somnambules passés à l’
état
d'extase, je résolus de faire l'application du ma
! Je continuai, et le 24 aoûl je cueillis ces trois pèches en parfait
état
de maturité; elles avaient 24, 22 et 21 centimètr
ochain numéro, les détails d’une amputation de la jambe, faite dans l’
état
magnétique, sans douleur, par les docteurs Loysel
ition était un médecin célèbre, M. ltard. Je le mis bien vile dans un
état
qui rendit ses confrères fort sérieux et le laiss
xpérimenter ils avaient éprouvé des modifications heureuses dans leur
état
habituel. Un jeune homme, qui avait un tic doulou
de, ne pouvait agir sur lui. On le saigna, le baigna sans succès; son
état
paraissait alarmant; le délire n’avait pas diminu
’il ne sc livrerait plus à ce dangereux exercice. Il avait dans cet
état
de lièvre nerveuse des facultés surprenantes dont
mettre en crise complète, parce que la volonté sc dérègle, et que cet
état
, dès lors, n’est plus qu’une sorte d’ivresse mora
(La suite au prochain numéro.) OPÉRATIONS CHIRURGICALES PENDANT L’
ÉTAT
MAGNÉTIQUE. Le premier fail d'insensibilité mag
et obtenue telle qu'on la désirait, la malade consentit, pendant son
état
de somnambulisme, à se soumettre à l'opération ,
rès-importantes. Je laisse cette somnambule presque toujours dans l’
état
magnétique, et lorsque je la réveille je ne la la
e réveillée qu’une 011 deux heures. Magnétisée, elle est comme dans l’
état
normal : elle mange, elle boit, elle voyage, elle
, désigne le siège et la nature des douleurs, les lésions internes, l’
état
des viscères et des humeurs, l’état de tous les o
douleurs, les lésions internes, l’état des viscères et des humeurs, l’
état
de tous les organes; mais elle ne désigne point l
rps entier devenait roide comme une barre de bois et restait dans cet
état
pendant deux heures au moins. L’heure des attaque
s, et une grosseur sur le sein devint extrêmement visible. Dans cet
état
de souffrance, elle n’avait pas do sommeil, ne po
es soins. Quelques jours après elle devint somnambule, et, dans cet
état
, nous lui demandâmes pourquoi e!le était si agité
» Beaucoup des ouvrages que nous admirons ont élé composés dans cet
état
de l’esprit, mais il n’en existe peut-êtrepasunse
tacle de la vie, existant premièrement sur cette terre matérielle à l’
état
d’enfance, de noviciat, premier degré préparatoir
heur auquel ils arriveront en temps et lieu. Nous sommes lous dans un
état
d’enfance dans celle vie ; des enfants décoléré,
ivination qui confond les esprits forts et qui tourne aujourd’hui à l'
état
de science positive. Il esl hors de doute que l
empêcher d’admellre que le magnétisme fût connu des anciens, el que l'
état
d'insensibilité om.plèle qui permet aujourd'hui d
e Hortensc un cas d’insensibilité à la douleur et de paralysie dans l’
état
de veille. (Voir Société du Mesmérisme, 18 septem
ent à son invitation. Tous éprouvent des effets légers, fugaces, el l'
état
comateux, sorte decarus, appelé sommeil magnétiqu
yables avaient li>'ii que la crainte remplaçait le rire. Ce nouvel
état
fie l’esprit lu magnétiseur venait augmenter le t
as ; vainement ils ont essayé les moyens mis à leur disposition, et l’
état
furieux se prolonge. Accourez, vous qui avez ense
s n’avez plus à vous occuper du magnétise : il sera dès lors dans son
état
moral habituel. Dans d’autres circonstances le
tout son corps rempli d'humeurs. Depuis longtemps i! était rions cet
état
, et la science ne pouvait rien pour lui. 4'enhepr
dire à la malade, déjà atteinte deux fois do cette maladie, (pic cet.
état
durerait six semaines. Après une magnétisation de
se « et éruption de pustules à la partie supérieure de la « tôte. Cet
état
durait depuis quinze ans. Traitée à « l’hôpital S
rendre). Un enfant (1), dis-je, exécute sans magnétisme, ou plutôt en
état
magnétique naturel ou spontané, des choses qui so
ermette d’accomplir son désir. Une jeune fille, mise ensuite dans l’
état
magnétique par M. Wuilly, chante à un ordre menta
bu-liques ne s’opèrent pas par les sens qui leur sont affectés dans l’
état
normal, pose, sans prévenir de son dessein, une p
IIROPICO-MAGXÊTIQl'E. — Séance du 5 novembre. — M. Millet met dans un
état
cataleptiforme un bras seulement d’une jeune fill
profonds chagrins, et qu’il remarque une amélioration sensible dans l’
état
de son esprit, 'mais qu’il s’est développé des do
try qui rapporte 63 cas d'oxcéphalie, quelques renseignements sur l'
état
du rhinopharynx chez les oxycéphales. Patry se
les uns des autres, avaient vu, dans l'oxycénhalie, les premiers un
état
post-méningitique avec atrophie secondaire des
ue avec atrophie secondaire des nerfs optiques, et les deuxièmes un
état
adénoïdien. Nous voyons donc, à l'aide de la mi
que la première. - A 15 mois, il fut retiré par ses parents dans un
état
pitoyable : il était atrep- siqne, avec un vent
n danger, il vomissait toujours le lait de la mère et tomba dans un
état
de faiblesse extrême.Enfin, au troisième mois, il
qu'après le 15e mois. A deux ans, cet enfant n'était pas encore en
état
de se tenir sur ses jambes ; la mère était obli
bords orbitaires. Ptosis moyenne des paupières supérieures qui, à l'
état
de repos, couvre le tiers supérieur de la corné
Masson & Cite, Editeurs ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 15 L'
état
général actuellement est assez bon. La glande t
auprès de sa nourrice jusqu'à l'âge de trois ans, toujours dans un
état
de santé très mauvais. Elle était très maigre et
yeux à fleur de tête. Je n'ai pu obtenir aucun renseignement sur l'
état
des fontanelles à cette époque, ce qui est cert
vue d'oeil. A l'âge de quinze mois il fut repris à la maison dans un
état
de santé très précaire ; il n'était pas même ca
l fit sa première dent et il commença à marcher à 25 mois. Dans cet
état
il vécut jusqu'à l'fige de trois ans, toujours af
ux (sinus latéral et sinus pélreux), fait que je n'ai jamais vu à l'
état
normal. Enfin l'on doit signaler la disparition
dans le crâne rachitique. Or, j'ai pu constater que, dans tous les
états
d'hypertension chronique endocranienne, la gout
u trou occipital est bien plus rapprochée du plan horizontal qu'à l'
état
physiologique. Cette rotation antérieure du tro
f, dans l'oxy- céphalie, se trouve placé un peu plus en haut qu'à l'
état
normal par rapport au bord alvéolaire, ce qui j
ui démontre l'analogie de la conformation des orbites dans ces deux
états
pathologiques. Mes recherches radiographiques m'o
nt, l'angle facial dans l'oxycéphalie serait donc plus ample qu'à l'
état
normal, tout en étant moins prononcé que dans l
nétique des os du crâne. L'hypertension cérébrale prodromique des
états
oxycéphaliques est in- diquée par la constatati
celles que nous rencontrons dans l'hydrocéphalie et dans les autres
états
pathologiques d'hypertension cérébrale de l'enfan
ue les rapports ci-aniolociquessoni très dif- férents dans ces deux
états
similaires. Or, l'explication de cette différen
ontétudié l'oxycépha- lie ont tous eu une tendance à rapprocher les
états
oxycéphaliques de l'hydrocéphalie, voire même d
her à déceler le mécanisme spécifique se rapportant à chacun de ces
états
pathologiques. Dernièrement encore Mellzer, dan
ière basilaire que l'on retrouve chez eux, n'a rien à voir avec les
états
oxycéphaliques (pli. VIII). L'hyperostose du cr
y a eu une période prodromique dans laquelle a évolué un véritable
état
de cranio-tabes rachitique, et plusieurs de mes
crâne, tandis que les mêmes impressions vacuolaires, à la suite des
états
méningitiques de l'âge adulte, se trouvent pars
cérébrales au moyen des rayons de Röntgen. Cet auteur insiste sur l'
état
inégal et atrophique des os déterminé par la pr
ipsig, 1912 ÉTUDE DU SYNDROME OXYCIPHAL1QUR 37 Virchow parle d'un
état
inflammatoire des enveloppes intérieures du crâ
ésultat d'un fait patholo- gique susceptible d'être rangé parmi les
états
inflammatoires. Mes épreuves radiographiques co
o- thèse ; je rappellerai en effet que,dans aucun cas on ne peut, l'
état
normal, fixer parla radiographie le trajet des
abes et l'oxycéphalie des liens d'affinité anatomo-patholoique; i l'
état
prodromique de l'oxycéphalie est assurément analo
i les auteurs qui se sont occupés de cette question, à signaler des
états
comparables au cranio-tahes dans la première péri
a première période de l'oxy- céphalie et aussi à confondre ces deux
états
pathologiques, confusion très légitime du reste
est une dystrophie d'origine rachi- tique. Dans l'oxycéphalie, l'
état
rachitique des os et du crâne retentit sur les
erre Marie et Couvelaire (1). Parmi les phénomènes communs aux deux
états
sont l'asthénie et l'im- puissance ; elles étai
ue que remontent les premières photographies, les autres montrent l'
état
du malade cinq ou six années plus tard. Il avait
Il DEUX CAS DE PSEUI)U-I UJIEUIt CËHËHHALË 4 il est constipé. Son
état
s'aggrave et le 24 novembre, eu l'examinant de no
re, tous les deux jours une injection de 0,03 centigr. Le mauvais
état
du malade progresse encore. Il ne peut plus parle
- satiles. On lui applique un emplâtre vésicant à la nuque. 31. L'
état
du malade parait être meilleur, il a ouvert les y
fficulté pour lui faire les injections mercurielles. 5 décenibre. L'
état
du malade commence à s'améliorer malgré que le
et agité. On reprend les injections mercurielles. 1er février. L'
état
de prostration a diminué et le malade se plaint d
vaincu par les siens que ce sont des sensations fausses. 3. - Son
état
empire rapidement. Il se produit une hémiplégie g
gâtisme. On lui applique de nouveau un emplâtre vésicant. 5. - Son
état
commence de nouveau à s'améliorer. 8. L'hémiplé
= 15, 9 + 8 = 17, 9 + 6 = 15, 15 + 17 = 32, 18 + 19 = 37. 24. Son
état
psychique s'est beaucoup amélioré, il croit encor
accuse une forte céphalée après la ponction lombaire. 3 mars. - L'
état
psychique du malade s'est amélioré progressivemen
cèdent plus aux analgésiques. 20 mai. - Le malade est de nouveau en
état
de prostration, il gémit et porte continuelleme
avec difficulté, en se plaignant de ses maux de tête. " . 22. - L'
état
de prostration persiste, le malade est congestion
ps des tressaillements dans le membre supérieur gauche. ' 23. - L'
état
de prostration est beaucoup plus intense, il gémi
continuels. 24. Il s'est produit une hémiplégie gauche complète, l'
état
de prostration et d'inconscience persiste. -
rostration et d'inconscience persiste. - Le malade reste dans cet
état
pendant quelques jours ; après quoi, il s'amé-
us atténués jusqu'en septembre, c'est-à-dire jusqu'au moment où son
état
a empiré avec l'apparition de symptômes nouveau
se sont accentuées. Son père nous dit qu'il a changé beaucoup comme
état
psy- chique. Il était autrefois vif et loquace,
able d'aucun effort intellectuel, son intelligence est réduite. Cet
état
continuant à s'aggraver, son père l'amène à Bucar
elligence semble être réduite, il reste impassible vis-à-vis de son
état
, et est distrait par des faits insignifiants qui
lée a beaucoup augmenté. A 6 heures du soir le malade tombe dans un
état
d'inconscience à la suite de l'exacerbation de
science à la suite de l'exacerbation de la céphalée. Il présente un
état
comateux, avec la tête fléchie en arrière. On l
vomissements continuels. 6. - A la suite de la ponction lombaire l'
état
du malade s'est amélioré. La céphalée est moins
e l'état du malade s'est amélioré. La céphalée est moins intense. L'
état
général est meilleur. 11. La force dynamométriq
été très intense pendant le matin, détermine une nouvelle attaque d'
état
comateux, ces attaques se sont répétées fréquemme
fortes de la céphalée. A cette heure-ci le malade se trouve dans un
état
d'inconscience complète, dans le dé- cubitus la
lui re- tire 15 centimètres cubes de liquide céphalo-rachidien. Son
état
ne s'améliore pas et à 6 heures de l'après-midi
i plaident pour la participation du système nerveux dans beaucoup d'
états
toxi-infectieux, d'aulres organes, elles observ
s plexus choroïdes, on n'a pas prêté suffi- samment d'attention à l'
état
de ces derniers dans la méningite séreuse et da
Schultze (S) (1876), d'Huguenin ((i) (1878), de Plehn (7) (1887), l'
état
des plexus choroïdes n'est pas mentionné. Mais
rmaux. Dans les cas autopsiés de Quincke il n'est pas question de l'
état
des plexus mais seulement de la méningite et de
ux, ou hyperhémiques et tuméfiés. Plus loin (p. 215) en discutant l'
état
des méninges et des plexus choroïdes dans l'hyd
nctif et son épithélium affirme que dans le premier on ne voit, à l'
état
normal, aucune espèce de leucocyte. Dans les in
céphalie el de pseudo-tumeur il ne mentionne pas, dans la plupart l'
état
des plexus choroïdes, Dans le cas I il dit que le
ement fébrile, non pas dès les premiers jours, mais à peine quand l'
état
du malade s'est beaucoup aggravé. Dans notre se
sans idées délirantes ni troubles vésa- niques d'aucune sorte ; cet
état
démentiel simple paraît être primitif, en ce se
ension ; il est un peu creux, sans équinisme vrai. On constate un
état
de raideur musculaire appréciable surtout aux mem
yeux. Pas de scoliose. En résumé l'on trouve chez ce malade : un
état
1)al·éto-SpaSnlOdlqllf·, avec atrophie musculai
ais indépendamment l'un de l'au- tre, Erb et Westphal signalaient l'
état
des réflexes tendineux chez l'homme sain et dan
es existent toujours chez l'homme sain elque leur absence dénoie un
état
pathologique du système nerveux. Cette opinion,
si. Au contraire, Nageotte ((i) s'est rendu compte que c'est avec l'
état
des champs postéro-externès que les cordons de Go
dans les racines postérieures par Marinesco. C'est là assurément un
état
éminemment favorable il nne meilleure conductio
rme, il n'existe pas de troubles trophiques, les malades ont un bon
état
général ; les douleurs, l'ataxie sont peu dé- v
pris, le traitement du tabès, dans ces cir- constances ; soigner l'
état
de l'estomac ne doit pas être là l'unique préoc-
, et de préférence dans la région iombo-sacrée. Quel serait alors l'
état
du sympathique et du pneumogastrique ? Si leurs t
revue critique de MM. To- lol et Froment résume parfaitement bien l'
état
actuel de la question. Il w apparaît que les ob
s gastriques où l'autopsie est assez complète pour renseigner sur l'
état
de l'estomac sont extrêmement (1) Graupner, cit
excitations habituelles sont devenues insuffisantes par suite de l'
état
pathologique des voies. Si ces voies s'améliorent
répéter même les paroles les plus simples. Cependant, peu à peu son
état
tant physique que psy- chique alla s'améliorant
constaté au cou, ni dans la région scapulaire. Ni la motilité, ni l'
état
général du malade ne laissent rien à désirer.
i- ner le malade au point de vue neurologique, et durant ce temps l'
état
du blessé s'était amélioré sous plusieurs rappo
g démontra le fonctionnement normal des organes de l'ouïe et le bon
état
de l'appareil ventriculaire. L'examen des yeux,
re : on lui écrit le mot en question, et, bien qu'il ne soit pas en
état
de le déchiffrer,il le copie lente- ment certes
e comme il était avant». A l'hôpital, il a donné des preuves du bon
état
de ses instincts sexuels, il est sociable et co
ez ces malades le seul puérilisme mental. N'est-ce pas avouer que l'
état
mental des géants n'a pas encore été étu- dié ?
ainsi qu'en témoigne parfois une légende de sa main. ' Tel est l'
état
mental de notre géant inverti. L'histoire de so
aison de santé. Rendu à sa famille, il retombe très vite dans le même
état
. On lui enlève alors des végétations adénoïdes
t par une crise sudorale et sont accompagnées et suivies d'un léger
état
onirique au cours duquel notre malade exprime que
elle. Actuellement, janvier 1912 : Nous ne saurions revenir sur cet
état
menta que nous avons suffisamment décrit plus h
at- teint aujourd'hui. , GIGANTISME ACItOJII : GALIQUE 133 Sou
état
physique est néanmoins assez satisfaisant. Le pou
pt mois. Il a un faciès pouponnien, il est imberbe et sur- tout son
état
mental est empreintde débilité. Son émotivité, se
e vue, peut et doit être considéré comme sa caractéristique c'est son
état
1. mental vraiment spécial et constitué par des
antile. 3° Il n'y a pas d'hypertrophie pituitaire visible. 4° Son
état
mental correspond à ce que nous proposons de nomm
éclat de rire, suivi d'un son guttural, toujours le même. Mais cet
état
se modifie peu à peu ; nous pûmes après deux sema
eut reproduire des dessins très simples (un carré par exemple). Son
état
mental paraît donc avoir évolué formellement ; le
en hauteur, alors que la diaphyse se continue rectiligne comme à l'
état
normal ; 3° que les épiphyses ne sont pas tuméfié
s orteil ; il n'y a pas d'excavation sur le bord interne, comme à l'
état
normal. Bassin. - Légère antéversion; diminutio
.anatomique. Les principales déformations qu'on rencontre dans cet
état
sont, en dehors de la micromélie : le développe
ain degré d'aplatissement du bassin, la fracture de la clavicule, l'
état
mental aussi. ' En ce qui concerne la dysplas
, les tendances lubriques ne 14 1 CRESP1N ET BONNET sont pas il l'
état
de nuances, mais sont au contraire très accentuée
égénérescence, qui lui interdisait toute réflexion sérieuse sur son
état
et sur la vie elle-même. Le milieu fruste auquel
ntelligence amoindrie dès le principe. Du reste, l'observation de l'
état
intellectuel et mental de notre sujet était dif
a syphilis, avoue un degré d'éthylisme accen- tué et jouit d'un bon
état
de santé générale. Pas de traces d'infections anc
souffert. Il a souvent ressenti des démangeaisons violentes que son
état
de vagabondage peut amplement ex- pliquer.Nous
est indolore. L'analyse des urines donne une formule convenable. L'
état
général fonctionnel est celui d'un homme en ass
aux plis de l'aine. Nous avons recherché tout particulièrement l'
état
des diflérentl1s sensibilités. Il n'y a rien d'
l'on résume les particularités cliniques qui sont fournies par cet
état
pathologique on voit que les premières constatati
tes sont celles qui se rapportent aux modifications pigmentaires, l'
état
général du malade demeurant satisfaisant. L'assoc
e travail, j'ai re- cherché systématiquement, de 1908 à fin 1911, l'
état
des principaux ré- flexes de 2.304 gardes répub
e défectueuse, et que le ré- flexe achilléen se montre constant à l'
état
normal quand on le recherche en faisant mettre
peut pas être négligée en pratique. Lorsqu'un homme présentant cet
état
vient à contracter une affection nerveuse ou su
re lié à des conditions diminuant la mortalité, ne peut pas être un
état
congénital. L'absence permanente des réflexes a
feste de fréquence avec l'âge, ne peut donc pas être rangée parmi les
états
congénitaux. Dans les cas où l'absence n'est pa
toujours été et doive toujours rester monosymptomatique, soit que l'
état
monosymptomatique actuel représente le reliquat d
st pra- tiquée plus bas (Sicard). Les leucocytes divers de tous les
états
méningés, les globules rouges des hémorragies d
plus précocement et les plus fréquem- ment atteints à la suite des
états
méningés sont les nerfs de la base. Dans la cav
s et même aux sensations viscérales comme la faim et la soif et aux
états
affectifs. « Et notez que par ces figures je n'en
nos connaissances actuelles concernant la structure du neurone à l'
état
normal et pathologique se sont multipliées cons
part des substances qui existent dans une cellule se trou- vent à l'
état
colloïdal et celle remarque concerne non seulemen
ons de cette surface qu'il se produit différente changements dans l'
état
colloïdal. En l'état actuel de nos connaissance
'il se produit différente changements dans l'état colloïdal. En l'
état
actuel de nos connaissances, nous devons admettre
t consister en ce qu'il est constitué par un mélange de corps à des
états
physiques différents, solides, liquides ou gaze
u gazeux. Mais lorsque le système ne comporte que des corps de même
état
physique, il peut être encore hétérogène s'il e
est donc néces- saire d'avoir un terme nouveau autre que celui « d'
état
physique » pour désigner toutes les parties hom
au ouvert avec des mailles .polygonales qui dépassent 6 u, mais cet
état
n'est pas permanent, le réseau se rétracte, les m
e de Cajal ou celle de Bielschowsky produit une modification dans l'
état
col- loïdal du cytoplasma et par conséquent dan
s celui des neurofibrilles, Il serait vraiment extraordinaire que l'
état
physique des neurofibrilles ne changeât pas sou
d'argent; par conséquent nous devons admettre comme démontré que l'
état
physique des neurofibrilles, c'est-à-dire l'exi
ible par conséquent, tandis que l'élévation de température rend son
état
visqueux plus fluide. Les imprégnations métalli
eu de toluidine de se fixer sur les neurofi- brilles. De par leur
état
physique, les neurofibrilles se rapprochent davan
Les changements -du milieu interne de la cellule retentissent sur l'
état
colloïdal des neurofibrilles comme sur les autr
olloïdales qui constituent les corpuscules de Nissl ne sont plus en
état
de s'agglomérer pour leur don- ner naissance, l
tion ou même la dégénéres- cence granuleuse. En ce qui concerne l'
état
physique du hyaloplasma ou de la substance inte
transformer en un colloïde résoluble lorsqu'on vient d'altérer son
état
colloïdal ; du reste,le nucléole est très sensibl
dent assez exactement à celles que Lugaro et moi avons décrites a l'
état
normal dans les pièces fixées par le sublimé ou u
cellules contiennent des granulations disséminées, plus denses qu'à l'
état
normal, mais visibles, d'autres, une différenci
on des centres nerveux. Il produit des modifications profondes de l'
état
colloïdal de la cellule nerveuse.. Les cellules s
s dans ce dernier liquide offrent une luminosité plus grande qu'à l'
état
normal et que leur cytoplasma est parsemé de pa
- tion exercée par ces différents corps est sous la dépendance de l'
état
où se trouve la cellule nerveuse en expérience,
m en solution isoionique, je n'ai pas pu me faire une opinion sur l'
état
des cellules à cause de la rapidité de la cytolys
fois il offre deux arcs lumineux symétriques qui contrastent avec l'
état
diaphane de la plupart des cellules. - L'acti
r- sibles. Toujours ces études nous ontpermis-de mieux comprendre l'
état
physique de la cellule nerveuse et nous avons v
s. Grâce encore à cette étude nous avons pu nous rendre compte de l'
état
physique du noyau et des neurofibrilles et nous a
ile. a3. Cellule dont toutes les granulations de cytoplasma sont en
état
de dissolution. Contour lumineux de la membrane
ndent à se diriger en haut, en dehors et en avant, reproduisant à l'
état
d'ébauche une disposition qu'on retrouve chez q
opposées, agissant pour trans- former la colonne vertébrale. A l'
état
normal, les deux tendances constituent le type ha
erceptibles. On constatait en outre chez elle comme chez sa fille l'
état
ogival de la voûte palatine. Ses dents étaient
(10), Schorslein (11), Carpenter (12) (l'auteur ne mentionne pas l'
état
du crâne, mais les photographies montrent que la
ts d'aplasie claviculaire dans lesquels on ne fait pas mention de l'
état
du crâne publiés par Morand (24), Martin (25), St
ur ce motif qu'il ne peut pas nous donner des renseignements sur leur
état
. Il n'a plus ni frères ni soeurs. Mais ils ont
i attire tout de suite l'attention lorsqu'on observe ce malade, est l'
état
du crâne. Eu effet on constate que le frontal p
sent pas le fragment externe. L'os est d'ailleurs plus mince qu'à l'
état
normal. ' Taille : 1 m. 44. Longueur du tronc d
mètres. Les différents segments des membres sont plus courts qu'à l'
état
normal. Les doigts gardent leurs proportions re
pas être exclu, étant même vraisemblable, vu ses rêves ainsi qu'un
état
de vasodilatation de l'extrémité du nez et des
cas absolument certains. Parmi les cas d'aplasie claviculaire où l'
état
du crâne nous est resté ignoré, nous trouvons s
d'aplasie claviculaire, nous n'avons pas de données précises sur l'
état
du crâne ; nous trouvons signalés dans les cas su
e il est entré à l'hôpital pour des troubles rénaux et ignorant son
état
dénutrition antérieur, il nous est difficile de n
3). En outre dans ces cas les auteurs se sont contenté de décrire l'
état
des clavicules, des insertions musculaires de l
de cette dystrophie. Nous igno- rons complètement en particulier l'
état
des glandes à sécrétion interne et nous croyons
nt sur les crises convulsives du père, sur les fausses couches et l'
état
des tibias de la mère, ainsi que sur l'état du
es fausses couches et l'état des tibias de la mère, ainsi que sur l'
état
du fond de J'oeil de la fillette. Ces mêmes auteu
suppose une anomalie régressive, la clavicule manquant ou étant à l'
état
tout à fait rudimentaire chez certains animaux.
tant plus qu'elle n'expliquerait pas d'autres phénomènes tels que l'
état
des dents, la taille petite, etc., obser- vés a
» qui, au mois d'avril 1908, se serait su- bitement réveillée de l'
état
léthargique où elle se trouvait depuis 32 ans ;
la durée de la maladie, et que, par cette raison, la description de l'
état
de Caroline ne puisse présenter de précision vé
r ne se lever que 32 ans plus tard. Au- cune cause plausible de son
état
n'a pu être découverte; apparemment, sa maladie
aient guère il un cas de ce genre. Elle resta toujours dans le même
état
de stupidité, sans parler, insensible aux piqûr
stérique », et après 15 jours, on la renvoya chez elle dans le même
état
qu'à son arrivée. Depuis, elle était soignée clan
mais la mort de la mère ne provoqua aucun autre changement dans son
état
. A partir de ce moment, ce fut le père qui, une
e scientifique, il est évident que Caro- line s'est trouvée dans un
état
d'inhibition avec négativisme qui corres- pond
contre, une certaine tendance à la simulation a dû caractériser son
état
, bien que les manifestations de celle-ci aient
ologiques qui avaient occasionné sa longue stupeur se trouvaient en
état
de régression ; on a le droit de croire que Carol
e de la maladie. Toutefois, cette supposition restera forcément à l'
état
d'hypothèse. Certaines circonstances rapportées
r la tendance aux exagérations démonstratives qui caractérisent les
états
de troubles hystériques. Il est à noter que C
s sa conscience. Il est probable que Caroline s'est trouvée dans un
état
très prononcé d'épuise- ment psychique et d'inh
gmenta considérablement. Durant cette période, il se trouva dans un
état
de stupeur avec anesthésie ; cependant, on réussi
o- matie et que la tendance constatée de la catatonie à simuler les
états
psy- chasthéniques et hystériques nous incitent
articu- LA DORMEUSE D'OKNO. - 32 ANS DE STUPEUR 279 lier, car son
état
anormal semble avoir duré pendant toute la périod
ire et des troubles de la motilité. Membre supérieur gauche : A l'
état
de repos, le pouce est en extension et abductio
s, 15 ma. Pendant ce séjour à l'hôpital, malgré l'amélioration de l'
état
général et un il traitcnent électrique, le m,il
rieur droit. Dans un troisième séjour, du 22 mars au 22 mai 1902, l'
état
resta encore sans amélioration, et le malade se
ssi sous des aspects très variés et sans relations évidentes avec l'
état
des fibres nerveuses ; il existe des gaines de
288 LONG de fibres saines, en général groupées ; les autres sont en
état
d'atrophie rela- tive, et entourées par des gai
s gaines de myéline présentent des segments inter-annulaires en bon
état
de conserva- tion, intercalés entre des fragmen
rifascicxclai·e et inlerfasciculaire. Vasa nervorum. On sait qu'à l'
état
normal, les enveloppes conjonctives ne sont pas d
a longueur d'un même nerf, ce qui rend malaisée l'appréciation d'un
état
pathologique de faible inten- sité. Sur l'ensem
t parésiés), les fibres nerveuses sont moins non]-, breuses qu'il l'
état
normal, les unes en bon état de conservation, les
uses sont moins non]-, breuses qu'il l'état normal, les unes en bon
état
de conservation, les autres de volume très rédu
it : le tissu conjonctif intrafasciculaire est plus abondant qu'à l'
état
normal et forme des travées fibreuses, mais on ne
men- tation de volume des troncs nerveux. Quelques vasa nervorum en
état
d'hypertrophie. Ces lésions des nerfs sont syst
er des bles- sures par éclat d'obus et des gelures pour expliquer l'
état
des membres infé- rieurs, et le saturnisme pour
lamelleuse et développement exagéré» du tissu interstitiel, tantôt
état
presque normal. Dans les muscles : lésions atro
plus fréquentes dans les nerfs intramusculaires. Dans les muscles :
état
lardacé, augmentation des noyaux du sarcolemme,
sclérose névroglique ; prolifération en îlots de l'épendyme, parfois
état
criblé de la substance grise. Dans les ganglion
e et de l'endonèvre avec augmentation des noyaux. Dans les muscles,
états
variés de régression allant jnsqu'à la transfor
laire progressive et considèrent les lésions comme le résultat d'un
état
dégénératif primaire très étendu, frappant à la
sissement des parois vasculaires ; des fibres saines persistent à l'
état
isolé au milieu de l'atrophie; quelques-unes sont
volume normal des gaines de Schwann d'une épaisseur exagérée et un
état
fibreux ou réticulé du tissu conjonctif intra-fas
e par la plupart de ceux qui ont trouvé dans leurs préparations cet
état
histologique singulier (1). Mais encore ici, la d
s encore ici, la dystrophie interstitielle n'a aucun rapport avec l'
état
de l'élément conducteur ; on peut voir une fibr
ession la dis- parition des éléments conducteurs. Dans ces divers
états
anatomiques, les lésions des nerfs périphériques
es. Ces dégénérescences médullaires, dans des observations où aucun
état
spasmodique, ni cérébelleux ou ataxique, n'en f
, n'en faisait prévoir l'existence, montrent bien qu'il s'agit d'un
état
dégénératif disséminé, altérant avant tout les él
les psychiques, va- riant depuis le déséquilibre mental jusqu'à des
états
constitutionnels plus caractéiisés, tels que la
ois un épaississement des parois des vaisseaux, inexplicable par un
état
inflammatoire ancien ou récent, et qui parait bie
un état inflammatoire ancien ou récent, et qui parait bien être un
état
dégénératif hypertrophique. Nous terminerons
n flexion. On constate de l'atrophie de la jambe gauche. En 1903, l'
état
est sensiblement le même : les crampes douloureus
flexion, d'adduction et de rota- tion en dedans sont normaux. Même
état
des réflexes. Les douleurs, quoique très diminu
e service et on constate à ce moment une notable aggravation de son
état
; il n'est toutefois pas complètement impotent
ontrant les rapports de la masse adipeuse t et de la moelle. Avec l'
état
de cette dernière aux différents segments lombair
des lésions irritatives et en particulier de lésions vasculaires. L'
état
des racines est va- riable suivant qu'il s'agit
tte application de courants électriques ayant été aban- donnée, son
état
empira de nouveau (1910). Alors il s'aperçut qu'i
e celle de la supination et celle de la pro- nation, la main est en
état
de flexion sur le' poignet et les doigts en état
tion, la main est en état de flexion sur le' poignet et les doigts en
état
de demi-flexion sur la main, sauf l'auriculaire
phalange en position d'extension extrême et sa deuxième phalange en
état
de flexion sur la première. Il est de toute évi
suel, perception des couleurs), l'ouïe, le goût, l'odorat, sont à l'
état
normal des deux côtés. Examen électro-diagnos
nts éthiques qui le sont presque autant. Le sujet s'intéresse à son
état
dans une juste mesure, il exé- cute scrupuleuse
développement considérable des hallucinations. Après le retour à l'
état
normal, récit détaillé des troubles psycho-sensor
l'ilôtel-Dieti et de là sur St-Jacques. Examen du malade pendant l'
état
psychique aigu, 22 juillet 1911. A sou arrivée
mort.» - On remarque qu'il se rend compte à certains moments de son
état
, mais tout en causant il a de fréquentes halluc
énomènes aigus, 5 août. L'enfant nous fait un récit détaillé de son
état
: Il déclare encore « C'est la lecture qui a fa
° ,le pouls à 80. Une légère purgation saline améliore beaucoup cet
état
. L'après-midi, à la contre-visite, nous lui montr
... » Il sort en chantant. 12. - L'enfant est toujours dans le même
état
. Il cesse de chanter cependant pour nous dire q
r la magie et invoque la religion pour le défendre : il est dans un
état
émotionnel douloureux quoiqu'il chante tout ce qu
épondant difficilement aux ques- tions qu'on lui pose. Retour à l'
état
normal et récit des faits, 22 août. L'enfant nous
l chantait pour aller au paradis. Il déclare qu'il est revenu à son
état
normal presque tout d'un coup... En somme l'enf
ance de tout ce qui s'est passé. Il précise tous les détails de son
état
. Depuis dix jours le calme est persistant. L'ap
re. Ainsi lorsque ce petit malade nous fut a mené, il présentait un
état
aigu, hallucinatoire, illusionne ! , délirant,
ionne ! , délirant, avec anxiété extrême. A de rares intervalles, l'
état
émotionnel douloureux était remplacé par de la jo
illait régulièrement avant ses méditations sur la magie. Pourquoi l'
état
émotion- nel douloureux (peurs, inquiétudes, ca
des accidents psycho-sen- soriels observés ? Pourquoi serait-ce un
état
toxique inconnu d'ailleurs ? Le gérant : P. Bou
s de Ramsay Hunt ne comporte d'examen ana- lomique,etd'autre part l'
état
des réflexBs, en particulier du réflexe cutané
nguer dans l'intérieur des vaisseaux des globules rouges en parfait
état
. Il y a cependant un rétrécissement consi- déra
léger degré de sclérose péri- vasculaire et dans deux de nos cas un
état
fenêtre du territoire d'une pe- tite artériole
le adulte des fibres musculaires, dont quelques- unes sont clans un
état
de conservation aussi remarquable que les fibres
is solognat. Il ne se rend aucun compte de sa situa- tion et de son
état
actuel et déclare qu'il va faire venir sa femme e
cutif,urination involontaire, Après la crise, le malade présente un
état
confusionnel plus accentué : ses pro- pos sont
haque attaque convulsive est suivie pendant plu- sieurs heures d'un
état
crépusculaire, durant lequel le malade tient des
n nouvel accès convulsif. Th. se trouve presque constamment dans un
état
d'obnubila- tion très accentué : ses propos még
en- tourage. Il parait actuellement s'acheminer rapidement vers un
état
démentiel de plus en plus accentué. ÉPILEPSIE
troubles mentaux s'accentuent rapidement et paraissent aboutir à un
état
démentiel de plus en plus marqué. ' La pathog
ur droit il faut pren- dre encore quelque précaution, le laisser en
état
de repos, le faire appuyer 408 PASTtNR * du c
, qui néanmoins n'existerait pas quand il est couché au lit, dans l'
état
de repos absolu. Du reste, pas de douleurs, ni au
Depuis que le Professeur Pierre Marie a appelé l'attention sur les
états
de rigidité vertébrale avec ankylose des racine
ches, avec les cuisses fléchies sur le bassin. Elle calcule que cet
état
est resté le même deux ans, pendant lesquels le
bes (Babinski) est positif. a les signes de Raimiste et Grasset à l'
état
d'ébauche. Sensibilité. -Elle est affectée dans
de nouveau au mois de septembre. Il était, à peu près, dans le même
état
. 19 octobre 1912. Depuis quelque temps il jette
tions pupillaires sont normales. La sensibilité est normale. Même
état
dans un deuxième examen en 1908. On note des ve
extrêmement diminués s'ils existent. L'examen est très difficile vu l'
état
de fai- blesse extrême du malade. Le réflexe
tance blanche, il reste dans le cordon antérieur quelque trace de l'
état
réticulé de la coupe précédente, dans le cordon
eur, et au niveau de l'angle inferieur du cordon antérieur, le même
état
réticulé que dans l'observa- tion 1 (voir fig.
n profond de la face antérieure prédominant à droite. Du même côté,
état
réticulé de l'angle supéro-interne du cordon an
avec fièvre modérée 38°, 38°5. Elle présente à étudier, ou- tre son
état
général et des arthrites chroniques des hanches,
Examen du système nerveux. - Rendu difficile par les ankyloses et l'
état
de la malade. Réflexes rotuliens : impossible
de sa lille), ce qui cadre bien avec l'intensité de l'atrophie et l'
état
des réactions électriques. En résumé, chez un
vant-bras, pas d'altérations ac- cusées des réactions. A gauche :
état
sensiblement le même, pour le médian et le radial
nerf et sur les muscles dans le domaine du cubital à la main. Même
état
qu'à droite dans le domaine du médian à la main.
uterons enfin les troubles de réactions électriques. Par contre l'
état
des réllexes, l'existence ou l'absence de trouble
, radiculaire ou névritique. Ainsi donc, malgré la variabilité de l'
état
des réllexes, l'atrophie isolée non progressive
il manque le plus souvent. Nous avons vu l'incertitude où laisse l'
état
des réflexes. Il semble, à voir nos observation
d'autres faits les modifient. Elles résument cependant, pour nous l'
état
actuel de la ques- tion. Un point demeure obs
ous eûmes l'occasion de voir pour la première fois dans le coma, en
état
decrises presque subsistantes, qu'en raison des
action des muscles de la face. Cependant la malade, plongée dans un
état
de torpeur, cau- sait par intervalles, pour ret
mais on ne s'attarde pas en ce moment à ce détail, en raison de son
état
. Le soir, la malade reste dans le coma. Elle a
parence normale. Le 29, on apprend que la nuit s'est passée dans un
état
de crises subin- trantes. Le matin, les convuls
remiers troubles psychiques ont commencé au mois de mai 1911 par un
état
de somnolence. ' Ensuite elle devint très irasc
Obregia) (1) a vu le malade (en ville) pendant qu'il présentait cet
état
. Ce n'est qu'à la suite d'une amé- lioration qu
ème. Le tissu adipeux du tronc et des membres plus développé qu'â l'
état
normal couvre les reliefs musculaires et donne au
oids du malade : 72 kilos. Au point de vue psychique ou constate un
état
de démence simple sans phénomènes délirants. On n
er, etc. Malgré un traitement spécifique (injections de calomel), l'
état
du malade s'est empiré. Il commença en outre à
mpiré. Il commença en outre à engraisser au sur et à mesure que son
état
psychique déclina. Il eut à plusieurs reprises de
semble augmenté, la consis- tance est également plus grande qu'à l'
état
normal. La rate (125 grammes) ne semble pas alt
RHON ET URECHIA Au point de vue microscopique on nota dans ce cas l'
état
du corps thy- roïde, de la surrénale du côté op
is que dans d'autres follicules les cellules sem- blaient plutôt en
état
hyperfonctionnel. On nota aussi un petit kyste gr
que celte dernière peut constituer une cause d'obésité. Ensuite l'
état
adénomateux d'une des capsules - surtout associé
urrissant abondamment peuvent arriver à l'obésité surtout lorsque l'
état
d'autres organes (testicu- les, surrénales, etc
dans des cas où on ne trouve pas d'obésité. Il faut alors voir si l'
état
d'autres glandes ne peut contribuer également à
ophysaire. , Il ne serait pas complètement impossible qu'un certain
état
d'hyper- fonction conduisît à l'obésité et que
édents alcooliques, leur alimentation. » On peut penser aussi à l'
état
du tube digestif, à la vasodilatation des organ
et où elle suit un traitement électrique, qui n'améliore guère son
état
. Les articulations de ses genoux deviennent pou
à partir du 30 juin. Novembre 1912. Malgré l'opothérapie associée l'
état
morphologique ne s'est pas modifié. Au premie
de volume indépendamment du reste du corps ! Depuis cette époque l'
état
général s'est amélioré d'une façon constante, mai
grissement, qui survint à la suite d'une grippe, contrastait avec l'
état
de parfaite nutrition qu'accusait le reste du cor
les affections intermédiaires entre ces deux syn- dromes, certains
états
d'épaississement tégumentaire associés à des affe
astinal, ou si le tissu cellulo-graisseux du médiastin n'est pas en
état
de prolifération lipoma- teuse. On comprend que
’abord, Un homme fut, en octobre i8/|2, amputé de la cuisse, dans l’
état
d’insensibilité magnétique, par le Dr Ward. En
pris? Les réminiscences de leurs principes et de leurs croyances en l’
état
de veille; puis, la fantaisie s’emparant de leur
ontinuerait d’empiler ses écus, le tourneur de chaises exercerait son
état
, le tisserand ferait de la toile, dans ce monde s
t du Gers, M. Tanazac, nous donne quelques détails intéressants sur l’
état
du magnétisme dans son pays, et une cure qu’il a
demandait ce qu il pensait du changement survenu si rapidement dans l'
état
du bras, il fit cette réponse digne de Loyola, ou
« Les personnes sont prises au hasard dans l’assemblée, et mises en
état
de subir ces étranges mutations. Nous vivons vrai
aîtrait-on l’identité? Ce ne serait qu’un caméléon dont l’aspect et l’
état
toujours changeants ne permettraient de rien conc
bles, l’idée d’un monde meilleur que celui-ci, où la souffrance est l'
état
normal du plus grand nombre, vous a souri, et vou
sions occasionnées par des douleurs dans le ventre, et c’est dans cet
état
qu’elle se décida à consulter une somnambule. Aus
agnétisée fut employée, et comme les dents étaient serrées, pendant l’
état
convulsif on en faisait pénétrer quelques gouttes
tisme et son organe m’engage à \ous présenter aussi le tableau de son
état
. Les sciences ne s’étendent que pendant la paix
che importante de la propagande. Tel est, messieurs, le résumé de l’
état
du magnétisme dans le monde. J’ai cru utile de vo
même fortement, sans trouver vestige de sensibilité, et pourtant cet
état
revient dès que le sommeil est dissipé. Cette aff
au en est rude et épaisse, tandis que celle du côté sain est dans son
état
normal. 20 mars. — Pouls, 98; respiration , 18
ini avec la femme Huro, j’examinai encore Sonatum, et je le jugeai en
état
d’être opéré, ce qui eut lieu de la manière ordin
fait reverdir une plante morte qui a sa racine, et qui la met en même
état
que si elle poussait en pleine terre. De cette Pa
amen. Il désira aller à l’hôpital. II y est venu le 3. Son constant
état
de souffrance rend extrêmement douteux qu’on puis
objets extérieurs, quoique grands ouverts, et en apparence dans leur
état
naturel, qu’il me soit permis de re- porter cec
me disposai à opérer cet homme. Il avait été depuis deux jours dans l’
état
le plus satisfaisant, et je conclus de là qu’il e
dans ma pratique mesmérique à Calcutta. Je parle de l’invasion de l’
état
de veille par l’état de sommeil, que l’on verra d
érique à Calcutta. Je parle de l’invasion de l’état de veille par l’
état
de sommeil, que l’on verra dans ce cas et le suiv
e n’est pas un phénomène accidentel, mais un symptôme spécifique de l’
état
mesmérique, je vais citer quelques cas dans lesqu
n de toucher le mal avec l’acide, pendant que la femme était dans son
état
naturel. Quoi que je pusse penser do cette demand
ui procurer, je la mesmérisai. Je fis une opération sur elle dans cet
état
; quand elle s’éveilla, elle n’eut aucun souvenir
sans grande douleur. La mobilité du coude est redevenue presque à son
état
normal, et celle du poignet est entièrement libre
lir de mon mieux la tâche que je m’impose, je vous dirai un mol sur l’
état
actuel du magnétisme en Italie, ou plutôt, car ce
trois ou quatre heures chaque nuit, sans user de narcotiques, et son
état
général s’est amélioré. C’est peut-être là tout c
rapidement, tandis que celle de la cheville droite resle dans le même
état
. Du 28. Un ulcère a percé sur la cheville décol
avril. Ulcère cicatrisé, enflure et douleur nulles. La malade est en
état
de sortir de l’hôpital, et de retourner chez elle
des Journaux. —Notre dernier volume est presque rempli de relations d’
états
concernant des personnes qui se croient obsédées
se en rapport avec un jeune homme atteint d’une fièvre maligne dont l’
état
ne laissait plus d’espoir de guérison, ordonna l’
être irréligieuse, il éloigna ces jeunes personnes, et mourut dans un
état
de consomption trois mois après leur départ. Le
lement chez l’individu bien portant soit la maladie régnante, soit un
état
de malaise qui peut dégénérer en une aflêction qu
s. L’homme a double vie; la science connaît bien l’une : celle de l’
état
de veille; et tous les humains sont sur ce sujet
couchée dans un lit, étendue sur le dos, et ayant les membres dans un
état
de raideur tel, qu’il est impossible d’en déler-m
voit que le globe de l’œil roule dans l’orbite, et qu’il est flans un
état
convulsif profond, ainsi que cela a lieu dans les
la malade. La peau, devenue terreuse seulement aux mains, est dans un
état
de chaleur normale. Les mouvements du cœur et du
tudinaire depuis seize mois, est depuis cinq semaines non pas dans un
état
de sommeil, mais de contracture spas-modique, de
érée, le cerveau finit de se prendre , et le malade est alors dans un
état
nerveux qui lui donne presque des moments de fure
es malades, qui, en i832, a arraché à la mort des cholériques dans un
état
désespéré, et combat tous les jours avec le plus
e place, et endormit le malade. Le lendemain, mieux sensible dans l’
état
général. Le malade a dormi la nuit. L’enflure de
es battements tumultueux. On ne saurait s’y méprendre, ce sont deux
états
diilè-rents ; ils ont d’ailleurs des résultats qu
lé par le vin n’a aucune liberté: il est presque apoplectique. Dans l’
état
magnétique, au contraire, les esprits sont dégagé
9. VARIÉTÉS. Catalepsie. — On lit dan9 l’Hermine, de Nantes : « L’
état
de la jeune cataleptique dont nous avons déjà ent
de M. Gravé pour arracher par l’effet des passes magnétiques , de son
état
deHorpeur, la pauvre jeune iille qui, avant son a
st en ce moment atteinte du même mal, après être tombée dans ce cruel
état
à la suite d’une visite à sa malheureuse parente.
rtains de son action , une modification ré,elle et apparente dans 1
état
de l’intéressante malade, ce que n’a pu faire la
e dans la simple action des muscles, qu’à chaque acte de la volonté l’
état
électrique éprouve un changement en plus ou en mo
une succession de transmissions d’électricité , lequelles altèrent l’
état
électrique du cerveau de la personne magnétisée,
ra (outre les particularités individuelles qui modifient, même dans l’
état
de santé, la susceptibilité nerveuse), impression
ue en présence d’un public nombreux : savants, médecins, curieux. L’
état
d’Anne Chaigneau est constaté dans la lettre du D
de la précédente séance, car M. Grave trouva la malade dans le même
état
, même moins bien qu’en la quittant. Après une h
t des yeux de tous les assistants, étonnés el attendris. Dès lors l’
état
cataleptique cessa, et après un vomissement de sa
Quatrième séance. — M. Gravé trouva la malade retombée dans le même
état
, par suite du tumulte de la veille. Il y avait tr
en -catalepsie. La magnétisation la faisait chaque fois sortir de cet
état
. mais elle y retombait toujours en l’absence de M
a sorte, la science se formerait promptement. Aperçu sur différents
états
de l’extase magnétique. L’extase est cet état m
perçu sur différents états de l’extase magnétique. L’extase est cet
état
magnétique où l’âme, détachée des sens, n’est plu
e spirituelle. Nous allons successivement passer en revue ces trois
états
différents, dont nons avons recueilli des exemple
naître les phénomènes magnétiques les plus intéressants. Le premier
état
de l’extase, celui où des substances matérielles
umains recueillis dans un dolmen, ou tombeau druidique. Le deuxième
état
, celui qui dévoile au sujet la perception du mond
res d’IIerculanum, une Muse antique, Mel-pomène, en un mot. Voilà 1
état
du sujet dans ses rapports avec son semblable, da
on esprit, puisque la vue lui en était cachée ; c’était seulement les
états
de lame des autres personnes magnétisées qui la p
nt : le miroir et ses images n’étaient rien pour elle. Le troisième
état
extatique , celui où le sujet n’ayant ou n’accept
ndit et absorbe toutes les autres modifications de l’âme. C’est cet
état
qui donne aux sentiments les plus délicats et les
seul est son objet. Ce sont les phases et les développements de cet
état
surnaturel que j’ai tant admirés et si vivement s
énible. Le maître, alors, jugeant à propos de mettre un terme à cet
état
, d’un geste la dégagea du fluide qui le détermina
et sans secousse l’un de ses genoux sur le parquet. Elle était à l’
état
d’extase!.... Ce fut alors que commença, pour l
ent. Tel était l’ensemble de sa pose et de son expression. Dans cet
état
de béatitude indicible, elle sem- blait prier,
était transfigurée!....... Ses formes physiques étaient passées à l’
état
d'idéal; les contours de son visage étaient épuré
ion, dans une extatique immobilité qui n’aurait représenté qu’un seul
état
de l’àme, qu’une seule note de l’harmonie animiqu
e, qu’une seule note de l’harmonie animique universelle.....Non ! cet
état
phénoménal eut son enchaînement de phases qui for
e, p. 65, 2- édition. Ainsi disposé, M. do Tristan, pour juger de l’
état
électrique do l’atmosphère qui l’entoure, prend d
uféreuccs mngnétlqnes dominicales. Magie magnétique. (Suite.) T/
état
du voyant, que je viens de décrire, ne peut offri
ux êtres, c’est-à-dire de l’équilibre parfait du fluide entre eux à l’
état
normal, résulte /’indifférence j « 2° Que du co
tivement magnétique à l’individu chez qui le fluide est seulement à l’
état
normal, résulte l'influence d’attraction ou la
plus haut degré, à l'individu chez qui le fluide existe seulement d l'
état
normal, résulte l’influence mauvaise, l’influence
négativement magnétiques, ou chez qui le fluide existe seulement à l'
état
normal, résulte l’influence de rayonnement, l’inf
doit être un agent de perturbation sur les organes, en modifiant leur
état
actuel pour y substituer un état nouveau. La méde
n sur les organes, en modifiant leur état actuel pour y substituer un
état
nouveau. La médecine ne procède pas autrement: le
e prescrit ont pour but de produire la perturbation artificielle de l’
état
morbide spontané, de manière à déterminer la cris
crise par suite de laquelle celui-ci disparaîtra pour faire place à l’
état
normal auquel il avait momentanément succédé. De
t à entretenir la vie, et dont Je juste rapport entre eux constitue l’
état
de santé. Après avoir développé avec beaucoup d
son, c’est-à-dire comme moyens de perturbation , de modification de l’
état
morbide, les toniques, les stimulants, les sédati
elle de la sensation douloureuse et des symptômes qui caractérisent l’
état
morbide, c’est donc, ajoute l’auteur, se donner t
es probabilités d’un prompt retour de la circulation des liquides à l’
état
normal. Résumant notre analyse, relativement à
Ramener à l'équilibre les divers fluides dont l’harmonie constitue l’
état
de santé. Proposition des plus rationnelles, et q
n de certains remèdes, mais que l’on voit souvent impuissants quand l’
état
pathologique exige qu’on actionne simultanément p
endu, des cas où une crise nécessaire semble aggraver momentanément l’
état
du malade); pour nous (à part certains cas d’hé-m
st là, dira-t-on, l’idéal du bon magnétiseur, et peu d’hommes sont en
état
de le personnifier complètement, nous en convenon
é, il admet, après examen, la réalité des merveilles inhérentes à cet
état
qu’il considère avec raison comme devant éclairer
nspect dans le recours aux consultations médicales des somnambules. L’
état
de somnambulisme se présente, dit-il, sous tant d
celui de médecins de l’âme, titre que personne mieux qu’eux n’est en
état
d’exercer avec cette foi vive, cette ardente char
que, les cinq qui suivent : la guérison y a ¿■té obtenue sans que l’
état
de veille ait été suspendu. M'i“ M*** : gastrit
tisée, huit éprouvèrent des effets non équivoques, et relatifs à leur
état
de santé. Une des somnambules, qui ne s’était sou
r, et je la mis à l’eau magnétisée. Elle entrait promptement dans cet
état
comateux où toute locomotion se trouve empêchée ,
chée , mais elle dormait lort peu. L’effet quelle ressentait dans cet
état
, elle le comparait ensuite à ce que lui avait fai
magnétiseurs accablent de questions les magnétisés, avant même que l’
état
magnétique soit bien atteint; ils les influencent
résence de sa famille, ou d’amis seulement, me semble être sorti de l’
état
de veille, je lui demande s’il est assez magnétis
; et, dès cet instant, je ne lui parle plus. Quelquefois son nouvel
état
l’absorbe si profondément , qu’il n’en dit rien d
e, si tant est qu’elles aient des limites ; mais je crois que, dans l’
état
encore trop peu avancé de la science, au lieu de
sommeil survient; mais il n’est point magnétisé. Je le laisse dans un
état
de torpeur remarquable qui dura cinq heures; poin
continue la magnétisation, 11.% et laisse mon malade dans le même
état
de torpeur cpie le malin; deux heures après une r
*** entre en convalescence, il désire néanmoins être magnétisé; « cet
état
de sommeil me fait tant de bien! » me disait-il.
és avec une adresse et une dextérité de mouvement impossibles dans un
état
ordinaire. Puis, s’élançant à travers tous les ob
, Augusle-Artbur Giblat, âgé de cinq ans, natif de Paris, a éprouvé l’
état
de maladie suivanl: Le ier août 1847, un mal de
udre, des pilules, et du sirop. Le 20 novembre le malade était dans l’
état
suivant : Plus de sommeil ; la tête penchée sur
on ci-dessus, dans son élat de maladie, et que je l'ai revu depuis en
état
de guérison. V1AUT. Collis MATHE, oncle do l'
ollègues qui l’ont d’abord magnétisé en riant, font maintenant de son
état
une élude sérieuse. C’est un événement dont on pa
ectées d’cléplian-tiasis. Dès la seconde magnétisation, il était en
état
d’être opéré. Électrisé, piqué, pincé, etc., en v
oncés, étaient : Pourquoi me couper '( Pourquoi me faire dormir ? Cet
état
continua jus-qu’à cinq heures, alors on le change
rnal du Magnétisme, (ome V, page 268. lirait jamais à être opéré en
état
de veille , et maintenant il dit que Itrahma est
le sommeil magnétique. Ceux qui connaissent les particularités de l’
état
mcsmérique, ont souvent observé que ses sujets mo
source de tout bien et de toute vérité. Le principal caractère de cet
état
élevé de la sensibilité, est une répugnance pour
robablement aux influences qui les dominent, principalement si leur
état
moral ordinaire n’est pas bon; mais ce qui est ce
de déguisement ; tellement qu’il leur serait très-difficile, dans cet
état
, d’agir à parte, comme ils sont souvent accusés d
ccorder leur croyance aux faits de l’action mesmérique. Et si, dans l’
état
de veille, ils eussent consenti à devenir complic
e cette dissimulation qui s’attache si fréquemment à l’homme dans son
état
naturel. « Un jeune homme, nommé E. A*** nous p
ais, à présent, je comprends que je n’ai « pas bien agi. » « Dans l’
état
mesmérique, le caractère de ce somnambule présent
e de ce somnambule présentait un contraste frappant avec celui de son
état
de veille. De bonnes dispositions morales et de g
il cherchait à peine à dissimuler. Je lui demandai, un jour, dans son
état
de veille, ce qu’il pensait qu’il dût advenir de
nes. « Le même somnambule, quoique dépourvu de sensibilité dans son
état
de veille, semblait toujours, quand il était mesm
regrettait les erreurs de ses heures de la veille , el parlait de son
état
naturel comme d’une existence exceptionnelle. Sou
me je les vois maintenant! » Il n’y a personne qui, l’ayant vu dans l’
état
mesmérique, n’ait re- marqué le changement en m
ste en général, et montrant peu de sensibilité, il manifestait dans l'
état
mesmérique toute la chaleur d’un naturel plein de
xpression du plus profond chagrin ; tellement , qu’il semblait hors d’
état
de parler. Quand je lui eus demandé la cause de s
us quitter.... « Combien je le regrette profondément! » Rendu à son
état
de veille , il rit, parla , et parut tout indiffé
ve et saisit le moyen de se satisfaire, sont le triste apanage de cet
état
. Le magnétiseur qui commence n’aperçoit point c
hasard vient enlever tout espoir en replongeant les malades dans l’
état
où d’abord ils avaient été pris. On obtient don
u’on tenta, fut faite dans le but de s’assurer jusqu’à quel point cet
état
était permanent, ou pourrait être maintenu par un
pas plus d’un demi pouce de longueur. Quant à la possibilité de cet
état
, cela ne peut pas être l’occasion du moindre dout
ur ne réclame que la seule découverte de la localité de l’organe. L’
état
de l’électricité du sujet fut trouvé négatif, et
qu’on n’a pas eu le temps de lui porter les secours que réclamait son
état
. Revue des journaux. — L e Journal des Théâtres
du lendemain, ce qui retardait beaucoup sa guérison , surtout dans l’
état
de faiblesse où elle était pendant les trois quar
vous écrire. Elle va aussi bien que possible. Elle serait déjà dans l’
état
normal, si une meilleure nour- ri turc avait se
Quant à Marie Rivierre, ainsi que je vous l’ai annoncé, elle est à l’
état
normal. Son traitement a été aussi compliqué que
i avait été soumis à l’action de la médecine ordinaire, était dans un
état
qui laissait peu d’espoir pour sa cou- servatio
nt complètement revenues ; la croissance reprenait son cours. « Cet
état
n’a fait que s’améliorer depuis, et aujourd’hui ,
Marion est dans d’excellentes conditions : on peut dire même dans son
état
normal. Il a grandi, sa taille est parfaitement d
ogistes magnétistes qui ont observé et décrit, autant que le permet l’
état
de la science, le jeu du fluide mesmérique sur le
uire le charme qui dominait ce jeune frénétique, et à le rendre h son
état
normal. Cette expérience réussit admirablement
s, où les lois les plus simples, les mieux établies des facultés, des
états
, des opérations, des connaissances de l’âme sont
omotion et-de mouvement: toutes ses autres facultés sont laissées à l’
état
de repos. Ayant placé un jeune homme fort sensi
lus complète connaissance de l’homme; à l'examen philosophique de ces
états
si surprenants où, sans être plongé dans un somme
où ce sens intime nommé conscience, n’est plus là pour constater les
états
, les facultés , les opérations, les connaissances
ns et ses rapports avec les organes sensuels et corporels? Dans son
état
naturel (nous n’osons pas dire normal, car cette
ui se compose de pensées, de sentiments et de volontés. Mais dans les
états
que nous avons décrits, tous ces principes, dus à
caractéristique, ses cris inarticulés durent souvent plus que dans l’
état
naturel. Ils se prolongent quelquefois plusieurs
rs heures , lorsque, par suite d’hé-morrhagie, le délire s’ajoute à l’
état
mesmérique, comme il est arrivé pour Shaik Mannic
es; quelques phénomènes de lucidité médicale vinrent se joindre à cel
état
singulier. M1'* Angélique se prescrivit des fumig
airer sur la nature de sa maladie ; tous les remèdes appropriés à son
état
se présentaient instinctivement à son esprit. Le
s propos perfides exaltèrent son imagination, en lui représentant cet
état
anormal comme le résultat d’expériences coupables
tique; elle me promit de ne faire aucune tenlative pour sortir de cet
état
. Le lendemain, à neuf heures du matin, elle ne s’
nterrogeais pour connaître son opinion sur les voyants qui, pendant l'
état
de veille, croient apercevoir dans un globe de ve
c autant de facilité qu’auparavant, mais il ne consistait que dans un
état
d’assoupissement presque continu. Alors, à ma gra
ment. Dix-huit magnétisations d’une heure par jour l’ont rendue à son
état
normal. 7° Une violente douleur du dos qui empê
ther. Cette solution nous parait effectivement très-probable dans l’
état
d’engouement où sont les esprits de la prodigieus
iations dans l’intensité de ces émanations provenant de l’àge ou de l’
état
de santé des individus; mais il n’y découvrit rie
en appuyant les mains sur ma téle, je fus guérie parfaitement, et en
état
d’aller à la messe. Les médecins en furent si éto
igation du souvenir au réveil. En effet, à peine rentre-t-il dans l’
état
de veille, que le nom de l’individu, tel qu’il le
int ainsi. N’avons-nous pas une découverte propre à nous tirer de cet
état
misérable et dégradé? N’avons-nous pas le magnéti
par la singularité des phénomènes qu’elles présentaient : tels que l’
état
cataleptique des membres, les crises épileptiform
nsibilité complète à toute sorte d’excitation; elle n’avait, dans son
état
ordinaire, qu’une connaissance très-imparfaite de
du Magnét., n° 1...., 1818. elle ne sortait pas d’elle-même de cet
état
, mais elle demandait qu’on l’éveillât. » Tous c
pouvoir déclarer positivement que ces paroxysmes appartenaient à cet
état
. (1) Medic. and Physic. Journal, 1814. (2) De
vie presque doublée, permet d’apercevoir ce dont ni le cadavre, ni l’
état
normal ne peuvent donner l’indice. De curieux f
s de la médecine pour l’améliorer. 11 crut enfin reconnaître dans son
état
une véritable possession; il eut recours aux exor
nérabilité du corps des extatiques ; ce phénomene étroitement lié à l’
état
de quelques convulsionnaires de Saint-Médard, a é
maisons. J’espère néanmoins que lorsque vous lui aurez dit quel est l’
état
de votre femme et votre triste position, je suis
diminué. M. Laforgue assura ma femme que le lendemain elle serait en
état
de faire la route de Bizanos à Pau ; elle la fit
sera transmis en lettres d’or à la postérité, jetais vraiment dans un
état
de souffrance insupportable. Les douleurs étaient
iolentes qu’elles me faisaient jeter des cris. C’est dans ce triste
état
que je me livrai avec une confiance sans bornes à
ui était raccourcie de trois centimètres, était presque revenue à son
état
naturel, et les muscles commençaient à reprendre
appelé auprès d’une jeune fille, jardinière, âgée de 18 ans, dans un
état
désespéré, abandonnée des médecins, il avait pu,
nait toute espérance de la sauver, lorsque les parents, la croyant en
état
de manger, lui donnèrent des alimenLs, malgré la
an.'es de magnétisme, j’éprouvai un grand soulagement, et, voyant mon
état
s'améliorer, j’y eus une grande confiance; puis,
ouver de fatigue. Veuillez vous rappeler que ma maladie, passée à l’
état
chronique depuis plus de trois ans, avait son siè
’ont fait connaître cc digne homme. M. Thessier, médecin , voyant l’
état
de ma maladie, me dit que je ne pourrais jamais g
amais guérir à Troyes , vu que l’os de ma jambe était dans un mauvais
état
, mais qu’il me ferait entrer à Paris dans l’hôpit
somnambulisme, et permet de j-établir les choses dan» leur véritable
état
, elle laisse au somnambulisme ce qui lui appartie
c des illusions provoquées par une singulière variété inhérente à cet
état
, et que sur cet océan obscur, on manque tellement
tellement absolue, qu’elle soit une conséquence du développement de l’
état
somnambulique. Loin de là, cette faculté d’instin
re et dans scs effets, ne sont plus que des individus à facultés de l’
état
de veille, quand ils abordent le traitement. Ains
quent dans tous les cas; chez d’autres, l’habitude et la réflexion en
état
somnambulique les guident dans leurs prescription
générale; mais il était réellement en rapport avec ce que demandait l’
état
de la malade. 11 fut suivi avec exactitude, amena
nuels. En moins de huit jours, mon pauvre enfant se trouva réduit à l’
état
de squelette. Pendant vingt jours, je l’ai disput
, avant, nous suivrons l'auteur dans la classification des différents
états
magnétiques, dont quelques-uns, sous le rapport a
sourire de pitié, se sont succédés à chaque nouvel examen. Ce dernier
état
de notre conscience de magnétiste, nous a dominé
, ou ne l’ignoçe pas, est d’avoir été mis , surnaturellement, dans un
état
qui lui permettait d’avoir des entretiens avec le
us, et de la prévision des crises. Si vous lui dites qu’il y a dans l’
état
somnambulique une science innée, il rejettera b
Lefebure, magnétiseur à I’aris, de l’interroger après l’avoir mis en
état
de somnambulisme. Cela eut lieu, et Boulay, penda
note exacte, et c'est sur le vu de cette note que Boulay, rendu à son
état
naturel, a opéré, et est parvenu à faire faire un
science ne peut rien perdre à cette étude. Si Swedenborg, dans son
état
surnaturel d’extase, dit son panégyriste, a été c
er les véritables phénomènes produits par le mesmérisme, dire que son
état
doit avoir été réellement l’état mesmérique, est
uits par le mesmérisme, dire que son état doit avoir été réellement l’
état
mesmérique, est une induction à priori très-natur
re éclairci qu’en mettant en parallèle les caractères ordinaires de l’
état
mesmérique, avec ceux de l’état de Swedenborg. La
allèle les caractères ordinaires de l’état mesmérique, avec ceux de l’
état
de Swedenborg. La trance magnétique, qui est prod
ous les rapports, le cas de Swedenborg était exactement l’opposé. Son
état
n’était pas un état de sommeil, ni aucun de ceux
cas de Swedenborg était exactement l’opposé. Son état n’était pas un
état
de sommeil, ni aucun de ceux qu’on peut produire
rqué, non plus, par la moindre absence de souvenir, en sortant de cet
état
; si, en vérité, on peut dire, sortir d’un pareil
sortant de cet état ; si, en vérité, on peut dire, sortir d’un pareil
état
. Contrairement aux lucides magnétiques qui sont d
un pareil état. Contrairement aux lucides magnétiques qui sont dans l’
état
interne (1), mais ne jouissent pas de la conscien
était d’ouvrir une vue spirituelle qui lui laissait l’entière (1) L’
état
interne est celui où l’âme, entièrement dégagée d
es corporels et sensitifs, n’existe plus que de la vie spirituelle. L’
état
externe, au contraire, constitue l’état normal. C
que de la vie spirituelle. L’état externe, au contraire, constitue l’
état
normal. C’est l'âme rendue à la vie de relation.
( i ). » 11 en résulte « qu’il pouvait connaître et décrire, dans son
état
de conscience externe, ce qu’il voyait avec ses y
— Ses écrits sont remplis de particularités psychiques sur son propre
état
; et l’on trouvera le plus haut intérêt dans la di
uvera le plus haut intérêt dans la distinction qu’il en fait avec les
états
simulaires, où il montre « une minutieuse connais
leur découverte, du moins sous ce nom, était inconnue au monde. » L’
état
de cette double faculté, pour parler nette- (1)
, toutes les sensations que les organes sensitifs lui fournissent à l’
état
de veille : elle voit, elle entend, quoique les y
s la vie normale ou la veille. 2i.\ ment, n’est autre chose que l’
état
de lucidité magnétique ou d’extase se produisant
de lucidité magnétique ou d’extase se produisant simultanément avec l’
état
de veille. La possession de cet élat complexe est
its du mesmérisme recueillis par la science, on ne trouverait pas des
états
analogues, semblables même, ne serait-il pas prud
t, des milliers de personnes. Cependant, qui a vu, examiné, vérifié l’
état
prodigieux de l’auteur des Arcanes? Où sont dépos
t si quelqu’un pourrait affirmer que Swedenborg ait jamais été dans l’
état
magnétique; et si, comme beaucoup d’autres magn
pour un moment, la sincérité de ses déclarations et la réalité de son
état
exceptionnel, nous ferons quelques réflexions uli
ue je marchais sans me tromper de chemin. Dans ce moment, j’étais à l’
état
de vision; voyant des bosquets, des rivières, des
utre lieu. Très-étonné de cela, je m’aperçus que j’avais été dans cet
état
où sont ceux dont on dit qu’ils sont transportés
, Arcana cœ-lestia, 1882-1885.) Ce petit paragraphe descriptif de l’
état
magnétique de Swedenborg est très-précieux, en ce
t où il était, et n’avait pas, par conséquent, la conscience de son
état
; puisque en fut un changement soudain d’état, qu’
, la conscience de son état; puisque en fut un changement soudain d’
état
, qu’il appelle vision corporelle, qui lui montra
gage usuel et mystique de Swedenborg, que le retour puç et simple à l’
état
de veille. Appeler cela une vision corporelle, no
res de ce fait, mais qu’il fallait le lui laisser ignorer pendant son
état
de veille. Ses désirs, à cet égard, furent exacte
; et, conformément à cela, un instant après, quand, il était dans son
état
naturel, il annonça son projet de partir le lende
n procédé magnétique pour le lui rappeler, lorsqu’il est revenu à son
état
normal; et cependant, aussitôt qu’il est réveillé
donc encore un fait qui vient rabaisser l’élévation fantastique de l’
état
magnétique de Swedenborg. Nous pourrions ajoute
iction, que nous demanderons pourquoi le révélateur de ces différents
états
du mesmérisme, ne nous a pas dit un seul mot sur
de la nature, et indiqué toutes ses propriétés, soit pour obtenir les
états
magnétiques, soit pour guérir les maladies ? Que
stance, qu’il appelle transposition de l’âme: « J'ai été mis dans cet
état
, trois ou quatre fois ; seulement, afin de le con
t été vraiment inspiré, il n’aurait pas eu besoin d’être mis dans cet
état
pour le connaître; attendu que l’inspiration est
, c’est qu’aucune inspiration ne venait ou ne pouvait lui révéler cet
état
. Or , il y a été mis plusieurs fois, seulement af
as été inspiré et n’a reçu aucune révélation. « J’ai été mis dans cet
état
, » dit-il; mais il aurait dû nous apprendre comme
on a dû la découverte à l’immortel Mesmer. — * J’ai été mis dans cet
état
. » Mais c’est qu’apparemment il ne pouvait s’y me
et influx donnait, par infusion, la connaissance ou révélation de cet
état
. Donc, alors, il était superflu, ridicule même, d
t. Donc, alors, il était superflu, ridicule même, d’être mis dans cet
état
pour le connaître. Ainsi, il ne reste plus d’acce
compte en ces termes : La première fois que je vis une personne en
état
de somnambulisme, on me mit en rapport avec elle.
u. — Maximilien Joly. D. Votre âge?— Cinquante-huit ans. D. Votre
état
? — Prêtre. D. Votre lieu de naissance ? — Beaug
yé dans les douanes. D. Votre âge ? — R. Vingt-cinq ans. D. Votre
état
? —• R. Somnambule. D. Votre lieu de naissance?
nérale annuelle des actionnaires. Compte-rendu du gérant. Résumé de l'
état
du magnétisme dans les diverses parties de monde,
vinatoire, ou furcelle. Instrument à l'aide duquel on peut juger de l'
état
électrique de l’atmosphère, 253. Catalepsie pro
on d’une cure remarquable sur son enfant, 631. Invasion subite de l’
état
de veille par l’état de sommeil, 105, 423. Magi
able sur son enfant, 631. Invasion subite de l’état de veille par l’
état
de sommeil, 105, 423. Magie magnétique. La phil
ins grande différence entre la sensibilité des deux jambes. Le même
état
persiste sans se modifier sensiblement jusqu'au
sant par l'ombilic; ils sont plus marqués à gauche qu'à droite. L'
état
reste tel quel jusqu'à la mort. Observons que si
La moelle présente une quantité de noyaux plus considérable qu'à l'
état
normal, mais ces noyaux sont assez uniformément
très facilement l'usage de leurs jambes, et viennent de nouveau en
état
de faire de lon- gues courses sans avoir besoin
ite à ce mode de traitement et une fois habitué, il revient à son
état
primitif. Le professeur Grasset dit dans son dern
un vulgaire éthylique profondément intoxiqué et présentant, avec un
état
parétique général, des troubles intellectuels.
es matières. Anesthésie des membres inférieurs et des réservoirs. L'
état
intel- lectuel s'est encore obscurci. Les jou
ose généralisée, les artères sont suffisamment pourvues de sang à l'
état
de repos, mais insuffisamment à l'état d'activité
samment pourvues de sang à l'état de repos, mais insuffisamment à l'
état
d'activité; d'où l'apparition des symptômes au
t 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de se propager. A la période d'
état
, la maladie peut se présenter sous diverses for
siège des mouvements choréiques. Suit une étude très complète sur l'
état
des réflexes dans la chorée. Les réflexes peuve
aucoup plus certain et plus stable par cette sugges- tion lente à l'
état
de veille que par le sommeil hypnotique, dont e
les objets dont il n'a pas trouvé le nom spontanément, il n'est en
état
de le répéter plusieurs fois que si on le lui dem
iennent, il lit et écrit, lentement à la vérité, Le quatrième jour,
état
normal, sauf une lacune de la mémoire portant s
s presque complètement de leurs sels calcaires, revenir ensuite à l'
état
ostéoïde, mais avec dépôt irrégulier et abondant
s os atteints de fracture spon- tanée dans le tabes, correspond à l'
état
de la 4r° radiographie de notre malade. La seco
d'hydrogène sulfuré, leur convenaient mieux. Les tabétiques en bon
état
, et ceux à phénomènes tabétiques récents et peu
i-ci a été intense et prolongé. M. Bechterew croit qu'ils'agit d'un
état
épileptique, enté sur une affection organique d
sie essen- tielle. ' Il est dû à l'empoisonnement qui produit les
états
épileptiques. Dans l'épilepsie vraie, non organ
idées associées, suivant la direction et les lois fondamentales des
états
mentaux d'où résultent la physionomie de chaque
e Code français : « Il n'y a pas crime ou délit, si l'accusé est en
état
de folie au moment de l'acte...» Et de même en
t ù la liberté est de première importance. Il faut faire examiner l'
état
mental de l'accusé par un médecin, et, de préfé
mme un des devoirs de leur charge d'ordonner un examen médical de l'
état
mental des accusés, quand les cir- constances d
y, octobre 1899, p. 317 à 326. La classification en crimes contre l'
état
, l'individu ou la propriété, n'indique pas les
s des criminels qui y sont, permettant de se faire une idée de leur
état
mental. , Pourquoi ne pas continuer le traiteme
n des nerfs qui indique un certain degré de névrite quel que soit l'
état
de la cellule de la corne anté- rieure ; 3° L
ticolis et améliorer les mouvements choréiformes du bras. Quant à l'
état
mental de la malade, il est resté peu développé.
ilité électrique, ni de la sensibilité. Il semble donc qu'un pareil
état
ne puisse relever d'une affection définie des cen
présente deux pièces relatives à deux cas de porose cérébrale, « L'
état
de fromage de gruyère » qui caractérise les cou
- 88 SOCIETES SAVANTES. plitude, celle-ci étant en rapport avec l'
état
d'atrophie des muscles. Il est naturel que les
puisque depuis un mois, malgré la continuation de la suggestion à l'
état
de veille qui, dans les premiers jours, avait a
mélioré dès le lendemain le malade semblait revenu totalement à son
état
normal le surlendemain. On croyait à une simple h
e internatioale tendant à empêcher le mariage des sujets atteints d'
états
morbides capables d'engendrer la dégénérescence
agit de véritable maladie mentale et l'onanisme n'intervient qu'à l'
état
de symptôme ; ce qu'il faut soigner, c'est la mal
oins vigoureux que la veille : qu'il les remue avec difficulté. Cet
état
de gêne va en augmentant jusqu'au jour où il se
adisalion. La sensibilité ne revient pas. Le 28. Faradisation. même
état
de la sensibilité, mais les troubles sensitifs
, inerte, il ne. pouvait plus s'en servir. Elle est restée dans cet
état
, malgré des frictions énergiques à l'eau-de-vie
t alour- dies pendant plusieurs jours. - - Grâce à la pendaison l'
état
de la malade n'a jamais empiré. Elle marche aus
s sans aucune douleur ; elle dormait bien, et contrairement à sou
état
habituel elle n'a pas ressenti l'apparition de la
appétit. La malade tomba au bout de deux ans de pen- daison dans un
état
de débilité, ne pouvant rien digérer et souf- f
mbres inférieurs avec lourdeur et fatigue, empêchant la marche. Cet
état
dura six semaines. Un confrère, consulté par la
nsée qui n'y est pas les connexions sont interrompues. C'est donc l'
état
de rétraction, l'état ordinaire de l'immense ma
es connexions sont interrompues. C'est donc l'état de rétraction, l'
état
ordinaire de l'immense majorité des filaments t
s se modifie secondairement, consécutivement à la respiration; 8° l'
état
delà REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
· Un homme de soixante-neuf ans est apporté il l'hôpital dans un
état
comateux, il meurt douze heures après sans avoir
érentiel des kystes parasi- taires du cerveau. IL C. ' XIX. Sur l'
état
atrophique de la moëlle épinière dans la syphilis
s 38 ans auparavant. Pendant les trois premiers mois de la maladie,
état
de lourdeur et de raideur des membres inférieurs;
e mois,-apparition des troubles sphinctériens et aggra- vation de l'
état
paréto-spasmodique; on constate des troubles de
tent à côté de la dépression et de la diminution intellectuelles un
état
mental particulier, qui constitue leur note psy
lier, qui constitue leur note psychopathique domi- nante : c'est un
état
de torpeur, d'engourdissement psychique, d'obnu
econdaires ont fourni des parties de protoplasma de la cellule, à 1
état
, partie de mottes chromatiques, partie de subst
contre cette théorie ses adversaires, ils ne sont cependant pas en
état
de miner la confiance qu'elle a suscitée, car e
- tives. La troisième, i neo ns cience, fébrile, fut marquée par un
état
de cachexie nerveuse. Une seule ponction rach
la suggestion, en rétablissant les fonctions troublées, 'améliore l'
état
organique de celles qui président à ces fonctions
tance familiale des aliénés. L'auteur fait une courte esquisse de l'
état
de l'assistance fami- liale des aliénés à l'étr
raitement ioduré. ' Il s'en suivit une amélioration sensible dans l'
état
de la malade- : les céphalées ont disparu, le c
s il est stable. La reproduction des souvenirs parait dépendre de l'
état
de la circulation et de conditions souvent déte
yse les explications, que le dédoublement de la personnalité dans l'
état
somnambulique, hypnotique, hystérique et dans l
quelque temps après. lllme Domy est à l'agonie. Quant à M. Domy son
état
est également alarmant. Arrêté aussitôt, le jeu
toirement signifié, à nous et à Bechterew, que nous exposions là un
état
pathologique déjà mis en lumière, il y a cinqua
à la publication d'Eulenburg. Il résulte de ces recherches que l'
état
morbide auquel nous avons donné le nom d'obsess
aire, chez un malade atteint d'éreuthophobie, leur ont montré que l'
état
de chacune de ces fonctions variait du tout au
phénomène qui prédomine est bien un élément purement émotionnel, un
état
pour ainsi dire intellectuel qui fait de cette
'on se rappelle les curieuses expériences chez les hysté- riques en
état
d'hypnose, chez qui la provocation d'une attitu
état d'hypnose, chez qui la provocation d'une attitude détermine l'
état
mental correspondant. Au surplus, à l'appui de
nsi dire brusquement, du jour au lendemain. J'en suis averti par un
état
intérieur indéfinissable, mais clair pour moi,
s averti par un état intérieur indéfinissable, mais clair pour moi,
état
qui est un symp- tôme, non un prodrome. Eh bien
Analysons maintenant quelques cas types, c'est-à-dire analysons mon
état
physique et mon état psychique avant, pendant et
quelques cas types, c'est-à-dire analysons mon état physique et mon
état
psychique avant, pendant et après l'accès de ro
lis un jour- nal, ou je regarde une personne, un objet. Je suis à l'
état
neutre. Le choc se produit. Une bouffée de chal
scène, c'est une lassitude immense, un affaissement moral. - Cet
état
de coma psychique persiste plus ou moins longtemp
n bouleversement total de l'Etre. Entre ces deux types d'accès et l'
état
normal s'échelonnent tous les intermédiaires, d
le néant. Mon cerveau suinte l'ennui. Il y a quelques années, ces
états
d'âme de détresse étaient si fréquents, si péni
délivrer pour toujours. Aujourd'hui, mes idées étant les mêmes, mes
états
d'âme sont moins aigus. Et j'attribue cela à la
nsations, et que, d'autre part, ces sensations existent en nous à l'
état
d'Idées, ces Idées-Perceptions provoquent la roug
- Comme chacun sait, on réunit sous la dénomination de vésanies des
états
mentaux fort divers, voire même opposés, qui fo
ire à froid avec toutes les apparences physiques et psychiques de l'
état
normal. Je le comprends moins pour la double fo
comprends moins pour la double forme composée comme on sait de deux
états
aigus, maniaque et Iypémaniaque, qui se succède
ut-être sommes-nous tombés sur une petite série exceptionnelle. L'
état
normal est de beaucoup le plus fréquent dans la
coup le plus fréquent dans la folie systématique et l'emporte sur l'
état
anormal de 43 p. 100. Le fait est d'autant plus
nombre de malades ne peut être pris en considération. Quant à l'
état
normal il nous fournit un résultat inattendu. C
tes nos périodes de dix en dix ans nous le trouvons inférieur à l'
état
anormal. mais dans notre tableau le maximum d
bégaient. Rien du côté paternel . Antécédents personnels. - Mauvais
état
de santé de la mère pendant la grossesse de Lou
eul. - Je le réveille. Dans la journée, Louis a vécu, quoique à l'
état
de veille, sa personnalité de l'âge de trois an
psychoses coïncidant avec la grossesse n'ont rien de spécial à cet
état
. L'accouchement peut en certains cas être un de
ffets obtenus dans 53 cas. Simon. XVII. Diagnostic différentiel des
états
paralytiques et pseudo- paralytiques ; par. Art
30.) L'auteur indique d'abord comme raison de la ressemblance des
états
paralytiques et pseudo-paralyticlues l'existence
s réformes : labora- toires, sanatolias,etc. Cela a eté fait dans l'
état
de New-York. A la tête de ces institutions, (as
t été au contraire irritables, hystériques, exaltées, tombent à des
états
de dépression ; parfois cela aboutit soit à de l'
eut guère être résumé, est que la conception de la mélancolie comme
état
de dépression et de la manie comme état d'exalt
tion de la mélancolie comme état de dépression et de la manie comme
état
d'exaltation, et constituant deux ma- ladies, a
ontraire que des phases manifestant des degrés différents d'un même
état
morbide. C'est à Kroepelin surtout qu'on doit de
ue la névralgie elle-même, dans ce cas, serait symptomatique d'un
état
névropathique permanent. Et c'e : t souvent l'épi
rétation est surtout à émettre quand l'attaque est accompagnée d'un
état
de conscience halluci- natoire et suivie d'amné
l'écorce devienne particulièrement excitable et épuisée : d'où des
états
de confusion et d'incohérence sur base hallucinat
petit mal que de grandes crises et comme phénomènes psychiques des
états
de rêve. SIMON. XXVIII. Christopathie et scienc
. Mais nous savons bien que des gué; risons sont consécutives à des
états
d'exaltation et que l'attente confiante peut su
ande intensité, il s'élabore des images dont le fond correspond à l'
état
du moule dans lequel elles ont pris naissance.
rme de têtards avec l'eau des marais usitée comme boisson, soit à l'
état
d'oeufs mélan- gés en poudre aux liquides dans
i-même, l'exagération de sa personnalité, son manque de mesure, ses
états
fréquents d'exaltation. Mais il conserva long-
s, mieux encore, le pied ou la jambe font défaut ou sont restés à l'
état
rudi- mentaire. Sans entrer dans les détails
e deux fractures spontanées auxquelles semblait le prédisposer un
état
rachitique très marqué. Le vitiligo est fréquent
A ce moment sont arrivées les premières règles et s'est ins'allé un
état
myxoe- démateux fruste. Le traitement thyroïdie
tat myxoe- démateux fruste. Le traitement thyroïdien a amélioré cet
état
même dans ses manifestations osseuses, comme l'
sans succès à la Salpetrière par le lit et le régime lacté pour un
état
neurasthénique vulgaire, mais qui est at- teint
ndre ses occupations, de vivre de la vie commune et de conserver un
état
moral et un état général satisfaisant. Deux aut
ons, de vivre de la vie commune et de conserver un état moral et un
état
général satisfaisant. Deux autres thérapeutique
té par Braid concerne un enfant de cinq ans et demi, qui provoqua l'
état
hypnotique chez une domestique, après avoir ass
troubles de l'oculo-moteur (communs), les crises épileptiformes, un
état
de stupeur somno- lente fréquente dans la ménin
e stupeur somno- lente fréquente dans la méningite de la base, avec
état
démentiel rappelant les symptômes de la paralys
ui provoqua la dési- gnation de trois docteurs pour l'examen de son
état
mental - mit dans la soirée en émoi le personne
moins de huit hommes pour maîtriser le-forcené qui retomba dans son
état
de prostra- tion. Les docteurs déclarent n'av
la volonté, par le jeu spontané de l'automatisme cérébral. Dans l'
état
normal, ce phénomène apparaît assez fré- quemme
sulte de la fatigue ou de la distraction, et elle n'y existe qu'à l'
état
d'ébauche. Mais, chez certains sujets (psychast
ne idée d'une certaine nature, enva- hissant l'esprit, détermine un
état
affectif, des sentiments agréables ou pénibles,
iennent que les symptômes organiques de l'émotion, loin de suivre l'
état
affectif, le précédent, au contraire, et le dét
endrait que secondairement, non pour produire mais pour constater l'
état
émotionnel : « Les changements corporels qui su
bot également, « la conscience de ces troubles (organiques) est l'
état
psychique que nous appelons l'émotion '. » Spinoz
te se compose « de tendances, c'est-à-dire d'éléments moteurs, et d'
états
de conscience agréables, pénibles ou mixtes ; c
n. Si chacune d'elles peut expliquer une partie et un moment de cet
état
morbide, ni l'une ni l'autre ne nous paraît ren
bsession systématisée n'estque le symptôme le plus saillant de leur
état
morbide très com- plexe, l'élément émotif y jou
ent toujours chez lui l'apparition de l'idée -. Il existe aussi des
états
d'angoisse obsédante et impulsive, dans lesquel
les gestes de la colère et de la tristesse, s'ils ne créent pas ces
états
, les entretiennent certainement et les accentue
ssi bien difficile d'expliquer, avec la théorie intel- lectuelle, l'
état
panophobique dans lequel l'angoisse, une fois a
lement peur. Inversement, l'éx- pression peut faire défaut dans des
états
d'émotion très vive : les colères froides n'ont
s l'exis- tence tout entière s'est immédiatement accompagnée d'un
état
affectif ( tristesse, désespoir), lequel, ensuite
érimentalement que la réaction émotionnelle, que la conscience de l'
état
affectif précède les modifications vaso-motrice
ration radicale des étals intellectuels et des étals affectifs. Les
états
affectifs ne seraient que le reflet mental, que
nt certaines modifications organiques. Par conséquent, dire que les
états
intellectuels ne sont, par eux-mêmes, ni pénibl
ni pénibles ni agréables, qu'ils sont indifférents, àmoins qu'un
état
affectif venu d'ailleurs ne leur soit surajouté,
n des modes de l'intel- ligence et de la conscience. Il n'y a pas d'
état
psychique in- différent, chacun d'eux a un ton
semble immense de réactions parties de l'écore, c'est-à-dire d'un
état
de conscience particulier, pour aboutir à un état
c'est-à-dire d'un état de conscience particulier, pour aboutir à un
état
général de cénesthésie secondaire, consécutive;
is l'accès émotif n'est que la manifestation la plus apparente de l'
état
morbide très complexe des obsédés, il s'en faut
symptômes, à ce qui constitue le fond de la maladie, en un mot, à l'
état
obsédant. L'état obsédant préexiste à la crise
constitue le fond de la maladie, en un mot, à l'état obsédant. L'
état
obsédant préexiste à la crise angoissante et il p
lors, il est difficile de comprendre que l'élément essentiel de cet
état
puisse être l'émotion, qui, par définition, est
pliquent ni les obsessions, pourtant si fréquentes, qui restent à l'
état
faible, ni l'état obsédant, antécédent et subst
sessions, pourtant si fréquentes, qui restent à l'état faible, ni l'
état
obsédant, antécédent et substratum des obsessio
e préexiste aux obsessions et les prépare; sa permanence explique l'
état
obsédant. - L'élément émotif et l'élément intel
leur développement, elle active par association la réviviscence des
états
affectifs que l'obsession met enjeu ; enfinla l
t de logique de notre esprit, en fixant dans une formule définie un
état
jusqu'alors imprécis. Si l'aboulie est la base
t « une émotion systématisée u, car, de sa nature, l'émotion est un
état
diffus, sans repré- sentation objective ; elle
ouvenirs, déjà dans ma plus tendre enfance, je vois le début de mon
état
torturant qui se manifestait de différentes man
. Mon démon tourmentant prit bientôt cela et je tombai dans le même
état
, moi qui n'avais pas eu jusqu'alors la moindre
ut où autrefois je n'au- rais pas vu la plus petite difficulté. Cet
état
s'était installé sans autre motif que l'idée de
s complètement l'espoir (quoique depuis ma dix-sep- tième année mon
état
ne fit que s'aggraver). Dans mes moments heureu
ne dois pas ainsi gaspiller inutilement ma vie. Comme une fois mon
état
était devenu très mauvais, je m'étais décidé à
e soutenir et tombais parfois dans un véritable désespoir. Dans cet
état
, il m'était impossible de travailler, et je con
pénibles dans la tête, continuellement des images fantastiques à l'
état
de veille, l'esprit constamment déprimé, de ter
et si je parlais, je me faisais violence pour ne pas tomber dans un
état
tout à fait semblable à la mort. Arrivé à Ber
i occuper un appartement dans le quartier « unter den Linden ». Mon
état
intérieur était mauvais ; je louai un instrumen
tre, mais jamais je ne faisais un effort; j'étais dans un véritable
état
de torpeur, et mon esprit ne voyait que des ima
ellectuel, pendant de longues heures je i estais stupide et dans un
état
d'ex- citation qui ne me rendait pas abordable,
que je le pouvais à dissimuler aux yeux du monde mon épouvan- table
état
. Si malgré la présence des hommes je sentais de l
chais à le graver dans ma mé- moire, mais inutilement, car dans cet
état
torpide, rien, pas même les plus grandes choses
n complètement, du moins suffisamment aussitôt que s'installait cet
état
torpide, mais je ne sais quel est l'état le plu
sitôt que s'installait cet état torpide, mais je ne sais quel est l'
état
le plus à redouter. L'angoisse dans la rue, dont
entionné pour que ce tourment se représente. Pour ce qui est de mon
état
physique, je dois dire que j'ai tou- jours été
première fois que je note d'une façon si suivie la marche de mon
état
particulier ; je le fais à la demande de ma soeur
nscience soit intacte. Comme j'espère à bon droit que mon étrange
état
ne restera pas sans exciter votre attention, et
e trouble mental ne trouvait aucun point t d'appui suffisant dans l'
état
somatique du malade. 111. de N... est plutôt pa
ment mon BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 285 assistance parce que son
état
avait de nouveau empiré, comme autrefois. Il me
i, aussi peu que le suicide. Il est touchant de voir que pour lui l'
état
heureux serait celui de l'aveugle. La perte de
ar un trouble des fonctions diges- tives. Un purgatif remet tout en
état
. Aotît. - Par suite d'un silence prolongé de se
physique du malade. l'idiotie morale. 295 de la répulsion pour l'
état
militaire. Un voyage en famille au bord de la m
A... est un malade, et les troubles que nous avons relevés dans son
état
psychologique et moral sont la conséquence de s
vés dans son état psychologique et moral sont la conséquence de son
état
morbide. Bien qu'au moment de la conception, le
les jours qui précèdent les attaques d'épi- lepsie, et pendant les
états
de dépression neurasthénique, une diminution da
senic; contre l'épilepsie noc- turne, bromure et chloral ; contre l'
état
de mal, chloroforme, injections hypodermiques d
nerfs, ayant pour but d'obtenir une rétrocession atrophique de cet
état
. Deux malades l'ont subie. Il y a eu amé- liora
t son expansion maxima (cinquième segment cervical), demeure en l'
état
dans le faisceau de Goll jusqu'à la partie la plu
des zones concentriques de vert, de jaune, de rouge brun sale. Cet
état
présente des variétés dont la plus accentuée co
rases, de rien construire qui ressemble à une proposition ; 2° Même
état
, mais l'enfant répète convenablement de toutes
aires la suite de troubles circulatoires, chez des morphinomanes en
état
d'abstinence). M. Alocli fait remarquer que l
d'exécuter le même mouvement volontaire. Ces effets variant selon l'
état
du sujet, une excitation pénible et déprimante po
loir et par conséquent du travail ; leur usage prolongé entraine un
état
de fatigue qui ne diffère pas de l'état de surm
usage prolongé entraine un état de fatigue qui ne diffère pas de l'
état
de surmenage. D'où il découle, au double point
l'influence 320. SOCIÉTÉS SAVANTES. desquelles s'est développé un
état
cachectique assez accusé, au cours duquel il mo
. ' - M. Duram a vu plusieurs paralytiques généraux se croyant en
état
de grossesse plus ou moins avancée. M. Sérieux
s de persécution ou de grandeur, existant tantôt seules, tantôt à l'
état
de combiuaison, sans qu'on puisse, distinguer une
ale infantile avec maximum à gauche, idiotie et épilepsie, morte en
état
de mal. Il y a agénésie complète de l'hé- misph
crâne ne sont pas douloureuses Vu le début brusque de la maladie, l'
état
stationnaire des symp- tômes pendant deux aus e
on cervicale. Le malade ne guérit pas, et les lésions passèrent à l'
état
chronique. A l'heure actuelle, toutes les artic
nt latéral du noyau; dans quelques-unes, le protoplasma est dans un
état
de dissolution presque complète. Sur les prépa-
essus inflammatoire à marche subaiguë ou chronique. Dans les divers
états
vésaniques le cyto-diagnostic est constam- ment
anisme comme in vitro; enfin quel rôle attribuera-t-on au brome à l'
état
naissant ? ' En résumé, de ces faits il découle
M. Pic a insisté dans une étude remar- qnable. Ils consistent en un
état
d'obuubilation intellectuelle, un repos psychiq
satisfaisante. Mais s'agit-il d'une insuffisance cérébrale où d'un
état
convulsif là se pose le problème il résoudre ?
anée est normale partout, de même que les ré- flexes tendineux et l'
état
des pupilles. Bromure de potassium (4 gr. par j
se- conde fois à l'hôpital. Depuis sa sortie, le 31 mars 1899, son
état
n'a, dit-elle, pas beaucoup changé. Il y a eu,
, découragée, avait refusé de prendre depuis sa dernière attaque. L'
état
général est bon en ce moment; le poids a de nou
ce moment que la malade a commencé à s'occuper sérieusement de son
état
de santé et à envisager toute la gravité de ses
fré- quentes ; elles s'observent régulièrement aussi bien dans l'
état
de mal que, à un moindre degré, dans les attaques
atteint d'excitation maniaqne, aujour- d'hui en voie de démence. L'
état
mental de ce malade ne présente aucun relief in
surplus, les deux mamelons existants sont implantés plus bas qu'à l'
état
normal. z Au point de vue fonctionnel, les dive
e cuisses biendéveloppés, terminés par des doigts imparfaits. » Cet
état
continue le même auteur, « ne correspond à aucu
à s'alimenter, il garde le lit. » Lors de son entrée à l'asile, son
état
est le suivant : Mélancolie présentant la for
, il faut faire une minutieuse exploration électrique, qui montre l'
état
des nerfs et des muscles, afin de ne pas commet
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 37 7 totalement'de côté en le mettant en
état
de strabisme interne aussi accentué que possibl
bras. Le malade fléchit, quoique faiblement, son bras, et, dans cet
état
, il le met en supination et en pronation, exécu
Ils sont cependant susceptibles d'apparaitre en peu de jours, à l'
état
d'hyperalgésie subjective : sensibilité à la pres
; la terminaison de la maladie par la guérison, c'est-à-dire par un
état
stationnaire qui compte actuellement quinze ans
. Contribution à la question de la transmissibilité hérédi- taire d'
états
pathologiques acquis ; par H. OI3ERsrJ : INEH. (N
40 ani- maux. Conclusion. - Dans des conditions convenables, des
états
pa tho- logiques acquis peuvent se transmettre
l revient à lui et demande : « Ceci m'est-il arrivé en songe où à l'
état
de veille ? » Ainsi donc, jusqu'au 11 mars sort
tion. Deux sont, dit-il, de l'érezcthose simple de Pitres et Régis,
état
dans lequel le malade- est momentanément déconc
influences climatologiques propres à atténuer ou à suppri- mer cet
état
paralytique trouveront ici leur indication formel
on formelle. Rien n'est plus utile en pareil cas que l'ensemble des
états
de calme que réalisent les voyages maritimes. D
ezo-I-onlr Médical Journal, 20 avril 1901.) L'ataxie aiguë est un
état
dans lequel le malade, dans un espace de temps
arent : puis un soir elle fut prise de convulsions hystériques avec
état
spasmodi- que, généralisé et strabisme double p
ar conséquent ' nullité de tout engagement pris par une personne en
état
de folie) qui règle les contestations possibles
à la relation qui parait exister entre les signes phy- siques et l'
état
mental. 0 SmoN. XVI. Morphine et criminalité; p
sque ces sujets ont présenté des signes d'aliénation mentale ou des
états
d'excitation nécessitant un traitement spécial
sa peine ter- minée, ne peut être mis en liberté, par suite de son
état
mental, il est transféré dans un asile d'aliéné
de vingt-huit ans; elle était entrée au mois de mars précé- dent en
état
de dépression et avec l'idée qu'on voulait l'empo
ulait l'empoi- sonner : elle était réservée et taciturne ; mais son
état
s'était amé- lioré, on la considérait comme con
n- tention était de couper complètement la tête à sa victime. Son
état
resta le même durant vingt-quatre heures après le
uelquefois sous le nom d'équivalents psychiques de l'épilepsie. Ces
états
mentaux présentent des caractères particuliers,
oins accentués; mais quelquefois cependant le malade se réveille en
état
de manie furieuse. ' 410 REVUE DE MÉDECINE LÉ
certainement des étals post-épileptiques où le crime est commis en
état
d'inconscience absolue. Ces cas s'accompagnent
e avec elle aux misères de la vie dont elle était accablée dans son
état
de demi-démence. Les filles-mères qui accouchen
les-mères qui accouchent clandestinement sont bien elles aussi dans
état
de demi-démence. Pendant neuf mois, sous le cou
uelles de leur esprit vont prendre un caractère aigu. C'est dans un
état
d'aliénation, que tout a préparé, que nous les
de la délivrance, ou lorsqu'elle se trouve encore sous le coup d'un
état
puerpéral, a-t-elle toujours conscience de l'acte
le aimait. Elle se confirma dans son hallucination en analysant son
état
physique qui suffisait pour elle il témoigner d
e il témoigner de la réalité de ses relations restées cependant à l'
état
de rêves. Et devenue femme, elle se persuada qu
n- ner ; et qu'il y aurait à créer des asiles de sûreté ou asiles d'
état
pour certains criminaloïdes qui ne sont pas des
iques dans des cas de mal comkial essentiel aussi bien que dans des
états
liés à des tumeur;, cérébrales. Il a trouvé les
mentles cellules pyramidales intacles même chez des sujets morts en
état
de mal. La névroglie au contraire n'est jamais
noter que le malade, ancien syphilitique, a subi au cours de cet
état
des injections mercurielles. Ce malade est un typ
légère confusion mentale. Elle entre un mois après à l'hôpital, en
état
de dépres- sion mélancolique, de confusion, d'a
des réflexes normaux ou exagérés. Il n'y a pas concordance entre l'
état
des trois ordres de réflexes : cutanés, muqueux
e de son père qu'il a lardé à coups de couteau sous l'omo- plate. L'
état
du malheureux est désespéré, le poumon gauche a
Il. BLIiosof·. L'effort intellectuel. G. Milhaud. La loi des quatre
états
. -')r G. Dumas. L'état mental de Saint-Simon (1
intellectuel. G. Milhaud. La loi des quatre états. -')r G. Dumas. L'
état
mental de Saint-Simon (1" article). E. de CvoN.
re : G. de IIOBCF1'Y. Qu'est-ce que la philosophie ? Dr G. Dumas. L'
état
mental de Saint-Simon (2' article).-A. BIUER. D
on et à la suivante, me fourniront l'oc- casion de vous remémorer l'
état
de nos connaissances con- cernant cette importa
aux de tête, avec exacerbations vespérales; elle est tombée dans un
état
d'ané- Fig. 22. SUR TROIS cas d'hémianopsie.
ent spécifique intensif. Aucune amélioration ne s'en suivit, dans l'
état
de la malade. Voire que, dans la suite, à parti
Un traitement mercuriel intensif n'a pas amené de changement dans l'
état
de la malade. Celle-ci continue de tomber dans
ercher les mots, elle ne peut plus comprendre ce qu'on lui dit. Cet
état
ne dure que quelques instants. La malade ne per
uarante-un ans. Son père est mort, à l'âge de soixante-huit ans, en
état
d'hémiplégie. Sa mère a été emportée par une
ulté de parler. Au bout de trois heures, elle était revenue à à son
état
normal ; à ce moment-là, elle ne présentait aucun
e. 444 CLINIQUE NERVEUSE. Le lendemain, C... était rétablie et en
état
de reprendre son travail. En septembre dernie
ue des résultats normaux, et cela s'ap- ' plique en particulier à l'
état
des papilles. La réaction pupil- laire, dite de
gée de faire un effort, pour se rappeler leur nom. Depuis lors, l'
état
de la malade n'a pas subi de change- ments appr
vait simplement une grande difficulté à s'orienter, en raison^ de l'
état
de sa vue. On avait diagnostiqué l'existence de
reconnaît parfaitement la nature. Ce trouble amnésique existe, à l'
état
d'ébauche, chez la seconde de nos deux malades;
monyme droite. La seule modification survenue depuis lors, dans son
état
, consiste dans le caractère légèrement spasmodi
fournir la preuve que l'hémiparésie droite ne subsiste plus qu'à l'
état
de vestige, sauf à la face, où elle est encore
alyse mentale dans la vie psycho- logique des différents sujets à l'
états
soit normal, soit patho- logique est variable s
cinations. 475 même, et là encore tantôt sur le corps, tantôt sur l'
état
mental 1. Ainsi selon ces diverses orientations
jamais, comme le disait il y a déjà longtemps Hume, que nos propres
états
de conscience, que notre esprit. Mais ce sont l
ent suggestible, des idées de doute et de scrupule la hantaient; un
état
d'inquiétude et une tendance marquée à l'analyse
l'esprit réviennent à la mémoire et elle examine attentivement son
état
mental, des craintes de culpabilité engendrent
t coupable. En un mot, L... cherche à analyser et à expli- quer son
état
mental. Elle cherche à distinguer des actes ou de
ns le champ de sa cons- cience. Après une analyse minutieuse de son
état
mental, elle leur trouve une origine en dehors
élire, et provoquant par les découvertes qu'elle révèle au sujet un
état
émotif, qui achève de lui enlever ses points de
u'habituellement on nomme psycho- ' motrice. Mais dans l'étude de l'
état
mental de L..., indépen- damment des conditions
al ou même les mentalités différentes qui jaillissent pendant ses
états
de distraction. Il lui manque, disons-nous, la po
logique intérieure évoluant dans l'atmosphère la plus intime de nos
états
intellectuels successifs. Bon nombre ne peuvent t
ore à ne voir dans le langage intérieur qu'un écho de leurs propres
états
intellectuels. Notre sujet L..., et ici commenc
rs propres états intellectuels. Notre sujet L..., et ici commence l'
état
pathologique dissocie, par une attention extrêm
port inverse de ce qu'ils sont normalement. L'examen minutieux de l'
état
mental de notre sujet nous donne l'explication
Admis à l'asile d'Armentières le 22 septembre 1896, il présente un
état
de déchéance physique et intellectuelle qui paraî
nement de son mari, elle présentait depuis un certain temps déjà un
état
de PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 489 dépressi
et être très con- tent. Les personnes de l'entourage attribuent son
état
aux nom- breux chagrins qu'il a éprouvés. Sa
barras de la parole, perte de la 490 RECUEIL DE FAITS. 1 mémoire,
état
démentiel des facultés, gâtisme. Toute enquête su
générale. 11 n'en est plus de même en janvier 1896. Il présente un
état
de confusion intellectuelle très marquée, tient
our le tuer et il cherche à s'éloigner en se cachant le visage. Son
état
s'aggrave très rapidement et on,doit l'interner l
ggrave très rapidement et on,doit l'interner le 25 mars 1889. Son
état
est le suivant : paralysie générale progressive p
brale ; depuis lors, il donne des signes d'aliénation mentale, cet
état
s'est aggravé ces temps derniers, au point que so
ou interne- ment est devenu nécessaire. A l'entrée à l'asile, son
état
, est le suivant : mélancolie, présen- tant la f
mes psychiques et somatiques de la folie paralytique à la période d'
état
. Six mois après elle succombe dans le marasme.
e l'après-midi et se termina à cinq heures, en reprenant la nuit. L'
état
psychique de la malade lui occasionna une conjo
de lui occasionna une conjonctivite. Lorsque la malade revint à son
état
normal, voici ce qu'elle raconta : le lendemain d
que) : la dégénérescence des fibres nerveuses, qui se manifeste à l'
état
de pâleur de la papille et de formation d'un se
ement épaissies, existaient de petits ilôts de tissu scléreux. Même
état
, quoique moindre, des cordons latéraux. Substan
ant, etc., etc. Souvent ils portent des conserves sombres. C'est un
état
dont ils ont d'ailleurs conscience, et qui se tro
és criminels doivent être compris : 1° Les inculpés de crime dont l'
état
d'aliénation aura été reconnu, soit au cours de
qui ont été l'objet d'une ordonnance de non-lieu, en raison de leur
état
mental, elles crimi- nels devenus aliénés dont
dmet M. Leredde, une véritable guérison, c'est-à-dire un retour à l'
état
normal chez des malades ayant présenté des signes
e maintenir les muscles dans la fixité peut être plus grande qu'à l'
état
normal, de telle sorte que l'affaiblis- sement
des perturbations dans le vertige voltaïque. M. J. BABiNSKt. A l'
état
normal, quand on applique aux tempes ou aux apo
servation directe. Les déments précoces tantôt sont plongés dans un
état
d'hébétude dont rien ne peut les tirer; tantôt
précédée, ni accompagnée d'émotions et n'est que l'expression de l'
état
d'engourdissement de l'activité cérebrale et de l
à exister isolément et n'éveillent plus les autres éléments qui a l'
état
normal s'associaient avec eux. L'état de stu- p
s les autres éléments qui a l'état normal s'associaient avec eux. L'
état
de stu- peur, dans lequel la conscience semble
ue. Coën reconnaît trois points dans le traitement : 1° Fortifier l'
état
général de l'enfant; 2° Développer son intelli-
aso-moteurs, fausse angine de poitrine, dyspnée, boulimie, etc. Cet
état
, qui serait mieux à sa place parmi les syn- drô
om de névrose d'angoisse. L'élément principal de ce syndrôme est un
état
chronique d'an-, goisse, dit l'auteur, avec obs
et présentent fréquemment des tares morales, bien qu'elles aient un
état
mental habituellement entaché de tares, les accès
Rapporteur : M. NoGuLs (de Toulouse) ; 2° Pathologie mentale : Des
états
anxieux df/1¿ les maladies mentales. Rapporteur
a mère. survenue récemment. La coneierge est soignée chez elle. Son
état
est très grave. (Le Français du 29 janvier 1902).
e coude en absoi bant une infusion d'allumettes. Cette fois-ci, son
état
est considéré comme désesperé. (Journal de Sein
c sub- venant à ses propres dépenses, par Whileway, s03. - pour l'
état
de Sussex, par Haves, 505. Admis- sions au Cu
ogres- sive, par Krafft-Ebing, 220. Dia- gnostic différentiel des
états
para- ivliuues et pseudo-palalytlques, par A.
. Un' cas de par H. Lemesle, 2tt}. Transmissibilité héréditaire d'
états
pathologiques acquis, par Obers- teiller, 387
trouvent pas constamment les moyens de traitement appropriés à leur
état
. Ces prévisions se sont réalisées. La consultat
viennent, trois fois la semaine, recevoir des soins appropriés à leur
état
. Le concours dévoué que nous a prêté notre exce
cjest elle qui, depuis quel a médecine existe, s'occupe à décrire les
états
morbides, à déterminer leur caractéristique, leur
essieurs, qu'il existe encore, à l'heure qu'il est, un grand nombre d'
états
morbides, ayant évidemment pour siège le système
psie, l'hystérie même la plus invétérée, la chorée et bien d'autres
états
morbides qu'il serait trop long d'énumérer, s'off
le que l'hystérie reconnaît, elle aussi, au même titre que les autres
états
morbides, des règles, des lois qu'une observation
notisation chez certaines hystériques. La question est celle-ci : cet
état
peut-il être simulé de façon à tromper le médecin
e rug. S. — Schéma da tracés obtenus sur une hystéro-épileptique en
état
de catalepsie hypnotique. I. Tracé du pneumog
lorsque le malade est au lit. Je ferai ressortir tout d'abord que l'
état
général est excellent : bonne mine, bon appétit,
cription, les résultats de l'exploration électrique qui nous montre l'
état
de la nutrition des muscles. Au moment de l'entré
es inférieurs. Est-ce une particularité du sujet, ou bien y a-t-il un
état
morbide d'excitation réflexe exagérée dans toute
hors de la région où, au contraire, les cellules motrices sont dans l'
état
de torpeur que nous supposions tout à l'heure ? C
nces. Il s'est produit une amélioration sensible qui contraste avec l'
état
antérieur, demeuré pendant de longs mois stationn
que nous faisons à la Salpêtrière de la machine électrique. Dans l'
état
présent de l'électrothérapie, il ne saurait exist
raumatique chez les sujets qui présentent la rigidité spasmodique à l'
état
latent. — Exagération des réflexes tendineux chez
ez cette femme, et que la diathèse était là toujours vivace, mais à l'
état
latent. B... se rendait comme cTliabTtude à l'ate
vons vu la malade, le lendemain matin, et nous l'avons trouvée dans l'
état
où nous la voyons aujourd'hui, et que nous allons
t rester flasques; mais la contracture existe là, pour ainsi dire à l'
état
latent, comme le montre l'exagération des réflexe
se et en particulier des cellules motrices des cornes antérieures, un
état
spécial que j'ai proposé, faute de~Tîïîêïïx, de d
ec l'attitude de notre première malade, dont la physionomie trahit un
état
intellectuel considérablement affecté par la répé
s le désirerons. Vous la voyez avec un coussinet sur l'œil droit, à l'
état
de repos ; il ne se passe rien de particulier dan
flexes tendineux. — Avec l'amyotrophie, il existe une contracture à l'
état
latent. — Contracture spasmodique, réflexe d'orig
marche extrêmement difficile, et il s'est vu obligé d'abandonner son
état
. Actuellement, il est facile de reconnaître les
ue prédomine, la contracture existe pour ainsi dire en puissance, à l'
état
latent. Cela me conduit à vous faire remarquer qu
s s'atténuent au contraire dans la veille, alors que le malade est en
état
de lutter contre elles. Sans nier l'influence d
paralysie agitante, les muscles des membres et du tronc sont dans un
état
de tension permanente qui détermine la rigidité d
sie générale progressive, et si nous considérons chez lui seulement l'
état
actuel, nous reconnaissons qu'il s'agit d'un cas
s caractères de la paralysie générale ne s'établissent décidément à l'
état
permanent. Ces attaques dites congestives sont
es premiers accès de telle façon qu'on eût pu, en les considérant à l'
état
d'isolement, comme appartenant à une affection le
Or, même dans ces formes plus graves, la migraine peut s'établir à l'
état
de maladie, ou mieux d'indisposition habituelle,
es du syndrome : migraine ophthalmique, qui ne puisse s'établir à l'
état
permanent; ainsi l'aphasie, l'hémiopie, Fig. 13
ulaires qui ne cessent pas après l'excitation, mais s'établissent à l'
état
de contractures. Yoici, en effet, la griffe cubit
s jumeaux. Vous voyez donc que la contracture existe toujours ici à l'
état
latent, et qu'il suffit d'une excitation bien lég
tation bien légère pour la reproduire plus longtemps et peut-être à l'
état
permanent. J'ai signalé chez ces deux malades l'e
trales de la réline. Dans l'amblyopie hystérique, les caractères de l'
état
normal se modifient de telle façon que les cercle
licitude paternelle, laquelle ne fait que provoquer l'exaltation de l'
état
nerveux, ou, du moins, de la part du père, un mai
autour de l'établissement, interrogeant tous ceux qui sortaient sur l'
état
de son fils, qui savait ce qui se passait et ne s
oule hystérique, les spasmes, les convulsions. Pour ce qui est de l'
état
moral, les renseignements fournis par la supérieu
à un massage prolongé. Remarquez que cette contracture se produit à l'
état
de veille, et qu'elle se présente avec la même in
catalepsie provoquée des hystériques. La question est celle-ci : cet
état
peut-il être simulé, au point de pouvoir tromper
ielle et sensitive, ce stigmate qui caractérise à peu près sûrement l'
état
hystérique, lorsqu'on a soin de faire le départ d
controns chez la jeune fille que nous venons d'étudier. Tel était l'
état
du malade, le 7 octobre. Depuis lors, sous l'infl
à la suite des contractures hystériques de longue durée, il existe un
état
lisse particulier de la peau de l'extrémité des d
rhumatismes. B. Voici dans quelles circonstances s'est développé l'
état
pathologique que nous devons étudier. Le 28 décem
e inflammatoire, d'une myélite, en un mot. L'examen approfondi de l'
état
des membres inférieurs chez notre malade va nous
Le malade est entré à la Salpêtrière, le 8 novembre dernier, dans l'
état
où nous le voyons aujourd'hui. Il marche habituel
rés de taches rouges ; le pied est, en outre, légèrement tuméfié. Cet
état
rappelle ce que l'on voit, dans certains cas de p
g), soit à l'ouverture du courant (0. OEffnung). Or, pour obtenir à l'
état
normal une secousse (Z. Zuckung) avec le plus fai
e. Nous allons appliquer dans un instant ces notions à l'étude de l'
état
trophique des muscles atrophiés chez notre malade
-dire que, dans les deux cas, il faut un courant plus fort que dans l'
état
normal pour obtenir une réaction ; mais les résul
, la réaction galvanique persistant mais modifiée en plus, indique un
état
sérieux, mais avec régénération possible ; qu'au
'au contraire l'absence de réaction faradique et galvanique montre un
état
des plus graves, une modification dégénérative du
modifications profondes des réactions électriques correspondant à un
état
grave de la nutrition des muscles se voient dans
namique des cellules des cornes antérieures ; celles-ci sont dans cet
état
d'hyperexcitabilité que j'ai proposé de désigner
forcée. Pour ce qui est de la médication, elle s'adresse surtout à l'
état
trophique des muscles affectés : nous conseille-
ensité doivent éveiller l'attention, et on doit toujours rechercher l'
état
du sein, de l'estomac, de l'utérus, etc. 4° Les
opsie droite. Mais il nous faut actuellement étudier de plus près l'
état
de notre malade, au moment où il s'est présenté à
i le résumé des études que nous avons faites presque journellement. L'
état
du malade s'est amélioré aujourd'hui d'une façon
res, ne parle pas à voix basse, bien que ce soit son habitude, dans l'
état
de santé. Il se contente d'écrire les lettres qu'
ité des mots peut se présenter dans la clinique, pour ainsi dire, à l'
état
d'isolement, et qu'elle représente le trouble pat
issipée plus tard, laissant, dans quelques cas, la cécité verbale à l'
état
d'isolement. Toutes ces circonstances, vous le vo
quelles se rattachent l'hémianopsie et la cécité verbale établies à l'
état
permanent, depuis près de six mois. Toutefois la
ale une fois établie ne rétrograde guère et reste le plus souvent à l'
état
d'infirmité indélébile. Charcot. Œuvres complèt
comme disent certains auteurs, locales. » Or, s'il est vrai qu'à l'
état
normal « les diverses formes de la mémoire » — c'
ot qui parle — « out une indépendance relative, il est naturel qu'à l'
état
morbide, une forme disparaisse, les autres restan
rd un complet désarroi; il s'était produit désormais entre son nouvel
état
et l'état ancien un contraste violent. M. X... se
let désarroi; il s'était produit désormais entre son nouvel état et l'
état
ancien un contraste violent. M. X... se crut un i
percevoir, et cette constatation eut pour effet de le rassurersur Sun
état
mental. Il reconnut d'ailleurs peu à peu qu'il po
nouvelle, dont il est facile de faire ressortir la différence avec l'
état
primitif de M. X. . décrit plus haut. Chaque fo
ppression si complète de la vision iniérieure, qui place M. X. hors d'
état
, de se représenter, de se figurer les objets, les
me, l'apparence athlétique des muscles du mollet. Ils présentent, à l'
état
de repos, une augmentation de consistance notable
sourcils ; elle dort habituellement les yeux à demi ouverts, et, à l'
état
de veille, la contraction la plus énergique de l'
rs voir vous-mêmes comment la transition peut se faire entre ces deux
états
, car, sans plus insister sur ces généralités, je
, au cou, la sensation de boule. Elle tombait alors dans une espèce d'
état
lipothymi- 1. Voir à PAfpendice (p. 441) l'obse
alade chez laquelle les accès durent depuis plus de trente ans. L'
état
actuel chez Flor... est aujourd'hui le suivant. J
me chez laquelle les mouvements choréiques rhythmés n'existent qu'à l'
état
rudimentaire, à l'état de germe, pour ainsi dire,
uvements choréiques rhythmés n'existent qu'à l'état rudimentaire, à l'
état
de germe, pour ainsi dire, revenant par accès spo
taire avec une grande lenteur ; j'insisterai du reste bientôt sur son
état
mental. Il possède une bonne santé physique habit
relever quelques particularités propres à vous remettre en mémoire l'
état
de ces enfants, à l'époque où ils furent présenté
ux. Pour ce qui est des agents qui s'adressent particulièrement à l'
état
hystérique, nous comptions mettre en œuvre le tra
ade d'Angoulême lorsque je reçus une lettre du père me dépeignant cet
état
lamentable et me priant de venir voir son enfant.
lement, foncièrement distinctes'. Yous remarquerez en outre, que si l'
état
général de l'enfant est devenu meilleur, il laiss
di, depuis un mois, qu'elle s'est développée ; dans tous les cas, son
état
général est devenu plus satisfaisant. Pour ce qui
vous shock, London, 188ii. vent c'est l'hystérie qui est enjeu. Ces
états
nerveux, graves et tenaces, qui se présentent à l
propositions qui sont aujourd'hui établies dans tous les esprits à l'
état
de vérités démontrées, après n'avoir rencontré pe
stérie. Pour eux, c'est quelque chose de particulier, je ne sais quel
état
pathologique non encore décrit, qui demande à pre
telle quelle des mois et des années; 2° Une autre raison, c'est que l'
état
psychique des malades n'est pas celui des hystéri
lendemain matin il était fort étonné de trouver son ouvrage fait. Cet
état
dura de 12 à 15 ans. Il s'est marié à 28 ans. On
, dans le service de la clinique, et, à son entrée, nous constatons l'
état
suivant : Le malade est pâle, anémique, il a pe
t pour la viande, à laquelle il préfère les mets acides ; en somme, l'
état
général est assez peu satisfaisant. Les stigmates
tre attaques successives, le malade ait retrouvé enfin complètement l'
état
normal. Jamais, pendant le cours de ces crises, i
a Salpétrière, en janvier 1885, nous avons constaté ce qui suit : L'
état
général, en ce qui concerne les fonctions de nutr
oduits, à la suite du coup qu'il a reçu sur la tête. Or, Messieurs, l'
état
neurasthénique, avec tout l'ensemble des phénomèn
ts biens distincts coexistent chez notre malade G. En premier lieu, l'
état
neurasthénique, conséquence immédiate et directe
t que, de nouveau, il fermait les paupières. Il tombait alors dans un
état
d'anxiété extrêmement péni ble, et souvent il r
mière fois. 11 est, vous le savez, assez bien musclé, vigoureux ; son
état
général paraît satisfaisant. L'é-Charcot. Œuvres
presque immédiatement sans connaissance, et fut transporté, dans cet
état
, chez son patron. Il ne portait aucune trace de b
nsité. Au moment où le malade entre à la Salpêtrière, on constate l'
état
suivant : Les stigmates hystériques sont très net
a langue, ne mangeait plus, se sentait faible et travaillait mal. Cet
état
durait depuis quinze jours, lorsqu'un soir, vers
, durant cette longue période, de cesser tout travail, à cause de l'
état
de faiblesse où il se trouvait. Ces crises furent
r à l'Hôtel-Dieu. L'examen du champ visuel nous donne du côté droit l'
état
normal, tandis qu'à gauche, il y a un rétrécissem
ur les antécédents héréditaires assez significatifs du sujet, sur son
état
psychique et sur ses mœurs, sur les troubles de l
n agissant sur l'esprit du malade, par voie de suggestion, même à l'
état
de veille, — nous avions reconnu au préalable que
in, trouvant P. au sortir d'une attaque qui n'avait en rien modifié l'
état
des choses, je tentai de lui persuader qu'il étai
après le début de la monoplégie, les choses sont encore dans le même
état
: nous retrouvons le malade exactement dans les co
s, au point de ne pouvoir pas s'aCcuser au dynamomètre. Remarquez l'
état
de résolution, de flaccidité absolue du membre. I
iques: leur production par suggestion dans l'hypnotisme. — Différents
états
de l'hypnotisme considérés au point de vue de la
le occurence, outre le début brusque, accompagné le plus souvent d'un
état
fébrile de plusieurs jours, on observerait certai
éfaut naturel plus ou moins prononcé, suivant les sujets, que, dans l'
état
ordinaire, vient corriger le jeu normal de l'acco
ité du côté gauche. L'examen du champ visuel montre, du côté droit, l'
état
normal tandis qu'à gauche, il y a un rétrécisse-
relativement au traitement de l'hystérie : agents propres à relever l'
état
des forces, déchues à peu près toujours en pareil
l ne faut certainement pas négliger l'emploi, s'adressent surtout à l'
état
général et les résultats de leur mise en œuvre, e
s les cas de ce genre. Nous savons que chez les sujets plongés dans l'
état
d'hypnotisme, il est possible — et c'est là un fa
1. J.-M. Charcot, Essai d'une distinction nosographique des divers
états
nerveux compris sous le nom d'hypnotisme. Note co
ine rêvé par de la Mettrie, que nous avons sous les yeux1. Dans cet
état
de catalepsie, chez la plupart des individus, le
occupera dans nos études d'aujourd'hui. 11 s'agit seulement ici d'un
état
d'obnubilalion, d'engourdissement mental plus ou
s point de voir qu'en inculquant à un sujet somnambu-lisé l'idée d'un
état
morbide, par exemple de l'impuissance motrice d'u
mêmes, lors de la première expérience. Greuz... est plongée dans l'
état
somnambulique, à l'aide d'une légère pression exe
tion des mêmes phénomènes, pendant la veille, chez une hystérique à l'
état
d'hypnotisme naturel et permanent. Considératio
de discussion, le membre a repris en effet toutes les fonctions de l'
état
normal, tant au point de vue de la motilité qu'en
es sujets. Sans doute, ajouterai-je, ces deux hommes n'étaient pas en
état
de sommeil hypnotique au moment de la chute, non
jets prédisposés comme l'étaient certainement Porcz... et Pin..., à l'
état
cérébral que déterminent chez les hystériques les
psychiques que somatiques de l'hypnotisme, peuvent se rencontrer à l'
état
de veille, sans qu'il soit nécessaire de faire in
re de faire intervenir les pratiques d'hypnotisation. Il semble que l'
état
hypnotique qui, pour d'autres, est un état artifi
otisation. Il semble que l'état hypnotique qui, pour d'autres, est un
état
artificiel, soit pour ces singulières créatures,
utres, est un état artificiel, soit pour ces singulières créatures, l'
état
ordinaire, l'état normal, si tant est qu'en parei
artificiel, soit pour ces singulières créatures, l'état ordinaire, l'
état
normal, si tant est qu'en pareille circonstance,
l, si tant est qu'en pareille circonstance, il puisse être question d'
état
normal. Ces gens-là, passez-moi le mot, dorment,
aissent le plus souvent ignorer absolument les phénomènes qui, dans l'
état
de sommeil, ont été provoqués chez eux. sujet d
on n'ait employé aucune manœuvre d'hypnotisation, par conséquent, à l'
état
de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la c
is, au point de vue psychique, ce sont évidemment les caractères de l'
état
somnambulique qui dominent. Eh bien! si, opérant
es pratiques d'hypnotisation ne sont intervenues; tout s'est fait à Y
état
de veille. La démonstration, si je ne me trompe,
n quelque sorte indirect, en ce sens qu'il s'adresse surtout soit à l'
état
général, soit à la diathèse hystérique. Deux fois
grès réalisés du côté de la sensibilité. À ce dernier point de vue, l'
état
est resté presque stationnaire chez Pin..., et au
parfaitement saine, présentant la délicatesse et la transparence de l'
état
physiologique; les os étaient seulement légers, p
is il ne se servit plus que d'une canne ; il y a plus d'un an que son
état
est demeuré ce que vous le voyez aujourd'hui. S
ystérique : massage, ses bons résultats transitoires ; influence de l'
état
psychique. — Guérison probable. Messieurs, J'
ésolution; ceux du membre malade furent les derniers à parvenir à cet
état
; la peau était devenue insensible au pincement, m
is, l'homme lui-même placé dans les conditions mentales spéciales à l'
état
hypnotique. Les deux malades que je fais placer
nets du grand hypnotisme; elles présentent, comme vous le voyez, à l'
état
de veille, tous les grands symptômes de la coxalg
a été produite par nous, volontairement, artificiellement, pendant l'
état
hypnotique; naturellement, chez ces malades, les
par Brodie. Chez une de ces femmes, c'est en produisant, pendant l'
état
somnambuiique, une légère torsion de la cuisse su
table suggestion traumatique. Mon sentiment est, Messieurs, que cet
état
hypnotique dans lequel la suggestion produit de t
ion produit de tels effets, est assimilable, sur plus d'un point, à l'
état
, qu'en Angleterre on est convenu d'appeler du nom
ions de chemin de fer. Dans ces occasions, il se développe souvent un
état
mental tout particulier, récemment étudié avec so
ge, qui le rapproche d'ailleurs, très judicieusement à mon avis, de l'
état
d'hypnotisme Dans l'un et l'antre cas, en effet,
rêter plus longtemps sur le rapprochement que je vous indique entre l'
état
mental produit par le shock nerveux et celui qui
ffet, la douleur peut être, de même que la paralysie, suggérée dans l'
état
hypnotique, soit au moyen d'une suggestion orale,
le traumatisme qu'il a subi a produit chez lui un shock nerveux et l'
état
mental correspondant à celui-ci. Sans doute, la h
vement établie, sous forme d'arthralgie permanente, qu'en raison de l'
état
psychique produit par le shock nerveux. Telle e
sept enfants la plus horrible misère; aussi vit-il à ce sujet dans un
état
d'inquiétude perpétuelle, de dépression mentale q
qu'il n'aura plus toujours devant les yeux le spectre de la misère; l'
état
de dépression psychique dans lequel il vit ne tar
elle des contractures constitue un véritable stigmate révélateur de l'
état
hystérique. — Amélioration du malade, à la suite
oins, même indépendamment des particularités cherchées en dehors de l'
état
du membre, les contractures hystériques pourron
umatiques banales, ou encore se produisant artificiellement, même à l'
état
de veille, au gré de l'observateur, à l'aide de c
er cas, c'est-à-dire les contractures artificiellement provoquées à l'
état
de veille, les nouvelles recherches que nous avon
ubes. Eludes sur les contractures provoquées chez les hystériques à l'
état
de veille, Thèse de Bordeaux, 1885. champ visue
ractères cliniques, la contracture provoquée chez les hystériques à l'
état
de veille ne diffère peut-être, vous le voyez, de
, depuis l'époque où il nous a échappé. Voici quel est actuellement l'
état
du malade. Dans le membre supérieur gauche, la se
ut-être plus fréquent, — avant de rentrer en complète possession de l'
état
normal, il traversera une période où se montre un
dans toutes les directions, de façon à souffler, siffler comme dans l'
état
normal, il lui est désormais impossible d'articul
enu pendant la période somnambulique, persiste, comme vous voyez, à l'
état
de veille. Je n'oserais pas le laisser se prolong
ans rhypnolisme sont d'autant plus difficiles à faire disparaître à l'
état
éveillé, qu'on les a laissés persister plus longt
re 1885, vers 6 heures du soir, survint l'accident qui l'a mis dans l'
état
où. nous le voyons aujourd'hui. Ce soir-là, sur l
la Faculté qui nous a donné les renseignements suivants concernant l'
état
de Le Log..., pendant le séjour de deux mois qu'i
otablement quand le malade porte un verre à sa bouche. Mais c'est l'
état
des membres inférieurs qui réclame surtout une me
des zones motrices etsensitives de l'écorce grise cérébrale qui, à l'
état
normal, président au fonctionnement volontaire du
lativement à ces deux points. En premier lieu, il est certain que l'
état
mental qui s'observe dans la période somnambuliqu
l'absence de tout contrôle, de toute critique, devront s'établir à l'
état
autonome, vivre à la manière d'un parasite en que
ne puissance de réalisation pour ainsi dire sans limites. Parmi les
états
mentaux inconscients ou subconscients dans lesque
, on trouve toutes les circonstances requises pour la production de l'
état
mental particulièrement favorable à la réalisatio
in, pendant les deux ou trois jours qui suivirent l'accident, dans un
état
de véritable torpeur intellectuelle ; c'est dire
etc. Ajoutons que, si cette même hystérique avait été plongée dans l'
état
somnambulique, le même choc eût déterminé, à peu
'idée d'impuissance motrice du membre ; et cette idée, en raison de l'
état
mental somnambulique si particulièrement favorabl
veloppement des paralysies hystéro-traumatiques qui se produisent à l'
état
de veille, en dehors de l'hypnotisme. Ici, la mod
ronostic, car il ne serait pas difficile de citer des exemples où cet
état
devenu incurable s'est terminé par la démence.
cune maladie nerveuse ait existé dans la famille. Mouil... était en
état
de santé parfaite lorsque, le 1er décembre 1885 à
ne s'est en rien modifiée. Les stigmates persistent au même degré. L'
état
général est excellent, Fig. 88 et 89. — Mode de
et motrice, laquelle persiste telle quelle depuis 18 mois; quant à l'
état
de suggestibilité, il s'est développé par le fait
x et bulbaires, ainsi que les cellules nerveuses spinales qui, dans l'
état
normal, sont en relation directe ou indirecte ave
cette représentation n'est rien autre chose qu'une forme faible de l'
état
psychique qui accompagne le mouvement réel, elle
la variété que pour la précision, présentent tous les caractères de l'
état
normal. Ces mouvements persistent, en grande part
des mouvements volontaires. Peut-être, d'ailleurs, existe-t-il à l'
état
normal, des variétés à cet égard. Il est possible
er l'étude des caractères qui lui sont propres. Examinons d'abord l'
état
actuel de la motilité. Le membre supérieur droit
des yeux. Un phénomène qui présente aussi quelque intérêt, c'est l'
état
de la température locale, celle-ci est abaissée d
à signaler au point de vue de la température centrale, pas de fièvre;
état
général excellent. Si maintenant, Messieurs, no
onnaissant une origine réflexe et résultant d'une modification dans l'
état
des cellules des cornes antérieures de la moelle
son régiment vient en France. A Vierzon, il resta huit jours dans un
état
de délire, causé, dit-il, par des accès de fièvre
ut de deux jours. Jusqu'en 1875, on ne relève rien d'anormal dans l'
état
de Cb... A cette époque, il part pour l'Algérie o
à Genève à l'observation rédigée par le Dr Revilliod. C'est dans cet
état
qu'il de mande son admission à l'hôpital, le 11
: L'abduction et l'adduction des cordes vocales se font comme dans l'
état
normal, lorsque le sujet prononce les voyelles e,
à l'examen laryngoscopique, on trouva les cordes vocales dans le même
état
constaté par M. Revilliod- A sa sortie de l'hôp
violence de l'attaque ; la durée moyenne est de 4 à 5 minutes. Cet
état
s'accompagne de phénomènes subjectifs : constrict
n disparaît, le malade recouvre la parole. Chez Gué..., pendant cet
état
de mutisme, la sensibilité réflexe du voile du pa
bilité réflexe du voile du palais est conservée, comme, du reste, à l'
état
normal. Ce mutisme a eu des phases plus longues
er à voix basse, chuchotée. Les cordes vocales étaient restées dans l'
état
décrit jusqu'à son retour d'Angleterre. A ce mo
arynx dans ces dernières années, sans trouver de modifications dans l'
état
de cet organe. Il ne peut y avoir de doute qu'i
c'est-à-dire lorsqu'il indique la paralysie du laryngé supérieur et l'
état
normal du récurrent, nous serons autorisés à adme
é et tout à fait indépendant de l'agraphie, qui a existé seule et à l'
état
de pureté, dès 1868. Ou s'assure, du reste, ais
re maître fournissait une observation où l'agraphie se présentait à l'
état
de pureté, dégagée de toute confusion avec les au
ou, enfin, à des indifférents, lorsqu'il s'agira de gens qui sont en
état
d'arriver à la représen talion du mot par l'un qu
rend aisément combien en présence de variations aussi étendues dans l'
état
normal, il est difficile de tracer les caractères
umatique chez les sujets qui présentent la rigidité spasmodique à l'
état
latent. — Exagération des réflexes tendineux chez
flexes tendineux. — Avec l'amyotrophie, il existe une contracture à l'
état
latent. — Contracture spasmodique, réflexe d'orig
ques ; leur production par suggestion dans l'hypnotisme. — Différents
états
de l'hypnotisme considéré au point de vue de la p
tition des mêmes phénomènes pendant la veille chez une hystérique à l'
état
d'hypnotisme naturel et permanent. Considératio
hystérique : massage, ses bons résultats transitoires; influence de l'
état
psychique. — Guérison probable...................
elle des contractures constitue un véritable stigmate révélateur de l'
état
hystérique. — Amélioration du malade à la suite d
avec le mutisme hystérique, 423. Paraplégie hystérique, 441, 443; —
état
delà sensibilité; limitation particulière de l'an
4 novembre), nous constatons la persis- tance et l'aggravation de l'
état
comateux : le malade est étendu dans son lit, s
ent encore sous l'in- fluence de la lumière. On ne peut apprécier l'
état
de la langue. La commissure buccale est abaissé
oculaires sont convulsés et fortement déviés vers la gauche. Cet
état
dure deux ou trois minutes seulement. 'Ces crises
membres) persiste aussi. 4 CLINIQUE NERVEUSE. Il y a toujours un
état
de contracture de la face et des membres du côt
s'installant progressivement, constituant d'abord plutôt un simple
état
subcomateux, se transformant plus tard seulemen
tracture des membres du côté droit. Mêmes varia- tions du côté de l'
état
des pupilles : le premier jour elles sont égale
à la surface de l'encéphale, qui peut s'observer au cours de divers
états
dyscrasiques ne donnera, si du moins elle peut
nestiques précis, elle est surtout marquée en même temps que par un
état
comateux assez profond par des phénomènes du cô
nl-elles pu, en diminuant la ten- sion inlra-cranienne, améliorer l'
état
du malade ? C'est là chose possible, et c'est c
ue général, même à une période déjà avancée, restait conscient de l'
état
de sa virilité et fournissait, sur celle-ci des
r le moins. N'empêche que les renseignements qu'ils donnaient sur l'
état
véritable de leur virilité étaient exacts. De m
ent exacts. De même il est rare- ment arrivé que ceux fournis sur l'
état
inverse, l'état d'exci- tation, n'aient pas été
ême il est rare- ment arrivé que ceux fournis sur l'état inverse, l'
état
d'exci- tation, n'aient pas été reconnus fondés
médecin. Par elles, on arrive à connaître non seulement toujours l'
état
avant l'entrée, mais encore souvent l'état à l'
n seulement toujours l'état avant l'entrée, mais encore souvent l'
état
à l'asile, et cela môme si les malades ne sortent
-résultats de nos recherches, il convient de résu- mer brièvement l'
état
actuel de la question, en rapportant les appréc
assez fréquente au contraire. Cet auteur ne dit rien des périodes d'
état
et de terminaison. Pour M. Voisin, au contraire
d'autres fois', au contraire, il existe de l'agénésie. De tous les
états
d'excitation, nous apprend M. Sollier, la premi
ital est, dans les premiers stades de la maladie ainsi que dans les
états
d'excitation épi- sodique, habituellement accen
is ni ceux-ci, ni ceux-là ne semblent avoir recherché si les deux
états
ne se remplaceraient pas chez le même sujet et à
et 91 fois, nous ne sommes pas parvenu à constater avec certitude l'
état
du sens génital, soit une proportion d'insuccès
r sur leurs jambes. Certes il n'est guère probable qu'ils soient en
état
d'accomplir le coït nor- mal, mais ils ont des
LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 27 7 n'existent qu'à ce moment. Il est deux
états
que nous avons constatés seulement à la seconde
rvation incomplète qu'expliquent les difficultés du sujet; ces deux
états
sont l'impuissance avec libido et possibilité d
: les pertes séminales, l'éjaculation précipitée et quel- quefois l'
état
normal. ' Existe-t-il un rapport entre les alté
lytiques généraux qui étaient considérablement améliorés et dans un
état
simulant SCLÉROSE TUBÉREUSE. 29 presque une g
guérison, avaient un appétit sexuel plus souvent violent que dans l'
état
de délire expansif avec agitation, qui n'occupe
). - La physionomie n'exprime aucune in- telligence, mais dénote un
état
maladif. Tète un peu carrée, assez développée,
e droite manquant. Les molaires, encore temporaires, sont dans un
état
complet de destruction. Gr... grince souvent des
E DE PATHOLOGIE MENTALE. 41 L les choses par des mots meilleurs, en
état
d'accepter plus aisément et aussi plus équitabl
de la puberté, car le malade ne présentait aucun des signes de cet
état
de transition; il faut donc admettre qu'on se t
anents du poison sur l'organisme maternel, effets qui provoquent un
état
transmissible de dégénérescence, et pour une au
es surtout par une préoccupation absorbante et obsédante touchant l'
état
de l'organisme, sorte d'ébauche d'une folie hyp
es normaux est toujours polycyclique continue ; tandis que dans les
états
de confusion, les états délirants des hystériques
polycyclique continue ; tandis que dans les états de confusion, les
états
délirants des hystériques, l'état de mal épilep
dans les états de confusion, les états délirants des hystériques, l'
état
de mal épileptique, ou lorsque l'injection a ét
Enfant de sept ans, pas d'hérédité fâcheuse. Né à terme, mais en
état
d'asphyxie ; n'a marché que vers deux an, n'a jam
ongueur du travail de l'accouchement, qui a fait naître l'enfant en
état
d'asphyxie. L'opération a consisté en une crani
De plus, le dégoût, supposant le goût préalable et, par suite, -un
état
conscient d'alcoolisation et. en même temps que
ractère baisse à mesure que monte le besoin de la boisson. Dans cet
état
d'obnubilation du sens moral et d'affaiblissement
logé. La liberté dont jouissent les malades est subordonnée à leur
état
. La nourriture des logés est la même que celle
teints de démence oiganique, chez lesquels le tissu cérébral est en
état
de dégénérescence pro- gressive ; 3° idiots de
énérale ; 5° la plupart des épilep- tiques ; 6° malades dans un tel
état
de débilité physique qu'on ne peut pas les tran
ilité physique qu'on ne peut pas les transporter sans aggraver leur
état
; 7° malades mal- propres ou sur le point de le
raît plus singulier, c'est qu'elles puissent être provoquées dans l'
état
de veille apparente, chez des sujets qui ont dé
té hypnotisés. Or, il est inadmissible de considérer comme étant en
état
de veille complète un être qui, tout à coup, BI
centres supérieurs et cette inhibition constitue essentiellement l'
état
d'hypnotisme. Il est curieux de constater que c
comprend trois opérations essentielles, la conservation de certains
états
dans le cerveau, leur reproduction et leur reco
eintes du mal tant moral que physique. La pensée est un acte iL l'
état
naissant, elle fait en se dévelop- pant action
oir d'un tiers est subir de l'hétérosugges- tion. Dans le monde des
états
de conscience, comme partout, t, c'est aux plus
ématie; par l'attention nous pouvons accorder cette suprématie à un
état
de conscience de notre choix. Ces constatations
régenter son émotivité, et de transformer même en passion noble, un
état
émotif dont l'évolution pourrait devenir danger
physio- nomie, un ton de conversation, un modus muendt conlorme à l'
état
de conscience que nous voulons créer en nous. L
même et le découragement paralysent si souvent nos efforts, où un
état
névrosique en un mot préside à toutes les manifes
gite chronique, l'inégalité de poids des hémisphères céré- braux, l'
état
du faisceau pyramidal dans 4 cas de contracture
hes anthropométriques, il est unanimement reconnu aujourd'hui que l'
état
mental des enfants est en relation directe avec
ques jours nous avons vu un enfant idiot de sept à huit ans, dont l'
état
est très perfectible. Et comme nous expri- fait
s d'affections cérébrales en foyer ou présentant de la tendance à l'
état
de mal. Flechsig et ses élèves' sont revenus su
, au bout de quelques mois, de séries d'attaques et d'un retour à l'
état
antérieur. Il a noté fréquemment des accidents
physique, présentant à la fois des vertiges et de grands accès sans
état
de mal. Ces malades ont pris le premier jour 0
ombreux, et, après la cessation progressive de l'opium, 2 ont eu un
état
de mal. Les 6 autres ont subi tout le traitemen
. depuis cette époy2lr. Débilité mentale ; trépanation pendant un
état
de mal grave; suspension de tous les tymylomes ;
tous les tymylomes ; récidive après trois mois; mort uu cours d'un
état
de mul. Léonie L... était, à son arrivée à Vill
irement, survenaient des séries d'attaques constituant un véritable
état
de mal. En 1898 cet'état de mal fut suivi d'émi-
core léger accroissement, enfin au mois de mars de la même année un
état
de mal très grave survient. Le 20 mars 68 attaque
pouls est petit, la malade s'amaigrit et souffre de plus en plus, l'
état
général est très précaire; les crises tendent à
tervention est décidée. L'o- pération fut faite le 24 mars en plein
état
de mal par MM. Pozzi et Picqué. Les centres c
ccès d'excitation maniaque qui dura quelques jours. Dans la suite l'
état
de la malade redevint exacte- ment ce qu'il ava
hes, conservation de la conscience), enfin le 8 février survient un
état
de mal au cours duquel pendant une crise Léonie
loin, nombreuses attaques isolées ou vertiges dans l'in- tervalle,
état
de mal en mai 1893 (jusqu'à 160 accès en un jour)
le, état de mal en mai 1893 (jusqu'à 160 accès en un jour). En 1894
état
de mal vers la même époque. Au cours de ces trois
déprimée en cratère. Enfin en avril 1895 Léonie meurt au cours d'un
état
de mal très grave. N'ayant malheureusement pa
comme cela se produit généralement dans les cas de mort par suite d'
état
de mal. Sur quelques points disséminés la congest
te superfi- cielle dont quelques-uns anciens pouvaient remonter aux
états
de mal antérieurs. Le cerveau était petit, je n
a aussi une survie de trois ans et qu'ayant eu lieu au cours d'un
état
de mal et presque à l'agonie de la malade, la gra
d'une lourdeur et d'un engourdis- sement des membres inférieurs. L'
état
s'est ainsi peu à peu aggravé et la démarche a
ts dans la plante des pieds, de parésie des membres inférieurs. Cet
état
a peu à peu progressé. Actuellement, l'état gén
membres inférieurs. Cet état a peu à peu progressé. Actuellement, l'
état
général est excellent. La démarche est nettemeu
l elle avait été trans- férée, formulait ainsi son opinion : a Même
état
; à la suite d'une attaque hystérique, surdité.
oitrine à l'âge de quarante-huit ans, elle était un peu « idiote »,
état
qui serait survenu à la suite d'une crise de nerf
travaillait depuis longtemps au jar- din de l'asile et semblait en
état
de s'occuper et de gagner sa vie au dehors. 11
chrétiens là-bas, tandis qu'ici et au dépôt il n'y en a pas. » Cet
état
persiste jusqu'au 7 mars. Le 7, au matin, G..
e a presque complètement disparu. Pas de température.. 2 27. Même
état
d'exaltation. Hier, une dame et ? a soeur sont
Pas de température. Même traitement, doses plus élevées. 28. Même
état
, l'msomnie persiste malgré le chloral. Bains, h
passe autour d'elle. Elle parle peu, est calme, triste. : 24. Même
état
, le regard est cependant moins effaré, la phy-
qu'il existe un rapport entre la manière de réagir à l'alcool et l'
état
psychique : plus l'intoxication, la dégradation
il n'y a pas toujours parallélisme entre le tonus des muscles et l'
état
des réflexes tendineux, et que, dans un certain
ération des réflexes tendineux ne peut pas être considérée comme un
état
d'imminence ou d'op- portunité de contracture.
que l'effort nécessaire à cette dernière est plus énergique qu'à l'
état
normal par suite des lésions qui augmentent la
'pratiquées récemment. Sur ces six cas, il a observé quatre fois un
état
particulier qui était surtout carac- térisé par
trouverait peut-être, même dans quelques épilepsies, secondaires un
état
somatique particulier au-dessous des manifes- t
teur à l'oc- casion de ce cas et s'y rapportant. En ce qui touche l'
état
patho- logique primitif, les causes les plus fr
trique. Ainsi des résultats très divers peuvent être amenés par des
états
très analogues. 1 Consulter sur la persistanc
la moelle, et il faut se rattacher à la théorie suivant laquelle l'
état
spasmodique est le résultat d'une hyperac- tivi
de la face, exagération du réflexe patellaire, sensibilité intacte,
état
mental sain. Autopsie : l'examen microsco- piqu
l sain. Autopsie : l'examen microsco- pique des centres nerveux à l'
état
frais fait défaut, le cerveau et le cervelet so
ance de la substance chromatique est l'expression fondamentale de l'
état
d'excitation de la cellule. (illoiphologiscite
uité de la fibrille primitive colorée chez le vivant ou colorée à l'
état
mourant est un fait acquis. Qu'on galvanise l'a
RAVAL. XIX. Quatorze mois d'application du maintien au lit dans les
états
d'excitation psychique ; par Lion : '( Obozréni
ficilement à l'alitement, qui sont le plus agressifs, à raison de l'
état
de leur connaissance, de l'impétuosité de leurs
tres fables des époque» dogmatiques. La valeur de la suggestion à l'
état
de veille suffit à montrer l'exagération de la
s eschares continuent à augmen- ter ; la malade présente un jour un
état
comateux inquiétant, puis, progressivement, tou
aires dans les centres inférieurs, le tout ayant pour substratum un
état
morbide de la substance nerveuse. La question d
état morbide de la substance nerveuse. La question de savoir si cet
état
morbide a pour siège le neurone, la cellule ner
les aïeux du malade devaient porter cette prédisposition en eux à l'
état
latent. C'est pour cela que la chorée n'est pas
la part prise par les divers facteurs étiologiques à la genèse de l'
état
pathologiqne, ni des conditions dans lesquelles
tuberculose. Ceci sullit donc pour faii e voir que la division des
états
pathologiques à l'aide des causes, en internes
es réclamai ions que celui-ci finit par le rendre à la liberté, son
état
mental ne s'étant nullement modifié. Martel Bri
six mois. La malade a actuellement quarante ans, elle est en plein
état
d'obses- sion depuis le mois d'avril. La malade
obses- sion depuis le mois d'avril. La malade appelle elle-même son
état
« la maladie de la faim », elle en est profondé
i tient plus longtemps que les autres aliments sur son estomac. Cet
état
est tout à fait analogue à la dipsomanie, et pe
senter deux formes, selon son origine et sa nature. Ce peut être un
état
obsédant dégénératif, survenant d'une manière tou
nce par les moyens moraux; l'abstinence alcoolique résultera de cet
état
mental préalablement créé. Le traitement qui co
rose en plaques. La leçon suivante permet au professeur d'établir l'
état
actuel de la question de la sclérose en plaques
d'âges gradués, et chez des enfants du premier âge. Elle a noté l'
état
systématique de la myélinisation pour chaque âge,
ue « un danger pour la morale et là sécurité publique », et que son
état
mental nécessite son internement dans un asile
Cependant la victime avait été trans- portée à l'Hôtel-Dieu où son
état
fut jugé très grave. (Le Radical, 18 mars 1900.
er n'a cessé de chanter pendant le trajet de May-sur-Orne à Caen. L'
état
du blessé est très grave. Des démarches avaient
couteau son père qui lui faisait des reproches. Il a été arrêté. L'
état
de Lemue père est grave. (Le Bonhomme Normand,
l moitié 188 VARIA. assommé quand les agents vinrent l'arrêter. L'
état
du blessé est grave. (Le Bonhomme Normand, 6 au
ant à Adolphe Tichaut, il a été consigné au poste de police, où son
état
n'a pas permis de l'interroger. L'Aurore, 20 av
se livre contre lui à toute sorte de vio- lences quand elle est en
état
d'ivresse. C'est ainsi qu'un soir, le .commerça
fait feu. La nuit sui- vante, comme elle était encore dans le même
état
, elle porta à son mari, pendant qu'il dormait,
vée inanimée au milieu d'une mare de sang. La pauvre ferume, dont l'
état
est désespéré, a été transportée à l'hôpital Co
nt par le lit de tous les malades non tranquilles et de ceux dont l'
état
physique laisse à désirer. Il fallait concilier
ontractent les pires habitudes et, si l'isolement se prolonge, leur
état
mental en est profondément modifié ; on a alors
que les malades en question ne sont pas à même, en raison de leur
état
mental, de dénoncer les violences dont ils peuven
se permanente d'excitation, comme exagérant les con- séquences de l'
état
hallucinatoire et comme favorisant le développeme
solument égaré, dans un - LES CLINIQUES l'bYCHI.a'l'RIQUt;S. 03 '
état
de conl'ubion profonde, cas d'ailleurs rare, un g
orie histolo- gique du sommeil formulée par Mathias-Duval puisque l'
état
moniliforme n'a pas été observé dans les neuron
rien, il n'existait ni rétraction des prolongements cellulaires, ni
état
perlé, ni dispari- tion des appendices piriform
éveloppement brusque sinon de cette lésion (qui pouvait exister à l'
état
latent depuis quelque temps) du moins de se* ma
t émis une opinion analogue : il avait soutenu qu'un bon nombre d'
états
morbides ou de symptômes ordinairement attribués
s simples vertiges épileptiques, que les vertiges liés à un mauvais
état
de l'estomac ou à des maladies de l'oreille, so
es des autres épileptiques. A plusieurs reprises elle passa par des
états
de surexcitation maniaque allant jusqu'à une dé
on maniaque allant jusqu'à une désorientation complète et mourut en
état
de mal. A l'autopsie on trouva dans l'hémisphèr
du crime, l'attitude ou les antécédents peuvent faire soupçonner un
état
mental défectueux ; 3° Chaque fois que la défen
tous les préve- nus et faire rapport aux magistrats sur ceux dont l'
état
mental laisse des doutes. R. C. Il. Les alién
cinations hypnologiques, aurait eu des hallucinations de la vue à l'
état
de veille. Pendant les derniers temps, état de
nations de la vue à l'état de veille. Pendant les derniers temps,
état
de dépression. Rétrécissement concentrique du c
sait sous l'influence d'une vo- lonté étrangère. Elle était dans un
état
de rêve, fascinée par la somnambule, parlant et
es enfants et de ses amis. C'est donc un crime par sug- gestion à l'
état
de veille. Jusqu'ici on s'est surtout préoccupé d
le. Jusqu'ici on s'est surtout préoccupé des crimes suggérés dans l'
état
de sommeil hypnotique et cependant il s'agit là
surtout de crimes de laboratoire. Les actes délictueux suggérés à l'
état
de veille sont bien plus fré- quents dans la pr
cquitte un prévenu ayant commis un acte criminel par suggestion à l'
état
de veille. Ce ré- sultat, ajouterons-nous, est
es, qu'il s'agit d'idées délirantes, vraiment para- noïques, mais l'
état
mental n'est pas tout à fait le même que celui
ées délirantes actuelles n'ont pas la force associative decedernier
état
. L'individu a une demi-conscience de sa maladie
ent; mais tandis que le notaire le lui relisait il retomba dans son
état
de stupeur, et ne put pas le signer. Quatre jou
arrêt qui eût été intéressant. Dans le cas actuel, en présence d'un
état
de lucidité absolue constaté par quatre médecin
, les recherches sur la constitution des liquides de l'économie à l'
état
de santé et de maladie, ces travaux ont déjà do
r à la détermination de la formule chimique propre aux diffé- rents
états
morbides ! Il ne nous déplaît pas de constater
alors, seulement, la cause morbifique, agis- sant sur un cerveau en
état
de moindre résistance, peut faire éclore la fol
'assistance géné- ralement adopté. Une appréciation plus nette de l'
état
et des be- soins des aliénés, l'encombrement de
istraits de l'asile et placés dans un milieu mieux approprié à leur
état
. HI . CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. Pour
ion phobique 248 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. et rester à l'
état
de maladie simple de la rougeur chez un sujet n
de cette période, au bout de laquelle on assure au malade, que son
état
nerveux général, qui constitue l'élément import
énie, et ils ont été décrits plus ou moins fidèlement sous le nom d'
états
anxieux neurasthéniques : et quand ces états d'
dèlement sous le nom d'états anxieux neurasthéniques : et quand ces
états
d'anxiété dominent chez un malade, on pro- nonc
place incontestablement prépondérante, et elle est par- venue à un
état
d'avancement tout à fait remarquable. Il y a un
la structure et l'agencement intime des centres nerveux étaient à l'
état
de lettres mortes pour 1(.s anatomistes, et où
ur revient à Ehrenberg, à Valentin, à Pürkiiije. Elle sortit de son
état
informe et prit corps dix ans plus tard. A cette
posent la zone mo- trice corticaie était, à peu de choses près, à l'
état
d'avancement où nous la trouvons encore aujourd
tinguer celles qui résultent d'une perturbation fonctionnelle, d'un
état
d'épuisement, d'une intoxication, de celles qui
r les liqueurs capiteuses, l'infortuné en était arrivé à un extrême
état
de nervosité qui ne laissait pas que d'in- quié
était atteint de la manie de la persécution. Le malheureux, dont l'
état
est désespéré, a été trans- porté à l'hôpital L
est jeté par la fenêtre du 2e étage. Il a été relevé dans un triste
état
. [Bonhomme Normand, 10 août 1900.) LES drames D
e parquet, où on le trouva mort, victime d'une congestion due à son
état
d'ivresse. - Charles David, vingt-un ans, solda
e au lit, et le temps qu'il y séjournera dépend uniquement de son
état
de santé apprécié par le médecin; les malades ne
e, par conséquent, l'action favorable de l'alitement sur beaucoup d'
états
affectifs était hors de doute, mais cela n'est
emprisonnement dans les cellules. Les maladies caractérisées par un
état
d'agitation ont une marche plus modérée; dans l
tion active). 8. L'indication principale pour le repos au lit est l'
état
d'excitation des malades. Le régime au lit très
ement de mains, les réflexes étant normaux. La situation était en l'
état
, avec quelques palpitations par inter- mittence
rence, à 8 centimètres au-dessus de la fourchette ster- nale. Cet
état
demeura sans grande modification jusqu'au 9 févri
igrissement de 9 kilogr. (71 kilogr. au lieu de 80). C'est dans cet
état
que, le 9 février 1898, B... quitta l'hôpital mil
positive qui a été faite dans plusieurs cas du bacille d'Eberth à l'
état
de pureté dans le pus des cas de thyroïdites ab
tie supérieure 2. Cette infection peut d'ailleurs aboutir à trois
états
anatomiques très différents, et de conséquences p
ôté de lésions de phlébite avec thrombose, « le parenchyme était en
état
d'hypersécré- tion manifeste... les vésicules é
érale. ' 300 PHYSIOLOGIE pathologique. laire et par conséquent un
état
dynamique spécial, dont le potentiel est dans u
nte de celle du courant nerveux. - De sorte qu'en fin de compte l'
état
moléculaire et dyna- mique des centres récepteu
éphalie « le caractère notoire et essentiel du cerveau réduit est l'
état
abortif du lobe occipital ». La place qui nous
on, défectueuses chez ces enfants, conduisirent l'un à penser que l'
état
vicieux des vaisseaux peut être un état général.
isirent l'un à penser que l'état vicieux des vaisseaux peut être un
état
général. Shuttlewortli exprime l'opinion que «
s unies. Dans quelques cas, le foramen magnum est plus petit qu'à l'
état
normal, les procès basilaires horizontaux, laté
i étaient éga- lement des imbéciles. Le D' Echeverria considère les
états
mor- bides comme étant de caractère atrophique,
de la pie-mère et l'arachnoïde, la dilatation des ventricules et l'
état
granuleux de l'épendyme furent observés. Dans 6
tricules. La surface convexe du crâne est souvent plus mince qu'à l'
état
normal, mais elle peut-être épaissie et éburnée
petit ou plus grand que normalement. Pour ce qui est de la base, l'
état
le plus intéressant est celui dans lequel il y
ux central, correspond aux besoins pratiques de la science dans son
état
actuel ; mais la classification anatomo-palhologi
gues voies d'association manquaient complètement ou étaient dans un
état
de très faible développement. Les faisceaux r
et le centre semi-ovale, le tissu nerveux parfois se trouve dans un
état
d'arrêt de développement vrai (qui se constate
e par la présence des neuroblastes), et dans les autres cas dans un
état
de déviation de développement (qui s'exprime pa
ertain temps leurs formes embryonnaires, et qui se trouvent dans un
état
de léthargie fonc- SECTION DE NEUROLOGIE. 319
toutes les maladies de forme aiguë ; 7° Il faut tenir compte de l'
état
mental individuel, surtout en plaçant et groupa
cette question » ; ; 8° D'une part, aussi longtemps qu'il existe un
état
maladif aigu, l'essentiel dans la thérapeutique
nts de psy- choses aiguës ou de psychoses chroniques présentant des
états
intercurrents d'excitation ou de dépression ; 2
encore actuellement alitées depuis plus de deux mois sans que leur
état
se soit modifié. Ces constatations faites, MM.
rait interpréter ce fait de deux façons : tout d'abord, on admit un
état
d'excitation du centre moteur ; mais qu'on consi-
paralysie des mouvements associés de latéralité des deux yeux. A l'
état
de repos, les globes oculaires étaient en posit
tômes, sont apparus quatre ans auparavant à la suite de chagrins. L'
état
de la malade s'aggrava assez rapidement un an ava
omplet, et en territoires centraux qui n'atteignent que plus tard l'
état
adulte. Sur le centre frontal d'as- sociation l
der, car elle préjuge une solution touchant l'erreur que comporte l'
état
actuel de notre ignorance. Mélancolie traitée a
aussi des idées de persécution et des idées hypocondriaques. Des
états
mélancoliques simples on arrive par transition gr
ial d'incapacité et d'insuffisance croissantes qui se manifeste à l'
état
normal, et que l'on peut opposer au sentiment d
de mélancolie anxieuse, de plus le Wahnsinn dépressif et enfin les
états
de dépression séniles. Dans ces dernières année
rapports étroits. De cette manière de voir, il résulte que tous les
états
dépressifs des périodes moins avancées de la vi
éléments les plus utiles seront 314 BIBLIOGRAPHIE. fournis par l'
état
psycho-moteur. Tandis que l'allure du mélan- co
signes de catatonie, si on constate un négati- visme opiniâtre, des
états
d'excitation spéciaux puérils, des grimaces et
l'analogie des signes psychiques. Plus de lucidité et de clarté, un
état
affectif plus constant et plus vif, un développem
as encore sur les rapports de l'artério-sclérose cérébrale avec les
états
mélancoliques. Paul SÉRIEUX. VARIA. LES ALI
(La Petite Gironde, 10 septembre.) Tous ces faits témoignent de l'
état
déplorable de l'assis- tance des aliénés en Fra
laix, demeurant à Châ- tillon-sur-Seine, rentrait à son domicile en
état
d'ivresse; sa femme venait d'accoucher. La brut
blessure de la petite victime est grave. Sa grand'mère est dans un
état
de surexcitation terrible. (Petit Parisien du 9 s
voir tué sa femme, se sera fait justice lui- même. La femme, dont l'
état
est grave, est soignée à l'hôpital. (Petit Pari
alade à de telles violences, que la malheureuse victime est dans un
état
désespéré. Ils ont été arrêtés. (Tablettes des
mpétent, que n'importe quel autre malade, ne serait-ce que pour son
état
moral. L'hémiplégique, « cet enfant peu gâté de
permet, en dehors de son action directe, de nous rendre compte de l'
état
tonique des muscles, du degré de l'atrophie, de
e personnel de celui qui l'applique. Après s'être rendu compte de l'
état
des différents éléments des régions atteintes,
l est le mouvement qui se trouve conservé chez ces malades, même en
état
de reliquat. Puis on est obligé d'indiquer les
iste, comme nous l'avons déjà dit, en massage raisonné, guidé par l'
état
tonique des muscles et les manifestations patho
ée par les masseuses du service, dont l'ins- truction générale et l'
état
physique laissent souvent à désirer. Dans un ca
t des asso- ciations psychiques normales : il s'agit en un mot d'un
état
de faiblesse mentale qui ne permet pas de recti
tale qui ne permet pas de rectifier les conceptions délirantes. Cet
état
de débilité psychique, dont le degré est très v
haque semaine : on peut ainsi suivre de près les modifications de l'
état
général. Dans la mélancolie circulaire, le prof
e, la voix intérieure ne présente plus ce caractère. Elle reste à l'
état
de représentation mentale vive, précise, sans a
urable de la force musculaire. Cette augmentation est-elle liée à l'
état
d'excitabilité des tissus situés sur les lignes
ut déjà affirmer que cette augmentation n'est pas en rapport avec l'
état
dit éleclroto- nique puisqu'elle se produit ave
rnier congrès de l'ArAs par M. lleudelssohn sur les Variations de l'
état
électrique des muscles chez l'homme sain et malad
courant sensiblement plus fort que celui du côté sain, bien qu'à l'
état
de repos on pût dériver de la surface cutanée du
quoique moins rapides que dans la première. En somme il existe à l'
état
de santé comme à l'état de maladie un paralléli
ue dans la première. En somme il existe à l'état de santé comme à l'
état
de maladie un parallélisme complet entre les ph
.'avaient constaté qu'ils tuent' les animaux en mettant le coeur en
état
de trémulation librillaire qui amène bientôt so
erce sur la névrite chronique cause de la paralysie. Elle produit l'
état
cathéleclrotonique qui augmente l'excitabilité
ns l'expé- rience de M. Grasset, au moment où le muscle revient à l'
état
de repos, il se produit un mouvement qui consis
ysé soit il peu près égal à celui de la jambe saine. Des différents
états
lacunaires du cerveau; par Pierre Marie (de Par
re à la genèse pathologique de l'autre série des cas, décrits comme
état
criblé. M. le professeur OBERSTEINER (de Vienne
end évidente la possibilité d'améliorer encore davantage, jusqu'à l'
état
normal moyen, les enfants dont le cerveau est dan
les mêmes lésions dans des cerveaux de malades ayant présenté des
états
maniaques et mélancoliques ne paraissant pas en r
de cette dégénérescence. La fréquence d'hy- peresthésie sexuelle, l'
état
émotif qui en dépend, expliquent que souvent ch
: la pleine conscience de l'obsédé, sa lutte contre l'impulsion, l'
état
émotif avec le désespoir de voir que ses forces
ation de l'idée dont il est obsédé peut le délivrer de son terrible
état
. Par conséquent, on ne doit pas confondre avec
son terrible état. Par conséquent, on ne doit pas confondre avec l'
état
d'obsession les cas suivants : 1° Les actes s
mpulsifs commis par des dégénérés se trou- vant constamment dans un
état
d'hyperesthésie sexuelle, qui sous l'influence
ir, ni même en avoir la connaissance; 3° Les actes sexuels dans des
états
inconscients épisodiques de délire, commis par
l n'y a plus crime ni délit. Eu cas que le juge n'accepte pas ces
états
d'obsession-impulsion comme appartenant à la fo
apport est si étroit que l'obses- sion symbolise en quelque sorte l'
état
dégénératif. L'émotivité, véritable stigmate mo
SECTION DE PSYCHIATRIE. 433 impressionnabilité maladive, créant un
état
de réceptivité. Cette circonstance profondément
y trouve, d'ordinaire, tout un ensemble de signes révélateurs de l'
état
de déséquilibration mentale et parfois, aussi,
e corrélation nécessaire est née d'un incident mis en valeur par un
état
de réceptivité émotiveet dedésharmonie fonction
encore dans cette première partie les statistiques rela- tives à J'
état
du thymus et du corps thyroïde, et les tables de
ouvé, des chanteurs se présentèrent, et, en peu de jours, on fut en
état
de chanter avec ensemble et harmonie. Maintenan
emiers essais, il a conçu un projet d'éducation musicale adapté à l'
état
intellectuel de nos malades, projet que j'espère
« Toutes les fois que le temps le permet, les malades, qui sont en
état
de marcher, et qui ne peuvent pas ou qui ne veule
inon comme exploration fondamentale, la re- cherche minutieuse de l'
état
des réflexes. On reconnaît donc implicitement à
lutôt d'une modification dans la forme de ce réflexe, dans certains
états
pathologiques, signalée pour la première fois p
nçoit donc qu'j, non seulement l'on doive s'attacher à rechercher l'
état
du réflexe plantaire dans la paralysie générale
ité, capable de nous permettre d'apprécier avec plus d'exactitude l'
état
du système nerveux dans cette maladie. Pour mie
générale, nous décrirons en quelques mots ce qu'est ce réflexe à l'
état
normal. L'excitation de la plante des pieds pro
gère il la piqûre d'épingle. Dans les mêmes séances, on examinait l'
état
du réflexe rotulien. Le tableau ci-après résume
iers représentant soit une exagération, soit une diminution, soit l'
état
normal, ou enfin une abolition du réflexe rotul
E PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 459 A. En ce qui concerne l'
état
du réflexe plantaire : 1° Dans la paralysie gén
par Ba- binski. B. Si nous étudions maintenant comparativement l'
état
du réflexe plantaire et du réflexe rotulien, et
éflexe rotulien, et. si nous cherchons à établir un rapport entre l'
état
de ces réflexes et la période évolutive il laqu
teurs), il nous a paru exister une relation assez constante entre l'
état
du réllexe rotulien et celui du réflexe plantaire
du réllexe ; 3° On ne peut établir une relation quelconque entre l'
état
des réflexes soit rotulien, soit plantaire, et
ne syphilitique, six d'entre eux, tous parvenus soit à la période d'
état
, soit à la période de déclin de la maladie ont
simplement arriérés, vicieux ou épileptiques que, en raison de leur
état
, on ne peut recevoir dans les écoles pu- blique
la direction ; nous ne saurions admettre en effet le voeu n° 4. L'
état
mental de ces enfants est un état pathologique ;
admettre en effet le voeu n° 4. L'état mental de ces enfants est un
état
pathologique ; c'est donc au médecin et au méde
e que celle des aveugles et des sourds- muets. En se basant sur les
états
dressés par les conseils de .revisiou 1.1 : \1.
du temps privés des soins les plus élémentaires que réclament leur
état
. C'est une faute dont les conséquences se font
que pour toutes les autres obsessions, n'a pris de valeur que par l'
état
de réceptivité émotionnelle. C'est en souvenir
es s'abattent sur le perverti sexuel sans le modifier en rien. Si l'
état
psycho-moral d'un prévenu doit être l'objet d'u
n médecin. La préoccupation de l'expert devra être de vérifier si l'
état
du sujet peut être juxta- posé à l'un des types
de mesure, et dans chaque cas, il convient d'étudier et de peser l'
état
obsédant proprement dit, et le degré de dégénér
omme l'admettent Magnan, Fèré, J. Voisin, et, non pas un retour à l'
état
sauvage de nos ancêtres, comme le prétend Lombr
cés dans des maisons spéciales où l'on , tâcherait d'améliorer leur
état
. Ils n'en sortiraient que sur l'avis d'une comm
de tout travail. ce qui rend leur vie très pénible et aggrave leur
état
. On peut subdiviser les différentes formes de l
ution ci l'étude de la fréquence de l'hérédité dans l'étiologie des
états
mentaux chez l'enfant. M. Dans -)16 cas de débi
n des réflexes rotuliens n'est pas toujours facile à faire dans les
états
paraplégiques, il faut bien se tenir aux règles
e des libres rubro-spinales : or, c'est précisé- ment dans ces deux
états
que l'on observe l'exagération des SECTION DE n
ez des personnes normales, une influence caractéristique des divers
états
de conscience sur l'intensité du réflexe patell
uns (de Hanovre). - Les réflexes cutanés son ! en général, même à l'
état
normal, si divers qu'ils perdent par là même beau
on- dis, faiblement colorés par l'hémaloxyline, que l'on trouve à l'
état
normal en nombre variable irrégulièrement dissé
elle est limitée à l'écorce. Donc, aphasie motrice incomplète, à l'
état
isolé, suns a graphie, sans cécité ou surdité v
ait atteint le malade de M. Lemos devait éveiller l'attention sur l'
état
anatomique du lobe temporal et pariétal ; et co
ni- voque ; il croit que sous le nom de tabes nous confondons des
états
anatomiques et cliniques très différents et pense
qu'il y aurait lieu de pratiquer une dissociation de ces différents
états
. M. J. Babinski (de Paris). - llï,l. P. Marie e
cette atrophie précède les lésions médullaires ou survient dans un
état
plus ou moins avancé de la maladie, il se produ
egrés variés d'amincissement et d'émyélini- sation de leurs fibres (
état
embryonnaire). Des changements simi- laires dan
ie musculaire, des accidents gangreneux du décubitin avec oedème et
état
trouble de la pie-mère adhérente à la substance
nous arrivons parfois à découvrir que la véritable cause de leur
état
malade réside dans une idée fixe, un rêve, etc.,
ces les plus intimes et en fait son véritable esclave. Le mari, à l'
état
de veille, ignore le viol moral dont il est l'o
q ans, en rentrant à son domicile, 114, rue Demi- dof, au Havre, en
état
d'ivresse, s'est précipité sur sa femme, née Lé
fut blessé à la tête. perdit connaissance et depuis il est dans un
état
de léthargie qui a été . constaté et étudié par
l, n'est pas un imposteur, mais un pauvre malheureux qui est hors d'
état
de faire le moindre mouvement. Voici ce qui s'e
ns aient déclaré que l'infortuné garde-frein était vraiment dans un
état
d'insensibilité complète, les envieux n'ont' pa
iagnostics des médecins ; plusieurs lésions du cerveau ont motivé l'
état
léthargique dans lequel Diet- trich a végété pe
lvélinisation des - z cérébraux, par Vogt, 174. Hérédité dans les
états
mentaux de l'enfant, par Blin, 492. Nocivité
excitant ainsi les terminaisons du nerf vestibulaire, et que cet
état
vibratoire de l'endolymphe dû aux vibrations du s
de ces fibres, il est de toute évidence que l'influence exercée à l'
état
normal par le cervelet sur les fonctions statiq
tes sur la production de l'ataxie dans le tabès dorsalis, examine l'
état
14 ik REVUE CRITIQUE. des fonctions de la sen
s résultats succincts : Coïncidence ou causalité : deux malades, en
état
de mal, soumises au bain de une heure à 39°, se
épileptiques jeunes (vingt ans), dont le coeur parais- sait en bon
état
, on a fait prendre tous les soirs de cinq à six
cueillies difficilement, sont fortement albumineuses. Le 27, même
état
, le teint se plombe un peu, fuliginosités sur l
s selles diarrhéiques ; on le décèle dans les urines. Toujours même
état
pulmonaire. Sept bains, potion cordiale, caféin
re. Sept bains, potion cordiale, caféine 0,50. Le 29. et le 30, l'
état
est le même, injection sous-cutanée de 500 gram
1 gramme d'albumine par litre et de l'urobiline. 1 ? octobre, même
état
, sept bains et 500 grammes de sérum artificiel;
les bruits cardiaques sont sourds, le pouls est à 125. Le 2, même
état
. ' Le 3, la température atteint 41°, à à neuf h
TYPHOÏDE. 23 coeur très voilés : la congestion des bases intense; l'
état
jugé très grave nous fait suspendre les bains.
estionné et le malade saigne assez abondamment du nez. Le 5, même
état
. Le malade a une crise épileptique, formée subi
vulsive, qui a duré une quinzaine de minutes et il reste dans un
état
comateux, avec une respiration haletante et super
oint de vue pathogénique et thérapeutique seraient prématurées en l'
état
actuel de la question. Thèses DE Lyon 1899-19
choisis soit parmi les cas aigus entrés à la clinique et passés à l'
état
chronique, soit dans un autre établissement d'o
le qu'il voit d'autres malades que ceux de la clinique (où certains
états
psychopathiques sont rarement observés), qu'il so
alement) convient pour des malades absolument inconscients, dans un
état
de confusion pro- fonde. La'porte doit rester o
ant tout attirer l'attention du clinicien et du thérapeute, c'est l'
état
d'épuisement du cerveau et de l'organisme. Ces ma
considère sa méthode comme plus particulièrement indiquée dans les
états
de faiblesse, d'épuisement d'anémie d'amaigriss
ntaux bénéficient largement du repos. Citons rapi- dement parmi les
états
nécessitant le repos physique, la dénu- trition
sement, le refus d'aliments, la faiblesse générale, l'âge avancé, l'
état
puerpéral, la chlorose, les anémies, les trou-
hlorose, les anémies, les trou- bles circulatoires, sans parler des
états
fébriles ou subfébriles. Or ces divers symptôme
s sont constantes dans les formes aiguës. Qu'il s'agisse en effet d'
états
d'excitation, de dépression, ou de confusion, ou
eau soit surmené par le fonctionnement exagéré des zones mo- trice (
états
maniaques), sensitive (mélancolie, sensorielle (é
es mo- trice (états maniaques), sensitive (mélancolie, sensorielle (
états
hallucinatoires) ou que son activité soit suspe
er l'organe intoxiqué ou surmené, afin de permettre le re- tour à l'
état
normal des mutations nutritives du neurone. Or, s
igris et fatigués, par l'agitation, l'insomnie, l'inanition, dont l'
état
général en un mot .ne laisse à désirer. Bâtim
jour par des passants qui l'ont trouvé sans connaissance et dans un
état
convulsif. Il se rétablit et est condamné à deu
tous chez des femmes. R. M. C. V. L'habitude considérée comme un
état
mental morbide et son traitement; parW. Henry K
s notre puissance mentale s'ac- croît. L'habitude n'est donc pas un
état
volitionnel qu'il soit dési- rable de cultiver
ui s'y abandonne ; d'autres voient leur existence favorisée par des
états
nerveux, qui sont physiplogi- quement normaux,
des états nerveux, qui sont physiplogi- quement normaux, ou par des
états
nerveux hérités qui ne sau- raient à aucun poin
l'individu s'y abandonne volontairement; celles qui sont dues à des
états
cérébraux héréditaires ; celles qui sont dues s
tales morbides, on trouve l'égoïsme; c'est lui qui est le véritable
état
pathologique, c'est lui qu'il faut éliminer ou an
resté quelque temps sans connaissance ; la police l'ayant trouvé en
état
de vagabon- dage, l'a envoyé à l'asile. Pendant
voyé à l'asile. Pendant les trois jours qui suivent son entrée, son
état
s'améliore notablement à tous égards; puis rechut
ntrée, son état s'améliore notablement à tous égards; puis rechute,
état
d'inconscience et mort presque subite. A l'auto
, (Tite Journal of Mental Science, avril 1898.) L'auteur résume l'
état
de la question et présente plusieurs pièces ana
r par altération (perversion) ou par défaut (absence) : ce sont ces
états
pathologiques du cerveau qui consti- tuent la b
. Enfin, en dernier lieu, on trouve e) les lipophrénies, véritables
états
de dissolution psychique, avec diminution et dé
s du groupement de certains symptômes mentaux : par exemple dans un
état
particu- lier de dépression, on trouve celle-ci
auteur, il a trouvé cet ensemble de symptômes mentaux associé à des
états
psychiques pathologiques qui ne paraissaient po
en y regardant de plus près on constate qu'il n'en est rien. Les
états
somatiques auxquels il s'associe peuvent être cla
etc. 58 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. De la classification de ces
états
morbides physiques, de la cons- tatation de ce
s états morbides physiques, de la cons- tatation de ce fait que les
états
mentaux ne s'associent à eux que lorsque ces ét
ce fait que les états mentaux ne s'associent à eux que lorsque ces
états
physiques ne sont dus ni à un microbe spécifique,
rer par l'observation des faits expérimentaux et cliniques, que cet
état
particulier existe réellement et qu'il est dû à
nitale : 1° Idiotie ; 2° imbécillité ; 3° crétinisme ; 4° paranoïa (
état
douteux). VU. JFoHesHMttMe (n'est ordinairement
e). R. DE nlUSGIIA'E-CL : 1Y. XIII. Cas d'impulsion au suicide en
état
d'automatisme cérébral, par W. E. Sullivan. (1'
W. E. Sullivan. (1'he JOi()'aal of dlental Science, avril 1899.) L'
état
d'automatisme cérébral est un état intéressant au
dlental Science, avril 1899.) L'état d'automatisme cérébral est un
état
intéressant au double point de vue de la psycho
cas dans lesquels l'impulsion au suicide s'est manifestée dans cet
état
automatique, un cas d'épilepsie, un cas d'épile
s, ce qui est peut-être plus probable qu'ils ne s'accompagnent d'un
état
de conscience particulier, tellement différent de
nt chez les imbéciles (angoisse, idées de persécution absurdes) à l'
état
fugitif et chez les dégénérés où elle constitue l
e ensuite le sujet des lésions de la colonne posté- rieure dues aux
états
cachectiques, anémiques et infectieux. Il décri
et les dégénérations secondaires qu'ils provoquent font souvent à l'
état
avancé l'impression de scléroses combinées systé-
ans les relations entre ces cordons el les nerfs périphériques. Cet
état
de choses tend d'un côté à rendre ces cordons p
on observe une sorte de tabès qui reproduit trait pour trait, at l'
état
aigu, les principaux caractères anatomiques du
ns un cas où, à l'autopsie, les cordons latéraux ont été trouvés en
état
de parfaite intégrité. 74 SOCIÉTÉS SAVANTES.
ns la substance grise que dans la substance blanche. 3° D'après l'
état
actuel de nos connaissances, l'inflammation est
e sont atrophiés, ceux de la cuisse restant intacts. Depuis lors, l'
état
est resté stationnaire. Les symptômes cardinaux
n devrait en tout cas toujours exa- 88 SOCIÉTÉS SAVANTES. miner l'
état
de la dure-mère dans toutes les affections mé-
fier considérablement, non seulement la mentalité, mais encore l'
état
physique. Charcot a montré que l'oedème bleu pouv
mi les anesthésiques locaux : la cocaïne et l'antipyrine. Plusieurs
états
pathologiques modifient la sensibilité à la dou-
nsporté immédiatement à motel-Dieu, il a été admis d'ur- gence. Son
état
est désespéré. C'est un nommé Prebet, âgé de qu
ui vaquait aux soins du ménage, cinq coups de son arme rechargée. L'
état
des blessés est désespéré. Le malheureux fou di
is elle se plaignait de perdre la vue. Elle avait conscience de cet
état
de souffrance de son cerveau, car elle disait q
s par- ties du corps. , Le médecin certificateur décrit ainsi son
état
mental : « Diffi- cile, hargneuse et portée irr
tisme. Célestine était d'humeur rieuse et Prudence acariâtre : leur
état
mental reflète exactement, à ses diverses pério
semi-agités, il fut un peu perdu de vue jusqu'à l'année 1899, où l'
état
de sa santé physique attira de nouveau l'attent
pie du noyau, chromatolyse du cytoplasma, etc. Toutefois, comme à l'
état
normal le plus grand nombre des cellules des co
rigine 2. On recher- cha donc quel était, dans le labes dorsalis, l'
état
des cellules d'ori- gine des racines et des cor
tiques, un « aspect normal ». Et cependant, lorsqu'il rapproche l'
état
de ces cellules dans le ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE
chromatique détermine la nature du jugement qu'on doit porter sur l'
état
normal ou pathologique de la .cellule nerveuse,
rprit donc une sorte de parallélisme entre le tableau clinique et l'
état
histologique de l'amyotrophie tabétique : clini-
Schaffer : dans des préparations provenant de deux cas de tabes, l'
état
de la substance chromatique ne différait en rie
tre que la dernière assertion de Lugaro est en contradiction avec l'
état
anatomique du neurone moteur phériphérique dont
l est bien vraisemblable qu'il ne s'agirait pas d'une affection à l'
état
naissant, au sens strict du mot. Du moment qu'i
TIQUE.. - : Mais continuons la démonstration négative de Redlich. L'
état
des cellules et des fibres nerveuses du côté de
intérêt de ce problème est comme ramassé dans la considération de l'
état
des cellules des ganglions spinaux, c'est-à- di
, surtout chronique, en exagérant la compression qu'exerce déjà à l'
état
normal la pie-mère sur les racines posté- rieur
livré Redlich dans le champ si vaste de la littérature relative à l'
état
des méninges de la moelle dans le tabès, il résul
i persistent avec leur enveloppe de myéline sont plus gréles qu'à l'
état
normal. « L'examen des circonvolutions cérébrales
multanément atteints, selon la nature de la cause pathogénique et l'
état
, congénital on acquis, de résistance des différ
ellules géantes de l'écorce motrice chez les aliénés, examinées à l'
état
frais (sans durcissement) : contribution à la p
le nous éclaire sur sa consistance, ,qui est ferme et élastique à l'
état
sain et qui peut augmenter ou diminuer beaucoup
stique à l'état sain et qui peut augmenter ou diminuer beaucoup à l'
état
pathologique. Elle nous fixe beaucoup mieux aus
trace de matière chromophile ; il est 'probable que parvenues d cet
état
elles ne tardent pas à disparaître -complètemen
as, naturellement, il y avait des cellules où la substance était en
état
de dégénérescence; mais la majorité appar- tena
ormal. L'auteur ne prétend pas en déduire que, dans tous ces cas, l'
état
normal de cet élément particulier impli- quait
us ces cas, l'état normal de cet élément particulier impli- quait l'
état
sain de la cellule toute entière ; certains faits
rts avec le fonctionnement de la cellule : il expose sur ce point l'
état
actuel de la science : d'après les recherches l
s nerfs. Mais il faut dire que cette pathogénie n'est encore qu'à l'
état
d'hypothèse. La quinine n'a d'action qu'au poin
ons de l'écorce sont très fermement attaquées et alors on observe l'
état
moniliforme très manifeste dans les foyers. Les
e trois ou quatre ans, ont toutes les cinq des accès sériels et des
états
de mal. A la suite de ces accès ou de ces étals
lante, spasmodiqne surtout après un exercice prolongé. Du côté de l'
état
mental on constate de l'hébétude et aussi une v
rent dans les espaces intervallaires, mais ne reviennent jamais à l'
état
primitif, de sorte que progressivement à la suite
turée, complètement démente, emportée par une vaste eschare ou un
état
de mal. Ces malades ne sont pas des idiots épil
es mêmes de la paralysie ; 4° Son concours et sa terminaison ; 5° L'
état
des réflexes superficiels et profonds. 1° L'his
ce d'altérations manifestes des mitres sens supérieurs. VIII. - L'
ÉTAT
PSYCHIQUE. IX. Troubles circulatoires thermique
du sexe, de la natio- nalité du malade, de son genre de vie, de son
état
général, de l'état de ses organes (coeur, vaiss
o- nalité du malade, de son genre de vie, de son état général, de l'
état
de ses organes (coeur, vaisseaux, reins), etc.
pourraient être considérés comme signe pathognomonique de certains
états
morbides. Ceci tient surtout à ce que nos conna
, entrecoupées quelquefois de bâillements et provoquant à la fin un
état
de fatigue douloureuse des muscles thoraciques.
que. M. Doutrebente a observé des cas analogues. Il considère cet
état
comme une nouvelle forme de la maladie et même un
pporte deux cas de fièvre typhoïde chez des épilepti- ques morts eu
état
de mal au cours de leur pyréxie. L'autopsie con
aisser la température aussi bien dans la fièvre typhoïde que dans l'
état
de mal épileptique. ! Il. lII.\G : '<I.\N crai
ue, arrivé à la phase ambitieuse, qui tombe par intervalles dans un
état
de dépression mélancolique avec idées hypocondr
e que dans les scléroses pyramidales, d'autres fois n'existe qu'à l'
état
182 sociétés savantes. d'ébauche. Elle peut s
de la compréhension des mots lus et de troubles de l'écriture. L'
état
maniaque s'amenda rapidement mais la surdité per-
verti qui pratiquait les rapports homosexuels et qui fut ramené à l'
état
normal par la suggestion hypnotique. 'BIBLIOG
sur ce point ? Après avoir noté la date, le lieu, le substlratum, l'
état
de la température, il devra d'abord rechercher
de réflexes de Babinski. Ajoutons que nous n'avons pu rechercher l'
état
de. la contractilité électrique parce que nous
aucun d'eux n'a jamais présenté les signes caractéristiques de cet
état
mor- bide. Notre collègue et ami, M. le docte
ines, la bouche se dévia à gauche. Les régions atteintes étaient en
état
d'anesthésie complète. La paralysie avait dispa
développé'au point de vue ana- tomique ; chez ce dernier existe un
état
parétique, et comme Westphali-l'a-montré, une :
l y a un arrêt de développement' du système mus-, culaire resté à l'
état
infantile. Pour Donath, cette conception ne sau
'un, le Physiiiiiin ou Ai,tzli- che Vorprufung, l'autre, l'examen d'
état
(.S<tMM;f< ! ? M) ! ) ou 1 ) ? ( ? che Pr
entretien gratuit, une indemnité de 600 marks. Dans quelques petits
états
allemands les médecins volontaires n'ont pas de
uses : A. Les délires fébriles. B. Les délires j infectieux. C. Les
états
d'affaiblissement infectieux. ; Il. Les psychos
aniaque-dépressive (Etats maniaques et délirants, étals dépressifs;
états
mixtes). - A. Forme simple. B. forMepë ? OtKe.
. Les psychoses hystériques, C. La névrose lran7nalique. XII. Les
états
psychopathiques (Folie des dégénérés) : A. La f/q
' La duboisine est préférable à l'hyoscine et à l'hyoseyamine, l'
état
de calme qu'elle provoque étant plus prolongé et
; en revanche, les malades de trente ans et au-dessous voient leur
état
s'aggraver sous l'influence de ce médicament, d
épilepsie n'existaient qu'à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 239 9 l'
état
de vertiges avant l'infection paludéenne. Après l
voquerait donc dans certains cas, l'épilepsie qui n'existait qu'à l'
état
latent. Dans les cas observés, l'état d'épi- le
ilepsie qui n'existait qu'à l'état latent. Dans les cas observés, l'
état
d'épi- lepsie persisterait même après guérison
raîna plusieurs jours : il survint de la rigidité mus- culaire avec
état
spasmodique, et l'enfant mourut à l'âge de deux
lcoolique et syphilitique, entrée à l'hôpital en septembre 1898, en
état
de paraplégie complète ayant débuté par la jamb
parfaitement la paupière en regardant en haut. A l'opbthalmoscope,
état
normal et semblable des deux côtés. Les deux pu
a ligne médiane. Les muscles de la moitié gauche du pharynx sont en
état
de parésie. Au laryngoscope, paralysie complète
la névrite optique, que l'on rencontre si rarement dans les autres
états
morbides .que l'on peut presque faire de cette
uscles extrinsèques de l'oeil. Les phénomènes qui dominent dans cet
état
particulier sont : le spasme ou crampe; l'incoo
e 1898.) Ce court travail est accompagné d'une planche qui montre l'
état
d'un enfant qui s'était bien porté pendant les
ses, rendant la marche impossible, amenant des sueurs pro- fuses. L'
état
mental s'aggrave en même temps que la chorée. Le
re de déséquilibrés dont la volonté est inca- pable de réfréner les
états
passionnels qui peuvent les envahir, et qui ne
le degré de leur respon- sabilité. Leur histoire biologique, leur
état
de dégénérescence mentale, BIBLIOGRAPHIE. 2G3
ues propres aux dégénérés, aux déséquilibrés. Aussi, je crois que l'
état
de dégénérescence, créant l'impulsion au suicide
and il dit, dans le chapitre du suicide passionnel, en parlant de l'
état
psychologique des suicidés par amour : « Ils ont
de la colère) comparé à celui d'enfants du même âne - Quel est son
état
de santé ? Quelles ont été ses maladies ? Déter
., chez les vieillards athéromateux, sont souvent' consécutifs à un
état
infectieux (grippe) quelconque. Ces délires gué
t après la maladie qui les a causés, ne laissent derrière eux que l'
état
mental antérieur parfois un peu aggravé. Aussi
rive de l'Asile clinique avec de la fièvre (38°). Le corps offre un
état
d'embonpoint normal. La face, dans son ensemble
s nombreux. La mère est une névro- pallie à un degré très prononcé,
état
qui paraît être la consé- quence d'un Iraamalis
e à droite, survenues au quin- zième jour, se montrant sous forme d'
état
de mal à partir de ce jour, jusqu'au sixième mo
ir de ce jour, jusqu'au sixième mois, ont été la conséquence de l'
état
congénital. Mentionnons la diplégie avec contract
rettons de n'avoir pu recueillir de plus amples renseignements vu l'
état
du malade au moment où l'observation a été recu
eillies par M. Sarde interne du service à cette époque quel était l'
état
de Antoine L..., au moment de l'entrée : homme
eures de l'après-midi. Alors, l'enfant tombe définitivement dans un
état
de torpeur profonde, dont il ne devait plus se
38,-1. Ce matin à 10 heures, nous retrouvons le malade dans le même
état
coma- teur qu'hier soir; la résolution musculai
ier à 90°. Rien aux poumons, ni au coeur. Vers les onze heures, l'
état
empire encore ; on commence à entendre, même à
qui viennent d'être décrits, mais, comme eux, caractéristique d'un
état
de dégénérescence. On peut les rencontrer dans
les espaces prévasculaires, sans toucher au reste de la moelle. A l'
état
frais ils sont beaucoup plus volumineux qu'après
nerveuse. Quant au siège de la lésion (sauf en ce qui concer,ie les
états
psychiques) il paraît être dans les nerfs périp
ments qui entrent dans la constitution - du système nerveux sont en
état
de continuité structurale ininter- rompue. Il f
ncentriques qui représentent la frontière entre l'était normal et l'
état
pathologique. Leur forme est ordinairement arro
variations et des anomalies nom- breuses. Encore sur la limite de l'
état
normal et de l'état pathologique figurent les l
omalies nom- breuses. Encore sur la limite de l'état normal et de l'
état
pathologique figurent les listes du plexus chor
vec la nature : > par son éducation objective, il met l'homme en
état
de vivre au milieu de son entourage physique, e
ccomplit ses plus hautes fonctions quand les sens objectifs sont en
état
d'inactivité : en un mot, il est cette forme d'
nce qui se manifeste chez un sujet hypnotique lorsqu'il est dans un
état
de somnambulisme. Ces définitions distinctives
ssées conformément à ma suggestion. A ce moment, la malade était en
état
de stupeur, le dos tourné et ne nous avait pas
a été observé dans un cas de mélancolie derne, très chronique avec
état
stationnaire depuis deux ans et un état de quas
derne, très chronique avec état stationnaire depuis deux ans et un
état
de quasi-guérison. Le seul travail qui soit par
nt des fonctions digestives qui accompagne inévitablement un pareil
état
mental, le sang devient plus pauvre en matière
propos de la grande hystérie. · 2° Homme d'un certain âge trouvé en
état
de vagabondage et admis à l'asile : heureux, ga
duellement de génération en génération, aboutissant finalement à un
état
de démence ou d'ampiiiia qui tend à amener l'exti
sme, parfois de la stupeur avec ou sans catatonie ou bien encore un
état
maniaque ou mélancolique. Mais tous ces aspects
eptiques et les paralytiques géné- raux. Dans la confusion aiguë, l'
état
psychique morbide est inin- terrompu, les terre
iques. - SIMON. XIV. Revision des lois relatives aux aliénés dans l'
état
de Virginie ; par William-Francis Drewry. M. D.
roupes musculaires. Le diagnostic est difficile à établir entre cet
état
et la chorée chronique de l'adulte. L'intégrité a
erti qui pratiquait les rapports homosexuels et qui1 fut ramené à l'
état
normal' par la suggestion hypnotique. Séance
e vaginisme. M. ARAGON. Le vaginisme dépend' presque' toujours d'un
état
psychique et la psychothérapie en est le traite
euvres de balancement ou de tournoiement se mettent d'abord dans un
état
hypnotique spécial avec anesthésie complète. Al
o-constriction que l'on sait pouvoir devenir très intense pendant l'
état
hypnotique. nleszner et le fluide magnétique.
s principales maladies suivantes : 1° Dans la folie périodique, l'
état
dépressif n'a en lui-même qu'une valeur seconda
e ; 3° A la grande classe des dégénérés se rattachent de nombreux
états
mélancoliques d'aspect et de durée tout à fait sp
x impulsions, du négativisme plutôt que par la dépression. De vrais
états
mélancoliques se montrent cependant comme stade
les séniles, prouvée parles statistiques, la fréquence extrême des
états
dépres- sifs à cette époque de la vie sont dus,
as de folie intermittente ou de démence précoce à début tardif; les
états
dépressifs delà démence paralytique ou de la dé
et de la contribution personnelle qu'il a apportée à l'histoire des
états
dépressifs. P. Sérieux. XI. Contribution à l'ét
sive, tristesse inertie, somnolence, accidents légers; 2" période d'
état
, sommeil continu avec réveils faciles à provoquer
erre. Il entre à l'hôpital le 12 septembre en pleine léthargie. A l'
état
de veille il répond avec peine mais avec justes
é- rente, liquide cérébro-spinal trouble contenant des lilaires à l'
état
larvaire vivantes. A la coupe des centres ner
image réduite de la société, et la société elle-même où l'homme à l'
état
normal recueille les impressions qui éveillent
n, apprécie parfaitement celle des malheureux qui l'entourent. Leur
état
est à ses yeux en état d'infériorité, il refuse
t celle des malheureux qui l'entourent. Leur état est à ses yeux en
état
d'infériorité, il refuse de se lier avec eux, l
oyait, d'autres fois, poursuivie par des ennemis invisibles, et cet
état
n'était pas sans inspirer à ses voisins une cer
UEz une fillette. La gendarmerie de Vic-le-Comte vient de mettre'en
état
d'arrestation et de transférer au parquet de Cl
quatre et cinq dans les vingt-quatre heures. De plus, il vint en
état
d'infantilisme. Le il février 1896, on extirpa
l'intervalle, elle n'avait pas eu une seule attaque convulsive ; l'
état
général et l'état intellectuel étaient meilleurs
e n'avait pas eu une seule attaque convulsive ; l'état général et l'
état
intellectuel étaient meilleurs que précé- demme
s fut déterminé à l'aide de l'excitateur électrique. En raison de l'
état
du pouls, il fallut interrompre l'opération.
rès une certaine durée d'une épilepsie par- tielle, il s'établit un
état
épileptogène de tout le cerveau, qui ne saurait
s cas d'épilepsie par- tielle d'origine traumatique, on a trouvé en
état
d'intégrité apparente le territoire de la zone
Mernot, son beau-père, et lui plongea son couteau dans le ventre. L'
état
de ce dernier est désespéré. Après son crime, Odi
s, sont les suivantes : 1° L'iridoplégie réflexe unilatérale est un
état
qui peut se ren- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
çon permanente à un seul des deux yeux. 3° On l'observe souvent à l'
état
de conséquence éloignée d'une maladie de la tro
nt d'un groupe séméiologique : le plus souvent elle se présente à l'
état
de symp- tôme isolé; mais dans un cas comme dan
diminués. Réflexes du genou légèrement exagérés, Confusion mentale,
état
vertigineux, plus ou moins vague, lour- deur de
W. BLOUBIENAU. (06o. : r<pMC/M('t(, III, 1898.) Deux figures. L'
état
de l'excitabilité électrique et de l'excitabi-
être vivant, et il n'y a pas d'action sans mélange d'inhibition. L'
état
de la vie dans chacune des parties du corps est
nement pas aussi nombreux qu'on l'a sup- posé jusqu'à présent; 2° L'
état
pathologique du corps pituitaire est moins cons
la compression ; aucun trouble viscéral ; pas de modifications de l'
état
général. Ces tumeurs, comme les adéno lymphocèl
sensibilités, pas d'atro- phie musculaire, pas de convulsions. Cet
état
dure sept mois et se termine par la mort au cou
au. L'auteur discute la question de savoir dans quelle classe des
états
de sommeil, peut être rangé ce cas de sommeil phy
e cas dont il s'agit ici, la crise d'éternuement survenait après un
état
prodomique de picotement de la face mais sans aur
'ablation des annexes, et cette opération n'a nullement modifié son
état
. L'auteur pense qu'il s'agit d'un acro-paresthési
uscles abdomi- naux, un véritable clonus abdominal qui existait à l'
état
de veille même en l'absence du hoquet, donnant
dépendant de modifications des organes pelviens, cette anémie, cet
état
névropathique qui surviennent à la suite de l'a
" REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1 grossesse, et les psychoses de l'
état
puerpéral et de la lactation. On a contesté et
n satisfaits, et constater leur disparition après le mariage. Les
états
névropathiques qui accompagnent la nymphomanie
lcération. Les déplacements utérins donnent souvent naissance à des
états
névropathiques intenses. Dans un autre travai
n rencontre dans la tumeur des zones de transition entre ces divers
états
qui montrent bien que ce sont là des états diff
nsition entre ces divers états qui montrent bien que ce sont là des
états
différents d'une même tumeur. Si l'on se repo
lle ne l'exclut pas absolument, cette séparation pouvant dater de l'
état
embryonnaire. En faveur du gliome alvéolaire,
icules; mais ici encore on peut se demander s'il en était ainsi à l'
état
embryonnaire. En faveur de l'endothéliome, il y
inome dit primitif du cerveau doit par conséquent se rencontrer à l'
état
de néoplasme se conti- nuant avec l'un ou l'aut
rait exclusivement aux néoplasmes dont les germes ont débuté à l'
état
d'inclusions ectodermiques chez l'embryon jeune,
du gliome appartiendrait à une période plus avan- cée, et même à l'
état
adulte avec point de départ dans la cellule épe
meur, la première avait pénétré partout dans le néoplasme, soit à l'
état
de tissu tu- berculeux diffus, soit à l'état de
le néoplasme, soit à l'état de tissu tu- berculeux diffus, soit à l'
état
de nodules discrets. Les bacilles et les cellul
de leucocytes po- lymorphonucléaires. On peut donc en raison de son
état
d'infiltra- tion et son étendue limitée, consid
ante; sa durée varie de quelques jours à trois ou quatre mois; et l'
état
spécial qui la caractérise est une paralysie fl
de foudre se rencontre souvent chez des dégénérés, associée, à des
états
névropathiques. L'auteur apporte deux observati
d'un attrait sexuel subit, suivi peu après de crise consulsive. Cet
état
se reproduisit plusieurs fois. L'autre observ
ne connaissait pas, et suivi peu après de sensation de vertige avec
état
confus. En général, le coup de foudre semble surt
Médical Journal, 22 juillet 1899.) L'auteur définit le délire « Un
état
psychique caractérisé par l'abolition de la con
ion , et il a employé deux procédés, la piqûre et le pin- cement, l'
état
mental de la plupart des malades observés nécessi
e à. une grosse lésion du cerveau. L'hémianesthésie relative est un
état
beaucoup plus commun qu'on ne pense chez les al
en a observé seize cas, dont six ont guéri : cette ma- ladie est un
état
de dégénérescence du système nerveux qui enva-
fait que ce virus est ou n'est pas le seul agent nuisible, enfin l'
état
général du système nerveux ; mais dans tous les c
quent est naturelle- ment l'alcool. Enfin il faut tenir compte de l'
état
général du sys- 422 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
e est constante et nécessaire; sans elle la maladie n'existe pas. L'
état
mental est en état d'exaltation et d'agitation
nécessaire; sans elle la maladie n'existe pas. L'état mental est en
état
d'exaltation et d'agitation qu'on pourrait appe
'insomnie, l'affaiblissement mental, la variabilité alternante de l'
état
mental, et les rémissions : la troisième de ces m
parésie mo- trice et une diminution de l'excitabilité réflexe : les
états
que l'on observe le plus souvent sont la parési
-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 423' XL. Considérations sur l'
état
mental dans l'aphasie ; par CONOLLY NoRMAN. (Th
e de cas. Socialement et légalement, on peut se demander quel est l'
état
d'un malade atteint d'aphasie. A priori, on inc
soient moins nuisibles à l'ensemble de l'intelligence que certains
états
corticaux qui impliquent une per- turbation gén
d'un cas d'aphasie ou d'un cas similaire, si l'on veut pré- ciser l'
état
mental, il faut d'abord chercher dans quelles lim
siège probable de la lésion cérébrale, et l'on sera renseigné sur l'
état
des organes de l'expression; ce renseignement e
déchéance mentale est plus avancée que quand les derniers de ces
états
se rencontrent isolément, et quand, l'asymbolie e
du mal ; il se rendit alors au bureau de police, où il expliqua son
état
, et où on lui conseilla de ne pas faire l'imbéc
l alla alors chez un ami, y coucha sans dormir, et le lendemain son
état
s'était encore aggravé ; les impulsions homicid
e que beaucoup de .ceux qui s'ôtent volontaire- ment la vie sont en
état
de trouble mental : d'ailleurs la'plupart des c
juillet 1899.) , L'organe olfactif de l'homme nous apparaît dans un
état
rudi- mentaire lorsque nous le comparons à celu
mercuriel énergique, il y eut une amélioration considérable de l'
état
général, de la parole et des mouvements de la jam
des mouvements de la jambe. Mais ultérieurement il se développa un
état
spasmodique des muscles du bras et de la jambe,
gressif des facultés mentales. L'autre présente depuis trois ans un
état
analogue de démence progressive avec plaintes à p
te tuberculeuse, l'autre est d'une bonne nutrition générale, et son
état
mental est meilleur que chez le premier. En rés
nion sur les théories émises au sujet des rapports du génie et d'un
état
morbide (folie-névrose). Il ne parle qu'en pass
on de faire une étude complète de l'irritabilité, mais de résumer l'
état
actuel des connais- sances à ce sujet et aussi
ue mental. C'est dans ces conditions qu'il tira au sort et que, son
état
ayant passé inaperçu, il fut incorporé, en novemb
nit son régi- ment. Mais sa démence était devenue telle que, hors d'
état
de continuer son service, il fut réformé le 23
. CLINIQUE mentale. des muscles de la face. Après un instant de cet
état
ataxique, la langue acquiert une certaine stabi
rine ne présente rien de particu- lier. Au point de vue mental, l'
état
se caractérise par un affaiblisse- ment très no
éral. paralysie générale ET SYPHILIS héréditaire. 453 Tel était l'
état
de Victor L... dans le ? premiers mois de l'année
l'état de Victor L... dans le ? premiers mois de l'année 1899. Cet
état
, tout en restant le même, est allé depuis en s'ag
iques assez accusées pour appeler l'attention du chirurgien sur son
état
mental. Doux et discipliné, n'étant astreint à
ier n'a jamais été appelé à l'examiner et à donner son avis sur son
état
mental. Il semble donc ressortir nettement de
sme n'a pas semblé exercer une influence au moins immédiate sur cet
état
psychique. » Je n'ai rien à ajouter à un docu
n'est pas actuellement en mesure de déceler, d'une façon précise, l'
état
de nutrition des os, des circons- tances multip
ied gauche; dans le pied droit la position du gros doigt était, à l'
état
habituel, la même que la posi- HÉMIPLÉGIE SPASM
t, mon objet n'était certainement pas de chercher à améliorer son
état
intellectuel, mais de pouvoir agir favorablement
r son état intellectuel, mais de pouvoir agir favorablement sur son
état
épileptique, cela m'induit à mettre en pratique
emment que chez l'adulte), on ne peut pas établir une relation de l'
état
du faisceau pyramidal déduite de la lésion céré
dants franchement dégénérés, alors qu'ils devaient se trouver en
état
agénésique d'après le développement et la patho-
ment chez l'enfant, de manière qu'il n'est pas possible d'induire l'
état
du faisceau pyramidal, quelque intense que soit
, toujours davantage dans le côté droit. Ce que j'ai observé de son
état
intellectuel, c'est que pendant le mois de déce
hez les épilepti- ques. Sur cinquante-deux femmes observées tant en
état
de mal que dans des moments sans crises, une fo
ysique légère étaient conséquence et non cause de l'altération de l'
état
mental. Le signe de Quinquaud pourrait être enc
es cas où cette élévation exis- tera, et ceux où elle manquera; ? L'
état
ambiant de la tempéra- ture influence dans une
di- cation thyroïdienne exerce aussi une influence bien nette sur l'
état
mental ; 19° Chez beaucoup de malades, elle exe
dée directrice initiale du traite- ment, à savoir la prodution d'un
état
fébrile, n'est pas entièrement justifiée par le
lades, la tuberculose a été enrayée d'une manière effective et leur
état
a été beaucoup amélioré. Deux d'entre eux, outr
amélioré. Deux d'entre eux, outre l'amélioration marquée de leur
état
pulmonaire et de leur santé générale, ont guéri d
Mais le bénéfice de cette méthode n'a pas été limité aux sujets en
état
d'imminence morbide, ou actuellement atteints par
rice ou thérapeutique ; mais il'faut se guider principalement sur l'
état
du malade, et arrêter immédiatement l'écoulemen
les conscrits de l'interprétation erronée et de l'ignorance de leur
état
mental. Les classes supplémentaires annexées en
ques d'origine encéphalique : rares sont les délires paranoïdes. Un
état
d'angoisse associé à de la dépression et à des
nt-elles un aspect spécifique ? Tantôt elles révèlent l'aspect d'un
état
émotion- nel pathologique simple ou accompagné
à des impulsions épileptouies, à des délires paranoïdcs. Mais ces
états
ne se distinguent pas en eux-mêmes de ceux que l'
des traits communs avec l'épilepsie vraie. P. KEHAYAL. LI Y. Des
états
mentaux qui sont à la limite de l'aliénation ment
allucinations obsédantes ne sont pas très rares. On les observe à l'
état
épisodique dans beaucoup de psychoses. Particu-
e affaire l'agent véritablement actif; 2° la forme de la folie et l'
état
mental ont été absolument similaires; 3° dans les
te devenue plus tard diffuse. La débilité mentale qui traduisit cet
état
, était peu aisée à différencier de celle qui ca
rveau n'est pas comprimé. Naturellement, quand les pièces seront en
état
d'être étudiées sur des coupes, un examen micro
re de son côté qu'il n'est pas aussi étendu, tant s'en faut, qu'à l'
état
normal. Il y a donc bien de la paralysie ou de
l en avait au commencement. En exa- minant le malade en dehors de l'
état
d'équivalent épileptique, on trouve chez lui de
an- tage, celles de persécution au contraire ont diminué. 11 y a un
état
manifeste de démence. L'auteur considère son
exes supérieur^, ainsi que des modifi- cations pupillaires dans les
états
émotionnels, lui font émettre l'hypothèse du re
pou- , BIBLIOGRAPHIE. 5121 1 vant, d'après lui, dépendre aussi d'
états
psychiques morbides ; tandis que les premiers s
? 363. - de l'enfance, 367. L ? par Douglas, 418. , Aliénation. L'
état
de New- York et la pathologie de 1' , par Nvize
et Regnault, 348. Détention. Influence de la - cellu- laire sur l'
état
mental, par de Rode. 320 Diabète. Rapports du
ausse -. par Finrllay. H)0 ? ILIItITLDE. L' considérée comme un
état
mental morbide, par K.es- teven, 48. IIailuci
ement guéris par la . par Voisin, 430. Suicide. Impulsion au - en
état
d'automatismecérébral, par Sulli- van, 59. -
de chanter. De- puis il est devenu triste, morose; sauf cela, pas d'
état
mental particulier. On le voit, il y a d'eux ét
sauf cela, pas d'état mental particulier. On le voit, il y a d'eux
états
morbides à considérer chez ce malade. D'une par
le dos lui faisait toujours mal ». Cet affaiblissement général, cet
état
douloureux de la région dorsale et de l'épaule pe
s ulcérations. La poussée éruptive est 'précédée et annoncée par un
état
douloureux de la main et des doigts. C'est une
bles trophiques, etc., tiennent depuis quinze ans cet homme dans un
état
d'infirmité relative. Incapable de se livrer à
du côté opposé. 12 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. d'un
état
de raideur, d'ankylose incomplète de l'articulati
bad (Hongrie), elle nous arrive à Paris et entre à l'hôpital dans l'
état
suivant : Jeune fille, petite, ratatinée, ayant
tendineux sont pourtant abolis; mais cela paraît tenir surtout à l'
état
morbide des articulations et'de la' musculature.
t certainement un peu diminué de volume (pi. VI) : , En un mot, l'
état
de la petite malade était notablement amélioré
u'à l'occasion des mouvements volontaires. Laplupart persistent à l'
état
de repos et pendant les mouvements actifs, mais i
les mouvements volontaires et d'autres qui, tout en persistant à l'
état
de repos, s'exagèrent notablement sous l'influenc
généralisé, très prononcé et permanent, le malade se trouve dans un
état
de vibration perpétuelle qui- frappe dès l'abor
inférieurs, le tremblement ne s'efface que pendant le sommeil. A l'
état
de veille il ne cesse jamais, même dans l'état
dant le sommeil. A l'état de veille il ne cesse jamais, même dans l'
état
de repos et de relâ- chement musculaire le plus
atteint son maximum d'intensité ; il est alors pour ainsi dire à l'
état
aigu; cet état dure pendant un, deux, trois jou
ximum d'intensité ; il est alors pour ainsi dire à l'état aigu; cet
état
dure pendant un, deux, trois jours, parfois quelq
nt ; la pré- hension n'est pas aussi rapide, aussi immédiate qu'à l'
état
normal. Aux membres inférieurs, le tremblement,
e des oscillations, dont les membres inférieurs sont animés et de l'
état
d'instabilité de leurs masses muscu- laires ? N
nt une période de calme relatif; ils représentent pour ainsi dire l'
état
moyen du tremblement. Nous avons déjà dit qu'à
ance même puisse être jamais l'origine d'erreurs de diagnostic. Les
états
morbides auxquels ils appartiennent sont eux-mê
ère, cet homme offrait quelques jours après tous les symptômes d'un
état
neurasthénique des mieux caractérisés. Ce sujet
LPETRIERE CONSIDÉRATIONS SUR LES ECCHYMOSES SPONTANEES ET SUR L'
ÉTAT
MENTAL DES HYSTÉRIQUES Nous avons eu récemment
Iüss 2, d'Ashtlcy Cooper^ et de Froidefond 1. Il s'ensuit, qu'à l'
état
individuel, ces ecchymoses sont le plus souvent
elle « après des convulsions qui lui firent perdre connaissance, un
état
de torpeur physique qui dura onze jours » ? On
e spectacle. Elle avait tout bénéfice -IL s'entretenir en semblable
état
. Aussi arriva-t-elle a il provoquer il sa fanta
a plus haute importance et bien propres à jeter un grand jour sur l'
état
mental des hystériques que nous voudrions égale
pris un développement jusqu'alors inconnu et qu'en ce qui regarde l'
état
mental de l'hystérie masculine, nous aurons il
doit se faire de l'hystérie J », M. Moëbius a nettement caractérisé l'
état
mental des hystériques, et, en 1889, M. Pierre
otre contribution se bornera uniquement à combler cette lacune. L'
état
mental des hystériques femmes, en dehors des trav
ce mentale et de l'hystérie. Th. Paris, 1883. h. Caractère, moeurs,
état
mental des hystériques. - Archives de neurologie,
ie à la lecture des textes originaux; nous la formulerons ainsi : l'
état
psychique de l'hysté- rique résume à peu près t
éalité il n'en est pas ainsi, et que, comme l'attaque d'hystérie, l'
état
mental hystérique a son déterminisme qui ne res
e l'hystérique pourra peut-être plus que tout autre, en dehors de l'
état
mental qui lui est propre, présenter les stigma
e actuelle inaugurée par les travaux de M. Charcot, ont écrit sur l'
état
mental des hystériques. Hystériques les voleuse
iagnostic d'hystérie ne pût un seul instant être mis en doute. Si l'
état
de suggestibilité est un, il n'en est pas moins e
s ces prodromes ne sont pas constitutifs, a proprement parler, de l'
état
mental des hystériques, ils appartiennent à l'att
particulier, ils peuvent, par leur succes- sion, créer une sorte d'
état
permanent qu'il était nécessaire de faire resso
ui, chez les hystériques à attaques, va singulièrement influencer l'
état
mental dans les intervalles des accès. Lorsque
rêve a été telle qu'elle peut créer encore des halluci- nations à l'
état
de veille. Nous avons vu un de nos malades, un ho
n'en a pas moins impressionné le cerveau ; il a modifié à son gré l'
état
mental qui semble d'autant plus bizarre, heurté,
s qu'elle entraîne avec elle, et qui ont une si grande place dans l'
état
mental des hystériques, seraient d'une facile i
pour ainsi dire sans relâche et qui pèsent du plus fort poids sur l'
état
mental de l'hystérique. Nous voulons parler des
ham et qui sont l'apanage constant de ces malades. Etant donné leur
état
d'impressionnabilité cérébrale, de suggestibili
ctes de la vie journalière des hystériques et créent chez elles cet
état
mental versatile, inconstant, ou très décidé pe
s. Enfin ces suggestions et auto-suggestions existent également à l'
état
1. Société de Biologie, 20 novembre 1SS6. 2.
que, comme l'appelle M. Charcot, germe plus ou moins vite suivant l'
état
de suggestibilité cérébrale de l'hystérique. El
onnaissance de cause. Il est même des hystériques chez lesquels cet
état
de suggestibilité est si grand, qu'à l'état de
iques chez lesquels cet état de suggestibilité est si grand, qu'à l'
état
de veille, ce sont de purs automates ; leur éta
t si grand, qu'à l'état de veille, ce sont de purs automates ; leur
état
mental est absolument identique à celui des somna
st un' merveilleux sujet d'étude. Son étal d'esprit est tel, qu'à l'
état
de veille on ne manque jamais, avec un peu d'insi
se porte très bien. 1. Gilles de la Tourelle. - L'hypnotisme elles
états
analogues au point de vue médico- légal, ° éd.,
, Voilà comment, croyons-nons, il faut comprendre dans sa pureté l'
état
mental de l'hystérique, femme ou homme, adulte ou
'hygiène, avril 1887. 3. Gilles de la Tourelle, l'Hypnotisme et les
états
analogues au point de vue médico- légal (toc. c
rva- teur atteN,if pourra parfois, en constatant le changement de l'
état
mental d'un sujet, prédire, ou tout au moins pr
s moteurs. Telles sont les réflexions que nous inspire l'étude de l'
état
mental hystérique plus particulièrement peut-êt
te resteront CONSIDÉRATIONS SUR LES ECCHYMOSES SPONTANÉES. 67 à l'
état
de faits acquis. Quoi de plus commun que les épid
par l'isolement. A ce propos, il faut bien se garder de confondre l'
état
mental des jeunes hystériques avec celui de ces
ls pas étiquetés purement et simple- ment hystériques 1 - . V L'
état
mental de l'hystérique homme parait au premier ab
mental de l'hystérique homme parait au premier abord différer de l'
état
mental de l'hystérique femme. Il est cependant le
tes; de plus, l'association très fréquente dans l'espèce d'un autre
état
ner- veux, psychique lui aussi, rare chez la fe
édons comme nous l'avons* fait pour la femme, en étudiant d'abord l'
état
mental hystérique de l'homme, pur de tout mélange
abord l'état mental hystérique de l'homme, pur de tout mélange. Cet
état
mental existe : il est plus particulièrement l'ap
peut être dite efféminée, un étal mental commun faisant communs les
états
phy- siques. Ce sont des romanesques, se vantan
iter le tableau tout entier, on y voit se dessiner à chaque ligne l'
état
mental de l'hystérique .homme, avec ses rêves si
particuliers, en même temps qu'on assiste il sa combinaison avec l'
état
psychique du neul°asthésique, impuissant, incap
l de stigmates, ses attaques, ses paralysies ou ses contractures. L'
état
mental ne se modifie guère, toutefois il s'acce
entent toujours du côté qui est le siège de l'hémianesthésiei. Et l'
état
mental de « l'hystéro-neurasthénique » se pours
de l'hydrargyrisme, et nous insistons sur ce terme pour dire que l'
état
mental, dans ce que l'on a appelé l'hystérie to
, par la bonne raison qu'il n'y a pas deux variétés d'hystérie. L'
état
mental dans l'hystérie, ou mieux dans l'hystéro-n
reilles affirmations dans une bouche aussi autorisée, et étudiant l'
état
mental des hystériques, il nous était absolumen
interdit de ne pas entrer dans de semblables considérations. Cet
état
mental de l'hystéro-neurasthénie n'est pas absolu
1, et il nous a semblé qu'il était assez bien caractéristique de l'
état
psychique de l'hystérie féminine à cette époque
n'est pas en raison directe de son intensité. Aussi l'hystérie et l'
état
mental qu'elle comporte guérissent-ils dans la ma
est plus de même chez l'adulte où les modifications impri- mées à l'
état
mental par la névrose sont le plus souvent a tout
bilité. Au premier chef, il ne faut pas oublier de distraire de cet
état
men- tal les stigmates de dégénérescence qui po
men- tal les stigmates de dégénérescence qui pourraient dénaturer l'
état
psychique des hystériques sans jamais cependant
part que prend chez l'homme l'asso- ciation de la neurasthénie à l'
état
mental des hystériques. Gilles DE la TOURETTE,
e sans tenir compte de l'angle que la colonne* lombaire fait dans l'
état
normal avec le sacrum. Il en résulte un changem
pre- mière vue. Jamais de diarrhée; la constipation est plutôt son
état
habituel. Jamais d'oedème des jambes; rien au
le malade ne réagit avec sa langue qu'en 51 centièmes de seconde (l'
état
normal étant de '10 à 20 centièmes de seconde)1
r en paralysie. « Il avait cette idée-1 : ') en tête ». Tel était l'
état
du malade lorsqu'il eut sa première attaque dans
il chaque pas ; il tremblait de tous ses membres, il était dans un
état
d'anxiété, d'angoisse inexprimable. Il resta ains
tal le 12 mars ; aucune modi- fication ne s'était produite dans son
état
. Depuis cette époque, il a été soigné chez lui
que à 8 heures. Depuis son entrée dans le service de la Clinique, l'
état
du malade, en dépit du traitement auquel il a é
ux. Il était abasique et astasique et se trouvait exactement dans l'
état
où nous le retrouvons aujourd'hui. Le malade raco
it atténué et avait fini par disparaître. Les choses étaient en cet
état
, lorsque, à la fin de l'année dernière, le 13 n
lements qui peuvent survenir dans l'hystérie comme dans tout autre
état
pathologique ou même physiologique, mais bien de
ont été précédés d'autres phénomènes ne laissant aucun doute sur l'
état
pathologique du sujet. Ces manifestations antérie
. De taille moyenne, elle conserve un embonpoint'modéré et un bon
état
de la santé générale malgré les troubles anorexiq
I 3 ? ci w 108 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA 8ALPf;TRIERE. en
état
de somnambulisme provoqué. Bien que ces bâillemen
DE PN070C0170GRAPIiIF CIiINF h L('INt' : BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES (
état
normal) Llrl,O"'N11- &. U",¡ ? pO7ltVRb C
et élévateurs de la mâchoire sont alternativement dans un véritable
état
de contracture. Puis surviennent quelques mouve
ÉRIQUES. 119 Il est à noter que les bâillements qui surviennent à l'
état
isolé sans se. grouper sous forme d'attaques n'
cette inspiration \\ profonde, proportionnelle en- général, dans l'
état
normal, à l'intensité \ du bâillement. Quand el
inrie bruit, si caractéristique -" et si difficile à masquer dans l'
état
physiologique,- qui vçcompabné 1 l'entrée brusq
n(mcemeni, c'est.à : dÍl;e forOE et : s'oüveIÍt un peu bruyante a l'
état
normal. 'Chez notre. malade, on note aussi u'n'e
te, en effet, que les bâillements s'accompagnent souvent, comme à l'
état
physiologique d'ailleurs, d'une sensation de so
. Puis la crise se termine, les bâillements cessent pour passer à l'
état
intermittent ou revenir ultérieurement sous forme
loniques, soit plus souvent sous forme de raideurs musculaires ou d'
état
cataleptoïdes. Ici il est nécessaire d'examiner e
es cas comme une simple variété de mélancolie avec stupeur, et. les
états
cataleptoïdes qu'on y rencontre comme de fausse
er des phéno- mènes cataleptoïdes analogues. Chez notre malade, cet
état
mélan- colique paraît être primitif. L'explorat
ntré M. Charcot dans sa 10° Leçon du Mardi, sur l'amélioration de l'
état
général, du sommeil, sur la grande atténuation
us que sur la signification véritable de celles-ci. L'exposé de l'
état
de cette controverse a été formulé, il y a peu
paralysies amyotrophiques d'origine manifestement spinale sont des
états
morbides similaires se développant sous l'influ
myélites et polynévrites. C'est ce qui ressortira au moins, en tout
état
de cause, de l'exposé des observations concluan
prétées par l'estphall comme étant l'expression pure et simple de l'
état
sénile de la moelle. 2° Une observation (d'Eise
de décubitus. Peu de temps avant la mort, l'auteur a pu constater l'
état
station- naire des phénomènes nerveux. Autops
mente depuis dix-huit mois, s'exagérant par accès, accompagnée d'un
état
nauséeux prononcé et améliorée parfois par le s
CONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIËRE. ACROMËGALLE A DÉBUT PRÉCOCE. 153 L'
état
général reste bon, mais le sujet affligé de sa cé
it moins absolument sous l'influence de la volonté. Du reste, à l'
état
normal, l'ouverture palpébrale présente des varié
ation. L'élévation exagérée de la paupière supérieure s'observe à l'
état
normal, sans aucune anomalie de volume ou de sa
state que le maxillaire inférieur est notablement plus épais qu'à l'
état
normal. Les apophyses zygomatiques sont très
s sont petits. Les déformations, bien que faciles à distinguer de l'
état
normal (voir planche XXX), sont cependant beauc
he Il est facile de se rendre compte qu'il n'en est point ainsi à l'
état
normal. Le même os est également très épaissi et
mmes et que le temps de réaction était quatre fois plus long qu'à l'
état
normal. L'aphasie hystérique est souvent précéd
les courbes dynamométriques de la main dans la fatigue et dans les
états
d'épuisement en général. En outre, le plateau est
uisement en général. En outre, le plateau est plus trémulant qu'à l'
état
normal. La figure 49 reproduit la courbe d'un é
avons vu déjà en effet que les épileptiques présentent souvent à l'
état
habituel, mais surtout dans la période postparoxy
la vie matérielle, à se procurer par lotis les moyens possibles un
état
de béalitude ou de charme passager qui pût leur
ygiène appropriées, dans le but de pouvoir combattre les différents
états
morbides qui en sont la consé- quence. C'est ce
édical, 1888). ' DE L'OPIiTIIAL1V10PLÉGIE EXTERNE. 189 ment par l'
état
cachectique du sujet, ayant frappé tout particuli
algie, de vertiges, de toute réaction cérébrale en un mot et le bon
état
général du malade, nous en aurons fini avec le
jet placé de côté; pas de diplopie. Bouche, langue, pharynx dans un
état
normal, pas de modification électrique. Pas de si
u'elles étaient devenues plus rares. Après une légère amélioration,
état
stationnaire au 12 avril. Ni syphilis, ni dipht
ait prise de délire et de convulsions et était transportée dans cet
état
à l'hôpital (14 février). La malade n'avait pas
science de son transport à l'hôpital. A son entrée à l'hôpital, son
état
présentait, paraît-il, tout à fait les caractèr
de trente-six jours à Saint-Louis, elle part pour le Vésinet dans l'
état
suivant : elle marche sans boiter, le bras droit
mention « hémorrhagie cérébrale » ( ? ).) La malade reste dans cet
état
sans amélioration notable jusqu'en décembre. A
, et le bras droit lui-même commence à se paralyser. C'est dans cet
état
qu'elle entre le 20 décembre à l'hôpital; les jam
e, elle fut comme la première fois prise de délire et on la crut en
état
d'ivresse. Son délire nécessita encore l'emploi d
la main droite et la main gauche = 8° 5 en plus à main gauche. Même
état
des muscles abdominaux. . 23 février. - Très
as gauche continuent, et les deux bras sont maintenant dans le même
état
. L'attitude vicieuse des mains s'exagère. C'est
ion de l'articulation métacar- po-phalangienne impossible. Très bon
état
général, embonpoint relatif. Novembre. - Léger
vantes. État de la malade le 16 décembre 1874. Le corps est dans un
état
d'embonpoint normal; les mains seules présenten
salle dans laquelle elle se trouvait, contient une description de l'
état
de la malade, que nous ne reproduisons pas, car
ous, pendant son internat dans le service de M. Charcot, relatait l'
état
de la malade à cette époque, dans les lignes su
ummulaires,matité des sommets, souffle amphorique adroite... etc. L'
état
de la malade fut en dernier lieu noté par M. A. D
t de coloration rouge jaunâtre, et de consistance plus ferme qu'à l'
état
normal. , Bien qu'à l'avant-bras et au bras les
xiste une diminution évi- dente du réseau des fibres fines qui, à l'
état
normal, est assez riche, et s'entrecroise dans
aux cellules, leur nombre est diminué; quoique la différence avec l'
état
normal soit extrêmement faible; les cellules on
terfasci- culaire qui forme une gangue beaucoup plus épaisse qu'à l'
état
normal (Planche XXXII, fig. 4, b). Les fibres
on cherche à produire, les mains serrent avec moins de force qu'à l'
état
normal ; il gauche le dynamo- mètre. marque 17
e. La.face plantaire est plus creusée, le dos Llus saillant qu=dul'
état
normal; le métatarse est un peu portéende,dans
rs. Goldscheider s'éleva contre cette hypothèse en s'appuyant sur l'
état
de la sensibilité thermique chez les tabétiques
la commissure labiale gauche était tirée «jusqu'à l'oreille ». Cet
état
persista pendant quatre ou cinq jours, puis dim
t dès lors presque régulièrement par une crise de vomissements. L'
état
actuel de cette jeune fille est le suivant : les
s non plus de déviation secondaire appréciable. Pour déterminer l'
état
particulier des yeux que nous venons de décrire
orte comme l'oeil sain brusquement en dedans. On détermine alors un
état
singulier dans lequel la malade ne fixe plus av
es sont normaux. Les urines ne : renferment ni albumine ni sucre. L'
état
général est bon, l'appétit plutôt diminué.. L
provoque une crise douloureuse si on veut la pratiquer de force. L'
état
général est bon; l'appétit satisfaisant, la diges
e à laquelle nous ne pouvons nous ranger. Cependant, en raison de l'
état
psychique spécial du sujet, de sa tare hérédita
tronc. Plus tard, sous l'influence de l'ha- bitude, se développe un
état
spasmodique permanent des muscles, une contract
us un jeune garçon, c'est une jeune fille tombant à la renverse, en
état
de crise et soutenue par sa mère. Les cheveux d
n certain degré de troubles gastriques, avec fétidité de l'haleine,
état
sahur- ral, etc. Contre ces troubles les purgat
'éruption. BROMURATION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 263 5 mai. Même
état
de l'éruption : naphtol et salicylate de bismuth.
issement progressif des membres. Enfin, à son entrée à l'hôpital, l'
état
de la malade « présente les caractères de l'ivr
e qu'à la première atteinte il survient un délire violent. Enfin un
état
général grave - état cachectique, alternatives de
teinte il survient un délire violent. Enfin un état général grave -
état
cachectique, alternatives de diarrhée et de con
par eux-mêmes, en dehors de leur valeur diagnostique. ' Ce sont l'
état
général grave, le délire, les oedèmes et les trou
ral grave, le délire, les oedèmes et les troubles vaso-moteurs. Cet
état
d'adynamie, de cachexie même, avec troubles gas
, douleurs abdominales (obs. IV, VII; VIII, IX, XII), vomissements,
état
adyna- mique, puis agitation et délire, en même
utes ces relations, on note en effet un stade de début sous forme d'
état
général fébrile, du délire, et des paralysies amy
arthropathies traumatiques n'est dans une certaine dépendance de l'
état
des cordons latéraux, que parce que ceux-ci des
a face dorsale du pied, sous forme de petite tumeur. C'est dans cet
état
qu'elle rentrait en 1881 à Lariboisiôre, dans l
ers viscères, le coeur, le foie, la rate, etc., sont normaux, que l'
état
général est excellent, la nutrition aucune- men
is. Mais ce ne sont là que des examens négatifs dont, étant donné l'
état
actuel de la science sur la filariose, nous ne
e revient : plus de parésie faciale, presque plus de vertiges; même
état
oculaire. La malade avait été traitée par l'iodur
moments, sorte de paralysie de l'extension il la main droite. Même
état
à la sortie. ans. XI. Ophthalmoplégie unilatéra
8G, p. 85). DE L'0111'l'111LJIUILI : G1G EXTERNE. 295 est dans un
état
de faiblesse, d'abattement, d'apathie générale, q
qui me frappent tout d'abord comme un point caractéristique de son
état
; souvent pendant l'interrogatoire Perrot s'endo
). La malade quitta la clinique médicale de Berne avec la mention «
état
absolument le même depuis deux ans ». En 1886
ravant; l'affection oculaire n'a donc pas progressé. En revanche, l'
état
général n'est plus si parfait, et J. B... se plai
buminurie, l'hypothèse d'une néphrite interstitielle, de même que l'
état
général du malade, qui se promène constamment d
és réflexe lumineux conservé. Réflexe aecommodateur très diminué. L'
état
de l'accommodation est difficile il préciser à ca
uet à Lariboisière, où il est électrisé. Pendant quelques jours son
état
paraît s'améliorer, il avale plus facilement, qua
e est restée bonne et le fond de l'oeil normal. Aucune donnée sur l'
état
des mouvements de la pupille et de l'accommodatio
ystériques (considérations sur les ecchymo- ses spontanées et sur l'
état
mental des - , par Gilles de la Tourette, 49 (C
gique de Gabie (Fragment de l'-), 7. Bâillements hystériques, 18;
état
normal, 17. Carcinose de la région lombaire de
e'l'on ne peut dire au juste s'il s'agit là d'une disposition due l'
état
pathologique actuel ou s'il ne s'agit pas là simp
. - Paralysie et anesthésie du membre supérieur gauche dans le même
état
. M. Gautiez pratique alors ce qu'on appelle dan
es sont très grêles; le malade dit qu'ils ont toujours été dans cet
état
et que pour- tant ses désirs sexuels étaient no
à l'hôpital les exercices qu'on lui avait recommandé de faire. Son
état
général est toujours le même. Le membre supérie
hie. Donc, il est très naturel que les localisations spi- nales d'
états
généraux (que nous appelons les mala- dies de l
type clinique que nous étudions. Ainsi les indications tirées de l'
état
morbide fonda- mental, sont les mêmes dans le t
J'ai déjà parlé de la fonction de la substance corticale pendant l'
état
hypnotique; et, en comparant tout ce que je vie
fixation d'un objet comme une irritation sensorielle par laquelle l'
état
hypnotique serait provoqué, ainsi Brown-Séquard
ent, à un instant donné, les irritations corticales tombent dans un
état
d'équi- libre d'intensité très petite'. Si, pen
ais il y a une différence dans la forme et daus le degré des deux
états
. Pendant le sommeil normal, c'est en vain que n
l'expérience. i si pathologie NERVEUSE. peut arriver que, de cet
état
, il s'éveillera tout à fait, ou bien qu'il reto
llera tout à fait, ou bien qu'il retombera dans son sommeil. Dans l'
état
hypnotique, une influence au delà de certains l
ubler l'équi- libre des irritations corticales : c'est ce qui est l'
état
de veille. Un courant électrique appliqué à la
s'en servir pour éveiller un hypnotisé. Le moment principal de l'
état
de veille est le main- tien d'un certain nombre
at de veille est le main- tien d'un certain nombre d'images dans un
état
d'irri- tation plus ou moins élevée; je crois d
lle, les irritations du cerveau sont.en équilibre. Beard' compare l'
état
de veille à un candélabre dont tous les becs so
ette comparaison, toutefois en la modifiant de la façon suivante. L'
état
de veille est comparable à un candélabre dont u
e peut ' faire attention qu'à une seule chose à la fois. Mais à l'
état
normal, tout en s'efforçant de diriger l'attentio
émoire, le deuxième le dé- faut du jugement. Pendant l'hypnose, cet
état
est développé à un haut degré dans la forme du
ques-uns ondoient de temps en temps produisant les rêves. Pendant l'
état
de veille, le maniement des robi- nets s'exécut
mais en vérité par des irritations sensitives, tandis que pendant l'
état
hypnotique, c'est l'expérimentateur qui ouvre e
t ferme à son gré les robinets. Le sommeil hypnotique est donc un
état
d'équilibre des fonctions de la substance corti
nsion de cette irritation n'atteindra jamais le degré qu'elle a à l'
état
de veille, et de là la spontanéité manque absol
u sommeil hypnotique; mais il est hors de doute que ce n'est pas un
état
normal. On en ren- contre des exemples bien mar
e cette étude. En jetant un coup d'oeil sur les des- criptions de l'
état
hypnotique des divers auteurs, on trouve des di
nces telles qu'il faut se demander s'il y a autant de formes de cet
état
, ou bien si les expéri- mentateurs ont une infl
côtés était accompagnée de l'aphasie. Quant aux trois phases de l'
état
hypnotique de M. Charcot, ils ont le grand méri
, ils ont le grand mérite d'avoir complété nos connaissances de cet
état
très précieux pour les études de la fonction du
rale. D'un côté, il y a tant de transitions, de formes frustes, des
états
pour ainsi dire interposés entre les phases typ
ve pas à produire ces phases; ni l'un ni l'autre ne tombent dans un
état
qui est cer- tainement hypnotique, mais qui n'a
eut parvenir expérimentalement à para- lyser, selon les phases de l'
état
hypnotique, les fibres des divers systèmes d'as
ns un travail que nous publierons prochainement, nous décrirons cet
état
spécial pendant lequel, spontanément et dans un t
comme pour se mettre en léthargie, les ouvre comme pour passer à l'
état
cataleptique, se fric- tionne le vertex comme p
frotter le bras qu'on est obligé de maintenir; puis il tombe dans l'
état
particulier que nous observons habituelle- ment
peu à gauche (1 cen- timètre de hauteur). A partir de ce moment,
état
de crises avec déroulement de personnalités div
milieu de crises hystéro-épileptiques, l'appa- court, le malade en
état
de crises se transporte à des âges divers et su
de crises se transporte à des âges divers et successifs de sa vie,
état
psychique qui entraîne un état somatique tou- j
âges divers et successifs de sa vie, état psychique qui entraîne un
état
somatique tou- jours le même. 56 RECUEIL DE F
ou moins com- plète de la moelle pendant vingt et trente ans sur l'
état
ana- tomique du cerveau et de tous les organes
à des maladies distinctes, ce sont des accidents alternes d'un même
état
général, l'athérome artériel ou endartérite gén
Cet alhérome ne serait lui-môme qu'une manifestation avancée d'un
état
morbide général que M. Lancereaux désigne sous le
ral et physique) a déterminé l'ischémie foetale (ramollissement). L'
état
psychique de cet idiot se rattachait aux déform
au début de- ce second épisode la nutrition de la malade est en bon
état
, parce que, pendant son évolution, l'aliénée de
'être à la condition qu'on observe avec la plus grande conscience l'
état
des forces et qu'on prévienne toute complicatio
a vue, suivis de complète cécité. Aphasie. Pendant le dernier mois,
état
de mal avec hébétude permanente et secousses co
on avait affaire à une démente épileptique de cinquante-quatre ans (
état
de mal dèsle début de la fièvre typhoïde ; mort
assertions de Rieger (communication orale), M. Rabbas a déterminé l'
état
des facultés de ces malades à la lecture. 11 a
sait aux ordres donnés. Lorsque, au bout d'une semaine ou deux, son
état
commença à s'améliorer, il ne répon- dait que p
le, il refusa de manger, devint malpropre, et l'on craignit que son
état
n'aboutit à la démence. Mais peu à peu cet état
on craignit que son état n'aboutit à la démence. Mais peu à peu cet
état
s'améliora, et, au bout d'un an, il put quitter l
nal inguinal d'un testicule non descendu); à partir de ce moment, l'
état
du malade s'améliore, et, sans recouvrer son in
ntique et caractérisée par des idées de persécution greffées sur un
état
d'imbécillité déjà ancien. R. M. C. XXI. UN cas
es, et de 1 p. 100 pour les femmes. La grossesse, l'accouchement, l'
état
puerpéral et la lactation réu- nis en un seul g
drée au cours d'une psychose curable : dans la pluralité des cas, l'
état
de gravidité exerce une influence défavorable sur
d'emblée par guérison ou démence définitive; ce stade débute par un
état
dé dépression en rapport avec des hallucina- ti
ire aigu (Obs. 111); tantôt enfin de manie compliquée de stu- peur (
état
mixte de l'Obs. Il). Cette maladie, qui porte sur
la démence frappe surtout dans les cas d'évolution compliquée ou d'
état
mixte ainsi que dans la forme se bornant au sta
» et, plus loin, : « la folie est un processus déter- miné par des
états
pathologiques des centres subordonnés. » P. K.
ni en écrivant, ni en parlant, il ne se trompe d'ex- pression, cet
état
s'aggrave pendant les quatre mois suivants, au
oteurs ne nous arrêteront pas, ce que nous voulons savoir , c'est l'
état
des vaisseaux dans la boite crânienne. Pour é
ête, comme on constate la tuméfaction et la rougeur de la face. Cet
état
est désigné sous le nom d'oedème cérébral. La c
ne secousse qui les faisait sortir de leur apathie et produisait un
état
de surexcitation. Après le si- lence dans leque
ement à parler et donnaient quelquefois des renseignements sur leur
état
. Un épileptique se sentait toujours soulagé apr
e se sentait toujours soulagé après l'inhalation d'amylnitrite. Cet
état
de soulagement cessait quinze minutes après que
s courbes d'un homme simple, d'un certain âge, dont les courbes à l'
état
normal étaient assez satisfaisantes ; ici aussi
trite, il a toujours été impossible de prendre de tracé parce que l'
état
de surexcitation du malade devenait considérabl
procher de ce malade, 2' à 3 gouttes d'amylnitrite pour produire un
état
d'ivresse, tel que, le Archives, t. XII. 7 98
courbes aussi régulières, sous l'influence de l'amylnitrile, qu'à l'
état
normal. D'autres, au contraire en furent profon
le agit aussi, mais très peu et passagèrement, sur l'agitation et l'
état
de l'humeur, n'exerçant d'ailleurs aucune actio
her; par H. NEUMANN. (Neurol. Centralbl., 1885.) Un phthisique en
état
de collapsus reçoit deux injections sous- cutan
Meynert, pénétrent, au niveau de la partie inférieure du bulbe, à l'
état
de fibres arci- formes, dans le noyau des cordo
de temps à autre, inquiétude occasionnée par des visions. Tel est l'
état
depuis le 17 février jusqu'à ce jour. Constance
elativement bonne. M. SANDER, demande s'il y a eu dans l'espèce des
états
épilep- toides. - Réponse négative. M. REntAS
nser- vent leur aptitude pleine et entière. - Sclérose en plaques :
état
semblable. Paralysie bulbaire progressive; fréq
r. Grande sensibilité au contact de la peau et des muscles. Mort en
état
de collapsus. Les viscères sont parsemées de lési
bystero- épileptique débile au point de vue mental qui n'est pas en
état
de discerner la culpabilité de son parjure. Ce
mise en doute n'ont pa jusqu'à présent été mises en rapport avec un
état
anatomique quelconque. Ces rémissions qui s'obser
os recherches, elle est très rare, et il est probable que plusieurs
états
nerveux où on l'a signalée doivent être rattachés
nce à peu près complète d'anesthésie, etc.; 2° au point de vue de l'
état
de la respiration, qui se régularise en même te
ns la quantité d'acide car- bonique exhalé; 4° au point de vue de l'
état
de la circulation encéphalique, le cerveau étan
irculation encéphalique, le cerveau étant moins congestionné qu'à l'
état
de veille, ce qui semble indiquer un apport moi
stitue, à proprement parler, ce travail, on y trouve une étude de l'
état
et les variations de la pression 128 VARIA. s
s en oxygène et moins riches en acide carbonique, dans la période d'
état
du sommeil anesthé- sique ; 2° la quantité d'ac
'observation plus loin, fut également atteint d'érysipèle, mais son
état
intellectuel ne parut nul- lement modifié par c
étaient tortueux ; la substance corticale elait plus épaisse qu'à l'
état
normal. Il n'y avait pas traces DE GL\NDE thyro
ût. Un nouvel examen du malade montre peu de chan- gements dans son
état
. Les paupières gauches sont plus bouffies qu'à
,22 en 1882; fD',23 en 1884; 1mu5 en 1885; 1 ? 7 en août 1886. L'
état
intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la
ysé, la parole était embarrassée. Au bout de quelques semaines, son
état
s'amé- liora notablement; mais, le 31 mars, sur
aussi com- plète que le premier jour; au bout d'un certain temps, l'
état
s'améliora de nouveau; la paralysie du membre s
es rapides, de mouvements cloniques ; enfin le'malade revient à son
état
normal; mais peu de temps après, la même série
er 1886, le malade est envoyé de la Charité à la Sal- pêtrière. Son
état
ne s'est pas modifié depuis sa dernière entrée
du massage et de l'aimant ont été faites pour chercher à modifier l'
état
du ma- lade, mais jusqu'à présent aucun résulta
complet de la sensibilité. La paralysie est tou- jcurs dans le même
état
; l'amyotrophie est restée station- naire. Il
u'il pût se lever et retourner chez lui. A ce momentvoici dans quel
état
il se trouvait : le membre supérieur était comp
e ma- lade est entré dans le service de M. Moizard, à Cochin. Son
état
du reste ne s'était pas modifié depuis le début e
e de la main et provoquèrent des excoria- tions assez accentuées. L'
état
du malade ne se modifia plus pendant une durée
Une fois à terre, le malade perdit connaissance et resta dans cet
état
pendant quatorze heures environ. Quand il revint
avant-bras et du bras étaient tout à fait abolis. Il resta dans cet
état
jusqu'au moment de son entrée à l'hôpital. Etal
uche. tel mars. Les douleurs ont disparu. 15. - On remarque que l'
état
du membre supérieur se mo- difie, la contractur
- Depuis deux jours est survenue une modification importante dans l'
état
du membre supérieur; quelques mouve- ments des
t simplement émoussée. Les sens spéciaux sont toujours dans le même
état
. 9. Le malade commence à mouvoir l'avant-bras s
l'épaule. 5 mai. Le malade demande à sortir, et voici dans quel.
état
il se trouve : . le membre supérieur gauche n'est
que les doigts se sont fléchis, contractu- rés dans la main, dans l'
état
où ils sont aujourd'hui. Huit jours après, il e
ours après, il est retourné à la mairie; le bras était dans le même
état
. Puis il est entré à Lariboisière, où on l'a en
rophiés. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 177 Il revient le 18 juin. Son
état
, depuis sa sortie, ne s'est guère modifié. En
l'observation qui avait été prise par son interne. Voici dans quel
état
se pré- sentait le malade le jour de son entrée
ce que l'on constate alors : Le malade est à peu près dans le même
état
que lors de son entrée à l'Hôtel-Dieu. - Son ét
près dans le même état que lors de son entrée à l'Hôtel-Dieu. - Son
état
général est toujours très bon. La paralysie du
plus de quatre mois après l'en- trée du malade à la Salpêtrière son
état
ne s'est encore aucu- nement modifié. L'amyotro
naissant une origine réflexe et résultant d'une modification dans l'
état
des cellules des cornes antérieures de la moell
eut recours aux spiritueux afin de retrouver un peu de sommeil. Cet
état
se prolongea jusqu'au 10r novembre. La veille d
t'avec peine et en même temps le malade était constipé. Tel était l'
état
du malade le novembre, jour où il entra à la cl
lui la jambe droite et remuer un peu la plante des pieds. Il est en
état
de faire la flexion du membre supérieur droit.
e et une matité obtenue par la percussion. Le malade n'est pas en
état
d'expectorer. Le 9 novembre, la température s'e
s totales de la dure- mère avec les os de voûte. La pie-mère est en
état
d'hyperémie stasique. Il est rappeler que la mo
e et les cellules, dans l'une comme dans l'autre, se trowentdans un
état
atrophique; mais celle altération est cepen- da
hébétude, sensation de tension, de pression de douleur céphalique,
état
de mauvaise humeur, d'hypochondrie, de mélancol
anls : la chaleur du lit et l'exercice, les suda- tions dissipent l'
état
de rigidité; en revanche, l'appréhension, la cr
dérée (astigmatisme) Intégrité du système nerveux. Il s'agit d'un
état
congénital héréditaire; la mère du sujet en quest
e présentait pas cette allure vive des membres caractéristique de l'
état
normal; quand on voulut le faire marcher, on s'
omsen. L'auteur y voit un type morbide spé- cial caractérisé par un
état
de dépression anxieuse, avec insomnie ou sommei
e punition, ne peut jamais s'attendre il modifier favorablement l'
état
moral du détenu dans les cas mêmes où celui-ci n'
ltéré directement sa santé; ce dommage s'est d'abord traduit par un
état
de nervosisme général que relate le malade (exe
uences en question, ainsi quand il pense à l'hypnotisation et à son
état
pathologique. Alors que le début de sa maladie
te délimitation rigoureuse. Il faudrait savoir limiter son rôle à l'
état
du père au moment de la con- ception, ou à celu
prit, c'est pour faire mieux comprendre, par l'étude des derniers l'
état
mental des autres. L'avantage de cette méthode
ais reliés entre eux par un caractère commun, qui n'est autre qu'un
état
hériditaire et de pouvoir ainsi, par l'examen f
tenir certains mots grossiers; elle riait ou pleurait alors que son
état
normal du moment était en opposition avec ses r
n et pour satisfaire tout le monde, appelons, si vous le voulez cet
état
: folie des héréditaires dégénérés. M. Cotard m
les émotions psychiques de nature anxieuse qui ne procèdent pas des
état
» catatoniques. M. EDFL. La rigidité catatonique
ur l'administrer à 52 femmes d'âges variés, atteintes de différents
états
d'agitation (chronique ou maniaque aiguë) on em
ine, et tout en entendant ce qui se passe autour d'elle, est hors d'
état
de réagir d'une façon quelconque. Parmi les phéno
public dts prévenus dontl'rz/faire s'instruit, afin d'examiner leur
état
mental au besoin pendant six semaines ». Quel r
ainsi conçu : En ce qui concerne la préparation d'un rapport sur l'
état
mental de l'inculpé, le tribunal, peut sur la p
gements nerveux. Plus tard, on remarque une grande instabilité de l'
état
moral : tantôt le malade pleure sans motif, tan
bilité tactile et douloureuse est émoussée; ensuite, on remarque un
état
paralytique qui ne dure pas. Le 11 mai, tous le
ire, R... perdit l'usage des jambes et de la parole. C'est dans cet
état
qu'on l'amène à l'hôpital. Le ma- lade est d'un
remuer les doigts. Le pied gauche est con- tracturé en dehors, à l'
état
d'extension. L'évacuation de l'urine se fait au
jumeaux de l'un et de l'autre côté. Le 21 juillet, le malade est en
état
de soulever un peu les jambes dans son lit; la
bé en arrière, les coudes fléchis, les poings fermés, les jambes en
état
d'extension, perte de la connaissance. Les même
fléchir la jambe gauche dans toutes les articulations, et il est en
état
de la soulever un peu ; les mouvements de la dr
pouvait un peu marcher facilement, mais après il revenait au même
état
. Moralement, il paraissait abattu, parfois la tri
e médecin de service. Le 21 décembre, je trouve notre malade dans l'
état
suivant : la perte de connaissance ; les pupill
jour où le malade recouvre l'ouïe. Le 15 et le 16, il se trouve en
état
de stupeur, il est couché, les yeux fixés sur u
s les jambes tremblent; les muscles des membres inférieurs sont à l'
état
de rigidité, les genoux fléchis; il glisse les
de quatre minutes, garde la position suivante : les jambes sont à l'
état
d'extension, les bras aussi, éloignés du corps; l
il peut marcher plus longtemps. L'activité psychique est normale. L'
état
décrit est le même que jusqu'au 2 février, exce
ou bien, au contraire, les jambes sont raides, les muscles sont à l'
état
de tension. Cela fait que la démarche des malad
ctive); 15, 20 minutes avant l'accès, le malade se couche, tombe en
état
de stupeur, 288 CLINIQUE NERVEUSE. les yeux o
L'enfant reste pendant tout le jour assis devant une table, dans un
état
d'inertie et d'oblusion intellectuelle complète
oigt et ne disparaît pas par la pres- sion. La main gauche offre un
état
analogue, bien qu'à un degré moins marqué. Au
tions au galvanocautère. Nous avons déjà indiqué, chemin faisant, l'
état
de l'intelligence ; notons encore que Then... r
sommeil est tranquille, l'après-midi tout entière se passe dans un
état
de demie somnolence et d'immobilité. Jamais depui
l'arcade sus-orbitaire où elle se limite par un léger bourrelet. L'
état
des téguments (par suite de la cachexie pachyde
ie pachydermique) empêche d'explorer les gan- glions. -Peau chaude,
état
saburral des premières voies digestives. 24. Le
igt laisse une empreinte. On ne peut que présumer l'érysipèle, vu l'
état
ordinaire de la peau; pas d'ap- pétit ; un vomi
. De même, la rougeur descend sur le côté droit jusqu'au poignet; l'
état
général est bon. -T.R. 38°,6. - Soir : 38°, 6.
- Soir : 38°, 6. 10. - Les doigts sont envahis par l'érysipèle, l'
état
général est bon. T. R. 38',2. - Soir : 38°6.
6. - Soir : 3-in,4. 16. T. R. 31 ? . 27. - Th... est revenu à son
état
habituel, et est très gai. 4881. Juillet. - Poi
e. Les gencives, un peu décollées, mais relativement en assez bon
état
, forment un bourrelet autour des dents et des rac
ni tuméfiés, ni douloureux. T. R. 37°,6. - Soir : 31l,6. 11. Même
état
. T. R. 37°,4 . - Soir : 31°, . 306 CLINIQUE NER
e; les deux oreillettes sont dilatées. La graisse qui se trouve à l'
état
normal dans les sillons est ici beaucoup moins
phère gauche.- La scissure de Sylvius (pal. III, Se. S.) laisse à l'
état
frais une partie de l'insula àdécouvert; après un
la malade de Curling, ces érysipèles n'ont nullement amélioré son
état
intellectuel. Le traitement (toniques, bains sa
ain; il était devenu, au moins par moments, plus expansif, mais son
état
intellectuel ne s'était pas sensiblement modifi
324 CLINIQUE NERVEUSE. renseignements que ceux qui concernent son
état
actuel, M. Lalo, étudiant en médecine, qui a bi
le soir, à 6 h. 1/2, 34°. Respiration lente et inégale. 16. Même
état
. Le matin, à 8 h., T. ax. 34° 6. Le soir, à 7 h
pour désigner le myxoedème des auteurs anglais ou une forme de l'
état
crétinoïde de M. Baillarger. La physionomie de
nduisit à l'examen général de l'enfant, et nous constatâmes le même
état
de la peau sur les membres supérieurs et inféri
alade reste couchée dans son lit, grande gâteuse, immobile, dans un
état
de mutisme absolu, triste et silencieuse ; elle
eds et sur les jambes, où la circulation est si pauvre qu'il y a un
état
chronique d'engelures. La (peau est sèche etdur
e qui rendraient compte de la persistance de l'amé- norrhée et de l'
état
infantile des organes génitaux externes et inte
cette absence qu'il faut rattacher le myxoedème d'abord, ensuite l'
état
crétinoïde. Eu 1882, M. Bail a présenté à diffé
ssent avec régularité. Tous les sens spéciaux paraissent être à l'
état
normal et la sensibilité tactile ne laisse rien
ographie, semblent avoir été atteints de pseudo- oedème dur \ par l'
état
de la dentition, de la peau, la sen- sibilitéau
la Salpêtrière. « Le second point, ajoute M. Bail, se rattache à l'
état
d'ossifi- cation des parois crâniennes. D'après
principales causes du crétinisme. Or, nous avons affaire, ici, à un
état
abso- lument inverse : il y a défaut d'ossifica
cial, à supposer que le crétinisme vrai ne se rapproche pas de l'
état
myxoedémateux, il s'agit d'un crétinisme spécia
é gauche, la dent cor- respondante du côté opposé apparaissait. L'
état
de la langue était remarquable. Elle était trop g
lar- geur exceptionnelle, elle était normale. Le corps était en bon
état
, mais un peu petit. Ce bon état paraissait être
tait normale. Le corps était en bon état, mais un peu petit. Ce bon
état
paraissait être dû à un excès de la graisse sou
blance de son cas avec le myxoedème de l'adulte, ne croit pas à l'
état
crétinoïde avec cachexie pachydermique. Le diag
cependant devoir être posé assez clairement, si l'on considère l'
état
intellectuel et physique de la malade, les masses
r volumineuse du cou que présentait ce malade ! ' JI 1 '1 ' 1 Cet
état
crétinoïde des idiots myxoedémateux per- met de
te d'être remise à l'étude; il serait intéressant de s'assurer de l'
état
de la glande thyroïde chez les crétins complets
complète; souvent, par exemple, il n'y est fait aucune mention de l'
état
de la glande thyroïde. Parmi les observations q
ent élargis, et contiennent parfois des granulations laiteuses. A l'
état
frais, les vaisseaux corticaux, enlevés à la pi
qui ne permet que difficile- ment dese rendre un compte exact de l'
état
du cou, des pieds, etc. Toutefois, cette photog
yspnée ; alourdissement corporel et intellectuel; six mois après, l'
état
est encore plus marqué, la dyspnée plus forte n
e nécessite la trachéotomie; rapide améliora- tion consécutive de l'
état
général. En nsss, les symptômes de la cachexie
rythénoïdes difficille; électricité, ferrugineux; amélioration de l'
état
général. Elle peut reprendre son travail de cou
. L'auteur pense que si on les avait opérés avant l'apparition de l'
état
crétinoïde, celui-ci aurait été attribué à l'op
erd beaucoup de sa valeur du fait qu'il ne donne aucun détail sur l'
état
des corps thyroïdes extirpés; on comprend très
démateux. Depuis longtemps déjà notre attention a été appelée sur l'
état
de la glande thyroïde chez les idiots, et sans
evée : M. Horsley rapporte les symptômes observés par lui à trois
états
successifs : 1° période nerveuse; 2° période mu
quer pourquoi, chez l'homme, la thyroïdectomie semble produire un
état
myxoedémateux susceptible d'amélioration, dont
mique à la suite de l'extirpation du goitre en deux temps éloignés (
état
qUI se rapprocherait de ce qui se passe dans le m
survie de cinquante-deux jours; un autre chien dont nous ignorons l'
état
ultérieur, ne présentait encore aucun phénomène
que (inconnu) de l'organisme dont la neutralisation s'opérerait à l'
état
normal, dans la glande thyroïde. La théorie tox
le siège, en empêchant totalement son fonctionnement, produisent un
état
crétinoïde assez voisin du crétinisme avec ou s
vue des accidents qui ont suivi le suicide n'est point la seule; l'
état
mental lui-même est amélioré ; B..., qui, antér
vait mise depuis deux jours, et qui doit avoir été trop serrée. » L'
état
mental est changé; B... suppliait autrefois qu'
trière; elle craint de se voir refuser cette sortie. Mardi 7. - L'
état
général n'a pas changé ; seulement les idées d'
de plusieurs attaques de pleurésie; mais je n'ai pas considéré cet
état
comme une contre-indication suffisante de l'emp
s l'écorce, dans la couronne rayonnante. On doit ensuite examiner l'
état
des vaisseaux et des lym- phatiques périvascula
a hernie du cerveau, comme on la comprend d'habitude, puisque cet
état
n'arrive seulement que lorsque le lambeau ne s'es
ain étaient un peu affaiblis. Le pouce gauche était souvent dans un
état
de rigidité, alternant avec un spasme clo- niqu
igidité, alternant avec un spasme clo- nique (on pouvait amener cet
état
en manipulant le pouce). Sensibilité. - Pas d'a
nt, après la réparation d'un petit morceau de peau sur le bord. L'
état
du malade après l'opération était très intéressan
nds étaient très exagérés du côté gauche dans les deux membres. Cet
état
s'améliora et, à l'époque de la réunion, tout é
ette simple indication nous connaissions tous les caractères de son
état
intel- lectuel. Nous pourrons ajouter qu'il a d
rs en outre, ces éléments sont exagéré- ment pigmentés, plus qu'à l'
état
normal. Le cerveau de'para- lytiques généraux c
5 parfois même 40° et change chez le même patient parallèlement à l'
état
de santé subjectif dans lequel il dit se sentir
ment et leurs modifications permettent de déduire un jugement sur l'
état
général actuel de l'écorce; en comparant les ré
onnées par le patient on peut obtenir un aperçu sur le mélange de l'
état
neurasthénique ou hystérique avec les allégatio
. Un désordre dans les idées intermédiaires est cons- titué par cet
état
desomniation délirante que l'on remarque pen- d
. avec les collègues du pays, ils reconstruisissent l'histoire et l'
état
actuel de la maladie, d'où auraient découlé les
névropathe, avec lui en calèche découverte, en plein jour, dans ses
états
, car il est évident que le malade, bien que dûm
ulement il existait de graves lésions cérébrales, mais encore que l'
état
durait depuis longiemps. En voici le résultat
nou. La langue est pincée entre les dents, ces dernières en mauvais
état
. La peau du crâne est très épaisse et gorgée de
dant sur les comptes rendus du Département médical relativement à l'
état
de santé psychique des conscrits convoqués pend
our les épilep- tiques vient d'être créé récemment à Baldwinsville,
état
de Massa- chusets, aux Etats-Unis. Les bâtiment
sition. Celte prédisposition, chez le morphinomane J réside dans un
état
de faiblesse plus ou moins manifeste Archives,
ui s'était fait le boule-en-train elle chef de la bande no- made, l'
état
moral était excellent : le malin on se réveil-
nte de la soif morphinique,' comme ils sont les seuls fauteurs d'un
état
qui les amène à ces excès, ils en doivent subir
toutes les intoxications volontaires se retrouvent souvent le même
état
mental prédisposant, celui des héréditaires ; m
prédisposant, celui des héréditaires ; mais comme il arrive que cet
état
mental spécial reste silencieux plus ou moins l
rd d'autrui ; son développement est basé sur la timidité innée. L'
état
pathologique décrit par cet auteur n'est pas du
ive (2). Voilà ce qui est dit dans les mé- moires du malade sur cet
état
, mémoires que j'ai pu- biliés : « Avant de quit
ice, ma timidité augmentait de plus en plus. Le désir de cacher mon
état
maladif et (t) Archiv. de Neurologie, Il' 10 ?
crainte du regard d'autrui, je me suis spécialement arrêté sur ces
états
el j'ai décrit dans trois cas nouveaux l'élut n
es yeux et ne se sentent pas il leur aise. » Ce qui caractérise cet
état
maladif, c'est que les malades le comprennent e
on le méprisait - parce qu'il avait de tels yeux ; il concevait son
état
anormal et le fait que sa pensée s'occupait con
'ébauche de la maladie existait en muil»enavanl : avec le temps cet
état
m'était devenu habituel et je rougissais même à
dans l'ignorance du monde; mais le l'ait reste le même, que dans un
état
pareil COnlllH' 1" mien la \ ie etimpos ? ibll'
autrui de no- tre cas, il est évident qu'il s'agit visiblement d'un
état
imposé, importun, qui se traduit par ceci : qua
régulièrc du malade. Voici ce que raconte le malade lui-même de son
état
: « Mon père est, d'un embonpoint assez considé
ue, elle traitement de l'urethrite dure jusqu'à présent. « Un autre
état
pathologique du système nerveux, c'e1 la fai- b
é de cela l'indécision et la douceur. « L'amour-propre va jusqu'à l'
état
maladif; la tendance vers l'i- soiemenf ; l'amo
ans laquelle je lus ce qui suit : « Je me suis décidée d'écrire mon
état
, autrement je risque de ne rien dire. Je suis a
ppartient à la classe la plus basse, et ces voyages ont aggravé mon
état
; j'y ai rencontré des physiono- mies vraiment
RD. 23 quillement et si ensuite, quittant le livre je me rappelle l'
état
qui me pèse, je me demande qu'est-ce qu'il se p
eseulc fois; maismalgre cela je me sentais mieux. Dès l'automne l'
état
maladif recommença ; mais ma doctoresse était t
ins d'abuser de votre patience. L'été passé, en- core avant que mon
état
maladif eut, commencé, au mois de jnin à 10 heu
faut encore compléter ces faits cités par la malade par ceci que l'
état
pénible dans lequel elle se trouve disparaît dans
alade nous raconte dans sa noie avait joué un certain rôle dans son
état
maladif, et il est probable qu'à cause de cet i
onnaître son impotence à ses yeux ; voilà pourquoi il éprouvait cet
état
péni- ble aux regards d'autrui surtout après de
idicule par ce clignotement bizarre et confus des paupières et de l'
état
qu'il' accompagne, état pendant lequel la J'OU-
ent bizarre et confus des paupières et de l'état qu'il' accompagne,
état
pendant lequel la J'OU- 9ecsr pareille ci la ch
ante, avec parfaite estime, etc.» La description citée démontre l'
état
tragique dans lequel se trouvent ces malades qu
ins cas dans la supposition des malades qu'on peut reconnaître leur
état
normal d'après l'aspect de leurs yeux, d'après
nous le trouvons- dans le cas du premier malade qui détermine son
état
maladif par les mots suivants : « Le sentiment
ou le souvenir de celui-ci jouc-t-il un certain rôle. Ainsi, dans l'
état
maladif que j'ai décrit ci-dessus,il s'agit du
décrit ci-dessus,il s'agit du développement imposé el ennuyeux d'un
état
affectif de confusion et de crainte lorsque les
ue les autres personnes regardent les malades droit aux yeux et cet
état
affectif apparaît ou bien immédiatement après l
e en ceci : le malade craint qu'on reconnaisse d'après ses yeux son
état
anormal (l'onanisme, l'expres- sion impure, etc
faut remarquer qu'il y a dans ce cas une certaine analogie entre l'
état
maladif que j'avais décrit (t) et la crainte «
gis (2) ; celle-ci apparaît dans cer- tains cas comme résultat d'un
état
affectif primitif ; dans d'autres cas, elle sui
oculaire ; par exemple, le premier de ces malades en décrivant son
état
dit : « Le regard d'autrui provoque en moi une
nt garantit mieux leur tranquillité d'.lmc. * Il va sans dire que l'
état
décrit est très pénible pour les malades, comme
t 'dans une forme plus ou moins pure sans combinaison avec d'autres
états
pathologiques et elle pré- sente alors une form
celle cont- binaison est, un très bon moyen' contre les différents
états
nerveux, surtout, neUl'1lslhéni'lucs, . 32 as
l devient le système /c/<o-co)'<t'co-/) ? /)'OE) ? t;W. ' A l'
état
normal la sphère psychique volontaire et la sphèr
ntripètes et cen- trifuges qui les relient l'une à l'autre. ' A l'
état
pathologique, il n'en est plus de même soit à la
s que si on les compare de chaque côté ; on ne peut conclure à leur
état
normal ou anormal que par leur ab- sence d'un c
normale. La gradation de celte transition permet de distinguer cet
état
du morcellement en écale, ou de l'atrophie des fi
des anomalies dans la structure des parois vasculaires, ainsi que l'
état
des gaînes de myéline. Tout pigment apparaît égal
'une autre observation d'imbécile, avec hémiplégie et épilepsie, et
état
de mal qui lui sert de contre-partie. Paul Bo
uablement décrits avec un sens clinique parfait. La pathogénie de l'
état
neurasthénique repose avant tout sur la prédisp
'intoxication alimentaire, mais ces principes, sont subordonnés à l'
état
des fonctions digestives (hyperchlorhy- drie ou
rai à votre questionnaire. Ettoutd'abordje pose en principe qu'en l'
état
actuel des choses, il est impossible de faire u
paillasse de varech avec une allumette oubliée dans ses poches. Son
état
fut jugé des plus graves, M. Carré, commissaire
(examen par dissocia- tion) ; dans l'autre cas on ne parle pas de l'
état
des ra- cines. C'est donc avec raison que Barte
s psychiques. Depuis la lin de janvier jusqu'à la mort du malade, l'
état
géné- ral et les douleurs continuelles ont été
foie en particulier. Le rôle du foie et de ses altérations dans les
états
ly- pémaniaques, n'est point pourtant une conce
t entre les affections hépatiques et les psy- choses. ' Quant aux
états
mélancoliques, directement liés aux troubles hé
s, a démontré que les abcès du foie pouvaient être accompagnés d'un
état
plus ou moins marqué de mélancolie et d'hypocon
acides biliaires, éventualité fort acceptable, puisqu'il y avait un
état
de subictère très manifeste ; ou bien l'ex- cès
contraste singulier, dit Griesinger (1), presque risible, avec leur
état
de tristesse profonde : on en voit, par exemple
été ellectuées chez ` ? S pamlytiqllcs,qéI1C- raux. Un n'a Bromé d'
état
négatif qu'une seule fois. En même temps qu'on
ais l'inverse n'est pas wai,c'est-à-dire que l'on trouve parfois un
état
cytologique négalifa\ec une augmentation de l'a
entées sur des sujels ayant eu la syphilis, on puisse constater un
état
positif, bien que dans ce cas, l'augmentation d
ooliques à se laisser ponctionner. Chez les alié- nés alcooliques t'
état
du liquide cérébro-spinal était absolument néga
é une balle de rewlver dans le voisinage de l'apophpe mastoille ; l'
état
cyto- logique positif (le\ait tenir aux phénomè
ée à une connexité entre l'irritation des méninges et l'acuité de l'
état
men- tal. Le nombre des lymphocytes varie entre
du système nerveux central, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 111 trahit un
état
cylologique intermédiaire à l'état normal et à l'
DE THÉRAPEUTIQUE. 111 trahit un état cylologique intermédiaire à l'
état
normal et à l'é- La[ pathologique bien qu'il se
sie. Toutefois ils sont presque exclusivement obsenés dans tous les
états
mentaux s'accompagnant d'inhibition psy- chique
il qui a le «rand mérite d'attirer l'attention des aliénistes sur l'
état
physique des malades, état physique le plus sou
attirer l'attention des aliénistes sur l'état physique des malades,
état
physique le plus souvent trop négligé. R. LEROY
nt immo- biles, à quelque intensité lumineuse qu'on les soumette. L'
état
mental est incompatible avec l'examen de la con
térations décrites chez les épileptiques morts dans le co- ma ou en
état
de mal. La moelle ne présente rien de particulier
du cerveau affectant en l'espèce les troncs nerveux en question. L'
état
ophtalmoscopique et l'anomalie spéciale de la réa
te de la ban- delette optique droite. P.lIERAVAL. XXI. Quel est l'
état
de la pupille dans l'immobilité réfle- xe typiq
r cette dernière se peut développer graduellement etsub- sister à l'
état
de complexus pur pendant des années. Aussi les ex
onductibilité complète de l'oculo- moteur commun. Pour rechercher l'
état
de la voie centripète, du moins quand un indivi
ades attteinls d'épilepsie grave ou surtout, pendant les périodes d'
état
de mal dui,assezsouvent se produisent sans caus
par delà lourdeur de tête, de la confusion intellectuelle, par un
état
fébrile, par l'aggravation des symptômes de l'épi
ique à un épileptique pendant la phase d'aggravation de sa maladie (
état
de mal) on n'obtient pas de phénomènes d'intoxi
près que l'aggravation a disparu, quand le patient est revenu à son
état
normal, on obtient aussitôt des phénomè- nes d'
rt, maxima 75 %). B. L'absence complète d'onde musculaire trahit un
état
patholo- gique du système nerveux en rapport :
u centre ou du conducteur nerveux, ex. : convulsions, contractures,
états
de tension même sans convulsions, de l'hystérie
toxication, à lI. Damaye, auteur d'un Essai de diagnostic entre les
états
de débilité mentale ; à M. Petit pour sa thèse
troubles de l'écriture, évoluant parallèlement à ceux de certains
états
pathologiques, donneraient une sorte de courbe fi
hallucinations, l'automatisme, etc. Le sujet spirite n'est plus en
état
de veille, mais hypnotisé au -sens le plus larg
mmeil. La fillette ne s'alimente plus,elle maigrit et tombe dans un
état
d'anémie inquiétant.L'en- fant dont l'attention
imant sous une forme imprécise s'adapte à chaque auditeur suivant l'
état
par- ticulier de celui-ci. Il y a une suggestio
aux. Des modifications que subit la force nerveuse relativement à l'
état
de santé des sujets. M. Paul,loIRE (de Lille)
d'aspirationssexuelles, mais elles sont vagues et imprécises. Cet
état
d'indétermination sexuelle persiste le plus souve
é que par des idées se rapportant à ce fait. L'explication de ces
états
mentaux se trouvent dans la sugges- tibilité so
scents. On peut admettre que les actes commis l'avaient été dans un
état
d'at- tente affective, réalisant un véritable é
ient été dans un état d'at- tente affective, réalisant un véritable
état
d'hypnose de monoi- déisme ou tout au moins d'e
n plus dans une mauvaise initiation à la vie sexuelle que dans un
état
de dégénérescence. \ Perversion sexuelle guérie
en est pourtant bien distincte) est aussi secondaire, non plus à un
état
mental spécial, mais à une asy- nergie fonction
iendra à réveiller ou à exalter les groupes d'images demeu- rés à l'
état
rudimentaire et pour ainsi dire inculte. Le meill
couvrée le trac disparaî- tra de lui-même ou bien,s'il subsiste à l'
état
d'habitude morbide, l'hypnotisme aura tôt fait
mICQ, méde- cin en chef, directeur. Pendant toute l'année 1903, l'
état
sanitaire a été absolument satisfaisant. Aucune
s ceux de l'Isère et du Morbihan, cette circu- laire est restée à l'
état
de lettre morte. Tout cela et bien d'autres cho
aque, base clinique invaria- ble, nécessaire et incontestée de tout
état
hypochondriaque. Pour tous les auteurs, l'idée
nte, vésanique, qui n'est guère connue que des aliénistes, tous les
états
intermédiaires peuvent s'observer. Sans doute,
econnaître l'impossibilité de différencier l'un de l'autre ces deux
états
. Aussi, l'étude pathogénique de l'idée hypochon-
humeur (dépres- sion, exaltation, sentiment de bien ou de mal-être,
état
de suspicion et d'inquiétude rappelant beaucoup
de mal-être, état de suspicion et d'inquiétude rappelant beaucoup l'
état
d'inter- prétation de certains aliénés), tantôt
maxima du cuir chevelu. Cette action de la douleur réfléchie sur l'
état
mental s'expliquerait, pourllead, dela manière su
s dernières an- nées. En effet, le rôle de la coenesthésie dans les
états
affectifs normaux (joie, tristesse) et dans les
ésie dans les états affectifs normaux (joie, tristesse) et dans les
états
psycho-pathologi- ques (mélancolie anxieuse ou
ence du sympathique. On comprend les liens étroits qui unissent les
états
hypochondriaques aux troubles coenesthésiques..
i établissent nettement l'existence des troubles viscéraux dans les
états
hypochondriaques, il convient de signaler l'inf
us énergique, peuvent tou- jours être retrouvés à l'origine de tout
état
hypochondriaque. Mais l'importance de chacun d'
adies mentales, leur coexistence peut provoquer l'ap- parition d'un
état
hypochondriaque, avec des différences cli- niqu
agnostic étiologique que le diagnostic différentiel de ces derniers
états
morbides. 172 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES E
172 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. . 1° Les
états
hypochondriaques peuventse montrer au cours des
on- driaques (auto-mutilation). 11 en est de même dans les autres
états
toxi-infectieux (confusion mentale typhique, grip
t actuellement reconnue et au cours desquelles se ren- contrent les
états
hypochondriaques, on est conduit à penser qu'il
par quelque caractère étiolo[Jir¡lIc ou éco- /) ? 11 n'y a que des
états
hypochondriaques toujours symp- tomatiques d'un
ées d'incurabilité) reste pra- tiquement valable. L'apparition d'un
état
anxieux peut par- fois expliquer lasoudaineté d
l existait un véritable substratum coenesthe- sique à l'origine des
états
hypochondriaques. De même, M. Régis affirme, av
ture entre la nosophobie neurasthénique et le délire des négations,
états
extrêmes reliés entre eux par toute une série d
ue qu'un rôle très peu impor- tant et le plus souvent nul : c'est l'
état
d'anxiété qui est manifestement primitif dans l
Entre la neurasthénie et l'hy- pochondrie, on peut trouver tous les
états
intermédiaires ; .mais ce qui caractérise le ne
ec- tion de troubles soniatiqucs réels », et aussi « que lous les
états
hypochondriaques sont symptomatiques de quelque
me. 2" Dans le cas contraire, l'analyse mentale qu'il fera de son
état
deviendra morbide; il en résultera des troubles m
il doit, selon nous, envisager successivement la forme du délire, l'
état
mental du malade, et la nature de la lésion. Fo
ormes sénile, précoce ou alcoolique, Etal local. Reste l'étude de l'
état
local. Dans certains cas, les troubles viscérau
tionnelle de cette cénesthésie cérébrale qu'il faut rattacher les
états
hypochondriaques. Dans quelques cas, il est vra
outer que cet ébranlement se produit d'autant plus facilement que l'
état
de réceptivité congénital ou acquis des centres
e délire de non-existence des organes, comme l'apanage exclusif des
états
démentiels. M. Henry Meige (de Paris) pense que
té de nature entre la nosophobie neurasthénique et le ÉVOLUTION DES
ÉTATS
HYPOCHONDRIAQUES. 183 délire des négations de C
chondriaque ; par MM. DENY et P. Camus (Sera publié). Évolution des
états
hypochondriaques. MM. TATY et CHAUMIER (de Lyon
ndant près de huit mois. Au bout de ce temps, la malade est mise en
état
d'hypnose, et on constate aussitôt l'atténuatio
s le sixième mois. Ici, l'hyp- nose, pas plus que la suggestion à l'
état
de la veille n'ont eu d'influence évidente : ma
a) l'unilatéralité ; b) l'asso- ciation, dans cet hémispasme, d'un
état
spasmodique à la fois tonique et clonique ; c)
irrégularité pupillaire ne constitue pas un signe de tabes C'est un
état
normal n'apparaissant pas lorsque la pupille a
tue qu'une anomalie congénitale complètement indépendante de tout
état
pathologique. Prévention des maladies nerveuses
trouverait pas de médecins voulant donner un certificat relatif à l'
état
men- tal de leurs clients. Cette opinion a été
il est bien rare qu'on ne l'observe pas. Aux périodes de début et d'
état
; on le ren- contre moins souvent ; il existe né
étaient à la période finale de la maladie et 2 étaient à la phase d'
état
. Enfin sur nos 4 observations recueillies chez
morbide envahit la moelle. Mais on le rencontre aussi à la phase d'
état
et, quel- quefois. au début. C'est au début que
qu'il n'y a pas de troubles de la marche ; moins rare à la phase d'
état
, il existe fréquemment la phase finale pendant
ême moment, d'une congestion de toute la conjonctive. Le retour à l'
état
normal coïncide avec un dé- tournement quelconq
n arrêt de développement physique et mental. L'intelligence est à l'
état
rudimentaire ; tics nom- ALBUMINO-DIAGNOSTIC. 2
Par là on comprend qu'à la grande variété des complexions et des
états
individuels on puisse opposer la variété considé-
es, tenant spé- cialement compte des individualités. Au sujet des
états
d'excitation et de dépression, le rappor- teur
énergie orga- nique. On cherchera dans la situation respective de l'
état
des organes et de leur expression fonctionnelle
ves chauds. - Dans les crises d'excitation survenant au cours des
états
maniaques chroniques, la symptomatologie seule
bains d'une durée de douze heures, laisse entrevoir que, dans tout
état
maniaque chronique, il y a se méfier de l'actio
ie des Américains, si suscepti- ble de se mettre en harmonie avec l'
état
des sujets et les be- soins d'un service rapide
e. Comme on le sait bien, la mélancolie n'est point exclusive des
états
d'excitation et, dans ces cas où se range la méla
les bains très prolongés sont le, moins applicables. - . Dans les
états
d'excitation mélancolique seront, en outre, ind
s plus accusées, telle que la mélancolie avec stupeur, mais avec un
état
général relativement satisfaisant, on peut empl
ntervalles de un ou plusieurs jours (Morel, de Mons). Lors- que les
états
mélancoliques aigus sont marqués par la dépres-
ves et pédiluves chauds ou sinapisés seront seuls appliqués quand l'
état
général, très défectueux, s'ac- compagnera de t
avec une extrême réserve, étant donnés leur action débilitante et l'
état
de dépression organique inhérente à cette affec
n'est que dans des cas spéciaux, et après un examen approfondi de l'
état
des forces du malade et de ses capacités réacti
venant chez les jeunes gens. Toujours est-il que, dans les grands
états
d'agitation catatonique, Kroepelin s'écarte souve
le s'adresse aux folies lucides, aux syndromes de dégénérescence ou
états
plus ou moins liés à l'épilepsie, à l'hystérie,
lui de l'hydrothérapie curative et prophylactique. D'à-" U près les
états
constitutionnels ou morbides des individus, les
es, soit, comme sim- ple prédisposition, dans ce qu'il appelait les
états
nerveux des héréditaires : «Je tiens à signaler
fectieux, comme la folie puerpérale, la confusion mentale, certains
états
mania- ques s'accompagnant d'un état général gr
a confusion mentale, certains états mania- ques s'accompagnant d'un
état
général grave, la mélancolie stupide, la dépres
sure où ils peuvent, par eux-mêmes, fournir des indications sur l'
état
des forces du malade. 5° Aux états d'excitation
, fournir des indications sur l'état des forces du malade. 5° Aux
états
d'excitation et d'agitation conviennent géné- l
mpte de dangers et rend nécessaire la présence du médecin. 8° Aux
états
hyperthermiques (délire aigu) on opposera les e
indication du bain prolongé (Bonnefous, Reinhard, Alter). 11° Aux
états
subaigus prolongés ou aux affections aiguës ten
pondra pas le retour parallèle de ses aptitudes mentales. 12° Les
états
chroniques seront généralement soumis à une hyd
LNÉOTHÉRAPIE ET HYDROTHÉRAPIE. 219 règles générales applicables aux
états
d'excitation ou de dé- pression psychiques ; ma
ages de mémoire et en général de toute opération intellectuelle, un
état
d'anxiété marqué. Surceca- nevas sont venus se
les yeux vitreux, le pouls irrégulier, les ex- trémités froides, en
état
d'asphyxie imminente. Je fis immé- diatement ch
espiration est presque com- plètement supprimée. Ces accès dus à un
état
maximum d'in- coordination sont absolument comp
A la suite d'un accident de voiture (le malade était cocher), son
état
s'aggrava et il commença à présenter du trembleme
versons. Avant-hier, il parut à nouveau très exalté. Toutefois, son
état
n'inspirait pas d'inquiétude immédiate et on ne
n apprit par un télé- gramme son arrestation à Trésigny-sur-Orge. L'
état
de Mme Di- jon paraît désespéré. Drame de la
tète, je vais devenir folle ». Elle interroge tout le monde sur son
état
, pour savoir si elle pourra guérir et de quelle
ses plaintes et ses gémissements dès qu'on s'approche d'elle. Cet
état
anxieux persiste malgré l'usage de petites doses
orts, tous les gens vont mourir de faim par ma faute». En mars même
état
de confusion avec idées délirantes de transform
le fonctionnement de ses viscères ne la préoccupe nullement. Son
état
d'anxiété a été, il est -vrai, pendant toute la p
'émotions dépressives et prolon- gées apparaît chez notre malade un
état
anxieux qui se traduit par de l'inquiétude, des
e extraordinaire, la femme fléau, le mystère del'Incar. ' nation. L'
état
anxieux s'exagère au sur et à mesure que se dév
n orga- nique, les idées de transformation corporelle qui, avec l'
état
anxieux concomitant, ont occupé le premier plan
; delà, ses doutes, ses hésitations, ses perplexités et son profond
état
de désorientation il l'égard du monde extérieur
thésic. Une même formule peut donc servir à caractéri- ser ces deux
états
syndromiques, dont les principaux éléments sont
deux états syndromiques, dont les principaux éléments sont : 1° un
état
d'anxiété avec obsession de se souvenir, de se
nesthésie cérébrale dans la genèse du délire de notre malade et des
états
li·hocliomlriaducs en général, nous ne faisons,
ns, du reste, que développer l'interprétation pa- thogénique de ces
états
qui a déjà été fournie par Th. Ribot, J. Cotard
. Les images intérieu- res, modifiées ou oblitérées, par suite d'un
état
maladif des régions correspondantes de l'écorce
des sensations organiques qui constituent le fondement de tous les
états
neurasthé- niques, psychasthéniques, hypochondr
la confusion mentale, c'est-à-dire la psychose caractéristique des
états
d'em- poisonnement de l'organisme. Durant le
raintes d'empoisonnement, de l'érotisme, du mysti- cisme, etc.. Cet
état
onirique ou de somnambulisme aigu, pour ainsi d
de la paralysie générale. Le tableau clinique est le même et cet
état
ne diffère de la paralysie générale classique q
prémonitoire, les mo- difications de l'urine et du taux urinaire, l'
état
saburral, la constipation opiniâtre, l'appariti
qu'elles laissent fréquemment après elles les sujets diminués et en
état
d'infériorité psy- chique, particulièrement en
es psychoses pergrippales vraies, celles de la période fébrile ou d'
état
, ont été distinguées par Kirn (1891) en délires
ues. - On sait combien fréquemment la grippe laisse après elle un
état
d'asthénie physique et mentale profond, per- si
nce, de l'agitation, du délire onirique, des hallucinations et un
état
physique qui traduit, comme l'état psychique de
irique, des hallucinations et un état physique qui traduit, comme l'
état
psychique de dénutrition, l'épuisement de l'org
es maladies qui les atteignent, pour la bonne raison qu'ils sont en
état
de chimisme instable et constamment prêts à fai
e infection qui ne tarde pas à éclater. Le délire de la période d'
état
de la pneumonie est très fréquent ; pour certai
Le sujet est pris de malaise, d'anxiété, d'agitation ; puis vient l'
état
somnolent et en- suite comateux. Alors les pupi
e ordinairement par la mort » (Potain). Le délire de la période d'
état
de la pneumonie peut affecter aussi le type de
comme dans celui de toute intoxication ou infec- tion, une sorte d'
état
second ecmnésique faisant revivre le malade à u
ucinations ou des illu- sions du goût, créées ou entretenues par un
état
sabur- ral intense et d'où naissent des idées m
onsidérable, parfois suivie de stupeur. L'insomnie est la règle ; l'
état
général est pré- caire, la dénutrition très mar
vant à l'homme seul ; d'autres pensent qu'elle doit exis- ter, à l'
état
embryonnaire dans toute la série des êtres et q
animal les parties supérieu- res de son cerveau (1), il est dans un
état
d'indifférence psychique absolue. Non seulement
nomène qui se présente, c'est l'obnu- bilation de la conscience, un
état
crépusculaire de l'es- (1) Cette confusion des
veau est telle, que l'on est en droit de supposer cet or- gane en
état
de fonctionner. Toutes les circonvolutions sont
uti- lisable. Le cerveau de cet animal est, histologiquement, en
état
de fonctionner ; des voies afférentes et eflerent
cience à un degré quel- conque, il faut que l'organe entier soit en
état
de fonc- tionner. Cette période de la vie corre
per- mettre à un acte volontaire de se produire. Il faut, dans l'
état
actuel de nos conceptions sur la conscience, que
éactions ou fonctions qui mettent l'organe nouveau, le cerveau en
état
de fonctionner. Les an encéphales ont souvent une
e central, le seul qui nous intéresse à pré- sent, pourrait être en
état
de fonctionner chez l'enfant et les voies condu
, sont, à celte époque, et seu- lement à partir de cette époque, en
état
.de fonctionner chez l'enfant (1). IV. Entre
es mouvements de défense, la thermogenèse, l'alternance entre les
états
de veille et de sommeil (1). Toutes ces (1) Les
t chez le nouveau-né normal où l'on ne peut guère différen- oer les
états
de veille des états de sommeil. 11 y a des oscill
normal où l'on ne peut guère différen- oer les états de veille des
états
de sommeil. 11 y a des oscillations de l'activi
l'excitation peut bien parvenir aux ra- cines nerveuses qui sont en
état
d'intégrité physiologi- que. Chez l'anencéphale
nte. D'autant plus que dans la même région le névraxe entier est en
état
de fonctionner. « Malgré les lésions avancées d
fonction- nement normal ? (2). Avec un névraxe inférieur, en tel
état
, quels sont les mouvements qui peuvent se pro-
ES DE CONSCIENCE DANS L'ONTOGENESE. 299 ganglions rachidiens eu bon
état
fonctionnel chez l'anen- céphale assurent la sy
ns vitales des monstres an encéphaliens et du nouveau-né démontre l'
état
d'anencéphalie fonctionnelle de ce dernier.Les
es difformités congénitales du cerveau dans leurs rapports avec les
états
des cellules nerveuses de la moelle. (Nouvelle
on graduelle des fonc- tions les plus élevées. Chez l'enfant, les
états
de conscience, c'est-a-dire de connaissance de
individus décérébrés, on doit ad- mettre qu'il est apte à avoir des
états
de conscience. Ce caractère ne peut marquer que
y achéiromégalie. Il existe donc un con- traste remarquable entre l'
état
des os et celui des parties molles; les premier
ienne, comme l'ont déjà dit bien des auteurs. C'est une phase, un
état
particulier, une forme infectieuse ai- gué de l
élément surajouté qui exprime simplement un degré plus accusé de l'
état
morbide, ne faisant donc pas nécessaire- ment p
traitement a été infé- rieure à un mois, indice d'une admission en
état
grave. Le maxi- mum des décès a été observé en
que c'est, tout au plus s'il s'assoupit 2 ou 3 heures par nuit. Cet
état
dure depuis bientôt trente ans. Il va de soi qu
rdinier nommé Demétrius Carini. Comme le malade était dans un grand
état
d'excitation, on l'enferma, à dix heures du soi
nvulsions. Notre malade. On ne sait si la conception a eu lieu en
état
d'ivresse. La urosscsse a été accidentée par des
rt d'heure après, 370,8 ; deux heures après, 37°, 5. Juillct.- Même
état
des organes génitaux, des pupilles et de la par
emet toujours lentement après ses accès. Juillet. Puberté. Sterne
état
du système pileux. Verge : G cent. sur 5 Il.).
dit un grand nombre de fois (1), - '2° L'ell fant a succombé il un
état
de mal épileptique et selon la règle que nous a
ège cet enfant contre ses impulsions. Elle se rendait compte de son
état
de tristesse et. désirait la mort pour elle, ma
istesse et. désirait la mort pour elle, mais non pour l'enfant. L'
état
mélancolique avec phobies et obsessions impulsive
turne, boudeur. Première atteinte de mélancolie, il y a ij ans. L'
état
actuel remonte à un mois. Il a débuté par des cép
ises, passagères ; puis de la tristesse sans cause ap- parente. Cet
état
s'accentue de plus en plus. La malade vivait ma
eu une affection cérébrale (1885). Pas de renseigne- ments sur cet
état
, très probablement mental et de même nature que
'insomnie est absolue. Pendant trois jours. F... reste dans le même
état
de stupeur avec mutisme absolu. Le 11 janvier
ncolique et avait dcb idées de persécution. Elle est morte dans cet
état
il la suite d'une congestion cérébrale. Dans sa
sion. Les troubles et les lésions du foie pa- raissent influencer l'
état
mental des prédisposés ou des dégénérés. Le t
es. Les troubles gastro- intestinaux étant semblables dans les deux
états
, la même alimentation doit réussir dans les deu
anesthésie générale par le chloroforme cl l'élher, et dans quelques
états
pathologiques, tels que l'hystérie, la svringo-
probablement dans le voisinage de la région rolandiync, et qu'il l'
état
normal, le centre de l'hé- misphère gauche inte
cteur des écoles de la ville d'Anvers, exposaient très lidèlcmcnl l'
état
actuel de nos connaissances sur ce sujet. Se pl
nces , SOCIÉTÉS SAVANTES. " 37 (l'hypnotisme, il est ramené à son
état
normal et mis en état d'affronter le concours ;
NTES. " 37 (l'hypnotisme, il est ramené à son état normal et mis en
état
d'affronter le concours ; il obtient,en 1901, u
dans une ambiance dont la couleur puisse heureusement agir sur leur
état
mental et sur leur tenus nerveux, c'est-à-dire
ns une chambre rouge. Ainsi, les uns et les autres sont mis dans un
état
de meilleur ètl'e,prn- dant foule la durée de l
être absolue, il n'y a pas, dans la démence pré- coce, un véritable
état
démentiel, au sens d'Esquirol, mais un simple é
ce, un véritable état démentiel, au sens d'Esquirol, mais un simple
état
d'affaiblissement mental, la « Schvvaechozustande
». L'auteur résume ensuite, dans la seconde partie de sa leçon, l'
état
actuel de nos connaissance sur la nature et l'éti
n une observation très détaillée qui montre en outre que certains
états
caLatoni([ucs insuffisamment analysés permettraie
rant à l'activité Ù(' ! acOI1"Ciellce. P. 1\.l : R.\YAL. rI. De l'
état
des réflexes musculaires et autres de la face d
omorphes de formes morbides dillérenles. Il ne nous reste donc en l'
état
qu'à roulror Ie· lx·yclmre I'altrè l'eusontllle
eure. L'enfant n'avait pas été souvent au grand air : la mère, il l'
état
de grossesse, était par conséquent incapable de
inellenl surtout en relief dans ce cas, c'est, la dissociation de l'
état
du tonus musculaire et das oele.res tendineur.
ignalent les phénomènes de suppléance qui se sont pro- duits dans l'
état
mental de leur malade Bizarre pendant son en- f
syndrome décrit parles auteurs, un ne trouve pas d'altérations de l'
état
général ni des lésions viscérales aucune circon
érale, est irrita- ble mais sans violence, et sans persistance, son
état
morbide ne lui permet pas d'avoir un sentiment
surtout de montrer les formes plus rares se rapprochant des autres
états
psy- chopathiques, renvoyant pour tout ce qui r
u délire alcoolique aigu sont les plus fre- ilucntes.D'autrefois,un
état
de stupeur serf d'introduction à la ma- ladie.
uis l'enfance. Après ses accès, pendant une semaine, il est dans un
état
d'obinibilation lout particulier; ses facultés
gonflement des cylindraxes, dila- tationdesmaüles de la névroglie.
état
normal ou dispa- rition plus ou moins complète
males, plus nombreuses : on constate toute- fois à peu près le même
état
de dilatation et renflement des mailles de la n
urs, et différemment interprétés. Le manque de renseignements sur l'
état
anatomique des nerfs périphériques ne nous perm
ils indifférent : pas de troubles delà sensibilité (réserves pour l'
état
mental delà ma- lade) ; jamais de troubles sphi
avec gigan- tisme, examiné particulièrement au point de vue de l'
état
du sang. La Société m'a chargé de résumer le tr
phos concerne un malade âgé de 33 ans, qui présenta réunis les deux
états
. le gigantisme et, l'acromégalie. Celait un géa
utivement, impulsion violente, 468 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. puis
état
catatonique et; attitudes figées, tremblements
examiné au point de vue bactériologique le sang des épileptiques en
état
de crises. Leurs recherches ont été constamment
les comitiaux, M. Minor fit observer que la présence, dans d'autres
états
, des micro-organismes trouvés parera, nue s'opp
moment de l'accès. Ils liront ainsi *)8 préparations fixées ou à l'
état
frais et 58 cultures en bouillon ou gélose résu
al. On se rapproche alors beaucoup plus de l'épi- lepsie aiguë,de l'
état
de mal où les périodes s'imbriquent, se confond
oche encore à l'initiative privée de maintenir les médecins dans un
état
de subordination indigne du rôle qu'ils doivent
chographiques fournissent en effet de précieuses indications sur l'
état
de la motilité et des facultés intellectuelles et
esticulaire et à la cast¡ ation; Des relations qui existent entre l'
état
des glandes génitales mâles et le développement
'anthropologie. ' ° ' Bien que ne se faisantalors aucun doute sur l'
état
précaire de sa santé, Pierre Roy avait tenu à s
a par quelque caractère étiolo- gique ou évolutif. Il n'y a que des
états
hypochondriaques symptomatiques qui peuvent s'o
avec M. P. E.L,\u- ;\OIS, ) 15. Des relations qui existent entre l'
état
des glandes génitales mâles et le développement
ution à l'étlllle dn terme de sejnnctiva, par Gross, p. 386. De l'
état
des réflexes musculaires et autres de la face
rveuse. Des niodifica tions que subit la - - rcla- tinl1lent lt l'
état
de santé des sujets, par Joire, p. 138. centr
e l'inertie congéni- tale des - par Reichardt, p, 117, Quel est l'
état
de la dans l'immobilité réflexe . typique des
d cette ligne sera consultée, il ne faudra donc pas perdre de vue l'
état
respectif des circonvolutions du corps calleux.
IQUE. siège en avant et en dehors du corps strié, se présente à l'
état
simple sans complication importante. Le groupe
onstitué par l'artère aphasique et ses rameaux. On comprend que l'
état
des connaissances anatomiques à l'époque où Gin
l, de considérer successivement : la pré- disposition, le délire, l'
état
mental après guérison tar- dive ; et de leur de
on des manifestations délirantes, il ne revienne pas toujours à l'
état
absolument normal. La prédisposition, en effet,
de la famille; affaiblis au point de vue intellectuel, ils sont en
état
d'éprouver toutes les émotions du coeur. Si che
à leurs hallucinations et leurs idées maladives, tom- bent dans l'
état
si bien décrit en quelques lignes par le savant
s années, les symptômes appa- rents de la démence, je crois qu'eu l'
état
actuel de la science, il n'est pas permis de ce
c'est le der- nier point qui me reste à résoudre par l'étude de l'
état
mental après guérison tardive. La réalité des g
INIQUE MENTALE. J'ai passé en revue la prédisposition, le délire, l'
état
mental après guérison tardive et, nulle part, j
u obtenir pour les quatre autres des renseignements précis sur leur
état
mental après la sortie. Ces malades, il est vra
de vivre au dehors. » Ce certificat permet d'apprécier exactement l'
état
mental de Brug... sept ans et demi après l'admi
d'où le certificat suivant : « Ce malade est loin d'être dans un
état
aussi satisfaisant qu'il le prétend. Deux faits s
a préfecture : « M. Brug... est depuis plusieurs mois, revenu à son
état
normal. Il est très calme, son caractère est tr
élioration s'était de plus en plus accentuée ; enfin, en juillet, l'
état
mental est tel qu'il est question de tenter une
t à l'asile, on a souvent l'occasion de le voir et de constater son
état
mental. Observation III. Sept ans et demi de sé
sique s'était améliorée. Jusqu'en automne, le malade resta dans cet
état
. Il parut alors plus éveillé, plus causeur; mai
présenta plus que des lésions isolées de l'intellect. Ce dernier
état
se maintint jusqu'en janvier 1878, où, durant u
e, le cer- tificat suivant était rédigé : «Cla... présente dans son
état
mental une sérieuse amélioration qui se soutien
ésite guère à en 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. rattacher l'origine à un
état
nerveux natif : les con- vulsions sont fréquent
à présent peu songé à rattacher d'une façon précise l'éclampsie aux
états
névropathiques, et à l'épilepsie en particulier
; et la marche de la température rapproche l'accès d'éclampsie de l'
état
de mal épileptique. L'urémie s'accompagne toujo
ts exagérés. Nous voyons la névrose éveillée par l'accouchement à l'
état
d'éclampsie, persister sous forme de manifestat
e survint à trente-deux ans (1873) : elle se trouvait alors dans un
état
moral fâcheux, elle était extrê- mement jalouse
: la mère put se lever en dix-huit jours, et elle fut rapidement en
état
de se remettre aux soins de son ménage. Tout
ubles purement accidentels, et qu'ils dépendent, au contraire, d'un
état
morbide persistant. A la suite d'une scarlatine
éclamptiques, puis cette épilepsie aiguë passe pour ainsi dire à l'
état
chronique et ne se manifeste plus que par des a
eau sur l'identité de nature des manifestations convulsives. 3° L'
état
névropathique qui peut se transmettre aux desce
tc., peuvent se terminer parla guérison, en laissant l'organisme en
état
d'opportunité convulsive, ou passer à l'état ch
ssant l'organisme en état d'opportunité convulsive, ou passer à l'
état
chronique, et se tranformer en épilepsie vulgai
chement des plus difficiles qui n'influa d'ailleurs en rien sur son
état
mental. Le début des accidents est en effet de
avalant des allumettes, des épingles et trente pilules d'opium. Cet
état
dura quelques mois et céda à un traitement appr
on enfant, bien que la voix de sa conscience le lui défendît. Son
état
ayant paru s'améliorer, Mmo A. M... ne tarda pas
cordiale très intense et en même temps, elle avait des visions. Cet
état
se renouvela tous les soirs six jours de suite;
les menstrues sont régulières, l'appétit conservé malgré un léger
état
saburral des voies digestives ; les urines rares
comme dans la mélancolie anxieuse commune, Mme A. M... est dans un
état
d'angoisse intense, de souffrance qu'exprime as
et indolente, indifférente à-tout, occupée seulement de son triste
état
. Et tous ces symptômes durent depuis le premier
e. Si l'on voit par hasard, chez certains per- sécutés, survenir un
état
d'anxiété pareil, cela n'est que passa- ger et
aux conceptions hypochondriaques qui, à leur tour, entretiennent l'
état
mélan- colique. Cette prédominance des troubl
s'expriment par des plaintes ou des préoccupations exagérées sur l'
état
de la santé, sur des sensations maladives de to
ur tête vide ou brûlante, leur bouche collée, ils se plaignent de l'
état
de leur estomac, de leurs intestins ; quelquefois
e, après une certaine période de délire mélancolique ordinaire. Cet
état
spécial serait alors une sorte ^aggravation de
ette névrose. D'ailleurs les démoniaques hystériques sont rares à l'
état
isolé, surtout dans notre société actuelle et dan
REVUE CRITIQUE. négations, sorte de période secondaire de certains
états
mé- lancoliques analogues à celui de notre mala
es étaient atteints. Aujourd'hui, nous possédons la relation ' d'un
état
analogue qui existe non plus en Amérique, mais
h qui, dans la circonstance, désigne tout à la fois l'individu et l'
état
spécial de l'individu qui en est affecté. Cet
'individu et l'état spécial de l'individu qui en est affecté. Cet
état
est fréquent parmi les Malais et les habitants de
s, sons ou gestes de ceux qui les entourent, tout en jouissant d'un
état
mental parfaitement régulier, dans l'intervalle
rouge, ou frappe un spectateur, est parfaitement conscient de son
état
d'abaissement mental et souffre beaucoup de sa
s belles Malaises). « Les femmes d'un âge avancé présentent le même
état
, et, ce n'est pas là un des phénomènes les moin
décrite en Allemagne sous le nom de schla//2rrznlcenheit. «Dans cet
état
morbide, un individu, étant subitement réveillé
t à un profond sommeil. » Nous ne chercherons pas à interpréter cet
état
bizarre, jumping </ du Maine, latah de Malai
sseur Charcot, un cas qui, par bien des points, se rapproche de cet
état
singulier. Il s'agit d'un jeune garçon de quinz
droit. Ni céphalalgie, ni perte de connaissance; le malade était en
état
de penser, mais il ne pouvait émettre aucun mot
é et de la sensibilité qui furent ceux habituels, nous relèverons l'
état
de 1,'oieille gauche présenta successivement de
et les circonvolu- tions pariétales contiguës. L'auteur rattache l'
état
de l'ouïe à la lésion du lobe pariétal; malheur
t les résultats auxquels l'acide osmique a conduit M. Tuczek '. A l'
état
normal toutes les couches de l'écorce sont extr
mentale, les sexes, les religions, les classes sociales, etc... Un
état
des dépenses et des recettes compléterait heure
icularités différentes de celles que nous venons d'en- registrer. L'
état
du pouls, si frappant dans l'espèce, est- bien,
mode de traitement. Tels sont : certaines douleurs musculaires, un
état
de névrosisme, de lassitude et d'épuisement, l'ag
n l'excellent fonctionnement de tous les appareils, d'où le parfait
état
de santé physique et mental. Les maladies auxqu
un domicile particulier les membres de sa famille qui sont dans un
état
d'aliénation mentale, de les soigner et même de
e massue som- mifère presque instantané, les auteurs ont observé un
état
ébrieux tirant sur la typothymie. Un malade, ap
s même du triceps fémoral; ce phénomène devrait être attribué à l'
état
d'irritation où se trouvent les cornes postérieur
eux maladies, faut-il avouer que nous ne sommes pas actuellement en
état
d'indiquer quels sont au juste les rapports qu'
M. Vulpian, que certaines excitations périphériques déterminent un
état
spécial des centres corticaux correspondants, et
llules de la névroglie avec multiplication des noyaux et finalement
état
vacuolaire et destruc- tion de ces cellules. Ai
e la température assez marque. Elle est elle-même effrayée de son
état
et cherche à se débarrasser de cette infirmité, m
TÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude d'une nouvelle variété d'
état
de mal i : PILEI'TIFOIillE Par le Dr Gilbert BA
elle peut le simuler dans ses deux modalités : l'accès' isolé et l'
état
de mal. On sait que la première phase de l'atta
i, par leur réunion et leur en- chaînement constituent un véritable
état
de mal, rap- pelant de très près l'état de mal
nt constituent un véritable état de mal, rap- pelant de très près l'
état
de mal épileptique. Mais il s'agit alors simple
rès l'état de mal épileptique. Mais il s'agit alors simplement d'un
état
de mal épilepti forme, comme l'appelle M. Charc
ressortir les caractères et la signification nosologique de ce faux
état
de mal épileptique. L'hystérie s'habille donc
es, les accès se sont montrés par séries consti- tuant un véritable
état
de mal, analogue à celui qu'on observe chez les
s sur lesquels nous reviendrons. Pas de changement nouveau dans l'
état
delà malade jusqu'au 18 octobre, époque à laque
examen de la sensibilité a été pratiqué à deux reprises, pendant l'
état
de mal hystérique, et un mois après la fin des
20 et 22 grammes par jour, n'a déterminé aucune amélioration dans l'
état
de la malade. Nous avons constaté que ce médica
forme si prédominant et si fortement accentué, dit notre maître, l'
état
de mal a persisté pendant plus de deux mois, et
... chez laquelle la température s'éleva jus- qu'à 40°, A, durant l'
état
de mal. Cette différence radicale dans l'influe
entiel entre l'é- pilepsie et l'hystérie dans la considération de l'
état
général et dans le simple fait de,la survie. L'
mple fait de,la survie. L'épilepsie corticale amène assez vite, un,
état
de déchéance céré- brale profonde et même la mo
agne au con- traire e 4,unp, très, forte secousse de la jambe. -Cet
état
d'hyper- excitabilité spinale,- que nous avons
énuant durant' deux ou i^L8»i ? ! ,^»tJW8^Ç^ ! ft)me.Iïïafi94 4,11',
état
normal. La .sensibilité reste parfaitement inta
aines ou même' de plusieurs mois qui séparait les séries d'accès, l'
état
de là-malade n'e ? pi'ê- sentait aucun phénomèn
,jLan do 1 t-, les veines rétiniennes ont paru plus dilatées qu,à l'
état
normal. La malade succombe en novembre 1882, à'
T(r(irt, ff,cn tif4r, , t : mfi 1d.. )*io-1r'f, tl. e t. r dans 1,
état
actuel de la.science. la chose n est pas ad- mi
M. Duret sur la cir- culation cérébrale; après notre travail sur l'
état
de la couronne rayonnante dans le lobe frontal,
les autres, poussant plus loin leurs recherches, ont rattaché à un
état
morbide plus profond ce qu'ils ont considéré co
ives, de quelque nature qu'elles soient '. Alors, absorbes par leur
état
, ils se concentrent en eux- mêmes, amplifient l
sccomplications du délire chronique sont constituées par différents
états
, tels que l'hystérie, l'épilepsie, l'alcoolisme,
énéralisé, une dépression profonde prédomine dans l'ensemble de son
état
, tandis que le délirant chronique a tendance, d
iode expansive ne sera pas confondue avec la paralysie générale ; l'
état
de la pupille, l'absence de tremblement, le dél
tête qu'elle attribue à ses persécuteurs, de la constipation et un
état
d'excitation qui -Importe à l'isolement pour se
, quand il ne vient pas se greffer sur le délire chronique un autre
état
morbide. Voici maintenant un casj se rattachant
l'indice de",lacunes" intellectuelles 'cüii,iiur-` iluént déjà à l'
état
lat'enU/dissociàtion'r'^ ? ^ ^^b g ? ', ! 11 no
eptique ou plutôt de l'iit`flûçiicç tle 'l'ictus' épileptique sur l'
état
cérébral normal et pathologique (1883)'. u ? ^ 9
oit, ou que DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 181 ··rt P d'autres
états
pathologiques se greffent sur lui, a une évolutio
e fosse sylvienne, qui,pourrait paraître impropre, correspond à l'
état
embryogénique de la scissure. Pendant la vie foet
quée dans les régions où ce tissu est particulièrement abondant à l'
état
nor- mal, c'est-à-dire dans la-première couche
ait eu, jusqu'à l'apparition de la fièvre, aucune amélioration de l'
état
mental, l'amélioration a commencé pendant le co
e pronostic était soit désespéré, soit au moins très défavorable, l'
état
mental n'a été aucunement influencé par la mala
GIE MENTALE. 205 forme congestive, avec température élevée; mauvais
état
général. Elle est irritable, refuse les médicam
e, déraisonnable, incohérent; il a perdu la mémoire; en dehors de l'
état
de mal, il est docile, mais très susceptible. 1
q ou dix minutes d'un accès classique spas- modique. C'est dans cet
état
qu'il succombe. A l'autopsie (soixante-douze he
y Kesteven. (Journal of mental Science, juillet )88 ? p. 1 17.) L'
état
particulier que l'auteur désigne par ces mots « N
e très imparfaitement par l'expression « obtusion nerveuse», est un
état
t plus aisé à décrire qu'à resumeren une défini
aladie puisse en être la cause; c'est le plus souvent sans doute un
état
congénital, résultant d'un mode vicieux ou inco
st qu'une modification spéciale du mouvement, on pourra concevoir l'
état
dont il s'agit comme résultant d'une sorte de v
nstituantes de la substance nerveuse. Lorsqu'il est congénital, cet
état
peut être héréditaire; lorsqu'il estacquis, il
mes, fou et irresponsable. Au point de vue médico-légal, de pareils
états
nerveux ont une importance de premier ordre : s
du caractère criminel de l'acte commis. Il suffit que de pareils
états
cérébraux existent, et que leur pos- sibilité s
mot lors- : ) qu'on le lui demandait. A ces faits correspondait un
état
anormal des cellules 'des'noyaux -d'origine de-
ntéressants travaux sur la paralysie générale, a étudié avec soin l'
état
du réflexe du genou dans cette maladie; il consta
nelles,8 a'résume comme' il°suit les rapports qui existent entre l'
état
du réflexe du genou et les principaux'faits ou
sés4;170Jgramntes; : sbni',tissu La substance grise est réduite à l'
état
de sinlplé·I31üéllé sur' lés1 lobes fronlaux.1
plètement la cellule. Le tissu connectif était plus abondant qu'à l'
état
normal. sa;Le corps thyroïde est considérableme
de la nutrition cérébrale, reconnaissant prob'ablemdnttpour'càuse l'
état
atheromateùx (goutte) des artères 'de.1,1bas«é.
s infe)'ieurM ? eti)e9 ` ? 3,juillet;mn étatsncopal 'isezirâve (cet
état
`s'était>déjîw prb-p duit plusieursifois, dan
ut à fait débartasségltes-i,çélesVd,é,irantcs et qtig le r Lourde l'
état
cataleptique paraisse devoir être provoqué par la
,- u ? 1 ''II.' ,i ? t , 1110 . ? J>l ! medicauxJfrequenfs sur 1
état
du malade, a lui faire des visites, a ? nn m ? mp
étude dont l'orateur attend1' aussi deseohelù'- sions sur bien des
états
psych'opathiquès, qu'or ? emprunte'ra'des docum
, méningite, foyers muiti- iples), parfois même sans^qu'il existe d'
état
, clair. Quant H l'anatomie pathologique de,ienc
oucher. On l'arrête, sans qu'il vienne à l'idée de personne que son
état
mental puisse offrir des doutes. Toutefois on d
En conséquence, le médecin légiste demande et obtient de scruter l'
état
mental. Il découvre l'existence d'une mélancoli
vancés de la paralysie générale, l'unitonalité du masque répond à l'
état
de déchéance psychique, et en même temps aux tr
paralytiques généraux et les déments. Le sourire témoigne de divers
états
de déchéance psychique; il est très souvent sté
sourire d'individu gêné; il en est de même pour les épileptiques en
état
d'affaiblissement intel- lectuel, à l'époque où
scles de la lace à l'action impétueuse des autres muscles du corps (
état
maniaque et surtout délire aigu); d'aucunes, la
oïde, pneumonie, affections cé- phaliques ou encéphaliques), et son
état
de faiblesse consécutive a été la cause d'une é
us, d'ordinaire, les jeunes aliénés de notre catégorie sont dans un
état
de faiblesse générale, rap- pelant les dystroph
1 en sort non guéri. Deuxième entrée en septembre de la même année;
état
mental identique compliqué de formica- lions da
nt, le fond de l'ceil ne présente que de la pâleur des papilles, un
état
trouble de moyenne intensité de la rétine, un r
jour-là, le malade quitte le lit; mais, le 2 1, on l'y retrouve en
état
de stertor, avec de l'écume à la bouche; les ex
ralytiques; les pupilles sont égales et réagissent bien. Le 2, même
état
. Le 24, état normal. Le 25, hémiplégie faciale
es pupilles sont égales et réagissent bien. Le 2, même état. Le 24,
état
normal. Le 25, hémiplégie faciale du côté gauch
ychique s'est montré dès la première semaine qui s'écoulait après t'
état
lyllémaniadue. Il est extrêmement difficile de
lit sans que, depuis deux ans que cet heureux résultat a eu lieu, l'
état
normal ait, en quoi que ce fût, été modifié. M.
enfants tiennent, par les soins des femmes, les appartements en bon
état
: on se loue beaucoup de celte disposition. Les
ine, il y avait, de chaque côté, huit cel- lulespourlesmaniaques en
état
de fureur, et, datisla quatrième sec- tion, cin
résident les aliénés calmes, les aliénés agités et les maniaques en
état
de fureur; de chaque côté, prennent place quatorz
e dès les premières semaines, si on le soustrait à la morphine; cet
état
signalé parm. Charcot est le premier signe de l
ble sur le vaste interne de la cuisse et le biceps brachial. De l'
état
psychique il y a peu de chose à dire. Le jeune
TÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (ÉTUDE D'UNE NOUVELLE VARIÉTÉ D'
ÉTAT
DE MAL' ÉPILEPTIFORME)1 J Par le D' Gilbert BAL
res supérieurs. Ces troubles de la sensibilité générale sont là à l'
état
permanent, paraissant s'accentuer un peu à la s
mais jamais nous n'avons constaté leur disparition et le retour à l'
état
normal. Ce qu'il y a aussi de remarquable dans
e ressent, car elle est plongée, comme nous allons le voir, dans un
état
subcomateux. Mais lorsqu'on surprend un accès i
tude chez une personne au lit. Mais la malade reste plongée dans un
état
quasi-comateux : les yeux sont fermés, on n'obt
d nombre d'accès et ont duré plusieurs jours, il existe une sorte d'
état
parésique du membre supérieur gauche. La malade
peut mouvoir son bras qu'avec difficulté, cela parait tenir à un
état
douloureux de l'articulation scapulo-humérale gau
r à un état douloureux de l'articulation scapulo-humérale gauche,
état
douloureux qui dépend lui-mêmeprobablement des co
otence fonctionnelle du membre supérieur gauche, se rattachant à un
état
douloureux de l'articulation de l'épaule du mêm
eur cutanée. Malgré l'absence des signes qui révèlent d'ordinaire l'
état
hystérique, il n'est pas douteux que cette mala
séries, quelquefois con- sidérables, constituant alors un véritable
état
de mal épilepti forme; 7° Il est des signes q
ait pour titre : Hémiplégie infantile suivie d'épilepsie partielle,
état
de mal épilep tique ; mort, foyer ancien intére
Verti- ges ci quatorze ans. Début des accès et dix-sept ans par un
état
de mal. Aura du pouce gauche. Père très ne ? t;
e dans les parties correspondantes du côté droit. A la suite de cet
état
de mal, Gra... aurait été comme fou pendant un
i était, disait-il, plus douloureuse que la droite. Un mois après l'
état
de mal, la raison et la marche étaient redevenues
tait pas peureux. L'intelligence aurait un peu baissé à partir de l'
état
de mal; toutefois, il fréquentait l'école du so
nuit(E<te ? 7ts<). · S mii. A la visite, on le trouve dans un
état
de stu- peur très prononcé; il se plaint toutef
plusieurs reprises, des séries d'accès; il eut de plus, en 1874, un
état
de mal sur lequel nous manquons de renseignemen
us manquons de renseignements. Enfin, en 1883, il survint un nouvel
état
de mal auquel le malade a succombé et qui a off
le malade a succombé et qui a offert la plupart des symptômes de l'
état
de mal ordinaire, entre autres l'élé- vation de
membres inférieurs, impuissance. Après deux ans pendant lesquels l'
état
du malade ne subit pas de change- ments, l'aute
s sont en partie dégénérés (dis- parition des stries transversales,
état
cireux, absence de bien des fibres, multiplicat
tificielle; que la pigmentation des cellules nerveuses constitue un
état
normal régulier; que l'hypertrophie (bouffissure
eaux de paralytiques généraux ne traduit aucune différence d'avec l'
état
normal; quant aux fibres myéliniques c'est la s
rent les suivants : troubles paralytiques delà parole, céphalalgie,
état
nauséeux, bientôt suivi de parés le des branche
ours, la cinquième également dix jours. L'examen décèle pendant cet
état
l'intégrité absolue de tous les modes delà moti
gai, tranquille, actif. Symptômes de début : évanouis- sement;
état
semi-conscient pen- dant une semaine; au técetl
cule. Les cir- convolutions du côté gauche sont plus petites qu'à l'
état
normal. La substance blanche des lobes antérieu
sme ; à la suite d'une série de fortes attaques, elle tombe dans un
état
de stupeur, et ne tarde pas à mourir, après avo
ant au toucher une sensation de dureté, de den- sité, évidemment en
état
de sclérose avancée. A la coupe, la subs- tance
e sorte d'union des couches adjacentes de substance grise pure. Cet
état
, que l'auteur n'avait jamais observé auparavant,
connaît aucune observation où l'on ait bistologiquement étudié cet
état
du cervelet, si ce n'est l'observation d'idioti
euses, et que les différences que l'on peut observer sont liées à l'
état
plus ou moins avancé du pro- cessus morbide. R.
ntendant médical d'un hô- pital d'aliénés.. R. M. C. XLIII. Sur l'
état
mental dans l'hypnotisme; par D. IL1CK TUKE. (J
rie sont les suivantes : I. Conditions nécessaires pour provoquer l'
état
dont il s'agit ; II. Symptômes objectifs chez l
HOLOGIE MENTALE. 357 de ce qui a été présent à son esprit pendant l'
état
hypnotique. Nous suivrons l'ordre adopté par l'
li Tulze, a démontré que le sujet peut-être surpris,'et même mis en
état
de catalepsie, dès que son attention est le moi
s réflexes tendineux identiques à ceux que l'on constatait dans l'
état
de veille; dans quelques cas, ils étaient exagéré
I. Conclusions de l'auteur : « 1- La conscience peut exister dans l'
état
d'hypnotisme et le sujet peut passer,- rapideme
'hypnotisme et le sujet peut passer,- rapidement ou lentement, à un
état
complet d'inconscience, comme dans l'étal somna
qui parait fort judicieuse. (Voy. Bernheim. De a suggestion dans l'
état
hypnotique et dans l'état de veille. Chap. IV,
e. (Voy. Bernheim. De a suggestion dans l'état hypnotique et dans l'
état
de veille. Chap. IV, p. 45.) REVUE DE PATHOLO
pendante de la volonté; « 8° Il peut exister, dans les différents
états
d'hypnotisme, soit une exaltation, soit une dép
vée par lui sur le cerveau d'un tabétique de cinquante ans, mort en
état
de démence paralytique avancée, entre l'écorce et
icile d'observer les patients, auxquels on en a prescrit, dans leur
état
d'hypnose. Mais, somme toute, sur deux cent dix
réalisé un complexus sympto- matique qui n'est point l'expression d'
états
hybrides et fusionnés, mais bien le résultat de
ires complexes, à la fois l'épilepsie et la vésanie ; mais ces deux
états
morbides res- tent indépendants dans leurs mani
n heure et constituer ainsi, auprès des deux autres, un troisième
état
morbide à physionomie spéciale. Il n'est pas té
e la vie embryonnaire, opinion à l'appui de laquelle vient encore l'
état
de la base du crâne défectueuse dans sa fosse p
omatiques et psychiques de la paralysie générale, sans qu'on fût en
état
de cons- tater de causes particulières. Au mome
s d'arrêt à propos de certaines byllabes ou de certaines lettres. L'
état
très avancé de la démence ne permet pas un exam
ninges molles, dans la région cérébelleuse, sontaussi minces qu'n l'
état
normal au-dessus des parties relativement nor-
s les symptômes. L'orateur fait remarquer que Kussmaul a observé un
état
sem- blable au moment de la période de convales
à M. Berlin si le symptôme observé par lui ne dépen- dait pas d'un
état
de faiblesse générale. Celui-ci répond que ses
t (de Fribourg). Contribution ci l'albuminurie transitoire dans les
états
convulsifs. Une malade de la clinique de Fribourg
amen de M. Manz), une névrite optique double. Puis, à la suite d'un
état
de mal per- sistant depuis plusieurs semaines,
roite est en- core considérablement borné, mais en bas et en haut l'
état
normal est presque revenu. Acuité visuelle et a
genou. Nul trouble de la sensibilité, du sens musculaire. Tel fut l'
état
qui persistait jusqu'en juillet 1883. Il y a qu
ésie totale. C'est un jeune homme de vingt-trois ans, présentant un
état
de débilité intellectuelle modéré, sans tare hé
ïe, goût, odorat) ou du sens musculaire, à la suite ou à propos des
états
que voici : 1, A la suite d'un accès d'épilepsi
lorsqu'il s'yadjoint un délire hallucinatoire; 2° A la suite des
états
d'obnubilation postépileptiques (stupeur, manie
ns spasmodiques, aura motrice et sensitive, etc.) ; 4° A propos d'
états
stationnaires post ou interparoxystiques qui, l
logique, résulte ce fait que la folie est toujours le symptôme d'un
état
, organique quelconque pyré- BIBLIOGRAPHIE. 38&
ntes. Il va de soi également que, si la res- ponsabilité n'est, à l'
état
physiologique que partielle, elle ne sau- rait
iologique que partielle, elle ne sau- rait jamais être complète à l'
état
pathologique. Ace propos, nous signalerons une
nforme à la loi de convulsi- 392 BIBLIOGRAPHIE. bilité du nerf en
état
de dystrophie, explique pourquoi l'évolution d'
iver que la mélancolie initiale soit le seul stade qui at- teigne l'
état
adulte (mélancolie simple et ses variétés), ou qu
loppement, la phase ou l'accès envi- sagé peut se présenter dans un
état
de chronicité telle qu'il y a évidemment sous r
es formes transitoires ne sont que les plus fortes explosions, d'un
état
pathologique existant depuis longtemps, ayant pas
de primitif), par Fritsch. 97. Albuminurie transitoire dans les
états
convulsifs, 3S0. Alcoolisme chronique, 225. A
ur cérébrale), 204. Epileptiforme (étude d'une nouvelle variété d'
état
de mal), 129, 277. Epilepsie (recherches cliniq
cyamine (action de l') par Richter de (Piaukow), 100. Hypnotisme (
état
mental dans l'), 356). Hystei·ie, 121 ; - (at
d'- à forme d'épilepsie partielle (étude d'une nouvelle variété d'
état
de mal épileptiforme), par Ballet et Crespin,
), 379. Nerveuses (fibres à myéline dans l'écorce du cerveau, a l'
état
nor- mal et chez les paralytiques gé- néraux)
mak, 84. Paralysie infantile spinale exis- tant depuis trois ans (
état
ana- tomo-pathologique dans un cas de), par S
, 389. Rage (commission de la), 127. Rapports medico-tegauxsories
états
mentaux douteux, 360. Bestraint, 355. Réact
e l'évolution de l'art de la gravure, depuis sa naissance jusqu'à son
état
actuel. En effet, on pourra être surpris de renco
ce du ventre qu'on peut, sans être taxé d'exagération, rapporter à un
état
de grossesse manifeste. Un jeune guerrier imber
peu étonnée : les -tantes étaient radieuses. Je les laissai dans cet
état
et partis aussitôt en leur disant : « A demainJ «
ainJ « J'avais fait ce que quelques-uns appellent la suggestion à l'
état
de veille. Nous avons maintes fois entendu ici et
cette expression. Je partage entièrement son opinion sur ce point. L'
état
de veille dans lequel se trouvait cette jeune fil
tat de veille dans lequel se trouvait cette jeune fille n'était pas l'
état
normal, mais un état spécial dans lequel, par sui
quel se trouvait cette jeune fille n'était pas l'état normal, mais un
état
spécial dans lequel, par suite de l'influence de
, dominait tout son être psychique. N'est-ce pas, du reste, par cet
état
que passent tous les sujets qui s'endorment? Ce n
assent tous les sujets qui s'endorment? Ce n'est plus véritablement l'
état
de veille normal, c'est un état d'émotîvité dans
orment? Ce n'est plus véritablement l'état de veille normal, c'est un
état
d'émotîvité dans lequel il y a comme une première
ion de la suggestibilité de chacun. Suggestionnée par moi, dans cet
état
spécial, la jeune fille dormit profondément toute
n'avait pas disparu, les règles n'étaient pas encore revenues, mais l'
état
général accusait une amélioration des plus satisf
énible. Pour être plus certain du succès, je ne me contentai pas de l'
état
émotif dans lequel je venais de faire une suggest
ante, les suivants. Tout d'abord, c'est un délire somnambulique, un
état
second. Le champ de la conscience est tout entier
e la plupart des névropa-thies et psychopathies, et dans la période d'
état
de ces affections ; c'est là, un fait d'observati
y a identité entre le mécanisme de production des deux sommeils, de l'
état
d'engourdissement psychique et organique qui les
organique qui les caractérise. Ce qui confirme l'identité de ces deux
états
, c'est que le sommeil ordinaire se transforme en
rritables; il n'y a aucun inconvénient à les « laisser plongés dans l'
état
d'hypnotisme pendant plusieurs « heures consécuti
urée plus ou moins prolongé, » dans le traitement d'un grand nombre d'
états
nerveux. Ce « sommeil est éminemment réparateur,
t par moment un besoin impérieux de mordre ses mains pour apaiser son
état
morbide, une hypéresthésie de la région pelvienne
fixer mon regard et, en une minute, il tombe en catalepsie. Dans cet
état
, je lui suggère avec insistance sa guêrison proch
ette seconde séance je me borne à m'occuper de ce symptôme. Pendant l'
état
hypnotique je lui fais boire un demi-verre d'eau.
rois minutes, je l'hypnotise; il tombe en catalepsie légère. Dans cet
état
je lut suggère, a plusieurs reprises, la disparit
ier, c'est-à-dire pendant cinq semaines, une fois par semaine. Dans l'
état
hypnotique, la rigidité des membres à dcml-par.il
able. Sou caractère était change et à ce point que la mère y voyait l'
état
d'un enfant en délire et qui devait mourir bientô
t, depuis le temps, et rien, dans son apparence, n'accusait un pareil
état
. Était-ce du trismus hystérique? J'avais déjà o
e la catalepsie elle conservoit cette même attitude. 3* Si dans cet
état
quelqu'un élevoit un de ses bras, fléchissoit sa
s marques de sensation. 7* Enfln, elle se tirait d'elle-même de cet
état
sans aucun secours, et aucun remède n'en abrégeoî
avec une vivacité et un esprit qu'on ne lui voyoit jamais hors de cet
état
, elle cbangeolt quelquefois de propos et sembloit
a journée, ne sachant d'ailleurs rien de ce qu'elle avait fait en cet
état
. Vers la fin de mai de la même année, tous ces
te promptitude à faire tous les mouvements volontaires? Il faut que l'
état
des cataleptiques diffère intérieurement bien peu
ontracte la syphilis ; puis il souffre de dépression physique et d'un
état
neurasthénique complet avec sensation de casque,
bservation du même sujet soit prise par divers médecins, étudiant son
état
pathologique à l'insu les uns des autres. On arri
émontrent l'hypersugges-Ubilité que présente cette personne, même à l'
état
de veille. M. le Secrétaire général annonce à l
vingt-quatre heures, et la malade resta après la dernière dans l'
état
léthargique où elle est encore aujourd'hui (7 avr
ontaire, devint aussi très rare ; les règles ne reparurent pas. « L'
état
de calme léthargique était interrompu a des dista
le verrons plus loin, qu'a la période terminale. A cette époque, l'
état
de M. B. entra dans une phase stationnaire, marqu
ment d'une grande crise d'hystérie semblable à celle du début- de son
état
SUPPLÉMENT A LA REVUS DE L'HYPNOTISME. — N* 3
tation morbide des centres thermogènes constatée pendant la période d'
état
avait fait place a une dépression telle que l'inf
s les deux séries d'attaques qui ont marqué le début et la fin de son
état
morbide. Cela expliquerait la perte du souvenir d
Ce cas démontre la possibilité de vivre de nombreuses années dans l'
état
de sommeil hystérique et la possibilité de surviv
permettre de résister aux causes d'affaiblissement résultant de leur
état
morbide spécial. Il est non moins nécessaire de
assé pendant son sommeil ; il n'en résulte pas que pendant ce dernier
état
, elle fut totalement inconsciente. Son état secon
as que pendant ce dernier état, elle fut totalement inconsciente. Son
état
second, seul, était impressionné. Au réveil, c'es
ciente. Son état second, seul, était impressionné. Au réveil, c'est l'
état
prime qui reparait; et l'on comprend qu'il ignore
reparait; et l'on comprend qu'il ignore le contenu psychologique de l'
état
second. M. Voisin. — Il est curieux de constate
hysiquement et mentalement funeste. Je disais expressément ceci : « L'
état
d'incapacité, d'inertie mentale de cette malade,
la malheureuse fille comme folle dans un grenier. Pendant un mois son
état
ne subit pas de notable modification. Ccpcndunt
er. Elle reconnaît son entourage, sa gaité revient, elle recouvre son
état
normal, sans avoir le moindre souvenir des événem
Enfin elle présente une suggeslibililé tout à fait extraordinaire à l'
état
de veille. Les cas de ce genre sont tris fréq
tente mais prolongée) l'avant-bras d'une malade hémianestbésique, à l'
état
de veille. Au bout d'un temps relativement court,
rmez pas, etc. » Il y a quelques jours encore une malade tombait en
état
d'hypnose dans mon cabinet, pendant que je causai
d'une différence et par produire ainsi l'ani-déisme, c'est-à-dire un
état
psychologique très favorable à la suggestion. Dan
il ne peut trouver trêve ni repos, pas plus le jour que la nuit. Cet
état
lamentable dure depuis deux mois; aucun médicamen
de. Par la fixation du regard, elle est légèrement assoupie; dans cet
état
, je lui frictionne la fesse et la cuisse, le long
t devient très mélancolique. Pressée de questions sur la cause de cet
état
, elle répond qu'elle a été frappée par la mortsub
ntôt se rendort. Pendant les trois mois qui suivent, elle présente un
état
général de sommeil avec, de temps en temps, des r
Dans l'urine rien de pathologique. La force musculaire correspond à l'
état
général de la malade. Couchée, elle fait très lib
e ne me donno aucun succès. Je provoque alors chez ma malade un léger
état
hypnotique, puis je lui ordonne de se lever et de
paupière supérieure tombe et elle entre immédiatement dans un profond
état
de somnambulisme avec amnésie complète au réveil.
de l'extraction. Je lui propose de faire en sorte qu'cllosoît dans l'
état
d'hypnose quand le dentiste la lui enlèvera; mais
me consulter en cas de rechute, j'ai donc tout lieu de croire que son
état
de santé est suffisamment bon et qu'elle n'éprouv
agit avec force, résiste victorieusement et se maintient en excellent
état
. Mais ce sont là des cas particuliers. D'une
l'embarquement. La plupart des personnes suggestionnées, même dans un
état
hypnotique très-léger, ont été indemnes du mal de
tible, car II faut compter avec los qualités nautiques du navire et l'
état
de la mer ; mais le procédé est rationnel et on n
me, etc. (cas de Coromilas) empêchent l'apparition du mal de mer. Ces
états
forts accaparent toute la conscience, font dériva
ns de fer, etc. produisent, à terre, chez certaines personnes, un
état
identique au mal de mer, à l'intensité près. Ce v
nt très petits. ¦........ Suit une description très complète de l'
état
des organes Internes, dans laquelle il nous parai
main. Non seulement elle était femme, mais de plus elle était dans un
état
de grossesse avancée. Le clergyman n'avait pas de
re à lui seul à faire éclorc un délire ; les analogies entre ces deux
états
sont de pure apparence; lorsque le réve et le
individu, ils ne sont, ils ne peuvent êlro que la manifestation d'un
état
pathologique du cerveau ; le rêve, lorsqu'il préc
rsqu'il précède le délire, peut être la première manifestation de cet
état
, mais rien de plus; il fait prévoir le délire, il
it été de mieux en mieux, et avait même augmenté de 5 kilog. Mais l'
état
mélancolique que j'avais constaté et dont elle av
pourrait l'en débarrasser. Je l'interrogeai donc en détail sur son
état
psychique. Elle me dit qu'en outre d'un mal de
t môme dans mes sentiments et mes sensations. » Elle a peur que cet
état
ne la pousse au suicide. Cependant elle n'est pas
on sommeil, les suggestions qui me parurent le plus appropriées à son
état
, je lui prescrivis, en oulre, des toniques du sys
plus intéressant d'observer l'influence de l'hypnotisme seul sur cet
état
spécial, mais pour le plus grand bien de la malad
moins, j'ai pris ce titre, parce qu'il m'a paru traduire exactement l'
état
de la malade dont je viens de vous parler. Quand
il. Mais nous connaissons tous et l'avons éprouvé plus d'une fois cet
état
spécial qui précède souvent le sommeil, état
plus d'une fois cet état spécial qui précède souvent le sommeil,
état
intermédiaire, dans lequel, sans perte de la cons
ou qu'une cause quelconque nous réveille, nous nous trouvons dans un
état
psychique qui, suivant l'expression de Bertin, es
orte de délire physiologique. Les causes les plus fréquentes de cet
état
de demi-sommeil sont la fatigue intellectuelle ou
prolongé dans une salle surchauffée ou insuffisamment aérée. Et cet
état
diffère de la somnolence proprement dite, car il
mble de notre activité. Il ne saurait non plus être confondu avec l'
état
de distraction qui constitue une véritable infirm
symptôme de maladie. Chez ma malade, il n'y avait ni somnolence, ni
état
de distraction, mais bien réellement uu demi-somm
ur Raymond. Cette jeune fille est âgée de 19 ans ; elle vit dans un
état
de rêve ; pour tout ce qui n'est pas son reve, el
ssant, rapide à sept ou huit oscillations par seconde, persistant à l'
état
de repos, exaspéré à l'occasion d'une émotion ou
'a été accompagnée d'aucune modification dans le caractère, ni dans l'
état
mental. Ce qu'il y a de plus frappant c'est qu'on
a poursuite d'un ennemi victorieux n'était venue changer ce dangereux
état
. La bataille indécise de dix jours autour de Mo
miez pas votre malade? — Non. — C'était donc de la suggestion à l'
état
de veille. Je ne suis pas de cet avis. La malad
ait d'elle-même d'un pouvoir sur elle, se mettant d'elle-même dans un
état
de soumission vis-à-vis de lui et cela sans contr
ui oserait prétendre qu'influencée aussi diversement elle fut dans un
état
de veille complet et normal. Il y avait chez el
léger, très léger, c'était do l'hypnose. En un mot elle était dans un
état
spécial, dans celui de l'attente. Et son sorcier
harme opere. On l'attend, on trouve qu'il ne vient pas assez vite ; l'
état
d'attente se transforme en attente anxieuse, on p
itement éveillées, on est entré avec une volupté incomparable dans un
état
spécial, qui est l'hypnose de l'attente. Si je me
étendre que. dans tous les cas de sorcellerie, le grand facteur est l'
état
d'hypnose et qui dit sorcellerie dit hypnotisme?
nt elle ne se sentait pas le besoin au départ, n'est-elle donc pas en
état
d'hypnose? Et les gens arrêtés bouche béante deva
nombreux doivent être les gens qui, étant éveillés, sont pourtant en
état
de sommeil léger, en un mot d'hypnose. Eh bie
Eh bien, tous les gens qui s'adressent aux sorciers sont eux aussi en
état
d'hypnose. S'ils ne sont pas attirés, fascinés pa
phénomènes. D'un celé un dominateur, de l'autre des dominés dans un
état
d'attente, ce sont bien, ce me semble, les mômes
âteuse. Le 15 avril, commence le traitement par la suggestion à l'
état
de sommeil; la malade est endormie dès la premièr
eurs, vous parler de la neurasthénie, en tant que représentée par les
états
spéciaux observés chez les nerveux, terme génériq
r, en 1895. prouvant une fols de que, chez certains grands esprits, l'
état
de maladie peut ne pas entraver la puissance inte
lessi fréquentes dans la vie, deviennent les facteurs quotidiens d'un
état
de dépression nerveuse qui se traduit, chez les p
s beaucoup les trois quarts de nos dirigeants, mal préparés pour leur
état
et insuffisants dans leur social actuel. L'éduc
— ainsi que, plus tard, le jeune soldat —, le plus vite possible en
état
de se conduire et de se tirer d'affaire lui-mêm
Insignifiantes. Xous les trouvons. Messieurs, chez des individus en
état
de prédisposition originelle, de dégénérescence p
nérés. Ce déséquilibre particulier n'est, pour nous médecins, que l'
état
de moindre résistance d'un système nerveux resté
réservé aux seuls prédisposés héréditaires. Aussi peut-on dire de ces
états
, véritablement constitutionnels, ce que nous diso
quand la prédisposition héréditaire existe et quand Ton se trouve en
état
d'infériorité préalable du système nerveux. Mais,
èse décidément trop exclusive, de Max Nordau, lorsqu'il affirme que l'
état
de « dégénérescence » est le lot nécessaire de l'
anité actuelle. • » Si l'hystérie est souvent caractérisée par un
état
réel d'aboulie, avec un rétrécissement du champ d
es aberrantes dont il s'est fait une loi. • Nous devons ici faire
état
de ce que, à partir de l'époque de la puberté et
isément les plus fréquentes chez nos sujets de tous les genres. Ces
états
latents se dévoilent et s'exaspèrent, nous le sav
e manière certaine que la collectivité ne fait qu'aggraver ce fâcheux
état
. Ainsi, en lisant les récits des différentes at
nerveux peuvent coïncider avec des apparences physiques trompeuses. L'
état
psychique ne répond pas toujours à l'aspect extér
etc.. En résumé, en dehors de l'hérédité, nous signalons, pour 1'*
état
nerveux », deux causes étiologiques d'ordre contr
le et cessent de réagir contre les impressions sensitives. Donc, deux
états
auxquels nous devons pourvoir. (I) Voir Revue J
vreuse, la h&te fébrile, se trouve être le principal facteur do l'
état
nerveux.... Or, ne rien précipiter, ne pas se hât
sensations pénibles vont de pair et constituent un cercle vicieux; l'
état
d'anxiété et l'instabilité vaso-motrice s'entreti
e la surprise subite, elle est dans une certaine mesure imputable à l'
état
de déchéance physique : le trouble physique gross
arrière, tombés, sous l'influence de préoccupations intenses, dans un
état
d'épuisement nerveux, de neurasthénie viscérale a
d'abandonner leurs fonctions, pour ne songer qu'au traitement de leur
état
spécial, traitement, nous devons le dire, aboutis
en en service, il pouvait sans hésitation parcourir la même voie. Cet
état
dura trois années et il ne fallut rien moins qu'u
pétées que rien n'y pouvait faire, sinon le remède obligé d'un pareil
état
de phobie invincible, le transfert du sujet dans
ues toute l'attention qu'elles méritent, d'autant plus que ce genre d'
état
peut conduire À des résolutions extrêmes, déserti
généralement ces phobies comme l'expression de sensations normales en
état
d'exagération pathologique par suite de la nutrit
auses qui retenaient celte science, la plus difllcile de toutes, à un
état
embryonnaire. Il comprit la nécessité de la faire
bsolue de se mouvoir, de parler et de penser. C'est pour désigner cet
état
que le physiologiste Preyer a créé le mot calaple
e cette aboulie motrice, partielle ou généralisée, est comparable aux
états
d'inhibition que les manoeuvres d'hypnotisme prov
d'une intervention expérimentale ; la peur, au contraire, réalise un
état
d'hypnolisme fortuit. Le mécanisme intime est le
L'homme, dépourvu de tout pouvoir de contrôle, se trouve donc dans un
état
analogue à celui d'hypnotisme qui est, comme on l
ns un état analogue à celui d'hypnotisme qui est, comme on l'a dit, l'
état
d'hypersuggestibilité. On sait avec quelle irrési
out d'un coup, comme par une explosion qui remplace instantanément un
état
de fluctuation dont nous avions instinctivement l
renseigner sur l'efficacité probable du traitement. 2* Provoquer l'
état
d'htpnose ou tout au moins un état passif, c'est-
le du traitement. 2* Provoquer l'état d'htpnose ou tout au moins un
état
passif, c'est-à-dire un état physiologique caract
uer l'état d'htpnose ou tout au moins un état passif, c'est-à-dire un
état
physiologique caractérisé par la suppression et l
le, c'est que ces exercices, impuissants-lorsqu'ils sont exécutés à l'
état
de veille, deviennent d'une efficacité remarquabl
efficacité remarquable lorsqu'ils le sont chez le sujet plongé dans l'
état
d'hypno-tisme. C'est sur cette constatation que r
n lui-même, ce phénomène consiste en ceci : Un sujet, placé dans un
état
particulier, que nous appelons état média-nique,
ceci : Un sujet, placé dans un état particulier, que nous appelons
état
média-nique, est capable d'exercer sa force sur c
lacement de l'aiguille varie suivant les personnes, et surtout avec l'
état
de santé des individus. Nous avons constaté che
it attiré par lui. Après ces constatations faites sur des sujets en
état
de santé, il était intéressant de rechercher comm
nées par le sthénomètre, en même temps que les malades revenaient à l'
état
normal sous l'influence des bains de lumière colo
ippe, la longue convalescence, les neurasthénies, le paludisme et les
états
infectieux. PRIX : 3 fr. 50 Solution §romurée
rveux de l'estomac, la lièvre paludéenne, la dysménorrhée et tous les
états
dans lesquels l'anémie est associée à l'épuisemen
ien le voir. III. — Psychologie des Parias. — Quel a bien pu être l'
état
d'àmc de ces infortunés mis hors caste par la vol
ces deux définitions, que devient la suggestibilité, au moins à l'
état
de veille? Elle n'a plus sa raison d'élre. Car to
s ou moins développée; soit, mais elle est. On devra donc dire qu'à l'
état
de veille, chacun de nous possède une plus ou moi
ont que très difficilement, sinon même jamais, par psychothérapie à l'
état
de veille. Us ne guériront que par psychothérapie
iront que par psychothérapie hypnotique. L'hypnotisme est, depuis l'
état
de veille jusqu'à la léthargie la plus complè
ent progressif. Il suffît de lire les descriptions qu'ont données des
états
de l'hypnose les divers auteurs pour voir combien
lleurs, c'est une erreur grave de vouloir plonger les malades dans un
état
de sommeil profond. Il suffit, en général, de les
rofond. Il suffit, en général, de les hypnotiser au minimum. Dans cet
état
d'inhibition léger, que les ignorants de la quest
mmeil hypnotique, les raisonnements porteront qui tout à l'heure, à l'
état
de veille, étaient impuissants. Car j'insiste sur
nit presque toujours par se laisser convaincre, car, en le mettant en
état
d'automatisme minimum, on a précisément et simple
on ou de la persuasion. Quand ce no serait que chez les gens qui, à l'
état
de veille, ont une faculté de contrôle à peu près
qui s'adressent à nous ont été souvent soignés par psychothérapie à l'
état
de veille, et cela sans aucun résultat. Ils vienn
us ou moins complètement, la volonté de l'individu et de le mettre en
état
passager d'automatisme, dès l'instant que laguéri
de joie, d'exaltation, de délire. Comparaison précieuse des effets d'
états
émotionnels différents sur les mêmes organes, et
que cette malade, très intelligente, s tout à fait conscience de son
état
; elle raconte très bien ce qu'elle éprouve ; mais
sédatif sur le cerveau, «t il. Dubois lui attribue la production d'un
état
psychologique qui no serait en somme qu'on léger
atique exclusive de la persuasion, c'est* i-dire de la suggestion s l'
état
de veille, dont les malades ne tardent d'ailleurs
. Les premiers symptômes que l'on observa chez elle, furent ceux d'un
état
de dépression bientôt suivie d'un accès d'excitat
é du menton (Pig. 48). Peu de temps après son entrée à l'asile, son
état
mental s'améliora,-on l'occupa à la buanderie ; m
os Incohérents, on l'envoyait dans la cour. Quand elle était dans cet
état
, elle marchait vite, se roulait par terre ou s'as
accouchement qui eut lieu immédiatement après la mort de son mari. Un
état
d'anxiété s'était manifesté pendant les derniers
11 sentait parfois le besoin d'uriner, mais pas aussi souvent qu'à l'
état
normal. Ce qui parlait aussi en faveur de la natu
nce, une hypotaxie assez accentuée se produit, le patient définit cet
état
un « engourdissement agréable. » Je lui suggère q
pontanément que des quantités minimes d'urine, puis, petit à petit, l'
état
normal s'est tout à fait rétabli. Discussion.
stions. Des séances successives de sommeil améliorent assez vite leur
état
, et alors la suggestion les Impressionne. A ces m
nt, il s'arrête au milieu d'un morceau, incapable de continuer. Cet
état
le désole ; il sent bien que, dans ces conditions
cupations, de chagrins et de surmenage, elle a de nouveau présenté un
état
névropathique dont je l'ai débarrassée par la sug
min de fer, sans nausées, vertiges ou même vomissements. Sur mer, son
état
était pitoyable. Elle en était presque dangereuse
é de chaque traversée. Le résultat fut la disparition complète de l'
état
maladif qui depuis l'enfance revenait à chaque vo
e femme environ cinq centimètres cubes de sœmnoforme et je provoque l'
état
d'hypnonarcose, tel que l'a décrit le docteur Pau
ements ont cessé ; le sommeil est calme et l'appétit revient. Voici l'
état
de la malade après la cinquième séance de narcose
bre, ses forces ont augmenté graduellement et qu'elle s'est sentie en
état
de quitter son lit la veille du nouvel an. A cett
y. Personne d'entre vous n'Ignore que, pour réveiller un dormeur en
état
d'hypnose, nous nous aidons de certaines manœuvre
s, et qui ne peut dormir. Je donne les Instructions nécessaires à son
état
, et pour l'endormir j'essaie d'appliquer la main
des névroses et des psychoses. Cette habitude vicieuse exerce sur les
états
névropathl-ques une influence désastreuse, car el
rrivé fréquemment dans notre pratique d'acquérir la certitude que des
états
névropathiques graves étaient entretenus par des
sthésies sensorielles très tenaces et très pénibles, des phobies, des
états
d'anxiété, des délires passagers, des troubles du
connaissance par la famille, a eu pour effet de mettre un terme à des
états
névropalhiques dont rien ne pouvait faire prévoir
euse et rare. Cette femme, en effet, a parfaitement conscience de son
état
et le raisonne ; dès qu'elle évoque une sensation
répond pas aux questions qu'on lui pose : cela milite en faveur de l'
état
mental hystérique. De plus, en septembre 1904, a
e sont que de l'agitation musculaire. Peu a peu, elle a manifesté cet
état
psychique spécial qui répond à son apparence cata
pu prévoir, n'ayant reçu sur place aucun des soins que réclamait leur
état
, ont été rapatriés à travers la Mandchourie, dans
femme barbue indique qu'on se trouve en présence d'un sujet doué d'un
état
mental anormal. (1) William Hills. Médical Time
cestral de l'homme. Dans ces conditions elle se rapprocherait par son
état
mental des individusdont la folie consiste surtou
donc pas la théorie du Dr Mercier. Entre les femmes à barbe dont l'
état
mental est normal et celles qui sont aliénées, il
ou bien encore la disparition de sa femme, abandonnant ses enfants. L'
état
psychique du sujet variera suivant les différente
e sujet, aucune importance, mais qui en se totalisant constituent cet
état
émotif. Cher, les sujets de cette catégorie,
recourt au vin et en boit jusqu'à l'ivresse complète : à mesure que l'
état
d'ivresse passe et que les centres cérébraux se r
tablir un point de vuo juste sur les alcooliques. C'est en étudiant l'
état
psychique du sujet qu'on arrive à s'expliquer pou
rem- placer par le dégoût du vin, chez le périodique remplacer l'
état
d'angoisse et de tristesse par un état de quiétud
chez le périodique remplacer l'état d'angoisse et de tristesse par un
état
de quiétude et de sérénité d'àme, très certaineme
on sur les alcooliques sans prendre en considération s'ils étaient en
état
d'ivresse ou non. L'expérience m'a démontré qu'il
pourquoi j'ai complètement renoncé à faire la suggestion au sujet en
état
d'ivresse, je ne la fais que le jour où il n'a pa
dégrisés. Quant aux alcooliques périodiques qui viennent chez moi en
état
d'ivresse, je leur prescris la solution d'hydrate
la plupart, au lendemain de la séance, se présentent dans un mauvais
état
. Ils n'ont pas bu depuis le matin et se sentent m
pourtant pas garantir le résultai efficace du traitement, tant que l'
état
psychique et le système nerveux du malade ne sont
t nous avons déjà signalé l'importance et dont le but est d'adapter l'
état
psychique et le système nerveux des alcooliques a
'alcool et la sérénité d'àme ; 2* elle adapte le système nerveux et l'
état
psychique des alcooliques aux nouvelles condition
'alcoolisme. Il est de première nécessité d'étudier scrupuleusement l'
état
psychique de chaque patient pour combattre ce mal
est purement psychique, il faut le combattre par un moyen qui vise l'
état
psychique et le modifie dans le sens voulu. Ce mo
sens voulu. Ce moyen, c'est la suggestion. Pour parvenir à refaire l'
état
psychique du sujet, il faut une période de te
avoir des récidives, puisqu'il n'y a aucune possibilité de refaire l'
état
psychique du malade dans une très courte période
(1). Trois cas principaux peuvent se présenter : l6 Le malade, en
état
de narcose, reçoit la suggestion curative, exacte
arcose, reçoit la suggestion curative, exactement comme s'il était en
état
d'hypnose ; 2- Pendant la narcose, le malade re
es. Citons des faits. Une femme de 30 ans, scrupuleuse, présente un
état
anxieux paroxystique. Elle se lamente, pleure, sa
ques anxieux viennent chez.moi uniquement pour dormir. Je les mets en
état
de narcose légère et, aussitôt, je me retire dans
donne les Illusions de son ancien toxique. IV. Mme L. R..., 35 ans;
état
nerveux indéterminé; idée fixe de jalousie ; croi
mais par l'absence du pouvoir sexuel. On a souvent confondu ces deux
états
dont l'Indépendance est plus fréquente qu'on ne l
sie conjugale ayant d'abord provoqué une exaltation du désir, puis un
état
d'impuissance complète. Obs. 5, financier, 38 a
l'arsenal thérapeutique est épuisé, sans le moindre résultat. Et cet
état
dure sans discontinuer depuis 28 jours. Entre t
ec elle, mon seul but est de la préparer à recevoir la suggestion à l'
état
de veille. Je tâche de produire dans son cervea
Ainsi, il me suffit de certifier la guérison pour créer chez elle cet
état
d'hypotaxie indispensable à l'idéoplastie. Le len
incitation verbale, je suis parvenu à obtenir chez elle l'hypnose à l'
état
de veille de Grasset. Dans cet état, qui doit
tenir chez elle l'hypnose à l'état de veille de Grasset. Dans cet
état
, qui doit être considéré comme la toute première
qui doit être considéré comme la toute première phase de la série des
états
hypnotiques, on peut encore observer tous les phé
este, on sait fort bien que la sommation hypnotique n'est autre que l'
état
de suggestibl-lité. Ce principe, qui doit être co
e dose de réceptivité a la suggestion. Elle se trouvait donc dans cet
état
extranormal, extraphysiologique qu'on appelle hyp
ns cet état extranormal, extraphysiologique qu'on appelle hypnose à l'
état
de veille. Quel est donc le mécanisme de cette cu
ater une corrélation entre ces mains lourdes, molles et humides et un
état
psychologique que l'on peut désigner sous le nom
ns sont molles sont dépourvus do décision, d'énergie, de volonté. Cet
état
des mains s'observe fréquemment chez les hystériq
enté de l'hyperhldrose très accentuée des mains, étalent revenus à un
état
normal. A mesure que leurs mains redevenaient sèc
olice saxonne furent requis pour arrêter une femme qui se trouvait en
état
de vagabondage et s'était rendue coupable de dive
t fussent entretenus par l'intervention d'une suggestion faite dans l'
état
d'hypnose. Mais il me prouva la réalité de cette
iystérique. Il nous fut facile de l'hypnotiser profondément. Dans cet
état
, de l'ancstliésio générale et des contractures fu
tôt à ce"tie agitation motrice succède un affaiblissement généra], un
état
d'asthénie tel que la malade ne peut plus faire u
oids qu'elle avait gagné à Meyzieux et se retrouve alors dans le même
état
où elle était avant son départ pour Lyon. C'est a
onstate, c'est qu'elle ne se rappelle pas l'émotion qui a précédé son
état
actuel, et qu'elle ne se rend pas compte de ce qu
e pas c'est qu'ils sont morts. Et ainsi existe un antagonisme entre l'
état
mental de Marie-Louise et les modifications que l
elte seconde personnalité différait de la personnalité normale par un
état
d'excitation sensilivo-motrice qui ne disparut qu
fait le plus intéressant de cette observation est, sans contredit, l'
état
psychologique de Marie-Louise, dont le caractère
t que du jour où elle se réveille complètement. On voit alors que cet
état
n'était qu'un état d'automatisme, un état létharg
le se réveille complètement. On voit alors que cet état n'était qu'un
état
d'automatisme, un état léthargique d'autant plus
ment. On voit alors que cet état n'était qu'un état d'automatisme, un
état
léthargique d'autant plus difficile à diagnostiqu
lée Jouissant de l'intégrité absolue de ses fonctions psychiques. Cet
état
de léthargie lucide est intéressant par lui-même
vilège qu'à son degré le plus haut. Nous affirmons qu'elle existe a l'
état
normal chez tous les hommes et que, par suite, sa
re dans sa vitalité ; surviennent les règles qui la mettent encore en
état
d'infériorité ; ses parents la couvent et ne cess
la boulimie, dès que la préoccupation de la nourriture s'installe à l'
état
de manie. Cette jeune ûllc est intelligente : e
héréditaires. — Mère nerveuse, ayant des tendances à s'évanouir. Cet
état
a cessé depuis dix ans environ. Père arthritique
rossesse, Mme P... fut en butte à des contrariétés incessantes, et en
état
de surexcitation. Antécédents personnels.— A l'
t mal ; mictions nocturnes inconscientes, constatation au réveil d'un
état
d'hébétude et d'une morsure de la langue. A ce
n trois mois, et il agit principalement sur moi par la suggestion à l'
état
d'hypnose. Les résultats sont les suivants : «
ctuelle. Il m'est arrivé ainsi d'améliorer d'une façon très marquée l'
état
mental de certains épilep-tiques. Dr Bérillon.
acité qu'elle avait perdu : ils reprennent goût à l'existence et leur
état
général s'améliore d'une façon très appréciable.
actions sont la résultante des forces qui sont en nous, l'hérédité, l'
état
de santé, le tempérament, on est forcé de reconna
que la persuasion intense, continue, autrement dit la suggestion à l'
état
de veille, peut donner des résultats surprenants.
sujets l'hypnotisme réussira lorsque la persuasion, la suggestion à l'
état
de veille auront été impuissantes. Les succès obt
sique que cet enfant est capable de recevoir pour ne pas aggraver son
état
et le précipiter dans des troubles mentaux de la
nts arriérés par M. le docteur Doyen. Est-il possible d'améliorer l'
état
des enfants arriérés par une opération ? Cette
quelques compresses stérilisées. Le malade, qui se trouvait dans un
état
presque syncopal après l'opération, dut subir que
lètement arrêtée quand le volet a été rabattu et la peau suturée. L'
état
actuel du malade ne semble pas faire présumer qu'
prouvent le blépharospasme, le bon fonctionnement des sphincters et l'
état
des réflexes. Vespaslen thaumaturge. « Pendan
and voit ses malades en ville, ceux qui sont traités à domicile, leur
état
ne permettant pas de se déplacer et ceux qui sont
tique n'était pas autre chose que le sommeil naturel avec, en plus, l'
état
de rapport avec l'hypnotiseur. Il ne considérait
port avec l'hypnotiseur. Il ne considérait pas que la suggestion, à l'
état
de veille, puisse exercer la moindre influence su
atique pour la fabrication, tout en étant moins dangereuse pour l'
état
général des individus qu'elle réclame. Les prop
ment cérébral. La seule indication qu'il crut pouvoir me donner sur l'
état
de la malade fut qu'elle lui adressait au confess
constater que la cécité laisse dans la conscience de ses victimes un
état
d'indifférence plus ou moins profond pour le mond
tat d'indifférence plus ou moins profond pour le monde extérieur. Cet
état
non seulement semble entraver la suppléance des s
perceptions qui lui restent. II. — Les aveugles qui échappent à cet
état
sont ceux qui, par une cause quelconque, ont dema
stérilité par M. le Dr Paul Joire (de Lille) La stérilité est un
état
morbide empêchant la reproduction de l'espèce. Le
stion hypnotique, nous permettra de rendre facilement ces malades à l'
état
normal. Je signalerai en troisième lieu des tro
arynx et du pharynx, mise en jeu et considérablement développée par l'
état
d'hypnose, est donc un des meilleurs moyens à uti
énéral, soit une insensibilité ou une sensibilité anormale, liée à un
état
psychique. Dans ces cas, c'est évidemment au tr
que la manifestation d'un trouble morbide ; mais aussi parce que cet
état
devient lui-même la cause d'une véritable maladie
occuper de ces malades ; il pourra toujours relever et fortifier leur
état
moral ; et le plus souvent comme nous venons de l
e l'obnubilation de sa rétiveté naturelle, le zèbre se trouve dans un
état
passif, analogue aux états profonds de l'hypnose.
iveté naturelle, le zèbre se trouve dans un état passif, analogue aux
états
profonds de l'hypnose. Dépourvu momentanément de
e, il subit la direction à laquelle il serait capable de résister à l'
état
habituel. La domestication n'est, en fait, qu'un
différentes. On appelle alors des gens sachant porter remède à cet
état
maladif Ils viennent. Certains d'entre eux disent
Polong, mais il lui reste un trouble maladif et son corps est dans un
état
de faiblesse très grande. Chez certaines personne
ntage de l'atmosphère suggestive que crée la présence de personnes en
état
de sommeil, qui favorise si bien la naissance du
umis à un examen rigoureux et né sont admis au traitement que si leur
état
justifie l'epoir d'une grande amélioration ou de
à leur aise, à gagner leur confiance, à me faire une idée juste de l'
état
de leurs organes. Le diagnostic de la maladie p
symptômes qu'il présente et finis par lui donner les conseils que son
état
exige, des règles de régime, d'hygiène etc. L
e l'engage à m'écrire de temps en temps, à me tenir au courant de son
état
, à m'avertir en cas de défaillance ou de rechute
que les seconds, étant donné que l'emploi loyal de la suggestion à l'
état
de veille et à l'état de sommeil leur permet : 1°
t donné que l'emploi loyal de la suggestion à l'état de veille et à l'
état
de sommeil leur permet : 1° de provoquer uq somme
leurs patients ; 2° de provoquer l'anesthésie chirurgicale qui met en
état
de subir des opérations graves, des accouchements
e arrive ainsi, vers l'année 1885, à ce que j'appellerai la période d'
état
, laquelle durera vingt ans. Elle n'articule jam
(de Thenelles) ou môme Gésine M... (de Grambke). En pleine période d'
état
, Bénita se conduisait comme ces aliénés qui, sous
second rebou- teur, les oscillations qui ont précédé la période d'
état
, le mutisme, l'anorexie persistante et le maintie
étudie et qu'il dirige selon leurs aptitudes de façon à les mettre en
état
de gagner leur vie lorsqu'ils seront rendus à la
Il nous semble qu'un certain nombre seront des êtres utiles ; mais l'
état
encore embryonnaire de la fondation ne nous perme
ités mentales, mais d'autant plus mal connues qu'on-se rapproche de l'
état
normal, et qui se traduisent ; au point de vue fo
enfant parmi les débiles. Comme je l'ai déjà dit, le diagnostic des
états
inférieurs de débilité mentale, idiotie ou imbéci
Diagnostic de la débilité mentale. A mesure qu'on se rapproche de l'
état
normal, la difficulté en même temps que l'importa
ue la contagion morale, mais ce qui peut être vrai pour ceux que leur
état
intellectuel classe dans la normale, est beaucoup
catégorie sociale, arriéré, vicieux, criminel, pour ne parler que des
états
qui nous occupent. Or, dès que l'enfant s'est f
plus fréquente encore chez les débiles, à prendre leur parti de leur
état
d'infériorité, à accepter même comme chose na
les idées fixes subconscientes du sujet, puisqu'aussi bien, dans cet
état
, il en garde le souvenir, alors qu'il les ignore
n, dans cet état, il en garde le souvenir, alors qu'il les ignore à l'
état
de veille. D'ailleurs, ce ne sont pas seulement l
de découvrir par ce procédé. Il est encore le meilleur traitement des
états
de mal et de somnambulisme naturels, puisqu'il pe
te, le concept mental qui l'obsédait. Nous savons, d'ailleurs, qu'à l'
état
de veille, un choc moral intense peut suffire par
tat de veille, un choc moral intense peut suffire parfois à ramener l'
état
psychique à son taux normal. Rappelez-vous l'hist
er l'idée fixe primaire, un véritable changement à vue s'opère dans l'
état
du malade. Les accidents actuels disparaissent ra
idents hystériques n'est, en somme, que la manifestation extérieure d'
états
émotifs persistants, dont la disparition est seul
onstitution nerveuse et le songe fait en quelque sorte partie de leur
état
pathologique. Mais, chez les personnes moralement
la manière des suggestions, s'exerçant sur des sujets plongés dans l'
état
hypnotique. Les pratiques religieuses ont pour ef
ses ont pour effet le plus manifeste de réaliser chez les fidèles des
états
extatiques qui ne sont en réalité que des états d
chez les fidèles des états extatiques qui ne sont en réalité que des
états
de fascination hypnotique. D'où l'influence si pu
sante de la suggestion s'exerçant chez les individus plongés dans ces
états
. L'Administrateur-Gérant : Ed. BERILLON. EX
rythmiques avec le courant Leduc, ramener à la vie les accidentés en
état
de mort apparente à la suite d'éleclrocution. A n
e rurale, dans un milieu où fleurit l'hystérie, pour ainsi dire « à l'
état
sauvage » et non comme « produit de culture ».
simplement qu'il n'y a ni crime, ni délit lorsque le prévenu était en
état
de démence au moment de l'action ; que le mot res
la loupe sur la reproduction. Le rire bestial de ce sujet prouve son
état
mental. (Fig. I). Comparons un autre sujet (fig
pourrait mieux comparer ce malade qu'à un léontiasis osseux. Mais cet
état
, décrit par Virchow, est si rare et si peu connu
l'hérédité nerveuse, quelquefois l'hérédité alcoolique qui créera cet
état
hystérique. Je l'ai recherchée d'une façon systém
térique n'est que la manifestation extérieure, visible, tangible de l'
état
hystérique, c'est en quelque sorte le cachet, le
ctions et intoxications, il aura bien des chances de vivre avec son «
état
hystérique » sans en être incommodé en quoi que c
érédité nerveuse qui crée l'hystérie, mais une hystérie qui reste à l'
état
latent sans se manifester au dehors. II — Genès
ggestibilité excessive, à une crédulité exagérée et surtout à un réel
état
d'aboulie. Le premier trait qui frappe ici l'ob
mpérance, l'alcoolisme chronique, l'ivrognerie, la fécondation dans l'
état
d'ébriété, les mariages consanguins, l'impaludism
ise de tous les signes d'une fissure à l'anus intolérante, amenant un
état
tel que nous fûmes obligé de penser à lui pratiqu
éder à un traitement par l'électricité, traitement qui le mettrait en
état
de pouvoir uriner seul, sans cathétérisme. Pendan
apie hypnotique. Dr Paul Magnin :Rôle de l'expectant attention et des
états
d'attente dans l'exaltation de la suggestibilit
ecin expert, dans le plus grand nombre, pourrait-on dire, il s'agit d'
états
pathologiques incomplets, intermédiaires... » Ce
trouve ! le plus souvent, être aussi un psychologue éprouvé. En tout
état
de cause, c'est lui qui, sur la question de respo
tral d'engager la suggestlblllté du sujet ; quant à la suggestion à l'
état
de veille, elle ne présente sans doute aucun des
l'amener, par l'examen réfléchi de son passé, à mieux comprendre son
état
présent. « La guérison est certaine si le malad
éparés. Les enfants seraient répartis dans ces classes d'après leur
état
de calme ou d'agitation, le degré de leur arriéra
ement des RECUEIL DE FAITS Une hystérique incendiaire pendant l'
état
somnambuligue par M. le Dr A. Cullerre médecin-
la Roche-sur-Yon. Les actes délictueux ou criminels accomplis en l'
état
de somnambulisme hystérique ou de condition secon
ade, ainsi que de ses écrits, il ressort que c'est dans une période d'
état
second, de somnambulisme délirant, en un mot, aya
epsie, anorexie, vomissements, myasthénie, cryesthésie, etc. Dans cet
état
, la mentalité ne semble pas foncièrement altérée
ée ; la malade devient, à la vérité, morphinomane, ce qu'explique son
état
de souffrance habituel et sa déséquilibration ner
e, d'homicide, et les impulsions nuisibles les plus variées. Dans cet
état
, qui est toujours un état second, un état de cris
lsions nuisibles les plus variées. Dans cet état, qui est toujours un
état
second, un état de crise avec vie somnambulique,
les plus variées. Dans cet état, qui est toujours un état second, un
état
de crise avec vie somnambulique, la malade se fût
s, une véritable mentalité criminelle. Pour comprendre quel était l'
état
de notre malade au moment où elle a commis l'ince
exclusive, la mère de leurs petits-enfants. Soudain, du fait de cet
état
émotif intense et systématisé, aidé sans doute de
r que, dans un amoindrissement suprême de sa personnalité réduite à l'
état
d'automate, elle succombât enfin à l'obsession. »
adie, surtout si elle se prolonge quelque peu, laisse toujours dans l'
état
mental de l'enfant des séquelles mentales qui aff
rendre les enfants bien sages. * A côté de ces cas nombreux où un
état
pathologique a été le point de départ de l'indulg
un enfant chez lequel la disposition à la désobéissance est devenu un
état
habituel, je n'hésite pas à déclarer que cet enfa
égénérescence mentale, l'indocilité n'est pas fatalement causée par l'
état
pathologique, elle peut également être rattachée
ng desquels il faut placer la suggestion hypnotique. Par elle, dans l'
état
d'hypnose, il devient possible de cultiver le réf
titue l'élément fondamental. Les enfants indociles et insociables à l'
état
de veille, deviennent immédiatement malléables et
es et éducables dès que l'on a pu obtenir chez eux la production de l'
état
d'hypnotisme. 11 est môme très remarquable de con
er avec quelle intensité le réflexe d'obéissance se manifeste, dans l'
état
d'hypnotisme, chez des sujets qui, à l'état de ve
ance se manifeste, dans l'état d'hypnotisme, chez des sujets qui, à l'
état
de veille, en paraissaient dépourvus. C'est ce qu
. C'est ce qui explique la nécessité de recourir à la production de l'
état
d'hypnotisme qui permet d'accentuer la puissance
rêt soudain de l'évolution intellectuelle. Malgré tous les soins, l'
état
de cette enfant est demeuré stationnaire. Par con
ar l'intermédiaire d'images représentatives ; elles se représentent l'
état
qu'elles désirent reproduire. Il faut admettre qu
olfactive. Dr Dhotel (de Poix) : Etat de la pupille dans certain !
états
d'attention. Dr Jacques Bertillon : Considérati
ssionnels de l'athlétisme. gymnastique ou un jeu quelconque. Leur
état
n'est donc point dû aux exercices auxquels ils se
pour ainsi dire humiliés de leur faiblesse et de leur gaucherie ; cet
état
d'infériorité les décourage et bientôt ils renonc
e devrait cesser d'être actif et utile. La race devrait sortir de son
état
d'hypnotisation pour ce qui concerne la jeunesse
de son impuissance à le faire. La suggestion hypnotique modifia cet
état
psychique en introduisant, dans l'esprit de la ma
mplètement ou provisoirement détruit, si cette disparition tient à un
état
pathologique, ou si cet instinct maternel a été p
ù l'on allait l'inhumer. Désireux de s .avoir si je pouvais faire
état
de ce cas et le présenter comme authentique d
lors, à l'Ecole de psychologie, sur les sommeils pathologiques et les
états
de mort apparente, je lis une enquête dont j'expo
ngères encombrent et déshonorent la littérature spéciale relative aux
états
de mort apparente. Toutefois, entre la crédulit
pplications. D' Dhotel (de Poix) : Etat de la pupille dans certains
états
d'attention. Dr Jacques Bertillon : Considérati
à l'infanticide. M. Podiapolsey (de Saratow). — De l'influence des
états
psychiques sur les changements de couleur des che
lirante. Dès ce moment, son esprit en demeura troublé. Ce fut dans un
état
demi-conscient et l'esprit déjà confus qu'il fut
; de plus, il n'est jamais tenu aucun compte, dans cet exercice, de l'
état
des viscères ni des grandes fonctions physiologiq
implement qu'il n'y a ni crime ni délit lorsque le « prévenu était en
état
de démence au moment de l'action ; que le mot « r
me qui puisse se targuer d'avoir, une seulefoisdans sa vie, réalisé l'
état
de liberté dont parle cette définition ! Plus q
que de s'attarder à une vaine . logomachie qui laisse les choses en l'
état
. • Je voudrais résumer en quelques mots mon a
ximum de peine ou accorder des circonstances atténuantes eu égard à l'
état
de maladie du sujet. En cas d'irresponsabilité, n
-, ques progrès, la pathologie nerveuse serait restée tout à fait à l'
état
d'ébauche ; et les lésions organiques du système
'hypnotisme. Dr Dhotel {de Poix) : Etat de la pupille dans certains
états
d'attention. Dr Jacques Bertillon : Considérati
ce qu'on attribue aux spectres : c'est ce qui a amené à désigner leur
état
par les mots de visage spectral. Ces personnes, b
l'habitude- Dans deux autres cas, le visage spectral était lié à un
état
d'anémie profonde et de neurasthénie \ l'intensit
es cas, a disparu en même temps que les malades se rapprochaient de l'
état
de guérison. Je serais reconnaissant à mes confrè
ce sujet, l'opinion la plus courante sur les motifs qui ont créé cet
état
de stagnation et même de régression de la Turquie
oups et blessures réciproques,et dire : « 1° Si le prévenu était en
état
de démence au moment de l'acte, dans le sens de l
simplement qu'il n'y a ni crime, ni délit lorsque le prévenu était en
état
de démence au moment de l'action ; que le mot res
ultère). Le cas de force majeure. Le cas de légitime défense. L'
état
d'ivresse (n'entraînant qu'une atténuation de pei
rdé le souvenir des actes qui lui sont imputés, s'il se montre hors d'
état
d'en apprécier la portée, s'il s'exprime d'une fa
. Ils reconnaissent que, de toute évidence, l'aliéné agité est hors d'
état
de comprendre quelquechose : « Nec furiosi ullum
rticulier, la débilité mentale légère : insania juncta stultitiœ. Cet
état
n'est pas dangereux, puisqu'il permet de vaquer à
, aliénâtes mentis » C). La constatation de l'un ou de l'autre de ces
états
(1) En ce qui concerne le fou, s'il n'a pas de
r de punir l'accusé en cas de simulation et celui de le mettre hors d'
état
de nuire, si la folie était furieuse, le texte la
si conçue : « Il n'y a ni crime, ni délit lorsque le prévenu était en
état
de démence au temps de l'action. » (8) Modestin
sage, et dont le sens étymologique n'a pas cessé de correspondre à un
état
défini, qui est celui de pouvoir répondre d'une f
n'avaient pu trouver jusqu'à ce jour. Qui de nous n'a été frappé de l'
état
mental de ces ouvriers qui, à tout prix, veulent
rue dans le dernier numéro par laquelle je signalais l'existence, à l'
état
permanent, chez certaines jeunes filles ou jeunes
ades mais la charpente estrestéela même ; le fond n'a pas changé et l'
état
mental de l'hystérique est aujourd'hui ce qu'il é
. Les hystériques confirmés ne sont que des vigi- lambules dont l'
état
de sommeil est plus ou moins profond, plus ou.moi
es peuvent être séparément ou simultanément inhibées ou excitées, ces
états
d'inhibition ou de dynamogénie étant susceptibles
. Mais encore faudrait-il tout d'abord savoir comment se comporte à l'
état
normal la synergie des hémisphères et à ce point
e serait celle d'une géante. Des émissaires cherchèrent dans tous ses
états
une jeune fille de stature démesurée. Ils la déco
la suggestion armée. 4. M. Podiapolsky (de Sataroff). Influence des
états
psychiques sur les changements de couleur de la p
let, Darwin en font également mention. Mais notre'connaissance de cet
état
morbide s'est] tout particulièrement enrichie dan
ne saurait être identifiée avec les idées obsédantes, mais serait un
état
émotionnel, survenant dans certaines conditions e
ont il s'agit, des troubles vasculo-nerveux, avec accompagnement d'un
état
émotif, peuvent se produire rien que par l'effet
eux qui, comme Raymond, Arnaud, Billod, P. Janet, envisagent tous les
états
d'obsession en général. Ces auteurs, en particuli
ement de la volonté d'arrêt, celte aboulie précédant l'apparition des
états
d'obsession. La conscience de l'affaiblissement d
t dans l'attente angoissante de nouveaux tourments, ce qui explique l'
état
particulier de leur émotivîté. Concentrant leurs
lé malade, mais même s'il lui semble seulement qu'on le regarde. Cet
état
est instable : tantôt il s'améliore, tantôt au co
on et son peu de foi en la guérison. Aussi nepuis-je rien dire de son
état
actuel. IL —Le 23 mai vint me consulterunemploy
citabilité du système vasculaire, liée, suivant toute apparence, à un
état
d'obsession, comme dins l'observation précédente.
nt mieux ; elle peut étudier et se promener ; elle admet déjà que son
état
," si pénible, ne tardera pas à se dissiper. A la
21 octobre, après la dixième séance, la malade vient me dire que son
état
physique est maintenaut tout à fait normal ; elle
ue ses troubles avait disparu définitivement(1). De l'influence des
états
psychiques sur les changements de couleur des che
aratoff). A la mémoire du Professeur G. P. Mûnch. L'influence des
états
psychiques sur le corps est un fait des plus curi
isme. Je désire, dans la présente communication, étudier l'action des
états
d'âme sur le pigment. D'une part, nous connaiss
tion des cheveux qui. d'après ses observations, coïncidaient avec des
états
psychiques, maladifs ou sains. Le Dr Foustanos
ris au hasard, indiquent l'existence d'une relation étroite entre les
états
psychiques et la perte ou la reconstitution de la
ens Hébreux, Par M. L. Delmas (suite et fini. Les Prophètes, leur
état
mental . — D'après le Df Wulfîng-Luer, on les dis
ait pas considérée, chez les Hébreux, comme une maladie, mais comme l'
état
de l'homme possédé par une divinité. Souvent le
de délire. Mais il est un point fort intéressant à étudier, c'est l'
état
mental de ces prophètes. Une des conditions sin
peuples essentiellement croyants jusqu'au mysticisme. D'ailleurs, cet
état
mental était religieusement entretenu par les pro
ccordent à considérer le mysticisme comme aboutissant fatalement à un
état
mental particulier qui relève de la psychiatrie.
x malades, gravement atteints, qui m'interrogent à ce sujet : « Votre
état
est loin d'être désespéré ; mais, prendre ses der
e à lui, pour les esprits superficiels il est vrai, en suggestion à l'
état
de veille et l'hypnotisme dont ses premiers trava
pprimées par la simple éducation suggestive inhibitoire du malade à l'
état
de veille. Tous les autres phénomènes considérés
à la Société de Neurologie, est ainsi conçue : « L'hystérie est un
état
psychique rendant le sujet qui s'y trouve capable
e conférence faite à la Société de l'Internat le 28 juin 1907, est un
état
psychique spécial capable d'engendrer certains tr
perd toute ea valeur ; elle ne nous apprend rien sur la nature de cet
état
psychique spécial et se trouve réduite en somme a
rement à la suggestion, le processus mental qui aboutit au retour à l'
état
normal est raisonnable sinon rationnel, ou tout a
ier 1908. — Présidence de M. le D" Jules Voisix. De l'influence des
états
psychiques sur les changements de couleur des che
rofiter des circonstances favorables pour appliquer la suggestion à l'
état
de veille. C'est la guérison du paralytique à Cap
uggestions répétées. Le D' Pètroff a vu ud cas où un ordre unique à l'
état
de veille Ht lever le bras à un malade qui depuis
il naturel, — comme l'inattention, la frayeur, la grande émotion et l'
état
hypnotique — constitue un état dans lequel l'âme
on, la frayeur, la grande émotion et l'état hypnotique — constitue un
état
dans lequel l'âme est, pour ainsi dire, à nu, san
igne sous le nom de o persuasion » aurait peut-être amené ce rêve à l'
état
subconscient ; dans cet état, ce rêve fût resté p
ion » aurait peut-être amené ce rêve à l'état subconscient ; dans cet
état
, ce rêve fût resté pathogène ; seul l'hypnotisme
première crise. Depuis lors, le souvenir de ce rêve la fait tomber eh
état
second et lui donne, chaque fois, une crise très
e monoïdéisme qui est une des manifestations les plus frappantes de l'
état
d'hypnotisme pourra donc être utilisé chez les su
es idées fixes et les obsessions sont profondément enracinées. Dans l'
état
d'hypnose le malade est évidemment plus malléable
et les falsifications des denrées comme causes occasionnelles de cet
état
morbide, il insiste sur une bonne nourriture, une
lée et est soumis au traitement qu'on jugera le mieux approprié à son
état
afin de neutraliser les effets délétères du narco
dans l'Asile, quitte à reprendre le traitement. La timidité est un
état
pathologique qui se rencontre en Amérique comme p
e 200 cas de cette maladie et prône l'excellence de la suggestion à l'
état
de sommeil provoqué dans ces cas. A propos de l
mère intelligente. Alors que les remontrances et conseils donnés à l'
état
de veille ne suffisent pas à corriger certains dé
vité primitive. L'hystérie constitue pour lui un syndrome mental « un
état
psychopathologique caractérisé par l'hyperimpress
entalité sans qu'il faille d'ailleurs entendre par là qu'il existe un
état
mental spécial caractéristique de la névrose. Cet
ues. On est aussi en droit de se demander avec M. Cruchet « comment l'
état
normal de l'enfant s'est transformé en hystérie p
fausse par rapport à l'âge de l'en- fant ». De par le fait que l'
état
mental infantile peut, dans certains cas, exister
cas, exister chez l'hystérique, il n'en faut pas conclure que ce même
état
mental soit hystérique chez l'enfant. Les termes
onsidérée comme une diathèse prenant, en général, son origine dans un
état
constitutionnel du système nerveux, le nervosisme
; d. de ne pas retentir gravement sur la nutrition générale et sur l'
état
mental des sujets qui en sont atteints. » Pour an
omans permet d'affirmer que vingt-cinq d'entre eux étaient doués d'un
état
mental normal. Seize se sont même révélés comme d
s'observe encore aujourd'hui chez les animaux vivant en troupeau, à l'
état
de liberté. Tant que les sociétés furent peu ét
cependant de l'aider devant l'horreur de la mort. L'examen dénote un
état
somatique absolument normal, avec, toutefois, anc
rir » parce que l'on ne sait pas, s'il y a tout de même un enfer. » L'
état
somatique est complètement sain. Le confrère avou
ccasionnelle apparente, Alexandrine se réveilla un beau matin dans un
état
parfaitement normal. Pendant cette première pha
e ce moment, les règles revinrent, mais tous les quinze jours, et cet
état
ne se modifia plus jusqu'à l'époque où le traitem
es et ses méfiances ayant disparu, nous pouvons provoquer chez elle l'
état
d'hypnose pendant lequel elle ne cesse d'ailleurs
ues sons, notamment sur les voyelles A et E. Elle se trouvait dans un
état
à peu près analogue à celui où se trouvait une de
onfiante par les petits progrès réalisés déjà, ma malade était en bon
état
de réceptivité. J'ajoute que, par acquit de consc
nque de la peau ne provoquait plus aucune sensation de brûlure. Cet
état
de parfait équilibre s'est maintenu depuis. Alexa
hésies pharyngées ne se rencontrent que chez les sujets présentant un
état
mental particulier, qui les prédispose à s'occupe
boutit à la syphilophobie ou à la cancerophobie. En se basant sur l'
état
psychique et la notion du terrain, on peut distin
ar ne plus pouvoir l'en distraire. A côté des troubles sensoriels, un
état
mental particulier est indispensable. Suivant
rine. L'auteur ne s'est pas borné ù décrire, après tant d'autres, cet
état
de faiblesse nommée « Neurasthénie » et dont on a
minéralisation organique, de la réaction urinaire, du sommeil et de l'
état
mental. Un chapitre spécial est consacré à la des
ez le paysan, par Terrien, p. 121. Hystérique incendiaire pendant l'
état
somnambulique, par Cullerre, p. 156. Idiotie (L
Infanticide chez les animaux, par Lépinay, p. 210. Influence des
états
psychiques sur les changements de couleur des che
ors, voulut bien nous éclairer sur le sujet. Il nous apprit que cet
état
était assez fréquent chez les jeunes gens, mais
ances à la campagne. Sous l'influence du repos et du grand air, son
état
s'améliora; mais, à la rentrée des classes, les
ications. Un autre retour à la campagne ne modifia pas beaucoup cet
état
. Au mois d'octobre suivant, il ne fut même pas
tte hydrothéra- pie, loin de soulager le malade, parut aggraver son
état
. Il fallut, au bout de trois semaines, renoncer
ne s'étend pas aux yeux, la vue est bonne, les pupilles sont dans l'
état
normal. A... commença son traitement le 1" juin
sser rapidement les phénomènes qui s'étaient produits, et amender l'
état
céphalique, comme cela m'a réussi dans tous les
ctuellement, à l'âge de vingt-trois ans, il est encore dans le même
état
qu'il y,a cinq ans. Observation III. -11. C..
mal de tête, accompagné d'étourdissements et de maux de coeur. Cet
état
, qu'on crut d'abord passager et'qu'on traita pa
bromure de potassium, résista à ces' moyens thérapeutiques. Seul l'
état
gastrique s'amenda ; mais les douleurs de tête pe
pendant la nuit, il conservait le sommeil. Au mois d'août, comme l'
état
ne s'améliorait pas, on emmena l'enfant à Ragat
ection nerveuse à ce défaut de la vue. Les verres, appropriés à cet
état
, ne lui ont du reste apporté aucun soulagement. L
y fit et, vers le mois d'août, l'enfant revint à Paris dans le même
état
. A Pâques, on tenta de remettre 4'enfant à l'éc
fant de sa céphalalgie, mais il n'en fut rien. Bien au contraire, l'
état
empira de telle sorte qu'il fut bientôt obligé
uels. Le De Bucquoy essaya en vain le sulfate de quinine contre cet
état
. Au mois de novembre, le Dr Bucquoy conseilla d
fois. La mémoire reste excellente. L'enfant est très affecté de son
état
; il est animé des meilleures intentions et ne d
par jour, tout en suivant son traitement. Enfin, au mois de mai, l'
état
parut si satisfaisant au Dr Bucquoy, qu'il consen
remit avec ardeur au travail. Mais, au bout de quelques semaines, l'
état
céphalique reparut et s'aggrava rapidement. On
nt partit pour la campagne vers les pre- miers jours d'août dans un
état
excessivement satisfaisant. Il revint à Paris a
crainte ^d'une^méningite. -.L'enfant resta, deux ans,dans· le même,
état
"et, m'a été adressée, de nouveau,,il.y,a quelq
osséder, se retenir; il est absorbée par cette préoccupation de.son
état
douloureux; ou moral, ou physique; bientôt, il
35 admettre' qu'ils' aient réel leiiient,ltoiisci 1ciice. de leur
état
.'» Ce que j'ài observé ne me permet pas d'accepté
roxysme's.1 OepÚis¡lors",rajoütét-elle',ll¡] : coÍ1scie¡{ce de mon
état
- commenca à s'obscurcir, et aujourd'liuielle s
r la malade elle-même ne permet-elle pas('de suivre révolution de l'
état
de conscience dans un cas de manie linter- mitt
e saurait se comparer aux deux autres. 141 ? ,Lou. : . déplorez son
état
,1 s'afflige surtout de la marche croissante de'so
rs à la suite de chagrins ou d'ennuis,' il était re- tombé dans cet
état
qu'il- comparait à'l'enfancedes vieillards. Il
ébété, se réfugiait dans.11 les.petits,;coins, ,tout honteux de son
état
.10oiitinuellement,ilqf cherchait et touchait au
t de montrer des, aliénés ayant accOlppli,aul milieu, d'un grandi
état
de dépression, des. tentatives de, suicide dont
, ,1., 'II 1)1J. ,Jtltl1J f ! 'r" t , 1 l' Il i l' n Si lës deux
états
d'excitation et de dépression pris" ,, \ j .d.
par l'expérience; Adèle¡,Sic ? .1 se résigne plus,volontiers, à un,
état
qu'elle sait passager. La transition au stade e
vraie Jolie ,3 puisque ,jeB,raisonne .sur¡¡,tout et ? même- sur mon
état
. J'ai seulement peur sans. motifs. C'est affreux
seule enfin avec son'amour. -Mm0 D à conscience de tout ce que cet
état
a d'anormal. Elle gémit' de sa situation, elle
it jours, fatiguent le malade. M. X.. : ne parle il personne de son
état
, toutefois, il en est inquiet; malgré lui, il a
U dont' elle avait aussi connaissance facilitait sans.nul,doute cet
état
passif de son être, auquel, désespérée, elle.es
straire par le suicide. Mule Es... vécut près de huit mois dans cet
état
; les' facultés s'affaiblirent," la' conscience s'
,, en^ dépit ,dej ses' .efforts ? progressa.^ , Inquiète 1 Lçlç son
état
, des ravages chaque iour plus grands qu'elle cons
gé de. se -lever et de (se promener i dans -la-- campagne. 11 Cet-.
état
,l ! dont. il r avait ,,con- science ? l'inquiét
nxiété. Le malade consulta un médecin, se soumit à un traitement^ L'
état
"ne s'iiméliÓPatpas ! f Au'bÓútlde')'quèÍqll,esJ
sur son'.compte toutes ses'souf- frances physiques. Un an'après, l'
état
était le même. Aucun symptôme paralytique ne s'
onfiance, dans ses hallucinations ? Jamais.je,n'lai, colis ? taté l'
état
^'inverse. On°se méfié moins tde'ses'sensa- · r
'1'1 ? 1' ...1 -'JI.L , r .lr (l(*t,,3 ,[l7f ( une fois de plus, l'
état
physiologique se,, refléterait. dans l'état pat
( une fois de plus, l'état physiologique se,, refléterait. dans l'
état
pathologique. ' 'Toute systématisation-fait par
Au début delà maladie-, elle resta.une dizaine de jours', dans- un
état
, notable de dépression ;-puis, sous l'influence d
iquaient les>moyens de se,{ débarrasser 'des priez- mières : Cet
état
,] avec le,temps; alla sans cesse en s'aggravant.
Ji 'accèpt"e pas d'ètre1folle,<'vu^qU->ellea'p''p'fécie'son''
état
et qu'elle -n'est. pas dupe «de. son imagination)
,i;,t1 ,1· ? tpÍ ? \f1\." -*M,4,j ttr.t.t" ·rJ 7 M'.jif1,; e m ! 1
état
psycho-sensoriel qu il constatait en lui-même. Au
sujet. ^représentation meritalé est) souvent automatique^ même,à L'
état
de santé ? quand ou,est;poursuivi par un souven
vqluLion;,frontate.,Lo(S27toi de Rolando est moins, profond, qu'à l'
état
normal et s'arrêle : ,à l un.e.1 crta ! ne J dis
, résumée du cerveau montre que, en maintes régions, on observe un
état
foetal ? ? II. Dans ce cas, de même que dans ce
indoue;' de Sh'o'ru : 1quï'eui; paraît-il, un enfant' mort-né ». L'
état
et le fonétionnen1ent' dês,orO'oâj{'es''gén'it'
vers, ne semble-t-il pas, plus rationnel de ! les rapporter. à ' un
état
morbide spécial qu'à,unc altération localisée. !
exophthalmie,'etc ? =elle est constituée aussi et s'ûrtout'par cet
état
nerveux particulier. que nous avons décrit 'plu
neçtrouvetPas7 du'ilfdtiaccompagné,d'aucunrsympt6me.qui annonçât un^
état
morbide. , Tous, ceux ,qui on) étaient, affectés
outes les^ fonctions se faisaient régulièrement, en un mot, dans un
état
dc" parfaite santé*, 1'esF'on" pas" porté \ à" en
9 planches, 1881. VIII. DES mouvements DE l'iris chez L'HOMME A l'
état
physiologique, par G.-Jobissenne. (Extraitides.
s s'y tenira's51si1 ni 'manger seul.^Réduit' enmême° : tempst à » l'
état
» squeletliquo,i'sess membres n'ont aucune attit
mmum, 1>ien,·loin·d'êLre·progressive. Il y a ici, à la période d'
état
, prédominance de l'amyotrophie paralytique sur.
du nombre etidu volume 'des cellules' de'leurs' noyaux' passés 'à)l'
état
fibreux; ! Ces lésions, ressemblent ài celles q
onu'b alius x.1 L ,JrIj;Jfril75'til .Après une, rapide; revue"de'rl;
état
de,nos"copnaissances,surl'lié.1 mj¡p : IstJIi ,
'(1 Ik( aulrcs anoml¡]¡es de la.percepl1'bn'douloureuse, En outre"
état
fe- brile;' symptômes gastriques, affaiblisseme
ante à droite. Rien d'anormal quant à la réaction pupillaire ou à l'
état
oplttlralmoscopique. Exagération des réflexes pat
e plus* souvent qu'elle dans les'affections de la protubé- rance. L'
état
fonctionnel des muscles dont elle relève n'a au-
ord du côté gauche (facial; athétose de la main) pour aboutir à un-
état
de mal'de quinze jours; consécutivement, amnésie,
importance au point de, vue- médico-légal) ; ,par,Cb.t rt : nH ? L'
état
. mental ides hystériques al été (le sujet .d'ét
ecine, légale ? '" " On comprend sous le nom d'hypnotisme plusieurs
états
nerveux ? m ? t ? ? f ? t" < ? - 1,.... " J nr
, C ? '¡I ? IFn, types, fondamentaux^ : 4°, étal cataleptique; ' 2°
état
léthargique ; '3° état dé somnambulisme' provoq
fondamentaux^ : 4°, étal cataleptique; ' 2° état léthargique ; '3°
état
dé somnambulisme' provoqué : Nous allons' rappele
1 f . W 111 I « t , n .ment les caractères principaux de ces trois
états
. un ni m lu IU.1 ? J) JUI.lq J n. y, -n {'» l'1
par, l'occlusion avec compression 1 H. Iluchard. Caractère, moeurs,
état
mental des hystériques (Archives-de'Netirologie
) 8t : P' ? 2y -1\ "'\1 ,r 2 H. Legrand du Saulle. Les hystériques;
état
physique et état " mental, actes .insolites, dé
\ "'\1 ,r 2 H. Legrand du Saulle. Les hystériques; état physique et
état
" mental, actes .insolites, délictueux et crimi
NTES. , lit Il'' -, légère des'yeux/'etc. ;'2° consécutivement à' l'
état
cataleptique^ par l'occlusionldespaupires ou'pa
d'activité, le sujet se prête peu en général aux 'suggestions.. Cet
état
est donc. le moins inté- ressant au point de vu
é- ressant au point de vue spécial qui nousioccupe : tw m 1 -4, L'
état
cataleptique et l'état léthargique peuvent être l
e vue spécial qui nousioccupe : tw m 1 -4, L'état cataleptique et l'
état
léthargique peuvent être localisés ? en conserv
etc.). On le produit secondairement chez les sujets plongés, dans l'
état
cataleptique ou l'état léthargique en exerçant
condairement chez les sujets plongés, dans l'état cataleptique ou l'
état
léthargique en exerçant une friction légère ou
ne friction légère ou une simple pression, sur. le vertex. Dans cet
état
, qui correspond plus particulièrement àce qu'on a
la résolution des membres, est beaucoup moins prononcée, que dans l'
état
précédent. Mais, si, par l'excitation mécanique
la peau, etc., de produire une rigidité musculaire, spéciale, .un -
état
cataleptoïde différant de la contracture liée à
ions on peut provoquer des actes automa- tiques très complexes. Cet
état
est celui qui se prête le mieux à notre étude a
e prête le mieux à notre étude actuelle ? On peut faire cesser cet-
état
de som- nambulisme provoqué, soit, en ouvrant l
mant légère- ment les globes oculaires pour plonger le sujet dans l'
état
léthar- gique. SOCIÉTÉS SAVANTES. 125 Lorsq
ou à la calalepsie,,des phénomènes qui, appartiennent au troisième
état
. Il est indispensable, dans toutes les expérience
, déterminer, à chaque instant et d'une^manière, précise, dans quel
état
le sujet se trouve sous, peine d'erreurs graves
o : : mènes qui doivent, nous..occuper spécialement dans les divers,
états
de l'bypnotisme.,lCX9 l "J3q ou ! . Jn(W -m : ¡
Jn(W -m : ¡ ? ¡ , il, Ifi1 .ni, L l' 1., Nous laisserons de côté l'
état
léthargique, parce que, bien que la sensibilité
nstants a\antdc retomber dans l'immobilité cataleptique.'1 Dans cet
état
, les sens 'peuvent devenir le point de départ de
.g ? ère l'idée'de s'en servir. La nommée B ? 'étant plongée dans l'
état
cataleptique, on lui met dans les mains son 'croc
es conséquences possibles de- ces sortes d'actes suggérés'pendant l'
état
, catalep-, tique,» et qui ne peuvent laisser, a
lle, la sensibilité des membranes externes de l'oeil revient dans l'
état
où elle existe dans,la,yeille; Ce fait ,vient à
198, etc. l ' .m 1 j 128 SOCIÉTÉS SAVANTES. pendant la durée de l'
état
cataleptique, et suivies d'actes automa- tiques
lativement peu compliqués. Notons que l'on peut encore, pendant cet
état
, suggérer des hallucinations persistantes qui dur
onformément aux lois de la physique. III. Mais c'est surtout dans l'
état
de somnambulisme provoqué 1 que l'on peut étudi
erreur sur l'identité d'une personne : ' tollé 1 lyp'n'otique Il l'
état
'.de ? veille iy'prôdigüér. dest caresses à une
avec les zones hystérogènes, et dont le simple attouchement, dans l'
état
de somnambulisme provoqué, détermine des sensat
des illusions et des hallucinations, il est encore possible dans l'
état
de somnambulisme provoqué de suggérer des idées
ns les autres circonstances. Que l'on veuille bien considérer que l'
état
de sujétion de l'hypno- tique, n'est point en c
tique, n'est point en contradiction avec ce que l'on observe à l'
état
normal ; il s'agit seulement d'une exagération de
pour qu'il ne tienne pas compte des impressions antécédentes. A l'
état
normal, le temps qui s'écoule entre l'excitation
pendant plusieurs jours, elles finissent souvent par rester dans un
état
d'obsession permanente; elles sont pos- sédées,
e, nous nous sommes surtout attaché à montrer : 1° que, dans divers
états
de l'hypnotisme, il est possible de provoquer d
ec à la fondation des asiles pour buveurs et de faire reconnaître l'
état
d'esclavage psychique de ces malheureux.-Les mo
son expérience personnelle. L'épilepsie comprend aujourd'hui des
états
divers, quant à la violence, à la durée, à la fré
Duché de Wurtemberg, 7 p. 100 des aliénés sont épileptiques. Autres
états
allemands, 2,4 à 12,7 p. 100 des aliénés sont épi
seront dangereux pour la sécurité publique. ° Les personnes qui en
état
d'aliénation mentale ont commis un délit ou un cr
re d'aliénés. 6" Les personnes dont on instruit l'affaire ou dont l'
état
mental paraît douteux à l'époque de l'acte déli
nce même des alinéas précédents, sera envoyée aux gouvernements des
états
confédérés allemands ainsi qu'au chan- celier.
dre, non plus que l'inappétence qui l'ac- compagne, avec le mauvais
état
de la nutrition qui provient du délire morbide.
'asile con- firma le diagnostic : accès convulsifs Í'éguliers' avêc"
états
1 d'obn'ubi- lation passagère, mais durant un c
as de conceptions en- chaînées ? ils. n'ont pas de but déterminé. L'
état
d'hypnotisme et l'obnubilation, de la connaissa
tres du patient, centres qui réfléchissent les mouvements. Dans les
états
d'obnubi- lation< psychique,, l'activité aut
upable lui font penser que l'individu a commis cette action dans un
état
de pro- fonde sommation somnambulique. 2° M.
)'c : ¡. l1T 111J ? l'Q, ),1,\ Il Discussion : Nasse. De semblables
états
se voient aussi,passaeere-; ment en d'autres mo
e de potassium, car ce médicament aurait tout à fait mas- qué son
état
. Nouaux, surveillé jour et nuit, à tous les ins
usion, d'incohérence, de puérilité; elles ne peuvent que refléter l'
état
mental de ces êtres, si pro- fondément déchus d
s, le seul fait qui importe, le seul qu'on doive retenir, c'est l'
état
de profonde déchéance mentale qui se retrouve p
de celles du début. A la fin de l'évolution vésanique, en effet, l'
état
mental est tout autrement affaibli que dans les
rés. Cette hypochondrie ne fait guère après tout qu'exa- gérer un
état
assez habituel chez les personnes âgées. La plu
s tètes osseuses qui la constituent sont plus volu- mineuses qu'à l'
état
normal. Il est facile de luxer la phalange sur
elles sont grisâtres, translucides et beau- coup plus grêles qu'à l'
état
normal. ^ Examen HISTOLOGIQUE, - Nerfs du membr
; rétention complète d'urines. Pendant le courant du mois de mai, l'
état
d'Olivier ne s'est pas sensiblement modifié. Ce
uche. Le sacrum présente à peine un peu de rougeur. Le 13 juin, l'
état
général est très mauvais ; amaigrissement consi
es fibres qui composent ces faisceaux sont atrophiées, réduites à l'
état
de gaines vides et présentent l'aspect de fibre
es tubes, la fragmentation de la myéline en fines granulations avec
état
variqueux (type 3). 4° Tronc du sciatique pop
fisante de l'acide osmique n'a pas permis une étude rigoureuse de l'
état
des fibres nerveuses dans ces ganglions. Les co
altérés. Mais ce qu'il y a de particulièrement intéressant dans l'
état
des nerfs périphériques, c'est que l'altération
fficile de donner une raison plausible de ces différences entre l'
état
des racines antérieures et postérieures. Nous nou
s nerveux. Dans cette hypothèse, la lésion centrale modifierait l'
état
de la nutrition des nerfs périphériques, mais ne
es cas pour en révéler l'existence, et, pour apprécier exactement l'
état
d'inté- grité ou d'altération des tubes nerveux
cs nerveux étaient sains et présentaient toutes les apparences de l'
état
normal. Toutes les névrites périphériques ne do
autres formes de céphalal- gies, et notamment dans celles liées aux
états
névro- pathiques ordinaires où les malades n'ac
és qui, après mûr examen, avaient déclaré ne pouvoir rattacher leur
état
à un trouble de l'accommodation. Pour quelques-
anatomo-pathologiques ne nous permettent que des conjectures sur l'
état
des centres nerveux. Chaque fois qu'il s'agit d
efforts n'aggrave pas leurs douleurs, comme on l'ob- serve dans les
états
congestifs du cerveau plus fran- chement caract
une seule et même région, est aussi difficile à expliquer, dans un
état
purement hyperémique. Il nous semble donc que c
processus plus intime que nous devons rechercher la cause de cet
état
cérébral. Ceci nous amène à parler de l'étiologie
nos enfants n'ont eu ni affection organique des centres nerveux, ni
état
névropathique qui mérite d'être signalé. Que d'
vation de D... Au mal de tète s'ajouta au bout t de peu de jours un
état
de malaise général avec anorexie, abattement, f
asthénie, ou plutôt, de la parésie cérébrale, une des formes de cet
état
. Grâce à M. Charcot principale- ment,' nous avo
ale qu'en raison des souffrances occa- sionnées par le travail. Cet
état
est dû le plus souvent à des fatigues intellect
et il est encore DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. 213 dans le même
état
qu'il y a cinq ans, à l'époque où il nous fut a
complexité de son action, elle répondra à toutes les exigences de l'
état
de nos malades. Par sa puis- sance reconstituan
de trace de dégénérescence secondaire. L'examen histologique, à l'
état
frais, était fait après la dis- sociation, par
). ItLCUI : 1L I)L rall'l'S. ' aussi quelquefois pour l'étude à l'
état
frais. Comme réactifs chimiques, nous avons éga
vec 2/7 Verick. La substance grise de la partie lésée, examinée à l'
état
frais, présentait les éléments suivants : cellu
nucléole, ils conservent encore leurs caractères distinctifs dans l'
état
d'hypertrophie ci-dessus mentionné et, au contrai
es caractères que nous avons indiqués en décrivant ces éléments à l'
état
frais après dissociation. En étudiant les coupe
ts que, dans cette région seulement, on trouve les cellules dans un
état
de destruction plus avancé, représenté par la v
llules des couches superficielles et des parties excentriques, leur
état
, présente la première période de l'évolution d'
olongements. Remarquons, cepen- dant, que l'auteur ne dit rien de l'
état
des parois des vaisseaux, et qu'il se borne à l
r l'endroit où il a trouvé cette tuméfaction et ne parle pas de l'
état
du tissu environnant, ce qui est fort important a
nvolontaires. L'enfant ne tousse pas ; rien à l'auscultation. Cet
état
habituel est traversé par des crises revenant à i
on remue le malade, il pousse quelques gémissements très faibles. L'
état
comateux est permanent; nul indice de connaissa
ns la nuit, on a compté 53 accès, T. R.40°. A la visite du matin, l'
état
de l'enfant parait s'être notablement amélioré :
ymétrique. Liquide céphalo-I'J.chiLlien un peu plus abondant qu'à l'
état
normal. La pie-mère est louche en un grand nomb
dernière dénomination. En nous fondant sur les antécédents et sur l'
état
du malade à l'entrée, nous avons porté le diagn
nous a publié, il y a quelque temps, un très bel exemple '. V. L'
état
de mal, auquel a succédé la broncho-pneumonie t
s et, dans l'espace de dix années, elle avait réduit le malade à un
état
de marasme qui semblait annoncer une fin procha
tion les aliments qui remontaient de l'estomac presque dans le même
état
où ils avaient été avalés. L'assimilation ne s'
xécuta jamais que d'une manière très imparfaite comme le prouvait l'
état
de maigreur et de fai- blesse du sujet. Cependa
es ruminent inconsciemment, pour ainsi dire, sans se douter que cet
état
physiologique leur est particulier, et on les é
'un homme du monde que d'un aliéniste il comprend un grand nombre d'
états
psychopa- thiques très divers, qui sont loin de
oint désemparé. Pour s'accommo- der aux nécessités pratiques et à l'
état
des moeurs du moment, la loi n'en doit pas moin
rnr..a. (Arch. f. Psych. u. Nervenk., XII, 3.) Après un résumé de l'
état
de nos connaissances anatomo-patho- logiques su
érations polypiformes. M. Brûckner fait ressortir l'analogie de cet
état
avec l'hypertro- phie cérébrale. P. K. V. QUE
cerveau languissante dans la mélancolie et dans un certain nombre d'
états
maniaques. Les amé- liorations observées dans l
mènes physiologiques énumérés, en même temps qu'elle exprime les
états
inverses de la nutrition de l'écorce. L'emmagasin
bienfaiteurs, l'immorta- lité. P. K. XII. Démence aiguë, stupeur,
états
DE même ordre; par SCIIÜLE. (Allg. Zeitschr. f.
s- wanger à la démence aiguë, couvre une question de degré dans l'
état
pathologique et non une différenciation dans la n
cas d'épilepsie héréditaire indéniable, la maladie était restée à l'
état
latent chez le procréa- teur longtemps après s'
uite d'une fièvre typhoïde, est restée pendant vingt et un jours en
état
de mal épileptique et dont les attaques ont attei
i). Dans la myélite dorsale ! où ses extrémités inférieures sont en
état
de paralysie flasque, les phénomènes tendineux pe
phénomènes paralytiques, et pouvant se compliquer d'apha- sie. Ces
états
passagers sont susceptibles de complètement dispa
M. LOEun' : cn sa qualité de président, communique à l'assemblée l'
état
de 'ses affaires' et lui fournit un court rapport
hopathes constituera le lieu le plus propre à se rendre compte de l'
état
mental ; ,2° Lorsque des actes criminels graves
tal ; ,2° Lorsque des actes criminels graves motivent l'examen de l'
état
PS) chique, l'asile d'aliénés n'est pas disposé
que de Groefo sur les pu- pillcs srwlllnlcs s appldluC il 'd'autres
états
de la pupille qu'à celui de ô'n '1'cils." Bien,
omènes,' etsil'in'est1 pas rare de voir le médecin, par exemple, en
état
d'établir le diagnos- tic le plus assur,é, ? r,
itres 111 et IV. Nous y avons d'abord considéré les caractères de l'
état
hystérique, puis nous avons passé en revue les
pare à ceux du myxoedème. Ce qui confirme ce rapprochement, c'est l'
état
d'atrophie de la thyroïde qui a été signalé dan
on ne l'avait cru jusqu'ici, entre le crétinisme, le myxoe- dème ou
état
crétinoïde et les accidents que nous venons de si
ros orteil. Un mois après, le pied droit était resté dans le même
état
, mais plusieurs sillons cornés étaient apparus su
bien à droite qu'à gauche. Ce délire très bruyant se superpose à l'
état
mental préexistant qu'il masque. pour un temps.
uvait indiquer ni son nom, ni son adresse, ni sa profession, ni son
état
civil : «Je ne me rappelle pas, disait-elle, si
es leçons à l'asile Sainte-Anne. Après avoir placé la malade dans l'
état
de somnambulisme, il lui dit à l'oreille droite
. zu Berlin, 1877-78-79. DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3j 1 1Úl
état
d'excitation des centres sensol iels de l'écorce'
p. 324.) DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 353 frais des rêves. A l'
état
normal, en effet, si pendant le sommeil une lum
atisme seul concourt à la production de ce phénomène. Dans certains
états
pathologiques, dans l'épilepsie par exmple, sur
e développer des hallucinations chez un individu prédis- posé, en
état
de réceptivité morbide; mais que cette prédispo
tres sensoriels de l'écorce; 4° Les expériences dans les différents
états
d'hypno- tisme de l'hystérie corroborent de tou
re, il se livra à l'eau-de-vie, s'enivrait fréquemment et, dans cet
état
, prenait souvent froid, ou était maltraité par se
les femmes. De toutes les maladies ayant quelque rapport avec son
état
actuel, nous devons mentionner une uréthrite qu
CROSCOPIQUE. -En dissociant des fragments do la moelle épinière à l'
état
frais ou après une macération dans une faible s
pyramides seules, toutes les autres parties du bulbe étant dans un
état
parfaitement normal'. Dans la protubérance, c
l'on pouvait s'en assurer en examinant les coupes tranversales à l'
état
frais, la dégéné- rescence allait le long de la
on très intéressante et fort importante se pré- sentait : dans quel
état
se trouvaient les hémisphères du cer- veau ? la
t-bras, a montré que l'immense majorité de leurs fibres étaient à l'
état
normal, mais, par la dissociation, on en trouva
ulum ni rétrécissements. La dilatation de l'estomac est peut-être l'
état
qu'on a le plus fréquemment observé à l'autopsi
veloppée que d'ordinaire et en contact avec le diaphragme, même à l'
état
de vacuité. La position de l'estomac, normale d
te du mérycisme, il nous parait utile d'examiner en quelques mots l'
état
des voies digestives et le mode d'ingestion des a
sier (OBs. XXVIII), où le sujet, déjà malade, avait encore vu son
état
s'aggraver sous l'influence de vomitifs répétés.
ment terre sans connaissance. Au bouL d'un moment, il sortit de son
état
comateux avec des cris, une grande agitation et
tte grosse tubérosité était en contact avec le diaphragme, même à l'
état
de vacuité. Le diaphragme était épaissi d'une m
l'air dans l'oesophage où son accès serait si propre à produire cet
état
de ré- plétion et de trop plein qui favorise de
ion ; cepen- dant, à partir du moment où les aliments remontent à l'
état
de pâte, cette contraction devient à peine visi
ières primitivement solides ne remontent plus dans la bouche qu'à l'
état
de hachis et plus tard se présentent enfin sous
mpossible de reconnaître ici l'ordre de retour des aliments et leur
état
au commencement et à la fin de la rumina- tion.
un fait que nous avons déjà signalé dans le précédent : le mauvais
état
des dents. D'un autre côté, la voracité, ainsi
itation. Gela peut s'expliquer assez facilement si l'on considère l'
état
des aliments qui remontent au commen- cement et
milieu de l'amaurose complète (obs. II, V et VII). P. K. XVI. SUR L'
ÉTAT
DE LA TEMPÉRATURE DANS QUELQUES FORMES DE MALADIE
ocales d'un côté à l'autre qui atteignent quelquefois ? 2°, 3°, 4°;
états
passa- gers sous la dépendance de troubles de l
dmet que la conscience de la maladie se décompose en sentiment de l'
état
morbide, et discernement de l'état morbide. Le se
e se décompose en sentiment de l'état morbide, et discernement de l'
état
morbide. Le sentiment de l'état morbide provien
'état morbide, et discernement de l'état morbide. Le sentiment de l'
état
morbide provient de sensations ayant pour point d
méninges, du liquide céphalo-rachidien, etc.. Le discernement de l'
état
morbide procède, lui, du raisonnement; ainsi, e
u le coma qui suit les affections encéphaliques. Les hystériques en
état
.d'hémianesthésie subissent la dilatation pupill
plus forte sécrétion sudorale. P. K. XX. Rapport MÉDtCO-LËGAL SUR l'
état
mental DE DELY-lIIEUE\IED, ACCUSÉ DE MEURTRE SU
assez souvent à certaines formes d'aliénation mentale ou à certains
états
psycho- pathiques. Elle se manifeste par des im
se rapporte ni à un stade ni à l'autre, un pouls non classé comme l'
état
psychique du malade. Ces caractères, qui sont l
hopathique de l'hu- meur du malade et déceler les accès abortifs, l'
état
psychique s'inscrit en quelque sorte par la ten
tendineux est au contraire fréquente et a lieu parallèlement avec l'
état
spasmodique des groupes mus- culaires, et est r
antité d'un liquide séreux) ; résorption complète dès que reparut l'
état
normal. L'au- teur explique qu'il ne saurait êt
factions dans l'un des faits, l'amélioration de la psychose et de l'
état
général, le défaut de phénomènes inflammatoires o
ne prenant sa nourriture que si on la slimulait vivement. Outre cet
état
mental, elle présentait à la ré- gion frontale
es ? N'est-ce pas la manifestation d'une lésion circonscrite ? Et l'
état
mental ? 11 y a surtout une profonde obtu- sion
que quelques lacunes de la mémoire. Nous ne trouvons pas dans cet
état
l'affaiblissement réel et pré- maturé des facul
ENKËL prend la parole sur le thème que voici : Crimes commis dans l'
état
d'inconscience. Il s'agit de deux faits à propos
de l'acte, l'ingestion d'alcool avait provoqué, outre l'ivresse, l'
état
d'obnubi- lation épileptoïde propre, à lui seul
la réalité de l'opinion émise sur l'existence, chez ces malades, d'
états
de sommation épileptoïde. II. IL ? 42 ans, mari
IÉTÉS SAVANTES. 421 11. KNECHT a observé dans son établissement des
états
de pareille sorte plus de cent fois. M. IDELE
six mois. On n'a pas à redouter dans l'espèce d'action nocive sur l'
état
mental, seulement il fauts'entourer de précaution
mains du pre- mier orateur, jamais engendré d'accidents nerveux; l'
état
psychique des aliénés n'a jamais été influencé
pagne le stade d'exaltation maniaque des paralytiques généraux, les
états
d'obnubilation psychique post- épileptique, l'e
olie greffée sur des bruits intra-auriculaires s'étant produits à l'
état
aigu (bruits vasculaires d'origine hématique) d
ck ; à côté de cela, chez la femme, ou pour peu qu'on se défie de l'
état
du coeur et des gros vaisseaux, on se contenter
es ; -, 2° Comme ces manifestations morbides se montrent dans les
états
pathologiques des formes les plus différentes rep
une em- bolie graisseuse ', mentionnée par M. Fischer dans certains
états
d'agitation. Le nombre de cas de ce genre, pour
nnées, surtout en Angleterre, celles qui ne servent pas sont en bon
état
, taudis que toutes celles que l'on utilise sent
épileptique ou plutôt de l'influence de l'ictus épilep- tique sur l'
état
général normal et pathologique; par RESPAUT. Th
En dehors ne ses attaques, les épileptiques se trouvent dans des
états
psychiques qui présentent des variétés sans nombr
états psychiques qui présentent des variétés sans nombre. a) Cet
état
est pathologique s'il s'agit de sujets qui sont e
. ; b) mais même chez des sujets sains, en dehors de l'épilepsie, l'
état
psychique est très différent suivant les habitu
, qu'il soit permanent ou transi- toire et précédant l'attaque, cet
état
psychique détermine la forme du délire, auquel
cachet pathogno- monique, l'inconscience. On peut retrouver dans l'
état
psychique autérieur les éléments du délire épil
miner que des actes automatiques, qui varient précisément suivant l'
état
cérébral anté- rieur. Que l'état psychique an
ui varient précisément suivant l'état cérébral anté- rieur. Que l'
état
psychique antérieur soit normal ou pathologique,
ait résumer l'his- toire si complexe de la pathogénie du diabète. L'
état
actuel de la science n'autorise pas un médecin
sur ce fait, M. Dreyfous s'exprime ainsi : « Elle est l'indice d'un
état
particulier du système nerveux qui débute par l
ommandons à nos lecteurs le tableau de ce que M. Dreyfous appelle l'
état
mental du diabétique. Il cite ensuite la narcol
'est l'impossibilité de réagir oùse trouve le diabétique, c'est son
état
de défaillance ». De plus les globules sanguins
ssement complet, s'exprime par l'apparition du coma dyspnéique. Cet
état
de défaillance, sur lequel M. Dreyfous insiste au
entales, 40 ? Couleurs (perception des), 99. Crimes commis dans l'
état
d'incons- cience, 419. Délire aigu idiopathiq
paralytique et syphilis, par Snell, 264. Démence aigué, stupeur,
états
du même ordre, 270. Déviation conjuguée des y
du délire ou plutôt de l'influence de l'ictus épilep- tique sur l'
état
général normal et pathologique), par ltesp,mt,
nérescences secondaires dans le ruban de Reil), 110. Psychiques (
états
douteux), 282. Psychoses transitoires, 409. P
niers ramuscules artériels n'abordent les troncules nerveux qu'à un
état
de finesse très grande, ce qui constitue une an
es et les artérioles ne s'enroulent au- tour des fascicules qu'à un
état
de ténuité très grande.' Veines DES nerfs. Ce q
, dans l'épaisseur du nerf. - Assez souvent, même en dehors de tout
état
variqueux, ces Fig. 1j. Vaisseaux du plexus bra
ingt-quatre heures (40 gr. 94 par litre). Homme obèse. Dents en bon
état
; pas de gingivite. Pas d'érup- - tiens cutanées
accusée, le malade voit assez nettement, joue aux cartes, etc... L'
état
général est satisfaisant. Lem... est obèse, plutô
urinaires dejà signalés. Rien au foie ni dans les divers organes. L'
état
général est très satisfaisant, le caractère gai e
pouls bat régulièrement à 80°. Les divers viscères sont normaux. L'
état
général est bon, l'intelligence remarquablement
al est bon, l'intelligence remarquablement lucide. Il n'a rien de l'
état
mental des diabétiques. L'examen des urines n
oin, pour interpréter la succession, chez un même individu, de deux
états
morbides, de res- susciter la théorie oubliée d
endants d'individus qui souvent n'ont oliert à nos recherches que l'
état
rudimentaire, pour ainsi dire, d'une perturbati
exister. Ou, du moins, si elles coexistent, l'une d'elles est à l'
état
latent n'attendant peut-être qu'une occasion po
En juin 1885, à la suite d'un traumatisme (chute dans l'escalier) l'
état
s'aggrave. Furonculose à Wiesbaden. Etat actuel
etc., en souvenir des bruits correspon- dants qui se produisent à l'
état
physiologique chez les chiens, chats, porcs, bo
termes, une tendance remar- quée à subsister chez l'hystérique à l'
état
d'isolement, sans accompagnement d'autre stigma
NERVEUSE. présente les phénomènes du grand hypnotisme avec trois
états
classiques. Elle vient d'être placée dans l'éta
isme avec trois états classiques. Elle vient d'être placée dans l'
état
somnambulique, je la fais asseoir face à face d
nommée Bill..., qui pousse son cri rythmé comme de plus belle : à l'
état
de veille, remarquez le bien, Gr...ard a entend
au soir, sans en être particulière- ment impressionnée; mais dans l'
état
somnambulique cela sera, vous allez le constate
obnubilée. Or juste- ment ce cas se présente à un haut degré dans l'
état
somnambulique hypnotique où le jugement est aff
cit d'un événement propre à frapper fortement de jeunes esprits, un
état
psychique analogue à celui qui s'observe, sous
ser qu'il s'agissait là d'une sorte d'arrêt exercé sur la moelle en
état
d'hypérexcitabilité. On pouvait penser que si d
interrompu, l'apparition des règles à une époque tardive, malgré l'
état
parfait de la nutrition générale de la malade,-
âgé de trois ans, était hydrocéphale depuis l'âge de neuf mois, son
état
s'aggravait lentement, mais n'empê- chait pas l
cun mauvais symptôme. M. D. IX. LE CHAMP VISUEL DES HYSTÉRIQUES A L'
ÉTAT
DE VEILLE ET PENDANT l'état hypnotique; par E.
IX. LE CHAMP VISUEL DES HYSTÉRIQUES A L'ÉTAT DE VEILLE ET PENDANT l'
état
hypnotique; par E. E. Moravcsik. (Neurol. Centt·a
visuel et des couleurs des deux yeux, mais surtout à gauche. 1 A l'
état
de veille, les excitants périphériques augmentent
nte. Ce dernier phénomène se produit également pendant l'hypnose. L'
état
hypnotique agran- dit le.champ visuel; les exci
it le.champ visuel; les excitants périphériques provoquent dans cet
état
les mêmes effets qu'à l'état de veille; une sugge
ants périphériques provoquent dans cet état les mêmes effets qu'à l'
état
de veille; une suggestion triste se traduit par
e plaie dans les os. Le bras gauche paralysé-ne peut être levé. Cet
état
s'améliore en huit jours, mais trois semai- nes
d à toute la muqueuse buccale tantôt sous forme d'accès, tantôt à l'
état
permanent. Sommeil et souvent paroles impossibl
ourde de l'af- fection. Il est probable que la maladie existait à l'
état
latent jus- qu'au jour où un léger traumatisme
ent directement des racines postérieures. On les voit nettement à l'
état
de trousseaux compacts dans la région de la dix
égrité des sphincters et des viscères, réaction lente des pupilles,
état
normal de l'intelligence et de la parole, dispa
ais' accroissement de l'analgésie. Une cure à Nauheim aggrave son
état
qui bientôt cependant s'améliore. Puis, soudain,
t six mois dans mon service, et on a vu pendant tout ce temps que l'
état
de l'avant-bras n'était pas stable, et que quel
la malade se servait de son bras pour différents mouvements. Cet
état
alternatif de mieux et de pis dura plusieurs mois
s psycho-névroses, cette der- nière forme étant considérée comme un
état
hallucinatoire, de rêve, avec perte du moi comm
a maladie débute par le délire typique de persé- cution, suivi d'un
état
expansif, avec un délire religieux, mystique ou
qui l'entoure et devient confus dans ses sensations internes. A cet
état
s'ajoute l'influence des affections, tantôt sou
calme et égale propre aux paranoïques, on voit chez ces malades un
état
épisodique d'une grande excitation, avec un tro
ion du diagnostic. P. KERAVAL. IV. Contribution A la' casuistique d'
états
mentaux DOUTEUX au POINT DE vue IIsDICO-L1.GAL
complet qu'il nous présente, résumant parfaitement, en tout cas, l'
état
actuel de la science... » Cette appréciation de
cateurs dans la genèse de l'hystérie. A ce propos il met au point l'
état
actuel de la question de la névrose traumatique
male ou interparoxystique et par un chapitre fort intéressant sur l'
état
mental des hystériques, dans lequel, par l'étud
bitement furieux a été tué par les gardiens qui étaient, dit-on, en
état
d'ivresse. L'autopsie a démontré que le malheur
parole disparurent le soir du même jour. Pendant l'année 1891, l'
état
du malade ne s'améliora nullement. Tous les tro
l très prononcé, sans délire carac- térisé, et se traduisant par un
état
d'apathie, d'inertie et d'indiffé- rence complè
ègles ne parurent pas, les seins et le système pileux restèrent à l'
état
rudimentaire. Dans la période d'état, quand la
système pileux restèrent à l'état rudimentaire. Dans la période d'
état
, quand la maladie est bien confirmée les symp-
ffet, dans la majo- rité des cas que par de la débilité mentale, un
état
de démence simple, tranquille, sans conceptions
on d'entreprendre. Il suffit d'indi- quer rapidement ici les divers
états
psychopathiques dans lesquels la tendance à l'h
le sujet. Jusque-là, on ne le savait pas aliéné, il dissimulait son
état
et il se livrait régulièrement à ses occupation
uence de la passion, soit spontanément et ' sans raison autre qu'un
état
pathologique : spécial' du' fonctionnement du c
ence de la passion plutôt que de la folie dite épi- leptique. ' L'
état
mental habituel des épileptiques est bien connu
ans' des circonstances pareilles, les médecins appelés à examiner l'
état
mental des accusés concluent sou- vent à la res
ressemblent parfois tout à fait aux accès de manie inconscients, l'
état
de conscience seul les en distingue. Il est trè
tent ordinairement de diagnostiquer, sans beaucoup de difficulté, l'
état
mental du sujet. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z .
e au moins ingénieuse du réveil atavistique, chez un dégénéré, d'un
état
mental antrefois habituel à l'homme antéhistori
ates physiques de dégénérescence) des sujets permet de déterminer l'
état
mental de ces derniers tel qu'il était au momen
onclusion, car l'idée de la responsabilité atténuée est basée sur l'
état
de défectuosité d'une entité métaphysique, dont
mbre important de cas, le résultat, non d'un vrai délire, mais d'un
état
mental pathologique particulier dû à l'empoison
it cette tendance pour aboutissant : Mais il existe encore d'autres
états
. psy- chopathiques qui , peuvent, à un moment d
et certains veulent même qu'on ne les' rencontre que là. C'est l'
état
de déséquilibration des facultés mentales qui e
ancolie chez les dégénérés occupe un des pre- miers rangs parmi les
états
vésaniques susceptibles de se compliquer d'homi
sujets, est pour ainsi dire réflexe, qu'il s'accompagne ou non de l'
état
de conscience. C'est pendant les pa- roxysmes d
rés, en outre de la mélancolie vraie, on observe encore de nombreux
états
délirants, plus ou moins partiels, plus ou moin
us ou moins bien systématisés. Irréguliers dans leur évolution, ces
états
psychopa- thiques succèdent parfois à un accès
s exécutés par les aliénés dégénérés intellectuels, dans le cours d'
états
psychopathiques très variables, ont, eux, des c
e égale ou supé- rieure à celle que le foie forme journellement à l'
état
normal, soit 200 grammes approximativement, d'a
u langage pouvait être le siège de ce trouble fonctionnel, de cet
état
d'éréthisme qui provoque l'hallucination. Suivant
sion verbale, l'hallucination verbale mo- trice simple ou enfin à l'
état
plus faible, la représentation mentale motrice.
qu'ici, c'est peut-être parce qu'elles restent souvent chez eux à l'
état
faible. Mais chez ces malades, quelle que soit
e se fatiguait très vite. Elle se plai- gnait, n'était pas dans son
état
normal. Elle avait un mouvement dans les yeux.
il y a neuf mois, une contrariété brusque .et depuis ce moment son
état
a empiré. Elle a été prise de crises qui surven
t incapable, indigne et est prise de craintes pour l'avenir, et son
état
d'in- décision est tel qu'elle désire la mort s
riode de surmenage, elle parait avoir eu une première atteinte avec
état
neurasthénique, idées noires, préoccupations po
enser des choses qui ne sont pas bien. » Elle a conscience de son
état
et ne peut plus pleurer. Pas d'hallucinations d
ncolie, Mél. Paq. semble avoir dès l'enfance donné des preuves d'un
état
mental spécial. Du côté affectif, elle trouvait
omba dans son isolement. Elle travaillait beaucoup et c'est dans un
état
de dépression physique mar- quée qu'elle commen
la Salpêtrière le 7 novembre 1888, service de M. Falret, .i dans un
état
de dépression mélancolique très accentué avec idé
vérita- bles hallucinations se rappelaient, une fois sortis de leur
état
de rêve, les visions qu'ils avaient eues pendan
é l'internement actuel. Diagnostic : mélancolie avec agitation. Son
état
mental, après des hauts et des bas sans grande
arition des premiers troubles intellectuels. Au point de vue de l'
état
d'anémie de la malade, il faut signaler non seu
s autres ' fonctions cérébrales. R. M. C. VIII. UNE observation d'
état
CONVULSIF ou d'état épileptique; par IIAIIRINGT
ns cérébrales. R. M. C. VIII. UNE observation d'état CONVULSIF ou d'
état
épileptique; par IIAIIRINGTON SAINSDUIIG. (The
la maladie reconnaissait pour cause une lésion nerveuse centrale. L'
état
général du malade s'est amélioré. R. M. C. XI
autre cause; la malade en effet souffrait depuis quelque temps d'un
état
cachectique déterminé par un cancer du sein avec
es d'aliénation mentale. R. M. C, XV11. Cas DE FOLIE associée DES
états
pathologiques intéressants ; par James RORIE. (
nts de la maladie, a fait totalement défaut. Les modifications de l'
état
mental (substitution d'un calme relatif accompa
reil cas, et avait indiqué les rapports de celte affection avec les
états
névropathiques en général. R. M. Q. XIX. Cinq
gleterre qu'à l'étranger ; il ne saurait toutefois, pour désigner l'
état
de son malade, se contenter du terme lorsque le
ette interprétation est plus satisfaisante que celle qui invoque un
état
inflammatoire chro- nique. R. 111. C. XXIII.
ns la situation qu'il occupait; 4° il esl remarquable, enfin, par l'
état
de conservation de la châtaigne; en effet, bien q
icielle; enfin, l'auteur attribue l'accès de manie et la chorée à l'
état
de débilité générale et d'ané- mie du sujet, do
n de la folie, il y aurait lieu de tenir rigoureusement compte de l'
état
mental antérieur à l'opéra- tion. On peut accus
dans lesquels ils peu- vent être considérés comme justiciables d'un
état
de neurasthénie acquis. C'est à ceux-là qu'on p
iens, etc. De plus, l'auteur a pu constater chez les malades qu'à l'
état
normal, l'élimination de l'urée était au minimum,
ns- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 229 9 cience qui caractérisent l'
état
désigné sous le nom de « petit mal », 'et qui,
s effets et des causes en feront souvent reconnaître la nature. « L'
état
crépusculaire » qui passe beaucoup plus souvent
lus souvent inaperçu peut être en quelque sorte interprété comme un
état
de petit mal, une série de petits accès psychiq
elques jours, des mois, des années, et constituer alors une sorte d'
état
second. La conscience peut n'être pas totalemen
e, cette tendance à voyager qui sont presque, caractéristiques. Cet
état
est souvent très difficile à distinguer de l'ét
ctéristiques. Cet état est souvent très difficile à distinguer de l'
état
somnambulique. Lorsqu'il dure un certain temps, i
l dure un certain temps, il peut être conscient : c'est une sorte d'
état
second épileptique dans lequel l'individu a con
ce de ce qu'il fait, s'en souvient, mais agit tout autrement qu'à l'
état
normal. Le caractère de ces malade-' est sembla
us le nom d'amnésies l'oubli des faits qui se sont passés pendant l'
état
d'in- conscience. Eu réalité, ce sont des pseud
de raptus mélancolique, outre les données générales fournies par l'
état
vésanique, les actes qui précèdent le ruptus ne
que pour exclure la possibilité d'un cas de manie transitoire.- Les
états
de som- nambulismes, souventdifficiles à différ
ence très courts, même si l'on a à juger des actes accomplis dans l'
état
conscient, ne peut pas être considéré comme par
ent inconscient, entraînant l'ir- responsabilité totale. Pour les «
états
crépusculaires », et « l'état second épileptiqu
r- responsabilité totale. Pour les « états crépusculaires », et « l'
état
second épileptique», ils entraînent aussi l'irr
t soumis à des impulsions et des sensations qu'il n'éprouve pas à l'
état
sain : ce sont des phé- nomènes morbides, et qu
ongtemps : et un tel traitement est parfaitement compatible avec un
état
floris- sant de la nutrition générale. Dans la
qui reparaissent invariablement ; il y a donc lieu de croire qu'à l'
état
normal de la glande thyroïde rend inof- fensifs
urs chez les hypochondriaques, les hystériques et les épileptiques (
état
préépileplique) dont la nature est pro- bable,
e du système musculaire, dans le cas rapporté, n'est pas prouvée, l'
état
des dernières ramifi- cations et des terminaiso
de ce que l'on ne croit pas possible une amélioration sérieuse de l'
état
de ces pauvres êtres. Telle n'est pas l'opinion
liénés hésitent à provoquer la mise en liberté d'indi- vidus dont l'
état
mental leur parait suffisamment amélioré pour r
être, l'ad ministration ne publie pas chaque année un rapport sur l'
état
de nos établissements de bienfaisance, et en pa
commission possède les pouvoirs les plus étendus pour exa- miner l'
état
des asiles tant publics que privés, pour se rense
ente cependant un intérêt pratique assez grand pour condam- - ner l'
état
actuel non seulement d'ignorance, mais encore d'i
pour l'opium : la jeune malade décrit, d'une façon très imagée, les
états
douloureux et pénibles par lesquels elle a passé
essée par 'sa femme. Je n'ai, dit-il, jamais rien remarqué dans l'
état
meutal de ma fille. A ma connaissance elle n'a
ts que présentait une jeune malade de sa clientèle dont il voyait l'
état
s'ag- ARCU1VES, t. XXIII. 19 290 CLINIQUE men
tissement du pouls et de la respiration. Après cinq minutes de cet
état
léthargique, elle se frotte les paupières, fait u
- retour du sommeil léthargique, réveil cinq minutes après dans ^un
état
d'inconscience parfaite. ' : dater de ce jour, la
3v Et surtout à l'influence que les impressions de la malade à l'
état
de veille, avaient sur le mouvement de son esprit
alade à l'état de veille, avaient sur le mouvement de son esprit en
état
de -somnambulisme. - Le médecin de ma jeune m
t des crises régulières par l'absence de période léthargique, par l'
état
de demi-conscience dans lequel elle était et par
outes ses ressources et toute son activité pratique pour modifier l'
état
de la jeune malade, soit qu'il essayât de l'end
ier l'état de la jeune malade, soit qu'il essayât de l'endormir à l'
état
de veille en cherchant à la con- vaincre qu'il
tération des traits, ni oppression, ni bavardage, eu un mot dans un
état
tout semblable à la période léthargique qui pré
on médecin, de plus en plus inquiet, vint me voir, me parler de cet
état
, et me demander si je ne craignais pas qu'en in
tionnelle, étant donné les mutations qui s'étaient produites dans l'
état
mental de cette jeune fille, chaque fois qu'un
e la crise somnam- bulique : soit qu'il vienne des impressions de l'
état
de veille; soit qu'il ait pour origine l'excita
pian, Déje- rine, Popoff, Marie, Landouzy, etc., qui ont étudié l'
état
de la moelle et du cerveau à la suite de variole
mmence immédiatement le voile du palais qui descend plus bas qu'à l'
état
normal et se termine par .une luette bifide.
n et étendue et c'est ce qui explique la multiplicité d'aspect de l'
état
mental de l'idiot, dont les aptitudes s'étenden
exprimer par des signes ce qu'il pense, on sait aujourd'hui que cet
état
correspond à une lésion de la couche corticale
intime avec le monde extérieur; mais cette amélioration dans leur
état
, cette perception plus étendue des diverses sensa
ts groupes de dégénérés, il est bon de rappeler ce qui se passe à l'
état
normal. Si l'on examine, en effet, l'enfant qui
e des facultés HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 315 mentales aboutit à cet
état
de conscience qui nous permet de discerner le v
ns; avec l'inté- grité des zones motrices, les sculpteurs, etc. A l'
état
normal, la fonction ne fait pas l'organe, mais
motrice. Dans d'autres circonstances, c'est toute la mimique d'un
état
passionnel, rires ou pleurs, qui surgit, en dés
n état passionnel, rires ou pleurs, qui surgit, en désaccord avec l'
état
cénesthésique du sujet. Elle riait aux éclats à
e centre auditif de l'écorce (première temporale) est dans un tel
état
d'éréthisme, que l'image vient solliciter le ce
En résumé, chez certains sujets dont l'intelligence est parfaite, l'
état
moral est défectueux ;'Chez d'autres, l'état mo
ence est parfaite, l'état moral est défectueux ;'Chez d'autres, l'
état
moral est parfait, mais certaines aptitudes intel
défaut. Enfin un troisième groupe comprend des indi- vidus qui, à l'
état
ordinaire, sont bien pondérés, intel- HÉRÉDITAI
ser dans l'amphithéâtre de la clinique des études nouvelles sur l'
état
mental des hystériques qui venaient simplement co
de les lui offrir. 'Messieurs, j'ai l'intention de vous parler de l'
état
mental de certains malades, mais il faut d'abor
insupportable; des médecins doi- " vent étudier autre chose. Le mot
état
mental d'une malade » .doit désigner aujourd'hu
n Que pensez-vous de ces observations ? Quel est votre avis sur l'
état
de la sensibilité de ces deux jeunes filles ? Si
définitions analogues à celles de Wundt : « les sensations sont des
états
de conscience primitifs qu'il est impossible de
s phénomènes comme vous vou- drez, des sensations élémentaires, des
états
affectifs, pour em- ployer l'expression d'un cé
épendent de la sensibilité rétinienne. Vous savez aussi que, dans l'
état
normal, la pupille se dilate, quand on excite u
M. Guinon, vous a dit ici dernièrement qu'il y avait une quantité d'
états
somnambuliques différents. Vous me per- . mettr
vis, une sorte de paralysie hystérique, qui n'est pas apparente à l'
état
normal, grâce à une suppléance psychologique, cel
la nient. Kleudgen 14 qui regarde l'albuminurie comme fréquente à l'
état
normal, ne l'a pas vue plus souvent chez les ép
Le délire; 4° Pen- dant et à la suite des accès en série; 5° Dans l'
état
de mal. ' ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE CHEZ
d'albumine dans les 5 urines. C. Dans 6 cas, l'albumine était il l'
état
de traces : 49 ans, Vev..., 1 accès, 5 urines :
Il est donc habituel alors, de voir l'urine rester seulement à l'
état
de traces chez les malades dont l'urine à un prem
uminurie consécutive aux accès en série et à l'albumi- nurie dans l'
état
de mal. Nous n'y reviendrons donc pas. Les phén
t qu'un seul accès, est peut-être une véritable complication dans l'
état
de mal où, nous le verrons plus loin, elle para
s d'ordinaire meurent plus facilement que les autres épileptiques d'
état
de mal. 362 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nous
sont point' forcément des sérielles. 17.. . . Albuminurie dans l'
état
DE MAL épileptique. Les états de mal épileptiqu
rielles. 17.. . . Albuminurie dans l'état DE MAL épileptique. Les
états
de mal épileptique étant assez rares, même dans
cherchons systématique- ment l'albuminurie chez des épileptiques en
état
de mal, nous l'avons toujours rencontrée : nous
mple typique : Le 23 juillet 1891, Hemmer..., seize ans, entre en
état
de mal à 10 heures et demie du matin. Nous assi
obe. T R, 40° 2. Pouls très précipité et faible à 140. Devant cet
état
général grave, on pratique une saignée de 350 g
détail, parce qu'il montre bien l'évolution de l'albuminurie dans l'
état
de mal. ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE ET ÉPILEP
minurie ne peut pas servir toujours à différencier, à elle seule, l'
état
de mal épileptique de l'éclampsie. C'est une af
r ce point ont besoin d'être multipliées et étudiées à nouveau. L'
état
de mal épileptique paraît toujours être accompagn
eurtre en question est un phénomène clinique, faisant partie d'un
état
mental morbide connu, étudié et bien carac- tér
l'homicide se ren- contre en dehors des entités nosologiques et des
états
morbides que j'ai signalés, on doit considérer
- tion de Châteaudun de l'examiner et de faire un rapport sur son
état
mental. C'est ce rapport, légèrement modifié dans
s points qui peuvent fournir des indications quant à l'étude de son
état
mental. Ensuite, je décrirai les symptômes prés
i. A plusieurs reprises il fait feu, et enfin, son fusil en mauvais
état
et que dans sa précipitation il charge mal, lui
t refusé de boire du vin, il dit qu'on veut l'empoisonner. 13. Même
état
à peu près que hier. Je lui demande le nom de s
débarrassé de la vie en même temps que de ses souffrances - Si cet
état
se prononçait davantage, le malade entrerait dans
e un purgatif énergique. 17. L'agitation est beaucoup moins vive. L'
état
mental est redevenu ce qu'il était avant la cri
à mieux accepter la nourriture ? On cherche à se rendre compte de l'
état
des sentiments affectifs. On lui parle de sa fe
mélioration persiste, mais sans se prononcer davantage. En somme, l'
état
reste stationnaire. On retrouve encore des hall
venu calme, la crise a avorté. On peut définir ainsi brièvement l'
état
mental actuel de A... : Dépression mélancolique
lade, outre qu'il est le siège de la psychose actuelle, est dans un
état
pathologique particulier, sur lequel nous avons
et fut envoyé à l'asile de Bonneval, où il est en ce moment. Son
état
mental (leur février 1892) n'a encore subi aucu
rien. L'observation détaillée d'A..., jointe à la connaissance de l'
état
mental réel de ce malade, ne peut, au contraire
de la conversation mentale. Nous ferons remarquer seulement que l'
état
faible de l'hallucination psycho-motrice demande
e le 30 mars 1888, dans le service de M. Falret, se présente dans l'
état
suivant. Début. Depuis six mois elle n'est pas
ulente; mais elle mange assez bien en se forçant un peu. Dans cet
état
de santé assez médiocre, elle se mit à commettre
le continuelle- ment à elle-même et qu'elle s'y sent forcée. Si l'
état
faible de l'hallucination psycho-motrice peut pas
at faible de l'hallucination psycho-motrice peut passer inaperçu, l'
état
fort, en quelque sorte l'hallucination confirmée,
d'ailleurs est bien en rapport avec l'idée que l'on se fait de l'
état
cérébral des mélancoliques. Ce qui domine chez eu
e à l'aboulie, celle-ci est ordinairement sous la dépendance d'un
état
physique défectueux et pénible. Si le mélancoliqu
pontanéité, c'est qu'il manque de vitalité. Quoi qu'il en soit, cet
état
de dépression conduit ce genre de malades au do
e les images représentatives surtout verbales puissent passer à l'
état
hallucinatoire. Il se passe chez eux l'inverse de
erait aisément la présence des hallucinations verbales motrices à l'
état
fort ou faible, véri- tables phénomènes d'autom
es mélancoliques, crainte de la ruine, de la mort de ses enfants,
état
d'inertie allant presque jusqu'à la stupeur ! Cet
ent approprié, une améliora- tion se produisit; mais il persista un
état
de dépression mélan- colique avec découragement
très fréquentes et constituer un des caractères importants de leur
état
mental avec lequel elles cadrent bien. - Elles
llusions et des interprétations délirantes. D'une façon générale, l'
état
mental du mélancolique n'est pas propre au déve
egment antérieur des cordons postérieurs de la moelle; elle est à l'
état
de faisceau compact immédiatement en arrière de l
11., t. IX-X11-XVIL) - La circulation cérébrale diffère suivant les
états
hypnotiques : il semble qu'il y ait hyperhémie
ant les états hypnotiques : il semble qu'il y ait hyperhémie dans l'
état
léthargique et anémie REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
émie REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 407 dans l'
état
cataleptique. Tout mène à croire qu'il n'existe p
'état cataleptique. Tout mène à croire qu'il n'existe pas, dans les
états
hypnotiques, d'antagonisme entre les circulations
réactions vasculaires, identiques à celles qui se produisent dans l'
état
de veille, mais moins marquées par suite de la
mais moins marquées par suite de la constriction des vaisseaux. Les
états
hypno- tiques ne doivent pas être considérés co
violences portant sur les mêmes régions, on peut voir survenir des
états
de dépression psychique dus à une diminution su
aient minces, bien qu'elles fussent en réalité plus épaisses qu'à l'
état
normal. Il n'y avait aucune trace de lésion de
ta- 4'10 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. néité,
état
dans lequel ces centres ne subissent que très fai
nance des convulsions à droite; léger strabisme; le tout suivi d'un
état
semi-comateux : bouche légèrement déviée à gauc
le présentent seules la base matérielle du protoplasme ner- veux en
état
de fonction. Sans doute, la présence d'une grande
saire, folie des dégénérés. Ils partagent leur existence en trois
états
: liberté, prison, asile. Ils sont tous ivrognes
eux fillettes de, 'quinze et seize années, l'au- teur a constitué l'
état
clinique suivant. Epilepsie Jacksonnienne unila
aut des conditions d'existence favorables, jusqu'à ce qu'il soit en
état
de gagner sa vie, jusqu'à ce que ses forces men
ibilité psychologique. Ou bien c'est un jeune homme qui se croit en
état
de grossesse, qui dit avoir ses règles et autre
panite, paralysie des jambes. En dehors des crises, intégrité de l'
état
mental, l'enfant est rangé, affectueux, modeste
nférence horizontale du crâne s'est accrue de deux centimètres. L'
état
mental se résume ainsi : depuis l'âge de dix-huit
arrassé et [dépourvu de souplesse. Pendant six semaines. retour à l'
état
normal ; le malade a conscience de sa siluation,
l absorbait de fortes doses ainsi que des narcotiques violents. Son
état
s'était beaucoup aggravé depuis quelques jours.
tempe droite. Le malheureux a été transporté à l'Hôtel-Dieu dans un
état
désespéré. (L'Eclair.) UN enfant assassin. On m
mais en vain, de l'hypnotiser. On employa alors la suggestion à l'
état
de veille, mais sans connaître le résultat obtenu
s des, - 155. 1 . Faits divers, 135, 456. Folie, associée à des
états
patholo- giques divers, par Ilorie, 221; - co
leur étendue. Dans l'OasERVATiON IV il n'est pas fait mention de l'
état
du pied. En somme, comme on le voit dans toutes
rait répondre qu'il doit en être de cela comme de beaucoup d'autres
états
morbides qui ne se dévelop- pent que sur certai
ade contracte d'incliner son tronc, il se développe sans doute un
état
spasmodique des muscles, qui n'est plus suscept
) ; Par PAUL BLOCQ, interne des hôpitaux. Nous désignons ainsi un
état
morbide dans lequel l'impossibilité de la stati
pied, tantôt sur un autre, parcourant ainsi toute la maison ». Cet
état
dura quinze jours, et le 29 mai, subi- tement,
'avril), qu'il lui etait impossible de se tenir debout. Depuis, son
état
général resta excellent, mais le trouble moteur
vision : il aurait vu gris (achroma- topsie) pendant un temps. L'
état
général est bon : aucun trouble des autres appare
ce très im- pressionnable, se met facilement en colère, et dans cet
état
perd connaissance : elle a quitté ses enfants,
mois, elle a eu une attaque, et c'est à partir de ce moment que son
état
a commencé à s'aggraver; dès lors, elle n'a pas
er, et impossible de se tenir debout plus de quelques secondes. Cet
état
persista sans modifi- cations pendant six semai
sage des membres inférieurs : à cette même époque alfirnre-t-elle l'
état
général restant satisfaisant, les membres supér
ne pouvait se se; vu' de ses mains pour rien même pour manger. Cet
état
de complète impo- tence dura deux mois, au bout
rations. re- pos, les jambes ne présentent rien d'anormal, sinon un
état
vari- queux assez prononcé. La sensibilité es
ation debout est possible, mais très difficile sans appui. Dans cet
état
il se produit des oscillations, et aussi des flex
uel, n'ont pas amené jusqu'à présent d'amélioration sensible dans l'
état
de la' malade. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE
ni du thorax. Les urines sont normales. 58 CLINIQUE NERVEUSE. L'
état
général est bon. D... mange bien, dort bien. Use
le 15 février. (Nous avons revu ce malade à la fin de juillet. Son
état
est toujours le même. Les douleurs thoraciques
aissance. Au début, dit-il, il avait parfaitement conscience de son
état
, et il aurait été prévenu de cette attaque par
ont été moindres, et il ressent un certain bien-être. Le 18 mai,
état
stationnaire. - Le malade mange un peu. Le 19 m
ganglion pour se diriger vers le centre sont plus volumineux qu'à l'
état
normal. En certains points de la ' Cette planch
n est de même dans certains cas d'indigestion, ou bien à la suite d'
états
dyspeptiques. Bartholow rapporte un cas d'éphid
. 1886. Janvier. - La mémoire est médiocre; le malade est dans un
état
de semi-démence. Dynamomètre à droite : 30; à g
e rapport qui suivit fut le dernier qui ait été rédigé concernant l'
état
mental de l'opulent aliéné. Nous le publions au
les résultats de l'enquête à laquelle nous nous sommes livrés sur l'
état
mental actuel du sieur Mistral, pensionnaire à
rendu à son tuteur ? ' ? Notre enquête a porté successivement sur l'
état
mental actuel de l'interné, les conditions maté
ociation des idées et conservation très incomplète de la mémoire. L'
état
mental actuel n'est que la conséquence d'une lo
Ministre. - Maintenant que nous avons étudié d'une façon sommaire l'
état
mental de M. Mistral, décrit son installation,
permettent aux concitoyens de Mistral déjuger par eux-mêmes de son
état
de santé physique ou morale : cette surveillanc
aucun doute sur 92 REVUE CRITIQUE. ce fait que dès l'année 1837 l'
état
mental de Mistral était déjà tel que l'incurabi
dément, et comme c'est la règle chez les prédis- posés, on vit cet
état
de démence ne progresser que lentement, et do t
aujourd'hui. A la vérité, il existe, ainsi que nous le verrons, des
états
pathologiques presque semblables aux précédents
es sont froides, pâles, insensibles, immo- biles et restent dans un
état
plus ou moins prolongé de mort apparente qui pe
t lorsque l'on considère, comme l'a fait Landouzy (p. 67), que «cet
état
syn- copal varie de plusieurs minutes à plusieu
i de s'attarder à une longue discussion pour démontrer que tous ces
états
sont de même nature et qu'une seule question de
on vingt-quatre heures, et la malade resta après la dernière dans l'
état
léthargique où elle est encore aujourd'hui (7 a
aujourd'hui (7 avril I S8 i). Le lendemain et les jours suivants, l'
état
de la malade ne se modifiant pas, il fallut son
lontaire, devint aussi très rare; les règles ne reparurent pas. L'
état
de calme léthargique était interrompu à des dista
attaques de sommeil, mais enfin, lorsque Lan- douzy écrit que « cet
état
syncopal varie de plusieurs minutes à plusieurs
face et des deux extrémités de ce côté, se généralise bientôt ; un
état
de mal se déclare. On constate finalement des a
ro- mure de potassium n'ont produit aucune modification dans son.
état
. C'est seulement après avoir échoué avec ces remè
é. Le quatrième jour de ce traitement : amélioration no- table de l'
état
psychique, diminution du tremblement, sommeil e
foie de la malade 4G centigrammes de chlorhydrate de morphine à l'
état
libre. Cet emmagasinage expliquerait comment des
r que les sujets sur lesquels ils ont expérimenté n'étaient pas à l'
état
de veille, comme le prétendent les expérimentat
veille, comme le prétendent les expérimentateurs, mais bien dans un
état
hypno- tique et que cet état qui, d'après eux,
es expérimentateurs, mais bien dans un état hypno- tique et que cet
état
qui, d'après eux, n'est pas susceptible de sugg
tériel et mental. Ce n'est pas tout; il faut absolument adapter à l'
état
de chacun d'eux le mode d'alimentation; consulter
u professeur KOIILRAUSCH; simplicité, bon marché, retour rapide à l'
état
d'équilibre, telles sont les qualités qui recom-
ganglions et la moelle des réactions colorées différentes même à l'
état
nurmal. -Courte observation de tubercule dans l
ce qui augmente ses douleurs. Mal- gré les purgatifs administrés, l'
état
demeure le même jusqu'au Voy. Archives de Neuro
e leur maladie, plein discernement de leur SOCIÉTES SAVANTES. 137
état
morbide; 2° ceux qui viennent d'eux-mêmes se fair
les directeurs soient des alié- nistes ; seuls du reste ils sont en
état
d'opérer la sélection voulue, d'assurer toutes
assager à sa maladie; mais il retomba presque aussitôt dans le même
état
et commença à s'écrier à chaque instant que per
des visités étaient couverts de vermine. Dans beaucoup de villes, l'
état
de malpropreté et de désordre des maisons de ch
es; espèce et quantité du régime ali- faits DIVERS. 157 mentaire;
état
du couchage, des vêtements, etc., des observation
con- gestion des oreilles; sa vue s'obscurcissait par moments; cet
état
durait près de huit jours et cessa pour reparaî
gésiques et thermo- anesthésiques, le sens du tact est en aussi bon
état
qu'ailleurs. A l'examen par le compas de Weber,
t la plus frileuse et transpirait davantage. Le 23 août, il y eut
état
fiévreux et sur le côté cubital de la main gauc
nt se passa sans qu'on ait eu besoin de recourir au cathétérisme. L'
état
général du malade s'améliora peu. Le traitement
alade de l'iodure de potassium qui agissait défavorablement sur son
état
général et fut par suite abandonné. Dans ce d
durant deux, trois semaines, il se développa dans le bras droit un
état
semblable à celui qu'il éprouvait dans la jambe
t descendus de cinq travers de doigts. Le nerf trijumeau est en bon
état
; les autres symptômes du système nerveux n'ont
perçue, tandis qu'ici le malade ne perçoit que 4° de différence. L'
état
général est bien meilleur. Fig. 17. 174 PATHO
effet d'un attouchement. Le membre inférieur droit est dans le même
état
qu'il présentait au premier examen. Mais sur le
antérieure. Les phéno- mènes subjectifs sont demeurés dans le même
état
. Hypocon- drie marquée; des sensations diverses
adies qu'il découvre en lui, comme du cancer, de la phtisie, etc. L'
état
général du malade s'est considérablement amélio
dans es parties périphériques au memnre; on la trouve en menteur
état
à mesure que l'on observe plus haut et elle est n
nts des autres doigts sont légèrement affaiblis en comparaison de l'
état
normal. Les mouvements de la main sont libres et
la dégluti- tion, l'articulation et les organes du bassin sont à l'
état
normal. Les organes internes sont en bon état.
es du bassin sont à l'état normal. Les organes internes sont en bon
état
. La complexion est solide. Le malade ne resta p
Le malade ne resta pas longtemps à l'hôpital et sortit dans le même
état
. De temps en temps il venait se faire voir par mo
ophiés, le pouce est faible. Le malade serre assez fort le poing. L'
état
de sensibilité est partout demeuré stationnaire
art cela, toutes les fonctions s'accomplissent ré- gulièrement et l'
état
général reste bon. 192 pathologie NERVEUSE. D
tre et persister ensuite assez longtemps. Toutefois, d'ordinaire, l'
état
station- naire dure et est suivi de la cessatio
tifs à la physiologie de la station et de la marche considérées à l'
état
normal. Nous em- pruntons d'abord à M. Mosso un
e centre spinal, et alors l'ordre donné n'est pas exécuté. - Dans l'
état
de nos con- naissances sur ce sujet, il serait
par voie de suggestion chez des malades hystériques plongées dans l'
état
de grand hypno- tisme. Gr... est plongée dans
7 ? posps<as ? af mal (novembre 1884). - Automatisme. - Mort en
état
de mal (1SSG). Autopsie. Atrophie et aspect cha
res molaires droite et gauche arrachées pour carie. Gencives en bon
état
. Articulation nor- male. Menton bas, retiré en
e une bride légèrement saillante et linéaire; l'orifice anormal à l'
état
ordinaire a la forme d'un triangle isocèle dont
ns attirer sur lui l'attention de nos lecteurs : il s'agit des deux
états
de mal qu'il a eus en 1884 et en 1886. Dans les
: 2M" CLINIQUE NERVEUSE. montre la marche de la température dans un
état
de mal qui se termine par la guérison; le secon
ccompa- gnée d'automatisme.' Dans sa thèse sur la -Pathologie des
états
épileptoïdes, 0. Berger - établit un rapprochem
d'autres manifestations de crampes arrivant par attaques. Puis ces
états
devenus durables atteignent leur plus grand dé-
des grandeurs; analogue à celle-ci par la succession des différents
états
psy- chiques en relation avec des symptômes mus
e stupeur de courte durée arrive de nouveau de l'excitation ou un
état
de franche mélancolie à laquelle succède la stupe
ment de stupeur. Dans des cas plus rares, la stupeur alterneavec un
état
de Verwirtheit secon- daire. Les terminaisons p
Il y a encore des cas où la Catatonie se déve- loppe au milieu d'un
état
d'excitabilité nerveuse ou d'un état de dépress
se déve- loppe au milieu d'un état d'excitabilité nerveuse ou d'un
état
de dépression physique générale. Mais alors ell
. Dans beaucoup de cas après la stupeur (Attonitat) se développe un
état
de Verwirtheit secon- daire ou général avant la
néral avant la démence complète, et avant cette stupeur se place un
état
maniaque qui la sépare de la mélan- ^ colie ini
ation de l'innervation motrice. Très fréquemment, et surtout dans l'
état
de stupeur, on constate une flexibilité ! ¡ cir
niques ou toniques, doivent être mises sur le compte en partie de l'
état
psychique, en partie de l'état phy- sique. Il n
e mises sur le compte en partie de l'état psychique, en partie de l'
état
phy- sique. Il n'y a jamais deparalysie motrice
is qui serait pour Kahlbaum un genre de Catatonie mitis. Car dans l'
état
de stupeur on peut toujours reconnaitre quelque
jours reconnaitre quelques symptômes neuro-moteurs et souvent des
états
convulsifs antérieurs à l'entrée à l'asile, passa
ci- tation, sorte de raptus passagers, interrompant fréquemment l'
état
mélancolique, mais avec tant de rapidité et d'une
ie, apoplexie, méningite, encéphalite, qui se présente soit dans un
état
de santé com- plète, soit dans un état de troub
qui se présente soit dans un état de santé com- plète, soit dans un
état
de trouble mental durant depuis un certain temp
ou de dépression. émotion- nelles intenses, conduit sûrement à des
états
de mutisme non motivé ou tout au moins à un éta
it sûrement à des états de mutisme non motivé ou tout au moins à un
état
cataleptique. Enfin il sera compliqué de symptô
Ou bien, si l'on voit chez un malade franchement mélancolique un
état
pathétique spécial et une attitude d'une raideur
e de la verbigération, sur l'absence de changements brusques de l'
état
émotionnel, sur l'amnésie qui suit les états d'ag
angements brusques de l'état émotionnel, sur l'amnésie qui suit les
états
d'agi- tation. Il n'y aurait pas de vraie manie
'amélio- ration de la Catatonie marchant parallèlement à celle de l'
état
général. Enfin l'oedème cérébral décrit par Eto
des cordons blancs de la moelle. Il trouve une grande analogie de l'
état
du cerveau avec celui qu'on observe dans la fiè
plus ou moins de régularité, de manie et de mélancolie et par des
états
épileptoïdes et cataleptoïdes avec conceptions dé
les qui sont primitives (prima^y insanities) dans le sous-ordre des
états
caractérisés par un trouble émotionnel fondamen
nt somatique (cataleptique ou tétanique), ou sug- f gérer l'idée. L'
état
psychique peut se limiter à l'état du t; Wahnsi
ique), ou sug- f gérer l'idée. L'état psychique peut se limiter à l'
état
du t; Wahnsinn aigu ou descendre jusqu'à la dém
e du système vaso- moteur qui en fait une vraie psychoneurose : les
états
variables d'excitation, de dépression, de raide
orme très fréquente du Wahnsinn hystérique a de règle pour début un
état
d'excitation maniaque. Il s'agit toujours alors
e la prochaine apparition de phénomènes hystériques surajoutés. L'
état
des muscles est très important à considérer, surt
r que le plus souvent les pupilles paraissent normales ou dans un
état
variable decontraction ou de dilatation. Mais aus
sortir qu'à à l'inverse de ce qui se passe dans l'épilepsie, dans l'
état
de mal hystérique, latempératurenes'élève pas a
est permis, avant de parler des diverses sensibilités, d'étudier l'
état
de la nutri- tion générale, résultante directe
l'observation d'une dame anglaise qui resta pendant 7 jours dans un
état
qui n'était évidemment autre que la léthargie h
sommeil religieux, cette catalepsie volontaire, elle était dans un
état
de mort apparente; les incrédules lui enfonçaie
it plus intéressant encore, et surtout plus concluant, d'examiner l'
état
des sécrétions pendant les attaques de som- mei
uelque chose de plus et nous pensons que véritablement, pendant cet
état
, les hystériques brident peu, se dénutrj- tionn
e dans sa plus large expression. Ceci nous conduit à il parler de l'
état
des sens chez les individus atteints de sommeil
analogues au point de vue médico-légal, in-8°, 1887, chap. vu, Les
états
hystériques. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE
anière étonnante; cinq ou six hommes ne pouvaient la retenir. Cet
état
dura trois semaines, après lesquelles la chorée s
malade, dont le système nerveux était débarrassé entièrement de son
état
morbide, parut aussi fraîche et aussi bien portan
rut aussi fraîche et aussi bien portante qu'auparavant. Pendant son
état
léthargique, où toutes les fonc- tions paraissa
ait d'entendre les prépara- tifs de mort sans pouvoir sortir de son
état
. Elle a vécu encore treize ans; le mariage et t
assez longues pour qu'on ne se trouve plus en présence d'un même
état
de mal hystéro-épileptique. On sait en effet que
peut-être réelle, qu'on avait avant eux enterré des hystériques en
état
de mort apparente, ce qui n'est plus à craindre
ades sont froides, pâles, insensibles, immobiles et restent dans un
état
plus ou moins prolongé de mort apparente qui pe
négalité pupillaire et un léger embarras de la parole persistent. L'
état
mental et l'état physique se maintiennent encor
re et un léger embarras de la parole persistent. L'état mental et l'
état
physique se maintiennent encore très satisfai-
ral avec oppression cardiaque, constriction au creux épigastique et
état
syucopal. Elle s'affaisse sans proférer une par
rhagie ancienne ou ré- cente ; lesvaisseaux sont partout en parfait
état
, il n'existe aucune adhérence pathologique. L
stance; la substance blanche et les noyaux centraux dans un parfait
état
; enOn la protubérance, le bulbe et le cervelet
arfait état ; enOn la protubérance, le bulbe et le cervelet dans un
état
irrépro- chable. Poumons. - A l'ouverture des
n Traité de pathologie générale et l'on verra combien chacun de ces
états
prête à l'étude sé- méiologique. Ici encore i
UES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 289 lade paraît plongé dans un véritable
état
apoplectique d'origine cérébrale, d'autant plus
trop à l'appréciation individuelle. Ces signes sont tirés : 1° de l'
état
de la température ; 2° de l'état de la sensibil
Ces signes sont tirés : 1° de l'état de la température ; 2° de l'
état
de la sensibilité ; 3° de la participation divers
ormes de la paralysie générale ou de la sclérose en plaques; dans l'
état
de mal épileptique ou éclamptique elle s'élève à
onstatation de l'hyperexcitabilité musculaire spéciale à ce dernier
état
. Nous savons néanmoins que l'hypnotisme peut êt
poitrine. Pour se soustraire à cette correction, Phinéas simula un
état
léthargique pendant quarante-trois jours. Aucun
nous avons déjà traité dans notre travail sur l'Hypnotisme et les
états
analogues au point de vue médico-légal et dans un
tée par l41abille s, que les malades peuvent être violées pendant l'
état
'Le viol dans l'hypnotisme et dans les états an
être violées pendant l'état 'Le viol dans l'hypnotisme et dans les
états
analogues; communication du 2 août 1886. - Ra
put accuser faussement un indi- vidu de l'avoir violée pendant cet
état
. Nous l'avons dit, nous n'insisterons pas davan
ralbl. f. Nervenheilk., 1886.) CONTRIBU- 1 Voy. L'hypnotisme et les
états
analogues..., p. 519-524. REVUE DE thérapeutiqu
éraux). P. KERAVAL. II. Contribution A L'ÉTUDE DE la suggestion A l'
état
DE VEILLE au point DE vue thérapeutique ; par l
de 1'urèthre, trou- bles psychiques, etc...,) par la suggestion à l'
état
de veille. L'auteur croit, avec Grasset, qu'on
et se trouve dès lors apte à subir les effets de la suggestion à l'
état
de veille. G. D. III. Contribution A l'action D
tieuses et des idées de persécutions. Chez les dégénérés surtout, l'
état
délirant accuse le plus souvent une irrégularit
même, si l'on en croit MM. Saury et Legrain, plus particuliers aux
états
inférieurs. Du côté psychique on a pu noter dan
d'esprit, les altérations du caractère, des sentiments et même les
états
émotifs spéciaux réunis par M. Magnan sous le n
s exemples. Cette coexistence possible du délire chronique avec les
états
dégénéra- tifs est encore mise en évidente dans
t héré- ditaire, tandis que le délire chronique serait distinct des
états
de dégénérescence, à ce que prétendent M. Magna
ioré le sort des aliénés à Paris, dont les asiles étaient en piteux
état
, et qu'il ait paru accomplir dans la capitale d
oilà, dit M. Loehr, l'exactitude. Il cite à l'appui Tenon (1786), l'
état
encore piteux des services de Pinel, en 1808 (rap
rimes. Il arrive très fréquemment, quand on doute de la nature de l'
état
mental d'un prévenu, qu'on cherche à con- naîtr
on cherche à con- naître ses antécédents... 111. DE GAVARDIE. Ses
états
de service intellectuels ! M. le Président. N'i
lez assez souvent. AI. LE Rapporteur Oui, monsieur de Gavardie, ses
états
de service au point de vue mental. La magistrat
du Code civil ; « 2° Un rapport au procureur de la République sur l'
état
mental de la personne à placer, signé d'un doct
infirmité cérébrale, d'affaiblissement intellectuel, qui les met en
état
de nuire, et en fait des incurables. Il est du
la protubérance, le bulbe rachidien ont toutes les apparences de l'
état
normal. On ne remarque pas de dégénérescence gr
es dé substance grise et les cordons blancs ont les apparences de l'
état
normal : cellules et tubes sont également sains
sculo- cutané droit. Tous ces nerfs, sans exception, sont dans un
état
parfait d'inté- grité, Quelques filets cutanés,
nt altérés.' Les quelques fibres rnyéliniques qu'on y rencontre à l'
état
normal ont disparu ; on n'aperçoit que des fibr
le trouble dynamique de l'encé- phale et rien ne ressemble plus à l'
état
apoplectique causé par une vaste hémorrhagie cé
'état apoplectique causé par une vaste hémorrhagie cérébrale, que l'
état
malades atteints de paralysie générale, de sclé
deux ans, à la suite de préoccupations, il eu des idées noires; cet
état
psychique a persisté pendant trois mois. La p
dies héréditaires du système nerveux) pouvait se ren- contrer à l'
état
d'affection familiale et nous avons rapporté, à
s dans les réactions électriques. C'est sur ces variations dans l'
état
électrique des nerfs et des muscles qu'Erb a ba
réaction de dégénérescence complète, on constatait au contraire un
état
presque normal de la contractilité faradique. L
r la dégénérescence du nerf, et partant des troubles marqués dans l'
état
de la con- tractilité. » DE LA PARALYSIE FACI
es les hémiplégies de la face qui s'offrent à notre observation à l'
état
de paralysies isolées ? Nous ne le pensons pas.
hologi- que de la paralysie faciale sont encore à faire et dans l'
état
actuel de la science nous en sommes réduits aux
ence; - grincement de dents. Gâtisme; affaiblissement progressif;
état
de mal. Pyo-piieuino-thoi-ax consécutif. Mort.
e autres sur les doigts. Les sens sont difficiles à examiner vu l'
état
de démence coi7z- plète du malade ; l'ammoniaqu
es, deux nouveaux accès. Duch... est resté toute la journée dans un
état
de prostration complète.. - T. R. 380,8. - Soi
- T. R. 40°,6. Soir : 41°. 14. T. R. 390,6. Soir : 41°. 15. Même
état
avec des alternatives de mieux relatif et d'ag-
une péricardie purulente, qui se sont développés à la suite d'un
état
de mai'. 1 L'hémisphère cérébral droit ne prése
enne de la circonvolution frontale ascendante, du lobe occipital, l'
état
chagriné des pre- .' Nous ferons remarquer que
racter, et dans l'espace de quarante secondes elles ont repris leur
état
normal. Quant au tremblement, il persistait enc
ences, les pupilles se contractent plus lentement; pour revenir à l'
état
normal, elles mettent plus de deux minutes, tan
'on voit que les respirations réappa- raissent, mais pas à leur
état
normal. Le tracé n° 43 nous donne, par la cou
but central des pneumo- gastriques, comme aussi leur irritation à l'
état
normal, donne les mêmes résultats, soit réappar
rieure. Quant à l'expiration, c'est un acte passif, un retour à l'
état
de repos, d'où l'inspiration a fait sortir le p
1·f.Jensen a rappelé la catatonie de Kalhbaum qui se range près des
états
épileptiques et inconscients, et qui a aussi une
e sur la folie à double forme, M. Ritti 2/' signale la présence des
états
cataleptiques dans la période I mélancolique; i
le forme, 1883, Obs. XI, XII, XIII. LA CATATONIE. 425 formes ou
états
cataleptiformes et même les simples raideurs mu
étaniformes. De même que les convul- sions ou les contractures, les
états
cataleptiques sont aussi très fréquents chez le
s chez les hystériques en dehors des attaques de catalepsie et de l'
état
hypnotique. En effet, si à l'état de veille les
es attaques de catalepsie et de l'état hypnotique. En effet, si à l'
état
de veille les hystériques peuvent présenter 1'l
alepsie. Lasègue '' avait déjà signalé le fait de la catalepsie à l'
état
de veille chez les hystériques. M. Charcot dans
téro-traumatiques, a parlé d'un sujet hystérique qui préséntait à l'
état
de veille l'immobilité cataleptique des mem- br
orté de nouveaux exemples de ces faits de plasticité musculaire à l'
état
de veille. ' Krafft-Ebing. Lelarbuch. B. I. ! F
REVUE CRITIQUE. Ces phénomènes peuvent aussi se rencontrer dans les
états
dégénératifs avec délire surtout du contenu mys
veut lui-même prendre et garder et cela les yeux ouverts. Dans cet
état
les muscles présentent seulement une légère raide
um. Guislain 2 signale aussi la fréquence de ces symptômes dans l'
état
qu'il décrit sous le nom d'extase, différent de l
. Art. Extase. LA CATATONIE. 42 Ils peuvent aussi accompagner les
états
de mélancolie symp- tomatique : on les rencontr
ité cataleptiforme provoquée. M. B. Battalia' a a observé aussi des
états
cataleptiformes chez un individu intoxiqué par
ve. Dans les autres formes de mélancolie, qui ne présentent pas l'
état
de depression mais des symptômes d'anxiété simple
les avait déjà signalés '. Ils peuvent aussi être surajoutés aux
états
maniaques (Lagardelle). On sait d'ailleurs que da
eur peuvent être des plus accentués. Krafft-Ebing signale aussi les
états
cata- toniques chez les déments. Il n'est' pa
alysie, on peut rencontrer des phénomènes convulsifs variés, et des
états
de raideur signalés par Kalhbaum chez ses catat
êmes, qui sont plus spéciaux à la folie et que Morselli 3 divise en
états
d'excitabi- 1 lité réflexe exagérée des muscles
en états d'excitabi- 1 lité réflexe exagérée des muscles (tétanie),
états
d'exagération du tonus musculaire (catalepsie),
(tétanie), états d'exagération du tonus musculaire (catalepsie), et
états
de distribution anor- male de l'impulsion centr
mouvement), ces désordres eux-mêmes peuvent se rencontrer dans les
états
vésaniques les plus diffé- rents. En sorte que
ntrer souvent ailleurs, en particulier dans les LA CATATONIE. 431
états
d'affaiblissement intellectuel primitifs ou secon
ien particulier, car ils sont le plus souvent l'apanage de tous les
états
mélancoliques, si bien même qu'on a pu donner à
sition (Guis- lain 5), Le mutisme aussi se rencontre dans les mêmes
états
, surtout de mélancolie profonde, dont il est pr
e la maladie ne présente non plus rien de caractéristique : car les
états
variables par lesquels passe le malade n'ont ri
tivement que très exceptionnellement, et en général suit plutôt un
état
de mélancolie simple, ou un état de mélancolie
ment, et en général suit plutôt un état de mélancolie simple, ou un
état
de mélancolie qui suit une manie, de telle sort
son maximum d'intensité et d'étendue dès le début. A la période d'
état
, le choréique est agité par les mouve- ments le
ue, présente une période d'ag- gravation progressive, une période d'
état
, puis décroit avec une plus ou moins grande rap
- sant en huit déments, six fous systématiques chroniques, quatre
états
d'angoisse et de désordre dans les idées greffés
, vociférations, paraphasies, comme symptômes post-épileptiques; 3°
états
d'excitation moteurs (corticaux) soit dans le s
d'affections organiques du cerveau. L'allure générale est, de par l'
état
d'hébétude, d'ob- nubilation psychique concomit
la s'applique aux symptômes mentaux de maladies sérieuses. Tous les
états
morbides mentaux sont des subdivisions des état
érieuses. Tous les états morbides mentaux sont des subdivisions des
états
mentaux normaux dans des voies différentes. Par
es accès d'une certaine variété d'épilepsie, comme le font d'autres
états
mentaux (auras intellectuelles). - En conséquen
eur tare céré- brale non point à la folie des ascendants, mais à un
état
passager l' des parents au moment de la concept
caractérise la folie des héréditaires ou dégénérés, c'est surtout l'
état
mental du sujet, les syndromes épisodiques dévelo
tat mental du sujet, les syndromes épisodiques dévelop- pés sur cet
état
mental et enfin l'évolution, l'allure particulièr
'mporlance donnée au chiffre 3 me paraît devoir être si- gnalé. Son
état
de débilité mentale a été, d'un autre côté, const
ux des vestiges de ces tares physiques presque caractéristiques des
états
inférieurs, de l'idiotie par exemple. Quant à ne
écution. Pour bien établir le type, il s'en est tenu à la période d'
état
, négligeant ainsi la marche de la maladie. Il a
vi le délire de persécution depuis son début jus- qu'à sa période d'
état
.Comme je ne veux qu'établir un type et détermme
u nom de démence, ce terme s'adressant, d'une manière générale, aux
états
intellectuels en voie de déclin. M. Falret crai
ce qui rapproche ces deux actes de paralytiques, c'est avant tout l'
état
mental, c'est le fond de démence sur lequel rep
comme des foyers de dégénérescence circonscrits, appartiennent à un
état
normal. On les trouve surtout au point où le ne
plein pied dans le domaine de la pathologie cérébrale. Il expose l'
état
actuel de la question, tel qu'il res- sort des
bre atteint. Cette notion est acceptée sans contrôle en raison de l'
état
cérébral que nous avons dit, et il en résulte la
essé par un docteur en médecine au procureur de la République sur l'
état
mental de la personne à placer dans un établiss
mment « les phases de la maladie ». Ces expressions supposent que l'
état
du malade aura compris des périodes succes- siv
« Art. 18. - Toute personne majeure qui, ayant conscience de son
état
d'aliénation mentale, demande à être placée dans
T. gine de tout étranger résidant ou de passage en France, dont l'
état
d'aliénation aurait exigé le placement conforméme
devait pas être réintégrée dans la maison de santé du Dr R..., son
état
ne présentant aucun danger pour la société. Le
ement silencieux et solitaire. Le pendule devra donc se tenir dans un
état
de stabilité parfaite. En elfet, il ne bouge poin
même, employée en nature, dont ces globules portent le nom. « 2* Un
état
d’isolement complet réalisé entre le corps de l’e
s verrez ! Allop. — Voulez-vous que je vous donne de l'émétique à l'
état
sain? Je vous réponds bien que vous le sentirez.
ntretenir l’apparition des symptômes prédits. Vous le mettiez dans nn
état
magnétique, docteur, par impression morale d’une
isme déjà agitée plusieurs fois entre nous, vous ne niez pas certains
états
particuliers que j'appelle magnétiques. Quelle qu
les limites auxquelles peut atteindre la perturbation morale dans ces
états
, vous êtes sûr qu’ils existent, puisque vous-même
enfin que votre faculté volitive était altérée. « Eh bien, dans cet
état
, certaines des facultés intellectuelles sont amoi
elles sont amoindries, surtout la comparaison et la volonté. Dans cet
état
, que divers procédés physiques ou moraux peuvent
jours que l’apâlissement. Nous autres, qui avons manié les sujets k l'
état
de charme, cette sorte d'état dont je vous parlai
autres, qui avons manié les sujets k l'état de charme, cette sorte d'
état
dont je vous parlais tout à l’heure, qui avons un
art du diagnostic; mais chez lui la plessimétrie est quasi passée à l'
état
de loqundc. Quiconque se présentait pour un cas q
le diagnostic, deuxième plessimétrisation du malade pour constater l’
état
de la rate au moment de l’ingestion du remède, tr
e partie, une petite partie du bagage des magnétiseurs. Observation d’
états
où l'impression morale augmente de puissance, pro
ndants de toute hypothèse pour amener un grand nombre de sujets à cet
état
; possibilité de diriger Timagination, et de lui
que je regarde comme un effet d’imagination. Vous dites que dans cet
état
-là on est sujet à être crédule. Je suis peut-être
relation suivante, signée d’un M. Gardner Adams et datée de Franklin (
état
de Massachussets). « On peut voir chez M. S. Wh
hez elle, il y avait deux existences bien distinctes : celle dans son
état
de veille, et celle dans son état de-sommeil magn
es bien distinctes : celle dans son état de veille, et celle dans son
état
de-sommeil magnétique qui, je l'affirme, ne le cé
igurer une personne plus indisciplinée que ne l’était celle-ci dans l’
état
somnainbulique ; éveillée, elle était d'une polit
ui es-tu pour me parler ainsi?... Je ne te connais pas... » (Dans cet
état
, elle tutoyait tout le monde.) Plusieurs personne
re docet ne semble-t-il pas rentrer ici à cent coudées sous terre ? L'
état
magnétique était pour elle un joug réel sous lequ
qu’il n’avait pas fermé l’œil de toute la nuit et se trouvait dans un
état
de malaise indicible. «Comme ceci menaçait de d
t pas dupe de ma supercherie, que personne n’a vérifié au préalable l’
état
des papiers, que l’un des trois était certainemen
ri jusqu’au moment où elle devra être rappelée devant la justice. Son
état
réclame des soins. L’acte qu’elle.a commis l’a ét
s la prévention de meurtre, et laissé au jury le soin d’apprécier son
état
mental au moment où l’acte a été commis. Nous sav
t être somnambule, et ce qu’une personne fait à une autre dans un tel
état
ne doit pas être jugé fait sciemment. Et si j’adm
e la laissais sortir aujourd’hui, elle pourrait retomber dans le même
état
, et jeter encore un de ses enfants par la fenêtre
nce que — surtout dans les boutiques — je ne crois point aux grâces d’
état
. En trouvant dans la lucidité somnambulique une
nion et son critique parlent d’une jambe coupée par M. Cloquet dans l’
état
de sommeil magnétique, mais il y a erreur de part
teur F.lliotson , où l’on a déjà pratiqué plusieurs opérations dans l’
état
de sommeil magnétique, opérations faites toutes d
avoir été déflorée et rendue mère contrairement à sa volonté, dans l’
état
de sommeil magnétique; ceci est une affaire d’obs
la crut morte... Plus tard, interrogée par le médecin, toujours en
état
de somnambulisme , elle répondit : « Etant endorm
rs de ce mois, elle fut presque toujours somnambule le soir. Dans cet
état
, elle s’occupait presque exclusivement à préparer
lève et prend congé, rayonnante de joie et d’espérance... Toujours en
état
de somnambulisme, elle rentre chez elle. A huit h
Invitée à une partie du soir dans une maison amie, elle s’y rendit en
état
de somnambulisme. Parmi les invités se trouvait u
conversait avec une entière liberté et une grande vivacité. Dans cet
état
, elle distinguait, sans la moindre difficulté, le
s en papier, comme elle avait coutume dele faire pour s’amuser dans l’
état
de veille. Ses yeux étaient parfaitement clos : m
r et an milieu de ses occupations ordinaires. Quand il était dans cet
état
, il recommençait souvent le travail qu'il avait f
ions était un jeune jardinier qui devint somnambule et qui, diins cet
état
, exécutait des choses extraordinaires. Il s'endor
beaucoup d’autres, suffiront pour prouver que le somnambule, dans son
état
extraordinaire, est capable, sans aucun usage app
sque nous en possédons dans Paris d’aussi puissants pour le moins, en
état
de produire à volonté et devant toute personne, d
ndirent que la mère du jouitc homme était, depuis une heure , dans un
état
de crise violente. — Nous nous élançâmes dans le
it, selon l’expression vulgaire fort juste; l'aliénation aurait lieu,
état
qui, dans tous les cas, cesse après la mort, et d
tivité relative aux fonctions des organes, à leurs sympathies, à leur
état
présent, à leurs habitudes; les causes dont l’act
ar, résultat de la gêne des fonctions animales et principalement de l’
état
embarrassé de l’estomac. Le rêve qui comporte l
Le rêve qui comporte le présage, le rêve lucide, n’a lieu que dans l’
état
de calme du corps; et celui-là peut être produit
ite la condition de ses rêves est toujours d’accord au surplus avec l’
état
de ses mœurs et son caractère. Soyez pur et honnê
avoir qui a eu le songe, ce qu’il fait, comment il est né, quel est l’
état
de sa fortune, son âge, sa santé. Il faut ensuite
en elle de l’âme du duc d’Orléans ; il l’associe en quelque sorte à l’
état
de béatitude dans lequel il se trouve, et il la c
pas donner, dit-il, une idée assez claire, ni assez distincte de cet
état
singulier des facultés intellectuelles et des fon
en a pas trouvé jusqu’ici de plus convenable c’est que sans doute cet
état
a été considéré comme inexplicable (1). « Si l’au
en soit donc, faisons quelques remarques. Observons d abord qu’à l’
état
de somnambulisme le malade ne reconnaissait la pl
d’air ; il reprit connaissance et se leva (1). Le lendemain il fut en
état
de monter un chameau et se mit en route, en expri
aces colorées de ce pays, ne feront aucune difficulté de croire à ces
états
nerveux extraordinaires : quant aux influences my
o On observe chez les fanatiques indiens un pouvoir étonnant sur l’
état
nerveux d’autrui et même sur les objets matériels
ance de madame Mauger, au bout de ce temps, je me suis trouvé dans un
état
de convalescence complète, pas une douleur, pas u
Le fluide magnétique animal qui est considéré comme invisible dans l’
état
de veille et comme ne pouvant être vu que par les
ique , dis-je, ne pourrait-il être visible pour tout le inonde dans l’
état
de veille? Cette idée, étant conçue par moi, me c
ux, le fluide humain, dit-on. Mais alors comment expliquer les divers
états
maladifs analogues àceux que-nous provoquons arti
i de la terre, ne pouvant trouver une issue par en bas, était dans un
état
extraordinaire de tension, et produisait en se dé
arges, mêlait peu à peu les deux fluides et ramenait insensiblement l’
état
latent. — Une autre fois, dans une de ces crises,
er la conclusion que le somnambulisme n’est que la prépondérance de l’
état
négatif amené par les passes dans le système nerv
spasmes, les convulsions, les crampes annoncent la prédominance de l’
état
positif dans le même système nerveux, provoquée s
é, l’ceuvre de la génération humaine, à ceux qui veulent l’élever à l’
état
de science, et lui faire occuper la place qu’il m
ns le système nerveux une perturbation qui conduit au sommeil ou à un
état
morbide qui présente avec lui certaines analogies
produisaient alors, pouvaient tout aussi bien avoir lieu dans divers
états
morbides et produire des modifications qui aidero
ications qui aideront au rétablissement de la santé, ou aggraveront l’
état
morbide , suivant la prédisposition du malade et
sance fort imparfaite , ce qu’il aurait été incapable de faire dans l’
état
ordinaire ; il y a là un phénomène curieux sans d
toutes les circonstances qui ont été regardées comme des preuves de l’
état
démoniaque , sont semblables à celles qu’offre l’
es preuves de l’état démoniaque , sont semblables à celles qu’offre l’
état
magnétique et sont tout aussi naturelles: il raco
es à l’intervention d’un diable, ne font qu’alimenter et aggraver sou
état
morbide et peuvent môme le rendre chronique. On
uit. Au réveil, ces symptômes alarmants reparaissent; et cet horrible
état
dure... environ trois mois ! « La médecine, lor
de nos facultés qui y sont engagées, et essayer de donner de cet
état
do l’âme une théorie selon les règles d’une saine
ès l’auteur du Mémoire n° A, il n’y a rien qui échappe à l'âme dans l’
état
de somnambulisme magnétique, rien à quoi elle ne
s événements les plus reculés et dont elle n’avait rien appris dans l’
état
de veille. Elle prévoit de môme et avec la même c
concentrant. Ce sera toujours l’âme unie à ces organes, qui, dans ces
états
maladifs, en est plus dominée qu’elle ne les domi
ue, l’est tout autant du somnambulisme artificiel et magnétique, deux
états
identiques au fond. — Que ce sommeil magnétique s
iens), se croit dans une position inexpugnable quand il déclare que l’
état
som-nambulique ne pourra être constaté que quand
onstaté que quand on l’aura défini.... Pour M. Lélut, du moins, cet
état
, qu’il soit bien ou mal défini, existe , peut êtr
phe doit étudier. Quant au\ facultés extraordinaires que présente cet
état
, six des concurrents les admettent résolument et
ontrent dans un sommeil morbide, normal, et tout à fait contraire à l’
état
de santé, résultant soit d’une cause accidentelle
us appelons, dit-il, en général sommation une maladie appartenant à l’
état
de veille et souvent périodique, présentant presq
squels l’accroissement du corps se fait remarquer par sa rapidité, un
état
tel que ces personnes, après avoir éprouvé de I’h
e, et peuvent, aux questions faites par celui (pii les a mis dans cet
état
, répondre d'une voix altérée, avec des mots le pl
ec des mots le plus souvent choisis, rendre un compte très-exact de l’
état
de leur santé, annoncer des changements qui auron
été dit par ces personnes, mais il n’en sera pas toujours ainsi. Cet
état
surprenant, dans lequel les sens externes étant a
clairs, plus précis, plus nets, les principales phases, qui dans cet
état
singulier, s’offrent aux yeux de l’observateur co
ide du système nerveux. « Il faudrait peut-être la chercher dans un
état
d’exaltation particulier des parties génitales...
de lui, il venait à moi en chancelant, en décrivant des zigzags. Cet
état
n’étant point dangereux et pouvant se prolonger,
. « Le professeur pense que l’àme se détache de la matière ' dans l’
état
de sommeil magnétique, se déplace et communique a
froid et noir! comme le bâtiment est secoué!... Sont-ils tous dans un
état
, ont-ils delà peine!... Ali ! mon Dieu, pauvre M.
de la Bourse dans ce moment-ci... Gomme il travaille; est-il dans un
état
!... Ça n'est pas amusant d’être là, je ne voudrai
ets, et notamment ceux d’une concentration du fluide dans le cerveau,
état
dans lequel l’âme se contemplerait elle-même et a
omparée nu corps. Mais, voulant citer un long passage sur une sorte d’
état
préliminaire de l’extase, que l’auteur lui-même a
ux, qui plongent dans la profondeur des entrailles et font sentir les
états
généraux de la vie corporelle. « De même, dans
reconnue avec transport et avec cette exclamation : « Ah ! voilà « l’
état
vrai ! » « Cette forme refait le corps, et tant
ifiées par le feu. Que si l’homme se livre au péché et s’il accepte l’
état
faux , l'état d’orgueil et de colère, de tristess
feu. Que si l’homme se livre au péché et s’il accepte l’état faux , l'
état
d’orgueil et de colère, de tristesse et de sensua
de ces faits. « Selon nous, cet ensemble de sentiments constitue l'
état
vrai de l’homme : état très-rare pour nous, qui p
n nous, cet ensemble de sentiments constitue l'état vrai de l’homme :
état
très-rare pour nous, qui parlons ici, et rare aus
our un instant à son image. « Mais qu’est-ce que cette forme et cet
état
, au point de vue théologique ? Je l’ignore. Est-c
rme et cet état, au point de vue théologique ? Je l’ignore. Est-ce un
état
purement naturel, et l’âme reprend-elle naturelle
nore pleinement. « Cependant il estbien à croire que, dans tous les
états
humains possibles, Dieu fait sentir à l’âme, de t
é possible sur la terre. « Quoi qu’il en soit, cet état d’âme est l’
état
vrai : cet état seul, plus ou moins senti, est la
a terre. « Quoi qu’il en soit, cet état d’âme est l’état vrai : cet
état
seul, plus ou moins senti, est la source des gran
Alors un contrôle sérieux aura lieu, et l’on ne tardera pas à être en
état
d'apprécier leurs prétentions. Si elles sont fond
stes de Paris. Car nous affirmons qu’ils n’ont jamais vu de médium en
état
de lire à chaque instant et à coup sûr la pensée
qui ont le don heureux , le pouvoir merveilleux d’être lucides dans l’
état
de somnolence magnétique. Des expériences innom
leur signification? Enfin, la personne dont il parle qui, dans les
états
de crise, semble transformée en une autre personn
vie de l’âme suivant les mondes avec lesquels elle communique. Dans l’
état
que nous appelons naturel, parce que c’est celui
ouvons le plus souvent (et c’est pourquoi il paraît au sens commun J’-
état
normal), l’âme est en relation avec le monde phys
ns vivante. Elle vit peut-être alors avec plus d'intensité que dans l’
état
réputé norrrtal, bien que le monde et les êtres a
rentrer dans la conscience de nous-mêmes. Que devient l’âme dans cet
état
mystérieux ? Avec quel monde, avec quels êtres es
lquefois transmises à l’âme et qui se rapportent à sa position dans l’
état
de veille? Ces faits, qui ne peuvent être niés co
el, comme on voudra l’appeler, qui par son action produit en elle des
états
et excite des actes dont la conscience lui échapp
eut saisir et analyser par la réflexion. « Il en est de même de ces
états
sublimes de l’intelligence où l’homme, éclairé pa
le génie de l'artiste transporté p u- la vue do 1 idéal, sorteut de l’
état
permanent naturel ou ordinaire de 1 humanité; ils
quelquefois le vulgaire les accuse de folie. « Le caractère de, cet
état
est aussi la suspension plus ou moins complète de
nce de ïa psychologie expérimentale, puisqu’elles se rapportent à des
états
où l’observation de soi-même devient impossible o
nt impossible ou au moins très-difficile. (c II en est de même de l’
état
où l’âme peut entrer par la prière, c’est-à-dire
érer ce côté surnaturel de l’existence humaine. « Enfin, il y a des
états
singuliers où les phénomènes psychologiques les p
er avec des êtres d’un autre monde, etc. Ici plus encore que dans les
états
précédents, la conscience est suspendue, et il n’
adies où ils se produisent le plus fréquemment (car c'est toujours un
état
maladif causé par la rupture de l'équilibre entre
er le sang, etc., et on verra dans ces faits autant de preuves de cet
état
dont nous parlons, qui s’est manifesté de diverse
ivité rentrent dans leur cours habituel. Il en est de même dans cet
état
analogue au sommeil qu’on appelle la rêverie, par
réflexion et la perte de la connaissance s’ensuit. En sortant de ces
états
, on revient à soi, on reprend ses esprits, comme
r l’esprit se reprend en effet et redevient présent à lui-même. « L’
état
singulier qu’on appelle somnambulisme, qu’il arri
mme s’ils étaient deux personnes distinctes et séparées, l’une dans l’
état
ordinaire et l’autre dans la crise. Dans ce derni
l’une dans l’état ordinaire et l’autre dans la crise. Dans ce dernier
état
, le sujet se nomme toujours à la troisième person
rsonne très-naïve et très-pieuse, qui tombe naturellement dans uu tel
état
, quand elle est vivement affectée par une cause m
servir d’instrument à l'intelligence et à la volonté. 11 y a dans cet
état
incapacité de réfléchir, de penser, de vouloir ;
on âme, tout son amour à la place de Dieu qui seul a droit (1). « L’
état
de l’âme qu’on appelle enthousiasme lui ôte momen
nage pour ainsi dire dans un océan d’amertume ou de bonheur. Dans cet
état
, elle ne peut ni penser, ni parler, ni agir, elle
verser? L’arbre demeure-t-il éternellement du côté où il est tombé? L’
état
de l’âme, après la mort, est-il définitif, irrévo
altation de nature extatique ; il est donc très-possible que dans cet
état
anormal, leur sensibilité soit émoussée et qu'ils
r impunément certaines tortures qui leur seraient intolérables dans l’
état
ordinaire ; il serait donc possible qu’ils présen
nous est naturellement sympathique ou inférieur en influence par son
état
maladif ou para propre volonté ? Comment, dis-je,
Deux semaines de magnétisation amènent une grande amélioration dans l’
état
de la malade, qui a été entièrement guérie par le
malade, qui a été entièrement guérie par les remèdes indiqués dans l’
état
de lucidité par la gouvernante de la jeune fdle e
is d’une magnétisation quotidienne ¿une demi-heure, l’enfant était en
état
de percevoir le bruit. le,.plus léger et de . dis
nsom-ipe, calment les accès et amènent une grande amélioration dans l’
état
de la malâde. îsov. Le colonel de B., membre de
ques heures, au grand étonnement du médecin qui, le matin, trouvait l’
état
de la malade assez inquiétant pour engager les ma
cher, d’Heddernheim, près Francfort. Aménorrhée, crampes d’estomac,
état
de langueur et abattement général. Une séance d’u
l’on voulait qu’il pût dire au mourant un dernier adieu. Tel était l’
état
du malade lorsque je fus appelé près de lui, sino
tète, d’atroces coliques, de nausées et de vomissements de bile. Cet
état
durait depuis quarante-deux heures, malgré les ef
Bien plus, en opérant sur un grand nombre d individus, nous serons en
état
de dresser la statistique de ses effets. Ce sera
ais offrent tant d’exemples et qui est dii domaine de la seconde vue (
état
magnétique naturel ou spontané). Ce n’était pas n
ersonne dont le sommeil magnétique était fréquemment lucide. Dans cet
état
, je la faisais voyager et il arrivait de deux cho
mot encore pour finir. Nul.n’iguore que, lorsque le sujet est dans un
état
de somnambulisme approchant de l’extase, il arriv
vça 0lite3 songesvet les soi-disant visions des somnambules ? — quà l’
état
de veille, nous n’avons qu’à penser à une personn
action , chez ceux qui arrivent au somnambulismes jusqu’à l’extaSe, ■
état
dans lequel ils perçoivent,’-non plus seulement c
de la ville une proposition signée : il s’engageait à rétablir dans l'
état
normal de santé les membres que les médecins cond
n» 53 du 10 mars, page 121. Qui produit cette modification dans l’
état
d’agrégation des corps? C'est la cluilcur; c’est
les conséquences. Nous ne connaissons de corps élémentaires dans un
état
de pureté parfaite que ceux qui s'offrent à nous
nveloppccharnelle, faculté qui serait principalement i nhérente à ces
états
. Nouscreyons en effet que, lorsque AL Lassaigne a
onnaît déjà l’existence d’un nombre infini d'Esprits qui sont dans un
état
de bonheur ou de souffrance proportionné au bien
corps humain. L’expérience démontre le contraire : les somnambules en
état
de voir les maladies et les remèdes sont beaucoup
sentiments, il arrivera souvent qu’ils ne pourront s’élever jusqu’à l'
état
anormal, grâce auquel ils étaient éclairés d’une
s du maître. Les hominicules demeurés ou retombés dans le chaos à l’
état
neutre ou cataleptique peuvent en être tirés parl
tin. Je m’y trouvai et je vis la partie malade qui était dans le même
état
que la veille. Après que son aide l’eut lavée, il
ndant une demi-heure, après quoi il se trouva parfaitement sain et en
état
de frapper sur l’enclume. — Un M. J. G... avait
qu’il existait jadis des individus doués d’une science surhumaine, en
état
de donner sur toutes les questions des solutions
ssent ordinairement de la lucidité qu’après avoir été plongés dans un
état
particulier par l'action d’un magnétiseur, dont l
u par écrit ou de vive voix : on suppose donc que les Esprits sont en
état
de voir et d’entendre ce qui se passe dans la sal
conviction de n’être pas les auteurs ; ils peuvent donc, dans cet
état
et avec une entière bonne foi, mettre en jeu quel
'elle s’échappe d’une chaudière. Après une demi-heure passée dans cet
état
, la respiration se supprimait tout à coup. Le cœu
ent en compliquer les accès. Nous trouvâmes parfois la malade dans un
état
complètement cataleptique... On comprend que tous
par ces procédés, première et évidente preuve de la supériorité de l’
état
qui confère ces privilèges. Mais comment lès chos
nstitution de l’individu, qui dérive elle-même et des parents et de l’
état
des astres au moment de la naissance ou de la con
parole, a remercié l'assemblée de son accueil sympathique, a exposé l’
état
du magnétisme en Amérique, où les partisans d’une
de petites au-guilles. Si tout le système névralgique est dans cet
état
, je comprends les souffrances de la malade, me di
-lismea fait un appel à tous les médiums et à toutes les personnes en
état
de présenter quelque chose de remarquable en ce g
RVEILLEUX. C’est une tradition très-vulgaire et très-ancienne que l’
état
du ciel annonce les grands événements humains. To
sombres et mélancoliques, nous trouvons plusieurs indications de cet
état
maladif de l’esprit public. La tristesse des idée
somnambules découvre des secrets que ne peut atteindre l’homme dans l'
état
ordinaire ; il y a donc dans l’art divinatoire un
x d’une extrême difficulté, et dont ils seraient incapables dans leur
état
ordinaire. Voici un nouvel exemple qui nous paraî
ormie du sommeil magnétique, elle annonça son projet de faire, dans l’
état
de noctambulisme, une tapisserie dont elle exposa
ntait déjà une grande difficulté, et certainement une personne daus l’
état
ordinaire n’aurait pu travailler dans de pareille
ettre son ouvrage, puis elle allait se coucher tranquillement. Dans l'
état
de veille, elle ne conservait aucun souvenir
n sommeil magnétique, elle se rappelait ce qui s’était passé dans son
état
de noctambulisme; mais il n'v avait pas réciproci
ut en juger par les quelques paroles qu’elle prononce dans ce dernier
état
. On ne put faire à ce sujet d'expérience suivie,
quelque lumière sur la voyance et les conditions qui font naître cet
état
singulier : « Le maréchal Blücher venait d’atte
étranges. « Voici cou ment il procède. 11 prend un oiseau dans son
état
le plus sain, le plus normal ; pendant plusieurs
a chasse et toujours à portée J'éiudier les mœurs des animaux à l'
état
domestique on à l'état sauvage, Alphonse Tousscne
s à portée J'éiudier les mœurs des animaux à l'état domestique on à l'
état
sauvage, Alphonse Tousscnel, n’a pas hésité à int
toujours «n grand intérêt et facilitent les études du somnambulisme,
état
encore si peu connu, comme tout ce qui tient aux
rg « (elle est très-renommée ; cependant ma confiance, en elle, « à l’
état
de veille, n’était pas très-marquée); je l’invoqu
au lit, insensible et ayant îi peine conscience de son existence; son
état
était désespéré. M. Page, en lui imposant les mai
ue entre le somnambule et ceux qui sont en rapport avec lui; Dans cet
état
, l’âme passe tout entière pour ainsi dire dans le
e il se trouve en rapport. Celle-ci peut à son gré le rappeler de cet
état
et l'y plonger de nouveau. Elle exerce sur lui un
mourir près de ses enfants. On lui fait observer qu'elle n’est pas en
état
de quitter son lit et de monter à cheval. Elle pe
décisives; elle est prête à indiquer, d'après une mèche de cheveux, l’
état
de santé d’un individu, et à décrire, au seul con
de santé d’un individu, et à décrire, au seul contact d’un cadavre, l'
état
des organes intérieurs et les causes qui ont amen
ra dans la voie que nous indiquons, plus le nombre des commissions en
état
d’expérimenter d’une manière efficace ira en s’ac
, laisser subsister le doute. Par exemple, qu’un somnambule décrive l’
état
d'un malade, ses indications peuvent être vagues,
e fis en 1846. Mes trois fils tombèrent malades dans le moment où mon
état
devint le plus critique (je restai sans connaissa
commandé. Il y avait quarante-huit heures que le corps était dans cet
état
, quand le grand-père, homme très-âgé, vint de Lan
fait par la jeune fille elle-même. Actuellement l'enfant est dans un
état
tel, qu'on ne sait si l’on ne doit pas regretter
s réserves quant à la bonne foi d’une partie des médiums qui, dans un
état
mental particulier, peuvent exécuter des mouvemen
paraître prochainement les observations qu’a suggérées à M. Conrotson
état
habituel de songeur et dévoyant éveillé. On n’ign
el de songeur et dévoyant éveillé. On n’ignore pas que ce fut aussi l'
état
d’Apollonius de Tiiyanes et de bien d’autres pers
par l'Académie des sciences morales et politiques, considère cet
état
et le somnambulisme comme une sorte de dégradatio
es entrailles et les placer devant lui, puis rentrer dans son premier
état
. Ce spectacle, quelque atroce et quelque dégo
dement la main sur la blessure de son ventre, et tout rentre dans son
état
primitif, sans qu'il lui reste la moindre trace d
ngea : aux contorsions violentes du système musculaire succéda un
état
de calme complet; il paraissait endormi, ses yeux
r l'invitation d’une des personnes présentes. 11 était, en un mot, en
état
4e somnambulisme. Je in’enquis des causes présumé
ine veille. Les passes magnétiques me paraissent être la cause de l’
état
actuel de l'enfant : je n’en vois pas d’autre.
teur. — J'ai vu le jeune malade le 13 octobre •1858; il était dans un
état
somnambulique, jouissant de locomotion volontaire
athéchisme. Mon fils le vit dans la nuit du 15, il était dans le même
état
et conjuguait le verbe pouvoir. Ce n'est que quel
ques dans lesquelles il éprouve de violentes convulsions suivies d'un
état
de calme et de somnambulisme. Le pauvre magnétise
sorte, de leur ignorance. Le premier médecin, après avoir exposé l'
état
de l’enfant, dit ne pas croire au fluide magnétiq
opinions toutes faites, puisées on ne sait où, et qu’on n’est pas en
état
de justifier. Le témoin déclare que « ni la que
nce de Soubise était sérieusement malade de la fièvre scarlatine; son
état
était devenu alarmant; les médecins n’espéraient
re éclore des facultés anormales. Cagliostro passait pour être en
état
d’évoquer les morts, de les faire apparaître et p
Un homme âgé mourut dernièrement après avoir passé huit ans dans un
état
de prostration causé par la paralysie. 11 apparte
à. son indisposition, et ne la quitta qu’après l'avoir ramenée à son
état
normal et avoir fait ii la mère les recommandatio
lquefois à celle-ci d’être vue en plusieurs lieux à la fois. Mais cet
état
peut être aussi l’effet d'une disposition naturel
ignait toujours d'avoir 1111 poids sur le cœur et s’inquiétait de sou
état
. On la consola, en l'engageant à. avoir confiance
souffle ni mouvement, qui survient après l’insomnie, indique que son
état
était une catalepsiè, compliquée de somnambulisme
était une catalepsiè, compliquée de somnambulisme spontané. Dans cet
état
, comme on le sait, les spasmes toniques, où tous
s dans une position singulière. L’exemple précité prouve que dans ces
états
, certaines cir- constances étant données, ¡1
i s’approchèrent plus ou moins de la vérité. Et puis sommes-nous en
état
de juger l’antiquité? le peu d’ouvrages qui nous
cette définition ne soit la bonne. En effet, si la magie n’est pas en
état
de prouver sa réalité par la production de certai
os villes, ni terreur, ni admiration, parce que, tout en étant hors d’
état
d’en comprendre le mécanisme, ils savent que c'es
rend les papiers qui, quand f y assistai.se retrouvèrent dans le même
état
, mais qui, dit-on , dans d’autres circonstances,
longtemps dans le tombeau, conservées par la lumière astrale dans un
état
complet de somnambulisme lucide : a Leurs âmes al
elle il apparaît à nos yeux, la matière brute, dis-je, sortant de cet
état
d’ébullition, fut soustraite peu à peu à ce choc
même du mouvement, soit organique, soit inorganique et retomba dans l’
état
d’inertie. Alors, à cette époque de refroidisseme
quilibre général qu’elles ont pour but de maintenir, dans l’homme à l'
état
de santé. Nous trouvons ces polarités très-pron
différence s’observe également pendant le sommeil comparativement à l'
état
de veille. Cette influence de la position sur le
alepsie (1). M. Michèa. « Puisque M. Puel affirme avoir constaté un
état
d’hypéresthésie très-prononcé à la région épigast
nomie, des relations directes ou indirectes, mais qui sont tels que l’
état
de ces appareils exerce une influence sur nos dis
sitions morales. Cette influence se manifeste particulièrement dans l'
état
de rêve ; elle en détermine souvent la nature. Ai
s propter hoc, quoique ce fût post hoc. Ce fut alors que je la vis. L’
état
du faciès et celui du pouls me firent douter de l
me vint alors de répéter ce que j’avais vu faire suides personnes en
état
de somnambulisme; je fis quelques frictions sur l
Sommeil, des rêves et du somnambulisme dans tétat de santé et dans l'
état
de maladie (2), ouvrage où sont admises et décrit
la vis tout à coup entrer, sous l’influence de ce médicament, dans un
état
de lucidité des plus merveilleux. Elle distinguai
d’un livre quelconque, la lecture en devenait aussi rapide que dans l’
état
naturel. 11 y avait donc réellement vision. Le gr
e minute, de deux jours en deux jours, suffisent pour le remettre à l'
état
normal. Je pense que vous vous êtes déjà fait la
ieure ait fait déborder la leur. Enfin de ce qu’une personne, dans un
état
particulier, peut jouir de certaines facultés ano
stations par des procès* verbaux signés de témoins respectables et en
état
de bien observer. On ne peut rien nier à priori;
mêler à la nourriture quotidienne prolonge la vie, mais dispose à cet
état
de demi-sommeil et de folie dont on se sert avec
leva de son ht, se promena dans sa chambre ; et dépuis elle a été en
état
de marcher et de vaquer à ses affaires. Lors de l
t ses amis là déterminèrent à me faire venir. Je la trouvai dans un
état
fort alarmant et en proie à de cruelles souffranc
ue je lui eus imposé les mains, elle se trouva également guérie et en
état
de marcher. Elle sortit de suite dans la rue pour
dit que le malade était un jeune homme d’environ quatorze ans, dont l'
état
était très-grave, qui était très-affaibli ; à l’i
n vu de pareil ni entendu parler d'un tel mal. Alors, elle décrivit l’
état
du malade d’une manière aussi précise et aussi mi
t une déplorable victime de la sorcellerie. En présence d’un pareil
état
mental, M. d’Hector de Roche-fontaine, substitut
nte, et trouva la somnambule assise sur le bord de son lit et dans un
état
de préoccupation profonde. Elle n’avait aucunemen
a réellement une forme singulière de la vie, un mode d’existence, un
état
dynamique du système nerveux qui comporte des fac
action directe, immédiate de l’homme sur l’homme; qu’il y a enfin un
état
somnambulique qui n’est pas plus contestable que
y a enfin un état somnambulique qui n’est pas plus contestable que l’
état
hystérique ou l’état cataleptique. A ce titre, le
mnambulique qui n’est pas plus contestable que l’état hystérique ou l’
état
cataleptique. A ce titre, le somnambulisme est un
n entier qu’après la mort du corps. Mais toujours est-il que, dans un
état
pareil, il est permis de supposer qu’elle peut en
stères du magnétisme qui parle, mais un ancien praticien qui, dans un
état
désespéré, a eu recours au magnétisme et qui a ob
complète; je la magnétise, et, pour la première fois, elle présente l’
état
cataleptique. Sur ma demande, elle ouvre les yeux
respiration entre-coupée des hystériques. — Nous la laissons dans cet
état
pendant 6 minutes environ, pour observer l’accès,
travaille. « Deuxième question. — Quel rapport y a-t-il entre votre
état
actuel et les accès convulsifs que vous avez eus
ession et une toux nerveuse. «Le matin, je trouve la malade dans un
état
qui avoisine le coma. Les réponses sont courtes,
tes, lentes, mais justes. Après chaque réponse, elle retombe dans cet
état
semi-comateux. Le pouls est large, à 105; ronchus
liques.. Ce matin, soif ; pouls large et fort, à 115. Du reste,..mime
état
. Pendant la journée, la malade se plaint de courb
sensible à la pression. — Quelques coliques. — Soif. — Du reste, même
état
qu’hier. Je prescris 40 centigrammes de calomel,
t sur le cou, des cataplasmes sédatifs sur le ventre. * Le 25. Même
état
, pouls petit à 65. « Le 26. M. le docteurGros m
ence est intacte. « A 2 heures de l’après-midi je la trouve daus un
état
ady-namique complet, presque en syncope. Le pouls
nts dont il n’avait aucune souvenance lorsqu’il était rentré dans son
état
normal. Cette singulière découverte ne pouvait
parla concentration de son esprit. Cette sorte d'abstraction amène un
état
particulier, dans lequel le sujet, tout ¿veillé e
rir les yeux. Si néanmoins les paupières se lèvent, c'est-à-dire si l’
état
impressible n’existe pas ou est incomplet, M. Dar
he, une rupture de l’équilibre nerveux favorable à la production de l’
état
impressible, qu’elle complète par des moyens usue
ue la langue anglaise n’a point de mot pour la peindre ; après quoi l’
état
impressible est ordinairement produit. Les autres
es, dit M. Gregory, s’apercevront que ces phénomènes, produits dans l’
état
de veille, dépendent de ce qu'on appelle suggesti
la plus grande étendue, sur beaucoup de personnes, tandis que dans l’
état
ordinaire, un très-petit nombre d’individus en so
ommeil puységurique paraissait être la condition, s’obtiennent dans l’
état
de veille et de conscience, c’est-à-dire apparemm
son avis, si l’on considère combien la clairvoyance est fréquente à l’
état
de veille ; sans parler des prophètes et autres v
fluide vital ou magnétique distribué dans les muscles, d’où résulte l’
état
où la suggestion est possible : le sommeil, la tr
galité relative entre l’encéphale et le reste du corps, mais dans des
états
différents. Ces divers moyens sont donc à examine
09, 312, 459, 636. FAITS ET EXPÉRIENCES. Accidenls arrivés dans l'
état
léthargique. 28, 280, 447; — magnétique, 44, 506;
ons thérapeutiques, 21. Indépendance morale des somnambules, dans l'
état
magnétiqué, 43, 313. Intuition médicale, 114, 3
ar M. Morin, 271. Sommeil (du) del rêves et du somnambulisme dans l’
état
de santé et de maladie, par le Dr Macario. Citati
ulin. La lucidité souffre autant d’une santé trop parfaite que d un
état
trop maladif : une de nos somnambules sentant en
par moment tous les phénomènes de l’aliénation mentale, sans que cet
état
doive inquiéter le magnétiseur, alors môme que ce
magnétiseur, alors môme que cette aliénation se montre en dehors de l'
état
somnambulique et n'a pas été annoncée en somnambu
és à des substances médicamenteuses dont ils avaient connaissance à l'
état
de veille, et qu’ils employaient avec beaucoup d’
discute, on se promène, on travaille, on mange, on boit,comme dans l’
état
naturel; on peut donc se faire une idée d’une par
e de satisfaction a constamment brillé sur son visage, et, revenu à l’
état
normal , il a déclaré devant l’auditoire que le s
ait-il, obligé de contrarier la nature, en faisant cesser trop tôt un
état
de bien-être où se complaisait le magnétisé. «
du magnétiseur, de voir le colosse qu il désirait faire tomber dans l’
état
de somnambulisme ; mais le gant était jeté, il fa
eur. Enfin, après l’avoir tenu environ trois .quarts d’heure dans cet
état
, il le démagnétisa et, tout en le faisant, démagn
e, et cependant sans quitter le triangle, et peu après il fut dans un
état
complet de somnambulisme. Dans ce moment le magné
de la puissance qui agissait sur lui, en passant successivement d’un
état
de première torpeur à. un tremblement convulsif t
ent prononcé , que je craignais de le voir tomber en convulsion ; cet
état
d’exaltation nerveuse se prolongea bien une bonne
e qui prouve que sa lucidité est tellement grande quand il est dans l’
état
de somnambulisme, qu’il voit parfaitement au trav
ibre vraiment étonnants, le tout sans cesser un instant d'être dans l’
état
de somnambulisme, car c’est ainsi qu’à onze heure
voyée à Bayonùe pour y faire le service auprès de l’Empereur. « Ses
états
de services nous apprennent qu’il rentra dans l’a
ci le témoignage flatteur que le général de Muller inscrivait sur ses
états
de service : o L’inspecteur général, général en
des esprits sans corps sera longtemps contestée. Rappelle-toi que l’
état
magnétique n’est ni le sommeil ni la veille, mais
sortir de cette lé-« thargie. » « Le saint évêque décrit ensuite l’
état
extatique du prêtre, et ce qu’il dit est tout à f
o Lyon, 1549, page 45. vent cette voix frappe notre oreille dans un
état
intermé-« diaire entre le sommeil et la veille. Q
mi fermés. Ce « sont là positivement les songes divins envoyés dans l’
état
ii mitoyen entre la veille et le sommeil. » (
et le sommeil. » (i Demandez à tout somnambule de vous décrire son
état
, il n'y réussira pas mieux que 11e vient de le fa
étisée, par exemple, à laquelle nous nous tiendrons comme preuve de l'
état
avancé et d'expérimentation complète que la scien
le réveille avec la même facilité. Dernièrement je lui dis, dans l’
état
de veille : Lorsque je ferai psil, vous dormirez.
mes alors, nous donnant le bras, absolument comme s’il eût été dans l’
état
de veille. Dernièrement, dans une réunion où se
La jeune somnambule, car il n’y avait aucun doute à conserver sur son
état
, murmurait quelques paroles inintelligibles que l
nétisme de nos jours, si contredit, si nié, parce qu’en effet, en cet
état
de transition , il ne représente ni le mort ni le
as en avant pour nous préserver d’une chute. Quand il s’exerce dans l’
état
de veille, il ne nous fait faire que des actions
, elle combine certains ordres d’idées bien supérieures à celles de l'
état
normal, perçoit une infinité de choses qui ne tom
ion qui leur est propre, quand elles sont restées pour ainsi dire à l'
état
d'enfance, en présence de ces appétits ayant tout
cipe chez tous les adeptes de l'illuminisme. Le somnambulisme est l’
état
qui nous a semblé jusqu’à ce jour le plus favorab
ui exige Une véritable éducation. Les mensambules se trouvent dans un
état
singulier dont les uns ne paraissent point frappé
ort vers le point d’où elle était partie; qu’elle ressentait alors un
état
de béatitude ou de peine, suivant ses bonnes ou s
substitue au mot magnétisme le terme concentration, pour expliquer l’
état
passif où doit être l’esprit de l’individu chez l
d.i sujet, rendre somnambule celui qui n'aurait aucune tendance à cet
état
, et, pat le même motif, un guérirait le somnambul
de l’âme asservie aut manifestations des sens: cependant, si dans cet
état
elle re- I Mj^niHisour. ;i‘ Ouvra»' ciltf. p
nserve encore quelques points de contact avec les sens. C’est donc un
état
intermédiaire entre l’homme sensitif et le pur es
de abstraction des sens, jouit de la faculté de passer à son gré de l’
état
sensitif à l’état intuitif, par la concentration.
sens, jouit de la faculté de passer à son gré de l’état sensitif à l’
état
intuitif, par la concentration. Toutefois, l’intu
e elle est proportionnée , n’y est jamais aussi profonde que dans cet
état
île calme (■!). » Nous admettons sûrement la su
ambulisme, mais nous rejetons la possibilité de passer à son gré de l’
état
sensitif à l’état intuitif, /ou/cs les fois que l
us rejetons la possibilité de passer à son gré de l’état sensitif à l’
état
intuitif, /ou/cs les fois que l’on aura recours à
es relations coupables avec des hommes ; que d’autres étaient dans un
état
de grossesse ; Attendu que, sans examiner l’opi
une autre classe. Quelques-uns ne parlent que lorsqu’ils sont dans un
état
de transe, mais d’autres parlent dans leur état n
rsqu’ils sont dans un état de transe, mais d’autres parlent dans leur
état
normal. Dans ces cas, il semble que l’intelligenc
fait agir ; seulement elle se trouve, dans « le monde spirituel, à un
état
plus raffiné, plus élevé. » Le juge Edmonds, qu
onter à sa source; que, ni dans sa vie terrestre, ni dans aucun autre
état
de sa future existence, l'homme n’est gouverné pa
n plus condamné à un long sommeil sans rêves ; mais que, passant à un
état
où les maux de la vie matérielle n’existent plus,
et se figurent qu’ils sont appelés à exercer une mission dix ine. Cet
état
se rencontre surtout lorsque l’exaltation intelle
à son intérieur, voyons ce que l'expérience nous apprend, 1° I)e l'
état
de l'homme, lorsqu'il détache son esprit des chos
rit des choses sensibles pour l’appliquer aux insensibles; 2° De. l’
état
oii il se trouve lorsque son esprit est tout enti
tact est même plus délicat alors, et beaucoup plus parfait. Dans cet
état
, des personnes ont vu des esprits et des anges au
elles les ont entendus, elles les ont touchés. Dieu m’a mis dans cet
état
trois ou quatre fois. « Quant au second état, j
Dieu m’a mis dans cet état trois ou quatre fois. « Quant au second
état
, j'en ai fait l’expérience en marchant dans la vi
arché ainsi pendant des heures entières, je revenais subitement à mon
état
d’homme ordinaire, avec l’usage de mes sens, et j
e l’humanité souffrante. III. _Le quiétisme, dont le nom spécifie l’
état
de calme et de repos où l'esprit doit se trouver,
se et d’un développement manifeste des fonctions intellectuelles. L’
état
extatique de P.-M. Vintras fut contesté par l’aut
euses qui ne laissent aucune trace de lésion anatomique, émanent d’un
état
anormal dans la circulation du fluide magnétique.
contravention prévue par l’art. 371), § 7, du Code pénal, et cela en
état
de récidive, aux termes île l’art. 483 ; « Sans
ruit seul chez les personnes dont le [cœur et les artères sont en bon
état
, pourra être, dans la majorité des cas, un signe
on emploie trop souvent chez les femmes enceintes, en augmentant leur
état
eblorotique augmenteraient-elles aussi leur sensi
était autrement, il y aurait encore à se demander et à vérifier si un
état
morbide passager, en modifiant l’état du sang, ne
se demander et à vérifier si un état morbide passager, en modifiant l’
état
du sang, ne s’opposerait pas à la manifestation d
néral le bruit de souffle carotidien ; le pouis est plus élevé qu’à l'
état
normal, el la respiration plus active. Les artè
st très-simple de comprendre (pie cette malade passera facilement à l’
état
somnambulique ; à plus forte raison doit-on compt
re de touche pour désigner à l’avance les différentes aptitudes à cet
état
maladif, que nous connaissons sous le nom de somn
En (ôte de ces signes accessoires je mettrai la perte d'appétit, un
état
de langueur, une espèce d’engourdissement dans le
pas inutile de rappeler ici les principaux moyens de mctti” fin'à un
état
qui, sans être grave en soi, inquiète beaucoup ce
s qui sont le siège de la douleur, du spasme ou du délire. « En cet
état
, rien n’est ordinairement plus facile que de réta
veuses et de ramener rapidement les victimes de l'expérimentation à l’
état
ordinaire de leur santé. Il suffit de mettre les
duquel l'auteur s'exprime ainsi, à propos de la lucidité comparée à l'
état
des medium. « On serait tenté, dit-il, de place
, domine sa volonté et l’attire insensiblement vers l'abîme. Même à l’
état
de veille, Marguerite subit encore cette dominati
; la jeune fille me dit qu’elle était guérie et qu’elle se croyait en
état
de reprendre sa place. Le lendemain, les battemen
es ranimai. Dès que je suspendais mon action, ils retombaient dans un
état
d’anéantissement et semblaient morts ; dès que je
vait fait périr plusieurs. Elle était malade depuis un jour, et son
état
paraissait désespéré. .le la magnétisai ; elle s’
s au soir, vers onze heures moins un quart, je le questionnai sur son
état
qu’il disait être très-bon, lorsque soudainement,
ur l'œil observateur il y eût apparence de souffrance marquée. En cet
état
, et pour un moment, il semble vouloir dormir ; le
t humain sont souvent étrangement influencées, de manière à amener un
état
du système entièrement anormal, et cela par des c
bord de la nature de l’âme et traite de ses facultés observées dans l’
état
de veille, dans celui du sommeil et dans le somna
s caractères du sommeil, et qui, à bien des égards, est supérieur à l’
état
de veille; il se met en rapport avec les objets e
rodigieuse et des facultés anormales. Qu’v a-t-il de commun entre cet
état
transcendant, entre cette activité exubérante qui
é et jouissent des autres facultés du somnambulisme. Le sommeil est l’
état
le plus inférieur de la vie humaine, le somnambul
l’état le plus inférieur de la vie humaine, le somnambulisme en est l’
état
le plus élevé, le plus brillant. De l’insensibi
t l’état le plus élevé, le plus brillant. De l’insensibilité dans l’
état
magnétique, M. Noizet con- dut que l’âme est un
’implique pas celle de l'organisme entier ; que le somnambule, dans l’
état
décrit par l'auteur, entend son magnétiseur et lu
objets extérieurs soient semblables à celles qu’on peut avoir dans l’
état
de veille ; il pense que si l'objet qui a produit
te. Tous reconnaissent qu’une personne peut tomber d’elle-même dans l’
état
appelé magnétique, et que la plupart des effets p
t d'être mien, et cette idée me serait étrangère. Je suis donc hors d’
état
de l’exprimer, et je suis en droit d'affirmer que
s l'intervention d’êtres surhumains, que les opérateurs arrivent à un
état
de surexcitation et d’hallucination dans lequel i
Cette théorie est spécieuse ; mais il nous semble qu’elle est hors d’
état
de rendre compte de tous les phénomènes, notammen
les, mais qui manque même du nécessaire, c’est-à-dire qui est dans un
état
maladif ou de défaillance, au lieu de verser dans
ral, ne se forme et ne se répand que par la libre discussion. Aussi l’
état
scientifique d’un pays est-il ordinairement en ra
e qu’elle a suivi, les difficultés qu’elle a rencontrées, enfin son
état
d’avancement ou de retard dans tel ou tel pays ci
nues jusqu’à présent de la péninsule. Dans un poétique tableau de l’
état
des croyances mesmé-riennes en Espagne, M. Jules
lité du livre, tandis que la phénoménologie pure n’y est guère qu'à l’
état
de simple énoncé. Quant au somnambulisme, il en e
itter les traits pallides de son sujet pour aller animer son âme. Cet
état
de veille de l'àme et de sommeil du corps se nomm
sommeil du corps se nomme lucidité somnambulique, parce que, dans cet
état
, l’âme est douée d’une vue céleste qui lui fait t
ou enfin qu’ils ne sont pas dans les circonstances nerveuses (lisez l’
état
magnétique) nécessaires pour que toute leur force
es par la volonté ; 2° la production, par suite de cette action, d’un
état
particulier différent de l'état normal. J’ai dé
tion, par suite de cette action, d’un état particulier différent de l'
état
normal. J’ai déjà cité le texte où M. Babinet r
vons, de cette influence nerveuse, de l’action magnétique, résulte un
état
particulier, l'état dans lequel les facultés de l
ence nerveuse, de l’action magnétique, résulte un état particulier, l'
état
dans lequel les facultés de l'être paraissent mod
ouvement des tables est dû aux impulsions des opérateurs arrivés à un
état
de crise magnétique, agissant, sans en avoir la c
du souvenir des actes, supposait l’opérateur ou les opérateurs dans l'
état
normal ou naturel. Ceux qui se sont occupés plu
que nous écrivons, savent qu’il existe une série fortement nuancée d’
états
par- ticuliers différents de l'étal normal. Nou
d’existence le nom de crise, que lui avait donné Mesmer (1). Dans cet
état
de crise, le sujet n’est plus en possession compl
e, des étals qui ne sont que les deirrés nlus ou moins prononcés de l'
état
crisiaque. Le somnambulisme naturel ot la choré
l’infâme mixture connue sous le nom do petit bleu des barrières. L’
état
de béatitude (suivi d’accidents graves) produit p
cations aux facultés, soit corporelles soit animiques. 1 ’ Certains
états
morbides paralysent ou développent d'une façon ét
is ceux-là savent aussi combien l’imagination des sujets soumis à cet
état
crisiaque est surexcitée, et quelle difficulté l’
eptives de celles qui proviennent de la faculté imaginative. Dans l’
état
de crise provoqué par les procédés du magnétisme
semble alors qu’il y ait une sorte de mélange ou de combinaison de l’
état
normal avec l’état de crise. L’état magnétique
y ait une sorte de mélange ou de combinaison de l’état normal avec l’
état
de crise. L’état magnétique sans sommeil, que p
mélange ou de combinaison de l’état normal avec l’état de crise. L’
état
magnétique sans sommeil, que produit fréquemment
emment M. du Potet à ses séances, fournit de nombreux exemples de cet
état
mixte. Les phénomènes produits par la méthode que
ciété de Jésus), permettent aussi de constater cette coïncidence de l’
état
crisiaque et de l’état normal. Lorsque le sujet
tent aussi de constater cette coïncidence de l’état crisiaque et de l’
état
normal. Lorsque le sujet est isolé, on observe
ire île tous les autres actes. Peut-être y a-t-il plutôt succession d’
états
de crise ii divers degrés, ou alternance de l’éta
utôt succession d’états de crise ii divers degrés, ou alternance de l’
état
de crise avec l’état normal, que mélange des deux
ts de crise ii divers degrés, ou alternance de l’état de crise avec l’
état
normal, que mélange des deux étais. Si, dans l’
de crise avec l’état normal, que mélange des deux étais. Si, dans l’
état
normal, beaucoup d’actes volontaires sont exécuté
ien, à plus forte raison, cette circonstance doit se présenter dans l’
état
de crise, où les facultés du sujet éprouvent touj
rocédé employé par Mesmer (le baquet) pour développer ou déterminer l’
état
de crise. Nous avons évité avec soin, dans tout
e mettre les membres de la chaîne ou quelques-uns d’entre eux dans un
état
de crise plus ou moins prononcé. Si l’état de c
-uns d’entre eux dans un état de crise plus ou moins prononcé. Si l’
état
de crise des membres de la chaîne n’est pas assez
n que celle de ces impulsions. Comme les personnes qui restent dans l’
état
normal sentent distinctement l’impulsion mécaniqu
es ne ressentiront rien du tout. Ceux, au contraire, qui sont dans un
état
de crise assez avancé (ce cas se rencontrera, si
touché, ôtaient tout ecchy-mosés (martelés de bleus). line fois cet
état
de crise admis pour un ou plusieurs membres de la
e. Il s’ensuit qu’il est, entre certaines limites, difficile dans l’
état
normal, et impossible dans l’état de crise même l
certaines limites, difficile dans l’état normal, et impossible dans l’
état
de crise même légèrement développée, d’apprécier
t, si l’on réfléchit à la facilité avec laquelle les individus dans l’
état
crisiaque obéissent aux influences étrangères ou
mbre avec le pied situé du côté de ce membre. ”est un autre membre en
état
de crise qui soulève le meuble, influencé par la
res causes que la magnétisation ou la chaîne qui peuvent déterminer l’
état
crisiaque. Il y a des sujets qui entrent sponta
émotion, une surexcitation de l’imagination suffit pour déterminer l’
état
crisiaque. Aussi certains sujets, une fois qu’ils
rouver dans leurs facultés les modifications que l’on remarque dans l’
état
de crise. Avant de m’occuper d’un genre de mouv
parlantes, comme toutes celles i|iii se rattachent aux sujets dans l’
état
de crise, donnent des résultats excessivement var
s’il s’y trouve un sujet sensitif de haut titre, ce sujet passe à un
état
de crise voisin de l’extase (1). Sans qu’il per
uit ou si l’on suit un léger mouvement oscillatoire, le medium dans l’
état
de crise ne saura pas être la cause elficiente du
1 on oublie, il doit en être encore de même pour les conceptions de l'
état
crisiaque. Le medium peut aussi être influencé
me nature corporelle, puissent aussi avoir action sur un sujet dans l’
état
crisiaque. Ainsi, la communication avec les espri
d’oranges, du kirch et de la bière. Que deux, trois individus dans l’
état
normal goûtent le contenu des verres, pour eux c'
n échappe aux regards des spectateurs restés froids et en dehors de l’
état
crisiaque ? Si tous les corps émettent de la lu
ans les cas anormaux qu’il faut étudier les facultés qui existent à l'
état
germo, ou, si l'on veut, h l'état latent. A ce po
udier les facultés qui existent à l'état germo, ou, si l'on veut, h l'
état
latent. A ce point do vue, on pourrait dire que l
’un corps deviennent perceptibles au moment où le medium, arrivé à un
état
de crise plus avancé, les perçoit par intervalles
urtout dans un moment où beaucoup d’écrivains magnétistes passent à l’
état
d’oracles, où trop de sujets magnétiques se posen
odite, être à double sensibilité, recevant par des canaux, fermés à l’
état
ordinaire, des communications tenant évidemment d
remière conquête de la vérité sur l’erreur. « Le somnambulisme ou l’
état
magnétique, sous toutes ses formes, dévoilant les
é des sens. Et pourtant, dans ce chaos où la raison s'abime, de cel
état
que nons savons produire, Im lumière jaillit.
ote et tous les plus grands génies de l’antiquité : l’homme, dans cet
état
, revêt des attributs transcendants que l’on croir
beur de toutes les générations qui l’ont précédé, et à le réduire à l’
état
primitif de sauvage innocence?.... Sa destinée pr
ément, Elle impose sa loi sans paraître sévèro ; Quiconque en cet
état
la prend pour conseillère, Au milieu do débris
toutes sortes d'extravagances, et que le merveilleux que présente cet
état
peut conduire ceux qui l'observent aux conséquenc
me elle l’avait annoncé, le cadavre du malheureux charbonnier dans un
état
de putréfaction très-avancée, et sur le côté du c
trop de dommage, il faut, dit-on, qu’ils se mettent dans une espèce d’
état
de somnambulisme qu’ils obtiennent par un procédé
és de garder : leurs turbans, leurs tarbouches volentde tous côtés; l’
état
somnam-bulique commence; toute la ligne s’incline
us ceux, médecins et autres, qui avaient vu la malade dans son ancien
état
, inconsolable, cette cure produisit l’admiration
devint tout à fait aveugle. Il y avait un mois qu’elle était dans cet
état
, lorsque M. Houlet la magnétisa pour la première
son appétit n’a jamais été si bon. 11 y a Join certaine- ment de l’
état
où est M"" Guioni à celui où elle serait, si sa v
ent en rapport avec son magnétiseur. Chaque fois qu’elle est dans cet
état
, elle dit qu’elle voit son cerveau; elle le dit ê
de l’eau ferrée, à l’usage de laquelle il la mit pour combattre son
état
clilorotique. Au bout de quelques minutes, elle d
oucher la main. Un instant après, son bras et sa main étaient dans un
état
de catalepsie complète. Dans cette réunion se t
logie, qui, endormi par influence biologique, était dans ce moment en
état
de complète lucidité. 11 lui fut demandé ce qui s
Charavet a son bras droit roidi. — Restera-t-il longtemps daus cet
état
? — Deux minutes. — Peux-tu savoir ce qui a pr
dieux ? — Saint Paul (ce garçon n’avait pu entendre, à cause de son
état
de sommeil, rien de ce que nous disions). — Tu
1825 ; il était grand. Ce garçon, toutes les fois qu’étant dans son
état
de lucidité il voit entrer M. Charavet, sourit et
d-père, mort à Lyon au mois d’avril dernier. Etant endormi et dans un
état
de lucidité par influence électro-biologiqtie, il
ition grotesque du sauvage au Café des aveugles). Gemma, rendue à sou
état
normal, continue ses tendres démonstrations ; mai
issance de l’avenir. En effet, après avoir plus ou moins prolongé cet
état
de prostration simulée, le sorcier se lève, répon
mnambulisme qui échappe à, cette explication. Or, Mesmer ignorant cet
état
, dans lequel se résume tout le magnétisme animal,
xercer par tous les points du corps. h° Les somnambules sont-ils en
état
de rendre des services à la médecine, malgré l’in
, car je perdis la conscience de mon être ; mais quand je sortis de l’
état
d’inconscience, des secousses me parcouraient des
ces expérimentateurs, l'électricité est ordinairement positive dans l’
état
de santé. Elle est plus souvent négative chez les
journée, la température élevée, sont des circonstances qui exaltent l'
état
électrique. » Et plus loin : u Un refroidisse
pposer, d’après le fait de Niepce, que l’intelligence peut rester à l’
état
latent par l’effet d’une mauvaise conformation ou
me nerveux malade, par les vibrations saines d’un système nerveux à l’
état
de santé. Les sympathies auraient pour cause des
ililate et ars cl inventor probatus (1), que la vitalité existant à l’
état
d’émanation tiède et vivifiante dans les dépouill
nombre de fourbes et de trompeurs ont trouvé le moyen de simuler cet
état
merveilleux ; ces charlatans, on pourrait dire ce
traiter chez lui quelques malades qui lui seraient désignés et dont l'
état
aurait été préalablement constaté par un médecin
gnétique dans le domaine de Monceaux ; mais sa pensée, n’étant qu’à l’
état
d’aspiration, 11e pouvait trouver d’écho en ce mo
onde visible, la solution du problème, tandis qu’elle est en nous à l’
état
de force vive, comme nous espérons pouvoir le dém
s infaillible. Deux médecins avaient été successivement appelés, et l’
état
de ma mère empirait toujours; sa situation était
en somnambulisme connaît une infinité de choses quelle ignore dans l’
état
de veille. — Plusieurs fois déjà j'avais pu en ac
avais remarqué déjà mainte fois que lorsque je la consultais dans cet
état
, elle, était d’une lucidité plus grande, ce qui d
nce du malade, et en moins de deux minutes j’amène la somnambule à un
état
des plus satisfaisants: puis je la mets en rappor
ateurs, j’amenais ma somnambule, chaque fois que je l’endormais , à l’
état
cataleptique. Quel effet ne dut pas produire sur
onner encore au fluide beaucoup plus de force et d’énergie que dans l’
état
ordinaire, lui imprimer une direction convenable,
ne , et que les linges noués autour de mon corps étaient dans le même
état
; les voici à terre. » Je les regardai, ils éta
d’une vingtaine d’années, est amenée; je la mets préalablement dans l’
état
de sommeil magnétique, et ensuite dans celui d’in
magnétique, et ensuite dans celui d’insensibilité absolue. Dans cet
état
, mes incrédules, pour se convaincre, ont pincé ce
bles, que l’on désespérait pour les jours de la malade. En outre, cet
état
se compliquait d’accidents nerveux excessivement
(Névralgie faciale.) Une troisième affection compliquait ces divers
états
, dette dernière paraissait, à mon avis, la plus g
le, à tel point que l’un des deux crut devoir avertir la famille de l’
état
désespéré où se trouvait le malade. La femme du m
la nuit, et revenait par intervalle dans la journée. En présence d’un
état
si alarmant, j’étais embarrassé sur le parti que
le malade éprouva un mieux sensible. Le pouls était redescendu à son
état
normal. Le délire avait presque complètement cess
ix ; enfin elle en a repris l’usage et s'est ainsi retrouvés dans son
état
normal. Il ne lui restait plusqu'une grande fatig
station de cette faculté automatique; on la rencontre quelquefios à l'
état
de veille, où elle ne paraît être que de l’imitat
ert et Bartbet ont, comme on sait, proposé de faire servir ce curieux
état
à la transmission conventionnelle de la pensée, c
ne ; tel qu’une mèche de cheveux, un anneau, une lettre, etc. « Cet
état
est voisin de la clairvoyance directe et ils se c
ace qui le dirige jusqu’à la personne qu’il voit directement dans son
état
lucide. « 2° Clairvoyance directe. — La premièr
rix inestimable, surtout si des personnes instruites étaient mises en
état
de lucidité. » Arrivé enfin à la théorie, l’aut
le medium (moyen) de la sympathie et de la vision lucides. «Dans l’
état
ordinaire, nos sens étant actifs, les émanations
nous pourrions alors les remarquer. Tel est le cas de la lucidité à l’
état
de veille (conscious clairvoyance). « De môme q
'a mis dans le cas de pouvoir donner à ses compatriotes une idée de l’
état
où se trouve la question du magnétisme en France.
tal de clairvoyance éveillée. Cet homme peut acquérir la lucidité à l’
état
de veille en concentrant son esprit sur un objet.
és h la pesanteur. Les dents serrées ne permettent pas de constater l’
état
de la langue ; abdomen indolent. Respiration peti
e; pouls petit et un peu fréquent. Je crois avoir affaire à quelque
état
spasmodique tenant à son tempérament nerveux ou à
à quelque état spasmodique tenant à son tempérament nerveux ou à son
état
de nourrice; je pratique une saignée du bras de /
soir, on vint me chercher pour la môme malade, retombée dans le même
état
de la veille. J’arrive chez la malade à dix heure
ait dix heures moins vingt minutes. Pendant que je m’informais de son
état
, elle dit d’une voix très-claire : «Il est bientô
’a pas reparu. D’après M. le professeur Grisolle, « l’extase est un
état
dans lequel un individu, livré tout entier à une
agnétistes. Victor MEUNIER. ÉTUDES ET THÉORIES. 1° UN MOT SUR L’
ÉTAT
ACTUEL DU MAGNÉTISME. En jetant un coup d’œil s
it complètement les facultés mentales de son semblable, laissé dans l’
état
de veille ? Depuis les publications des arcanes
it faussement les impressions externes et internes, commencement de l’
état
maladif qui forme les hallucinations. Quel hori
oins qu’on ne suppose qu’un ou plusieurs d’entre eux, plongés dans un
état
magnétique plus ou moins avancé, n’aient eu l’int
pondant, M. le Dr Bergevin, nous donne des détails très-étendus sur l’
état
du magnétisme dans cette ville. Il se publie un n
e se trouve tout entière aux prises avec ce redoutable ennemi, non; l’
état
général est au contraire assez satisfaisant; sauf
se livrer uniquement à l’action bienfaisante du magnétisme. Voici l’
état
dans lequel elle se trouvait le jour où je corn-
ans tout le corps, et revenant tous les jours sous forme d’accès. Cet
état
se compliquait de nausées,,de vomissements et d’u
dinaire, qui avaient réussi jusque-là sur elle. Je la trouvai dans un
état
complet d’insensibilité, la respiration nulle. Le
lef; il l'ouvrit, descendit l’escalier, trouva la maison dans le même
état
que quand il était allé se coucher la veille, et
' Barrow n’a aucune connaissance des arts mécaniques, et que dans son
état
normal il est incapable de concevoir la moindre i
raissent; et la peau se retrouve alors douce, non colorée et dans son
état
naturel. « Cette dame est aussi medium parlant;
e ces dispositions pour agir sur nous. Etant devenu medium, je fus en
état
de donner les distances d’un lieu à un autre, ave
me, mon père avait témoigné le désir de voir améliorer par ce moyen l’
état
de souffrance où se trouvait plongée depuis quelq
ndividu qu'on portait sur un brancard l’hôpital, et qui était dans un
état
désespéré, a reçu dans la rue même les soins d’un
sement des dépenses a forcé le comité de proposer un tarif basé sur l'
état
de fortune des malades, en maintenant pour les in
observation sous le double rapport du physique et du moral, dans son
état
de santé et dans celui de souffrance. Marie X..
e se réveille, elle n’a aucun souvenir de ce qui s’est passé dans son
état
cataleptique. Le lendemain matin, je la trouvai
autre monde. Il est possible tic mettre certaines personnes en cet
état
par l’action du magnétisme. Cette action débarras
attaques de nerfs. La danse de Saint-Guy était parmi les enfants à l’
état
d’épidémie. Ils annonçaient d’avance qu’ils allai
r de ce récit, fut appelé près d’elle, à la demande qu’elle en fit en
état
de somnambulisme, état qui lui était habituel, lo
lé près d’elle, à la demande qu’elle en fit en état de somnambulisme,
état
qui lui était habituel, lors môme qu’elle paraiss
échauffaient. L’aimant contournait ses mains, qui ne reprenaient leur
état
naturel que lavées dans une eau courante. L’indig
torze fois les bouteilles. Cures opérées par la voyante. Même à l’
état
de veille, M“* H. ressentait en elle-même ou voya
e non-seulement d’une excellente conformation, mais dans un excellent
état
. Son cœur et les organes respiratoires étaient tr
avant d’admettre des malades au traitement, le médecin constatât leur
état
par écrit, pour pouvoir le comparer à celui dans
t président de la Société royale d’Édimbourg, a fait un rapport sur l’
état
actuel du mesmérisme en Écosse. L’honorable aca
s aucune position. Après la première semaine de mesmérisme, il fut en
état
de se tenir debout ; à la troisième, il put parco
uvra parfaitement la santé; il y a trois mois qu’il est guéri, et son
état
a toujours été satisfaisant depuis cette époque.
et en peu de temps elle améliora sa position au point de le mettre en
état
de marcher seul. » Le rapporteur remarque que l
yés. Il est bien rare que ceux qui sont le plus réfrac* taires dans l’
état
de santé, n’éprouvent pas , en cas de maladie , c
essibles non à la nature humaine, mais à l’homme tel qu’il est dans l'
état
ordinaire! Ils acquièrent donc des facultés trans
bien immense qui a été fait et qui se fait tous les jours. Quoique l’
état
actuel du somnambulisme laisse beaucoup à désirer
lications qu’en ont présentées quelques savants, et il s'avoue hors d’
état
d’en donner une plus satisfaisante. Nous approuvo
plusieurs chances d’erreur soient évitées (1). 2° Noter par écrit l’
état
actuel et les antécédents du ma- (I) Mes honora
ivrés par les protecteurs de 1 œuvre. Après la constatation de leur
état
, comme il est dit ci-dessus, ils sont confiés cha
aph. Il y raconte qu'il s’est trouvé avec un medium, tanneur de son
état
, homme simple et n'ayant reçu qu’une éducation fo
s tables, ont obtenu des effets que l’impulsion musculaire est hors d’
état
de reproduire. C’est déjà un résultat fort import
me dans le cas de sommeil ordinaire ou de somnambulisme, succession d’
états
différents chez le même individu ; c’est simultan
eille administration. Le négociant, l’artisan, etc., celui auquel son
état
ou une profession quelconque absorbe une partie d
tenu différentes réponses sur son âge, etc., on le questionna sur son
état
: « Poète, répondit-il. « — Veux-tu nous donn
de développer ses connaissances. A l’âge de seize ans, il apprit l’
état
de taillandier, auquel il travailla jusqu’à vingt
s choses? Qui parle en lui pour lui révéler même ce que les sens, à l’
état
de veille, n’ont jamais pu lui apprendre ? On a
ille instruction puisse mettre les médecins de la Nouvelle-Orléans en
état
de magnétiser leurs malades. Mais si ce précis es
éorie des phénomènes de Tétai magnétique comparés aux phénomènes de l'
état
ordinaire; par le D' Gamin. 1 vol. in-8. Paris, 1
ns l’autorité de révélations; mais il pense avec raison que, dans cet
état
singulier, l’esprit acquiert des facultés extraor
être la lucidité des somnambules pourra percer des voiles qui, dans l’
état
ordinaire, arrêtent notre vue débile. D’après l
ie de son livre, SI. Garein considère l’action du fluide vital dans l’
état
ordinaire. Le fluide vital est «l’agent intermédi
âme et du corps», c’est «l'agent de la sensation et du mouvement. » L’
état
magnétique ne développe pas un sixième sens, n’in
ler, des facultés nouvelles dont le germe ne se trouverait pas dans l’
état
ordinaire, il ne fait que leur donner une nouvell
n, un nouveau perfectionnement. La question : «Comment voit-on dans l’
état
magnéti-gnétique?» dépend uniquement de celle-ci
ti-gnétique?» dépend uniquement de celle-ci : «Comment voit-on dans l’
état
ordinaire?» La réponse est la même : dans les d
e des objets extérieurs viendra se peindre dans ses yeux comme dans l’
état
de veille, et néanmoins l’âme n’en recevra pas l’
l’action des sens, puisque, comme le remarque l’auteur, l’œil, dans l’
état
ordinaire, voit des astres situés à une distance
nsiste à établir l’identité des deux modes de vision ; car si, dans l’
état
ordinaire, la vision a lieu au moyen de la lumièr
du fluide vital. C’est par le fluide nerveux que les sens sont mis en
état
d'être impressionnés par les objets extérieurs ;
affirme, est en rapport avec eux. C’est ainsi que se forment, dans l'
état
ordinaire , les communications de l'âme avec les
pui de cette thèse. Il fait l’application de ses principes aux divers
états
, à celui de veille, à celui de som- mcil, à cel
l est causé par l'épuisement du fluide vilal, ce qui met l’âme hors d’
état
de communiquer avec les objets extérieurs, d’où i
sions qui lui en ont juger les propriétés aussi exactement que dans l’
état
de veille : par exemple, la somnambule que cite M
ige, ponctue, etc. Dans tous ces faits les sens servent, comme dans l’
état
normal, à rendre compte à l’âme des propriétés de
es règles fort sages extraites du savant ouvrage de Chardel. Dans l’
état
magnétique, le fluide vital est séparé des sens ;
enlevée aux sens; elle appartient tout entière à l’âme. » Dans cet
état
, ce qu'on appelle improprement la vue ne s’exerce
xtérieur, qu’elle établit ou brise à son gré. Le fluide vital, dans l’
état
ordinaire, s’arrête à la surface des objets, tand
il pénètre l’intérieur des corps et franchit les distances.... Dans l’
état
ordinaire, le fluide vital n’agit que partielleme
-à-dire qu’il concourt à l’action particulière d’un des sens ; dans l’
état
magnétique, il agit collectivement, il ne se dive
smission du son paraît produire sur lui la même impression que dans l’
état
ordinaire; rien n’autorise à affirmer que ce ne s
é. Le prétendu isolement des sens n’est donc point une condition de l’
état
somnambulique. On ne peut affirmer davantage que
stance des somnambules, les organes fonctionnent autrement que dans l’
état
ordinaire et qu’il en résulte des moyens plus p
là quelqu’un connaissant le magnétisme et capable de faire cesser cet
état
si extraordinaire? » On le voit, cette hypothès
ont mises en communication avec lui. 11 devient un miroir fidèle de l'
état
moral de l’expérimentateur, sa doublure, son seco
ils mettent, en le magnétisant, un homme en rapport avec une fille en
état
de somnambulisme. Alors celle-ci exécute ses pens
ttait souvent ses sujets à l'influence de la musique et obtenait un
état
extatiforme assez remarquable. Ce phénomène, pure
oses étaient plus gracieuses , plus sensuelles, éprouvait pendant cet
état
semi-extatique un certain plaisir à entendre une
envahie s’évaporait, le sommeil cessait, et elle se trouvait dans un
état
mixte qui n’était ni la veille ni le sommeil magn
(La suite au prochain numéro). FAITS ET EXPÉRIENCES. LUCIDITÉ A L’
ÉTAT
DE CRISE IMPARFAITE. Tant que les principaux ph
porte. » Or Léonie n’avait jamais été le soir chez M™ Leroux qu’en
état
de somnambulisme, en imagination, pour me servir,
éponses très-remarquables par leur lucidité, en avaient obtenu, sur l’
état
actuel ou les occupations de leur famille, des re
vait délaissé un' travail à l’aiguille. C’est ce souvenir perdu à l’
état
de veille que le sujet a cependant retrouvé au bo
ître quelques-uns. Ainsi des rêveurs m'ont plusieurs fois déclaré, en
état
de crise, que lorsqu’ils perdaient quelque chose,
. du Potet a ap' pelés magiques, indiquent à la fois combien ces deux
états
diffèrent et combien ils se tiennent par des lien
t, au moins par ouï-dire, la partie de cartes d’Alexis. — Alexis, à l’
état
crisiaque, devine, ou est censé deviner le talon
les idées que d'autres faits m’avaient suggérées sur le mélange de l’
état
crisiaque avec l'état ordinaire. Ce qui me fait
s faits m’avaient suggérées sur le mélange de l’état crisiaque avec l'
état
ordinaire. Ce qui me fait incliner vers cette e
dans la crise imparfaite qui présente à première vue le semblant de l’
état
normal , faut-il rappeler l'exemple des tireuses
geons les magnétistes à ne pas s’en rapporter à nos conjectures sur l’
état
crisiaquç imparfait; mais nous croyons qu'ils fer
espoir, messieurs, parce que le démon est complètement étranger à mon
état
de crise. « — Cependant vous présentez des facu
e pouvez chasser ce qui n'existe pas. » « Puis elle s’occupa de son
état
physique et lui décrivit plusieurs incommodités d
n’y a pas d’enfer... » « A ce blasphème proféré par une sainte à l’
état
de veille, ces messieurs restèrent stupéfaits, et
173. Pendules explorateurs. Voy. Elec-tromètres. Phénomènes de l'
état
magnétique comparés aux phénomènes de l’état ordi
ètres. Phénomènes de l'état magnétique comparés aux phénomènes de l’
état
ordinaire, 701. Philosophie médico-magnétique.
rs, 145. Somnambulisme. — Propositions et aphorismes sur les divers
états
du somnambulisme magnétique, par M. le Dr Ordinai
ination en somnambulisme. 50. Insensibilité à la douleur : dans l'
état
magnétique, 480; — dans l’extase spontanée, 519.
dicale en somnambulisme, 465, 468, 506, 551, 567, 614. Lucidité à l'
état
de crise imparfaite, 746. Lombago guéri par le
e (le) expliqué par lui-méme, ou nouvelle théorie des phénomènes de l'
état
magnétique comparé; aux phénomènes de l'é-tat o
qui atteint du pre-mier coup son summun d'intensité, à la suite d'un
état
fébrile plus ou moins intense ou en l'absence de
e soigner d'accidents thoraciques qui le for-çaient à interrompre son
état
(marchand exposé à l'air) et l'obli-geaient à s'a
té gauche de la face, du bras et de la jambe gauches, étaient dans un
état
de mouvement continuel, excepté pendant le sommei
nt plusieurs mois, devint pâle, maigrit et perdit l'appétit. Dans cet
état
, à la suite d'une vive frayeur, elle fut atteinte
administrées, et au bout de deux heures et demie, il revint dans son
état
intellectuel normal ; ses pupilles étaient moins
examens microscopiques, auxquels le sang a été soumis, aussi bien à l'
état
de santé qu'à l'état de maladie. Ces caractères s
s, auxquels le sang a été soumis, aussi bien à l'état de santé qu'à l'
état
de maladie. Ces caractères sont : la sphéricité p
tubes étant infiniment moins nombreux et se montrant d'ordinaire à l'
état
naissant. » Sur des coupes faites après durcissem
u bout de peu de jours, un catarrhe intense de l'intestin, suivi d'un
état
de ma-rasme qu'il fallut d'ailleurs attribuer bie
Par ses mensurations, M. Woillez a pu constater: 1° que la période d'
état
, c'est-à-dire celle dans laquelle l'épanché* ment
ssitôt que l'ampliation a cessé de se produire, el que la période d'
état
dure vingt-quatre ou quarante-huit heures tout au
. Woillez a con-staté à la mensuration l'existence de cette période d'
état
. 2° Vers le vingtième jour, la pleurésie a une
es et inquiétants peut être opéré du quinzième au vingtième jour si l'
état
général du malade l'exige, et quoiqu'il n'y ait p
ns-nous dit, est rentrée à l'hôpital en 1871* Nous allons décrire son
état
actuel (janvier 1872). Ce qui frappe tout d'abo
e que l'on peut. Le procédé employé ici était indiqué forcément par l'
état
des parties et par la tentative opératoire anté-r
vés dans une de nos expériences. Le délireest alors dans sa période d'
état
: les idées se pressent en foule, s'entre-choquent
cependant troublé par des cauchemars. Au réveil, on se trouve dans un
état
tout à fait nor-mal (Aubert-Roche) ; parfois il r
vi non plus de sommeil, mais.de stupeur, et le malade tombe dans un
état
de coma analogue au narcotisme (Gairdner). Ce der
be dans un état de coma analogue au narcotisme (Gairdner). Ce dernier
état
peut survenir d'emblée et sans donner le temps au
s le train postérieur, des frissonnements, et l'ani-mal meurt dans un
état
d'affaiblissement qui paraît être le résultat de
urbith minéral, de beurre de cacao, d'huile d'amandes douces, etc., l'
état
de la chevelure s'est considérable-ment amélioré.
affection des cheveux persiste encore, mais à un degré très-minime; l'
état
gé-néral est bien meilleur.... » L'examen microsc
la couche muqueuse (mu-couse layer) contenait plus de pigment qu'à l'
état
ordinaire. Par-tout, ces tumeurs étaient séparées
'elle se compose de cellules épithô-liales qui se divisent, comme à l'
état
normal, en deux couches : le tissu de la couche d
nains sont des. microcéphales. Nous avons exploré au dynamomètre l'
état
de ses muscles. Ici encore nous avons obtenu des
z cet homme, c'est le cerveau droit qui prédomine, tandis que, dans l'
état
normal, c'est le cerveau gauche qui l'emporte sur
les et exécutent leurs mouvements de flexion et d'extension comme à l'
état
normal. Signalons encore la présence singulière
métacarpe, car l'extenseur pouvait lui résister, d'autant plus qu'à l'
état
normal l'équilibre n'existe entre les fléchisseur
x les uns des autres, formait des tractus beaucoup plus larges qu'à l'
état
normal. Ces tractus étaient renflés çà et là par
rice, par la dissocialion, nous avons trouvé peu de tubes nerveux à l'
état
normal, et beaucoup de tissu con-jonctif. Sur d
nts de tétanos traumatique : quatre d'entre eux se trouvaient dans un
état
désespéré. L'administration du médicament fut sui
la rigidité. Pendant huit jours, elle resta à peu près clans le même
état
, avec un ou 'deux accès par jour; peu à peu cepen
ien fut administrée, à la dose d'un grain loutes les trois heures : l'
état
du petit malade resta le même pendant quelques jo
ulut bien nous autoriser à administrer le Hachisch à un soldat dont l'
état
était désespéré. Il avait une fracture comminutiv
ommé Humbert, sous le coup d'une congestion cérébrale, ayant amené un
état
comateux tel qu'on ne put obtenir du malade que d
x consultants n'hésitent pas à conclure que M. Humbert n'était pas en
état
de comprendre l'importance de l'acte qu'il faisai
passage de l'urine dans l'urèthre qui est infranchissable, soit de l'
état
de distension exagé-rée de la vessie, il faut, pa
on, ont pour but de modifier la surface muqueuse, d'en faire cesser l'
état
inflammatoire chronique. Ainsi elle agit sur la c
toujours être faite dès qu'elle est possible, et cela en raison de l'
état
si remarquable où se trouve le sujet, aussitôt le
lithotritie sont au contraire les indications de la taille. 1° Si l'
état
général physique du malade est tel qu'on ne puiss
faut laisser de côté la lithotritie et prati-quer la taille ; 3° L'
état
de suppuration persistant de la vessie, surtout q
omen. Celte partie, une des plus importantes, résume convenablement l'
état
actuel de la science ; la division clas-sique des
vertèbres.Ce plan, aulieude descendre verticalement en bas, comme à l'
état
normal, se dirige ho-rizontalement d'arrière en a
sales qui concourent à former le spina bifida, partent comme dans l'
état
normal, les six premières côtes. Mais, au lieu de
l fait tous les jours des injections dans la vessie. — C'est dans cet
état
qu'il part prisonnier en Allemagne. — Bientôt l
déposer une forte quantité de muco-pus ver-dâtre et filant. Voilà l'
état
dans lequel est le malade lorsque je le vois pour
ictions se produisent. — J'essaye, durant quatre jours, de calmer l'
état
spasmodique de la vessie, en faisant très-lenteme
s. — Voici ce que j'observe. — Après les premières séances, il y a un
état
de calme de la vessie qui dure de une heure à une
ibre et je retire 300 gram-mes d'urine. Je conseille au malade dont l'
état
général est très-bon de se sonder lui-même toutes
e la langue, dès que la vessie est débarrassée de la pierre, et que l'
état
général se relève est trop net pour que je n'in-s
s, les urines normales. On ne sentait aucune tumeur dans l'abdomen. L'
état
général était bon. La distension du ventre par l'
a présence, au niveau du flanc gauche, d'une sorte de large plaque. L'
état
général, au moins en 1869 et dans les premiers mo
des sciences, une série de recherches d'où il résulte que : « Dans l'
état
physiologique, dans l'espèce hu-maine, comme chez
ntion d'urine avec ballonnement du ventre; néanmoins la malade fut en
état
de quitter l'hôpital quelques jours après. Plus
superficielle sur le canal à la face supérieure. Le prépuce est à l'
état
de paraphimosis ; la miction, quoique difficile e
liger de ce qui peut nous renseigner sur la nature de la maladie et l'
état
du malade. Aucun système exclusif ne doit être ad
les difficultés. Certaines substances s'obtiennent difficilement à l'
état
de poudre fine, et, d'un autre côté, le commerce
pas complètement entre les accès ; l'amélioration porte surtout sur l'
état
général. Dans ces cas, on remarque, suivant la pr
ts situés en arrière au voisinage du sillon interfessier. Soir. — L'
état
du malade est aussi bon que possible, il ne souff
ate, que l'on fixe autour du moignon par quelques tours de bande. — L'
état
général continue à être bon.— Les jours suivants,
ion 42. Langue sèche, peau couverte de sueur. Dans la matinée du 7, l'
état
du malade s'améliore, mais il reste toujours grav
compression sur le trajet que nous venons de décrire. 11 mars. — L'
état
du malade est resté le même, il n'est survenu auc
digeonnages avec du perchlorure de fer à 50°. À dater de ce moment, l'
état
s'aggrave d'heure en heure. Mort le la dans la so
gi (18 centimètres), mais aussi d'une épais-seur bien au-dessous de l'
état
normal, s'étale au-dessus de la surface externe d
rec-tion de M. Vulpian. — Il n'est fait aucun examen de la tumeur à l'
état
frais et par raclage. Les parties qu'on a voulu é
engorgés. Le toucher rectal ne fut point pra-tiqué pour reconnaître l'
état
de la prostate. Rapprochant des tumeurs du test
e les tubes séparés par une étendue de tissu plus considérable qu'à l'
état
normal, on rencontre du tissu conjonctif en voie
ion de noyaux. En certains points, les altérations ont déjà passé à l'
état
de régression granulo-graisseuse. Enfin, parfois
'une béquille. Soixante-sept ans plus tard, nous la trouvons dans l'
état
suivant: le membre inférieur gauche et la cuisse
peu volumineuse. La poulie astragalienne, beaucoup plus petite qu'à l'
état
normal, a son cartilage érodé dans certains point
ils, par leur volume et leur consistance se rapprochent beaucoup de l'
état
normal. Il convient d'ajouter qu'au même niveau l
même niveau les muscles delà région plantaire présentent à peine cet
état
graisseux si prononcé dans ceux de la jambe. GR
re, il commença à éprouver une grande faiblesse dans les membres; cet
état
persista pen-dant huit jours, puis le tremblement
it sur le port. Il y a sept ans, il est venu à Paris pour apprendre l'
état
de mi-roitier. — Pour la première fois, en mars 1
tout le mois de février, et prit 25 bains sulfureux. — Cependant son
état
ne s'améliorait pas; il rentra chez lui, mais rev
et moins forts que de coutume. Il ne s'inquiéta pas davantage de son
état
, et continua à travailler. Mais au bout de cinq o
le repos ne parvenait même pas à calmer. Traitement. C'est dans cet
état
que le malade se présenta à l'hôpital. M. Paul le
es chaque fois. Après 8 bains, un mieux sensible s'était opéré dans l'
état
du malade, le tremblement avait beaucoup diminué,
de est soumis à l'influence des bains électriques. Après 16 bains son
état
s'est sensiblement amélioré. Mais il ne peut term
'hôpital non parfaitement guéri, mais avec un mieux sensible dans son
état
. Nous terminerons par l'observation suivante qu
olent. Pen-dant un mois elle se reposa chez elle, mais voyant que son
état
ne s'amé-liorait pas, elle entra à l'hôpital. S
est malade primitivement et ce n'est qu'ensuite que se traduit, par l'
état
général du sujet, l'atteinte portée par la maladi
ls offrent l'is-churie hystérique à son maximum de développement, à l'
état
de symptôme permanent. Durant des jours consécuti
élot et Berger. En 1870, les choses restent à peu près dans le môme
état
, si ce n'est qu'une nouvelle attaque est suivie d
balancement assez régulier entre les deux phénomènes. Quel a été l'
état
général pendant cette longue période de quatre mo
ng de notre malade renfermait une plus forte proportion d'urée qu'à l'
état
physiologique, nous nous déci-dâmes à pratiquer u
du bassin. Les ganglions inguino-cruraux n'étaient point engorgés ; l'
état
général de la femme était bon. Sous l'influence d
pièce de 2 francs. Ipéca. 9 mars. Les vomissements ont disparu ; l'
état
général est mauvais, le pouls petit, rapide ; on
'érysipèle blanchit, la plaie se déterge, les eschares s'éliminent, l'
état
général s'améliore. La malade commence à dor-mir
femme enceinte suivis d'avortement et de mort. Pour ce chirurgien, l'
état
puerpéral est également une cause d'in-succès.
attendra avant d'agir que les organes génitaux soient revenus à leur
état
normal et que la femme ait repris ses forces; tro
pement très-incomplet ; on ne peut que très-difficilement apprécier l'
état
du squelette. Cepen-dant il ne paraît pas exister
is ce moyen est très-fatigant et il serait possible de remédier à son
état
en lui donnant un appareil prothétique : c'est du
du vagin, dans lequel elle plonge libre-ment. Sa longueur varie, à l'
état
normal, entre 6 et 12 millimètres. Deux circonsta
tion de ce dernier ait été con-sidérée, pendant si longtemps, comme l'
état
régulier à cette période de la vie. C'est donc ch
longation pût exister à titre de malformation congénitale, sans aucun
état
pathologique. Telle n'est point l'opinion de M. B
La cavité du corps de l'utérus, ayant la direction et le volume de l'
état
normal, est de 3 centimètres, tandis que la longu
ment de la peau et de la muqueuse fut pratiqué. Les surfaces mises en
état
de cruentation furent rapprochées par quatre poin
isons : grâce à l'obstacle mécanique apporté par la tumeur, grâce à l'
état
cachectique qui, dans certains cas, s'oppose à l'
Au lieu d'être plane et à peu près lisse sur ses faces, comme dans l'
état
phy-siologique, la rate présente alors des bossel
tes, elles crient sous l'instrument tranchant et restent toujours à l'
état
de crudité. » (Cornil et Trasbot, de la Mélanose,
rouges. Vu quelque temps après par M. Bumstead, il fut trouvé dans un
état
cachectique très-prononcé, avec de nombreuses pet
e. . Grande circonférence. . . . 26 centimètres. 15 58 58 L'
état
général est bon. La malade se lève et mange deux
la décharge électrique, car c'est au pôle positif que l'on constate l'
état
le plus intense et la plus grande longueur du jet
du courant dans les conducteurs présente trois phases distinctes, l'
état
initial, alors que le mouvement commence dans le
l'état initial, alors que le mouvement commence dans le conducteur, l'
état
définitif quand le courant continu a tra-versé le
at définitif quand le courant continu a tra-versé le conducteur, et l'
état
final au moment où le courant cesse de traverser
se du courant de la pile. En résumé, le passage du courant mo-difie l'
état
moléculaire des corps, mais cette modification,si
ême vitesse, et, par conséquent, changent rapidement et brusquement l'
état
moléculaire du nerf et du muscle; et c'est égalem
est fatiguée, plus il faut de temps pour qu'elle puisse revenir à son
état
moléculaire primitif ; et, d un autre côté, pour
ère (service de M. Charcot.) Les renseignements qu'elle donne sur son
état
anté-rieur sont les suivants : Elle n'a jamais
agna d'accès de suffocation intense laissant dans leur in-tervalle un
état
de dyspnée habituelle. Obligée de garder le lit,
orte. L'affection des voies respiratoires, cause vraisemblable de l'
état
cachectique actuel, est arrivée elle-même à une p
du genou, les surfaces cartilagi-neuses et la synoviale sont dans un
état
d'intégrité parfaite. L'arti-culation étant ouver
ions répélées au nitrate d'argent n'amenèrent aucun changement dans l'
état
de la fistule. « Vers le milieu d'avril, après
elle-ment ? Nous avons également à distinguer les trois phases : Io
état
initial; 2° état définitif; 3° état final. État
s avons également à distinguer les trois phases : Io état initial; 2°
état
définitif; 3° état final. État initial. — Au mo
distinguer les trois phases : Io état initial; 2° état définitif; 3°
état
final. État initial. — Au moment où le courant
tat définitif. — Pendant tout le temps où le courant est main-tenu, l'
état
moléculaire reste en équilibre, il n'y a donc pas
Au moment de la cessation du courant, il y a de nouveau rupture de l'
état
moléculaire, et par conséquent excitation des ner
éculaire. On conçoit ainsi que toute cause extérieure qui modifiera l'
état
mo-léculaire déterminera par cela seul une excita
, c'est dans les tissus qui peuvent le plus rapidement modi-fier leur
état
moléculaire, que la rupture du courant a le plus
llemagne, et physiologistes et médecins d'outre-Rhin ne parlent que d'
état
cathélectrotonique, et d'état anélectrolonique, d
médecins d'outre-Rhin ne parlent que d'état cathélectrotonique, et d'
état
anélectrolonique, de cathélectrotonus extra-polai
nt que lui, l'orientation des molécules et imprime par son passage un
état
dynamique particulier. Par cela seul, ce courant
n doive être le résultat. Nous préférons dire de suite quel était l'
état
des organes géni-taux de cet homme quand il s'est
Comme on le voit, sur la Planche XXIII, qui représente très-bien l'
état
des parties, ce qui frappe tout d'abord, c'est un
volume, la consistance, la sensi-bilité et la motilité sont ceux de l'
état
normal. Agauche et inférieurement, entre les bo
e point celui d'un œuf de poule ; ils sont peu ou point douloureux. L'
état
général du malade est bon, toutes les fonctions
en préoccupa pas davantage et, pendant un an, tout resta dans le même
état
, avec des alternatives d'augmentation et de dimin
pues instants. Les folliculites, les kystes folliculaires et divers
états
inflamma-toires ou néoplasiques peuvent se dévelo
ave que s'il se fût agi d'un simple allongement, et contribua, avec l'
état
général, à faire rejeter la résection du col. Il
une troisième et une quatrième grossesses qui n'aggravèrent point son
état
. Il y a deux ans, sans cause aucune, survinrent
instrument, décidée à en-trer à la Maison de santé. Là, on constate l'
état
suivant : Malade très-affaiblie par les souffranc
ur les difficultés et les dou-leurs survenant dans l'acte sexuel. L'
état
général est bon ; néanmoins madame X. souffre de
uelles il se trouve en contact. Comme le permanganate de potasse, à l'
état
so-lide ou en solution concentrée, est en même te
ais à aucun moment complètement disjointes. On a encore donné à cet
état
le nom (Yhystéro-épilepsie à crises combinées. Da
attaques-accès, que d'une manière incomplète, et pour ainsi dire à l'
état
d'ébauche; mais, à la vérité, ce ne serait pas là
ère à constituer ce que, pour l'épilepsie, on appelle les séries ou l'
état
de mal. 11 y a d'ailleurs, dans cet état de mal
on appelle les séries ou l'état de mal. 11 y a d'ailleurs, dans cet
état
de mal des épileptiques, à distinguer ce qu'on no
tem-pérature centrale chez la nommée Chevalier, pendant le cours de l'
état
de mal épileptique qu'elle vient de subir tout ré
us fâcheux augure ; elle s'accompagne d'ailleurs le plus souvent d'un
état
général qui, par lui-même déjà, donne beaucoup à
ature centrale. * Voy. l'observation deFadayat, qui a succombé à un
état
de mal et le tracé qui l'accompagne dans la Revue
ide de la température n'appartient pas en propre, tant s'en faut, à l'
état
de mal épileptique ; on l'observe encore, par e
uzy parle d'une hystérique qui avait eu jusqu'à 100 accès par jour. L'
état
de mal hystéro épileptique peut d'ailleurs se pro
t un cachet épiiepti-forme si prédominant et si fortement accentué, l'
état
de mal a per-sisté pendant plus de deux mois et,
s l'espace d'un jour, à 150 ou 200 environ. La persistance d'un tel
état
, sans que la mort s'en soit suivie, ne montre-t-e
ansitoire (Fig. 11). — Je dois ajouter que ja-mais pendant ce temps l'
état
général ne nous a inspiré la moindre in- FlG. 1
aître, Il résulterait en somme de tout ce qui précède, que, si dans l'
état
de mal épileptique, à grandes séries, la températ
temps que la situation devient des plus graves, au contraire, dans l'
état
de mal hystéro-épileptique à longue série, la t
la température ne dépasse guère le chiffre normal, et d'ailleurs l'
état
général concomitant n'est pas de nature à inspire
emple suffira, messieurs, pour vous montrer qu'en présence d'un cas d'
état
de mal hystéro-épileptique, de quelque intensité,
ux et retour de la conscience après 6 minutes. La malade est en bon
état
, sa langue un peu chargée, la température à 58°,
ons fréquentes d'urine et de matières dans le lit. Amélioration, puis
état
stalionnaire jusqu'au 2 octobre au soir, où la ma
Un quart d'heure après température 42°,75. Autopsie. — Corps en bon
état
; larges taches cadavériques aux endroits déclive
ptions. Cette différence de contractilité des muscles dans certains
états
pathologiques est certainement un des faits les p
, et avait amené une paralysie des muscles de la face. A mesure que l'
état
de cette malade s'aggravait, la con-tractilité pa
'un aussi grand volume et occupant une pareille étendue en largeur. L'
état
de santé du sujet, la marche lente et le caractèr
te au point de vue calligraphique. 6 déc. P. 76; T. R. 38ll,4. Même
état
de la parole : oui, non. — Soir : P. 60; T. R. 37
. 37°,3. — Soir : Le frisson a cessé vers midi. Rien ne l'explique. L'
état
du cœur (hypertrophie) n'a pas changé; la respira
it plus de fautes que dans le premier. Wjanv. V... est revenu à son
état
habituel. 27 janv. Nouveaux accidents : pâleur
ne, il suffit des moindres quantités de chloroforme pour l'amener à l'
état
de détente, d'immobilité, d'anesthésie complète.
ment, l'autre une source de refroidis-sement. Cet antagonisme, dans l'
état
normal, est constamment réglé par l'harmonisateur
Ce qui se passe quand on met du vinaigre sur la langue d'un chien, l'
état
de l'estomac recevant des aliments, etc., le prou
lin. Ce nouveau traitement n'amena pas une grande modification dans l'
état
du malade. Celui-ci, après quatre jours de repos,
t dans les membres ; pendant son sommeil, il avait des secousses. Cet
état
dura quatre à cinq ans, sans que le malade s'en p
au-cune amélioration. A son entrée à l'hôpital, le malade présente un
état
ca-chectique très-prononcé ; la peau est terne, j
s. Sécheresse de la gorge. Pupilles largement dilatées.—24et25mars. L'
état
reste sensiblement le même. —26 mars. Le tremblem
r un épanchement de sang dans le tissu de l'organe ; on rencontre cet
état
dans les fièvres paludéennes, la fièvre typhoïde,
rielle, par em-bolie ou thrombose, se rencontre dans le rhumatisme, l'
état
puer-péral, l'alcoolisme, l'épuisement prématuré
rmiltentes, la morve, le charbon, l'infection purulente, le typhus, l'
état
puerpéral; A0 In-duration de la rate; on la renco
pansement à l'alcool. 20 juin. Le pavillon de l'oreille est dans l'
état
suivant : il a di-minué de moitié peut-être, non
apparaissant à la super-ficie. La raie est plus volumineuse qu'à l'
état
normal. On ne trouve rien de particulier dans les
: Sur un chien robuste, nous avons trépané le crâne afin d'examiner l'
état
des vaisseaux cérébraux sous l'influence des cour
ence peut même être observée directement en examinant en même temps l'
état
des vaisseaux de l'œil au moyen humecté ou qu'i
néanmoins, ses muscles sont loin d'être déjà revenus complètement à l'
état
normal. Chez cette malade, on obtient avec une
tions dont les éléments vivants peuvent pro-fiter pour rentrer dans l'
état
normal; comme tous les autres agents, elle est ob
d informe et irrégulier, mais qui, avec le temps, se rapprochera de l'
état
nor-mal. (Ibid.) E. Dupuy. 1 Yoy. pages 147 e
la préhension des petits objets est impossible. Tel est, en résumé, l'
état
dans lequel on trouve le malade, le 9 janvier 187
ltat, par le bromure de potassium. — Traitement par la daturine. Même
état
. — B... Jacques, 47 ans, coupeur de poils de lapi
oration. Le malade sort bientôt de l'hôpital, à peu près dans le même
état
qu'au moment de son entrée. La médication n'a p
'un traitement con-sécutif peut amener une grande amélioration dans l'
état
de l'arti-culation. Nous avons parcouru avec soin
ICALE CRÉTINISME CHEZ UNE ENFANT NÉE A PARIS OE PARENTS PARISIENS
ÉTAT
NERVEUX DU PÈRE COÏNCIDENCE DU DÉVELOPPEMENT DU C
erstitiel. Ce tissu est partout notablement plus déve- loppé qu'à l'
état
ordinaire et se distingue par une prolifération n
let pleural épaissi. — Au niveau des fractures, l'os est réduit à l'
état
d'une sorte de pulpe jaunâtre où on rencontre sur
ait-il bon de rechercher préalablement, dans ces cas de parotidite, l'
état
des veines jugulaires. — Si on y constatait une p
e crois qu'il faudrait tenir compte, dans les cas de parotidite, de l'
état
des veines voisines avant de déterminer le mode d
it le corps de l'utérus. Si nous n'avons fait que nommer les divers
états
inflammatoires ou néoplasiques qui peuvent se dév
n admet cette femme dans le service de M. Cusco, vu la gravité de son
état
général. Antécédents. La malade raconte qu'elle
ntimètres. Le cul-de-sac antérieur est beaucoup moins prononcé qu'à l'
état
normal; de plus, il importe ici de faire ressorti
OBSTÉTRIQUE VI. Des accidents des plaies pendant la grossesse et l'
état
puer-péral, par le docteur J. Cornillon, ancien i
ne des hôpitaux de Paris1. — Doit-on opérer pendant la grossesse et l'
état
puerpéral ? Grosse question agitée d'abord devant
fièvre typhoïde et la pneumonie. Les accidents des plaies pendant l'
état
puerpéral font l'objet de la seconde partie, et p
es pendant l'état puerpéral font l'objet de la seconde partie, et par
état
puerpéral l'auteur comprend avec le professeur Pa
lle est due à la compression, tantôt elle est sous la dépendance de l'
état
général ; elle est alors, comme le dit M. Hervieu
la sclérose médullaire: réduction considérable du volume delà moelle,
état
tourmenté de la substance blanche entraînée dans
cation ; mais un examen attentif permet de reconnaître entre les deux
états
des différences tranchées. Chez le paraplégique,
bes nerveux sains dont quelques-uns seulement sont plus minces qu'à l'
état
normal. Pathogénie; — causes de la paralysie da
tomatique réel, réductible en un terme équivalent aux mots malignité,
état
malin? C'est évidemment la question qui doit être
plate n'existe pas; à gauche, l'omoplate est constituée par un os à l'
état
cartilagineux, fortement recourbé, dont les deux
on arrive à une ouverture de 0m,15, c'est-à-dire 0m,04 de plus qu'à l'
état
normal. Mais les autres défor-mations du bassin n
formait cependant avec l'ho-rizon un angle beaucoup plus aigu qu'à l'
état
normal. Au bout de 8 jours, la femme se levait
x qui avoisincnt l'ouverture du col (Huguier) : à peines visibles à l'
état
ordinaire, ils sont augmen-tés de volume et dilat
ait plutôt raccourcie qu'allongée. Après avoir expliqué aux époux l'
état
des choses, je leur dis qu'il n'y avait qu'un moy
avait plus rien. Lorsque Morse arrive au dispensaire, il est dans l'
état
suivant : hyperémie périkératique assez intense,
dans la maladie de Parkinson : presque constantes à la pé- riode d'
état
, elles surviennent en même temps que les attitude
la même pathogénie. Je veux, aussi, attirer votre attention, sur l'
état
des réflexes tendineux ; parce que la question
lentement progressif qui a, peu à peu réduit cette malheureuse à l'
état
cachectique où vous la voyez aujourd'hui. Vous
particularité qui se présente par- fois lorsque vous rechercherez l'
état
des réflexes tendineux. J'ajoute que l'examen é
dans cette maladie, qu'une question d'années et vous avez vu à quel
état
misérable sont réduits les malades, avant de su
ellules corticales, par la méthode de Nissl ; par celle de Golgi, l'
état
variqueux de leurs prolongements ; enfin, au We
ppelez-vous que les arsenicaux peuvent être utiles, en améliorant l'
état
général, ce qui donne aux malades une nouvelle én
sont mêlées, d'où il suit que lorsqu'elle est individualisée par un
état
pathologique, sa densité et son épaisseur varient
à la bandelette externe, il paraît sain, mais si on le compare à l'
état
normal, on voit qu'il est moins fourni de fibres
es cordons postérieurs sont en effet notablement plus petits qu'à l'
état
normal. 2" Sacrée.- La dégénérescence prend la
question ; elle répond pourtant à la réalité des faits. Noyées à l'
état
normal dans la masse des fibres radiculaires, l
res fines endogènes. 32 NAGEOTTE cules moyens et postérieurs, à l'
état
normal, se trouvent masqués par les tractus des
dans/1 la moelle perdent là leur gaine de Schwann, et il existe à l'
état
nor ? comme l'ont montré Obersleiner et Redlich
contenait encore de 1/10 à 1/8 de la somme totale de ses fibres à l'
état
normal et l'auteur pa- raît avoir eu bien de la
encore remarquable- ment nombreuses, si bien que ces zones qui à l'
état
normal tranchent sur le reste de la substance b
leur trajet entre la portion périphérique et la portion médiane à l'
état
isolé, et qu'il a été impossible de suivre ces
le-même en deux subdivisions. Dans toutes ces régions il existe à l'
état
normal un réseau de fibres à myéline qui sont l
AGEOTTE constater qu'en effet il y ci un rapport très exact entre l'
état
du cordon de Goll à la région cervicale et celu
66 CROUZON Elle n'a révélé aucune modification appréciable dans l'
état
des cellules. Bulbe. Au niveau de la diminution
PROFESSEUR A. PITRES, ETUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES A l'
état
normal ET dans QUELQUES affections spasmodiques
s dans le temps. II ÉTUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES A L'
ÉTAT
NORMAL. I. Nous avons recherché en premier lieu
ntaire. On verra plus loin qu'il n'en est pas de même dans quelques
états
pathologiques. III. On peut résumer ainsi sous
sous forme de conclusions les constatations précédentes : 1° A l'
état
normal, l'excitation minima de la plante du pied
exe des orteils se produisait toujours et uniquement en flexion à l'
état
normal. 3° Les variations d'intensité des excit
mbien était incomplète cette dernière manière de voir, puisque, à l'
état
normal, la flexion et l'extension du gros orteil
erses, etc., etc. Dans toutes ces affections, on retrouve comme à l'
état
normal la même décomposition du réflexe plantai
, réflexe planti tibial, réflexe planti-crural. Mieux encore qu'à l'
état
normal, cette décom- position paraît justifiée,
s : . Le RÉFLEXE PLANTI-CRURAL présente les mêmes caractères qu'à l'
état
74 VERGER ET ABADIE · normal. Il se traduit d
lexe PLANTI-TIBIAL présente aussi les mêmes caractéristiques qu'à l'
état
normal, mais il possède ici comme particularité s
ure, en tous points comparables au type de flexion pure observé à l'
état
normal : il a été cependant rencontré chez des
normal. Quel- quefois la flexion du gros orteil présente comme à l'
état
normal une am- plitude plus grande que l'extens
termes, flexion et extension, est inverse. Tandis, en effet, qu'à l'
état
normal la flexion est plus prolongée que l'extens
e du gros orteil). ÉTUDE GRAPHIQUE DES RÉFLEXES PLANTAIRES 75 à l'
état
pathologique la flexion initiale est brusque et c
tré que chez un seul malade, atteint de sclérose en plaques avec un
état
re- marquablement spasmodique des membres infér
rs avec une vivacité et une amplitude beaucoup plus marquées qu'à l'
état
normal. III. En règle générale, l'excitabilité
logiques, la région plantaire n'est pas seule effi- cace, comme à l'
état
normal, pour provoquer l'apparition du réflexe pl
° Dans les affections spasmodiques de la voie pyramidale, comme à l'
état
normal, l'excitation minima efficace de la plante
trice. Cette extension peut accom- pagner en réalité la flexion à l'
état
normal, mais dans les affections spas- modiques
ant ainsi l'illusion d'un réflexe pathologique inversé, puisque à l'
état
normal c'est généralement la flexion qui appara
gique de différence essentielle de nature, puisque, d'une part, à l'
état
normal, on constate fréquemment par la méthode
ique une extension succédant à la flexion, et que d'autre part, à l'
état
pathologique, on constate également par les mêmes
ère précédant l'extension : ce qui fait la différence, c'est qu'à l'
état
pathologique cette extension devient plus vive
'augmentation de poids ; c'est un signe sans intérêt cli- nique à l'
état
isolé.Il est lié à un autre fait qui est aussi in
concavité antérieure. Le ventre est dur à la palpation et paraît en
état
de contraction permanente. Pendant la respirati
nt pour une deuxième cure que j'ai conseillée : il est dans le même
état
. Nouveau traitement, identique au premier. Pas
du côté malade il existe. Cette anomalie donnerait à croire qu'à l'
état
normal il n'existait probablement pas ni d'un côt
ellaire du même côté un peu augmenté, a une signification nette : l'
état
spasmodique, léger à la vérité; et cliniquement
58 jours d'hôpital. Un peu plus tard il fut * réformé à cause de l'
état
de ses genoux. Il n'y a jamais eu de blennorr
ée (mai 1901) à l'Hôpital thermal. - Grand, fortement cons- titué ;
état
général bon. Vu à nu le malade se tient fortement
le dos s'enraidit de plus en plus, et depuis 8 mois, M... est dans l'
état
ou il se présente aujourd'hui. ' Etat à l'arr
ismale, - appellation discutable 'si l'on n'admet pas qu'il existe un
état
morbide représenté par l'arthritisme,le rhumati
s viennent après les épaississements fusiformes. Il y a vraiment un
état
variqueux ou, moniliforme des dendrites. Si l'é
imension, ils sont de forme variée; mais on ne peut parler ici d'un
état
moniliforme ou variqueux des dendrites. 104 C
e l'affection : - 12 septembre. - La malade est restée dans le même
état
; elle s'occupe un peu dans la salle. " Réfle
e de son lit (contusion du nez et de la main). 95 janvier 1902. - L'
état
s'est amélioré ; la malade se lève. 18. - Nouve
c- tiformes ou épileptiformes. » A l'entrée la malade est dans un
état
physique médiocre ; elle reste assise toute la
nous l'interrogeons. A aucun moment d'ailleurs elle n'a quitté cet
état
d'euphorie. Pas d'idées délirantes ou du moins
eure : pas d'impulsions, ni signes d'irritabilité ou de méfiance .Cet
état
se com- pare en somme à un affaiblissement déme
ntiel organique, celui des déments apoplectiques par exemple. ' L'
état
général est médiocre, sans que l'examen somatique
monte pendant ces deux jours à 40°. Pas de signes pulmonaires. L'
état
général s'altère progressivement; la malade ne fa
té ce mot d'indifférence «je m'en f...» et elle rit. Pas de crise ;
état
de subagitation motrice. - La rétention a cessé d
gitation motrice. - La rétention a cessé depuis le 3 mai. 18. - L'
état
s'aggrave; vomissements, facies très pâle ; état
e 3 mai. 18. - L'état s'aggrave; vomissements, facies très pâle ;
état
syncopal avec refroidissement des extrémités. T
t reconnaissables, disposées en traînées un peu moins riches qu'à l'
état
normal ; le protoplasma existe quoique altéré. Be
Jastrowitz ; sous le nom de moria et witzelschut ils définissent un
état
qui va depuis l'euphorie béate jusqu'à sa traduct
ique présentant plus d'un trait commun avec le tableau clinique des
états
démentiels or- ganiques. Nous ne retrouvions pa
i devient de plus en plus difficile. A son entrée à Perron (1897) l'
état
général du malade est bon, les yeux sont intell
la face. Le rire est un peu spasmodique et s'accompagne aussi d'un
état
vultueux du visage. 1900. - L'impotence fonctio
ination ses membres infé- rieurs au-dessus du lit. Ceux-ci sont à l'
état
permanent de contracture qui contraste avec l'a
espiration un peu souf- flante au sommet gauche avec submatité. L'
état
général a décliné rapidement : asthénie extrême ;
- Depuis trois jours, une aggravation notable s'est produite dans l'
état
du malade. Sans qu'il y ait de signe d'occlusion,
t disparu. 4 juin 1902. - Depuis hier, le malade, qui était dans un
état
plus satisfai- sant, est de nouveau pris d'acci
yra- mides antérieures, les cylindraxes sont moins abondants qu'à l'
état
normal, très irréguliers, la plupart sont très
R sont nettement altérées, elles paraissent moins nombreuses qu'à l'
état
normal ; ellles sont globuleuses, leurs prolong
mois avant sa mort, à peu près brusquement, une aggravation de son
état
, avec hémi- anesthésie gauche complète au tact
la digestion, de lapuissance des masses musculaires, en somme de l'
état
physique général. Cette particularité qui nous
xe et la plus élevée, est la résultante d'une série ininterrompue d'
états
de conscience et de volitions, adaptés à des fi
ême chez les fous l'on observe toujours - quels qu'ils soient,- des
états
de conscience et par conséquent des actes moteurs
défec- tueuse, il persiste,parfaitement conservés, de très nombreux
états
de cons- cience, et les mécanismes moteurs sont
yer d'agir directement sur la première pour provoquer un retour à l'
état
de conscience et de volonté normal ; ou bien nous
la période aiguë des psychoses aiguës qui sont presque toujours des
états
de démence aiguë, souvent fiévreux et souvent g
qui, malgré leur démence, on observe encore l'existence de nombreux
états
de conscience même s'il y a un cata- tonisme et
gativisme. Chez ceux-ci, peut-être parce qu'ils se trouvent dans un
état
initial de maladie, l'ergothérapie est employée e
ue. Il n'en est pas ainsi pour l'alcoolisme chronique, à cause de l'
état
d'asthénie physique, et de la pro- fonde démenc
nsi que la faculté d'assimilation. La démence est constituée par un
état
d'absolue « indifférence, par une disparition tot
aussi dans plusieurs formes mixtes, ltébéphrénico-catatoniques où l'
état
de catalepsie musculaire n'est pas per- manent,
s suffit de citer la définition de Babinski que « l'hystérie est un
état
psychique qui rend le sujet capable de s'auto-
IANCHINI En dehors de quelque cas de grave psychose hystérique avec
états
d'agita- tion et de délire, toutes nos malades
tion et de délire, toutes nos malades d'hystérie sont sorties dans un
état
de guérison complète. Les états d'obsession n
es d'hystérie sont sorties dans un état de guérison complète. Les
états
d'obsession ne peuvent être traités à l'aide d'au
tits inférieurs. Nous avons recueilli enfin un certain contingent d'
états
maniaques et dépressifs et d'états de démence.
li enfin un certain contingent d'états maniaques et dépressifs et d'
états
de démence. Nous avons réuni sous ces termes cert
ère fois et qui ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 151 présentent des
états
maniaques ou dépressifs dont il est impossible dé
t, faute d'anamnèse on ne peut dire que ceci : ils se trouvent en «
état
de démence ». Après ces données sur le travail
ment dans l'hiver, trois ou quatre octogénaires ou paralytiques à l'
état
terminal sont confinés au lit. Des 121 femmes,
s réels de la biologie des fous : 10 chez tout aliéné il existe des
états
de conscience ; 2° chez la plus grande partie des
urnées en dedans. Ce dernier trait' est exact ; malheureusement cet
état
des membres inférieurs est, incom- patible avec
e Ernest ne possède pas seulement l'habitus extérieur, mais aussi l'
état
mental. Cet homme de 40 ans fait preuve dans se
il a fait souvent « 60 kilomètres dans sa journée ». Puis il fait
état
de son ingéniosité et de son esprit inventif; il
st que fantaisie, amour de la parade. C'en est assez pour montrer l'
état
psychique. On y trouve poussés à l'extrême tous
. APERT, médecin des hôpitaux. Les relations qui existent entre l'
état
anatomique du corps thyroïde d'une part, la cro
et cannelés transversalement.. Rien à noter de particulier dans l'
état
des viscères ; poumons, coeur, en bon état,pas
er de particulier dans l'état des viscères ; poumons, coeur, en bon
état
,pas de sclérose artérielle appréciable, tympanism
té et pré- cision, aime la lecture, écrit correctement. Tel est l'
état
présent du malade. Son histoire antérieure n'est
ndant leur jeunesse, puis ils restaient figés définiti- vement à un
état
d'infantilisme plus ou moins profond. Ils ne repr
APERT des vasculaires sanguines, notre homme se rapproche plus de l'
état
nor- mal que les myxoedémateux francs ; nous ex
avaient reparu. Au bout de deux mois (de reprise du traitement), l'
état
des malades était aussi satisfaisant que possible
tail à gauche, et déplus le gros orteil gauche est en extension à l'
état
statique. On constate très nettement à gauche l
rents racontent qu'ils l'ont trouvée le 10 février au réveil dans l'
état
où elle est actuellement, incapable de dire une p
ie semblable, pas plus que les collatéraux. Le père, facteur de son
état
, est d'une bonne santé habituelle ; il a cepend
nservée, les pieds sont froids, cyanosés et mouillés de sueur ; cet
état
existait avant la maladie. , L'examen de la s
lle regrettait beaucoup d'avoir manqué son coup. Décembre. - Même
état
de dépression profonde entrecoupée d'impulsions
apper ceux qui l'entourent et casser des carreaux. 30 avril. - Même
état
de demi-stupeur avec attitudes catatoniques, mu-
on d'affaires d'intérêts ; « 'Démence précoce caracté- risée par un
état
de stupeur catatonique permanent, interrompu par
lade, il est aisé de s'apercevoir qu'elle est sous l'influence d'un
état
obsédant continu : ce sont des idées obsédantes
ne s'agirait pas d'idées d'auto-accusation bien en rapport avec son
état
mélancolique. Les hallucinations dé la sensibil
es de notre ma- lade paraît bien s'expliquer par l'influence de cet
état
obsédant dans un cer- veau aboulique. 11 juin
), d'être instruit de l'exis- tence de cette affection pour être en
état
de la reconnaître, il suffira aussi de grouper
acines à leur entrée et à leur sortie des ganglions, et d'apprécier l'
état
des cellules nerveuses, suivant qu'elles occupe
logiques où les anciennes méthodes avaient per- mis de conclure à l'
état
normal de la cellule, l'introduction de chaque
s chromatolyse : et si l'on réfléchit que la cellule peut subir à l'
état
pathologique des variations de volume assez consi
einte d'un érysipèle de la face à la suite duquel elle manifeste un
état
démentiel très accusé. Elle succombe le 18 octo
es postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu'à l'
état
normal. Dans notre premier travail nous écrivio
e de cellules sont en voie de dégénérescence graisseuse (fig. 3). L'
état
du noyau est proportionnel à celui de la cellule.
ôt épaissi, les cloisons intercellulaires un peu plus larges qu'à l'
état
normal ; mais la sclérose interstitielle n'est pa
trophie. Les cellules capsulaires semblent plus volumineuses qu'à l'
état
normal, elles sont élargies, gonflées. Les lésion
distinguer le nucléole et les fines granulations qui l'occupent à l'
état
normal'; c'est cet état que quelques auteurs on
et les fines granulations qui l'occupent à l'état normal'; c'est cet
état
que quelques auteurs ont décrit sous le nom d'h
ortance en ce qui concerne le point qui nous occupe, c'est-à-dire l'
état
des cellules nerveuses ; il n'y a aucun rap- po
ont rien des pécifique, il n'est pas certain qu'elles traduisent un
état
pathogique de la cellule. Mais plusieurs auteur
terstitiel était également plus riche en pigment dans le tabes qu'à l'
état
normal, mais il est difficile d'en tirer aucune
1 234 THOMAS ET HAUSER burg, elle correspond peut-être aussi à l'
état
pyknomorphe ou de repos fonctionnel de la cellu
ent cylindraxile a été sectionné. En réalité, nous ne sommes pas en
état
d'affirmer si les lésions \cellù'M laires du ga
il est quelquefois très difficile d'établir un paral- lèle entre l'
état
anatomique et l'état fonctionnel de la cellule, e
rès difficile d'établir un paral- lèle entre l'état anatomique et l'
état
fonctionnel de la cellule, et il est légitime d
cq et,Huel. En 1889, Contribution ci l'étude de la nutrition dans l'
état
normal et dans la fièvre du goitre exophtalmiqu
n. En 1890, Considérations sur les ecchymoses spontanées et sur l'
état
mental des hystériques. Contrihution Ú l'élude
alytique et para- lysie bulbaire sans lésions anatomiques », est un
état
morbide, clinique- ment défini, dont nous somme
e et à l'accommodation. L'oeil droit semble être plus ouvert qu'à l'
état
normal ; les deux sourcils beaucoup plus élevés.
s autres muscles. Le rectum et la vessie fonctionnent comme en leur
état
physiologique. L'exploration de la sensibilité
éphalite supérieure chronique, par son évolution progressive ou son
état
stationnaire, et quand elle envahit les noyaux bu
ntre une ou deux cellules ; et même alors elles se trouvent dans un
état
d'atrophie au plus haut degré. Avec ces lésions
richement parsemée d'amas de fibres saines. Nous ne sommes pas en
état
de donner une explication plausible de cette su
prendra mieux ainsi les différences que nous avons trouvées entre l'
état
normal et l'état pathologique. Notions d'anatom
si les différences que nous avons trouvées entre l'état normal et l'
état
pathologique. Notions d'anatomie normale. - La
n même temps ratatinés, revenus sur eux-mê- mes, moins longs qu'à l'
état
normal ; leur couche est fréquemment plissée. P
enle ; les fibres de Ilenle sont, non seulement plus courtes qu'à l'
état
normal, mais souvent aussi plus espacées, et la
internes sont généralement moins nombreux et plus espacés s qu'à l'
état
normal ; la diminution parait bien plus sensible
ra ta faible épaisseur de la couche des cellules ganglionnaires à l'
état
normal, alors même (7) que la couche des fibres
couche des cellules ganglionnaires est presque aussi épaisse qu'à l'
état
normal ; la couche des fibres optiques a au con
uveau et précieux pour juger des changements qui surviennent dans l'
état
de nos malades. Tout degré d'attention, de conc
s en considération pour apprécier toute fluctuation survenue dans l'
état
du malade. Dans les asiles où le régime du trav
citation cesse brusquement et le 13 décembre la malade étant en bon
état
est rendue à la liberté. Cette courte relation
la liberté. Cette courte relation ne nous laisse aucun doute sur l'
état
maniaque en présence duquel nous nous trouvons.
r la malade au moment où elle se trouvait au point culminant de son
état
maniaque. Avant de voir ce que cette broderie off
erons quels sont les traits caractéristiques principaux propres à l'
état
maniaque ? Etat d'esprit exalté, gai, accélératio
l'arrondissement de Kazan après avoir été malade plusieurs mois. L'
état
psychique de la malade pendant son séjour à l'hôp
, ce qui fait que par moments on la nourrit au moyen d'une sonde. L'
état
décrit cède la place à des périodes de calme pend
sous sa couverture elle reste immobile au lit. Très apathique. Ces
états
alternent avec une rapidité assez grande. Tout
ituation. Au bout de 12 mois et demi la malade quitta l'asile dans un
état
psychique satisfaisant et considérablement remi
ui eut lieu le 3 février. Pendant tout le temps de la gestation son
état
avait été déséquilibré ; après les couches exal
e battre Au moment de son placement à l'hospice elle manifestait un
état
d'exaltation extrême ; elle parlait sans fin, ses
tale en donnant comme ré- sultat un kaléidoscope bigarré d'idées, d'
états
d'esprit, d'actions dans lequel aucune pensée n
r jus- qu'à son complet épuisement. Dans le cas où le malade est en
état
de concen- trer tant soit peu son attention sur
produits sur ces pages et qui sont dus à la main de malades, dont l'
état
mental vient d'être ébauché, confirment on ne peu
rie et devient agres- sive. La conscience ne cesse d'être claire. L'
état
désigné dure avec de petites fluc- tuations pen
ment avec les paranoïques et les autres chr-oniques..tombés dans un
état
de débilité mentale une foule bigarrée de ce que
le lit et relit z sans fin le même livre, tantôt elle tombe dans un
état
d'excitation pendant le- quel elle manifeste l'
thique, peu active ; ce n'est que par moments qu'elle tombe dans un
état
d'exaltation pour devenir alors grognon et quer
de ce qui a été emmagasiné par la mémoire au temps lointain de son
état
normal. Les processus logiques faiblissent ; les
roubles mentaux particuliers, qu'il n'hésitait pas à rapporter à un
état
psychopathique. Dans un autre passage, il les ide
cence. ' Les auteurs chrétiens ont insisté longuement sur l'étrange
état
mental des adorateurs de Bacchus. ' « Les Bac
est, surtout parmi les femmes, qu'on est obligé d'emporter dans un
état
d'insensibilité (1). » Enfin, de nos jours, par
es manifestations,mais qui n'est pas, nécessairement, l'indice d'un
état
névropathique permanent. Le contrôle cortical i
mpulsion irrésistible, cette unique réponse : la mein Hen ! 1 1 Cet
état
dura quelques jours seulement et ne s'est pas rep
l ne présente rien du côté d'aucun appareil. De taille moyenne, son
état
général est excellent. Voici ce que donne l'exa
volonté nécessaire à une cure bien conduite. Arrivé au régiment en
état
de parfaite santé apparente, notre malade met s
n d'être impuissante; il a quitté l'hôpital à peu près dans le même
état
qu'au jour de son entrée, et depuis ce moment n
l'obser- vation clinique, à laquelle nous prions de se reporter. L'
état
du malade est resté'presque exactement le même
u pro- noncé, particulièrement au niveau des muscles de la jambe. L'
état
géné- ral, qui était resté bon jusqu'alors, s'e
parfois les faisceaux neuro-musculaires. Nulle part on ne trouve d'
état
vacuolaire de la fibre musculaire. Dans certain
it pas d'une erreur de fixation ; cependant nous avons constaté cet
état
moniliforme aussi bien dans les gros nerfs que
it que dans les myopathies, on peut distinguer au point de vue de l'
état
des muscles, trois formes : une forme proprement
bre musculaire. b) Fibrillation d'une fibre musculaire ; retour à l'
état
embryonnaire et peut-être trans- formation fibr
bres musculai- res embryonnaires, nous croyons que pour expliquer l'
état
de certains mus- cles, on peut très bien adopte
ur lequel nous n'avons pas suffisamment insisté est représenté de l'
état
du tis.su nerveux qui se trouve immédiate- ment
cordons de la moelle, qui n'a pas plus de rapport avec un sim- ple
état
atrophique qu'elle n'en a avec un processus infla
et le chiasma est très épaissie. Le chiasma ne repose nullement à l'
état
normal, comme on l'a prétendu, sur la gouttière o
bandelettes optiques et les pédoncules cérébraux. Or, alors qu'à l'
état
normal l'arachnoïde transparente n'em- pêche pa
disproportion. Les nerfs, deviennent moins nettement blancs qu'à l'
état
nOl'l1,'1/jl sont souvent un peu grisâtres, com
le et le nerf un espace plus ou moins large. L'arachnoïde, qui, à l'
état
normal, n'est que médiocrement adhérente à la g
aiment t tout à fait caractéristique. Au lieu d'observer, comme à l'
état
normal, une division du nerf en un certain nomb
és de tissu scléreux dense, ils sont beaucoup plus abondants qu'à l'
état
normal, ils semblent à demi- indépendants de ce
n- dre de semblables petits vaisseaux engainés de sclérose ; or à l'
état
nor- mal c'est seulement dans les gaines conjon
araître les bandes fibreuses interfasciculaires que l'on trouve à l'
état
normal, alors que la sclér.ose estailleurssi in
e s'explique par la disparation pure et simple des cloisons qui à l'
état
normal unissent les points nodaux conjonctivo-v
eaux nerveux vidés, mais la fasciculation est restée la même qu'à l'
état
. normal. L'aspect est très différent de celui des
ersistance si longue, qui nous a frappé dans l'étude clinique, de l'
état
c demi-voyant », l'état qui permet au malade de d
i nous a frappé dans l'étude clinique, de l'état c demi-voyant », l'
état
qui permet au malade de distinguer le jour de l
sont les mêmes qne celles de la portion vasculaire; mais, comme à l'
état
normal la portion la plus rapprochée du chiasma n
st précisément cet aspect que nous avons trouvé le plus souvent à l'
état
pathologique dans la portion orbitaire du nerf.
-conjonctives de la portion crânienne du nerf plus épaissies qu'à l'
état
. normal et leur situation n'était pas modifiée; d
t périphérique on voit très nettement les termes de passage entre l'
état
normal et l'état pathologique : l'hyper- trophi
voit très nettement les termes de passage entre l'état normal et l'
état
pathologique : l'hyper- trophie vasculo-conjonc
ertébrale n'est pas déformée ni douloureuse. Au mois de mars 1898 l'
état
de la motililé est stationnaire. La malade peut
ue ancienne par étranglement, avec cxsudats autour de la papille et
état
sinueux, dilaté, des veines. On remarque l'exis
en avant et des trois premiers doigts en arrière. En 1895. - Môme
état
. Cyphose très marquée à la région cervicale. Trou
e de la plupart des symptômes cliniques. La clinique nous montre un
état
spasmodique, une exagération bilatérale des réf
, une exagération bilatérale des réflexes, phénomènes qu'explique l'
état
des FPC. Le peu d'atrophie musculaire se justif
ques. Dans leur structure une particularité est frappante : c'est l'
état
de leur tunique adventice. Elle leur forme une ga
us avons plus spécialement envisagées. Nous ne revenons pas sur l'
état
des méninges, la dégénérescence des FPC, déjà s
ale la cavité n'est nulle part tapissée de cellules épendymaires. L'
état
des vaisseaux, au milieu des régions les plus sai
t pâle, presque livide ; les yeux sont creux, cernés, témoignant un
état
de grande fatigue. Cet ensemble de lésions perm
de sa tenue, de sa conversation, etc., d'utiles indications sur son
état
men- tal. D'une part, la forme des lettres, l'a
à profit, et d'autre part, le contenu de l'écriture, c'est-à-dire l'
état
mental extériorisé par l'écriture, assurément une
e. Cette extériorisation graphique de la pensée nécessite, même à l'
état
normal, un labeur psychique plus ou moins pénible
ROY duit à l'extérieur d'une façon plus ou moins heureuse suivant l'
état
men- tal du sujet. Certains y excellent, d'autr
la tète devenait le siège d'une douleur extrêmement vive. Dans cet
état
, qui n'allait généralement pas jusqu'à la perte
possible de prévoir les troubles physiques de l'écriture d'après l'
état
des muscles des paralytiques généraux : chez ce
nt dépendre de troubles moteurs ; elles peuvent dépendre aussi de l'
état
mental du sujet. Si celui-ci présente de l'exci
ois manuscrits d'un autre paralytique. Le premier est antérieur à l'
état
de maladie confirmée ; peut-être trahit-il l'exci
ÉCIlITUnl<; 429 des, puis le malade revint progressivement à son
état
habituel dans l'es- pace de quelques minutes.
sans commentaires, la lettre suivante d'un dé- ment précoce dont l'
état
est depuis très longtemps stationnaire et qui est
ce, la méninge postérieure est peut-être un peu plus épaisse qu'à l'
état
normal, mais elle ne présente nullement les gros
rence ne semble pas dépasser sensiblement celle que l'on observe à l'
état
normal. Pas d'amas lymphocytaires, ni dans la
dehors, elles sont moins longues transversalement ; d'ailleurs à l'
état
normal la corne de CI est moins large que celle
ents. Quelques vaisseaux sont entourés d'une large zone claire. L'
état
de la méninge et de ses vaisseaux semble à peu pr
e restreint de gai- nes myéliniques sont seules colorées ; mais à l'
état
normal ces gaînes sont trop irrégulièrement col
nt encore un peu effilées ; les cellules out sensible- ment le même
état
et le même nombre que sur la coupe précédente.
s, fibres très colorées ou à peine colorables, fibres- cellules à l'
état
embryonnaire, fibres complètement ou incomplèteme
léaire, même infiltration graisseuse. Nerf \ sciatique gauche. Même
état
que le droit avec prolifération con- jonctivo-g
rémas- térien faible; abdominal, conjonctival, cornéen normaux. L'
état
général est bon. Il dit avoir maigri un peu et il
evenir normales ou atrophiées. Nous n'avons pu observer nettement l'
état
bifide sur ces coupes longitudinales, mais dans
groupes de noyaux dans la substance hyaline fondamentale. Tous ces
états
voisinent et peuvent être observés sur un même ch
isée avec conservation des muscles postérieurs de la jambe. Le même
état
persiste actuellement comme il est facile de s'
notre externe et ami Potelet, rendent compte de leur topographie. L'
état
général de la malade est excellent; on ne trouve
phie. L'état général de la malade est excellent; on ne trouve aucun
état
mor- bide récent ou actuel qui puisse expliquer
urs est restée deux ans en traitement à l'asile, elle présentait un
état
de confusion mentale extrême avec hallucination
oreilles écartées, désourlées, asymétrie du crâne. 8 décembre. Même
état
de stupeur complète avec négativisme. Il s'ali-
une main près de sa bouche, l'autre dans sa poche. ' , 8 mars. Même
état
de stupeur, gâtisme. On constate à l'examen des p
La pression profonde à ce niveau est très douloureuse, car malgré son
état
de stupeur, le malade'fait un mouvement brusque
ui a insisté avec raison sur son caractère douloureux. 30 juin. L'
état
mental est sans modifications. Le pseudo-oedème e
arges eschares à fond purulent comme les premières. LI 20 août. L'
état
physique général est assez mauvais ; la nutrition
sez mauvais ; la nutrition est dé- fectueuse. Le malade est dans un
état
de dépression et d'inertie profonde. Il répète
n mutisme absolu. 23 novembre 1899. - Il arrive à l'asile dans un
état
de dépression intellec- tuelle très manifeste,
itudes d'onanisme. Est moins violent qu'autrefois. 3 décembre. Même
état
de stupeur, il est mal tenu, malpropre, urine sur
es troubles trophiques doi- vent être fréquents chez les aliénés en
état
d'inhibition cérébrale (Dermato- psychies de M.
doués d'un tempérament très nerveux. Or la rétivité est un vice, un
état
morbide continu de la volonté qui peut rele- ve
la nymphomanie chez la jument, pouvant déter- miner à la longue un
état
général des plus défectueux décrit, en méde- ci
connus en mé- decine vétérinaire, et l'hypnotisme des animaux (1),
état
psychique artifi- ciel provoqué par des actes d
e sang, synonyme d'énergie, n'a rien à voir, disions-nous, avec les
états
morbides continus du caractère, de l'émotivité et
ome avec un luxe inusité de précautions, entrait, dit-on, « dans un
état
d'exaspération voi- sin de la folie ». La jumen
peut avoir de l'importance au point'de vue de la détermination d'un
état
d'in- fériorité individuelle » (Séglas), en rap
structive que l'échelle intellectuelle des animaux, et la liste des
états
dégénél'ati{s de l'animal comprendra alors des vi
mportant que l'accumulation de ces symptômes place l'animal dans un
état
d'infériorité réel, diminuant à la fois sa vale
rançais, des Autrichiens, s'est maintenue, malheureusement, dans un
état
de profond arriérisme social et intellectuel. Pen
ach (3 pl.), par Henry 111EicE, 248, 322. Réflexes plantaires à l'
état
normal et dans quelques affections spasmodiques
Ai3ADiE et H. VERGER. Etude graphique des réflexes plantaires à l'
état
normal et dans quelques affections spasmodiques
Verger et S, ABASIE. Etude graphique des réflexes plantaires à l'
état
normal et dans quelques affections spasmodiques
\. On sait que sous le nom d'idiotie on englobe un grand nombre d'
états
pathologiques congénitaux ou acquis, paraissant
10 mari. : Douleurs sourdes dans la région occipitale gauche ; l'
état
des yeux n'est pas modifié ; toujours stase pap
elle d'arthropathie nerveuse. 16 novembre. - L'enfant, dans le même
état
, est rendue it sa famille. 1899. 17 juillet.
t est pâle, plutôt grasse. La physionomie est sans expression ;
ÉTAT
DE LA MALADE A 14 ANS. 7 l'enfant voyant à pein
ant a bien dormi hier, elle boit bien son lait. m 20 août. - Même
état
. L'ecchymose est un peu plus étendue au niveau
alcoo- lique depuis longtemps, mais elle n'aurait pas eu lieu en
état
d'ébriété. Durant la grossesse, la mère prenait
tardive (2), le caractère triste, irritable, semblent indiquer un
état
congénital. Jamais de convulsions. Ecolage conv
ard dans notre service à la Fondation Vallée (juillet 1899). V. L'
état
de la malade restait alors le même. Le 111 aoÛ(
tre membres qui, en 1905, sont pris de contractures. C'est dans cet
état
que l'enfant est arrivé dans le service, offran
s au- tres, la maladie de Basedow ne peut créer de toute pièce un
état
vésanidue. Les troubles mentaux qui l'accompa-
sionnelle, sur le même terrain maternel de la dégénéres- cence. L'
état
constitutionnel du système encéphalique, depuis
rina au lit jusqu'à 7 ans. De bonne heure, on constata chez elle un
état
mental maléqui- ]ibré. Outre qu'elle présentait
ette à un énervement mal délini. Elle avait comme le sentiment d'un
état
anormal qu'elle ne pouvait rattacher à aucune c
profonde. Elle ne parla plus et resta au lit pendant deux mois. Cet
état
persista jusqu'il la lin de juin 1900. Puis il
ittente des troubles cé- rébraux. En particulier, la rémission de l'
état
mental en 1901 ne e répondit à aucune améliorat
impossibilité absolue de fixer l'attention constitue le fond de son
état
psychique. Idées de grandeur : la malade s'imag
c., autant de circonstances qui ré- veillent le plus généralement l'
état
de déséquilibre latent des dégénérés, c) Les sy
n ombilicale. G. D. ] ? - Lésions de5 neuro-fibrilles dans certains
états
pa- thologiques ; par le Pr Marinesco. (Journ.
u cours des hémiplégies et des para- plégies. Dans ces différents
états
pathologiques les lésions des neu- rofibrilles
sans que l'un soit la conséquence de l'autre. En ce qui concerne l'
état
des neuro-fibrilles dans la para- lysie général
tion convergente des axes oculaires pendant leur accomplissement, l'
état
de lassitude qui les REVUE DE PATHOLOGIE MENT
cte sexuel consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'
état
moteur qui, arrivé à son maximum, présente une
par une période d'adynamie et de repos. Dans la production de cet
état
et de ses différentes phases l'image motrice jo
ar l'hérédité, n'est pas comme on l'admet gé- néralement, un simple
état
de moindre résistance du sys- REVUE DE THÉRAP
rme particulière de maladie ner. veuse. G. D. IX. - Evolution des
états
hypochondriaques, par \lll. 'l'aTv et CHAUflER,
AUflER, (Journ. de Neurologie, 1905, n° 23.) Les dix observations d'
états
hypochondriaques relatés dans ce travail plaide
di- calement et non pas seulement psychiquement. Le pronostic des
états
hypochondriaques n'en reste pas moins très grave.
n seulement les améliorations ne se maintiennent pas longtemps et l'
état
des malades reste stationnaire jusqu'à la mort,
y parvenir qu'indirectement en s'efforçant de leur substituer des
états
psychiques normaux, et cela, au moyen de l'iso-
na est née en 1889. Lors de ses pre- mières règles, elle présenta l'
état
mental hystérique. A propos des moindres reproc
s reproches, elle fait une fugue, Une de ces iugues eut lieu dans l'
état
second. En août 1904, elle présente des troubles
otique. M. r ! KR ! L ! ,oK. L'étude des phénomènes observés dans l'
état
d'intimidation permet de les assimiler à ceux q
ue de se mouvoir, de parler et de penser. Un peut donc comparer cet
état
à la paralysie psychique qu'il est facile de pr
psychique qu'il est facile de produire par suggestion dans certains
états
de l'hyp- notisme. Pour nous l'état d'intimidat
e par suggestion dans certains états de l'hyp- notisme. Pour nous l'
état
d'intimidation est analogne à l'état d'hypnose.
de l'hyp- notisme. Pour nous l'état d'intimidation est analogne à l'
état
d'hypnose. Seulement dans ce cas il s'agit d'hy
es personnes a été trop cultivée. L'admiration met l'esprit dans un
état
d'attente favorable à la production de l'hypnos
ractairesà toute tentative d'hyp- notisation ; quand on étudie leur
état
mental habituel, on ap- prend qu'ils sont des o
conde catégorie, on observe au contraire des sujets chez lesquels l'
état
d'intimidation existe pour ainsi dire iL l'état
ets chez lesquels l'état d'intimidation existe pour ainsi dire iL l'
état
permanent. Cette timidité qui s'accompagne le p
ux puissances surnatu- relles. Or, les aliénés réalisent souvent un
état
psycholo- gique analogue ; s'ils sont servis pa
ons de M. Valentino m'ont rappelé la haine d'Auguste Comte contre l'
état
métaphy- sique et sa sympathie pour l'état féti
d'Auguste Comte contre l'état métaphy- sique et sa sympathie pour l'
état
fétichiste. D'ailleurs, Comte, lui aussi, a ver
s points principaux suivants. 1° La timidité est la manifestation d'
états
psychologiques constitués par de l'inhibition d
s centres nerveux; 2° Les phénomènes d'inhibition observés dans les
états
d'intimidation sont analogues à ceux qu'on réal
états d'intimidation sont analogues à ceux qu'on réalise dans les
états
d'hypnotisme. , 3° La suggestibilité est la con
suggestibilité est la condition essentielle de la pro- vocation des
états
d'intimidation, comme de ceux de l'état d'hypno
le de la pro- vocation des états d'intimidation, comme de ceux de l'
état
d'hypnotisme. 4° L'intensité des états d'inti
idation, comme de ceux de l'état d'hypnotisme. 4° L'intensité des
états
d'intimidation est en rapport avec le degré de
e incommodité, en amenant paral- lèlement la disparition des divers
états
d'intimidation et d'émotivité morbide. soci
ion ou dégénérescences psychiques, avec les délires greffés sur ces
états
, et B. les infirmités psychiques d'involution o
onsacrées à la Pathologie spéciale, c'est-à-dire à l'étude : 1° des
états
psychopathiques primitifs; 2° des états psychop
t-à-dire à l'étude : 1° des états psychopathiques primitifs; 2° des
états
psychopathiques secondaires ou asso- ciés. Parm
stions actuellement à l'ordre du jour, un inventaire complet de l'
état
présent de la psychiatrie, en France et à l'étran
eux sur l'intelligence et le caractère et engendrent lente- ment un
état
mental caractérisé par un amoindrissement des f
ées quand la maladie a diminué d'intensité ; elles sont passées à l'
état
chronique quand elle a persisté. Ces hallucinat
ade ; elles surviennent de pré- férence, le soir, la nuit, dans les
états
d'assoupissement. Leur caractéristique est de s
a personnalité n'ont jamais été notées chez ces persécutés. , Les
états
de folie ah u2cre Icesa ne reconnaissent pas tou-
de caractères qui permettent de les distinguer assez facilement des
états
psychopathiques analogues. La nature de l'otopa
x, 1 ! J(4- [905.. ' Etude du rire dans l'hystérie apparaissant à l'
état
de rire soit spontané, soit provoqué. Le rire i
s du rire, par suggestion de l'acte lui-même, par sugges- tion d'un
état
psychique gai, par excitation des zones idéo-
gai, par excitation des zones idéo- 74 VARIA. gènes modifiant l'
état
mental dans le sens du rire, enfin par excitati
hylocoque ; on a constaté aussi la présence du bacille d'Eberth à l'
état
de pureté dans le li- quide céphalo-rachidien e
emande sera accompagnée de l'acte de naissance du postulant, de ses
états
de services, d'un exposé de ses titres, d'un ré
allé, alors que ses vociférations ne laissaient aucun doute sur son
état
mental et sur l'urgence de son admission dans u
e la présence des réflexes. Nous-même (1) avons soutenu que. si l'
état
des réflexes ne pouvait nous donner de renseign
anale restèrent anesthésiques. Aucun changement ne survint dans son
état
jusqu son en- trée à la Salpétriére, si ce n'es
de la malade le G juillet 1905. La malade est paie et amaigrie, son
état
général est des plus défectueux. Elle présente
escarres profondes et suintantes datant d'environ 1 mois 1 ? . L'
état
de la malade au point du vue des troubles nerveux
regretter qu'il ait été impossible d'avoir des renseignements sur l'
état
et l'évolution des réflexes ten- dineux. Nous s
c contracture. Lorsque nous voyons C ? 18 ans après son entrée, son
état
ne s'est pas modifié sensiblement. Elle a pris
ature cutanée. La sensibilité objective est très dimi- nuée, mais l'
état
mental de la malade ne permet pas de l'exami- n
E NERVEUSE. de la malade s'aggrave tous les jours, elle est dans un
état
de dé- chéance physique extrême, l'escharre a p
ce et en profondeur, dénudant le sacrum et les dernières côtes. L'
état
mental a peu varié, mais les troubles de la parol
de 38 ans par suite d'infection et de broncho-pneumonie, dans un
état
de misère physiologique extrême. Autopsie. - Ky
ent des parties pig- mentées do coloration rouille. L'encéphale à l'
état
frais, 10 minu- tes après l'extraction, pèse 10
L'hémisphère droit est aplati, déprimé, beaucoup plus étalé ({u'a l'
état
normal : l'hémis- phère gauche, au contraire, e
. d.. Humérus droit. che germinale. ce qui s'explique étant donné l'
état
d'involulion de la fumeur. La coque osseuse rép
toresse L1P1 : \'KA, Le but de la psychothérapie est de ramener à l'
état
nor- mall'individudontl'équilibrc intellectuel
était doulou- reuses et se produisaient toutes les 2 semaines. Son
état
durait depuisun an et dans les derniers temps i
rait depuisun an et dans les derniers temps il s'était aggravé. L'
état
général était bon,mais la nutrition s'était ralen
76, plein, régulier ; la respiration norniale, pas d'oppression. L'
état
des poumons était normal éga- lement sur toute
Le 19 août : elle dort mieux, elle dit qu'elle se sent en meilleur
état
: le dégoût de la nourriture diminue, elle prom
mplète : après quelques jours de sug- gestion elle en revient à son
état
normal. Dans les pre- mières séances, la sugges
ruit'» anormaux. Pas de varices. Peau, nutrition générale : eu lion
état
de nutrition;.graisse 11111'1 lia 11'1111'11 ab
sc. Cependant, si ce dernier fait est exact, il ne prouve pas que l'
état
des vaisseaux soit en cause, attendu que nombre
ale ; leur amélioration a cepen- dant été suivie dans deux cas d'un
état
de rémission des signes physiques et mentaux. D
leur demande de faire du côté parésié. bien qu'ils sachent être en
état
de les exécuter. Ils en ont bien la volonté, ma
aire très net. La contracture tardive des muscles hémiplégies ou en
état
de paralysie infantile cérébrale n'a pas fourni
mané des centres inférieurs ou cor- nes antérieures de la moelle en
état
d'excitation ? Le silence au niveau des muscles
e ; des paresthésies (sensation du brûlure;. Celte si- multanéité d'
états
du système musculaire diamétralement oppo- sés
atrophies du cortex cérébral et en par- ticulier de la 3" frontale (
état
vermoulu, dilatation ventricu- laire (hydrocéph
ux avec des saillies anormales des aisseaux de ces noyaux : c'est l'
état
prélacunaire : les lacunes miliaires prennent u
point l'endar- térite vulgaire de l'a 1-Lé 1-i O-sclé l'ose. Cet
état
se distingue : a) de la porose de M. P. Marie, so
nant des cavités régulières parois lisses dans le cerveau ; b) de l'
état
criblé de DlIl'and-Ful'del qui paraît dû surtou
- tique ; par Féré. (Revue de médecine, mai 1903.) La courbature,
état
pénible de lassitude qu'on rencontre tantôt che
scipliné, masturbatuur, mais il n'a pas de signe d'hys- Lérie : cet
état
ne rappelle ni la maladie de Thomsen, ni l'astasi
'S autel1l's, mais c'est la première j'ois qu'on si- gnale dans ces
états
de la myotonie. L. Wahl. Auréoles névropathique
is REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 113 la laiblesse augmenta. Cet
état
n'a ni la marche de la lrichi- nose, ni celle d
su con- jonctif. Pas de lésions importantes du système nerveux. Cet
état
probablement infectieux (Cnwerricht) serait dû,
symptômes apparents iL cause de l'albuminurie, fonction du mauvais
état
des reins et du foie. Des laits expérimentaux d
e lésion jusqu'alors latente devient évidente sous l'influence d'un
état
général mauvais : les plus intéressants de ces
is longtemps disparues réapparaissent sous l'influence d'un mauvais
état
général. Conclusions : une lésion des centres n
rcissement est dû à la brièveté de la libre musculaire elle-même. L'
état
intellectuel de ralentissement disparaît de mêm
r la décoloration temporale des deux papilles; le contraste entre l'
état
de l'acuité visuelle et celui du champ visuel (
s. Dans un cas on n'a pu déterminer le début. Calola rejette dans l'
état
ac- tuel de la science l'opinion des auteurs qu
l'intelligence présente des lacunes assez peu ac- cusées pour que l'
état
démentiel aitpu être méconnu. M. I)ouraESENTE e
raît souffrir. Chose étrange, la mère se préoccupe beaucoup de leur
état
. Elle les embrasse, pleure à l'idée de s'en sép
sciplinés ou des vicieux dont les parents violenlsmé- connaissent l'
état
d'infériorité intellectuelle. Al. Vallon se mon
vu une femme ne présentant que de légers stigma- tes d'hystérie à l'
état
fruste, et qui fut prise très rapidement de par
é tout le syndrome méningitique, entra pro- gl'eSi\ellleI1L dans un
état
d'euphorie continue avec inconscience de sa sil
e et le timbre de sa voix exprimaient toujours sa participation à l'
état
de ses malades. Tout l'arsenal médicamenteux ne
diagnostic clinique et de sa ressem- 158 VARIA. hlancc avec des
états
simulés. A mesure que l'intensité de la vie mil
e que c'est un catatonique ; la sitiophobie est la conséquence d'un
état
et non pas d'un symptôme. Nous allons maintenan
ts. REFUS D'ALIMEN CATION DANS LA DÉMENCE CAT1'1 ONIQUE. 163 un
état
parallèle clos principaux symptômes et du l'alime
efne.A. : Même, alimentation. 3 juin 1900. S. : Amélioration de l'
état
précédent. Ouvre les yeux, va seul il la garde-
de la journée. 164 CLINIQUE MENTALE. 11 août 1900. S. : Même
état
: reste couché. A. : A refusé la soupe le matin
upe le matin ; ne prend rien de la journée. 12 août 1900. S. : Même
état
: reste couché. A. : N'a rien mangé. 13 août
état : reste couché. A. : N'a rien mangé. 13 août 1900. S. : Même
état
, le matin, reste couché. A. : Cave le matin. Au
de du pain et en mange environ 250 grammes. 29 juillet 1901. Même
état
, mange cinq bols de soupe qu'il a demandés. A
me, suggestibilité, stéréotypies. Or, il n'est pas un seul de ces
états
qui, soit isolé, soit associé il plusieurs autres
bien déterminé, mais simplement comme la conséquence même de son
état
catatonique. De plus, nous ferons ob- server ic
ataleptiques, s'immobilisant au milieu d'un mouvement. Elle étaiten
état
de demi-stupeur, avec confusion des idées, et fai
C\tll1tla cuillel' pl (,'l ? t en présence de la persistance de cet
état
que l'on fut obligé d'avoir recours la sonde oe
plus haut serait plus exact et conviendrait bien mieux à ce genre d'
état
. CLINIQUE NERVEUSE Grossesse et puerpéralité
at choréique, mais seule- ment au point de vue de sa fréquence. Cet
état
rend la malade impropre à toute occupation suiv
on, les globes oculaires se convulsent en haut; la malade bave. Cet
état
dure peu, et les convulsions cloniques succèden
pés jusque-là, s'assourdissent et cessent bientôt. L'enfant naît en
état
de mort apparente, qui ne peut être attribué qu
- ments de chloral. Elle quitte la clinique le lendemain, dans un
état
de calme relatif : l'affection nerveuse a repris
un mouvement con- vulsif spécial, on ne s'expliquerait pas que cet
état
con- vulsif dure depuis plus d'une vingtaine d'
e, minus habens, dégénérée inférieure, ne pouvait réagir que par un
état
convulsif à la plus minime cause provocatrice.
tologiques sur la structure fibrillaire de lacellule nerveuse il. l'
état
normal et il. la suite des lé- sions des nerfs
constitue nullement une lésion spécifique due au tétanos, puisqu'un
état
analogue peut se vérifier tout aussi accentué d
22 se lève sans présenter du graves symptômes ; 2° Du 22 au 2G mai,
état
hallucinatoire terrifiant continuel avec hypere
et donnent l'examen anthropologique, physiologique, nerveux, avec l'
état
des réflexes, delà sensibilité, des organes des
c l'état des réflexes, delà sensibilité, des organes des sens, et l'
état
mental. Ils discutent certains signes spéciaux,
oureuse, précédée depuis un mois par des douleurs articulaires. Cet
état
répond, croit l'auteur, à une forme particulièr
are noire du volume d'une pièce d'un franc. Le médius pré- sente un
état
parcheminé spécial delà peau qui est comme mo-
nus chez les hystériques en crise, ou en contracture. Le clonus à l'
état
de relâchement musculaire reste un signe très p
nce. La suggestion pourrait être définie : l'action du provoquer un
état
du conscience (sensation, idée, sentiment, voli
état du conscience (sensation, idée, sentiment, volition), que ce)
état
du conscience soit accom- pagné ou non d'un act
et la lecture reste limitée aux lettres a, e. i, 0, u. 1904. - L'
état
de l'enfant Beau ? est resté stationnaire II ne
urbulent et mé- chant. 1900. - Aucune modification notable dans l'
état
de l'en- fant. 1901. - Légère amélioration. A
voyé 1/2 heure à l'atelier de couture. 1898. - L'enfant est dans un
état
satisfaisant, au point de vue de la tenue, du r
ille et de passer quelques jours avec elle. 1901. 9 ans 1/2.' Son
état
s'est bien amélioré : les colères sont moins fr
tain goût. -- En résumé, l'enfant se rapprocha de plus en plus de l'
état
normal. 1902. Gccrg ? continue à donner de la s
r, et cherche à fredonner. (Compte rendu 1903, p. XIV.) 1905. - L'
état
de l'enfant est stationnaire, il n'a rien ac- q
lles. Gâtisme. L'enfant est inca- pable de manger seul. 1897. - L'
état
de l'enfant s'améliore, il marche aujour- d'hui
caractère, l'enfant reste gour- mand, voleur et coléreux. 1900. L'
état
de l'enfant reste stationnaire. 1901. Les progr
per les enfants. 1904. Un changement notable s'est produit dans l'
état
de l'enfant. Il s'intéresse à tout ce qui se fa
ient nulles. Ne mangeant pas seul, restant toute la journée dans un
état
som- nolent, cet enfant semblait n'être doué qu
oup de goût au travail manuel et s'y prend très adroitement. Dans l'
état
général nous constatons une amélio- ration asse
ation mentale, chorée, strabisme, affaiblissement du bras gauche. L'
état
nerveux de cet enfant s'est modifié favorableme
son et réveiller les heureuses dispositions qui paraissent être à l'
état
latent dans son coeur; enfin comme toujours évi
les princes et les seigneurs étrangers, fai- saient illusion sur l'
état
du royaume. Le sire de la Hivièrc, ai- mable et
uer sa mère. L'érection, au paroxysme, s'accompagnait d'une sorte d'
état
de mal avec impulsion au coït pour ainsi dire i
ir comme réactif révélateur, mais a, bien certainement, marqué leur
état
morbide consécutif, d'un sceau traumatique tang
éflexes normaux, strabisme de l'oeil gauche. Embarras de la parole,
état
démentiel simple. Troubles sphinctériens notabl
LE. « Peu après son admission à Tournay, Cord ? est tombé dans un
état
de démence paralysiforme simple, qui a marché rap
i de l'alcoolique classique (1). D'autre part, il faut distinguer l'
état
du blessé anté- rieurement à l'accident et post
une autre différence entre les deux membres inférieurs, ni dans l'
état
de la paralysie ni dans celui des autres phénomèn
ux côtés était peu compatible avec la conservation unilatérale d'un
état
nor- mal des réflexes, Voici l'interprétation q
ure s'abaisse par saccades, et les autres muscles reviennent à leur
état
de paralysie absolue. Le sommeil le plus profon
omoteur, ou, si l'on préfère, athétose de l'ocu- lorhoteur comme en
état
de paralysie infantile. La cause la plus admiss
XXV. Trouilles de la sensibilité musculaire dans le tabes et autres
états
pathologiques : myosthésiométre ; par W. M. Beg
ables, le tissu muscu- aire et le tissu nerveux. Il faut donc que l'
état
du système ner- veux se réfléchisse sur les réf
ner- veux se réfléchisse sur les réflexes musculaires. Déjà, k l'
état
normal, les réflexes musculaires ne sont pas iden
maladie de Thomsen, montreque, s'il existe des différences dans les
états
myotoniques, une théorie générale permet néanmo
mental, ce qui lui est repré- senté fortement, en l'absence de tout
état
de conscience réduc- teur. La suggestion hypnot
toute sug- gestion, peut suffire à ramener le calme, à équilibrer l'
état
mental. Un vieil adage enseigne que « la nuit
lité, ce n'est pas la nuit qui rend ce service : ce sont, certains
états
intermédiaires entre la veille et le sommeil prof
eille et le sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un
état
passif assez accentué, nous acquérons le pouvoi
s de vue 1 la sédation qui résulte du sommeil provoqué constitue un
état
favorable pour l'accomplissement des fonctions
ique proprement dite. Il a été frappé par certains points spéciaux,
état
nerveux particulier, longue durée de ces affect
la taihlesse musculaire. 11 devient parfois violent sans rai- son ;
état
physique très amoindri à la suite de neurasthénie
énie trau- malique. C. quinzaine : Est atteint de dépression avec
état
neurasthéni- que consistant on douleurs erratiq
Dans d'autres cas, une prédisposition préalable nette, voue même un
état
psycliopatlii(lue antérieur à l'accident peut se
, diriger sur Sainte-Anne. (Diagnostic hésitant entre simulation et
état
délirant vrai.) Un procès en dommages et inté-
des muscles. (Le malade nie l'alcoo- lisme.) A maintenir, hors d'
état
de se diriger (idées de grandeur nais- santes.)
c laquelle il se retranche est niaise et indique la débilité de son
état
mental. Le traumatisme, qui a pu donner un coup d
état mental. Le traumatisme, qui a pu donner un coup de fouet à un
état
mental antérieur déjà déséquilibré, n'a joué qu'u
d'un traumatisme léger, fit de la neurasthénie hypochondriaque. Cet
état
, loin de rétro- céder, tourna à la chronicité e
e tenu compte de phénomènes pure- ment subjectifs, conséquence de l'
état
mental de l'ouvrier, la volonté de celui-ci de
ents et très lourds sans que pour cela ils influent forcément sur l'
état
mental morbide dû à l'ac- cident. Celui de nos
ns graves, le blessé paraîtra revenu et définitivement revenu à son
état
nor- mal. Pourra-t-on affirmer que tout se born
déjà difficile, mais la difficulté se complique étrangement de l'
état
psychologique des intéressés. Cet état psychologi
e complique étrangement de l'état psychologique des intéressés. Cet
état
psychologi- que mériterait d'être étudié par un
-huit heures, la loi demande plusieurs réponses distinctes : 1° L'
état
de la victime ; 2° Les suites probables de l'ac
er d'un traumatisme cranien accidentel, ne se devra pas borner à- l'
état
physique ; il devra s'éten- dre à l'état mental
se devra pas borner à- l'état physique ; il devra s'éten- dre à l'
état
mental, en raison de ce fait que l'argument pri
ation confirmée. Il faut qu'il y ait eu quelque modification dans l'
état
362 CLINIQUE MENTALE. \ mental du malade, o
l'aliénation.De là,nécessité d'un examen physique double touchant l'
état
local du point traumatisé et touchant l'existen
es souvent du fait de la revendication de la victime, parce que l'
état
de folie l'empêche par définition de les faire
Contribution à l'étude des migraines et de leurs rapports avec les
états
épileptiques et délirants, 190» ? . . L'ÉPILE
sentielle accu- sée semble donc disparaître, parfois entre ces deux
états
pathologiques en effaçant la ligne de démarcati
lé- gique par exemple, ou après l'épilepsie, rapprochent ces deux
états
encore davantage ; les phénomènes paralyti- que
ant lesquelles notre malade éprouvait une vive jouissance, mais à l'
état
de veille de semblables sensations faisaient dé
en de pareils moments, et à distinguer avec finesse ces différents
états
. De grands efforts de volonté lui permettaient
geait sa colère. Elle comprenait parfaitement bien l'horreur de son
état
sans réussir à le combattre. Voici ce qui eut
e, ses yeux, en inondant tous les objets et la chambre entière. Cet
état
dura peut-être une demi à une seconde, pour se
état dura peut-être une demi à une seconde, pour se terminer par un
état
d'inconscience accompagné au dire de son mari p
x der- nières années vinrent apporter un certain changement à cet
état
: tantôt tout l'accès se bornaita l'apparition d'
ecture et l'existence. Tout lui semble privé de but et de sens; son
état
est désespéré ; on le lui a dit et elle y croit
le vomissement. Il ne s'agissait pas môme de la substitu- tion d'un
état
par un autre, mais de l'extension d'un phé, L
porté leur at- tention sur la corrélation qui existe entre ces deux
états
et qu'ils attribuaient aux fonctions génitales
vent aggraver l'épilepsie existante, provoquer ses re- tours si son
état
est devenu latent, et devenir quelquefois même
nisme le fait d'expo- ser en public ses parties génitales, soit à l'
état
d'automa- tisme épileptique, soit sous l'influe
it à l'état d'automa- tisme épileptique, soit sous l'influence d'un
état
impulsif ou d'une perversion sexuelle avec trou
u'elle ne quittait que pour aller se coucher. Tel était en résumé l'
état
de la malade à son entrée à la Fondation. 1901-
e était insignifiante et inspirait la pitié, à cause de son mauvais
état
général. Elle ne mangeait, ni ne buvait seule,
stesse et de mélancolie, comme si elle s'était rendue compte de son
état
. Elle causait peu, la voix était tremblotante,
irement la progression des troubles de la parole sui- vant l'âge, l'
état
intellectuel et le séjour il l'école, tous les ta
ulant pas se laisser convaincre, signifia à son mari - qui était en
état
d'ivresse - qu'il ne rentreraitpas dans cet éta
ari - qui était en état d'ivresse - qu'il ne rentreraitpas dans cet
état
au domicile conjugal. Furieux, le débardeur sort
t mental. « Les malheureux se rendaient parfaitement compte de leur
état
; chez deux d'entre eux, existait bien du rire e
rend l'examen mental assez difficile, surtout en ce qui concerne l'
état
des facultés intellec- tuelles ; toutefois la m
- cience obscure de ses infirmités et de sa faiblesse réduit à un
état
permanent de défiance et de crainte et à des ré-
ces symptômes médullaires, quelque pénibles qu'ils soient, c'est un
état
men- tal déplus en plus inquiétant pour sa fami
révoir pour une épo- que plus ou moins éloignée, l'aggravation de l'
état
men- tul dans le sens de l'affaiblissement des
s sans objet fixe. (Les quelques éclair- cissements fournis sur cet
état
mental, permettent de supposer qu'il s'agissait
progression insensi- ble des phénomènes médullaires et bulbaires. L'
état
mental reste celui de la démence pure et simple
à se dilater un peu plus que la droite dans la pénombre. Tel est l'
état
du malade en mars 1906, deux ans après son entr
sagères d'hébétude confusionnelle,crises dues sans doute à quelque
état
passager d'auto-intoxication où ;'t'une sim- pl
mois, le quantième, le jour de la semaine. Il ignore où il est. Son
état
mental est caractérisé par l'indifférence, l'hé
s, des associa- tions -de symptômes, expression clinique de quelque
état
général d'infection ou d intoxication et évolut
lque état général d'infection ou d intoxication et évolution d'un
état
tératologique congénital ou héréditaire (1), il e
multanément ou successivement à plusieurs territoires du névraxe en
état
d'infériorité structurale et fonctionnelle pour
ur de l'abcès est d'ordinaire, et souvent sur une large étendue, en
état
de renouvellement et d'infiltration oedémateuse
ement reconnaissables, mais prenant moins bien les colorants qu'à l'
état
nor- mal ; à leur périphérie elles sont attaqué
réiformes. D'après ce diagnostic, il est facile de comprendre que l'
état
général de l'enfant laissait beaucoup à désirer
armes. Au point de vue scolaire, elle était nulle. A cause de son
état
elle n'avait pas fréquenté l'école; sa vue aussi
souvent maussade et grognon, pleurait sans motif, à cause de son
état
maladif sans doute. Maintenant le caractère est g
l'a retardée au point de vue scolaire principalement. Mal- gré cet
état
maladif, l'enfant s'est énormément développée, so
s auteurs ont recherché quel est le sort d'une cellule qui, mise en
état
de réaction à distance par la section du nerf p
sparition. Ramon y Cajal considère ces lésions comme résultant de l'
état
de repos des cellules. Les auteurs pensent au c
d'office, ordonnez le placement dans le cas où vous estimez que « l'
état
d'aliénation de l'intéressé compro- mettrait l'
haque personne ainsi placée par votre ordre, un rapport indiquant l'
état
du malade, la nature de sa maladie, les résulta
cette de- mande est joint. « un certificat de médecin consLatant l'
état
men- tal de la personne à placer et indiquant l
s hommes de l'art de visiter la personne désignée, de constater son
état
men- tal et d'en faire rapport sur-le-champ : i
ssocie par- fois, l'altruismc s'accompagne la plupart du temps d'un
état
510 bibliographie. d'euphorie bienveillante
action béate. Il est un élément précieux de diagnostic entre divers
états
psychopathiques et différencie en particulier la
, par Fragnilo, 201. - Structure fibrillaire de la - nerveuse à l'
état
normal et il la suite des lésions des nerfs,
par Ch. Féré, 418. Neuro-fibrilles. Lésions des - - dans certains
états
pathologi- ques, par Marinesco, 42. Névralgie
ld, 329. de la sen- sibilité musculaire dans le ta- bès et autres
états
pathologi- ques myosthésiomèlre, par Bech- le
alysie devient complète, flasque ou spasmodique, ce qui dépend de l'
état
du tonus muscu- laire, lequel n'est pas en rapp
du tonus muscu- laire, lequel n'est pas en rapport constant avec l'
état
des réflexes. Enfin apparaît l'atrophie muscula
alaisé lorsque la lésion siège en une région pres- que immobile à l'
état
normal, comme l'est la région dorsale moyenne.
ser au mal de Pott et en rechercher les signes ; d'autre part, si l'
état
général du sujet est satisfaisant, une injectio
nce, à la région dorsale, dont les mouvements sont presque nuls à l'
état
normal, elle est facile à mettre en évidence, a
vertébrale et ouvrir le canal rachidien, nous n'avons pu juger de l'
état
de leur partie profonde. Pour la même raison nous
partie profonde. Pour la même raison nous n'avons pu apprécier ni l'
état
des disques ni celui du ligament vertébral commun
e des irrégularités et des saillies granuleuses, plus accusées qu'à l'
état
normal, sur la face externe de la crête iliaque
fait qu'au même endroit en avant de la tête fémorale se trouve à l'
état
normal une empreinte rugueuse, l'empreinte ilia
, celle du diagnostic. Qu'est-ce donc que l'infantilisme ? , Un
état
caractérisé par la persistance des caractères phy
Il faut admettre, qu'à cette époque de la vie, la grippe le mit en
état
d'op- portunité morbide, en exagérant l'état né
e, la grippe le mit en état d'op- portunité morbide, en exagérant l'
état
névropathique créé par l'hérédité mor- bide con
t sortir de la maison sans se faire accompagner. Dans la suite, cet
état
émotif s'aggrava, et la peur se précisa avec plus
: doute, phobie diffuse, monophobie, phobie diffuse et guérison. L'
état
mélancoli- que est secondaire. Je ne peux pas
janvier (1892), mais il ne s'est pas con- servé longtemps dans son
état
normal : une vingtaine de jours après il faisait
il a été reçu le 22 avril dans mon service, Il m'est arrivé dans un
état
d'excitation physique et psychique modérée. Dor
sortant le 25 mars. Il rentra chez lui assez bien portant, dans son
état
normal, mais trois jours après il eut une discu
olongea jusqu'au mois de février 1894. Après quelques semaines d'un
état
normal, se trouvant encore à l'hôpital, il eut
encore plus de trois mois, à la fin desquels le malade récupéra son
état
normal qui se maintint jusqu'au mois de juin 1896
il vint, le 8, se réfugier à l'hôpital du Conde de Ferreira dans un
état
d'excitation maniaque, dont il sortit guéri le 24
sion de l'émotivité, c'est une crainte irraisonnée, une phobie. Cet
état
se dissipa au bout de 3 ou 4 mois. , Au mois de
dans l'excitation maniaque sans transition, à ce qu'il paraît, d'un
état
normal ; et il se trouvait encore excité quand,
à la maison, mais on ne peut pas dire qu'il était toujours dans son
état
normal. Au contraire, pendant cette période, il
épressions passagères, il se maintint dans ce que nous appelons son
état
normal jusqu'au mois de février 1904, pen- dant
hyroïdien. C'est à cette époque que se rapporte la description de l'
état
morphologique et physique du malade que je me p
qui convient aux fo- lies intermittentes dans la classification des
états
psychopathiques, il me sem- ble incontestable q
isir, mais il n'a ja- mais eu aucune pollution. Il est affligé de l'
état
plus que rudimentaire de sa verge, et me prie d
e rudimentaire de sa verge, et me prie de bien vouloir la mettre en
état
de fonctionner. , informa- Les dents, sans être
ue, dans ce cas, il devrait déjà exister un début de cachexie, et l'
état
de sa santé est en somme assez satisfaisant.
uis « le nom d'infantilisme, dit M. Henry Meige, sert à désigner un
état
physique et mental qui s'observe chez les indiv
f, il est un homme par son âge et par sa taille, et un enfant par l'
état
rudimentaire de ses organes génitaux, par l'abs
corps. Voyons maintenant ce que l'esprit offre de particulier. « Un
état
mental infantile, dit encore M. Henry Meige dan
boucher, d'en saisir un morceau et de le manger en cachette. Cet
état
mental, on peu complexe, tient de l'infantilisme
s bonne heure,etne l'a jamais abandonné. La faiblesse native de son
état
mental, les stigmates physiques et psychiques q
assis, immobile, la tête penchée sur la poitrine et dans un certain
état
de torpeur, plutôt physique qu'intellectuelle.
es planes. Déplus, les on- gles sont atrophiés : plus minces qu'à l'
état
normal, légèrement striés dans le sens longitud
it de conscience, je vou- drais me renseigner très exactement sur l'
état
du corps thyroïde, car c'est le seul moyen d'ém
e la dégénérescence que dans le sens de l'infantilisme. En effet, l'
état
mental du dégénéré est essentiellement caractér
e suis, priori, tenté d'y trouver l'explication pathogénique de son
état
morphologique et psychique, et je me demande qu
importance du rôle pathogénique que le corps thyroïde a joué dans l'
état
du malade. Mais, avant, nous allons indiquer le
rquables et très utiles sur le processus de l'ossification et sur l'
état
du squelette dans quelques mala- dies, et elle
x n'ont pas bougé du tout. La verge reste infantile, toujours « à l'
état
de promesse », absolument comme elle était avant
que le malade a 38 ans et dix mois, après le traitement thyroïdien, l'
état
consigné dans cette description persiste tel qu
est atténuée d'une façon appréciable. La dystrophie des ongles et l'
état
mental n'ont pas subi le moindre change- ment.
à mon avis, l'hérédité neuro-pathologi- que qui est coupable de cet
état
; et je pense qu'elle a pu produire tout cet en
hol., 1886, t. II, p. 269-284. 74 MAGALHAES LEMOS Peut-être que l'
état
pathologique de l'utérus (la mère « en a toujours
essus multiples, simultanés ou suc- cessifs, fixer à tout jamais un
état
qui ne devait être que transitoire. Et c'est pr
rès triste et abattu, quand il se rend bien compte de son misérable
état
. Il a été impossible de découvrir la cause de c
l'os, le périoste et le cartilage épiphysaire se trouvaient dans un
état
plus ou moins inflammatoire. Tout ceci nous don
connaissait déjà l'augmentation de volume des pieds et des mains, l'
état
douloureux et le gonflement des articula- tions
z en même temps, que l'appareil génital extérieur se trouve dans un
état
rudimentaire. Et en examinant les belles photog
able que la castration de l'homme et de l'animal peut exercer sur l'
état
physique et psychique, vous serez d'accord avec
raphie très instructive. Mais, retournons à notre malade. Dans quel
état
se trouverait la glande pi- tuitaire. Vous vous
l'acromégalie. Les tumeurs cérébrales peuvent exister longtemps à l'
état
latent. Ne veuillez pas perdre de vue non plus, q
utres modes de sensibi- lité n'ont pu être recherchés étant donné l'
état
mental de la malade. Le dermographisme est très
s ma thèse (1), sur l'importance qu'avaient la stase du membre et l'
état
cachectique du sujet dans la production du pseudo
immobiles, les jambes pendantes ; de plus, il existe chez elles un
état
de débilité physi- que manifeste. Nous avons ma
sychiques. La reproduction de la pupille, comme moyen de refléter l'
état
de l'âme du personnage représenté, sans accesso
i lire ni examiner les esquisses dans une position normale,mais cet
état
disparut bientôt,de sorte qu'on peut supposer q
à l'heure actuelle. Cette évolution si hâtive fut indolore. Seul, l'
état
général laissait fort à désirer ; la malade touss
sant surtout à l'hystérie, impli- quant une tare générale du sujet (
état
névropathique). Ce qui permet surtout de rattac
us, et au bout de ce temps-là la parole revenait petit à petit et l'
état
normal se rétablis- sait peu à peu. Ces crise
. La joue droite semble plus remplie et la gauche plus effacée. A l'
état
de repos la bouche semble déviée à gauche. Cett
es : rien d'anormal ; pas d'albumine. C. - Mouvements, sensibilité,
état
psychique. Comme nous l'avons vu dans les antéc
s globes oculaires, de la langue, etc., chez tous ces sujets dont l'
état
névropathique (hystéri- ques, épileptiques, dég
), de dystrophie (Landouzy) d'hypotrophie (Variot), on dé- crit des
états
pathologiques assez analogues au point de vue cli
nor- maux. Il n'y a aucun trouble du côté des organes des sens. L'
état
psychique est à peu près intact : on observe cepe
tat psychique est à peu près intact : on observe cependant un certain
état
d'apathie et d'indifférence, une lenteur intell
s noyaux des gaines deSchwann sont plus longs et plus nombreux qu'à l'
état
normal. z Des préparations, par la méthode de
dragons, présente de l'ichthyose des membres supérieurs et du dos (
état
rugueux de la peau qui est sèche et semble reco
s, se reproduisant de préférence au printemps. Jamais de pertes à l'
état
de veille, pendant la miction, la défécation ou c
équivalent familial de la neuro-fibromatose généralisée ? 5° Le bon
état
de santé habituel du sujet qui a accompli le serv
t au moins de supposer le maintien, pendant de longues années, d'un
état
général satisfaisant. L'observation deR... consti
e. Pendant les premiers temps du séjour de la malade à l'Ecole, son
état
géné- ral fut excellent ; elle consommait toute
s forces qui fut s'accentuant progressivement jus- qu'à aboutir à l'
état
dans lequel il fut admis chez nous. Le malade s
c'est à peine si on notait une modification insigni- fiante, dans l'
état
du malade. Seul le deltoïde avait recouvré quelqu
e se produisent en général par le mécanisme de la traction. En- tel
état
de cause, pourquoi, dans les paralysies des béqui
ite. Le malade est à demi-conscient et non pas dans le coma, mais l'
état
s'aggrave rapidement et il meurt au bout de deu
tout de petites lignes blanches qui lui donnent un aspect strié. Cet
état
de choses détermine nécessairement de la pâleur
termes, la couche sagittale externe, étant privée des fibres qni, à l'
état
nor- mal, ne font que la traverser (et n'en fon
, ne font que la traverser (et n'en font nullement partie) existe à l'
état
de Schéma n° V. Cas Roll... 1912 LASALLE-ARCH
que central, le faisceau longitudinal. Ce faisceau existe alors à l'
état
de pureté et il diffère sensiblement du faisceau
S NERVEUSES T>JRM1NÉL,S ? ? ARM`ÛES MASSUES DE CROISSANCE, A L'
ÉTAT
PATHOLOGIQUE ET 'A L'ÉTAT NORMAL ; LÉSIONS TABÉ
,S ? ? ARM`ÛES MASSUES DE CROISSANCE, A L'ÉTAT PATHOLOGIQUE ET 'A L'
ÉTAT
NORMAL ; LÉSIONS TABÉTIQUES DES RACINES MÉDULLA
res,découvertes par Ramon y Cajal dans les ganglions rachidiens à l'
état
normal ; nous verrons que ce sont vraisemblable
ns également qu'il existe dans la substance grise de la moelle, à l'
état
normal et à l'état pathologique, des formations a
existe dans la substance grise de la moelle, à l'état normal et à l'
état
pathologique, des formations analogues, qui 'jo
r rapport la racine antérieure, un volume moins considérable qu'à l'
état
normal ; on peut estimer à 1/5 approximative- m
ale chez un homme de 34 ans, mort dans le service de lll. Séglas en
état
de cachexie,avec de larges eschares. La moelle,
ation exceptionnelle. Soc. de Biol., 1905. 20 NAGEOTTE à part l'
état
de légère inflammation diffuse qui est habituel d
; il existe des lésions inflammatoires des vaisseaux ; en un mot l'
état
de cette région est très compa- rable à celui q
l n'y a, dans le ganglion, pas plus de massues d'accroissement qu'à l'
état
nor- mal. Ce cas est un bel exemple de névrite
es cylindraxes radiculaires antérieurs et postérieurs (Gonflements,
état
moniliforme). Cette lésion est banale dans sa f
N COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 221 date que les gonflements et l'
état
moniliforme qui en résulte, sont des modes habi
rtout de l'ob- servation III pour la décrire. Elle consiste dans un
état
moniliforme des cylindraxes, qui est amené par
hien si 'ce sont les 222 11) NAGEOTTE fibres fines contenues à l'
état
normal dans la racine postérieure, qui sont plu
24 NAGEOTTE la biologie des neurones ; en effet, elles existent à l'
état
physiologique, où Ramon y Cajal les a décrites
Cajal dans l'écorce du cervelet de jeunes chiens tués au début de l'
état
morbide désigné sous le nom de « maladie des je
velle formation dans les cas-anciens. Régénération collatérale et l'
état
pathologique. Si l'ensemble de ce processus rep
radiculaire posté- rieur, telle qu'elle se produit dans le tabes. 1
état
normal ; II disparition de l'axone radiculaire
N COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 233 3 schématiquement,à côté de l'
état
sain primitif (I),tes deux phases du proces- su
e régénération dans les ganglions (1). Régénération collatérale à l'
état
normal. - Les phénomènes de régé- nération que
tème nerveux ne sont que l'exagération d'un processus qui existe à l'
état
de santé normale. On sait que Ramon y Cajal a
description magis- trale de formations singulières qui existent à l'
état
normal dans les gan- glions rachidiens et sympa
e ces forma- tions normales avec celles que je viens de décrire à l'
état
pathologique est absolue, seul leur nombre est
est mort le sujet ; ici encore, la seule diffé- rence qui sépare l'
état
pathologique de l'état sain réside dans la multip
i encore, la seule diffé- rence qui sépare l'état pathologique de l'
état
sain réside dans la multipli- cation de ces org
variées de neurones possèdent la même propriété de pro- duire, à l'
état
normal, comme à l'état pathologique, des fibres t
ssèdent la même propriété de pro- duire, à l'état normal, comme à l'
état
pathologique, des fibres terminées en massue, q
La nécessité de l'élaboration continue de fibres de suppléance à l'
état
normal n'apparaît pas tout d'abord ; les neuron
- fluences, et en particulier au cours de la. sénilité,- qui est un
état
subnor- mal, il apparaît des prolongements dend
eul pour expliquer la présence de la régénération col- latérale à l'
état
normal, c'est l'existence constante d'un petit no
s cylindraxes,' ou bien cette disposition trahit-elle en réalité un
état
pathologique ? Il est assez difficile de le dir
et la maladie n'a jamais pu être tracée et il est pro- bable que l'
état
idéalement sain n'est qu'une limite impossible à
infimes que répondent les fibres terminées en massues observées à l'
état
normal, soit qu'elles se montrent au moment mêm
rmations analogues dans la substance grise de la moelle humaine à l'
état
normal et à l'état pathologique; Cajal en a obser
dans la substance grise de la moelle humaine à l'état normal et à l'
état
pathologique; Cajal en a observé dans l'écorce
XXIV. Fig. 1. - a, b, c, coupes du 4e nerf radiculaire lombaire à l'
état
normal, pratiquées suivant les lignes a, b, c,
s lésions cylindraxiles dans les racines antérieure et postérieure (
état
moniliforme). Fig. 3. Etat moniliforme des cyli
capsulaire. En outre il existe quelques prolongements dendritiques (
état
sénile de Cajal). Planche XXXVII. Méthode de Ca
hysiques de ramollissement des .deux sommets. Altération grave de l'
état
général. Amaigrissement, asthénie, malgré la con-
s d'hémianopsie. Les jours suivants, le malade reste plongé dans un
état
de torpeur continue avec indifférence et apathi
s, surtout à droite. Les jours suivants,' devant l'aggravation de l'
état
général, l'altération du pouls qui devient petit
impossible de différen- cier le noyau d'un petit élément, foncé à l'
état
normal, de celui d'une pyrami- dale. Les limite
ent être confondues avec le nucléole. Bosselé et plus gros qu'à l'
état
normal, presque toujours excentrique, bleu pres
bords déchiquetés, bien différente de celle que Nissl a décrite à l'
état
normal ; enfin, sur certains petits éléments ne
que tous les cerveaux d'individus âgés, sont ici plus nombreux qu'à l'
état
normal, surtout dans les régions frontales et m
porel progressif; entré à l'hôpital cantonal en mai 1903. Comme son
état
empirait, sa femme le reprit chez elle en septemb
r les objets à courte distance. Per- sistance du gâtisme. Exitus en
état
de marasme. ' B... fut interné comme éthylique
le nom- bre va diminuant à mesure qu'on s'éloigne du ventricule. L'
état
vacuole cesse à 3 centimètres du pôle frontal.
et moelle du noyau r.). Plus tard l'aqueduc ne subsiste plus qu'à l'
état
de mince fente. Le corps quadrijumeau postérieu
ies blanches avoisinant la tumeur des fibres variqueuses et le même
état
vacuole qu'au cerveau; la PI. XL en indique la
du 3e au 4e ventricule de se rétablir. Il est certain que chez B... l'
état
psychique fut beaucoup meilleur vers la fin de
érature : 38°5. Urine, rien de particulier. Le malade est dans un
état
de torpeur profonde et meurt au bout de 36 heures
culaire,; mais, nous le répé- tons, le diagnostic de ces différents
états
est possible dans la pluralité des cas. Si ce d
'examen objectif ne permet de rien dé- celer qui explique un pareil
état
. Quant l'évolution de la maladie, elle esl d'un
es centres nerveux et tendent à faire admettre au contraire que cet
état
ressortit à un trouble plus général. En raison
on à siège musculaire, sous la dépen- dance d'une perturbation de l'
état
général de cause indéterminée. Il en est demême
us tard les membres su- périeurs deviennent raides et douloureux, l'
état
général s'affaiblit et la malade succombe à une
Les cornes antérieures étaient bien conservées ; on y remarquait un
état
pigmentaire des cellules gan- glionnaires ainsi
e, l'un dans lequel les altérations musculaires accompagneraient un
état
démentiel ou cachectique, l'autre évoluant avec u
é de ces deux types s'évanouit et si l'on constale chez les uns, un
état
marastique prolongé, et chez les autres un habi
'ont pas toujours été aussi gravement atteints au point de vue de l'
état
général, que même arrivés à la phase de rétrac-
ef dur et douloureux. La flexion du bras est toujours possible. L'
état
général s'aggrave pro- gressivement, le facies
a description précédente nous avons volontairement laissé de côté l'
état
des viscères et du système vasculaire. Dans tous
t nous n'avons constaté que des modifications très légères dans son
état
depuis le premier jour où nous l'avons examinée
11.1 1 ' PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CHEZ LES VIEILLARDS 269 d'un
état
général plus ou moins grave tandis que le sujet p
n. La dermato- myosite décrite par Unverricht (1) s'accompagne d'un
état
général grave, d'un gonflement de la peau et de
malgré de considérables rétractions. ' " Tous les viscères sont en
état
d'atrophie plus ou moins prononcée. Le grand ép
s quelques tu- bercules crétacés. Chez un sujet le coeur était en
état
d'atrophie manifeste et pesait, vide de sang 17
la suite de leur exfoliation, les cellules musculaires revenues à l'
état
embryon- naire se chargent de graisse et rempli
tion primitive de la fibre musculaire dont les éléments revenus à l'
état
indif- - férent contribuent il la suite de tran
fibre musculaire (division, prolifération nucléaire, régression à l'
état
embryonnaire) d'une part, prolifération abondante
ncy, par sa propriétaire qui veut s'en dé- barrasser à cause de son
état
mental. C'est un homme bien constitué, de taill
'Hôpital au début d'août 1904. Etat actuel. Nous constatons alors l'
état
suivant : La peau ne présente rien d'anormal, s
moment de sa première radiographie mentionnée plus haut. Voici l'
état
des réactions électriques : 1° Excitabilité au
ALADIE DE RECKLINGHAUSEN 287 taient d'une façon isolée ou comme à l'
état
d'ébauche chez d'autres mem- bres de sa. famill
central. Les deux hémisphères cérébraux sont loin d'avoir, même à l'
état
normal, une valeur identique (1). Mais cette no
identique (1). Mais cette non-équivalence n'est jamais accusée, à l'
état
normal, au point de troubler l'harmonie apparente
mal, au point de troubler l'harmonie apparente du corps humain. A l'
état
pathologique, en ce qui concerne spécialement les
. C'est que, chez notre malade, tout ce côté droit nous apparaît en
état
d'infériorité manifeste. Nous ne savons pas si
in présentant des tares héréditaires manifestes et sur la partie en
état
d'infériorité de cet organisme, a évolué, avec
es tics se multiplient et s'aggravent. L... est constamment dans un
état
de surexcitation qui se manifeste actuellement pa
n garçon qui présente en même temps deux autres signes indiquant un
état
de myopsychie de Joffroy, de prédispo- sition a
ENCE DE LA SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES SUR L'
ÉTAT
DES NEURONES PÉRIPHÉRIQUES CONTRIBUTION A L'ÉTU
s voulu nous rendre compte de l'influence que pouvaient avoir sur l'
état
des ganglions spi- naux, des nerfs cutanés et d
ntérite au 247e jour, les autres chats sont parvenus en excel- lent
état
de santé, grâce à la propreté minutieuse maintenu
antérieurs. Il ne semble pas qu'antérieurement à nos expériences l'
état
des nerfs péri- phériques ait été systématiquem
semaines plus tard, étaient rapportés d'assez nombreux examens de l'
état
des nerfs cutanés quelques mois après la sectio
érées, il y avait aussi des gaines vides. Nous nous croyons donc en
état
de conclure que le processus de dégénéres- cenc
Dans une troisième série d'expériences enfin, nous avons recherché l'
état
des nerfs cutanés peu de temps après la section
ent d'entre eux (chat VU), contenaient un petit nombre de fibres en
état
de dégénérescence avancée. C'étaient des fibres
pathiques. L'influence de la section des racines postérieures sur l'
état
du sympathique est également de date récente. B
laire, Thèse Paris, 1903. 306 ROUX ET HE1TZ velles, portant sur l'
état
du sympathique non plus 2 à 3 semaines après la s
e. On distingue les fibres des racines postéiieures, partiellement en
état
de dégénérescence rétrograde {fixation par le s
et qu'elle ne retentit pas, même au bout de ce laps de temps, sur l'
état
des cellules ganglionnaires sous-jacentes. ' Ex
ganglionnaires sous-jacentes. ' Examens des ganglions spinaux. L'
état
histologique des ganglions spinaux après section
jusqu'au 5e mois après l'opéra- tion. Au 5e jour, il a constaté un
état
de chromatolyse fine ou en amas dans un grand n
voir également des deux côtés; le ganglion spinal contiendrait à l'
état
physiologique un certain nombre d'éléments anorma
des progrès continus jusqu'au 200e jour; à partir de cette date, l'
état
reste stationnaire (constatations du 330e jour)
d'ailleurs minime et nous désirions surtout nous rendre compte de l'
état
des cellules et des fibres nerveuses au bout de p
dant par contre l'avantage précieux de nous montrer en même temps l'
état
des fibres à myéline, et de permettre de faire
ayant t survécu plus de 7 mois, la présence de fibres à myéline en
état
de dégénéres- cence au milieu d'une majorité de
à ce sujet, des divergences presque aussi marquées qu'au sujet de l'
état
des cellules ganglionnaires. Tous admettent que l
' Personnellement, nous avons trouvé le bout ganglionnaire dans un
état
très différent aux diverses époques où nous l'a
ul segment interannulaire. On ne pouvait malheureusement juger de l'
état
du cylindraxe, mais la gaîne protoplasmique par
et quelques fibres grosses à myéline, ces dernières plus rares, en
état
de dégénérescence wallérienne avancée (fixation s
sec- tion. Au bout de plusieurs mois, Koster rechercha à nouveau l'
état
du bout médullaire, sans y trouver de fibres ré
ons vues dans le bout ganglionnaire au milieu des grosses gaînes en
état
de dégénérescence rétrograde. Il est seulement di
elle est l'influence de la section des racines posté- rieures sur l'
état
des neurones périphériques et quelles déductions
lésion brutale et instantanée comme la sec- tion de la racine, à un
état
pathologique permanent et d'évolution très lente
dégénérescence rétrograde de la racine postérieure sectionnée et l'
état
d'atrophie segmentaire des racines tabétiques.
t un cer- tain nombre de cellules surpigmentées et quelques-unes en
état
de chromato- lyse partielle. Des ganglions gauc
identiques dans certains filets cutanés de la coupe. Au. contraire,
état
normal des nerfs cutanés de la queue, de la jambe
e majorité des fibres sont intactes, quelques-unes se présentent en
état
de dégénérescence wallérienne avancée. Chat d
actes, quelques fibres beaucoup plus rares,fines en majorité, et en
état
de dégénérescence très avancée. Du côté des n
parations sur 5, montre à la dissociation deux groupes de fibres en
état
de dégénéres- cence wallérienne, l'une de 3 à 4
anés de la face postérieure du genou un certain nombre de fibres en
état
de dégénérescence wallérienne, territoire de la 2
uffire à ren- dre le diagnostic histologique extrêmement délicat. L'
état
des méninges ne représente pas non plus un argu
ors aucune maladie éruptive ou infectieuse n'est venue troubler son
état
de santé. Cependant à 14 ans il a présenté des ad
puis il rentra en Europe et vint s'installer à Paris. Mais comme l'
état
de sa santé s'aggravait toujours il entra d'abord
ableau clinique s'aggrave de nouveau. z Le malade se trouve dans un
état
subcomateux ; il est très pâle et se ré- veille
; ensuite il répond péniblement aux questions qu'on lui pose. 30. L'
état
subcomateux persiste. La température s'est élevée
ue au niveau de la fesse gauche. 31. La température donne 39- 5 ; l'
état
du malade est un peu meilleur qu'hier. Il répon
t fièvre élevée pendant quelques jours, éruption papulo-pustuleusé,
état
subcomateux. Mort. Le sujet, qui était 348 ' GI
acines antérieures et posté- rieures sont, elles aussi, en très bon
état
(fig. 7). Au niveau de la 2e racine lombaire, l
à gauche. En juillet 1874 il entre dans le service de M. Ferrand. L'
état
de son bras droit s'améliore et il peut recomme
ur du côté gauche sont atteints par la sclérose : il y reste un petit
état
de tissu sain dans la zone radiculaire interne
classique. ' La pie-mère médullaire est un peu plus épaisse qu'à l'
état
normal, surtout postérieurement et au niveau de
un pro- blème mathématique. Il est vrai que la musique exprime des
états
psycho- logiques moins concrets que ceux exprim
ssion (2). Il n'est pas possible d'exprimer d'une façon définie des
états
psychologiques indéfinis. Pour cela, tout ce qu
s de ce dernier, se rapportant à l'intelli- gence musicale ou à des
états
spéciaux de l'activité psychologique de l'in- d
e rendre compte de l'existence d'anesthésie croisée du trijumeau, l'
état
comateux des malades rendant trop précaires les
ugle depuis plus de 40 ans. Il est également intéressant de noter l'
état
de la motilité et de la sen- sibilité'. La para
S DOIGTS 389 transparence osseuse, avec opposition relative entre l'
état
de condensation osseuse dans les épiphyses et d
ds sont plus ou moins emphysémateux ; d'autres ont leurs poumons en
état
physiologique.Pas non plus de rapport appréciab
et articulaire, et l'hypothèse d'un rapport entre ces troubles et l'
état
de la moelle sénile semble pouvoir se présenter
de la taille. Le sujet n'accuse aucun symptôme paraissant lié à cet
état
d'acromégalie, il n'y a aucun trouble de la sen
e (Brissaud, Launois et Roy). D'après ces derniers auteurs,ces deux
états
pathologiques sont fonction d'un même trouble d
il y en avait peu aux aisselles. La verge mesurait 9 centimètres à l'
état
de flaccidité.Les testicules étaient très dével
plus jeune des géants connus dans la littérature médicale ; 2° L'
état
des organes génitaux dont le développement précoc
nitaux dont le développement précoce n'est pas en proportion avec l'
état
habituel de ceux des géants pathologiques chez
ypoplasie des orga- nes génitaux et de la torpeur sexuelle ; 3° L'
état
et l'influence de la glande hypophysaire. En envi
essation de la' croissance pathologique, au moins l'amélioration de l'
état
psychique, cequi était le point le plus importa
eune garçon s'éleva de 137 à 142 cent. 7 soit de 5 cent. 7 . Dans l'
état
psychique il n'y eut presque aucune modificatio
ement avec la thyroïdine maintenu aussi une dizaine de mois. Dans l'
état
psy- chique il n'y eut aucune amélioration, et
nce thérapeutique. Le second but du traitement, l'amélioration de l'
état
psychique, ne fut pas obtenu SUR UN CAS DE GIGA
sexes. En agissant ainsi, je ne pensais pas pouvoir influen- cer l'
état
psychique, résultat que je n'avais pu obtenir par
u une augmentation de 5 cent. 7 et 5 cent. 0). Mais c'est surtout l'
état
psychique qui subit des améliorations inattendu
it déjà assez bien. 404 HUDOVERNIG Les altérations profondes de l'
état
psychique, et le ralentissement de la croissanc
e la selle turcique et la présence d'une anomalie de l'hypophyse. L'
état
de cette glande ne fut donc pas altéré par les di
roportion avec la verge, de sorte qu'on pouvait presque penser à un
état
infantile des testicules. Cet infantilisme n'étai
es que nous prîmes, au moment de notre entrée à Moukden et que leur
état
avait rendu intransportables par l'armée en ret
ion que les peintres, graveurs ou sculpteurs qui ont représenté des
états
pathologiques les ont effectivement étudiés d'a
autre division secondaire. Puis, plusieurs autres fibres noires, en
état
de division en Y, fn, fn', rn", et encore deux ma
ylacés. On voit en outre, sur le trajet de quelques cylindraxes, un
état
de dégénérescence granuleux et des renflements
rmation présentent la dégénérescence des neuro-fibrilles ou bien un
état
de gonflement. Les fibres des racines postérieu
périphé- rie de la cellule, il y a chromatolyse centrale et souveut
état
poussiéreux de toute la cellule. Le noyau est t
nes cellules ont perdu leur contour, elles sont si atrophiées et en
état
de désintégration moléculaire si prononcée qu'e
ttitude en griffe des deux mains trahit seule, au premier examen, l'
état
de maladie. Etudions en détail les accidents ne
arée peut ap- porter quelque contribution à l'interprétation de ces
états
de stupeur si communs chez les aliénés et les m
urte durée, d'une à deux minutes au plus, mais laisse après elle un
état
de torpeur qui n'est pas tou- jours dissipé lor
ivement le 3. , Malgré la disparition des attaques épileptiformes l'
état
général ne s'améliore pas. Le chien reste const
différent à ce qui l'entoure. Sorti de sa cage et mis debout, son
état
de stupeur ne disparaît pas complète- ment. Son
n dehors des zo- nes motrices a donné lieu à de l'épilepsie et à un
état
de stupeur. Ces deux symptômes peuvent s'expliq
on, en s'étendant aux autres éléments de l'écorce, a donné lieu à l'
état
de stupeur. Les lésions présentées par les autres
ondants, et il y a un peu de strabisme externe de l'oeil droit. L'
état
général est excellent; la nutrition est bonne. La
' P. LEJONNE et M. CHARTIER. A côté de l'infantilisme type Lorain,
état
pathologique caractérisé parla a persistance de
t, crachait continuel- lement. Elle était facilement essouflée. Cet
état
persista, avec des aggra- vations, à travers l'
l'asile ce malade est devenu moins cohérent et plus déprimé, mais cet
état
variait d'un jour à l'autre et rappelait un éta
déprimé, mais cet état variait d'un jour à l'autre et rappelait un
état
de démence précoce para- noïde traversé de bouf
ce de sensations génitales subjectives et dans la conviction de son
état
de mariage princier imaginaire. En somme, dégén
ocié à une atrophie musculaire généralisée, une cyphoscoliose et un
état
hypertrophique des nerfs. La soeur étant morte
ntérieur étant beaucoup plus rapproché du talon pos- térieur qu'à l'
état
physiologique. Cette attitude est maintenue, d'un
, réflexe accommodatif con- servé (signe d'Argyll-Robertson). A l'
état
de repos, pas de nystagmus. Pendant les mouvement
. 484 DEJERINE ET ANDIIÉ-THOMAS L'observation précédente résume l'
état
du malade en 1890. A partir de cette époque jus
gne d'A. Robertson. Sens chromatique normal. Champ visuel normal. L'
état
mental est toujours le même, c'est celui d'un d
nerfs sont augmentés de volume, d'un diamètre double de celui de l'
état
ordinaire et très durs' la palpation. Ils ne pa
cependant pas sensiblement plus douloureux à la pression que dans l'
état
normal. Nous revîmes régulièrement ce malade pl
lièrement ce malade plusieurs fois chaque année de 1893 à 1900. Son
état
resta sensiblement le même au point de vue de l'a
tution de ce manchon. C'est pourquoi il est important de comparer l'
état
des racines sur dissociation à celui qu'elles pré
lus prise. Les cornes postérieures sont à peine plus petites qu'à l'
état
normal, mais leur réseau myélinique est maigre,
e Nissl. Les cellules sont peut-être un peu moins nombreuses qu'à l'
état
normal : quelques-unes sont pâles, décolorées, at
bas, la sensation douloureuse est, sauf le retard, perçue comme à l'
état
normal. Sensibilité thermique très altérée, l'e
ut fermer les yeux, froncer les sourcils, rider son front comme à l'
état
normal. Du côté du facial inférieur, au contraire
s montrent que l'orbiculaire des lèvres ne fonctionne pas comme à l'
état
physiologique, les lèvres sont saillantes, la lèv
mais il est extrêmement lent et souvent difficile à percevoir. A l'
état
de repos du globe oculaire, il n'y a pas de nys
que lors du dernier examen. Les sphincters sont toujours intacts. L'
état
général est mauvais, bronchite chronique et emp
hronique et emphysème. Sans être aussi altéré que chez son frère, l'
état
mental de notre sujet est loin d'être normal, pas
ne redevient normale que sur le sommet de l'épaule. A gauche, même
état
pour la face palmaire des doigts et-de la main. S
ltérations des nerfs périphériques et des racines postérieures sans
état
hypertrophi- que, et des lésions des cordons po
es deux maladies ; enfin il existe une oppo- sition notable entre l'
état
des nerfs cutanés et celui des nerfs musculaires
i diminuée de volume ; elle peut même apparaître plus grosse qu'à l'
état
normal. Histologiquement on trouve, dans la pre
la région dorsale moyenne. Mort 9 mois après l'admission, dans un
état
cachectique avec émaciation considérable. Aut
nce; réaction de dégéné- rescence dans les muscles paralysés. Cet
état
s'aggrave après une phase d'amélioration transito
méninges avec infiltration de polynucléaires. Cellules nerveuses en
état
de légère chromatolyse avec pigmentation. Des
-axes ; les cellules des cornes antérieures, glo- buleuses, sont en
état
de chromatolyse avec pigmentation ; le canal est
la région sacrée prennent le Marchi un peu plus intensément qu'à l'
état
normal ; le canal épendymaire est oblitéré, rem
bien accentués ; nous n'avons pu trouver aucun parallélisme entre l'
état
des vaisseaux sanguins de la moelle et les lé-
ssion de la fonction, mais seulement une altération de celle-ci, un
état
d'irritation qui intéresse le seul trophisme; pou
pa- gnés de rétraction palmaire, ne peut se soutenir. Pourtant, cet
état
d'irri- tation, qui devrait être la base du dér
logiques, en particulier pour ce qui concerne les amyotrophies et l'
état
lacunaire de la moelle. L'atrophie musculaire d
ce grise, et, dans mon cas, la substance grise périépendymaire. Cet
état
pa- thologique peut être nommé pour analogie av
cavités semblables à celles de la désintégration cérébrale, et. cet
état
anatomo-pathotogique peut être nommé myélo-sclé
de précieux renseignements sur XIX 38 574 LASALLE ARCHAMBAULT l'
état
des gaînes myéliniques, mais il est peu facile de
l est peu facile de se rendre compte au niveau de l'hémisphère de l'
état
réel du prolongement cylindraxile. Seconde part
de faire cette assertiou. La cou- che sagittale extrême existe à l'
état
d'ébauche sur certaines de nos planches (Nouvel
endroit, la voie py- ramidale regagne son indépendance et c'est à l'
état
de pureté qu'elle constitue la pyramide bulbair
Quel est ce faisceau dont les fibres de toute longueur existent à l'
état
de pu- reté presque dans la couche sagittale ex
cérébrale du nerf optique ; que le second neurone visuel existe à l'
état
de pureté dans la couche sagittale externe du l
t les paralytiques généraux dans tous les pays ; une partie, dans l'
état
de démence calme, sans cachexie trop avancée, son
luence de la section expérimentale des racines postérieures sur l'
état
des neurones pé- riphériques (3 pl, dont 1 en c
s fibres nerveuses terminées par des mas- sues de croissance, à l'
état
pathologique et a l'état normal. Lésions tabéti
ées par des mas- sues de croissance, à l'état pathologique et a l'
état
normal. Lésions tabétiques des racines médullai
luence de la section expérimentale des racines postérieures sur l'
état
des neurones périphériques (3 pl. dont 1 en cou
03. Fibres nerveuses terminées par des massues de croissance, à l'
état
pathologique et à l'état normal (régénération c
inées par des massues de croissance, à l'état pathologique et à l'
état
normal (régénération collatérale des), par NAGE
t contre cette identification, et affirment qu'il s'agit là de deux
états
patho- logiques absolument différents : « Contr
ment établies; et de plus, l'étiologie et la pathogénie de ces deux
états
sont entourées d'obscurité. Nous avons profité
génitaux sont rudimentaires, quoique bien conformés. La verge, à l'
état
de flaccidité, ne mesure que 7 centimètres de lon
u vert. Il y une hyperesthésie pour le bleu. La figure représente l'
état
des deux champs visuels projetés sur les rétines
sque 21 ans), un géant par sa taille (2 m. 100), et un enfant par l'
état
rudimentaire de ses organes géni- taux', par l'
ne saurait pas en exclure tout à fait l'influence d'un déficit de l'
état
cénesthétique, évidemment mutilé par l'absence de
ovenant des organes génitaux. On sait, en effet, jusqu'à quel point l'
état
cénesthétique domine et actionne notre individu
e déséquilibre de son esprit. Ceci posé, continuons l'examen de son
état
mental. L'idéation est limitée au cercle restre
ments et de difficultés; je l'attribue a la conscience qu'il a de l'
état
rudimentaire de ses organes sexuels, en contraste
eurer. GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE 17 Un trait de son
état
mental, c'est encore la bouderie. J'arrive un mat
aille associée à sa conformation corporelle, aussi bien que par son
état
mental, José Lopes est un géant infantile. Est-
pas le nier. Il est, en tout cas, absolument certain que ces deux
états
, ont débuté tous les deux de très bonne heure,
z José Lopes l'existence d'une affinité très étroite entre ces deux
états
. La cause du gigantisme chez José Lopes, comme
gigantisme chez José Lopes, il me semble que dans la genèse de son
état
, il faut faire une place importante à toutes le
pètrière, t. XVII, p. 166. 22 MAGALIIA1S LKMOS admirablement à un
état
, comme celui de notre géant, caractérisé par l'
type infantile,qui en est une, soit exclusivement t subordonnée à l'
état
de la fonction thyroïdienne. On a aussi, parfois,
examinons l'influence de l'atrophie génitale de José Lopes sur son
état
morphologique. L'atrophie génitale des géants,
te plusieurs stigmates d'acromégalie. La combinaison entre ces deux
états
est laconiquement, mais avec éloquence, exprimée
berg). Mais, chose essentielle, pour ces auteurs il s'agit des deux
états
pathologiques « absolument différents l'un de l'a
ffinité et même l'identité de nature, qu'à leur avis relie ces deux
états
, c'est que, dans presque la totalité des acromé
l. Il est, en effet, fort vraisemblable que le point de départ de l'
état
morphologique que nous avons décrit chez José L
interne, il me semble pouvoir éta- blir, comme fort probable, que l'
état
morphologique et dystrophique du géantJosé Lope
nir d'un seul et même trou- ble de la fonction ostéogénique. 6° L'
état
morphologique et dystrophique du gigantisme infan
fut opérée pour son goitre au mois de juillet 1908. Depuis lors son
état
s'est aggravé. La démarche devient impossible, so
obablement de même pour les autres formes de sensibilité.bien que l'
état
psychique de la malade ne nous permette pas d'o
de hématoxylinophile. Le tissu conjonctif est plus développé qu'à l'
état
normal. Les capsules surrénales ne présentent p
ndant. Les articulations ne sont ni déformées, ni tuméfiées. Même
état
pour les os du bassin. On trouve dans ces dernier
n de l'ovaire on ne constate pas de follicules ni de corps jaune en
état
d'activité. Mais on constate des corpora albica
'est pas très grand. Le tissu conjonctif est plus abondant qu'à l'
état
normal. Un très grand nombre de cellules contie
chez les ostéomalaciques. Enfin il a étudié, au point de vue de l'
état
du corps thyroïde, 33 cas d'ostéomalacie à la C
, de 33 cas d'ostéomalacie où on trouve certaines indications sur l'
état
du corps thyroïde on ne peut retenir que trois ca
produit après la thyroïdeclomie que lorsque l'animal est arrivé à l'
état
de cachexie. D'après Veillon (3), les injection
raient que faiblement le retard apporté dans la consolidation par l'
état
strumiprive. Bayon observa que le traitement th
ue, les résultats peuvent varier d'un observateur à l'autre suivant l'
état
fonctionnel de l'ovaire au moment de l'opératio
les animaux éthymisés. Ces derniers auteurs ont observé en outre un
état
ostéoporotique chez ces mêmes animaux et ont no
ec troubles osseux si marqués, il serait intéressant de connaître l'
état
des glandes à sécrétion interne dont les altéra
e et dépendante de la précédente disposition anormale du radius ; l'
état
subluxé du poignet serait de môme consécutif à
es autres doigts ainsi que les os métacarpiens et carpiens sont à l'
état
normal. Il s'agit donc d'un cas d'hexadactylie
-t-il, cette formation défectueuse n'est point sans rapport avec un
état
antérieur (atavique), car les mons- truosités n
état antérieur (atavique), car les mons- truosités ne diffèrent des
états
ataviques que par un défaut d'accommo- dation q
ément le développement normal de l'em- bryon, au point de créer des
états
tératologiques qui arriveraient ainsi à se prod
êmes agents que nous trouvons comme cau- ses dans la production des
états
pathologiques représentent également,avec beauc
ond accepte la signification pathologique attribuée par Virchow aux
états
tératologiques, sans renoncer complètement pour c
vie transitoire resteront vainqueurs, mais ceux qui ne sont qu'a l'
état
latent pourront se repro- duire de nouveau et r
active. Souvent aussi s'ajoutent des modifications pathologiques de l'
état
affectif (Gemütslage) et cela sous deux formes
polynévritique, la désorientation est permanente, dès le début. Les
états
délirants de la presbyophrénie se comportent de f
s qui se passent autour d'eux, tout en se trouvant néanmoins hors d'
état
d'avoir la notion exacte de leur situation ef d
; quoi qu'il en soit,on observe dans la démence sénile simple, des
états
analogues transitoires, qui peuvent disparaître e
e. La plupart des observations de presbyophrénie sont muettes sur l'
état
des nerfs périphériques ; on n'y voit pas menti
diverses encé- phalopathies. » « J'admets (2) volontiers que ces
états
d'affaiblissement intellectuel sont liés souven
otde Presbyoph rén ie,pu isclu'el le réserve cette appellation à un
état
psychopathique, qui, par son étiologie, ne peut
est un symptôme d'ordre banal qui se trouve toujours, au moins à l'
état
d'ébauche, et parfois très accusé, dans les forme
n ictus qui survint un an avant la mort et laissa le malade dans un
état
de démence absolue. M. H..., après des études d
e presbyophréniqzce (1 ). - Fabulation fantastique consécutive à un
état
onirique. Polynévrite élhylique fruste chez une f
gastro-intestinaux, diminution de la mémoire, mais depuis 3 mois, l'
état
s'est aggravé : hallucina- tions nocturnes (voi
ment difficile de décider s'il s'agit d'une démence éthylique, d'un
état
crépusculaire post- épileptique, ou même d'une
ation, donner naissance au syndrome presuyophréniljue dans tous les
états
où l'amnésie de fixation est susceptible de se
ux défaillances de la mémoire, représente ici en quelque sorte, à l'
état
d'ébauche, le phénomène de l'amnésie fabu- lant
ous, à comparer l'étal morbide du presbyophrénique avec deux autres
états
très voisins, l'état de rêve et l'état de rêverie
morbide du presbyophrénique avec deux autres états très voisins, l'
état
de rêve et l'état de rêverie, à l'opposer au rê
ophrénique avec deux autres états très voisins, l'état de rêve et l'
état
de rêverie, à l'opposer au rêve, et à le rappro
d'une conception ou d'un récit imaginaires. C'est ainsi que, dans un
état
différent du rêve, dans la rêverie, le sujet, a
les deux cas, non seulement la vie allo-psychique est conservée à l'
état
rudimen- taire, mais la vie auto-psychique est
sychique est exaltée dans ses processus automati- ques. Le sujet en
état
de rêverie associe ses idées avec abondance et fa
titutionnelle. Les cas de fabulation consécutive ou équivalente aux
états
oniriques cons- tituent un groupe naturel. La f
u rêve etde l'onirisme qu'on la voit souvent alterner avec ces deux
états
, surtout leur succéder et parfois s'y substitue
ost-onirique) ou des souvenirs d'un rêve. Il y a là toute une gamme d'
états
assurément très voisins et souvent combinés, ma
érante, qui s'exalte surtout dans ses processus automatiques : d'où
état
de rêverie, Jabulation effective. Emprunt des m
que (continuation de l'activité de rêve par l'activité de rêverie);
état
mythopathique en apparence acquis, mais, le plu
nce acquis, mais, le plus souvent, simple réaction à l'amnésie d'un
état
my- thopathique antérieur constitutionnel. De
sbyopllrénique, la crédulité est d'ordinaire portée au maximum. Cet
état
qui, par tant de traits, se rapproche de la rêver
e, répondant à la période initiale de l'affection ou à la période d'
état
, et sous laquelle se manifeste, et.aussi se dis
fabulation. La Presbyophrénie caractérise donc, en pareil cas, des
états
d'affaiblis- sement relatif, démentiel ou non,
e ne relève ni de l'hallucination ni de l'interprétation, mais de l'
état
mythopathique du sujet. Il s'agit alors d'un dé
qu'aux mouvements. Les systèmes musculaire et nerveux sont dans un
état
normal. Observation V. Al. L..., 27 ans, rémo
de signaler une certaine amélioration subjective et objective dans l'
état
du malade après un traitement d'un mois ; un ce
arçon de restaurant, choriste, marchand am- bulant, etc... . 5° L'
état
général est bon. 6° Les douleurs el l'iiitiiiob
exion. 16° La statique et la dynamique des malades dépendent : de l'
état
de l'ankylose de la colonne vertébrale, du degr
LIQUE 139 une complète dégénérescence des faisceaux postérieurs (un
état
semblable a été décrit par le Dr Babinski). D
spécifique, et appliqué au membre fracturé l'extension continue. L'
état
du malade a paru s'améliorer au début, tant au
était revenu. Mais celte amélioration n'a pas duré long- temps ; l'
état
du malade n'a pas tardé à empirer, celui-ci se ca
du corps est de 80 kilogrammes ; la taille de 1 m. 38. Tel était l'
état
de II. P... en 1907. Elle était alors âgée de 57
seur R. WEBER (de Genè\e). àl. V. Monakow, dans son ouvrage sur « l'
état
actuel de la question des localisations cérébra
n'est plus capable de raconter son passé de façon suivie. Puis son
état
s'améliore passablement ; il sait qu'il est à B
Puis la somnolence devient de plus en plus profonde et F. succombe en
état
de marasme provoqué en partie par les vomisseme
Son corps est en décomposition, il est mort et n'existe plus qu'à l'
état
de « sur- vie ». On le méprise « avec raison »
e gauche.-En 1905 sa fin parut imminente, mais à peine sorti de son
état
comateux, il se mit à insulter et à battre son
ons d'origine vasculaire ; le malade est donc plus conscient de son
état
misérable et enfin, il souffre en général davan-
tc. A côté de ces cas, où l'infiltration même du tissu donne de son
état
pathologique une preuve évidente, il en est d'a
infirmiers qui s'approchent de lui. L'examen somatique révèle un
état
cachectique, une inégalité pupilbiire, INJECTIO
e 24 juin. A la date du 4 juillet on notait une amé- lioration de l'
état
général : disparition du gâtisme,et des accès hal
e la période d'élimination, la température ne dépassa pas 38°i et l'
état
général fut excellent : appétit et embonpoint mar
ement réparée. Au point de vue mental, le malade est dans le même
état
de confusion. Son aphasie et son hémiparésie ne
s détails. On peut dire qu'il en est de même pour la trophicité : l'
état
hypotrophiclue des parties non hémi- plégiées e
énérale. Peau, tissu cellulaire, et muscles du côté valide, sont en
état
de moindre résistance et pour ces organes ainsi
ET PUISSANTE DAME VÉROLLE 185 Le scelleur quoiqu'il dise Que mon
état
ne peut celer ne nous montre dans l'une ni l'au
droit, auraient seuls été agités. ' - Le malade est dans le même
état
de demi-sommeil, ne répondant pas aux questions
amblyopie. Champ visuel normal à droite, très rétréci à gauche. Cet
état
n'est pas modifié à un nouvel examen, pratiqué en
nt le siège d'une hydrocéphalie assez considérable (PI. XXIX). avec
état
lisse et intégrité macroscopique de leurs paroi
de vertiges sans troubles de la vue, de l'ouïe, de la parole, de l'
état
mental. Jamais de paralysies. Néphrite chroniqu
pendant 3/4 d'heure, et d'hémorragies par le nez et les oreilles, l'
état
empira : vertiges, évanouissements, stase papil
de la main droite pour ce qui est de son altitude (en griffe), de l'
état
des muscles (atrophie) et des mouvements relatifs
het spécial qui nous a frappé de suite en voyant le malade, c'est l'
état
de la peau. Les petits carrés de la peau, compr
lusion n étant déjà évidente. Je me limiterai donc à considérer l'
état
de la peau de la main. La peau de la main n'est
caractères bien différents : « Tous les détails qu'on constate à l'
état
normal sur la face dorsale de la main, sont effac
t aspect que ces auteurs ont exprimé en employant la dénomination d'
état
ichthyosique de la peau. Mais ce n'est pas ains
u bout de deux mois sa femme le reprend, et pendant douze jours son
état
paraît se modifier très fa- (1) Ces renseigneme
Roui. D. Quand ? Pas de réponse. D. - Votre corps est en bon
état
? R. (A voix très basse) Pas trop. D. Votre c
es troubles mentaux à l'âge de 17 ans. De juillet à septembre 1891,
état
catatonique. - D'octobre 1891 à mars 1892, rémi
pressive ou de démence précoce catalonique ? A en juger d'après l'
état
actuel, il ne semble pas qu'il puisse y avoir d
ossifias. (Gross. : 1/2.) Les Il ? iiiiei-ipie4eux qui sont dans l'
état
normal faibles el percés de trous, ne se sont p
rent les têtes des côtes et les ligments costo,ve1'tébraux qui, à l'
état
normal, sont constitués par des libres qui parten
tervalles entre les arcs des vertèbres connexes qui contiennent à l'
état
normal le ligament jaune, sont remplis sur notre
sité du tissu spongieux partout est augmentée en com- paraison de l'
état
normal (fig. 10). (agrandies. 5.) LA SPONDYLOSE
analyser les rapports du cartilage avec les vertèbres connexes. A l'
état
normal (fig. 8, Pl. XXVII), la face antérieure
articulations de la colonne vertébrale. Aspect macros- copique. A l'
état
normal dans les coupes qui passent transversaleme
t du périoste. Les surfaces articulaires des apophyses obliques à l'
état
normal se tou- chent étroitement et ont une cap
anche et grise de l'encéphale et de la moelle épinière sont dans un
état
normal, aussi bien que les racines des nerfs ra
trouble général constitutionnel de l'organisme et, souvent, de son
état
de marasme (Pribram). Au point de vue anatomiqu
l'absence de troubles de sensibilité et, enfin, la persistance d'un
état
général satisfaisant. Tous ces symptômes, bien
t les autres, ne peuvent être que des formations récentes. ? c) L'
état
des cartilages qui recouvrent les têtes des os de
t de tous les traite- ments physiques, les douleurs s'apaisaient, l'
état
général s'améliorait et parfois les mouvements
s génitaux ; en outre, par son hypersécrétion, elle pro- duirait un
état
d'adipose. Von Frankl-Hochwarl émet la même opi
de plus difficile que de dire à propos de cet organe, ce qui est l'
état
pathologique et ce qui est l'état normal ; car l'
ropos de cet organe, ce qui est l'état pathologique et ce qui est l'
état
normal ; car l'augmenta- tion du tissu conjonct
e masse compacte uniformément violette, où on reconnaît seulement l'
état
granuleux dans la périphérie. Dans quelques aut
BE Du reste, nous avons examiné, s'il existait une relation entre l'
état
delà a glande et la maladie qu'avaient eue les
ous a été impossible de constater sa présence autour du nucléole en
état
de bourgeonnement très actif, nous sommes tenté
NS 277 tendus et gorgés de sang, et dont les corps de Nissl sont en
état
de désin- tégration granuleuse et d'acUromalose
du nucléole. Les nucléoles de volume normal, hyper- trophiés ou à l'
état
de bourgeonnement, quittent leur situation normal
omatoplliledelVissl (désintégration granuleuse, achro- matose) ou l'
état
vacuolaire du cytoplasma, le nucléole est situé à
es cellules ganglionnaires, on voit la moitié des corps de Nissl en
état
de désintégration gi-antileuseej l'autre en ach
sant la membrane nucléaire du côté de la substance chromatophiie en
état
de désintégration granuleuse. Dans d'autres cel
mais dont les corps de Nissl sont sur toute la surface cellulaire en
état
de désintégration granuleuse, le nucléole conse
du noyau ; dans les cellules à substance chromatophile altérée à l'
état
de désintégra- tion partielle ou d'achromatose
, le nucléole n'est pas déplacé el le plus souvent on le trouve à l'
état
de bourgeonnement manifeste. Et si maintenant o
les échanges nutritifs normaux (corres- pondant morphologiquement l'
état
normal de la substance chromato-- phile)et les
ormaux ou dimi- nués dans l'autre (substance de Nissl normale ou en
état
de désintégra- tion granuleuse) ; il en résulte
ène cel- lulaire) ; 3° La destinée du nucléole ainsi émigré et 4° l'
état
des cellules dans lesquelles a lieu ce phénomèn
igration. Lorsqu'on envisage la question au point de vue général, l'
état
normal ou pathologique de la cellule n'a pas d'
ncontre dans n'importe quelles cellules et n'a aucun rapport avec l'
état
de celles-ci. Mais, dans notre des- cription, n
ces modifications sont très probablement en relation étroite avec l'
état
de la cellule. Dans l'émigration passive, le
le d'un cône il sommet émoussé, arrondi. Une fois parvenue dans cet
état
, elle parait être à son maximum de tension, car
e nucléole une fois dans le cytoplasma peut se présenter sous trois
états
différents : a) d'hypertrophie. b) de bourgeonnem
longée, ova- laire, triangulaire, ou de forme irrégulière. Dans cet
état
sa structure granuleuse se montre très nettemen
. Dans l'amas pigmentaire, le nucléole se trouve le plus souvent en
état
de bourgeonnement ou de désintégration ; à l'ét
e plus souvent en état de bourgeonnement ou de désintégration ; à l'
état
de désintégration, les sphérules qui entrent da
ellules dont le nucléole se trouve dans l'amas de pigment jaune à l'
état
de bourgeonnement ou de désintégration granuleu
le que ces différentes positions du nucléole sont en rapport avec l'
état
de la substance chroma- tophile. Rares sont les
paraît assez nettement. Grand nombre de fois nous l'avons trouvé en
état
d'hypertrophie et situé en un point de la périphé
émiplégique, tabétiqueetc...)on peut voir grand nombre de noyaux en
état
d'homogénéisation, si sur de pareilles coupes o
tion,mais sur des coupes de ganglions de polyomyélite, les noyaux en
état
de dégénérescence acide prennent le colorant ac
rencontrent dans les ganglions d'apparence normale et dans différents
états
pathologiques. Van Gehnchten et Nelis (1898) (1
ns rachidiens des animaux atteints de rage et croit qu'il s'agit d'un
état
pathologique de la cellule. Lugaro (1900) (LI)
pondants ; pour cet auteur la cellule vacuolaire est une cellule en
état
de dégénérescence kystique. Athias (190G) (3) déc
s, La vacuole des cellules des ganglions spinaux chez les animaux à l'
état
normal, Anat. Anzeiger Centralblatt, 1905. (4
, poussiéreux, répandus sur toute la surface du corps cellu- laire (
état
poussiéreux). On peut aussi constater des cellule
t et intensivement avec le bleu polychrome ou le bleu de toluidine (
état
chromophile). Le noyau est aussi altéré souvent
e trouve vers la périphérie du corps cellulaire très atrophié ou en
état
d'homogénéisation. Dans certai- nes cellules la
atose complète on observe des cellules à substance chromatophile en
état
de désintégration granuleuse partielle ou génér
scures l'aspect est tout à fait différent, car ces cellules sont en
état
d'atrophie pigmentaire ; leur corps protoplasmi-
de rosace se trouve dans les cellules à substance chromatophile en
état
d'achromatose ou de désintégration granuleuse ; d
ence la formation décrite et en même temps de se rendre compte de l'
état
de la substance chromatophile. Par toutes ces mét
le et la situation de la formation en général. Dans les cellules en
état
d'achro- 298 JONNESCO matose absolue (PI.XLII
sant plasmosphère. Dans les cellules à substance chro- matophile en
état
de désintégration granuleuse (PI.Xl,lil,fig. 2),
es cas précédents. Donc, l'exis- tence d'un certain rapport entre l'
état
des corps de Nissl et le degré de développement
nts que nous venons de décrire pourront être considé- rés comme des
états
successifs d'un processus d'évolution vers une fo
définitive qui serait celle que l'on retrouve dans les cellules en
état
d'achro- matose absolue.Le polymorphisme de ce
rmes ne varient pas a ! 'infini mais paraissent bien subordonnées à l'
état
de la substance chromatophile ; en effet dans l
'état de la substance chromatophile ; en effet dans les cellules en
état
de désintégra- tion granuleuse 011 remarque la
ours la même forme A au lieu de C,D,E..x. Dans d'autres cellules en
état
d'achromatose absolue on aura la forme B. Exami
nucléole ; 2° la formation n'apparaît que dans quelques cellules en
état
de chromatolise, mais on ne la trouve pas dans to
e dans les cellules de la zone périphérique. A part ces cellules en
état
de dégénérescence pigmentaire on remarque par c
envahie par les éléments de la capsule et contenant son nucléole en
état
de bourgeonnement dans l'amas pigmentaire. Au voi
he XLIV. Fio. 1. Cellule ganglionnaire à substance chromatophile en
état
de désintégra- tion granuleuse irrégulière (a)
ance chro- matophile d'apparence plus ou moins normale et en (b) en
état
de désintégration granuleuse. Au centre de 1.1
chsinophiles de tailles inégales, (b) nucléole hyper- trophié et en
état
de bourgeonnement. Dans le reste du cytoplasme on
on au bleu de toluidine éosine. En (a) subs- tance chromatophile en
état
de désintégration granuleuse, (b) noyau d'aspect
e vieille, sèche, ridée, parcheminée, présentant une maigreur et un
état
d'émaciation extrêmes dus en partie à une tuber
9% 19e e et Il-), paires gauches. Paralysie de la 6e paire. - A l'
état
statique on constate un strabisme convergent de
tatique on constate un strabisme convergent de l'oeil gauche. A l'
état
dynamique, ce strabisme s'exagère dans les mouvem
- que portant à la fois sur le facial supérieur et inférieur. A l'
état
statique : La Louche est en point d'exclamation
gement ouvert. Les rides du front sont effacées du même côté. A l'
état
dynamique : . Quand la malade lève les yeux la
paralysie avec atrophie du trapèze et du sterno- mastoïdien. A l'
état
statique, en avant : la disparition presque compl
ée de la ligne médiane, le creux sus- épineux paraît amaigri. A l'
état
dynamique la déformation s'accentue en avant et s
DiISYNOROME BULBAIRE PAR LÉSION PÉRIPHÉRIQUE 307 Musculature. A l'
état
statique : strabisme convergent de l'oeil gauche.
ure. A l'état statique : strabisme convergent de l'oeil gauche. A l'
état
dynamique : le strabisme s'exagère dans les mouve
Marie), apparaissant vers l'âge de 30 ou 35 ans, il existe d'autres
états
corporels qui s'en rapprochent par cer- tains c
t nous ne saurions prétendre qu'il s'agit d'un acromégalique. Ces
états
corporels sont encore peu connus et mal classés.
s ? Enfin, chez ces sujets, les troubles res- tent-ils toujours à l'
état
d'ébauche ? Ne sont-ils pas susceptibles, d'évo
atement lorsque nous avons voulu l'exa- miner ce fut d'une part son
état
mental bien particulier, d'autre part les di- m
ppés : la région sus-pubienne est recouverte de poils ; la verge en
état
flexible mesure 10 centimètres, sans anomalie.
son qu'on peut espérer apporter quelque lumière dans l'étude de ces
états
corporels. ASILE D'ALIÉNÉS DE KOULPARKOW, GALIC
vite. La langue n'est pas épaissie, mais elle est plus longue qu'à l'
état
normal, et pend en dehors de la bouche. Les lèv
de l'oeil. Etat mental. - Le malade est arrivé à l'hôpital dans un
état
de démence fort accentué, qui jusqu'à ces jours
alan- giennes correspondantes. Aujourd'hui le malade a un mauvais
état
général, caractérisé par une fai- blesse généra
'ataxique,tous les muscles péri-articulaires sont dans un continuel
état
d'agitation. Ces contractions, qui s'observent
dre son équi- - libre. Cette absence d'harmonie, remplacée par un
état
choréique des muscles, ne pouvait pas échapper
s antérieurs cette fois-ci antagonistes ont été continuellement à l'
état
de contraction. Nous avons vu de même que les m
contraction des muscles postérieurs et des muscles latéraux. Cet
état
de flaccidité, qui est d'un degré inférieur à la
t cinétique. Et si nous ajoutons que par le progrès de la maladie l'
état
général s'affaiblit, et que même les muscles pe
t vraisemblable que les muscles se trouvent ordi- nairement dans un
état
de légère contraction, que nous désignons sous le
re contraction, que nous désignons sous le nom de tonus, et que cet
état
est dépendant de l'intégrité des racines postér
seulement aux mouvements passifs qui dé- passent par leur étendue l'
état
normal. Et pour confirmer ce qu'il sou- tient,
e son épaississement sur la moelle dorsale, du 2e au 11° segment. L'
état
atrophique est très marqué pour la moelle épinièr
grouper un syndrome quelque peu précis et les manifestations de ces
états
atrophiques. Le diagnostic neurologique se prop
ie des fibres. Si nous envisageons les causes aptes à provoquer l'
état
atrophique du système nerveux central, il est b
on; la seule cause qui dans notre cas est susceptible d'expliquer l'
état
atrophique de la moelle épinière et de la moell
ayant abouti à une, infirmité, n'ont retenti en aucune façon sur l'
état
général ! Mais pour prouver d'une façon inconte
jours refusé à rendre les petits services que son instruction et son
état
de fesseur Vires, chargé du cours de clinique ;
ombreuses à son sujet. Bien des auteurs estiment avec Souques que l'
état
mental de ce genre de malade n'a rien de spécia
t, à notre connaissance, le seul qui soit uniquement con- sacré à l'
état
mental des achondroplasiques, insiste particulièr
'une ressemblance de plus avec les instables moraux. Pour Lauze cet
état
mental est la conséquence d'une hypersé- crétio
t d'ajourner le débat, de reconnaître qu'à l'heure actuelle, dans l'
état
présent de nos connaissances, l'étude des troub
e reconnaissent que notre conformation physique rejaillit sur notre
état
mental. Il est même tel état pathologique où l'
onformation physique rejaillit sur notre état mental. Il est même tel
état
pathologique où l'altération psychique a été ra
açon que pour l'achondroplasie, l'intelligence est conservée mais l'
état
mental est atteint : en apparence apathique, le
a lui attirer surtout pour des choses qu'elle ne connaît pas. Son
état
mental a quelque chose d'infantile. Quand nous no
tit (i). Pas de der- mographisme prononcé. ' En co qui concerne l'
état
psychique, on note que le malade reste tranquille
a polydactylie n'est que rudimentaire, car la radiographie montre l'
état
normal des os de la main. ' Dans le second cas
igt. Pl. LXII. Radiographies des mains de la même malade montrant l'
état
normal des os. Le petit apendice chirnu n'a pas
aractère d'un jeune garçon; puis dans un second temps s'installa un
état
myxeedemateux qui étouffa les caractères d'infa
rer clans la majorité des observations, par contre la sécheresse et l'
état
squameux se retrouvent presque chaque fois. Cet
écheresse et l'état squameux se retrouvent presque chaque fois. Cet
état
squameux peut confiner à une véritable ichthyos
sauf pour les malades âgés (au-dessus de 45 ans), on ne voit pas cet
état
ridé du front, des joues et du cou, si particul
dit, ne s'étahlissent-ils que dans la moitié des cas. Par contre, l'
état
moral se modifie davantage ; ce qui frappe, c'est
tôme, on décèle de petits troubles cutanés : sécheresse, ichthyose,
état
cassant et sec des cheveux. Les signes fonction
ure centrale (mais la température est trop rarement notée). Enfin l'
état
d'apathie mo- dérée, avec lenteur des réponses
ul peut créer des réactions aussi profondes, c'est à la faveur d'un
état
général grave, avec des signes d'athyroïdie et de
ale, plus appréciable encore du côté psychique. Il est parvenu à un
état
neutre, asexué, ce qui est quelque chose de dif
ct. Du côlé féminin, quoique plus rare- ment observé, ce retour à l'
état
neutre se traduirait par du virilisme. Mais dan
es testicules étaient frappés, si les tubes séminifères étaient à l'
état
d'inactivité complète, ce qui attirait surtout l'
e, absolument constante (ainsi qu'en témoignent les dimensions et l'
état
des organes génitaux et l'impuissance) : le syn
nnel en effet clans le myxoedème acquis de l'adulte d'ob- server un
état
d'infantilisme incontestable. Mais il va souvent
s'atténue, leur appétit vénérien s'émousse ». Mais, en général, l'
état
et le fonctionnement des organes génitaux chez
de 3 enfants. A eu il y a quatre ans une très forte hémorragie avec
état
syncopal. Elle se remit très lentement de son ané
hangement de son caractère, mais c'est surtout depuis 6 mois que son-
état
s'est accentué. Pâleur du visage sans albumin
que son- état s'est accentué. Pâleur du visage sans albuminurie;
état
glabre des régions sus-pubienne, axillaire ; di
xiv 28 438 CORDIER ET REBATTU A part ces accidents spécifiques, l'
état
du malade est exactement semblable à celui quia
qui aboutit rapidement à la frigidité absolue. Dès cette époque, l'
état
physique est profondément modifié, car on ne co
embonpoint, à maigrir rapidement de 13 kilogs. Ce fléchissement de l'
état
général avait débuté par des malaises d'apparen
s véné- riens déclinaient de plus en plus. Vers le huitième mois, l'
état
général était alarmant, la faiblesse extrême. P
tous les mois à peu près; il ne s'inquiète qu'à un seul moment de l'
état
de ses testicules : c'est en décembre 1907, où au
on- tinuer son travail et peu après ses rapports. Depuis un an, l'
état
est à peu près le même. A l'exa.nen. Homme semb
). Gandy. Myxirdème acquis de l'alnlte mec légression .sexuelle à l'
état
prépubè1'e.ln- fanlilisme réovr.ei/' de l'iiduV
tion veut remplacer, préciser ce qu'on doit entendre par myxoedème,
états
hypothyroïJiens sans myxoedètne, infantilisme, en
voir été fort grave, il note une asthénie progressive et rapide, un
état
épais du tégument qui prend une teinte jauue, l
quel- ques jours de repos on le renvoie, croyant qu'il exagère son
état
de faiblesse. Histoire de la maladie. C'était a
ble avoir été grave ; car il dit ne pas s'être rendu compte de son
état
et il est resté obnubilé pendant plusieurs jour
ève-t-il et avec difficulté GO à 70 kilogs. Malgré cette faiblesse, l'
état
général n'était pas mauvais. L'appétit était co
temps, il a un érysipèle de la face qui, récidive 3 mois après. Son
état
était alors sensiblement identique à celui qu'il
incapable, il est recueilli par des amis et peu à peu, voyant que son
état
ne s'améliore pas, il rentre de nouveau dans le
nsuffisance thyroïdienne, il ne pensera pas au myxoedème, puisque l'
état
myxoedémateux qui définit le syndrome, la bouff
deux chez des femmes, dans le dessein d'attirer l'attention sur cet
état
envisagé comme type défini de malfaçon congénit
que sa difformité existe depuis sa naissance; ce garçon est dans un
état
de santé générale parfaite et, en dehors de l'éta
rçon est dans un état de santé générale parfaite et, en dehors de l'
état
de ses membres supé- rieurs, il ne présente auc
nt à la tribu de Mananja ; ob- servé en janvier 1910. Il n'existe d'
état
similaire chez aucun membre de la famille. Auta
l'anomalie existe depuis l'enfance. Ce garçon est dans un excellent
état
de santé générale ; il est vif et actif ; l'exa
e stade pré- coce d'une artliropathie de Charcot dans le tabès. L'
état
des mains et des doigts est tout à fait intéressa
e côté. Ce n'est pas le véritable aspect de la main en trident. L'
état
du pied est représenté sur le dessin ci-joint (fi
ns le cas IV, il y a en outre raccourcissement des avant-bras et un
état
anormal des pieds. En raison de notre ignorance
ec l'achondroplasie. Dans nos deux cas qui concernent des femmes, l'
état
des doigts ne se montre pas très éloigné de ce
'achondroplasie dans lequel l'unique symptôme de la maladie était l'
état
des mains. Si de tels faits doivent être acceptés
ilets sensitifs qui ontpour mission de renseigner les centres sur l'
état
des organes périphériques. La section expérimen
quatre mois un travail très réduit, proportionné à ses forces, et l'
état
local s'est aggravé sous certains rapports. La fo
pte de ces données, puisque, au cours des six mois qui suivirent, l'
état
du blessé, loin de s'améliorer, s'est plutôt ag
es conclusions de la thèse de Sans; elles nous paraissent résumer l'
état
actuel de la question : to On peut observer à l
uses sur les incapacités fonctionnelles, il est légitime d'en faire
état
pour relever le taux de l'indemnité, sous réserve
r- osseux et lombricaux entrent en jeu pour leur propre compte. A l'
état
normal, nous faisons ces deux mouvements d'un s
ès imparfaitement. Autre- ment dit, on reviendra de nouveau à notre
état
antérieur, quand étant enfants, nous étions mal
te, l'anatomie macroscopique ne fournissait aucun renseignement sur l'
état
de la substance grise, sur la localisation exacte
bandes minces, où la substance blanche a conservé les caractères de l'
état
normal. Or, Messieurs, il ré-sulte des nombreuses
optique à l'œil nu et au microscope. — Aspect de la papille : 1° à l'
état
normal ; 2° dans l'induration grise progressive.
tômes qui répondent à ces lésions se traduisent, pour les uns, par un
état
paralytique, pour les autres, par les douleurs. M
rose spinale tabétique. Il y a lieu de remémorera ce pro-pos que, à l'
état
normal, les nerfs optiques se rapprochent, quant
e vous rappellerai très brièvement l'aspect de la papille optique à l'
état
normal. —Vous n'avez pas oublié la forme ovaloïde
étaient aupara-vant; seulement, contrairement à ce qui a lieu dans l'
état
nor-mal, on ne peut plus les suivre, pénétrant à
implement appliqués. Rien d'ailleurs qui s'éloigne pro-fondément de l'
état
normal ; mais voici le caractère décisif. Par sui
contractée (myosis), il y a quelquefois des phénomènes qui révèlent l'
état
paralytique des vaso-moteurs: la joue est rouge;
11 n'y a pas à invoquer non plus soit l'influence du froid, soit un
état
diathésique, goutte, rhumatisme, etc., les affect
nd moteur des symptômes ? \J arthropathie des ataxiques serait, à l'
état
chronique, le représentant des affections articul
st représenté par de petites tumeurs fort analogues qui existent, à l'
état
normal, à la surface de la dure-mère crânienne et
est pas à l'abri de la critique, la moelle n'ayant été étudiée qu'à l'
état
frais, et non à la suite des durcissements qui se
est en quelque sorte un résultat prévu, annoncé. Eh bien, dans quel
état
a été la moelle au niveau du point comprimé chez
oelle au niveau du point comprimé chez ces sujets, ou mieux dans quel
état
est-elle encore ? Je crois pouvoir vous donner à
s filets nerveux en assez grand nombre et qui peuvent devenir, dans l'
état
pathologique, le siège de douleurs vives. Puis vi
est-il que, d'après Haller et Longet, la dure-mère est insensible à l'
état
normal ; mais, par contre, il est certain, d'aprè
al ; mais, par contre, il est certain, d'après Flou-rens, que, dans l'
état
pathologique, c'est-à-dire lorsqu'elle est enflam
à ce que les muscles qui jouent le rôle de sphincters restent dans un
état
de spasme permanent. La volonté ne modi-fie pas a
rajet et ils offrent ceci de particulier, qu'ils sont modifiés dans l'
état
normal par une influence réflexe, qui leur est co
er le pouls lent. — Accidents liés au pouls lent permanent : Syncope,
état
apoplectiforme, accès convulsifs. — Dans certains
nt exister, durant plusieurs semaines, ou plus long-temps encore, à l'
état
d'isolement, c'est-à-dire indépendants de toute p
ils participent à la fois, quant aux symptômes, de la syncope et de l'
état
apoplectique ; il est enfin des cas, dans lesquel
Il s'arrête même momentané-ment, quelquefois complètement. Toujours l'
état
syncopal ouvre la scène ; l'état apoplectique ave
quelquefois complètement. Toujours l'état syncopal ouvre la scène ; l'
état
apoplectique avec sommeil stertoreux survient ens
mps qu'ils devenaient plus longs. Le plus souvent, dans ces crises, l'
état
syncopal faisait place bientôt aux phénomènes apo
ière. Je me vois forcé, à mon regret, de laisser quant à présent, à l'
état
de projet, ce travail d'appli-cation. TROISIÈME
e qui atteint du premier coup son summum d'intensité, à la suite d'un
état
fé-brile plus ou moins intense ou en l'absence de
sur le bras d'un valet de chambre. Le troisième jour se déclara un
état
fébrile, assez violent dès l'abord, et qui, bient
Cette période fébrile se termina au bout de cinq ou six jours, et l'
état
général redevint rapidement tout à fait normal. C
nt. Au bout de ce temps, il se produisit un certain amendement dans l'
état
des membres supérieurs et le malade commença en o
abdomen et du cou surtout, contrastent par leur relief qui rappelle l'
état
normal. Des deux côtés, mais principale-ment à ga
er. L'appétit toutefois était de-venu nul, la langue était chargée. L'
état
fébrile a persisté les 28 et 29, sans se montrer,
ement le tronc successivement vers un côté, puis vers l'autre côté. L'
état
général est toujours resté excellent. Nous revo
Cellules nerveuses des cornes antérieures de la moelle épinière. — A,
état
normal. — B, état hypertro-phique. — C, altératio
des cornes antérieures de la moelle épinière. — A, état normal. — B,
état
hypertro-phique. — C, altération pigmentaire. — D
emps trouble et. opalescent. Les prolongements sont plus épais qu'à l'
état
normal et comme contournés. J'ai comparé cette al
érité fort plausible, et il importe de remarquer en particulier que l'
état
des nerfs périphériques, dans les premières semai
du bras et de l'épaule seront intacts et présenteront le volume de l'
état
normal de manière à former un contraste frappant
t les membres supérieurs étaient, de même que le tho-rax, réduits à l'
état
squelettique, tandis que les membres inférieurs,
, en nom-bre variable, se rencontrent sur les préparations faites à l'
état
frais. Lorsque ces altérations de la névroglie so
2 Malheureusement, dans les cas de M. L. Glarke et de M. Duménil, l'
état
de la substance blanche spinale n'est pas indiqué
État de la moelle épinière à l'autopsie. — Renflement cervical : à l'
état
frais, des corps granuleux existent en abondance
ent indispensable — et l'on ne mentionne pas d'une manière spéciale l'
état
des cellules des cornés antérieures. Nous croyons
erveuses mêmes n'avait pas encore été mis en lumière, et nulle part l'
état
anatomique de ces cellules ne ?e trouve explicite
e sorte géomé-triquement dans une région des faisceaux blancs qui à l'
état
normal, du moins chez l'adulte, ne se sépare par
in-tées par l'acide osmique. Enfin, ces mêmes parties renferment, à l'
état
normal, une certaine proportion de cellules charg
poglosse. — A, B, (à droite de la ligne fictive R,'R') représentent l'
état
normal. — A, noyau de l'hypoglosse composé d'une
paume de la main excavée, l'avant-bras et le bras réduits presque à l'
état
de squelette. Généralement alors, la rigidité spa
ie un relief et une consistance qui contrastent singulièrement avec l'
état
des membres supé-rieurs. Cette paraplégie offre
ance motrice tient moins à l'af-faiblissement de l'innervation qu'à l'
état
spasmodique des muscles; dans ceux-ci, d'ailleurs
ment, ajoutais-je, par la voie des tubes nerveux qui établissent, à l'
état
physiologique, entre les deux régions, une commun
titre de complication de la pachyméningite cer-vicale hypertrophique,
état
morbide, qui, depuis plusieurs années, a fixé mon
. À la vérité, dans ce cas, la moelle épinière ayant été examinée à l'
état
frais, ou après un durcissement imparfait, des lé
le côté clinique, aux travaux que je viens de citer. Relativement à l'
état
de la moelle épinière, nos observations ont porté
ns,trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et postérieurs dans un
état
d'intégrité par-faite ; la substance grise, dont
rfs m'ont paru offrir, dans toutes leurs parties, les apparences de l'
état
normal. Nous avons même rencontré, dans l'épais-s
lles du tissu con-jonctif— dépendant duperymisium internum — qui, à l'
état
normal, séparent à peine les faisceaux musculaire
ère qui intéressent directement la nutrition des muscles. Tel est l'
état
des choses, quant à présent ; je ne sais si je me
rs à l'appareil moteur. Il se caractérise surtout, en somme, dans son
état
de complet développement, par une contracture per
haque jour à dégager successivement. Si, en effet, entre les divers
états
pathologiques que je viens d'énumérer, les analog
le premier et pendant quelque temps le seul symptôme consiste dans un
état
parétique, portant égale-ment sur les deux membre
icalement différente dans les deux cas. Chez l'ataxique, réduit à cet
état
, c'est encore le pouvoir de coordonner les mouvem
r atteint un certain degré, elle reste, pendant plusieurs années, à l'
état
stationnaire. Souvent limitée pendant toute la
evés plus haut, et qui apparaissent successivement. D'abord, c'est un
état
parétique des mains qui se montrent inhabiles à s
dorsal spasmodique. Cela étant posé, je laisserai de côté certains
états
morbides, comme les contractures hystériques par
ble superficiel, se tra-duisant d'ailleurs, dans les deux cas, par un
état
paralytique ou parétique des membres inférieurs.
ée de tomber. C'est que, en effet, elle se trouve sous le coup d'un
état
ver-tigineux, pour ainsi dire perpétuel, et que l
u'elle vient d'éprouver son accès. C'est qu'en réalité, en outre de l'
état
vertigineux habituel, que j'essayais de peindre à
es et aussi parfois des vomissements terminent la crise, après quoi l'
état
vertigineux redescend à son taux pour ainsi dire
assique. Il n'y a guère plus de six années, eh effet, que chez G. l'
état
vertigineux s'est établi d'une façon permanente,
se à la Salpêtrière, où elle est depuis six ans sous nos yeux, dans l'
état
lamentable où vous la voyez aujour-d'hui. Il ex
crois pouvoir avancer que, malgré ces tra-vaux, la connaissance de l'
état
pathologique dont il s'agit n'est pas encore entr
ent à se rapprocher, à se confondre, de manière à constituer enfin un
état
vertigineux, pour ainsi dire permanent, au milieu
les cas graves, lorsque, par exemple, les malades en sont réduits à l'
état
lamentable où vous avez vu la nommée Gir... ; c'e
fin, sur-tout, de vous mettre à même de bien reconnaître quel était l'
état
des choses au moment où la thérapeutique est inte
se rapportent ces dénominations ne répond pas exclusivement à un seul
état
morbide, il peut se montrer com-mun à des affecti
is plusieurs années, littéralement confinée au lit, sous le coup d'un
état
vertigineux pour ainsi dire permanent 1 1874, n
rter sur une civière dans la salle des Conférences. En outre de cet
état
vertigineux, en quelque sorte habituel, et qu'acc
t symptomatique fondamental, dans la maladie de Ménière, tandis que l'
état
vertigineux habituel peut être, en quelque sorte,
r une sensi-bilité excessive de la plante des pieds, plutôt que par l'
état
vertigineux. J'exigeai que l'expérience fût répét
es. Je fus appelé, en juin 1875, pour donner mon avis concer-nant l'
état
d'une dame, âgée d'une trentaine d'années, qui, d
dernières années, ont suivi mes leçons, reconnaîtront facilement cet
état
morbide dont je leur ai déjà montré, à diverses r
Salpêtrière. Nous avons à considérer, dans sa condition actuelle, l'
état
du côté droit du corps, d'abord au point de vue d
constituent une agitation permanente qui fait que, en définitive, cet
état
en ce qui concerne du moins le caractère des trou
côté de l'hémichorée post-hémiplégique, il y a lieu de mentionner un
état
pathologique pour ainsi dire inverse, c'est-à-dir
tous les points semblables à la première, de manière à constituer un
état
de mal dont la durée a été de trois heures enviro
l'emploi des moyens vulgaires. Un certain degré d'amaigrissement, un
état
cachectique assez prononcé, qu'au-cune affection
dans tous les symptômes permanents, céphalalgie, parésie, dyspepsie,
état
cachectique, était tel déjà qu'il avait pu repren
n'hésitai pas, vous l'avez prévu, à rattacher à la syphilis 1 Sur l'
état
cachectique et la pâleur terreuse que présentent
ai eu le plaisir de rencon-trer à... M. B... et de le trouver dans un
état
de santé irré-prochable. Le traitement prescrit à
stants. A la suite de cet accident il fut décidé, qu'en raison de l'
état
depuis plusieurs années fort délabré de sa santé,
fut convenu que l'on agirait aussi éner-giquement que le permettait l'
état
général du malade 2. On prescrivit la diète lacté
(J.-M. G.) 2 Les bons effets des préparations mercurielles contre l'
état
cachectique qui relève de la syphilis tertiaire o
; la contracture permanente avait disparu comme par enchante-ment, l'
état
général enfin s'était notablement amélioré. Huit
Mais enfin, pendant un séjour de plusieurs mois à Amélie-les-Bains, l'
état
de l'intestin s'étant modifié de la façon japlus
extension comme leur flexion se font complètement ; toutefois, dans l'
état
habituel, les doigts sont placés dans une positio
fs surtout à divers troubles de la sensibilité et du mouvement et à l'
état
gé-néral. Appareil de la digestion. — La langue
espiration. — Pouls petit, régulier, moyenne-ment fréquent ; cœur à l'
état
normal. — L'auscultation et la per-cussion ne don
opathies des ataxiques. A droite et à gauche, le rebord si accusé à l'
état
normal des cavités cotyloïdes est en grande parti
I. p. 330. fluence de causes banales, ou relevant au contraire d'un
état
diathésique, la goutte, le rhumatisme. Il n'en es
bouts séparés de la moelle épinière. L'examen microscopique, fait à l'
état
frais, de deux segments de la moelle, au voisinag
ntraire les myélocites paraissent sensiblement plus volumineux qu'à l'
état
normal. Beaucoup d'entre eux sont enveloppés d'un
reconnaître des altérations qui avaient échappé lors de l'examen à l'
état
frais. On trouve sur les coupes transversales, di
nt manifestement plus volumineuses et plus nettement dessinées qu'à l'
état
normal ; quelques-unes renferment deux gros noyau
es régions où les tubes nerveux ont conservé tous les caractères de l'
état
normal. Les coupes longitudinales permettent de c
avoir subi aucune alté-ration appréciable. Examen microscopique à l'
état
frais. — On trouve dans les points ramollis, des
ré d'infiltration graisseuse ; les noyaux sont plus nombreux qu'à l'
état
normal. On trouve sur quelques préparations des c
omplètes, ?.?. 27 tres O, 035mm-, d'autres O, 025 mm-, seulement, l'
état
normal étant représenté par le chiffre 0, 025 mm-
indres d'axe dépouillés de myéline et beaucoup plus volumineux qu'à l'
état
normal; 3° de nombreux myélocites, les uns libres
aissies ; le plus souvent elles ne sont pas plus épais-ses que dans l'
état
normal. Mais ce qui frappe surtout, dans cet ex
les cellules tuméfiées ne sont pas seulement plus vofumineuses qu'à l'
état
normal: elles sont, de plus, manifestement déform
nsi que le nucléole, ont toujours paru présen-ter les caractères de l'
état
physiologique. J'ai été assez heureux pour rendre
iculièrement, c'est que, dans ce même cas, un premier examen fait à l'
état
frais avait permis de reconnaître la tuméfaction
u-loureuse tout le long de la colonne vertébrale. De 1872 à 1875, l'
état
de la malade demeura sensiblement le même. A plus
espiration devient de plus en plus embarrassée. Cependant, malgré cet
état
de faiblesse extrême, la malade continue à marche
nchement blanche des racines postérieures qui pa-raissent saines. Cet
état
des racines antérieures se rencontre seu-lement a
s a seul conservé un volume et une coloration qui se rapprochent de l'
état
normal ; tous les autres muscles de cette région
ux à la région cervicale et à la région lombaire ne conte-naient, à l'
état
frais, aucun corps granuleux. —Quelques fragments
des cellules nerveuses et de la plupart des tubes à myéline qui, à l'
état
normal traversent dans tous les sens l'aire de la
tance grise prend parle carmin une teinte beaucoup plus foncée qu'à l'
état
normal. Malgré la dispa-rition des éléments nerve
substance grise a repris à peu près complètement les caractères de l'
état
normal. Les cel-lules nerveuses y sont nombreuses
ois épaissies, beaucoup moins toutefois qu'à la région cervicale. Cet
état
des vaisseaux se retrouve de l'étendue des cornes
ntérieures, la pie-mère est épaissie et manifes-tement enflammée. Cet
état
inflammatoire de la pie-mère se re-trouve, bien q
che corticale et la zone radiculaire antérieure se retrouvent dans un
état
d'intégrité absolue. Bulbe rachidien. — Coupe p
ovoïdes, et accolées les unes aux autres par l'endonèvre épaissi. Cet
état
est exactement le même pour les racines antérieur
es. — Elle a été réglée régulièrement depuis l'âge de onze ans. Son
état
de santé ne présente ensuite rien de particulier
lorsque le 5 février 1869, à la visite du soir, on la trouve dans un
état
assez grave d'asphyxie qui s'était déclaré presqu
e, les racines antérieures ont repris le volume et la coloration de l'
état
normal. Le facial et l'hypoglosse présentent, e
ésentaient une modification dans leur teinte. La moelle, examinée à l'
état
frais, ne nous a mon-tré aucune altération appréc
ésultat à l'examen microscopique. Les préparations ont été faites à l'
état
frais. Nous prendrons pour type de notre descri
fibres offrent même un diamètre 4 et jusqu'à 5 fois plus petit qu'à l'
état
normal. Et une particularité importante à signale
. — Le tissu conjonctif' interfibrillaire parait plus abondant qu'à l'
état
normal; on y observe une proportion exagérée de n
e l'aspect fendillé. 2° a) Bacines spinales antérieures. Examen à l'
état
, frais. Le nombre des tubes nerveux qui, dans ces
tubes nerveux qui, dans ces racines, ont conservé les caractères de l'
état
normal, est plus grand qu'on aurait pu le suppose
nerveux. c) Nerfs crâniens. Le facial et l'hypoglosse, examinés à l'
état
frais, en divers points de leur trajet, ont prése
, n'a fourni aucun résultat décisif. e) Moelle épinière. Examen à l'
état
frais de la partie ramollie. On sait qu'immédiate
nt après l'autopsie ; les tubes nerveux offraient les caractères de l'
état
normal ; on ne rencontrait dans les intervalles q
servé, à peu près, les dimen-sions et tous les autres caractères de l'
état
sain. Parmi les cellules atrophiées, les unes bie
les atrophiées, les unes bien que 6 ou 7 fois plus petites que dans l'
état
normal, ont cependant conservé leur forme étoilée
ué que les noyaux de la névroglie y fussent plus abondants que dans l'
état
normal ; il n'en était pas de même aux commissure
de la substance grise nous ont paru offrir toutes les conditions de l'
état
sain. Région dorsale. L'examen n'a pu porter qu
n nombre normal ; elles offrent pour la plupart, les di-mensions de l'
état
sain. Quelques-unes seulement présentent des lési
re envi-ron au-dessus du bec du calamus scriptorius et réprésentant l'
état
normal, on pouvait compter' dans le noyau de l'hy
us délicats (pro-bablement des prolongements de cellules) qui, dans l'
état
normal, se croisent et s'entre-croisent en mill
erne et de l'auditif nous ont paru présenter tous les caractères de l'
état
normal. Observation IL Sclérose symétrique de
la salive. Il semble que tous les muscles de la face soient dans un
état
de contracture permanente, qui s'exagère encore l
on s'effectue d'une manière un peu plus com-plète, mais elle amène un
état
d'anxiété extrême ; quel que soit le mode d'intro
sont très grêles, mais leur coloration se rapproche sensiblement de l'
état
normal. Le masséter, rouge à sa surface, est jaun
base sont saines. Le bulbe rachidien offre tous les ca-ractères de l'
état
normal. — Le tissu de la moelle est partout d'une
onné un résultat presque négatif. Du moins jamais n'a-t-on trouvé cet
état
granuleux de la fibre musculaire, vu cette prolif
s fibres avaient perdu leur striation transversale et présentaient un
état
granu-leux très prononcé du contenu de la gaine.
, et tous présentaient des caractères histologiques bien voisins de l'
état
normal. C'est à peine si on pouvait y distin-guer
longements pâles et amincis, qu'il est impossible de suivre comme à l'
état
normal, à une certaine distance de leur lieu d'or
des cylindres d'axe. Ceux-ci sont pour la plupart plus minces qu'à l'
état
normal ; dans quelques endroits, au contraire, il
à la région lombaire, plus de la moitié a consérveles caractères de l'
état
normal. La colonne vésiculaire de Clarke n'a pas
premier temps de la dé-glutition s'est-il effectué qu'il survient un
état
d'anxiété extrême : durant plus de cinq minutes,
sa faim. Elle est très mai-gre et déjà très affaiblie. En examinant l'
état
du système muscu-laire dans les diverses parties
clavicules s'élèvent. Il y a donc inertie du diaphragme. 29. — Même
état
que la veille. Le pouls est d'une rapidité ex-trê
s muscles ont, du côté droit comme du côté gauche, l'apparence de l'
état
normal. Le diaphragme ne présente pas d'altératio
ce qui est de la coloration et de la consistance, les caractères de l'
état
sain. y. Etat des centres nerveux et des nerfs
en particulier et la pro-tubérance offrent toutes les apparences de l'
état
normal. On n'y .peut reconnaître aucune trace d'a
e ces racines, ils paraissent être un peu moins volumineux que dans l'
état
normal, mais ils n'ont subi aucun changemement de
eaux, présente à peu près partout des noyaux plus nombreux que dans l'
état
normal. Il est remarquable que la prolifération
de la pointe. Bien qu'ils aient conservé leur coloration rouge de l'
état
nor-mal, les muscles extrinsèques de la langue pr
es supérieurs. p. Nerfs crâniens. — Sur toutes les préparations à l'
état
frais provenant des filets radiculaires très grêl
t pneumogastrique, ne présentaient pas d'autre altération que ce même
état
granu-leux de quelques tubes nerveux. Cette altér
nique et le grand sympathique cervical ont offert les caractères de l'
état
normal. y. Examen des centres nerveux, préparat
-unes de ces cellules nerveuses ont conservé tous les caractères de l'
état
normal ; elles sont en petit nombre puisqu'elles
incts : la petite quantité de pigment qu'elles renferment souvent à l'
état
normal ne s'est pas accrue. Les cellules qui of
vahies par le pigment se colorent, au contraire, à peu près comme à l'
état
normal. Le noyau et le nucléole sont encore plus
t intacte ; peut-être les vaisseaux y sont-ils plus volumineux qu'à l'
état
normal ; ils paraissent en tous cas gorgés de glo
spinal. Celles-ci, pour la plupart, ont conservé les caractères de l'
état
sain. Un bon nombre d'entre elles, pourtant, ont
taire, principalement vers la région externe du noyau. On sait qu'à l'
état
normal il existe, en ce point, quelques cellules
'offre pas d'autre altéra-tion qu'une transparence plus grande qu'à l'
état
normal et ré-sultant, vraisemblablement, de la di
ensions, sa surface lisse, et, en un mot, toutes les appa-rences de l'
état
normal, bien que ses muscles propres contins-sent
t organe des lésions évidemment insuffisantes pour rendre compte d'un
état
paralytique aussi prononcé. D'où faut-il faire dé
s de physiologie normale et pathologique, 1870, p. 247). Note sur l'
état
anatomique des muscles et de la moelle épinière d
s du tissu conjonctif (dépendances du perimysiitm internum), qui, à l'
état
normal, séparent à peine les faisceaux musculaire
nservé à peu près toutes les dimensions et les autres caractères de l'
état
normal ; mais un examen moins superficiel fait bi
manifeste, beaucoup sont re-marquables par leur extrême gracilité1. L'
état
hyalin avec dégénérescence granulo-graisseuse, la
. À la vérité, dans ce cas, la moelle épinière ayant été examinée à l'
état
frais ou après durcissement imparfait, des lésion
s trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et postérieurs clans un
état
d'intégrité parfaite ; la substance grise dont no
rfs m'ont paru offrir, dans toutes leurs parties, les apparences de l'
état
normal. Nous avons même rencontré, dans l'épaisse
xiles. En somme, nous croyons qu'avant de rien décider à l'égard de l'
état
anatomique des nerfs périphériques dans la paraly
ces mouve-ments, les considère en quelque sorte comme constituant un
état
morbide particulier, autonome, M. Charcot estime
optique à l'œil nu et au microscope. — As-pect de la papille : 1° à l'
état
normal; 2° dans l'induration grise progres-sive.
pliquer le pouls lent. — Accidents liés au pouls permanent : syncope,
état
apoplectifornae, accès convulsifs. — Dans certain
............................................... 462 Vil. Note sur l'
état
anatomique des muscles et de la moelle épinière d
bilité du sujet, le résultat se fera attendre, la cure d’un semblable
état
ne pouvant être prompte, instantanée comme cela s
ontaires forcés, il faut toujours qu’un sentiment nous avertisse de l’
état
de nos membres ; mais le sentiment dans la peau (
une longue pratique a acquis un coup d’œil pénétrant, est parfois en
état
d’annoncer les progrès et l’issue d’une maladie e
nt assisté à des expériences de somnambulisme, savent combien, dans l’
état
somnambu-lique, les facultés intellectuelles acqu
se fait des appareils. Quelques extatiques entrent d’eux-mêmes dans l’
état
de crise où se produit leur lucidité, soit sponta
ncentration qui exige un effort de volonté. D’autres n’arrivent à cet
état
que sous l’in-lluence des causes extérieures, et
nts. Le choix et la disposition de certains locaux pouvaient amener l’
état
de lucidité : les malades qui couchaient dans les
se fait des appareils. Quelques extatiques entrent d’eux-mêmes dans l’
état
de crise où se produit leur lucidité, soit sponta
ncentration qui exige un elfort de volonté. D’autres n’arrivent à cet
état
que sous l’in-lluence des causes extérieures, et
nts. Le choix et la disposition de certains locaux pouvaient amener l’
état
de lucidité : les malades qui couchaient dans les
rait d’une maladie que l’on ne pouvait combattre et la tenait dans un
état
de marasme continuel. « D’après mon récit, elle
le qui, lui prenant la main, lui dit tout d’abord : « Madame, votre
état
n’a pas changé ! « — Comment ! mon état n’a pas
d’abord : « Madame, votre état n’a pas changé ! « — Comment ! mon
état
n’a pas changé ! Mais j’arrive de «Versailles, et
ci, et pour votre mari, M. le comman-i dant; je vous répète que votre
état
n’a pas changé de-« puis le jour où j’ai consulté
heures après, j’étais en présence de la somnambule ; mise aussitôt en
état
de somnambulisme par son mari, à qui je remis une
quinze ans !... » Et elle nous en fit un portrait exact, indiqua l’
état
de sa santé et donna un traitement à suivre. To
s dire que ces dames seraient encore là pour une heure. « Dans quel
état
trouvez-vous la mère? « — Elle est bien satisfa
s court que l’autre. Que vous ai-je dit en vous voyant dans ce piteux
état
. Je vous ai dit : «Dans sept jours vous marcher
triques, et il eut le bonheur de découvrir l’électricité négative à l’
état
de tension dans la peau de l’homme sain , en quan
eau de l’homme vivant contient toujours de l’électricité négative à l’
état
de tension, et en quantité d’autant plus grande q
que calmer l’attaque sans la provoquer, ou met le malade dans le même
état
d’angoisses que quand on a arrêté Yaura avec une
flué au cœur et au cerveau, suivant ce qu’elle vit plus tard dans son
état
lucide. Son mari chercha vainement à la réchauffe
e son mari, elle serait morte. Elle demanda qu’on la laissât dans cet
état
jusqu’au lendemain matin. Le lendemain, il ne l
ommandé, pendant son somnambulisme, qu’on ne lui parlât pas, dans son
état
de veille, de ce qu’elle avait éprouvé, de peur q
enté son épuisement, et il avait peine ii concevoir comment, dans son
état
de faiblesse extrême, il avait pu communiquer à s
a plus terrible : trois attaques d’éclampsie s’étaient ajoutées à cet
état
déjà si grave, et on sait combien cette complicat
ecins les plus renommés sont appelés pour faire cesser cet inquiétant
état
. On saigne cette femme, on lui fait prendre du ca
n homme affecté d’une maladie nerveuse ; il est fou ou comme fou. Son
état
est difficile à peindre. Il veut parler, il ne le
ue vision par le creux de l’estomac ou par le bout des doigts, dans l’
état
qu’on appelle magnétisme animal. Quand bien même
on qui puisse se déplacer, un individu plongé dans ce qu’on appelle l’
état
magnétique ne saurait, dans aucun cas, distinguer
ne définition les comprenant tous, et nous préférons caractériser cet
état
eu disant qu’on peut le considérer comme un rêve
re exclusif est, en effet, un des traits les plus remarquables de cet
état
. Tant que l’attention demeure attachée sur" un ob
nnaît dès que ces enseignements lui sont remis devant l’esprit. « L’
état
de somnambulisme peut se transformer en celui de
; un binait fort l’aurait éveillée, mais il n’était pas perçu dans l’
état
de sommeil parlant ; et, si l’interlocuteur lui a
c’est un des traits les plus caractéristiques de ne conserver, dans l’
état
de veille, aucun souvenir des pensées ni des ac
s-même servira à éclairer plusieurs des traits les plus spéciaux de l’
état
dont il s’agit. Le sujet était une jeune dame d’u
te circonstance, la patiente avait coutume de passer directement de l’
état
de veille à l’état de somnambulisme ; la transiti
patiente avait coutume de passer directement de l’état de veille à l’
état
de somnambulisme ; la transition était immédiatem
de sa donnée. Une autre fois, il arriva que, quand elle tomba en cet
état
, sa sœur, qui était présente, se trouva porter un
y a quelques € minutes, et personne ne peut l’avoir pris. » Dans cet
état
, sa colère contre S... revint. La patiente éprouv
à chacune, le ressentiment contre S... reparaissait. De la sorte, son
état
était très-voisin de la double conscience, très-c
st la facilité avec laquelle les pensées peuvent être dirigées dans l’
état
de somnambulisme, par le principe de suggestion.
r l’accomplissement d’une action volontaire quelconque, et aussitôt l’
état
mental correspondant sera éveillé. Ainsi, la main
té fait et pouvait se retracer l'action insurmontable exercée sur son
état
mental par ce traitement de son appareil musculai
t l’idée de boxer qui surgit. Le pouvoir de l’opération pour régler l’
état
mental de tels somnambules est presque illimité e
ces muscles mêmes, soit par une suggestion indirecte en provoquant l’
état
mental le plus propre à susciter dans ces muscles
s de cette condition mentale qui, nous l’avons vu, caractérise un tel
état
, à savoir la possession de l’esprit par une idée
lisme, on ne peut en rien dire de précis. Chez quelques personnes cet
état
revient fréquemment ou même habituellement ; chez
somnambulisme. Le cas suivant est un autre exemple de l’effet de cet
état
d’attente, concurremment avec l’immobilité de l’a
d’action sur les yeux et les paupières, et qu’il mette le patient en
état
d’avoir le regard fixé dessus. On fera entendre a
Par le seul repos, les sens rentreront promptement dans leur premier
état
. Nous avons souvent été témoin nous-même de la pr
erme, déclarant qu’il est impossible d'y résister. Toutefois, quand l'
état
hypnotique a été ainsi provoqué un certain nombre
ue delà cinquième paire, semble avoir une relation plus intime avec l’
état
subséquent que n’en a la condition du sens de la
la mystification des exorcistes de Lou-dun par le comte de Lude. L’
état
dans lequel entrent les médiums n’est, croyons-no
un philosophe, un politique, etc., bien qu’il soit très-ignorant à l’
état
normal? Sont-ce des esprits qui interviennent dan
bsolument perdue, et qu’elle se manifeste naturellement dans certains
états
transitoires où l’âme peut se trouver. » Il est
s, et qui le considère simplement comme un mode de l’âme humaine , un
état
sui gcneris que l’ancienne et moderne philosophie
s ; « il paraît même savoir des choses qu’il ne savait pas dans « l’
état
ordinaire, mais qu’il oublie à l’instant du révei
es, leurs prophéties, et, sans qu’ils lui donnent un nom spécial, cet
état
tout particulier du somnambulisme où l’âme se dég
roi, sans accidents ; rien, en un mot, ne paraissant changé dans leur
état
ordinaire. L’une de ces personnes a parfaitement
nfarcher. 11 était venu en voiture et fut très-étonné de se sentir en
état
de pouvoir, après la séance, s’en retourner à pie
même de nous instruire sur les phénomènes qui se produisent dans cet
état
singulier. Il se sert des faits dans lesquels il
bien que l’Eglise n’enseigne rien de semblable. Bien plus; étant k l’
état
de médium et écrivant en vertu d’une force qui lu
oit accidentellement la faculté de la mémoire. M. Almignana, étant en
état
de médium, prie la force occulte d’écrire quelque
on de la molaire. Mon opération terminée, la patiente était encore en
état
de somnambulisme, elle s’opposait à ce que je lui
ir recours à la clairvoyance, alors que le malade est lui-même hors d’
état
d’exprimer ses souffrances, d’en indiquer le sièg
’irriter le système nerveux de leurs malades, et les jetaient dans un
état
pire que celui dont ils avaient prétendu les tire
tes les conditions d’une véritable décomposition..... Tel était son
état
quand j’arrivai auprès d’elle le 5 décembre 1841,
Le médecin appelé n’avait plus su qu’ordonner pour la tirer de cet
état
de prostration complète. 11 est bon de vous dir
de préciser de la manière la plus claire possible. Le sujet, à son
état
normal, est placé dans la chambre où je me trouve
irement insensibles; mais alors, comment M. Jacques qualifiera-t-il l’
état
do ceux qui ne le sont pas et qui cependant, hors
des sens ordinaires qui fonctionnent pour l’existence de l’homme à l’
état
de veille ne sert à l’homme enlevé par le magnéti
icable à aucun des actes qu’il accomplit dans ce nouvel et mystérieux
état
. Transporté dans cette vie merveilleuse, le somna
me prièrent d’essayer de sauver leur fille. J’y consentis malgré son
état
déplorable, et j’eus le bonheur d’obtenir un plei
universelle, dans laquelle tout est dévoilé pour le voyant. Dans son
état
magnétique, il y a une absence complète de toute
grand que l’homme ait à sa disposi-sition, est peut-être lui-même à l’
état
de fluide. » Et pourquoi n’en serait-il pas ain
Le somnambulisme naturel et le somnambulisme symptomatique sont deux
états
essentiellement différents, en ce que l’un n’a li
substitué. « On voit que le magnétisme et le somnambulisme, dans l’
état
où ils se trouvent, sont deux choses très-distinc
visible, incorporelle, mais non immatérielle. Y!âme humaine, dans l’
état
d’extase soit naturelle, soit causée par l’additi
ici au somnambulisme n’est autre chose que l’extase proprement dite,
état
bien distinct du précédent, en ce qu’il peut être
a nécessité d’une bonne classification des différentes catégories des
états
si variés où peut se trouver l’homme par suite de
ité de la maladie, et qui est une proposition passée généralement à l’
état
d’axiôme depuis Mesmer, et adoptée comme telle pa
, la peau moite; enfin, sauf une anesthésie complète (le lu peau et l’
état
des yeux qui sont convulsés vers le haut, ce somm
complète; je la magnétise, et, pour la première fois, elle présente l’
état
cataleptique. Sur ma demande, elle ouvre les ye
la respiration entrecoupée des hystériques. Nous la laissons dans cet
état
pendant six minutes environ pour observer l’accès
vertiges, le sang me travaille. — Quel rapport y a-t-il entre votre
état
actuel et les accès convulsifs que vous avez eu p
ppression et une toux nerveuse. Le matin, je trouve la malade dans un
état
qui avoisine le coma. Les réponses sont courtes,
rtes, lentes, mais justes. Après chaque réponse, elle retombe dans un
état
semi-comateux. Le pouls est large, à 105 ; ronchu
ntolérables. La malade se couche sur son lit et tombe bientôt dans un
état
comateux. A deux heures, elle rentre chez ses p
coliques. Le matin, soif, pouls large et fort à 115 ; du reste, môme
état
. Pendant la journée, la malade se plaint de courb
nné et sensible à la pression, quelques coliques, soif, du reste même
état
qu’hier. Je prescris ¿0' centigrammes de calomel,
nétise la malade. Elle me dit qu’elle ne voit pas clair à. cause de l’
état
du cerveau, que le magnétisme calme la céphalalgi
et sur le cou, des cataplasmes sédatifs sur le ventre. Le 25, même
état
, pouls petit, à 65. Le 26, M. le I)r Gros m’acc
ce est intacte. A deux heures de l’après-midi, je la trouve dans un
état
adynamique complet, presque en syncope. Le pouls
puis la plus haute antiquité, cultivée longtemps dans les temples à l’
état
de science secrète, pratiquée dans l’Inde par les
logie actuelle? Une science indéterminée et vague, où l'âme reste à l’
état
de problème; science qui vous laisse le doute au
pouvait conserver, après les faits de la cause, quelque doute sur son
état
et ses facultés, il y aurait lieu à ouvrir une en
que Mongruel endort sa femme ou feint de l’endormir, et que, dans cet
état
de somnambulisme vrai ou supposé, celle-ci fourni
’une lésion des propriétés vitales qui tiennent les parties dans leur
état
normal, sous le rapport matériel ?» Les faits j
e pris bien des fois, pendant plus de six mois que dura ce déplorable
état
, à invoquer la mort comme unique soulagement à me
i j’avais suivi ce traitement héroïque. Les choses étaient dans cet
état
, lorsqu’un dimanche, jour heureux s’il en fut jam
de même que Maria, qui se montra fort effrayée en me voyant dans cet
état
déplorable. Je l’endormis sur le champ, et elle
la plus grande exactitude le traitement qu’elle m’avait prescrit, mon
état
se trouvait en effet beaucoup plus grave encore q
forces vitales, et si nous n’avons pu parvenir à les rétablir dans un
état
parfait, cela tient plutôt à, cette cause qu’à l’
itôt qu'on les magnétise, et le somnambulisme suit de près ce premier
état
; une entre toutes présente une lucidité remarquab
de la voir se briser entre nos mains. — Pour si épouvantable que cet
état
paraisse, il n’y a point à s’en alarmer, il n’est
Les malades qui ne peuvent se rendre au dispensaire, à cause de leur
état
de souffrance , sont visités à domicile. Le mag
e rapidité incroyable, il lui était impossible de les ralentir. Cet
état
ne dura pas longtemps; le bras fatigué d’un exerc
tiseurs, je dus en chercher la théorie positive, afin de renoncer à l’
état
purement négatif dans lequel m’avaient naturellem
dans sa théorie, il a pu se figurer que le magnétisme était resté à l’
état
d’embryon où il lui a plu seulement de l’entrevoi
nger, que les magnétiseurs aient placé au nombre de leurs miracles un
état
qui ne fût pas la santé ou la madie ? » Quant à
que c’est l’imagination seule qui fait exclusivement les frais de cet
état
anormal, nenous semble pas logique. Qu’elle en so
es même effets produits par des causes bien différentes cependant ? L’
état
d’ivresse produit par l’inhalation de l’éther vou
des phénomènes parfaitement semblables à ceux obtenus sur l’homme à l’
état
de veille et jouissant de toutes ses facultés int
collées l’ime contre l’autre. Les bras et les jambes étaient dans un
état
de résolution complète; les muscles du col ne sou
concourent à la déglutition qui fussent disposés à fonctionner. Cet
état
, déterminé par le magnétisme que l’enfant avait p
de; et tout porte à croire que si la dame en question avait, dans son
état
de saturation magnétique, donné à téter à un enfa
ue et d’en faire exclusivement à tout autre emploi de leur teins leur
état
et leur profession. Voici les Baisons qui motiven
lui sa croix pectorale ; mais, le guéridon ne s’arrêta pas. Dans cet
état
, une personne présente plaça sa main sur le guéri
Enfin, chez un petit nombre, les pratiques du magnétiseur amènent un
état
particulier d’extase variant suivant les individu
sans analogues dans la vie normale? Pouvez-vous enfin prouver que cet
état
ne peut pas être provoqué par les magnétiseurs?
ques reculées, et môme en observant actuellement les peuplades dont l’
état
social répond aux époques initiales du développem
nullement cette proposition, pas plus que la classification des trois
états
théoriques distincts par lesquels M. Segond veut
ent de la flamme qui consume les offrandes faites aux dieux, ou par l’
état
des entrailles des victimes. Dans son adolescence
tisé; car, nous l’avons fait observer, n’oublions pas que c est sur 1
état
d’extase ou de convulsions que portent toutes les
l veut en faire découler comme conséquence. Pour lui, tous les autres
états
intermédiaires n’existent pis. C’est tout simple,
omte, qui établit que nos moteurs affectifs sont des penchants dans l’
état
actif et des sentiments dans l’état passif, 11e p
fectifs sont des penchants dans l’état actif et des sentiments dans l’
état
passif, 11e prouve nullement que ces deux organes
t l’économie générale répond soit aux époques tliéologiques, soit à l’
état
métaphysique.... « Dans l’état de pleine maturi
aux époques tliéologiques, soit à l’état métaphysique.... « Dans l’
état
de pleine maturité, les plus saines intelligences
jugement, on peut, par des moyens purement artificiels, développer un
état
cérébral dans lequel le dedans prend le dessus su
; « L’aliénation mentale confirmée n’est que la persistance de cet
état
dans lequel nous faisons, sur les phénomènes obse
dans celui de ses argument , il invoque comme personnification de cet
état
pathologique un cas poétique. « Ce qui, dit-il,
n duquel on développe. riiez une personne convenablement préparée, un
état
subjectif plus ou moins prononcé et qui peut alle
nvenu et donné par un des médecins, et en trois minutes elle était en
état
de somnambulisme complet. M. Segond nous dira-t
pération chirurgicale au sein, sans douleur, i«r «ne jeune fille en
état
magnétique, par le D' Louïet. L’état d’anesth
leur, i«r «ne jeune fille en état magnétique, par le D' Louïet. L’
état
d’anesthésie complète dans lequel ce sujet est mi
sme, la mettre dans 1 insensibilité par cet agent, et profiter de l’
état
où on l’aurait mise pour faire prématurément l’ou
it mise pour faire prématurément l’ouverture de cet abcès. « Dans l'
état
de veille, la jeune personne s’était fortement op
’elle faisait craindre la mort prochaine de ce petit être. Dans cet
état
de chose, j’employai le magnétisme, autant dans l
’il échappe à l’analyse de nos sens, est un être idéal fictif, hors d’
état
, en aucun temps, eu aucune circonstance, de modif
ucun temps, eu aucune circonstance, de modifier, n’importe comment, l’
état
habituel de l’homme qui lui est soumis? S’il es
ange que nous ne puissions rien leur trouver d’analogue dans certains
états
de l’économie? dans le sommeil, par exemple, etsu
des notions fausses. Or, il résulterait de là que, chez l’individu en
état
d’extase telle qu’il la dépeint, la contemplation
et qui fait la base unique de son système, il explique facilement un
état
extatique de sa composition, inventé pour le beso
M. Segond peut-il de bonne foi appliquer les paroles de Thouret sur l’
état
du magnétisme de son temps au magnétisme tel qu’i
causes peuvent produire ce phénomène, qui tient le plus souvent à un
état
maladif et qui se manifeste aussi dans l'extase a
. Il y a de« personnes qui, sans aucune cause connue, arrivent à un
état
permanent d’allucinalion : certains bruits ou cer
e reste en développant des facultés qui étaient jusque-là restées à l’
état
latent. Sa vue à distance, sa prévision, sa lucid
e doutant encore moins qu’elle venait de passer si longtemps dans cet
état
de somnambulisme. L’expérience avait donc bien
près quinze jours de magnétisation, avait eu le bonheur de passer à l’
état
de somnambulisme et de pouvoir m’indiquer un trai
ante qui avait eu sa fille guérie de la même manière, connaissait cet
état
, et qu’elle ne fit rien pour chercher il m’en fai
meil à l’autre, et me suis levé plus tard qu’à l’ordinaire et dans un
état
de repos parfait... Mais cest égal, dit-elle enco
la charpente existaient avant Monge, et avaient de beaucoup dépassé l’
état
embryonnaire des brandies du magnétisme que la tr
enter le phénomène désigné par Mesmer sous le nom de crise, et dont l’
état
le plus avancé est l’extase , désignée aussi par
xtase , désignée aussi par certains mystiques sous le nom île transe,
état
parfait, état de grâce. Ce n’est pas ici le lieu
ait, état de grâce. Ce n’est pas ici le lieu d’examiner cette sorte d’
état
magnétique, sur lequel nous avons déjà adressé qu
me — à propos des tables tournantes. Disons seulement que c’est à cet
état
que se rapportent les désignations que l’on trouv
luminés,— Phamtù/ues (1), — etc. Il faudrait distinguer ensuite les
états
divers de crise intellectuelle, en examinant cell
nctions organiques les modifications nécessaires pour les ramener à l’
état
normal, les rendre capables de remplir le but auq
endra, dans chacun de ses genres, deux subdivisions correspondant à l’
état
physiologique et à l’état pathologique : — l’éduc
genres, deux subdivisions correspondant à l’état physiologique et à l’
état
pathologique : — l’éducation des organes et la gu
magnétisés. Je n’hésite donc point à attribuer l’amélioration dans l’
état
de la malade à l’exécution de cette ordonnance, q
tout ce qui y tenait, —je m’attendais à une légère amélioration de l’
état
du malade à la suite de la nouvelle qui devait lu
ement de la neuvaine, et à l’époque indiquée, le malade était dans un
état
pitoyable. Pendant les neuf jours de la neuvain
des visions plus ou moins lucides que les sujets auraient eues dans l'
état
de crise imparfaite. Il est probable qu’on s’oc
recteur, vient dire qu'elle est possédée ; si quand, elle revient à l’
état
normal après une crise nerveuse, chacun de ceux q
gens qui, sous quelque désignation ou quelque robe que ce soit, font
état
d’accuser, quoique,... — i)Q mettons pas de quoiq
gt;.is plus aujourd'hui, — !.• la part de celui qui, en vertu île sou
état
, m'accuserait d'avoir guéri sans diplôme, — la qu
ux premières lueurs du crépuscule du matin. Alors ils tombent dans un
état
d’anéantissement physique et moral que l’on compr
uccomberont infailliblement. La femme, surtout, se trouve dans un tel
état
de marasme, qu'on peut facilement préjuger sa fin
on gré mal gré, de leur partie. Le vulgaire attribue généralement l’
état
des deux époux à quelque sortilège que leur aurai
impressions et cherche à faire saisir les causes et les rapports de l’
état
singulier auquel il a été en proie. « Un voyage
contre les exigences de sa nature : une sorte de lutte s’engage. Cet
état
de repos et do veille qui se succède et qui est s
et qui est sa condition ordinaire de la vie, fait place chez lui à un
état
tout particulier qui n’est plus ni le repos ni l’
e chez lui à un état tout particulier qui n’est plus ni le repos ni l’
état
de veille : ses yeux sont ouverts; il entend; sa
la vue, atteignent surtout ceux qui sont à jeûu, les hommes voués à l’
état
monastique, les voyageurs soumis à l’influence du
précède le sommeil de l’homme et. en marque la fin. C’est pendant cet
état
de somnolence que des esprits timorés ou crédules
rit, ordinaire à ceux qui éprouvent ces hallucinations, fait passer l’
état
de maladie mentale des aberrations passagères che
e moment est celui où s’accomplit le passage de l’un à l’autre de ces
états
. « Le ragle présente le plus grand rapport avec
lui ; elles sont obsédées par son souvenir ; elles l’accusent de leur
état
maladif; elles voient en lui un sorcier redoutabl
s la balance de la vérité. Nous voyons, dans ce cas, en dehors de l’
état
de complète insensibilité dans laquelle la malade
e. Dès son premier essai, il obtint., au bout de quarante minutes, un
état
de coma-vigil, et d’insensibilité à la douleur. 1
elâchés. Elle ne retint pas son haleine, tout chez elle était dans un
état
de relâchement, de placidité et de repos complet,
assistants, puis son sein, et remarquant que tout était dans le même
état
que lorsqu’elle s’assit, elle parut déroutée, bie
i n’était que le prélude de ce qui allait suivre. M. Lecomte mit en
état
de catalepsie un des bras de son sujet, et, dans
nt, revenant un grand nombre de fois pendant le jour, accompagné d’un
état
de sommeil pendant lequel il aperçoit des dessins
table, et le malade, dans l’intervalle des accès, restait hébété. Cet
état
, du reste, cessa assez promptement pour faire pla
fin, le dernier phénomène caractéristique fourni par le malade fut un
état
de somnambulisme très-prononcé, qui ne se montra
je puis maintenant affirmer que, dans une contré e boisée, je suis en
état
de désigner les eaux qui coulent sous le sol et
pénétration, il soulevait tous les voiles; aujourd’hui, bien que son
état
semble le même, il est le jouet d’un mirage tromp
contre le somnambulisme. Tout somnambule, lucide ou non, se croit en
état
de résoudre péremptoirement et à première vue tou
itude d’une personne qui subit le sommeil magnétique et qui passe à l’
état
sonmambulique. Voilà comment est dégradé ce don
t la terre... Il importe de faire cesser autant que possible 1111 tel
état
do choses. Les magnétistes honnêtes doivent être
re bonheur : ce sont les doses des remèdes exactement appropriées à l’
état
des forces du malade, et la convenance, l’opportu
sur la question du sommeil; et il prouve que le somnambulisme est un
état
tout à fait différent du sommeil, état dans leque
ve que le somnambulisme est un état tout à fait différent du sommeil,
état
dans lequel l’âme, loin de sommeiller, acquiert u
lus marquants ont lieu au contraire quand les opérateurs sont dans un
état
passif et attendent le langage de l’être inconnu
247, sur quoi 69 ont été parfaitement guéris, 0 ont été amenés à un
état
voisin de la guérison, 40 ont éprouvé une amélior
n’éprouvant clans le début que peu ou point de modification dans leur
état
, ils perdaient patience ; d’autres, parce cju’on
s’y attendaient ; d’autres encore, parce que leurs occupations, leur
état
de santé ou leur dénûment, eu encore la trop gran
leur exemple. A. S. MORIN. UlNpcuNalro niRgnètiquc de PMriH. Un
état
de souffrance et de fatigue, résultant probableme
i-partie influence étrangère combinées par l’action magnétique. Cet
état
, on le voit, vient naturellement, mais toutefois
érieur, tend à la sympathie et à l’union. Or si pour l’homine, dans l’
état
ordinaire, il est difficile de se soustraire à ce
car, s’il admet que les fonctions de l’organisme sont modifiées, à l’
état
normal, par les procédés magnétiques, il est évid
rocédés magnétiques, il est évident qu’elles peuvent l’être aussi à l’
état
morbide. Or, les magnétiseurs n’affirment pas aut
lligiblement pour vous les vérités qui ne sont encore chez moi qu’à l’
état
de sentiment ! Je n’ose vous promettre d’y parven
des tables, nous avait priés de l’aider à consulter de la sorte sur l’
état
de sa santé. Mademoiselle 0***, dans le but d’a
les membres et leurs articulations ne laissent point de doute sur un
état
général d’entreprise (1). La jambe gauche se gonf
istait que de la vie de notre terre à terre. On la plonge en extase ;
état
libre, indépendant des étreintes de la volonté (d
ui !... Je suis morte hier à quatre heures de l’après-midi. Dans quel
état
!... si tu savais!... Mon corps était tout décompo
Spiritual Têlêgraph du 2 décembre 185A contient un long article sur l’
état
du spiritualisme au Texas. On cite une médium de
ces fort intéressantes ; les esprits ont donné des explications sur l’
état
particulier où nous n’avons pas conscience de ce
e remontai, les fonctions de la vie étaient peu à peu revenues à leur
état
habituel, sauf un reste d’agitation bien facile à
e vienne, par l'ellet de la magnétisation, à tomber lui-même dans cet
état
. >— Nous approuvons les réserves quant aux som
et exercés durant longtemps à se mettre au-dessus des sens; mais cet
état
est fort rare, et il faut parler ici de ce qui es
teur ; soins, et traitements qui ne furent pas continués à cause de l’
état
peu fortuné du père (cet homme, ouvrier fileur ch
A ma seconde visite, qui eut lieu le même soir à huit heures, même
état
. Seulement les accès hystériques ont plus de forc
. Je le cite : a On doit entendre par magnétisme animal, d’abord un
état
particulier du système nerveux, état insolite, an
ar magnétisme animal, d’abord un état particulier du système nerveux,
état
insolite, anormal, présentant une série de phénom
un autre individu exerçant certains actes dans le but de produire cet
état
. L’existence du phénomène magnétique ne serait-el
en croire ses apologistes. Quelques malades retombèrent dans le même
état
après une guérison apparente ; d’autres ne purent
/’instinct. .Mais c’est se payer de mots; car, quand un individu, à l’
état
de veille, jouit de la plénitude de ses facultés
la première. Les graves différences qui se trouvent entre les divers
états
d’un individu, n’autorisent pas à reconnaître c
sieurs personnes; ce qui serait un non-sens. Une personne arrivée à l’
état
de somnambulisme jouit de facultés qu’elle ne pos
état de somnambulisme jouit de facultés qu’elle ne possède pas dans l’
état
ordinaire ; puis, la crise une fois terminée, ell
roduisent, chez tout le monde, les' passages du sommeil ordinaire à l’
état
de veille. L’individualité subsiste, quoique modi
itation du cerveau a suffi pour produire, chez certains individus, un
état
anormal dans lequel se sont développées des facul
’arrivée de chaque malade, le médecin de l’établissement constate son
état
; il est tenu note jour par jour des magnétisatio
ets, ses genoux et toutes ses articulations étaient dans uu si triste
état
, qu’il était incapable de faire aucun service. Il
Reconnaissant enfin l’inutilité de ses efforts, il la laissa dans un
état
désespéré. « Un Indien assura qu’il y avait dan
lui parla, mais il ne put répondre. On le secoua poulie tirer de cet
état
, mais ses yeux continuaient toujours d’être fixes
ses parents ne comprissent pas qu’elle pût agir dans un aussi triste
état
. Elle consulta M°‘* Ogier, qui en somnambulisme
magnétisée. Je me chargeai du traitement après avoir fait constater l'
état
de la malade par M. le docteur Léger. Voici quels
ui défendis de se coucher à gauche. Je lui demandai le lendemain, à l’
état
de veille, de quel côté elle s’était couchée. — D
ne supposition qui s’accrédite de jour en jour et passe bien vite à l’
état
de certitude. De là naturellement liaine et désir
ysan, son ennemi, auquel il causait ainsi de cruelles insomnies et un
état
maladif; et ce bruit n’était point entendu de» pe
x allemands la nouvelle suivante : « Varsovie, le 20 janvier. « L’
état
du feld-maréchal prince Paskiéwitch ne laisse plu
z. » Ainsi, de l’aveu môme des organes officiels, c’est alors que l’
état
du malade n’offre plus aucun espoir, alors que ce
ait pas encore été délivré des bureaux; que les terres étaient en bon
état
et appartenaient légitimement à ses héritiers. —
de recevoir l’influence et les conséquences qui en résultaient sur l’
état
naturel du sujet. Aussitôt que le bandeau fut app
turel du sujet. Aussitôt que le bandeau fut appliqué, le sujet fut en
état
de distinguer les objets. « On n'employa ni pas
Le don de voir vint instantanément. Elle ne paraissait être ni dans l’
état
magnétique ni dans l’état biologique. Elle avait
tanément. Elle ne paraissait être ni dans l’état magnétique ni dans l’
état
biologique. Elle avait conscience de ses actes ex
ssi susceptible d’éprouver tous les sentiments et les passions dans l’
état
de clairvoyance que dans son état normal. Quand e
s sentiments et les passions dans l’état de clairvoyance que dans son
état
normal. Quand elle paraissait s’affaiblir et qu’e
la couleur de la reliure ; en un mot, tout ce qu’elle voyait dans son
état
naturel, elle Je voyait également dans son étal s
elle faisait ; mais cette circonstance n’apporta aucun changement à l’
état
de la petite Phébé. Le bandeau fut ôté et remis à
rises. Du moment où la vision naturelle était obstruée, elle était en
état
de décrire les objets. Il n’y avait pas, comme da
emploi de la méthode ordinaire, d’intervalle pour qu'elle arrivât à l’
état
de clairvoyance. Le bandeau n’apportait pas plus
s loin, son rayon s’est agrandi, il sait quelque chose de plus qu’à l’
état
de chenille; c’est exactement la différence qu’il
llucination. Faits, 39, 455, 630. Insensibilité à la douleur dans l’
état
magnétique, 169, 352, 368, 478, 521. Instinct d
ettant ses rêves en action, 102 ; — dame passant sans transition de l'
état
de veille au somnambulisme naturel, 103. Sorcel
ts, 578, 620. Vue à distance et à travers les corps opaques, dans l’
état
magnétique, 59, 211 ; — dans le sommeil ordinaire
ue actionnaire en entrant devra représenter s’s actions et signer cet
état
de pré:ence. AriT. ia.. Les actionnaire* absent
les renseignements nécessaires, pour que la police médicale soit en
état
de prononcer en connaissance de cause. 5° Les m
relations entre les magnétiseurs et les individus qui se trouvent en
état
de somnambulisme vrai ou fictif, et appliquer les
tion, c’est-à-dire trois, ou quatre inspiration^ m’ont plongé dans un
état
extati-forme caractérisé par l’insensibilité et d
et émerveillé d'une si belle conquête. J’éprouvais, au sortir de cet
état
, un bien-être indicible qui me faisait engager to
a de céphalalgie et d’un malaise analogue à celui qui suit l’ivresse,
état
qui dura de deux à trois jours. Si ce résultat
oi aussi vous n’êtes pas guérie; du reste c’est vous-même qui, dans l’
état
de somnambulisme, avez donné ce conseil. — Mais,
e qu’à moitié. Tous avez vu l'homme demi-mort, peut-être que dans cet
état
existe une confusion d’idées, et que les choses v
mense. Par le magnétisme, je m’explique le somnambulisme , et par cet
état
je comprends encore le jeu nouveau des facultés d
0 juin dernier, étant à Nemours (Seine-et-Marne), je fus informé de l’
état
de souffrances continuelles de la petite Barrot,
que les yeux paraissaient pleins de sang; la mère me déclara que cet
état
durait depuis plus de deux années. A de rares int
me voir, j’exan.inai la malade, je la trouvai à peu près dans le même
état
qu’à l’époque où je fis commencer le traitement m
: appesantie par la suite de ses perceptions, elle voit le passé; son
état
ordinaire lui montre le présent; un état exalté l
ons, elle voit le passé; son état ordinaire lui montre le présent; un
état
exalté lui ferait peut-être découvrir l’avenir. E
et leur dit : — La somnambule va rentrer; un des privilèges de son
état
est d’être devenue, par le sommeil magnétique, au
des crises ignorées du magnétiseur et, par conséquent, rester dans un
état
de trouble capable de menacer sa raison. Le mag
y a deux ans que cela s’est passé, et il y a de l’amélioration dans 1
état
de mon fils. Plus tard, je lui présentai un enfan
jours été; que sa maladie était le résultat d un accident, et que son
état
tenait à des circonstances physiologiquesqu’elle
on que le prétendu don de seconde vue, que posséderait cette femme en
état
de sommeil magnétique, n’est qu’une fable. » (C
Le sceptique nie l’existence de tout ce qu’il n’a pas vu; c’est son
état
. Un président de Cour royale disait devant une no
plus funeste qu’elle s’adresse de préférence à ceux qui sont hors d'
état
de la juger et de la reconnaître pour ce qu’elle
mérique. M. Esdaile offrit d’opérer un patient qu’on avait mis dans l'
état
convenable; le nabab déclina la faveur d’assister
ible, et je ne pus sous aucun rapport établir de différence entre son
état
et celui d’une personne plongée dans le plus inte
docteur Mouat, parce que je désirais avoir un témoin compétent de l’
état
de cet homme. Je trouvai M. Mouat qui voulut bien
un mot le coma et le somnambulisme furent parfaitement identiques aux
états
magnétiques parallèles. Je ne puis établir comb
il était tout a fait insensible aux impressions extérieures dans son
état
de somnambulisme demi- éveil lé, ou somniveillo (
teur Mouat venant à soulever les jambes, les trouva dans un singulier
état
de rigidité, autre symptôme mes-mérique. Nous c
ste entre la sensation et la perception si souvent rencontrées dans l’
état
mesmérique, sur laquelle j'ai si fréquemment insi
nt dans certains cas par des agents autres que celui (pii a produit l’
état
magnétique, peut être attribué à une cause fausse
uche depuis 7 ans. 1 faiblesses de femme enceinte, que j’ai mise en
état
d’avoir une heureuse délivrance. 1 faiblesse de
vré la santé, tout en conservant scs glandes qui sont revenues à leur
état
ordinaire; il a pris tout à coup un développement
pris tout à coup un développement et une force remarquables, que son
état
précédent ne lui aurait absolument pas permis de
possible pour l’effrayer; le médecin lui disait surtout que, dans son
état
, ce serait fort dangereux pour elle; que ses nerf
u'il n’y avait rien à faire. Sans m’inquiéter de ses craintes et de l’
état
effrayant de la malade, je l’actionnai vivement p
bout d’un quart d’heure le calme le plus parfait avait succédé à cet
état
violent, sans qu’il y eût l’abattement ordinaire,
la moindre contrariété. Une fois l’action passée, elle revenait à son
état
habituel'; je l’ai magnétisée une ou deux fois la
aissait en proie aux plus violentes convulsions, puis tout à coup cet
état
cessait brusquement et complètement; ses traits,
ntes que ce dévoiement l’affaiblit et l’énerva complètement. Dans cet
état
il eut de nouveau recours à moi, et au bould’une
ne seule magnétisation. Ce même jour, et c’éiait à une noce qu’en cet
état
elle avait dù venir, elle put impunément faire ho
esse, et notre jeune homme se trouve bientôt capable de reprendre son
état
de graveur sur métaux. Sa santé continue à être s
on strangulaire qui effraye sa femme; mais sans pousser trop loin cet
état
, je dégage sur les jambes, et aussitôt l’effet se
cie ; j’insiste en vain. Cependant il ne tarde pas en effet à être en
état
de reprendre ses travaux, sensiblement soulagé ma
es, ont trouvé moyen, dans l’exercice de la prière, de s’amener à cet
état
d’extase et de suprême quiétude si recherchée des
duite par le dawamesk. Les narcotiques qui commencent par produire un
état
de rêve, par faire cesser tout rapport avec Je* c
à la chose, et expose ce qu’il a fait, les malades qu’il a vus, leur
état
, les procédés employés, et les résultats obtenus.
dres. Lorsque je la magnétisai la première fois, elle était dans un
état
permanent de congestion cérébrale; la ligure gon-
dans cet instant tout est péril et danger, et nul ne sait encore si l’
état
où nous sommes est grandeur ou démence. Le pouv
e autres lechirur-gien en second qui servit à la conviction de tout l’
état
— major. Le bruit de cet événement se répandit bie
is c’est une langue dont l’homme aura perdu la clef en sortant de cet
état
supérieur, de cet Eden dont tous les peuples ont
, la colonne vertébrale, la poitrine et reins ont été remis dans leur
état
normal; les jambes étant revenues d’égale longueu
e quelques médecins qui présentent cette situation passagère comme un
état
habituel de folie; mais que diroient-ils si, lors
lus que, au retour de cette dame à Dijon, il voulut bien examiner *on
état
, et m’informer de son parfait rétablissement par
se. Je propose de choisir un ou plusieurs malades, d’en constater l’
état
par tous les moyens connus en médecine, et l’état
s, d’en constater l’état par tous les moyens connus en médecine, et l’
état
bien constaté et signé par M. Thouret sera cachet
parlerai pas, j’employerai seulement ma méthode pour reconnaître leur
état
; j’en ferai l’exposé que je signerai et cachetter
trois dimensions multipliées entre elles. Un homme, par exemple, en
état
de payer son logement mille livres est certaineme
s les parties actionnées, et il se trouvait en peu d’instants dans un
état
complet de rigidité : contraction du tronc, des m
ans les limitesde notre connaissance; que, tout le temps que dure cet
état
, la personne ainsi influencée n'emploie qu’avec e
sa propre existence. Mais ce demi-sentiment ne s’est jamais élevé à l’
état
de conviction. Avec tout cela ma raison n’a rien
end pas, excepté par son effet, jusqu’à mon existence normale. Dans l’
état
somnambulique, il y a simultanéité et contemporan
tre le raisonnement et sa conclusion, la cause et son effet. Dans mon
état
naturel, la cause s’évanouissant, l’effet seul de
série de questions bien dirigées proposées à mon intelligence dans l’
état
magnétique. Vous avez souvent observé la profonde
e, et la vaste science qu’il déploie sur tous les points relatifs à l’
état
magnétique; de cette singulière science autopsvcb
j’aimerais mourir. Mais maintenant, il n’y a pas lieu à le désirer. L’
état
magnétique est assez près de la mort pour me sati
de l’esprit, non de la pensée. La matière imparticulée, ou Dieu, à l’
état
de repos, est approchant, autant que nous pouvons
ré la conquête de la vie ultérieure. P. Vous avez dit souvent que l’
état
magnétique ressemblait à la mort de très-près. Co
t les ombres des étoiles, et à la perception des anges les réduit à l’
état
de non entités. P. Vous dites que les astres n’
nature soient contrariées, et la guérison retardée?... Que, dans l’
état
de santé, les centres nerveux envoient plus ou mo
dont j’avais sous les yeux les analogues; ou bien encore, si certains
états
que le vulgaire a souvent attribués à des maléfic
i provoqué bien des sortes d’aliénation, quelquefois sans suspendre l’
état
de veille : j’ai ôté la faculté du souvenir, jusq
et de persévérance, j’imagine, et conséquemment sans succès. Voici l’
état
de cet enfant lorsque je le vis la première fois
de ce repos forcé pour solliciter de nos amis quelques détails sur l’
état
du magnétisme dans différents pays : la lettre qu
rt (de Garnay). Monsieur, Vous m’invitez à vous faire connaître l’
état
du magnétisme dans nos contrées, le progrès qu’il
ieux qu’il me sera possible. Le magnétisme, ici, est à peu prés à l’
état
d'embryon. 11 n’y a pas de séances publiques. Il
aire n’ont été que les phases à peu prés inévitables d’un phénomène d’
état
social qui se poursuit, et qui, selon moi, n’accu
ne d’état social qui se poursuit, et qui, selon moi, n’accuse que cet
état
et nullement les personnes, du moins en général,
ue lorsque nous sommes hors du ton habituel de notre être, et dans un
état
où notre existence actuelle participe aux faculté
ouver des sensations sans le secours des sens; mais seulement dans un
état
de transition où notre âme, se trouvant plus inti
eille, ils tombent et sc tuent en perdant cet aplomb que leur donne l’
état
de transition où ils sont en accord de 7", et e
é pour les tracasseries révolutionnaires, el passa vingt ans dans cet
état
de léthargie et non de somnambulisme. Enfin, cett
ûr garant des facultés ultrà-humaines que leur vision acquiert dans l’
état
de somnambulisme, soit naturel, soit artificiel,
somnambulisme ne dépend point du tempérament. Si l’i-diosyncrasie; l’
état
sanitaire, physiologique et psychologique du suje
ans, ne put manquer des médicaments et consultations qu’exigeait son
état
. On me rapporta que cette femme était affligée d’
après avoir été prévenue, me fut amenée par sa mère. Voici dans |uel
état
elle se trouvait alors. Agée de vingt-cinq ans, e
et perdit connaissance. Ma femme lui prodigua tous les soins que son
état
exigeait, ce dont elle se montra très-reconnaissa
rnièrement au Pont-de-l’Arche et m’étant informé au sieur Chenel de l’
état
de santé de sa femme, j’appris avec un plaisir bi
i entretient la sensibilité des nerfs ; ils ne sont pas encore dans l’
état
de paralysie, puisque la partie percluse ne se pu
e se putréfie pas et continue de s’alimenter. Cependant elle est en l’
état
de mort accidentelle, privée de senlimentet de se
é avec le sommeil ne permet pas le moindre doute sur l’origine de cet
état
: le premier somnambule était insensible; mais qu
n’a point indiqué, ni peut-être prévu non plus, la production de cet
état
par un fluide humain étranger ; ce (pii est pourt
n pouvoir plus positif que le patient, et c’est ainsi qu'on produit l’
état
qu'on appelle magnétique. Cet agent fluidique, qu
contact avec un autre système d’un pouvoir positif moindre, produit 1
état
magnétique chez celui-ci, en soutirant le fluide
e l’esprit à l’égard du corps chez un homme profondément absorbé. L’
état
magnétique ne dérange en rien l’ordre de la natur
s indispositions que ce moyen si simple guérirait invariablement. L’
état
magnétique n’est pas seulement le sommeil magnéti
e l’usage des sens ni les facultés musculaires, mais à mesure que cet
état
s’élève, on éprouve davantage une sensation de bi
le sommeil magnétique est produit, et que souvent on le prend pour l’
état
de clairvoyance, mais on se trompe : il n’est que
iment rare, le même qui joint une pensée à une autre pensée. Dans cet
état
l’esprit est apte a recevoir les impressions d’ob
isées par les forces du magnétiseur. Cette situation est analogue à l’
état
naturel de désorganisation physique qu’on appelle
celte dernière résulte de la perte des deux puissances, tandis que l’
état
de clairvoyance est produit par la fusion des for
hénomènes produits par la magnétisation sont les analogues des divers
états
anormaux de l'esprit, tels que le rêve, etc. : c’
uy — analyse et extrait, 351. Hôpital magnétique de Calcutta. — Son
état
actuel, 103, 215 281. — magnétique de Paris. —
50. — de M. Cahagnet sur le même sujet, 52. — du dr Dugnani sur l'
état
du magnétisme à .Milan, 38. — île Al. Jobard su
22. — Id. sur la magnétisation myologique, 315. — de M. Boméa sur l'
état
du magnétisme dans la Drôme, 327. — de M. Duboc
Sa définition, 278. Magnétisabilité, 279. Magnétisme (le). — Son
état
actuel en Orient, 168; — en Italie, 28, 159, 21
isme. — Cure d'orphthalmie, par M. Girollet, 39. Rapport annuel sur l'
état
de la société, 360.—Renouvellement du bureau, 363
il lui était impossible de se tenir debout. Lorsque je vis de près l’
état
dans lequel était Esther Tavard (c’est le nom de
de son travail, est devenu tout à coup sombre et mélancolique; à cet
état
, en succéda bientôt un autre, mon oncle eut des m
nce de quelques jours, et, à mon retour, je trouvai le malade en pire
état
; non-seulement les chants avaient recommencé, la
ncera. » En effet, le pauvre homme descendait de sa charrette dans un
état
pitoyable; à peine arrivé, je le magnétisais; que
ain, dans la soirée, je vis arriver sa femme toute effrayée du nouvel
état
dans lequel était son mari; il avait dormi et dor
s’éveilla, mangea avec un grand appétit, et revint, en un mot, à son
état
normal. A partir de ce moment, je fus complètem
complète en paraîtrait d’autant plus longue qu’elle offrirait moins l’
état
actuel de la question. Ce qu’il faut entendre s
onférer à certains sujets, en vertu de la puissance qu’il possède, un
état
qu’il ne peut pas toujours, qu’il peut même très-
buste, exerçant, je crois, la profession de chaudronnier, fut dans un
état
de jactitation effroyable. J’avais remporté une g
ffaires «le Juin succombent malgré les soins les plus empressés et un
état
moral satisfaisant. L’éclatant succès des opérati
le savent, c’est l’absence de mort sur près de deux cents opérés, en
état
magnétique, qui a déterminé la création du Mesmer
est du H», si vous voulez m’en écrire une demain pour m’informer de l’
état
actuel, vous me fairez plaisir : d’aulant que mal
tiellement expérimental; que, loin de s’y constituer de préférence en
état
de clairvoyance religieuse ou thérapeutique, il s
nt par le somnambulisme; mais si le somnambulisme, considéré comme un
état
de quasi-sommeil doué d’une activité intelligente
ivité intelligente, est un fait incontestable; la clairvoyance de cet
état
et l’intervention du magnétisme animal, pour le p
s à lame? Est-ce suffisant pour établir avec Ammonius d’Alexandrie un
état
où il n’y a plusde distance, plusd’impénétrabilit
lusd’impénétrabilitépour celle-ci? Est-ce suffisant pour enseigner un
état
où elle lira dans toutes les intelligences, dont
pas avoir la prétention de juger à fond ni à jamais, mais on sera en
état
d’apprécier la réalité des phénomènes qu’il produ
os voyants les plus renommés, et un journal scientifique donne, sur l’
état
des expériences et des croyances, des détails cur
n changement complet, comme je viens de le dire dans mon ouvrage De l'
état
moral de l'Allemagne. dans la nouvelle Jérusale
étrangère à toute espèce d amour-propre et ignorant complètement, à l’
état
de veille, les excursions qu’elle fait endormie,
ent de la bonne foi, il y a même plus que de la piété; il y a un rare
état
d’exaltation accompagnée d’élévation véritable da
érieurs à ce qu’elle eût été capable de dire sur cette terre dans son
état
habituel. Je ne dis pas son état naturel, car le
ble de dire sur cette terre dans son état habituel. Je ne dis pas son
état
naturel, car le sommeil magnétique n’est pas une
lle ne parlerait plus lors que du fâcheux esclavage que leur impose l’
état
de veille; de leur vulgarité, de leur faiblesse d
mpose l’état de veille; de leur vulgarité, de leur faiblesse dans cet
état
, de leur asservissement désastreux aux opaques en
a parfaite habitabilité de tous ceux de ces globes qui ont passé de l’
état
de gazéité et de l’état de fluidité, n’appartiend
de tous ceux de ces globes qui ont passé de l’état de gazéité et de l’
état
de fluidité, n’appartiendrait-il pas à la métaphy
ale et le maintien du bon ordre. Les finances publiques sont en bon
état
quand la recette est égale à la dépense; si la dé
Et combien de fois ce levier lui fait-il défaut ! La santé est cet
état
dans lequel l’homme éprouve un sentiment de bien
qui n’admet aucune nuance de trouble au moral comme au physique. Cet
état
résulte d’un rapport parfaitement harmonique entr
oins profonde de ce rapport. Rupture qui détermine aussitôt un nouvel
état
dans lequel une activité particulière se développ
ade on trouve au nombre de quatre, puisqu’aux trois déjà existants en
état
de santé, la cause morbigéne vient s’ajouter. V
àe soli-elisrne comprend tous les systèmes qui prennent pour bases l’
état
des parties constituantes de l’organisme dans la
. corres|>. du n» 72 arl. Touloust; c'est toujours dans le uiéme
état
: vos ordres n'auront pas élé exécutés. Stockho
re un vomitif ou un purgatif convenablement choisi. Le lendemain, cet
état
qui durait depuis plusieurs semaines, qui avait é
avez-vous si mal conduit cette maladie, que vous avez fait passer à l’
état
chronique, soit par votre hésitation, soit par vo
soit assez puissante pour amener les crises qui doivent détruire les
états
pathologiques des organes affectés ; sans cela, l
selles, dérangement des règles. Certes, si sur d’autres personnes en
état
de santé j’avais pu, comme en magnétisai e déterm
les molécules d’une poudre fine sont à la dose de 5 centigrammes, en
état
de constituer par l’ensemble de leur surface une
ire connaître à nos abonnés les détails qui nous parviendraient sur l’
état
actuel du magnétisme dans les départements. Nous
i-magnétisme. « Vous medemandez des renseignements relativement à l’
état
du magnétisme à Metz et dans les environs. J’ai h
ntellectuelles semblent ne plus dépendre decelles qu’il possédait à l’
état
de veille, et il se trouve doué, tout à coup de
e la connaissance de choses dont il ne s’était jamais occupé. » Cet
état
singulier se présente avec une grande variété dan
ssession, elle ne peut y lire ce qui n’y est pas gravé. « Il est un
état
, décrit par les magnétiseurs sous le nom Yextase,
’il soit permis de les révoquer en doute. » Le somnambulisme est un
état
de transition entre les deux vies, état dans lequ
. » Le somnambulisme est un état de transition entre les deux vies,
état
dans lequel lame emploie simultanément, mais impa
s tout individu par la conslruc lion coiorelle, le tempérament et l’
état
organique ou moral du moment, et mêmedans chacun
t privé de ses esprits par la fonderie et la forge, mais de celui à l’
état
de vie et de maturité que l’on trouve dans les en
ose, le défaut de menstruation, le réservoir décrit est approprié à l’
état
du malade, il n’en est pas de même de tous les au
e à l'aide de laquelle elle se charge des molécules des corps dans un
état
de ténuité comparable à celui où les réduit la di
blir l’harmonie détruite par la maladie et pouvoir même conjurer tout
état
anormal du corps. Rien en effet ne semblait plus
une extension parfois si extraordinaire, qu’on ne trouve plus dans l’
état
ordinaire de l’homme rien qui puisse y être compa
e tête, j’étais inquiet, le système nerveux commençait à être dans nn
état
d'irritation anormale, je ressentais parfois des
ritation anormale, je ressentais parfois des mouvements fébriles. Cet
état
se prolongea quelque temps sans me fatiguer beauc
en ai eu des preuves manifestes, et cependant la tète en feu, dans un
état
de délire, l’estomac surexcité, le pouls agité, e
d autre sans pouvoir m'arrêter nulle part ; enfin, je sentais, si cet
état
avait duré, la vie m’échapper. J’ai douté, jusq
à Abd-el-Kader comment il désire s’assurer que le sujet, dans un tel
état
, distingue les objets sur lesquels on appelle son
ui en étaient possédés ou obsédés! (On sait que la possession était l’
état
de ceux qui avaient le diable au corps, c’est-à-d
corps, c’est-à-dire dans le corps même; tandis que Vobsession était l’
état
des personnes sur lesquelles le diable agissait e
craint en outre que leur reproduction n’amène une perturbation dans l’
état
social. Cela posé, j’aborde le récit, et pour l
arquer que c’était un parti pris par mon inconnu de me mettre dans un
état
continuel d’irritation. Il me flattait d’abord en
t beaucoup à réfléchir, et au milieu des pensées que me suggérait mon
état
je m’aperçus un jour que la direction du fluide é
pectacle m’était offert et je 11e me lassais pas de l’admirer. Dans 1
état
de contemplation où je me trouvais le rapport ave
tèrent dans les premiers temps à faire touteequi pouvait aggraver mon
état
. Il est même probable que les conseils perfides d
n dans laquelle on me raillait du peu de succès de mon voyage, et cet
état
d’exaspération rendait sans doute mon système ner
centrai le plus possible pour éteindre ce rapport. Je restai dans cet
état
près d’une heure, durant laquelle l’influence de
ser, je rompis de guerre lasse cette position fatigante. Revenu à mou
état
normal, je reconnus qu'il n’y avait rien de chang
t par esprit de vanité, mais afin qu’on ne puisse supposer que dans l’
état
où je me trouvais, il pouvait y avoir chez moi qu
is pas à ces simples impressions qui pour toute personne ignorant mon
état
pourraient paraître vagues, j’attendais pour plus
t à tel point qu’elles me firent cracher le sang et me mirent dans un
état
des plus alarmants. Au milieu de ces inconstanc
ésultait une douleur constante vers les pnrlies comprimées, lîans cet
état
je remarquais que la sensation des pincements que
njectures hasardées. L’améliorationquece procédé produisit dans mon
état
me permit de persévérer et de poursuivre la lutte
il m’on éloignait, ou bien me poussait à leur accomplissement. Cet
état
de découragement qui avait suivi la surexcitation
commence à le croire, car ici comme ailleurs je n’ai obtenu dans mon
état
qu’une légère amélioration qui disparailra peut-ê
ns lui faire part dumotifde ma visite, je lui exposai brièvement inon
état
qui parut l’intéresser; cherchant à rappeler ses
it pour l’avenir plus de poids à mes paroles. Quand je parlais de mon
état
, on avait 1 air d'en rire, de le considérer comme
constaté, dis-je, que la transmission de pensée pouvait s’obtenir à l’
état
de veille d’une manière plus régulière et plus co
ans le somnambulisme; mais ce qu’il y a de remarquable dans ce nouvel
état
, c’est que les rôles se trouvent, en quelque sort
rfection. Si je me permets d’exprimer ici mon opinion sur ce nouvel
état
des sujets magnétisés, c’est que j'ai causé plus
leur examen, dans l'espoir d’en tirer quelque éclaircissement sur son
état
et d'obtenir de leurs révélations quelque moyen c
r ces différents points. Une autre somnambule après avoir reconnu l’
état
d’agitation nerveuse du sujet, se trouvant embarr
hui, en raison des souffrances qu’on lui a fait éprouver, dans un tel
état
d’exaspération qu’il ne peut plus se maîtriser et
anière à lui enlever tout moyen de recherche à ce sujet, soit que son
état
d’agitation extrême ne lui ait pas permis d’emplo
mbule consultée est entrée dans des détails très-circonstanciés sur l’
état
de la personne avec laquelle on la mettaiten rapp
ifficilemnt à bout de la faire cesser, parce qu’elle était passée à l’
état
chronique. Pourtant elle indiqua la magnétisation
itement magnétique, qui a déjà produit une légère amélioration dans l'
état
de notre obsédé. Dans le principe il n’éprouvait
n sur lui. Après avoir été magnétisé, notre protégé se trouve dans un
état
d’assoupissement qui paralyse en partie le pouvoi
été Magnétolo-gique de Paris, vient aussi de mourir. Chronique. — L’
état
du magnétisme, à Paris, s améliore sensiblement.
e mon admiration sans bornes.» A ce moment, la malade était dans un
état
de mort apparente, qui durait depuis plusieurs jo
uissantes, à l’action des plus forts stimulants; j’avais affaire à un
état
dont le pareil ne s’était jamais offert à ma vue,
reprenant leur cours, la malade se trouva incontinent replacée dans l’
état
morbide primitif. Ma seconde visite eut lieu si
ux ganglionnaire paraît être le siège habituel de ses fondions. A l’
état
rudimentaire, chez le fœlus, l’instinct préside a
s de nos habitudes ; aussi l’observons-nous rarement chez l’homme à l’
état
normal. Nous n’en retrouvons de traces que chez l
de les analyser et de les décrire. Maintenant, parlons un peu de l’
état
actuel denotre malade, puisque vous vous intéress
ligence supérieure. Quoi qu’il en soit, c’est un problème qui, dans l’
état
présent des choses, ne saurait être résolu. On ne
Il y a des somnambules qui.scmblcnt s'identifier si intimement à l’
état
des malades, soit par une sorte d’efllux de matiè
hier (Traité prat. du Magnét., p. (512 ), se refusent à examiner leur
état
; ils éprouvent de la répugnance pour le tableau q
rs tous leurs soins et lui indiquent la médication qui convient à son
état
. Je né me suis jamais trouvé en présence d’un de
rincipe, sauf de rares exceptions : la lucidité qui se déclare dans l’
état
de santé diminue presque toujours ou disparait en
de santé diminue presque toujours ou disparait entièrement pendant l’
état
de maladie ; la lucidité qui commence dans l’état
tièrement pendant l’état de maladie ; la lucidité qui commence dans l’
état
de maladie disparaît, au contraire, quand la sant
s jambes, aux pieds et aux mains. Des frissons vinrent compliquer cet
état
; le pouls s’affaiblit considérablement ; agitatio
dormis de nouveau à neuf heures : elle passa la nuit entière dans cet
état
. Le mercredi 5, je visitai madame B. à huit heu
aque jour, depuis ce moment, une amélioration bien notable dans son
état
, et huit jours après elle put reprendre ses habit
imentation sévère du savant. M. Charpignon a parfaitement compris l’
état
dans lequel l'exigence des esprits posait la ques
s le public lui avait dit: «Si « vous voulez commencer par prouver un
état
de k coma, de sommeil simple, nous vous croirons
ri un cas sans autre effet apparent que l’amélioration graduelle de l’
état
du patient, qui n’éprouva plus le moindre malaise
s’est passée comme elle l’avait rêvé. 11 pense que la lucidité est un
état
anormal, et que ceux qui explorent l’inconnu par
avec succès, quoiqu’il en eût été effrayé dans l’origine. « Dans l’
état
magnétique, il y a désunion , pour ainsi dire, en
qu’il ne fait qu’imaginer. Le sommeil naturel est aussi une espèce d
état
de détachement. M. Parsons croit que l’âme peut s
durant longtemps qim le coma pouvait être produit, et que, dans cet
état
, le patient ne sentait pas exactement le même deg
ges de médecine un seul cas bien observé, montrant qu’une personne en
état
de catalepsie ou de somnambulisme possède des fac
rien de ce qu’a avancé M. Parsons, si ce n’est qu’on peut produire un
état
comateux dont le magnétisme animal ne lui paraît
t sentiment est aboli. C’est pourquoi il nie qu’on puisse produire un
état
dans lequel le corps sente le moins, et non le pl
z de choses dans l’Écriture, 1 histoire ancienne et 1rs récits de l’
état
actuel de l’Inde, de la Chine et de la Turquie, p
des Statuts, i l'effet d'entendre le rapport annuel du (iéranl, sur l'
état
de la Société. BIBLIOGRAPHIE. SAGGIO SL’LL’ A
nt pu exister entre nous et nos malades, qui, quoique tombés dans cet
état
plusieurs années avant qu’ils nous soient connus,
la force vitale, il est nécessaire que le magnétiseur soit en parfait
état
de santé pour qu’il n’en résulte rien de fâcheux
t un livre. Ces objets furent vus et décrits exactement par elle. L’
état
cataleptique existait au plus liant degré, et la
uit mois à partir do ce jour. Dès lors ses fonctions reprirent leur
état
normal, et, « je la magnétisai irrégulièrement, d
près ces deux magnétisations, il y eut sensible amélioration dans son
état
. • Je ne pus la faire parler qu’à la treizième
re, en Angleterre, un Monsieur qui se trouve précisément dans le même
état
que l'obsédé dont il est question dans le Mémoire
ement à agir sur sa raison , à l’éclairer sur l’impossibilité que son
état
misérable fût dû au pouvoir magnétique ; mais je
lire, et je connais plusieurs magnétiseurs eux-mêmes qui sont dans un
état
voisin de l’hallucination : à force de s’exagérer
ura rendu clairs et sensibles les faits qui, aujourd’hui, sont ou à l’
état
de doute, ou présentés avec une auréole qui empêc
r cependant que, par un mélange de somnambulisme ou d’extase avec cet
état
anormal, les objets et les personnes vus de celte
ns de la raison. Tout a donc besoin d’être pondéré, et c’est dans cet
état
seulement qu’on jouit de la santé. Rien n’est p
profonde , les muscles semi-volontaires participent graduellement à l’
état
général du système musculaire : soit qu’il y ait
laire : soit qu’il y ait rigidité, catalepsie, ou flaccidité ; et cet
état
est souvent si complet qu’on n’aperçoit aucune tr
’éveilla bientôt après spontanément, dit-il. « Le 6, il me parut en
état
d’étre opéré. « Le 7, j’invitai beaucoup de per
, donna toujours cent-vingt pulsations en sommeil et quatre-vingt ü l’
état
normal. » Après les détails chirurgicaux de l’o
r l’usage approprié de laxatifs et de quinine. La plaie paraît en bon
état
, et se ferme rapidement. 11 s’assied maintenant s
t j’aurais pu l’opérer dès le quatrième sans une particularité de son
état
magnétique, que j’observai tout d’abord, et dont
des Statuts, i l'effet d'entendre le rapport annuel du Gérant, sur l'
état
de la Société. Le jour, l'heure el le lieu de la
ne affirmation qu'il serait bien imprudent d'avancer, étant donné l'
état
actuel de nos connaissances. Et on pourrait app
up la mémoire et son visage est peu expressif. L'appétit est bon, l'
état
général très satisfaisant; les viscères thoraciqu
té les renseignements qui nous avaient été fournis. Il était dans l'
état
suivant : le tremblement et l'embarras de la* p
'existent plus; il a toujours des vertiges, de la céphalalgie et un
état
neurasthénique complet. Il s'agit ici d'un homm
e. Les troubles psychiques, l'abattement du visage, la tristesse, l'
état
dépressif appartiennent à l'hystéro-neurasthéni
ulus. Dans le membre supérieur gauche, il y a, presque toujours, un
état
de trémulation d'inten- sité variable qui ne se
ances d'électrisation, amélioration sensible. Par la suggestion à l'
état
de veille et la faradisation, au bout de cinq jou
ssance et miction involontaire. A la suite, il eùt quelque temps un
état
mental bizarre : il était comme abruti. En 1874,
le centre semble être aux genoux; les mollets semblent être dans un
état
de contraction réflexe, de demi-contracture. Pend
he est diminuée. Au point de vue psychique, il est peu intelligent;
état
mental affaibli. La santé générale est bonne, e
aravant, ne pouvaient être soulevés du lit et étaient restés dans cet
état
d'impotence et d'inutilité durant plusieurs moi
onfortante, et, cependant, la figure garde un bon aspect. Tel est l'
état
actuel, que cet homme considère, par comparaiso
nt, sans cause appréciable, d'une paralysie de la langue, puis d'un
état
léthargique, durant lequel il entendait et voyait
fficulté, etc. Au bout de dix minutes, il rentre dans son pre- mier
état
. L'auteur conclut sans autre forme de procès :
On le renvoie le 16 octobre. Plus tard survient une récidive de cet
état
mor- bide avec des symptômes identiques et une
à l'hôpital. Six ans après, le 5 décembre 1872, il revenait dans l'
état
suivant : lorsqu'il est dans la situation horiz
t. L'examen de la sensibilité n'est pas prati- cable à cause de son
état
psychique. II paraît certain « scheint es sicher
. Un traitement par les bains sul- fureux améliore sensiblement cet
état
. Depuis un quinzaine de jours, de nouveaux symp
uleur lombaire, vertige et tendance à la syncope. 11 reste dans cet
état
pendant quatre mois. Au bout de ce temps, complèt
supérieurs, l'impotence et l'atrophie étaient restées dans le même
état
. Etat actuel. Ce qui frappe tout d'abord chez c
appe tout d'abord chez ce malade, quand on l'exa- mine assis et à l'
état
de repos, c'est l'expression de ses yeux immobile
er- tèbre cervicale est extrêmement saillante, beaucoup plus qu'à l'
état
normal, et au-dessus d'elle il existe un vérita
la pronation au contraire, quoique beaucoup moins énergique qu'à l'
état
normal, présente cependant une certaine énergie
pouvait même pas se tenir debout, commence à marcher. Néanmoins, l'
état
des membres supérieurs est resté stationnaire. Le
l'élévation; l'abais- sement s'exécute assez bien. ? - . 0. G. L'
état
est sensiblement le même. Pas de strabisme au rep
re heures. Six accès en tout. Depuis qu'il est dans le service, son
état
est à peu près stationnaire. Sans accès de migr
peut faire aujour- d'hui comme un grand progrès. ' Tel était son
état
lorsque nous avons pris cette note, c'est-à-dire
me; il est devenu triste, songeur et paraît très préoc- cupé de son
état
. ,Motilité. Moyennement musclé. Pas d'autres tr
aux questions que nous lui adressons, paraissant se trouver dans un
état
bizarre de demi-conscience et l'air préoccupé.
dans son imagination. A ce moment précis où elle se trouve dans cet
état
bizarre, les impressions sensorielles restent san
res qui persistaient. La malade revient alors progressivement à son
état
habituel et la mémoire de tout ce qu'elle a vu
beau- coup plus complexes et plus variées. Nous n'avons pu ni à l'
état
de veille, ni pendant la période som- nambuliqu
ais dépitée, s'arrête. Nous avons appris en le lui deman- dant. à l'
état
de veille, qu'elle ne connaissait pas cette derni
de technique, après avoir indiqué cependant en quelques traits les
états
morbides où peut convenir. cette opération, c'est
vec un indice céphalique très peu considé- rable et j'ai constaté l'
état
avancé des sutures en même temps que l'étroites
entriculaire, scléroses cérébrales limitées ou diffuses, etc. Ces
états
coïncident d'ailleurs avec la synostose prématuré
que la synostose crâ- nienne prématurée n'est le plus souvent qu'un
état
morbide qui a pour causes le plus souvent la sy
uvent la syphilis héréditaire, l'alcoolisme et le rachitisme. Les
états
morbides qui, dans une certaine mesure, m'ont par
isant à peu près défaut; le crâne DE LA CRANIECTOMIE, 99 offre un
état
éburné. Certains crânes d'enfants, de trois, cinq
océdés expérimentaux,- comme chez les hystériques, est définie : un
état
pathologique du muscle caractérisé par la raideur
contracture se produise est de dix à quinze secondes. , Dans cet
état
on constate que les muscles de la main et de l'av
ssion des tendons. Mais le tremblement alcoolique est augmenté. Cet
état
de. contracture peut être maintenu aussi longte
ifié, et il est de vingt- quatre inspirations par minute, comme à l'
état
normal. Le coeur bat un peu plus rapidement, et
oeur bat un peu plus rapidement, et de quatre-vingts pulsations à l'
état
normal, il va à quatre-vingt-seize par minute.
CONTRACTURE VOLONTAIRE 1 : 111;7. UN ILYS'fI;NIQUE. 108 cesser cet
état
de contracture, il agit lentement. La masse intes
e nerfs. Nous avons pris quelques tracés pneumographiques pendant l'
état
normal et l'état d'immobilisation volontaire du
ns pris quelques tracés pneumographiques pendant l'état normal et l'
état
d'immobilisation volontaire du thorax. A l'état n
l'état normal et l'état d'immobilisation volontaire du thorax. A l'
état
nor- mal (fig. 22) la respiration ne présente r
)les en montrant que « par le seul fait qu'une hystérique, même à l'
état
de veille, fixe son attention. sur une partie de
gtemps le diaphragme, les intercostaux et les muscles abdominaux en
état
de contraction, n'est pas chose commune. Lorsqu
tremblement hystérique vibratoire disparaît pendant le sommeil. A l'
état
de veille, il ne s'efface jamais complètement, mê
toujours s'apaise et cesse dès que le malade passe de l'action à l'
état
de repos. Les hystériques trembleurs qui répond
EMENTS HYSTÉRIQUES. 111 membres, le corps tout entier entre dans un
état
d'agitation violente, il tel point que, parfois
ques instants. Mais ceci n'a lieu que lorsque le malade est dans un
état
de calme absolu; et pour peu qu'il se sente obs
e 26 juin 1889. Antécédents héréditaires Mère épileptique, morte en
état
de mal, a l'âge de trente-six ans. Père mort de
t éveillée, dès qu'il se sent observé. Le tremblement des mains à l'
état
de repos présente aussi ce caractère. Le nombre
lérose en plaques. Ce dernier cesse toujours et complè- tement il l'
état
de repos. Lorsqu'on est en présence d'un malade a
u lit même il avait de très forts soubresauts dans les membres. Cet
état
persista plusieurs mois et s'amenda au point de
sa présence indispensable au milieu de ses hommes. Il craint que l'
état
morbide dans lequel il se trouve ne lui porte t
il persistait encore, uous dit le malade, il y a quelques mois. Cet
état
l'inquiétait fort, c'était un tourment pour lui
s boissons alcooliques. Ces troubles divers persistèrent. Tel était l'
état
du malade, lorsqu'il y a cinq mois, pendant le
E LA SALPÊTRIÈRE. appliqua des pointes de feu dans le dos, mais son
état
ne se modifia en rien. Quelques jours après sa
son mémoire légitimes, s'il, existait, en dehors de l'hystérie, des
états
dynamiques capables de reproduire le tableau delà
LINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 129 L'absence du nystagmus, l'
état
des réflexes tendineux, la recherche et la cons
é, ces vertiges sont des attaques d'hystérie avortées, arrêtées à l'
état
naissant. Parfois, en effet, ils se terminent par
et la fixité du regard, l'hébétude de la physionomie dépendent de l'
état
neurasthénique dans lequel sont si souvent plon
ciliter la solution du problème. Bref, rien ne doit être négligé; l'
état
actuel, le passé, la marche doivent être interr
encé- phalite supérieure de Wernicke. Les choses restèrent en cet
état
pendant quelque temps. Il n'existait alors aucu
ffet le malade était médecin, se rendait parfaitement compte de son
état
, s'exagérait même peut-être la gravité du pronost
a ni ataxic, ni signe de Romberg, ni troubles de la sensibilité. L'
état
général du malade est excellent et l'affection,
dui- sit une certaine amélioration du côté de l'oeil gauche; mais l'
état
de l'oeil droit s'aggrava : les deux pupilles é
et le gros orteil. Les yeux étaient restés à peu près dans le même
état
; il n'en souffrait pas. A Panama, il contracta
ngé deux serpents sans qu'un mieux sensible se fût produit dans son
état
. « Un jour, comme le roy Clovis sommeilloit, il
'est que l'éruption fut accompagnée d'un oedème considérable. Cet
état
dura depuis le mois de décembre jusqu'à il y a un
s réponses sont parfaitement lucides. Rien ne trahit en apparence l'
état
mental qu'elle présente. Ni le père ni la mère
ître M. Lailler et faites en mai 1881, donnent une idée exacte de l'
état
de la malade à cette époque. Depuis sa sortie d
figure parfois qu'elle a plusieurs maladies, elle s'attriste de son
état
qu'elle croit incurable et a peur de mourir à la
incurable et a peur de mourir à la moindre indisposition. Sauf cet
état
mental qu'elle raconte, il n'y a aucune espèce de
des transversales qui ne sont pas plus sensiblement accusées qu'à l'
état
normal. Les sourcils sont, relevés comme dans l
qui est intéressée. Les plis haso-géniens sont plus accusés qu'a l'
état
normal, la moitié infé- rieure des joues est fl
résultat la production d'opacités cornéennes. C'est en raison de l'
état
de sa vue qu'elle a été admise à la Sal- pètriè
bnubilation de la vue; tout cela accompagné d'une vive anxiété. Cet
état
de malaise alla s'accentuant pendant une demi-heu
nous voulons faire ressortir en terminant, c'est qu'il s'agit d'un
état
pathologique spécial ayant revêtu le masque de la
p à pleurer sans trop savoir pourquoi. Constamment préoccupé de son
état
de santé, il disait souvent à sa femme qu'il av
lombaire persistaient. Parfois il était pris de vertiges. Tel était l'
état
du malade, lorsque dans les premiers jours de n
rapeutiques diverses auxquelles il a été soumis. Voici quel est l'
état
du malade le 3 juillet 1889, jour de son entrée à
juillet, puis le 4 et le 20 août. Il n'y a rien de changé dans son
état
. Il présente également les mêmes symptômes que no
et sa jambe blessés, il alla se coucher. Mais il était dans un tel
état
d'angoisse et d'agita- tion qu'il lui fut impos
ez calme, mais tous les soirs vers 8 ou 9 heures il entrait dans un
état
d'agitation violente accompagnée de rêves, de c
cesse, puis reprend soit à l'occasion d'un mouvement, soit en plein
état
de repos. Dans ces moments de calme relatif, l'
ts héréditaires. Le malade ne peut donner aucune indica- tion sur l'
état
de santé de ses grands-parents. Celle réserve fai
tal; son amplitude s'accroît à chaque fois que la malade passe de l'
état
du repos à l'accomplis- sement d'un acte quelco
s de l'oreille droite; et puis, au bout d'une ou deux heures de cet
état
douloureux (elle s'élait couchée), elle perdil
difficulté. Il n'avait pas du tout de fièvre ; il dormait bien. Cet
état
de contracture persista sans se modi- fier pend
bras et sa main tendus hori- zontalement. Elles ne cessent pas à l'
état
de repos, et leur amplitude ne, s'accroît que f
s les circonstances que voici : Un soir son père rentra chez lui en
état
d'ivresse furieuse, criant et frap- pant à tort
es, au nombre de 6 à 6 1/2 par seconde. Le tremblement persiste à l'
état
de repos, mais les oscillations sont plus ample
ts il devient intermittent; alors, si l'on observe le malade dans l'
état
de repos, sa main reposant sur ses genoux, ou pen
s traitements ne produisirent aucune amélioration. Tel était donc l'
état
de la malade lorsque, vers le 28 juillet environ,
ements dans l'oreille droite, puis au bout de quelques jours de cet
état
douloureux on lui avait appliqué des vésicatoir
ne sont le siège d'aucune secousse, d'aucune oscillation, soit à l'
état
de repos, soit pendant les mouvements volontair
du corps. - Si on l'observe attentivement lorsqu'elle est dans cet
état
de calme parfait, on ne tarde pas à voir appara
ade boite un peu en marchant, mais cette boiterie est causée par un
état
douloureux de la région du cou-de-pied droit. En
lement. Nous n'avons pas pu essayer l'effet de la suggestion dans l'
état
de sommeil hypno- tique, aucun de nos malades n
tion mentale, en nous y révélant les traces d'anomalies diverses, d'
états
pathologiques que nous aurons à spécifiera l'ai
ccipitales; leur situation symétrique ou non (pl : 1giocéphalie), l'
état
des sutures craniennes (scaphocéphalie, trigonocé
froide ni cyanosée. Enfin, la nutrition cutanée est intacte et l'
état
général n'est pas modifié. . La marche ultéri
e. Seuls les membres supérieurs sont restés à peu près dans le même
état
; en tout cas . les mains ne sont pas plus habil
lioencéphalite, il n'existe guère de modifications bien nettes de l'
état
normal, chez le myopathique au contraire, l'ensel
ents noyaux, les autres éléments enfin ne s'écartaient en rien de l'
état
normal. Vaisseaux dilatés dans le terl'ltoirc-11c
ngestionné et les ventricules con- tenaient plus de sérosité qu'à l'
état
normal. Les cordons de Goll étaient sclé- rosés
l fut examiné par Westphal (septembre 1882), le malade présentait l'
état
suivant : deux cicatrices bien nettes sur le péni
sur leur trajet inlra-médullaire, les nerfs pathétiques étaient en
état
d'atrophie complète. Atrophie très prononcée des
llules ganglionnaires sont seulement un peu moins nombreuses qu'à l'
état
normal bien que l'hypérémie soit notable. Il es
chaudière. Aucun débris ne l'atteignit; néanmoins il resta dans un
état
d'agitation indes- criptible. Pendant trois jou
que, à la con- tracture spasmodique de certains muscles, succède un
état
nouveau qui est la rétraction indélébile, le mu
rès la pose du premier appareil; 2" après la pose du second; 3° à l'
état
actuel. 252 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
onna, dans une note manuscrite, les renseignements suivants sur son
état
actuel : « La jambe pouvait s'étendre complètem
oux touchaient le menton. Les pieds étaient dans l'extension. Cet
état
de douleur et de contracture se prolongea jusqu'e
n gauche du malade avant l'amputation du médius. Le second montre l'
état
actuel de cette même main. OBs. Pierre IIerth,
uté en août sans raison et sans douleur. Voici d'après M. Le Fort l'
état
du malade à cette époque : Le 30 septembre, à l
ontanément et tombait dans le pansement. Aujourd'hui 12 décembre, l'
état
local est le suivant. Le médius gauche est volu
ement aplatie l'éminence hypothénar nel'est que beaucoup moins. Cet
état
d'atrophie partielle de la main contraste avec
en convalescence d'où il revenait pour rentrer à la Salpêtrière.
ÉTAT
ACTUEL(6février 18(1)(t.'XXIX, XXX). -L'examen du
IE. 261 l'observation si complète que nous venons de rapporter, l'
état
du malade n'ayant pas sensiblement varié depuis
nflée et rouge. En effet le soir à cinq heures sa main était dans l'
état
suivant : OEdème coloré de la face dorsale du m
type parfait des dents dites « en gradins ». Le nez représente à l'
état
d'ébauche le nez dit « en lorgnette ». Enfin son
nge rien au fond des choses. Ce sera le cas ou jamais de désigner l'
état
morbide dont souffre notre malade sous le nom d
de plus en plus, le 23 février, il fut apporté à la clinique dans l'
état
suivant : État actuel. Le malade est constammen
peu diminué (il a été impossible de l'examiner à fond à cause de l'
état
psychique du patient). La compression des tronc
e faire un examen plus complet de la vue et du fond de l'oeil, vu l'
état
psychique du patient, quoique nous nous fussions
ne ni sucre; le soir la température était de 36 ? 2.1' février. L'
état
du malade est pire; l'état cyanolique du isi-c et
pérature était de 36 ? 2.1' février. L'état du malade est pire; l'
état
cyanolique du isi-c et des mains est plus marqu
it privé de connaissance ; de temps en temps il délire doucement. L'
état
cyanolique est très marqué ; le pouls est insen
ties environ- nantes. A l'examen microscopique de cette partie (à l'
état
frais), on trouva une énorme quantité de globul
tres parties du cerveau. La moelle allongée paraissait aussi en bon
état
, mais dans le quatrième ventricule l'épendyme éta
urs, gonflement et immo- bilité, presque permanente. Obligé par cet
état
à rester couché dès sa plus tendre enfance, son
t d'abord l'expression générale de la physionomie en rapport avec l'
état
ou l'alté- ration des facultés. Nous aurons l'o
conque et est séparé du tragus par l'incisure interlra- gienne. A l'
état
normal, le tragus et l'antitragus ne forment pas
e de dépression. La face interne ou crânienne du pavillon offre à l'
état
normal des saillies et des dépressions disposée
). Hélix. - La racine de l'hélix, comme nous l'avons vu, forme, à l'
état
normal, à la partie antérieure de la conque un
ibuant 'les caractères de l'oeil mongolique à la per- sistance d'un
état
foetal. -Ces caractères de l'oeil mongolique se r
l'oeil mongolique se ren- contrent parfois chez les Européens et l'
état
congénital particulier, décrit sous le nom d'ép
leur éruption et l'évolution du système dentaire. La denture est l'
état
du système dentaire au moment de l'observa- tio
x races supérieures (Darwin, Mantegazza). Pour l'observation de l'
état
actuel du système dentaire, la denture, je vous
iffre il partir de la gauche se rapporte à la demi-arcade droite. L'
état
du système dentaire doit être examiné au point de
du pénis, qui peut être petit, atrophié ou très développé, même à l'
état
de flaccidité, sa direction (torsion de la verge)
sont loin d'être rares, en particulier chez les mélancoli- ques ; l'
état
des ganglions et les cicatrices ganglionnaires (s
es ganglionnaires (scrofule, syphilis); la flaccidité de la peau, l'
état
du tissu cellulaire sous-cutané (dermatolysis,
s amenant une déviation du type normal qui place l'individu dans un
état
d'infériorité relative. Elles dénotent un arrêt
ologiques dites réversives qui sem- blent placer l'individu dans un
état
d'infériorité absolue en amenant une déviation
es zones ne sont pas hystérogènes. La région lombaire présente, à l'
état
très accusé, cette saillie normale qu'a signalé
ité. - Les membres inférieurs sont raides, en extension incomplète,
état
qui empêche d'obtenir les réflexes rotuliens. L
lgré plusieurs tentatives de chloroformisation et d'hypnotisation l'
état
de la malade ne s'améliora pas, et elle quitta
a dans le service de M. le professeur Cornil, toujours dans le même
état
. De longues considérations seraient ici superfl
ade entre chez Beni-Barde, à Auteuil, le 10 juin 1881, dans le même
état
; elle y reste trois mois et en sort sans améliora
ous n'avions obtenu d'autre résultat que le maintien favorable de l'
état
général sans aucune amé- lioration du côté des
inte d'oreillons qui ne présenta rien de particulier. En 1884, même
état
satisfaisant. En 1885, la malade se marie, elle é
e 1887, elle fut prise subitement de claudication déterminée par un
état
de faiblesse du membre inférieur droit. Cette cla
x yeux. `1cJ novembre 1887. La malade quitte l'hôpital dans le même
état
. Que l'hystérie soit en jeu chez cette malade,
s et ces signes probables d'hérédo- syphilis, la malade présente un
état
mental caractéristique; elle rit ou pleure sans
lalgie persistante, continue, mais entre- coupée de paroxysmes avec
état
fébrile et coloration marquée du visage. Il lui
a marche et la station debout. « Il y a là, nous écrit M. Sirot, un
état
paraplégique qui, vu l'antécédent paternel, me
formations rachitiques, mais qu'elle doit plutôt être rattachée aux
états
de dégénérescence dont elle constituerait un des
LA POITRINE. 337 Le tableau précédent résume, au point de vue de l'
état
mental et des signes physiques de dégénérescenc
dé- formation de la poitrine en avant : de convexe qu'elle- est à l'
état
normal, la paroi tho- racique antérieure devien
ts por- teurs de tares héréditaires plus ou moins lourdes et dont l'
état
mental est lui-même rarement indemne. Relativ
ut relever que d'une influence dégénérative. Pour ce qui est de l'
état
mental on constate aussi, comme nous le disions
jets porteurs du thorax en en- tonnoir d'autres malformations, leur
état
mental, leurs antécédents héréditaires psychopa
ice et créatrice, inter- vient pour constituer de toutes pièces les
états
dégénératifs, les dévia- tions du type normal d
ui cependant lient de l'une et de l'autre. Il ne se traduit, dans l'
état
ordinaire, par aucun signe objectif; le malade
le professeur Charcot, sous le nom de diathèse de contracture-. Cet
état
spécial du système neuro-musculaire tient de la p
l'hystérie. Elle a été désignée par quelques auteurs sous le nom d'
état
d'opportunité de 1. Nous pensons être agréable
ployé la dénomina- tion de diathèse de contracture pour désigner, l'
état
nerveux dont il s'agit et dont il plusieurs rep
de la contracture, in Prog. méd. 1880. · Ballet et Delanef, De l'
état
d'opportunité de contracture, in Gaz-, méd. de Pa
s, °-9 juillet 1882. Brunet, Elude clinique et physiologique de l'
état
d'opportunité de contracture. Th. Paris, 1883.
ubes, Eludes sur les contractures provoquées chez les hystériques à l'
état
de veille. Th. Bordeaux, 1885. P. Berbez, Sur
'exaltation des réflexes tendineux ne comporte pas nécessairement l'
état
de diathèse de contracture. 2° Trépidation épil
rique. Il acquiert une importance beaucoup plus considérable dans l'
état
de contracture latente des hémiplégiques organi
tôt l'une sur l'autre et ne tardent pas à se confondre dans un même
état
de contraction tonique analogue à la tétanisation
ste Fig. 03. incomplète et le muscle demeure raccourci. Il est en
état
de contrac- ture (fig. 64). c. Mais le plus s
te par un souffle ou un courant d'air léger; i. La suggestion à l'
état
de veille. Tous ces procédés dont on pourrait a
entôt d'elle- même. D'autres fois, on ne parvient qu'à provoquer un
état
de raideur permettant un certain déplacement de
raideur permettant un certain déplacement des parties comme dans l'
état
cata- leptoïde ou fausse catalepsie. Mais lorsq
s récemment délivrés d'une contracture spontanée et étant encore en
état
de diathèse de contracture, nous avons observé
hénomènes. Cette contracture, de même que celle provoquée pendant l'
état
hypnotique, est susceptible parfois, mais non t
tion ne cédera que sous l'influence d'une suggestion contraire. L'
état
hypnotique qui nous offre au plus haut degré cett
u'on vient de lui faire prendre par voie de suggestion pen- .dant l'
état
cataleptique, et l'on peut constater qu'il s'agit
st endormie de nouveau. La contracture persiste toujours. Pendant l'
état
léthargique, l'excitation mécanique des muscles e
s en vertu de l'hypcr- excitabilité neuro-musculaire, spéciale de l'
état
léthargique sont sans influence sur la contract
ntracture existante, et produite par impression psychique pendant l'
état
cataleptique. La malade est plongée alors dans l'
que pendant l'état cataleptique. La malade est plongée alors dans l'
état
somnam- bulique par la friction sur le sommet d
somnam- bulique par la friction sur le sommet de la tête. Dans cet
état
, l'hyperoxcita- bilité neuro-musculaire létharg
poing fermé de notre sujet. Enfin, le sujet est mis de nouveau en
état
de catalepsie. On attire alors son regard sur s
s la paume de la main que la malade dit être douloureuse. Pendant l'
état
léthargique, la contracture de la main en flexion
ique des muscles fléchisseurs. La malade est ensuite plongée dans l'
état
cataleptique. La suggestion est impuissante a r
contracture. Ensuite la contracture est détruite par le retour à l'
état
léthargique et l'excitation des antagonistes. P
pliqué un quart d'heure. On hypnotise à nouveau le sujet. Pendant l'
état
léthargique, l'excitation mécanique des muscles
nd, mais le poing reste toujours fermé. La malade est alors mise en
état
de catalepsie : le regard est attiré sur la main
vient il bout de cette contracture obtenue par les passes pendant l'
état
som- DIATHÈSE DE CONTRACTURE. 351 nambulique.
'en sont pas moins intéressants. Ils éclairent les autres. Dans l'
état
de veille, dans la diathèse de contracture, des p
hystérie, tant s'en faut. En comprenant les cas où elle existe il l'
état
le plus rudimentaire révélé par la ligature éla
ou moins étendues. Les parties anesthésiées sont seules parfois en
état
de diathèse de contracture. D'autres fois, il e
Boulogne 3a°3 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. parle d'un
état
de parésie hystérique s'accompagnant de contractu
uelconque, d'une manière réflexe, et qui se rapporte évidemment à l'
état
de diathèse de contracture. Il cite l'observati
sur lequel l'impression du vent fut perçue, demeurait dans le même
état
qu'auparavant. M. Pitres a signalé des cas analog
oloration bleuâtre, asphyxique des parties'. Chez quelques-uns, cet
état
asphyxique s'accom- pagne d'une tuméfaction gén
prononcé pour que les- mouvements en soient gênes. En général, cet
état
asphyxique est limité aux extrémités; aux pieds
fois plus haut, etlatcinte violacée envahit jusqu'au poi- gnet. Cet
état
augmente sous l'influence du froid, et il paraît
is pas que jusqu'à présent on ait signalé de cas dans lesquels- cet
état
se soit montré généralisé; aussi l'observation su
ine voisine, 3 f ? u. Peu à peu la recrudescence douloureuse de l'
état
asphyxique des pieds NOTE SUR L'ASPHYXIE LOCALE
l et nous n'y avons jamais trouvé rien d'anormal, aucune trace de l'
état
des vaisseaux signalé par Maurice Raynaud dans le
lement la même. Il y a deux mois, ces accidents se sont aggravés. L'
état
général, jusque-là indemne, f) s'est altéré et
e " d'une déviation latérale de cet organe, pas plus du reste que l'
état
du voile du palais. En tout cas, il y a glossop
point de vue physique et intellectuel, le petit malade est dans un
état
de torpeur assez accentué. Il ne se tient pour ai
ngitiques commencent à se calmer; la fièvre persiste cependant et l'
état
général est assez mauvais. On essaie de l'élec-
it revient et, le 27 mai 1890, elle quitte l'hôpital Necker dans un
état
général satisfaisant et pourainsi dire complèteme
it le diagnostic de tuberculose pulmonaire. Elle resta dans le même
état
jusqu'au 10 septembre. Ce jour-là, elle se leva e
atoire à la nuque. Elle était très mal et on l'a crue mourante. Cet
état
a duré jusqu'au 3 octobre. Etat a2t 5 octobre 1
lle n'accuse aucun phénomène nouveau, ne veut pas entendre parler d'
état
névro- pathique et concède simplement un caract
soit prouvé rigoureusement. Le rhumatisme est facile à éliminer; l'
état
des articulations, l'alternance des manifestati
désigné sous le nom expressif d'astasie et d'aba- sie. C'est là un
état
morbide sur lequel M. le professeur Charcot est
ée. Tous les mouvements sont possibles, quoique plus faibles qu'à l'
état
normal; ils sont faciles dans les divers 384 NO
e spécial caractérisé surtout par une humeur mobile et fantasque. L'
état
gé- néral est bon, l'appétit conservé, la diges
t, dans ce cas, d'hystérie simulatrice. La marche de l'affection, l'
état
psychique spécial, l'intégrité de l'état général,
a marche de l'affection, l'état psychique spécial, l'intégrité de l'
état
général, viennent encore plaider dans ce sens.
ue les tabes précoces sont ordinairement des tabes malins. Et ici l'
état
général est parfait. En résumé, il ne peut êt
sez versatile; il passe tout son temps au lit. L'appétit est bon, l'
état
général aussi. Dans les divers viscères, rien à
r, il est vrai, si tout ce complexus morbide ne relèverait pas d'un
état
infectieux, d'une névrite toxique; mais celle-c
on. » Dans tous les cas, rien n'est plus délicat que de saisir, à l'
état
naissant, les premières manifestations de la se
de cette contracture. Le lendemain, les mains étaient dans le même
état
, la malade se sentant en outre fatiguée est res
UES « SIMULATEURS ». 421 M... resta une quinzaine de jours dans cet
état
, puis l'oedème et les douleurs disparurent peu
placé par M. Ballet, et y reste trois mois sans amélioration de son
état
. Le 7 février 1890 il revient à l'Hôtel- Dieu.
il recommença à pouvoir marcher avec îles béquilles. C'est dans cet
état
qu'il se présenta le 1 i. la consultation de M.
i atrophié. L'orbiculaire des lèvres ne paraît pas participer à cet
état
, quoique le malade ne puisse ni souffler, ni si
que nous ignorerons les limites pré- cises de ce champ visuel il l'
état
normal. Ce rétrécissement ne saurait donc avoir
rement concentrique; les limites du rouge sont plus étendues qu'a l'
état
normal, son cercle est transposé en dehors; dans
hénomènes nerveux que cette malade a présentés à deux reprises, son
état
psychique, le début brusque (quoique ce mode de
= 35°. Le phénomène de la démographie1, qui est très manifeste à l'
état
normal chez ce sujet, est exagéré. L... accuse
r, L..., qui n'a pas eu d'accès depuis dix jours, est tombé dans un
état
d'apathie. Il ne se plaint d'aucune souffrance pa
blissement du côté droit n'est pas plus marqué que d'ordinaire. Cet
état
qui n'est pas d'origine toxique, le malade ne p
re après la mort, la température monte à 41,8. Depuis le début de l'
état
de mal, il avait eu 108 accès,- et depuis le 24
ans surveillance. Après une des séances le malade est tombé dans un
état
comateux et est mort dans les vingt- quatre heu
e malade eut une crise gastrique suivie au bout de trois jours d'un
état
comateux et de mort9. Erb rapporte un cas ana
t observé le plus souvent le retour du sommeil, l'amélioration de l'
état
général, du signe de Romberg et des troubles de
es symptômes graves. L'amélioration porte surtout sur le sommeil, l'
état
général et les symptômes médullaires. Les sympt
'accoutumance pour la suspension; et comme ce traitement améliore l'
état
général, on peut y avoir recours pendant de lon
la paralysie agitante les résultats obtenus ne se rapportent qu'à l'
état
général, aux paresthésies, à la rigidité muscu-
s'améliorent, mais comment expliquer alors les aggravations de leur
état
ou la mort ? Il faut remarquer en outre que qua
ui ont suivi la suspension nous forcent à admettre l'existence d'un
état
inflammatoire localisé proba- blement dans la p
'hystérie convulsive. ' La planche XLVlf, fort rare, est le premier
état
de la planche XLYI. La planche LV111 se passe d
n leur enseigne la menuiserie, la serrurerie, la cordon- nerie, les
états
de tailleurs, de vanniers et de rempailleurs de
et aussi après un stage d'observation qui leur permet de choisir l'
état
qui leur convient le mieux. - On ob- tient d'as
et quelques bourrages qui ont exigé près de deux mois à cause de l'
état
des anciennes carrières existant à cet endroit.
plus d'accès mais étant atteints d'infirmités les mettant hors d'
état
de gagner leur vie au dehors). Grâce à ces préc
'observation plus loin, fut également atteint d'érysipèle, mais son
état
intellectuel ne parut nul- lement modifié par c
l Science, vol. XXII, 1876, p. 261). 10 IDIOTIE CRÉTINO1DE. l'
état
normal; il présentait sur ses bords une petite sa
étaient tortueux; la substance corticale était plus épaisse qu'à l'
état
normal. Il n'y avait pas traces de glande thyro
. - Un nouvel examen du malade montre peu do chan- gements dans son
état
. Les paupières gauches sont plus bouffies qu'à
i,22 en 1882; 1 ? 3 en 1884; li,25 en 1885; 1m,27 en août 1886. L'
état
intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la
L'enfant reste pendant tout le jour assis devant une table, dans un
état
d'inertie et d'obtusion intellectuelle complète
oigt et ne disparaît pas par la pres- sion. La main gauche offre un
état
analogue, bien qu'à un degré moins marqué. Au
sommeil est tranquille, l'après-midi tout entière se passe dans un
état
de demi-somnolence et d'immobilité. Jamais depuis
CHEXIE PACHYDERMIQUE. 29 9 elle se limite par un léger bourrelet. L'
état
des téguments (par suite de la cachexie pachyde
xie pachydermique) empêche d'explorer les gan- glions.-Peau chaude,
état
saburral des premières voies digestives. 24. -
igt laisse une empreinte. On ne peut que présumer l'érysipèle, vu l'
état
ordinaire de la peau; pas d'ap- pétit ; un vomi
. De même, la rougeur descend sur le côté droit jusqu'au poignet; l'
état
général estbon. -'1·. R. 38°,6. - Soir : 38°,6.
- Soir : 38°,6. 10. - Les doigts sont envahis par l'érysipèle, l'
état
général est bon. T. R. 380 ? - Soir : 38°6. F
stationnaire. 32 IDIOTIE C12R'rINOIDE. 27. Th... est revenu à son
état
habituel, et est très gai. 1881. Juillet. - Poi
e. Les gencives, un peu décollées, mais relativement en assez bon
état
, forment un bourrelet autour des dents et des rac
ni tuméfiés, ni douloureux. T. R. 371,6. - Soir 37°,6. 11. - Même
état
. T. R. 37°,4 . - Soir : 37°,7. 12. - La tuméfac
e; les deux oieillettes sont dilatées. La graisse qui se trouve à l'
état
normal dans les sillons est ici beaucoup moins
phère gauche.- La scissure de Sylvius (l'r.. II, Sc. S.) laisse à l'
état
frais une partie de l'insula à découvert; après u
la malade de Curling, ces érysipèles n'ont nullement amélioré son
état
intellectuel. Le traitement (toniques, bains sa
ain; il était devenu, au moins par moments, plus expansif, mais son
état
intellectuel ne s'était pas sensiblement modifi
CHEXIE PACHYDERMIQUE. 51 renseignements que ceux qui concernent son
état
actuel, 111. Lalo, étudiant en médecine, qui a
le soir, à 6h. 1/2, 34°. Respiration lente et inégale. 16. - Même
état
. Le malin, à 8 h., T. ax. 34° 6. Le soir, à 7 h
pour désigner le myxoedème des auteurs anglais ou une forme de l'
état
crétinoïde de M. Baillarger. La physionomie de
nduisit à l'examen général de l'enfant, et nous constatâmes le même
état
de la peau sur les membres supérieurs et inféri
alade reste couchée dans son lit, grande gâteuse, immobile, dans un
état
de mutisme absolu, triste et silencieuse ; elle
eds et sur les jambes, où la circulation est si pauvre qu'il y a un
état
chronique d'engelures. La .'peau est sèche et d
e qui rendraient compte de la persistance de l'amé- norrhée et de l'
état
infantile des organes génitaux externes et inte
cette absence qu'il faut rattacher le myxoedème d'abord, ensuite l'
état
crétinoïde. Eu 1882, M. Bail a présenté à diffé
ssent avec régularité. Tous les sens spéciaux paraissent être à l'
état
normal et la sensibilité tactile ne laisse rien
ographie, semblent avoir été atteints de pseudo- oedème dur', par l'
état
de la dentition, delà peau, la sen- sibilitéau
la Salpêtrière. « Le second point, ajoute M. Bail, se rattache à l'
état
d'ossifi- cation des parois crâniennes. D'après
principales causes du crétinisme. Or, nous avons affaire, ici, à un
état
abso- lum,ent inverse : il y a défaut d'ossific
cial, à supposer que le crétinisme vrai ne se rapproche pas de l'
état
myxoedémateux, il s'agit d'un crétinisme spécia
é gauche, la dent cor- respondante du côté opposé apparaissait. L'
état
de la langue était remarquable. Elle était trop g
lar- geur exceptionnelle, elle était normale. Le corps était en bon
état
, mais un peu petit. Ce bon état paraissait être
tait normale. Le corps était en bon état, mais un peu petit. Ce bon
état
paraissait être dû à un excès de la graisse sou
blance de son cas avec le myxoedème de l'adulte, ne croit pas à l'
état
crétinoïde avec cachexie pachydermique. Le diag
cependant devoir être posé assez clairement, si l'on considère l'
état
intellectuel et physique de la malade, les masses
it par la tumeur volumineuse du cou que présentait ce malade. Cet
état
crétinoïde des idiots myxoedémateux per- met de
e d'être remise à l'étude ; il serait intéressant de s'assurer de l'
état
de la glande thyroïde chez les crétins complets
complète; souvent, par exemple, il n'y est fait aucune mention de l'
état
de la glande thyroïde. Parmi les observations q
ent élargis, et contiennent parfois des granulations laiteuses. A l'
état
frais, les vaisseaux corticaux, enlevés à la pi
qui ne permet que difficile- ment dese rendre un compte exact de l'
état
du cou, des pieds, etc. Toutefois, cette photog
yspnée ; alourdissement corporel et intellectuel; six mois après, l'
état
est encore plus marqué, la dyspnée plus forte n
e nécessite la trachéotomie; rapide améliora- tion consécutive de l'
état
général. En 1886, les symptômes de la cachexie
ythénoïdes difficille; électricité, ferrugineux ; amélioration de l'
état
général. Elle peut reprendre son travail de cou
. L'auteur pense que si on les avait opérés avant l'apparition de l'
état
crétinoïde, celui-ci aurait été attribué à l'op
erd beaucoup de sa valeur du fait qu'il ne donne aucun détail sur l'
état
des corps thyroïdes extirpés; on comprend très
démateux. Depuis longtemps déjà notre attention a été appelée sur l'
état
de la glande thyroïde chez les idiots, et sans
evée : M. Horsley rapporte les symptômes observés par lui à trois
états
successifs : 1° période nerveuse; 2° période mu
quer pourquoi, chez l'homme, la thyroïdectomie semble produire un
état
myxoedémateux susceptible d'amélioration, dont
mique à la suite de l'extirpation du goitre en deux temps éloignés (
état
qui se i approcherait de ce qui se passe dans le
survie de cinquante-deux jours; un autre chien dont nous ignorons l'
état
ultérieur, ne présentait encore aucun phénomène
que (inconnu) de l'organisme dont la neutralisation s'opérerait à l'
état
normal, dans la glande thyroïde. La théorie tox
le siège, en empêchant totalement son fonctionnement, produisent un
état
crétinoïde assez voisin du crétinisme avec ou s
lle avait des « crises d'idées noires, » elle pensait à mourir. Cet
état
durait depuis la naissance de son dernier enfan
se mettait à crier qu'il avait peur. Après six mois passés dans cet
état
, il eut des étourdissements le prenant deux foi
les jours suivants il devint triste, ses yeux étaient égarés et cet
état
dura jusqu'à la fin de la fièvre. Quand celle-c
bien renseigné sur les sens ; c'est ainsi qu'on ne peut apprécier l'
état
de la vue ; les yeux sont grands, l'iris est br
du lait et du bouillon. En résumé, légère rémission. 18 mai. Même
état
; Hoël... est assez tranquille, sauf quand on v
tels qu'ils ont été pris (huile de ricin, 15 grammes.) 29 ? nai. L'
état
de Hoël... ne s'est pas modifié, l'abatte- ment
ouls toujours fréquent, mais régulier et plus ample. 2 juin. Même
état
, pas de garde-robes depuis quatre jours malgré
un abaissement de la température. Raideur de la nuque. 19 juin. L'
état
du malade ne s'est guère modifié : même aspect
umeur de la protubérance est constituée par du tubercule massif à l'
état
caséeux. Les masses caséeuses, irrégulières, so
l'entrée de l'enfant, disparition du ptosis. Le surlendemain, même
état
, sueurs, mort. ' A l'autopsie : méningite de la
nérale. 30 août. Le bras gauche commence à se contracturer; même
état
général. Le malade n'est plus observé. 11 octob
ir de la tête. Le lendemain, il avait de la paralysie faciale et un
état
nauséeux avec vomissements. Depuis quelque temps
t seulement diminuée. Le goût et l'odorat sont normaux. 4 juin. L'
état
de l'enfant s'aggrave. Il éprouve de la diffi-
par du strabisme passager de l'oeil gauche et se continua par un
état
fébrile sur lequel nous manquons de renseignement
était très irrégulier et la température un peu élevée (38°,8). L'
état
du malade s'aggrava presque constamment, c'est
en soit, dans les jours qui précédèrent la mort, l'aggravation de l'
état
de IIoël... se traduisit par un amaigrissement
39°,2. 28 avril. Les traits sont un peu grippés; l'enfant est en
état
de demi-conscience; quand on l'interpelle, il reg
de liquide céphalo-rachidien en quantité un peu plus grande qu'à l'
état
normal. Quelques petites adhérences avec la dur
ennes, présentent à son maximum une altération dont on retrouve des
états
différents sur toutes les couches. Elles sont d
t n'offrent pas de pro- longements distincts. Enfin, à un troisième
état
, on ne voit qu'un noyau sphérique, avec un peti
'on voit dans un même champ du microscope, sont à peu près aumême
état
; tandis que, plus loin, on rencontre des groupes
ndis que, plus loin, on rencontre des groupes de cel- lules à autre
état
. Les capillaires dans ces deux couches sont ram
es nerveuses, disparition qui nous est expliquée par les différents
états
aboutissant à l'atrophie que l'on peut observer
granuleuses, remplissent les culs-de-sac et paraissent revenues à l'
état
indifférent. I. L'existence d'une intoxication
e côté gauche du corps et cette prédominance se remarqua durant les
états
de mal convulsifs qui survinrent à des interval
ée a disparu. Le sommeil est bon. Pas de fièvre. 19 Février. Même
état
, mais à l'inspection de la bouche on trouve des
hérédité a exercé, dans ce cas, une influence notable qu'explique l'
état
nerveux du père, et l'aliénation antérieure de
minaient par l'apparition d'écume aux lèvres. Pendant deux ans, son
état
est resté à peu près le même. DESCRIPTION DU MA
16 février. Hier, il a bu un peu de lait; ce matin, il est dans l'
état
suivant : les sourcils sont froncés, les paupière
onne ; l'enfant ne s'est pas plaint ; le matin, il est dans le même
état
et dans la même attitude ; somnolence continuel
pincées ; la bouche était toute grande ouverte sans déviation. Cet
état
aurait duré 3 à 4 minutes, d'après la surveilla
nulle part elles ne sont groupées par nids comme on les trouve à l'
état
normal dans les régions motrices, ainsi que l'a
loin. Ces lésions sont générales et diffuses. Il n'y a nulle part d'
état
pigmentaire des cellules, ni rien d'analogue à
nulle part d'état pigmentaire des cellules, ni rien d'analogue à l'
état
hyalin si développé que l'on observe à la pério
s et laudanisés ; bismuth. 21 septembre. La diarrhée a cessé,mais l'
état
général est le môme. Traitement : Bagnols et po
môme. Traitement : Bagnols et poudre de viande, etc. 10 novembre. L'
état
de la dentition est le suivant : dents de lait,
se- ment et semblent correspondre à une lésion plus avancée que l'
état
chagriné qui coexiste sur l'hémisphère. Sur l'h
mamelonnée et offre uno surface irrégulière qui paraît être due à l'
état
chagriné poussé à l'extrême et dont le centre e
che fibril- laire névroglique. Au-dessous, elle se montre sous deux
états
différents : sur certains points, la sériation
ules bout à bout beaucoup plus distantes les unes des autres qu'à l'
état
normal et séparées par du tissu névroglique àpe
nés sur des coupes et ne présentaient pas d'autres lésions que leur
état
légèrement alrophique, semblable 1 celui qu'on tr
ingo-encéphalite qui ont enlevé le malade à l'âge de 7 ans. II. L'
état
de P..., à l'époque de son admission dans le se
s les cellules qui meurent de cette façon nous ont montré les trois
états
successifs de tuméfaction hyaline, d'état granu
ous ont montré les trois états successifs de tuméfaction hyaline, d'
état
granuleux et de désintégration moléculaire comp
domestique, enceinte de trois mois, sans avoir connaissance de son
état
, car elle avait eu ses règles aux époques ordin
ement parler nerveuse ; elle semble être atteinte simplement de cet
état
nerveux encore peu défini décrit sous le nom de
SE. 205 ment être examinés. La constatation, par Mme Forino, de l'
état
normal du placenta, des membranes, de la situatio
ir son père et sa mère. Au début, les accès étaient annoncés par un
état
de ma- laise, d'abattement et de tristesse qui
examinerons les singulières assertions de l'auteur relativement à l'
état
de mal épi- leptique et nous ferons voir qu'il
n aussi nette, en ce qui con- cerne les petites séries d'accès et l'
état
de mal épilep- tique. Conclusions. 1° Les acc
SÉRIELS d'épilepsie. Les accès d'épilepsie se présentent tantôt à l'
état
isolé, tantôt sous forme de séries. Dans ce der
es sur l'épilepsie et l'hystérie, pages 1 à 9h. Paris. 1876. - De l'
état
de mal épileptique, thèse de A. Leroy ; Paris,
avec l'absence d'hyperthermie, à distinguer les séries d'accès de l'
état
de mal épileptique. Bourneville, 1886. 16 234
de mal épileptique. Bourneville, 1886. 16 234 TEMPÉRATURE DANS L'
ÉTAT
DE MAL. III. DE LA TEMPÉRATURE DANS L'ETAT DE M
velles, qu'il pré- tend ajouter à nos connaissances actuelles sur l'
état
de mal épileptique. « D'ordinaire, écrit M. W
st d'ordi- naire, quoique non toujours, modifiée conformément à cet
état
do chose L'ascension demande généralement quelq
lusieurs jours. (1) Ceci est vrai pour quelques cas, mais souvent l'
état
de mal débute brusquement. OPINION DE M. WITK
tion fébrile la plus connue des épileptiques, à ce qu'on a appelé l'
état
de mal épileptique, une invasion invariablement
cte des opinions de M. Witkowski, et, en comparant son tableau do l'
état
de mal épileptique à la description que nous av
et que nous répétons, en fournira une première démonstration. « L'
état
de mal épileptique, avons-nous dit, est ca- rac
ce sujet, les notes des pages 2 ? 6 et 232. 236 TEMPÉRATURE DANS L'
ÉTAT
DE MAL. - ration.; 5° et surtout par une élévat
ccroît même quand ils ont cessé. » . Nous avons distingué, dans l'
état
de mal épileptique, deux périodes, comme le fai
près nous, Flg. 23. - Tracé de la température rectale dans un cas d'
état
de mal type, terminé par la guérison. -, T. pri
ervations rigoureuses. Nous avons insisté sur la TEMPÉRATURE DANS L'
ÉTAT
DE MAL. 237 marche, la durée, le traitement e
marche, la durée, le traitement et l'anatomie pathol9,. gique de l'
état
de mal. De même que M. Witkowski, mais encore a
e même que M. Witkowski, mais encore avant lui, nous avons vu que l'
état
de mal pouvait être constitué uniquement par la
itué uniquement par la période con- Fi r. 35.-Tampératnre dans un
état
de mal limité à la péiiode convulsive. - , T. a
la mort.+ T. 8 heures après la mort. Fig. 25.-Tempéralure dans un
état
de mal terminé par la mort à la période méningi
que; la mort survenait enfin que dans '23H 8 TEMPÉRATURE DANS l'
ÉTAT
DE MAL. d'autres circonstances l'état de mal se
s '23H 8 TEMPÉRATURE DANS l'ÉTAT DE MAL. d'autres circonstances l'
état
de mal se terminait par .la guérison. Nous av
porté, en 1870, l'observation d'une malade, Chevall..., qui a eu un
état
de mal épileptique dans son type le plus parfai
ngitique. Quelque temps après, cette malade a été prise d'un nouvel
état
de mal, limité à la période convulsive et auque
érature centrale, celle de la période convulsive. Un exemple de l'
état
de mal terminé par la mort du- rant la période
en une heure. Après le dernier, alors que l'enfant était dans un
état
comateux, la température rectale était à 41°. Les
ermine parla mort. (fin. 25). L'observation suivante, relative à un
état
de mal qui, comme le second état de mal de Chev
bservation suivante, relative à un état de mal qui, comme le second
état
de mal de Chevall..., a eu une issue fatale, pe
de là période convulsive. (1) Le nombre des accès qui constituent l'
état
do mal est très variable; il peut être inférieu
- Asphyxie légère à la naissance.-Premières convulsions à six mois (
état
de mal).- De six mois à onze ans, fréquents ret
n âge. La tête est assez régulièrement ovoïde. 242 OBSERVATION. '
ÉTAT
DE MAL ÉPILEPTIQUE. 243 Traitement : Ecole, gym
dilatées, la gauche un peu plus que la Fig. 26. Température dans un
état
de mal terminé par la mort. , T. 1/4 d'heme ,il).
de distance du début de sa courbe ; cetto scis- TEMPÉRATURE DANS L'
ÉTAT
DE MAL. 249 sure est de nouveau coupée par un p
ure centrale a été prise à des intervalles rapprochés dans ce cas d'
état
de mal, dont la marche a un peu différé des cas
onsidéré dans Bourneville, 188G. 1 ? -1 250 .TEMPÉRATURE DANS L'
ÉTAT
DE MAL. son ensemble nous présente une élévatio
ésente la fig. 27 ; il montre la marche de la température dans un
état
de mal qui s'est terminé en trente heures. La m
i ont précédé la mort. L'abaissement Fig. 27. - Température dans un
état
do mal épileptique limité la période convulsive
e do la marche de la température dans les principales formes de l'
état
de mal épileptique (2). (1) Voir : Bourneville.
fixes sont sub- conscientes, mais on en retrouve la pensée dans des
états
som- nambuliques ou par les procédés qui permet
mou- vement par un effort de volonté ou par l'intermédiaire d'un
état
affectif 3. Cette réapparition rapide et cette co
r beaucoup d'auteurs, les hystériques, disait M. Féré, sont dans un
état
permanent de fatigue psychique qui se tra- ' Ce
suffisance. Il s'agit d'une faiblesse de l'attention, ou mieux d'un
état
de distraction perpétuelle que l'on constate fa
mpressions qui devraient le frapper '. Si on cherche à vérifier cet
état
de l'esprit d'une manière plus pré- cise, on co
156. DEFINITIONS RECENTES DE LHYSTERIE. 1 plus simple. « C'est un
état
exagéré de distraction', qui n'est pas momentan
une attention volontaire dirigée uniquement dans un sens ; c'est un
état
de distraction naturelle et perpétuelle, qui em
une longue chaîne qui se prolonge dans un seul sens. Chacun de ces
états
successifs est en réalité complexe, il ren- fer
u par la mémoire la partition de l'opéra, réunit dans chacun de ses
états
de conscience un nombre immense de faits. L'ind
ntal, le minus habens conscientix, si nous pouvons exprimer ainsi l'
état
mental de cet individu très intel- lignent peut
uinon, sont des phénomènes cérébraux, l'hémianesthésie également, l'
état
mental, syndrome important chez les hystériques
xes, elles ont des émotions persistantes et les émotions sont des
états
complexes de tout l'organisme dans lesquels se mê
nettement distincte de la première et alternant avec elle, c'est un
état
dans lequel les phénomènes intellectuels sont a
t cependant suivi d'une amnésie complète quand le sujet revient à l'
état
normal et ces souve- nirs ne se retrouvent que
l'état normal et ces souve- nirs ne se retrouvent que dans un autre
état
analogue. Sans doute il y a mille degrés et com
avail arrivent à la même conclu- sion : D'après M. Strumpell, « les
états
hypnotiques et les manifestations hystériques s
es sont au fond étroitement unis ». Pour MM.'Breuer et Freud, « les
états
hypnoïdes et les phé- nomènes hystériques sont
émoratifs, la nature des accidents qui précèdent ou qui terminent l'
état
second. Nous insistons surtout avec, cet auteur
us continuons ces études de diagnostic, nous rencon- trons d'autres
états
mentaux qu'il faut comparer avec'celui de l'hys
nt des ivresses, des délires qui sont très souvent semblables à des
états
hysté- riques. Nous avions insisté autrefois su
a dégénérescence mentale et de l'hys- térie, 1888. II. Colin. - L'
état
mental des hystériques. 1890. DÉFINITIONS RÉCEN
e les phénomènes d'automatisme et de désagrégation dépendent d'un
état
qui est maladif, mais qui n'est pas uniquement hy
at qui est maladif, mais qui n'est pas uniquement hys- térique. Cet
état
serait au contraire plus large de beaucoup que
tériques, disaient MM. Breuer et Freud, sont raisonnables dans leur
état
éveillé et aliénées dans 2G REVUE GÉNÉRALE. l
s dans leur état éveillé et aliénées dans 2G REVUE GÉNÉRALE. leur
état
hypnoïde'. » C'est cette séparation nette des phé
es, elle est beaucoup plus complète dans cette maladie que dans les
états
psychasthé- niques. CONCLUSION. Nous n'avon
puberté physique qui a cepen- dant une grande influence, mais d'un
état
qui vient un peu plus tard et que l'on pourrait
aites depuis longtemps par les méde- cins et les psychologues sur l'
état
mental des hystériques. CLINIQUE NERVEUSE, QU
CLINIQUE NERVEUSE. organique, elle reproduit l'aphasie motrice à l'
état
d'isole- ment, et ce qui est chose inouïe dans
inution de l'excitabilité ou d'une qualité physiologique qui dans l'
état
normal reste constante ou varie dans des limite
l'altération organique. Supposons que le tissu nerveux soit dans un
état
d'anémie passagère, son excitabilité sera dimin
e. Celle-ci naît avec la société et se complique avec ellejusqu'à l'
état
où nous la voyons aujourd'hui : c'est une vérit
al ofinsanity, 1892.) E. B. VIII. MÉTHODE D'EXAMEN DU CERVEAU A L'
ÉTAT
FRAIS; par le Dr 111NDRED. L'auteur décrit le
pour les leucocytes amassés autour des parois vasculaires dans les
états
inflammatoires aigus ou chroniques, on aura de
'audition, s'ac- compagne facilement de convulsions épileptiques, d'
états
d'imbé- cillité ou d'idiotie, qui sont ordinair
e corticale, il ne s'en suit pas que cette aire cérébrale soit, à l'
état
sain, le siège d'une impulsion volontaire, pour
t dû à ia grande résistance dans la circulation périphérique et à l'
état
tortueux con- sécutif du système artériel. J.-B
femme atteinte de myxcedème, dans le but de permettre de comparer l'
état
actuel de la malade avec celui qui se produira
u, la dé- marche est devenue plus ferme et la scoliose a diminué. L'
état
psychique s'est amélioré, la céphalée est deven
litation, l'intelligence; par des études sévères, je me suis mis en
état
de défendre ses droits et ses intérêts, j'ai voul
autres des conditions qui viennent d'être rappelées ils sont hors d'
état
d'employer utilement la partie saine de leur ac
essé de questions par le magistrat, il s'est retranché derrière son
état
de « sujet ». S'il a écrit et em- prunté quoi q
t à de fré- quentes maladies. Depuis quatre jours, il était dans un
état
de surexcitation extrême et, subitement, avant-
de blessure grave. M. Delamarre, commissaire de police, a mis en
état
d'arresta- tion la dame Quintallet, qui a été e
um et des bains sulfureux. Après deux mois de séjour à l'hôpital, l'
état
du malade s'amé- liore ; la marche devient plus
près la chute de la fièvre, il se trouve bien de nouveau, et dans l'
état
d'amélioration où il était avant sa fièvre typh
nt sa fièvre typhoïde. Au mois de mars 1890, -en même temps qu'un
état
fébrile assez marqué, des mouvements involontai
roite. 31 décembre. Matin, T. 39°. Soir, T. 40°,4. P. liO, 112. L'
état
général paraît bon. Soif assez intense. La contra
uve d'ailleurs bien; on défait le pansement. La plaie parait en bon
état
, on n'y touche pas. Le soir l'agitation a augme
rois ans après le début, le malade est déjà depuis longtemps hors d'
état
de travailler ; à cette époque, -j'attire l'att
oir exactement de quelle façon se fait la restauration et dans quel
état
étaient les cylindres DES TUMEURS NÉVROGLIQUES
à la cessation'' des 'règles. Quelquefois aussi'elle accompagne. un
état
de' malldont'elle ne dépend nulle- ! ment.*1- E
t-être'à une extension ou à une intensité plus ou moins grande de l'
état
morbide.' Sou observation5 dans laquelle à côté
trois semaines, il's'est produit une amé- lioration marquée dans l'
état
général du malade. 11 est naturelle;- . 1 ment
.), ), 1 , ; , Durée : 17 jours. Etude absente au point de vue de l'
état
de la physiologie de la nutrition. ' ' ''J'1'"
peu plus fréquente paraît-elle être quand elle' accompagne certains
états
spasmodiquesdes divers muscles siégeant du côté o
tions. Peut-être faut-il y joindre ce trois sième caractère, qu'à l'
état
de, repos'la^ paresie est extrêmement accentuée
mblent à des paralytiques. 148 REVUE, DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Cet
état
peut subsiste^ très longtemps. En) même temps, on
'à ta guérison. Intégrité des muscles, surtout si ,1'on considère l'
état
satisfaisant, de la nutrition chez,une personne
trau- matisme du bras, présenta au bout d'une douzaine de jours un
état
d'excitation, avec douleur de tête intense, élé
opinion de sa mère et des infirmières,,dui l'ont) gardé est que son
état
mental s'est amélioré, il est moins agité et mo
on'1lit ? aiÚ,sI;t'àve,c des livres dont il regarde les images. Son
état
physique est excellent.1 A'sept heures de l'après
as d'en- lever les points de sutures avant"un jour ou^deux'; mais l'
état
de l'enfant est si satisfaisant que je vais les
alades en'Angleterre.'L'un mourut quel ? qu'es jours après, d'un' 1
état
f,'d'hyperpyrexie' : L'autre 'malade'' guérit e
eSt ap' pelé un jour auprès* d'une malade urémique,' présentant un
état
maniaque'. Le pouls était' mauvais,'la températ
microcéphalie était due à une synostose prématurée, en disant que l'
état
est dû au développe- ment vicieux du cerveau, e
craindre quand le poids du corps du malade aug- mente tandis que l'
état
mental, qui s'était d'abord amélioré, rétro- cè
t à faire un ouvrage clair et à simplifier l'exposé de ces nombreux
états
qu'on range un peu à tort et à travers aujourd'
mmepourM. Charcot, l'expression di- recte, sans intermédiaire, d'un
état
particulier de névropathie, que la neurasthésie
a masse des accidents névropathiques. P. S. III. Contribution à l'
état
mental des hystériques ; par le Dr Long- bois (
vec prudence. Le but à atteindre est de maintenir le malade dans un
état
de bromisme imminent, état qui se reconnaît à l
dre est de maintenir le malade dans un état de bromisme imminent,
état
qui se reconnaît à la perte du réflexe pharyngien
t comme boisson de l'eau très chaude. Le repos, la suggestion à l'
état
de veille, l'isolement, l'hydro- thérapie, la g
nts qui, à raison d'infirmités corporelles ou mentales, sont hors d'
état
de fré- queuter une école, ni les enfants moral
, poitrinaire, et deux de ses frères sont morts de la poitrine. Son
état
actuel a été précédé d'une série de crises hyst
du nouvel An, et c'est très peu de temps après qu'elle tomba dans l'
état
où elle se trouve encore aujourd'hui. Pendant s
dans la chambre où la malade re- posait. - Quel que puisse être l'
état
de cette personne au début, il n'est pas douteu
les caractères physiologiques facilement ap- préciables des divers
états
et phénomènes nerveux produits ; de se renferme
ois jours à s'exciter, le second est retombé tout de suite dans son
état
antérieur. D'une manière générale il résulte de
s. Cette influence sédative a été minu- tieusement contrôlée, car l'
état
de chaque malade, du réveil au coucher, a été r
l'agitation revient progressivement, si bien qu'après cinq jours l'
état
antérieur a reparu. Reprise de la duboisine à 1
ppression pour contrôle, mais après vingt-quatre heures retour de l'
état
antérieur. Reprise dé la, duboisine à 1 milligram
ué oblige à abandonner le traitement; dès le lendemain, retour de l'
état
antérieur. La médication a duré quarante jours
ont encore plus intéressants, car ils ont nettement différé selon l'
état
aigu ou chronique. Dans ce dernier, l'accoutuma
ression pour contrôle, mais après quarante-huit heures, retour de l'
état
antérieur. Reprise de la duboisine à la même do
pression pour contrôle, mais après vingt-quatre heures, retour de l'
état
antérieur. Reprise de la duboisine à la même do
ppression pour contrôle et de nouveau, après vingt-quatre heures, l'
état
antérieur a reparu. De- rechef, on prescrit 1 m
et la sédation obtenue se maintient quatre jours, puis retour de l'
état
antérieur. Reprise de la duboisine à la dose de
on, le malade n'eût pris que 42 milligrammes de duboisine. Dans l'
état
aigu, les résultats ont été moins bien satisfai-
édative DE la DUBOISINE CHEZ LES ALIÉNÉS. 225 rapidement reparaît l'
état
antérieur. La médication n'avait duré que vingt
de deux semaines, suppression pour contrôle, mais en trois jours l'
état
antérieur a reparu. La dose de 1 milligramme n'
et même résultat que la première fois;-en trois jours, retour de l'
état
antérieur. Reprise de la duboisine à'3 milligra
ouche, goût qu'il retrouve dans ses aliments. Dès le second jour, l'
état
antérieur reparaissait. La médication avait dur
a encore sept et huit heures de tranquillité, puis, brusquement, l'
état
antérieur' reparaît. Reprise de la duboisine à
uit heures au maximum. Quatre milligrammes laissent les choses en l'
état
une semaine et l'accoutumance s'établit de plus
as chro- niques. Dans la lypémanie, nous avons donc obtenu pour l'
état
aigu 37 p. 100 d'action, soit continue, soit avec
mance, et 26 p. 100 seulement d'action faible, tandis que dans l'
état
chronique cette dernière action défavorable s'est
'est-à-dire le vingt-troisième jour de sa fièvre, je l'ai vu dans l'
état
suivant : Le malade, d'une constitution assez r
ns menace d'accès épileptiforme, et après la quatrième injection, l'
état
vertigineux est tellement atténué, que nous pou
ns ;la folie épilep- tique, elle est toujours restée sans effet : l'
état
des malades soumis à ce traitement ou bien est
E DE THÉRAPEUTIQUE. sagère de dégénérer en manie dans un cerveau en
état
d'instabilité manifeste; 3° dans les états vagu
manie dans un cerveau en état d'instabilité manifeste; 3° dans les
états
vagues de délusions et dans les psy- choses enc
DES INFUSIONS de chlorure de sodium CHEZ LES aliénés SITÉOPHOBES en
état
DE collapsus; par G. ILBERG. (Allg. Zeitsch. f. P
a sécrétion salivaire et la sensibilité gustative. Elle met fin à l'
état
mental des aliénés qui présentent du désordre d
déterminées et reconnues tant dans l'orga- nisme normal que dans l'
état
de maladie : Produits de la vie cellu- laire de
antes : La toxicité de l'urine serait notablement diminuée dans les
états
maniaques, augmentée, au contraire, dans les ét
iminuée dans les états maniaques, augmentée, au contraire, dans les
états
mélancoliques. De plus, l'urine des maniaques e
mptoire que l'auto-intoxication serait la cause et non l'effet de l'
état
mental. Comme cela a été constaté dans certaine
le ou la convalescence, on a affaire à la psychose dite asthénique,
état
mental plus ou moins variable d'aspect, cons- t
rsque l'intoxication est lente et chronique, c'est d'ordinaire d'un
état
mélancolique qu'il s'agit; enfin, on peut observe
état mélancolique qu'il s'agit; enfin, on peut observer parfois des
états
rappelant de plus ou moins loin la démence paraly
coliques se sont constamment montrées plus toxiques que celles de l'
état
physiologique. Sur six expériences, six fois le
pertoxicité des urines a coïncidé dans presque tous les cas avec un
état
saburral très accusé '244 'SOCIÉTÉS SAVANTES.
Chez trois maniaques, les urines ont semblé moins toxiques qu'à l'
état
normal; mais, pour diverses raisons, les auteurs
s ont été nette- ment (légèrement dans un cas) plus toxiques qu'à l'
état
physiolo- gique et la toxicité s'est atténuée p
accentués du côté des divers appareils et de l'amaigrissement, des
états
fé- briles, typhoïdes, cachectiques. , - Ces
ur la contre-indication de l'hydrothérapie- froide. En présence d'
états
mélancoliques par accès, on devra donc dé- pist
lir d'une part qu'il existe des connexions étroites entre les trois
états
morbides dénommés : confusion mentale, délire h
re hallucinatoire et délire aigu, et, d'autre part, entre ces trois
états
et les auto-intoxications. A l'appui de ses idé
e hallucinatoire et de la confusion mentale. Le lien qui réunit ces
états
morbides à l'intoxication est évident. L'auteur
s ces cas un examen médical préalable pour déter- miner nettement l'
état
mental. - 111. BncAlVn appelle l'attention du C
-lieu, échappant à la prison ils n'en seraient pas moins mis hors d'
état
de nuire àla société. Une discussion s'engage,
art. 8 : « Il n'y a ni crime, ni délit, lorsque « l'auteur était en
état
de démence ou « contraint par une force à laque
bille présente ensuite plusieurs malades. L'un est un ataxique avec
état
mental et somatique de paralytique général, syp
re paroxystique manque complètement et où l'individu est obsédé à l'
état
pour ainsi dire permanent. Son premier cas es
t pour ainsi dire qu'une habitude poussée à l'extrême et passée à l'
état
de mal obsessif chez des individus à volonté tr
ètement l'éducation de ces deux malades, chose que leur âge et leur
état
de satisfaction rendent impossible. En conclu
nt in- fectieux. Au point de vue mental il s'est agi dans ces cas d'
états
mélancoliques sans fièvres. L'auteur établit un
ncoliques sans fièvres. L'auteur établit un lien très net entre ces
états
et l'auto-infection; généralisant son idée, il es
nés par des familles de nourriciers . Asiles modèles de Belgique et
état
actuel des colonies d'aliénés en ce pays par P.
qui n'a même pas l'originalité d'être complet et au cou- rant de l'
état
actuel de la science. P. SOLLIEn. VARIA. UNE
is derniers jours, il était enfiévré et agité avec insomnie, et son
état
général était mauvais. (Boston med. and Surg. J
tence d'une stase papillaire assez marquée, égale des deux côtés; l'
état
de démence de la malade ne permet pas de se rendr
tenant compte de la lenteur des réactions qui est le fait de son
état
cérébral; elle est peut-être un peu diminuée à ga
ive (zones hystérogènes). Un des phénomènes les plus marqués de cet
état
morbide est la présence continuelle d'une cépha
. Les renseignements, que cette malade était naturellement hors d'
état
de donner, ont été fournis par une de ses amies,
escaliers, mais déjà l'intelligence était éteinte. En présence de l'
état
de la malade et des renseignements fournis sur
tologique. Les pièces ont été étudiées' sur des dis- sociations à l'
état
frais et après l'alcool au tiers;, puis sur des
affine. ' 1 ' ? r 1 , o z 1° La tumeur. - Sur les dissociations à l'
état
frais on constate que le tissu néoplasique est
au contraire ont plus volontiers des noyaux qui se rapprochent de l'
état
embryonnaire; ils sont plus petits, plus compac
qui proviennent évidemment des cel- lules névrogliques revenues à l'
état
embryonnaire et proliférées. Il est un point qu
e clair qui l'entoure, un nombre assez considérable de noyaux en'
état
'de prolifération évident (fig. : 21). Ces noyaux
effet exactement inverse. Enfin des préparations ont été faites à l'
état
frais par la méthode d'Exner, qui ne permet aucun
s 116 ? 24 juin 1892.) 296 CLINIQUE NERVEUSE. dois ajouter qu'à l'
état
, normal, ainsi que je m'en suis assure, la régi
produire les deux espèces d'éléments qui caractérisent ce tissu à l'
état
adulte : les cellules névrogliques, avec les fi
rme. » La seule mesure prise tout d'abord pour remédier à ce triste
état
de choses fut (20 janvier 1843), la nomination
. A partir de cette époque, la dysenterie cesse de se montrer à l'
état
épidémique (sauf en 1878). Comme elle existe dans
tat épidémique (sauf en 1878). Comme elle existe dans la région à l'
état
endémique, elle n'est pas supprimée, bien entendu
on mal entendue, les chagrins domestiques, la ménopause, les divers
états
puerpéraux et enfin les excès alcooliques : nou
y ajouter des alcools d'industrie. 11 est en définitive absorbé à l'
état
naturel. J'ai cependant ouï dire que la consomm
, com- prenant aussi tous les symptômes du stade ultérieur mais à l'
état
passager. Graduellement arrive le stade de déli
ce réflexe est diminué, parfois celui-ci disparaît temporairement (
état
cataleptoïde dans la catatonie). Mais il est im
logique pour le plus grand nombre des cas. J. SÉGLAS. XXII. SUR l'
état
mental DE CHRISTINE, REINE DE Suède; par DE SAR
nations de la vue). Elle était, au moment de son admission, dans un
état
de santé absolument misérable : pendant son séjou
enou gauche et vomis- sements répétés pendant cinq jours. Tel est l'
état
qui dure cinq mois ; puis , guérison progressiv
ar de la manie ou de la mélancolie avec excitation, ou bien par des
états
convulsifs; 4° une période finale de démence. '
on de la bouche chez les idiots; Paris, 1808. Sollier (Alice). De l'
état
de la dentition chez les 'enfants idiots et arr
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 329 qui se rapprochent le plus de l'
état
primitif. Il constate ensuite que la précocité
am- biant. Pourquoi n'admettrait-on pas l'influence du milieu sur l'
état
mental, puisque toutes nos méthodes d'éducation
s pathologiques; 5° nous savons que les poisons qui, 'dans certains
états
morbides prennent naissance dans l'organisme, o
Peut- être s'agit-il de lésions de l'écorce cérébrale qui, dans, l'
état
actuel de nos connaissances, échappent à nos mo
it de nombreuses expériences. Il formule le mécanisme suivant : A l'
état
normal les extrémités nerveuses sen- sitives so
tat normal les extrémités nerveuses sen- sitives sont le siège d'un
état
de tension produit par la nutrition et l'excita
férieur fait saillie, les globes oculaires sont plus espacés qu'à l'
état
normal. Il faut signaler encore des maux de têt
Tremblements limités à un membre ou à un seul côté du corps. , L'
état
mental des névropathes voyageurs mérite un'examen
û renoncer à essayer de réveiller la' cataleptique 'qui; passée à l'
état
de curiosité locale, est "devenue' pour 'sa fam
» h .JI '11""1 0 Etendue- sur une couchette en fer et ténue dans un`
état
d'exces- sivê'propreté; 'l'endormie d'Origlly-S
n briser plusieurs'. il ' < 1 Dans ce corps inerte et réduit à l'
état
de' véritable squelette, toutes les fonctions o
cataleptiques qui peuvent se produire de temps à autre. Bien que l'
état
cataleptique soit' généralement de courte durée
vrose, frayeur, violent chagrin, grande émotion, c'est toujours' un
état
très alarmant et qui, même de courte durée, ne
de la glotte pendant l'inspiration est beaucoup plus grande qu'à l'
état
normal, et le regard plonge profondément dans l
insisté, sur la disparition de ces cellules nerveuses comprises à l'
état
normal entre les fibres des pédoncules céré- be
sentir ce qu'elle tenait. » Dans toutes les autres observations, l'
état
de la sensibilité n'était pas mentionné, ou bie
iniciens de valeur indis- cutable. ' La rareté des documents et l'
état
encore embryonnaire de la question ne nous enco
s, bien que nous n'ayons pu saisir la voie par laquelle s'opère à l'
état
normal la coordination de leurs mou- vements, n
rganes génitaux. L'auteur ne signalait pas tous les caractères de l'
état
d'obsession, mais il admettait l'un d'eux, l'im
au médecin son certificat de départ si impatiemment attendu. Son
état
est d'ailleurs satisfaisant, et les portes lui se
sique et le traitement moral persévérants ont ramené chezB... un
état
plus égal et plus stable. Mais cette équilibratio
des d'anxiété, d'insomnie, de cauchemars, il vient d'entrer dans un
état
tout à fait délirant, et arrive à l'Admis- sion
'exemples que des prévenus réellement responsables aient simulé cet
état
qu'ils ne soup- çonnent pas. REVUE DE PATHOLO
, les phé- nomènes ressemblent à ceux du somnambulisme, de certains
états
de rêve, de l'ivresse alcoolique; ce sont enfin
nt aliénés; si on les acquitte, ils ne tarderont pas à se mettre en
état
de récidive (on sait que la loi anglaise, à l'inv
miers malades, la èvre typhoïde exerça une influence heureuse sur l'
état
mental, puis elle aggrava l'état psychique, et
xerça une influence heureuse sur l'état mental, puis elle aggrava l'
état
psychique, et la psychopathie reparut comme devan
rêve tout éveillé. L'insomnie, fréquente chez lui, entretient un
état
de faiblesse irritable des facultés conceptuell
Quatre observations. P. K. XLV. Rapport MÉDICO-LÉGAL motivé SUR l'
état
mental DE L'EXPÉDI- TIONNAIRE C. Fer. A. KRUEGF
ONTRIBUTION au diagnostic anatomique DE la paralysie GÉNÉRALE PAR L'
ÉTAT
ANATOMO-PATHOLOGIQUE DE LA MOELLE; par B. SCHLE
pendant les périodes d'exaltation très accusée; 4° dans ces divers
états
mentaux, le nombre des globules rouges est au-des
us constatons que le poids spécifique du sang est plus élevé qu'à l'
état
sain, et où il y a une diminution des glo- bule
té se rencontre dans la démence secondaire, comme d'ailleurs dans l'
état
sénile, où la mentalité va s'affaiblissant ; 8°
ine est plus élevé dans la paralysie générale, et la démence qu'à l'
état
de santé ; 7° il semble qu'il y ait, dans l'épi
ort entre ce phénomène et l'intensité de l'excitant ? Dans certains
états
pathologiques, des interruptions lentes peuvent
ix-huit heures d'existence. Cet examen a eu lieu sur le cerveau à l'
état
frais par la méthode de la congélation; les cou
si l'auteur n'a pu, par les méthodes de préparation du cefveau à l'
état
frais, en déceler la présence chez l'enfant, il
distinc- tement chez ces deux ordres de maladies : C'est dans les
états
aigus accompagnés de dépression mentale que l'o
ent, c'est surtout dans la manie qu'on les rencontre, ainsi que les
états
hypérémiques. Etant donnée la marche de ces for
as de démence consécutive bien accusée, appartiennent nettement aux
états
d'exaltation mentale, et ne se rencontrent que
ts d'exaltation mentale, et ne se rencontrent que rarement dans les
états
de dépression. L'état d'hypérémie n'est pas sou
, et ne se rencontrent que rarement dans les états de dépression. L'
état
d'hypérémie n'est pas souvent constaté; il en e
que partout ailleurs, ce sont : la dilatation des ventricules, et l'
état
granuleux de la membrane qui les tapisse. En re
ttre à la malade de reprendre son service. Six mois plus tard, même
état
, sauf pourtant un re- lèvement assez accusé de
tion maniaque d'environ huit jours, elle s'était cal- mée, mais son
état
vertigineux était tellement accusé qu'elle était
f.-\V. Mac Dowall. (The Journal of mental science, janvier 1893.) L'
état
du cuir chevelu chez ce malade est très exactemen
son que si l'explication du profes- seur Kaposi était correcte, cet
état
du cuir chevelu, étant donné la fréquence delam
e du mari et dont la première grossesse améliora considérablement l'
état
mental. Malheureusement, sur les quatre enfants
procédé avec violence en faisant à un vieillard une suggestion à l'
état
de veille, et M. Caryophilis cherchait à établir
rrero se trompe en supposant que le mensonge soit impossible dans l'
état
de sommeil et rappelle que la violence chez les
son où elle servait et, peu de jours après, elle est tombée dans un
état
de mélancolie avec tendance à s'accuser de fautes
en dépit d'une paralysie qui semblait complète, la malade était en
état
de mouvoir les jambes Archives, t. XXVI. 27 4
e est restée normale. Une certaine amélioration est survenue dans l'
état
de cinq malades. Le rapporteur présente à la So
). L'asthé- nopie nerveuse en question est l'expression locale d'un
état
géné- ral"du système nerveux; elle va de pair a
nés, connus. M. 11PPEN. De la formation de cavités de la moelle à l'
état
aigu avec démonstrations. Sera publiée ailleurs
tomatologie générale il donne une description détaillée de tous les
états
psychopatbiques typiques : l'état mélancolique qu
escription détaillée de tous les états psychopatbiques typiques : l'
état
mélancolique qui peut être passif ou actif; l'é
ues typiques : l'état mélancolique qui peut être passif ou actif; l'
état
maniaque avec ses deux variétés : état d'ex- ci
peut être passif ou actif; l'état maniaque avec ses deux variétés :
état
d'ex- citation maniaque et état de fureur; l'ét
t maniaque avec ses deux variétés : état d'ex- citation maniaque et
état
de fureur; l'état de confusion mentale avec ses
s deux variétés : état d'ex- citation maniaque et état de fureur; l'
état
de confusion mentale avec ses différentes forme
e fureur; l'état de confusion mentale avec ses différentes formes :
état
de rêve, état de délire général et état de stup
at de confusion mentale avec ses différentes formes : état de rêve,
état
de délire général et état de stupeur; Y étal pa
ec ses différentes formes : état de rêve, état de délire général et
état
de stupeur; Y étal paranoïaque; l'état de démence
e, état de délire général et état de stupeur; Y étal paranoïaque; l'
état
de démence; et, enfin, l'état de déséquilibrati
état de stupeur; Y étal paranoïaque; l'état de démence; et, enfin, l'
état
de déséquilibration psychique. Il étudie ensu
ychique dont les différentes' combinaisons contribuent à former les
états
psychopathiques que nous venons d'indiquer. Ce
troubles de la conscience de soi-même, tels que l'inconscience de l'
état
morbide, la somnolence, le coma; les troubles d
l'hyperalgésie psychique, les différentes formes pathologiques de l'
état
anesthé- sique, les émotions. L'auteur parle en
le, d'où résulte la nécessité absolue d'examiner chez les aliénés l'
état
de tous les organes. La psychopathologie générale
uer du premier coup non seulement les oscillations survenues dans l'
état
psychique, mais encore les rapports qui existen
ns psychiques au cours de différentes affections somaliques; 2° les
états
psychopathiques très fugaces en rapport avec une
s très fugaces en rapport avec une action toxique immédiate; 3° les
états
psychopathiques indépen- dants qui se montrent
i voit-on figurer dans cette première classe : le délire fébrile, l'
état
psychopathique des maladies générales sans fièvre
lapsus, la confusion mentale asthénique, le délire trauma- tique, l'
état
comateux, l'intoxication par les boissons alcooli
a fureur transitoire, le somnambulisme, l'émotion pathologique, les
états
impulsif et hypnotique. On pour- rait évidemmen
on cérébrale circons- crite. Enfin la troisième classe comprend les
états
liés à un arrêt de développement : idiotisme, i
é- senté jamais aucun désordre psychique. Au dire de la malade, l'
état
dans lequel elle se trouve aurait commencé il y
ent de la personnalité que l'on ne rencontre le plus souvent qu'à l'
état
rudimentaire chez le persécuté ordinaire. L'évo
sujets non hypnotisables on doit avoir recours à la suggestion à l'
état
de veille, qui fournit d'excel- 448 ' CLINIQUE
; l'astasie et l'abasie n'existaient pas, comme c'est la règle, à l'
état
de monosyndrome. On voit l'aphonie et l'anorexi
es les accompagnent. Malgré les traitements multiples em- ployés, l'
état
était toujours resté le même depuis quatre mois,
ro-traumatique. J'ai une malade, une hystérique ; sans la mettre en
état
de som- nambulisme, sans préparation aucune, je
ypnotisés. guérison DES accidents hystériques par la suggestion A l'
état
DE veille. Tous les hystériques ne sont pas, on
es quel traitement employer ? Encore la suggestion ; suggestion à l'
état
de veille. Je montrerai par quelques exemples q
issements hystériques. Guérison par eau colorée avec suggestion à l'
état
de veille. Demoiselle G..., vingt-deux ans, dom
je savais très dévote. Je me con- tentai alors de la suggestion à l'
état
de veille. Parmi les médi- caments donnés par m
ultats qu'elle obtint. Je n'endors pas la malade (la suggestion à l'
état
de veille ayant presque autant d'effets sur le
lui proposant de l'endormir et me contentai de la sug- gestion à l'
état
de veille en lui posant la main sur le ventre et
vint, le hoquet avait reparu. Une nouvelle suggestion pratiquée à l'
état
de veille ne donna pas de résultats. C'est alor
vations, la suggestion pendant le sommeil n'est pas nécessaire. A l'
état
de veille une suggestion bien faite donne par-
ai reconnu que, si les troubles effacés par la suggestion faite à l'
état
de veille reparaissaient, il était inutile d'es-
e système nerveux, à le surexciter, au point de produire bientôt un
état
pathologique qui sera l'hystérie ou la neurasth
s, les fous systématiques agités, les épileptiques et les idiots en
état
d'agitation, et l'on obtient des résultats surpre
n de manger (action sur les glandes salivaires) parfois modifient l'
état
mental, notamment la stupeur (en relevant la pr
'est'pourquoi'chez le paralytique général, de' même que'les gens en
état
de sommeil hypno- tique, les opérations de l'es
paralysie de quelque muscle lingual que ce soit, elle est due. à un
état
, d'innervation 1 il 10 p-, Il 1 p ? -% it, , .
re rondj on'conseillera4lanmor;phinet comme'propre à^ entretenir^ l'
état
neutre'des liquides de'J'estomac.y ' 1 n Irant.
sentent des caractères spéciaux. Ainsi s'explique, qu'en dehors des
états
morbides parti- culiers, les variations et aspe
aussi avec avantage l'hydrothérapie contre l'hystéro-épilepsie, cet
état
complexe et mal défini où l'on observe un mélan
dans une pharmacie où les premiers soins lui ont été donnés. Son
état
est très grave. Elle porte une blessure de cinq c
écorce ') par, Goodall,'40û. Cerveau, méthode d'examen dû - " à l'
état
frais; par ICindred; 52 - quelques remarqués, s
r Sarbo, 138; un cas d'anurie- par Halot, 145; contribution à l'
état
mental des -, par Long- bois, 168. - Idiotie,
vs, des - de chlorure de sodium chez les aliénés siliopho- bes en
état
de collapsus, par llberg, 239 : - par Lelimaiii
'de'S injections de chlo- ' rure de sodium chez les aliénés ' =en
état
de collapsus, par libero, 239 ? ? 1 '...j ? S
ion pathologique, mais je me suis assuré depuis qu'ils existent à l'
état
normal dans la plupart des muscles striés. N'ay
e sectionné, les champs de Cohnheim sont bien plus distincts qu'à l'
état
normal ; ces champs ou polygones, qui correspon
voici comment on peut comprendre le processus patholo- gique : à l'
état
normal, la fibre musculaire est un élément très d
iation morphologique tend à s'effacer, l'élément tend à revenir à l'
état
embryonnaire. » Ce processus particulièrement n
d'ordre général : tous les éléments dif- férenciés repassent par l'
état
indifférent lorsque les circonstances les oblig
de toute lésion musculaire a été exprimé par Durante. Tandis qu'à l'
état
sain la portion trophique et non différenciée (sa
a partie fonctionnelle ou musculaire différenciée en fibrilles, à l'
état
pathologique il y a inversion dans l'importance r
fface alors plus ou moins complètement et, la cellule revenant à un
état
primitif, la portion trophique et indifférente
sser un courant électrique de quelques milliampères, on provoque, l'
état
normal, entre autres phénomènes, une sensation de
antôt associé à l'inclination. 5° J'ai établi que chez l'homme, à l'
état
normal, une irrigation de l'oreille avec de l'e
onduit à établir quelques notions nouvelles en ce qui concerne leur
état
normal, mais comme ces données, d'une importance
rôle important » (122). A l'appui de cette idée on peut invoquer l'
état
des pupilles dans l'héméralopie, affection prod
s, et fixer mieux qu'on ne l'avait fait avant, moi les limites de l'
état
normal, ce qui est essentiel pour le neurologiste
n admettait autrefois que le réflexe achilléen était inconstant à l'
état
physiologique et pour ce motif sans doute les cli
ent... Je considère l'absence du réflexe achilléen comme signe d'un
état
pathologique. » Telle est également l'opinion d
e. J'ai insisté sur la symétrie parfaite des réflexes tendineux à l'
état
physiologique, d'où cette conséquence que l'asy
différences indi- viduelles. Mais quelles sont les frontières de l'
état
physiologique ? Quel est le degré à partir duqu
le droit de considérer la trépidation comme parfaite et dénotant un
état
patholo- gique. Sinon, on peut avoir affaire à
as, une trépidation identique dans sa forme à celle qui dépend d'un
état
patho- logique. Je ferai remarquer que le phéno
s, mettant quand on les y invite leurs muscles dans le relâchement,
état
dans lequel la trépidation épileptoïde ne peut
ite est un phénomène pathologique et que la fruste peut exister à l'
état
physio- logique. « Il est à retenir que la tr
res qui, là, seront mieux à leur place. J'ai dit plus haut qu'à l'
état
normal la percussion de l'extrémité inférieure
la diminution ou l'abolition du réflexe de flexion de l'avant-bras,
état
pathologique, peut avoir cette conséquence que
et des doigts. Dans les faits de ce genre on peut encore, d'après l'
état
des réflexes intermédiaires, réflexe de pronati
paradoxal du coude dont je crois avoir pénétré le méca- nisme. A l'
état
normal, la percussion de l'extrémité inférieure d
rs sur ceux qui résultent de l'ébranlement de l'os sous-jacent. A l'
état
pathologique, lorsque le réflexe d'extension es
nes. J'ai démontré enfin que l'hystérie est incapable de modifier l'
état
des réflexes tendineux, contrairement à ce qui
Il importe que les muscles du pied et de la jambe ne soient pas en
état
de contraction, et pour obtenir ce résultat il
à résoudre car il est à peine besoin de faire remarquer que si, à l'
état
normal, le réflexe cutané plantaire ne se manif
nde dans les cas où les réflexes tendineux ne renseignent pas sur l'
état
du système pyramidal. C'est ainsi que, dans l'h
ttement avec le manche d'un marteau à percussion, ne détermine, à l'
état
normal, aucun réflexe ou seulement une flexion
ussi, depuis assez longtemps, sur ce phénomène que j'ai observé à l'
état
normal ainsi qu'à l'état patholo- gique. Mais i
mps, sur ce phénomène que j'ai observé à l'état normal ainsi qu'à l'
état
patholo- gique. Mais il est rare chez les sujet
une extension du gros orteil. « Ce fait seul qu'il peut exister à l'
état
normal m'empêche d'attribuer à ce phé- nomène
e importance pra- tique très grande, car il décèle l'existence d'un
état
souvent précur- seur de troubles fort graves et
En résumé, chez cinq malades sur six, le signe d'Argyll existait à l'
état
isolé. Chez le sixième on constatait de plus l'
rait trop chercher à préciser les conditions capables de modifier l'
état
des pupilles ; aussi j'espère que la Société tr
gné, on retire brusquement la main ; or, dans ces condi- tions, à l'
état
normal, la pupille se contracte très nettement à
culaire paraissant absolument conservée, l'impotence était liée à l'
état
spas- modique, s'il ne serait pas légitime de c
a précédente par les traits suivants : elle est indépen- dante de l'
état
des réflexes tendineux qui sont tantôt forts, tan
ène de la crampe musculaire ( : 3 ? J'ai montré que dans certains
états
morbides il est souvent possible, par l'applica
ur la jambe. Ordinairement, le muscle, après avoir été mis ainsi en
état
de con- traction une ou plusieurs fois successi
itude, dans les formes graves de cette maladie et dans sa période d'
état
, elles se développent spontanément, ou il suffi
lieu d'admettre, à priori, qu'il peut être observé dans les divers
états
pathologiques qui comprennent les crampes spont
t constituaient une infirmité fort gênante. On peut désigner un tel
état
sous la déno- mination de maladie des crampes.
: DU LIQUIDE C) ? PHALO-)iA( : HiD)EK 71 trouvons, dans 5o cas, des
états
morbides que nous considérons comme le résultat
niciens qui considéraient le réflexe achilléen comme inconstant à l'
état
normal (voir p. 28) ; il n'était pas signalé da
ives particulièrement sur le trajet des deux sciatiques, et liant l'
état
s'est très notablement amélioré à la suite de l
nue, sans doute parce qu'ordi- nairement on néglige de rechercher l'
état
du réflexe du triceps bi a- chial, et qu'en pré
? la fossette mentonnière, la synergie paradoxale peuvent être à l'
état
normal reproduites avec exactitude par l'électr
ralysie faciale périphérique, succéder à la paralysie musculaire un
état
spasmodique ayant de grandes ana- logies avec l
ue les réflexes de défense, souvent plus forts, il est vrai, qu'à l'
état
normal, ne sont pas néces- sairement exagérés.
ue l'on considérait l'absence de ce réflexe comme assez commune à l'
état
normal. Dans les traites classiques de pathologie
on clas- sique. B. Réflexes tendineux des membres supérieurs. L'
état
de ces réflexes, dans le tabes, a été l'objet d'u
s malades présentant des signes carac- téristiques de tabes, dont l'
état
est à peu près stationnaire depuis des années o
Aussi est-il bon de posséder d'autres éléments de localisation. L'
état
des réflexes tendineux, par exemple l'inversion d
éant, de tourner la tête, de porter les aliments à sa bouche. « L'
état
des réflexes tendineux et des réflexes cutanés, l
soumis systématique- ment à des pratiques de radiothérapie. « Son
état
continue à s'améliorer ; la contracture cède peu
de mètres ; la marche, il est vrai, est encore lente, pénible, et l'
état
des réflexes dénote la persistance d'une pertur
rayons X ont joué un rôle thérapeutique, on peut faire valoir que l'
état
du malade, qui jusqu'alors n'avait fait qu'empi
ait conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la moelle (
état
clair, dégé- nérescence ascendante du faisceau
ircons- tances dans lesquelles l'affection s'est développée et de l'
état
général du malade qu'il est possible d'arriver
condi- tions sont donc semblables. Je dois faire remarquer qu'à l'
état
normal l'immobilisation de la cuisse paraît êtr
, il est à peu près égal à droite et à gauche. Néanmoins, comme à l'
état
normal il peut y avoir entre les deux côtés de
, l'impotence du côté paralysé étant complète, ou bien le malade en
état
de prostration profonde est incapable de faire le
qu'une atrophie musculaire peut résulter d'une modification dans l'
état
dynamique des cellules nerveuses. Les obser- va
arrêté, avoir subi des oscillations à la manière d'un pendule. A l'
état
normal l'activité musculaire trouble presque touj
libère les mouvements passifs des entraves qui leur sont mises à l'
état
normal par l'activité musculaire. En résumé, da
a flexion de la cuisse sur le bassin est bien plus prononcée qu'à l'
état
normal (voir fig. 15), ce qui a pour consé- que
i donnée des mouvements démesurés cérébelleux : « Et d'abord, à l'
état
normal, comment un sujet procèdc-t-il pour exéc
rant légèrement au moment où il fléchit la cuisse. Il est aussi en
état
de marcher, sans l'aide d'autrui, s'il a devant
le pied suit à peu près sans dévier le chemin qu'il prendrait à l'
état
normal, et que les pas se succèdent avec une
se trouve le malade d'associer, dans l'acte de la marche, comme à l'
état
normal, la translation du tronc à la flexion de
elleux est caractérisé par la faculté que présentent les muscles en
état
de contraction volontaire de se maintenir longtem
ieu chez les sujets témoins. La méthode graphique fournit sur cet
état
des données complé- FiG. 21. Sujet normal. Ilom
j'ai donné le nom de catalepsie cérébelleuse se présente, dans son
état
de pureté, sous un aspect saisissant. A en ju
re envisagé sous deux modes, suivant que le corps se trouve dans un
état
d'immo- bilité active, ou bien qu'il est en mou
à que d'une affaire de convention et il suffit de s'entendre. « A l'
état
normal, l'équilibre volitionncl cinétique est réa
Dupré et Devaux (voir Latron, Thèse, Paris, igi i) ont constaté un
état
catalep- toide léger des membres supérieurs ass
ce, « il n'y a aucun doute qu'une série de cérébelleux montrent cet
état
cataleptoide ». Il y voit « un très frappant écar
on le fonde principalement sur les modifications que subissent à l'
état
pathologique les réactions objectives provoquées
n, qui peuvent être exagérées, affaiblies ou abolies. Tandis qu'à l'
état
normal, avec un courant peu intense, de i à 3 1
es, l'inclination de la tête fait totalement défaut, au lieu qu'à l'
état
normal elle est généralement perceptible avec u
quée par le passage du courant. Tantôt la tête s'incline, comme à l'
état
normal, du côté du pôle positif, mais le mouvemen
e l'inclination ou du côté opposé. Enfin, le nystagmus provoqué à l'
état
physiologique par le courant électrique peut ma
quer. Telles sont les principales variétés du vertige voltaïque à l'
état
pathologique. Chacune d'elles doit dénoter so
courant. Après avoir déterminé les phénomènes que l'on observe à l'
état
normal, nous avons recherché les modifications
sistance ne se modifie en rien. De plus, on peut voir le retour à l'
état
normal ou à un état voisin de la normale d'un v
ie en rien. De plus, on peut voir le retour à l'état normal ou à un
état
voisin de la normale d'un vertige voltaïque car
e vertige labyrinthique, caractérisé par des bruits subjectifs avec
état
vertigineux constant, se compliquant de grands ic
céphalo-rachidien suffit à produire une amélioration très grande. L'
état
vertigineux, les ictus disparurent, les bruits su
atés il mentionne le développement du pannicule adipeux ainsi que l'
état
infantile de l'appareil sexuel, et se dit encli
vec des interruptions. « En octobre iSgg je revis cette femme ; son
état
s'était transformé, elle se sentait bien plus f
administré pendant longtemps, exerce une influence heureuse sur cet
état
pathologique, c'est parce que celui-ci présente d
lèguesà examiner, chez les aortiques qui se présen- teront à eux, l'
état
du réflexe à la lumière, et à faire connaître à l
travail de revision. L'hystérie était généralement conçue comme un
état
névropathique défiant toute définition, sorte d
rminent des altérations cérébrales ou médullaires. On la croyait en
état
de donner naissance à des lésions superficielles
tenait principale- ment à ce que l'étude des réflexes tendineux à l'
état
normal avait été négligée et que la gamme de le
elle de l'hystérie. 11 découle, en effet, de ce qui précède que cet
état
n'est pas, tant s'en faut, capable « de tout fair
este avoir une autre opinion à l'époque où l'on faisait' entrer des
états
organiques dans le cadre de cette névrose ? Il es
t des caractères qui n'appartiennent qu'à eux, dont tous les autres
états
morbides sont dépourvus, et qui par suite consti-
érie ; je l'ai énoncée de la façon suivante : « L'hystérie est un
état
pathologique se manifestant par des troubles qu
sque-là n'avaient été soumis à aucun examen médical; j'ai exploré l'
état
de leur sensibilité et de leur vision, avec la
us avons réservé le nom d'émo- tion et nous avons appelé la seconde
état
affectif. Nous avons défini l'émotion de la faç
er groupe comprend toutes les émotions proprement dites et certains
états
affectifs comme la tristesse vague non motivée. A
s comme la tristesse vague non motivée. Au second appartiennent les
états
affectifs organisés dont les types principaux son
types principaux sont les sentiments d'espérance et de crainte, ces
états
possédant le pouvoir d'entrer dans des complexus
quelques-uns souffraient de troubles nerveux divers constituant un
état
morbide, une « névrose émotive»; il ne trouva pas
rovoquer des commotions morales. Une nouvelle question se pose. Les
états
affectifs, que nous avons distingués de l'émoti
qu'elle a suscités. Semblablement, l'hystérique saisit l'idée d'un
état
pathologique et le réalise lorsque celte idée s'i
l'intervention d'une idée suggérée, soutenue, il est vrai, par des
états
affectifs systématisés, idée dont ils ne sont que
s, au réveil, ce qui aurait eu lieu pendant le sommeil. c. Dans l'
état
léthargique, il serait complètement inconscient.
s l'état léthargique, il serait complètement inconscient. d. Dans l'
état
somnambulique, sa propre volonté n'agirait plus e
e une affection organique expose à négliger le traitement qu'un tel
état
com- porte. De plus, dans les cas d'associati
1892). 37. Des crampes musculaires dans le choléra et dans d'autres
états
pathologi- ques (Id., 2 décembre 1892). 38. P
e est latente (Société de Neurologie, 15 janvier tgo3). 8D. Sur l'
état
des réflexes tendineux dans l'hystérie (Société d
piqûres sont plus vivement sen- 16 CLINIQUE NERVEUSE. ties qu'à l'
état
normal. La sensibilité thermique est atteinte : u
raissent pas altérés. L'encéphale étantretiré, on examine d'abord l'
état
des vaisseaux : l'artère basilaire présente un
noter, c'est un brillant spécial ,de la surface des coupes, et un
état
un peu poisseux de la substance cérébrale. Mais l
se montre fort rarement. Griesin-er3 a observé dans quelques cas un
état
passager d'hyperesthésie considérable à la surf
lezowski, Magnan. « Il est souvent plus difficile de reconnaître un
état
* Magnan et Sérieux. La paralysie générale, p.
Journal of insanity, 1895). 32 CLINIQUE MENTALE. 1 normal qu'un
état
pathologique, » disait M. Ballet dans une leçon
phérique relevant soit d'une lésion centrale (encéphale), soit d'un
état
général de cachexie (Durante 3). Elle existe da
i que l'a signalé Zacher'. L'apparition de ces troubles aggravait l'
état
de la malade au lieu de l'améliorer (comme l'on
chambre, l'accoudoir de la fenêtre, etc., elc. P. ICR.1V.1L. X. L'
ÉTAT
DU C1RCULUS NUTRITIF DANS UN CAS SPÉCIAL DE FOLIE
rme, dans la nutrition, plus d'azote, qui apparaît dans l'urine à l'
état
d'acide urique et d'éléments xanthiques, que pend
soire des amputés; disparition spontanée des sensations illusoires;
état
mental.des amputés. Reprenant ensuite l'étude d
physiologie pathologiques. suit partout D est étroitement liée à l'
état
des nerfs contenus dans la cicatrice du moignon
doigts. A. FENAYROU. XXXIV. Contribution A la QUESTION relative A l'
état
DES PETITS CAPILLAIRES DE l'ÉCORCE DU CERVEAU D
, atteinte de torticolis mental depuis plus de quatre ans, a vu son
état
s'améliorer en moins de 15 jours, à tel point qu'
d'énergie, se déchargeant à la façon d'une bouteille de Leyde. L'
état
mental du sujet exerce aussi son action sur la re
egré qu'a- vant l'opération ; mais il n'y a plus trace de goitre, l'
état
général physique et moral est demeuré excellent
(Médecine Détroit, mars 1896). Existe-t-il, se demande l'auteur, un
état
mental dans lequel un individu est entraîné d'u
nce réprouve ? 2 La folie morale est difficile à préciser. C'est un
état
mental dans lequel l'individu conserve toute so
ison, mais présente une perversion d'instincts naturelle. Un pareil
état
a ses racines dans l'hérédité qui transmet les
ours con- firmé cette règle. Il n'a jamais pu obtenir d'un sujet en
état
de sommeil, d'accomplir un acte qu'il croit cri
cours de la crise, à se tranquilliser et à les considérer comme un
état
transitoire, à réagir, par conséquent, dans une
r fou et irresponsable de ses acles, en donnant comme preuve de son
état
d'aliénation mentale une série d'actes absurdes
la voix. Bien qu'il eût la vue comparativement passable et que son
état
intellectuel était très bien développé, il ne p
une hémiplégie avec une aphasie ; bientôt la malade mourut dans un
état
comateux. A l'autopsie on constata ce qui suit;
'hôpital avec une hémiplégie gauche et mourut dans un mois après un
état
comateux. A l'autopsie on trouva une tumeur qui
faibles, la fatigue aug- menta encore plus, et surtout s'empira son
état
général. L'activité SOCIÉTÉS SAVANTES. 89 du
ade entra de nouveau à la Clinique des mala- dies nerveuses dans un
état
très pénible. L'appétit était très mau- vais, l
encore (33 kg. 600 gr.); mais bientôt survint une amélioration de l'
état
de la malade. Avant tout l'appétit augmenta; à
sement excessif, qui surtout à des conditions peu favorables dans l'
état
de la malade se fait sentir à un plus haut degr
si faible, que ce n'est que dans quelques jours qu'elle reprit son
état
d'amélioration. Cette dernière dépendait princi
Cette dernière dépendait principalement du réta- blissement de son
état
général, ce qui s'ensuivit bientôt après l'augm
ossolimo et Mouravieff. De la structure de la fibre nerveuse dans l'
état
normal et pathologique, Méthode de formol- méth
presque toutes les parties intégrantes du système nerveux dans son
état
normal et pathologique; et 2° la manifestation
e hypothèse, l'auteur a donné à ses malades, mises préalablement en
état
d'hypnose, l'ordre de se réveiller ; mais non p
suite. Poursuivant ensuite ses investigations il s'est aperçu que l'
état
de vigilambulisme pouvait être également modifi
sibilité pour ramener en même temps tous les accidents, y compris l'
état
de somnambulisme. De cette nouvelle série d'exp
ications de la sensibilité sont elles-mêmes sous la dépendance d'un
état
d'engourdissement ou de sommeil des centres cér
lètement paralysé ; la parole était très gênée. Elle resta dans cet
état
trois semaines, puis l'aphasie disparut. L'hémi
e de vomissements répétés et d'incontinence d'urine. 9 jiiin. - L'
état
est resté stationnaire; ce matin on constate quel
u de la corticalité offre une consistance un peu plus grande qu'à l'
état
normal. On ne trouve ni gomme, ni hémorragie, ni
; au moment où nous écri- vons elle se dit également revenue à son
état
normal. Et cependant son état mental n'est peut
s elle se dit également revenue à son état normal. Et cependant son
état
mental n'est peut-être pas absolument sain, com
ves, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NERVEUSE. cérébrale mise en
état
de moindre résistance, elles peuvent produire d
ait beaucoup mieux; son hémiplégie était en voie de gué- rison, son
état
général meilleur, la suppuration de sa plaie comm
nt le pus. Nous ne pûmes pas avoir de renseignements précis sur son
état
immé- diatement avant l'ictus ; mais nous ne vo
l'acuité est très réduite. Il y a un peu d'inégalité papillaire. L'
état
général est moins bon, la malade a maigri. On p
suivie d'un sommeil profond. Au réveil elle se retrouve dans son
état
habituel, ressentant seu- lement un peu de faib
e, mais sans régularité. Rien d'anormal à l'examen des poumons. L'
état
mental parait assez particulier. La malade reste
e certaine saillie, les vais- seaux font encore un léger coude. L'
état
mental est bien meilleur et paraît au premier abo
certaih degré d'aphasie motrice qui auparavant était masquée par l'
état
mental. Dans une phrase un peu longue elle est
très logique de prendre LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 133 pour type des
états
paralytiformes indûment baptisés de la dénomina
rmes indûment baptisés de la dénomination « paralysie générale » un
état
pathologique dont l'étiologie est encore aussi
plexes chez la femme, 'moins variées aussi les symptomatologies des
états
paralytiformes chez la femme ? Enfin, je le rép
e, eut toujours des goûts féminins : c Je ne puis mieux définir mon
état
qu'en disant que je suis une femme dans un corps
sultat, au contraire. Dans certains cas l'opération peut agir sur l'
état
mental comme le ferait une fièvre intercurrente,
des ovaires calme les symptômes aigus de la maladie et provoque un
état
de stupeur tendant à la démence. A. V. XIX. G
nt 14 améliorations des symptômes physiques et 8 améliorations de l'
état
mental soit 57 p. 400. A l'amputation du col et
la voie vaginale et 5 par l'abdomen dans deux cas soit 17 p. 100, l'
état
menlal fut amélioré 10 de laparotomie pour affe
chirurgie gynécologique n'est plus à l'étude et qu'elle est passé l'
état
de fait acquis. , A. V. XX. Relation étiologiqu
re soit pour leur santé physique, soit dans le but d'améliorer leur
état
mental. Les aliénés à intervalles lucides peu-
. Pour lui les maladies organiques ont une grande influence sur l'
état
mental et surtout les désordres des organes pelvi
n très petit nombre de descriptions. Elle est constituée par divers
état
nerveux passagers qu'il est extrêmement diffici
eure des symptômes. Ce que l'on trouvait chez ce malade, c'était un
état
bien caractérisé d'affaiblissement intellectuel a
ar ['insuffisance des images commémo- ratives, qui met le psûchê en
état
d'équilibre instable et rend l'individu accessi
onnus, l'auteur formule le diagnostic de tremblement hérédi- taire,
état
morbide que M. M Achard et Raymond ont démontré
appréciable, et se manifestant en dehors, sinon indépendamment des
états
pathologiques classés Elle est caractérisée par
ues de dénutrition et des phénomènes mentaux, résultat premier de l'
état
somatique dont le fond essentiel est constitué
contraire d'inertie motrice, avec ou sans variations marquées de l'
état
émotionnel n. A propos de l'étiologie de cette
tion, M. Séglas discute la valeur de l'hypothèse d'après laquelle l'
état
de faiblesse irritable du système nerveux centr
yant pour objet la peur du ramollis- sement cérébral. S'il s'agit d'
états
neurasthéniques accidentels, il importe d'en re
s s'être un instant amendé, reprendre sa marche en avant. Parmi les
états
neurasthéniques résultant d'une infection ou au
aux ano- malies somatiques, aussi peu délimité du type normal que l'
état
de maladie est séparé de l'état de santé. Il aj
i peu délimité du type normal que l'état de maladie est séparé de l'
état
de santé. Il ajoute que parmi les classes de 1S
.-A. KOCH. (Centralbl. f. Nervenheilk., XIX, N F., vu, 1896.) A l'
état
normal, pense Wernicke, et c'est là le mérite de
'auteur, traita une petite fille de six ans qui se trouvait dans un
état
avancé de crétinisme par les tablettes d'extrait
jeune crétin de six ans trois mois dont un frère était aussi dans l'
état
de crétitisme du vraisemblablement à l'hérédité
ent à l'hérédité maternelle, par la glande thyroïde donnée soit à l'
état
frais soit en tablette. En dix mois le succès
des stimulants du système nerveux qui peuvent agir dans certains
états
morbides. Son plus grand succès a été une amélior
nausées, moiteur de la peau et perte de poids. Les changements de l'
état
mental furent manifestes : un déprimé devint pl
rsistèrentpas trois mois après la cessation du traitement. Certains
états
de stupeur et de dépression se trouvèrent au cont
plutôt que comme un médicament ; il n'a vu aucune amélioration d'un
état
mental produit par l'emploi de tablettes d'ovai
ngt-sept ans, atteinte de méningo- encéphalite spécifique et dont l'
état
était considéré comme déses- péré. Des injectio
l'enregistrement des effluves qui se dégagent des êtres vivant à l'
état
normal et pathologique, par Charrin et Nittis;
atteints de maladies du système nerveux central ou périphérique, un
état
iehthyosique particulier de la peau, et qui se
es argentées. Les ongles des orteils sont bruns, plus minces qu'à l'
état
normal. Les dents sont usées, surtout les incis
sitation de la parole. Inégalité pupillaire. » Inconscient de son
état
, il sourit à l'idée de sa fortune imagi- naire
, cyanosées. Les ongles des orteils sont petits, plus minces qu'à l'
état
normal. Ils s'effritent en minces lamelles. Les
te, maigre, apathique et indifférente. Elle est inconsciente de son
état
, et n'a que quelques idées vagues de satis- fac
bras droit, au tiers inférieur, également sans douleur. Tel est l'
état
de la question. Nous n'avons pas nous- même d'o
ombèrent dans l'espace de quelques jours. La malade était dans un
état
satisfaisant. Au mois de décembre, soit cinq mo
la voix féminine. Etat mental. A l'entrée, ce malade présentait un
état
maniaque subaigu sur lequel il est inutile de s
bien des ques- tions intéressantes. Tout d'abord on doit retenir l'
état
phy- sique du malade chez lequel la cryptorchid
ec une extrême lenteur et peut même s'arrêter sans avoir acquis son
état
de perfection ; consé- quence pour lui de la re
on les trouvera dans d'autres affections mentales. On rencontre à l'
état
de liberté dans les espaces péri-cellulaires de
degrés de ce processus depuis une très légère échancrure jusqu'à l'
état
où la cellule est réduite à un noyau entouré d'
bien qu'il soit quelquefois contracté et sans nucléole visible. Cet
état
pathologique a été observé par l'auteur dans des
e sait, et Obersteiner l'a démontré, se rencontrent fréquemment à l'
état
normal dans les espaces péri-cellulaires. Le mo
et était atteint de jargonaphasie et de paraphasie. Dans la suite l'
état
de ce malade s'améliora légèrement, l'usage de
ps thyroïde, thyroïdine, tabloïds anglaises). Sous son influence, l'
état
de la malade s'est rapidement amélioré ; on a not
a d'artificiel dans la distinction qui n'est que la traduction de l'
état
de nos connaissances et de nos moyens d'investi
présentent une première période d'épuisement nerveux suivi par des
états
vertigineux accompagnés. souvent de troubles se
ne des voies d'élimination des toxines et pto- manies produites à l'
état
normal dans l'organisme, se trouve sup- primée.
st de savoir quelle est la pathogénie de ces rapports ; y a-t-il un
état
spécial latent du bacille produisant dans l'écono
sant dans l'économie une altération organique correspondante, ou un
état
particulier des phénomènes intimes de la nutrit
ien que le processus morbide qui, d'ordinaire, amène à la longue un
état
paralytique continu, ait pu se manifester avec as
mois après, d'une fièvre typhoïde. Cette maladie a retenti sur son
état
mental et provoqué la trans- formation du regre
ladie. Mais des troubles trophiques n'ont pas tardé à apparaître. L'
état
de la malade est resté à peu près stationnaire pe
maladie a présenté les particularités suivantes : début brusque en
état
de santé parfaite; paralysie ascendante ne gagn
ébut de la maladie, et en général leur accentuation est un indice d'
état
géné- ral et de pronostic plus graves. D'aprè
t de pronostic plus graves. D'après les observations de l'auteur, l'
état
psychique des malades 240 REVUE DE PATHOLOGIE N
ntre autres par Kussmaul, qui lui avait donné le nom d'apraxie. Cet
état
peut aussi être rapproché de « l'imperception » d
n- tenant comme malade ? Quel changement a-t-on remarqué dans son
état
? Sur tous ces points, aucun renseignement de la
atteint que pour 27 à qui a été accordée la permission de vivre à l'
état
de relégués libres, mais qui ont dû se réfugier
dans le sentiment naturel de la propriété et il est représenté à l'
état
rudimentaire par l'exagé- ration de ce sentimen
s a émis, au Congrès de Bordeaux de 1895, le voeu que l'examen de l'
état
mental des inculpés soupçonnés d'aliénation soit
serait grand temps que celle réforme fut réalisée. 6. Troubles de l'
état
mental atax Antilles; par F.-J.-Ch.-E. GUILLIOD.
utant plus facile- ment l'apanage des créoles qu'ils présentent à l'
état
normal des tendances neuropathiques. L'alcoolis
s sui- vants de la question : 1° la mémoire, son fonctionnement à l'
état
normal, ses troubles;-2°des hypertrophies génér
es; 4° des hy- permnésies dans le sommeil et dans quelques autres «
états
seconds » ; 8° des hypermnésies vésaniques et d
Les hy- permnésies, on le comprend, pourront se produire dans tout
état
d'émotion intense qui a concentré l'émotion sur
ui se produit dans l'hypnotisme et le spiritisme. z Enfin, dans les
états
où l'attention est supprimée (sommeil natu- rel
de la pensée. Cette hyper- mnésie est la caractéristique même de l'
état
maniaque, que celui-ci soit du reste vésanique
BIBLIOGRAPHIE. 265 "ressive. C'est aussi la caractéristique de l'
état
de la pensée dans les intoxications par l'alcoo
e commis par un normal ou supposé tel, sa part de responsabilité. L'
état
social est en grande partie la cause de la crim
s asiles, colonies agri- coles et asiles proprement dits, suivant l'
état
de perfectibilité des individus. » , 11. Les
tion et de mélancolie se succédant mais ne se combinant pas ; 2°les
états
mixtes chez des malades d'abord persécutés et dev
sécutés et devenant ultérieurement persécutés-mélancoliques; 3° les
états
mixtes chez des malades d'abord mélancoliques e
, et l'hypotoxicité de l'urine, rapprochée de la dispa- rition de l'
état
gastrique et de l'apparition de l'hypertoxicité u
de l'hypertoxicité uri- naire au moment où le malade revient à son
état
normal, semblent des preuves incontestables de
ations épileptiques. La prédisposition est essentielle ;. c'est : l'
état
d'équilibre instable de la cellule nerveuse. Le
) consécutives aux accès convulsifs. Mais il faut, au préalable, un
état
particulier de la cellule nerveuse connu sous le
telli- gence reste longtemps normale, tandis que dans l'épilepsie à
état
gastrique (par intoxication), l'hébétude postpa
action, efficace, ou bien elles suivent l'évolution favorable d'un
état
morbide 2. La réalité de ces guérisons peut fai
veille. Il comprit, dans certaines lectures, qu'il s'agissait d'un
état
mor- bide et que la médecine pourrait lui être
et quatre jours après d'une attaque de chorée généralisée, avec un
état
mélancolique bien mar- qué qui dura cinq mois.
u des jeunes filles mieux renseignées qu'elle, la mettaient dans un
état
d'agitation particulièremeut pénible. Elle reje
Malgré cela l'affaiblissement de Gill... est plus considérable. Cet
état
est survenu à la suite d'une infection carac- t
2. T. R. 37°,4. Soir : 37°,5. 21. T. R. 37°,3. Soir : 3 7°,7. 22. L'
état
s'aggrave. T. R. 38". Soir : 38°,3. 23. T. R. 3
nt et de son entou- rage. Si l'on examine l'homme vivant dans les
états
variés de la société, on voit qu'il y a un cert
XXXI. Action du système nerveux SUR LES processus NUTRITIFS, A l'
état
DE santé ET DE maladie ; par le Dr BEVERLEY, 0. I
' SYDNEY Hun. Dans un long et intéressant mémoire l'auteur résume l'
état
actuel de nos connaissances sur les différentes
oeur que : 1° ces phénomènes sont réalisés surtout lorsqu'il y a un
état
de tension exagérée intracar- diaque avec inter
la maladie et ne se manifestent qu'en présence d'un coeur encore en
état
de servir ; jouant ainsi le rôle d'avertisseur
s services. Parmi ces derniers, M. Bechtereff insiste surtout sur l'
état
des réflexes cutanés (abdominaux tout particu-
ue montrent encore l'indissoluble soli- darité de la névrose avec l'
état
somatique devant l'hérédité comme chez l'indivi
on le temps d'interve- nir. Tout le monde est suggestibie, même à l'
état
normal; mais celui-ci ne diffère que par le deg
e des résultats de la suggestion hypnotique et de la suggestion à l'
état
normal ; voilà les cinq propositions que M. Bram-
n'est pas acceptée dans l'hypnose; ce refus est aussi facile-dans l'
état
léthargique profond que dans la somnolence légère
monoïdéïsles. L hypnotisme serait au contraire poly-idéiste et l'
état
normal monoïdéiste. La théorie de Myers, analogue
e désagréables. La volition non anéantie n'a que changé de forme, l'
état
moral persiste et arrête les suggestions contra
Braid et Myers ont beaucoup contribué à donner une idée claire de l'
état
hypnotique, tout en ajoutant aux difficultés de
nu que la liqueur n'était pas altérée. L'enfant présente bientôt un
état
de dépres- sion nerveuse très marqué, avec tend
température. L'enfant meurt dans des conditions analogues aux cas d'
état
de mal épilep- tique, trente-six heures après l
n, ait excité la substance grise corticale au point de produire cet
état
convulsif, qui a amené la mort. Il n'y a donc pas
relè- vent de l'alcoolisme aigu. Ces accidents rappellent-ceux de l'
état
de mal épileptique. P. RELLAY. Nos lecteurs t
e de persécution semble parfois borner son évolution à la période d'
état
, sans présenter ni phase mégalomaniaque ni déme
ées aux psychoses par malformations cérébrales, et les secondes aux
états
mélancoliques qu'elles relient par toute une sé
et 5 : une demi-heure avant chaque attaque, le malade tombe dans un
état
de rêve qui le rend incapable d'accomplir l'act
. LES DEVOIRS civiques ET les responsabilités DES médecins ENVERS l'
état
; par le D1' John PUNTON. Si les sciences médica
e registre, au moins tous les mois, les changements survenus dans l'
état
mental de chaque malade... » L'auteur, dans un
t ce qui a déjà été expérimenté avec les meilleurs résultats dans l'
état
de New-York où les directeurs, de concert avec
uvosr. Le délire prophétique, tel que l'auteur l'a envisagé, est un
état
de délire hallucinatoire caractérisé par la cro
ication du prophète et de l'être surna- turel s'accomplit sous deux
états
psychopalhologiques différents. Dans l'un, le s
tant et l'oracle, entre l'interrogeant et l'interrogé. Dans l'autre
état
, le sujet s'incorpore à son inspirateur. Il y a
re indica- tion thérapeutique, en dehors du traitement habituel des
états
de ce genre, consiste donc à faire le calme et
ce de la part d'un sorcier par : 1° intoxication; 2° suggestion à l'
état
de veille; 3° suggestion hyp- notique ; 4° acti
hénie de prédominance psychopathique ; 3° la pseudo-neurasthénie ou
états
neurasthéniques secondaires ; 4° enfin, les tro
chez le même sujet. On peut considérer comme le plus simple de ces
états
mélancoliques celui où il y a persistance de la
nibles ou douloureuses. Ce sont eux qui, ayant cons- cience de leur
état
, se plaignent que leur sensibilité est émoussée
ous nos sentiments reposent sur cette consti- tution organique. Cet
état
affectif et émotionnel détermine chez nous des
violents intem- pestifs. Au début, le malade a conscience de cet
état
, il ne se sent plus le même qu'autrefois, il a
locale, ou venant du canal alimentaire, de l'appareil génital, de l'
état
des muscles, sensibilité musculaire, sensation
la passion et la volition. Ecoutons sur ce point M. Janet' : « L'
état
vital de l'organisme s'exprime dans la conscience
mitée de l'organisme. Moniteur perpétuel et indéfectible, il rend l'
état
du corps incessamment présent à la conscience e
définie, mais ses effets n'en sont pas moins attestés par certains
états
dont nous pouvons nous rendre aisément compte.
s intime, de ce toucher intérieur qui rend compte au sensorium de l'
état
mécanique des organes (viscères, muqueu- ses, a
l'appé- tit, phénomènes nerveux, leucorrhée). Puis est survenu un
état
de malaise vague, d'ennui, d'abattement, de trist
comme une auto- mate. » c On ne peut mieux comparer, dit Taine, l'
état
du patient qu'à celui d'une chenille qui, garda
papil- lon, avec les sens et les sensations d'un papillon, Entre l'
état
ancien et l'état nouveau, entre le premier moi,
les sens et les sensations d'un papillon, Entre l'état ancien et l'
état
nouveau, entre le premier moi, celui de la chen
orielles elles-mêmes sont secondaires chez ces mélancoliques. « L'
état
hallucinatoire des mélancoliques anxieux, stupide
ement marquée. « Au début, le malade peut avoir conscience de son
état
; mais il ne tarde pas à perdre la notion du cara
de l'énergie volitionnelle. Au début, le malade a conscience de cet
état
, il se sent autre que par le passé ; mais il ne
secondaire de possession paraît le type. Aux formes frustes et à l'
état
faible correspondent les malades hantés par des
e destructive surles objets extérieurs, sur l'univers entier... Les
états
de dépression motrice simple avaient conduit le
alade au doute et aux négations philosophiques et religieuses ; les
états
d'exalta- tion inconsciente suggèrent la croyan
le caractère des tentatives que fait le malade pour s'expliquer son
état
; il est secondaire ; mais cette explication, l
en vain de s'approcher. Le doute ne lui est plus permis, il est en
état
de péché mortel, il est maudit, il est damné.
it dans l'individualité amène au début des efforts de réaction, des
états
anxieux ; mais dès que les malades s'aperçoiven
on- nera pas de la rencontrerplus rarement et plus tardivement. L'
état
de conscience actuel en évoque généralement un
ordinairement on peut observer le passage de l'un à l'autre de ces
états
; la scission, tout d'abord incom- plète, s'achè
ignaler. disait déjà Esquirol ', comme une variété de démonomanie l'
état
dans lequel certains aliénés, frappés des terre
r faite, ou même qu'on passe à l'exécution de l'acte. On a dit de l'
état
normal que penser c'était se retenir d'agir. Po
même prédominer encore, et les impulsions demeurer latentes ou à l'
état
naissaut; le malade s'attribue seulement des mé
oque, dans le second, par une sorte d'induction, la manifestation d'
états
d'exci- tation spéciale, qui peuvent n'être pas
ombre d'unités ou individus (Edinger) qui, dès leur apparition, à l'
état
de neuroblastes encore dépourvus de prolongemen
iale de leur protoplasma, possèdent la fa- culté d'être mis dans un
état
d'excitation déterminé par certains stimuli ext
vent les cellules des cornes antérieures persister longtemps en bon
état
. Dans les paralysies relevant d'une dégénération
s paralysies relevant d'une dégénération du faisceau py- ramidal, l'
état
fonctionnel du neurone moteur direct, c'est-à-dir
être mises en vibration, à la manière d'un résonateur, que par les
états
d'innervation de quelques-unes des nombreuses e
traitement venant à échouer, un matin la malade fut avertie que son
état
nécessitera son place- ment dans le pavillon de
aplégie, qui succèdent aux crises, disparaissent brusque- ment. L'
état
d'anorexie avec vomissements répétés se prolonge
tous ces accidents sont toujours survenus à la suite d'une sorte d'
état
de mal hystéro- épileptique, sans aucune manife
temps que l'anes- thésie généralisée, à la suite de cette sorte « d'
état
de mal hystéro-épileptique » dont j'ai parlé pl
intervertébraux. Dans le bulbe et la moelle épinière, il existe un
état
vacuolaire à la périphérie des cellules. Dans tou
égénérescence gra- nuleuse. Dans les nerfs périphériques, on voit l'
état
vacuolaire, une légère tuméfaction des fibres p
rations artificielles et cadavériques concomitantes. Formation de l'
état
criblé dans les substances nerveuses du cer- ve
urent aussi fréquentes, et le malade succomba quatre jours après en
état
de mal. Autopsie. Congestion des méninges. Atro
philis cérébrale; par le professeur BECHTEREW. Jusqu'à présent, les
états
d'obnubilation de la conscience dési- gnés par
peu de temps après. Après examen, l'auteur émit la conclusion que l'
état
du malade était sous la dépendance de la syphil
d'autres éléments étiologiques quelconques expliquant dans ce cas l'
état
morbide; mais avant tout l'anamnèse et la prése
e déterminé par la syphilis, ou faut-il considérer ces cas comme un
état
morbide développé indépendamment sur le terrain
dire de contracture de ces prolongements eux-mêmes qui, mis dans un
état
de paralysie, produisent le sommeil physiolo- p
ions, a sa raison d'être dans les premiers stades du tabès, quand l'
état
général n'a pas encore subi d'atteinte grave et
, la principale indication dans le tabès doit être celle qui vise l'
état
général du malade et qui a pour but de relever
t la paralysie générale y serait inconnue. L'objection tirée de l'
état
rudimentaire de la civilisation des ha- bitants
sible, mais il n'a pas encore été prouvé qu'il y ait entre les deux
états
une relation de cause à effet. L. M. Sollier
ns syphilitiques cutanées chez les paralytiques généraux sans que l'
état
démentiel s'améliore. M. G. Ballet. Je me suis
parations au picro-carmin ou à l'hématoxyline, jusqu'à la période d'
état
. Pour ce qui est de l'objection soulevée par M.
i d'alcoolisme. A partir du mois d'octobre 1896, elle entre dans un
état
de grande excitation motrice, avec obnubilation d
nce chromatophile se trouvât tout de même dans les cellules dans un
état
de solution. Dans les cellules, traitées par la
, paralysie des membres du côté droit avec atrophie musculaire. A l'
état
de repos la main et la plante du côté droit, so
Mouratow et KojEWNtKow échangent des opinions en ce qui concerne l'
état
des réflexes dans lacompres- sion de la moelle.
pêché les habitants de l'évêché d'en- tendre les détonations. « L'
état
du concierge est désespéré. Les blessures du chan
en germes dans les formes com- munes de mélancolie, engendrent à l'
état
faible les idées de ' Voir Archives de Neurolog
mélancolie avec stupeur, soit dans la mélancolie anxieuse. Ces deux
états
, malgré la différence de leurs manifestations e
à une période plus avancée, et sur- tout quand la maladie passe à l'
état
chronique, à la fois moral et physique. Des mal
t l'idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir mourir, suivant leurs
états
alternatifs d'agitation anxieuse ou de dépressi
'est la nature même de ces idées qu'ils n'ont jamais eues dans leur
état
normal, ou même qui sont complètement opposées
plète par suite de la forme que revêt bientôt la pensée lorsque cet
état
se prolonge... et que l'exercice des facultés e
ividu qui s'est formé en lui- même. Comment peut-il interpréter son
état
, que doit-il pen- ser de lui-même ? N'est-il pa
t. I, in-1», Basilie, 1736. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 467 Dans cet
état
, elle priait, faisait dire des messes, suivait
outce qu'elle veut; par exemple, contre le séjour au lit auquel son
état
la condamne , en particulier contre toute éléva
ntatives de suicide. 11 nous a laissé une relation détaillée de son
état
mental. « Je ne saurais vous exprimer ce qui se
cris et des lamentations, semblables à ceux des démons. Je sens l'
état
de damnation et l'appréhende, et me sens comme
e une place accessoire. Quand le délire mélancolique vrai passe à l'
état
chronique il se systématise, se cristallise, si
ue ou un retentissement beaucoup plus profond sur la nutrition et l'
état
psychique de l'individu, comme il arrive du fai
alaire du noyau; prolongements protoplasmiques plus visibles qu'à l'
état
normal, etc.), sont à peu près les mêmes que ce
sse- ment de la mémoire, confusion dans les idées, obtusiou. Même
état
en 1892 avec nombreuses attaques. Séquestré le 30
de les priver de travail et de toute liberté, ce qui aggravait leur
état
mental. Dans des asiles spécialement organisés po
'aii Eidl, 1807.) Une aura intellectuelle, vive rémi- niscence d'un
état
mental passé, la décharge des souvenirs, si l'on
études du médecin, car l'accumulation des décharges multiples, avec
états
secondaires et perte de conscience, restera peu
indique, sans une faute dans I*ot-dre de leur siieces- sion. Cet «
état
de mal unilatéral » ne se produit que sous l'in-
omme analgésique local. Manheimer (Marée)). Du gâtisme au cours des
états
psyehopatkiques.Marcotte (Cbarles-Adrien). De 1
éningite, dont la guérison est la règle, doit être rangée parmi les
états
de mal ou paroxysmes hys- tériques. Comme trait
le plus ancien ; 4° Que les médecins adjoints soient ramenés à l'
état
de stagiaires, mis à la disposition des médecin
et insiste sur l'heureuse influence qu'il exerce d'ordinaire sur l'
état
mental des aliénés chroniques, seule catégorie
nt rendu nécessaire la réintégration à l'asile. En Amérique, dans l'
état
de Massachusetz, on s'est également trompé sur
nnelle qu'à celle de ses enfants. Il va une quinzaine de jours, son
état
s'était aggravé et des démarches qui devaient abo
squ'au singe, toutes les espèces animales se trouveront amenées à l'
état
de dégénérescence dont seule l'espèce humaine n
ière : les singes accourent, boivent, s'enivrent et tombent dans un
état
d'égarement où ils deviennent incapables de disti
nte, de façon à leur rendre à peu près insensible le pas- sage de l'
état
libre à l'état de captivité. » Mais la partie l
leur rendre à peu près insensible le pas- sage de l'état libre à l'
état
de captivité. » Mais la partie la plus curieuse
er, un coup de trop, et s'excusait d'avoir fait sa visite en un tel
état
, dont il avait espéré, disait-il, qu'on ne s'ap
nale syphilitique, par Pelletier, 508. ' Mental. Troubles de l'
état
- aux Antilles, par Guilloil, 263. MESNET. Né
Beach, 77. et justice militaire, par Ferria, 262. Variations de l'
état
montai et de la , par Guyot, 266. Rêves. Sign
agnés de douleurs épigastriques. La malade tomba rapidement dans un
état
de faiblesse profonde se sentant sans cesse éto
mittents mais ne cédèrent complètement qu'au bout de six mois ; son
état
général s'améliora alors, toutefois, les vertiges
ec effort et on doit avoir recours fréquemment au cathétérisme. L'
état
de cette malade malgré un traitement hydrargyriqu
sortie de la Salpêtrière la malade est transportée à la Pitié, son
état
s'étant considérablement aggravé. On a dû la po
ate, des os du coude et de la partie supérieure du cubitus qui, a l'
état
normal, donne lieu à une flexion de l'avant-bra
ion de Wassermann est positive dans le liquide céphalo-rachidien. L'
état
général de cette malade est très précaire du fait
ait conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la moelle (
état
clair, dégéné- rescence ascendante du faisceau
armi nos pièces de laboratoire, les cerveaux de deux malades dont l'
état
clinique a été très soigneusement observé. Les
rose combinée sénile. Les renseignements que nous possédons sur son
état
clinique ne laissent rien à désirer, car cet ho
, ù.la suite de laquelle il demeura pendant assez longtemps dans un
état
d'affaissement très marqué. C'est à cette époque
mais ses forces déclinèrent rapidement ; il tomba plus tard dans un
état
de demi-coma et mourut le 10 juin 1910. Durant
soumis à une observation très soutenue et l'on peut affirmer que l'
état
de la parole n'a subi aucune modification. Jus-
voisine. Alors qu'au moment du départ elle paraissait jouir de son
état
de santé habituel, on s'aperçut plus tard dans la
lle perdit connais- sance. Ce ne fut qu'alors que la gravité de son
état
s'imposa, et aussitôt l'on manda auprès d'elle
oit de dysarthrie, soit d'aphasie sensorielle. Malheureusement, cet
état
de guérison apparente ne dura que peu de temps.
usieurs fois de suite. Reconnaissant parfaitement la gravité de son
état
, notre patiente était visiblement déprimée et exp
nt transmis par le médecin traitant,8 la date du 6 décembre 1912, l'
état
ne s'est guère amélioré, depuis que le malade a q
t grand, maigre,bien bâti. Nerfs crâniens,membres supérieurs en bon
état
. Les membres inférieurs sont absolument inertes,
e de symptômes d'amélioration dans un sens quelconque, après quoi l'
état
empira sérieusement, les douleurs dans les geno
l'amélioration progresse rapidement sans oscillations ou sans que l'
état
empire même momentanément ; dans les com- mence
Sensibilité tactile et à la douleur ; le sens musculaire revient à l'
état
normal ; seule la chaleur se fait moins sentir
ulement et sous-arachnoïdien et les vaisseaux vei- neux, reprit son
état
normal, la limite supérieure de l'anesthésie tomb
ulièrement nuisible de l'appareil d'extension sur les douleurs et l'
état
général du malade, le résultat négatif de la ré
vements du pied droit sont les plus faibles. 23 janvier 1911. - L'
état
général empire notablement ; réapparition des d
nce d'urine partielle, constipation prolongée. Accrois- sement de l'
état
de faiblesse générale ; douleur légèrement amoind
recommence à marcher. La démarche devient de plus en plus sûre ; l'
état
général est bon ; mais cela ne dure guère. Un moi
es réapparaissent. Le malade commence à uriner avec difficulté; son
état
général empirant, il se décide à retourner l'hô
Fonctionnement de la vessie satisfaisant; l'absence de fièvre et l'
état
général du malade témoignaient d'un résultat éton
embre-'^ octobre. Le sens musculaire dans les orteils revient à son
état
normal ; la trépidation du pied disparait; les do
le malade avait la fièvre, toussait, ce qui influait en mal sur son
état
général, on l'envoya dans un sanatorium où les sy
pulmo- naires commencèrent à diminuer, la température revint à son
état
normal, la toux cessa. Pendant ce temps l'état
érature revint à son état normal, la toux cessa. Pendant ce temps l'
état
nerveux du malade n'empirait pas ; au contraire
s, extrémités supérieures normales; extrémi- tés inférieures dans l'
état
de tonicité spastique extrême, paralysie presque
partir de, la limite supérieure, indiquée dans ta description de l'
état
présent ; faible réflexe plantaire bilatéral.
inférieures. Il y a 3 mois, après ablation de la matrice (myome en
état
de dégénérescence myxomateuse), augmentation de
ent. Organes intérieurs, nerfs crâniens, extrémités supérieures à l'
état
normal. Extrémités inférieures : la droite ne fon
guéri le malade, toujours est-il qu'il améliora considérablement, son
état
, TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELL
férieures, ce qui lui per- met de recommencer à marcher. En outre l'
état
général s'améliora nota- blement ; le malade se
ssu osseux. Cependant le cours subséquent de la maladie ainsi que l'
état
actuel du patient ont démontré tout le caractèr
, d'après l'un de nous (2) une inclination fixe, car en l'espèce un
état
affectif puissant réalisera une systématisation p
dans -son délire et c'est tardivement que leur nombre diminuera ; l'
état
affectif incertain conduira à une systématisati
t encore enfermées complètement dans leurs capsules germinatives. L'
état
des cartilages épiphysaires correspond du reste à
spond du reste à cet âge ; nous ferons remarquer en effet, que si l'
état
des cartilages de conjugaison des os longs n'es
osture de la momie, il en est tout autrement 64 BERTOLOTTI pour l'
état
d'ossification des vertèbres. L'on peut voir très
o- fonctionnement thyroïdien, on ne le concevait qu'accompagné d'un
état
myxoedémateux, plus ou moins marqué suivant les
trouve 1 m. 16. Alors survient une sorte d'amé- lioration dans son
état
; de plus il s'alimente plus copieusement qu'aupa
l entre (6 mai t901) dans le service du Dr Morax, où l'on examine l'
état
de sa vision. On trouve, du côté droit, une céc
st impossible de se rendre compte, par la vue et la palpation, de l'
état
de la thyroïde. Le larynx est petit. Son corps es
ypophysaire et arrêt de croissance consécutif. Persistance de cet
état
jusqu'à 18 ans. Puis régression épisodique des
sont décrites dans les myoclonies qui ne sont pas liées à d'autres
états
pathologiques. Mais elles ne sont dans ces cas-là
sation, en 1888, dans le travail deZiehen comme devant englober des
états
semblables qui, auparavant, se trouvaient séparés
désignation de paramyoclonus multiplex par Friedreich, d'un nouvel
état
morbide et qui est devenu classique. Il est int
rtain degré de tétanisation avait lieu, et il apparaissait aussi un
état
de contractilité simultanée de plusieurs mus- c
ce groupe. Comme le dit Cruchet, ces phénomènes sont plus près de l'
état
physiologique que de l'état morbide. Ce sont de p
het, ces phénomènes sont plus près de l'état physiologique que de l'
état
morbide. Ce sont de petites secousses pal- pébr
nition que nous présentons des myoclonies. La première élude de cet
état
morbide a été la thèse de Berland publiée en 18
e, les réflexes ne présentent pas, en général, de modifications ; l'
état
mental persiste intact ou est très légère- ment
ssentielle, à grands déplacements, qui ne sont pas dépendantes d'un
état
pithiatique ni d'une lésion organique quelconque.
ce résultat. Cela paraît un symptôme involontairement greffé sur l'
état
morbide que nous sommes en train d'étudier. Quand
lalie qu'elle avait. Elle est partie de l'infirmerie dans le même
état
. OBs. IL G. M.. 18 ans, domestique, est entrée
cuisses et des cuisses sur le tronc, et tout revient, de suite, à l'
état
normal probable- ment par l'action adjuvante de
des alternatives d'intensité. La malade estaujourd'hui dans le même
état
qu'il y a un an. Pendant le sommeil elle n'a pa
a eu une petite contrariété et, tout de suite, elle est revenue à l'
état
primitif. Dans les deux cas il y a des particul
tre les myoclonies essen- tielles qui, n'élant pas liées à d'autres
états
morbides, ont des caractéris- tiques suffisante
es sur ce sujet il n'y a pas de raison pour qu'on ne sépare pas ces
états
morbides. Le tic est, d'après Henry Meige et Fe
e, et coordonné vers un but ; par la répétition, cet acte passe à l'
état
d'habitude et finit par se repro- duire involon
e illogique pour les séparer des lies. Le diagnostic entre les deux
états
morbides peut être quelquefois diffi- cile, mai
des myoclonies symptomatiques et de la mala- die d'Unverriclrt. L'
état
physique des myocloniques est bon. L'état psych
die d'Unverriclrt. L'état physique des myocloniques est bon. L'
état
psychique ne subit pas d'altérations sensibles. D
ymptomatiques et essentielles : les premières sont liées à d'autres
états
morbides et les secondes ne sont associées à au
ne et des secousses myocloniques qui alternent continuellement. Cet
état
morbide est aussi appelé épilepsie partielle co
définies, il reste les myoclonies qui ne sont pas liées à d'autres
états
morbides, qui ont une vie autonome, et que nous
ent avec un rythme régulier et qui appartiennent généralement à des
états
pathologiques définis. MYOCLONIES ESSENTIELLES
tendance imitative : écholalie, échocinésie, coprolalie ainsi qu'un
état
mental particulier qui se manifeste surtout par l
produit direct de la vésanie» et Bris- saud l'appréciait comme un «
état
mental spécial, des bizarreries, de l'ex- centr
ents et l'imitation, dans cer- taines limites. La malade avait un
état
psychique spécial. Entre ce cas que nous pouvon
eures 1/2 du soir à 1 heure de l'après-midi. 24. La malade est en
état
de sommeil depuis le 22 à 5 heures du soir jusq
. Ce n'est que le jour suivant, jour de douche, que l'on constate l'
état
de l'organe. La glande est tuméfiée, immobile e
al (Nantes) La manie chronique n'est pas l'agitation chronique. Les
états
d'agita- tion chronique comportent plusieurs va
de boire dans l'établissement et rentre quelquefois à la section en
état
d'ivresse. Voici quelques renseignements sur sa
s de la messe et des Cantiques. Le soir, en rentrant, était dans un
état
de malpropreté repoussante ; il était couvert de
des phénomènes d'ordre hypersthénique. Comment s'est constitué cet
état
maniaque chronique ? Voici ce que nous supposon
e aussi, mais cette dernière progressivement a été remplacée par un
état
maniaque resté chronique (asthénomanie post-mél
salh. A leur côté nous trouvons plusieurs cellules névrogliques à l'
état
d'involution (Eisath). On voit assez,souvent da
un phénomène erratique. Ses an- cêtres préparent et expliquent son
état
mental et elle-même imposa son hérédité à ses d
e, dit un historien, dans une profonde mélancolie. « C'est dans cet
état
qu'elle accouche, le 10 mai 1503, de Ferdinand,
le mène avec la princesse Jeanne et l'on ne saurait s'en étonner; l'
état
de la princesse est tel, en effet, qu'il doit (
e, une blessure que l'on se met en devoir de panser. Mais bientôt l'
état
devient grave et Vésale soutient qu'il faut tré
tale caractérisée qui s'im- pose aux esprits les moins avertis et l'
état
psychique normal, il existe une série ininterro
tis et l'état psychique normal, il existe une série ininterrompue d'
états
anormaux, qui doivent êlre recherchés avec soin
lligence, sauf quelques particularités en relation surtout avec cet
état
d'infériorité dans les rapports sociaux, où les
se et de la sypliilis. Les autres pensent que l'on doit admettre un
état
d'auto-intoxication, produit par le mauvais fon
n. Toujours au point de vue clinique il est intéressant d'étudier l'
état
psy- chique des achondroplases et des micromèle
on en dise il semble bien que dans beaucoup de ces cas il existe un
état
d'infé- riorité ou au moins de vulnérabilité ps
es viscéraux impor- tants. Le pouls plutôt rare, 64 par minute. L'
état
psychique ne semble présenter rien de particulier
terne. Nous ne pouvons pas connaître, d'après cette radiographie, l'
état
de la base du crâne. Dans l'autre observation l
es os nasaux sont plus larges et en même temps plus concaves qu'à l'
état
normal (PI. XXXII). L'apophyse basilaire de l'o
la motilité. Ponction lombaire négative. ' En ce qui concerne son
état
psychique on constate un état d'agitation. La m
re négative. ' En ce qui concerne son état psychique on constate un
état
d'agitation. La malade chante, crie, pleure, es
el surtout la très petite taille de ce malade due en partie aussi à l'
état
de flexion des jambes sur la cuisse présenté pa
llure lombaire est plutôt .absente. On peut penser dans ce cas à un
état
d'achondroplasie fruste. Cette malade a présent
ésorientation). A ce propos il convient de dire quelques mots sur l'
état
psychique dans l'achondroplasie. Certai ns au
sychique dans l'achondroplasie. Certai ns auteurs pensent que cet
état
psychique est normal. Pourtant ce phénomène est
ne saurait non plus généraliser d'un seul cas en ce qui concerne l'
état
de l'affectivité dans l'achondroplasie, caruziére
'équilibre affectif. r. Lauze qui consacra récemment sa thèse à l'
état
mental des achondro- plases pense pouvoir parle
lant ceux de la manie. Dans le cas de Lauze la malade a présenté un
état
maniaque. Ii s'agis- sait d'ailleurs, ainsi que
résente une micromélie rhizomélique et qui nous semble présenter un
état
voisin de l'achondroplasie, a présenté une pé-
ovariennes ou thyroïdiennes, ce dernier traitement pour réaliser un
état
semblable à celui qui a dû exister chez la- mèr
et chez ceux à membres habituels. On devra étudier le poids et l'
état
fonctionnel des différentes glandes et le rappo
tements ; la voûte palatine est ogivale ; les dents sont en mauvais
état
. La langue a un volume normal, elle est le sièg
arquèrent que la tête de l'enfant. commençait à grossir plus qu'à l'
état
normal et les yeux à paraître plus saillants que
nu (sang) est négative. On ne peut donner un jugement certain sur l'
état
du goût et de l'odorat, à cause du mutisme du m
t inférieurs s'accomplissent mieux que dans les jours précédents, L'
état
général est bon : pouls valide, rythmique (80 pul
seulement une exagération des réflexes superficiels, ahsents dans l'
état
aigu de la maladie, tandis que les réflexes rotul
diminution notable de la pression intrarachidienne et le retour à l'
état
normal du liquide cérébro-spinal. C'est dans le
CUT1SATION DE L'HYDROCÉPHALIE INTERNE 221 forme d'amélioration de l'
état
subjectif et des phénomènes objectifs, dus à la
mon cas être accusées par la manifestation avant tout de ce spécial
état
infectieux et par sa successive réacutisation ?
liquide cérébro-spinal réussit à ramener les conditions du malade à l'
état
primitif. BIBLIOGRAPHIE 1 Oppenheim. - Trat
i se présentait, je fus d'abord embarrassé, car je ne savais à quel
état
pathologique l'attribuer. La première pensée qu
en arrière, évaluable à 45" «.Celle déformation n'existait pas à l'
état
de repos et exigeait toujours une intervention ac
u'à droite. Mais cette ànomalie ne saurait être considérée comme un
état
pathologique de la musculature de cette région.
ophie, ni même hypertrophie ou pseudohypertrophie. En examinant l'
état
de la sensibilité cutanée, je pus constater en ex
soumis à mon observation, c'est-à-dire, depuis près de neuf ans, cet
état
des omoplates ne se modifie ni n'empire. Appe
t peu accentuée. Je veux maintenant passer rapidement, en revue les
états
morbides indri- SUR UN CAS D'OMOPLATES AILÉES P
avoir si la cause de la difformité décrite doit être attribuée à un
état
pathologique et s'il s'agirait ensuite de cons-
n état pathologique et s'il s'agirait ensuite de cons- tater si cet
état
, physiologique ou pathologique, est un état stati
e de cons- tater si cet état, physiologique ou pathologique, est un
état
stationnaire, et enfin s'il n'y a pas combinais
est un état stationnaire, et enfin s'il n'y a pas combinaison d'un
état
pathologique avec un état physiologique. On p
et enfin s'il n'y a pas combinaison d'un état pathologique avec un
état
physiologique. On pourrait expliquer les omop
alement nous fournir aucune conclusion en faveur de l'un ou l'autre
état
morbide, soit nerveux, soit musculaire. Il est
devons penser, après avoir passé en revue et éliminé les différents
états
pathologiques,qu'il s'agit ici d'une dextérité mu
usieurs jours, et la jeune femme se trouvait par conséquent dans un
état
général des plus satisfaisants, sont apparus le
grammes d'albumine par litre. Il avril. Revenue complètement de son
état
comateux, elle se plaint de voir trouble. Réten
rnité, mais toujours steppant. On l'a revue au mois d'août, dans un
état
légèrement plus amélioré qu'à la sortie. BIBL
n rôle consistait surtout à entretenir les meubles d'art en excellent
état
. De 33 ans à 60 ans il frotte donc les meubles,
haut, que nous avons trouvé des lésions des racines antérieures. L'
état
des racines postérieures, si intimement lié aux r
pie-mère par les racines, dans leur « taille » (d'après Hoche). L'
état
du système vasculaire et lymphatique dans la moel
58 REBATTU ET GRAVIER logique, pour réserver cette appellation à un
état
anormal, pathologique, avec rupture des proport
signer, l'on emploie un terme fort compréhensif, s'appliquant à des
états
dont la palhogénie n'est souvent pas univoque.
ssi normale et régulière, de 3riz4 le matin et de 37°3 le soir. L'
état
intellectuel est normalement développé pour un. h
illons. A 6 ans, angine avec dysphagie et adénite. De 6 à 12 ans,
état
de santé absolument normal. A 12 ans, notre mal
ou 5 minutes. Sur plusieurs préparations microscopiques, faites à l'
état
frais, l'examen montre quelques corpuscules amy
sme Tét'e1'sij deGatady) ou plus rarement évoluent vers une sorte d'
état
asexué, que l'on a désigné parfois sous le nom
allure progressive au point que la malade était tombée dans un tel
état
d'émaciation qu'aucun chirurgien n'avait voulu in
re pen- dant quelques mois une cure d'iode qui aggrave beaucoup son
état
. Elle mai- grit excessivement, sa faiblesse est
er et elle continue à suivre différents trai- tements toniques. Son
état
ne s'améliorant pas, elle entre il l'hôpital Colt
hôpital Coltzà pour se soumettre à l'opération, mais à cause de son
état
de faiblesse excessive elle est mise d'abord da
isant des séances de 15 en 15 jours d'une durée de dix minutes. Son
état
s'améliore un peu, elle peut se promener dans s
alvanisa- tion du sympathique ayant produit une amélioration dans l'
état
du malade et ayant fait en même temps disparaît
oureuse avec des amyotrophies et des contractures, accompagnée d'un
état
de sclé- rose de la peau des membres inférieurs
pathique qui ouvre la voie de l'éruption de la maladie,sans être en
état
de produire à elle seule la sclé- rodermie, pou
quefois, c'est parce que la glande n'est pas toujours dans le même
état
. Gauthier (2) distingue même deux formes de scl
e façon à rendre la malade à peu près impotente à tout travail. L'
état
général pourtant n'a pas beaucoup souffert, elle
ation on ressent qu'ils ont acquis une consistance plus dure qu'à l'
état
normal (Voir Fig. 4 PI. XLIII). Nous attirons
s l'hypothyroïdisme, au contraire de ce que l'on rencontre dans les
états
acro- mégaliques, ne s'accompagne pas d'une dil
du fonc- tionnement du corps thyroïde : cette glande présentait un
état
d'atrophie complète avec retentissement sur les
faits, Strumpell conseille de toujours examiner à l'autopsie en quel
état
se trouve l'hypophyse cérébrale. En 1902, Laf
s nom- breuses observations appartenant au syndrome de Profichet un
état
spé- cial de la peau qui est lisse, luisante, r
ns encore qu'à l'autopsie on constata la sclérose du myocarde et un
état
atrophique des viscères. Il n'est pas douteux
uiques, la peau est durcie, il y a de l'ichthyose, des eschares, un
état
pigmentaire des téguments. Le malade est cachec
aitement mercune) et sortit améliorée de ses phénomènes laryngés, l'
état
des téguments restant inaltéré. En résumé, il s
petits. La peau des jambes est aussi plus foncée de couleur qu'à l'
état
normal ; pendant qu'on soignait le malade à l'hôp
; la malade est revenue ensuite, au point de vue de la parole, à l'
état
où elle se trouvait avant cette grippe. Examen
lapin est un animal très doux et si timide que lors- que il vit à l'
état
sauvage il creuse sa demeure dans la terre au fon
percevait. Nous n'avons pu obtenir aucun renseignement précis sur l'
état
du langage à cette époque. Jamais la malade n'a e
relativement peu touché. La malade se rend très bien compte de son
état
. ' Cette malade est donc bien atteinte d'aphasi
e sont les prin- cipales causes du peu de progrès constaté dans son
état
. Elle n'a plus été revue qu'a de rares interval
mastoïdite, elle a succombé trois jours après l'interven- tion, son
état
ne s'étàit pas modifié. Examen anatomique.- Aut
ien que nous n'ayons pu obtenir de renseignements très précis sur l'
état
du langage pendant les premières années qui ont s
peul, comme du reste le syndrome asthénie, s'associer à d'au- tres
états
morbides, créant des tableaux cliniques complexes
juin 1912. Le malade est déshabillé : on constate qu'il est dans un
état
excellent au point de vue somatique genéral. Le c
est pas douteux, à notre avis, que nous soyons ici en présence d'un
état
maniaque . Sans doute nous faisons le diagnostic
venues. Leur intensité est variable; quelquefois peu apparentes à l'
état
de repos du visage, elles deviennent manifestes
ffectent la forme de convulsions toniques, ne se manifestant qu'à l'
état
d'activité de la face. Cette variété est constitu
gauche s'améliora spontanément, mais au bout de quelques jours son
état
restait stationnaire. Sur les conseils de son méd
s faci- lement, les traits étaient moins déviés, lorsque apparut un
état
spasmodique de l'hémiface gauche qui fit progre
ges furents faits au niveau du côté gauche de la face, mais comme l'
état
spasmodique persistait après trois mois de ce nou
raits sont entraînés vers l'oreille gauche. Examen de la face à l'
état
de repos (PI. LU). - Au front, les rides sont t
rès légèrement ou pas du tout la grimace d'ensemble provoquée par l'
état
spasmodique de l'hémiface gauche. Elles ont, d'
en même temps que s'atténuerait légèrement, dit encore la malade, l'
état
spasmodique de la face. Elles ont apparu avec cet
la malade, l'état spasmodique de la face. Elles ont apparu avec cet
état
spas- modique, elles semblent suivre ses variat
s musculaires. Le clignement d'une paupière entraînant toujours à l'
état
normal le clignement de l'autre, toute excitation
modes et des deux côtés : il faut signaler cependant qu'au début de l'
état
spas- modique, la peau de l'hémiface gauche éta
réactions électriques n'avaient pas varié, malgré l'apparition de l'
état
spasmodique qui succédait à l'état paralytique. E
varié, malgré l'apparition de l'état spasmodique qui succédait à l'
état
paralytique. Elles étaient les suivantes : Ex
ploration faite le 20 mars, c'est-à-dire un mois après, alors que l'
état
spasmodique ne s'était uullement modifié, montrai
e, et malgré toutes les médications anti- spasmodiques employées, l'
état
paréto-spasmodique de 1'liémiface gauche ne s'é
tée électriquement pendant 7 mois. Au bout de ce temps, apparaît un
état
spasmodique du côté paralysé avec déviation des
: 1° Des reliquats de paralysie faciale gauche, se traduisant, à l'
état
de repos, par l'absence de rides frontales, l'a
cligne- ment physiologique des paupières (2). Pour distinguer ces
états
de « contracture frémissante », peut-on se fier
l le plus important dans ce diagnostic serait la consta- tation à l'
état
de veille de la relation étroite qui unit ces mou
ce est plus accentuée que dans l'occlusion des deux yeux. Donc, à l'
état
normal, l'occlusion énergique des paupières s'a
ou des deux, suivant qu'on ferme un seul oeil ou les deux. Dans l'
état
spasmodique qui succède à la paralysie faciale, l
mprend ainsi facilement pourquoi les premiers ne se montrent qu'à l'
état
de repos. Les HÉ : iISPAS11ES SYNCINÉrrQUES DE
de était atteinte d'in- somnies qui ne l'ont pas quittée depuis ; l'
état
général devint mauvais ; le ca- ractère devint
traits sont entraînés vers le côté gauche. Examen de la face à l'
état
de repos. Les rides frontales sont également ma
cette manoeuvre. Secousses musculaires de l'hémiface gauche. - A l'
état
de repos de la face ou dans les mouvements habi
. Rien au coeur ni aux poumons. Hien d'anormal dans les urines. L'
état
mental, sauf les modifications du caractère signa
très améliorée, les céphalées ont.disparu, le sommeil est revenu, l'
état
général s'est remonté, le caractère est devenu
tat général s'est remonté, le caractère est devenu meilleur. Mais l'
état
spasmodique de son hémiface gauche est tou- jou
. Elle est revue le 13 septembre 1905. L'amélioration a persisté. L'
état
spas- modique de la face est moins marqué, mais
e légère déviation de la face vers la gauche, à peine apparente à l'
état
de repos de la face, plus perceptible dans la m
e n'estpas traitée électriquement. Au bout de deux ans, apparaît un
état
spasmodique du côté paralysé avec déviation des I
4" Une absence de secousses musculaires dans l'hémiface gauche à l'
état
de repos ou dans les mouvements habituels de la
'étude de la deuxième ob- servation. Ici, ces secousses, nulles à l'
état
de repos et dans la mimique habituelle, apparai
aient trait à des paralysies faciales périphériques anciennes, avec
état
spasmodique quelquefois même fort léger. Quelques
isparaître ensemble, et leur disparition laisse les muscles dans un
état
de repos apparent. Elles se présentent sous la fo
gnes pulmonaires. Appareil digestif normal. Les jours suivants, l'
état
fébrile à grandes oscillations se maintient. L'in
mble-t-il, tout à fait au début des accidents, un accouchement avec
état
fébrile consécutif, mais il ne parait pas y avoir
est normal, l'intelligence est bien développée, la mémoire bonne, l'
état
intellectuel est celui d'un adulte; le malade n'e
sticulaire, thyroïdienne et pan- créatique ne modifiaient en rien l'
état
du malade. Les ulcérations périanales se cicatr
re est venue se greffer secondairement sur un terrain préparé par l'
état
dystrophique antérieur. OXYCÉPHALIE ET SYNDROME
ayant une va- leur pittoresque analogue expriment, au fond, le même
état
pathologique du squelette : l'ossification prém
t Virchow (1) qui signala ces faits, en attribuant la cause « à des
états
in- flammatoires des enveloppes internes du crâ
e, de même que les formes hydrocéphaiiques peuvent se ramener à des
états
inflammatoires des enveloppes du cerveau ». Wel
ent d'après Bertolotti, de l'hypertension cérébrale prodromique des
états
d'oxycéphalie; or l'amin- cissement des os, déc
r praktischen Augenheilkunden. 1876. (7) Sauvages, Recherches sur l'
état
sénil du crâne, Paris, 1876. (8) GUDDEN, Recher
issements, et périodiquement (une fois par mois) il tombait dans un
état
que ses proches appelaient léthargie. Il était de
. On peut considérer que les attaques épileptiques proviennent de l'
état
anormal des voies lymphati- ques du cerveau el
la lymphe de la cavité crânienne dans le corps par aspiration. L'
état
atonique général du protoplasma produit le sommei
ogie, 5 juin 1862. 458 LÉRI par sa face inférieure : alors qu'à l'
état
normal les condyles occipitaux sont plutôt au-d
térieur et le bord postérieur du trou occipital, la ligne aboutit à l'
état
normal au niveau du tiers inférieur des choanes
ent est parfois tel que l'apophyse basilaire, presque verticale à l'
état
normal, devient presque horizontale, par exempl
de sorte que l'angle sphéno-basilaire esl plutôt plus ouvert qu'à l'
état
normal. Entre la cyphose basilaire verticobasiq
3). En arrière, les fosses cérébelleuses sont moins profondes qu'à l'
état
t normal, elles sont moins « en contre-bas » de
ndantes du système glandulaire endocri- nien, c'est-à-dire avec des
états
morbides qui n'ont rien à faire avec l'acroméga
rongeait ses ongles durant un certain temps, mais par la suite leur
état
s'est trouvé très mauvais et ils ont presque di
e les observations d'acromégalie avec autopsie et vérification de l'
état
de la moelle se comptent. Quoi qu'il en soit,
on interne. Peut-être dans l'avenir les vérifications relatives à l'
état
du sympathique dans le tabès apporteront quelqu
squelette normal : Longueur du 2e métatarsien : 96 millimètres (à l'
état
normal, 76 mm. environ). Longueur du 3e métat
76 mm. environ). Longueur du 3e métatarsien : 86 millimètres (à l'
état
normal, 70 mm. environ). De plus, toutes les
morragie méningée, tout en étant un facteur important, n'est pas en
état
de déterminer à elle seule le syndrome de la coag
toutefois que non seulement la symphyse mé- ningo-médullaire est en
état
de rendre le syndrome, mais aussi tout procès m
evée par Sicard en France et par Nonne etRaveneiiAlleiiiaciie sur l'
état
du liquide céphalo-rachidien dans les différent
mencement du mois d'août on constate une faible amélioration dans l'
état
du malade : il peut fléchir à demi le genou droit
heures le liquide se prend en une masse consistante, translucide. L'
état
du malade reste le même ; il nous affirme toutefo
ontinence et rétention d'urine, constipation opiniâtre. 3 juin. - L'
état
général va empirant. Le malade a heaucoup maigri,
alade maigrit toujours; depuis quelques jours, il est tombé dans un
état
d'apathie, il reste indifférent, somnolent, avec
ium se fait en masse. Le malade a quitté le service le 28 juin. Son
état
s'est continuellement aggravé de sorte que dans
les membres inférieurs, surtout dans la région postérieure. Comme
état
général nous notons, à la réception, un organisme
intense réaction méningée. Il nous a été envoyé en pleine période d'
état
, en sorte que nous n'avons pas pu suivre les ét
lammatoires. Il résulte donc.que l'endothélium sous-arachnoïdien en
état
cl'intlam- mation laisse passer dans le liquide
affection organique des centres nerveux, est la manifestation d'un
état
névropathique le plus souvent héré- ditaire ; c
s. Au point de vue psychique, ils parcourent la gamme entière des
états
dégénératifs depuis l'idiotie et la débilité ment
t et de l'hystérique n'est d'ailleurs pas une hypothèse gratuite. L'
état
mental de certains enfants nerveux ressemble en
onnel du cerveau avant quelque rapport avec ce qu'on observe dans l'
état
mental des hystériques. Il consiste en un défau
cturne. L'enfant revient seulement le 11 novembre me consulter, son
état
de santé l'en ayant empêchée plus tôt. Je la tr
confirmée la justesse du rapprochement que nous avons fait entre l'
état
mental des incontinents et celui des hysté- riq
ypnose légère, catalepsie suggestive, sugges- tion appropriée à son
état
. 17. Trois nuits mouillées depuis le 10. 31.
-être excessives. Deux nuits mouillées. 12 mai. Aucun accident. L'
état
physique est meilleur, les règles régulières; l
obtusion tout particulier, qui milite en faveur de l'existence d'un
état
mental anormal. Chez ces sujets on voit au sur
enfant la guérison est obtenue, pourrait-on dire par suggestion à l'
état
de veille, aucun signe d'hypnose n'ayant été co
le 22. Hier, cet enfant a eu encore un de ces accès de fièvre avec
état
quasi comateux dont le diagnostic est incertain
s cas. Le degré d'hyp- nose du sujet est sans grande importance. Un
état
de simple passivité psychique avec yeux mainten
u; il était très hypocondriaque, et fut profondé- ment affecté de l'
état
de son fils. Dès sa jeuuesse, X... a offert ses
tôt il se persuade qu'il est coupable envers elle. Peu à peu, cet
état
s'aggrave sans cause adjuvante apparente. X...
ste. X... nous remet un billet dans lequel il nous fait part de son
état
; mais quelques heures après, HALLUCINATIONS SU
lus affreuses tor- tures ; il craint qu'on ne l'enterre vivant; son
état
d'anxiété est inexprimable ; il est pâle, tremb
qui s'est passé entre nous, luicrie-t-elle; je me vengerai. » Cet
état
persiste pendant plusieurs jours. Le malade ne ma
'est pas une entité morbide, c'est un syndrome appartenant à divers
états
patho- logiques, et l'hystérie joue un rôle con
ou les pollutions spontanées; la névrose d'angoisse (irritabilité,
état
d'at- tente anxieuse, phobies, attaques d'angoi
le poids du corps, et par suite sur ces deux rapports formulés à l'
état
de norme proportionnelle chez l'individu sain d'e
, 1895.) Cinq observations de paralysie périphérique attestée par l'
état
de l'excitabilité électrique et la limite de la
u rapidement, après la troi- sième séance de.suggestion verbale à l'
état
de veille. Il s'agit d'une jeune fille de vingt
- troubles psychiques consécutifs aux accès. On a donné l'opium à l'
état
pur (opium à 12 p. 100 de morphine); la premièr
ez la femme. La médication de Flechsig a une action favorable sur l'
état
mental des épilepti- ques ; une malade a été, à
établissement, pratiques qui sont en contradiction formelle avec l'
état
actuel de la science psychiatrique. Elle insist
evient amnésique ; deux ans et demi après l'accident on constate un
état
d'affaiblissement intellectuel à marche progres
ment et ayant déterminé des foyers d'apoplexie. 3. M. Schultze. Les
états
de sommeil pathologiques et la nnrco- lepsie.-C
t à des intervalles plus ou moins longs. Gelineau ne parle pas de l'
état
des pupilles. 4. L : 1NGRCUTER. Présentation de
tutions où se pratique l'éducation spéciale nécessaire à chacun des
états
anormaux, quelles sont les formalités nécessair
d'inquiétant jusqu'au commencement de 1892, c'est à ce moment que l'
état
devient mauvais. La tète lui tourne quand il fa
rendre quelques menus services en rapport avec l'infériorité de son
état
intellectuel, et il fut revu pour le certificat
S... est considéré comme un paralyti- que général sans délire. Cet
état
se mainlint quelques semaines, une amélioration
la compression ont une consistance plus ferme et plus dense qu'à l'
état
ordinaire. Une série de sections méthodiques ne
ur, d'une hémorragie cérébrale ou d'un ramollissement; mais, avec l'
état
intellec- tuel, ces constatations faisaient fat
es dix premiers jours qui suivirent l'opération, il demeura dans un
état
mélancolique bien caractérisé, puis il redevint n
ue de l'autre, enfin le sujet rougit avec une faci- lité exirême. L'
état
mental est redevenu normal, mais on a vu plus h
il veut mourir, il est surexcité, il ne mange ni ne dort plus. Cet
état
va s'aggravant pendant trois jours et aboutit à
public en avait rappelé. Camuset. II. EXPERTISE médico-légale SUR l'
état
mental DE V..., accusé d'homicide. Equivalent p
issement, le DrTam- broni, fut chargé par le tribunal d'étudier sou
état
mental. Le médecin expert devait tout particuli
quand il jeta M... dans le Iteno ? - Quel rapport y a-t-il entre l'
état
mental actuel de V... et son état mental au mom
? - Quel rapport y a-t-il entre l'état mental actuel de V... et son
état
mental au moment du meurtre ? V... enfin ne ser
ant enfin toute nourriture. On dut l'envoyer au manicome. Voici son
état
à son arrivée : la face est pâle, l'air hagard,
homme terrifié par l'épouvante, il se débat et cherche à fuir. Cet
état
grave s'amenda petit à petit et finit, après un
emps, par se dissiper complètement. L'accès aigu élait fini, mais l'
état
mental restait très défectueux : erreurs de per
estion. - D'après lout ce qui précède il est facile de conclure à l'
état
mental véritable de V... Nous trouvons en effet
oniale halluci- natoire; 2° Au moment du meurtre V... était dans un
état
parti- culier de perversion de sa personnalité,
le hystérie mentale, qui lui enlevait la liberté de ses actes; 3° L'
état
mental actuel de V..., son état mental au momen
evait la liberté de ses actes; 3° L'état mental actuel de V..., son
état
mental au moment du meurtre ne sont que deux ma
règne et qui se résout par les actes les plus violents. Pendant ces
états
transitoires ou lout au moins d'affaiblissement c
dans le cerveau pendant le sommeil. Elles sont compatibles avec un
état
mental sain et ne diffèrent des idées normales
rent des idées normales que par le degré. Il n'admet dans ce cas ni
état
mental négatif, ni état mental positif isolé. L
que par le degré. Il n'admet dans ce cas ni état mental négatif, ni
état
mental positif isolé. L'état mental négatif abs
dans ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif isolé. L'
état
mental négatif absolu n'existe que dans la déme
rit peut exister chez un individu nullement aliéné. Le germe de cet
état
pathologique existe loujours dans la vie normale
tention est incomplètement absorbée. Entre ces faits normaux et les
états
pathologiques les plus intenses; il y a tous le
iots généralement mal déve- loppés, malingres et doués d'un mauvais
état
général sont aussi mal disposés que possible à
avoir, pour certains, de fâcheux résultats au point de vue de leur
état
mental. D'autre part peut-on se contenter d'iso
ur et de nuit, pour les aliénés, aussi bien au point de vue de leur
état
psychique qu'au point de vue de leur état menta
n au point de vue de leur état psychique qu'au point de vue de leur
état
mental. C'est en réalité tromper l'espoir 138 "
oir rappelé brièvement l'historique du phénomène du genou, résume l'
état
actuel de nos connaissances sur la nature et la s
exemple, associée d'autres signes, servir à différencier la manie d'
états
analogues faisant parlie du groupe des paranoïa
d'une tonicité déter- minée du quadriceps. La perte du réflexe à l'
état
physiologique, doit vraisemblablement être attr
à l'état physiologique, doit vraisemblablement être attribuée à des
états
passagers de contracture musculaire. L'absence
oncées. ' M. NEISSEIi. Dans toutes les recherches qui portent sur l'
état
des réflexes, il faut tenir compte, si l'on veu
ic de la paralysie générale. Il importe seulement de s'assurer de l'
état
de relâche- ment complet des muscles. M. IIIO
s. Il est fréquent d'observer des modi- ficalions passagères dans l'
état
des réflexes, qui sont dues à des modifications
et M. Tuczek sur la néces- sité d'examiner à différentes reprises l'
état
des réflexes chez un même sujet. Il répond à M.
our mensongères, ce qui irrite profondément celui-ci et aggrave son
état
. L'expert lui-même peut être victime de cette e
appartiennent en effet au groupe de la paranoïa. Quand il s'agit d'
états
périodiques, de formes circulaires, l'excitation
orme clinique spé- ciale désignée habituellement sous ce nom ou des
états
passagers survenant au cours d'autres psychoses
sique, à quatre périodes et, si Lasègue a vu seulement la période d'
état
, en revanche, il faut admettre aujourd'hui les
s ses points essentiels, dans ses discussions les plus actuelles, l'
état
de la science sur la maladie observée. C'est ai
s expressions d'un même groupe morbide, la myoclonie, produits de l'
état
de dégénérescence. Deux leçons sur les délires
° Spalding se livrait habituellement à la boisson et se trouvait en
état
d'ivresse tous les jours à partir de midi. Il n
anifestations de la scrofule et de la tuberculose inséparables de l'
état
constitutionnel de quelques- uns d'entre eux. N
e faits éga- lement avec beaucoup de prudence en tenant compte de l'
état
général du malade et de sa résistance. En dehor
rsalis, que notamment le symptôme ataxie est souvent aggravé par un
état
mental, neurasthénique, qui se traduit clinique
ncore plus remarquable que dans le précédent cas, si on considère l'
état
d'impotence absolue dans lequel nous avons trou
és par le malade sont favorablement influencés par le traitement. L'
état
général devient manifestement meilleur. Les mal
Toutes conditions égales des sujets jeunes, intelligents, avec un
état
général qui n'a pas trop souffert, s'amélioreront
IE DANS LE TABES DORSALIS. 181 tabétiques-ataxiques avec un mauvais
état
général ou atteints de maladies organiques grav
ncer les exercices que quand la maladie sera arrivée à la période d'
état
ou de progrès lent, chronique. En effet nos exe
s'aggrave de plus en plus. Au dire du malade et de son entourage l'
état
général s'est sensiblement amélioré à la suite
trois mois, dit-elle, sans attaque. Mais à la suite d'une chute, l'
état
ner- veux devient plus accentué encore, les cri
sont amincis. En résumé, nous avons eu l'occasion d'observer : 1° l'
état
normal, avec cependant persistance de cet épais
un individu n'ayant jamais éprouvé de troubles digestifs, et dont l'
état
général, d'ailleurs, est excellent. Il y a do
veuses et les neuro- logistcs en firent l'application à une foule d'
états
morbides dont ils ignoraient jusqu'alors les vé
exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un
état
d'hallucination. » .. ' , La caractéristique de
as exacte ou du moins ne con- tient qu'une partie de la vérité. A l'
état
normal, nous avons la faculté de nous représent
entale extériorisée s'impose avec une persistance obsédants ! . Cet
état
est voisin de la maladie, mais n'est pas encore
ants ! . Cet état est voisin de la maladie, mais n'est pas encore l'
état
pathologique. Jusque-là, le sujet se rend compte
ue celui-ci vient de lui et non du dehors. Mais un pas de plus et l'
état
pathologique est constitué : le phénomène se dé
u de ce qu'il entend; il a franchi le Ru- bicon ; il est sorti de l'
état
physiologique pour tomber dans l'état pathologi
Ru- bicon ; il est sorti de l'état physiologique pour tomber dans l'
état
pathologique. C'est cette inconscience de l'ori
phénomène. Comme on le voit, le passage se fait insensiblement de l'
état
physiologique à l'état pathologique; la représent
voit, le passage se fait insensiblement de l'état physiologique à l'
état
pathologique; la représentation mentale se tran
illes. Pendant longtemps, pendant des mois, cette conscience de son
état
persiste. Plus tard, sous l'influence de cha- g
Plus tard, sous l'influence de cha- grins divers, il tomba dans un
état
mélancolique; bientôt sur - ? ce fond mélancoli
ence, même des alcooliques, on retrouve, derrière et au-dessous, un
état
mental passager ou du- rable, évident ou plus o
be à l'oc- casion de nouvelles sensations réelles et n'exclut pas l'
état
de cons- cience. Entendant un morceau de musiqu
, non à des habitudes psychiques seu- lement, mais aussi à certains
états
de cicatrice hétérotopique, car les modificatio
l'asphyxie locale, durant de quelques jours à un mois; la période d'
état
, accompagnée d'accès de douleur et de gangrène,
e, les veines se dilatent de plus en plus, les artères sont dans un
état
de spasme permanent et la lésion des parois vas
l'absence d'oedème, de paralysie, de parésie et de contracture. L'
état
général du malade est excellent, sa température n
uadrangulaire, qui est à bords concaves, avec noyau central, dans l'
état
normal, perd ses granulations chromatophiles (exo
rique, bien après son propre début; 2° il est donc sage dans tout
état
névrosique plus ou moins obscur, dans ses origine
ut l'affirmer qu'avec réserve de l'avenir, l'hystérique restant à l'
état
latent; 5° l'action sédative et tonique tout à
s pas de l'avis de M. Lamacq sur l'exis- tence des tremblements à l'
état
normal ; je crois que les sujets que l'on consi
eler le tremblement qui existe chez tous les gens normaux, même à l'
état
de complet repos. L'ap- pareil est dû à M. Meye
de Sydenham. Parfois la chorée s'é- ternise par mise en branle de l'
état
nerveux : la suggestion arrête alors le branle.
nt est aussi curable de celte façon ; l'entl'aZnemcnt suggestif à l'
état
de veille produit la guérison. Le paramyoclonus
germe dans les secousses d'im- patience de certaines personnes. A l'
état
de maladie, s'il n'est pas ancien, incrusté dan
e masse gélatineuse, chez des mélancoliques on peut pronostiquer un
état
curable, non héréditaire, mais plutôt infectieu
s quarts échappent à toute action thérapeutique spé- ciale par leur
état
de chronicité qui les voue à une incurabilité f
sa guérison d'une maladie physique transmissible ou en raison d'un
état
passager qu'elle aurait intérêt à cacher ou pour
vénériens, les aliénées aux vénériennes. C'est un reste de l'ancien
état
barbare, où aliénés, vénériens et filles-mères
que le reconnaît le rapporteur, mais il en est de même de certains
états
aigus dans lesquels une guérison rapide permet au
l'on affectera des asiles ou des services spéciaux et distincts aux
états
aigus et chroniques et qu'on séparera ces servi
u'à guérison d'une maladie physique transmissible ou en raison d'un
état
passager qu'elle aurait intérêt à tenir secret
plus souvent, d'ailleurs, leur entourage contribue à entretenir cet
état
mental, cette appréhension. La relation qui e
veux central et l'ap- pareil digestif est mise en évidence, outre l'
état
mental, par des troubles de sensibilité de la z
igestives dans le cerveau, que signalent eux-mêmes les malades. Cet
état
peut s'accompagner de rumination et parfois mêm
peut s'accompagner de rumination et parfois même de vomissements. L'
état
général n'est pas altéré; le sommeil est ordina
ceptions déli- rantes, actes anormaux) sont dus à la reviviscence d'
états
psy- chiques antérieurs sous l'influence d'une
caractères physiques et psychiques identiques. Ce qui domine dans l'
état
des sujets, c'est que cette tendance à rougir l
r les vapeurs d'huile d'aniline avec ictus apoplec- tique, cyanose,
état
de collapsus, pouls ralenti et très faible, pup
nt les troubles psychiques et moraux apparurent et abou- tirent à l'
état
actuel caractérisé par des ictus apoplectiques ré
e est suggestible, et est mise, sur l'ordie qui lui a été donné, en
état
de sommeil hypnotique. Présentation de pièces.
ion de la glande thyroïde du mouton par la voie stomacale, soit à l'
état
naturel, soit en capsules ou en tablettes, a une
nes senso- riels. Pas de syphilis. Pas d'alcoolisme. Actuellement l'
état
général est excellent, et sauf quelques trouble
l'impossi- bilité d'utiliser pour parler, ainsi que cela a lieu à l'
état
physiolo- gique, cet air qui se fait de plus en
sensibles et constantes au moins jusqu'ici se sont montrées dans l'
état
de A. K... depuis son entrée à l'Asile clinique
s catégoriques, rien n'avait fait précédemment supposer chez lui un
état
d'infériorité ou de vulnérabilité spéciale dans
t localisées à la face, enfin elles s'accompagnent d'ordinaire d'un
état
mental spécial qui trouve son expression fréque
et depuis quelque temps pour un motif futile, il est entré dans un
état
voisin de la dépres- sion mélancolique. Au poin
pathologique. 268 CLINIQUE mentale. K... présente en outre à l'
état
d'ébauche un phénomène que l'on pourrait rappro
bro-médullaire 1. ASILES D'ALIÉNÉS. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK RAPPORT DE LA COMMISSION DE SURVEIL
tics, 1893.) (Note de la rédaction.) ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 271 ments de charité et de correct
. Disons tout de suite que le nombre des aliénés inspectés dans l'
état
de New-York s'élevait au le, octobre 1894, à 19,0
gime extra pour des cas spéciaux, qui ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 273 doit être prescrit par les méd
ion que conseille la commission. RAPPORTS SPÉCIAUX DES HÔPITAUX D'
ÉTAT
Ces rapports sont établis sur un plan uniforme,
e suivant proposé par la commission : ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 275 1. Exposer, d'une manière géné
ssion d'un malade, en ce qui concerne les examens pour déterminer l'
état
mental et physique du sujet, l'enregistrement d
ons pour l'observation spéciale, etc. assistance DES aliénés dans l'
état
DE NEW-YORK. 277 28. Fait-on régulièrement des
rs communs à l'li0pital; si oui, dans ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 279 quelle mesure et pour quelle c
'aliénés. 6. Proportion des décès : ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 281 15. On ne se plaint guère de l
de la puberté devinrent-ils manifestes ? Quel était, auparavant, l'
état
mental et physique ? Quels change- ments sont-i
tré de la haine pour le sexe opposé ? assistance DES aliénés dans l'
état
DE NEW-YORK. 283 Age adulte. Etat de la const
emblements ? . Etait-il très excitable, dépressible ou irritable en
état
de santé, et ces conditions duraient-elles quel
atique ? Y a-t-il quelque chose de continuellement pénible dans son
état
social, au sujet de la profession, du ménage, d
sur d'autres ? Qu'est-ce qui parait affecter de quelque manière son
état
actuel ? Examen physique. Taille... Poids...
reille.. Oreille, front, oreille... ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 285 Oreille, oreille... Oreille,
son de leurs effets thérapeutiques. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 287 40. Le système des portes ouve
c'est-à-dire à environ celle du sang. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 289 Ponr les baignoires l'eau est
déterminante les traumatismes du sein qui agissent en influençant l'
état
mental des sujets. On l'observe aussi assez fré
réflexes cutanés sont en partie conservés. Vaste eschare sacrée. L'
état
général de- vient rapidement très mauvais, mort
ure pyogène. Quelle est la nature de cette infection pyogénique ? L'
état
de putré- faction du cadavre n'a pas permis de
axes, axes de la tête, du cou, du tronc, etc., étaient étudiés à l'
état
physiologique. On sait qu'à l'état physiologiqu
tronc, etc., étaient étudiés à l'état physiologique. On sait qu'à l'
état
physiologique l'axe du tronc est oblique de haut
ait Vulpian, serait due à un léger degré de contracture et non à un
état
myopathique spécial. Les auteurs terminent leur
ciaux intacts, mais inégalité des pupilles. Aggravation rapide de l'
état
général, accidents de décubitus aigu et mort quat
vésicaux et rectaux. Au mois d'octobre 1896, la malade était dans l'
état
suivant : état général satisfaisant, paralysie
taux. Au mois d'octobre 1896, la malade était dans l'état suivant :
état
général satisfaisant, paralysie complète des me
ette recherche. Anatomiquement, le processus embryonnaire passe à l'
état
adulte, et c'est la sclérose qui en est l'about
de l'épaule. Au moment où l'auteur le voit, le malade est dans un
état
vraiment misérable. Articulation des mots impossi
ade depuis sept ans. Rien à relever dans les antécédents. Voici son
état
actuel : les deux bras, surtout le gauche, ne p
parole, asymétrie de la face et stupeur. Amené à la clinique en cet
état
, on note la pléiade ganglionnaire des syphili-
et état, on note la pléiade ganglionnaire des syphili- tiques et un
état
de stupeur. Il n'y a aucun phénomène paralytique,
e avec des périodes d'excitation ; plus rarement se manifestent des
états
de confusion avec hallucina- tions. Quand les s
ébrale a pu, pendant plusieurs mois, simuler une psychose aiguë, un
état
de confusion hallucinatoire avant qu'on ait pu
éterminer certains troubles psychiques et plus particulièrement des
états
maniaques. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
il. Jastrowilz déclare qu'il est une forme de trouble psychique, un
état
de démence avec excitation et exubé- rance (zto
blait normale à l'oeil nu, on ne l'a pas examinée au microscope à l'
état
frais. Après l'avoir durcie, on trouve des lési
connues sont le myxoedème infantile le nanisme, l'idiotie, etc. Un
état
mental infantile accompagne toujours la malform
de la Société des Sciences de Nancy ; 2° L'asile de Maréville, son
état
sanitaire et son régime alimentaire, parle D'' J.
ves, éjectives de l'examen psychique. L'auteur s'occupe d'abord des
états
psychiques et de leur expression, en comprenant
psychiques. Quant aux éléments qui consti- tuent l'expression d'un
état
psychopathique, ils dépendent des con- ditions
est un malheureux épileptique qui a plusieurs crises par jour ; son
état
l'empêche de se livrer au travail et il occupe se
les exercices physiques.- M. Paloque (Paul) : De la suggestion ci l'
état
de veille. Neutralisation des dangers et influe
pelle bien qu'elle pouvait remuer ses jambes au lit. C'est dans cet
état
qu'elle fut transportée à la Salpêtrière dans l
aux organes thoraciques et abdo- minaux. L'appétit, le sommeil et l'
état
général sont bons. Commencement du traitement l
e le progrès devient de nou- veau très rapide. Voici quel était son
état
le 1 ? avril : la malade marche dans la salle s
ux poumons. Rien aux organes abdominaux. Le sommeil, l'appétit et l'
état
général sont bons. Commencement du traitement l
en conservé pour son âge. Malgré l'envahissement rapide du tabès, l'
état
général est resté bon. Le malade mange et dort
n motrice, il a été consi- dérablement amélioré. Voici quel était l'
état
du malade avant son départ. Il exécute assez bi
les nouvelles que nous recevons du malade qui habite la province, l'
état
du malade va toujours en s'améliorant. Il march
actuel (5 juillet 1895. Le malade est de grande taille, robuste. L'
état
général est excellent. Le malade dort et mange
ntinence la nuit. ASILES D'ALIÉNÉS. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YÛRK1 RAPPORT DE LA COMMISSION DE SURVEI
1 Voir Archives de Neurologie, n° 10. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 363 Les accusations formulées par
ppropriée et un changement de régime. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 36S 10. On a signalé la mort d'un
a loi sur l'assistance des aliénés. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS l'
ÉTAT
DE NE1V-YURIC. 367 î plus libéral, en matière d
alement soumises à l'autorisation gou- vernementale. Il y a, dans l'
état
de New-York, 18 établissements privés d'aliénés
pôts, pensionnaires, payants, etc.) ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 371 372 ASILES D'ALIÉNÉS. ASSIST
NEW-YORK. 371 372 ASILES D'ALIÉNÉS. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 373 374 asiles d'aliénés. ASSIST
NEW-YORK. 373 374 asiles d'aliénés. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 375 376 asiles d'aliénés. Durée
les hôpitaux d'Etal). (30 septembre). ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS l'
ÉTAT
DE NEW-YORK. 377 Lieux de naissance. Sur les
e huit années à l'asile, furent rendus à leur famille sans que leur
état
mental se fût beau- coup modifié. L'auteur eut
un cas devient décidément chronique, c'est souvent un devoir, si l'
état
du malade permet de le faire sans danger pour l
nt se présenter dans l'épilepsie et être modifiées légèrement par l'
état
épileptique coexistant, telles la mélancolie, l
genre. Siehel, en 1863, en a observé trois cas, caractérisés par un
état
de mécontentement, un besoin de disputes, des p
ankt-Honhwart, par l'apparition d'hallucinations terrifiantes, d'un
état
d'anxiété et de confusion. Il importe de faire
corporés, n'ont pas permis de reconnaître les imperfections de leur
état
men- tal. Qu'arrive-t-il alors ? Ces individus
démence progressive très accentuée dès le début. A. M. XXX. DE l'
état
mental dans L4 maladie DE BSEDOW; par A. 1\ ! .
s; 3° l'aversion morale et juridique contre le meurtre n'est qu'à l'
état
embryon- naire chez les peuplades sauvages, de
escence régressive ou de processus pathologique, et représentant un
état
psychique semblable à celui de l'humanité primi
gies. On peut distinguer parmi les aliénés : a) ceux qui offrent un
état
congénital (folie morale, épilepsie, imbécillité)
possibilité de nuire et de procréer, les individus présentant « ces
états
psychiques semblables à ceux de l'humanité prim
ngage médical. En plus leur vie n'était qu'une succes- sion de deux
états
mentaux, de natureopposée, alternant régulière-
ficulté de la parole, criesthésie. En mars 1895, la malade dans cet
état
fut sou- mise au traitement par l'xelrait thyro
l'hydrothérapie comme moyens généraux et comme moyens d'améliorer l'
état
trophique de l'encéphale, l'extrait thy- roïdie
rs si opiniâtre. A. M. VIII. LE quebracho dans LE MÉL\NCOLOE ET LES
états
DE stupeur; par le D1' G. ICIERaarr. Penzoldt
e action favorable sur la dyspnée, mais améliora très notablement l'
état
de dépres- sion mélancolique, si bien que, sous
otablement l'état de dépres- sion mélancolique, si bien que, sous l'
état
de dépression présenté par la maladie il son ar
d'électricité statique positive) et la plaque, située en dehors à l'
état
neutre. Quant à la vibration lumineuse en elle-
l'aphasie s'installe lentement et progressivement. A \a.période d'
état
, la surdité verbale domine la scène clinique, l
de l'aphasique sensoriel est toujours très troublée à la période d'
état
. L'écriture spontanée est impossible; mais bien
uestions qui lui sont posées. En résumé, c'est un être retourné à l'
état
sauvage. A la vue des gendarmes, il s'est mis à
746), signale de plus les transformations successives de ces divers
états
dépressifs qu'il dénomme indistinctement hypoco
Le même malade peut, d'ailleurs, passer de l'un à l'autre de ces
états
, parlant automatiquement, tantôt à son insu, tant
le juge de paix, pour l'aliéné y recevoir tous les secours que son
état
exige et que l'humanité réclame en sa faveur. »
les plaça d'abord dans les prisons et un rapport du district sur l'
état
des prisons de Blois signale le mélange des fou
ou constructions qui seraient néces- saires pour mettre ce local en
état
de remplir ce genre de destina- tion et d'évalu
le attaquée de la vue et presque en démence parce sa famille est en
état
de subvenir à ses besoins. Cependant avec le co
réclusion, le préfet réclame, le 27 septembre, au maire de Blois un
état
bien établi, déterminant les dépenses propres a
recommandait la rédaction d'un règlement du service intérieur, à l'
état
de projet, pour le joindre au règlement géné- r
recevoir le traitement qui leur con- vient, on peut craindre que l'
état
de folie ne se perpétue par le défaut de soins
à un degré susceptible de produire l'aliénation mentale et dans un
état
d'indigence absolue. PART. 3. Le nombre des pla
ir-et-Cher priait aussi M. le maire de Blois de faire mettre en bon
état
le mobilier des aliénés et épilep- tiques, avan
édiatement à la visite des individus transférés, en constatant leur
état
et en inscrivant sur la feuille de visites les
se, douleurs dans les membres, dans les inférieurs surtout, mauvais
état
géné- ral. On l'envoie à l'hôpital de Spezia, d
s à idiosyncrasie spéciale ? Tient-elle à des parlicularités dans l'
état
hygrométrique de l'air ou à l'état électrique,
elle à des parlicularités dans l'état hygrométrique de l'air ou à l'
état
électrique, ou à la température ? On ne sait. On
pérature ? On ne sait. On ne sait même pas si elle coïncide avec un
état
anémique, ou au contraire avec un état byprémiq
pas si elle coïncide avec un état anémique, ou au contraire avec un
état
byprémique de l'encéphale; et, à ce sujet, l'ex
thyroïde dont on ignore d'ailleurs la dose. Sous leur influence, l'
état
général s'améliore ; la céphalalgie, les douleu
ie), au mali-mali des Tagalais (de Manille), au latah (des Malais),
états
caractérisés par des impulsions quabi réflexes.
ihiler toute idée de famille, le médecin peut poser le diagnostic d'
état
mental interdisant toute liberté de disposer de s
sur lui et il l'eût tué s'il n'avait été secouru. Il était dans un
état
de fureur extraordinaire, on le mit dans une ce
dus jeunes n'étant ni névropathes, ni « corrompus, ni dépravés, à l'
état
idéal au besoin ; c'est une sorte « de loi. L'e
, la question de savoir quels sont les rapports entre la folie et l'
état
de dégénérescence de la voûte palatine. (American
n du sens de la vue. Malheureusement ces enfants, en raison de leur
état
intellectuel, n'ont pu fournir que des renseign
Assistance des épileptiques, 156, 331, L, 335. - des aliénés dans l'
état
de New- York, par Darin, 370, 362. des idiots
, la mère a été sujette à des émotions multiples occasionnées par l'
état
de santé de son mari (douleurs rhumatismales),
'est à la chute sur le poêle et à la brûlure que la mère attribue l'
état
de l'enfant. Traitement par le bromure de potas
iable : ni circulaire du cordon, ni séjour prolongé au passage; cet
état
se prolongea 20 minutes et ne (1) Bien que l'in
mouvement brusque, tandis que ses yeux se convulsaient en haut; cet
état
durait 3 ou 4 secondes. D'autres fois, en tétan
pouvait se soulever spontanément sur l'oreiller. A quatre ans, cet
état
parétique des bras et du cou avait totalement d
ils viennent surtout sous l'in- fluence des temps orageux. Comme
état
général, en outre du défaut de développe- ment
t entend nettement; on ne peut avoir de renseignements précis sur l'
état
de l'odorat,- il paraît con- tent lorsqu'on lui
le, parfois le visage se colore légèrement. Puis, le corps reste en
état
de tétanisme généralisé, sans prédominance unil
UBÉREUSE DU CERVEAU. 13 droit à la région inguinale. Par suite de l'
état
de gâtisme, les fesses et la partie supérieure
eures, en même temps qu'il rencontrait un obstaclo sérieux dans l'
état
d'idiotie des malades. Néanmoins nous avons pu,
avions observé dans les cas pré- cédents, et en tenant compte de l'
état
paré tique des membres et du cou, vraisemblable
ès caressant. Les convulsions reparurent à 4 ans, sous forme d'un
état
de mal qui dura 5 ou 6 heures et dans lequel elle
ves redevinrent mensuelles. Vers l'âge de huit ans, il eut un autre
état
de mal qui dura 67 heures, dans lequel on const
38°; nuit tranquille. Ce matin, abattement, refus de manger. Cet
état
est la règle chez lui à la suite des accès. 13
; sinapis- mes. - Soir : T. R. 3 î°. ? . 2 nzai. -T : R 39°,2 ; l'
état
local est excellent, la plaie a bon aspect, le
at local est excellent, la plaie a bon aspect, le pus est bien lié;
état
général médiocre. - Soir : T. R. 39°. 3 mai.
R. 38°. Malgré son aspect cachectique le malade ne tousso pas; tout
état
inflammatoire a disparu autour de la plaie. --
uth. MÉNINGO-rNrÉPHALITE7 2 : i l ' 24 août. Moins de diarrhée; l'
état
cachectique s'ac- centue de jour en jour; pas d
seconde phase débute par des convulsions, revê- tant la forme d'un
état
de mal et prédominant dans la moi- tié gauche d
de là, on note le retour des convulsions mensuelles ; puis un autre
état
de mal, offrant les mêmes caractères que le pré
ommence en juin 1880. De même que la seconde, elle s'annonce par un
état
de mal. Les con- vulsions prédominent toujours
rédominent toujours à gauche. Autrefois, quel- ques jours après les
états
de mal, D... se levait, semblant revenu à sa si
douleurs de tête, a de la fièvre, etc. ; et, tandis que le premier
état
de mal n'avait pas intéressé la motilité, que l
n'avait produit qu'une parésie elle-même transi- toire, ce dernier
état
de mal se termine par une hémiplé- gie gauche e
e accès survint en 1872, alors qu'il retravaillait de son premier
état
, et fut suivi d'un 4e quelques heures après. Cett
73), enfin, une disparition complète des cri- ses en 1881. III. L'
état
intellectuel do ce malade n'offrait rien de bien
n temps, par suite de trop grande application à la musique, dans un
état
d'hébétude profonde. Ce serait à ce moment-là q
chez Edern ; le petit pli d'anastomose est dû à la persistance d'un
état
embryonnaire, et sa petitesse indique que les d
sur le point do se rejoindre à ce moment; par suite, il est dans l'
état
d'un embryon de huit mois environ. La première
auche,de sorte que, en défini- tive, le côté gauche présenterait un
état
d'évolution plus avancé que le côté droit. «
incisure antérieure qui est l'incisure sus-orbitaire supérieureà l'
état
rudimentaire ou l'incisure l'ronto-limbiclue, l
de l'atavisme. Suivant eux, la microcéphalie « serait un retour à l'
état
simien du crâne et du cerveau ». Nous n'entrero
Paria indoue, de Shortt, qui eut, paraît-il, un enfant mort-né. » L'
état
et le fonctionnement des organes génitaux, chez
ire à l'àge de 30 ans. Aujourd'hui il se montre très préoccupé de l'
état
de son fils. [Père, 81 ans, sabotier, bien port
te ; l'autre à 4 mois et demi : celle-ci était oc comme idiote »,
état
qu'on attribuait aux peurs qu'avait éprouvées la
ed avec les mains. Sous l'influence d'une aspersion d'eau froide, l'
état
d'a- gitation se calme un peu. Il entend ce qu'
a ni délire, ni secousses convulsives. 16 mars. Pas d'attaque. L'
état
général de l'enfant est excellent. 22 mars. L
oint de vue des symptômes subjectifs, est impossible par suite de l'
état
de démence absolu dans lequel il se trouve. Il
rlhropalhies. Ce qui attire surtout l'attention chez Del....c'cst l'
état
des membres inférieurs. Il existe une con- sidé
le nombre des franges synoviales, l'exis- tence des arthrophytes, l'
état
gélatineux du liquide intra- articulairo, l'alt
dernières présentent, tant au point de vue de l'évolution que de l'
état
anatomique, les véritables caractères que revêt
tant à la garde-robe, il est tombé sur le sol et est resté dans cet
état
, ayant gardé, dit-on, toute sa (1) C'est ce qui
s'est produit, paraît-il, un amaigrissement considérable. A part l'
état
parétiquc dé- pendant de l'ictus primitif, le m
on et panse- ment de Lister. 1881. 10 juin. Le malade présente un
état
d'agitation considérable, cherche à sortir du l
Un accès hier. Ce matin, l'excitation maniaque est remplacée par un
état
de torpeur très prononcé; la respiration est ra
23 juillet. Le maladequi, depuis quelque temps, avait recouvré son
état
normal, retombe aujourd'hui dans la stupeur et
avec rhum et extrait de quinquina). Soir : T. R. 39 ? 24 juillet. L'
état
adynwv ? ue s'accentue. Les lèvres et la langue
fois, ainsi que nous l'avons observé nous-mêmes en juin dernier, un
état
de torpeur qui per- sistait deuxou trois jours.
pas de déformation appréciable. La mensuration de la calotte à l'
état
sec donne les résultats suivants : D.L. 174, D.T.
e. Les cavités cotyloides regardent beau- coup plus en avant qu'à l'
état
normal, leurs axes forment un angle de 45 degré
rités, dépendant et des conditions déplorables des salles et de l'
état
spécial des sujets atteints par la maladie : c'es
R. 38°. - Soir : T. R. 38°. 20 janvier. Grande amélioration dans l'
état
général ; le malade demande à manger. On perçoi
ir : '1'. R. 40°. 14 janvier. Deuxième épistaxis dans la nuit; môme
état
. T. R.' 39°,4. Soir : T. R. 40°,4. 15 janvier
geait pas, toussait et avait des frissons. Nous le trouvons dans un
état
de somnolence et d'abattement. La face est roug
Soir : T. r. 8°,9. 15 janvier. L'éruption commence à disparaître; l'
état
général s'améliore; la diarrhée a cessé. T. R.
gauche ; râles sous-crépitants abondants dans toute la poitrine. L'
état
général paraît satisfaisant. La température osc
mpérature est en plateau, 37°,8. 28 Mars. L'enfant est revenu à son
état
de santé habi- tuelle ; toutefois, on perçoit e
s ravale le tout. ROUGEOLES COMPLIQUÉES. 1 ! 5 5 15 janvier. Môme
état
à l'auscultation. T. R. 39°, ? . Soir : T. R. 3
T. R. 38°,8 (vésicatoire). - Soir : T. R. 40°,4. 20 janvier. Môme
état
à l'auscultation. Le malade con- serve cependan
-Soir : T. R. 40°,2. 24 janvier. Mômes symptômes thoraciques, même
état
général ; persistance de la dyspnée. T. R. 38°,
t moins abattu. T. R. 39°,2. - Soir : T. R. 39°, 2. 27 janvier. L'
état
général s'améliore. Le souffle a disparu; il ex
ents pleuraux; Fig, 9. ROUGEOLES COMPLIQUÉES. 117 i A droite, l'
état
du poumon s'améliore. T. R. 38°. - Soir : T. R
t encore soufflante, mélangée de râles sous-crépitants, néanmoins l'
état
général se relève de jour en jour : il n'y a pa
y a pas de dyspnée. T. R. 38°,2. Soir : T. R. 38% 3 février. Môme
état
de la poitrine ; les râles sous-crépi- tants, t
quelque appétit ; la conjonctivite a cessé; le faciès a repris son
état
normal. (Vin de quinquina; sirop d'iodure de fe
L'enfant se lève. 21 février. Tout symptôme thoracique a cessé ; l'
état
général est redevenu normal. L'enfant reste lev
tre sous les yeux du lecteur l'amélioration qu'on peut apporter à l'
état
d'idiotie com- plète. Trop généralement on cons
r à l'état d'idiotie com- plète. Trop généralement on considère cet
état
comme incurable. Fortifier le physique par des
epuis, ils sont devenus quo- tidiens. Aujourd'hui, on constate un
état
d'idiotie complète; gâ- tisme, salacité, mastic
poussées d'impétigo du cuir chevelu et des engelures fréquentes. L'
état
général se montrait meilleur par les temps froi
immobile au lit. T. R. 39°,8. Soir : T. R. 40°. 16 janvier. Même
état
. T. R. 40°,4. - Soir : 40°, 2. 17 janvier. L'ér
. R. 39°,4 (ventouses sèches). Soir : T. R. 40°,2. 21 janvier. Même
état
des poumons; l'enfant sort un peu de sa torpeur
éoliques sur le tronc, très peu sur les membres. La diarrhée, à l'
état
chronique chez notre malade, n'a pas augmenté. A
. 39°,8. 18 janvier. La conjonctivite et le coryza ont disparu. L'
état
des poumons reste le même. L'enfant va mieux, et
s thoraciques ont disparu. Monel ? mange de bon appétit elsortdeson
état
de som- nolence. La conjonctivite persiste. '
hmatique. Un frère a eu des convulsions et est resté depuis dans un
état
d'imbécillité. Un cousin germain du côté patern
e façon continue. L'ap- pétit est presque nul. L'enfant est dans un
état
d'émacia- tion extrême; il reste somnolent, com
is par semaine et quelquefois restait plu- sieurs jours de suite en
état
d'ivresse. Durant ces périodes, il se livrait à
nourrice pendant deux mois, notre ma- lade, à cause de son mauvais
état
général, fut repris par sa mère et élevé au bib
de petites poussées congestives à la face. A deux ans 112, nouvel
état
de mal convulsif qui dura 7 ^heures ; les convu
ulsions frappèrent encore le même côté ; - un mois après, troisième
état
de mal d'une durée de 3 heures; - six semaines
de mal d'une durée de 3 heures; - six semaines plus tard, quatrième
état
de mal (pendant 4 heures). A chacune de ces cri
tigo persiste. La température est au-dessus de 38°. 10 janvier. L'
état
des yeux s'améliore, l'impétigo dimi- nue.L'enf
ttaque cle convulsions quidurèrent environ une semaine. Dès lors, l'
état
intellectuel s'affaiblit davantage, l'enfant de
il respiratoire. A l'entrée à l'hospice, on constate, en outre de l'
état
d'idiotie complète, que le malade rumine. Après
guës où le contact continuel des déjections alvines, par suite de l'
état
de gâtisme, avait déterminé un érythème chroniq
cuisses et la région hypogastrique. Eu égard au début récent de cet
état
d'abattement et de fièvre, en même temps que rè
idiotie consécutive à l'hydrocépha- lie (1). Malgré la gravité de l'
état
de cet enfant qui était confiné au lit, à notre
ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. fant a été conçu alors que son mari était en
état
d'ivresse, c'est à cette cause qu'elle-même att
es cris, se heurte la tête, s'as- sied à terre, étend les bras. Cet
état
dure environ dix mi- nutes et se répète tous le
ep diacode avec rhum 30 gr.). -Soir : T. R. 40°. 15 janvier. Même
état
. Persistance de la diarrhée. T. R. 3cJ°,li. - S
'enfant pousse des cris plaintifs en se balan- çant, comme dans son
état
de santé normale. La tempéra- ture se maintient
o,2. 6 février. Râles sous-crépitants avec respiration rude. Même
état
de sécheresse de la bouche. T. R. 40°,4. Soir :
R. 40°,4. Soir : T. R. 40°,6. 7 février. L'enfant est assoupi. L'
état
de la bouche reste le même ; les gencives sont
ciques ne durent qu'un temps très court, et l'en- fant arrive à un
état
de santé, qui va plusieurs jours en n'amélioran
ns, dit cet auteur, par le fait des hémorrhagies que par suite de l'
état
ataxique, et des symptômes de malignité proprem
n'a été que consécutive, et, en quelque sorte, symptomatique de l'
état
de purpura; nous avons, en outre, constaté l'exis
e entrée à Bicêtre, l'enfant était dans IDIOTIE COMPLÈTE. 157 Î l'
état
où nous le voyons aujourd'hui.. Peu de jours aprè
n ne sait si les convulsions prédominent d'un côté. On attribue l'
état
intellectuel du petit malade aux peurs de la mè
vier. L'éruption a complètement disparu. Grande amélioration dans l'
état
général. Cessation de la diarrhée. T. R. 38°. -
Sur le bord libre de la valve interne de la mitrale, on trou- ve un
état
dépoli de la séreuse avec quelques végétations
r, grâce au milieu dans lequel s'est propagée l'affec- tion, et à l'
état
des sujets qui en ont été atteints. Chemin fais
degrés variables, comme manifestation à distance de la rougeole, l'
état
mental et névropathique est resté exacte- ment
ce qu'explique suffisamment l'é- volution rapide de l'épidémie et l'
état
mental de nos ma- lades. La période prodromiq
a varié dans nos cas de 4/10 de degré à un degré 8/10; tantôt d'un
état
stationnaire de la température qui se traduit p
vanche sur les conditions physiques indi- viduelles, inhérentes à l'
état
mental ou névropathique. A l'appui de cette ass
fi- sante pour l'entretien de la vie, manque de la résis- tance l'
état
pathologique.» » . Selon nous, c'est dans la fr
ugeole, qu'il faut cher- cher le 1 ésr.ltat del'action funeste de l'
état
d'idiotie, jointe à l'action de l'encombrement.
antilisme envisagé par Lorain n'est en somme rien autre chose qu'un
état
dystrophique général produit et entretenu pendant
, prétendrait que le mot d'infantilisme ne convient pas à un pareil
état
? C'est un fait, auquel on donne la consécration
qui,d'autre part,par gradation in- sensible, se confondent avec cet
état
morbide parfai temèn t défini qu i est le myxoe
prime pas les connexions embryonnaires des neurones, il laisse en l'
état
les aptitudes psychiques du nouveau-né. Il en est
point auquel je m'arrêterai bientôt. Au préalable, revenons sur l'
état
psychique de la jeune fille que je signalais co
tre immédiatement que le retard de son développement dépendait d'un
état
morbide voisin du myxoedème. Le jeune Philippe
t le temps s'écoula depuis lors sans apporter aucun changement à un
état
physique et intellectuel qui semblait s'être fi
fance. Voilà donc deux exemples d'infantilisme qui démontrent que l'
état
dystrophique caractérisé par l'immobilisation d
onc justifiée ? Ou bien le myxoedème ne serait- il pas un véritable
état
morbide ? ? Non, le myxoedème infantile, à l'in
xoedème'de l'adulte, n'est pas, dans l'immense majorité des cas, un
état
morbide. C'est une manière d'être, une anomalie
oïde ou n'existe pas ou ne sécrète pas. Voilà un être condamné; à l'
état
de nouveau-né à perpétuité. Il conserve son aspec
titulée : Myxoedème acquis de l'adulte avec régression sexuelle à l'
état
prépubère, infantilisme rêversif de l'adulte, dys
6 ans, l'autre de 33 ans, ont présenté jadis tous les caractères de l'
état
adulte ; les traits étaient virils, la moustach
rophiés et ont perdu leurs fonctions ; leurs poils sont tombés. Cet
état
.s'est constitué chez le premier malade, vers l'â
rares observations analogues, M. Gandy suppose que la cause de cet
état
réside dans un trouble thyroïdien, peut-être co
Gandy, la jeune femme dont il s'agit est parvenue nor- malement à l'
état
adulte ; puis quelque temps après une grossesse,
; puis quelque temps après une grossesse, les premiers signes d'un
état
d'infantilisme apparurent et s'accusèrent peu à p
cette époque, disparition progressive des caractères physiques de l'
état
adulte, apparition d'un état d'infantilisme tardi
gressive des caractères physiques de l'état adulte, apparition d'un
état
d'infantilisme tardif avec tendance au myxoedèm
rai que dans ces observations il y a une apparence de retour vers l'
état
infantile, il ne s'agit pas ce- pendant d'une r
entes du volume du corps thyroïde et chez laquelle ces variations d'
état
de la glande correspondaient à « des change- me
e correspondaient à « des change- ments alternants et inverses de l'
état
psychique ». Lorsque le corps thy- roïde diminu
ésumé, nous voyons l'infantilisme sous tous ses aspects et même à l'
état
rudimentaire se manifester comme un symp- tôme
ombroso), ou du paludisme (Lan- cereaux). Mais il va de soi que l'
état
de malaise des organes est assez général pour q
ralysie générale, quelques symptômes dont la réunion re- produit un
état
catatonique suffisamment caractérisé pour que, da
ans offrir quelque difficulté. Nous rappellerons brièvement que l'
état
catatonique peut se présenter sous deux aspects
, l'excitation ou la stupeur catatoniques. La symptoma- tologie des
états
de stupeur catatonique est assez complexe. Outre
tion et opposition, raideurs musculaires,.....), de suggestibilité (
états
calaleptiformes, écholalie, échomimie ..), les st
énéralement sous cette forme que se manifestent à l'observateur les
états
catatoniques au début ou dans le cours de la para
lavements et sondages journaliers. Puis il finit par tomber dans un
état
de stupeur complète, passant ses journées immobil
sque deux mois. Puis le malade sortit de sa stupeur et revint à son
état
antérieur de dément simple, aussi docile qu'aup
érale au cours de laquelle on voit à deux reprises se manifester un
état
catatonique, bien caractérisé. Le diagnostic ne
suivant, en raison de l'existence, au début de l'observation, de l'
état
catatonique et de l'impossibilité qui en résult
ersécution n (fi juin). A son entr6e, le malade se présente dans un
état
de mutisme presque com- plet. Il est absolument
men physique toujours impossible. Le 15 juin, le malade est dans un
état
de stupeur complète : mutisme, mêmes attitudes
ue pour retrouver instinc- tivement son équilibre. Il ne sortde'cet
état
qu'une fois installé tant bien que mal au réfec
elles on observe seulement au cours de la paralysie géné- rale, à l'
état
isolé, quelques-uns des éléments du syndrome cata
emiers malades des symp- tômes nombreux de négativisme au cours des
états
catatoniques qu'ils ont présentés. En voici e
é pupillaire ; Argyll ; réflexes tendineux légèrement exagérés. Cet
état
persiste sans modification sensible pendant près
siques. En janvier 1906 le malade est très affaissé, plongé dans un
état
d'inertie dont il ne sort que pour faire opposi
iste. Alimentation difficile, mais ne nécessitant pas la sonde. Cet
état
dure un peu plus d'un mois; puis disparaît et l
ême. Mais une dizaine de jours après il tombe graduellement dans un
état
de demi-stupeur, ne répondant guère aux ques- t
il avait des poux...) Pas d'habitudes alcooliques. C'est dans cet
état
qu'il est entré dans le service. La recherche des
illions en veudaut du café. Nombreux accrocs de la parole. Même
état
des pupilles. 29 novembre, - Même idées ; mais
ux ans environ ; au début étourdissements fréquents; une fois léger
état
vertigineux, sans perte de connaissance complèt
érés ; actes de violence, fugues ? syphilis antérieure. A l'entrée,
état
d'excitation avec délire mégalomaniaque incohéren
ai- blissement déjà notable des facultés ; aucune conscience de son
état
; embarras de la parole ; inégalité pupillaire,
e s'accentue progressivement. Actuellement, le ma- lade est dans un
état
de démence absolue. Il ne présente de particulier
ient conservés. Pour elle, il n'y avait aucune différence entre son
état
et l'état présent ; il s'agit, à 'n'en pas douter
rvés. Pour elle, il n'y avait aucune différence entre son état et l'
état
présent ; il s'agit, à 'n'en pas douter, de la
pect fibreux. Les vaisseaux qui partent de la base du coeur sont en
état
d'aplasie ma- nifeste : C aorte, en particulier
multiples. Tout d'abord, les alvéoles sont moins développés qu'à l'
état
normal, malgré l'augmentation de volume de la g
breux et moins abondants que d'habitude, et où il existe un certain
état
flou du proto- plasma, avec pigmentation légère
andis que, plus loin, cette limite redevient aussi distincte qu'à l'
état
normal. Les aréoles contenues dans ces jetées o
pas été retrouvé depuis cette époque). Refroidissement des mains et
état
lisse de la peau qui est très mince. La face, l
sente des troubles psychiques sans grande gravité, exagération d'un
état
mental habituel : loquacité, instabi- lité d'hu
à l'hôpital cantonal dans le service de M. le pro- fesseur Bard. L'
état
des muscles est le même que précédemment. Mort le
issu conjonctif intrafasciculaire. Ce dernier, plus abondant qu'à l'
état
normal, forme une gangue interstitielle, réguli
t assez espacées pour qu'on puisse les étudier séparément comme à l'
état
de dissociation (Pl. VI, D, E). Elles se présen
able (fig. 9) ; il en est qui sont hypertrophiées, d'autres sont en
état
d'atrophie plus ou moins avancé; les fibres en ét
'autres sont en état d'atrophie plus ou moins avancé; les fibres en
état
d'atrophie complète ne sont plus représentées q
de secousses fibrillaires, l'intégrité de la sensibilité cutanée, l'
état
normal des réflexes rotuliens semblaient légiti
ans l'observation qui fait l'objet de ., ce travail de rechercher l'
état
des ganglions spinaux et des filets sensitifs'.
que Strümpell le disait déjà en 1893, elles doivent être dues à un
état
anormal d'organisation de certains systèmes his
de parler, il bafouillait et bé- gayait. Il reste chez lui dans cet
état
pendant 3 mois ; les douleurs survenaient penda
e suivante même progression dans les troubles, mais depuis 1899 son
état
n'a pas beaucoup changé. Les douleurs ont bien di
équilibre statique dans le décubitus est bon, presque meilleur qu'à l'
état
normal. Il n'y a pas d'hypotonie. Pupilles
let les sillons superficiels sont plus profonds, plus larges qu'à l'
état
normal et que les circonvolutions à ce niveau par
quadrilatère antérieur et postérieur des deux côtés, contraste avec l'
état
des lamelles du lobe semi-lunaire, et en généra
elles qu'au fond des sillons interlamellaires. Couche médullaire. L'
état
de cette couche contraste avec les altérations
e quelques rares cellules de Purkinje, pour la plupart cependant en
état
manifeste d'atrophie. Dans quelques- unes mêmes
arciformes superficielles antérieures sont aussi abondantes qu'à l'
état
normal. Les noyaux arqués sont très gros, et ri
nt un grand nombre de fibres fines, beaucoup plus abondantes qu'à l'
état
normal et montrent la disparition, ici et là, de
éseau myélinique de cette co- lonne est aussi bien développé qu'à l'
état
normal. Dans les cordons postérieurs et dans le
es couches (moléculaire et des grains) dépend en grande partie de l'
état
de la couche des cellules de Purkinje ? Si quelqu
906. Etat actuel. C'est une femme chétive et maigre ; cependant son
état
général est bon et l'examen de ses divers appar
partient à l'enfance. Mais que faut-il penser dans notre cas de l'
état
de la glande pituitaire ? Une expérience récent
cas s'accompagnent d'habitude d'une croissance exagérée. Or, dans l'
état
actuel de nos connaissances, nous devons admettre
st surtout l'hérédité qu'il faut incriminer dans la production de l'
état
somatique et psychique de son malade (au point
2 kilogram- mes à 18 ans (au lieu de 53 kil. 900, chiffre moyen à l'
état
normal) et 160 kilogrammes à 37 ans (au lieu de
, normal, et de bonne santé. Et l'on voudrait que ce docteur fût en
état
de diagnostiquer les défec- tuosités de l'être
ut fournir des indices extrême- ment précieux sur la situation et l'
état
des parties profondément cachées et qu'à ce tit
et de l'ana- tomie comparée.Mais la description du corps humain à l'
état
vivant, l'exa- men morphologique d'un modèle nu
gurer les modifications morphologiques qui résultent des différents
états
musculaires : contraction, relâchement, distensio
t emparés pour apprécier et suivre les modifications opérées dans l'
état
de leurs enfants par la thérapeutique employée. »
e ni dans les membres. Elle a continué à faire des ménages dans cet
état
, et n'a cessé de travailler que faute d'ou- vra
dans cet état, et n'a cessé de travailler que faute d'ou- vrage. L'
état
général est resté bon ; mais depuis quelque temps
du mollet. Il est en effet absolument impossible de lutter contre l'
état
d'adduction permanente de la cuisse ; le tendon
out entier montre des muscles considérablement atrophiés et dans un
état
de flaccidité complète, contrairement à ce qui se
polichinelle. Les muscles fessiers gauches présentent également un
état
d'atrophie et de flaccidité mani- feste, mais l
le. Quoique étant « minus liabens » il lit et écrit assez bien. L'
état
du malade ne s'est pas modifié dans les années su
bérance la voie pédonculaire semble être aussi bien développée qu'à l'
état
nor- mal, et aussi bien à gauche qu'à droite. D
tteint de paralysie infantile, presque complète- ment^ paralysé, en
état
de flaccidité complète et présentant une atrophie
l à l'étude de la lésion initiale, car il était déjà démontré qu'un
état
terminal pouvait relever de lésions initiales va-
des symptômes généraux (fièvre, agitation, convulsions, somnolence,
état
gastrique, etc.) pendant quelques jours, furent p
la somnolence alternant avec des convulsions. Peu de jours après cet
état
, se développa chez l'un une paralysie spinale,
rs et l'exten- seur propre du gros orteil, ces muscles sont dans un
état
de contracture légère et entraînent la position
cl très robuste, au teint coloré, aux yeux vifs, paraissant dans un
état
de santé géné- rale parfait. Il ne signale dans
i avec une grande précision les circons- tances qui l'out amené à l'
état
actuel. Un jour de 1902 (qu'il nous a fixé), il
e circulatoire au niveau de membre supérieur gauche Le coeur est en
état
très suffisant,' paraissant à peine touché par
èles à la direction des fibres musculaires et on voit ces dernières l'
état
de dissociation au milieu du tissu adipeux (fig
la hanche et la cuisse gauches, en même temps qu'elle présentait un
état
fébrile. Les dou- ' leurs ont duré deux ans ; d
ce cas il ne s'agit pas de trophoedème et on doit se demander si l'
état
de la trophicité de ces membres n'a été simplem
ente petit à petit et depuis 1904 s'est complètement généralisée. L'
état
mental de la malade ne permet point de connaîtr
s ces conditions ne peut t prendre l'aspect globuleux, à cause de l'
état
de distension dans lequel le met l'éloignement
la forme qu'ils ont sur le vivant, c'est-à-dire correspondante à l'
état
physiologique du muscle en rapport avec l'attit
n même muscle, une forme spéciale correspond à chacun de ces divers
états
. « Ceux d'entre vous qui ont déjà suivi le cour
j'ai mis à leur faire distinguer sous la peau du modèle ces divers
états
musculaires qui sont la manifestation de la vie,
03, époque à laquelle il y rentra dé- finitivement. Depuis 1880 l'
état
de ses membres du côté droit n'a pas sensiblement
très clair; pas de lymphocytose. Aucune modification à noter dans l'
état
du malade de 1903 à 1906. Mort le 10 avril 1906
des fibres qui paraissent plus espacées et moins nombreuses qu'à l'
état
normal. Les noyaux médian et externe du thalamu
érieur de la capsule interne est moins développée en largeur qu'à l'
état
normal, les fibres y sont assez denses et assez
e dans le locus niger. L'auteur ne donne pas de renseignement sur l'
état
du lobe oc- cipital, mais dit que l'hémianopsie
as dans l'histoire clinique de notre malade de renseignements sur l'
état
de la fonction auditive ; ce fait enlève toute va
ine, quinine, quinquina, kola, oxygène en inhala- tions, etc. Cet
état
continua pendant 5 jours ; la sensibilité revint]
région sacrée, épine iliaque, jambes, talons). Pen- dant 13 jours l'
état
s'aggrava. Le 29° jour de la maladie, coma, fièvr
ce troublée, dysarthrie, cris de douleurs. Pendant deux jours, même
état
. Le 33" jour, surviennent des vomissements bilieu
33" jour, surviennent des vomissements bilieux ; le 3le jour, même
état
corporel et mental,et vers lesoir,strabisme droit
es on voit des éléments névrogliques e plus grande abondance qu'à l'
état
normal, des leucocytes, et çà et 1 quelques fig
uence la myélite. Cette myélite se termine par la mort ou passe à l'
état
spasmodique chronique. Dans le premier cas on t
nvalescence ; mais, malgré l'alimentation et la bonne aération, cet
état
d'impuissance motrice augmenta lentement pendan
a Florida, fille de parents sains et avec deux petits frères en bon
état
de santé ; n'a eu aucune maladie digne de menti
mba malade de nausées, vomissements et fièvre de moyenne intensité,
état
qui dura plu- sieurs jours, à ce que déclarent
eurs jours ; l'enfant fut transportée à la campa- gne, et ce nouvel
état
fébrile disparut en dix jours. Au bout d'un moi
ls se contractaient faible- ment à l'excitation faradique. En cet
état
, au mois d'août, elle fut attaquée d'une double p
re élevée, nausées, vomis- sements, grand abattement et somnolence,
état
grave qui dura quatre ou cinq jours, d'après ce
-ci, comme de raison, une période de rétablissement, le retour il l'
état
normal, mais c'est une régression lente et asse
ui veulent. Grâce à une abstinence prolongée et au régime lacté cet
état
de confusion hallucinatoire disparait assez rapid
s'affaiblit sans rai- son appréciable. Il tombe rapidement dans un
état
voisin de la stupeur : im- mobile, il ne répond
ond plus aux questions, il s'alimente très peu. Le 19 septembre cet
état
s'accentue sans que l'examen viscéral ne révèle r
pas d'une lésion anatomique de l'iris lui-même ; enfin rien dans l'
état
de l'oeil ne peut l'expliquer. Il nous faut don
omme la plupart des ébriants à faible dose. A un degré plus avant l'
état
subjectif de rêve devient un NOTE SUR L\ FOLIE
s'observer, mais aussi la confusion mentale onirique peut passer l'
état
chronique ; une systématisation secondaire peut s
que sa substitution au haschich en Egypte empirerait probablement l'
état
des choses. L'alcool paraît aussi avoir une actio
en prend et sa tolé- rance de la dose absorbée. « A mesure que l'
état
mental du malade s'améliore, il est interrogé à
ptibles à son action toxique, deviennent aliénés à tel point que leur
état
nécessite l'internement. C'est donc plutôt un r
mbre supérieur droit). 1 Il n'y a aucun trouble sphinctérien. 1 L'
état
psychique est satisfaisant. 41 Au point de vue
de cet examen sont peu sûrs, carA... tomba en février 1904 dans un
état
de somnolence ; il s'endormait par exemple en man
- Le cerveau fut durci en entier pour éviter toute altération de l'
état
des ventricules, puis débité en coupes sériées. L
idal gauche, aiusi appliqué sur l'os sous-jacent ait été mis hors d'
état
de fonctionner, ce qui expliquerait l'hémiplégie
t de lucidité imparfaite. Ce n'est qu'après plusieurs jours que son
état
s'améliora de nouveau. En janvier 1904 le malad
oire, fut la cause de ces accès ? Le malade connaissait si bien son
état
qu'il resta couché durant années. C'est encore
lulaire superficiel et profond, pour conserver la pièce dans un bon
état
. Découverte, à la face interne du bras, au nive
t plus large et plus forte que l'interne, ce qui est l'inverse de l'
état
habituel. HÊMÏMÉUE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
oïde, sont très bien développés. Les parties sont exactement dans l'
état
de développement où elles seraient, si une sect
moyenne de l'os, et qui représente les rugosités qui se voient à l'
état
normal sur la face externe. HÉMIMÉLIE AVEC ATRO
l'absence du petit pal- maire qui, du reste, n'est pas constant à l'
état
normal. L'anomalie commence à la région profond
2° phalange. - Elles n'existent qu'à la main droite, et offrent un
état
car- tilagineux pour l'index et l'auriculaire,
de longueur. Son extrémité supérieure, un peu plus grêle que dans l'
état
naturel, offre la tête, le col, la grosse et la
PPEL ET BOUCUET L'artère sous-clavière était plus petite que dans l'
état
ordinaire, vu la gros- seur de la sous-clavière
tre fixé sur leur poids à la naissance, ainsi que sur le poids et l'
état
des arrière-faix. T. J... présente une hémiméli
geole à 2 ans. Cette affection exceptée, la santé fut parfaite. Bon
état
général. Pas de rachitisme. Bonne dentition. Pa
bles réunies ne pouvaient manquer d'avoir une bonne influence sur l'
état
psychique des troupes. Voilà pourquoi je pense qu
s le feu de son artillerie. Dans le but de mieux faire comprendre l'
état
psychique de nos soldats, nous décrirons briève
l'autre pendant un assaut. - Aucun mieux ne se fit remarquer dans l'
état
de ces malades tant que dura le siège ; mais ap
us ces accès se ressemblaient. Le plus souvent nous observions : un
état
dépressif très fortement marqué avec des idées dé
Nos quatre cas concernent des soldats ; ici nous avons constaté un
état
d'apathie et une grande dépression ;en même tem
capitulation, aucune amélioration visible ne se fit remarquer dans l'
état
de ces malades, mais, quand l'atmosphère cessa
lcoolique. Jusqu'au départ de Port-Arthur nous observâmes dans leur
état
une amélioration graduelle, tant dans la sphère
que Korsakoff nomme dysthymia melancholica : trouble du sentiment,
état
émotionnel pénible. 1 L'humeur dépressive que n
Dans un cas nous remarquâmes la confusion mentale, dans l'autre un
état
dépressif fortement accusé, accompagné d'idées d'
culaires, à l'un des forts de l'aile droite, un ti- railleur dans l'
état
duquel rien d'anormal ne s'était manifesté jusque
t disparut promptement, et principalement chez les malades ayant un
état
expansif, nous remarquâmes dans ces derniers une
tandis que le contraire se fit obser- ver chez les malades avec un
état
dépressif. L'influence (1) de la pleine mer sur
gement de la sensibilité : l'étal expansif semblait en préserver, l'
état
dépressif y contribuer. Chez les malades souffr
pas sentir, ou pendant notre séjour dans les ports, il y eut dans l'
état
de ces malades aggravation dans toutes les sphè
e substituer à eux par une sorte de suppléance en certains cas. L'
état
mental de ces malades se caractérise généralement
e avec les troubles gastro-intestinaux, gastralgie, crampes, nausées,
état
saburral, constipations et diarrhées alternante
isent leurs mêmes effets. Les rechutes sont donc fréquentes, et les
états
chroniques aussi ; les 356 MARIE. - FOLIES PELL
ger que la phase paralytique ultime de la pellagre peut réaliser un
état
identique cliniquement et pathologiquement à la
cunes de désintégration cérébrale », mémoire très documenté sur les
états
lacunaires en général, les lacunes cérébelleuses
tomber dans l'erreur. La première planche met en opposition deux
états
d'un même cerve- let sénile ; nous verrons que
ur l'importance de ces caractères. Cette opposition faite entre l'
état
normal et une lésion avancée, exa- minons avec
s membres supérieurs. Pas de troubles vaso-moteurs ni trophiques. L'
état
général est excellent : il s'agit d'un homme de
dont le système pileux et les organes génitaux sont normaux. Son
état
intellectuel est intact. Il n'y a aucun trouble d
oir des troubles grossiers de la sensibilité, autant du moins que l'
état
intellectuel de la malade permet de s'en rendre
OBSERVATION CLINIQUE. Dans les antécédents du malade, maçon de son
état
, on ne trouve rien de bien particulier. Il fit
été signalée en mars et avril, et qu'ils se pré- sentent souvent en
état
de pseudo-épidémicité. Il s'agit donc ici -bien
12 octobre 1899 à la suite d'une ordonnance de non-lieu basée sur son
état
mental. Il est le huitième de douze enfants don
; de plus le col regarde plus directement d'avant en arrière qu'à l'
état
normal, et cette orientation spéciale produit l
t, ceux du genou font défaut. En résumé, on trouve chez ce sujet un
état
de dégénérescence totale, atteignant les sphère
e produirait chez les vertébrés supérieurs que dans la période de l'
état
embryonnaire est observée bien plus complète ch
pour- être considérées dans les classiques comme des variétés de l'
état
normal, sont ici présentes dans les points où le
'omoplate, grand dentelé. d) Masse : Rhomboïdes, ils ne sont qu'à l'
état
de très vague différencia- tion, et n'ont pas d
nsité pour les muscles et pour les os, avec la chronologie qui, à l'
état
normal, préside au développemeut de ces parties r
gri. Mais la fonction qui avait le plus notablement souffert de cet
état
, c'était la fonction menstruelle ; la malade a à
séparés les uns des autres par un tissu cellulaire qui diffère de l'
état
normal par sa grande conden- sation et par le p
ut à fait, sauf la coloration, l'aspect de la mamelle saine, hors l'
état
de lactation. On voit cependant, çà et là, quel
plètement cicatrisée du 15 au 20 janvier. Cette jeune fille, dont l'
état
est très satisfaisant maintenant, et qui n'est
it de l'exagération des réflexes, et les deux membres inférieurs en
état
de paraplégie spasmodique. Zingerlé (4) publie
équen- tes, s'accompagnent de céphalée et par instants de véritable
état
de mal ; le niveau intellectuel est très faible
n de la séreuse au niveau du rebord de la cavité porencéphalique, l'
état
des circonvolutions en avant de cette cavité, l
ches longues et minutieuses, quelquefois dans les moments même où l'
état
du malade réclame la moins grande perte de temps.
ôle important dans notre topographe cérébral, n'aurait pas dans cet
état
en- tièrement atteint ce but par suite de l'épa
alors, la malade s'améliora. Jusqu'à 27 ans sa santé demeura dans un
état
stationnaire ; à ce moment ses menstrues furent
es de plus en plus graves apparurent qui conduisirent la malade à l'
état
actuel. Des tuméfactions molles se formèrent pe
-même et indolores à la pression ; actuellement elles sont dans cet
état
. Les articulations des genoux grossirent, devin
cette tuméfaction. En même temps la malade commença à présenter un
état
de faiblesse géné- rale, des céphalalgies, de l
r- senic. Elle subit 13 injections de cacodylate de soude, mais son
état
ne fit que s'empirer. Etat actuel. - La malad
art d'une altération des centres nerveux ou d'une modification de l'
état
général de la malade ou de l'une ou de l'autre
oussées d'urticaire qu'elle a présentées assez souvent indiquent un
état
constitutionnel congénital ou acquis, mais dont l
pas limitée aux membres inférieurs soulève le problème d'un certain
état
constitutionnel qui peut bien ne pas résider da
général d'origine glandulaire. Il serait intéressant de connaître l'
état
de la coagulabilité du sang dans le trophoedème
la thyroïdine et les bulles disparurent avec l'amélio- ration de l'
état
général pour être remplacées par des papules urti
la retenir lui causent un sup- plice épouvantable et continuel. L'
état
des réflexes tendineux est resté le même ; en eff
cée à son tour par une nouvelle contraction. De là une .apparence d'
état
vibratoire, variable d'ailleurs - suivant les m
ité du sterno-mastoïdien droit peuvent d'ailleurs s'expliquer par l'
état
de contraction violente et presque permanente d
ébraux. Il ne croit pas à une lésion grave, irrémédiable, mais à un
état
irritatif particulier de la substance LES PÉRIP
e, est devenue souple et blanche, elle est même un peu ridée. ` L'
état
mental est excellent. Le malade poursuit son trai
gion du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements de bras. L'
état
mental de Taurone s'est aussi modifiée ; il est d
absolue que le malade continue à tenir le médecin au courant de son
état
, en lui envoyant un bulletin de santé toutes le
n rotation à droite et la flexion complète. A tout cela s'ajoute un
état
de nervosisme considérable; les tentatives de c
partement. 'Tel est le tableau certainement noir, mais réel, de mon
état
actuel. J'ajoute tout de suite que je ne me déc
N'y aurait-il pas lieu de recourir à un traitement quelconque pour l'
état
de nervosisme général ? Et pour la nuit ? Veu
rechute où toutes les manifestations convulsives sont aggravées. Un
état
d'instabilité, une surexcitation générale appar
ntrée en jeu d'autres muscles ? Je ne sais pas à quoi attribuer cet
état
. 2° Cependant je n'éprouve plus de douleurs dan
nsécutif dans la main gauche. 3° En outre je suis toujours dans l'
état
que je vous ai précédemment signalé ; mon nervo
ts assis ; mais je n'ai pas encore pu aller au delà. 3° Tel est mon
état
actuel ; je sens que je suis sorti d'une crise vi
sais plus, même à prendre l'immobilisation du début ; cependant mon
état
général s'améliorait. Je ne pouvais expliquer c
ais je suis plus tranquille et me lève le matin reposé. Tel est mon
état
actuel ; je continuerai la lutte avec l'espoir
is incontestable. Cependant, je n'étais pas très satis- fait de mon
état
: la marche et les repas demeuraient toujours pén
z violents devant le miroir, mais sans succès. En présence de cet
état
, j'ai pensé qu'il fallait profiter de ce que les
cclusion complète pendant quelques instants. Tel est mon déplorable
état
actuel ; certainement je ne me décourage pas, j
reste au lit aussi longtemps que je le puis et voici com- ment mon
état
m'oblige à procéder : Si, lorsque je me couche,
ment t vers la guérison. Elles sont enfin un reflet très clair de l'
état
mental dé Taurone. 21 juin 1903. -'Vous m'ave
son de campagne. Un hôtelier assurera ma subsistance et la tenue en
état
de mon appartement. Je passerai couché tout le
hec de mon traitement à Paris qui s'annonçait si bien a été dû à un
état
de nervosisme aigu, conséquence d'un peu de surme
e rarement à m'arrêter, et pas pour longtemps, la tête di- recte. L'
état
de contracture des divers muscles qui entrent en
il faut espérer qu'un nouvel équilibre s'éta- blira dans mon nouvel
état
. Je le souhaite bien, car je ne puis plus, à l'he
soeur Anne... Je n'ai pas à vous annoncer grand changement dans mon
état
. J'ai avancé un peu seulement dans les exercice
dans la marche. Voilà, aussi fidèlement rapporté que possible, mon
état
actuel ;je doisajouter pour être complet, que m
ossible, mon état actuel ;je doisajouter pour être complet, que mon
état
général d'hyperexcitabilité musculaire est le m
cal que j'ai lu : « si la maladie reçoit le traitement approprié, l'
état
est toujours amélioré, et on peut parfois arriv
verse de celle qui probablement a été la cause occasionnelle de mon
état
. Je favorise de même en lisant ou en écrivant d
i restait de mes acquisitions, de voir un peu clair dans mon nouvel
état
et me préparer à recommencer la lutte. 2° Il m'
osition incorrecte que je vous signale, et, lorsque je me trouve en
état
complet de contracture, le côté gauche de la nu
e de l'omoplate. Il y a dans tout cela quelques modi- fications à l'
état
antérieur. Enfin, j'ai remarqué aussi que le mo
a cédé pendant que d'autres sont entrés en contracture ou que leur
état
de con- tracture a augmenté. Toutes ces constat
c'est à ce moment que j'ai été atteint. Je ne puis incriminer que l'
état
pathologique auquel est due mon affection. Rema
ivement croissante. 28 février 1904. Je puis enfin vous annoncer un
état
réellement satis- faisant, pourvu qu'il soit du
jour. Je suis bien heureux, comme tout le monde autour de moi, de l'
état
dans le- quel je me trouve, et dussé-je rester
tranquille tant que les vestiges de ma maladie me démontrent que l'
état
pathologique dont elle était la manifestation n'a
régularité méthodique; je décontracte les muscles que je surprends en
état
de contracture. Je fais, tous les matins, deu
chose; je vous l'indique pour vous faire connaître complètement mon
état
actuel et ne m'en préoccupe que comme indices q
s'en va tout de même. Il n'y a pas de différence sensible eutre mon
état
d'aujourd'hui et celui d'il y a 8 jours, mais je
rve de mon mieux. 2° Je surprends assez souvent quelques muscles en
état
de contraction légère, non voulue, tantôt la jo
urs une position et des mouvements cor- rects. 3° Voilà dans quel
état
je suis bien heureux de me trouver ; ma bonne vo-
orticolis aurait été la première manifestation au moins sensible de l'
état
mental que cette affection comporte, et cet éta
oins sensible de l'état mental que cette affection comporte, et cet
état
aurait été cependant en germe chez moi puisque.
ts convulsifs. Taurone est désormais guéri de son torticolis. Son
état
mental est excellent. Il est, à juste titre, sati
'oeil des sujets qui sont sur le point de s'endormir ; car dans cet
état
les yeux.sont tournés en haut, vers l'extérieur
uscle élévateur du sourcil du côté droit, constata des deux côtés l'
état
normal des noyaux des XH", VIIe et V Ipaires, y
e coma, dans l'agonie, tant chez l'homme que chez les animaux, tous
états
qui sont caractérisés par l'insensibilité de la
onnement ils réagissent par des mouvements. Le lapin reste dans cet
état
de stupeur pendant quelques minutes et, peu à p
eprend ses habitudes. Après un repos de dix minutes, il revient à l'
état
normal, ne supportant pas.le pincement, etc.
générales ; après un repos de deux à trois minutes, il reprend son
état
normal. Alors nous balançons des chiens pen- da
s chiens étaient abattus; ils fermaient les yeux en tombant dans un
état
somnolent; ils ne remuaient plus vers la fin de
s respirations diminuent leur fréquence et revien- nent presque à l'
état
normal. Dans le repos qui suit le balancement,
prolonge alors les respirations deviennent moins fréquentes qu'à l'
état
normal, et plus amples jusqu'au double même.
précédente. Tantôt il crie continuellement, tantôt il tombe dans un
état
de f Fig. 11. - Tracés pris dix minutes après l
duisant sur l'appareil des secousses pendant la chute de la tête, l'
état
de l'animal s'aggrave, il ravale alors presque
ses sensations anormales. Les fonctions intellectuelles sont en bon
état
. La malade ne demeurait pas à Moscou et je ne l
flexe rotu- lien réapparut du côté droit. Cette amélioration dans l'
état
des membres inférieurs progressait lentement, j
e du thorax conser- vaient tout le temps une sensibilité normale. L'
état
général de la malade était satisfaisant. Dans l
s, la maladie paraissait avoir progressé ; on me communi- qua que l'
état
de la malade empira considérablement. Le 25 fév
rogressé moins que tous les autres ; on n'observe ici presque que l'
état
antérieur resté stationnaire : le tiers inférie
ie musculaire dans la main droite; à la main gauche elle est dans l'
état
antérieur; seul le muscle premier interosseux f
ents, une angoisse indéfinie, des accès de frayeur, d'épuisement, d'
état
semi-syncopal. Point d'agoraphobie marquée, mai
alade pendant une année. Depuis le commen- cement du traitement son
état
allait en s'améliorant continuelle- ment. Tout
omique, ensuite du fer et du sulfate de quinine, qui améliorèrent l'
état
général du malade; plus tard l'iodure de potass
main gauche, tremblement inconstant, qui revenait aussi pendant l'
état
de repos. La faiblesse de la main associée à l'at
ésulte du cas de C... que dans la paralysie générale à sa période d'
état
, alors même que le malade peut encore vivre au
de peut encore vivre au dehors, la suggestion, pour ainsi dire, à l'
état
de veille, peut être faite sans entrainer la re
C ? a allumé un incendie et tout porte à croire qu'en raison de son
état
mental très affaibli, il a agi d'une façon inco
héréditaires, tels que l'alternance du délire, avec la succession d'
états
exal- tés ou déprimés (Morel '), le verbiage mo
formes délirantes, peut se rapprocher et même se classer parmi les
états
dégéné- ratifs, elle partage avec eux les carac
bilité neuro et cutano-muscu- laire et la plasticité musculaire à l'
état
de veille. Or, jamais dans les observations de
ues plus tard) et la marche spéciale de l'affection comme liée à un
état
de dégé- nérescence et d'un pronostic très grav
folies épidémiques, à celle du délire religieux surtout et certains
états
névropathiques tels que l'hystérie. 56 REVUE CR
un. Elle cherche même à se magnétiser elle-même pour se guérir d'un
état
semblable à celui de son amie, qui est infirme
urra lui faire du tort dans l'ave- nir ou la reprendre, etc. Plus d'
états
cataleptiques, commence à dormir. 16 août. La
ommande ; les vers la rongent. A cette période, elle a présenté des
états
de raideur presque généralisés mais sans contra
sition qu'on leur im- primait, mais restaient toujours raides'. Cet
état
de mélancolie s'accentue et arrive graduellemen
de), bains sinapisés, sirop de morphine. 26 août. Amélioration de l'
état
général ; mutisme, refus d'ali- ments, résiste
qu'on ne vienne dans ma chambre. » 28 août. Faciès meilleur, même
état
psychique ; mutisme, refus d'aliments, résistan
e moteur. Se promène un peu seule, pleure beaucoup. 30 août. Même
état
; la sensibilité est bien plus nette, quoi- que
» Novembre.- A la fin de ce mois, réapparition des règles ; même
état
; elle ne cause que tout bas et seule, et si on lu
ort à des idées folles qui se con- centrent en moi, je suis dans un
état
tellement stupide que je ne sais plus ce que je
; elle s'occupe, mais d'une façon fébrile. Elle a conscience de son
état
' Nous rapprocherions volontiers cela des fac-s
t à dire passer par une période de mélancolie simple ou même par un
état
d'exaltation mentale antérieur (manie ou anxiét
s ces 64 REVUE CRITIQUE. LA CATATONIE. circonstances la période d'
état
de la maladie, les autres phases n'étant que de
et peut passer par différents stades avant d'arriver à la période d'
état
, faut-il la rejeter pour cela ? Si cela était,
es troubles du système nerveux moteur, au point de vue psychique, l'
état
de mélancolie plus ou moins profonde, le reste
kinésie (reproduction du geste) et de coprolalie, ainsi que d'un
état
mental particulier qui se manifeste surtout par l
nférieure du lobule pariétal ; le corps strié du même côté était en
état
de dégénérescence partielle. Ons. VI. Adroite,
ade prodromique semblable à celui de la paralysie générale, puis un
état
qui rappelle la para- lysie générale bien plus
mples calculs, par du dé- sordre avec incohérence des idées, par un
état
d'obnubilation sem- blable à celui de l'ivresse
(il est à noter qu'il ne s'agissait pas d'une fièvre typhoïde), son
état
mental commença à s'améliorer, et fina- lement
j'ai relatés dans le présent mémoire constituent des exemples d'un
état
cérébral morbide , dans lequel les symptômes me
que les sentiments « altruistes »' de Spencer ou bien sont dans un
état
imparfait d'évolution depuis la naissance, ou bie
otionnels et automatiques se donnent carrière plus librement qu'à l'
état
normal. 3° On ne peut poser aucune règle absolu
r lequel repose un bout de la corne d'Ammon du même côté. Tel est l'
état
de ces restes que les anatomistes les plus comp
te, jamais d'hémorrha- gies, pas de troubles visuels, à raison de l'
état
anatomopalholo- gique et de la durée relativeme
e affectant la modalité classique; ils passent aussi facilement à l'
état
tonique; on trouve souvent les pieds immobi- li
ersement de la formule. Pleine intégrité des nerfs crâniens et de l'
état
psychique. Réaction prompte des pu- pilles. Abs
chromatique à larges mailles, tant que les cellules conservent leur
état
reconnaissable. On trouve alors que dans les ce
s cinq jours qu'une modification quelconque peut se produire dans l'
état
du malade et, par conséquent, à côté du médecin
quatre premiers mois que l'on peut arriver à constater le véritable
état
mental d'une per- sonne ! J'ai assité à des int
en ce moment à son attention je demande peut-être beaucoup dans l'
état
d'agitation ou plutôt d'émotion un peu pénible et
ettre obstacle à cet abus, il est indispensable, et il suffit que l'
état
mental de la personne soit nettement établi. En s
rnier mot aux magistrats dans une affaire où le médecin seul est en
état
de faire entendre une parole autorisée ? Je l'ai
'asile, qui est tenu aussi de rédiger un rapport pour constater son
état
. C'est. consécutivement à ces deux premiers rap
d même ils seraient, par suite de connaissances exceptionnelles, en
état
de le faire. Vous les con- traignez à ne juger
ionnelles, en état de le faire. Vous les con- traignez à ne juger l'
état
mental de l'aliéné que par les rapports écrits
édecins dont vous suspectez la sincérité ; s'il y a eu erreur sur l'
état
mental de la personne, la même erreur sera 118
les connaissances de celui qui le fait et jamais sans danger pour l'
état
moral de celui qui le subit ? Rien de tout cela n
déterminé. Travail utile à consulter en somme et qui résume bien l'
état
actuel de la question. P. S. II. Le somnambulis
uggestions, des hallucinations suggérées, de la spontanéité et de l'
état
men- tal dans le somnambulisme provoqué. P. S.
out de ce temps elle se . réveillait mais se trouvait alors dans un
état
second caractérisé par de la gaieté, une plus g
nd caractérisé par de la gaieté, une plus grande activité. Dans son
état
ordi- naire elle perd le souvenir de toutes ses
son état ordi- naire elle perd le souvenir de toutes ses périodes d'
état
second, ce qui, on le comprend, trouble singuli
de qui étaient d'abord très courtes ont fini par égaler celles de l'
état
ordinaire, et enfin par les dépasser et remplir
ter qu'une chose dans cette consciencieuse observation, c'est que l'
état
soma- tique dans les deux états de la personnal
sciencieuse observation, c'est que l'état soma- tique dans les deux
états
de la personnalité n'ait pas été pris avec le m
ues considérations sur les altérations de la personnalité dues à un
état
morbide des facultés intellectuelles ou à des n
minance des troubles de sensibilité, BIBLIOGRAPHIE. 123 l'autre d'
état
dans laquelle s'observent des troubles moteurs et
e successive- ment l'influence que peut exercer chacun de ces trois
états
sur le corps, c'est-à-dire sur les sensations,
adulte, alors qu'il n'y aplus, comme chez l'enfant, de cellules à l'
état
de formation, qui contrebalancent l'influence n
ines et urinaires, s'il n'est pas dé- montré qu'elles relèvent d'un
état
névropathique antérieur, la chose est bien prob
du traumatisme semble être celui d'un excitant qui met en action un
état
diathétique. Il peut être comparé au rôle de la
idérable, et il aurait été cependant fort intéressant de préciser l'
état
actuel de la science sur ce point si contesté,
indications qui vous seront utiles pour vous ren- seigner sur leur
état
, et, dans le cas où quelque doute subsisterait
ut évidemment qu'elle soit suffisante pour permettre de constater l'
état
de celui qui est l'ob- jet de la mesure, mais i
en estatteint reçoive sans larder tous les soins que ré- clame son
état
et qu'il ne saurait trouver ailleurs qu'à l'Asile
nnotation du médecin de l'asile, indi- quant son appréciation sur l'
état
mental du malade. c Mon collègue désirant reste
ers la fin du mois de mars 1876 le malade, sans tenir compte de son
état
de santé, reprend son travail dans l'air compri
sont rares. Dès lors, tous les ans, il faisait sa cam- pagne et son
état
, loin de s'empirer, s'était amélioré au point qu'
arante-huit heures environ. Le 13 août, il reprend son travail, son
état
parétique étant tout à fait le même qu'avant l'
rectaux. Une demi-heure après, la paraplégie ayant fait place à son
état
parétique habituel, noire homme reprend ses imm
gauche et il présente en même temps une couleur rouge bleuâtre. L'
état
de nutrition des membres paralysés ne laisse rien
pas à l'aide de deux béquilles; mais, un mois après, voyant que son
état
restait stationnaire, il se décide à reprendre
ter plus de dix minutes dans le fond. Vingt-cinq jours après, son
état
s'est tellement amélioré qu'il a pu marcher san
e à la compression et qu'il s'est livré à des excès de boisson, son
état
, au lieu de s'améliorer, s'est empiré au point
malade le 27 juillet 1885. Le fait dominant presque exclusivement l'
état
du malade est une paraplégie des membres inféri
té examinée sous tous ses modes n'a présenté aucune altération. - L'
état
nutritif des muscles ne laisse rien à désirer :
pas avoir de nouveaux accidents, mais sa paraplégie restait dans un
état
stationnaire. Etat du malade le 15 juillet 1884
laire ne présente aucune altération. Pas de troubles trophiques : l'
état
des muscles est satisfaisant : examen électriqu
secousses qui le tourmentent assez souvent. Durant quatre mois, l'
état
du malade resta tel que nous venons de le décri
au commen- cement de juin, il s'est débarrassé complètement de son
état
paraplégique ; le malade faisait de longues cou
nctions de la miction de la défécation et de la génération sont à l'
état
normal. Il n'y a aucun symptôme céphalique. Il
itaux il y avait un priapisme très fort, le pénis était dans un tel
état
d'érection que le malade nous raconte qu'il ne se
i, car c'était le seul symptôme qui représentait à cette époque son
état
maladif. Etat actuel. Exaltation considérable d
ais depuis lors, l'amélioration s'arrête et le malade reste dans un
état
stationnaire jusqu'au 13 mai 1884 (c'est-à-dire
e général que le malade ne peut définir. Sans tenir compte de son
état
, il remet son casque pour faire la septième immer
urs au fond du vase. Le 10 février, il a pu marcher sans appui. L'
état
du malade tel que nous venons de le décrire est r
t siégeant aux quatre membres, mais surtout aux inférieurs. Enfin l'
état
paraplé- gique a considérablement empiré. Il n'
été trouvée parfaite. Pas le moindre trouble du sens musculaire. L'
état
trophique des membres paralysés ne laisse rien
pendant quatre jours, au bout desquels la vessie est revenue à son
état
normal. Pas de constipation. Le 22 août, le mal
de la main au membre gauche. Vessie, rectum, organes génitaux à l'
état
normal. Il n'y a absolument aucun symptôme céphal
ancienne amante, pour essayer, dit-il, ses organes génitaux au bon
état
desquels il tenait beaucoup. Il fut très afflig
rapatrié à Synii. Il se trouvait à peu de choses près dans le même
état
quant à la parésie de ses membres, c'est-à-dire q
Le droit inférieur et les deux supérieurs sont restés dans le même
état
parétique, mais cette disparition ne devait pas
es membres 182 CLINIQUE NERVEUSE. inférieurs restent dans le même
état
. Le malade rend seul ses urines bien que diffic
. Le malade rend seul ses urines bien que difficilement. Rectum à l'
état
normal. Depuis ce moment, l'amélioration de ses
aralytiques qui lui a permis de marcher à l'aide d'un seul appui, l'
état
du malade est resté tel que nous allons le décr
d'autres symptômes. Un médecin a employé la sonde et un purgatif. L'
état
du malade pendant les trois jours suivants 26,
ts purgatifs. Le 29 mai, un léger changement s'était produit dans l'
état
du malade. 11 pouvait soulever ses membres infé
escrit. Etat du malade (,10 août 4886). Au bout de vingt jours, l'
état
du malade s'est considérablement amélioré. En eff
est en partie détruit, en partie diminué. Sensations subjectives :
état
frileux, fourmillement, sensation de constric-
mouvements fibrillaires et fascieullaires sont loin d'être rares. L'
état
des réflexes cutanés et tendi- neux présente de
u moment des douleurs, et agissant d'une manière dépressive sur son
état
général. Tous les symptômes décrits peuvent se
, le tout dépend du degré d'excitabilité du système nerveux et de l'
état
de l'estomac. Ainsi , les personnes anémiques ,
pie-mère ; là, ils se divisent à l'in- fini et enfin pénètrent à l'
état
capillaire dans la subs- tance du cerveau et de
n, on remarque que le premier flot du liquide sort en jet. Dans l'
état
normal, les centres nerveux subissent une certa
rachidien, peuvent être comprimés. Le liquide céphalo-rachidien à l'
état
normal exerce une certaine pression sur les cen
nsi formé, se crée des vides qui étaient remplis par un liquide à l'
état
frais. On a sous les yeux des cavités aréolaires.
er un tissu aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expliquent l'
état
cha- griné qui résulte de l'effondrement des co
e de l'effondrement des couches moyennes de la substance grise et l'
état
kystique, aréolaire qu'on observe, beau- coup p
apparent, au lieu, d'être disposées en, séries verticales comme à l'
état
normal. Les couches suivantes de la substance g
de toute affection aussi bien héréditaire qu'acquise. A côté de cet
état
physique, l'état mental se caractérisait par une
n aussi bien héréditaire qu'acquise. A côté de cet état physique, l'
état
mental se caractérisait par une apathie profond
stait par l'attitude suivante : les membres et le tronc étaient à l'
état
de légère flexion, et la tête REVUE DE MEDECINE
ent. J. RoUBtKOYITCU. ' II. Incendie commis par une hystérique rN
état
de désordre, D'EN- CHEVÊTREMENT sensoriel trans
ans un cas comme dans l'autre, on trouve, à l'origine de l'acte, un
état
psychique sem- blable; dans un cas comme dans l
le de la tète. - On peut ajouter que ce crâne est dans un excellent
état
de conservation, mais incomplet; il lui manque
rsécution et de grandeur se rencontrent, en effet, dans une foule d'
états
vésaniques, mais le délire systématisé de grand
uration des comptes de M. Sciiuele, trésorier. AI. Bww.wcFa. D, : l'
état
actuel des recherches relatives ci l'hypno- tis
atives ci l'hypno- tisme. D'après ses investigationspersonnelles, l'
état
d'hypnotisme produit par Braid et (leidenhain s
'hypnose par suggestion de Liébeault et Bernheim se traduit par des
états
de sommeil tout spéciaux dans lesquels le sujet
res, paralysies, hallucinations). Quant à la sugges- tion pendant l'
état
de veille, elle n'est possible que chez certains
nacée, puisqu'en réalité elle transforme un nervosisme lalent en un
état
neuropalliique et psychopathique grave qu'elle
qui constitue une sorte de phase de transition entre l'hypnose et l'
état
normal est celui qu'il faut choisir pour l'élud
suggestion après l'hypnose est-elle réelle ? Et d'abord quel est l'
état
de la mémoire et du souvenir chez un hypnotisé ?
dans l'asile à une certaine époque de la maladie. Quels sont les
états
morbides, quelles sont les phases de la ma- lad
z lui; on l'accordera alors sans s'arrêter aux défec- tuosités de l'
état
mental ou physique Quand il existe un opiniâtre
part, chez les aliénés à désordre très accusé dans les idées et en
état
d'agitation , l'acétone ne se montre dans l'u-
période comateuse mortelle, tandis qu'un diabétique con- servant un
état
de santé satisfaisant présentera de la diacéturie
dans tous les cas qui touchent à la liberté d'une personne ou à son
état
. Ce corps-là jouit d'une qualité tout à fait ex
ui n'est pas un droit de simple avis, mais qui le constituerait à l'
état
d'autorité, qui ferait de lui le représentant d
de ce stage, de l'acte de naissance du postulant, ainsi que de ses
états
de services quelconques. Les candidats seront l
oques, les délires reflètent les idées du moment. Si l'on examine l'
état
mental des malades, on retrouve celui des déséq
ide était héréditaire, sans être, le plus souvent, un syndrome d'un
état
mélancolique : « Mon père s'est pendu à trente
aleur d'une observation. Trois paysans rentraient du marché dans un
état
de demi-ébriété. Pendant qu'ils étaient attablé
contagion existe. L'intermédiaire obligé est ici cons- titué par l'
état
mental des sujets. Ceci nous amène à la véritab
ts. Ceci nous amène à la véritable pathogénie de ces accidents. L'
état
mental, jouant un rôle prépondérant, doit être
ont associé leurs conceptions délirantes, ne jouissent pas du même
état
mental. L'un joue un rôle actif, l'autre joue u
rsation par une série de Gilles de la Tourette. L'hypnotisme et les
états
analogues au point de vue médico-légal, Paris,
perversion morale qui s'accentue plus tard et qui s'accompagne d'un
état
à peu près complet d'inconscience rela- tivemen
s irrégulière, et seu- lement quand elle manque de travail. Sur cet
état
mental se sont greffés des syndromes épisodique
nt revenue à elle, était encore couchée auprès des cadavres dans un
état
com- plet de putréfaction : « ça sentait très m
-elle sans s'émouvoir. Ces faits donnent déjà une juste idée de l'
état
mental de la malade, qui, absolument sans défen
le droit inférieur et les deux supérieurs étant restés dans le même
état
de parésie : cette disparition n'était pas dest
rétention une fois disparue, tantôt fait place, mais rarement, à l'
état
normal de la vessie (OBs. X), tantôt DES ACCIDE
'urines, et comme elle, une fois dissipée, fait place rarement à un
état
normal, moins rarement à la diffi- culté de déf
i était pris d'un priapisme très fort, le pé- nis était dans un tel
état
d'érection qu'il raconte n'avoir jamais vu son
yscampsie des articulations, la démarche spasmodique s'ajoutent à l'
état
morbide. Poursuivons maintenant la marche de ce
nouvelle paraplégie soudaine et complète survient, qui enraye son
état
, en voie d'amélioration. Chez le malade de l'OB
, en voie d'amélioration. Chez le malade de l'OBSERVATION I, dont l'
état
se trouvait en rétrogression fort avancée et qu
x n'ayant pas duré plus d'une heure et demie, au bout de laquelle l'
état
parétique était tout à fait le même qu'auparava
plégiques intercurrents ne sont pas si complets, mais par contre, l'
état
du malade s'aggrave, par exemple l'état du mala
omplets, mais par contre, l'état du malade s'aggrave, par exemple l'
état
du malade de l'OBSERVATION VIII, qui était rest
qui était resté stationnaire pendant treize ans, est aggravé par un
état
paraplégique inter- current incomplet voire mêm
e et le 21 septem- bre, les organes génitaux étaient revenus à leur
état
normal. Il en est exactement de même pour les t
vue de ses accès de douleurs fulgurantes, il se trouve dans le même
état
. Il en est de même pour ses douleurs en ceintur
troubles vaso-moteurs. Vessie, rectum et organes génitaux sont à l'
état
normal. Pas de symptômes céphaliques. Les fonct
Le malade a bien suivi le traitement pendant deux mois. Voici son
état
le 2 juin 1884. Il ne boite plus ; impossible de
s que la compression a commencé, il avait à peine conscience de son
état
et avant l'enlè- vement de son casque il avait
contre, les membres inférieurs étaient restés presque dans le même
état
; nous disons presque, car il ne faisait dans le l
bilants, pas d'anomalies du pouls. Il n'en a pas été de même pour l'
état
des membres inférieurs, qui n'a pas changé. Le
ant une année et demie, le malade a été forcé de garder le lit, son
état
étant tel qu'il suit : paralysie très prononcée
VI. 25 386 CLINIQUE NEIIVEUSE. Le 17 mars, il a pu uriner seul. L'
état
de la paralysie des trois membres n'a pas chang
été soumis à aucun traitement, l'amélioration s'arrêta. Aussi son
état
n'a pas changé beaucoup durant le temps fort long
deux mois. La rétention, une fois disparue, tantôt fait place à l'
état
normal (OBs. XIV, XV, XIX), tantôt à une diffi-
le initial du rectum; une fois dissipée, tantôt elle fait place à l'
état
normal et tantôt à l'incontinence de selles. (A
de quelques mois à deux ans. D'autres auteurs ont également vu l'
état
stationnaire de nombreux symp- tômes dans le co
jeune âge, comme aussi par sa nature même, elle reste longtemps à l'
état
latent, il est très pro- bable que le début rée
manesthésie dans les membres infé- rieurs. En outre, on ne peut à l'
état
actuel de nos con- naissances (comme pour le ca
e les acci- dents procursifs ont beaucoup moins d'influence sur l'
état
intellectuel de ces malades; tant qu'ils existent
par une lésion restreignant l'espace ambiant, soit qu'il s'agisse d'
états
d'hyperémie ou d'anémie de ces organes, soit en
d'un traitement amenant parfois une amé- lioration passagère dans l'
état
du malade. RECUEIL DE FAITS NOTES SOMMAIRES S
n des centres inférieurs (tonisme), finalement une exagération de l'
état
tonique, de par la surexcitation des centres in
s éléments non corticaux. L'apparence clinique d'après laquelle l'
état
tonique paraît résulter de la confusion des contr
famille, mais dérobe des aliments pour les manger en cachette. Même
état
durant les mois de février et de mars; il se ca
ements de la peau, elle arrive ensuite d'em- blée, généralement à l'
état
eloiiiqllesur les extrémités supérieures et inf
xe. Nystagmus rota- toire en regardant de côté. Evolution subaiguë,
état
stationnaire pendant trois ans ; puis, formatio
apidité qu'elle est survenue, mais non toujours, et peut passer à l'
état
chronique. Si la .cause est récente, bien défin
ins d'asile sont tenus de consigner sur un registre des notes sur l'
état
du malade, quotidiennement pendant les quatorze
e clinique ' . M. Bastelberg. De l'emploi de l'hyoscyamine dans les
états
d'agio talion chroniques. Il a pu l'administrer
être autorisés à faire un certificat, et faudrait qu'ils fussent en
état
de le faire parfait. Les établissements, eux, son
es. C'est encore un manque de logique. Il y a encore une question d'
état
également engagée dans l'affaire. M. DELSOL. Me
ordonner toutes les pres- criptions nécessaires pour améliorer son
état
. Mais si cet état se prolonge, si la maladie se
es pres- criptions nécessaires pour améliorer son état. Mais si cet
état
se prolonge, si la maladie se caractérise et s'
conséquences de ce' diagnostic et de statuer à lui tout seul sur l'
état
et la capacité civile du malade. Nous rencontrons
omment les choses se passent-elles ? Lorsqu'un individu est dans un
état
habi- tuel d'imbécillité, de démence ou de fure
ur, ses parents et quelque- fois le ministère public, lorsqu'il y a
état
de fureur, introduisent une instance pour deman
i sont chargés d'examiner le malade et de dire s'il est ou non dans
état
habituel d'imbécillité, de démence ou de fureur.
qui, dans notre législation actuelle, est appelée à prononcer sur l'
état
et la capacité civile de la personne résultant
ient qu'à des cas véritablement exceptionnels. Il faut être dans un
état
habituel d'imbécillité, de démence ou de fureur
ugerait nécessaires, afin de statuer en connaissance de cause sur l'
état
mental de l'aliéné ou prétendu tel;qu'elle pour
re la gauche), perpé- tuellement. Un sénateur à gauche. C'est à l'
état
chronique. M. de Gavardie. A l'état chronique ?
Un sénateur à gauche. C'est à l'état chronique. M. de Gavardie. A l'
état
chronique ? ... J'allais dire une méchan- ceté
utorité judiciaire consiste beaucoup moins dans l'appréciation de l'
état
mental de la per- sonne en cause que des circon
bunal, en pareille circonstance, ne consiste pas tant à apprécier l'
état
mental de la personne que les circonstances dan
le une observation de dément dont le père était alcoolique, et en
état
d'ivresse au moment de la procréation. L'auteur
es génitaux uri- naires. Il cite des observations de ces différents
états
, montre que l'alcoolisme diminue le degré de ré
érilité précoce ou ultime. L'étude des effets de l'alcoolisme sur l'
état
intellectuel des descen- 486 VARIA. danls est
nc, 70. Hypnotique (nouvel agent), par Me- îing, 92. Hypnotisme
état
aciucl de la ques- tion de l'), par Binwanger,
oiie, 79. Méningite et surdi-mutité, par Schùllz-», 86. Moelle (
état
de la dans l'élonga- tion du sciatirlnr), par T
simili-bus curantur), et de forcer les jeunes sœurs à rentrer dans l'
état
d’innocence parfaite à l imitation de nos premier
ur les plus saintes, les plus parfaites, étaient celles qui, dans cet
état
, paraissaient au chœur pour y recevoir l'Eucharis
ù Dieu, les anges, la plupart des saints sont partout représentés à l’
état
de nudité, il a pu arriver que des sectateurs do
ur les perdre. Le diable fut jaloux des vertus des jeunes sœurs, de l’
état
de perfection oïl elles étaient arrivées et jura
toutes nues sur io mont Taygite. Cela étant, nous croyons que dans l'
état
de macération, d'exaltation et de dévotion excess
omènes qu’il produit comme des dupes par trop crédules, jouets de cet
état
d'hallucination, de suggestion magnétique qu'on a
eprésenter les phénomènes produits par M. Home comme le résultat de l’
état
d’hallucination, d'illusion, d électro-biologie d
malheureuses qui faisaient de tels aveux étaient de pauvres femmes en
état
d’hallucination, de fascination magnétique ; de m
tre, toute volonté en étaient absents. A des êtres tombés dans un tel
état
, il est facile de tout suggérer, de tout faire av
une circonstance tout à fait semblable. On peut admettre également l’
état
de fascination, de charme, exercés par le curé Pi
r lui, elles ont ressenti comme des horreurs, et sont restées dans un
état
complet de stupidité. Alors l’évêque d’Évreux fit
uelques jours déjà, s’était rendu dans le monastère pour y examiner l’
état
des pauvres religieuses et y appliquer les re
uis survinrent des crises nerveuses épouvantables. Elle était dans un
état
très-alarmant ; pourtant on parvint, après des ef
eine Bavent, une pauvre femme hallucinée, égarée, se trouvant dans un
état
presque permanent d’électro-biologie, de crise ma
ant ce mode, le sujet n’est pas en somnambulisme, il se trouve dans l’
état
de charme, qui est par excellence l’état des visi
bulisme, il se trouve dans l’état de charme, qui est par excellence l’
état
des visions de toute nature (je prends, bien ente
te nature (je prends, bien entendu, le mot vision en bonne part). Cet
état
diffère essen- tiellement du somnambulisme, e
’établit aujourd’hui de confusion à cet égard. La production de cet
état
, qui est très-facile sur la plupart des personnes
continue sans lui et change de nature. Il est plus difficile dans l’
état
de charme que dans le somnambulisme d'imprimer un
ets divers ; cela ressemble à une batterie de cuisine en fort mauvais
état
; il y a aussi une boite qui parait rouillée et e
les à d’autres qu’à des magnétistes. Tous se sont produits dans l’
état
de charme et spontanément. J’en ai rencontré auss
se passe dans les opérations magnétiques que nous examinons. Dans l’
état
ordinaire ou vie de relation, l’âme se sert du ce
s y$ux et sans oreilles. On ne peut argumenter de ce qui se passe à l’
état
de veille pour conclure quoi que ce soit à propos
à propos des opérations magnétiques; toute comparaison entre les deux
états
est impossible et doit être rejetee d'une manière
que l'esprit d’une autre somnambule, ou plutôt d un sujet mis dans l’
état
de charme, s’est transporté, avec la rapidité de
e, pour les opérations de 1 intelligence, entre le somnambulisme et l’
état
de charme. Dans le premier cas, l’esprit est en p
l a la conscience de ses actes, il raisonne et agit presque comme à l’
état
de veille, il se transporte comme il veut et il e
ant sur le sol, peut donc rencontrer un caillou sous son pied. Dans 1
état
de charme au contraire, tout semble imprévu, spon
taient sur terre, et généralement vêtus de la même façon. Est-ce leur
état
réel, ou bien ont-ils pris cette apparence pour s
ait bien malheureux qu’ils se trompassent toujours. L’homme, dans son
état
ordinaire, est sujet à l’erreur, et il n’est venu
tantiel, vital et intime s’établit entre l’âme de l’homme élevé à cet
état
particulier que le magnétisme peut développer, et
t à la plonger dans le sommeil magnétique. Même avant de passer à cet
état
, la pauvre malade avait perdu complètement l’ouïe
usait sa présence : les yeux s’ouvrirent, son regard élw comme dans l’
état
ordinaire, et la coloration de la face sein blait
xactement les propriétaires de ces objets, de leur genre de vie, leur
état
de santó, la cause de leurs maladies, et a prescr
extase qu’elle a été ravissante. Sa physionomie, assez commune dans l’
état
ordinaire, s’est en quelque sorte transfigurée, e
au moins hasardée. Qu’un individu entrancè, c’est-à-dire arrivé à un
état
anormal et voisin de l’extase, voie l’intérieur d
des mamelles, trouble de la vue, migraine, vertiges et fièvre. — Cet
état
persistait de six à huit jours au même degré d’in
continuelles, et la nuit se passe sans sommeil. Voilà en résu né l'
état
dans lequel je le trouve. Ses jours me paraissent
nte, le pouls a acquis plus de force, les pulsations sont presque à l’
état
normal. Je réitère l’opération de la veille. — Ap
stions sont bonnes. Tous les symptômes alarmants ont disparu, son
état
est des plus satisfaisants, la sérénité renaît su
mettre eu somnambulisme une de ses cousines qui avait eu jadis en cet
état
une clairvoyance remarquable. Mariée depuis cinq
les présentant à des savants, a des magnétistes , à des personnes en
état
d observer et dont l’attestation eût achevé de do
le ait oublié le peu qu’elle savait de cette langue, mais que, dans l’
état
de médium où il se développe incontestablement de
aveur de la coopération étrangère, c’est que, quand il écrit dans son
état
de médium , il a une écriture qui n’est pas du to
ossible d’en rendre raison. Il est certain que le médium est (fyns un
état
extraordinaire : il y a chez lui, sans qu'il en a
vues autrefois que d’une manière fugitive, et dont 11 croît, dans son
état
ordinaire, n’avoir conservé aucun souvenir. Pour
prétention de donner la claf de toutes les diflicultés que présente l’
état
de médium ; nous ne faisons que hasarder une h y
se trouve ainsi ameué forcément à reconnaître qu’un individu, dans l’
état
de médium, peut composer des discours sans en avo
n esprit ne puisse écrire que dans la langue du médium et soit hors d’
état
d’employer la langue dont il se servait sur terre
ès la mort de Grandier. Ses premiers soins furent employés à calmer l’
état
d'agitation des religieuses, et notamment de la s
saint François de Sales, revint bientôt à une santé complète. Mais l’
état
de Surin persista près de vingt ans: ce ne fut qu
ieu, «je dois être abandonné a toutes les peines, et passer par des «
états
encore plus humiliants et plus semblables à ceux
ma prudence « charnelle me le persuade aussi, comme très-utile dans l’
état
h de faiblesse et de langueur ou je suis ; mais l
larmes et de sanglots, et la jeune fille se trouva rétablie dans son
état
normal. .« Le lendemain, à l'heure précise où l
n n’eût été plus facile, pour un magnétiseur, que de faire cesser cet
état
cataleptique, qui a été si funeste à cetle jeune
e entorse qui lui causa une très-vive douleur ; elle se trouva hors d'
état
de marcher, et on la transporta au bureau. M. Gui
dix-sept ans, demeurantà Allonville, chez son maître, se lève dans un
état
de somnam-balisme, ouvre la fenêtre de sa chambre
, qu’il ne pose pas lui-même ses conclusions. A coup sûr, il était en
état
de le faire, et son œuvre eût tiré de ce compléme
nt les forces physiques paraissaient en quelque sorte sommeiller. Cet
état
particulier était mis .par quelques assistants su
latif, et elle indiquait les poumons comme le siège de son mal. Son
état
s’étant aggravé à l’arrivée de la mauvaise saison
e année de traitement; je me prescrirai moi-même les remèdes dans mon
état
magnétique ; car sans le magnétisme il serait imp
i de grandes choses dont on sera émerveillé. « Je sens que dans cet
état
somnambulique, je serai capable de répondre de la
de ne tenir aucun compte de ses caprices et de ses résistances dans l’
état
de veille; de la magnétiser chaque jour, et de lu
, et le 8 janvier, j’obtins d’elle d’autres prévisions sur son propre
état
. Elle me dit, dans son sommeil, que le 8 août, à
e eût semblé la veille loin de pouvoir espérer d’être de longtemps en
état
de se lever, elle vint, à l’heure par elle annonc
er en la magnétisant six mimâtes le long de l’épine dorsale, dans son
état
de veille. Telle est la relation que je soumets
chambre voisine, où se trouvait le médecin : — Que pensez-vous de l’
état
d’Albert ? — M. D..., répondit le médecin, ne s
nent tremblantes et que des crispations nerveuses se manifestent. Cet
état
disparaît bientôt pour faire place à un sourire g
recouvre en partie les éléments de sa nature. Le somnambule, dans son
état
anormal, souffre, car l’action magnélique est une
a mieux la pensée qu'il aura reçue. Ainsi, l’esprit du médium, dans l’
état
anormal relatif, reçoit généralement l’idée confu
sont ces événements? demanda M. Roberaud. — Une révolution, un coup d’
état
, les pouvoirs suprêmes luttant entre eux; le plus
ressources de leur science, ils ne purent parvenir â faire cesser cet
état
fâcheux. Au mois de juin 1857, M. John R. Reed, d
7, M. John R. Reed, de Hartford, âgé de vingt-un ans, forgeron de son
état
, ayant la prétention d'être influencé par les esp
cours à M. Reed , qui vit le malade le 3 janvier 48Ô8 , ;et, dans son
état
de iranse, -décrivit minutieusement un reptile dm
étisme, je le crois du moins. Voici, du reste, ce que j'éprouve : A l’
état
de veille, étant couché les yeux fermés, je comme
traîner quelquefois dans des lieux connus ou môme inconnus. Mais, à l’
état
de veille, toutes mes pensées et toutes mes actio
iode de décroissement, la force vitale épuisée s’éteint, laissant à l'
état
d’une masse inerte la machine matérielle composée
sont pas tous dans la nj£mc situation ; on doit donc obtenir sur leur
état
des notions qui diffèrent entre elles. Puis il se
mbules, dit-il, peuvent sans le secours d’un magnétiseur se mettre en
état
de somnambulisme, en catalepsie, en extase, et pr
ce que le manque de ce fluide précieux. La vie peut exister dans un
état
libre ■ou latent, et en cela elle a beaucoup d’an
et du froid. Il faut absolument qu’elle soit anéantie, même dans son
état
latent, pour que la putréfaction puisse avoir lie
e que la vie cesse. Beaucoup d’animaux passent tout l’hiver dans un
état
d'engourdissement sous la neige et même sons la g
ner au loin, de produire ce que l'on appelle le sommeil magnétique, l'
état
du somnambulisme. Ce fluide de vie, comme tous
nfluant sur son intelligence, les secrets cachés à nos sens dans leur
état
naturel.. Les songes mystérieux , les pressenti
ns qu’une étude approfondie en ait été faite, et qu’il soit élevé à l’
état
de science, on en verra alors les résultats incom
ussi les frictions lentes et à distance qui guérissent ou modifient l’
état
maladif de l’homme. C'est que ces deux choses son
t qui doit exister entre la propriété de la substance médicinale et l'
état
de l’organisme malade pour obtenir un résultat qu
pour le malade en le privant de médicaments plus convenables pour son
état
que le magnétisme. Les spécialités existent en mé
a situation semble ne pas s’être améliorée, la plaie est dans le même
état
que huit jours auparavant. •— La somnambule décla
Huit jours plus tard, la guérison est assurée, la jambe est dans un
état
des plus satisfaisants. Cesser définitivement l’u
; je souffrais beaucoup et ne pouvais point marcher. C'est dans cet
état
que j’ai eu recours au magnétisme, comme dernier
nvulsions périodiques , n’ont éprouvé d’abord de changement dans leur
état
que quelques cessations de leurs Crises, mais que
la langue ; je souffrais d’une amanrose grave. C'est dans ce triste
état
que j'ai eu recours au magnétisme, comme dernier
te. « Mon père étant gravement malade, appela un médecin ; mais son
état
ne fit qu’empirer jusqu'à ce que le médecin prono
i besoin de vous pour venir le traiter. Néanmoins, il me décrivit son
état
aussi exactement qui1 s’il avait été auprès de lu
1 linceul. Quelques minutes après l’arrivée du docteur, il fut mis en
état
, de se lever tout seul, et il fit deux fois le to
exposer ; pour moi, je vais simplement vous présenter un résumé de l’
état
présent du magnétisme. Plus que jamais, les mag
. Ces deux aspects, légitimes tons deux, qui restaient mélangés à l’
état
confus, tendent de plus en plus à se distinguer.
milieu de l’âme collective, et de l’espfit général des sphères où son
état
se transmue, jusqu’à l'intégrité de son retour à
a mort n'exprime pas l'anéantissement de l’étre. mais son départ de l'
état
d'iufime condensation. comme la molécule, ou
ception comme une terre sublime, ou plutôt la substance ¡¡indique à l’
état
du premier milieu de la création. Cette terre tou
. Nous devons déjà signaler comme un progrès la reconnaissance de cet
état
par un homme de science. Il se trouve encore des
ons scientifiques. M. Lévêque ne voit dans le somnambulisme qu'un
état
morbide : « Si le somnambule magnétique n’est qu’
l, telles que la fameuse sonate de Tartini. Si donc le sommeil est un
état
inférieur à certains égards, il peut aussi renfer
es caractères de supériorité ou servir de transition pour passer à un
état
supérieur à celui de la veille. M. Lévêque parait
ous d’épouvante ; vint ensuite le siège qui dura très-longtemps, vu l’
état
du lucide qui était, comme les autres, eflrayé de
genre et qui n’aien; passé qiielcjuos doux instants dans cet étrange
état
volatile. Voilà, selon nous, une des plus grave
rps est un fait naturel, c'est la mort qui a des degrés divers et des
états
préliminaires intermédiaires (1), tandis que le t
vez, vous qui, après cent magnétisations en un jour, vous trouviez en
état
de recommencer le lendemain ; répétez bien à vos
e dans nos ellorts pour vous aider... Madame X... étant revenue à son
état
normal, j’ai prié ma fille Rose de me donner quel
à des ell'cts nerveux, il eût pu se faire que des organes qui dans l’
état
normal auraient été insensibles aux agents physiq
ux agents physiques dont l’action pro-duitlesépidémies,fussent dans l’
état
magnétique influencés par ces agents de manière à
vantant de résultats qui ne sont pas constatés et qu’ils sont hors d’
état
de reproduire. S0119 ce rapport, ils ont prêté le
a volonté et l’intelligence, la moelle épinière est intacte. Dans cet
état
, M. Flourens pince la patte, le pigeon retire sa
e somnambulisme ; qui croient devoir rechercher si, dans certains
états
d’excitation nerveuse , des individus sont réelle
tranchées peuvent exister à cet égard chez le même individu dans des
états
nerveux divers ; il est possible que les rayons c
oduite touchant la propriété dont jouissaient certaines personnes à l’
état
de crise, de déchiffrer une lettre à distance, av
poids de 3980 grains a été liquéfiée par les esprits, puis rendue à l’
état
solide et remise dans la môme forme. Il met ensem
é ce bloc dans les monnaies primitives, toutes rendues à leur premier
état
. Beaucoup d’autres manifestations extraordinair
e, des facultés plus transcendantes que celles dout jouit l’homme à l’
état
lucide. Oui, certes, le phénomène des meubles p
erdict constatant que cet individu était mort des blessures reçues en
état
de somnambulisme. (Spiritual Telcgraph du Îi) jui
velles capsules, je fis jouer les délentes, et, tout étant en parfait
état
, je nie dirigeai vers l’escalier qui conduit à la
affaissé dans une insensibilité léthargique ; je ne sais combien cet
état
dura. Je n’en sortis que lorsque l’aube diaphane
s chroniqueurs, celui qui a le plus contribué à faire passer Hume à l’
état
de prophète, et qui dernièrement nous donnait de
igine dans l’électricité, que la science actuelle admet, au moins à l’
état
latent, dans chacun de nous. Nous ne donnerons
ou l'autre de ces signes, certains sujets tombent quelquefois dans un
état
particulier appelé sommeil clcctriqne. Ce sommeil
nsibilité absolue. Les somnambules affectibles, se trouvent dans un
état
plein de dangers et qui offre fort peu d’avantage
subséquent, deux conditionsque l’on ne rencontre pas toujours dans 1
état
d’insensibilité produite par le chloroforme et l'
des choses présentes ou éloignées, apprécier plus sûrement que dans l’
état
de veille les effets dans leurs causes, pouvoir e
l’homme rappelle évidemment ici la grandeur d’où il est déchu, et cet
état
primitif d’inuocence, si riche de lumières qui pe
connaissance de plusieurs objets, qu’il ne pourrait connaître dans l’
état
ordinaire, même à l’aide des organes des sens. Ai
is en rapport avec d'autres personnes, surtout avec des malades sur l’
état
desquels on désire leur avis, entrent avec ces pe
les symptômes de leur mal. Ce n’est qu’alors que le somnambule est en
état
de prescrire un régime et les remèdes .convenable
ndormir et somnambuliser qu’entre vivre, sentir et parler. Le dernier
état
suppose sans doute les deux autres, mais lés deux
fut en butte. Il eut des extases et des visions, et souvent dans cet
état
, il fut élevé en l’air en présence de plusieurs m
prenons dans les deux premiers groupes, ainsi que ceux que présente l’
état
physique des somnambules, nous croyons que lacaus
homme est un fait peu contestable, mais encore et toujours, d'après l'
état
actuel de la science, on ne peut s’empêcher de re
fluide électrique, mais encore ce même fluide existe dans l'homme à l’
état
libre, c’est-à-dire que l’homme peut le communiqu
stance. c ) Déployer une force physique au-dessus de son âge, et de l’
état
dans lequel on se trouve (1). 2° Un assez grand
’est passé, dans cet (1) De erorciianclis obtettit à dœmonibut.
état
, a également lieu. Pourquoi donc, mi l’analogie f
ulisme l’ouvrage du démon, n’y voient qu’un mode de l’âme humaine, un
état
suigeneris que l’ancienne et moderne philosophie
. « Je voulus la démagnétiser. Peine inutile : elle avait passé à l’
état
cataleptique. Ses membres fléhissaient comme de l
que je me donnais pour la démagnétiser, je ne pouvais la ramener à l’
état
de veille, à la vie de relation, lui restituer la
ais nuisit à mes moyens, soit défaut d’adresse, je me trouvais hors d’
état
de tirer la jeune fille de l’état anormal où je l
ut d’adresse, je me trouvais hors d’état de tirer la jeune fille de l’
état
anormal où je l’avais plongée. Comme c’était la p
ais que la jeune fille était tombée, l’année précédente, dans le même
état
, sans qu'il y eut action magnétique, et que cela
d’un autre magnétiseur dont le concours la tirerait peut-être de cet
état
. A peine ce projet conçu, je le réalisai immédiat
ani, magnétiseur habile et éclairé. Je trouvai la malade dans le même
état
où je l'avais laissée la nuit précédente. Seuleme
ui devait être en quelque sorte l’indice de sa réintégration dans son
état
normal, Grâce à son action, aux efforts de la jeu
qui s'était fait et dit autour d’elle dans la dernière période de son
état
magnétique, alors qu’elle commençait à recouvrer
e d’étude, à acquérir la pratique du magnétisme, afin de se mettre en
état
d'employer tous les moyens qu'offre la nature pou
e sache pas que l’on ait osé aller plus avant et tenter l’aventure. L'
état
de sommeil est déjà difficile à faire cesser, il
oin. Dans d’autres, cas plus rares, on ne voit point de sommeil ; l’
état
convulsif ne se montres pas, le corps-se roidit s
r pendant plusieurs jours, en s’affaiblissant pourtant par degrés, un
état
de surexcitation extrême du système nerveux causé
ant, sa femme fut influencée et excitée à écrire : se trouvantdans un
état
où elle n’avait qu’à moitié conscience de ce qu’e
es médecins, sans pouvoir soulager la malade. Le premier février, son
état
avait empiré, au lieu de s’améliorer. Je perdis t
ommé Langlois. Tout ce qui revenait sur son compte le peignait dans l’
état
obligé pour son rôle, c’est-à-dire dans une innoc
intenant en résumé, d’après la rameur publique, ce qui aurait amené l’
état
où se trouve cette jeune personne : Il n’y aurait
e voix ; toutefois, son organisme paraissait complètement changé, son
état
d’extase était tel, qu'elle ne voyait et n’entend
ande pécheresse. » Après quoi, elle s’affaissa sur son siège, dans un
état
apparent d’insensibilité. D’abord on s’en inquiét
our que le corps fût plié horizontalement à la hauteur des pieds. Cet
état
se prolongea la nuit et le jour suivant. « A
conduire ensuite chez sa famille ; elle n’avait aucun sentiment, (¡et
état
se prolongea sans changement appréciable, trois o
escriptions qui n’eurent aucun résultat. Pourtant la malade devint en
état
de répondre aux questions par des signes de tête,
nes de tête, mais sans pouvoir encore parler. Elle demeura dans cet
état
pendant seize jours , sans aucun changement visib
de mouvementsimpétueux, jusqu’à ce qu'elle retombât épuisée dans son
état
d’immobilité. Ces accès eurent lieu jusqu’à trois
. « D’après ce qu’elle déclara depuis, elle avait conscience de son
état
et avait connaissance de ce qui se passait autour
lque répugnance à en faire la narration. « La durée de ce singulier
état
et les circonstancesqui l’ont amené en firent un
l y a lieu de croire que la dame dont il s’agit s'est trouvée dans un
état
d'extase religieux , comme 011 en voit beaucoup d
s dans les vies des saints. L'exaltation religieuse amène parfois cet
état
singulier dans lequel la vie matérielle semble su
les médecins reconnaissent qu’il est très-dangereux de prolonger cet
état
anormal. Quand il a été amené artificiellement à
omnambulisme , le magnétisme peut toujours le faire cesser. Quand cet
état
se développe spontanément, le même moyen peut êtr
petite fille, âgée de quatre ans, s’ôtant couchée la veille dans son
état
de sauté ordinaire, nous réveilla vers les trois
rien avaler, en but trois verres ; elle paraissait alors revenir à un
état
plus naturel. Ici, le médium ou plutôt l’Indien n
n en se fondant sur ce que cette dame est presbyte et ne peut, dans l’
état
ordinaire, lire qu’avec de fortes lunettes. Cette
que cette dame est presbyte à un degré très-prononcé ; 2° que, dans l’
état
somnam-bulique, cette presbytie disparaît et que
t que la vue redevient normale. M. Guidon nous a assuré que, dans l’
état
ordinaire, elle ne pouvait faire un point de cout
tent les ca-raotèresde preabÿtie et .diffèrent de ce quelles sont à l’
état
4e veille. A.-S. Moaus. ÉTUDE SUR L’AIDE. V
stance immatérielle est la base de toute métaphysique d’accord arec l'
état
actuel des sciences. Le principe sur lequel repos
ent sur elle, savoir : que ta matière ne peut changer d elle-même son
état
de mouvement ou de repos, ce principe exige que l
e, j’arrivai trop tard. Je m’informai auprès de Mm* la concierge de l’
état
dès lifeux. Cette dame m’accueillit avec une parf
urant qu’il va entrer en communication avec les esprits , arrive à un
état
extatiforme, rêve les yeux ouverts , croit entend
ommunication à la matière brute devient plus directe au sortir de cet
état
; dans cette désunion, le corps conserve un refle
fut de conduire cette crise jusqu’au somnambulisme pour tirer de cet
état
des indications favorables au traitement de cette
et en demandent la perpétuité, parce qu’ils se trouvent bien dans cet
état
qui leur paraît infiniment plus supportable que l
ler mieux. Puis, après un autre intervalle de quatre jours, je fus en
état
d’aller à pied chez ma sœur (à une distance d’un
t point s’arrêter là. A l'âge de vingt ans, il tomba malade, et l’
état
uomnambulique reparut; pendant quinze jours consé
ême, ne le soulageant point, un jour qu'il souffrait beaucoup, dans l’
état
somnambulique, il a fait une invocation à la Divi
on avaient constaté. Inutile de dire que le savoir du sujet, dans son
état
ordinaire, est nul ou à peu près. 11 a su toujour
haque entreprise. Le sujet, qui est un être très-ordinaire dans son
état
d’éveil , a des sentiments excessivement honnêtes
éveil , a des sentiments excessivement honnêtes et religieux dans son
état
somnambulique, et recommande toujours à son magné
e que, par le magnétisme, l’âme se dégage delà matière; que, dans cet
état
, le corps ressemble 3i un morceau de bois sec, et
magnétiseur est interrompue. 11 a indiqué que pour le sortir de cet
état
qni dure ■quelquefois très-longtemps, il Fallait
ertain nombre de sphères spirituelles , jusqu’à ce qu’elle arrive à l’
état
angélique ; d’autres Esprits sont tout simplement
chette ou de la corbeille {ex eathedrâ), que quand ils sont dans leur
état
normal. Le moyen proposé par la Revue ne peut a
xcessives qui l’empêchaient même de sommeiller dans la nuit. Dans cet
état
, elle désira se faire transporter de nouveau à Ca
circonstance de sa vie privée ; en un mot, M. Dominique possède, à l’
état
de veille, une lucidité remarquable. Madame X..
agnées de prières, suffisent pour guérir les malades et les mettre en
état
de retourner chez eux à pied. Des enfants épilept
u la description. L’ayant magnétisée le 6 octobre, elle tomba dans un
état
singulier qui dura six jours entiers ; pendant to
prendrait. Le magnétiseur fit de vains efforts pour faire cesser cet
état
, il était sans influence sur elle. Un médecin fut
vait rien à faire. — Elle annonça le moment où elle rentrerait dans l’
état
normal et déclara que rien ne pourrait devancer l
me et au somnambulisme. Quand on a vu et interrogé madame M... dans l’
état
de sommeil, il faut véritablement avoir la supers
tranchées peuvent exister à cet égard chez le même individu, dans des
états
ner- veux divers ; il est possible que les ra
duite, touchant la propriété dont jouiraient certaines personnes, à l’
état
de crise, de déchiffrer une lettre, à distance, a
, et alors les organes de l’ouïe fonctionnent absolument comme dans l’
état
ordinaire, ainsi qu’il est facile de s’en assurer
orte sa pensée que sur l’objet désigné par celui qui l’a mis dans cet
état
. » Nous n’insisterons pas sur ces erreurs que l
us n’insisterons pas sur ces erreurs que le praticien sera bientôt en
état
de rectifier lui-même. Quand la somme du bien l’e
ur Wiliam Ingalls) ayant demandé si l’enfant (Frédéric) était dans un
état
qui n’était pas naturel, le docteur Stedman répon
turel, le docteur Stedman répondit qu’il lui semblait qu’en effet cet
état
n’était pas naturel et-que ces spasmes ne pouvaie
dirigea vers la commission ; il semblait se croire réintégré dans son
état
normal, et ne pas apercevoir M. Collyer qui, debo
. James dit qu’il regardait comme douteux qu’on put feindre un pareil
état
. M. Collyer offrit de maintenir le jeune homme da
ient pour l’observer, de manière qu’on pût vérifier s’il simulait son
état
. « M. Stone, étudiant en médecine à Salem, prés
détermine les mêmes effets. Il assure que le sujet est alors' dans un
état
de demi-somnambulisme. Quelques minute après,
i dit que ce souvenir devait se rapporter à cequ’il avait vu dans son
état
de demi-somnambulisme. Le sujet rendant compte de
tenant comme hors de doute que Mi... (le dernier sujet) était dans un
état
non naturel, et que cet état a été produit par M.
e Mi... (le dernier sujet) était dans un état non naturel, et que cet
état
a été produit par M. Collyer. « Le docteur Lewi
Je suis obligé de reconnaître que le dernier sujet était dans un
état
nerveux fort étrange et qui n’est pas naturel.
marchez dans une fausse voie? Les clairvoyants, qui jugent mieux de l’
état
d'un malade, sur un simple vêtement et les yeux f
il est parti et se perche au sommet. Alors, il revient à son premier
état
, mais une vache ou un veau se trouve placé entre
me M..., une femme qui n’est pas moins sincère et intelligente dans l’
état
de veille, que lucide dans le sommeil magnétique.
lle, sa mère me reçoit les larmes aux yeux : — « Ma fille est daas un
état
désespéré, les convulsions n’ont pas cessé un ins
ez-la avec votre aplomb académique... Eh bien, que pensez-vous de son
état
? Si on l’appelle, elle n’entend pas ; si on la p
magnétiseur va vous instruire ! Oui je vous apprendrai ce qu’est cet
état
, comment on le provoque, comment on le dissipe. C
es êtres supérieurs et quitter ainsi la vie ! Pour faire cesser cet
état
et calmer les inquiétudes de sa mère, il a fallu
pulations magnétiques après lesquelles mademoiselle Kurz revint à son
état
normal sans rien se rappeler de ce qui s'était pa
jamais arrivé. Je la trouvais dans son fauteuil, très-contente de son
état
et souriante ; mais, hélas ! en m’approchant d’el
a magnétiser de nouveau et à pousser jusqu’au somnambulisme. Dans cet
état
de clairvoyance, elle déclara: « qu’il fallait en
a peur de l’enfer m’agitait encore souvent. Je me demandais : En quel
état
suis-je? si je mourais à l’instant même, serais-j
s après une seule magnétisation. Lorsqu’une fois j’étais arrivé à l’
état
comateux, presque toujours après une 2” ou 3* mag
ée. Après deux ou trois magnétisations, j'obûensl'insensibilité à l'
état
de veille, et cela en cataleptisant le membre que
ent annoncé s’est accompli de point en point. La mémo personne, à l'
état
de somnambulisme, a tracé de main de maître le po
t si précise, que personne n’a songé à s’inscrire en faux.— Lorsque l’
état
somnambulique se déclarait chez elle, sa physiono
ient, et celte jeune personne, qui s’exprimait convenablement à l’
état
de veille, devenait réellement éloquente. Elle sa
subséquent, deux conditions que l’on ne rencontre pas toujours dans l’
état
d’insensibilité produite par le chloroforme et l’
raculeuses ; bien des faits allégués s’expliquent naturellement par l’
état
d’hallucination où se sont trouvés quelques r
, autant qu’on peut en juger par les documents connus, dépendent de l’
état
psychique des médiums ; ces sortes de faits ne pe
mais, par suite de ses préventions, qui lui faisaient considérer cet
état
comme simulé, elle n’a aucunement cherché à étudi
ent, nous engageons les médiums et en général toutes les personnes en
état
de présenter des faits curieux, à concourir à cet
ons sur l'art des coups (rappings), de manière à rendre les élèves en
état
d’égaler et même de surpasser la famille Fox. Une
n la publiera et que, sur les deux rives de l’Atlantique, 011 sera en
état
d'apprécier ses révélations. D'après le Telegra
du lome XVI), 42. FAITE ET EXPÉRIENCES. Accidents arrivés dans l’
état
léthargique, 82, 581 cataleptique, 127 ; —épilept
ment les rires et les pleurs involontaires, sans nul rapport avec l'
état
cénesthésique du sujet. Observation VIII. Dégén
o-motrice. Dans d'autres circonstances, c'est toute la mimique d'un
état
pas- sionnel, rires ou pleurs, qui surgit en dé
état pas- sionnel, rires ou pleurs, qui surgit en désaccord avec l'
état
cénes- thésique du sujet. Elle riait aux éclats
agée. Le centre auditif de l'écorce (lro temporale) est dans un tel
état
d'éréthisme que l'image vient solliciter le centr
heures et minuit, sans avoir remarqué rien de particulier dans son
état
. Le lendemain, lorsqu'il essaie de se lever, il
son état. Le lendemain, lorsqu'il essaie de se lever, il éprouve un
état
de faiblesse tel dans les jambes que s'il veut
elle on- pouvait loger une mandarine. ' 'i . , 1 ) i C'est dans cet
état
, réduit au décubitus dorsal, ne pouvant remuer
éminences thénar et hypothénar sont presque totalement effacées. L'
état
de la sensibilité des membres supérieurs ne pré-
y a au moins dix jours qu'il n'a pas été à la selle et attribue cet
état
à ce qu'il ne mange pas. Mais l'absence de toute
'aller à la garde-robe indique nettement qu'il y a tout au moins un
état
de parésie rectale. En pressant alternativement
ant pas à ce genre de recherches. "<-' i f ' ' ' 29 janvier. L'
état
du malade s'agârave. L'ataxo-adynamie et le dél
baiguë, intermédiaire très vague qui indique qu'il ne s'agit ni d'
état
aigu'ou chronique ? Le début a eu lieu ¡. . 1 J
ne pas étudier d'autres problèmes plus simples que nous présente l'
état
mental des hystériques ? D Je vous répondrai qu
t qu'il ment peut- être quelquefois. Mais il faut tenir compte d'un
état
mental encore insuffisamment étudié, 1 fréquent
se assez forte qui avait bouleversé, comme cela arrive souvent, son
état
mental, et elle m'avait complètement oublié. Sa
du tout souvenir des faits auxquels j'avais été mêlé. Peut-être cet
état
bizarre de la mémoire aurait-il duré quelque te
lé beaucoup, certains délires qui accompagnent la crise, certains
états
anormaux qui suivent quelquefois l'attaque semble
'une des premières et l'une des plus remarquables descriptions de l'
état
mental d'une hystérique : « Quelquefois, dit-il
ique : « Quelquefois, dit-il en parlant de sa malade, il y avait un
état
moral tout' particulier observé par la mère d'E
re comme une attaque d'hystérie. Elle sortit de son attaque dans un
état
mental tout particulier : 1° elle avait oublié
vous avoir signalé les principales. II. Pour résumer rapidement l'
état
d'une de ces malades que je viens de vous décri
rappelle seulement un fait bien connu de tous : l'hyp- nose est un
état
qui ne laisse pas de souvenirs après le réveil
ères hypnotisations, mais il est à mes yeux la caractéristique de l'
état
somnambulique plus ou moins grave. Chez la jeun
mplement à reproduire artificiellement chez elle un de ces nombreux
états
suivis d'amnésie dans lesquels elle entrait d'e
tre par suggestion, ou mieux par une habitude automa- tique dans un
état
moral analogue à celui dont elle vient de sorti
je ne vous décrirai point. Je vous rappelle seulement que c'est un
état
spontané qui fait partie de la crise hystérique e
en, il n'en est rien, on peut reproduire artificiellement ce même
état
qui semblait faire partie intégrante de l'attaque
emble avoir totalement oublié la langue anglaise. Quand elle est en
état
de somnambulisme provoqué, elle parle de Londre
mnambulisme que l'on provoque, pour mettre l'esprit dans un certain
état
où il retrouve les souvenirs cherchés. Cette 40
, les phénomènes psychologiques primitifs qui se sont conservés à l'
état
latent réapparaissent un peu. moins forts, moin
uggestion, on peut toujours arriver à produire chez l'hystérique un
état
artificiel assez analogue aux états naturels qu
à produire chez l'hystérique un état artificiel assez analogue aux
états
naturels qui ont été oubliés pour restaurer le
pasmes et de petits accidents con- vulsifs. Un jour, dans un de ces
états
somnambuliques acci- dentels, elle me dit spont
ais dès que ce som- nambulisme changea et que le sujet entra dans l'
état
de veille ou dans un autre somnambulisme, ces s
venirs disparurent de nouveau complètement. J'ai cherché ce que cet
état
pou- vait avoir de particulier et j'ai été frap
térique. 47 laire de tout le côté droit, tandis que dans les autres
états
elle était perpétuellement anesthésique totale.
t été perdu. La restauration accidentelle, j'en conviens, du même
état
de sensibilité s'était accompagné de la restaurat
nte cinq ou six personnalités' différentes, ou plutôt cinq ou six
états
de mémoire différents, caractérisés chacun par de
t des amnésies déterminées. Je vous rappelle que dans chacun de ces
états
de souvenir il avait un état particulier de la
vous rappelle que dans chacun de ces états de souvenir il avait un
état
particulier de la sensibilité, et il suffisait,
it, quand c'était possible, de rétablir artificiellement tel ou tel
état
de la sensibilité, pour faire naitre immédiatem
el ou tel état de la sensibilité, pour faire naitre immédiatement l'
état
de mémoire correspondant. On constate chez ce m
ce malade et chez beaucoup d'autres une rela- tion étroite entre l'
état
de la sensibilité et l'état de la mémoire, tell
d'autres une rela- tion étroite entre l'état de la sensibilité et l'
état
de la mémoire, telle que nous l'avions rencontr
endantes des anesthésies. Ce serait alors la variation brusque de l'
état
de sensibilité qui déterminerait les amnésies l
ment d'un type à un autre; elles sont, par exemple, des visuelles à l'
état
de veille et des motrices en somnambulisme. Nat
point de vue, sont des modifications de la mémoire ; ce sont des
états
dans lesquels les sujets ont des souvenirs partic
a prédisposition des hystériques aux amnésies localisées, de tels
états
seront chez elles très nombreux, très variés et t
e l'on emploie, mais du terrain sur lequel on opère. Parmi tous ces
états
som- nambuliques, dont l'étude est interminable
à peine, le grand.point n'était pas d'analyser en détail tel ou tel
état
som- nambulique ; il fallait démontrer l'existe
tel état som- nambulique ; il fallait démontrer l'existence de ces
états
anor- maux, écarter l'objection facile et banal
sie hystérique. 51 symptômes psychologiques. Il fallait choisir des
états
som- nambuliques chez des hystériques qui fusse
je le dis, sans hésiter, si je puis aujourd'hui vous présenter les
états
somnambuliques que nous étudions, c'est parce q
a présenté d'autres. Aujourd'hui, nous pouvons choisir parmi les
états
somnam- buliques avec plus de liberté et je vou
s qui me paraissent intéressants. Ainsi je vous propose d'appeler
états
ou somnambulismes à mémoire réciproque ou, pour a
e réciproque ou, pour abré- ger, somnambulisme réciproques certains
états
tels que le sou- venir du premier se retrouve d
termine par quelques convulsions et la malade se réveille dans son
état
normal avec l'oubli complet des deux états préc
lade se réveille dans son état normal avec l'oubli complet des deux
états
précédents. Eh bien, on peut provoquer artifici
dents. Eh bien, on peut provoquer artificiellement chez elle divers
états
som- nambuliques ; dans l'un de ces états provo
ellement chez elle divers états som- nambuliques ; dans l'un de ces
états
provoqués, vous voyez qu'elle reste étendue, le
crise, pendant cette même période de sommeil. Ce sont donc là deux
états
à mémoire réciproque. - - Pendant qu'elle est
d'être ordinaire pendant le somnambulisme, elle change totalement d'
état
et perd le souvenir de ce qu'elle vient de me d
som- nambulismes artificiels les yeux ouverts. Voici encore deux
états
réciproques. Eh bien, dans les états de ce genr
x ouverts. Voici encore deux états réciproques. Eh bien, dans les
états
de ce genre, vous remarquerez, je crois, très s
remarquerez, je crois, très souvent un fait important : c'est que l'
état
de la sen- sibilité est le même dans les deux é
nt : c'est que l'état de la sen- sibilité est le même dans les deux
états
réciproques. Vous pourriez le vérifier ici avec
précision, si nous avions le loisir d'étudier en détail les divers
états
psychologiques que cette,, malade traverse. Vou
ts psychologiques que cette,, malade traverse. Vous verriez que les
états
de mémoire ne deviennent identiques qu'au momen
mémoire pendant le somnambulisme : je ne fais que vous signaler les
états
supé- rieurs et les états inférieurs. Dans les
ulisme : je ne fais que vous signaler les états supé- rieurs et les
états
inférieurs. Dans les premiers, le sujet a le so
roque n'est pas vraie et dans lés seconds il ne se rappelle pas les
états
supérieurs. Il n'y a qu'un seul état de ce genr
nds il ne se rappelle pas les états supérieurs. Il n'y a qu'un seul
état
de ce genre dont je crois aujourd'hui la connai
is et avec beaucoup de justesse par M. Azam, pour désigner l'un des
états
psychologiques de Félida X... 1. Nous avons eu
ogiques de Félida X... 1. Nous avons eu l'occasion de constater cet
état
à plusieurs reprises chez des hystériques et no
ui est bien connue de vous tous, Witm. Elle est maintenant dans son
état
de veille, c'est-à-dire dans son état normal, l
Elle est maintenant dans son état de veille, c'est-à-dire dans son
état
normal, le plus habituel. Je vous rappelle l'état
t-à-dire dans son état normal, le plus habituel. Je vous rappelle l'
état
de sa sensibilité à ce moment : anesthésie tact
t qui n'affecte que la perception personnelle. En outre, dans cet
état
de veille, Witm souffre de nombreuses amnésies,
s s'est chargé de l'en- dormir au dehors et nous la ramène dans cet
état
que je veux vous décrire '. Il est facile de vo
ATION AU NIVEAU DE LA CICATRICE OSSEUSE. PAS DE MODIFICATION DANS L'
ÉTAT
DU SUJET; ..1.' 1 , '- . '1 . Par les Dors MA
malade, je ne sais pas ce que j'ai. » L.... se rappelle très bien l'
état
spécial dans lequel il se trouve dans ces pério
hemins me conduisaient, j'allais dit-il. Il a ainsi passé, dans cet
état
d'impulsion cons- ciente ou subconsciente, derr
art, qu'il est rentré chez lui. Il était, raconte sa femme, dans un
état
lamentable, les vête- ments sales, non déchirés
tout à fait Archives, t. XXIV. 5 66 RECUEIL DE FAITS. dans son
état
normal. Il nous fait le récit de ses aventures av
aso-motrice exagérée, insta- bilité, bizarreries), ont pour base un
état
d'irritabilité et tout à la fois de faiblesse d
ntinué, depuis leur entrée à l'asile, non seulement à présenter des
états
mentaux parfaitement identiques; en outre on a
grande que normalement chez 8 épilep- tiques et 18 criminels; 11° l'
état
des autres sens (tact- douleur ouïe goût odorat
t de psychopathies simples (prédominance des mélancolies). Tous ces
états
morbides, dépourvus de cachet spécifique, évolu
chez les fébricitants des hallucinations pénibles de la vue, dans l'
état
intermédiaire entre la veille et le sommeil.
incendies et à la suite d'une ordonnance de non-lieu, basée sur son
état
mental, avait été renfermé à l'asile de Dijon d'o
mais je ne vois aucun rapprochement à faire entre son passé et son
état
actuel. Aujourd'hui, devant le rap- port de M.
ieront. L'intervention indivi- duelle des directeurs peut, dans des
états
où ceux-ci n'ont point l'influence qu'ils devra
les d'aliénés. Il faut l'étendre à tous, quant aux personnes dont l'
état
d'aliénation est notoire. En effet, tout aliéné
n cas d'aliénation mentale, quand elles sont invitées à examiner un
état
mental, ce n'est pas pour un motif d'assistance
ribunal dont dépend l'aliéné; ce tri- bunal ordonne l'examen de son
état
mental et la communication du résultat de l'exa
ter la définition géné- rale, et que tous ceux qui ne sont point en
état
de s'occuper eux- mêmes de leurs affaires doive
tribunal et dans les feuilles les plus lues du jugement rendu sur l'
état
mental de l'aliéné. C'est complet. Au moins pou
constituer un curateur, les pénibles interrogatoires pour établir l'
état
de la fortune. Pour les aliénés aisés, un tuteu
tribunal, déclaré en démence. » Cette signification officielle de l'
état
de démence a provoqué, chez ce malade, un accès
sement en un établissement pénitentiaire sans grand avantage pour l'
état
mental de ces malheureux, car la répression ne
grave et la grande chorée. Leur admission n'est permise que par un
état
de somniation posthys- térique ou des tentative
il est question de la faculté psychique, ou, si l'on préfère, d'un
état
mental en rapport avec la responsabilité. Quant
a distinction, la définition même des héréditaires dégénérés ; si l'
état
mental est intermé- diaire entre la santé psych
e la responsabilité et de la doser suivant le caractère même de cet
état
mental. Quand vous estimez qu'il ne faut pas co
l y a d'abord l'élévation du prix des spiritueux. Mais serait-on en
état
instantanément d'empêcher la consommation de l'
istique, en recensant ces malades d'après leur âge, leur sexe, leur
état
physique et mental, ainsi que d'après leurs moy
urable abesoin du discernement médical ; ilfaut savoir, suivant son
état
morbide, lui dispenser les soins, l'alimen- tat
rer en matière, qu'il est en mesure d'éclairer les magistrats sur l'
état
mental de ces ma- lades. Le rapport fait par lu
és. Prenons un exemple, celui des , hallucinations négatives ou cet
état
si spécial des fous systéma- tiques envahis par
dents psychopathiques se montrent isolés et, pour ainsi parler, à l'
état
épisodique, indé- pendants d'un trouble profond
és hystériques. C'est ce qu'il ne faut jamais perdre de vue en tout
état
de cause et de maladie. Il convient en outre de s
ion de celle- ci dépend, pour une bonne part, de la profondeur de l'
état
hypno- tique, mais l'hypnotisabilité et la sugg
et, à proprement parler, sur les malades qui ont conscience de leur
état
morbide, qui témoignent d'un idiosyn- crasie ps
et Maman qu'à un an et demi. Il fut admis à la clinique dans cet
état
, on lui fit une fois une ponction pour son hydroc
ns parues depuis la thèse de M. Souza-Leite, qui en 1890 résumait l'
état
de la question. , bibliographie. 139 Ce qu'
des signes qui le constituent que nous jugeons chez les autres de l'
état
de leur activité psychique. A ce point de vue l
tie de l'ouvrage, et nous y trouvons des aperçus sur la mimique à l'
état
statique, de repos, et dynamique d'expression.
l'année et fait con- naître tous les mois au comité de direction l'
état
de la caisse et la situation financière de la S
patronnés par tous les membres de la Société. Ils s'informent de l'
état
moral des patronnés et font connaître aux médec
ns ses asiles, à s'imposer des sacrifices énormes pour atténuer cet
état
fâcheux de la législation. « Il est, disait M
evèrent à 17.400 livres sterling. (The Lancet, 7 mai 1892.) Asile d'
état
POUR les épileptiques. - Un millier d'épileptique
nterrement le bouleversait et il courait s'enfermer chez lui. - L'
état
d'angoisse est tel que rien ne leur coûte pour
recevoir le médecin le vendredi. Elle a pleine cons- cience de son
état
, regrette ces craintes puériles, ces préoccu- p
e départ d'idées délirantes, mais plus tard, elles sont restées à l'
état
d'obsessions simples, la malade eu ayant entièr
t sans feu. Ce malade fort intelligent a pleine conscience de son
état
maladif; il fait de grands efforts et réussit p
après les accès convulsifs en série ; 3e Avant, pendant et après l'
état
de mal ; 4° Avant, pendant et après le petit ma
188 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Aujourd'hui elle est revenue à son
état
normal, On a dû la sonder .pour recueillir envi
tobre, pas d'attaques ni de vertiges. L'urine prise pour comparer l'
état
sériel avec l'état normal a été recueillie le 2
es ni de vertiges. L'urine prise pour comparer l'état sériel avec l'
état
normal a été recueillie le 2 octobre. (Voir Mor
du 14 octobre. Le lendemain 15, elle était d'ailleurs revenue à son
état
normal. L'urine est très trouble, en petite qua
oulever d'une pièce sur la planchette. La respiration s'arrête. Cet
état
dure environ dix secondes. Puis des secousses rép
uivis de migraine, mais sem- blaient tout de même en rapport avec l'
état
de l'estomac, puisqu'ils disparaissaient généra
rneuil, relaté par Baralt) d'hémiopie passagère survenue en parfait
état
de santé, sans autre cause appréciable que le b
ter (subjectivement, sinon à l'examen objectif) ; mais toujours à l'
état
transitoire, non permanent, comme la limitation
de potassium. Le 7 novembre 1891, le malade revient nous voir : son
état
est stationnaire. Le 17 février 1892, Kerl...
eurs traitements. Ce que nous nous efforcerons de préciser, c'est l'
état
des tissus et des organes qui ont à souffrir de
système nerveux, je pus constater combien peu satisfaisant était l'
état
de la physiologie cérébrale, si éloquemment expos
s. Ils ont leurs équivalents mécaniques, chimiques et caloriques. L'
état
maladif de l'esprit est constitué d'une façon n
nvulsions, les anomalies de la sensation. Nous sommes maintenant en
état
de comprendre pourquoi dans certains cas, le ce
l'aura ou prodrome de l'accès, tels que les sensations de rêves ou
états
intellectuels similaires, les illusions ou hall
té de cette idée préconçue a depuis été amplement démontrée par les
états
de service de la chirurgie cérébrale durant les
la cicatrice, la chose fut faite. Pour vous donner une idée de l'
état
pitoyable dans lequel se trouvait le patient av
de des aspects objectifs et subjectifs de la fonction cérébrale à l'
état
de santé, il n'est point surprenant que nous so
ils font de sérieux efforts pour établir des corrélations entre les
états
morbides de l'esprit et les altérations nutritive
s recherchent, de concert avec les symptômes psychiques, les divers
états
et degrés de la destruction ou de la perversion
r donner la possibilité de se rendre compte du lieu de ce corps à l'
état
de repos ou de mouvement, de façon qu'en tout t
t de repos ou de mouvement, de façon qu'en tout temps ils soient en
état
d'indiquer la direction du mouvement du corps e
ion, permettent au malheureux de préciser la nature de l'objet, son
état
, son siège. P. il III. Etat SOMNIFORME CHEZ L
'ivresse se joignent d'autres troubles intellectuels élémentaires :
état
de stimulation, état de dépression, troubles du c
d'autres troubles intellectuels élémentaires : état de stimulation,
état
de dépression, troubles du caractère, de l'idéa
ation, insomnie ou hypnose, désordres de la mémoire etc., enfin des
états
délirants qui sont ramenés à plusieurs types : le
e type mélancolique (kawa, licheguana) ; les formes mixtes et les
états
vésaniques (toujours symptomatiques d'une tare cé
vrier, le Dr L... la vit, et à cette époque elle était dans le même
état
, quoiqu'il n'existât chez elle aucun désordre s
tamment de la sylvienne, dilatation du ventri- cule latéral gauche,
état
granuleux et épaississementdel'épendyme, atroph
du corps remonte, la guérison est effectuée. P. KERAVAL. XXX. DES
états
DE sommeil hystérique ET DE LEURS rapports avec
le et même malade on a rencontré toutes ces oscillations. Donc, les
états
de léthargie pure sont les manifestations du mê
me de certains cas graves de mélancolie anxieuse, devant passer à l'
état
chronique ; dans son second mémoire plus comple
sordonnée. Le délire des négations, d'après Cotard, se présente à l'
état
de SOCIÉTÉS SAVANTES. 283 simplicité, se ratt
ime de les réunir en une espèce noso- logique nouvelle; 4° dans les
états
mélancoliques, les idées de négation indiquent
s cerveaux invalides; 9° on- observe les idées de négation dans les
états
mélancoliques anxieux. ils se combinent alors à d
umées ainsi qu'il suit : SOCIÉTÉS SAVANTES. 28S ' 1° Il existe un
état
psychopathique essentiellement caractérisé par
damnation et de possession ; des idées de ne pouvoir jamais mourir;
état
de chronicité spécial à certaines formes graves
rmes graves de mélancolie anxieuse, intermittente ou par accès. Cet
état
psychopathique, appelé par Cotard délire des né
comme une entité morbide, mais, suivant son expression, « comme un
état
psychique propre aux anxieux chroni- ques ».
effet, tous les symptômes indiqués par lui comme appartenant à cet
état
psychopathique : . 1° Anxiété mélancolique; 2°
iscérale, des hallucinations kinesthétiques ou motrices, mais aucun
état
mélanco- lique. Puis sont apparues des idées de
ertains cas sembleraient constituer des formes de passage entre les
états
mélan- coliques et les délires de persécution.
Cotard, raves, incurables en général, se terminant souvent par un
état
de marasme dans lequel meurt le malade. J'ai obse
tion et très fréquentes chez les mélancoliques, affirmation de leur
état
d'angoisse morale, mais elles ne constituent qu'u
angoisse morale, mais elles ne constituent qu'un syndrome et non un
état
nosologique spécial. Je ne peux voir dans leur
se taire toujours, alors que son silence peut susciter l'idée d'un
état
plus grave que la réalité, ou celle d'une séque
le médecin, car le malade divulgue, sans s'en rendre compte, son
état
d'aliénation par ses écrits et peut, une fois gué
des membres de famille en désaccord avec les autres qui divulgent l'
état
du malade. Il serait nécessaire que les pouvoir
95, 20, 25 ou 30 francs, suivant les ressources de la famille et l'
état
mental du malade ; 4° Les colonies agricoles
ferme dans un asile, dit-il, est aujourd'hui un principe passé à l'
état
d'axiome. C'est une conquête définitivement acq
el inhérent à la maison privée; a 4° Une modification heureuse de l'
état
mental « Une amélioration de l'état menlal se p
Une modification heureuse de l'état mental « Une amélioration de l'
état
menlal se produit pour la plupart des cas envoy
n, l'administration a fait dresser l'an dernier, à celte époque, un
état
numérique des aliénés à qui il suffirait d'un p
ignation, de mésestime du moi qui cons- titue le fond ordinaire des
états
lypémaniaques. Les persécutés dont il s'agit, a
cution à physionomie anormale se rencontrent aussi dans certains
états
de dépression mélancolique. Je pense même que s'i
elles s'accompagnaient toujours et surtout dans les paroxysmes d'un
état
d'angoisse très prononcé. J'ajouterai que les c
rent les antécédents héréditaires psychopathiques des malades, leur
état
mental antérieur (déséqui- libration), leurs st
sus intellectuels, avec participation de la conscience, angoisse et
état
vertigineux. On rencontre la confusion mentale
ence; le vertige épileptique serait en quelque sorte le type de cet
état
. Les malades qui se plaignent qu'on leur vole l
on qui ne sont souvent que des troubles délirants justiciables d'un
état
de neurasthénie. M. SÉGLAS. -Je ferai observer
te. En ce qui regarde les rapports des troubles déli- rants avec un
état
neurasthénique, M. Chaslin les a signalés : il di
ignalés : il dit même que la confusion mentale est justiciable d'un
état
d'épuise- ment rapide et brusque du système ner
ez des maniaques inter- mittents simples ayant de temps en temps un
état
passager de dépression. M. Marie (d'Évreux) l
nsi le danger de la commotion. Je ne cesserai de l'observer; si son
état
mental ne s'améliore pas, selon mes désirs, j'o
nt terminée, et nous n'avons plus qu'à attendre les événements. Son
état
mental a été examiné de près, de façon à pouvoi
permettra aux os du crâne de se développer d'une façon normale. L'
état
de ces malades est si malheureux et si déplorable
ulation du sang. L'enfant a eu des attaques provenant de ce mauvais
état
de circulation, mais elles ont considérablement
uand elle a le dos tourné. Elle a évidemment sa raison, quoique à l'
état
naissant. La difficulté de la déglutition a com
érer et de publier. II. Quelques-uns de nos auteurs donnent sur l'
état
des fontanelles des renseignements qui nous sem
es sur les différentes formes d'idiotie et sur leur traitement. « L'
état
de ces malades est si déplorable, écrit M. Wiet
t;. Grand fut leur étonnement en trouvant la victime en excellent
état
de santé. Elle raconta aux agents que, dans un mo
nfui aussitôt. H... a été envoyé à l'hôpital Beaujon dans un piteux
état
. (Lan- terne, 2 juillet 1892.) Georges Guiron e
accumule de . nombreux syndromes épisodiques; elle est dans un -,
état
d'émotivité perpétuelle, la plupart de ses centre
Comme les autres onomatomanes, la malade a pleine conscience de son
état
, s'en attriste et, par moments, sur les conseil
ctère maladif, leur invincible irré- sistibilité, malgré le complet
état
de conscience. Au point de vue médico-légal, ce
physique habituelle, de son tempé- rament, de sa constitution, de l'
état
de ses forces. Le plus souvent, ces dernières i
union. Dans ce laps de temps, il n'y eut rien à remarquer dans son
état
de santé, sinon une espèce de défaillance qui l
uval et l'oc- cupe jusqu'au 28 février 1890. Dans cette période son
état
de santé empira continuellement; les rachialgie
ode de menstruation avec les mêmes caractères. Dans cette période l'
état
mental de Mme Gi... était notablement troublé.
e nouveau chez Duval pour y reprendre son travail. Mais bientôt son
état
empira de nouveau. En jan- vier 1891, elle fut
r à la Salpêtrière dans le service de M. le professeur Charcot. Son
état
de santé à cette époque était très mauvais, ell
contraire, l'on peut dire qu'elle constitue l'un des attributs de l'
état
mental des hystériques; elle nous explique bien d
es mots ». Cette hypothèse nous parait bien être en harmonie avec l'
état
mental de la malade, dans lequel la perte de la
i affirme Cha..., entraîna la mort. Pour compléter ce croquis sur l'
état
de famille de Cha..., je dois ajouter qu'une so
parfois deviennent plus amples et plus lentes, il se manifeste à l'
état
de repos, ne s'exa- gère pas pendant le mouveme
délire d'ac- tion, et sa manifestation pendant l'attaque et dans l'
état
d'in- conscience parfaite tient plus de la gran
lement effrayé qu'il perdit connaissance et tomba à terre. Dans cet
état
d'inconscience qui dura quelques minutes, il ne
blic. Effrayé par ces atta- ques qui augmentaient de fréquence, son
état
physique et moral se troubla; six mois après au
Gibier de Savigny '. Un homme de vingt-huit ans, infirmier de son
état
, fut frappé par la foudre; il perdit connaissance
t des membres figurent bien parmi les manifesta- tions communes des
états
émotifs; mais nous ne voulons pas pousser l'int
trice de la névrose, et il nous révèle en même temps dans Bar... un
état
mental hystérique des plus caractéristiques.
ait lui qui donnait origine à l'attaque, son image devait occuper l'
état
psychique de Fiq..., même durant la perte de la
ie transitoire chez un même individu, se présenter complet ou à l'
état
rudimentaire (simples étincelles), ou même manque
premier) dans les centres sensoriels corticaux, s'expliquant par un
état
irritatif des écorces céré- brales, de la même
ion vaso-cons- trictrice doit suivre la paralysie du sympathique, l'
état
de . congestion neuroparalytique. Or, voilà les
ire du syn- drôme migraine ophtalmique, qui ne puisse s'établir à l'
état
permanent. Ainsi l'aphasie, l'hémiopie, la paré
lique les accès. Ce passage des troubles ner- veux occasionnels à l'
état
permanent, est à craindre surtout chez les hyst
l est très facile de reconnaître l'affection et de la rapporter à l'
état
ner- veux plus ou moins manifeste du sujet. Les
s anémiques, et même chez des personnes qui ne révèlent aucun autre
état
morbide, tien- nent toujours à des troubles pas
nt à lui seul la maladie, qui pourra tout au plus se rapporter à un
état
neurasthénique latent ou fruste. , En raison
2 CLINIQUE NERVEUSE. vous montrer quelques exemples sont faites à l'
état
de veille. De semblables suggestions sont fort
Mais remarquez donc que cette jeune fille est maintenant dans un
état
tout à fait anormal. D'abord, elle n'a plus aucun
i est spé- cial et que nous devons chercher en elle. C'est dans l'
état
de leur volonté que nous devons chercher ce phé
illiam Page, a exprimé ce caractère d'une manière saisissante : « L'
état
hystérique, dit-il, est constitué essentiel- le
e, elle déploie un réel talent, mais tout cela est effectué dans un
état
bizarre. Elle se fixe sur son travail, n'est pl
ous toutes sortes d'influences, les hystériques changent beaucoup d'
état
psychologique. Après une crise, après un sommei
artificiel, après une émotion quelconque, ou bien pendant certains
états
anormaux que l'on provoque ou qui surviennent s
Vous savez que l'on peut la maintenir pendant quelque temps dans un
état
qui, pour elle, est extraordinaire et dans lequ
s hystériques qui la caractérisent pendant la veille. Eh bien ! cet
état
présente un caractère de plus auquel je n'ai pa
age qui paraîtra prochainement dans la collection Charcot-Debove, l'
état
mental des hystériques. SYNDROME HYSTÉRIQUE DE
s caractères anthropologiques, et, au point de vue psychologique, l'
état
de ses sens, de son intelligence, de ses émotions
irresponsables que ceux de la variété précédente. Mais à partir des
états
mitoyens qui témoignent d'une organisation path
ait à tenir compte de l'in- fluence que pourraient exercer sur leur
état
mental d'autres formes d'assistance, telles que
liénés sont pour leur famille et la société un véritable fléau. L'
état
nerveux crée nécessairement chez les dégénérés le
résence d'esprit, il n'est plus maître de diriger ses facultés. Cet
état
d'exal - tation que le dégénéré est incapable d
ré est incapable de réprimer est, dans quel- ques cas, provoqué à l'
état
normal par le simp 1 e fait de la volonté chez
rrait par exemple requérir en ces termes : Procéder à l'examen de l'
état
mental du prévenu ou accusé. aux fins de déterm
u accusé. aux fins de déterminer si, au moment du fait, il était en
état
de folie, ou s'il a été contraint par une force
ion d'un facteur psychique. Jusqu'à ce jour on n'avait pas décrit l'
état
psychique particulier qui motivait ces mouvemen
membrane nucléaire finit par disparaître. Le corps du noyau qui à l'
état
sain se compose d'une charpente renforcée par pla
s. 495 devient discoïde et sinueux ; finalement, il est réduit, à l'
état
d'un petit grumeau coloré contenant, en son mil
vingt-trois à trente-un ans d'une épilepsie primitivement sérieuse (
états
de mal) qui guérit, il était à l'âge de quarant
se dans la moelle se propage exactement comme la myélite aiguë; à l'
état
, SOCIÉTÉS SAVANTES. 509 de foyer scléreux -
de la moelle, on a sacrifié la clinique à l'analyse anatomique des
états
cadavériques et l'on a rejeté presque complètem
lle transcorticalé, par Pick, 79; - sensorielle, par Adler, 82; -
état
actuel de la question de l' -, par Moeli et W
mnésie-, par J. Janet, 29 ; température élevée chez une -, 271; -
états
de sommeil - , par Loewenfeld, 279; auto- TAB
142, 147. Sommeil HYSTÉRIQUE, par Loewenfeld, 279. Sominforme (
état
), chez les animaux après l'ablation du cervelet
lement spécialisé en quelque sens que ce soit, puisse se trouver en
état
de pratiquer un examen complet de tous les appa
gique », l'étudiant, le médecin non spécialisé se trouvassent en
état
d'employer de façon utile ces différentes méthode
élément de trouble visuel. C'est précisément ce qui a lieu dans les
états
anormaux de la réfrac- tion, quand par rapport
i l'étude des différents procédés pour la détermination exacte de l'
état
de réfraction de l'oeil (ophtalmomètre, kératos
tion. Les éléments nerveux de la région maculaire, si sensibles à l'
état
nor- mal, sont atteints de cécité pour une, pou
forcément le rétrécissement du champ visuel pour le~ blanc. , A l'
état
physiologique, les champs visuels des couleurs so
s aux autres dans un ordre toujours le même (fig. 7). Dans certains
états
pathologiques, cet ordre physiologique peut être
suivre les améliorations ou les aggravations progres- sives clans l'
état
d'un muscle paralysé. Fig. '12. - Strabisme con
résie d'un ou plusieurs muscles du globe, l'oeil n'est plus dans un
état
d'équilibre parfait. Dans certaines positions,
rimètre, quelle était 1 étendue -du champ du regard monoculaire à l'
état
physiologique; et on a pu établir un ]''ig. 17.
l'observateur, ophtalmolo- giste de profession, sait reconnaître l'
état
de réfraction du malade qu'il observe (hypermét
ropie, myopie). ' " , Voici un procédé qui dispense de déterminer l'
état
de réfraction. 11 est analogue à celui que j'ai
e sur un faisceau parallèle par les cristallins C, Cs C5 il divers,
états
d'accommodation. F £ F2 F3 les foyers de ces troi
ins. Les modifications de forme du cristallin, suivant ses différents
états
de réfringence, sont marqués en quadrillé. 21
le premier. EXPLORATION DE LA MOTILITÉ PUPILLAIRE La pupille il l'
état
normal, ne se tient guère en position fixe; elle
les procédés habituels, d'éclai- rage. 5° Réflexe consensuel. A l'
état
physiologique normal; l'excitation lu- mineus
Rétrécissement du champ visuel du côté opposé. L'oeil, amblyope à l'
état
isolé, fonctionne 1. Beaucoup des troubles visu
dans l'hémianopsie est la cécité verbale qui peut se rencontrer à l'
état
de pureté. Et la fréquence de l'aphasie s'expli
ière de les dépister. Ramollissement. Artériosclérose concomitante;
état
défectueux du coeur, àge avancé du malade. Autr
e et supprimée. . Mydriase physiologique. Certains sujets ont, il l'
état
en apparence normal, les pupilles assez dilatée
acile par la constatation de lésions oculaires concomitantes. A l'
état
normal, l'iris est soutenu par le cristallin sur
aussi montrée dans la neurasthénie.' - Mobilité pupillaire. A l'
état
normal, en dehors de tout mouvement de convergenc
par névrite interstitielle hypertrophique. Réflexe consensuel. A l'
état
normal, les contractions et dilatations de la p
s variés, il peut être unilatéral ou bilaté- ral, exister seul, à l'
état
isolé, ou s'accompagner d'autres troubles nerveux
male est parfois très dimi- nuée chez des individus paraissant il Y
état
normal. Les causes locales d'hyposécrétion sont
chées les unes des autres. , La cornée peut rester longtemps en cet
état
ou s'éclaircir en laissant toutefois une opacit
Testai.) 138. . MALADIES DE L'OREILLE. juguée; nystagmus); 4° un
état
nauséeux et anxieux; 5° des phénomènes. Coupe t
e plus intéressant est le nystagmus. Le nystagmus peut exister il l'
état
de repos des globes oculaires ou (lans les dive
uvelles recherches à la suite des nom- breux travaux de Barany. A l'
état
normal, l'épreuve galvanique, la pression direc
-dire vers la gauche et inversement. C'est là ce qui se produit à l'
état
normal, et comme on s'est mis d'accord pour désig
ide. L'étude des réac- tions normales et de leurs modifications à l'
état
pathologique peut donc fournir d'utiles indicat
à l'état pathologique peut donc fournir d'utiles indications sur l'
état
du labyrinthe et de toute la voie vestibulaire,
e, assez improprement désignée par ce- terme, est en rapport avec l'
état
de la muqueuse et des terminaisons nerveuses. Ell
ours la même pour des odeurs très variées. Elle dépend souvent d'un
état
nerveux, neurasthénie, hystérie, mélan- colie ;
uente dans les lésions nasales. Mais elle ne reste pas toujours à l'
état
de névrose. Les malades deviennent de véritable
on momentanée de l'orientation et de la localisation con- scientes,
état
analogue au demi-sommeil; 2° la surperception d'e
ndés, le dos contre l'axe et les pieds sur le bord du plancher. A l'
état
normal, le sujet a la notion de la rota- tion ;
u ». Plus rarement le type continu survient d'emblée, marqué par un
état
, vertigineux, des bourdonnements et une 'diminu
ou moins apoplectiques (variété chro- nique avec paroxysmes). . L'
état
du vertigineux chronique peut être extrêmement pé
ectifs ou vertige typique; celui-ci pourrait être rem- placé par un
état
vertigineux léger, du treinbleinent des jambes, u
ysie de la 0U paire, déviation conjuguée, nys- tagmus, etc.) ; 4° l'
état
nauséeux et anxieux des lésions bulbaires; 5° des
. Dans tous ces cas, l'action d'un renexe est fort probable, mais l'
état
. névropathique du sujet entre aussi en cause.
. D'autres médicaments ne déterminent le vertige qu'à la suite d'un
état
, nauséeux et souvent de vomissements, tels la d
l'un des premiers symptômes quand l'absorp- tion a été massive, un
état
vertigineux prononcé avec faiblesse, anémie, tr
vec angoisses, sueurs froides, nausées et parfois vomissements. L'
état
vertigineux paroxystique ou intermittent de l'alc
apoplectique. Nous réunirons donc la description de l'ictus et de l'
état
d'assoupissement spécial qui lui est consécutif
s'il en exista, le malade est, dans la grande majorité des cas, en
état
de résolution complète, insensible, immobile, s
voies respiratoires. Ajoutons qu'il est important de s'assurer de l'
état
de la vessie et de l'évacuer au besoin. L'exame
tes où, dans une même description, ont été compris l'apoplexie et l'
état
consécutif, nous dispensent de revenir sur le c
de it sa torpeur par des appels. des excitations répétées. Dans les
états
profonds ou carus, il y a suppres- sion totale
es. 11 est important de savoir chercher les causes éventuelles d'un
état
comateux. Pour ce faire, chaque appareil doit ê
important de connaître et de suivre la température, d'interroger l'
état
des viscères : il peut y avoir une pneumonie; le
ma étant un sommeil mor- bide, ressemblera plus ou moins à tous les
états
qui comportent la suppression ou l'affaiblissem
iers donnent fréquemment d'un sommeil profond et prolongé; mais cet
état
réparateur ne s'accompagne ni d'altération des
s posées, garde un instant les attitudes imposées, et cependant cet
état
n'est ni le sommeil ni le coma. Il s'agit dune vé
orbides, spontanés on provoqués. On constate dans le premier de ces
états
l'absence des réflexes, l'affaiblissement du poul
estion. A côté de tous ces syndromes dans lesquels sans exception l'
état
général reste excellent pendant un laps de temps
tionnement de la circulation et de la respi- ration. S'il existe un
état
syncopal marqué, on aura recours aux stimu- lan
ubilé; et s'il est aisé de faire cesser, au moins relativement, cet
état
de torpeur, l'éveil est de peu de durée, et le
si dans les sommeils artificiels observés chez les hystériques. Ces
états
morbides sont en effet moins des sommeils que des
ères SOMMEIL MORBIDE. 1 fH d'exister ou de vivre différentes de l'
état
normal, distinctes de lui par l'amnésie qui sui
certain nombre d'entre eux ont-ils été ajuste titre qualifiés d' «
états
seconds ». Ces sommeils artificiels peuvent se,
sans aazbulotioa2 s'observe chez les hystériques ainsi que dans les
états
cataleptiques associés. Le sommeil hystérique sur
d, les extrémités cyanosées. Le système, musculaire n'est jamais en
état
de résolution complète; il existe même fréquemm
s (som- nambulisme) ou provoqués (hypnose). Le somnambulisme est un
état
morbide de l'enfance et de l'adolescence. C'est
de l'enfance et de l'adolescence. C'est un sommeil, c'est-à-dire un
état
d'obnubilation intellectuelle, au cours duquel un
, au cours duquel un certain nombre d'actes sont exécutés comme à l'
état
de veille, en apparence du moins. Le somnambule
crimes de laboratoire avec des armes inoffensives. Il existe dans cet
état
une hyperexcitabilite non plus neuro-musculaire
se constitue ainsi un véritable dédoublement de la personnalité; un
état
second existe il côté de l'étal, primitif de l'
du. Il se produit souvent des crises convulsives au départ des deux
états
, Il semble finalement que l'état do veille soit l
es convulsives au départ des deux états, Il semble finalement que l'
état
do veille soit l'état normal, d'où le nom de vi
rt des deux états, Il semble finalement que l'état do veille soit l'
état
normal, d'où le nom de vigilamblllisme donné il
t automatisme envahissant. L'oubli est le plus souvent complet d'un
état
, pour l'autre; il se peut cependant que. les ma
t d'un état, pour l'autre; il se peut cependant que. les malades en
état
de viguambutismc, souvent plus alertes, plus in
ns la vie ordinaire, primitive, aient conscience et souvenir de cet
état
primitif. Enfin, l'on peut, dans un certain nom
gage oral peut présenter des troubles variés dans un grand nombre d'
états
pathologiques. TROUBLES DU LANGAGE ORAL Une d
objet en verre ou d'une claque dans les mains. tant recher- cher l'
état
de l'audition pour les bruits plus délicats, tels
s ne les comprend pas. On explore avec soin, en telle occurrence, l'
état
général de l'intelligence. Le malade se rend-il s
du langage est spécialement troublée dans cette maladie. Dans les
états
d'obnubilation intellectuelle (idiotie, imbécilli
Pure » ; on peut, notamment chez ces malades, observer au début un
état
de prostration et des troubles de l'équilibre q
e des chiffres. Lecture de chiffres isolés. Si le malade est hors d'
état
de parler, il montrera avec ses doigts, ou en fra
légique ? des membres seulement ou aussi de la l'ace ? Ilnel. est l'
état
de la langue ? des lèvres ? du voile du palais ?
odiques ? 1 ? istc-(-il des troubles de la déglutition ? quel est l'
état
du réflexe pharyngé ? ' ? L [MOUTIER ] ' :
ffet, un véritable trouble de l'attention; elle s'observe, dans les
états
crépusculaires de l'intelligence, chez. les démen
peur où le malade est absorbé par ses idées pénibles. Dans certains
états
maniaques, on peut voir un état de mutisme pass
ses idées pénibles. Dans certains états maniaques, on peut voir un
état
de mutisme passager résultant du tumulte des id
ns l'amimie byperstbénique, certains muscles du visage sont dans un
état
de contraction permanente et déterminent une expr
mimique proprement dit peut être exagéré, c'est l'hyper- sémie des
états
d'expansion, de l'excitation maniaque; il peut êt
ut être di- minué ou aboli, c'est l'lrr/posC : nzie ou l'asémie des
états
de dépression, de la mélancolie, de la confusio
sous divers aspects. Le délire peut être la continuation pendant l'
état
de veille d'un rêve commencé pendant le sommeil
nts meurent par- fois sans que l'attention ait été appelée sur leur
état
de santé demeuré en apparence normal. 11 ne f
pas confondre la démence vraie chronique et incurable avec certains
états
transitoires d'affaiblissement intellectuel, tels
té, la stupeur cérébrale, la confusion mentale. Dans ces différents
états
pseudo-démentiels, qui sont curables, existe le s
ndairement à d'autres troubles psychiques (délires hallucinatoires,
états
émotionnels profonds), on le rencontre dans les
la débilité mentale, de l'ioabécil- lité, de l'idiotie qui sont des
états
psychopathiques congénitaux. Tandis que la déme
(épileptiques, traumatisés, paralytiques géné- raux à la période d'
état
). La mémoire est une fonction psychique complex
nt dans le subconscient, ils peuvent réapparaître dans le délire, l'
état
somnambulique. ' LES HALLUCINATIONS Esquirol
exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un
état
d'hallucination. » Bail a proposé cette définit
daires comme l'éducation des malades, leur fonds intellectuel, leur
état
social, leur profession, leurs tendances antérieu
def ? ir.s<t/7f'. les idées d'auto-accusation ont, à cause de cet
état
démentiel et de l'amnésie, un aspect clinique s
mais ce délire des paralytiques a des caractères spéciaux dus il l'
état
démentiel, c'est un délire mobile, absurde, incoh
trait aux préoccupations des malades sur leur santé générale, sur 1
état
de leurs organes. Certains sujets, comme les neur
ie hypocliondriaque. Les idées hypochondriaques s'observent dans un
état
morbide que l'on appelle l'hypochondrie essenti
assez souvent d'idées de négation. Elles s'observent aussi dans les
états
mélancoliques de la folie inter- inillen le et
gnent de gémissements, de plaintes monotones; elles évoluent sur un
état
mental démentiel. Chez les alcooliques chroni
forcée. L'hydrothérapie est employée sous diverses formes. Dans les
états
de dépression mélancolique on conseillera l'app
quelques minutes, puis le malade sera entouré par un drap sec. Les
états
d'excitation maniaque seront calmés parfois par
d'arrosoir excite les mélancoliques; elle ne convient nullement aux
états
de dépression des paralytiques généraux, car el
maniaque prolongée. Les hains froids doivent être employés dans les
états
maniaques accompagnés d'hvperthernnic. Les bain
tique con- tribue il relever la nutrition défaillante dans certains
états
dépressifs. Parmi les agents de la thérapeutiqu
u jugement d'interdiction. 2° Un certificat du médecin constatait l'
état
mental de la personne à placer, et indiquant le
registre, au moins tous les mois, les chan- gements survenus dans l'
état
mental de chaque malade. Ce registre constatera é
nom et la résidence des personnes qui auront retiré le malade, son
état
mental au moment de sa sortie, et, autant que pos
t d'aliénés, de toute personne inter- dite ou non interdite, dont l'
état
d'aliénation compromettrait l'ordre public ou la
semestre un rapport rédigé par le médecin de l'établissement sur l'
état
de chaque personne qui y sera retenue, sur la n
sonnes dont le placement aura été volontaire'et dans le cas où leur
état
mental pourrait compromettre l'ordre public ou la
nt au département ou avec lequel il aura traité. Les aliénés dont l'
état
mental ne compromettrait point l'ordre public ou
xiger le certificat médical. Le certificat médical doit spécifier l'
état
mental, les troubles psychiques de l'aliéné ain
dances morbides, etc.). ", (Pour un placement d'office, ajouter : l'
état
d'aliénation de Z1......... ? compromet l'ordre
uelquefois, au contraire, " chez les épilepliques la déchéance de l'
état
intellectuel amène l'idiotie ('). cl) Idiotie a
ngite choI11que peut subir des poussées ultérieures qui aggravent l'
état
mental et peuvent conduire l'enfant à la mort.
hez l'adulte. , ' Le pronostic de l'idiotie dépendra d'abord de l'
état
d'idiotie auquel on : a affaire, de la progress
ntribution. L'existence de troubles sensitifs peut renseigner sur l'
état
du système; nerveux, orienter le clinicien dans
physiologistes et des cliniciens. Nous allons rapidement exposer l'
état
de nos connaissances actuelles sur la nature de
ditRichet, est produite par toute cause qui modifie profondément l'
état
du nerf. Il n'y a pas, par conséquent, d'excitant
atéraux. De cette diversité d'opinions, il résulte qu'aujourd'hui l'
état
de. nos connaissances ne nous permet pas d'indi
ours sont souvent nécessaires pour établir d'une façon com- plète l'
état
de la sensibilité d'un malade. Il faut également
de la sensibilité d'un malade. Il faut également tenir compte de l'
état
intellectuel du sujet, souvent défectueux (chez u
suite d'une simple application sur la peau d'une substance qui, à l'
état
normal, ne provoque qu'une sensation de contact
rte de la perception stéréognostique. Les cercles de sensations à l'
état
normal varient, suivant les régions, de 1 à 65
u'ils sont le plus étroits. Voici, d'après Weber, un tableau de l'
état
normal du seuil extensif des principales région
é à la-douleur, c'est l'anesthésie Ir y- pe1'esthésique; - .. A l'
état
normal, les différentes régions de la surface cut
ée ou muqueuse ne réagit pas uniformément à la tempé- rature : il l'
état
normal, certaines régions sont capables de discer
sensibilité électrique cutanée des différentes régions du corps à l'
état
normal. Dans la première colonne, les chiffres
fférentes parties du corps '(Rydel et Seiffer). Voir le schéma de l'
état
normal de la pallestliésie. établi par ces aute
de plomb) de poids connus, et l'on compare avec le côté opposé. A l'
état
normal, le membre supérieur peut reconnaître des
ique ; il pourra parfaitement reconnaître la forme, la dimension, l'
état
de lisse ou de rugueux d'un objet, mais il sera
on peut ad- mettre que Y asymbolie tactile, elle aussi, dépend de l'
état
de la sensi- bilité périphérique, qu'elle n'est
récente et encore assez prononcée, que l'hémipté- gique soit hors d'
état
de démêler et d'indiquer la nature de l'excitatio
uel l'a plongé l'attaque apoplectique, période pendant laquelle son
état
d'obnubilation cérébrale rend l'examen de la se
ro- cédé thérapeutique est mauvais, puisqu'il ne fait qu'exagérer l'
état
de suggestibilité du sujet. Leur durée. Leur
des mois et des années. Enfin, ces troubles ne modifient en rien l'
état
des réflexes organiques; les réflexes cutanés,
nt être guéris rapidement. Les laisser persister, c'est augmenter l'
état
de suggestibitité du sujet, c'est aggraver son ét
est augmenter l'état de suggestibitité du sujet, c'est aggraver son
état
111;\Topathique. i donc le médecin doit se gard
té viscérale il la distension; souvent enfin on est forcé déjuger l'
état
de l'altération sensitive par les troubles de f
e douleurs viscérales, le sujet, chez lequel les viscères sont il l'
état
normal insen- sibles. reporte, par erreur de lo
énérale ; enfin dans les hémorragies méningées, soit à la période d'
état
, soit à la période prodromique. Dans les affe
ments, troubles digestifs, vaso-moteurs, oculaires, abattement de l'
état
général, etc.), survient par accès cal'at'- tér
ur est possible : une lésion d'un organe quel- conque peut créer un
état
neurasthénique. C'est alors à Panamnese et aux
s qui le composent (cénesthésie). La sensibilité organique qui, a l'
état
normal, ne donne que des sensa- tions rudimenta
donne que des sensa- tions rudimentaires, subconscientes, peut à l'
état
pathologique s'exalter, disparaître ou se perve
quelques jours ou en quelques se- maines, tantôt elles passent à l'
état
chronique, durent des mois et des rnées. Les ré
e névrite. Il faut prendre en considération, élans le pronostic., l'
état
du réflexe achillécn : son abolition dénote souve
acun des réflexes précédents, comment se manifestait le réflexe à l'
état
normal. Nous allons étudier maintenant les trou
soit en provoquant une ischémie radiculaire ou médullaire. Enfin, l'
état
des réflexes peut être le même dans les hémorragi
nce. Il semble que ce symptôme soit en rapport avec la gravité de l'
état
général et avec l'intensité des troubles cérébr
ur la pneumonie infantile. Dans le choléra, M. Galliard a examiné l'
état
des réflexes rotuliens. Dans les formes algides
y a signe de Babinski, le malade peut arriver alors il un véritable
état
de rétraction des membres inférieurs et il rest
rétraction des membres inférieurs et il reste confiné au lit dans cet
état
, mais cependant, dans la grande majorité des ca
existe pas de concordance entre la forme de la lièvre typhoïde et l'
état
des réflexes. L'exagération se rencontre cepend
hnine, elle peut s'observer au cours des toxi-infections, tel est l'
état
des réflexes dans la rage et dans le tétanos; e
de la plante des pieds provoque, comme cela a lieu d'habitude il l'
état
normal, une flexion de la cuisse sur le bassin.
ais, chez beaucoup de sujets, le réflexe rait totalement défaut à l'
état
normal et il y a immobilité des réflexes. A l'é
phénomène. 1 Chez les enfants, le phénomène des orteils existe à l'
état
normal ; '. Paraplégie spasmodique. Fig. 9. P
e même au niveau de l'épigastre pour le réflexe épigastrique. A l'
état
normal, suivant que le sujet est plus ou moins ob
es, la bouche devant être légèrement entrmn- verte sans effort. A l'
état
normal il ne se produit aucune réaction, mais à
effort. A l'état normal il ne se produit aucune réaction, mais à l'
état
pathologique les deux lèvres se rapprochent et se
névrites périphériques, les compressions radiculaires, le tabès. L'
état
des réflexes cutanés a été recherché chez les dia
n très singulière : tantôt il se remue dans son lit comme pris d'un
état
d'énervement, tantôt son agitation se tra- duit
reuses. Le pincement prolongé, nous l'avons dit, les plonge dans un
état
d'excitation très singulier, mais, quelle que s
Dans les hémiplégies récentes, ils sont généralement imputables à l'
état
subcomateux ; dans les hémiplégies anciennes, c
onsciemment les urines et les matières fécales. Le plus souvent cet
état
s'accompagne d une diminution plus ou moins pro
rs bien réellement affaire à une véritable hémiplégie. Il existe un
état
singulier d'impotence motrice des membres qui n'e
ite, aussi inat- tendue, mais il y a de nombreuses exceptions. lj
état
apoplectique, quand il est bien prononcé, indique
t et même l'hémorragie méningée ne déterminent pas ordinairement un
état
aussi comateux que l'hémorragie cérébrale; c'es
bre qui s'établit entre les groupes des extenseurs de la cuisse, en
état
d'insuffisance active, et celle des muscles fléch
passifs, l'étude de la force musculaire permet- tront d'apprécier l'
état
de flaccidité ou de contracture. On recherchera
u les points douloureux apophysaires. On explorera minutieusement l'
état
des réflexes tendineux et cutanés. , Le malad
al par un examen général du sujet (troubles des membres supérieurs,
état
des yeux, signe d'Argyll, .psychisme). La ponct
us avons déjà parlé, ainsi que divers troubles trophiques. cyanose,
état
ichthyosique de la peau,adipose, escarres du ta
ceide. Le tonus, la motilité, les réflexes tendineux sont abolis. L'
état
des réflexes cutanés est variable; ils sont en gé
s il la fois l'ataxie, la paralysie et l'atrophie musculaire. Les
états
vertigineux ne peuvent guère prêter il confusion
ableau clinique des plus nets. Les membres inférieurs présentent un
état
spastinuc léger le plus souvent, parfois même l
l'inverse. La marche est lente : il faut des mois pour atteindre l'
état
définitif. À ce moment, la contracture est des
n- sitits, sphinctériens ou électriques, ni accidents trophiques. L'
état
des réflexes est parallèle à l'état des muscles
ues, ni accidents trophiques. L'état des réflexes est parallèle à l'
état
des muscles, il n'existe pas de secousses libri
nté de- meure excellente dans leur intervalle. Pendant la période d'
état
, le coeur est dilaté; le malade ruisselant de s
s'aperçoit de son accès; dans d'autres cas, quand il se produit à l'
état
de veille, on peut noter quelques symptômes pro
embres, fourmillements, pico- tements. Quand le malade est pris à l'
état
de veille, le début ne se fait pas brusquement
chez les singes inférieurs. Chez l'homme ce muscle n'existe qu'à l'
état
de vestige et il n'est fixe au calcanéum que pa
n de ces différents orifices. De plus, ces muscles tradui- sent les
états
du moi intérieur, président au jeu de la physiono
PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÊTE. 585 sourcils se voit aussi dans des
états
psychologiques comme la surprise, l'admiration,
iale. Physiologie. Le buccinateur a une action différente suivant l'
état
de plénitude ou de vacuité de la cavité buccale
sie musculaire, enfin l'examen du malade permettra de reconnaître l'
état
moulai si spécial du pithiatisme. Ces paralysie
tent pendant l'expiration, contrairement il ce que l'on observe à l'
état
normal. La dyspnée peu accentuée durant le repo
sera basé, comme dans toutes les paraly- sies périphériques, sur l'
état
des réactions électriques. La paralysie [G GCIL
t plié, ce qui rapproche les points d'insertion de ces muscles. A l'
état
normal toutefois cette résis- tance antagoniste
cancer. Le traitement consistera le plus souvent en suggestion il l'
état
de veille : elle réussira souvent sur ceux qui
uvent juste, mais peut-être pourrait-on lui reprocher de faire trop
état
des expériences sur les animaux et de ne pas tc
nopathies, les tumeurs cervicales ou médiastines. A la période d'
état
les deux cordes sont immobiles, en position cada-
omure, le chloral, la morphine, etc., et le traitement général de l'
état
névropathique. IV. NÉVROSES DU LARYNX Nous pa
stérie ou la chorée. Mais le plus souvent, il s'agit d'un véritable
état
névrosiquc spécial, qui a reçu les noms très dive
muscle sain, c'est surtout l'invaria- bilité de la consistance à l'
état
de repos et à l'état de contraction qui acquier
urtout l'invaria- bilité de la consistance à l'état de repos et à l'
état
de contraction qui acquiert de l'importance.
même et que les mêmes muscles de l'un et de l'autre côté soient à l'
état
de contraction ou de relâchement identique; il
de. volume et de consistance des muscles, quand ils passent de I l'
état
de repos à l'état de contraction, est un signe d'
consistance des muscles, quand ils passent de I l'état de repos à l'
état
de contraction, est un signe d'atrophie bien plus
en entier au milieu de faisceaux atrophiés et former à l'oeil, à l'
état
de repos ou surtout pendant la contraction, des
alors que les muscles correspondants paraissaient encore en parfait
état
. Marinesco (3) a confirmé ces constatations, mais
nce qui sépare les deux épines iliaques antéro-supérieures ; or à l'
état
normal la différence entre ces deux distances n
ale » ; en 1868 (') il renonça lui-même à attribuer la maladie à un
état
morbide de l'encéphale, « parce que dans un certa
musculaire, le thorax et le bras d'autre part, réduits presque à l'
état
squelettique. Les muscles respirateurs restent
MUSCULAIRES. même régresserait-elle plutôt légèrement (P. Marie). L'
état
général reste excellent et les malades peuvent
rcot et Pierret, Schaffer, Raymond et Philippe (au, Collins (4)]. L'
état
de la méninge au niveau du passage des racines
une période d'augment qui peut être rapide ou lente, une période d'
état
et une période de décroissance. 1. Lésions trau
progressivement envahissante de l'atro- phie, comme d'autre part l'
état
actuel de nos connaissances ne nous permet pas
c un muscle normal s'accuse plus encore, à l'oeil et à la main, à l'
état
de contraction; quand le muscle se contracte, on
le muscle altéré avec le muscle symétrique du côté opposé, soit à l'
état
de repos, soit à l'etat de contraction. DIAGN
e de toute modification de volume et de consistance au passage de l'
état
de repos à l'état de contraction, puissance con
ation de volume et de consistance au passage de l'état de repos à l'
état
de contraction, puissance contractile active et r
ombrables obstacles que la circulation sanguine peut rencontrer à l'
état
pathologique soit dans les gros ou les petits vai
par le fait que l'hypertrophie est pour chaque fibre musculaire un
état
transitoire, c'esi, la première phase de révolu
inuée. PHYSIOLOGIE NORMALE ET PATHOLOGIQUE DE LA COORDINATION A l'
état
normal, tout mouvement est dù à la contraction si
ibre, soit dans les voies centripètes ou centrifuges du cervelet. L'
état
actuel de nos connaissances indique : d'une par
mps à la musculature de plu- sieurs segments de ses membres qui à l'
état
normal devraient se mouvoir synergiquement, not
telle ou telle contraction musculaire; naturellement moindre qu'à l'
état
normal pour une même contraction, puisque d'une
suivants : Marcher lentement en avant, d'abord à volonté suivant l'
état
du malade, puis en corrigeant successivement :
n faible genu recurvatum fait mieux reposer en ligne droite qu'il l'
état
normal les condyles articulaires du fémur sur l
de l'appareil de susten- tation et troubles oculo-moteurs réflexes,
état
nauséeux et anxieux, phénomènes auditifs passag
t de l'affection étudiée, le syndrome mor- bide est, à la période d'
état
, vraiment typique. Hémiplégiques doubles, mais
e thorax étant en apnée. On a beaucoup discuté pour savoir à quel
état
mental correspon- daient ces larmes ou ce rire
d'autre part l'influence dès attitudes- exprimant une passion sur 1
état
mental de celui qui subit passivement ou même
après une amélioration très prononcée suivie d'une longue période d'
état
stationnaire, la maladie peut reprendre, une marc
tication, aussi a-t-on pu dire que tout hémiplé- gique présente à l'
état
d'ébauche le syndrome pseudo-bulbaire. Ce syn-
me de la main ou sur les doigts fermés et chaque membre est dans un
état
de raideur telle qu'en cherchant à le soulever
ent. Nous avons vu que les convulsions peuvent guérir et passer à l'
état
chronique. Elles peuvent aussi amener la mort p
t alcoolisme des parents. A ce point de vue on a même pu invoquer l'
état
d'ivresse chez un des parents pondant la concep
onvulsions pourront, il est vrai, marquer tout à fait le début de l'
état
infectieux et le diagnostic être moins aisé. On
tions du système nerveux. On est en présence d'un malade qui a un
état
infectieux grave, de la fièvre, des convulsions
pellera auprès d'un paralytique général qui vient de compliquer son
état
déjà si grave par des convulsions partielles ou g
le malade, l'entourage nous dira que depuis quel- ques mois déjà l'
état
intellectuel du malade avait baissé, qu'il y avai
au moment de l'ictus apoplectique auxquelles succé- dera bientôt un
état
comateux avec hémiplégie ou paralysie des quatre
frapper un alcoolique et il sera difficile de différencier les deux
états
; peu importe. Mais voici des cas où il faudra f
l faudra rechercher alors avec soin s'il n'existe pas, au moins à l'
état
d'ébauche, un des signes suivants : céphalée et d
. L'accès épileptique peut, apparaître soudainement, au milieu d'un
état
de santé tout à fait satis- faisant en apparenc
, variable, tous les jours, plusieurs fois par jour. On a décrit un
état
de mal ? s/en'<7Me. Ce qu'il importe de savo
exagération fréquente des réflexes tendineux avec clonus du pied, l'
état
de la pupille qui est dilatée et immobile à la
ué avec M. Pitres : sur 1000 sujets il a observé, en dehors de tout
état
pathologique, un trem- blement dans 40 pour 100
physiologique et pense que tout le monde tremble plus ou moins il l'
état
physiologique. Ce sont du reste également, les
t régulier, à rythme pendulaire, et qu'il puisse se produire dans l'
état
de relâche- ment des muscles du malade. Il doit
s sujets nerveux sous certaines influences et en particulier dans l'
état
de raideur des membres inférieurs; dans ces cas
sion des mouvements volontaires; dans d'autres cas, il persiste à l'
état
de repos. , - ' - Enfin- le même sujet peut pré
ie générale. Ce tremblement ne s'efface que pendant le sommeil, à l'
état
de veille, il persiste tout le temps, mais cepe
'est la recherche des autres symptômes de la sclérose en plaques, l'
état
des- réflexes tendineux, le phénomène des orteils
, dans certains cas, l'exagération des mouvements peut entraîner un
état
nerveux spécial qui se révèle par l'insomnie et q
écial qui se révèle par l'insomnie et qui peut être le prélude de l'
état
du mal choréique. L'excitabilité mécanique et é
(hallucinations) qui peuvent devenir nombreuses, être, suivies d'un
état
maniaque et constituer alors. un délire hallucina
r alors. un délire hallucinatoire aigu souvent caractéristique de l'
état
de mal : ces troubles psychiques sont peut-être
on apparente, elle annonce alors ' CcaovzoN. 852 - CHORÉES. ' l'
état
de mal choréique; dans certains cas, l'apparition
terminent par le syndrome auquel nous avons déjà fait allusion : l'
état
de mal choréique qui s'annonce par des agitatio
dée et coordonne vers un but par la répé- tition : il est passé à l'
état
d'habitude, se reproduit involontairement, en s
nent prédominants, l'affection est alors constituée. A la période d'
état
, les troubles moteurs ont les caractères que nous
t on en con- naît deux variétés principales. C'est tout d'abord l'
état
de. mal choréique qui est semblable à un délire
i se présente sous là forme d'un délire halluci- natoire aigu, d'un
état
maniaque ou de convulsions et d'incohérence dans
a forme de la mélancolie anxieuse ou d'une excitation maniaque. L'
état
général dans la chorée de Sydenham vulgaire est p
ans quelques cas, elle est alors le plus souvent symptomatique d'un
état
de mal ou d'une complication, mais quelquefois
la chorée est caractérisée, comme nous l'avons déjà indiqué, par l'
état
de mal, par l'élévation dé la température, par
semaines à deux mois, au bout de ce temps le petit malade sort de l'
état
que nous venons de décrire; la guérison est la
ve que dans 2 à 2 12 pour 100 des cas. et elle se produit alors par
état
de mal ou épuisement nerveux, comme dans le cas
s à deux grossesses successives et quelquefois elle a pu passer à l'
état
chronique. Elle s'observe surtout chez les prim
t, c'est clmrca lactantiurn : quelquefois la mort peut survenir par
état
de mal choréique comme dans le cas c.lc l3echtore
de, décrire sous le nom collectif de myoclonies un certain nombre d'
états
pathologiques que l'on considérait autrefois co
eil. Il n'existe aucun trouble des réflexes ni de la sensibilité, l'
état
mental est indemne. Enfin, l'affection, en généra
ons de signaler. Les myokymies ne provo- quent aucun trouble dans l'
état
général, elles surviennent chez les dégé- nérés
tl'11St·lllllll aux membres, la contracture se fait en flexion. L'
état
spasmodique plus encore que les mouvements rend d
uemment répété et fonctionnellement systématisé, conditionné par un
état
mental spécial : c'est un trouble psycho-moteur
ractères du mouvement qui constitue le tic et les particularités de l'
état
mental du tiqueur. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES
gulé ; mais ce qui domine précisément, comme nous le dirons, dans l'
état
mental du liqueur, c'est l'insuffisance de la vol
aison d'être. Les tics apparaissent d'autant, moins lentement que l'
état
mental est plus atteint, que le déséquilibre ps
complexe. D'autre part, de nouveaux tics apparaissent, parce que l'
état
mental du sujet le prédispose aux tics, la répéti
le diagnostic. La maladie ne va pas sans une atteinte profonde de l'
état
mental, et aux mouvements désordonnés se joigne
t plus fréquente que le tic est plus simple et plus récent et que l'
état
mental est moins altéré ou plus susceptible de
cation psychique sont le meilleur préservatif d'une récidive. II. L'
état
mental du tiqueur. A) Ses caractères. - L'état
'une récidive. II. L'état mental du tiqueur. A) Ses caractères. - L'
état
mental du tiqueur est celui des dégénérés, pris
toujours fugace. « papillonnante », éphémère, indice d'un perpétuel
état
d'instabilité mentale (.\'Ieige).' L'insuffis
eut prendre un caractère obsédant. Chez beaucoup de tiqueurs dont l'
état
mental est plus altéré, surtout au début des vésa
ins de l'observateur ; celui- ci retire brusquement ses mains : à l'
état
normal, les bras tombent immédiatement,' par un
S. Meige et Feindel ont appelé l'attention sur la ressemblance et l'
état
mental des tiqueurs avec celui des enfants : lé
avons insisté, dans l'analyse tant des réactions motrices que de l'
état
mental du liqueur, sur les nombreuses analogies d
ritlunomanie. ODûlat0111- ]lie, etc ^r^ B) Ses conséquences sur l'
état
physique. Le déséquilibre des IÏI(.(11- tés cér
opposé des auteurs précédents, Pitres et Crnchet pensent que. si un
état
mental prédisposant est nécessaire dans la produc
s rythmies de Cruchet, c'est le type de la rythmie essentielle il l'
état
de veille. En dehors du tic de Salaam ou spasme
la compression du facial (.Jof1roy) ; ils coexistent souvent avec un
état
1. Orno. Presse médicale, 50 septembre 1899.
TATONIE par le D MOUTIER La catalepsie, et la catatonie sont deux
états
extrêmement voisins, dis- tincts cependant si l
comateux, inconscient ou semi-conscient. 11 présente, en ce cas, un
état
psychique particulier, une passivité sans laque
ute sensihilité d'ailleurs est abolie. La catalepsie n'est pas un
état
spastique. Les muscles conservent l'attitude im
server les attitudes données, elle se différencie immédiatement des
états
. de contracture ou de paralysie dans lesquels les
ne position immuable. - Catatonie. Nous entendrons par catatonie un
état
caractérisé par l'intégrité de la contractilité
attitudes catatoniques simples se voient en revanche dans nombre d'
états
de démence ou de déficit banaux : on les rencontr
égal de tout autre groupe musculaire. Ajoutons que presque tous les
états
catatoniques s'accompagnent de dermalogra- phis
ense. HYPOTONIE par le Dr CROUZON L'hypotonie musculaire est un
état
spécial de flaccidité des muscles, (lui permet
y-skin (ou glanz-haut) consiste en un amincissement de la peau avec
état
lisse, aspect de vernis luisant. Ce trouble appar
nsécutivement aux sections nerveuses, s'observe très fréquemment un
état
ichtyosique du tégument. La peau est sèche, mince
moins dans les cas typiques, pu bien si l'on veut, à la période d'
état
. Une moitié de la face, en effet, est réduite,
i- culation est alors littéralement effon- Orée. A la période d'
état
, au-dessous d'un tégument normal ou ne présen-
l'inhibition des noyaux pneumogastriques qui permet d'expliquer cet
état
stationnaire du pouls. La fièvre s'accompagne d
aladies organiques du système nerveux, la fièvre peut être due à un
état
inflammatoire : le type de cette fièvre est la fi
nilatérale. La fièvre l'ait partie du cortège symptomatique. dans l'
état
de mal cho- réique ou dans une complication ass
es accès se succèdent coup sur coup, il y a constitution alors de l'
état
de mal opileptique, et un des signes capitaux d
lors de l'état de mal opileptique, et un des signes capitaux de cet
état
est l'élévation de la température; cette températ
qu'il la mort et monte même encore après la terminaison fatale. Cet
état
de mal épiloptique, même quand il se rencontre da
que toujours qu'il s'agit d'une urémie associée il une grippe, à un
état
infectieux, à une lésion cérébrale (Giraudeau, Cr
chycardies de la fièvre typhoïde ou du rhumatisme. On sait qu a l'
état
normal, le coeur est innervé par le sympathique
e affection de cet organe laisser à sa place, après sa guérison, un
état
dou- loureux qui constitue alors à lui seul tou
températures élevées ou abaissées ; mais presque constamment par l'
état
de [réplétion de la vessie; Une retenue prolong
la vessie ne se vidant pas : aussi faut-il toujours s'assurer de l'
état
d'évacuation de la vessie. On observe dans la s
ndispensable de s'assurer, par les moyens indiqués ci-dessous, de l'
état
de réplélion de la vessie : la constatation pré
la vessie, dont l'innervation est depuis plus ou moins longtemps en
état
de déchéance, cède, plus facilement et se laisse
rticle rétention pour plusieurs affections dans lesquelles les deux
états
de rétention et d'incontinence se succèdent sou
irement limpides au début, mais il est rare qu'elles restent en cet
état
, car l'infection se produit très rapidement. Tr
douleurs, purulence des urines : mais ceux-ci sont influencés par l'
état
du muscle vésical, lmrésié ou excité. Si l'infe
l. Dans les urétéro-pyc- lites chroniques, on s'adressera aussi à l'
état
général : régime lacto- végétarien avec quelque
observé une continence prolongée et dont les vésicules seraient en
état
de réplétion. 11 est rare qu'il s'agisse de spe
s actionnent une sonnerie électrique. Ellfin on agira surtout sur l'
état
mental du sujet, en lui démontrant la bénignité
chiques, l'éjaculation peut être arrêtée : celle-ci se produit, à l'
état
normal, parce que le sperme, emprisonné et comp
ez les épileptiques ou traduisent des troubles de la sensibilité. L'
état
de la muqueuse varie enfin selon la santé de l'
ée. Chez le mélancolique, la langue est extrêmement chargée, et cet
état
est d'autant plus accusé que la dépression est
ralysie faciale otitique, des maladies du l'oie ou de l'estomac, un
état
fébrile. Troubles de la motilité linguale. Parm
c en est facile; le spasme est peu intense, ne s'accompagne d'aucun
état
général inquié- tant. Il précède le rejet pério
SUPÉRIEURES. 987 î intermittences. Il est sous le coup direct de l'
état
mental du malade. Ce spasme psychopathique ne r
ts de déglutition; il souffre. » jllehovu et lüémoncl). De plus, un
état
nauséeux extrêmement pénible avec désir d'exonéra
ssement simple; il se fait. facilement, sans efforts, soudain, sans
état
nauséeux. Ce vomissement en fusée peut être ali
qui vomissent sans cesse, obéissant à une foule d'idées étranges. L'
état
nauséeux est continu; et l'on peut voir se réal
enant à restreindre chaque jour de plus en plus l'alimentation. Cet
état
diffère de l'anorexie proprement dite en ce que t
mi un jour, deux jours ; bientôt aucun aliment ne sera toléré; et l'
état
vicieux sera constitué. Les vomissements de la
iverse probablement; mais il importe de l'aire un examen serré de l'
état
névropathique ; car si parmi ces vomissements b
ssement avec torpeur et tendance au collapsus, puis par l'excellent
état
de la santé entre les crises. A ces vomissement
ise survient soudain, brutalement; parfois depuis quelques jours un
état
nauséeux se marquait, associé ou non à de la tens
cyanose et les sueurs froides complètent l'aspect cboteriforme. Cet
état
peut aller jW.;(IU'¡'1 la syncope ou au coma mort
ccès peut durer une ou plusieurs heures; quel- quefois un véritable
état
de mal embrasse plusieurs journées. Les crises'
ation d'accès où la simulation involontaire joue un grand rôle. Ces
états
pithiatiques se distinguent facilement des cris
l'estomac avec putréfaction ; les vomissements sont très tardifs. L'
état
général est alarmant; la mort pcut survenir, le
ns la région du plexus solaire. Troubles centraux attribués à des
états
gastriques. Nous avons 'déjà signalé les rappor
avec constipation rebelle. Troubles de le défécation révélant un
état
mental. Le diagnostic est simple dans tous ces
oubli des usages sociaux devient complet, et démence ou délire, son
état
fait négliger à l'aliéné le réglage volontaire
ntinence lui succède quand les racines s'atrophient. Ces différents
états
dépendent et de l'anesthésie du rectum et des t
ières amincies et rubanées sous l'influence du spasme intestinal. L'
état
général est parfois effrayant : des vomissements
git encore du même syndrome, ballon- nement plus ou moins localisé,
état
général plus ou moins grave, douleur au point d
et s'enchaînent, il convient de rappeler la haute impor- tance de l'
état
des voies digestives dans les états morbides de l
peler la haute impor- tance de l'état des voies digestives dans les
états
morbides de l'esprit. La constipation suffit en
nts divers; ces traitements seront en effet bien différents selon l'
état
mental. Dans tout traitement, il existe, en eff
n existe une) et nous ne nous y attarderons pas ici, le symptôme, l'
état
névropathique. Or, ce qu'il faut bien savoir, c'e
par regorgement. Le gâtisme peut également se rencontrer dans des
états
plus ou moins voisins dn coma, dans certains so
ropreté, ignorance et oubli. Mais le gâtisme appartient surtout aux
états
vésaniques. Il est souvent involontaire, mais par
e nouveau l'attention sur ce point, ce n'est pas seulement dans les
états
de démence que l'on voit s'installer le gâtisme ;
t celte seatophagie n'est pas exceptionnelle dans un grand nombre d'
états
, dans la paralysie géné- rale par exemple. Enfi
poignet, les petits os étant pourtant parfois plus gonflés qu'il l'
état
normal (Guersant). La « notaire » du poignet est
, en rave ou « en radis ». Tardivement la dactylite peut passer à l'
état
chronique et déterminer toutes les déformations
a longue ils prennent un aspect flétri, rétracté, comme chagriné. L'
état
parcheminé peut survenir d'emblée, sans phlyctè
extrémités. Les petits os du pied sont souvent plus gonflés qu'à l'
état
normal. L'arthropathie nerveuse, presque exclus
tion des orteils sont aussi abolis, mais ils sont très minimes il l'
état
normal en dehors de l'abduction du pouce. Les e
cas fort rare de l'observer ? INFANTILISME L'infantilisme est un
état
morbide remarquable par l'absence des caractère
obésité n'est point fatale; elle est fonction à un certain point de l'
état
du castrat, et celui-ci peut être fort maigre s
t tardif, l'individu subit une régression véritable, et retourne en l'
état
du nourrisson. La forme générale est arrondie
ut examiner à. ce niveau, les anomalies de la forme et du volume, l'
état
des sutures et des fontanelles. Celles-ci peuvent
ntale étant en général diffi- ciles, voire disproportionnées avec l'
état
cérébral de l'immense majorité. Maladies nerveu
xcès sexuels, inversions sexuelles. Le tatouage lui-même traduit un
état
mental tout particulier chez celui qui subit volo
avec ses bosselures, sa tuméfaction avec conservation relative de l'
état
général pourra faire penser au foie syphilitique.
ienne de la première grosse molaire : cette lésion consiste dans un
état
atrophique, une sorte d'usure et de quasi- dest
et A. Brissaud), Widal, Lemierre et Boivin. Dans certains cas, cet
état
du liquide était dû à la syphilis des centres n
affections des centres nerveux suivant Sicard, Quincke, etc. A l'
état
normal, le liquide céphalo-rachidien contient une
diabète, la quantité de sucre était 3 ou 4 fois plus grande qu'à l'
état
normal. On a pu voir le glucose dans le liquide
de détermination de l'isotonicité du liquide céphalo-rachidien, à l'
état
normal; le liquide céphalo-rachidien a un degré
le liquide céphalo-rachidien et le sang. Perméabilité méningée. A l'
état
normal, la méninge rachidienne [0. CROUZON.]
mais le chromogène. La perméabilité méningée n'existe donc pas à l'
état
normal, elle exis- tera au cours de certaines m
lloïdine et à le couper. Résultats généraux du cyto-diagnostic. A l'
état
normal le liquide céphalo-rachidien ne renferme
nq lymphocytes (petits mononucléaires) par champ de microscope. A l'
état
pathologique, on pourra rencontrer des globules
umine dans le liquide céphalo-rachidien se fait par ébullition. A l'
état
normal t'ébuiii- tion provoque une légère opale
re cérébral. La contusion peut donc, comme la fracture, provoquer l'
état
hémorragique du liquide céphalo-rachidien. C'est
e de létal comateux. Trocmé (Thès ! ' de Paris, 1 ! IOD) a résumé l'
état
de la question. Ponction lombaire dans les névr
gue continuelle (Quincke, Loepel') ; plus tard, ils tombent dans un
état
d'hébétude complet troublé seulement par quelqu
s fontanelles bombent et battent. La fièvre est minime ou fugace, l'
état
général médiocre; l'enfant maigrit, s'affaiblit
lques cris, mais, le plus souvent, il ne tarde pas à tomber dans un
état
de somnolence continuelle. Il peut avoir des conv
xtrême lenteur de la marche, son irrégularité, la conservation de l'
état
général sont, par contre, des indices nullement
té extrême du diagnostic étiologique tient à ce que rien, ni dans l'
état
local, ni dans l'état général n'autorise à suspec
ic étiologique tient à ce que rien, ni dans l'état local, ni dans l'
état
général n'autorise à suspecter la tuber- culose
rémités permet d'éliminer l'empoi- sonnement par les champignons. L'
état
des pupilles qui sont intactes, inégales ou par
mnolente = tuberculose. Pour le croire, il faudrait ignorer que cet
état
peut être réalisé par des épendymites banales, et
e osseux est caractérisé dans le myxoedème par la persislarzee de l'
état
cartilagineux des épiphyses et des cartilages d
e quel- ques semaines après le début du traitement la malade fut en
état
de se tenir debout et de faire quelques pas; ce
ontra des veines et des artères papillaires revenues à peu près à l'
état
normal. Il n'obtint toutefois qu'un résultat pa
ur ce genre d'appa- reils ; on peut les maintenir facilement en bon
état
et en attendre un bon fonctionnement. ' 11 es
galvanique continu peut lui convenir; il met en jeu les effets de l'
état
permanent du courant. Nous appellerons galvanis
, on recherche généralement l'action du courant galvanique dans son
état
permanent. Faisant partir l'intensité de zéro,
plications du courant galvanique, dans la recherche des effets de l'
état
variable du courant pour l'électro-diagnostic,
est évitée. Action DES courants galvaniques continus. Effets DE l'
état
permanent DU courant. Le courant galvanique pas
s nerfs moteurs et sur les muscles, le courant galvanique, dans son
état
permanent, ne parait guère produire directement d
Avec de forts courants, cependant, on peut voir les muscles mis en
état
de contraction soutenue plus ou moins prononcée ;
ependant, qu'ils sont produits plus facilement lorsqu'on arrive à l'
état
permanent du courant en élevant rapidement son
a conductibilité de J'influx nerveux et dans des modifications de l'
état
électrique des nerfs; on les observe facilement
paraissent davan- tage excités par le courant galvanique dans son
état
per- manent. En effet, le courant, pendant so
ensité n'est que la moitié de ce qu'elle est à la cathode (-). ).
ÉTATS
DU COURANT GALVANIQUE 1 : 115 passant d'une man
nt, la peau est anémiée et présente une coloration blanchâtre ; cet
état
est d'ailleurs de courte durée, bientôt les vai
laire des éléments de l'organisme, etc. COURANT GALVANIQUE DANS SES
ÉTATS
VARIABLES (Excitations de fermeture et d'ouvert
laissant passer d'une manière continue, développant les effets de l'
état
permanent dont il vient d'être parlé, on peut l
ons et a des rétablissements brusques développant les effets de ses
états
variables. Supposons que par l'un des procédés
résistance opposée par le corps. Le courant passe par la période d'
état
variable de fermeture. Si [E HUENT ] z1214 AP
ensité retombe presque immédiatement à zéro, c'est la période d'
état
variable d'ouver- ture. Nous pouvons représen
sser ainsi par le corps. N. Le courant galvanique, au moment de ses
états
variables, a la ]>ro-i prieté d'exciter les
excité. L'excitation n'est pas tont il fait la même au moment de l'
état
variable de fermeture et au moment de l'état va
la même au moment de l'état variable de fermeture et au moment de l'
état
variable d'ouverture. Elle est aussi en rapport
étés du courait galvanique dans ses étals variables... effets des
états
V : 11tL11tLES de fermeture et d'ouverture sur le
bles ; c'est Fig. 18. - Schéma de l'onde galvanique AF, période d'
état
variable de fermeture; 1<'0, période d'état pe
anique AF, période d'état variable de fermeture; 1<'0, période d'
état
penna- lIellt; OB, période d'état variable d'ou
de fermeture; 1<'0, période d'état penna- lIellt; OB, période d'
état
variable d'ouverture. ÉTATS VARIABLES DU COURAN
de d'état penna- lIellt; OB, période d'état variable d'ouverture.
ÉTATS
VARIABLES DU COURANT GALVANIQUE. 1215 Y élect
la fermeture du courant, pendant la durée de passage du courant en
état
permanent, puis au moment de l'ouverture. Sur
roduire toutes. nous citerons les quelques exemples suivants : ..
ÉTATS
. VARIABLES DU COURANT GALVANIQUE. 1217 POC >
nférieur à PFC. Applications A l'électao-diagnostic des effets DE l'
état
variable ' du courait galvanique Pour procéde
tion des fils conducteurs. Le pôle négatif étant celui qui dans l'
état
normal produit le plus faci- lement l'excitatio
HÉRAPEUTIQUE. 1227 Applications A la thérapeutique des actions de l'
état
'A11(ABf.I : DU COUTANT galvanique Pour appli
our appliquer au traitement des maladies nerveuses les actions de l'
état
variable du courant galvanique, on se servira des
ations continuelles, des effets se rapprochant des excitations de l'
état
variable du courant et dus aux fluctuations de
on inverse de celle du cou- rant qui lui donne naissance. Pendant l'
état
permanent du courant pri- maire, il n'existe au
scle après qu'il a terminé sa décontraction et qu'il est revenu à l'
état
de repos, les mêmes phénomènes se reproduisent :
on latente, entre de nouveau en contraction avant d'être revenu à l'
état
de repos; il recommence une période d'énergie c
l'onde induite de ferme- ture F' A' de sens inverse : A 0 période d'
état
permanent du courant primaire pendant laquelle
laquelle il n'y a pas d'induction dans le. secondaire; 0 B période d'
état
variable d'ouver- ture du courant primaire a la
ces excitations successivement répétées, le muscle n'atteint pas l'
état
de repos, il reste en état de tétanos incomplet.
ment répétées, le muscle n'atteint pas l'état de repos, il reste en
état
de tétanos incomplet. Si la fréquence des ondes
action, ses se- cousses se fusionnent complètement et il est en
état
de tétanos complet. Au point de vue de la p
citabilité propre que les divers nerfs et muscles présentent dans l'
état
normal pour les courants faradiques comme pour
on suspend le passage du courant de façon à laisser les muscles à l'
état
de repos un temps sensiblement égal ou même plu
accompagnant l'excitation des muscles peuvent gêner pour estimer l'
état
de la sensibilité cutanée. Aussi est-il préféra
l'intensité que l'on se propose de faire agir dans son passage à l'
état
continu; on règle ensuite le courant faradique
rement les deux courants. A l'action du courant galvanique dans son
état
continu, effets ioniques et électrotoniques, se
ne à gros fil, DE L'EXCITABILITÉ FARADIQUE ET GALVANIQUE DANS LES
ÉTATS
PATHOLOGIQUES . Dans les affections du systèm
té est plus grande, ou au contraire elle est plus faible que dans l'
état
normal. ; Augmentation simple DE l'excitabilité
e l'excitation apparaît avec des cou- rants plus faibles que dans l'
état
normal. En fait, il n'est pas toujours facile d
tre avec des courants dont l'inten- sité est plus faible que dans l'
état
normal. De même que pour l'excitabi- lité farad
le ; PFC et POC apparaissent également beaucoup plus tôt que dans l'
état
normal; de plus les contractions deviennent fac
F et même à PO; la présence de POTe, qui ne se rencontre pas dans l'
état
normal, est intéressante à constater dans ces cas
facilement, mais encore que NOC, assez rarement constatable dans l'
état
normal, devient souvent très mani- feste. R. Ge
l'excitation n'apparaît qu'avec des courants plus forts que dans l'
état
normal. Lorsque l'hypo-excitabilité est peu pro-
corps que l'on examine une position telle que ces muscles soient en
état
de relâchement; il tau u aussi veiller à ce que
aussi veiller à ce que les patients ne tiennent pas ces muscles en
état
de contraction volontaire. Pour exciter des mus
, en effet, des courants plus forts que pour exciter des muscles en
état
de repos; et en omettant les précautions que no
quelle nous aurons à distinguer une période de début, une période d'
état
et une période de déclin. Laissant de côté po
rons plus loin, nous nous occuperons dès maintenant de la période d'
état
. Les altérations des réactions électriques qui ca
itation. La contraction, au lieu d'être vive et rapide comme dans l'
état
normal, devient lente et traînante ; elle met un
'). Cette lenteur de la contraction, très prononcée ;t la période d'
état
de la DU dans les processus aigus, est à elle seu
ion longitudinale produite de cette façon est plus forte que dans l'
état
normal, et que souvent elle prédomine sur l'excit
le et qui se rencontre assez souvent sur certains muscles, même à l'
état
normal. On observe surtout cette inversion (PFC &
lement plus forte que l'excitation de l'anode, NFC>PFC('). Cet
état
de la réaction longitudinale n'est pas seulement,
liniques. Période initiale de la DR. Avant d'aboutir à la période d'
état
, dont nous venons d'exposer les principales man
cles. On peut alors considérer la DR comme entrée dans sa période d'
état
; c'est généralement dans le cours de la deuxième
paraître ainsi tardive- ment dans la paralysie faciale. Période d'
état
de la DR. Par période d'état de la DR nous enten-
t dans la paralysie faciale. Période d'état de la DR. Par période d'
état
de la DR nous enten- dons le temps pendant lequ
ir même s'étendre sur plusieurs années. Ainsi comprise la période d'
état
de la DR pourrait se subdiviser elle-même en troi
DU restant encore bien nettes; cette dernière partie de la période d'
état
de la DR est assez longue et se prolonge souven
ouvent de nombreux mois. Période terminale de la DR. A la période d'
état
de la DR succède 1. A cette période de la DU on
ses d'ouverture. Celles-ci sont obtenues plus facilement que dans l'
état
normal, non seulement il PO, mais encore à \\1
ncore à \\1 : on peut voir même, contrairement à ce qui existe dans l'
état
normal. N0C>POC. Cette inversion des contrac
édomine sur NFC elle lui devient égale puis inférieure comme dans l'
état
normal. En même temps que l'excitabilité galvan
'excitabilité longitu- dinale se modifie aussi et se rapproche de l'
état
normal, elle perd sa prédominance, et les contr
u excitables pour que la DR n'y soit pas constatable à la période d'
état
; mais, sur d'autres, le processus étant moins
iques, on peut trouver sur certains muscles de la DR à sa période d'
état
et,sur d'autres muscles de la- DR à une période
le courant excitateur, le muscle ne revient pas immédiate- ment à l'
état
de repos, il ne se décontracté que lentement, et
es courants à intermittences semi-fré- quentes ne provoquant dans l'
état
normal qu'un tétanos incomplet. Dans le cas de
tonique avec tétanisation plus complète qu'elle ne le serait dans l'
état
normal, puis le spasme rnyoto- nique se résout
lus ou moins fusionnées prennent l'étendue qu'elles auraient dans l'
état
normal. On observe encore un effet sem- blable
vec des courants il intermittences assez peu fréquentes qui, dans l'
état
normal, provoquent des secousses musculaires rapp
s et séparées les unes des autres comme elles l'auraient été dans l'
état
normal dès le début de l'excitation. L'excitabi
ns durables; suivant l'intensité de l'excitation et aussi suivant l'
état
des muscles, elles restent localisées aux faisc
actions tétaniques que l'on observe parfois, en dehors même de tout
état
pathologique, avec des excitations faradiques f
pendant leur durée le muscle est très dur, comme contracture et en
état
de crampe véritable; les courants avec intermit
scle se contracte, mais le tétanos ne se maintient pas comme dans l'
état
normal, il va en s'affaiblissant pendant la durée
phère de distribution du nerf; elle est plus marquée, au moment des
états
variables du courant, à la fermeture et a l'ouv
e cependant de tenir compte, pour éta- blir cette comparaison, de l'
état
de la résistance électrique. Lorsque les troubl
s du corps ils ne peu- vent être estimés que par comparaison avec l'
état
de la sensibilité de per- sonnes bien portantes
araison; dans ces conditions encore il importe de tenir compte de l'
état
de la résistance électrique. ¡ Dans l'examen de
tion devient douloureuse. Il y a parfois intérêt à explorer ainsi l'
état
de la sensibilité dans certaines affections cér
ait perçue, même avec des courants faibles, à peu près comme dans l'
état
normal, mais à aucun moment cette sen- sation n
uvent des sensations colorées. C'est particulièrement au moment des
états
variables du courant ou à l'occasion de fluctuati
sensations gustatives se trouvent provoquées non seulement par les
états
variables de fermeture et d'ouverture, mais aussi
fermeture et d'ouverture, mais aussi par le passage du courant il l'
état
permanent. Du côté du pote positif on observe u
avec les fonc- tions d'équilibration. Réactions auditives. Dans l'
état
normal le courant faradique impres- sionne peu
ndus par une oreille normale, se trouvent perçus par une oreille en
état
d'hyperexcitabilité fonctionnelle. Le courant g
ctionnelle. Le courant galvanique donne difficilement aussi, dans l'
état
normal, NERF ACOUSTIQUE. VERTIGE VOLTAÏQUE. 127
ons et rétablissements du courant après chaque augmentation. Dans l'
état
normal, à un moment de l'examen ainsi poursuivi
ination de la tête, mais encore dans quel sens elle se fait. Dans l'
état
pathologique le vertige voltaïque peut être modif
acilement, ou au contraire il s'obtient plus difficilement que dans l'
état
normal. En qualité la sensation d'entraînement
1276 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. obtient des indications importantes sur l'
état
de l'appareil auditif. (') Ces indications sont
iffère notablement suivant que l'on consi- dère le courant dans son
état
continu ou dans ses étals variables. Il ne nous
00 et 1 250000 ohms. Un certain nombre de conditions influent sur l'
état
de la résistance électrique du corps ; nous n'e
contenu. On discute aussi sur les conditions qui entraînent dans l'
état
physiolo- gique des différences de résistance e
daire. Les conditions les plus importantes paraissent dépendre de l'
état
de kératinisation des cellules superficielles de
tions jouent d'ailleurs, aussi, un rôle impor- tant dans les divers
états
pathologiques. Méthodes d'évaluation de la rési
rs et des muscles, on a besoin de [«rendre une notion relative de l'
état
de la résistance et de déterminer très approximat
ors en clinique. Modifications de la résistance galvanique dans les
états
patholo- ; [E. HUET.] 1286 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC
vé des signes importants pour l'électrodiagnostic et on rechercha l'
état
de la résistance électrique dans un assez grand
cha l'état de la résistance électrique dans un assez grand nombre d'
états
pathologiques. Dans l'hystérie avec hémianesthé
s de la résistance électrique ont été signalées aussi dans d'autres
états
pathologiques. On a constaté son augmentation dan
tance resterait sensiblement normale (Silva et Pescarolo). Dans les
états
cachectiques, notamment la cachexie carcinomateus
nte du faisceau pyramidal prend un rôle important. Elle entraine un
état
spasmodique plus ou moins accusé, depuis la simpl
ns prolongé. Dans tous les cas il faut surveiller avec grand soin l'
état
des membres paralysés au point de vue de la spus-
onc lieu de surveiller attentivement les effets du traitement sur l'
état
spas- modique et de suspendre le traitement si
ire pour que la DR se développe avec ses caractères de la période d'
état
, l'examen devient très démonstratif et peut fix
'avec le bain électrode; et, suivant les indications fournies par l'
état
des mus- ('les on reporte, après avoir ramené l
laisse généralement passer quelques minutes encore le courant, à l'
état
continu, en relevant son intensité à la valeur
traitement par l'élec- trisation se trouve généralement indiqué. L'
état
des nerfs et des muscles qu'ils animent reconnu
se rendre compte, en même temps qu'on applique le traitement, de l'
état
de l'excitabilité galvanique des muscles. A cha
me plus. Les inten- sités doivent être faibles et en rapport avec l'
état
de l'excitabilité galva- nique ; dans la périod
tion du pli naso-labial, secousses spasmodiques dans les muscles en
état
de contrac- [lire., soit au repos, soit surtout
gué- rison ou d'amélioration; il peut aussi agir directement sur l'
état
des muscles incomplètement atrophiés en entrete
bles trophiques et sensitifs que pour les troubles neuro-moteurs; l'
état
de spasmodicité, lorsqu'il existait, aurait été
avec des courants d'une intensité moyenne de 5 à li m. A. Lorsque l'
état
de l'articulation le permet, on peut à la galva-
es variées : le froid, des traumalismes, des fatigues exagérées, un
état
diatbésiquc (rhumatisme, goutte, diabète), une
il l'autre les points d'application des électrodes. four ménager l'
état
de la peau, il convient d'ailleurs, après chaque
x jours et même J NÉVRALGIE SCIATIQUE. 1517 ï tous les jours si l'
état
de la peau le permet. L'ion salicylique est très
st le cas, par exemple, pour les névral- gies imputables au mauvais
état
des dents, à des sinusites ou il des otites, ou
Les unes ressemblent aux névralgies des autres nerfs; il existe un
état
d'endolorissement ou d'engourdissement continu da
E FACIALE. t : n1 1 pendant 20 à 50 minutes, parfois davantage si l'
état
de la peau le permet. Pour cesser l'électrisati
sible quand on fait intervenir de fortes intensités; pour ménager l'
état
de la peau on se voit obligé à ne répéter les séa
à 20 ou 50 mu. Cette électrisation est répétée tous les jours, si l'
état
de la peau le permet; au besoin on change un pe
Neurasthénie. Sous le nom de neurasthénie on comprend souvent des
états
variés et assez différents les uns des autres. Le
ouvent des états variés et assez différents les uns des autres. Les
états
de neu- rasthénie acquise, résultant de fatigue
d'intoxications ou d'auto-intoxications, seraient il distinger des
états
de la neurasthénie constitutionnelle et héréditai
et héréditaire dans lesquels on confond fréquemment d'ailleurs des
états
différents de névropathie et de psychopathie. N
Nous ne pouvons entrer ici dans une analyse détaillée de ces divers
états
, et nous devons nous contenter de donner quelqu
lques indications générales sur le traitement par l'électricité des
états
neurasthéniques et de quelques-unes de leurs mani
ables. L'amélioration est parfois assez rapide surtout du côté de l'
état
général et de quelques symptômes secondaires comm
plus souvent elle n'est pas complète, bien que dans son ensemble, l'
état
des malades puisse être redevenu très satisfais
lus généralement le corps thyroïde reste plus volumineux que dans 1
état
normal; parfois aussi le goitre n'est que peu m
ntre-indications de ce traite- ment tirées soit de l'âge, soit de l'
état
du système cardio-vasculairc. son des lésions p
njections intra-rachidiennes de sérum anliniéningo- coccique. Les
états
d'agitation observés en pathologie mentale, les a
eler, pour le traitement de la neurasthé- nie, que bien souvent cet
état
morbide est symptomatique d'une lésion organiqu
ciable de l'hydrothérapie qu'au point de vue de l'hygiène. Dans les
états
convulsifs infantiles les bains tièdes répétés
tièdes répétés paraissent avoir une action sédative; dans certains
états
choréiques les bains tièdes ou le drap mouillé
ais faire de coupes macroscopiques sur un cerveau ou une moelle à l'
état
frais, car on rend ainsi les pièces inutili- sa
re des résistances, 1195. Applications à l'électrodiagnostic de l'
état
variable, 1219. Applications à la thérapeutique
variable, 1219. Applications à la thérapeutique des actions de l'
état
variable, 1227. galvaniques continus, collecteu
courants, 1204. Localisation des courants, 1205. - - Effels de l'
état
permanent du courant; effets thermiques, méca-
laires, effets catalytiques, 1215. " Courant galvanique dans les
états
va- riables. Excitations de fermeture et d'ou
riables. Excitations de fermeture et d'ouverture, il 5. - lfets des
états
va- riables de fermeture et d'ouverture sur l
e, 118. Débilité mentale, 269. ' Défécation. Troubles révélant un
état
mental, 998. Défense (Idées de -) chez les al
eur donner, 1205. Électrodiagnostic, application des -effets de l'
état
variable du courant galvanique, 1219. Points mo
faradique, 1255. Excitabilité fara- dique et galvanique dans les
états
patho- logiques. Conservation des réactions nor
. Ponction lom- baire thérapeutique, 1145. Hydrothérapie dans les
états
d'agitation, les insomnies. 1;;1.2. -l'hystèrie
r- tielle, 1249. - Période initiale de la IL D., 1250. l'ériode d'
état
, période terminale, 1251. Syndromes de dé- gé
urants faradiques, 1285. - modifia- tions de la résistance dans les
états
pa- thologiques, 1285. - Respiration, trouble
dévia- tion de la colonne vertébrale; il reste huit jours dans un
état
comateux. Pendant des mois, l'amnésie a été com
il avait projeté avant l'accident. Mais tout cela se fait dans un
état
d'automatisme inconscient, dans une sorte de de
allut le placer dans une maison de santé. Il y vit en- core dans un
état
de complète démence, traversée par de fréquenls
sser de trace apparente. Le blessé paraît complètement revenu à son
état
de santé antérieur à l'accident. Il n'est pas
es muscles de l'oeil aux di- verses impressions lumineuses ou à cet
état
de la vision intérieure qu'on appelle l'attenti
seul lobe occipital. Elles ont été faites sur des malades dont l'
état
de l'intelligence, surtout aux périodes avancées
P. 133. · 84 PHYSIOLOGIE. Modène, où il ait été tenu compte de l'
état
du cerveau'. Chez une fille de quatorze mois, a
tionnelle à sa pression dans l'air condensé où l'on respire. Dans l'
état
ordi- naire l'acide carbonique et l'azote du sa
ui la contient (p. 58). « Les particules des gaz qui ont repris l'
état
aériforme dans toute l'étendue du système sangu
fermer une proportion d'acide carbonique beaucoup plus forte qu'à l'
état
normal; et cet acide carbonique dissous reviend
e qu'à l'état normal; et cet acide carbonique dissous reviendra à l'
état
gazeux dès que la pression extérieure diminuera
euvent dans quelques cas, avoir une in- fluence sensible même sur l'
état
de santé ou de maladie de l'homme. Lorsque l'ai
prolonge, plus le sang doit se charger d'un excès de gaz libres à l'
état
de solution, l'absence de régulateur de la pres
S ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 97 Î « Le gaz repasse à l'
état
libre dans les vaisseaux, les divers liquides,
ure, 39°,2. 8 juillet, 7 heures du matin, l'animal est dans le même
état
. Contractilité faradique un peu diminuée, je tu
AR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 107 au nombre de deux qui existent à l'
état
de mélange dans les proportions que voici : E
compression, suivant les lois de la solubilité des gaz repasse à l'
état
libre lors des change- ments brusques de pressi
« Aucun accident n'est survenu, aucune bulle de gaz n'a paru à l'
état
libre dans les vaisseaux, parce que l'air que r
IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE. 115 21 octobre. - Roséole à l'
état
naissant. L'ulcération anale a toujours le même
nitrate d'argent. 17. - Cautérisation des plaques de la gorge. Même
état
de la gingivite. Les syphilides de la face dimi
é. Pansement phéniqué. ' 7. - La température est toujours élevée. L'
état
général reste le même. On trouve un peu de pus
usement trop fréquente et qui n'a d'autre résultat que d'aggraver l'
état
mental. IV. - Placé à quatorze ans en apprentis
e plantaire sont deve- nues sensibles. Enfin il nous a semblé que l'
état
général lui aussi s'est le plus souvent amélior
tement n'a pas eu d'effet sur le poids du corps, non plus que sur l'
état
des réflexes rotuliens qui restent toujours absen
t bon de rappeler que la suspension a pour effet, en dehors de tout
état
morbide d'augmenter le nombre des respi- ration
plus fréquent, et la pression artérielle paraît plus élevée qu'à l'
état
normal. » Pour M. Althaus ', la suspen- sion dé
nous les rangerons soustrois chefs : 1° modalités particulières à l'
état
général ; 2° affections des sys- tèmes cardio-v
endant la durée de la suspension. 3° Enfin, il est bon d'examiner l'
état
des dents qui, lorsqu'elles sont trop ébranlées
qui pourraient se produire du côté du maxillaire inférieur. En l'
état
actuel de nos connaissances sur la suspension, on
sibilité générale et leur durée se trouvent sous la dépendance de l'
état
psychique du malade. Si l'état psychique est st
se trouvent sous la dépendance de l'état psychique du malade. Si l'
état
psychique est stationnaire, les troubles de la
r pendant des années. Mais, qu'il survienne une modification dans l'
état
psychique du malade, immédiatement l'état de la
e une modification dans l'état psychique du malade, immédiatement l'
état
de la sensibilité change. Quant aux troubles fo
ettent à nu le territoire de l'artère cérébrale moyenne et noient J'
état
de la circulation de la branche qui monte sur l
surgir, tout à coup, un syndrome (la capra- lalie) révélateur, d'un
état
mental défectueux antérieurement. Ces deux mani
Weber décèle l'obligation d'en écarter les points bien plus qu'à l'
état
normal pour que le malade les perçoive toutes d
ainsi qu'on l'observe sur les queues de larves de gre- nouilles en
état
de dégénérescence. M. Westphal n'a pu voir de n
otions morales scliock nerveux, maladies générales et infectueuses,
états
pathologiques se traduisant par un affaiblissem
t provocateur n'a jamais que provoqué l'hystérie laquelle était à l'
état
latent chez le sujet, ou s'était déjà manifestée
nt (Red.). 158 BIBLIOGRAPHIE. C'est bien de l'hystérie et non des
états
mal nommés hystéroides ni des hystéries ayant u
culine bien faite pour dérouter quand elle ressemble plus par son
état
mental sombre à l'alcoolisme qu'à celui des hysté
épileptiques, les idiots, les imbéciles et les enfants criminels. L'
état
psychique de ces ma- nifestations morbides se c
ait à des guérisons survenues sous l'influence de la suggestion à l'
état
de veille l'auteur conclut que toutes les guéri
e à profit sa col- lection où tous les cerveaux sont gardés dans uu
état
suffisant de conservation. C'est une partie du
plus ou moins fortes; l'amai- grissement des circonvolutions ; leur
état
chagriné et ratatiné, marronne, même, la présen
âgés atteints de plus d'épilepsie vraie, la coexistence des deux
états
est d'ailleurs fréquente. Enfin nous rap- porte
ion entre l'atrophie de la substance grise que nous étudions et les
états
plus marqués de kystes, et de sclérose lobaires
t gâteux, il présentait des convulsions allant jusqu'à un véritable
état
de mal. Il mourut dans un de ces états de mal;
s allant jusqu'à un véritable état de mal. Il mourut dans un de ces
états
de mal; de broncho-pneumonie comme la plupart d
nulle part elles ne sont groupées par nids comme on les trouve à l'
état
normal dans les régions motrices, ainsi que l'a
n'y a pas le caractère si expansif du paralytique, mais plutôt un
état
de torpeur , enfin la marche de la mala- die n'
a paralysie générale : depuis plus de 7 ans le malade reste dans un
état
à peu près stationnaire, et ce n'est pas ainsi
), I, p. 447.) Un homme d'une soixantaine d'années et amené dans un
état
comateux auquel il succombe quelques jours aprè
s graves, le blessé paraîtra revenu, et définitivement revenu à son
état
normal. Pourra-t-on affirmer que tout se borner
tte période, le blessé continue à agir comme s'il était dan s son
état
normal, et cependant, il est absolument in- con
'est-à-dire la veille du jour de son acci- dent, pour reconnaître l'
état
du chaland à la même profondeur de 22 mètres en
ès mauvaise, fièvre, céphalalgie intense, insomnie. Le 13 juin, son
état
n'avait pas changé, il avait des frissons. Cepe
approprié et par suite d'intempérances du malade avait passé à l'
état
chronique. C'est dans cet état que ce plongeur
empérances du malade avait passé à l'état chronique. C'est dans cet
état
que ce plongeur s'est décidé à faire sa campagn
s avant son départ (il y en a même qu'on met dans le bateau dans un
état
d'ivresse qui va jusqu'à les rendre insensibles
les; la vessie était légèrement prise. Pas d'autres troubles. Cet
état
paralytique a disparu au bout de trois jours. C
re et vagabondait, il refusait de travailler et se trouvait dans un
état
de torpeur intellectuelle qui ne lui per- metta
surtout dans deux régions : la peau et les fonctions psychiques. L'
état
morbide de la peau consistait dans un gonflemen
cegonflement était sur- tout remarquable aux mains et aux pieds. L'
état
psychique de ces malades présentait tous les sy
'est pourquoi l'auteur proposa de bap- tiser cette maladie du nom d'
état
crétinoïde. En outre l'auteur fit la remarque q
l'organisme et sa fonction défectueuse en forme d'im- bécillité. L'
état
de ces malades est proche de celui des animaux
ésente en fait d'anomalie psy- chique la particularité suivante : l'
état
dépressif avec symp- tômes de démence passa en
ux maladies. Il expliquelaprésencede la m-ucine par l'analogie de l'
état
embryo- logique des tissus : de même que dans l
ues endroits chauves de la tête se couvrirent de cheveux. En fait d'
état
mental dépression profonde, irritabilité, mauva
èrement ataxique. Le malade est très frileux. L'auteur rattache cet
état
à celui de crétinisme. En 1886, à paru le trava
hexie générale de l'organisme avec les particularités propres à cet
état
et parfai- tement analogues à celui que les neu
l'activité psychique s'altère profondément et va toujours jusqu'à l'
état
d'idiotie. Kocher propose de ne pas du tout ris
en général. On appela l'attention sur la possibilité de ce que l'
état
crétinoïde, apparaissant après l'extirpation de l
tale précède l'opération, on peut supposer que c'est à cause de l'
état
pathologique de la glande. Dans de pareils cas l'
soumis à l'extirpation de la glande thyroïde précède l'opération. L'
état
de crétinisme nous en donne le meilleur exemple
e. Ce qui est important c'est que l'on avait remarqué déjà alors un
état
général dyscrasique comme suite de l'extirpatio
ez ces animaux primates une maladie qu'on pourrait diviser en trois
états
successifs : .¡ 0 pérl'ode nerveuse; 2° période
ntissement de la motilité en général ; mais entre les ani- maux cet
état
n'apparaît clairement que chez les singes. Si l
inges. Si l'animal survitàcette période, il passe au troisième, à l'
état
atrophique, qui finit en marasme et mort. Dan
t le sang s'agrandit considérablement, et nous voyons apparaître un
état
de dyscrasie mucineuse ou de myxoedème. Horsley
e dyscrasie mucineuse ou de myxoedème. Horsley suppose que dans son
état
normal la glande thyroïde présente une sorte de
es n'atteignent pas leur transformation finale et s'arrêtent dans l'
état
mucoïde. De cette manière le sang changé ne don
paralysie; b, les centres psycho-corticaux supérieurs, en hébétude,
état
comateux avec exitus lelhalis. Les recherches e
nsûreté et la vacillation de la marche et une apathie complète. Cet
état
apathique fait place parfois à des accès d'exci
née était toujours affaiblie. Les animaux qui avaient survécu à cet
état
passaient à un état paralytique qui finissait p
ffaiblie. Les animaux qui avaient survécu à cet état passaient à un
état
paralytique qui finissait par la mort. La trans
des convulsions toniques et cloniques. Quant au myxoedème et à l'
état
crétinoïde, Munk les traite de symptômes accident
nner que des résultats assez peu satisfaisants au point de vue de l'
état
mental. Mais lorsque l'on eut enlevé près d'un mi
ce d'une température normale, il faut bien rejeter l'hypothèse d'un
état
inflammatoire du cerveau, au moins sous la form
hie blanche de la pupille. On peut se demander jusqu'à quel point l'
état
des nerfs optiques peut ici être considéré comm
at des nerfs optiques peut ici être considéré comme révélation de l'
état
du cerveau et spécialement des circonvolutions.
malade, consécutivement à la castration, aucune amélio- ration de l'
état
mental. Quelque temps après, ce malade réussit
ées : les obsessions sont toutes accompagnées de la conscience de l'
état
de maladie; elles sont héréditaires, rémittentes,
'alienés, a de l'asymétrie faciale et a eu des tics convulsifs. Son
état
est caractérisé par des accès de fureur conscient
urs une grande part à l'affaiblisse ni en du moi, qui constitue à l'
état
normal, le véritable régulateur entre les sensa
nations; dans la lypémanie hypocondriaque, on constate souvent de l'
état
saburral, de l'inertie gastrique, suivis fréque
e ra- mené pendant l'hypnose où les malades semblent revivre leur
état
second. Ces fugues diffèrent notablement des cris
e les hallucinations noc- turnes qui peuvent aboutir à un véritable
état
de mélancolie ou d'excitation. De plus, elles p
élires bien distincts, coexistants, mais non confondus; l'un dû à l'
état
mental préexistant, l'autre à l'intoxi- cation
et halluciné. M. Pierre JANET (du Havre) demande qui sera juge de l'
état
de santé des sujets observés. Pour arriver à ce
T pense qu'il n'existe pas à ce sujet de loi aussi formelle. Chaque
état
prend la sensation qui lui est le plus utile et
provoquer L'IIYP- NOSE ET augmenter la suggestibilité. Pour lui, l'
état
hypnotique n'est pas le sommeil, mais un état p
tibilité. Pour lui, l'état hypnotique n'est pas le sommeil, mais un
état
psychique particulier qui aug- mente la suggest
ant hypnolisable. D'ailleurs, la suggestion peut se faire aussi à l'
état
de veille. Quant au rôle thérapeutique de la sugg
ns. 111. Tarde (de Sarlat) fait remarquer que la femme porte, à l'
état
normal, les caractères de l'homme criminel. Et ce
au milieu, à l'éducation, à la physiologie des criminels et à leur
état
psychique. M. BxouanDEL met les anomalies sur l
t de la maison où elle habitait. L'émotion qui aurait dû aggraver l'
état
de cette prédisposition, l'a au contraire améli
s de nombreux cas, bien problématique. 1\i. GARNIER se basant sur l'
état
mental des traumatisés, les fait renlrer daus l
s qui dure vingt-quatre heures ; puis le malade récupère un parfait
état
de santé psychique et physique, y compris la sens
ômes objectifs; mais ce n'est pas la loi. Rien ne nous prouve que l'
état
d'hypnotisme s'annonce fatalement par un signe
rd de vue cette vérité qu'il n'est pas rare de voir méconnaître les
états
les plus fréquents, les plus légers d'hypnotism
l'hypnotisme n'aboutit pas à la catalepsie. Quoi qu'il en soit, les
état
hypnotiques les plus communs ne s'accompagnent
. Toute personne qui, du fait de l'aliénation mentale, n'est pas en
état
de veiller sur elle ou sur sa fortune, pourraêtre
Dans le premier cas, on a affaire à une maladie mentale; le second
état
peut être compatihle avec le fonctionnement phy
e de toute personne qui se trouve, quoique passa- gèrement, dans un
état
d'inconscience, ou qui traverse une période de
mentale; la loi recevra alors son application pour la durée de cet
état
ou de cette phase. Ce même paragraphe prévoit l
dans l'hospice fût limité au temps indispensable pour constater son
état
. Dès que l'aliéna- tion mentale est reconnue, l
s sur la manière dont ses instructions avaient été suivies et sur l'
état
des cellules destinées au dépôt provisoire des
avoisinant le quartier des incurables indigents. Déjà en 1887, leur
état
défectueux frappait M. l'inspecteur générai Fovil
est difficile de ne pas remarquer que les malades qui sont dans un
état
tel qu'on ne peut laisser aucun objet mobilier à
la pierre, permettent au be- soin de maintenir l'aliéné s'il est en
état
de démence furieuse ». A D..., le secrétaire gé
souvent informées, à la suite des inspections générales, du mauvais
état
des cabanons d'aliénés. Il faut bien reconnaîtr
avec un profond senti- ment de tristesse que nous avons constaté l'
état
pitoyable dans lequel se trouvent les malheureu
éné qu'ils songent quelque- fois moins à soigner qu'à mettre hors d'
état
de leur nuire. Il serait difficile, d'autre par
ituation d'être traités au début même de leur affection avant qu'un
état
chronique incurable se soit établi. . Ce n'est
ations Ca- naques et il n'était que temps de mettre fin à un pareil
état
de choses. La méningite cérébro-spinale a BER
inspections; faire de véritables ex- pertises médico-légales sur l'
état
d'un séquestré, en cas de procès; autoriser l'o
nts sem- blables ; mais dans cet intervalle, il se produit dans son
état
un grand changement dont il a conscience. Sa pa
de la parole ne s'est qu'amélioré, sans que l'élocution revînt à l'
état
normal. Les troubles intellectuels et moraux re
à l'état normal. Les troubles intellectuels et moraux restant en l'
état
. . Migraine ophtalmique. Il y a quinze jours, u
qui sont ordinairement transi- toires, qui ne puisse s'établir à l'
état
permanent : tels l'engourdissement de la face e
foyers, bien qu'il n'y ait pas de tissu con- jonctif véritable. L'
état
actuel de nos connaissances sur la névroglie no
ale n'est pas assez avancé pour que nous tentions d'interpréter ces
états
et de les rapporter à des modi- fications des c
um 336 anatomie pathologique. une altération dont on retrouve des
états
différents sur toutes les couches. Elles sont d
t n'offrent pas de prolonge- ments distincts. Enfin, à un troisième
état
, on ne voit qu'un noyau sphérique, avec un- pet
on voit dans un même champ du mi- croscope, sont à peu près au même
état
; tandis que, plus loin, on rencontre des groupe
tandis que, plus loin, on rencontre des groupes de cellules à autre
état
. Les capillaires dans ces deux couches sont ram
es nerveuses, disparition qui nous est expliquée par les différents
états
aboutissant à l'atrophie que l'on peut observer
nce blanche offre l'aspect d'une véritable émuision de myéline. Cet
état
, dû à la macération de la pièce dans l'alcool'
es convulsions avaient débuté à quatre mois, suivies d'un véritable
état
de mal convulsif. On trouve de plus notés des c
océphalie, épaississe- mient et adhérences des méninges par places;
état
chagriné des circonvolutions. Examen iiistolo
nouveau-nés, sur des coupes 'faites pour pouvoir comparer les deux
états
, la limite 'entre la première et la seconde cou
fre les mêmes caractères que ci-dessus. Dans le lobe occipital, l'
état
est le même. Il existe autour de beaucoup de va
ons, coïncidant il est vrai, avec les mêmes lésions d'atrophie et d'
état
chagriné à l'oeil nu. L'atrophie et l'état chag
lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L'atrophie et l'
état
chagriné des circonvolutions se retrouvent dans
s. Mort de broncho- pneumonie gangreneuse diffuse, consécutive à un
état
de mal. Examen IIISTOLOGIQUE. - Hémisphère droi
, aspect foetal du cerveau; arrêt de développe- raient, atrophie et
état
chagriné de la partie postérieure de l'aé- misp
isphère droit. Examen histologique. - Coupes du lobe frontal droit,
état
géla- tiniforme. Picro-cazmin et bleu de méthyl
e aérolaire qui expliquent l'affaissement de la circonvolution et l'
état
chagriné de la surface. Ces lésions sont à leur m
si formé, se créent des vides qui étaient remplis par un liquideà l'
état
frais. On a sous les yeux des cavités aréolaire
er un tissu aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expliquent l'
état
chagriné qui résulte de l'effondre- ment des co
de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l'
état
kystique aréolaire qu'on observe, beaucoup plus
e apparent, au lieu d'être disposées en séries verticales comme à l'
état
normal. Les couches suivantes de la substance g
ouche fibrillaire névroglique. Au-dessous, elle se montre sous deux
états
différents : sur certains points, la sériation
s bout à bout, beaucoup plus dis- tantes les unes des autres qu'à l'
état
normal et séparées par du tissu névroglique, à
nés sur des coupes et ne présentaient pas d'autres lésions que leur
état
légalement atrophique, semblable à celui qu'on tr
nous n'avons pu les rattacher, surtout celles de la névroglie, à l'
état
normal, montrer quels éléments s'hypertrophiaie
SUBSTANCE GRISE. 389 Obersteiuer. - Voies sanguines du cerveau ci l'
état
normal et pathologique. Anal, in annales médico
culaire, la diminution de la tension musculaire, et même les légers
états
parétiques de quelques groupes de muscles, sans
etc., etc. Lav... a été camisolé et emporté à l'infirmerie dans un
état
de grande surexcitation. On a dû l'attacher une
partie antérieure du tronc, mais elle est atté- nuée à gauche. Même
état
de la sensibilité à la partie postérieure du tr
et si la maladie se développe en bas âge, les sujets présentent un
état
d'idiotie MYXOEDÈME OU CACHEXIE PACHYDERMIQUE.
arement on voit apparaître dans des cas de myxoedème le délire ou l'
état
maniaque. Du côté delà motilité, nous voyons un
uer seulement que chez le garçon le myxoedème était accompagné d'un
état
créti- noïde des plus marqué; dans les cas des
ème était loca- lisé et occupait les pieds, les mains et la face, l'
état
mental 426 REVUE CRITIQUE. présentait les pre
pas d'augmentation dans son activité et on peut même se figurer un
état
ou le struma serait égal à l'absence de la fonc
ile d'aliénés; le père de la malade se suicida à vingt-cinq ans, en
état
de mélancolie. Pas de renseignements sur les pa
lus, elles duraient jour et nuit, autant lorsque la malade était en
état
de repos que lorsqu'elle se mouvait. A cela s'a
;mt6; une demi-année plus tard, une struma. Durant cette période, l'
état
de la malade élait oumis à des changements; tan
ations de la vue et de l'ouïe, manifestation de peur et de terreur,
état
de complète absence, inclination à la fureur. Cet
e terreur, état de complète absence, inclination à la fureur. Cet
état
dura pendant trois jours, après quoi la malade de
t trois jours, après quoi la malade devint tran- quille. Mais cet
état
de tranquillité n'était pas son état habituel pos
evint tran- quille. Mais cet état de tranquillité n'était pas son
état
habituel post- épileptique, dépressif, mais dur
IE PACHYDERMIQUE. 429 les gonflements disparurent complètement et l'
état
psychique de- vint normal. Il ne resta que les
cas ne sont pas rares où la glande thyroïde agrandie, pré- sente un
état
égalant parfaitement son extirpation totale; la
nserva que les symptômes de la maladie de Basedow. Pendant tout l'
état
myxoedémateux, il n'y eut pas de grands changem
umeur n'est pas due seulement à une violence subie, mais encore à l'
état
particulier soit des vais- seaux, soit du sang,
fois intéressante comme détermination cutanée et comme indice d'un
état
général. Chez un homme atteint de paralysie gén
e, octobre 988ï.) Dans le premier de ces deux cas. on constatait un
état
d'atro- phie et de dégénérescence plus accentué
compagnée d'amnésie, et, surtout après les crises convulsives, d'un
état
voisin de la paraphasie et (bien qu'à un moindr
ndre degré) de la surdité des mots ; toutefois, la coexistence d'un
état
de démence rendait l'appréciation de ces faits
ningite et à une hémorrhagie traumatiques localisées, ainsi qu'à un
état
pachyméningi tique, qui reconnais- saient à leu
up plus rares dans lesquelles la thrombose doit être rattachée à un
état
général ou constitutionnel. R. M. C. V. Trois c
i peu de symptô- mes alarmants, alors que l'un des poumons était en
état
de col- lapsus et que l'entrée de l'autre poumo
elle se calme graduellement jusqu'à ce qu'elle ait atteint le même
état
qu'au commencement de ce cycle respiratoire : a
gitant ne doit plus être considérée comme une névrose ; 2° que tout
état
constitutionnel susceptible de pro- duire de la
enne cépha- 442 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. lalgie occipitale et de l'
état
psychique (idées de persécution avec agoraphobi
majorilé : La Société médico-psychologique, considérant que dans l'
état
actuel de la science, toute tentative à l'effet
de pendant l'accès lui-même; l'orateur constata (il s'agissait d'un
état
de mal) dix à vingt secondes avant chaque accès
s épithéliums. Ce qui prouve qu'il faut rattacher l'albuminurie à l'
état
du cerveau.. ` M. Edinger (de Francfort). Du dé
is grammes. Le sulfonal fait disparaître l'angoisse en procurant un
état
de somnolence des plus sédatifs et calme les ma
n cela il a raison, il en prévoit le degré en se pré- occupant de l'
état
de la détermination volontaire et de son fonc-
torpide. Il s'agit notamment de malades ayant le sentiment de leur
état
mental et qui, par appréhension, sont bientôt p
on revien- drait au point de départ, on ramènerait les choses en l'
état
où l'on était avant l'introduction de la neuras
éthisme du stade d'agitation, ces deux périodes étant closes par un
état
de bien-être parfait jusqu'à ce que le cycle re
sfaisant. Passons aux idiots qui, sans être tout à fait réduits à l'
état
végé- tatif, n'ont guère dépassé le développeme
la quotité de la rente à ser- vir à ces invalides du travail. Leur
état
mental n'était pas tel qu'on dût les.envoyer da
musicales chez les), par Kast,153. Artério - sclérose généralisée (
état
des vaisseaux rétiniens dans l'), par Roehlma
Lemoine, 441'; - (bromure d'or dans l'), par Gou- bert, 442 ; - (
état
du fond de l'aeil dans l'), par Kuies, 445. E
Ces recherches ont porté sur' les animaux et sur l'homme sain ou en
état
d'insomnie et sont dues à différents auteurs :
térieur et même, dans certains cas, du train antérieur, apparaît un
état
de somnolence léger et passager que fait cesser
de quelques minutes généralement, de une heure ou deux au plus. Cet
état
de somnolence, nous l'avons obtenu, peu importe
inistrée à des doses toxiques, l'acétophénone produit rapidement un
état
comateux qui n'a rien de commun avec le sommeil
urines, on retrouve au contraire, du côté du système nerveux, un
état
d'anémie qui, suivant les doses, est limité à l
celles des auteurs dont nous avons rappelé précédemment les noms; l'
état
de som- nolence que nous avons signalé est, en
s autopsies le démontrent, les centres nerveux, et réalise ainsi un
état
de ces centres qu'on regarde assez voloutiers a
tions un véritable sommeil, sommeil qu'elle ne fait qu'ébaucher à l'
état
physiologique, et cela encore à des doses trop
s sa dépendance l'agitation maniaque et l'insomnie, peu importe l'
état
de vascularisation du système nerveux, nous n'a
comme le dit la malade, des douleurs d'es- tomac, nous ne savons, l'
état
mental du sujet ne nous permet pas d'élucider c
s forfaits dont ils sont accusés; au médecin chargé d'examiner leur
état
mental ils persis- tent à ne rien avouer. Cette
ubles physiques concomitants qui jetteraient un grand jour sur leur
état
; ils n'y ont pas pris garde ou leur mémoire rud
ette maladie comme forme mor- bide spéciale, et la rattachant à des
états
mentaux essentiellement différents. Les alién
parler en toute sincérité et assez intelligents pour analyser leur
état
, s'en souvenir et le dépeindre, ne laissent auc
t contre la marche envahissante de la folie, nul ne soupçonnera son
état
et l'acte criminel sera ainsi la seule manifest
entiment aussi altruiste que le précédent est égoïste. Revenu à son
état
normal par l'assouvissement de son instinct pat
e; coïncidant avec la transformation du caractère, elles révèlent l'
état
morbide du patient. Nous en avons des exemples
ases de l'évolution vitale qu'un rapport existerait entre elle et l'
état
des organes génitaux, d'autant plus que chez la
jamais donné aucun signe de folie, et qu'il était parfaitement en
état
de se rendre compte de la portée de ses actes.
stérie; depuis dix-huit mois, au dire de son médecin ordinaire, son
état
s'était beaucoup aggravé. Au moment des crimes,
étaient si marqués que l'opinion publique reconnut d'instinct un
état
intellectuel anormal chez l'incen- diaire. Troi
15 et le 16, il ne s'en préoccupa plus et parut de nouveau dans son
état
normal. Le 17, il fut de nouveau sombre et taci
ologique, l'incendiaire n'a pu nous renseigner complètement sur l'
état
de son esprit à ce moment, mais il nous a fourni
s l'enflamma à l'aide d'une allumette. Aussitôt il rentra, dans son
état
normal. L'impulsion disparut pour ne revenir qu
été atteint de violents maux de tête avec lassitude générale et cet
état
avait persisté une quinzaine de jours sans que
re très intelligent, et ce fait était en complète opposition avec l'
état
intellectuel habituel dans la pyromanie. Un cer
tuelle qui ne leur per- met pas de fournir des renseignements sur l'
état
de leur esprit au moment des crimes. III. Dan
succomba le lendemain à une péritonite. Quand il se sentait hors d'
état
de résister, ses colères étaient furieuses; il
ulbe ne présentent aucune anomalie, et sont absolument comme dans l'
état
normal. Les ventricules latéraux ne sont pas pl
nte sur les coupes, avec un développement qui semble au-dessus de l'
état
normal. L'examen microscopique à l'état frais e
qui semble au-dessus de l'état normal. L'examen microscopique à l'
état
frais et par dissociation permet de constater q
dans toutes le noyau est intact et visible. Enfin, on trouve à l'
état
de dissémination dans toutes les préparations une
la substance grise, c'est-à-dire les caractères de l'idiotie, et un
état
pathologique rappelant quelques-unes des lésion
e de voir. L'hypertrophie cérébrale constituait pour son cerveau un
état
acquis stationnaire, et compatible avec un fonc
des faces externes; la substance corticale est plus colorée qu'à l'
état
normal, la substance blanche est très injectée;
la substance corticale à la substance blanche sont les mêmes qu'à l'
état
normal; pas de 63 REVUE CRITIQUE. lésions loc
amollie. Presque partout la substance grise est plus colorée qu'à l'
état
normal : « les circonvolutions cérébrales ne so
dence ou absence d'un fond mental faible, présence ou absence d'un
état
psychoneurotique antérieur (manie ou mélancolie).
Cependant sous le nom d'Ectasa's paranoi.ra, il a décrit certains
états
secondaires d'exaltation mentale avec conceptions
lie systématisée. En plus Griesinger classe cette vésanie parmi les
états
secondaires d'affaiblisse- ment intellectuel ex
e forme secondaire nous trouvons une autre forme Wahnsinn (p. 357),
état
d'exalta- tion mentale avec conceptions déliran
ue avec la période prodromique de la paralysie générale et certains
états
d'excitation maniaque. A la même époque (185),
le substituant à celui de monomanie dû à Esquirol, et séparant ces
états
de la démence, à l'inverse de Griesinger. Ses d
e et dépressive, de certains délires systé- matisés comparables aux
états
héréditaires, le passage de l'hy- pochondrie au
antérieurement, admet maintenant avec Snell l'origine primitive des
états
mixtes (délires de persécution et de grandeur)
secondaires ; il va même jusqu'à l'exagération en admet- tant comme
états
primitifs non seulement des états psycho- neuro
'exagération en admet- tant comme états primitifs non seulement des
états
psycho- neurotiques, mais encore des maladies i
risth3 (1878) étudie les rapports des conceptions délirantes avec l'
état
émotionnel. Chez le maniaque et le mélancolique,
maniaque et le mélancolique, l'idée est secondaire et procède de J'
état
émotionnel ; ce serait l'inverse dans la folie
me une des terminaisons possibles des psychoneuroses 4, et comme un
état
secondaire d'affaiblissement psychique ; d'où l
es pri- mitives ; les folies secondaires seraient surtout l'issue d'
états
mélancoliques plutôt que d'états maniaques. 1
ndaires seraient surtout l'issue d'états mélancoliques plutôt que d'
états
maniaques. 1 Krafft-Ebing nie complètement l'ex
ie systématisée, déve- loppés à la suite de maladies fébriles, de l'
état
puerpéral, d'a- bus alcooliques. Junn$(188-2)
é. Kroepehn* (1883) distingue : 1° la Primâre herrüclcllzeit sans
état
de débilité mental et comprenant le délire des pe
ntée sur un fonds de dégéné- rescence et survenant plutôt après les
états
de dépression qu'a- près les états maniaques. I
ce et survenant plutôt après les états de dépression qu'a- près les
états
maniaques. Il tait ressortir comme Koch, Pel- m
NOÏA 75 Arndt' range la Paranoia parmi les psychoses atypiques ou
états
d'affaiblissement psychique et il en reconnaît de
alades n'ont pas d'hallucinations, ils peuvent guérir ou passer à l'
état
chronique. La forme chro- nique peut se diviser
r de tout petits élé- ments nerveux pauvres en prolongements ; même
état
d'atro- phie comparative à l'égard du groupe de
HYSIOLOGIE. 87 nerf optique droit atrophié, sans autre lésion qu'un
état
trouble des méninges molles, présentait quantit
ies mentales ; aussi était-il tout d'abord nécessaire de rappeler l'
état
actuel de nos connaissances sur celle grande vé
Esquirol, se trouvait, de ce jour, nettement isolé et constitué à l'
état
d'unité nosologique. L'édifice construit alor
le malade qu'on trouve inquiet, concentré, replié sur lui-même, en
état
permanent d'éréthisme psycho-sensoriel, aborde,
pas moins d'une manière permanente, pour ne pas être sans cesse en
état
de manifestation bruyante. Chez les intermitten
é consomme sa propre substance. - Dans maints cas, on maintiendra l'
état
des forces, du moins 4 Voy. Archives de Neurolo
d'alcool dilué. - Expectation circonspecte, contrôle incessant de l'
état
du malade, repos au lit, observation précise, m
l'acte incriminé se « trouvait, au moment où il l'a perpétré, en un
état
d'incons- « cience ou de trouble pathologique d
ide. C'est au juge, au juge seul, qu'il appartient d'apprécier si l'
état
d'inconscience ou de trouble psy- chopathique c
on de conceptions étrangères et indé- pendantes de la mélancolie, l'
état
de l'humeur également dif- férent de celui du m
3° elle parait d'autant plus curable qu'elle se rapproche plus de l'
état
de simplicité; 4° les BIBLIOGRAPHIE. 119 hall
les crimes de cette nature, l'auteur ne se soit pas préoccupé de l'
état
mental des violateurs et de leurs victimes ; s'
ent la permis- sion d'examiner le sujet et la liberté d'étudier son
état
et les symptômes de son mal. Les parents et la
rent unanimementet prêtèrent même serment de leurs paroles, que cet
état
durait depuis one mois environ, et que, pendant
rba entièrement et égala la maigreur du ventre. Le sujet arriva à l'
état
d'amai- grissement où on peut l'observer mainte
la fille, comme cette dernière restait continuellement dans le même
état
, on fut suffisam- ment convaincu qu'il n'y avai
connu qu'elle était toujours demeurée chez ses parents dans-le même
état
, vivant sans boire ni manger. Nous avions eu ce
e narration. Aucun chan- gement notable ne s'était produit dans son
état
et il n'y avait aucun doute, d'après nous, que
ous avons expliqué dans la première narration, comment et dans quel
état
nous avions observé ' pendant l'été et pendant
aissance, et me saisit la main droite. A la vérité nous trouvâmes l'
état
de son corps à peu près semblable à ce qu'il ét
ment allait sa soeur malade, il m'assura qu'elle était dans le même
état
, et surtout qu'elle semblait plus faible pendan
rvée : il suffirait de la rajeunir, de la mettre en harmonie avec l'
état
actuel delà société, de la compléter con- formé
ue soit la loi de 1838, elle n'est plus en harmonie complète avec l'
état
actuel de la société. Inattaquable dans son esp
morale; apprécier l'influence de la thérapeutique et du temps sur l'
état
mental; affirmer la guérison et fixer l'heure de
l'internement : admis- sions, maintenues, sorties; pour constater l'
état
moral et en suivre les modifications ; se préoc
r un acte qui appelle une répression pénale, ayant des doutes sur l'
état
SÉNAT. 151 mental du militaire qui l'a commis
lus aucune surveillance, aucun contrôle de l'Etat. Il est tombé à l'
état
de service purement dépar- SÉNAT. 153 tementa
i vu bien des choses : jamais une société n'est arrivée à un pareil
état
de désorganisation. C'est effrayant ! Il faut,
ien ne peut altérer, pour qu'il reste encore quelque chose de notre
état
social. (Très bien ! à droite.) Je passe à la
de représentation mentale volontaire de ces mêmes mots : Bien que l'
état
de l'imagination orale 1 Bernard. Loc. cit., p.
ion brute et inconsciente des mots se produit assez fréquemment à l'
état
patholo- gique; il me suffira de mentionner le
qui nous occupent, j'ajouterai que l'on a pu constater, soit à l'
état
physiologique, soit à l'état pathologique, le f
erai que l'on a pu constater, soit à l'état physiologique, soit à l'
état
pathologique, le fonctionnement normal d'une se
s gens qui font des fautes d'articulation et qui se reprennent; à l'
état
nor- mal, un peut prétendre que ces gens-là se
aphasiques par lésion du centre de Broca qui ont conscience de l'
état
défectueux de leur articulation; chez ceux-ci l
a cru remarquer qu'elles se produi- saient moins quand il était à l'
état
de repos, tandis qu'elles étaient provoquées et
es par le mouvement, surtout un travail pénible, des émotions ou un
état
général de fatigue; aussi le travail lui est-il
uelle les secousses ont persisté. Voici ce que nous avons noté de l'
état
du malade à son entrée a la clinique : Constitu
on avec l'intensité des accès, fièvre qui peut mêmer accompagner un
état
purement comateux radicalement dépourvu de phén
s avons posée sur l'élévation considérable de la température dans l'
état
de mal épileptique. Toutefois, avant d'aborder
mpoisonnement, de persécution, etc. Cette forme guérit ou passe à l'
état
chronique. Elle peut succéder à des maladies ai
e à l'état chronique. Elle peut succéder à des maladies aiguës, à l'
état
puerpéral, à des accès hystériques ou épilep- t
au complexus psychique s'est montré dès la première semaine après l'
état
mélancolique. Il est extrêmement difficile de d
matisation et dont la teneur varie; e, un type décrit sous le nom d'
état
de folie systématique ( Wahnsinn), abortive aig
aiblissement intellectuel; aussi la classe- t-il dans le groupe des
états
d'affaiblissement mental, qui sont presque touj
nion de Krafft-Ebing. Ces délires sont pour lui l'expression d'un
état
mental faible par leur étiologie, leur marche con
n étant différenciées par ce fait que le malade a conscience de son
état
'. Quant à la nature clinique de ces délires, M
dus cas de lypémanie avec délire des persé- cutions dans lesquels l'
état
mélancolique est secondaire. 4° Les folies hypo
aines plus tard, strabisme; trois semaines encore, au mo- ment où l'
état
local semble satisfaisant, agitation, divagation,
eutique, mais comme coerciteur laissant souvent les malades dans un
état
d'apathie et de dépres- sion (trois observation
de Peyer; coloration argileuse des matières fécales ; congestion et
état
gras des reins; coeur gras; sang de couleur laq
Biriz, ont démontré qu'il paralyse les centres vaso-mo- teurs à l'
état
de chloroforme ou de chlore (inspirations suspi-
jonctivite, il ne se présente plus qu'un mode de traitement. Dans l'
état
hystérique, on doit agir sur les nerfs sensitif
Féré a insisté sur l'influence des excitations périphériques sur l'
état
dynamique et dans une note spéciale, il a étudié
st toujours vu blanc. Le surlen- demain, les choses sont restées en
état
; dans cette troisième séance, je fais deux séri
n des couleurs sans que j'ai renouvelé les excitations et malgré un
état
de mal hystérique et des attaques très nombreuses
ue; d'ailleurs ce fait n'a rien d'étonnant, car on sait que, même l'
état
normal, les sens se développent par l'éducation
les expériences de M. Féré, est celle qui a le plus d'action sur l'
état
dynamique. Kunkel a montré au-si que le rouge p
énommer par un terme unique suffisamment clair cette suc- cession d'
états
psychopathiques reliés entre eux d'une façon si
ANTES. d'emblée, avec les caractères qui lui sont propres, après un
état
mélancolique vague, avec peu d'idées de persécu
cusée que les démences organiques, elle se manifeste surtout par un
état
d'incohérence. M. Dagonet nous dit que le délir
le en faisant trans- férer dans un asile public les prévenus dont l'
état
mental néces- sitait un examen pouvant être pro
iquée de bronchiopneumonie, à convales- cence longue. Enfin parfait
état
de santé physique et psychique. Il n'a jamais p
nt que le tribunal ait entendu un ou plu- sieurs spécialistes sur l'
état
mental...», tandisque le § 368 du Code civil la
égories de malheureux qui sont admis' comme aliénés, parce que leur
état
mental les rend plus ou moins impropres à la vi
us les individus, tels que les malheureux en démence sénile, dont l'
état
n'est pas susceptible de traitement; on devrait
resque toujours confondus. L'idiot est laissé partout en France à l'
état
de non-valeur sociale absolue, et il offre enco
- ment, à accepter le troisième paragraphe. Quel est, en effet, l'
état
de la question ? On reconnaît que les asiles d'al
ticle 5 ! 0, ainsi couçu : «Selon les caractères de sa miladie et l'
état
de sa fortune, le conseil de famille pourra arr
arents à faire, dans le délai de trois mois, une déclaration de cet
état
d'aliénation au procureur de la République. M
(Leloir). L'auteur 'étudie en détail les symptômes de la période d'
état
: -. Il l'anesthésie souvent d'une remarquable
os et des articulations, les mutilations. AI. Leloir donne enfin l'
état
de la scorie sur les lésions des nerfs de la mo
nographie. Ces différentes parties sont des exposés compacts de l'
état
actuel de la science sur ces différentes question
aitement dirigé contre le mal vertébral lui-même. CE. F. XI. De l'
état
de la sensibilité cutanée, dans le rhumatisme art
. ScuTEiNBEM (Arch. de,Psych., t. VI, n° 4,1885. Kharcow). IL Sur l'
état
des aliénés dans le sud-ouest de la Russie, par
maladie con- tagieuse. 11. Alors que presque partout ce sont les
états
provinciaux (Zemstwa) qui s'occupent des hôpita
En 18o les établissements de charité passent entre les mains des
états
provinciaux. Immédiatement une nouvelle maison se
mais presque aussitôt le pouls et les pupilles sont revenus à leur
état
normal. Les accès semblent dans ces derniers
st accéléré à la fin de l'accès, reviennent presque aussitôt à leur
état
normal. Cette variété d'accès, paraît-il, se ra
rieures et inférieures, de la tête ; la parole était saccadée ; cet
état
a duré une demi- heure. Les mômes mouvements ch
erait jusqu'au pli de l'aine, mais il est difficile, en raison de l'
état
intellectuel de V..., de lui faire préciser la
;o ? e sous l'influence d'une médication éthérée. Amélioration de l'
état
mental coïncidant avec la marche de la tubercul
dans l'attitude d'un mélancolique. Nous ver- rons graduellement cet
état
s'accentuer et s'aggraver, jusqu'à la lypémanie
s. N'a toujours pas eu d'accès épileptiques. Pas de violences. Même
état
mental Même attitude. Trem- blement assez prono
s, petites. Oreilles petites, ourlées, sans lobule. CD Juin. Même
état
. Se tient immobile comme une statue, ne réponda
Devient gâteux. CAS DE MELANCOLIE AVEC STUPEUR. 357 Octobre. Même
état
Reste des heures entières debout, dans la cour,
t les courants continus, qui n'amènent guère de changement dans l'
état
de la sensibilité. Le malade sent sans doute les
ts Daniell, sans résultat. Bains sulfureux. 1882. 8 Janvier. Même
état
. Tentative infructueuse d'hypnotisme. 9 Janvi
mobilité. Refus de manger. On est forcé de le nourrir à la sonde. L'
état
gé- néral reste satisfaisant. 1884. Janvier.
a laisse dans la position qu'on lui a donnée, comme s'il était en
état
cataleptique, mais on voit qu'il fait effort pour
pas, ne crache pas. Avril. Un certain changement s'est opéré dans l'
état
de G... Il s'est mis à vomir ce qu'on lui donna
acte ses muscles de la face, et crie : Holà ! 1884. Septembre. Même
état
de mélancolie stupide. Etat général assez bon.
fusil, et marmotte des paroles incohérentes. 1885. Janvier. Même
état
. -Les excitations très fortes, les brûlures, le
nférieurs commencent à se raidir. 3 heures. Il est retombé dans son
état
habituel. Le soir à 9 heures et demie, nous arr
nées, si ce-n'jest quand on l'enivra le mois dernier. Avril. Même
état
. Cependant le malade maigrit. Mu- tisme et état
nier. Avril. Même état. Cependant le malade maigrit. Mu- tisme et
état
catalepti forme. 22 Juin. - Depuis quelques jou
elle du côté droit quoique celle-ci soit déjà plus en relief qu'à l'
état
normal. Le lobule paracentral est plus saillant
qu'à l'état normal. Le lobule paracentral est plus saillant qu'à l'
état
normal aussi bien du côté droit que du côté gau
ttre que cette hypertrophie était plutôt apparente que réelle, vu l'
état
de ratatinement des circonvolutions voisines ;
il entend le son de la voix, bien qu'avec moins de netteté qu'à l'
état
normal. On a beau élever la voix, B. Louis ente
bien que perçus, ne l'étaient pas avec la même inten- sité qu'à l'
état
normal. Voilà donc trois faits dont le premier
a surdité verbale aussi com- mode et aussi complète que le permet l'
état
actuel de nos connaissances ; et ne serait-ce q
laire de la main droite; les jambes étaient à peu près dans le même
état
qu'auparavant. le malade pouvait faire des cour
les doigts étaient à peu près complètement fléchis, et presque à l'
état
où on les trouve. C'est seulement'à partir de m
endant, aux pieds les tendons extenseurs sont plus saillants qu'à l'
état
normal. La première phalange des orteils, sauf
llons nasolabiaux ne semblent pas notablement plus accentués qu'à l'
état
normal, le menton ne présente pas les petites d
impossible l'examen des circonvolutions motrices nous a mis hors d'
état
de faire ces recherches ; nous ne pouvons qu'en
re ou prodromique de Paranoïa, dont elles diffèrent cependant par l'
état
de conscience du sujet. 11-fant enfin (comme l'
s indépendantes de toute cause occasionnelle constatable ou de tout
état
morbide émotif, qui a une marche ni uniforme ni
- lisme), etc... Quant à la genèse de ce délire, il survient sans
état
morbide émotif antérieur, il s'accompagne d'hal
que rationnelle. Or, ne sont-ce pas là des signes suffisants d'un
état
de dégénérescence mentale ? Morselli3 (1886) ra
décrite sous le nom de folie sensorielle aiguë et placée à côté des
états
maniaques et mélancoliques. L'autre, la folie s
e ce délire systématisé de négation est toujours secondaire à des
états
mélancoliques, le plus souvent anxieux, au lieu d
és, peuvent se diviser en quatre degrés suivant le niveau de leur
état
mental : 1° l'idiotie; 20 l'imbécillité; 3° la dé
cillité; 3° la débilité mentale; 4° les dégénérés supérieurs. Or, l'
état
mental de ces derniers, par les anomalies du ca
énérés supérieurs, M. Magnan fait la synthèse d'un certain nombre d'
états
particuliers qu'il désigne du nom de syndromes
ats particuliers qu'il désigne du nom de syndromes épisodiques. Ces
états
caractérisés par l'obses- sion, l'impulsion ave
qui considèrent ces troubles psychiques comme caractéristiques d'un
état
de dégé- nérescence ' (stigmates psychiques).
n analogue à celle des délires des dégénérés à évolution chronique (
état
mental particulier, début insidieux et progressif
r que les idées de persécution ou de grandeur pouvaient exister à l'
état
isolé, ou bien que si on les rencontrait chez l
les formes de délire que l'on rencontre chez les dégénérés, leur
état
mental, les syndromes épisodiques, les délires d'
ppelons un travail antérieur de M. Saury 3 qui avait étudié aussi l'
état
mental des dégénérés, les syndromes épiso- diqu
emble que cette variété aiguë est très comparable tantôt à certains
états
mélancoliques plus ou moins accentués, souvent
vent avec stupeur, parfois avec dépression ou anxiété, tantôt à des
états
d'excita- tion maniaque simples ou symptomatiqu
us qu'une forme de délire systématisé simple- ment secondaire à des
états
maniaques ou surtout mélancoli- ques, dont elle
c KrafftEbing en faire justice et les mettiesous la dépendance de l'
état
pathologique dont elles font partie. Ce- pendan
et de leur structure; affai- blissement de l'activité du coeur); l'
état
du ramollissement correspond à l'époque de l'ic
topsie, on constate épaississement des parois du crâne, synostoses,
état
trouble de la pie-mère avec adhérences au cerve
des plus récentes méthodes de Weigert, de la corne postérieure à l'
état
normal et dans le tabes dorsal. La corne postér
ES. 421 défaut de soudure des deux sacs cutanés dont la réunion à l'
état
normal forme la double poche scrotale. Ces deux
du pseudo-vagin (utrécule prostatique). Cette disposion rappelle l'
état
normal, c'est-à-dire les rapports de l'utrécule p
'a pas permis à l'ob- servateur d'obtenir aucun renseignement sur l'
état
psychique de l'enfant. Tout ce qu'on peut savoi
n'est qu'une phase souvent la plus longue et la plus apparente de l'
état
vésanique désigné du nom de délire chro- nique.
à l'objection, il s'est défendu d'avoir jamais voulu confondre cet
état
avec la démence organique vraie. 426 SOCIÉTÉS S
ont de l'embarras gastrique plus ou moins accusé, etc. Voilà pour l'
état
physique. C'est l'imagina- tion qui fera le res
s'atténuera et il ne testera de toute celte logique apparente qu'un
état
plus ou moins accusé de démence. On peut enco
-être l'avantage de conserver l'ancienne expression sous laquelle l'
état
maladif est déjà connu tout en la complétant pa
M. de Rochas, il est facile de s'assurer si le sujet est ou non en
état
de sommeil somnambulique ou de suggestion hypno
pnotique. S'il est insensible c'est qu'il est dans l'un de ces deux
états
et par conséquent irresponsable. M. JOURNIAC co
mittente. Cette jeune fille qui se rend un compte très exact de son
état
est poursuivie depuis son enfance par une foule
e catégo- ries d'après l'acte délictueux, sans tenir compte de leur
état
' Voy. Aicliîves de Neurologie, XIII, p. Hj.
leur traitement est extrêmement difficile parce qu'ils sont dans un
état
mental particulier, qu'ils sont madrés, rusés.
ent qui jette la plus grande perturbation dans une exploitation à l'
état
libre. Mais les conditions favorables peuvent ê
celui de ses parents ou des personnes qui en tiennent lieu, si l'
état
d'aliénation mentale n'est pas constaté par deux
e par le juge de paix du canton, qui s'assurera par lui-même de l'
état
du malade et renouvellera ses visites au moins un
ent d'aliénés de toute personne, interdite ou non interdite, dont l'
état
d'aliénation, dûment constaté par un certificat m
rondissement, lequel n'a pas la possibilité d'aller s'assurer de l'
état
du malade, mais qui peut seulement, en s'inspiran
en quelque sorte une démonstration anatomique de la réa- lité d'un
état
particulier du système nerveux. Un siècle de diva
qu'on ait pu faire et la description qu'il a donnée des différents
états
connus sous le nom d'hypnotisme, il est certain
yroïde comme ré ferait l'exérèse totale. Elle ne produit donc pas l'
état
crétinoïde, le myxmdème, comme à la suite de ce
e janvier 1887, le Dr H. M. Hurd, médecin en chef de l'asile de l'
état
de Michigan à Pontiac, recommande le monobromure
ux. L'organe de toutes les impressions reçues de l'organisme dans l'
état
conscient, l'organe des impulsions de la volont
rimentale les endroits du cerveau où se trouvent les tissus, dont l'
état
parfait de santé forme une condition sine qua n
ns ces cavités amènent à la perte permanente de la conscience, à un
état
soporeux, au coma, d'où le retour aux fonctions
llucidi une tu- meur de petite dimension, probablement une gomme en
état
de décom- position. Ainsi les maladies de l'h
e de la pensée. Ces processus psychiques peuvent se produire dans l'
état
conscient et dans l'état inconscient, selon qu'
ssus psychiques peuvent se produire dans l'état conscient et dans l'
état
inconscient, selon qu'ils arrivent dans la sphère
te de la connaissance et la prostration de l'animal. reste dans cet
état
3-24 heures, et il meurt sans avoir repris conn
couchée sur les jambes de devant et touten restant immobile dans un
état
inconscient, il émettait des sons plaintifs, to
cas, à léser le corpus du fornix lui-même. L'animal se trouvait en
état
de perte complète de la conscience, de laquelle
ahlement à la perte prolongée ou définitive de la cons- cience, à l'
état
soporifique et au coma. Il nous reste encore l'
lui une perte complète de la conscience et il mourut aussi dans cet
état
inconscient. En terminant mon travail, je dois
ve qui survient quelque temps après que les membres sont restés à l'
état
flasque. En résumé jusqu'à Bouchard la contract
malade depuis des années. Donc la contrac- ture d'un muscle est un
état
permanent d'activité, puisque la contracture en
ettre, d'accord avec son maî- tre Charcot,que la contracture est un
état
de strychnisme permanent delà moelle. Charcot
xpérimental et le strychnisme spontané, comme Charcot caractérise l'
état
tétanique des cellules des cornes antérieures d
assive, ainsi que le croyait Follin ; elle relève au contraire d'un
état
d'excitabilité musculaire exagérée. C'est, on n
qu'il reconnaisse que les centres moteurs médullaires se trouvent en
état
d'excitation exagérée au cours de la contractur
au cours de la contracture les centres moteurs médullaires sont en
état
d'excitation, la force inhibitrice ou frénatric
ns par contre que pendant les processus morbides il se développe un
état
d'excitalion quelconque dans les organes centraux
le système nerveux qui sont excités pendant la contracture, d'où un
état
d'excitation, ce que disaient également Charcot
. 32 - NOICA Parmi les auteurs qui ont étudié ces mouvements il l'
état
normal un des premiers fut Millier (1 ). Quant
LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 3 en extension, parce que même à l'
état
normal les extenseurs du membre inférieur sont
tisfaire. Mais si nous résumons la théorie de Bastian-Jackson : à l'
état
normal le cervelet excite les cellules des corn
tus. Dans les mois qui suivent il n'y a pas grand changement dans l'
état
de la paralysie ; la marche est presque impossi
ilité, et ces symptômes cliniques sont bien en con- cordance avec l'
état
anatomique du lobule paracentral, dans lequel on
e au milieu des tissus nécrosés des fragments d'écorce cérébrale en
état
de conservation relative (1). Or, si ces formes l
gauches avec conservation de la motilité. Pas d'hémiplégie. Pas d'
état
spasmodique. Epilepsie. Mort à l'âge de 47 ans. L
47 ans, entrée à l'Hospice cantonal de Genève le 31 janvier 1902, en
état
rl'asystolie et de délire, et morte le lendemai
t les circonvolutions temporales occupent un niveau plus élevé qu'à l'
état
normal. ,, Sur les coupes suivantes, passant
n complète delà région rolandique inférieure, qui y fait passer à l'
état
normal ses fibres de projection). Cet étaleme
eptique depuis la puberté. Fait impor- tant, on ne constatait pas d'
état
spasmodique du côté gauche du corps; on compren
de ne pas trouver dans les symptômes cliniques, en même temps que l'
état
dystrophique de ce membre supérieur, une altérati
dans le nombre de ses éléments conducteurs, mais occupant comme à l'
état
normal toute la capsule interne et tout le pied
elle n'a pas empêché cependant le segment périphérique de subir un
état
dystrophique, prédominant à la main et à l'avant-
vie intra-utérine ; le segment périphérique corres- pondant est en
état
de dystrophie mais sans présenter de paralysie mo
état de dystrophie mais sans présenter de paralysie mo- trice, ni d'
état
spasmodique. La comparaison de ces deux malades,
lade insiste sur ce point. Etat actuel (mai, 1907) (Pl. V et VL). L'
état
général est excellent, le visage est gai,il ne
lésions sur un doigt ou un orteil échappent à toute règle connue. L'
état
général est resté excellent : on ne remarque co
ès s'ac- compagne de cyanose et « il persiste entre les attaques un
état
de torpeur et d'hypothermie locale avec un peu
17 septembre 1907, jour où elle eut une perte de connaissance. Son
état
de santé générale était bon ce moment, mais dep
aussi marqué à droite qu'à gauche, et en relation évi- dente avec l'
état
général, il n'existe, pas plus sur la jambe gauch
signification symbolique et qui devraient être la conséquence d'un
état
de délire, sont bien plus fréquents dans la dém
rai qu'on a décrit de ces apparats symboliques, en rapport avec des
états
de conscience essentiellement dépressifs de dém
s jus- qu'au moment de l'examen de la personne malade; comparer son
état
présent au premier; bien examiner, avant de con
la bizarrerie des statues delà villa Polagonia, près de Païenne, un
état
psychopathotogique des auteurs : il parle çà et
rler, altérations plus ou moins distinctes, selon les cas. Et entre l'
état
normal et l'état morbide, il y a un point incer
lus ou moins distinctes, selon les cas. Et entre l'état normal et l'
état
morbide, il y a un point incertain, oscillant, de
crire ses fines harmonies, si son habit de fête n'était pas dans un
état
parfait, avec ses dentelles bien repassées, et
tion de soi-même..lIs : sont déjà dans l'erreur et aux limites de l'
état
normal, les individus qui choisissent, par une
et les figures 9 et 10. Et cela, pour des raisons variées : pour l'
état
de repos relatif, parce qu'il peut avecson inte
oit dans les figures 1, 8 et 10) ; et qu'un malade déjà arrivé à un
état
d'agitation assez grave ne pré- sente jamais, à
au moins des 24 cas où les auteurs ont donné des indications sur l'
état
du crâne. Dans les cas que j'ai étudiés personn
ux, on se rend aisément compte des dimensions de cette loge et de l'
état
des parties profondes. On voit que la circonvolut
ment rapide de la tumeur. Puis les choses sont restées dans le même
état
jusqu'à la mort. Pendant toute cette longue pér
u tissu nerveux : dilatation des gaînes myéliniques, tuméfaction ou
état
sinueux des cylindraxes, épaissis- sement diffu
changea brusquement et se manifestèrent des symptômes du côté de son
état
mental. Elle se fit triste, taciturne et commen
bien conservée. On n'arrive pas à se rendre un compte très exact de l'
état
de la sensibilité tactile et thermique, car la
é semble intacte. On ne peut pas être exac- tement renseignés sur l'
état
de la sensibilité tactile et de la sensibilité pr
e la sensibilité tactile et de la sensibilité profonde à cause'de l'
état
mental de la'malade, ainsi que l'on a vu pour les
rs méthodes pour être renseigné le plus exactement possi- ble sur l'
état
précis de leur structure qui, à un premier examen
n cellulaire aiguë des cellules segmentaires qui retourneraient à l'
état
em- bryonnaire,donnant naissance à des cellules
de la moelle épinière ne seraient pas suffisantes pour justifier l'
état
de complète désagrégation des nerfs périphériques
peu près normal. Il y aurait donc une proportion manifeste entre l'
état
pathologique des cellules et celui de ieursproi
racines médullaires, ce qui semble creuser un fossé profond entre l'
état
anatomo-pathologique du système nerveux périphé
s les autres groupes musculaires qui ne sont pas paralysés sont à l'
état
de contracture. A cette conclusion de Mann, nou
ont pas contractés, comme étant non seu- lement paralysés, mais à l'
état
d'hypotonie, de relâchement (Mann), nous réservon
itudes des membres absolument analogue à celles qu'on voit dans les
états
de contracture. L'importance de ces mouvements po
en est plein, et elles enivrent un cerveau beaucoup plus modeste à l'
état
normal. Pensant qu'il est très probablement aus
, sculpture, mode- lage, de l'auto-observation médicale, etc. A ces
états
d'excitation qui, très exceptionnellement, ont
ambes. Celle dernière avait l'apparence d'un éléphantiasis modéré ; l'
état
t des jambes est celui qu'on retrouvera en 1906
t. L'enflure des jambes n'était pas augmentée à ce mo- moment, et l'
état
local s'améliora peu à peu ; vers le 26 janvier e
évrier elle était bruyante et elle continuait à être malpropre. Cet
état
anormal se prolongea en mars, avril et mai, mai
lle resta au Guy's Hospital du le' novembre au 1er décembre 1906. L'
état
de ses jambes à ce moment est montré par les phot
ez modérée, et il a aussi souffert des « atta- ques aiguës ». Son
état
actuel n'est pas mieux venu sur la photographie (
rmal dans les bruits du coeur ; tous les viscères semblaient en bon
état
. La cuisse était alors moins enflée, et le geno
enflés et moins rouges ; le lendemain, le malade était revenu à son
état
normal d'oedème, l' « attaque aiguë » ayant dur
eur de la jambe s'en était allée et l'enflure était reve- nue à son
état
habituel. Ces attaques sont toutes de même cara
tions qùoique elle reste un jour ou deux encore mal en train. Son
état
est le suivant : Les orteils sont tuméfiés sur
dont l'observation est le point de départ de tout ce travail ; son
état
a été décrit en détail ci-dessus. Mary qui vien
de 12 ans, a commencé à être atteinte de l'oedème des jambes. Son
état
n'est pas encore très mauvais, mais elle est obli
la cuisse et sur la jambe, étaient de- venues plus visibles qu'à l'
état
normal, mais elles n'étaient pas proémi- nentes
expli- cite ; mais, étant donnée cette histoire, il est clair que l'
état
d'Alice se rap- 192 HOPE ET FRENCH proche bea
comptons 13 cas sur 42 personnes de 5 gé- nérations. En France cet
état
morbide est appelé maladie de Meige. S'il faut
ulté pour certains cas, peut ordinairement être rejeté du fait de l'
état
normal du reste du corps, par la présence de la
parce que l'administration de l'extrait thyroïdien n'améliore pas l'
état
des jambes. Il est évident qu'il existe une cau
incipales semblent pouvoir être incriminées dans la production d'un
état
de ce genre : 1 Obstruction veineuse ou thrombo
s d'espèce ; il peut très bien s'agir de variations familiales d'un
état
essentiellement le même. Comparaison avec les d
à un âge variable, comme dans nos propres cas. Le traitement de cet
état
. Il n'est guère besoin de traitement dans la pl
et d'appliquer des topiques anodins sur les régions affectées. L'
état
de notre propre malade ne pouvait être maintenu d
inc, et d'autres encore. Rien n'apporta la moindre modification à l'
état
de la jambe. Un observateur a obtenu des avanta
s le cas d'Alice Wher- rell, il semble tout à fait impossible que l'
état
normal puisse être rappelé. Le point important
es aiguës » dont nous avons donné les détails en temps et lieu. Cet
état
diffère objectivement beaucoup de la maladie de
ue, mais nous avons des raisons de croire qu'il existe sous ces trois
états
morbides et nos cas de maladie de Milroy une co
vert par Baumann en 1895. L'iodothyrine de Baumann n'existe pas à l'
état
libre dans la glande ; elle est combinée aux al
décrits et interprétés à part. Je passerai donc rapidement sur l'
état
mental des myxoedémateux,pour m'étendre davanta
es arriérés, les hypothyroïdiens chroniques d'Hertoghe, etc. 1. L'
état
mental des myxoedémateux. Le myxoedème est un s
génital est moins complet ; tous les symptômes étant moins accusés, l'
état
intellectuel est plutôt celui de l'imbécile que
t parfaitement voisiner avec des troubles squelettiques intenses. L'
état
mental du myxoedémateux in- fantile est celui d
ne esquisse très rapide, parce qu'on la trouve partout détaillée, l'
état
mental des myxoedémateux. Je n'ai pas à faire à
tat mental des myxoedémateux. Je n'ai pas à faire à part celle de l'
état
mental des crétins. Le créti- nisme, en effet,
te la démonstration du rôle de l'in- suffisance thyroïdienne dans l'
état
mental des myxoedémateux. Voici, à titre d'exem
seule fait l'infantilisme vrai, qui n'est pas une dystrophie, mais un
état
morphologique. On voit la netteté de l'opinion
On voit la netteté de l'opinion de M. Brissaud. Dans ces cas-là, l'
état
mental, qui le puérilisme, est donc en rapport
n et non avec des perturbations toxiques d'origine glandulaire. L'
état
mental est lié à une anomalie de structure et non
ement du syndrome d'hypothyroïdie et, d'autre part, pour juger de l'
état
curateur, la contre-épreuve est impossible. II.
tiples et variétés qu'on peut observer chez les basedowiens. a) L'
état
psychique habituel des basedowiens. Basedow ava
des sentiments effectifs, tels sont les caractères principaux de l'
état
psychique des basedowiens. Interprétation. La
rétation. La nature thyroïdienne des modifications habituelles de l'
état
psychi- que des basedowiens ne paraît plus cont
er- sistante suscitèrent des idées hypochondriaques et amenèrent un
état
mé- lancolique avec hallucinations. L'état mé
iaques et amenèrent un état mé- lancolique avec hallucinations. L'
état
mélancolique pousse parfois les malades au suicid
et des scrupules, fut prise à 47 ans de goitre exophtal- mique avec
état
psychique caractériserai- une grande lassitudeave
ooliques, ou dégénératives. . Sainton conclut aussi : « Il y a un
état
mental spécial qui est l'apanage LES TROUBLES P
ns cas, l'intoxication n'a fait que mettre en relief ou aggraver un
état
plus ou moins latent. La nature toxi-thyroïdi
ent et progressivement en même temps que les symptômes physiques. L'
état
mental redevint normal et la guérison put être
t dans un cas de Rattner, où l'antithyroïdine de Moebius améliora l'
état
psychique seul sans modifier le syndrome de Based
hyperlhyroïdien. 1. Basedow fruste. Ce terme, caractérisant des
états
variables, n'a pas une rigueur absolue. C'est u
us à un tempérament avec ses avantages et ses inconvénients qu'à un
état
morbide. Qu'on en juge par cette observation de
upe, je passerai en revue les troubles psychiques observés dans les
états
rapportés par Léopold Lévi et II. de Rothschild à
disme et du myxoedème. Soc. thérap., 9 nov. 1904. Wolseley-Lewis. L'
état
mental dans le Mya : oedeM ! e. The Lancet, 23 av
En conséquence la durée to- tale du pas complet est moindre qu'à l'
état
normal. En outre, afin de se maintenir en équil
eur Brissaud un jeune homme qui, pendant la marche, par une sorte d'
état
spasmodique, tenait le membre inférieur droit à
édicateur) et est caractérisée par la différence qui existe entre l'
état
des trois derniers doigts et celui du pouce et
actère analogue à la main numérotée 1 : c'est la différence entre l'
état
des deux derniers doigts et l'état des trois prem
1 : c'est la différence entre l'état des deux derniers doigts et l'
état
des trois premiers. Peut-être le troisième doig
ette habitude se répète tous les soirs. Juin 1908. Depuis lors, l'
état
de P. n'a pas varié. 252 SÉGLAS ET STROEHUN I
d'aliments, le mutisme, les stéréotypies, si bien qu'actuellement l'
état
du malade rappelle quelque peu celui des dément
au moins permis de considérer que cette seconde phase se relie à un
état
d'affaiblissement intellectuel. En effet, l'indif
n fumeur. Depuis l'âge de 22 ans, il travaille régulièrement de son
état
de ciseleur, avec une courte absence à la suite
gastrique, céphalée peu marquée, qu'on rapporte à la grippe. Cet
état
dure quatre jours pendant lesquels le travail est
comparables à la sensation d'onglée, mais elles sont passagères. L'
état
général du malade est toujours excellent, aussi n
la marche. Elles persistent en dehors de tout retentissement sur l'
état
général. ' Le 20. - Les douleurs se sont étendu
la motilité était conservée dans les cuisses. Aucune atteinte de l'
état
général. Du 30 avril au 8 mai. - Tous les sympt
série de frictions à l'onguent napolitain, sans modification de son
état
; puis est 264 HAUSHALTER ET COLLIN envoyée à
le renferme. Il n'est plus vésiculeux, clair, transparent comme à l'
état
normal. mais très foncé, d'une teinte beaucoup
l ! eclterches sur le noyau et le nucléole de la cellule nerveuse à l'
état
normal et pathologique. Journal sur Psychologie
x moteur redescend le long d'un faisceau pyramidal qui n'est pas en
état
de « perturbation », l'orteil du côté excité se
ant pas été sciée, on ne peut juger de leur partie profonde ni de l'
état
du ligament. Plus récemment le professeur Raymo
terre. 11 ne se pro- duisit, à ce moment, aucune modification de l'
état
général ; la douleur disparut au bout de deux m
léchit et les mouvements deviennent de plus en plus dif- ficiles. L'
état
général s'altère, et le malade tombe dans un état
s dif- ficiles. L'état général s'altère, et le malade tombe dans un
état
de cachexie où le trouve le docteur Pagliano eu
hérédo-traumatique, a signalé comme symptômes médul- laires : 1° Un
état
parétique des muscles du tronc, du cou et des mem
té précoce, avait d'ailleurs frappé é Winckelmann qui insiste sur l'
état
de déchéance qui peut frapper cer- tains êtres
ce traitement la malade ne ressentit aucun profit au contraire son
état
empira et on eut surtout une accentuation des sou
complète. La malade resta dans notre service deux mois sans que son
état
montrât aucun changement im- portant. Elle vomi
urs après d'avoir mangé trop vite, ce que permettait de constater l'
état
des matières vomies. Elle se plaignait toujours
s parents s'y opposèrent. Quand la malade quitta notre service, son
état
physique n'avait pas varié ; elle pesait 28 kil
ette année (15 mois après) j'ai trouvé si peu de variation dans son
état
qu'en publiant les deux observations entières j
ières je ne ferais que me répéter ; je vais me borner, en décrivant l'
état
ac- tuel, à relever les quelques modifications
étés des urines, des matières fécales et du sang nous démontrent un
état
parfaitement normal. Examen radiographique. - V
a soeur. Très intéressante et instructive est la compa- raison de l'
état
d'ossification de la main que nous venons de décr
'ÉTUDE DE L'INFANTIUSME DU TYPE LORAIN 323 de Marguerite, montre un
état
d'ossification très avancé et qu'on peut dire n
sujet (PI. LV),le jeune homme de 22 ans,présenle à peu près le même
état
d'ossification que la main de Marguerite ; quoiqu
es d'au moins 3 millimètres ; le tarse est normalement ossifié. L'
état
d'ossification des métatarsiens et des phalanges
nts sujets. Dans ce but nous ne ferons que tracer très rapidement l'
état
actuel de nos connaissances sur la question de
la clinique, y est revenu le 18 mars 1908 , il se maintient dans un
état
de santé suffisant. Subjectivement il accuse une
erveux; ce poison qui probablement vient du canal digestif est, à l'
état
normal, neutralisé par la thyroïde. Tout cela
NI ET G. GIGLIOLI anatomo-pathologiques opposés et consécutifs : un
état
hyperplasique et un état cachectique. C'était d
-pathologiques opposés et consécutifs : un état hyperplasique et un
état
cachectique. C'était d'autant plus admissible que
plus admissible que dans un le cas, chez un sujet se maintenant en
état
satisfaisant malgré que la maladie durât depuis
oyons encore que dans le second cas, où le malade se trouve dans un
état
de bien-être, tout en étant typiquement acromégal
lobe oculaire est diminuée dans tous les sens. existe également à l'
état
permanent un certain degré de contrature des musc
ause des synostoses prématurées a été rapportée par Virchow à « des
états
inflammatoires des enveloppes internes du crâne,
e, de même que les formes hydrocéphaliques peuvent se ramener à des
états
inflam- matoires des enveloppes du cerveau ». P
at d'un processus pathologique suscep- tible d'être rangé parmi les
états
inflammatoires. » L'époque d'oblitération des s
ans certaines di- rections. « Nous ne pouvons pas tenir compte de l'
état
du fond de l'oeil dont les modifications sont i
hez notre second malade, l'examen oculaire ne peut renseigner sur l'
état
de la papille en raison des phénomènes de conjonc
Il nous a paru intéressant de rapporter ces deux cas et de résumer l'
état
de la question en raison de l'intérêt de cette
t pas altérée, mais l'examen en est presque impossible en raison de l'
état
mental de Mme G... Réglée il y a 3 semaines.
riode des céphalées violentes, du délire,. de la désorientation, de l'
état
démentiel. Cette dernière période dura environ
s la nature, il n'y a rien de normal ou d'anormal, il n'y a que des
états
naturels différents. Dans la nature, il n'y a p
ilité de caractériser cette situation autrement qu'en l'appelant un
état
naturel, une occurrence qu'on rencontre dans la
n soi des phénomènes aberrants, irréguliers, funestes ; ce sont des
états
natu- rels qui coexistent, en état d'indifféren
guliers, funestes ; ce sont des états natu- rels qui coexistent, en
état
d'indifférence, d'affinité ou de répulsion, avec
, en état d'indifférence, d'affinité ou de répulsion, avec d'autres
états
naturels et, pour les qualifier d'aberrants ou de
mathématique de l'ensemble des forces qui sont entrées en jeu. Les
états
de la matière humaine varient donc au gré du dé
jamais malade ni souffrante, elle ne connaît que des successions d'
états
physico-chimiques, tous logi- ques, tous nature
us logi- ques, tous naturels, parce que déterminés. Tant pis, si un
état
déterminé de la matière vivante composante, lié
pis, si un état déterminé de la matière vivante composante, lié à l'
état
de santé et au bien-être de l'individu composé,
semble de l'organisme, homme, animal ou plante et tout sera dit. Un
état
aura succédé à un autre ; ce que le pre- mier p
ctuellement la vie comme un équilibre physico-chimique en perpétuel
état
d'instabilité c'est-à-dire de mouvement. Un agr
evons considérer d'une part DE LA PATHOGÉNIE DES NÉVROSES 375 son
état
structural, sa configuration chimique et, d'autre
entaire. Après avoir subi l'excitation, celui-ci n'est plus dans un
état
identique à celui qui existait avant que la for
llules en même temps et s'il n'avait pas conservé la mémoire de son
état
antérieur. S'il pouvait se transformer totalement
t une huitaine de jours, il surprenait constamment son sphincler en
état
de contraction pénible et, bien qu'il le relâchât
qu'il y a similitude complète entre la condition précé- dente et l'
état
suivant et que celui-ci est une imitation et, en
une reproduction de la première. En conséquence, la survivance, à l'
état
de névrose, des affections organiques après la
IE DES NÉVROSES 385 dérée, du geste dans le cas présent. Le dernier
état
, l'équivalent organi- que est égal à l'équivale
énomène extérieur, de telle sorte que celui-ci a son empreinte, son
état
correspondant, son portrait t organique dans le
t mise en liberté sous l'in- fluence d'excitations appropriées. Les
états
d'âme sont si peu du moral et si bien du physiq
r ou provoque des accidents semblables ; l'émotion suscite d'autres
états
émotionnels. Les tics, le bégaiement se reproduis
chose et qu'on y ait pensé avec plus ou moins d'in- sistance. Que d'
états
pathologiques ont eu pour cause un rêve et rien
excès de sensibilité, d'impressionnabilité la distingue des autres
états
considérés comme normaux. Certains enfants sont
mmédiat de la matière vivante considérée dans son unité ou dans ses
états
d'agglo- mération par un élément, une énergie q
ommence la névrose et où elle finit. La matière vivante existe en des
états
divers et ses manifestations s'étendent depuis
jusqu'à la folie dans ses symptômes purement psychiques, et de ces
états
extrêmes à la lésion commençante jusqu'aux chan
ri admirablement par la suggestion, en passant par la multitude des
états
gastriques intermédiaires, qui me dira où commenc
musculaire névro- sique qui, en elle-même, ne se distingue pas de l'
état
organique de même nom, nous arrivons à la paral
rop impressionnable prend le nom.d'hyperes- thésie. La névrose et l'
état
normal ne se distinguent donc que dans leurs ca
qu'elle constitue un étal différent, mais en degré seulement, de l'
état
de santé. Une seconde conclusion découle de l'e
l'une ou l'autre rubrique. Je comprendrais que l'on distinguât les
états
névrosiques les uns des autres, si chacun avait
second à l'homme. Il y a quelques années, la synthèse de tous les
états
névrosiques aurait paru impossible, parce que,
m'ont jamais im- pressionné. Où est donc la barrière qui sépare les
états
névrosiques ? Il n'y a ni abîme, ni fossé, ni d
athiques qui l'ont amené à l'hôpital. Cela commença, chez lui, par un
état
de nosophobie diffuse et par des préoccupations
êve pas, il n'a pas de cauchemars. Pierre reste six mois dans cet
état
, puis subitement la crise s'aggrave. C'est alor
de point d'appui et où l'équilibre est difficile à conserver. Cet
état
dure un an ; puis, aux environs des vendanges de
e de frapper. Ces crises d'excitation durent environ une heure ; un
état
de stupeur leur fait suite. Pendant les période
a prédominance manifeste des mouvements automatiques. 11 n'y a ni
état
catatonique, ni troubles de la contraction muscul
areils ni des organes du sens. Au point de vue mental, il existe un
état
de confusion notable, avec ten- dence à l'affai
imulta- nément les articulations des deux premiers métatarsiens à l'
état
normal (pre- mier et deuxième cunéiformes). P
ains et des pieds ; 2° la coexistence, avec ces malformations, d'un
état
constitutionnel de dégénérescence men- tale ; 3
nt les malformations des extrémités, se préoccupant peu ou pas de l'
état
mental. Aussi ont-ils conclu, pour la plupart,
ler de façon plus précise l'attention des futurs observateurs sur l'
état
mental des syndactyles. 4° L'existence actuelle
ORISETTI Coude. - L'articulation du coude est anormale du fait d'un
état
globuleux de l'extrémité inférieure de l'huméru
érus, où les saillies et les fossettes sont moins accentuées qu'à l'
état
normal ; la fosse coronoïde est remplacée par un
e d'apparition de la puberté et des caractères sexuels accessoires,
état
enfantin de l'intelligence et du caractère ; mais
artilages épiphysaires à un âge auquel ils sont normalement dans un
état
d'ossification beaucoup plus avancé ; la thèse so
nt de S il 6 ans ; l'examen radiogra- phique montra au contraire un
état
d'ossification tout à fait correspondant à celu
tent plus évidents les caractères du syndrome myxoedémateux,moins l'
état
de bouffissure des téguments qui est remplacé par
éré par plusieurs auteurs comme un carac- tère eunuchoïde joint à l'
état
presque atrophique des organes génitaux, nous f
rénavant donner aucune valeur pour le dia- gnostic différentiel à l'
état
plus ou moins avancé de l'ossification des car-
présentent aucun symptôme. Il n'existe pas non plus chez elles cet
état
thymique-lymphatique qui, selon Gaspero, devrai
antilisme envisagé par Lorain n'est en somme rien autre chose qu'un
état
dystrophique général produit et entretenu pendant
normal vu qu'il manque tout symptôme dystrophique des téguments ; l'
état
de relative intégrité de l'intelligence dépose
justes ; 6° Augmentation de la suggestibilité; 7° Disposition aux
états
affectifs anxieux. Au contraire chez les malade
s les jugements et une conceplion très exacte et très juste de leur
état
de santé ; et delà part de l'ainée une apprécia
d'après la marche de la maladie. Plus souvent la maladie passe à un
état
chronique et peut présenter alors, selon Oppenh
nfin aux conclu- suivantes. Nos trois sujets présentent, de par l'
état
de leur développement somati- que et psychique,
erheilk., 18-il. Bernard LÉON. Rôle des glandes surrénales dans les
états
pathologiques. Presse méd., 10 août 1907. Ber
ise d'une crise de céphalée vive avec vomisse- ments, hyperthermie,
état
général mauvais, puis coma. Son caractère changea
men (hemihypoesthésie gauche, ovaralgie dermographisme très évident,
état
des réflexes superficiels et profonds normal) ;
; je la prie de me montrer un moment ses pieds, désirant examiner l'
état
de ses réflexes cutanés. Elle me prie de ren- v
fille n'avait plus de crises convul- sives ; elle travaillait, son
état
général était très bon. Un jour, chez elle, en
un poison facile à déceler (phosphore, acide minéral, alcali...). L'
état
de la malade est trop grave ; on ne peut essayer
duraient parfois toute la nuit. Pas d'anémie, pas d'albuminurie ; un
état
général très bon ; un train dévie assez fatigan
cardite urémique. Cette péricardite urémique est caractérisée par l'
état
urémique du sujet, par le fait que ces frotteme
sociation morbide, mais d'une affection secondaire, dépendante de l'
état
urémique du sujet. Encore un exemple : nombre d
la pâleur extrême du « doigt mort » du « petit Brightisme ». A cet
état
de vasoconstriction vasale ne suit pas une dilata
tériques; mais il est certain.aussi que cette faculté se trouve à l'
état
d'ébauche chez tous les hommes, et particulière
teints d'hystérie ? Je ne le crois pas. Le pithiatisme se trouve en
état
d'ébauche chez tous les hommes. Seulement chez
tement raison. Mais lorsque la crédulité du sujet s'accompagne d'un
état
mental spécial qui rende la volonté esclave des
té esclave des idées que nous' lui mettons dans la tôle, et que cet
état
mental est permanent et dominant au lieu d'être e
et que cet état mental est permanent et dominant au lieu d'être en
état
d'é- bauche, on a bien le droit, je crois, de p
ggestionnabililé de ses mani- festations. Elle comprend en outre un
état
psychique particulier dont les caractères princ
u- pré), la diminution du contrôle cérébral. Elle comprend aussi un
état
physique spécial capable de réagir d'une façon
IBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANÉES SPONTANÉES 503 Lorsque cet
état
psychique particulier fait défaut, on n'a pas le
car il se présentait en dehors de l'accès convulsif dans l'apparent
état
de santé générale. Je désire encore noter que c
coolisme et morphinisme) , de la paralysie générale, et de certains
états
convulsif s. Appelé, en 1893, à la chaire de Cl
▲