RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DYPRE
RERPS MÉDICAL RECHERCHES ,/ CLINIQUES ET THERAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
l'autre, d'enfants tout à fait incurables ou d'enfants atteints d'
épilepsie
ou de méningo-encéphalitc, devenus gâteux sous
ue parmi les enfants, il en est un nom- bre considérable atteints d'
épilepsie
, sujets par conséquent à des périodes d'excitat
ns les enfants affectés de maladies convul- sivos : l'hystérie et 1`
épilepsie
.. Lorsque les crises sont rares, les instituteu
ux et inter-départementaux. DEUXIÈME PARTIE Clinique. I. De l'
Epilepsie
procursive; Par BOURNEVILLE et P. BRICON. Sou
auteurs), nous nous proposons d'étudier une forme particulière de l'
épilepsie
, dont les accès, au lieu de présenter les phase
iquant d'une con- gestion très forte de la face. Cette forme de l'
épilepsie
, dont on trouve des exem- ples assez nombreux,
les épilepsies symptomatiques d'une Bourneville, -I8SS7. 1 2 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. lésion encéphalique qui paraît à pe
un accès ordinaire ou disparaître complètement pour faire place à l'
épilepsie
vulgaire. Celle succession possible des phénomè
que et clonique de l'accès ordinaire. Pour compléter l'étude de l'
épilepsie
procursive nous étudierons ensuite les actes au
lques phénomènes convulsifs (le peu de durée et d'intensité. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 3 I. Historique. II. Epilepsie proc
et d'intensité. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 3 I. Historique. II.
Epilepsie
procursive propre- ment dite, ou accès épilepti
cès épileptiques essentiellement consti- tués par la course. - III.
Epilepsie
avec aura ]Jl'ocw'- sive, soit que celle-ci ait
des mouve- ments procursifs. - IX. Traitement. I. Historique. L'
épilepsie
procursive, quoique peu commune, a déjà été sig
latées en entier dans son Traité sont deux cas d'hystérie. 4 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. de classification basée sur un ou p
la première observation se rap- portant réellement à cette forme d'
épilepsie
. Observation I. - Début de l'épilepsie si la su
t réellement à cette forme d'épilepsie. Observation I. - Début de l'
épilepsie
si la suite d'une chute. - Tournoiement, puis c
t meurtri la tempe, était sujet, depuis cette époque, à des accès d'
épilepsie
, pendant lesquels il tournait rapidement sur lu
sé. Eraste en ces quelques lignes a retracé le tableau exact de l'
épilepsie
procursive : course en avant, par- fois suivie
issis. Lonilini, 1619. De epilepsilÎ Lrocursiod, caput vi. · DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 5 ments de manège, soit des mouveme
Eraste, on ne peut douter qu'il ne s'agisse d'un malade atteint d'
épilepsie
procursive; mais quoique plus longue que la pré
omplète que celle d'Eraste. On ne saurait classer parmi les cas d'
épilepsie
procursive, comme l'ont fait ce temps-ci quelqu
du sommeil seul l'arrêtait. Il est probable qu'il ne s'agit là ni d'
épilepsie
procursive ni de chorée, mais bien de paralysie
te. 1 TulpillS, - Obsel'v, 11Zcd. AmslCl'dam, 1612.... ? 6 . DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Dans sa Pratique de médecine spécia
URSIVE. Dans sa Pratique de médecine spéciale, Etmúller1 divise l'
épilepsie
en trois degrés : le premier comprend l'absence
is l'auteur ajoute qu'il y a quelques exemples de cette variété d'
épilepsie
dans la Pathologie du cerveau de Willis, dans l
deTimeus, dans les Histoires de Salmuth, etc. De ce genre est « l'
épilepsie
dont parle Bootius {Traité des affections omise
d'un malade qui courait durant tout le paroxysme (voir p. 57); et l'
épilepsie
d'un homme des environs de Leipsick qui ne fais
é en 1687 une observation qui rentre peut-être dans le cadre de l'
épilepsie
procursive. Observation III. - Course suivie le
es femmes et des petits enfants, etc. Lyon, 1G91" thèse XXIII, de l'
Epilepsie
, p. 531. - Nous n'avons pu con- sulter quelques
française de Lyon, 1692, nous n'avons rien trouvé se rapportant à l'
épilepsie
procursive. - . 'Paullini. - Ephemerid. t. Curi
rid. t. Curios.. dn. 3, ann. 3, obscrv, 181, 1696, p. 313. 1 de l'
épilepsie
PROCURSIVE. 7 contre un mur, ou bien, si l'accè
» Welsch 3 ne donne dans sa thèse aucune observa- tion nouvelle d'
épilepsie
procursive, mais cite un cas qui aurait été rap
pas dans l'ouvrage de ce mé- decin que nous avons consulté : « A l'
épilepsie
associée à des phénomènes extraordinaires, se r
empruntée au travail de ! tard. 2 Brescon (Pierre). - Traité de l'
épilepsie
avec sa description, ses diffé- rences, ses cau
. ' Welsch. De<-;))7c/M ! <t. lena, 1719, p. 2(i-27. 8 de l'
épilepsie
PROCURSIVE. Les cas de Sauvages ' et de Gaubius
llés pour que l'on puisse aussi les ranger parmi les observations d'
épilepsie
procursive. Le cas de Sagar est plus difficile
lle, par le citoyen Capelle. Bordeaux, vol. I, p. 118, an V. DE l'
épilepsie
procursive, 9 n'en résulta d'autre blessure qu'
'on avait affaire à une aura procursive ou à un véritable accès d'
épilepsie
procursive, car l'auteur se borne à dire que la
ècle, Hufeland publiait dans son Journal une nouvelle observation d'
épilepsie
procursive. Observation V. Accès spasmodiques
nt ' Journal de Ihç/'cland, juin 1811, vol. XXXII, p. 88. Io DE l'
épilepsie
procursive. refroidi à l'âge de dix ans, avait
s. Arrivé à 30 centigrammes par jour, cinq semaines après le de l'
épilepsie
PROCURSIVE. -Il i commencement du traitement, l
s ordinaires de la chorée et sont susceptibles d'être rattachés à l'
épilepsie
procursive. Il est difficile de se prononcer et
- Ifufela,nd's Journal, vol. L, vu, décembre, p. 61, 1S23. 12 DE l'
épilepsie
procursive. le tenait pendant quelque temps, il
re en regard de celle d'llut'eliiid et de montrer combien il DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 13 est parfois difficile, par suite
d nombre d'observations. Parmi elles, deux peuvent se rapporter à l'
épilepsie
procursive. Observation VII. - A cinquante ans,
ales de médecine, 1825, 3' année, t. VIII, p. 385--i07.) 11- DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. publiques; il resta, malgré l'usage
ou plutôt de cette torpeur stupide qui succède aux violents accès d'
épilepsie
. Elle était dissipée le lendemain. Le troisième
tait dissipée le lendemain. Le troisième jour, la parole s'em- DE l'
épilepsie
procursive. ,15 barrassa; le sixième, le malade
a Musculation irrésistible, ne nous paraissent pas se rapporter à l'
épilepsie
procursive et nous les laissons de côté. Semmol
d'epilepsia dromica et trochaica, l'histoire d'un malade atteint d'
épilepsie
procursive. Observation IX. - Début des accès p
is 1101h, puis Berger ont publié l'observation com- plète. G de l'
épilepsie
PROCURSIVE.. ne se détournant ni à droite ni à
gne droite, même fréquence des accès, puis même transformation de l'
épilepsie
pro- cursive en épilepsie ordinaire, enfin même
des accès, puis même transformation de l'épilepsie pro- cursive en
épilepsie
ordinaire, enfin même insuccès des divers trait
fait allusion, dit-il, dans une leçon cli- nique, à cette espèce d'
épilepsie
propulsive, en soutenant qu'il n'y avait pas li
maladies de la moelle épinière, t. Il, p. 113. Paris, 1847. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 17 mènes procursifs ayant précédé d
es acci- 1 lloynier. - De la chorée, observ. IV, p. 27, t8o. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 19 dents d'ailleurs surviennent san
res, elle est très agitée, cela sans cause appréciable. Les accès d'
épilepsie
n'ont aucune influence sur la danse de Saint-Gu
Saint-Guy et récipro- quement. Depuis l'apparition de la chorée, l'
épilepsie
ne s'est 20 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. en rie
ent. Depuis l'apparition de la chorée, l'épilepsie ne s'est 20 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. en rien modifiée ; la menstruation
é supprimée, malgré toute espèce de remède depuis deux époques. L'
épilepsie
et peut-être la chorée trouvent chez cette enfant
s. Une de ses tantes, du côté de sa mère, a eu aussi des attaques d'
épilepsie
. Quant aux causes de la chorée, M. Bastion, à q
ervation, se demande si elles tiennent aux accès plus fré- quents d'
épilepsie
, à la suppression des règles ; ou si la diffi-
que comme coïncidence. - Tous les traitements ont échoué contre l'
épilepsie
et aussi contre la chorée. A la fin de l'année
1, la jeune fille n'avait encore éprouvé aucune amélio- ration. L'
épilepsie
s'accompagna ici de chorée qui ne survint que l
mit Imyuls nach der Llingcnaxe. I, Nach Vorn. Uerlin, 1857. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 21 l'accompagnait souvent à la prom
Salues. - Revue médico-chirurgicale de Paris, 1827, p. 168. 22 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. ans, cette maladie n'avait point ce
es qui les accompagnaient, la rémission même observée, etc., DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 23 parlent en faveur de l'épilepsie
ervée, etc., DE l'épilepsie PROCURSIVE. 23 parlent en faveur de l'
épilepsie
procursive. Nous ajou- terons qu'il serait témé
sont de nouveau considérés par tous les auteurs comme relevant de l'
épilepsie
. Voici d'abord un cas de Trousseau'. Observat
quel il vient de se livrer. Ce cas appartient incontestablement à l'
épilepsie
procursive; il est généralement considéré par l
eau. - Clinique médicale de l'Hôtel-Dielt..ie édition, 1873, t. 11,
épilepsie
, p. 112. '24 DE l'épilepsie PROCURSIVE. de ce
Hôtel-Dielt..ie édition, 1873, t. 11, épilepsie, p. 112. '24 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. de cette forme de l'épilepsie. M. H
epsie, p. 112. '24 DE l'épilepsie PROCURSIVE. de cette forme de l'
épilepsie
. M. Hammond relate deux observations dans son T
observations dans son Traité. Observation XV. - Accès ordinaires d'
épilepsie
. Accès procursifs accompagnés parfois de sauts
de rotation et d'un cri inarticulé particulier. J. IL ? atteint d'
épilepsie
, vint me consulter dans l'été de 1869. Les accè
des maladies nerveuses; traduction française, 1876, p. 785. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 25 z face était pâle, et à la fin l
à un tremblement des lèvres. (OBS. XVII, p. 27.) Observation XVI. -
Epilepsie
procursive sans accès ordinaires. Courses incon
n ni délire. Cette seconde observation de M. Hammond est un cas d'
épilepsie
procursive pure; il aurait été intéres- sant de
de savoir si ses accès se seraient par la suite modifiés. 26 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Dans son article sur l'épilepsie 1,
te modifiés. 26 DE l'épilepsie PROCURSIVE. Dans son article sur l'
épilepsie
1, M. Nothnagel, après avoir fait remarquer que
ouvements ambulatoires et des courses », cite briève- ment un cas d'
épilepsie
procursive : « J'ai eu moi- même, dit-il, en tr
puis m'empêcher d'exprimer que dans ces cas, il ne s'agit pas d'une
épilepsie
idiopathique, mais d'une forme sympathique qui
rva- tions qui, selon nous, ne se rapportent qu'indirectement à l'
épilepsie
procursive2 , telles sont, entre autres, quel-
lement à parler incidemment sans nous y arrêter lon- 1 Nothnagel. -
Epilepsie
und Eklampsie. (ilaiidbiich der spe- ciellen Pa
pprochent des observations d'itard, n'appartient pas au groupe de l'
épilepsie
procur- sive ; il s'agit là d'un épileptique or
ches sur le traitement des maladies nerveuses, 18t4, p. 32.) DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE, 27 guement de quelques autres phéno
sies. Peut-être y aurait-il lieu d'admettre ici d'autres formes d'
épilepsie
, par exemple, l'épilepsie rotatoire, etc. Il. E
-il lieu d'admettre ici d'autres formes d'épilepsie, par exemple, l'
épilepsie
rotatoire, etc. Il. EPILEPSIE PROCURSIVE PROPRE
qui précède a pu déjà donner une idée de ce que nous entendons par
épilepsie
procursive. Nous allons maintenant donner quelq
leur permettront de se rendre un compte plus exact de cette forme d'
épilepsie
. Le premier exemple concerne un malade atteint
s épileptiques : quo- tidiens à type procursif. Observation XVII.
Epilepsie
PROCURSIVE. Père neurasthénique, sujet à des cé
ère évasion : vagabondage, tentative de vol. - Arrestation. 28 DE l'
épilepsie
PROCURSIVR. - Condamnation à un an et un jour d
e. * Elle est morte en juin 1882, de bronchite avec dyspnée. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 29 frères morts l'un écrasé par une
lontaire ; pas de folie. L'intelligence et la mémoire n'au- 30 de l'
épilepsie
PROCURSIVE. raient pas diminué. Il ne serait pa
ne sont pas proéminentes; les cheveux sont bruns, abondants. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 31 bouche mesure cent. 5 ; les lèvr
le. - Méat légèrement étroit. - Poils abondants à l'anus. 32 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. pendant trois ou quatre jours de su
tour d'eux. Il ne tombe jamais. Aussitô arrêté, ce qui a lieu DE l'
épilepsie
procursive. 33 brusquement, il paraît étonné, s
id... a dérobé une chaîne d'acier au BOURNEVILLE, 1887. 3 34 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. malade Mart ? et, comme celui-ci la
e dans la thèse de l'un de nous. P. Bricon. - Du trahi- tement de l'
épilepsie
. {Hydrothérapie, arsenicaux, magnétisme minéral,
agnétisme minéral, de sels pilocarpine.) Paris 1882, p. 225. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 35 4 juillet. - Nouvelle rixe avec
ues instants, la face est pâle et la physionomie hébétée. 36 DE l'
épilepsie
procursive. Il parait ne pas s'être rendu compt
fabriquer des cou- ronnes pour les distributions de prix. DE ¡ :
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 37 Grandid.... est pris dans la cou
reté il couchait dans le dortoir du préau, et qu'il en pro- 38 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. fitait pour se livrer à des actes d
' Frère d'un premier lit, Agé de 35 ans, qui l'a fait arrêter, DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 39 Clichy où les sergents de ville
es torchons (Grand... avait conservé lesbandcsdont on enve- 40 DE l'
épilepsie
PROCURSLVE. loppait une de ses jambes contusion
ansféré à l'infirmerie de Gaillon après avoir été reconnu atteint d'
épilepsie
. - Une lettre de .AI. le Dr Boularan, médecin d
ême parfois si leur casier judiciaire n'est pas trop chargé. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 41 Monsieur LE Préfet, A la lin d
se, l'un de nous adressa à M. Grévy la requète suivante : 42 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Monsieur le Président, - . Je vie
itôt, j'ai fait un certificalcousta- tant que Gr... était atteint d'
épilepsie
procursive, avec perversion des instincts, klep
e de Poissy, d'où en janvier 1886, à cause de ses fréquents accès d'
épilepsie
, il fut dirigé sur la prison de Gaillon et mis
regrettable la condamnation d'un malade aliéné, et comme plus DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 43 regrettable encore son maintien
tes environ, se relève seul en revenant complètement à lui. i. de l'
épilepsie
PROCURSIVE. I 1882. Juin. - Poids : 47 kil. j 1
ment bilatéral de la tète et d'un bourdonnement résultant 46 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. du tremblement labial; - frottement
de produit une rigi- dité générale sans secousses cloniques. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 47 Dans les derniers temps, on rema
premiers accès huit jours plus tard; convulsions limitées à 48 de l'
épilepsie
procursive. gauche. - Excès de boisson. - Deux
énés, suicidés, etc., dansla famille.] - Pas de consanguinité. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. : 49 Douze enfants et trois fausses
mencé à parler vers huit à dix mois; Bourneville, 1887. 4 50 DE l'
épilepsie
PROCURS1'E. parole courante dans le cours de la
lé de bonne heure ; la dernière par- lait très bien à un an. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 51 ans, en essayant de se jeter par
sous le pied. Pas d'onanisme, pas de rapports sexuels. ;l2' DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Durant l'interrogatoire de sa mère,
obule, normal, est- adhérent dans les deux tiers supérieurs. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 53 facile; tremblement fibrillaii'e
ure par suite de la constitution vasculaire de l'organe. 5-4 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. fauteuil; aussitôt le membre inféri
ment congestionnée. Les secousses débutent par le bras droit DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 55 qui parait plus secoué d'abord
à t'age de vingt ans les accès auraient eu le caractère des accès d'
épilepsie
ordinaire, sauf que les secousses cloniques ne
de tout accès, et se rapprochant, selon nous, beaucoup plus de l'
épilepsie
spinale que de la chorée. Les facultés intellec
chorée. Les facultés intellectuelles ont décliné à partir de DE l'
épilepsie
PROCURSI'E. 57 1878 ; cette déchéance paraît êt
ion symptomatique des affections chroniques, et en particulier de l'
épilepsie
. Chez Vall..., on ne peut s'empêcher de faire u
à son aura et ceux qu'on observe si fréquemment dans l'aura de l'
épilepsie
jacksonienne. De même que dans celle-ci, cette
vant résume les caractères principaux des trois manifestations de l'
épilepsie
observées chez ce malade. 1 Par certains cara
. semble se rattacher à l'hystérie; - - on peut du reste observer l'
épilepsie
et l'hystérie chez le même ma- lade. L'un de no
e chez le même ma- lade. L'un de nous en a publié un cas. 58 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 59 Con
un de nous en a publié un cas. 58 DE l'épilepsie PROCURSIVE. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 59 Consanguinité : le père et le mè
un accès convulsif venait arrêter brusquement la course. 60 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Outre ses accès procursifs, Car...
s ans, est tout à fait valide et possède encore ses facultés. dis l'
épilepsie
procuRSive. 61 4 septembre. - Purgatif. = 6. 3
sa parole; pas de tremblement des lèvres et de la langue. 62 de l'
épilepsie
PROCURSIVE. 188G. - Novembre. Le malade est dan
violence après les crises. 64 de I : ÉPI¡'PS1E PROCURS¡YE. DE l'
épilepsie
PRCCUItSIVE. 65 sans entraîner de substance gri
ales. - Le lobule pai,iélal.siioé- Bournevillk, 1 SS i. 5 66 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. rieur est moyennement développé; il
nvoie vers son milieu un pli de passage maigre, à niveau, à la DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 67 circonvolution du corps calleux.
Les circonvolutions frontale et pariétale ascendantes sont 68 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. hien développées, normales. - Le lo
uer la première scissure temporo-occipitale avec la seconde. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 69 Lobe frontal. - La scissure call
accès ordinaires et des vertiges, déterminant enfin la 70 . DE L'
ÉPILEPSIE
PROCUR1VI ? démence. Le tableau des accès compr
une période de treize ans mérite aussi de fixer l'attention. III.
Epilepsie
avec aura procursive. Nous distinguerons les ma
des accès précédés d'une course, de ceux qui, atteints auparavant d'
épilepsie
procursive isolée antérieure, ont encore des ph
doivent-ils être considérés comme at- teints d'une des formes de l'
épilepsie
procursive, en présentent-ils les lésions anato
ques et n'en sont peut-être qu'une exagération. Observation XX. -
Epilepsie
. - Père, hémiplégie droite Mère nerveuse ; - gr
[Père, fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans. Mère, DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 71 Il morte à soixante-dix ans, san
ait opposé. - Il a été mis en apprentissage, comme relieur, 72 DE l'
épilepsie
PRCCURSIVL. à dix-sept ans chez un patron avec
ellectuels à la suite des accès. Voici la marche des accès : DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 73 Pas d'accès ni de vertiges eu 18
lepsie PROCURSIVE. 73 Pas d'accès ni de vertiges eu 1887. 74 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Mère, quarante ans, sans profession
nom- breuses et violentes convulsions jusqu'à Lie six ans ». DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 75 arracher les fleurs des arbres.
sèches; ipécastibié ; potion avec infusion d'ipéca et rhum. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 77 19. - L'oppression est constante
t très congestionnés (260 gr.) ; le droit présente un petit 78 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. kyste de la grosseur d'un pois et u
attirée sur les lésions possibles du cervelet dans cette forme d'
épilepsie
, cet organe n'a été l'objet que d'un examen sup
sions. Notons seulement le poids un peu élevé de cet organe. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 79 Le poids moyen est, en effet, ch
réquemment l'aura n'est signalée que lors des premiers accès. IV.
Epilepsie
POST-PROCUIiSIVE. Les phénomènes post-procursif
e s'ajoute 1 celles que nous avons précédemment publiées. 80 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Plus lard, grands accès incomplets
, elle frappe, ou regarde par la serrure; si il ce moment on DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 81 l'interroge, elle répond en géné
s à peu près régulières. Voici les mensurations de la tête : DE l'
épilepsie
trocursive. 81 années, puis nous voyons apparaî
llement elle est domestique ; châtaine foncée, très impres- 84 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. sionnable, très colérique, elle l'e
lanis, reniant se levait et courait, il n'aimait pas qu'on lui DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 85 parlât dans ces moments-là. Il a
es. On ne croit pas qu'il ait eu la rougeole; il semblerait 86 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. avoir eu la rubéole ? Coqueluche pe
s de la grossesse. L'enfant dit qu'il a eu peur d'un mouton. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 87 le coma à 5 heures du matin, et
riétale ascendante, 12 centimètres. Longueur de ce dernier 88 DE l'
épilepsie
procursive. point à l'extrémité postérieure du
st dû probablement au séjour dans une solution insuffisante. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 89 ascendante du pli pariétal infér
aut de surveillance des pièces déposées à l'amphithéâtre. 90 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. V. VERTIGES PROCURSIFS. Nous avon
state la transformation graduelle des accès pro- cursifs en accès d'
épilepsie
ordinaire qui, plus tard, persistent seuls. Il
l'accident procursif n'apparaît que longtemps après le début de l'
épilepsie
et chez lesquels il paraît être un accident iso
maternelle, migraineuse. - Une tante et trois oncles mater- DE L'
ÉPILEPSIE
PItOCUIiSIVE. 91 nels migraineux. - Cinq frères
e lit. Les membres inférieurs sont écartés, les membres su- 92 de l'
épilepsie
procursive. périeurs allongés le long du thorax
sieurs accès et vertiges précédés de course ou de marche. 94 DE l'
épilepsie
procursive. DE PROCURSIVE. 93 notable amélior
de guitare, quoique n'ayant jamais terni cet instrument. 96 de l'
épilepsie
PROCURSIVE. déshabiller accompli par un épilept
'accès, mais constitue encore une des formes les plus communes de l'
épilepsie
larvée. Observation XXV. - Grand'mère paternell
y est décédé le 12 mars '1886. ' Herpin. - Des accès incomplets d'
épilepsie
. Paris, l8fiî, p. '13 ? - Gowers. De l'épilepsi
accès incomplets d'épilepsie. Paris, l8fiî, p. '13 ? - Gowers. De l'
épilepsie
, Ira". Carrier. Paris, '1883, p. 585. DE (.lil'
rmission de Dieu » . Durant cette BOUU : OEVILLE, 1887. 7 98 de l'
épilepsie
procursive. année, l'intelligence n'avait pas d
le droite est peut-être un peu plus saillante que la gauche. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 99 100 DE l'épilepsie PROCURSIVE.
s saillante que la gauche. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 99 100 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. orifices dont nous venons de parler
s aux cuisses ; dans la journée, il a pris 30 grammes d'eau- . DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 101 de-vie allemande. Le soir, le p
e alle- mande, sinapismes, sulfate de quinine. Fig. 1. 102 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. z 8. - Pas d'accès. - T. R. 38°,S;
roite reste horizontale. La tète se reporte à gauche. Les con- DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 103 vulsions continuent. La face de
une demi-heure après la mort; H,'l'. une heure après. 104 -il DE l'
épilepsie
PROCURS1VE. l'accès, petit, incomptable. Sueurs
emi-heure après : 41°; - une heure après : 39 ? 3. (Fig. 2). DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 105 ion de l'épilepsie procursive.
après : 39 ? 3. (Fig. 2). DE l'épilepsie PROCURSIVE. 105 ion de l'
épilepsie
procursive. plète, prenant son origine dans la
pitale à travers la première circonvolution temporo-occipilale DE l'
épilepsie
PROCURSIVE, 107 qui, quoique bien développée es
illon horizontal profond qui divise presque entièrement la 108 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. pariétale ascendante en deux partie
courbe, également bien développé, par un sillon descendant se DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. <09 rendant de la scissure inter
i- rement chez les épileptiques; mais l'on a noté, en 110 - DE" l'
épilepsie
PROCURSIVE. outre, des phénomènes rotatuires qu
m before lie fell in a fit. » (Gowers, On Epilepsy, p. 121.) de l'
épilepsie
procursive 111 montre la marche de la températu
ents héréditaires. Incon- tinence nocturne intermittente d'urine. -
Epilepsie
, attribuée ci des coups qu'il aurait reçus d'un
développée. - Sodomie. - Inversion du sens , génital. - Début de l'
épilepsie
non précisé. - Parfois aura. - . Hallucinations
laquelle nous avons souvent appelé l'attention (B.). . 11 ? DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Ce malade accomplit des actes autom
échire régulièrement ses draps et ses effets. Observation XXXI. -
Epilepsie
. - Légère déchéance intellectuelle. Automatisme
er dans le lit de camp, comme si c'était un véri- table lit. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 11 OBSERVATION la\Il. -Père, mort p
icêtre (service de M. Bourneville). BOUHNEVILLK, ii3î. i 114 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Ce malade, dont l'un de nous a déjà
Observation XXXVI. - Mère, morte d'un cancer du sein. - Début de l'
épilepsie
vers l'age de trente-quatre ans. Crél... (Félix
re (service de M. Bourneville). ' Bricon (P.). - Du traitement de l'
épilepsie
; Paris, 1882, obs. X, p. 97. DE L'ÉPILEPSIE p
- Du traitement de l'épilepsie; Paris, 1882, obs. X, p. 97. DE L'
ÉPILEPSIE
procursive. Ho Nous avons ici affaire à un cas
nts publiés par Herpin1. * Herpin. - Loc. cit., p. 122. H6 6 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. - Une couturière, qui essayait une
oeurs et pères malformés et convulsifs. - Hydrocéphalie légère. -
Epilepsie
consécutive (huit ans). - Aura stomacale et rotat
.. (Léon-Jules), né le 19 décembre 186'J, est entré le 10 mars DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 117 1881, à Bicêtre (service de M.
ution. - Né avant terme : convulsions à vingt-deux mois, début de l'
épilepsie
à trois ans. - Au1'a. - Etat de mal. - Déchéanc
ant lui et tombait en accès; la main ' Bricon. - Du traitement de l'
épilepsie
, 1882, p. 91. 1 Nous avons eu l'occasion d'obse
es; nous consacrerons prochainement à ce sujet une note. 118 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. ouverte, il frappait où il pouvait;
aurait été frappé deux fois. Les divers auteurs qui ont traité de l'
épilepsie
ont, pour la plupart, parlé de l'automatisme, s
et les recueils de médecine des observations de malades atteints d'
épilepsie
accompa- gnée d'automatisme '. Dans sa thèse
et celle publiée antérieurement par Sem- mola, qui se rapporte à l'
épilepsie
procursive propre- ment dite. Nous n'y voyons,
s faudrait citer presque tous les médecins qui se sont occupés de l'
épilepsie
; nous rappellerons seulement que c'est peut-êtr
- Inaugural. Dissertation. Ber- lin, 1867. Observ. I, p. 2L DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 119 Son père vit encore, sa mère es
nts. J... S... n'aurait été atteint d'aucune maladie en dehors de l'
épilepsie
. La tète, par rapport au corps, est fortement d
efois, il revient complètement à lui peu de temps après. 120 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Les accès ont parfois un tout autre
mouvements rotatoires, mais l'on ne saurait assimiler ces actes à l'
épilepsie
procursive proprement de l'épilepsie procursive
rait assimiler ces actes à l'épilepsie procursive proprement de l'
épilepsie
procursive. 121 dite, dont ils diffèrent de tou
le même travail Oscar Berger rapporte plus loin quel- ques cas d'
épilepsie
accompagnés de phénomènes mo- teurs que nous ne
nombreux, soit parce que la transformation parfois complète de l'
épilepsie
procursive en épilepsie commune ne per- met pas
que la transformation parfois complète de l'épilepsie procursive en
épilepsie
commune ne per- met pas souvent, faute de rense
s dont nous avons rapporté l'observation; voici maintenant un cas d'
épilepsie
procursive pro- prement dite, observé assez lon
ive pro- prement dite, observé assez longuement et suivi 122 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. d'autopsie ayant montré, outre des
fait son ménage, ' Début par un tremblement, pas de délire. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 123 tenait un garni avant la guerre
us de la moyenne. De plus la mère parle mal le français. 124 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. proéminence de l'occipital qui. est
partie médiane au niveau de la suture fronto-pariétale gauche. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. -123 Cou : 36 centimètres. - Respir
x. El-vtlième sur la verge et surtout les bourses. Onanisme. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 127 'ils DE l'épilepsie PROCURSIVE.
les bourses. Onanisme. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 127 'ils DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. - On ne peut le faire parler, ni lu
ouche ouverte. - Pas de paralysie des membres, mais résolution DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 129 complète. Le pouls est faible e
éricardique. La pointe du coeur est Boukneville, 1887. 9 130 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. formée par le ventricule gauche sur
atéraux et les cornes d'Ammon n'offrent rien de particulier. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 131 Encéphale, 1,300 gr. L'hémisphè
visent presque entièrement, l'un même, médian, atteint son 132 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. bord postérieur ; il semble en ce c
enne du rameau descendant de la scissure de Sylvius ; - elle DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 133 fournit également au même nivea
chagrinées. Les scissures sont [profondes et sinueuses. 134 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. La circonvolution frontale interne
accidents procursifs comme constituant des accès incomplets. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. '135 mière et deuxième circonvoluti
L1V. - Atrophie cérébrale. - Hémiplégie gauche. Débilité mentale et
épilepsie
. Père et grand-père paternel alcooliques. - Gra
- sions limitées au côté gauche avec hémiplégie gauche. - Accès d'
épilepsie
procursive à douze ans. - Affaiblissement intelle
l. - A la naissance la tête serait restée trois quarts d'heure DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 137 au passage et, de plus, l'enfan
dans la chambre, se cognant aux personnes qui se Fig. 3. 138 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. trouvaient devant lui, puis il reve
développées, détachées; lobule semi- adhérent. Fig. 4. 140 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 141 14
e semi- adhérent. Fig. 4. 140 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 141 142 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE.
E L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 141 142 DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. sillons. Par suite de la déviation
niveau à la partie triangulaire de la troisième frontale. - La DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 04 deuxième scissure frontale, très
rpendiculaire interne est très profonde. Le coin parait un 144 DE L'
ÉPILEPSIE
procursive. peu grêle dans sa partie supérieure
issure frontale, profonde, sinueuse postérieurement est inter- DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. '17 rompue en avant par un des plis
qui est très légèrement bosselée. BOURNEVILLE, 1887. 10 1M de l'
épilepsie
rr;ocu2sr-r. Examen iiistologique, par M. Pilli
- coup plus prononcé d'ailleurs dans d'autres cas d'idiotie. de l'
épilepsie
PROCURSIVE. 147 Au-dessous de ces points très l
couche de la substance grise et on peut leur distinguer - 148 DE l'
épilepsie
procursive. trois étapes : 10 prolifération vas
de moins que le gauche; aussi le cerveau ne recouvrait-il le DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 149 9 cervelet qu'en partie , le la
e symptôme doit être attribué à une lésion cérébelleuse, 150 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. vu l'étendue et la dissémination de
observations qui précèdent, relatives à des malades atteints l'un d'
épilepsie
procursive, pouvant être rattachée à une lésion
avoir constitué à proprement parler des accès. Ot3snv.To : v LVI. -
Epilepsie
avec idées religieuses extatiques mouvement de
. Fréquentes attaques d'hypé- rérnie aiguë pulmonaire. - Durée de l'
épilepsie
: au moins huit uns. - Mort à quarante ans. A
Iluth, évangéliste non marié, auparavant berger, admis en 1833 pour
épilepsie
à l'hôpital de Schwetz, transféré plus Lard . l
seur d'un noyau de prune et d'une dureté cartilagineuse. 152 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. Nous ne retiendrons de l'examen du
s quelques rares autopsies pratiquées jusqu'à ce jour, que dans l'
épilepsie
procursive, les accidents procur- sifs, certain
imentalement par la section ou l'irritation de certains points DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. HJ3 être tantôt primitive, tantôt s
cidents procursifs, mais il est à noter que tous étaient atteints d'
épilepsie
depuis l'enfance, et qu'il est possible que les
d'être suffisants. Il est à désirer que, à l'avenir, dans les cas d'
épilepsie
procursive, on procède à un examen minutieux, n
mie pathologique du ccr- velet, du bulbe et des corps striés dans l'
épilepsie
. (Archives générales de médecine, décembre 1869
lepsie. (Archives générales de médecine, décembre 1869.) 154 DE l'
épilepsie
procursive. VIII. - Pronostic, diagnostic, etc.
procursive. VIII. - Pronostic, diagnostic, etc. Le pronostic de l'
épilepsie
procursive proprement dite est toujours grave.
ins long, des accès à type commun; la marche est alors celle de l'
épilepsie
commune. Il semble toutefois que les acci- dent
moire semble bien conservée. La marche et la durée sont celles de l'
épilepsie
ordi- naire et par conséquent sont très variabl
- cident, etc. C'est à tort que Rilliet et Barthez ratta- chent l'
épilepsie
procursive à la grande chorée : la substitution
ilepsie procursive à la grande chorée : la substitution des accès d'
épilepsie
ordinaire aux accès d'épilepsie procursive, nou
rée : la substitution des accès d'épilepsie ordinaire aux accès d'
épilepsie
procursive, nous le répétons, démontre la natur
sode de l'attaque et ne la composent pas tout entière, comme dans l'
épilepsie
procursive. IX. - Considérations générales SUR
on lui a attribuée dont nous ayons à nous occuper à l'occasion de l'
épilepsie
procursive. Disons de suite que la propriété de
de Physiologie humaine, ln édi- tion, 181(i, p. llllln, 156 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. « Les phénomènes étranges d'impulsi
es d'action sur l'aire des cavités, sans que pour cela on relie « l'
épilepsie
» alors observée à la zone locale atteinte. Je
ur l'étude des localisations. Traduction Kéraval, 1885, p. 56. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. un d'hypcrémie ou d'anémie de ces o
émie ou d'anémie de ces organes, soit enfin qu'on ait affaire à une
épilepsie
provoquée « secondaire » (dans le sens que nous
à ce mot autre part), le cervelet servant de facteur intermédiaire (
épilepsie
symptomatique réflexe)1. Pour M. Ilitzig'2, « l
ibué le remplacement des mouvements procursifs par des accès type d'
épilepsie
. Aussi croyons-nous utile de dire quelques mots
ysiologie /;)<fn;«t ? l" édition, p. S)9t). Paris. 1 Í¡¡. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. loi) mouvement de recul ; après leu
confirmer ou infirmer l'hypo- thèse de la relation possible entre l'
épilepsie
procur- sive et une lésion cérébelleuse. Etio
lleuse. Etiologie. - Nous ne connaissons rien de l'étiologie de l'
épilepsie
procursive. D'après nos observations, nous pouv
fs sont jusqu'ici restés inefficaces, seuls les accès consécutifs d'
épilepsie
classique paraissent justiciables d'un traiteme
crises la semaine dernière; il n'en avait pas eu depuis trois mois (
épilepsie
2 ). Notre malade. - Grossesse bonne; pourtant,
. Le certificat de M. Lasègue est ainsi conçu : Idiotie, paralysie,
épilepsie
probable. - Le certificat de quinzaine, signé d
a- quement. La notion de position est conservée. - Il n'y a pas d'
épilepsie
spinale. Le chatouillement de la plante des pie
ncée et se complique de con- tracture dans l'extension et souvent d'
épilepsie
spinale (para- plégie spasmodique). Ces phénomè
médecine, 1888, p. 10). III. De la Température centrale dans l'
épilepsie
; Par BOURNEVILLE. Les recherches que nous avo
difications de la température sous l'influence des accès iso- lés d'
épilepsie
, des accès sériels et des accès subintrants, nous
tème nerveux, 1872-1873. - Recherches clin, et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hystérie. Paris, 1876, p. 1 il 14 et 91 à 98
¡ft, n"' 43 et 44, oct. 1886. 188 DE la température centrale dans l'
épilepsie
. sence de certains processus, avec toute la cer
et en particulier à l'école de Charcot, prétendant que tout accès d'
épilepsie
parfait s'accompagne d'une hyperthermie d'un de
e nerveux, 2e édit. Paris, 1883, p. 782. -- Gowers (W.-R.). -- De l'
épilepsie
et autres maladies convulsives chron., trad. Carr
ier et Paris, 1886, p. 1072; etc. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 189 des accès, fièvre qui peut mêmer accompagn
bien déterminée, quant au moment auquel elle survient, des accès d'
épilepsie
, s'installant quelques heures ou quelques jours
u'il va « rechercher les lois qui commandent aux hyperthermies de l'
épilepsie
» : « L'expérience, dit-il, nous apprend qu'abs
ment les idées de l'auteur se résumant en ceci : les accès isolés d'
épilepsie
, les accès survenant par petites sé- ries ne pr
érience que nous possédons aujourd'hui sur les hyperthermies dans l'
épilepsie
et surtout qu'il n'ait pas fait précéder ses as
nces : ce sont celles-là seu- 190 DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'
ÉPILEPSIE
. lementque parait connaître M. Witkowski. Depui
igné un grand nombre de renseignements thermométriques concernant l'
épilepsie
soit dans nos publications personnelles, soit d
nts de l'École de la Salpêtrière. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 191 192 DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS 1,'ÉPI
ATURE CENTRALE DANS 1,'ÉPILEPSIE. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 193 Chez vingt-sept malades nous avons noté de
as de la première catégorie : 194 DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'
ÉPILEPSIE
, DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 1
RATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE, DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 195 rature a fourni des résultats semblables à
roit de maintenir nos conclusions anciennes : 1° les accès isolés d'
épilepsie
augmentent la température centrale ; - 20 cette
nombre de faits relatifs à la température dans les accès sériels d'
épilepsie
et dans l'état de mal épileptique. Ils ne feron
ote de M. le D' Lemoine, sur la Température dans les accès isolés d'
épilepsie
, reposant sur 182 cas, qui viennent également i
omalies des organes génitaux que présentent les idiots avec ou sans
épilepsie
, nous n'avons pas la prétention de signaler un
alades de la troisième catégorie, idiots, imbéciles et débiles sans
épilepsie
et n'ayant pas encore atteint 13 ans. Sur 64 de
se toutes les autres et atteint 67,79 0/0. Sur 59 sujets atteints d'
épilepsie
avec idiotie ou imbé- cillité, 40 présentent en
mentale, offraient moins d'anomalies que les idiots com- plots sans
épilepsie
, parce qu'ils étaient moins dégénérés que ces d
a première catégorie de nos sujets, la plupart sont des sujets où l'
épilepsie
n'est apparue que vers l'âge de 10 à 20 ans, et
que et intellectuel, en- travé plus tard par les accès comitiaux, l'
épilepsie
est venue les surprendre dès leur jeune âge, qu
squ'à un certain point moins dégénérés que les idiots complets sans
épilepsie
, au contraire, les jeunes épileptiques de la de
4° La dégénérescence physique et intellectuelle pro- duite par l'
épilepsie
semble avoir une influence réelle sur la produc
ans épi- lepsie n'en présentent pour ainsi dire pas. 5° Lorsque l'
épilepsie
surprend l'enfant dès le début de la vie, elle
ctérisés du côté des organes génitaux. G° Les idiots, avec ou .sans
épilepsie
, présentent fré- quemment une forme particulièr
itre, 842; - Pieds-bots et autres incurvations des membres, 921 ; -
Epilepsie
, 593; - Convulsions, danse de St- Guy, tremblem
tre chez les idiots. D'une façon générale, l'idiotie avec ou sans
épilepsie
prédispose aux arrêts de développement, aux ano
elle croit pouvoir affirmer que c'est avant tout la dégénérescence,
épilepsie
, idiotie, syphilis, et même sans convulsions, q
ris (Vla NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈBE SUR UN CAS D'
ÉPILEPSIE
JACKSONNIENNE PORTANT SUR LE CENTRE CONJUGUÉ DE
Nouvelle Iconographie DE la SALPi.TRII.RE. T. XXVII. PI. I UN CAS d'
épilepsie
JACKSONNIENNE portant sur le centre conjugué de
siques et cboréiformes, les tremblements post-hémiplégiques, etc. L'
épilepsie
jacksonnienne n'est xxvtc 15 5 222 ' LA SALLE
ée vagabondant et internée à l'asile Marentza, avec le diagnostic d'
épilepsie
. Dans les actes de son internement, nous trouvo
ctes de son internement, nous trouvons que la malade est atteinte d'
épilepsie
depuis son enfance. A l'examen de la malade nou
ereaux, Senalor avaient signalé le diabète insi- pide au cours de l'
épilepsie
. Camus et Roussy attribuent la polyurie à une l
l n'est pas impossible qu'un trauma- tisme engendre en même temps l'
épilepsie
et la polyurie par lésion d'un des centres poly
, individu de 37 ans avec une taille moyenne de e 147 centimètres ;
épilepsie
depuis l'enfance, infantilisme, démence, UN CAS
ie totale. Au point de vue mental la malade était une arriérée avec
épilepsie
. Parmi les symptômes cérébraux consécutifs à l'
es recherches expérimentales sur la provenance et l'existence. de l'
épilepsie
, je me suis toujours efforcé de travailler auta
divisées en quatre grands groupes et j'ai essayé de déterminer si l'
épilepsie
essentielle pourrait être causée : 1° Par putré
acétone ou autres produits de putré- faction intestinale. ' 2° L'
épilepsie
essentielle n'est certainement pas une intoxicati
ue quelque peu, chez la plupart au contraire absolument pas. Dans l'
épilepsie
essentielle, l'état général reste tout à fait le
tielle soit l'effet d'une intoxication par les albumoses. 3° Dans l'
épilepsie
, il n'existe aucune rétention de chlorure de sodi
t montré toutefois absolument sans valeur dans [le. traitement de l'
épilepsie
. Il n'y a donc dans l'épilepsie ni rétention de
valeur dans [le. traitement de l'épilepsie. Il n'y a donc dans l'
épilepsie
ni rétention de sel ordinaire, ni hyper- sensib
n pouvait certainement croire que le thymus jouerait un rôle dans l'
épilepsie
. Ohlmacher, Volland et d'autres ont constaté à l'
s le métabolisme normal. Et, comme Kraïnsky a émis la théorie que l'
épilepsie
consisterait dans un empoisonnement par le carb
une clo ses substances d'origine pourrait être l'agent toxique de l'
épilepsie
; comme il admettait encore que l'acide urique pr
ais pour lesquels, cependant, on ne pouvait, en aucun cas, parler d'
épilepsie
essentielle, mais d'une affection cérébrale primi
iniques ne permettaient pas de diagnosti- quer autre chose que l' «
épilepsie
essentielle » et sur lesquels pourtant le trait
l'organe malade. Nous rencontrons quelque cliose d'analogue dans l'
épilepsie
et, pour trouver la voie dans cette grande quan
me diabète, pellagre, néphrite, etc.), la maladie de Stokes-Adam, l'
épilepsie
traumatique, l'éclampsie, la maladie d'Alzheimer,
am, l'épilepsie traumatique, l'éclampsie, la maladie d'Alzheimer, l'
épilepsie
PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 367
QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 367 sénile (altérations vasculaires), l'
épilepsie
affective deBratz et les tumeurs du cerveau qui
ôme « at- taques épileptiformes », il ne s'agissait pas encore d' «
épilepsie
», bien que les accès présentassent même la phy
reste alors le groupe très riche auquel nous donnons l'étiquette «
épilepsie
» et que, d'après les symp- tûmes cliniques, no
d'après les symp- tûmes cliniques, nous désignons sous le nom d' «
épilepsie
essentielle n ; -, ce groupe renferme cependant
tre. Ces deux maladies sont l'épi- lepsie essentielle (la véritable
épilepsie
, épilepsie idiopathique des Anglais, genuine Ep
ux maladies sont l'épi- lepsie essentielle (la véritable épilepsie,
épilepsie
idiopathique des Anglais, genuine Epilepsie des
la véritable épilepsie, épilepsie idiopathique des Anglais, genuine
Epilepsie
des Allemands), et l'épilepsie cérébrale (symptom
ie idiopathique des Anglais, genuine Epilepsie des Allemands), et l'
épilepsie
cérébrale (symptomatique ou secondaire) consécu
sez d'attention, donne lieu, dans la biblio- graphie si vaste sur l'
épilepsie
, à une confusion sans pareille ; il est, eu out
es du métabolisme et les altérations biochimiques trouvées dans « l'
épilepsie
essentielle » doivent être consi- dérées d'une
aient pas en mesure de décider s'ils avaient réellement affaire à l'
épilepsie
essentielle plutôt qu'à l'épilepsie céré- hrale
avaient réellement affaire à l'épilepsie essentielle plutôt qu'à l'
épilepsie
céré- hrale. Il faut entendre par l'épilepsie
ielle plutôt qu'à l'épilepsie céré- hrale. Il faut entendre par l'
épilepsie
cérébrale (symptomatique) cette épilepsie qui s
e. Il faut entendre par l'épilepsie cérébrale (symptomatique) cette
épilepsie
qui se montre à la suite d'une méningo-encéphal
suite d'une méningo-encéphalite diffuse, bien différente donc de l'
épilepsie
.facksonienne qui se produit il la suite d'un foy
, Binswanger et Redlich font remarquer à ce sujet que le champ de l'
épilepsie
essentielle se réduit toujours davantage et com
grâce aux méthodes de recherches toujours plus exactes, celui de l'
épilepsie
organique (cérébrale) va en s'élargissant. Cepend
ujours sans doute un groupe d'un nombre remarquable appartenant à l'
épilepsie
essentielle. Binswanger dit aussi, après la des
plus tard, se perdront complètement dans le type de la « véritable
épilepsie
». Si leurs singularités anamnesliques particuliè
s restent cachés, ils seront alors annexés au groupe important de l'
épilepsie
essentielle et, plus tard, les recherches micro
arguments à l'origine cérébrale organique du processus morbide de l'
épilepsie
essentielle. » ' Sur ce point, sans doute, Bins
quement et tous les points de vue, se comportent parfaitement comme
épilepsie
essentielle et qui dépendent, cependant, de la
éterminant celle dernière affection on a décidé en même temps que l'
épilepsie
est sympto- matique et, en fait, dépendante d'u
el manque toute altéra- tion cérébrale primitive) ne comprend que l'
épilepsie
essentielle (épilep- sie véritable ou épilepsie
) ne comprend que l'épilepsie essentielle (épilep- sie véritable ou
épilepsie
idiopathique). Ici il est donc question de deux
t abouti à aucune conclusion. PAT11OGT : NIE DE QUELQUES FORMES D'
ÉPILEPSIE
369 Il semble, à priori, vraisemblable que, dan
RMES D'ÉPILEPSIE 369 Il semble, à priori, vraisemblable que, dans l'
épilepsie
cérébrale, c'est-à-dire dans les troubles prove
dien (forte hyper- tension, altérations cellulaires) dans des cas d'
épilepsie
cérébrale (hydro- céphalie interne, méningites)
opinion assez courante que les altérations se produisant, en cas d'
épilepsie
, dans la personnalité psychique, comme la démence
n chronique, et que ces phénomènes seraient caractéristiques pour l'
épilepsie
essentielle. Cependant cela est encore une illusi
égard pour autrui, etc.), que l'on regarde comme spécifique pour l'
épilepsie
essentielle, se montre tout aussi bien chez les
essentielle, se montre tout aussi bien chez les malades atteints d'
épilepsie
cérébrale et, d'autre part, la démence épilepli-
d'autre part, la démence épilepli- que intervient aussi bien dans l'
épilepsie
essentielle que dans l'épilepsie cérébrale ; il
- que intervient aussi bien dans l'épilepsie essentielle que dans l'
épilepsie
cérébrale ; il me semble toujours de plus en pl
e ; il me semble toujours de plus en plus certain qu'en général , l'
épilepsie
cérébrale, succédant à une mén ingo-encépha 1 i l
ngo-encépha 1 i le diffuse, conduit t plus vile il la démence que l'
épilepsie
essentielle. Il se présente, en outre, des exce
, en outre, des exceptions en lous sens : je connais'des cas tant d'
épilepsie
essentielle que d'.épilepsie cérébrale, dans le
EN de toute défaillance intellectuelle se montrait davantage dans l'
épilepsie
essentielle ; s'il y avait, par contre, déjà un
ques années après le début des accès, on avait toujours affaire à l'
épilepsie
cérébrale (hydrocéphalie interne, syphilis héré
papillite n'in- dique nullement que l'on se trouve en présence de l'
épilepsie
essentielle, car, comme on le sait, de nombreux
ême chose de deux autres phénomènes qui ne sont pas si rares dans l'
épilepsie
, à savoir les trou- bles aphasiques et le phéno
ils présentent quelque durée, faire pencher la balance du côté de l'
épilepsie
cérébrale (foyers encéphaliques dans le lobe fr
e Binswanger et«d'au- tres l'ont démontré, on peut trouver, clans l'
épilepsie
essentielle, toutes sortes de symptômes de foye
ne s'agissait donc certainement pas d'épi- lepsie cérébrale, mais d'
épilepsie
essentielle. Dans ces cas d'épilepsie essentiel
i- lepsie cérébrale, mais d'épilepsie essentielle. Dans ces cas d'
épilepsie
essentielle, sans symptômes de foyer préalables
inance de l'usage de la main gauche se pré- sente aussi bien dans l'
épilepsie
cérébrale (avec hémisphère gauche plus spéciale
brale (avec hémisphère gauche plus spécialement atteint) que dans l'
épilepsie
essentielle, où elle se produit t comme signe d
ès constant, nous avions donc, très .vraisemblablement, affaire à l'
épilepsie
cérébrale (encéphalite diffuse, qui esl exclusi
exclusivement, ou au moins est prépondérante d'un côté) et non à l'
épilepsie
essentielle. Redlich montre l'intérêt de la pré
moitié du corps, il est alors très vraisemblable qu'il s'agit d'une
épilepsie
cérébrale qui a atteint un hémisphère plus que
comme absolument sûr) nous laissent dans l'embarras pour les cas d'
épilepsie
sans symptômes de foyer et que, comme les phéno
érieur de la maladie ne fournissent la moindre réponse au dilemme :
épilepsie
essentielle ou cérébrale (corticale), nous devo
e cette paralysie), peut donner lieu à un développement ultérieur d'
épilepsie
. » Quelques auteurs, comme Marie et Freud, vont
ues auteurs, comme Marie et Freud, vont jusqu'à vouloir rame- ner l'
épilepsie
en général à une affection cortico-cérébrale orga
ela une base suffisante. Marchand, lui aussi, cherche la cause de l'
épilepsie
dans l'épaississement des méninges et de leur d
j'ai affirmé déjà à plusieurs reprises, à savoir que cliniquement l'
épilepsie
corticale (sans symptômes de foyer) ne peut êtr
ie corticale (sans symptômes de foyer) ne peut être distinguée de l'
épilepsie
essen- tielle ; toutefois ces auteurs, parlant
épilepsie essen- tielle ; toutefois ces auteurs, parlant toujours d'
épilepsie
véritable ou essentielle, avaient toujours affa
jours affaire, comme l'indiquaient les résultats de l'autopsie, à l'
épilepsie
corticale, suite de la méningo-encéphalite. Ces
'épilepsie corticale, suite de la méningo-encéphalite. Ces formes d'
épilepsie
cérébrale se rattachent donc tout à fait à l'épil
Ces formes d'épilepsie cérébrale se rattachent donc tout à fait à l'
épilepsie
causée par la paralysie cérébrale infantile, ca
e cérébrale infantile, car, dans la grande ma- jorité de ces cas, l'
épilepsie
et la paralysie furent causées par un même fact
dans le voisinage de la zone motrice. Il faut donc admettre que l'
épilepsie
essentielle peut aussi se dévelop- per chez un
jà d'une autre affection cérébrale quelconque et ainsi la véritable
épilepsie
peut se déclarer aussi chez les malades atteint
ne sera qu'une exception très rare et comme toutes les deux, tant l'
épilepsie
que la paralysie, peuvent être parfaitement exp
s la paralysie cérébrale infantile des attaques épileptiques, celte
épilepsie
doit être d'origine cérébrale et n'appartient d
pilepsie doit être d'origine cérébrale et n'appartient donc pas à l'
épilepsie
essentielle. Freud admet aussi pour toutes deux
met aussi pour toutes deux une même origine qui cause dans un cas l'
épilepsie
, dans un deuxième la paralysie cérébrale infant
paralysie cérébrale infantile sont bien loin de causer plus tard l'
épilepsie
(cérébrale) et, par suite, il admet que, dans l
cas où se produisent des attaques, il existe une prédisposition à l'
épilepsie
. Cela n'est pas juste et ne pourrait s'applique
t qu'aux cas de combinaison de paralysie cérébrale infantile avec l'
épilepsie
véritable essentielle. Pour l'épilepsie cérébra
cérébrale infantile avec l'épilepsie véritable essentielle. Pour l'
épilepsie
cérébrale, la prédisposition n'est absolument pas
elopper uneépi- lepsie véritable. Weber voit aussi dans ces cas une
épilepsie
véritable. » Redlich a véritablement raison, qu
blement raison, quand il dit « qu'elle ne se distingue en rien de l'
épilepsie
essentielle ». Mais en disant cela, il ne fait qu
es auteurs qui, sans le savoir ou sans le vou- loir, montrent que l'
épilepsie
cérébrale et l'épilepsie essentielle se res- se
avoir ou sans le vou- loir, montrent que l'épilepsie cérébrale et l'
épilepsie
essentielle se res- semblent cliniquement comme
liniquement comme deux gouttes d'eau. Mais, du reste, il a tort : l'
épilepsie
essentielle sera rarement aussi bien combinée ave
si nous trouvons associées la paralysie cérébrale infan- tile et l'
épilepsie
, toutes deux doivent alors venir de la même origi
'épilepsie, toutes deux doivent alors venir de la même origine et l'
épilepsie
est, dès lors, d'origine cérébrale. Redlich montr
psulé, kystique, de l'arachnoïde, qui semblaient être la cause de l'
épilepsie
: après l'opération (établissement d'un volet dan
ation (établissement d'un volet dans la dure-mère), les symptômes d'
épilepsie
disparurent. C'est la preuve par- faite que l'é
symptômes d'épilepsie disparurent. C'est la preuve par- faite que l'
épilepsie
était d'origine cérébrale et qu'il ne s'agissait
it d'origine cérébrale et qu'il ne s'agissait donc absolument pas d'
épilepsie
essentielle. Le raisonnement de Redlich est enc
es qui ne peuvenl pas encore être considérées comme appartenant à l'
épilepsie
essentielle. » Ici la manière de raisonner n'est
en foyers se sont étendues si diffusément qu'elles causent' tant l'
épilepsie
que la paralysie cérébrale infantile, il y a alor
tant l'épilepsie que la paralysie cérébrale infantile, il y a alors
épilepsie
cérébrale et non épilepsie essentielle ; si, pa
alysie cérébrale infantile, il y a alors épilepsie cérébrale et non
épilepsie
essentielle ; si, par contre, les affections sont
; si, par contre, les affections sont assez diffuses pour causer l'
épilepsie
, mais non assez grandes ou assez in- tensives o
a para- lysie, il faut alors (et toujours d'après Redlich) parler d'
épilepsie
essen- tielle. Ce n'est pas un raisonnement sol
t dans les méninges (c'est qu'il y a eu encéphalite primi- tive), l'
épilepsie
éventuelle qui en découle esl, dans ce cas, d'ori
cela ne change rien. Il en est exactement de même avec les cas d'
épilepsie
qui sont combinés avec l'hydrocéphalie interne,
forme des autres formes cérébrales et pour lui donner un autre nom (
épilepsie
hydrocéphaliqiie), car ce serait un travail pre
e séparer l'une de l'autre toutes les formes presque innombrables d'
épilepsie
cérébrale et de donner à chacune une étiquette
moins permis de porter celle forme hydrocé- phalique au comple de l'
épilepsie
essentielle, car la cause réside dans la dilata
nnent cette maladie comme se présentant sou- vent « combinée avec l'
épilepsie
». C'est positivement faux ; quand la tumeur de
preuve dans le fait que, dans les cas d'acromégalie « associée à l'
épilepsie
», les attaques disparaissent aussitôt qu'on a
enlevé, par opération, la tumeur de l'hy- pophyse. Tous ces cas d'
épilepsie
que nous venons de mentionner doivent donc, san
és parmi les formes cérébrales sous réserve de la possibilité que l'
épilepsie
essentielle peut se produire chez un malade déj
rs manifestations extérieures, ressemblent absolument à celles de l'
épilepsie
essentielle. Pourtant, pathogénétiquemenl., elles
mitive et les attaques appartiennent donc à la forme cérébrale de l'
épilepsie
. Naturellement on doit admettre ici la possi- b
tions, à savoir : un individu avec une prédisposition native pour l'
épilepsie
essentielle est atteint de typhus ou de pneumonie
elle est atteint de typhus ou de pneumonie et après celle maladie l'
épilepsie
, de latente qu'elle élait, devient manifeste. En
n, se produit après le typhus (la pneumonie, la scarlatine, etc.) l'
épilepsie
essentielle. - La grande masse des épilepsies s
de maladies infectieuses aiguës doit donc aussi êlre rangée dans l'
épilepsie
cérébrale. En outre, il peut se passer un grand
ces cas il serait important pour le malade de savoir quelle forme d'
épilepsie
est en jeu, il est vraiment nécessaire d'essayer
t, quand il y a des symptômes de foyer, nous avons une indication d'
épilepsie
cérébrale; cependant dans la plus grande majori
ilepsie cérébrale; cependant dans la plus grande majorité des cas d'
épilepsie
cérébrale, tous les symptômes de foyer font abs
exact). On devrait ainsi s'attendre peut- - être à ce qu'au moins l'
épilepsie
traumatique se montrât toujours comme une affec
l n'en est pas ainsi; il y a, naturellement, dans de nombreux cas d'
épilepsie
traumatique, beaucoup de symptômes en foyer, ma
beaucoup le jour. Les attaques présentent tous les caractères de l'
épilepsie
essentielle (morsure de la langue, évacuation i
gence assez bonne; les attaques présentent tous les caractères de l'
épilepsie
, seulement les contractions commencent quel- qu
jusqu'à l'âge de dix ans. Dans ces deux cas, il s'agit donc bien d'
épilepsie
traumatique (causée probablement par un épanche
niques et non l'anamnèse, ces deux cas ressemblent complètement à l'
épilepsie
essentielle et ne pré- sentent aucun symptôme e
concerne les attaques, sont par- faitement identiques à celles de l'
épilepsie
essentielle ; seulement dans la syphilis cérébr
mitives, qui peuvent causer des atta- ques semblables à celles de l'
épilepsie
essentielle, il faut encore citer la dystrophie
ut rares. Et aussi dans ces derniers cas il est sûrement question d'
épilepsie
cérébrale : si l'on extrait la tumeur de l'hypoph
épileptiformes cessent immédiatement. Il va sans dire que les cas d'
épilepsie
effective (Bralz) peuvent être bien facilement
sie effective (Bralz) peuvent être bien facilement confondus avec l'
épilepsie
essentielle. Quant à ce qu'on appelle les « pet
diversité et que, si quelques-uns de ces cas peuvent appartenirà l'
épilepsie
esssentielle (d'autres appartiennent sûrement à
dents. Syphilis héréditaire, un cas douteux et deux cas certains.
Epilepsie
traumatique, trois cas bien établis par l'anamnès
rfaitement obscure. Toutefois, n'appartenant proba- blement pas à l'
épilepsie
essentielle. Epilepsie affective trois cas bien
fois, n'appartenant proba- blement pas à l'épilepsie essentielle.
Epilepsie
affective trois cas bien contrôlés. Epilepsie a
lepsie essentielle. Epilepsie affective trois cas bien contrôlés.
Epilepsie
après typhus (méningite), deux cas. Epilepsie a
cas bien contrôlés. Epilepsie après typhus (méningite), deux cas.
Epilepsie
après scarlatine et après pneumonie (méningite),
ne et après pneumonie (méningite), de cha- que affection, un cas.
Epilepsie
. après encéphalite, respectivement mèningo-encéph
cas certain. Dystrophie adiposo-ge;21lale (probable), un cas.» t
Epilepsie
essentielle (probablement) 30 cas, formant ensemb
, complètement différents l'un de l'autre, mais tous probablement d'
épilepsie
cérébrale primitive ; hors de ce groupe, il res
; hors de ce groupe, il reslait une petite série de cas d'hystérie,
épilepsie
affective, etc., et une série de 30 maiacles (1
s filles et femmes) que l'on pouvait regarder romme appartenant à l'
épilepsie
véritablement essen- tielle (sous la réserve, t
drait peut- être reporter un ou plusieurs de ces cas au compte de l'
épilepsie
cérébrale ; i seule l'autopsie pouirait fournir
les 86 mala- des m'ont été envoyés comme atteints « probablement d'
épilepsie
essen- tielle » ; si nous en excluons maintenan
tile que le médecin de la famille se refusait déjà à regarder comme
épilepsie
« essentielle », puis les cas d'hystérie, les deu
reste donc 40 cas qui, au point de vue clinique, s'imposaient comme
épilepsie
essen- PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSI
uverte n'est point surprenante : on peut, dans la littérature sur l'
épilepsie
, trouver de nom- breux cas qui, cliniquement et
iquement et pendant longtemps, se présentaient com- plètement comme
épilepsie
essentielle et qui, plus tard, paraissaient app
, on ne pouvait porter d'autre diagnostic - pourtant erroné - que d'
épilepsie
essentielle, il s'en trouve seule- ment 30, peu
u, en d'autres termes, de tout ce que l'on appelle clini- quement «
épilepsie
essentielle », la plus grande partie appartient à
lle », la plus grande partie appartient à toutes sortes de formes d'
épilepsie
cérébrale et seulement la minorité à l'épi- lep
les ontconcluits à admettre la possibilité qu'il n'existerait pas d'
épilepsie
essentielle et qu'il faudrait finalement rappor
ue de tous les cas qui, cliniquement, s'imposent complètement comme
épilepsie
essentielle on n'en peut effectivement attribuer
xheimer, Bratz et d'autres) mollirent avec raison que le champ de l'
épilepsie
essentielle se réduit régulièrement à mesure qu
ues et anatomiques du cerveau; mais il ne s'ensuit pas encore que l'
épilepsie
essentielle doive disparaître complètement de la
les limites absolues entre attaques partielles et générales, entre
épilepsie
organique et épilepsie essentielle, etc. La pre
ntre attaques partielles et générales, entre épilepsie organique et
épilepsie
essentielle, etc. La première partie de' cette ci
tion est par- faitementjuste, la deuxième ne peut être vraie. Que l'
épilepsie
cérébrale 'ne représente qu'un développement gé
ie cérébrale 'ne représente qu'un développement général diffus de l'
épilepsie
à foyer défini (épilepsie de Jackson), cela est
e qu'un développement général diffus de l'épilepsie à foyer défini (
épilepsie
de Jackson), cela est évident, mais les épilepsie
tabolisme que l'on trouvera à l'avenir chez les malades, atteints d'
épilepsie
essentielle, ne se présente- ront pas chez'les
essentielle, ne se présente- ront pas chez'les malades, atteints d'
épilepsie
cérébrale (affections corti- cales diffuses, ay
ques dans ou au voisinage du cortex cérébral ; le malade, atteint d'
épilepsie
essentielle, au contraire, souffre d'un trouble c
senthal croyait pouvoir établir à l'aide de recherches sur 32 cas d'
épilepsie
essentielle indiscutable (« ein- wandfreien 32
e essentielle indiscutable (« ein- wandfreien 32 Fallen der genuine
Epilepsie
») que dans cette maladie on trouve souvent, et
lues) dans le sérum sanguin ; cette pathogénie de quelques formes d'
épilepsie
383 augmentation se montrerait le plus distinct
donne d'au- cun d'eux l'impression qu'ils sont atteints vraiment d'
épilepsie
essenlielle ; au contraire, elle montre clairem
ntre clairement que la plupart d'entre eux souffrent t sans doute d'
épilepsie
cérébrale : plusieurs de ses malades avaient eu d
ous apprendre quelque chose sur la pathologie du métabolisme dans l'
épilepsie
essen- tielle, car elles sont faites chez des m
e essen- tielle, car elles sont faites chez des malades souffrant d'
épilepsie
céré- brale ; quant à sa théorie qui en découle
ire, elle est, par conséquent, sans- valeur pour la pathogénie de l'
épilepsie
essentielle. Passons donc maintenant, pour auta
en plus détaillé de l'origine des phénomènes cliniques, tant dans l'
épilepsie
essentielle que dans l'épilepsie cérébrale et e
phénomènes cliniques, tant dans l'épilepsie essentielle que dans l'
épilepsie
cérébrale et essayons d'en donner une explicati
'en donner une explication. J'admets, en outre, comme certain que l'
épilepsie
essentielle est une auto-intoxication (une maladi
roïde contient beaucoup d'iode. De PATIIOGÉNIE DE quelques formes d'
épilepsie
385 plus, l'iodothyrine, aussi bien que la thyr
ire pour éclairer les (lifféi entes questions de la pathogénie de l'
épilepsie
essentielle ; pre- mièrement les expériences de
ine et la trypsine). Et en second lieu on doit contrôler si, dans l'
épilepsie
essentiel le, la sécrétion de ces ferments du m
ar l'acide carbonique (ce que Kraïnsky suppo- sait également pour l'
épilepsie
essentielle). Déplus, on peut faire diminuer la
ue. D'un très grand intérêt, enfin, est le rapport existant entre l'
épilepsie
et la tétanie. Biedl dit à ce sujet : très impo
anément, se sontproduites des attaques épileptiques, ou plutôt de l'
épilepsie
. Toutes les sortes de tétanie avec leur étiolog
vec leur étiologie différente peuvent se présenter combinées avec l'
épilepsie
. Les raisons qui plaident en faveur de ce rapport
aussi convaincu du rap- port intime existant entre la tétanie et l'
épilepsie
, ce qui est, d'ailleurs, l'opinion de la plupar
ptiques plus ou moins complètes. Westphal pense que la tétanie et l'
épilepsie
, dans la majorité des cas, proviennent de la mê
la fonction des glandes thyroïde et paralhy- roïdes d'une part et l'
épilepsie
d'autre part. Après avoir cité ces auteurs et a
table entre les glandes paralhyroïdes d'une part et la tétanie et l'
épilepsie
d'autre part ; il explique ce rapport ainsi : s
t les nerfs de la glande thyroïde) et c'est pour cette raison que l'
épilepsie
se produit dans la téta- nie expérimentale ; ce
que l'épilepsie se produit dans la téta- nie expérimentale ; cette
épilepsie
est donc la suite des troubles thy- 394 BOLTEN
yroïdes avait été enlevée, on constatait alors des symptômes tant d'
épilepsie
que de tétanie. Ces cas cliniques, dans lesquels,
ment une preuve importante en faveur de notre thèse, à savoir que l'
épilepsie
essentielle est causée par des troubles chroniq
'il n'existait (chez ses malades thyroïdec- tomisés) que deux cas d'
épilepsie
avec une prédisposition héréditaire, dans lesqu
clinique, les recherches microsco- piques et mes expériences sur l'
épilepsie
essentielle se complètent très heureusement l'u
rches poursuivies pendant plusieurs années, j'ai pu constater que l'
épilepsie
essentielle provient d'une insuffisance de la g
le moindre effet), on peut bien, avec quelque sûreté, déduire que l'
épilepsie
essenlielle provient de l'insuffi- sance des gl
t ensuite tous les autres phénomènes secondaires, tout comme dans l'
épilepsie
essentielle. Enfin, Claude et Schmiergelcl ont
Enfin, Claude et Schmiergelcl ont mentionné que dans tous les cas d'
épilepsie
essentielle ils ont trouvé des altérations dégéné
l'insuffisance de la glande thyroïde et des para- thyroïdes dans l'
épilepsie
essenlielle comme démontrée nettement par la cl
xplica- tion des phénomènes, spécialement des attaques, tant dans l'
épilepsie
es- sentiellè que dans l'épilepsie cérébrale (c
lement des attaques, tant dans l'épilepsie es- sentiellè que dans l'
épilepsie
cérébrale (corticale). Dans la première, il exi
eux, c'est-à-dire du nerf sympathique), de même que, dans les cas d'
épilepsie
post-opératoire, on obtient une in- suffisance
ulaire (produits encore inconnus) qui causent l'intoxication nommée
épilepsie
essenlielle. Ces parties du cerveau retirent co
t recommence. Que se passe-t-il maintenant chez le malade atteint d'
épilepsie
céré- brale ? En fait, il se passe exactement l
poisonnent ainsi elles-mêmes. Dans les opérations nécessitées par l'
épilepsie
à la suite de méningo- encéphalite, il est arri
uide céphalo-rachidien vers les vaisseaux du diploé. Dans les cas d'
épilepsie
cérébrale qui sont la sùite d'une méningite sim
ui revient à dire que l'opération n'est pas indiquée dans les cas d'
épilepsie
essentielle. Sans aucun doute on peut attendre
toxiques du métabolisme dans le cortex). Toutefois, dans les cas d'
épilepsie
essentielle, le résultat d'une telle opération do
te d'essayer d'arriver à un diagnos- tic différentiel exact entre l'
épilepsie
essentielle et l'épilepsie cérébrale ; cela est
diagnos- tic différentiel exact entre l'épilepsie essentielle et l'
épilepsie
cérébrale ; cela est du plus haut intérêt pour
; cela est du plus haut intérêt pour le malade : s'il est atteint d'
épilepsie
essentielle, il peut être immédiatement traité
-épilep- tique el le pronostic est alors favorable ; s'il souffre d'
épilepsie
cérébrale, on peut pratiquer la trépanation-sou
, nous pouvons expliquer maintenant comment il est pos- sible que l'
épilepsie
essentielle (maladie du métabolisme) et l'épileps
os- sible que l'épilepsie essentielle (maladie du métabolisme) et l'
épilepsie
cérébrale (affection cérébrale organique primit
orce cérébrale. L'origine seule des toxines est différente : dans l'
épilepsie
essentielle elles proviennent des produits de d
inoïdes) et des pro- duits du métabolisme de tout le corps ; dans l'
épilepsie
cérébrale, par con- tre, l'intoxication est cau
ordre d'idées, on peut encore donner une autre explication : dans l'
épilepsie
cérébrale, les toxines proviennent exclusivement
n est fortement troublée ; pour livrer autant de toxines que dans l'
épilepsie
essentielle où elles proviennent du métabolisme
tiels. Cela revient à dire : en général les malades qui souffrent d'
épilepsie
cérébrale deviennent beaucoup plus rapidement d
eviennent beaucoup plus rapidement déments que ceux qui souffrent d'
épilepsie
essentielle, fait que j'ai pu confirmer parfaitem
sychiques, avaient été internés dans des asiles, souffraient tous d'
épilepsie
cérébrale. Par contre, j'ai plusieurs malades qui
nce. Dans les deux formes le cortex cérébral est intoxiqué : dans l'
épilepsie
essentielle par les produits du métabolisme de to
ntielle par les produits du métabolisme de tout l'organisme, dans l'
épilepsie
cérébrale par ceux provenant du cortex même et de
ions du caractère et la démence, on ne peut donc pas conclure que l'
épilepsie
essentielle n'est pas un processus cérébral pri
un processus cérébral primitif, mais nne intoxication, car, dans l'
épilepsie
corticale, ces mêmes altérations se présentent et
et. d'après mon opinion, même en plus forte proportion .que dans l'
épilepsie
es- sentielle. Seulement l'absence totale d'une
n jeu d'aulres facteurs que nous ne connaissons pas encore : dans l'
épilepsie
essentielle on a trouvé des altérations congénita
r les conclu- sions suivantes : . pathogénie DE QUELQUES formes d'
épilepsie
401 - CONCLUSIONS. 1° L'épilepsie essentielle
pathogénie DE QUELQUES formes d'épilepsie 401 - CONCLUSIONS. 1° L'
épilepsie
essentielle et l'épilepsie cérébrale sous ses for
es d'épilepsie 401 - CONCLUSIONS. 1° L'épilepsie essentielle et l'
épilepsie
cérébrale sous ses formes nom- breuses ne peuve
ne peuvent servir comme élément de diagnostic différentiel. 2° L'
épilepsie
cérébrale se produit à la suite de n'importe quel
circula- tion dans l'écorce cérébrale (hyperémie veineuse). 3° L'
épilepsie
essentielle est une auto-intoxication chronique,
t du métabolisme intermédiaire est fortement diminuée. fi' Dans l'
épilepsie
cérébrale comme dans l'épilepsie essenlielle, le
est fortement diminuée. fi' Dans l'épilepsie cérébrale comme dans l'
épilepsie
essenlielle, le cortex cérébral avec sa grande
poisons d'origine différente se sature lentement de toxines. Dans l'
épilepsie
essentielle ces toxines proviennent du métaboli
sme défectueux dans la région atteinte. 5° Dans toutes les formes d'
épilepsie
, il faut regarder l'attaque comme une réaction
e partie dans le sang, à ce moment dépourvu de toxines. 6* Dans l'
épilepsie
essentielle, un traitement vraiment an ti -épi 1
re disparaître pour toujours tous les phénomènes morbides. Dans l'
épilepsie
cérébrale, ce traitement n'a aucun effet ; en ce
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., t. 29, ti'" 4-5, p. 396. VoLLAN ! ). Oi,gaitunierstichunge)4 bei
Epilepsie
. Zeitschr. f. die ges. Psych. und Neurol., 1900
riode menstruelle est une condition excitante pour le nervosisme, l'
épilepsie
, la dipsomanie, et t t\r" ., w. · V/ 408 \ }'
bilité nerveuse est au-dessous de la neurasthénie, mais supérieur à
épilepsie
, qui est la réac- tion la plus furte parce qu'e
n la quantité, être cause d'une neurasthénie, d'une hystérie, d'une
épilepsie
alcooliques. Mulalis nzulandis on observe les mêm
ur auxiliaires toutes les autres indications curatrices. Contre l'
épilepsie
, la clinique thérapeutique s'est montrée moins ef
ne irritabilité ex- cessive des cellules bulbaires ou corticales. L'
épilepsie
fonctionnelle cependant est plus curable qu'il
ez la femme, elle est plus rapide, plus explosive, plus évidente. L'
épilepsie
est plus com- mune chez la femme que chez l'hom
nèse, qu'ils ont eu des « attaques », dont la description désigne l'
épilepsie
, et ils se sont guéris. Chez les psychasthéniqu
elle façon que j'établis souvent des relations très intimes entre l'
épilepsie
et la psychasthénie. Je pourrais en citer plusi
és dans le groupe des névroses classiques : neurasthénie, hystérie,
épilepsie
. Ces états coïncident avec ce que les auteurs d
Ectrodactylie totale (Quatre cas), par KLIPPEL et Rabaud, 333. z
Epilepsie
(Palhogénie de quelques formes d' - dites épile
abaud, 333. z Epilepsie (Palhogénie de quelques formes d' - dites
épilepsie
essentielle et épi- lepsie cérébrale), par BOLT
13. Bolten (G.-C.) (de la Haye). Pathogénie de quelques formes d'
épilepsie
dites épilepsie essentielle et épilepsie céré-
C.) (de la Haye). Pathogénie de quelques formes d'épilepsie dites
épilepsie
essentielle et épilepsie céré- brale, 360. CI
nie de quelques formes d'épilepsie dites épilepsie essentielle et
épilepsie
céré- brale, 360. CIiARoN(René) et COURBON (P
cas d'acrodac- tylopathie hypertrophiante, 4. Cmaao. Sur un cas d'
épilepsie
jackso- nienne portant sur le centre conjugué
e métacarpo-phalangienne (IW rrec et lie- baud), LVI à LVIII. 1
Epilepsie
jacksonienne (CIIIRAV), I. Gigantiques (Dystrop
précise; jamais d'ailleurs cette malade n'a pré- senté de crises d'
épilepsie
jacksonnienne. J'examine maintenant les réflexe
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Un cas d'
épilepsie
avec gliôme consécutif à une lésion trauma- tiq
publié en jauvier dans le Journal of Mental Science par l'auteur, l'
épilepsie
avait été consécutive à une 44 REVUE D'ANATOMIE
ébelleux, atrophie du cerve- let apparemment limitée à la base ; 2.
Epilepsie
à crises très fré- quentes avec aura sensitive
la suite d'un traumatisme du crâne suivi de paralysie oculaire et d'
épilepsie
jacksonienne. Ii. C. -XXI. Description d'un cas
urologique, janvier 1902). E. B. XVI. Quelques considérations sur l'
épilepsie
tardive et l'épilepsie sénile; par le Dr P. 11l
2). E. B. XVI. Quelques considérations sur l'épilepsie tardive et l'
épilepsie
sénile; par le Dr P. 11lASOIN. D'après les re
de l'auteur, l'hérédité névropathique joue un rôle important dans l'
épilepsie
tardive, l'artériosclérose venant secondairemen
ce groupe d'épilepsies tardives, comprenaut aussi cer- tains cas d'
épilepsie
sénile se confondrait presque avec les épilepsies
aphie. 87> IV. L'amnésie et les troubles de la conscience dans l'
épilepsie
; par J. Maxwell, avocat général près de la Cour
inédit sur les trou- bles de' la mémoire et de la conscience dans l'
épilepsie
, prélude. probable d'une étude d'ensemble sur l
bilité civile. Pour justifier cette conclusion en ce qui concerne l'
épilepsie
, M. Maxwell a d'abord tenu à présenter une vue
une vue d'ensemble de nos connaissances actuelles d'une part sur l'
épilepsie
et d'autre part, sur l'amnésie. Puis, à l'aide
spéciale du Dépôt. (Jour- nal, 17 septembre). -, Traitement DE l'
épilepsie
. Voici un moyen de guérir l'épilepsie : faire u
tembre). -, Traitement DE l'épilepsie. Voici un moyen de guérir l'
épilepsie
: faire un anneau de pur argent, y enchâsser un
Asile DE VILLEJUIF. Service de M. TOULOUSE. Maladies men- tales et
épilepsie
. Le mercredi matin à 10 heures visite du service
Février 1904. N, 98. ARCHIVES DE NEUROLO"1^ CLINIQUE NERVEUSE.
Epilepsie
: Pathogénie et indications théra] (Contributio
t Avicenne qui, les pre- miers, ont attribué une nature toxique à l'
épilepsie
, les re- cherches et les contradictions relativ
comment je suis arrivé à une conception nouvelle de la nature de l'
épilepsie
, sur quelles bases repose mon in- terprétation
éclairer beaucoup de points encore obscurs de l'étiologie pure de l'
épilepsie
géné- rale, de l'épilepsie indépendante de caus
encore obscurs de l'étiologie pure de l'épilepsie géné- rale, de l'
épilepsie
indépendante de causes acquises, et qui permett
tube di- gestif, etc. La pathogénie qui me semble être celle de l'
épilepsie
vraie, de Archives, 2' série, t. XVII. 7 98 '
ie, de Archives, 2' série, t. XVII. 7 98 ' CLINIQUE NERVEUSE. l'
épilepsie
stéréotypée en quélquesorte quant à ses manifesta
dait généralement autrefois, comme on l'écrit encore aujourd'hui, l'
épilepsie
peut résul- ter de l'imbécilité ou de l'idiotie
de, bien que passagère, de Ce ? taÍ11Cs maladies infectieuses sur l'
épilepsie
. Rareté du goitre chez lés épileptiques adolesc
es adolescents ou jeûnes adultes. Son in- fluence modératrice sur l'
épilepsie
. Distribution géographique du goitre, du crétin
ilepsie. Distribution géographique du goitre, du crétinisme et de l'
épilepsie
. Les régions les plus fertiles en épileptiques
ins et réciproquement . Trouve-t-on associés le crétinisme pur et l'
épilepsie
franche ? Statistiques el observations franche-
fluence suspensive que cer- taines maladies, infectieuses ont sur l'
épilepsie
, la fièvre typhoïde notamment, j'étais persuadé
èvre 'typhoïde ; après quelques jours d'alitement, à notre grande
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES/ 99
typhoïde. Mais la convalescence arrivée, l'état antérieur, accès d'
épilepsie
, hébétude, etc., reparut, et, de- puis plusieur
- mandant quelle sécrétion pouvait être incriminée surtout dans l'
épilepsie
,' je finis par être frappé de la rareté du goit
d'une façon générale, plus le goitre se développe plus les crises d'
épilepsie
doi- vent s'espacer, lorsqu'elles sont indépend
emier enseignement à la géographie du crétinisme, du goitre et de l'
épilepsie
et voici ce que j'ai trouvé : Epilepsie. « Le
inisme, du goitre et de l'épilepsie et voici ce que j'ai trouvé :
Epilepsie
. « Les régions arctiques sont un des foyers de pr
. « Les régions arctiques sont un des foyers de pré- dilection de l'
épilepsie
comme de l'hystérie ; on la signale comme extra
INIQUE NERVEUSE. tiques ; en Suède el en Norvège, la fréquence de l'
épilepsie
la fait regarder comme une endémie de ce pays..
artements des Hautes-Alpes et de Savoie 2. » Ainsi où nous voyons l'
épilepsie
très fréquente, presque endémique, comme en Suè
i comptent le plus d'épileptiques n'ont ni crétins ` ni goitreux.
Epilepsie
. « En Amérique, l'épilepsie est fréquente sur les
iques n'ont ni crétins ` ni goitreux. Epilepsie. « En Amérique, l'
épilepsie
est fréquente sur les hauts plateaux du Mexique
l'une des maladies les plus communes (Rendu). Il est probable que l'
épilepsie
règne dans le Nord du Continent américain avec
nant ce qu'il en est plus particulièrement pour notre pays : « L'
Epilepsie
est incontestablement répartie d'une façon inégal
r de là que l'on ne devrait jamais voir associés le crétinisme et l'
épilepsie
? Cherchons donc ce qu'il pourrait y avoir de c
'épilepsie ? Cherchons donc ce qu'il pourrait y avoir de commun à l'
épilepsie
et au cré- tinisme, au crétinisme type, comme à
mun à l'épilepsie et au cré- tinisme, au crétinisme type, comme à l'
épilepsie
pure, s'en- tend. Esquirol classait ainsi, au
re plus ou moins fréquentes, 1 Mahé. l.oc. cil. , Hurlurenu. Art.
Epilepsie
du Dict. Dechamble, page 109. 102 CLINIQUE NERV
Remarquons déjà la proportion relativement faible de l'idiotie avec
épilepsie
, le petit nombre des accès d'épilepsie d'une id
ent faible de l'idiotie avec épilepsie, le petit nombre des accès d'
épilepsie
d'une idiote, petit nombre qui semble avoir fra
d'association du crétinisme et de l'épilep- sie dans ses 339 cas d'
épilepsie
. Du reste, dans les autres parties de son ouvra
e, dans les autres parties de son ouvrage, ni lorsqu'il traite de l'
épilepsie
, ni lorsqu'il étudie le crétinisme, nulle part
allusion à l'observation d'une association du crétinisme et de l'
épilepsie
. Il parle bien (page 315, loc. cil.) d'une épi-
pathique ce qui a son siège dans le système des vaisseaux blancs »,
épilepsie
à laquelle seraient prédisposés « les sujets pâ
dans le groupe des individus susceptibles d'être atteints de cette
épilepsie
. Baillarger et Krishaber2 parlent bien de l'épi
ts de cette épilepsie. Baillarger et Krishaber2 parlent bien de l'
épilepsie
chez le crétin, mais ils ne mentionnent l'épile
rlent bien de l'épilepsie chez le crétin, mais ils ne mentionnent l'
épilepsie
que parmi les causes de décès du crétin et en t
strictions que l'on se demande, comme eux-mêmes, s'il s'agit bien d'
épilepsie
vraie : « Les maladies auxquelles les crétins s
ngite, l'hydrocéphalie, les affections con- vulsives et notamment l'
épilepsie
. On a signalé chez le cré- tin des accès de mal
e maladies aiguës avec fureurs qui se rat- tachent probablement à l'
épilepsie
». 1 Esquirol. Des maladies mentales, t. I, page
étineux. ' J'ai parcouru un grand nombre d'ouvrages traitant de l'
épilepsie
, depuis le livre de Portai jusqu'aux travaux les
recherche de faits précis d'association du créti- nisme pur et de l'
épilepsie
; je n'ai rien trouvé, et, comme nous le verrons
oin de la pathogénie du crétinisme ou du myxoedème pur à celle de l'
épilepsie
franche. Morel, dont les remarquables travaux s
ltes, ivrognes et cependant il ne cite aucun cas de crétinisme avec
épilepsie
. Il publie dans son mémoire un rapport écrit de
de la mairie de Rosières qui ne fait non plus mention d'aucun cas d'
épilepsie
associée au créti- "nisme. . A propos de l'ét
ilepsie associée au créti- "nisme. . A propos de l'étiologie de l'
épilepsie
, les auteurs de tous les temps parlent bien de
t dans la plupart des ouvrages qui traitent du crétinisme ou de l'
épilepsie
. II. Sommaibe. Caractères paraissant établir à
établir à priori une oppo- sition complète entre la pathogénie de l'
épilepsie
et celle du créti- nisme. Ascendance différente
iepce, et le crétin descend toujours de goi- treux ou de crétins; l'
épilepsie
, au contraire, apparaît le plus habituellement
t à la puberté et l'épileptique ne descendrait jamais de crétins; l'
épilepsie
serait même relativement très rare dans les pay
des glandes génitales dans la pathogé- nie et dans l'évolution de l'
épilepsie
. 1 Le crétin adulte, comme le crétin enfant est
s par un myxoedémateux. Il semblerait donc que le créti- nisme et l'
épilepsie
doivent avoir des causes diamétralement opposée
glandes. 111. Soualnr. Analyse de quelques faits ou observations.
Epilepsie
moins grave de sujets goitreux. Aggravation de
tions. Epilepsie moins grave de sujets goitreux. Aggravation de l'
épilepsie
par ingestion de corps thyroïde frais ou de thyro
r ingestion de corps thyroïde frais ou de thyroidine. Rapports de l'
épilepsie
el des principales phases de. la vie géni- tale
'ue ? ! ee secondaire des glandes génitales dans la pathogénie de l'
épilepsie
. Ces caractères si opposés du crétinisme et de
nie de l'épilepsie. Ces caractères si opposés du crétinisme et de l'
épilepsie
types m'ont amené à chercher ce qu'il advenait
nsi que je suis arrivé il deman- der à l'observation les liens de l'
épilepsie
et du goitre, par exemple, à analyser les modif
epsie et du goitre, par exemple, à analyser les modifications que l'
épilepsie
subit lorsque varient sensiblement les sécrétio
e dire, il y a un réel antagonisme entre le crétinisme complet et l'
épilepsie
, nous devons trouver un certain antagonisme éga
tape du crétinisme, selon l'ex- pression bien fondée de More], et l'
épilepsie
. Dès 1890, dans un mémoire adressé à l'Académie
temps, les quatre derniers mois de z90, les moyennes des attaques d'
épilepsie
par groupes de malades classés d'après le sens
uivantes (Service de 63 malades depuis longtemps épileptiques)1 :
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 109
du rôle que j'attribue au corps thyroïde dans la pathogénie de l'
épilepsie
. Chaque fois que j'ai fait prendre du corps thy
s actes, mobilité incons- 'cliente incessante. Quant aux attaques d'
épilepsie
, leur nombre mensuel atteignit pour chaque mala
s avons observés témoigneraient suffisamment d'une aggravation de l'
épilepsie
. Si je cherche à me rendre compte directement,
l'altération du goitre et les manifesta- tions symptomatiques de l'
épilepsie
, voici ce que je trouve ' : ' Sur 60 épileptiqu
us volumineux avait, en ils889, 1890, ils91, au moins une attaque d'
épilepsie
par jour, quelquefois deux; -en 1895 (elle ne p
EPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 111 L accès d'
épilepsie
ont diminué de 1897 à 1901 dans la pro- portion
r de l'influence pos- sible de l'altération du corps thyroide sur l'
épilepsie
(nous reviendrons sur ce cas dans les observati
ent médicamenteux). A côté de cette constatation que les attaques d'
épilepsie
sont, d'une façon générale, moins fréquentes ch
ement cette remarque à d'autres pour établir que le crétinisme et l'
épilepsie
ont des pathogénies essen- 1H - CLINIQUE NERVEU
partir de cette donnée pour remonter à la pathogénie complète de l'
épilepsie
. L'étude comparative des grands caractéres de l
lète de l'épilepsie. L'étude comparative des grands caractéres de l'
épilepsie
et du crétinisme ou du myxoedème et ce que nous
tribue à mettre en opposition le crétinisme ou le myxoedème et l'
épilepsie
et à indiquer que le corps thyroïde doit jouer
à la fois dans la pathogénie du myxoedème ou du crétinisme et de l'
épilepsie
, mais rôle absolument diffé- rent selon qu'il c
iffé- rent selon qu'il conduit au crétinisme, au myxoedème ou à l'
épilepsie
. Nous sommes amenés déjà à entrevoir dans la pa
lepsie. Nous sommes amenés déjà à entrevoir dans la pathogénie de l'
épilepsie
deux facteurs principaux : 1° un territoire ner
Il est d'observation courante que les troubles symptomatiques de l'
épilepsie
, troubles psychiques ou attaques, sont plus acc
aussi, et il n'est pas un spécialiste qui ne l'ait constaté, que l'
épilepsie
éclate le plus souvent à la puberté, à l'époque
e le plus souvent à la puberté, à l'époque de la puberté. Si donc l'
épilepsie
, qui éclate ordinairement vers l'âge de la pube
ques menstruelles, tend à diminuer à partir de l'âge critique, si l'
épilepsie
qui semble naître avec l'arri- vée à mâturité d
e, l'exiguïté, l'arrêt de développement des testicules du crétin,
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 113
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 113 la persistance de l'
épilepsie
, bien que parfois atténuée, après la castration
sie, bien que parfois atténuée, après la castration, etc... Que l'
épilepsie
éclate le plus souvent à la puberté, que les ac
t cette conviction basée sur l'observation journalière, c'est que l'
épilepsie
se manifeste plus bruyam- ment chez la femme à
énopause devra généra- lement occasionner quelque modification de l'
épilepsie
. La - plupart des auteurs ont négligé ce côté d
rvé comme nous des cas d'amélio- ration en apparence spontanée de l'
épilepsie
à l'âge critique. Voici résumés quelques-uns de
dans le service en 1876, alors âgée de trente-neuf ans, atteinte d'
épilepsie
(grandes attaques et vertiges) avec affaiblisse
yée comme épilep- tique pyromane (a allumé un incendie), atteinte d'
épilepsie
depuis l'âge de quinze-ans; grandes attaques au
scence du nombre des crises, environ tous les deux jours un accès d'
épilepsie
(recrudescence absolument passagère comme on va
bre et 1 en dé- cembre). Il est incontestable que, en général, -l'
épilepsie
tend à s'amender à l'approche de l'âge critique
remarques cette observation faite par tous les spécialistes, que l'
épilepsie
se développe de moins en moins de la moyenne de
volution des glandes des organes génitaux dans la patho- génie de l'
épilepsie
. Que mes lecteurs spécialistes fassent appel à
es glandes génitales doit être rapportée à la glande thyroïde.) z
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. t 11)
HÉRAPEUTIQUES. t 11) J On m'opposera, je le prévois, quelques cas d'
épilepsie
qui s'aggravent à l'âge habituellement considér
onction- nelle analogue que l'on pourra rencontrer dans les cas d'
épilepsie
qui semblent s'aggraver à la ménopause, et, dan
les paralysies suggérées ni exagération des réflexes tendineux, ni
épilepsie
spinale légitime, ni aucun des signes décelant
tandis qu'il soutenait que l'exagération des réflexes tendineux, l'
épilepsie
spinale légitime, les troubles du vertige vol-
cle 64 du code pénal. Dr A. Marie. XXX. A propos du diagnostic de l'
épilepsie
et de la paralysie géné- rale ; par 11111. d. S
est quelquefois difficile de distinguer la paralysie générale de l'
épilepsie
, surtout s'il s'agit d'épileptiques en voie de dé
a signalé du reste la coexistence de la paralysie générale et de l'
épilepsie
. L'observation prolongée du malade a seule permis
générales toxiques, en particulier de l'alcoolique. G. C. XXXIII.
Epilepsie
d'origine nasale; par le D1' M. 1.9NMOIS (Société
ie aujourd'hui au'point de vue clinique et par l'expérimentation. L'
épilepsie
réflexe a une base expérimen- REVUE DE PATHOLOG
tique, ou en prolongeant une hémisection de la moelle, et que cette
épilepsie
pouvait même se transmettre par hérédité. L'o
dique caractérisée par de l'exagération des réflexes tendineux de l'
épilepsie
spinale; l'excitation de la plante du pied prov
adulte. La tuberculose des parents a été notée dans la méningite, l'
épilepsie
, l'idiotie, la chorée de S ! /deH/t6tN ! ,la su
de Landry, les myélites, etc. b. Névroses : éclampsie infantile,
épilepsie
jacksonienne, mala- die de Basedow, maladie de
e de Basedow, maladie de Menière, chorée de Sydenham, chorée molle,
épilepsie
, etc. Trois observations personnelles : tuberculo
épilepsie, etc. Trois observations personnelles : tuberculose avec
épilepsie
. avec neurasthénie, avec neurasthénie gastrique.
BIBLIOGRAPHIE. / VII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'diotie. Compte rendn du servic
rneville com- plète ses précédentes recherches sur l'étiologie de l'
épilepsie
et de l'idiotie et montre le rôle important de
e clinique. Plusieurs pages, fort intéressantes, sont consacrès à l'
épilepsie
: Epilepsie idiopathique, déchéance intellectue
Plusieurs pages, fort intéressantes, sont consacrès à l'épilepsie :
Epilepsie
idiopathique, déchéance intellectuelle, suicide ;
s (hémorrhagies sous-conjonctivales, pen- dant et après les accès d'
épilepsie
) ; il. Bourneville insiste sur leur analogie av
voqué par un mendiant qui venait d'être pris d'une violente crise d'
épilepsie
. Le malheureux écumait et se débattait. Dès la cr
Lé Bonhomme Normand^ 16 au 23 octobre 1902). Jadis ET naguère : l'
épilepsie
ET LE mariage D'un procès-verbal de 1533, conse
ts de mal caduc, il résulte que, dès cette époque, on considérait l'
épilepsie
FAITS DIVERS. 191 comme une cause suffisante
ons du fond de l'oeil d'origine paralytique. CLINIQUE NERVEUSE.
Epilepsie
: Pathogénie et indications thérapeutiques (Con
ativemtnt au rôle du corps thyroïde et des glandes génitales dans l'
épilepsie
. - Rapports du corps thyroïde et des glandes gé
ns du côté de l'intelligence ' Voir numéro 98, février 190 p. 97.
ÉPILEPSIE
PATUOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 207 î
pports du corps thyroïde, des glandes de l'appareil génital et de l'
épilepsie
, nous voyons confirmé tout ce que nous venons d
firmé par les résultats que donnent déjà certains traitements de l'
épilepsie
. Nous relevons tout d'abord dans tous les ouvra
ques menstruelles, la plus grande intensité des manifestations de l'
épilepsie
au même moment. Cette intervention de l'activit
intervention de l'activité fonctionnelle du corps thy- roïde dans l'
épilepsie
se trouve à chaque pas accusée dans la littérat
qu'à l'approche de la ménopause et après l'âge critique les accès d'
épilepsie
diminuent généralement de fréquence, dis- parai
Que nous révèle, du reste, la chirurgie du corps thyroïde ? ' Art.
Epilepsie
, du Dict. Dechambre, page 187. ÉP1LEPSIE : PATH
toniques, constituant le syndrôme de la tétanie 1. Est-ce là de- l'
épilepsie
, ainsi que cela a été dit simplement à cause de
réflexes et des convulsions ». A-t-on, du reste, cité un seul cas d'
épilepsie
vraie, c'est-à-dire net- tement caractérisée et
nce que nous attribuons au corps thyroïde dans la pathogénie de l'
épilepsie
; ne peut-on pas, en effet, interpréter en faveur
, interpréter en faveur de nos vues les quelques améliorations de l'
épilepsie
obte- nues par résection du sympathique cervica
action sur sa fonction. Quant aux glandes génitales par rapport à l'
épilepsie
, que peuvent nous enseigner la littérature médi
enseigner la littérature médicale et la chi- rurgie ? - Bien que l'
épilepsie
éclate parfois chez l'enfant bien avant la pube
r une influence sur elle, leur rôle n'est que secon- daire et que l'
épilepsie
peut apparaître sans leur intervention, ce qui
. Archives, 21 série, t. XVII. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE. cas d'
épilepsie
; on ne peut donc pas négliger de rechercher co
in posée sur la tête et 1 Journal' de médecine de Bordeaux, 1889.
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 211
ffira, pour confirmer la fréquence d'une telle stimulation dans l'
épilepsie
, de rappeler la fréquence relative de l'exhibitio
ie, de rappeler la fréquence relative de l'exhibition- nisme dans l'
épilepsie
, la fréquence de propos érotiques dans le verbi
dance habituellement signalée à l'occasion de la première attaque d'
épilepsie
: une frayeur, à l'époque de la puberté, et, po
tée à celle résultant déjà d'autres causes, fait que les attaques d'
épilepsie
éclatent plus facilement et sont plus nombreuse
e de la castration, de l'ovariotomie, ces causes d'aggravation de l'
épilepsie
, excitation partant des glandes génitales, accr
ssent et c'est ainsi que l'on peut s'expliquer l'atténuation de l'
épilepsie
que l'on a quelquefois observée. Mais loin de f
glandes génitales jouent un rôle capital dans la patho- génie de l'
épilepsie
, la castration, ovarique ou testiculaire, a mon
t que les excitences habituelle- ment suffisantes pour déterminer l'
épilepsie
avaient besoin d'être en quelque sorte renforcé
les, et, par conséquent, la suppression de toutes les excitations
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 2'13
itaux doit être considérée comme secondaire dans la pathogénie de l'
épilepsie
, sans pour cela être négligée dans l'institutio
e, bien que secondaire, elle peut être une cause d'aggravation de l'
épilepsie
. Ce serait donc à la glande thyroïde que rester
odifications, soit en plus, soit en moins, que subit généralement l'
épilepsie
aux grandes étapes de l'évolution des organes d
des modifications du corps thyroïde. V. Sommaire. Pathogénie de l'
épilepsie
. Terrain encépha- lique épileptogène. Excitence
gène. Excitences, d'origine thyroïdienne.- Lésions anatomiques de l'
épilepsie
, secondaires et non primitives. - Asso- . datio
pares, des reins, etc., amenant une aggravation très manifeste de l'
épilepsie
; accès en séries, accès subintrants, état de ma
de l'épilepsie; accès en séries, accès subintrants, état de mal. -
Epilepsie
grave plus fréquente chez la femme que chez l'h
cette gravité et de cette fréquence établissant la pathogénie de l'
épilepsie
. - Intoxication épileptogène. - Epilepsies dite
ites secondaires. Les lésions de l'idiotie ou de l'imbécillité avec
épilepsie
sont consécu- 214 CLINIQUE NERVEUSE. ' tives
é avec épilepsie sont consécu- 214 CLINIQUE NERVEUSE. ' tives à l'
épilepsie
et non causes de celle-ci; importance de cette
e-ci; importance de cette constatation. - Convulsions du bas âge et
épilepsie
. - Intoxi- cations secondaires épileptogènes. -
t des glandes génitales avec atténuation ou même disparition de l'
épilepsie
, d'un autre côté un accroissement de l'acti- vi
elle des glandes thyroide et génitales suivi d'une aggravation de l'
épilepsie
, d'une exaltation de ses manifestations princip
nt agir sur les cen- tres encéphaliques qui déterminent l'attaque d'
épilepsie
, ont pour premier point de départ la glande thy
e l'épileptique, qui lui donnent ce caractère qui fait soupçonner l'
épilepsie
chez des individus que l'on n'a pas encore vu t
cerveau retrouve une activité normale, tous les accidents liés à l'
épilepsie
disparaissent jus- qu'à la convalescence de la
ue l'intelligence soit redevenue, même momentanément, normale, si l'
épilepsie
dépendait d'une 'altération anatomique du cerve
e spécialiste pourrait citer quelques cas analogues à celui-ci. - L'
épilepsie
n'apparaît donc que. comme la manifestation, br
érait jusqu'à ce jour comme causes des convulsions infantiles, de l'
épilepsie
infantile. ' La glande thyroïde étant évidemmen
tuelle spéciale de l'épileptique ou même du simple prédisposé à l'
épilepsie
. Que l'activité fonctionnelle de ces glandes so
ue l'activité fonctionnelle de ces glandes diminue, au contraire, l'
épilepsie
s'amende, comme nous l'avons vue s'at- EPILEPSI
fonctionnelle de ces glandes n'est pas indispensable pour donner l'
épilepsie
que l'accumulation de certains de leurs produit
andes excrétoires; Donc deux grandes causes de l'aggravation de l'
épilepsie
aux époques menstruelles. Et c'est ainsi que l'
bservations à l'aide de ces connaissances : l'amélioration de cas d'
épilepsie
par le mariage, la suspension fréquente de l'ép
ion de cas d'épilepsie par le mariage, la suspension fréquente de l'
épilepsie
pendant la grossesse, signalée par M. le profes
la femme que l'on peut s'expliquer la plus grande fré- quence de l'
épilepsie
la plus grave chez la femme (état de mal plus r
ave chez la femme (état de mal plus rare chez l'homme), alors que l'
épilepsie
relative- ment fruste, l'épilepsie larvée, par
rare chez l'homme), alors que l'épilepsie relative- ment fruste, l'
épilepsie
larvée, par exemple, est, au con- traire, plus
et au développement physique, nous voyons éclater fréquem- ment l'
épilepsie
; - nous constatons, à chaque retour pério- diqu
ère, la nutrition générale se modifie, les tissus s'empâtent ? et l'
épilepsie
s'atténue progressivement aussi. N'est-ce pas l
ps thyroïde joue un rôle de premier ordre dans la pathogénie de l'
épilepsie
. - Quel que soit le mode d'accumulation en excè
de leur système nerveux, amener les troubles sympto- matiques de l'
épilepsie
. C'est une acquisition évidemment importante au
ite- ment curatif. - . . Cette intelligence de la pathogénie de l'
épilepsie
nous per- mettra-t-elle de nous rendre compte d
ondaires d'origine toxique, à une troisième classe appartiendrait l'
épilepsie
secondaire d'origine réflexe (corps étrangers d
ions plus ou moins grossières de l'encéphale seraient ces épilep-
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 221
urs, imbéciles, idiots, arriérés. D'après nous, cette appellation «
épilepsie
secondaire » ne serait plus jus- tifiée pour dé
au sujet de l'association de l'idiotie ou de l'imbécillité et de l'
épilepsie
; c'est surtout la pathogénie de cette association
qui nous fixera sur l'utilité de distinguer cette première classe d'
épilepsie
secondaire de l'épilepsie proprement dite : « S
ité de distinguer cette première classe d'épilepsie secondaire de l'
épilepsie
proprement dite : « Si dans bon nombre de cas l
lepsie proprement dite : « Si dans bon nombre de cas l'idiotie et l'
épilepsie
peuvent être la conséquence des mêmes lésions e
e dans quelques autres, dit M. Féré, l'idiotie est entretenue par l'
épilepsie
; il n'est pas douteux, en effet, qu'on ne réuss
re part, l'intelligence des idiots qui sont sujets à des attaques d'
épilepsie
, subit des modifications spontanées assez carac
l'on peut considérer comme un arrêt de dévelop- pement par suite d'
épilepsie
et de lésions méningo-encépha- lique secondaire
lus facilement que les accidents encéphaliques pathogé- niques de l'
épilepsie
éclataient chez un enfant en plus bas âge, c'es
au point de vue médico-légal, au point de vue de la simulation de l'
épilepsie
notammem). 1° Statistique relative à 63 femmes
ui précèdent ou accompagnent les grandes et les. petites attaques d'
épilepsie
. Il n'y a donc rien là qui puisse être contrair
'améliorer assez sensiblement lorsque l'on est parvenu à atténuer l'
épilepsie
. De ses statistiques' et de celle d'Echeverria,
scendants d'épi- leptiques ne sont-elles pas considérées comme de l'
épilepsie
, comme celles du tiers survivant épileptique ?
l'interprétation que je donne de la pathogénie de l'idiotie avec
épilepsie
. Les convulsions de l'enfance sont générale- me
de l'enfance sont générale- ment convulsions épileptiques ; c'est l'
épilepsie
qui tue les enfants qui succombent en bas âge p
t en bas âge par suite de convul- sions, ce sont les convulsions (l'
épilepsie
) ou plutôt les excitences qui les provoquent qu
l'imbécillité ou leurs causes organiques qui avaient occa- sionné l'
épilepsie
. L'erreur vient évidemment de ce que l'on omet
ellectuel et qui étaient évidemment la mani- festation précoce de l'
épilepsie
, comme en témoignent suf- flsarmnent les antécé
tir en parlant de la prophylaxie à instituer contre l'éclosion de l'
épilepsie
infantile, des convulsions de la première enfan
ndes dont nous avons vu le rôle important dans la pathogénie de l'
épilepsie
, soit à une influence du toxique favorisant l'acc
pas assez naturel de voir, au moins dans un certain nombre de cas d'
épilepsie
dite d'origine toxique, EPILEPSIE : PATHOGÉNIE
que nous avons vu intervenir habituellement dans la pathogénie de l'
épilepsie
proprement dite ; n'est-ce pas ainsi, par exemp
as ainsi, par exemple, qu'agiraient les toxines alimentaires dans l'
épilepsie
dite gastrique, dans l'épilepsie qui semble se
nt les toxines alimentaires dans l'épilepsie dite gastrique, dans l'
épilepsie
qui semble se rattacher, au point de vue de la
avons vu stimuler spécialement l'encéphale dans la pathogénie de l'
épilepsie
, glandes géni- tales par exemple, sous l'influe
ueur, toutes ces épi- lepsies ne se rattachent que d'assez loin à l'
épilepsie
propre- ment dite, dont elles ne revêtent, le p
ur le mettre en jeu comme dans la pathogénie de la grande attaque d'
épilepsie
? ' De ce qui se produit dans certaines épileps
ervation facile de troubles psychiques avant la grande attaque de l'
épilepsie
complète, on peut conclure que l'intervention d
es que l'on observe assez fréquemment et avant et après l'attaque d'
épilepsie
complète et qui, dans le premier cas, constitua
es, cemme nous l'avons vu à propos de certains cas d'idiotie et d'
épilepsie
, ne seraient que des épilepsies vraies accompa-
ées de symptômes de lésions organiques elles-mêmes consécutives à l'
épilepsie
infantile, d'autres, comme les épilepsies d'ori
les épilepsies d'origine toxique (alcool, absinthe), ou d'origine
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 227
rations que nous avons développées à propos de la patho- génie de l'
épilepsie
vraie. Cette évolution pathogénique de l'épilep
ho- génie de l'épilepsie vraie. Cette évolution pathogénique de l'
épilepsie
vraie dont nous connaissons enfin l'arbre étiol
d'aliénistes qui groupent, comme on le sait, dans la même famille,
épilepsie
convul- sive, épilepsie larvée, certains cas de
, comme on le sait, dans la même famille, épilepsie convul- sive,
épilepsie
larvée, certains cas de folie transitoire, de f
on sur ce point, en 1884, dans l'Encéphale. Cette pathogénie de l'
épilepsie
vraie permet de concevoir assez facilement les
n sujet à un autre de l'intervalle et de l'intensité des attaques d'
épilepsie
en tenant .recompte de toutes les circonstances
ences. Ainsi s'explique tout naturellement ,que chez tel individu l'
épilepsie
se manifeste habituellement par tous les accide
l'épilepsie se manifeste habituellement par tous les accidents de l'
épilepsie
complète, que chez tel autre, on ne rencontre q
à l'occasion des indications thérapeutiques qu'ils fournissent. L'
épilepsie
est donc l'expression d'une disproportion entre
rrait appeler une constitution épilep- togène. La pathogénie de l'
épilepsie
nous apparaît désormais très simple, de nature
ieuses indications thérapeutiques. Le but à atteindre pour guérir l'
épilepsie
ne semble plus très éloigné puisque nous connai
ns, l'auteur ne serait pas éloigné de penser que certaines formes d'
épilepsie
, et peut-être encore d'autres maladies convulsi
ce sujet, aucune étude de la glande n'ayant encore été faite dans l'
épilepsie
, non plus qu'aucun essai de traitement par son
elle est souvent violente, et rappelle souvent beaucoup l'attaque d'
épilepsie
. La démence primitive est extrêmement rare chez
t dans les états vésaniques les plus divers, imbécillité, hystérie,
épilepsie
, paralysie générale, démence sénile, mélancolie,
t, à la suite d'une maladie subie à l'âge de trente ans, souffert d'
épilepsie
avec accès de petit mal. Elle était parfois irr
acte sexuel ; et cliniquement, certains auteurs ont voulu voir de l'
épilepsie
, affection motrice, une maladie génitale, un tr
entré à l'asile comme épi- leptique : après deux séries de crises d'
épilepsie
(l'une de 36 et l'au- tre 73) en trois jours il
de tête qui alla en s'accentuant. Le 6 janvier, il eut une crise d'
épilepsie
jacksonienne et on vit apparaître une hémiplégie
cérébrale, tabes (dix fois sur douze) paraplégie, tumeur cérébrale,
épilepsie
tardive et jacksonienne. Ellea manqué dans l'hy
hose polynévritique de Korsakow; 2° démence alcoolique avec ou sans
épilepsie
. De cet eusemble des psychoses aiguës nous pouv
nt être différenciées de la démence sénile, du ramollissement, de l'
épilepsie
, de la neurasthénie, de l'intoxi. cation saturn
d'excita- tion. 3° Elle subit des variations très accusées dans l'
épilepsie
: a) elle est au-dessous de la normale dans les
LXXXI. Sur l'action de l'écorce Rolandique dans ses rapports avec l'
épilepsie
jacksonnienne et la volition ; par A.-B. KINGSFOR
(T)ce Journal of Mental Science. Juillet 1903). Le caractère de l'
épilepsie
jacksonnienne sur lequel l'auteur se propose d'
io-moteurs repose sur les preuves fournies par les autopsies dans l'
épilepsie
jacksonnienne et sur les résultats de la stimula-
uite comment son hypothèse concorde avec les traits principaux de l'
épilepsie
. Après cette étude assez longue, il recherche j
es médicales. R. de Musgrave-Clay. XVIII. Trépanation dans un cas d'
épilepsie
, gliome kystique ; par M. LANNOIS (Société médi
servation peut se résu- mer ainsi : 488 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
Epilepsie
généralisée, paraissant avoir présenté tous les c
e généralisée, paraissant avoir présenté tous les carac- tères de l'
épilepsie
dite essentielle, ayant débuté à l'âge de trente
succédané précieux du bromure de potassium dans le traitement de l'
épilepsie
. Elle a été parfaitement tolérée dans tous les
G. Deny. XXV. Note sur la privation de sel dans le traitement de l'
épilepsie
par les bromures ; par L. PIERCE CLARK. (The Ne
du régime hypochlo- ruré associé aux hommes dans le traitement de l'
épilepsie
sontles suivants : absence de bromisme, d'irrit
F. Séance DU 15 novembre 1902 N -A. ALFÉEVSKY a présenté un cas d'
épilepsie
de 110aERN11;OP1· (épilepsia parlialis continua
ciétés savantes. Sur la question de la parasitologie du sang dans l'
épilepsie
. B.-A. GUlLIrIROVSIiT. Au commencement de l'ann
RA considère le micrococcus, décrit par lui, comme provocateur de l'
épilepsie
et l'épilepsie elle-même, comme maladie parasit
micrococcus, décrit par lui, comme provocateur de l'épilepsie et l'
épilepsie
elle-même, comme maladie parasitaire. En contrô
desépiteptiques renseigne non pas sur lasignification générale de l'
épilepsie
, mais sur ce que l'activité musculaire très exagé
nt, à d'autres. W. A. nlOURATOPD dit que tout le côté clinique de l'
épilepsie
parle d'une manière très expressive conlre son
sse sans attention des faits, déjà institués, comme l'hérédité de l'
épilepsie
. qu'elle n'est pas infectieuse, sa liaison avec
la liaison organique du cerveau ; cette hypothèse fait considérer l'
épilepsie
comme accès convulsifs seulement, oubliant tout
s les intervalles des accès ; enfin, elle insère dans l'étude sur l'
épilepsie
une observation, expliquée injustement. L.-S. M
hyperkinésies ne parle pas encore contre son rôle producteur dans l'
épilepsie
. Du côté théorique, il pense qu'il n'y a point
as, il y avait 13 hommes et 17 femmes. > La folie associée à l'
épilepsie
fournit un groupe de cas bien définis qui se pr
olie, tactique par Pierre 1\lal'lI' et Léii, 258. ' Amnésie. Voir
épilepsie
. Amyothopiiils. . 1,C bioris iiprvptiqes et p
t ltoy, 59. - infantile, par Brissaud et Meige, 259. Gliome. Voir
Épilepsie
, Glycosurie. Un cas rie avec mé- lancolie et
en Russie, par Orlitzky, 499. ' Hystérie. Voir Hypnotisme. Voir
Epilepsie
. - Voir Alaxie. - \'ou Folie. - Para et post-pl
par Bemstein, 504. Sur la question de laparasi- tologie du dans l'
épilepsie
, par Gl11liarov.kv, 510. Sclérose en plaques.
ne, 497. Sel. Note, sur la privation de - dans le tiaitement de l'
épilepsie
par les bromures, par Cla¡J" 492, SÉÉLlTÉ et
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTéRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PR
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE l, .. .. ET L'IDIOTIE COMPTE
PARTIE Clinique. BOURN. - 1882. 1 I. Du bromure d'or contre l'
épilepsie
; Par DAUGE. Le bromure d'or a été essayé cet
respondants des deux dernières années : II. Du traitement de l'
épilepsie
par l'hydrothérapie ; Par BOURNEVILLE et BRIC
enus par le traitement hydrothérapique à Bicêtre sur la marche de l'
épilepsie
durant les années 1880 et 1881, nous reprenons
ait déjà émis l'opinion que les (1) P. Bricon. - Du traitement de l'
épilepsie
(Hydrothérapie. - Arsenicaux. - Magnétisme miné
r l'influence des maladies irtter7 ? ztre ? ltes sur la marche de l'
épilepsie
. - Vol. de 264 pages. Paris, 1882. (2) Fleury.
ns froides devaient être utiles pour combattre' les paroxysmes de l'
épilepsie
. Priessnitz refusait de traiter les épileptique
n quels ter- mes s'exprime Becquerel : « Essayer de combattre une
épilepsie
ancienne et remontant à plusieurs années, ou mê
as ; on peut le tenter, mais sans beaucoup d'es- poir. Mais quand l'
épilepsie
commence, quand on en est aux premières attaque
homme de 24 ans qui, pris à huit jours d'intervalle de deux accès d'
épilepsie
, fut sou- mis à un traitement hydrothérapique p
it d'un. jeune homme qui eut à 15 jours d'intervalle deux accès d'
épilepsie
; traité par l'hydrothérapie huit mois de suite,
servé. » « En résumé, de tous les traitements préconisés contre l'
épilepsie
, l'hydrothérapie est », suivant Fleury, « celui
par un long séjour dans l'eau, méritent d'être re- commandés dans l'
épilepsie
nerveuse des adultes, lors- qu'il y a absence d
e pléthore. » ' « La chute elle-même dans l'eau froide guérit une
épilepsie
. » (euh. nat. cur., dec. 11, an IX, obs. 190.)
urs qui ont le plus insisté sur l'utilité de l'hydrothérapie dans l'
épilepsie
. « D'après ma propre expérience», dit-il, «je c
assercuren) comme un re- mède très puissant dans le traitement de l'
épilepsie
; j'ai obtenu par ce moyen sinon une guérison co
rankheiten des Nervensyslerns, II, xweitellaifte. - Nothnagel, art.
Epilepsie
, p. 287-288 ; 1877, Leipzig. DESCRIPTION DES AP
ats obtenus à Bicê- tre par l'hydrothérapie dans le traitement de l'
épilepsie
, nous croyons utile de décrire les appareils et
durée n'cstjamais dépassée, com- me, par exemple, dans les cas d'
épilepsie
que nous désignerons, sous le nom d'EPILEPSIE A
que l'hydrothérapie doit être absolument rejetée du traitement de l'
épilepsie
quand celle-ci se présente sous la forme de grand
dans leurs traités d'hydrothérapie, consa- cré quelques lianes à l'
épilepsie
et se sont montres plus ou moins favorables à l
ion des agents thérapeutiques. OBSERVATIONS. 1 3 Observation I.
Epilepsie
idiopathique. - Onanisme. - Début à trois ans. -
traitements les accès re- prennent leur marche. Observation II.
Epilepsie
idiopathique. - Début à 10 ans (peur). - Accès no
tiges qui se manifesteraient le matin au réveil. Observation V.
Epilepsie
idiopathique. - Convulsions de 1-4 aas. -Etourdis
itement par les purgatifs auquel il est soumis ? Observation X.
Epilepsie
idiopathique. - Début à Il ans. Amélioration. J
BOURNEVILLE). traitement hydrothérapique. 33 Observation XI. 1
Epilepsie
idiopathique. - Amélioration pendant la durée du
othé- rapique. 36 traitement hydrothérapique. Observation XV.
Epilepsie
idiopathique. - Début à un an. - Depuis l'âge de
où le malade n'était pas soumis aux dou- ches. Observation XIX.
Epilepsie
idiopathique. - Convulsions fréquentes de six moi
: 18 mois lj2. 42 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. Observation XXI.
Epilepsie
idiopathique. - Convulsions. - Début des accès il
térieures aux traitements hydrothérapi- ques. Observation XXII.
Epilepsie
idiopathique. - Débilité mentale. - Onanisme. - E
pas soumis au traitement hydro- thérapique. Observation XXIII.
Epilepsie
idiopathique. - Convulsions dans l'enfance. - Déb
ouRNEVILLE). traitement hydrothérapique. ' 45 Observation XXIV.
Epilepsie
idiopathique. - A trois ans 4/ ? deux crises suiv
devenu plus méchant, plus taquin, plus obstiné depuis le début de l'
épilepsie
; la mémoire a baissé. - Étourdissements préalab
re de sodium. ' 50 traitement hydrothérapique. Observation XXV.
Epilepsie
idiopathique. Onanisme. - Début à 9 ans. Père et
servations. 53 54 traitement hydrothérapique. .Observation XXX.
Epilepsie
idiopathique. -Début à 15 ans. - Stupeur. - Affai
VATIONS. 55 5 56 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. Observation XXXII.
Epilepsie
idiopathique. - Convulsions de 4 riz 7 ans. .Etou
sions depuis la naissance jusqu'à 2 ans. - Cauchemars de 7-9 ans. -
Epilepsie
à 12 ans 1 /2. - Hystéro-épilepsie à 4 3 ans. E
7-9 ans. - Epilepsie à 12 ans 1 /2. - Hystéro-épilepsie à 4 3 ans.
Epilepsie
et hystéro-épilepsie de 13-17 ans. - Depuis l'âge
ilepsie et hystéro-épilepsie de 13-17 ans. - Depuis l'âge de 17 aus
épilepsie
. Affaiblissement des facultés intellectuelles. -
observations. 61 62 TRAITEMENT hydrothérapique. Observation XL.
Epilepsie
idiopathique. - Début dans l'enfance. - Affaiblis
coups, ni chute, ni affections vermineuses, il a été pris d'accès d'
épilepsie
; il est resté de 12 à 15 ans en Normandie ; il
rtout pendant les der- niers mois de l'année. Observation XLVI.
Epilepsie
idiopathique. Début probable vers 15 ans. Longue
e précédente. traitement hydrothérapique. 73 Observation XLVII.
Epilepsie
idiopathique. Excès de boisson (-ISi 1).- Début e
82 est toutefois plus élevé que celui de 1881. f Observation L.
Epilepsie
apoplectiforme. - Convulsions d'un seul côté du c
M. BOURNEVILLE). 7G traitement hydrothérapique. Observation LI.
Epilepsie
idiopathique. - Convulsions dans l'enfance. - Con
servation LUI. Convulsions à 48 mois. - Hémiplégie droite ? Accès d'
épilepsie
.- Mère nerveuse. - Viol (1869). - Grossesse acc
gauche. -Vertiges il 2 ans 112. - - Contracture ci 7 ans. - Accès d'
épilepsie
à 7 ans.- Affaiblisse- ment des facultés intell
ons. Hémiplégie gauche, trois jours après la naissance. Onanisme. -
Epilepsie
à 14 ans. Spermatorrhée. - Même état. Grég...
t d'action que le bro- mure de potassium. Neuf malades atteints d'
épilepsie
hémiplégique in- fantile ont été soignés par l'
ous ferons observer pour cette classe de ma- lades, chez lesquels l'
épilepsie
, à une certaine époque, tend à la guérison et f
herches critiques et expérimentales sur l'emploi de l'aimant dans l'
épilepsie
. Par MM. BOURNEVILLE et BRICON (1). Les nombr
chercher, dans les auteurs, ce qui concernait le traite- ment de l'
épilepsie
. Sans nous faire d'illusion sur les ré- sultats
ue (2). - Paracelse (1603) semble avoir le premier employé contre l'
épilepsie
la pierre d'aimant. Au xvme siècle, les aimants
les appliquèrent avec des résultats divers dans le traitement de l'
épilepsie
. Des huit observations d'Andry et Thouret, publ
Des huit observations d'Andry et Thouret, publiées au paragraphe
Epilepsie
, six seulement peuvent être rapportées à cette
, p. 109 à 149 et p. 260-262 de l'Ap- pendice, 88 traitement de L'
ÉPILEPSIE
. 2* (OBs. XIII).Cette observation est susceptib
(OBs. XIII).Cette observation est susceptible d'être rattachée à l'
épilepsie
, mais il est difficile de certifier que celle-ci
après le début de l'application. 3' (OBS. XLIII). Il s'agit d'une
épilepsie
hémiplégique infantile traitée sans résultat pa
observation, très bien rédigée, est un bel exemple de cette forme d'
épilepsie
à laquelle M. Hughling- Jackson a attaché son n
t une amélioration notable. 5° (OBS. YLV. C'est encore un exemple d'
épilepsie
jackson- nienne; les effets des armures sur les
x, mais leur action sur les crampes paraît réelle. 7° (Obs.XLVI). L'
épilepsie
tardive et probablement sympto- matique du mala
eydler, enfin MM.Mag- giorani et Paolo Ferry qui ont prétendu que l'
épilepsie
était justiciable du traitement par l'aimant.
lle. Fig. 4. - Pièce pour la plante des pieds. 90 TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
. Fig. 5. - Pièce courbée pour être appliquée en
g. 11 et 12. - Plaques pour la région cardiaque. 92 TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
. Aimants employés à. Bicêtre. Effets physiolo
sse ce phénomène parmi ceux que fournit l'aimant, pour distinguer l'
épilepsie
simulée. La sensibilité générale et locale (cet
La force musculaire appréciée dynamométrique- 94 TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
. ment n'a jamais varié que dans les limites que
urmillements, etc. Un de nus épileptiques, Sirv..., a présenté de l'
épilepsie
spinale à deux ou trois reprises pendant l'aima
luence cachée du temps, des circonstances, etc.) 96 TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
. peuvent en imposer sur la véritable source des
mant en fer à cheval doit être absolument rejeté du traitement de l'
épilepsie
. En ce qui concerne les armures magnétiques, no
s si communs dans les cas d'idiotie, réputée idio- pathique. V.
Epilepsie
idiopathique. - Rachitisme. - Exos- toses multi
4 ans. - Rachitisme. -Secondes con- vulsions à 7 ans. - Début de l'
épilepsie
à 13 ans. Rémission de 15 Li 16 ans 1/2, alors
, nouvelles convulsions ayant duré 15 minutes. A 13 ans. début de l'
épilepsie
; les accès reviennent tous les 112 EPILEPSIE ID
surfaces articulaires éiaient abso- lument saines. III. Quant à l'
épilepsie
, nous n'avons rien de particulier à en dire ; l
ce de M. Bourneville). (1) Bourneville et d'Olier. Recherches sur l'
épilepsie
, l'hys- térie et l'idiotie; compte rendu de 188
se fallait-il rattacher cette com- plication ? Etait-ce aux accès d'
épilepsie
ou au bromure d'éthyle ? Nous avons écarté l'ép
aux accès d'épilepsie ou au bromure d'éthyle ? Nous avons écarté l'
épilepsie
, parce que s'il n'est pas rare d'observer un a
nt l'observation que nous plaçons sous ces yeux. Observation I.
Epilepsie
; Idiotie consécutive. - Grand-Père paternel al
ans, elles ont été quotidiennes (trois ou quatre fois par jour) ;
ÉPILEPSIE
ET DÉMENCE INFANTILE. 137 vers l'âge de 2 ans e
en 1880, au sujet de ces accidents paralytiques. Observation IL
Epilepsie
idiopathique. - Excitation maniaque. - Père alc
chien, tombait du haut mal.] (1) Roux (G.-L.). - Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
vation nous avons pu constater chez les ascendants, l'alcoolisme, l'
épilepsie
, des troubles nerveux divers; chez la mère une
e... des convulsions dans l'en- fance, le rachitisme, etc., enfin l'
épilepsie
. Les maladies des ascendants ou celles de Giv..
e Compte rendu de 1880, page 16). Bricon (P.). Du traitement de l'
épilepsie
(Hydrothérapie; - Ar- senicaux ; Magnétisme ani
locarpine). Thèse de Paris, 1882. Roux (G.-L.). - Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
bromure d'éthyle. Thèse de Paris, 1882. WVILLAMIEU (Th.). - De l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spasmo- dique infantile. Thès
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES sur L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERV
Voici quelques notes concernant les enfants de la Grande-école :
Epilepsie
, arriération intellectuelle. — Dubos..., (Léon).
i tailleur, fait le pantalon et le gilet; sait piquer à la machine.
Épilepsie
, imbécillité. —Mesl... (Georges), 12 ans. Entré l
res, lui attribuer une part active dans la guérison de nombreux cas d'
épilepsie
, etc.. Depuis 1880, tous les ans, dans le Compt
prentis, insuf-fisamment améliorés pour vivre au dehors ou atteints d'
épilepsie
passsent, à 18 ans, s'ils ont un développe- men
. Lesu. 14 ansl]2 DIAGNOSl'IC. Idiotie môningitique. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie avec hémiplégie droite. Epilepsie. I
e môningitique. Idiotie, épilepsie. Idiotie avec hémiplégie droite.
Epilepsie
. Idiotie. Imbécillité, épilepsie. Imbécilli
Idiotie avec hémiplégie droite. Epilepsie. Idiotie. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité. Idiotie, diplegie, micro-céphal
epsie. Imbécillité. Idiotie, diplegie, micro-céphalie. Idiotie,
épilepsie
. date du décès. 1er janvier. 11 janvier. 15
17 ans. 6 ans. 3 ans. 8 ans. 4 ans. diagnostic. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie, épilepsie. Idiotie complète, épilep
ans. 8 ans. 4 ans. diagnostic. Idiotie, épilepsie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie complète, épilepsie. Idiotie, épilepsi
stic. Idiotie, épilepsie. Idiotie, épilepsie. Idiotie complète,
épilepsie
. Idiotie, épilepsie. Idiotie. Idiotie, épilep
lepsie. Idiotie, épilepsie. Idiotie complète, épilepsie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie. Idiotie, épilepsie. Idiotie, épilep
diotie complète, épilepsie. Idiotie, épilepsie. Idiotie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie, épilepsie. Idiotie profonde, diplegie
lepsie. Idiotie, épilepsie. Idiotie. Idiotie, épilepsie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie profonde, diplegie pré-dominante à gau
SE DU DECES. PARTICULARITES. DECES. Dézoth........ 8 ans. Idiotie
épilepsie
. 9 octobre. Mort dans un accès. Opposition à l'au
h.......... 16 ans. Idiotie profonde. 19 déc. Roum......... 14 ans.
Épilepsie
idiopathique. 25 déc. Tuberculose pulmo- Oppositi
. Tailleur. maladies. Idiotie. Idiotie. Imbécillité. Imbécillité,
épilepsie
. Idiotie. Idiotie. Imbécillité. Imbécillité, chor
. Imbécillité. Imbécillité, paraplégie. Imbécillité. Imbécillité,
Epilepsie
. Imbécillité prnooncée, hipilepsie. Imbécilli
llité, Epilepsie. Imbécillité prnooncée, hipilepsie. Imbécillité,
Epilepsie
, Trépanation. Imbécillité, Surdi-mu-tité. Imb
Epilepsie, Trépanation. Imbécillité, Surdi-mu-tité. Imbécillité,
Epilepsie
. Imbécillité, Paraplégie. Idiotie. Imbécillité. I
ier. ICordonnicr MALADIES. Imbécillité, Cécité gauche. Idiotie,
Epilepsie
, Idiotie. Idiotie. Idiotie. Idiotie, Cyph
Imbécillité. Imbécillité prononcée. Imbécillité. Imbécillité,
Epilepsie
. Imbécillité. Idiotie. Epilepsie. Imbécilli
e. Imbécillité. Imbécillité, Epilepsie. Imbécillité. Idiotie.
Epilepsie
. Imbécillité, Epilepsie, Hémiplégie droite. I
llité, Epilepsie. Imbécillité. Idiotie. Epilepsie. Imbécillité,
Epilepsie
, Hémiplégie droite. Imbécillité. Imbécillité.
diotie. Imbécillité, Hémiplégie gauche. Imbécillité. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité, Mal de Pott. Idiotie. Imbécillité.
Imbécillité, Mal de Pott. Idiotie. Imbécillité. Idiotie. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité. Imbécilli
. Idiotie. Imbécillité. Idiotie. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité. Imbécillité, Épilepsie. Imbécilli
llité, Épilepsie. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité. Imbécil
llité, Épilepsie. Imbécillité. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité. Imbécillité, prononcée. Epileps
sie. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité. Imbécillité, prononcée.
Epilepsie
. Imbécillité, Épilepsie. Idiotie. Imbécillité.
e. Imbécillité. Imbécillité, prononcée. Epilepsie. Imbécillité,
Épilepsie
. Idiotie. Imbécillité. Transféré à Villejuif, l
méningitique. Hémipa-résie gauche. Idiotie mongolienne. Idiotie,
épilepsie
. Paresia des membres inférieurs. DATE DU DÉCÈS.
février. 15 ans Ij2 10 ans. 13 ans lr2 18 mois. Imbécillité.
Epilepsie
. Hémipa-résie cauche. Déchéance. Idiotie profon
he. Déchéance. Idiotie profonde. Idiotie probablement ménin-gite.
Epilepsie
. Idiotie. Strabisme, 30 mai. 24 juin. 29 ju
. AGE. DIAGNOSTIC. . . DECES. Harp.......... 11 ans. Imbécillité.
Epilepsie
. 12 nov. Simon........ 12 ans. Imbécillité. Epi
Imbécillité. Epilepsie. 12 nov. Simon........ 12 ans. Imbécillité.
Epilepsie
. 19 déc. Keuc.......... 9 ans. Idiotie. 29 déc.
sions violentes. Idiotie profonde. Idiotie profonde. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité, Epilepsie. Imbécillité, Epileps
profonde. Idiotie profonde. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité,
Epilepsie
. Imbécillité, Epilepsie, Dé-chéance. Arriérat
e. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité, Epilepsie. Imbécillité,
Epilepsie
, Dé-chéance. Arriération, excitation, carac-tér
des cris, paraplégie flasque. Idiotie, acrocéplialie. Imbécillité,
Epilepsie
. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité ; tics d
que. Idiotie, acrocéplialie. Imbécillité, Epilepsie. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité ; tics de la face ; syndactylie.
cillité ; tics de la face ; syndactylie. Idiotie profonde. Idiotie,
épilepsie
, gâ tismc. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité pr
tylie. Idiotie profonde. Idiotie, épilepsie, gâ tismc. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité prononcée. Imbécillité, épilepsie. I
gâ tismc. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité prononcée. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité prononcée.
pilepsie. Imbécillité prononcée. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité prononcée. Imbécillité pi'ononcé
ie. Imbécillité prononcée. Imbécillité pi'ononcée. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité prononcée. Imbécillité avec perv
I. Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
; Pah bouiìneville. Aux 3.133 cas relevés dan
portante. Père excès de en bâtiments. ningite. N. m., imbécillité,
épilepsie
boisson. g. mort on ne sait de quoi, fausse cou
ueluche. portants. invétéré. : 1 Fille morte,,à.J8 mois de N. m-;-,-
Epilepsie
. la rougeole, j I garçon mort à 3 ans 1/2 i de
r » 7 „ .[ Garçon et 5 Filles bien » sur cuivre. portants. N. m.,
Epilepsie
. Tar............. Plombier. Polisseuse. 5 1 gar
ches. 2 autres Filles bien portan- tes. AT. m., Débilité mentale,
Epilepsie
probable. Itzik............ » Chiffons. 11 2gar
à 2 ans de! Fille bien portante. » en caractères. rougeole. AT. m.,
Epilepsie
, Idiotie. NOMS. ' des |i Observations. DU PÈR
umassière. 3 1 Fille très nerveuse. » 1 Garçon bien portant. N. m.,
Epilepsie
. Eich............ Mouleur » 3 ' ëarÇOn mort de
en portante. Père alcoolique. en cuivre. ^ te tuberculeuse. AT. m.,
Epilepsie
. NOMS. : ~~ DES " " OBSERVATIONS DU PÈRE. DE
............ « » 2 » 1 garçon bien portant. Père alcoolique Ar. m.,
épilepsie
. Blav............ Tourneur » 2 1 fausse couche.
t ........... Mégissier. » 5 4 morts de convulsions. A7, m., idiotie,
épilepsie
. » Léchas.......... Teinturier. Teinturière 10
et 1 f. bien portants. Père alcoolique 1 g. mort d'entérite. N. m.,
épilepsie
. 1 f. morte à 12 jours (?) 1 g. mort de la roug
ns 8 ans G ans 8 ans 16 ans 14 ans Idiotie muningitique. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie, hémiplégie droite, épi-lepsie, Idiotie.
lepsie. Idiotie, hémiplégie droite, épi-lepsie, Idiotie. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité. Idiotie, diplegie, microcéphale Imb
ie, diplegie, microcéphale Imbécillité, hémiparés"", droit0. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie, épilepsie. Idiotie complète, épilepsie.
éphale Imbécillité, hémiparés"", droit0. Idiotie, épilepsie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie complète, épilepsie. Idiotie, épilepsie.
"", droit0. Idiotie, épilepsie. Idiotie, épilepsie. Idiotie complète,
épilepsie
. Idiotie, épilepsie. Idiotie. Idiotie, épilepsi
épilepsie. Idiotie, épilepsie. Idiotie complète, épilepsie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie. Idiotie, épilepsie. Idiotie, épilep
Idiotie complète, épilepsie. Idiotie, épilepsie. Idiotie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie, épilepsie. Idiotie profonde, diplegie
lepsie. Idiotie, épilepsie. Idiotie. Idiotie, épilepsie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie profonde, diplegie pre-dominante à droit
Idiotie complète, diplegie. Idiotie congénitale. Idiotie profonde,
épilepsie
. Idiotie, hémiparésie gauche. Idiotie complète. I
sie. Idiotie, hémiparésie gauche. Idiotie complète. Idiotie. Idiotie,
épilepsie
acquise. Idiotie, épilepsie. Idiotie complète. Id
uche. Idiotie complète. Idiotie. Idiotie, épilepsie acquise. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie complète. Idiotie, épilepsie. Idiotie my
ie, épilepsie acquise. Idiotie, épilepsie. Idiotie complète. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie myxœdémateusc. Idiotie profonde, paraplé
diotie profonde, paraplégie spasmodique. Idiotie profonde, gâtisme.
Épilepsie
idiopathique. 3 gr. Traces 6 gr. pas pas »
l{2 Idiotie mongolienne. pas 5 gr. Chanev---- » 6 ans lj2 Idiotie,
épilepsie
. Parésie des pas 7 gr. membres inférieurs. Ch
s 7 gr. membres inférieurs. Chauvié---- » 15 ans 1|2 Imbécillité,
épilepsie
. Hémi-n. pesé n. pesé parésie gauche. Déchéance
..... » 13 ans 1[2 Idiotie probablement meningi- pas n. pesé tique.
Epilepsie
. Briar...... » 18 mois Idiotie. Strabiline. H
.. » 18 mois Idiotie. Strabiline. Harp ...... » 11 ans Imbécillité,
épilepsie
. pas 7 gr. Simon..... » 12 ans Imbécillité, épi
Imbécillité, épilepsie. pas 7 gr. Simon..... » 12 ans Imbécillité,
épilepsie
. » » Opposition à l'autopsie. Keuc ...... » 9 a
xe Début DE L'HÉMIPLÉGIE HÉMIPLÉGIE sans Épilepsii avec
Épilepsie
Acce; Fertiges début DE l'ÉPILEPSIE Cot
sans Épilepsii avec Épilepsie Acce; Fertiges début DE l'
ÉPILEPSIE
Coté paralysé Observation; Baill...........
nseignement. NOMS Age g « .g , AVEC S s o Observations « w « sans
Epilepsie
g ?« o « 1-1 " Epilepsie „---?--.-„ „ £ o Acc
.g , AVEC S s o Observations « w « sans Epilepsie g ?« o « 1-1 "
Epilepsie
„---?--.-„ „ £ o Accès Vertiges Rob (Maurice)
ote statistique sur le rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'imbécillité;
dies. et Filles. Garçons. Hystérie et hystéro-épilepsie---- » 3
Epilepsie
dite idiopathique...... 22 11 — symptomatique..
— 13 — 5 ans 11 — il — 19 — 10 — Diagnostic. Imbécillité.
Epilepsie
. Imbécillité. Imbécillité. Epilepsie. Idiotie
— Diagnostic. Imbécillité. Epilepsie. Imbécillité. Imbécillité.
Epilepsie
. Idiotie congénitale. Idiotie mongolienne. Im
itale. Idiotie mongolienne. Imb. Epilep. Hémipl. droite. Idiotie.
Epilepsie
. Idiotie. Epilepsie. Microce-phalic. Idiotie
enne. Imb. Epilep. Hémipl. droite. Idiotie. Epilepsie. Idiotie.
Epilepsie
. Microce-phalic. Idiotie méningitique. Hémipa-r
croce-phalic. Idiotie méningitique. Hémipa-résie gauche. Idiotie.
Epilepsie
. Imbécillité. 1335 921 1350 580 1085 970
ré prononcé, les enfants pervers, atteints d'alié-nation mentale ou d'
épilepsie
. Nous avons fait inscrire naguère (1889), dans le
partie des indisciplinés, — à la condition qu'il n'y ait chez eux ni
épilepsie
, ni perver-sion des instincts, enfin, les enfants
ants atteints d'imbécillité intellectuelle, d'imbécillité morale et d'
épilepsie
. h'éducation et l'assistance, dans les Classes
. parties de l'enseignement faibles ou fortes. Premiers signes de l'
épilepsie
: cauchemars, céphalal-gies, irritabilité, absenc
aigrissement, c) atrophie musculaire. 6° Hémichorée, athétoso. 7°
Epilepsie
spinale, trépidation, phénomène du pied. Signe de
elle possède une grande souplesse. Cette enfant bien qu'atteinte d'
épilepsie
s'est notablement améliorée sous tous les rapport
— Nous faisons d'abord remarquer que cette enfant, atteinte en plus d'
épilepsie
, a été traitée aux capsules de bro-mure de camphr
ner honorablement sa vie d'ici peu. XCIII. Imbécillité prononcée et
épilepsie
. — Travail... (Georgette), née le 3 août 1896, 5
-tatons. — A son entrée elle était atteinte d'idiotie avec gâtisme et
épilepsie
; aujourd'hui nous pouvons la placer au nombre des
r, très grande amé-lioration: on pourrait dire guérison, si en fait d'
épilepsie
, il ne fallait pas être toujours réservé. Décem
prolalie, de la coprophagie, des tics, des manies, de la chorée, de l'
épilepsie
, l'amendement du caractère, la guérison des accès
.). — Etude sur le traitement des aiûaqices d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8° de 56 p. Th. de Paris. Hublé (M.). — Rec
pilspsie. Thèse de Paris, 1882. Bricon (P.). — Du traitement de l'
épilepsie
: Hydrothéra-pie. — Arsenicaux. — Magnétisme minér
de pilocarpine, etc. Thèse de Paris. Roux (G-L.). — Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'èthyle. Thèse de
e par le bromure d'èthyle. Thèse de Paris. Wuillamier (Th.). — De l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spas-modique infantile. Thèse d
otie. Thèse de Paris. Pison. — De l'asymétrie fronto-faciale dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). — Traitem
l'épilepsie. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). — Traitement.de l'
épilepsie
. Bromures d'or et de camphre, Picrotoxine. Thèse
luence de la consan~ guinitè sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Sollier (P.). — Du rôle de l'h
e de Paris. Rellay (P.). — Essai sur le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1899. Oestan (R.). — Le synd
e Paris. Le Dui ou (E.). — Contribution à l'étude du pronostic de l'
épilepsie
chez les enfants. Thèse de Paris. IIaslé (L.).
Paris. IIaslé (L.). — Du bromwe de camphre dans le traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1900. Bourneville. — De l'An
l'im-bécillité. Thèse de Paris. 1901. Pareur(P).— Purpura dans l'
Épilepsie
. Thèse de Paris. Robin (E.). — Contribution à l
Esménard (J). —Contribution à l'étude du Phénomène des orteils dans l'
Épilepsie
. Thèse de Paris. Le Roux (Henri). — De l'emploi
ques. Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
, par Bour-neville ...............................
rebelles aux traitements les mieux appropriés. REVUE CRITIQUE L'
ÉPILEPSIE
CORTICALE; recherchas expérimentales ET ANATOMO
L'étude expérimentale et clinique que les Italiens ont faite de l'
épilepsie
corticale a produit toute une littérature. Dans
t toute une littérature. Dans aucun pays, la théorie corticale de l'
épilepsie
n'a rencontré de^ plus nombreux et de plus arde
rrhagies. Le médecin du manicome d'Imola estime aujourd'hui que l'
épilepsie
partielle peut être aussi bien la conséquence d'u
les points mo- teurs du cerveau, présentaient de véritables accès d'
épilepsie
. « L'excitabilité de l'écorce, voilà la conditi
la justesse de vues de Huglilings Jack- son sur la pathogénie de l'
épilepsie
, de la chorée et de l'hémiplégie. L'étude des c
and P</to/oy ? West Hiding Lunatic Asylum Reports, 1873. DE L'
ÉPILEPSIE
CORTICALE. 99 ou diminue, l'intensité et l'exte
près l'ablation de la zone épileptogène, il déterminait des accès d'
épilepsie
en excitant les faisceaux pédonculaires. Aussi
rce du cerveau n'était pas, pour Albertoni, un centre autonome de l'
épilepsie
, mais un centre d' « incidence D. En d'autres t
8, sur les Centres psycho-moteurs corticaux, Luciani avait étudié l'
épilepsie
par- tielle déterminée artificiellement chez le
fait époque, et publia les thèses suivantes : 1° la pathogénie de l'
épilepsie
, quel que soit son type, consiste dans un état
est suffisamment diffuse et intense, c'est la forme classique de l'
épilepsie
qui apparaît; les convul- sions toniques et clo
si l'excitation est circonscrite à un des centres psycho-moteurs, l'
épilepsie
peut consister en convulsions Influenza del cer
cérébrale... - Riv. speri- ment. di frenialria, 1878, p. 25. DE l'
épilepsie
corticale. 101 simples, limitées au seul muscle
dans les centres correspondants de l'écorce. La marche de l'accès d'
épilepsie
corticale suit une voie prédéterminée par la di
peuvent s'expli- quer tous les phénomènes vaso-moteurs de l'accès d'
épilepsie
(pâleur, cyanose, perte de connaissance) ' .
878, et telle est encore pour Luciani la pathogenèse corticale de l'
épilepsie
. Albertoni, Morselli 3, 1 Luciani. Sulla patoge
part, au même titre que les surfaces sensibles périphériques dans l'
épilepsie
réflexe; la zone motrice ne faisait que donner
Luciani qui, convaincu de la genèse essentiellement corticale de l'
épilepsie
, répondait : « Affirmons une fois de plus que l
dans d'autres régions du système nerveux central. » Non seulement l'
épilepsie
a toujours pour sphère essentielle l'écorce cér
ortait un grand nombre d'observations de transmission héréditaire d'
épilepsie
corti- cale'. Brown-Séquard avait démontré la t
publia son mémoire : Sulla patogenesi délia epilessia, ces faits d'
épilepsie
traumatique lui semblaient une éventualité rare
ssants en intensité et en fréquence jusqu'à la mort. » P. 209. DE L'
ÉPILEPSIE
. CORTICALE. '103 taire de l'épilepsie d'origine
u'à la mort. » P. 209. DE L'ÉPILEPSIE. CORTICALE. '103 taire de l'
épilepsie
d'origine périphérique. Luciani établit que des
enté aucun accès convulsif, avaient hérité d'une prédisposition à l'
épilepsie
qui se manifesta par des accès généraux bien ca
chiens survivant de la même portée'. Ainsi, une prédisposition à l'
épilepsie
pouvait être transmise héréditairement par des
e substance de l'écorce cérébrale. Chez d'autres animaux (chats), l'
épilepsie
corticale elle-même, et non plus la simple préd
. t. Aujourd'hui, Luciani formule ainsi sa théorie corticale de l'
épilepsie
, théorie nullement exclusive, d'ailleurs, nous l'
iences sur des pigeons que ces substances déterminaient des accès d'
épilepsie
en agissant l'une sur l'écorce cérébrale, l'aut
En somme, Chirone ressuscitait et maintenait la distinction entre l'
épilepsie
corticale et l'épilepsie bulbaire. Après Albert
itait et maintenait la distinction entre l'épilepsie corticale et l'
épilepsie
bulbaire. Après Albertoni', Rovighi et Santini
s, comme dans l'épi- lepsie expérimentale et la forme clinique de l'
épilepsie
partielle; 20 ces convulsions, accompagnées de
pigeons, et pour cause, mais sur un singe et sur des chiens. DE l'
épilepsie
corticale. 105 gique, l'importance des centres
es moteurs corticaux va en dimi- nuant. Ces études expérimentales d'
épilepsie
toxique témoignent donc hautement, comme les re
hautement, comme les recherches de Luciani sur lapa- thogénèse de l'
épilepsie
, en faveur de la théorie corticale. II Les ac
de l'épilepsie, en faveur de la théorie corticale. II Les accès d'
épilepsie
partielle sont-ils toujours déterminés par des
dans lesquels les accès convulsifs avaient bien les caractères de l'
épilepsie
partielle (monospasme brachial, facial, etc.),
e serait donc une erreur de croire que, chaque fois qu'on observe l'
épilepsie
partielle, il doit exister une lésion organique
s, ramollissement de l'écorce, néoplasie). Dans les cinquante cas d'
épilepsie
partielle qu'il a recueillis, Seppilli a toujou
contraient à l'autopsie. La vérité est que la lésion qui provoque l'
épilepsie
partielle peut être de nature organique ou fonc
s symptomatique de la paralysie générale pro- gressive, des accès d'
épilepsie
jacksonienne s'étaient produits ; pourtant à l'
ingite diffuse, sans adhérences des méninges avec l'écorce. Donc, l'
épilepsie
partielle, loin d'être un symptôme exclusif d'u
le provoquer, sous l'action d'une excitation suffisante, un accès d'
épilepsie
partielle ou générale ? Nous avons vu que l'hyp
de la face, qui résistent les derniers. On sait en outre que, si l'
épilepsie
jacksonienne est bien le résultat de décharges
hez l'homme peut être aussi considérée comme épileptogène. » DE l'
épilepsie
corticale. 107 fesseur Pitres', les phénomènes
oïdes seront représentés seulement par des troubles de la motilité (
épilepsie
jackso- nienne exclusivement motrice) : la démo
Unverricht, dans ses Recherches expérimentales et cliniques sur l'
épilepsie
('1883), avait montré aussi qu'on peut provo- q
psie ('1883), avait montré aussi qu'on peut provo- quer des accès d'
épilepsie
en excitant les régions postérieures du cerveau
et Pitres (1883), Danillo, Rosenbach, ont tous produit des accès d'
épilepsie
en excitant le lobe occipital. Pour être effica
Danillo 1 A. Pitres. Etude sur quelques équivalents cliniques de l'
épilepsie
partielle ou jacksonienne. - Itev, de méd., 188
rants d'une plus grande intensité et d'une plus longue durée que l'
épilepsie
suit l'excitation de la sphère visuelle de Munk;
valoir en faveur de l'hypothèse d'Unverricht, c'est que les accès d'
épilepsie
sont souvent précédés d'hallucinations de la vue.
ndes cellules pyramidales, de la névroglie et des vaisseaux, dans l'
épilepsie
partielle. Depuis, la théorie de la sclérose né
sie partielle. Depuis, la théorie de la sclérose névroglique dans l'
épilepsie
« essentielle » a été sou- tenue avec éclat, on
biologie, 2 mars 1889. Cf. Pierre Marie. Note sur l'éliologie de l'
épilepsie
. Progrès médical, 1888, 333, et les remarquable
en /lil'111'indengebietes. - Neurol. CealralLl., 1889, Il' mai DE L'
ÉPILEPSIE
corticale. 109 d'Unverricht, après l'ablation b
ciani et Tamburini sur les différents états consécutifs aux accès d'
épilepsie
corti- cale chez les animaux. Tantôt, pris d'un
ni di fisio- logia [e di analomiadel eeruello. Milano, 1890. DE L'
ÉPILEPSIE
corticale. 111 l rimentales de ces lobes altère
ensible 2. Avec Morselli, Lombroso a aussi étudié le rap- port de l'
épilepsie
larvée avec li folie morale : ces auteurs estim
ions de la folie morale ne sont en réalité que des manifestations d'
épilepsie
larvée, et que ces deux affections sont les sym
le. (Archives de l'anthropologie criminelle, Lyon, 1888, 438.) DE l'
épilepsie
corticale. H3 Au sujet d'un cas fort curieux d'
8.) DE l'épilepsie corticale. H3 Au sujet d'un cas fort curieux d'
épilepsie
observé par S. Venturi', il est permis de se de
moitié de la tête hyper- hémiée. ' Zur Frage der experimentellen
Epilepsie
. Dissert. St-Pétersb., 1889. En russe. Analysé
. Centralbl. 1890, 174. 3 Knies (Freiburg) - Ueber Augenbefunde bei
Epilepsie
(Congrès de neurologie et de psychiatrie de Fri
la distinction classique entre l'épi- lepsie dite idiopathique et l'
épilepsie
jacksonienne. L'épilepsie dérive-t-elle d'une n
ntre l'épi- lepsie dite idiopathique et l'épilepsie jacksonienne. L'
épilepsie
dérive-t-elle d'une névrose des vaisseaux sangu
eur de la moelle allongée. D'après ce que suppose Vetter, l'accès d'
épilepsie
idiopathique débuterait par les centres sous-co
st qu'ensuite que la zone corticale motrice serait affectée. Dans l'
épilepsie
jacksonienne, au con- traire, l'accès convulsif
participation des centres sous-corticaux serait primitive dans l'
épilepsie
commune, secondaire et éventuelle dans l'épilepsi
primitive dans l'épilepsie commune, secondaire et éventuelle dans l'
épilepsie
jacksonienne 1. Jusqu'ici, nous avons vu déte
es de la face, mais point de ' A. Vetter. Ueber die Pathogenese der
Epilepsie
auf Grund der neue- ren Expérimente, Deutsches
lsions générales consécutives à la section du corps calleux. DE l'
épilepsie
corticale. 115 convulsions générales. Or, si l'
laboratoire de Goltz, à Strasbourg, en concluent que le centre de l'
épilepsie
ne peut pas être dans l'écorce cérébrale. Ce ce
accompagnent et sui- vent, chez les animaux, les accès provoqués d'
épilepsie
cor- ticale, reparaissent, avec plus de netteté
t une région d'élection, et, à peu d'exception près, tous ces cas d'
épilepsie
corticale sont la conséquence d'une lésion plus
partie de l'écorce cérébrale capable de provoquer par soi l'accès d'
épilepsie
. » L'analyse de ces observations, au nombre de
ar- quer que c les lésions corticales susceptibles de provoquer l'
épilepsie
J acksonienne doivent avoir une topographie moins
crite, qu'implique la théorie de l'engrenage. La pathogénèse de l'
épilepsie
corticale chez l'homme s'ac- corde-t'elle avec
que la physiologie expérimentale a pro- posée pour les animaux ? L'
épilepsie
jacksonienne est-elle d'une autre nature que l'
nimaux ? L'épilepsie jacksonienne est-elle d'une autre nature que l'
épilepsie
idiopathique ? Ne sont-elles, l'une et l'autre,
L'unitéralité des convulsions n'est pas plus un signe absolu de l'
épilepsie
partielle ou jacksonienne que le mode de début
e spasmes localisés à un groupe musculaire. Seppilli cite des cas d'
épilepsie
dite idiopathique où ces processus ont été obse
ans les deux moitiés du corps. « Il existe, dit Seppilli, des cas d'
épilepsie
jackson- nienne, dans lesquels, par la répétiti
rapidité et de violence, qu'il est impos- sible de distinguer cette
épilepsie
de l'autre. » Enfin, dans l'une comme dans l'au
que. Il ne débute pas toujours par les con- vulsions cloniques de l'
épilepsie
partielle ; il peut être d'abord 1 Charcot et P
ue de la doctrine des locali- sations motrices, 1883, p. 70. DE L'
ÉPILEPSIE
corticale. 117 tonique, puis clonique, comme da
DE L'ÉPILEPSIE corticale. 117 tonique, puis clonique, comme dans l'
épilepsie
idiopathique. Cette étude comparée des caractèr
e comparée des caractères prétendus différentiels des deux formes d'
épilepsie
a été très bien faite, en Italie, par Silvestri
té de Sassari. Après une revue exacte des symptômes respectifs de l'
épilepsie
par- tielle et du grand mal comitial, Silvestri
e mécanisme de développement d'un grave accès total ou d'un accès d'
épilepsie
partielle doit être identique, la différence ne
nicien italien croit aussi à l'identité de nature des deux formes d'
épilepsie
. La seule division qu'il admette est celle d'un
sion qu'il admette est celle d'une forme générale et partielle de l'
épilepsie
. Il repousse la distinction de l'épilepsie en e
nérale et partielle de l'épilepsie. Il repousse la distinction de l'
épilepsie
en essentielle et symptomatique. Car, avec nos
-cliniques actuelles, le moyen de soutenir qu'il existe une forme d'
épilepsie
essen- tielle ? L'épilepsie doit toujours être
en de soutenir qu'il existe une forme d'épilepsie essen- tielle ? L'
épilepsie
doit toujours être symptomatique de quelque lés
ses vues à cet égard de celles de Luciani,-qu'il existe une forme d'
épilepsie
d'origine centrale et une forme d'origine périp
d'origine périphérique, car « on ne peut nier, dit-il, que tantôt l'
épilepsie
dépende de lésions des centres nerveux propreme
tôt d'une irritation pé- riphérique anormale. » La pathogénèse de l'
épilepsie
peut donc être diverse; elle ne dépend pas excl
l point du système nerveux. Que l'on songe aux cas d'éclampsie ou d'
épilepsie
aiguë par irritation de l'utérus, des intestins
ès est iden- tique. » Seppilli aussi conclut, avec Luciani, que l'
épilepsie
partielle et l'épilepsie générale ne sont que d
eppilli aussi conclut, avec Luciani, que l'épilepsie partielle et l'
épilepsie
générale ne sont que deux formes différentes d'
ux formes différentes d'un même processus morbide (U886). L'accès d'
épilepsie
est toujours, comme pour Luciani, la suite d'un
ce, origine du processus convulsif.-Pour Unverricht, également, l'
épilepsie
idiopathique ne différerait de l'épilepsie cortic
Unverricht, également, l'épilepsie idiopathique ne différerait de l'
épilepsie
corticale que par un état plus labile et plus i
des cellules nerveuses. Voilà pour la nature et les analogies de l'
épilepsie
partielle et de l'épilepsie générale. Qu'enseig
là pour la nature et les analogies de l'épilepsie partielle et de l'
épilepsie
générale. Qu'enseignent maintenant les observat
é épileptogène. L'ancienne théorie «bulbaire» ou * médullaire» de l'
épilepsie
, celle qui cons- titue dans les centres de la m
r des accès d'épi- lepsie, mais non toutes les formes diverses de l'
épilepsie
. » Th. Ziehen, qui a travaillé dans le laborato
ives, sensorielles, psychiques, vaso- motrices et motrices, Bernez,
Epilepsie
jacksonnienne. Gaz. des Hôpi- taux, 1888. ' l
en 11falls. Compte rendu du Neurol. Cen- tnzlbl., 1888, 277. DE L'
ÉPILEPSIE
CORTICALE. 1'19 soutient que, des périodes de c
odes de convulsions toniques et cloniques qui constituent l'accès d'
épilepsie
, les premières dérivent de l'excitation des gan
on de l'écorce, elles dis- paraissent du tableau symptomatique de l'
épilepsie
avec l'ex- tirpation du manteau. Ainsi, chez un
xpresses réserves sur ces conclusions expérimentales appliquées à l'
épilepsie
humaine ; Ziehen en a tenu compte dans le derni
nt, loin de considérer les convulsions cloniques et to- niques de l'
épilepsie
comme fondamentalement différentes, ré- sultant
ation est une brillante confir- mation de la théorie corticale de l'
épilepsie
. Il s'agit d'un épi- leptique de vingt ans; dep
vulsions affectaient en même temps, non successivement comme dans l'
épilepsie
jacksonienne, tous les muscles du corps. Or la
ire ne saurait expliquer davantage l'ordre suivant lequel l'accès d'
épilepsie
partielle se propage, et peut passer d'une moit
1886), qui confirment la théorie corticale de l'épi- lepsie. DE l'
épilepsie
corticale. 121 table du cerveau apparaît comme
mes plus larges et moins exclusifs. Si, dans la majorité des cas, l'
épilepsie
jacksonnienne est toujours provoquée par une lé
95 grammes, n'offrait rien de remarquable. L'hémisphère droit 1 « L'
épilepsie
peut être provoquée par une lésion de n'importe q
sistema neruoso (Milano, 1890), 235 sq. 122 REVUE CRITIQUE. DE l'
épilepsie
corticale. pesait 268 grammes. Les méninges s'e
analyse de ce cas, Seppilli ne veut retenir que le fait suivant : l'
épilepsie
partielle peut exister même en l'absence des ce
e REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 123 d'accès d'
épilepsie
partielle en l'absence complète de la zone motr
cliniciens et des physiolo- gistes italiens, l'organe central de l'
épilepsie
, et qui est la condition nécessaire et suffisan
E CÉRÉBRALE; par P. ROSENBACH. (Neurol. Centralbl., 1889). Un cas d'
épilepsie
partielle, par Roller. (Ibid.)- CONTRIBUTION A
ilepsie partielle, par Roller. (Ibid.)- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'
épilepsie
JACKSO- N1ENNE ET DE ses équivalents cliniques;
bliés 128 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. sur l'
épilepsie
expérimentale (Rosenbach) pour arriver au long et
ement frappé. Un dernier chapitre est consacré aux rapports entre l'
épilepsie
jacksonienne et l'épilepsie franche. Nous noter
pitre est consacré aux rapports entre l'épilepsie jacksonienne et l'
épilepsie
franche. Nous noterons ce qui suit : La plus
au début des accès, et il en conclut qu'il s'agissait d'une simple
épilepsie
partielle plutôt que du type de Jackson; il ins
iquer ces résultats expérimentaux à l'explication de la genèse de l'
épilepsie
humaine, il convient de se montrer pru- dent. L
s à échinocoques sont caractérisés par : la céphalée persistante, l'
épilepsie
et les paralysies partielles mais durables, la
ar : la marche irrégulière, le début à quarante ou cinquante ans, l'
épilepsie
passagère par accès, les contractions, les vomi
cutions et de la dégénérescence mentale héréditaire). A propos de l'
épilepsie
il étudie les délires soit liés à la dégénérescen
disposé : la forme mé- lancolique et la forme ambitieuse. Quant à l'
épilepsie
alcoolique, elle n'existe pas, en tant qu'entit
difficulté et tend à tomber en démence. 13 novembre. Second accès d'
épilepsie
bien' marqué. Tous les symptômes accompagnent l
mbres atteints. Cet état dure deux heures. , 29. - Nouvel accès d'
épilepsie
, moins violent cependant, d'après le rapport de
congestives cérébrales intermittentes. N'en est-il pas de même de l'
épilepsie
, qui fait autant le désespoir des thérapeutiste
e pas par un mécanisme congestif analogue que se produit la crise d'
épilepsie
essentielle, c'est-à-dire pure- ment nerveuse,
ubles de la circula- tion. Le médicament le moins infidèle dans l'
épilepsie
, celui qui compte le plus de succès, le plus ha
ités vaines. R. M. C. V. QUELQUES remarques SUR LES rapports DE L'
ÉPILEPSIE
avec LE CRIME; par John BAKER. (The Journal of
es femmes (105 contre 23), alors qu'il est généralement admis que l'
épilepsie
(considérée en dehors de la criminologie) frapp
es commis ou tentés par des aliénés admis à l'asile de Broadmoor, l'
épilepsie
figure pour 11 p. 100. En ce qui touche l'état
nte-cinq à quarante ans. Au point de vue étiologique, les 128 cas d'
épilepsie
crimi- nelle de l'asile de Broadmoor (déduction
se la nature des crimes commis, on arriverait à la conclusion que l'
épilepsie
par traumatisme est celle qui entraine le plus
psie par traumatisme est celle qui entraine le plus souvent, et l'
épilepsie
par vice de conformation congénital celle qui en-
raire, effets positifs et rapi- des sur les accès convulsifs dans l'
épilepsie
qui disparaissent durant le traitement ou dans
le prétend Brown-Séquard. J. S. IV. L'.\NTlFÉDIII : < ! E dans l'
épilepsie
; par le Dr WILDER\lUrrr. (Zeitsclel·ift f. d. l
imputables au médicament. Monaz. , V. L'HYDRATE d'amvlèniî dans l'
épilepsie
; par le Dr WILDEil\1 UTII, (Nell1'olog, Ccnt1'a
urnes et nocturnes. On n'a pas observé de différence d'action sur l'
épilepsie
idiopathique ou symptomatique. P. K. VI. Appl
tat mental, même chez un vieil épileptique, qu'on ait affaire à une
épilepsie
nocturne ou non. Le sulfonal calme la sphère
s l'anxiété. Il agirait sur l'écorce, puisqu'il diminue les accès d'
épilepsie
. Malheureuse- ment il produit à la longue une s
883 jusqu'en 1890. « La plupart des traitements préconisés contre l'
épilepsie
ont été 1 Bourneville. - Rapport sur le projet
catégories. Les cas d'infirmités plus ou moins graves, compliqués d'
épilepsie
, sont souvent des incurables. Si cependant le
iqués d'épilepsie, sont souvent des incurables. Si cependant leur
épilepsie
peut guérir, ils sont néanmoins encore suscepti
ortance de ces faits au point de vue de la question médico-légale d'
épilepsie
simulée. MM. Cadéac et A. Meunier étudient en f
e la suppression de toute gêne de cause externe Comme le vertige, l'
épilepsie
essentielle ou symp- tomatique, la paralysie gé
équivalents chimiques, thermiques et mécaniques. L'appendice sur l'
épilepsie
corticale, déjà très résumé par l'auteur, deman
s, deux enfants étaient rachitiques, deux présentaient des crises d'
épilepsie
et deux autres y étaient prédisposés par leurs an
ces cas sont une variété de chorée spinale. M. Hadden rattache à l'
épilepsie
les cas où s'est rencontrée de la perte de la c
me de quel- ques-uns, c'est-à-dire de rattacher cette affection à l'
épilepsie
. Ce serait un nouveau point de ressemblance ave
ront guérir définitivement, mais qui pourront aussi aller jusqu'à l'
épilepsie
vulgaire. E. BLIN. VII. Nouvelle étude sur la
u précédant l'hémianopsie par lésion organique, dans la migraine, l'
épilepsie
et dans l'hémiplégie avec hémianopsie. Il se rall
le mariage aux épileptiques; ou encore autoriser le divorce quand l'
épilepsie
n'a pas été signalée avant le mariage. Mais, dè
ard. Les rapports étroits du diabète avec l'aliénation mentale, l'
épilepsie
, l'hystérie, le goitre exophthal- mique ont été
e individu. Quant aux relations du diabète avec les vésanies et l'
épilepsie
, elles ont été indiquées par Seegen, Zimmer, La
TABLEAU III 314 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU VI : . X... 70 ans.
Epilepsie
, diabète, paralysie tagitante. Depuis trois ans
ans. Epilepsie, diabète, paralysie tagitante. Depuis trois ans l'
épilepsie
et le diabète ont disparu. La paralysie agitant
tage sur les rapports qui unissent le diabète aux vésanies et à l'
épilepsie
, sur la fréquence chez un seul individu et dans
uis à l'Asile clinique sur le certificat du D1' Garnier portant : c
Epilepsie
, attaques graves et fréquentes, affaiblissement
Bicêtre le 24 juillet avec le certificat du D Dubuisson portant : «
Epilepsie
( perversion des instincts, débilité mentale; at
is d'une légère éléva- tion de la température, comme dans l'accès d'
épilepsie
. Mais si les attaques se succèdent pendant une
ui a eu grand'peine à apprendre, et qui, depuis 1886, est atteint d'
épilepsie
à crises progressivement violentes; une chute sur
tre en décembre 1888 ; on constate de l'imbécillité, des attaques d'
épilepsie
, des symptômes spasmodiques, tels que contractu
yen étant demeuré intact, il n'y avait pas eu d'in- coordination. L'
épilepsie
ayant débuté à l'âge de quatorze ans, et la bas
clérose a dû commencer à la puberté. M. WEBER. - Du traitement de l'
épilepsie
par l'hydrate d'amylène. Expériences faites che
et finalement complè- 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. tement disparaître l'
épilepsie
qu'en un seul cas; chez 5 p. 100 des sujets, le
its et leurs discours et présomptueux. Il ne s'agit pas davantage d'
épilepsie
cocaïnique. Les trois observations que nous pos
stématique cocainique dont les symptômes nous sont connus, et que l'
épilepsie
consécu- tive a eu pour complexus clinique le t
les qui produisent un délire systématique cocaïnique suivi ou non d'
épilepsie
cocaï- nique.' , M. 1\f¡TTENZWF.IG. II est à
hystérie), folie puerpé- rale, folies toxiques, folies partielles,
épilepsie
, folie impulsive. Il est bien difficile de se p
ogiques de l'aliéné n'est pas moins importante (paralysie générale,
épilepsie
, etc.). Mais c'est surtout lorsque se pose la q
raumatisme avec perforation du -, par Pe- trucci, 177. Crime et
épilepsie
, par Baker, 224. Criminels, Anthropologie et bi
de l ? par Piclç, 129. Encéphalite aiguë, par Friedmann, 132.
Epilepsie
, corticale, par Soury, 97, Ruseubach, 127 ; - p
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUIl L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE compte-rendu du serv
service de la salu-brité et du ménage dans la section. Imbécillité,
épilepsie
, onycophagie. —Noé.. (Louis) 15 ans. A fait des p
e cependant, à subvenir, par la suite, à ses besoins. Im.bécillité,
épilepsie
. — Schar..., (Gustave), 14 ans. Cet élève, déjà a
mois et le fait travailler avec elle. Arriération intellectuelle et
épilepsie
.— Béni.... (Edouard 15 ans). — Progrès sensibles.
eux. Toujours disposé à l'aire plaisir. Pas de mauvaises habitudes.
Epilepsie
. — Torail.., (Adrien, 13 ans 1[2. — Bien qu'ayant
ile en classe. — Apprenti tailleur médiocre. Imbécillité prononcée,
épilepsie
. — MesL ... (Georges), 11 ans. A force d'applicat
ractère ; très docile, très serviable, ap-prenti tailleur débutant.
Épilepsie
. arriération intellectuelle.— Lecharpent... (Geor
res, lui attribuer une part active dans là guérison de nombreux cas d'
épilepsie
, etc.. Depuis 1882, tous les ans, dans lo Compt
prentis, insuf-fisamment améliorés pour vivre au dehors ou atteints d'
épilepsie
passsent, à 18 ans, s'ils ont un développe-ment p
Imbécillité. Idiotie c o n g é n i t a l e . Cécité partielle.
Épilepsie
, microphtalmie. 1 0 août. 2 0 août. Chat 4
lète congénitale. Pied bot. 2 3 août. Riv , G ans. Imbécillité,
épilepsie
, gâtisme. 2 6 septem. Cam 1 4 ans. Epilepsic. 1
Fauril G ans. Idiotie congénitale. 11 novemb. Etg 7 ans. Idiotie.
Épilepsie
. 2 5 novemb. N a s . 8 ans. 1/2 Idiotie. Hémipl
o t i e . Imbécillité, Épilepsic. Idiotie, Epilepsic. Idiotie,
Epilepsie
. Idiotie. Imbécillité, Épilepsic. Idiotie,
diotie. Imbécillité, Épilepsic. Idiotie, Diplégie. Imbécillité,
Épilepsie
. Idiotie, Épilepsic, Déchéance, Imbécillité,
bécillité, Épilepsie. Idiotie, Épilepsic, Déchéance, Imbécillité,
Épilepsie
. Idiotie, Maladie de Littlo. Idiotie, Paraplé
écité. Imbécillité, Perversions inst i n c t i v e s . Idiotie,
Épilepsie
. Idiotie, Épilepsie. Imbécillité prononcée.
Perversions inst i n c t i v e s . Idiotie, Épilepsie. Idiotie,
Épilepsie
. Imbécillité prononcée. Idiotie complète. I
e. Imbécillité, Perversions inst i n c t i v e s . Imbécillité,
Epilepsie
. Imbécillité, Epilepsie. Idiotie complète.
ons inst i n c t i v e s . Imbécillité, Epilepsie. Imbécillité,
Epilepsie
. Idiotie complète. Idiotie complète. I d i
ie complète. Idiotie complète. I d i o t i e complète. Idiotie,
Épilepsie
. Imbécillité, Epilepsie. Imbécillité, Pervers
plète. I d i o t i e complète. Idiotie, Épilepsie. Imbécillité,
Epilepsie
. Imbécillité, Perversions inst i n c t i v e
Idiotie. Imbécillité, avec_ perversions i n s t i n c t i v e s ,
Epilepsie
. Imbécillité, Scaphocéphalie. Idiotie. Imbé
, Epilepsie. Imbécillité, Scaphocéphalie. Idiotie. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité, prononc
, Scaphocéphalie. Idiotie. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité, prononcée. Imbécillité, Cécité,
d i n i e r S e r r u r i e r « J a r d i n i er Imbécillité,
Epilepsie
. Imbécillité, Épilepsie, Perversions i n s t
i e r « J a r d i n i er Imbécillité, Epilepsie. Imbécillité,
Épilepsie
, Perversions i n s t i n c t i v e s , Déchéanc
ie, Épilepsic, Trépanation Déchéance. Imbécillité. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité. Imbécillité. Imbécillité pron
Imbécillité. Imbécillité. Imbécillité prononcée. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité. Imbécillité, Épilepsie. Epile
té prononcée. Imbécillité, Épilepsie. Imbécillité. Imbécillité,
Épilepsie
. Epilepsic. Épilepsie, Hémiplégie gauche. I
é, Épilepsie. Imbécillité. Imbécillité, Épilepsie. Epilepsic.
Épilepsie
, Hémiplégie gauche. Idiotie. Imbécillité, Épi
Epilepsic. Épilepsie, Hémiplégie gauche. Idiotie. Imbécillité,
Épilepsie
. Épilepsie, Hémiplégie gauche. Imbécillité, É
Épilepsie, Hémiplégie gauche. Idiotie. Imbécillité, Épilepsie.
Épilepsie
, Hémiplégie gauche. Imbécillité, Épilepsic. I
té, Épilepsic. Imbécillité. Imbécillité prononcée. Imbécillité,
Épilepsie
. Imbécillité. Imbécillité, Perversion des i
rsonne. Amélioration notable sous tous les rapports. Imbécillité et
épilepsie
— Travail. .. (Georgette), 8 ans. — A son entrée
affectueuse, aime à être caressée. —Amélioration notable. Idiotie,
épilepsie
, gâtisme. — Labad... (Henriette), i ans. — A son
rite), 9 ans, entrée à la Fondation en 1890, atteinte d'icliolio et d'
épilepsie
. Elle parlait peu, mais n'avait pas de défaut. El
. Tard . Maît B a r l h o . 13 ans. 13 ans 1/2 Imbécillité.
Epilepsie
. Hémiplégie droite. Imbécillité. Paraplégie e
ie gauche. État de mal convulsif. Idiotie c o n g é n i t a l e .
Épilepsie
, Idiotie. Paraplégie. Idiotie. 29 janvier
n s . 1/2 16 a n s. 9 a n s. 7 a n s .. 10 ans. •14 ans.
Épilepsie
. P a r é s i e des membres i n f é r i e u r s
ans. Épilepsie. P a r é s i e des membres i n f é r i e u r s .
Épilepsie
. Imbécillité, paraplégie. Idiotie. Épilepsie.
f é r i e u r s . Épilepsie. Imbécillité, paraplégie. Idiotie.
Épilepsie
. Idiotie microcéphalique. Idiotie. Imbécill
u e l l e ; hyst é r i e . Imbécillité prononcée. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité, épilepsic. Imbécillité, hébéphr
Idiotie, gâtisme, paraplégie. Imbécillité, gâtisme. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité, épileps
gie. Imbécillité, gâtisme. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité morale.
e. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité morale. C A U S E S DE LA S O R
noncée. Imbécillité légère. Idiotie profonde. Imbécillité. Idiotie,
épilepsie
. Arriération intellectuelle. Arriération intellec
portante. Père excès de en bâtiments. ningite. N. m., imbécillité,
épilepsie
boisson. I g. mort on ne sait de quoi. 1 fausse
a coqueluche. portants. invétéré. I Fille morte à 18 mois de N. m.,
Epilepsie
, la rougeole. I garçon mort à 3 ans 1/2 de la g
ur » 1 » l Garçon et 5 Filles bien » sur cuivre. portants. N. m.,
Epilepsie
. Tar............. Plombier. Polisseuse. 5 1 gar
ches. 2 autres Filles bien portan- tes. JV. m., Débilité mentale,
Epilepsie
probable. Itzik............ » Chiffons. H 2 gar
à 2 ans de 1 Fille bien portante. » en caractères. iougeole. N. m.,
Epilepsie
, Idiotie. Bourneville, Bicêtre, 1904. NOMS. ~
umassière. 3 1 Fille très nerveuse. » 1 Garçon bien portant. N. m.,
Epilepsie
. Eich............ Mouleur » 3 1 garçon mort de
ien portante. Père alcoolique. en cuivre. ^ te tuberculeuse. N. m.,
Epilepsie
. NOMS, des ————— i observations du père. de l
............ « » 2 » i garçon bien portant. Père alcoolique JV. m.,
épilepsie
. Blav............ Tourneur » 2 1 fausse couche.
t ........... Mégissier. » 5 4 morts de convulsions. JV. m., idiotie,
épilepsie
. » Léchas.......... Teinturier. Teinturière 10
. et 1 f. bien portants. Père alcoolique 1 g-mort d'entérite. N.m.,
épilepsie
. 1 f. morte à 12 jours (?) I g. mort de la roug
n bâtiments. 1 garçon mort? l garçon tuberculeux. I N. m., idiotie,
épilepsie
. Maur............ Tourneur « 3 1 garçon mort de
ote statistique sur le rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'imbécillité;
Hommes et Garçons. Filles. Hystérie et hystéro-épilepsie----
Epilepsie
dite idiopathique...... — symptomatique.......
IV. Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
; Par bourneville. Aux 2.987 cas relevés dans
érable que joue l'alcoo-lisme dans la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. En outre la conception durant l'ivresse du pèr
r i v (Edouard) A G E SEXE DÉBUT DE L'HÉMIPLÉGIE H SANS
ÉPILEPSIE
. EMIPLEG É P I L ACCÈS IE E C E P S I
EG É P I L ACCÈS IE E C E P S I E VERTIGES DÉBUT DE L'
ÉPILEPSIE
COTÉ PARALYSÉ 8 a ns G. 5 m . i » I » g a u
EPILEPSIE AVEC É P I L E P S I E ACCÈS VERTIGES DÉBUT DE L'
ÉPILEPSIE
COTÉ PARALYSÉ OBSERVATIONS Riqu (Emile) .
ÉIlES cérébelleux. d. g. Différence Rio.. 18 ans Imbécillité.
Epilepsie
. 1335 660 675 15 1 A4 Egaux » Gail. 14 — Imbéci
14 — Imbécillité. 921 473 448 25 126 61 65 4 Rivi. 6 — Imbécillité.
Epilepsie
. 1350 700 650 50 115 Égaux » Fau. 6 — Idiotie c
Idiotie complète, epilepsie, cécité. Idiotie profonde, diplégie,
épilepsie
. Idiotie mongolienne. Idiotie microcéphalique
dbot. Imbécillité. Idiotie complète. Imbécillité congénitale.
Epilepsie
. Idiotie, diplégie, épilepsie. Idiotie complè
omplète. Imbécillité congénitale. Epilepsie. Idiotie, diplégie,
épilepsie
. Idiotie complète, cécité. Idiotie. Imbécil
gie, épilepsie. Idiotie complète, cécité. Idiotie. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité. Idiotie congénitale, épilepsie,
otie. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité. Idiotie congénitale,
épilepsie
, c é c i t é . Idiotie complète congénitale,
c i t é . Idiotie complète congénitale, pied-bot. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillité, épilepsie. Idiotie, épilepsie.
ète congénitale, pied-bot. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité,
épilepsie
. Idiotie, épilepsie. Idiotie profonde. Idio
d-bot. Imbécillité, épilepsie. Imbécillité, épilepsie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie profonde. Idiotie congénitale. Idi
tie, épilepsie. Idiotie profonde. Idiotie congénitale. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie, hémiplégie gauche. Idiotie mongolie
, hémiplégie gauche. Idiotie mongolienne. Idiotie. Imbécillité,
épilepsie
, hémiplégie droite. Idiotie mongolienne. Id
sie, hémiplégie droite. Idiotie mongolienne. Idiotie, hérédité,
épilepsie
. Idiotie congénitale, état de mal convulsif.
Idiotie congénitale, état de mal convulsif. Idiotie congénitale,
épilepsie
. Imbécillité, paraplégie. THYMUS. pas »
11 ans 1[2 9 ans 10 ansi[2 11 ans Idiotie, paraplégie. Idiotie.
Epilepsie
, parosie. Epilepsie. Imbécillité, paraplégie. I
0 ansi[2 11 ans Idiotie, paraplégie. Idiotie. Epilepsie, parosie.
Epilepsie
. Imbécillité, paraplégie. Idiotie, épilepsie. I
e. Epilepsie, parosie. Epilepsie. Imbécillité, paraplégie. Idiotie,
épilepsie
. Idiotie niicrocéphalique. Idiotie. Imbécillilé,
marche et de la parole à 17 mois. — Propreté à 18 mois. — Début de l'
épilepsie
a 9 ans et demi, un mois après une fraijeur. — Se
ont invoqué l'inégalité des artères verté-brales comme une cause de l'
épilepsie
. Poids des organes. Encéphale................
ans 1/2. Alors, un mois après une peur, est apparu le premier accès d'
épilepsie
. Le second est survenu au bout de trois mois. Ens
tu-deur, etc., ne laissent aucun doute sur le diagnostic (1). IV.
Épilepsie
idiopattaque. — Asphyxie au cours d'un accès ; mo
enchant au suicide.— Cauchemars ; alourdis-sements nombreux.— Accès d'
épilepsie
à 12 a?xs (IS91).— Idées de persécution. — Aggrav
dissements jusqu'à 12 ans, moment où surviennent les premiers accès d'
épilepsie
. Donc hérédité chargée où l'on relève la tubercul
n (1) et par une mastication imparfaite. VI. Malgré le traitement l'
épilepsie
a suivi sa marche habituelle : augmentation annue
ux plus graves (méningites, convulsions, avec leurs conséquences) : l'
épilepsie
, l'idiotie, les états d'irritabilité nerveuse, d'
a mère. D'après les parents la cause de la maladie serait l'hérédité (
épilepsie
) et la chute survenue à II mois. TenipÉvatun: :
.1.). — De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1881. Ridel-Saillard (G.). —
e Paris. Hurlé (M.). — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Monobromure de camphre, bromure de zinc, de sodi
, de sodium. Thèse de Paris. Morlot (E). — Sur une forme grave de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Coulbaut (G.). — Des lésions d
luence de la consan- guinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Sollier (P.). — Du rôle de l'h
e de Paris. Rellay (P.). — Essai sur le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1899. Cestan (R.). — Le synd
Paris. Le Duigou (E.). — Contribution il l'élude du pronostic de l'
épilepsie
chez les enfants. Thèse de Paris. IIaslé (L.).
aris. IIaslé (L.). — Du bromure de camplire dans le traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1900. Bourneville. — De l'An
let (Th.). — Elude, du rôle de la consanguinité dans l'èliologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'im-bécillité
IV. Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
, par Bour-neville ...............................
stade initial de la fièvre typhoïde, par Bourneville____ 116 IV.
Epilepsie
, asphyxie au cours d'un accès, par Bourneville
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PR
GRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES sur Pal L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
aux six millions de M. Després ! DEUXIÈME PARTIE Clinique. 1
Epilepsie
jacksonnienne Par BOURNEVILLE et P. 131UCON.
uis les remarquables travaux de M. Hughlings Jackson sur la forme d'
épilepsie
à laquelle il a attaché son nom, un certain nom
graves; observation d'hémiplégie cérébrale infantile spasmo- dique (
épilepsie
partielle). Le second cas a été communiqué à la
juillet 1876) ; il avait pour litre : Hémiplégie infantile suivie d'
épilepsie
partielle; état de mal épileptique; mort; foyer
52-57 1. liuunwvn,t.n : , 188 : i. 1 2 EPILEPSIE JACKSONNIENNE.
Epilepsie
jacksonnienne. - Hémiplégie gauche à dix ans. - V
cillières. Oreilles, six centimètres et demie; lobules adhérents.
ÉPILEPSIE
JACKSOXKJEXNE. 7 .V'H& ? 'e.< ? <pene
C'est quatre ans après le début de la lésion initiale qu'apparaît l'
épilepsie
d'abord sous la forme de vertiges (quatorze ans
wewL. 18 . 12 II. De l'emploi du curare dans le traitement de l'
épilepsie
; Par BOURNEVILLE et P. BRICON. Nous n'avons p
lait, dès l'abord, peu rationnel d'utiliser dans le traitement de l'
épilepsie
un médicament qui, physiologi- quement, sauf un
lontaires, ne saurait agir que sur l'effet et non sur la cause de l'
épilepsie
. Nous connaissions les observations anciennes e
s résultats satisfaisants et le préconisent dans le traitement de l'
épilepsie
. Nous ne nous dissimulons pas que, pour précise
«, 1 er fa, Paris, 1881, /i°-8« leçon, p. 193-423. DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 19 manière tout à fait exacte l'action du cura
ermique, pût avoir une action quelque peu prolongée sur les accès d'
épilepsie
. Nous n'insisterons pas davantage sur ces consi
mment la confiance relative que nous avions dans le traitement de l'
épilepsie
par le curare, et, après avoir fait l'historiqu
paravant à diverses médications sans aucun succès. Observation I.
Epilepsie
congénitale héréditaire. Jeune homme de vingt-h
ngénitale héréditaire. Jeune homme de vingt-huit ans, affecté d'une
épilepsie
congénitale héréditaire, a passé quatre ans à l
t les autres, en plus grand nombre de haut mal. Observation II. -
Epilepsie
; début ci neuf ans par des vertiges; accès d'ab
ze jours. Chaque paquet devait suffire à trois pansements. DANS L'
ÉPILEPSIE
. 21 z Dimanche 11 novembre, le deuxième paquet
(de Milan) ; celui-ci a aussi employé le. curare dans quatre cas d'
épilepsie
(un en 1864, deux en 1865, un en 1866). Nous en
vertiges quotidiens et presque chaque jour des accès ordinaires d'
épilepsie
, ces derniers devinrent très rares. Les injecti
p. 79, 91, 806. Positive Resultate ;;111' Curare Thérapie. DANS L'
ÉPILEPSIE
. 23 Observation XI. Ftach(Hermanu), vingt ans;
nous montre l'influence du curare sur les symptômes psychiques de l'
épilepsie
. Je dois ici faire remarquer que dans beaucoup
fois le jour. A Pâques de l'année 1863 eut lieu le premier accès d'
épilepsie
à la suite d'une lecture d'his- toire de revena
mois à la suite d'une peur et à six ans après une chute, un accès d'
épilepsie
. - L'enfant n'a pas d'antécédents héréditaires;
de non seulement une action spécifique sur la diathèse motrice de l'
épilepsie
, mais encore sur la dia- thèse psychique. De no
par lui pendant six années et qu'il n'a pas eu de rechute. DANS l'
épilepsie
. 25 démontrent qu'il n'est aucun remède sûr pou
tout). Le curare s'est montré sans action dans certaines formes d'
épilepsie
; l'épilepsie gyratoire, par exemple, et dans un
rare s'est montré sans action dans certaines formes d'épilepsie ; l'
épilepsie
gyratoire, par exemple, et dans un cas d'épilep
d'épilepsie ; l'épilepsie gyratoire, par exemple, et dans un cas d'
épilepsie
symptomatique d'une lésion traumatique de la cu
février 1871, il" 8, p. 196. à Mande, - Die Wirkrrug des Curare bei
Epilepsie
( Wiener' /lied. Pressc, ri- 17, 1866). 26 DU
mode d'administration et de l'action thérapeutique du curare dans l'
épilepsie
. A tous les autres modes d'administration ces a
oisin et il. Liouville. - Etudes sur le curare. Paris, 1(i6. DANS l'
épilepsie
. 27 « Pour ce qui touche les résultats définiti
qui touche les résultats définitifs de l'emploi du curare contre l'
épilepsie
, nous ne pouvons pour ce moment rien affirmer d
ne période à peu près pareille. » Beigel' a injecté dans un cas d'
épilepsie
jusqu'à 13 milligr. de curarine sans aucun résu
a première période dans laquelle le curare a été em- ployé contie l'
épilepsie
. Il nous semble s'être écoulé un certain nombre
dé dans ces derniers temps d'une manière pressante le curare dans l'
épilepsie
. Il a expé- rimenté le curare chez 80 malades,
étail par lui tendraient à prouver que, dans toutes les formes de l'
épilepsie
, même dans celles où la maladie, déjà ancienne,
es observations, a essayé le curare dans un certain nombre de cas d'
épilepsie
confirmée. Dans deux cas d'hystéro-épilepsie, l
uel (21 avril 1880). Tête : crâne petit, régulier, la partie DANS L'
ÉPILEPSIE
.$$ postérieure est notablement plus développée;
telligence a considérablement diminué (Voir janvier tau5). DANS L'
ÉPILEPSIE
. 35 30 avril. Pas d'accès depuis le 23. Julep a
e de la langue. Il bave beaucoup; autrefois il ne bavait que DANS L'
ÉPILEPSIE
. 37 dans ses accès. La parole jadis libre est
mure de potas- sium jusqu'à la fin du mois. 38 DU CURARE DANS l'
épilepsie
. 39 prédominent sur l'hémisphère gauche du cerv
r hystérique. - Autre grand-oncle mort aliéné. - Cousins aliénés.
Epilepsie
idiopathique. - Accès de colère de la première en
ile; elles confirment, en somme, ce que nous avons rapporté. DANS L'
ÉPILEPSIE
. 41 Notre malade. - A la conception, le père de
tions, des paroles incohérentes. En dehors des accès de colère et d'
épilepsie
, Cres... est très doux et très bon. L'intellige
elon le malade, d'une chute pendant sa première en- fance. DANS l'
épilepsie
. 43 mâchoire inférieure, 14 dents permanentes,
à pleurer, puis s'est levé du lit, se figurant qu'on lui di- DANS L'
ÉPILEPSIE
. 45 sait des sottises et a voulu frapper un de
mais C... est insubordonné et très violent. 48 DU CURARE DANS l'
épilepsie
. 49 alcoolique; sa mère, pendant la grossesse,
lère (enfance), A ceux-ci, vers 12 ans, se sont ajoutés des accès d'
épilepsie
compliquée de délire (hallucinations, excitatio
état de mal : nouvelle diminution de l'intelli- gence. - Début de l'
épilepsie
vers 180. - Suspension des accès. - Pleurésie s
etit, n'était pas asphyxié; il était «très gentil». Elevé au DANS L'
ÉPILEPSIE
. 51 sein en nourrice, repris à quatorze mois, i
our de Saint-Lizier. - Pas d'onanisme jusqu'à vingt-six ans. DANS l'
épilepsie
. 53 Pas de vers, pas de dartres, pas d'engelure
ent du 10 novembre 1882 au 8 juin 1883 (7 mai. 195 jours). DANS L'
ÉPILEPSIE
. 55 10 novembre. - Le malade, comme d'habitude,
inuosité, puis une seconde, dont sommet reçoit le second pli dans L'
ÉPILEPSIE
. 57 de la première frontale, puis vient s'insér
rieur par un pli de passage allant de la première frontale à dans l'
épilepsie
. 59 la circonvolution du corps calleux. - La ci
règle, nouvel état de mal plus long que les précédents, dans DANS L'
ÉPILEPSIE
. 61 lequel les convulscbns ont été presque excl
d) C'est en 1871, quand Lef... avait 19 ans, que s'est mon- trée l'
épilepsie
. Les accès, sur lesquels, malheureusement, nous
pas davantage et nous reprenons l'exposé succinct des autres cas d'
épilepsie
traités par le curare. 62 DU CURARE Observati
pilepsie traités par le curare. 62 DU CURARE Observation XVIII. -
Epilepsie
symptomatique. = Deux soeurs et deux frères. -
ement du 6 novembre 1882 au 8 juin 1883 (7 mois = 199jours). DANS l'
épilepsie
. 63 Observation XIX. BptVepsMtdtopf/iMMe.Pet'ep
s nombreux traitements mis en usage ont échoué. Observation XX. -
Epilepsie
idiopathique. - Idiotie. - Gâtisme. - 11;itmte
ent du 6 novembre au mai 4883 (6 mois = 176 jours). totaux DANS L'
ÉPILEPSIE
. 65 t9, 24, 29 mars, et à 18, 19, et 20 goutt
e de la période décroissante signalée plus haut. Observation XXI. -
Epilepsie
idiopathique. - Phimosis. - Bromure de potassiu
80; hydrothérapie etc.) est abso- lument nul. Observation XXII. -
Epilepsie
. - SOE117' épileptique. Premières convulsions à
u 13 septembre 1883 (5 mois et demi = 170 jours). TOTAUX DANS L'
ÉPILEPSIE
. 67 68 DU CURARE TOTAUX X dans l'épilepsie.
). TOTAUX DANS L'ÉPILEPSIE. 67 68 DU CURARE TOTAUX X dans l'
épilepsie
. 69 1er avril au 13 octobre). On note donc outr
de plus en plus accusée. Observation XXIV. - Atrophie cérébrale. -
Epilepsie
symptoma- tique et imbécillité. Hypospadias. -
Hémiplégie gauche consécutive ; diminution de la paralysie, accès d'
épilepsie
à quinze ans. Aura indéterminée. - Déchéance in-
s). TOTAUX 70 DU CURARE Observation XXV. - Instabilité mentale;
épilepsie
idiopathique. Père alcoolique. Mère : crises ne
es de curare (du 30 mars au il,' septembre 1883 = 5 mois). DANS L'
ÉPILEPSIE
. 71 puis lia partir du 5 mai et 12 à dater du 1
83 à février 1884); 13 accès en janvier 1885. Observation XXVI. -
Epilepsie
symptomatique. - Père mort phthi- sique. - Mère
ent : en résumé le résultat est peu concluant. Observation XXVII.
Epilepsie
idiopathique. - Coqueluche Convulsions prédomin
itement du 9 février au 8 juin 1883 (4 mois = : 1 10 jours). dans l'
épilepsie
. 73 74 DU CURARE Traitement du 9 février au 1
itement du 9 février au 15 juin 1883 (4 mois- .1 foi jours). dans l'
épilepsie
. 75 Traitement du 30 mars au 30 juin 1883 (3 mo
30 juin 1883 (3 mois= 93 jours). 76 DU CURARE Observation XXX. -
Epilepsie
idiopathique. - Père alcoolique. - Convulsions
= 93 jours). totaux X DANS L EPILEPSIE. 77 Observation XXXI. -
Epilepsie
idiopathique. - Père alcoolique ( ? ). - Fièvre
6 novembre 1882 au 8 juin 1883 (7 mois=201 jours). TOTAUX DANS l'
épilepsie
. 79 diminuent fréquemment les accès, sans que t
ble de se rendre compte de ces irrégularités. Observation XXXIII. -
Epilepsie
idiopathique. - Cousine germaine (du père) épil
juin, la mort eut lieu le 25 octobre. Observation XXXtV. Idiotie;
épilepsie
. - Mère : idées de suicide pendant deux mois. -
ovembre 1882 au 22 mai 1883 (3 mois = 146 jours). TOTAUX DANS L'
ÉPILEPSIE
. 81 82 DU CURARE DANS L'ÉPILEPSIE. Traitement
s = 146 jours). TOTAUX DANS L'ÉPILEPSIE. 81 82 DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. Traitement du 17 février au 31 août 1883 (G mo
urs). TOTAUX III. De l'emploi de l'acide sclérotinique dans l'
épilepsie
; Par Bourneville et P. Bricon. l ! enseignés
et engagés par l'emploi antérieur des préparations ergotées dans l'
épilepsie
, nous nous sommes décidés à essayer l'acide scl
réparations ergotées ont été déjà employées dans le traitement de l'
épilepsie
avec plus ou moins de succès apparent, mais l'a
s- seur Prévost (de Genève). 84 DE l'acide SCLÉROTiNIQUE DANS l'
épilepsie
. 85 Le tableau ci-dessous indique la marche des
itement depuis le 12 novembre 1882 jusqu'au 31 mars 1SS' : dans l'
épilepsie
. 87- Malades en traitement du 12 novembre 1882
e la température dans les deux maladies : rubéole et rougeole. v.
Epilepsie
tardive. Amélioration progressive. Hémorrhagie
rvation suivante est intéressante au point de vue de la marche do l'
épilepsie
et au point de vue de l'hémor- rhagie cérébrale
s. A cette époque, il était employé de chemin de fer à Lille, 116
ÉPILEPSIE
TARDIVE. travaillait le cuivre et était âgé de
e cuivre et était âgé de 46 ans. Il n'avait pas encore eu d'accès d'
épilepsie
. Il faisait de rares excès de boisson (vin ou b
ndant la durée du traitement, il n'eut pas de fièvre et les accès d'
épilepsie
revinrent comme d'habitude. Etat actuel.-Un peu
it la saveur amère de la coloquinte ou du sulfate de quinine. 118
ÉPILEPSIE
TARDIVE ; GUÉRISON. 1877-1879. - Ce malade est
bleau des accès qui précède indique l'amélioration progressive de l'
épilepsie
chez notre malade, depuis le jour de son entrée
isphère gauche n'était le siège d'aucun foyer. RÉFLEXIONS. - I. L'
épilepsie
, chez ce malade, a présenté deux particularités
probable, une émotion vive, nous a permis de porter le diagnostic :
épilepsie
tarclive idiopathique (1). L'autop- sie, plus t
. II. Alors que l'on pouvait espérer que Rent... était guéri do l'
épilepsie
et que nous avions demandé son passage du quart
du côté gauche, de la prédominance aussi des plaques viola- (1) L'
épilepsie
, on le sait, est surtout une maladie de l'enfance
est surtout une maladie de l'enfance et do l'adolescence. Les cas d'
épilepsie
tardive, dans notre service, sont relativement
tets.Jteptomate. Crise convulsive ( I 6 ans). - Frayeurs nocturnes (
épilepsie
larvée ? ) Céphalalgies. Grimpeur. Première adm
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
: L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU P
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
l'autre, d'enfants tout à fait incurables ou d'en- fants atteints d'
épilepsie
ou de méningo-encéphalite, devenus gâteux sous
n cousin germain est faible d'esprit et fait des fugues fréquentes (
épilepsie
larvée ? ). Pas de consanguinité. Vas... a 76
e statistique sur le rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'imbécillit
posent nos 38 cas, d'après le degré de parenté. 20 ÉTIOLOGIE DE L'
ÉPILEPSIE
, DE L'IDIOTIE, ETC. mariages entre cousins issu
ut de la maladio à 3 ans. DE LA CONSANGUINITÉ. 21 1 2° Kesle...
Epilepsie
. Parents : cousins issus de germains. Père colè
venu au monde avant terme et en état d'asphyxie (1). 5° Motte...
Epilepsie
tardive. Parents : cousins germains. Père sujet
plus. Nous faisons des réserves pour le développement tardif de l'
épilepsie
. Dans les observations II et V, à 40 ans et à 3
'une des causes les plus communes de l'idiotie. 22 ÉTIOLOGIE DE L'
ÉPILEPSIE
, DE L'HYSTÉHIE, ETC. técédents chez les collaté
éditaires très MARQUÉS. Ce groupe embrasse 28 cas : 1° I'arr...
Epilepsie
. Parents : cousins issus de germains. Père apop
ternel apoplectique. Début de la maladie à 10 ans. 2° lliontcout...
Epilepsie
. Parents : cousins germains. Père alcoolique et
te maternelle suicidée. Début de la maladie à 17 ans. 30 Sabat...
Epilepsie
. Parents : cousins issus de germains. Pore alco
aternelle hystérique. Début de la maladie à 1G ans. 4° Cousi..., L.
Epilepsie
. Consanguinité à un degré non indiqué. Père trè
maine de sa mère), folie puerpérale. Début congénital. G Denoy...
Epilepsie
. Consanguinité à un degré non indi- qué. Père a
es nerveuses de nature indéterminée. Maladie congénitale. 9° Eug...
Epilepsie
. Parents : cousins germains. Père rhu- matisant
d'ivresse comateuse. Début de la maladie à 14 ans. 10" Parina...
Epilepsie
. Parents : cousins issus de ger- mains. Mère ar
ébut de la grossesse.. Début de la maladie à 18 mois. 11° Brun...
Epilepsie
. Parents : cousins germains. Père colère. Grand
maternelle excentrique. Début de la maladie à 8 ans. 12" Jacq...
Epilepsie
et idiotie. Parents : cousins germains. Père mi
nerveuse. Bisaïeul maternel aliéné. Début congénital, 13" Thei...
Epilepsie
. Parents : cousins germains. Père, fièvre typho
er- nelle aliénée. Début de la maladie à 2 ou 3 mois. 15° Trib...
Epilepsie
. Parents : cousins germains. Père sa- turnin. T
e durant la grossesse. Début de la maladie à 4 mois. 17° Fargi...
Epilepsie
et idiotie. Parents : cousins germains. Père al
o maternelle, deux grossesses gémellaires. Crises 24 ÉTIOLOGIE DE L'
ÉPILEPSIE
, DE L'IDIOTIE, ETC. nerveuses de la mère au sep
maternel im- bécile. Début congénital de la maladie. 23° Sali...
Epilepsie
hémiplégique. Parents : cousins issus de germai
alcoolique. Mère nerveuse. Début de la maladie à 14 ans. 27° Dol...
Epilepsie
idiopathique. Parents : cousins issus de germai
. Début de la maladie à 6 ans. 28° Faur... Idiotie symptomatique.
Epilepsie
. Parents : cousins issus de germains. Père alco
ues d'hystérie, la chorée, la migraine, les acci- 26 ÉTIOLOGIE DE L'
ÉPILEPSIE
. DE L'HYSTÉRIE, ETC. dents et fatigues de la gr
à-dire aux alliances entre parents sains pour expliquer les cas d'
épilepsie
, d'idiotie et d'imbécillité que nous venons d'e
nt présenté les accidents suivants : DE LA CONSANGUINITÉ. 27 28
ÉPILEPSIE
. III. Epilepsie et asymétrie fronto-faciale ;
cidents suivants : DE LA CONSANGUINITÉ. 27 28 ÉPILEPSIE. III.
Epilepsie
et asymétrie fronto-faciale ; Par BOURNBVILLE e
ègue n 'indiquât cette particularité comme un signe distinctif de l'
épilepsie
idiopathique, qui même d'après lui en était la
n 1877 que Lasègue formula cette nouvelle théorie pathogénique de l'
épilepsie
dite essentielle. Il admet tout d'abord, d'aprè
n rapport de cause à effet, l'asymétrie fronto-faciale entraînant l'
épilepsie
essentielle. Cette idée de faire d'une maladie,
e d'une malformation du système osseux du crâne était séduisante. L'
épilepsie
essentielle disparaissait du cadre nosologique
Malheureusement cette conception n'éclaire en rien le problème de l'
épilepsie
idiopathique, et en ad- mettant même que la mal
oit la ASYMÉTRIE FRONTO-FACIALE. 29 véritable cause première de l'
épilepsie
, le mécanisme par lequel elle agit pour la prod
ue venant d'un homme aussi distingué que Lasègue, ce caractère de l'
épilepsie
essentielle n'at- tira pas une grande attention
n passant par un (1) Pison. -- De l'asymétrie fronto-faciale dans l'
épilepsie
. Th., Paris, 1888. ` ASYMÉTRIE FRONTO-FACIALE
néral et 32 EPILEPSIE. surtout de son rapport pathogénique avec l'
épilepsie
essentielle. Comme Lasègue, nous avons été fr
développement du crâne qui réagit sur le cerveau et y détermine l'
épilepsie
, ou si c'est au contraire le cer- veau malade,
e le cer- veau malade, dont les modifications se traduisent par l'
épilepsie
, qui retentit sur le développement du crâne et
er. Pour nous donc, l'asymétrie crânienne n'est pas la cause de l'
épilepsie
idiopathique. Elle en est au contraire la consé
t de la relation pathogénique entre l'asymétrie fronto-faciale et l'
épilepsie
, il n'en reste pas moins un fait clinique intér
dans une certaine mesure, aider au diagnostic souvent délicat de l'
épilepsie
idiopathique et de l'épi- lepsie symptomatique,
e idiopathique et de l'épi- lepsie symptomatique, lorsque surtout l'
épilepsie
date de l'enfance et qu'il n'y a pas de signes
rale, nous dirons donc que lorsqu'on se trouve en pré- sence d'une
épilepsie
survenue avant 20 ans, sans traumatisme, on a l
raumatisme, on a les plus grandes chances pour avoir affaire à de l'
épilepsie
essentielle, ce qui n'est pas indif- férent pou
dont voici, en quelques mots, l'histoire : Lefèv..., âgé de 24 ans,
épilepsie
idiopalhiq1te.- Sa grand'- mère maternelle étai
t représenté dans la figure 21, est la suivante : Plous..., 41 ans,
épilepsie
idiopathique. Grand'mère maternelle, attaques d
'encéphale. La figure 22 représente le graphique du nommé Doud...
Epilepsie
'idiopathique, 15 ans. Père, paludéen ; tante m
ique du malade dont voici l'histoire résumée : De Bus..., 24 ans,
épilepsie
idiopathique. Père, diabétique; mère, hystériqu
s long que lui d'un centimètre. EPILEPSIE IDIOPATHIQUE. 3D IV
Epilepsie
idiopathique. Bromure de nickel ; Par BOURNEVIL
régu- lier jusqu'il treize ans. - A treize ans, peur. Début de l'
épilepsie
le lendemain. - Marche des accès ; troubles in-
le as- cendante figure un crochet, F2. La deuxième circonvolution
ÉPILEPSIE
: AUTOPSIE. 49 frontale est très sinueuse et bi
que, 24 heures après une vive frayeur, il a eu son premier accès d'
épilepsie
, suivi 48 heures plus tard d'un second accès av
té aucune lésion macros- copique qui puisse expliquer la cause de l'
épilepsie
. Nous n'avons pas non plus trouvé, ici, les lés
rme congestive, et calme les convulsions, etc. En ce qui concerne l'
épilepsie
, M. Da Costa aurait trouvé quo ce sel agit auss
er, nos essais sont loin d'avoir été aussi satisfaisants. OBs. I.
Epilepsie
idiopathique. - Desaut..., L. IL, né le 22 nove
de nickel semble avoir exercé une action dé- favorable. Ons. III.
Epilepsie
idiopathiques Chiqu..., G. L., né le 12 mai 187
cès qui ont disparu sous l'influence de l'hydrothérapie. OBs. IV.
Epilepsie
idiopathique. - Metta..., L..., né le 28 octobr
5 mois sui- vants, 8 accès, soit 1 accès 6 par mois (1). OBS. V.
Epilepsie
idiopathique. Lecorn..., F.-V., né le 2 décembr
866. 0 gr. 25 de bromure de nickel, du 3 mars au 31 août 1884. 56
ÉPILEPSIE
. BROMURE DE NICKEL. 57 58 EPILEPSIE. bromur
, mais le nom- bre des accès s'est sensiblement accru. Ons. XIII.
Epilepsie
symptomatique ; imbécillité. Auberg..., Pierre,
léger tremblement dont il est atteint. 11 n'aurait pas eu d'accès d'
épilepsie
depuis son retour de llont-sous-Vaudrey; mais i
côté paternel nous trouvons l'alcoolisme et l'idiotie compliquée d'
épilepsie
; du côté maternel, le ne ? vosisme et l'aliénat
Thèse de Paris. Pison (V.). De l'asymétrie fronto-faciale dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. TRIBAL (J.). Contribution à
RECHERCHES SUR n L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTERIE ET L'IDIOTIE PARIS. - 1MPF11MKI
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE R1 : \DIi D
le et d'Ollier. - Recherches cliniques et tlvérapa- peuliques sur l'
épilepsie
, V hystérie et l'idiotie; compte-rendu du servi
brièvement le résumé de notre enquête : - 1^ Perr., Henry, 15 ans;
Epilepsie
idiopathique. Tentatives de rapports le 12 juil
t voulu, donner des renseignements. z Legr. Etienne, 16 ans 1/2 :
Epilepsie
idiopathique, avoue PENDANT L'ANNÉE 1881. IX
; l'intelligence est conservée. 3° Gauth., I-I. Georges, 15 ans :
Epilepsie
,jaacksonniewze : onanisme. Il raconte que l'in
tembre, dans le lit de l'infirmier. Syphilis. 5° Blo., J. Louis :
Epilepsie
idiopathique; onanisme. Le 30 septembre, la vei
e de donner des renseignements précis (2). 6° Mal., Albert, 8 ans :
Epilepsie
; imbécillité. L'infirmier D. avait l'habitude
ation de ce malade a été publiée dans : Bricon. -Du traitement de l'
épilepsie
, p. 163.-(2) Ibid. Bricon, loc. cit., p. 38. X
yeux convulsés. A deux ans et neuf mois, les manifes- tations de l'
épilepsie
s'accompagnent de chute, mais ne présentent ni
` ? , dans le coma. T. R. post mortem.40 ? 8. (Fig. 1). Les accès d'
épilepsie
ont eu la marche suivante : En 1879, 83 accès
ffrait en somme, à part la roideur tétanique, aucun des signes de l'
épilepsie
vulgaire : pas d'aura, pas de cri initial, jama
ndurée, des circonvolu- tions cérébrales. OBSERVATION. - Idiotie,
épilepsie
, abcès de la marge de l'anus.- Père : convulsio
ne restait qu'une grande fatigue. Cela paraît avoir été un accès d'
épilepsie
. ' MICROCÉPHALIEÈ 29 Telle est l'origine du m
s ce fait que son frère a été atteint d'aliénation mentale. II. L'
épilepsie
est survenue à 18 ans, sans aucun prodro- me, à
moulage du cerveau d'un autre microcéphale, atteint d'idiotie et d'
épilepsie
. Ce moulage avait été fait, sur la recommandati
doivent présider l'éducation des idiots (page 19). 36 IDIOTIE et
ÉPILEPSIE
. Nous avons pensé qu'il était utile de rassembl
ur : idiote. - Deux frères : Mobilité. Idiotie. Microcéplialie. -
Epilepsie
: marche des accès. - Quelques succès d'ëducait
ion est difficile à fixer. Ed... est, en outre, sujet à des accès d'
épilepsie
sur l'origine desquels nous n'avons pas trouvé
ans le tube par le gros bout, en travers ou imparfai- 38 IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
. tetnent, et qui ne put être surmonté qu'après
'accès. A partir de 1857, les accès sont devenus plus 40 IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
. violents et plus nombreux. Voici d'ailleurs le
des Mensciten. ln Archiv. fâr Anth. 13d, III, 1370. 42 IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
. entre l'extrémité antérieure du premier sillon
on se réunit en avant avec la rainure du bord sylvien 44 IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
. et la branche antérieure de Sylvius qui parait
'and lobe limbique, dans Rev. d'Anlh., 1878, p. 20. 46 idiotie et
ÉPILEPSIE
.' comme la scissure de Rolando ; elle s'anastom
la diathèse nerveuse s'est manifestée par des attaques d'hystéro-
épilepsie
. Bien qu'elles n'aient pu être observées d'une
la gymnastique du service 3 fois par semaine III. Observations d'
épilepsie
. Arthropathies rhumatismales chez un ataxique ;
thies rhumatismales chez un ataxique ; - exos- toses des fémurs ; -
épilepsie
; - démence consécutive par E. BONNAIRE, intern
sommeil par suite de cauchemars. On pense que le premier accès d'
épilepsie
s'est manifesté en 1869. Le malade, resté seul
que sont survenues les lésions articulaires. Vers 1875, les accès d'
épilepsie
étaient au nombre de 3 ou 4, par mois. En décem
emment à des intumes- cences du squelette. 70 ataxie locomotrice;
ÉPILEPSIE
. Membre inférieur droit. -- Au niveau de la moi
athéromateuse. Nous n'avons pas eu l'occasion d'observer d'accès d'
épilepsie
. 17 mars. Ce matin, à la visite, le malade no p
e l'hypertrophie des franges synoviales à la 74 ATAXIE LOCOMOTRICE;
ÉPILEPSIE
. lames concentriques, séparées par de profondes
male des altérations articulaires que nous avons pré- sentées. 76
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE. Hémiplégie. - Epilepsie symptoma
s avons pré- sentées. 76 ÉPILEPSIE SYMPTOMATIQUE. Hémiplégie. -
Epilepsie
symptomatique. -- Lésions du lobule de l'insula
servation. - Hémiplégie gauche a 36 ans. - .4coo- lisme. Début de l'
épilepsie
à 42 ans. Troubles intel- lectuels dus aux accè
n traînant la jambe et en se soutenant sur une canne. Les accès d'
épilepsie
se sont déclarés environ six ans après l'attaqu
ysés, on voit le membre correspondant du côté sain s'agiter de 78
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE. violents mouvements réflexes. T.
our, il s'était ingénié à boire son urine pour guérir ses accès d'
épilepsie
et à se faire tirer violemment le bras paralysé
sidérable au niveau du lobule de l'insula BOURN. 6 82 hémiplégie;
ÉPILEPSIE
symptomatique. et du lobe sphénoïdal. Partout l
pénurie de données cliniques, d'affirmer s'il s'agit dans ce cas d'
épilepsie
vulgaire ou d'épilepsie jackson- nienne. En fav
iques, d'affirmer s'il s'agit dans ce cas d'épilepsie vulgaire ou d'
épilepsie
jackson- nienne. En faveur de cette dernière hy
cesse en augmentant, ainsi que cela a lieu le plus souvent dans l'
épilepsie
vulgaire. Voici d'ailleurs leur marche de 1871 1
x, elle était rendue évidente, pendant la vie, par les phénomènes d'
épilepsie
spinale, l'exagération des réflexes tendineux e
nérale- ment considérées comme déterminantes du mal perforant, 86
ÉPILEPSIE
IDIOPATHIQUE. nous permet de ne considérer cett
orant comme une affection de nature essentiellement nerveuse (1).
Epilepsie
; Ostéomalacie ; par BOURNEVILLE et FËRÉ. L'obse
Tremblement du menton et convulsions dans les pre- miers mois. -
Epilepsie
consécutive. - Lenteur du dé- veloppement intel
s forme un arc irrégulier, dont la flèche mesure 5 centimètres. L'
épilepsie
, ici, a succédé à un tremblement sur la na- tur
ique étant très détaillée. C'est là une complication très rare de l'
épilepsie
et nous terminerons en notant l'absence de lési
ter que ces enfants, en raison de leur maladie primitive idiotie et
épilepsie
qui les affaiblit, et de l'existence fréquente
permettra, à l'oc- casion, d'insister sur certains caractères de l'
épilepsie
et de l'idiotie et rendra notre travail moins a
ot et 3 enfants idiots et épileptiques. Observation I. Idiotie. -
Epilepsie
. - Premières convulsions à 7 semaines. - Rumina
e Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE), comme atteint d'idiotie et d'
épilepsie
le 20 décembre 1877. Antécédents héréditaires.
once que les mots « papa, maman » ; il se montre assez caressant. L'
épilepsie
se manifeste chez lui par de grands accès et de
u début et qu'il n'en a pas eu jusqu'au 14 février. Observation II.
Epilepsie
. - Débilité mentale con- sécutive. - Teigne. -
guinité. (L'enfant est issu de cousins germains). Premier accès d'
épilepsie
à trois ans, le second, un mois après. Un 'an p
est au même degré qu'avant la rougeole. Aujourd'hui, trois accès d'
épilepsie
. Après avoir manqué pendant le cours de la roug
pprochées. T. R. 37°,8. 12 février. L'enfant est guéri. Les accès d'
épilepsie
ont repris leur cours, l'impétigo et l'adénite
statu quo. Traitement anti-scrofuleux. Cet enfant a eu des accès d'
épilepsie
les 8, 9, 10, 12, 13 et 15 janvier, alors qu'il
a eu une marche simple et régulière. Observation IV. - Idiotie et
épilepsie
. - Iodure rl'é- tityle. - Rougeole ; épistaxis.
lement. D'ordinaire assis sur une chaise, il aime à s'y balancer. L'
épilepsie
se manifeste par des accès fréquents. Leur maxi
s... quitte l'infirmerie. Observation V. - Convulsions. - Idiotie.-
Epilepsie
. - Accidents paralytiques transitoires consécut
lisse. -Idiotie complète. - Tournoiement, - ]31tla ? z- cement. -
Epilepsie
. - Impétigo. - Rougeole ; acci- dents lndmonair
u côté maternel, quatre oncles : un a succombé à la suite d'accès d'
épilepsie
. Il avait des « idées noires. » Trois tantes, d
nt l'admission à Bicêtre, l'enfant aurait été sujet à des accès d'
épilepsie
se reproduisant 2 ou 3 fois par mois. 1879. 18
ectuée. L'enfant aurait eu des convulsions et peut-être des accès d'
épilepsie
à diverses reprises. Le 148 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOL
sol. Premières convulsions à trois ans. - Apparition des accès d'
épilepsie
trois mois après. Gâtisme. Absence de la parole
ourneville, Archives de neurologie, t. I, p. 69, 1880. . IDIOTIE,
ÉPILEPSIE
. 149 ,M. Lailler),'à 24 ans, pour une récidive
utes. Depuis lors, après un inter- valle de trois mois, les accès d'
épilepsie
se sont manifestés, se répétant toutes les sema
. Peu de jours après son admission, survinrent les premiers accès d'
épilepsie
, diurnes et nocturnes, d'intensité variable, sa
alentissement, que la rougeole a exercé sur les manifestations de l'
épilepsie
. Dans un travail conscien- cieux et remarquable
prouver l'exactitude du « febris solvit spasmus. » INFLUENCE SUR L'
ÉPILEPSIE
. 163 Il a produit une longue série d'observatio
ont, dans la majeure partie des cas, une influence favorable sur l'
épilepsie
;- 2° Tantôt cette influence ne se manifeste qu
et c'est alors qu'elle modifie, à proprement parler, la marche de l'
épilepsie
; 4° C'est surtout quand il s'agit de maladies
ons fébriles ou traumatiques. La diminution du nombre des accès d'
épilepsie
a été évidente dans les différents cas de rou-
pendant la durée du cycle fébrile, et le chiffre total des accès d'
épilepsie
est resté le même après qu'avant la fièvre érup
10 5 r 3 c M 0 a M 0 te 71 Relevé des accès d'
épilepsie
avant, pendant et après le cours de la rougeole.
* Thèses. COULBAULT (G.). Des lésions de la corne d'Ammon dans l'
épilepsie
. Brochure in-8° de 65 pages. Paris, 1881. - Pri
3 fr. Pour nos abonnés, 2 fr. MOIILOT (E.) Sur une forme grave de l'
épilepsie
. Brochure in-8 de 45 pages. Pâtis, 1881 - Prix
s, 2 fr, 50. - Deuxième fascicule : Urémie et éclampsie puerpérale;
épilepsie
et hystérie. Paris, 1873. In-8 de 160 p, avec U
OURNEVILLE et d'OLIER. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte-rendu du service
. Persistance de l'aphasie. Le 17 mai, mort après deux attaques d'
épilepsie
. Autopsie. Au niveau de la troisième circonvolu
ombant au marasme tuberculeux. PATHOLOGIE NERVEUSE ÉCLAMPSIE ET
ÉPILEPSIE
; Par Ca. FÉRÉ. Les anciens auteurs admettaien
soit infantile soit puerpérale, était une névrose ana- logue à l'
épilepsie
ouà l'hystérie; mais depuis qu'on a reconnu la
es et de montrer les liens peu connus qui unissent l'éclampsie et l'
épilepsie
. I. Pour ce qui est de l'éclampsie infantile, d
loiit-ol fier 2, etc.; et fort souvent, elles sont le prélude de l'
épilepsie
confirmée. C'est là un point que personne ne pe
hèse de Lyoii, 1883. à Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'i- diotie. (Comptes rendus de
arlatineuse. Observation I. Scarlatine; albuminurie ; éclampsie ;
épilepsie
. Pict..., dix-neuf ans, vient à la consultation
s en chemin de fer. Ces attaques offrent les grands caractères de l'
épilepsie
: cri, pâleur de la face, morsure de la langue,
d'hérédité nerveuse. Il montre toutefois nettement l'origine de l'
épilepsie
qui succède à des attaques dites éclampti- ques
auteurs ont d'ailleurs signalé la possibilité du développement de l'
épilepsie
à la suite de la scarla- tine (Sieveking1, Eche
à la suite de laquelle on voit le plus souvent se dévelop- per l'
épilepsie
; mais il ne voit aucune relation néces- saire e
maternelle estné chétif, presque idiot et est sujet aux attaques d'
épilepsie
. Un grand-oncle paternel, ayant cru étouffer da
- hausse couche de deux mois; le cin- quième jour, trois attaques d'
épilepsie
dans l'espace de quinze heures. 17 novembre 1
la main, et enfin s'assoupit pour quelques minutes. ÉCLAMPSIE ET
ÉPILEPSIE
. 43 Dans ce fait, la première attaque convulsiv
se et de l'accouchement sur le développement de l'éclampsie et de l'
épilepsie
. Rappelons d'abord qu'un certain nombre d'auteu
er Vogel et Jacquemier, etc., ont consi- déré l'éclampsie comme une
épilepsie
aiguë; mais il faut remarquer qu'ils se plaçaie
des accouchements . 1846, t. II, p. 200. 2 Delasiauve. Traité de l'
épilepsie
. 1864, p. 235. 44 PATHOLOGIE NERVEUSE. action
Handfield Jones Mit qu'une prédisposition indéter- 1 Béraud. De l'
épilepsie
dans ses rapports avec la grossesse et l'ac- co
er d'une façon précise l'éclampsie aux états névropathiques, et à l'
épilepsie
en particulier. Nous allons par quelques faits
ation V. -Hé7,édité; nervosisme et longévité. Eclampsie puerpérale,
épilepsie
, recrudescence à la méno- pause. Mme P..., so
manifestations convulsives. Observation VI. Eclampsie puerpérale ;
épilepsie
. (D'après des notes de M. Charcot.) Mmo M. de
(par quinzaine). Observation VII. Eclampsie puerpérale; vertiges,
épilepsie
. N1 ? S..., de Toulouse, quarante-trois ans. Il
es seuls troubles observés pendant deux ans et demi. ÉCLAMPSIE ET
ÉPILEPSIE
. 51 Au bout de ce temps, elle fut prise, une nu
oute sa hauteur et offre tous les phénomènes de la grande attaque d'
épilepsie
; convulsions toniques et clo- niques, morsure d
Sous l'influence d'un traitement bromure institué à la ÉCLAMPSIE ET
ÉPILEPSIE
. 53 fin de décembre, les attaques ne se reprodu
posées au début de notre travail, et montrent que l'éclampsie et l'
épilepsie
ne doivent pas seulement être rapprochées par d
, etc., on voit se développer des attaques éclamptiques, puis cette
épilepsie
aiguë passe pour ainsi dire à l'état chronique
at chronique et ne se manifeste plus que par des attaques isolées d'
épilepsie
vulgaire. La succession des phénomènes jette un
e l'influence de la grossesse sur la marche de l'hys- térie et de l'
épilepsie
. Thèse, 1879, p. 34. ' Hervé. De la chorée pend
Hervé. De la chorée pendant la grossesse. Thèse, 1884. ÉCLAMPSIE ET
ÉPILEPSIE
. 55 à admettre chez certains sujets l'existence
nes conditions physiologiques ou pathologiques; mais qui, comme l'
épilepsie
vulgaire, ne se développent qu'en consé- quence
unité convulsive, ou passer à l'état chronique, et se tranformer en
épilepsie
vulgaire. Quelle que soit leur marche, il est i
ans, jouissant d'une bonne santé habituelle, est atteint d'accès d'
épilepsie
avec perte de connaissance, de troubles intelle
e d'une grande émotion, elle avait été frappée d'un premier accès d'
épilepsie
, qui se répétait ensuite deux ou trois fois par
, on ne trouve dans sa nombreuse famille qu'un seul frère atteint d'
épilepsie
. Après un examen fait avec beaucoup de soin, le
des fibres corticales à myéline. P. KERAVAL. IL Trépanation dans l'
épilepsie
après traumatisme sans fracture; guérison; par
aient aucune altération. Trois semaines après, aucun nouvel accès d'
épilepsie
ne s'était montré. G. D. III. Idiotie ET imbéci
et en particulier chez des amis, qu'il a éprouvé jadis des crises d'
épilepsie
vertigineuse. L'interrogation prouve que le cou
s du collapsus. P. K. Il. Contribution A l'étude du TRAITEMENT de l'
épilepsie
par les bromures ; par le Dr ROSENBACLI. {Messa
par une cause locale échappant au diagnostic (névralgie, paralysie,
épilepsie
, hystérie, hypochondrie), soit enfin à raison d
vésicatoires circulairement appliqués (encirching blisters) dans l'
épilepsie
; c'est là une méthode qui appartient en propre
ura épileptique, il s'en faut que dans tous les cas, les attaques d'
épilepsie
se soient trouvées supprimées, mais presque tou
cette action, soit pour modifier l'étal des circonvolutions dans l'
épilepsie
, soit pour provoquer la suppléance dans les cas d
ouvrage. P. Marie. II. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie; par Bourneville, DAUG
remiers jours de janvier 1881. Eu 1883, en outre des observations d'
épilepsie
et d'idiotie, con- tingent ordinaire du service
'o</t<'rapM,6 ! 'omM'ed'</tye, emploi de l'ui- mant dans l'
épilepsie
. -Nous ne pouvons, à notre gtand regret, donner
DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE (étude d'une nouvelle variété d'état
d'hui bien connu que l'hystérie emprunte fréquemment le masque de l'
épilepsie
. L'ex- pression d'hystéro-épliepsie, dont on se
130 CLINIQUE NERVEUSE. Quaud l'hystérie revêt la physionomie de l'
épilepsie
, c'est le grand mal qu'elle simule le plus souv
e-hystéro'-épileptique ressemble presque de tous points à l'accès d'
épilepsie
. Mais, le plus souvent les deux dernières pério
- titude à peu près parfaite le tableau de I'épilepsie partielle (
épilepsie
jacksonnienne, ou par lésion céré- brale). Cett
sie jacksonnienne à forme hémiplégique; dans le second celui de l'
épilepsie
partielle à forme circons- crite ou monopiégiqu
f ! 876-1880), ces vertiges ont été décrits et comparés à ceux de l'
épilepsie
(Bourneville). 132 CLINIQUE NERVEUSE. cortica
1° Que, dans certains cas, l'attaque d'hystérie simule l'accès d'
épilepsie
partielle; 2° Que, dans ces circonstances, en d
irconstances, en dépit de la frap- pante ressemblance que la fausse
épilepsie
partielle(épi- lepsie partielle hystérique) pré
ilepsie partielle(épi- lepsie partielle hystérique) présente avec l'
épilepsie
partielle par lésion cérébrale, il existe des s
ompta pas moins de 8,000 accès. Ces accès ressemblaient à ceux de l'
épilepsie
partielle, avec prédominance des convulsions du
convulsifs, dans le cas en question, avec ceux qui caractérisent l'
épilepsie
jaclcsonnienne; c'est, d'autre part, la nature
savoir que l'hystérie emprunte, dans certains cas, le masque de l'
épilepsie
jacksonnienne. Cette notion trouvera, d'ailleur
nt, quant. la physiono- mie des convulsions, des.attaques à forme d'
épilepsie
partielle sans immixtion d'aucun phénomène nett
iio 0 CLINIQUE NERVEUSE. capitale à la vérité, différenciait cette
épilepsie
partielle de celle qu'on voit se produire au co
et jusque-là inconnue d'attaques d'hystérie, d'attaques à forme d'
épilepsie
partielle ; ou bien d'une épilepsie partielle s
'hystérie, d'attaques à forme d'épilepsie partielle ; ou bien d'une
épilepsie
partielle sans élévation concomitante de la col
divers phénomènes de la névrose a bientôt décidé les partisans de l'
épilepsie
(et nous étions du nombre) à renoncer à leur hy
otre maître est de tous points applicable aux convulsions à forme d'
épilepsie
partielle,* comme elle l'est aux convulsions à
ment au-dessus de 37°,5, l'on peut affirmer qu'on a affaire ci de l'
épilepsie
jaclisoîî- nienne; si, au contraire, la tempéra
nostique de premier ordre, qui permettra de reconnaître la fausse
épilepsie
jacksonnienne de la vraie ; la valeur de ce sig
I avec l'observation II, qui se rapporte, on va le voir, à un cas d'
épilepsie
partielle par lésion cérébrale. Ce signe négati
vulsés, quelqu'ait été le nombre des attaques successives de fausse
épilepsie
jacksonnienne. Rosa G... n'a jamais été atteint
sidération de l'état général et dans le simple fait de,la survie. L'
épilepsie
corticale amène assez vite, un, état de déchéan
cas dans lesquels le diagnostic différentiel entre l'hystérie et l'
épilepsie
peut être fait aisément à l'aide des éléments h
e mieux en relief à la fois les analogies qui rapprochent la fausse
épilepsie
partielle ou épilepsie'pârtielle hystérique de
a fausse épilepsie partielle ou épilepsie'pârtielle hystérique de l'
épilepsie
partielle vraie et les'différences symptomatiqu
ard du 1 H CLINIQUE NERVEUSE. cas de Rosa G..., une observation d'
épilepsie
jackson- nienne typique'. Voici cette observati
nienne typique'. Voici cette observation : Observation II. -Accès d'
épilepsie
partielle datant de l'enfance. ? o)'< à l'àge
net. Adroite et à gauche, onpro- nrèle'at)tpla pointe du pied, de l'
épilepsie
spinale. Toutefois;' les réflexes semblent plus
qu'ici insisté au point deivuejdu.dia- gnostic différentiel entre l'
épilepsie
·partiellé par.lésion cérébrale et l'épilepsie p
différentiel entre l'épilepsie·partiellé par.lésion cérébrale et l'
épilepsie
partielle hystérique sur ? les trois éléments l
gnant, pas le ventricule. Comprimant les circonvolutions voisines ;
épilepsie
unilatérale; articulation 89d'es 'mots,s P im"'
nique sont constituées par différents états, tels que l'hystérie, l'
épilepsie
, l'alcoolisme, etc., qui peuvent venir, s'y'ajo
et dans laquelle le délire chronique se montre simultanément avec l'
épilepsie
. , Le pronostic à la période d'inquiétude est l
peuvent se compliquer d'autres ! états' et en-» particulier' de1 l'
épilepsie
. Voici le.résumé de l'observation XXIV de l'exc
rage donné par les Israélites. A la suite de plu- sieurs attaques d'
épilepsie
, il devenait furieux, se livrait à des violence
d'inconscience ^mais à cela seulement se borne son 'action ? Sans l'
épilepsie
, ce délirant suivrait ses périodes de systémati
? >, ."> ,r V), - vf· m ft. «-> -t ,, ' Cê'qûê;pt'ôduit l'
épilepsie
n.apliartient;guère qu elle, car l'a2olisme'iup
a izs 1 ,; cn i-< ai ? i 1 ,1 l'Mflu i i b aiIJ : DRUrY cas d'
épilepsie
liée a une tumeur cérébrale; par Herbert a ii p
che, les attaques ,quasi- s3,neopales - ailalogue au petit mal de l'
épilepsie
vraie ont été 6bserv^s,p £ esqqCj, exclusivemen
e laquelle elle présenta, a trois reprises différentes, des accès d'
épilepsie
. Au- topsie : L'encéphale dans son entier est d
s relations avec beaucoup de névroses, surtout avec l'hystérie et l'
épilepsie
. La migraine est une névrose du grand sympathiq
i- gnalée dans cette affection. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE (ÉTUDE D'UNE NOUVELLE VARIÉTÉ D'ÉTAT
e variété particulière d'attaques d'hystérie, l'attaque à forme d'
épilepsie
partielle, constituée uniquement dans cer- tain
. p. 129. - 278 H CLINIQUE NERVEUSE. gnostic différentiel entre l'
épilepsie
partielle fausse et l'épilepsie partielle vraie
USE. gnostic différentiel entre l'épilepsie partielle fausse et l'
épilepsie
partielle vraie en tenant compte de la pré- sen
lle que celle qu'on observe communément à la suite des attaques d'
épilepsie
partielle due à une lésion cérébrale. Si Ang... n
es, comme on vient de le voir, rappelaient de fort près celles de l'
épilepsie
jackson- nienne, et non celles qui, jusque-là,
vées chez les hystériques. Aussi eût-on certainement penché pour l'
épilepsie
, si l'absence d'hyperthermie et de paralysie ne
la première malade était atteinte d'attaques hystériques à forme d'
épilepsie
partielle. Dans les deux observations d'hysté
ésentées avec l'as- 286 cr,m2c vrav cusr ? pect qui caractérise l'
épilepsie
partielle dite hémiplé- gique on latéralisée, c
rement au côté opposé. "Mais il est des cas dans lesquels la fausse
épilepsie
par- tielle revêt la forme monoplégique ou circ
. (Communiquée par M. E. BRISSAUD, chef de clinique de la Faculté.)
Epilepsie
Jacksonnieeîne de nature hystérique. Guérison s
e saturnisme, ni une lésion corticale du cerveau, et encore moins l'
épilepsie
. Le diagnostic d'hystérie à convulsions jaksonn
llement connaissance dans sa crise. C'est bien, dans la forme, de l'
épilepsie
partielle. Mais il n'y a là qu'une apparence, c
stérie, et de rechercher lorsqu'on se trouvera en face d'un accès d'
épilepsie
partielle ou, mieux encore, d'une série d'accès
e période, ressemblent très fréquemment, comme on sait, aux accès d'
épilepsie
vulgaire (attaques de mal comitial); 2° Quelq
c une remarquable exactitude le tableau de l'épi- lepsie partielle (
épilepsie
jacksonnienne, épilepsie par lésion cérébrale)
ude le tableau de l'épi- lepsie partielle (épilepsie jacksonnienne,
épilepsie
par lésion cérébrale) ; . 4° La fausse épilep
e jacksonnienne, épilepsie par lésion cérébrale) ; . 4° La fausse
épilepsie
partielle de nature hystérique est caractérisée
e épilepsie partielle de nature hystérique est caractérisée comme l'
épilepsie
partielle vraie, soit par de l'hémispasme avec
attaque n'ont pas le temps de se produire; 6° Les accès de fausse
épilepsie
partielle se mon- trent en effet d'ordinaire pa
7° Il est des signes qui permettent de diagnosti- quer la fausse
épilepsie
partielle (épilepsie partielle hystérique) de l
es qui permettent de diagnosti- quer la fausse épilepsie partielle (
épilepsie
partielle hystérique) de l'épilepsie partielle
la fausse épilepsie partielle (épilepsie partielle hystérique) de l'
épilepsie
partielle vraie. a) Le plus important de ces si
mportant de ces signes est l'absence d'hypertlaermie dans la fausse
épilepsie
partielle, con- formément la loi établie depuis
s vient l'absence de paralysie des membres convulsés dans la fausse
épilepsie
jacksonnienne, alors que les accès d'épilepsie
ulsés dans la fausse épilepsie jacksonnienne, alors que les accès d'
épilepsie
partielle vraie laissent, au contraire, à leur
ession ova- rienne, inefficacité du bromure de potassium, consta-
ÉPILEPSIE
JACKSONNIENNR. 295 tations des symptômes perman
is les remarquables travaux de M. Huglilings Jackson sur la forme d'
épilepsie
à laquelle il a attaché son nom, un certain nom
brales; observation d'hémiplégie cérébrale infantile spasmo- dique (
épilepsie
partielle). Le second cas a été communiqué à la
juillet 1876) ; il avait pour titre : Hémiplégie infantile suivie d'
épilepsie
partielle, état de mal épilep tique ; mort, foy
éressantes pour mériter d'être mis sous les yeux de nos lecteurs.
Epilepsie
jacksonnienne. -llémiplégie gauche à dix ans. Ver
it en traitement 5 l'hcitel-Dieu pour une u hronchite chroniyn ».
ÉPILEPSIE
JACKSONNIENNE. 297 de boisson (bière et eau-de-
cillières. Oreilles, six centimètres et demie; lobules adhérents.
ÉPILEPSIE
JACKSONNIEXNE. 301 foimé; le muscle grand pecto
ments volontaires elfaciles; mouvements communiqués complets. Pas d'
épilepsie
spinale; réflexe tendineux également développé
niveau du centre d'un foyer ancien où la pie-mère se présente sous
ÉPILEPSIE
JACKSONNIEKNE. H07 forme d'une lamelle qui entr
C'est quatre ans après le début de la lésion initiale qu'apparaît l'
épilepsie
d'abord sous la forme de vertiges (quatorze ans
t ans, idiote de naissance, n'ayant pas parlé, ayant été atteinte d'
épilepsie
. Cet encéphale est bien inférieur, comme poids
IE MENTALE. les sujets qui ont été atteints d'aliénation mentale, d'
épilepsie
ou de grande hystérie, ainsi que leurs proches
. SOCIÉTÉS SAVANTES. conque ; paralysie générale, délire chronique,
épilepsie
, etc. Qui ne sait que, dans cette intoxication,
Tel malade peut tenir de causes héréditaires complexes, à la fois l'
épilepsie
et la vésanie ; mais ces deux états morbides res-
ions généralisées avec perte de connaissance; dès lors, les accès d'
épilepsie
n'ont pas quitté le patient plus d'un mois. Dès c
ur les allures du champ visuel dans leurs rapports avec les accès d'
épilepsie
. Jusqu'alors, on a considéré que l'anesthésie o
uite ou à propos des états que voici : 1, A la suite d'un accès d'
épilepsie
, lorsqu'il s'yadjoint un délire hallucinatoire;
e du cerveau qu'il convient d'attribuer la cause de toute attaque d'
épilepsie
qui coïn- cide avec un rétrécissement concentri
ère dans l'hématome de la), 341. 1. Dystésie, 375. Eclampsie et
épilepsie
, par Ch. Féré, 37. Electricité statique (sans
par Comby, 80. Endartérite avec paralysie et apha- sie, 208.
Epilepsie
jacksonnienne, par Bour- neville et Bricon, 295
208. Epilepsie jacksonnienne, par Bour- neville et Bricon, 295.
Epilepsie
traumatique sans frac- ture, trépanation, guéri
tique (voracité chez une idiote, entretenue par un toenia), 94.
Epilepsie
(traitement de l' par les bromures), li9; - (li
eptiforme (étude d'une nouvelle variété d'état de mal), 129, 277.
Epilepsie
(recherches cliniques et tliét-apeiititlues sui
ntal dans l'), 356). Hystei·ie, 121 ; - (attaqucs d'- à forme d'
épilepsie
partielle (étude d'une nouvelle variété d'état
ition, 1891. ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpètri
s y avons fait allusion en parlant des troubles de nutrition dans l'
épilepsie
. Hénocque avait remarqué qu'à la suite des accè
té d'oxyhémoglobine. Ce défaut de parallélisme n'est pas propre à l'
épilepsie
. On le remarque dans d'autres maladies. Ainsi O
r Archives de Neurologie, n°' 98, 99, 100. DE L'INTOXICATION DANS l'
ÉPILEPSIE
. 15 de sang suffisant quelles que soient d'aill
x cultures laissent voir au microscope des DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. tri 7 bacilles assez courts et trapus, à bouts
uatre, ou le plus sou- vent en zooglées. DE L'INTOXICATION DANS l'
ÉPILEPSIE
. 'J9 On injecte 10 centimètres cubes de bouillo
e les crises convul- sives de l'éclampsie puerpérale et celles de l'
épilepsie
. Plusieurs fois déjà ce rapprochement a été fai
femmes en couches méritaient le nom d'épi- DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 21 lepsie aiguë. Or l'éclampsie puerpérale a é
onclure que dans les cas qui nous occupent ici, c'est-à-dire dans l'
épilepsie
générale sim- ple, il faut incriminer le plus s
que nous ne soyons pas obligés de choisir DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 23 entre l'auto et l'hétéro-infection; n'est-i
x à réagir dans un sens donné. On nous opposera peut-être aussi l'
épilepsie
traumatique et l'épilepsie locale, enfin même l
né. On nous opposera peut-être aussi l'épilepsie traumatique et l'
épilepsie
locale, enfin même les cas où l'épilepsie général
pilepsie traumatique et l'épilepsie locale, enfin même les cas où l'
épilepsie
générale peut être provoquée d'une façon ou d'u
génique. Nous l'avons dit, nous ne nous sommes occupés ici que de l'
épilepsie
générale d'emblée, l'épi- lepsie dite idiopathi
de cas, nous croyons même pou- voir dire dans la majorité des cas d'
épilepsie
générale d'em- blée, ce sera l'intoxication qu'
existent et sont très marqués. Dans le premier cas on a affaire à l'
épilepsie
réflexe, dans le second à une intoxication, sans
s est très différente dans ces deux espèces d'épi- lepsie. Dans l'
épilepsie
réflexe l'état de l'intelligence reste très lon
l'abrutissement complet et à la démence. C'est qn'en effet, dans l'
épilepsie
réflexe, qu'elle soit locale, généralisée ou même
inante rapide et fugace n'agit qu'un moment. Au contraire, dans l'
épilepsie
générale qui s'accompagne de l'état gastrique s
la démence. C'est DE L'INTOXICATION DANS L'EPILEPSIE. 25 qu'ici l'
épilepsie
a pour cause déterminante une intoxication; cet
pour que les accidents épileptiques puissent apparaître ; 2° que l'
épilepsie
générale peut être sous la dépen- dance de deux
deux causes déterminantes distinctes; ce qui permet d'admettre une
épilepsie
réflexe et une épilepsie par intoxica- tion, ce
s distinctes; ce qui permet d'admettre une épilepsie réflexe et une
épilepsie
par intoxica- tion, celle-ci plus grave que l'a
tion, celle-ci plus grave que l'autre ; 3° que ces deux genres d'
épilepsie
peuvent alterner chez un même sujet ; 4° que l'in
ut-être pas de maladie où le traitement soit aussi varié que dans l'
épilepsie
. Chacun a voulu apporter son remède à une affec
m, ou croyait avoir le médicament par excellence, la pa- nacée de l'
épilepsie
. Legrand du Saulle l'appelle la muselière Legra
ale sur les épileptiques, 1877. 26 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. de l'
épilepsie
, mais il fait bien ressortir comme A. Voisin ' qu
e l'on doit recommander dans cette maladie. Nous avons établi que l'
épilepsie
générale, appelé encore épi- lepsie idiopathiqu
que l'épilepsie générale, appelé encore épi- lepsie idiopathique ou
épilepsie
névrose, est dans la presque totalité des cas o
ue les épileptiques de cette catégorie présenteront des symptômes d'
épilepsie
gé- nérale, ils devront être soumis à la médica
e nous occuperont pas non plus, nous limite- rons notre travail à l'
épilepsie
vraie. Le traitement de l'épilepsie comprend de
imite- rons notre travail à l'épilepsie vraie. Le traitement de l'
épilepsie
comprend deux indications : la première s'appli
linique sur le bromure de potassium, 18G6. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 27 -i cédé de symptômes précurseurs éloignés o
du membre inférieur peut être arrêtée par la flexion du pied dans l'
épilepsie
partielle. Quand il existe une aura gastrique,
réflexe et non d'origine symptomatique d'empoisonne- ment. Si cette
épilepsie
réflexe revêt à un certain moment donné la form
cette épilepsie réflexe revêt à un certain moment donné la forme d'
épilepsie
générale, nous ne pourrons pro- voquer aucun so
malade, sur son état gastri- que d'abord. Cette distinction de l'
épilepsie
réflexe à aura, ne s'accompa- gnant pas d'état
ie réflexe à aura, ne s'accompa- gnant pas d'état gastrique et de l'
épilepsie
réflexe à aura s'ac- compagnant d'état gastriqu
xe à aura s'ac- compagnant d'état gastrique, par conséquentdevenant
épilepsie
ordinaire, est très importante à connaître, .ca
jet accompagnant généralement les stig- mates de la face, puisque l'
épilepsie
est essentiellement héré- ditaire et d'origine
tements. Il faut en outre faire coucher le DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 29 malade sur un lit bas ayant des balustrades
is ce qui doit surtout occuper le médecin dans le traite- ment de l'
épilepsie
, c'est l'hygiène de son malade. Avec une bonne
e une nourriture variée et substantielle, mais comme il croit que l'
épilepsie
résulte de modifications de nutrition de la sub
os- phore est un principe tempérant du système nerveux, et dans l'
épilepsie
, il serait remplacé par des substances azotées. N
n médecin, et donne de bons résul- tats. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 3t Un épileptique dangereux, c'est-à-dire un m
qui tiennent encore la plus grande place dans la thérapeutique de l'
épilepsie
; nous citerons le camphre, les fleurs de tilleu
. Weir Mitchell l'introduisit le premier dans la thérapeutique de l'
épilepsie
, en z. Ce médicament a la propriété d'amener un
tion de la face et du cer- veau, par conséquent il devrait guérir l'
épilepsie
si cette mala- 32 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. d
é le sulfate de cuivre, l'oxyde de zinc, la glace (Recherches sur l'
épilepsie
et l'hystérie, 1876). Le bromure d'éthyle (Comp
oi prolongé de l'hydrothérapie. (B.). 2 Hambrusier. Traitement de l'
épilepsie
, 1880. Bulletin de l'Aca- démie de Médecine. Be
n de l'Aca- démie de Médecine. Belgique. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 33 2,000 grammes et enfin l'appétit au début é
r le DI" Bombarda. . (Revue neurologique, déc. 1894.) Les faits d'
épilepsie
partielle où la conscience persiste intacte pen
ntre l'inconscience absolue qui ac- compagne d'ordinaire la crise d'
épilepsie
généralisée et le maintien de la conscience au
l'aspect clinique d'une maladie déterminée (neurasthénie, hystérie,
épilepsie
). On observe cependant des groupements de sympt
rs étiologiques ne sont pas intervenus. P. Sérieux. III. Un cas d'
épilepsie
alléguée ET simulée ; par le Dr Samuel Garnier.
liter la revendication du bénéfice de l'article 64 du code pénal. L'
épilepsie
, surtout quand elle n'est pas de notoriété publ
le public extra- médical car l'auteur vient d'observer un cas où l'
épilepsie
fut d'abord alléguée et ensuite simulée par le
anquait pas d'être assez délicate, un premier expert ayant écarté l'
épilepsie
, alors qu'un second expert l'avait admise et co
térieure au crime et l'absence de rela- tion de causalité entre une
épilepsie
antérieure presque douteuse et les faits crimin
étaient que des migraines ophtalmiques frustes. De même des accès d'
épilepsie
intermittents, qui disparaissaient à un moment
ion souvent si difficile de l'attaque de l'hystérie ou de l'accès d'
épilepsie
. Après avoir décrit les formes si nombreuses qu
manouvrière à Saint- Hilaire-les-Andrésis, sujette à des attaques d'
épilepsie
, a été trouvée noyée dans un lavoir situé sur u
emble inutile. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpètri
Le bromure de potassium a été introduit dans la thérapeutique de l'
épilepsie
en 1851 par Ch. Locack. C'est le médicament qui
t les sécrétions explique les applications faites du bromure dans l'
épilepsie
. » D'après M. Germain Sée, le bromure de potass
Voisin et Legrand du Saulle c'est le médicament indispensable de l'
épilepsie
. Grâce à lui les accès sont reculés et quelquef
hives de Neurologie, 11" 98, 99, 100, 101. DE l'intoxication dans l'
épilepsie
. 121 mais son administration doit être continue
employée par Charcot à la Salpêtrière : DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 123 124 4 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Calcul ?
Calcul ? soixante-huit ans. Épileptique. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. l '2 ? \ 126 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. LECOM
LECOM..., trente-sept ans. Epileptique. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. '127 Î 128 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. leptiqu
si que ceux des tisanes diurétiques. C'est DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 129 surtout lorsque l'état saburral de la lang
ire quand et comment nous les emploierons. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 131 A notre avis ce n'est pas à l'un d'eux exc
e traitement de l'épi- lepsie générale. Cunv..., vingt-trois ans.
Epilepsie
. Antécédents héréditaires : .' père bien portan
depuis longtemps. Le malade pré- sente : DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 133 2° Lavements froids avec 0,50 de bétol, à
ion suivante : 134 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. CONCLUSIONS : 1° L'
épilepsie
générale est une maladie héréditaire et ses man
épendance d'une disposition particulière du système nerveux; 2° L'
épilepsie
générale, suivant les causes détermi- nantes, p
ant les causes détermi- nantes, peut être divisée en deux classes :
épilepsie
réflexe, épilepsie par intoxication; 3° L'épi
i- nantes, peut être divisée en deux classes : épilepsie réflexe,
épilepsie
par intoxication; 3° L'épilepsie réflexe ne s'a
eux classes : épilepsie réflexe, épilepsie par intoxication; 3° L'
épilepsie
réflexe ne s'accompagne pas de troubles gastro-
astro-intestinaux, ni d'état saburral. Elle est moins grave; 4° L'
épilepsie
par intoxication est toujours précédée et accom
pagnée de symptômes gastro-intestinaux. Elle est plus grave; 5° L'
épilepsie
par intoxication peut relever d'une auto ou d'u
ication peut relever d'une auto ou d'une hétéro-infection; . 6° L'
épilepsie
réflexe peut se transformer en épilepsie infect
e hétéro-infection; . 6° L'épilepsie réflexe peut se transformer en
épilepsie
infectieuse et prendre ses symptômes, sa marche
et prendre ses symptômes, sa marche et sa terminaison ; 7° Dans l'
épilepsie
par intoxication, lorsqu'un état de mal s'accom
viser deux points : 1° la prédis- position ; 2° les accidents de l'
épilepsie
; 9° Les bromures agissent sur la prédisposition
être continuées entre les périodes d'accès ; 11° Les accidents de l'
épilepsie
par intoxication peu- vent être prévus et doive
ttus dès que les symptômes prémonitoires apparaissent; 12° Dans l'
épilepsie
générale vraie, par intoxication, REVUE d'ANATO
E PATHOLOGIE MENTALE XXIII. Remarques sur deux cent cinquante cas d'
épilepsie
; par R.-K. MACALESTER. (New-York Médical Journ
° Convulsions infantiles : notées 29 fois. 4° Trauma- tisme suivi d'
épilepsie
vraie et persistante a été noté 24 fois; dans 2
n trouve 138 hommes et 112 femmes.- En ce qui touche l'âge auquel l'
épilepsie
est apparue, les chiffres de l'auteur sont les
etit mal, 34 fois; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 157 haut mal avec
épilepsie
jacksonienne, 14 fois; épilepsie rotatoire, 2 f
HOLOGIE MENTALE. 157 haut mal avec épilepsie jacksonienne, 14 fois;
épilepsie
rotatoire, 2 fois, et épilepsie psychique, 6 fo
ec épilepsie jacksonienne, 14 fois; épilepsie rotatoire, 2 fois, et
épilepsie
psychique, 6 fois. 3° Fréquence des attaques, n
'étiologie, l'hémiplégie transitoire qui survient après l'attaque d'
épilepsie
, ou en d'autres termes l'hémiplégie dite post-é
es l'hémiplégie dite post-épileptique a été rencontrée six fois. 8°
Epilepsie
psychique. Dans ce paragraphe, l'auteur donne "
cas intéressants, deux cas d'épi- lepsie avec automatisme, un cas d'
épilepsie
rotatoire, et un cas d'épilepsie psychique (pet
lepsie avec automatisme, un cas d'épilepsie rotatoire, et un cas d'
épilepsie
psychique (petit mal) ; ces quatre cas montrent c
n divers et multiples peuvent être les équivalents psychiques de. l'
épilepsie
; l'auteur insiste sur l'utilité médico-légale du
ie; l'auteur insiste sur l'utilité médico-légale du diagnostic de l'
épilepsie
psychique. - Il termine par quelques considératio
u penser que les crises épileptiformes avaient été prises pour de l'
épilepsie
vraie : mais tous les signes somatiques de la par
ammation de la pie-mère. L'auteur estime qu'il s'agit là d'un cas d'
épilepsie
larvée, et que la dernière crise, qui a été plu
plutôt envisagé actuellement comme un syn- drome nerveux. De même l'
épilepsie
dont les anciens faisaient une espèce nosograph
bleau clinique sera incomplet et fruste et de même qu'il existe une
épilepsie
larvée, de même on connaît le goitre exophtalmiqu
Dans tout syndrome, il est toujours un signe primordial. Dans - l'
épilepsie
c'est l'absence; dans la maladie de Basedow c'est
on des manifestations impulsives, auxquelles Morel donnait le nom d'
épilepsie
larvée; 2° la précision des symptômes, qui, en
des accidents épileptiques convulsifs, permettent de rattacher à l'
épilepsie
les impulsions qui lui sont propres; 3° la recher
ui n'ont jamais présenté aucune des manifestations habituelles de l'
épilepsie
convulsive (absence, vertiges, attaques complèt
impulsions, rappelons-le, ont été désignées par Morel sous le nom d'
épilepsie
larvée. Pendant longtemps, l'opinion de cet aut
isciples trop fer- vents ont voulu faire entrer, dans le cadre de l'
épilepsie
larvée, tout délire transitoire à forme impulsi
parmi les aliénistes, deux opinions contra- dictoires relatives à l'
épilepsie
larvée : suivant les uns, cette sorte de troubl
ois qui soient réellement propres à faire admettre l'existence de l'
épilepsie
larvée. A défaut des faits il y a quelques argu
ces troubles disparaître au moment où il pré- sente des attaques d'
épilepsie
qu'il n'avait point éprouvées jusque- là, et in
ées jusque- là, et inversement les cas dans lesquels des attaques d'
épilepsie
convulsive diminuent de fréquence ou même dispa
ent de leur crise d'une manière identique. L'un a eu des attaques d'
épilepsie
convulsive, l'autre n'en a jamais pré- senté. P
aladie ? Peut-on, dans le second cas, ne pas porter le diagnostic d'
épilepsie
avant d'avoir vu les convulsions elles-mêmes ?
ailleurs elle ne se présente avec les allures qu'elle prend dans l'
épilepsie
; aussi lorsqu'elle peut être constatée avec cer
t, c'est de savoir, abstraction faite des accidents convulsifs de l'
épilepsie
, si l'on a affaire à une impulsion épileptique,
La connaissance des accidents convulsifs et des divers signes de l'
épilepsie
proprement dite est assurément le meilleur moye
n cause, devront a priori être tenus pour suspects. D'autre part, l'
épilepsie
en elle-même, il ne faut pas l'oublier, n'est p
ibilité du diagnostic entre les impulsions irrésis- tibles dues à l'
épilepsie
et celles que l'on observe quelquefois dans l'h
ile à faire est celui de la para- lysie générale progressive avec l'
épilepsie
: mais les idées sont plus niaises chez le para
que l'examen de l'acte même, présumé accompli sous l'influence de l'
épilepsie
, est le vrai critérium médico-légal. La constat
'exemption dans les armées fran- çaises et étrangères au sujet de l'
épilepsie
; la France a moins de réformés pour épilepsie q
angères au sujet de l'épilepsie; la France a moins de réformés pour
épilepsie
que l'Allemagne. La justice 'militaire, est plu
cine légale au point de vue particulier de la loi militaire et de l'
épilepsie
qui est trop souvent méconnue. Nombre de malade
s'étendant dans la sphère morale. M. Garnier adopte la théorie de l'
épilepsie
larvée; une étude a été présentée en son nom à
vue médico-légal, tout l'intérêt consiste dans l'appréciation de l'
épilepsie
larvée. Il accepte avec tous les alié- ' L'un d
uer de signaler aux juges l'étroite connexion qui relie l'attaque d'
épilepsie
aux pertur- bations psychiques les plus diverse
pelle l'attention du Congrès sur l'importance de la simulation de l'
épilepsie
dans les asiles et l'absence de carac- tères co
ité d'épileptique. M. Tissié (de Bordeaux) apporte un cas nouveau d'
épilepsie
observé sur un jeune homme élève d'un lycée. L'
oque-t-elle une discussion très intéressante puisque le propre de l'
épilepsie
est l'abolition de la volonlé. Or, dans le cas
coup à admettre le qualificatif larvée ajouté dans certains cas à l'
épilepsie
. Par exemple, les malades atteints d'automatism
ion des centres psychiques et excitation des ceutres moteurs; cette
épilepsie
, loin d'être larvée, est, si l'on peut s'exprim
état mental des épileptiques ? Peut-être porte-t-on le diagnostic d'
épilepsie
par ignorance; et l'examen plus approfondi du m
conscience des actes qu'ils accom- plissent pendant leur attaque d'
épilepsie
larvée, mais ils n'ont pas le souvenir de ces a
l dans lequel elle est dissoute (elle ne provoque plus d'attaques d'
épilepsie
si elle est injectée en solution dans l'alcool
cine. BouR'<E\iLLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. - (Compte rendu du se
e quarante-cinq ans chez lequel on n'a pu constater ni syphilis, ni
épilepsie
, ni alcoolisme mais une prédisposition névropat
après, à la suite d'une nuit mauvaise, éclatent de violents accès d'
épilepsie
(perte complète de connaissance, morsure de la
ur, état de mal). Ces accès ne présentent aucun des caractères de l'
épilepsie
par- tielle. Le lendemain la température attein
ue isolé : elles peuvent se manifester sous la forme clinique d'une
épilepsie
sensorielle surajoutée à'une ? '" hémianopsie p
cipital, comparable aux'plié- - - nomènes d'excitation motrice de l'
épilepsie
jacksonienne, et'lià , . la présence d'une alté
'ablation d'esquilles osseuses, présente dans la suite des crises d'
épilepsie
jacksonienne. Après une série de ces crises, on
écemment par P. Janet (hystérie). - ! II : CHARAN. Du traitement de l'
épilepsie
par l'opium et le bro- mure (méthode de Flechsi
LE BECQ. Contribution à l'étude du traumatisme dans les attaques d'
épilepsie
. Fayet. Les aponévroses cervicales. Amy. Essai su
t., avril 1894.) E. B. IV. Remarques SUR LE traitement médical DE l'
épilepsie
chronique; par le D' ROUDURANT. Les conclusio
s sont, sauf de rares exceptions, sans influence sur la marche de l'
épilepsie
chronique vers la folie; 2° Le naphtol peut ren
ordinaire. (British Médical Journal, 7 juillet 1894.) A. M. XV. L'
épilepsie
ET son traitement; par CROWLEY et HOI3HOLT. (Oc
(Occidental Médical Times; mars et avril 1894.) I. Observation d'
épilepsie
idiopathique - datant de l'enfance chez une fem
elle n'avait encore eu aucune nouvelle attaque. II. Observation d'
épilepsie
procursive type à propos de laquelle l'auteur,
LOCALISATION ET LES FAISCEAUX DE TRANSMISSION DES CONVULSIONS DE L'
ÉPILEPSIE
ABSIN- TBIQUE; par R. BoYCE. (Neurolog. Cei7ti-
urnal of insanily, avril 1895.) XLI. DES relations DE l'urée avec l'
épilepsie
; par le D'' Nelson TEETER. L'épilepsie idiop
elations DE l'urée avec l'épilepsie ; par le D'' Nelson TEETER. L'
épilepsie
idiopathique est-elle une auto-intoxication ou un
ur les indigents exigera en outre des sommes considé- rables. - L'
épilepsie
ne parait pas être, chez les buveurs, aussi fréqu
lents résultats à la clinique de Heidelberg, non seule- ment dans l'
épilepsie
alcoolique, mais chez les dipsomanes, les épile
pas que l'alcoolisme joue un rôle impor- tant dans l'étiologie de l'
épilepsie
. Il est cependant d'avis de sou- mettre les épi
boissons alcooliques a été des plus favorables aux épileptiques. L'
épilepsie
alcoolique est rare, mais beaucoup d'épileptiqu
ccès de fureur chez les Sa- moyèdes, les Ostjakes, Jakoutes, etc. L'
épilepsie
est fréquente dans la race malaise. 4° Les ra
nt peu exposées à la folie. L'alcoolisme y détermine plus souvent l'
épilepsie
que le délire. 5° Dans les races noires psychos
la famille, fut réformé, étant au service militaire comme atteint d'
épilepsie
. Le médecin-major dans son rapport certifiait l
et en particulier avec sa connais- sance des langues étrangères. L'
épilepsie
qui a entraîné la réforme de W..., alors qu'il
entait ne peut s'expliquer autrement. Rien ne peut faire penser à l'
épilepsie
; les circons- tances qui ont accompagné le cri
'accusé quelques traits particuliers qui peuvent être rapportés à l'
épilepsie
. Il ne faut pas oublier que celle-ci a été cons
dord. BOURF.vILLF., Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du serv
VI, 189'r.) LU. SUR LES PHÉNOMÈNES circumcursifs ET rotatoires DE l'
épilepsie
; par Mingazzini. (Riv. sp. di fren., t. XX, fas
. di fren., t. XX, fasc. III-IV.) Les phénomènes circumcursifs de l'
épilepsie
peuvent se réduire à deux catégories : ceux dan
nocturnes ne sont pas toujours identiques aux diurnes. Comme pour l'
épilepsie
circumcursive, on est fort embarrassé de savoir
LTI1. Considérations cliniques SUR l'étiologie ET la nature DE l'
épilepsie
tardive chez l'homme; par le D"' nlAU1'.1TÉ. L'
l'homme; par le D"' nlAU1'.1TÉ. L'auteur considère comme tardive l'
épilepsie
qui débute après trente ans : sur 120 épileptiq
il n'en a rencontré que 20 pouvant rentrer dans cette catégorie. L'
épilepsie
tardive n'est qu'une simple ; variété de la gra
rie. L'épilepsie tardive n'est qu'une simple ; variété de la grande
épilepsie
qui emprunte à l'âge auquel elle survient et au
ion de ces agents. Les manifestations sont sensiblement celles de l'
épilepsie
vul- gaire : une fois déclarée, elle peut, soit
me les troubles mentaux surajoutés, devoir être attribuée moins à l'
épilepsie
qu'à ses agents producteurs. Le traitement sera
pilepsie qu'à ses agents producteurs. Le traitement sera celui de l'
épilepsie
en général, combiné avec la suppression ou la g
E DES MATIÈRES AilSINTIIIQUE. Transmission des con- vulsions de l'
épilepsie
-, par Royce, 386. Abstinence. Cure d' -, par
e. Théorie de 1·- pour la lec- ture et l'écriture par Sommer, 40.
Epilepsie
. De l'intoxication dans l ? par J. Voisin et Il
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYTÉRE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PROGRE
PROGRES MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE - ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SE
enfin y a-t-il eu des enfants qui par suite de l'ap- parition de l'
épilepsie
, ont dû être retirés des classes d'As- sistance
e, Bicêtre, 1899. 1 De l'éosinate de sodium dans le traitement de l'
épilepsie
et des accidents qu'il produit ; Par BOURNEVI
ection l'emploi cle l'éosinate de sodium, dans le trai- tement de l'
épilepsie
. Prise il doses progressives, cette substance a
de l'ammo- nium, elle donne des composés plus ou moins stables. 4
Epilepsie
. Nous n'avons pu trouver la formule exacte de l
VII, p. 51) à essayer l'emploi de l'éosine dans le traitement de l'
épilepsie
. Ces auteurs rappor- tent les résultats cle qua
du médicament a été réglé dans tous les cas ainsi qu'il suit : 6
Epilepsie
. tiges ou mieux les absences : Pas d'aura ; un
bleau des accès et des vertiges. EOSINATE DE SODIUM. 7 OBS. II. -
Épilepsie
symptomatique. So)t[AtnE. Père, quelques excès
lus tard suivies de méningite. - Troisièmes convulsions à 4 ans :
épilepsie
consécutive . - Prédominance des convul- sions
ours suivants commencent à repousser d'une manière irrégulière. 8
Epilepsie
. Sur le dos de la main et le long du bord inter
nt la période de trai- tement, 23 accès et 2 vertiges. OBS. III. -
Épilepsie
idiopathique. Sommaire. - Père rhumatisant, cox
(éosinate) et 36 en 1899. OBS. IV. - Arriération intellectuelle;
épilepsie
symptomatique. Sommaire, Grand-père, arrière-gr
lalgie surtout marquée la nuit précédente. Gonflement intense, 12
Epilepsie
. principalement du côté gauche de la face. Pas
ente. Rien aux orteils (1). Tableau des accès et des vertiges. 14
Epilepsie
. oncles maternels mort-nés, deux autres morts d
icatrice. Ongles réguliers. Tableau des accès et des vertiges. 16
Epilepsie
. Ons. Vf. Epilepsie symptomatique. Sommaire.
iers. Tableau des accès et des vertiges. 16 Epilepsie. Ons. Vf.
Epilepsie
symptomatique. Sommaire. - Père rhumatisant. On
catrices. Ongles réguliers. Tableau des accès et dos vertiges. 18
ÉPILEPSIE
. Ous. VII. - Imbécillité et Épilepsie symptomat
s accès et dos vertiges. 18 ÉPILEPSIE. Ous. VII. - Imbécillité et
Épilepsie
symptomatiques. Sommaire. - Père, strabisme. -
, kleptomanie. - Convulsions pendant 8 heures à 5 ans. - Début de l'
épilepsie
à 7 ans. - Accès de plus en plus rapprochés.
s. Tableau des accès et des vertiges. Eosinate de SODIUM. 19 20
Epilepsie
.. 9 juillet . Le malade présente à la face deux
sions dues à l'éosinate (face, ongles, etc.). Ons. IX. - Idiotie,
épilepsie
et hémiplégie droite symptomatiques. SoMMA]HE.
r et gonflement du dos de la main gauche, Membres inférieurs 55 .
Epilepsie
. intacts. Pas de modifications du côté des appa
définitivent le traitement. Tableau des accès et des vertiges. 24
Epilepsie
. OBS. X. - Imbécillité, hémiplégie droite et ép
rtiges. 24 Epilepsie. OBS. X. - Imbécillité, hémiplégie droite et
épilepsie
symptomati- ques. SOMMAIRE. Père : rhumatisme
e prend 2 gr. d'éosinate. Tableau des accès et des vertiges. 26
Epilepsie
. 26 mai. - Suspension du traitement. 27 mai.
ndant l'administration de l'éosinate qu'en 1897 et 1899. Ons, XI.
Épilepsie
symptomatique. Sommaire. Père migraineux, carac
ament a été de 3 grammes. Tableau des accès el des vertiges. 28 .
Épilepsie
. OBs. XII. - Épilepsie idiopathique. SoMMAjRE
Tableau des accès el des vertiges. 28 . Épilepsie. OBs. XII. -
Épilepsie
idiopathique. SoMMAjRE. Père très nerveux, suje
es attribuées à des vers. - Pas de convul- sions. - Premier accès d'
épilepsie
à 13 ans. - Excitation maniaque. - Rougeole.
quels ; en 1899, 11 accès, ni vertiges ni attaques. Oss. XIII. -
Épilepsie
héréditaire. - SOMMAIRE. - Père, rien de partic
sont complètement guéries. Tableau des accès et des vertiges. M .
Epilepsie
. z Eosinate de sodium. 31 1 29 juillet. - Lég
squ'à la fin du traitement. Tableau des accès et des vertiges. 32
Épilepsie
. Ors. XV. - Épilepsie symptomatique. 5oamma ?
nt. Tableau des accès et des vertiges. 32 Épilepsie. Ors. XV. -
Épilepsie
symptomatique. 5oamma ? IPieiz de particulier d
accès ; - en 1899, accès et vertiges. Résultat négatif.; OBs. XVL
Epilepsie
idiopathique. Sommaire. - Père, convulsions. Gr
on cesse le traitement. - . Tableau des accès et des vertiges. 34
Épilepsie
. Eosinate de sodium. 1*3 5 de rougeur de la f
aucune lésion cutanée, etc. Tableau des accès el des vertiges. 36
Épilepsie
.... "0115. Epilepsie symptomatique. Sommaire.
etc. Tableau des accès el des vertiges. 36 Épilepsie.... "0115.
Epilepsie
symptomatique. Sommaire. Père, quelques excès d
légère amélioration. Ous. XIX. - Imbécillité, hémiplégie gauche et
épilepsie
symptoma- tiques. Sommaire. Père, savoyard, g
ivies d'hémiplégie et de contracture de la jambe gauche. Début de l'
épilepsie
à 3 ans et demi. Irritabilité, turbulence, klep
e l'oreille droite, 1899. Nu. - Rien il la face et aux ongles. a8
Epilepsie
. Tableau des accès et dos vertiges. Eosinate
. Noya. - Aucune cicatrice. Tableau des accès et des vertiges. 40
Epilepsie
. Du 1 ? juillet au 31 août, en 1897, 11 accès e
s et un vertige; - en 1899, 50' accès. Aggravation. - Orins. XXI.
Épilepsie
probablement idiopathique. Sommaire. - Enfant a
nate de; sodium.. Id Or3s XXII. - Imbécillité, hémiplégie gauche et
épilepsie
sympto- matiques. Sommaire. Père, caractère e
-huit mois, - Cinq ou six autres crises jusqu'à 5 ans. - Début de l'
épilepsie
vers 6 ans. .. Rani... (Gaston), 18 ans. - Éo
Late du 7 juillet au 31 août. Tableau des accès el des' vertiges.
Epilepsie
. 22 août. Rougeur diffuse de la face et gonflem
f, 19 accès et (; vertiges : résultat négatif (1`. Ons. XXII r. -
Épilepsie
probablement symptomatique ; déchéance. SoMMAtn
ments sur le développement de l'enfant, le début et les causes de l'
épilepsie
. S¡¡nclact¡¡lie des 2'= et 3" orteils prédomina
on normale. ' Nous n'avons pu déterminer la cause de ces acci- 46
Epilepsie
. dents ni surtout de leur localisation aux pouc
insister sur l'action thcrapcuti- ([uedeleosinatedc sodium contre l'
épilepsie
. Les tableaux des accès, les )['('')1<"<v
? Contre une maladie aussi terrible et aussi épou- vantable que l'
épilepsie
, le devoir strict des médecins qui sont chargés
edum acre ou se bornent à le citer. Il faut remonter au Traité de l'
épilepsie
de Delasiauvc, ouvrage qu'on ne saurait trop co
rendre', matin et soir, à l'un de ses malades, en proie à une grave
épilepsie
, déterminée par la frayeur, vingt grains de pet
Ù 25 centigrammes de plante fraîche. OftSEHVA'nox I. Imbécillité et
épilepsie
symptomatiques; démence ; état de mal ; mort ;
e médicament a été administré pour tous de la façon suivante : 56
Épilepsie
. SEDUM acre. : 7 7 Ons. II. Épilepsie symptom
de la façon suivante : 56 Épilepsie. SEDUM acre. : 7 7 Ons. II.
Épilepsie
symptomatique. Ne... (lmile), né le Il octobre
l au 31 décembre 1807. Tableau des accès et des vertiges. j 5S Il
Epilepsie
. Oos. III. Épilepsie. Knsn... (Delhe), ne, le
Tableau des accès et des vertiges. j 5S Il Epilepsie. Oos. III.
Épilepsie
. Knsn... (Delhe), ne, le 1 ? décembre 188l. E
Tableau des accès et des vertiges. W : uLn .w.r,r. ? 9 OBS. IV.
Épilepsie
probablement symptomatique.. I-Ienr... (Paul),
s à café, soit 106 par. 75. Tableau des accès et des vertiges. no
Epilepsie
. le malade a pris 92 grammes 75 de suc do sedum
des accès et des vertiges. SEDUI ACHE, 61 Résultat négatif. 62
Epilepsie
. 111. Zona thoraco-brachial; PAU 1t(tUlt\1
aussi. - Trois tantes paternelles ont eu des enfants 7 ? Idiotie ET
épilepsie
spasmodique. bien constitués. - Deux tantes mat
cou est court et peu large. Circonférence : 28 cent. 74 Idiotie et
épilepsie
spasmodique. Larynx légèrement saillant. Corps
eur au mémoire de d'Olier : De la coexistence de l'hystérie et de l'
épilepsie
auec manifestations distinctes des deux névrose
'lystéro-épilepsie chez la femme, voir Bourneville, Recherche sur l'
épilepsie
et l'hystérie, Paris 1876 ; Bourneville et P. R
if. Action de l'Alcoolisme sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
; l'Aie 1t(IL'It\1 ? 1(,l,ls. 1989 enfants id
soiplacp»te2-tt. - Diminution de l'intelligence - Pre- mier accès d'
épilepsie
à 10 anse Disparition des accès d'août 1886 à 1
t accompagné des certificats ci-après : il juin 1882 : Attaques d'
épilepsie
, accidents paralytiques passagers avec aphasie
rand du Saulle. 18 juin 1882 : Est atteint de débilité mentale avec
épilepsie
; attaques suivies de trouble mental. - Signé :
urna trois mois. C'est là qu'il aurait commencé à avoir des accès d'
épilepsie
. . A part la scarlatine dont il fut atteint à l
s le Compte-rendu de 1884 : Bourneville et Uricon, Du curare dans l'
épilepsie
, page 70. Marche DE la maladie. 121 quatre op
1888. Janvier. Amélioration très remarquable au point de vue de l'
épilepsie
: pas d'accès depuis t8S(i. Puberté. - Fin duve
que n'a jamais été interrompu. , . 1 : 26 Tremblement, NYSTAUMUS,
épilepsie
. 1893. L'examen de la puberté, fait au mois de
ger aujourd'hui, est souvent plus accentué. Il aurait eu un accès d'
épilepsie
il y a trois jours. Il assure qu'il n'en avait
e. V. Le malade, à son entrée, nous était signalé comme atteint d'
épilepsie
(accès et absences), com- pliquée d'accidenls p
a- sie temporaire. Un examen attentif nous a bientôt montré que l'
épilepsie
, la paralysie, l'aphasie - et le reste sur lequ
on plus, il ne semble y avoir eu d'accès de rigidité et, partant, d'
épilepsie
spinale. Les muscles ont con- servé leur volume
s'agirait plutôt d'accès épilepti formes que de véritables accès d'
épilepsie
. VII. Les rémissions notées dans la marche de l
X. Les certificats d'entrée faisaient mention, en outre de l'
épilepsie
et de para- lysiespassagères, etc., de l'exis
plus tard les résultats de l'examen histologique. XIV. Idiotie et
épilepsie
symptomatiques de sclérose tubéreuse ou hypertr
s; paralysie des mem- bres ; grincement des dents; accès de cris. -
Épilepsie
. Etat du malade en 1898 : idiotie complète; dip
que le certificat du médecin, bien que constatant l'existence de l'
épilepsie
, ne la disait pas incurable. Il est encore sans
ite, est devenu aliéné et, clans 248 8 Marche et complications de l'
épilepsie
. la famille maternelle, la nervosité et les mig
l'influence des maladies interC1l1'- Marche ET -complications DE l'
épilepsie
. 2t9 rentes sur la marche de l'épilepsie. Dans
che ET -complications DE l'épilepsie. 2t9 rentes sur la marche de l'
épilepsie
. Dans des cas malheureusement trop rares, la ré
git ici d'un cas type de ce qu'on désigne d'habitude sous le nom (l'
épilepsie
250 VIE sexuelle ET descendance idiopathique,
les asiles où ils ont été précédemment Marche ET complications DE l'
épilepsie
. 2u3 traités. En procédant ainsi, on ferait la
.). - De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. BOURNEVILLE Contribution à l'é
.). Étude sur le traitement cles attaques d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8° de 56 p. Th. de Paris. HUBLÉ. (M.). - Re
aris. HUBLÉ. (M.). - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Thèse de Paris. MOllLOT (E.). - Sm' une forme
épilepsie. Thèse de Paris. MOllLOT (E.). - Sm' une forme grave de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. COULBAUT (G.). - Des lésions
Paris. COULBAUT (G.). - Des lésions de la corne d'Ammon dJ8.ns l'
épilepsie
. Thèse de Paris. ~ THÈSES faites dans le servic
tes dans le service . 259 1882. BRICON (L.). - Du traitement de l'
épilepsie
: Hydrothéra- pie. - Arsenicaux. Magnétisme min
ne. - Curare, etc. Thèse de Paris. Roux (CT.-L.). - Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
par le bromure d'éthyle. Thèse de Paris. WuiL-LAmiER (Th.). - Ce l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spasmodique. infantile. Thèse
otie. Thèse de Paris. Pison. - De l'asymétrie fronto-faciale dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). - Trait
épilepsie. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). - Traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. C;OTTSCHALK (A.). - Valeur de
luence de la consan- yuinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Sollier (P.). - Du rôle de l
s. Thèse de Paris. Rellay (P.). - Essai sur le traitement, de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1899. CESTAN (H.), - Le synd
us voyons naître les plus curieuses amnésies localisées. Quanta à
ÉPILEPSIE
ANCIENNE, D'ORIGINE TRAUMATIQUE. 55 la raison q
enir. . RECUEIL DE FAITS. Asile PUBLIC d'aliénés DE BONNEVAL. '
ÉPILEPSIE
ANCIENNE D'ORIGINE TRAUMATIQUE (FRACTURE DU CRA
limitée, ont engagé les chirurgiens à employer le même moyen dans l'
épilepsie
totale. Malgré les améliorations et les guériso
e- ment, mais trois mois après Ser... avait sa première attaque d'
épilepsie
. Voici son histoire à partir de ce moment ; les
'épilepsie. Voici son histoire à partir de ce moment ; les crises d'
épilepsie
sont d'abord rares, puis elles se rapprochent,
érapeutique chirurgicale de Forgue et Reclus, t. II, p. 38 et 79.
ÉPILEPSIE
ANCIENNE, D'ORIGINE TRAUMATIQUE. 57 sensibilité
entes et diffuses. Parole lente mais bien articulée. Les attaques d'
épilepsie
sont violentes et surviennent irrégu- lièrement
ent affaiblies : le malade en est, en effet, arrivé, par suite de l'
épilepsie
ancienne, à un degré bien caractérisé de démenc
intenir. C'est là, du reste, un phénomène psychique bien connu de l'
épilepsie
. Le traumatisme ancien a laissé une cicatrice t
qui précède : un jeune homme exempt d'hérédité névropathique (car l'
épilepsie
du grand-oncle est hypothétique), mais ayant ce
ieure droite. Trois mois après l'accident il devient épileptique. L'
épilepsie
marche toujours en s'aggra- vant et aujourd'hui
in que, dans ce cas, le traumatisme est le facteur étiologique de l'
épilepsie
. La prédisposition native aux convulsions, sign
scen- dante. (L'intervention chirurgicale nous permit de voir que
ÉPILEPSIE
ANCIENNE, D'ORIGINE TRAUMATIQUE. 59 cette compr
es premiers jours qui la suivirent, il y eut une série d'attaques d'
épilepsie
: neuf le jour de l'opération, cinq le lendemai
ec hémiopie partielle verticale non homonyme, est le caractère de l'
épilepsie
en dehors des attaques, et de la criminalité co
ou dans la jeunesse (sans accidents syphilitiques), puis attaques d'
épilepsie
grave en 1889 (décembre) ; au début de janvier
a sélection sus-tracée qui s'identifie au traitement judicieux de l'
épilepsie
. En effet, ne faut-il pas pouvoir disposer en m
mpossible de décider si l'on a affaire à un enfant idiot, atteint d'
épilepsie
, ou à un enfant que l'épilepsie a rendu idiot.
ffaire à un enfant idiot, atteint d'épilepsie, ou à un enfant que l'
épilepsie
a rendu idiot. Mais pratiquement, il existe une
mplète. C'est aussi peu soutenable que pour les asiles d'aliénés. L'
épilepsie
masque autant de variétés pathologiques d'ordre
tiques simples, idiots ou déments. , Il ne faut pas oublier que l'
épilepsie
est une terrible maladie, 11 - laquelle il faut
n même temps, recevra, autant que possible, les aliénés, atteints d'
épilepsie
chronique, des asiles provinciaux existants. La
très rare. Séance du 15 novembre 1891. M. le professeur BoBRow.
Epilepsie
traumatique. Obturation ostéo- plastique de déf
un reste panaché, plus ou moins, avec une teinte de paralysie ou d'
épilepsie
, qui n'est pas toujours aussi soumise à la disc
PHIQUE. BouRNEVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
l'hystérie et l'idiotie, compte rendu du servic
ui résultent de l'injection des urines de treize malades atteints d'
épilepsie
« idiopa- thique ». Les urines sont toxiques de
nos malades, nous avons choisi celles pour lesquelles lediagnostic
épilepsie
essentielle n'est pas contesté. Nous avons lais
é. Nous avons laissé de côté tous les cas douteux et tous les cas d'
épilepsie
symptomatique. Ceci une fois fait, nous nous
ur. Gauth..., vingt-quatre ans, atteinte de débilité mentale avec
épilepsie
. Père alcoolique, mère hystérique. Accès en série
.., dix-neuf ans, atteint d'imbécillité avec mauvais instincts et d'
épilepsie
. Hérédité convergente. Grand-père épileptique.
visuels, accompagnés ou non du syndrome migraineux et d'autres, à l'
épilepsie
sensitive sensorielle, à l'hystérie, au début d
ngourdis- sements d'une moitié du corps, qualifiés par M. Charcot d'
épilepsie
partielle (sensitivo-sensorielle) avec embarras
inq ans, c'est-à-dire vers l'àge de trente-quatre ans, ces crises d'
épilepsie
sensitivo-sensorielle ont été remplacées par de l
travers un tube. » Les crises d'amblyopie, comme autrefois celles d'
épilepsie
sen- sitivo-sensorielle, sontsuivies de trouble
tacher l'amblyopie temporaire sont : la neurasthénie, l'hystérie, l'
épilepsie
sensitivo-senso- rielle, le tabès et la paralys
rice). Beaucoup plus rare (cas d'amblyopie transitoire associée à l'
épilepsie
partielle) est le trouble dans l'articulation d
our la plupart ceux qui démontrent le rapport de l'affection avec l'
épilepsie
. Tout le monde sait, en effet, que l'épilepsie
e l'affection avec l'épilepsie. Tout le monde sait, en effet, que l'
épilepsie
à elle seule peut déjà présenter d'une façon tr
, ou des troubles de signification plus grave, tels que les accès d'
épilepsie
partielle avant-coureurs de la paralysie généra
t les rapports de l'amblyopie transitoire avec l'hystérie et avec l'
épilepsie
sensitivo-sensorielle et la démence paralytique
t. c). Les troubles moteurs seront indiqués de même à propos de l'
épilepsie
partielle et de l'hystérie accompagnées d'am- b
erveux du sujet. , 4. Rapports entre l'amblyopie transitoire et l'
épilepsie
. L'amblyopie transitoire, dans le sens le plus
rises bien caractérisées se montre plus souvent en rapport avec l'
épilepsie
partielle ou petit mal, qu'avec la véritable épil
pport avec l'épilepsie partielle ou petit mal, qu'avec la véritable
épilepsie
ou grand mal. Une observation de Jackson démont
ie des troubles nerveux, est re- marquable. Plus tard, il survint l'
épilepsie
partielle, ensuite l'épilepsie généralisée, et
marquable. Plus tard, il survint l'épilepsie partielle, ensuite l'
épilepsie
généralisée, et après l'amélioration de cette der
rent soit la substitution des attaques de migraine ophtalmique et d'
épilepsie
partielle à l'épilepsie complète, soit le dével
des attaques de migraine ophtalmique et d'épilepsie partielle à l'
épilepsie
complète, soit le développement parallèle de ces
ente-six ans après de longues attaques de migraine ophtalmique et d'
épilepsie
222. CLINIQUE NERVEUSE. partielle ou complète
signalés par Duchenne 6. Rapports entre l'amblyopie transitoire, l'
épilepsie
partielle et la paralysie générale progressive.
tions cliniques, la plupart inédites, recueillies à la Salpêtrière (
épilepsie
partielle accompagnée d'amblyopie transitoire)
yopie transitoire) et d'une note de M. Ma- galhaës Lemos (47) sur l'
épilepsie
sensitive comme début de la paralysie générale.
sie sensitive comme début de la paralysie générale. Sous le nom d'
épilepsie
partielle (sensitivo-sensorielle, ou motrice, o
ras et dans la face, ce sera la forme crurale. Ces trois formes d'
épilepsie
partielle sensitive répètent les trois formes c
epsie partielle sensitive répètent les trois formes classiques de l'
épilepsie
partielle motrice (épi- lepsie corticale, jacks
s sensitivo-motrices) ou à des troubles sensoriels et psychiques (
épilepsie
partielle sensitivo-sensorielle). L'AMBLYOPIE T
J Nous n'avons pas à nous occuper des complications motrices de l'
épilepsie
partielle et des formes de transition avec l'épi-
me constant, et il semble même qu'elle soit moins fréquente, dans l'
épilepsie
partielle, sensitive ou sensitivo-sensorielle.
s vont démontrer'. Observation 1. - Migraine ophtalmique, accès d'
épilepsie
partielle consécutive (forme mixte). M. llfou
e ophtalmique depuis sa jeu- nesse jusqu'en 187 époque à laquelle l'
épilepsie
partielle apparut : les accès de migraine reven
tait le prélude de la fin de l'attaque. En 1871, première attaque d'
épilepsie
complète (chute avec perte de connaissance) : d
s de la main se contractent en flexion. Tout peut se borner à cela (
épilepsie
partielle motrice), le malade remue volontairem
réciser, en ce qui concerne le scotôme dans le début des attaques d'
épilepsie
partielle; il se rappelle bien des crises d'amb
oup diminué et presque dis- paru depuis l'apparition de ces accès d'
épilepsie
partielle. Le 4 juin, il nous confirme que les
les attaques épileptiques complètes ont été très rares, les accès d'
épilepsie
partielle un peu plus fréquents, et, dans les i
tion Il. Scotôme scintillant rudimentaire et migraines : attaques d'
épilepsie
partielle et d'épilepsie sensorielle. M. Ger...
ant rudimentaire et migraines : attaques d'épilepsie partielle et d'
épilepsie
sensorielle. M. Ger..., vingt-trois ans (consul
la Salpê- trière, 6 avril 1886). ' En 1878, premières attaques d'
épilepsie
partielle, qui se renouve- laient trois ou quat
u de temps après (vers le mois de juillet 1878), première attaque d'
épilepsie
partielle au bras, droit, qui fut subitement at
le au bras, droit, qui fut subitement atteint de petites secousses (
épilepsie
par- tielle motrice).. , A présent il a en ou
té gauche, la crise dure une dizaine de minutes. Les petits accès d'
épilepsie
partielle, c'est-à-dire les simples secousses con
ultation du 11 août 1882), l'on constate, 'avec l'amélioration de l'
épilepsie
(accès plus légers et de plus en plus espacés),
is, et ne les précèdent pas immédiatement non plus. Observation IV.
Epilepsie
partielle typique, suivie d'épilepsie essentiel
ent non plus. Observation IV. Epilepsie partielle typique, suivie d'
épilepsie
essentielle, migraine, et scotôme scintillant r
ère; 4 janvier 1881.) Rien durant son enfance. Première attaque d'
épilepsie
partielle à la seconde époque de ses règles. La
de feu devant les deux yeux. Observation V. Migraine ophtalmique et
épilepsie
partielle. Mroe Berm..., vingt ans. (Consultati
ois des fourmillements dans le pied gauche succèdent à l'at- taque (
épilepsie
partielle sensitive),mais pas pendant toute sa du
en, comme d'ordinaire. Observation VI. Amblyopie temporaire simple,
Epilepsie
partielle. M. Gros..., trente-huit ans. (Cons
ambe du côté droit. Dans ces derniers temps, il dit que ces accès d'
épilepsie
partielle sont revenus tous les huit ou quinze
yopie temporaire, au début très rudimentaires, ont commencé avant l'
épilepsie
sensitive, c'est-à-dire il y a cinq ans. Il les a
t à fait négatif. ' En résumé, on peut dire que souvent les accès d'
épilepsie
partielle sont accompagnés d'amblyopie transito
t plus facile aujourd'hui, à cause de ces rapports, de rechercher l'
épilepsie
sensitive, pour en compléter l'étude, comme esp
t dans la plupart des cas, et même de plusieurs années, les accès d'
épilepsie
par- tielle. Cependant, quelques observations
nt que l'amblyo- pie transitoire peut commencer en même temps que l'
épilepsie
partielle, et que les deux sortes de crises peu
s troubles corticaux, de façon à avoir amblyopie transitoire et l'
épilepsie
partielle en même temps. Déplus, puisque l'épilep
ansitoire et l'épilepsie partielle en même temps. Déplus, puisque l'
épilepsie
partielle s'ajoutait aux accès d'amblyopie tran
écorce motrice. b). 11 résulte des observations de M. Charcot que l'
épilepsie
sensitive (accompagnée très souvent par l'ambly
générale, peut-être même d'autres maladies. Les rapports entre l'
épilepsie
partielle et la paralysie géné- rale ont été mi
ons, le sujet avait été migraineux dans sa jeunesse, les attaques d'
épilepsie
partielle étaient accompa- gnées d'amblyopie tr
vant qu'il ne vint à la consultation), il eut sa première attaque d'
épilepsie
partielle. Il se trouvait un jour de gelée sur
ophtalmique, datait dej'enfance. Deux fois de vé- ritables crises d'
épilepsie
sensitivo-sensorielle avaient précédé. Ce fait,
s d'épilepsie sensitivo-sensorielle avaient précédé. Ce fait, que l'
épilepsie
sensitive puisse ouvrir le syndrome 230 . CLINI
(qui peut produire l'épi- lepsie partielle), ni l'âge du malade (l'
épilepsie
essentielle ne commence habituellement pas chez
ommence habituellement pas chez les adultes), ni les attaques d'une
épilepsie
bien complète (avec laquelle l'épilepsie par- t
es), ni les attaques d'une épilepsie bien complète (avec laquelle l'
épilepsie
par- tielle peut se combiner), ne nous rendraie
tielle peut se combiner), ne nous rendraient compte des attaques d'
épilepsie
sensitivo-sensorielle accompagnée de légers tro
a maladie, peuvent nous rendre compte des différents syn- drômes (
épilepsie
partielle sensitive ou motrice, amblyopie trans
E MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 31 nomènes morbides dans l'
épilepsie
partielle, accompagnée d'amblyopie transitoire,
cerveau est encore venue apporter la lumière sur la pathogénie de l'
épilepsie
et sur les principes de son traitement. t. A
t. t. A une époque encore récente, les phénomènes convulsifs de l'
épilepsie
étaient expliqués par l'hypothèse d'un processus
t ont rendu fort probable cette opinion, que toutes les formes de l'
épilepsie
ont leur point de départ dans une condition d'i
itation électrique, de reproduire les phases cliniques de l'accès d'
épilepsie
, telles que convulsions toniques et cloniques,
ui apparais- sent sont plutôt ceux qui appartiennent au type appelé
épilepsie
idiopathique,'et dans lequel tous les centres m
circonscrite à un centre moteur particulier, 246 THÉRAPEUTIQUE. l'
épilepsie
peut consister en une série de spasmes confinés a
ertaine, que les convulsions du véritable type touico-clouique de l'
épilepsie
, peuvent seulement être produites par des excit
e l'affection. Les recherches cliniques ont en effet démontré que l'
épilepsie
peut encore êlre due à une irritation interne o
ues empiriquement ou théoriquement employés dans le traitement de l'
épilepsie
. Il a été déjà montré que l'excitabilité des ce
st probable, comme le suppose Broca, qu'elle était dirigée contre l'
épilepsie
essentielle, le morbus divinus, ou maladie sacr
e sans intervention opératoire, il subsiste toujours le risque de l'
épilepsie
ou de la folie survenant à une époque plus ou m
io-cérébraux. Depuis, elle a été pratiquée pour apporter remède à l'
épilepsie
traumatique, c'est- à-dire à l'épilepsie dans l
e pour apporter remède à l'épilepsie traumatique, c'est- à-dire à l'
épilepsie
dans laquelle il est évident qu'il existe une r
n bien spécifié et le début des accès. Il n'est pas douteux que l'
épilepsie
puisse être aussi causée, soit par une lésion d
t duré un an après l'opération. * Ainsi donc, les cures probantes d'
épilepsie
traumatique, par simple trépanation du crâne sa
'un territoire plus éloigné. Les chirurgiens qui ont t trépané pour
épilepsie
traumatique ont simplement ouvert le crâne et s
oins heureuses des principes qu'il avait pris pour guides. Dans l'
épilepsie
traumatique provenant d'une lésion existante de
r à suggérer, et son idée a été maintes fois mise en pratique que l'
épilepsie
dans tous les cas où elle se traduit par un mon
le terre promise ouverte aux recherches. ' 254 THÉRAPEUTIQUE. L'
épilepsie
et les convulsions épileptiformes ne sont pas seu
tralbl., 1891.) 06s. I. Chorée héréditaire typique, consécutive à l'
épilepsie
. 06s.JJ.Athétose progressive bilatérale, consti
ine partie a pu être rattachée à la neurasthénie, à l'hystérie, à l'
épilepsie
, à la manie, à la mélancolie, au délire halluci
jusque-là absolument sain, qui présenta coup sur coup deux accès d'
épilepsie
suivis de vomissements d'aliments non digérés.
autre malade, d'une trentaine d'années a eu trois fois des accès d'
épilepsie
à intervalles différents et suivis chaque fois
e ; l'auto-intoxication y joue cerf tainement un grand rôle. Pour l'
épilepsie
gastrique, je ne la crois pas fréquente. Quand
aris) fait part au Congrès de ses recherches sur le traitement de l'
épilepsie
par le bromure de strontium. Ces recherches ont
a malade et semblable au cri encéphalique qui précède une attaque d'
épilepsie
. La tête est petite et en forme de pain de sucr
PHIQUE. BOURNEVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
. Ces observations concernent : a). Quatre cas d'hystérie à forme d'
épilepsie
par- tielle ; b). Un cas d'apoplexie hystérique
ement à l'hémiplégie hystérique. Observation I. Hystérie il forme d'
épilepsie
partielle sensitive. Mme Gi... enlre à la Salpê
ent jusqu'en 1891. Elles ne suivaient pas immédiatement les accès d'
épilepsie
sensitive, mais se manifestaient après un ou de
t après un ou deux jours et elles étaient plus fortes, si l'accès d'
épilepsie
avait été intense. La faiblesse des extrémités
ulations. Deux ou trois fois par semaine elle a des accès à forme d'
épilepsie
sensitive. Ils ont le caractère du premier accè
ui lui sont arrivés. 1 MAItCHE DE la maladie. Les accès à forme d'
épilepsie
sensitive continuèrent à se manifester avec les
, qui meurent sur les lieux où elles naissent. De l'accès supposé d'
épilepsie
sensitive, il ne reste plus à ^présent (13 août
à une certaine période de son évolution un type clinique parfait d'
épilepsie
sensilive : engour- dissement envahissant toute
tificiellement les teintes de ce tableau, c'est que le diagnostic d'
épilepsie
sensitive, par lésions de l'écorche, fut posé et
ique, repré- sentent donc un équivalent sensitifet paralytique de l'
épilepsie
partielle '. Comment les interpréter ? a). Il
xposition, 1 Pitres. Etudes sur quelques équivalents cliniques de l'
épilepsie
partielle. (Revue de Médecine, p. 609.) l'hys
a névrose hystérique : nous avons cherché à montrer que ses accès d'
épilepsie
sensitive, ses troubles du langage et de l'inte
entrer en discussion ici pour des raisons évidentes. f. Serait-ce l'
épilepsie
sensitive, dans notre cas l'équi- 1 Loewenfeld.
e, dans notre cas l'équi- 1 Loewenfeld. Contribution à l'étude de l'
épilepsie
Jaclisonienne. (Arch. sur Psichialrie, XXI. Obs
(Arch. sur Psichialrie, XXI. Observation première.) ' V. Charcot.
Epilepsie
partielle crurale et tuberculose de la région p
là de trente ans est très rare. Comme conclusion, nous voyons que l'
épilepsie
, soit essen- tielle, soit de cause organique, n
ièrent t la valeur d'une idée. Observation II. Hystérie à forme d'
épilepsie
partielle motrice. Cha..., âgé de trente-six an
Or, on sait que c'est là un phénomène presque caractéristique de l'
épilepsie
, mais il peut arriver aussi dans l'attaque hyst
e du champ visuel. Tous ces phénomènes peuvent être observés dans l'
épilepsie
, mais seulement d'une façon transitoire. Le pro
a; jamais il n'est permanent, à moins que l'hystérie ne complique l'
épilepsie
comme il arrive sur 11 des i cas étudiés par ce
vé d'Abundo, lequel, en outre, a observé que le champ visuel dans l'
épilepsie
a des contours très irréguliers. Dans notre c
ux comme la caractéristique de la névrose hysté- risque et pas de l'
épilepsie
. En outre de ces stigmates nous en avons d'autr
'évo- lution de la maladie. OBSERVATION III. - Hystérie à forme d'
épilepsie
partielle crurale. Bar..., âgé de dix-sept ans,
re se sont améliorées considérablement. Diagnostic Le tableau d'une
épilepsie
motrice crurale est ici d'une netteté remarquab
l'aura nous paraît bien plus en harmonie avec l'hystérie qu'avec l'
épilepsie
. En outre de cela, pendant la période comateuse
ous révèle des conditions mentales plus propres à l'hystérie qu'à l'
épilepsie
: du reste, nous reviendrons sur ce point. 3°
ADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 417 Observation IV. Hystérie à forme d'
épilepsie
partielle motrice simulant l'évolution de la sy
proprement dans les crises de ces maladies ner-' veuses (hystérie,
épilepsie
) auxquelles l'amblyopie transitoire peut se rat
d'accord avec les troubles de la parole et avec les observations d'
épilepsie
sensitivo-sensorielle accom- pagnés par l'ambly
ù les troubles moteurs et sensitifs vont se déclarer, dans le cas d'
épilepsie
partielle. Cette hémicranie semblerait donc en
timement liée aux troubles superficiels du cerveau qui provoquent l'
épilepsie
et marquent le début de la démence paralytique,
d, soit des névroses plus complexes, telles que l'hys- térie ' et l'
épilepsie
, soit des maladies organiques du système nerveu
diquer, qui existent entre la neurasthénie, l'hystérie, le tabès, l'
épilepsie
sensitivo-sensorielle et la para- lysie général
e, plaide aussi dans ce sens, d'une façon très éloquente. Lorsque l'
épilepsie
sensitivo- sensorielle s'unit à l'amblyopie tra
e trouble peut changer d'endroit. Chez cette malade, les crises d'
épilepsie
partielle étaient alternantes, bilatérales, et pl
t lorsqu'elle est accompagnée par le syn- drôme migraineux ou par l'
épilepsie
partitlle) peuvent par leur répétition fréquent
a se déclarer, ou bien dans l'oeil du même côté où les phénomènes d'
épilepsie
par- tielle peuvent éclore, démontrerait que le
m- pagné ou non par d'autres troubles nerveux (migraine, aphasie,
épilepsie
partielle, etc.). En effet, bien souvent c'est
par sa gravité, l'on pourra ajouter au diagnostic de migraine ou d'
épilepsie
partielle, l'amblyopie transitoire consi- dérée
il y a encore des troubles de la parole, de l'intelligence, ou de l'
épilepsie
partielle ou com- plète. 110 L'amblyopie tran
omittants de l'amblyopie transitoire, c'est-à-dire la migraine et l'
épilepsie
partielle, la pathogénie de cette dernière semb
ie transitoire sont certainement de nature hystérique, ou liées à l'
épilepsie
partielle dans la période prodromique de la dém
réquente. Si nous considérons la pos- sibilité que le syndrôme de l'
épilepsie
partielle survienne encore, que quelque symptôm
rbuch der At<;/fK/t<;t7t : f) ! e, 1891; p. 495. 17. Lemos. L'
épilepsie
sensitive et la démence paralytique. (Con- grès
uivante : imbécillité congénitale : 36 (dont 35 hommes et 1 femme);
épilepsie
con- génitale : 4 (tous du sexe masculin) ; par
elligence avec son mari était, depuis deux ans, atteinte d'hystéro-
épilepsie
avec délire extatique. Un beau jour, elle se croi
de présenter M. Jolly. Affecté de vingt-trois à trente-un ans d'une
épilepsie
primitivement sérieuse (états de mal) qui guéri
ions corrélatives. Le D'' W. B. Ransom a rapporté une observation d'
épilepsie
jacksonienne et certaines expériences dans lesq
fr. 50. BOURNEVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
Tremblement juvénile héréditaire, par Nagy, 79. Trépanation, pour
épilepsie
an- cienne traumatique, par Mau- noury et Cam
apper à la relégation, simule des attaques presque jour- nalières d'
épilepsie
, là c'est un disciplinaire qui, pour obtenir sa
, qui pour échapper à la répression d'un assassinat, simule aussi l'
épilepsie
; tantôt enfin c'est un individu, qui poursuivi
ing... était atteint L'ODYSSÉE D'UN DÉLINQUANT SIMULATEUR. Il I d'
épilepsie
, ou du moins qu'il simulait admirablement cette m
i donnait certains symptômes des maladies nerveuses, notamment de l'
épilepsie
et de l'hystérie. Je m'inculquai bien le conten
ologist, janvier 1899.) E. 13. V. Rapport médico-légal sur un cas d'
épilepsie
psychique; par les D" de DIOOR et DUCH : 1TE9U.
intégrité de l'esprit, constatée dans certains cas, tels que ceux d'
épilepsie
non compli- quée de folie, selon l'expression c
nnent à l'appui de cette opinion. G. DENY. II. Le traitement de l'
épilepsie
par l'association de l'adonis vernalis et des b
bienfaisants de la suppression des bromures dans le traitement de l'
épilepsie
, par Frederick PETERSON. (The New-York Médical
XVI. Zona consécutif à l'administration de l'arsenic dans un cas d'
épilepsie
; par Perce CLARK. (The New-Yorl Médical Journal,
on fut parfaite. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XVIII. Un cas remarquable d'
épilepsie
avec cinq cent dix-neuf atta- ques en quarante-
vomissemenis, la cépha- talgie et les convulsions; 4° les crises d'
épilepsie
jacksonienne; 5° enfin l'abcès du cerveau princ
ralysie partielle de la face et du bras, la forme Jacksonienne de l'
épilepsie
, la céphalalgie frontale plaidaient en faveur d'u
n accident spécifique depuis six ans, est pris soudain d'attaques d'
épilepsie
partielle s'annonçant par des mouvements de l'i
nne. - Un mafade adis- sonien typique se mit à avoir des attaques d'
épilepsie
suivies de délire et de coma. A l'autopsie : si
éique, après bien des années de maladie. Il y avait plusieurs cas d'
épilepsie
dans sa famille. Deuxième génération. - Le père
lle (bye enfant) morte subitement à vingt-trois ans dans un accès d'
épilepsie
. Il ne lui reste donc qu'une seule fille, âgée
ns organiques congénitales des centres nerveux, idiotie, paralysie,
épilepsie
, hémi- plégie cérébrale infantile. A propos d
aïeule, concurremment avec la chorée dégénérative, le haut mal, l'
épilepsie
, dont plusieurs auteurs, Hoffmann, lluet, Jolly,
n prématurée des vaisseaux de l'encéphale, considérée comme cause d'
épilepsie
; par Hociihaus. (Neurolog. Celltmlbl., XVII, 1
l., XVII, 1898.) Observation. Brasseur de vingt-huit ans, atteint d'
épilepsie
depuis dix-huit moi,. Il en meurt et l'on const
L. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XYVI. De l'emploi de l'atropine dans l'
épilepsie
; par L. Waciieniieim. (The New York Médical Jou
'emploi de la belladone et de son alcaloïde dans le traitement de l'
épilepsie
n'est pas, il s'en faut de beaucoup, une nouveaut
édullaires, y compris les centres vaso- moteurs. La pathogénie de l'
épilepsie
idiopathique est une des questions les plus obs
ar irradiation en partant des zones les plus affectées comme dans l'
épilepsie
Jack- sonienue ; et 3° que cette théorie préjug
lle qui jusqu'ici explique le mieux l'apparition occasionnelle de l'
épilepsie
à la suite des fièvres infectieuses. Sa fréquen
le bromure ni l'atropine ne répondent à l'indication causale : si l'
épilepsie
dépend d'une into- xication passagère, ces agen
R. DE Musgrave-Clay y XXXIII. La bromipine dans le traitement de l'
épilepsie
; par 130D01\I. (Riv. di pat. nerf. et ment., f
t plus actif que les bro- mures communément employés pour traiter l'
épilepsie
, mais qu'il est mieux toléré et éliminé beaucou
au moins 10 grammes, inégalité qui ne se rencontre guère que dans l'
épilepsie
, la paralysie générale et cer- taines lésions l
dysarthrie, d'abord intermittente, puis permanente; des attaques d'
épilepsie
localisées à la moitié droite de la face, avec dé
rir à des traités plus com- plets. Il admet comme assez fréquente l'
épilepsie
larvée ; nous croyons au contraire qu'elle est
pathogénie est à contrôler. RECUEIL DE FAITS. Guérison d'un cas d'
épilepsie
héréditaire, datant de cinquante ans, par une a
t à peu près la même que celle des personnes de GUÉRISON D'UN CAS D'
ÉPILEPSIE
HÉRÉDITAIRE. 225 sa condition, n'est pas affaib
e registre légal, que cette malade avait de fré- quentes attaques d'
épilepsie
. En 1857, elle fut prise d'une hémiplégie gauch
2' séiie, t. IX 15 226 6 RECUEIL DE FAITS. La guérison d'un cas d'
épilepsie
grave, héréditaire, au bout d'une duré3 de cinq
a- gique dans les circonvolutions dont l'irritation déterminait l'
épilepsie
, que cette irritation, atteinte par ce raptus, a
t chez l'enfant ou l'adolescent, parfois chez l'adulte, des accès d'
épilepsie
. Nous n'avions jamais vu l'inverse. En ce qui c
eur à l'observation suivante. B. Convulsions post-traumatiques. -
Épilepsie
essentielle. Craniectomie ; Par le D' Cil. MI
ouvenet, étudiait les résultats éloignés de la tré- panation dans l'
épilepsie
jacksonnienne ; il put retrouver malades opérés
ont jamais cessé depuis. Aujourd'hui le malade a dix-neuf ans ; son
épilepsie
s'est compliquée de troubles mentaux assez grav
avons pu assister à des accès qui avaient tous les caractères de l'
épilepsie
essentielle. En par- ticulier l'attaque du 2 ja
ans un coma absolu. Il n'y a donc aucun doute sur le diagnostic d'
épilepsie
essentielle. L'opération a eu, chez ce malade,
démontreront l'inutilité de la craniectomie dans le traitement de l'
épilepsie
. B. '' 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIV. Su
Elle est inférieure à la normale dans la démence paralytique, et l'
épilepsie
pendant l'accès convulsif et un peu avant et aprè
revanche, celles qui se rencontrent dans la paralysie générale et l'
épilepsie
, sont en rapport direct avec la nature même de
paralysies, parésies, Il existe des paralysies, paré- contractures,
épilepsie
, chorée ou sies, contractures, épilepsie, cho-
ysies, paré- contractures, épilepsie, chorée ou sies, contractures,
épilepsie
, cho- lonrs équivalents, rée, athétose, pseuclo
écia- des malades. lement en raison de l'allure clffé- rente de l'
épilepsie
. Elles embrassent tous les degrés Elles embrass
ableaux du rêve est à remarquer. Si le diagnostic de certains cas d'
épilepsie
peut tirer quelque secours de cette notion nouv
emblable à lui-même; mais derrière ce rêve se cachait une attaque d'
épilepsie
, de telle sorte que ce qu'on aurait pu prendre
T5Cl ! EIN (le, avril, 3 observations) ; - 5° Sur les équivalents d'
épilepsie
; par S. BROWN. 5 observations d'épilepsie larvé
5° Sur les équivalents d'épilepsie; par S. BROWN. 5 observations d'
épilepsie
larvée ou accompagnée de migraines ophtalmiques
rvée ou accompagnée de migraines ophtalmiques (29 avril) ; 6° Sur l'
épilepsie
idiopa- thiqzie, son diagnostic et son traiteme
quatre, les chlorures ont été trouvés en excès après une attaque d'
épilepsie
; il en a été de même après une crise convulsive
CLIY. 240 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXX. Sur les rapports de l'
épilepsie
nocturne avec la rétro-éjacula- tion du liquide
Tout le monde sait combien le diagnostic des attaques nocturnes d'
épilepsie
est quelquefois difficile; et comment elles demeu
tre plus souvent qu'on ne pense chez l'enfant le premier signe de l'
épilepsie
; mais on n'a jusqu'ici attaché que peu ou point
il existait un symptôme peu com- mun, et pouvant être rapporté à l'
épilepsie
de deux manières dif- férentes, soit en précéda
ptique nocturne. L'auteur pense donc avoir découvert une forme de l'
épilepsie
nocturne consistant en un orgasme vénérien sans
tion, mais qu'il s'a- gissait effectivement d'un signe probant de l'
épilepsie
. Dans ces cas, l'examen de l'urine révéla dans
blable état de choses est-il la cause ou simplement un épisode de l'
épilepsie
, c'est ce que l'auteur se déclare incapable de
avec soin les autres symptômes propres à confirmer le diagnostic d'
épilepsie
. Il. DE 1\lUSGItAVE-CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE M
DE PATHOLOGIE MENTALE. 241 XXXI. Le phocomelus de l'humérus dans l'
épilepsie
considéré comme un stigmate de dégénérescence,
aladie peuvent donner la mesure de son degré de dé- générescence, l'
épilepsie
doit figurer au premier rang avec l'idiotie et
qu'il ait soupçonné que les anomalies des os longs accompagnent l'
épilepsie
; il parle d'asymétrie, mais non d'anomalies ou d
rcissement progressif consécutivement à une hémiplégie associée à l'
épilepsie
, ne peuvent entrer en ligne de compte puisqu'il
e pas ce sujet. Tonnino, qui publie un volume sur les rapports de l'
épilepsie
avec la dégénérescence, ne parle pas des os; Do
Donaggio publie un article sur le développement des membres dans l'
épilepsie
, mais ne s'occupe que des muscles, et mesure la
ues épileptiformes, il faut faire le diagnostic différentiel avec l'
épilepsie
: l'âge du malade y aidera beaucoup, l'épilepsie
ifférentiel avec l'épilepsie : l'âge du malade y aidera beaucoup, l'
épilepsie
étant une maladie à début jeune. En résumé le d
e. Cette perturbation peut être passagère, comme cela a lieu dans l'
épilepsie
, où pendant la crise on peut observer le signe
nnue, de la symptomatologie de la sclérose cérébrale de l'adulte.
Epilepsie
. M. de FLEURY présente les graphiques de la force
es graphiques de la force dynamométrique de deux malades atteints d'
épilepsie
générale d'emblée avec prédominance dans un côt
atigue post-convulsive. C'est quelque chose d'intermédiaire entre l'
épilepsie
jacksonienne et l'épilepsie générale. M. de F
t quelque chose d'intermédiaire entre l'épilepsie jacksonienne et l'
épilepsie
générale. M. de FLEURY présente deux cas d'ép
onienne et l'épilepsie générale. M. de FLEURY présente deux cas d'
épilepsie
sensorielle (auditive). Chez l'une et l'autre d
hiques présenter de très bonne heure et avec des doses faibles de l'
épilepsie
; alors que d'autres avec des excès énormes prés
entent des troubles profonds, mais pas . SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 d'
épilepsie
. Il y a chez l'homme une prédisposition héréditai
les animaux. Pour l'alcool éthylique, sur 113 lapins : 1 a eu de l'
épilepsie
; 4 des convulsions générales non épileptiques;
on- vulsifs. Pour le même poison sur 33 chiens : 1 a eu la grande
épilepsie
; 2 des convulsions localisées non épileptiques ;
ccidents non convulsifs. Pour l'aldéhyde : sur 38 lapins ; 8 grande
épilepsie
, 9 convulsions généraliséesnon épileptiques ; 2
jusqu'à ce que la mort survienne; sur 10 lapins : 1 a eu la grande
épilepsie
; 2 des convulsions généralisées non épileptiques
11 ont eu la grande hystérie ; 9 des convulsions généralisées sans
épilepsie
; 10 des convulsions localisées ; 8 des acciden
on convulsifs. Pour l'urine : sur 42 lapins : 3 ont eu de la grande
épilepsie
; 8 des convulsions localisées, 31 n'ont pas eu
du 24 Septembre 1899 W.-A. Mouratow. Contribution à la théorie de l'
épilepsie
. M. Mouratow s'arrête longuement sur les formes
M. Mouratow s'arrête longuement sur les formes transitoires entre l'
épilepsie
locale, Jacksonienne, et l'épilepsie généralisée
es formes transitoires entre l'épilepsie locale, Jacksonienne, et l'
épilepsie
généralisée d'emblée « épilepsia genuina ». Il
an a eu une encéphalite. Depuis elle a deux fois par an des accès d'
épilepsie
unilatérale, jack- 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. son
s cloniques). La combinaison des accès jacksoniens avec des accés d'
épilepsie
géné- rale et leurs rapports avec l'ancienne af
- ' dente. 2° Malade adulte. A partir de l'âge de 20 ans, accès d'
épilepsie
psychique. Psychose épileptique. Mort dans l'ét
lution ultérieure de l'accès correspond à la localisation du foyer (
épilepsie
locale). Comme moments provocateurs des accès,
eptiques. Elle peut servir d'appui à la pathogénie corti- cale de l'
épilepsie
. Conclusions; 1° Entre l'épilepsie générale et
la pathogénie corti- cale de l'épilepsie. Conclusions; 1° Entre l'
épilepsie
générale et l'épilepsie locale, il n'y a pas de
ale de l'épilepsie. Conclusions; 1° Entre l'épilepsie générale et l'
épilepsie
locale, il n'y a pas de différence essentielle
nce essentielle au point de vue de la patho- génie des accès ; 2° L'
épilepsie
générale dans beaucoup de cas est l'expression
thologique peut seulement .démontrer la localisation corticale de l'
épilepsie
. La pathogénie -des accès peut être expliquée,
es circonvolutions centrales peuvent bien ne pas être la cause de l'
épilepsie
, mais simplement un fait accidentel chez un épi
ts les déshérités de l'in- telligence : la dégénérescence morale, l'
épilepsie
et l'ivrognerie. . Dr E. MARANDON DE MONTY EL.
éloigner d'elle le démon en avalant le crucifix, ce qui, 1'ig. S.
ÉPILEPSIE
. TRÉPANATION ACCIDENTELLE. 299 dans son imagina
lirantes, le troisième habituellement obsédé. RECUEIL DE FAITS.
Épilepsie
. Trépanation accidentelle; Par le D' G. JACQUIN
es, est suffisamment net pour qu'on puisse porter le diagnostic d'
épilepsie
; les relations de cause à effet avec la fièvre
ulsives. L'examen de la figure 10 montre bien, en deux régions, A
ÉPILEPSIE
. TRÉPANATION ACCIDENTELLE. 305 et B, que la tab
nt donc s'ajouter aux exemples nombreux déjà, de trépanation dans l'
épilepsie
, qui montrent, qu'en dehors d'antécédent trauma
reux de préciser nettement la valeur du traitement chirurgical de l'
épilepsie
et de l'idiotie. Le cas de M. le Dr .Jacquin es
e perforation congénitale qui n'avait pas empêché l'apparition de l'
épilepsie
. B. Archives, 2* série, t. IX. 20 REVUE D'ANA
rs normales dans la sclérose en plaques et la syringomyélie. Dans l'
épilepsie
, rigidité presque constante pendant l'accès, av
ZERaVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Accès tétanoïdes dans l'
épilepsie
; par le D' Pierce Cr.anx. Dans les accès épilep
rvées par l'auteur, un seul cas peut se rapporter à celte variété d'
épilepsie
. De l'étude de ce cas qu'il relate tout au long
ares, sont établis clini- quement ; mais une variété distincte de l'
épilepsie
, la soi-disant épilepsie tétanoïde de Prichard,
quement ; mais une variété distincte de l'épilepsie, la soi-disant
épilepsie
tétanoïde de Prichard, n'est pas démontrée. 328
sommeil il n'existe aucun mouvement choréique. G. D. X. Un cas d'
épilepsie
jacksonienne hystérique ; par J. CROCS. (Journ.
rofondément entachés de tuberculose et qui fut atteint subitement d'
épilepsie
jacksonienne bien carac- térisée avec céphalalg
on par suggestion indirecte prouve bien qu'il s'agissait d'un cas d'
épilepsie
jacksonienne d'ori- gine hystérique. G. D. XI
ne femme de cinquante-trois ans, atteinte d'hémiplégie gauche, avec
épilepsie
corticale et trouble du sens musculaire (1895),
roubles de la sensibilité ; trouble du sens musculaire ; attaques d'
épilepsie
hémilatérales corticales caractéristiques et st
e cérébrale, de cette espèce, suivie de ramollissement. Les accès d'
épilepsie
pro- viennent du processus destructif de l'écor
e. Pool\rd. LXVII. Notes sur les propriétés toxiques du sang dans l'
épilepsie
; par C.-A. HERTER. (Journal of nervous and men
DE PATHOLOGIE MENTALE. 429 9 LXIV. Note sur des attaques frustes d'
épilepsie
constituées par les derniers phénomènes de la g
présent permettent de douter que dans la dissociation de l'accès d'
épilepsie
et dans l'épilepsie fruste d'au- tres phénomène
de douter que dans la dissociation de l'accès d'épilepsie et dans l'
épilepsie
fruste d'au- tres phénomènes que les phénomènes
et l'on devra, à cet égard, se guider principalement sur lé h pe d'
épilepsie
auquel on a af- faire ; à ce point de vue on pe
isée ; 3° cas hystéroïdes, assez incurables pour être rangés avec l'
épilepsie
vraie ; 4° épilepsie congénitale, souvent assoc
ïdes, assez incurables pour être rangés avec l'épilepsie vraie ; 4°
épilepsie
congénitale, souvent associée à l'imbécillité ;
e ; 4° épilepsie congénitale, souvent associée à l'imbécillité ; H"
épilepsie
idiopa- thique. Il est évident que le premier g
nte de tout ce qui peut servir à l'étude clinico- pathologique de l'
épilepsie
. L'auteur ne fait que mentionner la colonie bie
la conséquence d'une « lésion de décharge » analogue à celle de l'
épilepsie
. L'état où sont placés les centres nerveux les pl
ique nous apprend que d'une manière générale les attaques légères d'
épilepsie
sont plus souvent suivies de manie que les atta
nerveuses variables elles aussi. Par exemple dans certains cas d'
épilepsie
, la « décharge-» initiale est suivie d'un coma pr
les traumatismes de la tête, l'insolation qui déterminent souvent l'
épilepsie
favorisent certainement l'apparition des effets
médico- légal. R. DE IUSGR.1VE CLAY. XLVII. Le mal de tête dans l'
épilepsie
; par L. Pierce CLARS. (The New York médical Jou
t l'un des plus importants parmi les symptômes post-convulsifs de l'
épilepsie
; elle ne manque presque jamais, et de quelque
violente que chez les autres. R. de l\ ! USG11.AVE Clay, XLVIII.
Epilepsie
et digestion ; par Edgar J. SPnATLmG. (The New
nerveuse en assure l'intégrité. L'auteur n'a pas vu un seul cas d'
épilepsie
idiopathique dans lequel l'alimentation ne pût
1USGRAVE CLAY. XLIX. Etude sur les troubles de la conscience dans l'
épilepsie
; par Pierce Clam. (The New York nzedical Journa
des troubles de la conscience comme d'un symptôme essentiel de l'
épilepsie
, cela ne veut pas dire que l'on considère ces tro
ne appréciable qui les représente. Pendant longtemps, on a défini l'
épilepsie
« une perte de la conscience avec état con- vul
e avec état con- vulsif » et il est certain que, dans une attaque d'
épilepsie
vraie, ni l'un ni l'autre de ces deux éléments
serait plus juste, au point de vue.symptomatologique, de définir l'
épilepsie
un désordre de la conscience, puisque c'est là
a forme convulsive. Si l'auteur avait à fournir une définition de l'
épilepsie
, il proposerait celle-ci : « L'épilepsie est un
rnir une définition de l'épilepsie, il proposerait celle-ci : « L'
épilepsie
est une maladie caractérisée par un état périodi-
ns certains cas rares de somnambulisme et dans les états connexes d'
épilepsie
somnambulique. Un des points les plus difficile
te absolue de la conscience, est de beaucoup la plus commune dans l'
épilepsie
; la seconde forme, où la perte de conscience est
R. de IUSUnAI'E CLAY. L. Influence de l'hypertrophe lymphoïde sur l'
épilepsie
; par Urban G. HITCHCOCK. (The llrew York medica
vembre 1898.) Il s'agit d'un enfant qui présentait des attaques d'
épilepsie
attei- gnant parfois le chiffre de dix par jour
noïdes ne sont peut-être pas capables de causer par elles-mêmes l'
épilepsie
, elles peuvent tout au moins exercer une influenc
ions. R. de Musgrave CLAY. LI. Sur la nécessité d'étudier de près l'
épilepsie
; par L. Pierce CLARK, (The New York médical Jou
ierce CLARK, (The New York médical Journal, 18 septembre 1897.) L'
épilepsie
doit être étudiée de très près parce qu'elle est
e rattachent à des états convulsifs. On considère trop volontiers l'
épilepsie
comme unemaladiede la motricité, et cen'est guè
ont l'objet de publications ultérieures. R. de MUSR.9VE CLAY. LU.
Epilepsie
et surmenage oculaire; par John S. Kirkendall.
bre d'un stig- mate d'hystérie. Mais ne sait-on pas que l'attaque d'
épilepsie
est due à une anémie subite du cerveau, suivie
liomatose, 1 cas de sclérose en plaques, 7 cas de névrites, 2 cas d'
épilepsie
, 1 cas de poliencépha- lomyélite, 3 cas d'hysté
M. Nalbandoff. Dr M. LUNTz. Deux cas de traitement opératoire de l'
épilepsie
cor- ticale. - Observation 1. - àlne A. IL ? âg
, de la tristesse et de l'insomnie, et ensuite elle eut des accès d'
épilepsie
corticale. Les convulsions commençaient toujours
lucinations sont aux centres sensoriels et à leurs lésions ce que l'
épilepsie
est aux centres moteurs. » C'est une sorle « d'
s ce que l'épilepsie est aux centres moteurs. » C'est une sorle « d'
épilepsie
des centres sensoriels ». M. Séglas qui, au Con
t l'ab- sinthe pure, nous a-t-on dit récemment, ne provoque pas l'
épilepsie
. M. Adrian a démontré que l'absinthine pure, mê
ée n'est pas trop violente ; la névrite ne se développe pas ; pas d'
épilepsie
jacksonienne ; mais pas d'amé- lioration. Mort
sion des nerfs qui innervent ces muscles. C. Schépiloff. XXXVIII.
Epilepsie
d'origine périphérique; par Frank H. ËDSALL, de
par Frank H. ËDSALL, de Madison. (Médical news, novembre 1899.) L'
épilepsie
idiopathique n'a jamais une origine purement péri
aucun cas analogue chez les ascendants. R. C. XLIII. L'urine dans l'
épilepsie
; par A. M. BLEILE. (The New York Médical Journ
n des phosphates urinaires est augmentée dans la majorité des cas d'
épilepsie
et le rapport des phosphates alcalins aux phosp
e ne jouent de rôle étiologique dans la pro- duction des attaques d'
épilepsie
. Les résultats obtenus démontrent, et ce fait v
es bains tièdes prolongés. A. Fenayrou. XLIX. Surmenage oculaire et
épilepsie
; par C. M. CApps. (The New York Médical Journal
fraction normale soit capable de causer direc- tement une attaque d'
épilepsie
; mais on peut admettre que la continuité de l'e
ie du cordon trai- tée avec succès par la résection de ses nerfs;2°
Epilepsie
avec aura au niveau d'un névrome du cordon; abl
presque impossibles. Pas d'hystérie, ni SOCIÉTÉS SAVANTES. 533 d'
épilepsie
, ni de tabes. L'épididyme gauche est le point de
c. 2° Homme de vingt-neuf ans. Sans antécédents. Première crise d'
épilepsie
à quatre ans, à la suite d'une descente forcée de
, par Kurella, 149. Chamectomie. Convulsions post traumatiques.
Epilepsie
essen- tielle. , par Mil allé, 226. Crémastlr
ment et forme 1111 kinwn- nienne, par Bérillon, 452. Trépanation.
Epilepsie
, acciden- telle, par Jacquin, 299. Tricho oes
, 185. Zona consécutif à l'administration d'arsenic dans un cas d'
épilepsie
. par Clark, 7 4. TABLE DES AUTEURS ET DES COL
ie de celui qu'on va lire à la description d'une forme particulière d'
épilepsie
, /'Epilepsie partielle et à ses variétés. Dans
ir des planches supérieures aux anciennes. B. PREMIÈRE PARTIE
Épilepsie
partielle Iconographie. NOTES CLINIQUES SUR
ARTIE Épilepsie partielle Iconographie. NOTES CLINIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. Définition. — On désigne sous le nom
S SUR L'ÉPILEPSIE PARTIELLE. Définition. — On désigne sous le nom d'
épilepsie
partielle une forme de l'épilepsie dans laquelle
nition. — On désigne sous le nom d'épilepsie partielle une forme de l'
épilepsie
dans laquelle les convulsions sont limitées d'ord
elle les convulsions sont limitées d'ordinaire à une moitié du corps [
épilepsie
hémiplégique) ou même circonscrites à Tune des ré
accès débutait par la cuisse (2). Alexandre de Tralles fit cesser une
épilepsie
qui commençait par le dos du pied, en appliquant,
s diverses et même très-éloi-gnées, fixé leur attention sur les cas d'
épilepsie
dans lesquels les accès commencent par une ré
psie générale, et termine par un chapitre consacré au traitement de l'
épilepsie
hémiplégique. La thèse de Bravais a un mérite i
épilepsie hémiplégique, etc. (2) L'auteur distingue cinq variétés d'
épilepsie
hémiplégique : 1° Celle dont l'accès débute par l
recueils consacrés aux maladies nerveuses, on découvrirait des cas (ï
épilepsie
hémiplégique. Mais, pour trouver des travaux comp
ngués de Londres, M. Hughlings Jackson, a publié ses recherches sur Y
épilepsie
partielle (1). Nous devons rappeler enfin les l
s rappeler enfin les leçons de notre maître, M. Charcot, concernant Y
épilepsie
hémiplégique (2). En 1876, M. Charcot a décrit av
iplégique (2). En 1876, M. Charcot a décrit avec le plus grand soin Y
épilepsie
partielle d'origine syphilitique et indiqué les t
of syphilitic nervous afections. London, 1874. — Fournier (A ). De l'
épilepsie
syphilitique, tertiaire, Paris 1876. — Todd. Clin
, p. 391, London, 1856. qu'il était possible de distinguer dans l'
épilepsie
partielle les trois variétés ci-après : 1° VEpi
s phénomènes qui constituent l'accès ressemblent beaucoup à ceux de l'
épilepsie
vulgaire, avec cette différence que les convulsio
é paralysé et y demeurent souvent localisées. (Pl. I-VI) ; ^ 2° \ '
Epilepsie
partielle tonique on avec contracture [Fig. L et
Epilepsie partielle tonique on avec contracture [Fig. L et 2); 3° L'
Epilepsie
partielle vibratoire (Pl. VII et VIII). Les obs
uivre montreront pleinement l'exactitude de cette division. I. De V
épilepsie
partielle ou hémiplégique proprement dite. Cett
ns suivies d'une hémiplégie et compliquée au bout d'un temps variable
épilepsie
. Pour que le lecteur se fasse une idée précise du
Atrophie cérébrale infantile. — Hémiplégie droite; ses caractères. —
Epilepsie
[i% ans); aura. — Marche des accès. — Absence de
'elle n'a pas eu de maladies graves durant son enfance. Les accès d'
épilepsie
ont débuté à l'âge de 12 ans, sans cause connue.
a plus voisine. Elle s'affaisse Planche [. ATROPHIE CÉRÉBRALE :
ÉPILEPSIE
PARTIELLE hémiplégie droite et perd connais
tétaniques courts et répétés dans le membre supérieur correspondant (
épilepsie
spinale). Outre ces phénomènes con-vulsifs, la
alement de contracture et très-souvent àliémichorée (athétose) ; — 3°
Epilepsie
partielle. Avant de poursuivre l'exposé des fai
; elles se manifestent par accès, rappelant ceux qui caractérisent l'
épilepsie
, composés des trois périodes classiques (tétanism
à sept ans. — Hémiplégie du côté droit. — Peur vive à 20 ans: accès d'
épilepsie
. — Etat actuel de la malade. — Attitude des membr
avait 29 ans et sa mère 22 ans. Planche m. ATROPHIE CÉRÉBRALE :
ÉPILEPSIE
PARTIELLE hémiplégie droite. maison qu'elle
que nous avons signalée, ne sont pas dus à la répétition des accès d'
épilepsie
, qui paraissent, au contraire, devenir de plus en
, à savoir : Etat de mal con-vulsif primitif, hémiplégie consécutive,
épilepsie
partielle. L'hémichorée, ici, n'est pas complèt
, il nous reste à décrire les caractères particuliers des accès d'
épilepsie
et à dire un mot des facultés intellectuelles des
le difficile : c'était un enfant arriéré. — Un oncle paternel tombe d'
épilepsie
depuis longtemps ; à la suite d'une attaque, il a
ières dès le début ; elles n'ont exercé aucune action favorable sur l'
épilepsie
. Etat actuel (1878). — Taille lm,57 ; poids, 49
t dans le but d'étudier d'une façon exacte les caractères des accès d'
épilepsie
(1) et leurs variétés ainsi que celles du vertige
ez une seule malade, toutes les périodes des accès de cette variété d'
épilepsie
hémiplégique. Le plus souvent, nous n'avons obser
ster, d'ailleurs, en dehors d'eux (Obs. VI;. Dans cette variété d'
épilepsie
partielle, les accès isolés donnent lieu à une él
lieu à une élévation de la température semblable à celle des accès d'
épilepsie
vulgaire. Chez St... (Obs. V), nous avons trouvé
ils qui précèdent nous apprennent que les accès, dans cette variété d'
épilepsie
, de même que dans l'épilepsie ordinaire, peuvent
ent que les accès, dans cette variété d'épilepsie, de même que dans l'
épilepsie
ordinaire, peuvent être isolés, sériels, ou const
; donc, à cet égard, il n'y a pas de différence entre cette variété d'
épilepsie
et l'épilepsie ordinaire. Mais contrairement à ce
gard, il n'y a pas de différence entre cette variété d'épilepsie et l'
épilepsie
ordinaire. Mais contrairement à ce qui a lieu le
e ajuste titre comme un caractère distinctif de la première variété d'
épilepsie
partielle. Nous allons encore relater une obser
res paralysés.— Sept abcès sur la jambe paralysée.— Modification de l'
épilepsie
. — Attitude des membres.— État actuel de la malad
malades vieillissent. La rareté ou l'absence des vertiges dans l'
épilepsie
hémiplégique n'explique qu'en partie cette sorte
démontrer que c'est avec raison qu'il faut séparer cette variété de l'
épilepsie
, de l'épilepsie classique. II. — De l'épilepsie
est avec raison qu'il faut séparer cette variété de l'épilepsie, de l'
épilepsie
classique. II. — De l'épilepsie partielle toniq
cette variété de l'épilepsie, de l'épilepsie classique. II. — De l'
épilepsie
partielle tonique ou avec contracture. Nous ne
de morsure de la langue ou d'évacuations involontaires. Ces accès d'
épilepsie
partielle durent au minimum 2 ou3 minutes; le plu
Vépilepsie partielle vibratoire. Les exemples de cette variété de l'
épilepsie
partielle, de même que ceux de la seconde variété
gtemps irrégulières et ne paraissent avoir exercé aucune action sur l'
épilepsie
. P... assure ressentir d'ordinaire , des douleu
P... ne gâte que lorsqu'elle a du délire, consécutivement aux accès d'
épilepsie
partielle. Tantôt les membres du côté gauche so
t montrer comment il arrive que de partielle dans les accès isolés, l'
épilepsie
revêt les allures de l'épilepsie vulgaire, c'est-
e partielle dans les accès isolés, l'épilepsie revêt les allures de l'
épilepsie
vulgaire, c'est-à-dire avec généralisation des co
lus; par conséquent, sous ce rapport ils ne diffèrent pas des accès d'
épilepsie
vulgaire. Il n'en est plus de même quand les accè
et les malades sont plongés dans un coma profond (1). Cette forme d'
épilepsie
partielle est bien plus grave que les deux formes
llement, elle est en démence. On voit, par là, que dans cette forme d'
épilepsie
partielle le pronostic offre (l) Voyez aussi su
ien; le 28, trois accès ; le 21, rien. DEUXIÈME PARTIE Hystéro -
Epilepsie
OBSERVATION I. Chez la malade dont nous all
rouve dans: Bourneville.—Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hystérie. (2) Voir, pour l'histoire des qu
également complète. Toutefois., il (1) Bech. clin, et thérap. sur l'
épilepsie
et l'hystérie, p. 137 et 143. (2) Iconographie
des signes indiquent qu'il ne s'agit là que d'hystérie et nullement d'
épilepsie
; nous nous bornerons à dire ici que la compressi
es attaques épilepti-formes, si semblables, en apparence, aux accès d'
épilepsie
, tandis que cette manoeuvre n'a aucune action sur
ilepsie, tandis que cette manoeuvre n'a aucune action sur les accès d'
épilepsie
. Et il en est ainsi chez toutes les hystériques.
res n'ont pas d'enfants. — Un cousin germain parait avoir des accès d'
épilepsie
: il tombe subitement.] Pas de consanguinité, ma
. TABLES DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES. Première partie :
Epilepsie
partielle..................... 1 Définition....
..... 3 Variétés............................................... 7
Epilepsie
hémiplégique. . .................................
59 Facultés intellectuelles.................................. 62
Epilepsie
partielle tonique.............. .................
2 Epilepsie partielle tonique.............. .................. 63
Epilepsie
partielle vibratoire.............................
TABLE ANALYTIQUE. A Accès (Description des), 13, 23, 36. (V
Epilepsie
partielle.) Aimant (Action del'), 113, 207. Amaur
eptiformes, 115, 140, etc. — syncopates, 95, 113, 116, etc. Aura (V
Epilepsie
partielle). Automatisme, 37. B Bromure de cam
, 146, etc.; — de paroles, 107, 146, 158, etc. Diagnostic entre l'
épilepsie
et Vhys-térie, 49, 143. E Epilepsie partielle
, etc. Diagnostic entre l'épilepsie et Vhys-térie, 49, 143. E
Epilepsie
partielle : Définition, 3. — Historique, 3. — V
té hystérique, 159. t Température dans les accès d'épi-lepsie (V.
Epilepsie
partielle). — dans les attaques, 97, 105, 132,
'humeur. La confusion mentale ainsi constituée est un symptôme de l'
épilepsie
, de lésions cérébrales en foyer, de la mélancol
I. SUR l'usage simultané DES BROMURES ET DE l'adonis VERNAUS dans l'
épilepsie
; par BECHTEREFF. (Nerologuitschesky Vestnick [M
is vernalis et des prépara- tions bromurées dans le traitement de l'
épilepsie
. Cette médica- tion aurait l'avantage de faire-
dre pathogénique. Partant de cette idée qu'à la base des attaques d'
épilepsie
se trouvent des troubles vaso-moteurs dans le c
. J. RoUBINOVlTCH. IV. QUELQUES moyens DE traitement récents DE l'
épilepsie
ET EN particulier du traitement par l'opium; pa
s différents moyens.de REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 43 traitement de l'
épilepsie
, insiste particulièrement sur le traitement par
sécutif à la rupture d'un anévrysme. (Plus tard ce malade a eu de l'
épilepsie
corticale, on l'a trépané et on a vidé le foyer
alpêtrière, il avait étudié, avec beaucoup de soin, l'hystérie et l'
épilepsie
, Esqui- rol lui demanda de rédiger un mémoire s
ation. Voici la liste des principaux travaux du Dr Calmeil : De l'
épilepsie
étudiée sous le rapport de son siège et de son in
, t. XXIX. 5 66 BIOGRAPHIE MÉDICALE. Portai, dans son livre sur l'
Épilepsie
, citait avantageusement M. Cal- meil et notamme
le qui a pour terrains les névroses graves telles que l'hystérie, l'
épilepsie
et la neu- rasthénie. Il va de soi que, dans to
Ce qui confirmerait cette hypothèse c'est, que souvent les accès d'
épilepsie
sont encore pré- cédés d'un embarras gastrique
DE M. LOEHR aîné. M. Moeli. Courte remarque sur le traitement de l'
épilepsie
. Chez les épileptiques qui ne peuvent supporter
ons recours à la méthode de Flecnsig dans les cas où les attaques d'
épilepsie
se compliquent d'angoisse. Dès qu'on a suspen
daux et des cordons de Goll. M. Bruns présente un malade atteint d'
épilepsie
Jacksonienne. Il s'agit d'un homme de vingt-cin
t à coup, à la fin du mois d'août 1893, fut atteint d'une attaque d'
épilepsie
complète. Perte de connaissance persistant pend
ts maniaques, folie puerpérale, folies toxiques, folies partielles,
épilepsie
, folie impulsive. Il est très difficile de se p
appel de l'Eure, 30 octobre.) Un tel accident n'est pas rare dans l'
épilepsie
, lorsque les accès projettent les malades, en a
1' Cruet ; trésorier : M. Jules Robyns. Traitement des attaques d'
épilepsie
(Lemoine.) Lavement. 160 ERRATA. Brunet (D.
oubles vaso-mo- teurs paroxystiques et des troubles convulsifs de l'
épilepsie
, par exemple. Féré ' a publié plusieurs cas, do
aques épileptiformes dans la paralysie générale, est celui de toute
épilepsie
jaclcsonuienne. Il s'agit d'une irritation des
au plus haut point menacée. L'alcool est toujours nuisible, dans l'
épilepsie
et certaines formes de ladémence congénitale av
theit) symptomatique et de traiter de celle-ci dans ces chapitres :
épilepsie
,' alcoolisme, etc. Sous le titre de confusion m
éments prédisposants, tels que tare héréditaire grave, imbécillité,
épilepsie
, alcoolisme, ni facteurs étiologiques aigus tel
des psychopathies dues à l'épuisement, à la paralysie générale, à l'
épilepsie
, aux intoxications par les signes physiques vis
gleichzeitigezz Gebrauchs der Bronzide und der Adonis vernalis bei
Epilepsie
. Brochure in-8° de 6 pages. Leipzig, 1894. Extr
e Blutcirculation im Grosshirn tührend der Anftille experimenteller
Epilepsie
. Brochure in-8° de 5 pages. Leipzig, 1894. Extr
DE NEUROLOGIE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpêtri
interne des hôpitaux. , Dans cette étude nous n'aurons en vue que l'
épilepsie
généj rale, telle qu'on la décrit aujourd'hui a
mal Saint-Jean, etc., etc. Ambroise Paré dans ses oeuvres l'appelle
épilepsie
du grec i-ù.%u&%vi\.-i (surprendre), parce
té parfaite et terrassé tout d'un coup. Dans ces dernières années l'
épilepsie
s'est vu arracher une partie de son domaine : l
té classées à part. D'un autre côté, Bravais avait déjà signalé l'
épilepsie
hémi- plégique, quand Huglings Jackson vint dém
17 258 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. C'est ainsi que le domaine de l'
épilepsie
idiopathique s'est rétréci de jour en jour et q
s idiopathiques et des épilepsies symptomatiques. Il est évident qu'
épilepsie
idiopathique ne veut pas dire épilepsie sans ca
matiques. Il est évident qu'épilepsie idiopathique ne veut pas dire
épilepsie
sans cause, mais signifie seulement que cette c
e dire que toutes les convulsions infantiles annoncent fatalement l'
épilepsie
, mais leur existence n'a pas fait défaut dans u
qu'elle est convergente, nous y avons déjà DE l'intoxication dans l'
épilepsie
. 259 insisté ailleurs'. Mais nous ne voulons pa
ions cependant très intéressantes ; notre but dans ce travail sur l'
épilepsie
générale essentielle, est assez difficile à att
ient à chacun d'eux, ne voulant pas décrire la symptomatologie de l'
épilepsie
en général. Puis nous abor- derons les causes e
ractère de constance remarquable ; jamais ils ne manquent dans l'
épilepsie
générale, et leur importance est d'autant plus gr
fin. Chaque jour la langue se rapproche de DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 261 l'état normal et parallèlement le délire é
at particulier de celui-ci. L'estomac doit donc être atteint dans l'
épilepsie
, l'état de la langue l'atteste à priori, et les f
extrême importance. C'est ainsi que Roberto Massa- Ion-ol décrit l'
épilepsie
gastrique, rapprochant les cas qu'il rapporte d
nt trop vite ou trop abondamment : c'est encore ce qu'on a appelé l'
épilepsie
des gros mangeurs. M. Féré, dans son ouvrage le
pileptiques et les Epilepsies (1890), p. 301, J Roberto Massalongo.
Epilepsie
gastrique (Lo Sperimenlale, 1889). 1 II. Pommay
salongo. Epilepsie gastrique (Lo Sperimenlale, 1889). 1 II. Pommay.
Epilepsie
gastrique (Revue de Médecine, 1881). DE L'INTOX
epsie gastrique (Revue de Médecine, 1881). DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 263 parle aussi des phénomènes gastriques, mai
la plupart sont considérées aujourd'hui comme étant du ressort de l'
épilepsie
; il n'y a, dans tous ces cas, qu'une ques- tio
que, souvent, ces épilepsies locali- sées aboutissent plus tard à l'
épilepsie
générale. Chaque fois qu'il en est ainsi, on vo
of Epilepsy (/e. Times and. Gaz., 1882). DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 265 Enfin, un de nous a fait avec M. Péron, in
s la moitié des cas; . 2° Elle se rencontre dans tous les modes d'
épilepsie
; 3° L'état de mal épileptique parait toujours
nt entre les deux états. Sans vouloir l'aire de l'éclampsie et de l'
épilepsie
aiguë une seule et même chose, on peut cependan
affections. Pour ce qui concerne le sujet qui nous intéresse ici, l'
épilepsie
, les pre- mières recherches furent dues à MM. D
es. Voisin et Raymond Petit.. , y, . ? , DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 267 -1 épileptiques, les causes d'erreurs sont
seulement de leur donner leur juste valeur dans la pathogénie de l'
épilepsie
. Nous avons fait à plusieurs reprises doser les
acie. Voici les résultats de ses analyses : 1.1UL., vingt-deux ans;
épilepsie
. Analyse de l'urine des vingt- quatre heures ap
Réaction faiblement acide. Densité 1018. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 269' 270 3»2 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE ? J -9
270 3»2 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE ? J -9 DE L'INTOXICATION DANS, L'
ÉPILEPSIE
. '271 272 < PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L
'271 272 < PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 273 c d'attaque et cependant il y a inversion
trer en tant que symptôme dans la paralysie générale, l'hystérie, l'
épilepsie
, l'alcoolisme, la sénilité, les accidents traum
e. Entre les idées délirantes réellement dues à l'hystérie et à l'
épilepsie
, et l'adjonction à ces idées délirantes d'un syst
s résultats remar- quables, notamment aussi dans le traitement de l'
épilepsie
. Pourtant les observations publiées jusqu'ici d
Pourtant les observations publiées jusqu'ici de la trépanation pour
épilepsie
non traumatique sont encore si peu nombreuses q
nt des convulsions localisées, mais aussi des attaques classiques d'
épilepsie
, ne me .paraissait pas douteux, la malade n'aya
'hématoïdine dans le détritus. Cette malade guérira-t-elle de son
épilepsie
! Pour répondre à cette question il faut d'abor
opération et puis recommencer. Et dans la grande majorité de cas d'
épilepsie
guérie par trépanation, lors de la publication
sions localisées, l'attaque d'e7eeyac/i'soMtetM ? e, et l'attaque d'
épilepsie
classique. Les observations ne nont pas rares o
e courte période de convulsions localisées, une attaque classique d'
épilepsie
se produisit : la malade pâlit et tomba sans co
t à l'étude des localisations corticales et de la patho- génie de l'
épilepsie
. - L'observation qui précède est très intéressa
survenant guère qu'en hiver. Il eut il y'a a trois ans uneattaque d'
épilepsie
. On constate une modification de l'excitabilité
15-14-15 Impossible. 17,191·Iqa16,3;0, THEf..., quarante-neuf ans.
Epilepsie
. maa-t rtn; ? ) 8b1 iuziiuà, JJJ liau A ? <
tHuuaii /.s liOTnav -.I ? n 1 rr aan - , * Gou..., vingt-trois ans.
Épilepsie
. . wi , ' D r r-jiipiJq9Uqxtl >fi. <Iu-,i
i"- ? n.r.f ? r ? onf : ï n t i -iu'i'. m. Hu4 ? trente-quatre ans.
Epilepsie
. pdùl"l ottia £ qa 9L,rl3r rrtu g0 9J`Iinjiôssi
11 Impossible. 16 ? ; : lt i Idrzn·m· ' r '' SOLIV..., vingt ans.
Épilepsie
. « < 81 0' : , 'Hif- "i'"i Pouls 96 Imposs
Y)'* if nb 9l>on«q b) ? .tu.I> 9-,xtnr .tut 911J9nôq'rg ans.
Épilepsie
.n,j 3 q ga Pouls r Ori801ôîlmpossible.,lrtortt
ension ,, Impossible.; L,{, ^(q s15v& aq93af(I ,in,-t-cinq ans.
Epilepsie
. 114P i<0 9À 9JLt,FIlCI0f16 991J; roûIs^-V.1
flJl ? j'Ill ? tiiiq n0 2 : ltJ(f( ! 1 ]31FNv..., trente-cinq ans.
Epilepsie
. , , . , , ' . )le(bljq,;Iitl,4 11,11.1tj t abq
étant donnée la tension,artérielje'd'unüldividuen dehors desaccès d'
épilepsie
,- on'verra cette tension s'abaisser.avant le pa
'répil-ept-ique4s, p. 172 et suivantes. r DE L'INTOXICATION. DANS L'
ÉPILEPSIE
. 367 bale ? de.l'incoordination des;mouvements
s celui que nous rapportons ici. Observation. Vaud... dix-neuf ans,
épilepsie
. Antécédents héréditaires. Père alcoolique, emp
e cette jeune fille peut aujourd'hui tra- DE l'intoxication DANS. L'
ÉPILEPSIE
. 369 dire : .qu'elle. : a conser.vé quelque,len
ndus. Société de Biologie, 1889, p. 278. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 371 la pause la plus longue, comme s'ils cherc
x-neuf ans; cependant l'intonation persiste. Cir..., vingt-six ans.
Epilepsie
. Antécédents héréditaires. Père mort de la vari
taires. Père mort de la variole à quarante DE l'intoxication dans l'
épilepsie
. 373 ans, alcoolique. Mère, bien portante, eut
onation a presque complète- ment disparu. Mart..., vingt-six ans.
Epilepsie
. Antécédents héréditaires. Mère très nerveuse,
le pied du sol; ils ont la démarche spas-- DE l'intoxication dans l'
épilepsie
. 375 modique, plus accusée du côté qui fut pris
naux d'hérétiques et de sorcellerie. La manie est bien plus rare. L'
épilepsie
s'y voit parfois. Mais il n'est pas exact de di
uve reconnais- sait plusieurs espèces de stupidité, consécutive à l'
épilepsie
, l'hys- térie, à diverses intoxications, etc.,
le des délires toxiques, fébriles, de certaines névroses (hystérie,
épilepsie
) et se montrant dans le cours des tumeurs céréb
es affections diathésiques, l'alcoolisme, les tumeurs cérébrales, l'
épilepsie
, la neurasthénie, etc. La physiologie et la p
édaction. (B.) PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
' ; Par le D' J. VOISIN, médecin de la Salpêtri
nterne des hôpitaux. Causes et pathogénie. L'étude des, causes de l'
épilepsie
commune est chose délicate. Depuis longtemps dé
ent d'accord : c'est l'influence consi- dérable de l'hérédité sur l'
épilepsie
. En effet, les épileptiques sont presque tous d
' Voir Archives de Neurologie, n°' 98, 99. DE l'intoxication dans L'
ÉPILEPSIE
. 437 P. Lucas', \Iorel 2, Moreau (de Tours)3, F
'emblée, par exemple, donner naissance à des épi- leptiques. Pour l'
épilepsie
, cette règle de transformation est surtout très
nsaient Foville et Baillarger, on peut voir l'hérédité en retour, l'
épilepsie
passant du grand'père au petit-fils sans avoir
d'un épileptique pourra donc présenter les premiers accidents de l'
épilepsie
avant qu'ils se soient manifestés chez le père.
e. On peut donc concevoir que, pour une raison ou pour une autre, l'
épilepsie
qui éclate chez le fils n'ait pas eu le temps o
la consanguinité et Jules Voisin, Idiotie. DE l'intoxication dans L'
ÉPILEPSIE
. 439 Or, pour si petite qu'elle soit, on sait q
ux 2 invoque en partie pour expliquer la fréquence plus grande de l'
épilepsie
dans les régions centrales de la France. On a
s alcooliques sont, sous bien des points, comparables à ceux de l'
épilepsie
. A côté de l'intoxication alcoolique, il convient
uelles influences fâcheuses sont capables de prédisposer encore à l'
épilepsie
. Ici, les intoxications de la mère tiennent tou
anes délicats du foetus qui sont en pleine DE l'intoxication dans l'
épilepsie
. 441 évolution, et peuvent donner des prédispos
lé la coïncidence du rhumatisme, de la goutte, du diabète, avec l'
épilepsie
. M. Truc rapporte un cas d'épilepsie dont les acc
la goutte, du diabète, avec l'épilepsie. M. Truc rapporte un cas d'
épilepsie
dont les acci- dents se produisaient à chaque s
des accès, nous allons y revenir dans un essai pathogé- nique de l'
épilepsie
. Rappelons seulement ici l'influence de la mens
ons encore le sommeil et certains rêves plus ou moins effrayants. L'
épilepsie
dans beaucoup de cas a nettement ten- dance, au
'observation suivante : OBSERVATION. - Barth..., quarante-huit ans.
Épilepsie
. DE l'intoxication dans l'épilepsie. 443 Anté
- Barth..., quarante-huit ans. Épilepsie. DE l'intoxication dans l'
épilepsie
. 443 Antécédents héréditaires. Père alcoolique
le qui a du strabisme et qui est hystérique. Etat actuel. Accès d'
épilepsie
, assez fréquents (cinq à six par mois), suivis
importe surtout de mettre en lumière en abordant la pathogénie de l'
épilepsie
, c'est la question de prédisposition. Cette pré
sent se produire. C'est là ce qui a fait considérer de tout temps l'
épilepsie
comme une affection héréditaire, comme une mala
e il est vrai dans le cas particulier. Nous admettrons donc que l'
épilepsie
est une maladie héré- ditaire, constitutionnell
xquels leur tempérament les prédispose; il DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 445 faudra pour cela qu'une cause déterminante
ion épileptique ne seront pas fatalement voués aux accidents de l'
épilepsie
; une cause déterminante sera pour cela nécessaire
, restant toujours dans le cadre que nous nous sommes tracé; dans l'
épilepsie
générale d'emblée. Nous avons été frappés de l'
été frappés de l'analogie qui existe entre les diverses formes de l'
épilepsie
et les intoxications; les points de ressemblance
présentent sous une forme critique. Ce sont des accès, des crises d'
épilepsie
qui reviennent à intervalles variables et qui d
le temps qu'elle per- siste. Faudrait-il donc admettre que, dans l'
épilepsie
, il y ait une lésion chaque fois réparée, et ch
pouvons pousser plus loin la comparaison; nous avons vu que dans l'
épilepsie
, les accès sont précédés la plupart du temps pa
nt insisté au cours de cette étude rapide, DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 447 sur l'état gastrique et l'enduit saburral
yé de montrer leur constance; ils ne manquent presque jamais dans l'
épilepsie
générale, c'est donc un des faits sur lesquels
ne peut reprendre son libre fonctionnement. Les manifestations de l'
épilepsie
pourront varier, les accès remplaceront les ver
les accidents réflexes de l'irritation des DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 449 centres nerveux disparaissent, ne laissant
deux considérations ne peuvent-elles pas être mises en cause dans l'
épilepsie
générale ? D'une part, l'augmentation de l'impr
avons vu que les portes lui sont largement DE L'INTOXICATION DANS L'
ÉPILEPSIE
. 451 ouvertes ; s'il est formé dans l'organisme
ous montrent l'influence de la prédisposi- tion héréditaire. Dans l'
épilepsie
aussi il y une prédisposition héréditaire, et c
nomie. Dans l'alcoolisme, c'est l'alcool qui est excitant; dans l'
épilepsie
, c'est la toxine. (A suivre.) REVUE D'ÉLECTRO
at inflammatoire, sa marche et d'autres questions se rattachant à l'
épilepsie
trauma- tique. Il arrive aux conclusions suivan
CAPABLES DE PROVOQUER DES CRISES CONVULSIVES ET DU TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
SANS MEDICAMENTS; par Ambrose L. RANNEY. (The N
ts secondaires, les conclusions de ce travail important : 1° Dans l'
épilepsie
, je considère l'examen des yeux (au point de. v
attaque, sans prendre soin de rechercher les causes possibles de l'
épilepsie
; -, 4° Je conseille énergiquement d'avoir toujo
onvenables, des instillations d'atropine. J'ai vu beaucoup de cas d'
épilepsie
chronique dans lesquels les malades ont été déb
ténotomies graduées; 9° La durée du traitement ophtalmologique de l'
épilepsie
varie avec les conditions du problème oculaire
ait d'ailleurs aisé de remédier. R. M. C. XVIII. LE TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
PAR LA TÉNOTOMIE DES MUSCLES OCULAIRES ET PAR D
sable de l'asthénopie; 4° Il est extrêmement probable que lorsque l'
épilepsie
est liée au surmenage oculaire ou lorsqu'elle e
te de ce qui vient d'être dit que, dans le traitement oculaire de l'
épilepsie
tant soit peu accentuée, c'est la correction de
de l'attribuer à la correction de l'amétropie; 6° Dans les cas d'
épilepsie
avec hétérophorie et emmétropie, ou bien s'il a
ves ; 1° En l'absence de symptômes oculaires, indépendamment de l'
épilepsie
, une opération pratiquée sur les muscles de l'oei
iverses opérations déterminent la guérison ou le soula- gement de l'
épilepsie
(épilepsie idiopathique ou hystéro-épilepsie),
rations déterminent la guérison ou le soula- gement de l'épilepsie (
épilepsie
idiopathique ou hystéro-épilepsie), par la puis
uis longtemps reconnue par les neurologistes; 9° La cure vraie de l'
épilepsie
par un traitement ophtalmolo- gique, quel. que
s, et, par leur intermédiaire, aux gens du monde que tous les cas d'
épilepsie
idiopathique sont justiciables du traitement op
nce DE l'usage simultané DES bromures ET DEL'ADONIS VERNALIS dans l'
épilepsie
; par W. DE I;EC11TERE\V. N821Y0101 ? Cen- li,a
V. N821Y0101 ? Cen- li,albl., XIII, 1894.) Puisque les attaques d'
épilepsie
ont pour substratum physiolo- gique une altérat
dipsomanie périodique ou trimestrielle qui est pour lui synonyme d'
épilepsie
alcoolique. Voici un premier genre consécutif à
e qui les débarrasse de l'alcoolisme agissant comme complication. L'
épilepsie
à son tour diminue mais sans disparaître. P. KE
nt à la paralysie générale une proportion de 6,3 p. 100. 44 cas d'
épilepsie
ont été constatés dans les asiles, mais il est
cas dans la colonie est plus consi- dérable. Quoi qu'il en soit, l'
épilepsie
est bien plus fréquente dans la race blanche qu
ille. TABLE DES MATIÈRES Adonis VER ? 11.IS, bromures et dans l'
épilepsie
, par Bechterew, 12, 472. Affaire Regina Sherr
par Cul- lerre, 213. Bromures, les- et l'adonis vernalis dans l'
épilepsie
. parBechterew, 42. Buveurs, cure des-, par Ma
éent1, 496. L.L.CTR01'llÉlidl'IE, tevue d' -, par Régnier, 452.
Epilepsie
, bromure et adonis ver- nalis dans 1' , par Bec
nisme, par Tschi- gatell, ( ; - par Dlagnol,12â. Trépanation pour
épilepsie
, par Hallager, 292. TRION',IL, empoisonnement
e.) THÉRAPEUTIQUE DE L'EMPLOI DU CURARE DANS LE TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
; Par BOURNEVILLE et P. BRICON. Nous n'avons p
lait, dès l'abord, peu rationnel d'utiliser dans le traitement de l'
épilepsie
un médicament qui, physiologi- quement, sauf un
lontaires, ne saurait agir que sur l'effet et non sur la cause de l'
épilepsie
. Nous connaissions les observations anciennes e
s résultats satisfaisants et le préconisent dans le traitement de l'
épilepsie
. Nous ne nous dissimulons pas que, pour précise
ermique, pût avoir une action quelque peu prolongée sur les accès d'
épilepsie
. Nous n'insisterons pas davantage sur ces consi
mment la confiance relative que nous avions dans le traitement de l'
épilepsie
par le curare, et, après avoir fait l'historiqu
aravant à diverses médications sans aucun succès. Observation 1.-
Epilepsie
congénitale héréditaire. Jeune homme de vingt-h
ngénitale héréditaire. Jeune homme de vingt-huit ans, affecté d'une
épilepsie
congénitale héréditaire, a passé quatre ans à l
t les autres, en plus grand nombre de haut mal. - Observation Il.
Epilepsie
; début à neuf uns par des vertiges; accès d'abo
nces et Gazette médicale de Paris, février 1861. DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. t5 pendant deux ans. Depuis cinq ans, ces accè
i (de Milan) ; celui-ci a aussi employé le curare dans quatre cas d'
épilepsie
(un en 1864, deux en 1865, un en 1866). Nous en
ione iporlcrncica, 4° édition. Milan, 1879,p. 199. DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 47 ces épileptiques. Vésicatoire à la nuque sa
vertiges quotidiens et presque chaque jour des accès ordinaires d'
épilepsie
, ces derniers devinrent très rares. Les injecti
nous montre l'influence du curare sur les symptômes psychiques de l'
épilepsie
. Je dois ici faire remarquer que dans beaucoup
fois le jour. A Pâques de l'année 1863 eut lieu le premier accès d'
épilepsie
à la suite d'une lecture d'his- toire de revena
de traitement, on trouva du sucre dans l'urine. DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 49 Observation XIH.Sehro]Ienberger(Joseph), di
mois à la suite d'une peur et à six ans après une chute, un accès d'
épilepsie
. L'enfant n'a pas d'antécédents héréditaires; i
de non seulement une action spécifique sur la diathèse motrice de l'
épilepsie
, mais encore sur la dia- thèse psychique. De no
tout). Le curare s'est montré sans action dans certaines formes d'
épilepsie
; l'épilepsie gyratoire, par exemple, et dans un
rare s'est montré sans action dans certaines formes d'épilepsie ; l'
épilepsie
gyratoire, par exemple, et dans un cas d'épilep
d'épilepsie ; l'épilepsie gyratoire, par exemple, et dans un cas d'
épilepsie
symptomatique d'une lésion traumatique de la cu
19 février 1871, n° 8, p. 196. à Mandt. Die Wirkung des Curare bei
Epilepsie
(6Vieaernaed. Pnesse, ne 17, 1866). DU CURARE
mode d'administration et de l'action thérapeutique du curare dans l'
épilepsie
. A tous les autres modes d'administration ces a
udes sur le curare. Paris, 1866. 52 THÉRAPEUTIQUE. DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. « Pour ce qui touche les résultats défini tifs
qui touche les résultats défini tifs de l'emploi du curare contre l'
épilepsie
, nous ne pouvons pour ce moment rien affirmer d
e période à peu près pareille. » Beigel ' a injecté dans un cas d'
épilepsie
jusqu'à 13 milligr. de curarine sans aucun résu
a première période dans laquelle le curare a été em- ployé contre l'
épilepsie
. Il nous semble s'être écoulé un certain nombre
dé dans ces derniers temps d'une manière pressante le curare dans l'
épilepsie
. Il a expé- rimenté le curare chez 80 malades,
étail par lui tendraient à prouver que, dans toutes les formes de l'
épilepsie
, même dans celles où la maladie, déjà ancienne,
es observations, a essayé le curare dans un certain nombre de cas d'
épilepsie
confirmée. Dans deux cas d'hystéro-épilepsie, l
e les jambes dans son lit quoiqu'assez lentement, elle présente une
épilepsie
spinale très prononcée; un peu d'hyperalgésieet
à la lésion médullaire et n'est autre chose que l'expression d'une
épilepsie
spinale des muscles respi- ratoires. Ce travail
guin. La consanguinité est en rapport avec la manie puer- pérale, l'
épilepsie
, la folie chronique. On ne constate guère de ca
s spéciales. P. K. XI. Recherches expérimentales ET cliniques sur l'
épilepsie
; par Unveriucht. (Arch. f. Psych. XLV, 2.) En
quelle analyse : 1- L'excitation électrique produit des attaques d'
épilepsie
, non pas seul lement quand on fait agir le cour
assium, le bro- mure de zinc et le zinc lui-même sont utiles dans l'
épilepsie
, en REVUE DE thérapeutique. 85 diminuant l'ac
ital, d'une lésion des organes nerveux centraux (exemple : idiotie,
épilepsie
congéniale, psychose asso- ciée au crétinisme),
mmes de quarante ans qui, à plusieurs reprises, pendant des accès d'
épilepsie
transformés (troubles psychiques) avaient devan
réalité des assertions de l'ora- teur et confirma son diagnostic :
épilepsie
. Le malade guérit au bout de six mois : depuis
mois : depuis lors, pas plus qu'avant le crime, il n'a eu d'accès d'
épilepsie
. M. Iliascu fait remarquer combien les rapports
toute tare héréditaire ou autre. Il ra- conte qu'il a été atteint d'
épilepsie
à la suite d'un traumatisme (fracture des osdun
peut affirmer, c'est que, depuis l'ictus apoplectique, les accès d'
épilepsie
ont gagné en fréquence et en violence; ils sont r
des os du nez. Rien du côté des facultés psychiques. Les accès d'
épilepsie
se montrent pendant deux jours consécutifs; le tr
nt plus que, depuis un an, on n'a ou à enregistrer aucun symptôme d'
épilepsie
, alors que la maladie da- tait de sept ans, et
e affection, écrit Beard, est aussi héré- ditaire que la folie ou l'
épilepsie
... Dans la famille sur laquelle j'expérimentais
ons. 1° « Cette affection est aussi héréditaire que la folie ou l'
épilepsie
, nous dit l'auteur américain : dans la famille
l s'é- garât. Nous ne dirons rien du cri initial de l'attaque d'
épilepsie
ou d'hystérie; il y a là un tableau consécu- ti
R. soir : 39 ? 18 janvier. T. R. matin : 39°,6. DU CURARE DANS L
ÉPILEPSIE
. 200 25 féurier. - Revacciné sans succès. 1 m
de bromure de potas- sium jusqu'à la fin du mois. DU CURARE DANS
épilepsie
. 211 gt3 THÉRAPEUTIQUE. prédominent sur l'hém
tions, des pai oies incohérentes. En dehors des accès décolère et d'
épilepsie
,Cres... est très doux et tiès bon. {'intelligen
ntelligence a diminué depuis le mois d'août, et de DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 215 plus le sommeil est agité par des cauchema
e réfectoire, du salle de réunion aux gâteux, etc. DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 219 l'enfant n'est pas encore revenu à lui. Ex
nne, mais C... est insubordonné et très violent. DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 221 222 'recueil de faits. alcoolique; sa mè
lère (enfance), A ceux-ci, vers 12 ans, se sont ajoutés des accès d'
épilepsie
compliquée de délire (hallucinations, excitatio
itée dans certaines autres conditions pathologiques' comme dans l'
épilepsie
, dans l'al- coolisme, dans le saturnisme, etc.,
hes sont restées lettre morte dans beaucoup de cas. L'hystérie, l'
épilepsie
, l'aliénation mentale, etc., échappent au contrôl
n de ce système à l'état pathologique, dans l'aliénation mentale, l'
épilepsie
et l'hystérie. 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NE
atique fut tardif; elle avait appris à marcher à rage de six ans; l'
épilepsie
datait de la puberté. L'éducation en fut encore
rapport avec l'état ru- dimentaire du développement histologique. L'
épilepsie
n'était que l'expression d'une excitabilité réf
e, à raison d'une pré- disposition ou d'une affection antérieure. L'
épilepsie
, le tic con- vulsif de la face, l'irritabilité
es secondaires, il faut ranger les transformations psychiques d'une
épilepsie
consécutive aux blessures cepttatiques, ainsi q
alysies ou d'autres perturbations sur les organes des sens. --d0° L'
épilepsie
consécutive du des lésions céphaliques obscurcit
perturbation cérébrale sont liées à un autre élément étiologique :
épilepsie
, accouchement, maladie grave, traumatisme, ou e
dans l'articulation du fémur. Amélioration de courte durée pour une
épilepsie
débutant par des crampes dans le membre inférie
nt. Ce mode d'influence des traumatismes n'est pas DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 319 du reste, spécial à la moelle. On le retro
THÉRAPEUTIQUE 1)l : L'EMPLOI DU CURARE DANS LE TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
3; Par BOURNEVILLE et P. BRICON. IV. EXPOSÉ D
particularités cliniques les plus intéressantes. Observation XVIL
Epilepsie
s ? /mptot ? M< ! <jfMe.Père et grands-père
e mal : nouvelle din21 ? zutio ? z de l'intelli- S'enre. Début de l'
épilepsie
vers 1870. Suspension des accès. Pleurésie sèch
rmes, de suicides, de criminels dans la famille. 1 DU CURARE DANS L
ÉPILEPSIE
. 321 Mère, quarante-sept ans, intelligente, tei
ions hypoder- miques de curare. - Hydrothérapie. DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 325 Traitement du 10 0 novembre i 889 au 8 jui
sur les deux hémisphères, la décortication se fait DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 327 très bien; l'hémisphère gauche paraît sain
par le tissu aréolaire ; d'autres sont atrophiées, DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 331 quelques-unes presque normales. (PL. II, f
pas davantage et nous reprenons l'exposé succinct des autres cas d'
épilepsie
traités par le curare. Observation XVIII. Epile
es autres cas d'épilepsie traités par le curare. Observation XVIII.
Epilepsie
symptomatique. Deux soeiii-s et deux frères. Co
tre le 14 août 1882 (service de M. BOURNEVILLE). DU CURARE DANS l'
ÉPILEPSIE
. 333 Traitement du 6 novembre 1882 au 8 juin 18
les nombreux traitements mis en usage ont échoué. Observation XX.
Epilepsie
idiopathique. Idiotie. Gâtisme. Mlraie de piloc
e 1882 au 5 mai 4883 (6 mois= 165 jours). TOTAUX DU CURARE DANS l'
ÉPILEPSIE
. 337 Traitement. Pour ce malade les doses sont
1880 ; hydrothérapie etc.) est abso- lument nul. Observation XX.
Epilepsie
. Soeur épileptique. Premières convulsions à dix
mi = 170 jours). TOTAUX a . 338 THÉRAPEUTIQUE. DU CURARE DANS l'
ÉPILEPSIE
. 339 TOTAUX 340 THÉRAPEUTIQUE le' avril au
elle de plus en plus accusée. Observation XXII. Atrophie cérébrale.
Epilepsie
symptoma- tique et imbécillité. Hypospadias. -
Hémiplégie gauche consécutive ; diminution de la paralysie, accès d'
épilepsie
ci quinze ans. Aura indéterminée. Déchéance in-
vier au 8 juin 1883 (5 mois = 144 jours). TOTAUX DU CURARE DANS l'
ÉPILEPSIE
. 3H Observation X1111. Instabilité mentale ; ép
1883 à février 1884); 13 accès en janvier 1885. Observation XXIV.
Epilepsie
symptomatique. - Père mort hletlei- sique. Mère
le* septembre 1883 (3 mois = 223 jours). totaux DU CURARE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 343 de comparaison avec les mois correspondant
ement : en résumé le résultat est peu concluant. Observation XXV.
Epilepsie
idiopathique. Coqueluche. Convulsions prédomina
in 1883 (4 mois = 110 jours). 344 THÉRAPEUTIQUE. DU CURARE DANS l'
ÉPILEPSIE
. 34.5 Traitement du 9 février au 45 juin 1883 (
mars au 30 juin 4883 (3 mois = 93 jours). TOTAUX DU CURARE DANS l'
ÉPILEPSIE
. 3 1-7 0 13 S E R V. TI 0l 11. - Epilepsie idio
OTAUX DU CURARE DANS l'ÉPILEPSIE. 3 1-7 0 13 S E R V. TI 0l 11. -
Epilepsie
idiopathique. Père alcoolique Convulsions ci se
uin, la mort eut lieu le 25 octobre. On : r.nwrov R111. Idiotie ;
épilepsie
. Mère : idées de suicide pendant deux mois. Gra
5 mois = 146 jours). TOTAUX 352 THÉRAPEUTIQUE. DU CURARE DANS l'
ÉPILEPSIE
. 353 Traitement du 47 février au 31 août 1883 (
SYSTÈME NERVEUX. 361 tionnelles de ce système : aliénation mentale,
épilepsie
, hys- térie. Nous étudierons successivement cha
rique. Les recherches relatives aux rapports qui existent entre l'
épilepsie
et l'élimination de l'acide phosphorique sont peu
cipal qui se dégage de ces observa- tions, c'est que les attaques d'
épilepsie
, les vertiges et même les seules menaces d'atta
t Jacquin sont amenés à conclure que, sans l'influence d'attaques d'
épilepsie
, le rapport entre l'acide phosphorique et l'azo
. Nos recherches sur l'élimination de l'acide phosphorique dans l'
épilepsie
a porté sur des malades à l'état de repos, vivant
précèdent, nous les avons obtenus sem- blables dans tous les cas d'
épilepsie
que nous avons observés, sauf la]diminution de
Interprétation des modifications produites par les attaques d'é-
Epilepsie
et par l'état de mal épileptique sur l'éliminatio
élimination de l'acide phosphorique par les urines. A. Attaques d'
épilepsie
. Sous l'influence des attaques, l'a- zote, l'ac
n du système nerveux ne peut être mise en doute dans les attaques d'
épilepsie
, et que, d'autre part, nos recherches nous ont
minés en plus qu'à l'état ordinaire sous l'influence des attaques d'
épilepsie
. Inversement, l'augmentation de l'acide phospho
nerveux qu'il faut rechercher son explication. Or, les attaques d'
épilepsie
mettent en jeu l'activité du système musculaire
osphates alcalins, qu'on retrouve sous l'in- fluence des attaques d'
épilepsie
. Est-ce là la seule origine de cette augmentati
390 REVUE CRITIQUE. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 2° Les attaques d'
épilepsie
suractivent les échanges en acide phosphorique
ivement ces modifications avec celles que produisent les attaques d'
épilepsie
et l'agitation ma- niaque, on arrive à faire jo
, nous pouvons résumer comme suit les rapports qui existent entre l'
épilepsie
et l'acide phos- phorique : 1° Dans l'épileps
existent entre l'épilepsie et l'acide phos- phorique : 1° Dans l'
épilepsie
, en dehors des attaques et de l'état de mal épi
ement que nous avons institué, comme pour l'aliénation mentale et l'
épilepsie
, des expériences à l'effet de savoir si cette m
ses telles que l'idiotie et l'imbécillité, la chorée, l'hystérie, l'
épilepsie
, l'hypocondrie et enfin un certain nombre d'atr
complément obligé de la gymnastique. Dans I'/M/sMro-p6pSt'e et l'
épilepsie
, les accès, sans contre-indi- quer positivement
ume. P. Marie. XIII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie; par BOURnC'1LLE, ]3oU
ferment des documents intéressants et dignes d'être consultés sur l'
épilepsie
, l'hystérie chez l'homme et l'idiotie. P. M. IN
otrice progressive ; par VEIL- LEAU. (Thèse de Paris, 4885.) De l'
épilepsie
syphilitique et de son diagnostic différentiel av
e l'épilepsie syphilitique et de son diagnostic différentiel avec l'
épilepsie
vulgaire ; par J. Barbier. (Thèse de Paris, 1885.
avait fait sa thèse à la Salpê- trière : De quelques accidents de l'
épilepsie
et de <*/tte)'o-ëp ! 76ps : c (Paris, 1877).
est, 92. Coprolalie, 19,158. Curare (du dans le traitement de l'
épilepsie
), par Bourneville et Bricon, 43, 201, 319 Cys
taxie chez les), 252; (troubles de coordination chez les), 254.
Epilepsie
spinale et fréquence de la respiration, 66. E
ildertntttU, 78;- (Obnubilation psychique durable chez les), 117.
Epilepsie
(traitement par le curare, 43, 201, 319; -(Rech
; symptomatique , pseudo-kyste, par Bourneville et Bricon, 320.
Epilepsie
, hystérie et idiotie (re- cherches cliniques et
es), par Monnn- seii, 108. Respiration (fréquence de la - et et
épilepsie
spinale), par illiliotti, 66. Responsabilité
ent l'affection goi- lreuse.La seconde implique la coexistence de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de la neurasthénie ou de toute
ombaire. Dans les lésions tuberculeuses, la I>I13GCILLITI ? ET
ÉPILEPSIE
CONSÉCUTIVES A UN 1;1'SI'li. 83 symphyse des mé
arre, comme notre malade, ou d'infection urinaire. Imbécillité et
épilepsie
consécutives à un kyste hydatique de la dure-mè
apportons le cas suivant. OBSERVATION. - C ? b8 ans. Imbécillité et
épilepsie
, hémiplégie spasmodiquc, nystagmus, troubles de
pées, les oreilles sont plates et asymétriques. Le IMBÉCILLITÉ et
épilepsie
consécutives A UN IIS-1-L. 91 globe oculaire dr
nt moins fréquents, et ze maintiennent il[] nombre IMBÉCILLITÉ ET
ÉPILEPSIE
CONSÉCUTIVES A UN KYSTE. 93 variant de 17 à 21
le doigt, et recouvre une tumeur dure, développée IMBÉCILLITÉ ET
ÉPILEPSIE
CONSECUTIVES A UN KYSTE. 95 parallèlement à la
nts paralytiques étaient peu accusés ; 5 malades sur 7 avaient de l'
épilepsie
Iaclïsonienne,; l'exagération des réflexes cuta
odorat. Quant à la fréquence des lésions de la corne d'Ammon dans l'
épilepsie
, Féré, Catigne et, Ouvryont prouvé que 60 % de
et qui l'avertit de l'imminence de l'attaque de la né rose. VIII.
Epilepsie
cardiaque et phénomènes de rappel ; par ! tUE FI'
iode ultime, une malade eut un rappel de crises épilepti- formes. L'
épilepsie
peut être provoquée par des troubles cardia- qu
ia- ques de même que des troubles cardiaques peuvent déterminer l'
épilepsie
: ce sont ces derniers qu'envisage seuls l'auteur
ros- sesse, si ce n'est au moment du travail. En outre, chorée et
épilepsie
s'influençaient réciproquement, comme va nous l
de crise GROSSESSE ET PUERPKRAL;TE CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE. 181 d'
épilepsie
. Aucun l rouble nerveux ne vient entraver ni modi
ssante pen- dant toute la nuit ; c'est, le prodrome d'une attaque d'
épilepsie
, qui survient dans la matinée du 10 avril, avec
ne chorée déjà ancienne, remontant au jeune âge. avec association d'
épilepsie
, chez une femme présentant quel- ques stigmates
ves sur ce que nous n'avons pas constaté nous- même. Les crises d'
épilepsie
sont devenues un peu plus fré- quentes. Quoiqu'
elle la grossesse exer- cerait plutôt une influence favorable sur l'
épilepsie
, n'est pas confirmée par notre cas. Les crises
le sur l'épilepsie, n'est pas confirmée par notre cas. Les crises d'
épilepsie
se- raient même devenues plus fréquentes au cou
l'accouchement. Ce n'est qu'à l'appro- che d'une nouvelle attaque d'
épilepsie
et la veille seule- ment, que l'agitation motri
était légère : le syndrome convulsif habi- tuel chez notre malade \
épilepsie
) n'a pas subi une exa- gération très sensible;
chez notre malade, de deux affections essentiellement convulsives :
épilepsie
et chorée électrique. La prédisposition toute p
'exacerba- tion des troubles moteurs, prodromiques de l'attaque d'
épilepsie
avec une telle netteté, qu'ils permettent de l'
nts brusques de la tête et des muscles sourciliers. (. C. XXVIII.
Épilepsie
et rétrécissement mitral ; par M. R. Paulv. (So
que l'insuffisance du son coeur se traduit chez elle par la crise d'
épilepsie
. Il s'agit très probablement, dit l'autour, d'u
admettre que le rétrécissement mi- tral peut rappeler des crises d'
épilepsie
chez des malades porteurs de lésions cérébrales
nel et au nom de M. Wahl, l'observation d'un jeune idiot, atteint d'
épilepsie
et présentantunemalformation hypertrophique con
rée le 6 juin 1899. Alors il était atteint d'idiotie complète, avec
épilepsie
et gâ- tisme. La parole était nulle ; l'enfant
87, entré en mai 18go. Il était d'idiotie prononcée, compliquée d'
épilepsie
et d'hémiplégie droite. A son arrivée (1899), F
ente d'où il sortait un long clou, qui pénétra au niveau du lambda.
Epilepsie
et trépan consécutif, dépression, suicide et dy
ypsomanie paroxystique ultérieure. Pas d'hérédité, persistance de l'
épilepsie
avec troubles mentaux associés, mais pas de trou-
ec fracture de la voûte ayant entraîné le trépan dans les deux cas.
Epilepsie
et troubles mentaux associés (trépa- nation san
vention faite en 1894, sans succès d'ailleurs au point de vue de l'
épilepsie
, ni des troubles mentaux, puisqu'il passa à l'asi
dé- mence par lésions diffuses (P. G.) ou localisées avec ou sans
épilepsie
, ou aux affections psychiques autres (déli- res
sse- 312 CLINIQUE MENTALE. ment démentiel fùt plutôt fonction d'
épilepsie
traumati- que ou de dégénérescence héréditaire
peut répondre qu'ils n'en sont pas moins devenus déments, que leur
épilepsie
provient du traumatisme et apparemment la démen
moires concernant la thérapeutique générale et le traite- ment de l'
épilepsie
. Prix Thrfodore IIerpin (de Genève). 3.000 fran
francs. - Ce prix sera décerné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'
épilepsie
et les maladies nerveuses. , Prix Gelièure. -
de la lame ; tout au plus pourrait-on discuter si l'hémiplégie et l'
épilepsie
post-traumatique aurait en- traîné l'impulsivit
ies du système nerveux, le jeudi à 9 h. 1/2. REVUE CRITIQUE L'
épilepsie
et la migraine; Par le professeur P. KOVALESKY
n de la théorie qui admet l'exis- tence d'un lieu génétique entre l'
épilepsie
et la migraine. Et voici comme nous formulons n
graphie de la migraine (1) (dernière édition) : 1° La migraine et l'
épilepsie
sont toutes les deux des maladies héréditaires,
uvent migraineux et épilepti- ques. La migraine donne naissance à l'
épilepsie
et à la migraine. l'épilepsie engendre la migra
ques. La migraine donne naissance à l'épilepsie et à la migraine. l'
épilepsie
engendre la migraine et l'épi- lepsie. Toutefoi
vouer que la migraine dérive plus souvent de la migraine que de l'
épilepsie
et que l'épilepsie à son tour dérive plus fré-
aine dérive plus souvent de la migraine que de l'épilepsie et que l'
épilepsie
à son tour dérive plus fré- quemment de la migr
epsie à son tour dérive plus fré- quemment de la migraine, que de l'
épilepsie
. 2° Les frères et les soeurs des migraineux son
s. 3° Il n'est pas rare de voir les migraineux avoir des attaques d'
épilepsie
, les épileptiques sont encore plus fréquemment
t encore plus fréquemment sujets à des accès de migraine, quant à l'
épilepsie
sensorielle, elle ne fait souvent que masquer l
ne fait souvent que masquer la vraie migraine. 4° La migraine et l'
épilepsie
débutent dans l'enfance ; elles sont enclines à
eux cas, il y a espoir de la possibilité d'une guérison ; quant à l'
épilepsie
, dont l'étude scrupuleuse est beaucoup plus anc
à l'appui de la parenté réelle qui existe entre la mi- graine et l'
épilepsie
. C'est ainsi que Rochford (1) dé- montre que la
quelques cas, l'auteur estime qu'il doit exister au même rang que l'
épilepsie
essentielle, une épilepsie toxique due à un acc
qu'il doit exister au même rang que l'épilepsie essentielle, une
épilepsie
toxique due à un accès' de paraxanthine. C'est
ie toxique due à un accès' de paraxanthine. C'est à l'âge mûr que l'
épilepsie
toxique apparaît dans la majorité des cas et ch
i. - Stati di emicnania in epilettica. (Riforma medica 1900). l'
épilepsie
ET la migraine. 307 le mal éclatait à des époqu
le mal éclatait à des époques déterminées. Depuis 27 ans c'est l'
épilepsie
qui se déclara, précédée quelquefois de migrain
tait avant ou après la crise épi- leptique. Haig (3) estime que l'
épilepsie
et la migraine sont des affections absolument i
tétique de préférence. Strohmayer (1) pense que la migraine et l'
épilepsie
prennent naissance toutes deux sur le terrain p
uteur relate cinq cas d'existence simultanée de la migraine et de l'
épilepsie
. Le premier cas est celui d'un migraineux dont
arition d'attaques épileptiques ; dans le second cas,des attaques d'
épilepsie
petit mal sont venues remplacer des accès de mi
accès atypiques d'épi- lepsie et de migraine. La co-existence de l'
épilepsie
et de la migraine n'est pas rare et dans la maj
ie et de la migraine n'est pas rare et dans la majorité des cas l'
épilepsie
vient après la migraine. La migraine semble êtr
tion générale est que la migraine est l'une des manifestations de l'
épilepsie
, sa forme latente ou l'équivalent du mal comiti
ura qui établit un lien encore plus étroit entre la mi- graine et l'
épilepsie
. L'aura visuelle est la plus fréquente. Les épi
his- sable que celui d'établir un diagnostic différentiel entre l'
épilepsie
visuelle sensitive et la migraine ophtalmique.
s rapports avec les états épileptiques et délirants, 190» ? . . L'
ÉPILEPSIE
ET LA MIGRAINE. 369 observées dans le domaine d
anie ; la convulsion n'est pas davantage le seul fait clinique de l'
épilepsie
. Dans le domaine moteur, il faut avant tout rel
con- vulsions générales. Si l'on met en ligne de compte les cas d'
épilepsie
où la migraine joue le rôle d'aura et si l'on c
l est presqu'impos- siblede tracer une ligne de démarcation entre l'
épilepsie
avec migraine, la migraine toute seule et la mi
e sous forme de migraine ophtalmoplé- gique par exemple, ou après l'
épilepsie
, rapprochent ces deux états encore davantage ;
mmunauté de phénomènes non moins grande dans le domaine mental de l'
épilepsie
et de la migraine. L'obtusion réceptive, la dép
370 REVUE CRITIQUE. ports sont les psychoses de la migraine et de l'
épilepsie
. Il en est de même des troubles vasomoteurs, sé
C'est pourquoi Cornu déclare catégori- quement que la migraine et l'
épilepsie
constituent le même groupe de lésions, savoir l
aine et l'épilepsie constituent le même groupe de lésions, savoir l'
épilepsie
. Voici un cas de migraine observé récemment qui
heure après, atteignaient leur apogée au bout de 3 à i heures L'
ÉPILEPSIE
ET LA MIGRAINE. 371 pour se terminer par des vo
'inconscience accompagné au dire de son mari par un accès complet d'
épilepsie
convulsive. Ce n'est que 20 à 25 minutes plus t
s terminés par des crises épileptiques avec l'ancienne aura, la L'
ÉPILEPSIE
, ET LA MIGRAINE. 373 perte de conscience et l'a
ait pendant 2 ou 3 minutes et se termi- nait par un complet accès d'
épilepsie
. Au moment où cette lueur se répandait, la mala
que approche de vomissements il se déclarait une attaque générale d'
épilepsie
convulsive qui comprenait le vomissement. Il ne
u- tion d'un état par un autre, mais de l'extension d'un phé, L'
ÉPILEPSIE
ET LA MIGRAINE. 375 nomène partiel en un phénom
onstitué un terrain naturel au développement de la migraine et de l'
épilepsie
. L'avenir a parfaitement confirmé les craintes
temps qu'une corréla- tion existait entre les rapports sexuels et l'
épilepsie
. On avait commencé par trouver que le coït lui-
par trouver que le coït lui-même rap- pelle beaucoup une attaque d'
épilepsie
. Les anciens au- teurs, tels que Democritus, Co
usqu'à établir un parallèle entre le coït et l'accès convulsif de l'
épilepsie
. Faustanus dit : Turpis est morbi species horre
une influence défavorable, les autres une action favorable sur l'
épilepsie
. C'est ainsi que Platenus Mercatus, Heur- (1) C
attaques épileptiques. Quant à Galien, il déclare que la cause de l'
épilepsie
peut aussi bien tenir aux excès sexuels qu'à la
on défavorable que les rapports sexuels exercent sur la marche de l'
épilepsie
; tous les neuropathologistes repoussent et blâ
ion qui consiste à voir dans le mariage un moyen curatif contre l'
épilepsie
. S'il arrive un cas sur 100 d'amélioration réelle
mari destiné, en ce cas, à jouer le rôle d'un médica- ment contre l'
épilepsie
. En revanche, nous trouvons dans la littérature
as qui signalent l'action défa- vorable des rapports sexuels -sur l'
épilepsie
. Esquirol dit que les organes de la reproductio
organes de la reproduction sont le domaine sur lequel la cause de l'
épilepsie
agit en premier lieu et dont les phénomènes ini
Heurnius. -Opera omnia, 1058, epilcpsia. (2) '1 AXII" - Traité de l'
épilepsie
, 1602. (3) Aretheus. Opéra omnia. Morbi chronic
pilepsie, 1602. (3) Aretheus. Opéra omnia. Morbi chronici. I. l'
épilepsie
ET la migraine. 377 même auteur indique ce fait
teur indique ce fait que le rapport sexuel est parfois accompagné d'
épilepsie
. Sauvager signale le cas d'une personne chez la
e crise épileptique. G. Cole raconte l'histoire d'une -femme dont l'
épilepsie
se déclara trois jours après son mariage. Zimme
- nait à l'onanisme. Tout récemment, Hamilton (1) citait un cas d'
épilepsie
nocturne qui se manifestait par une sécré- tion
ns que le premier coït des sujets hé- réditairement prédisposés à l'
épilepsie
a souvent déter- miné des attaques et que chez
t à interrompre l'acte sexuel. Les excès sexuels peuvent aggraver l'
épilepsie
existante, provoquer ses re- tours si son état
s il n'est pas prouvé que les excès sexuels puissent déterminer l'
épilepsie
chez des sujets qui n'y sont pas prédiposés. Da
ez des sujets qui n'y sont pas prédiposés. Dans notre ouvrage sur l'
épilepsie
(3), nous avons suf- samment insisté sur ce fai
), nous avons suf- samment insisté sur ce fait qu'il existe entre l'
épilepsie
et les organes sexuels une connexité beaucoup p
ter ici à l'exhibitionnisme comme à l'une des manifestations de l'
épilepsie
. On entend par exhibitionnisme le fait d'expo-
as signalé par Max Simon (4) : une femme très instruite, atteinte d'
épilepsie
, avait par- (1) Hamiltox. - The New York médica
U. - Neurasthénie sexuelle, p. 32. (3) Professeur P. KovAt.EYSKY. L'
épilepsie
et son traitement, éd. 3. p. 93. (4) ! IIAX S
ins cas du moins un lien incontestable entre le domaine sexuel et l'
épilepsie
, fait confirmé par le cas que nous avons exposé
OFF. Journal hebdomadaire de 1111 ! decille pratl- que, 1899. l'
épilepsie
et la migraine. 379 même hallucination se répét
n motivées. Or, ce sont là des phéno- mènes que l'on observe dans l'
épilepsie
et qui sont con- nus de longue date. Tantôt une
n du caractère épileptique, tantôt elle peut être l'équivalent de l'
épilepsie
; tantôt encore le vio- lent courroux de l'épil
uvent s'exprimer comme suit : 1° Dans certains cas,la migraine et l'
épilepsie
peu- vent se combiner et se substituer l'une à
ût 1893, à l'âge de 8 ans, atteinte d'imbé- cillité prononcée, avec
épilepsie
(vertiges et accès nombreux). Cette enfant, à s
et ayant l'allure d'une crise fruste. Sans qu'on puisse affirmer l'
épilepsie
quand on rencontre ces rêves chez des sujets n'
urd'hui dans la catégorie des simples arriérées, LXXVII. Idiotie et
épilepsie
. - CouL ? (Marie), née le 26 janvier 1894, 10 a
une vraie métamorphose s'est opérée. Elle n'a eu qu'un seul accès d'
épilepsie
depuis son entrée; aussi l'enfant s'est dévelop
elle possède une grande souplesse. Cette enfant bien qu'atteinte d'
épilepsie
s'est notablement améliorée sous tous les rappo
de la marche, de l'alimentation et du gâtisme. LXXXVIII. Idiotie,
épilepsie
, gâtisme. - Land ? (Hen- riette), 4 ans, née le
Nous faisons d'abord remarquer que cette enfant, atteinte en plus d'
épilepsie
, a été traitée aux capsules de bro- mure de cam
ner honorablement sa vie d'ici peu. XCIII. Imbécillité prononcée et
épilepsie
. - Travail ? (Georgette), née le 3 août 1896, 5
3 ans à son entrée à la Fondation en 1896, atteinte d'idiotie et d'
épilepsie
. Elle parlait peu, mais n'avait pas de défaut de
tons. -- A son entrée elle était atteinte d'idiotie avec gâtisme et
épilepsie
/ aujourd'hui nous pouvons la placer au nombre d
rès grande amé- lioration : on pourrait dire guérison, si en fait d'
épilepsie
, il ne fallait pas être toujours réservé. Déc
alie, de la coprophagie, des tics, des manies, de la chorée, de l'
épilepsie
, l'amendement du caractère, la guérison des acc
lité morale, d'irritabilité nerveuse avec impulsions violentes et d'
épilepsie
. , 2° L'éducation et l'assistance dans les clas
e. Voir Age. Enfants anormaux. Aveugles et sourds-muets, 349. '
Epilepsie
. Voir Kyste. car- . diaque et phénomènes de rap
e Beurmann, Houbinovvitch et Gougerot, 226. Kyste. Imbécillité et
épilepsie
con- sccnties il 1111 - hydatique de la dure-
Microgyrie. La -, par Oecono- makis, 324. Migraine. Voir Rêves,
épilepsie
. Moelle. Voir Processus. - Con- tribution à l
ser maintenantet qui ont trait à la perceptibilité différen- DE L'
ÉPILEPSIE
procursive. 55 tielle du sens de la vue chez l'
maladies du système nerveux. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE1; Par BOURNEVILLE et P. BRICON. Il
IE PROCURSIVE1; Par BOURNEVILLE et P. BRICON. Il. Historique. L'
épilepsie
procursive, quoique peu commune, a déjà été sig
la première observation se rap- portant réellement à cette forme d'
épilepsie
. Observation III. - Début de l'épilepsie à la s
réellement à cette forme d'épilepsie. Observation III. - Début de l'
épilepsie
à la suite d'une chute. - Tournoiement, puis co
t meurtri la tempo, était sujet, depuis cette époque, à des accès d'
épilepsie
, pendant t lesquels il tournait rapidement sur
. » Eraste en ces quelques lignes a retracé le tableau exact de l'
épilepsie
procursive : course en avant, par- fois suivie
is. Londini, 1619. De epilepsiâ p,'oc1l1'sivd, caput sextum. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 57 quelques-uns restaient debout, q
Eraste, on ne peut douter qu'il ne s'agisse d'un malade atteint d'
épilepsie
procursive ; mais quoique plus longue que la pr
omplète que celle d'Eraste. On ne saurait classer parmi les cas d'
épilepsie
procursive, comme l'ont fait ce temps-ci quelqu
du sommeil seul l'arrêtait. Il est probable qu'il ne s'agit là ni d'
épilepsie
procursive ni de chorée, niais bien de paralysi
EUSE. Dans sa Pratiqzieden2édecine spéciale, Etmùl 1er ' divise l'
épilepsie
en trois degrés : le premier comprend l'absence
is l'auteur ajoute qu'il y a quelques exemples de cette variété d'
épilepsie
dans la Pathologie du cerveau de Willis, dans l
deTimeus, dans les Histoires de Salmuth, etc. De ce genre est « l'
épilepsie
dont parle Bootius {Traité des affections omise
d'un malade qui courait durant tout le paroxysme (voir p. 57); et l'
épilepsie
d'un homme des environs de Leipsick qui ne fais
é en 1687 une observation qui rentre peut-être dans le cadre de l'
épilepsie
procursive. Observation VI. Course suivie le pl
es femmes et des petits enfants, etc. Lyon, 1691, thèse XXIII, de l'
épilepsie
, p. 531. - Nous n'avons pu con- sulter quelques
française de Lyon, 1692, nous n'avons rien trouvé se rapportant à l'
épilepsie
procursive. ' Paullini. Ephenzerid. Nat. Curios
id. Nat. Curios., déc. 3, ann. 3, observ. 181, 1696, p. 313. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 59 contre un mur, ou bien, si l'acc
. Welsch 3 ne donne dans sa thèse aucune observa- tion nouvelle d'
épilepsie
procursive, mais cite un cas qui aurait été rap
pas dans l'ouvrage de ce mé- decin que nous avons consulté : « A l'
épilepsie
associée à des phénomènes extraordinaires, se r
empruntée au travail de Itard. 2 Brescon (Pierre). - Traité de l'
épilepsie
avec sadescriplion, ses dilré- rences, ses caus
llés pour que l'on puisse aussi les ranger parmi les observations d'
épilepsie
procursive. Le cas de Sagar 4 est plus difficil
lle, par le citoyen Capelle. Bordeaux, vol. I, p. 118, an V. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 61 n'en résulta d'autre blessure qu
'on avait affaire à une aura procursive ou à un véritable accès d'
épilepsie
procursive, car l'auteur se borne à dire que la
ècle, Hufeland publiait dans son Journal une nouvelle observation d'
épilepsie
procursive. Observation VIII. -'Accès spasmod
s. Arrivé à 30 centigrammes par jour, cinq semaines après le DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 63 commencement du traitement, le m
s ordinaires de la chorée et sont susceptibles d'être rattachés à l'
épilepsie
procursive. Il est difficile de se prononcer et
ttre en regard de celle d'IIufeland et de montrer combien il DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 65 est parfois difficile, par suite
d nombre d'observations. Parmi elles, deux peuvent se rapporter à l'
épilepsie
procursive. Observation X. A cinquante ans, cou
ou plutôt de cette torpeur stupide qui succède aux violents accès d'
épilepsie
. Elle était dissipée le lendemain. Le troisième
tait dissipée le lendemain. Le troisième jour, la parole s'em- DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 67 barrassa; le sixième, le malade
a musculation irrésistible, ne nous paraissent pas se rapporter à l'
épilepsie
procursive et nous les laissons de côté. Semulo
d'epilepsia dromica et trochaica, l'histoire d'un malade atteint d'
épilepsie
procursive. OBSERVATION XII. Début des accès pr
gne droite, même fréquence des accès, puis même transformation de l'
épilepsie
pro- cursive en épilepsie ordinaire, enfin même
des accès, puis même transformation de l'épilepsie pro- cursive en
épilepsie
ordinaire, enfin même insuccès des divers trait
fait allusion, dit-il, dans une leçon cli- nique, il cette espèce d'
épilepsie
propulsive, en soutenant qu'il n'y avait pas li
acci- 1 111oynier. De la chorée, observi IV, p. 27, 1855, - DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 71 dents d'ailleurs surviennent san
res, elle est très agitée, cela sans cause appréciable. Les accès d'
épilepsie
n'ont aucune influence sur la danse de Saint-Gu
Saint-Guy et récipro- quement. Depuis l'apparition de la chorée, l'
épilepsie
ne s'est 72 . CLINIQUE NERVEUSE. en rien modi
é supprimée, malgré toute espèce de remède depuis deux époques. L'
épilepsie
et peut-être la chorée trouvent chez cette enfant
s. Une de ses tantes, du côté de sa mère, a eu aussi des attaques d'
épilepsie
. Quant aux causes de la chorée, M. Bastien, à q
ervation, se demande si elles tiennent aux accès plus fré- quents d'
épilepsie
, à la suppression des règles ; ou si la diffi-
que comme coïncidence. -. Tous les traitements ont échoué contre l'
épilepsie
et aussi contre la chorée. A la fin de l'année
1851, lajeune fille n'avait encore éprouvé aucune amélioration. L'
épilepsie
s'accompagna ici de chorée qui ne survint que l
it Inipuls nach der Laneen4xe. I, Nach Vorn. Berlin, 1857. . DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 73 blement l'un à côté de l'autre p
pagnaient, la rémission même observée, etc., parlent en faveur de l'
épilepsie
procursive. Nous ajou- terons qu'il serait témé
jou- terons qu'il serait téméraire de croire avec Salgues il DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 75 la guérison de sa malade; l'obse
sont de nouveau considérés par tous les auteurs comme relevant de l'
épilepsie
. Voici d'abord un cas de Trousseau'. Observat
quel il vient de se livrer. Ce cas appartient incontestablement à l'
épilepsie
procursive; il est généralement considéré par l
s modernes comme étant le premier exemple connu de cette forme de l'
épilepsie
. M. Hammond 2 relate deux observations dans son
usseau. Clinique médicale de l'HGtel-Dieu. 4e édition, 1873, t. Il,
épilepsie
, p. 112. ' Hammond. -- « Traité des maladies ne
85. 76 CLINIQUE NERVEUSE. Observation XVIII. - Accès ordinaires d'
épilepsie
. - Accès procursifs accompagnés parfois de saut
e rotation et d'un cri inarticulé particulier. J. H..., atteint d'
épilepsie
, vint me consulter dans l'été de 1869. Les accè
ires et des accès procursifs, ceux-ci accompagnés parfois de DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 77 sauts et de mouvements rotatoire
blement des lèvres. (OBS. I, t. XIII, p. 323.) Observation XIX. -
Epilepsie
procursive sans accès ordinaires. Courses incon
n ni délire. Cette seconde observation de M. Hammond est un cas d'
épilepsie
procursive pure; il aurait été intéres- sant de
ses accès se seraient par la suite modifiés. Dans son article sur l'
épilepsie
1, M. Nothnagel, après avoir fait remarquer que
uvements ambulatoires et des courses », cite briève- 1 Nothnagel. -
Epilepsie
und Eklampsie. Vertigo. (Handbuclz der spe- cie
lmdssige Formai der anfcïlle, p. 2 il. 78 CLINIQUE NERVEUSE. - DE L'
ÉPILEPSIE
. ment un cas d'épilepsie procursive : « J'ai eu
e, p. 2 il. 78 CLINIQUE NERVEUSE. - DE L'ÉPILEPSIE. ment un cas d'
épilepsie
procursive : « J'ai eu moi- même, dit-il, en tr
puis m'empêcher d'exprimer que dans ces cas, il ne s'agit pas d'une
épilepsie
idiopathique, mais d'une forme sympathique qui
rva- tions qui, selon nous, ne se rapportent qu'indirectement à l'
épilepsie
procursive', telles sont, entre autres, quel- q
sies. Peut-être y aurait-il lieu d'admettre ici d'autres formes d'
épilepsie
, par exemple, l'épilepsie rotatoire, etc. (A su
-il lieu d'admettre ici d'autres formes d'épilepsie, par exemple, l'
épilepsie
rotatoire, etc. (A suivre.) 1 La quatrième ob
pprochent des observations d'Itard, n'appartient pas au groupe de l'
épilepsie
procur- sive ; il s'agit là d'un épileptique or
r dans ce cas les crises épileptiques. Il s'agirait en un mot d'une
épilepsie
réflexe. Cet accident est certainement plus rare
épileptique; chez 3 autres, le frère ou la soeur étaient atteints d'
épilepsie
; enfin 14 fois j'ai noté l'hérédité congestive
issent au contraire exercer qu'une influence très modérée : telle l'
épilepsie
. Je n'ai connu que deux épileptiques qui soient
ant ce temps il n'a eu aucune deses syncopes. Si l'influence de l'
épilepsie
est si minime, il en est autrement de celle de.
e à supporter « le combat pour la vie ». CLINIQUE NERVEUSE DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE' ; Par BOURNEVILLE et P. BRICON ÉP
VEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE' ; Par BOURNEVILLE et P. BRICON
ÉPILEPSIE
AVEC AURA PROCURSIVE Nous distinguerons les mal
des accès précédés d'une course, de ceux qui, atteints auparavant d'
épilepsie
procursive isolée antérieure, ont encore des ph
doivent-ils être considérés comme at- teints d'une des formes de l'
épilepsie
procursive, en présentent-ils les lésions anato
ques et n'en sont peut-être qu'une exagération. Observation XX. -
Epilepsie
. - Père, hémiplégie droite. Mère nerveuse ; gra
s; 5° garçon, mort à l'àge de six ans et demi, on ne sait de DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 237 quoi. -- Il vomissait depuis lo
ès n'était pas précédé de course. 238 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 239 leur diminution, puis ensuite p
r leur disparition depuis près d'un an. Observation XXI. Idiotie.
Epilepsie
. Grand-père, grand'mère paternels, tante patern
'breuses et violentes convulsions jusqu'à l'âge de six ans ». DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 241 moins, le malade s'était levé s
attirée sur les lésions possibles du cervelet dans cette forme d'
épilepsie
, cet organe n'a été l'objet que d'un examen sup
béreuse s'ajoute à celles que avons pré- cédemment publiées. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 245 Chez Caill..., il semble, d'apr
équemment l'aura n'est signalée que lors des premiers accès. III.
Épilepsie
POST-PROCUItSIVE. Les phénomènes post-procursif
nir de ce qui vient de se passer. Elle urine parfois au lit. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 247 22. Elle a un de ses vertiges h
s à peu près régulières. Voici les mensurations de la tête : DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 249 nomène caractéristique de l'épi
tête : DE l'épilepsie PROCURSIVE. 249 nomène caractéristique de l'
épilepsie
pendant quelques années, puis nous voyons appar
mère morts vieux. Un cousin germain du côté paternel est atteint d'
épilepsie
.] 250 CLINIQUE NERVEUSE. Consanguinité : le p
de sa parole; pas de tremblement des lèvres et de la langue. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 253 1886. Novembre. Le malade est d
0' 4.1 o f 5 S g C a R m r-i CI. w a DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 255 Poids. 1879. Novembre : 61 kil.
rsion et sou- vent de phénomènes de rotation; 5° persistance DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 261 concurremment pendant plusieurs
s de la grossesse. L'enfant dit qu'il a eu peur d'un mouton. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 265 le coma à 5 heures du matin, et
st dû probablement au séjour dans une solution insuffisante. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 267 ascendante du pli pariétal infé
courte durée; le 6 juin suivant. Une attaque bien caractérisée d'
épilepsie
se produit et, depuis ce moment, l'enfant est suj
t et, depuis ce moment, l'enfant est sujette à des accès éloignés d'
épilepsie
. En septembre 1886, elle est atteinte de fièvre
tre eux seraient, d'après l'auteur, des équivalents psychiques de l'
épilepsie
. Il est vrai que ces équivalents psychi- ques p
ance du 27 juin 1887. Présidence de M. Magnan. L'acétanilide dans l'
épilepsie
.- MM, MABILLE et RAfADIEIt commu- niquent à la
ciété le résultat de leur expérimentation de l'acé- tanilide dans l'
épilepsie
. La conclusion est que cet agent, loin d'avoir
; il a depuis pré- senté, à des intervalles irréguliers des accès d'
épilepsie
, laissant après eux une longue hébétude. Les an
staté des céphalalgies, des attaques épi- leptoïdes, des troubles d'
épilepsie
larvée, de l'hébétude, de l'af- faissement, enf
de ce fait une tendance aux névroses convulsives en particulier à l'
épilepsie
, et aux différentes formes de délire. Telles so
otrices du cerveau (réac- tions volontaires et organiques) et sur l'
épilepsie
cérébrale, précédées d'une préface du professeu
Couriurien et BKICON. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, ? hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
. de Ylconogr. de la Salpêtrière), Richer (Traité de l'ligst6,ro-
épilepsie
) et Pitres {Leçons cliniques de 1885), ne sont
crises la semaine dernière; il n'en avait pas eu depuis trois mois (
épilepsie
? ). Notre malade. Grossesse bonne; pourtant, à
. Le certificat de M. Lasègue est ainsi conçu : Idiotie, paralysie,
épilepsie
probable. z ' Le certificat'de quinzaine, signé
quement. ' , . La notion de position est conservée. Il n'y a pas d'
épilepsie
spinale. Le chatouillement de la plante des pie
onnue. L'amende- ment des symptômes morbides et en particulier de l'
épilepsie
spinale, s'est brusquement produit au cours d'u
420 BIBLIOGRAPHIE. X. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du serv
céphalite avec foyers de ramollissement. Signalons encore des cas d'
épilepsie
avec démence, imbécillité, un cas d'alcoolisme
volume se termine par des considérations sur la température dans l'
épilepsie
, tant dans les accès isolés que dans les accès sé
u'il avait formulées en 1870 sur la marche de la température dans l'
épilepsie
, conclusions qui, jusqu'alors adoptées d'une fa
et Richer, 126 ; re- cherches cliniques et thérapeuti- ques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, par Bourneville, Isch
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRI ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PROGR
e : 'ter, classe. - Dimi..., âgé de 14 ans, signalé comme atteint d'
épilepsie
, n'a jamais eu d'accès pendant son séjour à Bic
ante. Il en est de même de son travail. 2° l3ric ? âgé de 15 ans. -
Epilepsie
. - Entré en 1900 apprenti serrurier. Présentait
décembre 1903). XL Grande école : résultats. Noë., âgé de 15 ans.
Epilepsie
. -N'étaient ses accès et ses vertiges qui provo
l montre partout de la bonne volonté. Franc... (IL), âge de IS ans.
Epilepsie
. Signalé comme amélioré en 1102 surtout au poin
questions. Amélioration persistante. 2e classe. Bellhoi..., 18 ans.
Epilepsie
, alcoolisme. L'état de cet enfant s'est seuleme
onnes disposi- tions. 3°classe. Besancen..., 18 ans. Imbécillité,
épilepsie
. - Progrès sensibles en lecture. Cet enfant s'a
s insignifiants; bonne conduite. /7a'c..., 18 ans. Imbécillité et
épilepsie
. Les progrès intellectuels sont lents; mais ils
il n'est survenu jusqu'ici d'accidents cérébraux. Traitement de l'
épilepsie
. L\'rI formes du mal caduc et ses complications
bèses. Nous avons, en outre, essayé différents médicaments contre l'
épilepsie
dont voici les princi- paux. Traitement par l
tis insuf- fisamment améliorés pour vivre au dehors ou atteints d'
épilepsie
passsent, à 18 ans, s'ils ont un développe- men
rnée quand on la met souvent sur le siège. Amélioration. Idiolie et
épilepsie
. - COUL.. (Marie), .10 ans. A l'entrée à la Fon
une vraie métamorphose s'est opérée. Elle n'a eu qu'un seul accès d'
épilepsie
depuis son entrée ; aussi l'enfant s'est dévelo
ls et médicaux aux enfants, si un enfant a, par exemple, un accès d'
épilepsie
. Vous pourriez envoyer trois femmes choisies pa
. (lm63). 22 , DE QUELQUES formes DE nanisme. OB$, X. - IDIOTIE ;
ÉPILEPSIE
; croissance retardée. GUÉRISON DE L'ÉPILEPSIE.
OB$, X. - IDIOTIE ; ÉPILEPSIE ; croissance retardée. GUÉRISON DE L'
ÉPILEPSIE
. Dura ? (Alexandre), né le 10 mai 1887, est ent
est entré le 10 avril 1891. Ce malade a eu, en '1891, 103 accès d'
épilepsie
etl accès en 1892. Depuis lors jusqu'à la fin d
). -Pas d'infantilisme.^ Cet enfant a eu en 1891 cent trois accès d'
épilepsie
, un en 1892 et rien depuis cette époque. On peu
depuis cette époque. On peut donc le con- sidérer comme guéri de l'
épilepsie
. OBS. XI, - Imbécillité ; nanisme simple. Her
me par arrêt de développement simple. 23 OBS. XII.-INIBÉCII.1,ITI ;
ÉPILEPSIE
; nanisme simple, Jobel... (Albert), né le 8 ma
n de 3 cent, durant cet unique traitement, OBS. XVI. - IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
; croissance retardée. Bis... (Camille), né le 2
approché la taille de ce ma- lade jusqu'à la normale. WÈ 0... XX.
Epilepsie
; déchéance ; nanisme simple. Mart... (Gustave)
La médication thyroïdienne n'a pus eu d'action sur la marche dr. l'
épilepsie
(JB5. XXIV. - -ILCRqDCEF'11.%I.IQUI : nanisme s
ules ont le volume d'un oeuf de merle. Aucun accident relevant de l'
épilepsie
jusqu'en 1896. On constate pendant le mois de j
à cause de ses accès convulsifs. A 7 ans, début des grands accès d'
épilepsie
. Ils commencent 90 De QUELQUES formes de nanism
clérose atrophique hémisphérique. Imbécillité, hémi- plégie droite;
épilepsie
; accès et vertiges : Démence; PAR BOURNEVILLE e
et 2 mois à 7 ans. - Athétose. - De 7 ans à l'entrée, 2 à 3 accès d'
épilepsie
par jour. Rougeole à 5 ans. - Oreillons à 6 ans
irrégulière. Elle tousse moins, et n'est pas alitée. Marche de l'
épilepsie
. 209 Tableau des accès et des vertiges. Déché
degrés et chez les enfants épileptiques. 1 Imbécillité, hémiplégie,
ÉPILEPSIE
. 219 et comme crétacée sur la F. A. et une légè
ort à l'iné- galité cérébrale. VI. Il s'agissait, en somme, d'une
épilepsie
partielle il forme hémiplégique, due à une sclé
il une méningite chronique de l'hémisphère céré- bral gauche. Cette
épilepsie
, semble en raison de la fréquence des vertiges
ité. (Voir plus loin lé relevé de ces lésions). 220 Caractères de l'
épilepsie
hémiplégique. VII. Dans les cas, comme celui-ci
s, comme celui-ci, où existe le syndrome : Imbécillité, hémiplégie,
épilepsie
, succé- dant à un état de mal convulsif de la p
.. a ans (1899). i fig. ¡¡CI. - 'l'au ... à 1 zut ans (1903).
Epilepsie
hémiplégique méningitique. nI guérison de l'éta
notablement sous l'influence du traitement médico-pédagogique. L'
épilepsie
est constituée surtout par des se présentant so
vis d'hébé- tude, de sommeil prolongé, deux symptômes qui, dans l'
épilepsie
ordinaire sont, en général, les avant- coureurs
le syndrome : arrêt de développement de l'intelligence, hémiplégie,
épilepsie
, est dû il une méningo-encéplwlitc limitée à l'
, sour- nois, se pervertit (Tard ? est devenue voleuse) ; il 2'22
Epilepsie
hémiplégique méningitique. survient des impulsi
IV. Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
; Par IlOUUNEVILLE. Aux 2.846 cas relevés dan
que joue 1'nlcoo- lisme clans la production de l'icliol ie et de l'
épilepsie
. En outre la conception durant l'ivresse du pèr
ologie de Paris, 1902, page 35. 3 Bourneville. - Recherches sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, compte rendu de Bicêt
nthropologie de l'année 1883. VI. Imbécillité; hémiplégie gauche;
épilepsie
; état de mal; mort; atrophie très considérable
i ne revient qu'à cinq ans. - Coqueluche à quatre ans. - Début de l'
épilepsie
à deux ans et demi ; accès sériels. ' Etat du m
ns, elle a quatre enfants bien 250 IMBÉCILLITÉ. hémiplégie- gauche,
ÉPILEPSIE
. portants. Huit neveux et deux nièces en bonne
umatisme céphalique ou autre. 252 Imbécillité, hémiplégie gauche,
ÉPILEPSIE
. Température à l'entrée (13-18 mars). DESCRIP
recouverts d'un léger duvet. 254 IMBÉCILLITÉ, .HEMIPLEGIE gauche,
ÉPILEPSIE
. Au point de vue fonctionnel, peu de chose à si
nous a si souvent appelé l'attention 1 : imbé- cillité, hémiplégie,
épilepsie
. a. L'affaiblissement de l'intelligence peut êt
a Soc. de Biologie, 1876, p. 163) ; - Hémiplégie infantile suivie d'
épilepsie
partielle; état de mal épileptique, mort ; foye
pariétal (Soc. Anatomique, 1876, p. 55S) ; - Notes cliniques sur l'
épilepsie
partielle (Icozzo,gr. pho- de la Salpêtrière, 1
avee 10 plan- ches et 2 figures) ; - Dans sa thèse intitulée : De l'
épilepsie
dans l'hé- miplégie spasmodique infantile, 1882
cueillies dans notre service et mises par nous sa dis- position ; -
Epilepsie
partielle, (Progrès médical, 1879, p. 299. etc.)
lection des Comptes rendus de Bicêtre de 1880 à 1903, passim. 264
Epilepsie
hémiplégique. Hémiplégie. Mensurations. État
t, mais non toujours, dans l'hémiplégie cérébrale infantile. c. L'
épilepsie
a débuté à deux ans et demi. Les accès chez les
s : « Jusqu'à ce que la valeur réelle du traitement opératoire de l'
épilepsie
soit nettement connue, cette affection ne doit
les Idiots. (2) Rellay. Fssai sur le traitement chirurgicale de l'
épilepsie
. Thèse faite également avec les piéces de notre
us en font foi, l'intervention chirurgicale dans le traitement de l'
épilepsie
ou de l'idiotie, la synostose prématurée des su
e statistique sur le rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de 1 idiotie et de l'imbécillit
ères cérébraux ou cérébelleux ou des deux, croisée ou non. XIV.
Epilepsie
. ; État de mal ; Température. Par BOUItNL'ILLI
ble. - Il ressemble à son père. - On ne sait à quoi attribuer son
épilepsie
. Température à l'entrée. Etat de MAL ; mort.
e normale, aucune lésion du péritoine; rien du côté de l'ap ? ao8
Epilepsie
; POIDS DES organes. pendice vermiculaire, qui
essie, aux testicules, aux organes génitaux. Poids des organes.
ÉPILEPSIE
: marche DES accès. 309 III. Les accès ont débu
e à une violente émotion causée à la mère pendant sa grossesee. Son
épilepsie
est bien caractérisée, ses accès sont parfois t
musculaire. Pas de contractions fibrillaires. l'as d'atrophie, ni d'
épilepsie
spi- nale. Réflexes rotuliens égaux des deux cô
.). - De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1881. RIDEL-SAILLARD (G.). -
). - Étude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8° de 56 p. Th. de Paris. HUBLÉ (M.). Reche
e Paris. HUBLÉ (M.). Recherches cliniques.et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Monobromure de camphre, bromure de zinc, de so
e sodium. Thèse de Paris. MORLOT (E.). - Sur une forme grave de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Travaux faits dans LE SERVIC
ERVICE. 329 CouLBAUT (G.). Des lésions de la corne d'Ammon dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1882. BRICON (P.). - Du trai
pilepsie. Thèse de Paris. 1882. BRICON (P.). - Du traitement de l'
épilepsie
: Hydrothéra- pie. - Arsenicaux, - Magnétisme m
de pilocarpine, etc. Thèse de Paris. Roux (G-L.). Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
tie. Thèse de Paris. Pison. -- De l'asymétrie fronto-faciale dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1889. CoavET'(P.). Traitem
l'épilepsie. Thèse de Paris. 1889. CoavET'(P.). Traitement de l'
épilepsie
.'Bromures d'or et de camphre, Picrotoxine. Thès
its dans LE SERVICE. guinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. SOLLIER (P.). - Du râle de l
de Paris. RBLLA1 (P.). - Essai sur le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1899. CESTAN (R.). - Le synd
Paris. Le Duigou (E.). - Contribution à l'étude du pronostic de l'
épilepsie
chez les enfants. Thèse de Paris. HASLG (L.). -
aris. HASLG (L.). - Du bromure de camphre dans le traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1900. Bourneville. De l'Anat
ET (Th.). - Étude du rôle de la consanguinité dans l'étiologié de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'im- bécill
bécillité. Thèse de Paris. . 1901- Pareur (P). - Purpura dans l'
Épilepsie
. Thèse de Paris. Robin (B.). Contribution à l'é
fÉNARD (J). -Contribution à l'étude du Phénomène des orteils dans l'
Épilepsie
. Thèse de Paris. Le Roux (Henri). - De l'emploi
IV. Action de l'alcoolis1ne sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
, par Boun- NEVILLE.............................
225 Table DES matières. ,345 VI. Imbécillité;' hémiplégie gauche;
épilepsie
; état de mal, mort, atrophie considéra- ble d
e statistique sur le rôle de la consan- gunite dansl'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'imbécillit
misphères- cérébraux et cérébelleux; par BOURNE- ville 299 XIV.
Épilepsie
; état de mal; température; par BOURNEVILLE et I
ns déjà tracé un tableau minutieux de cette grave complication de l'
épilepsie
, croyons-nous devoir publier encore le fait sui
rues à -15 ans et demi, n'auraient exercé aucune modification sur l'
épilepsie
. - Pas d'autres maladies'(chorée, vers, etc.)
vrier-juin 1S74). Voir la note suivante relative au traitement -de l'
épilepsie
par le sulfate de cuivre ^pages z18). 6 ÉTAT
sés cuivreux sont employés depuis longtemps dans le traitement de l'
épilepsie
. On a eu successivement recours à l'Ens < ?
on de chlorhydrate de cuivre ammoniacal. (Delasiauve. - Traité de l'
épilepsie
; p. 396). - ? (2) Annales iiied. psych., 1S43,
dans le traitement de certains états ner- veux, se rapprochant de l'
épilepsie
par quelques-uns de leurs symptômes et caractér
c- tobre. Malgré la prompte évolution des tubercules, les accès d'
épilepsie
sont restés à peu près aussi fréquents. Ainsi,
un officier (elle avait ses règles). Huit jours après, deux accès d'
épilepsie
. - En 1873, HO accès et 62 ver- ,. tiges. Tra
. - Cessation des épistaxis ; retour des étourdissements. Accès d'
épilepsie
à 10 ans et demi. - Modifications des accès de If
la pension, elle fut prise, sans cause connue, d'un premier accès d'
épilepsie
dans lequel elle est devenue toute bleue. Trois
à 45. - OBS. Il. - Coquel ? 48 ans; à la Salpétrière depuis 1848.
Epilepsie
remontant à l'âge de 13 ans et demi; démente comm
nt scientifique sur les diverses médications préco- nisées contre l'
épilepsie
. DE LA GLACE L'emploi thérapeutique de la gla
erses affections cérébro-spinales et plus particulièrement dans l'
épilepsie
( 1) . Malgré l'intérêt qu'offrirait un résumé de
é de ces malades, qui, ont en définitive, une espèce particulière d'
épilepsie
symptomatique,il en est d'autres chez lesquelle
s effets de la glace dans ces deux cas. Observation I. - Début de l'
épilepsie
à 7 ats. - Aum. - Vertiges et accès; leurs cara
um. - Vertiges et accès; leurs caractères. - Forme cardiaque de l'
épilepsie
. - Traitement par la glace. - Marche des accès.
tant couchée, elle eut, sans cause appréciable, son premier accès d'
épilepsie
. Le second ne survint qu'au bout de trois mois.
). Ses accès se montraient tous les 8 ou lu jours. En dehors de l'
épilepsie
, sa santé étaitbonne. Sauf la rougeole etla scarl
nantes. Elle raconte que, une huitaine de jours avant ses accès d'
épilepsie
, les palpitations sont plus fréquentes et la font
, mais plutôt avantageux, l'oxyde de zinc dans le traitement de l'
épilepsie
, lorsque Herpin (de Genève) fit une étude plus
sants de son ouvrage : Du pro- nostic et du traitement c2lrati'dc l'
épilepsie
(Paris, 1852). Herpin a donné l'oxyde de zinc à
1) Voir pour plus amples renseignements : Delusiauve. - Traité de l'
épilepsie
, 1854. DE L OXYDE DE ZINC. 63 Salpétrière, ca
nvier 1872. - Les premiers accidents remontent à l'âge de 14 ans. -
Epilepsie
et hystérie à crises distinctes ; étourdissemen
nde frayeur. Six ou sept jours plus tard, éclata le premier accès d'
épilepsie
. Auparavant, elle n'avait éprouvé aucun phénomè
e consultés sur l'emploi de l'oxyde de zinc dans le traitement de l'
épilepsie
, nous citerons une note de NI. A. Voisin, intit
de NI. A. Voisin, intitulée : Contribution à la thérapeutique de l'
épilepsie
, par les préparations de enivre et de zinc; mai
ts que fournit l'usage de cette substance dans le traitement de l'
épilepsie
et de 1 'hysféro-épilepsie, z 1. Résumé des pro
l'oxyde de carbone. - u § IL Ç r...pl. du nitrite d'al1yle dans l'
épilepsie
, l'hyMeéjro3m épilepsie et l'hystérie. Le nit
§ IL Ç r...pl. du nitrite d'al1yle dans l'épilepsie, l'hyMeéjro3m
épilepsie
et l'hystérie. Le nitrite d'amyle a été employé
épilepsie et l'hystérie. Le nitrite d'amyle a été employé dans l'
épilepsie
d'abord par M. S. Weir Mitchell (Pliiladelpliia
s du nitrite d'amyle), : . 84 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. tifs à l'
épilepsie
; 2° faits relatifs à l'état de mal épilep- tiqu
s à l' hystéro-épilepsie et à l'hys- térie. A. Faits relatifs à l'
épilepsie
. S'appuyant d'une part sur ce fait que le nitri
de la tête et d'autre part sur cette hypothèse qu'il existe dans l'
épilepsie
une contraction des vaisseaux de l'encéphale, M
t qu'il n'était possible de l'administrer que : 1° dans les cas d'
épilepsie
avec aura, c'est-à-dire annoncés par certains p
ont conduit à se servir du nitrite d'amyle dans le traitement de l'
épilepsie
. L'observation clinique a justifié ces prévi- s
par un léger vertige. Puis survint une série de véritables accès d'
épilepsie
, toujours précédés des mêmes convulsions locale
s d'intervenir avant la perte de connaissance. Observation III. -
Epilepsie
remontant à 7 ans. - Aura : .' sensation de con
ublié un remarquable mémoire sur l'emploi du nitrite d'amyle dans l'
épilepsie
. Lui aussi a été guidé par l'étude des propriét
logiques du nitrite d'amyle et par la physiologie pathologique de l'
épilepsie
. Il a pensé, de plus, à opposer à la pâleur, qu
chton Browne. Il fut donc amené à essayer le nitrite d'amyle dans l'
épilepsie
. Il avait échoué dans une tentative antérieure
tenir en bride les accès, c'est limiter le pouvoir destructeur de l'
épilepsie
. » il. Crichton Browne se mit en conséquence à
l. Crichton Browne se mit en conséquence à la recherche des cas d'
épilepsie
avec aura. Malheureusement et l'on est à la Sal
on des con- vulsions. Voici l'abrégé de ce cas. Observation IV. -
Epilepsie
, - Irritabilité extrême. Accès fréquents ; pas
tidienne de nitrite d'amyle. - Amélioration. , Elisa W... 27 ans.
Epilepsie
datant d'un an environ, lors de l'entrée à l'as
est beaucoup plus satisfaisant qu'il y a 6 mois. Observation V. -
Epilepsie
remontant à 18 ans ; aura ; nitrite d'amyle ; a
'amyle. Amélioration remarquable. Observation XVI. Homme, 53 ans. L'
épilepsie
est sur- venue il y a un an ou deux sans cause
ribution dans le traitement de cette redoutable com- plication de l'
épilepsie
. . B. Faits relatifs ci l'état de mal épileptiq
mbre des accès (Crichton Browne, loc. cit.) Hélène C : i. 48 ans.
Epilepsie
remontant à une douzaine 92 RECHERCHES THERAPEU
e moment, il ne survint plus au- cune attaque. Observation XVIII.
Epilepsie
; accès de furie. -Etat de maul él)ile,vlique :
tes les traces de l'état de mal s'éva- nouirent. Observation XIX.
Epilepsie
; excitation. - Etat de mal : aucune lueur de co
nnaissance. (CRICHTON BROwNE, loc. cit.) Jean W..., 50 ans. Accès d'
épilepsie
avec excitation mania- que d'abord, puis stupeu
toutes les trois heures. Guérison de l'état de mal. Observation XX.
Epilepsie
; accès fréquents, suivis de dé- lire. - Etat de
e manière définitive. Les effets du nitrite d'amyle sur les accès d'
épilepsie
avec aura pouvaient déjà faire deviner son effi
réglée, bien qu'elle soit grande et forte, est atteinte d'hystéro-
épilepsie
avec hyperesthésie ovarienne- et hémianesthésie d
une première éva- cuation. 102 L) RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. l'
épilepsie
. Le 18 mai 1875, tandis qu'elle était en pleine a
ires. La malade reprit rapidement connaissance. Observation XXIX.
Epilepsie
partielle et crises hystériques. Nitrite d'amyl
aps de temps assez court. 7° Le nitrite d'amyle a sur les accès d'
épilepsie
ou sur les attaques d'hystérie et d'hystéro-épi
C'est ce qu'il nous est impos- sible de décider. III Hystéro -
Epilepsie
. Variétés de la contracture hystérique passagè
n portants. ANTÉCÉDENTS HÉRÉDITAIRES ET PERSONNELS. 29 Ons. II. -
Épilepsie
suivie de démence. ' Sommaire. - Père d'une int
ignements insuffisants sur les deux familles. Pas de convulsions. -
Epilepsie
iL 3 a ? is à la suite d'une frayeur. - Modific
é à 20 mois, a marché et a été propre à 2 ans. Pas d'acoidents 30
Epilepsie
; démence consécutive. nerveux, pas d'accidents
ie. - Mésen- tère vascularisé. - Ganglions mésentériques normaux.
Épilepsie
; démence. 33 Tête. Os de crâne normaux; pas d'
re paternel, grand père et grand'mère maternels, paralysés. II. L'
épilepsie
, qui aurait été occasionnée par une frayeur, se
e cérébral gauche est moins long BOURNEVILLE, Bicêtre, 1897. 3 34
Épilepsie
; démence. et pèse moins que l'hémisphère céréb
Cruveilhier.- Traité d'anat. pathol. générale, t. m, p. 19. III.
Epilepsie
due à l'onanisme ; Démence consécutive État de
équences extrêmement graves sur l'intelli- gence et peut produire l'
épilepsie
. Sommaire. Père, rien de particulier. Grand-pèr
arche et parole a 18 mois. Onanisme à partir de 4 ans. - Début de l'
épilepsie
à 5 ans et 9 mois; accès d'abord nocturnes semb
ar- lait constamment de sa bichette ». A 5 ans et 9 mois débute l'
épilepsie
sans cause connue, si ce n'est, dit la mère, qu
5 mois, en avril 188U. A ce moment, il avait un accès toutes les
Épilepsie
. 37 nuits et fut traité par le bromure de potas
Jusqu'à 4 ans l'enfant aurait été normal. Alors 40 Onanisme suivi d'
épilepsie
. débutent les habitudes d'onanisme qui auraient
udes d'onanisme qui auraient été très répétées et ont été suivies d'
épilepsie
vers 6 ans. III. D'abord nocturnes, les accès s
ments et bientôt, comme cela se voit si souvent, en pareil cas, l'
épilepsie
s'est compliquée d'un affaiblissement rapide de
troisième à une porencéphalie vraie. Observation I. - Idiotie et
épilepsie
symptomatiques de pseudo- porencéphalie unilaté
rigoureuse et complète. - VI. Alcoolisme; hémiplégie gauche et
épilepsie
consécutives. Sclérose atrophique; pachyméningi
ques sont épaissies dans une certaine mesure. VII. Imbécillité et
épilepsie
symptomatiques d'un arrêt de développement lége
convulsions survenues à diverses reprises de 7 à 10 mois. III. L'
épilepsie
a débuté à 8 ans, par des vertiges se manifesta
bien plus accusé, sur le crime des épileptiques. VIII. Idiotie et
épilepsie
symptomatiques de sclérose atro- phique des deu
bre. - Accès épileptiforme, sur lequel, malheu- IDIOTIE COMPLÈTE ET
épilepsie
. 101 reusement, manquent les détails. Pas d'aut
d oncle et chez les deux oncles paternels; l'idiotie compliquée d'
épilepsie
chez un cousin-germain du même côté. Nous n'avo
aines. C'est à eux que se rattachent indubitablement les IDIOTIE,
ÉPILEPSIE
, ENTÉRITE CHRONIQUE. 109 graves lésions destruc
diotie profonde dont était atteinte la malade et, ultérieurement, l'
épilepsie
, la « bête noire » des idiots. V. L'épilepsie
, ultérieurement, l'épilepsie, la « bête noire » des idiots. V. L'
épilepsie
n'a paru qu'au début de la huitième année et du
si grave du mal comi- tial. Observation I. - idiotie complète et
épilepsie
. Etat de mal; élévation considérable de la temp
G0-NCrPIiAI.IT. 133 Tableau du poids et de la taille. - " - ' 134
Épilepsie
: autopsie. du cerveau (n. optiques, n. olfacti
tubérance et le bulbe ne présentent rien de particulier. IDIOTIE et
épilepsie
. 135 considérés comme devant faire craindre des
es d'accès puis de vertiges épileptiques. IV. Ici, l'idiotie et l'
épilepsie
paraissent concomit- tantes et reconnaître la m
liée en 1881 avec notre ami le Dr Bonnaire (1). VI. Chez Sch... l'
épilepsie
se présentait sous forme d'accès et de vertiges
l'accès épileptique, la température s'élève. (Fig. 6). Ons. II. -
Epilepsie
idiopathique; accès sériels; - état de mal; mor
nt la grossesse. Pas de convul- sions dans le jeune âge. Début de l'
épilepsie
à 13 ans. Excès de boisson à 1'1 ans. Caractère
ants. - Il était très-inlelligent, assure-t-on, avant le début de l'
épilepsie
h l'âge de 13 ans (novembre 1892). La mère attr
cès; température. ' Température des 6 premiers jours de l'entrée.
Épilepsie
ET démence progressive. 14 accès, Deb... ne rev
- Poids : 29 kg. 800. Tableau des accès durant l'état de- mal.
Epilepsie
: crâne et cerveau. 115 Autopsie faite 41 heure
, etc., sont symétriques. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1397. 10 1 Hi .
ÉPILEPSIE
: cerveau. Cerveau. Les circonvolutions paraiss
et la on note des taches ayant une colo- ration chair de saumon.
Epilepsie
: cerveau. 147 Lobe pariétal. - Rien de particu
- ment des lésions cérébrales aboutissant à l'idiotie ou même à l'
épilepsie
. Chez notre malade, l'autopsie n'a décelé aucun
son père, l'enfant, jusque-là normal, assurc-t-on, a été atteint d'
épilepsie
à 13 ans. Un an plus tard, à la suitc d'excès d
n de la température centrale dans les accès d'épi- lepsie. VII. L'
épilepsie
, chez Deb ? s'est compliquée de démence, empira
on des traits, amaigrissement, contractures variables, etc. XI.
Épilepsie
consécutive à une fièvre typhoïde ; PAR nOU1\NE
yphoïde à 3 ans. Convulsions deux mois après. Début consécutif de l'
épilepsie
. - Description du malade à l'entrée (août 1S !
nés- ou épilepti- ques, ni paralytiques ou apoplectiques, etc.] :
Epilepsie
d'origine infectieuse. 153 l\I1;I\E, couturière
initial..lamais de paralysie après les accès. Avant le début de l'
épilepsie
, il était intelligent, avait une bonne mémoire,
le des Heurs, les rouges de préférence, en orne sa casquette, 156
Épilepsie
d'origine infectieuse. ses vêtements et parait
il elle monte le matin il 39°, 1 et descend, le soir, il 38". 158
Epilepsie
d'origine infectieuse. DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 159
et à l'alcoolisme nous n'avons rien d'important à relever. II. L'
épilepsie
. (et ses suites) parait avoir, dans ce cas, pou
aux, d'oit sclérose et arrêt de développement des circonvolutions ;
épilepsie
déterminant une déchéance progressive de l'inte
ée : lie l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. Paris, 1881. XII. Idiotie complète congénita
. - Au dire du veilleur, D... aurait eu pendant la nuit, un accès d'
épilepsie
; il n'en avait jamais eu avant, il n'en a jamai
(J.). De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. BOURNEVILLE. - Contribution a
). - Étude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8° de 5Gp. Th.de Paris. Hurlé (M.). Recherc
e Paris. Hurlé (M.). Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Morlot (E.). - Sur une forme g
'épilepsie. Thèse de Paris. Morlot (E.). - Sur une forme grave de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. COULBAUT (G.). - Des lésions
de Paris. COULBAUT (G.). - Des lésions de la corne d'Ammon dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1882. BpicoN (L.). Du traite
'épilepsie. Thèse de Paris. 1882. BpicoN (L.). Du traitement de l'
épilepsie
: Hydrothéra- pie. - Arsenicaux. Magnétisme min
ine. - Curare, etc. Thèse de Paris. Roux (G.-L.). - Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
par le bromure d'éthyle. Thèse de Paris. WUILLAMIER (Th.). - De l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spasmodique infantile. Thèse
et arriérés. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). - Traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. (Iottschalk (A.). Valeur de l'
luence de la consan- guinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse. de Paris. 1891. ROLLIER (P.). - Psy
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET ' - ' L'IDIOTIE PUBLICATIONS
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTéRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
nes de ces malades, on mettrait en évidenco les modifications que l'
épilepsie
, par exemple. a pu déterminer chez elles durant
renvoyé un certain nombre de malades qui n'avaient plus d'accès d'
épilepsie
depuis un temps plus ou moins long. On ne peut
croire que les exemples analogues sont très rares. 24 IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
. Observation. Père alcoolique ? Frayeur au 5e m
la naissance. Convulsions fréquentes à partir du 2e jour. Hernie. -
Epilepsie
. Scrofule. - Troubles de la digestion pendant l
ce du traitement. - Disparition des accès de jeûne et des accès d'
épilepsie
. Duf... Arthur, est entré à Bicêtre le 4 septem
s du choléra en 1849. - Soeur morte à G ans, elle avait des accès d'
épilepsie
. Neveu sourd-muet, intelli- gent.] Il va de soi
it eu 4 ou 5 autres, se montrant préférable- ment après des accès d'
épilepsie
qui étaient, d'ailleurs, rares. Le plus long je
de fréquentes ophthalmies. Ni vers, ni ona- nisme. zig IDIOTIE ET
épilepsie
. D... est affectueux ; quand ses parents vienne
st que le dernier jour que nous avons réussi. - D... a eu 3 accès d'
épilepsie
le 2 oc- tobre et n'en a pas eu dans le reste d
priété, ne veut se servir que de son gobelet et de la 28 IDIOTIE ET
épilepsie
. balançoire qu'il a distinguée. Il prend du lai
ui était de 1m12, est maintenant de lmlG. Il avait eu 118 accès d'
épilepsie
en 1877, et 76 en 1878; il n'y en a eu que 34 e
ire. Notons que, grâce aux soins dont il est l'objet, les accès d'
épilepsie
et les jeûnes ont disparu : il n'en a pas eu un
ervice de M. Bour- NVILLl;) le 26 novembre 1879, pour des « accès d'
épilepsie
» 32 IIYSTÉRO-ÉPIL.EPSIE. Antécédents. (Rensei
eule période épileptoïde main- tcs fois enregistrée pour un accès d'
épilepsie
ordinaire. Il est vraisemblable que certains ma
l'action physiologique et thérapeutique du bromure d'Éthyle dans l'
épilepsie
; Par BOURNEVILLE et d'OnER. Le bromure d'éth
loyés pour combattre les accidents convulsifs de l'hystérie et de l'
épilepsie
; malheureuse- ment, si, grâce à ces médicaments
lusieurs reprises au moment même d'attaques d'hystérie ou d'accès d'
épilepsie
. Ainsi ont été réalisées environ cinq cents exp
- Le Bromure d'éthyle. (3) Bourneville. - Rec. clin, et Hier, sur l'
épilepsie
et l'hysté- rie. 1876. ('1) Bourneville et Hc
2° action sur les attaques d'hystérie ; 3° action sur les accès d'
épilepsie
; 4° action sur l'épilepsie. I. Propriétés phys
d'hystérie ; 3° action sur les accès d'épilepsie ; 4° action sur l'
épilepsie
. I. Propriétés physiologiques. - L'action physi
ppey. - Anal. descriptive, t. I, p. 3'2. ACTION SUR L'HYSTÉRIE ET L'
ÉPILEPSIE
. 53 passage rapide du clownisme au délire. Nous
nu à lui était capable de marcher seul. III. Action sur les accès d'
épilepsie
. - L'adminis- tration du bromure d'éthyle au mo
e le bromure d'éthyle exerce une action certaine sur la marche de l'
épilepsie
. Nous devons en terminant cette note indiquer c
ral facilement arrêtées avec le bromure d'éthyle ; 8° Les accès d'
épilepsie
peuvent quelquefois être en- rayés en donnant l
nique ; le plus souvent l'inhalation reste sans effet ; 9° Dans l'
épilepsie
, l'emploi régulier du bromure d'éthyle, adminis
deux mois, diminue très notablement la fréquence des accès. VI.
Epilepsie
, délire, idées de suicide; mort par érysipèle de
puis, la respiration devient fréquente et stertorcusc et l'accès
épilepsie
; délire. 57 se termine au bout de 5 à 10 minute
quées. Oreilles régulières, mais un peu asymétriques; l'ourlet 58
épilepsie
; démence. descend beaucoup moins bas à gauche q
elle de l'hémisphère cérébral gauche. Hémiplégie droite. - Idiotie,
épilepsie
jacksonienne à forme hémiplégique.- Mort en éta
aucun signe précurseur, et duraient plusieurs secondes. IDIOTIE ET
épilepsie
partielle. 63 D'autres fois, l'enfant présentai
lument distinguées des secousses du début de la phase clonique de l'
épilepsie
: outre que le membre où elles se produisent n'
e moins que dans le mois de juin 1879. Plusieurs fois des accès d'
épilepsie
, survenus au moment des visites, avortèrent grâ
tout au point de vue de la forme qu'ont affectée les symptômes de l'
épilepsie
considérés dans leurs rapports avec la lésion.
rapports avec la lésion. On admet généralement que, dans les cas d'
épilepsie
partielle où il existe des lésions des centres
mal qui ne diffère pas notablement de l'état de mal qui complique l'
épilepsie
vulgaire. Rappelons aussi, avec notre maître, q
p. 391.) D'OLIER (I-I.). - De la coexistence de l'hystérie et de l'
épilepsie
, avec manifestations distinctes des deux névros
). - Étude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8" de 56 pages. Séglas (J.).-De l'influence
(J.).-De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. In-8' de 56 pages. Ces trois thèses ont été fa
nés, 2 fr. 50. Deuxième fascicule : Urémie et éclampsie puerpérale;
épilepsie
et hystérie. Paris, 1873. In-8 de 160 pages, avec
s, 2 fr. 50. - Deuxième fascicule : Urémie et éclampsie puerpérale;
épilepsie
et hystérie. Paris, 1873. Tn-8 de 160 pages, avec
ée post-hémiplégique; Paraplégies urinaires; - Vertige de Ménière ;
Epilepsie
partielle d'origine syphilitique;-Athétose;-Appen
pages. - Prix, pour nos abonnés 50 cent. DELASIAUVE. Traité de l'
épilepsie
. Un gros volume in-8 de 560 p3ges. - Prix : 3 f
GLAS. De l'influence des maladies intercurrentes snr la marche de l'
épilepsie
. Un vol. in-8° de 60 pages. Paris, 1881.- Prix :
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE BENDXJ DU SER
ns \\2. . 13ansli2. . 15 ans. Idiotie, gâtisme. Idiotie, gâtisme,
épilepsie
. Idiotie profonde, hémiplégie droite, épilepsie
Idiotie, gâtisme, épilepsie. Idiotie profonde, hémiplégie droite,
épilepsie
, athétose. 29 mars. 4 juillet. 7 juillet. Cac
ée à l'hôpital Trousseau. Marand . 8 ans 1[2. Idiotie, gâtisme,
épilepsie
. 15 sept. État de mal. Méningo-encéphalite
lité ; légère atrophie musculaire des membres infé-rieurs. Idiotie,
épilepsie
, gâtisme. Idiotie. Idiotie, gâtisme, épilepsi
rieurs. Idiotie, épilepsie, gâtisme. Idiotie. Idiotie, gâtisme,
épilepsie
. Idiotie, gâtisme. Imbécillité prononcée. Idi
-tinctives. Imbécillité, incontinence noc-turne d'urine. Imbécillité,
épilepsie
. Imbécillilé, maladie de Little Imbécillité,
e vio-lence envers les enfants. Imbécillité prononcée. Imbécillité,
épilepsie
. Idiotie, gâtisme. Imbécillité, fugues. Imbéc
Imbécillité, perversions def instincts. Idiotie, scaphocéphalie.
Épilepsie
non constatée à lf Fondation. Idiotie, gâtisme,
mbécillité, niaiserie. Idiotie, nanisme, hydrocé-phalie. Idiotie,
épilepsie
, gâtisme, paraplégie. Imbécillité, épilepsie, m
océ-phalie. Idiotie, épilepsie, gâtisme, paraplégie. Imbécillité,
épilepsie
, manies multiples. Arriération, intellectuelle,
otie, gâtisme, paraplégie. Idoitie, gâtisme, paraplégie. Idiotie,
épilepsie
, hémiplégie gauche. Imbécillité, fugues. Entr
nous avons eu des résultats excel-lents, quelquefois des guérisons d'
épilepsie
. Personnel. — Il a été composé en 1906 d'un méd
ans .— Son certificat d'admission la signalait comme étant atteinte d'
épilepsie
. Elle n'a pas eu d'accès pendant les 1 mois qu'el
er de sensibles progrès, d'au-tant plus que l'enfant était atteinte d'
épilepsie
avec fréquents vertiges. Malgré toutes ces mauvai
I. Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
; Fah bournevilt.e. Cotte statistique a été r
s dont la maladie : idiotie, imbécillité, perversions morales, folie,
épilepsie
, peut être attribuée à l'alcoolisme des parents.
« Décédée à l'hôpital Trousseau. Maran.......9anslj2. Idiotie et
épilepsie
. 4 grs. « Ib........... 13 ans l.|2 Idiotie, gâ
par des convulsions por-tant sur le côté droit. Signes de méningite.
Epilepsie
. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et méni
à 2 ans. — Impétigo. — A3 a?is, secondes convul-sions ; coqueluche-;
épilepsie
; accès et vertiges. Mar.... (Marcelle), née à P
ises accusées en janvier auraient été plutôt des convulsions que de l'
épilepsie
franche, elles ont eu lieu dans la même journée e
les ont eu lieu dans la même journée et ont été suivies de sommeil.
Epilepsie
; tableau des accès et des vertiges. 1900 11)01
e plus rien jusqu'en juillet 1900 époque à la-quelle paraît débuter l'
épilepsie
. MOIS. La malade n'a pas présenté d'accès en
nts. III. — En janvier 1900, l'enfant, qui n'avait pas eu d'accès d'
épilepsie
chez elle a une sorte d'état convul-sif; l'épilep
pas eu d'accès d'épilepsie chez elle a une sorte d'état convul-sif; l'
épilepsie
véritable semble débuter en juillet, par un accès
erdre lepeu d'intelligence qu'elle pos-sédait. IV. — La marche de l'
épilepsie
a été grave. Les ac-cès et les vertiges ont été n
at de mal épileptique, nous le rap-pelons, est une complica-tion de l'
épilepsie
carac-térisée par des accès su-binlrants, variant
t dû à M. Nolan. L'article est intitulé : « Idiotie microcéphalique ;
épilepsie
; asymétrie cérébrale; microgyrie ; cuir chevelu
u sug-gestif d'atavisme. » « Il s'agit d'un homme de 41 ans, mort d'
épilepsie
le 22 décembre 1902. « Son apparence physique,
(j.). — De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. Thèse do Paris. 1881 Pudel-Saillard (G.). —
G.). — Etude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8° de 56 p. Th. de Paris. Hudlé (M.). — Rec
e Paris. Hudlé (M.). — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Monobromure de camphre, bromure de zinc, de sodi
d'arsenic. Thèse de Paris. Morlot (E ). — Sur une forme grave de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Coulbaut (G.). — Des lésions d
e de Paris. Rellay (P.). — Essai sur le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1899. Cestan (R.). — Le synd
e Paris. Le Duigou (E.). — Contribution à l'étude du pronostic de l'
épilepsie
chez les enfants. Thèse de Paris. Haslé (L.). —
Paris. Haslé (L.). — Du bromure de camphre dans le traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1900. Bourneville. — De l'An
llet (Th.). — Etude du rôle de la consanguinité dans l'éliologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'im-bécillité
'im-bécillité. Thèse de Paris. 1901. Pareur (P). — Purpura dans l'
Épilepsie
. Thèse de Paris. Robin (E.). — Contribution à l
Esménard (J). —Contribution à l'élude du Phénomène des orteils dans l'
Épilepsie
. Thèse de Paris. Le Roux (Henri). — De l'emploi
des con- vulsions portant sur le côté droit. Si-gnes de méningite.
Epilepsie
. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et mè-
n liberté en raison du respect dont les Arabes les entourent; 21° l'
épilepsie
, dont laforme maniaque estla plus commune, s'ac
liyperexcitabilité des réflexes tendineux, hypertermie, attaques d'
épilepsie
jackso- nienne de plus en plus précipitées avec
rieures prises chez deux malades tués par des accès subintrants d'
épilepsie
, chez deux personnes, paraparétiques comme les pr
aurait ren- contré chez son sujet une affection grave et ignorée, l'
épilepsie
par exemple, il aurait néanmoins publié l'obser
es sont fermées ; 14 asiles d'aliénés. 4° De traiter chaque cas d'
épilepsie
par les méthodes scienti- fiques les mieux expé
a établi un centre de recherches cliniques et patholo- giques sur l'
épilepsie
. (Annales médico-psycholoyiques, août 1896.) E.
it ans, héréditaire, alcoo- lique chronique, ayant de rares accès d'
épilepsie
, séquestrée depuis 1887. Léger affaiblissement
E MÉDECINE. Séance du 26 janvier 1897. UN stigmate permanent DE l'
épilepsie
; par MM. MAIRET et VIRES (de Montpellier). L'
anent DE l'épilepsie; par MM. MAIRET et VIRES (de Montpellier). L'
épilepsie
est une maladie qui est volontiers simulée dans s
importe à quel moment et quelle que soit la forme revêtue par elle,
épilepsie
convulsive, épilepsie larvée. Leurs recherches
et quelle que soit la forme revêtue par elle, épilepsie convulsive,
épilepsie
larvée. Leurs recherches leur ont montré : A.
sont constants constituent ainsi un stig- mate permanent propre à l'
épilepsie
, stigmate dont la connaissance est de la plus g
il fournira un signe conducteur pour l'étude encore si obscure de l'
épilepsie
larvée. PRIX DE 1896. Prix Baillarger, 2,000
(annuel). Ce prix sera décerné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'
épilepsie
et les maladies nerveuses. L'Académie a reçu ci
(annuel).-Ce prix sera décerné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'
épilepsie
et les maladies nerveuses. Prix Orfila, 2,000
(annuel). Ce prix sera décerné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'
épilepsie
et les maladies nerveuses. Prix Lefèure, 1,80
lysie vaso-motrice. III. CONTRIBUTION A l'étude DE l'étiologie DE l'
épilepsie
; par 13ESSIGRE. L'hérédité nerveuse ou vésani
par 13ESSIGRE. L'hérédité nerveuse ou vésanique n'intervient dans l'
épilepsie
que comme une cause prédisposante; elle manque
similaire est assez rare. Il n'y a pas d'é- pilepsie essentielle. L'
épilepsie
n'est qu'un syndrome clinique qui peut être sou
Nocera-Inferiore, 1896. - Tipograiia del Manicomio. Voisin. (J.) L'
Épilepsie
. Volume in-8o de 420 pages. Prix : 6 fr. Paris,
SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE : IDIOTIE, HÉMIPLÉGIE DROITE ET
ÉPILEPSIE
CONSÉCUTIVES; Par BOURNEVILLE. SOMMAIRE. - Pè
et idiotie consécutives. Convulsions pendant trois mois. Début de l'
épilepsie
à 13 ans et demi. Description du malade. Impuls
rentrée » contre un voisin, il eut dans la nuit un premier accès d'
épilepsie
, avec prédominance des convulsions dans le côté p
btient par- fois, sur les deux membres inférieurs, des phénomènes d'
épilepsie
spinale. Pourtant il n'y a pas de phénomènes du
liée dans la thèse de l'un de nos internes, le D' \i'uillamié (De l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spasmodique infantile, 1882).
eu pour conséquence : 1° l'i'diotie; 2° l'hémiplégie droite; 3° l'
épilepsie
. Les lésions, sur lesquelles nous reviendrons t
diate l'hémiplégie et l'idiotie, et pour conséquence ulté- rieure l'
épilepsie
. 1° L'hémiplégie occupait les membres du côté d
était traduite cliniquement par l'état de mal convulsif, a débuté l'
épilepsie
. Dans les accès, les convul- sions prédominaien
nvul- sions prédominaient du côté paralysé. Selon la règle dans l'
épilepsie
hémiplégique sauf celle qui reconnaît pour caus
u syndrome clinique : état de mal convulsif, hémiplégie et idiotie,
épilepsie
. La descrip- tion que nous avons tracée, les Pl
ns traumatiques récentes, lorsque des symp- tômes d'irritation et d'
épilepsie
sont provoqués par la compression, les opératio
tion grave que l'on observe souvent avant et après les attaques d'
épilepsie
. Sauf le cas d'extrême excitation ou de maladie
ns et des artisans cèdent promptement à la suggestion. La chorée, l'
épilepsie
, la paralysie agitante lui sont rebelles, bien qu
DE IIiUSGRAVE CLAY. XII. LE traitement médical ET CHIRURGICAL DE l'
épilepsie
; par Fre- derick PETERSON. (New-YoJ'k Médical
édicaments que l'on peut appeler classiques dans le traitement de l'
épilepsie
pour étu- dier de préférence les nouveaux agent
tort de mépriser. Les traitements chirurgicaux préconisés contre l'
épilepsie
dans ces dernières années forment deux groupes
19 En ce qui touche les opérations ayant pour but de remédier à l'
épilepsie
réflexe, l'auteur demande seulement qu'on veuille
e bien ne pas perdre de vue les trois propositions suivantes : 1° L'
épilepsie
réflexe est tellement rare qu'elle ne dépasse c
ortion de un ou deux cas sur mille. 2o Dans les cas chroniques où l'
épilepsie
est réellement de cause réflexe, l'habitude convu
suivantes : 1° Dans environ un pour cent de la totalité des cas, l'
épilepsie
a pour cause originelle une lésion de la tête.
datant de la premtère enfance, et don- nant naissance, en plus de l'
épilepsie
, à des degrés variables, à de la paralysie, à d
s cas'. R. de 111USGItAVG CLAY. 1 Dans la grande majorité des cas d'
épilepsie
où la craniectomie a été pratiquée et qui sont
tats séniles avec prterio-sclérose et signes paralytiques, de cas d'
épilepsie
ancienne. Aussi M. Phelps serait-il d'avis d'ét
rès partagés sur les causes de l'amok. Les uns y voient une sorte d'
épilepsie
larvée : mais l'épilepsie est très rare dans ce
s de l'amok. Les uns y voient une sorte d'épilepsie larvée : mais l'
épilepsie
est très rare dans ces régions, et, de plus, le
ion antérieure (alcool, morphine), ou d'une maladie (somnambulisme,
épilepsie
, hystérie) ; 4° perversions sexuelles; 5° absen
e pas suffisam- ment justifié. R. DE MUSGRAVE CLAY. XLVIII. Sur l'
Epilepsie
diabétique (acétonémique) ; par Ge01';e-V. JAco
. JAcoBy. (New-Yo1'k Médical Journal, 9 novembre 1895.) Les cas d'
épilepsie
diabétique ne sont pas communs ; l'auteur a pu
sont pas communs ; l'auteur a pu en observer trois, dans lesquels l'
épilepsie
était purement dia- bétique : dans l'un d'eux i
s et s'attache à démontrer que chez les malades qu'il a observés, l'
épilepsie
rele- vait bien réellement et bien exclusivemen
e à l'acétonémie. Il insiste en terminant sur ce fait que les cas d'
épilepsie
acétonémique viennent puisamment à l'appui de l
nent puisamment à l'appui de l'opinion suivant laquelle l'attaque d'
épilepsie
ne serait autre chose qu'une intoxication aiguë
ogie qui existe entre beaucoup de cas de convulsions urémiques et l'
épilepsie
rapprochée des notions précises que nous posséd
s possédons sur la nature auto-toxique de l'urémie, enfin les cas d'
épilepsie
acétonémique sont autant de faits qui tendent à
tonémique sont autant de faits qui tendent à rétrécir le cadre de l'
épilepsie
idiopathique et à élargir celui des épilepsies
pathologie légale, 1897, l. XXIX, nO 1, p. 78-88.) Tous les cas d'
épilepsie
peuvent être divisés en deux groupes principaux
s cas d'épilepsie peuvent être divisés en deux groupes principaux :
épilepsie
idiopathique, ou essentielle, ou médullaire, et
ncipaux : épilepsie idiopathique, ou essentielle, ou médullaire, et
épilepsie
symptomatique ou corticale; seul le premier group
ymptomatique ou corticale; seul le premier groupe comprend la vraie
épilepsie
, dans le deuxième n'entrent que les accès épile
le deuxième n'entrent que les accès épileptiformes. Les causes de l'
épilepsie
vraie sont nom- breuses, l'hérédité est une des
asionnelles dans la grande majorité des cas, de même que l'âge. L'
épilepsie
sénile, c'est-à-dire l'épilepsie débutant après s
rité des cas, de même que l'âge. L'épilepsie sénile, c'est-à-dire l'
épilepsie
débutant après soixante ans, n'est pas rare; el
ocs moraux, les maladies cérébrales, etc. Les manifestations de l'
épilepsie
sénile revêtent tantôt la forme du grand mal, t
affaiblissement de l'attention, de la mémoire, de l'intelligence. L'
épilepsie
sénile est souvent accompagnée d'insomnie, de ver
e ne différent en rien de ce que présente sous les mêmes rapports l'
épilepsie
des enfants. Les deux cas rapportés par l'auteu
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 363 rasthénie et l'
épilepsie
sont de véritables maladies constitution- nelle
ies auxquelles se rattachent ces pseudo-paralysies générales sont l'
épilepsie
, l'alcoolisme, l'intoxication saturnine, les fi
de la langue. Hésita- tion de la parole. Exagération des réflexes.
Epilepsie
spinale. Mort dans le marasme paralytique. '
idence de M. Laehr. M. Vogelgesang (\Vuhlarlen). Le traitement de l'
épilepsie
par le sérum. - L'auteur a entrepris des expéri
repris des expériences sur l'action thé- rapeutique du sérum dans l'
épilepsie
, à l'asile municipal d'épilep- tiques de Berlin
uricine », et qui considère celle-ci comme un remède utile contre l'
épilepsie
, la : neurasthénie, le tabès et la chorée. Le D
muth (Stuttgart), lit un rapport sur les troubles psy- chiques de l'
épilepsie
au point de vue du droit criminel. L'auteur n'e
psychique du sujet, des indications qui démontrent l'existence de l'
épilepsie
? - 3° Quels ren- seignements peut fournir l'an
les premiers étudié consciencieusement les troubles psychiques de l'
épilepsie
; puis vinrent les travaux de Grie- singer, de S
o et de son école, qui élar- gissent considérablement le cadre de l'
épilepsie
n'est plus admise. Il en est de même de la conc
n est de même de la conception de Meynert, qui voulait séparer de l'
épilepsie
les psychoses épileptiques et plus spéciale- me
rmi les divers troubles dits épileptiques il faut distinguer : 1° l'
épilepsie
vraie, caractérisée par des accès périodiques de
tions chroni- ques (alcool, plomb). SOCIÉTÉS SAVANTES. 387 3° L'
épilepsie
corticale ou jacksonienne, par lésion en foyer de
anent. Cette forme ne s'accompagne pas de folie épileptique. 4° L'
épilepsie
réflexe, par excitation périphérique (cicatrices)
L'épilepsie réflexe, par excitation périphérique (cicatrices). 5° L'
épilepsie
consécutive à lapolioencéphalite de l'enfance (fo
folie épileptique comme assez rare par rapport à la fréquence de l'
épilepsie
. Existe-t-il des psychoses épileptiques transit
avec les accès. Au point de vue médico-légal, il faut savoir que l'
épilepsie
peut débuter par un accès de délire (9 cas sur
ensitissou sensoriels, doit même faire penser qu'il ne s'agit pas d'
épilepsie
vraie, mais d'hystérie ou de complication d'hys
épilepsie vraie, mais d'hystérie ou de complication d'hystérie avec
épilepsie
, ou encore d'épilepsie symtomatique. W. a tro
'hystérie ou de complication d'hystérie avec épilepsie, ou encore d'
épilepsie
symtomatique. W. a trouvé des tares héréditaire
p. 100). Pour ce qui est des causes directes, l'examen de 189 cas d'
épilepsie
vraie donne les résultats sui vants : 390 SOCIÉ
o-légal. Tous les cas de folie transitoire doivent faire penser à l'
épilepsie
, mais il est parfois difficile de mettre celle-
u soupçonné d'épi- lepsie, il faudra diagnostiquer l'existence de l'
épilepsie
, démontrer qu'il s'est produit des troubles psy
rès certains états de confusion, et qui constituait le seul signe d'
épilepsie
. M. TaczEK fait remarquer que certaines concept
f des psychoses épileptiques, maintient son avis sur la rareté de l'
épilepsie
alcooli- que dans l'Allemagne du Sud. Comme Kra
e ce souvenir. Pour démontrer devant le tri- bunal l'existence de l'
épilepsie
, surtout dans les cas d'équivalents psychiques
Contraire- ment à la remarque du rapporteur, Siemerling considère l'
épilepsie
alcoolique comme très fréquente. La moitié des
M. STARK demande si M. Siemerling a observé, à la Charilé, que l'
épilepsie
alcoolique se produisait de préférence chez les b
'état de la mémoire daus les formes d'obnubilation transitoire de l'
épilepsie
: la persistance du souvenir peut varier d'une
ts toxiques résultant du.dé- doublement de l'alcool. Le délire et l'
épilepsie
alcooliques sont plus rares chez les buveurs de
spécialement les épilep- tiques à ce point de vue. M. FuRSTNEn. L'
épilepsie
alcoolique ne doit pas être séparée, quant à sa
lepsie alcoolique ne doit pas être séparée, quant à sa nature, de l'
épilepsie
vraie. Sa fréquence dépend des boissons consomm
e de démon- trer l'existence d'attaques, de vertiges pour prouver l'
épilepsie
; de simples anomalies de l'humeur ne peuvent se
rentiels nets entre les manifestations de l'hystérie et celles de l'
épilepsie
. D'accord avec Oppenheim et Bruns, Fürstner ne
ces sujets. Le fait peut servir au diagnostic entre l'hystérie et l'
épilepsie
. M. Siemerling signale l'existence de l'hystéri
thérapeutique souverain consiste dans l'isole- ment. Dans les cas d'
épilepsie
tardive qu'il a observés, les mala- dies infect
aliénés et sur des sujets présentant des équivalents épileptiques (
épilepsie
psychique), l'analgésie à la pression du cubita
organisme des poisons du tube digestif. J. \. IX. De la nature de l'
épilepsie
; par F. HALLAGER. (Paris, Société d'éditions s
établir la théorie de l'anémie. On ne peut plus aujourd'hui dire l'
épilepsie
, mais bien les épilepsies. Or, les épilepsies p
ngendrent les mêmes phénomènes postépileptiques. D'autre part cette
épilepsie
idiopathique, qui perd de jour en jour de son i
t l'irritation amène aussi la vaso-constriction même en dehors de l'
épilepsie
; 4° que cette vaso-constriction peut être prod
critique savante. En s'appuyant sur un tableau raisonné de 70 cas d'
épilepsie
symptomatique et de 46 cas d'épilepsies réflexe
e connaissance. Enfin s'il n'est pas abso- lument prouvé que dans l'
épilepsie
réflexe une irritation périphé- bibliographie.
t sur l'expérimentation. En résumé, quelle que soit la variété de l'
épilepsie
, l'anémie provocatrice de l'attaque est toujour
'ordre du jour. A) Neurologie : - I. Le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Ses indications et ses consé- quences. Rapport
l n'eut aucune affection ; à ce moment il prit une première crise d'
épilepsie
(tremblement convulsif des membres, perte de co
oxysmes con- vulsifs, un élément de diagnostic différentiel entre l'
épilepsie
et l'hystérie, la connaissance étant conservée
sance étant conservée dans l'hystérie et tota- lement abolie dans l'
épilepsie
. Les auteurs récents sont revenus sur cette ind
e de l'état narcoleptique, qui accompagne quelquefois l'hystérie, l'
épilepsie
, les lésions car- diaques et les lésions du foi
irrégulières, sans évolution, M. Magnan examine les délires dans l'
épilepsie
et l'hystérie. - Le délire épileptique a pour c
possibilité de l'association de formes diverses de l'aliénation à l'
épilepsie
. Le délire hystérique constitue la quatrième ph
ns. Boun\c\ [1.1.1 : , Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
nd, 36. - Rapports du - avec la folie, par Band, 235. Diabétique.
Epilepsie
-, par Jacoby, 321. Uiplégie faciale, par Bre
, 1698, p. 751. Archives, 2° série, t. XI. 2 CLINIQUE NERVEUSE.
Épilepsie
et fièvre typhoïde. (Deux épileptiques morts en
ues « Quaterna epilepsiae vindex. » Delasiauve dans son Traité de l'
épilepsie
dit « qu'en thèse générale, toute affection int
ion et sont les avant-coureurs de la convales- cence. Les cas, où l'
épilepsie
persiste malgré les symptômes intercurrents, so
pidémie qui a duré cinq mois, s'exprime ainsi sur les rapports de l'
épilepsie
et de la fièvre typhoïde : « Les manifestations
de l'épilepsie et de la fièvre typhoïde : « Les manifestations de l'
épilepsie
n'ont pas été influencées par la maladie, seul
dans cette dernière). Nous publions ici seulement les deux cas où l'
épilepsie
survenue en pleine hyperthermie typhique, a acc
depuis septembre 1891 Les certificats mentionnent : imbécillité,
épilepsie
. Il entre à Villejuif à la fin août 1900. On ne s
e atteint 41°, à à neuf heures du matin : le malade à une attaque d'
épilepsie
franche, la première avec une phase tonique trè
iciel 500 grammes; P. C. C., portion cordiale avec 0,50 de caféine.
ÉPILEPSIE
ET FIÈVRE TYPHOÏDE. 23 coeur très voilés : la c
précités, il semble que l'hy- perthermie seule ne suffit pas dans l'
épilepsie
à éloigner ou à faire disparaître les accès.
hode de Schieich). In-4° de 102 pages. Taillade (L.-J.). Oreille et
épilepsie
. In-4° de 74 pages. ENSEIGNEMENT Les Clinique
cas de syphilis cérébrale dans lesquels la folie a été causée par l'
épilepsie
rentreront dans la seconde catégorie (II, 2), m
épiteptique : a) manie récurrente ; 6) folie dite circu- laire ; c)
épilepsie
larvée des auteurs français. IV. Folie de dégén
ion au suicide s'est manifestée dans cet état automatique, un cas d'
épilepsie
, un cas d'épilepsie avec alcoolisme, et un cas
manifestée dans cet état automatique, un cas d'épilepsie, un cas d'
épilepsie
avec alcoolisme, et un cas d'alcoolisme pur. Ce
LD Lévi et Follet. Le paramyoclonus multiplex peut être associé à l'
épilepsie
, à la maladie de Recklinghausen, à la spondylos
uables de ce cas sont ceux qui aident à élucider la pathogénie de l'
épilepsie
: les attaques ont été très violentes, et l'hém
posées, la plus rationnelle est évidemment celle d'après laquelle l'
épilepsie
idiopathique est toujours de nature corticale : o
e produits par des agents toxiques résultant de la combinaison de l'
épilepsie
à la fièvre typhoïde. P. KFRHAL. XX. A propos d
e morbide de ses hallucinations antérieures. , Fièvre typhoïde et
épilepsie
. M. Marie rapporte deux cas de fièvre typhoïde
nir, en dépit du désir que manifestent les malades eux-mêmes. - L'
épilepsie
chez les hommes de génie. M. Félix REGNAULT. Sa
le à la science et aux étudiants. Dans les névroses fonctionnelles (
épilepsie
, hystérie, hypocondrie, etc.), ou insiste tantô
lysie générale, bons résultats contre l'extrême excitation ; dans l'
épilepsie
, peu ou pas d'utilité ; dans la mélancolie, rés
olie chronique avec agitation, et dans quelques cas peu fréquents d'
épilepsie
. Il ne doit être employé que chez des sujets so
été considérée comme plus à craindre chez les vieillards atteints d'
épilepsie
. Quelques faits sem- blent montrer à l'auteur q
ticulièrement la mélan- colie.-Il a eu aussi quelques succès dans l'
épilepsie
. Dans la majorité des cas, le résultat favorabl
;i0 à 2 gr. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Impaludisme et
épilepsie
; par MARANDON DE n10\TYEL. (Revue de médecine,
le rôle d'aggravant. Dans deux observations notamment, les crises d'
épilepsie
n'existaient qu'à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
paludéenne. Après l'infection il se déclara de franches attaques d'
épilepsie
et ces attaques s'accen- tuaient à chaque nouve
on malarienne. L'impaludisme provoquerait donc dans certains cas, l'
épilepsie
qui n'existait qu'à l'état latent. Dans les cas
manière absolument décisive l'infection rabique.. , G. Deny. V. L'
Epilepsie
et les tics; par le D1' Féré. (Journal de Neurolo
qui montrent l'étroite parenté qui existe entre quelques tics et l'
épilepsie
. La première est celle d'une femme qui présenta
secousses devinrent à 1 âge de trente-huit ans le prélude d'accès d'
épilepsie
. Dans la seconde observation on voit également
antérieurement, ou s'exalter un tic ancien, on doit soupçonner l'
épilepsie
et instituer la médication bromurée. G. D. VI.
auteur : Asile d'aliénés à Villejuif. ' Petit (G.). Accès répétés d'
épilepsie
survenus chez une femme de soixante et un ans a
De la conges- tion cérébrale apoplectique dans ses rapports avec l'
épilepsie
. ' Trousseau. Leçons de clinique médicale de l'
mère, on n'a remarqué de ma- ladies nerveuses, telles qu'hystérie,
épilepsie
, danse de Saint- Guy, etc. , La brusquerie du
cas. Le traumatisme ne joue qu'un rôle étiologique insignifiant. L'
épilepsie
figure pour 7,7 p. 100 dans le total des cas, et
0 dans le total des cas, et l'hérédité figure dans l'étiologie de l'
épilepsie
pour 21,5 p. 100. C'est de 10 à 15 ans que l'ép
iologie de l'épilepsie pour 21,5 p. 100. C'est de 10 à 15 ans que l'
épilepsie
idiopathique débute dans le plus grand nombre d
t, ni de contracture, ni d'exagération des réflexes tendineux, ni d'
épilepsie
spinale, ni de modifications dans les réflexes
ai 1901. NO 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE.. «, L'
Épilepsie
partielle. Pathogénie et traitement'' ? Par le
cliniques, pour en dégager le substratum anatomo-pathologique de l'
épilepsie
partielle, H. Jackson avait été induit à soupço
supérieur;' elles sont entraînées dans les mouvements associés L'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 371 I qu'e
innervés par le centre extirpé. D'où ce corollaire : dans un cas d'
épilepsie
corticale, l'extirpation du centre convulsivogè
n'ont pas manqué d'en faire l'ap- plication à la thérapeutique de l'
épilepsie
jacksonienne, dans les cas où, selon toutes les
s résultats fournis par l'intervention chirurgicale, dans les cas d'
épilepsie
jacksonienne d'origine traumatique, me facilite
s. 2° Sachs und GERST6.R (Die operative Behandlung der partiellen
Epilepsie
. Deulsche medicin. Voc/te ? ! 6C/t)' ? /'t, 1896,
ital, le 0 juin 1892 : depuis dix-huit mois, il était sujet à des L'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 373 attaqu
ière attaque de petit mal. Peu de temps après survint une attaque d'
épilepsie
, partielle d'abord, et qui se généralisa ensuit
étaient en voie de rétrocession. Au bout de vingt jours, tous les L'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. PATHOGÉNIE' ET TRAITEMENT. 373 doigt
ucs. 2° Nancrède (The operative Treatment of Jacksonian and focal
épilepsie
. Annuls of Surgery, 1896, vol. XXIV, p. 125). Un
u crâne. Deux ans plus tard, il était devenu sujet à des attaques d'
épilepsie
; à certaines époques, elles se produisaient tou
er aux secousses. Le malade devint sujet à de véritables attaques d'
épilepsie
par- tielle. Elles commençaient par un mouvemen
malade pouvait de nouveau mouvoir le bras droit et l'épaule. Le L'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 377 "1 16,
é une paralysie passagère du membre supérieur droit. Les attaques d'
épilepsie
se sont reproduites. c) Dans cinq cas, l'extirp
vier, Horsley trépana le malade, en un point du crâne qui corres- L'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 379 pondai
du crâne. Peu de temps après, elle avait eu une première attaque d'
épilepsie
. Dans les onze années qui ont suivi, cette femm
ires, auxquelles fit suite une 380 CLINIQUE NERVEUSE. - attaque d'
épilepsie
. Ce même jour, il a eu deux autres attaques; el
ès l'accident, le malade a eu pour la pre- mière fois une attaque d'
épilepsie
partielle ; depuis trois mois environ, il éprou
rainage consécutif. A la suite de cette opération, lés attaques d'
épilepsie
se repro- duisirent comme par le passé. Une sec
te le cas de notre malade, nous arrivons à un total de quinze'cas d'
épilepsie
jacksonienne d'origine traumatique, ayant donné
Or, je ne crois pas trop m'aventurer, en prédisant qu'au nombre L'
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 38.3 des m
rgie, 1893, p. 483. , C. Une troisième catégorie comprend des cas d'
épilepsie
traumatique où on a procédé à l'extirpation d'u
d'observation, trente mois. Kumuell. Zur operativen Behandlung der
Epilepsie
. Dezitsche medicin. 117ociteiisciti-ift, 1892,
re les constatations suivantes : sur un total de trente et un cas d'
épilepsie
jacksonienne, d'origine traumatique, qui ont fa
la période d'observa- tion post-opératoire a dépassé trois ans. ,
ÉPILEPSIE
PARTIELLE : PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 385 Certe
l'on était en droit de concevoir, du jour où il fut démontré que l'
épilepsie
bravais-jacksonienne se comporte, dans ses allu
ation de centres moteurs corticaux, pratiquée chez un malade dont l'
épilepsie
partielle remonte à une époque déjà lointaine.
*. Des guérisons ont été obtenues, dans des cas où le début de l'
épilepsie
partielle remontait à plusieurs années en arrière
on est intervenu à une époque relativement rapprochée du début de l'
épilepsie
. Le cas de notre malade rentre dans cette catég
ie : chez B..., l'accident qui a entraîné à sa suite les attaques d'
épilepsie
est survenu le 11 juillet '1897 ; la première a
centre moteur qu'on suppose être le point de départ des attaques d'
épilepsie
partielle. On a prétendu que le retour des atta
pléance des fonctions normales, il ne se ferait pas, dans les cas d'
épilepsie
partielle, corticale, une suppléance pathologiq
e ? Déjà un auteur allemand, Froenkel, avait prétendu que lorsque l'
épilepsie
partielle persiste depuis un certain temps, des
r américain, Putnam' a a prétendu qu'après une certaine durée d'une
épilepsie
par- tielle, il s'établit un état épileptogène
f tlie liead. Bostoit medic. and surgic. Journal, 7 janvier 1892.
ÉPILEPSIE
PARTIELLE : PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 387 La re
ement d'être prise en considération : assez souvent; dans les cas d'
épilepsie
par- tielle d'origine traumatique, on a trouvé
du crâne, qui corres- pond à la zone rolandique, peut engendrer une
épilepsie
partielle, corticale, sans occasionner de lésio
ables de l'écorce de la zone motrice. Il faut donc admettre que l'
épilepsie
corticale, développée dans ces conditions, dépend
ar l'extirpation de fragments de la zone rolandique, dans des cas d'
épilepsie
partielle motrice, d'origine trauma- tique. Je
breux faits concernant la trépanation dans les diverses formes de l'
épilepsie
. (f3.) .) THÉRAPEUTIQUE. Le traitement par le
ypnotique. P. KERAVAL. 400 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXIV.
Epilepsie
convulsive causée par la trépanation ; par L. MAR
rieusement cette assimilation sans démasquer, sans défigurer le mot
épilepsie
et en faire un terme flou, synonyme de névropat
lière et fils. - Gilles DE la Tourette. Le traitement pratique de l'
épilepsie
. In-16 de 96 pages. Prix : 1 fr. 50. Paris, 190
THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. Hémiplégie spasmodique infantile avec
épilepsie
. Ci,aîiectoî2tie avec éversion durale. Modifi
les procédés chirurgicaux qu'on a employés pour le traitement de l'
épilepsie
, soit que celle-ci reconnaisse un traumatisme p
t que celle-ci reconnaisse un traumatisme pour cause, soit dans l'
épilepsie
essentielle, principalement après que les travaux
is par la modification de la contracture et par la disparition de l'
épilepsie
. - Lorsque cet enfant était âgé d'un mois, on s
on. Paralysie. Jambe légalement rigide. Hëuexes tendineux exagérés.
Epilepsie
jacksomenne du côté paralysé sans perte de conn
White l'a démontré. D'ailleurs, on sait que dans beaucoup de cas d'
épilepsie
, il se passe des mois et des années sans qu'auc
mène élait considéré comme un facteur important dans la genèse de l'
épilepsie
, on attribua plus tard à la circoncision les mê
s. HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. 409 une cause mécanique de l'
épilepsie
, comme dans les kystes ou les tumeurs. Les gu
confirmer Kocher dans la théorie qu'une des causes principales de l'
épilepsie
réside dans une exagération générale ou locale
soutiennent l'augmen- tation de la pression intra-cranienne dans l'
épilepsie
. Kocher a observé que, dans les cas de guérison
Dans '18 cas de fracture compliquée du crâne, Kocher n'a observé l'
épilepsie
consécutive qu'une fois, chez les autres patien
cht, est celle qui doit dominer dans le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Lawenhtein raconta l'intéressante histoire d'u
sant l'incision de la dure-mère, cette jeune fille était attaquée d'
épilepsie
dès l'âge de huit ans, avec cécité complète et
oblème a ouvert de nouveaux horizons au traitement chirurgical de l'
épilepsie
, et dans l'étude des cas opérés l'on est vraime
irurgie, 31 mars 1891. HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. 4-il L L'
épilepsie
, chez les hémiplégiques de cette nature, ne dis-
sérieuses, car l'influence provocatrice de phéno- mènes convulsifs (
épilepsie
) qu'ont les perturbations intestinales, est bie
onnue, et par-dessus tout cela, il faut remarquer la nature de ? on
épilepsie
. Ces paroxysmes syncopaux produits les derniers
stoire de ses opérés. ( ? ) HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. 473
Épilepsie
et trépanation. Le cas suivant, emprunté à M. l
us avons publiés sur le peu d'efficacité de la trépanation contre l'
épilepsie
. « Je soigne depuis deux ans environ, dit-il, u
lle sur son visage tout à fait à contre-temps. P. EERAYAL. LVIII.
Epilepsie
procursive ; par L-\ ? l3oaowmow (0&o ? eH :
re, dont il guérit. Après la seconde, il eut des attaques de petite
épilepsie
, ayant bien des traits communs avec l'épilepsie
attaques de petite épilepsie, ayant bien des traits communs avec l'
épilepsie
vraie. P. KEHAYAL. LI Y. Des états mentaux qui
de la mélancolie, les attaques épilepti- formes pour des attaques d'
épilepsie
. - , SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 S'agit-il ici de
avait-il lui- même éprouvé ? " ? - Le bromure de potassium dans l'
épilepsie
. M. Toulouse rapporte le résultat de quelques r
tipliés. Ce sont autant de différences d'avec la folie compliquée d'
épilepsie
. D'autre part l'évolution progressive et la sys
ation du délire distinguent cette forme de l'équivalent chronique d'
épilepsie
. Discussion. M. Postowskv, qui connaît le malad
n, 26,5 p. 100 d'alcoolisme, 14,9 p. 100 de névrose, .8 p. 100 de l'
épilepsie
, 4,4 p. 100 de la tuberculose, 2,6 p. 100 d'hys
2,6 p. 100 d'hystérie et d'apoplexie. L'aliénation, l'hystérie et l'
épilepsie
se rencontrent davantage chez les femmes; l'alc
. 5° Névroses communes el autres maladies nerveuses communes : u)
épilepsie
, b) hystérie, c) neurasthénie', d) névrose trauma
ages. Prix : 7 francs. Paris, 1901. Librairie Vtgot frères. (P.).
Épilepsie
, traitement, assistance el médecine légale. - I
olérances des chez les épileptiques âgés, par Père, 237. - dans l'
épilepsie
, par Tou- louse, 307. Bulletin bibliographiqu
Epice)NE. Lésions traumatiques de l'- médullaire, par Jlmor, 79.
Epilepsie
et fièvre typhoïde, par A. Marie et Buvat, 18;
Pierce,-480. Illusion du poids, par Leg, 143. 1.ll,iLUDISbIF. et
épilepsie
, par \la- rdtidon de llontyel, 238. Impulsion
nt de la folie par la médication,parMiddle- inass, 480. Tics. L'
épilepsie
et les , par Féré, 240, Causes provocatrices de
169. Tremblement chez un enfant, par Cestan, 514. Trépanation.
Epilepsie
et -, par Bourneville, 472. Trépidation épile
pologie de Paris, 1902, page 35. 1 liourneville. Recherches sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, compte rendu de Bicêt
tre celui qu'il convient de choisir. R. de IilUSGnAVE-CLAY. II. L'
épilepsie
ne peut pas être causée par des états toxémiques
e suppuration osseuse avec fistule de la région pariétale gauche.
Epilepsie
jacksonnienne à droite. Trépanation sans améliora
les conclusions de ce travail : Nous sommes autorisés a dire que l'
épilepsie
créé le pouvoir agglutinant et qu'il y a un séro-
s en possession de trois procédés pouvant servir au diagnostic de l'
épilepsie
: 4° La recherche directe du parasite dans le s
e. G. C. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I. Pathologie et traitement de l'
épilepsie
; par William-H. Thom- son (The New-York Médical
novembre 1902.) Plus on approfondit les caractères essentiels de l'
épilepsie
, plus on demeure convaincu qu'elle occupe une p
ère question à se poser est la suivante : Qu'est-ce qui constitue l'
épilepsie
? ou en d'autres termes, quel est l'élément inv
plus ou moins importantes, faire affirmer qu'il ne s'agit pas de l'
épilepsie
. Il faut se garder de définir l'épilepsie par les
qu'il ne s'agit pas de l'épilepsie. Il faut se garder de définir l'
épilepsie
par les mots « névrose convulsive » car une déf
dans l'objet défini, et si les convulsions sont fré- quentes dans l'
épilepsie
elles ne sont pas nécessaires. Il ne faut pas n
s comme dans l'autre le malade est épileptique et il n'existe pas d'
épilepsie
incomplète. L'idée d'une « décharge » de force
mptômes variables ; or il y a un élément qui ne varie jamais dans l'
épilepsie
vraie, c'est la soudaineté; d'autres maladies p
udaineté; d'autres maladies peuvent avoir un début rapide : seule l'
épilepsie
est soudaine. L'auteur est amené ainsi à consid
excitation afférente purement mentale peut provoquer une attaque d'
épilepsie
. L'au- teur estime que les troubles qui accompa
t déranger l'in- hibition normale. L'auteur est amené à donner de l'
épilepsie
la définition suivante : L'épilepsie est une
teur est amené à donner de l'épilepsie la définition suivante : L'
épilepsie
est une maladie caractérisée par un trouble brusq
. Mais la médication par excellence, c'est la vie au grand air. L'
épilepsie
est toujours une maladie grave; mais après trente
lIIUSGR1VE-CLAY. 11. Les résultats de la chirurgie cérébrale dans l'
épilepsie
et dans les défectuosités mentales congénitales
hiladelphia Médical Journal, 19 sep- tembre 1903.) 1 Sur 33 cas d'
épilepsie
les résultats ont été les suivants : dans 21 ca
uée à une autre cause. Si le tableau des succès chirurgicaux dans l'
épilepsie
n'est pas brillant, il est plus sombre encore q
Cette région est douloureuse au toucher. On a porté le diagnostic d'
épilepsie
jacksonienne. J'ai pu. grâce à la sugges- tion
13EnSTEIN, M. Moltguanoff, S. Soukiianoff. VARIA. Traitement DE l'
épilepsie
par la diète; par Schnitzer. L'auteur prône la
système nerveux central, au premier rang la paralysie générale et l'
épilepsie
, tiennent à ce que sur les substances prél'ormées
truction générale. REVUE D'ANA1'( 'AT110L0GIQUES. 153 Genèse de l'
épilepsie
. - L'attaque est l'expression directe de l'an-
ire, combinée avec la fragilité des os, peuvent s'ob- server dans l'
épilepsie
avec ou sans idiotie. Dans ces cas, les frac- t
ntation de malade. M. Maurice BLOGLI présente une malade atteinte d'
épilepsie
unilatérale gauche et qu'il a traitée, en raiso
ces névro- siques, on réunit les états démentiels qui succèdent à l'
épilepsie
, à la chorée, etc., etc. Dans le récent trait
M. CaocQ. - Autant il est unanimement reconnu que les attaques d'
épilepsie
précédées d'aura peuvent être quelquefois empêché
de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'attaque d'
épilepsie
; par \ ? P. Ussrovr et E.-S. BORISCHPOLSKY. (O
ente minutes. 4° C'est surtout à la suite d'une seconde atta- que d'
épilepsie
chez le même animal que l'on voit baisser l'excit
ement d'une extrémité par le centre psychomoteur, après l'attaque d'
épilepsie
, on a besoin de moins rapprocher les bobines de
e s'est pas manifesté d'ac- cidents convulsifs; ce n'était pas de l'
épilepsie
alcoolique. Il n'était pas ivre à ce moment; il
la neurasthénie (Strùmpell, 111oebius, Lemoine, Unverricht), dans l'
épilepsie
(Unverritch, Homén, Seppilli, Krewer). Myocloni
la myoclonie une affection cérébrale. Lorsqu'elle se produit dans l'
épilepsie
, elle est l'indice de la pénétration en profond
embre 1904. N° 107. ARCHIVES DE NEURO* " " '" CLINIQUE NERVEUSE
Epilepsie
, pathogénie et indications thérapeutiques. Seco
à la Faculté de Médecine de Nancy'. Généralités. Le prédisposé à l'
épilepsie
naît avec un système nerveux spécialement impre
éphalique n'est pas tou- jours suffisante pour prévenir l'attaque d'
épilepsie
nous est fournie par l'action même du bromure d
le bromure ne peut pas atteindre toutes les causes principales de l'
épilepsie
; nous le voyons remède curatif en quelque sort
l'épilepsie ; nous le voyons remède curatif en quelque sorte dans l'
épilepsie
légère, alors que le terrain nerveux épileptogè
emède adjuvant, certainement très précieux, dans le traitement de l'
épilepsie
déterminée par des excitences méningo-encéphali
ccu- mulation de secreta (agents d'excitences) dans le sang, soit
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 371
us avons vues, circonstances aggravantes, dans la pathogénie de l'
épilepsie
, toxines d'origine alimentaires ou autres, elles
tituer désormais un traitement ralionnel de chacune des causes de l'
épilepsie
; il nous reste à discuter les moyens thérapeut
ladie ; nous commencerons donc par une étude de la prophylaxie de l'
épilepsie
. Prophylaxie. L'hérédité de l'épilepsie est auj
tude de la prophylaxie de l'épilepsie. Prophylaxie. L'hérédité de l'
épilepsie
est aujourd'hui affirmée par tous les auteurs ;
la femme enceinte, épileptique ou non, dont le foetus est menacé d'
épilepsie
en raison de son ascendance, un régime spécial
on expose non seulement l'enfant aux convulsions infan- tiles, à l'
épilepsie
précoce, mais la mère à une aggravation de l'ép
1897. = Société obstétricale de France, Séance du 11 .avril ]890.
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 373
te à dessein sur cette question du traitement pro- phylactique de l'
épilepsie
à instituer, pour ainsi dire, dès les premiers
rd. Les convulsions de l'enfance ne sont pas autre chose que de l'
épilepsie
vraie, dans la grande majorité des cas ; il suffi
édité et l'on trouvera le plus souvent, dans son ascendance ou de l'
épilepsie
ou de l'alcoolisme et l'on sait avec certitude
lcoolisme et l'on sait avec certitude 'que plus de moitié des cas d'
épilepsie
se rencontrent chez des descendants d'ivrognes
épileptique, en quelque sorte première manifestation bruyante de l'
épilepsie
(que l'on a tort, à notre avis, de négliger dan
irritabilité spéciale du système nerveux de l'enfant prédisposé à l'
épilepsie
, de l'impressionnabilité con- génitale qui le p
, extrêmement utile, à tous égards, de faire pour le prédisposé à l'
épilepsie
, et même pour l'épileptique, ce que M. le profe
nséquent, décrire avec soin dans les ouvra- ges classiques. ' /
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 377 Î
escendance, à suivre plus attentivement le traitement qui atténue l'
épilepsie
ou la tare épileptique, c'est lui permettre de
nerveux, viennent indiquer que la prédisposition s'aggrave, que l'
épilepsie
menace de se manifester par ses grands symp- tô
chez les épileptiques, et l'on sait aussi que la première attaque d'
épilepsie
éclate presque toujours à une époque menstruell
fait jamais. Au trai- tement habituel de la prédisposition ou de l'
épilepsie
, il serait utile, d'après la pathogénie que nou
'à les considérer, par exemple, comme une des plus grandes causes d'
épilepsie
en se basant précisément sur ce que les trouble
es sont aussi très fréquents à la ménopause, ce qui n'empêche pas l'
épilepsie
de s'atténuer, parfois même d'une façon absolum
troubles gastro-intestinaux, comme la fièvre typhoïde, suspendent l'
épilepsie
pendant leurs phases d'as- cension et d'état, o
à montrer la nécessité de' chercher d'autres causes principales à l'
épilepsie
. Nous avons, du reste, parlé déjà un peu de cet
sti- tuons actuellement, et dont nous parlerons plus loin, répond
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 37&am
ques continents, constituent un signe avant-coureur d'une attaque d'
épilepsie
. , Les bains un peu prolongés, l'exercice physi
épileptique. Le mariage a quelquefois une influence favorable sur l'
épilepsie
, et qui- confirme ce que nous avons dit de la c
ur le traitement prophylactique applicable à la prédisposition, à l'
épilepsie
, surtout pour faire ressortir l'importance de s
e traitement complète- rait heureusement le traitement curatif de l'
épilepsie
qui, jusqu'à ce jour, ne tendait guère qu'à la
l'on se préoccupe donc, par exemple, autant de l'enfant menacé d'
épilepsie
que l'on prend cure de' l'enfant pour lequel on
souvent l'occasionde constater. J'arrive au traitementcnratif de l'
épilepsie
: . Traitement curatif. Tout ce que je viens de
s indications sont moins étendues pour le traitement cu- ratif de l'
épilepsie
chez l'enfant; chez lui, en effet, on ne peut s
n s'inspirant de ce que nous allons dire du traitement complet de l'
épilepsie
chez l'adulte. Chez l'adolescent et chez l'ad
'adulte. Chez l'adolescent et chez l'adulte, l'impressionnabilité
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 381 L
ombreux où il a suffi pour faire disparaître les grandes attaques d'
épilepsie
. Mais il ne donne parfois que des résultats inc
n douze heures, et, bientôt, non seule- ment les grandes attaques d'
épilepsie
devenaient plus rares, mais les troubles psychi
hylaxie que nous avons recommandée soit rigoureusement suivie (et
ÉPILEPSIE
: PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 383
s indications plutôt secondaires que nous révèle la pathogénie de l'
épilepsie
. Il ne sera pas toujours facile de faire accept
ultats favorables, agissent aussi contre une partie des causes de l'
épilepsie
, contre les causes secondai- res surtout. Mais
time que nous sommes suffisamment documentés sur la pathogénie de l'
épilepsie
pour la rayer du cadre des né- vroses, et pour
l'enfance, elle était, en outre, sujette à de nombreuses attaques d'
épilepsie
. Ce n'est que cinq ou six ans après son entrée
ervation, elle pré- sentait certains jours de nombreuses attaques d'
épilepsie
; il nous parait intéressant de dire ici quelque
Il n'était, chez notre petite malade, influencé ni par les crises d'
épilepsie
, ni par l'évolution de la tuberculose pulmonair
es en muscles, pour finalement se généraliser suivant les lois de l'
épilepsie
Jacksonienne. Nous possédons en outre assez de
sions quand les accès, procédant exacte- ment d'après les lois de l'
épilepsie
Jacksonienne, co-intél'Cbsel1t le facial et l'h
age. Etude détaillée. Rien qui prédispose plus au vagabondage que l'
épilepsie
, par l'intermédiaire de la débilité mentale, de
tendances à des actes de violence. Il survient dans la catatonie, l'
épilepsie
, etc. PaulS Éamox. XX. De la réaction pupilla
du bromure avec la médication spécifique semble indiquer que cette
épilepsie
relève de l'hérédo-syphilis. G. D. XXIV. De l
Il s'agit d'un homme de trente-six ans qui, à la suite d'un accès d'
épilepsie
, se fit une plaie à la face dorsale du nez ; quel
s : psychoses pol3·névritiques 4, démences alcooliques avec ou sans
épilepsie
18. La prédominance des hallucinations auditive
élégation. 13. CLINIQUE NERVEUSE. Imbécillité; hémiplégie gauche;
épilepsie
; état de mal mort; atrophie considérable de l'h
qui ne l'evient qu'a cinq ans. Coqueluche à quatre ans. Début de l'
épilepsie
à deux ans et demi; accès sériels. Etat du mala
euf ans, elle a quatre enfants bien imbécillité, hémiplégie gauche,
épilepsie
. MAL mort. 463 portants. Huit neveux et deux ni
raumatisme céphalique ou autre. - IMBÉCILLITÉ, HÉMIPLÉGIE GAUCHE,
ÉPILEPSIE
. 4G5 Température ci l'entrée (t3-18 mars). '
uches, recouuerts d'un léger duvet. IMBÉCILLITÉ, HÉMIPLÉGIE GAUCHE,
ÉPILEPSIE
. 467 Au point de vue fonctionnel, peu de chose
nt, mais non toujours dans l'hémiplégie cérébrale infantile. c. L'
épilepsie
a débuté à deux ans et demi. Les accès chez les
solés, le plus sou- 1876, p. 163) ; 7ëH ? )e ? e infantile suivie d'
épilepsie
partielle : étal de mal épileptique, mort : foy
pariétal (Soc. Anatomique, 1876, p. 558) , - Notes cliniques sur l'
épilepsie
partielle (Icono ! ! 1' pho- loger. de la Salpê
s avee 10 plan- ches et 2 figures) ; Dans sa thèse intitulée : De l'
épilepsie
dans l'hé- miplégie spasmodique' infantile. 188
cueillies dans notre service et mises par nous à sa dis- position :
Epilepsie
partielle, (Progrès médical. 1879. p. 299. etc.)
nc pas lieu de décrire, comme l'a fait M. Bra, un streptocoque de l'
épilepsie
. . G. C. ' XCV. Idiotie microcéphalique ; épi
ptocoque de l'épilepsie. . G. C. ' XCV. Idiotie microcéphalique ;
épilepsie
; asymétrie cérébrale ; microgyrie; ulégyrie; cu
à l'asile au sortir d'une maison de refuge, le 4 août 1902, mort d'
épilepsie
le 22 décembre 1902. On n'a pu avoir aucun rens
logie et de ses caractères cliniques, il touche en certains cas à l'
épilepsie
jacksonienne, en d'autres à l'hémispasme douloure
que rapporté par M. Lannois est intéressant par la coïncidence de l'
épilepsie
. Il rappelle que l'épi- lepsie parait, dans un
rui sur le même sujet. ' Smox. XL. Des facteurs héréditaires dans l'
épilepsie
; par R.-E. DoRAN (The American Journal of Instl
ariées ou de l'alcoolisme dans 46,5 p. 100 des cas ; 2° Alcoolisme,
épilepsie
et folie combinés paraissent responsables de 38
'au cours de l'article : plus la tare héréditaire est forte, plus l'
épilepsie
est pré- coce. SIMON. 806 ' SOCIÉTÉS SAVANTES
nt dans son service le décubitus gauche pendant toutes les crises d'
épilepsie
. L'attaque est toujours plus courte dans cette
liénés. Diabète. Voir Pschastéaie. Voir Acromégalie DIÈTE. Voir
Epilepsie
. Difformité congénitale observée chez un enfa
85. Pour les ? 437. Epaule. Voir Syringomyélie. -Voir Délire.
Epilepsie
. L'- ne peut pas être causée par des états toxé
la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'attaque d'
épilepsie
. par Ossipow et Borischpolsky,-325 Face. Voir
natomie pathologique de l ? par Alzheimer, 403. - microcéphahque,
épilepsie
, asy- métrie cérebrale, microgyrie, ulé- gyri
ique décrite par Joffroy. R. Charon. X. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'
épilepsie
symptomatique DES NÉO- PLASTIES corticales; par
ice ou en dehors surtout celles-là peuvent produire non seulement l'
épilepsie
jacksonnienne, comme tout le monde l'admet, mai
t, mais des accès ty- piques de grand mal; 3° la différence entre l'
épilepsie
partielle et le grand mal, bien qu'importante a
. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 59 V. Contribution au traitement DE l'
épilepsie
; par P. Flechsig. (iVeM)'o.Cc ? ! <)-«/6 ? X
veaux excès. La répétition de ces attaques peut amener le sujet à l'
épilepsie
définitive, bien que le fait soit rare. Il est ra
d'y recourir dans les accès convulsifs d'autre origine, tels que l'
épilepsie
, l'éclampsie, l'urémie. Ce cas démontre encore
éditaire, avec l'aliénation mentale, soit une des grandes névroses,
épilepsie
, hystérie». L'opinion de MM. Mairet et Vires es
, Alassalongo, Lépine, etc., tendant à établir les rapports entre l'
épilepsie
et les auto-intoxi- cations. Son cas, en montra
'auto-intoxication et l'accès convulsif, démontre que, s'il y a une
épilepsie
gastrique, il y a aussi une épilepsie intesti-
f, démontre que, s'il y a une épilepsie gastrique, il y a aussi une
épilepsie
intesti- nale, dues l'une et l'autre à l'intoxi
n I. Femme de quarante-six ans. Céphalalgies opiniâtres. Attaques d'
épilepsie
corticale. Hémiparésie gauche. Amblyopie abouti
romande, 1896, n° 2.) - Des prodromes annoncent souvent l'attaque d'
épilepsie
; ils sont moins fréquents avant la crise hystér
tuniques musculaires des vaisseaux des reins précédant l'accès d'
épilepsie
il la manière d'une aura. François Franck a const
, par exemple. A. VIGOUROUX. 144 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XXX.
Epilepsie
dARSON1ENNE Er opérations; par A. AIORISON. (Br
nés; par le D' Le Filliàtrc. Sur le traitement de. 150 VARIA. l'
épilepsie
par (symMf(//teeom ! f; par les DI" Lannois et Ja
nt des tics. Sur quelques cas d'oedèmes nerveux; par le Dr Meige. -
Epilepsie
et traitement chirurgical. Idiotie et alcoolisme;
ns et un fils âgé de vingt ans, qui étaient sujets à des attaques d'
épilepsie
. Hier soir, la mère étant malade dans son lit,
intercalaire peut être de huit ou quinze jours '. ' J. Voisin. L'
Épilepsie
. F. Alcan, 1897. 190 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE.
'Académie de médecine, 1898. ° Weber. De l'auto-intoxication dans l'
épilepsie
(iutclen médical It'oc ? 28 juin 1898). /
le d'Angers pour siège de votre neuvième Congrès. ' Jules Voisin.
Epilepsie
. Chapitre : Traitement, et Archives de Seul'o-
tement, et Archives de Seul'o- loie, zou : De-l'intoxication dans l'
épilepsie
, par J. Voisin et IL Petit. 202 SOCIÉTÉS SAVA
hypocondrie, SOCIÉTÉS SAVANTES..213 sans oublier l'hystérie, l'
épilepsie
,.voire même la morphinomanie. Voici quelques ex
ation : alcoolisme, etc.; 6° troubles mentaux liés- à une névrose :
épilepsie
, hystérie, neurasthénie, migraine oph- thalmiqu
à se convaincre qu'on se trouve en présence d'un individu atteint d'
épilepsie
(épilepsie méconnue ou épilepsie larvée), d'un
ncre qu'on se trouve en présence d'un individu atteint d'épilepsie (
épilepsie
méconnue ou épilepsie larvée), d'un neurasthéni
présence d'un individu atteint d'épilepsie (épilepsie méconnue ou
épilepsie
larvée), d'un neurasthénique, d'un de ces dégénér
e de faits soumis à mon examen, je n'en ai rencontré en dehors de l'
épilepsie
qu'un très petit nombre méritant d'être qualifi
lit la description du professeur de Vienne, on songe malgré soi à l'
épilepsie
. Comme il ressemble à un comitial, ce malade qu
taire, en l'absence de tout état pathologique antérieur, tels que l'
épilepsie
, l'intoxication alcoolique, etc. ? 2° Si oui, que
ire même en dehors de la dégénérescence mentale ou héréditaire de l'
épilepsie
, des intoxications et de tout traumatisme ou mala
électriques. Des résultats éloignés du traitement chirurgical de l'
épilepsie
. M. BOURNEVILLE, après avoir rappelé que dans l
la face interne, d'où les lésions méningo-encéphaliques, cause de l'
épilepsie
. En terminant, il fait appel aux chirurgiens po
es hommes, deux jeunes dégénérés atteints de débilité mentale, sans
épilepsie
, dont l'un est frappé d'hémiplégie survenue peu
t atteints sont : démence secondaire (près de 2/5 du nombre total),
épilepsie
, idiotie, démence congénitale et quelques autre
s de glace sur la tête et la colonne .vertébrale. A. Marie. LXIX.
Épilepsie
sénile; par C. Lewis ALLEt\. (Médical News, - m
Lewis ALLEt\. (Médical News, - mars 1898.) Quatre observations d'
épilepsie
tardive que l'auteur rapporte à la sclérose art
insi acquise. A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 297 SUR l'
épilepsie
d'origine alcoolique ; par Heinrich STERN (de N
différents auteurs sur les rapports qui unissent l'alcoolisme et l'
épilepsie
. Pour lui, l'alcoolisme,provoque l'épilepsie d'
sent l'alcoolisme et l'épilepsie. Pour lui, l'alcoolisme,provoque l'
épilepsie
d'abord par les lésions organiques qu'elle fait
depuis la 31° année. A. Marie. LXX. IIYSTÉRO-ÉPILEPSIE simulant L'
ÉPILEPSIE
vraie; par IL THOMSON. (British médical Journal
acilement opérable. Mais « une tumeur qui ne se traduit que par une
épilepsie
essen- tielle et une céphalée diffuse, peut-ell
constiLuraient de véritables équivalents de la crise d'hystérie, d'
épilepsie
, de l'alcoolisme, etc. Relativement à la second
es des épilepsies, l'auteur conclut à l'existence en l'espèce d'une
épilepsie
paralytique. Elle est, suivant lui, d'origine c
ns peudautl'allaitemenf, les commémoratifs mention- nent un accès d'
épilepsie
typique; le bromure agit favorablement; enfin,
squ'à vingt en un jour, ce qui ne contredit pas, comme on sait, à l'
épilepsie
jachsomenne.. 11 pourrait bien y avoir un tuber
e prépondérant dans la pathogénie de ces phobies. Traitement de l'
épilepsie
par la sympathectomie. M. Lannois (de Lyon). -
ction du ganglion cervical supérieur comme moyen de traitement de l'
épilepsie
, de nombreux chirurgiens ont recouru à cette op
S. Contribution ci l'étude des rapports anle et posl mortcin de l'
épilepsie
et de la paralysie générale. M. Péon. - Il exis
rmes (si fré- quentes dans la paralysie générale) et les accès de l'
épilepsie
vraie. - b) Assez souvent on voit survenir brus
- b) Assez souvent on voit survenir brusquement dans le cours de l'
épilepsie
une paralysie très irrégulière dans son mode de p
s renseigné sur la marche des accidents survenus dans le cours de l'
épilepsie
. c) Parfois encore cette maladie s'ac- compagne
a paralysie géné- rale. Vers fin décembre apparaissent des crises d'
épilepsie
prises pour des attaques épileptiformes : 188
sie prises pour des attaques épileptiformes : 1887 : 9 attaques d'
épilepsie
; 18S8 : 15 attaques ; 1889 : 29 atta- ques ; 18
résente le diagnostic différentiel de la paralysie générale et de l'
épilepsie
compliquée de troubles muscu- laires ; surtout
e de symptômes de périencéphalite chro- nique diffuse. 6) Quand l'
épilepsie
est ancienne (principalement dans la forme vert
e la parole. s) Que la paralysie générale naisse dans le cours de l'
épilepsie
chez certains sujets, c'est indéniable. Calmeil
ectives ne paraissent pas encore avoir été altérées par les accès d'
épilepsie
. Le 15 avril, le Dr Renaudin constate une grand
ée jusqu'au 24 novembre 1848. Le malade fut pris d'accès violents d'
épilepsie
, dont le nombre variait de 4, 6 à 8 par mois.
ait atteint de manie intermit- tente à intervalles, consécutive à l'
épilepsie
. 1857, mars; il m'est donné de l'observer et de
uatre ans, marié, homme d'affaires; entré à l'asile fin juin 1865 ;
épilepsie
, hallucinations de l'ouie, idée d'empoisonnemen
ommaire : Manie épileptique ; mort ci la la suite d'accès répétés d'
épilepsie
; adhérences des membranes viscé- rales ci la co
ère irritable, travail. 1871, janvier; indocile, paresseux; accès d'
épilepsie
assez fré- quents. 1872, janvier; accès fréqu
lontairement au commencement de décembre 1876, à l'âge de neuf ans.
Épilepsie
dès l'âge de trois mois; accès d'abord rares, m
malpropre, onze attaques. » C... meurt asphyxié dans ses attaques d'
épilepsie
au milieu de juillet 1877. Autopsie. - Les ém
9 grammes, encéphale 951 grammes. Dixième observation. - Sommaire :
Epilepsie
, manie intermittente ; épuisement, mort. Opales
é, cultivateur, entré en mai 1878. Il est atteint, à son arrivée, d'
épilepsie
; hébété, il répond difficile- ment aux questio
la quinzaine, M. le Dr Brunet constate que ce malade est atteint d'
épilepsie
, d'affaiblissement physique. En novembre, entér
Dans certains cas, la paralysie générale est une complication de l'
épilepsie
, et parfois elle paraît en être le produit qui in
bre 1897.) E. B. C. Un cas de paramyoclonus multiplex associé A l'
épilepsie
; par les Drs S. G.1RIER et S.1N'rENOISE. Il s
t, des secousses muscu- laires, et quelques mois après des crises d'
épilepsie
. Les secousses surviennent par accès périodique
e quand ,l'accès est terminé. Au sujet de l'influence de la crise d'
épilepsie
sur les secousses, on peut constater que le mal
amyoclonus, dans cette observa- tion, est tout à fait distinct de l'
épilepsie
, malgré le redoublement des secousses myocloniq
arait relever d'une cause person- nelle, acquise : l'accident; et l'
épilepsie
serait de nature hérédi- taire. (Annales médico
ptiques; par Cesare Rossi. (Riv. sp. di (1'en., fasc. 2, 1897.) L'
épilepsie
allonge notablement le temps de réaction, en rais
s respiratoires. - P. RELLAY. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. DE L'
ÉPILEPSIE
, au POINT DE VUE CLINIQUE ET biÉDICO-Li : GAL;
E CLINIQUE ET biÉDICO-Li : GAL; par le professeur ! \OVALEYSKY. L'
épilepsie
se divise en épilepsie [somatique et épilepsie ps
i : GAL; par le professeur ! \OVALEYSKY. L'épilepsie se divise en
épilepsie
[somatique et épilepsie psy- chique. L'épilep
seur ! \OVALEYSKY. L'épilepsie se divise en épilepsie [somatique et
épilepsie
psy- chique. L'épilepsie somatique se divise
sie se divise en épilepsie [somatique et épilepsie psy- chique. L'
épilepsie
somatique se divise elle-même en grand et petit
'épilepsie somatique se divise elle-même en grand et petit mal et l'
épilepsie
psychique en épilepsie simple et épilepsie com-
divise elle-même en grand et petit mal et l'épilepsie psychique en
épilepsie
simple et épilepsie com- plète. Après avoir pas
grand et petit mal et l'épilepsie psychique en épilepsie simple et
épilepsie
com- plète. Après avoir passé en revue et exami
ue, l'auteur conclut que pas un ne peut être pathognomonique pour l'
épilepsie
. La diagnose de l'épilepsie se base donc non su
n ne peut être pathognomonique pour l'épilepsie. La diagnose de l'
épilepsie
se base donc non sur un symptôme particulier mais
excepté la vie végétative, s'arrête. A la première des variétés d'
épilepsie
psychique se rapportent les cas dans lesquels l
nghi. 414 revue DE MÉDECINE légale. Une variété importante de l'
épilepsie
psychique est constituée par le caractère épile
ause la plus futile. Le développement de la démence à la suite de l'
épilepsie
est provoqué non par l'intensité des accès, mai
période du passage de l'esprit normal à la démence, et les accès d'
épilepsie
psychique. , Tous ces cas exigent, avant d'être
e expertise médico- légale. En ce qui concerne la simulation de l'
épilepsie
, l'auteur partage à ce sujet l'avis du Dr Orlof
culpé est un prédisposé héréditaire, un phrénasténique, chez qui l'
épilepsie
s'est déclarée à la suite d'un traumatisme à la t
opres à activer les sécrétions, pourra devenir, dans bien des cas d'
épilepsie
générale, une mé- thode de traitement utile et
orté avait été : paralysie pseudo-bulbaire, crises subintrantes d'
épilepsie
. Cette autopsie ne révéla que des lésions corti-
- Phénomènes d'excitation corticale continus avec accès jacksomens.
Epilepsie
corticale partielle continue (de Kojew- nikow)
t comme ceux de plus courte durée, transitoires, qui accompagnent l'
épilepsie
corticale ordi- naire. C'est donc un phénomène
que cer- taines divagations délirantes très temporaires rappelant l'
épilepsie
. Ces deux observations montrent que la ligne de
ire dans d'autres formes de trou blés mentaux. 1'. Keraval. XVII.
Epilepsie
sénile; par P.-J. KOWALEWSKL (Cenlmllil. flil-
heitk, XX, N. F., vin, 1897.) Examen méthodique de la question de l'
épilepsie
en général. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 479
n général. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 479 Deux observations d'
épilepsie
survenue après soixante ans. Conclu- sions : 1°
psie survenue après soixante ans. Conclu- sions : 1° Tous les cas d'
épilepsie
peuvent être divisés en deux groupes principaux
ncipaux : l'epilepsie idiopathique, essentielle ou médul- laire ; l'
épilepsie
symptomatique ou corticale. La première, c'est
aire ; l'épilepsie symptomatique ou corticale. La première, c'est l'
épilepsie
vraie ; la seconde représente un état épileptifor
eprésente un état épileptiforme ou épileptoïde ; 2° les causes de l'
épilepsie
idiopathique sont, les unes, radicales ou génér
appartiennent l'âge : l'enfance, la jeunesse, la vieillesse ; 6° l'
épilepsie
sénile survient après soixante ans. Asez souvente
survient après soixante ans. Asez souventellea a lecaractère d'une
épilepsie
idiopathique; l'épilepsie symptomatique est éga
ns. Asez souventellea a lecaractère d'une épilepsie idiopathique; l'
épilepsie
symptomatique est également possible à cet âge
le à cet âge et laisse surtout supposer des lésions en foyers; 7° l'
épilepsie
sénile peut aussi bien survenir chez des gens à
du cerveau et de ses enveloppes, des secousses morales, etc. ; 9° l'
épilepsie
sénile peut affecter la lorme de grand mal ou d
le mode d'apparition de la maladie ne se distinguent en rien de l'
épilepsie
idiopathique habituelle. Evidemment elle est infl
ras et de la main du côté droit, avec contracture; jamais d'accès d'
épilepsie
. Besoins. A A gaucho, on trouve un trou qui occ
ileptiques, par J. Vol- sin et Mauté, 189. Bhomures. Les - dans l'
épilepsie
, par 139. BULIIL Gliome du -, par Collins,
S IUL11PLE\ après lin accillt'nt, par scUu«e, 56. - asso- cié à l'
épilepsie
, par S. Gartner e Santenmse, 109. Paranoïaque
emples; la manie, la mélan- colie ou le délire chronique du père, l'
épilepsie
de la mère et vice versa peuvent exercer leur a
roubles intellectuels rattachés aux attaques. Chez lui encore, si l'
épilepsie
vient à s'améliorer ou à disparaître, le délire
, réciproquement, la disparition du délire vésanique peut laisser l'
épilepsie
dans son intégrité. Des indi- DÉLIRES MULTIPLES
DÉLIRES MULTIPLES. 51 vidus, en un mot, sont atteints à la fois d'
épilepsie
et de délire partiel, ou de manie ou de mélanco
choses ne se passent pas autrement. Il n'en est pas de même de l'
épilepsie
. Celle-ci ne perd nullement ses droits ; quelle
pénible, mais la perte du souvenir distingue celui qui dépend de l'
épilepsie
. D'autres fois, les caractères du délire accuse
alcoolique, notre liquoriste subit en une journée trois attaques d'
épilepsie
; aussitôt après la der- nière, il est pris d'un
présence simultanée de deux maladies nerveuses. La coexistence de l'
épilepsie
, dont les caractères sont si tranchés avec un d
e à la fois de délire de persécution avec idées ambi- tieuses, et d'
épilepsie
se traduisant par des vertiges et des accès de
n côté, avait des crises la nuit avec perte de connaissance, et son
épilepsie
a laissé également sa marque chez cette pauvre
ntécédent héréditaire auquel on pour- rait légitimement rattacher l'
épilepsie
; il y a là une lacune, mais l'existence de l'é
rattacher l'épilepsie ; il y a là une lacune, mais l'existence de l'
épilepsie
chez le frère de la malade est une preuve de l'
l'a fait remarquer M. Garnier, la double influence héréditaire :
épilepsie
de la mère, mélancolie suicide de la tante patern
ne de ces indi- vidualités morbides une existence indépendante. L'
épilepsie
de B..., comme celle de ses deux frères, en l'a
très sobre, était épileptique ; ellea a elle-même un fils atteint d'
épilepsie
. Dès l'âge de 14 ans, on a remarqué chez M... l
eut reconstituer de toutes pièces les trois états pathologiques : l'
épilepsie
d'ori- gine paternelle se traduisant par des at
ractères propres malgré l'intervention du délire alcoolique ou de l'
épilepsie
. Enfinl'alcoolisme, arrivé en dernier lieu sous
II SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES : IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
HÉMIPLÉGIQUE. Sobwmn. - Absence d'antécédents h
s pendant la grossesse. - Convulsions dans la première année. Accès d'
épilepsie
à partir de 3 ans. État de la malade en 1879.
u côté droit. Parésie du côté gauche. - Description des accès isolés (
Epilepsie
par- tielle). - État de mal ; Nitrite d'amyle.
ntellectuelles. NOTES SUR L'IDIOTIE. 89 Une complication grave, l'
épilepsie
, doit surtout nous arrêter. Ce n'est pas le mal
al vulgaire qu'on a sous les yeux, mais une forme particulière, l'
épilepsie
hémiplégique , décrite en 1827, par Bravais', e
emble symptomatique qui démontre l'exactitude de la qualification :
épilepsie
hémiplégique. Les accès se montraient par série
gré, tandis que, si l'on avait eu affaire à la forme commune de l'
épilepsie
, elle aurait augmenté d'un ou deux degrés. Parf
oints t Bravais. Recherches sur les symptômes et le traitement de l'
épilepsie
hémiplégique. * * Notes cliniques sur l'épile
traitement de l'épilepsie hémiplégique. * * Notes cliniques sur l'
épilepsie
partielle (Iconogr. phologr. de la Salpê- lrcèr
1876, p. 595 et 610. 90 CLINIQUE MENTALE. comparable à celui de l'
épilepsie
commune : c'est ce qui a eu lieu chez cette jeu
ons. Le siège des lésions explique-t-il la production des accès d'
épilepsie
partielle ? Cela nous semble démontré d'une man
dépression allant quelquefois jus- qu'aux idées de suicide, enfin l'
épilepsie
et la chorée. La manie aiguë aurait été observé
est pas mentionné par les statistiques; '<" enfin, que les cas d'
épilepsie
, de fatigue intellectuelle et d'épuisement ner-
térie vraie, dit-il, est une « névrose générale au même titre que l'
épilepsie
, et rien de « plus.-» Sans être aussi affirmati
euvres telles que la flexion forcée du pied (phéno- mène du pied, -
épilepsie
spinale). Dans ce mémoire, nous nous proposons
ogie de cette figure et de celle qui représente le tremblement de l'
épilepsie
spinale (fig., 11). Les . ? ¡(Of (1 /"T ;1... Y
LE. Telle est la démence. Parmi les causes qui la produi- sent, l'
épilepsie
doit être regardée comme l'une des ' - \. ? . '
éritablement alors d'une forme grave, aiguë en, quelque sorte, de l'
épilepsie
$. Les nombreux 'documents que' nous avons réuni
.I1111V ij^Tf^'i ex "If Convulsions; paralysie infantile. Vertiges.
Epilepsie
. l3rîcluré etecàduedé la fctce. - Délire hypoch
physionomie de la malade est en quelque' sorte caractéristique de l'
épilepsie
; les yeux sont hagards ? 14uiets, expr'imàn*tun
ndes, des méninges et de la substance cérébrale. Observation III.
Epilepsie
. Mélancolie. Démence. Affaiblissement pro- gres
êtrière le 3 avril 1869 (service de M. DELASIAUVE) comme atteinte d'
épilepsie
avec accès consécutifs de fureur nécessitant un
assez circonscrites. . Observation IV. Idées de persécution. -
Épilepsie
. - Vertiges. - Démence. - , Eschares. - Mort. A
istiques , qu'il nous semble inutile d'insister. Observation V.
Epilepsie
sans antécédents héréditaires. Débuta la suite d'
soit, c'est seulement en 1868 que s'est produit le premier accès d'
épilepsie
, puis un second six semaines après. Un traiteme
llies, les accidents qui se produisirent dès lors appartiennent à l'
épilepsie
. Les accès furent assez fréquents pour que tout
s ; reins, chacun 90 gr. ; rate, 65 gr. . Cet entant, chez lequel l'
épilepsie
a débuté par un tic de la face, à l'âge de 8 an
excès alcooliques, était grand buveur d'ab sinthe. Premier accès d'
épilepsie
à 26 ans,'à'la suite d'ex- cès vénériens. ' · ·
mblablement suffisantes pour expliquer la mort. F Chez ce malade, l'
épilepsie
s'est compliquée à P différentes reprises d'un
tion initiale des lésions, attendu qu'il ne s'agit pas ici de cas d'
épilepsie
vulgaire; aussi y a-t-il lieu d'espé- rer qu'un
uivant nous, , d'une, forme spéciale, , . -liée . intimement Là l'
épilepsie
.1 Ces malades"diffèrent complètement des épilep
tiques,. en ! nombret<trèsi res- treint d'ailleurs, qui, outre l'
épilepsie
, sont atteints de la paralysie générale ordinai
lfl ! fc 1 uo Jzft01 1 ab 44tisrtti VII : ' Corne D'A,11MON· dans L'
ÉPILEPSIE
; par PFLEGER ! (Allgeml aab 3s enftm zez"tsehnf
chemin de sa maison. , , 1 1 ami yÇe malade a eu, plusieurs accès d'
épilepsie
franche dans les mois qui ont précédé ces phéno
appelai tout parfaitement. « Dans la nuit suivante j'eus un accès d'
épilepsie
qui fut très « fort, comme à l'habitude. » Il
V. SUR QUELQUES FORMES PEU CONNUES d'aliénation MEN- tale liées A L'
ÉPILEPSIE
; par M. SP1TZIC, vice-président de la N. Y. Neu
NÉ- RALE ; par E. Chambard. (Soc. de biologie, 1880.) 1 1 XXVI. L'
Épilepsie
dans ses. rapports avec la folie; par M. J.-L.
lepsie et l'hystérie comme ayant une parenté très rapprochée avec l'
épilepsie
, et, selon lui, la ques- tion de la responsabil
lors qu'un symptôme; lorsqu'il est cause, on ne voit les attaques d'
épilepsie
se montrer que dans les dernières périodes, mai
^'observation d'une jeune fille de 17 ans atteinte de , manie et d'
épilepsie
coïncidant avec les règles, chez qui il a fait
sains; après l'opération, la manie disparut ; quant aux attaques d'
épilepsie
, elles devinrent moins nombreuses, seulement 3
ent des circonvolutions centrales; et, durant la vie, il y avait eu
épilepsie
, li- mitée au côté opposé du corps. C'est le 29
ls sont imputables les symp- tômes de l'idiotie compliquée ou non d'
épilepsie
. Mais ce que nous tenons à faire particulièreme
début de chaque accès était annoncé par un cri violent. Dès lors l'
épilepsie
ne fit que progresser : albumi- nurie persistan
nie peut devenir le point de départ : 1 ° l'hystérie et l'hystéro-
épilepsie
qui, dans quelques cas rares, débuteraient par l'
période plus ou moins longue de neurosthénie. H. D'O. LXIV. Cas d'
épilepsie
accompagnée DE mouvements ET DE CONCEPTIONS IRR
elleux; par le Dr MESCHEDE. ( ir·chow's Archiv., 1880.) Sommaire.
Epilepsie
accompagnée de conceptions délirantes religioso-e
nts touchant les causes et le développement de la maladie. Crises d'
épilepsie
d'ailleurs modérées ; moyenne, 3 à 5 accès par
ne d'entre elles. C'estquelques jours avant ou après un des accès d'
épilepsie
, parfois même au milieu d'un intervalle de rémi
RIDE et ALEX. JAMES. (Edinburgh Médical Journal, février 1880.) L'
épilepsie
vraie ou des attaques épileptiformes peuvent qu
t d'une débilité mentale, consé- cutive à l'hérédité mentale et à l'
épilepsie
de son jeune âge qui, sans le rendre absolument
ol., nov. 1880). REVUE DE THÉRAPEUTIQUE XVIII. SYPHILIS ; accès D'
ÉPILEPSIE
ET hémiplégie gauche ; NÉVRITE OPTIQUE DOUBLE;
ris cinq semaines avant son entrée à l'hopital d'un premier accès d'
épilepsie
, bientôt suivi d'une hémiplégie gauche passa- g
u Levant) par la connaissance de ses propriétés catalepsiantes. « L'
épilepsie
, dit-il, étant une maladie téta- nisante au pre
eux moteur et les muscles, et de substituer au tétanisme agité de l'
épilepsie
le tétanisme im- mobilisateur que la picrotoxin
e au patient. P. K. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LXXVI. SUR L'
ÉPILEPSIE
LIÉE aux lésions des.couches OPTI- quels ; parW
phé- nomène essentiel de l'attaque épileptique. Jackson définit l'
épilepsie
« une décharge accidentelle, soudaine et rapide d
' caractéristique : la, perte du sentiment. Il décrit sous le nom d'
épilepsie
optique une forme spéciale où l'attaque est pré
érangement intellectuel. Elles diffèrent, par conséquent, des cas d'
épilepsie
avec hallucinations, où les hallucinations sont
cortical nécessaire sans lequel, d'après moi, il ne saurait y avoir
épilepsie
vraie. » C. T. LXXVII. SYPHILOME DU CENTRE oval
e. Un frère a eu à six mois des convulsions suivies d'hémiplégie, d'
épilepsie
et d'imbécillité. Le grand- oncle de la malade
UTIQUE. XXVIII. Extirpation des deux ovaires dans UNCASD'HYSTÉRO-
épilepsie
(sans amendement des convulsions); amélioration
nt habituellement. Il administre en conséquence les bromures dans l'
épilepsie
, jusqu'à production du bromisme; il donne alors
apporteur. Prix Esquirol. - De la coexistence de l'hystérie et de l'
épilepsie
avec manifestations distinctes de deux névroses
des > 40 626 bibliographie. diverses phases de 1'liys léro -
épilepsie
, do l'hystérie, de l'épi- lepsie partielle, et
dans la forme épisodique, l'histoire complète de l'hystérie et de l'
épilepsie
, appuyée sur des observations minutieuse- ment
rquable montre bien la coïncidence de l'hys- téro-épilepsie et de l'
épilepsie
, qui se manifestent par des attaques et des acc
e, de l'éther, etc. II. Le deuxième volume comprend l'histoire de l'
épilepsie
partielle. L'épilepsie partielle déjà décrite p
Le deuxième volume comprend l'histoire de l'épilepsie partielle. L'
épilepsie
partielle déjà décrite par Bravais, sous le nom
elle. L'épilepsie partielle déjà décrite par Bravais, sous le nom d'
épilepsie
hémiplégique, est cette forme d'épilepsie dans
ar Bravais, sous le nom d'épilepsie hémiplégique, est cette forme d'
épilepsie
dans laquelle les convulsions sont limitées d'o
étudiée depuis 1868, par Hughlings Jackson, et on l'appelle souvent
épilepsie
jacksonienne. M. Charcot, qui en 1876, a décrit
in l'épi- lepsie partielle d'origine syphilitique, distingue dans l'
épilepsie
partielle trois variétés : l'épilepsie partiell
philitique, distingue dans l'épilepsie partielle trois variétés : l'
épilepsie
partielle ou hémiplégique proprement dite, l'ép
variétés : l'épilepsie partielle ou hémiplégique proprement dite, l'
épilepsie
partielle tonique ou avec contrac- tures, et l'
nt dite, l'épilepsie partielle tonique ou avec contrac- tures, et l'
épilepsie
partielle vibratoire, dont on trouve dans l'Ico
ve dans l'Iconographie des observations et des représentations. L'
épilepsie
partielle ou hémiplégique proprement dite se ren-
anifestent par séries, composées des trois périodes classiques de l'
épilepsie
, et durant de 10 ou 15 minutes à plusieurs heur
nférieure à celle des membres' du côté sain. t- , rn , t Dans l'
épilepsie
partielle hémiplégique, les accès ne survien- n
lieu à une élévation de, température semblable à celle des accès d'
épilepsie
vulgaire; ils peuvent .être isolés, sériels, ou
moins fréquents'. Les accès sont diurnes ou nocturnes, comme dans l'
épilepsie
ordinaire ; mais il faut noter l'absence ou la
est un caractère distinctif. Les malades atteints de cette forme d'
épilepsie
ont en général une intelligence au-dessous de l
moins vio- lent que les autres épileptiques. ' 0 ' - lit, Dans l'
épilepsie
partielle, tonique, ou avec contracture, l'accès
it à'épilepsie partielle vibratoire montre que, dans cette forme, l'
épilepsie
peut rester partielle dans les accès isolés, et
que de quelques dixièmes, ils ne diffè- rent donc guère des accès d'
épilepsie
vulgaire ; mais quand les accès se rapprochent
rare qu'elle tombe dans le coma, ce qui distingue cette forme de l'
épilepsie
vraie. Cette épilepsie partielle est plus grave q
s le coma, ce qui distingue cette forme de l'épilepsie vraie. Cette
épilepsie
partielle est plus grave que les deux formes pr
GLA9. De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
, 1 vol. ici , - 3- de 60 pages. Prix 2 fr. Paris
tée il la), par Hardy, 475. Castration (emploi de la), contre l'
épilepsie
, par Lawson Tait et Bacon, 341. Castration ch
e du), par Seppilli, 313. Cervelet (sclérose du), dans un cas d'
épilepsie
, par Meschede, 471. Cervelet (tumeurs du), par
la), par Il. Bigelow, 125. 0 Corne d'Ammon (état de la), dans l'
épilepsie
, par Pfleger, 290. Couronnerayonnante,parBitot,
quadrijumeaux (anatomie des), par Spitzka, 127. Couches optiques (
épilepsie
liée aux lésions des), par Hammond. 587. Co
ux cérébro-spinaux, par Mi- chael Léon, 441. Délire religieux et (
épilepsie
, dans un cas de sclérose cérébelleuse, par Me
estbrook, 432, Enseignement psvchiâtrique, par Westphal, 481. "
Epilepsie
guérie par la picrolovine, par Couyba, 492. E
l, 481. " Epilepsie guérie par la picrolovine, par Couyba, 492.
Epilepsie
(observation d'), par lé- sion cérébelleuse, pa
observation d'), par lé- sion cérébelleuse, par \leschede, 471.
Epilepsie
(rapport de l') et des ma- ladies de l'oreille,
l') et des ma- ladies de l'oreille, par Bride et .lames, -574.
Epilepsie
(corne d'Ammon dans l'), Plleger, 290. Epilep
.lames, -574. Epilepsie (corne d'Ammon dans l'), Plleger, 290.
Epilepsie
( diminution de poids après les attaques d'), p
inution de poids après les attaques d'), par Ka- walewski, 313.
Epilepsie
(formes d'aliénation liées il l'), par Spitzka,
Epilepsie (formes d'aliénation liées il l'), par Spitzka, 320.
Epilepsie
(rapports de l') et de la folie, par Cle\eland,
Epilepsie (rapports de l') et de la folie, par Cle\eland, 326.
Epilepsie
(rapports de l') et des lé- sions des couches o
niennes, par Berlin, 584. Oreille (rapports des vertiges et de l'
épilepsie
avec les maladies de l'), par Bride et James, 4
), et des affections cérébrales, par Baumler, 608. Picrotoxine (
épilepsie
traitée par la) et guérie, par Coujba, 492. P
Lane Hamilton, 333 ; em- ploi de l'électricité, par Beard, 333; l'
épilepsie
, etc, par Rus- sell, 491; - syphilis cérébrale,
vasculaire et le tissu de soutien sont peu modifiés. SmoN. XXXVI.
Épilepsie
, rachitisme et constitution lympathique ; par A
au rachitisme comme dyscrasie fondamentale. Donc, connexion entre l'
épilepsie
idiopathique et le rachitisme. L'auteur s'appui
u par une hygiène convenable de l'enfance, un grand nombre de cas d'
épilepsie
pourraient donc également être prévenus : d'où
otion que le rachitisme est un puissant fac- teur pathogénique de l'
épilepsie
essentielle. SIMOUN. XXXVII. Revue critique sem
d'épileptiques. SIMON. XXXVIII. La migraine et ses relations avec l'
épilepsie
et l'hystérie ; par Krafft Ebing (traduction W.
s de migraine sont- ils sans relation avec d'autres névroses ? I.
Epilepsie
. 'Déjerine les rapproche par l'hérédité; Gowers,
ons sont alors données par K. Ebing, dans lesquelles les attaques d'
épilepsie
arrivent en même temps que les attaques d'hémic
en dans les maladies organiques du cer- veau que dans les névroses (
épilepsie
); 3° la migraine ophtalmique et celle accompagn
est acquise (non héritée) et tardive; 4° la liaison clinique avec l'
épilepsie
paraît exclusivement concerner les catégo- ries
° Le signe externe de l'homogénéité clinique de la migraine et de l'
épilepsie
est principalement une commune auia visuelle, qui
ébraux que nous devons supposer tant pour l'hémi- cranie que pour l'
épilepsie
, cela reste très vague. - ... 6° L'aura visuell
un changement cérébral différent d'in- tensité et d'étendue. 7° L'
épilepsie
(migraineuse) et la migraine (épileptiforme) peu-
rme) peu- vent se remplacer l'une l'autre... ; 8° Quand migraine et
épilepsie
sont cliniquement unies, cette dernière apparaî
ort avec ses formes étiologiques. La migraine cliniquement liée à l'
épilepsie
bénéficie d'un traitement anti-épileptique. Bro-
ons nerveuses, mais l'amnésie rétroactive a été déjà décrite dans l'
épilepsie
. Dans l'espèce, ce n'est plus l'obnubi- lation
l'obnubi- lation ou la perte de la conscience propre à l'attaque d'
épilepsie
; le sujet, tout à fait lucide pour le présent,
fs du coeur a amélioré l'ensemble des accidents. P. KERAVAL. L. L'
épilepsie
larvée ; par W.-F. TSCnIJE. (Obozrénié psichiabi-
jours, d'après M. Tschije, l'attaque ou l'équivalent de l'attaque d'
épilepsie
essen- tielle. ' Il est dû à l'empoisonnement
st dû à l'empoisonnement qui produit les états épileptiques. Dans l'
épilepsie
vraie, non organique, il est probable qu'il s'acc
l agi ou non sous l'impulsion de ses idées délirantes ? SIMON. V.
Épilepsie
avec amnésie rétrograde. Étude médico-légale du
xamen de cette malade, en raison des réflexes tendineux, forts de l'
épilepsie
spinale et de l'extension des orteils, constatés
térie seule n'entraîne jamais exagération des reflexes tendineux et
épilepsie
spinale. M. BABInSgI. Chez cette malade, une lé
membres. Une commission sera nommée pour en examiner la valeur. .
Epilepsie
jaksonienne frontale. M. CsipAULT pense que l'é
valeur. . Epilepsie jaksonienne frontale. M. CsipAULT pense que l'
épilepsie
jaksonienne en général est d'une valeur localis
ande qu'on ne le dit d'ordinaire. Il y a des cas, en particulier, d'
épilepsie
jaksonienne comitiale et hystérique, dans lesqu
uver à l'autopsie. D'autre part, il est souvent possible, lorsque l'
épilepsie
est d'origine extrarolandique, d'en diagnostiqu
des frontales 1 et 2. M. RAYMOND n'a pas discuté la valeur du signa
épilepsie
partielle SOCIÉTÉS SAVANTES. 01 avec paralysi
it l'auteur, sera son testament médical : depuis 25 ans il étudie l'
épilepsie
: des milliers de malades ont passé sous ses ye
ée sur la clinique. Avec tous les auteurs, M. Gélineau pense qne' l'
épilepsie
essen- tielle disparaîtra à mesure que l'étiolo
que l'étiologie sera plus connue et fera place progressivement à l'
épilepsie
symptomatique. L'épilepsie n'est en effet qu'un
connue et fera place progressivement à l'épilepsie symptomatique. L'
épilepsie
n'est en effet qu'un symptôme et il n'y a pas «
qu'un symptôme et il n'y a pas « une » mais des épi- lepsies. Et l'
épilepsie
essentielle n'est qu'une épilepsie dont on ne p
ne » mais des épi- lepsies. Et l'épilepsie essentielle n'est qu'une
épilepsie
dont on ne peut indiquer la cause, une épilepsi
ielle n'est qu'une épilepsie dont on ne peut indiquer la cause, une
épilepsie
de cause inconnue. Il est difficile d'analyser
é. L'auteur passe succès- ' sivement en revue toutes les variétés d'
épilepsie
et les étudie dans toutes leurs formes et leurs
re original et inédit sur l'Histoire clinique et le traitement de l'
Epilepsie
. Ne sont admis à concourir que les mémoires ori
merie Gagllanl, Gy, successeur à Rouen. PAKEUR (P.). Purpura dans l'
épilepsie
, in-8" de 52 pages. Paris 1901. Boyer, éditeur.
peau aux âges avancés. Le minimum se montre après l'hystérie dans l'
épilepsie
. Ce fait ne vient pas à l'en- contre des consta
re les deux se placent la débilité mentale et la touchant de près l'
épilepsie
. Il résulte donc des chiffres fournis par notre
Aendant le travail, les troubles mentaux transitoirs rappellent l'
épilepsie
psychique. Les psychoses éventuelles peuvent suiv
mptomatique d'un état névropathique permanent. Et c'e : t souvent l'
épilepsie
ou l'hys- térie. L'affection sensitive prend al
aractères de ce groupe. 3ù La connexion peut être symptomatique d'
épilepsie
ou d'hys- térle - ainsi que le démontrent quelq
empire de ses hallucinations, conduit un peuple à la vic- toire ; l'
épilepsie
de Mahomet engendre le Coran; Luther avait de l
ceux de Haig et ceux de Krainsky, sur les auto-intoxications dans l'
épilepsie
et la neuras- thénie. On observe dans les jours
plus facile à prévenir qu'à guérir. (Bibliographie). SimoN. III.
Epilepsie
modifiée par le traitement et le milieu, avec que
Bahr. M. D. (I'he Alienist and Ne2s·oloyist, 1900, p. 85-95.) , L'
épilepsie
est encore aujourd'hui ce qu'elle était autrefois
vère fortement t végétarien et lacté, bromures et arsenic; contre l'
épilepsie
noc- turne, bromure et chloral ; contre l'état
colonies d'épileptiques. Simoi. IV. Sur un essai de traitement de l'
épilepsie
par les toxines microbiennes; par Launois. (Lyo
illon. . G, Carrier. V. Contribution à l'étude du traitement de l'
épilepsie
; par Kothe. (Neurolog. Cenlralbl., XIX, 1900.)
albl., XIX, 1900.) L'auteur traite maintenant tout malade alteint d'
épilepsie
, ancienne ou récente, d'apparence grave ou légè
es. 11 existe une tri- cho-anesthésie périodique dans l'hystérie, l'
épilepsie
, la migraine ophthalmique. L'alternance de zone
de diplégie cérébrale infantile avec maximum à gauche, idiotie et
épilepsie
, morte en état de mal. Il y a agénésie complète d
ceux-ci put expliquer les symptômes; la cranio- tomie montra que l'
épilepsie
provenait d'une esquille osseuse que la radiogr
ooliques. La maladie a débuté il y a vingt-huit mois par un accès d'
épilepsie
générale. Depuis quelques jours apparition d'ac
ès d'épilepsie générale. Depuis quelques jours apparition d'accès d'
épilepsie
corticale qui débutent par des mouvements conju
d'une confusion mentale et prennent enfin le caractère des accès d'
épilepsie
généralisée. On constate une paralysie faciale
le. La localisation du parasite explique par- faitement les accès d'
épilepsie
partielle. Il faut encore prendre en considérat
du malade a pu jouer un grand rôle dans la constitution des accès d'
épilepsie
généralisée et provoquer des troubles cérébraux
sculaires d'origine syphili- tique. Il est possible que les accès d'
épilepsie
jacksonienne ont, dans quelques cas, la même or
itif. A. M. 34G BIBLIOGRAPHIE. XI. l'cctloéaie et traitement de l'
épilepsie
; par le D1' Krainsky, direc- - teur de l'asile
tient le premier rang, que Krainsky rend respon- sable des accès d'
épilepsie
. S'assurer de la diminution de l'excrétion uriq
lsivànte, et susceptible d'être éliminée rapidement car les accès d'
épilepsie
sont brefs; et l'auteur a élu le carbaminate d'
le carbami- nate injecté dans les veines donne en effet d'emblée l'
épilepsie
. Le carbaminate d'ammonium est donc susceptible
ceptible de causer des convulsions : est-il réellement l'agent de l'
épilepsie
? Il existe nor- malement chez l'homme sain; es
l'auteur veut voir là une preuve de son identité avec l'agent de l'
épilepsie
; à cela on peut objecter que bien des substances
est une drogue pouvant produire par injection intra-vei- neuse de l'
épilepsie
expérimentale, quant à la regarder comme l'agen
e l'épilepsie expérimentale, quant à la regarder comme l'agent de l'
épilepsie
essentielle, si tant est que cet agent soit tou-
teur. Dans un dernier mémoire, M. Pellizzi étudie les rapports de l'
épilepsie
et de l'idiotie. . Dans ce volume, M. Pellizz
nous avons, il est vrai, des convulsions qui rappelent celles de l'
épilepsie
, mais elles ont été précédées d'une aura franch
faire à un cas typique de cette combi- naison de l'hystérie et de l'
épilepsie
que Landouzy a appelée « hystéro-épilepsie à cr
). Le plus souvent, c'est l'hystérie qui vient se greffer sur une
épilepsie
déjà existante, pour se développer avec d'autan
alade. Les ecchymoses spontanées se rencontrent aussi bien dans l'
épilepsie
que dans l'hystérie. Dans la première, elles ne
rs dans les affections nerveuses dont souffrait la malade. Dans l'
épilepsie
, les élévations de température sont fré- quente
in, cité par Mora. * Recherches cliniques el thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, vol. XII, 1892, 2° pa
e postérité épileplique. En 18-5, AI. Obersteiner ne trouvait cette
épilepsie
héréditaire que chez deux petits sur 32 : trois
formes des parents. Pour Sommer, « la transmission héréditaire de l'
épilepsie
expérimen- tales des cobayes n'existe pas ».
sent certainement plus aussi sûrement qu'avant en ce qui concerne l'
épilepsie
expérimentale en question. De 1873 à 1875 la pl
le sciatique à plus de 100) présentèrent les signes accentués de l'
épilepsie
. Or il y a dix ans, sur 40 qui subirent l'opérati
? On l'ignore à Vienne, alors qu'à Iéna M. Sommer enregistre que l'
épilepsie
artificielle du cobaye, la même, est constante;
mble des états de calme que réalisent les voyages maritimes. Dans l'
épilepsie
idio- pft</n<jfMe, on peut espérer une am
l 1901). Excellente et intéressante revue du sujet. Il. M. C. XX.
Epilepsie
et crime ; par John 13.ncn. (The Journal of menta
(The Journal of mental Science, avril 1901.) , La pathologie de l'
épilepsie
demeure obscure : nous n'étudie- rons dans cett
lepsie'; la meilleure est encore celle que propose Ottolenghi : « L'
épilepsie
est un syndrome fonctionnel de dégénérescence,
on les décrit quelquefois sous le nom d'équivalents psychiques de l'
épilepsie
. Ces états mentaux présentent des caractères pa
général, et même que si un homme sujet à des attaques fréquentes d'
épilepsie
commet un homicide d'une manière impul- sive ou
ent. Les criminologistes modernes ont une tendance à rattacher iL l'
épilepsie
tous les troubles mentaux et toutes les impulsi
, soit 30 p. 100. et sur ce nombre, il en donne 78 comme atteints d'
épilepsie
psychique. La plupart de ces derniers cas ne se
est d'avis que l'on n'a aucune rai- son suffisante d'admettre que l'
épilepsie
psychique pure, entière- ment et absolument ind
ar des hommes et par des femmes). 11 est à remarquer que bien que l'
épilepsie
soit de l'aveu de tous les auteurs sensiblement
'au point de vue pathologique. 11 faut noter qu'il y a des formes d'
épilepsie
qui prédisposent plus que d'autres aux actes ho
ubite se rencontre (paralysie BIBLIOGRAPHIE. 425 générale, tabès,
épilepsie
, hystérie, tumeurs du cervelet, abcès de la fos
uite, à partir de l'année z1597, d'A... a eu une série d'attaques d'
épilepsie
, avec cri initial, morsure de la langue, perte
i dit. D'autre part, d'A... est toujours sujette à des attaques d'
épilepsie
ordinaire; elles éclatent sans aura d'aucune sort
la malade alla consulter, porta le diagnostic d'hémi- anopsie avec
épilepsie
sensorielle. En 1897, les hallucinations de la
hallucinations de la vue ont disparu. La malade a eu une attaque d'
épilepsie
, avec morsure de la langue, chute, incontinence
IS cas d'hémianopsie. 441 ( 'Diagnostic - Messieurs, des attaques d'
épilepsie
, chez : une femme qui paraît avoir contracté la s
lsives de la syphilis cérébrale se présentent sous les .dehors de l'
épilepsie
partielle, de l'épilepsie jacksonienne, et alor
brale se présentent sous les .dehors de l'épilepsie partielle, de l'
épilepsie
jacksonienne, et alors elles sont l'expression
tiers avec les grandes attaques convulsives qui sont le propre de l'
épilepsie
essen- tielle. ' Pour rendre compte des accid
nts des mains et de la langue, à rat- tacher, de même qu'un accès d'
épilepsie
mentionné à l'alcool. La seconde observation a
aissent sourds. L'idée lui vient qu'il est en proie à une attaque d'
épilepsie
. Puis, le voilà, sans trop savoir comment, dans
avec indifférence et résignation qu'il vient d'avoir une attaque d'
épilepsie
et il en rapproche l'opinion d'un confrère qui co
15, il s'agissait de la folie y compris imbécilité et idiotie (sans
épilepsie
). En tout 43 p. 100 d'individus entachés d'héré
BIBLIOGRAPHIE. XX. Recherches cliniques et thérapeutiques sur' l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie; par Bourneville, avec
les microcéphales. Poursuivant ses recherches sur l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'imbécillit
tion des- radiculaires, par Man- nesco, 43. Centres NER eux. Voir
Epilepsie
. Cerveau. Influence du- sur la sé- crétion du
. ) Embryologie. Voir Cellule. Emotions. Les-, par feergi, 251.
Epilepsie
, rachitisme et constipa- tion lymphatique, par
tique des travaux parus sur-, par Ctarke. 56. Voir Migraine. 57 .
Epilepsie
larvée, pal Tschije, 71. Épileptiques atteint
' par 1 l'ehzzi. 348. Recherches cliniques etthérapeuttques sur l'
épilepsie
et l' - par Bourneville, 516. Imagination dan
re énergique des paupières, par J. Piltz, 311. Rachitisme. Voir
Epilepsie
. - fami- lial, par Zimmeru, 317. Réflexes. Et
RECHERCHES , SUR * L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTéRIE . ET L'IDIOTIE - PUBLICATIONS DU
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERV
tomie pathologique. Bourneville, Bicêtre, 1895. 1 I. Idiotie et
Épilepsie
symptomatiques de méningite ; PARBOURXËVtLLEETj
ses joujoux. Il aime à grimper, à sauter ; parait avoir Idiotie ET
épilepsie
méningitiques. 5 quelque conscience du danger.
n'a pas plus que dans la famille constaté de vertiges. IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
méningitiques. 7 irréguliers : les inspirations
bifurcation a un cm. 1/2 de long, et s'étend jusqu'à LI. IDIOTIE ET
épilepsie
méningitiques. 9 P1, bien développé, envoie en
à 7 ans, l'enfant a eu des convulsions qui Fig. 1. 12 Idiotie et
épilepsie
méningitiques. ont réapparu à peu près tous les
ll'i- (jI/es sur la {ilion' typhoïde. Paris, 1Hi : J.. Idiotie ET
épilepsie
méningitiques. 13 La température après la mort
araisse y avoir, au moins à l'oeil nu, de foyer de sclérose. V.
Épilepsie
idiopathique ; État de mal ; Mort ; Lésions mén
- [Famille du père. Père, mort. 5G ans « à force de boire » ; 42
Epilepsie
idiopathique. était un alcoolique invétéré; aur
onsulter M. Charcot, qui ordonna du bromure, et fit le diagnostic d'
épilepsie
. Etat actuel (22 avril 1890). - Le teint est lé
e saillie notable au niveau de l'isthme et des parties latérales.
Épilepsie
idiopathique. 4.5 toilette convenablement. On n
lybro- muré (1). 1893. 17 janvier. Même état au point de vue de l'
épilepsie
C.... ne fait pas de progrès, on ne peut rien o
ixir employé dans le service répond à deux grammes de bromure. 46
Épilepsie
idiopathique. État DE MAL ÉPILEPTIQUE. 47 et
r de la malade est morte de méningite avec convul- sions. II. L'
épilepsie
a débuté a l'âge de 8 ans, sans cause appréciab
Bourneville), le 1 ? décembre 1891. Convulsions; hémiplégie gauche;
ÉPILEPSIE
. 53 Antécédents. - (Renseignements fournis par
s eu de convulsions au moment de 54 CONVULSIONS; hémiplégie gauche;
épilepsie
. l'accouchement, ni les jours suivants; il n'ét
et occipital n'offrent rien de spécial. 62 Imbécillité, hémiplégie,
épilepsie
. Face interne. - Circonvolutions du corps calle
ut le côté gauche. Elles ont eu aussi pour cause l'imbécillité et l'
épilepsie
hémiplégique. IV. A la première attaque convuls
ns avec les mêmes caractères, ayant toute l'apparence des accès d'
épilepsie
partielle : le malade était entraîné du côté pa
é élevé que l'on note d'habitude dans l'état de mal qui complique l'
épilepsie
ordinaire. Etat de MAL dans l'épilepsie partiel
état de mal qui complique l'épilepsie ordinaire. Etat de MAL dans l'
épilepsie
partielle. 65 Nous avons publié plusieurs faits
d a trait à une enfant de 10 ans, Merl., hémiplégique et atteinte d'
épilepsie
. Elle a eu un premier état de mal, offrant égal
quelques semaines s'étaicnt-elles écoulées après l'état de mal d'
épilepsie
partielle, qu'un seconcl état de mal se dévelop
e température atteignant silo (2). z VI. Dans la majorité des cas d'
épilepsie
hémiplégi- que, due à la sclérose alrophique, l
cérébrales ; obs. d'hémiplégie cérébrale infantile spasl'lOdi'llW (
épilepsie
p.ll'tielle). (.lIél)1oil'es de la Société de b
n est plus de même - clans les cas d'imbécillité, d'hémiplégie et d'
épilepsie
symptomatiques de méningo-encéphalite : très fr
tte. Réflexions. - I. Relevons, au point de vue de l'hériclité, l'
épilepsie
chez le père de l'enfant ; -l'in- continence d'
, p. h-G2. Ce travail renferme 10 tracés ther- mométriques. IX.
Épilepsie
. - Atrophie cérébrale localisée. - État de mal.
épi- leptiques parce que quelques auteurs ont essayé de rattacher l'
épilepsie
à, un rétrécissement de cet orifice. PSEUDO-K
viLIcj.Sct'oc.htcrctttic des circonvolutions cérébrales, idiotie et
épilepsie
lténeipléyiyne (Enfant Fit ... , Marie), p. 81, a
- Écholalie. - Tics. - Sur- dité incomplète. - Syphilis acquise. -
Épilepsie
. - Antécédents héréditaires. 127 Marche de la
uosité de la tête est Fig. 12. - R... à 26 ans (1895). IDIOTIE ET
épilepsie
. 145 constatée, mais jusqu'à 28 mois, on ne rem
ou partiel de la mémoire visuelle. VI. R... qui avait eu un accès d'
épilepsie
en 1884 et n'en avait plus eu depuis cette époq
cité, on ne peut invoquer l'influence de la vue de ses camarades. L'
épilepsie
, qui est la « bête noire » des idiots, est due
cle maternel para- lysé, aliéné et sujet probablement à des accès d'
épilepsie
. - Frère et soeur morts tuberculeux. - Soeur st
vait déjà, avant le traitement, une tendance à l'aggravation de l'
épilepsie
. OBs. V1.- Idiotie; acrocéphalie; obésité prono
re pratique ; enfin nous insisterons sur ceux qui sont relatifs à l'
épilepsie
vertigineuse. I. Dans nos publications antérieu
montré efficace « dans la coqueluche, la chorée, l'hys- térie et l'
épilepsie
. » Puis, dans des termes quelque peu dithyrambi
gr. 5 par jour. John Stevens (Mel. Pr. i le recommande aussi dans l'
épilepsie
où il le prescrit à la dose de 0 gr.,6. - Il l'
ente et la mélancolie. Enfin il n'en a retiré aucun bénéfice dans l'
épilepsie
se présentant sous forme d'accès. Ce dernier ré
us venons de le voir, n'a rien qui nous surprenne, car c'est dans Y
épilepsie
vertigineuse seu- le ou dans les cas d'épilepsi
, car c'est dans Y épilepsie vertigineuse seu- le ou dans les cas d'
épilepsie
avec accès et vertiges que très souvent nous av
ant aux cas dans lesquels il n'y a que des vertiges, ou aux cas d'
épilepsie
dans lesquels les accès sont compli- Bournevill
velles observations. Nous le ferons très sommairement. OIIS. I. -
Epilepsie
vertigineuse. Sommaire. - Père violent, nombreu
dépasse pas 5 à 6 secondes ».- Bromure DE camphre. 227 OBS. II. -
Épilepsie
idiopathique ( ? ). Sommaire. Grand-père patern
période de 1889 il en avait eu 81. OI3S. III. - Idiotie complète ;
Epilepsie
. 5oawauie.- Père, arrêt de développement intell
du bromure de camphre. OBS. IV. Imbécillité A UN DEGRÉ PRONONCÉ ET
Épilepsie
symptomatique. SOMMAIRE. - Père peu intellige
eu ni accès, ni vertiges depuis un an, car en fait de guérison de l'
épilepsie
, on ne saurait être trop réservé. . L'administr
llec- tuelle a surtout fait des progrès depuis 18 mois. Cas. V. -
Epilepsie
. Sommaire. - Début des crises il 5 ans 1/2. - G
, dans le traitement de l'épiles sie vertigineuse, ainsi que dans l'
épilepsie
avec accès et vertiges , combiné avec l'élixir
4. FÉLIX ALOAN éditeur 108, Boulevard St-Germain, 108. 1893
Épilepsie
partielle crurale et Tuberculose de la région par
e crurale et Tuberculose de la région paracentrale (1). Sommaire. —
Epilepsie
partielle crurale. Mort par phthisie pulmonaire.—
par la méthode anatomo-clinique. Monoplégie crurale par destruction,
épilepsie
partielle crurale par irritation de la région par
irritation de la région paracentrale. — Fréquence de cette forme de l'
épilepsie
Jacksonienne; raisons tirées de la vascularisatio
s de la vascularisation de cette région. Diagnostic des causes de l'
épilepsie
partielle crurale. — Tuberculose de la région par
ment les circonstances principales du fait. Il s'agissait de crises d'
épilepsie
Bravais-Jacksonienne ou partielle, débutant toujo
que de provoquer ces accès convulsifs. Or, sachez bien qu'un accès d'
épilepsie
partielle à début crural, accompagné ou non de gé
arfois de parésie du membre inférieur, sachez bien, dis-je, que cette
épilepsie
-là relève, comme la monoplégie crurale, d'une lés
crurale, d'une lésion de la région du lobule paracentral. De même, l'
épilepsie
comme la monoplégie brachiale désignerait une lés
erait une lésion du centre des mouvements du bras ; de même, enfin, l'
épilepsie
à début facial voudrait dire altération du centre
s avons, M. Ballet et moi, appris à connaître ces hystéries à forme d'
épilepsie
partielle, et, pour ne parler que du mode crural,
écente, publiée en Hollande par M. Wismann (1) et relative à un cas d'
épilepsie
crurale hystérique. A côté des cas purs de mono
pilepsie crurale hystérique. A côté des cas purs de monoplégie ou d'
épilepsie
partielle, relevant soit de l'hystérie, soit d'un
la fois, paralysie permanente avec ou sans contracture et attaques d'
épilepsie
Bravais-Jacksonienne. Ici, tandis qu'une partie d
n fait plus grave que celui, par exemple, où il n'y a que des accès d'
épilepsie
partielle accompagnée ou non de paralysie transit
ot. — Leçons sur les maladies du système nerveux, t. II, p. 372, De l'
épilepsie
partielle d'origine syphilitique. premier rang
crurale dérivent de la tuberculose de la région paracentrale. Si l'
épilepsie
partielle crurale débute brusquement, vous pouvez
t à dédaigner. Voici encore une autre combinaison : Les signes de l'
épilepsie
paracentrale sont bien marqués; on s'est assuré q
nvier 1890, éclata brusquement, sans cause connue, un premier accès d'
épilepsie
partielle débutant par le pied gauche. Une heure
e rapidité foudroyante. Le 28 avril, survinrent une dizaine d'accès d'
épilepsie
Bravais- Jacksonienne, exclusivement localisés
atastrophe très prochaine. En effet, les jours suivants, les crises d'
épilepsie
crurale se renouvelèrent, l'orthopnée devint ince
arement ainsi, en ce qui concerne le somnambulisme épileptique. Toute
épilepsie
comporte une sorte d'automatisme qui, rudimentair
e. Le plus souvent il a eu de véritables vertiges ou même des accès d'
épilepsie
convulsive, et ces signes, dans certains de ces c
l'urine et des matières fécales. Mais si on avait pu alors penser à l'
épilepsie
en raison de ces deux phénomènes : l'absence d'au
ttement définir. Elles se rapportaient sans doute à l'hystérie ou à l'
épilepsie
. Sa mère, morte également des suites d'une phthis
, avec pareilles limites, dans les amnésies consécutives à un accès d'
épilepsie
, à une attaque d'éclampsie puerpérale (2). On ret
chard. Les rapports étroits du diabète avec l'aliénation mentale, l'
épilepsie
, l'hystérie, le goitre exophthal-mique ont été si
ême individu. Quant aux relations du diabète avec les vésanies et l'
épilepsie
, elles ont été indiquées par Seegen, Zimmer, Lang
ait de Grantham2 on voit l'alternance qui suit : TABLEAU è père
Epilepsie
et delirium tremens. _!_ Fille de 9 ans. Quat
Trois accès, le dernier suivi de mort.) Mère. Nerveuse. Fils.
Epilepsie
typique. Fille. Morte de diabète à 16 ans.
MÈRE Diabète. Fille. Bystér\e. TABLEAU VI X. . . 70 ans.
Epilepsie
, diabète, paralysie agitante. Depuis trois ans l'
. 70 ans. Epilepsie, diabète, paralysie agitante. Depuis trois ans l'
épilepsie
et le diabète ont disparu. La paralysie agitante
Gravelle. Diabète, vésanie. (Mort dans le coma.) Petite-fille.
Epilepsie
. Diabète. (Morte dans le coma. -1 Petit-fils.
e môme famille, de ces associations du diabète avec les vésanies ou l'
épilepsie
, fourmillent dans la littérature sans que les aut
ses malades avait un père epileptique; elle-même avait été atteinte d'
épilepsie
dans son enfance. Une autre était tante de deux a
avantage sur les rapports qui unissent le diabète aux vésanies et à l'
épilepsie
, sur la fréquence, chez un seul individu et dans
lien. Diabète. ! Tabes. Tabès. Névropathe. Névropatlte. . I
Epilepsie
. TABLEAU XVIII GRAND'MÈRE Diabète. Mélanc
s avions sous les yeux et qui, mentionnant les phénomènes connus de l'
épilepsie
, nous permettait de ne rien omettre dans l'interr
oduit, en tout ou en partie, les principaux phénomènes de l'attaque d'
épilepsie
partielle, bien que, dans l'espèce, ceux-ci ne re
t, de crises convulsives se passant dans les water-closets, c'est à l'
épilepsie
que vous devez songer. Bien rarement l'hystérique
e de défécation involontaire, alors il n'y a plus de doute, c'est à l'
épilepsie
que l'on a affaire et jamais à l'hystérie. » C'
écissement concentrique ne s'observe jamais à l'état permanent dans l'
épilepsie
pure. Il peut, il est vrai, s'y rencontrer à l'ét
e de globus hystericus qui se manifestait, chez un individu atteint d'
épilepsie
, longtemps avant et vingt-quatre heures après les
rapie, les toniques sans les bromures sont à peu près inactifs dans l'
épilepsie
. Les bromures, au contraire, sans effet notable s
ent un total de quinze cas d'aura hystéroïde sur quarante-trois cas d'
épilepsie
avec aura précédant les accès, c'est-à-dire plus
endent facilement compte au premier interrogatoire du médecin. Dans l'
épilepsie
, au contraire, elle reste presque toujours au sec
ification que nous lui attribuons ici. Or, d'après lui, sur 100 cas d'
épilepsie
avérée, 43,2 fois l'aura était présente, 40,7 foi
d (1870) et qui sont complètement différents. En effet, sur 100 cas d'
épilepsie
, il n'a constaté l'aura, en moyenne, que 10,76 fo
.50 0/0 14.79 0/0 14.79 0/0 35.82 0/0 100 (1) Ainsi sur 100 cas d'
épilepsie
en général, on trouve 10,5 fois une aura motrice,
En ramenant au chiffre total de 100, on trouve donc que sur 100 cas d'
épilepsie
en général elle se rencontre 22,4 fois, et sur 10
e tabès, de sclérose en plaques, de paralysie générale, d'hystérie, d'
épilepsie
, dé tumeurs cérébrales, de paralysies oculaires,
Chorée de Sydenham........... 74 Chorée chronique. ............ 2
Epilepsie
................ 177 Epilepsie Jacksonnienne d'o
Chorée chronique. ............ 2 Epilepsie................ 177
Epilepsie
Jacksonnienne d'origine non déterminée. 16 Conv
i arrivait aussi d'avoir des attaques incomplètes, ressemblant à de l'
épilepsie
partielle : la jambe gauche se raidissait, était
es formes délirante, comateuse et convulsive. La forme convulsive, ou
épilepsie
saturnine, est la plus fréquente de toutes. Les a
que voici. Les caractères des attaques de K... ne sont pas ceux de l'
épilepsie
saturnine. Jamais les malades, dans ce cas, ne dé
cle dans leurs mouvements, comme cela se présente parfois chez K... L'
épilepsie
saturnine peut être, il est vrai, constituée par
du corps, et chez K..., il y a aussi, parfois, des attaques à forme d'
épilepsie
partielle; mais, dans l'épilepsie saturnine, il n
si, parfois, des attaques à forme d'épilepsie partielle; mais, dans l'
épilepsie
saturnine, il n'y a jamais, ce semble, d'aura ni
taques de K... Contrairement à ce qu'on observe généralement dans l'
épilepsie
saturnine, il semble bien que chez K... la face n
voici un dernier argument que je crois puissant contre l'hypothèse d'
épilepsie
saturnine : cette dernière affection est très gra
le malade est guéri, et s'il est soustrait à l'influence du plomb, l'
épilepsie
ne récidive pas. Or, notre malade qui a commencé
s sur le compte du saturnisme, il faudrait créer une forme nouvelle d'
épilepsie
saturnine, différente, à tous les points de vue,
lle d'épilepsie saturnine, différente, à tous les points de vue, de l'
épilepsie
saturnine classique, d'une durée beaucoup plus
s le carrefour sensitif. Or, on sait que les lésions qui provoquent l'
épilepsie
partielle résident dans l'écorce, tandis que les
s recherches de MM. G. Ballet et Pitres, ne produisent pas ce genre d'
épilepsie
. Il résulte de ce rapprochement que si l'on veu
nt hystériques. Ce sont des attaques anomales, sans doute, simulant l'
épilepsie
partielle jusqu'à un certain point, mais c'est un
t et Crespin, dans leur travail sur les attaques d'hystérie à forme d'
épilepsie
partielle. L'an dernier j'ai montré encore un c
ction ne peut faire l'ombre d'un doute. D'ailleurs, si le fait de l'
épilepsie
partielle au début est anomal, nous retrouvons l'
du corps, c'est-à-dire du côté paralysé (attaque hystérique à forme d'
épilepsie
partielle). Le malade fut renversé, et il fallut
a alcoolique, et quant aux crises, on les rapportera probablement à l'
épilepsie
alcoolique. Il est inutile de faire ressortir com
ela n'est pas encore démontré. » FIN TABLE DES MATIÈRES XXIV.
Epilepsie
partielle crurale et tuberculose de la région par
par la méthode anatomo-clinique. Monoplégie crurale par destruction,
épilepsie
partielle crurale par irritation de la région par
irritation de la région paracentrale. — Fréquence de cette forme de l'
épilepsie
jacksonnienne; raisons tirées de la vascularisati
s de la vascularisation de cette région. Diagnostic des causes de l'
épilepsie
partielle crurale. — Tuberculose de la région par
pathie progressive primitive, 385, 388. Crural : monoplégie —e, 6 ;
Epilepsie
partielle —e, 8; Monoplégie — e double, 15. D
— dans le vigilambulisme, 189. Enfance : hystérie de 1'—, 76, 77.
Epilepsie
: accès d'automatisme ambulatoire, 61 ; Petit mal
utomatisme, 62; Aura dans 1'—, 389 ; Prodromes de l'accès d'—, 390.
Epilepsie
partielle, 1 ; — crurale, 8; — hystérique, 8, 9;
es de l'attaque d'-, 133; Suicide dansl'—, 103; Attaque d'— à forme d'
épilepsie
partielle, 70, 132; — et amnésie rétro-antérograd
sme : encéphalopathie dans le —, 463; Hémianesthésie dans le —, 462 :
Epilepsie
dans le —. 464. Sens : excitation des — dans la
centre qu'elle frappe toujours chez l'enfant ? D'autre part dans l'
épilepsie
Jacksonnienne de la face, les convulsions se mo
Les expériences de Ferrier, Bartolow, Sciammana ; certains cas d'
épilepsie
jacksonnienne (Weiner, Hitzig, Féré, Mar- fan,
pouvons encore invoquer un fait récent. Silva ' a publié un cas d'
épilepsie
jacksonienne ; les crises débutaient par le fac
éfier de ces attaques convul- sives qui, simulant les attaques de l'
épilepsie
vulgaire, survien- nent sans cause apparente ch
es traumatismes crâniens où la température, comme d'ailleurs dans l'
épilepsie
, pourra régler le pronostic, mais dont les sign
des grandes villes. Troisième leçon. Diagnostic et traitement de l'
épilepsie
. - Les coriiiliaux ne doivent plus être divisés
n deux catégories suivant que le début est précoce ou tardif, car l'
épilepsie
tardive et l'épi- lepsie précoce sont une seule
nier ressort pourra être tranché par l'examen des urines. L'accès d'
épilepsie
en effet élève pendant vingt-quatre heures le t
ainsi que l'a indiqué M. Bourneville, la température s'élève dans l'
épilepsie
et ne dépasse pas la normale dans l'hystérie Le
male dans l'hystérie Le seul traitement véritablement efficace de l'
épilepsie
est le bromure de potassium associé avec les br
un exemple. Le traitement dans ces cas sera identique à celui de l'
épilepsie
, c'est-à-dire l'administra- tion progressivemen
e. J.-B. CHARCOT. III. Recherches cliniques et thérapeutiques snr l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie; par Bourneville, t.,
: la diarrhée chronique séreuse traitée au salicylate de chaux ; l'
épilepsie
due à l'onanisme ; la pseudo-porencéphatio et l
chronique; l'alcoolisme ayant entraîné l'hé- miplégie gauche, et l'
épilepsie
, par sclérose atrophique, pachymé- 90 VARIA.
é- 90 VARIA. nin-ite et méningo-encéphalite; l'imbécillité et l'
épilepsie
symplo- matiques de méningite récente avec état
e récente avec état chagriné des circonvolu- tions ; l'idiotie et l'
épilepsie
symptomatiques de sclérose trophique dés deux l
x; l'idiotie hydroccphaiique acquise; l'état de mal épileptique ; l'
épilepsie
consécutive à la fièvre typhoïde; l'influence h
planches hors texte. L'une des observations, intitulée : Idiotie et
épilepsie
symptoma- tique de sclérose trophique des deux
et durant chaque fois deux à trois heures. Consécutivement, accès d'
épilepsie
. Pas de paralysie, mais idiotie complète. Duran
6 pages. Varsovie, 1895. Chez l'auteur. ICOYALEVSIiY (P.). - De l'
épilepsie
au point de vue clinique et médico- légal. Broc
in il est nul, dans la mala- die où domine l'héréthisme nerveux : l'
épilepsie
. Conclusions. Quelle est la conclusion légitime
otale et bilatérale du sympathique cer- vical comme traitement de l'
épilepsie
essentielle; par OTERO ACEVEDO. (Siglo Medico,
ît pas que l'opération le soit... au moins comme moyen curalif de l'
épilepsie
. B. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 161 pertielleme
olaire 1897-1898. M. Favier. Le cazi7, dans la chorce ; M. Fichaux.
Épilepsie
larvée à forme gastrique. VARIA. Xe Congrès
E NEUROLOGIE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. LA TOXICITÉ DU SANG DANS L'
ÉPILEPSIE
; Par le Dl P. COLOLI : 1\T, · Ancien interne
ien interne des Asiles de la Seine. Le complexas symptomatique de l'
épilepsie
, parait résul- ter, d'une part, d'une maladie-d
catrice d'attaques. Les recherches de ces ' Desilles. N'olice sur l'
épilepsie
considérée sous le rapport de l'héré- (lité, th
es cliniques et sialis- tiques sur la transmission héréditaire de l'
épilepsie
(Ann. mégi. psych., 1868, t. Xi, p. 203). Dusar
sie (Ann. mégi. psych., 1868, t. Xi, p. 203). Dusart. Hérédité de l'
épilepsie
, 1865. Dmvnd. De la transmission héréditaire de
té de l'épilepsie, 1865. Dmvnd. De la transmission héréditaire de l'
épilepsie
(Ann. iiiétl. psycb., 1878, t. XII, p. 279). Fé
. Les épilepsies el les épileptiques', 1890, p.'2t0. - J. Voisin. L'
épilepsie
, 1897, p. 6. Bouchot et Cazanvielh. De l'épilepsi
. - J. Voisin. L'épilepsie, 1897, p. 6. Bouchot et Cazanvielh. De l'
épilepsie
considérée dans ses rapports avec l'aliénation
r. gêné., liée. 1825 et janv. 1826). J. Moreau. De l'étiologie de l'
épilepsie
. (Mém. Ac. de mé ? t. XVIII, 185t.) * Motet.
erches sur les centres nerveux, 1876, p. 73. Guillemin. Elude sur l'
épilepsie
alcoolique, 1877. - , ' ' - - - Archives, 2° sé
e, Arch. de Neurologie, n° 69, 1890. LA TOXICITÉ DU SANG DANS L'
ÉPILEPSIE
. 179 Puis on s'est occupé de la toxicité propre
hors de toute attaque : l'hypotoxicité uri- naire, qu'il s'agisse d'
épilepsie
convulsive ou d'épilepsie larvée. On peut même
hypotoxicité uri- naire, qu'il s'agisse d'épilepsie convulsive ou d'
épilepsie
larvée. On peut même s'en servir, ajoutent-ils,
nombre de cas, ainsi que pour étudier, avec un critérium nouveau, l'
épilepsie
larvée. Ces résultats ont encouragé à poursuivr
le de Villejuif. ' Archives de Neurologie. De l'intoxication dans l'
épilepsie
(nos 98 à 102), 1893. ° Mairet et Bosc. Reche
ale el palhol., 1891. ' Mairet et Vires. Un stigmate permanent de l'
épilepsie
. (Bull. méd., 1897, p. 83.) 4 Jules Voisin. L
nent de l'épilepsie. (Bull. méd., 1897, p. 83.) 4 Jules Voisin. L'
épilepsie
, 1897, p. 149. àlairet et Vires. Note sur la to
a pointe du bislouri, faire tomber les LA TOXICITÉ DU SANG DANS L'
ÉPILEPSIE
. 181 caillots qui se forment dans la plaie, et
difficile toute recherche cadavérique. LA TOXICITÉ DU SANG DANS L'
ÉPILEPSIE
. 183 Expérience Il 23 mai, 2 heures du soir. Sé
vite. Cette attaque épileptiforme dure LA TOXICITÉ DU SANG DANS L'
ÉPILEPSIE
. 1 8o quelques secondes ; immédiatement après l
ut donc pour tuer un kilog. d'animal : LA TOXICITÉ DU SANG DANS L'
ÉPILEPSIE
. 187 D'autre part, le professeur Depaul invoque
une affection convulsive, que plusieurs auteurs ont rapproché de l'
épilepsie
, dont on a dit même qu'elle était de l'épilepsi
ont rapproché de l'épilepsie, dont on a dit même qu'elle était de l'
épilepsie
aiguë (Vogel, Jacquemier s) ; voilà donc une af
Et nous venons de voir que l'intoxi- cation existe également dans l'
épilepsie
. Nous y trouvons la même production de toxines
uvons la même production de toxines dans l'éclampsie comme dans l'
épilepsie
, il y a donc une toxicité. Que se passe-t-il al
s et travaux. C'est par cette prédisposition qu'on peut expliquer l'
épilepsie
expérimentale. Ainsi pourquoi la même dose de f
i l'avis de M. L.-W. Weber qui conclut, dans une longue étude sur l'
épilepsie
, qu'ils faut : 1° une prédisposition héréditair
nfirment, on le remarquera, l'opinion bien connue de Lasègue, que l'
épilepsie
n'est pas héréditaire. Conclusions générales. 1
olie, de la folie intermittente, de la dégénérescence mentale, de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de la chorée, de l'alcoolisme,
reille chose ne peut se ren- contrer dans d'autres conditions que l'
épilepsie
? La conscience normale ne peut-elle être assez
e narcolepsie qui semble rappeler l'invasion brutale de l'attaque d'
épilepsie
. D'après M. Lamacq le début brusque n'existe pas
lepsie n'est d'ailleurs jamais symptomatique de l'hystérie, ni de l'
épilepsie
. Ce n'est pas l'opinion de M. Féré qui, rappelant
X. Accès répétés de monoplégie brachiale fugace pendant quinze ans.
Epilepsie
jakcsonienne ; par le Dr Boucuaud. (Journ. de N
qui concerne le traitement pharmaceutique, le remède souverain de l'
épilepsie
est encore à trouver. Le bromure, dont la valeu
ure saine et bien préparée, le véritable facteur du traitement de l'
épilepsie
, et c'est pour réaliser cet exercice sous toute
ous les médecins (avec figure) ; la relation détaillée de six cas d'
épilepsie
avec autopsie, par Ohlma- cher (3 pi.); de la r
e, par Ohlma- cher (3 pi.); de la ressemblance des cas précédents d'
épilepsie
avec certaines maladies associées à une hyperpl
s intoxications peu vent s'en accom- pagner ainsi que les névroses (
épilepsie
et surtout hystérie). 1 Morel. Traité de maladi
or- tées en partie, les hallucinations des sorcières légendaires,
Epilepsie
. More ! 1 a signalé la mélancolie religieuse des
Anges, supérieure des Ursulines à ' Magnan. Leçons cliniques sur l'
épilepsie
, 1883, p. 44. ' Krafït-Ebing. Lerbuclt der l'sy
un malade épileptique qui avait été soumis à la sympathec- tomie. L'
épilepsie
paraît avoir été en rapport avec l'atrophie céré-
s chez les épileptiques; par le D1' FÉR ? On peut observer dans l'
épilepsie
des algies cutanées par accès plus ou moins dur
The alienist and neurologist, oct. 1898.) E. B. LI. Pathologie de l'
épilepsie
; par le Dr Kawse5·. La cause des crises d'épile
Pathologie de l'épilepsie; par le Dr Kawse5·. La cause des crises d'
épilepsie
ne doit être cherchée ni dans l'acide urique ni
m qu'il manifeste ses effets. En dernière analyse, la nature de l'
épilepsie
consiste dans une formation périodique de carba
met d'expliquer l'effet thérapeutique favorable des bromures dans l'
épilepsie
: en effet, le bromure de potassium et le bromu
elle formation; c'est dire que le problème de la thérapeutique de l'
épilepsie
ne sera résolu qu'autant que seront découverts
orme noevus angiomateux de la face avec hémiplégie spas- modique et
épilepsie
; par Ltr4 ? ors et BERNOUD. (Nouv. Iconogr. de
traduisant par l'idiotie, les affec- tions spasmo-paralytiques et l'
épilepsie
. R. C. LVII. Sur un cas de chorée variable avec
ons préalablement choisies. A. Fenayrou. XIII. Trépanation dans l'
épilepsie
. Le Central Blatt sur Nervenheil kunde und psyc
ur M. liellay, intitulé : Esscii sur le traitement chirurgical de l'
épilepsie
, fait la remarque suivante : « Les résultats fure
e citation que dans ce pays, la tré- panation comme traitement de l'
épilepsie
, n'est pas en grand bon- heur. XIV. Médicatio
que pour le tétanos, par Haie et B. Margon. A. Marie. XV. Trépan et
épilepsie
traumatique ; par Crawford REUTon. (Qualerley M
lerley Médical journal, juillet 1898.) L'auteur relate quatre cas d'
épilepsie
Jacksonnienne. Le trépan a servi à l'évacuation
d'affections mentales, notamment dans la paralysie générale, dans l'
épilepsie
, l'éclampsie. M. Ballet pense-t-il que ces lési
condamné après expertise médico-légale. Traitement de l'attaque d'
épilepsie
par le trional. M. 111AOnu. : n (asile Saint-Pi
tiques dans l'intervalle des crises; la dégénérescence mentale de l'
épilepsie
; des soins à donner aux épileptiques; l'aératio
tion peuvent faiblir, et peut apparaître l'instabilité mentale. L'
épilepsie
est encore une forme d'instabilité. Elle est dans
e sont que des causes occasionnelles. Dans l'hystérie, comme dans l'
épilepsie
, des crises viennent inter- rompre le devenir n
lère, Siredey. BIBLIOGRAPHIE. XII. Du bromure de camphre dans l'
épilepsie
; par le D'' Louis Haslé. (Thèse de Paris, 1899,
nsidérations sur quelques causes déterminantes et le pronostic de l'
épilepsie
», laquelle maladie est dans l'état actuel de n
es vertiges, et par l'opinion de J. Voisin, quant au pronostic de l'
épilepsie
générale. Dans le chapitre I, il est question d
ion des innombrables médications proposées jusqu'à ce jour contre l'
épilepsie
, sans oublier la trépa- nation dans l'épilepsie
'à ce jour contre l'épilepsie, sans oublier la trépa- nation dans l'
épilepsie
traumatique, ou non, etc., ni les injections de
re monobromé n'a d'ailleurs pas été employé à titre exclusif dans l'
épilepsie
, mais aussi avec des succès variables, dans le de
action est douteuse dans les accès épileptiques seuls, utile dans l'
épilepsie
avec accès et vertiges, est d'une efficacité inco
e de bel l- Ilrri à l'asile de Iliclitnoti(l de Du- liliii, 21.
Epilepsie
essentielle. Un cas de ré- section totale et bi
ques,256. Idiotie. Recherches cliniques et thé- rapeutiques sur l'
épilepsie
, l'Il,s- térie et l' -, par Bourneville, 9. I
Monoplégie. Accès répétés de brachiale fugace pendant quinze ans.
Epilepsie
jacksonnienne, par Bouchaud, ? 9. Myéline. Un
S ANGtOMATEUx. Enorme de la face avec hémiplégie spas- modique et
épilepsie
, 327. Obsession. Quelques cas d' uri naire ;
s une perturbation psychique. Dans quelques cas, l'éphidrose DE l'
épilepsie
PROCURSIVF. 75 paraît n'être qu'une déterminati
Nous reviendrons plus loin sur cette ques- tion. (A suivie.) DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE; Par BOURNEVILLE et P. BRICON IV.
state la transformation graduelle des accès pro- cursifs en accès d'
épilepsie
ordinaire qui, plus tard, persistent seuls. Il
ù l'accident procursif n'apparaît que longtemps après le début de l'
épilepsie
et chez lesquels il paraît être un accident iso
'1 : 1 a o e2 m en M rm 80 CLINIQUE NERVEUSE. DE l'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. Poids. 1879. Novembre. 44 kil. 18
mble jouer un rôle pré- pondérant dans l'étiologie héréditaire de l'
épilepsie
, tandis que l'hérédité réelle paraît être beauc
eaucoup plus rare. La peur qui avait été l'origine apparente de l'
épilepsie
n'est ici, comme toujours, qu'une cause occasio
nt pas pouvoir être rapprochés des actes procur- sifs constituant l'
épilepsie
procursive proprement dite, qu'ils ne seraient
les dites vapeurs (de la matrice) montent jusqu'au cerveau, causent
épilepsie
, catalepsie (qui est quand tout le corps demeur
revêtant l'aspect d'accès n'ayant rien à voir avec l'hystérie ni l'
épilepsie
, mais représentant des phénomènes d'arrêt ou d'
se rattachent au traitement psychiatrique; 7° la complication de l'
épilepsie
appartient, à la pratique médi- cale ; il ne fa
e façon permanente. 11 est évident qu'un enfant qui a des ac- cès d'
épilepsie
ou de la chorée ne peut pas rester au milieu des
passé sa thèse en 1857 (Considérations physiologiques sur l'accès d'
épilepsie
). Parmi ses publications nous citerons : Des tu
es cliniques et statistiques sur la transmission hérédi- taire de l'
épilepsie
(isOS); Etude comparative sur les législations
de Physiologie, 1859. Bergounhioux. Gaz. des hôpitaux, 1859. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 227 Verneuil. - But. Soc. chirurgie
mbryonnaire comprimant. G. Les cellules malades du ganglion. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE' ; Par BOURNEVILLE et P. BRICON V.
yant jamais tenu cet instrument. * Herpin. Des accès incomplets d'
épilepsie
. Paris, 1867, p. 135. a Gowers. - De l'épilepsi
accès incomplets d'épilepsie. Paris, 1867, p. 135. a Gowers. - De l'
épilepsie
, trad. Carrier. Paris, 1883, p. 485. ' DE L'ÉPI
owers. - De l'épilepsie, trad. Carrier. Paris, 1883, p. 485. ' DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 229 9 que la maladie. Une interprét
'accès, mais constitue encore une des formes les plus communes de l'
épilepsie
larvée. Observation XXXVI. Grand'mère paterne
le plus long intervalle a été de trois jours. - Accès diurnes DE l'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 231 et surtout nocturnes.- Depuis d
téressait à ce qui passait autour de lui ; il a dit distincte- DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 233 ment : « J'ai soif.» La parole
- minant à 2 millim. de la scissure interhémisphérique. - La DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 239 première circonvolution frontal
pariétale ascendante en deux parties, une supérieure, et une DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 241 inférieure; à un centimètre en
ordinai- rement chez les épileptiques; mais l'on a noté, en DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE 243 outre, des phénomènes rotatoires
eu développée. - Sodomie. - Inversion du sens génital. - Début de l'
épilepsie
non précisé. - Parfois aura. - Hallucinations a
et sur laquelle nous avons souvent appelé l'attention (13.). DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 12115 Ce malade accomplit des actes
ro... déchire régulièrement ses draps et ses effets. Observation -
Epilepsie
. Légère déchéance intellectuelle.- Automatisme.
tré le ,12 août 1880 à Bicêtre (service de M. BOUftNEVILLE). DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 247 -1 Ce malade, dont l'un de nous
. Observation XLVII - Mère, morte d'un cancer au sein. Début de l'
épilepsie
vers l'âge de trente-quatre ans. Crél... (Félix
cêtre (service de M. BOURNEVILLE). 1 Bucon (P.). Du traitement de l'
épilepsie
; Paris, 1882, obs. X, p. 97. ' 248 CLINIQUE N
uivants publiés par Herpin '. ' Herpin. Loc. cil., p. 122. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 210 - Une couturière, qui essayait
rs et pères ¡¡¡¡¡lfomu;s et convulsifs. - Hydrocéphalie légère. -
Epilepsie
consécutive (huit ans). - Aura stomacale et rotat
tion. - Né avant terme : convulsions ri vingt-deux mois, début de l'
épilepsie
ci trois ans. Aura. Etat de mal. Déchéance inte
eigne aurait été frappé deux fois. 1 Bricon, - Du traitement de l'
épilepsie
, 1882, p. 91. Nous avons eu l'occasion d'observ
ltes; nous consacrerons prochainement à ce sujet une note. ' DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 251 Les divers auteurs qui ont trai
L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 251 Les divers auteurs qui ont traité de l'
épilepsie
ont, pour la plupart, parlé de l'automatisme, s
et les recueils de médecine des observations de malades atteints d'
épilepsie
accompa- gnée d'automatisme.' Dans sa thèse s
et celle publiée antérieurement par Sem- mola, qui se rapporte à l'
épilepsie
procursive propre- ment dite. Nous n'y voyons,
s faudrait citer presque tous les médecins qui se sont occupés de l'
épilepsie
; nous rappellerons seulement que c'est peut-êtr
2S2 CLINIQUE NERVEUSE. été atteint d'aucune maladie en dehors de l'
épilepsie
. La tète, par rapport au corps, est fortement d
ple : Le malade essayait de tirer un tiroir droit à lui, lors- DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 253 qu'il pâlit subitement ; la tèt
mouvements rotatoires, mais l'on ne saurait assimiler ces actes à l'
épilepsie
procursive proprement dite, dont ils diffèrent
ar Berger rapporte plus loin quel- 254 REVUE CRITIQUE. ques cas d'
épilepsie
accompagnés de phénomènes mo- teurs que nous ne
ce qu'en dit Kahlbaum : Un cas isolé de convulsions considéré comme
épilepsie
, éclampsie, apoplexie, méningite, encéphalite,
soin de faire ressortir qu'à à l'inverse de ce qui se passe dans l'
épilepsie
, dans l'état de mal hystérique, latempératurene
es de sommeil comme ils feraient une attaque ordinaire d'hystéro-
épilepsie
aux quatre périodes. C'est chez ceux-ci qu'on obs
ctère varié. M. Ma- gnan, lui-même, dans ses leçons cliniques sur l'
épilepsie
résu- mées par M. Briand cite le cas d'un indiv
morbides d'ordre si différent, délire chronique, débilité mentale,
épilepsie
; surtout si l'on pense avec M. Magnan que l'ép
ité mentale, épilepsie ; surtout si l'on pense avec M. Magnan que l'
épilepsie
est une maladie essentiellement héré- ditaire,
e quinze ans, imbé- ciles ou idiots, mais non aliénés, avec ou sans
épilepsie
, devraient être gardés dans les hospices. Dans
emps, 29 décembre 1887.) Le nommé Harel, de Beaubray, est atteint d'
épilepsie
. Avant- hier, sous l'influence d'un accès qu'il
Japon, prix : 25 fr. ; pour nos abonnés : 20 fr. ROLLAND (E.). De l'
épilepsie
jacksonienne. Mémoire couronné par la Sociélé d
ours, ' 374 CLINIQUE NERVEUSE. soit les grandes névroses, comme l'
épilepsie
, l'hystérie ou la chorée, soit les vésanies, so
études. Quoi qu'il en soit, que la paralysie faciale dite a DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 379 frigore soit organique ou sine
M. le professeur Charcot, dans ses leçons de la Salpêtrière. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE' : Par BOURNEVILLE et P. BRIDON. V
nombreux, soit parce que la transformation parfois complète de l'
épilepsie
procursive en épilepsie commune ne per- met pas
que la transformation parfois complète de l'épilepsie procursive en
épilepsie
commune ne per- met pas souvent, faute de rense
s dont nous avons rapporté l'observation; voici maintenant un cas d'
épilepsie
procursive pro- prement dite, observé assez lon
t mortes l'une de ' Début par un tremblement, pas de délire. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 381 la coqueluche et l'autre d'une
partie médiane au niveau delà suture fronto-pariétale gauche. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 383 que les canines ne présentent p
. Onanisme. 00 0 r z ci M' z 1 m M a 5 DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 383 ' * 386 CLINIQUE NERVEUSE. -
bouche ouverte. Pas de paralysie des membres, mais résolution DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 387 complète. Le pouls est faible e
éraux et les cornes d'Ammon n'offrent rien de particulier. , DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 389 Encéphale, 1,300'gr. L'hémisphè
oyenne du rameau descendant de la scissure de Sylvius ; elle DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 391 fournit également au même nivea
ssures sont profondes et sinueuses. 392 CLINIQUE NERVEUSE. - DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. La circonvolution frontale interne
ans; a été élevé dans le service des enfants, attaques fréquentes d'
épilepsie
diurne et nocturne qui ont amené un affaiblisse
ée et se complique de con- tl'aclu7'e dans l'extension et souvent d'
épilepsie
spinale (para- plégie spasmodique). Ces phénomè
s les anamnestiques de l'alcoolisme, des troubles céphaliques, de l'
épilepsie
, qui constituent, dans presque tous les cas, de
e très accentuée survivant des heures et même des jours aux accès d'
épilepsie
chez les épileptiques ordinaires; 2° bradylalie
sécutives aux attaques congestives apoplecti- formes et aux accès d'
épilepsie
. P. K. XVII. Observations sur l'ivrognerie ET S
u en sautant plusieurs générations; elle ne se transformerait ni en
épilepsie
ni en aucune autre névrose. P. K. XVIII. Epilep
sformerait ni en épilepsie ni en aucune autre névrose. P. K. XVIII.
Epilepsie
ET folie systématique; par P. VÉJAS, (Arch. f.
P. VÉJAS, (Arch. f. Psychiat, XVII, 1.) .) Quatre observations d'
épilepsie
compliquée de folie systéma- tique. Dans les de
iquée de folie systéma- tique. Dans les deux premières, les accès d'
épilepsie
ne se sont plus reproduits après l'explosion de
bservation concerne une femme de vingt-deux ans : tare héréditaire,
épilepsie
, folie postépileptique caractéristique; finalem
des idées délirantes intensives chez un homme ayant eu des accès d'
épilepsie
; il est l'antéchrist. On constate une démence t
que, de phases hy- pochondriaques ; relation pathogénétique entre l'
épilepsie
et la folie plus ou moins systématique. P. K.
ar la réminiscence survient dans les accès d'une certaine variété d'
épilepsie
, comme le font d'autres états mentaux (auras in
le que l'on trouve habituellement chez les commerçant'. Puisque l'
épilepsie
peut ainsi se présenter chez un individu in- te
e le délire chronique peut se mon- ' Magnan. Leçons cliniques sur l'
épilepsie
recueillies et publiées par M. Briand. Librairi
LIOGRAPHIE V. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau et sur l'
épilepsie
cérébrale; par le Dr François FRANCS, professeu
r jetteront peut-être un peu de clarté dans l'obscure question de l'
épilepsie
larvée. M. Franck passe ensuite à l'examen des
insl : y, 113. Ephidroses de la face, par P. Ray- mond, 51,212.
Epilepsie
procursive, par Bourne- ville et llricon, 75, 2
région malade dans six cas de lésions cérébrales chez l'homme avec
épilepsie
partielle. Ces trépa- nations qui, toutes sauf
ntaux rendent compte exactement du point de départ de l'aura dans l'
épilepsie
jackson- nienne et permettent le « diagnostic r
i. (Très bien ! très bien ! ) (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE I. De l'
épilepsie
Jacksonnienne ; par le Dr E. Rolland. Aux burea
édecine et de chi- rurgie de Bordeaux a eu une heureuse idée, car l'
épilepsie
partielle n'avait pas encore de monographie et
certains points dont l'importance est ce- pendant considérable ? L'
épilepsie
hémiplégique, à laquelle sont attachés les noms
avais, Lourneville et de sou élève M. V'uillamier, constitue dans l'
épilepsie
partielle un classe à part à physionomie propre
et n'y insiste même pas quand il traite des variétés cliniques de l'
épilepsie
Jackson- nieune. Son étude lui aurait peut-être
traiter d'une façon plus complète la physiologie pathologique de l'
épilepsie
partielle. 126 BIBLIOGRAPHIE. Par contre le
es bons cha- pitres et il renferme un tableau de 109 observations d'
épilepsie
Jacksonmenne où les lésions sont mises en regar
ui permet à l'auteur de conclure que les lésions déterminantes de l'
épilepsie
partielle ne siègent pas nécessaire- ment au ni
, peu comparables à la vérité aux traumatismes qui ont provoqué l'
épilepsie
, mais ces résultats n'en ont pas moins été invoqu
la première opinion. Oc la majorité des observations relatent que l'
épilepsie
s'est déclarée après une chute, et comme l'atta
ant sur le thorax, qui ont été réunis sous le nom d'hémiplégie et d'
épilepsie
pleurétiques. Quant aux paraplégies utérines et
délire des persécutions, délire des grandeurs, paralysie générale,
épilepsie
, dégénérescence ; délires alcooliques et toxiqu
Japon, prix : 25 fr. ; pour nos abonnés : 20 fr. RoLLnND (E). De l'
épilepsie
jacksnczienne.111émoire couronné par )Société d
et à marcher après être resté assis longtemps sur une chaise. Cette
épilepsie
spinale peut être très facilement pro- voquée a
secousses; contractures passagères ; dyscampsie des articulations ;
épilepsie
spinale tant spontanée que provoquée. Le nommé
direction. Une légère flexion du pied suffit pour faire paraître l'
épilepsie
DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 169
esser le tremblement, il faut fortement fléchir le pouce du pied. L'
épilepsie
spinale existe aussi spontanément et surtout da
scles antagonistes. Par une légère flexion des pieds, on provoque l'
épilepsie
spinale, qui, une fois commencée, ne cesse qu'a
ne cesse qu'après avoir fortement fait fléchir le pouce du pied. L'
épilepsie
spinale existe aussi spontanée, surtout au réve
dre dans tout le corps. Il ert presque superflu d'ajouter que cette
épilepsie
spinale est aussi spontanée et qu'elle augmente
IV. - Atrophie cérébrale. e/n/ë ? <' gauche. Débilité mentale et
épilepsie
. Père et grand-père paternel alcooliques. Grand
p. 75 et 227. janvier et mars 1888; vol. XVI, n" S5, mai 1888. DE l/
ÉPILEPSIE
PR0CURS1VE. 2 ! t5 l'hémisphère droit. Epaissis
développées, détachées; lobule semi- adhérent. , Fig. 20. DE l'
épilepsie
PROCURSR'1;. 239 240 CLINIQUE NERVEUSE. DE l'
20. DE l'épilepsie PROCURSR'1;. 239 240 CLINIQUE NERVEUSE. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 241 sillons. Par suite de la déviat
perpendiculaire interne est très profonde. Le coin paraît un . DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 243 3 peu grêle' dans sa partie sup
te jaunâtre à sa surface qui est très légèrement bosselée. ' DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 245 5 Examen HISTOLOGIQUE, par M. P
uxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer de L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 247 trois étapes : 1° prolifération
aussi le cerveau ne recouvrait-il le 248 CLINIQUE NERVEUSE. - DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. cervelet qu'en partie, le laissant
s positives : 1° si le trouble mental qui accompagne les attaques d'
épilepsie
exclut l'existence de toute animosité dans un a
matiques soudaines qui apparaissent après une attaque ordi- naire d'
épilepsie
et celles qui sont exécutées par un fou épilep-
ifs soudains, qui se rapportent aux manifesta- tions psychique de l'
épilepsie
révèlent très souvent dans une exé- cution auto
rouvent égale- ment avoir augmenté plus ou moins d'intensité. 2).
Epilepsie
spinale. C'est un signe constant. En effet, tou
t guéris. Pour ne parler que des observations rapportées, on voit l'
épilepsie
spinale figurer onze fois sur douze; la paraplé
nt le syndrome spasmodique, c'est- à-dire, exaltation des réflexes,
épilepsie
spinale tant provoquée que spontanée, secousses
le syndrome spasmodique commence par des secousses; tôt ou tard l'
épilepsie
spinale fait son apparition. A ce mo- ment, il
oint de vue chronologique, se développe plus ou moins avant que l'
épilepsie
spinale fasse son apparition. Ce malade dans le
son syndrome a disparu : pas de parésie, pas de secousses, pas d'
épilepsie
spinale, ayant laissé à titre de souvenir un ce
d ! /scampsMa)'<;'cuc[/t'e, secousses, exaltation des réflexes,
épilepsie
spinale aussi bien spontanée que provoquée. Dou
s spasmodiques qui sont réduits à l'exaltation des réflexes et ft l'
épilepsie
spinale. Amélioration très grande des symptômes
ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 373 Le tremblement ou cette
épilepsie
spinale peut être facilement provoquée par les
e aussi exaltés qu'à notre premier examen. Il en est de même pour l'
épilepsie
spinale aussi bien spontanée que provoquée. Les
uliens, contractures passagères, secousses, dyscampsie articulaire,
épilepsie
spinale ; tous ces symptômes sont bien plus mar
rises de douleurs fulgurantes , secousses, contractures passagères,
épilepsie
spinale, perte de notion de posi- tion des memb
observations qui précèdent, relatives à des malades atteints l'un d'
épilepsie
procursive , pouvant être rattachée à une lésio
s avoir constitué à proprement parler des accès. Observation LVI.
Epilepsie
avec idées religieuses extatiques,- mouvement d
11" 45 et 47, mai et sep- tembre 1888. ,)Iescliede. Ein Fall voit
Epilepsie
mit Zwaczgs-Beweguzzgezz und tt'aK[)0 ? M ? ! y
t ! 'r7t ? eM ? tfB;'e. (Vir- c/<otu'J)-e/t.l880,p.560.) DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 431 de chaleur brûlante dans le cor
ps. Fréquentes attaques d'hypé- réznie aiguc pulmonaire. Durée de l'
épilepsie
: au moins huit ans. Mort à quarante ans. Aut
Luth, évangéliste non marié, auparavant berger, admis en 1853 pour
épilepsie
à l'hôpital de Schwetz, transféré plus tard pou
s quelques rares autopsies pratiquées jusqu'à ce jour, que dans l'
épilepsie
procursive, les accidents procur- sifs, certain
accidents procursifs, mais il est noter que tous étaient atteints d'
épilepsie
depuis l'enfance, et qu'il est possible que les
mie pathologique du cer- velet, du bulbe et des corps striés dans l'
épilepsie
. (Archives générales de médecine, décembre 18G9
cine, décembre 18G9.) 424 -if PATHOLOGIE NERVEUSE. dans les cas d'
épilepsie
procursive, on procède à un examen minutieux, n
amen sommaire. VII. Pronostic, diagnostic, etc. Le pronostic de l'
épilepsie
procursive proprement dite est toujours grave.
ins long, des accès à type commun; la marche est alors celle de l'
épilepsie
commune. Il semble toutefois que les acci- dent
oire semble bien conservée. La marche et la dii2ée sont celles de l'
épilepsie
ordi- naire et par conséquent sont très variabl
- cident, etc. C'est à tort que Rilliet et Barthez ratta- chent l'
épilepsie
procursive à la grande chorée : la substitution
ilepsie procursive à la grande chorée : la substitution des accès d'
épilepsie
ordinaire aux accès d'épilepsie procursive, nou
rée : la substitution des accès d'épilepsie ordinaire aux accès d'
épilepsie
procursive, nous le répétons, démontre la natur
ents d'hystérie tels sont entre autres les cas de Dewat- coit- DE l'
épilepsie
procursive. ! 12,') On observe souvent chez les
sode de l'attaque et ne la composent pas tout entière, comme dans l'
épilepsie
procursive. VIII. Considérations générales sur
on lui a attribuée dont nous ayons à nous occuper à l'occasion de l'
épilepsie
procursive. Disons de suite que la propriété de
ur l'étude des localisations. Traduction Kéraval, 188a, p. 56. de l'
épilepsie
PROCURSIVE. 427 I cavités, sans que pour cela o
pilepsie PROCURSIVE. 427 I cavités, sans que pour cela on relie « l'
épilepsie
» alors observée à la zone locale atteinte. Je
émie ou d'anémie de ces organes, soit enfin qu'on ait affaire à une
épilepsie
provoquée « secondaire » (dans le sens que nous
à ce mot autre part), le cervelet servant de facteur intermédiaire (
épilepsie
symptomatique réflexe)'. Pour M. Hitzig2, « les
ibué le remplacement des mouvements procursifs par des accès type d'
épilepsie
. Aussi croyons-nous utile de dire quelques mots
es de Neurologie, 1885, t. IX, p. 99. 430 pathologie nerveuse. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. belleuses et la physiologie patholo
confirmer ou infirmer l'hypo- thèse de la relation possible entre l'
épilepsie
procur- sive et une lésion cérébelleuse. Etio
belleuse. Etiologie. Nous ne connaissons rien de l'étiologie de l'
épilepsie
procursive. D'après nos observations, nous pouv
fs sont jusqu'ici restés inefficaces, seuls les accès consécutifs d'
épilepsie
classique paraissent justiciables d'un traiteme
e. » 4M RECUEIL DE FAITS. d'esprit et fait des fugues fréquentes (
épilepsie
larvée ? ). Pas de consanguinité. Vas... a 70
il ne se produit pas de tremblement intentionnel. Mais c'est dans l'
épilepsie
corlicale, dans les cas de contractures seconda
'épilepsie corlicale, dans les cas de contractures secondaires avec
épilepsie
spinale, dans les acci- dents de la molilité pr
n summum, mais plus tard ; ou encore à la suite de nombreux accès d'
épilepsie
; enfin dans l'alcoolisme. L'existence de plusi
d'un résumé succinct et incomplet des connaissances actuelles sur l'
épilepsie
partielle. Il s'y trouve ce- pendant quelques o
pas voir cités à propos de certains cha- pitres comme l'idiotie, l'
épilepsie
, le crétinisme, l'imbécillité, etc., etc., les
actes des aliénés. Pison : De l'asymétrie f,o ? 21o-fiteiale dans l'
épilepsie
. Fouiraux : Contribution ci l'étude du traumatism
mio patho- logique de" 1'), par Bastelberg, ta4. Bibliographie. -
Epilepsie
jakson- nienne, par Roland, 125; Som- nambuli
yden, 449. Electiique (machine transpor- lablc), par Stein, 92.
Epilepsie
procursive. par Bourne- mlle et Bricon, 2 : S'r
ROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR . L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
e des enfants idiotes et imbéciles, propres et n'a- yant ni accès d'
épilepsie
, ni attaques d'hystérie. Or, dès l'ouverture de
puis à l'Asile clinique sur le certificat du Dr Garnier portant : c
Epilepsie
, attaques graves et fréquentes, affaiblissement
icêtre le 24 juillet avec le certificat du Dr Dubuisson portant : «
Epilepsie
, perversion des instincts, débilité mentale; at
is d'une légère éléva- tion de la température, comme dans l'accès d'
épilepsie
. Mais si les attaques se succèdent pendant une
ans doute confirmer. - III, De la température centrale dans l'
épilepsie
; l>.ui BOURNEVILLE. Dans le numéro du 10
vue de médecine, M. le D Duflocd a publié une note intitulée : De l'
épilepsie
partielle d'origine sotts-co·licale; qu'il a fa
t d'une manière passagère, 38°,4 de température. Température dans l'
épilepsie
. 37 Il y a là quelque chose d'insolite; ainsi d
ner, ment de l'Ecole de la Salpêtrière sur la température dans; l'
épilepsie
. Lorsqu'il sagit de l'épilepsie partielle,. d'acc
pêtrière sur la température dans; l'épilepsie. Lorsqu'il sagit de l'
épilepsie
partielle,. d'accès.' comme ceux de son malade,
e subit pas de modifications appréciables. Mais lorsque les accès d'
épilepsie
partielle augmentent d'intensité, deviennent su
'élève progressivement. Alors, on a. affaire ai un état.de mal de l'
épilepsie
vulgaire. Au moment ,où;. çhr : z ? (Ü1 : malad
contenté de 1 a tcm pérature axilliaire ? 38 ' Température dans l'
épilepsie
. Ces lacunes auraient dû engager l4f.Duflocq à
l'ex- actitude de la règle posée par nous, à savoir que l'accès d'
épilepsie
augmente la température. Nous n'avions pas cru
s avions cru devoir formuler sur la marche de la température dans l'
épilepsie
. Nous avons été ainsi amené à publier de nouvea
er de nouveaux documents sur la température dans les accès isolés d'
épilepsie
. dans les accès sériels et dans les accès subin
épileptique et de quelques autres questions cliniques concernant l'
épilepsie
. (Berline¡' Klin. Wochenschrift, n" 43 et 44, o
hrift, n" 43 et 44, octobre 1886.) , Température dans LES accès D'
ÉPILEPSIE
. 39 dans le Progrès médical (1) des observation
de faits inédits. III. A. Température centrale dans les accès d'
épilepsie
. La plupart des résultats thermométriques que n
ËMPÊhATUnE DANS LES ACdeS D'ÉPILFPSIE. Température dans LES accès D'
ÉPILEPSIE
. 41 42 Température dans l'épilepsie. Températ
Température dans LES accès D'ÉPILEPSIE. 41 42 Température dans l'
épilepsie
. Température dans l'épilepsie. 43 2°Anzenb...
ÉPILEPSIE. 41 42 Température dans l'épilepsie. Température dans l'
épilepsie
. 43 2°Anzenb...,15 accès. T.R. 38°. Dix-huit he
gne -j- à la T. huit heures après la mort. 4'4 Température dans l'
épilepsie
. frontières du véritable état de mal. C'est ce
le signe inférieur à la T. deux heures après. , Température dans L'
ÉPILEPSIE
. 45 2° Sert...,4 mars 1890 : 18 accès. La T. R.
C'est souvent sous cet aspect que les choses se présen- tent dans l'
épilepsie
partielle. Nous pouvons invoquer à cet égard tr
rritation, aucune décharge motrice sous forme de con- vulsions ou d'
épilepsie
. Toutefois, nous devons faire une réserve, en r
que le leur que se produi- sent les accidents convulsifs. ' V.
Epilepsie
; manie; exostcse du fémur; Par BOURNEVILLE et I
tre centi- (1) Voir Compte-rcndu de 1333 : Du IrJ.ilem ? t ! 1 de l'
épilepsie
par l'hy- drolhérapie. (En collaboration avec B
e sueur, (1) Voir dans le Compte-rendu de 18S4 ; Du traitement de l'
épilepsie
par l'acide sclèrolinique, p. 85. . Epilepsie
Du traitement de l'épilepsie par l'acide sclèrolinique, p. 85. .
Epilepsie
; aggravation. 65 sa figure est turgescente et
Le tableau suivant (p. 70) donne une idée précise de la marché de l'
épilepsie
de 187 à à 1886. - Autopsie faite le 26 février
ivre. Un mois après cette peur, l'enfant eut son premier accès d'
épilepsie
. Deux ans plus tard, on avait déjà noté une ten
n est enprésencc d'enfants comme celui- ci, c'est-à-dire atteints d'
épilepsie
et d'affaiblissement prononcé des facultés inte
r un diagnostic précis, en l'absen- ce d'anamnestiques. S'agit-il d'
épilepsie
et d'imbécil- lité congénitale ou datant des pr
l- lité congénitale ou datant des premiers temps de la nie,. ou d'
épilepsie
compliquée ultérieurement d'un affai- blissemen
chez L'en f.tnt ; th, de Paris, 1877). - X. Idiotie congénitale;
Epilepsie
guérie. Tuberculose primitive du rein gauche ;
ns à 15 mois. - 4 Une fille de 12 ans, intelligente. 122 IDIOTIE;
ÉPILEPSIE
, Notre malade. - A la conception, rien de parti
: les. autres enfants l'appelaient : « le fou ». . Le début de l'
épilepsie
remonte à 7 ans et a eu comme cause occasionnel
t des accès d'épi- lepsie et des phénomènes choréiques. Les accès d'
épilepsie
, limités, assure-t-on, à la bouche et au bras g
rée persista jusqu'à son entrée, à Bicêtre, à onze ans, époque où l'
épilepsie
reparut de nou- veau. On avait remis Gem... à l
accès observés par elle. Il avait. une aura, car il disait Idiotie;
ÉPILEPSIE
, 123 «bobo ! , puis il tombait. Après le cri in
té générale parait conservée. 1886. Amélioration notable, quant à l'
épilepsie
: suspen- sion complète des accès. Mars. - Pu
probables, des fugues, G... à la suite d'une frayeur a été frappé d'
épilepsie
. Les accès bi-mensuels et toujours nocturnes se
rminantes de l'aliénation mentale ou de certaines névroses, comme l'
épilepsie
, la paralysie agitante, etc. , sont aussi du do
petits épileptiques comme leurs parents et cette transmission de l'
épilepsie
traumatique n'est point spéciale aux animaux :
fréquents points de contact avec la folie : ce sont l'hystérie et l'
épilepsie
. On les rencontre souvent dans les familles d'a
de nombreux troubles psychiques. Les manifestations mentales de l'
épilepsie
sont trop bien connues depuis les recherches de
la névrose convulsive; M. Magnan a bien montré, par exemple, que l'
épilepsie
, l'alcoolisme 10 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. et la v
cune de ces affections '. Quant aux coïncidences pathologiques de l'
épilepsie
, on peut dire qu'elles comprennent le plus gran
ans et demi. Cyanose con- génitale avec rétrécissement pulmonaire;
épilepsie
, crises psy- chiques. - Soeur somnambule. Obs
., épileptique. Mère, tic de la bouche. Observation V. - Mm° V...
Épilepsie
(Grandes crises et vertiges) débutant sans caus
on VII. - Mm0 Lev..., quarante-six ans. Chorée à seize ans; accès d'
épilepsie
depuis six mois. - Grand'mère épileptique. Neve
une forme particulière d'hystérie, la grande hystérie, l'hystéro-
épilepsie
, qui doit son nom à ce caractère. Mais il n'est
e sont deux 1 H. d'Olier. - De la coexistence de l'hystérie et de l'
épilepsie
avec ma- nifestations des deux névroses, consid
affections combinées chez le même sujet, comme le peuvent être l'
épilepsie
et l'hystérie se manifestant par des attaques d
traires. , V. Si les états psychiques anormaux, l'aliénation, l'
épilepsie
, l'hystérie sont unis par des liens de famille
lie a des rapports avec les convulsions, l'hystérie, l'idiotie, l'
épilepsie
, le strabisme, la paralysie, les névralgies, le
parenté intime. D'ailleurs, un certain nombre de névroses, outre l'
épilepsie
et l'hysté- rie que nous avons déjà considérées
'exp) ? trad. fr., 1883, p. 115. LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 25 l'
épilepsie
, l'hystérie ', l'aliénation mentale 2. (OBs. VI,
V, VI.) Les tics douloureux sont, comme on sait, souvent liés à l'
épilepsie
, en particulier ceux de la face. Observation XX
accompa- gent de pâleur de la face, rappellent les secousses de l'
épilepsie
. La nature comitiale de la maladie est trahie p
e se trouve souvent associée dans la même famille avec l'idiotie, l'
épilepsie
, l'alié- nation, le suicide, les accidents nerv
set ' admet une parenté entre les myélites diffuses chroniques et l'
épilepsie
, l'idiotie, l'aliénation, et les autres affecti
que et syndactyle. - Teigne. - Syndactu- lie. - Début de l'hystéro-
épilepsie
ci douze ans; cause. - Description de l'aura et
6'.3; Ibid., 1883, et Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, par Bourneville et d'
s peuvent produire un effet contraire. Ainsi chez Juv ? les accès d'
épilepsie
abrégeaient toujours la durée de la rumination
de les prendre en grande quantité. Observation XXXIII. - Idiotie,
épilepsie
. Tics, tournoiement, mérycisme partiel (liquide
t disparut sans traitement. -- A trente-deux ans, seconde attaque d'
épilepsie
il la suite de laquelle le mérycisme n'a pas re
ns ma première communication. Ces accès res- semblaient à ceux de l'
épilepsie
partielle avec prédominance des convulsions du
lle attaque se produit. Cette convulsion, on le voit, ressemble à l'
épilepsie
jacksonienne. Comme dans celle-ci, la con- vuls
mpagne pas toujours de perte de connaissance. Ce qui manque à cette
épilepsie
partielle, c'est la paralysie post- épileptique
s premiers jours de la maladie, pensa-t-il avoir affaire à un cas d'
épilepsie
symptomatique d'une lésion cérébrale gauche aya
épileptoides qui est tout à fait ana- logue à celle des attaques d'
épilepsie
jacksonienne; 2" Par le nombre considérable des
de température et de paralysie excluait l'idée du mal comitial ou d'
épilepsie
partielle. Si en effet l'hystérie a pu mériter,
ité de ses manifestations, ladénomination de névrose protéiforme, l'
épilepsie
est malheureusement soumise à des règles plus f
t soumise à des règles plus fixes : on ne voit guère les attaques d'
épilepsie
se répéter plus de z100 fois par jour, sans que
l'état de mal hystéro-épileptlque 1. On a invoqué en faveur de l'
épilepsie
l'existence de secousses des membres qui se pro
es, les absences, les vertiges, ne sont inconnues dans l'hystéro-
épilepsie
, nous en avons vu plusieurs fois et il est facile
onc dire que s'il y avait des raisons très sérieuses pour exclure l'
épilepsie
, il n'y en avait aucune qui fût péremptoire pour
e façon remarquable, à un moment donné du moins, les symptômes de l'
épilepsie
partielle. Sans doute le tableau clinique s'est
matologie, je le répète, ressemblait, à s'y méprendre, à celle de l'
épilepsie
jaclcsonnienne ; et la preuve, c'est que des ob
omme MM. Charcot et Legrand du Saulle s'y sont mépris. C'était de l'
épilepsie
jackson- nienne, moins cependant l'élévation de
et jusque- là inconnue d'attaques d'hystérie, d'attaques à forme d'
épilepsie
partielle, ou bien d'une épilepsie partielle sa
d'hystérie, d'attaques à forme d'épilepsie partielle, ou bien d'une
épilepsie
partielle sans élévation de tem- pérature conco
celle d'une hystérie à forme non connue jusqu'à ce jour, ou d'une
épilepsie
à forme partielle sans élévation de température.
. On retrouve là les principaux traits constitutifs d'une attaque d'
épilepsie
par- tielle. Jamais la malade n'a eu d'attaqu
ellement d'une forme anoriiiale d'attaques hystériques ou d'accès d'
épilepsie
partielle (sans élévation de température) chez un
at, en nous montrant que l'hystérie peut em- prunter le masque de l'
épilepsie
jacksonienne. C'est là en effet un point capita
spasmes du membre inférieur gauche, rappelant certaines formes de l'
épilepsie
partielle. La conclusion à tirer des considérat
ue l'hystérie s'approprie la plupart des formes symptomatiques de l'
épilepsie
. Elle emprunte souvent le masque de la grande a
revêtir les caractères analogues à ceux qu'elles affectent dans l'
épilepsie
par lésion cérébrale localisée ou épilepsie jacks
'elles affectent dans l'épilepsie par lésion cérébrale localisée ou
épilepsie
jackso- nienne 2. M. B. BIBLIOGRAPHIE I. Su
ages. Prix : 1 ? fr. Paris, 1883. Librairie .Maison. GowEns. - De l'
épilepsie
et autres maladies convulsives chroniques. '1'1',
vroses qui se rattachent quelquefois à la goutte, il faut compter l'
épilepsie
. Des cas de ce genre ont été rapportés par Van
s fréquentes dans la goutte, et que si quelquefois elles simulent l'
épilepsie
, il n'y a pas d'aura ; les attaques seraient se
s (Lynch, Legrand du Saulle, etc.). A côté de la coexistence de l'
épilepsie
et de la goutte chez le même sujet, il faut cit
e grincement de dents parmi les signes précurseurs de l'attaque d'
épilepsie
. Nous avons observé une fois la combinaison che
ntures affectées, d'un accès de colère, 1 Delasiauve. - Traité de l'
épilepsie
, 1854, p. 48. la famille MÉVROPATHIQUE. 183 d
s; Kussmaul l'a signalée dans le tétanos. Mais c'est surtout dans l'
épilepsie
qu'elle a été recherchée et discutée; plusieurs
iverses formes mentales, et, en dehors de quelques cas très rares d'
épilepsie
. dans lesquels ils ont trouvé des traces d'albu
t dans le mésocéphale. On l'observe encore au moment de l'attaque d'
épilepsie
, au début de la con- vulsion tonique. ' Une f
le lendemain de sa sortie, il pouvait être pris d'un nouvel accès d'
épilepsie
larvée et commettre de nouveaux meurtres. Certain
ilité. Exagération du réflexe patellaire. Pas de con- tracture ni d'
épilepsie
spinale. Absence d'atrophie musculaire et de tr
uestion. Grand-père maternel et deux oncles du même côté atteints d'
épilepsie
psychique. On note dans la famille l'adhérence
mêmes modifications pathologiques. L'analyse de quel- ques faits d'
épilepsie
corticale, rapprochée de celle d'un grand nombr
là différence entre l'affai- blissement psychique peu accentué et l'
épilepsie
de la jeunesse est sans grande importance, on p
à d'autres causes qu'à une altération gros- sière de l'encéphale, l'
épilepsie
étant elle-même symptomatique de cette dernière
des symptômes somatiques dans les stades avancés seulement. Dans l'
épilepsie
, au contraire, l'ophthal- moscopie alliée à l'e
tête, de la spermatorrlcée, leçons sur la paralysie générale, de l'
épilepsie
par malformation du crâne, la pathogénie de l'épi
érale, de l'épilepsie par malformation du crâne, la pathogénie de l'
épilepsie
, catalepsies partielles et passagères, hystéro-
ologique du rêve; par ARTIGUES. Thèse de Paris, 1884. Elude sur l'
épilepsie
pleurétique; par RorERT. Thèse de Pa- ris, 1884
atteinte d'une maladie terrible : elle a de fré- quentes attaques d'
épilepsie
. En rentrant hier soir chez elle, elle fut pris
Bourneville et D'OLIER. Recherches cliniques et thêmpniliques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service
355 pages. Paris, 1884. Librairie G. Masson. GowEns. (W.-R.). De l'
épilepsie
et autres maladies convulsives chro- niques. Tr
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERV
s propre, très poli. 2° Léon.. (Henri), 18 ans 1 ? . - Imbécillité,
Epilepsie
. - Après une longue période de paresse, l'enfan
le a réclamé sa sortie. 3° DcLV.. (Fernand), 17 ans. Arriération et
Épilepsie
. A obtenu le certificat d'études également cett
s de la 2me classe. 11° Opzomr.. (Lucien), 15 ans. - Imbécillité et
Epilepsie
(guérie) (1). Cet enfant, passé de la petite à
enne des enfants normaux. 5° REM.. (Alfred), li ans. - Idiotie et
Epilepsie
. - Cet enfant admis il la grande école (2me cla
6°. Sauz.. (Eugène), 18 ans. - Imbécillité, Hémiplégie droite et
Epilepsie
. - A fait des progrès principalement en écritur
rs de l'année 1901. 8° GII,r.Ia.. (Fernand), 12 ans. Arriération et
épilepsie
. - Application dans les devoirs écrits, progrès
onraissances usuelles. - 10° Mante. (Louis), 15 ans. Imbécillité et
épilepsie
. - Application dans les devoirs écrits ; progrè
qui les a faits, etc. 14° l3oonG... (Emile), 13 ans. - Imbécillité,
épilepsie
. - Entré en mai 1901 il la grande école, ne sac
ût 1893, à l'âge de 8 ans, atteinte d'imbécillité prononcée, avec
épilepsie
(vertiges et accès nombreux). Cette enfant, à son
Marie Lisconet, 18 ans, 1 ? prise rue du Commerce d'une attaque d'
épilepsie
. Elle tomba sur la chaussée juste au moment où
chemin à Creully. Le malheureux avait succombé iL une attaque (l'
épilepsie
il laquelle il était sujet. (Bonhomme Normand).
ambulant du nom de Joseph Lespris, 27 ans, a été pris d'une crise d'
épilepsie
sur le boule- vard de Bazeilles, au Mourillon.
hou, 60 rtns. a Lannecombe (Basses- Pyrénées), étant tombée prise d'
épilepsie
en donnant la pâ- ture il ses porcs, ceux-ci lu
ignes de l'idiotie, constatés par les parents. Premiers signes de l'
épilepsie
: cauchemars, céphalal- gies, irritabilité, abs
issement, c) atrophie musculaire. Go IIémicliorée, athétose. 7°
Epilepsie
spinale, trépidation, phénomène du pied. Signe
NEVILLE, Bicêtre, 1901. 1 I. Nouvelle contribution à l'étude de l'
épilepsie
vertigi- neuse et à son traitement par le bromu
rée, soit contre l'insomnie, et les cauchemars, soit surtout dans l'
épilepsie
ont été consi- gnés dans des thèses inaugurales
bromure de camphre (Progr. méd., passim) ; Cornet, Traitement de l'
épilepsie
, 1889 (avec observations de notre service); - B
ervice de Bicêtre pour 1885, p. 49); - Du bromure de camphre dans l'
épilepsie
(Compte rendu de 1889, p. 33). De l'emploi thérap
ée, insomnie, hystérie, délirium trémens), et en particulier dans l'
épilepsie
vertigineuse, 5 observations (Compte rendu de 1
IQUE. moins employé qu'il ne devrait l'être, non seulement dans l'
épilepsie
, mais dans un grand nombre d'affections du sys-
grand nombre d'affections du sys- tème nerveux. Observation I. -
Epilepsie
symptomatique. Sommaire. - Père, excès de boiss
droit. Convulsions fréquentes de sept mois à trois uns. Début de l'
épilepsie
à neuf ans. Accès et vertiges nombreux. Irritabil
nettes. Propre, soigneuse de sa personne. Température à l'entrée.
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 7 49.-Il ..
ait s'être traduit chez ses enfants, par deux cas de méningite et l'
épilepsie
de notre malade, II. Cette affection aurait é
f ans aucun accident convulsif. C'est à neuf ans qu'aurait débuté l'
épilepsie
. Elle était surtout caractérisée par des vertig
bleau C. - Tableau des accès. 14 THÉRAPEUTIQUE. Observation II. -
ÉPILEPSIE
idiopathique ( ? ). Bromure DE CAUP11RIS. . Gué
En somme après des phénomènes prémonitoires surviennent des accès d'
épilepsie
qui durentsix mois. Trois mois d'accalmie. Enfin,
traitement par le bromure de camphre, la décroisssnce suivante :
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. z'1 II. L'a
st survenu ni accès, ni vertiges. Observation III. - Imbécillité ET
ÉPILEPSIE
symptomatique. Sommaire. Père, enfant naturel,
il semblait perdre l'intelligence et qui duraient quelques heures.
Epilepsie
acquise. Il est entré à l'Asile clinique, d'où
nous a écrit que Tar... (Louis) était arrivé avec le cer- tificat «
Epilepsie
» et qu'il a succombé à une congestion cérébrale.
morrhagies de la peau et des muqueuses pendant et après les accès d'
épilepsie
et de leur analogie avec les stigmates des exta
é et les taches sont jaunâtres, l'oedème a disparu. Elle s'efface
Epilepsie
: hémorragies dans LES accès. 87 complètement a
J.). De l'influence des maladies intercurrentes sur la. marche de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Bourneville.. Contribution à l
). - Etude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8° de 56 p. Th. de Paris. IIUSr.>; (M.).
IIUSr.>; (M.). - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Mono-bromure de camphre, de zinc, de sodium. T
de sodium. Thèse de Paris. Moreot (E ). Sur une forme grave de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. - COULBAUT (G.). - Des lésio
Paris. - COULBAUT (G.). - Des lésions de la corne d'Ammon dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. - Travaux faits dans LE servic
faits dans LE service. 195 1882. BRICON (L.). Du traitement de l'
épilepsie
: Hydrothéra- pie. - Arsenicaux. Magnétisme min
de pilocarpine, etc. Thèse de Paris. Roux (G.-L.). Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
par le bromure d'éthyle. Thèse de Paris. WutLLAMfER (Th.). - Le l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spasmodique infantile. Thèse
Thèse de Paris. Pison. - De l'asymétrie /'ro9fo ? acta ! e clans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). - Trait
épilepsie. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). - Traitement de l'
épilepsie
. Bromures d'or et de camphre, Picrotoxine. Thès
luence de la consan- guinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Sollier (P.). - Du rôle de l
de Paris. RELLAY (P.). - Essai sur le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Travaux faits dans LE SERVICE.
Paris. Le DuiGou (E.). - Contribution à l'étude du pronostic de l'
épilepsie
chez les enfants. Thèse de Paris. . "I-I-A'SLÉ
. "I-I-A'SLÉ (L.). Du bromure de camphre dans le traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. . 1900. BOURNELILLE. - De l'
LLET (Th.). Élude du rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'im- bécill
- bécillité. Thèse de Paris. 1901. PAREÙR (P). - Purpura dans t'
Épilepsie
? Thèse de Paris. Robin (E.) - Contribution à l
hagies de la peau et des mu- queuses pendant et après les accès d'
épilepsie
et de leur analogie avec les stigmates des exta
s la démence sénile' avec agitation et insomnie. V. Traitement de l'
épilepsie
(The tratement of the MtOpt/HC Epilepsy ); par
près GoweiS, une première attaque serait la cause de nombreux cas d'
épilepsie
. Il importe surtout de savoir dépister la nature
justice de l'opinion qui met en doute l'action du bro- mure dans l'
épilepsie
, Dunning rapporte quelques observations cli- ni
te que l'auteur tint à ne pas la prolonger. Dans le traitement de l'
épilepsie
, il faut surveiller toutes les fonctions de l'i
flexe. Rechercher certaines conditions suffisantes pour déchaîner l'
épilepsie
, telles que adhérences du prépuce, affections d
ce une polyencéphalite, d'être hémi-anesthésique et enfin atteint d'
épilepsie
larvée. M. Marandon de Montyel. La méthode d'in
la possibilité de leur origine corticale, les rapprochent des cas d'
épilepsie
partielle continue décrite par l' M. le profess
cal Treatment of Epilepsy. )) D'' A. Voisin (de Paris) : « Un cas d'
épilepsie
jacksonienne traité avec succès par la cra- nie
Doin. BOUIiNGVILLC. Teclzerclres cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
- - On compte en moyenne deux épileptiques sur 1000 individus. L'
épilepsie
est préparée par des causes héréditaires et mise
llance continuelle. Le traitement est d'autant moins efficace que l'
épilepsie
débute de meilleure heure. L'auteur fait voir
te de meilleure heure. L'auteur fait voir ensuite les effets de l'
épilepsie
sur l'intelligence et le moral des sujets. Chez
leptiques développer une intelligence normale. Il est vrai que l'
épilepsie
peut coexister avec le génie (César, Napoléon, Mo
peut coexister avec le génie (César, Napoléon, Molière, Hrendel). L'
épilepsie
est une grande cause d'idiotie et de faiblesse
ie est une grande cause d'idiotie et de faiblesse intellectuelle. L'
épilepsie
fournit de nombreux criminels. Quant au traitem
ndants présentent de l'idiotie ou de la folie plus souvent que de l'
épilepsie
. Puis l'auteur en arrive aux mesures à prendre
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. IV. Contribution A la pathologie DE l'
épilepsie
. Deux cas avec EX- CISION ET examen d'une porti
INS. (Bl'ain, été et automne 1896.) Les mots * coopération pour l'
épilepsie
» ne signifient rien en raison de l'extrême var
i dire peu fréquentes mais elles se ren- contrent aussi bien dans l'
épilepsie
idiopathique que dans l'épi- lepsie jacksonnien
s tôt possible après la première attaque de spasme localisé. Pour l'
épilepsie
idiopathique, l'indication est pré- cise si au
is entre les deux substances. Observation II. - Femme trente ans,
épilepsie
idiopathique; depuis six ans crampes dans la ja
altérations dans lastructure des portions exci- sées dans ces cas d'
épilepsie
. Pourquoi donc se refuserait-on à enlever ces t
s quand on les diagnostique altérés. Le champ des opérations dans l'
épilepsie
doit donc être rétréci mais non pas abandonné.
s et des tortures ( ? ). M. Bogdan a cependant un spécifique dans l'
épilepsie
et contre l'agitation des aliénés en général. C
ves, 3' série, t. IV. 15 226 REVUE DE pathologie NERVEUSE. qu'à l'
épilepsie
que l'acide urique ne puisse produire; et quand
qu'à l'épilepsie que l'acide urique ne puisse produire; et quand l'
épilepsie
se montre après trente ans, il faut songer à cett
le à des erreurs de diagnostics, ces cas devant être classés dans l'
épilepsie
, la chorée, le nervosisme. Deuxième période.
laire il faut placer l'hérédité de toute la famille névropathique,
épilepsie
, migraine, excitabilité nerveuse, etc. Certaines
e plus souvent de données suffisantes pour décider s'il s'agit de l'
épilepsie
ou de l'hystérie : l'embarras est d'autant plus
ée 1895, le malade se portait bien, mais ce ruois il eut un accès d'
épilepsie
. Au mois de mars de 1896, second accès avec cép
certaines formes d'obsession. R. DE 1\lUSGR,\VE-CLH. FAITS DIVERS
Epilepsie
: Chute mortelle. - Ce matin, vers sept heures, d
3 août, un nommé Joseph Ducinelier, pris subitement d'une attaque d'
épilepsie
, en face le numéro 15 du faubourg Pois- sonnièr
çons, (l'rogrès médical.) lieclcerclres cliniques sur l'hystérie et
épilepsie
, 1880-1881. (Ar- chives de Neurologie, 1883-188
ATHOLOGIE NERVEUSE. 323 La part que prend le coeur dans l'attaque d'
épilepsie
est capable de rendre compte des cas de mort co
ividus sains. La possibilité de l'asystolie consécutive aux accès d'
épilepsie
cons- titue une indication de plus de la discip
gique, décembre 1896.) E. l3Llrr. XXI. L'ORIGINE auto -toxique DE l'
épilepsie
; par le Dr Nelson Teeter. L'auteur a repris l'é
son Teeter. L'auteur a repris l'étude de l'auto-intoxication dans l'
épilepsie
en recherchant l'urée non dans l'urine et les m
'un enfant de quatre mois qui lui fut présenté, atteint de crises d'
épilepsie
depuis l'âge d'un mois. La veille du jour de l'
r la sangle dePlénard. MM. Dubuisson et Anglade rapportent un cas d'
épilepsie
trauma- lique suivi d'autopsie. Le malade avait
erte de connaissance et de chutes. Il n'y a aucun signe de tabes. L'
épilepsie
à aura laryngée ne peut être incriminée. Il n'y
logie générale des destructions cérébrales précoces par rapport à l'
épilepsie
. Observation I. - Une jeune fille de dix-sept a
ie musculaire et avec développement incomplet du squelette. Accès d'
épilepsie
jacksonienne, débutant au bras. Démence. Parfoi
céphalie). Le rapporteur soutient l'avis de Sachs et de Féré, que l'
épilepsie
spontanée et la paralysie infantile sont deux m
preuve anatomique : . SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 347 Observation III.
Epilepsie
psychique dès l'âge de treize ans; impulsion ma
es; accès de fureur épileptique; parfois des convulsions en forme d'
épilepsie
générale. Mort après l'âge de trente ans, à la
rdé comme une forme intermédiaire entre la paralysie infantile et l'
épilepsie
spontanée. On y constate des altérations trop f
opinion, le rapporteur ne nie pas pourtant la possibilité des cas d'
épilepsie
générale d'origine réflexe ou d'ori- gine toxiq
es infan- tiles peuvent s'accompagner de paralysies, d'idiotie et d'
épilepsie
en différents degrés dans des cas de la même lé
à abuser des boissons alcooliques. A dix-huit ans se développa une
épilepsie
très grave avec des accès passagers SOCIÉTÉS SA
ique ou à la suite du ramollissement. Le rapporteur cite deux cas d'
épilepsie
corticale observés par lui dans ces derniers te
émiparésie droite. Sont activité psychique est normale. Les accès d'
épilepsie
corticale débu- tent du nerf facial droit et du
es mêmes symptômes organiques qu'on observe chez les adultes dans l'
épilepsie
traumatique. Le premier cas confirme l'ancien a
ter le diagnostic dans quelques dyspepsies, l'angine de poitrine, l'
épilepsie
, etc. M. Aimé nous donne ensuite trois exemples
crise due à quelques lombrics ? Etait-ce une crise d'hystérie ou d'
épilepsie
? Le réveil, à coup sûr, n'était pas celui de l'é
érie ou d'épilepsie ? Le réveil, à coup sûr, n'était pas celui de l'
épilepsie
. Le lendemain on me rappelle, une nouvelle cris
rallèlement continué. P. KFRAVAL. YXIlLTRAITE51ENTCFiIRURGICAL DE l'
épilepsie
; par Giirw. (Médecine Détroit, juin 189ï.) L
r Giirw. (Médecine Détroit, juin 189ï.) L'auteur laisse de côté l'
épilepsie
essentielle idiopathique, et son étude ne vise
té l'épilepsie essentielle idiopathique, et son étude ne vise que l'
épilepsie
d'origine traumatique ou, réflexe, la REVUE DE
passive. J. S. XXVII. LE surmenage oculaire CONSIDÉRÉ comme cause d'
épilepsie
ET LES résultats DU traitement ophtalmologique;
tradiction avec le Dr Peterson; 2° il pense avoir démontré que l'
épilepsie
réflexe se rencontre dans un bien plus grand nomb
a fatigue oculaire a com- plètement guéri ou notablement amélioré l'
épilepsie
réflexe ; d'autres observateurs ont constaté de
nus, soit des malades eux-mêmes, prouvant qu'il s'agissait bien d'
épilepsie
vraie, que les résultats publiés par lui sont exa
(déduction faite des cas relativement peu nombreux où les crises d'
épilepsie
sont directement sous l'influence d'une lésion
ticulièrement habile à résoudre le problème oculaire compliqué de l'
épilepsie
et qu'il possède une grande habitude de ce trai
ces maladies qui sont les moins accessibles au traitement, comme l'
épilepsie
, la folie, la chorée, les névralgies) de n'avoi
é résumé plus haut. Observation V. - Mich... M..., vingt-sept ans, (
épilepsie
). Pas d'antécédents héréditaires. Fièvre cérébr
ng après les injec- tions. Observation VI. Dela... A., seize ans (
épilepsie
). Pas d'anté- cédents héréditaires. Convulsions
essif post- paroxystique. Observation VIL- Nott... vingt-six ans (
épilepsie
). Débilité mentale dans les antécédents hérédit
à la suite des injections. Observation VIII Ba... R..., vingt ans (
épilepsie
). Enfant natu- relle. Mère alcoolique. Première
ux du menton, le peaucier, le sour- cilier. P. KERAVAL. XLI. DE l'
épilepsie
spinale; par BMSLEH. (Ne2c·olog. Cenlrulbl., XV
SLEH. (Ne2c·olog. Cenlrulbl., XV, 1896.) Il existe une forme de l'
épilepsie
qui débute par des déchar- ses myocloniques à p
cles volontaires sont pris ainsi que le diaphragme. Puis apparaît l'
épilepsie
avec ses attaques caractéristiques, sans que la m
certains groupes musculaires, et bien- tôt des attaques complètes d'
épilepsie
(Brown-Sequard, Schiff, NoLliiiagel). Il propos
. Il propose d'appeler cette forme morbide myoclonie épileptique ou
épilepsie
spinale. Il fait remarquer que l'épileptique or
istingue un stade convulsif et un stade comateux, tandis que dans l'
épilepsie
spinale c'est un coma mortel sans accès proprem
que d'un autre exemple (coma mortel survenant alors que les accès d'
épilepsie
étaient suspendus depuis des mois). Seppilli a,
s de irnoclome fami- 508 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. liale avec
épilepsie
(Rivista spel'imentale di freniatria, XXI); seule
lysies alcooliques (paraplegia alcoolica) et de cer- tains cas de l'
épilepsie
jacksonienne. Les injections de Brown-Sequard r
nant les ren- seignements que l'on peut tirer de l'observation de l'
épilepsie
jack- sonienne. Je suis venu à cette conclusion
pour rencontrer des cas d'accidents cérébraux caractérisés par de l'
épilepsie
jackso- nienne dans lesquels la lésion cérébral
trépanation, on doit compter des cas très nombreux dans lesquels l'
épilepsie
jacksonienne accompagnait des lésions éloignées
lésion du parenchyme cérébral. Dans ces cas il y eut des attaques d'
épilepsie
jacksonienne. Dans deux de ces cas les attaques
presque totalement l'intelligence. Six années après est survenue l'
épilepsie
jacksonienne la plus grave que nous ayons jamai
èncore physiologiquement en étude. M. A. Voisin a observé un cas d'
épilepsie
jacksonienne chez un jeune garçon de dix-sept a
' Résultats de l'intervention c ! zil'llI'(Jicale pour la cure de l'
épilepsie
jacksonienne; par M. R. Lavista (de Mexico).
ure de l'épilepsie jacksonienne; par M. R. Lavista (de Mexico). L'
épilepsie
jacksonienne est molivée par des lésions de la zo
ésions dégénératives avec le caractère gliomateux comme causes de l'
épilepsie
jacksonienne. Dans notre pratique, nous avons e
a mort. Les désordres psychiques donnent une gravité spéciale à l'
épilepsie
jacksonienne et contre-indiquent l'opération. L
hique cervical dans le traite- ment du goitre exophtalmique et de l'
épilepsie
; par M. Jonnesco (de Bucharest). Les suites o
ications. Elles sont au nombre de deux : la maladie de Basedow et l'
épilepsie
essentielle. a). Le goitre exophtalmique est in
talc et bilatérale seule doit être pratiquée dans l'avenir. b). L'
épilepsie
. - La théorie de l'anémie cérébrale comme cause
voir. Les auteurs citent des faits de transmission héréditaire de l'
épilepsie
expérimentalement provoquée chez des cobayes pa
apports avec la société, par Ilunt, 140. Assistance des -, 515.
Epilepsie
. Traitement de l' -, par Unnninn, 44. Pathologi
ection totale et bilaté- rale du grand sympathique dans le - et l'
épilepsie
, par Jonnesco,522. Gomme syphilitique de la moe
te d'une plaie, d'une blessure quelconque, atteints de tétanos. L'
épilepsie
et le tétanos ont dû souvent se trouver réunis ch
e, entra à l'asile d'aliénés de Bonneval en janvier 1888, atteint d'
épilepsie
avec accès de folie fréquents à la suite des at
s ni épilepfiques. Le malade n'est ni syphilitique ni alcoolique. L'
épilepsie
ne peut, chez lui, être rattachée à aucune affe
a nécessité le place- - ment du malade dans un asile d'aliénés. L'
épilepsie
pure, non symptumatiqué, débute rarement à un â
aliments et médicaments, à cause de la dysphagie. Pas d'attaques d'
épilepsie
. 12. - Amélioration. La raideur des muscles est
ze jours après le début du tétanos, qu'apparaît la première crise d'
épilepsie
, elle est observée seulement par les infirmiers
t par les infirmiers. 60 RECUEIL DE FAITS. 14. - Nouvelle crise d'
épilepsie
que je peux observer moi-même. A ce moment, les
us, en tétanos, c'est-à- dire en contracture permanente. Et quand l'
épilepsie
a, pour ainsi dire, épuisé son action, les musc
plus exact d'admettre que chez 62 Ruz) ' RECUEIL DE FAITS. L... l'
épilepsie
a amené progressivement de la démence par suite
st d'abord passé dans ce cas ce qui se passe le plus souvent dans l'
épilepsie
compliquée d'une affection aiguë intercurrente,
intercurrente, pendant les périodes les plus aiguës de celle-ci, l'
épilepsie
ne se manifeste pas. Mais aussitôt que le tétan
tracture spécial qu'on qualifie de l'appellation tétanique. Dans l'
épilepsie
, ces mêmes cellules envoient aux mêmes muscles
anifestation épileptique puisque le tétanos reparaît aussitôt que l'
épilepsie
disparait. 11 faut absolument qu'à un moment do
elle se faire ? 1 On ne connaît pas les conditions anatomiques de l'
épilepsie
. ~Elles existent, mais elles sont sans doute pr
inconstantes; elles ne constituent que les conditions médiates de l'
épilepsie
. Elles peuvent manquer et, quand elles existent,
ous échappe. Au point de vue ana- tomo-pathologique, il en est de l'
épilepsie
comme du délire, le substratum anatomique de la
nambulisme comitial, prouve que la convulsion n'est pas tout dans l'
épilepsie
et que le bulbe peut ne pas être atteint. Gow
d'autres, fort bien défendu la théorie de l'origine cérébrale dé l'
épilepsie
. Il compare, après Schroeder van der Kolk, la c
van der Kolk, la cellule nerveuse à une bouteille de Leyde. Dans l'
épilepsie
la décharge est brusque, elle n'est plus réglée
, XLIII, 4,5.) Statistique. Tableaux. Listes. Conclusions. - 1° L'
épilepsie
abrège la vie ; 2° le sexe féminin est plus exp
six cas de démences séniles et secondaires ; cinq obser- vations d'
épilepsie
et d'idiotie ; sept de psychopathies fonction-
Dans l'état de mal et dans la période d'inconscience de l'attaque d'
épilepsie
, le tracé du pouls perd ses caractères ordinair
ubliée R. 11. C. VI. UN cas d'intoxication saturnine chronique avec
épilepsie
et aliénation mentale ; par William L. Ruxton.
ans, au cours d'une colique de plomb, il a été pris d'une attaque d'
épilepsie
, suivie bientôt de plusieurs autres : dès les p
t d'albuminate de plomb, a directement provoqué la production d'une
épilepsie
corticale, devenue actuelle- ment chronique. La
cas psychopathiques aigus quelle qu'en soit la modalité, excepté l'
épilepsie
, sont le plus heureusement influencés dans l'es-
z certains individus une ressem- ';lance marquée avec une attaque d'
épilepsie
. Les excès sexuels déterminent assez souvent un
ttaque d'épilepsie. Les excès sexuels déterminent assez souvent une
épilepsie
opiniâtre très difficile à guérir. L'auteur sig
bservations relatives à ce dernier fait; il connait huit exemples d'
épilepsie
consécutive au premier coït. 11 n'est donc pas
nc pas étonnant que la perversion sexuelle se com- bine souvent à l'
épilepsie
, d'autant que les deux espèces d'ano- malies ém
e, épileptique; cette passion qui seule le satisfait, date, comme l'
épilepsie
, de la première enfance. Concomitance de délire
nuel, mentionne trois cas de laparotomie pratiquée pour hystéro-
épilepsie
et épilepsie. Il obtint une amélioration certaine
ionne trois cas de laparotomie pratiquée pour hystéro- épilepsie et
épilepsie
. Il obtint une amélioration certaine; il en esp
, bien que sujette peut-être à discussiun, dont l'auteur envisage l'
épilepsie
, ou pour mieux dire les épi- lepsies. four M.
l'épilepsie, ou pour mieux dire les épi- lepsies. four M. Féré, l'
épilepsie
, en tant qu'entité morbide, n'existe pas. C'est
e clinique, elles ont une pathogénie commune. Qu'on ail affaire à l'
épilepsie
vulgaire, qui est la forme chronique, ou aux di
et à ce propos, il rejette complètement la théorie infectieuse de l'
épilepsie
proposée par 1V1\I. Marie et Lemuine. Les agent
re, de l'usine Vanoutryve, parce qu'il élait sujet à des attaques d'
épilepsie
, a tiré deux coups de revolver sur le direc- te
à l'une de ces quatre périodes, soit encore par la crise à forme d'
épilepsie
partielle, de toux, de bàillement, par un accès d
e. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 239 XXXIII. UN cas d'
épilepsie
traumatique guérie par trépanation; par G. VOEL
pable d'agir comme sédatif sur l'écorce, qu'on ait eu affaire à une
épilepsie
franchement trauma- tique ou à une épilepsie ré
n ait eu affaire à une épilepsie franchement trauma- tique ou à une
épilepsie
réflexe. Prescription des bromures. Sup- pressi
un vent violent venant fouetter le visage déterminent un accès d'
épilepsie
: Quand l'accès a été fort, la tension de l'angle
contrastant avec l'hyperhydrose droite). P. K. LVI. UN cas grave d'
épilepsie
réflexe : contracture EN flexion UNI- latérale
cun traitement chirurgical, ou médical n'a pu supprimer les accès d'
épilepsie
d'aspects un peu différents qui se sont produit
Keraval. XXIX. CONTRIBUTION A la relation ENTRE certaines FORMES D'
ÉPILEPSIE
ET l'excrétion d'acide urique; par A. HAIG. (Ne
xcrétion traduit cet encom- brement. 11 en est de même de l'accès d'
épilepsie
; il doit en cer- ' 256 REVUE DE PATHOLOGIE MENT
primant des idées en rapport avec son degré d'intelligence. Accès d'
épilepsie
, intervalles irréguliers. Meurt dans un accès l
observations ayant ceci de commun, que la maladie a débuté par de l'
épilepsie
jacksonnienne sans troubles psychiques, puis fi
es, que beaucoup de personnes sont depuis lors encore atteintes d'
épilepsie
, et que, dans tous les villages infestés, nombre
. lysie, contracture, arrêt de développement des membres gauches;
épilepsie
passagère depuis l'âge de huit ans. De temps à au
'à l'âge de vingt-sept ans,ce malade ne présent jamais d'attaques d'
épilepsie
. Dans les derniers mois de sa vie, il survint,
mois de sa vie, il survint, sans cause apparente, plusieurs accès d'
épilepsie
partielle. Au commencement de 1890, le malade m
Rouen) lit une note sur un cas de trépanation tardive dans un cas d'
épilepsie
Jacksonnienne. Il s'agit, dans cette observatio
ans, entré en 1889 à l'hospice général de Rouen pour des attaques d'
épilepsie
partielle, remontant à 15 ans et survenues à la
nstate, à propos de mes malades, qu'il y a eu aliénation mentale ou
épilepsie
chez leurs frères et soeurs, chez les frères et s
R et PILLIET (A.). - Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. - Compte rendu du ser-
rix : 8 fr. - Pour nos abonnés 6 fr. Cornet (P.). Traitement de l'
épilepsie
par le bromure d'or, le bro- mure de camphre et
t à la dé- chéance psychique contrairement a ce qui a lieu pour l'
épilepsie
; l'intégrité de l'intelligence doit donc être p
s relations de ce syndrome avec la goutte, la paralysie générale, l'
épilepsie
, le tabes, ont été dans plusieurs observations
avec des accès épi- leptiformes et peut se substituer à des accès d'
épilepsie
véritable. . La coïncidence de la migraine op
sans hémypiopie, la paralysie générale progressive, la chorée, l'
épilepsie
, paralysie agitante, goitre exoph- talmique, et
par Hughlinges Jackson (1861) 3 qui, par l'étude des formes de l'
épilepsie
qui portent justement son nom, a fourni de puissa
ERCHES CRITIQUES ET expérimentales SUR la pathogénie DE l'attaque d'
épilepsie
, par 0 . 1;IN5\'.1NGER. ( ! t1'Clt. f. Psych.,
e de muscles. Mais jamais il ne se produit de véritables attaques d'
épilepsie
. P. K. XLVI. L.1 fréquence croissante DE L1 dém
rales de l'ouïe; leur loca- lisation ; surdité verbale transitoire.
Epilepsie
Jacksonienne du côté droit; accès de surdité ve
droit et ayant donné lieu pendant la vie, tantôt à des accidents d'
épilepsie
; tantôt à des phénomènes qui rappe- laient la p
chroniques. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 443 LXV. UN cas D'
ÉPILEPSIE
psychique; par GERSTACÉER. (Allg. Zeitschr. f.
umie (sic); une affection cardiaque pour une eau sur les nerfs; une
épilepsie
pour une affection de la lurette (sic). Les exp
R et Pilliet (A.). - Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du ser-
rix : 15 fr. Pour nos abonnés : 10 fr. Cornet (P.). Traitement de l'
épilepsie
par le bromure ,d'or, le bro- mure de camphre e
'ItOTlt4at.11'16, effets delà sugges- tion , par Friedlander, 71.
Épilepsie
, cas d' traumatique gué- rie par trépanation, p
sky, 251;- poids du corps dans les périodiques, par Stark, 255; -
épilepsie
Jackson- nienne et -, par Monde), 257; guéris
teren, 85, 132, par Misslawski, 432. Saturnisme, chronique avec
épilepsie
en folie, par Ruxton, 101. SCIATIQLE, complic
hein, 74. Urique, excrétion de l'acide dans certaines formes d'
épilepsie
, par Haig, 255. Vessie, centres du cerveau co
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE L'IDIOTIE ET L'HYDROCÉPHALIE N 44
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTERIE. L'IDIOTIE ET L'HYDROCÉPHALIE COM
complètement échoué. Bains ET hydrothérapie. xvii traitement de l'
épilepsie
(voir p. 109) l'ingestion de site thyroïdien et
; bave, accès de cris. Tics de la face et balancement. Gâtisme. -
Épilepsie
, congestion pulmonaire; mort. Autopsie. -P01'LC
uccion, bave, cris gutturaux. Hémi- plégie droite avec contracture,
épilepsie
spinale. Tic du pied gauche. - Phimosis. -Rouge
ette maladie qui a ses symptômes bien définis. IV. Trente cas d'
épilepsie
traités par les injections sous- cutanées de li
t rien publié sur l'emploi thérapeutique du suc testiculaire dans l'
épilepsie
. Depuis, M. le Dr Ch. Féré a communiqué à la So
iebd. de la Société de biologie, 1893, p. 578.) . Traitement DE l'
épilepsie
. 1U t en injections hypodermiques. Les injectio
au stérilisée, d'un demi à deux centimètres cubes. Observation I.
Épilepsie
symptomatique ; DÉBILITÉ MEN- tale consécutive.
ques de liquide testiculaire en février 4893. Mort clans un accès d'
épilepsie
. Marche des accès de 1887 à 1S93. - Développeme
ue 17 jours. Injections de LIQUIDE testiculaire. 121 OB9. II.
Épilepsie
symptomatique. SCLÉROSE ATROPHIQUE. Accidents p
, 8 injections semblables. Tableau des accès et des vertiges. 122
Epilepsie
. 3 novembre. - Description d'un accès. Amb... e
accès, à la suite desquels on a dû le ramener à Bicêtre. OBS. IV.
Epilepsie
; affaiblissement intellectuel. Bourg... (Emile)
Même état ; au point de vue des progrès intellec- tuels. OBS. V.
Épilepsie
; trépanation. Fring... (Henri), né il Paris le
uide testiculaire. 123 Tableau cles accès et cles vertiges. 124 :
ÉPILEPSIE
. Tableau des accès et des vertiges. INJECTION
8 en avril. Tendance assez prononcée vers la déchéance. OBs. X.
Épilepsie
idiopathique. Basn... (Paul), né à Granville (M
me traitement, même durée. Tableau des accès et des vertiges. 126
Épilepsie
. et consciencieuse, sur les indications de M. d
sa mère. Père, 60 ans. bien portant; pas d'excès alcooliques, pas d'
épilepsie
; aucune maladie nerveuse. - [Père mort à 57 an
eur gauche. Membres, thorax, abdomen, bassin, bien conformés. 128
Épilepsie
. Organes génitaux. Testicules égaux, gros comme
93. 9 130 EPILEPSIE. Tableau des accès et des vertiges. 132
ÉPILEPSIE
; MÉNINGO-ENCÈPHALITE. Injections DE liquide tes
, 0,007 sur 0,003 (poids 20 gr.). Pas de trace de thy- mus. 134
Épilepsie
. Tableau des accès et des vertiges. Injection
tré à Bicêtre (service do[. Bourneville), le 27 mars 1885. 136
Épilepsie
. Les facultés intellectuelles continuent à, dim
les accès ont augmenté et il est survenu des vertiges. OBS. XV. -
Epilepsie
. Lecer.. (Charles), né à Fontainebleau le 24 se
quide testiculaire. Tableau des accès et des vertiges. 137 1 38
Epilepsie
. OBS. XVIII. - Epilepsie. Hél... (Georges), n
au des accès et des vertiges. 137 1 38 Epilepsie. OBS. XVIII. -
Epilepsie
. Hél... (Georges), né à Paris, le 17 janvier 18
est moins bonne. Les accès ont été plus nom- breux. ' OBS. XX. -
Épilepsie
.. Rous... (Jules), né à Paris le 20 novembre 18
ville), le 12 mars 1888. Même traitement du G mars au 11 mai. 140
Epilepsie
. (2 mai 10" juillet). Les injections ont été pr
s. Aucune manifestation scrofuleuse. C'est à 10 ans qu'a débuté l'
épilepsie
par de petites crises 2 ou 3 fois par jour; ens
n développés. Sensi- bilité générale et spéciale : normales. z42.
Epilepsie
. Lecture courante, mais il coupe les phrases en
ons DE liquide testiculaire. 143 Température après la mort. 144
Épilepsie
. INJECTIONS DE LIQUIDE testiculaire. 145 Dure
postérieure des bras, une z BOURNEVILLE, Bicêtre, 1893. 10 t46
Épilepsie
. coloration blanchâtre qui contraste avec les p
ent aucune lésion des tissus superficiels ou profonds. OBS. XXII.
Épilepsie
symptomatique. Hel... (Constant), né à Le Mcsni
ution des accès. Pas de modification intellec- tuelle. OBS. XXIV.
ÉPILEPSIE
. Bou... (Charles), né à Paris, le 14 décembre 1
e) le 24 février 1892. Tableau des accès et des vertiges. 148
Épilepsie
. Tableau des accès et des vertiges. INJECTION
la cachexie progressive due à sa maladie le 7 juillet. OBS. XXX.
ÉPILEPSIE
. Thir... (Armand), né à Paris, le 14 décembre 1
toutes ses formes. » V. Remarques sur les trois précédents cas d'
épilepsie
suivis de mort ; PAR BOURNEVILLE. Les obser
venues 4 ou 5 fois par an, à partir de là jusqu'à 5 ans ; ensuite l'
épilepsie
semble s'être définitivement établie. Vers 8 an
me manière. Al... fut pris d'un accès (1) Delasiauve. - Traité de l'
épilepsie
, 1854, p. 169. MORT par asphyxie dans UN accès.
un peu vagues. Nous n'avons pu savoir quelle était la cause de l'
épilepsie
qui a débuté à 10 ans. Son caractère est tout à
orait la cause. Au bout de trois semaines, la mort semblait 45fit
ÉPILEPSIE
; DÉMENCE PARALYTIQUE. inévitable, lorsque, dan
du malade à reprendre connaissance à la sortie de ses accès. '158
Epilepsie
; ËPAÏSISSEMENT DU crâne. Dans les trois cas qu
de bonnes con- ditions. . Nous sommes donc forcés de considérer l'
épilepsie
et l'idiotie de notre sujet comme résultant d'u
ble- rait indiquer qu'un processus inflammatoire a été cause de l'
épilepsie
et, comme les convulsions ont éclaté dès la nai
V. Le crâne offrait les lésions qu'on rencontre d'ha- bitude dans l'
épilepsie
(épaississement, congestion, augmentation de po
ifférentes formes de l'idiotie hydrocéphalique, compliquée ou non d'
épilepsie
, en nous appuyant sur une collection de documen
érales qui termineront notre travail. Observation I. Hydrocéphalie;
épilepsie
partielle du. coté DROIT; état DE MAL épileptiq
1883, il s'est mieux servi de sa main droite. ' 180 Hydrocéphalie :
épilepsie
partielle. sourd; le second s'entend assez bien
des deux côtés : Hydrocéphalie : cerveau. 183 54 Hydrocéphalie ET
épilepsie
. tion orbitaire, assez largo, est très en retra
eux heures après l'émotion éprouvée par la mère. Hydrocéphalie ET
épilepsie
. 189 localisées à droite ; à 13 mois affaibli
n médecin témoin de ces crises a prétendu que ce n'était . pas de l'
épilepsie
. Aucun autre accident pathologique dans le rest
a parfois de l'incontinence fécale et urinaire. : Hydrocéphalie ET
épilepsie
.' 2M La sensibilité cutanée réagit normalement
bien que d'une intelligence assez médiocre. 2t22 Hydrocéphalie et
épilepsie
. ses maîtres et ses surveillants. Les rares méf
nt pas de traces d'altération. OBS. VII. IDIOTIE HYDROCEPHALIQUE ET
épilepsie
SŸIiPTO- 1LATIQUE. SOI\LAIRE. - è1'e, rien de
clament les arriérés. Le professeur étudia ensuite le chapitre de l'
épilepsie
au point de vue du diagnostic et de la médecine
es excitations sensorielles comme agents pro- vocateurs des accès d'
épilepsie
; par FÉa>; (Jozcr2. de Neurologie, 1902, n°
ce des excitations périphériques des nerfs sur la pro- duction de l'
épilepsie
est bien connue : ce sont en général des irrita
cond concerne un homme de soixante-cinq ans chez lequel des accès d'
épilepsie
s'étaient substitués à des crises de migraine e
pendant un mois sans aucun accident. Il faut noter que les accès d'
épilepsie
que présentait la malade survécurent à la dispa
était intacte, il n'y avait aucun trouble moteur de la face, pas d'
épilepsie
, pas de troubles de la parole, rien du côté des s
oses ou psychoses, par exemple, dans la neurasthénie, l'hystérie, l'
épilepsie
, etc. Elle est aussi le symp- tôme fondamental
Oncle maternel paralysé, aliéné et sujet probablement à des accès d'
épilepsie
. Frère et soeui, morts tuberculeux. Soeui- stra
2 sére, t. X VI. 10 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I. Le traitement de l'
épilepsie
parle travail manuel et la gymnas- tique ; par
manuel est le plus grand agent thérapeutique pour la guérison de l'
épilepsie
. L'oisiveté est un puissant facteur pour le contr
s accidents morbides ; six cas concer- naient des sujets affectés d'
épilepsie
depuis 10 à 20 ans. On vit les troubles moteurs
ellulaires de ces échanges, où l'on place la cause et le siège de l'
épilepsie
, la faculté de se comporter vis-à-vis de l'élém
l. de MusGRAVE-Cuv. Vil. Contribution au traitement diététique de l'
épilepsie
; par Scuaefer (Neurolog. Cezztral6l., XXI, 190
de Toulouse et Richet modifié par Balint à trois malades atteints d'
épilepsie
grave, ayant de 20 à 30 accès par mois sans com
or. 4° la pré- disposition héréditaire rencontrée dans 28 cas. 5° l'
épilepsie
à titre de complication. 6° l'illégitimité de l
quotidienne. Au bout d'un mois j'étais délivré. » lt. Leroy. XXIV.
Epilepsie
et amnésie rétrograde; par M. J. SEGLAS (Presse
ien connu. Il n'en est pas de même de l'am- nésie rétrograde dans l'
épilepsie
. Le caractère ordinaire de l'amnésie épilepliqu
hagie dans la méningo-encéphalite chronique, la dé- mence sénile. l'
épilepsie
et dans certaines intoxications telles que la r
départ est vraisemblablement méningé. il. Leroy. XXVII. Un cas d'
épilepsie
consécutive à une lésion traumatique du lobe pr
ies d'accès de manie qui le lont interner à l'asile. Les attaques d'
épilepsie
reviennent à peu près tous les deux mois, et so
ns ces dernières années) c'est l'apparition, à échéance éloignée, d'
épilepsie
générale, malgré que la lésion trau- matique n'
trice. Il. de Musgravë-Clvy. XXVIII. Les formes silencieuses de l'
Epilepsie
; par William P. SPRATLING. (%'LC lŸC2U ? OTi I
tenu depuis longtemps, et avec raison, que les formes mineures de l'
épilepsie
, notamment le petit mal et les formes plus pure
me une connaissance aussi exacte des localisations cérébrales que l'
épilepsie
. Le caractère de la crise indique assez exactem
t celle sur laquelle elle va se propa- ger; l'auteur parle ici de l'
épilepsie
vraie, celle dont la condition ou la lésion néc
n'est intéressé que secondairement. Les formes silencieuses de l'
épilepsie
ont leur point de départ dans une altération de
frontaux. Ces altérations peuvent donner naissance à deux formes d'
épilepsie
: l'épilepsie psychomotrice et l'épilepsie psyc
altérations peuvent donner naissance à deux formes d'épilepsie : l'
épilepsie
psychomotrice et l'épilepsie psychique pure. Au
aissance à deux formes d'épilepsie : l'épilepsie psychomotrice et l'
épilepsie
psychique pure. Au point de vue delà localisati
première à la destruction des facultés mentales. Le diagnostic de l'
épilepsie
psychomotrice est toujours facile; l'épilepsie
. Le diagnostic de l'épilepsie psychomotrice est toujours facile; l'
épilepsie
psychique peut au contraire demeurer de longues
eurasthéniques, qui sont d'ailleurs neurasthéniques à cause de leur
épilepsie
. Souvent les symptômes ne diffèrent pas sensi-
n symptôme de neurasthénie, mais on peut diagnostiquer à coup sûr l'
épilepsie
chez les personnes dont les oublis sont par tro
normale, maispurement automa- tique. Il n'est pas rare de voir l'
épilepsie
psychique pure alterner avec des attaques de gr
présente à ce moment aucun des symptômes du grand mal. Les cas d'
épilepsie
silencieuse, sont loin d'être rares et ils ont
antôt médullaire. IL P. Marie ne pense pas non plus que l'absence d'
épilepsie
per- mette de distinguer une affection spinale
e cas d'hémiplégie infantile parmi lesquels deux seulement ont de l'
épilepsie
; et il présente un diplégique infantile sans ép
ent ont de l'épilepsie; et il présente un diplégique infantile sans
épilepsie
et dont l'intelligence est intacte; la mémoire
acte; la mémoire du moins est remarquable. M. DKjËtu\E répond que l'
épilepsie
est un élément de diagnos- tic, mais pas un élé
igence 176 sociétés sa van rus. estidemne; mais si elle n'a pas d'
épilepsie
, son jeune âge lui per- met de la voir apparaît
e d'accord avec M. Uéjériuesur les faits, il pense cependant qu'une
épilepsie
survenant seulement cinq ans après la constatat
de la maladie de Little peut ne pas être due à celle-ci et être une
épilepsie
essentielle ou autre ajoutée à la maladie de Li
gauche relevée. Il a vu de nombreux cas de ce genre. Myoclonie et
Epilepsie
. MM. Gilbert Ballet et Paul BLocu présentent un
e aient été passées sous silence dans beaucoup de descriptions de l'
épilepsie
. même récentes. Mais le fait qui ressort nettem
de la myoclonie longtemps avant les manifestations classiques de l'
épilepsie
, fait qu'il importe deconnaitre au point de vue
ges. Smztir, Ele(ler et C-, Lonriou, 1908. STAUCL)l1\\. Biniges z
épilepsie
. Stadeluix. Et) : Fuit voit aphasie und crgrapl
rt des états de stupeur cérébrale (traumatismes crâniens, hystérie,
épilepsie
etc..). Du reste, n'ob- serve-t-on pas aussi ch
vie des malades. H va de soi qu'il ne s'agit pas, en l'occurence, d'
épilepsie
mé- connue, ultérieurement suivie de démence, l
z rapidement. Caractère gai, un peu indiscipliné. Idiotie profonde;
épilepsie
nocturne ; strabisme. Cott.. (H.), né à Bondy,
comme petite bonne. SOCIÉTÉS SAVANTES. 247 Il Idiotie complète;
épilepsie
. Gaucb... (Germaine), treize ans. Cette enfant
. Le sentiment d'émulation est très développé chez elle. Idiotie;
épilepsie
.-Lefebvre (Marguerite), neuf ans. Cette enfant
nt être observés dans diffé- rents états psychopathiques (hystérie,
épilepsie
, démence pré- coce, etc., etc.). Entre les prem
paludisme est uni par des liens étroits, aux névroses : hysté- rie,
épilepsie
, neurasthénie. Le paludisme pourrait, d'après l
ost-paludiques et de certains accès pernicieux convulsifs. Dans l'
épilepsie
, le paludisme peut amener la suspension mo- men
accès. Il peut aggraver une névrose bénigne, et même réveiller une
épilepsie
latente endormie depuis des années. Le rôle de
L'auteur passe en revue successivement les trois grandes névroses,
épilepsie
, hystérie, neurasthénie afin d'y étudier les mo-
e, neurasthénie afin d'y étudier les mo- dalités du sommeil. Dans l'
épilepsie
. les malades dorment et leur 28G VARIA. somme
stEnd Hospital, Loudon o, », hôpital pour les maladies nerveuses, l'
épilepsie
et la paralysie. Médecin à la Colonie d'épilept
Médecin à la Colonie d'épileptiques de Chalfont, Buchinghamshire. L'
épilepsie
était connue dès l'époque d'Hippocrate qui en p
73, l'évêque de Wûrzburg fonda un asile pour les malades atteints d'
épilepsie
ou, comme on l'appelait alors, de « falling sic
rvenir. On sait que les accès ne troublent pas le sommeil, et que l'
épilepsie
nocturne peut rester longtemps ignorée du malade
ue application spécifique de l'amylène si ce n'est peut-être dans l'
épilepsie
convulsive, quoiqu'il ne paraisse pas avoir d'a
isse pas avoir d'action bien spéciale sur les accès psychiques de l'
épilepsie
. Il peut en général être substitué au chloral et
est associé au chloral dont il prépare l'effet. Si son rôle dans l'
épilepsie
vulgaire n'a plus à être même indiqué, il serai
être même indiqué, il serait, d'après certains, défavorable dans l'
épilepsie
psychique, qu'il a fait apparaître parfois comme
tôme de suppléance de la convulsion disparue. Par analogie avec l'
épilepsie
on l'a appliqué dans les cas périodiques, mais il
, la cure opio-bromurée de Fleclisig réus- sirait bien aussi dans l'
épilepsie
psychique. Enfin le bromure a été donné à haute
de la tension artérielle due à la vaso-constriction abdomi- nale.
Epilepsie
thyroïdienne. M. B,%STLN (Marchienne-au-Pont).
us ou moins bien développé, qui ont présenté des attaques de grande
épilepsie
souvent répétées, malgré l'absorp- tion quotidi
. Ces malades n'étaient pas à proprement parler des basedowiens : l'
épilepsie
seule attirait l'at- AIICIIIVES, 2' série, t. X
e qualité de la sé- crétion thyroïdienne est capable d'éveiller une
épilepsie
latente, au même titre qu'une matière toxuauele
ne matière toxuaueleucomaïne, ptomaïne, etc. On dit d'ailleuisque l'
épilepsie
se retrouve assez souvent dans l'hé- rédité myx
intervalles assez éloignés; leur aspect est variable, comme l'est l'
épilepsie
vraie; parfois les accès paraissent absolument
ats de stupeur cérébrale (traumatisme, délire aigu, hystérie ( ? ),
épilepsie
, paralysie générale à la dernière période). Pou
les autres déterminer la production de la paralysie générale, de l'
épilepsie
, de la manie et d'une façon générale de la plup
ue ; Neuras- 360 SOCIÉTÉS SAVANTES. thénie; Migraine; Alcoolisme;
Epilepsie
; Alcoolisme ; Dipsomanie; Névropathie; Dypsoman
strations pour de justes devises telles que : « L'absinthe est de l'
épilepsie
en bouteille » ; « sur cent phtisiques, on comp
Contribution à la question de la transmissibilité héréditaire de l'
épilepsie
du cochon d'Inde de Brown-Séquard, par M. Sommer.
ommer. (Neurolog. Centralbl. XX, 1901). M. Sommer maintient que l'
épilepsie
artificielle expérimentale acquise du cochon d'
, aux foyers de ramollissement syphilitique de la protubérance, à l'
épilepsie
: dans ces cas-là le réflexe en ques- tion étai
et vulgarisa le traitement iodo-mercuriel intensif dirige' contre l'
épilepsie
partielle, d'origine syphilitique, l'emploi des
yphilitique, l'emploi des bromures alcalins dans le traitement de l'
épilepsie
essentielle et de la migraine ophtalmique, l'em
faire von toute la distance qui sépare ces attaques de celles de l'
épilepsie
vraie et de nous prémunir contre l'inefficacité
je n'ai jamais volé 30 kreutzer. » Généralement le monologue de l'
épilepsie
est court ; c'est le plus souvent une insulte q
états d'inconscience si accentués propres aux formes chro- niques,
épilepsie
, démence, confusions chroniqnes. c) Indications
xplicable par la théorie anato- mique de Tamburini (l'hallucination
épilepsie
corticale); c'est ensuite l'unilatéralité decet
e, etc ; elle nous permet de concevoir son apparition au cours de l'
épilepsie
, où elle ne constitue qu'un équivalent des atta
re peut être considérée comme 'l'équivalent psychique d'une sorte d'
épilepsie
larvée. Marcel 13araNn. Séance du 25 octobre 19
rique. Voir Cécité. avec une observation, par 'lloplcms, 73. Voir
Epilepsie
L'- au point de vue de la médecine pdlciaire,
1 SIE. Voir Délire. Briquet. Voir Syndrome. BIIOWN-SIQU,l;D. Voir
Epilepsie
- Voir Moelle. BecsE Voir Monstres eiicéplial
éré. \ou'NaeAt- 1181ne. Enmuusz. Voir Goitre eaophtal inique.
Epilepsie
. Sur l'influence des eici- talion. sensorielles
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE ' PUBLICATIONS DU PR
PROGRES' MEDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE . COMPTE-RENDU DU SE
rapport des leçons de choses. Hou... (Charles), 8 ans. 7f ! toh'e,
épilepsie
, turbulence;- Absence de la parole, et compréhe
n intellectuelle, de paralysie spinale infantile du bras droit et d'
épilepsie
. - Cet enfant a fait de grands progrès au point
écrit et coud avec la main gauche. . 2° Lang.... 19 ans, atteint d'
épilepsie
. Depuis plusieurs années à Bicêtrc ; trépané. P
e prix Gallois. Bon ouvrier brossier. 3° Franc... lî ans, atteint d'
épilepsie
. Grande améliora- tion au point de vue de la co
' 2e classe. 4° l3elllz... ? 26 ans : arriération intellectuelle,
épilepsie
avec hémiplégie gauche, alcoolisme. A fait des
s. Bon apprenti jardi- nier. 11°'l'orai... Il ans. - Imbécillité.
Epilepsie
. - Quoique écrivant moins bien que les précéden
donnier médiocre. lie classe. - 13° Coudcy... (gorges), 1 '1 ans.
Epilepsie
. Parésie droite. Lit couramment, fait les exer-
coud de la main gauche. 1-1° Mêla.. (Albert), l'ians.-In26écilli(.
Epilepsie
. Hémi- plégie droite compliquée de contracture.
... (Auguste), 13 ans. Imbécillité avec perver- sion des instincts.
Epilepsie
. Malgré ses accès et vertiges un peu plus nombr
ée à manger des fraise ? qu'elle avait arrosées de pétrole. IV.
Epilepsie
idiopathique, déchéance, suicide, fracture de l
a pas eu le moindre vertige. A 15 ans, les accès réapparaisse71 £
Epilepsie
idiopathique. 39 sans qu'on relève de cause pro
. Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie et . de l'
épilepsie
; Par nOURl\'E\'ILI.E. Le» médecins disent, q
able que joue l'alcoo- lisme dans la production de l'idotie et de l'
épilepsie
. Action DE L'ACOOLISME sur l'idiotie. 49 Tabl
cle maternel para- lysé, aliéné et sujet probablement à des accès d'
épilepsie
. IIJlOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 85 Frère et soeur m
. ' A la fin de décembre 1902, il n'y avait pas de rechute. XI.
Epilepsie
idiopathique, guérison; Par BOURSE VILLE et Max
sceur de mon père, ils ont eu deux enfants, un garçon marié. Peur :
Epilepsie
. 163. sans enfants, une fille également mariée
maces continuaient quand même. On s'est décidé à placer l'enfant. L'
épilepsie
n'a pas été précédée de cauche- mars, ni de sec
En janvier, 2 accès. Même traitement. Température de l'accès. 168
Epilepsie
DITE idiopathique. une tante et un cousin mater
des exemples. Elles reviennent avec le retour des règles. IV. "L'
épilepsie
a été occasionnée par une peur vive qui a agi s
émorragies de la peau et des muqueuses pendant et après les accès d'
épilepsie
; leur analogie avec les stigmates des extatiqu
cs; les deux moitiés (Voir : Compte-rendu de 1901, p. 84, Accès D'
ÉPILEPSIE
; hémorragie cutanée. 173 supérieures sont réun
st entrée le 1er mars 1890 à la Fondation Vallée. Idiotie complète.
Epilepsie
.- La 1 H. Stigmates DES .mystiques.' : . - .
excoriation au cours des accès épilepliques. XIV. Traitement de l'
épilepsie
par les agents physiques ; ¡ . t ? rur;raw : wr
le corps et pression plus forte pour les jambes et les pieds- 176
Epilepsie
: hydrothérapie. rendront de grands services. L
dans un travail commun (1) BounEiLLE. Tec/t. clin, et thérap. sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, Compte-rendu de 1882,
lepsie, l'hystérie et l'idiotie, Compte-rendu de 1882, p. 6 à 86.
Epilepsie
: hydrothérapie. 177 nous avons donné en plus l
e statistique sur le rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'imbécillit
'un homme, habitant à l'étage supérieur, qui avait eu une crise d'
épilepsie
. Cette émotion fut passagère. L'enfant se livra
s d'hypothermie, Occasionnée 'e par un état cachectique (idiotie ou
épilepsie
) qui n'est pas sans'analogie avec l'athrepsie d
(J.). De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. BOURNEVILLE. - Contribution a
G.). Étude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8° de 56 p. Th. de Paris. IIUBLL (M.). Rech
Paris. IIUBLL (M.). Reche.rches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Monobromure de camphre, bromure de zinc, de so
de sodium. Thèse de Paris. MOBLOT (E.). Sur une forme grave de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. COULBAUT (G.). Des lésions d
faits dans le service. 275 1882. BntcoN (L.). Du traitement de l'
épilepsie
: Hydrothéra- pie. Arsenicaux. Magnétisme minér
de pilocarpine, etc. Thèse de Paris. Roux (G-L.). - Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
ie par le bromure d'éthyle. Thèse de Paris. WuiLLAMiÈ (Th.).-De l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spas- modique infantile. Thès
otie. Thèse de Paris. Pison. De {'asymétrie fronto- faciale clans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). de l'ép
iale clans l'épilepsie. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). de l'
épilepsie
. Bromures d'or et de camphre, Picrotoxine. Thès
luence de la consan- guinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. SOLLIER (P.). Du rôle de l'h
de Paris. RELLA y (P.). Essai sur le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Travaux faits dans LE SERVICE.
Paris. e LE DUIGOU (E.). Contribution à l'étude du pronostic de l'
épilepsie
chez les enfants. Thèse de Paris. HASLÉ (L.). D
Paris. HASLÉ (L.). Du bromure de camphre dans le traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1900. Bourneville. De l'Anat
LLET (Th.). Étude du rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'im- bécill
- bécillité. Thèse de Paris. 1901. ' Pareur (P). Purpura dans l'
Épilepsie
. Thèse de Paris. Robin (E.) Contribution à l'ét
MÉNARD (J). -Contribution à l'étude du Phénomène des orteils dans l'
Epilepsie
. Thèse de Paris. LE Roux (Henri). De l'emploi d
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET . L'IDIOTIE RECHERCHES SUR
R L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE ET . L'IDIOTIE RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PR
PROGRÈS MÉDICAL' RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE 1 ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU
la seconde, d'idiots tout à fait incurables ou d'enfants atteints d'
épilepsie
IV PETITE ECOLE. ou de méningo-encéphalite de
rte jour par jour, à l'élaboration de sa thèse : Du traitement de l'
épilepsie
, qu'il subit en juin 1882 et qui lui valut une
e l'Idiotie c1'éti- noïde (avec cachexie })achyde1'lnique) ; - De l'
Epilepsie
}))'o- cursive, et de nombreuses observations.
èses DE 1889. THÈSES DE 1889. CORNET .(Paul.) . - Traitement de l'
épilepsie
. GOTTSCHALK (A.). - Valeur de l'influence de la
luence de la consan- guinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. DEUXIÈME PARTIE Thérapeutique. BOURNEVILLE
avoir une idée encore plus exacte de leur action sur la marche de l'
épilepsie
. Nous avons employé le bromure d'orpour la prem
tait 1. Bourneville. - Recherches cliniques el thérapeutiques sur l'
épilepsie
. compte rendu du service pendant l'année 1882,
82, p. 1 4 l'il eit.-ipr17,PI QUE. absolument inefficace contre l'
épilepsie
, au moins à la dose de 10 centigrammes. » M. le
icament une « activité remarquable et constante dans tous les cas d'
épilepsie
», nous avons cru devoir l'expérimenter de nouv
ugmentation de 300 grammes. I\IIQ)II'RI, D OR. OBSERVATION Il
Epilepsie
qui ri commencé de 8 à 10 ans. - Pas d'antécédent
au des accès et des vertiges. BROMURE D'OR. 17 OBSERVATION VI
Epilepsie
partielle gauche. - Père, sciatique : excès de bo
'influence du traitement. EMMURE D'OR. tu 9 OBSERVATION VII
Epilepsie
. Pas d'antécédents névropathiques. - Pas de con
rme très nette ment nos conclusions antérieures. OBSERVATION XI
Epilepsie
et imbécillité prononcée, symptomatiques. - Père
u des accès et des vertiges. 4 0 THÉRAPEUTIQUE. OBSERVATION XIV
Epilepsie
. - Accès et vertiges. Traitement par la picro-
8, les accès avaient baissés par rapport à 1887. OBSERVATION XV
Epilepsie
idiopathique. Père : excès de boisson. - Grand-
il y a eu une augmentation du nombre des accès. OBSERVATION XIX
Epilepsie
idiopathique. - Mère migraineuse. - Grand'mère
rable, et partant, une améliora- tion relative. OBSERVATION XXI
Epilepsie
idiopathique. - Grand'mère paralytique. - Grand
convulsions dans les premières années de la vie et, très souvent, l'
épilepsie
dès quatre ou cinq ans. C'est à ce type que peu
. Les suivantes portent sur les idiots plus âgés atteints de plus d'
épilepsie
vraie, la coexistence des deux états est d'aill
n clinique, qui a été publiée. Il était atteint de convulsions et d'
épilepsie
a accès rapprochés, après avoir été bien portan
t de cinq ans : Faur... (t879-i884) atteint d'idiotie complète avec
épilepsie
, et fils d'un alcoolique, on trouva de l'hydroc
es résul- tats ne sont pas spécifiques, car dans l'idiotie avec l'
épilepsie
, ou dans la démence épileptique, nous les retro
, mort le 12 février 1884. A quatre ans, premiers vertiges, accès d'
épilepsie
à cinq ans, gâtisme à la même époque, déchéance
LOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. 133 A l'autopsie, on constate que l'
épilepsie
est symptomatique d'une atrophie considérable d
et de. l'aspect cha- griné des circonvolutions. Vautr... 481-i883.
Epilepsie
avec tour- noiements, vertiges, secousses, idio
Observation X. -Gouell..., dix-huit ans, mort en 1884, atteint d'
épilepsie
vertigineuse et d'hémiplégie droite, présente à l
étaient limitées au côté gauche. A douze ans, premières attaques d'
épilepsie
, elles avaient ce caractère d'être précédées d'
urte période pen- dant laquelle le malade courait droit devant lui (
épilepsie
pro- cursive). Il existait un léger embarras de
été publiés par MM. Bourneville et Bricon, dans leur travail sur l'
épilepsie
procursive). Examen histologique. - Cerveau et
ésions plus étendues, telle que la sclé- 1 bourneville et l3ricon ?
Epilepsie
? rocacrsioef.lrchices de Nemofoic, 1888, 1. 26
thèse. La question du rapport de ces plaques cicatricielles avec l'
épilepsie
ne peut aussi qu'être indiquée. En tout cas, no
déjà mentionnés. Examen histologique. Rente..., soixante-onze ans,
épilepsie
tardive. Coupes du para, central gauche. - Les
phalies, Revue de médecine, p. 462, 888. Lemoine. - Pathogénie de l'
épilepsie
. Progrès médical, 1888. Meynert. - Psychiatrie,
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE . ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PR
ROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR . L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERV
.. (Edouard), 5 ans 1/2. Cet enfant atteint d'idiotie profonde et d'
épilepsie
, était grand gâteux, ne parlait pas, ne savait
tré en mai 1890. Il était at teint d'idiotie prononcée compliquée d'
épilepsie
et d'hémi- plégie droite. A son arrivée, se t
ts de méningite. Oncle maternel mort de tuberculose. Frère, accès d'
épilepsie
. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 3 a
en est sorti le 2 lévrier 189G. Durant ce temps, il a eu 0 accès d'
épilepsie
, sans troubles mentaux consécutifs. Quand on le
s mois ; à 4 ans mordu par un chien et, à la suite, premier accès d'
épilepsie
. (1) Compte-rendu de Bicétre de 188G, p. 206, e
te-rendu de Bicétre de 188G, p. 206, et 1893, p. 154. 46 IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
. Pendant six mois : un accès par jour, puis deu
e cinq centimètres de Bourneville, Bicêtre, 1900. 4 50 IDIOTIE ET
épilepsie
. 1 longueur et cinq de circonférence, le prépuc
état persiste jusqu'au 5 novembre, jour de la mort. 52 Idiotie et
épilepsie
. Aucun accès du ICI' au 5 novembre, c'est-à-dir
ORPS étranger DE l'oesophage. Corps étranger de l'oesophage. 57 d'
épilepsie
; un accès quotidien pendant six mois ; puis de
nt que tous les enfants qui ont eu des convulsions sont menacés d'
épilepsie
et que ces enfants ont besoin d'une hy- giène e
auxquels il est possible, en modifiant la diathèse, de prévenir l'
épilepsie
(1). La déchéance, déjà très prononcée à l'entr
dès les premières manifestations susceptibles d'être rattachées à l'
épilepsie
: cauchemars, terreurs nocturnes, secousses, vert
e statistique sur le rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'imbécillit
II. Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
; ; Par BOURNEVILLE. L'enfant subit les consé
ée du rôle de l'alcoolisme sur la produc- tion de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Bourneville, Bicêtre, 1900. - ' 7 98 Alcooli
sissement des méninges molles sont très minimes. sr II. Idiotie et
Épilepsie
symptomatiques de sclérose atrophique des . lob
s, arrondies, diminuées de nombre. Idioties. 115 ^ IV. Idiotie,
épilepsie
et hémiplégie consécutives à l'alcoolisme. Nara
et morale. Nous procédons de même pour les diffé- rentes formes d'
épilepsie
, d'hystérie et d'hébphéiénie. Parmi ces causes
Marche à 11 mois. Convulsions ci 1 an. Parole vers 2 ans. Accès d'
épilepsie
. -Câtisttte iatermitte22t. - 1111c1·oCépILt- li
tardivement et que pendant plusieurs années il ait eu des accès d'
épilepsie
, on est arrivé à le rendre propre à lui apprend
lui que tardivement et que pendant des années il ait eu des accès d'
épilepsie
, on est arrivé à le ren- dre propre, à lui appr
(J.). De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. l3owLVU,r,e. - Contribution à
C.). Etude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'
épilepsie
. In-8" de 50 p. Th. de Paris. IIUBLIi. (M.). Re
aris. IIUBLIi. (M.). Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Thèse de Paris. Morlot (E.). Sur une forme gra
l'épilepsie. Thèse de Paris. Morlot (E.). Sur une forme grave de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. COULIJAU'l' (G.). Des lésion
e Paris. COULIJAU'l' (G.). Des lésions de la corne d'Ammon dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. , THÈSES faites dans LE servic
faites dans LE service. 207 1882. BRICON (L.). Du traitement de l'
épilepsie
: Hydrothéra- pie. Arsenicaux. - Magnétisme min
rpine. Curare, etc. Thèse de Paris. , Roux (G.-L.). Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
e par le bromure d'éthyle. Thèse de Paris. WuILLAMiER (Th.). Ce l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spasmodique infantile. Thèse
otie. Thèse de Paris. Pison. - De l'asymétrie fronto-faciale dans l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). Traitem
l'épilepsie. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). Traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. GOTTSCHALK (A.). Valeur de l'i
luence de la consan- guinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse, de Paris. Sollier (l'.). Du rôle de l
de Paris. Rellay (P.). - Essai sur le traitement chirurgical de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1899. CESTAN (11.). Le syndr
ice. 209 Lc DuIGOU (L\). Contribution à l'étude du pronostic de l'
épilepsie
chez les enfants. Thèse de Paris. HASLE (L.). D
Paris. HASLE (L.). Du bromure de camphre dans le traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1900. M11" Pesker (1).). - U
LFT (Th.). Etude du rôle de la consanguinité clans l'étiologie de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'idiotie et de l'im- bécill
ncle maternel paralysé, aliéné et sujet probablement ci des accès d'
épilepsie
. Frère et sceur morts tuber- culeux. BlEU1' str
t, rien dans son passé ne peut faire sup- poser qu'il est atteint d'
épilepsie
. D'ailleurs, une amnésie survenue dans ces cond
traumatique et trépan; par BUTLIN. Observation d'un homme atteint d'
épilepsie
consécutive à une chute avec plaie pénétrante d
comprimant la corticalité déprimée. - . L'opération réussit et l'
épilepsie
guérit. MM. Pearcegould et l3arher citent un ca
ée MM. Outterson, Wood et Cotterelb dans un cas d'hémi- plégie avec
épilepsie
. A. M. XVII. Du diagnostic DES affections céréb
uteur n'a jamais trouvé chez ces malades des traces d'hystérie ou d'
épilepsie
. Cette maladie se voit dans l'Inde, surtout che
ussi la force minima du courant nécessaire pour produire un accès d'
épilepsie
généralisé. On extirpe alors tous les points ex
oquer une très faible contraction musculaire, provoquera un accès d'
épilepsie
; fréquemment même, une simple excitation mécan
jusqu'à la dose de 8 grammes par jour pendant six semaines contre l'
épilepsie
. Les résultats semblent bons, si l'on en croit
tique DU cerveau consécutif A une lésion datant DE VINGT-CINQ ANS :
ÉPILEPSIE
; opération; guérison; par J.-T. );srRIDGE et F.
on des crises convulsives. R. DE ! \lUSGRAVE Clay. XVII. UN cas d'
épilepsie
HCKSOl\ILiC-OE : cessation DES attaques après l
. Le lendemain de l'opération, il y eut encore une petite attaque d'
épilepsie
jackson- nienne, mais il n'y en a plus eu depui
ne peut plus être espérée. R. 11. C. XX. Trépanation dans un cas d'
épilepsie
; observation clinique) ; par T. DUNCAN GREEi'\L
la santé normale. Onze.mois avant l'admission à l'asile, attaque d'
épilepsie
: depuis cette époque retour plus ou moins fréq
ie : depuis cette époque retour plus ou moins fréquent d'attaques d'
épilepsie
plus ou moins intenses. Presque simultanément à
le « péché impardonnable » et être devenue enceinte. Les attaques d'
épilepsie
reparaissent à des intervalles plus ou moins él
e, surlout nocturne se manifesta de nouveau. Peu à peu les crises d'
épilepsie
reprirent leur fréquence ancienne. On en conc
k médical Journal, 22 juin 1895.) Il s'agit d'un malade atteint d'
épilepsie
jacksonnienne, de para- lysie du bras gauche av
o-pathotogie des sensations sexuelles.- Grandes névroses (hystérie,
épilepsie
). - Conscience alternante, con- tagion psychiqu
enfants et adolescents idiots ou atteints de perversion morale ou d'
épilepsie
. Assurément la conduite du père de cette « simp
C. 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XVIII. Observation d'un cas d'
épilepsie
avec aphasie; par Franck IIAx. (The Journal of
e; troubles gastriques dans la mélancolie, la paralysie générale, l'
épilepsie
, etc. L'auteur passe en revue, en procédant par
: BIBLIOGRAPHIE. 1. Essai sur la pathogénie et le traitement de l'
épilepsie
; par MM. G. MARINESCO et Paul SÉRIEUX. (Mémoir
es, les absences, les délires. Comme les phénomènes convulsifs de l'
épilepsie
sont fugaces, MM. Marinesco et Sérieux ont util
lisé la méthode graphique pour enregistrer ces divers phénomènes. L'
épilepsie
corticale délerminée par l'excitation électriqu
roduit d'une façon fidèle les réactions motrices et organiques de l'
épilepsie
essentielle. Après avoir étudié en détail les a
es épileptiques, ils concluent que le champ autrefois si vaste de l'
épilepsie
idiopathique diminue chaque jour. Ce sont les é
ndissent aux dépens de la forme idiopathique. Dans bien des cas d'
épilepsie
idiopathique, on ne peut découvrir d'autre agen
ppliquée à l'explication des symptômes du mal comitial. L'aura et l'
épilepsie
sensitive seraient dues, d'après MM. Marinesco
rale progressive (Iahrb. f. Psychiatr., 1879); le Trai- tement de l'
épilepsie
par les bromures (Wiener medicinische Presse, 1
dans la méningite, dans l'asphyxie par l'oxyde'de carbone, dans l'
épilepsie
, dans le diabète. " Il examine ensuite la signi
des stimulations réflexes et des agents toxiques sur la folie et l'
épilepsie
. L'auteur étudie d'abord les rapports étroits q
culation des agents toxiques dans le sang est capable de produire l'
épilepsie
vraie, comme elle l'est assurément de produire
s d'où peuvent partir les stimulations réflexes généra- trices de l'
épilepsie
vraie; les sources les plus ordinaires de ces r
XXI. I)E LA CIRCULATION DU SANG DANS LE CERVEAU PENDANT LES accès D'
ÉPILEPSIE
expérimentale; par W. DE Bechterew. (1\'eu ? ,ol.
du manomètre de Welischaïnow. Il en résulte que pendant les accès d'
épilepsie
, le sang artériel afflue en quantité prodigieus
d'hui que l'hystérie ait son siège dans les ovaires, pas plus que l'
épilepsie
réflexe ou les né- vroses réflexes n'ont leur s
l'homme, dans des cas analogues. P. Sérieux. Il. Traitement DE l'
épilepsie
; par \VULFrr. (Communication faite au Congrès d
rurgicale a été conseillée et mise en pratique non seulement dans l'
épilepsie
corticale et l'épilepsie symptoma- tique, mais
e et mise en pratique non seulement dans l'épilepsie corticale et l'
épilepsie
symptoma- tique, mais encore dans l'épilepsie e
lepsie corticale et l'épilepsie symptoma- tique, mais encore dans l'
épilepsie
essentielle. On a employé la ligature d'une ou
des opérations partant sur les organes périphériques dans les cas d'
épilepsie
réflexe, à condition que l'ap- parition des acc
'hydrate d'amylène n'a pas d'influence sur la marche ordinaire de l'
épilepsie
, mais il est ulile dans l'état de mal, ainsi qu
roubles fonctionnels, telles que la neu- rasthénie, l'hystérie et l'
épilepsie
. Il croit donc utile de signaler les symptômes
s ou sensorielles, en l'absence de toute étiologie traumatique ; 7°
épilepsie
apparaissant après l'âge de vingt-cinq ans (sau
les doses massives, seules efficaces. R. DE Musgrave Clay. XLIX.
Epilepsie
sensorielle [et psychique; par Théodore Diller.
ons préliminaires, l'auteur fait remar- quer que si l'on divisait l'
épilepsie
essentielle en épilepsie motrice, épilepsie sen
ur fait remar- quer que si l'on divisait l'épilepsie essentielle en
épilepsie
motrice, épilepsie sensorielle et épilepsie psy
que si l'on divisait l'épilepsie essentielle en épilepsie motrice,
épilepsie
sensorielle et épilepsie psycliique, cette classi
pilepsie essentielle en épilepsie motrice, épilepsie sensorielle et
épilepsie
psycliique, cette classification parfaitement l
e affection. Beaucoup de cas de petit mal rentreraient alors dans l'
épilepsie
sensorielle, pL l'épilepsie larvée, aussi bien
de petit mal rentreraient alors dans l'épilepsie sensorielle, pL l'
épilepsie
larvée, aussi bien que les états décrits sous le
ien que les états décrits sous le nom d'équivalents psychiques de l'
épilepsie
seraient rattachés à l'épi- lepsie psychique. L
ques de l'épilepsie seraient rattachés à l'épi- lepsie psychique. L'
épilepsie
psychique pure, l'épilepsie procursive décrite
rattachés à l'épi- lepsie psychique. L'épilepsie psychique pure, l'
épilepsie
procursive décrite par Mairet, Bourneville, Lad
rte l'observation d'un cas que ceux qui ont spécia- lement étudié l'
épilepsie
psychique rangeraient vraisemblablement dans ce
pour se conformer à sa propre classification, rattacher le cas à l'
épilepsie
sensorielle. L'intérêt de l'observation qu'il pub
t de l'examen qu'une parésie du facial inférieur. Plus tard accès d'
épilepsie
avec paresie droite passagère consécutive aux a
ur les sensations de froid. LWOFF. LVIII. Pollutions nocturnes ET
épilepsie
; par le Dr LUC.1RRELL1. (l3acll. de la Soe. de
anes de sécrétion et d'excrétion du sperme. Ce seraient des accès d'
épilepsie
partielle qui se produiraient à la suite d'une
limitée et circonscrite. M. Zucarelli leur donne le nom de crises d'
épilepsie
de nature érotique et carorc- térlsées par des
es états émotifs ou réflexes imaginables. F. BOISSIER. LIX. Sur l'
épilepsie
sénile ET LE symptôme DE GRIESI1\GER DU A la th
f de tribu sauvage que comme un véri- table brigand. J. Noir. VI.
Epilepsie
traumatique et trépanation. - Epilepsie et folie
table brigand. J. Noir. VI. Epilepsie traumatique et trépanation. -
Epilepsie
et folie épi- leptique dues à un traumatisme cr
ites pour justifier l'irresponsabilité du meurtrier : l'hérédité, l'
épilepsie
, la folie alcoolique et la paranoïa. Il montre
démence consécutive, soit à la manie, soit à la mélancolie, 8 cas;
épilepsie
, 4 cas; démence organique, folie avec hallucina
alais. L'amok est un raptus homicide, manie impulsive rappe- lant l'
épilepsie
par l'automatisme brusque de l'impulsion ambula-
res d'association. P. K. XLIX. RECHERCHES SUR la genèse DES accès D'
ÉPILEPSIE
; par W. DE Bechterew. (1\'eurolog. Cent¡'aU,l.,
THOLOGIE MENTALE. peut, chez l'animal adulte, provoquer des accès d'
épilepsie
. Les régions de la base, si tant est qu'elles p
Ces dernières régions (protubérance et bulbe) pourront provoquer l'
épilepsie
, dans les cas d'excitation mécanique de la prot
Contribution A la symptomatologie DE L1 paralysie générale ET DE l'
épilepsie
; par H1LLENBERG. (Neurolog. Cent1'ulbl" XIV, 18
pillaire associée à l'exa- gération du phénomène du genou. Dans l'
épilepsie
(26 h. 27, f.), l'analgésie cubitale est un signe
'a pas affaire à de la paralysie générale ; notamment s'il s'agit d'
épilepsie
dite psychique, sans attaques convulsives nette
sus de la - scissure deSylvius; zone d'encéphalite réactionnelle. L'
épilepsie
jacksonienne a permis de localiser exactement l
de paralysie générale (chez l'homme), mais elle existe aussi dans l'
épilepsie
. Quand on soup- çonne la paralysie générale, l'
aranoia, démence, affaiblissement intellectuel, paralysie générale,
épilepsie
, manie, mélancolie. Au point de vue des résulta
u 25 tasses de café. M. Wulff. Communication sur le traitement de l'
épilepsie
(déjà analysé). (ami. Zeitschr. f. Psychiatrie,
logie criminelle. IV* Con- grès d' -, statuts, 317, 412. Aphasie.
Épilepsie
avec par Hay, 140. Surdité et - hystériques c
nfluence des facteurs réflexes et toxiques sur la production de l'
épilepsie
et de la -, par Bullen, 224. Paragraphe 51 et-
les affections mentales, par Kellog, 145. Pollutions nocturnes et
épilepsie
, par Zucarrelh, 281. POL1\VItITE. Changements
x sortes : on observe tantôt des accès d'hystérie, tantôt des accès d'
épilepsie
avec les carac-tères qui sont propres à chacun et
accès, revêtent successivement les ap-parences de l'hystérie et de l'
épilepsie
; il semble y avoir mé-lange des deux névroses.
service de M. Charcot, ses laborieuses et patientes recherches sur l'
épilepsie
et sur l'hystérie. Ses observations ont été consi
sses2. 1. Bourneville, Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hys-térie, 1876. —Bourneville et Voulet, De
ostic différentiel de l'hystéro-épi-lepsie ou grande hystérie et de l'
épilepsie
véritable, point capital au point de vue de la pr
stants nos malades sont semblables à celles qui se rencontrent dans l'
épilepsie
vraie. La secousse con-siste en une tétanisation
nde connaît les recherches si intéressantes de M. Brown-Séquard sur l'
épilepsie
expérimentale. Ce physiologiste a montré que les
II PREMIÈRE PÉRIODE. — PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Une attaque complète d'
épilepsie
vraie se compose d'une suc-cession de phénomènes
es, au point qu'un observateur non prévenu pourrait prendre pour de l'
épilepsie
vraie ce ™ui n'en a, en définitive, que les appar
es apparences. Deux faits entre autres prouvent péremptoirement que l'
épilepsie
n'est laque dans le dehors et non dans le fond de
n'a pu non seulement enrayer, mais même atténuer les convulsions de l'
épilepsie
vraie. Afin de préciser autant que possible les
la malade ont une grande analogie avec ceux qui se rencontrent dans l'
épilepsie
partielle désignée sous le nom d'épilepsie partie
qui se rencontrent dans l'épilepsie partielle désignée sous le nom d'
épilepsie
partielle toniquel. Ils ont pour caractères d'ê
mportant à signa-ler, car il ne se rencontre pas au même degré dans l'
épilepsie
vraie, ous avons pu, M. Régnard et moi, en appliq
vements cloniques qui sont la terminaison des attitudes toniques de l'
épilepsie
. Si dans quelques cas les contorsions suivent l
écile. Cette terminaison est beaucoup plus fréquente dans les accès d'
épilepsie
vraie, à la suite des" vertiges du petit mal. §
834 3. 1. Bourneville, Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hys-térie, 1876, p. 146. 2. Witt..., comme
ement menu et rapide. Cette phase, qui présente les caractères de l'
épilepsie
, avec prédominance des contractions toniques, dur
à quinze ans. Vers l'âge de quinze ans, elle aurait eu des attaques d'
épilepsie
qui ont persisté jusqu'à son entrée à la Salpêtri
yant jamais eu l'occasion d'observer ce qu'on appelait ses attaques d'
épilepsie
. Tout ce que nous pou-vons dire, c'est que les at
compte d'une tu-meur cérébrale ou qu'il rattachait pour le moins à l'
épilepsie
. Le jeune malade avait des crises depuis plusieur
ses crises et que je pourrai facilement constater que c'est bien de l'
épilepsie
. » J'entre, et je vois un enfant qui venait en
naître qu'il s'agissait ici de phénomènes hystéri-ques et nullement d'
épilepsie
. Je conseillai de mettre l'enfant entre les mains
talepsie. 2. J.-G.-F. Maisonneuve, Recherches et observations sur l'
épilepsie
. Th. in-8°. Paris, an XI, p. 173 et suiv. temps
u delà d'un quart d'heure. Rangée par Maisonneuve parmi les faits d'
épilepsie
, cette obser-vation a manifestement trait à l'hys
r d'y reconnaître la plupart de ceux qui caractéri-sent l'hystérie, l'
épilepsie
, la manie et même l'hydrophobie. L'invasion fut
modique1). » HUITIÈME OBSERVATION. M. Baillarger parle d'un cas d'
épilepsie
qui nous paraît bien plutôt rentrer dans les fait
ie. « J'ai eu, sous ma direction, dit-il, une jeune fille frappée d'
épilepsie
par suite delà terreur que lui avait causée une r
s très variés, formant quelquefois de légères attaques sans mélange d'
épilepsie
ou bien s'y mélangeant. Nous retrouvons facilem
dant plusieurs jours de suite. Entre ces périodes, elle a des accès d'
épilepsie
isolés, mais pas très com-plets. Dans les séries
, mais pas très com-plets. Dans les séries maladives, l'hystérie et l'
épilepsie
se combinent diver-sement, mais l'hystérie domine
face. Après deux ou trois minutes de ce calme, toutàcoup se montre l'
épilepsie
; la tête se dévie à droite, la face pâlit, les me
éiformes persistant pendant plusieurs jours, jusqu'à ce qu'un accès d'
épilepsie
vienne y mettre fin... 17 avril. — La chorée a
avaient leurs attaques, chacune avec son cachet propre : l'une, de l'
épilepsie
précédée d'angine de poitrine; une seconde, un ét
dévie à droite, la face grimace, le regard se fixe : c'est un accès d'
épilepsie
à trois périodes, tonique, clonique et résolutive
nnaissance; jusqu'à l'âge de dix-neuf ans, cela paraît avoir été de l'
épilepsie
pure (chutes, morsures de la langue) ; à cet âge
gères de la vue et de l'ouïe, les attaques hystériformes, les accès d'
épilepsie
, la contracture ou les con-vulsions de la face al
ne sorte d'anéantissement de la pensée, et le soir un violent accès d'
épilepsie
, à la suite duquel l'agitation a été si grande qu
e, elle ne les a pas perçues. 26 juin. — Hier soir un accès franc d'
épilepsie
avec écume à la bouche. 1er juillet. — Hier la
nvulsive avec cris et grande agitation et se terminant par un accès d'
épilepsie
avec ronflement et écume à la bouche. 4 juillet
ilepsie véritable en ce sens que l'hystérie existait!1 à associée à l'
épilepsie
vraie ; que la malade ait été d'abord épileptique
celles que nous avons observées; et que, dans les attaques mixtes, l'
épilepsie
n'était quedans laforme, la nature même des accid
ande hystérie. Il n'est donc pas nécessaire de faire intervenir ici l'
épilepsie
, et cette malade peut bien n'être qu'une hystéro-
sie, et cette malade peut bien n'être qu'une hystéro-épileptique sans
épilepsie
, comme nos malades. QUINZIÈME OBSERVATION1. L
mière fut,je dois V avouer, que j'avais devant les yeux une attaque d'
épilepsie
; mais bientôt le tableau changea; les mouvements
isée par des convul-sions qui ressemblent plus ou moins à celles de l'
épilepsie
. « Habituellement il y a en premier lieu un spa
taque, par conséquent, ne différait en rien d'une véritable attaque d'
épilepsie
. La cyanose n'était pas aussi prononcée que dans
cyanose n'était pas aussi prononcée que dans une très forte attaque d'
épilepsie
, mais était nettement caractérisée, et il y avait
'une attaque, et cela constitue un des éléments de diagnostic entre l'
épilepsie
et l'hystéro-épilepsie ; l'aura dans la première
dans laquelle les symptômes épileptiques ne sont point rapportés à l'
épilepsie
véritable, mais ne sont consi-dérés que comme une
s petit nombre de cas la face est contournée et violette comme dans l'
épilepsie
; quelquefois aussi les malades rendent, comme ces
côté du corps que de l'autre. Ce sont là pour moi de purs symptômes d'
épilepsie
, bien distincts de l'affection hystérique, et qu'
n-sidérable sous la peau; la face est souvent aussi livide que dans l'
épilepsie
. Chez un grand nombre de malades, les mouvements
erminent la sortie d'une salive plus ou moins abondante, comme dans l'
épilepsie
: ce phénomène est cependant plus rare que dans l
re du passage suivant qui a trait au diagnostic de l'hystérie et de l'
épilepsie
: « Il semblerait, après ces différences si nom
précises, qu'il n'est pas de confusion possible entre l'hystérie et l'
épilepsie
. » Cette proposition est vraie pour les cas bie
tue pas, à mon avis, une différence essentielle entre l'hystérie et l'
épilepsie
, et c'est à tort que M. Foville la regarde comme
e comme tout à fait étrangère à l'hystérie, et comme ca-ractérisant l'
épilepsie
. » Sans contredit, s'il y a absence d'écume pen
bsence d'écume pendant de longs accès, on peut en induire l'absence d'
épilepsie
; mais la présence de l'écume n'implique pas néces
dans ces cas, à l'existence simultanée des deux névroses, hystérie et
épilepsie
, dont les symptômes peuvent se montrer isolés dan
association de quelques phénomènes épileptiformes sans aucune trace d'
épilepsie
réelle. Quant aux troubles intellectuels et sen
as plus une hystérie compliquée de folie qu'une hystérie compliquée d'
épilepsie
. Ce n'est pas à dire que l'hystérie ne puisse exi
, cle même qu'elle peut se rencontrer chez un individu déjà atteint d'
épilepsie
; mais ce que nous tenons à faire ressortir, c'est
tible de variété. — Elle apparaît isolément à la façon des attaques d'
épilepsie
vraie; ou bien elle se reproduit un grand nombre
es plus h-appants qui puissent exister entre l'hystéro-épilepsie et l'
épilepsie
vraie. Au sujet de la malade citée plus haut, M.
fiée que cela eût eu lieu nécessairement, s'il se fût agi de la vraie
épilepsie
; à aucune époque, il n'y a eu d'évacuations invo-
e des recherches de MM. Gharcot et Bourneville que lorsqu'il s'agit d'
épilepsie
vraie la température ne tarde pas à s'élever à 40
C'est ce que Ilerpin a fort bien décrit parmi les accès incomplets d'
épilepsie
, sous le nom de com-motions épileptiques. « C'e
peut olfrir les trois ordres essentiels de symp-tômes d'une attaque d'
épilepsie
: les convulsions externes, les spasmes vis-cérau
nts cessent, après n'avoir duré que quel- !. Des accès incomplets d'
épilepsie
par Tti. Herpin. l^aris, 1807. p. 1G2 et suiv.
s deux épaules pour compléter le tableau et transformer ces menaces d'
épilepsie
en une véritable attaque épileptiformc composée d
stinction, que depuis longtemps M. Charcot cherche à établir, entre l'
épilepsie
et l'hystéro-épilepsie. — Sous des appa-rences d'
la phase de résolution, ne se rencontre guère dans l'état de mal de l'
épilepsie
vraie. Dans l'observation qui suit et qui a tra
ne saurait être mise en doute. Si l'on se rappelle que l'attaque d'
épilepsie
véritable est parfois L W. Griesinger, toc. cit
ois peut se prolonger assez longtemps, on trouvera, entre ces accès d'
épilepsie
avec délire et quelques variétés de l'attaque de
sible d'après les caractères mêmes des troubles céré-braux qui dans l'
épilepsie
ont, en général, un caractère beaucoup plus conce
terme presque obligé de faltération de fintelligence qui accompagne l'
épilepsie
et principalement de cette forme silencieuse cara
lements dans les membres supérieurs, rappelant les accès incomplets d'
épilepsie
. Elle a sur le som-met de la tête et entre les de
ptôme précurseur d'une maladie plus grave, telle que l'apoplexie ou l'
épilepsie
, ainsi qu'il en existe des exemples dans la scien
e nous avons prouvé que, dans l'hystéro-épilepsie, il n'y a rien de l'
épilepsie
véritable. Je ferai la même remarque au sujet d
s mêlé. Herpin signale le somnambulisme dans les accès incomplets d'
épilepsie
. Il se produit après le vertige épileptique, à ce
renversée en arrière, la face rouge, absolument comme dans un accès d'
épilepsie
. Jamais nous n'avions observé ces phénomènes. Us
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE L ' H Y S T É R 0 - É P Il E P rIE ET DE l'
ÉPILEPSIE
VÉRITABLE J'ai déjà insisté bien des fois sur l
entre l'hystéro-épilepsie à crises combinées ou grande hystérie et l'
épilepsie
véritable. Dans un chapitre spécial, j'ai essayé
s ca-radores décisifs l'hystéro-épilepsie se distingue nettement de l'
épilepsie
véritable. Je ne rappellerai pas ici tous les s
une partie des symptômes présentent toute l'apparence de la véritable
épilepsie
. Le nom lui-même indique que les auteurs ont ente
rte de mélange ou de combinaison formée partie d'hystérie et partie d'
épilepsie
. C'est le cas de rappeler que les auteurs ont dis
crises distinctes, dans laquelle les symptômes de l'hystérie et de l'
épilepsie
appa-raissent d'une façon complètement indépendan
ase la dis-tinction de l'hystéro-épilepsie à crises combinées et de l'
épilepsie
véritable. J'ai déjà eu l'occasion, au sujet de l
e semblable, et que dans les auteurs qui ont traité spécialement de l'
épilepsie
, nous n'avons rien vu qui s'en rapproche. b) Ma
nostic de l'hystéro-épilepsie n'a donc point la gravité de celui de l'
épilepsie
véritable. Et là s'accuse encore la séparation si
ment physique et la démence. ^ Tous les auteurs qui ont traité de l'
épilepsie
ont insisté sur les troubles intellectuels perman
issement progressif des facultés, sont la terminaison nécessaire de l'
épilepsie
. Les cas de conservation intacte de l'intelligenc
aient une action plus funeste sur le cerveau que les accès complets d'
épilepsie
, dont les convulsions sont plus violentes et plus
iS ans, entrée à l'hospice de la Salpêlrière en 1860; premier accès d'
épilepsie
à 15 ans ij"!. Elle était fort intelligente et ha
9 ans l'intelligence avait déjà baissé. Elle a eu de nombreux accès d'
épilepsie
, mais de plus nombreux vertiges, jusqu'à deux ou
s cherché à établir entre l'hystéro-épilepsie ou grande hystérie et l'
épilepsie
véritable. Nous avons vu, en traitant du pronos
st comme l'expression la plus haute et essentiellement distincte de l'
épilepsie
vraie. Mais, si la des-cription que nous en avons
Cela est si vrai que Moreau (de Tours), étudiant les causes de l'
épilepsie
, et rencontrant un certain nombre de cas où la
cette catégorie de faits, dit-il, on peut parfois se demander si l'
épilepsie
n'est pas consécutive à l'impression morale dét
t s'être portée trop exclusivement sur la paralysie générale et l'
épilepsie
. En 1853, dans sa thèse d'agrégation, Lasègue é
on de ce savant, avec Vizioli et 111orselli, sur la pathogénie de l'
épilepsie
2. « Il n'est pas connu ' Ingranaôgio, parziale
l'écorce, analogue à celle qui, pour les centres moteurs, produit l'
épilepsie
d'origine cor- ticale. L'irritation qui, ici, d
lucinations sont aux centres sensoriels et à leurs lésions ce que l'
épilepsie
est aux centres moteurs » (p. 151). Elles const
st aux centres moteurs » (p. 151). Elles constituent une sorte d' «
épilepsie
des centres sensoriels ». Les hallucinations so
ion électrique, substituée à l'irritation morbide, détermine, ici l'
épilepsie
, là l'hallucination expérimentale. Enfin, l'abl
sent pas plus de trace appréciable que les lésions irritatives de l'
épilepsie
corticale. On ne les a guère recherchées d'aill
lectrisant le centre de l'audition, ils déterminaient une attaque d'
épilepsie
générale : les convulsions débutaient par le pa
léger tremblement dont il est atteint. Il n'aurait pas eu d'accès d'
épilepsie
depuis son retour de Mont-sous-Vaudrey; mais il
côté paternel nous trouvons l'alcoolisme et l'idiotie compliquée d'
épilepsie
; du côté maternel, le ner- vosisme et l'aliénat
N, RAOULT et SaLUER. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiolie. Compte rendu du servi
10 fr.; pour nos abonnés, 7 francs. Cornet (P.). -1'raitetaezt de l'
épilepsie
par le bromure d'or, le bromure de camphre et l
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. GOUIIERT (E.). - Nouveau trailemtnl de l'
épilepsie
; sa guérison possible. Brochure in-8o de 16 pag
convulsions dans les premières années de la vie et, très souvent, l'
épilepsie
dès quatre ou cinq ans. C'est à ce type que peu
. Les suivantes portent sur les idiots plus âgés atteints de plus d'
épilepsie
vraie, la coexistence des deux états est d'aill
e l'ai notée plusieurs fois ; il n'est pas d'ouvrage consacré à l'
épilepsie
, dans lequel on n'ait fait figurer les coups et
n, il n'est pas rare de voir à la suite du trauma- tisme survenir l'
épilepsie
d'abord, la folie plus tard. Calmeil enciteuuex
e front une profonde cicatrice; trois ans après, première attaque d'
épilepsie
. L'intelligence s'af- faiblît graduellement, la
malade pendant six semaines. Peu de temps après, première attaque d'
épilepsie
, puis démence. VI. Dans les observations que
: manie, délire de persécutions, folie circulaire, ou dé- mence,
épilepsie
, paralysie générale', non pas indiffé- remment,
des faits authentiques de guérison d'acci- dents graves, tels que l'
épilepsie
, dix, vingt ans, et plus, après le trauma. Même
e ans, il a été atteint de convulsions qui ont marqué le début de l'
épilepsie
; les accès étaient d'abord assez rares, sans ca
pour cinq ans, dans l'infanterie de marine, il a été réformé, pour
épilepsie
, peu de temps après son arrivée au corps. Les a
six heures du matin. Le 2o janvier, à l'heure du lever, il est im-
ÉPILEPSIE
SOMNAMBULIQUE. 245 possible d'interrompre son s
malade après avoir constaté qu'il a eu pendant la nuit, un accès d'
épilepsie
. Je lui fais une nouvelle visite à dix heures u
malade s'éveille facilement et, cependant, il a encore des accès d'
épilepsie
pendant la nuit. Nous n'avons pas été le jouet
us aussi, par la compression des testicules, arrêter les attaques d'
épilepsie
de certains su- 2 if) REVUE CRITIQUE. jets. N
marquables travaux la neuro-pathologie et surtout les articles de l'
épilepsie
, de l'hystérie et de l'idiotie, participa à l'é
antes. 275 7° paralysie générale ; 8° Folies névrosiques (hystérie,
épilepsie
, hypocondrie ; 9° folies toxiques; 10° folie mo
up de fugues in- conscientes relatées dans la science sous le nom d'
épilepsie
larvée sont des cas d'altération de la conscien
10 fr. Pour nos abonnés : prix : 7 fr. Cornet (P.). Traitement de l'
épilepsie
par le bromure d'or, le bromure de camphre et &
mique d'une part, sa parenté bien évidente avec le syndrôme de l'
épilepsie
sensitive si fréquemment asso- ciée elle-même à
a comparaison se ferait assez justement avec ce qui se passe pour l'
épilepsie
partielle motrice dont les accès ne sont eux au
n clinique, qui a été publiée. Il était atteint de convulsions et d'
épilepsie
a accès rapprochés, après avoir élé bien portan
t de cinq ans : Faur... (l8î9-1881) atteint d'idiotie complète avec
épilepsie
, et fils d'un alcoolique, on trouva de l'hydroc
es résul- tats ne sont pas spécifiques, car dans l'idiotie avec l'
épilepsie
, ou dans^la démence épileptique, nous les retro
, mort le 12 février 1884. A quatre ans, premiers vertiges, accès d'
épilepsie
à cinq ans, gâtisme à la même époque, déchéance
881. - 344 AMATOMIE PATHOLOGIQUE. A l'autopsie, on constate que l'
épilepsie
est symptomatique d'une atrophie considérable d
et de l'aspect cha- griné des circonvolutions. Vautr... 1872-1883.
Epilepsie
avec tour- noiements, vertiges, secousses, idio
Observation X. - Gouell..., dix-huit ans, mort eu 1884, atteint t d'
épilepsie
vertigineuse et d'hémiplégie droite, présente à l
étaient limitées au côté gauche. A douze ans, premières attaques d'
épilepsie
, elles avaient ce caractère d'être précédées d'
urte période pen- dant laquelle le malade courait droit devant lui (
épilepsie
pro- cursive). 11 exislait un léger embarras de
été publiés par MM. Bourneville et Bricon, dans leur travail sur l'
épilepsie
procursive). Examen histologique. Cet veau et b
lésions plus étendues, telle que la sclé- i Bourneville et Bricon.
Epilepsie
procursive (Archives de Neurologie, 1888, p. 2G
thèse. La question du rapport de ces plaques cicatricielles avec l'
épilepsie
ne peut aussi qu'être indiquée. En tout cas, no
éjà mentionnés. Examen histologique. - Rente..., soixante-onze ans,
épilepsie
tardive. Coupes du para, central gauche. - Les
éphalics, revue de médecine, p. 462, 1888. Lemoino. Pathogénie de l'
épilepsie
. Progrès médical, 1888. Meynert. Psychiatrie, t
s des organes de ces sens. On peut également provoquer un accès d'
épilepsie
générale en portant sur ces cen- tres sensoriel
itait souvent. A cette époque, elle commença à avoir des attaques d'
épilepsie
(petit mal). Les attaques étaient rares, deux o
nt plus, et qu'ils faiblissaient, au contraire, lorsque l'altaque d'
épilepsie
psychique passait. Un jour que j'examinais la m
se que le fibrome de la dure-mère n'a pas été la cause directe de l'
épilepsie
et n'a joué que le rôle de cause occasionnelle
de méthé- moglobine. P. K. IV. DE l'action DE l'antipyrine dans l'
épilepsie
, par M. G. LEJIOINE. (Gaz. méd. de Paris, 1887.
un effet con- traire dans les deux cas. P. K. VI. Traitement DE l'
épilepsie
par LE bromure d'or; par M. le Dr EMILE Goubert
minute, puis la vue (il s'agis- sait de l'oeil droit dans le cas d'
épilepsie
due à la sypliilis) récu- pérait en sens invers
image de ce qui se passe dans l'écorce du cerveau pendant l'accès d'
épilepsie
. M. Naunyn (de Strasbourg). Le pronostic des af
ie des gan- glions sous-corticaux et de leur rapport avec l'accès d'
épilepsie
. Expériences tendant à exciter, aprèsavoir résé
eu connaissance de ces particularités. Citons, sur notre terrain, l'
épilepsie
, l'alié- nation mentale à répétition, l'inversi
purement fonctionnelle (une observation avec invalidité parfaite et
épilepsie
nocturne pro- bable). Tous ces malheureux son
l'exagération des réflexes, le nystagmus, la précocité extrême de l'
épilepsie
spinale, de la contracture et la démarche spasm
de l'enfance (lésions histologiques des), par Pilliet, 177,333.
Epilepsie
(somnambulique), par Pa- ris, 244; - (antilibri
445. Ether (buveurs d'), Irlande, 174. Fibrome de la dure mère et
épilepsie
, par Lacroix, 437. Folie (guérison delà) - co
ph, 150 ; physio- (les - sous-corticaux, et leurs rapports avec l'
épilepsie
), par Zie- hen, 451. Goitre exophthalmique (a
à la suite d'un traumatisme céphalique, le malade, a des attaques d'
épilepsie
. L'auteur fait remarquer. : 1° que la paralysie
et alvines involontaires. Le phénomène de la trépidation provoquée (
épilepsie
spinale) est manifeste, le pied exécutant une s
n, le 8 juin 1885. Le certificat d'un médecin de la ville porte : «
Epilepsie
avec troubles intellectuels ». Le malade présen
nte en effet depuis l'âge de dix-sept ans des attaques fréquentes d'
épilepsie
, suivies la plupart du temps de troubles psychi
e Bétel, et ce n'est qu'un an après qu'il eut sa première attaque d'
épilepsie
. Jusque-là, d'après les renseignements, rien ne
d'absence. Le malade n'urinait pas au lit. La première attaque d'
épilepsie
fut suivie de troubles psychiques. G... courait
e s'est pas amendée. Elle a continué à évoluer simultanément avec l'
épilepsie
. A l'asile, il INVERSION DU SENS génital. 49
que. En aucune façon, l'on ne pourrait mettre' sur le compte de l'
épilepsie
la perversion du sens génital auuvEg, t. Il 4
Eg, t. Il 4 50 REVUE CRITIQUE. dont nous rapportons l'histoire. L'
épilepsie
ne présente pas de ces syndromes et dans l'espè
es, tremblement). I I^ L'anesthésie sensorielle se rencontre dans l'
épilepsie
, l'hystérie, l'hys- téro-épilepsie, l'alcoolism
r des six paragraphes sui- vants : I. Anesthésie sensorielle de l'
épilepsie
. A. Passagère. B. Sta- tionnaire. Dix-neuf obse
hésie sensorielle dans les névroses générales (à l'exclu- sion de l'
épilepsie
et de l'hystérie). A. Neurasthénie (faiblesse i
deux nerfs optiques, complexus symptomatique psychosen- soriel de l'
épilepsie
vraie (Ous. X1XVIII-XLVI). V. Anesthésie sensor
cipaux qui ont été notés chez cette malade. G. D. IX. Pouls lent;
épilepsie
bulbaire; par R. Lépine. [Lyon méd., 1884, t. X
ans les cas de pouls lent seraient souvent de véritables attaques d'
épilepsie
,' et qu'il s'agirait alors d'une épilepsie d'orig
de véritables attaques d'épilepsie,' et qu'il s'agirait alors d'une
épilepsie
d'origine 6ul- baire. A l'appui de cette hypo
ables. 96 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Rou[LL,1111) fait remarquer que l'
épilepsie
ou les troubles con- gestifs ne sont que des hy
és. M. Holloender. Gommmaiccation sur les nouvelles théories de l'
épilepsie
. Séance du 26 février 1885. M. Meynert, comme
douzy les ont spéciale- ment étudiés en ce qui concerne le tabes.
Epilepsie
, aliénation mentale, hystérie, tabes, atro- phi
UR SERVIR A L'ÉTUDE DES RELATIONS ET DE L'INFLUENCE RÉCIPROQUE DE L'
ÉPILEPSIE
OU DE L'HYS- TÉRIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAI
lipothymies, sueurs, lesquelles duraient trente-cinq minutes à DE L'
ÉPILEPSIE
AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 219 peu pr
qu'a duré l'attaque elle n'a pas présenté de phénomènes évidents d'
épilepsie
. Entre novem- bre 83 et juillet 85, espace de v
de même que les deux sui- vantes, la malade les a faites quand son
épilepsie
n'était pas convulsive; pourrait-on voir dans c
t sérieusement sur l'endocarde ne se révèle nette- ment que quand l'
épilepsie
convulsive se disssimule, que les deux maladies
névropathies. On rencontre souvent chez les nerveux et dans DE L'
ÉPILEPSIE
AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 225 leur f
c.) analogues à ceux de la goutte anormale ; elle offre encore de l'
épilepsie
et du rhumatisme articulaire ; quant à sa famil
é de dire avec certains auteurs que tous les sujets chez lesquels l'
épilepsie
se montre entre dix et dix- huit ans présentent
et dans d'autres maladies nerveuses. 226 RECUEIL DE FAITS. DE L'
ÉPILEPSIE
AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 227 sente
éveillent pas le sourire; 3° somnambulisme : contractures par- DE L'
ÉPILEPSIE
AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 229 ticuli
M. Christian demande à M. Voisin comment il se fait que l'attaque d'
épilepsie
, dont la manifestation échappe si complè- temen
traite, avec les psychoses, maintes névroses, et, en particulier, l'
épilepsie
: traitement d'après la méthode chi- noise comb
sme, on ne sait rien. On ob- serve très fréquemment l'hystérie et l'
épilepsie
sans troubles psychiques proprement dits; M. Sa
hématiques. N. Hallager. Les troubles psychiques dits équivalents d'
épilepsie
. (En français.) 0. K7ELLBEIiG. La valeur des
is.) 'SOCIETES SAVANTES. 293 P. Rosenbach. Sur la pathogénie de l'
épilepsie
. ( En alle- mand.) Q. STORCH. Contribution au
nger); c'est l'his- toire encore des troubles succédant aux accès d'
épilepsie
ou rem- plaçant un accès ou une aura épileptiqu
la face). Plus tard, pendant des années, il y avait eu des accès d'
épilepsie
, suivis de graves accidents cérébrospinaux, sur
te à l'enfance; son apparition précoce se manifeste par des accès d'
épilepsie
et d'aphasie. Dans les cas où des processus dif
ou somatiques (convulsions) et a présenté plus tard des attaques d'
épilepsie
, de l'aphasie, un ensemble morbide rappelant la
s'agit d'un canton- nier garde-voie de trente et un ans, indemne d'
épilepsie
et d'al- coolisme, dépourvu de tare héréditaire
ficile d'établir s'il n'y a pas eu auparavant quelques at- taques d'
épilepsie
ou de lipothymies convulsives épileptiques, voire
'étiologie en est très nette. il est impossible de le rattacher à l'
épilepsie
sans plus amples points de repère. M. HITZIG.
s étals d'agi- tation aigus d'un autre genre dûs à l'ébriété ou à l'
épilepsie
. Géné- ralement l'épisode se déroule encore au-
symptômes psychiques semblables, sous maints rapports, à ceux de l'
épilepsie
qui, comme on sait, complique ex- trêmement fré
blessures, accidents gangreneux du décubitus, diarrhées, attaques d'
épilepsie
, ménin- 320 SOCIÉTÉS SAVANTES. gîte) occasion
i RECUEIL DE FAITS RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES DANS L'
ÉPILEPSIE
; Par M. G. ZOHRAB, interne des hôpitaux de Lyo
ns les observations nécroscopiques faites sur des épileptiques. L'
épilepsie
essentielle, idiopathique est encore rangée dans
es par Echeverria, ne constituent pas des lésions exclu- sives de l'
épilepsie
, et sont loin d'être constantes dans cette affe
ce sont là des faits inconstants, secondaires et non spé- ciaux à l'
épilepsie
. Pour notre part, nous avons pratiqué, sous la
tre au- topsies : deux sur des femmes regardées comme atteintes d'
épilepsie
essentielle, et deux sur des hommes qui avaient
flexions. Nous sommes donc en présence d'une jeune fille atteinte d'
épilepsie
essentielle depuis l'âge de quinze ans à l'auto
gauche qu'à droite. Observation 11. -Alile L. D..., dix-huit cens.-
Epilepsie
essentielle à grandes crises. Otite scléreuse e
veau (du lobe occipital surtout (Iloseiibacli), comme provoquant l'
épilepsie
, qu'elle soit partielle ou généralisée, symptoma-
s pouvoir admettre : - - 1" Qu'il existe un certain nombre de cas d'
épilepsie
essen- tielle ou symptomatique accompagnés d'un
ns de pilocarpine à la dose de 1 à 4 centigrammes. G. D. - XXIII.
Epilepsie
J.1CK50NIENNEDANS un cas DE LÉSION sous-corticale
à la lumière -de sept observations (hystéro-épilepsie, hémi-cranie,
épilepsie
) et de l'examen de Wagner lui-même. (Obs. VIII)
urs des faits recueillis dans l'enquête attirent l'attention vers l'
épilepsie
; et, s'il s'agis- sait réellement d'une attaque
que peut être remplacée par une explosion de violence, tout comme l'
épilepsie
ordinaire peut quelquefois revêtir la forme de
viation du rhythme cardiaque dans les cas de pouls lent associé à l'
épilepsie
. La constatation bien nette, à l'approche de chaq
stations convulsives, soit qu'il s'agisse de crises intermittentes (
épilepsie
corticale), soit qu'il s'agisse de phénomènes p
enfants, par Struempell, 112. Epidémie hystéro-choréidue, n20.
Epilepsie
bulbaire, 84. Epilepsie et rhumatisme, 2t6 ;
, 112. Epidémie hystéro-choréidue, n20. Epilepsie bulbaire, 84.
Epilepsie
et rhumatisme, 2t6 ; (ramollissement des cornes
amollissement des cornes occi- 11ltles dans 1'), par Zohrab, 405.
Epilepsie
partielle par lésion sous- corticale, 421. Er
état morbide, par Donatli, 255. Sens génital (inversion du avec
épilepsie
), par terrain, 42; par Savage, 427. Sexuels,
ntégrité du fond de l'oeil), ni paralysie générale, ni syphilis, ni
épilepsie
. Aucun des symp- tômes prémonitoires des premiè
decine mentale ; mais il a paru sur- tout envisager l'hystérie et l'
épilepsie
. Jacobs, tout en admet- tant certaines relation
et une soeur morts très jeunes. Tuberculose du côté maternel. Pas d'
épilepsie
dans sa famille. 1 Troisier. Sole sur l'état de
es Yorderanns (AI'ch. f. poclleol. anal., LXXXIX, p..i6, 188 ? ).
ÉPILEPSIE
: DEUX TRÉPANATIONS. PERSISTANCE DES ACCÈS. 123
être concluante sur les résul- tats obtenus par le traitement de l'
épilepsie
par le trional. La quantité donnée de ce médica
Il en ressort, point capital, que la trépana- tion n'a pas guéri l'
épilepsie
. Il y a eu une rémission et, comme dans cette o
lement une maladie mentale. G. D. VI. Contribution à l'étude de l'
épilepsie
et de son traitement; par Casimir W¡SLOCK1, méd
. (K)'on : /M6<;cAt : )'s/.Y<, 15 mars.) L'auteur considère l'
épilepsie
partielle ou essentielle comme le résultat de l
Cette irritabilité peut être produite par une tumeur, comme dans l'
épilepsie
partielle ou par un corps qui existe dans les l
ment de l'accès et qui agit sur l'écorce cérébrale, comme dans l'
épilepsie
essentielle. Ici nous sommes en face de la théori
de toxalbumines et leucomaines. L'auteur à vu toujours les crises d'
épilepsie
diminuer; il cite le cas d'un garçon qui, sous
. Hallucinations religieuses et délire religieux transitoire dans l'
épilepsie
; par le D'' H. 1.1BILLG. L'auteur rapporte qua
lésions suivantes : ménin- rites. hydrocéphalies aiguës, apoplexie,
épilepsie
, hémicranif, convulsions, maladies de la moelle
résente jusqu'à l'âge de dix-neuf ans avec tous les caractères de l'
épilepsie
classique sans aucun signe de paralysie générale.
. DoorsEUEVr n'a observé au contraire les accès en série que dans l'
épilepsie
essentielle. Us sont relativement rares dans la
stériques : les crises convulsives. Du phénomène des orteils dans l'
épilepsie
. M. M.-J. Baiunski. Dans le dernier travail que
que j'ai publié sur le phénomène des orteils j'ai rapporté un cas d'
épilepsie
jackson- nienne où ce phénomène avait été const
urée plus ou moins longue, chez les individus sujets à des crises d'
épilepsie
dite idiopathique, et chez lesquels le réflexe
et pourrait, dans un cas douteux, servir à établir le diagnostic d'
épilepsie
. Je dois ajouter que l'absence de ce signe ne p
. Je dois ajouter que l'absence de ce signe ne prouverait pas que l'
épilepsie
n'est pas en cause car le phénomène des orteils
ois après. Suites éloignées de la résection du sympathique dans l'
épilepsie
essentielle. M. Souques. Le traitement de l'é
ique dans l'épilepsie essentielle. M. Souques. Le traitement de l'
épilepsie
essentielle par la résection du sympathique est
urement à l'opération. M. Déjerine. Cette opération vantée contre l'
épilepsie
, parait inutile, car elle n'a jamais donné de r
2° Elles ne se rencontrent pas chez les hystériques non entachés d'
épilepsie
; 3° Tout convulsif infantile est toujours dispo
vulsions infantiles dans le cas de difficulté de diagnostic entre l'
épilepsie
et l'hystérie doit faire admettre le diagnostic d
sion qui, ultérieurement, crééra l'épi- lepsie. Il y a, certes, une
épilepsie
essentielle, héréditaire; mais les exemples en
exemples en sont beaucoup plus rares qu'on ne le croit. Sou- vent l'
épilepsie
a été créée par accident, par une action sur les
s poisons. A côté des épilep- sies accidentelles, il y a,toujours l'
épilepsie
héréditaire. SOCIÉTÉS SAVANTES. 161 SOCIÉTÉ D
l'absence de traitement absolument spécifique. 3. Traitement de l'
épilepsie
essentielle par les opérations pratiquées sur l
nd C°. 130un...EvILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie el l'idiotie. (Compte rendu du serv
nt une bougie à la main ; comme elle était sujette à des attaques d'
épilepsie
, on suppose qu'elle est tombée et que le feu s'
XVI. Des'principes essentiels du diagnostic et du traitement de l'
épilepsie
dite essentielle ; par W. LESZYNSKI (de New-York)
Med. Record, 20 mai 1899.) L'auteur conclut de son expérience que l'
épilepsie
peut être traitée avec succès grâce il un trait
n des trois facteurs suivants : 1° névrose (hystérie, neurasthénie,
épilepsie
) ; 2° alcoolisme ; 3° dégénérescence. Ces trois
eux cas nouveaux). -- Bellay (Paul). Essai sur le tuai- lement de l'
épilepsie
. Considérations sur quelques cas d'épilepsie trai
r le tuai- lement de l'épilepsie. Considérations sur quelques cas d'
épilepsie
trai- tés par la trépanation. Racca (Bernardin)
lude de l'innervation des muscles du palais. - ! lotier (Victor). L'
épilepsie
sénile. Samouilson (Léon). La coexistence de la
es idiots et les épileptiques (in Recherches clin, et thér«p. sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, 1888 t898) ; - 5° Sol
312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXIX. Manifestations larvées de l'
épilepsie
; par SAUGER Unown. . [Médical Record, avril 189
ng sans aucune réaction psychique. F. Boissier. XXXIV. Deux cas d'
épilepsie
jacksonnienne ; par II. Bmz. Il s'agit de deux
décrite par Gowers d'après Gore, Gulrin, Mac Corthy. Il n'existe ni
épilepsie
ni hystérie. P. Keraval. XL. Des paralysies fac
vations de Morgagni ont été publiées de nom- breuses observations d'
épilepsie
vraie due à la syphilis. A côté de nombreux aut
mais encore comme le produit de troubles dynamiques qui en font une
épilepsie
para- syphilitique. La cborée syphilitique a
es filles ou adultes devenues démentes à la suite d'accès répétés d'
épilepsie
en série et qu'un examen superficiel eût pu fai
onstater la présence de ce phéno- mène dans tous les cas examinés d'
épilepsie
(8 cas), de syphilis cérébro-spinale (6 ca), d'
est noyé ; on suppose que le malheureux aura été pris d'une crise d'
épilepsie
. (Petit Parisien, 2 sept.) - La haine de l'arge
RAPHIQUE. Bourneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du serv
pas un qui n'en ait obtenu de bons effets. L'auteur insiste sur l'
épilepsie
et la paralysie générale. Il est à remarquer, p
ur l'épilepsie et la paralysie générale. Il est à remarquer, pour l'
épilepsie
, que l'amélioration est moins marquée dans les
plication. A. FENAYllOU. y XXII. De la méthode de traitement de l'
épilepsie
de Flechsig; par LCUROEDER. (Centralbl. f. Nerv
e l'importance des médicaments cardiaques dans le trai- tement de l'
épilepsie
; parW. DE BECIITEREW. (Neurolog. Cent1'alb., XV
o/' insanity, avril 1899.) E. 13L1N. XXX. Traitement médical de l'
épilepsie
; par le Dol HUGms. Le traitement de l'épilepsie
tement médical de l'épilepsie; par le Dol HUGms. Le traitement de l'
épilepsie
ne consiste pas seulement à empê- cher le retou
ion que le nitrate d'argent s'était acquise dans le traitement de l'
épilepsie
tenait à la propriété qu'il possède de détruire
truire les toxines intesti- nales. - Le traitement rationnel de l'
épilepsie
consiste à soigner le ma- lade tout entier au m
udéens, etc., doi- vent être présents à l'esprit lorsqu'on étudie l'
épilepsie
et les maladies épileptoïdes. Emploi alternat
e faute de recher- cher uniquement la disparition des crises, car l'
épilepsie
aussi .des aspects alternativement vertigineux,
ve. Aurait eu une fièvre typhoïde il y a six mois, suivie d'accès d'
épilepsie
. Renseignements pris, il s'agit d'un accès d'ag
. klin. Il'ocher7.sch., '1 sept. 1890.) Il Neisser. 13ellnuhe bel
Epilepsie
. (7'/<e)'ef/)..Vocrs/i., n° 38, mars 1893.)
cours de diverses publications sur le traitement par le lit dans l'
épilepsie
, les délires toxiques, la mélancolie, les psych
ons de l'estomac, de l'intestin et de la vessie pendant l'attaque d'
épilepsie
; par W. Ossipow. (Nell1'olog. Cen- tralbl., XV
s intestin et de la vessie sont un accident constant de l'attaque d'
épilepsie
: a) celles du jéjunum commencent à la période
ves à l'ablation de la zone motrice de l'écorce pendant l'attaque d'
épilepsie
; à la section transverse du tronc du cerveau à
7° L'asphyxie, qui se montre continuellement pen- dant l'attaque d'
épilepsie
, est une cause adjuvante des contrac- tions sto
e même que l'intestin et la vessie se contracte pendant l'attaque d'
épilepsie
: 9° L'émission de l'nrine et des matières féca
les. P. Keraval. LX. Paralysie radiale consécutive à des attaques d'
épilepsie
; par Adlku. (Neu2'°loy. Centralbl., XVII., 189
ralysie du radial est-elle néanmoins rare à la suite des attaques d'
épilepsie
? C'est que, probablement, pour qu'elle ait lie
and, pendant la nuit du quatrième jour, il se produit une attaque d'
épilepsie
corticale; brusque rotation de la tête à gauche
rv(Ll., VII, 1898.) Il s'agit d'un individu présentant des crises d'
épilepsie
et de l'alcoolisme. Des accès vertigineux succè
tique avec obnubilation épileptoïde. Le diagnostic hésite entre une
épilepsie
traumatique, une paralysie ou une pseudo- paral
es crises anxieuses ne sont pas absolument rares dans le cours de l'
épilepsie
en général. Elles peuvent survenir sous la forme
at d'accès complèlementautouomes, qui alternent avec les attaques d'
épilepsie
. Il est plus rare de voir l'angoisse constituer
lus essentiel de la névrose épileptique ; en ce cag, les attaques d'
épilepsie
proprement dites diminuent nettement de fréquen
peuvent produire : céphalalgies, vomissements, délire, convulsions,
épilepsie
jacksonienne, hémiplégie, hémianopsie, amaurose,
raen6el. Le Uuicou (E.). Contribution LI l'élude du pronostic de l'
épilepsie
chez les enfants. In-S° de aU pages. Prix : 2 f
19. E\1·'.1\1'S 11.1L.1DI : 5..\'oleurs et incen- diaires, 350.
Epilepsie
. Deux trépanations, per- sistance des accès, pa
encéphalie. par Veraguth, il2. Orteils. Du phénomène des - dans l'
épilepsie
, par Babinski, 156. Paralysie. Sur les altérati
nte maternelle est atteinte de paralysie cérébrale spasmodique et d'
épilepsie
, depuis sa jeunesse. Un traitement électrique m
vidus. M. Lombroso insiste sur les ressem- blances du crime et de l'
épilepsie
, du génie et de l'épilepsie. Il consigne à cet
ur les ressem- blances du crime et de l'épilepsie, du génie et de l'
épilepsie
. Il consigne à cet égard les conclusions de Vir
psychopathiques, qui n'ont rien de commun avec la paranoïa, comme l'
épilepsie
, l'hystérie, une telle marche de la paranoïa ne
ouvent sous l'influence de la bière et de l'eau- de-vie ; attaque d'
épilepsie
. Second cas. - Emotivité exagérée, intolérance
n 1838 comme une loi de police et non comme une loi d'assistance.
Epilepsie
ET Mariage. Faut-il permettre le mariage à un ou
les susdites. Ainsi, dès 1533, la religion catholique considérait l'
épilepsie
comme une raison suffisante de nullité pour les
ses, etc.), mais qui, parfois, se produisent sous forme d'attaque d'
épilepsie
sensitive. En pareil cas, la sensation de fourm
e jusqu'aux extré- mités des doigts du même côté. Une fois, cette
épilepsie
sensitive s'est accompagnée d'une impos- sibili
mais à évolution progressive des ictus congestifs et des attaques d'
épilepsie
sensitive. Tous les symptômes essentiels par le
C'est là, bien que sous une forme atténuée, un véri- table accès d'
épilepsie
sensitive-. On sait que l'un de nous, en décriv
aniaques ^transitoires , ,etuaxqJufu soient ou non des : attaques d'
épilepsie
, non plus motrices,' mais, purement intellectue
A la vue de cadavres ainsi mutilés, Legrand du Saulle disait : « L'
épilepsie
les a marqués de son sceau. » Ces épileptiques
six mois. Enfin, un jour L... eut une violente attaque convulsive d'
épilepsie
. Depuis, les attaques convulsives se renouvelèr
e quand un meurtre est commis par un aliéné sous l'influence de l'
épilepsie
, il existe des signes spéciaux qui permettent o
ent psychique, le grand accès psychique est celui qui caractérise l'
épilepsie
psychique : il se manifeste surtout par des act
ec la tranquillité parfaite qui marque ceux qui précèdent l'accès d'
épilepsie
psychique. D'un aulre côté, il suffit que l'acc
règle dans les actes des épileptiques. - Quant aux rapports de l'
épilepsie
psychique avec la criminalité, l'auteur trouve un
En règle générale, un individu qui présente dans sa vie des accès d'
épilepsie
psy- chique, ou même des étals d'inconscience t
VII. La CUICHOIDINE : contribution A l'étude DE la pathogénie DE l'
épilepsie
; par G. GALLEHANI et F. Lussana. (Riv. sp. di (l'
t. XVII, fasce. i-ii.) Les causes qui peuvent déterminer un accès d'
épilepsie
sont d'origine périphérique ou d'origine centra
désordres organiques ou fonctionnels des centres nerveux moteurs. L'
épilepsie
provoquée par lacuichonidine, analysée au point
l'étude DE l'action DU BROMURE DE potassium dans LE traitement DE l'
épilepsie
; par le Dr CESARE AGOSTINI. (Riv. sp. di fren.,
r l'auteur le médica- ment le plus efficace dans le traitement de l'
épilepsie
. Il est néces- saire de l'administrer à doses p
e malade de Berlin qui savait tout' simuler, anesthésie, transfert,
épilepsie
, etc., à son gré, mais il ne réussit pas à si-
du myxoedème, de la cachexie pachydermique, de la tétanie, et de l'
épilepsie
des malades atteints de lésions de la thyroïde.
lle augmente de fréquence dans ces dernières. Enfin on notera que l'
épilepsie
est beaucoup moins fréquente dans les asiles au
besoin par des expériences, la pathogénie et la thérapeutique de l'
épilepsie
, prix, 4.000 francs; clôture du concours : leur
lle que serait, par exemple; la découverte d'un remède curatif de l'
épilepsie
. Délire alcoolique. -La nuit dernière, à minuit
ent printing office. c Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idio- tie. Compte rendu du ser
es ne nous montrent rien d'anormal. L'alcoolisme du grand-père, l'
épilepsie
du père ont préparé chez L... le fond de dégéné
clusion. Nous n'avons pas tenu 'Nothnagel. Ziernssen Handbuch, art.
Epilepsie
. "Furstner. - Archiv. far Psych. Bd. YI. 3 Ra
nov. 1880. ? Bowell. TI. de Paris, 1877 : Di quelques accidents de l'
épilepsie
et de l'hysté7'o-épilepsie. 11 Saundbv. On th
de n'avait pas uriné pendant l'accès. 26 ans, Deman..., 1 accès d'
épilepsie
: Dans les 3 premières urines, nuage moyen d'al
citation des nerfs vaso-dilatateurs. On doit reconnaître que dans l'
épilepsie
les phénomènes vaso- moteurs sont au premier pl
n rôle dans la terminaison fatale, si fréquente au cours de cette «
épilepsie
aiguë ». Il serait intéressant de savoir si les
d'accès; ces considérations ont beaucoup plus d'im- portance dans l'
épilepsie
que partout ailleurs, le médecin n'assistant qu
cas des épileptiques. Elle se rencontre dans tous les modes de l'
épilepsie
, aussi bien après les accès rares qu'après les
ient à une famille dans laquelle on n'a jamais observé ni folie, ni
épilepsie
. Son père et sa mère sont morts assez jeunes et
resque tous prétendent avoir oublié le délit commis; ils simulent l'
épilepsie
, la stupeur, la mélancolie, l'excitation maniaque
de manie chronique, folie inter- mittente, périodique, dipsomanie,
épilepsie
larvée, délire vertigi- neux, délire d'accès, f
umineux et caractéristiques des fréquentes entrées, il n'a trouvé l'
épilepsie
signalée que dans les premiers certificats, et
s trop pourquoi ces individus-là cesseraient à Bicêtre de simuler l'
épilepsie
, puisque, grâce à elle, ils ont pu s'y faire pl
A l'appui de ce qui vient d'être dit que tout excès peut rappeler l'
épilepsie
latente. Je rapporterai une observation personn
ze et seize années, l'au- teur a constitué l'état clinique suivant.
Epilepsie
Jacksonnienne unilatérale avec atrophie marquée
oit difficilement que, le corps du délit subsistant qui détermine l'
épilepsie
Jacksonnienne, l'atrophie con- tinue à évoluer
nmeyer, il a observé de la parésie, du moins à la suite des accès d'
épilepsie
Jacksonnienne. Chez un de ces malades, les accè
atteintes. M. OEBEKE se rappelle avoir observé un malade atteint d'
épilepsie
Jacksonnienne avec parésie des extrémités du cô
ordinaire peu accusé, tandis que l'aspect clinique sera celui de l'
épilepsie
Jacksonnienne, de l'aphasie sensorielle. Dans ce
dans sa caisse ; au mois de décembre il était pris d'une attaque d'
épilepsie
et présentait, consécutivement, des troubles in
e). Du côté de la motilité, tremblement à ondes rapides, un accès d'
épilepsie
très court. De temps à autre, tendance à la sud
aques convulsives, précédemment notées, ne paraissent pas tenir à l'
épilepsie
proprement dite ; il n'en a eu que deux légères
BIBLIOGRAPHIE. VII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie ; par Bourneville, ave
ctilie; hypospadias; tuberculose intesti- nale. Obs. II. Idiotie et
épilepsie
symptomatique (atrophie, sclérose). Obs. III. I
symptomatique de méningo-encéphalite. Obs. VI. Idio- tie complète,
épilepsie
, mal de Pott vertébral. Obs. VII. Cas d'hys- té
es malades plus graves que lui ; d'autre part, ce malade, atteint d'
épilepsie
, est un danger pour les aulres malades et compr
té, cet individu fut acquitté. Il était en proie à des atta- ques d'
épilepsie
qui, d'après les hommes de l'art, avaient très
es, 8 fr. Bourneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
l'hystérie et l'idiotie, compte-rendu du servic
ourneville, 261 ; recherches cliniques et thérapeu- tiques, sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, par Bourneville, 441
Entraînement physique dans les ma- ladies mentales, par Wey, 236.
Epilepsie
, psychique, par Ottolen- ghi, 229; pathogénie d
iser ce signe pour le diagnostic différentiel de l'hystérie et de l'
épilepsie
. On observe en général la dilatation et l'immob
OLOGIE NERVEUSE. quence de l'analgésie épigastrique profonde dans l'
épilepsie
et le tabes ; et sur ses rapports avec l'état d
. lOUR.AVIEI·'1. Séance du 21 avril 1900. V. Wassilieff. Un cas d'
épilepsie
corticale (avec présentation des préparations).
ando. Discussion. M. ;\10URATOW fait remarquer que généralement l'
épilepsie
jacksonienne s'accompagne de convulsions clonique
, la plupart des auteurs admet actuel- lement leur existence dans l'
épilepsie
corticale. SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 M. Weidenham
précède les manifestations diathésiques. DEVAY. IV. Etiologie de l'
épilepsie
dite essentielle. Rôle de l'hérédité en général
surtout aux opérations proposées dans ces derniers temps contre l'
épilepsie
et certains malades de l'encéphale. Or nous est
tit garçon '. P. KERAVAL. XV. Des lésions delà corne d'Ammon dans l'
épilepsie
; parl\IIl1C P. 1. BOI\OZDIIOE-RobENSTEIN, et S.
rveau. Toutes elles dépendent de causes générales particulières à l'
épilepsie
. Les lésions des coines d'Ammon ne sont pas pnmi-
'Ammon ne sont pas pnmi- tives, elles ne sont pas génératrices de l'
épilepsie
, quoi qu'eu ait dit M. Chaslin, en 1890 : ce so
égale. Il repose sur l'élude de quatre cas, diagnos- tiqués d'abord
épilepsie
, et que leur évolution permit de rattacher à l'
rvé à sa propo- sition'. R. DE 111oscnavE CLAY. VI. Une attaque d'
épilepsie
(status epilepticus) suivie au bout de six sema
es. 2° Pendant sa maladie on a vu apparaître chez elle d'abord de l'
épilepsie
, ensuite de la chorée, affections qui sont rare
rares aussi (surtout la chorée) consécutivement à la folie. - 3° L'
épilepsie
s'est présentée sous la forme relativement rare d
ux. 3° Chez une - telle malade l'apparition de la manie aiguë, de l'
épilepsie
on de la chorée n'a rien qui doive surprendre.
eur n'admet pas l'opinion qui cherche la cause de la chorée et de l'
épilepsie
dans un état toxique ou microbien du sang. La g
éveille comprend certaines variétés qui ne se n contrent pas dans l'
épilepsie
. Le mot dysphasie s'appliquer mieux aux trouble
troubles du langage d'une c taine importance se rencontrent dans l'
épilepsie
, que ces troubles sont analogues entre eux, et
mbulatoire est un syndrome qu'on rencontre assez fréquemment dans l'
épilepsie
, quelquefois dans la neuras- thénie et rarement
ions lombaires ou dorsale. P. XXI. Relations entre la migraine et l'
épilepsie
; par le docteur William G. SrItLEa. (Journal of
omplexe peuvent être regardées, si on veut, comme « associées » à l'
épilepsie
, mais quand l'épi- lepsie survient au cours d'u
sonnelles. Avant de déterminer si, dans ces conditions, il s'agit d'
épilepsie
« associée » à la migraine, ou bien' si le tout
s deux affections. Il peut se faire que la migraine complexe et l'
épilepsie
aient la même cause dans quelques cas, et il se
du cerveau et le prépare au mal épileptique. Dans beaucoup de cas d'
épilepsie
on retrouve la migraine dans l'histoire des asc
'hémisphère droit du malade mort à la suite d'une série de crises d'
épilepsie
jacksonienne gauche. Ce malade était porteur d'
tieux aigus chez un alcoolique. L. Marchand. Tumeur cérébelleuse et
épilepsie
. Il. Cestan. Cas de compression lente de la moe
e ces équivalents psychiques de la- crise motrice, notamment dans l'
épilepsie
. Ces documents ont' en outre le mérite d'apport
naire avec considérations particulières sur la théorie toxique de l'
épilepsie
; par Cené. (Riv. -"p. difren., 1899, fasc. 3-4).
l'l'hagies de la peau et des muqueuses pendant et après les accès d'
épilepsie
et de leur analogie avec les stigmates des exta-
Taurion ' Présidence DE M. Gilbert Ballet. Tumeur cérébelleuse et
épilepsie
. M. L. Marchand. - Les cas de tumeurs du cervel
antécédents héréditaires et personnels, qui a une première crise d'
épilepsie
à l'âge de 30 ans. Pendant plusieurs années, le
années pour atteindre son volume. Ceci s'accorde avec ce fait que l'
épilepsie
n'a eu lieu que huit ans avant la mort et expli
La parole est revenue après toutes les manifestations variées de l'
épilepsie
, de telle sorte qu'on ne peut conserver la déno
'aphasie post- convulsive. En présence de l'aphonie au cours de l'
épilepsie
, il faut rechercher les stigmates hystériques,
'hystérie n'est pas toujours simple et se complique assez souvent d'
épilepsie
. L'auteur ici fait une remarque intéressante, c
les et morale. Nous procédons de même pour les différentes formes d'
épilepsie
, d'hys- térie et d'hébéphrénie. Aujourd'hui nou
d), cinq ans et demi. Cet enfant attteint d'i- diotie profonde et d'
épilepsie
, était grand gâteux, ne parlait pas, ne savait
ntré en mai 1890. Il était atteint d'idiotie prononcée compliquée d'
épilepsie
et d'hémi- plégie droite. A son arrivée, Fél.
TÉS SAVANTES. En 1899, sous l'influence du traitement, les accès -d'
épilepsie
se raréfient et nous constatons en même temps u
p. 100 dans les cas normaux, 47,9 p. 100 en alié- nation mentale.
Epilepsie
consciente, etc., par le Dr LALANKE. Observatio
, répond l'auteur aux anti-réglemental istes. l'. Itl'LLaS-. XIV.
Epilepsie
. Traitement, ass'sia/lce, médecine légale : par
égal M. Kovolewsky envisage toutes les situations si délicates de l'
épilepsie
notamment l'amnésie retardée, et l'abus qu'un é
CATALA. Essai d'un nouveau traitement des maladies mentales el de l'
épilepsie
. In-8° de 92 pages. Toulouse, 1901. ImhriuLerie \
s noté la dermographie bien plus souvent dans l'hystérie que dans l'
épilepsie
puisque notre tableau donne en faveur de la pre
ec perte de connais- sance, ressemblant entièrement à une attaque d'
épilepsie
ordi- naire. 15. Deux attaques épileptiformes.
accompagnait de glycosurie; l'auteur ne peut rien dire concernant l'
épilepsie
chez les malades non aliénés, mais chez les épi
ection des axones des cellules motrices. 1. de Musgrave-Clay. XXII.
Épilepsie
associée à la folie ; par Ernest-W. \VIIITC. (The
but de ce travail est d'examiner les diverses formes de folie que l'
épilepsie
peut compliquer : l'auteur les considère aux dive
, ménopause, et vieil- lesse. Dans l'enfance, lorsque la folie et l'
épilepsie
coexistent, c'est qu'elles ont ordinairement un
ie primi- tive de la puberté : presque tous étaient consécutifs à l'
épilepsie
ou à la chorée. Pendant l'adolescence, il est t
olescence, il est très commun de ren- contrer la folie associée à l'
épilepsie
, celle-ci ayant probablement paru la première p
montre ensuite les caractères spéciaux des malades chez lesquels l'
épilepsie
chronique a finalement déterminé une folie qui
t un très mauvais signe; mais il y a des exceptions, et l'attaque d'
épilepsie
peut quelquefois au contraire être un « tournan
qui marche dès lors vers la guérison. On connaît la fréquence de l'
épilepsie
au début de la paralysie générale : elle est ca
ui leur succède. La folie de la ménopause se com- plique rarement d'
épilepsie
; cette combinaison est au contraire commune da
t au contraire commune dans la manie et la mélancolie séniles, et l'
épilepsie
se présente alors souvent sous la forme de peti
scendants de tares héréditaires nerveuses : alcoolisme (29 p. 100),
épilepsie
, hystérie et psychoses. Le niveau intellectuel
ppement, congénitaux ou posté- rieurs il la naissance, imbécillité,
épilepsie
. Les maladies mentales acquises sont dans la pr
es peut encore être fait avec certains symptômes, se rattachant à l'
épilepsie
. Tout d'abord on pourrait faire remarquer que c
ccomplis dans la période d'hébétude qui suit le vertige ou l'accès (
épilepsie
procursive par exemple). Mais évidemment dans c
ement la paralysie générale, la syphilis cérébrale, l'alcoolisme, l'
épilepsie
et les psychoses à grosses affections en foyers
temps comme traitement du glaucome, de la maladie de Basedow, de l'
épilepsie
, et tout à fait dernière- ment, de l'atrophie s
evé un véritable enthousiasme. L'auteur toutefois estime que daqs l'
épilepsie
, elle n'est pas rationnelle, et que les résultats
e du nerf optique, de maladie de Basedow, et peut-être après tout d'
épilepsie
, une intervention chirurgicale net- tement défi
aient été attribués à un état d'imbécillité congénitale compliqué d'
épilepsie
. La malade mourut à l'âge de dix-sept ans. L'exam
du sang des-sur le développement embl yonnail'e" par Cené, 223.
Epilepsie
. Etiologie de l'- dite essentielle, par Lhote,
ragies de la peau et des mu- queuses pendant et après les accès d'
épilepsie
et leur analogie avec les stigmates des extatiq
e du trijumeau et la -, par l'utnam, 141. Relations entre la et l'
épilepsie
, par Spiller, 144. Mimiques. Troubles unilatéra
les fonctionnelles, par Heil- bronner, 516. Puerpérale. Attaque d'
épilepsie
sui- vie de chorée dans la folie -, par Easte
rragies de la peau et des muqueuses pendant et après les accès «l'
épilepsie
et de leur analogie avec les des ex- tatiques
exagérés du côté malade. En redressant les doigts on provoque de l'
épilepsie
spinale. La sensibilité du reste du côté gauche
clef de clinique. (Lyon méd., 1885, t. XLVI11.) IV. DES CRISES d'
épilepsie
LIÉES A l'arthritisme ; par M. B. TEISSIER. (Ly
résenté à diverses repri ses et sans cause appréciable des crises d'
épilepsie
. G. D. 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. V. My
ve et présentent une exagération allant pres- que jusqu'à simuler l'
épilepsie
jacksonienne, ce qui prouve qu'à la suite des l
crâne. Ca. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Base anatomique de L'
ÉPILEPSIE
; parWALTER HAY. (Bulletin Médical de Philadelph
on anatomique de l'encéphale; ce qui existe le plus souvent quand l'
épilepsie
date de longtemps. Les traumatismes du crâne et
ps. Les traumatismes du crâne et du cerveau sont souvent suivis d'
épilepsie
, qui, au début, peut être guérie par la guérison
être guérie par la guérison de la lésion initiale. Il a trois cas d'
épilepsie
traumatique person- nels : le premier est celui
sur une longueur de trois quarts de pouce. Au bout de trois mois, l'
épilepsie
se développa et durait déjà depuis douze semain
soient d'ailleurs les combinaisons entre elles des deux névroses, l'
épilepsie
se reconnaît à l'excita- bilité impulsive, à l'
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 65 Observation IL Glio-sarcome cérébral.
Epilepsie
. Tumeur occupant la couche optique et le corps
dification intellectuelle depuis onze ans; les premiers symptômes d'
épilepsie
datent de quatre ans; ils sont suivis d'hébétud
s idées de persécution. Gâtisme. Il y a six ans, première attaque d'
épilepsie
; depuis lors, attaques fréquentes souvent accom
r lieu, soit qu'ils offrent les caractères de l'imbécillité ou de l'
épilepsie
. Même pratique à l'égard des anxieux, des hallu-
conservé qu'un vague souvenir de ce qui s'est passé. Aucun signe d'
épilepsie
. L'auteur conclut à l'irresponsabilité. 2° Un h
nation mentale seule appa- raissent chez eux ; on n'y constate ni l'
épilepsie
, ni l'idiotie, ni la stérilité. P. K. XLIV. D
ue ainsi que de l'analyse spectrale. c P. K. XLVII. Identité DE l'
épilepsie
avec la folie morale ET avec la CRI- FINALITé c
e ; par C. Lo\tBnoso. (Nettrol. Cenlmlbl. 1885.) On constate dans l'
épilepsie
comme dans la folie morale une augmentation dan
e de ce corps. IR.1CLIDY. II. Un cas DE trépanation du crâne pour
épilepsie
; par A. ERLEN- MEYER (Centralbl. f. Neruenheilk
pilepsie; par A. ERLEN- MEYER (Centralbl. f. Neruenheilk., 1885.)
Epilepsie
survenue à la suite d'une chute sur la tête, ne r
à la pression, mais non épileptogène. D'ailleurs, il s'agit d'une
épilepsie
ordinaire; on diagnostique simplement les phénomè
lie de la lame vitrée, aucune anomalie de la dure-mère; néanmoins l'
épilepsie
disparaît. P. K. III. Un nouveau rhéostat trans
humeur, n'exerçant d'ailleurs aucune action sur l'évolution. Dans l'
épilepsie
, précédée d'accès maniaques, l'effet obtenu a é
les, l'hémiplégie, la paralysie saturnine, l'hys- téro-épilepsie, l'
épilepsie
, l'aphasie, le railwa3·-spine, la para- lysie p
tence d'un centre cerébial laryngien. Hystérie, 7eystéro-éPilepsie,
épilepsie
: hémianesthésie de la mu- queuse nasale, du vo
ôme de première importance pour le diagnostic de l'hystérie. Dans l'
épilepsie
pure, d'après nos recherches, elle est très rar
s, mais il est impossible de déterminer s'il s'agit d'hystérie ou d'
épilepsie
. Antécédents personnels. A seize ans, fièvre ty
de la substance est dépassée, on voit successivement survenir de l'
épilepsie
jackson- nienne du côté opposé, de l'hémiplégie
t tendus, on constate de l'exagération des réflexes tendineux, de l'
épilepsie
spinale, des tremblements spontanés. Même alors
cas, ils repré- sentent une forme mixte de psychonévrose (hystérie,
épilepsie
, neurasthénie, folie), sans que l'assimilation
trick commenté dans le British Médical Journal, de janvier 2° éd. L'
épilepsie
automatique constitue une terrible maladie, où
ment actif. PILLIET. LUI. CONTRIBUTION A la symptomatologie DE l'
épilepsie
bénigne (epi7epsia milior); par A. MERCKLIN (/t
alisés à la tête, et finalement généralisés d'un parfait caractère (
épilepsie
). L'auteur en tire que les pre- miers phénomène
hain, Finkelnburg, Wiebe, Holst) et qui a favorisé la genèse de l'
épilepsie
. On note encore chez lui, que chaque accès de pet
ade est encore en observation. P. K. LIV. UNE remarque relative A l'
épilepsie
alcoolique; par MOE[,1 (Neurol. Centralbl., 188
ntralbl., 1885). Magnan dit qu'il faut incriminer l'absinthe dans l'
épilepsie
des buveurs. Or, à Berlin, parmi les individus
oubles nerveux, ou chez lesquels d'autres causes ont pu provoquer l'
épilepsie
, l'auteur arrive à collecter 600 cas sur lesque
boissons alcooliques(3 épileptiques sur 20 buveurs); les accès d'
épilepsie
se sont principalement montrés chez les buveurs
a à cette devise : « Mind is body ». P. K. L \"1. Note sur un cas d'
épilepsie
congestive; par M. Truc, interne des hôpitaux.
s sur lesquelles l'auteur s'appuie pour admettre qu'il s'agit d'une
épilepsie
d'origine congestive. G. D. LVII. Cas d'épile
il s'agit d'une épilepsie d'origine congestive. G. D. LVII. Cas d'
épilepsie
trutés par LE borax; par Ch.-F. CoLSOe. Quoique
empêché, ne peut faire la communication qu'il avait annoncée sur l'
épilepsie
jacksonienne et la folie. M. KNECHT. Des phénom
le 8 juin 1885. Dans ce cas, nous trouvons les accès d'hystéro-
épilepsie
nettement accusés et les troubles capricieux de
salle de réception, il était pris de plusieurs attaques d'hystéro-
épilepsie
, à ce que suppose le médecin de service. Le 21
occupa- tions habituelles, contraste frappant avec les attaques d'
épilepsie
, après lesquelles ils tombent dans un pro- fond
ù je me propose de considérer les troubles de la sensibilité dans l'
épilepsie
. DE L'IDIOTIE COMPLIQUÉE DE CACHEXIE PACHYDERMI
ogique évidente, pour empêcher, autant que possible, le retour de l'
épilepsie
. De nombreux vaisseaux furent ligaturés, surtou
délirante que l'on remarque pen- dant l'obnubilation psychique de l'
épilepsie
grave et des paraly- tiques généraux, dans le d
ux observations de mono- plégie typique du bras ou de la jambe avec
épilepsie
corticale. Dans les deux cas le membre atteint
pendant l'enfance et envisage plusieurs observations relatives à l'
épilepsie
, à la chorée, aux terreurs nocturnes, comme sui
de la fièvre typhoïde. Diagnostie de la hernie inguinale. Attaque d'
épilepsie
, fracture de la clavicule. Symptômes et diagnos
re de la ! , par Juranville, 127. Borax dans le traitement de l'
épilepsie
, 244. Buveurs (névrite multiloculaire chez le
65. Crime et folie, 240. Criminalité congénitale (identité de l'
épilepsie
, de la folie mo- raleavecla), par Lombroso,90.
e (traité clinique des 1. maladies de l'), par Noth nagel, 414.
Épilepsie
(et arthritisme), 57; (base anatomique de l'),
pathologi i que de la maladie de), 221 222. Trépanation dans l'
épilepsie
98. I Tubercules quadrijumeaux (au tomie de
rsonne normale nous parait appartenir bien plus à l'hystérie qu'à l'
épilepsie
. Tout en tenant compte f ' Louis Saint-Aubin. D
, lzysléoiques et dia- ynoslic différentiel arec l'automatisme de l'
épilepsie
, 1890. ! Jules Voisin. Distinction de l'automatis
yant présenté les symptômes d'un néoplasme cérébral avec attaques d'
épilepsie
partielle, puis hémiplégie gauche, accompagnée
ux questions d'ensei- gnement. De là est sorti son beau Traité de l'
épilepsie
(1854) et son remarquable mémoire : Des princip
M. J. Duval, 1868; D'une forme mal décrite de délire consécutif à l'
épilepsie
, 1832 ; Diagnostic différentiel du déli- rium t
éponse à M. Baillarger, (Revue médicale, 1853); - Conséquences de l'
épilepsie
(Annales méd. psych., 1854, p. 86. Nous avons
manie au point de vue psychologique et légal, 1853; Rap- port sur l'
épilepsie
(id. 1858, p. 774); Vice du langage psy- cholog
8); - Des principales sources d'indi- cations thérapeutiques dans l'
épilepsie
, 1854, p. 204 ; Manie des prêches et lectures a
, p. 489; Tuyau de pipe introduit dans le larynx pendant un accès d'
épilepsie
, 1856, p. 239 ; - Délire consécutif à l'épileps
endant un accès d'épilepsie, 1856, p. 239 ; - Délire consécutif à l'
épilepsie
, 1854, p. 56; - Folie au Bengale, 1857, p. 585;
r cependant ses travaux sur la médecine mentale, NÉCROLOGIE. 73 l'
épilepsie
et l'éducation des idiots, dont il avait la direc
risaient au plus haut degré. Mais, après son traité classique sur l'
épilepsie
et son traitement, son oeuvre principale est so
service d'enfants idiots et épileptiques, il étudia spécialement l'
épilepsie
, et lui consacra un livre qui est resté long- t
n des plus importants, couronné par l'Institut, est son Traité de l'
épilepsie
, monographie complète et saisissante dans l'exp
éjà jeté les bases de sa renommée et ses remarquables travaux sur l'
épilepsie
et l'i- 78 NÉCROLOGIE. dioLie, dont je vois à
la colonie un laboratoire pour asiles d'aliénés. 87 l'étude de l'
épilepsie
et on en confierait la direction à un patholo-
PHIQUE. Bourneville. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Publié avec la collab
sychique, . paraphasie, hémianopsie bilatérale homonyme, attaques d'
épilepsie
. corticale. A1'autopsie; altération de la subs
er, avait des mouvements choréiques constants et étaitgâteux. Pas d'
épilepsie
..Incapable d'apprendre. Mouvements continuels des
s par notre rédacteur en chef sur la pathologie'de l'idiotie, sur l'
épilepsie
, etc., volumes, dont divers journaux américains
iminer des accès, il repousse les théories absolues qui donnent à l'
épilepsie
une cause précisé et généralise ces hypo- thèse
dre de la digitale pour faciliter l'action des bro- mures. Dans l'
épilepsie
symptomatique de lésions cérébrales, on doit ad
besoin par des expériences, la pathogénie et la thérapeutique de l'
épilepsie
. Prix : 4,000 francs. Clôture du concours : 1 c
lle que serait, par exemple, la découverte d'un remède curatif de l'
épilepsie
. N. B. Les mémoires lisiblement écrits en 176 s
APHIQUE. BOURNEVILLE. 7{ec/Mrc/tM cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
les, les Paraplégies urinaires, l'HémichorEe post- hémiplégique , l'
Epilepsie
partielle d ! origine syphilitique, le Tabès do
de la psychologie physiologique, sur l'laystéro-trazrnza- time, l'
épilepsie
, la psychiatrie, les amyotrophies , la cécité v
re par le sulfate de quinine à hautes doses, sur le Traitement de l'
épilepsie
partielle d'origine syphilitique, sur la M étal
le nitrite d'amyle, le bromure de camphre dans le trai- tement de l'
épilepsie
et de l'hystérie. Nous ne parlons que des médica-
llie par Blocq); De la paraplégie du mal de Pott (ibid.) ; - 1891 :
Epilepsie
partielle cru- rale et tuberculose de la région
de onze ans et un an, une fois sur un garçon de cinq ans, atteint d'
épilepsie
jacksonnienne, une fois dans un cas de méningit
t être considérés comme démonstratifs. R. M.-C. XI QUELQUES cas d'
épilepsie
traités par l'hydrate d'amylène ; par EDwIN L.
'un hémilatéral, les deux autres doubles et compliqués d'idiotie et
épilepsie
avec érotisme et perversions sexuelles. Séanc
riculaire seule ou compliquée de méningo-encé- phalite avec ou sans
épilepsie
. Quelquefois l'hydrocéphalie n'in- téresse que
Voici ces conclusions : 1° Pendant la période tonique de l'accès d'
épilepsie
, les réflexes patel- laires peuvent ne pas être
araissent dans la période clonique. 2° A la suite d'un fort accès d'
épilepsie
on observe d'ordinaire ou une totale disparition
omplète disparition des réflexes patellaires à la suite des accès d'
épilepsie
dure ordinairement quelques minutes, une à douze.
. 100; Manie 27 p. 100; Dé- mence, 24 p. 100; Paralysie générale et
épilepsie
, respectivement 1,9 p. 100. Les asiles en Norvè
que les troubles de l'innervation faciale soient en rapport avec l'
épilepsie
ou l'hystérie. Restent deux malades atteints de
sa monographie sur la névrose traumatique, il y a une observation d'
épilepsie
réflexe, dans laquelle les convulsions hémilaté
antaire et crémasté- rien à peu près normaux. On ne peut produire l'
épilepsie
spi- nale. Un peu de tremblement des membres
alades. Ecartons d'abord tous les faits imputables à l'idiotie, à l'
épilepsie
, aux obtusions intellectuelles en général, que
THOLOGIE MENTALE XL. SUR LES THÉORIES PHYSIOLOGIQUES ACTUELLES DE l'
ÉPILEPSIE
A PROPOS DES DOCTRINES DU Dr HUGHLINGS Jackson
l of Mental Science. Janvier 1891.) La question de la nature de l'
épilepsie
attend encore sa solution précise. Après avoir
meles centres moteurs les plus élevés, et c'est lui qui préside à l'
épilepsie
proprement dite. Mais après avoir précisé le
nd la forme explosive et donne lieu aux con- vulsions. Ainsi dans l'
épilepsie
, la convulsion indique une certaine instabilité
pe. Mieux vaut donc s'attacher à d'autres points de l'histoire de l'
épilepsie
: le reproche commun que fait M. Christian à Ma
n-Séquard, à Hughlings Jack- son, à Gowers, c'est de ne voir dans l'
épilepsie
que la convulsion qui n'en est pas le signe pat
es les manifestations épileptiques, et sans laquelle il n'y a pas d'
épilepsie
. Cela étant, ce n'est pas dans les territoires
a sensibilité et à l'intelligence qu'il faut chercher le siège de l'
épilepsie
, et c'est ainsi qu'on est amené à la localiser
que son action se propage, on observe telle ou telle modalité de l'
épilepsie
: dans 1' c absence », par exemple, la région hém
En un mot, dit M. Christian, on ne saurait trop répéter que, dans l'
épilepsie
, c'est le cerveau qui est primordialement et esse
serait prématurée, et que, en ce qui touche la cause prochaine de l'
épilepsie
, la seule réponse que nous puissions faire est un
chiffre de l'hémoglobine sont peu marquées dans la mélancolie, l'
épilepsie
et la paralysie générale ; dans cette dernière ma
l'état sénile, où la mentalité va s'affaiblissant ; 8° que, dans l'
épilepsie
, la densité du plasma sanguin est variable, mai
ète pas plus d'urée que l'aliéné ; 4° dans la paralysie générale, l'
épilepsie
et la mélancolie, la quantité d'urée excrétée e
es aliénés ; elle atteint son maximum dans la paralysie générale, l'
épilepsie
et la démence ; 6° le taux de la créatinine est
la démence qu'à l'état de santé ; 7° il semble qu'il y ait, dans l'
épilepsie
, un léger excès d'acide phospho- rique, mais ce
mentales. A l'inverse de l'affection dont il vient d'être parlé, l'
épilepsie
présente surtout'des altérations qu'on pourrait
en est quelques-unes pourtant qui sont positives. C'est ainsi que l'
épilepsie
fournit la plus forte proportion d'hypertrophie
ions de la pie-mère, les opacités de l'arachnoïde sont rares dans l'
épilepsie
; les adhérences ménin-o-corticales y sont excep-
et d'une façon générale, les autres lésions ne s'observent, dans l'
épilepsie
, que de loin en loin. 410 REVUE D'ANATOMIE ET D
et des altérations des cellules nerveuses et de leurs noyaux dans l'
épilepsie
. R. M.-C. XLII. Tumeur cérébrale intéressant le
American journal ofinsanity, 1893.) E. B. XVI. L'HYDRASTINIE dans L'
ÉPILEPSIE
. V. G. Kiseleff, faisant des expériences sur de
tance corticale du cerveau et adou- cissait ou arrêtait les accès d'
épilepsie
causés par l'absinthe. Les observations qu'il f
ervations qu'il fit l'amenèrent à essayer l'hydrastine dans 6 cas d'
épilepsie
. Donné à l'intérieur en solution d'un 1/5 à 1 /
suite.F. Kh. Gadziacki employa également l'hydrastine dans un cas d'
épilepsie
, mais n'obtint aucun résultat. Le traitement de l
à bon marché. P. K. XVIH. D'une nouvelle méthode DE traitement DE L'
ÉPILEPSIE
; par P. Flechsig. (Neurolog. Centi-albl., 1893
térie est bien surprenante quand on lit (p.56)à la fin de l'article
Épilepsie
1 : « On pourra employer aussi avec avantage l'
n mélange de symptômes qui tiennent à la fois de l'hystérie et de l'
épilepsie
» ( ! ) Plus loin, nous lisons : « Pour nous, l
la folie -, par Cri. 1'iUn, 324.. 1 q t AIYLÙ';E, quelques, cas d'
épilepsie
traités par l'hydrate ti ? par E. 'Dtum, 329.
- dans l'Inde, ? 90. . ? ... ...., .. .J 'f . q"l'('I) ) '1 '¡ ?
Epilepsie
, quelques cas,,d ? traités ., par, l'livdratéd'
royal de Montrose, par J. Hoween, 87. , Hydrasiine, de l'- dans l'
épilepsie
, 477. 1 . Hydrocéphalie, des différentes fuir
ès de 150 lits où il nous est donné d'observer toutes les formes de l'
épilepsie
et de l'hystérie grave. Ce n'est pas tout, M. le
nes attitudes, trémulations qui caractérisent l'une des variétés de l'
épilepsie
spinale. Ces derniers phénomènes, au contraire, s
s cellules dites motrices (1 ). Contracture permanente des membres.
Epilepsie
spi-nale. — Il est temps de revenir maintenant à
djoint, dans certains cas, des convulsions qui rappellent celles de l'
épilepsie
ordinaire, mais qui se localisent toutefois, en g
la contracture spasmodique des membres, avec ou sans accompagnement d'
épilepsie
spinale, par suite de quoi les malades qui, jusqu
ment serait l'existence de la contracture permanente, et surtout de l'
épilepsie
spinale : l'emploi du nitrate d'argent aurait, en
liée in-extenso dans nos Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hystérie, p. 151 ^B.). DIXIÈME LEÇON De
os 16-33, 1874), et dans nos Recherches cliniques el thérapeut. sur l'
épilepsie
et l'hystérie, p. 116-150. (B.) 2. Voir Leçon I
crises combinées ou attaques-accès.— Différences et analogies entre l'
épilepsie
et l'hystéro-épilepsie. — Signes diagnostiques fo
s auxquelles ce nom est affecté, l'hystérie se montre combinée avec l'
épilepsie
, de manière à constituer une forme mixte, une sor
ue nous avons re-connu dans les attaques quelques-uns des traits de l'
épilepsie
. C'est de cette façon, du reste, que paraissent l
variables selon les cas, des deux névroses ; ce n'est pas seulement l'
épilepsie
, ce n'est pas seulement l'hystérie; c'est à la fo
ore. Là, on se refuse à admettre la légitimité de cet hybride, moitié
épilepsie
, moitié hystérie. A la vérité, on ne nie pas qu
moitié épilepsie, moitié hystérie. A la vérité, on ne nie pas que l'
épilepsie
et l'hystérie puissent se rencontrer chez un môme
irait uniquement et toujours de l'hystérie, revêtant l'apparence dejj
épilepsie
.Le nom hystérie épilepti-forme, employé, si je ne
lent Charcot. Œuvres complètes, t. i. Si quelquefois beaucoup à l'
épilepsie
. » Aussi, eu a-t-on fait une forme particulière d
ptiforme. Mais ces accès n'ont pas, néanmoins, le vrai caractère de l'
épilepsie
(1). M. Dubois (d'Amiens) considère l'hystérie
c sur quels fondements s'appuie la doctrine régnante. L'hystérie et l'
épilepsie
, dit-on, peuvent se combiner de diverses manières
A. Dans un premier groupe, les attaques hystériques et les accès d'
épilepsie
restent distincts : c'est ce que M. Landouzy a pr
convient d'ailleurs d'établir dans l'espèce deux subdivisions. 1° L'
épilepsie
est la maladie primitive ; sur elle, l'hystérie v
en ra-menant le calme dans le ménage, fait cesser l'hystérie, mais l'
épilepsie
persiste. 2° D'autres fois, l'épilepsie succède
t cesser l'hystérie, mais l'épilepsie persiste. 2° D'autres fois, l'
épilepsie
succède à l'hystérie. Cette condi-tion paraît êtr
telligence s'obnubile à la longue in-contestablement par le fait de l'
épilepsie
. 3° On a encore mentionné d'autres combinaisons
'hystérie convulsive coexiste avec le petit mal (Beau, Dunant) ; b) l'
épilepsie
convulsive est surajou-tée à quelques-uns des acc
bat ne porte que sur la seconde. B. Dans celles-ci, Y hystérie et l'
épilepsie
sont coévales ; elles se sont développées en même
rtes oscillations, et prédominant dans un côté du corps, comme dans l'
épilepsie
vraie. Cependant, la face peut être à un haut deg
ire, si elle s'en sépare réellement? En quoi se rapproche-t-elle de l'
épilepsie
vraie, s'il y a lieu d'établir un tel rappro-chem
hystérie commune,— alors quepersonnenesongeàfaireintervenir l'élément
épilepsie
— de voir, dis-je, s'ébaucherdes convulsions toni
ordinaire. VI. Si, d'un autre côté, nous tournons nos yeux vers l'
épilepsie
vraie, nous rencontrons un certain nombre, de tra
ier lieu, que, d'après la des-cription que nous avons donnée, le type
épilepsie
n'est jamais représenté dans les attaques-accès,
i n'a jamais lieu,— nous nous en sommes assurés maintes fois — dans l'
épilepsie
vraie (1). Dans les attaque mixtes, alors même
t lieu, d'une manière presque fatale, s'il s'agissait réellement de l'
épilepsie
. Je ne crois pouvoir mieux faire que de vous rap-
gré et quelques dixièmes (38°— 38°, 5), tout comme le faitl'attaque d'
épilepsie
vraie. C'est là un résultat dont nous avons eu no
le caractère thermique, l'accès d'hystérie épileptiforme et l'accès d'
épilepsie
vr,- se confon-dent, il n'en est plus de même lor
s'a-grègent et s'enchevêtrent de manière à constituer ce que, pour l'
épilepsie
, on appel laG es s-érie^m Y état de mql£ Fig. 2
pement. En pareil cas, Messieurs, c'est-à-dire lorsque les accès de J'
épilepsie
vraie se répètent en grand nombre, dans un court
dont cette digression nous a quelque peu éloignés. Tout comme dans l'
épilepsie
vraie, les accès composés s'observent dans l'hyst
ns de ses accès et habituées à ce genre de malades, « si c'était de l'
épilepsie
véritable, il y a longtemps que cette femme aurai
fiée que cela eût eu lieu nécessairement, s'il se fût agi de la vraie
épilepsie
; à aucune époque, il n'y a eu d'évacuations invo
e. Il relève, avec raison, 1. Recherches cliniques et thérap. sur l'
épilepsie
et l'hystérie et Iconogr. photogr. de la Salp., t
les 1. Bourneville. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hystérie, p. 1H7,145 et 166. 2. Voir l'obs
crises distinctes, dans laquelle les symptômes de l'hystérie et de l'
épilepsie
se manifestent séparé-ment dans des crises qui ne
jamais et qui sont tantôt des attaques d'hystérie, tantôt des accès d'
épilepsie
; Y hystéro-épilepsie à crises mixtes dans laquel
lepsie à crises mixtes dans laquelle les signes de l'hystérie et de l'
épilepsie
apparaîtraient mélangés ; ces crises mixtes porte
ion,il propose d'appeler hysteria major cette forme de la maladie ; l'
épilepsie
ne serait là, d'après lui, que dans la forme, ell
qui ont de grandes analogies avec ce que Herpin dans le do-maine de l'
épilepsie
, appelle commotions épileptiques. Bientôt se mo
essembler et ressem-ble le plus souvent à s'y méprendre à l'attaque d'
épilepsie
vraie : convulsions toniques, cloniques, puis ste
'a pu, non seulement enrayer, mais même atténuer les convulsions de l'
épilepsie
vraie. Il y a lieu de diviser cette période épile
se épileptoïde peut se répéter au point de simuler l'état de mal de l'
épilepsie
vraie avec toute son apparence de graviLé. Mais l
e d'une attitude passionnelle. On n'observe rien de sem-blable dans l'
épilepsie
vraie. Je rappellerai en terminant l'ab-sence de
mptômes tabétiques ; atrophie musculaire. — Contracture permanente. —
Epilepsie
spinale.................................. 221 H
crises combinées ou attaques-accès.— Différences et analogies entre l'
épilepsie
el l'hystéro-épilepsie. — Signes diagnostiques fo
es) chez les hystériques par la compression de l'ovaire, 531 ;—dans l'
épilepsie
,338. Corde du tympan,nerf dilatateur,140. Cor
iques, 334 ; — de Saint-Médard, 303, 336 ; — de Saint-Louis, 359.
Epilepsie
clans ses rapports avec l'hystérie, 367, 368, 370
famille, ainsi que les psychoses, les diverses formes du délire, l'
épilepsie
, les convulsions, le strabisme et la débilité m
a dixième année la boîte cranienne se développe et se consolide ; l'
épilepsie
idio- pathique fait son apparition. Toutes ces
inctes, dont plusieurs pouvaient être incriminées comme causes de l'
épilepsie
. En attendant un travail plus étendu sur ce sujet
e l'examen histologique des deux principaux cas. Dans le premier, l'
épilepsie
a été déterminée par deux kystes appartenant à
her du quatrième ven- tricule. Dans le second cas il s'agissait d'
épilepsie
avec hémiplégie infan- tile, l'autopsie révéla
ons réflexes. A ce dernier titre a été préconisé dans le tétanos, l'
épilepsie
(Bourneville). Serait un excellent médicament c
trée à la Fondation Vallée, le 31 octobre 1895, elle est atteinte d'
épilepsie
avec accès et vertiges. 60 REVUE DE THÉRAPEUTIQ
rolongation est la même pour tous les médica- ments employés dans l'
épilepsie
. BOURNEVILLE. LE traitement de l'épilepsie par
ments employés dans l'épilepsie. BOURNEVILLE. LE traitement de l'
épilepsie
par L'OPIUM ET LE bromure; par LINEE. (Allg. Ze
chsig a fait connaître en 1893 un nouveau mode de traite- ment de l'
épilepsie
basé sur l'administration de l'opium à doses cr
r ont porté sur sept malades (six hom- mes et une femme) atteints d'
épilepsie
idiopathique avec- troubles psychiques consécut
ppliquée que dans un asile. P. Sérieux. III. Sur LE traitement DE l'
épilepsie
d'après la AfÉTIi9DEDEFLECFISIG; par HABBAS. (A
ment des psychoses donnèrent à Flechsig l'idée de l'employer dans l'
épilepsie
. Quant au second point de la méthode, à savoir
ons notables. Binswanger s'en déclare très satisfait surtout dans l'
épilepsie
des jeunes gens. Au point de vue du mode d'acti
paralytiques généraux, malgré l'extrême fréquence de la syphilis. L'
épilepsie
est rare. Les aliénés entrent et sortent de l'é
ible de dormir. Comme cette femme a eu antérieurement une attaque d'
épilepsie
et comme on aobservé chez elle l'apparition sub
n cerveau déséquilibré. Il a agi en épileptique ou en hystérique. L'
épilepsie
doit être écartée puisqu'il n'a jamais présenté d
ppareil digestif ne sont pas seulement des agents provocateurs de l'
épilepsie
, ils figurent aussi quelquefois parmi les manif
si complète et si intéressante de l'étiologie et du traitement de l'
épilepsie
Bravaisjacksonnienne. Etablir nettement la natu
marchand de chansons esttombé sur la place Gambetta d'une attaque d'
épilepsie
. Quelques passants l'ont secouru et il a pu reg
Une jeune épileptique qui, à son entrée, avait plusieurs attaques d'
épilepsie
par jour et élait tombée dans un abrutissement pr
Jouve. ? - BOÜR : 11LLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hysté¡;ie;.¡etJjdiotie ? Volume in-S° de LXX
incomplètes etparcon- séquent erronées sur la paralysie générale, l'
épilepsie
, l'hystérie, la neurasthénie, la chorée, etc.,
airement aux opinions anciennes et d'après lesquelles l'hystérie, l'
épilepsie
, la neurasthénie étaient des maladies héré- dit
nées. Au reste, les affections qui s'accompagnent le plus souvent d'
épilepsie
corti- cale (paralysie générale, tumeurs) ne so
rande place (délire de persécution) ne donnent pas naissance à de l'
épilepsie
partielle. Donc, je crois la comparaison plus s
lucination auditive est un phénomène beaucoup plus ' complexe que l'
épilepsie
corticale, beaucoup plus intellectuel. Je me tr
présente le cerveau d'un malade qui était atteint pendant sa vie d'
épilepsie
partielle et qui présentait en même temps des h
une note sur la paraplégie spasmodique familiale et une autre sur l'
épilepsie
partielle dans l'acromégalie. Les examens microsc
faits dans ces différents cas. En particulier, l'acromégali- que à
épilepsie
partielle fut trouvé porteur d'une tumeur de la
i reconnue, des altérations de la glande pituitaire, estiment que l'
épilepsie
jacksonienne doit être rangée parmi les complic
ytique, le persécuté, les dégénérés et congénitaux, les convulsifs (
épilepsie
, hystérie), alcoolisés et déments au sujet de c
, comme atteinte depuis longtemps d'hydro- céphalie et d'attaques d'
épilepsie
fréquentes, avec agitation conco- mittante, cri
petite grosseur qui s'est développée peu à peu. Premières crises d'
épilepsie
à quinze ans, c'est-à-dire six ans après l'acci
dimentaire constituant l'imbécillité. Pendant long- temps, crises d'
épilepsie
violentes, avec impulsions dangereuses, depuis
suite d'accidents méningés hémorragiques consécutifs à des crises d'
épilepsie
subin- trantes. Autopsie. - Cuir chevelu hype
font constater aucune lésion ou tumeur interne pouvant expliquer l'
épilepsie
. L'hyperos- tose a pour siège principal le fron
n'avons pas l'intention de rattacher, de près ou de loin, soit à l'
épilepsie
essentielle, soit à l'épilepsie symptomatique,
acher, de près ou de loin, soit à l'épilepsie essentielle, soit à l'
épilepsie
symptomatique, les manifestations diverses éprou-
ls respectifs des deux affections. Nous ne faisons intervenir ici l'
épilepsie
que .comme terme de comparaison, dont les appar
ent assurément sous la dépendance de troubles fonctionnels et que l'
épilepsie
jacksonienne soit par définition symptomatique,
idée d'une analogie possible de mécanisme avec celui de l'attaque d'
épilepsie
jack- sonienne ; il y a d'ailleurs correspondan
avous tenté de faire. Malgré quelques appa- rences de forme avec l'
épilepsie
jacksonienne les manifesta- tions convulsives d
à la dégénérescence mentale que nous rapportons les, 1 Bl'issaud, -
Epilepsie
,jacksonienne,in Traité de médecine, t. VI, p. 85
282 11) asiles d'aliénés. affection cérébrale ou spinale, hystérie,
épilepsie
, hypocondrie, chorée, migraine ou neurasthénie
sait tomber à terre et l'inconscience n'était pas totale. Quant à l'
épilepsie
alcoolique elle peut, chez les deux sujets, être
- dies nerveuses (polynévrites, tumeurs et commotions cérébrales,
épilepsie
, maladie de Friedreich, etc.). Sous le nom de tre
ot, qui passe pour s'adonner à la boisson, est sujet à des crises d'
épilepsie
. » - On aurait évité cette « double mort en que
Dl' G. ]\a;UN.\N. Toutes les psychoses peuvent se présenter dans l'
épilepsie
et être modifiées légèrement par l'état épilept
mais ce ne sont pas là de véritables psychoses épileptique ? . L'
épilepsie
larvée de Morel ou épilepsie masquée des auteurs
ritables psychoses épileptique ? . L'épilepsie larvée de Morel ou
épilepsie
masquée des auteurs anglais parait à l'auteur l
y a, chronologiquement, cinq variétés d'aliénation mentale dues à l'
épilepsie
: la folie préépileptique, l'équivalent psychique
les aliénés : a) ceux qui offrent un état congénital (folie morale,
épilepsie
, imbécillité), déterminant, comme chez les homi
it là tant que le soleil durait. C. XXXIII. POLLUTIONS nocturnes ET
épilepsie
. D'une sorte DE PHÉNO- MÈNE ÉPILEPTIQUE PARTICU
ouva tout à coup une crise de la maladie que les médecins appellent
épilepsie
, d'un mot grec, ou mal sacré, parce qu'elle aff
itions, si le conjoint sain n'a pas été prévenu de l'existence de l'
épilepsie
, le divorce devrait être de droit. Pour ce qu
sera admis que des individus du département, atteints de folie ou d'
épilepsie
à un degré susceptible de produire l'aliénation
s convul- sions d'origine gastrique, la chorée électrique et même l'
épilepsie
partielle gastrique. L'auteur publie un cas de
juillet.) Il s'agit d'une expertise très facile au sujet d'un cas d'
épilepsie
avec troubles mentaux caractéristiques ; ce qui
èle de l'accusé et une vraie 1-çoti sur les troubles mentaux dans l'
épilepsie
, avec examen cri- tique des principales proposi
Peu après il tomba en convulsions et présenta une attaque typique d'
épilepsie
convulsive. Revenu à lui il avait complètement
difficile de démontrer, en résumé, que le prévenu a des attaques d'
épilepsie
convulsives et psychiques et qu il était en crise
intelligence ni instruction, car dès son enfance il a pu simuler l'
épilepsie
convulsive, le caractère épileptique et l'épileps
a pu simuler l'épilepsie convulsive, le caractère épileptique et l'
épilepsie
psy- chique. Conformément aux conclusions du
, 10, rue Monsieur-le-Prince. llALi.AGnn (t''r.). ne la nature de l'
épilepsie
(11tutles SUl' la physio- logie pathologique de
90 fr. BOURNEVILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques, sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. - Compte rendu annuel
y et Coueloux, 74. ENI'AY[S arriérés. Secours à domi- cile, 78.
Epilepsie
. Traitement de l' - par l'opium et le bromure,
: \Cül'lInL0lI,Lr'r'E, har Covoue, 307. Pollu'iions nocturnes et
épilepsie
, par Guccarellt, 391. l'ot ? n : wta. 1)es--
DE NEUROLOGIE THÉRAPEUTIQUE. Nouvelle contribution à l'étude de l'
épilepsie
verti- gineuse et à son traitement par le bromu
rée, soit contre l'insomnie, et les cauchemars, soit surtout dans l'
épilepsie
ont été consi- gnés dans des thèses inaugurales
ure de camphre (Pi,og ? -. znéd., passim) ; Cornet, Traitement de l'
épilepsie
, 1889 (avec observations de notre service); Bou
service de Bicêtre pour 1885, p. 49); Du bromure de camphre dans l'
épilepsie
(Compte rendu de 1889, p. 33). De l'emploi lhé7 ?
ée, insomnie, hystérie, délirium trémens), et en particulier dans l'
épilepsie
vertigineuse, 5 observations (Compte rendu de 1
UE. 1 moins employé qu'il ne devrait l'être, non seulement dans l'
épilepsie
, mais dans un grand nombre d'affections du sys-
rand nombre d'affections du sys- tème nerveux. 1 . Observation I.
ÉPILEPSIE
SYIIPTOM.TIQUr. Sommaire. Pov, excès de boisson
ite suppurée; 10° fille morte à deux mois et demi de méningite. r
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 3 'Notre ma
nettes. Propre, soigneuse de sa personne. Température à Ventrée.
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 5 39. - R ?
tion des hommes qui viennent dans le service. Pour le reste, rien
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 9 de spécia
ait s'être traduit chez ses enfants, par deux cas de méningite et l'
épilepsie
de notre malade, II. Cette affection aurait é
f ans aucun accident convulsif. C'est à neuf ans qu'aurait débuté l'
épilepsie
. Elle était surtout caractérisée par des vertig
Tableau C. Tableaît des accès. 12 THÉRAPEUTIQUE. Observation II.
Épilepsie
idiopathique z). Bromure DE camphre. Guérison.
a une enfant : ni les uns, ni les autres n'ont eu de convulsions^
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 'lez Rien d
En somme après des phénomènes prémonitoires surviennent des accès d'
épilepsie
qui durent six mois. Trois mois d'accalmie. Enfin
s. Tics. Quand elle est inactive, elle compte successivement tous
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 15 les doig
u 8 au 14 octobre, du 2 au 9 novembre, du 2 au 8 décembre. ;, . ,
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 17 DeMich ?
aitement par le bromure de camphre, la décroisssnce suivante : qu
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 19 II. L'ac
'est survenu ni accès, ni vertiges. Observation III. Imbécillité ET
épilepsie
SYMPTOMATIQUE. Sommaire. Père, enfant naturel,
eu ni accès, ni vertiges. - j Marche des accidents épileptiques.
ÉPILEPSIE
VERTIGINEUSE' ET BROMURE DE CAMPHRE. 21 tigineu
el ? L'I'asile de Ville-Evrard, sur soixante- dix sujets atteints d'
épilepsie
générale, dite idiopathique, nous ont permis de
en lambeaux. Comme cette malheureuse était sujette à des attaques d'
épilepsie
, on suppose qu'elle sera tombée sur le poêle, q
en forèe. le 2 jan- vier dernier lorsqu'il fut frappé d'une crise d'
épilepsie
. Quand il re- couvra ses sens, Labarthe ne put
presque en face de la maison d'école de Givraines, d'une attaque d'
épilepsie
. Il tomba sur le milieu de la route. 11 fut relev
ereux ? C'est qu'il n'y a pas ` à considérer chez un malade que son
épilepsie
; si la névrose entre pour une grande part dans
que Respault a appelé « l'état cérébral », état indépendant de l'
épilepsie
, antérieur au paroxysme ; en sorte que l'ictus
phère du côté correspondant. G. DENY. XVI. Tumeur cérébelleuse et
épilepsie
; par L. Marchand. (Journal de Neurologie, 1901,
érébrale, la syphilis céré- brale, l'alcoolisme chronique avancé, l'
épilepsie
, ainsi que dans certains cas de névrose traumat
. ' * li. DE Musgrave-Clay. XI. Contribution à la pathogénie de l'
épilepsie
; par Z. Byciiowsry. (VeM ! -o.C'eK't(/6 ? XIX,
cidents du zzicoliczisme. Depuis deux ans il éprouve des attaques d'
épilepsie
de plus en plus fréquentes et violentes, ce qui
Vi-atsclt., 1887). II cesse de s'exposer aux vapeurs toxiques, et l'
épilepsie
disparaît sans autre traitement ; il y a dix-huit
a contradiction ne lit que confirmer chacun dans son opinion ». L'
épilepsie
ne donna lieu à aucune grande discussion, saut
pilepsie ne donna lieu à aucune grande discussion, saut cependant l'
épilepsie
larvée, « cette création du génie de More ! ».
a Société. L'emploi du bromure de potassium dans le traitement de l'
épilepsie
; les bains prolongés ; l'opium eti> ses alc
nce : « Les accès de délire se produisant chez des individus dont l'
épilepsie
est méconnue ou n'existe réellement pas au mome
l publiait un travail critique sur les Théories physiologiques de l'
épilepsie
(1862). Puis, viennent les recherches sur les T
r ! (Indicateur de Cognac, 9 mars 1902.) ,' LE sang humain contre l'
épilepsie
(VIII, 648). Relativement à la phrase de FRANCK
8). Relativement à la phrase de FRANCK : « Sur le traitement de l'
épilepsie
par le sang d'un supplicié », que cite àt. le D B
iV. P. D. M. ( ? ), la phrase suivante à la subsection VIII, pour l'
épilepsie
: -. « Plusieurs recommandent comme un remède e
ntérieurement, et en notre païs on regarde comme un secret contre l'
épilepsie
le sang même de celui qui en est attaqué. Ou lu
pileptiques tant à la ville qu'aux champs, et les a préservées de l'
épilepsie
pour toujours )) t. 11, p. 749. - ' . ' , La
voit aussi dans les syndromes convulsifs et particulièrement dans l'
épilepsie
; le mécanisme en est toutefois différent : c'e
propre aux convulsivants, ne sont en réalité que des modalités de l'
épilepsie
larvée. Ces considérations font bien com- prend
outer à celles que M. Voisin a déjà rapportées dans son livre sur l'
épilepsie
et au Congrès de 191)0. Fixation du prochain Co
2 figures. Prix : 1 franc. Berlin, 1902, Karger édit. SEGL1S (J.).
Epilepsie
et amnésie rétrograde. In-8 de 18 pages. Extrai
. Suites éloignées du traitement chirurgical de l'idiotie et de l'
épilepsie
. M. BouRKEViLLE (de Paris) appelle l'attention
t relate un certain nombre d'observations qui prouvent que dans l'
épilepsie
dite essentielle, après une diminution passagère
dement d'une profonde déchéance des facultés. Les résultats, dans l'
épilepsie
partielle ou jacksomenne, ne sont pas plus sati
suit les ma- lades prétendus guéris pendant quelques années. Seule,
épilepsie
d'origine traumatique parait rester tributaire
es associations mor- bides les plus diverses (alcoolisme, hystérie,
épilepsie
, infections, surmenage, etc.) peuvent interveni
oins apparemment, d'une façon brusque (ictus apoplectique, crises d'
épilepsie
jalisonuienne ; hémiplégie flasque persistante)
augmenter s'il est mal compris ou mal pratiqué. La pathogénie de l'
épilepsie
, par Maurice Fa un g. > Les origines du tabè
Un de ses malades;étant épileptique, il rappelle en terminant que l'
épilepsie
en dehors de toute démence, suffit ainsi que l'ad
il semblait perdre l'intelligence et qui duraient quelques heures.
Epilepsie
acquise. Il est entré à l'Asile clinique, d'où
nous a écrit que Tar... (Louis) (Hait arrivé avec le cer- tificat a
Epilepsie
» et qu'il a succombé à une congestion cérébrale.
ont pas être privés de cellules. P. KERAVAL. 11f. Traitement de l'
épilepsie
par la sympathectomie,par JAnoULAY y et LANNOIS
noULAY y et LANNOIS. (Revue de Médecine 1899.) Le traitement de l'
épilepsie
par la sympathectomie avait déjà été tenté par
chez un sujet de dix-huit ans atteint depuis longtemps de crises d'
épilepsie
, mais présentant en même temps des signes manif
nclure qu'il faut renoncer à espérer une amélioration sérieuse de l'
épilepsie
par l'ablation du sympathique. M. IL IV. Le tra
leuse, tumeurs du nevraxe, hémiplégie, poliomyélites, polynévrites,
épilepsie
, neu- rasthénie, etc...). M. J.-A. Sicard con
conceptions délirantes nées d'une sensation réelle ? E. B. XX. De l'
épilepsie
consciente et mnésique ; par le D'' .Minier. -
.) Analyse complète de l'intéressante thèse du Dr Ducosté sur : t'
Epilepsie
consciente et mnésique et, en particulier, d'un d
(de Port- land) (Médical Record, 9 août 1902). VI observations d'
épilepsie
psychique ayant occasionné des per- sonnalités
s la constitution'des phobies et des obsessions. M. 1.11lGL. De L'
épilepsie
; par W. 13RAD13ENT. (Brit. med. Journal, 4janvi
c- tion à l'étude psychologique des - arrtérés, par Noyés, 506.
Epilepsie
vertigineuse. Nouvelle contribution à l'étutle
51. Suites éloignées du trai- tement chirurgical de l' -- et de l'
épilepsie
, par Bourneville, 330. Contribution à l'étude d
et Thomas, 63. S ,IIDENII.%)1. Voir Tics. Sympatiiectomib. Voir
Epilepsie
. S1DH0\IE occipital I)OLBLE, j)iU Dide, 179.
et Weatherly, 443. Tueur DE femmes, 1 91. TuMEuncerebpUeuse et
épilepsie
. par Marchand, 141. - du thala- mus optique,
e d'imbécillité, irritabilité morbide et violences par intervalles,
Epilepsie
» (signé Magnan). Le certificat délivré au mome
94 à 605, 1r juillet 1906.) Femme de 30 ans ; en 1903, attaques d'
épilepsie
jacksonnienne commençant par des convulsions de
rées à type wallérien sont rares dans le ta- bès). F. Tisser XIV.
Epilepsie
et stupeur symptomatiques d'un glio-sarcome du
DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Anatomie pathologique et pathologie de l'
épilepsie
; par John TURNRR. (The Journal of mental Scien
a- men microscopique du système nerveux dans quarante et un cas d'
épilepsie
idopathique ;ces données servent de base à la thè
données servent de base à la thèse qu'il soutient, à savoir : que l'
épilepsie
est une maladie qui survient chez les sujets at
spasmes généralisés et à tous les phénomènes d'une attaque légère d'
épilepsie
. Schiff, en compri- Arcuives, 3- série, 19C7, t
riencosdémontrent que des convulsions simulant les convulsions de l'
épilepsie
peuvent être provoquées par une stase soudaine
faits que l'on désigne sousletermed' « équivalents psychiques de l'
épilepsie
» nesontpas sérieusement en désaccord avec la t
ne rencontrait pas communément les thrombus qu'il a décrits dans l'
épilepsie
. Cependant ils s'observent quelquefois en grand
mais non tous les facteurs qu'ils a indiqués comme générateurs de l'
épilepsie
, quelquefois c'est l'état indispensable du syst
s fois, ce sont les qualités du sang nécessaires à la genè- se de l'
épilepsie
qui font défaut. L'expérience de l'auteur, et i
rie de crises. C'est aussi un fait très commun de voir apparaître l'
épilepsie
chez les aliénés âgés. Ces cas sont intéressant
es convulsives reconnaît ici encore deux facteurs tout comme dans l'
épilepsie
idiopathique, et ces deux facteurs sont, d'abor
dt qui mentionne la « crampe de l'acces- soire » dans l'hystérie, l'
épilepsie
, et celle de Binswanger qui la donne comme asse
ncontrer chez des sujets sains, dans la neurasthénie, l'hystérie, l'
épilepsie
, etc. Le signe d'Hoffmann (percussion d'un tron
; 6 étaient dans un état rappelant le myxoedème. Ch. Bonne. VII.
Epilepsie
mit Halbseitenerscheinungen. (Ep. à sympto- mes
écoce ou ne sont-ils que les ma- nifestations de l'hystérie ou de l'
épilepsie
concomitantes ? Les deux opinions ont leurs déf
lles ; il y a des cas d'association manifeste de l'hystérie ou de l'
épilepsie
avec la dé- mence précoce ; mais il paraît cert
renseigné sur la forme desuggestion qui convient à chaque malade.
Epilepsie
ou hystérie. \I.IAh(ART présente un maladequi f
tliéi,apiclue.Done,ceitains cas présentant tous les caractères de l'
épilepsie
peuvent se rapporter a l'hystérie épileptiforme
récise la limite théorique qui sépare l'hystérie épileptiforme de l'
épilepsie
vraie. \1.IAGNIN ? Il : llle chez l'épilcptiquc
e résistance.t3on nombre de remèdes populaires recommandés contre l'
épilepsie
n'ont d'autre valeur que celle que leur confère
ymptomatique d'une névrose. Chez les enfants atteints d'hystérie, d'
épilepsie
, de chorée et même de dégénérescence mentale, l
s de leur temps d'études, passé dans les hôpitaux de Paris. - , L'
épilepsie
expérimentale. Suivant l'usage, le président en
, l. II. 11 102 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES.
Epilepsie
expérimentale. M"0 Raumovrrctt (de New-York). J
ale. M"0 Raumovrrctt (de New-York). Je me suis occupée beaucoup d'
épilepsie
expérimentale et ai pu me convaincre que, lors
ant l'attaque dans l'intervalle compris (1) DELASIAUVE. Traité de l'
épilepsie
, 1851. 1. ( : 1 Pichon. De l'épilepsie dans ses
(1) DELASIAUVE. Traité de l'épilepsie, 1851. 1. ( : 1 Pichon. De l'
épilepsie
dans ses rapports avec les fonctions vi- stiell
les troubles hallucinatoires vi- suels sont les plus communs dans l'
épilepsie
et que tel malade aperçoit, au moment de l'accè
. - Comptes rendus de la Société de biologie, p. 108-109. (2) Féré.
Epilepsie
partielle, aura érytropsie, p. 469. (3) '1\1 ?
9. (3) '1\1 ? ISONNEUVE. Thèse de Paris. 1803. (4) VoisiN. - Art.
Epilepsie
du Dictionnaire Jaccoud. (5) BAL7,. Leçons de c
approchant d'elle insensiblement. Le D1' Paris dans son travail : «
Epilepsie
et indications thérapeutiques » (2), rapporte t
OBSERVATION.V. Mlle Ta..., entre à l'asile le 27 janvier 1891 pour
épilepsie
avec accès de violence après la paroxys- mes. E
ans, interné pour la deuxième fois le 31 mai 1902. Il est atteint d'
épilepsie
avec crises fréquentes. A l'occasion d'excès al
(3) AIOI%AWIT7 (Lucia).- ]{linisehe tllisch/ornun von Katatonie und
Epilepsie
. Thèse de Zurich 1900. (4) I IrcI.rlt. Die 1 Ic
e relèvement de l'assistance des alié. nés, «l'association contre l'
Epilepsie
» et plusieurs autres institu- tions du même ge
sont des dégénérés. Pression sanguine générale et cérébrale dans l'
épilepsie
électrique. Par Mlle le Docteur LouiSE G. RoBIN
que. Par Mlle le Docteur LouiSE G. RoBINOVITCx, de New-York, 1° L'
épilepsie
électrique dont je parle ici est celle produite
cela est expliqué dans ma thèse de Paris, 1906, Sommeil électrique,
Epilepsie
électrique et Electrocution). 2° On produit l'é
électrique, Epilepsie électrique et Electrocution). 2° On produit l'
épilepsie
électrique en faisant passer à travers le corps
place normale, quand les convulsions cloniques cessent. 3° Dans l'
épilepsie
électrique, la pression sanguine générale est p
sur les Maladies Mentales) ; ces expériences fu- rent faites sur l'
épilepsie
absinthique chez le chien. Nos expériences sur
es sur l'épilepsie absinthique chez le chien. Nos expériences sur l'
épilepsie
électrique chez le chien donnent les mêmes résul-
. u. Psychi., XXIX, f. 218, p. 600 et 601, 1er août 1906.) Femme;
épilepsie
génuine sans convulsions jacksoniennes, sans pa
la que sont dus les vo- missements. L. `'VAxL. XL. Sur deux cas d'
épilepsie
jacksonnienne; par M. DURAND. (Société de Chiru
yon, 8 novembre 1906, in Lyon médical. n°49 ) Deux observations d'
épilepsie
jacksonnienne que M. Durand a rapportées. Obs
pilepsie jacksonnienne que M. Durand a rapportées. Observation I.
Epilepsie
jacksonnienne à la suite d'un coup de feu par c
tre la facile extraction. Observation Il. Méningite aiguë ancienne,
épilepsie
jakson- nienne (côté droit) avec hémiparésie et
ent négligé aujourd'hui. L. WAHL. XLIII. Hyperesthénie gastrique et
épilepsie
; par M. Albert ROBIN. Bull. méd., nu 15, année
ODIET et GANS (L'Encéphale, 1907, n° 8.) Il est facile de simuler l'
épilepsie
dans ses manifestations con- vulsives, il est p
s sont des signes faciles à observer, impossibles à simuler. Dans l'
épilepsie
larvée, dans les états hystéro-épilepti- ques,
la mémoire est signalée, l'esprit évoque immédiatement l'idée de l'
épilepsie
et de ses grands caractères es- sentiel ; l'inc
ce groupe comprend, en effet, la plupart des cas se rattachant à l'
épilepsie
, à l'hystérie, à l'alcoolisme et au traumatisme
let déclarant qu'il se nommait Edmond Tougne, qu'il était atteint d'
épilepsie
et qu'il priait ceux qui le trouveraient de le
le à 2 ans. Impétigo. A3 ans, secondes convul- sions ; coqueluche ;
épilepsie
: accès et vertiges. Mar.... (Marcelle), née à
s ont eu lieu dans la même journée et ont été suivies de sommeil.
Epilepsie
; tableau des accès et dos vertiges. 424 CLINIQ
s. 111. =)Jn janvier 1900, l'enfant, qui n'avait pas eu d'accès d'
épilepsie
chez elle a une sorte d'état convul- sif ; l'ép
d'accès d'épilepsie chez elle a une sorte d'état convul- sif ; l'
épilepsie
véritable semble débuter en juillet, par un acc
e le peu d'intelligence qu'elle pos- sédait. Fiv. -La marche de l'
épilepsie
a été grave. Les ac- cès etjes vertiges ont été
al épileptiqtte, nous le rappe- lons, est une complication de l'
épilepsie
caractérisée par des accès subintrants, varia
sympathique. G. C. IX. Contribution à l'étude du traitement de l'
épilepsie
; Iley- NINX. (Journal de Neurologie,l907, n" 6
, n" 6.) La conclusion que l'auteur tire de ce travail est que si l'
épilepsie
peut d'être d'origine réflexe, soit périphériqu
d'origine réflexe, soit périphérique, soit centrale (com- me dans l'
épilepsie
jacksonnienne), elle peut surtout être une com-
loin dans ce démembrement des névroses : il propose d'en exclure l'
épilepsie
, le goitre exophtalmique, la para- lysie agitan
ues sur- tout parmi celles ayant des affinités avec l'hystérie et l'
épilepsie
. Sous la désignation de syndromes alternants ou
r des convulsions portant sur le côté droit. Signes de méningite.
Epilepsie
. Mort en état de mal. Sclérose atro- phique e
r Etienne, p. 384. Quelques considérations sur les oculaires de l'
épilepsie
et de -l'hystérie au point de vue mé- dico-lc
utition. — Hoquet. — Troubles fonctionnels de la vessie. — Attaques d'
épilepsie
. Du pouls lent permanent. — Ralentissement temp
êt de faire ressortir. e) Je ne ferai que mentionner les attaques d'
épilepsie
qui se manifestent quelquefois d'une manière péri
sections d'une moitié de la moelle épinière chez cer-tains animaux, l'
épilepsie
paraît être, chez l'homme, un résultat comparativ
s ce dernier cas la compression portait plutôt sur le bulbe. Pour l'
épilepsie
liée aux lésions des régions dorsale et lombaire
fin, Vexaltation des propriétés réflexes, les différentes formes de l'
épilepsie
spinale qui se voient dans certaines myé-lites, l
ique, d'abord inter-mittente, puis permanente et compliquée parfois d'
épilepsie
spinale tonique. Les muscles des membres paralysé
gies urinaires. Verl ige de Ménière. — Ilémichorée postliémiplégiquc.
Epilepsie
partielle d'origine syphilitique. QUINZIÈME LEÇ
a pointe du pied et sou-vent elle survient spontanément, sous forme d'
épilepsie
spi-nale. J'ai connu cette malade pendant plusieu
dité d'abord temporaire, puis permanente, la trépidation, les accès d'
épilepsie
spinale. Actuellement, vous pouvez constater, c
et inférieur du côté droit, et éprouvait de temps à autre des accès d'
épilepsie
. La santé gé-nérale était d'ailleurs très altérée
lle n'a pas cessé depuis cette époque d'être sujette à des attaques d'
épilepsie
. Les membres du côté droit sont actuellement un p
ent les symptômes de la chorée vulgaire. VINGTIÈME LEGÓN o De l'
épilepsie
partielle d'origine syphilitique. Sommaire. — É
lis cérébrale. — Considérations historiques. — Description d'un cas d'
épilepsie
partielle d'origine syphilitique. — Caractères et
nt l'exposé sommaire d'un certain nombre d'exemples assez réguliers d'
épilepsie
partielle d'origine syphilitique qu'il m'a été do
s une maison de banque, il était un certain jour assis comme 1 De l'
épilepsie
syphilitique tertiaire, leçon professée par A. Fo
s qui viennent d'être relatées dans l'histoire de beaucoup de cas d'
épilepsie
syphilitique. Le fait, d'ailleurs, a été mis en r
istique ; on peut la rencontrer, en effet, dans les diverses formes d'
épilepsie
partielle, indépendantes de la syphilis. Néanmoin
e début des accidents convulsifs, dans la grande majorité des cas d'
épilepsie
par-tielle, quelle qu'en soit d'ailleurs l'origin
accident nerveux n'avait reparu. Il peut arriver que les attaques d'
épilepsie
partielle syphili-tique soient précédées par un c
et ainsi se trouve reproduit par conséquent le tableau classique de l'
épilepsie
vulgaire. Le cas dont je vais maintenant vous fai
fut à la suite d'une discussion vive, saisi tout à coup d'un accès d'
épilepsie
avec perte immédiate de la con-science, convulsio
ir de là, les accès ne se sont plus présentés jamais que sous forme d'
épilepsie
partielle ou hémiplégique, tantôt avec perle de c
vulsives1. 1 II n'est pas sans exemple, on le sait, que les accès d'
épilepsie
partielle Il ne sera peut-être pas hors de prop
u système nerveux. Paris, 1860, p. 125), a réuni plusieurs exemples d'
épilepsie
syphilitique dans lesquels les accès se montraien
oins explicitement signa-lées dans un certain nombre d'observations d'
épilepsie
par-tielle d'origine syphilitique 1 ou indépendan
erminer, sur le côté opposé du corps, la produc-tion des phénomènes d'
épilepsie
partielle. Vous ne devez pas vous attendre toutef
tenus furent immédiatement des plus encoura- 1 Dans plusieurs cas d'
épilepsie
partielle que j'ai observés, la douleur de " ête
des intervalles plus ou moins éloignés, doit être placée, à côté de l'
épilepsie
partielle, parmi les manifestations si variées de
entes, paraissent être le substratum anatomique le plus habituel de l'
épilepsie
par-tielle syphilitique. On les trouve déjà décri
autopsies, une représentation fidèle, concer-nent également un cas d'
épilepsie
partielle. Il en est de même d'une figure dessiné
t destinées à illus-trer laissentbeaucoup à désirer. En dehors de l'
épilepsie
partielle, des formes cliniques très diverses de
théorie fondée sur des travaux ré-cents, les plaques gommeuses dans l'
épilepsie
partielle devront siéger à la surface des circonv
pour une part, au domaine de la zone mo-trice corticale. Tant que l'
épilepsie
partielle syphilitique n'est pas invétérée, tant
ité, qui s'observe en réalité très fréquemment à la suite des accès d'
épilepsie
partielle, dans les parties même, qui(Trît été
plus, l'importance des décisions promptes et énergiques en matière d'
épilepsie
partielle d'origine syphilitique 2. 1 Sur la pr
ment traité comme atteint d'une affection cérébrale mal déterminée, d'
épilepsie
, de vertige stoma-cal, etc., mais sans succès. Au
r que le malade, âgé de 55 ans, n'avait jamais éprouvé de symptômes d'
épilepsie
. » En août 1876, M. Gharcot vit avec le Dr Care
uente. Dans un cas, les accidents convulsifs ont revêtu la forme de l'
épilepsie
partielle (cas du docteur W...), et le malade pou
émission involon-taire d'urine, comme cela se voit fréquemment dans l'
épilepsie
. Voilà, quant à présent, ce que les observation
gauche. A partir de cette époque jusqu'à 6 ans, elle a eu des accès d'
épilepsie
environ tous les deux mois. Ils ont disparu de 6
A 9 mois : con-vulsions suivies de paralysie du côté gauche. Accès d'
épilepsie
à 14 ans. Aujourd'hui, M..., outre des accès d'
e. Accès d'épilepsie à 14 ans. Aujourd'hui, M..., outre des accès d'
épilepsie
, présente une hémiplégie gauche avec analgésie in
outes les trois.offrent une hémiplégie et sont sujettes à des accès d'
épilepsie
partielle. Ainsi, nous avons une analogie dans la
lutition. — Hoquet. — Troubles fonctionnels de la vessie. —Attaques d'
épilepsie
. Du pouls lent permanent. — Ralentissement temp
e prse-hémiplégique................................ 358 Sommaire. —
Epilepsie
partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la
lis cérébrale. — Considérations historiques. — Description d'un cas d'
épilepsie
partielle d'origine syphilitique. — Caractères et
es...................................... 495 VINGTIÈME LEÇON de l'
épilepsie
partielle d'origine syphilitique. FIN DE LA TAB
e, Cornes, Moelle.) Centre génito-spinal, 328. Céphalalgie dans l'
épilepsie
syphi-litique, 376. Cerveau (V. Atrophie partie
gée, 463, 474. E Embolie de l'artère centrale de la rétine, 51.
Epilepsie
dans la compression de la moelle, 151.—Partiell
Kystes hydatiques du —, 91. — Rétrécissement du — avec pouls lent et
épilepsie
, 157. (V. Arthrite.) Racines antérieures des ne
lusions et hallucinations. Agitation consécu- tive à des attaques d'
épilepsie
. - Démence par alcoo- lisme. Démence paralytiqu
énone a amené le sommeil. Nous reviendrons plus loin sur ce fait.
Epilepsie
. Nous n'avons qu'une observation d'agitation av
qu'une observation d'agitation avec insomnie liée à des attaques d'
épilepsie
: chez ce malade, l'acétophénone a été absolume
bien développée; modifications psychiques concomitantes des crimes;
épilepsie
à une époque antérieure aux crimes ; pas de ren
omanie était symptomatique, elle n'était qu'une transformation de l'
épilepsie
. Tant que Vuel... avait eu des attaques de haut
la pyromanie de ce garçon ne fût due à une transforma- tion de l'
épilepsie
: ce n'est pas la première fois d'ail- leurs qu
e cette pyromanie n'était pas idiopathique, mais symptomatique de l'
épilepsie
, ne peut donner que plus de poids à notre asser
s (1S83) décrit une forme de Paranoia épileptique qu'il sépare de l'
épilepsie
en méconnaissant son caractère pa- thogénique.
ne ne s'avise de vouloir nier les différences entre l'hystérie et l'
épilepsie
, bien qu'un très grand nombre d'observateurs so
3, n<" 51 et 52. y Loc. cit. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'
ÉPILEPSIE
. 209 clonusme parait pour le moment préférable
que lui propose See- ligmüller. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'
ÉPILEPSIE
; Par BOURNEVILLE. - Les recherches que nous a
difications de la température sous l'influence des accès iso- lés d'
épilepsie
, des accès sériels et des accès subinlrants, nous
ystème nerveux, 1872-1873. Recherches clin. et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hystérie. Paris, 1876, p. 1 à 14 et 91 à 98,
et en particulier à l'école de Charcot, prétendant que tout accès d'
épilepsie
parfait s'accompagne d'une hyperthermie d'un de
tème nerveux, 2' édit. Paris, 1883, p. 782. -- Gowers (W.-R.). De L'
épilepsie
et autres maladies convulsives chron., trad. Carr
bien déterminée, quant au moment auquel elle survient, des accès d'
épilepsie
, s'installant quelques heures ou quelques jours
u'il va « rechercher les lois qui commandent aux hyperthermies de l'
épilepsie
» : « L'expérience, dit-il, nous apprend qu'abs
ment les idées de l'auteur se résumant en ceci : les accès isolés d'
épilepsie
, les accès survenant par petites sé- ries ne pr
érience que nous possédons aujourd'hui sur les hyperthermies dans l'
épilepsie
et surtout qu'il n'ait pas fait précéder ses as
urations thermiques ». I. DE LA TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'
ÉPILEPSIE
. Dans nos premiers travaux sur la température d
signé un grandnombre de renseignements thermométriques concernant l'
épilepsie
soit dans nos publications personnelles, soit d
)3 3 - 21 le CLINIQUE NERVEUSE. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS 1/
ÉPILEPSIE
. 215 Chez vingt-sept malades nous avons noté de
de la première catégorie : 216 CLINIQUE NERVEUSE.TEMPERATURE DANS L'
ÉPILEPSIE
. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 217 Î ratur
roit de maintenir nos conclusions anciennes : lo les accès isolés d'
épilepsie
augmentent la température centrale ; 2° cette a
LA paranoïa. 225 Citons encore le travail de Vejas' * (1886) sur l'
épilepsie
et la folie systématisée et celui de Smidt 2 (1
nombre des enfants devenus épilep- tiques pour avoir vu des accès d'
épilepsie
. Ces considérations, messieurs, sont d'une impo
26 février 1887, p. 246.) DE l'ablation des ovaires comme cure DE l'
épilepsie
. Le Dr Schramm rapporte deux cas dans lesquels
ux cas dans lesquels il a enlevé les ovaires sains pour combattre l'
épilepsie
. Ces deux malades ont guéri ; tout au moins, au
. Mai 1887. N" 39 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE; Par BOURNEVILLE et P. BRICO.NL. S
auteurs), nous nous proposons d'étudier une forme particulière de l'
épilepsie
, dont les accès, au lieu de présenter les phase
iquant d'une con- gestion très forte de la face. Cette forme de l'
épilepsie
, dont on trouve des exem- ples assez nombreux,
d'un accès ordinaire ou disparaître complètement pour faire place l'
épilepsie
vulgaire. Cette succession possible des phénomè
que et clonique de l'accès ordinaire. Pour compléter l'étude de l'
épilepsie
procursive nous étudierons ensuite les actes au
peu de durée et d'intensité. DE L EPILEPSIE PROCURSIVE. 323 I.
Epilepsie
procursive proprement dite, ou accès épileptiqu
u accès épileptiques essentiellement constitués par la course. IL
Epilepsie
avec aura procursive, soit que celle-ci ait dès
et l'Etiologie des mouvements procursifs. - VIII. Traitement. I.
Epilepsie
PROCURSIVE proprement DITE. Dès l'abord, avant
ux accès épileptiques quotidiens à type procursif. Observation I.
Epilepsie
PROCURSIVE. ' Père neurasthénique, sujet à des
tour d'eux. Il ne tombe jamais. Aussitô arrêté, ce qui a lieu DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 3S9 9 brusquement, il paraît étonné
s la tlièse (le 1'tin de nous. I'. l3ricon. - Drc trai- tement de l'
épilepsie
. (Hydrothérapie, arsenicaux, rnnagnétisme minéral
gnétisme minéral, de .sel.s l»lncr pirrc. Paris IRR ? p. 2 ? DE l'
épilepsie
PROCURSLVE. 331 4 juillet. Nouvelle rixe avec u
à fabriquer des cou- ronnes pour les distributions de prix. de l'
épilepsie
PROCURSIVE. 33 Grandid.... est pris dans la cou
ansféré à l'infirmerie de Gaillon après avoir été reconnu atteint d'
épilepsie
. Une lettre de il. le Dr Boularan, médecin du q
tôt, j'ai fait un certificat consta- tant que Gr... était atteint d'
épilepsie
procursive, avec perversion des instincts, klep
e de Poissy, d'où en janvier 1886, à cause de ses fréquents accès d'
épilepsie
, il fut dirigé sur la prison de Gaillon et mis
nutes environ, se relève seul en revenant complètement à lui. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 341 1882. Juin. Poids : 47 kit. 100
de produit une rigi- dité générale sans secousses cloniques. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 343 Dans les derniers temps, on rem
réparer une erreur administrative et judiciaire. Observation II.
Epilepsie
PROCURSIVE; EPILEPSIE partielle. Père, peintr
énés, suicidés, etc., dansla famille]. Pas de consanguinité. , DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 345 Douze enfants et trois fausses
lé de bonne heure ; la dernière par- lait très bien à un an. DE L'
ÉPILEPSIE
PROCURSIVE. 347 ans, en essayant de se jeter pa
lobule, normal, est adhérent dans les deux tiers supérieurs. DE l'
épilepsie
PROCURSIVE. 349 facile; tremblement fibrillaire
à l'âge de vingt ans les accès auraient eu le caractère des accès d'
épilepsie
ordinaire, sauf que les secousses cloniques ne
on, sur- venus en dehors de tout accès, et se rapprochant, · de l'
épilepsie
PROCURSIVE. 353 selon nous, beaucoup plus de l'
, · de l'épilepsie PROCURSIVE. 353 selon nous, beaucoup plus de l'
épilepsie
spinale que de la chorée. Les facultés intell
ion symptomatique des affections chroniques, et en particulier de l'
épilepsie
. Chez Hall.... on ne peut s'empêcher de faire u
à son aura et ceux qu'on observe si fréquemment dans l'aura de l'
épilepsie
jacksonienne. De même que dans celle-ci, cette
vant résume les caractères principaux des trois manifestations de l'
épilepsie
observées chez 'ce malade. ARCIIIVES, t. XIII
ortants. Frères bien portants également. N'a jamais eu d'attaques d'
épilepsie
. - A fait du service mili- litaire et a été env
Paranoïa vraie de certains délires plus ou moins systématiques de l'
épilepsie
, de l'hystérie, de l'alcoolisme, etc ? PourRagg
lent de l'hérédité neuropsychopathique (im- bécillité, convulsions,
épilepsie
, accidents tabétiques avec amau- rose) ; puis s
fants pau- vres qui bégayent et balbu- tient, par Berkhan, 314.
Epilepsie
(ablation des ovaires comme traitement de 1'),
git. Telles sont les vésanies de tout genre, la paralysie agitante, l'
épilepsie
, la chorée, etc., etc., et par-dessus tout l'hyst
ire ftys-téro-épilepsie à crises mixtes d'un côté, hysteria major, et
épilepsie
, mal comitial, de l'autre, coexistant chez un mêm
ttache à la grande hystérie hystérie épilepti forme, et nullement à l'
épilepsie
. Chez notre malade, le rétrécissement concentri
iques de l'hystérie dans certaines affections, en effet, comme dans l'
épilepsie
par exemple : après l'attaque le même rétrécissem
'opinion professée par M. Magnan (1). Il n'existe pas suivant moi d'
épilepsie
à proprement parler alcoolique. Oui, sans doute,
nt moi d'épilepsie à proprement parler alcoolique. Oui, sans doute, l'
épilepsie
existe souvent chez un alcoolique ou dans sa desc
avec M. Reynolds sous le nom de « secousses interparoxysmedes » de l'
épilepsie
(interparoxysmal starts). 2° Elle présente en out
ement pas la nuit. Messieurs, parmi les auteurs qui ont écrit sur l'
épilepsie
, il en est peu qui n'aient pas mentionné les « se
ux désignent sous les noms de « commotions prémonitoires (Herpin) « d'
épilepsie
parcellaire » (Burlureaux, Dict. de Dechambre, et
mal. Je suis étonné que M. Reynolds considère les secousses dans l'
épilepsie
comme chose vulgaire ; cela ne répond pas à ce qu
a fait remarquer dans ces derniers temps qu'à la suite des attaques d'
épilepsie
proprement dite, il n'est pas très rare devoir le
ez les hystériques le rétrécissement est permanent, tandis que dans l'
épilepsie
, il est essentiellement temporaire. On doit à MM.
nkelstein, a repris le sujet et il a insisté sur ce point que, dans l'
épilepsie
, le rétrécissement du champ visuel est toujours t
rmanent. Dans la grande majorité des cas, le rétrécissement, dans l'
épilepsie
,suit les attaques, mais il peut arriver, comme l'
e but de bien établir que dans le cas de notre malade, où il s'agit d'
épilepsie
et non d'hystérie, le rétrécissement du champ vis
ti dans; un accident de chemin de fer. À savoir : paralysie agitante,
épilepsie
, vésanie, sclérose en plaques, etc., etc.. Mais
mmaires qu'ils soient, suffisent déjà pour établir que ce n'est pas l'
épilepsie
qui ici est enjeu. L'accès épileptique, quelque i
nt donc, à tous égards, d'être rapprochés de ces faits de chorée et d'
épilepsie
avec état de mal rapidement terminés par la mort,
où les membres sont paralysés, (attaque hystéro-épileptique à forme d'
épilepsie
partielle.) Voilà certes un tableau fort comple
alors âgé de 34 ans 1/2; c'est déjà, dans l'espèce, une anomalie; l'
épilepsie
en effet éclate plus tôt dans la vie, du moins da
e crois, en grande partie pour révéler la nature du mal. C'est dans l'
épilepsie
seule, tant convulsive que vertigineuse ou psychi
s nerveuses antérieures à l'affection dont il va être question, pas d'
épilepsie
en particulier, pas d'hystérie. Dans la nuit du 8
pris en flagrant délit, onl'ar-rête. M. Gowers, dans son Traité de l'
épilepsie
, cite le cas d'un maître de musique qui, pris de
par la suite : on peut affirmer qu'il en est quelquefois de même de l'
épilepsie
considérée dans ses formes les plus variées et te
rer l'irresponsabilité. » Nous voyons là pour notre compte un cas d'
épilepsie
tardive, sous forme d'accès d'automatisme ambulat
exemples d'automatisme ambulatoire relevant d'affections autres que l'
épilepsie
. Plusieurs d'entre vous en entendant raconter l
ssif appartiennent, le plus souvent, suivant toute vraisemblance, à l'
épilepsie
. Vous voyez que, d'après cela, le somnambulisme
dans certains cas de paraplégie spasmodique lorsque le phénomène de l'
épilepsie
spinale y est très accentué. Mais nous savons déj
la est réellement, il s'agirait, vous l'avez compris, d'hystérie et d'
épilepsie
coexistant chez notre homme, mais vivant chez lui
stigmates qui lui sont propres, puis aussi peut-être, du même coup, l'
épilepsie
avec les accès qui ia caractérisent. Voilà cert
tteint de paralysie spinale infantile. 2° Chez un homme de 24 ans :
Epilepsie
, Hystérie majeure et Morphinomanie combinées. M
s. S'il fallait une autre preuve pour vous démontrer que c'est bien d'
épilepsie
qu'il s'agissait, je m'adresserais à certaines re
ic. Elles constituent, en quelque sorte les caractères chimiques de l'
épilepsie
. Eh bien, notre malade qui donne en moyenne 21
'associer avec une foule d'autres affections et en particulier avec l'
épilepsie
. Eh bien, chez ce malade, nous n'avons pas seulem
Mais quelle attaque lui donnerait-t-on? Assurément pas une attaque d'
épilepsie
. En résumé, nous avons ici des stigmates très acc
pour dire : c'est un épileptique qui a quelque chose de plus que son
épilepsie
; il a de l'hystérie. Mais il a, je le répète, des
moi, dans la forme, comme d'ailleurs dans le fond, entre l'attaque d'
épilepsie
et l'attaque d'hystéro-épilepsie. Mon respect p
et elles portent le même nom. Il n'y a pas le moindre rapport entre l'
épilepsie
et l'hystéro-épilepsie même à crises mixtes. Ce q
re. A ses crises de jour, qui sont des attaques de grande hystérie, l'
épilepsie
, le mal comitial, ne prend aucune part; et invers
à ronfler; cela dure un certain temps et c'est fini. Voilà l'accès d'
épilepsie
dans sa simplicité. L'attaque d'hystéro-épileps
2. La première phase, disent ces messieurs, ressemble tellement à l'
épilepsie
, 1. Oberstabartz Dr Andrée in Karlsruhe und Dr
s zones, l'attaque s'arrête, tandis qu'on n'arrête jamais l'accès d'
épilepsie
vraie par desprocédés de ce genre. En un mot ains
genre. En un mot ainsi que je l'ai depuis bien longtemps proclamé, l'
épilepsie
n'est là que dans la forme. Dans une seconde ph
crises mixtes. Sachez qu'il n'y a dans tout cela que l'apparence de l'
épilepsie
. La première phase qui seule est épilcptique, non
, d'ordre chimique celui-là. Je vous disais tout à l'heure que dans l'
épilepsie
, MM. Lépine et Mairet ont Fig. 88. —Periode der
ses crises d'hystérie, ce chiffre descend à 14 gr. Après les accès d'
épilepsie
, au contraire, l'urée remonte à 22 gr. 40 et les
longtemps, à savoir que dans l'hystéro-épilepsie il n'y a pas trace d'
épilepsie
, il n'y en a que l'apparence. Quand les deux mala
e n'ai pas besoin de vous le dire ; l'hystérie peut-être autant que l'
épilepsie
. En somme, je crains fort que ces trois élément
nt l'apparition d'affections nerveuses d'un autre ordre, la chorée, l'
épilepsie
par exemple, etc., etc., si la prédisposition éta
e et suivies de perte de connaissance (attaques hystériques à forme d'
épilepsie
partielle). La caractéristique de la névrose hy
.. 308 Tableau généalogique (Abasie trépidante)............. 372 (
Epilepsie
, Hystérie et Morphinomanie.) B. - FIGURES, FAC-
Chorée aiguë grave (Tracé de la température)..... 107 Fig. 25,26. —
Epilepsie
(Rétrécissement du champ visuel) . . . 120 Fig.
Fig. 81 — (Champ visuel)........... 402 Fig. 82, 83. — Hystérie,
épilepsie
et morphinisme (Sensibilité). . 422 Fig. 84 — —
ie spinale infantile......... 407 G) *° Chez un homme de 24 ans :
épilepsie
; hystérie majeure et morphinomanie combinées .
66. Absinthisme, 96. Accès epileptiqites incomplets, 289. (Voy.
Epilepsie
, etc.) Achaud, 71. Achromatopsie. — et hystér
. Brissaud, 178, 369, 386. Brodie, 194. Bromure de potassium dans l'
épilepsie
et l'hystérie, 117, 118. Brouardel, 84. Brown-S
écissement du), 138.— dans la Sclérose en plaques, 165, 166. — dans l'
Epilepsie
et l'Hystérie, 423. — dans l'Epilepsie, 31, 119,
en plaques, 165, 166. — dans l'Epilepsie et l'Hystérie, 423. — dans l'
Epilepsie
, 31, 119, 423. —(Rétrécissement permanent du cham
issures delà moelle (Rôle). 494, 499. GoMMOTiONs prémonitoires de l'
Epilepsie
, H8. Conception (Etat mental pendant la), 93.
22. — et Alcoolisme, 95. — et Rétrécissement du champ visuel, 31.
Epilepsie
et Hystérie. — Différence des attaques, 424. — (I
stérie. — Différence des attaques, 424. — (Indépendance de F). 424.
Epilepsie
. — et traumatisme, 322. — Hystérie et bromure d
— et traumatisme, 322. — Hystérie et bromure de potassium, 117, sq.
Epilepsie
, hystérie et morphinomanie, 420, sq. — Par cellai
83. Hystérie et alcoolisme, 35, 99, 288. — Rêves, 389. Hystérie.—
épilepsie
et morphino-manie, 420, sq. — et Choc nerveux, 13
Choc nerveux, 132. — et Dégénérescence, 392, 393, 395, 399, 400. — et
Epilepsie
(différence des attaques), 424. — et épi lepsie
M Magnan, 16, 95, 96. Mairet, 94, 421, 428. Mal gomitial (Voy.
Epilepsie
). Manie hypnotisante active, 254, Marche (Voy
). Traumatisme. — et automatisme ambulatoire épileptique, 323. — et
épilepsie
, 322 — et hystérie, 30 — et maladies nerveuses, 3
de sommeil hystérique, 273. — dans la mal. de Basedow, 238. — dans l'
épilepsie
, 421. Utérus et hystérie, 37. V Valleix, 24
és, produit d'un pur désordre automatique. La folie consécutive à l'
épilepsie
nous en offre quotidien- nement des spécimens.
nome. Autre frère : aliéné. Excès de boissons. P ? ,e- mier accès d'
épilepsie
consécutif à une peur ci dix-huit ai2s ; délire
ne restait qu'une grande fatigue. Cela paraît avoir été un accès d'
épilepsie
. Telle est l'origine du mal; quanta son évoluti
s ce fait que son frère a été atteint d'aliénation mentale. II. L'
épilepsie
est survenue à 18 ans, sans aucun prodrome, à l
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. s'exagérèrent à la suite d'une attaque d'
épilepsie
, puis d'une attaque d'hystérie. Elles disparure
non au petit mal. Les troubles de la connaissance en rapport avec l'
épilepsie
sont de deux sortes. Les uns se montrent en l'a
qu'on puisse jamais saisir la moindre trace de ce dernier; c'est l'
épilepsie
anormale : les autres sont en relation d'origin
sychoses chez des épi- /6/yMMaue ? 'M, à l'exclusion deséquivalents(
épilepsie
psychique) isolés et de la combinaison de la né
durée indéterminée, brusque- ment place à une autre entité. Quand l'
épilepsie
est invétérée, l'intrication, la fusion est si
dents précèdent, suivent (majorité des cas) ou remplacent l'accès d'
épilepsie
(équi- valents), ils sont toujours identiques à
leur manifes- tation. Ce n'est d'ailleurs qu'après des années que l'
épilepsie
se double de l'état d'obnubilation mentale cont
tatistiques portant sur le sexe, l'hérédité, l'âge et la cause de l'
épilepsie
, la fréquence des perturbations REVUE DE pathol
bations REVUE DE pathologie mentale. 95 mentales et la durée de l'
épilepsie
avant qu'elles n'appa- russent. P. K. II. Côt
ons inespérées observées par M. Magnan dans ces temps derniers. L'
épilepsie
n'a pas non plus été acceptée comme cause de divo
nscience, l'évolu- tion morbide, la périodicité des manifestations (
épilepsie
), les im- pulsions irrésistibles, les hallucina
malades réglées étaient représentées comme suit : idiotie, un cas;
épilepsie
avec troubles mentaux, quinze; hystérie avec al
ole de la Sal- pètrière. R. de M.-C. XIII. Sur la pathogénie de l'
épilepsie
, lettre au professeur Luciani; par le prol'esse
faite antérieurement par Luciani : qu'on n'a pas affaire là à de l'
épilepsie
vraie, ni à des phénomènes qui lui soient absol
ui lui soient absolument comparables. Il pense que si quelquefois l'
épilepsie
est produite par l'excitation de l'écorce céréb
urie est un phénomène très fréquent, mais non constant de l'accès d'
épilepsie
; on l'observe souvent lorsqu'on provoque des co
aucoup. L'hyoscyamine diminue quelquefois l'intensité des accès d'
épilepsie
et en retarde l'apparition. On peut l'employer
ue pour les cas où, par superche- rie, l'un des conjoints atteint d'
épilepsie
, de folie intermittente, de dipsomanie, ou d'im
les plus simples questions ; telles les formes de l'hystérie, de l'
épilepsie
, la genèse de la manie, du delirium tremens (ex
à ce propos sur les signes cadavériques permettant de conclure à l'
épilepsie
. Qu'une hyperémie insolite du Li cerveau, telle
CIÉTÉS SAVANTES. 257 conclure à la mort du sujet pendant un accès d'
épilepsie
. Mais l'on peut également rencontrer l'inverse,
poitrine, le vertige, les spasmes fonctionnels, les contractures, l'
épilepsie
, lachorée et l'hystérie. L'histoire de cette de
de la syphilis ; pat' N,UDET. Thèse de Paris, 1882. Etudes sur l'
épilepsie
jacksonienne; par GIRARD. Thèse de Paris, 1882.
évralgies saturnines; par Rostan. Thèse de Paris, 1882. Etude sur l'
épilepsie
partielle; par Greffier. Thèse de Paris, 1882.
estermann. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Bwcor (P). Du traitement de l'
épilepsie
. (Hydrothérapie. - .9rséni- cct ? Magnétisme mi
n-8" de 22 pages. Genève, librairie Georg. lions. Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'ethijle. In-8°
. Reggio-Enutia. Tipi di Calderiui e hinlio. Wcillamier (T). De l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spasmodique in- fantile. Un v
ois les convulsions présentent très nettement les caractères de l'
épilepsie
partielle monoplégique et alternent avec une para
fait suivant de M. Charcot. Observation VU. M. M..., diabétique.
Épilepsie
partielle du côté gauche occupant surtout le br
nstate par l'hérédité entre le diabète et l'aliénation mentale ou l'
épilepsie
(Seegen, Westphal, Grie- singer, Lockart-Glarke
lexes tendineux. C. T. XXVII. Importance DU diagnostic précoce DE l'
épilepsie
; par E.-C. SEGUIN. (Themeda'calllecool 11'eao-I
alllecool 11'eao-I'ooh, août 1881.) .) La répétition des attaques d'
épilepsie
crée une condition particulière du système nerv
eut éviter par un traitement pré- coce. Il importe de reconnaître l'
épilepsie
le plus tôt possible. Dans les deux premières a
un court espace de temps; une attaque isolée doit faire craindre l'
épilepsie
. Chez les sujets de trois à quinze ans, en deho
endant plusieurs mois. CH. F. XXVIII. CONTRIBUTION A l'étude DE l'
épilepsie
gastrique ET DES RELATIONS EXISTANT ENTRE CETTE
tude DE l'épilepsie gastrique ET DES RELATIONS EXISTANT ENTRE CETTE
ÉPILEPSIE
ET CERTAINES névroses DU nerf vague ; par II. P
elque chose dans le mode de réponse à l'excitation : les attaques d'
épilepsie
se rencontreraient principalement chez les jeun
bles atteindraient les sujets d'un âge mûr. anémiés et débilités. L'
épilepsie
'gastrique diffère des autres épilepsies en ce
Le clinicien se révèle dans le chapitre sur la symptomatologie de l'
épilepsie
, dans ses recherches sur la paralysie générale et
antile ; par Des- homme. Thèse de Paris, 1882. Du traitement de l'
épilepsie
; par Boy £ Thèse de Paris, 1882. Sur l'angine d
s les maladies cé- rébrales, 138; - comme synp- tôme de l'accès d'
épilepsie
, par Z Aliénation, 229. Aliénation mentale
239,243. Ecriture dans la paralysie générale, par Schule, 230.
Epilepsie
(Importance du diagnostic précoce de l'), 378.
, 230. Epilepsie (Importance du diagnostic précoce de l'), 378.
Epilepsie
gastrique, 378. Epilepsie (Pathogénie de 1", pa
ce du diagnostic précoce de l'), 378. Epilepsie gastrique, 378.
Epilepsie
(Pathogénie de 1", par Chirone, 223 : Epileps
gastrique, 378. Epilepsie (Pathogénie de 1", par Chirone, 223 :
Epilepsie
(albuminurie comme sym- tôme de l'accès d'), 22
généralisant et rappelant alors assez bien le tableau de la crise d'
épilepsie
vraie. Mais il n'y a ni émission involontaire d'u
contracture de la face et des membres du côté droit. Les crises d'
épilepsie
jacksonienne se répètent fréquemment. La tempér
iation* des yeux à droite, myosis et inégalité pupillaire, crises d'
épilepsie
jacksonienne à point de. départ dans la moitié
tater chez notre malade une série do crises absolument typiques d'
épilepsie
jacksonienne, que nous ne saurions con- sidérer
mêlent ; les paralysies flasques, les contractures, les crises d'
épilepsie
jacksonienne s'y trouvent réunies. En présence de
par notre observation que l'existence de phénomènes spasmodiqucs d'
épilepsie
jaksonienne au cours d'un coma, même lorsqu'ils
n anévrysme de volume variable. . Cliniquement, l'hémiplégie et l'
épilepsie
jacksonienne, c'est-à-dire les phénomènes de lo
dées ayant cours. - (.1 suivre.) HECU El L DE FAITS. Idiotie et
épilepsie
syinptomatiques de sclérose tubéreuse ou hypert
les ; paralysie des membres ; grincement des dents ; accès de cris.
Epilepsie
. Etat du malade en 1898 : idiotie complète; dip
dance aux accouchements de morts-nés, -par la grande fréquence de l'
épilepsie
chez les enfants qui survivent, par les causes
DE THÉRAPEUTIQUE. 1. Sur l'élimination du bleu de méthylène dans l'
épilepsie
, l'hystérie et quelques formes mentales; par H.
la suggestion avec plus ou moins de succès. LWOFF. XII. Un cas d'
épilepsie
Jacksonienne guéri par la cràniectomie; par M.
co-pédagogitlllC. III. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie; par Bourneville, t. X
ne s'oppose à ce mariage au moins de nos jours et chez nous, où l'
épilepsie
n'est même pas une cause de divorce. Le médecin
N° 56. ARCHIVES DE NEUROLOGIE THÉRAPEUTIQUE. Le traitement de l'
épilepsie
par la méthode 1 de Flechsig; PAR J. SÉGLAS
de Leipsig, 1893). Flech- sig et Salzburg. Ueber die Behandlung der
Epilepsie
mit opium Groyn. LeipSiâ, 1894. * Marro. Gio1
o. 1895, fasc. 2. ' Stein. Neurol. central. 1893. TRAITEMENT DE l'
ÉPILEPSIE
. 83 y eut suppression totale des accès; mais il
nu le plus souvent '; Pollitz repousse absolument cette 1 Bennecke.
Epilepsie
Behaiidliiiig. Iéna, 1894. - , Warda. Monatschr
sych., 1897. 'C. Rosi. Rii;. sp. di {,'en., 1838. TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
. 85 bles psychiques graves, somnolence consta
ent appelés à se servir avec succès de mes appareils à exercices.
ÉPILEPSIE
ET TRÉPANATION. 95 Épilepsie et Trépanation ;
succès de mes appareils à exercices. ÉPILEPSIE ET TRÉPANATION. 95
Épilepsie
et Trépanation ; Par le Dr F. 1J00SSlEl\, Anc
es asiles d'aliénés de la Seine. Parler de craniotomie en matière d'
épilepsie
dite idiopa- thique, c'est énumérer des insuccè
ans bien que robuste et plutôt grasse. Les joues sont fermes et ·
ÉPILEPSIE
ET TRÉPANATION. 97 f rondes, le visage un peu h
ses tendent à devenir subintrantes. La présomption très justifiée d'
épilepsie
jacksonnienne avait déjà fait songer à l'interv
ué. Les centres corticaux correspondant aux mouvements convulsifs
ÉPILEPSIE
ET TRÉPANATION. 99 initiaux (main et bras gauch
g. 5. - Face interne du crâne : cranieclomie en voie de réparation.
ÉPILEPSIE
ET TRÉPANATION. 103 de larges promontoires dont
) et l'alcoolisme du père pouvaient faire songer à un autre genre d'
épilepsie
et faire hésiter, la malade devait en tout cas
tion chirurgicale ne sera donc jamais fournie par l'existence d'une
épilepsie
dite jacksonnienne ou idiopathique; il faut che
s urines, amélioration des crétins). I. C. XIII. Un nouveau cas d'
épilepsie
avec persistance du thymus, hy- perplasie lymph
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 129 la genèse de l'
épilepsie
, il est permis de regretter que dans les autops
endineux aux 4 membres. Il parlait. Il était sujet à des attaques d'
épilepsie
qui finirent par le tuer. Taille'l m. 40. --
la digitale aux bromures et à la codéine dans le traitement de l'
épilepsie
; par W.-M. Bechterew. (06osrénié psichiutrü, 111
lblatt. XVII, 1898. Analysé. P. lE[tAVL. XXVI. Le traitement de l'
épilepsie
par l'emploi simultané des bromures et de l'ado
e des convulsions unilatérales sans perte de connaissance ou même l'
épilepsie
complète. Cette hémianopsie transitoire est rar
l'épilepsie complète. Cette hémianopsie transitoire est rare dans l'
épilepsie
jacksonienne et n'arrive que si le demi-centre
sance. 11 est réformé l'année dernière au conseil de revision, pour
épilepsie
. Il est grand et robuste. Son caractère est dep
RAPHIQUE. BouRXEVtLLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, Compte rendu du servi
- Tipografia S. Calderini e Figlio. TOULOUPE (Ed.). Traitement de l'
épilepsie
par les bromures et l'hy- perchloruralion. Broc
i prétendu expliquer le tremblement, les myoclonies, les attaques d'
épilepsie
et les attaques d'hystérie est loin de satisfai
- cousses choréiques et des tics; 50 La soudaineté des attaques d'
épilepsie
et des attaques d'hystérie. Je. propose de lu
; 4° Au lieu de limiter la conception de la décharge nerveuse à l'
épilepsie
, je l'étends à toutes les secousses pathologiques
par compression ou étirement (hémichorée par hémorrhagie cérébrale,
épilepsie
par tumeur cérébrale, etc.) ; 4° Soit à une d
de l'athétose, des chorées et des tics, ainsi que des attaques d'
épilepsie
et des attaques d'hystérie. - Que se passe-t-il
es clioréiques exagérées par les excitations cutanées; attaques d'
épilepsie
ou d'hystérie occasionnées par l'excitation de ce
pileptiques l'exception qu'offrent à ce point de vue les attaques d'
épilepsie
. La théorie des neuro-diélectriques lais- sant
ins moments, il prononce quelques mots sans suite. Il a des accès d'
épilepsie
violents et très fréquents, en moyenne 8 à 10 p
ais d'une sclérose latérale amyotrophique. G. D. XXXIII. Un cas d'
épilepsie
jacksonienne guérie par intervention opératoire
ngt-huit ans qui a été atteint pendant près de cinq ans de crises d'
épilepsie
jacksonienne débutant par la main droite et s'é
ons de l'estomac, des intestins et de la vessie dans les attaques d'
épilepsie
; par V.-P. Ossipnw. (O/¡o1'Pl11e psichiatrii.)
ncombrée par les névroses ou par des affections prétendues telles :
épilepsie
. chorée, tétanos, rage, etc.; le reste embrassa
e du côté opposé. Hughlings-Jackson avait reconnu les rapports de l'
épilepsie
uni- latérale avec des lésions de l'écorce gris
et Naud. BOURNEvILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, Compte rendu du servi
ann et C ? - Paon (F.). Résultats éloignés de la trépanation dans l'
épilepsie
. Volume in-4° de 48 pages. Paris, 1900. - Jouve
hologique commune à l'idiotie et l'imbécillité épileptiques, et à l'
épilepsie
foetale survenant chez l'enfant, c'est-à-dire :
ulté- ' t3ourneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
es jours en se pendant. Depuis longtemps, cet homme était atteint d'
épilepsie
et manifes- tait l'intention de se donner la mo
ptembre.) Bourneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiolie. Compte rendu du servi
ofesseur lit ensuite l'observation. Puis il interroge l'élève sur l'
épilepsie
en général. M. Grashey admet l'existence de l'épi
e, considère les équivalents psychiques comme plus fréquents dans l'
épilepsie
tardive, discute minutieusement les particulari
r d'articulation, ces hallu- cinations ne sont pas uniquement une «
épilepsie
du centre de Broca » pas plus que l'hallucinati
a » pas plus que l'hallucination sensorielle n'est uniquement « une
épilepsie
des centres sensoriels ». Sans doute, ainsi que
sycho-sexuel. (A suivre.) ' BIBLIOGRAPHIE. IX. Recherches sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. - Comptes rendus du s
buée à la clinique et à l'anatomie pathologique. Le traitement de l'
épilepsie
est encore bien difficile et ses résultats bien
luence néfaste de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie, de l'
épilepsie
, de la dégénérescence. D'ailleurs dans d'autres
conclusions antérieures sur ce sujet. Phénomène des orteils dans l'
épilepsie
. - M. CROUSON, dans le service de M. Bournevill
le, par Levaditi, 137. BLEU DE .méthylène Elimination du - dans l'
épilepsie
, l'hystérie et quelques formes mentales, par
Traitement de l' -, par Stockley, 16. Recherches cliniques sur l'
épilepsie
, Il - et l'idiotie, par Bourneville, î3,-538.-
en Belgique, par Ley, 147. Idiotie. ' Recherches cliniques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l' -, par Bourneville, 73,438. -
512. Rougeur émotive par llartenber, 247. Sclérose. Idiotie et
épilepsie
symp- tomatiques de tubéreuse hyper- trophiqu
s ni des délires toxiques, ni des dé- lires liés à quelque névrose (
épilepsie
,- hystérie ? etc.). 20 PATHOLOGIE -MENTALE; ¡HI
on est difficile à fixer. Ed...' est, en outre, sujet à des accès d'
épilepsie
, sur l'origine des- .' I, , ,r 1" T " . r .1 Il
mènes epneptuormes cons- tants. Pour M.'Tuczek il s'agit là d'une'1
épilepsie
corticale; il en âppellë à la déchéance'intelte
d'hystérie bien connue aujourd'hui sous le ! lJ ! 1}J."d;hy ? o; :
épilepsie
o,gl'a ! le hystérie, ceux que , ,1'on,a,groupé
tout en y apportant les résultats de son expérience personnelle. L'
épilepsie
comprend aujourd'hui des états divers, quant à
troisième observation concerne un jeune homme de 17 ans, atteint d'
épilepsie
avec hallucinations, accès d'angoisse et impulsio
, comparée à celle du cerveau ? Le diagnostic différentiel d'avec l'
épilepsie
repose sur l'existence des symptômes intervalla
orne d'Ammon du côté gauche. L'atrophie de- la corne d'Ammon dans l'
épilepsie
laisse à entendre 'qu'il existe un rapport spéc
Il s'agissait d'un- homme de trente-quatre ans ayant été atteint d'
épilepsie
à la suite d'un trau- matisme'céphalique, Accès
e, qui eut le malade en observation à l'asile, constata les accès d'
épilepsie
, les accidents nocturnes, une grande irritabilité
de M. le professeur CHARCOT le 23 mars 1882, affectée d'attaques d'
épilepsie
partielle gauche. L'attaque commence toujours p
s trouvées sur le cerveau d'une femme de vingt-deux ans, atteinte d'
épilepsie
partielle, se présentent sous forme de foyers d
. ? 7), discutant la question de la localisation des lésions dans l'
épilepsie
partielle, insiste sur ce point que c'est dans
ont été faits il la chambre claire de Romens- hausen. IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
PARTIELLE CONSÉCUTIVE A UNE MÉNINGO-ENCÉPHALITE
plet de cette forme d'idiotie, qui, dans ce cas, était compliquée d'
épilepsie
partielle. IDIOTIE ET ÉPILEPSIE PARTIELLE. 237
ui, dans ce cas, était compliquée d'épilepsie partielle. IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. 237 Observation. - Grand-père et gra
velu. - Diagnostic : Idiotie consécutive dune méningo-encéphalile ;
épilepsie
. Du au 28 octobre, la température s'est toujour
t suspendues. T. R. à une heure Irl °,4. Dans lajournée, IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. 241. quatre-vingt-quinze accès dont
Les accès et les vertiges ont eu la marche ci-après : IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
PARTIELLE. 243 épais, très dur; bosses frontale
très distants, puis de plus en plus rapprochés. Bientôt des accès d'
épilepsie
vinrent s'y ajouter. III. Sous l'influence de s
e de la déchéance des facultés intellectuelles. Relevons IDIOTIE ET
épilepsie
partielle. 245 encore une fois cette décorticat
it du corps. Nous avions donc sous les yeux un exemple typique de l'
épilepsie
hémiplégique. Si l'on se rappelle que, après la
iote, non apha- sique, en proie dès l'âge de neuf ans à des accès d'
épilepsie
, ainsi qu'à des attaques choréiformes se montra
rmuler une loi concernant le poids du corps à la suite de l'accès d'
épilepsie
. On ne saurait contester que les accès graves s
t difficile d'établir une règle fixe dans cet ordre d'idées. Pour l'
épilepsie
, par exemple, les lois de l'hérédité changent s
et envoyé dans un asile. M. Féré rappelle que dans certains cas d'
épilepsie
héréditaire indéniable, la maladie était restée
ature n'a pas dépassé 37 ? M. Magnan. Ce n'est pas la règle. Dans l'
épilepsie
, la température s'élève ! davantage pendant l'a
onicité musculaire (Wernicke). Immédiate- ment après les attaques d'
épilepsie
grave, les muscles sont flasques, , et le phéno
par Lni\Lccos. Thèse de Paris, 18h3. Essai sur l'étiolo,r71e de l'
épilepsie
tardive ; par DeLnuF. Thèse de Paris, 1883. Q
mc et \1'mLr ? mé. Recherches cliniques et lhéra- peittiqîtes sur l'
épilepsie
, l'hystérie, et l'idiotie, compte rendu du somme
82, p. 31 et 74. DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 339 pour cause d'
épilepsie
. Un phénomène singulier pré- cède l'attaque, c'
A l'âge viril, ses tendances mélancoliques s'accusent davantage ; l'
épilepsie
mettant obstacle à son mariage, il devient irri
ésagréables, d'ailleurs de plus en plus rares. De même que pour l'
épilepsie
, rien ne manque au délire chronique : influence
ersécution, phase ambitieuse, tendance à la systématisation. Si l'
épilepsie
s'est améliorée sous l'influence du traitement,
oduction de ce phénomène. Dans certains états pathologiques, dans l'
épilepsie
par exmple, survien- nent des phénomènes analog
un exemple de mérycisme. Le malade ayant succombé à une attaque d'
épilepsie
, l'on aremarqué, à l'ouverturede son cadavre, q
lle que nous allons rapporter. " . ' 0) ! SKnv\noN XXXI. Idiotie;
épilepsie
. Mérycisme; voracité.- Influence des acresepile
s'occupe un peu de lui. est impossible de fixer son attention. L'
épilepsie
se traduit chez lui par des accès et des vcrtirlc
lle et Bounaire. - lleche/'ches cliniques et thé- rupeutiqucs sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, compte rendu du service
. Cependant il arrive assez souvent que, même en dehors des accès d'
épilepsie
, l'enfant ne rumine pas après un repas, qui alo
phénomène du genou. Aucune espèce de réaction pupillaire pendant l'
épilepsie
ou le coma qui suit les affections encéphalique
ilité à la douleur est plus grande (mélancolie, folie systématique,
épilepsie
) ; les troubles trophiques et fonctionnels prop
Elle en constituerait la forme larvée. P. K. XXVIII. Notes sur l'
épilepsie
; par F. Siemens. (Neurol. Centralbl., 1882.)
pilles chez une épileptique de vingt ans à partir du cri initial. L'
épilepsie
datait ici d'un crgotisme épidémique' et avait
s sa forme originelle. P. K. XXX11. Contribution A l'étiologie de L'
ÉPILEPSIE
PEND1NT l'enfance; par Jeun. (Nezi7,olog. Cetzl
ade et n'a pas présenté d'autres symptômes pouvant se rattacher à l'
épilepsie
. Elle n'a jamais remarqué les manifestations sy
nt l'idée d'un affaiblis- sement psychique consécutif à des accès d'
épilepsie
agissant de concert avec l'ivresse. L'un a trai
e petit mal, M. Froenkel tend à croire aux allégations émises d'une
épilepsie
durant depuis trois ans et stimulée par l'ivres
à des excès alcooliques prolongés, mais que M. Iru;nlcel impute à l'
épilepsie
qu'il constate à cette occasion. Le meurtre a é
e Ilolzepfed (de Char- lottembourg) dans lequel il s'agissait d'une
épilepsie
notoire datant de la jeunesse. M. LOEUR rappe
Thèse de Paris, 1883. On est toujours trop porté à attribuer à l'
épilepsie
tous les trou- bles mentaux qui se présentent c
temps alcoolique et délirant chronique et que, chez un tel sujet, l'
épilepsie
, l'alcoo- lisme et la vésame peuvent se cotoyer
mpulsifs, etc. ; b) mais même chez des sujets sains, en dehors de l'
épilepsie
, l'état psychique est très différent suivant le
corticale ; - 4. Les troubles de la vision d'origine corticale ; 3.
Epilepsie
corticale ; 6. Nouroses vasomotrices et trophique
d chez les), par Charcot et Féi-é, 303. Atropine (influence sur l'
épilepsie
), 267. Basedow (sur la nature et sur quel-
Encéphalite parenchymateuse limi- tée de la substance grise avec
épilepsie
partielle comme syn- drome clinique, par Danill
217. Encéphalopathie saturnine, 117. 448 TABLE DES MATIERES.
Epilepsie
(perte en poids à la suite d'un accès d'), 271
te en poids à la suite d'un accès d'), 271 j - (patho- génie de l'
épilepsie
pendant l'en- ¡'ance" 410. Epilepsie jacksonn
271 j - (patho- génie de l'épilepsie pendant l'en- ¡'ance" 410.
Epilepsie
jacksonnienne, 117. Epilepsie, vertiges, 161.
lepsie pendant l'en- ¡'ance" 410. Epilepsie jacksonnienne, 117.
Epilepsie
, vertiges, 161. Epilepsie (influence de l'atrop
e" 410. Epilepsie jacksonnienne, 117. Epilepsie, vertiges, 161.
Epilepsie
(influence de l'atropine sur l'), 267 j - (note
285. Hystérique (surdité dans 1'l iéin iaties- loi. Idiotie et
épilepsie
partielle consé- cutive à une méningu-encépha-
rise immédiate du travail, se rattachent à l'hystérie plutôt qu'à l'
épilepsie
. Les crises remontent à l'âge de quinze ans ; d
on assiste. Les premiers, caractérisés par tous les phénomènes de l'
épilepsie
grave, y compris les contractions du diaphragme
er, la cécité et la surdité augmenter ; enfin on .voit apparaître l'
épilepsie
.traumatique, l'altération dos facultés mentale
IInoUILLCT (thèse de Paris, 1881). De la curabihté relative de l'
épilepsie
à la Salpcflriére; par G. l''t : ttn 'KD (thèse
Circulation cérébrale. Questions orales. 1er concours (1880) : De l'
épilepsie
. Plaies des artères; 2° concours (1880) : Signe
tteinte de neuf à treize ans semblent bien avoir été des attaques d'
épilepsie
auxquelles la malade était d'ailleurs prédispos
Ce fait semble- rait donc indiquer que si la marche de l'hystéro-
épilepsie
est modifiée par certaines affections fébriles
en tramant la jambe et en se soutenant sur une canne. Les accès d'
épilepsie
se sont déclarés environ six ans après l'attaqu
éjour, il s'était ingénié à boire son urine pour guérir ses accès d'
épilepsie
et à se faire tirer violemment le bras paralysé
ne ischémiée. II. Nous n'avons que peu de détails sur les accès d'
épilepsie
: on les disait très violents. Ils s'annonçaien
pénurie de données cliniques, d'affirmer s'il s'agit dans ce cas d'
épilepsie
vulgaire ou d'épilep- siejacksonienne. En faveu
ceurs. Cette déchéance intellectuelle vient appuyer l'idée d'une
épilepsie
vulgaire, car, dans l'épilepsie hémiplégique, l'i
ectuelle vient appuyer l'idée d'une épilepsie vulgaire, car, dans l'
épilepsie
hémiplégique, l'intel- ligence, en général, ne
elle était rendue évidente, pen- dant la vie, par les phénomènes d'
épilepsie
spinale, l'exagéra- tion àesréflexes tendineux
raissant que bien aprèsleretour des fonctions nerveuses des accès d'
épilepsie
complets ( myosis et inertie pupillaire au débu
e. Intégrité de la santé générale, courbes sphygmiques comme dans l'
épilepsie
vraie; à la suite des accès, abaisse- ment de l
des psychoses, les allures normales du pouls en dehors des accès d'
épilepsie
malgré les autres pertur- bations neuropsychiqu
la guérison des lésions; c'est à la suite de leur résolution que l'
épilepsie
et l'ataxie disparaîtraient, le phénomène du ge
régulières, était depuis plus de quatre ans sujet à des attaques d'
épilepsie
, qui avaient été presque quotidiennes durant le
l considérait comme des symptômes essentiels, l'authenticité de l'
épilepsie
était contestable : réinterrogé, il finit par adm
rogé, il finit par admettre que ces signes pouvaient manquer dans l'
épilepsie
vraie. L'accusé fut condamné à mort. Appel ay
posèrent un rapport dans lequel, à l'unanimité, ils concluaient à l'
épilepsie
et à l'irres- ponsabilité. L'accusé tut en cons
Des modifications dans le poids du corps, qui suivent les accès d'
épilepsie
; par le professeur dully (de Strasbourg). Par le
luxation sous-coracoidienne qui s'était produite pendant un accès d'
épilepsie
, fut pris en pleine narcose chlorofor- mique, c
Bourneville et d'Ouïr. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service
hénomènes observés du côté de l'oeil pendant l'attaque d'hystéro-
épilepsie
. L'exploration de l'oeil pendant l'attaque prés
t de pouvoir comparer l'état de la pupille pendant l'attaque dans l'
épilepsie
et dans l'hystéro-épilepsie. Cela est facile po
début que M. Gowers a quelquefois observée ; dans plusieurs cas d'
épilepsie
partielle, il n'existait rien de semblable. Mai
lle, il n'existait rien de semblable. Mais ces faits diffèrent de l'
épilepsie
véritable à plu- sieurs égards, et on n'en peut
groupe qu'appartient le cas suivant. - OBSERVATIO,N. - 1(liOtiC,
épilepsie
. Abcès de la marge de l'anus. Mère : convulsion
aques épileptiformes, peut se substituer à de véritables attaques d'
épilepsie
. Serait-elle alors de l'épi- lepsie larvée ? On
ces cas avec les trou- bles oculaires prémonitoires de l'attaque d'
épilepsie
qui ne ressemblent aucunement à ceux de la migr
ivement; ce qui, non moins que les rela- tions de la maladie avec l'
épilepsie
, rend fort incertain l'avenir d'une migraine op
urs de diagnostic et rapporter à l'hystérie des faits attribués à l'
épilepsie
. 11 faut d'ailleurs rapprocher la grande attaque
e aux signes déjà indiqués, distinguera 1'li,stéro-épilep- sie de l'
épilepsie
. La quatrième et dernière partie se termine par
a valeur. D. Bernard. XIV. Des lésions de la corne d'Ammon dans l'
épilepsie
; par Georges Coulrault. Thèse de Paris, 88't.
elation de cause à effet entre les lésions de la corne d'Ammon et l'
épilepsie
? Tel est le problème que se proposait de résou
ec localisation spéciale une fois établie, l'auteur se demande si l'
épilepsie
a été dans l'espèce la consé- quence de la mala
as col- 1,LLioniiC, le fait qu'on avait généialement affaire a de l'
épilepsie
acquise, l'intensité et l'âge des lésions rappr
logique. Cu. F. XVII..RM/iO'c/tes cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
; par Martial fIU13LÉ. Thèse de Paris. Aux bure
le l'Observation XUX, caractérisée par l'aggravation constante do l'
épilepsie
au moment où l'on commence à administrer le bro
première quinzaine et tous les jours pendant la seconde. Dès que l'
épilepsie
a disparu pendant dix-huit mois, le bromure de
omures. Le mono- bromure de camphre mériterait d'être choisi dans l'
épilepsie
verti- gineuse, le délire postepitcptique, et l
apeutique des malidies des centres nerveux et principale- ment de l'
épilepsie
. Prix : 8 000 francs. Clôture du concours : 31
l que serait, par exemple, la découverte d'un remède curatif de l'
épilepsie
. Conditions des concours. Les mémoires, lisible
et quelques singes) , par M. Ducal, 1 ; (lésions de la) dans l'
épilepsie
), par Coulbault, 373. Crâne (fractures non iiio
S MATIÈRES. Empyème (accidents reflètes ala suite de l'), 2115.
Epilepsie
(lésions de la corne (l ? 111111pn ClallS l'),
l) Voyez : Bourneville.—Recherches cliniques et thérapexitiques sur l'
épilepsie
et l'hystérie, Obs. xxiv, p. 99. I thyle arrê
re sa course folle (l) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et Vhystérie, p. 116 à 150. jusqu'à la maison o
e. Amsterdam, 1176, p. 118. OBSERVATION III. Hystéro-Epilepsie et
Epilepsie
. C'est surtout depuis la publication des leçons
Louyer-Villermay) que cette maladie convulsive est bien séparée de l'
épilepsie
. Dans l'hystéro-épilepsie, en effet, pour employe
, en effet, pour employer les expressions ds notre illustre maître, l'
épilepsie
n'est là que dans la forme extérieure, mais elle
a notre conviction. Sommaire. — Antécédents. — Hystéro-épilepsie et
épilepsie
. — Hémianes-thésie gauche. — Description des atta
es-thésie gauche. — Description des attaques d'hystéro-épilepsie et d'
épilepsie
. Attitude du crucifiement. — Marche des deux mala
car il peut mettre sur la voie du diagnostic en faisant reconnaître l'
épilepsie
dans les cas où les accès ne surviennent que la n
'ont pas été constatés une seule fois. Â . Description d un accès d'
épilepsie
(22 août 1876). — Début. Pendant qu'elle causait
'en rende compte. T. V. 38°. Quelquefois, à la suite de ses accès d'
épilepsie
, elle a du délire. C'est ainsi qu'unjour, après u
derniers mois de 1875, elle a eu 22 attaques d'hystérie et 18 accès d'
épilepsie
, c'est-à-dire que l'hystérie prédominait; —durant
rtion considérable sur les attaques (15) et cette prédominance de l'
épilepsie
sur l'hystérie s'est accusée davantage dans le de
s avons donnée de l'hémianesthésie, ni sur sa diminution depuis que l'
épilepsie
l'emporte sur l'hystérie épileptiforme. Mais nous
ir un parallèle entre les attaques d'hystéro-êpilepsie et les accès d'
épilepsie
. Attaque» d'hystéro-êpilepsie. Pas d'aura.
si que le démontre le tableau qui précède, de les séparer des accès d'
épilepsie
. C'est à dessein que nous avons placé l'observa
salie L... Outre ces attaques hystériformes, Léontine a des accès d'
épilepsie
dont nous allons donner une courte description.
pilep-tiques. Toutefois, chez elle, encore plus que chez Madeleine, l'
épilepsie
l'emporte sur l'hystérie qui n'est là qu'à l'état
ucoup d'hystériques, sont rarement isolées, comme le sont les accès d'
épilepsie
; elles viennent par séries qui se prolongent pen
de Rosalie Ler..., dans nos Recherches cliniques et thé-rapeut. sur l'
épilepsie
et l'hystérie, p. 144). approximativement aux a
spasmes. Lan-douzy ne les mentionne pa = . M- Delasiauve [Traité de l'
épilepsie
. p. 51. les signale simplement comme prodromes de
cet agent, ont été consignés dans nos Recherches thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hystérie (p. 107). 6 mai. — M... prend pre
nt elle sort sans aucun des phénomènes qui compliquent les attaques d'
épilepsie
, M.... est incertaine, égarée; pendant quelques m
cou. Ces hémorrhagies de la peau se voient aussi après des accès d'
épilepsie
. En 1866, durant notre in- viron, elle s'enfuit
col. 1, au lieu de 1876, lisez 1877. TABLE ANALYTIQUE A Accès d'
épilepsie
(Description des), 37. Achkomatopsik, 7, 116. A
Dtnamométrie, 128. Dysurie, 122, E Elixir polybromuré, 130, 153.
Epilepsie
, 33, 43, 150. (V. Accès). Erotisme, 60, 61, 64, 6
alité, chez notre homme ni paraplégie spasmodique, ni trépidation, ni
épilepsie
spinale, dans l'acception consacrée de ces termes
lieu au phénomène que nous avons désigné avec Brown-Sôquard du nom d'
épilepsie
spinale. Ces cas-là aboutissent le plus souvent à
ts, ni de secousses involontaires dans les membres ni la face ; pas d'
épilepsie
partielle. Pas de signes actuels de syphilis, acq
ans, courtier en vins ; aurait eu à quarante ans quelques attaques d'
épilepsie
(mouvements convulsifs, écume à la bouche, morsur
s personnels on relève que le malade a dans sa jeunesse été atteint d'
épilepsie
. Cette maladie aurait cessé complètement depuis t
e à gauche. Les réflexes rotulien et olécrânien sont très exagérés. L'
épilepsie
spinale provoquée persiste indéhnément; la jambe
faire intervenir les métastases du temps passé, il est constant que l'
épilepsie
, par exemple, fait d'ordinaire rétrocéder la gout
ques gom-meuses des méninges: pachyméningite gommeuso syphilitique.
Epilepsie
partielle. Sa description. Parésic transitoire.
tique. Les convulsions que présente cette malade sont celles de l'
épilepsie
partielle ; elles débutent par l'index droit, gag
» dit-elle, puis elle perd connaissance et tombe sur le côté droit. L'
épilepsie
partielle serait ici anormale, d'après le récit d
ue, c'est que, toutes les fois qu'on se trouve en présence d'un cas d'
épilepsie
partielle chez un adulte, il y a lieu de songer q
nts. Quels sont donc ces caractères qui permettent d'affirmer que l'
épilepsie
est d'ordre syphilitique ? Quelles sont les circo
nale « tria gummata candida quse inhserebant durse membranse » dans l'
épilepsie
syphilitique. Voici, d'après Virchow, Rumpff et O
ressent directement. Ce ne sont pas elles, en effet, qui produisent l'
épilepsie
syphilitique partielle. Celle-ci ressortit aux lé
orticale encéphalique.. Telles sont les conditions anatomiques de l'
épilepsie
partielle syphilitique, mais pour que cette épile
natomiques de l'épilepsie partielle syphilitique, mais pour que cette
épilepsie
se produise, faut-il encore que la lésion méningé
-t-elle en dehors de cette zone motrice, vous pourrez avoir non pas l'
épilepsie
, mais l'aphasie dans ses différents modes, une hé
utions frontale et pariétale ascendantes. Voilà de quoi expliquer l'
épilepsie
partielle brachiale, incontestablement. Mais comm
hiale, incontestablement. Mais comment pourrez-vous prévoir que cette
épilepsie
partielle, si elle est démontrée syphilitique, se
rovocateur. Si, au contraire, une hémiplégie permanente compliquait l'
épilepsie
partielle, le cas serait beaucoup plus grave. On
autres lésions que la pachymé-ningite gommeuse qui peuvent produire l'
épilepsie
partielle sans hémiplégie concomitante. Ainsi son
'accidents cérébraux plus graves dont l'apparence clinique : aphasie,
épilepsie
, variera naturellement suivant la localisation de
rer aujourd'hui. Durant les deux mois qui ont précédé le début de l'
épilepsie
partielle, la céphalée était fort atténuée chez n
t celle qu'on est amené physiologiquement à invoquer pour expliquer l'
épilepsie
partielle. En fait de précision, on ne peut guère
es méningo-myélites. Ne chantez pas victoire à l'avance dans un cas d'
épilepsie
partielle où déjà il existe un certain degré d'hé
iste un certain degré d'hémiplégie permanente. Mais clans les cas d'
épilepsie
partielle pure qui, dans l'intervalle des accès,
éditaire, plus tenace certainement que la syphilis acquise, et que, l'
épilepsie
disparue, tout ne sera pas dit. La névrite optiqu
t restée deux mois dans le service sans présenter une seule attaque d'
épilepsie
partielle. Elle est sortie guérie, sinon de tous
miopie et agraphie. Syphilis cérébrale par pachyméningite gommeuse.
Epilepsie
Jacksonnienne. Céphalée spéciale, nocturne. Curab
ous n'avez certainement pas oublié qu'il s'agissait, dans l'espèce, d'
épilepsie
partielle isolée, libre de tout symptôme paralyti
e le contraste vous paraîtra frappant. Chez l'un deux, c'est encore l'
épilepsie
partielle curable qui est en cause. Chez l'autre,
y a des hémiplégies transitoires corticales accompagnant l'attaque d'
épilepsie
partielle, qu'il y a encore des hémiplégies trans
ême homme qui, ici-même, vous a rendu témoins d'une attaque typique d'
épilepsie
partielle. Vous avez vu les secousses débuter par
ale s'amenda. Quelques jours après survenait la troisième attaque d'
épilepsie
partielle, qui amenait cet homme à notre consulta
s résultats que nous avons obtenus en trois semaines : plus d'accès d'
épilepsie
partielle, plus de parésie brachiale. La force dy
juin 1877.) qui tenaient a la fois du tétanos, de la chorée et de l'
épilepsie
. » On lui donna successivement sept bains en di
férentiel. Aussi bien, du reste, n'est-ce pas presque toujours avec l'
épilepsie
que le diagnostic s'impose lorsqu'il s'agit de ma
t donné, ainsi que l'ont démontré MM. Lépine et Mairet, que l'accès d'
épilepsie
, à l'inverse de l'at ¦ taque d'hystérie, augmente
a syphilis dans l'étiologie de l'hémiplégie. Importance du syndrome «
épilepsie
partielle » dans le diagnostic de l'hémiplégie sy
ques gom-meuses des méninges: pachyméningite gommeuse syphilitique.
Epilepsie
partielle. Sa description. Parésie transitoire.
miopie et agraphie. Syphilis cérébrale par pachyméningite gommeuse.
Epilepsie
Jacksoniennc. Céphalée spéciale, nocturne. Cura
des hystériques, 107. Doigts : affections déformant les —, 2. E
Épilepsie
: bâillements dans 1' —, 430. Épilepsiè partiel
nerveuse, 382; Lésions de la—, 372; Névrite optique dans la — , 380;
Epilepsie
partielle dans la —, 370. 386; Pronostic de la —,
u- sieurs nerfs amena plutôt une aggravation des symp- tômes de l'
épilepsie
. Les recherches microscopiques démontrèrent des
s associées des yeux, le regard vague, l'exaltation des réflexes, l'
épilepsie
spinale, et enfin n un certain degré de faibles
e, l'insuffisance des droits internes, l'exaltation des réflexes, l'
épilepsie
spinale, la faiblesse des membres inférieurs, l
e en dehors de toute manifestation psychique, dans les attaques d'
épilepsie
par exemple, on ne conserve plus de doute que cet
survenance de phénomènes de transfert PEN- DANT LE traitement DE L'
ÉPILEPSIE
partielle; par L. HIRT. (Neurolog. Centralbl.,
(Neurolog. Centralbl., 1884.) Traitement de cinq malades atteints d'
épilepsie
jackson- nienne (corticale) à forme hémilatéral
OME dans LES affections NERVEUSES ET TOUT particulièrement dans L'
ÉPILEPSIE
; par A. ERLENMEYER. (Centralbl. f. Nervenheilk.,
nt, àla dose de 10 grammes parjour surles attaques convulsives de l'
épilepsie
et diverses autresnévroses etpsychoses de même
é- ditaire sont simplement une des nombreuses manifestations de l'
épilepsie
larvée assez fréquente, comme on le sait, chez le
réquente, comme on le sait, chez les bé- réditaires. M. Magnan. L'
épilepsie
n'est qu'un phénomène accessoire dans le cours
cela ils soient épileptiques; il n'y a donc pas lieu de penser à l'
épilepsie
et, pour ma part, je vois dans cette histoire u
en modifie la qualité, car un fort courant, qui ne détermine pas d'
épilepsie
partielle, provo- voquera tout à coup, sous l'i
des circonstances identiques à celles qui précèdent l'éclosion de l'
épilepsie
. Interprétation impossible. Cette observa- tion
un ivrogne épileptique qui met le feu ; puis survient une attaque d'
épilepsie
, après quoi, le malade vaque correctement à ses
istence de troubles de la connaissance de courte durée et d'accès d'
épilepsie
. M. Liman. Ce n'est pas un cas pur. Le protocol
otocole clinique de la Charité montre que cet homme était atteint d'
épilepsie
et de troubles psychiques entraînant le diagnos
les affections du cerveau y compris certaines névroses telles que l'
épilepsie
, l'leysté- rie, ,la chorée, etc. Quant aux prét
s en présence des névroses. M. Struempell en dis- tingue dix : 1° L'
épilepsie
avec son appendice naturel des convul- sions de
Il est mort en décembre 1879, il quarante-neuf ans, dans un accès d'
épilepsie
. Il travaillait alors dans une fabrique de faïenc
n'aurait pas suffi à l'étouffer; mais, ayant été pris d'un accès d'
épilepsie
, il a suc- combé avant qu'on ait eu le temps de
pileptiques. DES FAMILLES D'IDIOTS. 193 Observation 1. - Idiotie;
épilepsie
nocturne. Premières convulsions à sept mois; -
emières convulsions à sept mois; - peur à dix ans : premier accès d'
épilepsie
. Caractère et marche des accès ; fièvre continue
thérapie (amélioration) ; bromure de nickel, etc.; aggravation de l'
épilepsie
. Bont... (Philippe-Désiré), ne à Bourg-la-Reine
dimension d'un oeuf de pigeon. , Observation II. - Imbécillité ;
ÉPILEPSIE
. Premier accès à six mois. - Marche des accès.
r vol, et le représentent comme atteint d'insuffisance mentale avec
épilepsie
. Il est mis dans la section des valides et repr
Neurol. Centralbl., 1884). L'auteur met en relief un mode d'accès d'
épilepsie
, consis- tant en une paralysie pure, momentanée
e se généralise. En ce qui concerne les équivalents psychiques de l'
épilepsie
, ils tirent leurs caractères non pas de la form
'OBSERVATioN IV (épilepsic de la gravidité) et trois autres faits d'
épilepsie
provoquée (électrisation intem- pestive et mors
e montrent, comme les autres, par intervalles de temps à autre. L'
épilepsie
pure, non compliquée, ne s'accompagne pas de symp
que signalé par Siemens, Rbmberg, Gowers au début d'une attaque d'
épilepsie
; la dilatation est toujours initiale. Cette doubl
s à la clinique de Strasbourg j'ai, pendant le stade de sopor d'une
épilepsie
symplomalique de paralysie générale, vu s'effec
M. WiLUERMUTit. Les ictus apoplecliformes sont très rares dans l'
épilepsie
. Il en rapporte deux cas dont l'un avait trait à
'avait présenté aucun accès; ou constatait chez lui le tableau de l'
épilepsie
. Le second jour de son arrivée il avait sa prem
e de Bordeaux. Prix de la Société. Question mise au concours : de l'
épilepsie
jaeksonienne. Ce prix, d'une valeur de 1,000 fr
ec l'asthme, et Solter 4 lui trouve de nombreuses connexions avec l'
épilepsie
. On peut donc aisé- ment admettre qu'un père at
é, onanisme par inter- valles. Marche bien, pas de paralysie. Pas d'
épilepsie
. 1879. Novembre. P.oids, 14 4 kil. 800. Taille,
22. DES FAMILLES D'IDIOTS. 373 Observation XII. IDIOTIE complète;
ÉPILEPSIE
. Crises nerveuses simulant des peurs; accès épi
ains dans sa bouche, mais sans les sucer. 1879. Septembre. Idiotie,
épilepsie
, strabisme; mutisme, cris inarticulés; instinct
oncés de déchéance physique et intellectuelle : idiotie com- plète,
épilepsie
, paralysie, tuberculose, maladie dont la rela-
fecte beaucoup de son état et est convaincue qu'elle est atteinte d'
épilepsie
, le bromure que je prescris la confirmant dans
avait eu un frère épileptique, elle avait été elle-même atteinte d'
épilepsie
dans son enfance. Une autre (Cas. XLVII) avait
accès. M. Anjel croit qu'il s'agit d'équivalents psychiques de l'
épilepsie
. 0 Autre cas. Dame bien éduquée, d'excellente c
uisant par des phénomènes de compression cérébrale. Observation d'
épilepsie
chez un jeune homme de dix-huit ans. Sclérose d
tions, ce sont des fous raison- nants ; ce sont des héréditaires.
Epilepsie
. Lasègue a admis que l'épilepsie vraie reposait s
nants ; ce sont des héréditaires. Epilepsie. Lasègue a admis que l'
épilepsie
vraie reposait sur une déformation crânienne de
e de la base, datant de la naissance. Per- sonne ne peut nier que l'
épilepsie
ne soit héréditaire, mais il a été établi que s
t raison à 430 SOCIÉTÉ* S \ VANTES. Lasègue quand il disait que l'
épilepsie
n'était pas constamment héréditaire. Moreau (de
sont des fils d'alcooliques. Certains sont aussi fils d'aliénés. L'
épilepsie
héréditaire a son empreinte : l'état convulsif
tige plus accentué ; -la forme larvée appartient de préférence à l'
épilepsie
héréditaire. Hystérie. Les hystériques, au poin
modalité caractérisée par le trouble de la connaissance relève de l'
épilepsie
, de l'alcoolisme et des hallucinations. M. Rrrr
s aiguës de la moelle ; par CALL.IS. (Thèse de Paris, 4885.) De l'
épilepsie
dans ses rapports avec les fonctions visuelles ;
kham, 424. Brome (emploi simultané de divers sels de brome dans l'
épilepsie
), 108. Bromure de potassium, 108. Caféine e
llissements syphi- i- litiques multiples), par Hosen- thal, 99.
Epilepsie
partielle, 108. Epilepsie, 231. Epilepsie (br
ques multiples), par Hosen- thal, 99. Epilepsie partielle, 108.
Epilepsie
, 231. Epilepsie (bromuration), 108. Epileptiq
ar Hosen- thal, 99. Epilepsie partielle, 108. Epilepsie, 231.
Epilepsie
(bromuration), 108. Epileptique (délire post-),
de mala- die de), par Pitres et Dallidet, 201. Transfert dans l'
épilepsie
partielle, par Hirt, 108. Tubercules quadriju
oncomitantes comme dans le cas que nous rapportons plus loin. , L'
épilepsie
partielle se voit dans la syphilis des artères
auto-intoxication rénale. comme dans le cas rapporté plus loin. L'
épilepsie
de la syphilis artérielle semble donc relever de
un trouble subjectif de la sen- sibilité, rien qui ressemble à de l'
épilepsie
jacksonienne, jamais d'ictus. Ce matin seulem
UTH. (Medicine Détroit, avril 1897.) Cette étude n'a en vue que l'
épilepsie
essentielle, idiopathique. Parmi les nombreux m
'est spéci- fique, et l'on peut se demander, en présence d'un cas d'
épilepsie
guérie, si cet heureux résultat n'est pas plutô
es lois de cette hygiène qui constituent la base du traitement de l'
épilepsie
. - REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 73 On cherchera d'
out les émotions morales qui entrent en jeu dans la production de l'
épilepsie
. Mosso, dans son étude sur « la Peur », insiste
cérébrale, source de l'énergie nerveuse. Les effets localisés de l'
épilepsie
jacksonienne sont assez démonstratifs, et perme
leur de ces différentes causes, c'est comprendre le traitement de l'
épilepsie
. Pour supprimer les diverses causes d'excitatio
ement fréquente dans la forme méningée. Il s'agit le plus souvent d'
épilepsie
partielle, quelquefois bien limitée. On peut di
qu'il y a des rêves qui doivent être considérés comme des accès d'
épilepsie
. (Revue neurologique, février 1897.) E. 13LiN.
lions honorables sont accordées à M. Voisin pour son travail Sur l'
épilepsie
; à MM. Onuf et Collins, pour leur ouvrage portant
niques. (The alienist and Neurologist, avril 1897.) E. BLIN. XII.
ÉPILEPSIE
CONSÉCUTIVE A L'ENCÉPHALITE ET ÉPILEPSIE TARDIVE
avril 1897.) E. BLIN. XII. ÉPILEPSIE CONSÉCUTIVE A L'ENCÉPHALITE ET
ÉPILEPSIE
TARDIVE ; par le Dr 111EItNAN. L'épilepsie qu
IVE A L'ENCÉPHALITE ET ÉPILEPSIE TARDIVE ; par le Dr 111EItNAN. L'
épilepsie
qui survient après vingt-cinq ans et l'épilepsie
le Dr 111EItNAN. L'épilepsie qui survient après vingt-cinq ans et l'
épilepsie
due aux formes variées d'encéphalite infantile
peut survenir chez des individus indemnes d'hérédité nerveuse, une
épilepsie
qui ressemble sous beaucoup de points à l'épile
é nerveuse, une épilepsie qui ressemble sous beaucoup de points à l'
épilepsie
de l'encéphalite. Ces cas présentent une premiè
e série d'individus atteints d'affections différentes (imbécillité,
épilepsie
, etc.) et a noté, en comparant les résultats, q
matisme de la moelle. G. D. XVII. Rapports DES névroses (hystérie,
épilepsie
, chorée) avec la grossesse ET l'accouchement ;
a moitié des cas environ, la grossesse n'exerce aucune action sur l'
épilepsie
ou l'aggrave ; dans l'autre moitié, elle l'infl
le l'influence favorablement. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 233 L'
épilepsie
est très rarement la cause de l'interruption de l
ébrale qui, limitée dans d'autres cas à une zone motrice, produit l'
épilepsie
jacksonieune. Ici c'est une cellule intellectue
nombre de névro- pathos. ' (A suivre.) 268 bibliographie. VI. L'
épilepsie
; par J. Voisin. Paris, in-8, 1897. F. Alcan, édit
ment intéressante. On ne connaît pas de lésion pathognomonique de l'
épilepsie
. Mais cela ne veut pas dire qu'il s'agisse d'un
ire qu'il s'agisse d'une maladie sine materia. Les symp- tômes de l'
épilepsie
présentent la plus grande analogie avec les int
e épileptique évolue diflé- remment suivant la cause; ainsi, dans l'
épilepsie
réflexe, l'intelli- gence reste longtemps norma
éflexe, l'intelli- gence reste longtemps normale, tandis que dans l'
épilepsie
à état gastrique (par intoxication), l'hébétude
ec décharges irrégulières de force nerveuse (impulsi- vité, chorée,
épilepsie
, folie intermittente, etc.), variétés observa-
sont assez rares et se rencontrent, par ordre de fréquence, dans l'
épilepsie
, le somnambulisme, les traumatismes céphaliques
nt à l'hystérie vraie ce que les attaques épilepti- formes sont à l'
épilepsie
. Enfin, l'hystérie peut emprunter le masque de
ues, portant sur des lésions chirurgicales faites pour la cure de l'
épilepsie
jackson- nienne, en tout comparables aux lésion
la plupart de traiter. Ces cas pour les névroses se rapportent à l'
épilepsie
, la morphinomanie, la migraine, la crampe des é
porté ensuite à 800. En plus, les avantages habituels en nature.
Épilepsie
ET mariage. La Chambre du Connecticut a voté une
einte 1. 1 BourneviUe. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hyslérie, p. 13î, 1 et Ifi5. z Voir l'ob
re de 1)'Olier,intitulé : De la coexistence de l'hys- térie et de l'
épilepsie
avec manifestations distinctes'des deux névroses,
. LVIII. Atrophie unilatérale DU CERVELET ET SYMPATHICOTOMIE pour
épilepsie
; par le Dr Lannois. (Soc. des Se. méd. de Lyon,
aulomatisme pré- sentant le même caractère que celui observé dans l'
épilepsie
et l'alcoolisme chronique, peut se manifester à
le dans la région protubéranlielle du lapin détermine une attaque d'
épilepsie
com- plète classique ; mais, chez le chien, pou
it convulsions cloniques, il faut agir sur l'écorce. Les attaques d'
épilepsie
, quelle qu'en soit l'origine (ab- sinthe, élect
l'action des artères des autres parties du corps; de là l'attaque d'
épilepsie
. La simple piqûre du même organe chez le chien
erchent avant tout à préciser l'indication des interventions dans l'
épilepsie
, et se font une opinion plus sévèrement exacte qu
e amélioration par les procédés opératoires. Pour cet auteur, toute
épilepsie
est symptomatique. Aucun neu- rologiste n'aurai
giste n'aurait le courage de tracer la ligne de démarcation entre l'
épilepsie
partielle et l'épilepsie essentielle. Dans certai
de tracer la ligne de démarcation entre l'épilepsie partielle et l'
épilepsie
essentielle. Dans certains cas l'épilepsie géné
épilepsie partielle et l'épilepsie essentielle. Dans certains cas l'
épilepsie
généralisée peut très bien se prêter à une interv
rès bien se prêter à une interven- tion chirurgicale, tandis qu'une
épilepsie
partielle ne s'y prête absolument pas. La disti
épilepsie partielle ne s'y prête absolument pas. La distinction en
épilepsie
dite idiopathique et épilepsie partielle parais
absolument pas. La distinction en épilepsie dite idiopathique et
épilepsie
partielle paraissait créée tout exprès pour les c
nt de vue des interventions chirurgicales, et cette conception de l'
épilepsie
élar- git singulièrement le champ de ses invest
Intellectual Aura. (Brain XI. 1889, p. 185). L'étude clinique de l'
épilepsie
, ou mieux, desépilepsies, fut reprise alors d'une
saturnine, alcoolique. V. Chan- temesse et Tenesson. Hémiplégie et
Epilepsie
partielle urémique. (Rev. de Dled.1885). On obj
Dled.1885). On objectera peut-être que l'hémiplégie dans ces cas, l'
épilepsie
est due à l'oedème partiel, ou à des lésions cir-
elles, à type brachial, d'origine oculaire, auriculaire. Boucheron.
Epilepsie
d'origine auriculaire. (Ac. des sciences. Juillet
La monoplégie ou l'hémiplégie peuvent même accompagner ces accès d'
épilepsie
réflexes et il peut être difficile de dire si l'é
cerveau devient une lésion déchargeante. Ce qui peut caractériser l'
épilepsie
réflexe, c'est l'existence de spasmes unilatéra
lsions prédominant dans s les spasmes, peut-il aussi caractériser l'
épilepsie
réflexe, et rendre suspecte l'origine exclusive
tion chirurgicale ne sera donc jamais fournie par l'existence d'une
épilepsie
dite jalçsoii- nienne ou idiopathique ! 11 faut
la lésion relève d'un traumatisme ou d'une autre cause. Les cas d'
épilepsie
à antécédents traumatiques fournissent les plus b
à antécédents traumatiques fournissent les plus beaux résultats. L'
épilepsie
survient un temps variable après le trauma- tis
qu'elle ait une valeur diagnostique extrême, quant à la nature de l'
épilepsie
, n'indique nullement le siège de la lésion et l
i donc l'inlervention chirurgicale dans certains cas bien définis d'
épilepsie
partielle à localisation corticale n'a pas donné
venet(Prosper). Considérations sur les réci- dives éloignées dans l'
épilepsie
jacksonnienne traitée par la trépanation. Warde
(.1.1. Der 1T'erlle der Résection des Ualssympalhicus bei genuircer
Épilepsie
, neGsl einigen Beobaclilunqen uncl pliysioloqisch
culeuses. Névroses. -, par Escti(lei,, 231. Tumeurs cérébrales et
épilepsie
lachsonienne, par Abrams et Du- cllev Tait, 3
uement parenchymateuses. (.. Deny. Il. - Les convulsivants dans l'
épilepsie
; par M. F. Devay. (Lyon médical, 8 au'il 1900.
présentent des malaises sensoriels et psychiques, dans les formes d'
épilepsie
déterminant des troubles du caractère et de la
nvénient à pratiquer une nouvelle greffe. G. D. ? - Traitement de l'
épilepsie
; d'après A. Morgan et U. C. lloDSStrts. (Boston
e dans les congestions cérébrales, dans l'alcoo- lisme aigu, dans l'
épilepsie
où l'hypophyse a ('-Le trouvée très congestionn
ysie par épuisement post-épileptique (ex- haustion paralysis dans l'
épilepsie
. -- Revue générale du sujet; p. L. PirRcF. (Cli
e Gaillon, réservé aux condamnés atteints d'aliénation mentale ou d'
épilepsie
, me fait un devoir d'appeler votre attention su
n boucher, entra à l'âge de 26 ans dans un asile de la Seine pour «
épilepsie
avec, attaques rares et débilité mentale ». Il
symptômes avec troubles passagers d'Itr : nZio21e ou d'aphasie ou d'
épilepsie
par- tielle), est un excellent symptôme du débu
e du sang est légèrement augmenté dans les états démentiels. Dans l'
épilepsie
,on note,au contraire, un abaissement qui précèd
alacence du sang s'abaisse dans les états toxi-infectieux el dans l'
épilepsie
au moment de l'attaque. Les variations des élém
léments minéraux ont été peu étudiés, on sait seulement que, dans l'
épilepsie
, pendant les intervalles,l'urée est légèrement
STES. cycliques des globules rouges et des globules blancs dans l'
épilepsie
sont la traduction de l'auto-intoxication cycliqu
de l'écorce cérébrale qui parait être en rapport avec des crises d'
épilepsie
sénile, peut-être avec la démence (5 cas,dont u
ordinaire avec un état démentiel assez pro- noncé et parfois avec l'
épilepsie
sénile. 3° Les grosses LÉSIONS en foyer dans la
s de sclérose plus ou moins diffuse, d'origine vasculaire ou non.
Epilepsie
sénile. L'épilepsie sénile peut présenter toute
u moins diffuse, d'origine vasculaire ou non. Epilepsie sénile. L'
épilepsie
sénile peut présenter toutes les variétés clini
'épilepsie sénile peut présenter toutes les variétés cliniques de l'
épilepsie
juvénile, avec ou sans quelques modifications s
qu'ici signalés de cette dernière lésion, il y a tou- jours eu de l'
épilepsie
sénile. L'épilepsie sénile paraît donc plus fré
te dernière lésion, il y a tou- jours eu de l'épilepsie sénile. L'
épilepsie
sénile paraît donc plus fréquemment sym- ptomat
épilepsie sénile paraît donc plus fréquemment sym- ptomatique que l'
épilepsie
juvénile ; pourtant la connais- sance de plus e
ever de nombreuses causes. 1. Dans les cas avérés d'hystérie ou d'
épilepsie
où les attaques datent depuis très longtemps,sou-
antispasmodique des bromures a été utilisée dans le traitement de l'
épilepsie
, nombreux sont les auteurs qui ont recherché qu
en effet, iL elle seule, modifier en quoi que ce soit le cours de l'
épilepsie
. et n'agit qu'en renforçant, dans certaines con
ucs. 6'oc. A/c. FI6p.,I'JO ? p. RECHERCHES SUR LE TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
. 163 Ce furent, dès lors, une série d'accidents
tion paraît, ainsi que l'a remarqué Icgrand du Saule, réveiller l'
épilepsie
latente. Il semble que l'organisme possède comm
isin, ! tugCI' Voisin, Louis Kuantz. De la décliluni- ration dans l'
épilepsie
, ses avantages, ses inconvénients. Soc. met. Hô
Soc. met. Hôp., 16 drc. 1901. RECHERCHES SUR LE TRAITEMENT DE L'
ÉPILEPSIE
. 105 la bromuration antérieure de l'organisme p
chlorure. Et nous avions alors préconisé dans le traitement de l'
épilepsie
des alternatives de régime salé et non salé, «
ERVEUSE. de régime sans sel et sans bromure, donne dans les cas d'
épilepsie
dite essentielle à accès très nombreux, de très
régime sans sel avec faible bromuration au cours du traitement de l'
épilepsie
; l'augmentation de la dose de bromure pendant
nlales, médecin des asiles. Dans un récent article, le dur Simon (
Epilepsie
, délire alcoolique, mélancolie, etc., etc., Arc
astique, tandis que mon confrère était d'avis qu'il s'agissait de l'
épilepsie
essentielle. Les crises se répétèrent devant
(Revue de méd., juin-1900.) . L. Wahl. XXVII. Les réflexes dans l'
épilepsie
(Ibidem). Les auteurs donnent les opinions des
te intime du parasite. J. S. XV111. Contribution au traitement de l'
épilepsie
par la méthode de Ceni ; par GIOYANNI TIEUGO, (
) Les injections de sérum do Ceni ont été essayées dans six cas d'
épilepsie
, cas très graves, soit par la fréquence des accès
lbuminurie six jours après l'accident.Plus tard il eut des crises d'
épilepsie
urémique et une hémorragie ré- tinienne à droit
ons cru remarquer cependant que, dans quelques cas tout au moins, l'
épilepsie
se montrait plus sévère après une atteinte de d
admissions, dont elles forment presque le quart (folie compliquée d'
épilepsie
, démence sénile et organique, idiotie). C'est e
e pour l'homme, semble constituer un phénomène caractéristique de l'
épilepsie
, puisqu'elle manque dans la plus grande partie
tions intellectuelles (psychose dégénérative et 1),;ychoné% roses :
épilepsie
, hystérie, neurasthénie, chorée). 3° par perle
as ; elle sourit en grimaçant. - Elle n'a ni ver- tiges, ni accès d'
épilepsie
. Ecolage : l'enfant est d'une nullité complète.
toxication chloroformique aiguë. CH.BONNF. XXIX.- Kleine motorische
Epilepsie
(petite ép. motrice) ; par \'nc.nv PI.AVEC, de
. Quelques années après, il y eut en outre de véritables attaques d'
épilepsie
. L'A. passe longuement en re- vue, à propos des
ro- scléroses l'rnolade, rôle de la tuberculose dans l'idiotie, l'
épilepsie
(Courneville-Anglade) et la P. G. (Klippel-Anglad
té et inceste, p. 159. Brome. Voir Poisons. BRO : I1URAT10N. Voir
Epilepsie
. Bulbe. Critiques et observations anatomiques
par Besta, p. 386. Condamnés atteints d'aliénation mentale et d'
épilepsie
placés dans les établissements d'alié- nés (c
- du 4c ventri- cule, par Osterwald, p. 398. Déchloruration. Voir
Epilepsie
. Dégénérations secondaires ex- périmentales p
p. 401. Les anormaux intel- lectuels, par jutes Voisin, 1) 404.
Epilepsie
. Voir Convulsivants. Traitement de 1' -, par Mo
ement de 1' -, par la méthode de Ceni, par Tiengo, p. 229. Petite
épilepsie
motrice par Vacla3--PlaN-ec, p. 457. Epilepti
par épuisement post-épilepti- quc (exhaustion paralysis dans l'
épilepsie
, par Pierze, p. 41. générale tuberculeuse, par
note sur la fausse -, par Féré, p. 155. Réflexes. Le, - dans l'
épilepsie
, parLenobleetAunqreau p. 226. Réforme pénale
cas de chez les exécutants, par Farez, p. 405. Traitement de l'
épilepsie
par déchloruration, p. 158. Traumatismes. Voi
élange fut, d'abord recommandé par moi, pour le ll'aile- tncid de l'
épilepsie
(Voir W. Iîecblerevv Messager de Se1l1'ol. 1SU3.
ement avec netteté. P. 11ERAVAL. XIII. Du régime hypoazoté dans l'
épilepsie
(élimina- tions urinaires et résultats thérapeu
paraît devoir servir d'argument contre la théorie pathogénique de l'
épilepsie
, basée sur l'auto-intoxication. On admet, en ef
toujours persuadés : de la justesse de l'hypothèse pathogénique de l'
épilepsie
d'origine toxique, ils concluent que puisque le
dans le coma et en sortit avec une amaurose totale et des crises (l'
épilepsie
jacksonnienne aujourd'hui disparues. Sa papille
19 F.) et .')cas d'imbécillité (il.), 2 d'idiotie, 2 d'idiotie avec
épilepsie
. « Le mouvement des admissions accuse une diffé
e rapprochée d'une autre observation d'imbécile, avec hémiplégie et
épilepsie
, et état de mal qui lui sert de contre-partie.
entifique : l'action de * l'alcoolisme sur la (le l'idiotie et de l'
épilepsie
; l'ab- sence relative du thymus chez les enfan
s. In-8' de 32 pages. Imp. É, Cailliard il Narhonne, CROUZON(0.).
Epilepsie
jacksonienne du type facio-brachial. In-8" de 4
onctiunsf. Ou bien entre la folie alcoolique, la démence précoce, l'
épilepsie
(I cas, 1 ponc- tion), ou encore entre la syphi
e très avancée (4 fois) ; 2 cas d'im- bécillité (1 fois) ; 4 cas. d'
épilepsie
traumatique (2 fois) ; un cas à diagnostic irré
tits lymphocytes. Le pigment sanguin a été surtout rencontré dans l'
épilepsie
mais quelquefois égale- ment dans la paralysie
VaL. r 111. Nouvelle contribution au traitement diététique de l'
épilepsie
; par R. Balint. (1\'eurolog. Centmlbl., XXII, 19
nique, la démence précoce paranoïde, l'idiotie même, avec ou sans
épilepsie
. Toutefois ils sont presque exclusivement obsenés
r ces derniers. 2. Ce même sérum emprunté à des malades attteinls d'
épilepsie
grave ou surtout, pendant les périodes d'état d
ectuelle, par un état fébrile, par l'aggravation des symptômes de l'
épilepsie
. 3. Le degré de toxicité du sérum en question n
u violent et il ne s'accompagne pasdes symptômes spécifi- ques de l'
épilepsie
. 7. Les diverses espèces d'animaux, (chien, cha
x. : psychoses aiguës (70 %) : névroses constitutionnelles (70 %) ;
épilepsie
(100 ,°% ) ; b) l'affaiblis- sementde l'influenc
re repris par son obsession avant la fin de ce qu'il veut dire. ,
Epilepsie
jacksonienne héréditaire. MM. D1 ! .TERINE, LEE
ire. MM. D1 ! .TERINE, LEENHAI2DT et Moréro. 11 s'agit d'un cas d'
épilepsie
jacksonienne survenant chez une jeune fille de 15
, aux syndromes de dégénérescence ou états plus ou moins liés à l'
épilepsie
, à l'hystérie, à la neurasthénie, à la chorée, à
les douches locales. Nous avons recours il l'hydrothérapie dans l'
épilepsie
com- me agent général, pour prévenir les lésion
STEX présentent des appareils. Note sur le traitement de la crise d'
épilepsie
. Dr J. SIZaRçT (médecin en chef de l'Asile d'al
uxquelles PaulBert avait trouvé pour cause traitement DE la crise d'
épilepsie
. 227 7 1,(Illoxiléi711e.En outre, l'accumulatio
La connaissance de certaines des théo- ries sur la palhogénie de l'
épilepsie
brièvement retracées plus haut, l'aspect d'asph
paraît tout à fait inoffensif), l'ait rapidement cesser la crise d'
épilepsie
. 228 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLO
arallèlement dans la hiérarchie animale. Folies intermittentes et
épilepsie
. DI' F. DRVAY (de Lyon). - Les accès périodique
ui va servir de critérium. Lorsqu'on enlève à un individu atteint d'
épilepsie
jacksonnienne la zone lésée de l'écorce cérébra
o, Lunz). P. 11ERAVAL. XII. Méningo-encéphalite syphilitique avec
épilepsie
Jacksonnienne et perte du sens stéréognostique;
connaissance. Sans nier qu'il puisse s'agir là d'une forma fruste d'
épilepsie
essentielle, M. De- croly est plutôt tenté de r
s de Negri. " L. \\',TEL. XIX. Nouvelles recherches chimiques sur l'
épilepsie
; par le Dr 51asoin. [Bulletin de la Soc. de mé
ouvait accepter les théo- ries actuelles qui tendent à considérer l'
épilepsie
dite essentielle comme une maladie par auto-int
lication de la diazo-réaction cl'Erlich à l'étude des urines dans l'
épilepsie
. Sur lesonze sujets dont les urines furent recu
antes des malades entrés, relevons : hé- BIBLIOGRAPHIE. 327 22; -
épilepsie
; 17, alcoolisme, 32 dont 24 h. « Dans 187 cas (
des troubles mentaux ; chez l'enfant, elles provo- quent souvent l'
épilepsie
et un arrêt de développement intellec- tuel. L'
rche et de la parole il 17 mois. - Propreté à 18 mois. - Début de l'
épilepsie
a 9 ans et demi, un mois après une frayeur. Sec
ques, ce qui semblerait plaider contre la théorie mécanique de l'
épilepsie
et prouver que le toxique - si la théorie Lo\i-
son interrogatoire, il a été pris soudain d'une effroyable crise d'
épilepsie
, et deux gardes municipaux ont du l'emporll'I ?
UROLOGIE 1 4 4 REVUE CRITIQUE Recherches microbiologiques sur l'
Epilepsie
; i '' P,\TI : \1. BHA, Au commencement de 19
smes trouvés parera, nue s'opposait pas au rôle joué par eux dans l'
épilepsie
et qu'en tous cas, les vues actuelles sur la pa
ue les très intéres- santes recherches de MM. J. Voisin et Petit (L'
épilepsie
, Paris 1897, pages l39-Lo). Sur 9 examens du sa
nsent, un staphylocoque banal. recherches MlcnOBlOLOG1QUES, sun l'
épilepsie
. 473 d'involutinn ou résultent de la coalescenc
ineux emprisonne dans ses mailles les éléments mi- crobiens. Dans l'
épilepsie
, comme dans les infections du sang en général,
grande quantité, du sang recherches MICROI3101.OGIQ1 : 1 : S sur l'
épilepsie
. 475 en bouillon ordinaire. Le procédé dont je
l'état de mal où les périodes s'imbriquent, se confondent que de l'
épilepsie
chronique.La virulence des cultures est assez v
venant de l'étal de mal. recherches M1CROB10LOl>I<,¡CES SUR l'
épilepsie
. 177 7 des passages, soitpar lerepiquage sur mi
à mes précédentes conclusions,la valeur du séro-diagnost ic dans r
épilepsie
est loin d'être absolue. \ 4Î5 REVUE DE PATHO
ulmonaire qui présenta, dans la période ulti- me delà maladie, de l'
épilepsie
localisée, avec embarras de la parole Uouldesde
GIE. Séance du 9 novembre 1905. - Présidence de )1. P)RISS.1,D. '
Epilepsie
. Bromure et déchloracration. M. THOMAS. - Enfan
o'tcatM, etc.) ; ou a fois motrices et intellectuelles telles que l'
épilepsie
, l'hystérie, la paralysie générale, la démence sé
ne, p. 39. Bradycardie. Voir Atrophie musculaire. Bromure. Voir
Epilepsie
. Bulbe. Voir Pseudomélie. Des noyaux arciform
, par lé- sion de la glande thyroïde, par Bayo, p. 481. Crise d'
épilepsie
. Note sur le traitement de la ! -, par Nizare
Encéphale. Voir Tétanie. Enfants arriérés. Voir Assis- tance.
Epilepsie
. Du régime hypoa- zoté dans 1' (éliminations
ie de la persécution. Voir Uypochoiuliiugues. inter- mitteute' et
épilepsie
. Drame de la -, p. 2o3. meur- trière, h. 502.
archand, p. 332. ' : ¡lÉ ? IXGO-EXCÉPHALI1E 5711111- tidue awec
épilepsie
Jaclcson- nienne et perte du sens sté- réogno
nnistc, p. 326. Recherches cliniques ET Tlif- rapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Comp- te tendu de l
ormes de 1 idiotie, par Bourneville, p. 206. - diététique. Voir
Epilepsie
. Le des aliénés dans les familles, par Ch. Fé
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PR
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
; l'autre, d'enfants tout à fait incurables ou d'enfants atteints d'
épilepsie
ou de méningo-encé- phalite devenus gâteux sous
me CHEZ UN ENFANT. Alcoolisme chez un enfant de 4 ans. Démence et
épilepsie
symptomatiques de méningo-en- céphalite. - Diph
ité. Deuxièmes convulsions 15 jours après les premières.- Accès d'
épilepsie
. Prédominance des convulsions à gauche. - Nouve
embre 1885). Paralysie (novembre 1885).- Tremblement choréifornze.-
Epilepsie
symp- tomattque ; accès de plus en plus rapproc
t en décembre, les convulsions, qui avaient pris l'allure d'accès d'
épilepsie
, se montraient chaque jour variant de 1 à 8 ; e
nderl..., car, d'une part, nous ne trouvons dans ses antécédents ni
épilepsie
ni aucune autre maladie nerveuse et, d'autre pa
s intervalles plus ou moins longs, jusqu'à l'apparition des accès d'
épilepsie
symptomatique (nov. 1885). Ces accès ne se mont
atisante et sujette à des crises nerveuses que l'on croit être de l'
épilepsie
. Deux soew's; l'une expatriée au Brésil; l'autr
retrouvé dans les membranes. 20G EPILEPSIE IDIOPATHIQUE. IX.
Epilepsie
idiopathique.- Démence paralytique. - Obstructi
che optique et du ventricule latéral. BOURNEVILLE, 1886. 15 218
ÉPILEPSIE
; rémission. Le cervelet, la protubérance, le b
nous semble comporter les remarques suivantes : I. La marche de l'
épilepsie
mérite d'attirer l'attention. Nous avons àrelev
mmune dans les attaques d'hystérie, n'existant pas dans les accès d'
épilepsie
et rare dans le délire épileptique. Nous relevo
Kno1pel. Wùrzburg, 1847. 226 TEMPÉRATURE dans LES ACCÈS isolés d'
épilepsie
. X. De la température dans l'épilepsie ; Pa
RE dans LES ACCÈS isolés d'épilepsie. X. De la température dans l'
épilepsie
; Par bourneville. I. Température dans LES ac
ilepsie ; Par bourneville. I. Température dans LES accès isolés d'
épilepsie
. En 1870, dans notre thèse inaugurale (1), nous
elques observations thermométriques montrant que les accès isolés d'
épilepsie
déterminaient une légère élévation de la tempér
ier l'exactitude de la règle posée par nous, à savoir que l'accès d'
épilepsie
augmente la température et, à l'occasion, dans
e-ode l'encéphale. Paris, 1870. TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'
ÉPILEPSIE
. 227 tion est erronée. Comparées aux mensuratio
ns étudier successivement la tempé1'ature dans les accès isolés d'
épilepsie
, puis durant et après les petites séries. Cette
épileptique et de quelques autres questions cliniques concernant l'
épilepsie
. (Berliner Klin. 1Yochel1schl'i(t, n9 43 et 44,
n9 43 et 44, octobre 1886.) 228 TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'
ÉPILEPSIE
. TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE.
S LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'
ÉPILEPSIE
. 229 230 TEMPÉRATURE DANS L'ÉPILEPSIE. Au déb
ATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. 229 230 TEMPÉRATURE DANS L'
ÉPILEPSIE
. Au début de son travail, M. Witkowski exprime
de la tem- pérature centrale sous l'influence des accès isolés d'
épilepsie
, les soixante faits que nous venons de placer s
t l'état de mal épilep- tique. Conclusions. 1° Les accès isolés d'
épilepsie
augmentent la température centrale; 2° Cette
5 à 6 dixièmes de degré. II. Température dans LES accès SÉRIELS d'
épilepsie
. Les accès d'épilepsie se présentent tantôt à l
. II. Température dans LES accès SÉRIELS d'épilepsie. Les accès d'
épilepsie
se présentent tantôt à l'état isolé, tantôt sou
question, pas plus que sur la tempé- rature dans les accès isolés d'
épilepsie
. Mais M. le Dr Witkowski contestant ce que nous
eux. Paris, 1872-1873. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
et l'hystérie, pages 1 à 9h. Paris. 1876. - De
a reusement observés, nous avons fait voir que les accès isolés d'
épilepsie
augmentaient la température centrale de quelque
u ni incontinence nocturne d'urine, ni attaque de nerfs, ni accès d'
épilepsie
, ni agitation choréique, ni affections vénérien
ère du nenzGne inférieur droit. Secousses, exaltation des réflexes.
Epilepsie
spinale spontanée et difficilement provoquée, l
reposer. Il faut faire marcher le malade pour pouvoir provoquer l'
épilepsie
spinale, qui même alors ne se manifeste que faibl
ès léger boitement, à peine perceptible. Exaltation des ré- flexes.
Epilepsie
spinale spontanée. [Secousses. Altération de la
ent constatable par les procédés les plus élémentaires. 11 y a de l'
épilepsie
spinale spon- tanée, mais non provoquée. Plusie
ou trois jours sans se fatiguer. Il n'y a plus de secousses, plus d'
épilepsie
spinale. Il n'y a plus qu'une très légère dimin
onsidérable des réflexes plantaires cré- m(istéi,iei2s et rotuliens
Epilepsie
spinale spontanée et provoquée. Secousses, cont
u réveil, il suffit de relever un peu l'avant-pied pour provoquer l'
épilepsie
spinale qu'on ne peut faire cesser qu'en fléchi
émastériens, plantaires ou rotuliens ont été très exaltés. " - 2°
Epilepsie
SPINALE. - C'est un symptôme encore constant. P
'il suffit de relever une seule fois l'avant- pied pour provoquer l'
épilepsie
spinale. 3° Secousses. Voilà encore un autre sy
ce moment, les symp- tômes qui le dénotent sont les secousses et l'
épilepsie
spinale. A cette époque, nous n'avons pas exami
réflexes chronologiquement se développe plus ou moins avant que l'
épilepsie
spinale apparaisse. Là, le symptôme peut s'arrê
re, à se compléter et alors aux symptômes, exaltation des réflexes,
épilepsie
spinale, secousses, contractures passagères vie
as. Il n'y a presque plus de parésie au membre inférieur droit. L'
épilepsie
spinale survient très rarement; impossible de la
ngée. Quant aux symptômes spastiques, exaltation des réflexes et.
épilepsie
spinale, ils sont déterminés par une dégénérati
tes. 129 Discussion : M. Jolly a vu la fièvre typhoïde guérir une
épilepsie
avec trou- ble mental, et la scarlatine agir de
ilepsie avec trou- ble mental, et la scarlatine agir de même dans l'
épilepsie
. M. Schuele a vu la fièvre typhoïde déterminer
., qui sont reconnus épileptiques. Il y a des degrés infinis dans l'
épilepsie
. Est-ce que, par cela seul qu'un individu sera
ela seul qu'un individu sera sujet de loin en loin à des attaques d'
épilepsie
, on pourra le prendre au moment d'être libéré e
46 SÉNAT. M. DE Gavnnum. En un mot, la commission entend parler d'
épilepsie
bien caractérisée ? M. le Rapporteur. Il s'agit
quand il s'agira de condamnés à des peines correctionnelles, que l'
épilepsie
ou la folie se manifes- tera à un moment rappro
hors de proportion avec le but à atteindre ? Le condamné frappé d'
épilepsie
ou d'aliénation ne pourrait subir un traitement
nique, soit à un trouble fonc- tionuel, névrosique, de l'encéphale (
épilepsie
, hystérie, apoplexie commune, sclérose en plaqu
i, au point de vue symp- tomatotogique, est un très beau spécimen d'
épilepsie
jaksonnienne ou partielle. La voici : Observa
xcitation même très intense de l'écorce n'amène pas de phénomènes d'
épilepsie
, ni avant le dévelop- pement des centres moteur
1,'Iivstéi-o-épi[opsie mâle ressemble en tous points à l'hystéio-
épilepsie
femelle. Il en est ainsi pour l'hystéro-épiiopsie
et la marche de l'accès, en ce qui concerne l'épilepbie.l'Ilystro-
épilepsie
des garçons diffère de celle des hommes par l'iné
de nouveau à dire sur les vertiges, les convulsions épileptiformes (
épilepsie
corticale), ni sur les troubles d'origine spina
ations psychiques liées aux accès périodiques de l'hystérie ou de l'
épilepsie
(épiphé- nomènes ou équivalents), on n'a jusqu'
elopper d'autres affections nerveuses, soit des névroses (hystérie,
épilepsie
), soit des maladies nerveuses organiques, et su
le, 1888. Allier père et fils. Goubert (E.) Nouveau traitement de l'
épilepsie
; sa guérison possible. Brochure in-8» de 16 pa
et des corrections importantes, ainsi qu'un chapitre nouveau sur l'
épilepsie
corticale, peut en être considérée comme une se
iels (1879)". Des 1878, Luciani avait publié Sur la pathologie de l'
épilepsie
^ un travail magistral de phy-' siologie expérim
es lorsqu'on aborde l'analyse des récents travaux de Seppilli sur l'
épilepsie
corticale. Enfin, il 1 Luigi Luciani e Auguste
telles, la suppression brusque de la menstruation, une attaque d'
épilepsie
ou d'hystérie. Ce n'est pas le lieu ici de disc
ie légère des articulations. Se- cousses. Exaltation des réflexes.-
Epilepsie
spinale spontanée et provoquée. Rien d'anormal
i- tion calorique. M. le Dl Fisiifr (de New-York). Observations d'
épilepsie
consécu- tives à l'hémiplégie cérébrale.-Les lé
nsécu- tives à l'hémiplégie cérébrale.-Les lésions de cette sorte d'
épilepsie
, de même que celle de l'épilepsie idiopathique,
ale.-Les lésions de cette sorte d'épilepsie, de même que celle de l'
épilepsie
idiopathique, portent sur l'écorce cérébrale.
troubles d'anesthésie. Il a souvent constaté l'aura sensitif dans l'
épilepsie
jacksonienne dans des cas de tumeurs cérébrales
S SAVANTES. 191 1 le D1' James H. Lloyd et JoaxB. DEAYEK : Un cas d'
épilepsie
en foyer traitée avec succès par la trépanation
gique. M. le Dr VICTOR HonsLEY (de Londres) mentionne un cas où l'
épilepsie
s'est reproduite deux ans après l'opération, et u
M. le Dr Séguin dit que dans le cas opéré par lui et le D'' Weir, l'
épilepsie
a réapparu avec une parésie plus grande. Il y a e
et en 1882, il soutenait à la Faculté sa thèse : Du traitement de l'
épilepsie
, faite avec le plus grand soin dans le service
ique ; De l'idiotie crétizzoide avec cachexie pachydermique; - De l'
épilepsie
procursive. Nous citerons plusieurs notes et mé
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THERAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERV
ladie. - Date du décès. Gerv .......... 2 ans. Idiotie méningitique
Epilepsie
. 12 mai. Cécité. ' Delay........ 3 ans. Idiot
...1 )Gans. i Idiotie complète. Gâtisme. 20 juin. ' Hanta 17 ans. 1
Epilepsie
symptomatique. 27 juin. : , Tl'odo ? ....17 m
e Dr Bouchaud relative à un cas d'hémiplégie infantile compliquée d'
épilepsie
, terminé par la mort à 43 ans, dans lequel nous
ée, ni convulsions d'aucune sorte ; pas d'attaque d'hys, térie ou d'
épilepsie
. Pas de traumatisme, - Impétigo du cuir chevelu
de la maladie n'a pas dépassé 12. uns. IV. - Débilité mentale et
épilepsie
. SOMMAIRE, - Père et mère rien de particulier.
mpérature dépassait 39° : leur nombre s'est élevé à 58. Uns. X. -
Épilepsie
. Sommaire. l'ère alcoolique. Grand'mère paterne
toujours été appliqué avec toute la rigueur désirable. Uns. XIII.
Épilepsie
. Gcn... (Pierre), 31 ans. ? )h))ade depuis le 7
maladie. Guérison. -'l'rnilemen6 par les bains froids. Uns. XIV.
Epilepsie
. \fcz... (lunucte), : '7 ans, - Malade depuis l
, elles nous ont paru mériter d'être publiées en entier. Obs. XV.
Épilepsie
. Sommaire. Père divorcé, caractère très emporté
yer tuméfiées. Pas de perforations intestinales (1). OBS. XVII. -
Épilepsie
. Sommaire. Père, r intermittentes, e.vcès de bo
vation de la tempéra- ture terminale. ' 1 1 OBS. XX. - Idiotie et
épilepsie
. - Fièvre typhoïde compliquée de péritonite gén
se a duré cinq minutes au plus et, à la 140 État de mal convulsif ;
ÉPILEPSIE
consécutive. suite, le malade est resté abattu
le qu'il ne s'est pas agi la première fois d'un véri- table accès d'
épilepsie
, mais de convulsions ordinaires comme il s'en p
lée : De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
, . 168 Epidémie DE fièvre typhoïde. certain n
érose tubéreuse se complique sou- vent, au point de vue clinique, d'
épilepsie
, neuf fois sur dix; que l'épilepsie se manifest
nt, au point de vue clinique, d'épilepsie, neuf fois sur dix; que l'
épilepsie
se manifeste sept fois sur neuf par des accès e
- Action de l'alcoolisme sur la production de l'idiotie : - et de l'
épilepsie
. ' l'An IROURNrtVII.1,E. 1773 enfants idiots,
.). - De l'influence des maladies intercurrentes sur la marche de L'
épilepsie
. Thèse de Paris. ! 30GRNEVILLE, - Contribution ri
ris. HUBLIi. (M.). -Rcche.rches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
. Thèse de Paris. ' MOI\LOT (E.). - Sur une form
faites dans LE service. '1882, BRICON (L.). - Du traitement de l'
épilepsie
: Hydrothéra- pie. - Arsenicaux. - Magnétisme m
rarpine. Curare, etc. Thèse de Paris. Roux (G.-L.). Traitement de l'
épilepsie
et de la manie par le bromure d'éthyle. Thèse d
par le bromure d'éthyle. Thèse de Paris. WuiLLAMiER (Th.). - .Ce l'
épilepsie
dans l'hémiplégie spasmodique infantile. Thèse
ne du cerreau. Thèse de Paris. 1889. Cornet (P.). Traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. CiOTTSCHALK (A.). Valeur de l'
luence de la consan- 7uinité sur la production de l'idiotie et de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. 1891. SoLLiER (P.). Psycho
ait comme étourdi. Quelquefois, il lui est arrivé d'uriner au lit. (
Epilepsie
? ) Dans ces derniers temps, l'in- quiétude dev
tudie l'hystérie sur- venant chez un épileptique ; dans le second l'
épilepsie
survenant chez les hystériques; dans le troisiè
nsi-dire de ces phénomènes, et la soudaineté du cri font penser à l'
épilepsie
. 11 est fort difficile de faire de sang-froid l
osion d'un canon; et le cri nous rappelle ce que l'on entend dans l'
épilepsie
ou dans l'hystérie. Le visage reste calme, mais
touchant à celle-ci, comme certains états épileptoïdes touchent à l'
épilepsie
. Quoique les phénomènes présentés par les « saute
Hérédité. Cette affection est aussi héréditaire que la folie ou l'
épilepsie
, bien qu'il n'y ait aucune relation entre elle et
ie et la thé- rapeutique des centres nerveux et principalement de l'
épilepsie
. Prix : 8,000 franc ? . Clôture du concours : 3
lle que serait, par exemple, la découverte d'un remède curatif de l'
épilepsie
. Conditions des concours. Les mémoires, lisible
S relations étiologiques ENTRE LES lésions DE la CORNE D'AMMON ET l'
épilepsie
; par Wilhelm Sommer. (Arch. Psych. u. Neivenk.
venk., t. X, c. 3.) 1 Cette étude porte sur l'analyse de 90 cas d'
épilepsie
, réunis en un tableau qui embrasse toutes les i
morbide, d'étiologie, de symptomatologie, tant au point de vue de l'
épilepsie
qu'à celui de l'état mental, des, causes de la
iquer le mécanisme de l'accès épileptique. 11. Sommer, refusant à l'
épilepsie
toute autonomie comme entité morbide, la regard
ne l'a fait jusqu'à)présent,les rapports, de l'alcoolisme avec l'
épilepsie
; celle-ci, en effet, peut être,, soit, le résulta
comprend 257 cas ( 1 li.0 liom mes, t 117 femmes), dans lesquels l'
épilepsie
, été.manifestement consécutive à l'alcoolisme;
utive à l'alcoolisme; la secondé comprend 136 cas dans lesquels l'
épilepsie
a été, lé résultat d'excès alcooliques associés t
9B j1 ? 2° intempérance des parents a produitjaj prédisposition à l'
épilepsie
chez' 56 hommes (Ïg,2'p. 100),"e chez~43 femmes
j ,jlg.1j r banmmsH ' ' 3° L'intempéranèeldes parents,' associera l'
épilepsie
" où'à'la foliée a<'été notée-chézc4.9 hôliim
5Ï femmes (19,'24 p. 100); d'où une proportion totale de 17-48. L'
épilepsie
des parents figure pour 39 (12,70 p. 100) chez le
tion totale : 36,53 p."100. 4jp fi11L r1 ; pur .ci 5° La folie'ou l'
épilepsie
'des parents,1 en dehors de io'ûs"a'nté ! éédèr
e- verrià molitre que (1 intempérance a été la 'cause unique de l'
épilepsie
alcoolique' dans 30,80·p.,100,des âs, mais que, "
éldëntellés (çëre- braux de Lasègue) ' niais ! qu'il s'agisse d'unë
épilepsie
post-alcoo- ,. t r" r, i.l til'nt 1 7 . II rH !
t assurément plus fréquente dans l'épilepsie' alcoolique que'dans l'
épilepsie
ordi- naire ; mais ce caractère n'a, pas toute'
lus large,de ces;mots, cons- tituent les éléments essentiels^ de, l'
épilepsie
alcoolique ;, cela étant, il n,'y, pas à s'éton
ffection,r,gnale. - 21"( 3° L'urine évacuée à la suite d'un accès d'
épilepsie
ne présente -9 aucune particularité i ni dans s
nstater, une exagération, de.I l'albu- minurie du fait d'un accès d'
épilepsie
. En ce cas, toujours faible, elle provient chez
la suite de deux accès consécutifs, on dut consigner 9 livres. 9° L'
épilepsie
, quand, elle , entrainedes, manifestations,, me
L'épilepsie, quand, elle , entrainedes, manifestations,, mentales, (
épilepsie
psychique), produit( une déperdition,, pondéral
DARGET. (Thèse de Paris,' 881.) .. ,- Contribution à l'étude de l'
épilepsie
d'origine syphilitique; par, A.' PÉRIER.'(Thèse
r- ton,2S9. Albuminurie (considérée comme symptôme de l'accès d'
épilepsie
) par Kleudgen, 27G. Alcool (restraint pharmac
lcool (restraint pharmaceutique et), par Davies, 282. Alcoolique (
épilepsie
), 268. Alcooliques (marche de la paralysie gé
e (centralisation de l'), par F@l on, 283 : 1 1 1 (p f 4nintriv ?
Epilepsie
(relations étiologiques ? n entre tles i lésions
Sclérose atrophique hémisphérique. Imbécillité; hémiplégie droite ;
épilepsie
; accès et verti- ge : démence; Par 130U1t\E1
et 2 mois à 7 ans. - Athétose. - De 7 ans à l'entrée, 2 à 3 accès d'
épilepsie
par jour. , Rougeole à 5 ans. - Oreillons à 6 a
ort à l'iné- galité cérébrale. VI. Il s'agissait, en somme, d'une
épilepsie
partielle forme hémiplégique, due à une scléros
l une méningite chroniq ue de l'hémisphère céré- bral gauche. Cette
épilepsie
, semble en raison de la fréquence des vertiges
, comme- celui-ci, où existe le syndrome : Imbécillité, hémiplégie,
épilepsie
, succé- dant à un état de mal convulsif de la p
notablement sous l'influence du traitement médico-pédagogique. L'
épilepsie
est constituée surtout par des accès se présent
vis d'hébé- tude, de sommeil prolongé, deux symptômes qui, dans l'
épilepsie
ordinaire sont, en général, les avant- coureurs
e syndrome : arrêt de développement de l'intelligence, hémiplégie, -
épilepsie
, est dû a une méningo-encéphalite limitée à l'u
centres psycho-moteurs. Cette pathogénie se rapproche de celle de l'
épilepsie
tardive, (lu tremblement sé- nile, de la myoclo
nique de contamination musicale. Un imbécile agité, jadis atteint d'
épilepsie
, chante une série d'ac- cords sans fin qui impr
n héroïque 64 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'arrêter les accès d'
épilepsie
et peut-être aussi un procédé de na- turoàdimin
x, un cas particulièrement documenté au point de vue étiologique.
Epilepsie
, délire alcoolique, mélancolie, tentative de su
ouffrait pas, restait aussi bienj'ail que par le passée ! ses jour-
ÉPILEPSIE
, DÉLIRE ALCOOLIQT'E, MELANCOLIE, ETC. 107 nées
n'est pas seul à expliquer, qui s'est manifesté autrefois par de l'
épilepsie
,puis des idées de persécution, mais qui affecta
memestalionnairc. p, KERAYAL. X. Contribution au traitement de l'
épilepsie
par le sé- rum sanguin ; parll. GERHARTZ. (Xeur
esse. L'électricité donne des rendions nor maies. L. \\" \\\1'. -
Epilepsie
réflexe par rétrécissement spasmodi- que de l'o
assez de caractères cliniques pour qu'on puisse affirmer chez lui l'
épilepsie
: il pré- sente assez de signes tératologiques
nt et la direction des établissements scolaires. L. WAHL. XX ! V.
Epilepsie
procursive à forme anormale ; par Cour- TELLEMO
combattre la goutte chez les migraineux simultanément goutteux. L'
épilepsie
goutteuse comporte les mêmes réflexions. Migraine
L'épilepsie goutteuse comporte les mêmes réflexions. Migraine et
épilepsie
sont des états morbides proches parents (observat
a prédisposition est cependant nécessaire pour combiner la goutte l'
épilepsie
; ence cas, il convient d'as- socier les deux t
socier les deux traitements. L'enfance est cause occasionnelle de l'
épilepsie
. 11 existe aussi une épilepsie sénile en relation
enfance est cause occasionnelle de l'épilepsie. 11 existe aussi une
épilepsie
sénile en relation avec Par terio-sclerose, qui
uent pas non plus si ces accidents ont été le point de départ d'une
épilepsie
durable, comme dans les expériences de 131'0\\ n-
lexe patellaire. P. KERAYAL. LXI\ ? Contribution casuistique a. l'
épilepsie
syphilitique; par r1. Feinberg. (lTeeerol.Celxt
ent analysées, dans lesquelles l'accès ne se distingue en rien de l'
épilepsie
fonctionnelle, soif tlue le aamlrmne ait lieu s
érébraux précèdent ou suivent l'atta(me. Deux autres observations d'
épilepsie
jacksonienne syphilitique, égale- ment discutée
vec le plus grand soin. La question de l'ori- gine traumatique de l'
épilepsie
chez un syphilitique ne laisse pas d'être embar
rait au diagnostic différentiel de l'é- pilepsie alcoolique et de l'
épilepsie
syphilitique. Il s'agit d'un homme de 45 ans af
ctale. P. Keraval. '( XVII. De l'intervention chirurgicale dans l'
épilepsie
choréique ; par W. M. 11ECHTERE\\'. (0{'t)j)'on
roits du corps, qui graduelle- ment avaient dégénéré en attaques (l'
épilepsie
si intenses que le sujet ne pouvait plus se tia
rdinaire précèdent chez lepatient te développement de l'atta- que d'
épilepsie
; en cessant l'excitation, on fait cesser les mou
que les mouvements conv ulsifs permanents interparox)'stiques de l'
épilepsie
choréique sont, comme les altaques mêmes, d'ori
(Debove) céphalées de la méningite syphilitique secondaire. Dans l'
épilepsie
, celle méthode ne donne aucun résultat. Quelque
-encéphalites diffuses ou en loyer) ; c) dues aux psycho- névroses (
épilepsie
, chorée) ; d)dues aux psychoses degeneratives,
) aigus, syndromes maniaques et hallucina- toires dus aux névroses,
épilepsie
, hystérie ou aux intoxications (alcool, lièvre)
e et la stupidité ; Du no-restraint, etc. UN sale traitement de l'
épilepsie
. Le Journal de méde- cine de Paris du 19 févrie
nfants après leur nais- sance,étant desséché et pulvérisé, guérit l'
épilepsie
si on le prend intérieurement quelques jours de
x, mais n'a jamais eu ni crises convulsives, ni rien qui rappelle l'
épilepsie
ou l'hystérie. Pas de stigmates hystériques. To
rpin (de Genève) : 3.000 francs (annuel), au meilleur ouvrage sur l'
épilepsie
et les mala- dies nerveuses : Prix llc·n,oi Lor
' « De six enfants âgés de moins de dix ans, doux'sont atteints d'
épilepsie
, trois d'idiotie, un de débilité mentale ». En
méthode de Marchi,par l'étren, 23-1. Voir Tumeurs. DÉLIRE. Voir
Epilepsie
. Démence. Voir Sclérose. Fré- ' quence et éti
Bourneville, 269. -- Arriérés et épileptiques.Voir Assistance.
Epilepsie
. Délire alcoolique, mélancolie, tentative de su
e l'Assistance publique, par ' Bourneville, 416. Mélancolie. Voir
Epilepsie
. Mémoire. Sur une altération singulière de la
érose atrophique hémisphé- rique, Imbécillité, hémiplégie droite,
épilepsie
, accès et ver- tiges, démence, par Bourne- vi
nels aliénés, par Aschafl'en- burg, 326. . Sérum sanguin. Voir
Epilepsie
. Sommeil post-épileptique. Voir Epileptiques.
par l'augmentation du phéno- mène du genou et par l'apparition de l'
épilepsie
spi- nale; on ne retrouve rien d'analogue du cô
ine à l'autre, peut être d'un grand secours pour le diagnostic de l'
épilepsie
nocturne ou vertigineuse. Non seulement les vra
ec conservation du sens intime, on est en droit de soup- çonner l'
épilepsie
. Très souvent alors une observa- tion attentive
gnostic de la maladie. En dehors de la paralysie générale et de l'
épilepsie
, mes observations prouveraient que la conscienc
il y a coexistence chez un même sujet des deux névroses hystérie et
épilepsie
, et qui présente au rang de ses manifestations
s, les unes relevant uniquement de l'hystérie, et les autres de l'
épilepsie
. Mais il est question également d'un accès de con
s les réflexes cutanés et tendi- neux, accompagnée de douleurs et d'
épilepsie
spinale quand on prolonge les essais ; la contr
mpagne de l'hémiauesthésie, et l'hyperosmie précurseur de l'accès d'
épilepsie
(propagation de l'irritation aux circonvolution
le bras ne le sont plus ; et le patient n'a eu que deux attaques d'
épilepsie
depuis l'opération. M. Hammond pense que la mal
leoic. XXXVIII; M et 3.) p, g, BIBLIOGRAPHIE Du traitement de l'
épilepsie
(hydrothérapie, arsenicaux, magnétisme minéral,
d'épileptiques, enfants ou adultes, parmi eux 45 étaient atteints d'
épilepsie
idiopathique ou apoplectiforme : 27 ont été amé
ixte. Il y a eu 18 insuccès. Neuf autres malades étaient atteints d'
épilepsie
hémiplégique, cinq ont été améliorés, chez un m
x prenait des douches ; chez 128 BIBLIOGRAPHIE. les huit autres l'
épilepsie
est restée stationnaire ou a suivi une marche a
ui paraissent manifestement impuissants à modifier la marche de l'
épilepsie
(arsenicaux, magnétisme minéral,) les deux autres
iiontrer l'intluence des maladies intercurrentes sur la marche de l'
épilepsie
. 11 ressort de cette note que dans les différen
u. Une demi-heure plus tard éclate la première attaque d'hystéro-
épilepsie
, attaque encore mal dessinée, et caractérisée sur
tion I.-11102101)légiC du membre aü fére'etc' gauclze. ltla- q(es d'
épilepsie
partielle. Extension de la paralysie au membre
recueillons, a bien certainement revêtu les caractères d'un accès d'
épilepsie
partielle : la jambe, le membre supérieur et les
bes (d'une, plume. ? Les réflexes tendineux sont.exagerés ? Point d'
épilepsie
spinale.- Point de troubles trophiques ? " Rien
. K. i XIII. Des modifications pondérales qui suivent LES accès d'
épilepsie
; par Schuchardt. (Allgein. Zeilschi-. f. Psych
ommis un crime dont il n'a pas gardé le sou- venir. M. )).1LL1. L'
épilepsie
larvée ne se manifeste-t-elle pas souvent par d
s analogues ? 2 M. Ball. Foville a en effet édifié une théorie de l'
épilepsie
sur l'anémie cérébrale ; cette théorie a beauco
s convulsions se rencontrent dans plusieurs états diffé- rents de l'
épilepsie
; d'ailleurs le malade n'a ni aura, ni hallucina-
un crime inconscient. Un acte inconscient est bien fréquent dans l'
épilepsie
à forme larvée ou vertigineuse. M. B1LL01). C
sentant fidèle- ment les multiples transitions qui existent entre l'
épilepsie
, les était. épileptoïdes et la psychose épilept
2° Trouble psychique paralytique; 3° Trouble psychique accompagné d'
épilepsie
ou d'hystérie ; i" Delirium tremens ; 5, Idio
l'origine de la vésanie est la paralysie générale, l'hystérie ou l'
épilepsie
, mais uniquement si ces éléments morbides sont
de l'excitation maniaque. Peu de temps après, on note deux accès d'
épilepsie
, suivis d'hémiplégie faciale gauche et de ma- i
n'a guère pu encore être étudiée. Cil. F. Leçons cliniques sur l'
Épilepsie
; par SI. V. Magnan, recueillies et publiées par
au nombre de six, contiennent un exposé clinique très complet de l'
épilepsie
; mais elles sont plus particulièrement destinée
ité. Cette leçon se termine par l'exposition d'un cas remarquable d'
épilepsie
consécutive à une blessure du talon. Le malade
contient une description très complète des différentes formes de l'
épilepsie
: grande attaque, vertige, absence, épilepsie l
fférentes formes de l'épilepsie : grande attaque, vertige, absence,
épilepsie
larvée. On y trouve également la physiologie path
énés dangereux. La cinquième leçon est réservée aux rapports de l'
épilepsie
avec" la démence, l'idiotie et les vésanies. L'
sie avec" la démence, l'idiotie et les vésanies. L'antagonisme de l'
épilepsie
avec la paralysie générale est nettement affirm
nnistes, les hémiplégies, la méningite cérébro-spinale a frigora, l'
épilepsie
par malformation du crâne, la folie à deux, la té
a tétanie, les troubles visuels de l'alcoolisme, la pathogénie de l'
épilepsie
, le vol aux étalages, la mélancolie perplexe, l
. Ecriture (physiologie de 1'), 261. Electricité statique, 121.
Epilepsie
(du traitement de l' ; hydrothérapie, arsenicau
, ma- gnétisme minéral, sels de pilo- carpine), parBricon, 127.
Epilepsie
(des modifications pondé- rales qui suivent les
d'). par Seliiieliardt, 370; - et mala- dies de l'estomac, 398.
Epilepsie
(leçons cliniques sur l'), par Slagnan, 415.
s), Par Ripping, 371 ; - du développement (1(,'S - (lui fait de l'
épilepsie
, par Guauck, 372; - des prisons, par lürn, 379
ous avons montré que tous nos cas simulent exactement' -des accès d'
épilepsie
, soit sensitive, soit motrice. Or, que l'hystér
illano. 1883. Ballet et Crespin. Des attaques d'hystérie ii forme d'
épilepsie
partielle. (Archiv. de Neu- )-ologie, 1884.) Ba
eprésentait bien comme expres- sion symptomatique, le syndrome de l'
épilepsie
sensitive ou motrice. Cela est si vrai, que tou
ui nous paraît très intéres- sante. C'est que dans tous les cas d'
épilepsie
partielle, avant de procéder à la trépanation d
vu par nos observations qu'elle peut simuler d'une façon parfaite l'
épilepsie
partielle; et l'on sait, d'autre part, quelles
et au plomb, et en comparant ces phénomènes toxiques à ceux dus à l'
épilepsie
essentielle, on arrive à cette conclusion qu'il
e à ces malades que certains auteurs considèrent comme atteints d'
épilepsie
aiguë, on ne peut que reconnaître le bien fondé d
y a lésion primitive du rein et em- poisonnement consécutif. Dans l'
épilepsie
, la lésion rénale n'existe pas, il y a seulemen
observation d'Etch... (Bourneville, Recherches clin, et thér. sur l'
épilepsie
et l'hystérie, p. 175 et 192, Paris, 1876.) A c
plètement l'observa- tion. P. K. III. Contribution A L'ÉTUDE DE l'
épilepsie
jacksonienne ET DB l'atrophie musculaire D'ORIG
onvulsions faisant supposer une lésion de la base et de l'écorce. L'
épilepsie
est jack- sonienne, donc il y a lésion de l'éco
onienne, donc il y a lésion de l'écorce; mais, comme on a signalé l'
épilepsie
partielle consécutive à une localisation quelconq
soit par la destruction de la région motrice, l'hé- miparésie et l'
épilepsie
jacksonienne (irritation sous-jacente). L'atrop
admettre que les crises d'automatisme de ce malade dépen- dent de l'
épilepsie
, l'auteur se fonde sur les faits suivants : 1° l'
94 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIII. Contributions A L'ÉTUDE DE L'
ÉPILEPSIE
symptomatique ; par le Dr BELLAT. Observation
e cérébrale ayant eu, tout d'abord, pour résultat, des phénomènes d'
épilepsie
jacksonienne du côté droit; puis, avec l'accroi
roissement de la tumeur, les convul- sions avaient pritle type de l'
épilepsie
vraie. Enfin, insensiblement, s'est produite un
N DE la circulation DU sang dans l'encéphale pendant LES attaques d'
épilepsie
d'après les RE- cherches expérimentales DE TODO
rtériel deWillis et l'aorte. On voit ainsi que, pendant l'attaque d'
épilepsie
, la pression monte dans les artères cérébrales,
tion soit vicieuse, on constate parfois un poids très élevé. Dans l'
épilepsie
, l'agitation détermine une dimi- nution de poid
vec succès . Il s'agit d'un malade de quarante-quatre ans atteint d'
épilepsie
Jaksonienne caractéristique, d'origine nettemen
s aucun accident. Le cinquième jour brusquement une série d'accès d'
épilepsie
francs; puis plus aucun accident. Le onzième jo
a. des grands'asiles communs à tous les genres de l'idiotie et de l'
épilepsie
; - b. des asiles spéciaux aux enfants idiots et
re de grands asiles communs iL tous les genres de l'idiotie et de l'
épilepsie
; mais, naturellement, en ménageant, dans ces ét
istère de la jus- tice. Discussion : M. lltraN. La fréquence de l'
épilepsie
chez les criminelles aliénées m'a frappé. 11. N
de santé au château de Greng, près Alorat (Suisse). Le bacille DE l'
épilepsie
. - On annonce, dit le Médical Record du 28 mai
reins et le sang des per- FAITS DIVERS. 317 Î sonnes mortes de l'
épilepsie
. Il a fait des expériences avec ces bacilles su
de la Ferrière, un char- bonnier nommé Louvel, pris d'une attaque d'
épilepsie
est tombé dans le feu et a été horriblement brû
le important qu'on lui attribue très fréquemment dans l'hystérie, l'
épilepsie
et les autres manifestations névrosiques, rôle
e réveil est brusque; pareil phénomène s'observe égale- ment dans l'
épilepsie
. larvée, le petit mal et même le grand mal. Il
nu cette attitude il l'aide d'un effort très énergique. Quant à l'
épilepsie
, on se rappellera que la catalepsie ne s'accom-
écédents hérédi- taires, a présenté dans son enfance des attaques d'
épilepsie
et s'est toujours fait remarquer par la faibles
La folie gémellaire (Ibid., 1884); La folie à deux (Ibid., 1884); -
Epilepsie
avec conscience (Ibid., 1884) ; - La folie cons
les maladies mentales; par le Dr Magnan Les leçons cliniques sur l'
épilepsie
, sur la dipsomanie, sur la folie des héréditair
bureau de bienfaisance du XIV° arrondissement. On lui doit : De l'
épilepsie
dans ses rapports avec les fonctions visuelles (t
ican journal of insanity, 1892.) E. B. VI. Observation D'UN cas d'
épilepsie
avec ligature DE l'artère vertébrale; par Telfo
ature de l'artère vertébrale fut préconisée dans le traitement de l'
épilepsie
et parut d'abord donner quelques résultats heur
délire, les nombreux signes de dégénérescence, la fréquence de « l'
épilepsie
, de la précocité et de la mélancolie, la tendance
l intitulé : (De la coexistence de la paranoïa origi- nelle et de l'
épilepsie
). M. Wernicke. J'ai publié des observations dan
PHIQUE. Bourneville. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Publié avec la collab
92. DUB01SIJ\E dans les maladies men- tales, par Belmundo, 450.
Epilepsie
, toxicité urinaire dans l ? parJ. Voisin et Pér
nt quelquefois des dilata- tions pupillaires. Névroses, hystérie,
épilepsie
, certaines maladies mentales aux périodes d'exc
s un signe fâcheux au cours des maladies mentales. Dans l'accès d'
épilepsie
, il faut conclure il la simulation, s'il n'y a pa
n la rencontre dans les méningites aiguës, parfois dans l'attaque d'
épilepsie
. Elle se serait aussi montrée dans la neurasthé
stion (Lan- nois et Chavannc, Moure et Bouycr fils, etc.). Dans l'
épilepsie
, les troubles auditifs ne sont pas rares : il est
e, lésions diverses de la caisse ou de la mastoïde. C'est un type d'
épilepsie
réflexe. Mais les observations en sont au total
neurasthénie, l'hystérie. Elle est banale dans la migraine. Dans l'
épilepsie
, on a noté parfois une superception d'odeurs co
gnées, migraines, cauchemars, maladie de Basedow, chorée, hystérie,
épilepsie
), des troubles vaso-moteurs (congestion cépha-
us le dirons, le vertige véritable existe fréquemment au cours de l'
épilepsie
, mais dans de tout autres cir- constances. ,
es diverses névroses; on l'observe en fait assez fréquemment dans l'
épilepsie
, dans l'hystérie, dans la neurasthénie surtout.
réalité un vertige. Le vertige vrai n'est pourtant pas rare dans l'
épilepsie
: il se présente, soit comme une aura précédant
rtige des éhilell- leptiques n'est pas toujours la conséquence de l'
épilepsie
; vertige et epi- lepsie peuvent être produits p
vertige et epi- lepsie peuvent être produits par une cause commune (
épilepsie
ah alire loesa, épilepsie sénile et vertige des
vent être produits par une cause commune (épilepsie ah alire loesa,
épilepsie
sénile et vertige des arterio-sclereux, etc.).
le trouble prédominant de l'appareil circulatoire. L'hystérie et l'
épilepsie
, maladies à crises, simu- lent parfois l'apople
ans le second. On constate parfois les contractures localisées de l'
épilepsie
bravais- jacksonnienne; il s'agit généralement
. Elle l'est encore, mais avec des caractères plus tranchés, dans l'
épilepsie
. Les malades éprouvent un besoin de dormir subi
dans cet ordre d'idées qur l'insomnie pl'od1'o- mique des crises d'
épilepsie
. Les préoccupations sont des causes fréquentes,
ls que l'idiotie, l'imbécillité, la période post- paroxystique de l'
épilepsie
. On les rencontre avec leur plein développe- me
nt parfois des pages de leur graphisme stéréotypé. Après la crise d'
épilepsie
, s'observent des troubles analogues. L'écriture
miliale (Congrès de Paris, 1900). c) Idiotie épileptique. Souvent l'
épilepsie
, comme l'hémiplégie ou la diplégie, s'ajoute au
ditaires une affection .du système nerveux, l'aliénation mentale, l'
épilepsie
, etc. L'alcoolisme, après l'hérédité, est' la c
la paralysie que nous avons déjà men- tionnés, mais c'est surtout l'
épilepsie
qui se surajoute souvent l'idiotie après plusie
êtir la forme monoplégique, ou encore se compliquer de phénomènes d'
épilepsie
,jachsonienne, d'aphasie (lorsque la lésion siè
- sultat de l'auto- ou de l'hétéro-suggestion. III. NEURASTHÉNIE,
ÉPILEPSIE
, CHORÉE, TÉTANIE, - - . GOITRE EXOPHTALMIQUE'
l'hyperesthésie et les paresthésies sont assez fréquentes. Dans l'
épilepsie
, la sensibilité est fréquemment émoussée; on obse
on (signe de Biernacki), qui pourrait servir pour dia- gnostiquer l'
épilepsie
de l'hystérie. Les troubles de la sensibilité s
uvent elle s'accompagne d'hypcr- esthésie du cuir chevelu. Dans l'
épilepsie
essentielle, la céphalée se rencontre dans la pér
tics douloureux, de chocs cépha- taigiques passagers (Féré). Dans l'
épilepsie
symplomalique (par tumeur cérébrale par exemple
dans la période qui sépare les accès (ce qui ne se voit pas dans l'
épilepsie
esscn- ticttc). Migraine. Il n'entre pas dans
inisme, )1("l'itonisme, etc.), dans la neurasthénie et enfin dans l'
épilepsie
, on les viscéralgies consti- tuent les auras se
réflexe achilléen. - , ' Ce clonus du pied (ou phénomène du pied ou
épilepsie
spinale ou trépidation épileptoïde) n'est pas c
ritable. Il faut éviter de prendre pour un clonus du pied la fausse
épilepsie
spinale qu'on rencontre chez les sujets nerveux à
ux tendons achilléens (Babinski) ('). Nous verrons que celte fausse
épilepsie
spinale. n'a aucune valeur pathologique ou du m
an a pu montrer la constance du phénomène des orteils. t) 5° Dans l'
épilepsie
, l'extension des orteils existe pendant les accès
ou profonde, la stéréo-agnosic, l'apraxie, l'aphasie de Wernicke, l'
épilepsie
jacksonienne. Quant il la contracture précoce,
sité bien plus grande que dans 1 hémiplégie des adultes. De même. l'
épilepsie
jacksonienne y est infi- lIillH'111 plus fréque
est infi- lIillH'111 plus fréquente; très souvent aussi il s'agit d'
épilepsie
. vulgaire. Les troubles (fêla sensibilité sont
. Les petits malades sont des arriérés, des idiots, présentant de 1
épilepsie
, de la chorée, de l'athétose ; la paraplégie n'es
s moteurs du cortex. En prenant en considération les observations d'
épilepsie
. jack-sonieniie et les résultats de l'excitatio
alement au sujet des lésions irritatives qui se traduisent par de l'
épilepsie
jacksonienne. Les ramollissements corticaux che
enne, Langdon-Down, Mobius, Yizioli, etc.), des convulsions et de l'
épilepsie
(Erb, Virioli, Landouzy et Dejerine, P. Marie et
métrique, tendant à l'unilatéralité, et ordinairement accompagnée d'
épilepsie
ou de troubles mentaux graves. L'atrophie Oll
ons du cervelet : Atrophie ou sclérose : syndrome pur- ou associé à
épilepsie
et troubles mentaux z Tumeurs : syndrome associ
Enfin, une très forte excitation détermine une véritable attaque d'
épilepsie
avec phase tonique et clonique. Cette attaque p
e attaque peut se limiter à quelques muscles, à la moitié du corps (
épilepsie
jack- sonienne) ou se généraliser. - Chez les m
it, d'après certains auteurs, observer également dans l'hystérie, l'
épilepsie
, etc. Enfin divers troubles nerveux ne sont pas
chent de pair. La durée- dépend de la cause. Plus que l'hystérie, l'
épilepsie
constitue une prédisposition durable. Les malad
res moteurs voisins. D'autres fois, elles sont généraliséesdemblée (
épilepsie
dite essentielle) constituant la convulsion gén
précèdent nettement une convulsion généralisée, elles constituent l'
épilepsie
par-. CONVULSIONS ET CRISES CONVULS1VES. 825
térie) ou toxique (alcool, plomb, urémie, infection). En général, l'
épilepsie
jacksonienne est suivie de phénomènes parétique
faut pas cependant se contenter de ces données diagnostiques, car l'
épilepsie
dite essentielle peut quelquefois se manifester p
vent donner des convulsions généralisées que rien ne distingue de l'
épilepsie
vraie. Un diagnostic localisateur pourra cepend
isposition est particulièrement manifeste, non dans l'hystérie et l'
épilepsie
, mais dans les convulsions symptoma- liyues si
plusieurs frères et soeurs), hérédité de transformation (hystérie,
épilepsie
) et surtout alcoolisme des parents. A ce point de
res qui peuvent être définitifs, d'une transformation éventuelle en
épilepsie
, si l'on est interrogé sur les suites de la mal
en des urines et les commémoratifs. Les convulsions épileptiques (
épilepsie
vraie) apparaissent surtout entre sept et quinz
d tout sera terminé. Dans les familles nerveuses et si les signes d'
épilepsie
ne sont pas nets, il faut se souvenir qu'il y a
suites de couches. Les accès éclamptiques ressemblent beaucoup à l'
épilepsie
: ils sont constitués par une phase de convulsi
nes parce qu'il peut arriver qu'une femme enceinte ait une crise (l'
épilepsie
vraie, et soit une ancienne comitiale. En deh
ergiquement, non seulement dans les formes éclamptiques, simulant l'
épilepsie
, dont elles ne diffèrent que par l'absence de c
cée du pouce, mais encore dans le type qui ressemble à une crise (l'
épilepsie
Ilravais-,jaclaonnicnne ou dans le type tétaniq
ois des crises épileptiformes qui sont plus longues que celles de l'
épilepsie
(encéplza- : apathie saturnine à forme convulsi
umatisme crânien. enfin d'une irritation périphérique ou viscérale (
épilepsie
pleurale diaque, nasale, etc.). ' Nous venons
aveur d'un abcès. Le début des convulsions par le membre inférieur,
épilepsie
partielle crurale, doit faire penser, chez un tub
n à parler de deux causes capitales de convulsions, Y hystérie et l'
épilepsie
. Nous les rangeons avec les diagnostics difficile
la description que lui a fait l'entourage. Crise convulsive de l'
épilepsie
. L'accès épileptique peut, apparaître soudainem
t alors d'accès de vertiges, d'ictus apoplectiformes, d'absences, d'
épilepsie
précU1'sive, d'automatisme ambulatoire, de cris
Crise convulsive de l'hystérie. Très difficile quand elle simule l'
épilepsie
ou l'allaque jacksonienne, le diagnostic de la gr
e par une période post-convulsive ou de délire. Ici, comme dans l'
épilepsie
, il peut y avoir des formes irrégulières ou fru
lonté et l'imagination peuvent réaliser. Ces signes, en faveur de l'
épilepsie
, sont le phénomène des orteils et la lividité de
nnes ou récentes. Enfin le praticien "n'oubliera pas qu'hystérie et
épilepsie
peuvent coexister chez le même malade et qu'il
comme des phénomènes surajoutés. , 2° Syndrome de Kojewnikoff ou
épilepsie
partielle continue. Les sujets qui en sont atte
artielle continue. Les sujets qui en sont atteints ont des crises d'
épilepsie
jacksonienne, et dans l'intervalle des crises p
te des cas où les myoclonies peuvent, non pas suivre les attaques d'
épilepsie
, mais les précéder de plusieurs années. MYOKYMI
i soit symptomatiques (maladies contagieuses et toxiques, syphilis,
épilepsie
, affections centrales; une classe à part est fo
miques, également essentiels ou symptomatiques (affections centrales,
épilepsie
, toxi-infections, troubles réflexes, hystérie)
on les rencontre ainsi dans la stupidité, la paralysie générale, l'
épilepsie
, la mélancolie. Les attitudes prises et conserv
apidement, sous l'influence d'une violente émotion ou d'une crise d'
épilepsie
. On la ren- contre dans l'aliénation mentale, l
ement à 40 degrés pour revenir ensuite à son degré normal. Dans Y
épilepsie
, quand les accès se succèdent coup sur coup, il y
pagne aussi d'éléva- tion de la température. Au contraire, s'il y a
épilepsie
urémique, il y a toujours abaissement de la tem
e malade mouillé dans son lit a sou- vent permis de diagnostiquer l'
épilepsie
. L'incontinence est due, dans ce cas, il l'exag
ale liée à l'affaiblissement du sphincter. On observe aussi, dans l'
épilepsie
jacksonnienne des émis- 1 ' [E. DESNOS.] i)S6
m, vulvite). 4° Il existe une affection nerveuse bien caractérisée (
épilepsie
, spina- bifida, mal de Pott, myélites diverses)
sexuel disparaît; il en résulte une impuissance imaginaire. Dans l'
épilepsie
, on voit souvent des érections prolongées et répé
et la commotion cérébrale. Elle accompagne souvent l'hystérie et l'
épilepsie
. Plus souvent la spermatorrée est symptomatique
e observé. Il peut y avoir agueusie totale il la suite des crises d'
épilepsie
. Dans la paralysie faciale enfin, dans les lési
passagers mais dangereux (chute vers le pharynx, suffocations) de l'
épilepsie
, et que les myopathiques présentent quelquefois d
le est projetée violemment hors de la bouche et fréquemment mordue (
épilepsie
), la convulsion de la langue pouvant être un sy
giques gauches (P. Marie). On la surprend encore après les crises d'
épilepsie
; elle est à peu près constante dans la méningite
ouleurs peuvent disparaître subitement il propos d'une émotion. ,
Epilepsie
. Certains sujets présentent des crises subites d'
titude convulsivante (Joffroy), certaines chorées, athétose double.
Epilepsie
, incontinence d'urine. Tremblement héréditaire.
céphalo-rachidien a pu être étudiée dans diverses maladies. Dans l'
épilepsie
, Nageotte et Jamais (Société mé- dicale des Hôp
s faits ont été confirmés aussi par Biro. Dorméa l'a étudiée dans l'
épilepsie
expérimentale sur des chiens; il a trouvé la pres
choline dans huit cas sur 12 de tabes. Il l'a trouvé, aussi dans l'
épilepsie
, dans les tumeurs cérébrales, dans l'hématomyél
Toxicité du liquide céplznlo-rachidien. Elle a été étudiée dans l'
épilepsie
par Dide et Sacquépée et paraît augmentée après l
ette- ment aux résultats obtenus dans la paralysie générale. Dans l'
épilepsie
, dans la manie, dans la paranoïa, chez les pers
présence de très nombreux éléments lymphocytiqucs. 4 Cytologie de l'
épilepsie
essentielle. Absolument négatif. Cytologie dans
alable. ' ? Les troubles cérébraux, et tout spécialement les crises d'
épilepsie
jacksonnienne, résulteront souvent alors de la
quel- ques jours et disparut en trois mois, il en fut de même de l'
épilepsie
spinale, le phénomène des orteils redevintnorma
d'autres états pathologiques. On a constaté son augmentation dans l'
épilepsie
et surtout l'épilepsie avec aliénation (Boccolari
iques. On a constaté son augmentation dans l'épilepsie et surtout l'
épilepsie
avec aliénation (Boccolari et Borsari, d'Arman)
qui reste le traitement nécessaire et rationnel du pithiatisme, L'
épilepsie
, que je considère non pas comme une névrose mais
ons chez l'enfant, 825. chez l'adulte, 826. Crise convulsive de l'
épilepsie
, z Crise convulsive de l'hystérie, 851. Coord
s d'ensemble, 1171. Craniométrie, 1065. , Crises convulsiues de l'
épilepsie
, 829. de l'hystérie, 85'1. - liées à l'alhérome
educ de Sylvius et du 1V° ven- tricule, 1159. médullaires, l 159.
Épilepsie
, troubles de la sensibilité objec- tive, 550. C
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PROG
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERV
'il y ait ou non état héréditaire, déterminer dans certains cas l'
épilepsie
. L'onanisme chez les idiots et les imbéciles ou
née relative à un malade du nom de Delab... atteint d'idiotie et (l'
épilepsie
d'origine traumatique, avec méningo-encéphalite
te, 6 pour gourmes, 2 pour coxal- gie, pour abcès ; 10 pour accès d'
épilepsie
; 8 pour en- gelures ; 12 pour éruptions légère
les variétés, l'idiotie peut être simple ou compliquée (paralysie,
épilepsie
, chorée, rachitisme, scro- fule, etc.). Idiot
. L'imbécillité morale se complique quelquefois d'al- coolisme, d'
épilepsie
, de folie, de perversions sexuel- les. Le tra
i chutes, ni coups, mais une peur très forte en voyant un accès d'
épilepsie
, 15 jours avant l'accouchement. L'épilepti- que
clérose cérébrale hémisphérique : idiotie, hémiplégie , - droite et
épilepsie
consécutives ; .. Par BOURNEVILLE. Sommaire.
consécutives. - Convulsions pen2- ' "dant trois mois. - Début de l'
épilepsie
à 13 ans 1/2. Description du malade ? Impulsion
trée » contre un voisin, il eut dans la nuit un pure- miel' accès d'
épilepsie
, auec prédominance des convulsions dans le côté
btient parfois, sur les deux membres infé- rieurs, des phénomènes d'
épilepsie
spinale. Pourtant il n'y a pas de phénomènes du
iée dans la thèse de l'un de nos internes, le 1) Wtiilliinié. (De I*
épilepsie
dans l'hémiplégie snnsmoüyue, t88 ? ). Descri
pour conséquence : 1° l'idiotie ; - 2" l'hémiplégie droite; - 3° Y
épilepsie
. Les lésions, sur lesquelles nous reviendrons t
diate l'hémiplégie et l'i- diotie, et pour conséquence ultérieure l'
épilepsie
, 1° L'hémiplégie occupait les membres du cûtédo
e la colonne vertébrale (fit. 13, 14, 15). 100 Hémiplégie, idiotie,
épilepsie
. 2° L'idiotie, comme le prouvent les détails do
était traduite clinique- ment par l'état de mal convulsif, débuté l'
épilepsie
. Dans les accès, les convulsions prédominaient
s convulsions prédominaient du côté paralysé. Selon la règle dans l'
épilepsie
hémiplégique - sauf celle qui reconnaît pour ca
o- me clinique : état de ntal convulsif, hémiplégie et idio- tie,
épilepsie
. La description que nous avons tracée, les Plan
'alcoolisme a été relevé : XVI. Alcoolisme ; hémiplégie gauche et
épilepsie
consécutives. Sclérose atrophique ; pachyméning
que ce malade « présente des signes très manifestes d'idiotie et d'
épilepsie
». ? Antécédents héréditaires. - Père, 45 ans,
endormir, puis dort tranquillement. If;NIVGO-P`CI : PII : 1T.ITIï ;
épilepsie
. 21.1 Il ne sait ni s'habiller, ni se déshabill
886 sous ce titre : Alcoolisme chez un enfant de 4 ans ; démence et
épilepsie
symptomatiques de ménin- go-encéphalite (2). Il
compliquée d'arrêt de développement, d'hémichoréc, d'athétose, d'
épilepsie
, etc. Ces travaux qui ont paru dans le Progrès
rs anglais.) Thèse de Paris. 13S9. Cornet (P.). - Traitement de l'
épilepsie
. Thèse de Paris. . 1891. TAQUET. - De l'oblit
ET L'IDIOTIE RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
ans celle que nous allons rapporter. Observation XXXI. - Idiotie;
épilepsie
. Mérycisme; voracité.- Influence des aecésépile
occupe un peu de lui. Il est impossible de fixer son attention. L'
épilepsie
se traduit chez lui par des accès et des vertiges
eville et 13ouuaire, Recherches cliniques et thé- rapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, compte rendu du service
. Cependant il arrive assez souvent que, même en dehors des accès d'
épilepsie
, l'enfant ne rumine pas après un repas, qui alo
peuvent produire un effet contraire. Ainsi, chez Juv ? les accès d'
épilepsie
abrégeaient toujours la durée de la rumination
de les prendre en grande quantité. Observation XXXII. - Idiotie,
épilepsie
. - Tics, tournoiement, mérycisme partiel (liqui
hatique, s'adouue à la boisson. A vingt-cinq ans, il eut un accès d'
épilepsie
à la suite duquel il se mit à ruminer son dîner.
et disparut sans traitement. - A trente-deux ans, seconde attaque d'
épilepsie
à la suite de laquelle le mérycisme n'a pas rep
645; - Ibid., 1883, et Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, par Bourneville et d'
emi-heure. Depuis cette époque, pas d'attaques. III. Idiotie et
épilepsie
partielle consécutives à une méningo-encéphalit
plet de cette forme d'idiotie, qui, dans ce cas, était compliquée d'
épilepsie
partielle. Observation. - Grand-père et grand'm
mbre 1882, à Bicêtre (service de AI. BOURNEVILLE). 104 IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
. , Renseignements fournis par son père (10 nove
prèslaconvalescence, il retourna à l'asile; il apprenait IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
. 105 bien et avait de la mémoire, mais, tous le
u. Diagnostic : Idiotie consécutive à une méczictqo-eatcéplcctlile;
épilepsie
. Du 5 au 28 octobre, la température s'est toujo
très distants, puis de plus en plus rapprochés. Bientôt des accès d'
épilepsie
vinrent s'y ajouter. III. Sous l'influence de s
ndu de Bicêtre, pour 18S2. 112 IDIOTIE ET EPILEPSIE. typique de l'
épilepsie
hémiplégique. Si l'on se rappelle que, après la
OURNEVILLE et D'OLIER. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Comble rendu du service
BONNIIRI, et VUILLAII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
E, (jAUGE et BRICON. Recherches cliniques et thérapeu- tiques sur l'
Epilepsie
, l'Hystérie et l'Idiotie. Compte rendu du servi
1.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 101 M. Lépine présente un malade atteint d'
épilepsie
jaksonienne, dont chaque crise présente des phé
dent. Le malheureux, en effet, était sujet à des crises terribles d'
épilepsie
. Hier matin même, terrassé par son mal, Louis G
un fait capital : la présence d'états névro- pathiques : hystérie,
épilepsie
, neurasthénie, n'implique nul- lement un rappor
de thymus si l'on veut. P. IERAVAL. IX. Un nouveau symptôme de l'
épilepsie
; par C. Ceci. (Centralbl. f. Nervenheilk, XXII
ladie; l'hypothermie ne coïncide pas non plus avec d'autres aecès d'
épilepsie
. Par ci, par là, néan- moins, elle précédera un
par la même cause que celle qui engendre les autres symptômes de l'
épilepsie
, et fournit un solide appui à la théorie de la
de s'adresser. C'est aux exercices d'écriture. P. KERavaL. XI. L'
épilepsie
corticale; par V.-I. Wassiliev. (Obozrénié psic
anémie cérébrale en résulterait. On peut penser aussi à une crise d'
épilepsie
larvée, dont le pico- tement nasal serait l'aur
e les injections sont restées sur place. Valeur diagnostique de l'
épilepsie
spinale, M. B%i31Nsi-,i obtient à volonté la tr
direct et assez intense par contre. Après percussion du tendon. L'
épilepsie
spinale n'a donc pas de valeur absolue comme si
hénomènes plus ou moins com- plexes qui ne sont que des semblants d'
épilepsie
spinale. Cécité et surdité verbales avec paraph
ladies chroniques et incurables. Il est à noter que, sur 11 cas d'
épilepsie
et 11 cas de délire alcoolique prolongé, elle n
mes sous lesquelles on voit le plus souvent survenir la mort dans l'
épilepsie
. 10 Attaque unique foudroyante, 3 à 5 p. 100; -
la trépidation par lésion organique. M. Babinski ne pense pas que l'
épilepsie
spinale dénote fatale- ment une lésion pyramida
e lésion pyramidale,.on la rencontre dans des intoxications, dans l'
épilepsie
, dans l'hystérie, dans la neurasthénie et même
sion organique mais elle n'a pas de valeur décisive. M. BRissAuD. L'
épilepsie
spinale peut manquer chez des orga- niques comm
céder. M. Babinski. Qu'on me montre un hystérique présentant une
épilepsie
spinale et s'en guérissant en même temps que de s
on de l'hystérie. La discussion se termine sur l'avis général que l'
épilepsie
spinale perd de son importance comme signe de l
cherché cette cause avec le plus grand soin; pas de syphilis, pas d'
épilepsie
et rien de particulier dans les antécédents.
e la maladie, de diagnostiquer une tumeur cérébrale. Les attaques d'
épilepsie
jacksonnienne permettaient de dire qu'elle siég
détails qui caractérisent son délire. Les idées érotigaces dans l'
épilepsie
. M. Marie communique deux cas d'épilepsie assoc
s idées érotigaces dans l'épilepsie. M. Marie communique deux cas d'
épilepsie
associée à des rêves érotiques suivis d'impulsi
eux malades sont des dégénérés héréditaires ; tous deux ont eu de l'
épilepsie
à la suite d'une fièvre typhoïde. Des impul- si
entre génito-spinal réalise un syn- drome épileptogène, l'attaque d'
épilepsie
entraînant d'autre part l'éréthisme sexuel et l
que les convulsions se propageaient d'une manière non spéciale à l'
épilepsie
cervicale, une partie des phénomènes peut être
BIBLIOGRAPHIE. XII. Recherches cliniques el thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
s observations démontrent l'efficacité du bromure de camphre dans l'
épilepsie
vertigineuse; le traitement doit être prolongé
morrhagies de la peau et des muqueuses pendant et après les accès d'
épilepsie
, l'auteur relève leur analogie avec les stigmat
ent la parenté morbide des tics avec l'hystérie, la neurasthénie, l'
épilepsie
, les vésanies, l'idiotie. Le diagnostic des tic
qui n'appartenaient pas au tableau classique de l'hystérie et de l'
épilepsie
. De l'aveu de beaucoup d'auteurs, c'est là un r
LES OBSERVATIONS DE NÉVROSE D'ANGOISSE. 409 de ces dernières avec l'
épilepsie
essentielle. Il semble natu- rel en effet que n
stigmates obsté- tricaux. Première génération. Troubles mentaux,
épilepsie
. etc., mais gestations anormales. Deuxième gé
ais gestations anormales. Troisième génération. Troubles mentaux,
épilepsie
, etc. Déjà Bourneville, dans les observations s
après une ou plusieurs couches nor- males, contractent des crises d'
épilepsie
, d'hystérie, etc., et accou- chent ensuite en p
sens du goût chez les gens normaux et chez ceux qui sont affectés d'
épilepsie
, de folie systématisée chronique de pa- ralysie
procédé inverse, être supprimé. Tout le monde sait qu'il y a dans l'
épilepsie
une période où le malade est parti- culièrement
ou plutôt une psycho-névrose aussi indépendante que l'hystérie ou l'
épilepsie
. Parmi le nombre de ces malades, atteints d'obs
ons dans les princi- paux états psyctiopatliiques : dégénérescence,
épilepsie
, hystérie- alcoolisme, paralysie générale, vésa
e lymphatisme, la tuberculose, les accidents cérébraux et surtout l'
épilepsie
. J'ai obtenu de bons résultats dans quelques ca
tout l'épilepsie. J'ai obtenu de bons résultats dans quelques cas d'
épilepsie
à accès très fréquents, de l'administration du bo
ntinence d'urine, exagération des , réflexes rotuliens, achilléens,
épilepsie
spinale légitime, etc... Et nous prenons à dess
lysie mo- trice organique (contracture, exagération des réflexes,
épilepsie
spinale, etc.) et hé7zzi-azesthésie sensilivo- se
ut s'as- socier à la chorée de Sydenham, comme elle s'associe à l'
épilepsie
, au tabes, à la sclérose en plaques etc... Dans
sociation de l'hystérie aux maladies organiques du système nerveux (
Epilepsie
et hystérie ; angine de poitrine vraie et fauss
. Enfants arriérés. Diagnostic et trai- tement, par Warner, 98.
Epilepsie
. Voir Assistance. -. Voir Assistance. Un nouvee
sens du - chez les gens normaux et étiez ceux uni sont affectés d'
épilepsie
, de folie systématisée chronique, de paralysi
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE - ET L'IDIOTIE N 911. Imprimeri
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
omprend des idiots tout à fait incurables et des enfants atteints d'
épilepsie
, devenus gâteux ou déments sous l'influence des
présentaient que des lésions très circonscrites. IL Idiotie et
épilepsie
symptomatiques; 4 (Atrophie et Sclérose.) Par
ant toujours des friandises; il mangeait aussi des cen- 24 IDIOTIE,
ÉPILEPSIE
symptomatiques. : dres, du cirage, etc. Il téta
de déformation du voile du palais ou du palais osseux. IDIOTIE ET
ÉPILEPSIE
symptomatiques. 25 5 Les membres supérieurs ou
, il suce et mange toutce qu'il peuttrouver.ll rumine 26 Idiotie ET
ÉPILEPSIE
symptomatiques continuellement (liquides et sol
ces troubles mentaux : une parésie du côté droit et des ac-'ë-s d'
épilepsie
.. Ceux-ci ont eu une marche assez 32 RÉFLEXIONS
des résultats sérieux, ce qui s'ex- plique par la coexistence de l'
épilepsie
. Les accès ont été modifiés temporairement par
expliquer le mécanisme. C'est là, d'ailleurs, une terminaison cle l'
épilepsie
qui n'est pas rare et qui mériterait de faire l
ubles physiques, nous ont fait porter le diagnostic, d'idiotie et d'
épilepsie
symptomatiques d'un arrêt de développement des
tible d'une grande amé- lioration lorsqu'elle ne s'accompagne pas d'
épilepsie
. Î'V : idiotie symptomatique d'une tumeur cér
ons méningées n'exis- taient pas encore. VI. Idiotie complète ;
Epilepsie
; mal de Pott vertébral ; Par BOURNEVILLE et tS
ompagnent d'ordinaire les relations des cas. d'idiotie compliquée d'
épilepsie
nous parait pré- senter un véritable intérêt.
est occupé du traitement de cet enfant. La même année les accès d'
épilepsie
diminuent de moitié. Vers la fin de janvier 188
dans la foule. A dater de cette époque, il aurait eu des « accès d'
épilepsie
» vers 8 ans et son frère le regarde comme épil
onze mois. - Convulsions à un an. - Parole vers deux ans. - Accès d'
épilepsie
. Gâtisme 171te7,iiiitte7-Lt. - Micro- céphalie
ination. Pas d'ona- nisme. (PL. VII). Voici la marche des accès d'
épilepsie
: 140 Description du malade. Face. - Les arca
chaque côté. L'enfant était un idiot complet, sans complication d'
épilepsie
non plus que le premier. La troisième observati
e. L'enfant qui en était porteur était atteint d'im- bécillité et d'
épilepsie
. Les convulsions se présentè- rent dès la naiss
mènes bien différents : clans le premier, iclio- tie complète, sans
épilepsie
, avec hémiplégie droite v 170 DESCRIPTION DU ma
ont des enfants en bonne santé. Cou- sine germaine, 5 ou 6 accès d'
épilepsie
vers l'âge de quinze ans. Oncle paternel un peu
côté; hémiplégie consécutive : atrophie et déformation des membres,
épilepsie
sept.a.vs. Diphtérie, paralysie du voile du pal
état lorsque, à de 7 ans, il fut pris, sans cause connue, d'accès d'
épilepsie
. Ceux-ci étaient très forts. On en comptait que
UE DU HACHISCH par f. villard, interne des hopitaux — suite — iv.
épilepsie
. — convulsions infantiles. M. Moreau (de Tours)
ntiles. M. Moreau (de Tours) a employé le Hachisch pour combattre l'
épilepsie
; mais il ne paraît pas en avoir retiré des avant
. Voisin a administré avec succès l'extrait de Hachisch, non contre l'
épilepsie
proprement dite, mais pour combattre les hallu-ci
s auxquelles ce nom est affecté, l'hystérie se montre combinée avec l'
épilepsie
, de ma-nière à constituer une forme mixte, une so
ne forme mixte, une sorte d'hybride composé mi-partie d'hystérie et d'
épilepsie
. Mais cette appellation répond-elle à la réalité
que nous avons reconnu dans les attaques quelques-uns des traits de l'
épilepsie
. C'est de celte façon, du reste, que paraissent l
ariables selon les cas, des deux névroses ; ce n'est pas seu-lement l'
épilepsie
, ce n'est pas seulement l'hystérie ; c'est à la f
ore. Là, on se refuse à admettre la légitimité de cet hybride, moitié
épilepsie
, moitié hystérie. A la vérité, on ne nie pas qu
moitié épilepsie, moitié hystérie. A la vérité, on ne nie pas que l'
épilepsie
et l'hystérie puissent se rencontrer chez un même
lie par les cas mêmes qui servent de fondement à notre étude, et où l'
épilepsie
semble s'entremêler avec les symptômes ordinaires
remêler avec les symptômes ordinaires de l'hystérie convul-sive ? L'
épilepsie
ne serait là que dans la forme extérieure; elle n
irait uniquement et toujours de l'hystérie revêtant l'appa-rence de l'
épilepsie
. Le nom d'hystérie épileptiforme, employé, si je
es accès d'hystérie, dit Tissot, ressemblent quelquefois beaucoup à l'
épilepsie
. Aussi, en a-t-on fait une forme particulière de
eptiforme. Mais ces accès n'ont pas néan-moins le vrai caractère de l'
épilepsie
l. M. Dubois (d'Amiens) considère l'hystérie ép
c sur quels fondements s'appuie la doctrine régnante. L'hystérie et l'
épilepsie
, dit-on, peuvent se combiner de diverses manières
o-épilépsie, p. 11. 3 Sandras, Maladies nerveuses, 1.1, p. 205i d'
épilepsie
restent distincts : c'est ce que M. Landouzy a pr
onvient d'ailleurs d'établir dans l'es-pèce deux subdivisions. Io L'
épilepsie
est la maladie primitive ; sur elle, l'hystérie v
en ramenant le calme dans le mé-nage, fait cesser l'hystérie, mais l'
épilepsie
persiste. 2° D'autres fois l'épilepsie succède
it cesser l'hystérie, mais l'épilepsie persiste. 2° D'autres fois l'
épilepsie
succède à l'hystérie. Cette condition paraît être
ntelligence s'obnubile à la longue incontestablement par le fait de l'
épilepsie
. 3° On a encore mentionné d'aulres combinaisons
'hystérie convulsive coexiste avec le pelil mal (Beau, Dunant) ; b) l'
épilepsie
convulsive est surajoutée à quelques-uns des acci
ébat ne porte que sur la seconde. B. Dans celle-ci, l'hystérie et l'
épilepsie
sont coévales ; elles se sont développées en même
e commune, — alors que personne ne songe à faire intervenir l'élément
épilepsie
— de voir, dis-je, s'ébaucher des convulsions ton
rie ordinaire. VI. Si d'un autre côté nous tournons nos yeux vers l'
épilepsie
vraie, nous rencontrons un certain nombre de trai
mier lieu, que d'après la descrip-tion que nous avons donnée, le type
épilepsie
n'est jamais repré-senté, dans les attaques-accès
t lieu, d'une manière presque fatale, s'il s'agissait réellement de l'
épilepsie
. Je ne crois pouvoir mieux faire que de vous rapp
ré et quelques dixièmes (38° — 38°,5), tout comme le fait l'attaque d'
épilepsie
vraie. C'est là un résultat 1 Yoy. dans le Mouv
e caractère thermique, l'accès d'hys-térie épileptiforme et l'accès d'
épilepsie
vraie se confondent, il n'en est plus de même lor
s'agrègent et s'enche-vêtrent de manière à constituer ce que, pour l'
épilepsie
, on appelle les séries ou l'état de mal. 11 y a
pement. En pareil cas, messieurs, c'est-à-dire lorsque les accès de l'
épilepsie
vraie scrépètent en grand nombre, dans un court e
mort s'en soit suivie, ne montre-t-elle pas déjà qu'un abîme sépare l'
épilepsie
vraie de l'hystéro-épilepsie ? — « Si ce n'était
fiée que cela eût eu lieu, nécessairement, s'il se fût agi delà vraie
épilepsie
; à au-cune époque, il n'y a eu d'évacuations invo
ts (Maladiesdes), revue par Bour-neville, 22. Epidemie (voy. Plaies).
Epilepsie
, 11. Epitheliom.! ulcéré du prépuce et de la ve
s). SI Hachisch (Emploi thérapeutique du), par F. Villard; dans l'
épilepsie
et les convulsions infantiles, 11 ; — dans la 1
à rapporter qu'un seul cas ayant cli- niquement revêtu le type de l'
épilepsie
jacksonienne de la catégorie d'épilepsie brachi
uement revêtu le type de l'épilepsie jacksonienne de la catégorie d'
épilepsie
brachiale. L'étude de la lo- calisation de ce p
lepsie brachiale. L'étude de la lo- calisation de ce phénomène de l'
épilepsie
partielle a démontré qu'il est sous la dépendan
gie aux lésions matérielles 68 CLINIQUE NERVEUSE. organiques de l'
épilepsie
partielle brachiale, c'est la partie moyenne de
drome spasmodique réduit simplement à l'exaltation des réflexes à l'
épilepsie
spinale et une amélioration très grande des sym
les exis- tent sans lésions de l'hippocampe. Enfin, dans le cas d'
épilepsie
chronique, où la sclérose et l'atrophie de la c
ones au changement de son état physique accompagnant ses attaques d'
épilepsie
; le noir pendant la phase d'excitation, la coul
xtraordinaire puissance d'as- similation des paralytiques. Dans l'
épilepsie
, l'appétit tend à devenir vorace; ici encore il
, RAOULT ET SOLLIER. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
- Paris, 1889. - Lecrosnier et Babé. CORNET (P.). - Traitement de l'
épilepsie
par le bromure d'or, le bromure de camphre et l
s et dégénératives; très élevé, dans celles de l'alcoolisme et de l'
épilepsie
. Dans l'état d'hypérhémie, le cerveau possède u
chelle est occupé par l'idiotie (microcéphalie), l'imbécillité, l'
épilepsie
; le milieu, par la manie et la pellagre; le som
e des fonctions de l'intelligence. ' Cf. Bourneville et Sollier.-
Epilepsie
et asymétrie fronto- faciale. (Pro- grès médica
Oncle maternel paralysé, aliéné et sujet probablement à des accès d'
épilepsie
. - Frère et soeur morts tuberculeux. - Sceur st
e comme un antispasmo- dique puissant que l'on a préconisé contre l'
épilepsie
, l'hystérie, etc... Si l'on en croit tous les a
s avoir été, à plusieurs reprises, vantée dans le traite- ment de l'
épilepsie
, elle est aujourd'hui abandonnée, du moins comm
ut pas à l'époque habituelle sa crise d'asthme de foin.-Passant à l'
épilepsie
, il a vu l'épilepsie nocturne être remplacée pa
ituelle sa crise d'asthme de foin.-Passant à l'épilepsie, il a vu l'
épilepsie
nocturne être remplacée par la folie, et dans p
acée par la folie, et dans plusieurs cas des attaques vio- lentes d'
épilepsie
ont amendé les symptômes mentaux. Contre son at
ntaux. Contre son attente, il a même vu la disparition d'attaques d'
épilepsie
, légères et espacées, apporter un trouble série
sérieux dans les fonc- tions intellectuelles. Enfin, on sait que l'
épilepsie
motrice, si l'on peut ainsi parler, est fréquem
ice, si l'on peut ainsi parler, est fréquemment remplacée par une
épilepsie
mentale, laquelle d'ailleurs, abstraction faite d
eux qui avaient été atteints d'acci- dents spasmodiques, tels que l'
épilepsie
, l'hystérie, la catatonie. Chez un épileptique
rix de 8,000 francs qu'elle avait destiné au meilleur mémoire sur l'
épilepsie
, ex-aequo, à un médecin américain et à M. le D1
OUL1 1 : 1' SOLLIEH, - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'Izystérie et l'idiotie. Compte rendu du serv
0 fr. Paris, 1889. Lecrosnier et Babé. Cornet (P.). Traitement de l'
épilepsie
par le bromure d'or, le bromure, de camphre et
mais elle n'a eu d'attaques convulsives ressemblant à des ac- cës d'
épilepsie
. Très sensitive, elle rit et pleure facilement. S
des crises de manie furieuse qu'on était en droit de rattacher à l'
épilepsie
en raison d'une part des antécédents héréditaires
léna). Recherches expérimentales sur la patho- génie de l'attaque d'
épilepsie
. Troisième communication. Excitation des centre
secondaire ou fruste consécutive à la mé- lancolie, à la manie à l'
épilepsie
, il réunit la majorité des suf- frages. L'école
de 17 ans, nommée Marie Hostelandt, prise d'une violente attaque d'
épilepsie
( ? ),esttombéeaujourd'hui dans le canal de déri
RAOULT et SOLLIER. - Recherches cli- niques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
rix : 8 fr. Pour nos abonnés, 6 fr. Cornet (P.) - Traitement de l'
épilepsie
par le bromure d'or, le bro- mure de camphre et
sauer, 273. Encéphalite aiguë non suppurée, par Friedmann, 270.
Epilepsie
(pathogénie de l'attaque d'), par Binswanger, 4
èrement apparent dans le phéno- mène que les cliniciens appellent «
épilepsie
spinale » et qu'on observe le plus souvent au p
ue l'expérimentateur cherche à lui imprimer pour faire apparaître l'
épilepsie
spinale ; en procédant de cette façon on obtien
, et la trépidation qu'on observe alors se rapproche davantage de l'
épilepsie
parfaite. Quoi qu'il en soit, dans ces divers c
divers cas, il est extrêmement facile de reconnaître qu'il s'agit d'
épilepsie
fruste; on a affaire, en effet, à des gens se prû
exercé et avoir été pour ainsi dire dressé, se propose de simuler l'
épilepsie
spinale. Y aura-t-il quelque moyen de reconnaît
trépidation ne présentera pas le même degré de constance que dans l'
épilepsie
spinale parfaite. J'ajoute que les contractions v
loration rapide, on est très exposé à confondre les deux variétés d'
épilepsie
spinale. Et pourtant, il est essentiel de les dis
ne méningo-encéphalite diffuse associée au tabes. « Dans un cas d'
épilepsie
partielle, j'ai eu l'occasion de constater ce p
tater ce phénomène : il s'agissait d'un homme, sujet à des crises d'
épilepsie
jacksonienne, chez lequel les mouvements convul
ès la guérison ; il peut se manifester d'une façon passagère dans l'
épilepsie
partielle, dans l'empoisonne- ment par la stryc
es orteils a un lien avec l'exagération des réflexes tendineux et l'
épilepsie
spinale qui sont souvent sous la dépendance d'u
ppelé l'attention ultérieurement. J'ai observé ce signe (53) dans l'
épilepsie
dite idiopathique ou essentielle, au moment de
MIOLOGIE 25° Contribution à l'étude du phénomène des orteils dans l'
épilepsie
, par Jean Esmenard (Thèse, Paris, 1902). 26°
ernant ce sujet. « Examinant une jeune femme sujette à des crises d'
épilepsie
et recherchant chez elle, d'une manière systéma
° Chez un malade qui, entre autres troubles, présentait des accès d'
épilepsie
jacksonienne à droite, la nécropsie a décelé, sou
s'est manifesté, entre autres symptômes, par des crises typiques d'
épilepsie
jacksonienne; etles auteurs se demandaient si d
on croyait à tort trouver des réflexes tendineux très exagérés avec
épilepsie
spinale. La convic- tion, si répandue jadis, qu
été de Biologie, 6 mai t8gg). 53. Du phénomène des orteils dans l'
épilepsie
(Société de Neurologie, 6 juillet 1899)' 5Cr.
e la Salpêtrière, numéros de novembre et décembre 1902). 88. De l'
épilepsie
spinale. Procédé pour la faire apparaître quand e
lexe (Id., 7 décembre tyo;). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 2123 123. De l'
épilepsie
spinale fruste (Id., il, mars 1906). 124. Trait
de prolonger leur séjour à l'hôpital. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES PAR
S Médecin de l'Hôpital du Conde de Ferreira (Porto). L'étude de l'
épilepsie
a été reprise et remaniée dans tous les sens, et
niques et expérimentales faites dans ce domaine. En premier lieu, l'
épilepsie
, qui depuis longtemps fut considérée comme le p
es de la substance grise corticale peuvent produire non seulement l'
épilepsie
partielle, comme tout le monde l'admet, mais auss
onne des indications sur la localisation du sens musculaire. DE l'
épilepsie
symptomatique DES NÉOPLASIES corticales 21 Obse
uche sans chaussette et sa jambe avec le pantalon retroussé. DE L'
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 23 Je t
es deux flèches sur la figtiie. MASSON & crie, éditeurs. DE L'
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 25 cons
hez notre malade. Nous avions, dans cette hypothèse, des attaques d'
épilepsie
provoquées par l'irritation de la substance gri
ègle avec la physiologie, si ces attaques revêtaient le masque de l'
épilepsie
partielle, type crural. C'est ce que l'on obser
ique du diagnostic des maladies de l'encéphale, p. 404- 434. DE L'
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 27 impo
té clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale, p. 438. DE L'
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 29 cons
ioii épi- (i) Jules SouRy, Les fonctions du cerveau, p. 294. DE L'
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 31 lept
sée sur l'interprétation la plus logique des faits. Car, bien que l'
épilepsie
jacksonnienne soit tou- jours le résultat de dé
e qui rapporte aux lésions grossières de l'écorce exclusi- vement l'
épilepsie
partielle, ces lésions peuvent produire aussi des
ard. Si d'un autre côté nous nous rappelons qu'on connaît des cas d'
épilepsie
partielle sans aucune lésion macroscopique de l
a pas une distinction fondamentale entre les deux grandes formes d'
épilepsie
. Et cette distinction n'existe pas davantage dans
e l'a si justement fait re- marquer M. le professeur il y a entre l'
épilepsie
parcellaire, limitée à quelques muscles, et le
ébrale, dans la Riv. sperimentale di freniatra, 1880, p. 17. DE L'
ÉPILEPSIE
SYMPTOMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 33 lési
ou en dehors, surtout celles-là - peuvent produire non seulement l'
épilepsie
jacksonnienne, comme tout le monde l'admet, mai
es accès typiques de grand mal. ">"'III. La différence entre l'
épilepsie
partielle et le grand mal, bien qu'importante a
hilitique, ce n'est pas un absin- thique et il a dépassé t'age de l'
épilepsie
vulgaire; nous n'avons pas trouvé de fait analo
ès plus de trente ans de silence pour faire entendre la menace de l'
épilepsie
partielle. Ce réveil paraît s'être produit sous
Ce n'est pas d'ailleurs un fait exceptionnel clans l'histoire de l'
épilepsie
partielle qui peut être provoquée aussi bien pa
prouvent pas péremptoirement. Florschuetz a observé des attaques d'
épilepsie
passagère. On conçoit que l'épilepsie Jaksonnie
uetz a observé des attaques d'épilepsie passagère. On conçoit que l'
épilepsie
Jaksonnienne puisse éclater par la formation d'ex
ssifiante pro- gressive avec d'autres lésions nerveuses, telles que
épilepsie
, atrophie du nerf optique, dans d'autres cas, e
Jeune fille de 14 ans. Père buveur, succomba pendant une attaque d'
épilepsie
; celle-ci avait débuté un an avant la naissance
on. Traitement : KI, diète sévère et ferrugineux. Traitement de l'
épilepsie
: chloral. Autopsie faite 24 heures après la mo
s digitales, mort d'apoplexie, à 60 ans. Un neveu mort à 40 ans d'
épilepsie
. Grand'mère morte à 61 ans de pneumonie. Un f
ur le plus grand bien des malades. On ne compte plus les cas où une
épilepsie
par- tielle, une paralysie, un trouble du langa
r de voir dans certains états pathologiques tels que l'idiotie ou l'
épilepsie
des types d'af- fections monstrueuses, plutôt q
uche;- la diplégie des membres inférieurs, à la demi-idiotie et à l'
épilepsie
. D'une part, on sait que les lésions cérébrales
t des cas d'angiome intra-crânien que nous venons de citer, c'est l'
épilepsie
qui avait fait intervenir le chirurgien. Dans le
intervenir le chirurgien. Dans le cas de Péan, il s'agissait d'une
épilepsie
partielle chez un garçon de 15 ans et l'opéra-
ans et l'opéra- tion, heureuse dans ses résultats, montra que celle
épilepsie
était sympto- matique d'un angiome des méninges
ourrions citer d'autres malades où la relation entre le naevus et l'
épilepsie
peut être soupçonnée, c'est ainsi qu'une de nos
laisse hémiplégique du côté droit. A partir de ce moment, crises d'
épilepsie
, de description très nette, revenant tous les m
e traduisant par l'idiotie, les affections spasmo-paralytiques et l'
épilepsie
. Aux observations nou- velles à démontrer la fr
ériode de malancolie sinon des attaques d'hystérie ? Pourquoi pas d'
épilepsie
dira-t-on ? Mais ceci est en désaccord avec tou
veuses de la moelle, par N. SOLOVT- zoff (13 fig., 6 phot.), 185.
Epilepsie
symptomatique des néoplasies corticales (Contri
Nævus tzngionzale2tx de la face avec hémi- plégie spasmodique et
épilepsie
, par L INNOIS et Berncmjd (1 phot.), 446. Pa
me naevus an- giomateux de la face avec hémiplégie spasmodique et
épilepsie
(1 phot.), 446. Bossus (L.). Un cas de maladie
me naevus an- giomatcux de la face avec hémiplégie spasmodique et
épilepsie
(1 phot.), 446. Léopold Lévi et A. Achard. Cons
phot., 2 fig.), 34. Magaliiaes Lemos. Contribution à l'étude de l'
épilepsie
symptomatique des néo- plasies corticales (1 ph
ce qu'on observe dans les convulsions partielles ou générales de l'
épilepsie
, dans l'hystérie, dans un grand, nombre d'affec
s d'impulsion incoercible, qui constitue pour Tamburini une sorte d'
épilepsie
. Or si une irritation pathologique d'un centre
une fillette de onze ans, qui souffrait depuis 3 ans d'atta- ques d'
épilepsie
; les troubles de la marche dataient de la même
ant de z ans ; les fautes de la marche débutent en même temps que l'
épilepsie
en 1886, la marche devient impossible en 1887,
finir avec soin les régions qu'ils désiraient enlever pour guérir l'
épilepsie
focale. Un de ces cas a été observé par Ilorsle
é la force du malade. Tiller a essayé l'antifébrine dans neuf cas d'
épilepsie
à la dose de 0 gr. 75 centigrammes par jour en
personnel des gardiens d'asiles. P. K. IV. DES traumatismes, DE l'
épilepsie
ET DE l'aliénation mentale, ' par J. Wagner. (J
s originales, l'auteur conclut que les équivalents' psychiques de l'
épilepsie
, ou l'épilepsie psychique est bien souvent le r
auteur conclut que les équivalents' psychiques de l'épilepsie, ou l'
épilepsie
psychique est bien souvent le résultat du traum
iques de l'épilep- sie soient l'effet d'une chute occasionnée par l'
épilepsie
convulsive REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 'lI7
psychopathies semblables à celles que l'on rattache d'ordinaire à l'
épilepsie
; il y aurait peut-être lieu d'admettre le group
Il existe donc une folie morale symptomatique de la sénilité, de l'
épilepsie
, de l'alcoolisme, de la paralysie générale, des
convient surtout à la démence sénile, à la paralysie générale, à l'
épilepsie
, à la manie périodique; il est moins indiqué qu
blit ces deux fonctions. P. K. XIV. DE l'hydrate d'amylène contre l'
épilepsie
; par H.-A. WILDER- - Mura. (Neurol. Cettral6l.,
and il y a intoxication bromique, pour remplacer K Br.; 3° dans l'
épilepsie
nocturne, en l'alternant avec le bromure, ou en l
nt à l'atropine; dans Ce dernier cas, on le donnera surtout quand l'
épilepsie
est franchement et uniquement nocturne. Il réus
ranchement et uniquement nocturne. Il réussit du reste aussi dans l'
épilepsie
symptomatique, notamment dans la poltocencéphal
tomatique, notamment dans la poltocencéphalite infantile, et dans l'
épilepsie
type. Doses : 2, 4, 5, 8 grammes par jour dans
IER et Pilliet (A.). Recherches cliniques et thera- peutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. - Compte rendu du ser-
son, le goitre exophtalmique, la maladie de Bright, le myxoedème, l'
épilepsie
, le tabes, la paralysie générale, l'acromé- gal
IEn et PILLiET (A.). Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. - Compte rendu du ser-
, il y a 5 cas d'excision de portions de l'écorce pour la cure de l'
épilepsie
focale. Dans 2 cas de von Bergman 3 etKee,14 la
lité était intacte. Dans un autre publié par Keen d'hémiplégie et d'
épilepsie
dû à une fracture, il y eut après l'opération u
région pariétale inférieure droite qui occasionnait des attaques d'
épilepsie
débutant par le pouce, donna lieu à une anesthé
e, vol. XI, 18UO.) Observation d'un malade qui avait des attaques d'
épilepsie
- suivies parfois d'accès de fureur, des accès
a constaté de J'atro- phie cérébrale. Notlinaâel faisait dépendre l'
épilepsie
procursive de lésions cérébrales. Bourneville e
doit être rattachée aux mouve- ments impulsifs si fréquents dans l'
épilepsie
, au saut, par exemple. Un autre malade de la cl
stations pathologiques simples, coïncidant parfois avec la folie, l'
épilepsie
, mais sans avoir avec ces maladies un rapport d
, aux formes inférieures (démence consécutive, imbécilité, idiotie,
épilepsie
, etc.). Il en est de même pour les différentes ca
laire. Le sens de l'équilibre est en général troublé surtout dans l'
épilepsie
ancienne et l'est très fortement après l'accès. -
caractères suffisants pour con- clure à la nature dégénérative de l'
épilepsie
et démontrer son affinité avec la folie morale
érés. Fére a indiqué l'hémiparésie comme signe caractéristique de l'
épilepsie
. L'auteur insiste surtout sur l'hémiparésie fac
si le signe indiqué par M. Sikorski est exclu- sivement propre à l'
épilepsie
ou s'il peut s'observer également dans une foul
dans la mimique de la face ne constitue pas un signe exclusif de l'
épilepsie
; il peut servir de signe général dans la dégéné
ie réelle qui peut ainsi témoigner par sa présence l'existence de l'
épilepsie
chez le malade. M. Sikorski insiste sur le symp
nalytique, par Blm, 'f2G. 1 ! 1.otno,1111lylotillit,e de - dans l'
épilepsie
, par Rottenbiller, 125. SI ? LNUtEit\Itt., pa
s irrita-tives de ces mêmes régions se rattachent les phénomènes de l'
épilepsie
partielle. Sans doute ces faits de localisation n
qui ne laissent sur le cadavre aucune trace matérielle appréciable. L'
épilepsie
, l'hystérie même la plus invétérée, la chorée et
festent (les attaques, comme on dit ici), tantôt ce sont les crises d'
épilepsie
(les accès). On désigne, au contraire, sous le no
ières, par 4 périodes, dont l'une, la première, s les apparences de l'
épilepsie
(phase épileptoïde, hystérie épi-leptiforme). Nou
fusion. Notre malade est à la fois atteinte de grande hystérie et d'
épilepsie
proprement dite, dont les attaques surviennent la
ntérieurement aux cinq dernières années, l'hystérie l'emporlait sur l'
épilepsie
: ainsi, en 1874, on comptait en un mois 244 atta
., à l'époque où elles se manifestaient en même temps que les accès d'
épilepsie
, c'est qu'elles étaient fréquemment suivies de co
'époque menstruelle qu'arrivent habituellement chez elle les crises d'
épilepsie
et qu'arrivaient autrefois aussi les crises hysté
a date de l'enfance, le sujet est épileptique, mais il s'agit d'une
épilepsie
d'un genre à part ; jamais il n'y a eu trace d'ar
nalés suffisent amplement à établir le diagnostic ; ce n'est pas de l'
épilepsie
, c'est bien de l'hystérie. Un traitement tonique
des attaques épileptiformes, il s'était demandé s'il n'y avait pas là
épilepsie
vraie ou consécutive à une affection encéphalique
urneville et d'Ollier. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, 1881, p. ¡10 avec leq
décembre 1880, pas moins de 582 attaques, sans qu'il s'y ajoutât de l'
épilepsie
, et sans qu'il persistât aucun trouble intellectu
étant affectés d'une autre affection du système nerveux, de folie, d'
épilepsie
, etc. Parmi les antécédents personnels de la ma
de spasmes toniques et de torsion des bras et de la tête, rappelant l'
épilepsie
partielle. C'est vraisemblablement là un vestige
nts, qui agita peu près toujours, à un certain degré du moins, dans l'
épilepsie
, restait complètement inefficace, non seulement d
ore dans cette forme d'hystérie qui semble se rapprocher le plus de l'
épilepsie
, à savoir l'hystérie à forme épileptique ou hysté
une imitation du vertige ou petit mal épileptique, et rien de plus. L'
épilepsie
n'est que dans la forme, non dans le fond, et en
et t. II, p. 202; — Jiourneville, Recherches clin, et tliérap. sur l'
épilepsie
, l'hystérie, etc. Compte rendu du service des enf
il s'agissait de l'hysléro-épilepsie à crises distinctes, à savoir :
épilepsie
vraie d'un côté, grande hystérie de l'autre, se m
fs reproduire jusqu'à l'imitation presque parfaite les symptômes de l'
épilepsie
partielle, tandis que les contorsions, les grands
et était 1. Ballet et Crespin, — Des attaques d'hystérie à forme d'
épilepsie
par-tielletArch. de Neurologie, 1884, nos 23 et 2
es nombreuses qui paraissent avoir été des accès d'hystérie à forme d'
épilepsie
partielle. A 6 ans, accidents coxalgiques transit
. Cartaz. On me le présenta comme atteint, depuis plus d'une année, d'
épilepsie
syphilitique. Naturellement, il avait été traité
ment caractéristique. C'était bien de l'hystéro-épilepsie et non de l'
épilepsie
vraie, ou encore de l'épilepsie symptomatique qu'
en de l'hystéro-épilepsie et non de l'épilepsie vraie, ou encore de l'
épilepsie
symptomatique qu'il s'agissait, et, une étude plu
Relation d'un cas dans lequel les attaques avaient pris l'aspect de l'
épilepsie
partielle. — Diagnostic de ce cas : importance de
un cas de contracture traumati- que, 1^2. Epidémie d'hystérie, 229.
Epilepsie
partielle (Hystérie chez l'homme avec attaque à
t neurasthénie, 268; — Absence de lésions, 268; — Attaque à forme d'
épilepsie
partielle, 285; — Absence des attaques convulsive
uis que je fais usage du bromure de potassium dans le traitement de l'
épilepsie
, dit M. Voisin, il m'a été donné d'observer chez
nées, recherche par la méthode expérimentale, le siège anatomiquede l'
épilepsie
, a fait part à l'Académie d'une nouvelle série d'
s l'habile physiologiste, complètement étrangers à la pathogénie de l'
épilepsie
. Quelques cabiais, rendus épileptiques par la sec
gue. L'observation clinique montre bien, en effet, que très souvent l'
épilepsie
ne reconnaît pour cause qu'une tumeur cérébrale,
firmant que les cabíais épileptiques transmettaient héréditairement l'
épilepsie
à leurs petits. Reste à savoir s'il y a identité
à savoir s'il y a identité absolue entre ces accidents provoqués et l'
épilepsie
chez l'homme. M. Brown-Séquard n'en doute pas ; m
a stricte application de la loi. BULLETIN MENSUEL Traitement de l'
épilepsie
, par le docteur Legrand du Saulle.— Après une sér
s très concluantes sur les bons effets du bromure de potassium dans l'
épilepsie
, M. le docteur Legrand du Saulle vient de publier
ur ce sujet, un important mémoire dont voici les conclusions : i° L'
épilepsie
se traduit très souvent, à son début, par des mal
dis que les accès incomplets ne sont influencés qu'en dernier lieu. L'
épilepsie
, on le voit, finit comme elle a commencé. 4° No
lepsie, on le voit, finit comme elle a commencé. 4° Non-seulement l'
épilepsie
idiopathique est une affection plus souvent curab
que à des guérisons. 5° De tous les médicaments préconisés contre l'
épilepsie
, le bromure de potassium (exempt d'iodure) est ce
— Les sens étaient normaux. IV. — F... était sujette à des accès d'
épilepsie
depuis un temps assez long, mais que nous ne pouv
de l'opinion qui accuse cet agent thérapeutique d'impuissance dans l'
épilepsie
symptomatique. Les accès ont été extrêmement no
l'olive et delà pyramide antérieure du coté droit, qui ont produit l'
épilepsie
? En l'absence d'autres lésions capables de rendre
aissances à domicile..................... 2 5 Siège anatomique de l'
épilepsie
............................ 25 Question d'hygiè
le de Paris........ ........... 70 Le bromure de potassium contre l'
épilepsie
......'........... 76 Origine, par contagion, de
RECHERCHES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PR
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
. L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
l'autre, d'enfants tout à fait incu- rables ou d'enfants atteints d'
épilepsie
ou de méningo- encéphalite devenus gâteux sous
11 est mort en décembre 1879, à quarante-neuf ans, dans un accès d'
épilepsie
. Il travaillait alors dans une fabrique de faïenc
n'aurait pas suffi à l'étouffer; mais, ayant été pris d'un accès d'
épilepsie
, il a suc- combé avant qu'on ait eu le temps de
ières convulsions ci sept mois; - peur ci dix ans : premier accès d'
épilepsie
. Caractère et marche des accès ; fièvre continue
thérapie (amélioration) ; bromure de nickel, etc.; aggravation de l'
épilepsie
. Bont... (Philippe-Désiré), ne il Bourg-la-Rein
onnerie depuis le 13 novembre 1883; il a fait quelques progrès. - L'
épilepsie
paraît s'aggraver, comme l'indique le tableau d
ec l'asthme, et Solter * lui trouve de nombreuses connexions avec l'
épilepsie
. On peut donc aisé- ment admettre qu'un père at
é, onanisme par inter- valles. Marche bien, pas de paralysie. Pas d'
épilepsie
. 1879. Novembre. Poids, 14 kil. 800. Taille, i
. 22. DES FAMILLES D'IDIOTS. Observation XII. - Idiotie complète;
ÉPILEPSIE
. Crises nerveuses simulant des peurs; accès épi
ains dans sa bouche, mais sans les sucer. 1879. Septembre. Idiotie,
épilepsie
, strabisme; mutisme, cris inarticulés; instinct
oncés de déchéance physique et intellectuelle : idiotie com- plète,
épilepsie
, paralysie, tuberculose, maladie dont la rela-
ément des crampes souvent très douloureuses, et le tremblement de l'
épilepsie
spinale. C'est alors généralement que les malad
la lésion corticale provocatrice d'après seu- lement la forme de l'
épilepsie
ou de la contracture partielle. On peut en effe
). Convulsions Il ne saurait être question ici des convulsions de l'
épilepsie
vraie, mais seulement des convulsions épileptif
e l'épilepsie vraie, mais seulement des convulsions épileptiformes (
épilepsie
partielle, jacksonienne ou corticale) qui se di
hystérie avait seule frappé le médecin traitant qui avait cru à une
épilepsie
vraie ou sympto- matique d'une tumeur cérébrale
ptoïde faisant croire à une tumeur cérébrale dans un cas d'Itstéro-
épilepsie
. Charcot (Leçons sur les mal. du syst. nerv. T. I
vais (1827) et de Jackson (1863), on s'était habitué à considérer l'
épilepsie
partielle comme un signe certain et exclusif de
803) avaient eu soin déjà de distin- guer des formes sympathiques d'
épilepsie
partielle dans lesquelles le sys- tème cérébro-
tabli nette- ment l'existence d' « accidents hystériques simulant l'
épilepsie
partielle ». Son premier mémoire sur cette ques
l est bien démontré que l'hystérie peut s'approprier le masque de l'
épilepsie
partielle et que ces convulsions partielles épi
tuent souvent toute l'attaque d'hystérie. Les accès de cette fausse
épilepsie
se montrent d'ordinaire par séries et constitue
rs dans l'hystérie un véritable état de mal épileptiforme. Tantôt l'
épilepsie
partielle d'origine hystérique affecte la forme h
decine (1825), p. 403. (2) Maisonneuve, Recherches et observ. sur l'
épilepsie
. Paris, 1803, p. 259. , (3) 13UClIARD, Concours
ermet d'affirmer que l'hystérie était la seule cause des attaques d'
épilepsie
partielle, les observations VIII et IX sont au
s du cerveau. L'au- teur y rapporte quatre cas d'hystérie à forme d'
épilepsie
partielle dont l'un est relatif à un enfant de
ignalé cette observation de sa thèse sur- tout au point de vue de l'
épilepsie
partielle qu'il avait hésité, nous dit'il ! à con
nt aussi bien relever uniquement de l'hystérie. ~ Quant aux accès d'
épilepsie
partielle, ils alternent il la fin de l'observa-
ures précoces. Cela se voit surtout au début et dans quelques cas d'
épilepsie
partielle (1). En résumé, une lésion circonscri
paraplégie est flasque : les réflexes rotuliens sont abolis : pas d'
épilepsie
spinale. La sensibilité au contact et à la doul
is, n'a pas eu de convulsions. Variole et rougeole. Premier accès d'
épilepsie
à la suite d'une frayeur à t'age de' ans. Pendant
maladies nerveuses dans la race juive. Chez elle, qu'il s'agisse d'
épilepsie
, d'hystérie, de neurasthénie, ou de maladies ment
écouvrir l'indépendance complète des deux névroses, l'hystérie et l'
épilepsie
. Et comme toujours il appuyait sa démonstration,
ce terme, disait-il, il pourrait prêter à confusion, l'hystérie et l'
épilepsie
n'ont aucune parenté ». Cette découverte de l
a donné la- vérita- ble formule du traitement de l'hystérie et de l'
épilepsie
, qui a trouvé le seul moyen de guérir les verti
ant des mus- cles du mollet pour pouvoir produire le phénomène de l'
épilepsie
spinale. Les mouvements volontaires (flexion, e
rendre les eaux il Carlsbad. Là le D1' Schnee porta le diagnostic d'
épilepsie
et lui fit des applications de pointes de feu sur
i donna un certi- ficat constatant qu'il était atteint d'attaques d'
épilepsie
, et lui permettant de suivre un traitement d'él
ont qui lui délivra un nouveau certificat : paralysie et attaques d'
épilepsie
survenues à la suite d'un coup de foudre. Il
celles, que nous observons pour l'évolution des convulsions dans l'
épilepsie
Jacksonienne. Quel est le sort de ces contractu
nt les lésionsorganiques·duFCerveau, les 1 intoxications, surtout l'
épilepsie
et l'hystérie, l'auteur. conclut, enrr se basan
ractères différentiels de - la fugue morbides dans la folie, dans l'
épilepsie
, dans l'hystérie; dans la neurasthénie, s .1 1
le 1er octobre 1889. C'était un homme d'une bonne santé à. part son
épilepsie
.1 : Réflexe rotulien .normal.- La paralysie sur
ngestive. r Wt > » ! '* ' - ; - 1 1 il z A la suite d'attaques d'
épilepsie
grave, il'y a d'ordinaire augmen- tation éviden
ait des faiblesses. Pour M.VALLON,X... parait atteint de la forme d'
épilepsie
connue sous le nom de petit mal. Mais il ne suf
de, M. Vallon tire les conclusions suivantes : 1°X... est atteint d'
épilepsie
(petit mal); 20 très vraisemblablement il a-com
observé aussi plusieurs cas d'aura visuelle précédant une attaque d'
épilepsie
. Un malade, qui avait eu sa première attaque à
t donc considérer le mutisme comme pathognomonique de l'attaque d'
épilepsie
. Quelques-uns ne peuvent répondre pendant leurs
; mais le len- demain le sous-officier avait une première attaque d'
épilepsie
. Les auras qu'il eut, par la suite, reflétèrent
rn. de méd. de Bordeaux, n° 4.) , IV. Des rapports de l'oeil avec l'
épilepsie
; par le Dr Georges MARTIN. (Jour2. de méd. de B
drer Archives, t. XXVIII.. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l'
épilepsie
. Entre les mains de l'auteur, cette maladie n'a é
thiques, mais la question n'est encore guère étudiée. CAMUSE. XI.
Épilepsie
PARASYPAILITIQUE, par le professeur Fournier. O
r Fournier. On voit parfois se produire au cours de la syphilis une
épilepsie
très différente à divers titres de ce qu'on a a
ne épilepsie très différente à divers titres de ce qu'on a appelé l'
épilepsie
syphi- litique ou mieux la forme épileptique de
tique ou mieux la forme épileptique de la syphilis cérébrale. Cette
épilepsie
présente les caractères suivants : 1° Elle débu
oduire, non des mouvements brusques, désor- donnés comme ceux d'une
épilepsie
, mais des mouvements ayant tout le caractère d'
mé d'un cas répondant à l'ataxie aiguë de Leyden. A. Marie. XXXIII.
Epilepsie
SÉNILE; par Mausel Sympson. , Deux observations
XXXIII. Epilepsie SÉNILE; par Mausel Sympson. , Deux observations d'
épilepsie
idiopathique sans lésion microsco- pique appréc
térie. Qui donc a démontré qu'en nombre de cas la maladie sacrée, l'
épilepsie
, n'est qu'une urémie, le crétinisme, un empoiso
n sait combien il est fréquent de voir l'hystérie se juxtaposer à l'
épilepsie
*. On sait d'autre part combien chez les hystériq
tisés. Comme les intoxications, les névroses ont leurs délires. L'
épilepsie
, cette grande névrose à paroxysmes, peut accoler
phtisie pulmonaire, 4; fièvre typhoïde, 1; attaques subintrantes d'
épilepsie
, 3; cancer de l'utérus, 1. On remarque que les
ARBE BUVÉE. 307 I 'que, pour au moins une des possédées, les mots d'
épilepsie
et 'de passion hystérique furent employés pour
ans laquelle l'hallucination se soit manifestée sous la forme d'une
épilepsie
sensorielle surajoutée à une hémia- nopsie perm
sions chez les animaux intoxiqués. Il en conclut que chez l'homme l'
épilepsie
peut être considérée dans un grand nombre de ca
ont ouvert des chapitres entiè- rement neufs pour l'acromégaJie, J'
épilepsie
, l'aphasie, la sclérose cérébrale, l'athélose d
lysies atrophiques de l'enfance, maladie de Basedow, hypnotisme,
épilepsie
, hystérie. Mettant à profit l'élément nouveau a
pages. BOCIINGVILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie. Comp
tains phé- nomènes pathologiques, comme les auras sensorielles de l'
épilepsie
partielle (visions colorées, phosphènes), comme
de l'action favorable exercée par le développement menstruel sur l'
épilepsie
. (Voy. 311lnchene2- med. Woclaensclarit.) . D
as sous ce type. M. Wildermuth voit avec plaisir ces observations d'
épilepsie
qui n'a pas empiré à l'époque des règles, celle
in. Ces améliorations se voient aussi chez l'homme. Quand on voit l'
épilepsie
s'améliorer, on est eh droit de se demander si
DrANN. Dans l'exemple que j'ai cité, on a vu se produire un accès d'
épilepsie
caractérisé en plein sommeil, ce qui n'a pas li
états où on les ob- serve en dehors de la folie proprement dite : l'
épilepsie
, l'hystérie, la neurasthénie. L'auteur établit
isme apparent, enfin l'amnésie habituelle, moins absolue que dans l'
épilepsie
, mais, en tout cas, susceptible de disparaître
uissent être tenus pour de la confusion men- tale surajoutée à de l'
épilepsie
; ces symptômes sont sans excep- tion des manife
sans excep- tion des manifestations faisant partie intégrante de l'
épilepsie
même. Toutes les variétés que nous venons d'é
par Mackie, 207. Enuhèse nocturne des enfants, par Freud, 212.
Epilepsie
, rapport de l'ceil et de Il , par G. Martin, 12
science, juillet 1902. DE GouvÉA. Les manifestations oculaires de l'
épilepsie
. Annales d'Oculietique, 1897. - Dide et ASSICOT
nérale. A. N. juin 1905. MARTIN (G.). Des rapports de l'oeil avec l'
épilepsie
. Journ. deméd. de Bordeaux, N° 13 et 14.- lIhGN
rien dit de celles des psychoses. Le (1)lAuliicE DoCOSTt : . -1)e l'
épilepsie
consciente et mnésique et en particulier d'un d
eut, en dehors de tout phénomène convulsif. parler, par analogie, d'
épilepsie
ou d'hystérie alcooliques (Francotte). La conna
gue dont l'allure comitiale pouvait faire croire à l'existence de l'
épilepsie
larvée. Observation I. X. 37 ans, entre à l'asi
tte angine se rencontre dans les familles en- tachées de folie ou d'
épilepsie
. Survenant chez un sujet atteint d'épilepsie, c
tachées de folie ou d'épilepsie. Survenant chez un sujet atteint d'
épilepsie
, ce fait est intéressant, car il suggère l'idée q
es cellules cérébrales corticales qui donne naissance à l'attaque d'
épilepsie
. R. de Musgrave CLaY. II. Anévrysme cérébral de
DENY. VIII. Amaurose permanente soudaine avec atrophie optique et
épilepsie
dans un cas de porencéphalie avec pachyméningite
tardaient pas à se manisfester. R. DE MUSGBAVE CLAY. II. Un cas d'
épilepsie
: cessation des attaques sous l'influence de la
c per- sévérance aux conclusions suivantes. 1° Chez les enfants l'
épilepsie
per se ne doit pas être considérée comme une di
a pas dans ce cas corrélation entre les deux syndromes angoisse et
épilepsie
. M. ÏÏAMEI. XII. Discours présidentiel sur la «
d'un enfant de treize ans et demi ayant eu de nombreuses attaques d'
épilepsie
, et qui, fait remarquable que l'auteur n'a jama
bies, hypochondrie, anomalies sexuelles) ; 30 ma- ladies acquises :
épilepsie
, vésanies, névroses, intoxications et infection
M. I I v n ra.. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XLI. Note sur l'
épilepsie
massive : par Ch. Féré. (Revue de - médecine, a
ons que rapporte l'auteur s'adressent à des sujets déjà âgés dont l'
épilepsie
débuta et continua à se manifester par des accè
me exagérées. Petites hémorrhagiessous la pie-mère cérébrale dans l'
épilepsie
. AI.QUIER et Anfimou ont constaté l'existence,
et la sclérose dans ce cas est la conséquence et non la cause de l'
épilepsie
. Cas de trophoedème chronique par MM. Parhon et
3 fr. BOURNEVILLE. Recherches cliniques et thérapeu- tiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servi
érations ma- croscopiques, et l'absence de troubles moteurs graves (
épilepsie
, paralysie) et d'autres symptômes liés à des al
. Ces derniers points sont particulière- ment dignes d'attention. L'
épilepsie
, la chorée, l'hystérie, les psy- choses convuls
plexes : l'instabilité, qui probablement about tira à la folie, à l'
épilepsie
, ou au crime, à l'ivrognerie, à la chorée, à l'
ranger. G.P.-B. 1'll. Recherches cliniqu-si et thérapeutiques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, t. XXV, par BOURNEVIL
re dans le stade initial de la fièvre ty- phoïde, une observation d'
épilepsie
a\ec asphyxie au cours d'un accès, Une note sur
es ou aliénés pendant qu'ils subissent leur peine, et dont l'état d'
épilepsie
ou d'aliénation a été constaté par un cer- tifi
est plus intéressant, dans la ré-évolution consécutive aux crises d'
épilepsie
; on la trou- ve aussi dans les états confusion
ension. F. T. XXVII. -Otite chronique purulente, abcès cérébelleux,
épilepsie
; par le Dr Déroute. (Bull, de la Soc. de méd.
e, juin 1906.) Il s'agit d'un malade atteint depuis son enfance d'
épilepsie
et d'une otite chronique purulente et qui a suc
ui a succombé à 32 ans à un abcès du cervelet. 11 semble bien que l'
épilepsie
était dans ce cas symptomatique, car quand l'éc
ulaire, de folie manio-dépressive, de katatonie, d'hébé- phrénie, d'
épilepsie
avec excitation. Elle ne s'est pas produite dan
ste, si at- taché à l'étude clinique de la paralysie générale, de l'
épilepsie
de l'hystérie, de l'alcoolisme, de la morphinom
lisation corticale des fonctions sensibles.-SymptOmes locaux dans l'
Epilepsie
genuinr. Le tonus provenant du labyrinthe. Le t
tait le suivant : FAITS DIVERS EptLEPSiE.Pourquoi a-t-on appelé l'
épilepsie
mal de terre' ! La réponse est facile. Terre n'
terroriser. Dans certaines contrées du Midi, on appel- le encore l'
épilepsie
ma, de terrour, mal de terreur, l'usage a fait
raphie, p. 418. Crime. Voir Paralysie. -- Voir Folie. Crise d'
épilepsie
. Simulation de la ; par Chavigny, p. 60. Croi
Corps. Hémorkiiagies. Petites sous la pie-mère cérébrale dans l'
épilepsie
; par Alquier et An- fimou, p. 156. Hérédité.
r- vonat, p. 135. Otite chronique purulente, abcès cérébelleux,
épilepsie
; par De- roitle, p. 430. Oxyde de carbone. V
ep- po-Acchioli, p. 502. Snwr-Luc. Voir Hôpital. Salicine. Voir
Epilepsie
. Sarcoplasme. Voir Muscle. Sciatique. Traitem
es. Dysménorrhée). Solution bromure* de Obry aux sels de magnésium (
Epilepsie
). Vin Oirard lodo-tannlque phosphaté. Sirop F
outt*, Grovello. Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses,
Epilepsie
, Hystérie), Lecithine Rogler (Neurasthénie, Tub
urantes). Franguloie Flach (constipation). Bromocarpine Ollviero (
Epilepsie
). Maisons de Santé D Raffcgeau Institut h ydr
ie ? En pathologie générale, Il n'y a pas d'hybrides. L'hystérie et l'
épilepsie
peuvent coïncider chez le même individu. Le terme
es. Dysménorrhée). Solution bromuré« de Qory aux sels de magnésium (
Epilepsie
). Vin Girard lodo-tannlque phosphaté- Sirop F
utte. Gravelle, Diabète). Tri bromure de Qigon (Maladies nerveuses.
Epilepsie
, Hystérie), Leoithine Roglor (Neurasthénie. Tub
antes). Franguloee F la oh (constipation). Bromocarpine Oliviero (
Epilepsie
}. Maisons de Santé D' Raffegeaa Institut liydro
BROMUREE DE GORY aux Sels de Magnésium Traitement spécifique de l'
Epilepsie
. Pharmaci'e GORY, \ïï, rue Oberkampf. — Pau du
04, 15 fr. Boubseville.— Recherches cliniques etthérapeutiquessur l'
épilepsie
l'hystérie et l'idiotie. In-8, 290 p. Progrès méd
(Uoutl-, Gravclle. Diabète). Trlbromure de Glgoa (Maladies nerveuses.
Epilepsie
, Hystérie). Léclthine Rogler (Neurasthénie. Tuber
fulgurantes). Franguloss Flach 'constipal'on). Bromooarplno Ollviero (
Epilepsie
)- Maisons de Santé D' RafTegeau Institut hydrot
BROMURÉE DE GORY aux Sels de Magnesium Traitement spécifique de l'
Epilepsie
. Pharmalolîe GORT, IN, nie Oberkampf. — Phix du f
Goutte. Cravclle, Diabète). Trlbromure- de Otgon (Maladies nerveuses,
Epilepsie
, Hystérie). Lecltbinc Rogler (Neurasthénie, Tubér
fulgurantes). Fraogulose Flach (constipation). Bromocarplne Olivlero (
Epilepsie
)- Malsons de Santé IV Raffcgesu. Institut hydro
BROMURÉE DE GORY aux Sels de Magnésium Traitement spécifique de l'
Epilepsie
. Pharmacie GORY, 122, rue Oberkampf. — Pau dc fla
BROMURÉE DE GORY aux Sels de Magnésium Traitement spécifique de l'
Epilepsie
. PharmaOle GORY, iî?, me Obr-rkampt. — Phix du fl
BROMURÉE DE GORY aux Sels de Magnesium Traitement spécifique de l'
Epilepsie
. Pharmacie GORY, 12?, rue Oberkampf. — Prix du fl
es, Dysménorrhée). Solution bromure* de Gory aux sels de magnésium (
Epilepsie
). Vin Girard iodo-tannlque phosphaté. Sirop F
utte, Gravelle, Diabete). Tri bromure de Glgon (Maladies nerveuses,
Epilepsie
, Hystérie). Léoithino Rogier (Neurasthenie, Tub
urantes). Franguloso Flach (constipation). Bromocarpine Ollvlero (
Epilepsie
). Maisons de Santé D- Raffegeau. Institut hydro
outte, Gravelie, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses,
Epilepsie
. Hystérie). LOcithino Rogier (Neurasthénie, Tub
urantes). Frangulose Flach (constipation). Bromocarpine Ollvlero (
Epilepsie
). Maisons de Santé D* Raffegeau- Institut hydro
BROMURÉE GORY aux sels de magnésium est à la fois un spécifique de l'
épilepsie
, de l'hystérie, des affections convulsives et un
s, Dysménorrhée). Solution bro murée de Gory aux sels de magnésium (
Epilepsie
). Vin Girard lodo-taonfqne phosphaté. Sirop F
outte, Gravelle, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses,
Epilepsie
, Hystérie). Léoithlne Rogler (Neurasthénie, Tub
urantes). Franguloso Flaoh (constipation). Bromocarplna Ollviero (
Epilepsie
). Malsons de Santé D" Raffogoau. Institut hydro
es. Dysménorrhée). Solution bromuree da Gory oui sels de magnésium (
Epilepsie
). Vin Girard lodo-tannique phosphate. Sirop F
outte. Gravelle, Diabète). Tribromure de Gigon (Maladies nerveuses,
Epilepsie
, Hystérie). Lecithine Roglor (Neurasthénie. Tub
urantes). Franguloso Flach (constipation). Bromocarplnc Ollviero (
Epilepsie
). Maisons de Santé D- Raffegeaa. Institut bydro
outta, Gravelle. Diabète). Tribromure do Gigon (Maladies nerveuses,
Epilepsie
, Hystérie). Léclthine Rogier (Neurasthénie, Tub
urantes). Frangulosa Plach (constipation). Bromocarplne Olivieio (
Epilepsie
). Maisons de Santé D* RafTegeau. Institut hydro
ux, mais n'a jamais eu ni crises con-vulsives, ni rien qui rappelle l'
épilepsie
ou l'hystérie. Pas de stigmates hystériques. To
raient être simulés par quelqu'un qui aurait assisté à des crises d'
épilepsie
et qui serait intéressé à induire le médecin en
ourtant pas; il ne suffit pas, tant s'en faut, pour diagnostiquer l'
épilepsie
que le visage soit congestionné pendant l'accès
peut être reproduit par la volonté ; ce que j'ai dit au sujet de l'
épilepsie
s'applique aussi d'une manière générale à tous
d'une méningo-encéphalite diffuse associée au tabes. Dans un cas d'
épilepsie
partielle, j'ai eu l'occasion de constater ce phé
ater ce phé- nomène : il s'agissait d'un homme sujet à des crises d'
épilepsie
jackson- nienne, chez lequel, les mouvements co
après guérison; il peut se manifester d'une façon passagère dans l'
épilepsie
partielle, dans l'empoisonnement par la strychnin
36 SEMIOLOGIE lien avec l'exagération des réflexes tendineux et l'
épilepsie
spinale, qui sont souvent sous la dépendance d'
lièrement apparent dans le phénomène que les cliniciens appellent «
épilepsie
spinale » et qu'on observe le plus sou- vent au
ue l'expérimentateur cherche à lui imprimer pour faire apparaître l'
épilepsie
spinale ; en procédant de cette façon on obtiendr
s et la trépidation qu'on observe alors se rapproche davantage de l'
épilepsie
parfaite. Quoi qu'il en soit, dans ces divers c
divers cas, il est extrêmement facile de reconnaître qu'il s'agit d'
épilepsie
fruste : on a affaire, en effet, à des gens se pr
exercé et avoir été pour ainsi dire dressé, se propose de simuler l'
épilepsie
spinale. Y aura-t-il quelque moyen de reconnaît
trépidation ne présentera pas le même degré de constance que dans l'
épilepsie
spinale parfaite. J'ajoute que les contractions
t pourtant, il est essentiel de les distinguer puisque, je (') De l'
épilepsie
spinale fruste, par J. Babinski (Revue neurologiq
un réflexe dit polycinélique (A. Charpentier) qui est analogue à l'
épilepsie
spinale et a la même signification, quand il est
étruire où, malgré la présence de troubles moteurs très manifestes (
épilepsie
Bravais-Jaksonienne, hémiparésie caractérisée, lé
toïde, mais d'une contrefaçon de ce phénomène, bien différente de l'
épilepsie
spinale. Je tiens à faire remarquer que le réfl
donné naissance à de l'exagération des réflexes tendineux et à de l'
épilepsie
spi- nale ; cette lésion a été aussi l'agent pr
rale paraissant pure, delà trépidation qui m'a semblé identique à l'
épilepsie
spinale. Je suis porté à croire que ce phénomène
e du pied qui remontait déjà à plusieurs mois et qu'en définitive l'
épilepsie
spinale n'était qu'indirecte- ment liée à la co
t liée à la contracture hystérique. Quoi qu'il en soit, l'absence d'
épilepsie
spinale vraie dans l'hémiplégie hystérique peut
latifs à ce sujet. Examinant une jeune femme sujette à des crises d'
épilepsie
et recher- chant chez elle, d'une manière systé
en est tout à fait normal. Faut-il attribuer cette perturbation à l'
épilepsie
ou à la médication bromurée à laquelle la malad
ermis d'affirmer qu'il existe entre le trouble qui nous occupe et l'
épilepsie
ou l'usage du bromure une relation de cause à e
mer. De plus, malgré l'absence de stase papillaire, de nausées et d'
épilepsie
Jacksonienne en nous fondant seu- lement sur ce
sentent toujours les mêmes caractères et on ne peut pas provoquer d'
épilepsie
spinale. Dans les premiers jours de février, la
réflexes tendineux sont exagérés et l'on provoque très facilement l'
épilepsie
spinale des deux côtés; le chatouillement de la p
mon collègue le Dr Le Noir. J'apprends qu'il a eu plusieurs accès d'
épilepsie
jacksonienne du côté droit commençant par les m
t forts, mais ne dépassent pas la normale ; il n'y a aucune trace d'
épilepsie
spinale. Tous les mouvements volitionnels s'exécu
nt l'occasion d'examiner une femme qui était sujette à des crises d'
épilepsie
jacksonienne limitées à la face et se répétant
à fait distinctif, c'est l'exagération des réflexes tendineux et l'
épilepsie
spinale parfaite (2) qui n'est qu'une forme de
i est physiolo- gique. Si l'exagération des réflexes tendineux et l'
épilepsie
spinale par- faite étaient susceptibles de cons
ment exagérés au membre supérieur et au membre inférieur, avec de l'
épilepsie
spinale parfaite du côté paralysé, qu'on le guéri
qu'on le présente de nouveau peu de temps après, débarrassé de son
épilepsie
spinale, avec des réflexes tendineux égaux des
Gazette des Hôpitaux, 5 et 8 mai ]()0o). (2) Voir à ce sujet : De l'
épilepsie
spinale fruste, par J. Babinski (Société de Neuro
que le malade ne peut plus faire fonc- tionner avec aisance, mais l'
épilepsie
spinale fait défaut et le réflexe cutané plantair
des douleurs en ceinture, de la parésie des membres inférieurs avec
épilepsie
spinale, signe des orteils et une légère déform
onc et du côté droit du corps a complètement disparu ; de ce côté l'
épilepsie
spinale n'existe plus, et au phénomène des orte
forte suivie d'une augmentation de la contracture. Des deux côtés
épilepsie
spinale parfaite, extension réflexe du gros ortei
gauche et sont peu prononcés. L'exagération des réflexes rotuliens, l'
épilepsie
spinale et le signe des orteils sont toujours p
ce diagnostic est fondé sur l'exagération des réflexes rotuliens, l'
épilepsie
spinale parfaite, le signe des orteils. La lymp
ment pour point de départ un kyste dermoïde de l'ovaire (Id.). 6.
Epilepsie
survenue chez un syphilitique et suivie de mort,
été de Biologie, 6 mai r 8gg) 53. Du phénomène des orteils dans l'
épilepsie
(Société de Neurologie, 6 juillet 18qq). 54. De
e la Salpêtrière, numéros de novembre et décembre 1902). 88. De l'
épilepsie
spinale. Procédé pour la faire apparaître quand e
pseudo-abolition de ce réflexe (Id., 7 décembre igo5). t23. De l'
épilepsie
spinale fruste (Id., ter mars ]go6). 124. Trait
ies secondaires. qui sont sous la dépendance de la diathére nerveuse (
épilepsie
, hystérie, hypocondrie), ou arthritique ; 3° Les
fois des faiblesses. Le 13 janvier 1890, elle vitun enfant tomber d'
épilepsie
et en éprouva un violent saisissement. Le lende
t pas une seule des formes de la folie qui ne puisse s'y associer : l'
épilepsie
avec ses délires propres, ceux des intoxications
l'hypochondrie (qui ne donne d'espoir que dans les cas très légers) l'
épilepsie
(succès douteux!) la chorea minor, la migraine, l
tique 83 0/0 de ses patients. Les résultats se rapportent à des cas d'
épilepsie
, de mélancolie, d'hystérie, de neurasthénie, de d
vue, contracture traumatique des extrémités inférieures, dipsomanie,
épilepsie
, asthmes, paralysie du côté droit, strabisme de l
bour et agite sa crécelle jusqu'à ce qu'il soit saisi d'une attaque d'
épilepsie
. Chez les Veddhas de Ceylan, il danse jusqu'à c
encore pratiqué sur des personnes neurasthéniques et affaiblies par l'
épilepsie
, l'hystérie, etc., avait produit des accidents ph
et sera destiné à récompenser chaque année le meilleur ouvrage sur l'
épilepsie
et les maladies nerveuses. Les exécuteurs testame
n. Quelques suggestions guérirent la malade comme la première fois.
Epilepsie
Jacksonienne traitée par la suggestion Par le d
uggestion Par le docteur Auguste Voisin, médecin à la Salpetrière
Epilepsie
Jacksonienne datant de la première enfance. — Hém
oir que ce traitement exerce une influence incontestable sur un cas d'
épilepsie
Jacksonienne accompagnée de troubles très nets da
ié au traitement hypnotique la propriété d'agir en aucune façon sur l'
épilepsie
. De plus, il a été très satisfaisant de faire d
re tout à fait satisfaisant. Diagnostic différentiel des attaques d'
épilepsie
et d'hystérie. Par M. le D' Aug. Voisin A l'o
' Aug. Voisin A l'occasion de ma récente communication sur un cas d'
épilepsie
jacksonienne traitée avec succès par la suggestio
é la question si importante du diagnostic différentiel de l'attaque d'
épilepsie
avec l'accès convulsif d'hystérie. Je suis heur
sterai que sur les signes essentiels et pathognomiques. L'attaque d'
épilepsie
débute quelquefois par une aura; lorsque cette au
es hystériques ne présentent aucun caractère dangereux. L'attaque d'
épilepsie
s'annonce souvent par un cri tout particulier, so
rayeur qui n'a d'impressionnant que son intensité. Dans l'attaque d'
épilepsie
il y a toujours perte de connaissance. L'hystér
ures. Rien de pareil chez l'hystérique. Dès le début de l'attaque d'
épilepsie
la face devient laide, repoussante, souvent horri
sions présentent en outre des caractères différentiels. L'attaque d'
épilepsie
débute par des convulsions toniques qui portent s
sa suite ce piqueté de la face et de la poitrine patho-gnomique de l'
épilepsie
que l'on trouve du reste sur les poumons des indi
ine et quelquefois des fèces est encore un signe pathognomonique de l'
épilepsie
. Il n'existe jamais dans l'hystérie. Il est un
signes n'existent pas non plus chez l'hystérique. Après l'attaque d'
épilepsie
, le malade reste dans l'obtusion ou bien il est p
, par Franck Podmore, 185. Arrêt (le pouvoir d'), 308. Attaques d'
épilepsie
et d'hystérie (diagnostic différentiel des), par
es médianiques de Varsovie, par de Kraüz, 1, 42, 70, 106, 143, 169.
Epilepsie
Jacksonnienne traitée par la suggestion, par A.
psie Jacksonnienne traitée par la suggestion, par A. Voisin, 304.
Epilepsie
et de l'hystérie (diagnostic différentiel de 1'),
PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'
ÉPILEPSIE
, L'HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SE
omprend des idiots tout à fait incurables et des enfants atteints d'
épilepsie
devenus gâteux ou déments sous l'influence des
marche et de la parole. - Début précoce de l'athétose. - Début de l'
épilepsie
à 3 ans; prédo- minance des convulsions dans le
jouer avec les enfants en robe (gâteux). Imbécillité ; hémiplégie ;
ÉPILEPSIE
. 41 24-31 octobre. - Revacciné sans succès. 1
Revacciné sans succès. 19 décembre. - L'enfant n'a pas eu d'accès d'
épilepsie
depuis son entrée bien qu'il ait été envoyé à B
te, fait à la date du 2 septembre, dit que l'enfant « est atteint d'
épilepsie
depuis plusieurs années, qu'il a été soigné par
oit avec perte de la parole. 52 Syndrome : imbécillité, hémiplégie,
ÉPILEPSIE
. Trois semaines environ après la terminaison de
llité, à l'hémiplégie droite et à l'athétose, est venue s'ajouter l'
épilepsie
: le syndrôme était ainsi complet. L'épilepsi
venue s'ajouter l'épilepsie : le syndrôme était ainsi complet. L'
épilepsie
a suivi la marche que l'on observe d'or- dinair
imbécillité ou idiotie, hémiplégie avec contracture ou athétose et
épilepsie
est symptoma- tique, comme on le sait, tantôt d
ue la grande clarté les frappe. Ro... était signalé comme atteint d'
épilepsie
par le certificat d'admission. Durant son séjou
e peut avoir aucune influence avantageuse pour les malades. IX.
Epilepsie
; tuberculose pulmonaire ; Par BOURNEVILLE et F
inquième mois de la grossesse. - Nais- sance à 7 mois. - Début de l'
épilepsie
à 3 ans ( ? ). Excès de boisson. - Tuberculose
ei- gnement sur les maladies qu'il peut avoir eues. Au sujet de l'
épilepsie
, les dires du patron et de l'oncle s'accordent po
uccion, bave, cris gulturaux. - Hémiplégie droite avec contracture,
épilepsie
spinale. - Tic du pied gauche. - Phimosis. - Ro
à la méningo-encéphalite rendue évidente par l'auto- psie. XV.
Epilepsie
. symptomatique ; état de mal, élévation de la t
des convulsions. Ce sont elles qu'il faut rendre responsables de l'
épilepsie
ultérieure. Ces convulsions ont été d'emblée gé
ne saurait à notre avis préciser exactement l'époque où a débuté l'
épilepsie
et où finirent les convulsions. Il nous parai
enfant en voyant son père ivre, avait déjà le caractère des accès d'
épilepsie
. Des étourdissements se montrèrent aussitôt apr
e scarlatine à l'âge de 57 ans. - Mère morte des suites d'accès d'
épilepsie
après la couche de son second enfant. Pendant la
. -Du côté maternel c'est chez une tante que nous trouvons encore l'
épilepsie
. La mère elle-même est nerveuse et de caractère
bave, accès de cris. - Tics de la face et balancement. - Gâtisme. -
Epilepsie
, congestion pulmonaire; mort. AUTOPSIE. - Porus
, c'est-à-dire moins perfectible. OBS. V. - Imbécillité prononcée ;
ÉPILEPSIE
, 8ouvetaE ? Père, rien de particulier, mort de
s morts en bas âge pour la plupart. L'une est morte dans un accès d'
épilepsie
; une autre avait des attaques convulsives. Un o
ngt-neuf ans, M.. a des attaques convulsives qui ressemblent à de l'
épilepsie
. Elles surviennent presque toujours la nuit; pl
d'abord 26 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. rappellent l'
épilepsie
franche. Depuis six ans il est affligé de vertige
des absences typiques. Depuis l'apparition des règles, ces accès d'
épilepsie
ne se sont plus reproduits. Réglée à quatorze ans
pied, contrairement à ce qui s'observe, le plus sou- vent, en cas d'
épilepsie
spinale. La peau des cuisses esl anesthésiée pres
la porencéplialie peuvent amener des troubles moteurs variés, de l'
épilepsie
et,jusclu';1 l'idiotie. 1 Ici les effets de la
marcher une pédale, el ils présen- tent tout il fait l'aspect de l'
épilepsie
spinale, avec cette différence que les réflexes
rsonnels on relève que le malade a dans sa jeu- nesse élé al lein d'
épilepsie
( ? ). Celle maladie aurai 1 cessé complètement de
. XII (due à l'obligeance de mon collègue et ami Nicolle). Hystéro-
épilepsie
. Tremblement hystérique de la main droite.-La nom
après l'attaque qui l'a fait naître. Il a tous les caractères de l'
épilepsie
. Mais il ne se produit que lorsque le sujet tient
ui nous occupe dans la collection de ses recherches cliniques sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie'. D'un autre côté je m
Semejolica délie malattie mental, (3) Bourneville, Recherches sur l'
épilepsie
, l'hystérie et l'idiotie, 9sus0-1590. zoos NOUV
on et ne peuvent que favoriser l'éclosion de maladies cérébrales (l'
épilepsie
par exemple) chez des personnes prédisposées.
sont celles que Lasègue avait regardées comme caractéristiques de l'
épilepsie
dite essentielle. 3° Mensuration de la face. -L
remble- ment, vous pourrez trouver des cicatrices par traumatismes (
épilepsie
) ou d'affections accidentelles, en particulier
de contusions, de brûlures, parfois caracté- ristiques comme dans l'
épilepsie
; les cicatrices du cou, du pli du coude, des or
ux ans suivie de l'apparition de la poitrine en entonnoir, Ebstein.
Epilepsie
survenue à sept ans consécutivement aune maladi
ifférents auteurs : Flesch faisait déjà remarquer la fréquence de l'
épilepsie
chez les individus porteurs de déformation du t
nts de cette anomalie, présentaient des affections psychiques, de l'
épilepsie
, ou d'autres difformités. » L'auteur donne la p
si l'observation suivante m'ai paru présenter un certain intérêt.
Epilepsie
. Asphyxie disséminée. - Le nommé lI. P. D..., âgé
que dans sa quarante et unième année il a eu sa première attaque d'
épilepsie
, qui a été caractérisée par une chute subite av
e cité à l'appui de la théorie angio-névrotique ou sympathique de l'
épilepsie
, théorie attribuée à Schneevogt par Eulen- burg
sa grand'mère avail de fréquentes attaques convulsives (hystérie ou
épilepsie
); sa mère est hystérique : depuis longtemps elle
deux frères, tous deux atteints de crises convulsives (hystérie ou
épilepsie
) : l'un qui a vingt-quatre ans et qui présente
a malade présente toujours, de temps à autre, des accès distincts d'
épilepsie
analogues à ceux du début (absence d'aura, morsur
ystérie classiques, et dernièrement elle a eu de véritables accès d'
épilepsie
(hystéro-épilepsie à crises distinctes). Depuis
plégie avec contracture en semblent bien indépendantes; les accès d'
épilepsie
partielle lui semblent également étrangers. L'hys
Ballet et Crespin ont bien étudié les attaques d'hystérie à forme d'
épilepsie
partielle. Néanmoins, il ne nous paraît pas qu'
érie puisse expliquer les convulsions, l'hémi- plégie du début et l'
épilepsie
partielle consécutive. Nous ne croyons pas dava
eau qui tient sous sa dépen- dance les convulsions, l'hémiplégie, l'
épilepsie
symptomatique et l'asymétrie de la face et du t
ccident de chemin de fer... à savoir : paralysie agitante, vésanie,
épilepsie
, sclérose en plaques, etc., etc... Mais dans la
ans, un peu buveur. Aurait élé effrayé en voyant quelqu'un tomber d'
épilepsie
et aurait eu ensuite une crise par an dans les
il est muni de plusieurs certificats constatant qu'il est atteint d'
épilepsie
avec délire consécutif aux attaques ; un autre.
▲