inconnue ; elle devient un fait biologique distinct composé de deux éléments : l'un physique, primordial, la modification va

t à ce point de vue, c'est-à-dire au point de vue des rapports de l' élément mental et de l'élément affectif de l'obsession,

est-à-dire au point de vue des rapports de l'élément mental et de l' élément affectif de l'obsession, de l'idée fixe et de l

issante de ses diverses modalités, la même disso- ciation des trois éléments qui la composent se retrouve et dans le même or

on morbide et sans idée fixe, c'est-à-dire la maladie réduite à son élément vaso-moteur. L'É'reuthose émotive, elle, est la

tion morbide, sans idée fixe, c'est-à-dire la maladie avec ses deux éléments vaso-moteur et affectif. L'ElI1'otop/lObie, enf

de et idée fixe, c'est-à-dire la maladie au complet, avec ses trois éléments vaso-moteur, affectif, intellectuel. 'On retrou

olues, dans la phobie et la rougeur, de 24 PATHOLOGIE NERVEUSE. l' élément affectif. C'est que les crises de rougeur, une fo

énéralement engendrées par « l'idée » de rougir, c'est-à-dire par l' élément intellectuel. La plupart des malades, nous l'av

n à cette conception psychopathologique que le trouble émotif est l' élément fondamental de l'obsession. Mais, en allant au

lublement liées. I' a-t-il main- tenant, dans cette association, un élément malgré tout anté- rieur et prédominant ? S'agit

orroborer ces données, d'où ressort la prépondérance manifeste de l' élément émotionnel, de les appuyer sur l'étude expérime

utritif qui se manifeste dans les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 41 éléments du cerveau, et qui en vertu duquel l'acide phosph

mme d'un grand esprit et croit à son génie. Il est probable que les éléments dont provient la mala- REVUE DE PATHOLOGIE MENT

s, exis- tent déjà depuis longtemps chez le malade. On voit que l' élément de la folie raisonnante, à savoir Je terrain de

cution et de gran- deur se développent progressivement sans avoir l' élément de la folie raisonnante. La « paranoïa inventor

disposition névropathique, des excès, du surme- nage, c'est que ces éléments nocifs ne sont pas aptes à produire le tabes ou

deuxième frontale et de la circonvolution de passage ; 2° quelques éléments émanés des portions antérieures des ascendantes

rieurs du lobe frontal ; -- 50 les fibres des corps calleux; 6° les éléments de la capsule externe. Le noyau caudé, le noyau

t à chaque écart de régime. Cet appoint d'intempérance doit être un élément importantde gravité. Le trai- tement en pareill

ste est, non un symptôme, mais un complexus symptomatique composé d' éléments de diverses origines et d'impor- tance variée.

concentrique autour du noyau, et dans les prolonge- ments des mêmes éléments , une orientation parallèle. Ces granu- lations

ils, les baisers passionnés de l'époux à l'épouse, furent jugés des éléments éminemment perturbateurs. Quand, il y a vingt-t

Où alors ? J'ai dit ici même, quand j'ai traité dans ce journal des éléments communs il tous les quartiers d'aliénés que le

st Kôlliker lui-même qui, au sujet des méthodes de coloration des éléments du système nerveux, a écrit que les procédés de W

96 pathologie NERVEUSE raitre, avec une puissance incomparable, les éléments essentiels du système nerveux, les cellules ave

Il n'y eut qu'une voix sur la fidélité [des représentations de ces éléments , surtout de celles des prolongements protoplasm

Ailleurs, la connaissance anatomique des organes, des tissus et des éléments anatomiques, a révélé les lois de leur fonctionne

du cerveau correspond à des variétés de forme et de structure des éléments anatomiques de ces régions. La physiologie ne met

ynert, indiquait l'existence, dans l'écorce cérébrale, de couches d' éléments nerveux, à morphologie différente, réguliè- rem

réfute toujours l'opinion qui tend à faire dériver la fonction d'un élément nerveux de la- forme de cet élément ; il combat d

faire dériver la fonction d'un élément nerveux de la- forme de cet élément ; il combat donc l'opinion qui fait des petites

e nerveuse se distingue- t-elle au point de vue objectif des autres éléments anatomiques des centres nerveux ? Golgi définit

jours unique, ditîérent de tous les autres, et destiné à relier cet élément aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de

a structure fibrillaire, non seulement du corps cellu- laire de ces éléments , mais de leurs prolongements : structure fibril

aisseaux sanguins et de la névroglie, le plasma nutritif arrive aux éléments essentiellement nerveux; il serait du reste diffi

prendre par quelle autre voie la matière nutritive arriverait à ces éléments . » Si les fibres nerveuses ne dérivent ni directe

s'expliquer le» rapports anatomiques et fonctionnels quirelient les éléments cellu- laires des différentes régions de l'écor

ans délimitation rigoureuse. Enfin, les variétés morphologiques des éléments nerveux corres- pondent-elles à des fonctions d

ts nerveux corres- pondent-elles à des fonctions différentes de ces éléments ? La dis- tinction de ces organites en cellules

groupe de cellules nerveuses, si l'on n'observe les rapports de ces éléments avec les libres de la première ou de la seconde

s cette zone renferme en même temps, sans doute confondues avec les éléments moteurs, des cellules sensitives. Dans le cervele

parce qu'avec la coloration noire la fine et délicate structure des éléments nerveux apparaît avec d'autant plus de netteté

civique du système nerveux central ont un siège commun, où leurs éléments se juxtaposent, se confondent ou se mêlent en pro

t spéciale de l'écorce cérébrale. L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments nerveux constituant ces centres résulterait de ce

ette destruction locale d'un sens sembleraient bien prouver que ses éléments centraux ne sont point disséminés sur toute l'é

isséminés sur toute l'écorce et confondus pêle-mêle avec les autres éléments centraux de la sensibilité générale et spéciale

cérébrale étant fonctionnellement indifférents, selon l'auteur des Éléments de psychologie physiologique, la fonction de ch

e la répétition d'un mode uniforme d'excitation. Si la fonction des éléments nerveux d'un de ces centres vient à être inhibée

erveux d'un de ces centres vient à être inhibée ou abolie, d'autres éléments nerveux de l'écorce seront capables de la supplée

s animaux nouveau-nés, avant tout exercice notable des sens, si les éléments centraux de l'écorce sont fonclionnellement ind

er, on devrait pouvoir, dit II. Muni : , détruire une partie de ces éléments sans dommage aucun pour les fonctions de la sen

, on doit pouvoir les détruire impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres régions cérébrales. C'est ce qu'avait

nk a déterminé une cécité complète et durable. « La spécificité des éléments constituant les centres de sen- sibilité de l'é

ui ne diffère pas au fond de celle que présentent beaucoup d'autres éléments du corps, par exemple les cellules de sécrétion

primordial, avec sa seusihibilité élémen- taire, se sont formés les éléments centraux des différents sens, est entièrement d

ose sur le caractère propre ou spécifique, donné par la nature, des éléments ou cellules des centres corticaux de la sensibili

était donc arrivé, de son côté, à nier toute anasto- mose entre les éléments du système nerveux central : chaque fibre nerve

ations, il n'est point nécessaire que les ramifications ultimes des éléments ner- veux soient en continuité : il suffit qu'e

de Golgi, deman- dait, à propos de la confusion, dans l'écorce, des éléments anato- miques de la sensibilité et de la motili

ment devraient être morphologiquement distinctes. Les deux sortes d' éléments nerveux coexistent dans la zone visuelle, parce

pour les centres moteurs et pour les centres d'arrêt : parlout les éléments nerveux de la sensi- bilité et du mouvement dev

rise, occupe, pour ainsi dire, tous les interstices laissés par les éléments cellulaires ». Quant à la provenance de ce réseau

léments cellulaires ». Quant à la provenance de ce réseau, tous les éléments nerveux, sans exception, des organes centraux, en

ncline volontiers à reconnaitre que la continuité substantielle des éléments nerveux de son réseau n'est peut-être qu'une cont

oplasmiques les fonctions propres et exclusives des cylin - draxes, éléments de son réseau nerveux. La formule synthétique de

istinguent les uns des autres par la forme et l'agencement de leurs éléments 'constitutifs (cellules, fibres, névroglie).

domine l'innervation cérébrale affaiblie. Dans son cas une série d' éléments émotionnels ont déprimé la cérébralité et excité

s uns avec les autres. Les cellules nerveuses représentent donc des éléments com- plètement séparés, c'est-à-dire des neuron

in les cellules apolaires jouent très vraisem- blablement le rôle d' éléments copulatifs placés entre les prolon- gements de

e le plus fréquent, c'est le voisinage plutôt que le contact de ces éléments . Le même phéno- mène doit exister par entrelace

n d'eux décharge son énergie en vertu de différences de tension des éléments qui l'avoisinent. Ces différences de tension en

'avoisinent. Ces différences de tension entraînent la décharge d'un élément sur l'autre, laquelle décharge développe l'excita

n élément sur l'autre, laquelle décharge développe l'excitation des éléments suivants. Le courant nerveux en marche (conducti-

En d'autres termes la déséquilibration de la tension énergique des éléments nerveux voisins les uns des autres donne le cou

'excitation de l'agent extérieur, non seule- ment ils préserventles éléments nerveux conducteurs de l'excitation, mais ils j

L'écriture automatique peut en cela être d'un précieux secours. 4° Eléments de diagnostic précieux dans l'hystérie infantile;

rétions bronchiques; 3° les troubles de nutrition des tissus et des éléments cellulaires (troubles trophiques) auxquels se rap

'expression anatomo-pathologique est une malformation primitive des éléments de l'ectoderme : système nerveux central et périp

l fit sur cet état : « L'analyse que nous avons faite plus haut des éléments du rêve, montre que ceux-ci (rêve et folie) son

identiques ou à peu près . » Il est certain que, seulement dans ses éléments fondamentaux, le rêve pourra ressembler à certa

matique » de Magnan par exemple; mais non dans le groupement de ces éléments , ni dans l'évolution, ni moins encore dans son

ns stéréotypées. Il semble que ces dernières résistent plus que les éléments moins atteints de la mentalité. Nous avons déjà

Les autres membres de la famille, restés depuis indemnes, étaient l' élément passif dans cette folie commu- niquée ; notre m

que l'activité mentale est une fonction basée sur des connexions d' éléments , ainsi que l'ont démontré avec plus de précisio

ences nocives est rapide; et l'action morbide n'est pas limitée aux éléments nerveux, elle s'exerce sur tous les tissus (vas

laisse de côté les cas où la folie relève d'une dégénérescence des éléments nerveux). L'observation tant clinique que nécrosc

la présence et le taux de l'albumine ou du sucre ; 3° la présence d' éléments étrangers ou anormaux (sang, pus, micro organis

re de vie des malades ; aussi, la syphilis, 'à son avis, est-elle l' élément étiologique prédominant de la paralysie géné- r

u'elles sont un phénomène très complexe, qui réunit en lui tous les éléments primitifs formant et déterminant le langage en

le agitée ou stupide. Le pronostic est généralement favorable : les éléments se tirent, comme pour les maladies mentales en

périphériques détermine des altérations du même ordre dans certains éléments du cerveau et trouble ainsi les diffé- REVUE DE

tfourni les signes d'un arrêt de développement du cerveau et de ses éléments (macroscopiquement, les anomalies de scissures

; par places elle présentait l'aspect d'un angiosarcome. Absence d' éléments nerveux et de substance névroglique. Les kystes

nt tous une prédisposition manifeste. C'est le frère aîné qui est l' élément actif dans l'élaboration du délire et qui a commu

sions banales, mais accusées, d'atrophie et de dégé- nérescence des éléments nerveux, surtout des tubes nerveux et des capil

de même nature, que présentent la morphologie et les connexions des éléments nerveux de la moelle épinière. I. Chaque fibre

pareils de réception, non d'émission des courants nerveux. Dans les éléments qui, comme les cellules nerveuses des ganglions

, pénètrent dans la substance grise où elles s'arborisent entre les éléments nerveux de la moelle épinière. Outre les arborisa

ulte » (Croo- nian Lecture). A partir de l'époque embryonnaire, les éléments ner- veux ont perdu la propriété deproliférer,

xception, la sensibilité étant la seule propriété spécifique de ces éléments , acquise, d'ailleurs, au cours de l'évolution, pa

eut être en connexions indépen- dantes les unes des autres avec des éléments nerveux fonctionnelle- ment différents. De même

comme des lianes aux branches d'un arbre des tro piques, » avec les éléments nerveux de la moelle ou du cerveau ; les vastes

s aux grandes, et de celles-ci aux cellules polymorphes. Tous les éléments constituant le système nerveux central et péri-

ume du corps des cellules nerveuses et la grosseur et le nombre des éléments chromatiques un rapport existe, ainsi que l'a v

ral est contraire à l'hypothèse d'après laquelle la quantité de ces éléments du cytoplasma corres- pondrait à une dignité fo

, vol. I, 1896. THÉORIE DES NEURONES. 295 tion et répartition des éléments chromatiques du cytoplasma dans la série phylog

granules périnucléaires à la zone périphérique; d) extension de ces éléments chromatiques à tout le corps de la cellule et a

a terminaison des puissants rameaux de ces prolongements manquent d' éléments chromatiques; leur fonc- tion physiologique n'e

lule et ses forte»- branches protoplasmiques, où sont accumulés des éléments chro- matiques, entrent en conflit avec les ram

ctionnelle ». Cajal estime même qu'il serait permis de comparer ces éléments aux corpuscules fusiformes des couches du sarco

ndante au degré de différenciation anatomique et physiologique de l' élément dont il est sans doute le substratum des énergi

- veuse doit être en rapport avec le plus grand nombre possible d' éléments . De même que la cellule de Purkinje du cervelet,

de leur tige et de leurs ramifications protoplasmiques. Le nombre d' éléments déterminés avec lesquels une cellule peut entre

fibrillaires), on peut mesu- rer le degré de différenciation de ces éléments par leur écartement réciproque. Chez les batrac

n doit admettre, en outre, que, pendant le stade d'activité, chaque élément psychique se trouve dans un certain état THÉORI

organes de notre corps (sens musculaire), image conservée dans cet élément . Quelle que puisse être la nature de cette acti

t exci- 300 REVUE CRITIQUE. tées. Mais, quel que soit ce nombre d' éléments des sens directe- ment impressionnés, l'excitat

ches de Weigert non seu- lement il n'existe aucun rapport entre les éléments de la névro- glie, pourtant accumulés autour de

ie, le colorer nettemenl, isolément, complètement, sans teindre les éléments nerveux et surtout leurs cylindraxes. Comme ell

ellules de ce tissu. La méthode de Golgi imprègne en effet tous les éléments du système nerveux cen- tral, à l'exception des

ont émancipées, chez l'adulte, à l'état normal, la substance de ces éléments ne soit pas ner- veuse : 1" parce que, avec la

en nombre d'une façon si énorme qu'on les peut considérer comme l' élément essentiel de ce tissu. Quant à l'origine des ce

de la science de son temps sur la phylogénie et l'ontogénie de ces éléments : ce sont des cellules émigrées des surfaces inté

ctère plutôt embryonnaire, on retrouve les formes primitives de ces éléments . Les cellules épithéliales et les 308 REVUE CRI

quelques-unes. Et d'abord, entre les fibres de la névroglie et les éléments nerveux, il n'existe jamais la moindre transiti

à limiter, à isoler, sinon à défendre, à protéger et à soute- nir l' élément nerveux. Tantôt une ou plusieurs fibrilles de név

rones soient détruites comme dans la paralysie générale, que tout l' élément nerveux, cellules et prolongements, dégénèrent

ie comble les lacunes laissées par la mort totale ou partielle de l' élément nerveux. Dans la paralysie générale en particul

rice des courants nerveux, attri- bué par les savants espagnols aux éléments de la névroglie, convient d'autant moins à la s

de plus; sa nature même lui interdit de servir à l'étude des autres éléments de la névroglie; ceux-ci échappent en effet à la

ence de ces rapports. Autant vaudrait nier l'exis- tence des autres éléments qui ne se colorent pas par cette méthode, le pr

rité des médecins experts. Le milieu, les circons- tances, bien des éléments réagissant les uns sur les autres contri- buent

stion de fait et échappe à une théorie juridique générale. Tous les éléments indi- viduels, héréditaires, accidentels, socia

d'agir à la façon d'un stimulant ou à la façon d'une toxine sur les éléments nerveux, et plus particulièrement sur ceux de c

sur les éléments nerveux, et plus particulièrement sur ceux de ces éléments dont s'occupe spécialement la psychologie. Il.

. Les premières nous renseignent sur le monde extérieur et sont les éléments de 326 SOCIÉTÉS SAVANTES. la connaissance. Le

et l'action de nitrate d'argent, nous atteignons l'imprégnation des éléments nerveux, qui nous apparaissent au microscope co

rveuse LA THÉORIE DES NEURONES. 339 peut être considérée comme un élément isolé de ses semblables. C'est justement cette

existence indépendante, tandis que le neurone est entouré d'autres éléments , auxquels il se rattache et dont il dépend, et

ails protoplasmiques des cellules pyramidales, se trouvent d'autres éléments nerveux qui ont la forme de corpuscules fusifor

rd des cellules pyrami- dales ? Nous pouvons les envisager comme un élément acces- soire ; mais d'un autre côté, quelques a

erminales de ces derniers entrent en contact avec les dendrites des éléments nerveux. Cette circonstance nous convainc aussi

téraux, qui naissentde la fibre principale, à une grande quantité d' éléments nerveux; LA THEORIE DES ]'OEURONas. 343 2° Po

de Padoue. De ses nombreuses observations l'auteur conclut que les éléments qui se développent avec la plus grande régulari

ont en connexion intimé avec elles par leurs pro- longements. A ces éléments il faut ajouter le plexus qui suit « pas à pas

ice se montre et devient plus complète, en même temps de nouveaux éléments se forment dans l'écorce cérébelleuse, les élémen

mps de nouveaux éléments se forment dans l'écorce cérébelleuse, les éléments exis- tants se modifient, se perfectionnent, et

es fibres blanches de la périphérie se trouvent en rapport avec les éléments de l'appareil de la vision. Le corps genouillé

ale, plus le noyau est excen- trique, moins la cellule est riche en éléments chromatophiles et vice versa. Dans le cas de

out à fait intactes : le volume de quelques-unes était diminué, les éléments chroma- tophiles raréfiés, déformés, de volume

lules sont plus nombreux et plus visibles, la cellule plus riche en éléments chromatophiles disposés en plusieurs couches.

- quemment un noyau rejeté à la périphérie, en même temps que les éléments chromatophiles sont réduits à une rangée périphé-

ication, propose la classification et la terminologie suivantes : Eléments nerveux = neztres. Ils se divisent en : 1° Él

suivantes : Eléments nerveux = neztres. Ils se divisent en : 1° Éléments collecteurs, ou æsthésione1l1'es. a). Cellules

eures. b). Cellules rassemblées en ganglions ou ganglioneures. 2° Éléments associateurs, ou zygoneztres. a). Cellules des

brachyneures. b).' Cellules des voies longues, ou téléneures. 3° Éléments de décharge, ou dynamoncures. (t). Cellules cor

sont encore inconnues au fond et nous n'en connaissons que quelques éléments qui sont l'existence de nombreuses hallucinatio

ue pouvant se confondre par certains côtés avec quelques-uns de ses éléments . Et quand on considère que les manies et lypéma

tal qu'ils ont déter- miné.. J. SÉGLAS. XLIX. DE l'influence DE l' élément nerveux ET mental dans LES maladies EN général;

toutes les fonctions physiologiques, en déduit son influence comme élément constant dans toutes les affections phy- siques

ons phy- siques ordinaires. Le cerveau préside, par certains de ses éléments , à l'absorption, aux sécrétions, aux tonus vasc

ne faut pas oublier, d'ailleurs, que ceux qui sont mariés sont les éléments les plus stables du personnel. M. KREUSER a, da

es distinctes : 1° affaiblissement intellectuel; 2° mélancolie avec éléments paranoïaques; 3° para- noïa. Le siège des tumeu

sidérables de la microphotographie pour l'étude des altérations des éléments nerveux. Il a examiné les lésions du système nerv

lions spinaux par rapport aux cellules motrices; 2° persis- tance d' éléments normaux à côté d'éléments très altérés; 3° dé-

aux cellules motrices; 2° persis- tance d'éléments normaux à côté d' éléments très altérés; 3° dé- but de la lésion au niveau

e on a affaire. La méthode de Beckera montré que, au moins dans les éléments moteurs. la substance non chromato- phrle a une

La question n'est .d'ailleurs pas résolue si, dans tous les autres éléments nerveux, la substance non chromatophile est com-

ns de Ehrlich, ce qui tendrait à faire croire qu'il ne s'agit pas d' éléments vivants, mais de résidus de l'activité cellulai

es ganglions spinaux, admet, dans la subs- tance chromatophile, des éléments fibrillaires et des granulations; Lriedmann, Kr

s. Etant donnée la sensibilité extrême et plus ou moins durable des éléments cérébraux à toute modification brusque de leur

générescence des cellules ganglionnaires et oblitération des autres éléments de tissu. Le caractère peu accusé de ces lésions

laires, dégénérescence des cellules ganglionnaires, disparition des éléments de structure avec ou sans dégénérescence des ra

ervation de la connaissance, durant les paroxysmes con- vulsifs, un élément de diagnostic différentiel entre l'épilepsie et

la gaine de Scwaun, perdent leur action protectrice en face de ces éléments , quand les conditions locales (commotion, choc,

ace de ces éléments, quand les conditions locales (commotion, choc, éléments chimiques, circula- tion lymphatique) leur sont

a substance des - avec les états de repos d'acti- vité, etc., des éléments nerveux, par Nissl, 406. - Centres de project

nfluence sur les psychoses chroniques, par Najcke, 369. Mental. Élément nerveux et dans : les maladies, par Clouston, 373

Nerfs. Lésions des - périphériques, par Williams, 328. Nerveux. Elément et mental dans les maladies, par Clouston, 37

résentent en effet, à divers degrés, les altérations ordinaires des éléments du système nerveux : le gonflement du noyau et

ulier de contour, complètement décoloré, est tout ce qui reste de l' élément cellulaire. Ces altérations apparaissent surtou

ale (le l'aitere ceiiti-,tle. 1 ? iugtiieiitalioii du iioniiiie des éléments , coiijoiietifs et néu-ogliques est frappante; en

e petites cellules de névro- glie et des cellules conjonctives. Ces éléments apparaissent en quantité plus grande au sur et

existence d'une altération plus par- ticulièrement prononcée. Les éléments du tissu conjonctif existent en bien plus grand

ues de fibres conjonctives, autour 'desquelles existent de nombreux éléments cellulaires plus jeunes, que l'on voit se détac

sur nos figures 2 et 3, vers le bord externe de la papille que ces éléments conjonctifs existent en plus grande abondance.

ulations, entouré d'un protoplasme assez abondant. En dehors de ces éléments , nous ne rencontrons pas de leuco- cytes, et si

isseaux très hyper- plasiée, il n'existait dans son voisinage aucun élément leucocy- taire. 0 Les fibres nerveuses qui co

ée, nous constatons qu'elles y sont également entourées de nombreux éléments conjonctifs. Ces derniers, à l'état de cellules

igés transversalement et ils sont dus à une hyperplasie notable des éléments de la partie antérieure de la lame criblée. Cet

ples poussés dans tous les sens, présentant tous les caractères des éléments névrogliques, nous les étudierons d'ailleurs pl

'ailleurs là qu'elle semble prendre naissance. Parmi ces nom- breux éléments , un certain nombre présentent des altérations d

QUES GENERAUX. 15 du noyau. Alors que, au niveau de la papille, les éléments du tissu conjonctif faisaient presque tous les

mentation de volume des travées conjonctives et le grand nombre des éléments conjonctifs et névrogliques. En a, amas de cellul

ctives, qui forment comme en a par exemple des amas considérables d' éléments pourvus de volumineux noyaux ovalaires entourés

certains points. Dans la couche des cellules nerveuses, de nombreux éléments sont profondément altérés, présentant à tous le

a lame criblée présente une augmentation très marquée du nombre des éléments névrogliques interfasciculaires qui sont de mêm

évrogliques péri et intrafasciculaires; toutefois, le nombre de ces éléments est toujours deux ou trois fois moindre que dan

ibres nerveuses. La couche des cellules nerveuses présente quelques éléments en voie d'altération, nous ne les décrirons plus,

s développées et possèdent de longs prolon- gements. En o, amas d' éléments du tissu conjonctif dans le voisinage d'un vaisse

s d'une façon irré- gulière, n'intéressent qu'une faible partie des éléments . Pas d'alté- rations sensibles des autres couch

e ne semble pas diminué, mais elles sont infiltrées par de nombreux éléments névrogliques et conjonctifs qui, toutefois, exis-

asciculaires de très nombreuses cellules de névroglie se mêlent aux éléments conjonctifs. Les vaisseaux capillaires de la pa

e augmente au sur et à mesure que l'on remonte vers le chiasma. Les éléments névrogliques péri- fasciculaires sont très peu

à signaler ici que quelques lésions cellulaires inté- ressant peu d' éléments , distribuées irrégulièrement, et ne présen- tan

rés de tissu conjonctif, ni ne paraissent être le point de départ d' éléments conjonctifs infiltrant la papille. La lame crib

re bien l'envahissement de la couche des cellules nerveuses par ces éléments tous pourvus de proto- plasma et de nombreux pr

st en vain qu'on recherche les faisceaux nerveux constitutifs, tout élément noble a disparu : On ne trouve plus de fibres n

s nerveuses, et la papille n'est plus constituée que par des amas d' éléments névrogliques et con- jonctifs tassés les uns co

de névroglie : Gr. - 300. 24 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. propres à ces éléments , nous les avons déjà étudiés dans les obser- va

ntre mieux que toute description, à quel point la prolifération des éléments conjonctifs et névrogliques est intense, on y v

des éléments conjonctifs et névrogliques est intense, on y voit ces éléments envahir complètement la partie voi- sine de la

mple, la couche des cellules nerveuses qui ne contient plus un seul élément nerveux présente une quintuple rangée de cellul

un en e qui présente autour de sa paroi épaissie un grand nombre d' éléments proliférés. Au niveau de la lame criblée, les l

e la lame criblée, les lésions revêtent la même inten- sité, et les éléments conjonctifs provenant tant de la choroïde que d

Le nerf optique est altéré dans toute son étendue et dans tous ses éléments . Ce qui frappe tout d'abord, soit qu'on examine u

n examine une coupe longitudinale, c'est l'énorme prolifération des éléments névrogliques ; sur des coupes colorées par l'al

des coupes colorées par l'alun à l'hexatoxyline, les noyaux de ces éléments sont bien mis en évidence ; arrondis, plus souv

a, artère centrale ; v, veine; c, petit vaisseau entouré de nombreux éléments conjonctifs; 7, rétine avec ses diffé- rentes c

étine au niveau de laquelle on ne rencontre plus que de très nombreux éléments conjonc- tifs et nevrogliques; p, segment inter

interne de la papille; e, segment wlrrne complètement envahis par les éléments conjonctifs et nevroglntues proliférés : Gr. -

e eux sont même dif- ficilement perceptibles au milieu des nombreux éléments prolifères. Des examens microscopiques qui préc

ntégration protoplas- mique, etc., entraînant la destruction de ces éléments ; alté- rations tout à fait semblables à celles

ophiées dans un autre, était en outre envahie plus ou moins par les éléments proliférés des tissus con- jonctif et névrogliq

tatées cliniquement, correspondaient des alté- rations avancées des éléments anatomiques, et qu'à des lésions à peine percep

ent des altérations moins avancées, mais déjà notables de ces mêmes éléments . En effet, chez le malade B... la demi- sphère

colorée et floue, le microscope nous a montré une prolifération des éléments conjonctifs beaucoup moins marquée que dans le

IQUES GÉNÉRAUX. 31 encéphalite chronique diffuse : infiltration des éléments nobles de la papille et du nerf optique par des

ale de confusion mentale. Cette confusion mentale résulte de deux éléments : d'une part, torpeur, impuissance intellectuel

». Suivant les cas, c'est tantôt l'un, tantôt l'autre de ces deux éléments qui prédomine dans le tableau clinique. L'état

né, des symptômes de nature à faire craindre cette évolution. Les éléments de pronostic me paraissent devoir être tirés, n

, soit qu'elle s'exerce sur les sensations internes, sur les divers éléments de la cénesthésie. Tantôt c'est dans le domaine

e du pouvoir de dissociation qu'exerce l'émotion sur les différents éléments de la pensée. Si ces différents troubles psyc

tout le champ de la con- - science. La lutte disparaît et tous les éléments psychiques semblent se grouper en une seule syn

en plus stables et précises, en même temps qu'elles s'accroissent d' éléments nouveaux. C'est une sorte de travail de pénétra

point de vue clinique, sans qu'on en connaisse en même temps les éléments constituants et la pathogénie, nous n'avons pas d

ez l'enfant ou l'adulte que par un travail d'éducation spéciale des éléments nerveux qui com- mandent aux contractions muscu

er ce mécanisme délicat, sans toutefois détruire complètement les éléments du système moteur neuro-musculaire, toutes les

de lésions nerveuses profondes, de destruction complète de certains éléments , il y a encore beaucoup'à attendre de la rééduc

ant par un entraînement nouveau les anomalies de fonctionnement des éléments ner- veux, soit en attribuant à d'autres organe

'y réussira que si l'on a au préalable déterminé d'abord de quels éléments sont constitués les troubles moteurs correspon-

inctions devront se multiplier à mesure qu'on connaîtra mieux leurs éléments constituants et leur patho- génie : la thérapeu

us nous occupons, il y a seulement défaut d'adaptation réciproque d' éléments individuellement normaux. Il donne- rait par ex

s principes mêmes de la rééducation motrice : la faculté qu'ont les éléments nerveux de régénérer leurs fonctions compromise

nger. Nous avons dû aussi apprendre à tenir mieux compte des divers éléments constituants de l'ataxie, à accueillir plusieur

t connaître : 1° L'anatomie normale et la physiologie de tous les éléments du système moteur. 2° Les divers facteurs d'ano

ystème nerveux et ne peut se reconstituer que par la réparation des éléments nerveux ou, à défaut, par leur rééducation. L

sculaire ; autrement ce serait une tâche vaine que d'asso- cier des éléments anormaux dans l'espoir de refaire un ensemble n

end que le rétablissement des associations motrices avec tous leurs éléments exige déjà beaucoup d'efforts et la mise en oeu

océder pour chaque malade en particulier à ce travail d'analyse des éléments de son incoordination et surtout d'en détermine

urs de statique on a à combattre, celles-ci sont expliquées par les éléments de l'incoordination et leurs localisations ; al

ontrer que l'ataxie des tabétiques, si on veut la décomposer en ses éléments , est un syndrome très complexe ; or, chacune de

ette question de pronostic est délicate, nous avons néanmoins des éléments d'appréciation : ceux-ci sont basés avant tout

ns pas quelles qualités il faut demander au malade, mais le dernier élément , essentiel, il est vrai, dont il faut tenir com

ci dans l'étude détaillée des effets du traite- ment sur chacun des éléments de l'ataxie, on peut dire qu'il n'est pas de ma

étériorations portaient avant tout, suivant qu'on avait utilisé des éléments hépatiques ou rénaux, sur la glande biliaire ou

noyau de troubles vasomoteurs autour du- quel se groupent d'autres éléments : troubles sensitifs, sécrétoires, trophiques.

des faits d'hystérie auriculaire monosymptomatique dans lesquels l' élément auriculaire, s'il n'est pas toujours l'unique s

e folie par contagion. La définition que nous donnons, en prenant l' élément primordial de ce groupe de folies comme thème,

progressivement au second, plus faible d'esprit ; le premier est l' élément actif, le second l'élément passif ; 1° nécessit

plus faible d'esprit ; le premier est l'élément actif, le second l' élément passif ; 1° nécessité d'une vie commune pour le

estindispensableà à l'éclo- sion des folies par contagion, un autre élément n'est pas moins nécessaire à leur existence ; c

a résistance est en raison inverse de la prédisposition. Les deux éléments essentiels de toute folie par contagion sont do

gestibilité des sujets réceptifs. Le trait d'union entre ces deux éléments essentiels est formé par un troisième élément.

union entre ces deux éléments essentiels est formé par un troisième élément . l'impression morbide, bien mise en évidence pa

ale morbide. L'im- pression morbide dépend essentiellement des deux éléments en présence, l'élément suggestif et l'élément s

ion morbide dépend essentiellement des deux éléments en présence, l' élément suggestif et l'élément suggestible ; du premier

ntiellement des deux éléments en présence, l'élément suggestif et l' élément suggestible ; du premier, car elle est le résul

tion, du second, car elle n'agit qu'en temps qu'elle s'adresse à un élément plus réceptif ou moins résis- tant. Elle est en

lle est en raison directe de la suggestion, c'est-à-dire que plus l' élément contagieux sera suggestif, plus il y aura d'imp

est en raison inverse de la prédisposition, c'est-à-dire que plus l' élément réceptif sera prédisposé, moins il faudra d'imp

sion morbide et prédisposition. III. -Nous venons de voir les trois éléments essentiels et généraux des folies par contagion

oupes : un pre- '13s CLINIQUE MENTALE. mier groupe qui accentue l' élément suggestif, un deuxième qui s'adresse la prédisp

on. Dans le premier groupe, les causes qui agissent le plus sur l' élément suggestif sont : 1° une longue vie commune aussi

es de persécution. IV. Toute folie par contagion se réduit à deux éléments cliniques bien individualisés par les auteurs :

s cliniques bien individualisés par les auteurs : un sujet actif, élément contagieux, un sujet passif, élément réceptif.

les auteurs : un sujet actif, élément contagieux, un sujet passif, élément réceptif. Le sujet actif présente, en général,

Selon sa prédisposition, il réagira diversement à l'influence de l' élément contagieux. Ou bien, assez résis- tant, il ne f

mai-juin 1902. '140 CLINIQUE MENTALE. Dans ces trois formes, les éléments pathogéniques sont identiques; ce qui varie, c'

La folie imposée est l'action incessante et répétée du sujet actif, élément morbide suggestif, sur l'élément réceptif, le s

essante et répétée du sujet actif, élément morbide suggestif, sur l' élément réceptif, le sujet passif doué d'une certaine r

rain et qui viennent se surajouter aux premiers. Il y a donc deux éléments à considérer dans le délire du sujet passif : l

if. Cette continuité de la suggestion agira non seulement sur les éléments du délire qui ont été communiqués, mais aussi e

ité. Dans le tableau clinique présenté par le sujet passif, trois éléments sont donc à distinguer : '1" les manifestations d

l'intérêt de cette observation, c'est que l'on y retrouve tous les éléments que doit présenter l'agent actif suggestif, dan

re un alcoolique chronique, un véritable délire qui évolue avec ses éléments principaux puisés chez l'agent actif (idées de

actif (idées de persécution, hallucinations de l'ouïe, etc.) et ses éléments surajoutés puisés dans son propre terrain d'alc

troubles délirants du sujet passif sous l'influence suggestive de l' élément actif. A la folie communiquée on doit rattacher

session et l'impulsion décomposées par l'analyse com- prennent deux éléments : un centre entrant tout à coup en fonction, is

au point de vue psychologique est une maladie de la volonté ; que l' élément aboulie joue le rôle fondamental dans la genèse

ulie joue le rôle fondamental dans la genèse du syndrome et que les éléments intellectuel et émotif n'y interviennent que se

pérations volitives, nous croyons cependant pouvoir affirmer' que l' élément volitionel n'a aucune action dans la genèse de

u mécanisme des syn- dromes en général, demande le premier rôle à l' élément 158 PATHOLOGIE MENTALE. intellectuel, l'idée,

elle est d'environ une minute. L'étude minutieuse de l'ensemble des éléments qui précèdent et des signes différentiels entre

dère l'examen du liquide rachidien, par ponction lombaire, comme un élément considérable de diagnostic de la paralysie géné

onsidérable de diagnostic de la paralysie générale. La présence des éléments est un signe de début. Ils apparaissent avant l

pour faire des diagnostics difficiles. M. Toulouse demande si ces éléments ne se rencontrent pas dans l'alcoolisme chroniq

usion la plus regrettable en rangeant sous la même dénomination des éléments disparates, d'obscurcir la ques- tion de la pro

téristique d'un délire infec- tieux pourrait dès lors constituer un élément précieux de diagnostic. Quoi qu'il en soit, cet

onstituer un chapitre à part ; elle ne présente d'intérêt que comme élément pathogénique possible des psychoses. 2° Dans

e déterminer d'avance les symptômes de chaque psychose, d'après les éléments précédemment indiqués. Mais il reste encore des

. Fôle à employer. Electrodes. Une bonne batterie galvanique de 1(5 éléments au chlorure de zinc ou mieux au sulfate de merc

mmencera la séance. Le courant sera gradué à l'aide du collecteur d' éléments qu'on poussera de gauche à droite jusqu'à ce qu

courant, et pour ces auteurs c'est la densité qui se trouve être l' élément posologique capital. (Pour obtenir la densité d

Toutefois il serait inexact de supposer qu'on ait dans ce moyen un élément de mesure d'une précision mathé- matique, car,

audrait pas s'en montrer autrement surpris, car l'un des principaux éléments de succès est précisément l'absolue régularité

Il est du reste encore un fait qui représente à lui seul un notable élément d'appréciation de la valeur du traitement élect

es : elles sont destinées à combler le vide produit par la mort des éléments nerveux ; les fibres névro- gliques se multipli

es cylindraxes, régression des gaines myéliniques, dissociation des éléments anatomiques, ré- sorption des débris, avec cett

chyme avec activité modérée de la névroglie ; 2° la déca- dence des éléments nerveux avec conservation de la charpente de so

d'une nécrose anémique, l'inflammation qui lui succède procède des éléments suivants : altération des vaisseaux, exsudation

ppement de l'affection, de faire place à l'irritation primitive des éléments parenchymateux, à côté des altérations secondai

oteur est lui-môme constitué par la perturbation momentanée du seul élément musculaire ; myotonie ou myoplégie constituent

s plus rudi- mentaires de la vie biologique et mentale; lorsque les éléments qui la composent évoluent pour leur propre comp

douleurs fulgu- rantes ; elle ne pouvait donc être dans ces cas un élément de dia- gnostic ou de pronostic. Lésion du no

que la r.»gion postérieure de la moelle forme nn bloc composé de l' élément nerveux, vasculaire et méningé. Les lymphatique

ES- 307 S. SOKUII.4-N;OFF. RéSeaZi endocellulaire de Golgi dans les éléments ner- veux de la moelle épinière. Le procédé G

musculaire. 6. La démence progressive plus ou moins rapide en est l' élément intellectuel P. KERAVAL. 111. Manie aiguë produ

re pour éveiller l'instinct. Toutefois chez les races civilisées, l' élément intellectuel tend à diriger l'instinct sexuel e

tal chez le civilisé. Celle évolution de l'amour peut réaliser un élément de sélection tendant à l'élimination des types

enfin la maladie psychique qui a terminé le cycle, tels furent les éléments de cette dystrophie complexe (Revue neurologiqu

itation sexuelle, tend à montrer le rôle de l'image motrice et de l' élément moteur dans la genèse, le développement et l'évo-

ité que dans l'ensemble des phénomènes psychologiques ou plutôt des éléments mentaux, qui constituent la nature intime de l'

ce. L'image motrice proprement dite possède en elle-même tous les éléments de l'image motrice sexuelle, sauf l'émotion; l'im

l'émotion; l'image motrice ordinaire se résoud et s'achève dans ses éléments consti- tutil's, taudis que l'image motrice sex

. titue au contraire, à mesure que croissent d'intensité tous les éléments qui la composent. De nombreuses associations d'im

tion mentale soit atteint. Cette multitude de fragments d'images, d' éléments d'idées alimentés et nourris par une émo- tion

n action de nom- breux centres nerveux, dont chacun apporterait ses éléments à cette image particulièrement riche et ayant a

t s'exercer sur le pro- cessus génésique, sans l'intermédiaire de l' élément moteur. M. Vurpas cite l'exemple d'une femme no

es adverbes, les interjections et les pronoms indéfinis et tous les éléments lin- guistiques empreints psychologiquement des

t tous les éléments lin- guistiques empreints psychologiquement des éléments émotifs et intellectuellement indéfinis paraiss

indel font remarquer, et nous les approuvons, que le tic exige deux éléments : l'élément moteur et l'élément psy- chique. Il

marquer, et nous les approuvons, que le tic exige deux éléments : l' élément moteur et l'élément psy- chique. Ils montrent l

approuvons, que le tic exige deux éléments : l'élément moteur et l' élément psy- chique. Ils montrent le danger qu'il y a à

'état somatique est excellent ; une analyse d'urine ne révèle aucun élément anormal, aucun trouble dans les excrétions, de

a nature dégénérative des présentations < ! Mûr- males qui est l' élément le plus original; c'est aussi celui qui a sou-

. Ces six lignes limitent les arêtes d'un tétraèdre dont tous les éléments (arêtes, hauteur, faces, volumes, angles) peuvent

par un parenchyme cérébral en voie de désintégration contenant des éléments cellulaires et librillaires. il. C. XLI. Absenc

fuse continue. A la ponction lombaire, lymphocytose discrète (6 à 7 éléments par champ.) Aucun trouble visuel ni pupil- lair

ossible qu'on a affaire ici à un trouble diffus de la nutrition des éléments moteurs du cerveau; mais on ne peut nier ici (c

ique de l'obsession : avec Morel, ils considèrent l'émotion comme l' élément primitif et fondamental de l'obsession, alors q

Pities et Régis en 1° phobies des objets, 2° phobies des lieux, des éléments , des 7nizla- dies, de la mort; 3° phobies des ê

o-psychopa- thique, différant simplement par la proportion des deux éléments , émotif et idéatif, qui le constituent. L'obses

art que la suggestion peut enlever dans les psychoses : « dégager l' élément psychique auto-suggestif, ramener la ma- ladie

écessaire au fonctionnement de ces labora- toires est fournie par 6 éléments Meidinger et 4 Leclanché. La salle la plus gran

ui envoie en arrière quelques fibres myéliniques. Le petit nombre d' éléments empêche de parler de trousseaux de la couronne

, on obtient, dans certains cas, une assez bonne imprégnation des éléments nerveux et une parfaite imprégnation suffisante d

arrivé devoir sur le corps 58Ë SOCIÉTÉS SAVANTES. cellulaire des éléments nerveux de la corne postérieure des appen- dice

ne des causes essentielles de leur infériorité est l'absence de cet élément capital du développe- ment intellectuel : la fo

r Te(leq- clii, 284. GOLGI. Réseau endocellulalre de - dans les éléments nerveux de la moelle épinière. par Soul : llauo

e structure. — Structure lobulaire du poumon. — Parties similaires ou éléments de texture. —Lobules. — Espaces interlobulaires e

tratwn, car la lésion considérée dans l'organe, dans le tissu, dans l' élément , n'étant jamais, à tout prendre, qu'une modificat

ais, à tout prendre, qu'une modification plus ou moins accentuée de l' élément , du tissu, de l'organe préexistants, l'état patho

rtée et connaître les conditions même du problème s'il n'en a pas les éléments constamment placés sous les yeux. Et, pour ne cit

. Ces parties similaires ou, comme on pourrait les nommer encore, ces éléments de tex- titre ne sont autres que les lobules. I

ous serons en outre obligés de remonter autant que possible jusqu'aux éléments anatomiques ; car c'est en eux, à tout prendre, q

re. Je vous proposerai, avec M. Rindfleisch, de désigner ce nou-vel élément de texture sous le nom d'admis pulmonaire. La dés

-ler l'architectonique des canalicules respiratoires et l'analyse des éléments qui entrent dans leur composition. Nous nous atta

ca-naux respiratoires ultimes, dont l'ensemble constitue le der-nier élément de l'arrangement lobulaire du poumon, en d'au-tre

ses y font défaut. Vous ne devez donc pas vous attendre à trouver ces éléments anatomiques dans les parois des bronches inlra-lo

e, fig. 354. des modifications survenues dans la confi-guration des éléments : le revêtement épi-thélial des parois bronchique

e propos, lorsque je vous aurai fait remarquer que les lésions de ces éléments si délicats qui, en anatomie normale, tiennent un

e j'ai émise dans la dernière séance, à savoir que les lésions de ces éléments tien-nent une grande place dans l'anatomie pathol

s cellulaires relatifs à une parti" cipation plus ou moins active des éléments extra-vasculaires préexistants. Ce sont ces phé

ritation nutritive. Cet état est caractérisé par un gonflement de l' élément cel-lulaire, dont le protoplasma devient granuleu

avancé, se produisent les phénomènes ^irritation formative. Ici, les éléments ten-dent à se multiplier, à proliférer, et le mod

e pathologique, p. 75, fig. 41. plates aboutissant à la formation d' éléments embryonnaires ou petites cellules rondes. Les p

lque sorte, à toutes les phases de la multiplication par scission des éléments cellulaires. Il n'est pas rare de rencontrer alor

lobules rouges sanguins émigrés. En consé-quence, ces produits et ces éléments devront se rencontrer toujours, dans la cavité al

is il est telle circonstance où la scission et la multipli-cation des éléments cellulaires dont il s'agit peut être observée dan

jusqu'au deuxième mois, ja-mais, sur aucun point, nous n'avons vu les éléments cellulaires prolifères subir une métamorphose cas

bies par les canalicules respiratoires, il y a lieu dedistinguei deux éléments : 1° Végétation cellulaire de la paroi conjonct

e de la paroi conjonctive des alvéoles, entraînant la destruction des éléments spéciaux de la région, à savoir: fibres musculair

épaisse de tissu mésoblastique au sein de laquelle se développent les éléments musculaires, élastiques, les vaisseaux, etc. (Fig

ancréatique et diverticulum vésiculaire qui en naissent. (Fig. 42 des Eléments d'embryologie de Foster et Bal-four). Fig. Si.

utandis, le même au fond, à savoir : Retour à l'état embryonnaire des éléments nés du mésoblaste et, en ce qui concerne le revêt

ins élevé qu'à l'état normal. — Leur cavité est remplie par de petits éléments ronds analogues aux leucocytes; peut-être ces élé

par de petits éléments ronds analogues aux leucocytes; peut-être ces éléments sont-ils le produit d'une desquamation èpithélial

elque peu augmenté d'épaisseur et est in-filtré d'un certain nombre d' éléments embryonnaires. Dans la substance médullaire pro

t le point de vue pathogénique, il y a lieu de rechercher si ces deux éléments ont la même valeur, si les deux ordres de lésions

u contraire, celle dont l'épithélium est le siège; ou enfin, les deux éléments anatomo-pathologiques sont-ils contemporains, fau

s. L'influence exercée sur la régénération et la multiplication des éléments cellulaires nouveaux, par les cellules anciennes

onstituée par la réunion en proportions variées d'un certain nombre d' éléments divers et il rentre dans le plan de mon exposé, a

ement plus puissant est nécessaire pour re- connaître la nature des éléments qui encombrent les cavités alvéolaires (Fig. 32).

e d'une manière insuffisante le mécanisme de la production des divers éléments anatomo-pathologiques dont la réunion constitue l

e de ces réserves. Ainsi que nous l'avons vu, la splénisation est l' élément le plus constant, le plus répandu, celui qui tien

. Tous deux procèdent de la lésion bronchique. Celle-ci contient deux éléments pathogé-niques : l'un mécanique, c'est l'oblitéra

inflammatoire. En résumé, l'état fœtal et la splénisation sont deux éléments distincts, mais qui coexistent souvent parce qu'i

, avec la lésion èpithéliale qui l'accompagne, est en quelque sorte l' élément fondamental, régulier, du pro-cessus broncho-pneu

duration, dans les points où ses caractères sont le plus accusés. Les éléments anatomiques qu'on trouve à l'aide du microscope s

fibrine ou, au contraire, remarquable surtout par la prédominance des éléments colorés du sang l. Il est probable que ces variét

ent ou même disparaissent, enfin on trouve infiltrée entre les divers éléments qui persistent, une matière amorphe finement gran

la trame des fibres élastiques. La même matière se retrouve entre les éléments de cette trame qu'elle dissocie. La matière amorp

bres élastiques et sui-vant leur direction générale s'interposent des éléments fibro-plasliques, enchevêtrés par leurs extrémité

sque entièrement composé de matière amorphe, homogène, interposée aux éléments du poumon, parsemée de corps granuleux de l'infla

oumon, parsemée de corps granuleux de l'inflammation, et de nom-breux éléments fibro-plastiques. Il renferme souvent en outre de

it prendre pour des granulations tuberculeuses, et qui sont formées d' éléments fibro-plastiques ou de cellules d'épithélium pavi

t des gouttelettes de graisse ; 3° quelques globules sanguins; 4° des éléments fibro-plastiques très allongés, présen-tant pour

très allongés, présen-tant pour la plupart des noyaux distincts, ces éléments sont as-sez rares ; 5° on trouve çà et là des cel

né sur une tranche mince, est composé : 1° d'aréoles fi-breuses ; les éléments fibro-celluleux ont des bords nets, très tranchés

amollissement ne soit décidément constituée. En effet, les différents éléments qui constituent le parenchyme pulmonaire avaient

toutefois que l'induration du tissu pulmonaire avec hypertrophie de l' élément conjonctif (Méta-morphose fibreuse, Cruveilhier)

ie intime démontre en pareille circonstance, une atrophie de tous les éléments du poumon; le tissu aréo-laire est devenu plus ap

isme, se dépose sous forme de pous-sière dans l'interstice des divers éléments du parenchyme pulmonaire. 11 en résulte, lorsque

ortée à un certain degré, une atrophie plus ou moins prononcée de ces éléments , et l'augmentation de consistance des tissus qui

est caractérisée essentiellement : Io par l'interposition, entre les éléments normaux du tissu pulmonaire, d'une matière amorph

use. Ces transformations sont subies à des degrés divers par tous les éléments contenus dans les alvéoles : réseau fibrineux, le

oscope nous montre les parois alvéolaires épaissies par la présence d' éléments ronds, fusiformes, quel-quefois même par du tissu

des conduits alvéolaires qui sont déformés et envahis d'abord par des éléments embryon-naires et fusiformes, puis par des fibril

la plèvre, mais il faut encore tenir compte dans leur étude d'autres éléments importants. Les lésions pulmonaires s'étendent

umonie lo-baire; c'est la broncho-pneumonie qui constitue le deuxième élément de la phthisie aiguë, dans l'évolution tuberculeu

a paroi alvéolaire elle-même, et là elle est encore contenue dans des éléments cellulaires ; 3° autour des vaisseaux sanguins et

Présence au sein des organes de noyaux d'induration composés de deux éléments bien distincts : a) infarctus char-bonneux ; — b)

pathologique justifie pour sa part cette division du poumon en trois éléments constitutifs : le lobe, le lobule, Y acinus. Ce

médicale consiste à rechercher sur des coupes la place constante des éléments anatomiques, les rapports des diverses parties en

peut trouver, dans l'intervalle des nodules, des alvéoles encombrés d' éléments variés qui présentent toutes les phases de la dég

mais réunies par une gangue protoplasmique où se retrouvent aussi les éléments de l'organe envahi qui ont résisté à la néoplasie

élastiques des artères de calibre, des travées alvéolaires. Mais ces éléments sont rendus invisibles, noyés qu'ils sont, pour a

tinguer la caséification du tubercule de celle qui peut s'emparer des éléments cellulaires accumulés et re-tenus dans la trame d

e l'ovule de la paroi des vésicules de de Graaf. « On a dit que ces éléments portent en eux-mêmes, en nais-sant, le germe d'un

travail d'excavation. On doit tenir compte tout d'abord d'un premier élément dont l'importance a été parfois exagérée, mais qu

yonnaire plus large a subi l'évolution fibreuse, c'est-à-dire que les éléments cellulaires de gangue intermédiaire ont disparu p

fibreuses dans l'intervalle desquelles on distingue à peine quelques éléments cellulaires. Ces parties n'ont plus la structure

bserve sont engendrées par le contact direct des granulations sur les éléments constitutifs de l'organe, et que l'extrême conflu

consécutif. L'analyse histologique fait reconnaître qu'il y a deux éléments distincts: l°le trajet lymphatique, rempli en gén

uc-tion et les symptômes principaux de phtisie sont indépendants de l' élément pneumonique ; qu'enfin cet élément peut faire déf

de phtisie sont indépendants de l'élément pneumonique ; qu'enfin cet élément peut faire défaut pendant toute la durée de l'évo

e même de la broncho-pneu-monie. C'est elle qui constitue ce deuxième élément que si-gnalait déjà Cruveilhier: aiguë dans la tu

pas de rapporter les symptômes d'évolution, sur-tout la fièvre, à cet élément broncho-pneumonique. Mais il faudrait qu'il exist

portions variables, la neoplasie tuberculeuse ; mais elle n'est qu'un élément acces-soire, nullement indispensable à l'évolutio

e scrofuleuses, dans la nomencla-ture de M. Rindfleisch. Ces divers éléments cellulaires sont comme soudés les uns aux autres

artifice de préparation. Le tuber- cule est dit cellulaire quand l' élément cellulaire domine l'élé-ment fibreux ; il est dit

centre du follicule. Cette dégénération a pour résultat la fusion des éléments cellulaires et leurs infiltra-tion par des granul

rnes. En somme, dans le tubercule ainsi décrit, on ne relève au-cun élément vraiment spécifique; telle n'est pas, par exemple

t généralement, ainsi que l'a fait remarquer M. Gran-cher, autour des éléments tubuleux de l'organe que se groupe l'agglomératio

mation, s'étend de proche en proche en englobant, en s'assimilant les éléments voisins. Ceux-ci, modifiés, deviennent partie int

rancher) met, en effet, en évidence, dans l'épaisseur du tubercule, l' élément caractéristique des parois alvéolaires, à savoir

si que cela a lieu dans les condi-tions pour ainsi dire normales, ces éléments s'entassent dans les alvéoles où il se dessèchent

ues se sont produites, dans l'épaisseur des parois alvéolaires où les éléments cellulaires se sont aussi multipliés. Le dernier

sous l'influence des réactifs qui décèlent ce genre d'altération. Les éléments de la slructure normale du poumon ne peuvent être

est au sein de l'agglomération tubercu-» leuse et aux dépens même des éléments qui la constituent, » c'est-à-dire de la néoplasi

ium du poumon, pour la première fois décrite par M. Thaon, est un des éléments très habituels de la phtisie chronique vulgaire.

équem-ment dans le tubercule et peuvent être considérées comme un des éléments importants qui entrent dans sa constitution. Or,

ut être simple, c'est-à-dire constitué dans toute son étendue par des éléments identiques les uns aux autres ; ou bien il est co

oïdes ; enfin une troisième zone, plus extérieure, est formée par des éléments plus petits, zone de tissu embryonnaire ou de tis

rsqu'elle existe, au centre du follicule tuberculeux, dont les autres éléments sont groupés autour d'elle. Lorsqu'une semblabl

extré-mité plus mince dans le tissu voisin. Sur une seconde coupe, l' élément apparaît avec ses caractères pour ainsi dire clas

oplasma brillant, à contours assez mal délimités au centre duquel les éléments se groupent de façon à circonscrire une sorte de

ué uni-quement par des élémenls cellulaires agglomérés, seulement ces éléments cellulaires ont subi une modification qui a eu po

e nom de transformation vitreuse, produire des effets identiques. Les éléments cellulaires augmentent de volume, et tandis que l

llule géante. On sait, de plus, que cette transformation vitreuse des éléments cellulai-res dans le tubercule a pour aboutissant

ué, dans le principe, par un amas de cel- Iules ; que plus tard ces éléments ont subi la transformation vitreuse, se sont acco

serait bien loin d'être, comme l'a indiqué M. Schûppel, formée par un élément cellulaire unique, dont le protoplasma en état d'

mpri-mant d'avant en arrière la dure-mère. Dans le troisième cas, les éléments cancéreux ne constituaient plus, par leur réunion

llules nerveuses ne pré-sentaient pas d'altération appréciable. A ces éléments , se trouvaient mêlés des corps granuleux, en asse

formation et, si l'on peut ainsi dire, de la défor-mation des divers éléments constitutifs du sang. La mélanémie se développe

ion dans le domaine nosographique et clinique à titre, par exemple, d' élément pathologique pouvant s'associer aux diverses mala

sang: 1° les globules rouges; 2° les globules blancs ; 3° les autres éléments visibles au micros-cope. 1° Globules rouges. —

u quatre jours. 2° Globules blancs ou incolores (leucocytes). — Ces éléments sont de deux sortes : les uns offrent immédiateme

t, lesquelles ne se dissolvent pas dans l'acide acétique. Ce sont des éléments passés à l'état gras, en voie de destruction. T

e jours plus tard, on en voyait encore un certain nombre. 3° Autres éléments visibles dans le sang. — Outres les glo-bules, so

, le sang est devenu liquide, bru-nâtre; on n'y reconnaît plus, comme éléments distincts, que des globules blancs, une quantité

moins de cristaux que dans le foie. Il y avait un très grand nombre d' éléments fusiformes, et l'on y trouvait la môme matière gr

corpuscules de Malpighi?), adhérents au reste du tissu. Très nombreux éléments microscopiques analogues aux globules blancs du s

Fig. 44 et 45). Les parois du kyste renferment à peu près les mêmes éléments , seulement les globules graisseux y prédominent.

ventricule gauche paraissent légèrement épaissies fig. 44 et 45. — Eléments microscopiques composant le liquide puri'orme con

es recherches les plus récentes1, s'accomplit ce travail morbide: les éléments constitutifs de l'endocarde, cellules plasmatique

eau : cet épaississement est dû probablement à une multiplication des éléments situés au-dessous de la membrane in-terne; il n'}

épôt fibrineux fibrillaire, avec quelques rares noyaux oblongs et des éléments fusiformes plus rares encore. Dans la substance f

d'assez nombreuses cellules à plusieurs noyaux. Il y a aussi quelques éléments fibro-plastiques et des cellules épithéliales du

re, où les valvules altérées ne présentent ni vascularité, ni pus, ni éléments plasmatiques, à l'appellation moins explicite à?a

ndraient enfin s'y encla-ver. L'altération du sang ne seraitici qu'un élément accessoire. C'est là, sans contredit, une des fac

es veines hypo-» gastriques. C'est là, ajoute l'éminent professeur, l' élément » ou le point de départ de la phlegmatia alba dol

rapide par oblitération fibrineuse de T artère pulmonairen est pas un élément insolite, non-seulement dans la phlegmatia alba d

il tend à se ramollir spontanément et à se dé-sagréger, parce que les éléments qui le composent doivent subir les diverses phase

tères carotides, sous-clavières, iliaques, axillaires, renferment des éléments contractiles plus développés. 11 ne paraît pas qu

parois vasculaires, sui-vant les autres, à la transformation de leurs éléments consti-tutifs ; c'est ce qui leur a valu le nom t

d'ailleurs le côté de la poitrine qu'elle occupe. C'est là encore un élément de diagnostic ; mais il ne faut point oublier que

nalogie avec du muco-pus verdâtre, et présen-tant, au microscope, les éléments de la fibrine dégénérée. Il existait une multitud

sent eux-mêmes décolorés à la longue, par suite de la disparition des éléments colorés du sang, si la malade eût pu résister plu

beaucoup plus longtemps à la destruction qui s'empare tôt ou tard des éléments du sang sortis des vaisseaux, que ne le font les

163) : une matière amorphe de nouvelle formation est interpo-sée aux éléments normaux, aux fibres élastiques du tissu pulmo-nai

les au sein desquels l'extravasation s'est effectuée. Des lors, aux éléments qui remplissaient les vésicules pulmonai-res, il

encore. L'examen microscopique y fait reconnaître que les différents éléments du parenchyme ont perdu leurs contours nets ; ils

existence préalable de cette altération, qui porte sur l'ensemble des éléments du poumon, et qui dérive de l'obstacle prolongé q

e structure. — Structure lobulaire du poumon. — Parties similaires ou éléments de texture. — Lobules. — Espaces interlobulaires

s Sarcome angioplastique, 269. Sang (formation et déformation des éléments du —), »35-; — altéra-tion pigmentaire du —, 337.

ures. Personne, comme nous, ne doutera de la nature congénitale des éléments de cette faculté. En faveur de cette opinion pa

s constituent un ensemble symptomatique des plus nets. En voici les éléments : AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 87 1" Une

lle que je l'ai caractérisée au dé- but de cette leçon. En fait d' éléments fondamentaux, elle comprend : a) Des troubles d

éci- sément ceux que nous constatons chez notre malade. Sur quels éléments d'appréciation nous baserons-nous, dès lors, dans

N CÉRÉBRALE (J. Faraud). A Une lacune récente. Les corps granuleux, éléments de désintégration, envahissent la substance céréb

ée est d'autant plus accentuée que la lacune est plus ancienne. Les éléments anatomiques dissociés et altérés se déposent le

les anciens foyers hémorragiques. On y retrouve du reste les mêmes éléments et en par- ticulier les dépôts d'liéniatoïdiiie

cavité. Quant au contenu même de la lacune il est constitué par les éléments ana- tomirrues du tissu nerveux. Nous verrons p

placent de sorte qu'il n'est pas possible de voir s'il contient des éléments en suspension mais c'est probable. Ce liquide e

u altérés par le processus lacunaire. Enfin au milieu de tous ces éléments formant le centre et l'axe de la cavité se trou

re au vaisseau sans qu'il y ait solution de continuité ou rupture d' éléments fibril- laires. Dans la seconde, il y a au co

issement dans sa vita- lité et une résorption dans le nombre de ses éléments , mais il n'y a pas encore de désintégration à p

ême altéré qui la limite, espace dans lequel se voient les débris d' éléments nerveux et sanguins, et cela quelles que soient

roisième ou intermédiaire est un espace vide plus ou moins rempli d' éléments normaux ou pathologiques. 1° Lésions du vaissea

cations portent alors principalement sur la tunique dans laquelle l' élément musculaire tend de plus en plus il disparaître et

laire tend de plus en plus il disparaître et il être remplacé par l' élément conjonctif. Mais cette substitution se fait avec

x cellulaires des tuniques on les distingue facilement. Ce sont des éléments en pleine activité : aussi prennent-ils le bleu

sont de nombreuses fibres nerveuses et pour mainte- nir le tout les éléments névrogliques. Les petites cellules de la névrocrl

pour que l'on puisse étudier sa topographie. Au milieu de tous ces éléments nerveux, des capillaires en nombre incommensura

ation est beaucoup plus claire, les noyaux sont moins nombreux, les éléments semblent dissociés et écartés les uns des autre

es. Avant même de se rendre compte de la nature de la lésion et des éléments sur lesquels elle porte principalement, la simple

r les coupes qui ont été traitées par la méthode de Marchi. Ici les éléments nerveux ne sont pas visibles ; ils sont à peine e

reux au bord même on les voit s'enfoncer dans la paroi écartant les éléments nerveux qu'ils détruisent à mesure, et montrant

. Ces corps granuleux sont des leucocytes chargés de la myéline des éléments nerveux ; leur trajet indique la lésion dont la g

Ce sont les avant-coureurs de la destruction car ils absorbent les éléments altérés jusqu'au jour où ils sont eux-mêmes résor

vide situé entre le vaisseau et le tissu cérébral ne contient pas d' éléments . « Les dimensions de cet espace, disent t les a

ation s'est effectuée et elle s'est faite au prix de la rupture des éléments nerveux suivie de l'émigration des éléments san

prix de la rupture des éléments nerveux suivie de l'émigration des éléments sanguins. Quel quesoitle volumedelalacune, qu'e

acune le tissu cérébral est encore très altéré. Ce sont surtout les éléments nobles qui en ont disparu. Sur les coupes on vo

: on ne les voit pas du reste dans toute la zone altérée : c'est l' élément le plus sensible et qui disparaît le plus compl

us ou moins larges dans lesquelles sont encore quelques fragments d' éléments nerveux. Les cellules ne disparaissent pas comp

lacune, c'est-à-dire que leur paroi est très épaissie et bourrée d' éléments embryonnaires nombreux formant par places comme

ue les parois. Comme on peut s'y attendre on y trouve deux sortes d' éléments , les uns venant du parenchyme cérébral, les aut

plusieurs serpentins très visibles dans la cavité. A côté de ces éléments propres au tissu nerveux sont ceux qui viennent

olynucléaires, on trouve cependant encore dans les lacunes d'autres éléments globulaires. C'est d'abord une variété de noyau

rées elles ont l'aspect de sphères bleu foncé situées au milieu des éléments voisins qu'elles semblent repousser. L'acide os

e peuvent-elles pas elles aussi se charger de cette destruction des éléments gras quand elles sont tombées dans la cavité lacu

igment sanguin s'est déposé sur les parois. Tels sontjes différents éléments que l'on rencontre dans les cavités lacunaires.

y a des variations proportionnelles de nombre entre les variétés d' éléments mais il en manque rarement. En résumé, sons le

du centre à la périphérie. Elle contient enfin un grand nombre d' éléments cellulaires et fibrillaires sur la nature desqu

antérieure. Cependant au microscope on voit bien la cicatrice : les éléments nerveux nobles ne pouvant se reproduire, la cav

le tissu cé- rébral conserve son aspect clair et raréfié ; mais les éléments qui l'infiltraient 122 FERRAND ' ont disparu,

plutôt séparés et écartés que sectionnés. On ne voit pas beaucoup d' éléments globulaires dans la cavité lacunaire, le tissu bl

les lacunes. Les fibres en sont alors dilacérées, écartées par les éléments d'in- filtration; on y trouve également peu de

de la puberté. Le critère thérapeutique confirme ici l'analyse des éléments écologiques multiples de cet état d'infantilism

Dans le 2e cas, mort à 6 jours, les altérations atteignent peu les éléments nerveux proprement dits, les fibres et les cell

més ici, à cause de leur date récente et de l'absence de lésions des éléments médullaires. Le premier cas qui nous occupe (

e guère de théorie satisfaisante, à moins d'admettre la formation d' éléments nouveaux de conduction, ce qui serait contraire

s les plus directes du sens des attitudes. 148 BONNIER Tous les éléments de nos masses cérébrales sont distribués dans l'e

, dont la définition sera d'une telle simplicité qu'elle fournira J' élément primordial et commun à toutes les notions physi

pérature, la valeur hygrométrique du milieu humoral où baignent les éléments , sa composition, les pressions interviscéra- le

LE SENS DES ATTITUDES 157 grande, un plus ou moins grand nombre d' éléments de ma rétine ? Ou si au contraire cette image s

nous montre toujours quelque chose de très complexe, associant des éléments psychiques et sensoriels que l'on peut retrouver

ec un rôle harmonique différent, dans plusieurs accords, de même un élément psychique peut entrer dans un grand nombre de com

ans un grand nombre de combinaisons intel- lectuelles diverses. Ces éléments psychiques ne sont pas plus identiques les uns

si distribution anatomique et physiologique. Chaque combinai- son d' éléments psychiques associe donc des points diversement si

entaires centrales, exploite topographiquement un certain .nombre d' éléments qui peuvent se trouver parfois très distants les

). 206 BALLET ET ARMAND DELILLE parfois un aspect vésiculeux. Ces éléments ont à peu près la dimension des petites cellule

loir entreprendre une discussion sur la signification de ces divers éléments , nous croyons qu'il s'agit ici d'un véritable pro

ici d'un véritable processus néoformatif portant tout d'abord sur l' élément noble, mais qu'il s'est fait en même temps une

quelle on ne peut distinguer aucun centre ni aucune orientation des éléments (fin. 5). Cette masse est parcourue par des vai

s, examinées à de forts grossissements, se montrent sous l'aspect d' éléments arrondis ou ovalaires, quelquefois polygonaux, à

a névroglie. Quant aux cellules pyramidales ainsi étouffées par ces éléments néoformés, elles ne présentent pas d'altération

s petites cellules rondes ; celle-ci ne tarde pas à s'épaissir, les éléments se disposent en plusieurs couches concentriques

ieurs couches concentriques dont l'accumulation étouffe peu à peu l' élément noble (cellule pyramidale) ; celle-ci s'atrophi

arait, sa place n'est plus alors marquée que par l'accumulation des éléments néoformés. Dans les régions où les altérations

plus anciennes, on ne voit qu'une accumulation considérable de ces éléments cellulaires; tout élément noble a disparu, et par

qu'une accumulation considérable de ces éléments cellulaires; tout élément noble a disparu, et par suite tout aspect carac

arcomes ou 1 ymphosarcomes. Quelle est la slructure exacte de ces éléments cellulaires ? Sur les cou- TROIS CAS DE NÉOPLAS

ons après coloration au picro-carmin et montage à la glycérine, ces éléments se montrent également constitués d'un corps arr

logie avec les figures de Ziegler se rapportant au gliome, mais les éléments dissociés ne présentent pas les ramifications f

logiques convenant particulièrement t à mettre en relief ces divers éléments . a) Fibres.- Les fibres nerveuses, au moins leu

sants, car de la fibre nerveuse ils ne mettent en relief que l'un des éléments constituants. Or on ne saurait juger de l'état

e que des colorants nucléai- res ayant une faible affinité pour cet élément . Le mieux pour cet objet est la coloration en m

et sans autre réactif,les gaines de myéline, le cylindraxe, et les éléments nucléés. b) Cellules.- Nous n'avonspu pour l'ex

e l'hématéine est presque in- dispensable pour mettre en relief les éléments nucléés, embryonnaires ou conjonctifs. Au rés

à mettre en oeuvre doit être assez souple pour convenir aux divers éléments dont l'examen nous importe, assez simple pour q

RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 299 ordre, disséminés ; ces éléments sont trop peu nombreux pour comprimer les racin

rand nombre de noyaux de forme variable, repré- sentant les uns des éléments embryonnaires, les autres des noyaux des cellules

tissu conjonctif interstitiel. Orientation en tourbillons. A droite éléments conjonctifs jeunes. Méningite. Fig. 3. - Mollis

actus fibreux, des faisceaux de tissu conjonctif adulte, des amas d' éléments nucléés (cellules conjonctives jeunes).Les méning

es vides (PI. LXII, fig. B), d'autres amas nucléaires sont formés d' éléments embryonnaires, mais ils sont plutôt rares. Le t

droite : Cellule saine légèrement rétractée dans sa capsule dont les éléments sont à pou près normaux En bas, gauche : Cellul

x En bas, gauche : Cellule en voie d'atrophie avec multiplication des éléments nucléaires de sa capsule. - En haut, à gauche :

THOMAS ET HAUSER parées l'une de l'autre par des amas irréguliers d' éléments malades. Les amas en forme de croissant, d'anne

ains points même ces résidus proto- plasmiques semblent dépourvus d' éléments nerveux, ou les masquent en tous cas au point q

le, qui forment autour du globe cellulaire une véritable couronne d' éléments nu- cléés. Ces éléments comprennent des noyaux

u globe cellulaire une véritable couronne d'éléments nu- cléés. Ces éléments comprennent des noyaux bien arrondis, assez gros,

Ce sont des aspects pa- thologiques dus non pas à l'agglomération d' éléments embryonnaires comme on peut en rencontrer dans

r disparaître (gaines vides), mais conservation d'une partie de ces éléments à l'état nu ou revêtus d'une enveloppe conjonct

e souvent un tissu d'épaisseur variable, comme coulé entre ces deux éléments . Il a un aspect amorphe et il est pénétré par p

s péri-cellulaires sont normales : il existe quelques petits amas d' éléments embryonnaires : les vaisseaux ne sont pas très al

iférés (Voir.fÉ.), mais il faut tenir compte aussi du tassement des éléments . n'existe pas d'endonévrite. Sur toute l'étendu

ion. Les racines postérieures sont remarquables par l'abondance des éléments nucléaires qui y sont disséminés. Cet aspect co

e conjonctive est généralisée ; elle ne semble pas retentir sur les éléments nobles ; les fibres ne présentent pas de dé- gé

sont eux aussi atteints de lésions de même ordre (sclérose, amas d' éléments nucléés à la périphérie d'un vaisseau ; hémorrhag

e conjonctive centrale, par son aspect végétant, par sa richesse en éléments nucléés, par 1 NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR

ar le car- min, et ressemblant vaguement à du tissu musculaire. Les éléments nucléés y sont rares ; les vaisseaux nombreux o

correspondant la racine antérieure reste intacte à la fois dans ses éléments nerveux et conjonctifs. Observation XI. Riv..

l'inflammation de sa façon habituelle, en don- nant naissance à ces éléments conjonctifs que nous avons souvent observés en

racine un manchon épais constitué d'un tissu fibrillaire lâche et d' éléments nucléés extrêmement abondants. L'inflammation a

le tissu interstitiel et entre les tubes nerveux s'accu- mulent les éléments nucléaires et fibrillaires d'origine piale. Enf

ques-unes cependant sont très petites et entourées d'une couronne d' éléments nucléés plus épaisse que d'habitude. (A suivre.

la plus saillante de l'état catatonique, il existe à côté d'autres éléments qui donnent au syndrome sa physionomie clinique

synonymes. Or, l'état cataleptiforme ne constitue, lui aussi, qu'un élément du syn- drome catatonique; encore est-il beauco

, il est le plus souvent réduit à quelques- 334 SÉGLAS uns de ses éléments , et se montre en général à titre d'épiphénomène t

onique dans la dé- mence précoce, le développement de chacun de ses éléments constituants et sa longue durée. Il nous sera

observer,d'une façon transitoire ou à l'état isolé, quelques-uns des éléments du syndrome catatonique. Ce sont là d'ailleurs

sous le nom d'empêchement psychique (intoppo siclaico). Un autre élément non moins important, en raison de sa constance, d

ente ou épisodique, partielle ou généralisée, de cohésion entre les éléments divers qui constituent l'agrégat personnalité ;

s ne supposent pas moins également, « une dissociation complète des éléments qui déterminent l'impulsion motrice et la perte

ue l'on attribue à ces mêmes symptômes dans l'hystérie. Il est un élément du syndrome catatonique, particulièrement propre

précédents, tandis que le kiyôghen (folles paroles) en prenait les éléments comiques. « Du drame sacré se détacha, au XVIIe

drame populaire. Il nous est plus facile maintenant de cher- cher l' élément psychiatrique épars dans le nombre relativement é

ts, sa débilité mentale, sa crédulité excessive qui fournissent un. élément comique d'effet certain. Parmi les campagnards

re de possession par les renards. Les situations qui en firent leur élément comique sont innombrables. Il serait fastidieux d

ur le second orteil, nous avons toujours obtenu CFP avec 4 MA et 14 éléments , et CFN avec 7 MA et 18 éléments. Dans les mu

oujours obtenu CFP avec 4 MA et 14 éléments, et CFN avec 7 MA et 18 éléments . Dans les muscles hyperexcitables, le deltoïde

sa teinte beaucoup plus accentuée due à la quantité considérable d' éléments nucléés à la surface des fibres. Mais y a-t-il

vrite, qui d'abord semble se traduire par une accumulation énorme d' éléments conjonctifs jeunes à la face interne des gaines p

e en apparence de la pie-mère : il réagit, soit par la production d' éléments conjonctifs jeunes (amas nucléaires) qui se tra

s et se fondent en nappes compactes dont on ne dis- tingue plus les éléments constituants. (Voir notamment obs. 1, III, Vlt.

ne posté- rieure ; il est impossible de dire, vu la destruction des éléments distinctifs, si elle affecte les petites veines

us ou moins végétantes écartent le tissu nerveux. Au voisinage, les éléments nerveux n'en ont pas moins con- servé leur vita

llulaire et sur la cellule elle-même. Au lieu d'une rangée unique d' éléments nucléés, la cellule ganglionnaire se montre env

le corps cellulaire peut manquer entièrement et le seul vestige de l' élément disparu est un amas pigmentaire (Planche XLII,

r une agglomération des noyaux conjonctifs. Il est possible que ces éléments conjonctifs jeunes viennent soit à disparaître, s

ement à la circonférence d'une cellule ; dans ce cas, en effet, les éléments de la capsule, au lieu de se disposer en couronne

lieu de se disposer en couronne, donneront l'illusion d'un disque d' éléments nucléés appliqués à la surface de la cel- lule.

ronon- cerons pas sur le point de savoir si c'est l'hyperplasie des éléments de la capsule qui détermine par compression ou

t la cellule, atteinte primitivement, qui réagit à son tour sur les éléments conjonctifs de son enveloppe. Ici, comme ailleu

e pour cause 420 THOMAS ET nAUSER une diminution de vitalité de l' élément noble et une rupture d'équilibre au profit du t

atrophie simple de la cellule ganglionnaire, sans prolifération des éléments de la capsule, peut également se rencontrer. No

aires qui évoluent lentement vers l'atrophie et la disparition de l' élément noble. V. - Interprétation. Tels sont les fai

ion lente) ; enfin sur sa capsule péricellulaire (prolifération des éléments conjonctifs) (5). Quelques-unes de ces altérati

qui se différencient par la disposition, la grosseur, le nombre des éléments chromatophiles. Les deux types principaux (cell

du tabes vrai que par sa marche et son étiologie; mais le sort de l' élément nerveux qui traverse ce foyer inflammatoire est

, elle ne nous paraît pas davantage devoir être considérée comme un élément absolument négligeable dans la conception général

ente et progressive et de son peu de tendance à la restauration des éléments , cette névrite donneplutôt l'impression d'un trou

bre de racines de la queue de cheval. Je vous avais exposé surquels éléments se fonde le diagnostic différentiel, tout cela

ence d'un syndrome très net, bien cir- conscrit ; il comprend comme éléments essentiels : Une parésie motrice, limitée au do

it très bien, dans l'hypothèse d'une lésion radiculaire. Les autres éléments du syndrome parlent dans le même sens. Ainsi les

xamen microscopique a montré 1° des lésions diffuses, portant sur l' élément mésodermique et généralisées à toute l'étendue de

ration de toute l'étendue de la pie-mère et de l'arachnoïde par des éléments cellulaires qui répondent les uns au type lymph

ux membranes le tissu sous-arach- noïdien est épaissi et infiltré d' éléments cellulaires, surtout au voisinage des vais- sea

brillaire, jeune, à mailles lâches, qui contient encore de nombreux éléments cellulaires (fig. 1). Les vaisseaux participent

e processus inflam- matoire. Les veines ont leurs parois bourrées d' éléments arrondis au point que leurs parois ont souvent

leur constitution n'est pas sensiblement modifiée dans aucun de leurs éléments onstitutifs. Enfin pour être complet on doit

remarque surtout une grande variabilité, et régionale, et dans les éléments sur lesquels elle porte. Ainsi, on peut voir en

convolution, outre sa gracilité, on note une infiltration intense d' éléments ronds ou ovales, témoins sans LÉSIONS HISTOLOGI

e nous avons réussi à obtenir l'imprégnation chromo- argentique des éléments nerveux de la moelle épinière chez les vertébrés

corne antérieure ; tout d'abord ici les dendrites de la plupart des éléments imprégnés présentent un nombre plus ou moins co

t, de comprendre la signification des appendices collatéraux pour l' élément nerveux. Il faut penser que ces derniers ne ser

pécifique. Les appendices collatéraux, en augmentant le volume de l' élément protoplas- mique nerveux, le rendent plus apte

note sur le « cas (1) Chanceux, auteur d'un Traité des extrêmes ou Éléments de la science de la réa- lité (n6), dans lequel

ements rappelant ceux du protoplasma ; prolongement basai. 2° et 3° Eléments cellulaires globuleux: cellules allongées. 4° e

longées. 4° et 5° Tubes médullaires; — névroglie. Rapports de ces éléments entre eux; — type à cinq couches, [ mportance de

ire que toutes les parties de l'écorce grise sont composées des mêmes éléments essen- tiels. Sans doute, chacun de ces élément

omposées des mêmes éléments essen- tiels. Sans doute, chacun de ces éléments constitutifs peut offrir, suivant la région où l'

dra tenir grand compte aussi des variétés du mode d'agencement de ces éléments . Après avoir examiné ces éléments isolément, no

iétés du mode d'agencement de ces éléments. Après avoir examiné ces éléments isolément, nous recher-cherons comment ils se dis

er l'écorce grise. Notre description commencera naturellement par les éléments qui, sans conteste, jouent le rôle fondamental, j

des cellules ganglionnaires ou nerveuses, qui forment en définitive l' élément caractéristique de la région ; on les désigne d'h

rocédé pour faire bien connaître les propriétés morphologiques de ces éléments n'est peut-être pas de les en-visager exclusiveme

tre d'introduction, les principaux traits de la constitution d'un des éléments cellulaires nerveux dont Fétude est la mieux conn

égions spé- (i; M, Betz vient de publier une note détaillée sur les éléments de la subs-tance grise du cerveau (CenlralhlalJ,

re en considération. Les cellules pyramidales ne sont pas les seuls éléments cellulaires qu'on rencontre dans l'écorce grise.

es qu'on rencontre dans l'écorce grise. On y trouve encore des petits éléments cellulaires, ayant une forme glo-buleuse, raremen

oints, une couche assez dense. Divers auteurs les regardent comme des éléments nerveux incomplètement développés ; d'autres leur

développés ; d'autres leur dénient ce caractère et les comparent aux éléments qui constituent la couche granuleuse de la rétine

couche granuleuse de la rétine. M. Meynert range encore, parmi les éléments nerveux des zones corticales, des cellules allong

mblent faire partie de ce système. Voilà quels sont, Messieurs, les éléments cellulaires ner-veux, ou réputés tels, qui entren

en est assez, je pense, concernant l'histoire individuelle des divers éléments qui composent la substance grise. Il convient d'e

convient d'examiner maintenant quel est le mode d'agence-ment de ces éléments , et quelles sont les différences qui peuvent se p

, soit sous ce. rapport, soit sous le rap-port de la constitution des éléments eux-mêmes, dans cha-cune des régions que dessinen

t presque exclusivement constituée par la substance con-jonctive. Les éléments nerveux y sont très rares ; cependant, Kolliker e

ration paraît être en rapport et avec la pau-vreté de cette couche en éléments nerveux et avec le petit nombre des vaisseaux cap

r. Occupons-nous d'a-bord de celui de la région postérieure. 1° Les éléments nerveux, bien développés, sont, ici, des cellules

corce grise du cervelet. — Type de stratification en cinq coaches des éléments cellulaires nerveux. — Régions où existe ce type

désigner sous le nom de type de stratification en cinq couches des éléments cellu-laires nerveux ou réputés tels. Je vais v

elet, vous remarquez successivement: l°une couche épaisse,, pauvre en éléments cellulaires et qui reçoit les pro-longements prot

lules gigantesques. Tout en conservant la forme pyramidale propre aux éléments cellulaires nerveux de la région, ces cellules, v

a substance grise paraît déprimée, en raison delà destruction que ses éléments ont subie et de l'effondrement concomitant de la

ue). ensemble vers les cavités ventriculaires. 11 est clair que les éléments de la capsule interne seront nécessairement plus

e, l'entrecroisement dans le chiasma est complet. Chez l'homme, les éléments pour la solution du problème font encore défaut.

s en question produisent la destruction ou la brusque compression des éléments nerveux de la circonscription affectée et non pas

lésion destructive de la capsule interne, une lente régénération des éléments nerveux pourrait seule, au contraire, permettre l

longue période de leur évolution, ne font que refouler et écarter les éléments médullaires sans en interrompre la continuité. C'

ujets n'ont été abordés toujours que d'une façon incidente, à titre d' éléments pouvant contribuer à la solution de questions plu

ulum est homogène, moins nettement fîbrillaire que chez l'adulte. Les éléments cellulaires y sont en grand nombre, et leur masse

ne le sont pas. L'acide osmi-que, vous ai-je dit, est fixé, dans les éléments nerveux déve-loppés, par la myéline. Or, vous voy

ils parais-sent prendre leur origine. 1° Dans la protubérance, les éléments nerveux qui, tout à Fifí. 52. — Schéma de la co

eu où elle s'établit, une véritable perte de substance aux dépens des éléments nerveux. Aussi les anciens foyers d'hémorrhagie o

nt la plupart des tumeurs, celles-ci pouvant déprimer ou refouler les éléments nerveux sans les détruire. 3° En dehors d'un ca

s cellules py-ramidales. Il existe, en effet, entre ces deux sortes d' éléments de très manifestes analogies déstructure. Ainsi,

, pourvu que soit remplie la condition expresse de la destruction des éléments nerveux. Ainsi, dès l'instant que la lésion tot

à sûrement, car déjèf elle se traduit par la perte des propriétés des éléments nerveux. Par conséquent, Messieurs, vous le rec

re de la moelle épinière, à l'arrangement des fibres nerveuses et des éléments cellulaires qui la compo-sent, à leurs relations

en partie cette proposition. Pour ce qui a trait à l'arrangement des éléments constituants de la moelle épinière, elle fournit,

utres parties. Les parties fondamentales de cet axe, c'est-à-dire les éléments cellulaires ganglionnaires, sont les unes motrice

ission des impressions sensitives ou œsthésodiques. Ces deux sortes d' éléments sont, du reste, reliés entre eux de mille façons,

des relations indirectes et encore peu connues. Pour ce qui est des éléments extrinsèques, ils sont représen-tés par les faisc

i, comme pour la sensibilité, conduc-tion différente par tels ou tels éléments de la moelle épinière. Ainsi, tandis que la tra

Ou bien s'est-il passé quelque chose d'ana-logue à la réparation des éléments nerveux au sein du fais-ceau pyramidal induré ? C

son individualité ; mais dans certains cas pathologiques, lorsque les éléments ganglionnaires sont surex-citables, le moindre éb

ier, les questions qui vont se présenter à nous ne sauraient, faute d' éléments suf-fisants, recevoir, quant à présent, une solut

ion dont les tubes nerveux en voie de des-truction sont le siège, les éléments cellulaires (cellules gan-glionaires) s'affectent

e que détermine la stry-chnine, mais plus durable. Les propriétés des éléments gan-glionnaires, sous l'influence de cette modifi

certaine distance par la voie du réticulum nerveux, jusqu'aux autres éléments ganglionaires de la même région et, en particulie

s, serait naturellement la conséquence de cette surrexcita-bilité des éléments ganglionnaires et nous founirait la clef de certa

u'il en soit, Messieurs, étant admise l'hypothèse de l'irritation des éléments ganglionnaires de la substance grise centrale, au

'admettre ici que l'irritation s'étend par une sorte de diffusion aux éléments ganglionnaires de la substance grise du côté non

e côté resté sain. J0T L'intensité de l'irritation hypothétique des éléments gan-glionnaires d'où dérive la surexcitation réfl

e la contracture. Il faut donc, ici encore, invoquer l'affec-tion des éléments ganglionnaires de la substance grise. QUINZIÈME

es tubes nerveux en voie de destruction sont le siège, retentit sur l' élément ganglionnaire. Ainsi communiquée aux cellules mot

able, si vous le voulez, à la modification que produit dans ces mêmes éléments l'intoxication strychnique, mais avec cette diffé

admis, il y a lieu de reconnaître qu'il ne reste pas localisé dans l' élément ganglionnaire moteur. Il s'étendrait par diffusio

élément ganglionnaire moteur. Il s'étendrait par diffusion aux autres éléments ganglionnaires de la région, avec lesquels il aff

nt une interprétation facile dans l'hypothèse proposée. à) Tous les éléments ganglionnaires de la substance grise spinale sont

deux modes. Dans certaines régions, c'est une lésion destructive des éléments cellulaires. La conséquence est alors une atrophi

'autres parties, c'estune simple lésion fonctionnelle irritalive. des éléments ganglionnaires. Il en résulte que, dans ce» parti

cette forme d'atrophie musculaire spinale de celle dans laquelle les éléments cellulaires sont dé-truits sans participation des

ns l'espèce morbide, la démarche n'est pas tout; elle n'est qu'un des éléments de la maladie. Cela démontre aussi que le diagn

t donné, envahir les cornes antérieures et y déterminer la lésion des éléments ganglion-naires d'où dérive l'amyotrophie spinale

latérale amyotrophique. L'affection reconnaît, je vous l'ai dit, deux éléments anatomo-pathologiques : une lé-sion des faisceaux

roire, secondairement. Il s'agit donc là d'une lésion systématique, à éléments combinés, comme on dit en Allemagne. C'est cette

ait en effet que, par son extrémité périphérique,ce prolongement de l' élément ganglion-naire entre en relation pour ainsi dire

scles. Ainsi, Messieurs, vous le voyez, il existe d'un côté entre l' élément ganglionnaire et le cylindre axile, qui n'est en

re et le cylindre axile, qui n'est en somme qu'un prolongement de cet élément , un rapport de continuité immédiat, comme il en e

entre l'extrémité terminale de ce prolongement et la subs-tance de l' élément musculaire. Il y a donc, ainsi que je l'annonça

la fibre musculaire; en réalité, on peut les consi-dérer comme trois éléments consécutifs d'un même système; et dire même, sans

importe de le remarquer, Messieurs, dans cette association, l'un des éléments est, pour ainsi parler, domi-nateur \ les autres

s. L'intégrité des mus-cles comme celle des nerfs dépend de celle des éléments ganglionnaires. Il est démontré en effet que la l

qu'une lésion des muscles ou des nerfs moteurs puisse retentir sur l' élément ganglionnaire et en altérer la nutrition. Telle

ations que je tenais à vous pré-senter, Messieurs, sur cet ensemble d' éléments qu'on pourrait désigner sous le nom de système ne

ptômes qui, suivant la descrip-tion de M. Charcot, constituent un des éléments principaux de la détermination de la maladie en q

de l'atrophie musculaire. L'intervention plus ou moins précoce de cet élément séméiologique nouveau, jette une certaine perturb

gements rappelant ceux du protoplasma ; prolongement basah 2° et 3° Eléments cellulaires globuleux; cellules allongées. 4° e

longées. 4° et 5° Tubes médullaires; — névroglie. Rapports de ces éléments entre eux; — type à cinq couches. importance de

corce grise du cervelet. — Type de stratification en cinq couches des éléments cellulaires nerveux. — Régions où existe ce type

— Faisceau pyramidal dans V —, 204 ; — Structure et développement des éléments de 1' —, 208. Egorge cérébelleuse, 32 ; — type

térale amyotrophique, 48, 352 ; -- La — est une lésion systématique à éléments combinés, 385 ; -- Anatomie de cette affec-tion,

ion qui occupe, d'une manière prédominante, sinon exclusive, certains éléments bien déterminés de la substance grise, c'est-à-di

de long sur 5 à 6 de large. Ces plaques « sont constituées par les éléments du muguet, avec lesquels on trouve, du moins à la

et des culs-de sac glandulaires, ne contenant pas dans leur cavité d' éléments pa-rasitaires. Lorsqu'au niveau d'une plaque, on

simple sur laquelle nous ne pouvons in-sister, M. Woillez admet que l' élément congestion joue un rôle des plus importants quand

te de l'ouvrage, l'emploi du ruban métrique dans la pleurésie, et les éléments qu'il fournit pour poser les indications de la th

t, l'étude des ouvrages de Griesinger, qui n'aurait dû être qu'un des éléments le plus important, nous le Voulons bien, de la ca

s l'appréciation des autres publications de Griesinger. De ces deux éléments d'information qui permettent de dresser le signal

t quels dangers et quels insuccès peuvent résulter de l'ignorance des éléments de ces sciences, dites acces-soires. Nous ne po

déennes, il en soit un seul qui mette en doute l'alliance de ces deux éléments : fièvre intermittente, pneumonie. Quanta savoir s

état général. Dans ces cas, on remarque, suivant la prédominance de l' élément intermittent ou de l'élément pneumonique, on rema

n remarque, suivant la prédominance de l'élément intermittent ou de l' élément pneumonique, on remarque, dis-je, que la maladie

que cette partie de la tumeur est presque uniquement formée de gros éléments fusiformes très-allongés ayant en longueur de dou

mètre et rangés en fais-ceaux volumineux, suivant leur grand axe. Ces éléments sont sépa-rés les uns des autres par des traînées

qui ne sont pas colorées. Les faisceaux formés par l'accumulation des éléments fu-siformes dans la même direction sont très-volu

culaires à la direction des faisceaux, on peut reconnaître que chaque élément fortement coloré est séparé de ses voisins par de

hyaline circonscrits par des tractus colorés qui convergent vers les éléments fusiformes; d'où il résulte que chacun de ces cor

de la tumeur et formés par un tissu un peu différent. On retrouve les éléments à prolonge-ments multiples, très-clairsemés en ce

ême plus. Vers la périphérie de tous ces nodules cartilagineux, les éléments se sont modifiés dans leur forme. Et, d'arrondis

nodules arrondis ou ova- laires de tissu fibromateux formés par des éléments fusiformes, mais plus petits que clans le reste d

tissu cartilagi-neux. En résumé, la tumeur est formée : Io par des éléments fibro-plastiques assez avancés dans leur développ

'observation la plus habituelle nous a permis de constater, lorsque l' élément cartilagineux entrait pour une certaine proportio

atière granuleuse dans laquelle il est impos-sible de reconnaître des éléments figurés. Les parois tubulaires épaissies offrent

s se développent dans le testicule; elles y agissent comme épine, les éléments voisins s'irritent et prolifèrent: de là l'hyper-

ur conséquence de donner à la glande un volume considérable. Puis ces éléments s'étouffent, leur nutrition ne se faisant plus, e

lement mercuriel. Thèse dé Paris; 1872; Cet appareil se compose des éléments suivants : 1° un couple de Bunsen, moyen modèle;

tères physiques ; dans les cas graves, il n'y a pas séparation de ses éléments ; il est noir, foncé, sirupeux; quelquefois il

mie n'échappe sans doute pas à cette règle, il faut tenir compte de l' élément dose. Ehbien,n*est-ilpasvraisemblabfe que cette

beaucoup de vaisseaux à parois entièrement orga-nisées, et, plusieurs éléments embryonnaires disséminés un peu partout. 5 mars

s que dans la pneumonie elle dépasse souvent 40 degrés. C'est donc un élément de diagnostic. L'auteur insiste sur l'étude du di

lui faut une certaine puissance ou tension. La résistance qu'un seul élément ne pourra pas surmonter, une série d'éléments pou

La résistance qu'un seul élément ne pourra pas surmonter, une série d' éléments pourront parvenir à la surmonter. De même supposo

tances seront surmontées. Il en est de même pour la pile; une série d' éléments , réunis en tension, ne donne pas plus de quantité

éléments, réunis en tension, ne donne pas plus de quantité qu'un seul élément , mais permet, sans accroître le courant, de surmo

térieures et d'obtenir des effets impossibles à réaliser avec un seul élément . Plus vous aurez d'éléments, plus la force électr

effets impossibles à réaliser avec un seul élément. Plus vous aurez d' éléments , plus la force électrique aura de puis-sance ou d

on faible. Dans cet appareil, le poids de l'eau ou sa quantité est un élément insignifiant, tandis que l'action dépend uniqueme

été augmentée. — A côté de la tension déterminée par une réunion d' éléments il faut encore considérer la tension intérieure d

x et de la difficulté que les molécules ont à se combiner. Voici deux éléments qui tous deux sont composés des mêmes métaux et d

t une opération régulière, qui a pour but la conservation de tous les éléments de mobilité et dp. résistance de l'articulation f

rolongés. Jusqu'à présent on em-ployait une pile à grands et nombreux éléments ; M. Lefort a essayé de remplacer ces éléments par

le à grands et nombreux éléments; M. Lefort a essayé de remplacer ces éléments par deux ou trois seulement, et d'en tirer des co

t, l'éry-sipèle estime maladie infectieuse dont l'angioleucite est un élément ; ce qui le distingue des fièvres éruptives, c'est

comme le prétend M. Trélat, qu'une maladie dont l'angioleucite est un élément ? Disons d'ailleurs que la discussion s'est, quelq

stance albumineuse. C'est la condition anatomique de presque tous les éléments de l'organisme, et l'on peut dire sans exagératio

it l'influence d'un courant extérieur sur l'action chimique de chaque élément , dans une série d'éléments formant un circuit fer

t extérieur sur l'action chimique de chaque élément, dans une série d' éléments formant un circuit fermé. Pour cela, nous avons r

fermé. Pour cela, nous avons réuni en deux Fig. 8. groupes quatre éléments en tension (fig. 8). Un de ces groupes nous serva

itions normales. Dans le deuxième groupe, nous faisions passer d'un élément à l'autre, pendant huit à dix heures, un courant

un élément à l'autre, pendant huit à dix heures, un courant de trente éléments . Voici quelques-uns des résultats que nous avons

avons obtenus. Lorsque le courant extérieur C passait par les quatre éléments , et en sens inverse f du courant propre de ces él

ar les quatre éléments, et en sens inverse f du courant propre de ces éléments qui est dirigé selon la flèche/et fv l'action chi

ts qui est dirigé selon la flèche/et fv l'action chimique dans chaque élément était plus faible que dans la pile qui servait de

de la pile où l'on faisait agir en sens inverse un courant de trente éléments ne perdaient que 7 grammes de leur poids. Si, a

r surajouté peut-il diminuer ou augmenter l'action chimique de chaque élément ? L'explicetion de cette influence s'explique par

fluence s'explique par la loi suivante: l'action chimique dans chaque élément est d'autant plus considérable que la résis- ta

on diminuera la ré-sistance extérieure, l'action chimique dans chaque élément sera plus grande ; elle sera au contraire plus fa

nt oxydé. Celte différence tient uniquement à ce que, pour le premier élément , les rhéophores sont restés éloignés l'un de l'au

ores sont restés éloignés l'un de l'autre, tandis que, dans le second élément , nous les avons réunis par un fil métallique. C'e

mais cette action chimique eût cependant été bien moindre que dans l' élément où un corps n'offrant aucune résistance, tel qu'u

e résistance extérieure qui règle l'action chimique autonome à chaque élément . Pour le prouver par une expérience directe, nous

recte, nous avons fait passer deux courants fournis chacun par quatre éléments à travers une couche d'eau de trois centimètres.

en même temps traverser la couche d'eau par un courant fourni par 20 éléments . Voici comment est disposée l'expérience : dans

empli d'eau, nous faisons de plus passer le courant de vingt autres éléments , dont les rhéophorcs plongent dans l'eau et sont

extérieur CB et CS, l'action chimi-que augmente dans l'intérieur des éléments de la pile P. Au bout de huit heures de cette exp

as une grande tension, influe sur l'action chi-mique propre de chaque élément , et il agit ainsi, non parce que son action chimi

ainsi, non parce que son action chimique vient s'ajouter à celle de l' élément , mais parce qu'il diminue ou augmente les résista

us la tension est grande, plus le travail chimique autonome de chaque élément sera augmenté. Bevenons maintenant à notre étud

. Bevenons maintenant à notre étude sur les corps organisés. Chaque élément de notre pile représente une cellule de l'apparei

des relations réciproques, et le régulateur de l'action chimique des éléments organiques doit justement être la résistance exté

extérieure et la tension intérieure. Il faut tenir compte de tous ces éléments , et ne jamais croire qu'il suffit qu'un courant p

c cette série de transfor-mations, j'aurai obtenu, avec deux ou trois éléments de Bunsen, un courant ayant les mêmes propriétés

mêmes propriétés qu'un courant fourni directement par vingt ou trente éléments Daniell. Mais cela ne veut pas dire que l'électri

ela ne veut pas dire que l'électricité provenant directement de trois éléments Bunsen agit sur l'organisme comme celle de vingt

nt de trois éléments Bunsen agit sur l'organisme comme celle de vingt éléments Daniell, pas plus que l'on ne peut confondre sous

'a pas offert d'autre signe d'alté- ration qu'une quantité énorme d' éléments lymphoïdes et un volume beau-coup plus considérab

ns ce cas, le museau de tanche se présente avec ses caractères et ses éléments normaux. Ailleurs, sa surface est rouge, enflammé

apparaît dans tant d'autres affec-tions du système nerveux, à titre d' élément accessoire, sans rien changer à la nature de la m

'hystérie commune, — alors que personne ne songe à faire intervenir l' élément épilepsie — de voir, dis-je, s'ébaucher des convu

parer, où l'on puisse aisément s'assurer du fonc-tionnement dé chaque élément . Il faut préférer la solidité et la simplicité à

physiologie cherche par l'analyse expérimentale à péné-trer jusqu'aux éléments anatomiques; pour atteindre ce but, elle doit fai

rimentation, de l'histologie, de la physique et de la chimie. » Les éléments anatomiques vivent dans un milieu intérieur qui e

erselle; elle appartient à des degrés divers, il est vrai, à tous les éléments , à tous les tissus, et dans tous il nous faudra l

température. Si nous analysons le phéno-mène, nous voyons : « que les éléments anatomiques se comportent comme de véritables vib

s. » XXXIV. Le nerf constricteur. — Le grand sympathique agit sur l' élément contractile des vaisseaux, et par eux sur la nutr

s, depuis celle fournie par quatre jusqu'à cinquante et même soixante éléments . Mais en règle géné-rale, il faut que la sensatio

rants plus énergiques et d'une durée moins longue. Certes, avec les éléments employés par M. Lefort, le courant est plus const

ous faisons passer un courant à travers la tête. Ce courant de 8 à 12 éléments n'est maintenu que pendant une à deux minutes, et

le ne commence à avoir réellement d'action, avec un si petit nombre d' éléments , que lorsque l'épiderme est enlevé, mais alors on

fièvre et d'excitation. Pour presque toutes, même avec quatre et six éléments , nous avons déterminé des eschares qui n'ont guér

, l'épiderme offre une telle résistance que l'action de deux à quatre éléments Daniell devient insignifiante. L'influence si émi

dissout pas les plaques scléreuses, et ne fait point disparaître les éléments de formation pathologique, pour les rem-placer pa

me tous les agents, elle ne peut qu'amener des modifications dont les éléments vivants peuvent pro-fiter pour rentrer dans l'éta

èmc de lacunes, appréciable même à un faible grossissement. Muscle et élément intermusculaire ont été soumis à un examen approf

rnstein ; nous ne pouvons que ré-sumer ici ses conclusions : Pour l' élément musculaire de la tumeur linguale, il n'est pas po

e gardant d'admettre qu'ils pussent provenir d'une extravasa-tion des éléments du sang? (Archiv. de Virchow, 1872.) XII. Consi

et s'enfonce dans leur profondeur. Par la prolifération active de ses éléments , le corps muqueux envoie des prolongements partou

rtout par du tissu conjonctif fibreux parsemé d'un nombre va-riable d' éléments embryonnaires à différentes périodes de leur dé-v

qu'il s'agit d'une hypertrophie ayant porté également sur les di-vers éléments du col, sans aucune formation néoplasique *. Ce

ain ; 2° une couche moyenne constituée par le tissu normal infiltré d' éléments embryonnaires ; 3° une couche périphérique formée

et de cellules embryo-plastiques entre-mêlés de corps fusifoimes. Ces éléments sont en voie de dévelop-pement dans la partie pro

remiers jours. L'examen au microscope ne permet pas d'y reconnaître d' éléments caractéris-tiques ; quelques brides celluleuses t

s supérieurs sont formés de rares faisceaux séparés par de nombreux éléments connectifs, œdé-matiés et fibreux. Les nerfs qu

ertrophié. —11 nous reste maintenant à déterminer aux dépens de quels éléments anatomiques se fait le processus hyperlrophique.

tion importante : tantôt l'hypertrophie porte égale-ment sur tous ces éléments , et c'est là le cas le plus fréquent, tan-tôt ell

signerons sous la dénomination d'hypertrophie généralisée ci tous les éléments . a) Hypertrophie généralisée à tous les élément

alisée ci tous les éléments. a) Hypertrophie généralisée à tous les éléments . — La plupart des cas que nous rapportons dans le

sposition n'est point constante. Le tissu musculaire constitue un des éléments les plus importants de la tumeur; Yirchow, qui a

autre série de faits, nous trouvons un col hypertrophié dans tous ces éléments , tel que nous venons de le décrire, présen-tant l

tes d'hypertrophies du col utérin, et, notamment, celle portant sur l' élément vasculaire. En consé-quence, il s'était fait acco

ppliquée à l'ensemble de la physio-logie. C'est à l'union de ces deux éléments que nous donnons le nom d'analyse physiologique.

aussi grandes que celles indiquées relative* ment à l'arrangement des éléments constituants. L'action physiologique des nerfs

cience et à ses nombreux amis, auraient pu fournir à M. Leteurtre les éléments d'une théorie physiologique admise d'ailleurs et

dans les services de M. Magnan, à l'Asile clinique, et de ji'tn /. Eléments parasitaires du sang comitial. Schéma. (II. Cha

et la force dépensée pour déterminer cette contraction étaient les éléments nécessaires de son existence. Il existe des sen-

s d'un haricot. Leur cavité est remplie d'un liquide lymphatique, d' éléments ner- - veux (fibres et cellules névrogliques),

atique, d'éléments ner- - veux (fibres et cellules névrogliques), d' éléments figurés du sang; 'elle est traversée par un vai

tissu nerveux conznlc- tement dégénéré sans fibres à myéline, sans éléments nerveux, sans réaction névroglique proprement d

à l'action nécrosante du néoplasme lui-même s'est donc adjoint un élément mécanique qui nous explique fort bien comment a p

dirigées vers la subs- tance nerveuse. Enfin, l'étude attentive des éléments néoplasiques montre que le noyau très allongé e

est en effet occupé par des masses en pleine nécrobiose, dont les éléments cellulaires prennent difficilement les colorants,

ertaines mala- dies infectieuses : rougeole, bronchite, etc. Mais l' élément causal principal est le mauvais éclairage de la

uns seulement des membres d'une même famille. Nous retrouvons là un élément commun aux diverses maladies familiales, respec

pileptique, elle ne le constitue pas tout entier. « Il y a un autre élément qui entre en ligne de compte : c'est la person-

élire automatique, non créé de toutes pièces, mais puisant tous ses éléments dans une impression ancienne. C'est par un méca

auteurs à admettre que dans chaque hallucination il y a toujours un élément commun et généralement décelable qui entre en j

cées, au milieu desquelles se trouvent des cellules nombreuses, des éléments ner- veux altérés et des vaisseaux malades. Les

cellules de la névroglie envahie par les cellules gliomateuses. Les éléments nerveux présentent un aspect qui varie suivant la

reproduire l'arbre généalogique qui l'accompagne et en fournit les éléments . On peut noter toutefois qu'il est particulière

PSYCHOLOGIQUE Séance du 28 avril. Présidence DE M. Motet. Sur les éléments de nos images mentales. M. J. PHILIPPE présente

ons sur les images mentales visuelles, étudiées au point de vue des éléments qui les composent et de manière à préciser cert

ssez nette pour être décrite, on distingue deux principaux genres d' éléments : les uns forment le corps de l'image, les autr

s en servions pour diverses opéra- tions mentales. Ce sont donc des éléments étrangers ou extérieurs : ils comprennent (en v

s ou extérieurs : ils comprennent (en venant du dehors) d'abord des éléments que l'on peut appeler logiques, parce qu'on ne

tout en sachant très bien qu'ils appartiennent à l'image puis des éléments que l'on se représente bien dans l'image, mais qu

ait quelque chose à cette place dans la perception primitive. Ces éléments étrangers font cependant partie de l'image, puis-

reflètent les percep- tions originelles d'où procède l'image. Les éléments propres de l'image comprennent d'abord une sil-

on veut préciser 166 SOCIÉTÉS SAVANTES. davantage, on trouve des éléments encore vagues, mais cependant plus particuliers

bien la forme et le caractère; mais sans pouvoir les lire. Enfin l' élément vital de l'image; ce sont les restes directs de

iner direc- tement, tant on les visualise nettement. , Ces divers éléments sont d'ailleurs éparpillés : on trouve un détai

t d'ailleurs éparpillés : on trouve un détail visualisé à côté d'un élément logique, etc., et tout cet en- semble offre ass

mémoire à une influence sur l'intervention plus ou moins rapide des éléments logiques. Ai. J. Philippe a surtout observé d

Ai. J. Philippe a surtout observé des sujets visuels chez qui les éléments logiques interviennent très activement ; mais les

e entre le degré de la mémoire et la rapidité de l'intervention des éléments logiques. M. Ballet désirerait avoir un exemple

sirerait avoir un exemple concret de ce que M. Philippe appelle les éléments logiques. q M. J. Philippe. J'ai demandé à un é

mais je sais ». N'est-ce pas, en effet, grâce à l'intervention d'un élément visuel qu'il fait transporter en haut de la pag

culièrement marquées autour desquelles viennent se grouper d'autres éléments de représentation plutôt sensorielles quemental

utôt sensorielles quementales. ' M. J. Philippe admet que, dans les éléments logiques, il y a bien une partie représentative

ortant est joué par le raisonnement par ce qu'il a désigné du nom d' éléments logiques. M. h'IsR\ : 11;D-LEROY. Une image vis

uelle n'est jamais purement visuelle ; il y entre toujours quelques éléments logiques qui ne sont que des images sensorielle

rticulièrement désignée. Dans la re- présentation générale, c'est l' élément logique qui domine. Dans la représentation ment

bie, la claustro- phobie, les perversions sexuelles, ces différents éléments ont per- mis d'aborder la question des fous hér

lindraxe ; ayant commencé par être partielle, cette dissolution des éléments chromatophiles peut arriver à être totale et donn

xpression du professeur Gariel, toute personne qui aura compris les éléments scientifiques exposés dans cette première parti

tions psychiques et le Dr Séglas sous le nom de psycho-motrices ; l' élément sensoriel, disent-ils, semble avoir disparu : c

e diffère en apparence des autres forces que par la disposition des éléments anatomiques, qui l'en détachent un moment, en l

r con- séquent, un acte physiologique déterminé. Il pense que cet élément moteur est le seul indispensable pour qu'il y a

eur est le seul indispensable pour qu'il y ait véritablement tic, l' élément psychique ou mental étant essentiellement conti

est celle de savoir si ce sont les mêmes élé- ments nerveux ou des éléments différents qui président aux actes du psychisme

e neurones. Il me semble au contraire évident que ce sont les mêmes éléments anatomiques qui président à l'activité volontaire

umés ainsi : a. Dans la folie à deux, l'un des deux individus est l' élément actif; plus intelligent que l'autre,' il crée l

rée le délire et l'impose progressivement au second qui constitue l' élément passif. Celui-ci résiste d'abord, puis subit pe

pas puisées dans son propre fonds. Enlevons l'agent provocateur (l' élément actif), le délire reste, et peut-on dire que ce

ité mentale, au milieu de laquelle il est possible de percevoir les éléments d'un délire hallucinatoire professionnel (voitu

ut faire. Dans t'étiologie de toutes ces catégories de psychoses, l' élément traumatique peut intervenir parfois d'une façon

traumatique peut intervenir parfois d'une façon prépondérante; cet élément étiologique, souvent méconnu, mérite cependant un

habituellement ce problèiiiecli- nique, la constatation de nombreux éléments blancs dans le liquide céphalo-rachidien permet

s faites chez 91 malades différents, la plupart avec numération des éléments blancs. Il a été fait 70 ponctions chez 48 para

été fait 70 ponctions chez 48 paralytiques généraux. Le nombre des éléments était généralement compris entre 10 et 100 par

ns 4 ponctions faites sur 3 paraly- tiques, on a trouvé un nombre d' éléments comparable à celui 'qu'on trouve chez les sujet

t qu'au début de la paralysie générale l'augmentation du nombre des éléments est un symptôme constant. Ils ont trouvé encore

s est un symptôme constant. Ils ont trouvé encore un nombre élevé d' éléments dans 4 cas de tabès avec troubles mentaux, et d

e ramollissement cérébral et 1 cas d'hydro- céphalie, le nombre des éléments n'était pas augmenté. Il n'était 332 SOCIÉTÉS S

faite à l'entrée dans le service leur révélait un nombre anormal d' éléments blancs ou une quantité normale, ils faisaient, da

x malades sans la ponction lombaire, qui révéla un nombre anormal d' éléments chez l'un, un nombre normal chez l'autre. Le pr

au contraire, devait être regardé comme curable. La présence des éléments blancs chez un aphasique permet d'at- tribuer l

st impuissante, puisque le tabès suffit à expliquer la présence des éléments blancs. SOCIÉTÉS SAVANTES. 333 En somme, d'ap

En somme, d'après cette communication, la présence de nom- breux éléments blancs dans le liquide céphalo-rachidien est le p

dans le cours de la septième année de la maladie n'ont pas révélé d' éléments . 11 ne faudrait pas en conclure que dans ces pa

onclure que dans ces paralysies générales prolongées, l'absence des éléments soit constante, car chez un autre malade dont l

gative, mais une deuxième, faite six mois après, révéla de nombreux éléments . D'ailleurs la quatrième ponc- tion négative mo

qu'aucun autre symptôme de la paralysie générale, la présence des éléments n'a une valeur absolue. M. Arnaud a vu un sujet

ptibles d'irriter les méninges et par suite de faire apparaître des éléments figurés dans le liquide céphalo-rachi- dien. La

ns le liquide céphalo-rachi- dien. La présence ou l'absence. de ces éléments dûment constatées 334 SOCIÉTÉS SAVANTES. perm

ce simple examen, se bornant à constater la présence ou l'absence d' éléments figurés, il nous a semblé que d'utiles ren- sei

jà une place à part dans le cadre des obsessions. D'ail- leurs, les éléments de pronostic ne doivent pas être tirés de la fo

nscience, dans la représentation claire d'une faute déterminée. Les éléments qui déterminent ainsi avec précisionle crime comm

ns ou d'un surmenage récent, d'une infection ou d'une intoxication, éléments épisodiques surajoutés à l'alcoolisme chronique

ction qu'il vient de commettre un crime sanglant, sauvage, dont les éléments (victime, cadre de l'action, etc.) sont empruntés

mitants psychiques et somatiques, etc. C'est à l'aide de tous ces éléments que l'expert déterminera le type pathologique de

IÉTÉS SAVANTES. pour qu'on soit en droit de les faire figurer comme éléments de preuve dans les conclusions d'une expertise

l s'agit exclu- sivement d'hommes. Tous ont largement absorbé les éléments nocifs auxquels on attribue généralement la gen

asmique, etc., entraînant la destruction d'un certain nombre de ces éléments , altérations tout à fait semblables à celles qu

trophiées dans un cas, était en outre envahie plus ou moins par des éléments proliférés des tissus conjonctif et névroglique

iniquement constatées, correspondaient des altérations avancées des éléments anatomiques, et qu'à des lésions à peine percep

lite chronique diffuse, c'est-à-dire, en résumé, l'infiltration des éléments nobles de la papille et du nerf optique par du ti

t racines rachidiennes) se laissent envahir plus facilement par les éléments cancéreux, de même type que ceux de la tumeur p

ents cancéreux, de même type que ceux de la tumeur primitive. Ces éléments s'infiltrent et prolifèrent dans les espaces conj

rade, et la réaction à distance des cellules d'origine. Enfin les éléments cancéreux peuvent fuser à une grande dis- tance

nt rési-ler fort longtemps, bien qu'entourées de tous côtés par les éléments néo- plasiques ; on y remarque seulement un cer

tervertébraux sont alors les premiers atteints, et pénétrés par les éléments cancéreux, la dure-mère se laisse facilement tr

'examen du liquide céphalo-rachidien permettrait-il d'y déceler les éléments cancéreux. La pénétration du cancer par les tro

autres symptômes ; l'envahissement des racines postérieures par les éléments cancéreux est un facteur important de cette si

eur avait une marche bien plus envahissante et destructive. ' Les éléments essentiels sont toujours des cellules à petits no

, véritable tissu spongieux. Dans les cas habituels, il n'y a pas d' éléments nerveux au sein de la masse et les corps granul

otre attention, à savoir la parti- cipation à de telles tumeurs des éléments nobles par excellence du z système nerveux, c'e

ellules nerveuses. Maintes fois, nous avons rencontré de ces grands éléments arrondis à noyaux clairs, à prolongements souve

riches formations au pourtour d'un kyste hydatique du cerveau. Ces éléments sont loin d'être exceptionnels dans les scléroses

65 une dégénérescence spéciale, développée aux dépens de tous les éléments de la tumeur, principalement dans le voisinage de

toujours rencontré un tissu uniquement sarcomateux, sans mélange d' éléments névro- gliques, fibres ou cellules. Nous penson

uses sur les méninges, plutôt embryonnaires dans la moelle dont les éléments nerveux paraissent plus refoulés que détruits,

fs périphériques, dans nos deux cas, ils étaient constitués par des éléments fibro- plastiques emboîtés les uns dans les aut

u tissu néoplasique avait eu lieu en réalité aux dépens de tous les éléments mésodermiques (périnèvre, endonèvre, gaine de H

on relève l'existence de lésions inté- ressant un certain nombre d' éléments isolés dans les couches des grandes et pelites

oplasma, régissant la nutrition, la défense et la dégénération de l' élément . ., Comme dans toute cellule, dans la fibre str

entraîner l'atrophie du muscle, puisque la diminution de volume des éléments est pro- portionnelle à leur augmentation de no

imposées. Elles se transforment peu à peu et prennent l'apparence d' éléments con- jonctifs ou se chargent d'une gouttelette

es que disparaissent ou du moins cessent d'être reconnaissables les éléments musculaires dans les amyotrophies. L'atrophie m

t normal; mais s'ils sont toxiques il faudra les rejeter en tant qu' éléments normaux de cet organisme. J'ai pu, Messieurs,

ront de lutter contre son usure d'en tenter la régénération par ses éléments les plus impor- tants qui sont : les composés a

us pourrons dire qu'il suffit, pour les obtenir, de maintenir leurs éléments à une température fixe pendant un temps souvent

cellulaire. Nous nous expliquerons ainsi qu'après la digestion, les éléments cellulaires n'aient à accomplir qu'un faible tr

Au point de vue de l'intelligence de la part qui revient à chaque élément dans la pathogénie de l'idée de culpabilité et

lpabilité préexistant, à l'état latent, et constituant ainsi un des éléments fondamentaux du carac- tère mélancolique antéri

donc pu communiquer sans peine à son fils tout son délire : ici, l' élément actif, la mère, n'a rencontré aucune résis- tan

ire, mais son expression verbale se sont transmis intégralement à l' élément passif, le fils. Mais à côté de cette psychose

qui a guéri grâce à un traitement dont la suggestion constituait l' élément principal. Ils estiment que l'exis- tence de ce

ésigné par M Hayem sous le nom de tropho-asthénie et comprenant les éléments suivants : amaigrisse- ment, malgré la conserva

r : paronoia rudimentaria impulsiva. Quand à l'émotivité c'est. uni élément plus, ou-moins- fréquent et important. - Onze

st .l'élément intellectuel idéatif qui csl le symptôme principal, l' élément émotif, est ou absent ou, s'il existe, il est s

est la « conscience des varia- tions neuro-vasculaires (Lange) et l' élément primitif et fonda- mental de l'obsession. » ,

de l'obsession. » , De même que pour l'impulsion, l'émotion est un élément constant et indispensable de l'obsession. Que l

cca- sion (Freud). M. Régis les divise en : 1° Phobies des lieux, éléments et maladies (agoraphobie, claustrophobie, astro

ple et l'idée impulsive ; bien qu'au fond de toute idée il y ait un élément moteur, et quelles idées obsédantes soient de v

ue dans le délire, l'idée peut être pénible, mais elle n'est pas un élément hétérogène, s'identifie à l'esprit du malade et

issemblables, l'une d'elles étant plus ou moins prédominante. Les éléments morbides des obsessions peuvent se grouper en p

accidentelles. Les premières à hérédité chargée sont pré- coces, l' élément intellectuel y prédomine, elles ont une allure

mesure que la cellule nerveuse s'accroît, il apparaît un troisième élément : l'élément chromatopliile dont on peut suivre le

la cellule nerveuse s'accroît, il apparaît un troisième élément : l' élément chromatopliile dont on peut suivre le dévelop-

iimique, pour former à la (in des corps de formes géométriques, les éléments chromatopliiles, à mesure que la cellule radicu

e seulement à-la périphérie de la cel- lule, la différenciation des éléments chromatopliiles se fait plus lentement et les p

s ne possèdent pas, même après la naissance et à l'état adulte, des éléments chromatopliiles bien développés dans la région

l'involution. A mesure que la cellule avance en Age, le volume des éléments chromatopliiles, surtout dans la partie REVUE D

peu co : orables. Consécutivement à cette réduction de vo- lume des éléments chromatopliiles et leur transformation en fine

e produit, dans les cellules atteintes, une réduction du nombre des éléments clii omatiques ; leur forme change égale- ment

es d'évolution, lesquelles, par leur arran- gement, constituent les éléments chromatopliiles. Alors ces pro- duits de désint

nous incombe donc de rechercher et de découvrir quel est celui des éléments de la civilisation qui aide la syphilis à engendr

a prédisposition. Quand la maladie est à la période d'état, le seul élément de diagnostic certain réside dans les antécéden

ale précoce et de l'âge moyen que dans la tardive. Enfin, parmi les éléments étiologiques accentuant les troubles, moteut-s,

s le même territoire, même dans les parties de peau saine entre les éléments éruptifs. SOCIÉTÉS SAVANTES. 535 Préseaztulio

entale, par Bourne- ville et Boyer, 418. Images mentales. Sur les éléments de nos , par J. Philippe, 165. Incendiaire. U

un de ceux qui ont le plus insisté sur la grande importance de cet élément étiologique : « Toutes les plaies de tête grave

correspond de l'écorce cérébrale, un rapport constant et fixe. Les éléments rétiniens de la tache jaune, par exemple, ne se

era de l'hémiop.,ie Fig. I. 44 PHYSIOLOGIE, bilatérale, car les éléments nerveux de l'aire corticale détruite se trouvai

tre l'arrêt ou l'abolition fonctionnelle d'une partie seulement des éléments nerveux de la sphère 1 71 ! ferc/'e sulla anato

ticaux de l'audition, de la vision, etc., existeraient, mêlés aux éléments sensoriels, ou isolés en îlots, des éléments mo

steraient, mêlés aux éléments sensoriels, ou isolés en îlots, des éléments moteurs des muscles des organes périphériques d

vec les idées dualistes de Luciani sur l'espèce de hiérarchie des éléments constitutifs des centres sensoriels. ° ° Chez l

phères de sensibilité spécifique; 2° les fibres optiques issues des éléments nerveux du grand hippocampe subiraient, comme c

'Ammon aussi, une confirmation de leurs vues sur la coexistence des éléments sensoriels et moteurs, partant des fonctions de

1 Cela veut dire que M. Wernicke ne se trouve pas encore dans son élément . Questions de budget et d'administration probable

nerveux en donnant un coup d'oeil d'ensemble sur l'arrangement des éléments de cet admirable appareil psycho-physique où le

es se resserrent et se contractent. Le rapport de ces deux ordres d' éléments est un peu différent dans le traitement par l'a

: La première composée du tissu fonda- mental névroglique, avec ses éléments cellulaires, parsemé de petites cellules nerveu

couche supérieure s'inter- posent entre elles et les séparent. Ces éléments font place à une couche distincte, celle des gr

espèces, c'est la couche grau- .leuse ; à sa partie inférieure des éléments fusi- formes. Voici donc l'écorce étagée pour

ouche. Ils forment autant de colonnes fibrillaires qui séparent les éléments de la substance grise, qui, eux, s'organisent n

le cervelet, examiné du côté gauche, on trouve une raréfaction des éléments nerveux de la couche des myélocytes, et un certai

sie a-t-elle donné quelque résultat ? Il est bien rare qne tous les éléments du diagnostic se soient trouvés réunis chez le

nquête minutieuse : et je me suis efforcé de montrer quels sont les éléments multiples qu'il faut recueillir et contrôler av

armés contre elle. Mais ce n'est pas une raison de négliger l'autre élément du problème, et, chaque fois que l'on constater

il appartient de démêler la part exacte qui revient à chacun de ces éléments étiologiques', de re- connaître si, à côté de c

me dans les cas en apparence les plus simples. C'est à déterminer l' élément étiologique essentiel que se réduit tout le probl

nocive de cet agent pathogène. - - Ici encore, nous puiserons les éléments de notre étude à deux sources intarissables don

cédent suffisent pour établir d'une manière évidente les différents éléments étiolo- giques. En suivant toujours la même mét

, ceux dont l'accident ne doit être attribué qu'à un seul et unique élément étiologique et en faire l'ana- lyse, afin de me

t en faire l'ana- lyse, afin de mettre en relief l'action de chaque élément étiologique, isolée, pure et dégagée de tout mé

analyser les accidents dont l'étiologie a été complexe, plusieurs éléments étiologiques ayant concouru pour faire éclater

ayant concouru pour faire éclater l'accident. Discutons un à un ces éléments . 1. Profondeur ou degré de compression. - Cet

n à un ces éléments. 1. Profondeur ou degré de compression. - Cet élément étiologique est trop connu pour que nous y insi

considérable et directe sur la production de gaz constitue donc un élément étiologique d'une importance capitale. Outre

ttent une étiologie complexe où la profondeur est un des premiers éléments étiologiques ; nous citerons spécia- lement l'a

ction causale de la profondeur isolée et dégagée de tous les autres éléments étiologiques. En effet, la profondeur a été de

é de la dé- compression ne peut pas être considérée ici à titre d' élément étiologique, car le même temps de décom- pressi

au-dessous de 16 brasses. Passons maintenant à l'étude d'un autre élément étiologique, de la durée du séjour dont l'impor

analyser tous les accidents de notre tableau, qui n'admettent comme élément étiologique que l'action isolée de la durée du

vident que l'heure et demie de séjour a été ici la seule cause, l' élément étiologique unique dans la production de l'acci

n immersion. » Il ressort clairement de cette analyse que le seul élément étiologique dans la production de cet accident

t, comme on peut le voir en lisant le -passage suivant : « Un des éléments les plus importants à considérer relative- ment

leau celles dont les accidents recon- naissent comme seul et unique élément étiologique la rapidité de la décompression. Ce

les mêmes raisons que les précédents, admet comme seul et unique élément étiologique la décompression instantanée, en ef

re, d'une très grande fréquence. Ce nouvel 222 CLINIQUE NERVEUSE. élément étiologique c'est le nombre des immersions. C'e

n peut déjà vaguement concevoir la fréquence et la gravité de cet élément étiologique dans la production de ces acci- den

tiques très importantes, en effet, qui doivent être tirées de cet élément étiologique, je vais examiner et analyser longu

tigue, on est forcément obligé de reconnaître comme seul et unique élément étiologique le nombre des im- mersions successi

la fatigue dans l'étiologie de cet accident, car l'existence de ces éléments a été parfaitement niée par l'histoire de cette

tes époques au cours de son travail admettent tous les deux un seul élément étiologique, le nombre des immersions successiv

4 à 5 mi- nutes et la décompression étant de 1 minute. Ces trois éléments étiologiques ne sont pas à considérer, car il .

et comme décompression; on ne peut donc pas incriminer ces trois éléments étiologiques dans la production de cet accident

naires, aux repas avant les im- mersions et enfin à la fatigue, ces éléments n'ont pas existé du tout; de sorte que c'est le

dents, a servi à mettre en relief la gravité et la fréquence de cet élément étiologique, à savoir le nombre des immersions

demander le pourquoi de la gravité et de la fréquence de ce nouvel élément causal. La première idée qui viendrait à l'espr

XCÈS DE GAZ DEVENUS LIBRES LORS DE LA DÉCOM- PRESSION. Les quatre éléments étiologiques que nous venons d'étudier, agissen

S SCAPHANDRES. 231 de l'excès de gaz s'effectue, il y a aussi trois éléments étiologiques dont le premier agit en mettant de

tives. Pour mieux faire ressortir toute l'importance de ces trois éléments causaux, il nous faut les étudier séparément en

guère que deux qui doivent être attribués à l'action causale de cet élément étiologique. Ce sont les acci- dents des Observ

rvenu étant la première, le nombre des immersions successives comme élément étiologique tombe de lui- même. Enfin, du momen

uère dans notre tableau que deux accidents dont le seul et unique élément étiologique soit l'affection pulmonaire; ce son

accident XIII dont l'étiolo- gie est complexe, car, sauf les autres éléments étiolo- giques, par exemple le degré de compres

un sceptique pourrait même discuter ici la part qui convient à cet élément étiologique. Il n'en est pas de même en ce qui

par l'action causale de la fatigue, isolée et dégagée de tout autre élément étiolo- gique. Accidents des Observations XXX

r longuement analysé un à un les acci- dents qui sont dus à un seul élément étiologique et avoir mis en relief l'action cau

tions VIII, XVI, XXIII, XXXII, XLVI et LI, ont été causés par trois éléments , qui sont : le degré de compression, la durée d

on, la durée du séjour et le nombre des immersions; parmi ces trois éléments , c'est surtout le nombre des immersions qui a d

Observa- TIONS XIII et LIV, reconnaissent comme causes les mêmes éléments étiologiques, qui sont au nombre de deux : le d

u'il n'y a pas de rapport entre la cause et son effet , les mêmes éléments étiologiques pouvant donner lieu à des formes c

ravail sont-elles restées sans effet ? Est-ce qu'il y a eu d'autres éléments étiologiques ? Non, pas du tout; à preuve le pa

que dans les tissus de l'em- bryon, la mucine se retrouve dans les éléments se formant dans le myxoedème. Il rapporte les s

e myxoedème. Il rapporte les symptômes nerveux à la compression des éléments nerveux par l'infiltration. C'est dans l'inclin

dit impossible le recours utile à la pal- pation, constituèrent des éléments très défavorables à l'exactitude du diagnostic.

. Cela résulte de la corrélation admise par tout le monde entre les éléments moteur et psychique. Les hallucinations seraient

de l'impulsion,' d'où le nom d'hallucination psycho-7notrice; 3° l' élément moteur qu'elle sociétés savantes. 277 7 renfe

grande importance dans cette question de l'internement des fous à l' élément administratif, reconnaissant lui-même que les mag

moins 10 chez lesquels il était impos- sible de relever aucun autre élément étiologique. Rhumatisme proprement dit ou manif

ons ayant trait à la médecine. M. LIARILLIER donne connaissance des éléments d'une étude statistique sur LES hallucinations,

e de précision, insiste sur la détermination relativement aisée des éléments psychopathiques. Si l'on ne peut, conclut-il, inv

ésulte donc de la condensation de la névroglie et de l'atrophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée en partie à l'

ellules pyramidales, présente des altérations dans le nombre de ces éléments qui est extrême- ment diminué et dans leur disp

ennes et couche des grosses cellules, on observe vu la grosseur des éléments , des lésions plus nettes. Les cellules sont dim

très vascularisée et présentant les figures connues sous le nom d' éléments araignées. La couche intermédiaire, couche des fi

re, ce qui, en reste présente une diminution portée à l'extrême des éléments pyramidaux. A la limite de la substance blanche

UBSTANCE GRISE. 337 I phère et se composent toujours des deux mêmes éléments , sclérose interstitielle etlésions des cellules

s mince ; on n'y retrouve qu'avec peine des traces de sériation des éléments soit parallèle, soit perpendiculaire à la surfa

les. Dans les inférieures, rareté des grandes cellules, abondance d' éléments sphériques de moyen volume, groupés par quatre

upées par petits îlots, comme dans le lobe frontal; même rareté des éléments pyramidaux ; cependant on en retrouve quelques

emble à celui d'un nouveau-né. Mais il en diffère par la rareté des éléments cellulaires étoilés qui sont grêles et allongés

ises bout bout, au lieu d'offrir des colonnettes cellulaires où les éléments se trouvent abondants et côte à côte. Il existe

s cellules pyrami- dales, peu nombreuses, sont à peu près les seuls éléments . caractéristiques que l'on retrouve dans la hau

, comme chez les ani- .maux jeunes, chien, chat, lapin, cobaye; les éléments - vont seulement diminuant de nombre vers la qu

tion reparait au-dessous. Les cellules sont abondantes, surtout les éléments nucléaires et fusiformes; il y a peu d'éléments

dantes, surtout les éléments nucléaires et fusiformes; il y a peu d' éléments pyramidaux. En beaucoup d'endroits, sous la nap

glique, le plus grand nombre de petits noyaux et la disparition des éléments parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie d

ption le siège et l'aspect de cette lésion. Dans le cervelet, les éléments de Purkinje sont assez nombreux, il n'y a pas d

, avec infiltration des gaines. Pourtant la sériation verticale des éléments nerveux à laquelle nous atta- chons une grande

étoilées fixant en particulier le carmin et rappelant la forme des éléments araignée et la paralysie générale. La substance

ixante-onze ans, et qui tendrait à établir que les fonctions de cès éléments sont assez modifiées. Les foyers de ramollissem

s vaisseaux sont ramifiés dans toutes les directions. Le nombre des éléments parait sensiblement accru et il existe une série

la substance grise. Ces foyers sont caractérisés par la rareté des éléments à leur niveau, l'épaississement du tissu inters-

normal et séparées par du tissu névroglique, à peu près dépourvu d' éléments interstitiels. Même vascularisation ramifiée. L

r, surtout celles de la névroglie, à l'état normal, montrer quels éléments s'hypertrophiaient, quels s'atrophiaient et com

des centres ner- veux, p. 54, 1889. W. Vignal. Développement des éléments du système nerveux P. 169, 1889. Lancereaux.

ec cette réserve, que celui-ci sépare le sens musculaire des autres éléments constituants de la kinesthésie), théorie pour l

omes, incline décidément vers la théorie de l'influence réflexe des éléments excitables de l'écorce, et pour qui la zone mot

enuto in Voghera nel sett. 1883), p. 10 : · S'il était vrai que les éléments excitables de l'écorce ne fussent que les prolo

zone excitable de l'écorce cérébrale devait renfermer à la fois des éléments nerveux en rapport avec les mouvements volontai

« entrée » et « sortie » de la matière, ne peuvent désigner que les éléments moteurs et sensitifs de cette zone 2. Hitzig au

impliquent l'existence, dans les aires sensorielles de l'écorce, d' éléments moteurs, confondus avec les cellules de sensibi

pathologique à ce qu'il parait n'est pas exempte d'influence. Comme éléments étiologiques, on peut citer le refroidissement

qu'il eût constaté des altérations microsco- piques bien nettes des éléments de la moelle allongée dans un des cas publiés p

ela ne veut pas dire que la papille étranglée ne participe pas d'un élément inflammatoire, mais c'est la pression intracrân

affections ne repose pas le moins du monde sur la constatation de l' élément syphilitique ; le mercure reste sans action sur l

0) guéri- son, 170 (52 p. 100) incurables. Etudions à présent les éléments du pronostic. Après avoir éliminé les cas de ta

inférieure du corps. Les espèces de tran- sition apportent un autre élément de conviction à cette ma- nière de voir. C'est

reptiles. Le cerveau an- térieur de ces derniers contient tous les éléments caractéristiques du cerveau des vertébrés élevé

irresponsable. Nous touchons à la solution la plus importante de l' élément social de ce vaste problème. Faut-il transférer

se le sens de l'harmonie qui consiste à décumposer un accord en ses éléments constitutifs, la mémoire musicale caractérisée

fforce, à l'aide des instruments gros-sissants, de pénétrer jusqu'à l' élément anatomique. Je n'aurais pas rappelé cette disti

émanant du canal hépati-que ; 3° enfin, dès lympha-tiques et tous ces éléments sont englobés par la cap-sule de Glisson. — Des r

-terne, — il est nécessaire autant que possible de pénétrer jusqu'à l' élément anatomique qui est le siège de l'altération. La

tiques,formant, par excellence, le parenchyme du foie. Ce sont là les éléments spécifiques de l'organe, ceux auxquels doivent

puisse rester dans ce système un espace libre pour recevoir d'autres éléments . Cependant nous en avons de nombreux à placer enc

importe, au point de vue anatomo-pathologique, de bien connaître cet élément spécifique de la région, siège et foyer primitif

uantes du lobule du foie ; le moment est venu de vous entretenir de l' élément en quelque sorte spécifique de la région, la cell

ts dont ils représentent la coupe optique. Ils seraient analogues aux éléments que Heidenhain a décrits dans les cel-lules de l'

que l'on sait de la répartition de la matière glycogène dans d'autres éléments anatomiques. Ainsi, d'après M. Ranvier(3), dans l

quelles sont les modifications qui peuvent survenir dans la forme des éléments . Supposons une distension permanente, congestive,

ment, a pour effet de déter-miner une compression toute mécanique des éléments cellu-laires. Dans celle circonstance, sur des

atrophie complète, allant parfois jusqu'à la disparition totale de l' élément , peut être une con-séquence de celte compression.

certain degré, l'altération granulo-grais-seuse. L'hypertrophie des éléments cellulaires hépatiques se voit encore dans la leu

culièrement, cette fois, dans divers cas de cirrhose; alors, quelques éléments cellulaires semblent s'hypertrophier dans plusieu

ules, comme pour suppléer à la destruction d'un certain nombre de ces éléments (2). (i; Klebs. — Pat/,. Anal. (2) Klebs, loc.

génération. Au dernier terme, il s'agit d'une destruction totale de l' élément , qui n'est plus représenté que pa'r un petit amas

par un détritus granulo-graisseux. La disparition d'un grand nombre d' éléments cellulaires, en pareil cas, s'ac-compagne de modi

e proportion très mi-nime. b ) Le même processus de destruction des éléments cellu-laires du foie, sur une grande échelle, se

capillaires artériels et ne se répandrait que secondairement sur les éléments glan-dulaires. C'est là un point que nous aurons

peut prendre une ex-tension considérable et étouffer tous les autres éléments du lobule : c'est ce que l'on observe dans plusie

ès lobulaires de voir, sur les points où la dissociation complète des éléments du lobule n'est pas encore effectuée, des leucocy

s hépatiques et surtout ne pénétreraient pas dans la substance de ces éléments (1). IV. Jusqu'ici, Messieurs, nos études d'a

s'effectue en conséquence d'une prolifération exubérante de tous les éléments conjonctifs (1), très accusée au-dessus de la lig

d'un poids spécifique de i 020 à 1032 ; elle ne renferme alors aucun élément figuré appréciable au miscroscope. Dans le cas

est emparée, et au milieu duquel le microscope décèle la pré-sence d' éléments figurés, plus ou moins fortement colorés, des cel

in de vous faire mieux apprécier la proportion relative de ces divers éléments , je mettrai sous vos yeux l'analyse classique que

......... 7 7- 140,8 IV. Examinons en particulier chacun de ces éléments , en com-mençant par la cholestérine. Cette substa

exposé dans la dernière leçon quelques documents re-latifs à l'un des éléments de la bile, la Cholesterine. Poursui-vant ma tâch

mulent pas dans le sang après cette ex-tirpation. Aux dépens de quels éléments du sang et suivant quel mécanisme ces acides pren

l'ai annoncé, les acides biliaires sont capables d'exercer sur divers éléments du sang une action dissolvante et, mêlés au sang,

. Je termine ici, Messieurs, cette étude analytique des princi-paux éléments de la bile. Je remets à une autre occasion, pro-

sous forme d'urate de soude, s'accumule dans le sang et figure, comme élément essentiel, dans toute les productions pathologiqu

le retrouve dans toutes les altérations locales goutteuses, à titre d' élément essentiel. Permettez-moi d'entrer à cette occasio

ico-chi-mique indique qu'ils ont pris naissance aux dépens des divers éléments qui entrent normalement dans la composition de la

marquer déjà, sont formées, d'une façon très générale, aux dépens des éléments de la bile. En réalité, la plupart des élé-ments

gaires. Toutefois, les proportions dans lesquelles se rencontrent ces éléments dans la bile se montrent en quelque sorte renve

rôle important dans les premiers phénomènes de la solidification des éléments de la bile. Il serait donc utile de rechercher d'

comme l'antimoine, Farsenic, le plomb n'aient jamais figuré dans les éléments d'une concrétion biliaire. Le mercure, à l'état m

la com-position normale des calculs biliaires est en quelque sorte un élément étranger à la bile. Il en est de même du mucus et

ient, en effet, ainsi que nous le dirons plus loin, à ce qu'il y a un élément autre que la dimension des calculs dont il faut t

, en somme, cette altération de l'urine paraît être dans l'espèce, un élément constant. Les reins eux-mêmes offrent d'ordinai

essie don-nait issue à de l'urine fétide, ammoniacale. comme un des éléments de l'affection qu'il a décrite sous la dénominati

s de son évolution, la trame conjonctive naturelle semble infiltrée d' éléments em-bryonnaires qui, par leurs propriétés morpholo

riété de rétraction. En tous cas, il se substitue néces-sairement aux éléments spécifiques de la région. Aussi en résnlte-t-il q

ifiques de la région. Aussi en résnlte-t-il que ceux-ci, à savoir les éléments nerveux et mus-culaires, les cellules glandulaire

léreuse interstitielle ; le tissu conjonctif tend à se substituer aux éléments spécifiques de la glande. C'est là un caractère a

les cellules et la gangue conjonctive et pas-sons en revue les autres éléments qui entrent dans la compo-sition du foie. Les vai

ologie donne plus de précision à cette vue. Suivant M. Klebs (1), les éléments lymphatiques embryonnaires se voient d'abord dura

gent. L'épithélium des tubuli contorti qui est, en quelque sorte, l' élément fondamental du rein, offre des caractères particu

nalicules urinifères ; il nous faut mainte-nant considérer les autres éléments qui entrent dans la cons-titution du rein, c'est-

e dans la gangue conjonctive qui réunit les uns aux autres les divers éléments de l'organe. I. L'existence d'une gangue conj

n-cerne la substance corticale. Goodsir avait avancé (1842) que les éléments de la sub-stance corticale étaient unis entre eux

mbattue par von Wittich; d'après cet observateur, les interstices des éléments sécréteurs et excré-teurs dans la substance corti

élucidées. Du reste, ici comme partout ailleurs, il existe entre les éléments conjonctifs et les canaux lympha-tiques une telle

pris des proportions considérables. Cette multiplication énorme des éléments conjonctifs aurait pour conséquence de déterminer

ons plus à considérer que la partie sécrétante qui se compose de deux éléments principaux: 1° les glomérules; 2° les canalicules

, s'il était vrai, comme l'assure Ludwig, que la sécrétion des divers éléments de l'urine (eau et principes spécifiques), se fit

es parties des tubules urinifères, et dans ces tubules quels sont les éléments où s'opère cette élimination. Or les parties colo

On peut pousser plus loin l'investigation et rechercher dans quels éléments s'opère l'élimination de la matière colo-rante. S

à la suite de troubles intestinaux graves, lorsqu'il y a déficit de l' élément aqueux dans l'orga-nisme ; M. Parrot les a rencon

qui, comme vous le savez, a la propriété de colorer plus vivement les éléments déformation naissante. Si la coupe est faite pa

e coloration est due à la présence d'un nombre considérable de jeunes éléments , cellules embryonnaires rondes ou fusiformes ; et

comparable à un fil, des Je viens de vous présenter, Messieurs, les éléments néces-saires pour reconnaître la disposition topo

ive est infiltrée d'une quantité plus ou moins considérable de petits éléments cellu-laires que, suivant la théorie adoptée, on

propre à montrer quelles sont les altéra-tions subies par chacun des éléments constituants du rein. A. Pour ce qui est d'abor

t là un sujet encore peu étudié ; toutefois, nous possédons quel-ques éléments qui tendent à établir que dans les circonstances

'est que, en effet, dans la production de l'hémorrhagie céré-brale, l' élément essentiel qui domine tout, c'est l'existence des

aucun indice d'une multiplication, d'une prolifération quelconque des éléments épithéliaux. Les tubes droits n'offrent aucue alt

ouvent, elle se complique d'une véritable infiltration graisseuse des éléments cellulaires. Ceux-ci renferment alors, outre les

n général. — Substance amyloïde: — dans les parois vasculaires; — les éléments cellulaires; — les membranes hyalines. — Apparenc

que commun. Ce caractère est tiré de la présence, au sein de certains éléments anatomiques, d'une substance douée de propriétés

dégénération amyloïde se montre rarement tout à fait pure, dégagée d' éléments accessoires : dans le rein, par exemple, elle coï

uelquefois des plaques, suivant que les vaisseaux seuls ou les autres éléments sont frappés de dégénération ; ces stries ou ces

s l'étude histologique, la réaction iodée met nettement en relief les éléments altérés par la dégé-nération amyloïde. D. Un mo

haut degré, sans avoir envahi, ce qui d'ailleurs est assez rare, les éléments épithéliaux. Sur des coupes de la substance cor

ne l'acide urique. Mais s'il en est ainsi, Messieurs, pour deux des éléments spécifiques de l'urine, urée et acide urique, il

pas de même, c'est là un point que je veux relever, pour un troisième élément spécifique, à savoir l'acide hippurique. L'acide

es substances, l'acide benzoïque, par exemple. Quoiqu'il en soit, cet élément de l'urine n'offre pas pour nous, quant à présent

et, à cet égard, contraire- IV. Mais j'en reviens maintenant aux éléments fondamentaux des produits de la sécrétion rénale

ns, s'opère aux dépens du plasma san-guin la filtration de l'eau, cet élément qui joue un si grand rôle dans la constitution de

le de Ludwig. La pression persiste dans le glomérule, mais un nou-vel élément , à savoir la suppression ou la diminution du cou-

guin, est intervenu. Toutefois, ce n'est pas direc-tement, en tant qu' élément mécanique, que la diminution de Vitesse intervien

ore, on est conduit à admettre l'exis-tence de cette modification des éléments cellulaires de l'épi-thélium du glomérule, que no

rente et qui supprime, pour un temps, l'aptitude fonctionnelle de ces éléments . Gharcot. Œuvres complètes, t. vr, Maladies des

ein; — 3° tantôt c'est une mo-dification anafomique survenue dans les éléments épithéliam de la glande rénale. — A chacun de ces

ression. — Artériosténose et phlébosténose. — La pression n'est pas l' élément physique le plus propre à favoriser la trans-suda

3° enfin, on fait intervenir une modifica-tion réelle ou supposée des éléments épithéliaux de la glande rénale. A chacun de ce

sion (-f- P) et albuminurie), il y a toujours intervention d'un autre élément qui paraît jouer le rôle capital. — D'un autre cô

trouble de la circulation avec + P ou — P produit de l'albuminurie, l' élément constant est — V, c'est-à-dire le ralentissement

s abaissement de la xraleur de la pression cardiaque. En tout cas, un élément sur lequel il ne saurait y avoir de discussion es

on de l'eau urinaire devra s'accroître. Cela a lieu en effet : mais l' élément capital — V faisant défaut et étant même remplacé

général. — Substance amyloïde : — dans les parois vasculaires; — les éléments cellulaires; — les membranes hyalines. — Apparenc

ression. — Artériosténose et phlébosténose. — La pression n'est pas l' élément physique le plus propre à favoriser la trans-suda

divers par les cellules rondes qui sont normalement accolées à ces éléments nobles. La névroglie est fort augmentée. Les mé

, s'il ne venait en concor- dance avec les lésions qui frappent les éléments des cornes. En effet, les cellules de la colonn

ant toute la hauteur de la moelle. Suivant les étages examinés, les éléments nobles des cornes postérieures sont ou ne sont

s postérieures et des faisceaux de Goll d'une part; -.lésions des éléments cellulaires d'autre part. Il est tout d'abord trè

ption précédente, la disparition manifeste d'un très grand nombre d' éléments cel- lulaires tant dans les cornes antérieures

rescence spécial sur lequel nous allons revenir. La disparition des éléments endogènes s'explique sans dif- ficulté par l'ét

sans apathie intellectuelle résulte d'une lésion des- tructive des éléments thyroïdiens, les éléments parathyroïdiens étant

le résulte d'une lésion des- tructive des éléments thyroïdiens, les éléments parathyroïdiens étant respectés; c'est là le my

rfectionnée à épithélium fragile, mais conservant encore, parmi ses éléments nouveaux, l'ancien épithé- lium parathyroïdien

mais nuisible quand il est bien appliqué. Lwoff. XI. LE RÔLE de l' élément suggestif ET DES ERREURS DE la mémoire dans LE

DE THÉRAPEUTIQUE 65 être en raison d'une circulation plus active, l' élément glandulaire acquiert un développement exception

par leur groupement, soit enfin par leur évolution. Il estime que l' élément essentiel du diagnostic, dans les cas difficile

t, une inflam- mation dégénéralive qui, dès le début, porte sur les éléments nobles et sur les autres parties du cerveau ».

par ces auteurs, il faut, avec eux, analyser et synthé- thiser les éléments cliniques qui ont formé leur conviction. - " DU

x, parmi lesquels il con- vient de faire un choix. , A chacun des éléments qui constituent le système nerveux, ' Contribut

ont les moyens, arrivons aux résultats. II. - Il n'est pas un des éléments constitutifs de l'axe médullaire qui ne soit su

s et les vaisseaux. Passons successivement en revue chacun de ces éléments en notant la topographie et la nature de leur a

rieure, corne postérieure, commissure et dans ses deux principaux éléments : cellules et fibres. Ce qui frappe dans les co

. 111. -Il résulte bien des constatations microscopiques que tous éléments constitutifs de l'axe médullaire sont suscep- t

rce cérébrale. Avec d'autant plus de raison que l'altération de cet élément du neurone moteur, dont la fibre pyramidale n'e

ne partie du neurone médullaire, de la lésion, bien constatée, d'un élément important de ce neurone, la cellule radiculaire

les de cordon. Il n'est point facile d'apercevoir une lésion de ces éléments pas plus que des voies qui les relient aux cell

ment pour remplir.les espaces laissés vides par la destruction des éléments nerveux, comme le pense Weigert ? Et pourquoi c

sions spinales de la paralysie générale peuvent intéresser tous les éléments constitutifs de l'axe médullaire. Dans la subst

ssement des travées conjonctives avec diminution de la quantité des éléments nerveux. - 2° La tumeur des ascendantes droites

e la malaria, ou peut-être, comme le veul Goldflam par un véritable élément organique. P. Keraval. XXIX. Contribution A la

n ayant probablement pour substratum anatomique une hyperplasie des éléments du tissu conjonctif sous-cutané; - - 3° La main

catégorie dans laquelle on a voulu les faire rentrer. L'un des deux éléments syndromiques est noté par dessous la jambe sans

mplet du corps caractérisé par une lenteur de contraction qui est l' élément fondamental de la réaction dégé- néralive. Il s

tabilité, cette action dépend du sel total, mais plus encore de son élément basique que de sa valeur acide. KBr est plus dé

ion de volume des reins pendant l'accès. L'opium, en paralysant des éléments musculaires en question, de même que les muscle

i a donné les plus belles images vu l'électi- vité de la tinction : éléments du néoplasme en violet foncé, tissu conjonctif

: il n'en reste que quelques îlots épars dans un amas de sang et d' éléments néoplasiques. Tout le reste de la coupe transve

fications, mais - la moitié gauche de la coupe ne contient' guère d' éléments sarco- mateux, on n'y voit que du tissu conjonc

nt; au centre de la moelle on voit une tache foncée c'est un amas d' éléments sarcomateux avec de nombreux tractus fibreux. D

ement la moitié droite de la moelle qui ne contient presque point d' éléments nerveux. Dans la moitié gauche, les cordons lat

veloppant au centre de la moelle, a plutôt disloqué que détruit les éléments nerveux. De deux côtés de la tumeur on voit la su

onjonctifs sinueux et ondulés formant comme des papilles remplies d' éléments sarcomateux. Ces derniers sont aussi accolés, m

pissé de grandes cellules épitéhliales qui ne ressemblent guère aux éléments de la néoformation sarcoma- teuse. Pas de dépen

Une coupe pratiquée à ce niveau fait voir dans la moelle un amas d' éléments sarcomateux formant une petite tache dans le co

ant qu'un cordon fibreux; par places amas de pigment sanguin. Les éléments sarcomateux forment aussi une tâche dans le tissu

Un grossissement plus fort permet toutefois de constater que les éléments sarcomateux occupent un territoire beaucoup plus

acine cervicale au pourtour de la moelle on ne voit presque point d' éléments sarcomateux, mais ils font un amas considérable

postérieure sur la moitié de son parcours. Les parois infiltrées d' éléments cellulaires sont constituées par des fibrilles

manifeste que cette altération est due à une stase emphatique : les éléments du tissu sont dissociés par un transsu- dat coa

e postérieure du côté gauche on aperçoit une infiltration diffuse d' éléments sarco- mateux. · La plus grande partie du bul

L'un au niveau de la décussation des pyramides; on n'y voit guère d' éléments sarcomateux, ni dans les méninges, ni dans le t

teux à la face inférieure du lobe temporal et dans le cervelet. Les éléments cellulaires forment dans les méninges des couches

sur une petite partie de leur parcours extravertébral d'une gaine d' éléments sarcoma- teux. Au point de vue anatomo-pathol

ieure de la moelle dans la région dorsale supérieure. On y voit les éléments sarcoma- teux tapisser toutes les fentes lympha

que du cordon médullaire soit une barrière insurmontable pour les éléments sarcomateux. Certains auteurs (Westphal, Busch)

ouvent c'est à ces niveaux mêmes que les méninges contiennent peu d' éléments sarcomateux. Si on admet que la malignité de la

s se rangent en faisceaux pour former en- suite un contour rempli d' éléments sarcomateux. Ce tableau s'étend à la hauteur de

e stase sanguine ou lymphatique, des altérations trophi- ques : les éléments nerveux s'atrophient, la névroglie proli- fère

tant à ce niveau que plus haut, la stase a atteint son maximum; les éléments nerveux sont tantôt détruits, tantôt dissociés

xemples intéressants. Denis suppose qu'étant donnée la richesse des éléments nerveux des organes abdominaux une intervention

s et les muscles, nous avons pu déceler des altérations de tous ces éléments , et notamment une véritable destruction de tous

s secondaires, il faut avoir pratiqué un examen complet de tous les éléments qui servent à la conduction de l'influx nerveux

me nerveux la présence du tissu conjonctif uniquement autour de l' élément vasculaire assigne d'emblée à la gomme ou au tube

du temps plus durable, les réac- tions étant moins énergiques, les éléments pourront être plus long- temps maintenus à leur

élites tuber- culeuses ou syphilitiques) on ne voit pas davantage l' élément vas- culaire être lésé, à l'exclusion de l'élém

pas davantage l'élément vas- culaire être lésé, à l'exclusion de l' élément nerveux ou réciproque- ment. Les toxines peuven

la mort du territoire irrigué par le vaisseau, la nécro- biose des éléments . Ces faits de simple physiologie pathologique d

nt le même que celui qui, dans notre cas, a dissocié, puis lésé des éléments nerveux de plus en plus nombreux, et créé par con

ult où les médecins aliénistes et neurologistes auraient trouvé des éléments de comparaison entre leurs malades des asiles e

constitutionnel mais il peut être aussi acquis ; presque toujours l' élément acquis vient se greffer sur l'élément constitu-

i acquis ; presque toujours l'élément acquis vient se greffer sur l' élément constitu- tionnel. Avant tout, ce complexus sym

a vacuolisation. En même temps que se produit la désintégration des éléments chromatophiles, il se forme, entre les granulat

suite de leur confluence progressive, elles ont atteint un nombre d' éléments trop grand pour que les suppléances puissent s'ét

cessus comparable aux insuffisances viscérales par destruction de l' élément noble. C'est à tort qu'on considérerait les lés

ui indique une relation étroite entre les]cellules nerveuses et les éléments de la couche péri- phérique. La couche en quest

couche péri- phérique. La couche en question comprend : » 1° Des éléments névrogliques et lympho-conjonctifs. Le chromate

relations de ces dendrites elles connexions qui existent entre les éléments de la seconde couche corticale avec la couche s

considérations intéressantes quel doit être le rôle de ces divers éléments dans le mécanisme de l'activité nerveuse. P. Rell

r, au sur et à mesure de son déve- loppement, ait pris la place des éléments nerveux du bulbe. Et cette notion éclaire l'évo

emple, de même qu'une tige de laminaire, en se gonflant, pousse les éléments de l'encéphale et les disperse, en raison des loi

faradique dépend des obser- vateurs, de leurs appareils (force de l' élément , nombre de tours des bobines) qui fournissent d

dans lequel des mécanismes particuliers assurent la cons- tance des éléments , fournissent (en volts) la force électromotrice

générative faradique. On n'a pu exacte- ment rattacher tels ou tels éléments électrophysiologiques à tel ou tel diagnostic,

ie musculaire progressive, dans l'hémiplégie. Il faut compléter les éléments biologiques de la réaction dégéné- rative de tr

OGIE MENTALE. 323 saut sur ce terrain spécial, se compose de divers éléments . En pre- mier lieu, se placent, dans beaucoup d

eu, se placent, dans beaucoup de cas, sinon dans la majo- rité, les éléments d'ordre psychique : la préoccupation du malade

e. Le plus souvent, on a affaire simultanément a plusieurs de ces éléments pathogènes, sans que l'on puisse arriver à prédir

pareils moteurs est très fréquemment préparé par une irritation des éléments corticaux sensitifs; sans doute chez ce malade, l

urasthénie. Après avoir admis, en principe, que toute phobie a pour élément fondamental un état d'anxiété, et que cet état

uve dans la région lombaire et dans celle du cône médullaire; les éléments nerveux sont ici en partie détruits, en partie co

ode, mais détestable, les faits les plus disparates n'ayant d'autre élément commun que d'être ou de sembler être subordonné

ier l'action spécifique ou tout au moins élective de l'alcool sur l' élément nerveux lui- même. En allant du simple au compo

tile et le sens algésique, comme s'ils ne constituaient pas deux éléments absolument différents, et il est difficile dès lo

alors que la motilité n'est pas encore atteinte, il y aurait là un élément d'autant plus précieux pour le diagnostic et un

t été réunies parles services publics et par l'Etat. Ce sont là les éléments fondamentaux qui font la base documentaire^ de

ar une légion de travailleurs distingués. Les déductions tirées des éléments multiples d'informations contenues dans notre L

int de vue que j'ai pensé intéressant de tirer des déduc- tions des éléments statistiques que j'avais entre les mains, docum

i restait contenu dans la bouteille ne permit d'y reconnaître aucun élément étranger; d'ailleurs, d'autres personnes en avaie

l'alcool à 90o, laissez trois secondes les coupes très fines ou les éléments dissociés, quelques minutes les coupes plus gra

cellules neuves, bleu-clair ; les noyaux du tissu conjonctif et des éléments musculaires, ainsi que les cellules épithé- lia

ilaire et interfilaire de Flemming), qui après le noyau constitue l' élément cellulaire essentiel, n'en sont nullement expli

la désignons pour plus de com- modité sous le titre de forme A. L' élément principal dans la constitution de cette forme de

tant sous forme de granulations ou de petits filaments. Un second élément important de ces foyers est formé par les vaiss

sont en état de pro- lifération évidente. Ce sont là les principaux éléments du foyer que nous nous sommes proposé de décrir

suivre dans cette masse légèrement opaque. Autour de la plupart des éléments cellulaires et des capillaires, on constate de

es en forme de croissant (Randzellen de Friedmann) ou contenant des éléments cellulaires quelconques. - Daus la paroi de c

e minutieuse. Quant aux rapports qui' existent entre les différents éléments constituant la forme du foyer que nous décrivon

ise, soit de la substance blanclie. Elles sont constituées par deux éléments principaux : les vaisseaux et les cellules névrog

aires, ni gouttelettes grais- seuses ou de myéline. Mais à part ces éléments , nous en rencon- trons d'autres moins nombreux.

leur entourage on se trouve en présence de petites agglomérations d' éléments cellulaires d'as- pect particulier. On ne peut

mène paraît être d'impor- tance tout à fait secondaire, puisque les éléments essentiels de la cellule : le noyau et le proto

me par une dernière zone, qui est très étendue quelquefois, oit les éléments nerveux ont subi une dégéné- rescence plus ou m

omène que la précédente; que dans son évolution l'extravasation des éléments du sang est insigni- ' Friedmann, Zur Histologi

ncéphalites mêmes, voici comment Friedmann les décrit. Le principal élément de leur constitu- tion est représenté par une g

e de l'encéphalite aiguë spontanée en foyers, le rôle principal aux éléments constitutifs du tissu nerveux, les travaux de c

hénomène inflammatoire particulier au système nerveux central des éléments névrogliques à l'agent inflammatoire. Pour affirm

veuses, coagulation de la subs- tance fondamentale, tuméfaction des éléments de la neu- roglie, prolifération modérée de ces

action des éléments de la neu- roglie, prolifération modérée de ces éléments comme des éléments de la paroi vasculaire. Jama

e la neu- roglie, prolifération modérée de ces éléments comme des éléments de la paroi vasculaire. Jamais nous n'y avons rév

les vaisseaux comme un fait plaidant en faveur de la parenté de ces éléments , donc en faveur de l'origine et nature conjonct

dmettre qu'elles puissent avoir quoi que ce soit de commun avec les éléments de la paroi vasculaire ? : ' . 3. Les foyers

flammation. Notre cas démontre que nous n'avons affaire là qu'à des éléments d'importance secondaire. Les faits essentiels,

nerveuses. Toutes ces constatations prouvent surabondamment que les éléments nerveux cellules nerveuses et cellules névrogli

e de nombreux exemplaires dans nos préparations. A mesure que les éléments constitutifs des foyers d'encé- nerveux central

d'une forte inflamma- tion aiguë (d'origine vasculaire on non) les éléments fixes du tissu subissent tous au début des modi

foyers d'encéphalite subaiguë, en empruntant pour cela les mêmes éléments qui caractérisent cette dernière forme. Jamais la

qui caractérisent cette dernière forme. Jamais la prolifération des éléments névrogliques n'y va jusqu'à donner naissance au

[mouvements protoplasmiques, mouvements amoeboïdes, plasticité des éléments nerveux, intervention de la névro- glie ( ? ),

. On peut admettre une hyperémie fonctionnelle surexcitant certains éléments de l'hémisphère cortical, dans le cas où l'obse

ujourd'hui que l'activité mentale est le résultat d'une connexion d' éléments cellulaires et le corollaire pathologique de ce

t amendés au point même de pouvoir passer ina- perçus. Il y a là un élément important à rechercher qui établit que la guéri

véritable hallucination intéressant la fonction du langage dans ses éléments psycho-moteurs. Cette théorie est combattue par M

ions comme de simples interpré- tions délirantes dépourvues de tout élément hallucinatoire propre- ment dit. 1 « Les hall

ue chez ceux à fonds pathologique acquis; 8° on peut tenir pour ses éléments écolo- giques : l'hérédité, l'artériosclérose,

mier processus de la paralysie générale, ou si c'est l'atrophie des éléments nerveux constitutifs. Mais on ne peut guère sép

à noyau excentrique, avec partie centrale de la cellule privée des éléments chromatophiles. lesquels se déposent surtout à

le de fixer la part respec- tive de dépression ou d'excitation de l' élément basique ou de l'élé- ment acide dans l'influenc

ion de B est modifiée par A et réciproque- ment, et selon qu'un des éléments l'emporte, son influence peut prédominer. En en

peut en être autrement, le sentiment de la responsabilité étant un élément de la conscience. Si d'ailleurs dans une société,

tel ou tel trouble, sensitif, vasomoteur ou trophique. Grâce à ces éléments de différenciation, il est le plus souvent possib

. Néanmoins l'affection est d'une similitude assez grande, dans ses éléments principaux pour qu'on puisse tenter un rapprochem

ations antérieurement publiées sont les suivantes, réduites à leurs éléments essentiels. Je les cite dans leur ordre chronolog

dème pur très peu accusé. Le malade était tuberculeux. De par ces éléments cliniques, on pouvait penser à établir une analog

ance de ces phénomènes. Le fond de l'oeil est normal : il y a là un élément de diagnostic encore avec l'érythromélalgie, dans

yanose chronique hypertrophiante peuvent être bien tracés, avec les éléments des observa- tions qui en ont été publiées, il

en mises en lumière récemment par le professeur Poncet ? Ces deux éléments incitent donc à penser qu'on est en présence d'in

elques cas, à des poussées à répétition d'oedème aigu ou subaigu. L' élément étiologique serait ici moins incertain : les mala

en se plaçant au point de vue de la chimie biologique, pourquoi les éléments de la pensée doivent être considérés comme «des

sommes d'accord. Mais alors j'avais raison de dire que l'ordre des éléments percepteurs n'entraîne pas la perception de cet

e qu'il y a d'illégitime à arguer de la localisation objective d'un élément sensible à la (1) De même une identité objectiv

ption visuelle ou tactile de l'espace par la disposition spatiale des éléments nerveux dans l'écorce cérébrale. En un mot, les

su condensé au-dessous duquel est un tissu clair, 'vacuolaire, tous éléments d'origine névroglique. Quelques vaisseaux trave

épaissie pénétrer dans la fente et se conti- nuer avec les parois à éléments condensés de la cavité. La corne antérieure est

gés dans le sens des fibres du muscle ; ils sont au milieu même des éléments constitutifs de ce muscle. Leur diamètre est de

a une limite nette, linéaire ; en dehors elle se continue avec les éléments du muscle. HOSPICE DE BICÊTRE LABORATOIRE DE

groupes d'éléments'isolés, par nodules bien distincts au milieu des éléments nerveux, ou, plus en avant encore, dans les gaine

ent intacte. La veine a ses parois profondément infiltrées par 'des éléments jeunes, son calibre est considérablement rétréci.

la méninge et dissocient en pénétrant dans la moelle elle-même les éléments des cornes postérieures. Dans cette zone fibreu

nt à la fois par compression et par infiltration intra-médullaire d' éléments conjonctifs. Les diverses colorations (méthode

ns (méthode de Gram, méthode de Ziehl), n'ont mis en évidence aucun élément microbien. Les détails de l'ohservation une foi

nce blanche, décrites par les observateurs, sont assez uniformes. L' élément noble est en général altéré : gonflement du cyl

l'état de dystrophie lente de la moelle, qui amène la déchéance des éléments nerveux et cet état de dystrophie coïncide avec d

médecine, 1886. 98 RICIION quelles se joindrait très souvent l' élément caractéristique, sous forme de granulations fin

gmate spécifique en l'espèce, la malformation céré- brale. Tous ces éléments doivent intervenir dans la discussion, car la (

rogliques sont très abondants et forment des groupes de dix à vingt éléments . Les fibres myéliniques sont totalement disparu

and nous perdons la mémoire visuelle des lieux, ce qui subsiste des éléments tactiles, articulaires ou musculaires de nos re

dienne ; elles sont largement béantes à leur portion dorsale ; les éléments qui les ferment normalement sont éloignés et pe

es proviendraient des cellules de la gaine de Schv=an ou encore des éléments du myomère ; c'est-à-dire de la périphérie. L

es différentes. V. Leonowa (1) admet l'absence complète de tous les éléments nerveux (1) V. Leonowa, Ein fall von Anencephal

couler cette substance fluide, et d'en perdre les rapports avec les éléments histologiques environnants, il n'a pas été pratiq

ment colorée ; on remarque une zone plus foncée, d'où plus riche en éléments chromatiques, nucléés, sur la plus grande parti

tenant l'étude de sa structure, voir quels sont les rapports de ses éléments constituants avec les éléments normaux de la moel

voir quels sont les rapports de ses éléments constituants avec les éléments normaux de la moelle, rechercher son point de d

les ner- veuses plus ou moins altérées. L'association de ces divers éléments , à diffé- rents stades de leur développement ou

protoplasmique dont elles dépendent comme le font les fibrilles des éléments cellulaires névrogliques. Les réactions de ces fi

ns le tissu médullaire tend à remplacer complètement celui-ci ; les éléments nerveux, cellules et fibres nerveuses, disparai

arence normale, il y a une dégéné- rescence presque complète de ces éléments , caractérisée par de nombreuses vacuoles conten

dégénérations secondaires ; con- séquences de cette destruction des éléments médullaires, dégénérations descendantes, et dég

qui caractérisent le tissu interstitiel du système nerveux. « Leurs éléments sont aussi différents que ceux des autres forme

l épendymaire et ses cellules de revêt- tement intimement mêlés aux éléments de la tumeur, faisant corps avec elle et partic

rtion contenue dans la selle turcique) [fort grossissement]. A, Les éléments rappellent encore la forme des éléments cellulair

fort grossissement]. A, Les éléments rappellent encore la forme des éléments cellulaires normaux de 1 hypophyse. Presque toute

n 1-,aryolinétiqtie. - Il n'y a pas de cellules cyanophiles. Quelques éléments par leur irrégularité et surtout par leur noyau

y a pas du tout de cellules cyanoplllies. Il y a peut-être quelques éléments sidérophiles (2). Les éléments éosinoplules son

plllies. Il y a peut-être quelques éléments sidérophiles (2). Les éléments éosinoplules sont caractérisés par un noyau de 4

oc. de biologie, mars 1903). 172 LAUNOIS ET ROY Certains de ces éléments sont assez petits,- d'autres au contraire sont as

à des cellules saines, cependant elles sont rares ; la plupart des éléments sont plus ou moins régulièrement polygonaux.

reuve très nette de cette végétation dans l'existence de nom- breux éléments plurinucléés. On observe en effet toujours parmi

breux éléments plurinucléés. On observe en effet toujours parmi les éléments éosinophiles (1) des cellules à 2, 3, 4, et jus

petits, riches en chromatine. Mais dans le voisinage on trouve des éléments dont les noyaux étranglés peuvent être absolument

i rappelle les figures de la division karyokinétique. Au milieu des éléments éosinophiles que nous venons d'étudier, on trouve

ique qui rompt la trame conjonctive où il était contenu et dont les éléments tendent à s'éloigner de leur forme normale ; en

ourant les capillaires à l'état normal. Il y a une couche interne d' élément fib¡'o-plas- tiques absolument remarquable.Les

ine. Cependant, en examinant de près, on reconnaît qu'il existe des éléments en nombre varia- ble suivant les points examiné

ue, déformé, mal coloré. Ces cellules, nombreuses, représentent des éléments en dégénérescence colloïde. c. Cellules à noyau

mbreuses en certains points isolés de la tumeur et'représentent des éléments en karyokinèse, des cellules sidérophiles atypi

à l'étude desquelles la radiologie a apporté un nouvel et important élément ; elle permet d'étudier dans chaque nouveau cas

reconnaître. Nous avons signalé au cours de l'observation, tous les éléments de ce diagnos- tic (2). Nous ne nous attarder

ces développements étant donné, il faut encore le dissocier en ses éléments , la croissance et la diffé- renciation, et rech

ssus est plus profond, qu'il 1 touche à la différenciation même des éléments et que peut-être l'arrêt de croissance n'interv

fférenciation impli- que nécessairement, d'abord la persistance des éléments conjonctifs, en- suite et surtout la persistanc

es éléments conjonctifs, en- suite et surtout la persistance de ces éléments en leur état embryonnaire. Tel n'est point le c

ateau tibial est également très épaissi. On ne peut reconnaître les éléments osseux du tarse. Le reste du squelette est abso

il y a plus. Au processus de dystrophie s'était joint depuis peu un élément nouveau, l'infection. Celle-ci avait pu se réalis

symptômes cérébraux (Nageotte). ' Je voudrais, enfin, parler d'un élément que j'ai pu constater fré- quemment, aussi bien

physio-pathologique a été tout récemment éclairée par Foà, sont des éléments que l'on rencontre très fréquemment dans les pr

natomo-pathologiste de Turin, les plas- mazellen ne dérivent ni des éléments du sang, ni des cellules fixes du tissu conjonc

ellen. D'après celte analyse il y aurait donc une surproduction des éléments de la série lymphogène. Ajoutons que la ponctio

me de kathisophobie, tandis qu'on n'a pas remarqué, dans mes cas, l' élément phobique. J'ai eu l'idée aussi de la même inter

esprits supérieurs à l'homme et chargés de commander aux différents éléments de la nature, et l'on retrouve à peu près dans to

me terminal semblant indiquer, dans ce point, une prolifération des éléments nerveux séparés de leurs centres médullaires.

le procédé de dissociation n'est à recommander, car, s'il isole les éléments , il détruit leurs rapports réciproques. Quant aux

armin pour les noyaux, les seuls colorants myéliniques. De tous les éléments du tube nerveux, cette subs- tance grasse parai

aut chercher à surprendre les altéra- tions pathologiques : 1° de l' élément différencié, dont dépend le fonction- nement ph

ns chaque faisceau, ces fibres se réunissent en fascicules dont les éléments , très inégaux de dimensions, sont assez largement

eur il y ait un oedème intrafasciculaire général ayant dissocié les éléments nerveux. L'infiltration adipeuse est surtout

ibres larges, la myéline fait localement défaut, la continuité de l' élément est assurée par un protoplasma grenu se colorant

rlicll. 328 DURANTE . Les coupes transversales montrent les mêmes éléments disposés à l'in- térieur de larges faisceaux. L

posent parfois en chapelets réguliers. Un de ces chapelets, formé d' éléments assez réguliers, se conti- nue à chacune de ses

nulations graisseuses disposées dans des espaces lymphatiques, ou d' éléments spé- ciaux ramifiés et chargés de graisse, ou b

lés en fascicu- les entourés d'une gaine fibreuse concentrique. Ces éléments , de dimen- sions variables, n'atteignant presqu

des tubes nerveux dont ils occupent la place. Mais il s'agit ici d' éléments non encore différenciés et réduits à une traîné

oupes longitudinales, où elles se confondent trop aisément avec des éléments conjonctifs. Si parfois.il apparaît, au centre

rouge mais aussi le protoplasma en rose, permet de déceler même les éléments privés de myéline. Les meilleures préparations

de différencia- tion incomplet. On observe, en effet, dans certains éléments , un passage progressif entre la strie rouge cyl

n peut s'en rendre compte sur la fig. I delapl. LXIV, le nombre des éléments nerveux est assez grand. Les faisceaux paraissent

s dans la coupe longitudinale, doit renfermer une grande quantité d' éléments nus que la coloration a laissés invisibles. L

s nucléaires. Ces caractères permettent de les considérer comme des éléments plus jeunes en voie d'achèvement. A côté de ces

picro-carmin et en rouge par la safran ine. Il ne s'agit point là d' éléments conjonctifs, car nous avons pu différencier par

ans une ancienne gaine de Schwann, ni de superposition, mais bien d' éléments constitutifs de la fibre ayant subi cette trans

nt des cellules fusi- formes unies bout à bout. Quelques-uns de ces éléments présentent par places une mince bordure myélini

bes nerveux semble indiquer qu'ils se développent bien aux dépens d' éléments segmentaires qui ne contractent que secondairem

efois, ces dernières pour- raient aussi bien, non pas représenter l' élément néoplasique primitif, mais être au contraire se

ssent dans le bout périphérique, tantôt par une atrophie simple des éléments qui ne sont, du reste, pas tous également affec

de libres moniliformes à protoplasma exubérant ayant le caractère d' éléments jeunes ; parle fait que quelques-unes de ces de

ylindro-axiles, non pas avec une seule cellule, mais avec plusieurs éléments différents, dont un certain nombre respectés suff

le nerf n'est pas un conducteur inerte comme un fil de cuivre. Les éléments constitutifs du tube nerveux interviennent clan

névrectomie, qui troublent singulièrement l'équilibre nutritif des éléments périphériques. Nous savons que, si la régénérat

iré l'attention sur un syndrome assez fréquent et dont pourtant les éléments n'avaient pas encore été groupés et interprétés

es vésicules sans colloïde où les cellules sont libres, on voit des éléments thyroïdiens dont les noyaux irréguliers se colo

rétion en quantité est peut-être un peu diminuée. Il n'existe pas d' éléments anormaux. Nos dosages sem- blent montrer que l'

phosphates est légèrement diminuée et que, par ailleurs, les autres éléments de l'urine s'y trouvent en quantité normale.

as la même pathogénie chez le cheval; du moins avons-nous réuni les éléments d'une comparaison qui pourra être faite utilement

boissons fortes. Dans certains cas de délire alcoolique continu, l' élément paranoïde est exprimé d'une manière plus accentué

du foyer. Andréa del Sarto nous montre dans cette scène vivante les éléments du costume. Les photographies suivantes vont no

les deux savants français, « introduit dans les arts plastiques un élément de critique dont il appartient aux médecins d'éta

cessus atrophiques de la substance nerveuse,ils représentent les éléments , transportés à distance, de la substance blanche

ser que le poison possède une intense affinité chimique à l'égard d' éléments cons- tituants déterminés préformés de la subst

smio-chromiquo déjà et souvent utilisé. P. Keraval. X. La forme des éléments nerveux de l'écorce du cerve- let de divers ver

sumé d'ailleurs longuement dans les termes suivants. 1. -Parmi les éléments de cette écorce, seules les cellules de Parkinj

o- toplasma des dendrites. Chez un lapin vivant la coloration des éléments cortico-cérébelleux a été obtenue à l'aide du ble

chten, llamon, Stef1'anO\rskQ., ])eI11001', Azoulay). Mais bien des éléments n'ont point de pointes, tandis que d'autres en

nce en pointes latérales amplifient le périmètre et la surface de l' élément nerveux, ce qui crée des con- ditions prop res

ité de l'activité fonctionnelle. Ce parallélisme entre la forme des éléments nerveux et leur fonction est confirmé par la fo

dendrites,ainsi que par la quantité de leurs pointes latérales. Ces éléments sont les cellules les plus importantes les cell

leur influx hors des limites de l'écorce cérébelleuse ; tous autres éléments , à courts cylindraxes, se terminent dans cette éc

roissement de l'organisme On sait que les cellules pyramidales, ces éléments fondamen- taux de l'écorce cérébrale, font les

répondérant au mo- ment où l'activité nerveuse se centralise en les éléments fonda- mentaux du système nerveux propres à l'o

tions des prolongements proloplasmiques ; la richesse de cer- tains éléments en pointes latérales peu abondantes sur d'autres;

eu abondantes sur d'autres; la complexité graduelle de la forme des éléments d'un rang élevé (cellules de Purkinje et cellul

l'organisme, et la subordination graduellement plus accusée de ces éléments aux corps cellulaires plus élevés, ceux-ci atti

ans l'activité nerveuse fait com- prendre pourquoi ces parties de l' élément cellulaire fournissent une échelle si sensible

TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, 51 son. On obtient alors les éléments conjonctifs (pie-mère, gaînes vasculaires adven

fants arriérés simples non épileptiques, un régime dépourvu de tout élément azoté d'o- rigine animale, et très pauvre en él

pourvu de tout élément azoté d'o- rigine animale, et très pauvre en éléments azotés d'origine végé- tale. Les graisses et le

ypo-azoté absorbaient par kilogramme de poids de 0 gr. 8 àl gr.68 d' éléments azotés (quan- tité qui est plus faible que cell

ville),ne prirent plus pendant le régime que de Or. 45 à 0 or. 92 d' éléments azotés. Celte diminution de la quan- tité d'azo

iffre minimum admis par Lambling et Maure ! ) la dose journalière d' éléments azotés ingérée. Par l'élude de l'azote urinaire

rémission ; si la sup- puration a eu quelque action directe sur les éléments infectieux en les fixant et en suscitant une ré

écutive etaitdoubte- ment CUL coup sur urgente pour l'élimination d' éléments nocifs fixes. 7')'rc)'<'t0)) ? <'.rt(f

es provenant de troubles digestifs qui viennent impres- sionner les éléments nerveux, mais les poisons dus à la fatigue et a

, où l'auteur expose ses recherches statistiques sur la nature de l' élément étiologique, un cas seulement de tuberculose y

ement observer qu'au point de vue neurologique, il y avait bien des éléments qui permet- taient de porter un diagnostic ; on

is. En même temps qu'on constate dans le liquide cérébro-spinal des éléments extrêmement nombreux', il y a presque toujours

constater un état positif, bien que dans ce cas, l'augmentation des éléments soif relativement faible. La ponction lombaire

s dans lesquels il a été « trouve une aussi grande augmentation des éléments cellulaires « que dans la paralysie générale. C

ele- ilictits. Ce qu'on y trouve le plus ce sont des lymphocytes, éléments plus ou moins gros, à gros noyau sombre qui fré

noyaux lobés, excentriques. Il est excep- lionneld'y rencontrer des éléments polynucléaires ; leur présence e&t frappant

romatophile ; ce ne sont pas des canaux ; ils ne constituent pas un élément préformé de la cellule, puisqu'ils proviennent

viennent de la dissociation et de la répartition accidentelles de l' élément constitutif des cellules, de la substance chromat

sérum des ques doit être attribuée à la présence en excès des deux éléments qui forment le poison épileptogène, notamment à

ive des muscles et des os, mais par simple diminution du nombre des éléments anatomiques,est atteinte depuis sa naissance d'

rnes, et, dans toute perception sensorielle, il existe, à côté de l' élément spécifique, propre à la vie de relation, un élé-

nt en raison inverse l'un de l'autre. La prédomi- nance de l'un des éléments , psychique ou coenesthésique,peut bien explique

s les cas doivent être examinés soigneusement. Mais quand, des deux éléments qui créent l'hypochondrie, l'élément psychique

ement. Mais quand, des deux éléments qui créent l'hypochondrie, l' élément psychique constitutionnel a une importance capita

die vénérienne, etc. Dans tous ces cas, on se souviendra que plus l' élément psychique et constitutionnel aura d'importance,

Cette sensation ou représentation fausse de maladie qui constitue l' élément fondamental de l'hypocondrie (CrasseLI)ne peut

eure du processus ; celle de la réaction toxique ascensionnelle des éléments inlra-ner- veux (tissu conjonctif, vaisseaux, f

ente de stovaïne ou de cocaïne. Dans le traitement général, c'est l' élément douleur qu'il faut combattre encore par les ana

nique et par- mi ces facteurs l'un est le rayonnement cutané. Les éléments qui déterminent surtout la valeur du rayon- nem

adie. Enfin l'évolution même de ces deux psychoses nous parait un élément de diagnostic un peu plus tardif, ilest vrai,néan

' Le trouble de la cénesthésie cérébrale ayant envahi peu à peu l' élément organique, myopsychique, des per- ceptions sens

e, myopsychique, des per- ceptions sensorielles (en respectant leur élément spéci- fique), on conçoit que la malade reconna

curent ces personnes ou ces choses étant, en outre, dépourvues de l' élément affectif ou émotionnel qui est inséparable de l

idées de transformation du corps et du monde extérieur, ce sont des éléments surajoutés, secondaires, toujours en rapport sa

à caractéri- ser ces deux états syndromiques, dont les principaux éléments sont : 1° un état d'anxiété avec obsession de se

comitante de la notion d'activité muscu- laire », c'esL-à-dirc de l' élément myopsychique auquel, d'a- près la théorie de St

rer les faits que nous avons relatés, -- défalcation faite de leurs éléments accessoires, commè des exemples de troubles hyp

les voies conductrices ne s'anastomosent pas avec le cerveau et les éléments his- tologiques du cortex n'ont pas atteint leu

tier est en état de fonctionner. « Malgré les lésions avancées de l' élément cellulaire les racines ner- veuses ne présenten

ter qu'à des individus adul- tes ; mais toute proportion gardée les éléments anatomi- ducs analogues doivent produire chez l

que ceux que l'on ob- serve chez l'adulte. Bien qu'atrophiés, les éléments de la moelle normale existent chez le monstre d

rgrès des médecins aliéntstes, Brwelles, 1903. ( : 3) \\'UXD'l'. Eléments de Psychologie physiologique. Vol. I. p. 212. N

gique. Vol. I. p. 212. Nous essayons de réduire l'explication à ses éléments les plus simples, mais nous n'oublions pas la c

nt vécu de six jours à un mois vingt jours (I). Ils possédaient des éléments ganglionnaires défigurés, il est vrai, mais dis

activité désordonnée des premières heures. Ce n'est pas l'absence d' éléments psychiques qui les fait suc- comber, c'est l'ab

xième mois après la naissance que l'on peut parler d'une conscience élément . taisre chez l'enfant. Hospice de BIC1 : TR.

ausalité à la crise convulsive, non plus qu'inversement. C'est un élément surajouté qui exprime simplement un degré plus

t 1904. La dénomination de névrose traumatique comporte un double élément , un élément clinique et un élément étiologique. L

dénomination de névrose traumatique comporte un double élément, un élément clinique et un élément étiologique. Le pre- mie

e traumatique comporte un double élément, un élément clinique et un élément étiologique. Le pre- mier consiste dans un ense

s psychiques et ner- veux de nature hystérique et neurasthénique. L' élément étiolo- gique indique comme cause de la maladie

teurs l'ont remarquer qu'en dépit de la présence dans les muscles d' éléments hypertrophiés, ceux-ci étaient toujours atro- p

couvrir dans les urines, tandis que le sang nous apportait quelques éléments . Cela s'explique, d'une part, par ce fait que l

er. Les urines des mélancoliques ont été examinées sou- vent. Les éléments normaux y sont modifies. Parmi les éléments ano

minées sou- vent. Les éléments normaux y sont modifies. Parmi les éléments anormaux, on a signalé le sucre, quoique 1res r

l, cérébral, résultant uniquement de la difficulté qu'éprouvent les éléments nerveux à réagi i aux excitations lorsque, sous

actuellement à préciser les ca- ractères. Les lymphocytes sont des éléments venus des vaisseau\ sanguins, les plasmazellen

ore bien des points incon- nus dans la genèse et l'évolution de ces éléments , ils ont, en dé- Unitive, la même origine embry

la production des diverses formes du langage, on peut considérer un élément physique purement moteur eL un élément psychiqu

age, on peut considérer un élément physique purement moteur eL un élément psychique ; cette distinction, facile en théorie,

de la conscience lient dans la dé- mence précoce il l'a 11crgie des éléments concourant à l'activité Ù(' ! acOI1"Ciellce. P.

être le siège retentissent, en effet, tout particulièrement sur les éléments de soutien el s'accompagnent de modifications c

moelle : pour cette raison ' déjà peuvent survenir des lésions des éléments ner- veux ; cette compression de la moelle, dur

nséquence directe de L'irritation que la compression exerce sur les éléments du tissu nerveux. Enfin, il paraît aussi indéni

uffire à empêcher le retour de la lymphe et produire une lésion des éléments nerveux ; ainsi s'expliquerait l'aug- mentation

NS MEDULLAIRES. 427 tion capables de déterminer la dégénération des éléments nerveux, moins peut être par un processus mécan

e, dans ces cas, du facteur mécanique de la compression directe des éléments nerveux. Mais il ne faut pas oublier, ainsi que

teurs interviennent conjointement pour amener la dégé- nération des éléments nerveux, dans des proportions toutefois d'impor

de volume, présentait les caractères histologiques d'oe- dème des éléments nerveux déjà décrit par Kalher et Schmaus. Pour

eineuse produite par la compression. L'hy- pothèse de Schmaus que l' élément inflammatoire peut jouer, à lui seul, ou, dans

re et agir ainsi directement sur la moelle. ' . Mais même sur les éléments qui concourent il pro- duire l'oedème de stase,

un rôle assez important et assez fréquent dans la dégénération des éléments nerveux ; " (1) Endeiuien. Deutsehe Zcitsehri¡t

e tuberculeux peuvent produire des phénomènes d'in- toxication de l' élément nerveux, ils ne produisent pas d'altérations de

tion de l'élément nerveux, ils ne produisent pas d'altérations de l' élément nerveux appréciables par les techniques histolo

ans admettre, avec d'autres facteurs pathogéniques, l'action de l' élément toxique. Ce sont les cas où on retrouve des lés

diaire de l'oedème collatéral inflammatoire, soit directement sur l' élément nerveux même. Si on admet cette hypothèse pour

i on admet cette hypothèse pour ces cas, on peut se demander si l' élément toxique ne joue pas également un certain rôle d

es ou toxiques sont réunis. Si la question de la participation de l' élément toxique est encore incomplètement résolue, cell

forte de la substance blanche avec phénomènes de tuméfaction des éléments nerveux) peuvent relever de plusieurs -causes.

OGÉNIE DES ALTÉRATIONS MÉDULLAIRES. 445 L'absence complète .de tout élément inflammatoire dans les méninges molles et dans

ce de thrombose, ou d'oblitération, de façon que nous n'avons pas d' éléments pour admettre que l'ir- rigation sanguine de la

tS2 PATHOLOGIE NERVEUSE. cas précédent, des phénomènes d'oedème des éléments nerveux (dilatation diffuse des mailles né vrog

des cordons pos- térieur s;d'autr e part sous la forme d'oedème des éléments du tissu nerveux qui frappe surtout les parties

a méningite, et qui peut bien présenter des phénomènes d'oedème des éléments nerveux. La limitation de tout phénomène inflam

ec plus de vraisemblance, du moins à l'heure actuelle, que dans l' élément toxique issu du foyer tuberculeux, juxta- médul

edème collatéral inflam- matoire que par une action directe sur les éléments nerveux. Ce sont ces cas qui donnent à penser q

e o ? Yo;, peu, et "'1 ? sang) sansaucunc disproportion enttc les éléments cellulaires du sang. Telle est, en substance, l

pures qui démontrèrent encore mieux, d'après lui, l'identité de ces éléments avec le diplocoque de Bra. Le bouillon de cultu

ls se croient en droit de les considérer comme des fragmentations d' éléments morphologiques du sang. (1) nllA, Du parasite t

té des cas où l'examen du sang se montre positif; 2° résistance des éléments « anor- maux supposés parasitaires » à la color

eux nutritifs, même lorsqu'ils présentent un dépôt renfermant les « éléments problématiques » renfermés dans le sang. Je v

un l'épilepsie. 473 d'involutinn ou résultent de la coalescence des éléments très simples du parasite et. n'existent pas ea

it observer, il ne faut pas s'attendre à trouver régulièrement des, éléments parasitaires. Lors- qu'ils existent, il ne faut

r constamment réunis cocci, diplocoques et chaînettes Fixe. 23. Les éléments du neurocoque dans le sang comitial. Cocci isol

s ne paraît pas due à une action mi- crobicide. b) Résistance des éléments « anormaux supposés para- sitaires » à la color

héniquée les colore parfaitement. Seuls restent colorés en bleu les éléments parasitaires ces derniers sont nettement teinté

ieux nutritifs même lorsqu'ils présentent un dépôt renfermant les « éléments problématiques rencon- trés dans le sang. On sa

tie de ce que le coagulum fibrineux emprisonne dans ses mailles les éléments mi- crobiens. Dans l'épilepsie, comme dans les

a syphilis congénitale, de la tuberculose : puis s'appuvant sur les éléments anatunlopa- tbologiques et ethnologiques, il co

le -, par Guinio Catola, p. 316. Voir Cancer. , Cervelet. Voir Eléments 111'1- re1tx. Voir Lésions. Voir Cancer. Ch

ECRITS. Voir Maladies 11fr- reuses.. z Ecriture. Voir Troubles. Eléments XEHVEUX. La forme des de l'écorce du cer- TAB

nt disséminés. A un fort grossissement nous allons étudier ces deux éléments , vaisseaux et tumeur. 1° Du côté des vaisseau

rce cérébrale de tous les vertébrés inférieurs est pourvue de ces éléments nerveux. L'observation nous indique qu'au sur et

ouchent presque ; tandis que dans l'écorce cérébrale de l'homme les éléments psychiques sont pour ainsi dire clair- semés et

st limitée. Ceci est amené, d'un côté, par la pro- priété innée des éléments psychiques, d'un autre côté par des circonstanc

excroissances en déplaçant le tissu indifférent et soutenant. Les éléments pyramidaux de l'écorce cérébrale sont nommés ce

l amène un relâchement général de la vibration moléculaire dans les éléments pyramidaux, qui devient par- tout plus faible q

de même qu'une LA THÉORIE DES NEURONES. 23 plus grande quantité d' éléments affectés amène un affaiblisse- ment plus marqué

ations provoquent un renforcement de la vibration moléculaire des éléments nerveux et bien que leurs traces se conservent da

ois observer des connexious à l'aide des dendrites seules entre des éléments nerveux, auxquels le prolongement pro- toplasmi

eurones couplés de M. Renaut. Les liens de cette espèce entre les éléments nerveux con- duisent M. Renaut à modifier la do

lle et originale sur les faits qui se rap- portent au mécanisme des éléments nerveux. Dans la seconde moitié de notre mémoir

charge de donner aux tout jeunes entendants le premier vocabulaire, élément de toute science ; l'école doit suppléer ici au

rammairiens, qui, faisant autant de parties du discours qu'il y a d' éléments ou de rap- ports, ont donné une importance égal

e et devient excessive- ment clair si on le divise conformément aux éléments substantiels dont se compose l'idée et qui sont

ur le sympathique cervical, sur le pneumogastrique, ou sur un autre élément inconnu ? C'est ce qu'on ne peut savoir encore.

Charcot ajouta bientôt la sclérose latérale amyotrophique avec l' élément spasmodique d'importance capitale et l'élément do

amyotrophique avec l'élément spasmodique d'importance capitale et l' élément dou- leur d'importance secondaire et il fut adm

autre 68 SOCIÉTÉS SAVANTES. critique ne reposant pas sur ces deux éléments est forcément incomplète. La critique peut, ell

lus soutenable. La coordination est une fonction encéphalique; et l' élément psychique joue un grand rôle dans la symptomato

relève des phénomènes de compression. De là l'idée d'éli- miner cet élément pathopénique par la ponction lombaire ou la pon

En tête des causes du tabes est certainement la syphilis. C'est l' élément étiologique le plus fréquent, tellement fré- qu

l, le tabac, l'arsenic. les intoxications. Il y a enfin deux gros éléments étiologiques pour le tabès : le surmenage (géné

de ces états. Vous savez qu'il est classique de dire que les grands éléments étiologiques des polynévrites sont les infectio

temps, pour la production de la maladie, la collaboration d'autres éléments étiologiques, à action lente et durable, tels :

iple disséminée. Seulement dans ces cas, il se surajoute d'autres éléments étiologiques encore, qui déterminent non plus la

comprend pas l'ischémie d'un organe qui entraîne l'hypertrophie des éléments connectifs de cet organe, soutient avec Brault

ique : il luttera contre les progrès de la maladie, contre certains éléments ... Mais le traitement anti- syphilitique n'agir

syphilitique n'agira pas comme pour une gomme ; il y a ici d'autres éléments étiologiques. En l'absence de traitement spécif

e développement d'un organe implique une insuffisance numérique des éléments cellulaires, par défaut de prolifération. Mais

re spéciale : vers la quatrième semaine de la vie intra-utérine les éléments cellulaires sont numériquement au complet, et d

loppement lui-même : il n'est pas dû à une diminution du nombre des éléments corticaux, mais bien, comme Bevan Lewis l'a mon

elée par les auteurs français, « folie communiquée ». Ici c'est l' élément le moins résistant qui joue le rôle actif et co

moins résistant qui joue le rôle actif et communique son délire à l' élément plus résistant après une cer- taine lutte de ce

r enfance; cette mesure aura pour effet d'éliminer de la société un élément de, démoralisation, d'éviter une progéniture da

et irrégulière, un peu décolorée et gélatineuse. La destruction des éléments nerveux est excessive, spécialement dans la moi

zone d'égale largeur au voi- sinage immédiat de la membrane, où les éléments nerveux sont détruits. Aucun neurone n'est spéc

nitale et se sépare de Binet et Schrenk-Notzing qui insistent sur l' élément acquis. On pourrait expliquer l'inver- sion, di

u ; parfois les nucléoles dimi- nuent etdavienuentexcentriques. Les éléments chromatiques de ces cellules subissent des chan

par des phénomènes de prolifération dans le tissu connectif et les éléments endothéliaux, et aussi, ce qui est plus caracté

iques. Dans la symptomatologie du tabes, on peut distinguer trois éléments : les syndromes tabétiques (sensitifs, moteurs,

eut pas, dis-je, il n'y a que la division avec subor- dination de l' élément administratif à l'élément médical. La Commissio

que la division avec subor- dination de l'élément administratif à l' élément médical. La Commission de la Chambre supprime l

des et la division dans les grands asiles avec subor- dination de l' élément administratif à l'élément médical, comme aujour

s grands asiles avec subor- dination de l'élément administratif à l' élément médical, comme aujourd'hui dans les hôpitaux mi

alyse de la patho- graphokinésie, il faudrait rechercher des quatre éléments psycholo- giques du mécanisme (corticomoteur) d

l'adulte qui exige pour se manifester le complet développement des éléments ner- veux ; lorsque ces éléments commencent à d

ester le complet développement des éléments ner- veux ; lorsque ces éléments commencent à dégénérer ou lorsqu'ils n'ont pas

flement de la moelle, composé 248. SOCIÉTÉS 'SAVANTES.. des mêmes éléments histologiquçs : substance blanche, substance gr

riosclérose cérébrale peut débuter comme celle de la moelle par des éléments nerveux différents; de là des variétés cli- niq

10 à 12 yraumms en wiigi-qualre heures. Acide nuque. Néant. Pas d' éléments anormaux (sucre, bile, albumine). Examen micros

bile, albumine). Examen microscopique. Rien. Résumé : Urine sans éléments anormaux, mais avec un excès d'eau exagéré. L

s plus loin nous fournira des données plus complètes sur les autres éléments de l'urine : chlorures, phosphates, etc. Outre

Quelques acctdents survenus plus tard nous apporteront, de nouveaux éléments de discussion. Essayer de faire de la suggestio

lades : 1° dans un cas de névrite du cubital, on ne rencontre aucun élément nerveux de la peau nulle part; 2° dans un cas d

hypoalgésie généralisée, il existe une évidente dégénérescence des éléments nerveux cutanés. Mais dans l'anesthésie hystéri

smodiques dont la cause anatomique se trouve exclusivement dans les éléments cons- tituants de la voie motrice corlieo-médul

ur qu'il y ait dédoublement du Moi, il faut que, préalablement, les éléments du second Moi se soient formés dans le psuclié,

émère, et par- ticulièrement sur l'influence vespérale, il fonde un élément de dif- férenciation des états hypersthéniques

. La pré- disposition née de cette hérédité ne fait que fournir des éléments au délire, ou associer il la démence paralytiqu

a même lésion et dans le même endroit ; il existe encore un certain élément supplémentaire, qui influe sur la répétition fr

ition dévolus aux neurones et cellules. M. Aimé définit ensuite l' élément psychique morbide « toute action nerveuse anorm

s qui' composent la partie clinique, très intéressante et variée. L' élément dynamique psychique cons- titue seul la maladie

se trouve l'émotion morale qui circonscrit un champ dynamique où l' élément infectieux peut agir, favorisé par la diathèse,

p. 469, Archives de Neurologie. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 383 éléments qui le constituent la part qui lui est propre. C'

hysté- rique, j'avais voulu me servir de l'hypnotisme comme d'un élément de diagnostic. Je viens de dire le résultat. 38

à l'École pratique des Hautes-ÉLudes, Les différentes catégories d' éléments nerveux constituant les deux écorces du cerveau

e eux des rapports de connexion et des rapports fonctionnels. Les éléments hétérogènes apparaissent, sur une coupe verti-

seur de l'écorce qu'ont lieu les rapports variés existant entre ces éléments de catégories différentes. Dans le sens horizon

le sens horizontal, au contraire, et d'une manière générale, chaque élément se trouve placé près d'éléments pour la plus gr

et d'une manière générale, chaque élément se trouve placé près d' éléments pour la plus grande partie semblables à lui- mê

structure en disant que l'écorce cérébrale est un organe composé d' éléments dissemblables dans le sens de la profondeur, se

homogènes dans le second '. Dans le cervelet, où les divers types d' éléments nerveux offrent la plus grande diversité, la di

osition est analogue; mais nulle part l'ordonnance régulière de ces éléments par strates dans l'épaisseur de l'écorce n'est

s. Le nombre et la variété des types cellulaires, la grandeur des éléments nerveux, ainsi que leur situation,'sont l'expres-

des différentes variétés de neurones. Les rapports anatomiques des éléments nerveux de l'écorce dépendent donc, en dernière

dépend également en premier lieu de la disposition anato- mique des éléments nerveux déterminée par les fonctions de l'écorc

animal est un autre facteur important de l'étendue de l'écorce. Cet élément per- turbateur reparaît toutes les fois qu'on c

ionnelle, c'est surtout dans les effets de l'activité prolongée des éléments nerveux de cette province du névraxe, dans les

G. D. XXI. Effets comparés DE l'antipyrine ET DES TOXINES SUR LES éléments nerveux ; par le Dr Debray. (Journal de Neurolo

ne soit susceptible d'après quelques auteurs de déterminer dans les éléments nerveux des altérations comparables à celles de

pondérance de l'émotion dans l'obsession, c'est qu'elle en est l' élément constant et indispensable. Prenez une obsession q

nous l'étude entière de l'obsession et nous fournit à son sujet les éléments d'une divisiou clinique rationnelle. Si l'émotion

d'une divisiou clinique rationnelle. Si l'émotion est, en effet, l' élément fondamental des états d'obsession, c'est évidem-

que celui de la phobie, nous n'a- vons à nous occuper ici que de l' élément intellectuel, de l'idée fixe. Obsessions idéa

rante peut être pénible, suivant sa teneur ; mais elle n'est pas un élément hétéro- gène, elle s'identifie à l'esprit par q

ans les folies dites avec conscience. Les idées qui constituent l' élément intellectuel de l'obsession sont éminemment var

talage, etc. C'est faute d'avoir tenu compte de ce facteur, de' cet élément surajouté, qu'on a pu considérer les délits et

ipe, d'autant moins graves qu'ils sont plus entièrement réduits à l' élément émotionnel ; d'au- tant plus graves, au contrai

l'élément émotionnel ; d'au- tant plus graves, au contraire, que l' élément intellectuel tend à pré- dominer. Les obsessi

s avec les altérations bien connues que déter- mine, dans ces mêmes éléments , la section des nerfs périphéri- ques, c'est-à-

mment atténuée, peut pro- voquer une altération dégénérative de cet élément , à peu près sem- blable aux altérations seconda

souffrance; mais elle n'implique pas une altéra- tion profonde de l' élément anatomique. Elle est facilement et rapi- dement

cette véritable révolution sur la notion de la texture intime de l' élément fondamental du système nerveux ? C'est, comme d

. La méthode de Golgi permet d'étudier la configuration externe des éléments nerveux, le trajet des fibres nerveuses. Ce q

structure de la cellule nerveuse, c'est la décou- verte d'un nouvel élément jusqu'alors méconnu dans le proto- plasma de la

lément jusqu'alors méconnu dans le proto- plasma de la cellule- : l' élément chromatophiles, ainsi nomméjiarce qu'il se colo

qu'il se colore fortement par les couleurs basiques d'aniline. Ces éléments sont disposés concentriquement autour du noyau et

amorphe. A cette époque, on s'occupa surtout de la morphologie des éléments chromatophiles et de ces altérations dans les d

section d'un nerf moteur ou sensitif amène une désinté- gration des éléments chromatophiles, processus que j'ai désigné sous

ieurs auteurs ont confirmé cette opinion, que la désintégration des éléments chromatophiles ne retentit pas sur la structure

ui intéresse à la fois le volume général de la cellule et celui des éléments chromatophiles. Ceux-ci acquièrent de grandes d

mailles du ,436 SOCIÉTÉS SAVANTES. .réseau viennent se mouler les éléments chromatophiles, et que c'est de la texture du r

es, et que c'est de la texture du réseau que dépend la forme de ces éléments . Quel est le rapport des fibrilles du cylindrax

discussion. Cela tient vraisemblablement à . ce que le noyau de ces éléments est considéré comme n'ayant plus - les qualités

peloton chro- matique dans le corps nucléaire. Il y a là, dans les éléments ner- veux des cornes antérieure et postérieure

s très nettes, consistant dans la désin- tégration périphérique des éléments chromatophiles et dans leur diminution de volum

té de la syphilis et après elle, il faut placer l'arthritisme comme élément étiologique faisant, dans certains cas de tabes,

l'iode, parmi les altérants qui ont la préten- tion de combattre l' élément sclérose. C'est le mémoire de Charcot et Vulpia

urs de 5 centigrammes jusqu'à'15 ou 25 centi- grammes, pro die. L' élément indicateur de cet agent, dans la sclérose tabétiq

névrites, que.'nous avons vues être ŸJG SOCIÉTÉS SAVANTES. / l' élément anatomique le plus curable du tabes. Ainsi, A. Ro

es pointes de feu au niveau des lésions présumées. Il y a alors des éléments cliniques précis dans chaque cas particulier, p

niquer, mais qu'elle ne lui a rien dit du tout. Il cherche donc les éléments psychiques sem- blables à ceux de l'hystérie, e

peut siéger en n'importe quel endroit du cerveau, ce qui détruit l' élément sur lequel Kahlden fonde sa théorie de l'arrêt

cause déter- minante de ces états de caducité en évolution. est un élément bio- logique dont l'activité révèle le dégénéré

ré accomplissant la loi de sélection. Le milieu pathologique est un élément de dégénération ; il ne peut produire que des d

et tire enfin des conclusions extrêmement intéressantes des divers éléments que la statistique lui fournit. Il termine en d

ne. Etude comparative sur I l'action de Il et des toxines sur les éléments nerveux, par Debray, 408. Aphasie stationnair

er, 505. Toxines. Etude comparée de l'anti- pyrine et des sur les éléments nerveux, par Debray, 408. Travail manuel, par

rcot et ses élèves, MM. Ballet et Babinski, ajoute au diagnostic un élément de grande valeur. Mais combien d'inconnues rest

st indiscutable. En effet, si elle fournit parfois au diagnostic un élément utile, elle ne laisse pas, dans certains cas, d

anquait toutefois au tableau clinique de la coxalgie hystérique l' élément essentiel du diagnostic, à savoir : l'hystérie.

risés par le ramollissement et la régression granulo-graisseuse des éléments histologiques de cette région de la moelle. Au

sièges de lésion profonde, on constate une disparition complète des éléments nerveux à la place desquels on voit un amas, va

nt être au nombre de quatre et ainsi de suite. Quant au quatrième élément étiologique, il ne peut en être question, car c

compartiments ; - 13° l'hypothèse de Villexun, d'après laquelle les éléments de la perception consciente (aper- ception) pou

nouillé externe comprime d'autres fibres optiques, enfin que les éléments optiques s'atrophient par abolition de la fonctio

s son trajet périphérique entraîne, si un déplacement suffisant des éléments de ce nerf empêche l'accroissement ultérieur des

r de vos discussions dans l'espoir que chacun de vous apportant des éléments d'observation personnelle la Société pourra enf

uue altération isolée est chez ce vieillard probable. M. IN EISSER. Eléments de diagnostic différentiel tirés du symptôme co

être le terrain générateur; la dégénérescence du tissu néoformé en éléments ostéoïdes n'a rien d'extraordinaire. ' - , ? .

général. Ce qu'il faut dire, c'est qu'elle est inoffensive quand l' élément contractile du coeur n'est pas altéré. Or nos ali

i vous la faites plus saisissante entre l'élé- ment judiciaire et l' élément administratif. Vous n'en avez pas le droit. V

un boule- versement complet des principes; c'est une confusion de l' élément judiciaire et de l'élément administratif ! Tout

des principes; c'est une confusion de l'élément judiciaire et de l' élément administratif ! Tout cela était séparé ! On a f

a fait des révolutions pour établir une séparation entre les divers éléments de la société, entre l'exécutif, entre le législa

Golgi, Koelliker, a écrit, au sujet des méthodes de coloration des éléments anatomiques du système nerveux, que les procédé

du cerveau correspond à des variétés de forme et de structure des éléments anatomiques de ces régions. La physiologie ne m

jours unique, différent de tous les autres, et destiné à relier cet élément aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de

uins et des cellules de la névroglie, le plasma nutritif arrive aux éléments essentiellement nerveux ; il serait du reste di

'expliquer les rapports anatomiques et fonctionnels qui relient les éléments cellulaires des différentes régions de l'écorce

ans délimitation rigoureuse. Enfin, les variétés morphologiques des éléments nerveux correspondent-elles à des fonctions dif

ts nerveux correspondent-elles à des fonctions différentes de ces éléments ? La distinction de ces organites en cellules m

qu'en aucune région de l'écorce, qui dominent. Cette division des éléments de l'écorce de la FA n'est-elle pas au fond ide

12 178 PHYSIOLOGIE. trop étroites dans le mode de répartition des éléments anatomiques de l'écorce. Mais, outre que Golgi

d'observation susceptibles d'être notés. Quant aux fonctions des éléments nerveux de la FA et de la 0', il est clair que

spécifique du système nerveux central ont un siège commun, où leurs éléments se juxtaposent, se confondent ou se mêlent en p

rtion relative, dans le mode de répartition locale des deux types d' éléments nerveux admis par Golgi. Or, cet auteur a pu se

admis par Golgi. Or, cet auteur a pu se convaincre lui-même que ces éléments sont inégalement répartis dans les différentes

'être vivant s'élève et se perfectionne, a dit Claude Beriiard, ses éléments cellulaires se différencient 1 Jules Soury. Thé

spéciale de l'écorce cérébrale. L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments nerveux qui constituent ces centres résulte déj

de cette destruction locale d'un sens semblent bien prouver que ses éléments cen- traux ne sont point disséminés sur toute l

dées de Wundt à ce sujet ne sont guère que celles de Meynert. Les éléments nerveux des centres de ' CI. Bernard. Leçons su

cérébrale étant fonctionnellement indifférents, selon l'auteur des Eléments de psychologie hlaysiolo- gique, la fonction de

étition d'un mode uni- forme d'exatations. Mais, si la fonction des éléments nerveux d'un de ces centres vient à être inhibé

erveux d'un de ces centres vient à être inhibée ou abolie, d'autres éléments nerveux de l'écorce seraient capables de la sup

s animaux nouveau-nés, avant tout exercice notable des sens, si les éléments centraux de l'écorce sont fonctionnellement ind

U. 187 se suppléer, on devrait pouvoir détruire une partie de ces éléments sans dommage aucun pour les fonctions de la sen

, on doit pouvoir les détruire impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres régions cérébrales. C'est ce qu'avait

en moins pourquoi la con- tinuité des plus fines ramifications des éléments ner- veux entre elles serait un postulat physio

ations, il n'est pas nécessaire que ces ramifications ultimes des éléments nerveux soient en continuité : il suffit qu'ell

on générale », comme Gudden paraît l'avoir admis (1886). « Certains éléments du réticulum de l'écorce du coin méritent bien,

Forel, le nom de sphères vi- suelles (Seguin), parce que, dans ces éléments , a lieu la terminaison du système de fibres (Se

çaise anatomo-clinique, ont toujours insisté sur la structure des éléments histologiques des régions mo- trices et sensori

tout pénétré des doctrines de Golgi, déclarait, en 1882, que si les éléments anatomiques de la sen- sibilité et du mouvement

rences morphologiques bien tranchées. Pour- quoi, demandait-il, les éléments centraux des divers organes de la sensibilité e

vraient- ils être morphologiquement distincts ? Les deux sortes d' éléments nerveux de la sensibilité et de la motilité coe

pour les centres moteurs et pour les centres d'arrêt : partout les éléments de la sensibilité et du 1 Luciani. La fisiologi

Tou- tefois, cette uniformité de structure et de disposition des éléments histologiques'dans les diverses zones de l'écor

e proportion. Il faudrait étudier chacune de ces couches dans leurs éléments cons- titutifs, en noter le nombre, le volume,

a vérifié, une fois de plus, que l'hypothèse de la coexistence des éléments de l'innervation motrice et de la sensibilité g

a sans doute, dans le passé, porté trop d'attention à l'origine des éléments corpusculaires du sang, d'une observa- tion plu

culaires du sang, d'une observa- tion plus facile que la source des éléments constituants du plasma; et, en vérité, le terme

nts du côté de l'oculomoteur commun, de la négation absolue de tout élément étiologique, soit chez la malade, soit dans les

lasie conjonctive si fortement vasculaire que l'éloiiifeiiieiit des éléments nerveux s*ellectue très promptement; 246 REVUE

férents cas qu'on en a faits tour à tour. Il n'a d'abord été qu'un élément de curiosité et de spectacle pour s'élever finale

rement justiciables de la caléfaction, surtout quand il existe un élément rhumatoïde. Mais il convient de se défier des lés

, des adducteurs, de l'éminence thénar, du psoas (vacuolisation des éléments anato- miques) ; l'altération débute parla tran

ivants : la différencia- tion étiologique peut-elle on non servir d' élément de distinction clinique ? 2 Le Congrès se sép

lieu de déséquilibrés et présentant dans sa famille toutes sortes d' éléments d'immoralité et d'instabilité psychique ; exist

de volume. Dans la région dor- sale inférieure, la disparition des éléments anatomiques de Clarke atteint son maximum. La d

Friedreich qui les ont vues atrophiées dans leurs autopsies. Les éléments cellulaires des colonnes de Clarke (v. PL. 1, f

as aussi complexe qu'on l'a pensé, pour peu qu'on envisage tous les éléments qui concourent à la lésion. En en proposant la

perceptions inconscientes, il y a de même des actes inconscients. L' élément primaire dont se compose un acte conscient est

s de réaliser une forte excitation tactile sans qu'il s'y ajoute un élément de douleur. Tout le monde sait que cet élément

u'il s'y ajoute un élément de douleur. Tout le monde sait que cet élément existe dans la sensation du chatouille- ment.

eux l'une et (autre ne peu- vent agir que par la conscience ; leurs éléments , du moins, doivent être conscients; quand le su

nous avons commencé à fréquenter le service de M. Charcot, tous les éléments de l'étude de la per- ception inconsciente étai

vaisseaux sanguins ou des voies lymphatiques ? On ne possède aucun élément qui permette de résoudre ces questions. (A suiv

euter, après l'étude minutieuse de ces divers problèmes et de leurs éléments composants, fort bien disséqués dans son mémoir

rveuses, les cellules de la névroglie, et les prolongements de ^ces éléments ; la preuve, c'est qu'on suit directement ces r

aladie des tableaux symptomatiques qui se ressemblent par plus d'un élément , leur marche et leur pathogénie révèlent, il l'

e fibrilles parallèles. La seconde envisage les fibrilles comme les éléments d'une charpente réticulaire très délicate. D'ap

ractus embrassant le noyau et forment ainsi dans le corps même de l' élément cellulaire une traînée de raies concentriques.

a substance grise un réseau ténu qui servait de connexion entre les éléments histologiques signalés. M. Leydig en a démontré

u système sensitif et moteur permettent-ils d'attribuer li certains éléments anatomiques la con- ductibilité ? l Envisageo

ent dans les cellules nerveuses, il s'agit de savoir quels sont les éléments du cylindre-axe qui continuent les fibrilles. On

qui continuent les fibrilles des terminaisons nerveuses et que les éléments fibrillaires des cellules nerveuses et de la subs

rôle dans l'espèce. L'assistance familiale ainsi considérée est un élément de progrès positif dans le non-restraint. Elle

tion et la courbe de l'écriture. Il est intéressant de comparer ces éléments chez M. Grashey, chez des personnes saines et che

les fonctions motrices. Voici le travail psychique décomposé en ses éléments naturels. Ceux-ci deviennent alors accessibles

tigue et de l'exercice, à ceux qui ont été signalés plus haut ; ces éléments agissent dans le même sens sur la durée du proc

mitives aiguës et curables, en outre il ne stigmatise pas du tout l' élément caractéristique, essentiel, de la forme morbide

ystématique secondaire. Il est certain que le premier geme e a pour élément la prédominance d'un corps de délire qui constitu

escence, folie de la puberté). 23. La masturbation peut être un des éléments qui favorisent dans certains cas le développeme

ns de l'es- pace. M. Sommer est arrivé à analyser dans leurs divers éléments les tremblements alcooliques, neurasthéniques,

e, 1902, n° 23). II. Sur le réseau endocellulaire de Golgi dans les éléments ner- veux en général et dans les cellules nerve

actéristique histologique con- siste dans la diminution marquée des éléments nobles de l'écorce, sans que cette diminution r

ême tempsqu'uue communication générale et réciproque entre tous les élément sensoriels et moteurs de l'écorce, il existe une

iscuter sur sa signification, croire avec les uns qu'il s'agit là d' éléments trahissant une évolution anormale de la névrogl

de la corne antérieure n'intéressent pas en général la totalité des éléments . Il y a dans la corne malade, un' certain nombr

ité des éléments. Il y a dans la corne malade, un' certain nombre d' éléments presque normaux, quoique d'une façon' habituell

bre d'éléments presque normaux, quoique d'une façon' habituelle les éléments du côté amputé soient plus petits. De tous les

ituelle les éléments du côté amputé soient plus petits. De tous les éléments qui subsistent, les plus constants et les plus ra

és de l'état normal sont ceux de la partie interne de la corne. Les éléments les plus gravement atteints sont ceux de la parti

de la partie externe. ' 8° Dans la partie externe, quels sont les éléments qui sont pris ' Sans qu'il soit possible d'affi

t très peu nom- breuses dan- les couches dites profondes, là où ces éléments sont d'ordinaire si faciles à reconnaître sur d

les feuil- lets de la méninge voisine; mais, partout ailleurs, les éléments névrogliques, cellules et fibrilles, conservent

par i'031) droit. Nous passerons successivement en revue chacun des éléments : le nerf optique présente une proli- fération

: le nerf optique présente une proli- fération très accusée de ses éléments conjoncttfs et névrogliques ainsi qu'on peut s'

x-ci appartiennent pour la plupart des cel- lules de névroglie. Les éléments du tissu conjonctif dont beaucoup semblent prov

lifération e,t surtout marquée au niveau de la lame criblée où tout élément nerveux a disparu. A mesure que nous approchons

aru. A mesure que nous approchons de la papille, le nombre de ces éléments augmente; au très grand nombre de noyaux qui sem-

veuses des couches correspondantes ont disparu pour faire place aux éléments con- lonctit's et névrogliques proliférés. A me

xtrêmement accusées qui vont jusqu'à la désintégration complète des éléments et abou- tissent à la production d'espaces lacu

'un essai de multiplication d'une cellule nerveuse irri- tée. Les éléments fibrillaires de la couche moléculaire sont diminu

ouche granuleuse interne, épaisse de ;i0 li. a quelques- uns de ses éléments plus ou moins désagrégés à noyau gonflé et inco

dérable : 70 p.. a, par suite de la « métamorphose régressive » des éléments nerveux de la rétine, métamorphose fréquente da

t cette couche. 1,'exstitlai, contient en assez grand nombre divers éléments qu'on trouve représentés figure 19; ce sont des

lable- ment à un fragment de bâtonnetque l'on a affaire. D'autres éléments paraissent être des leucocytes plus ou moins vo

ière qui à ce niveau flottait dans l'exsudat, a un aspect flou. ses éléments anatomiques sont moins bien colorés qu'ailleurs

s bien colorés qu'ailleurs et chacun d'entre eux paraît gonflé. Les éléments de la couche des cônes et des bâton- nets, sont

se disparaitie; les couches granuleuses interne et'externe dont les éléments sont beau- coup moins nombreux et très gonflés

s couches bien distinctes quoique plus ou moins altérées dans leurs éléments . L'oeil gauche, présentait simplement les lésio

t rétinienne, dans les deux yeux, soit l'absence presque complète d' éléments nobles auxquels se sont substi- tuées de nombre

eune, elle est constituée par des cellules rondes elle dissocie les éléments du rein, séparant les tubes droits et les tubes

tantôt un effet toxique et épileptogèue ? Il est probable que les éléments d'action, contenus dans le sérum sanguin des ép

le siège de l'épilepsie, la faculté de se comporter vis-à-vis de l' élément du sérum introduit tantôt d'une façon, tantôt .

n'en sont plus capables, elles réa- gissent, sous le stimulus de l' élément du sérum, pathologique- ment : leurs fonctions,

meure inactive et qui, normalement est probablement adhérente aux éléments morphologiques du sang. Elle n'est mise en libert

priétés d'actiou,- que lorsque le sang cesse de circuler, quand les éléments morphologiques du sang ne vivent plus. Voilà po

lui-même, par sa propre substance, bien qu'il porte en lui à côté d' éléments toxiques, des éléments thérapeutiques. P. Kerav

substance, bien qu'il porte en lui à côté d'éléments toxiques, des éléments thérapeutiques. P. Keraval. V. Le dosage toxiqu

st au-dessous de la normale, 152 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. dont les éléments nerveux, soit par tare héréditaire, soit par acci

moral. Le régime a une grande importance et il comporte beaucoup d' éléments azotés; mais il faut se mettre en garde contre

édité qui domine. Il n'y a guère, en dehors de ce facteur, d'autres éléments étiologiques chez la femme, que ceux de l'homme

plus courts quand à la dysphagie s'associe une autre phobie, ou un élément hystérique. Le syn- drome dysphagique est plus

equel on ne peut supprimer la morphine sans produire d'accidents. L' élément es- sentiel pour qu'un morphine devienne morphi

apparaissent partiellement détruites et semblent digérées par des éléments voisins : c'est la rzezcrolznphallie, mode de pha

oyau vers la périphérie de la cellule, disparition du nucléole. Des éléments nouveaux appa- raissent, ce sont des petits cor

une cellule nerveuse devenue inutile, désagrégée et digérée par des éléments nouveaux. Quels sont ces éléments biophag-es ?

, désagrégée et digérée par des éléments nouveaux. Quels sont ces éléments biophag-es ? proviennent-ils de la mobi- lisati

du moins est remarquable. M. DKjËtu\E répond que l'épilepsie est un élément de diagnos- tic, mais pas un élément essentiel

répond que l'épilepsie est un élément de diagnos- tic, mais pas un élément essentiel et suffisant. Il faut que l'inté- gri

alousie proprement dite; elle n'a pas non plus dans son caractère d' élément raisonnant. On ne peut pas admettre non plus da

qu'elle cause à son entourage, c'est-à-dire nous avons ici tous les éléments qui entrent dans la composition de la constitut

atrophie et dégé- nérescence granulo-graisseuse et pigmentaire des éléments nerveux et des artérioles à tunique lymphatique

ction secondaire sur les lésions atrophi- ques et dégénératives des éléments nerveux et des capillaires de l'encéphale, qui

s de Loch dans l'exsudat, ou bien seulement des dégénérescences des éléments nerveux sont ici les lésions préalables. Telle

es cellules ner- veuses, les figures de karyokinèse, le contact des éléments nerveux avec des exsudations ou des cellules em

des restreignent les connexions fonctionnelles entre les différents éléments de l'écorce et de l'axe cérébro-spinal. Les pre

les auteurs est de savoir par quel tissu névro- glie, vaisseaux ou éléments nerveux débute le processus mor- bide. On voit

rolifère et que son développement croissant en vient à étouffer les éléments nerveux et à envahir les vaisseaux. S'il en éta

vidence possible, que 236 SOCIÉTÉS SAVANTES. les vaisseaux et les éléments nerveux sont souvent altérés, alors que la névr

c'est surtout, d'après l'opinion actuelle, sur les vaisseaux et les éléments nerveux eux-mêmes que se fixe le processus dès

urs trouvé des dégénérescences des vaisseaux analogues à celles des éléments nerveux et, par conséquent, il est aussi difficil

t des toxines, soit des individus, la plus grande vulnérabilité des éléments les plus hautement différenciés peuvent nous re

eur de croire qu'elle peut exister clini- quement en respectant les éléments nobles. Ceux-ci, au contraire, sont très vraise

ui parait ressortir de ces observations, c'est que l'atrophie -de l' élément noble est secondaire a la sclérose qui succède à

éraux. Les lésions que nous avons constatées portaient sur tous les éléments du cortex, mais elles étaient prépondérantes, o

e jusqu'à SOCIÉTÉS SAVANTES. 241 la disparition quasi totale de l' élément . Dans cette couche ainsi altérée apparaissent d

ouche ainsi altérée apparaissent des noyaux plus ou moins nombreux ( éléments normaux du cortex altérés et leucocytes). Dans

ils se répartissent, dans le sang 'g des animaux opprés,*entre les éléments figurés et le sérum. C'est pourquoi nous avons

les plus instables du sang, et qui' d'autre part, emprunterait aux éléments ligures, aussi bien qu'au sérum, leurs produits

ication d'un accident psychi- que po<t-opératoire et celles où l' élément infectieux prend la pre- mière place, on reconn

e dans lequel se manifestent ces troubles ner- veux repose sur deux éléments principaux : l'aboulie et l'émotion. Le bégaiem

t soupçon- née puisque nous ne savons pas d'une façon précise quels éléments anatomiques, quels centres entrent en jeu dans

cas à éviter comme simple hyp- notique. Quant à la morphine, hors l' élément douleur, il faut franchement s'en abstenir, du

es indications qu'on trouve dans les clas- sifications existantes ? Eléments du choix : âge, forme délirante, date de la mal

t un cylindraxe central caractéristique. L'état embryonnaire de ces éléments permet d'affirmer qu'il s'agit non pas de filet

a fibre muscu- laire, qui vont jusqu'à la disparition complète de l' élément diffé- rencié. La régression musculaire constit

les le sont en majorité, les circonvolutions ascendantes ont plus d' éléments sains, les grandes cellules pyramidales y sont

plus encore pour la ma- jorité des autres troubles du langage, où l' élément psychique do- mine et où par conséquent le déve

es plus ou moins mar- quées, caiactérisées par la prolifération des éléments conjonctifs et névrogliques et par celle des fi

toïde si bien décrite par Iwanoff. La papille est infiltrée par des éléments conjonctifs et névro- gliques dont le nombre va

LOGIE PATHOLOGIQUES. 433 central de la calotte` ? ), plutôt que des éléments du faisceau d'Hel- weg. P. Keraval. XXX. Colo

ins-assistants attachés à l'asile. Les matières enseignées sont les éléments de l'anatomie et de la physiologie, les princip

, viennent traverser le syndrome de Brown-Séquard, en diffusant les éléments , en altérant le caractère systémati- que ? No

y rentre en mars 1897. La paralysie s'est un peu amen- dée, mais l' élément spasmodique est arrivé à son apogée, donnant un

dans lequel aucune technique ne permet de déceler la présence d'un élément nerveux quelconque, cellule oil fibre. Ce tissu

cornes de la substance grise ne sont représentées que par quelques éléments cellulaires assez alté- rés. Les cordons latéra

ces masses paraissant se raréfier par foute progres- sive de leurs éléments , comme il arrive au cours de certaines sclérose

faites au laboratoire d'anatomie pathologique. En coordonant leurs éléments , nous pouvons non seulement faire une adaptatio

évolution, et leur connaissance peut ainsi devenir à l'occasion un élément de pronostic utile. I. Etude symptomatique a)

illarger, développée ensuite par Bail, c'est-à-dire composé de deux éléments , l'un sensoriel, l'autre iutellec- tuel, il obl

e, par exemple, ayant suffi. Cette lésion impaire sans action sur l' élément sensoriel de l'hallucination est aussi impuissa

l'élément sensoriel de l'hallucination est aussi impuissante sur l' élément intellectuel, généralement restreint dans la ci

la lésion j'y reviendrai bientôt - s'est manifestée à la fois sur l' élément sensoriel et sur l'élément intellectuel. Si cet

entôt - s'est manifestée à la fois sur l'élément sensoriel et sur l' élément intellectuel. Si cette action ne s'exerçait que

sur l'élément intellectuel. Si cette action ne s'exerçait que sur l' élément sensoriel, quel en serait le résultat sur la loca

s que la lésion. En d'autres termes, si l'action de la lésion sur l' élément sensoriel seul de l'hallucination met en relief

périphérique impaire a une double action : agissant à la fois sur l' élément sensoriel et sur l'élément intellectuel, d'une

uble action : agissant à la fois sur l'élément sensoriel et sur l' élément intellectuel, d'une part elle donne naissance et

sposition du sujet et selon l'influence exercée par la lésion sur l' élément sensoiiel et sur l'élément intellectuel dont se

l'influence exercée par la lésion sur l'élément sensoiiel et sur l' élément intellectuel dont se compose toute hallucinatio

cidence de cette lésion. 3° La lésion unilatérale peut agir sur l' élément sensoriel seul, sans intervention de l'élément

rale peut agir sur l'élément sensoriel seul, sans intervention de l' élément intellectuel. Dans ce cas. malgré l'unilatérali

e à son éclosion. 4° La lésion unilatérale n'a pas d'action sur l' élément sensoriel, elle n'est pas l'agent provocateur d

nt provocateur de l'hilluci- nation ; mais par l'intermédiaire de l' élément intellectuel, elle en détermine l'unilatéralité

synthèse des deux catégories précédentes. Elle agit à la fois sur l' élément sensoriel et sur l'élément iulellectuel ; la pr

précédentes. Elle agit à la fois sur l'élément sensoriel et sur l' élément iulellectuel ; la première action détermine l'app

n'ont pas à leur disposition cette ressource riche d'images et des éléments SOCIÉTÉS SAVANTES. 529 sensoriels qui les gui

ystérique par l'immobilisation. - I)e l'iîptt,)2ce de I,t vie comme élément d'aulo-saggestion dans la genèse de-s phénomène

hystémyue par l'immobilisation. De l'influence de la vue comme élément d'auto-suggesimn dans la genèse des phénomènes

Enriquez, 535. Golgi. Sur le réseau endocellulaire de - dans les éléments nerveux en général et dans les cellules nerve

ion voisine, et presque en même temps, que Baillarger a puisé les éléments de son célèbre mémoire sur la Folie ci double f

«Tout accès de manie ou de mélancolie contient donc en germe les éléments de l'excitation et de la dépres- sion. L'accès

faites par différents auteurs sur les animaux, la disparition de l' élément noble des glande* sexuelles, peuvent se produir

s formes de même ordre (paralytique, spa«- modique, tI'émulente); l' élément psychique y joue le même rôle important, et l'é

t poursuivi, qui est de régulariser les mouvements de l'écriture. L' élément psychique n'est point né- gligeable et il faut

yse, entièrement liée par sa sé- crétion interne à la nutrition des éléments nerveux, par son siège spécial près des centres

)1t<'(<., janvier \ ! 10G.) Dans toute maladie, il est doux éléments primordiaux, on les désigne volontiers aujourd'

attire trouble mental, comme cela se voit souvent lorsqu'il y a un élément dégénératif. Au point de vue de la pathogénie d

nie de ce cas de psychose de l'état puerpéral, l'auteur pense que l' élément essentiel est ici l'épuise- ment qui a créé dan

sse pour cela il des mélan- coliques « purs ", de façon à avoir des éléments morbides aussi isolés que possible ; mais les r

attention qui favorise l'évocation, en créant lemonoidéisme, et les éléments simples de celle-ci, les images mentales. L'atten

s images motrices). L'aboulie est conditionnée par le trouble des éléments psychiques qui concourent aux actes ; la synthèse

nnalité. Ce qui le caractérise, c'est, d'une part, l'extension de l' élément affectif, et, d'autre part, l'obscurcissement d

ieux el dans l'épilepsie au moment de l'attaque. Les variations des éléments minéraux ont été peu étudiés, on sait seulement

, sont manifestement augmentés pendant les accès.Puis il étudie les éléments figurés du sang : 1° L'hypoglobulie avec abaiss

STES ET NEUROLOGISTES. 109 taux. Il ne trouva que dans cinq cas des éléments microbiens dus certainement à des fautes de tec

s aiguës diverses avec délire, une seule fois on mit en évidence un élément microbien, c'était le bacille d'Eberth dans un

arriées par le sang, alté- rant les fonctions et la morphologie des éléments cellulaires centraux et c'était, d'ailleurs, pa

émotifs, hallucina- tions), etc. Il faudra tenir compte de tous ces éléments dans les déterminations et aussi dans les inter

tou- jours constaté qu'aux modifications en plus ou en moins des éléments figurés du sang correspondaient toujours des mo-

foyer. Elles consistent en : atrophie, simple oudégénéra- tive, des éléments parenchymateux ; en prolifération plus ou moins

chymateux ; en prolifération plus ou moins modérée ou localisée des éléments intersti- tiels ; en lésions scléreuses des vai

e réelle, elle est surtout relative et résulte de la diminution des éléments nerveux. Les noyaux qui entourent certaines cel

nerveuses en par- ticulier, semble être l'aboutissant directeur ces éléments , de toutes les intoxications de l'existence ; l

érébrale. La lésion des cellu- les cérébrales est indiscutable. Les éléments nerveux sont altérés qualitativement et quanti

au pourtour de cette lacune et par la transformation successive des éléments , la lacune s'agrandit, lorsque toute- fois, com

outes les causes de la sénilité. Dans le cerveau qui suc- combe, un élément semble doué d'une puissante vitalité, c'est la

ion qui pourra à elle seule innocenter le délit, il faut d'au- tres éléments . L'hystérie est-elle,au contraire,grave, s'accom-

vois guère de spéciale à l'hystérie que la suggestibilité, comme élément psychologique intéressant à considérer en médecin

ème reste dans le domaine des faits subjectifs et ne comporte aucun élément objectif, aucun critère expéri- mental de solut

t des urines, il a cherché à reconnaître la présence et la nature d' éléments figurés pou- vant concorder avec les lymphocyto

n n'est plus éloigné de la séméiologie ordinaire du tabétique que l' élément spasmodique : l'incoordination, l'a- tonie, le

ant les premières phases du développement une distinction entre les éléments nerveux elles éléments de soutien : tousles élé

s du développement une distinction entre les éléments nerveux elles éléments de soutien : tousles éléments de la moelle ont

tion entre les éléments nerveux elles éléments de soutien : tousles éléments de la moelle ont une forme 'bipolaire identiques

euses périphériques sont dues à la transforma- tion des chaînes des éléments migrateurs de la moelle. Il se fait dans la moe

igrateurs de la moelle. Il se fait dans la moelle une migration des éléments dans une direction bien déterminée, et parallèl

uses dans la moelle et dans la protubérance. Les rapports entre les éléments nerveux s'établis- sent à la suite de la format

où la lecture d'une série, ne peut guère avoir d'influence sur les éléments de cette série, dont toutes les parties sont ég

r leurs prolongements, avec les prolongements à forme stellaire des éléments mésodermiques avoisinants ; 3° Au début du se

e le revête- ment médullaire à sa première formation, et les autres éléments primordiaux ne sont pas interrompus : tous les

donné du dé- veloppement des parois du canal médullaire il y a des éléments cellulaires émigrés qui vont former un amas : c

épendant du canal médullaire, mats reste en connexion avec lui. Les éléments ysubiront les mêmes différenciations que dans l

échéances sont dues à l'action directe que le poison exerce sur les éléments sexuels primitifs (ovule ou spermatozoïde), hase

ur la manière dont s'établissent les rapports réciproques entre les éléments nerveux embryonnaires et sur la formation du ré

(In Rivista di- Freniatria, 1904. Vol. XXX, fasc. II-111.) ' lu Les éléments qui constituent le tube médullaire ont dans les

nature des lésions montre qu'il y a une désintégration complète des éléments ner- veux; dans une première phase, on assiste

s. Un point reste douteux : c'est celui de savoir les lésions des éléments nerveux sont primitives, ou si elles sont seconda

ires il des altérations vasculaires. Pour l'auteur, les lésions des éléments nerveux succèdent à un processus d'altération d

oukhanolT. Contribution à l'étude du réseau endocellulaire dans les éléments nerveux des ganglions spinaux par le procédé de

qui appartient il telle cause ou à telle autre, faute de quoi les éléments combinés et embrouillés de deux états dis- tinc

e, ne s'arrêter qu'à celles pour lesquelles on a pu réunir tous les éléments nécessaires et rejeter provisoirement celles do

tement à ce dernier reproche, mais il nous a paru cependant que ses éléments constitutifs étaient as- sez riches et suffisam

numérique des sensations; puis, après avoir établi la critique des éléments de psychuphvsi- que de lcclmcr, il finit par ré

délire est moins actif ; mais C ? cherche à coor- donner les divers éléments de son malaise. Il arrive à se con- vaincre que

ntré à Paris,son délire reprend une marche plus active, grâce à des éléments nouveaux dans lesquels il est difficile de fair

ré la synthèse des élé- ments de son délire en coordonnant avec ces éléments tous les petits faits qui ont jalonné son exist

nt-elles partie intégrante ou bien constituent-elles simplement des éléments surajou- tés ? A cela nous pouvons répondre net

partie du délire par faus- ses interprétations et qu'elles sont des éléments surajou- tés. En effet, pour co qui est d'abo

les hallucinations de la vue, nous sommes en possession d'un autre élément d'information, puisque nous savons que le malad

dit, lui-môme, qu'elles sont des hallucinations, n'apportent aucun élément nou- veau à son délire, elles n'aident en aucun

ne l'est pas en a beaucoup moins : ilbàtit ses conceptions avec les éléments bizarres et erronés qu'il tire de sa conception

des cellules dans l'inti- mité des tissus. Le système nerveux est l' élément noble de l'organisme, car c'est lui le régulate

e et particulièrement un appauvrissement de sa teneur en fer, les éléments intimes des tissus sont en souffrance et les pre-

n souffrance et les pre- miers à en subir les conséquences sont les éléments les plus sensibles, c'est-à-dire les cellules n

e point douloureux), est le plus souvent indolore : c'est là un bon élément de diagnostic, car dans une lésion osléo-articu

la Soc. de met. ment, de Belgique, fé- uier 190a.) Les principaux éléments de ce travail sont empruntés au re- marquable r

elges au point de vue du recrutement et des attributions des divers éléments du personnel médical ; 2° le perfectionnement d

nt et que la prédisposition soit fécondée et mise en travail par un élément occasionnel. 246 pathologie mentale. Et à c

d'asseoir une convic- tion, et puis ce ne serait jamais là que des éléments phy- siologiques qui ne porteraient aucune atte

yeuse mémoire, de Bouchut, qui soutenaitle transport au loin de cet élément morbide par un zéphir favorable. Quand le profe

les parquets en sapin sont certainement imbibés de toutes espèces d' éléments contagieux, malgré les lavages an- tiseptiques

s : on fait aussi observer de gros cordons en rosace. Dans de rares éléments , on peut uh- ? CI'\'CI' une altération profonde d

casionne de la leplo- méningile el consécutivement l'altération des éléments nerveux. Les lésions anatomo-pathologiques renc

les processus chimiques qui accompagnent le fonctionnement de tout élément . La conduction nerveuse serait accompagnée d'un

ion varie naturellement avec l'impor- tance physiologique de chaque élément coopérateur : ces lignes de points nodaux, oit

ouche infaillible. M. Valentino. En effet, on ne nous apporte aucun élément de diagnostic entre le mal de mer vrai et le ma

la médication BIBLIOGRAPHIE. /,ou hydrothérapique qui forme un élément de traitement important mais qui doit être admi

ésion ; en un mol, il fau- drait qu'il puisse nous fournir quelques éléments de dia- gnostic. Or, quand il s'agit de diagnos

istincts. Si nous avions une connais- sance approfondie de tous les éléments qui déterminent le mouvement en fonction du tem

ut demander aux mathématiques leur aide afin de débrouil- ler les éléments qui apparaissent confus dans une courbe. Autrem

même mesure. C'est ainsi qu'on arriverait à s'expliquer le rôle d' élément d'épargne, d'antiJéperc11teur accordé souvent à

s'agit d'une tumeur mixte formée de tissu fibreux et de nombreux éléments cellulaires arrondis, de dimensions iné- gales

ccidents nerveux. Il est possible qu'ils soient une conséquence des éléments tovi-infec- tieux de l'enfance qu'on retrouve p

cas dont il s'agit, le corps pituitaire était très altéré dans ses éléments ; en outre de deux petits kystes, il y avait une

globules rouges et quelques rares polynucléaires, sans aucun autre élément . A l'autopsie, on trouva de la tubercu- REVUE

ble exactement à celles précédemment publiées. Elle n'apporte aucun élément nouveau de diagnostic de la tuber- culose ulcér

gus ou chroniques, c'est l'état géné- ral de la nutrition qui est l' élément primitif et majeur. Le vrai problème pathogéniq

er, avec lesmoyens en notre pouvoir, la situation actuelle. Or, les éléments d'informations dont je dispose sont insuffisants

rateur ou rectificateur. La superstition existerait donc à l'état d' élément inconscient dans le cerveau normal et c'est le dé

galeries de cure : primum vivere ! (v. p. 483). E. COULONJOU. XIV. Eléments de médecine mentale appliqués à l'étude du droi

tablissements d'aliénés, par 1\Ieens,, p. 316. Mi-decine mentale. Éléments de - appliqués à l'étude du droit, par Legrai

ma- nière dont s établissent les rapports réciproques entre les éléments nerveux embryonnaires et sur la formation du -